Bulletin du SRÉ 21 avril 2011 - Commission scolaire de la Baie
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1. P nn ITA R ussite ducative 77 r v ranc 4 JARA qc ca 85 og agnar seront d voil s procnalnement ru R ussite scolaire Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Du 26 avril au 6 mat 201 Concours de dessin au Primaire Page 7 scolaire te propose de partiCiper par cole Commission scolaire AD de la Baie James l ve de notre avenir Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 Bulletin d information Service des ressources ducatives Un des sujets qui m appara t important et qui m rite une la diff renciation p dagogique Tout au long de cet article je vais vous exposer diff rents avantages d appliquer dans notre gestion de classe diff rents moyens de diff rencier nos actions dans le but d une r ussite de nos l ves certaine r flexion de notre part Dans un premier temps il faut se poser la question suivante La diff renciation p dagogique Mais encore Bien s r cette r flexion couvrira les points suivants pour qui diff rencier pourquoi diff rencier quoi diff rencier et comment diff rencier Pour terminer je m attarderai sur la flexibilit p dagogique l adaptation p dagogique et la modification p dagogique ou modification des programmes d tude Comme tous les l ves ont un rythme d apprentissage diff rent notre gestion de classe2. air de so so so solidarit Ho ho ho Oser la m tamorphose Pass pr sent futur culture tour de r le soulevant leur pancarte et s avan ant au centre les l ves ont d clar leurs camarades qu avec la culture ils pouvaient d velopper des passions cr er des liens et s enrichir aupr s des autres apprendre en s amusant exprimer leurs motions s ext rioriser oser la m tamorphose briser la glace chanter dessiner danser s impliquer mettre leur masque et d voiler leur personnalit Suite la page 11 Im Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Suite de la page 10 Ce fut un moment enlevant et rassembleur m me si un probl me technique nous a emp ch de pr senter la vid o de la chanson th me que plusieurs ont revue en classe par la suite M MORABLE La famille Fouettard Conte pour enfants pas sages Les l ves ont eu droit une primeur puisque la classe de 3 ann e de Madame Lise leur a offert un extrait du th tre musical qu ils travaillent dans le but d aider financer leur voyage de fin d ann e Ils ont chant deux chansons de ce th tre musical tr s original C tait une opportunit pour ces l ves de vivre plus petite chelle un certain trac et une valorisation imm diate de leurs comparses Les voix d enfants se sont lev es dans le ha
3. Lors de sa visite l mission Tout le monde en parle Michel Rabagliati a r v l que l quipe de productrices associ es Karine Vanasse et Nathalie Bustos allait adapter cette c l bre bande dessin e Paul Qu bec pour le cin ma l aide de Fran ois Bouvier qui gt l on doit le film Maman last call A Histoires d hiver et la s rie Les hauts et les bas de Sophie Paquin Michel Rabagliati r digera le sc nario que nous devrions voir para tre au grand cran pour l ann e 2012 QU BEC ADAPT AU CIN MA Paul Qu bec est le dernier tome d une s rie de six albums vendus plus de 100 000 exemplaires ph nom ne extraordinaire pour une bande dessin e au Qu bec Paul Qu bec est la premi re bande dessin e qu b coise remporter le Prix du Public au prestigieux Festival de la Bande Dessin e d Angoul me Cette oeuvre a aussi re u le Prix B d lys de la meilleure BD qu b coise et B d lys de la meilleure BD francophone BDs europ ennes comprises une lecture PAUL QU BEC ADAPT AU CIN MA Voici donc entre autres la raison pour laquelle madame Marie Jos e Dion enseignante l cole La Ta ga de Lebel sur Qu villon d sirait vous en parler ST IL Suite la page 5 Bulletin d information Service des ressources ducatives Ph j rlii REY Lia AE ji pee ig a ma EE VE iy 12 Un R
