Conférence régionale - Chambre Régionale d\\\`Agriculture de
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1. TR qu Bl Semis direct lutte chimique contre la septoriose dose r duite 2 9 Moutarde Herbi semis lutte chimique raisonn e dose r duite contre les 5 5 adventices et lutte chimique contre les parasites 1 fongicide et 3 Iinsecticides 1 molluscicide is EE ER EP Orge d hiver Lutte chimique raisonn e dose r duite 7 3 herbicide et 4 1 2 fongicide ES 1 IFT objectif 2 5 HAS H1 du syst me Les IFT figurant dans le tableau ci dessus sont calcul s a priori partir de l exp rience de conduite des cultures sur l exploitation et en fonction des conomies recherch e travers la d marche de reconception du syst me Le faible usage de pesticides d coule ici de 5 une conduite conome du bl et de l orge d hiver avec d LUE dicm d combinaison de lutte culturale retard de date de semis de EM M OS ey STR contr le g n tique vari t bon profil de tol rance aux LE pide bioagresseurs et de lutte chimique raisonn e dose r duite une lutte chimique raisonn e dose r duite sur mais et soja A seule la moutarde fait l objet d une protection chimique plus s v re compte tenu de sa sensibilit aux ravageurs et aux faibles alternatives techniques disponibles ce jour N anmoins la technique de lherbisemis Figure 4 permet de conduire la moutarde avec un tr s faible recours aux herbicides Figure 4 Semis de moutarde avec un semoir quip d un disposi2. x LLI 0 0 O Q Conf rence r gionale Grandes cultures Pr sentation des principaux r sultats du programme r gional Syst mes de culture innovants Ecophyto 2018 0 herbicide Jeudi 12 septembre 2013 au lyc e agricole Olivier de Serres de Quetigny Plombi res l s Dijon 21 Bourgogne Conseil r gional Conf rence r gionale Grandes cultures Jeudi 12 septembre 2013 de 9h30 16h la ferme de Tart le Bas du lyc e agricole de Dijon Qu tigny 21 Pr sentation des principaux r sultats du programme r gional Syst mes de culture innovants Ecophyto 2018 0 herbicide 9h30 10h Accueil caf 10h 10h30 Introduction Vincent LAVIER Vice Pr sident de la Chambre R gionale d Agriculture de Bourgogne Pierre MATHIS Directeur de l EPLEFPA Quetigny Plombi res l s Dijon Jacques REBILLARD Vice Pr sident du Conseil R gional de Bourgogne charg de l agriculture Jean Roch GAILLET Directeur r gional de l Agriculture de l Agro alimentaire et de la For t 10h30 12h45 G rer un syst me de culture conomiquement performant avec moins d herbicide Pr sentation du syst me de culture innovant test Tart le Bas Lionel RAYNARD EPLEFPA Quetigny Plombi res l s Dijon D monstration de faux semis outils dents disques visite sur le terrain Bertrand GOBY EPLEFPA Quetigny Plombi res l s Dijon J r my NOBBES Chambre d Agriculture de C te d Or LLI
3. Principaux traits du systeme 50 Potentiel de rendement et RU Atouts amp Contraintes Zone de culture Alluvion 85 q ha en bl Bonne fertilit physique et Surface 60 ha argileuse RU 150 mm chimique Forte mixit levage Faible vitesse de culture ressuyage Traits du syst me de culture Rotation Bl OP Pois d hiver Bl Tournesol avec implantation es 4 E _ luzerne dactyle x 3 tous les 15 ans _ Strat gies principales Rotation diversifi e Utilisation raisonn e de la lutte chimique Introduction d une prairie temporaire base de fabac e Lutte contre les Combinaison de lutte culturale physique chimique 3 p riodes de adventices semis d calage des dates de semis labour 1 3 an faux semis so C d sherbage m canique Luzerne dactyle Aucun traitement 0 Bl Lutte chimique dose r duite contre les adventices et maladies semis 1 6 Em E retard vari t pr coce et rustique d sherbage m canique Orge de printemps Lutte chimique dose r duite contre les adventices et les maladies 0 7 d sherbage m canique Pois d hiver Lutte chimique dose r duite contre les adventices et les maladies 4 pleine dose contre les ravageurs d sherbage m canique Bl Lutte chimique dose r duite contre les adventices et maladies semis 2 4 retard vari t pr coce et rustique 1 1 Tournesol Vari t rustiq
4. e x O O x n Gestion de syst mes en agriculture conventionnelle et biologique Herv LALLEMANT agriculteur Benoit COLLARDOT agriculteur 12h45 14h D jeuner sur place sur r servation uniquement 14h 15h45 Pulv risation bas volume Pr sentation du r seau d exp rimentation r gional amp synth se pluriannuelle des r sultats r duction de doses adjuvants efficacit D monstration sur le terrain Luc PELCE Arvalis Institut du vegetal Micha l GELOEN Chambre d Agriculture de la Ni vre Emilie RIBEROLLES Chambre d Agriculture de l Yonne Echanges sur les pratiques de pulv risation bas volume 15h45 16h Nicolas CHAMBRETTE agriculteur Emmanuel BUISSET agriculteur R mi THIERRY agriculteur Conclusion amp Perspectives Edito Les Chambres d Agriculture et leurs partenaires Arvalis Institut du v g tal le CETIOM le SEDARB la FRCUMA Bourgogne les lyc es agricoles de Dijon Qu tigny et de La Brosse AgroSup Dijon et l INRA sont heureux de vous accueillir sur la ferme du lyc e de Tart le Bas dans le cadre du programme r gional de recherche d veloppement Syst mes de culture innovants Ecophyto 2018 0 herbicide L agriculture r gionale est et doit rester une agriculture de production Elle devra n anmoins voluer pour r pondre aux enjeux qui mergent notamment environnementaux li s la protection des ressources naturelles mais aussi nerg tiques et sociaux De plu
5. ensemble de 5 parcelles totalisant 50 ha adopte une strat gie de production permettant d amenuiser les consommations de pesticides de 30 96 par rapport la r f rence IFT r gional La zone 50 ou Z50 constitu e de 6 parcelles totalisant 60 ha supporte un syst me de culture con u pour engendrer une baisse d IFT de 50 96 par rapport la r f rence IFT r gional Rappelons que ces deux zones englobent l ensemble des 110 ha des terres du domaine d di es aux grandes cultures 13 Une exp rimentation de 2 syst mes de culture innovants u Objectifs Les deux zones pr sent es en introduction sont pilot es selon les principes de la protection int gr e des cultures Viaux 1999 L objectif est double P Atteindre des niveaux de performances conomiques et environnementales lev es en abaissant de moiti l IFT en Z50 et en restreignant les d penses d nergie indirecte gr ce la fixation symbiotique d azote de l air des fabac es K Comparer deux niveaux de d pendances aux intrants afin d analyser leurs r percussions respectives sur le rendement et la rentabilit conomique Rotations culturales appliqu es Dans chaque zone des rotations longues et diversifi es incluant des fabac es ont t instaur es En Z30 en particulier les parcelles ont t red coup es pour la campagne culturale 2010 2011 de facon passer de 3 parcelles de 15 ha 5 parcelles de 10 ha environ chacune L
