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Télécharger le numéro complet - Revue suisse de viticulture

1. ep emm A e B WT A B en W W N kA S LA vn S A TA UR D P Se i G j j N b a a 4 y n WW Li N J 1 Al Kate Y d E E m M Cultures sous serre Viticulture Actualite 1 M rissement des tomates en fin de culture P Min ralit du vin Page 174 188 I O O Fiche technique du c page Divico P N Dupenloup SA 9 chemin des Carpi res 1219 Le Lignon GE ETI CO 8 8 Tel 022 796 77 66 contact dupenloup ch L tiquette autocollante www eticolle ch JUT JUF D FABRIQUE DE POMPES MAT RIEL POUR L INDUSTRIE POMPES GESTION DES TEMP RATURES RACCORDS ET ACCESSOIRES INOX SIS SE Of NM Haute Couture pour foudres et barriques diffuse un brouillard sec gouttellettes de 1 3 um eau filtr e et osmos e Pour que la robe de votre bouteille soit la hauteur de celle de votre vin Damit das Kleid Ihrer Flasche Der G te Ihres w rdig ist IV Perch l abito della vostra bottiglia sia all altezza di quello del vostro vino appareil autonome installation simple limite la part des anges assoupli les tanins R f rences et essais sur demande conserve les f ts vides B L ETIQUETTE u ee Sr Partenaire Partner Partenaire 13 Oeno P le S rl s CP 57 1183 Bursins MONDIAL DES PINOTS A Grand Prix cn rmm T l
2. www hauenstein rafz ch Les DH JE ante qu 1a lit e pe Dur un mel lleur rendement Actualit s D sinfection la vapeur a r e de semences de l gumes Werner E HELLER Agroscope 8820 W denswil Renseignements Werner Heller e mail werner heller agroscope admin ch t l 41 44 783 63 68 www agroscope ch Le bon tat sanitaire des semences joue un r le d ter minant dans la croissance r guli re d une culture de l gumes Un bon tat sanitaire signifie une qualit biolo gique lev e capacit germinative et vigueur excel lentes absence de pathog nes Nos propres recherches et les donn es de la litt rature confirment que chez de nombreuses esp ces de l gumes les champignons pa thog nes peuvent tre transmis par les semences fig 1 Pour l viter les semences peuvent tre trait es par des moyens chimiques produits d sinfectants ou fon gicides ou physiques comme l eau chaude ou la va peur qui ne laissent pas de r sidus et sont les seuls envisageables en production biologique Figure 1 Oospores de mildiou Peronospora valerianellae sur une graine de m che Valerianella locusta L Le traitement l eau chaude est techniquement contraignant les semences sont tremp es dans l eau chaude durant 20 30 minutes et absorbent alors une importante quantit d eau Le probl me est que les temp ratures n cessaires pour liminer les champi gnons pathog nes sont proches de celles
3. j d Fi Diverses phases de la s lection d un nouveau c page des semis aux premi res multiplications De 1965 1995 Agroscope a cr huit nouvelles vari t s de cuve issues de croisements entre c pages euro p ens L objectif d alors tait la r sistance la pourri ture grise Botrytis cinerea le potentiel organolep tique et la souplesse d adaptation aux conditions du vignoble suisse Cette premiere tape a t fructueuse puisque en moins de vingt cinq ans ces c pages ont conquis plus de 820ha du vignoble suisse Le Gamaret occupe la moiti de ces surfaces et vient en quatri me place des c pages cultiv s en Suisse juste apres le Merlot En outre depuis 2010 il a t introduit dans les catalogues officiels de l Italie et de la France o il est actuellement l objet d une demande de classifica tion en AOC pour le Beaujolais Depuis 1996 le programme des lection d Agroscope a t r orient vers l obtention de c pages r sistants aux principales maladies de la vigne mildiou Plasmo para viticola oidium Uncinula necator et pourriture grise Botrytis cinerea La r sistance la pourriture peut tre s lectionn e l int rieur de la vigne euro p enne mais contre le mildiou et l oidium elle doit tre recherch e chez des parents porteurs de g nes de r sistance provenant d esp ces sauvages de Vitis d ori gine am ricaine ou asiatique Cette d marche de croi sement intersp cifique
4. 200 203 2014 poss dant cette vari t Seuls les quartiers vari taux situ s entre la 4 et la 15 ann e de production pommes et entre la 4 et la 20 ann e de production poires durant la p riode 2009 2012 sont pris en consid ration Les rendements de Golden Delicious Gala Braeburn et Jonaglod ne pr sentent pas de diff rence significative et se situent entre 35 et 45 t ha Avec 32t ha les rendements de Fuji sont bien plus bas que ceux de Golden Delicious Les rendements de Kanzi et Milwa sont encore plus faibles env 20t ha et il n y a pas de diff rence significative entre ces vari t s La vari t de poire Kaiser Alexander pr sente des rende ments significativement plus lev s que Conf rence Faible rendement la r colte pour Gala et Conf rence Les rendements moyens la r colte des vari t s Golden Delicious Braeburn Jonagold Fuji Nicoter et Milwa oscillent entre 125 et 134 kg MOh Il n y a pas de dif f rence significative entre ces vari t s Seule Gala pr sente un rendement moyen la r colte significa tivement plus faible 114kg MOh li entre autres son petit calibre Le rendement moyen la r colte de 45 Golden Delicious 10 Kaiser Alexander est de presque 135 kg MOh contre seulement 85 kg MOh pour Conf rence Cette diff rence de rendement de r colte atteint une importance dont la signification n est pas que d ordre statistique Braeburn Gala et Fuji
5. 2005b Yeast metabolic implications of icewine fermentation Am J Enol Vitic 56 4 Vilela Moura A Schuller D Mendes Faia A amp C rte Real M 2008 Reduction of volatile acidity of wines by selected yeast strains Appl Microbiol Biotechnol 80 5 881 890 Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 182 186 2014 Viticulture Am lioration de la performance des levures cenologiques avec la m thode fed batch E 2 Summar Improvement of yeast performance by application of fed batch fermentations in enology High must sugar concentrations lead to a hyperosmotic stress response in Saccharomyces cerevisiae increasing the formation of acetic acid and acetaldehyde as well as the risk of fermentation failures This work compared the traditional batch fermentation of a very high sugar containing grape juice 340g l with a fed batch fermentation where the same juice was added at such rates as to keep sugar concentrations constant at 50g l during the fermentation In both treatments the final ethanol concentrations were similar but higher ethanol formation rates were obtained in the fed batch fermentations that were associated with increased yeast viability Significantly less acetic acid and acetaldehyde remained after fed batch fermentations The implementation of fed batch fermentations at low and constant substrate concentrations may be a suitable technique for increasi
6. tent galement de gros risques Leur production est parfois difficile et peut m me se r v ler perte Ann e apr s ann e les exploitations du r seau SOA enregistrent leurs donn es techniques de production jusqu au quartier vari tal gr ce au logiciel d enregis trement parcellaire ASAjAgrar Le but du SOA est de promouvoir une production de fruits suisses rentable et comp titive au niveau international Chaque ann e les chefs d exploitation et parmi eux une femme se rencontrent pour prendre connaissance des r sultats approfondir certains th mes et changer leurs exp WO maaan Noms de vari t s et marques Milwa Diwa Nicoter Kanzi Scifresh Jazz riences La rencontre des chefs d exploitation 2013 a eu lieu le 5 d cembre H nenberg ZG avec quinze pro ducteurs et sp cialistes Principaux r sultats En 2013 dix sept exploitations de Suisse al manique Thurgovie en t te et quatre exploitations de Suisse romande ont soumis leurs donn es techniques de pro duction l analyse de rentabilit de l exploitation Les r sultats ont port sur 80 ha de pommiers 9ha de poi riers Aha de cerisiers et 1 ha de pruniers Les producteurs de pommes et de poires ne re coivent les d comptes finaux de leur production que l ann e suivante les r sultats taient ainsi pr sent s Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 200 203 2014 avec les recettes jusqu en
7. 3 162 171 2014 Cultures sous serre Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie 100 100 Figure 2 Pourcentage de 90 90 classification correcte par _ 80 80 le mod le AFD en fonction E amp du nombre de dimensions m 2 dd introduites dans le mod le g 60 2 60 utilisant les fruits de 50 2 50 printemps A et d t B P 40 S 40 an factorielles de LAPD E E d apr s les deux premi res a 30 a 30 coordonn es factorielles 20 2 avec les fruits de printemps 10 10 C et d t D 0 0 0 5 10 15 20 25 30 0 5 10 15 20 25 30 Nombre de LV Nombre de LV 0 12 0 15 0 1 Recolte 0 08 0 1 0 06 0 04 0 05 0 02 Pa 0 0 0 02 0 04 0 05 0 06 0 08 0 1 0 15 0 1 0 05 0 0 05 0 1 0 1 0 05 0 0 05 0 1 0 15 F1 F1 Tableau 1 Valeurs des mod les de pr dictions PLS pour la teneur en mati res solubles TMS et l acidit totale TA Saison Printemps Et Printemps t Stade PM M PM M PM M PM M PM M PM M Etape V C V C V C V C V C V C V C V C V 9 6 6 6 6 7 7 8 8 6 c TMS LV 9 RMSEc 0 32 0 23 0 24 0 28 0 30 0 30 0 43 0 25 0 34 ro wm ox wo za n an a RPD 1 45 2 08 1 84 1 00 0 97 1 20 0 88 1 84 1 41 RPIQ 311 413 374 1 07 1 00 2 00 1 40 2 40 CV 127 128 127 102 89 10 8 111 121 12 3 A3 ao 6 13 04 M2 67 65 COTRMERESERERERERERERERERERESERERERERERES EE asian len ler E
8. Fax 027 746 33 11 www ccdsa ch Mail ccdsa bluewin ch pour des vignes propres un glyphosate avec cor EJUS cse herbicide action nique et r siduaire SSL per int re 3 santes in contre le botrytis 5413 Birmenstorf T l phone 056 201 45 45 3075 R fenacht T l phone 031 839 24 41 www leugygax ch JEAN CLAUDE FH PEPINIERES N VITICOLES La Ironche LE 73250 FRETERIVE e FRANCE 7 TEL 00 33 479 28 54 15 PORT 0033680223995 FAX 00 33 479 65 68 12 E MAIL jeanclaude fay wanadoo fr www plants de vigne fay com e Nombreuses r f rences aupr s des viticulteurs suisses depuis plus de 30 ans e Possibilit de plantation la machine e ivraison assur e par nos soins votre exploitation e Plants trait s l eau chaude Suivant recommandations de vos services phytosanitaires ou correspondant la norme ZPD4 Viticulture Pascale DENEULIN 2 Guillaume LE BRAS Yves LE FUR et Laurent GAUTIER Changins Haute cole de viticulture et cenologie 1260 Nyon Universit de Lausanne 1015 Lausanne Institut nologique de Champagne 71640 Mellecey Centre des sciences du go t et de l alimentation AgroSup Dijon 21065 Dijon Centre interlangues texte image langage Universit de Bourgogne 21000 Dijon Renseignements Pascale Deneulin e mail pascale deneulin changins ch t l 41 22 363 40 55 www changins ch pm FH P dit ET Wl E D LLMNE Mrs X ri Min ralit
9. Hapax France Suisse France Suisse France Suisse a Evocation 9972 4321 1274 957 645 547 D finition 11868 3620 1448 784 722 424 Synonyme 3865 1291 832 434 495 280 b Evocation 742 1224 95 271 48 155 D finition 883 1025 108 222 54 120 288 366 62 123 37 79 Synonyme a effectifs bruts pour 1344 consommateurs fran ais et 353 consommateurs suisses b effectifs rapport s 100 consommateurs ES suisse France e 8 L N OH AS AE SO GE An ox LR SR WW EE D QV D LS LR OD x ES S AS AS ue NO dae 2 EI oi OO QS ox D aD LR LD IS ISIS SO GA e NS NS AD LS LE oe II Ed NN GV RO dS IE QV qq LD WX ON SS RO ANO VO D AO WE AN GAS NS SS QU CQ GS QS d A S S A 9S eS S RS E O XE d GN ES S 9 qe SN ES SS NS ge a SO X S CS S SG 4 SS e Figure 1 Sous corpus vocation graphique comparatif des effectifs de citation rapport s 100 consommateurs des mots permettant de diff rencier les consommateurs suisses et francais Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et fran ais Viticulture tokens V est la vari t c est dire le nombre de mots distincts types et Hapax donne le nombre de mots n apparaissant qu une seule fois Le tableau 1a indique les effectifs bruts alors que le tableau 1b donne les effectifs rapport s 100 c
10. Pour l t la mod lisation de la pr diction de b est correcte avec des valeurs respec tives de R de 0 92 et 0 87 pour la calibration et la valida tion Au printemps la mod lisation de b dans la phase PM est aussi correcte avec des valeurs de R de 0 89 et 0 86 Le mod le printemps t est moins pr cis Bibliographie Baranska M Sch tze W amp Schulz H 2006 Determination of lycopene and beta carotene content in tomato fruits and related products Comparison of FT Raman ATR IR and NIR spectroscopy Analytical Chemistry 78 24 8456 8461 Barnes R J Dhanoa M S amp Lister S J 1989 Standard normal variate transformation and de treding of near infrared diffuse reflectance spectra Applied Spectroscopy 43 5 772 777 Beckles D M Hong N Stamova L amp Luengwilai K 2012 Biochemical factors contributing to tomato fruit sugar content a review Fruits 67 1 49 64 Bellon Maurel V Fernandez Ahumada E Palagos B Roger J M amp McBratney A 2010 Critical review of chemometric indicators commonly used for assessing the quality of the prediction of soil attributes by NIR spectroscopy Trac Trends in analytical Chemistry 29 9 1073 1081 Bellon Maurel V Crochon M amp Roger J M 2002 GLOVE an instrumented glove to non destructively and rapidly assess fruit quality n Fruit Nut and Vegetable Production Engineering 6th International Symposium Potsdam DEU Bertrand D Courcoux P
11. cessaire de traiter avec des fongicides de facon r p t e pour assurer des rendements qui garantissent la rentabilit des cultures Les producteurs suisses de l gumes bio cultivent surtout des vari t s de carottes relativement tol rantes l alternariose et ils accueillent tr s favorable ment la d sinfection la vapeur a r e La firme Sativa de Rheinau qui produit des semences bio et poss de une installation de d sinfection la vapeur a r e af firme que cette technique est appliqu e presque syst matiquement toutes les graines de carottes bio Figure 6 Infection fongique et facult germinative de semences d asperge cv Mary Washington avant gauche et apr s d sinfection la vapeur a r e durant 90 secondes 66 C droite Les semences de basilic quant elles ne peuvent pratiquement tre d sinfect es qu la vapeur a r e car elles s imbibent tr s rapidement au contact de l eau et s agglutinent Pour les asperges enfin la d sinfection des semences la vapeur a r e permet de produire des jeunes plants indemnes de pathog nes pour autant que l on utilise des substrats st riles Cette technique pourrait ainsi sensible ment prolonger la dur e de vie des cultures d asperges La d sinfection des semences la vapeur a r e peut tre assez simplement effectu e en continu en placant les semences sur un tapis roulant r gl pour passer dans la chambre de traitement du
12. de cro tre en milieu ana robie Nevoigt 2008 En cenologie S cere visiae assure la stabilit microbiologique par sa produc tion d thanol mais contribue aussi de facon fonda mentale la qualit organoleptique du produit final Notamment certains composants aromatiques sont produits pendant la fermentation soit favorables comme les esters volatils aux ar mes fruit s ou floraux soit moins souhait s comme l acide ac tique ou le sul fure d hydrog ne qui peuvent nuire la qualit voire rendre les vins inconsommables Cette situation se pr sente surtout lorsque les le vures subissent des stress pendant la fermentation qui engendrent la production de ces compos s ou m me des arr ts de fermentation Les facteurs de stress les plus signifiants pour S cerevisiae sont la temp rature les concentrations en sucres et en alcool La r ponse de S cerevisiae au stress hyperosmotique caus par des hautes concentrations en sucres a t amplement tu di e dans le cadre des fermentations oenologiques Bely et al 2005 Erasmus et al 2004 Ferreira et al Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 182 186 2014 AmAlinratinn No a narfnrmanreo Nac Anme lOration de la lerTormance aes 2006 Le stress hyperosmotique cause une sur r gula tion des g nes de la voie m tabolique glycolytique et de la voie pentose phosphate Erasmus et al 2003 in duisant une augmentation de produits s
13. dimensionalit t des Begriffs l sst sich insbesdondere an Stereotypen ablesen wie Feurestein bzw Silexnoten Eindruck einen Kieselstein zu lutschen S ure oder auch terroir Bezug Mineralit t erscheint als nicht fest um rissener Begriff eine genaue Definition zu liefern f llt also vielen Konsumenten schwierig Riassunto E _ SOL CONSEIL sn STS 213 La mineralit del vino percezioni mentali di consumatori svizzeri e francesi Oggigiorno il concetto di mineralita nei vini onnipresente nei discorsi di marketing nella critica enologica e nei supporti di comunicazione di numerosi operatori Pertanto nessuno in grado di accordarsi su una definizione consensuale Questo articolo intende studiare le diverse percezioni che i consumatori svizzeri e francesi hanno della mineralit La multidimensionalit di questa nozione si ritrova in particolare attraverso gli stereotipi basati sull odore di pietra focaia e silicio sull impressione di succhiare un sasso sull acidit ma anche sulla tipicit del terroir La mineralit appare come un concetto variabile per molti consumatori rimane dunque difficile attribuirle una precisa definizione Analyses el conseils de fumure notre laboratoire accr dit et nos ing nieurs sont votre disposition SOL CONSEIL Changins CP 1381 1260 Nyon 1 T l 022 363 43 04 Fax 022 363 45 17 E mail sol conseil acw
14. min ralit dans les vins est une notion qui n voque rien Ils sont respectivement 11 et 19 ne donner aucune d finition et aucun synonyme de la notion Des traces d ind termination existent Pour les autres consommateurs interrog s la min ralit dans les vins est associ e aux odeurs de pierre fusil de silex et de craie l impression de sucer un caillou l acidit la fraicheur et la vivacit en bouche aux min raux contenus dans le vin sans doute sur la base d un parall le avec les eaux min rales au terroir la composition du sol o pousse la vigne e Plus sp cifiquement les consommateurs suisses font r f rence au Chasselas la Petite Arvine et la r gion du Valais Ils associent la min ralit la salinit et du p tillant en bouche lisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 1 Viii V C1 Sous corpus synonyme Donner des synonymes la min ralit semble tre la t che la plus complexe 19 des consommateurs suisses et fran ais confondus n y parviennent pas En plus des mots d j cit s dans les r ponses aux deux questions pr c dentes notamment pierre fusil pour pierre fusil silex terroir odeur fra cheur caillou min raux de nouvelles associations apparaissent entre min ralit et e fra cheur vivacit complexit richesse l g ret a rien finesse subtil cristallin clart pur
15. nieur agroalimentaire en poche d part pour Angers charg e de projet In terloire elle d veloppe notamment la m thode senso rielle du napping qui fera r f rence par la suite De 2006 2008 elle dirige l Institut franc comtois des Vins et du Go t une association r gionale o elle assume tout l organisation des d gustations de produits du terroir l animation le site internet le commercial et la pr paration des dossiers pour des projets europ ens Elle est heureuse de renouer avec la recherche lorsque l Ecole d ing nieurs de Changins l engage comme collaboratrice en analyse sensorielle pour tra vailler sur les probl mes de r duction dans le Chasse las A partir de l ses activit s voluent en continu de m me que ses responsabilit s analyste adjointe scien tifique puis professeur En 2010 elle monte avec son quipe un panel ex pert qui avec quarante d gustateurs bien form s constitue un outil tr s sollicit recherche mandats pri v s travaux de Bachelor Pour Pascale Deneulin l ana lyse sensorielle se situe l interface de plusieurs sec teurs d une entreprise agroalimentaire dont les pro duits d pendent en effet des go ts et des pr f rences de ceux qui les ach tent Ainsi chez Nestl tous les nouveaux produits sont soumis l analyse sensorielle Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 205 2014 EN Pascale Deneulin photo Carole Parodi Agr