4. 2010 2011 Bulletin d information j COMMISSION SCOLAIRE i DE LA BAIE JAMES SERVICE DES RESSOURCES DUCATIVES PAVILLON LEBEL SUR QU VILLON 221 A Place Qu villon C P 70 Lebel sur Qu villon Qu bec JOY 1X0 T l phone 819 755 4833 poste 207 T l copieur 819 755 4763 Courriel garseneav csbaiejames qc ca Consultation www csbj qc ca Onglets Commission scolaire Publications Service des ressources ducatives Bulletins Pour ne pas encombrer le texte seule la forme masculine est utilis e Conception e quipe de la direction du SR Certains textes ont t crits en utilisant la Participation au niveau des textes lle orthographe nouvelle orthographe e Les membres du personnel du SRE Source des images divers sites autoris s sur Internet 7 Commission scolaire AD de Baie James Commentaires e Pour tout commentaire ou toute suggestion veuillez crire l a pu madame Dani le Laporte eleve de notre avenir l adresse de courriel suivante dlaporte Dcsbaiejames ac ca
5. bec c est principalement l histoire de Roland beau p re de Paul atteint du cancer du pancr as et de la cellule familiale qui l entoure Ily a la grand m re qui consid re l estomac de la visite comme un trou noir sans fond qui ne demande qu tre rempli et qui s occupe jusqu l puisement de son mari malade Il y a leurs trois filles qui sont aux petits soins pour leur p re Mais c est surtout l amour et le plaisir d une famille tricot e serr qui transparait tout au long des quelque 120 pages Le tout est dessin avec po sie et finesse je pense entre autres la case o on injecte de la morphine dans le corps de Roland Malgr son caract re franchement qu b cois Paul Qu bec touche tous les lecteurs fait sourire rire et nous fait m me verser quelques larmes C est une s rie d couvrir absolument Par Marie Jos e Dion enseignante l cole La T a ga de Lebel sur Qu villon Sylvianne Sergerie conseill re p dagogique en fran ais sergerie sylvianne csbaiej ame qC ca ST PRE Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 ENSEMBLE rt POUR NOTRE R USSITE Enseignants et l ves vous tes invit s soumettre un projet rassembleur et mobilisateur visant la pers v rance scolaire et la r ussite ducative MT A HHD tion k SES Motiva TH Mobil 1 _ g
6. doit cadrer dans une diff renciation p dagogique qui tient compte des l ves qui ont de la facilit et ceux qui ont un rythme d apprentissage plus lent L utilisation de la diff renciation p dagogique doit obligatoirement partir du portrait classe que l enseignant a mont et pris note des forces et difficult s des l ves au point de vue apprentissage social cognitif affectif etc Ce portrait de classe aidera grandement orienter les actions diff renci es pour placer les l ves dans des situations d apprentissage optimales vers une r ussite heureuse pour tous ses l ves Quoi diff rencier pour que les l ves soient en contr le de leurs apprentissages Il faut diff rencier les structures les processus les contenus les productions pour les amener dans un climat propice d couvrir et respecter les l ments diff renci s et respectueux des rythmes d apprentissage de chacun des l ves Les l ves participent mieux en travail d quipe dans un contexte de strat gies vari es englobant des d marches qui offrent des m thodes mieux adapt s vers une r ussite de leurs apprentissages en leur fournissant un ventail de mat riel adapt pour que chacun ait un certain contr le des apprentissages r aliser Varier les productions Cela veut dire utiliser des v hicules diff rents afin que les l ves expliquent les strat gies utilis es et d montrent les apprentissages effectu s Tout a
7. i EE za ki W E LE at Ik F P FR Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 Page 5 PAUL QU BEC de Michel RABAGLIATI Le 9 art vous connaissez Sous estim mal aim consid r pu ril par plusieurs c est l art de la bande dessin e Longtemps domin e par les Belges on assiste depuis peu l mergence d une bande dessin e qu b coise dont le fleuron est certainement Michel Rabagliati et son anti h ros alter ego Paul Le sixi me opus du b d iste Paul Qu bec met en sc ne son personnage principal entour de sa nombreuse belle famille Au fil des pages on assiste aux drames et aux joies de la vie quotidienne de celle ci et on les voit vivre dans des lieux connus de la belle province Si les images et le langage sont qu b cois il n en demeure pas moins que les personnages et les v nements sont universels et touchent le lecteur qui peine refermer l album avant la derni re page La premi re planche s ouvre sur les d cors h t roclites du motel Madrid alors que Paul et sa petite famille se rendent f ter la St Jean St Nicolas chez les parents de sa douce C est l que le lecteur fait la rencontre de tous les personnages La qualit des dessins et du sc nario de Michel Rabagliati r side dans le fait qu il raconte et illustre les v nements de fa on ce que tous s y reconnaissent en laissant une couleur qu b coise du d but la fin M me si le titre est Paul Qu
