proces-verbal de l`assemblee generale de l`ogbtp du 11 octobre 2012
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1. Cette r solution est adopt e lunanimit des pr sents 6 4 Questions diverses combien peut on vendre un CD 22 jusqu 10 exemplaires et 18 jusqu 100 exemplaires Le pr sident sollicite lavis des participants sur le d roul de cette journ e et le s quen age reconduit depuis trois ans Matin intervention de nos deux tutelles suivi du tour des offices pour finir par un point fort table ronde ou conf rence Apr s midi le point de conjoncture conomique suivi de l Assembl e G n rale statutaire II est sugg r pour cela qu une fiche de satisfaction soit jointe au dossier Retour sur la table ronde e Trop longue et qui aurait d permettre plus d changes e Finalement aucun retour au presque de la salle par manque de temps et aussi li au mode d organisation de cette table ronde dans laquelle les s ries de questions propos es aux intervenants ont amen des r ponses souvent redondantes e Echanges au fur et mesure ou pas la question partage Karine MILLET regrette effectivement le peu de retour 14 e L ensemble de la journ e ayant t enregistr la table ronde pourra tre mise disposition des uns et des autres Si une envie de d battre se fait jour celle ci ne se retrouve pas dans la faible participation aux R unions Th mes e La forte proportion d architectes pr sidents d offices pose le probl me de la faible repr sentation des entrepreneurs c2. Marie Fran oise MANIERE confirme que compte tenu de la tr s faible activit actuelle des agences d architectes 2013 ne s annonce effectivement pas sous les meilleurs auspices pour les entreprises Prolongeant l intervention du pr sident RIDORET la pr sidente de l UNSFA mentionne d couvrir pour s en inqui ter que m me les emplois du b timent seraient donc eux aussi d localisables Les deux pr sidents s accordent pour noter l importance des travaux et des r flexions que porte l OGBTP plus particuli rement encore dans cette p riode de contraction de la commande 2 Tour de Table des Offices Comme l accoutum e la parole est donn e aux offices d partementaux pour un tour de table orchestr par Paul Fran ois LUCIANI Sylvain GAUCHERY architecte pr sident de l office du Cher et C dric LECOMTE Office de 12 membres se r unissant tous les deux mois Ann e calme avec un relatif manque de mobilisation L office a travaill le m moire technique et souhaite travailler sur la d finition d une op ration exemplaire depuis sa programmation Jean Michel BEVIERE architecte pr sident de l office de l Aisne Office en cours de cr ation J r me DELASALLE Pr sident de l UNSFA de l Aisne indique que le travail envisag portera sur la valorisation de nos entreprises tant d architecture que de b timent au travers de la RT 2012 Fr d ric MICHEL entrepreneur et Eric BRULE Secr taire G n
3. e La r ception de travaux 45 54 59 62 doc 59 62 e Les d penses communes de chantier 07 26 44 63 82 doc 07 26 44 63 e Les chantiers propres 59 62 doc 59 62 e Les interfaces 69 79 doc 69 79 e La r union de chantier 82 10 e La s curit sur chantier 45 e Les DOE 79 doc 79 Les caract ristiques des b timents Les conomies d nergie 07 26 28 77 83 L tanch it lair et la RT 2012 01 28 59 62 L accessibilit 28 45 83 Le parasismique 63 doc 63 Les mat riaux 09 Les th mes g n raux e La gestion des risques 59 62 e La m diation 16 e Les formations communes 07 26 79 Par ailleurs l Office G n ral a travaill cette ann e sur Le M moire Technique et la R ception de Travaux documents achev s Les Op rations en Conception R alisation et les D penses d Int r t Commun documents en voie d ach vement L Ing nierie avec les auditions de l UNTEC et de la CICF pr mices de la table ronde de la matin e Autre activit du Comit technique l animation de la r flexion technique des ODB et l organisation des R unions Th me Celles ci n cessiteraient une plus grande participation des d partements pour tre justifi es plus constructives et pour permettre d asseoir les th mes mobilisateurs qui s en sont d gag s e Harmonisation des pi ces crites e Engagement de r sultats e RT 2012 e Les d rapages de
4. le compte prorata le guide parasismique l accessibilit et la mise jour d anciens guides comme le guide amiante L office travaille galement avec les BET structure sur les limites des missions EXE et les PAC Jean Pierre ANQUETIL en charge du Comit Technique de l OGBTP conclut ce tour de table des offices d partementaux en remarquant la diversit des sujets voqu s Il regrette n anmoins un d ficit d information sur les travaux des ODB Cette ann e 18 offices ont adress des documents dont 8 sont pr sents aujourd hui Par ailleurs sur les 17 offices repr sent s aujourd hui 9 n ont jamais rien transmis au Comit Technique Les travaux et r flexions des offices sont n cessaires pour nourrir les pr conisations de l OGBTP ainsi que les documents qui sont mis disposition sur le site ou dans les Cahiers Le Comit Technique qui recense tout ce qui est produit est m me de mettre en relation les offices travaillant ou ayant travaill sur des th mes similaires Il est donc au service des offices pour les aider mieux travailler Autre point les formations communes architecte entrepreneur l OGBTP encourage ce type de formation La diversit des participants offre toujours des clairages enrichissants Comme cela a t dit certains offices en font d j II y a l mati re retour d exp riences pour aider d autres offices en organiser L ouverture des formations FEEBAT la ma trise d u