16. par Changins Haute cole de viticulture et ceno logie et l Universit de Bourgogne en collaboration avec AgroSup Dijon et l Institut nologique de Champagne ainsi que par les partenaires techniques que sont les can tons de Vaud Gen ve Neuch tel et du Valais pour la Suisse et le BIVB CIVJ et IFV Savoie pour la France E Pascale Deneulin et St phane Burgos CHANGINS Haute cole de viticulture et nologie Renseignements pascale deneulin 9 changins ch t l 41 22 363 40 50 www changins ch Voir l article de Deneulin et al en p 174 de ce num ro pa Schweizerische Eidgenossenschaft Conf d ration suisse Interred Confederazione Svizzera FRANCE SUISSE Confederaziun svizra ECH Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 206 2014 Un nouveau standard dans la lutte contre le botrytis en viticulture Bayer Schweiz AG CropScience 3052 Zollikofen T l 031 869 16 66 www agrar bayer ch Moon Privilege contient du Fluopyram 2 Observer les risques de danger et les mesures de s curit sur les emballages Bayer Crop Science te ORMES du passe associ es aux mati res du futur LLe Le soleil ou Le PES EN a wur TRY bre d Qn La que gU v TU AP CG f d 1 A Mati re synth tique neutre PEHD sans bisph nol Couvercle et robinetterie inox 516L Vanne de vidange 11 2 Nettoyage simple D placable plein transpa
17. 078 716 40 00 u Vin Suisse JJ E ee 4 Mail in fo o eno P ole ch Swiss Wine Award Et bien plus sur Sommaire Mai Juin 2014 Vol 46 N 3 Photographie de couverture 149 Editorial L i in ralit estia nare Cultures sous sere u u ipti mE DA i 154 M rissement des tomates en fin des vins Mais que recouvre t elle exacte d l thvl i ment Des experts en analyse sensorielle in ture a y Eile Su ee ont interrog des consommateurs sur ce C line Gilli C dric Camps et J rg Stalder qU Evoque POUF EUX ce concept 162 Suivi de la qualit des tomates en serre lire l article de Deneulin et al en p 174 par spectroscopie NIR portable et la Page de CHANGINS en p 206 Sach i et chimiom trie Photo Pascale Deneulin Changins s T C dric Camps Laura Deltheil et C line Gilli Viticulture 174 Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et francais Pascale Deneulin Guillaume Le Bras Yves Le Fur et Laurent Gautier 182 Am lioration de la performance des levures oenologiques avec la m thode fed batch Charles Frohman Danielle Widmer et Ram n Cette revue est r f renc e dans les banques de donn es internationales Mira de Ordufia Heidi SCIE Agricola AGRIS CAB ELFIS et FSTA ES Ee Editeur e AMTRA Association pour la mise en valeur des travaux de la recherche Actualit s n agronomique CP 1006 1260 Nyon 1 Suisse www revuevitiarbohorti ch 188 Fiche technique de Divico
18. 2011 et sans les recettes jusqu en 2012 L analyse des parcelles porte de la 4 la 15 ann e de production pour les pommiers et de la 5 la 20 ann e pour les poiriers Les chefs d exploitation cultivent de nouvelles vari t s Gala Golden et Braeburn sont les principales vari t s du r seau d exploitations 4396 au total en accord avec les surfaces cultiv es au niveau national 42 96 OFAG 2013 Avec ses 696 de surface Golden Delicious est toutefois sous repr sent e au sein du r seau SOA 1596 en Suisse OFAG 2013 En effet ces derni res ann es les membres du r seau d exploitation ont in vesti dans les nouvelles vari t s C est ainsi que Nicoter Fuji et Milwa avec chacune 3 ha font partie des vari t s les plus cultiv es apr s les trois principales et Jona gold La figure 1 montre l volution des principales vari t s de 1997 2012 En 2012 la surface totale des pommiers des exploitations SOA tait de 79ha tandis que les poiriers atteignaient presque 10ha fig 2 avec Kaiser Alexander aussi appel e Beurr Bosc 60 50 40 30 Surface ha 20 10 1997 1998 1999 2000 Surface ha 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 comme vari t principale avec 56 9o Kaiser Alexander tait aussi la vari t principale l chelon suisse en 2012 mais raison de 26 seulement
19. 2015 E Remerciements Albert Widmer Michael G lles Nicola Sartori Agroscope et Reto Leumann BBZ Arenenberg sont vivement remerci s pour leur soutien au projet SOA Traduction Adeline Kilchenmann Bibliographie Arbokost 2013 Programme de simulation conomique pour la production de fruits Agroscope 2014 Office f d ral de l agriculture OFAG 2013 Statistiques fruits Adresse http www blw admin ch themen 00013 00083 00096 01188 index html lang fr 1 3 2013 Actualit s Publicit Pas depuis 15 ans un pro dans mes vignes Piercarlo Saglini kk o Vigneron San Pietro Tl wg WWw switch syng hta ch le Gw 7 SR lf X A syngenta Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 200 203 2014 Chauffage refroidissement Ventilation climatisation Sanitaire CR PP mu u in i m ON 3 Mm a D gt PER E Ex Ve Tu Gi D 8 S partenaire Depuis 1853 nous concevons et r alisons des syst mes thermiques et des r seaux d eau dans les b timents r pondant toutes les attentes De la villa l immeuble en passant par les commerces et les industries notre quipe re l ve tous les d fis Actifs sur la partie Vaudoise de l arc l manique nous vous conseillons et vOUS assistons tr s volontiers Nous g rons tous les types d nergies quel que soit le projet Chez Von Auw SA vous trou verez 75
20. 46 3 154 158 2014 ltf rac carie carra Mi r ccamant dac tarr Lee A Ffin Na r lt ra l thvul na racrniiecal Cultures sous serre M rissement des tomates en fin de culture l th y l ne la rescousse couleur peuvent tre utilis s comme indicateurs objec tifs de maturation et donnent une estimation r aliste de la perception des consommateurs pour des fruits m ris sur la plante Analyses des r sultats Les donn es de rendement et de qualit des fruits ont t trait es par analyse de variance suivie d un test de Tukey de comparaison des moyennes au seuil de 5 96 logiciel XLSTAT Taux d ethylene dans la serre Les taux moyens d thyl ne enregistr s le jour et la nuit dans la serre avec injection sont r sum s dans le NET 3 10 9 ZS 8 2 7 6 c 5 9 S 4 z 3 S 2 D 1 0 SS D 8 8 D D D 8 GO 8 DN 8 OS OG OO SQ SI SQ Q OQ OQ SO I di NA Dia d Q5 SY NV Ne NE NE a XY di Figure 2 Suivi de la concentration en thyl ne ppm dans la serre avec injection au cours de la journ e du 15 novembre 2013 Tableau 1 Concentration en thyl ne dans la serre avec injection Moyenne nuit 19 h 7 h et jour 7h 19h tableau 1 La figure 2 illustre la dynamique d accumula tion de l thyl ne la nuit et la diminution durant la journ e A partir de 19h la concentration en thyl ne augmente rapidement dans la serre pour atteindre 10ppm aux alentours de 20h D
21. Kusumiyati et al 2008 Pedro et Ferreira 2007 R cemment une tude a mis en vidence le poten tiel de la technologie NIR portable pour mesurer les traits de qualit permettant le ph notypage de la to mate cerise cv Micro Tom Ecarnot et a 2013 La tomate se d veloppe en une soixantaine de jours depuis la nouaison du fruit si les conditions environne mentales sont favorables Giovannoni 2004 Les deux premi res semaines suivant la nouaison sont d di es la multiplication cellulaire Le grossissement ou l expan sion cellulaire constitue la deuxi me phase de construc tion permettant au fruit de prendre du calibre Cette phase s arr terait environ 30 jours avant la maturit des fruits Le fruit atteint alors le stade dit mature vert et son calibre quasi d finitif Au del le fruit entre dans la phase de maturation qui dure 10 15 jours Durant cette p riode la chlorophylle est d grad e et le fruit accumule des carot noides dont les lycop nes qui induisent son rougissement progressif Cette phase s accompagne du pic climact rique avec une respira tion accrue et la synth se d thyl ne qui amorce le ra mollissement du fruit et donc l volution de sa texture En culture sous serre certains facteurs abiotiques li s l environnement climatique longueur de jour et temp rature peuvent agir fortement sur le d velop pement du fruit Dans la pr sente tude la construction de la qualit a t suiv
22. OFAG 2013 Le pourcentage de Kaiser Alexander dans le r seau SOA est influenc par la situation en Thurgovie 55 des surfaces de poiriers La vari t Williams qui at teint 24 des surfaces au niveau suisse est sous repr sent e dans le r seau d exploitations SOA 6 96 tandis que Conf rence est la deuxi me vari t la plus repr sent e avec 3 7 ha 37 96 Au niveau suisse Conf rence est en troisi me position 1896 En Thurgovie avec 25 elle est la deuxi me vari t principale apr s Kaiser Alexander Braeburn Gala et Golden Delicious obtiennent les meilleurs rendements La figure 3 pr sente les rendements ainsi que les ren dements la r colte des huit vari t s principales de pommes et de deux vari t s de poires du r seau SOA La dimension du cercle repr sente l importance de la vari t en surface au sein du SOA Le chiffre entre parenth ses indique le nombre de producteurs SOA Nicoter 4 Jonagold 7 3 2 ha BH Jazz 1 3 5ha ES Golden Delicious 10 4 0ha Gala 14 5 5ha Scifresh 4 Milwa 4 BE Braeburn 11 19 0ha 4 0ha y 3 1ha Figure 1 Evolution 10 2ha des vari t s de pommes des exploitations SOA de 1997 2012 Williams 3 Kaiser Alexander 12 ENS Conf rence 8 0 6ha 5 4 ha 37ha Figure2 Evolution des vari t s de poires des exploitations SOA 2012 de 1997 2012 Actualit s Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3
23. admin ch www acw admin ch Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 wos fongicides SUCC S prouv s pour l arboriculture et petits fruits ut eo FLINT Moon EXPERIENCE Moon Ds Bayer Schweiz AG CropScience 3052 Zollikofen T l phone 031 869 16 66 www agrar bayer ch Employer les produits phytosanitaires avec pr caution Avant utilisation lire attentivement le mode d emploi et les informations sur l tiquette Observer les phrases et symboles de danger Viticulture Am lioration de la performance des levures cenologiques avec la m thode fed batch Charles FROHMAN Danielle WIDMER et Ram n MIRA DE ORDU A HEIDINGER Takasago International Corporation Rockleigh NJ USA 2Changins Haute cole de viticulture et cenologie 1260 Nyon Suisse Renseignements Ram n Mira de Ordu a Heidinger e mail ramon mira changins ch t l 41 22 363 40 86 www changins ch i Danielle Widmer tudiante du Master MLS Viticulture et nologie de Changins avec le nouveau spectrom tre proche infrarouge Bruker MPA qui sera utilis l avenir pour l automatisation des fermentations nologiques et d autres analyses du vin Introduction La levure Saccharomyces cerevisiae a une place pr do minante parmi les organismes de production indus trielle gr ce sa tol rance aux pH bas aux hautes concentrations d thanol et sa capacit
24. avec voie variable FALC B cheuses de 1 m 4m Roto et gyrobroyeurs de 0 60 m 3 50 m a largeur variable gyroculteurs Ec Import Service 1252 MEINIER GE T L 022 750 24 24 FAX 022 750 12 36 infoGsaillet ch www saillet ch Joints de rechange de portes tous mod les Cuves rectangulaires rondes tronconiques pression Cuves de pigeage Fouloirs grappoirs pressoirs membrane ATI U Installations de pilotage des temp ratures Tous accessoires etrobinetteries Pompes tuyauteries Filtres compacts multicarters e membranes Publicit Suisse T Bourse aux fleurs bernoise DIT Fleurs coup es gem Vos plus grands march s sp cialis s Blumig r plan fleurs coup es pour plantes et fleu p Besonders Nouveau point de vente Beeindruckend a Uetendorf Berner Blumenb rsen L chliweg 27 3014 Berne Votre partenaire Berner Blumenb rsen Uttigenstr 62 3661 Uetendorf DOUT la qualit GIGANDET sa 1853 YVORNE Atelier m canique T l 024 466 13 83 Machines viticoles vinicoles et agricoles Fax 024 466 43 41 Votre sp cialiste BUCHER VASLIN depuis plus de 39 ans O SS NG 2 vor Q Zen Pressoirs Pompes U C HER R ception Egrappoirs pour Fouloirs vaslin vendange Framboisier d one tr s gros fruits et l ar me Tel 41 0 44 879 11 22 typique Tr s robuste et productif info hauenstein rafz ch
25. chimique L claircissage m canique est une alternative possible qu emploient galement les producteurs non bio Le tableau pr sente les strat gies utilis es par les produc teurs de 1997 2012 L analyse d Albert Widmer sur l application des diff rentes substances actives fait res sortir que l t phon autoris depuis 2005 est utilis dans 30 7 des cas seul ou combin avec de l acide naphtylac tique ou de la benzylad nine Cette der ni re autoris e depuis 2008 est appliqu e dans 26 6 des cas donn es partir de 2008 seule ou combin e le plus souvent avec de l acide naphtylac tique 9 4 Pour la recherche comme pour la vulgarisation ou les organisations interprofessionnelles les donn es tir es de la pratique sont importantes pour pouvoir valuer la situation r elle des exploitations arboricoles suisses Les probl mes rencontr s par la production ou les facteurs qui permettent de r ussir peuvent ainsi tre d termin s au bon moment La recherche et la vulgarisation peu vent aussi valuer le niveau de mise en pratique de leurs recommandations AGRIDEA Agroscope et la Fruit Union Suisse veulent poursuivre l exp rience du r seau SOA et le d velopper Ces derniers mois la direction du projet s est investie dans l analyse du concept g n ral et dans la collaboration avec les diff rents partenaires et producteurs Durant l ann e 2014 le r seau SOA sera restructur pour faire peau neuve d s
26. classique a t adopt e pour la cr ation de Divico dont la g n alogie est reproduite dans la figure 1 Cette vari t rouge issue d un croise ment effectu en 1997 entre Gamaret et Bronner a Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 188 191 2014 re u le nom de Divico en hommage un chef helv te mythique Le processus de s lection a b n fici de la mise au point par Agroscope de tests pr coces de r sistance au mildiou bas s sur la synth se de phyto alexines sp cifiques tr s fortement li s la r sistance au champ Gindro et al 2007 La validation du com portement agronomique et du potentiel organolep tique des vins a profit id alement de la structure d exp rimentation d centralis e d Agroscope dans les principales r gions du vignoble suisse bassin l ma nique Valais Tessin Suisse al manique Cette phase de l exp rimentation a suscit un int r t marqu pour ce nouveau c page dans le vignoble suisse Ses carac t ristiques permettent de le cultiver avec succ s avec un minimum de protection phytosanitaire un trois traitements selon la situation et les conditions de l an n e Dans la gamme des c pages intersp cifiques il se distingue par le potentiel qualitatif de ses vins structu r s tr s riches en couleur et en tanins de bonne qua lit et caract ris s par un bouquet la fois fruit et pic Un article sur le comportement agronomique e
27. die Ernte dank permesso di raccogliere yield The addition of ethylene Ethylen Anwendung im Durch 15000grappoli ha in pi ossia only slightly influenced the schnitt um 15000Rispen ha d h 7500 kg ha 1 5 della resa analytical quality of tomatoes at um 7500 kg ha 1 5 des Gesamt totale rispetto al settore testi harvest acidity firmness and ertrags erh ht werden Die mone L apporto di etilene ha total soluble substances Such analytische Qualit t der Tomaten influenzato solo poco la qualit an application seems to be zum Erntezeitpunkt S ure analitica dei pomodori al economically profitable but the Festigkeit und l sliche Substanzen raccolto acidit fermezza e agreement for ethylene injection ist durch die Ethylen Zuf hrung sostanze solubili totali Econo in greenhouses must still be nur gering beeinflusst worden Aus micamente parlando una tale obtained wirtschaftlicher Sicht scheint eine applicazione sembrerebbe solche Anwendung rentabel zu redditizia Ma un autorizza Key words ethylene injection sein F r die Ethylen Freisetzung zione per l iniezione d etilene ripening acceleration im Gew chshaus muss jedoch noch effettuato direttamente in serra greenhouse eine Bewilligung eingeholt werden deve ancora essere ottenuta Remerciements Gilli C 2009 Effet de l Ethephon LG sur la maturation et la qualit des Toute l quipe du groupe de recherche Cultures sous serre d Agroscope ainsi que tomates Der Gem sebau Le M
28. du vin un concept omnipr sent dans le discours sur le vin mais sans d finition pr cise Introduction La notion de min ralit tait encore absente de toute litt rature nologique jusqu aux ann es 2000 Depuis le mot min ralit ne cesse de se r pandre dans les discours oenologiques pour se diffuser petit petit au sein du langage des amateurs Son utilisation est telle qu elle apparait comme un ph nom ne de mode une tendance autant chez les professionnels que d sormais chez les amateurs de vin Apr s une poque o les vins concentr s et sucr s ont domin le march mondial on constate un changement des go ts avec une recherche de vins plus quilibr s plus subtils Silvestre 2010 et offrant une plus grande buvabilit mot ayant gale Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et fran ais Viticulture ment fait son apparition ces derni res ann es La mi n ralit semble voquer cette subtilit mais galement une recherche d appartenance un lieu un terroir Pour autant aucune d finition ne fait encore l objet d un consensus et chacun se r fugie derri re son propre lexique mental A premi re vue ce concept semble pour une part faire r f rence des dimensions senso rielles olfactives gustatives ou trig minales mais s ap puie aussi sur une rh torique fond e sur des asp
29. en fonction des saisons printemps et t Stade donn es utilis es pour la construction du mod le PLS en fonction du stade de d veloppement des fruits pr maturation PM et maturation M Etape calibration C et validation V LV nombre de variables latentes introduit dans le mod le PLS R coefficient de corr lation RMSEc erreur quadratique du mod le PLS apr s correction du biais RPD rapport de la d viation sur la pr cision du mod le PLS RPIQ rapport de la distance interquartile sur la pr cision du mod le PLS CV coefficient de variation des valeurs de r f rence Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 ETE forte valeur de R peut tre obtenue dans une r gres sion lin aire mettant en jeu deux lots de donn es forte ment loign s Les mod les s par ment construits pour les fruits des phases PM et M fig 5C D am liorent le continuum recherch des valeurs pr dire Le param tre de couleur a volue essentiellement durant la phase de maturation M quelle que soit la saison Avant cette phase les valeurs sont relativement constantes La mod lisation de la pr diction de a est relativement pr cise pour les mode les utilisant les fruits dela phase M Les valeurs de RMSE oscillent entre 2 et 5 unit s Au printemps la diminution du param tre b sur vient dans la phase PM alors qu elle ne se produit que dans la phase M en t
30. i elle wa m una u um un um ar m aaa am am EE CV 26 5 24 7 22 6 233 11 1 15 0 23 3 24 0 25 4 26 4 13 7 12 9 Saison donn es spectrales et de r f rence utilis es pour la construction du mod le PLS en fonction des saisons printemps et t Stade donn es utilis es pour la construction du mod le PLS en fonction du stade de d veloppement des fruits pr maturation PM et maturation M Etape calibration C et validation V LV nombre de variables latentes introduit dans le mod le PLS R coefficient de corr lation RMSEc erreur quadratique du mod le PLS apr s correction du biais RPD rapport de la d viation sur la pr cision du mod le PLS RPIQ rapport de la distance interquartile sur la pr cision du mod le PLS CV coefficient de variation des valeurs de r f rence ECS Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Cultures sous serre pleine maturit La premi re composante factorielle d crit la variabilit principale de l arc param tr fonc tion des dates de r colte alors que la seconde compo sante factorielle d crit une variabilit secondaire li e au point d inflexion situ vers 30 jours avant r colte Avec le mod le utilisant les fruits d t la variabilit de 41 30 jours avant r colte est essentiellement d crite par la premi re composante f
