qu`est-ce que la balance commerciale
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1. ments et de commerce ext rieur Les statistiques douani res portent sur les changes entre les d parte ments europ ens de la R publique et le reste du monde Cette situation a toujours exist et a t ent ri n e par la Communaut en 1968 m me si certains ont pr tendu la red couvrir r cemment pour jeter un doute sur la qualit de notre instrument statistique Parall le ment et depuis toujours aussi la balance des paie ments retrace l volution financi re entre ensemble du territoire fran ais y compris donc les d partements et territoires d outre mer et l tranger Pour passer du chiffre de la Douane celui de la balance des paiements il convient donc de retrancher des exportations et des importations les changes entre les d partements fran ais d Europe et les d partements et territoires fran ais d outre mer et de rajouter au chiffre des exportations et des importations les charges entre les DOM TOM et l tranger Le commerce ext rieur 7 ce que l on a coutume d appeler les invisibles Le solde de ces invisibles augment du solde du com merce ext rieur et de celui du poste Autres biens et services d termine le solde des transactions cou rantes dont l volution et la d composition sont indiqu es dans le tableau 4 TABLEAU 4 Le solde des transactions courantes Chiffres bruts exprim s en millions de francs au me trimeatre 1 trimestre ere trimestre 3 m trimes2. trole brut et apr s distillation de l huile les produits be obtenus sont r exp di s l tranger Dans une op ration de cette nature les mouvements de produits entr e du p trole brut dans les raffineries fran aises exp dition des produits raffin s hors de France ne s accompagnent pas de flux financiers Le seul paie ment effectu est la r mun ration du raffineur fran ais Mais il s agit d un service et non pas du paiement d une TABLEAU 2 Le commerce ext rieur du 3eme trimestre 1982 au 3eme trimestre 1983 Chiffres bruts exprim s en millions de francs 1er Deme geme trimestre trimestre trimestre geme 4eme trimestre trimestre CHIFFRE DO UAN E CHIFFRE BALANCE DES PAIEMENTS apr s demain N 261 262 F vrier Mars 1984 marchandise Pourtant la statistique douani re du commerce ext rieur a comptabilis en importation l introduction du p trole brut en raffinerie et en expor tation la sortie vers l tranger des produits raffin s obtenus D o la correction apport e par la Banque de France qui consiste retrancher du montant global des importations les livraisons n ayant pas donn lieu paie ment et r duire le total des exportations du montant des exp ditions n ayant pas fait na tre une cr ance sur l tranger Une autre modification des chiffres douaniers est n cessaire compte tenu de la diff rence du champ g ographique retenu en mati re de balance des paie
3. passer d une comptabilit des flux physiques un suivi des flux financiers C est la balance des paiements qui fournit ces informations Elabor e par les services de la Banque de France elle int gre galement les chiffres du commerce ext rieur et donne ainsi une vision plus large de l ensemble de nos relations commerciales avec l tranger Toutefois les renseignements tir s de la balance des paiements n ont pas la richesse des statistiques douani res Et surtout ils ne sont disponibles ni aussi fr quemment la p riodi cit des publications est trimestrielle ni aussi rapide ment il faut en g n ral attendre 2 mois apr s la fin du trimestre concern pour disposer d une estimation les chiffres d finitifs n tant arr t s que plusieurs mois plus tard La ligne commerce ext rieur de la balance des paiements est labor e partir du solde FAB FAB du commerce ext rieur tel qu il est calcul par l adminis tration des Douanes Toutefois ce chiffre subit un certain nombre de corrections En effet comme il a t pr cis plus haut la Douane enregistre tous les flux de mar chandises correspondant des op rations commercia les sans faire de distinction suivant que les marchandi ses en cause donnent lieu ou non un paiement Ainsi les soci t s de raffinage op rant en France ont souvent recours un travail fa on pour le compte de clients trangers Ces derniers leur envoient une eus de p