8. janvier et repartiront le 17 avril Encore une fois l exp rience de chacune des jeunes filles para t tre tr s positive La bonne entente semble r gner au sein des pairages au grand plaisir de tous En d cembre et janvier dernier avait lieu la tourn e des classes afin de s lectionner de nouveaux candidats pour l ann e 2011 2012 Malheureusement aucun candidat n a donn son nom pour l Allemagne Chlo Fr chette et Nina ont donc accept de rencontrer tous les l ves de 2 et 3 secondaires afin de leur parler de leur exp rience l aide d un PowerPoint Esp rons que cela aura suscit l int r t de certains et que nous aurons des candidats pour l Allemagne en 2012 2013 Suite l accompagnement de jeunes en Alberta en septembre dernier je me suis rendue compte qu il y avait parfois deux l ves d une m me cole qui faisaient l change cela semble rendu possible maintenant qu ducation internationale a pris le programme en main Bien que nous ne puissions avoir aucune certitude que les deux seront choisies j ai tout de m me d cid de pr senter cette ann e deux candidates de l cole La Porte du Nord et l cole secondaire Le Filon une seule candidate a donn son nom r Alliah Krahn ann e prochaine nous en serons notre Fr d r et 4 ann e d exp rience avec les programmes tque Forgues d change d l ves et aucun gar on n a encore pos sa candidature Bien que j essaie d
9. oiseaux etc Le pataqu s est un type de fausses liaisons Le mot pataqu s qu on prononce pa ta k s a deux sens Il d signe d abord de fa on g n rale le fait d ajouter une consonne qui n existe pas la fin d un mot C est ce qu on fait quand on ins re un n ou un entre deux mots La tendance ins rer un n est probablement une g n ralisation de la liaison apr s un en ou les possessifs mon ton son l insertion d un est peut tre elle une g n ralisation de P OUR EN SA Vol R PLUS la liaison apr s le pronom il Pataqu s peut aussi d signer plus pr cis ment la tendance substituer un s un t final ou un A UN s final dans un encha nement BANQUE DE D PANNAGE LINGUISTIQUE Exemples http www olf gouv qc ca ressources bdi html a a pris du temps sa a pr et non sa a pr Ils vont en parler aux nouvelles von an par l et non von nan par l Par Sylvianne Sergerie l Ces filles sont beaucoup trop habill es ro pa bi y et non tro sa bi y conseill re p dagogique en fran ais Ils devraient tre ici de vr t t et non de vr z tr sergerie sylvianne csbaiejames qc ca J avoue que j tais intimid e f zin ti mi d et non j t tin ti mi d Bulletin d information Service des ressources ducatives Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 Discutons autour
10. E PLAISIR DE LIRE EST ENTRE VOS MAINS LA CS8J donn le coup d envoi cette ann e scolaire en exp riences litt raires En plus du site l ves ont organis un projet rassembleur En effet ves le personnel de l cole les parents les grands ents et la communaut sont invit s r aliser La cha ne de livres Lorsque l un de ses participants lit un livre il re oit en change un maillon sur lequel il note son nom ainsi que le titre de son livre la mani re d une guirlande ces titres garnissent bien l ensemble des murs de l cole Bon Pasteur Redoublant d ardeur le personnel et les l ves de l cole instaurent partir du 4 avril leur premi re semaine de la lecture Nous leur souhaitons donc de vivre de beaux moments marqu s par la d couverte de lectures passionnantes Voici donc comment les quipes de ces deux coles Notre Dame du Rosaire et Bon Pasteur ont su d velopper le go t de la lecture afin que cette derni re devienne une habitude durable dans la vie de tous les l ves Pour reprendre une id e On ne sait jamais quand un livre un mot une phrase peut tomber au bon moment dans la t te de quelqu un et l aider changer vivre Abla Farhoud Bravo ces deux coles et bon succ s en vue des Prix de reconnaissance en lecture Merci d ouvrir le monde du livre notre jeunesse Sylvianne Sergerie conseill re p dagogique en fran ais serge
