point commune 18
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1. l se renforcer puisque le recrutement des collaborateurs se fait en commun depuis quelque temps A terme une police intercommunale sous une forme ou une autre devrait voir le jour Si les techni ciens y sont favorables la d cision appar tient aux autorit s politiques Yverdon les Bains dispose elle aussi d un contrat de prestations avec Valeyres sous Montagny Cheseaux Nor az et Chamblon qui elle fournit des services de police de proximit Les autres com munes attendent les d cisions canto nales en la mati re la police cantonale ayant d j pass un certain nombre de contrats de prestation dans la r gion Quant aux autres bourgs importants du canton qui entretenaient de petits corps de police ils sont aussi en train de passer des contrats de prestation avec la police cantonale La situation lausannoise v ritable capi tale et centre d attraction tant diurne que nocturne du canton est particuli re Avec 425 policiers dans une structure organis e qui assume l entier des ques tions de s curit Lausanne doit tre consid r e comme un cas part et dis poser d une police enti rement d volue aux probl mes sp cifiques qu elle a g rer Dans les faits Lausanne a large ment le poids d une r gion elle seule Reste un constat sous l angle policier les r gions urbaines du canton sont soit 6 structur es soit en phase de structura tion parce que cela r2. POINT COMMUN N 18 gt Septembre 2006 Entretien des routes cantonales et communales i Agences d assurances sociales gt Le regroupement est une r alit Dans son point de vue de mai 2004 mon pr d cesseur faisait part des profonds chan gements qui allaient voir le jour dans le paysage vaudois des agences d assurances sociales la suite de l adoption par le Conseil d Etat en date du 28 janvier 2004 du R glement sur les agences d assurances sociales Pour rappel ce r glement entr en vigueur le Ter janvier 2005 a dans un premier temps contraint les communes r gionaliser leurs agences communales d assurances sociales afin de les professionnaliser Dans un second temps dont l ch ance est fix e au 1er jan vier 2008 l organisation et la gestion des agences d assurances sociales doivent tre confi es par les communes aux associations RAS r gionalisation de l action sociale L agence de Lausanne du fait de son activit semblable celle d une caisse de compensa tion n est pas concern e par le nouveau r glement Les autorit s communales ont en g n ral bien compris les enjeux fix s par ce r glement et les regroupements sont d sormais r alis s dans tout le canton La deuxi me phase soit le rattachement des agences aux associations RAS a m me pris passablement d avance sur le planning puisqu elle est d ores et d j effective dans sept r gions sur dix Il ne subsiste
3. Magnifique r ussite de la Journ e annuelle des Communes Vaudoises La 97e assembl e des d l gu s de Nous adressons nos tr s vifs remer l Union des Communes Vaudoises a ciements aux membres du comit t une totale r ussite Un h te pres d organisation ainsi qu tous les tigieux en la personne de M le b n voles qui ont uvr pour que Conseiller f d ral Samuel Schmid cette journ e soit une magnifique dont l humour n a pas chapp aux r ussite Au participants a accept notre invita Ha E STORA Ks tion Pour ceux qui n auraient pu partici i T per ces festivit s ou qui souhaite Le temps et l ambiance ont t raient s en rem morer les temps superbes Tout a commenc par le forts nous reproduisons ci apr s les caf croissant servi au c ur du vil extraits des diff rentes interven lage puis la matin e s est poursuivie tions par des visites organis es pour les accompagnants L ap ritif a t servi On se r jouit d j de vous retrouver autour du Th tre o il tait difficile le 2 juin 2007 Aigle de trouver un peu d ombre afin de se prot ger des rayons ardents du Nadine Calame soleil Apr s avoir d gust un repas Secr tariat de UCV champ tre sous la cantine le coude coude fraternel des repr sentants des communes s est d roul d une mani re parfaite dans les guin guettes et dans les stands du march artisanal pee ge s 1 2 I
4. UCV UCV Conseil Vallamand 07 d cembre AVIATCO AVIATCO Orbe 27 avril Assembl e g n rale Union des communes vaudoises Cours l intention des municipaux boursiers et toutes personnes int ress es par les finances publiques Formation pour les membres des ex cutifs La session 2006 a d but au mois de mars par une journ e consacr e la communaux vaudois cl ture des comptes 2005 Elle s est poursuivie d s la fin du mois d ao t do co 00e LES MOYENS Chalet Gobet La dur e de chaque cours est d une journ e DE L A CTION 28 septembre 2006 le compte des investissements C O M M U N A L E 5 octobre 2006 lecture et structure du bilan VAUDOISE 26 octobre 2006 le d compte TVA dans les collectivit s publiques 2 novembre 2006 analyse et planification financi res cours th orique et pratique Sous la direction PAS Re du Professeur 16 novembre 2006 analyse et planification financi res avec Microsoft Excel Katia Horber Papazian RE 8 modules choix en soir e du 1er Pour tout renseignement notamment le contenu d taill des cours ainsi novembre 2006 au 21 f vrier 2007 que les formules d inscription veuillez vous adresser i Pour tout renseignement s adresser au secr tariat de l UCV Pierre Busset Rue du L man 2 1814 La Tour de Peilz T l 021 971 15 42 Fax 021 971 15 43 Port 079 345 60 91 E mail pierre busset bluewin ch
5. de cons Texte gt Christian S chaud Cdt de la police de Renens Photo gt Jean Marc Gallarotti truire un nouveau poste de police dans les mois venir Dans le Chablais une entente a vu le jour entre les communes d Aigle Ollon et Bex rejointes par celles d Yvorne et de Lavey Morcles sous une forme att nu e 28 policiers sont disposition pour un tournus 24h 24 dans une r gion de plus de 20 000 habitants plus ou moins dis pers s sur un vaste territoire L entente porte sur la mise en commun des forces de police lorsque cela est n cessaire sin guli rement la nuit La pr sence de patrouilles est am lior e par une gestion mieux coordonn e Une association est aussi l tude dans la r gion de Morges Elle devrait r unir le chef lieu du district et les communes de St Prex Tolochenaz Pr verenges et Echandens Avec 44 agents de police et 18 collaborateurs civils elle constituerait aussi un groupement fort capable de g rer les probl matiques de s curit publique d une r gion fortement urba nis e et interp n tr e Les r sistances semblent encore relativement nom breuses et un accord unanime ne para t pas acquis dans l imm diat m me si d autres communes s int ressent d j rejoindre ce groupement Nyon Prangins et Gland 45 policiers au total travaillent ensemble sous l gide d une convention de collaboration depuis 1997 Cette collaboration tend POLICE Pouc
6. 1 E i 2 lt Point commune E aa e pe oa Pr sident de UCV Apr s avoir formellement salu l assem bl e et adress un chaleureux merci M zi res aux communes du district d Oron la commune de Vucherens au comit d organisation et en particulier son pr sident M Jean Marc Zwissig M Grandjean ouvre la s ance Il adresse un salut amical particulier aux d l gu s de Rossens S deilles Villarzel Avenches et Donatyre qui ont d cid d unir leurs desti n es et de ne former plus qu une seule commune politique sous le nom de Villarzel et d Avenches partir du 1er juillet 2006 Au cours de l ann e coul e les questions concernant les relations entre l Etat et les communes les reports de charges la nou Ha j P r jo es A A i a j se hi velle p r quation Police 2000 et l am na gement du territoire commission MATLO Plan directeur cantonal ont t au c ur des pr occupations de l UCV Parmi les sujets de pr occupation du Comit il convient de citer outre Police 2000 dont les tribulations ont t suivies pas pas la nouvelle p r quation son la boration sa mise en place et les r actions qu elle a suscit es parmi nos membres L volution de la facture sociale a gale ment fait l objet de nombreuses discus sions particuli rement suite l norme augmentation qu elle a subie Les transferts de charges sur
