J - Office de l`eau Réunion
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1. Arriv e 1 St phanie MERLIN jeune hydrobiologiste dont l exp rience en outre mer est vari e R union Guyane Guadeloupe vient apporter ses comp tences la cellule hydrobio qualit dont Je d veloppement est annonc Arriv e 2 Laurent CADET est le nouveau technicien r seau sur les secteurs Nord et Est I aura de quoi faire entre un r seau qui ne cesse de s tendre et une technologie qui ne cesse de se perfectionner Bon courage Arriv e 3 Fabien ALBOUY en DESS des syst mes d information g ographique St Etienne effectue un stage terminal de longue dur e l ORE Il contribuera au d veloppement de l annuaire hydrologique sur CD ROM et mettra en uvre des applicatifs transervaux BD ortho num rique BD topo MNT et verticaux BD ORE SIGE Nobug 2000 Aucun probl me cons quent tant au niveau mat riel que plus craindre des logiciels traitant du transfert et de l exploitation des donn es provenant du r seau t l commut et c est tant mieux Web NTIC C est gr ce au RTC GSM data et INMARSAT que d s le lendemain des cyclones et temp tes l information hydrom trique tait d j disponible sur notre site web Bravo la technologie ainsi qu ceux qui alimentent et ma trisent ces outils d sormais incontournables Communication Expos aux lus conf rence de presse d couvertes propos es aux scolaires tout un panel d activit2. A Page FLASH RESSOURCES _ Rivi re Saint Denis et d bit r serv Crues et qualit de IS l effet des crues de janvier f vrier 2000 amp 6 De l impact des pluies r centesisur nos ressources eni eau superficielle et souterraine Sot e la mer Les techniques de L sal ent de l eaude mer sonten plein essor Le coin de l expert EnORE alors La rubrique INTERNET lintranet e En bref en vrac 3 dk A Les missions de sewice public de CORE sont financ es en Can 2000 par L Etat le Hi la R gion TA R nion Fes rs www stor fr ore 2 FLASHRESSOURCES Au Ter mars 2000 tiage s v re de d cembre janvien s ach ve sous l effet de crues cons quentes CONNIE suivies de pluies soutenues ELINE dont l impact est globalement positif sur nos ressources en eau de r f rence 2 Hormis quelques points d eau dont l coulement de base est dominante de r surgences profondes le Bras de la Plaine la Ravine St Gilles la Source Maison Rouge aux Makes pour lesquelles malgr une l g re recharge la situation reste statistiquement d ficitaire les d bits observ s en ce d but mars sont conformes le Sud voire exc dentaires le Nord et l Est par rapport aux normales saisonni res Quid alors des coupures d eau relev es de ci del sur le littoral et la plan ze Ouest notamment La r ponse tient traditi
3. remonter les niveaux Cette recharge a r action plus lente t faible mNGR annon T os T T ape i 5 Evolution pi ram trique de la nappe Evolution pi tom trique de la nappe phr atique de phr atique du puits Robert 4 la for t domaniale d Etang Sal 7 i k as t ss b L 3 s LON 45 x 2s AA J gm jy 3s up ke j i a T AAAS ANANG AAN AAR AD ASO AA AA ADA A AIS ADG AUOT WOR 1AA A00 1 Jan Fev Mar Avr Mai Jun Jui Aou Sep Oe Nov De L tiage du cycie 1999 s est arr t la mi d cembre avec une remont e d environ 50 cm Avec le passage du cyclone CONNIE on observe une recharge de 1 m puis une autre quivalente avec ELINE A ce jour la situation est conforme aux normales saisonni res alors que la nappe de base reste d ficitaire d environ 20 Par rapport aux normales saisonni res on note un d ficit d environ 20 sur les nappes r action rapide telle que la nappe phr atique de la for t domaniale ou la nappe de la plan ze du Gol et il faudra attendre la fin du premier semestre pour tablir un constat de la recharge des nappes de St Louis en relation avec les cours d eau eantemi stor fr MER LS Gr ce aux progr s r alis s dans la conception des membranes semi poreuses et la mise au point de tec