31. important de s parer ces deux lots pour cr er deux mod les afin d viter le pi ge d un faux bon mod le En effet une Tableau 2 Valeurs des mod les de pr dictions PLS pour les param tres de couleur L ai et b Saison Printemps Et Printemps t Stade PM M PM M PM M PM M PM M PM M Etape aan Tan Ben Bgm Le LV 8 8 5 5 8 8 8 8 8 8 4 4 1 oss ass oar us oss ase os sss oss or nue os aux os ann ass nor usr uu rjehera m ie lshemec sui wk ia P um m de x ue m oe 138 sa n an d A RPIQ 164 546 097 3 12 267 5 13 144 136 1 3 456 472 816 8 39 CV a 83 66 62 56 5 6 46 9 37 7 50 46 126 15 6 28 2 31 2 10 8 10 3 50 7 496 EMEREREREREREREREREREREREREREREREREREN R COE CARICI 0 86 0 85 0 70 0 50 0 95 0 90 0 84 0 77 0 53 0 40 0 93 0 90 RMSEc 6 37 664 0 85 0 98 1 51 2 01 5 84 7 01 0 95 0 93 4 12 5 02 RPD 1 68 1 73 0 97 0 84 296 206 1 51 1 23 0 62 0 58 2 54 RPIQ 09 um 346 241 297 497 3 51 3 46 1 41 1 38 2 9 2 67 1 15 0 48 1 45 1 51 5 29 4 78 amp lee ee de tete tet ENHESERKIEBEREREREIEGEREIESERAEXESESERK EL fa a fou a a fau en EREECHEN u uwomewis uis wiew xem ndis ren In le me de m a gm um e se us m um us an n n um m u CV 430 35 4 116 120 44 4 52 4 271 28 8 121 123 43 5 39 8 Saison donn es spectrales et de r f rence utilis es pour la construction du mod le PLS
32. le ne a la rescousse Cultures sous serre beaucoup plus faible de 1 3 ppm pendant trois jours a permis d acc l rer nettement la maturation des to mates Janse 2012 Ces r sultats indiquent qu une con centration inf rieure 10ppm pourrait tre efficace De plus le gain de rendement r alis est du m me ordre qu avec une application d th phon un pr cur seur de l thyl ne lors d un essai r alis en 2009 une application d th phon avait augment le rendement de 0 5 kg m Gilli 2009 Qualit La qualit acidit fermet Brix des tomates des deux serres tait la m me avant l injection d thyl ne sauf chez la vari t Levanzo donn es non pr sent es dont les fruits taient moins fermes dans la serre sans injection d ethylene L thyl ne n a pas eu d effet sur l acidit totale des tomates tabl 3 Celle ci tait par contre influenc e par la vari t Levanzo et Kommeet se distinguant par une acidit plus lev e et Endeavour par une acidit interm diaire La teneur en substances solubles totales n a pas t modifi e avec l injection d thyl ne tabl 3 L encore les diff rences observ es sont li es aux vari t s En 2012 l thyl ne a augment la fermet des fruits de la vari t Endeavour tabl 3 Les tomates sont r colt es en fonction de leur couleur Or d un c t l thyl ne stimule la d gradation de la chlorophylle et la synth se des pigments et de
33. premier ISSN 0375 1430 c page r sistant aux principales maladies R daction de la vigne s lectionn par Agroscope Judith Auer directrice et r dactrice en chef Eliane Rohrer r dactrice T l 41 58 460 41 54 fax 41 22 362 13 25 Jean Laurent 5pring E mail eliane rohrer agroscope admin ch Es i e E did 194 D sinfection la vapeur a r e Comit de lecture d de l J Ph Mayor responsable IPV Agroscope O Viret Agroscope e semences de lEJUMES Ch Carlen Agroscope R Baur Agroscope U Z rcher Agroscope Werner E Heller L Bertschinger Agroscope Ch Rey Agroscope C Briguet directeur CHANGINS Ph Droz Agridea 200 SOA 2013 le choix des vari t s Publicit est toujours d actualit en arboriculture In dit Publications SA Serge Bornand T ur Avenue Dapples 7 CP 900 1001 Lausanne t l 41 21 695 95 67 Esther Bravin Dominique Dietiker Johannes Hanhart et Dante Carint Pr presse In dit Publications SA 1001 Lausanne 205 Portrait Impression Courvoisier Attinger Arts graphiques SA 206 La page de CHANGINS Tous droits de reproduction et de traduction r serv s Toute reproduction ou traduction partielle ou int grale doit faire l objet d un accord avec la r daction Tarifs des abonnements Abonnement simple combin annuel imprim ou lectronique imprim et lectronique Suisse CHF 48 CHF 58 Autres pays CHF 55 CHF 65 Abonnements et commandes Antoinette Dumarther
34. professionnels attentifs vos besoins de chaud de froid ou d installations sanitaires bureau technique e installations e entretien 1028 PR VERENGES Route de Gen ve 3 T l 021 804 83 00 e Fax 021 804 8301 e www vonauw ch Portrait Des go ts et des couleurs Pascale Deneulin en a fait son m tier Professeur d analyse sensorielle CHANGINS Haute cole de viticulture et cenologie Pascale Deneulin est n e dans la r gion de Grenoble Ses parents travaillent dans le social et elle la benjamine des cinq enfants se passionne pour le cheval et la nature Mes parents aimaient bien le week end ouvrir une bonne bou teille Nous sommes tous des amateurs de vin dans la famille Attir e par les mati res scientifiques et le domaine ali mentaire Pascale Deneulin se destine au m tier d in g nieur juste apr s le bac elle part l AgroCampus de Rennes une cole qui offre beaucoup de stages en entreprise L agroalimentaire r pond ses attentes mais apr s deux trois ans le c t industriel pr pond rant dans ce secteur la d courage de poursuivre dans cette voie C est alors que j ai pens l oenologie Le stage en analyse sensorielle que j ai effectu pour un prestataire a t une r v lation Durant sa derni re ann e de formation son prof de statistiques lui met le pied dans le vin en lui faisant rencontrer son futur ma tre de stage dans le Val de Loire En 2003 son dipl me d ing
35. ralit dans les vins est aujourd hui omnipr sent dans les discours de marketing dans la critique cenologique et les supports de communication de R sum B nombreux op rateurs Pour autant nul n est capable de s accorder sur une d finition consensuelle Cet article vise tudier les diff rentes repr sentations qu ont les consommateurs suisses et francais de la min ralit La multi dimensionnalit de cette notion se retrouve notamment travers les st r otypes bas s sur l odeur de pierre fusil et de silex sur l impression de sucer un caillou sur l acidit mais aussi sur le lien au terroir La min ralit apparait comme un concept peu stabilis en donner une d finition pr cise reste donc difficile pour beaucoup de consommateurs Les questions ont t formul es de mani re ne pas limiter les r ponses un certain type de vin La pre mi re question devait permettre aux r pondants de s exprimer le plus librement possible La deuxi me question plus cadr e devait amener les r pondants formuler une d finition pr cise en se r f rant ven tuellement leurs pr acquis Enfin la derni re ques tion avait pour but de g n rer des synonymes Les r ponses ces trois questions composent trois sous corpus de parole analys s s par ment et respective ment nomm s vocation d finition et synonyme dans la suite de l article Ce questionnaire a recueilli 1697 r ponses issues de 13
36. re et des cultures sp ciales Le consommateur se plaint r guli rement du go t des tomates mais n h site pas en consommer toute l ann e Comme l agriculture en g n ral la production de tomates en serre doit faire face la concurrence internationale Cette culture fait appel une haute technologie et exige d importants investissements Pour que la pro duction suisse reste durable et concurrentielle la mission de la recherche est d aider les producteurs maitriser les co ts de production et conti nuer les avanc es dans la lutte contre les maladies et les ravageurs Avec le nouveau programme d activit 2014 2017 Agroscope poursuit ses presta tions pour l intensification cologique au service de la branche marai ch re En cultures sous serre les recherches sont ax es sur diff rents th mes les techniques culturales voir l article de Gilli et a en p 154 avec notamment un volet sur l efficience des ressources la r duction des pertes dues aux probl mes sanitaires l influence des facteurs pr r colte sur la qualit gustative et nutritionnelle des tomates et les m thodes non des tructives de mesure de la qualit lire ce sujet l article de Camps et al en p 162 En g n ral Agroscope conduit ses essais pour r pondre le plus rapi dement possible aux probl mes actuels auxquels les producteurs sont confront s La priorit des travaux est discut e dans le cadre du Forum Recherche L gumes un r sea
37. s de tomates en 2012 et pour une vari t NeVU Date Concentration en thyl ne ppm Nuit Jour 08 11 2013 9 6 09 11 2013 9 6 In 34 10 11 2013 9 7 4 7 11 11 2013 9 6 3 1 12 11 2013 9 7 In 3 1 13 11 2013 9 9 6 4 14 11 2013 9 6 4 2 15 11 2013 9 6 d 4 0 l 16 11 2013 9 5 2 9 17 11 2013 9 6 38 18 11 2013 9 6 in 3 3 19 11 2013 8 9 4 6 Ar nn We N cca f e SUISSE VITICU ure Arboriculture Horticulture Vol 46 3 en 2013 Moyenne de quatre r p titions Ann e Vari t Facteurs de rendement Sans Avec thyl ne thyl ne 2012 Kommeet Nb de grappes r colt es m 3 5a 5 1b Rendements kg m 1 6a 2 5b Poids moyen des fruits g 107 5 107 2 Levanzo Nb de grappes r colt es m 3 7a 5 2b Rendements kg m 1 5a 2 2b Poids moyen des fruits g 90 4 96 0 Endeavour Nb de grappes r colt es m 3 5a 5 1b Rendements kg m 1 3a 2 2b Poids moyen des fruits g 87 1 93 4 2013 Endeavour Nb de grappes r colt es m 6 4a 7 8b Rendements kg m 2 6a 3 1b Poids moyen des fruits g 99 9 98 5 Les valeurs suivies de lettres diff rentes sont significativement diff rentes P lt 0 05 pour une m me ann e et une m me vari t 156A_1RQ 54 1598 i 2014 M rissement des tomates en fin AA ira MAL is sa zz aaa ll Ci roc EFE MAIS gt ae Lure 1 etny
38. t chaptalis une tr s haute concentration en sucres 340 g l Un mo t de Chardonnay pH 3 25 AT 10 g l a t st ri lis par filtration et chaptalis 340 g l de sucres avec du fructose et du glucose 50 50 La nutrition levu rienne a t assur e par ajout d un nutriment com plexe Fermaid K 0 25g l et de phosphate d ammo nium 0 25 g l Dans les deux variantes les levures ont t inocul es raison de 0 4g l du volume initial de la fermentation Pour la fermentation traditionnelle batch les levures ont t inocul es apr s r hydrata tion dans la totalit du mo t Pour la variante fed batch une petite quantit de mo t a t m lang e avec les levures r hydrat es pour r duire la concentra tion en sucres 160 g l Puis la fermentation a r duit la concentration 50g l de sucres D s ce moment le mo t restant a t ajout lentement durant la fermen tation Le d bit de l ajout a t adapt la vitesse de la HOeVilIe SUISSA V C V ut gt U gt Pa I ws iticulture Resume E consommation des sucres pour maintenir la concentra tion 50 g l Afin d assurer cette constance les teneurs en sucres ont t quantifi es dans des chantillons pris toutes les 10 15 minutes La viabilit des levures a t test e par cytom trie en flux Accuri C6 L analyse des autres composants a t assur e par m thode chromatographique sucres alcool acides et enzymatiq
39. unique en son genre donne une description pr cise et richement illustr e des 57 principaux c pages cultiv s en Suisse Le glossaire en images qui l accompagne permet de guider l amateur et le professionnel dans la reconnaissance des caract res distinctifs AMTRA Fran ais allemand ou italien 130 pages CHF 57 LA MISE EN VALEUR DES TRAVAUX DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE T l 41 79 659 48 31 antoinette dumartheray agroscope admin ch www revuevitiarbohorti ch Actualit s SOA 2013 le choix des vari t s est toujours d actualit en arboriculture Esther BRAVIN Agroscope 8820 W denswil Dominique DIETIKER Johannes HANHART et Dante CARINT Agridea Lindau Renseignements Esther Bravin e mail esther bravin agroscope admin ch t l 41 44 783 62 44 www agroscope ch Le choix des vari t s tait le th me central de la ren contre annuelle du SOA Support Obst Arbo La ques tion de la vari t planter devient toujours plus com plexe Une vari t confirm e comme Golden Delicious est de culture facile mais peine rentable cause des faibles prix la production Les pommes Gala et Brae burn obtiennent actuellement de bons prix qui per mettent de couvrir les co ts Cependant si leurs sur faces de production augmentent la pression sur les prix suivra pouvant mettre en danger la rentabilit Souvent les nouvelles vari t s paraissent promet teuses en raison de leurs prix lev s mais elles pr sen
40. 009 2011 11009 La dimension du cercle indique Ss Kaiser Alexander 12 l importance en surface de la vari t S e Braeburn Le nombre de producteurs est indiqu T iM Fuji 4 entre parenth ses 3000 Nicoter 4 Q cata 14 p l E 1000 e Jonagold 7 OI 1000 5000 10000 15000 20000 25000 30000 35000 40000 E 3000 Golden Delicious 10 E 5000 2000 a Conf rence 8 9000 e 11000 Milwa 5 13000 15000 Revenu CHF ha Situation fragile pour Milwa Sur la figure 4 on voit que quatre vari t s de pommes offrent un b n fice annuel Braeburn Gala Fuji Jona gold et Nicoter Les vari t s Milwa et Golden Delicious occasionnent des pertes Les r sultats insatisfaisants de Milwa proviennent de faibles rendements environ 20t ha 4 5 et 6 ann e de production Le centre de formation et de vulgarisation BBZ Arenenberg rel ve que les porte greffe de Milwa ont une influence consi d rable sur le rendement Son potentiel est pourtant norme Les simulations du mod le Arbokost 2013 montrent que des b n fices sont possibles d s que les rendements d passent 27t ha gr ce un prix moyen la production de 1 27 CHF kg Si les prix chutent alors les co ts de production ne peuvent tre couverts qu avec des rendements sup rieurs et un taux accru de classe 1 Les vari t s de poire Kaiser Alexander et Conf rence obtiennent des r sultats totalement oppo s s Les parcelles de Kaiser Al
41. 0796594831 antoinette dumartheray agroscope admin ch www revuevitiarbohorti ch Publicit Qualit Suisse Ge Partenaires internationaux OVz lOSSQ j Le choix des professionnels Votre interlocuteur de r f rence RE pour les professionnels de la culture maraichere fruiti re et de la vigne vous pr sente e 600 m d innovations Coin collation tr s agr able Vous tes cordialement invit s passer nous voir sur notre stand A l coute de vos volutions Bucher Vaslin d veloppe pour vous sans rel che de nouvelles solutions en r ception de vendange pressurage filtration tangentielle pour plus de performances de valeur ajout e de retour sur investissement Nos concessionnaires agr s IB U C B E R Avidor Valais SA Gigandet SA Jean Luc Kaesermann Sarl e 3970 Salgesch 1853 Yvorne 1173 F chy Va S n T l 027 456 33 05 T l 024 466 13 83 T l 021 808 71 27 Perroulaz SA Val lectric Farner SA Bucher Vaslin Philippe Besse 1070 Puidoux 1955 St Pierre de Clages CH 1787 Mur Vully T l 079 217 52 75 www buchervaslin com Tel 021 946 34 14 T l 027 305 30 00 philippe besse buchervaslin com Votre r ussite est notre priorit Mee L La glace carbonique de PanGas pour les vignerons Refroidissement des mo ts mac ration froid PanGas A p K EE ICEBITZZZ de la glace carbonique et plus encore Pellets 3 mm Pellets 16 mm PanGas AG Industriepark 10 CH 6252 Dagmersellen T l phon
42. 2013 11 15 et 20 novembre La qualit des fruits acidit totale fermet et subs tances solubles totales a t mesur e dans les deux compartiments avant et apr s l injection d thyl ne Les analyses portaient sur dix fruits par parcelle l mentaire au stade de maturit 11 12 OCDE et de ca libre uniforme La fermet des fruits a t mesur e au p n trom tre Durofel Durofel COPA Technologie SA CTIFL muni d un embout de 0 25cm indice de 1 100 La teneur en substances solubles Brix tait me sur e au r fractom tre ATAGO C O LTD Model PR 1 et l acidit totale par titration 0 1 N NaOH Metrohm 7198 Titrino Pour ces deux mesures les fruits ont t broy s dans un presse tomate lectrique mod le tes tarossa PastorinoCASA Italie de mani re obtenir une pur e exempte de graines et de peau Cette pur e a t centrifug e 9000rpm 2min et le surnageant r cup r afin de mesurer la teneur en mati res solubles et l acidit Les composantes a axe rouge vert b axe jaune bleu et L luminosit de la couleur des fruits utilis s pour l analyse de qualit ont t mesur es l aide d un chromam tre Konica Minolta CR 400 Deux mesures en position quatoriale ont t effectu es par fruit Puis le Hue Arctan b a et le rapport a b ont t calcul s Selon L pez et al 2004 ces deux indices de Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol
43. 44 consommateurs francais et 353 consommateurs suisses francophones Les femmes repr sentent 53 de l ensemble des r pondants et toutes les classes eg ON M INTERESSE CECT LA DIMENSION ee ES VINS CEST FASAN MNT DS COMPRENDRE COMMENT ON DEU NEMO UNE IA Yael Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 d ges sont repr sent es avec une majorit de 30 50 ans 46 96 et une minorit de moins de 20 ans 0 3 ou de plus de 70 ans 2 96 Les r pondants se d clarent principalement amateurs d butants 50 ou ama teurs clair s 3196 et dans une moindre mesure n o phytes 17 96 ou experts 2 96 Le profil des consommateurs suisses est quelque peu diff rent de l ensemble des r pondants Nous re trouvons une majorit d hommes 6696 et le niveau de connaissance d clar est l g rement sup rieur l ensemble avec seulement 2 de n ophytes 40 d amateurs d butants 5596 d amateurs clair s et 3 9o d experts Avant l analyse lexicale chaque sous corpus est pr alablement cod Les fautes d orthographe ou de frappe sont corrig es et les r ponses de type points d interrogation ou de suspension sont cod es afin d tre conserv es dans la suite de l analyse Une pre mi re tape dite de lemmatisation a pour objectif de convertir chaque mot dans une forme standardis e lemme les verbes sont mis l infinitif les noms au sin gulier et les adjectifs au masc
44. 46 4 7 Valeurs r elles Figure 4 Valeurs r elles et pr dites de TMS Mod les de printemps regroupant les fruits PM M A PM B et M C Mod les d t regroupant les fruits PM M D PM E et M F Niveau de signification des ellipses de confiance p 0 05 PM fruits avant maturation M fruits en cours de maturation Figure 5 Valeurs r elles et pr dites de L Mod le de printemps A et d t B regroupant les fruits PM M Mod les d t utilisant les fruits PM C et M D Niveau de signification des ellipses des barycentres des nuages de points p 0 05 PM fruits avant maturation M fruits en cours de maturation Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Cultures sous serre Pour les fruits d t les mod les PM et M permet tent d atteindre une meilleure pr cision que le mod le PM M en particulier lors de la maturation des fruits De mani re g n rale l erreur commise sur la mesure de TMS est comprise entre 0 23 et 0 40 Brix Cette gamme d erreur peut tre compar e aux donn es pu bli es dans la litt rature Des travaux r cents ont rap port des valeurs de R de 0 82 et de RMSE de l ordre de 0 4596 Brix Clement et al 2008b Flores et al 2009 pour des fruits vari t Micro Tom avec des valeurs de TMS de 3 2 10 Brix Les mod les de p
45. 6 664 00 70 Fax 026 664 00 71 E mail dreier dreieroenotech ch www dreieroenotech ch C line Gilli Agroscope celine gilli agroscope admin ch Photo Gr gory Van Meyel Production de tomates en Suisse Indicateurs et tendances Dans notre pays presque toutes les tomates sont produites sous abri 97 des surfaces En 2013 les surfaces de production sous serre et tun nel couvraient 200ha dont une vingtaine en production biologique 50399 tonnes de tomates ont ainsi t r colt es en Suisse l ann e der ni re soit 55 4 de la consommation Depuis les ann es nonante la culture sur substrat s est fortement d velopp e et a atteint 85ha en 2013 Ces derni res ann es en outre l offre s est diversifi e sur les tals c t de la tomate grappe figurent maintenant des tomates cerise cocktail ou des vari t s anciennes de diff rentes formes et couleurs Entre 2008 et 2013 les surfaces en tomates cerise vrac et grappe ont ainsi doubl pas sant de 26 53ha tandis que celles de tomates rondes 32 96 et grappe 17 96 diminuaient parall lement Du c t des habitudes alimentaires la tomate est aujourd hui le l gume le plus consomm en Suisse o elle a d tr n la carotte La consom mation par habitant toutes cat gories de tomate fraiche cerise cocktail Peretti en vrac charnue en grappe confondues s levait 11 3kg en 2013 selon la CCM Centrale suisse de la culture mara ch
