Bulletin d`information n°55
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1. http www cclin est org LA nv a A DUA2. Mars 2015 W WARLIN PE ENDOSCOPES MAL D SINFECT S ET D AC 4 HS HAHI Vi FN D NISN A NN Dans ce num ro EE Une BHRe bact rie hautement r sistante mergente vient de provoquer ces derni res Se Endoscopes et BHRe maines une panique dans un h pital de Los Angeles aux tats Unis Deux duod noscopes mal d sinfect s seraient l origine d infections chez pr s de 200 personnes par une ent ro A l agenda bact rie r sistante aux carbap n mes Les contaminations aux ent robact ries productrices de carbap n mases EPC sont galement la hausse en France Cette pid mie l h pital UCLA de Los Angeles faisait tat de deux morts li es aux EPC C difficile apparemment transmises par le biais de duod noscopes mal d sinfect s Dans le m me bola actualit s temps un autre h pital de Caroline du Nord rapportait 18 cas d infection et 1 d c s dus aux EPC en 2015 Face l moi de la population am ricaine Barack Obama lui m me a propo s de doubler les fonds allou s par le gouvernement la pr vention la d tection et la lutte Enqu te FAM MAS contre les bact ries r sistantes 1 2 milliards y seront octroy s en 2016 N anmoins les risques que repr sentent ces BHRe ne sont pas confin s qu aux tats Unis L ann e derni re l OMS a publi son premier rapport sur le sujet et l on pouvait y lire cette sentence moins que les nombreux acteurs concern s agisse
3. q a N A A A Fe x7 7 el VA ml La circulaire interminist rielle n DGCS DGS 2012 118 du 15 mars 2012 relative au programme national de pr vention des infections dans le secteur m dico social 2011 2013 demandait aux tablissements concern s une d marche d auto valuation sur la ma trise du risque infectieux Dans ce contexte un manuel adapt aux sp cificit s des maisons d accueil sp cialis es MAS et des foyers d accueil m dicalis s FAM a t labor par un groupe de travail du GREPHH Groupe d valuation des pratiques en hygi ne hospitali re et mis disposition sur son site Internet http www grephh fr FAM MAS GREPHH htnl Dans le secteur des FAM et MAS la population est tr s h t rog ne Pour cette raison le r seau CClin Arlin a propos ces EMS une enqu te pilote nationale sur l valuation de l organisation et des moyens mis en oeuvre pour la pr vention des infections associ es aux soins en FAM et MAS sur un chantillon d tablissements L objectif tait de mieux conna tre les organisations et la pr vention des infections associ es aux soins et ainsi d identifier des axes prioritaires d actions mener dans ce domaine Un tirage au sort de 30 FAM et 30 MAS a t r alis en amont de l tude Le crit re d inclusion tait tout FAM ou MAS n ayant jamais r alis d auto valuation du risque infectieux Chaque CClin ou Arlin a accompagn l tablissement dans la r alis
4. Ce cas tragique auquel s attendaient les autorit s de sant devant l ampleur de l pi d mie a relanc la question de la vaccination obligatoire alors qu elle n est pas exig e pour l admission en cr che et l cole Les autorit s de sant rappellent que le taux de mortalit est de 2 pour 1 000 Le risque d enc phalite est de 1 pour 1 000 et mortel dans 30 des cas Cette mise en garde suffira t elle convaincre une population r fractaire la vaccination de mani re g n rale Selon l Institut Robert Koch la popu lation n est en effet couverte qu 38 1 contre la rougeole Seulement 77 2 des hommes entre 18 et 29 ans sont vaccin s Ce taux tombe 22 8 pour les 40 49 ans Aux Etats Unis aussi la rougeole effectue une progression fulgurante Le pays avait pourtant officiellement radiqu la mala die depuis 2000 L pid mie a d marr au d but de l ann e Disneyland Depuis plus d une centaine de cas ont t r per tori s De l autre c t du Rhin comme outre Atlantique la mouvance anti vaccination est point e du doigt par les autorit s Les anti utilisent comme appui une tude de 1998 associant le vaccin ROR Rougeole Oreillons Rub ole et le risque d au tisme En Allemagne le ministre f d ral de la sant Hermann Gr he a d nonc les actes de certains irresponsables oppo s s aux vaccins qui s ment une peur irrationnelle Le s nateur am ricain Bill Allen a de son c