5. auditeur affect la marque OBS Plus d audit donc plus de cotisation N anmoins les v tements avec la marque OBS se fabriquent toujours mais la ressource n est plus l Les liens avec la soci t d audit sont retisser La vente du Guide ARCHITECTES ENTREPRENEURS MODE D EMPLOI est donc la principale ressource ext rieure entre 13 et 17 000 an pour un co t de fabrication de 5 000 6 000 La promotion de sa vente est donc indispensable Chaque office doit se charger de sa promotion aupr s des divers organismes formant des jeunes ou moins jeunes arrivant dans la profession F d rations IUT coles d architecture Les M diations Conciliations La m diation conciliation en dehors de son aspect statutaire est comme cela a t voqu pr c demment une source de revenu potentiel pour les offices Autre bonne raison pour les offices de s y investir 6 2 4 Les partenariats Yves GENTHON L OGBTP poursuit son ouverture au monde du b timent Collaboration au sein du Club de l Am lioration de l Habitat dont Robert DAUSSY son secr taire g n ral tait pr sent en matin e pour suivre les d bats Liens tiss s avec l UNTEC Economistes et la CICF BET pour qu ils deviennent des interlocuteurs normaux de l OGBTP Si ces liens existent souvent au sein des offices d partementaux avec ces partenaires que les statuts permettent d associer ils n existaient pas au niveau nat
6. c est au ma tre d ouvrage de garantir le respect de la r glementation au ma tre d uvre de faire des propositions et l entreprise de devenir BET m thodes adaptabilit transparence variantes L entreprise attend beaucoup de l ing nieur qui doit savoir et qui peut dire non l architecte et au ma tre d ouvrage L architecte est compl tement ind pendant de l entreprise ce qui n est pas le cas du BET Marie Fran oise MANIERE L association amont du BET au travail de l architecte est quasiment impossible Une difficult est que chacun doit savoir quel moment il doit intervenir Le prix Le prix est souvent un alibi pour ne pas faire Paul Fran ois LUCIANI Le prix ne peut tre la seule explication car le probl me existait avant la crise Karine MILLET La complexification de la mission d bouche sur un probl me de co t Elle pourrait amener le BET travailler plus que l architecte Pour Pierre MIT on est tous dans le m me bateau Le gros probl me est la qualit du ma tre d ouvrage La ma trise d ouvrage n est plus unique chacun fait sa sauce Les probl mes sont exacerb s par le d rapage des honoraires et l UNSFA se bat sur le co t et la r mun ration des missions compl mentaires Marie Fran oise MANIERE Les architectes sont abandonn s apr s la r ception par les BET qui estiment avoir termin leur mission Pour Jacques CHANUT FFB le probl me n est pas le prix mais le b
7. d lais L OGBTP lieu de M diation et de Conciliation Compte tenu de la judiciarisation actuelle qui engorge les tribunaux les modes alternatifs de r glement des conflits sont de plus en plus propos s Le pr sident rappelle le r le statutaire et attendu de l OGBTP et des ODB pour r pondre cette demande qui recouvre la M diation la Conciliation et l Arbitrage Paul Fran ois LUCIANI pr cise les deux formes pr conis es par l OGBTP que sont la M diation et la Conciliation La M diation est un mode de r solution des conflits qui consiste demander un tiers le m diateur d accompagner les parties Celui ci traite le dossier avec les 2 parties dans la recherche amiable d un consensus La Conciliation consiste dans l intervention d un tiers le conciliateur qui apr s avoir cout les parties et analys leur point de vue leur propose une solution pour r gler leur diff rend L Arbitrage qui se solde par une sentence que les parties s engagent respecter est un processus plus lourd que l OGBTP sauf pratiques particuli res certains offices ne promeut pas 6 2 2 Les outils de l OGBTP Le site de lOGBTP C dric LECOMTE 11 L volution du site a t plus difficile et plus long que pr vu Il est aujourd hui op rationnel Moins aust re tout en restant informatif il est ouvert aux ODB comme outil de liaison interne et externe s enrichit petit petit des comptes rendus et documents Il
8. est disposition des offices qui peuvent y d poser compte rendu documents d actualit locale photos etc Les administrateurs du site et donc les interlocuteurs des offices pour son utilisation et sa mise jour sont C dric LECOMTE Jean Pierre ANQUETIL et Sylvie PEIGNAUX Certain Jean Claude SEGAUD ODB Auvergne regrette que depuis pr s de 3 ans le site ne soit plus aliment en documents et souhaite qu il redevienne le plus vite possible utile Le guide ARCHITECTES ENTREPENEUR MODE D EMPLOI La version 2013 du guide vient de sortir Le pr sident remercie ceux qui s y sont investis notamment Paul Fran ois LUCIANI pour avoir suivi le processus et l avoir men son terme dans les d lais Toujours dit en CD Rom il est notamment diffus aupr s des nouveaux architectes par le CNOA via les CROA 700 exemplaires chaque ann e et l ann e derni re aupr s des entrepreneurs par la FFB via L ESJDB l cole des jeunes dirigeants Pour en augmenter la diffusion nous avions essay de proposer tant la SMABTP qu la MAF des abonnements qui auraient permis leurs adh rents de t l charger le guide chec total Par contre les contacts plus fructueux se sont poursuivis avec la SMABTP qui s est engag e en commander 150 exemplaires Par ailleurs il est apparu qu une simple actualisation annuelle n tait plus suffisante et qu il fallait rendre ce CD plus clair et plus attract