4. des eaux des rivi res r unionnaises Etat lors de la 1997 campagne d hydrobiciogie d octobre novembre 1996 Eu D terminations lonstiques et faunistiques des pr l vements 1997 hydrobiologiques r alis s au Bras du Parc Projet routier RN1 RNS Etude hydrobiologique ponctuelle de la Rivi re St 1997 Etienne 7 rw FHydrobiologie R sultats de la premi re campagne de pr l vements pree lId octobre novembre 1995 Fin de la p riode s che Synth se de la qualit des eaux des rivi res r unionnaises Etat lors de la 1906 campagne d hydrobiologie d octobre novembre 1995 Les rivi res de La R union Bilan des connaissances disponibles en 1905 physico chimie faune et flore Analyse bibliographique L nydrobiologie en action Choix des res stations du r seau qualit 1995 Hydrom trie de la Source du Bras Sec Le Br l St Denis 152 Etuces hydrog ologiques Suivi pi zom trique des aquif res de St Denis Ann e 1998 Et PORE alors D nomination a production d eau potable d origine souterraine de la Reunion Etat 1997 96 95 94 93 tudes hydrobiologiques Suivi de la qualit physico chimique des eaux des prises de Mafate du transfert Est Ouest w 1999 1998 Synth se de la qualit des eaux douces r unionnaises octrobre novembre Protocoles d chantilonnages Rapports de stage Bilan bibliographique de 2 ordres de larves d insectes aquatiques les Eph m
5. port es chaud sur notre site Internet et toujours accessibles Les hauts de l Ouest la Source Dussac T velave Les pluies associ es ELINE confortent sensiblement la phase de tarissement peine arr t e par CONNIE Le 15 02 00 16h20 Hydrogramme de la source Dussac T velave d bits cr t s 50 Us s Le 29001700 Zaho SH Omai 294 3 Te 00100 10h25 Qmaxi 48 Us fH Denis w E E T ji nmw MM oo sum inde Le double effet d engorgement du substratum superficiel peu tendu et d coulement retard par le couvert v g tal dense en est la cause Le d bit mesur la mi mars 5 l s est voisin de la normale saisonni re Le Sud Est la Rivi re Langevin Suite CONNIE o des pr cipitations lev es gt 500 mm en 24 heures ont provoqu sur la plan ze associ e des crues en24 heures source METEO FRANCE ELINE vient stabilis ce palier Le d bit mesur la mi mars 2 5 m s est m me l g rement gt la normale saisonni re L Est le Bras Patrick Les crues observ es pendant les 2 pisodes pluvieux sont comparables en intensit avec cependant des diff rences dans leur typologie soudaines double pics cumulant 29 m s avec un tarissement rapide pour CONNIE 0 7 m s au pseudo palier beaucoup plus soutenues sur 5 jours avec
6. Les plans d e ivis par l ORE ul le Gol Grand Etang aquatique ouvert rivi re ou ferm plan d eau poss dent tous une entr e d eau plus ou moins p renne mais n ont s ES i pas d exutoire permanent et leur volution physico chimique d pend ji beaucoup des arriv es d eau douce Les pluies associ es aux MT v nements cycloniques permettent un renouvellement de l eau de Pour les rivi res les crues engendre un changement brutal ces tangs FAURE de lat composition physique et chimique de l eau Cette modifications peut durer plus ou moins longtemps en fonction Evolution des hauteurs d euu de 3 plans d euu des caract ristiques du bassin versant et de l intensit de la crue Afin de mieux appr hender cette volution dans le temps 1 Les cours d eau des pr l vements ont t r alis s des pas de temps ag a A rapproch s sur la rivi re des pluies Quinquina apr s les crues N Doise Pmi engendr es par le cyclone CONNIE du 29 30 janvier 2000 On constate sur le diagramme ci dessous que les teneurs en ammoniaque et en nitrites d croissent dans un premier temps puis les pluies du 12 f vrier font appara tre une l g re augmentation Ces teneurs restent toutefois dans les des concentrations tr s acceptables et que l on peut classer en 1B selon les grilles d valuation de la qualit de leau m tropolitaines zi nv 99 wr 99 mai 99 1 99 99 f