46. Autran J C Meritan R amp Robert P 1990 Stepwise canonical discriminant analysis of continuous digitized signals application to chromatograms of wheat proteins Journal of Chemometrics 4 6 413 427 Camps C amp Christen D 2009 Non destructive assessment of apricot fruit quality by portable visible near infrared spectroscopy LWT Food Science and Technology 42 6 1125 1131 Camps C Simone C amp Gilli C 2012 Assessment of tomato quality using portable NIR spectroscopy and PLSR with wavelengths selection Acta Horticulturae 936 437 442 Camps C Toussirot M Quennoz M amp Simonnet X 2011 Determination of artemisinin and moisture content of Artemisia annua L dry powder using a hand held near infrared spectroscopy device Journal of near Infrared Spectroscopy 19 3 191 198 Centeno D C Osorio S Nunes Nesi A Bertolo A L F Carneiro R T Araujo CG AC CMIICE Carre C ivi do an Al tA dac tnmatac e carra nar chartrocronie N RPnnrtahla at him I ame tria es sous serre Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Le d veloppement d un outil de mesure non destructif de la qualit est utile pour d tecter au plus vite dans la saison une incidence potentielle de l environnement ou des conduites culturales sur la qualit organoleptique des tomates De plus la grande variabilit qualitative des lots de fruits demande de multiplier l
47. ER Agroscope 1964 Conthey 1Carbagas Hofgut 3073 G mligen Renseignements C line Gilli e mail celine gilli agroscope admin ch t l 41 27 345 35 19 www agroscope ch Evolution de la coloration d une grappe de tomate dans la serre avec injection d thyl ne entre le 9 et le 22 novembre 2012 Introduction La maturation des fruits est un m canisme complexe qui entra ne des modifications de leur coloration du vert au rouge pour les tomates de la texture de la saveur et des ar mes Selon leur m canisme de matura tion les fruits sont class s en deux groupes climact riques et non climact riques Dans le premier cas la maturation est accompagn e d un pic dans la respira tion et d une synth se importante d thyl ne Dans le deuxi me cas la respiration n volue pas et la produc tion d thyl ne demeure un niveau faible La tomate fait partie des fruits climact riques Sa maturation peut donc tre acc l r e par l application d thyl ne des doses de l ordre du ppm Salveit 2005 L thyl ne intervient galement dans d autres processus comme l abscission et la s nescence Salveit 1999 En fin de culture jusqu 4kg m de tomates vertes peuvent demeurer sur les plantes en serre Andreas 2012 En raison des conditions climatiques automnales la maturation est lente et la culture doit tre chauff e plus longtemps Actuellement on utilise de l th phon pour acc l rer la maturation des der
48. S Levin I Schaffer A A Efrati A amp Bar M berwachung der Qualit t von Tomaten im Gew chshaus mittels mobiler NIR Spektroskopie und Chemometrie Ziel dieser Studie war es die Verwendung von Spektroskopie im infrarotnahen Bereich f r die Qualit tsentwicklung von Tomaten im Gew chshaus zu beurteilen Der Gehalt an l slichem Material TMS und an Gesamts ure TA sowie die Farbparameter wurden ab Fruchtansatz bis zur Ernte bei voller Reife verfolgt Diese Beobachtung ist wahrend des Fr hlings und des Sommers durchgef hrt worden Diese spektralen Werte und die Qualit tsdaten sind dazu benutzt worden chemometrische Modelle aufzustellen um 1 die Entwick lung der Fr chte in Abh ngigkeit ihres Reifestadiums zu beobachten und um 2 die Qualit t der Fr chte vorauszusagen Durch eine Diskriminanzanalyse der Modelle konnte die chronologische Entwicklung der Fr chte ausge wertet werden und die Fr chte konnten bei Beginn der Reife phase gekennzeichnet werden Quantitative Modelle PLS erm glichten es TMS TA und Farbe der Fr chte vorauszusagen die Pr zision dieser Voraussagen ist abh ngig von der Saison und dem Reifestadium der Fr chte Riassunto E Monitoraggio della qualit dei pomodori in serra mediante portatile spettroscopia NIR e chemiometria Lo scopo di questo studio era di valutare l uso di un sistema portatile di spettroscopia nel vicino infrarosso NIR per monitorare la qualit d
49. W felco conf T l LC Mod le poign e tournante pour une taille encore plus confortable disponible dans les magasins sp cialis s Professional tools FELCO 12 FELCO SA March Suisse www felco ch felcosuisse felco ch Swiss MADE Publicite 9 Essais Analyses Homologations Conseils Nouveaux produits Disponibilit des produits Distribution Formation continue f St hler St hler Suisse SA Henzmannstrasse 17A 4800 Zofingen T l 062 746 80 00 Fax 062 746 80 08 www staehler ch Publicit P pinieres Viticoles Ph Rosset Toutes vari t s sur divers porte greffes Plantation de vos plants et chalas la machine guid e par GPS Tubex et Bio Protek protections pour vos plants Qualit et Service font notre diff rence Jolimont 8 1180 Rolle T l 021 825 14 68 Fax 021 825 15 83 E mail rossetp domainerosset ch www domainerosset ch 39 VITICULTEURS BURSINS S A HORTICULTEURS Machines viticoles ARBORI CULTEURS 021 824 1129 info hauswirthsa ch Pour vos cires et paraffines ainsi que votre mat riel viticole nombreuses nou veaut s filets lat raux lastiques piquets ficelles de palissage tuteurs etc Ne passez pas commande avant de demander une offre Jean Fran ois Kilchherr Grand Rue 8 T l 022 776 21 86 1297 Founex Fax 022 776 86 21 Natel 079 353 70 52 Europlant Sarl Scions fruitiers L
50. a p pini re romande votre toutes esp ces fruiti res disposition hautes tiges arbres formes greffage sous contrat Europlant S r l En P rauses rte de l Etraz 1267 Vich Fax 022 364 69 43 T l 022 364 69 33 POUR ASSURER LA QUALIT DE VOTRE ENVIRONNEMENT Notre quipe environnement est disposition des entreprises des associations et des particuliers dans le domaine des piscines wellness de l air ambiant ou de l eau potable Demandez nous de tester vos installations Avec le soutien de notre quipe faites votre auto contr le pour liminer l gionnelles germes f caux Staphylocoques moisissures ou autres contaminants chimiques Do SX hpp ecobion Laboratoire Expertise Hygiene e membre du r seau medisupport Le Conseil au Serv ce de votre qualit Rue du Tunnel 15 17 e 1227 Carouge T l 41 22 304 83 93 e infohpp hpp ecobion ch e www hpp ecobion ch Cultures SOUS serre C dric CAMPS Laura DELTHEIL et C line GILLI Agroscope 1964 Conthey Renseignements C dric Camps e mail cedric camps agroscope admin ch t l 41 27 345 35 30 www agroscope ch Introduction Pour tudier l impact des pratiques culturales sur le d veloppement et la qualit des tomates des cen taines de fruits doivent tre analys s durant toute l an n e Ces analyses sont par ailleurs destructives ce qui emp che de suivre le d veloppement et la construc tion de la qualit sur un m m
51. actorielle Au del la variabilit est d crite par la seconde composante factorielle La majorit des longueurs d onde impliqu es dans la mod lisation sont li es des harmoniques de vibra tion des liaisons CH CH et CH 1 2 ou Ze harmonique et la bande d absorption de l eau 2 harmonique Les courbes repr sentant les corr lations des absor bances aux diff rentes longueurs d ondes avec les deux premi res coordonn es factorielles sont tr s simi laires pour les mod les printemps et t fig 3 2nd OVERTONE REGION 3nd OVERTONE REGION E 1140 Corr lation R 1 1000 1100 1200 1300 1400 Longueurs d ondes nm 2nd OVERTONE REGION 3nd OVERTONE REGION 1021 1040 drca M Corr lation R 1 1000 1100 1200 1300 1400 Longueurs d ondes nm 1498 Mod les quantitatifs r gression PLS Teneur en mati res solubles et acidit totale Le tableau 1 r sume les r sultats des r gressions PLS pour la pr diction de TMS et TA Les mod les ont t construits en fonction de la sai son printemps t printemps t et du stade de d veloppement des fruits pr maturation PM matu ration M PM M Concernant la TMS les calibrations ont montr des valeurs de RMSE n exc dant pas 0 32 Brix Cette va leur a t atteinte avec le mod le regroupant les fruits des deux saisons et les diff rents stades de d veloppe ment Les mod les PM et M sont globalement pl
52. anol taient plus lev s dans le proc d fed batch Ce r sultat corr l avec le nombre sup rieur de levures viables confirme ceux de Nagodawithana et al 1974 qui ont d montr qu une r duction des concentrations en sucres aug mentait la viabilit de S cerevisiae pendant la fermen tation alcoolique Des hautes teneurs en sucres sont associ es une formation accrue d acide ac tique par S cerevisiae Michnick et a 1997 Pigeau et Inglis 2005a Pigeau et Inglis 2007 Pigeau et Inglis 2005b Dans cette tude la teneur finale en acide ac tique apr s fermentation tra ditionnelle tait effectivement tr s lev e proche ou l g rement sup rieure aux limites l gales de la majori Acide ac tique g l 400 Temps h 600 Ac tald hyde mg l 400 Temps h de Chardonnay chaptalis 340 g l de sucres Figure 1 Cin tique des concentrations des sucres et de l thanol Figure 3 Cin tique des concentrations d acide ac tique et d ac tald hyde Tableau 1 Concentrations en thanol acide ac tique et ac tald hyde dans les vins apr s la fin de la fermentation Dur e Ethanol h v v Batch 666 25 14 8 0 29 Fed batch 543 10 14 9 0 10 Taux de formation d thanol max Acide ac tique Ac tald hyde o v v h mg l mg l 0 45 0 02 1000 25 49 2 0 7 0 07 190 8 22 2 Des lettres diff rentes indiquent des diff rences statisti
53. ant d esp ces de Vitis am ricaines et asiatiques Ph nologie D bourrement pr coce Maturit 1 poque mais profite avantageusement de vendanges retard es qui am liorent la structure la qualit des tanins et la complexit des vins ET Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 188 191 2014 Echelle en cm Extr mit du rameau Ouverture compl tement ouverte Pigmentation anthocyanique faible tr s faible Densit des poils couch s moyenne forte Feuille adulte Forme du limbe pentagonale Nombre de lobes 5 7 Couleur de la face sup rieure vert moyen fonc Pigmentation des nervures faible tr s faible Clog re faible moyenne Forme des dents deux c t s rectilignes Ouverture du sinus p tiolaire ferm Densit des poils couch s face inf rieure moyenne Densit des poils dress s des nervures face inf rieure nulle ou faible oO LI oO LP N e N LI Face inf rieure Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 188 191 2014 Echelle en cm Jeune feuille Divico Couleur face sup rieure vert l g rement bronz Densit des poils couch s face inf rieure forte Face sup rieure Rameau Face inf rieure Couleur de la face dorsale vert et rouge Couleur de la face ventrale vert Face dorsale 1 5 N 0 N UT Grappe Longueur courte moyenne Com
54. ara cher 4 25 les apprentis qui ont particip ces exp rimentations et le D L Collet Janse J 2012 Report The effect of ethylene on tomato ripening Wageningen Grangeneuve sont remerci s pour leur pr cieux travail UR Adresse http www wageningenur nl en show Report The effect of ethylene on tomato ripening htm 26 f vrier 2014 Bibliographie Lopez Camelo A F amp G mez P A 2004 Comparison of color indexes for Alexander L amp Grierson D 2002 Ethylene biosynthesis and action in tomato tomato ripening Horticultura Brasileira 22 3 534 537 a model for climacteric fruit ripening Journal of experimental Botany 377 53 Salveit M E 1999 Effect of ethylene on quality of fresh fruits and vegetables 2039 2055 Postharvest Biology and Technology 15 279 292 Andreas C 2012 Maturation des tomates au gaz d thyl ne Der Gem sebau Salveit M E 2005 Postharvest Biology and Handling n Tomatoes CABI Le Mara cher 1 35 Publishing Wallingford 339 p Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 154 158 2014 Le meilleur du monde M e P HEN NN nour l aariculiture suisse IJU u aul IK u ILUICS U PPRS H IS i Er o 17 i S e IT T d E KS d E A Cyflamid ou Talendo Plus fort contre l oidium et en m lange avec Vincare contre le mildiou N h sitez pas contacter nos sp cialistes pour l agriculture suisse nous sommes l pour vous A
55. atoes that are not quite ready ds Verzehr nicht ausreichend dover buttare dei pomodori for consumption It is currently ausgereiften Tomaten vernichtet non del tutto pronti per il possible to accelerate the werden m ssen Zurzeit ist es consumo Attualmente possi ripening of tomatoes by applying moglich den Reifeprozess von bile accelerare la maturazione ethephon An alternative is the Tomaten durch die Anwendung dei pomodori applicando injection of ethylene a naturally von Etephon zu beschleunigen dell etefon Un alternativa e produced hormone directly in Eine Alternative dazu ist die l iniezione direttamente in the greenhouse In collaboration Anwendung von Ethylen einem serra di etilene un ormone with the company Carbagas nat rlichen Hormon direkt im naturale Agroscope ha testato Agroscope tested the effect of an Gew chshaus In Zusammenarbeit in collaborazione con la societ ethylene injection in the green mit der Unternehmung Carbagas Carbagas l effetto di house on ripening tomatoes In hat Agroscope die Wirkung der un iniezione d etilene average over the two years the Ethylen Freisetzung im Gew chs effettuata direttamente in injection of ethylene enabled to haus auf den Reifeprozess von serra sulla maturazione dei harvest 1 5 truss m or 0 75 kg m Tomaten getestet Im Vergleich zur pomodori Mediamente more compared to the control Ernte in einem Standard Gew chs l iniezione d etilene ha compartment 1 5 of the total haus konnte
56. au stress hyperos motique Avec une formation d acide ac tique initiale comparable dans les deux proc d s une partie de l acide ac tique a t r utilis e d s le d but de l ajout contr l de mo t dans la variante fed batch Les con centrations d acide ac tique sont ensuite rest es cons tantes se traduisant par des valeurs finales de 80 inf rieures celles de la variante batch tabl 1 La cin tique des concentrations d ac tald hyde a t similaire dans les deux variantes fig 3 Cependant dans la variante batch la concentration maximale et la valeur finale d ac tald hyde taient deux fois plus le v es que dans la variante fed batch tabl 1 Levures viables 1 ml Sucres g l Ethanol 9o v v viables 200 400 Temps h 200 Figure 2 Nombre de levures Fermentations batch et fed batch E d un mo t avec la m thode fed batch L ajout de levures r hydrat es au mo t constitue tou jours un stress consid rable pour ces microorganismes accru lors de haute concentration en sucres du mo t l ajout de mo t lent et contr l fed batch un pied de cuve de levure fait apparaitre des diff rences fon damentales dans la cin tique de m tabolites et la via bilit des levures par rapport la m thode tradition nelle batch M me si les concentrations finales en thanol taient similaires dans les vins des variantes batch et fed batch les taux de formation d th
57. ay Agroscope CP 1012 1260 Nyon 1 Suisse T l 41 79 659 48 31 fax 41 22 362 13 25 E mail antoinette dumartheray agroscope admin ch ou info revuevitiarbohorti ch Versement CCP 10 13759 2 ou UBS Nyon compte CD 100951 0 Commande de tir s part Tous nos tir s part peuvent tre command s en ligne sur www revuevitiarbohorti ch publications Schweizerische Eidgenossenschaft Conf d ration suisse Confederazione Svizzera Confederaziun svizra D VELOPPEMENT ET A JpiuI E ATHESS Broin Ww DE L AGRICULTURE ET DE L ESPACE RURAL e ee O agridea dd Tee 61 bk ei UR CTATKES 875 E OCT HE L OEIL TR D partement f d ral de l conomie ke de la formation et de la recherche DEER Agroscope Publicit Prolectus le nouveau botryticide La cl du succ s pour des grappes de raisin saines Puissante efficacit pr ventive et curative Excellente action translaminaire nr Omya Schweiz AG AG R CH 4665 Oftringen T l 062 789 23 41 www omya agro ch Le sp cialiste de vos installations vinicoles SL Distributeur officiel des marques DREI EIRROENOT ECH SA Un d JEL FOL d AMoeschle l Vescher Roemer F Behalterhau GmbH n Pressoirs et mat riel de cave El vateurs de vendange et mat riel de r ception KIESEL Gogo een rome SE a PACE ADAN AZZINI L AT Vinificateurs automatis s Thermor gulation Pompes et flottateurs Champ de la Vigne 4 1470 Estavayer le Lac T l 02
58. boriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 Min ralit n vin ranr cantatinne mantalac Aa rnnenmmata rcc ccac at frAmrcaic Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et francais qui ne rel ve d aucune des familles d odeurs Le vin est alors jug min ral Ensemble d ar mes du vin qui regroupe les go ts se rapportant au domaine min ral par opposition floral animal fruit C est un c t discret au contraire des ar mes de fruit de floral imaginer qu on suce un petit caillou ca sent un peu la pierre par opposition au c t floral ou v g tal Pour rester tr s g n ral quant aux d finitions les diff rences entre consommateurs suisses et fran ais sont plus subtiles fig 3 que dans le cas du sous corpus pr c dent Les consommateurs suisses utilisent plus volontiers la formulation sucer un caillou parlent davantage de l expression du terroir et de la struc ture du sol C est le terroir des sols la source structure du sol qui donne la min ralit d un vin A l oppos les consommateurs francais semblent davantage baser leurs d finitions sur la quantit et la nature des min raux contenus dans le vin De m me ils sont moins aptes fournir une d finition et utilisent volontiers je ne sais pas aucune id e ou les points de suspension plus fr quents dans ce corpus e Pour 7 des consommateurs interrog s la
59. class es sur le mod le tabli avec le jeu de calibration Les ob servations correctement class es ont t comptabili s es et exprim es en pourcentage La proc dure de validation a t r p t e en boucle dix reprises de mani re ind pendante en placant deux tiers 2n 3 des observations dans le jeu de calibration et le tiers restant n 3 dans le jeu de validation La corr lation entre les coordonn es discriminantes et les variables d origine est calcul e afin de mettre en lumi re l importance relative de chaque longueur d onde dans le mod le discriminant Cfr Yes NAAF Cres entren cnn 1n NIID anrt ca ks A At h m n v Atr n en serre par spectroscopie NIR porta ble et chimiometrie Mod les quantitatifs r gression PLS La collection de spectres et les mesures de qualit ont t analys es par r gression des moindres carr s par tiels PLS Les spectres sont rassembl s dans la matrice X d crite pr c demment Les analyses qualitatives de r f rence TMS TA L a or b sont rassembl es dans des vecteurs colonnes y Les mod les ont t labor s en trois tapes 1 d termination du nombre optimal de variables latentes LV introduire dans le mod le 2 calibration et 3 validation du mod le La premi re tape a utilis deux m thodes recon nues des utilisateurs de spectroscopie proche infra rouge la maximisation du coefficient de corr lation R et la minimisation de l erreur quadra