7. 20 lt Point commune
8. chefs des polices municipales vau doises il ne saurait tre question de sacrifier un syst me donnant globa lement satisfaction pour sauter dans l inconnu par exemple d une police unique Le bilan de la mise en place des zones pilotes dans le contexte de l op ration Police 2000 est mitig Si la s paration des processus a montr ses limites et se r v le impraticable l id e de travailler l chelle de la r gion avec des polices municipales dont les effectifs se fondent dans une structure pilot e par les autori t s politiques des communes se r v le elle pertinente De fait la majeure partie des change ments actuellement en pr paration se fonde sur les r sultats positifs des exp riences men es sur la Riviera La loi sur les communes laquelle offre bon nombre de possibilit s de cr er des asso ciations ententes et autres f d rations 18 lt Point commune S 3 d se r v le tre l outil l gal ad quat pour mettre en uvre ce changement Ces structures intercom munales disposant d un ex cutif et d un organe d lib rant l chelle r gionale permet tent aux autorit s municipales d assurer le n cessaire contr le d mocratique sur la police et les services administratifs tant sur le plan budg taire qu en termes d ad quation des m thodes et des poli tiques publiques aux besoins identifi s Dans le m me temps le dispositif poli cier coordonn l chel
9. oliennes pour faire tourner des filatures Enfin Switcher a notamment mis en uvre un programme de r duction de la consommation d lectricit dans les magasins son enseigne C est par des actions engag es et la col laboration avec des entreprises respec tueuses des principes nonc s ci dessus que la cause du d veloppement durable peut avancer Pour les collectivit s publiques le label respect inside atta ch un produit leur permet non seule ment de suivre la tra abilit du produit mais aussi surtout leur fournit des cri t res objectifs leur permettant de r elle ment comparer les offres de leurs four nisseurs potentiels et des entreprises qui soumissionnent pour des mandats En ua kan donnant la pr f rence des entreprises ou des produits labellis s respect inside les collectivit s publiques de viennent consommactrices du d ve loppement durable dans leur r gion mais galement l tranger particuli rement dans des pays du tiers monde Pour plus de d tails consulter le site www respect inside org Texte gt Nicole Grin Secr taire g n rale de l UCV Photos gt Jean Marc Gallarotti HISTOIRE S VRAIE S Comment obtenir un permis de s jour en Suisse MODE D EMPLOI usage des ressortissants n ayant pas eu la chance de na tre dans le bon h misph re de notre plan te 1 Procurez vous un faux passeport europ en une fausse carte d
10. pond des besoins vidents d une part une volont de la grande majorit des communes d autre part Ce faisant ces r gions valorisent le mieux possible l h ritage et les enseigne ments de l exp rience Police 2000 Pour tre cons quentes les autorit s poli tiques vaudoises devraient d s lors jouer un r le moteur dans cette phase de structurations r gionales et au besoin se doter des moyens l gaux de forcer les communes s associer Dans le m me temps ces m mes autorit s devraient contraindre la police cantonale am lio rer la coordination et les collaborations avec ces entit s r gionales en cours de cr ation par exemple en les dotant de moyens de communication et de r seaux informatiques performants Pour l ACPMV l Association des chefs des polices municipales vaudoises la r forme de la s curit publique vau doise qui est aujourd hui loin d tre en crise ou de n cessiter des rem des exces sivement puissants passe par la f d ra tion des nergies plut t que par le pas sage en force que pourrait repr senter par exemple la cr ation d une police unique Point commune gt 19 Date Qui Quoi O Organisateur 22 septembre ACVBC Assembl e g n rale Sainte Croix ACVBC 29 septembre AVIATCO Journ e technique Bex AVIATCO UCV 24 octobre UCV Comit Epalinges UCV 16 novembre UCV Assembl e g n rale extraordinaire Pully
11. s se prononcer durant le courant de l au tomne preuve l encore que les choses avancent Huit communes rassemblant 63 000 habitants regrouperont leurs corps de police Renens et leur police administrative Prilly en conservant des postes de police Bussigny Chavannes Crissier Ecublens et St Sulpice Au total 90 policiers et 25 collaborateurs civils tra vailleront ensemble Parmi ceux ci en relation avec une approche moderne de la police une cellule de six policiers se consacrera la pr vention et la gestion des partenariats Motivation de cette d marche la s curit publique ne doit plus tre uniquement l affaire de la police mais plut t pens e en r seau de collaborations Autre structure mais but identique Dans le futur district de Lavaux Belmont sur Lausanne Paudex Pully et Savigny cr ent une police intercommunale par le biais d une convention Les agents de la police de Pully sont ainsi d sormais auto ris s intervenir sur le territoire des communes voisines Le bassin de popula tion dont la s curit est assur e par cette police est d sormais de 24 000 habitants et le co t de la s curit publique est r parti entre les communes en fonction d une cl adapt e aux besoins Dans la m me r gion Lutry Chexbres Grand vaux et Cully travaillent ensemble s agis sant de la police de proximit et de cer tains l ments de police administrative Lutry a d ores et d j d cid
12. ceux qui repartent pour un tour m ritent notre gratitude Il informe l assembl e que vraisemblable ment le Parlement renoncera au d cret de 17 mios sur les transports r gionaux qui a fait l objet d un r f rendum Le Conseil d Etat entendait ouvrir des n go ciations globales sur l effort des com munes pour l assainissement de 2006 et 2007 et sur l impact pour les communes de la RPT Les communes ont refus Le Conseil d Etat en a pris acte Il respecte cette d cision Il pense que ressasser le pass et ronger de vieux os ne sert rien Il vaut mieux tourner la page en profitant de cette nouvelle l gislature Il est certain que les communes ont affront bien des vagues comme la mise en uvre d EtaCom la nouvelle r parti tion de la facture sociale le transfert de routes la nouvelle p r quation inter communale Police 2000 et bien d autres Sans doute que les communes trouvent des d fauts chacun des projets qui ont pu les d stabiliser Mais ces chantiers sont l gitimes et pertinents La p r qua tion permet d viter le taux d imp t unique tout en gommant des diff rences trop criantes entre les communes Il rappelle aussi que le Canton a pour des raisons historiques les t ches dont le co t ul E tior a augment plus vite que celui des com munes en raison de l volution sociale et d mographique de la soci t Dans le m me temps la r partition des recettes fis cales n a