5. s anti bact riennes et antifongiques Mais on s interroge sur leurs effets sur la sant humaine et sur l environnement L Anses a tudi pr s de 280 publications traitant du nano argent Malheureu sement les travaux publi s sont souvent contradictoires ce qui n a pas permis de statuer sur sa toxicit chez l homme Du fait de sa petite taille le nano argent passe la barri re h mato enc phalique et peut s accumuler dans certains organes comme le foie et le rein Existe t il un effet reprotoxique g notoxique ou neurotoxique Par ailleurs le fait que le nano argent soit utilis notamment dans des v tements implique son relargage dans l environnement lors du lavage de ces tex tiles Or les tudes d cotoxicit de plus en plus nombreuses montrent des effets biologiques du nano argent sur tous les organismes aquatiques et terrestres tudi s mortalit inhibition de croissance g notoxicit reprotoxicit etc De fait pour l Anses l usage des nanoparticules d argent devrait tre limit aux applications dont l utilit est clairement d montr e et pour lesquelles la balance des b n fices pour la sant humaine au regard des risques pour l environnement est positive Des doutes peuvent par exemple tre mis sur leur incorporation dans les textiles et les brosses dents en raison de l impor tance du relargage dans l environnement li ces usages Pour en savoir plus AVIS de l Agence nat
6. t propos qu on retire aux parents leur droit de refuser la vaccination de leur enfant Il faut dire que la situation est critique En 2004 les Centres am ricains de contr le et de pr vention des maladies CDC d nombraient 37 cas Dix ans plus tard ils en signalaient 644 En largissant la probl matique de la vaccination la France le Conseil constitutionnel r pondra le 20 mars prochain la question suivante La vaccination doit elle rester obligatoire en France Cette question sensible a t pos e par un couple de l Yonne qui a d pos une question prioritaire de constitutionnalit QPC sur le sujet le 15 janvier dernier De plus une Madame Vaccin en la personne de la d put e PS Sandrine Hurel vient d tre d sign e par la Ministre de la Sant et aura pour mission de proposer un nouveau rapport sur la politique vaccinale qui devrait tre remis dans un d lai de six mois Pour en savoir plus Communiqu de l OMS sur l intensification de la vaccination contre la rougeole en Europe 25 02 2015 htto www euro who int fr media centre sections press releases 2015 whoeurope calls for scaled up vaccination against measles ANN E 2015 MARS PAGE 4 PR VALENCE DES INFECTIONS CLOSTRIDIUM DIFFICILE EN FRANCE CHEZ LES PATIENTS HOSPITALISES AVEC UNE Les infections digestives Clostridium difficile CD repr sentent la principale cause de diarrh es associ es aux soins chez l
7. Sang 54 1 0 20 40 60 80 100 0 20 40 60 80 100 w Figure 5 R sultats relatifs la gestion des soins en pourcentage d objectifs atteints Figure 3 R sultats relatifs la gestion de l environnement et des circuits en pourcentage d objectifs N 30 FAM et 30 MAS atteints N 30 FAM et 30 MAS _ 44 7 53 3 MAS Pr cautions Standard L m MAS a FAM EPAM i 79 2 Restauraton EE PAPAS RARES T 43 7 rE O O O O O Actes IDE Nursing BENIN S 20 40 60 80 100 O 20 40 60 80 100 o Merci aux 30 FAM et aux 30 MAS pour leur participation Bibliographie L ensemble des documents relatifs aux r sultats de l tude FAM MAS sont disponibles sur le site du GREPHH Syn th se Rapport et diaporama de pr sentation http cclin grephh fr FAM MAS GREPHH html NB Ce travail fera l objet dune communication affich e au congr s national de la SF2H en juin 2015 Parall lement une des premi res r ponses apport es sera l actualisation des fiches techniques et l laboration de nou velles fiches th matiques tuberculose gestion d pid mie ANN E 2015 MARS Page 8 Les infections repr sentent la premi re cause de mortalit n onatale avec pr s d un tiers des d c s Une vaste m ta analyse qui vient d tre publi e dans la Biblioth que Co chrane met en vidence que l utilisation au moment de l accouchement de l antiseptique chlorhexidine perm
