Ma commune est-elle conviviale pour les personnes âgées
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1. valuation est elle repr sentative e quels moyens mat riels ont accompagn la mod ration et l valuation e mode d emploi en dix tapes e questions le plus fr quemment abord es FAQ Dans quelle mesure l auto valuation est elle repr sentative Les tests ont montr en vue de la mise en application politique combien il tait important de donner des in dications sur la repr sentativit de l auto valuation Sans se concerter les personnes interrog es locca sion des tests taient largement convaincues que les 25 crit res d finis par la SSG repr sentaient vraiment la r alit Le catalogue mis l preuve par l OMS et retravaill syst matiquement par la SSG refl te bel et bien les bonnes dispositions de la commune l en droit de la population g e notamment apr s l intro duction d une nouvelle mani re de poser les questions et gr ce la possibilit d adapter l valuation ind pen damment de la grandeur de la commune Les opinions des personnes tests divergeaient quant la repr sentativit des personnes interrog es Voil qui ne surprend gu re La repr sentativit des r sul tats d pend tr s largement du nombre et du type des personnes qui ont donn leur avis D o cette compa raison plus l chantillon est repr sentatif plus l enqu te prendra de l importance et co tera cher Cependant la m thode pr sent e ici s appliquera moindre frais une plus peti2. d valuation FAQ Veillez respecter les diff rents groupes de popu lation interpeller e personnes g es conseil de seniors chantillon de 60 e prestataires de services de la poste aux services domicile e responsables politiques e autorit s administration Attirez l attention de ces personnes sur les points suivants e le questionnaire est con u en vue d une auto valuation comme l on se regarde face son miroir on observe sa propre commune C est pourquoi une auto valuation n est jamais neutre e face son image on peut se montrer soit tr s critique soit fort bien dispos Voil qui vaut aussi pour appr cier la convivialit de sa com mune La tendance en donner une image avantageuse est selon notre exp rience beau coup plus r pandue que le contraire Les crit res se r f rent un quartier une commune une ville Observez la premi re page du ques tionnaire sur quel territoire s tend l valuation Quel ge avez vous Peu importe efforcez vous de r pondre aux questions dans la peau d une per sonne g e Appr ciez la convivialit de votre commune en fonction des 37 crit res en utilisant les valeurs suivantes 2 pas conviviale du tout 1 plut t peu conviviale 0 neutre ne sait pas 1 plut t conviviale 2 tr s conviviale Utilisez la ligne laiss e libre la fin de chaque cri t re Autres solutions d
3. t pour les g n rations id e finalement abandonn e au cours des discussions Elle aurait consist traiter sur le m me pied les pr occupations des enfants des jeunes des parents des proches des actifs et d autres encore comparativement celles de la population g e Or le vent de la politique souffle f vorablement dans les voiles de ceux qui naviguent sous le drapeau de l amiti pour la vieillesse La vieillesse est consid rer comme une notion rela tive sans r f rence un groupe d ge d termin Realisation Il est possible de pratiquer l auto valuation en groupe sinon chague personne remplit le guestionnaire de son c t Les d marches en groupe pr sentent l avantage pour les participants d attirer l attention des uns et des autres sur un point qui leur aurait chapp Ces groupes peuvent jouer un r le important dans la r alisation des projets d am lioration Une personne habitu e l exercice devrait assumer la mod ration du groupe En toutes circonstances il est recommand de pr parer soigneusement l enqu te dans la commune La per sonne charg e de la mod ration aura int r t tudier l avance les questions le plus souvent soulev es FAQ Elle peut aussi remettre aux personnes inter roger la FAQ avec le questionnaire Notre exp rience nous enseigne qu il est n cessaire de respecter les points suivants e dans quelle mesure l auto