4. pour l laboration du chiffre ou pour la production d autres tats statistiques relatifs notre commerce international conditions de facturation ch ances de paiement ou de rapatriement des cr ances sur l tranger modes de transport emprunt s par les marchandises etc La rigueur des sanctions encou rues en cas d exportation ou d importation sans d cla ration limine le risque d une perte plus ou moins importante de l information in vitable dans une enqu te par questionnaire Cependant pour des raisons pratiques et parce qu elles portent sur un mon tant n gligeable les d clarations en douane aff ren tes des marchandises d une valeur inf rieure ou gale 2 000 F chappent l exploitation statistique Autre avantage de l intervention de la Douane la fiabilit de l information Une fois qu elle est enregis tr e par le service des Douanes la d claration devient un acte authentique et irr vocable Elle engage celui qui la souscrite et l expose l aussi de s v res sanctions en cas d erreur ou d omission m me portant sur des indications de nature purement statistique Cette s v rit est parfois jug e excessive L exp rien ce montre cependant qu elle est la seule de nature garantir la qualit des statistiques laquelle sont par ticuli rement attach s non seulement les pouvoirs publics mais aussi les milieux professionnels COMMERCIALE Ce dispositif est par ailleur
5. 4 apr s demain bernard roux QU EST CE QUE LA BALANCE chiffre du commerce ext rieur attendu tous les mois dans les r dactions avec autant d impatience que l indice des prix ou le nombre des demandeurs d emploi II est vrai que le chiffre est bien l indicateur privil gi de l volution de notre balance commerciale Mais ce n est pas un outil aussi facile manier qu il peut y para tre au premier abord Un mode d emploi n est pas inutile De plus le chiffre ne rend pas compte de tous les aspects de nos changes avec l ext rieur L opinion publique est familiaris e avec le Le chiffre une information irrempla able La caract ristique essentielle du chiffre du commerce ext rieur c est qu il est labor partir des statistiques douani res Ce n est pas le cas partout Dans certains pays il peut tre calcul partir de l exploitation de questionnaires adress es p riodique ment aux op rateurs du commerce ext rieur En France c est l administration des Douanes qu il appartient depuis le XVIIIsme si cle de collecter de traiter et de publier les donn es relatives au commerce ext rieur Ce choix pr sente de nombreux avantages Il garantit tout d abord l exhaustivit de l informa tion Toutes les exportations et toutes les importations doivent en effet donner lieu au d p t d une d claration en douane qui comporte les renseignements requis
6. arations en d tair r capitulatives nulle Au d but du mois N 1 manuelles CENTRE INTERREGIONAL DE SAISIE DES DONNEES C 1 S 0 Transcrit sur bande magn tique les informations statistiques des d clarations T l trangmission DIRECTION NATIONALE DES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTERIEUR D N S C E TOULOUSE 1 Contr le de validit t de coh rence 2 Traitement commence vers le 12 tape mois N 1 T l transmission vers le 15 du mois N 1 LE DIRECTEUR GENERAL DES DOUANES L ET DROITS INDIRECTS _ LE MINISTRE DE L ECONOMIE LE MINISTRE DU COMMERCE EXTERIEUR ET DU TOURISME DES FINANCES BUDGET COMMUNIQUE DE PRESSE imm diat Fiables et disponibles tr s rapidement les statis tiques douani res sont aussi d une richesse in ga l e les marchandises sont r pertori es sous 15 000 positions et il est possible pour chaque position ou a fortiori pour un regroupement de positions d obtenir des informations sur nos changes avec les quelque 150 partenaires commerciaux de la France Depuislan dernier une banque de donn es B atrice est acces sible au public depuis le Centre de Renseignements Douaniers situ 182 rue Saint Honor Paris 1 arrondissement D autres terminaux seront install s en province Tout utilisateur a ainsi acc s plus de 80 millions d informations couvrant le commerce ext rieur du pays sur les 3 derni res ann es et l ann