6. y Z 2ANE OJ 9SJOU juepeoeud Jnoqe Jnoqe uio G L 1noqe uio GL SUPP seonuoeApe IS eDeuineuoep eutoAe eoso Siulos xne J opnesd puojoud 1noqe opnesd puojoud jeiouiuedns 26ewneu9sp siew 1008 90 NVdl2 siwes uoneieds14 juop seBeuuneuoep z 1uop seBeuineuoop z L nojueoN ep seuueo eBe ouJg Jed mins eDeuineuoop OS np reABJ 1 suonuesAio9ju JOAIU p 2610 apuejnNoW eig efos SIEN soin jny he9 p Jno un sue SION Jns suusAOW ue JUSAIOSSI efos je siew anb ueiq nee qei 29 suep sed eunBi eu uoneBuur e Sin0981 91 L LOZ OLOZ euBeduieo ej sindep eoe d us 199 euieis S 99 ISUIY seeuue saJeiulep C sep sanoo ne eJnyjno op euigjs s 29 2oeAe seoJoeD so eoued sejuaJauip Se suep snuejqo sjueujepusi sep je sej eungno sonbneid sep eseuiu s eJ 1u99p enbneud einjjno ep eujeis s 92 onbneid gg euigjs S Performances du syst me 30 Ce syst me de culture s av re tr s conome Il conjugue un bon niveau de performance conomique illustr par une marge semi nette proche de 800 ha et le respect du milieu gr ce un faible impact estim des usages de pesticides Toutefois des efforts en mati re de choix des produits restent r aliser car le niveau d exposition des applicateurs est lev Enfin ce syst me est p nalis par sa d pendance aux nergies fossiles lesquelles sont fortement mobilis es par le proc d de s chage du mais et le fioul n cessaire au fonctionnement de la motopompe d irrigation Hy
7. liorent ils l efficacit des fongicides en situation de r duction de volume et ou de dose de mati re active N Volume Programme Dose Passages Adjuvant 231 32 239 255 Z61 ha Analyse souches 1 TNT X Be A Prosaro 0 6 2 120 L ha Base actuelle N 2 Sans Adexar 0 8 X Pyros 0 7 3 65l ha R f rence 2TN 65 N 2 Sans Adexar 0 8 PH a x Pyros 0 7 Epsotop 2kg 100L Prosaro 0 6 4 65 L ha R f rence 2TN 65 adj N 4 H llosol Adexar 0 8 Pyros 0 7 90 adj 0 296 Prosaro 0 3 5 65 L ha R f rence 2TN 2 65 N 2 2 Sans Adexar 0 4 Pyros 0 35 45 X Epsotop 2kg 100L Prosaro 0 3 E 6 65 L ha R f rence 2TN 2 65 adj N 2 2 gera Adexar 0 4 Pyros 0 35 45 adj 0 2 65Uha Frac4TN 65 Sans Adexar0 4 Adexar0 4 am ti Le ba TN i E 2kg 100L 651 ha Frac4TN 65 adj 4 ee Adexar0 4 Adexar 0 4 Prosaro 0 3 Prosaro 0 3 Pyros 0 35 Pyros 0 35 Prosaro 0 3 Prosaro 0 3 D cs nn EU A DE 1f Anar Pyros 0 35 Pyros 0 35 Of JU adj 2 65 L ha Frac ATN 2 65 ET 4 Sans Adexar0 2 Adexar0 2 Epsotop 65L h 3 rac ATN 2 65 4 adi VA 4 ARE P d 65 he Frac 4TN 2 65 adj 2 4 H liosol 0 206 Prosaro0 15 Prosaro 0 15 L d J MA 7 AG m a 472r a D 47r Pyros 0 175 Pyros 0 175 Prosaro 0 15 Prosaro 0 15 Adexar 0 2 TES G Pyros 0 175 75 Les r sultats sont en cours de d pouillement et seront disponibles en d but d automne En particulier il faut attendr
8. Lo J B na T K me E mI L Atlantis 300 g ha moe Actirob 11 ha Atlantis 300 g ha Actirob 1 l ha Actimum 1 l ha r f rences bases de la communication sur le sujet Les r sultats d efficacit des diff rentes modalit s sont proches les uns des autres Une mani re de conclure est de dire qu en conditions de bas volumes avec un traitement r alis le 06 03 2013 7h00 du matin sans vent hygrom trie de 94 et temp rature 4 5 C une dose r duite d herbicides adjuvant e tient sa place dans le champ des possibles pour d sherber du bl Un protocole similaire a t r alis par d autres quipe d Arvalis Institut du v g tal Les r sultats sont en cours de synth se gt Fongicides sur septoriose dans du bl Rouvres en Plaine 21 Am liorer l efficience de la lutte chimique contre la septoriose R gions 2T avec nuisibilit 15 20 qx ha L essai devra r pondre trois questions dans le cadre d applications avec un volume de bouillie de 65 L ha 1 A nombre de passages quivalent la r duction de dose de fongicides est elle envisageable 2 Le fractionnement d une dose donn e peut il am liorer l efficacit de l intervention sans pour autant augmenter le risque d apparition de souches r sistantes MDR Ou alors est il plus raisonnable pour un m me nombre d interventions de faire se succ der des associations de mati res actives diff rentes 3 Les adjuvants de type mouillants am
9. acteurs de l enseignement sup rieur de la recherche agronomique et du d veloppement agricole avec en particulier les Chambres d Agriculture de C te d Or et de Bourgogne l INRA Dijon et son unit exp rimentale de Breteni re Epoisses Agrosup Dijon le CETIOM Arvalis Institut du v g tal D autre part dans le cadre de l action 16 du plan Ecophyto l EA b n ficie de l appui technique et financier du CEZ Bergerie nationale de Rambouillet qui coordonne le r seau des fermes de lyc es agricoles lanc es dans des exp rimentations syst mes visant r duire l usage de pesticides Principaux traits du syst me 30 Potentiel de rendement et RU Atouts amp Contraintes Zone de culture Alluvion 85 q ha en bl Bonne fertilit physique et Surface 50 ha argileuse RU 150 mm chimique Faible mixit levage Faible vitesse de culture ressuyage Traits du syst me de culture Rotation Mais Soja Bl Moutarde Orge d hiver Strat gies principales Rotation diversifi e avec 5 cultures diff rentes lutte chimique raisonn e Lutte contre les Combinaison de lutte culturale physique biologique chimique 3 adventices p riodes de semis 2 labours dans la rotation faux semis binage Mais Lutte chimique raisonn e dose r duite binage et lutte biologique 1 3 trichogrammes _ Soja Lutte chimique raisonn e dose r duite compl t e par le d sherbage 0 8 1 m canique
10. applications de post lev e proche des strat gies classiques mais tr s technique dans leur mise en ceuvre choix des herbicides positionnement conditions d application D conseill en cas de fortes pressions en mauvaises herbes g ranium Int r t conomique plus faible au del de 3 passages de post lev e Flou juridique sur l utilisation en post lev e d herbicides utilis s en pr lev e et volution r glementaire peu favorable interdiction de certains m langes positionnement restreint Exp rimentations 4 essais lourds avec r p titions men s entre 2011 et 2013 lls portent sur des flores vari es avec une dominante de g ranium adventice tr s fr quente et tr s pr judiciable en colza dans les rotations colza bl orge de Bourgogne Tableau 1 Les sites des exp rimentations Chambres d Agriculture 58 amp 89 Surgy Chambre d Agriculture 89 _ Fulwy m 2012 Chambre d Agriculture 21 amp Dijon Hauteville 3012 C r ales x Chambre d Agriculture 58 La Marche 2012 Les densit s de g ranium sont comprises entre 100 et 400 plantes m Dans chacun des sites diff rentes modalit s ont t test es dont Iam anc X Co t indicatif ha 100 115 1 2 1 6 amp Strat gie test e Strat gie classique application de post semis pr lev e avec un ou des herbicides racinaires Pr lev e Post lev e passage d un herbicide de pr lev e