4. tes La politigue de vieillesse est un sujet transversal com plexe R pondre cette complexit repr sente un v ri table d fi quand il s agit de prendre des mesures concr tes En 2007 l Organisation mondiale de la sant OMS dans un projet r alis avec 33 villes du monde entier a cherch un d nominateur commun et dress une liste de contr le checklist en vue de simplifier l laboration d une politique de vieillesse Se fondant Sur Sa conception du vieillissement actif l OMS y d crit tr s concr tement quelque 140 crit res r partis en huit chapitres Elle pr cise que cette liste ne sert pas d finir des priorit s Depuis 2010 l OMS a encore d velopp cette approche en mettant de nouveaux accents sur le parrainage et la continuit des am liorations La SSG b n ficie d une riche exp rience et de solides connaissances en politique de vieillesse Fond en 1990 le Groupe de travail Politique de vieillesse en r seau SSG a labor en 1993 avec l Universit de Fribourg le guide Entwicklung Altersleitbild D velop pement des objectifs vieillesse non traduit Quelques communes l ont appliqu avec succ s d autres n ont pas r ussi Le groupe a alors entrepris d analyser syst matiquement les facteurs de succ s ce qui a conduit en 2004 l laboration du manuel La mise en uvre des politiques de la vieillesse puis l ann e suivante la constitution du R seau des
5. vous d en tirer les mesures prendre sur tout dans une perspective favorable toutes les g n rations Vous trouvez de nombreuses pro positions dans l laboration le manuel La mise en uvre des politiques de la vieillesse Pour des changes pr cieux et des discussions enrichis santes engagez vous dans le R seau des coor dinateurs pour personnes g es de la SSG 1 VAIVAIVA Q oem OP VV VV W s QC le le A mind Soci t Suisse de G rontologie RA A y 7 T p L WWWwW proseniof Dern c ProSeniorBern www alterspolitik ch Projet de recherche Potentiels de d veloppement dans les politiques communales de vieillesses en Suisse T r j AA AJ mite rh nane ionre WW W UNITr CI VOCOSCICIICE Universit de Fribourg Socio Spatial Complexity Lab 1 L f VANANAI Ira ARINA OP VV JV A 141 I CANA 1 HI i n Spazi pubblici a misura di anziani Tessin NFP 54 j M PA PL PA a www who int agein OMS vieillissement kas j 9 VIT 7 Mmimninrmiotrr ALIAN pp WW V A H Le 1 5 1 ei Al en CI A k r Centre suisse pour la construction adapt e aux handicap s 11 12 L SSSR Se a SAN G OIT KS LNA gt Se Foire aux questions Le nombre de sous crit res diff re grandement selon les diff rents crit res Logement n a qu un crit re alors que Soutien de la commune en compte six Comment cett
6. Crit res et questionnaire d auto valuation l usage des responsables politiques autorit s administrations prestataires de services et de la population Edition 2012 27 4 utom M ta M Aa 7 b San AAS Ka KT Sn S SSSR TRES RES EL A NN NTS N Did LTD A M AR 01 TE ia x g i CE a K J Le Ses A QE SA 4 AN OL SN VV 4 EN a L accueil commence chez vous Comment vivez vous la convivialit de votre commune Vous pouvez le savoir aussi simplement que rapidement Au moyen d un catalogue de questions tendues et d un instrument subtil d valuation Syst matique adapt la Suisse et modulable pour votre commune il vous permet d valuer la situation d aujourd hui Vous demandez diff rentes personnes de remplir le questionnaire ci joint s par ment Par exemple des seniors des proches des employ s communaux des prestataires de service des responsables politiques Plus vous interpellez des groupes de population diff rents plus les r sultats seront diff renci s Pratique le tableau d valuation vous permet d appr6 cier la situation de votre commune telle que la voient les personnes interrog es Linstrument offre une base de discussion pour les d cideurs et les milieux int ress s Les r sultats proposent directement des me sures propres d finir votre politique de vieillesse venir rem dier aux lacunes et appliquer des mesures concr