7. M De Sur cette zone le tarissement a t stopp la mi d cembre avec les premi res pluies significatives En ce qui conc me les v nements successifs de CONNIE et ELINE les enregistrements en continu sur le forage Trinit ont permis d observer une remont e pi zom trique d environ 2 m pour CONNIE et de 1 m pour ELINE Cette recharge conforme des pisodes d importance modeste n emp che pas la situation aujourd hui d tre l g rement d ficitaire 10 du fait de l tiage de 1999 important Pour le secteur rive droite de la Rivi re des Pluies le d ficit pi zom trique constat est un peu plus important li une infiltration moindre dans le sol Secteur Est Les nappes phr atiques du secteur de Cambuston repr sentent un bon t moin pour observer l impact rapide des pr cipitations sur la zone et permettent d estimer la recharge de la nappe de base Le d ficit y est normales saisonni res Secteur Sud Ouest estim environ 20 par rapport aux Le secteur Sud Ouest de St Leu St Pierre a accus avec le cycle 1999 un d ficit important qui fait que l ensemble du secteur pr sentait l tiage de fin d ann e les niveaux les plus bas connus Les quelques passages pluvieux observ s partir de la mi d cembre ont stopp le tarissement des nappes r actions rapides puis les passages successifs de CONNIE et ELINE ont contribu
8. dans le dessalement par distillation Le Cirsee m ne actuellement en association avec des soci t s isra liennes et espagnoles et dans le cadre du programme europ en Face ces am liorations trois scientifiques fran ais ont Joule des recherches pour remplacer ce pr traitement par une imagin un vaporateur condenseur plaques et film membrane d utrafitration plac e en amont Le co t d exploitation ruisselant De conception tr s simple il se pr sente sous la pourrait alors baisser d un tiers estime Patricia Renaud Selon elle forme de deux plaques m talliques de 2 m tres de hauteur et d autres avanc es technologiques devraient porter la part de de 1 m tre de largeur espac es de deux centim tres par un l osmose inverse dans le monde 50 en 2015 cadre en polypropyl ne Le fluide chauffant circule sur les Christiane Galus LE COIN DE L EXPERT C harit bien ordonn e en guise d expertises commence par soi m me Les lecteurs voudront bien excuser ce qui peut paraitre pour une crise de nombrilisme aigu est ce soluble dans un verre d eau mais l aube de l an 2000 pourquoi ne pas faire tat des f tudes patiemment r alis es depuis 8 ans par nos ing et techniciens et des contributions souvent significatives de stagiaires de qualit Enivoici lailister D nomination Annuaires Annuaire hydrologique CD ROM 1997 et 1998 Annuaire hydrolog
9. de multiple pics et un tarissement gt 1 m s au pseudo palier Hydrogramme du Bras Patrick amont confluent Bras Panon v itmans d bits cr t s m s s Y T as tez9mimoa tinia Le 160200 15h00 VE EEE Qmaxi 24 m3h as 3 as 2 1s 1 gt zx aaoo mw 20 cv Laon wamo Le Nord la Rivi re des Pluies L hydrogramme reconstitu partir du mod le HEC 1 bas sur les pluies observ es aux stations du GIE SALAZIE et de METEO FRANCE Foug res fait tat d une pointe de 215 m s conforme aux estimations corrig es 200 m s 20 Le pseudo palier de 1 6 m s Ja mi mars est sup rieur Ja importantes Bras Caron le tarissement de ce cours d eau normale H 4 CORRE hydrogrennno roconefhu saisonni re s est arr t en passant rapidement d un palier de 0 7 m s de la Rivi re des Pluies Domenjod 4 3 5 ms 250 4 Mod le HEC 1 Hydrogramme de la Rivi re Langevin amont prise EDF 200 D bit m3 d bits cr t s 12 m3Ax n p J con Le 29 01 00 an w Omari 148 ms 3 J bvphai Le LME 16h30 hi Omaxi 10 m3 4 LI y A ji ovni a s nmw zmo ooz venon Ha 16m Starting datetime intervaly 00 00 01 00 fbocquee stor fr SOUTERRAINE S il est encore trop t t pour qua