13. collaborateurs Par ailleurs les collabo rants sont les autres municipaux le secr taire communal les membres de la commission de gestion et des finances De plus la loi indique que chaque muni cipalit d signe un d l gu en principe le syndic charg d examiner les d clara tions des contribuables de sa commune et de renseigner l Office d imp t de dis trict Ces d l gu s ont donc acc s une information compl te sur les contri buables et se doivent d tre d autant plus consciencieux et responsables face ces informations sensibles Si d autres personnes que celles indiqu es ci dessus ont acc s des informations fis cales qu il s agisse d lus ou d employ s que ces informations soient obtenues for tuitement ou non elles doivent garder le silence sur ce qu elles savent Le secret fiscal et les autorit s communales gt Viol par m garde ou m connaissance En cas de violation la loi punit ces d lits de l emprisonnement 3 ans au plus ou de l amende La plainte p nale est d po s e par le contribuable m content d in formations fiscales d voil es sur son compte noter que ces informations n ont pas besoin d tre publi es pour qu un d p t de plainte soit possible le bouche oreille constitue galement l infraction Les boursiers informent les lus sur l tendue du secret fiscal c est aussi notre r le affirme Edy Rod pr si dent de l Association vaudoise des bour si
14. communaux et conseils g n raux d un plafond d endet tement pour les emprunts et pour les cautionnements D cembre 2006 envoi des communes l Autorit de surveillance des finances com munales des montants plafonn s d cid s Janvier 2007 entr e en vigueur de la nouvelle directive En mai 2006 les communes ont re u du D partement des institutions et des rela tions ext rieures des recommanda tions en mati re de plafonnement des emprunts et des cautionnements La fixation du plafond d endettement pour emprunts peut se faire par une m thode simplifi e conseill e pour les petites communes et pour les grandes com munes par une m thode plus labor e n cessitant une planification financi re Dans les deux cas un plan des investisse ments sur cinq ans est indispensable Une premi re question se pose consid rant que la l gislature commence au milieu de l ann e 2006 et pour 5 ans est ce que le plan va de 2006 2010 soit cinq ans ou de 2006 2011 soit six ans ou encore du 1er juillet 2006 au 30 juin 2011 Sachant que de grandes disparit s exis tent dans les politiques d amortissement comptables et financi res des communes certaines communes pourront se voir p nalis es si par exemple elles ont amorti leur patrimoine financier au cours des derni res ann es En effet leur pla fond d endettement se trouve ainsi r duit Les m thodes d valuation du patrimoine peuvent engendre
15. identit fera l affaire la limite Pour quelques centaines d euros un tel document devrait s obtenir plus facilement qu un ticket de bus Pas de soucis si vous ne pouvez pas vous d placer ou si vous ne connaissez pas de repr sentants du petit banditisme des dizaines de sites inter net proposent une commande en ligne 2 Maintenant que vous tes euro p en profitez des accords bilat raux pour trouver un contrat de travail tra vail temporaire h tellerie soci t s de nettoyage etc ou m me un emploi mieux r mun r si vous en avez la pos sibilit 3 Optez de pr f rence pour une grande commune pour y lire votre r sidence et ainsi vous noyer dans la masse Pour plus de confort attendez patiemment devant les guichets et choisissez soi gneusement le jour o il y a le plus de monde dans la file d attente Effectuez votre inscription en pr sentant avec sourire votre faux passeport et votre contrat de travail 4 Tenez vous tranquille restez discret mais courtois votre permis de s jour europ en devrait vous parvenir dans quelques semaines Poursuivez votre emploi n emb tez pas vos voisins payez votre billet dans les transports en commun n attirez pas l attention de la police ou de tout organe pouvant d couvrir la supercherie 5 Bravo Ce mode d emploi est volontairement provocateur comme pour voquer les probl mes au quotidien d un office de la population Les offices communaux sont
16. il y a encore le botox la chirurgie esth tique l g re voire encore mieux le ravalement de fa ade Quant elle c est traitement de fissures purges r fections ponc tuelles fraisage et pose d une nou velle couche d usure voire la refonte np mn Re in oi pr s ane et par ape pen be me de hd ee de pme EL sar ue let ie HE sal Er er da t t Lan ge der era at y RL re or ft er ut ie ikrai Et gd es g es F e m pale tes r k gt Eu PERS compl te de la route avec son encais sement Nous sommes confront s aux rigueurs budg taires avec moins toujours moins et pour objectif de faire comme avant voire mieux un peu comme la t l Que la lotion miracle du jour soit pleine de promesses que les prouesses annonc es soient au rendez vous la base reste bien simple l entretien C est fou quand m me ce parall le Nous mettons toute cette nergie et cet investissement pour rester jeu ne Pour elle c est bien pareil mais n oublions pas que la route c est comme notre corps Il y a sous la sur face le syst me art riel veineux et nerveux qu il ne faut pas oublier ils vieillissent aussi Voir un beau rev te ment fra chement pos c est agr able Le voir bard de cicatrices trop rapide ment apr s laisse un go t amer N oublions pas que tant que la t l portation n est pas au point cette tr s ch re route nous est indispensable et ceci que l on parle de mobilit indivi du
17. les communes ont bien videmment t au c ur des dis cussions du Comit et de ses interventions Point commune gt 3 e aupr s du Conseil d Etat qu il s agisse de d marches officielles ou officieuses La conduite politique de ce dossier a abouti au lancement d un r f rendum d cid et confirm par les assembl es g n rales extraordinaires des 2 novembre et 15 d cembre 2005 Il faut signaler que l UCV a suivi avec int r t le projet du D coupage territorial et une forte d l gation de son Comit a particip aux travaux de la com mission DECTER r i1 La mise en uvre des transferts routiers d cid s fin 2004 l adaptation des tron ons et ouvrages transf r s au trafic des 40 tonnes ont galement pr occup l UCV Son Comit s est aussi pench sur le projet ECA SDIS Evolution sur la mise en place des conseils d tablissement dans le domaine scolaire et la prise en charge des personnes g es en EMS suite au rejet du projet de loi en avril 2005 Le Conseil s est r uni 4 reprises Mme la Conseill re d Etat Anne Catherine Lyon MM les Conseillers d Etat Pierre Yves Maillard Fran ois Marthaler et M Phi lippe Maillard chef de l ACI ont t invit s venir d battre des sujets d actualit tou chant leur d partement et les communes Ces rencontres privil gi es sont toujours tr s appr ci es Le Groupe des Villes qui compte mainte nant 12 membres
18. par exemple que f d ralisme rime avec protection nisme Il serait ainsi un frein la concurrence et au libre march D autres y verront avant tout la superposition de plusieurs structures administratives et donc un risque de rench rissement de l action de la col lectivit Cela co te cher d sign e des redoutables Brigands du Jorat hef du D partement f d ral de la d fense de Ou pensez la concurrence fiscale Elle suscite des r actions diverses On sera ainsi tent de d m nager en fonction de motivations disons divergentes Secret fiscal oblige L conomie les conditions sociales la mo bilit l esp rance de vie sont ensuite vo qu es Les habitudes de vie de consom mation les loisirs n ont plus grand chose en commun avec ce que ce pays a connu il y a 30 50 ou 100 ans Le territoire can tonal a fortiori celui de la commune correspondent de moins en moins aux espaces conomiques Or depuis 1848 notre syst me politique lui n a que peu chang Encore une fois il faut se r jouir et se f liciter de cette stabilit Pourtant la r alit nous rattrape et nous condamne nous interroger nous vivons d sormais sous le r gne de l agglom ra tion Or celle ci souffre de devoir sans cesse franchir les fronti res de notre sys t me f d raliste gt suite en page 9 Point commune gt 5 L volution de notre soci t nous force nous demander comm