7. ans notre commune et la question 9 9 pour faire part de solutions locales cr atives La question 9 8 laisse de la place pour indiquer les lacunes 10 Instructions Calculez la moyenne des r ponses pour chacun des 25 crit res Reportez ces valeurs dans le ta bleau Excel la colonne auto valuation Contr lez la pond ration Les crit res 4 et 7 ont une pond ration plus le v e car ce sont des crit res cl s selon le groupe d expert de la SSG En effet ils ont un fort impact sur les autres crit res ou subissent fortement leur influence 1 Espaces publics et b timents 10 2 Transports 10 3 Habitat 10 4 Participation la vie sociale 15 5 Int gration sociale et respect 10 6 Activit lucrative b n volat et fonctions honorifiques 10 7 Communication et information 15 8 Services de sant 10 9 Soutien de la commune 10 Total 100 Vous pouvez adapter la pond ration vos propres besoins qu il s agisse soit d une ville de 100000 habitants soit d un quartier ou d un village qui en compterait 1000 Pour certains crit res ou sous crit res les opi nions se rejoindront en grande partie Si un crit re suscite un jugement unanimement n gatif il est n cessaire d intervenir En cas d appr ciations tr s diff renci es il vaut la peine d analyser et de dis cuter en groupe ces divergences d appr ciation qui donneront ensuite de pr cieuses indications en vue des r alisations Efforcez
8. as le cas la case deviendra rouge et l criture blanche jusqu au r tablissement du total 100 La valeur tir e de l auto valuation par ex 1 est multipli e par l indice de pond ration correspondant par ex 5 00 Le r sultat appara t dans l avant derni re colonne par ex 5 Dans l exemple du chap 4 les valeurs des trois sous crit res additionn es donnent 0 pour le chapitre chiffre qui appara t dans la derni re colonne Un code lumineux permet de conserver une vue g n rale rouge en dessous de 5 orange autour de 0 vert au dessus de 5 La synth se des r sultats des neuf chapitres donne lieu un profil comme le montre le graphique ci dessous 30 20 10 0 F2 5 A 2 5 10 lt 9 Esi g c sia RS m 9 Eai O O 2 E aje Eja jce 3 TD n pre o Z n o E ol E ro O 20 O s e pis e l2 E O O 3 gt D m 2 6 9 gt a 2 o 2 CR ES D Ww 40 lt O0 o D Profil de la convivialit communale D Les neuf chapitres du questionnaire sont intimement li s entre eux comme le montre ce d d pliable Dans les travaux de groupe il aide la mod ration lancer la discussion en vue d identifier les 37 sous criteres Les surfaces du d r versibles de plusieurs mani res illustrent au moyen de photos typiques les principaux crit res CD ROM Avec questionnaire tabelle
9. coordinateurs pour per sonnes g es qui ne cesse de se d velopper Les pro fessionnels changent leurs r alisations et profitent des exp riences venues d ailleurs a g 7 nai aa es de A l initiative d un membre romand qui connaissait le projet de POMS Villes amies des a n e s les membres du R seau se sont mis l ouvrage en 2009 lls ont examin dans quelle mesure la liste de contr le de l OMS pouvait s adapter au contexte helv tique et quelles in citations paraissaient les plus prometteuses pour les communes telles par exemple e un label e un Certificat e une liste de contr le l attribution d un prix Les premi res tendances n ont pas tard se dessiner et le congr s de la SSG s en est pr occup l automne 2009 Les protagonistes se sont mis d accord sur ce qu impliquait la participation dans la d marche de l OMS et qui tait devenue la norme de la SSG Cette derni re mit sur pied un partenariat strat gique avec Pro Senior Berne et demanda ce Forum bernois de la vieillesse de collaborer au groupe pilote Celui ci donna mandat un groupe d experts d laborer les crit res de la SSG tels que pr sent s ici y compris le mode d emploi et l instrument d valuation Pourquoi une d marche propre La liste de contr le de l OMS nest pas utilis e seule ment dans les pays industrialis s Des pr occupations y jouent un r le important qui pourtant vont de soi dans les communes d