9. les pratiques pour mieux ma triser les co ts de la construction r put s lev s en Seine Maritime Autre pr occupation la formation Il faut d passer les pr s carr s de chacun et cr er des passerelles entre les formations propos es par la F d ration et le CREPA CROA Karine MILLET indique que l Office de Charente Maritime a finalis le m moire technique et a collabor un observatoire cellule de crise de la situation conomique locale r unissant ma tres d ouvrages Architectes Entrepreneurs et BET Il travaille actuellement sur la RT 2012 en identifiant les diff rents m tiers impliqu s et en regardant ce qui se fait dans les autres pays Cela a d bouch sur une r union FFB SMABTP de retour d exp rience de la RT 2005 afin d identifier la nouvelle sinistralit induite Comme membre du bureau charg e des relations avec les offices locaux Karine MILLET invite les offices prendre contact avec elle pour toute rencontre sur place avec eux Jean Claude SEGAUD architecte pr sidents de l Office du Puy de D me 24 administrateurs 4 CA par an hors r unions de travail Y sont int gr s les autres participant l acte de b tir comme membres correspondants Liens troits jusqu ce jour avec l administration qui contribuait financi rement par la prise en charge des frais d dition des tudes M me si les budgets se r duisent ces derniers temps l office continue la publication de documents
10. ral de la FFB 51 R activation de l office de la Marne en cours qui a la particularit de comporter galement des ma tres d ouvrages Travail r alis sur la pr paration de chantier Th mes futurs le carnet d entretien les chantiers propres sous forme d un concours R unions mensuelles Jean Fran ois QUELDERIE architecte ancien pr sident de l office du Vaucluse et repr sentant Jean Marc BOUISSE entrepreneur et pr sident de l office R unions ouvertes de type d bats associant les partenaires lacte de construire Travail en cours balayage des diverses phases d une op ration de construction en y impliquant les ma tres d ouvrages Il est rappel l exposition HEI que l office du Vaucluse pr sente actuellement dans le hall de la FFB Patrick BRIENNE architecte pr sident de l office Nord Pas de Calais Travaux fiches synth tiques sur divers th mes int ressant la phase chantier R ception Compte rendu de chantier Pr paration de chantier les prix anormalement bas R union tous les deux mois Souhaite une plus large diffusion des Cahiers L office se scindera peut tre en deux offices d partementaux Nord et Pas de Calais Yvon TEXIER architecte pr sident de l office de Dr me Ard che Office compos de 10 Architectes et 10 Entrepreneurs se r unissant trimestriellement Th mes abord s l offre globale la p riode de pr paration R union pr vue avec les bureaux de contr le Fort succ s de
11. Architectes Entrepreneurs OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux Puguics PROCES VERBAL DE L ASSEMBLEE GENERALE DE L OGBTP DU 11 OCTOBRE 2012 La s ance est ouverte 9 heures 30 par M Yves GENTHON Pr sident La liste des pr sents et des excus s est jointe en annexe Accueil par le Pr sident Le pr sident Yves GENTHON souhaite la bienvenue aux participants et expose l ordre du jour de la pr sente assembl e 1 Ouverture de l Assembl e G n rale Interventions de Marie Fran oise MANIERE Pr sidente de l UNSFA et Didier RIDORET Pr sident de la FFB Tour de table des Offices Table ronde L Architecte L Ing nierie L Entrepreneur Exposition Concours d id es HEI office du Vaucluse Actualit conomique Intervention de Lo c CHAPEAUX o on ww D Assembl e G n rale Ordinaire e Approbation du proc s verbal de la pr c dente Assembl e G n rale Rapport d activit Rapport financier Projets 2013 Questions diverses 7 Cl ture de l Assembl e G n rale 1 Interventions des pr sidences de tutelles Dans une conjecture qui s annonce tr s difficile la pr sidente de l UNSFA Marie Fran oise MANIERE se pose en force de proposition vis vis des minist res de tutelle pour favoriser l ambition du gouvernement en mati re de logement cause nationale Elle se f licite des actions communes engag es par les architectes et les entrepreneurs et de leur convergence de vu
12. arine MILLET Secr taire Jean Claude LACAN Tr sorier et Pt Office H rault Jean Pierre ANQUETIL Louis BESSARD Pt Office Sa ne et Loire Fran ois CHEVALLEREAU Pt Office Deux S vres Jos GROLLEAU Jacques HINTERLANG Pt Seine et Marne C dric LECOMTE Alain PIQUET Pt Calvados Jean Fran ois QUELDERIE Gilbert RAMUS Bertrand SABLIER Yves TOULET Membre d Honneur Jean Claude SEGAUD et Pt Office Puy de D me Offices d partementaux J r me DE LASALLE Membre de l Office de l Aisne architecte Jean Michel BEVIERE Membre de l Office de l Aisne architecte Sylvain GAUCHERY Pt Office du Cher architecte Fr d ric MICHELS Membre de l Office des Deux S vres Yvon TIXIER Pt Office Dr me Ard che architecte Eric BRULE Office de la Marne Patrick BRIENNE Pt de l Office du Nord Pas de Calais architecte Jean Luc BICHET Vice Pt de l Office de la Haute Savoie conomiste Michel DESVALLEES Pt de l Office de Haute Savoie architecte Olivier HONNET Office Seine Maritime Jean Michel DRESSE Membre Office des Deux S vres Architecte Jean GASQUEZ Pt de l Office du Var architecte Jean Pierre BOSQUET Pt de l Office de l Yonne architecte Etaient repr sent s Martine LIEN BOWANTZ administrateur Alain DE LA PERSONNE Pt Office Vosges Barth l my DUMONS Pt Office Ari ge Jean Marc THIZY Pt Office Loire Atlantique Patrick VALLOGIA Pt Office Ardennes St pha
13. ciliation Ses Outils e Un Site e Un Guide e Une Brochure e Une Chambre de M diation Ses Moyens e Les Cotisations e La Marque OBS e Le Guide ARCHITECTES ENTREPRENEURS MODE D EMPLOI e La M diation Ses Partenariats Pour d velopper ce rapport d activit le pr sident donne successivement la parole aux membres du bureau plus particuli rement concern s 6 2 1 Identit et missions de l OGBTP L OGBTP une union d offices d partementaux Karine MILLET qui au sein du bureau a en charge les relations avec les offices d partementaux poursuit la d marche initi e depuis deux ans Le bureau continue d aller la rencontre des offices sous forme de r unions r gionales Poitou Charentes Midi Pyr n es Rh ne Alpes et le mois dernier Pays de Loire Ces r unions fructueuses ont permis de rencontrer pr s de 25 d partements pour mieux conna tre les sp cificit s locales et rendre compte de l action de l Office G n ral D autres visites sont faites l invitation d offices d partementaux comme prochainement dans l Aisne et le Cher Les d partements peuvent donc solliciter le bureau pour toute r union qu il souhaiterait organiser soit pour une r union strictement d partementale soit interd partementale Le pr sident prolonge l intervention de Karine MILLET en invitant les offices actifs tre attentifs aux d partements limitrophes des leurs qui compteraient des offices peu actifs ou en somm