19. pratiquement pas boug Le Canton a fait de son c t de gros efforts en r alisant sept programmes d assainisse ment qui ont d but en 2004 et qui se ter mineront en 2007 Plus de 800 mesures permettent des conomies annuelles de l ordre de 320 mios Le Conseil d Etat est galement confron t une difficult objective il ne peut contenter toutes les communes qui ont des tailles des exigences des attentes et des recettes bien diff rentes Rares sont les dossiers o l ensemble des membres de l UCV parle d une seule voix Bien des ex cutifs ont compris que leurs communes fonctionneraient mieux si elles taient plus grandes La population attach e la proximit et sa commune a davantage de difficult s saisir les enjeux En ce qui concerne les fusions de communes tous les espoirs ne sont pas d courag s Il voque aussi la n cessit de diminuer le nombre de communes pour en augmenter la force et les comp tences dans des domaines de plus en plus complexes et techniques Il souhaite que nous puissions nous entendre sur la question d assurer une entr e en vigueur de la RPT dans les meilleures conditions possibles car le Canton et les communes partagent un int r t commun le bien tre des Vaudois Au terme de son expos M Broulis remet symboliquement M Grandjean une hache destin e tre enterr e avec les diff rends Canton communes Point commune gt 6 Entretien des routes comm
20. s est pench plus parti culi rement sur les dossiers actuels ayant une incidence particuli re pour les villes 4 lt Point commune Police 2000 p r quation intercommunale politique d agglom ration tant f d rale que vaudoise transports publics et poli tique d int gration des trangers Mais d autres sujets ont t abord s tels que la loi sur l accueil de jour des enfants la vio lence urbaine la toxicomanie la politique du logement la promotion conomique et l organisation du prochain recensement f d ral Entre avril 2005 et mars 2006 dans le cadre de proc dures de consultation l avis de l UCV a t sollicit sur 31 projets l gis latifs 22 cantonaux et 9 f d raux En outre l UCV a organis 4 consultations internes M Grandjean compl te son rapport par un bref t moignage personnel Il dresse un bilan des 13 ann es pass es au Comit dont 9 la pr sidence de l UCV accompa gn du v u de voir dans un proche ave nir toutes les communes vaudoises se regrouper dans la m me organisation Il rappelle quelques unes des principales satisfactions que ces mandats lui ont apport es Pendant 2 ans de 2000 2002 et pour la premi re fois dans l histoire du Canton toutes les communes soit 385 taient membres de l UCV Travailler avec les comit s compos s de personnes comp tentes et d vou es Une secr taire g n rale qui conna t remarquablement bien ce Canton
21. t 2006 aupr s de la repr sentation suisse comp tente l tranger Si vous avez des questions au sujet du passeport n h sitez pas appeler le num ro gratuit 0800 820 008 La ligne est ouverte du lundi au vendredi de 9 12 heures et de 14 17 heures Point commune gt 16 Plafonnement gt des emprunts et des cautionnements En juillet 2005 le Grand Conseil a adopt la r vision de la nouvelle loi sur les communes LC Dans ce cadre l article 143 LC traitant des emprunts introduit une innovation importante en demandant aux com munes de fixer elles m mes leur pla fond d endettement en d but de l gislature Les cautionnements ou autres formes de garanties sont sou mis aux m mes r gles d application que les emprunts Cette mani re de proc der d coulant de la nouvelle directive d application en mati re de plafonnement des emprunts et des cautionnements modifie l an cienne fa on de faire en vigueur depuis 1956 proc dure dans laquelle les com munes avaient l obligation d obtenir aupr s du d partement en charge des communes une approbation pour cha que emprunt et cautionnement qu elles souhaitaient contracter aupr s de divers bailleurs de fonds Le calendrier succinct est le suivant Juin 2006 envoi de la directive l en semble des communes vaudoises Juillet d cembre 2006 fixation et validation par les autorit s communales vaudoises conseils
22. 0 beatrice chuard ssc payerne vd ch 021 907 26 48 jacqueline menetrey csr pully vd ch 024 423 69 52 josiane michoud csr yverdon vd ch 021 886 12 80 marie nobs echallens ch 021 845 17 26 e rochat chenit ch Point commune gt 10 A propos de d velopp ement durable gt Respect Inside De la parole aux actes D sireux de collaborer de mani re acti ve concr te et efficace la politique de d veloppement durable et conscients de leurs responsabilit s sociales plu sieurs chefs d entreprises membres de la soci t Product DNA SA ont lanc il y a plusieurs mois le label respect inside Ce label assure la transparence la tra a bilit et la visibilit de la cha ne de pro duction les produits r pondant aux cri t res d obtention de ce label sont affec t s d un code sp cifique le code ADN du produit qui ouvre en effet l acc s aux informations d taill es sur les proc d s de fabrication du produit ainsi que sur le mode de gestion des entreprises qui l ont trait du lieu de production la distribution sur le march Toutes ces informations sont disposi tion du consommateur sur le site wwyw respect inside org Le label respect inside atteste que les standards de d veloppement durable ont t respect s tous les stades de 11 lt Point commune fabrication et de commercialisation du produit Pour l obtention du label les entreprises candidates acceptent de se s
23. donc dans le canton que quarante quatre agences d assurances sociales AAS plac es sous la responsabilit d une pr pos e ou d un pr pos et occupant en plus une soixantaine de collaboratrices et collaborateurs Plac e face cette diminution drastique du nombre de ses membres potentiels l AVPACAS Association Vaudoise des Pr pos s aux Agences Communales d Assurances Sociales a d s adapter la nouvelle organisation pour poursuivre son activit Lors de son assembl e g n rale de 2005 notre association a donc modifi ses statuts pour pouvoir accueillir non seulement les pr pos es et pr pos s mais galement les collabora trices et collaborateurs d agences Elle a galement d cid de se positionner fortement dans la formation initiale et la formation continue des pr pos s et collaborateurs d agences et a mis en place un concept de formation qui a obtenu l aval des autorit s concern es Enfin elle a propos de changer son nom en AVAgAS association vaudoise des agences d assurances sociales mais ce sigle n a pas re u l approbation de l assembl e et ce n est que depuis son assembl e 2006 qu elle peut officiellement porter le nom de aVDaas Association vaudoise des agent e s d assurances sociales En conclusion si je me r jouis de la mise en place de ce r seau de professionnels qui ne pourra qu am liorer la qualit du service aupr s des usagers je veux avant tout remercier chaleureusement les nombreux pr p