10. e Suisse approvisionnement en eau existence de cimeti res Ou alors apparaissent d autres sujets que la loi r gle d j dans notre pays D autres dimensions importantes par leur pr sence de longue date dans l exp rience de la SSG manquent totalement dans le travail de l OMS On les retrouve dans le chapitre nouvellement introduit Soutien de la commune Les communes y trouvent un champ d ac tion dans lequel elles peuvent intervenir directement De l id e sa concr tisation les obstacles sont nom breux Afin d en faciliter la mise en uvre POMS a formul ses crit res de mani re tr s concr te sous la forme d exigences Le groupe d experts de la SSG poursuit les m mes objectifs que l OMS mais il a choisi une autre approche au lieu de s assurer que tout a t fait comme par exemple les bandes jaunes des pas sages prot g s sont elles antiglisse il s int resse davantage au point de vue de la personne g e com ment puis je me rendre de A B en toute s curit A Herisau on ne r pondra pas de la m me mani re cette question qu Gen ve Le questionnaire en donne des exemples dans la rubrique Ce qui peut signifier Une place r serv e aux r ponses ouvertes sugg re que d autres solutions existent selon les lieux OMS Les rues routes disposent elles de passages prot g s ou de passages sup rieurs ad quats antiglisse judicieusement r partis qui permettent aux pi tons de traverses e
11. e diff rence s expligue t elle Le nombre de sous crit res ne signifie pas que le nombre quivaut au poids du crit re Le crit re Loge ment a une pond ration de 10 et Soutien de la commune galement Comment l analyse scientifique du catalogue de crit res est elle assur e Le catalogue de crit res ne pr tend pas la scienti ficit La base du catalogue est le travail de l OMS et les crit res d velopp s pour les Villes amies des a n e s Cette approche pragmatique s appuie sur le concept du vieillissement actif de l OMS Les retours re us lors du test des crit res montrent que le questionnaire d velopp par la SSG est r aliste et aide d gager une image de la commune et de sa convivialit pour les personnes g es Est ce que les crit res de la SSG sont adapt s aux communes de toutes tailles Deux sp cificit s en t moignent 1 Le questionnaire vise les objectifs et non les moyens 2 Ladaptabilite de l chelle des valeurs Une commune de montagne se pose les m mes ques tions qu une ville Exemple la question 1 4 Est ce que l environnement est organis de fa on ce qu il men courage dans mes activit s sortir dans les lieux pu blics etc et que je ne sois pas g n e dans ma mobilit en tant que personne g e Pour la commune de montagne cela peut signifier que la neige est d blay e de fa on ad quate Pour la ville par exemple qu il y ait suffisamment de pa
12. l 5 00 m Int gration sociale et respect Images de la vieillesse e o Activit lucrative b n volat et fonctions honorifiques Activit lucrative des personnes g es 5 00 B n volat in formel 5 00 eb Sa N m S S Communication et information Informations importantes pour les personnes g es 7 50 Accessibilit des Informations 7 50 N ksa O Services de sant Prestations m nag res sociales et de soins 2 50 Home et tablissements m dico sociaux 2 50 Coordination des services de sant 2 50 En cas d urgence 2 50 el labs leld E EB 3 ld EUX Soutien de la commune Politique de vieillesse 1 67 Sensibilisation et promotion 1 67 Proc dures administratives 1 67 Formation des employ s 1 67 Obstacles financiers 1 67 Autour de la mort 1 67 10 Total 100 Total 100 Tabelle d valuation avec pond ration adaptable des crit res Exemple on a interrog dix personnes En moyenne au chapitre 4 int gration dans la vie sociale elles ont donn les notes 1 0 et 1 respectivement aux trois crit res ces trois valeurs sont report es dans la colonne auto valuation On peut y indiquer des valeurs avec une virgule La pond ration par la SSG du chap 4 porte sur 325 Si n cessaire la commune peut introduire sa propre pond ration en fonction de ses besoins II s agira alors d ajuster les autres indices pour aboutir au total de 100 Si tel n est p