10. la K g ii qualit de l eau qui ne peut exister sur les deux autres tangs faute o xX de profondeur moo sowo ommo oomo ouowo ommo oomoo osoo ND smerlin stor fr DE L IMPACT DES PLUIES RECE L e moins que l on puisse dire des pr cipitations associ es CONNIE et ELINE est quelles taient esp r es avec impatience tant tait devenu critique l tat de nos ressources en eau en cette fin 99 janvier 2000 CONNIE donc en ce 29 janvier 2000 engendre des pluies sur toute l le cf carte Quand bien m me elles sont dans les cirques assez loign es des records connus elles mettent provisoirement un terme au tarissement de nos ressources en eau dans des proportions variables selon leur contexte hydrog ologique ELINE une quinzaine de jours apr s transforme l essai en apportant des pluies certes inf rieures de l ordre de moiti sur 24 heures avec cependant un double avantage elles se produisent sur un couvert v g tal et un sol humide elles s tendent sur deux quatre jours de fa on discontinues avec de faibles intensit s Ces caract ristiques profitent globalement nos ressources en eau superficielle quand bien m me localement elles ne suffisent pas compenser l extr me d ficit ant rieur des grands bassins dominante d alimentation profonde telles que le Bras de la Plaine ou la Ravine St Gilles En voici un bref aper u en compl ment des informations
11. les 20 rivi res et affluents principaux capt s pour la desserte en eau potable en irrigation ou pour l hydro lectricit la Rivi re St Denis au captage de Bellepierre exploit par VIVENDI a fait l objet le 29 02 de mesures diff rentielles dont les r sultats se sch matisent comme suit Limnigraphe O R E Q 920 i s 25 m aval barrage Q 330 I s d bit d riv vers station trait Q 635 l s Passage gu amont passerelle temple malabar Q 320 ls 100 m amont 200 m amont station de trai Q 560 ls Pertes Q 80 l s On retiendra de cette intervention r alis e en contexte de restitution constante contr l e depuis la veille par les techniciens de l ORE soit 330 l s 25 m l aval du captage a l absence d apports significatif a un bief aval dominante d infiltration 80 l s De nouvelles interventions auront lieu la fin de la saison cyclonique et pendant l tiage en association avec des analyses hydrobiologiques fbocquee stor fr Sch ma Directeur d Am nagement et de Gestion des Eaux de la R union nr Nos G 56 des jectoires Fa anim et d EL e CO Ww ERORE EAU CRUES ET QUALITE FFET DES CRUES L es crues comme celles que nous avons observ en 2 Les plans d eau _ janvier et f vrier demi nt diff rents types d effets sur r r T i gt les milieux aquatiques selon que l on a affaire un milieu
12. s de communication sur la probl matique de l observation de l eau mais galement de l actualit hydrologique ces derniers mois Statuts De la r forme dans l air suite la r alisation d une tude juridique par le cabinet sp cialis FIDAL en cette fin 99 De nouveaux statuts un contrat d objectifs un comit d orientation devraient permettre de mieux inscrire notre organisme en droit associatif et fiscal gages d un financement durable d nu d al as ore stor fr Comit dei r daction et mise en page F BOCQUEE E ANTEMI 3 5 MERLIN U GIRONCELLE Secr tariatiPAO Y MELADE 4 ISSN 12445398 v Ce bulletin tir en 350 exemplaires est enti rement r alis avec les moyens bureautiques de ORE Toute reproduction est libre sous r serve de mention del ORE Internet oblige et sa d mocratisation faisant foi L OREOLE sera d sormais diffus en priorit en ligne sur notre site web ou vous pouvez le t l charger loisir Seuls les partenaires institutionnels lus et m dias continueront recevoir gracieusement l dition papier En cons quence et sauf retrait gratuit l unit dans nos locaux ou abonnement annuel 80 F pour 4 num ros ce num ro est le DERNIER qui vous est remis sous cette forme Merci d en tenir compte ore stor fr Internet oblige et sa d mocratisation faisant foi L OREOLE sera d sormais diffus en priorit en ligne sur notre site