11. la diversit des cultures emblav es sur la ferme du lyc e agricole r pond une volont d exp rimenter dans une perspective p dagogique et d monstrative plusieurs conduites culturales doublement conomes Un assolement du syst me de culture plus simple r pondrait mieux aux contraintes organisationnelles et aux imp ratifs de rationalisation des parcs mat riels des agriculteurs Les missions p dagogiques et exp rimentales de la ferme du lyc e agricole de Quetigny imposent ainsi une plus forte complexit Lionel RAYNARD EPLEFPA Quetigny Plombi res l s Dijon 24 Le r seau exp rimental Syst mes de culture innovants en Bourgogne Ce sont 13 exp rimentations syst mes de culture en Bourgogne Tableau 2 qui sont inscrites dans le r seau exp rimental national du RMT Syst mes de culture innovants Les 5 premiers sites ont d marr en 2002 2003 et ont t compl t s par de nouveaux sites en 2007 2008 Tableau 2 Pr sentation synth tique des syst mes de culture innovants test s en Bourgogne Test de syst mes de culture innovants Di nay 2008 G meaux 2008 Tart le Bas 2002 Entrains sur Nohain Types de sol Argilo calcaires superficiels Argilo calcaires superficiels Argiles argilo calcaires profonds Argilo limoneux Rotation initiale Colza Bl Orge Colza Bl Orge Mais Soja Bl Moutarde Orge de printemp
12. total pr sente dans la bouillie les bas volumes procurent une meilleure efficacit aux applications de glyphosate mol cule sensible la duret de l eau permettant ainsi de r duire les doses de glyphosate utilis es E FONGICIDES Les exp rimentations sont encore peu nombreuses mais elles montrent que la technique du bas volume est applicable aux fongicides syst miques Triazoles SDHI et strobilurines sur maladie du feuillage Par contre pour les produits de contact chlorothalonil par exemple ou pour les traitements contre la fusariose sur pis les applications avec moins de 80 l ha de bouillie se r v lent moins performantes gt INSECTICIDES Le nombre de tests est encore insuffisant pour conclure Mais attention la majorit des insecticides sont des produits de contact probablement peu adapt s aux r ductions de volumes Toujours des interrogations Pour am liorer l efficacit des pulv risations en bas volumes des adjuvants voire m me des cocktails d adjuvants jusqu 4 ou 5 sont ajout s aux produits phytosanitaires Ces adjuvants visent am liorer l talement la r tention et la p n tration des produits acidifier la bouillie ou neutraliser les eaux dures limiter la d rive ou maintenir l hygrom trie la surface des feuilles Ces produits interagissent aussi entre eux Il reste de nombreuses interrogations quant aux m langes d adjuvants adapt s chaque famille de produits ph
13. 07 superficiels Pois Colza Bl Ma s Triticale Triticale Pois Ma s Soja Bl Colza Bl Ma s Ma s Pois de printemps To So Chan Tri OH Bl Colza Bl Prairie temporaire Colza ou Pois ou Mais Bl Orge hiver ou Triticale ou Avoine Bl Colza Bl Mais Ma s Pois d hiver Colza Bl Orge d hiver Tournesol Bl Pois Colza Bl Orge d hiver Chanvre Bl Orge de printemps Colza avec l gumineuses f verole lentilles vesce partir de 2010 2011 Suivi par Ch Agri 21 Ch Agri 21 EPLEFPA Dijon Qu tigny Ch Agri 58 Ch Agri 58 Ch Agri 58 Ch Agri 58 Ch Agri 71 Ch Agri 71 Ch Agri 71 Ch Agri 71 Ch Agri 89 Ch Agri 89 en collaboration avec le lyc e agricole de La Brosse 25 Le r seau exp rimental du RMT Syst mes de culture innovants Le r seau exp rimental du RMT Syst mes de culture innovants f d re dans un r seau multi local les exp rimentations syst mes pluriannuelles existantes et nouvelles de l INRA d Arvalis Institut du v g tal du a CETIOM de l ARAA des Chambres d Agriculture et des lyc es agricoles l au Mixte Technologique t mes de ture nnovants Concr tement il regroupe aujourd hui 70 syst mes de culture test s dans 45 dispositifs au champ avec des syst mes en production
14. 12 essais lourds avec r p titions Colza associ des l gumineuses 2 comparaisons en bandes Implantation strip till amp gestion des adventices 5 comparaisons en bandes Maitrise des folles avoines gt 1 comparaison en bandes Comportement vari tal du bl bio vis vis des gt 1 essai lourd avec r p titions gt adventices et de la fertilisation azot e Optimisation des intercultures en conventionnel et gt 2 essais lourds avec r p titions biologique L gumineuses dans une rotation en semis direct 2 comparaisons en bandes par rapport la gestion des adventices Pulv risation bas volume Sujet amp Objectifs En grandes cultures les volumes moyens de pulv risation se situent entre 110 et 160 d eau ha La pulv risation bas volume consiste traiter avec des volumes compris entre 50 et 80 I ha C est une pratique qui se d veloppe On parle d ultra bas volume pour des quantit s d eau de 15 50 I ha Ces traitements avec moins de 50 l ha pr sentent des limites notamment pour atteindre de jeunes adventices cibles en d sherbage les r sultats d essais montrant une tr s grande variabilit Partenaires Arvalis Institut du v g tal Chambres d Agriculture CETIOM Dijon c r ales SeineYonne Coop rative Bourgogne du Sud Exp rimentations 3 essais lourds avec r p titions Mat riel et pratiques actuelles de pulv ris
15. ation en grandes cultures en Bourgogne Enqu te pulv risation Automne 2012 136 exploitations Yonne C te d Or mon SAU 236 ha Rampe 31m C r ales 60 SAU Bouillie 85 I ha lt SAU 309 ha llots 28 Ha parcelle 9 4 UTE 1 7 Ha UTH 140 ARVALIS Institut to vegetal Quel int r t des bas volumes Le principal int r t des traitements en bas volumes 50 80 l ha est d augmenter les d bits de chantier est ainsi possible de traiter 30 50 de surface en plus dans le m me temps donn en r duisant de moiti le volume de la bouillie Cette nouvelle capacit d intervention permet de traiter davantage en conditions optimales quasi absence de vent hygrom trie gt 75 et temp ratures adapt es aux produits utilis s et donc d am liorer l efficacit des traitements Ces conditions sont souvent r unies le matin avec une hygrom trie plus lev e et un vent faible La pr sence de ros e ne pose pas de probl me avec une pulv risation de fines gouttelettes Au contraire elle augmente la perm abilit de la cuticule et am liore la redistribution des produits en surface Par ailleurs les traitements bas volume produisent des gouttelettes plus concentr es en mati re active et co formulants la quantit de principes actifs est concentr e dans une quantit d eau plus faible Cela permet une meilleure redistribution du produit sur le feuillage et se tradui