8. adulte L objectif de l tude tait de d terminer l incidence des infections C difficile ICD en 2012 et d valuer l ampleur du sous diagnostic en France Soixante dix tablissements de sant ES r partis sur l ensemble du territoire ont particip une tude de pr valence bi annuelle Chaque ES a syst matiquement adress au centre national de r f rence CNR C difficile toutes les selles diar rh iques de patients hospitalis s re ues au laboratoire au cours de 2 journ es un jour en d cembre 2012 et un jour en juillet 2013 ind pendamment de la prescription m dicale de la recherche de CD L analyse des selles au CNR a t r alis e par le test Quik Chek Complete Alere Les selles positives en Glutamate d shydrog nase GDH ou en toxines ont t cultiv es sur milieu s lectif Taurocholate Cyclos rine C foxitine Agar TCCA et les souches isol es ont t caract ris es par PCR vis vis des toxines A et B Les r sultats obtenus par le CNR ont t confront s ceux obtenus par chaque laboratoire parti cipant Un questionnaire a permis de recueillir les donn es d incidence des ICD en 2012 de chaque ES L incidence moyenne des ICD rapport es en 2012 par les ES participants tait de 3 6 2 9 pour 10 000 patients jours linci dence tait positivement corr l e la densit de prescription nombre de tests r alis s pour 10 000 patients jours qui variait largement d un ES l autre m diane 29
9. ants est fr quent en particulier en milieu hospitalier Les Centers for Disease Con trol and Prevention Am ricains ont pour la premi re fois men une tude couvrant dix r gions des Etats Unis afin d estimer pr cis ment l importance de ce probl me Clostridium difficile est un bacille Gram positif ana robie sporul responsable de 15 25 des diarrh es post antibiotiques et de plus de 95 des cas de colites pseudomembraneuses C est la premi re cause de diarrh es infectieuses nosoco miales chez les adultes Au total sur l ann e 2011 ce sont 15 461 cas d infection C difficile qui ont t identifi s sur l ensemble des dix territoires tudi s dont 65 8 taient consid r s comme des cas nosocomiaux et dont 24 2 sont survenus au cours d une hospitali sation Apr s ajustement le nombre estim de cas annuels sur l ensemble du territoire des Etats Unis aura t de 453 000 IC 95 397 100 508 500 avec un risque plus lev chez les femmes RR 1 26 IC 95 1 25 1 27 les sujets d ori gine caucasienne RR 1 72 IC 95 1 56 2 0 et les plus de 65 ans RR 8 65 IC 95 8 16 9 31 Le nombre de d c s parmi ces 453 000 cas est de 29 300 dont un sur deux peut tre sans aucun doute directement imput C difficile Ces r sultats doivent inciter un usage plus adapt des antibiotiques les CDC rappelant qu aux Etats Unis pr s d une per sonne hospitalis e sur deux re oit une antibioth
10. arlin fr GDR Rex Rex_ GrippeEHPAD SO pdf Analyse de sc nario Evaluation de la pr vention des infections associ es aux chambres cath ter implantable http www cclin arlin fr GDR Analyse scenario analyse scenario html catheter Pr vention des infections du site op ratoire r le de l environnement G Birgand S Belorgey Interbloc Tome XXXIV na janvier mars 2015 Article votre disposition sur simple demande au CClin Est Le risque infectieux au bloc r le des comportements G Birgand Interbloc Tome XXXIV n4 janvier mar s 2015 Article votre disposition sur simple demande au CClin Est ISO les infections du site op ratoire G Birgand S Belorgey Interbloc Tome XXXIV n4 janvier mars 2015 Article votre disposition sur simple demande au CClin Est PAGE 6 ACTUALIT S DU CCLIN