11. J ETa A AE CES ee COMMISSION SCOLAIRE ln DE LA BAIE JAMES Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 l l ve au cu Bulletin d information de notre avenir Service des ressources ducatives E PUBLI L ENDROIT DE TOUS LES MEMBRES DE LA z E COMMISSION SCOLAIRE DE LA BAIE JAMES D o Po me Trois petits ufs pour P 1 RE _ Capsule Sourires d enfants P 2 TROIS PETITS OEUFS Patati et patata parlons Pataqu s P3 Discutons autour d une lecture P 4 LA POULETTE NOIRE A COUV DRE ER E nt TROIS PETITS OEUFS QU ELLE A TROUV S agissons pour notre r ussite TROIS PETITS OEUFS ENVELOPPES DANS DU PAPIER ROUGE ET DOR Concours de dessin au primaire P 7 7 gans mon ecole gt UN BEAU MATIN DANS LE GRENIER La diff renciation p dagogique au P 8 TROIS PETITS POUSSINS SONT N S TROIS PETITS POUSSINS MAIS VOILA ILS ETAIENT EN CHOCOLAT TN r Corinne ALBAUT Comptines en chocolat A D V 43 service de tous les l ves Le mois de la culture l cole P 10 change d l ves 2010 2011 P 12 La s lection Concours qu b cois en P 13 entreprene j Perfectionnements offerts par le MELS P 14 Rendez vous sur le site WEB de la CSBJ P 14 Les diff rents profils d apprenants P 15 Tout le plaisir de lire est entre vos mains P 18 Un bain de lecture P 20 Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des re
12. demande une certaine ma trise des trois phases p dagogiques Dans la phase de pr paration l enseignant doit d finir les apprentissages vis s touchant l organisation du travail la vari t du contenu etc Les phases d int gration et d valuation demandent pour certains l ves des mesures de soutien pour v rifier l ampleur des comp tences acquises ou le processus de progression Suite la page 9 S Bulletin d information Service des ressources ducatives Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 Suite de la page 8 Pour diff rencier le processus il faut se r f rer des approches p dagogiques vari es et j en cite quelques unes apprentissage coop ratil enseignement strat gique tenir compte des intelligences multiples etc Pour le contenu diff renci il faut tenir compte de l endroit o l l ve est rendu dans le d veloppement de ses comp tences Quelques exemples possibles au niveau du contenu soit diminuer la longueur du texte pr voir du mat riel de nature diversifi e et selon les besoins des l ves etc Finalement pour diff rencier les productions il est important d anticiper et de faire illustrer par les l ves ce qu ils ont appris par exemple doit on utiliser une d marche d auto valuation ou de co valuation en cours d apprentissage Comme vous pouvez le constater la diff renciation est une philosophie qui demande une r flexion au niveau
13. du processus tout au long de la pr paration pour une meilleure int gration dans la gestion de classe Cette r flexion au diff renciation p dagogique doit s inscrire et respecter trois niveaux de D abord quand je d cide d instaurer dans ma planification la sujet de la diff renciation selon les besoins des l ves flexibilit p dagogique je dois offrir aux l ves de faire des choix entre diff rentes t ches th mes sujets etc et ce pour tous les l ves de la classe Ensuite quand je m oriente vers l adaptation p dagogique il s agit de proposer certains l ves des mesures d accommodement ou d adaptation dans le cadre de la r alisation de situations d apprentissage Par exemple pour certains l ves faire utiliser des technologies informatiques pour d autres des outils e visuels etc Finalement il est rare mais possible d utiliser la p dagogique qui changements importants une situation d appren modification apportera des tissage ou d valuation qui modifie les crit res et les exigences de la t che propos e pour un l ve qui a des besoins particuliers Cette modification devra tre inscrite dans un plan d intervention personnalis qui sp ciliera les besoins au niveau de la modification et du soutien particulier Pour terminer la diff renciation p dagogique se veut la fois une d marche vivante active permettant aux l ves de vivre de belles r ussites to