16. compl t par un passage d herbicide au stade colza 70 80 0 8 0 9 rayonnant Post lev e fractionn e passage de 2 3 applications r p t es en post lev e d un m lange d herbicides doses 45 75 0 5 0 8 r duites Passage de post lev e int grant une nouvelle mol cule utilisable apr s la lev e du colza Ethametsulfuron non 1 2 encore homologu R sultats Synth se des essais strat gies d sherbage colza campagne 2011 2013 Note d efficacit Post semis Pr lev e Post semis Post lev e 2 3 passages de Post lev e 2 Post lev e avec de M C l Ethametsulfuron 4 Figure 1 Synth se des essais strat gies d sherbage Les efficacit s des modalit s sont mesur es entre 0 et 10 7 tant la note de satisfaction pour laquelle aucun rattrapage ne serait n cessaire Les strat gies actuellement disponibles montrent un niveau d efficacit d cevant avec des infestations fortes en g raniums entre 100 et 400 plantes m Les strat gies de post lev e montrent un niveau d efficacit l g rement inf rieur la strat gie classique avec un co t beaucoup plus faible Les applications de pr lev e relay e par une intervention de Novall 0 6 l ha au stade colza rayonnant sont les moins efficaces Seules les strat gies de post lev e int grant de l ethametsulfuron mati re active non encore homologu e apporten
17. e esJeu L 00L S epiorGuoJ SJEW aiia SSIOY L e op 950g ns esop 96001 OO Ie3u01 Siuesiqieu Bues esop esop ejuns eoeuns e 9601 007 MOJd 9609 Sse1dx3 ei v ep 960G ins esop esop 9601 esop 09 OM suey os ueibeseg sop 4 009 ebuajeyo asop 9600L Sse1dx3 euv esop GZ 00v OJd 9609 OM shuepy esop 96001 I 9XIN 2 6 zUJ D 2 6 06 390 OOL e1quie ou inqop ose sew jngeq c QUIQUIOD ue JIOWSS eulquioo ue JIOWSS euiquioo ue JIOWSS ZUl D 06 190 GZ 9uiquioo ue JIOLUES SILUSS XNEJ xnegjnol 9AIn8 0J 9SI9U euiquioo ue JIOWSS eure160uoui owas G SILOS xnej Z euuiojne p unoqe 7 SIW S XNEJ L 1nejeAn no 9AI 810J 9SJ9U SuIOAe SILUSS XNB Z Suwojne p ynoqe xnegjnol oDeuineuoop L 90S9A LOANOD uopieu9 Siules xneJ Z OUIOAE 9AIl810J 9SI9U inskoig sebewineyosp z eyn seBeuneu ep p soDeuineuosq Z 99S9A JOANOIN Jnoqe ns I 2 Sesi iqejs 2109U8 sed juos eu sejynpuoo ep s pow Se 19 0102 6007 euBeduueo ej sindep eoejd ue 199 DPS 9o ISUIY seeuue saielulep p sep SINOD ne INYNO op euigis S eo ooAe soo1o6 sej eo ed sejueJgyip Se suep snuejqo sjueuiepuei sep je se eunjno senbnesd sep eseuju Ss eJ WWOSp enbijesd einjno ep euigis s 29 onbneud gc euiejs S Performances du syst mes 50 Ce syst me de culture s av re tr s conome Il allie de plus faible impact sur le milieu performance
18. e les r sultats de r sistance de la septoriose aux diff rents r gimes de traitements fongicides Apr s cette premi re campagne de prise en main du mat riel ce type de programme d exp rimentation va tre d ploy sur la campagne 2013 2014 en essayant de trouver le bon compromis entre nombre d essais et moyens humains pouvant tre mis en ceuvre Luc PELCE Arvalis Institut du V g tal Ga lle De NARDO Chambre d Agriculture de l Yonne Damien RONGET Chambre d Agriculture de C te d Or Antoine VILLARD Chambre d Agriculture de Sa ne et Loire Le d sherbage en post lev e du colza Bilan des essais en Bourgogne Sujet amp Objectifs Classiquement le d sherbage du colza est r alis apr s le semis du colza et avant sa lev e avec des herbicides action racinaire Cette strat gie se heurte de nombreuses limites un co t du poste herbicide en augmentation pour une efficacit souvent peu satisfaisante notamment sur sol sec des adventices difficiles contr ler par les strat gies classiques ex g ranium des probl mes de phytotoxicit de certaines mati res actives ex clomazone des quantit s de mati res actives souvent fortes essentiellement en herbicides racinaires une gamme d herbicides disponibles restreinte Pour pallier ces probl matiques les agriculteurs ont recherch de nouvelles fa ons de d sherber et se sont inspir s de techniques d j utilis es dan
19. ent des donn es la synth se et l valuation avec des outils d valuation un cadre de synth se annuelle Marie Sophie PETIT CRA Bourgogne Damien RONGET Florent SAUVADET Chambre d Agriculture de C te d Or Micha l GELOEN Chambre d Agriculture de la Ni vre Antoine VILLARD Emilie CHAUMONT Julien BLANCHARD Chambre d Agriculture de Sa ne et Loire Christophe VIVIER Eric BIZOT Sarah GONZALEZ Aur lie BLONDON Chambre d Agriculture de l Yonne Lionel RAYNARD EPLEFPA Quetigny Plombi res l s Dijon Ana s POULIQUEN EPLEFPA La Brosse Violaine DEYTIEUX INRA Anne SCHAUB Association pour la Relance Agronomique en Alsace S bastien MINETTE Chambre R gionale d Agriculture de Poitou Charentes 26 Action r alis e en partenariat entre EXPLOITATION AGRI VITICOLE AUXERRE LA BROSSE Cycle AR Bourgogne aGRICULTURES EPL DES TERRES DE L YONNE amp TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE BOURGOGNE m ia E U Institut ARVALIS C F FR national G sup rieur e fes sciences agronemiques nstitut du v g tal Il Centre technique interprofessionnel 2 G es inea nstitut du vegeta UE des ol agineux et du chanvre Aide ha N Chambre R gionale d Agriculture de Bourgogne 3 rue du golf 21800 QUETIGNY T l 03 80 48 43 00 Fax 03 80 48 43 43 e mail marie sophie petit bourgogne chambagri fr avec le soutien financier de l Europe ngage lt e
20. es deen A LA A AN AAA EE 12 Syst mes de culture innovants test s la ferme du lyc e agricole de Quetigny Caract risation des syst mes et strat gies de gestion des adventices performances conomiques environnementales sociales Sujet amp Objectifs La gestion des adventices dans les cultures et les syst mes de culture bourguignons actuels est une pr occupation majeure des agriculteurs et des conseillers au niveau technique conomique et galement environnemental Aujourd hui les agriculteurs sont confront s des probl mes d impasses techniques de co t de d sherbage lev d absence de solutions chimiques de probl matiques environnementales en particulier dans certains bassins d alimentation de captage Le programme Syst mes de culture innovants Ecophyto 2018 0 herbicide a pour objectif d tudier la faisabilit de mise en ceuvre de syst mes de culture innovants visant limiter l usage d intrants tout en permettant de ma triser les adventices et de maintenir la rentabilit conomique de l exploitation en prenant en compte les enjeux locaux Syst mes de culture innovants Ce sont des syst mes de culture construits en vue d atteindre des objectifs renouvel s orient s vers des enjeux mergents et valu s selon les priorit s des agriculteurs des fili res et de la soci t Le processus d innovation consiste construire de nouvelles combina
21. es successions culturales pratiqu es sont d crites dans la Figure 2 Rotation pratiqu e sur 60 ha SdC 50 PT luzerne dactyle 3 ans tous les 15 ans Rotation pratiqu e sur 50 ha SdC 30 Interculture vesce avoine Pois d hiver Figure 2 Rotations des cultures en Z50 et Z30 Principes agronomiques r gissant les rotations Les rotations expos es reposent en premier lieu sur l l ment fondamental d un cahier des charges agronomique l introduction de fabac es Ces derni res permettent d introduire de l azote symbiotique dans le syst me de culture et de contribuer ainsi la nutrition azot e des cultures d pendantes de l azote min ral du sol Il faut pr ciser toutefois que cet aspect est pr pond rant dans la construction de la rotation culturale de la Z50 dans la mesure o la luzerne en premier lieu et le pois prot agineux en second lieu fournissent des quantit s d azote substantielles en se d gradant En revanche en Z30 le soja comparativement aux peuplements de luzerne et pois contribue nettement moins l augmentation du pool d humus actif du sol La mixit levage culture constitue un crit re discriminant des zones Z50 et Z30 En effet en Z50 la prairie temporaire de luzerne et dactyle est d di e production de fourrage riche en prot ines pour le 14 cheptel ailaitant de la ferme De m me une partie de la r colte de poi