14. de l OGBTP comme organisme de M diation ou de Conciliation D velopper des chambres locales de m diation au niveau des Offices D partementaux Par ailleurs il est n cessaire d en faire mention dans les contrats Cf la mention de la clause s y r f rant dans les contrats type de travaux dit s par la SEBTP Jean Claude SEGAUD ODB Auvergne t moigne de la pertinence de la m diation conciliation C est rapide c est pas cher et a peut rapporter un peu l ODB qui l organise Paul Fran ois LUCIANI indique aux offices qui pour des raisons locales ne souhaiteraient pas r aliser la m diation ou la conciliation pour laquelle ils seraient sollicit s qu ils peuvent 12 demander l OGBTP de l assurer Le probl me d assurance des m diateurs est voqu sans que des r ponses claires soient apport es Pour les architectes une r ponse de la MAF est souhait e 6 2 3 Les moyens de l OGBTP Yves GENTHON Paul Fran ois LUCIANI Les moyens de l OGBTP proviennent Des Cotisations de ses deux tutelles la FFB et l UNSFA via le CNOA La subvention de la FFB qui hormis un versement sur le compte de l OGBTP se fait galement par mise disposition Sylvie PEIGNAUX comme attach e administrative Les revenus de la marque OBS La transition du label la marque s est r alis e sans trop de perte en ligne mais la soci t charg d auditer les fabricants et les tisseurs n a plu d
15. e du Duflot qui et c est une bonne nouvelle se met en place avant l abandon du pr c dent Deux interrogations restent effet du nichage le Dufflot rentrera dans les avantages fiscaux plafonn 10 000 second risque li au zonage exclus de la zone C et de la zone B2 sauf avis motiv du pr fet soit 60 du territoire et pr s de 75 de la population Deux autres questions Le d cret encadrement des loyers augmentation limit e l IRL sauf travaux contrainte compl mentaire Autre probl me le locatif social objectif 150 000 logements sociaux le doublement du plafond du livret aura peu d effet sans la possibilit d augmenter les fonds propres par augmentation des subventions ou en augmentant la vente de logements HLM Pour l Entretien R novation gt bonne nouvelle maintien du taux de TVA 7 Avec un objectif de 500 000 ou 600 000 logements r nov s thermiquement mais sans budget pr vu Dernier plan de mesures Le choc d offre sur le foncier en favorisant la vente imm diate de terrain suppression de la fiscalit d gressive Choc d offre sur le logement existant abattement de 20 sur la plus value des biens immobiliers Autres mesures qui ne sont pas dans le projet de loi de finance le financement des collectivit s locales par le transfert voqu de la gestion des fonds europ ens aux r gions pour relancer l activit Conclusion mes
16. eil pour les rencontrer les encourager etc In fine le nombre d offices reste stable des offices se cr ent quand d autre s endorment L Ouest reste encore vierge petit espoir un syndicat de l UNSFA se cr e en Bretagne pr mices d un premier office armoricain L OGBTP lieux de r flexions au travers des ODB et du Comit Technique Jean Pierre ANQUETIL en charge du Comit Technique de l OGBTP pr sente la liste des comptes rendus transmis par les offices Ceux ci sont invit s faire des comptes rendus avec quelques conclusions ou orientations sur les r flexions mergeant de leurs r unions et pas uniquement de simples relations de ce qui s y est dit Un appel est lanc aupr s des offices pour d tecter des r dacteurs et les orienter vers le Comit technique La liste des travaux manant des offices et transmis l Office G n ral sont pr sent s regroup s sous 4 rubriques la vie des op rations le chantier les caract ristiques des b timents et les th mes g n raux La vie des op rations e Les bonnes pratiques des ma tres d ouvrage 34 doc 34 Les erreurs et omissions dans les m tr s des conomistes 74 Le descriptif 14 doc 14 Le m moire technique et la mieux disance 14 17 doc 17 Les offres anormalement basses 16 34 La facturation et les garanties de paiement 54 Le r le des acteurs les missions 16 54 doc 54 Le chantier e La pr paration de chantier 08 59 62 82
17. entions il ressort Reproches Pour l architecte Il n y a pas assez de solidarit dans l quipe de ma trise d uvre Manque d implication du BET dans le projet Le partenariat pour tout ce qui est nouveau et qui doit r pondre l esprit du projet Manque de qualit du travail descriptif peu appropri trop de g n ralit s non respect des d lais _ Synth se tr s difficile car chacun travaille dans son coin Comp tence insuffisante des acteurs qui ne sont pas adapt s aux sp cificit s du projet Pour l entrepreneur _ Incoh rence entre pi ces crites et plans Descriptif inadapt s et insuffisants Distorsion entre ma trise d uvre de conception et d ex cution Doublons dans le travail et dans les prescriptions Les abaques rempla ant les calculs R ponses La relation ne peut tre bonne que si chacun sait qui fait quoi et qui est responsable de quoi B E Ou qui fait quoi pour quoi Ou qui est au service de qui Il faut diffuser quelles sont les limites de la mission EXE qui ne r pond pas toutes les attentes Il n y a aucune diff rence entre la ma trise d uvre de conception et celle d ex cution L entreprise est toujours garante du respect des r glementations Tout est conditionn par des rapports humains si on ne s aime pas il ne faut pas travailler ensemble Si on a l habitude de travailler ensemble tout va bien B A L ing nierie n est pas suffisamme