60. cteurs d terminent la r ponse des plantes une exposition l thyl ne dont notamment la vari t mais aussi les pratiques cultu rales le stade de d veloppement et la temp rature Aucune diff rence de coloration Hue et Tomato Color Index n a t constat e entre les tomates des deux proc d s tabl 4 Analyse conomique l injection d thyl ne a permis de r colter 16000 grap pes en plus par hectare en 2012 et 14000 en 2013 soit environ 5000 8000 kg ha 1 2 du rendement to tal par rapport au compartiment t moin sans injec tion d thyl ne Ce gain est d pendant du prix du mar ch mais repr sente entre 7500 et 12000 CHF ha prix du kg de tomate valu 1 50 CHF Quant aux co ts de l installation amortis sur dix ans et de l thyl ne ils sont estim s 700 CHF ha par Carbagas En Allemagne les recettes de la vente des tomates sont estim es 20000 ha et le co t du processus de maturation 1000 ha Andreas 2012 Le gain est plus cons quent que celui obtenu dans nos essais L application d thy l ne jour et nuit a peut tre un meilleur effet sur la maturation des tomates qu une application seulement pendant la nuit Tableau 4 Hue et Tomato Color Index de la vari t Endeavour avec et sans injection d thyl ne Moyenne de quatre r p titions Ann e Vari t Facteurs Sans thyl ne Avec thyl ne 2013 Endeavour Hue 29 5 29 5 a b 0 90 0 91 Hue arc
61. cto nia Fusarium ou Phytophtora Figure 4 Basilic pour la culture en pot cv Piccolino apr s d sinfection la vapeur a r e 90 secondes 68 C gauche t moin non trait droite Figure 5 Graine d asperge en germination infect e par Fusarium sp Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 194 197 2014 Des tudes d Agroscope en laboratoire ont montr que les graines d asperge peuvent aussi tre contami n es par Fusarium fig 5 La d sinfection des semences la vapeur a r e le semis dans un substrat st rile et l levage en plaques alv ol es permettent de produire des jeunes plantes indemnes de pathog nes fig 6 et constituent une alternative bienvenue la production traditionnelle de plants au champ Discussion Dans cet article les trois cultures choisies ont r agi po sitivement la technique de d sinfection la vapeur a r e Les graines de carotte sont souvent contamin es par des champignons du genre Alternaria En 2004 d j Agroscope r v lait des r sistances aux produits de traitement des semences tel que l Iprodione chez des populations d Alternaria Le traitement superficiel avec des fongicides chimiques non syst miques ne per met pas en g n ral de lutter efficacement contre les pathog nes parce que le myc lium des champignons du genre Alternaria a d j p n tr dans l enveloppe des graines En production il devient alors n
62. des recettes satisfaisantes La figure 4 pr sente les revenus le b n fice ou les pertes en francs par hectare Le b n fice ou les pertes repr sente les finances restantes par hectare et par an n e lorsque les co ts de production sont pond r s par le produit Comme dans la figure 3 les r sultats con cernent les parcelles en phase de production Les co ts de production moyens s l vent env 27 200 CHF ha avec un rendement moyen de 33t ha Pour les revenus on distingue deux groupes le premier comprend Gala Braeburn et Fuji produit moyen paiements directs in clus 31800 CHF ha Le second est constitu de Jona gold Golden Delicious Nicoter et Milwa Aucune diff rence significative entre les vari t s n appara t au sein des groupes Concernant les poires Kaiser Alexander obtient le meilleur produit qui diff re significative ment de celui de Conf rence Figure 3 Rendement et rendement la r colte par vari t pommes et poires Braeburn 11 40 Gala 14 e moyenne 2009 2012 La dimension du P Kaiser Alexander 12 cercle indique l importance en surface g 3 j de la vari t Le nombre de product 5 Jonagold 7 e la vari t Le nombre de producteurs Fuji 4 est indiqu entre parenth ses o 30 E D Conf rence 8 Q 25 ec e Nicoter 4 20 e Milwa 5 15 90 100 110 120 130 140 Rendement la r colte kg MOh 15000 Figure 4 B n fice perte et revenu 13000 par vari t moyenne 2
63. deux fois plus cit dans le corpus suisse que dans le corpus fran cais Nous pouvons notamment souligner la pr sence des mots suivants salinit sal amertume par con traste c est dire peu ou pas amer carbonique p tillant p tiller et l ger mots quasi absents du vocabu laire francais Ce n est pas une sensation d amertume ou de s cheresse mais une agr able sensation de salinit Fra cheur amertume agr able Sensation de p tillant en bouche sans tre du carbonique poussi re de pierre salinit effet structurant longue persistance Une autre diff rence notable avec le corpus fran ais repose sur le faible emploi du mot rien qui t moigne du d ficit de repr sentations qu ont les consomma teurs francais vis vis de la notion Les r pondants suisses sont nettement moins enclins se r fugier der riere les indices d ind termination 30 2 3 g 25 E E n c S a 20 e o n t e 2 a c KE 10 GO OU gt KA D 5 Q U i LLJ N A ok ct SEE se o N SN NN GAS e N N N Y CN CVLO NS oo rur PE S x DS LD SS S S A Viticulture Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et fran ais Sous corpus d finition Cet exercice plus contraignant plus exigeant que le pr c dent consistait formuler une d finition Cela supposait une forme de d tachement tout en appor tant la fois plus de pr cisions et moins de r f rence
64. e significativamente inferiore in acido acetico e acetaldeide L impiego di una tecnica di fermentazione fed batch con tenori zuccherini costantemente bassi potrebbe aumentare nella pratica la sicurezza ed efficienza della fermentazione e ridurre la formazione di prodotti di fermentazione secondari indesiderati Attualmente gli studi a Changins si sono posti come obiettivo l automatizzazione del procedimento e ulteriori verifiche P pini res Ph Borioli Partenaire de votre r ussite Planter c est pr voir R servez l assem blage id al c page clone porte greffe Nouvel enc pagement Vinifera ou Intersp cifique demandez nos conseils et services Raisins de table votre nouvelle culture fruiti re Choix de vari t s amp adapt es vos labels 5 amp 7 CH 2022 BEVAIX T l 032 846 40 10 Fax 032 846 40 11 E mail info multivitis ch www multivitis ch WWW saury com Publicit Demandez l original Wenger Technologie de Boissons SA Route de Granges 50 CH 1616 Attalens T l 41 21 947 44 10 Fax 41 21 947 44 11 Natel 41 79 675 03 33 E mail info wengertechnologie ch Actualit s Fiche technique de Divico premier c page r sistant aux principales maladies de la vigne s lectionn par Agroscope Jean Laurent SPRING Agroscope 1009 Pully Renseignements e mail jean laurent spring agroscope admin ch t l 41 21 721 15 63 www agroscope ch LU WI Li d i m e ring
65. e 0844 800 300 Fax 0844 800 301 www pangas ch Publicit Une formation unique Sp cialiste en Marketing de la vigne et du vin MEI Le succes de la formation distance EEE dO VINER RMATIO Pour dynamiser votre activit 1169 Yens 021 800 5555 FO F Zimmermann sa www zimmermannsa ch E PIQUETS DE VIGNE EE PIQUETS INTERM DIAIRES e ZIGI R25 e ZIGI XL se 216148 35 ei oi e ZIGI PRO Y O LEES OMEGA PIQUETS DE T TE Ba e ZIGI R80 e FERT TOUT POUR LE PALISSAGE Echalas tuteurs amarres fils Crapo et Crapal Vos f ts le m rite nt tendeurs attaches et protections diverses pour les plantes Les nettoyeurs de f ts de MOOG Cleaning Systems garantissent un nettoyage int rieur le plus rationnel le plus efficace et le plus conomique de vos f ts de vin F Zimmermann SA 80 1268 BEGNINS 19320012 MEER Visitez notre site Internet T l 022 366 13 17 Fax 022 366 32 53 M I e 3 www moog ch Filtration de vins Traitement d eau PAUL MAURICE BURRIN ROUTE DE BESSONI 2 1955 SAINT PIERRE DE CLAGES Micro Oxygen ation T L 027 306 15 81 NATEL 079 220 77 13 www burrin pepinieres ch Er L on burrin burrin pepinieres ch g ss bh S lection Valais 4 KELLER FLUID PRO AG 8049 Z rich amp 044 341 09 56 depuis1982 Cultures SOUS serre M rissement des tomates en fin de culture l thyl ne la rescousse C line GILLI C dric CAMPS et J rg STALD
66. e fruit D un point de vue pratique une telle quantit d analyses utilise du temps de la main d uvre et des consommables de labora toire De ce fait la mise au point d une m thode per Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 mettant de suivre la qualit des fruits sur la plante de mani re non destructive serait souhaitable Une telle approche donnerait la possibilit d accompagner le d veloppement des m mes fruits de la nouaison jus qu la r colte et l utilisation de la technique proche infrarouge NIR permettrait de ne pas employer de consommables de laboratoire et de r duire consid ra blement le temps et le co t des analyses La spectroscopie proche infrarouge est largement utilis e pour le d veloppement de mod les pr dictifs de la qualit de produits agricoles Diverses tudes ont 162 171 2014 d montr le potentiel de cette technique pour les fruits mais aussi pour les plantes aromatiques et m di cinales Bellon Maurel et al 2002 Camps et Christen 2009 Camps et al 2011 Delwiche et a 2008 Saran wong et al 2003 Pour les tomates les travaux sont essentiellement focalis s sur les fruits m rs ou dans les phases ultimes de maturation Certains ont d j montr l int r t po tentiel de la technique pour la caract risation de la qualit des tomates Baranska et al 2006 Camps et al 2012 Clement et al 2008a 2008b De Nardo et al 2009 Flores et al 2009
67. econdaires du m tabolisme levurien comme l ac tald hyde et l acide ac tique qui peut atteindre 1 59 l dans certains vins Erasmus et al 2004 Kontkanen et a 2004 Nurgel et al 2004 Pigeau et Inglis 2005a Pr c demment les mo ts riches en sucres taient surtout produits dans les r gions climat chaud mais aussi dans des r gions septentrionales pour des vins is sus de raisins partiellement ou enti rement passerill s comme les vendanges tardives vins de glace des Aus lese etc Ces derni res ann es cependant le r chauf fement climatique tend accro tre de facon plus g n rale les probl mes de fermentation li s aux taux de sucres excessifs dans les mo ts Mira de Ordufia 2010 Pour r duire le stress hyperosmotique les concen trations en sucre devraient tre limit es pendant la fer mentation Ce r sultat pourrait tre obtenu en ajou tant le mo t lentement et de facon continue un pied de cuve permettant ainsi aux levures de consommer le sucre au moment de son addition au lieu d ajouter les levures au mo t comme habituellement Cette ap proche est appel e fed batch de l anglais feeding pour alimenter Ce travail avait pour but d tudier l application d une m thode fed batch la fermentation d un mo t blanc riche en sucres Afin de bien identifier les diff rences ventuelles entre une fermentation tradition nelle batch et la variante fed batch un mo t de Char donnay a
68. ects non sensoriels Maltman 2013 Un projet conduit par une quipe multidisciplinaire tudie les fondements linguistiques sensoriels nolo giques et p dologiques de cette notion Cet article ex pose les diff rentes repr sentations mentales associ es la min ralit dans les vins en portant une attention particuli re la comparaison entre les repr sentations des consommateurs suisses francophones et francais Mat riel et m thodes Pour acc der aux repr sentations mentales associ es la notion de min ralit dans les vins un questionnaire comportant deux volets a t diffus en ligne entre 2011 et 2012 aupr s de consommateurs suisses et fran ais Le premier volet sociod mographique incluait des questions sur les comportements d achat et de consom mation tandis que le second volet tait compos de trois questions ouvertes Afin d approcher les repr sentations en question par diff rentes voies cognitives les trois questions taient les suivantes i Si je vous parle de min ralit propos de vin quoi cela vous fait il penser Imaginez que vous ayez expliquer un ami ce qu est la min ralit d un vin Pour lui expliquer ii vous donnez une d finition iii vous citez des synonymes Un second questionnaire adress aux professionnels suisses et fran cais est en cours d analyse Extrait du livre Les Ignorants d Etienne Davodeau Futuropolis 2011 Le concept de min
69. ei pomodori in serra Il tenore in materia solubile TMS l acidit totale AT come purei parametri della colorazione sono stati monitorati dall allegagione dei frutti fino al raccolto a piena maturazione Questo monitoraggio e stato effettuato durante la primavera e l estate I dati ottenuti dalla spettroscopia e dalla qualit sono stati utilizzati in modo da costruire dei modelli chemiometrici miranti a 1 seguire l evoluzione dei frutti in funzione del loro stadio di sviluppo e per 2 predire la qualit dei frutti modelli discriminanti hanno permesso di rintracciare l evoluzione cronologica dei frutti e di marcare l entrata nella fase di maturazione modelli quantitativi PLS hanno permesso di predire la TMS l AT e la colorazione dei frutti con delle precisioni dipendenti dalla stagione e dallo stadio di maturit dei frutti Roger J M Palagos B Bertrand D amp Fernandez Ahumada E 2011 CovSel Variable selection for highly multivariate and multi response calibration Application to IR spectroscopy Chemometrics and intelligent Laboratory Systems 106 216 223 Saranwong S Sornsrivichai J amp Kawano S 2003 On tree evaluation of harvesting quality of mango fruit using a hand held NIR instrument Journal of near Infrared Spectroscopy 11 4 283 293 e Williams P amp Sobering D 1993 Comparison of commercial near infrared transmittance and reflectance instruments for analysis of whole g
70. ellement efficace dans la lutte contre Septoria nodorum sur semences de bl et inefficace contre Xan thomonas malvacearum sur semences de coton Locas cio et al 1963 ont compar un traitement de 30 mi nutes l eau chaude 50 C avec une d sinfection de m me dur e la vapeur a r e 40 50 et 60 C de se mences de chou poivron c leri et aubergine Ils constatent une forte diminution de la capacit germi native des semences apr s un traitement de 30 minutes la vapeur 60 C Forsberg montre en 2005 que la d sinfection de semences de c r ales la vapeur a r e peut tre aussi efficace qu un traitement chimique contre les pathog nes transmis par les semences Les r sultats pr sent s ici montrent que le traitement la vapeur a r e permet de tuer les champignons patho g nes sur des semences de l gumes sans pour autant inhiber leur facult germinative Production de vapeur et r gulation de la temp rature La vapeur faible pression peut tre produite simple ment avec une marmite pression ou une bouilloire fig 2 Un tuyau souple la conduit vers une buse d in Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 194 197 2014 jection o le flux de vapeur aspire par des trous lat raux l air ambiant qui le refroidit L ouverture ou la fermeture des trous permet ainsi de r gler la temp ra ture de la vapeur et de la maintenir constante A son extr mit la buse d inject
71. ent moins fr quentes chez les consommateurs francais que sont craie granite et de nombreuses asso ciations aux pierres du type pierre chaude apr s la pluie pierre de montagne mur en pierres s ches re fl tant ici les paysages viticoles suisses paysages mon tagneux o les terrasses viticoles sont omnipr sentes Les principaux exemples cit s sont surtout propres aux vins suisses le Chasselas la Petite Arvine et la r gion du Valais fig 2 Aux diff rents terroirs du Valais par exemple les roches br l es par le soleil sur le coteau de Chamoson un nez de pierre chaude apr s la pluie un go t de terre sablonneuse Figure 2 Les consommateurs suisses associent souvent la min ralit des vins aux notions de terroir de go t de pierre fusil de murs en pierres s ches l exemple des vignes de Chamoson photo Carole Parodi Agroscope Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 174 180 2014 Je visualise une pierre plut t de montagne qu un galet de plage et j associe l id e de go t de poussi re C est donc incompr hensible premi re vue J ai peine imaginer que ce soit une caract ristique positive La min ralit me fait penser un aspect rocailleux de pierre Par exemple mur de pierres s ches Les r f rences sensorielles sont nombreuses et mettent l accent sur la perception de la min ralit en bouche Le mot fraicheur est par exemple
72. erv afin de d terminer le nombre optimal de variables fig 2A B Pour le mod le utilisant les donn es NIR de printemps le nombre de variables sera donc de 11 et il sera de 8 pour le mod le estival Les mod les discriminants permettent une classifi cation correcte des fruits hauteur de 66 printemps et 80 t Les cartes factorielles selon les deux pre mi res dimensions sont pr sent es dans la figure 2C et 2D Pour le mod le de printemps les ellipses de chaque date de r colte forment un arc param tr continu de puis 48 jours avant r colte jusqu la date de r colte Maturation Maturation Printemps Et TMS Jours pr c dant la r colte Maturation Maturation 0 06 0 05 0 04 0 03 E 0 02 0 01 Printemps Et 30 20 10 0 60 50 40 30 20 10 0 Jours pr c dant la r colte Jours pr c dant la r colte Figure 1 Evolution de la qualit des fruits au cours de leur croissance et d veloppement en serre au printemps symboles blancs et en t symboles noirs Cal calibre MF masse fraiche TMS teneur en mati res solubles TA acidit totale A et TCI caract risent la couleur Les donn es ont t analys es par ANOVA et test hsd de Tukey p 0 05 Les barres d erreur repr sentent les intervalles de confiance 95 de l analyse de variance et du test hsd Revue suisse Viticulture Ar boriculture Horticulture Vol 46
73. es mesures afin d obtenir des r sultats robustes et fiables Cette multiplication des mesures est consommatrice de temps et de main d uvre La spectroscopie proche infrarouge pourrait r duire ces contraintes e La spectroscopie proche infrarouge portable semble prometteuse pour le suivi global du d veloppement physiologique des fruits La pr diction quantitative de la teneur en mati res solubles sucres est possible tandis que celle de l acidit totale est moins fiable La pr diction des param tres de couleur est particuli rement pr cise pour les phases de d veloppement o les fruits changent de couleur m W L Steinhauser M C Michalska J Rohrmann J Geigenberger P Oliver S N Stitt M Carrari F Rose J K C amp Fernie A R 2011 Malate Plays a Crucial Role in Starch Metabolism Ripening and Soluble Solid Content of Tomato Fruit and Affects Postharvest Softening Plant Cell 23 1 162 184 Clement A Dorais M amp Vernon M 2008a Multivariate approach to the measurement of tomato maturity and gustatory attributes and their rapid assessment by Vis NIR Spectroscopy Journal of agricultural and Food Chemistry 56 5 1538 1544 Clement A Dorais M amp Vernon M 2008b Nondestructive Measurement of Fresh Tomato Lycopene Content and Other Physicochemical Characteristics Using Visible NIR Spectroscopy Journal of agricultural and Food Chemistry 56 21 9813 9818 De Nardo T Shiroma Kian C Hal
74. et puret qualit droit franc dur et duret pre et pret rugosit fer m tal et m tallique e mine de crayon utilisation sp cifique des r pondants suisses La grande majorit des synonymes cit s pr sente une connotation globalement positive m me si cer taines de ces nouvelles associations duret pret rugosit m tallique laissent aussi supposer une di mension potentiellement n gative La positivit des odeurs de pierre fusil de silex ou de caillou reste tou tefois d montrer e Les synonymes rel vent le plus souvent du positif bien que quelques mots cit s puissent tre aussi porteurs d une dimension n gative m Remerciements Le projet Min ralit des vins tude et valorisation d un concept en vogue mais m connu a t s lectionn dans le cadre du programme de coop ration territoriale europ enne INTERREG IV A France Suisse 2007 2013 Bibliographie Guignard J X amp Noble A C 1986 Proposition d une terminologie pour une description analytique de l ar me des vins Science des Aliments 42 657 662 Maltman A 2013 Minerality in wine a geological perspective Journal of Wine Research 24 1 13 Silvestre R 2010 Sur la min ralit dans la d gustation des vins Revue des nologues 134 53 56 74 lt Viticulture Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et francais Summary E Publicit Minerality in wines