EST LES NANO PARTICULES D ARGENT DANS LA LIGNE DE MIRE L Anses vient de publier un avis sur les risques li s aux nanoparticules d argent Les nanoparticules d argent sont employ es dans diff rentes applications in dustrielles Elles sont notamment utilis es dans l industrie alimentaire additifs emballages rev tement des r frig rateurs textile v tements et literie reven dication de propri t s anti odeur et cosm tique des produits d hygi ne et des dispositifs m dicaux brosses dents pansements L int gration de ces nano particules d argent est suppos e r pondre principalement des finalit
11. ation de son auto valuation du risque infectieux L tude reposait sur une valuation mixte de proc dures formation organisation et de ressources d clar es mat riel consommables L valuation a t r alis e l aide du manuel d auto valuation du GREPHH constitu de 7 chapitres Le manuel a t rempli sur place par la personne charg e de l tude dans l tablissement La p riode de recueil des donn es s tendait du 1er janvier au 31 juillet 2014 Les r sultats des donn es tablissements taient rendus sous forme de pourcentages d objectifs atteints Un poids arbi traire a t attribu chaque question Il a permis le calcul d un score obtenu compar ensuite au score attendu Quelques r sultats Figure 1 R sultats globaux par chapitre en pourcentage d objectifs atteints N 30 FAM et 30 MAS Figure 2 R sultats relatifs aux moyens de pr vention en pourcentage d objectifs atteints N 30 FAM et 30 MAS 51 4 Moyens de pr vention 525 Il Gestion de l environnement 61 0 E 58 3 et des circuits e Tenue agents 55 0 IIl Gestion du mat riel de 31 4 7 soins 34 7 A 66 7 594 Antibiotique 51 7 IV Gestion des soins BR m MAS MAS V Vaccinations contre les ps d 88 3 EFAM Surveillance Alerte FAM Infections Respiratoire Aig e 2 VI Gestion des risques pa 43 6 pid miques 2 38 3 VII Pr vention des Accidents pe 59 1 Moyens E 45 0 d Exposition au
12. c t de l OMS dans le d fi mondial un soin propre est un soin plus s r en participant chaque ann e la journ e mondiale sur l hy gi ne des mains sauvez des vies lavez vous les mains Tout d abord cibl e sur les tablissements de sant et m dico sociaux cette campagne s est largie ambulatoire et GOTONT aux acteurs de la prise en charge des soins en ville MI da Aai Les inscriptions la Mission Mains Propres 2015 sont ouvertes sur le site du minist re http www sante gouv fr mission mains propres 12848 html Les commandes des supports nationaux peuvent tre pass es jusqu au 27 mars 2015 sur le site du minist re htto www sante qouv fr mmp commande outils 2014 html Le CCLIN Est met galement votre disposition sur simple demande des autocollants sets de table et plaquettes l hygi ne des mains des professionnels de sant Adresse CClin Est H pitaux de Brabois sers Morvan ce Centre de Coordination de la 54 511 Vandoeuvre les Nancy gt CLIN Lutte contre les Infections Secr tariat central a Associ es aux Soins T l 0383 15 34 73 Fax 038315 39 73 Email cclin est chu nancy fr Bienvenue E Qui sommes nous 7 Retrouvez nous sur le Congres Manir estations Web Notre actualit ELIN lettre d information di CA SFM concernant ia d tection de la production de carbap n mases chez i les ent robact ries Ld Documentations
13. es et cette ann e un audit national du Grephh valuant les pratiques de d sinfection des endoscopes avec canaux les outils ac tuellement en cause aux tats Unis est propos aux tablissements de sant avec activit endoscopique Clairement nous devons rester vigilant quant la probl matique des BHRe d pistage prise en charge surtout que la France reste un mauvais l ve en mati re de consommation d anti biotiques qui est la cause principale de ces mergences Dans le cadre des nouvelles conomies que le monde de la sant doit faire en France Il se rait incongru que la politique de Sant Publique paie un lourd tribu alors que les EOH par ticibent grandement la r