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COEPIA Rapport annuel 2010 - La Documentation française

1. arr t du 11 novembre 2009 pour favoriser l interop rabilit entre les diff rents mes d information des administrations les cahiers des charges des march s venir devraient donc tenir compte des aspects touchant la r utilisation des donn es en pr voyant notamment des possibilit s d exportation dans des formats exploita bles IC o un tel dispositif est pertinent Enfin pour accompagner ces volutions un document d orientation pourrait tre labor afin d une part de sensibiliser les administrations aux enjeux attach s aux formats des donn es et aux modalit s techniques de mises disposition et d autre part de leur fournir Un r f rentiel technique adapt Recommandations adopt es en 2010 R unis en formation pl ni re le 25 novembre 2010 les membres du Conseil d orientation ont adopt les projets de recommandations pr sent s par la forma tion sp cialis e relatifs la question de la port e r elle du droit r utili sation dans la loi du 17 juillet 1978 l objectif de d veloppement conomique de la r utilisation des informations publiques dans la loi du 17 juillet 1978 l articulation des droits d auteur des agents publics et du droit r utilisation la possibilit ou la n cessit d une licence de r utilisation en l absence de tarification aux formats des informations publiques 23 56 PARTIE 3 LES POLIT
2. MONTEILS SGA Min D fense Mme Marianne L VY Roland ANDR Mme Martine SG Min cologie M Guillaume BOUDY ROSENWALD Pdt SNCD MARIGEAUD M Emmanuel SG Min Culture M d dition publique M Bruno HOCQUART IGF R BEILL BORGELLA M Fran ois Daniel M Philippe GOSSELIN DE TURTOT M Georges Andr SG Min Justice MIGEON AMF Dir SPHR SILBER M Dominique LAMIOT DG Mme Christine M R mi BILBAULT Mines SG Min conomie M Julien DUBERTRET DE MAZI RES Pdt M Michel BART Dir Budget DG SNE Mme Elisabeth GAYON SG Min Int rieur Mme V ronique M LY M Renaud LEFEBVRE Padte ADBS Mme Emmanuelle Dir SIG SNE Mme DAVY WARGON M Xavier PATIER M Didier OUDENOT INC SG Min Aff sociales Dir DILA Pat CNGTC Formation sp cialis e Formation sp cialis e QUALIT DE L INFORMATION MISE DISPOSITION ADMINISTRATIVE ET VALORISATION POLITIQUES DES USAGERS DES DONN ES PUBLIQUES DE L EDITION PUBLIQUE Formation sp cialis e Pr sident Pr sident 1 Pr sident M Olivier CAZENAVE M Olivier SCHMIT 1 M Michel PINAULT Cour des comptes SGG Conseil d tat 8 Groupe de travail APPROCHE CONOMIQUE Rapporteur general Rapporteur g n ral Rapporteur g n ral Arnaud LACAZE Mme Danielle M Alain Roland BOURLANGE APIE DGME KIRSCH CGEFI 8 Groupe de travail INSTRUMENTS JURIDIQ
3. c ur du CIC que les crit res de gramme contr le ne pour raient qu tre dif La mise en place d indicateurs de suivi et f renci s suivant qu il s agirait du r f ren d valuation du programme est en outre cement de ressources existantes par ail apparue n cessaire son pilotage dans la leurs ou des traductions nouvelles de dur e ce qui appelle notamment une haute qualit r alis es pour L gifrance reprise par les services du Premier ministre La recommandation du groupe de travail de la responsabilit technique de la diffu a t de consid rer que la qualit de sion des traductions sur L gifrance l offre de traductions sur L gifrance doit s appr cier essentiellement au regard des La groupe de travail 0 par ailleurs examin exigences de coh rence d actualisation la disponibilit des moyens susceptibles et de tra abilit des traductions d abonder le programme de traduction De plus les prescriptions assign es aux constatant qu au del d une subvention traducteurs quant la fa on dont ils pour du minist re des Affaires trang res et eu ront rendre compte de leurs partis termino rop ennes la Fondation pour le droit logiques et une formule de supervision des continental les perspectives de finance travaux de traductions par des experts ments publics nouveaux demeurent incer qualifi s devraient permettre aux respon taines sables du programme de disposer des l ments indispensables pour appr
4. Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE PREMIER MINISTRE CONSEIL D ORIENTATION DE L DITION PUBLIQUE ET DE L INFORMATION ADMINISTRATIVE 1 0 pr sent Monsieur le Premier ministre en application de l article 15 du d cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Mai 2011 Secr tariat du Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative 26 rue Desaix 75727 Paris cedex 15 secretariat coepia dila gouv fr 6 Le Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative plac aupr s du Premier ministre exerce une fonction d valuation d expertise et de conseil dans les domaines sui vants l dition publique et les publications administrati ves quel que soif leur support l information et le renseignement administratifs la mise disposition des donn es publiques veille la bonne allocation des moyens et la qualit du service rendu l usager Il remet chaque ann e au Premier ministre Un rap port sur l activit des administrations de l Etat en ces mati res D cret n 2010 32 instituant Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative article 1er SOMMAIRE Pr sident du Conseil d orientation La qualit de l information administrative des usagers La mise disposition et la valorisation des
5. Minist re de l cologie du D velop pement durable des Transports et du Logement Conseil d tat Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Groupement fran ais de l industrie de l information Service d information du Gouverne ment Premier ministre Minist re du Travail de l Emploi et de la Sant Minist re des Solidarit s et de la Coh sion sociale 45 56 IV 4 Composition du groupe de travail charg de la mise au point d un programme de relance des traductions sur L gifrance Formation sp cialis e Politiques de l dition publi que Mme Nadia RE Mme Mich le Mme Martine Mme Sylvie M ric M Renaud M Jean M Pascal M Alain AMELLAH CHIKH BA SSUS C ME DEJEAN FAYE GRISTI LEFEBVRE MA A PETITCOLLOT REPAUX Service de documentation Directeur g n ral PDG du Bureau van Dijk IM Pr sidente du groupe Muliilin guisme du GFII Responsable du d partement de l acc s au droit Secr taire adjoint du Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative PDG des ditions Dalloz Pr sident du groupe diteurs de droit du SNE Pr sident du groupe de travail Chef du Service de la l gislation et de la qualit du droit Chef du Service de documentation Chef du centre de traduction Sous direction du cadre de vie Secr tariat g n ral Secr tariat g n ral du Gouvernement
6. Premier ministre Minist re de l Int rieur de l Outre Mer des Collectivit s territoriales et de l Immigration Minist re de l cologie du D velop pement durable des Transports et du Logement Minist re de la Culture et de la Communication Syndicat national de l dition SNE Syndicat national de l dition SNE Syndicat national de l dition SNE Cour des Comptes Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associa tive Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Secr tariat g n ral du Gouverne ment Premier ministre Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associa tive Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Syndicat national de l dition SNE 44 56 Mme Jean Marc Michel Jean Jean Marc St phanie Laurent NEUVILLE PINAULT POURADIER DUTEIL QUILB RENAULT SETTON Chef du D partement image et dition Direction de la communication Secr tariat g n ral Pr sident de la Section de l adminis tration du Conseil d tat Pr sident du Conseil d orientation Pr sident de la formation sp cialis e Politiques de l dition publique Greffier associ au Tribunal de commerce de Grenoble Directeur g n ral d EDP Sciences R dactrice en chef du portail gou vernement fr D l gu l information et la communication Secr tariat g n ral