14. e les encourager s inscrire cela n a pas encore port fruits Alors esp rons que le programme se poursuivra en 2012 2013 et qu enfin un jeune gar on se manifestera H l ne Gaudreau conseill re en orientation Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 CONCOURS QU B COIS EN ENTREPRENEURIAT s LA sn Le Concours qu b cois Trois ta pes de s lection sont n cessaires pour d signer en entrepreneuriat les grands gagnants nationaux du Concours e Si votre projet franchit la premi re tape de s lection locale qui se tient au d but avril 2011 votre dossier de candidature sera dirig vers la deuxi me tape de s lection e La deuxi me tape soit la s lection r gionale se tient la fin avril 2011 e Si votre projet franchit la deuxi me tape de s lection votre dossier de candidature sera alors dirig vers la derni re tape de s lection soit la s lection nationale qui se tient en mai 2011 Les prix seront remis lors du Gala des Grands Prix nationaux qui se tiendra le 16 juin 2011 Pour de plus amples informations http WwWw concours entrepreneur or Sonia Caron directrice cole Notre Dame du Rosaire responsable pour la CSBJ des dossiers Entrepreneuriat Approche orientante au 3 cycle du primaire et Culture l cole Sr p Page 14 Perfectioennemen
15. el des demandes a besoin de d fis parle de ses r ves de ses projets parle en images principalement parle de qu il VOIT le laisser entreprendre plusieurs choses en m me temps parler en images utiliser des symboles cr er du nouveau le surprendre jouer rire sensible expressif corporellement a besoin d tre en mouvement pour apprendre habile manipuler des objets a besoin de sensations corporelles pour comprendre enregistre les apprentissages l aide d ancrages corporels sensible l environnement une ponge touche aux autres bouge tout le temps tripote ses v tements se tortille la couette de cheveux a de la difficult rester assis s agite pour des riens transmet ses agitations par des mouvements brusques parle peu avec des mois mais le non verbal de son corps parle pour lui communique avec des mouvements corporels et des expressions faciales utiliser l ancrage corporel l arr t d agir la technique du miroir le jeu intense d limiter un espace de d compression le laisser manipuler un objet anti stress cote louise csbaiejames qc ca af k ik h a Page 18 TOUT LE PLAISIR DE LIRE EST ENTRE VOS MAINS LA CS8J Prix de reconnaissance en lecture Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Plan d action sur la lecture l cole C est avec plaisir que je tiens souligner le travail exceptio
16. haque dernier jour d cole des quatre semaines de f vrier retentissait la sonnerie de la bonne vieille cloche manuelle pour un rendez vous dans le hall quelques minutes avant la fin des classes pour d couvrir s mouvoir se laisser raconter une histoire s enrichir du savoir faire des autres Quel bonheur Toute une cole qui s arr te pour couter qui prend ainsi le temps de dire OUI pour nous la culture a sa place ici et elle nous tient c ur Inspirant n est ce pas Apr s quelques r cr ations heures de d ner sacrifi es et rencontres apr s l cole voil o notre inspiration nous a men s Le jeudi 3 f vrier 2011 Le Qu bec en folie les bleus VS EA Les f es banane les jaunes La seule activit culturelle libre qui s est tenue apr s les heures de classe pour permettre aux parents de quitter le boulot et d assister une partie d improvisation absolument dynamique et ultra divertissante Un public compos d une cinquantaine de parents et d l ves captiv s par le jeu des com diens aux yeux brillants et l esprit cr atif SUPERBE Pointage final 4 2 pour le Qu bec en folie Le vendredi 11 f vrier 2011 4 Vid o et manifestation Pr sentation de la vid o de la chanson th me Ici la culture est importante avec Boum Desjardins et manifestation simul e d l ves qui proclament leur int r t pour la culture et scandent haut et fort ce slogan sur l