13. t jadis tr s lev est en baisse stade du prototype Elle a re u le soutien de l Anvar et du Centre constante Aristote l avait d j remarqu trois si cles avant international de l eau de Nancy Nancie une association qui a pour notre re Lorsque l eau de mer s vapore elle devient douce but de faire merger les nouvelles technologies concernant l eau et et sa saveur une fois condens e n est pas sal e Le moyen le l environnement monde plus classique et le plus ancien pour rendre l eau de mer buvable est la distillation C est ce proc d de base industrialis au d but du XX si cle qui quipe aujourd hui 70 des usines OSMOSE INVERSE Mais si les techniques distillation ont connu de grandes de dessalement dans le monde Le reste est assur par un am liorations depuis dix ans volution technologique la plus proc d plus sophistiqu l osmose inverse marqu a surtout touch le second grand proc d de dessalement ge l osmose inverse estime Patricia Renaud directeur du Centre Mais la distillation est gourmande en nergie pour vaporiser international de recherche sur l eau et l environnement Cirsee de la un kilogramme d eau il faut pression atmosph rique fournir 540 kilocalories Au fil des ann es les perfectionnements techniques ont n anmoins permis d en diminuer la consommation nerg tique et donc le prix du m tre cube d eau dessal e Plusieurs versions ont t d
14. velopp es et deux Lyonnaise des eaux au Pecq Yvelines Les gros progr s accompli dans la conception des membranes ont permis de rendre ce proc d comp titif avec la distillation Cette technique consiste placer de l eau sal e et de l eau douce d entre elles s imposent actuellement Le syst me multi flash s par es par une membrane semi poreuse dans un r cipient par d tentes successives est utilis dans les tr s grandes commun Normalement dans ce cas c est l eau pure qui migre vers unit s de dessalement souvent coupl es une centrale la saumure Mais si l on exerce une pression sur l eau sal e le thermique Une autre technologie la distillation effets processus s inverse tandis que la membrane arr te les sels Ce multiples consiste installer plusieurs vaporateurs proc d peu gourmand en nergie quipe surtout les usines de condensateurs en s rie ce qui permet de r utiliser plusieurs fois traitement des eaux saum tres moins sal es que l eau de mer Mais la chaleur latente de condensation Plus conome en nergie il n cessite un pr traitement pouss et co teux afin d liminer le elle est moins co teuse jusqu 20 que la pr c dente sable et les collo des en suspension dans l eau susceptibles de explique G rard Canton directeur commercial de la Soci t colmater la membrane internationale de dessalement d eau de mer Sidem une filiale de Vivendi sp cialis e
15. hniques de distillation moins gourmandes en nergie l eau potable tir e des oc ans devient plus abordable D autres avanc es im portantes sont attendues dans ce secteur Les techniques de dessalement de l eau de mer sont en plein essor source Le Monde mercredi 12 01 2000 1 4 MILLIARD d habitants de la plan te ne disposent pas faces extemes des plaques et l eau sal e sur les faces intemes tous aujourd hui d une eau propre et saine Si l on en croit le dernier deux par gravit Cela offre l avantage de supprimer les tuyauteries rapport des Nations unies sur le sujet leur nombre devrait tre et donc les pertes de chaleur sur les conduites ext rieures explique de 2 3 milliards en 2025 Les n gociations men es actuellement Viviane Renaudin du Laboratoire des sciences du g nie chimique entre Isra liens et Palestiniens sur la ma trise des ressources LSGC du CNRS Nancy Meurthe et Moselle qui a cr ce hydriques du plateau du Golan t moignent de l acuit du nouveau proc d avec Jean Marie Hornut du m me laboratoire et probl me Mais ces derni res risquent de ne pas suffire aux Pierre Le Goff professeur m rite l institut national polytechnique besoins de la r gion Apr s deux ann es cons cutives de de Lorraine s cheresse en 1998 et 1999 le gouvernement isra lien Cet vaporateur condenseur ex tra plat constitue un module envisage de cr er une unit de dessalement de l eau de mer l me