18. es Celle ci ne peut que renforcer l impact de nos actions Le pr sident de la FFB Didier RIDORET confirme les inqui tudes de la profession pour l ann e 2013 Il rappelle les actions de lobbying de la FFB pour d fendre une activit celle de la construction essentielle l conomie de notre pays Il note avec satisfaction les perspectives du gouvernement mais s interroge sur le r alisme de ces ambitions tant pour le neuf pr vision de 500 000 logements dont 150 000 logements sociaux avec les dispositifs actuels dont le PTZ et l augmentation pr vue du plafond du livret A Pour l ancien dont la r novation vers la performance nerg tique est le cheval de bataille 500 000 interventions sont pr vues par rapport aux 140 000 actuelles Les moyens seront ils la hauteur tellement le gap semble important Alors que les entreprises sont en souffrance avec un outil de production contract Didier RIDORET fait part de deux nouvelles Inqui tudes La premi re concerne le dossier de lutte contre l artificialisation des terrains dont le corollaire pour continuer avoir du foncier disponible est la densification Celle ci est elle facilement recevable par nos concitoyens La seconde inqui tude est la concurrence exacerb e voire d loyale qui s intensifie de la part des entreprises de certains pays europ ens par le recours tentant au personnel int rimaire d origine europ enne et la concurrence des auto entrepreneurs
19. ette journ e Il est demand chaque pr sident architecte de motiver son vice pr sident ou tout autre membre entrepreneur de son office pour tre plus pr sent aux quelques rendez vous dans l ann e de l OGBTP que sont l Assembl e G n rale et les R unions Th me e Grand absent de la table ronde du matin la Ma trise d Ouvrage Pourrait on y penser pour l Assembl e G n rale 2013 Oui mais lequel ma tre d ouvrage public ou et ma tre d ouvrage priv dont les probl matiques sont tr s diff rentes Par ailleurs le travail aupr s d eux est du ressort du lobby Or celui ci semble plus pertinent et percutant localement qu au niveau national o nos deux tutelles institutionnelles sont un frein e Autre suggestion limiter le sujet d battu lors de la table ronde pour favoriser plus facilement le d bat ainsi circonscrit Probl me de l Assembl e G n rale Jean Claude SEGAUD propose d avancer les votes C est effectivement un choix du Bureau comme tant la moins mauvaise solution l Assembl e G n rale statutaire pouvant X Ok x La prochaine Assembl e G n rale aura lieu JEUDI 24 OCTOBRE 2013 la FFB 6 14 rue La P rouse Paris 16 salle du Bureau rez de chauss e 15 OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux Puguics Assembl e G n rale ordinaire du jeudi 11 octobre 2012 Liste de pr sence Administrateurs Yves GENTHON Pr sident Paul Fran ois LUCIANI Vice pr sident K
20. euse et fructueuse convivialit Les sujets sont cibl s afin de pouvoir tre trait s avec les moyens du bord pour d boucher sur un document conclusif comme celui sur le DOE publi dans les Cahiers de lOGB Th mes actuellement en cours Respect du b ti ancien au regard des r glementations thermique et sismique Autre action les formations communes Jean Michel DRESSE architecte et pr sident r gional de l UNSFA indique que l ouverture de FEEBAT la ma trise d uvre doit tre l opportunit d organiser ces formations communes Il indique par ailleurs qu il poursuit ses efforts pour le montage d un office dans la Vienne Michel DESVALLEES architecte pr sident de l office de Haute Savoie et Jean Luc BICHET conomiste Office nouvellement cr qui associe troitement les conomistes les BET et Bureaux de Contr le L office comporte une vingtaine de membres Th mes actuellement abord s l amiante source de blocage d op rations Les Offres Anormalement Basses O est la fronti re entre la ma trise d uvre et l entreprise Les entreprises notamment charpentiers bois et m talliques se plaignant des dossiers mal ficel s avec une insuffisance de calcul des structures Pour Olivier HONNET architecte de l Office de Seine Maritime la question reste Comment faire travailler ensemble voire en amont Entrepreneurs et Architectes tout en respectant la r glementation Il y a lieu de rationaliser
21. if Le bureau a donc d cid d engager sa refonte qui commencera par le remaniement de la nomenclature pour la rendre plus proche du processus d laboration et de r alisation des projets Les Cahiers de l OGBTP Daniel SEMELET L office poursuit la publication annuelle de ses Cahiers Celle ci se fait la fin du 1 trimestre pour correspondre au CA de mi ann e La publication des Cahiers de l OGBTP n 3 est ainsi pr vue pour le CA d avril 2013 Ces Cahiers sont con us pour tre la fois un outil de r f rence interne de l activit de lOGBTP et des ODB sur une ann e et galement un outil de communication vers les partenaires de lacte de construire Le pr sident voque pour finalement s en f liciter les changes de courrier avec l UNAPOC CICF Construction suite la sortie des cahiers n 2 L impression des Cahiers actuellement dit s 1000 exemplaires est assur e par la FFB Un largissement de sa diffusion et donc une augmentation du nombre d exemplaires est souhait e Chaque office pourrait ainsi en disposer plus largement pour le diffuser localement La M diation Paul Fran ois LUCIANI Une lente mont e en puissance certains offices d partementaux la pratiquent de fa on assez courante Pour r pondre cette mission de l OGBTP et des ODB il faut Une comp tence reconnue cf la formation de 13 m diateurs organis e l ann e derni re Une identification