75. exander obtiennent un b n fice moyen de 7000 CHF ha de 2009 2011 tandis que Conf rence pr sente des pertes de plus de 9000 CHF ha Les rendements 8t ha et les prix la production 0 10 CHF ha de Kaiser Alexander sont si gnificativement plus lev s que ceux de Conf rence Eclaircissage des fruits recommandations et application L claircissage des fruits permet aux arboriculteurs de contr ler la quantit et la qualit des fruits Des recom mandations d claircissage sont publi es chaque an n e par la Conf d ration Agroscope et les cantons Pour Agroscope il est difficile d valuer quel point les strat gies recommand es sont suivies dans la pratique Lors de la rencontre des chefs d exploitation SOA 2013 Albert Widmer collaborateur scientifique en physio logie Agroscope a analys les strat gies enregis tr es par les producteurs dans le journal de travail ASA jAgrar pour la vari t Gala Les vingt sept exploitations qui poss daient une ou plusieurs parcelles de Gala en production de la 4 la 15 ann e de 1997 2012 ont enregistr 357 donn es Une donn e contient les infor mations d une parcelle par exploitation et par ann e la m me parcelle pouvant donc apparaitre plusieurs fois Un claircissage chimique a t appliqu seule ment dans 62 des cas Environ 15 des exploitations SOA produisent selon les directives BIO Suisse et n ap pliquent aucun produit d claircissage
76. ffe Maxi fort Emperador et DRO141 ont t plant es le 3 jan vier Les porte greffe n ayant pas d effet significatif sur les rendements les r sultats ont t regroup s par va ri t En 2013 une seule vari t Endeavour greff e sur Kaiser a t plant e le 14 f vrier Des plants deux t tes ont t install s une densit de 3 5tiges m Les deux ann es les cultures ont t men es sur un subs trat de fibre de coco avec recyclage complet de la solu tion nutritive sans d sinfection Chaque compartiment comportait quatre r p ti tions Une parcelle l mentaire tait constitu e de six dix plantes par vari t et porte greffe en 2012 et de cinquante quatre plantes en 2013 Les grappes taient taill es cinq fruits Injection d thyl ne L thyl ne pur est un gaz inflammable Son utilisation doit respecter la r glementation des zones atmos ph re explosive Pour cette raison une installation des tin e au m rissement des bananes a t utilis e comme source d thyl ne fig 1 Le m lange de gaz contient 4 d thyl ne et de l azote Le r seau de distribution du CO a servi pour l injection de l thyl ne dans la serre Le taux a t fix 10 ppm dans la serre L thy l ne tait inject la nuit de 19h 8h En 2012 l injec tion a eu lieu pendant neuf nuits et pendant dix nuits en 2013 La premi re injection a t effectu e les deux ann es dans la nuit du 8 au 9 no
77. gnons peuvent ruiner totalement les cultures et entra ner de lourdes pertes financi res pour les producteurs Ceux ci seraient donc tout dispos s adopter la d sinfection physique des semences de basi lic pour autant qu elle soit s re et peu co teuse La 10096 75 50 25 0 T D 30 D 60 D 90 D 120 65 C 65 C 65 C 65 C Variante ES Infection fongique Facult germinative 96 Figure 3 Contamination fongique et facult germinative des semences de carotte cv Bolero apr s d sinfection la vapeur a r e 65 C durant 0 30 60 90 et 120 secondes T t moin d sinfection classique l eau chaude n est gu re prati cable car les semences de basilic ont la caract ristique d accumuler tr s vite beaucoup d eau en formant un mucus superficiel collant qui agglutine les graines et rend le s chage impossible apr s le traitement l eau chaude Les semences ont pu tre d sinfect es la va peur a r e fig 4 Pour viter qu elles s agglom rent les graines ont t dispos es plat sur un filet de nylon laissant s goutter l eau de condensation Les graines ont t s ch es sur le filet puis s par es Asperges L tat sanitaire des jeunes plantes joue un r le pr pon d rant dans la dur e de vie d une culture d asperges Les jeunes plantes produites au champ selon la m thode traditionnelle sont fr quemment contamin es par des champignons du sol comme Chalara Rhizo
78. ie sur une vari t de tomate de production en serre cultiv e dans la pratique De plus la variabilit saisonni re et le stade de d veloppement des fruits avant et pendant la maturation ont t pris en compte dans la mise en place et l optimisation des mod les chimiom triques afin de mesurer la qualit des fruits Conditions culturales et chantillonnage Des tomates Solanum lycopersicum de la vari t Endeavour ont t cultiv es en serre verre de type Venlo en conditions climatiques contr l es La plan Revue suisse R sum Bl tation a eu lieu le 14 f vrier 2013 une densit de 3 5tiges m Les consignes climatiques taient une hu midit maximale Dx de 3g kg et des temp ratures de 17 19 21 C jour nuit a ration Un premier lot de tomates a t suivi en d but de saison de mars mai Un second lot de fruits a t analys en juin et juillet Des fruits ont t pr lev s tous les trois quatre jours de la nouaison la r colte pleine maturit Durant le printemps seize pr l ve ments ont t effectu s contre dix en t Le premier lot comportait 144 fruits et le second 90 une diff rence li e au d veloppement des fruits plus long au printemps qu en t Analyses de qualit Les tomates ont t broy es l aide d un robot Electric tomato sauce sieve mod Testarossa en r cup rant la pulpe d pourvue de peau et de grains pour la suite des analyses Cette pu
79. igueur moyenne forte Port semi rig Potentiel de production moyen grappes nombreuses mais l g res n cessite une taille longue Des conditions climatiques d favorables lors de la floraison et ou une forte vigueur peuvent entra ner de la coulure Maladies ravageurs carences accidents physiologiques r sistance lev e au mildiou et au botrytis moyenne l oidium 1 3 traitements contre le mildiou et l oidium sont pr conis s en fonction de la pression des maladies durant la p riode floraison nouaison stade petit pois BBCH 57 59 73 75 Ne pr sente pas de r sistance particuli re contre le black rot et le rougeot Terroirs de pr dilection semble s adapter un large ventail de sols et de climats En consid rant le niveau de maturit lev requis pour l laboration de vins de qualit il convient toutefois d viter des situations trop marginales Potentiel cenologique Mo t neutre moyennement sucr et moyennement acide Vin tr s color structur tr s riche en polyph nols Bouquet caract ris par des notes fruit es florales et pic es Ce c page peut tre valoris en assemblage ou en vin de c page Synonymes En Suisse aucun Origine C page obtenu la Station de recherche Agroscope Pully en 1997 partir d un croisement entre Gamaret et Bronner code de s lection IRAC 2091 Vari t intersp cifique poss dant des g nes de r sistance aux maladies proven
80. im Y Francis D amp Rodriguez Saona L E 2009 Rapid and Simultaneous Determination of Lycopene and beta Carotene Contents in Tomato Juice by Infrared Spectroscopy Journal of agricultural and Food Chemistry 57 4 1105 1112 Delwiche S R Mekwatanakarn W amp Wang C Y 2008 Soluble solids and simple sugars measurement in intact mango using near infrared spectroscopy Horttechnology 18 3 410 416 Ecarnot M Baczyk P Tessarotto L amp Chervin C 2013 Rapid phenotyping of the tomato fruit model Micro Tom with a portable VIS NIR spectrometer Plant Physiol Biochem 70 159 163 Flores K Sanchez M T Perez Marin D Guerrero J E amp Garrido Varo A 2009 Feasibility in NIRS instruments for predicting internal quality in intact tomato Journal of Food Engineering 91 2 311 318 Giovannoni J J 2004 Genetic regulation of fruit development and ripening Plant Cell 16 170 5180 Kusumiyati A Akinaga T Tanaka M amp Kawasaki S 2008 On tree and after harvesting evaluation of firmness color and lycopene content of tomato fruit using portable NIR spectroscopy Journal of Food Agriculture amp Environment 6 2 327 332 Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Cultures sous serre Summary E Luengwilai K amp Beckles D M 2009 Starch Granules in T
81. ion est munie d une cloche o un thermom tre mesure la temp rature de la vapeur a r e Variantes de traitement Le tableau 1 r sume les temp ratures et dur es test es pour tuer les pathog nes sans diminuer la capacit ger minative des semences durant les essais pr liminaires sur diff rentes esp ces de l gumes D sinfection Les semences sont dispos es en couche unique sur un treillis ou sur du papier filtre afin d tre bien envelop p es dans le flux de vapeur a r e La vapeur doit abso lument pouvoir s vacuer sans obstacle hors de la zone de traitement faute de quoi les semences seront tu es si la chaleur persiste au del de la dur e pr vue A la fin du processus des chantillons sont pr lev s pour valuer le r sultat de la d sinfection et la facult germinative des semences Si le semis ne suit pas direc tement le traitement les semences sont s ch es durant 36 48h une temp rature ne d passant pas 30 C Tableau 1 Param tres du traitement la vapeur a r e des esp ces de l gumes tudi es Dur e de Temp rature la d sinfection s Figure 2 Installation de d sinfection des semences la vapeur a r e source de vapeur tuyau souple syst me d injection avec r glage de la temp rature et cloche pour le traitement A droite semence tal e sur un treillis avant le traitement Lorsque le syst me a atteint la temp rature d sir e le treillis portant les se
82. l autre r gule de nom breuses enzymes impliqu es dans le ramollissement Tableau 3 Acidite totale fermet et substances solubles totales avec et sans injection d thyl ne de trois vari t s de tomates en 2012 et d une vari t en 2013 Moyenne de quatre r p titions Ann e Vari t Facteurs de rendement Sans Avec thyl ne thyl ne 2012 Kommeet Acidit totale m q 100 g 6 0 5 9 Fermet Indice Durofel 76 9 79 2 Substances solubles Brix 3 9 4 0 lens Acidit totale m q 100 g 6 7 6 8 Fermet Indice Durofel 75 9 78 9 Substances solubles Brix 4 2 4 4 E Acidit totale m q 100 g 6 3 6 3 Fermet Indice Durofel 75 6b 81 1a Substances solubles Brix 4 0 4 2 2013 Endeavour Acidit totale m q 100 g 5 9 5 6 Fermet Indice Durofel Substances solubles Brix 4 0 3 9 Les valeurs suivies de lettres diff rentes sont significativement diff rentes P 0 05 pour une m me ann e et une m me vari t Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 c C u ti des fruits Alexander et Grierson 2002 Il est possible que ces effets ne soient pas simultan s et que le chan gement de coloration ait pr c d le ramollissement Ces r sultats montrent galement que toutes les vari t s ne r agissent pas de la m me mani re l thyl ne Selon Salveit 1999 plusieurs fa
83. lette Poids env AO kg vide Volume 580 litres Dimension hauteur avec pieds 180 cm Encombrement au sol 99 x 99cm Option Ceinture de basculage i ans CH 1070 Puidoux t 021 946 33 34 Portes ouvertes pour les 25ans Vendredi 20 amp samedi 21 Juin 2014 www ovoide ch cs serex plastics ch
84. lpe a t centrifug e pendant deux minutes 10000rpm et le surnageant utilis pour la mesure des mati res solubles et de l acidit totale La teneur en mati res solubles a t mesur e au r fracto m tre digital Reichert r2mini Digital Pocket Refracto meter USA Les r sultats sont exprim s en Brix L acidit totale a t mesur e au titrim tre Metrohm 719S Titrino sur 5g de jus avec une solution de NaOH 0 1 mol l Les r sultats sont exprim s en m q 100g La Vian el m Arhrrir DEE LI sa phi si LORS V A AC 29 145 171 A A VITICUITUrE AI boriculture Horticulture Vol 46 3 162 LUIG Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Cultures sous serre Cultures so us serre Suivi de la qualit des tomates couleur de fond a t mesur e sur les fruits entiers avant leur broyage l aide d un spectrocolorim tre Minolta C O LTD Chroma meter CR 400 Les r sul tats sont exprim s selon trois param tres les compo santes L lightness a red to green et b blue to yellow le ration a b et le calcul de l indice de couleur de la tomate TCI Clement et a 2008b Spectroscopie proche infrarouge et chimiom trie Les spectres de tomate ont t acquis en mode r flec tance en mettant directement la source lumineuse du spectrom tre NIR PHAZIR 1018 Anatec Eke Belgium sur la surface du fruit Les spectres enregistr s sont une m
85. mences est mis sous la cloche La vapeur s chappe sans encombre par la grille au dessous du treillis Actualit s Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 194 197 2014 Actualit s Evaluation du r sultat de la d sinfection et de la facult germinative Cent quatre cents graines respectivement trait es et non trait es sont dispos es par groupes de 25 sur un gel aqueux d agar 2 dans des bo tes de P tri et mises germer l obscurit 20 C La pr sence de champignons ou de bact ries est examin e apr s 7 10 jours et la capacit germinative des semences apr s 10 14 jours R sultats Carottes En Suisse la vari t Bolero est tr s appr ci e des pro ducteurs bio qui ne travaillent pratiquement qu avec ce cultivar Les semences de carotte sont tr s souvent contamin es par diverses esp ces du genre Alternaria comme A dauci A radicina et A alternata De plus ces derni res ann es des champignons du genre Cer cospora ont t observ s sur des graines de carotte au champ La figure 3 montre que la contamination par ces champignons a t totalement limin e apr s une d sinfection de 90 secondes 65 C sans alt rer la facult germinative des semences Basilic Chez le basilic le mildiou Peronospora lamii et la fusa riose Fusarium oxysporum f sp basilici sont les princi paux pathog nes connus transmis par les semences Ces deux champi
86. mental expectations of Swiss and French consumers Today the concept of minerality in wines is omnipresent It appears in marketing discourses in oenological critics and commercial communication However there is no common agreement on a general definition This paper aims to study the different expectations that Swiss and French consumers have about minerality The multidimensionality of the term is reflected through stereotypes like the odor of flint the impression of Zusammenfassung E sucking a stone or referring to acidity or to the Terroir Thus the term minerality appears as a unstable concept and providing a precise definition remains consequently difficult for many consumers Key words minerality wine expectations flint stone consumers Dy n i estau contr li idium T an dema A Salom Roux Vigneronne cenologue Champlan VS www dynali syngenta ch syngentae Mineralit t des Weines mentale Vorstellungen schweizerischer und franz sischer Konsumenten Der Begriff Mineralit t ist heutzutage berall zu finden im Marketingdiskurs in Wein kritiken sowie als kommunika tives Schlagwort vieler Akteure der Weinindustrie Trotzdem scheint niemand in der Lage zu sein eine Konsensdefinition vorzuschlagen Dieser Beitrag zielt darauf ab die unterschied lichen Vorstellungen zu untersuchen die sich franz sische und schweizerische Konsumenten von diesem Begriff machen Die Multi
87. n de sulfites combin s l ac tald hyde de pr s de 40 mg l Bibliographie Bely M Masneuf Pomarede I amp Dubourdieu D 2005 Influence of physiological state of inoculum on volatile acidity production by Saccharomyces cerevisiae during high sugar fermentation J Int Sci Vigne Vin 39 4 191 197 Boulton R B Singleton V L Bisson L F amp Kunkee R E 1996 Principles and Practices of Winemaking Chapman amp Hall New York 604 p Erasmus D J Cliff M A amp van Vuuren H J J 2004 Impact of yeast strain on the production of acetic acid glycerol and the sensory attributes of icewine Am J Enol Vitic 55 4 371 378 Erasmus D J van der Merwe G K amp van Vuuren H J 2003 Genome wide expression analyses Metabolic adaptation of Saccharomyces cerevisiae to high sugar stress FEMS Yeast Res 3 4 375 399 Ferreira J du Toit M amp du Toit W J 2006 The effects of copper and high sugar concentrations on growth fermentation efficiency and volatile acidity production of different commercial wine yeast strains Austr J Grape Wine Res 12 1 50 56 Jackowetz J N Li E amp Mira de Orduna R 2012 Sulphur dioxide content of wines the role of winemaking and carbonyl compounds Practical Winery amp Vineyard Winter 38 49 Kontkanen D Inglis D L Pickering G J amp Reynolds A 2004 Effect of yeast inoculation rate acclimatization and nutrient addition on icewi
88. nd chose etc Il est int ressant de constater que sur les 122 r pondants qui se trouvent dans cette im passe repr sentationnelle seuls quatre sont suisses Chez les autres r pondants la min ralit propos de vin voque principalement trois grandes th matiques e le champ lexical du sensoriel avec plus particuli rement des odeurs ar mes de pierre fusil et de silex de l acidit et de la fraicheur en bouche le tout compl t par des exemples de vins blancs Chablis Chasselas Chardonnay etc e l analogie avec les eaux min rales leurs teneurs et leurs compositions en sels min raux e le lien au sol et au terroir la nature et le lieu o pousse la vigne La figure 1 montre uniquement les mots significati vement plus utilis s par les consommateurs suisses que par les consommateurs francais et vice versa Les mots utilis s de la m me mani re par les deux populations ne sont pas mentionn s dans cette figure L analyse des diff rences de repr sentations entre consommateurs suisses et francais fait apparaitre une utilisation pr dominante chez les consommateurs suisses des mots pierre et fusil pour pierre fusil caillou et silex l exemple de la citation suivante A un vin qui a un go t de caillou de silex ou de calcaire Je dirais aussi que par analogie il sera pur et frais La richesse terminologique du domaine g o p do logique est compl t e par des sp cificit s suisses net tem
89. ne WWE AU SERVICE DE L AGRICULTURE e CUVES INOX 318 e TUYAUX VIN e MONTAGE DE RACCORDS e PRODUITS NOLOGIQUES o PLAQUES lt FITRO ME 20 ER e TERRES DE FILTRATION e T Co w e FILETS DE VIGNES Gaz alimentaires GOURMET Cus CUENOUD SA www cuenoud ch T L 021 799 11 07 Fax 021 799 11 32 MESSERS Messer Schweiz AG Publicit O Cabrio Star Vivando Mildicut Forum Star O Cantus Silwet L 77 protection in dite contre le botrytis le fongicide syst mique contre le mildiou efficace contre toutes les maladies importantes le fongicide contre l oidium ofamid Forum Star 11 3 96 e 0 le fongicide anti mildiou hautement actif le fongicide combin p n trant contre le mildiou Roundup Turbo 450 dinil 25 96 Fludioxonil id al contre les ravageurs nt Absolument observer les mesures de pr caution sur les emballages Vivando 500 g l Metrafenon calid Silwet L 77 olpet in 400 g l osate i Cyprodini il Pyrinex 250 g toundup Profi Glifonex Switch Bo Cantus 50 Leu Gygax SA diccilsiartion qoutte d gautte ZS Prett gei e d u NETAFIM UniWine Des 0 57 ct mI Tr s grande r sistance au colmatage Autor gulant diff de hauteur 35 m Pos au sol ou suspendu au fil Goutteurs int gr s Chemin de l Autoroute 5 1926 FULLY T l 027 746 33 03
90. ne fermentation Am J Enol Vitic 55 4 363 370 Li E amp Mira de Ordu a R 2011 Evaluation of the acetaldehyde production and degradation potential of 26 enological Saccharomyces and non Saccharomyces yeast strains in a resting cell model system J Ind Microbiol Biotechnol 38 9 1391 1398 Liu S Q amp Pilone G J 2000 An overview of formation and roles of acetaldehyde in winemaking with emphasis on microbiological implications Int J Food Sci Technol 35 49 61 e Cette tude prouve que pour les mo ts haute concentration en sucres l application d une strat gie fed batch visant maintenir les concentrations en sucre basses et constantes pendant la fermentation peut augmenter la viabilit des levures et r duire de facon significative la production de m tabolites associ s leur r ponse au stress Les changements observ s ont un impact sur le plan cenologique Cependant le contr le manuel constant des teneurs en sucres exig par la m thode fed batch est irr alisable dans un contexte industriel De travaux sont ainsi programm s Changins pour automatiser ce proc d de m me que des tudes plus approfondies sur l effet des fermentations fed batch sur la composition et la qualit organoleptique des vins E Michnick S Roustan J L Remize F Barre P amp Dequin S 1997 Modulation of glycerol and ethanol yields during alcoholic fermentation in Saccharomyces cerevisiae strain