24. e projet pilote et couvrira les frais de projet Il sera recalcul en fonction de l augmentation des chiffres de production lorsque le passeport bio m trique sera introduit l chelle natio nale Le Conseil f d ral recommande n anmoins aux citoyens suisses qui ne poss dent pas un passeport 03 de le com mander d ici septembre 2006 Ce docu ment d identit qui ne co te que 120 francs pourra jusqu son ch ance tre utilis pour voyager dans le monde entier et permettra d entrer aux Etats Unis et d y transiter sans visa s il est tabli avant le 26 octobre 2006 cf ci dessous Les empreintes digitales sont pour plus tard Outre les donn es relatives la personne qui figurent d j dans le passeport actuel une image num ris e du visage sera enregistr e lectroniquement dans le format courant jpg Comme dans les Etats Schengen les empreintes digitales seront ajout es ult rieurement Les normes requises cet gard relatives notamment la protection des donn es sont en cours d laboration ASSOCIATION VAUDOISE DES CONTR LEURS DES HABITANTS AVDCH Introduction au niveau national en parall le Schengen L ordonnance approuv e par le Conseil f d ral sur les documents d identit des ressortissants suisses constitue la base l gale du projet pilote institu en vue de l tablissement des premiers passeports biom triques Le projet pilote d marrera en septembre et durera au max
25. elle ou d change Qu on le veuille ou non elle reste l interface de notre mobilit de tous les jours En prendre soin c est comme prendre soin de son corps Rte a ts ind L actualit de ces jours est l pour nous le rappeler Le Liban m me si nous en sommes loin en est un exemple frap pant Il nous montre avec effroi com bien la route est importante Si elle meurt nous voici bien seuls Le monde du chemin d fonc est il pour demain Esp rons que les pouvoirs publics atten tifs leurs bourses ne laisseront pas la route redevenir chemin Gilles Warnery ASSOCIATION VAUDOISE YAWA PAVA E OD DES ING NIEURS ARCHITECTES ET TECHNICIENS COMMUNAUX Point commune gt 8 De r centes affaires parues dans la presse montrent que par m garde ou par m connaissance les autori t s communales n appliquent pas avec diligence le secret fiscal et se rendent coupables de violations caract ris es Ces fuites posent probl me car elles ont un double effet d s curisant pour le contri buable un secret mal gard et boule de neige si les autorit s elles m mes ne respectent pas la loi le citoyen doit il la respecter Il para t donc important de rappe ler quelques principes de base pr cis ment dans la p riode o les nouveaux lus communaux se met tent en place Le secret fiscal existe depuis plus de 60 ans c est un secret de fonction qualifi Il a t introduit pour
26. en effet les seuls organes officiels en contact direct avec les documents d iden tit originaux des citoyens le canton se base ensuite sur de simples photocopies pour mettre un permis de s jour L employ communal n a pourtant aucune formation sp cifique pour d ce ler de faux documents Il re oit donc les demandeurs parmi une foule constante qui cume les bureaux des trangers des grandes communes vaudoises copie leurs passeports noy s dans une foule d autres documents de photocopies de livrets de famille ou autres actes de nais sance Par ailleurs m me si de vagues notions quant ces faux documents taient dis pens es aux employ s des guichets cette solution ne saurait elle seule endiguer le probl me les employ s se verraient r guli re ment taxer de fonctionnaires z l s v rifier minutieusement une pi ce d identit dans un domaine o le mot racisme est tr s souvent l ch o l on invoque r guli rement la libre circulation des personnes et o il est recommand de marcher constam ment sur des ufs Les files d attente par ailleurs d j consid rables se verraient doubl es par ces contr les de documents Ces v rit s rel veraient elles vrai ment de la seule et unique comp tence communale Les plus minimalistes diront qu il ne faut pas s alarmer Qu il ne se r v le qu une minorit de cas similaires et que la dis proportion entre les moyens prend
27. ent la concilier avec notre organisation f d raliste Ce d bat doit avoir lieu en impliquant le citoyen Dans ce contexte les communes jouent un r le essentiel L id al serait qu elles puissent s entendre sur un cata logue de priorit s Elles ont mieux faire que d tre per ues comme le dernier bastion contre la mondialisation De m me il serait faux de voir dans les fusions la solution miracle pour r soudre tous les probl mes De son c t la Conf d ration doit ta blir des priorit s au niveau des investisse ments Tenir compte davantage des int r ts des agglom rations ne signifie pas abandonner les r gions de montagne ou frontali res ni l espace rural La Nouvelle Politique R gionale doit aider ces r gions renforcer leur comp titivit en favorisant la coop ration et la coordina tion Ainsi M le Conseil f d ral Samuel Schmid encourage l assembl e r fl chir en termes d agglom ration fixer des priorit s et prendre des initiatives Textes gt Nadine Calame Secr tariat de l UCV Photos gt Edouard Montagrin M zi res Jean Marc Gallarotti Extrait Avant de commencer M Broulis salue les 9 509 Vaudoises et Vaudois qui vont consacrer leur temps et leur intelligence leur commune les conseillers commu naux et municipaux qui se d vouent pour la chose publique un travail diffi cile rarement pay de retour ceux qui terminent ceux qui commencent et
28. ers communaux Qu en est il de la communication d autori t s autorit s Les communes sont sou vent confront es ce probl me reconna t M Rod l acc s aux donn es d un contri buable d une commune voisine n est pas autoris Il faut relever ce propos que le secret fiscal en sa qualit de secret qualifi a la primaut sur la loi sur l information Cette derni re entr e en vigueur en 2003 et qui ancre le principe de la publi cit transparence sous r serve du se cret comprend les communes dans son p rim tre Point commune gt 9 Le secret fiscal et les autorit s communales Examinons quelques exemples de secret fiscal Dans la commune X les listes envoy es par l ACI sont ouvertes par la secr taire municipale qui les laisse quelques jours empil es c t de son bureau en atten dant que le boursier s en occupe Le syn dic les municipaux et la responsable du contr le des habitants jettent un coup d il tour de r le T as vu Machin combien il nous rapporte Il faut le chou chouter Ou T as vu Truc Je me de mande comment il fait pour payer aussi peu c est pas normal Les autorit s ont elles agi correcte ment et peuvent elles commenter entre elles la situation d un contri buable R ponse les autorit s ont le devoir de s organiser afin que les listes ne puissent tre vues par d autres personnes que le boursier le syndic et le municipal aux finances Qua
29. es et op rationnelles des forces d intervention et la cons cration de leur statut de volontaires 15 lt Point commune Hier avant la r forme amorc e en 1997 l organisation de la d fense incendie et de secours vaudoise reposait sur le d coupage s culaire des communes Soit quelque 375 corps locaux aux disparit s plus ou moins prononc es en mati res d effectifs d quipement et d efficacit appuy s par 24 centres de renfort comp tant 680 sapeurs pompiers Les centres de renfort l origine sens s intervenir en appui ont d se muer progressive ment en unit s de premiers secours afin de pallier les carences de permanences diurnes qui affectaient les corps commu naux un nombre accru de soldats du feu travaillant la journ e hors de leur commune de domicile Etablissement Cantonal d Assurance Aujourd hui les services du feu accom plissent leur m tamorphose De struc tures communales ils deviennent orga nisations r gionales desservies au niveau des premiers secours anciens centres de renfort par 2 300 sapeurs pompiers volontaires r unis au sein de 34 dispositifs r gionaux Ces derniers sont localis s dimensionn s et dot s selon le potentiel et la proximit des risques identifi s concentration de l ha bitat et du tissu conomique zones industrielles d p ts d hydrocarbures centres commerciaux etc Quant au mode de recrutement la motivation de servir remplace l obligatio