16. ique papier 1996 95 94 93 92 91 Etudes hydrologiques R habiitation de la station hydrom trique des Herbes Blanches Petit Bras de Pontho Rapport interm diaire d exploitation Les crues de f vrier 1998 La R union Transport solide La R union Bilan hydrologique du bassin versant du Bras Panon Hydrom trie de divers points d eau deshauts de St Denis Le d fici des ressources en eau en avril 1997 Note de conjoncture Hydrologie sur le secteur Ouest Bilan nydrom trique des ressources en eau hautes de la commune du 1999 1998 1998 1998 1997 1997 1997 Tampon La Rivi re Langevin Synth se des donn es existantes 1997 Hydrom trie de 5 points d eau Salazie 1996 SDAGE Nord Est Sud Ouest Eaux superficielles Synth se hydrologique 1995 Hydrom trie des Sources du Bras d Annette Bilan des Sources de Mafate et de la Rivi re des Galets du 17 au 18 10 95 1995 Cirque de Mafate Mission hydrologique des 21 au 23 06 94 1994 Plules et crues de CECILIA sur St Denis et sa p riph ne 1994 HOLLANDA 10 11 02 94 Br ve analyse des premi res observations hydrologiques Le cyclone iropicai COLINA et les v nements hydrologiques majeurs du 1er trimestre 1993 Hydrologie de projets d quipement de trois sites en montagne dans l Ile de La R union ydrom trie compl mentaire de divers points d eau de l Ilet Patience irque de Mafate Compte rendu de mission hydrologique 1993 uivi pr
17. ntaire qui il i u qui peut tre facilement assembl en parall le en grande d une capacit de production de 50 millions de m tres cubes par quantit Selon les calculs des trois chercheurs l association de 7 000 an de ces modules pourrait fournir 4 500 m tres cubes d eau douce par COMMENT OBTENIR DE L EAU DOUCE PARTIR DE L EAU SAL E n PAR LA CHALEUR upan nae han r EEN me _ PAR LA PRESSION PRODUCTION D EAU DOUCE DANS LE MONDE PARTIR DE L EAU DE MER en LE RESTE DU MONDE 21 4 ARABIE BAHREIN 2 6 SAOUDITE ITALIE 2 7 id o Emu somt L DISTILLATION MULTIPLES EFFETS L osmose INVERSE dans un proces plusieurs evapora teurs contenant da l aau sal a sont placas an s rie Seuke premier est chauff par de la vapeur issue d una chaudi re ce qui provo que l bulition de l eau ca mer at sa vaponsation en sau douce Cette vapeur sert ensuite chauffer ls second vaporateur L eau sus d osmose classique le flux d eau pure traverse la membrane en direction de l eau sal e Si on exerce une pression sur ia s0 Iution sal e le processus s inverse MIRATS ARABES 18 8 KOWET 10 9 TOTAL 14 millions de m jour douce de l ensemble est ensuite recueille par un condenseur Les oc ans constituent en effet une r serve in puisable jour Pour le moment l invention qui a t brevet e en est encore au d eau potable dont le co
18. ntifier l impact des pluies de ce Secteur Nord Ouest d but d ann e sur les nappes profondes les nappes phr atiques ou celles r actions rapides r v lent la tendance et l importance des variations pi zom triques Secteur Nord L infiltration des pluies sur la plan ze de St Denis est rapide et l impact est d autant plus grand que les infiltrations par les ravines ou au pied des pentes accentuent les variations pi zom triques m GR Dans la zone de la Plaine des Galets la nappe libre de la plan ze Ste Th r se r agit rapidement de fortes pr cipitations A partir de la mi janvier des pr cipitations soutenues mais localis es sur la zone Nord Ouest ont permis une premi re remont e environ 5 cm puis le passage de CONNIE a engendr une augmentation d environ 20 cm suivie d une nouvelle recharge d environ 5 cm li e ELINE L T T T ERa o o 05 Ris Gi Cette alimentation reste malgr tout modeste et ne e a oar i compense pas le fort d ficit du cycle 1999 nso TT Ce constat est galement valable sur le secteur de la plan ze e i de St Paul o le comportement des ressources souterraines est s0 semblable celui de la plan ze Ste Th r se I mnor LS a En OA MEN ER CRE 1 Evolution pi ram trique comparative de la 780 nappe de l tang St Paul au PIS Cambaie 650 ps PEN RE Tm Few ee Ave Ma Jun Ju Aou Sp Oa