22. iculteurs Arvalis Institut du v g tal a acquis un quad quip d une rampe de pulv risation pour ses propres exp rimentations mais aussi dans le cadre du groupe de r flexion r gional qu il anime et qui est compos des Chambres d Agriculture du CETIOM et des Coop ratives Seine Yonne Dijon C r ales et Bourgogne du Sud Binges 21 06 03 2013 7h00 hygrom trie 94 temp rature 4 5 C pas devent Au cours de la campagne 2012 2013 deux essais ont t r alis s par Arvalis Institut du v g tal sur des protocoles partag s dans le groupe r gional gt Essai herbicides sur des vulpins dans du bl Binges 21 Am liorer l efficience de la lutte contre les vulpins dans du bl L essai devra r pondre trois questions Comportement Sulfonylur es versus Sulfonylur es DEN en situation de r duction de volume et de dose Comportement Sulfonylur es versus Sulfonylur es pyroxsulame en situation de r duction de volume et de dose Le complexe d adjuvants Huile Mouillant Sulfate est il plus int ressant que le complexe Huile Sulfate habituellement pr conis Modalit Volume L ha Produits x doses Adjuvants 65 Atlantis 300 g ha Actirob 1 lha AQU 1 AIMER 65 Atlantis 300 g ha tirob 1 65 Atlantis 300 g I ha 65 Atlantis 150 g ha 9 A Atlantis 150 g ha 65 150g Atlan tis S 150 g Aia 50 g h Atlantis 150 g ha E EE eee pe Atlanti x 3 4 hal ba G Iha A LINT
23. int gr e exp riment s en station d Arvalis et de l INRA ou en exploitation agricole par les Chambres d agriculture de Bourgogne de Poitou Charentes de Seine et Marne de Midi Pyr n es et dans les domaines des lyc es agricoles comme Quetigny et La Brosse syst mes haute performance nerg tique et faible mission de gaz effet de serre des stations INRA de Auzeville et Grignon du CETIOM syst mes agro cologiques test s par exemple avec une exploitation agricole de l Aunis avec la Chambre d Agriculture de Charente Maritime Le x gt i d d ENST las A KRA n 343 My M y 4 m ty A n A A k XI Li pets E BE NER x gt LU Production int gr e en grande culture Production int gr e en polyculture levage Hautes performances nerg tiques Agro cologique Pour favoriser le d veloppement et la r ussite des exp rimentations syst mes l appui du RMT aux exp rimentateurs s est traduit par des ressources op rationnelles pour l organisation de l exp rimentation et des protocoles exp rimentaux avec un guide de l exp rimentation syst me une charte du r seau un cadre de description du syst me test et du dispositif un recueil des seuils d intervention le pilotage la collecte des donn es et le suivi avec un guide Diag Agro de suivi des cultures et de diagnostic agronomique un guide des observations des outils d enregistrem
24. isons de techniques et de cultures existantes autant qu introduire des techniques et cultures nouvelles Partenaires Chambres d Agriculture de Bourgogne lyc es agricoles de Dijon Qu tigny et de La Brosse INRA en collaboration avec le CETIOM Arvalis Institut du v g tal AgroSup Dijon la DRAAF SRAL le RMT Syst mes de culture innovants www systemesdecultureinnovants org DEPHY cophyto Le projet du lyc e agricole de Quetigny L exploitation agricole de l EPLEFPA de Quetigny Plombi res l s Dijon conduit depuis 2003 une exp rimentation de longue dur e sur la faisabilit d un syst me de culture peu d pendant aux pesticides et engrais min raux Cette tude pluriannuelle impliquant l ensemble des terres labourables du domaine a t touch e par un fort bouleversement en 2007 L arr t de la production betteravi re cons quence de la fermeture des Sucreries de Bourgogne Aiserey a profond ment boulevers les orientations de la ferme car sa sole betteravi re se montait 30 ha environ sur 110 ha de terres labourables Cet v nement nous a amen refondre notre syst me et mettre en place de nouvelles successions culturales En 2011 apr s une campagne de substitution de la betterave par une nouvelle culture industrielle le syst me de production de l exploitation est d finitivement r orient Deux sc narios sont alors mis l preuve dans les champs la zone 30 ou Z30
25. keurs pour les c r ales paille d hiver en Z50 une attention particuli re est apport e au choix de la date et de la densit de semis Le parti pris est de retarder de dix jours voire de trois semaines la date de semis de facon esquiver les lev es de vulpins adventice la plus probl matique de la ferme r sistante la famille des herbicides FOP et de majorer de 10 20 la densit afin d int grer les pertes de peuplement induites par le d sherbage m canique Pratiquement l escourgeon est implant entre le 10 et le 15 octobre tandis que le bl est mis en terre autour du 25 octobre Les m thodes de contr le des bioagresseurs alternatives la lutte chimique sont employ es en priorit Le d sherbage m canique est mis en uvre sur l ensemble des cultures l exclusion de la prairie temporaire de luzerne dactyle qui ne fait l objet d aucune intervention Les cultures sem es grand cartement mais tournesol soja sont bin s tandis que les cultures sem es faible cartement font l objet d un ou plusieurs passages de herse trille Les maladies foliaires des c r ales a paille lesquelles constitue l essentiel du cort ge de maladies cryptogamiques observ sur la ferme sont combattues l aide de fongicide partir du moment o l on observe des sympt mes sur la troisi me feuille visible des plantes Concr tement cette RDD conduit le plus souvent la r alisation d un seul fongicide de
26. n Bourgogne DE LA FOR T Bourgogne Z C onseil r gional SZNS eaea F hr 8 Fonds urop en Agricole pour le D veloppement Rural FEADER PP reson ee Dar 27 p
27. nerg tique fortement influenc e par la luzerne dont les indicateurs ne sont pas consign s ci dessous et toxicit r duite pour l applicateur Cependant ses performances conomiques sont en retrait par rapport au SdC30 Ce SdC trouve toute sa pertinence dans le cadre d un syst me d exploitation orient vers la polyculture et l levage car il permet de fournir de la prot ine bas co t l atelier herbivore Sch ma d cisionnel de gestion des adventices du syst me 50 La r duction de l usage d herbicide est obtenu par une combinaison de lutte culturale rotation faux semis labour raisonn retard des dates de semis des c r ales paille et de lutte chimique raisonn e dose r duite compl t e sur l ensemble des cultures par du d sherbage m canique La prairie temporaire de luzerne et dactyle joue un r le nettoyant dans la succession en puisant les vivaces par des fauches positionn es si possible la fin de la phase reproductive des adventices en coupant les annuelles avant grenaison et en exercant un tr s fort pouvoir concurrentiel sur l ensemble des mauvaises herbes Orge de Luzerne e printemps Pois Tournesot Vee Panic pied de coq i ch nopode i renouce renou e liseron iseron ch nopode arroche ch nopode kardon s euphorbes arroches mercuriale morelle amarante Objectifs Obtenir une pr sence mod r e d adventices dans les parcelles Une faible pr sence de g