7. tions 26 56 G n raliser un r f rentiel de la publication publique Cette orientation exige d abord de se doter rapidement des outils indispensables la strat gie comme la d cision Pour cela la DILA pourrait entretenir Un recueil de descriptions standardis es des organi sations et pratiques de publication com pl t es par des l ments physico financiers accessible aux diff rents minis t res Elle pourrait organiser des ateliers sectoriels web r seaux sociaux etc autour des bonnes pratiques Les programmes de performance des mi nist res devraient faire une place la pu blication son r le dans leur performance et aux indicateurs propres cette fonc tion Le Conseil d orientation pourrait s associer au Comit interminist riel d audit des programmes CIAP et la Direction du budget pour contribuer I conviendrait galement d tablir nomenclature signifiante la disposition des administrations afin de leur permettre une analyse posteriori minimale avant qu une comptabilit analytique de l tat y parvienne Le Conseil d orientation devrait animer Un groupe de travail avec la Direc tion g n rale des finances publiques DGFIP et la Direction du budget cet effet La DILA et le Service des achats de l tat pourraient constituer entretenir et diffuser une base de co ts standards Apr s exp rmentation la DILA r capitulerait chaque ann
8. Ferum Apr s obser vation du mar ch de l information nu m rique profes sionnelle et de ses tendances notamment partir de la derni re tude 56700100 In formation num rique professionnelle march et tendances en 2009 2010 6e dition mai 2010 200 p r alis e en collaboration avec le Groupement fran ais de l industrie de l information les travaux de la formation sp cialis e l ont conduite rappeler les initiatives en ma ti re de r utilisation des informations publi ques en France comme dans le monde portails d acc s nationaux et locaux ap plications pour les t l phones multim dia etc E 21 56 Les diff rents Usages qui se d veloppent n cessitent des besoins convergents en mati re d accessibilit aux informations publiques accessibilit des donn es dans des formats exploitables connaissance des donn es disponibles la r utilisation s curit juridique accompagnement pour favoriser la bonne appropriation des donn es II a toutefois t observ que les mod les conomiques sous jacents ces diff rents usages pr sentent de fortes dis parit s La formation sp cialis e d gag quatre th mes principaux de travail pour lesquels elle a souhait appuyer sa r flexion sur des changes avec des acteurs concern s par ces questions qualit et formats des donn es usages des donn es pr sence d un march concurrentiel
9. Ma tre de conf rences Directeur de la production de CO FACE Services Vice pr sident de la FIGEC Adjoint du D l gu l information et la communication Syndicat national de l dition SNE Minist re de l conomie de l Industrie et de l Emploi Groupement fran ais de l industrie de l information Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Minist re de l Int rieur de l Outre Mer des Collectivit s territoriales de l immigration Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Secr tariat g n ral du Gouvernement Premier ministre Secr tariat g n ral du Gouvernement Premier ministre Minist re du Travail de l Emploi et de la Sant Minist re des Solidarit s et de la Coh sion sociale cole nationale sup rieure des Mines de Paris F d ration nationale de l information d entreprise et de la gestion de cr ances FIGEC Minist re de l Int rieur de l Outre Mer des Collectivit s territoriales et de l immigration 43 56 IV 3 M Formation sp cialis e Politiques de l dition publique Mme Mme Mme Mme Mme Mme R mi Philippe Bernard Sophie Laurence Alain Pascale Fran ois Alain Roland Renaud Marianne Nicole Jean Stanislas Sylvie BILBAULT BOBET BOULLEY BROCAS DAYET FERNANDEZ GAUTIER G L BART G ZE KIRSCH LEFEBVRE L VY
10. N POTE NGUY N DUY P NIN PILVEN SABLAYROLLES SILBER SIMON SOUFRON TH RY TR GUIER BRIGANT VESQUE JEANCARD Pr sident Responsable marketing Pr sident Commissaire ditions Lamy Doctorante Directeur du programme open data Rapporteur g n ral adjoint conomiste ma tre de conf rences Adjoint au sous directeur des affaires juridiques de l enseignement scolaire Chef du secteur valorisation Bureau CL2A Direction g n rale des finan ces publiques Ma tre de conf rences Direction des affaires juridiques Directeur du programme think digital R dactrice au bureau CL2A Direc tion g n rale des finances publiques Secr taire g n rale adjointe Navx Altares Commission d acc s aux documents administratifs CADA Commission nationale de l informatique et des libert s CNIL Wolters Kluwer France BETA Bureau d conomie th orique et appliqu e Universit de Strasbourg CNRS UMR 7522 Fondation Internet Nouvelle G n ration FING Commission d acc s aux documents administratifs CADA BETA Bureau d conomie th orique et appliqu e Universit de Strasbourg CNRS UMR 7522 Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Minist re du Budget des Comptes publics et de la R forme de l Etat cole nationale sup rieure des Mines de Paris Minist re de l Enseignement sup rieur et de