19. onnellement dans la part faire entre des ressources qui malgr tout se sont am lior es et des besoins pr visibles qui s accroissent d ann e en ann e En ce qui concerne les eaux souterraines la situation reste globalement d ficitaire except es sur les nappes phr atiques du secteur de Cambuston Ce d ficit d ordre statistique est faible au Nord et l Est et plus important l Ouestet au Sudio la recharge de CONNIE et ELINE a t faible ore stor fr ofati 0 H j 40 00 Quest il 30 00 Nord 20 00 E 8 3 s 100 T F 3 g ooo Lamm n E A 2 AE Eo g r k f a wd 2 moe 8 g a Sg 2 3 3 MOTS 4 EA 400 EAUX SUPERFICIELLES s x 7 5000 5 H Z RIVIERE SAINT DENIS ET DEBIT RESERVE IL p riode des hautes eau est g n ralement propice l tude des relations entre les rivi res et leurs nappes d accompagnement pertes et apports maximaux inter biefs ou encore l examen de l impact hydrologique hydrobiologique d une modulation du d bit laiss en rivi re l aval des captages Ce d bit r serv qui r glementairement ne doit pas tre inf rieur au 1 10 du module du cours d eau fait actuellement l objet d une tude pilot e par le groupe technique du SDAGE sur son application et ses cons quences sur nos rivi res Parmi
20. r 2000 qualit de leau en Hors classe avec des concentrations m sup rieures 150 mg l ox Quant la qualit bact riologique de l eau elle est souvent TES associ e sla teneuren MES carles microorganismes se fixent tee sur les particules en suspension On nobserve passune exacte ad quation lorsicet pisode pluvieux mais l augmentationdelta teneur en microorganismes est bien visible sur deux pr l vements L eau reste toutefois de bonne qualit s microbiologique avec des teneurs inf rieures coliformes 100ml Profondeur m cru Rivi re des Plules Het Quinquina apr s du 29 et 30 janvier 2000 Mati res en suspension et bact riologie we f FF Cette recharge en eau permet ne am lioration de la qualit de w mai E l eau en profondeur Ainsi on observe apr s les crues de f vrier Col Thermatol i0 mi 2000 une bonne oxyg nation de l eau pour les trois tangs w diagramme ci dessus 3 300 F as En effet pour les trois tangs on observe une diminution normale 1 i y 5 de l oxyg ne dissous en fonction de la profondeur mais les 200 i y s teneurs restent sup rieures 80 d oxyg ne dissous sauf pour y CESR le fond de l Etang du Gol 68 La variation observ e 6 m pour 100 a le Grand Etang est la marque d une stratification verticale de
21. ropt res et les Trichopt res syst matique cologie biologie et 98 99 partition introduction aux levages de larves aquatiques d insectes r unionnais 1998 Essai de caract risation biotique et abiotique des rivi res r unionnaises 1998 Etat du milieu et des populations foristigues et faunistiques de la Rivi re 1997 des Roches Collationnement d informations pour la mise en place d une base de donn es pi zom triques et exploitations de la base de donn es r gionale 1994 points d eau dans le cadre de la gestion des eaux lie de La R union Elaboration et mise en place d un syst me d information g ographique 1994 Adaptation d un mod le pluie d bit au pas de temps Journalier dans Te pr contexte r unionnais Contribution l inventaire des eaux superficielles et souterraines de La n 93 R union 1993 1992 1897 fr L Intranet Les nouvelles technologies d aujourd hui permettent 2 ordinateurs distants de dizaine de milliers de km de communiquer entre eux C est l que se trouve tout le pouvoir de l Internet Avant d en arriver l on est bien sur pass par la construction de fondations solides et surtout de standards qui sont la base de toute inter communication Standards mat riels tels que certains types de r seaux physiquement repr sent par des c bles de type BNC coaxial ou RJ 45 et standards logiciels tels que les protocoles communs d change de donn es entre ordinateurs Ce