alisation d conomie qu il est malheureusement difficile de chiffrer Il est plus facile de chiffrer le co t de la guerre que celui de la paix Lave vaisselle Rougeole Nano argent OVNI um R WIN Chlorhexidine n onat e Formations Surveillances PAGE 2 ACTUALIT S DU CCLIN EST MARS 2015 Calendrier des v nements le site du CCLIN Est la rubrique surveillance Vous trouverez gale ment tous les outils n cessaires la 1 Ou na a 2 r alisation de ces surveillances et audit et les moyens de contacter les cune d elles en cas de n cessit Ne pas oublier de s inscrire aux diff rentes surveillances propos es BMR REA ISO AES 1 Pour BMR un contr le qualit est o
14. et de r duire ce taux avec des co ts abordables Cet antiseptique large spectre peut en effet tre utilis dans le cadre des soins de maternit soit comme un d sinfectant vaginal pour pr venir la propagation des bact ries de la m re l enfant ou comme agent nettoyant pour la peau du nouveau n ou le cordon ombilical L tude a regroup 12 essais portant sur plus de 87 000 nouveaux n s Sept essais ont t men s en Asie du Sud Est deux en Afrique deux en Europe et un en Am rique du Sud Il en ressort que le nettoyage du cordon avec de la chlorhexidine r duit la mortalit infantile de 12 par rapport au simple s chage du cordon Elle permet galement de diminuer de moiti le nombre de nouveau n s atteints d omphalite une inflammation du cordon ombilical souvent d une infection bact rienne Les auteurs concluent qu il est n cessaire d obtenir davantage de donn es en provenance de pays africains pour tayer les r sultats Les plus grands b n fices ont t observ s dans les tudes men es en Asie du Sud Est Pour en savoir plus Article votre disposition sur simple demande au CClin Est Cochrane France Mars 2015 Sinha A et al Cochrane Database of Systematic Reviews 2015 Issue 3 Art No CD007835 http www cochrane org CD007835 NEONATAL chlorhexidine skin care for prevention of mortality and infection in neonates MISSION MAINS PROPRES i Mains SF Depuis 2009 la France s est engag e au
15. gt valuation m dico conomique des mesures d hygi ne efficience 23 S Journ es r gionales d hygi ne de l ARLIN Lorraine Nancy les 18 et 19 juin 2015 Attention nouveau lieu Do maine de l Asn e Villers les Nancy pr programme htto arlin lorraine chu nancy fr congres manifestations journees regionales d hygiene 2015 23emes i r h Pre programme2023 20JRH pdf PAGE 3 ACTUALIT S DU CCLIN EST FAUT IL ABANDONNER Ay A V A AN R A LE LAVE VAISELLE N POUR Selon une tude observationnelle dont les r sultats sont pu bli s dans le dernier num ro de la revue Pediatrics les en fants vivant dans un foyer quip d un lave vaisselle seraient davantage expos s au risque de d velopper des allergies que les enfants vivant dans un foyer o la vaisselle est faite ma nuellement Selon la th se hygi niste l exposition pr coce des mi crobes et des allerg nes venant de poussi res d animaux ou d une diversification alimentaire r duirait les risques de d velopper une allergie Ainsi les enfants vivant la ferme seraient moins souvent allergiques que les enfants des villes Prenant en compte cette th orie les auteurs de l tude ont voulu savoir si certaines pratiques domestiques comme la vaisselle taient ou non susceptibles d influencer ce risque asthme ecz ma rhinite conjonctivite tait r duit presque de moiti versus les enfant