22. igatoire oui Mais quel prix La barri re entre investissement et exploitation semble se fissurer _ L architecte doit accepter l intervention de l ing nierie en amont ing nierie concourante Il faut se pr parer l obligation de r sultat ex garantie de performances nerg tiques Le pouvoir passe aux exploitants 75 du co t global _ L architecte doit apprendre n gocier son contrat et ne pas signer l aveugle Les BET s arr tent trop souvent la remise de leur dossier Il faut duquer les ma tres d ouvrage __ L UNSFA pr pare une convention de cotraitance architecte ing nierie 4 Exposition Concours d id es HEl office du Vaucluse J F QUELDERIE pr sente l exposition HEI install e dans le hall de la FFB Celle ci fait suite au concours d id e initi en 2011 par l Office du B timent du Vaucluse en partenariat avec Vaucluse Logement Concevoir l habitat innovant et conome de demain 5 L actualit conomique Crise avec un grand C R cession P nurie de logements font la Une des journaux Le nouveau gouvernement affiche des ambitions fortes en mati re de logement mais galement en mati re d conomie d nergie dont on sait que le b timent est un des principaux gisements Comment analysez la situation Quels sont les sc narios Nul doute que cette ann e peut tre encore plus que les autres l analyse de conjonctu
23. ional Encouragement des offices cr er ces coll ges partenaires Il est indiqu parall lement que les architectes sont repr sent s dans les OPQTECC Organisme de qualification des conomistes de la construction et des programmistes Rappel de la participation crois e entre QUALIBAT et l OGBTP membres respectifs des deux conseils d administration Daniel SEMELET y repr sente l OGBTP au Conseil d Administration et Luc ZAVARONI son Conseil Technique Par contre avanc e plus difficile avec l association AMO Architecture et Ma trise d Ouvrage que nous avions sollicit e I para t en effet naturel que ces deux associations se rencontrent pour joindre les trois c t s du triangle Ma trise d Ouvrage Architecte Entrepreneur x XX x Aucune observation n tant formul e la r solution suivante est soumise au vote L assembl e g n rale ordinaire r unie le 10 octobre 2012 approuve le rapport d activit de l ann e coul e depuis la derni re assembl e g n rale ordinaire du 20 octobre 2011 Cette r solution est adopt e l unanimit des pr sents 13 6 3 Rapport Financier Jean Claude LACAN tr sorier de l OGBTP pr sente le rapport financier pour l ann e 2011 avec un r sultat l quilibre comme l exercice 2010 Mais il pr sente de fortes disparit s avec ce dernier en d penses nette augmentation du co t de fabrication du CD 124 mais en recettes augmentation substan
24. ne 5 r unions cette ann e Sous la forme de r unions d bats largement ouvertes avec des invit s conomiste thermicien pour exposer des th mes sp cifiques accessibilit PMR par exemple voir plus exotiques et pyramidale pour des moments de convivialit Probl me de repr sentativit plus d architectes que d entrepreneurs sont pr sents aux r unions Jean GASQUEZ architecte pr sident de l office du Var souhaite que les entreprises s impliquent davantage et que les r alisations soient plus et mieux diffus es Il propose qu aux expositions confidentielles et endog nes qui se font soit la FFB soit au CROA se substituent des expositions dans des lieux que les donneurs d ordre fr quentent plus famili rement par exemple les agences bancaires Louis BESSARD architecte pr sident de l office de Sa ne et Loire Peu de r unions cette ann e constat de d saffection notamment de la part des entrepreneurs Relance pr vue pour 2013 avec des th mes cherchant am liorer quelques aspects administratifs le traitement des situations d lais de paiement la r union de chantier et la gestion des DGD Yves TOULET et Jos GROLLEAU pour l office d Indre et Loire Apr s recomposition du bureau l office va red marrer en 2103 Fran ois CHEVALEREAU architecte pr sident de l Office des Deux S vres L office compos de 5 architectes et 5 entrepreneurs se r unit tous les 2 mois dans une chaleur
25. ne POLLIER Pt Office Is re Jean Marc BOUISSE Pt Office Vaucluse Marc LECHEVALIER Pt Office Seine Maritime Philippe SERVALLI administrateur Participaient galement Didier RIDORET Pr sident F d ration Fran aise du B timent FFB Jacques CHANUT Vice Pt FFB Gilles CHARBONNEL Pr sident de CICF Construction Filipe DA SILVA CICF Construction Robert DAUSSY Directeur G n ral du Club de l Am lioration de l Habitat Pierre MIT Pr sident de l UNTEC Fabienne TIERCELIN SMABTP J r me DEYDIER et Lo c CHAPEAUX FFB Etaient excus s Administrateurs Martine LIEN BOWANTZ Lionel CARLI Fr d ric DENISART Martial GORJUX J r me GUYARD Michel MARCONNET Alain MAUGARD Norbert PEYRET Philippe SERVALLI Luc ZAVARONI Pr sidents et membres d offices Alain BARODINE Pt de l Office du Loiret architecte Pascal BREDA Pt Meurthe et Moselle Bruno CURIS Pt Office Rh ne Alain DE LA PERSONNE Pt Office Vosges Barth l my DUMONS Pt Office Ari ge Fran ois GUIBERT Pt Office Gironde Denis JONVILLE Pt Office Eure et Loir Gilles PEILLON Pt Office Ain Norbert PEYRET Pt Office Loire Alain PIQUET Pt Office CALVADOS St phane POLLIER Pt Office Is re Fabrice RAUZY Vice Pt Office Ari ge Jean Marc THIZY Pt Office Loire Atlantique Patrick VALLOGIA Pt Office Ardennes
26. ngle du jeu et tr s n gatif dans le Centre Cons quences Les carnets de commande s effritent depuis l t Les conditions climatiques un vrai hiver ont eu tendance lisser cet effritement En termes d effectifs cela se concr tise par un recul d environ 1 La situation des entreprises est stable pas d augmentation constat e des d faillances En revanche augmentation de cession pure sans licenciement augmentation constante depuis de 3 ans actuellement 2 900 mois Signe de restructuration du secteur Les prix reculent bien plus vite que les co ts Autre inqui tude augmentation des d lais de paiements Enfin tr sorerie des entreprises en berne Conclusion et perspectives 2013 pas bonnes Sur un plan macro conomique en Europe et m me dans le monde avec une baisse du rythme de croissance mondiale Sur le plan financier malgr des taux d int r t bas il est constat une contraction des pr ts en volume Risque de bulle sur les emprunts d Etat d duction faite de l inflation le rendement des obligations appara t sur le moyen terme au mieux nul voir n gatif Autre probl me propre la zone Euro qui n appara t plus comme une v ritable zone conomique et financi re Enfin contexte institutionnel peu favorable en p riode de lutte contre le d ficit public et structurel par les mesures de type Solvabilit II Synth ses des mesures prises ou envisag es Mise en plac