11. PATIER PIOTRE SETTON Chef du D partement image et dition Direction de la communi cation Secr tariat g n ral Secr taire g n ral Directeur Secr taire g n ral pour l administration D l gu l information et la communication Minist re de l cologie du D veloppe ment durable des Transports et du Logement Service d information du Gouverne ment Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Minist re de la D fense et des Anciens combattants Minist re du Travail de l Emploi et de la Sant Minist re des Solidarit s et de la Coh sion sociale 52 56 Directeur de la D l gation l in M Laurent TEISSEIRE formation et la communication 905269619 D fense CI des Anciens de la d fense DICOD Mme Val rie VESQUE Minist re de la Culture et de la Com JEANCARD J j munication 53 56 VI 3 2 Liste des personnes auditionn es par le groupe de travail charg de la mise au point d un programme de relance des traductions sur L gifrance Formation sp cialis e Politiques de l dition publique Mme Mme Mme Mme Mme Mme Mme Mahrez Delphine Jean Fran ois Luc Pauline Marie St phane Philippe Isabelle Michel Serge Pierre Andr Patricia Nathalie Eric Fabienne ABASSI AGOGUET BALDI BRIARD CARMONA CORNU COTTIN DUPICHO
12. d utiliser les licences Creative Commons con ues pour en cadrer les usages des uvres prot g es le droit d auteur Dans le cas des informations publiques ces licences ne sont pas adapt es D une part un droit d auteur n est pas syst mati quement attach la production de donn es publiques En outre les diff ren tes licences Creative Commons ne per mettent pas de requ rir l indication de la 19 56 date de derni re mise jour Par ailleurs IC licence Creative Commons autorisant la modification ne permet pas d emp cher l alt ration du contenu la d naturation du sens interdiction la modification autorisation sans possibilit d encadrement Pour la r utilisation gratuite et sans condi tion particuli re l APIE labor des conditions g n rales pour offrir plus de s curit juridique aux r utilisateurs Elles r capitulent les dispositions l gales essen tielles et permettent aux op rateurs de connaitre leurs droits et obligations La formation sp Les lois des 6 janvier et 17 juillet 1978 et 60556 des donn es prouv la d mar che de garantir 81 La loi du 17 juillet 1978 dispose que Les informations pu bliques comportant des donn es caract re personnel Les travaux sur cette question des condi tions g n rales et des licences auxquels le Conseil d orientation sera associ devront aussi p
13. l usager a nourri la r flexion du Conseil d orientation _ d j bien engag s et constituent Une excel lente occasion de re prendre bon niveau la question de la qualit de l information administra tive diffus e sur le web En particulier il faudrait viter que la fusion de plusieurs sites ait pour effet de d grader cette qua lit par exemple en raison d une arbores cence rendue plus complexe et qui ferait reposer sur l internaute la charge de re chercher puis de trier l information perti nente l inverse cette r duction drastique du nombre de sites l instar de ce qui est engag au sein des services d concentr s de l tat dans le cadre de la r forme de l administration territoriale offre l opportunit de mettre ou remettre en place un dispositif local et national de co marquage sur le mod le de ser vice public local Cette organisation qui s appuie galement sur les techniques dites de mash up ou de multi plexage permet d identifier les fournis 12 56 seurs d information de les solliciter pour leur actualisation puis de partager de fa on transparente pour l internaute comme pour les gestionnaires de sites web cette information dite marqu e Ce dispositif permet donc de concilier la n cessit d tablir une responsabilit unique et bien identifi e pour chaque in Pour une d marche interminist rielle structur e d