16. ionale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail relatif l expertise concer nant la mise jour des connaissances sur l valuation des risques sanitaires et environnementaux li s l exposition aux nanoparticules d argent httos www anses fr sites default files documents AP2011sa0224Ra pdf DE D D Prod ProdHyBase r pertorie les d sinfectants d tergents a r f rence pour les d nts d sinfe Le A g H a net de AA AUD TARA diS ne d sinfectants dispositifs m dicaux sols et surfaces GASE et petits mat rieis associ s les produits pour mains et les petits mat riels qui leur sont li s Elle inclut uniquement des produits commer cialis s en France en secteurs hospitalier et dentaire consultez les mots cl s d usage du domaine couvert Les produits doivent r pondre aux crit res d inclusion et tre dot s d un dossier complet pour entrer dans le Iniormation Le site Prodhylasec a fait peau neuve I D s La page d accu ll du Site VOLE d chirer un Denon GES purg ak Moderne gui dre Lin metur concert de lae Pie argota l Ste art aobre pour glos de clart Four unr navigation plus intuitivo Lo page d amumi a t con ue pour vous pormetin d acc der rapeiement Toutes VOS PONS LETTRE AE horirantal sous l nt te vous donne acc s ioutes les rubreques du sam Les sam llorations du site portent sur La mupa on pigi du contenu niomat des rubro
17. nt d urgence de mani re coordonn e le monde s achemine vers une re postantibiotique En d cembre 2014 un groupe de travail mandat par le gouvernement Britannique annon ait pour sa part que 10 millions de personnes succomberaient aux BHRe d ici 2050 En France les infections aux EPC sont la hausse depuis 2010 En mars 2014 gr ce aux donn es du r seau CClin Arlin qui travaille avec les tablissements de sant l Institut de veille sanitaire InVS rapportait que le nombre d pisodes impliquant des EPC est en aug mentation tr s nette depuis 2009 On d nombre entre 50 et 60 pisodes signal s chaque mois depuis septembre 2 013 De janvier mars 2014 102 pisodes auraient t signal s D s 2010 le Haut Conseil de la Sant Publique a mis des recommandations cet gard Signalements r it r es en 2013 Sur le plan hygi nique la priorit consiste viter les pid mies Il in combe aux h pitaux de rep rer les patients en rapatriements sanitaires et ceux ayant t hos pitalis s au cours de l ann e l tranger Ces personnes doivent b n ficier de mesures de pr cautions suppl mentaires pour viter toute diss mination d une ventuelle BHRe Des re commandations destination des microbiologistes ont t propos es pour mettre en place des m thodes de d tection plus rapides Une surveillance microbiologique est effectu e sys t matiquement sur les mat riaux tels que les endoscop
18. pour 10 000 patients jours IQR 19 50 Lors de l enqu te de pr valence bi annuelle 651 selles ont t analys es et 90 se sont r v l es positives CD en culture La pr valence globale des patients infect s par CD toxinog ne tait de 9 7 63 651 et celle des patients colonis s CD non toxinog ne tait de 4 2 27 651 Parmi les ICD diagnostiqu es par le CNR 35 63 55 6 ne lont pas t par les laboratoires participants soit par manque de sensibili t des m thodes utilis es 16 63 25 4 soit par manque de suspicion clinique 19 63 30 2 L incidence des ICD en France en 2012 est en augmentation par rapport 2009 mais reste largement sous estim e par un d faut de sensibilit des tests utilis s et par un manque de suspicion clinique Pour en savoir plus Article votre disposition sur simple demande au CClin Est Pr valence des infections Clostridium difficile chez les patients hospitalis s avec une diarrh e r sultats d une tude fran aise prospective multicentrique F Barbut L Ram A Petit La Presse m dicale publication avanc e en ligne du 28 f vrier R EXISTE T IL UNE SOUS ESTIMATION DES INFECTIONS A Les diarrh es post antibiotiques en particulier C difficile sont un r el probl me de sant publique mais dont l im portance tait jusqu pr sent difficile estimer avec pr cision en particulier dans les pays occidentaux o le re cours des antibiotiques puiss