27. ns tenir compte des risques de sinistralit li s la ma trise de nouvelles technologies mises en uvre N anmoins La FFB ne demande pas l abandon des normes Les investisseurs ont besoin de r f rentiels pour se rep rer La FFB demande l arr t de leur empilement d sordonn et surtout si rapide 6 Assembl e G n rale Ordinaire Le nombre de membres de l Assembl e G n rale pr sents ou repr sent s tant sup rieur au quorum l Assembl e peut valablement d lib rer 6 1 Approbation du proc s verbal de l Assembl e G n rale du 20 octobre 2011 Aucune remarque n ayant t formul e sur le compte rendu de l Assembl e g n rale du 20 octobre 2011 le pr sident propose la premi re r solution L assembl e g n rale ordinaire r unie le 10 octobre 2012 approuve le texte du proc s verbal de l assembl e g n rale ordinaire du 20 octobre 2011 Cette r solution est adopt e l unanimit des pr sents 6 2 Rapport d activit Le pr sident remercie les offices d partementaux forces vives de notre association les membres du Bureau pour leur implication ses c t s Jacques ANQUETIL responsable du Comit Technique et bien s r Sylvie PEIGNAUX dont le travail au quotidien est si pr cieux Le pr sident pr sente le rapport d activit sous quatre rubriques L identit et les Missions de l OGBTP e Une union d O D B e Lieux de r flexion et de propositions e Lieux de M diation et de Con
28. nt l coute du savoir de l entreprise Comme partout il y a des bons et des mauvais L quipe de ma trise d uvre n est pas l pour tenir la main des entreprises Pour les plans d atelier et de chantier PAC et les plans EXE les BET peuvent aider au niveau des plans de fabrication L quipe de ma trise d uvre ne sait pas faire les plans EXE des entreprises Comment expliquer un entrepreneur qui re oit des chiffres et qui on dit qu il doit refaire tous les calculs Il est important que l entreprise sache quel moment il doit fournir quelle information Autres constats Dans l quipe de ma trise d uvre personne n est au service de personne l implication n est pas suffisante or on attend du ma tre d uvre une valeur ajout e le management de l quipe est de plus en plus difficile cause du nombre croissant d intervenants le manque de comp tence adapt e n cessite une formation en particulier pour les architectes Pierre MIT constate des apports successifs sur le chantier qui remettent en cause le travail de l architecte Or il existe des outils pour am liorer la simultan it et la r activit Il est difficile pour un BET de r pondre simultan ment des questions provenant la fois du ma tre d ouvrage de l architecte et de l entrepreneur Le BET amont produit des l ments mais il n en a pas la responsabilit vis vis de l entrepreneur Pour Gilles Charbonnel
29. re conomique est particuli rement attendue Lo c CHAPEAUX chef de la Division Etudes Economiques de la FFB comme les ann es pr c dentes a accept d en dresser le panorama Point imm diat de la situation Logement neuf apr s une ann e 2011 tr s bonne net recul de 15 16 mais on reste sur une moyenne de long terme loin des points les plus bas Les autorisations restent niveau mais l ger d crochage des mises en chantier R gionalement des disparit s fortes avec l Ile de France et PACA qui conservent de bons r sultats en 2012 avec une r serve pour la r gion PACA quant la fiabilit statique Par segments de march Le locatif social reste porteur compte tenu des agr ments pass s La promotion priv e par contre d croche tant en ventes qu en mises en vente De la r serve se fait avec un report vers la VEFA Mais pas de risque L accession la propri t chute tr s marqu e L est la v ritable inqui tude tant dans l ancien que dans le neuf Le Non R sidentiel Neuf L appr ciation est d licate compte tenu du nouveau mode de calcul des surfaces la Surface de Plancher se substituant la SHON Dont le A est estim entre 5 et 15 Sous ces r serves il appara trait un recul de l ordre de 10 A pond rer par la titrisation augmentation de titres en volumes L Am lioration Entretien Recul pr vu et constat de 2 5 R gionalement le Sud Est tire son pi
30. s formations RT 2012 avec l ADEME 70 personnes formations REBAC formations communes architectes et entrepreneurs mais auxquelles se sont inscrits galement des ma tres d ouvrages et des BET Marie Fran oise MANIERE intervient pour signaler que cette action s inscrit parfaitement dans la politique de l UNSFA et l ouverture de FEEBAT la ma trise d uvre Jean Pierre BOSQUET architecte pr sident de l office de l Yonne Th mes la pr paration de chantier action conjoncturelle de lobbying conomique et organisation d un salon grand public L office se r unit tous les deux mois Jean Claude LACAN entrepreneur pr sident de l office de l H rault Une r union par mois d environ 15 participants avec participation de la DREAL et de ma tres d ouvrages publics comme priv s L office avait travaill sur la d tection des offres anormalement basses et sur le choix du mieux disant Il a ainsi t propos une motion de bonnes pratiques sign e par ODB 34 le CROA et la FFB 34 et concr tiser par d j 12 conventions sign es ce jour avec des partenaires offices HLM communes communaut s d agglo soci t s d conomie mixte Autre travail engag l volution du co t du logement construction foncier sur les cinq derni res ann es L office est r guli rement invit par la DREAL participer aux rencontres r gionales de la construction Jacques HINTERLANG architecte pr sident de l office de Seine et Mar