17. laires pr ciser le temps et les heures accorder des points gratifiants pr ciser les suivis J APPRENDS PAR LA RELATION sensible motif relationnel capable de sentir les autres et d exprimer non verbalement ses sentiments besoin de relation s re avant d agir aime le contact aime toucher les gens aime aider les autres aime tre en groupe aime aussi s introspecter le non verbal parle pour lui ses phrases sont courtes et peu d taill es il parle de ce qu il SENT l appr cier par le contact le laisser se gratifier de la pr sence de l adulte changer sur se tats motifs et relationnels utiliser le geste gratifiant Suite la page 17 Im Bulletin d information Service des ressources ducatives Suite de la page 16 Source Caract ristiques des profils Profil D Visuo imaginatif Caract ristiques Comportements Langages Pour le rejoindre Caract ristiques Comportements Langages Pour le rejoindre L apprentissage des l ves de Manon Guide pratique pour une neurop dagogie appliqu e Tome Il Ir ne Duranleau Ph D Ann e 2010 2011 Kam PRE Volume 8 Num ro 5 Page 17 J APPRENDS PAR L IMAGE imaginatif original ind pendant individualiste d sordonn cr ateur inventif explorateur aime dessiner s imagine un monde d teste la routine ou faire une t che la fois ne termine pas sa t che a besoin de vari t s aime la fantaisie va au d
18. ll tels des papillons qui voltigent doucement jusqu aux oreilles attentives de toute une cole MOMENT MAGIQUE La l gende des deux loups Pour conclure nos c l brations de la culture l cole les l ves en francisation de Madame Nancy assist s de deux amies de classes r guli res ont brill dans la lumi re d un r troprojecteur pour raconter une l gende am rindienne En utilisant le th tre d ombres ces l ves de 2 5 ann es ont surmont leurs craintes et laiss de c t leur discr tion l gendaire pour partager un peu de la culture de leur peuple avec nous Ce fut court mais tellement beau et agr able voir COURAGEUX ET TOUCHANT Source Manon Murdock sp cialiste en art dramatique Sonia Caron directrice cole Notre Dame du Rosaire responsable pour la CSBJ des dossiers Entrepreneuriat Approche orientante au 3 cycle du primaire et Culture l cole Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Qu bec Canada CHANCE D L VES 2010 2011 D Au moment o j cris ces lignes l change d l ves 2010 2011 bat son plein mais lorsque vous lirez ces lignes les jeunes filles seront d j reparties dans leurs familles mma respectives La jeune allemande Nina Salthammer est arriv e le 8 janvier et elle repartira le 1 avril tandis que les Albertaines Savannah Kastendieck et Alliah Krahn sont arriv es le 31
19. mmes pour la plupart pris ou pi ge par un travail exigeant qui nous demande l impossible R sultat nous sommes si stress s que nous n arrivons plus bien l accomplir et nous nous sentons de plus en plus mal ou quotidien Manque d estime de soi puisement professionnel troubles de l anxi t etc tels sont quelques uns des sympt mes tr s p nibles que cela peut entra ner Pour nous aider mieux g rer ce stress infernal Abel P Edmond nous propose une autoth ropie en dix tapes suivre notre rythme Auteure Pierrette Trudel ISBN 978 2 921327 72 4 Il nous invite l aide d outils cognitifs psychophysiologiques et psychosociaux analyser notre v cu et d couvrir ce qui nous a amen s d velopper des r actions ind sirables partir d exercices pratiques et de directives cliniques nous pouvons ainsi entreprendre nous m mes une autoth ropie qui nous permettra d am liorer notre sant motionnelle et de retrouver notre quilibre Le travail est ou c ur de nos vies Voici donc un ouvrage infiniment pr cieux pour quiconque d sire Auteur Abel P Edmond d d h utai i ffet d LU Eat tandibl ISBN 2 7640 0931 3 entreprendre une d marche salutaire qui aura pour effet des r sultats bien tangibles comme un v ritable mieux tre ou quotidien Bulletin d information Ann e 2010 2011 a Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Page 21 Joyeuse ANN E SCOLAIRE
20. nnel accompli par le personnel de nos coles pour encourager la lecture chez les l ves Cette ann e deux excellents projets ont t pr sent s la direction r gionale du MELS l cole Notre Dame du Rosaire Chibougamau on pr sente le projet Le plaisir est dans l sac Le sac sur le dos les enfants sont empress s d aller d couvrir son contenu avec les membres de leur famille L int r t marqu des l ves pour ce sac qui contient livre cd jeu et activit s vari s d montre quel point ce projet original a atteint sa vis e en d veloppant chez les l ves des habitudes durables en lecture En plus de favoriser la lecture par sa vente de livres usag s ce projet se d marque par son souci de d velopper des valeurs entrepreneuriales telles que l autonomie le sens des responsabilit s l initiative etc De concert avec la biblioth que de la ville l cole Notre Dame du Rosaire offre ses l ves un abonnement gratuit la biblioth que ce qui leur permet un acc s direct aux livres Vous pourrez visionner la vid o dans laquelle la direction les enseignants les l ves ainsi que la responsable de la biblioth que pr sentent le but et les retomb es du projet dans l cole et dans la communaut l adresse suivante www ndr csbaiejames net Suite la page 19 IE Bulletin d information Ann e 2010 2011 EET Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Page 19 TOUT L