7. changes France R F A France Etats Unis France Japon etc ou des balances sectorielles agricole industrielle nerg tique qui sont toujours tablies sur une base CAF FAB IlI n est notamment pas possible de comparer ces soldes bilat raux ou sectoriels avec le solde global de nos changes exprim en termes FAB FAB Pour savoir par exemple ce que notre d ficit de 1982 doit nos changes avec l Arabie Saoudite il faut rapprocher notre d ficit bilat ral CAF FAB avec ce pays 35 3 milliards non pas du d ficit global de nos changes FAB FAB 93 milliards et demi mais de ce 6 apr s demain m me d ficit en termes CAF FAB 131 milliards 700 millions A cet effet d la valorisation diff rente des importations et des exportations s ajoute le fait que notre commerce de mat riel de guerre confidentiali s n est pas retrac dans les balances g ographiques ou sectorielles En revanche le solde de nos changes dans ce secteur est repris dans le r sultat global du commerce ext rieur De m me le montant total de nos importations tous produits et toutes origines confondues est affect lui d une correction qui per met de passer d une valeur CAF une valeur FAB et donc de d terminer le solde FAB FAB qui constitue le chiffre mensuel du commerce ext rieur Le taux de passage est actuellement de 95 0 c est dire que 100 d importations en valeur CAF quivalent 95 d importations FAB Ma
8. dminis tration de tutelle en l occurence la Direction des Hydro carbures du Minist re de fIndustrie et de la Recherche qui se basent sur les d chargements dans les ports De m me des automobiles en provenance du Royaume Uni et entrepos es en France sous le contr le de la Douane seront consid r es comme import es au moment o elles quitteront l entrep t pour tre livr es un concessionnaire tabli en France Les statistiques fran aises du commerce ext rieur ignoreront celles de ces automobiles qui seront exp di es depuis l entrep t vers la R publique F d rale d Allemagne Mais les Alle mands de leur c t comptabiliseront une importation de produits originaires de Grande Bretagne et les Britanniques auront enregistr au moment de l exp di tion une exportation vers la France Ce simple exemple explique les divergences qui peuvent parfois tre cons tat es dans les balances commerciales bilat rales entre deux pays selon que l on consulte les statistiques de l un ou de l autre Le prolongement du chiffre la balance des paiements Les statistiques douani res du commerce ext rieur retracent tous les flux de marchandises entre la France et l ext rieur Elles ne portent pas en revanche sur les services dont on sait qu ils donnent lieu d importants courants d changes internationaux Pour appr cier la contribution des services notre commerce ext rieur il est n cessaire de
9. e en cours et mises jour tous les mois Le chiffre une information qu il faut savoir utiliser D s que le chiffre mensuel du commerce aib __ rieur est publi il est normal que les m dias s en emparent et s efforcent d en tirer des enseignements sur l volution de la situation conomique voire sur l efficacit de la politique conduite par le Gouverne ment Mais l attention des commentateurs ne manque pas d tre appel e l occasion du communiqu ou de la conf rence de presse du Ministre sur la n cessit de faire preuve d une certaine prudence Le chiffre d un seul mois n est pas toujours significatif Certes les corrections apport es aux chiffres pour tenir compte des variations saisonni res et des jours ouvra bles chiffres dits CVS CJO par opposition aux chif fres bruts permettent des comparaisons d un mois sur l autre et donnent une id e plus claire des volu tions en cours Mais ces corrections n liminent pas Le commerce ext rieur 5 tous les al as il suffit que d importantes cargaisons de c r ales destin es l tranger aient t enregistr es le 31 d un mois plut t que le 1 du mois suivant pour grossir parfois sensiblement le chiffre des exporta tions De m me si des pompages en raffinerie de volu mes consid rables de p trole brut ont lieu en fin de mois ils viendront alourdir le chiffre des importations de ce mois et all ger d autant celui d
10. is bien s r ce qui vaut pour l ensemble de nos achats ext rieurs n est pas applica ble pour les balances par pays la diff rence CAF FAB est beaucoup moins forte avec le Royaume Uni qu avec l Australie ni pour les balances sectorielles Il faut enfin rappeler que les statistiques douani res traitent comme importation ou comme exportation les seules marchandises qui franchissent les fronti res au sens du commerce ext rieur Or celles ci ne se con fondent pas toujours avec les fronti res nationales ou avec les limites du territoire douanier On consid re en fait qu une marchandise a franchi la fronti re statis tique d s lors qu il est raisonnablement s r qu elle va tre destin e au march int rieur importation ou livr e l ext rieur exportation Par exemple tant qu une cargaison de p trole brut d charg e dans un port fran ais et stock e dans des r servoirs n aura pas t pom p e vers une raffinerie fran aise elle ne sera pas enre gistr e dans les importations En effet elle peut toujours faire l objet d un remport vers un port tranger ou d un transit par ol oduc destination de raffineries tran g res Suisse R publique F d rale d Allemagne pour le p trole brut d charg Fos Il peut ainsi en r sulter une discordance entre les chiffres du commerce ext rieur qui retracent les entr es de p trole brut en raffinerie et les statistiques de la profession ou celles de l a