31. tielle de la subvention de la FFB 30 et de la vente des CD Rom 46 compensant l croulement des recettes li es la marque OBS Pour l ann e 2012 le budget est galement pr vu l quilibre mais avec une structure d penses recettes profond ment remani e Ceci est d au remplacement de C cile ROUX BELLEC dont le salaire tait pris en charge par l OGBTP par Sylvie PEIGNAUX dont la mise disposition ne peut tre imput e lOGBTP En contrepartie la subvention de la FFB sera donc diminu e proportion Les autres postes de charges et de produits sont reconduits l exception des charges li es aux d placements en province en augmentation de plus de 70 et en recettes celles de la marque OBS 286 correspondant des reliquats de facturations Le budget pr visionnel pour 2013 est calqu sur celui de 2012 et sera r vis ventuellement d but 2013 en fonction de la r alit comptable Paul Fran ois LUCIANI remercie Nicolas GIRAUD de la FFB qui tient les comptes de l OGBTP x OX x Question de Jos GROLEAU Fond de roulement de 50 000 Aucune question ou remarque n ayant t formul e la r solution suivante est propos e au vote L Assembl e g n rale ordinaire r unie le 10 octobre 2012 approuve les comptes sociaux de l exercice 2011 clos le 31 d cembre 2011 donne quitus au Conseil d administration pour sa gestion de l exercice 2011 accepte en l tat le budget 2013 pr sent
32. udget Propositions Les missions des BET sont de plus en plus lourdes et co tent de plus en plus cher Les entreprises doivent les valoriser dans leurs prix Paul Fran ois LUCIANI Les BET doivent s inscrire dans nos sch mas d entrepreneurs Pour Karine MILLET il faut am liorer le partenariat plus grande implication du BET formation indispensable des architectes pour tre un partenaire comp tent du BET Pour Pierre MIT les ma tres d ouvrage doivent accepter de payer de vraies tudes de faisabilit et il est n cessaire de d velopper les outils appropri s Pour Gilles CHARBONNEL il faut ne pas oublier qu on est partenaire c est nous ing nierie d tre votre coute Les entreprises doivent tre rigoureuses dans le choix de leurs prestataires Pour Marie Fran oise MANIERE UNSFA il faut revaloriser les missions d velopper un meilleur partenariat et convaincre les lus L OGBTP est le lieu id al pour changer sur le sujet Jacques CHANUT FFB ajoute qu il ne faut pas oublier que c est l entreprise qui met en uvre et qu il faut s assurer qu elle est capable de mettre en uvre ce qui a t con u par la ma trise d uvre Interventions de la salle Dumping des honoraires Les ma tres d ouvrage sont pr ts payer le juste prix mais ils veulent savoir ce qu ils ach tent Il faut savoir quantifier les prestations de la ma trise d uvre et d composer la mission de base Formation obl
33. ures moins dramatiques que craint mais qui ne suffiront pas am liorer pour 2013 les r sultats mauvais attendus pour 2012 2 En revanche il n y a pas de pr vision de crash majeur Questions La moiti de l Europe qui se porte bien et celle qui est la plus rigoureuse en mati re d conomie d nergie Qu en pensez vous Oui on le constate il y a un mod le conomique mais moduler par le signal prix la consommation nerg tique qui n existe pas chez nous Les retours sur investissement ne sont pas probants chez nous Le dynamisme du secteur est aussi d en partie l incidence des ex PECO Pays d Europe Centrale et Orientale Int r t du propri taire foncier vendre Actuellement fiscalit d gressive favorisant la r tention Demain suppression de la d gressivit l ann e prochaine la taxation se fera sur la plus value taux 19 CRG CRDS en 2013 En 2015 la plus value sera impos e sur le taux de l imposition sur le revenu ce qui devrait encourager les ventes l ann e prochaine Quel est le co t estim de l empilement r cent des normes thermique accessibilit des PMR Il est tr s difficile d avoir une approche pr cise sur le sujet N anmoins il est commun ment admis que la seule accumulation des nouvelles normes a entra n une augmentation des co ts de 10 12 sur les 10 derni res ann es en tenant compte des effets d apprentissage mais sa
34. vre devrait galement en faciliter le montage 3 Table ronde l Architecte l Ing nierie l Entrepreneur Les sujets qui peuvent f cher et les grains de sables sont un peu le fonds de commerce de lOGBTP Ce nest pas tant par go t de la pol mique mais parce que c est son r le d examiner et de traiter les points de dysfonctionnement suppos s ou r els afin d am liorer notre production et donc le r sultat propos notre client commun le Ma tre d ouvrage La collaboration crois e ou non entre l Architecte et l Ing nierie d une part l Ing nierie et l Entreprise d autre part est un th me r guli rement voqu au sein des ODB Il y a donc semble t il du grain moudre Aussi est il apparu opportun de s y arr ter Les nouvelles contraintes et r glements singuli rement la RT 2012 contraignent s il en tait encore besoin les divers intervenants mieux travailler ensemble Le pr sident Yves GENTHON remercie l UNTEC Pierre MIT et la CICF Construction Gilles CHARBONNEL d avoir engag cette ann e cette r flexion avec l OGBTP ses architectes et ses entrepreneurs et accept le d bat Il remercie galement Marie Fran oise MANIERE pr sidente de l UNSFA Jacques CHANUT Vice pr sident de la FFB Karine MILLET architecte OGBTP et Paul Fran ois LUCIANI entrepreneur OGBTP de participer cette table ronde que va conduire J r me DEYDIER Des diverses et riches interv
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