91. ng fermentation success and efficiency and decreasing byproduct formation in alcoholic fermentations by S cerevisiae Current studies at Changins will further investigate the application of this technique and its automation Key words yeast Saccharomyces cerevisiae alcoholic fermentation wine hyperosmotic stress fed batch Zusammenfassung Bl Verbesserung der Leistungs f higkeit der Hefe in der nologie durch Anwendung der fed batch Technik Hohe Mostzuckergehalte f hren in der Hefe Saccharomyces cerevisiae zu hyperosmotischem Stress und in der Folge zu erh hter Bildung von uner w nschten G rungsnebenpro dukten wie Essigs ure und Acetaldehyd Ethanal und einer gr sseren Wahrscheinlich keit von G rst rungen Ziel dieser Arbeit war es die traditionelle G rung Batch Fermentation eines Mostes mit hohem Zuckergehalt 340 g l mit einer fed batch G rung zu vergleichen Bei der fed batch Variante wurde die kontinuier liche Zugabe des selben Mostes derart variiert dass die Zucker konzentration w hrend der G rung bei 50g l konstant blieb Keine signifikanten Unter schiede bez glich der End ethanolkonzentration konnten beobachtet werden Aufgrund erh hter Hefelebensf higkeit im Fed batch Verfahren konnten jedoch h here Ethanolbildungs raten in dieser Variante gemessen werden Weiterhin f hrte das Fed batch Verfahren zu signifikant tieferen Gehalten an Essigs ure und Acetaldehyd Der Ei
92. ni res tomates L thyl ne pourrait donc constituer une solution int ressante pour faire m rir rapidement les fruits encore pr sents sur les plantes et ainsi augmenter les rende ments tout en r duisant la consommation d nergie sans risque de r sidus Une telle application limiterait galement le gaspillage de tomates pas tout fait pr tes la consommation mais pour lesquelles de l eau de l engrais et de l nergie ont t utilis s En collaboration avec la soci t Carbagas un essai a t mis en place par Agroscope en 2012 et 2013 afin d va luer l effet de l injection d thyl ne directement dans une serre sur la maturation des derni res grappes de tomate Mat riel et m thodes Dispositif exp rimental Les essais ont t conduits dans deux compartiments identiques d une serre de type Venlo avec double a ration hauteur sous ch neau de 4 7 m et d une surface de 358 4 m chacun Un des compartiments servait de t moin et dans l autre de l thyl ne a t inject Les consignes de chauffage d a ration et d irrigation taient les m mes dans les deux compartiments pen dant la p riode d injection de l thyl ne Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 154 158 2014 M rissement des tomates en fin de culture l thyl ne la rescousse Cultures sous serre En 2012 trois vari t s de tomates Levanzo Endea vour et Kommeet greff es sur trois porte gre
93. nsatz einer fed batch Verg rungstechnik bei konstant tiefen Zuckergehalten k nnte in der Praxis die G rungssicherheit und effizienz erh hen und die Bildung von unerw nschten G rungsnebenprodukten minimieren Derzeitige Studien in Changins haben sich zum Ziel gesetzt das Verfahren zu automatisieren und weiter zu untersuchen Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 182 186 2014 Riassunto E Miglioramento dell efficienza del lievito attraverso la tecnica fed batch in enologia Elevati tenori zuccherini nel mosto causano nel lievito Saccharomyces cerevisiae uno stress iperosmotico e di conseguenza una maggiore formazione di prodotti di fermentazione secondari indesiderati quali l acido acetico e acetaldeide e possibili arresti di fermentazione Lo scopo del presente lavoro era di confrontare la fermentazione tradizionale fermentazione batch di un mosto con elevato tenore zuccherino 340 g l con una fermentazione fed batch Nella variante fed batch si variato continuamente l aggiunta dello stesso mosto in modo che la concentrazione durante la fermentazione rimanesse costante a 50g l Non si sono osservate differenze significative relative alla concentrazione finale di etanolo A causa della migliora capacit di sopravvivenza del lievito nel procedimento fed batch sono stati misurati dei tassi maggiori di formazione di etanolo Il procedimento fed batch ha inoltre portato a un tenor
94. omato Fruit Show a Complex Pattern of Degradation Journal of agricultural and Food Chemistry 57 Monitoring of tomato quality by hand held NIR spectroscopy and chemometric The objective of the present study was to evaluate the use of hand held near infrared spectroscopy to monitor the quality of tomatoes grown in greenhouse The soluble solids content TMS total acidity TA and color settings were followed from fruit set until harvest at full maturity This monitoring was conducted during the Spring and Summer The spectral data and quality have been used to construct chemometric models in order to 1 monitor the fruit according to their stage of development and 2 predict fruit quality The discriminant models have traced the chronological evolution of fruit and mark the entry in the maturation stage Quantitative models PLS were used to predict the TMS TA and fruit color considering the season and the fruit maturity stage Zusammenfassung Bl Key words NIR spectroscopy quality tomato FDA PLS 18 8480 8487 Moons E amp Sinnaeve G 2000 Non destructive Vis and NIR spectroscopy measurement for the determination of apple internal quality Acta Hort 517 441 448 Pedro A M K amp Ferreira M M C 2007 Simultaneously calibrating solids sugars and acidity of tomato products using PLS2 and NIR spectroscopy Analytica chimica Acta 595 1 2 221 227 Petreikov M Yeselson L Shen
95. onsommateurs permettant ainsi de comparer les deux corpus Suisse et France ini tialement de tailles tr s diff rentes par le nombre de r pondants Nous constatons que le corpus Suisse est plus riche que le corpus France pour l ensemble des in dicateurs Les consommateurs suisses ont fourni des r ponses plus longues tout en utilisant un vocabulaire plus vari Cela se manifeste pour chacun des indica teurs tabl 1b Le niveau de connaissance d clar sup rieur pour les consommateurs suisses explique tr s cer tainement cette plus grande richesse de vocabulaire Sous corpus vocation Lors de cette premi re question les consommateurs devaient formuler ce que leur voque la min ralit dans les vins sans stimulus ext rieur c est dire hors de toute situation de d gustation Ils taient implicite ment encourag s verbaliser toutes les id es qui leur venaient spontan ment l esprit tout en faisant r f rence le cas ch ant des exemples ou des moments de leur vie exp riences nologiques ou vie priv e L analyse globale du sous corpus vocation montre que 7 des r pondants soit 122 r pondants au total ne sont pas en mesure de formuler quoi leur fait pen ser la min ralit Leurs r ponses traduisent l ind termi nation de la notion mat rialis e par des points d inter rogation ou de suspension ou des formulations comme je n en ai aucune id e rien de pr cis d sol pas gra
96. oscope Pascale Deneulin sourit Le grand principe c est que le premier achat est d au marketing et le suivant l ana lyse sensorielle Cette activit fait appel plusieurs disciplines allant de la linguistique verbalisation des sensations de la physiologie du go t et de la psycho logie des consommateurs aux m thodes statistiques avec lesquelles les sensations seront quantifi es Le projet sur la min ralit des vins commenc depuis peu voir l article en p 174 et la Page de Changins en p 206 ouvre un riche champ d exp riences sur ce plan Par la suite Pascale aimerait tudier davantage les mo tions li es aux sens un domaine encore d fricher dans la verbalisation et la description des attributs li s aux sensations Dans ses loisirs le cheval reste une valeur s re avec la montagne et les voyages lointains vers d autres cultures mais pour l heure cette jeune maman appr cie la vie de famille dans leur foyer remis neuf pour l occasion Eliane Rohrer Revue suisse de Viticulture Arboriculture Horticulture 4 L a d e CHANGINS page Min ralit des vins tude et valorisation d un concept en vogue mais m connu La notion de min ralit a r cemment merg dans le discours de certains professionnels critiques nolo giques ou amateurs clair s avant d apparaitre tr s progressivement dans celui des consommateurs Pour autant nul n est encore parvenu d finir ce qu est e
97. oyenne de trente scans la r solution de la mesure est de 8nmet la longueur d ondes de 950 1800 nm Avant l analyse des fruits un scan de r f rence est effectu l aide d une pi ce de spectralon Trois acquisitions spectrales sont effectu es par fruit Au total 702 spec tres ont t collect s 432 au printemps et 270 en t Les spectres ont t soumis un traitement permet tant leur standardisation SNV Barnes et al 1989 Moons et Sinnaeve 2000 Mod les qualitatifs analyse factorielle discriminante La collection de spectres a t soumise des analyses factorielles discriminantes AFD Un spectre donn forme un vecteur x de p longueurs d ondes Les n spec tres ont t rassembl s dans une matrice rectangulaire X de dimension n x p Compte tenu de la forte colin a rit des absorbances une version modifi e d AFD a t appliqu e Bertrand et a 1990 Dans l AFD les grou pes qualitatifs discriminer taient les dates de pr l vement exprim es en jours pr c dant la r colte maturit des fruits Les r sultats des mod les AFD sont valu s selon le pourcentage de fruits auxquels la bonne date de pr l vement a t attribu e dans le jeu de validation Les tests de validation ont t effectu s par division de la matrice X en un jeu de calibration et un jeu de valida tion Le mod le a t mis en place sur le jeu de calibra tion et les donn es du jeu de validation ont t
98. pacit l che P doncule moyen long Forme conique Nombre d ailes 3 4 Face ventrale Baie de r f rence Chasselas m pt pn n Hn pH HH HE EE EET EEE 1 2 3 4 5 Baie Longueur courte Forme elliptique courte Couleur de l piderme bleu noir Intensit de la couleur de la pulpe tr s faible faible Publicit Selection et production de clones __sreffons tenentes pour la Viticulture contient Bacillus thuringiensis kurstaki Contre les vers de la grappe en viticulture Insecticide biologique base de Bacillus thuringiensis Andermatt Biocontrol Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6 6146 Grossdietwil Telefon 062 917 50 05 www biocontrol ch Bouchons en li ge Capsules vis Bouchons couronne Capsules de surbouchage Bondes silicone Barriques Supports porte barriques Tire bouchons LIEGE RIBAS S A 8 10 rue Pr Bouvier Z I Satigny 1217 Meyrin Tel 022 980 91 25 Fax 022 980 91 27 e mail ribasQbouchons ch www bouchons ch P PINI RES VITICOLES ANTATION LA MACHINE EXT 63 TOY E t l pets 808 7691 fax 021 8087840 Priv t l 0218074211 I Ww VP KI Sa hen ef ve a o Fra h EM w gd E Pour que les fruits soient beaux t le vin bon nous importons des machines de qualit d Tecnoma Technologies Tracteurs enjambeurs 2 3 et 4 roues motrices
99. quement significatives p 0 05 Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 182 186 2014 Am lioration de la performance des levures nologiques avec la m thode fed batch Viticulture t des pays Plusieurs chercheurs ont tabli que S cere visiae pouvait utiliser l acide ac tique lorsque les te neurs en glucose taient basses 1 50 g l Moreira dos Santos et al 2003 Vilela Moura et al 2008 Dans la variante fed batch l acide ac tique a t effectivement r utilis ce qui se traduit par une concentration finale cinq fois inf rieure celle de la variante traditionnelle L ac tald hyde thanal est le composant carbo nyl quantitativement le plus important du vin et exerce un effet sur l ar me la couleur et la stabilit microbiologique Liu et Pilone 2000 De hautes te neurs en ac tald hyde dans le vin n cessitent de fortes doses de sulfites SO pour assurer la qualit microbio logique et organoleptique des vins Boulton et al 1996 Jackowetz et al 2012 I a t d montr que les hautes concentrations en sucres augmentent la production d ac tald hyde des levures Li et Mira de Ordu a 2011 ce que confirment les r sultats de cette tude L ajout de mo t lent et contr l m thode fed batch un pied de cuve de levures a consid rablement r duit la teneur finale en ac tald hyde dans le vin une r duc tion qui correspondrait une diminutio
100. qui sont fa tales aux germes des semences De plus les graines doivent tre ensuite soigneusement s ch es afin qu elles ne commencent pas germer Cette op ration est tr s co teuse La d sinfection la vapeur a r e est moins on reuse car les semences ne sont expos es la chaleur humide que durant 90 120 secondes Elles absorbent donc moins d eau et peuvent tre s ch es plus rapide ment En 1948 d j Miller et McWorther ont relev des succ s dans la lutte la vapeur a r e contre les cham pignons Phoma spp Botrytis spp et Fusarium spp sur les semences de betterave sucri re A l issue de la deu xi me guerre mondiale ce mode de d sinfection a t supplant par l industrie chimique qui proposait des fongicides faciles utiliser contre la contamination des semences La question est quasiment tomb e dans l oubli jusqu l essor de la production biologique d ali ments et de fourrage dans les derni res d cennies du XXe si cle Dans cette m me p riode et dans la produc tion dite conventionnelle apparaissent des cas de champignons r sistants aux produits de traitement des semences Navaratnam et al 1980 signalent des cas r ussis de d sinfection la vapeur a r e pour des se mences de persil contre Septoria apiicola mais doux Fusarium moniliforme tomates Corynebacterium michiganense et choux fleurs Xanthomonas cam pestris Par contre cette m thode ne se montre que parti
101. r diction de TA des fruits PM M sont l g rement moins pr cis que ceux des fruits PM ou M pris s par ment Quelle que soit la saison de d veloppement des fruits les mod les utilisant les fruits en cours de maturation M sont bons 0 84 R 0 98 et RMSE 0 52 m q 100 g Pour les fruits PM les mod les donnent de bons r sultats en t 0 94 R 0 97 et RMSE 0 57 m q 100 9 mais insuffisamment pr cis au printemps 0 58 R 0 61 et RMSE 1 49 m q 100 ol Couleur des fruits L est pr dit avec une pr cision de 5 6 unit s lors de la validation et des valeurs de RPD de 2 47 et 1 9 sont res pectivement obtenues pour les mod les t et prin temps t Concernant le mod le printemps des va leurs de RMSE et RPD de 0 75 unit et 3 25 ont t calcu l es Dans le mod le t maturation M une forte diminution de L de 50 14 unit s a t mesur e en l espace de quelques jours CV 17 6 96 Dans la m me p riode de maturation les valeurs de L au printemps restent stables autour de 40 unit s CV 5 6 96 Cette stabilit n offre pas la variabilit des mesures n cessaire une bonne mod lisation La figure 5 permet de visua liser les valeurs r elles et pr dites de L La variabilit au printemps a fourni un continuum de valeurs permet tant un bonne mod lisation Par contre les valeurs ob tenues en t forment deux lots distincts correspon dant aux phases de PM et M Il est alors
102. r fig 1 Cette deu xi me phase est relativement similaire lors des deux saisons tudi es c est donc la phase pr c dant les 30 derniers jours qui serait plus longue au printemps qu en t La maturation des fruits intervient dans les 10 15 derniers jours avant r colte fig 1 On observe un changement de coloration rapide de l piderme d la d gradation des chlorophylles et la synth se de Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 2 162 171 9014 2 1 Oz 1 ZU 4 CAL TA Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Cultures sous serre carot nes tels que les lycop nes Cette coloration se traduit parfaitement dans les param tres de couleurs a TCI et a b Cette p riode est aussi marqu e par un pic d accumulation des sucres et d acides organiques bien refl t par les mesures de TMS et de TA fig 1 Cette accumulation s annule avant la r colte La diminution de TA entre 40 et 30 jours pourrait tre due l augmentation transitoire des r serves d amidon qui permet l accumulation de TMS lors de la maturation Les facteurs m taboliques influencant l ac cumulation de l amidon et des sucres dans la tomate ne sont pas totalement connus mais des tudes tendent montrer que le cycle du malate au sein des mitochon dries pourrait influencer significativement l accumula tion d amidon dans les plastes Cette quan
103. rains and 2009 Carbohydrate Balance and Accumulation during Development of Near isogenic Tomato Lines Differing in the AGPase L1 Allele Journal of the American Society for horticultural Science 134 1 134 140 seeds Journal of near Infrared Spectroscopy 1 1 25 32 Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 ELE Publicit DUVOISIN Puidoux GIROBROYEURS largeur r glable 110 155 cm 125 175 cm 140 190 cm 150 200 cm TONDEUSES 3 points tra n es ou pouss es 120 150 180 235 cm Importateur Vente R paration Pi ces d tach es DUVOISIN amp Fils SA 1070 Puidoux Gare Machines viticoles et agricoles T l 021 946 22 21 Fax 021 946 30 59 E mail duvoisin puidoux bluewin ch Martin Auer P pinieres Viticoles 8215 Hallau T l 0526812627 www rebschulen ch Fax 052 68145 63 auer rebschulen ch Assortiment complet C pages de cuve et de table Porte greffes de 34 42 50 et de 85cm R servez vos plants de vigne pour 2015 et 2016 T l 024 442 85 40 Tel 044 853 06 46 1350 Orbe 8165 Oberweningen ZH Ne laissez pas le mauvais temps d truire le fruit de votre travail Nous assurons vos vignes les bois de vigne et les jeunes vignes l aide d une couverture compl te contre la gr le et autres calamit s naturelles Case postale 8021 Zurich e w Schweizer Hagel Fax 044 257 22 12 f Suisse Gr le info grele ch Assicurazione Grandi
104. rant le temps d exposition souhait La capacit d une telle installation d pend alors de la longueur de la chambre de traitement et de la lar geur du tapis roulant condition que le rythme du s chage cons cutif suive celui de la d sinfection Agroscope est actuellement quip e d un prototype d installation de d sinfection de ce genre fig 7 a Bibliographie Baroffio C A Kivrak F amp Heller W E 2004 Nachweis von Iprodion resistenten Alternaria Pilzen auf Karottensaatgut Der Gem sebau Le Mara cher 6 5 7 Forsberg G 2005 Effect of aerated steam on cereal seed borne diseases and crop yield Zeitschrift f r Pflanzenkrankheiten und Pflanzenschutz 112 3 247 256 Heller W E amp Zoller C 2010 Desinfektion von Basilikum Saatgut ist eine Herausforderung Agrarforschung Schweiz 1 5 190 193 Locascio S J 1963 Hot water and aerated steam treatment of vegetable seed Florida Agricultural Experiment Stations Journal Series 1735 183 189 Miller P W amp McWorther F P 1948 The use of vapor heat as a practical means of disinfecting seeds Phytopathology 38 2 89 101 Navaratnam S J Shuttleworth D amp Wallace D 1980 The effect of aerated steam on six seed borne pathogens Australian Journal of Experimental Agriculture and Animal Husbandry 20 102 97 101 Figure 7 Les semences de carotte sont dispers es sur le tapis roulant par le dispositif de dosage puis passent dans la chamb