28. poth ses de prix retenues pour l valuation conomique Bl tendre d hiver 180 t orge d hiver 170 t Moutarde 915 t Soja 300 t Ma s 140 t 19 Sch ma d cisionnel de gestion des adventices du syst me 30 La r duction de l usage d herbicide est obtenu par une combinaison de lutte culturale rotation faux semis labour retard des dates de semis des c r ales paille et de lutte chimique raisonn e dose r duite compl t e sur certaines cultures par du d sherbage m canique Vulpin v ronique Vulpin feuille de lierre repousses fumeterre moutarde pens e v ronique coquelicot gaillet feuille de lierre Vulpin laiterons pissenlit v roniques feuille de lierre de patience Ch nopode Amarante Mercuriale Euphorbes Morelle noire Morelle noire Objectifs l Obtenir une pr sence mod r e d adventices dans les parcelles Une faible pr sence de gramin es 1 3 pieds m et une pr sence sans concurrence de R sultats attendus dones idi D sherbage post D sherbage pea Antigramin esen sulfo antidicot 3 4 semis antidicot sole Herbisemis plein 2 3 d d Lutte chimique R sultats attendus P TT T T T T T T H T T THT H T T H Conserver MSN similaire r f rence locale Productivit lev e i Tol rer les sympt mes et les d adventices nnii anranannan L Att nuation Actlon sur le stock Esquive 20
29. ramin es 1 3 pieds m et une pr sence R gression du Rasuats attendus sans concurrence de dicotyl dones chardon 23 Sch ma d cisionnel de gestion des adventices du syst me 50 Sulfo antidicot et Sulfo antidicot et antigramin es D sherbage mixte antigramin es Lutte chimique sortie hiver Sulfo antidicot sortie hiver sortie hiver Herbisemis R sultats attendus z farantir l autonomie prot ique du froupeau 4 Tournesol ccepterdes baisses de rendement 1 Tol rer des sympt mes et des d g ts L Att nuation Action sur le stock Lutte physique Semis retard apr s le 25 10 Esquive A chaque exploitation son ou ses syst mes de culture Le contexte p doclimatique de la ferme du lyc e agricole comprend des terres d alluvions argileuses propres au paysage restreint de la plaine de Varanges amp Genlis D autre part la double orientation polyculture et levage de l exploitation du lyc e agricole permet une bonne valorisation des cultures de fabac es C est pourquoi les syst mes innovants test s n ont pas vocation tre transpos s en l tat sur d autres exploitations C est davantage la d marche de gestion pluriannuelle des bio agresseurs qui int ressera le praticien et qui peut fournir des pistes de r flexion pour la conception de syst mes adapt s aux contextes socio conomiques et p doclimatiques de chaque exploitation Enfin
30. s rotation Z 30 Colza Bl Orge d hiver Mais Bl Colza Bl Tournesol Bl Pois Bl Orge d hiver Rotation innovante test e Colza associ l gumineuses repousses Orge d hiver couvert Seigle couvert orge de printemps couvert Bl en semis sous couvert Colza Orge d hiver Bl Colza Bl Orge hiver ou prot agineux Orge d hiver en semis sous couvert Luzerne Dactyle x 3 ans Bl Orge d hiver Pois d hiver Bl Tournesol fotauon Pois d hiver Bl Colza Bl Orge de Printemps Ma s Orge d hiver Colza Bl Colza Bl Tournesol Bl Pois Bl Orge d hiver ou de printemps Colza Bl Orge Pois Colza Bl Orge d hiver ou printemps Mais Bl Ma s Mais Bl Colza Bl Prairie temporaire Colza ou Pois ou Ma s Bl Orge hiver ou Triticale ou Avoine _ Ma s Ma s Bl Colza ou Tournesol Bl Orge d hiver 2007 Chevenon Limon sableux 2007 Crux la Ville Argiles lourdes 2007 Bouhy Argilo calcaires 2011 superficiels Demigny A Limons sableux 2003 battants Devrouze Limons battants 2007 Poisson Limons sableux 2007 battants St Martin Belle Limons argileux Roche profonds 2007 IT Courgenay Craie 2005 a La Brosse Argilo calcaires 20
31. s la chimie n apporte pas toujours de solution satisfaisante Dans cette perspective nous travaillons l exp rimentation et la validation de syst mes de culture performants et durables bas s sur des solutions alternatives diversifi es parmi lesquelles l agronomie occupe une large place Nos syst mes pourront s adapter demain en mobilisant un bouquet de solutions alternatives pour r soudre les probl mes qui se posent nous Ce bouquet offert aux agriculteurs et acteurs agricoles ce sont notamment nos r f rences et travaux de Recherche amp D veloppement con us avec les quipes professionnelle et technique Ce sont galement les techniques et syst mes mis au point et g r s par des agriculteurs qu il faut rep rer d crire et faire connaitre plus largement Remettons l agronomie et l innovation au c ur de nos m tiers et de nos syst mes pour tre performants au niveau conomique et environnemental et ainsi mieux anticiper l avenir Vincent LAVIER Pr sident du Comit d Orientation R gional Grandes cultures de la Chambre R gionale d Agriculture Bourgogne 9 sonne cvsccocecs asse sse messsssss asse sm a amara me Ne e NNI eu ow mme e e e a de teh Ghee ta tele ddd nee Senes senses EEE M AN V VISS VA VISS VISA VAAS S eenn ereenn ennenen e A A A A AA MS SEANS Iu Pes IS uS eS P Pa arec N N N aN a te me e pereeo eee Le programme r gional Syst mes de culture innovan
32. s le d sherbage des betteraves et des prot agineux Ils ont donc mis en uvre le d sherbage de post lev e avec des herbicides en micro doses Le d sherbage de post lev e avec des herbicides en micro doses Cette strat gie consiste utiliser des herbicides classiquement utilis s en pr lev e en post lev e du colza en les associant et en r duisant fortement les doses Ces m langes sont appliqu s de fa on r p t e chaque relev e des adventices car pour une bonne efficacit les interventions sur des stades jeunes sont privil gier Aux doses utilis es les herbicides ont davantage un effet foliaire que racinaire pas de contr le des lev es chelonn es comme dans les strat gies classiques avec un passage de post semis pr lev e Les objectifs de ces exp rimentations sont de Mesurer les performances techniques de cette strat gie par rapport la strat gie classique Evaluer les limites techniques conomiques et r glementaires des applications de post lev e Evaluer l int r t de cette technique en int grant une nouvelle mol cule non encore homologu e mais utilisable en post lev e du colza ethametsulfuron Dupont Solutions Identifier les elements cl s de cette technique pour aider au conseil Partenaires Chambres d Agriculture de la C te d Or de la Ni vre et de l Yonne et Dijon c r ales en collaboration avec le CETIOM Ce qu il faut retenir Une efficacit des