22. s protocoles parmi les plus couramment utilis s sont le TCP IP s same de l Internet et le NETBEUI A contrario de l Internet l intranet repr sente un r seau local o les machines sont reli es par des contraintes physiques L Intranet repr sente un parc ferm d ordinateurs ou le monde ext rieur est bien souvent s curis ardi 14 mars 2000 Faites vorra choix dans ia menu du haut Un Intranet PORE Depuis fin de l ann e derni re l ORE fait l acquisition d un serveur HP NETSERVER E60 qui sert de base son Intranet En effet l arriv e de ce serveur puissant permet le partage de nos applicatifs communs MS Word Excel et sp cialis s outils de cartographie comme Mapinfo Il sert aussi comme serveur de fichiers de nos cartes et surtout de notre base de donn es Des volutions probables Par l interm diaire de ce serveur de nouvelles applications sont en cours de d veloppement en particulier autour de la base de donn es En effet le HP E60 en tant que serveur Web permet le d veloppement de proc dures ASP pour une gestion et une exploitation plus performante de la BD ORE Ce frontal applicatif se pr sente aux agents de l ORE sous la forme d une page Web dont le mode d emploi est implicite ce qui dispense d une formation plus lourde aux technologies de type amp ACCESS ou SQL SERVER plauret stor fr E SIRET 384 704227 00014 APE 913E Directeur de la publication F BOCQUEE
23. vr 00 Rivi re des Pluies Iet Quinquina apr s les crues 1 x d s js du 29 et 30 janvier 2000 Nitrites et Ammoniunes a On peut observer sur le graphique 3 l volution du niveau deces us NE myi trois plans d eau au cours de l ann e 99 et apr s les crues de f vrier NOM 2000 Men Le Grand Etang conna t des variations consid rables de son ws gt niveau au cours de l ann e etles crues de f vrier 2000 l ont ramen RE son niveau haut 12 m oa Au contraire l tang du Gol poss de de faibles variations de Lu niveau au cours de l ann e mais les crues de janvier et f vrier l ont ramen 1 4 m valeur record depuis janvier 99 avo oomo CT smao omw Seul l tang de St Paul poss de une variation de niveau qui ne Toutefois un param tre majeur alt re la qualit de l eau dans d pend pas directement de la pluviom trie L influence de l ouverture cet pisode pluvieux il s agit de la concentration en mati res en o de la fermeture du cordon littoral joue en effet un r le essentiel suspension Ce param tre mesure toutes les particules qui ne dans son fonctionnement sont pas dissoutes dans l eau ill s agit notamment des apports terrig nes dus au lessivage des sols Le graphique 2 nous montre des concentrations tr s fortes em MES qui font passer la Evolution de l oxyg ne dissous sur la colonne d egu des 3 tangs en f vrie
24. web ou vous pouvez le t l charger loisir Seuls les partenaires institutionnels lus et m dias continueront recevoir gracieusement l dition papier En cons quence et sauf retrait gratuit l unit dans nos locaux ou abonnement annuel 80 F pour 4 num ros ce num ro est le DERNIER qui vous est remis sous cette forme Merci d en tenir compte ore stor fr
25. zom trique des aquif res de Ste Marie Ann e 1998 1 o ejeje BEE See eg 5 HEIE RS als QE Sala ME HH gjs Eje HE ejs QE ajz zle 513 aja aja HH 8j eje amp HE gt Es Maintenance des ouvrages d imigation du littoral Ouest du d partement Mod lisation de la nappe de la Plaine des Galets Suivi pi zom trique des aquif res de St Denis Ann e 1997 Maintenance des ouvrages d irrigation du littoral Ouest du d partement Etude de l infitration de la partie aval de la Rivi re des Galets Suivi pi zom trique du Forage Fr deline uivi pi zom trique des aquif res de la Plaine des Galets Etude d impact du transfert Est Ouest Equipement pr alable la mobilisation des aquif res de l Est Equipement et suivi pi zom hique des forages S1 et 52 Plaine des Palmistes Suivi pi zom trique du forage Fr deline Suivi pi zom trique des aquif res de Ste Marie Etude d impact du transfert Est Ouest Equipement pr alable la mod lisation des aquif res de l Est Equipement et suvi pi zom trique des forages S1 Pete Plaine et S2 Bras ogg Creux Etude d impact du transfert Est Ouest Equipement pr alable la p mod lisation des aquif res de l Est Sulvis des plans d eau m thodoloige propos e et premiers r sultats 1997 1998 Suivis hydrobiologiques des rivi res r unionnaises R sultats des 2 1998 campagnes de pr l vements de 1997 Synth se de la qualit
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