19. que Ls base de donn es n a pas dt modifi s Les denn es r f renc es dats la Base akvo que leur auah aton restent tors la recoonsaltstit des lourniteurs ahe dvolution mest pap touminde VOUS ourga cetan pages toui landano charte graphies Eles seront mog tesremeni modas Mh st s prt d computer h quenment cette bige liiam Qui aus tenira du Cour EN des demire sctuakt s du t crit D s sugocstiens des remarques Fat s mors part de OI Su0etorE EU rEMAQUEL CONTENT LS PourEbs tersar QU SAS En guini L iques de ProdHriare vous souhaite une bonne nas atan circuit d enregistrement L inscription de nouveaux produits peut s effectuer tout au long de l ann e Elle est gratuite Les informations diffus es sur les fiches Produit et fiches Fournisseur peuvent tre mises jour tout moment Etant donn que ProdHyBase n inclut que des pro duits commercialis s en France et qu il s agit d un site au service des utilisateurs de produits les dossiers de produits doivent tre imp rativement en fran ais en particulier le mode d emploi l tiquetage et la fiche de donn es de s curit La r f rence pour les d tergents d sinfectants d sinfectants produits pour l hygi ne des mains et petits mat riels associ s http www prodhybase fr ANN E 2015 MARS PAGE 7 ORGANISATION ET MOYENS MIS EN UVRE POUR PR VENTION DES INFECTIONS ASSOCI ES AUX SOINS M r mn 1 g FN J LNY
20. rapie et que dans 30 50 des cas l antibioth rapie est soit inutile soit inadapt e Les auteurs de l tude une quipe d pid miologistes rattach s aux CDC rappellent galement les r sultats d une autre tude montrant que si l usage des antibiotiques en milieu hospitalier tait r duit de 10 les infections C difficile chuteraient de 34 Pour en savoir plus Article votre disposition sur simple demande au CClin Est Lessa FC et coll Burden of Clostridium difficilelnfection in the United States N Engl J Med 2015 372 825 834 Febru ary 26 2015 DOI 10 1056 NEJMoa1408913 http www nejm org doi full 10 1056 NEJMoai408913 query featured home PAGE 5 ACTUALIT S DU CCLIN EST Simuler pour mieux se pr parer Service des urgences du CHU d Angers 25 novembre 2014 Un patient se pr sente il a de la fi vre et des diarrh es Il est rentr de Guin e o il a travaill pour une association humanitaire neuf jours auparavant L infirmier d accueil identifie un cas suspect d Ebola bien s r Mais comment le g rer O doit il attendre Que faire de la personne qui l accompagne Comment doit on s habiller pour s occuper de lui Le personnel s affaire cherche des solutions mais il s agit d un exercice Le patient est un patient standardis c est dire une personne qui est charg e d imiter le comportement de quelqu un qui se pr senterait avec les sympt mes d Ebola La sc ne e
21. rganis en parall le pour les laboratoires le souhaitant selon les m mes modalit s que l an dernier Date limite d inscription 31 Mars 2015 L inscription est faite par l tablissement et non par le laboratoire qui peut tre priv et donc ext rieur l tablissement https docs google com forms d 1HELcWLknDFxtChwRe Yi6q fCKx0BCiRnhp8JIDQakQ viewform c 0 amp w 1 Le laboratoire recevra par la suite une confirmation de son inscription et des modalit s du CQ 2015 Calendrier du CQ 2015 Semaines 21 22 du 18 mai au 30 mai 2015 le laboratoire Elitech transmettra trois souches aux laboratoires inscrits Semaine 26 du 22 au 27 juin 2015 les r sultats du contr le de qualit seront retourn s au CClin Est 2 Date limite de saisie pour AES 2014 et ATB 2014 31 Mars 2015 3 Audit Endoscopie Inscription http www cclin est org spip php rubrique49 Outils http www grephh fr Endoscopie GREPHH html COLLOQUES JOURNEES CONGRES Journ e CClin Est ARLIN Reims le 21 avril 2015 sur les indicateurs et les cibles du nouveau PROPIAS pro gramme et bulletin d inscription venir XV me Congr s SF2H Tours les 3 4 et 5 juin 2015 http www sf2h net congres sf2h html Les th mes seront les suivants gt nouveaux concepts en architecture hospitali re et leurs enjeux en termes de risque infectieux H pital du futur gt Simulation en sant et hygi ne hospitali re gt acc s aux abords vasculaires