33. s prot agineux est destin e au rationnement des animaux On ne retrouve pas cette compl mentarit entre animal et v g tal en Z30 Les cultures emblav es sont r serv es la vente et n entrent ainsi pas dans la composition de l alimentation du b tail N anmoins une certaine mixit levage culture est conserv e puisque le compost de fumier pailleux est pandu parit entre Z30 et Z50 Au travers de l alloengement et de la diversification des rotations culturales nous poursuivons le dessein de rompre les cycles de multiplication des bioagresseurs Aussi nous observons trois p riodes de dates de semis semis d automne semis de sortie d hiver semis de printemps Pilotages des itin raires culturaux Chaque itin raire technique est pilot par l application de r gles de d cision RDD Ces RDD portent principalement sur le choix du mode d implantation avec la mise en oeuvre ou non d un travail du sol profond la plupart du temps sous forme d un labour D une fa on g n rale les cultures estivales et de printemps sont emblav es apr s labour tandis que les cultures d automne notamment les c r ales paille sont implant es la faveur de facons superficielles le choix vari tal qui prend principalement en consid ration deux crit res la tol rance et la comp titivit des vari t s vis vis des bioagresseurs et la contrainte de leur adaptation aux d bouch s propos s par les organismes stoc
34. t g n ralement par une am lioration 5 des efficacit s Enfin cette pratique de pulv risation doit s adapter aux produits appliqu s qu il s agisse de familles de produits de modes de p n tration et modes d action Par exemple on dispose de plus de latitude avec les produits syst miques qu avec les produits de contact Ce que l on sait en bas volume 50 80 ha La technique a d montr son efficacit cependant les conditions m t o sont pr pond rantes hygrom trie vent temp rature car les gouttes de pulv risation g n r es sont plus fines et donc plus sensibles la d rive et aux conditions climatiques limitantes Le bas volume n cessite galement de pr voir l ajout d adjuvants d autant plus si on baisse les doses Les nouvelles bouillies ainsi constitu es sont appliquer avec pr caution car certains d fauts de s lectivit peuvent parfois apparaitre E HERBICIDES Dans les exp rimentations la technique du bas volume se r v le aussi performante voire meilleure avec des herbicides p n tration foliaire et mode de diffusion syst miques par exemple sulfonylur es Fops et Dymes L ajout d adjuvants huiles mouillants augmente l efficacit de ces produits en r duction de doses La pr sence de sulfate d ammonium ou de magn sium dans la bouillie semble optimiser l efficacit des sulfonylur es En r duisant les volumes d eau et donc la quantit de calcaire
35. t une efficacit tr s satisfaisante Perspectives Les applications d herbicides en post lev e montrent une efficacit proche de la strat gie classique mais la ma trise technique qu elle requi re reste un frein son d veloppement En effet l observation des lev es d adventices et le bon positionnement des herbicides stade d application et conditions d application sont d terminants dans la r ussite de cette technique Par ailleurs des questions restent encore en suspens et m ritent de poursuivre les exp rimentations Comment concilier les applications de post lev e et les volutions r glementaires possibilit de m langes d herbicides et volution des phrases de risque Quel est l effet des adjuvants sur les applications de post lev e efficacit s lectivit Quelle est l efficacit pluri annuelle de cette strat gie de passage en post lev e Dans les situations tr s infest es en g raniums le faible niveau d efficacit des strat gies actuellement disponibles incite r fl chir de fa on plus globale son syst me de culture afin de s curiser les applications d herbicide en int grant davantage d agronomie Emilie RIBEROLLES Chambre d Agriculture de l Yonne Michael GELOEN Chambre d Agriculture de la Ni vre AS Ve te ALL AAA SS NNN eaten A en n vtm A yt yet ASS e MM ISSN NS SS SSSSEAS ANA NI enden nan m anne MM bee deal a hahahaha SS AS ana
36. tif de d sherbage sur le rang herbisemis permettant de diviser par deux la dose appliqu e l hectare xb 04 xb oz xb Zg xb ce xb OLL jueuiepuosy Seuodx3 SIno1u3 souodx3 SInoju3 Sinoju3 snpiseJ sep UONSeS Of DN gv 507d DN er Oh DN 9v eyenmuouuue 18 JSOdWIOD SO q B3 gr BUD L L 1006 1soduo N DN OLL ejemuouue N Hy 06 ezyuowwe N BY 041 een N 8x OEL uonesine di sonne DEIZ eoeum nue Z enbiwiyd enn euiueJbouou ienbibojoirdg SalelonJo sep sujebijow seouue c z sei ulopiooo sinoDeAelJ 9 enuoo sepionoesur z epionoesul enbiwuiy9 eun 8 o X uoud esop 9SOp 9600L Solpejew ey S O o1dX j1ojelAv eurejd e eploiBuoy SCIZ apioiBuoy enbiwiyd l enn sie oDeulq JAC ajj esJ9u L uinf eDeuiq enbISAUG oeuue zy sduieuo sep uid nA 9jqi5 esseduui uouis LL SL ne 0 SAIBO eeuue SIL pz L Szo o eu IL ssoidxa 91 8S0p esop ZIL IIgpe2 S 0 01eIIN SSdIJUSAPE eY 6 0 Ded Jer IEAON SIUJeS IqJ9H 9609 OM suey einu o o or Jesind G O 0 SII1ED S 0 enbrumnu J Snn zUl b OL OL 2u 5 oge zu oe 90 07 ne wo zW 6 09 OL SL 9 lune Gz inge eu BW 06 v0 0c euiquioo ue JlouleS 0G eure16ououi JIOWSaS v 0S4 ar das oues QUIQUWIOD JIOLUSS SuleJHBOUOW JIOWSS a JOLILA 19 SILUSS aje d esieu siujes SILOS SIWOS XNEI SILWSS xneJ ajejd essay Z xne ajejd es1j9u Z SILUSS yj uonesedeid 9AI1610J 9SI9U L 2ANE 01 9SJOU Xne1 ajejd s
37. triser la gestion de la flore adventice en agriculture conventionnelle biologique de conservation int gr e gt Valoriser les r f rences par le conseil la formation et la communication aupr s des agriculteurs des conseillers des acteurs de la recherche du d veloppement et de la formation Communiquer sur les connaissances et r f rences acquises gt Assurer la coordination du programme et des actions d exp rimentation d analyse et de synth se en lien avec les r seaux th matiques et les r seaux nationaux Partenaires Chambres d Agriculture de Bourgogne de C te d Or de la Ni vre de Sa ne et Loire et de l Yonne SEDARB ARVALIS Institut du v g tal CETIOM FRCUMA Bourgogne DRAAF SRAL Bourgogne INRA Etablissement Public Local d Enseignement et de Formation Professionnelle Agricoles EPLEFPA Olivier de Serres de Dijon Quetigny 21 EPLEFPA La Brosse de Venoy 89 AgroSup Dijon COCEBI organismes stockeurs Exp rimentations Le programme de recherche de r f rences et d exp rimentation porte pour la campagne 2011 2012 sur les th matiques suivantes et li es la probl matique de la gestion des adventices Th matiques Dispositifs Syst mes de culture innovants 13 exp rimentations syst mes de culture D sherbage alternatif gt 9 parcelles de comparaisons en bandes 1 essai lourd avec r p titions Pulv risation pour r duire l usage des herbicides