105. re de traitement o elles sont d sinfect es la vapeur a r e Actualit s Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 194 197 2014 Publicit 1955 chamoson vs mobile 079 310 59 5 t l fax 027 206 9 AA t l atelier 027 306 28 63 www chamoson ch pepiniere martin e mail pepiniere martin bluewin ch Ce petit livre de terrain pr sente les 33 plantes les plus fr quemment observ es et leur impact favorable neutre ou ind sirable sur le vignoble Le CD joint aborde la gestion cologique de cette flore Francais allemand ou italien 72 pages CHF 50 BOUCHONS CAPSULES CAPSULES VIS Rue Antoine Jolivet 7 CP 1212 1211 Gen ve 26 Tel 41 D 22 343 79 42 Fax 41 0 92 343 63 23 info gaud bouchons ch www gaud bouchons ch Les mod les pour le vignoble des tracteurs Machines agricoles Motoneiges Quads Via Motta 3 6828 Balerna 7 sales snopex com www snopex com 50916461733 gt 091 646 42 07 ASSOCIATION POUR LA MISE EN VALEUR DES TRAVAUX DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Publicit FLICA Invincible contre l oidium Efficacit pr ventive et curative Dur e d efficacit sans gal Agit en plus contre le blackrot Observer les indications de risques et les conseils de s curit figurant sur l emballage Marque enregistr e es Omya Schweiz AG CH 4665 Oftringen T l 062 789 23 41 www omya agro ch ir Cepages Ce beau livre
106. s personnelles Il s est av r que 11 des r pondants francais et suisses confondus soit 184 r pondants au total n ont pas t en mesure d apporter une quel conque d finition Parmi ces 184 personnes douze seulement taient suisses Les trois grandes th matiques d j mises en lumi re en r ponse la premi re question se retrouvent ici et se voient compl t es par deux associations int res santes La premi re est l utilisation conjointe des mots impression bouche sucer et caillou que l on retrouve dans la d finition suivante La min ralit peut tre assimil e l impression de sucer un caillou La seconde porte sur la proximit r currente des mots relatifs des cat gories d odeurs fruit floral v g tal animal ou bois avec les mots contraire et op position A ce titre plusieurs hypoth ses sont permises e d faut de pouvoir donner une d finition pr cise les consommateurs ont recours au contre exemple Dans ce cas la min ralit n aurait pas de d finition propre mais traduirait ce qui s oppose des cat gories d odeurs plus classiquement reconnues Guignard et Noble 1986 e a min ralit fait r f rence un vin peu aromatique ES Suisse France Figure 3 Sous corpus d finition graphique comparatif des effectifs de citation rapport s 100 consommateurs des mots permettant de diff rencier les consommateurs suisses et francais Revue suisse Viticulture Ar
107. s overexpressed or disrupted for GPD1 encoding glycerol 3 phosphate dehydrogenase Yeast 13 9 783 793 Mira de Ordufia R 2010 Climate change associated effects on grape and wine quality and production Food Res Int 43 7 Climate Change and Food Science 1844 1855 Moreira dos Santos M Gombert A K Christensen B Olsson L amp Nielsen J 2003 Identification of in vivo enzyme activities in the cometabolism of glucose and acetate by Saccharomyces cerevisiae by using C labeled substrates Eukaryot Cell 2 3 599 608 Nagodawithana T W Castellano C amp Steinkraus K H 1974 Effect of dissolved oxygen temperature initial cell count and sugar concentration on the viability of Saccharomyces cerevisiae in rapid fermentations J appl Microbiol 28 3 383 391 Nevoigt E 2008 Progress in metabolic engineering of Saccharomyces cerevisiae Microbiol mol Biol Rev 72 3 379 412 Nurgel C Pickering G J amp Inglis D L 2004 Sensory and chemical characteristics of Canadian ice wines J Sci Food Agric 84 13 1675 1684 Pigeau G M amp Inglis D L 2005a Upregulation of ALD3 and GPD1 in Saccharomyces cerevisiae during Icewine fermentation J appl Microbiol 99 1 112 125 Pigeau G M amp Inglis D L 2007 Response of wine yeast Saccharomyces cerevisiae aldehyde dehydrogenases to acetaldehyde stress during Icewine fermentation J appl Microbiol 103 5 1576 1586 Pigeau G amp Inglis D
108. t cenologique de ce c page a t r cemment publi Spring et al 2013 la pr sente fiche technique le com pl te par une description d taill e de ses caract res amp lographiques et un r sum de ses principales caract ristiques E Actualit s Grappe de Divico Bibliographie Gindro K Spring J L amp Viret O 2007 D veloppement d outils pour la selection pr coce de c pages r sistants au mildiou Revue suisse Vitic Arboric Hortic 38 21 25 Spring J L Gindro K Voinesco F Jermini M Ferretti M amp Viret O 2013 Divico premier c page r sistant aux principales maladies de la vigne s lectionn par Agroscope Revue suisse Vitic Arboric Hortic 45 292 303 Alicante Bouschet Seibel 4995 Seibel 4986 Couderc 272 60 Pr coce de Malingre em Seibel 4995 i Seibel 4986 Sejanez Malengra FR 375 52 Seyval blanc raa ese p ES Saperavi Severnyi Divico Figure 1 Arbre g n alogique du c page Divico En rouge les esp ces am ricaines et asiatiques de Vitis impliqu es dans les croisements Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 188 191 2014 Divico Divico Importance et r partition Son homologation tant tr s r cente 2013 ce c page n est pr sent pour l instant qu en Suisse dans le cadre d un r seau de parcelles exp rimentales Aha en 2013 Aptitudes culturales et agronomiques Caract res v g tatifs v
109. t s seront qualifi es et quantifi es par le panel expert de Changins Nous ressortirons les descripteurs associ s la min ralit M tadonn es sur les deux p les de vins contrast s De nombreuses donn es seront collect es sur les Chas selas identifi s dans les deux p les Une meilleure connaissance des pratiques culturales et cenologiques sera apport e par un entretien semi directif et des questionnaires aupr s des producteurs une estimation des param tres de production sera faite par regroupe ment de cartes de sol et de climat existantes des ana lyses chimiques permettront de diff rencier les vins en termes d acides organiques de conductivit ou d ions Ces donn es seront crois es pour couvrir le plus large ment possible les facteurs explicatifs de la min ralit Impact de produits cenologiques sur la min ralit Des essais seront mis en place dans diff rentes caves afin de mesurer l impact de produits nologiques ta nins corces de levure etc sur la min ralit des vins Une envergure transfrontali re L ensemble du projet est men parall lement sur des vins du c page Chardonnay en Bourgogne et Jura et des vins de Jacqu re en Savoie ce qui augmentera consid rablement les changes et les connaissances sur la min ralit Ce projet de recherche a t s lectionn dans le cadre du programme de coop ration territoriale euro peenne INTERREG IV A France Suisse 2007 2013 Il est port
110. tan b a L injection d thyl ne a permis d augmenter les rendements de 7500kg ha 1 5 La qualit analytique des tomates la r colte acidit fermet et substances solubles totales n a t que peu influenc e par l apport d thyl ne e M me si un syst me de distribution adapt doit encore tre d velopp pour les serres l application d thyl ne semble n anmoins conomiquement rentable L injection d thyl ne en serre doit encore obtenir une homologation B Cultures sous serre M rissement des tomates en fin de culture l thyl ne la rescousse M Tomato ripening attheendofthe Ethylen als Retter f r den Reifepro M Maturazione dei pomodori gt culture ethylene to the rescue D zess von Tomaten bei Kulturende a fine coltura etilene alla Atthe end of tomato crop several Am Ende einer Kultur im Herbst C riscossa kg m of tomatoes are still to be A warten noch mehrere kg m Toma o A fine coltura diversi kg m di 5 harvested Accelerating last ten darauf geerntet zu werden pomodori aspettano di essere V tomatoes maturation in Die Beschleunigung des Reifepro CC raccolti l accelerazione della greenhouses at the end of the zesses der letzten Tomaten maturazione degli ultimi culture enables energy saving erm glicht eine Energieeinsparung pomodori in serra permette di and avoids having to throw away 5 und verhindert dass die f r den risparmiare energia e evitare di tom
111. tique RMSE dans une proc dure d apprentissage appel e eave on out Ensuite afin de confirmer ou d affiner le choix du nombre de LV la m thode des covariances dite Cov Sel a t utilis e Roger et a 2011 Pour les tapes 2 et 3 la matrice X et le vecteur y ont t divis s en un jeu de calibration 2n 3 et un jeu de validation n 3 La pr cision et la qualit des mod les PLS tablis sont valu es par les indicateurs suivants le coefficient de corr lation R entre les valeurs r elles et les valeurs pr dites par PLS l erreur quadratique du mod le corri g e du biais sur l estimation des mesures de qualit RMSEc le rapport de la d viation sur l erreur quadra tique RPD Williams et Sobering 1993 etle rapport de la distance interquartile sur l erreur quadratique RPIQ Bellon Maurel et a 2010 Toutes les analyses chimio m triques ont t effectu es avec le logiciel Matlab R2013 et en partie avec la boite de travail SAISIR Package version 1 0 http www chimiometrie fr saisir_ webpage html Suivi de la qualit des fruits La dur e de d veloppement des fruits de printemps est de 55 60 jours contre 45 jours seulement en t Le calibre et la masse fraiche du fruit augmentent de ma ni re lin aire jusqu 30 jours avant la r colte o se termine la phase intense de grossissement cellulaire Giovannoni 2004 Par la suite le calibre se stabilise et la masse fraiche continue d volue
112. tit accrue lors de la phase d expansion cellulaire serait responsa ble de l accumulation de TMS dans le cytosol en addi tion de celle de glusose et fructose lors de la maturation Beckles et a 2012 Centeno et al 2011 Luengwilai et Beckles 2009 Petreikov et a 2009 Le suivi du d veloppement des fruits et de leurs ca ract ristiques qualitatives lors de ces deux saisons a donn d int ressants r sultats en termes de dyna mique d accumulation des sucres des acides et de fa Maturation Printemps Et Et 60 50 40 30 20 10 0 60 50 40 Jours pr c dant la r colte Printemps Et Et 60 50 40 30 20 10 0 60 50 40 Jours pr c dant la r colte Printemps 30 20 10 0 Jours pr c dant la r colte Printemps con g n rale sur le rythme de d veloppement Cette variabilit tait recherch e afin de construire des mo d les de pr diction de la qualit des tomates bas s sur la mesure NIR Mod les qualitatifs analyse factorielle discriminante L AFD a t utilis e afin de mod liser le suivi des fruits au cours du temps sur la seule base de la variabilit des mesures spectrales Dans un premier temps le nombre de variables introduire dans les mod les a t calcul en introduisant un nombre artificiellement lev de variables 30 Le nombre d observations correctement class es en fonction du nombre de variables introdui tes est obs
113. u de comp tences constitu par des repr sentants de la production de la consultation et de la recherche La bonne collaboration entre production consultation et recherche au sein du Forum Recherche L gumes permet d apporter des solutions ra pides et concr tes aux probl mes rencontr s par la fili re tomate suisse Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 149 2014 Editorial Nos IOnGICIQeS succes prouv s pour la viticulture 2 FLINT Ii Nay 5 _Moon E PRIVILEGE gt Melod A FE dy e Se MILORD PROSPER Bayer Schweiz AG CropScience 3052 Zollikofen Telephone 031 869 16 66 www agrar bayer ch Employer les produits phytosanitaires avec pr cautions Avant utilisation lire attentivement le mode d emploi et lesjnfo Observer les phrases et symboles de danger N AUTEURS DITEUR PRIX COMMANDE Olivier Viret et Katia Gindro Agroscope AMTRA 255 pages 360 illustrations CHF 65 frais de port D s 10 ex CHF 59 Ecoles CHF 55 Toutes les maladies de la vigne sont illustr es de nombreuses photographies originales _ de l apparition des sympt mes aux d g ts conomiques _ cycles pid miologiques et description des organismes responsables _ pr vision des infections lutte pr ventive m canismes de d fense de la vigne _ glossaire index th matique AMTRA M Antoinette Dumartheray route de Duillier 50 1260 Nyon 1 T l
114. ue ac tald hyde La figure 1 montre la cin tique des concentrations de sucres fondamentalement diff rente entre les deux variantes Dans la variante batch la concentration en sucres a baiss graduellement partir d une valeur ini tiale de 340g l Dans la variante fed batch apr s une phase initiale de fermentation libre le contr le cons tant de la teneur en sucres et les variations du d bit de la pompe de mo t ont maintenu la concentration 50g l tout au long de la fermentation Ar Doriculture MOFTICU Iture Vol 46 3 182 186 Vr esilbtiire m ali ratisn Na la narfnrmanra rac Viticulture Am lioration de la performance des evures cenologiques Comme pr vu les deux fermentations se sont ache v es avant que tous les sucres soient consomm s fig 1 cause du taux d alcool potentiel du mo t de 22 906 vol Les concentrations finales en thanol ont t si milaires dans les deux variantes tabl 1 Cependant la variante fed batch a montr une meilleure cin tique de production d thanol tabl 1 et fig 1 bien corr l e avec la viabilit plus lev e des levures dans cette va riante fig 2 En plus de leur nombre sup rieur les le vures de la variante fed batch se sont aussi caract ri s es par une phase de mort plus lente fig 2 La figure 3 illustre l effet fondamental de la m thode fed batch sur le m tabolisme des levures et la production de m tabolites associ s
115. ulin singulier Une deu xi me tape consiste enlever les mots outils qui ne sont pas porteurs d information tels que les articles les pr positions les pronoms pour ne conserver que les noms communs noms propres adjectifs verbes et quelques adverbes jug s pertinents pour l tude Seul le mot min raux masculin pluriel associ sels n a pas subi de lemmatisation afin de le diff rencier du mot plus g n rique min ral Enfin pour chaque sous cor 45 n 40 3 OU E E 35 S 6 Oo 30 e e 3 25 S e 20 S c fS 15 o gt gt E E 2 to Viticulture Min ralit du vin repr sentations mentales de consommateurs suisses et fran ais pus un tableau consommateurs x lemmes r pertorie les fr quences de citation de chaque lemme par chaque consommateur Dans la suite de l article nous parlerons plus simplement de mot en lieu et place de lemme Corpus global et comparaison Suisse France Le corpus complet est particuli rement riche avec 34959 occurrences lemmatis es pour 2592 formes dis tinctes et 1155 mots cit s une seule fois Le tableau 1 compare la taille et la vari t des r ponses des consommateurs francais et suisses N corres pond la taille c est dire au nombre total de mots Tableau 1 Effectifs compar s des r ponses lexicales lemmatis es entre corpus France Suisse et sous corpus vocation d finition synonyme N nombre de V vari t mots
116. urant la nuit le taux d thyl ne reste stable puis au cours de la journ e il diminue r guli rement pour atteindre moins de 1 ppm en fin de journ e fig 2 La concentration moyenne pendant la p riode d injection 19h 7 h varie de 8 9 9 9 ppm et de 2 9 6 5 ppm pendant la journ e tabl 1 Rendements Le rendement en nombre de grappes r colt es m et en kg m est significativement plus lev dans la serre avec injection d thyl ne tabl 2 En moyenne 1 6 grappe m soit 0 8kg m entre 0 7 et 0 9 kg m a t r colt e en plus en 2012 et 1 4 grappe m soit 0 5 kg m en 2013 Les compartiments exp rimentaux tant contigus il est possible que le compartiment sans ap port d thyl ne en ait recu de faibles doses une me sure ponctuelle effectu e dans ce compartiment a mis en vidence des pics d thyl ne pouvant aller jusqu 4ppm Ainsi l effet sur les rendements est probable ment plus lev Le gain de rendement est similaire chez les diff rentes vari t s Des essais r alis s en Alle magne Andreas 2012 ont galement montr que l in jection d thyl ne dans la serre acc l rait la matura tion des fruits Les trois concentrations test es 5 10 et 15 ppm appliqu es jour et nuit ont eu le m me effet sur la maturation En Hollande une concentration Tableau 2 Nombre de grappes r colt es rendements et poids moyen des fruits avec et sans injection d thyl ne pour trois vari t
117. us pr cis que les mod les PM M La figure 4 qui exprime les valeurs de TMS r elles en fonction des valeurs de TMS pr dites illustre bien le gain de lin arit des mod les PM et M par rapport au mod le PM M gt Figure 3 Correlation entre les deux premieres coordonn es factorielles F1 zm et F2 de l AFD et les donn es spectrales X pour le mod le de printemps A et d t B OH 1st OVERTONE REGION 1500 1600 1700 OH 1st OVERTONE REGION 1700 722 1500 1600 1700 Revue suisse Viticulture Arboriculture Horticulture Vol 46 3 162 171 2014 Cultures sous serre Suivi de la qualit des tomates en serre par spectroscopie NIR portable et chimiom trie Valeurs pr dites Valeurs pr dites 3 3 5 4 4 5 5 5 5 3 3 5 4 4 5 5 5 5 Valeurs reelles Valeurs reelles Valeurs predites Valeurs predites 3 5 4 4 5 5 5 5 6 6 5 3 3 5 4 45 5 5 5 6 6 5 Valeurs reelles Valeurs r elles gt gt a uU D O O N Valeurs pr dites Valeurs pr dites e 5 0 R COLTE 0 R COLTE MT 42 44 46 48 50 52 54 56 58 10 20 30 40 50 60 70 Valeurs r elles Valeurs r elles gt a N A Ul Ul Ul CO o Valeurs pr dites Valeurs pr dites LI ex Wi R COLTE 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Valeurs r elles Valeurs r elles 53 Valeurs pr dites 3 3 5 4 4 5 5 5 5 Valeurs reelles 3 9 0 R COLTE 3 8 3 7 37 3 8 3 9 4 41 42 43 44 4 5
118. vembre Observations et mesures Le taux d thyl ne a t enregistr dans la serre avec injection donn es Carbagas Figure 1 Installation pour l injection de l thyl ne bouteilles de gaz appareil de r gulation de l injection et capteur install dans la culture En fin de culture plusieurs kilos de tomates par m attendent d tre r colt s L acc l ration de la maturation des derni res tomates en serre permet d conomiser de l nergie et d viter de devoir jeter des fruits pas tout fait pr ts la consommation Actuellement la maturation peut tre h t e en appliquant de l th phon Une autre alternative est d injecter de l thyl ne une hormone naturelle directement dans la serre Agroscope a test en collaboration avec la soci t Carbagas l effet de cette technique sur la maturation des tomates En moyenne l injection d thyl ne a permis de r colter 15000grappes ha en plus soit 7500 kg ha 1 5 du rendement total par rapport au compartiment t moin La qualit analytique des tomates la r colte acidit fermet et substances solubles totales n a t que peu influenc e par l apport d thyl ne Economiquement une telle application parait rentable mais l injection d thyl ne en serre doit encore faire l objet d une autorisation R sum Bl Les rendements nombre de grappes m et kg m ont t suivis sur trois r coltes en 2012 13 20 et 23 no vembre et en
119. xactement la min ralit Le consensus manque et chacun s accroche sa propre image Tr s souvent utilis le DS mot min ralit poursuit sa diffusion dans le langage courant au risque de ne ja F Lu mais tre clairement d fini Une tude voir en fin d ar ticle est en cours pour com 1 prendre la min ralit l in terface de plusieurs champs disciplinaires Plus pr cis ment le but est d obtenir une meilleure connaissance s mantique puis sensorielle de la min ralit des vins blancs de la zone franco suisse iA Analyse s mantique de la min ralit Cette partie permettra de fournir une description fine des modes de conceptualisation de la notion de min ra lit chez les consommateurs et les professionnels L ana lyse des r ponses de 1697 consommateurs et 1900 pro fessionnels un questionnaire diffus sur le web per mettra d approcher ce qu voque la min ralit pour chaque population Identification des bons exemples de min ralit Huitante Chasselas seront d gust s par un panel de professionnels afin d identifier deux p les de vins contrast s sur des bases sensorielles vins reconnus col lectivement comme porteurs de min ralit et non por teurs de min ralit Cette d gustation permettra de d terminer l accord des professionnels sur cette per ception sensorielle Caract risation sensorielle de la min ralit Les caract ristiques sensorielles des deux p les de vins contras

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