30. et son administration entour e d une quipe efficace bref un team qui n a jamais trahi la confiance accord e Les innombrables occasions de ren contrer en commissions et dans l ad ministration cantonale des personnes qu il a beaucoup appr ci es Au chapitre des d ceptions il ne retiendra qu un seul v nement au printemps 2002 la d mission en bloc d une vingtaine de communes qui ont quitt l UCV pour fon der une autre association Ce d part avait comme principale raison la d fense d int r ts particuliers et non la d fense d int r ts g n raux Il remercie les d l gu s de leur soutien et de leur participation leur souhaite bonne continuation et leur donne rendez vous le 16 novembre 2006 Pully salle Pulli rane pour une assembl e g n rale extraordi naire consacr e l lection du Comit et du futur Pr sident ainsi qu l adoption de quelques modifications statutaires dues au nouveau d coupage territorial a m F ra l A l Le T 5 I b HA 1 SAT es D aP D Conseiller f d ral c D 4 ii wA la protection de la population et des sports M le Conseiller f d ral salue l assembl e en se disant tr s fier de s exprimer devant les lus des communes vaudoises et dans le village natal du G n ral Guisan Il tient exprimer aux membres de l assembl e sa profonde gratitude pour leur engage ment de tous les jours au serv
31. ice de la population et surtout au service de l int r t g n ral L exercice de leur mandat au quotidien les relations avec leurs col l gues avec le Canton avec la Conf d ration tout cela am ne parfois se poser des questions Par exemple qui fait quoi ou alors mais qui paie Ces questions sont importantes dans le contexte f d raliste Elles voquent l at tribution des comp tences entre les com munes le Canton et la Conf d ration ventuellement entre d autres collectivi t s Il se demande aussi ce que devraient faire les communes le Canton la Conf d ration pour rendre la politique plus compr hensible plus accessible et ainsi renforcer la confiance dans les institu tions Plus un syst me politique est sta ble mieux il permettra aux citoyens de comprendre les volutions et les change ments auxquels ils sont confront s Cette stabilit est fond e pour une bonne part sur la confiance Nourrir la confiance pour conforter la stabilit et permettre l action politique n exclut pas de poser par exemple la question de la r partition des comp tences la question des r formes En pays de Vaud le syst me qui permet la plus grande proximit avec le citoyen c est le f d ralisme La Suisse est le pays du f d ralisme et c est l assurance d une politique d centralis e proche du citoyen et donc compr hensible Le f d ralisme suscite aussi des questions Certains diront
32. imum cinq ans Une r vision de la loi f d rale sur les documents d identit des ressor tissants suisses a t mise en chantier en pr vision de l introduction au niveau national de ce nouveau document Au cours de cette ann e le DFJP pr sentera au Conseil f d ral le message s y rappor tant r dig l attention du Parlement L introduction du passeport biom trique au niveau national que le Conseil f d ral avait d embl e en vue aura proba blement lieu en m me temps que l en tr e en vigueur de l accord de Schengen pour la Suisse D s ce moment l ne seront plus tablis que des passeports munis de donn es biom triques enregjis tr es et lisibles lectroniquement La date exacte et d finitive de l entr e en vigueur de l accord de Schengen n a pas encore t fix e Ce ne sera probable ment pas avant 2008 Commander d s que possible le passeport 03 Durant le projet pilote l actuel passe port 03 continuera d tre mis parall le ment au passeport 06 Le citoyen titu laire d un passeport du mod le actuel passeport 03 tabli avant le 26 octobre 2006 n aura pas besoin d un passeport 06 jusqu l ch ance du document 10 ans ni d un visa pour entrer aux Etats Unis ou y transiter Quiconque souhaite faire ta blir un passeport 03 avant le 26 octobre 2006 doit le commander le plus rapide ment possible soit avant mi septembre 2006 aupr s de sa commune de domicile ou avant fin ao
33. la l gislature pr c dente l augmentation de la participa tion la facture sociale les effets de la ASSOCIATION CANTONALE VAUDOISE DES BOURSIERS COMMUNAUX ACVBC bascule EtaCom et la p r quation pour ne citer que ces v nements au raient boulevers le plafond d endette ment de nombreuses communes Le travail fastidieux voqu ci dessus risque d tre un exercice qui aura en fin de compte peu de rapport avec la r a lit De plus le contr le qui sera exerc sur les plafonds d endettement envoy s par les communes d passe largement la capacit de travail d absorption de l ef fectif disposition du Service des com munes SECRI et des relations institu tionnelles Une responsabilisation des autorit s communales qui a t voulue implicitement par le l gislateur aurait t plus simple si ce dernier avait l gi f r en introduisant la notion que tout d couvert devrait tre r sorb dans un certain laps de temps par exemple 2 3 ans Esp rons qu travers la pra tique le politique se rendra compte que le mod le propos n est ni fiable ni viable demande des connaissances finan ci res conomiques statistiques et pr vi sionnelles qui ne sont pas la port e de toutes les communes et des personnes qui y travaillent Il est bon de rappeler que le texte ci des sus n engage que son auteur Dominique Kohli Chef du Service Finances cultes de la commune de Renen
34. le r gionale permet une am lioration du service la population Car c est bien l l objectif en r unissant les policiers de plusieurs communes les ex cutifs profitent de la meilleure coor dination et gestion des effectifs et peu vent par exemple mettre en place un syst me de rotation 24h 24 Dans d autres situations la pr vention est ren forc e par la cr ation de structures sp cialis es en amont de la d linquance Sur le terrain ces regroupements sont en marche des vitesses diverses L asso ciation de communes la plus avanc e est celle active dans le district de Vevey Regroupant les dix communes comprises entre Chardonne et Veytaux S curit Riviera entrera en fonction d s que le Conseil d Etat aura donn son aval quant la conformit l gale du projet Toutes les communes Municipalit s et Conseils communaux ont d ores et d j accept la cr ation de cette association qui compte 170 collaborateurs plein temps dont un peu plus de 110 policiers Il faut dire que cette association consti tue la cl de vo te d un changement structurel initi en 2003 et que les auto rit s communales ont largement eu le temps d en voir les bienfaits Pour les 70 000 habitants de la r gion le change ment est d j en grande partie op r Dans le futur district de l Ouest lausan nois un projet d association de com munes fait aussi l objet d un pr avis Les Conseils communaux seront invit
35. n Seule la proximit des secours fond e sur des ressources locales et volontaires aux comp tences accrues et mieux r par ties sur le territoire cantonal est m me d offrir le niveau s curitaire lev r clam par les citoyens et les acteurs co nomiques Ses incidences seront tan gibles pour les entreprises et collectivit s publiques notamment en termes de s curit et de fr quence de mobilisation de leur personnel intervenant Parfois patrons souvent employ s les sapeurs pompiers doivent en effet concilier imp ratifs professionnels et missions de secours C est dans ce contexte qui rel ve galement de la solidarit sociale que l ECA invite les employeurs vau dois et leurs organisations fa ti res venir en cerner les l ments cl s qui seront d battus dans le cadre du Forum du 20 septembre L objectif vise instaurer une forme de collaboration plus active entre le monde du travail et celui des sapeurs pompiers au profit d une s curit accrue de la population des entreprises et des collectivit s publiques P S Programme d taill horaire lieu et inscription sur www eca vaud ch page Secourir Berne 17 03 2006 La voie juridique est d sormais ouverte au projet pilote visant l tablissement de passeports suisses munis de donn es biom triques enregistr es lectroniquement Le Conseil f d ral a approuv l ordonnance requise et fix son entr e en vigue