38. ts Ecophyto 2018 0 herbicide Contexte Les partenaires techniques scientifiques et conomiques de la fili re grandes cultures en Bourgogne ont dans le cadre d une concertation organis e l automne 2010 par la Chambre R gionale d Agriculture de Bourgogne r fl chi et travaill la construction d un programme r gional multipartenaire de recherche de r f rences exp rimentation sur la th matique syst mes de culture innovants Ecophyto 2018 z ro herbicide Cette concertation a t engag e sous l impulsion des lus de la Chambre R gionale d Agriculture de Bourgogne et du Conseil R gional de Bourgogne avec pour objectif de rassembler les Chambres d Agriculture le SEDARB Arvalis Institut du v g tal le CETIOM les lyc es agricoles Dijon Qu tigny La Brosse la FRCUMA les GEDA GDA CETA l INRA AgroSup Dijon la DRAAF et les organismes stockeurs de Bourgogne autour d un objectif commun et partag Ce programme a t concu pour r pondre aux attentes et pr occupations des agriculteurs en vue d tre r actif et de r pondre aux questions pos es par le terrain ainsi qu aux besoins de r f rences exprim s par les agriculteurs et leurs conseillers Cette d marche s inscrit ainsi dans un contexte o l agriculture r gionale doit faire face des enjeux 7 484 8 ty F E Objectifs Tester au champ la faisabilit de syst mes de culture innovants d itin raires techniques et de techniques pour ma
39. ue herbisemis binage 0 3 IFT objectif 2 HHO 8 H1 2 du systeme Les IFT figurant dans le tableau ci dessus sont calcul s a priori partir de l exp rience de conduite des cultures sur l exploitation et en fonction des conomies recherch es travers la d marche de reconception du syst me Le faible usage de pesticides d coule ici de une conduite conome du bl avec combinaison de lutte culturale retard drastique de date de semis fertilisation azot e mod r e li e des objectifs de rendement plus modestes de contr le g n tique vari t bon profil de tol rance aux bioagresseurs et de lutte chimique raisonn e dose r duite compl t e par le recours au d sherbage m canique une lutte chimique raisonn e dose r duite sur orge de printemps et pois d hiver compl t e par le d sherbage m canique lintroduction de la technique de l herbisemis associ e au binage sur tournesol implantation d une prairie temporaire fort pouvoir concurrentiel et nettoyant permettant une lutte culturale op rationnelle contre les vivaces chardons tr s pr sents dans la zone de culture et un puisement du stock de graines de gramin es adventices vulpin 21 ec ins ue L S1AWOPI989 e 21 U09 epiornoesul euonJq E 91 U09 9plionoesul esop x e epioiDuoJ SICLU l 9SJ9U z e sepioibuo4J Z UAe li esJeu L S epioibuo L Iae iii
40. ux tiers de dose Les interventions contre les ravageurs sont d clench es en fonction de l atteinte d un seui de nuisibilit Mais l encore les mesures prophylactiques sont privil gi es retard de date de semis pour limiter les attaques de pucerons destruction des ufs de limace par des d chaumages successifs etc Description du dispositif En 2011 le parcellaire cuitiv de l exploitation comportent 3 zones Figure 3 107 hectares d un seul tenant sont partag s entre la Z30 et la Z50 Sur la Figure 3 les Z30 et Z50 sont r parties de part et d autre d un chemin lequel est trac en noir La Z30 est compos e de cinq parcelles d une dizaine d hectares chacune La Z50 poss de 6 unit s culturales de dix hectares galement En rouge sur des parcelles de petites dimensions repr sentant une surface globale de 5 34 ha un syst me de culture en agriculture biologique va tre d ploy Afin de diminuer le stock semencier des parcelles ces derni res supporteront une luzerni re pendant 2 ans SdC agriculture biologique Figure 3 d coupage de la sole grandes cultures en 3 zones SdC50 Traits des deux syst mes de culture innovants test s Objectifs Rotation Moyens a Maximisation de la marge par le biais de l obtention de bons rendements Diminuer la consommation de pesticides de 3096 par rapport la r f rence IFT bourguignonne Mais Soja Bl Moutarde Orge d hi
41. ver ou orge de printemps Tirer le plus grand profit du potentiel du milieu calcul du rendement accessible en fonction des prescriptions de la r glementation a Techniques culturales simplifi es pour les cultures d hiver labour pour les cultures de printemps et d t a Choix de vari t s productives gardant un bon profil agronomique a Lutte chimique raisonn e compl t e par du d sherbage m canique Apport d engrais de ferme compost sur mais 12 t ha tournesol 10 t ha a Augmenter les performances environnementales a Diminuer la consommation de pesticide de 50 par rapport la r f rence IFT bourguignonne a Luzerne luzerne luzerne Bl Orge de printemps Pois ou f verole d hiver Bl Tournesol ou ma s ou soja C t Accepter une perte de rendement par rapport au potentiel objectifs de rendements fix s en fonction d une moyenne sur cinq ans a Labour raisonn tous les 2 ou 3 ans devant culture de printemps Privil gier les vari t s rustiques en veillant leur ad quation avec les d bouch s offerts par OS D sherbage m canique rattrapage chimique Apport d engrais de ferme compost sur tournesol 12 t ha et bl pr c dent 16 Un comit de pilotage multipartenaire Notre programme d tude pluriannuelle est tay par l expertise d un comit de pilotage regroupant les
42. ytosanitaires En pratique les pulv risations bas volumes pour les fongicides s accompagnent souvent d applications plus nombreuses qu en volume classique avec des associations de produits faible dose identiques ou non d une intervention l autre Ces strat gies de traitements sont souvent pr ventives comment r duire les doses de fongicides dans ces conditions et selon quel rythme d application Par ailleurs les applications r p t es de produits avec des modes d action identiques ne risquent elles pas de favoriser le d veloppement de r sistances C est une question l gitime et primordiale au vue de l existence d j av r e de r sistance de souches de septoriose aux triazoles et de r sistance des gramin es voire de certaines dicotyl dones aux ALS sulfonylur es Enfin plus globalement il s agit de valider l hypoth se selon laquelle la r duction des volumes de bouillie conduirait une r duction de l utilisation en produits phytosanitaires Cette hypoth se semble valid e dans un certain nombre de cas mais pas toujours Reste donc construire le mode d emploi des diff rentes familles de produits phytosanitaires dans le cadre d application en bas volumes Des questions l exp rimentation Les id es d exp rimentations ne manquent pas Encore faut il disposer d un mat riel adapt l pandage de bouillie en bas volumes dans des conditions pratiques les plus proches possibles de celles des agr
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