11. l importation la valeur est appr ci e au point d entr e sur le territoire national Elle comprend donc les frais de transport maritime ou a rien jusqu en France les frais d assurance et les autres frais accessoires Elle est dite CAF Co t Assurance Fr t A l exportation la valeur de la mar chandise est d termin e au point de sortie et com prend le cas ch ant les frais de transport jusqu la fronti re ou jusqu au port d embarquement mais pas au del Cette valeur est dite FAB Franco bord Il en r sulte n cessairement un d s quilibre entre les achats qui incorporent le prix des services rendus pour acheminer la marchandise vers la France et les ventes qui ne prennent en compte ces services que s ils sont rendus sur le territoire national Et ce d cala ge ne correspond pas n cessairement une d pense pour la France puisqu une part non n gligeable du transport des marchandises import es est r alis e par des entreprises fran aises ou des navires battant notre pavillon II en r sulte que les soldes tablis partir des valeurs CAF d une part pour les importations et des valeurs FAB d autre part pour les exportations ont pour effet plus ou moins accentu selon les pays d origine des marchandises de surestimer un d ficit ou de sous valuer un exc dent Ce ph nom ne doit tre pris en compte l examen des balances commer ciales bilat rales entre la France et ses partenaires
12. ncture le retour une situation d quilibre de vient imp ratif Bernard ROUX
13. s compl t par des contr les approfondis visant s assurer de la validit et de la coh rence des informations avant leur traite ment en vue de l laboration du chiffre Compte tenu de l importance conomique que re v t le chiffre du commerce ext rieur il est videm ment du plus grand int r t d en disposer aussi rapide ment que possible L administration des Douanes a mis en place cet gard un m canisme particuli re ment performant En effet la France est apr s le Japon le pays de l O C D E o les statistiques du commerce ext rieur sont publi es le plus t t autour du 15 suivant le mois auquel elles se rapportent Et encore les statistiques japonaises sont elles moins affin es que celles produi tes en France Le syst me ne permet pas en revanche de se livrer une quelconque extrapolation de donn es partielles collect es en cours de mois En effet de nombreuses entreprises r alisant un important cou rant d affaires avec l tranger ne d posent pas de d claration en douane d taill e pour chaque op ra tion Si elles b n ficient de proc dures simplifi es de d douanement elles souscrivent une seule d cla ration r capitulative la fin du mois Les plus impor tantes d entre elles deux cents environ dont la ges tion douani re est informatis e transmettent d ailleurs directement au centre de calcul de la Direction Nationale des Statistiques du Commerce Ext rie
14. ses et aux ser vices viennent s ajouter les transferts unilat raux par exemple le paiement par la France de sa contribu tion aux organisations internationales dont elle est membre les transferts l tranger des conomies r alis es par les travailleurs immigr s La somme n goce services transferts unilat raux repr sente 3eme trimestre estimations 2eme trimestre chiffres semi d finitifs 443 12 320 5 557 ajouter le solde des mouvements spontan s de capi taux long terme c est dire des cr dits commer ciaux et des pr ts que nous accordons et qui nous sont consentis et des investissements fran ais l tran ger et trangers en France On obtient alors la balan ce de base Si elle fait appara tre un d ficit il faudra le financer soit en recourant aux capitaux flottants en qu te de placement ce qui suppose des taux d int r t r mun rateurs donc lev s soit par l endette ment soit par une diminution de nos r serves de change Mais il va de soi qu aucun pays ne peut se permet tre de recourir longtemps ces moyens de finance ment sauf affaiblir sa monnaie si les ponctions sur les r serves de change sont trop fortes an mier son appareil productif en maintenant les taux d int r t des niveaux trop lev s ou hypoth quer l ave nir si la charge de l endettement devient trop lourde A plus ou moins long terme selon les pays et la conjo