13. me du travail On per oit plus facilement la globalit de tous ces crit res On n en dissimulera pas pour autant l origine puisque l on a repris les huit chapitres de la liste de l OMS Mais pour les raisons voqu es ci dessus on les a compl t s d un neuvi me chapitre Elle repose sur la capacit de la commune de s Evaluer elle m me au contraire d un jugement venu de l ext rieur Les initiatives locales et la participation de la population g e b n ficient d une meilleure appr cia tion qu un jugement tabli sur une base unitaire On a renonc d lib r ment un possible classement au profit de la participation La comparaison reste pos sible avec soi m me Le graphique ci dessous situe les crit res de la SSG par rapport d autres instruments label de l UNICEF Commune amie des enfants checklist de l OMS 2007 Auto valuation de l UNICEF Commune amie des en fants Age Award Prix de la vieillesse Appr ciation continue des processus d am lioration Echelles EFQM labor e par la Fondation europ enne pour la gestion de la qualit Villes amies des a n e s OMS 2010 Auto valuation Evaluation externe Echelles 2 EFQM O g Age Award OMS 2010 Crit res de la SSG n ki Unicef Label E Unicef A OMS Selfassess E 2007 ment Crit res de la SSG en comparaison avec d autres instruments Lauto Evaluation se reconna t aussi dans le langage utilis Toutes le
14. n toute s curit Satisfaisant insatisfaisant SSG Puis je en tant que personne g e me d placer en toute s curit dans la circulation Ce qui peut signifier les trottoirs sont en bon tat le r glage des feux de circulation laisse suffisamment de temps pour traverser la rue pi tons et v los circulent s par ment il y a suffisamment de pistes cyclables dans le village le quartier aux alentours de mon logement autres solutions dans notre commune Crit res de la SSG compar s la liste de contr le de l OMS En cours de route d autres bons arguments sont venus justifier notre d marche propre La complexit des sujets transversaux implique qu il est souvent difficile d en isoler certains l ments parce qu ils restent li s de diverses mani res des pr occupations voisines On le remarque dans la liste de contr le de l OMS par le fait que certaines questions reviennent de mani re r currente en diff rents endroits Ces doublons sont voulus lls permettent de consid rer chacun des huit chapitres de la liste pour soi m me tout en restant reli aux autres sujets Ces doublons augmentent le volume de la liste et en r duisent la vue g n rale Au moment de l adaptation on a supprim tous les doublons ce qui a permis de r duire de 144 37 le nombre des crit res que l on a finalement group s en 25 crit res d valuation Cette simplification a r duit substantiellement le volu
15. ral des assurances sociales OFAS au sens de l art 101bis L AVS 2012 copyright Soci t Suisse de G rontologie SGG SSG Soci t Suisse de G rontologie T l phone 41 0 31 311 89 06 info sgg ssg ch WWW sgg ssg ch
16. rcs attractifs et d autres espaces publics adapt s 13 2 Pourquoi une commune devrait elle se montrer convi viale pour les personnes g es Cela ne m ne t il pas un afflux important de personnes g es qui n ces siteront bient t des soins Nous vieillissons tous Rester l endroit habituel est important pour la plupart des personnes Financi re ment il s agit galement de repenser l quation vieux pauvre En comparaison avec de nombreuses jeunes familles beaucoup d a n e s s en sortent nettement mieux Je ne comprends pas cet exemple Les exemples illustrent uniquement les questions for mul es de fa on g n rale Il n est pas n cessaire de comprendre tous les exemples Ils sont introduits par la phrase ce qui peut signifier La derni re ligne d exemples est compl ter de la mani re suivante Autres solutions dans notre commune Cette m thode montre bien qu il s agit d exemples Impressum Groupe pilote organisations partenaires sponsors Ca re G U d e SEN 5 Schweizerischer Gemeindeverband Socio Spatial Complexity Lab il f prs Schweizerischer a PROA eniogbern A d A A F a gt UNIVERSITAS Union des villes suisses a BERNER FORUM F R ALTERSFRAGEN PH Reformierte Kirchen FRIBURGENSIS Unione delle citt svizzere Bem Jura Solothurn Eglises r form es Berne Jura Soleure d age Simone Gatti SE pas Organisationsent