22. s vivant dans un foyer avec lave vaisselle OR 0 57 IC 95 0 37 0 85 Le risque le plus faible tait observ chez les enfants qui d une part vivaient dans un foyer sans lave vaisselle d autre part dont l alimentation comportait une part importante de pro duits venant directement de la ferme Pour en savoir plus Article votre disposition sur simple de mande au CClin Est Bill Hesselmar et coll Allergy in children in hand versus machine dishwashing Pediatrics Volume 135 number 3 March 2015 allergique Pour cela ils ont interrog une population de 1029 enfants g s de 7 et 8 ans vivant dans deux r gions de Su de Kiruna dans le nord du pays ou M lndal sur la c te sud ouest Il s av re que dans les foyers sans lave vaisselle le risque de d velopper une pathologie allergique ES EPIDEMIES DE ROUGEOLE EN ALLEMAGNE AUX USA ET AU Un petit gar on de dix huit mois est mort mercredi dernier des suites de la rougeole dans la capitale allemande o une pid mie sans pr c dent s vit depuis 2001 De plus un adolescent souffre de graves s quelles de cette maladie qui a d j contamin plus de 600 personnes Berlin depuis le mois d octobre 2014 plus que sur l ensemble du territoire national pour toute l ann e 2014 Une cole primaire a galement ferm ses portes apr s l apparition d un foyer persistant Les autorit s sanitaires de la ville et de l Etat ont tir la sonnette d alarme
23. st film e et les professionnels pourront bient t d briefer autour de la vid o pour savoir ce qu ils peuvent am liorer Bref nous sommes dans un exercice de simulation L arriv e d un patient suspect Ebola est le type m me de situation o la simulation peut faire la diff rence en tant qu outil de formation C est un v nement rare les quipes m dicales et param dicales ont donc peu d exp rience sur le sujet Mais il faut y tre pr par C est pour cela que le virus africain a fait l objet d une session part lors du 4e Colloque francophone de simulation en sant organis les 6 et 7 f vrier derniers l Institut Pasteur Paris L exp rience du CHU d Angers n a pas t le seul exercice en lien avec le virus africain tre pr sent lors de cet v ne ment Ilumens le laboratoire de l Universit Paris Descartes d di la simulation y a galement relat comment le personnel de l h pital Necker avait pu s entra ner la prise en charge d une parturiente suspecte d Ebola Ici l exercice a d abord t effectu avec une patiente standardis e accompagn e de son mari en r alit deux personnes de l administration puis l aide d un mannequin haute fid lit l quipe est all e jusqu la proc dure de c sarienne Tout a t fait pour que le personnel se trouve comme en situation r elle Des probl mes inattendus se sont pos s comment t l phoner l ext rieur avec le fameu
24. x heaume l ment indispensable de la tenue de s curit renforc e en cas de prise en charge d un patient Ebola Pire comment utiliser un st thoscope avec ce casque herm tique sur la t te Les exp riences d Angers et de Necker taient ponctuelles Mais lors du colloque de l Institut Pasteur la Soci t fran aise d hygi ne hospitali re a expliqu qu elle tait en train de mettre au point des sc narii Ebola utilisables dans diff rents tablissements Ceux ci sont maintenant pr ts et seront test s prochainement dans tout le pays Dans les mois qui vien nent les urgences des h pitaux fran ais doivent donc s appr ter voir d ferler une vague de faux cas d Ebola Proc dure d habillage et de d shabillage des professionnels de sant Un r cent article sur l habillage et le d shabillage Putting On and Removing Personal Protective Equipment R Ortega N Bhadelia O Obanor K Cyr N Engi J Med 2015 Mar 11 Surtout cet article est accompagn d une vid o tr s bien faite et r aliste que vous pourrez visionner en cliquant sur le lien sui vant http www nejm org doi full 10 1056 NEJMvcm1412105 t article Pour en savoir plus Documentation sur le site CClin Arlin pas de mise jour depuis le 09 02 2015 http www cclin arlin fr Alertes 2014 alerte Ebola html LIRE VOIR FAIRE EHPAD G riatrie un REX sur une pid mie de grippe en EHPAD d cembre 2014 http www cclin
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