36. nt voquer la situation d un contribuable ne peuvent le faire que les personnes travaillant en applica tion de la loi ou qui y collaborent X x x tu ON Didier TENTHOREY Pr sident Agent r gional Eric BURNET Membre Chef bureau affili s Jean Marc CHERIX Membre Agent r gional B atrice CHUARD Collaboratrice AAS Jacqueline MENETREY Pr pos e Josiane MICHOUD Collaboratrice AAS Marie NOBS BROVELLI Pr pos e Eric ROCHAT Membre Pr pos Comm formation Comm formation Vice pr sidente Secr taire aux PV Secr taire caissi re Fichier des membres Un journaliste appelle le syndic Mon sieur Y directeur g n ral d une grande soci t habite votre commune mais il ne paie pas d imp t comment cela se fait il Le syndic peut il r pondre cette question R ponse le syndic ne peut pas entrer en mati re sauf confirmer que la per sonne habite bien la commune L in formation sur le montant d imp t est du ressort des Offices d imp t et celle sur le statut fiscal par exemple imposition sur la d pense ou la source est couvert par le secret fiscal De m me tablir des comparaisons entre contribuables com me l a fait r cemment un syndic dans la presse est une violation qualifi e du secret fiscal X k x La Municipalit de AA vient d apprendre par le canton qu un de ses gros contri buables d c d laissera une recette fis 4 R CSR Yverdon G
37. os es et pr pos s qui ont d cesser leur activit occa sionnelle de l engagement sans faille qu ils ont toujours d ploy aupr s de leurs collecti vit s publiques Didier TENTHOREY Pr sident de l Association Vaudoise des Agents d Assurances Sociales AVDAASs Impressum Administration et r daction Secr tariat UCV case postale 481 1009 Pully gt T l 021 728 63 13 gt Fax 021 728 63 47 gt e mail ucv ucv vd ch gt www ucv ch Impression et r gie des annonces Imprimerie Vaudoise S A Av Ruchonnet 15 1001 Lausanne gt T l 021 317 51 95 gt Fax 021 311 61 05 Graphisme Agence Grand Large SA Lausanne Sommaire N 18 gt Septembre 2006 Retour sur la Journ e des Communes Vaudoises M zi res Point de Mire gt Entretien des routes cantonales et communales Point Flash gt Le secret fiscal Nouveau comit de l aVDaas Point de contact gt Cornelius Robin nous parle du label Respect Inside Histoire s vraie s Engagement des sapeurs pompiers volontaires Le nouveau passeport biom trique Point Flash gt Plafonds d endettement Qu est ce que la Police de proximit gt M mento gt Cours de l Idheap gt Cours de finances publiques LE POINT COMMUN E EST UN JOURNAL DESTIN AUX MUNICIPALIT S MAIS GALEMENT TOUS LEURS COLLABORATEURS Point commune gt 1 x M zi res samedi 24 juin 2006 gt
38. oumettre un m canisme d auto va luation lectronique Elles s engagent galement respecter la charte thique respect inside et prendre des actions correctives pour sans cesse am liorer les conditions de vie des personnes qu elles emploient Pour assurer la fiabilit des donn es collect es et publi es sur le site des organisations ind pendantes sont charg es des contr les sur place Fer de lance de ce mode de gouvernance d entreprise M Cornelius Robin fonda teur et patron de l entreprise Switcher a accept de nous recevoir et de nous pr senter les principes et les actions qui caract risent son syst me de gestion la diff rence des syst mes fond s sur la maximisation du profit dans lequel seules les performances conomiques sont prises en consid ration dans le pro cessus de d cision le mod le appliqu chez Switcher accorde autant d impor respect inside the product DNA tance aux performances sociales et envi ronnementales qu aux performances conomiques Un des objectifs fonda mentaux que s est fix Switcher dans sa d marche est la transparence de sa cha ne d approvisionnement du champ de coton jusqu au consommateur final et le recyclage du produit Outre la charte thique d j mention n e l entreprise a d fini un Code de Conduite destin aux fournisseurs et qui appelle au respect de conditions de travail tr s pr cises regroup es en une s rie de chapit
39. prot ger la sph re priv e de la personne et cr er un climat de confiance entre le contribuable et son administration fiscale La loi sur les imp ts communaux LIC conf re aux communes des comp tences pour percevoir l imp t Bien qu elles confient le plus souvent cette perception au canton les communes n en conser vent pas moins leur comp tence Ainsi elles re oivent de l Administration can tonale des imp ts ACI des listes bien entendu confidentielles et plac es sous secret fiscal indiquant notamment les montants d imp t pay s par chaque contribuable de la commune ainsi que ses l ments de taxation de revenu et de fortune Ces listes sont adress es aux municipalit s qui connaissent donc par faitement les donn es fiscales de leurs ouailles La loi sur les imp ts directs cantonaux LI r gle le secret fiscal comme suit Art 157 Les personnes charg es de l applica tion de la pr sente loi ou qui y collaborent doivent garder le secret sur les faits dont elles ont connais sance dans l exercice de leurs fonctions ainsi que sur les d lib rations des autorit s et refuser aux tiers la consultation des dossiers fiscaux Les dispo sitions de la loi sur le personnel de l Etat de Vaud et de la loi sur l information ainsi que celles du Code p nal suisse sont applicables Les personnes charg es de l application de la loi sont le boursier le syndic et le municipal des finances ainsi que leurs
40. r de plus ou moins grandes r serves latentes ce qui peut fausser l appr ciation de la situation financi re Que dire des communes qui aujourd hui se trouvent confront es des investisse ments indispensables impos s par le droit sup rieur exemple b timents scolaires Doivent elles pr voir dans leur planifica tion financi re une augmentation du taux d imposition compl t e par des me sures de compression des charges et une augmentation des autres revenus Est il possible en pratique que le Conseil communal puisse s engager valider un plafond d endettement contenant une augmentation future d imp t Devra t on faire aujourd hui un arr t d imposi tion pour par exemple 2009 2010 afin de donner une cr dibilit au plafond d endettement approuv par le Conseil communal Devra t on galement enta mer l avance un processus fastidieux avec les services communaux afin de trouver des conomies et des sources de revenus cr dibles et applicables dans la planification financi re Quant aux facteurs exog nes comme le report des charges de la Conf d ration sur le canton puis du canton sur les com munes ou encore les montants futurs des p r quations 2008 2009 et 2010 2011 ils sont hors de la comp tence des com munes qui attendent du canton des chiffres fiables pour leur planification financi re A ce sujet il faut rappeler sim plement que si le plafond d endettement avait d tre fait pour