21. retrouver Je suis une personne qui pr f re amp les activit s en soci t amp les contacts chaleureux amp les films mouvants Suite la page 16 IE Suite de la page 15 Caract ristiques des profils Bulletin d information Caract ristiques Langages Pour le rejoindre Profil B Pragmatique Caract ristiques Comportements Langages Pour le rejoindre Profil C motivo relationnel Caract ristiques Comportements Langages Pour le rejoindre Service des ressources ducatives Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 logique coh rent argumentateur centr sur les FAITS analyser comprend rapidement des donn es observateur curieux questionneur aime r fl chir parfois verbo moteur parle de concepts de plans argumente logiquement parle de ce qu il PENSE expliquer d montrer faire comprendre par des mots argumenter pr senter la situation comme logique et faisable J APPRENDS EN FAISANT ordonn organis m thodique contr lant pour les autres pragmatique sens pratique manuel parfois perfectionniste s applique la T CHE a besoin de cadre tendance diriger dans le sens de la justice fait ce qu on lui demande sans d passer aime conna tre le mode d emploi aime l action et le concret parle de ce qu il FAIT de fa on d taill e et concr te s tire parfois en longueur donner un cadre pr cis des consignes c
22. rie syvlvianne csba mes qc ca QO Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Page 20 LECTO RAT 1 CYCLE DU SECONDAIRE MA TRISER LES PROCESSUS DE COMPR HENSION EN LECTURE La finalit de la lecture est la compr hension Un enfant qui d code facilement les mots mais ne comprend pas ce qu il lit ne sait pas lire Les l ves qui prouvent des difficult s en compr hension de lecture ne peuvent pas r pondre aux questions inf rentielles qui obligent raisonner d duire imaginer et construire partir de leurs propres connaissances Comprendre ce qu on lit est une activit tr s complexe qui implique un processus interactif Le pr sent mat riel vise l am lioration de la compr hension en lecture par un enseignement explicite des strat gies de compr hension Les mini textes les suggestions de r ponses et les pistes d exploitation en plus d enrichir le vocabulaire du lecteur visent une interaction texte lecteur A l aide des diff rents exercices le lecteur d veloppe des comp tences qui lui permettent d acqu rir et de ma triser les diff rents processus impliqu s dans l activit de compr hension Une fois les comp tences acquises les l ves r alisent pleinement que ce qu ils d couvrent travers leurs diff rentes lectures peut s appliquer d autres textes et d autres t ches LE STRESS AU TRAVAIL EN DIX TAPES Nous so
23. s avant les impressions v nements face une situation 7 amp qui a besoin de nouveaut amp qui veut savoir plein de choses SE Je suis une personne qui pr f re Je suis une personne qui pr f re p TRUE amp inventer du neuf plut t que de refaire du vieux nu amp les livres d information amp mener plusieurs projets en m me temps m les jeux de mots et de strat gies l amp regarder des films fantastiques a amp les films documentaires Profil B Pragmatique Je suis une personne active suis une personne active Je suis une personne pratique p TAN amp qui a besoin de mouvement pour se sentir en amp qui aime l ordre forme amp qui s organise bien dans le quotidien amp qui a une grande endurance physique D amp pour qui le temps compte a amp qui ressent les choses avec son corps m Je suis une personne qui pr f re Je suis une personne qui pr f re amp faire des choses plut t que de parler amp bouger et s activer physiquement plut t que de Sn rester assise longtemps amp les activit s manuelles amp les activit s physiques qui demandent de amp organiser plut t que de se faire organiser a l nergie Profil C Emotivo relationnel regarder des films d action s Je suis une personne sensible amp qui vit ses motions facilement qui sympathise rapidement avec les personnes amp qui aime tre seule pour se