17. s questions partent du sujet et n ces sitent une r ponse refl tant le point de vue de la per sonne g e M me les collaborateurs plus jeunes des services administratifs les professionnels de la vieil lesse les responsables politiques doivent se poser les m mes questions Comment puis je consid rer cette question du point de vue de la personne g e Terminologie En anglais l OMS d finit la Ville amie des ain6 e s comme suit An Age triendly City is an inclusive and accessible urban environment that promotes active ageing La notion d inclusion et d accessibilit int resse aussi les milieux d handicap s Dans ses discussions le groupe d experts a consid r qu il s agissait moins de l ge selon le calendrier mais bien davantage de cer taines situations de vie en ce sens qu elles compro mettent l autonomie l autonomie l autod termination arrivent au premier plan de la discussion Rechercher une autonomie compl te est illusoire il importe tout autant de pouvoir accepter de l aide distinction entre autod termination et autonomie remettre en cause aussi la repr sen tation id ale de la solidarit et de l entraide Une commune ne peut se montrer amie des a n e s que si elle respecte les autres g n rations Ce qui est utile aux d ambulateurs rend aussi service aux pous settes D o l id e de substituer le principe d origine d ouverture la vieillesse un int r
18. te commune et donnera une image tout aussi r aliste pour autant que l on prenne soin de respecter la constitution des groupes d enqu te La m thode n exclut pas toute contradiction ou divergence d opinions Ces diff rences d appr ciation montrent qu il y a lieu d agir et fournissent de pr cieuses indica tions quant aux mesures mettre en place Representativite Ouestionnaire Il repose sur 37 sous crit res avec chacun une question introductive Ces r f rences autorisent une auto va luation syst matique de la convivialit de la commune dans la perspective de la personne g e Ces r f rences sont ramen es 25 crit res prineipgus qui servent l valuation Tabelle d valuation La tabelle num ris e d valuation permet de saisir rapidement l ensemble de l auto valuation Pond ration Propre R sultats Auto SSG pond ration de valuation R sultat pond r 2 1 0 1 2 j Espaces publics et b timents S curit dans la circulation 2 50 S curit dans l espace public 2 50 Confort et s curit des pl tonnes et pi tons 2 50 Application des lois et r glements en vigueur 2 50 _ k Transports Transports publics 5 00 Transports priv s 5 00 _ Habitat Offre et types de logements 10 00 vk Participation la vie sociale Conditions cadres des activit s et des manifestations 5 00 Type de prestation 5 00 Pr vention de l isolement socia
19. wicklung lA PEA Kanton Zug he AP Projektleitung Coaching Wohlen HE Stadt Bern Direktion f r Bildung Soziales und Sport Edition et adresse de commande Soci t Suisse de G rontologie www sgg ssg ch info sgg ssg ch T 031 311 89 06 Direction du projet Richard Z sli conseiller m dico social Groupe d experts Regula Blaser collaboratrice scientifique Berner Fachhochschule vieillesse politique de vieillesse relation entre g n rations action sociale Esther Enderli responsable vieillesse et g n rations Eglise r form e Berne Jura Soleure Simone Gatti g rontologue Marianne Gerber directrice d une entreprise sociale la retraite B nz M ller Municipal chef des affaires sociales Wohlen bei Bern Robert Zimmermann sociologue th ologien aum nier en EMS pr sident du comit de Pro Senior Bern Christina Zweifel doctorante Universit de Fribourg Unit de g ographie laboratoire de la complexit socio spatiale R daction Richard Z sli Cham Thomas Schwander Z rich Relecture Priska Vogt Berne Traduction Jacques Dentan journaliste membre du comit de la SSG Christina Zweifel Universit de Fribourg Graphisme Thomas Schwander Zurich Fotos Ursula Markus Zurich Mise en page doppelrahm GmbH Zurich Impression Rub Graf Lehmann AG Berne L laboration des crit res et du questionnaire d auto Evaluation r pond au contrat de mandat conclu entre la SSG et l Office f d
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