41. randson P cheur 8 CP 1401 YVERDON LES BAINS AAS Place Chauderon 7 1002 LAUSANNE CSR Bex Av de la Gare 14 1880 BEX AAS H tel de Ville CP 87 1530 PAYERNE AAS Le Bourg 11 CP 91 1610 ORON LA VILLE AAS Yverdon district P cheurs 8 CP 1401 YVERDON LES BAINS AIAS Grand rue 7 CP 36 1040 ECHALLENS AAS Grand rue 31 CP 63 1347 LE SENTIER cale importante Les autorit s annoncent la bonne nouvelle au Conseil communal en donnant le montant et le nom du d funt Est ce correct R ponse non pour ce qui concerne la communication de l identit du d funt il s agit clairement d une information fis cale divulg e une autorit le l gislatif non charg e de l application de la loi La Municipalit ne peut parler que du mon tant qui sera inscrit dans les comptes kx x x Isabel Balitzer Domon Administration cantonale des imp ts En cas de doute sur ce type de questions o les municipalit s peuvent elles s adresser A l Administration cantonale des imp ts ACI Lausanne Isabel Balitzer Domon responsable de la communication T l 021 316 24 91 ou Isabel balitzer domon vd ch qui se chargera de trouver des r ponses vos questions ASSOCIATION VAUDOISE DES AGENT E S D ASSURANCES SOCIALES AVDAAS 024 423 69 50 didier tenthorey csr yverdon vd ch 021 315 73 20 eric burnet lausanne ch 024 463 03 63 jean marc cherix csr bex vd ch 026 662 65 9
42. re et les r sultats esp rer ne justifie pas de mesures sp cifiques Les plus alarmistes y verront peut tre une nouvelle porte ouverte l immigra tion d guis e et crieront l invasion La v rit est comme souvent entre les deux l auteur de ces lignes voulant sim plement qu on lui prouve que son mode d emploi n est pas aussi facile suivre qu il n y para t Michel Zeller et Patrick Tissot ASSOCIATION VAUDOISE DES CONTR LEURS DES HABITANTS AVDCH Point commune gt 14 ee rog LP Ag que Les comp tences professionnelles du sapeur pompier volontaire sont encore trop souvent sous exploit es par les employeurs COMPTOIR SUISSE du 15 au 4 septembre Nii 1 4 A Forum du 20 septembre 2006 au Comptoir Suisse L engagement des sapeurs pompiers volontaires gt Quelles incidences pour les entreprises et collectivit s publiques du Canton de Vaud Outre la pr vention des sinistres et leur indemnisation l Etablissement Cantonal d Assurance ECA contri bue au financement et la bonne marche des services du feu vaudois Fort de sa vision cantonale l ECA a t mandat par l Etat pour proc der leur r organisation Les principes directeurs de la r forme sont ax s sur une meilleure r partition g ographique du niveau s curitaire avec des moyens qui se rapprochent des lieux de risques le rel vement des exigences forma tric
43. res le travail est librement choisi il n y a aucune exploitation du travail des enfants les salaires minimum sont garantis hygi ne et s curit au travail une relation de travail est formellement tablie En signant le Code de Conduite les four nisseurs s engagent le mettre en uvre dans tous les lieux de production qu ils poss dent ou contr lent Ils s en gagent aussi faire signer ce code leurs propres fournisseurs Photo de droite M Cornelius Robin devant l entr e de sa soci t Switcher Point commune gt 12 7 7 r L W 7 En outre l entreprise Switcher a gale ment d fini une charte des march s trangers sur la base de laquelle elle d cide ou non de p n trer un march tranger Les crit res d valuation sont au nombre de huit signature et ratification des principaux instruments internationaux de protection des Droits de l homme garantie des libert s civiles stabilit politique et absence de violence niveau de d penses pour la sant en pourcentage du PIB 13 lt Point commune Par ailleurs Switcher investit dans des programmes de formation profession nelle des jeunes adultes dans les usines dans la construction d une installation de r cup ration et de r utilisation du sel employ dans le processus de teinture des textiles dans la construction d une installation de recyclage de l eau voire encore dans la construction d
44. s va sans dire que l absence de d couvert en mainte nant la m me politique d amortissement et d attribution ou de pr l vement des fonds am liore l autofinance ment et par voie de cons quence l endettement net Point commune gt 17 De plus en plus de corps de police intercommunaux gt une volution majeure dans le paysage de la s curit publique vaudoise Les autorit s communales des villes sont toujours plus nombreuses consid rer que la dimension locale n est plus suffisante pour g rer les questions de s curit publique Dans toutes les r gions du canton une r flexion intercommunale est en cours Et tous ces projets h ritages de Police 2000 devraient permettre une nouvelle approche des questions de s curit publique et une am lio ration globale des prestations four nies la population Les m dias le r p tent l envi les municipaux de police et chefs de police ne feraient que d fendre leurs pr rogatives locales n auraient au cune r flexion globale et seraient r fractaires au changement d fen dant leur pr carr Eh bien il n en est rien au contraire Les respon sables de la s curit publique dans les villes vaudoises sont convaincus de la n cessit de faire voluer le syst me actuellement en vigueur Mais entre volution et r volution il y a un pas et si le changement est salu par les chefs de police r unis au sein de l ACPMV Association des
45. unales et cantonales Y a t il des similitudes entre l hom me et la route La route et surtout sa peau bien visible se comporte t elle comme la n tre Route communale route cantonale route nationale quelle que soit sa d nomination et de qui elle d pend quelle importance La constatation est g n rale nous vieillissons nos routes vieillissent aussi nous nous ridons elles aussi La peau de l homme est sujette com mentaire la peau des routes aussi Elle est affubl e de petits commentaires comme peau de crocodile fa en age orni rage fissuration j en passe et des meilleures En somme les affres du temps donc les rides Ces commen taires ne sont pas gratifiants comme si une route neuve comme miss Suisse c est normal et sans efforts ur n a E E e md ji pph aer LL Ar mg ES oh So mr a sn SU s as Dr Pyndis 4 mu Er 7 lt Point commune Cette belle d un jour ne peut s occuper d elle elle est tributaire de notre bon vouloir et de nos int r ts Quand int r t il y a alors la moiti du chemin est fait Elle est belle et l entretenir co te cher Que fait on pour nous Homme ou femme cr me antirides lotion ceci lotion cela afin de se pr server le plus longtemps possible a c est pour la cosm tique de base et pas ch re en apparence Le r sultat est la hauteur de l investissement il dure un temps plus ou moins long avec une applica tion r guli re Si on en veut plus
46. ur au 4 septembre 2006 D s cette date le nouveau passeport du mod le 06 dit passeport 06 aura cours en parall le l actuel passeport 03 Le Conseil f d ral avait auparavant pris connaissance des r sultats de la proc dure de consultation men e l an dernier pro pos de la r vision de l ordonnance et de la loi sur les documents d identit A cette occasion l introduction du passeport bio m trique avait t approuv e par une nette majorit des 47 autorit s et organi sations consult es Adaptations d termin es par les r sultats de la consultation Le Conseil f d ral a suivi plusieurs sugges tions exprim es lors de la consultation Il a par exemple abandonn une disposition contest e concernant la proc dure d ta blissement et a simplifi celle ci Les normes relatives la protection des don n es ont galement t pr cis es En revanche le Conseil f d ral n a pas modifi le montant de 250 francs requis Texte gt Michel Zeller Pr pos l Office de la Population Montreux Le passeport biom trique sera disponible d s septembre 2006 le Conseil f d ral approuve la base l gale n cessaire Passeport 06 biom trique gt Le passeport suisse de la nouvelle g n ration PHCHENODELLOCAFELICECAUREL LOC Cd dd ed S1100582C1CHE6307127M110P07 lt cccc acc cc cc ec e2 pour l tablissement du passeport biom trique pour les adultes Ce prix sera appli cable durant l
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