24. ssources ducatives Volume 8 Num ro 5 A www youtube com 4 watch v pOAscpBGXo 1 gt re Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Page 3 Office qu b cois B D d de jangue http www olf gouv qc ca ressources bdi html Es 4 fran aise E3 E3 Qu bec EJ EJ Accueil Plan du site Courier Coordonn es English Section Portail Qu bec On a parfois tendance lier l oral deux mots par une consonne qui n existe dans aucun des deux mots C est ce qu on appelle les fausses liaisons Ces erreurs de liaison sont g n ralement caus es par un hiatus c est dire par la rencontre de deux voyelles c est souvent pour viter la rencontre de deux sons vocaliques qu on ins re une consonne de liaison fictive entre deux mots un peu comme on le fait lorsqu on met un t euphonique entre le verbe et le pronom sujet lorsqu il y a inversion Viendra t elle Une autre raison qui peut expliquer ces liaisons fautives est l analogie On sait que la langue populaire se caract rise notamment par une tendance la simplification et l uniformisation C est pourquoi par exemple on pourra entendre vingt oiseaux prononc vin zoi zo plut t que vin toi zo on a ajout ici la marque du pluriel l oral le s prononc z un d terminant vingt qui ne comporte pas ce par analogie avec les oiseaux des
25. ts offerts par J MELS Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 ducation Loisir et Sport Qu bec ra ra LES BULLETINS D INFORMATION DU SERVICE DES RESSOURCES DUCATIVES PUBLI S DEPUIS 2003 Site www csbj qc ca Onglets COMMISSION SCOLAIRE PUBLICATIONS ATYA Commission scolaire Service des ressources ducatives Le aP Se de la Baie James Bulletins _ lis sont produits et publi s par le SRE depuis 8 ans d j Bulletin d information Ann e 2010 2011 Service des ressources ducatives Volume 8 Num ro 5 Page 15 Les diff rents profils d apprenants Comme tous les l ves ne sont pas faits partir d un m me moule conna tre les diff rents profils d apprenants ou les mani res dont certains l ves apprennent est en soi une n cessit de base Pour vous aider voici un petit questionnaire que vous pouvez utiliser avec vos l ves Il vous permettra d identifier les types de profils d apprenants de vos l ves et vous orientera dans la fa on dont vous transmettrez votre contenu disciplinaire Profil D Visio imaginatif Je suis une personne r fl chie Je suis une personne cr ative amp qui p se le pour et le contre avant de prendre amp qui a l il pour les choses inventer une d cision ve g A qui est intuitive face des personnes et des amp qui veut conna tre les fait
26. ut en respectant et leurs dans un contexte v rifiant apprentissages diff renci Andr Caron conseiller p dagogique en adaptation scolaire et services ducatifs compl mentaires acaron csbaiehames qc ca Bulletin d information Service des ressources ducatives Cette ann e c est sous le th me Ici la culture est importante que s est affich le mois de la culture Le mois de f vrier a t le bain de plusieurs activit s caract re culturel au sein de la Commission scolaire Entre autres l cole Vatican II de Chibougamau le mois de la culture a t c l br de belle fa on Nous vous invitons tous nous faire part de vos r alisations en tout temps Ann e 2010 2011 Volume 8 Num ro 5 HI P HIP HIP HOURRA Vive la culture l cole Vatican ll F vrier 2011 fut un mois exceptionnel l cole Vatican Il Nous voulions que le mois de la culture l cole ne passe pas inaper u alors nous avons fait ni un ni deux et avons orchestr avec l aide de plusieurs l ves de cycles diff rents et de quelques enseignants quatre petits spectacles que nous avons pr sent s chaque semaine de f vrier C tait notre fa on de c l brer la culture L offrir comme un cadeau pr cieux tous les l ves et au personnel de l cole Donner aussi tous ceux et celles qui ont particip aux prestations l occasion de vivre une exp rience signifiante Donc c
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