15. tre x bu 1983 1983 ces Chifire Chiine seme G finitif d li initi d finilil Estimations Le solde des transactions courantes ou des paiements courants ne d termine pas lui seul notre besoin de financement vis vis de l tranger dans le cas d un d ficit ou notre capacit de finance ment dans le cas d un exc dent II faut encore y TABLEAU 3 Le n goce et les services au cours des 3 premiers trimestres de l ann e 1983 Chiffres bruts exprim s en millions de francs 1er trimestre chiffres d finitifs NEGOCE SERVICES AUTRES BIENS ET SERVICES Mais l int r t essentiel de la balance des paie ments est de comptabiliser nos changes de services avec l tranger Le document tabli par la Banque de France fait une distinction entre le n goce inter national les services proprement dits tourisme grands travaux assurances transport coop ration technique etc et les autres biens et services qui correspondent en fait des op rations non class es ailleurs Le terme de balance commerciale est parfois utilis pour d signer le total commerce ext rieur au sens de la balance des paiements et n goce international puisqu aussi bien dans l un et l autre cas il s agit d op rations sur des marchandises mais dans le cas du n goce les produits sont achet s et vendus l tranger ils ne transitent pas sur le territoire fran ais Aux op rations sur les marchandi
16. u mois suivant Par ailleurs un mois donn peut se caract riser par de tr s fortes livraisons au titre des grands contrats sans que ce ph nom ne soit appel se r p ter dans l avenir L exemple des mois d avril et mai 1983 est cet gard particuli rement clairant En avril le d ficit de nos changes s est tabli apr s correction des variations saisonni res 1 milliard et demi de francs contre 6 et demile mois pr c dent 7 6 milliards en f vrier et pr s de 9 6 en janvier En mai le d ficit toujours en donn es corrig es revenait un niveau de 7 7 milliards En fait la p riode avril mai a bien corres pondu une am lioration de notre commerce ext rieur mais l ampleur de ce redressement devait tre appr ci en moyenne sur les 2 mois d ficit moyen men suel de 4 6 milliards contre pr s de 8 au cours du 1 trimestre de l ann e Le milliard et demi d avril tait exag r ment bon Les 7 milliards 700 millions de mai taient nettement trop lourds Seule une appr cia tion en tendance effectu e sur la base d une s rie de r sultats mensuels permet de d gager les volutions au del des fluctuations in vitables des chiffres au mois le mois Toute consultation des statistiques douani res du commerce ext rieur suppose galement connues les r gles d valuation des marchandises appliqu es par l administration des Douanes en France comme l tranger du reste A
17. ur 1 vers le 3 ou le 4 du mois suivant des bandes magn ti ques comportant les renseignements statistiques Seules les d clarations classiques d pos es au coup par coup par les op rateurs et celles qui sont tablies l aide du syst me S O F 1 Syst me d Ordi nateurs pour le Fret International donnent lieu une exploitation statistique imm diate Toute extrapola tion faite partir de donn es aussi partielles n aurait pas de sens Evidemment les d lais peuvent varier d un mois sur l autre en fonction des jours ouvr s des difficult s mat rielles qui peuvent se pr senter soit au centre de calcul de la D N S C E soit au niveau des transmis sions En tout tat de cause le Ministre du Commerce Ext rieur et du Tourisme en accord avec le Ministre de l Economie des Finances et du Budget s est fix comme r gle de publier les r sultats du commerce ext rieur d s qu ils sont port s sa connaissance sous r serve bien s r du d lai n cessaire pour r diger le communiqu de presse 1 La D N S C E est un service ext rieur de la Direction G n rale des Douanes et Droits Indirects implant Toulouse depuis sep tembre 1981 et employant quelque 280 personnes dont plus de 130 informaticiens apr s demain N 261 262 F vrier Mars 1984 TABLEAU 1 Elaboration du chiffre du commerce ext rieur du mois N Au cours Au d but du mois N du moja N 1 D clarations D cl
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