14. laisser Une grande part l initiative des acteurs les plus concern s par chaque sujet et au dialogue entre les partenaires publics oU priv s Trois formations sp ciali s es ont ainsi t constitu es afin de per mettre nos travaux de se d velopper efficacement en s appuyant sur les cen tres d int r t et pr occupations propres aux membres 6 56 qualit de l information administrative des usagers mise disposition et valorisation des don n es publiques politiques de l dition publique Cette souplesse ne signifie pas bien au contraire Une moindre implication des acteurs publics I convient de garder l esprit que les changes et tudes au sein des formations sp cialis es ont vocation d boucher sur des recommandations au Premier ministre lesquelles peuvent deve nir des d cisions que les administrations auront appliquer elles aussi donc de nourrir les changes et contribuer aux orientations d gag es par le Conseil d orientation 55 Eclairer accompagner valuer l action administrative Un tr s grand nombre de services publics sont concern s par les chantiers ouverts par Conseil d orientation sur l information administrative les donn es oubliques comme l dition publique Alors que dans ces domaines l action adminis trative est directement au contact des Usagers citoyens ou entreprises l enjeu pour les administrations est fort Dans le cadre
15. mod les tarification possibles Ont t entendues l analyse de r utilisateurs Navx Cap Digi tal Lamy de chercheurs SILBER de l cole des Mines de Paris de producteurs de donn es Direction g n rale des finances publiques d conomistes liste des personnes audi tionn es la formation sp cialis e en annexe VI 2 La formation sp cialis e ainsi analyser l tude r alis e pour APIE par le laboratoire BETA Bureau d conomie th orique et appliqu e de l Universit de Sfrasbourg CNRS sur la valorisation des informations du secteur public mod le conomique de tarifi cation optimale Ces travaux se poursuivent en 2011 2 3 Format des informations publi ques mises disposition quelles am liorations Faisant le constat de l in gale qualit des formats dans lesquels les informations pu bliques sont mis la disposition des r utili sateurs la formation sp cialis e a propos des pistes d am lioration cibl e et pro gressive Les travaux de la formation sp cialis e ont port sur la question des formats des in formations publiques et de leur impact sur la dynamique de r utilisation et la cha ne de valeur associ e Des t moignages de r utilisateurs et de producteurs de donn es publiques ont fourni des exemples de disparit de la qualit des formats des donn es publiques mises disposition pour des fins de r utili sat
16. n rale des finances Ma tre de conf rences l cole nationale sup rieure des mines de Paris tive repr sentants des en treprises utilisant des donn es publiques Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant de la F d ration nationale de la presse fran aise Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant du Grou pement fran ais de l industrie de l information Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant de l Association des profes sionnels de l information et de la documentation Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant de l Institut national de la consom mation Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive personnalit s qualifi es d sign es en raison de leurs comp tences dans les domaines de la diffusion l gale de l dition publique et de l information administra tive 39 56 L
17. res La formation Malgr un large sp cialis e consensus sur 5 Qualit de R mu D INFO RETRAITE enjeux d une l information mme Retraites 2010 fr 28 information ad administrative Une r form For dti rein kerah lae ira Eea ministrative des usagers a I Ea qualit la forma appuy ses r que change la r forme tion sp cialis e flexions sur un groupe de tra Notre ficha 46 E a constat que ce r le au sein La retraite des diff rente pi leg rde retrai vail liste des de qui ve Ev nements de la vis des minist res participants la CI pas core cr est encore fai formation sp blement structu cialis e en an Aire pagut r nexe IV 1 r uni informations g n rates wur ia retraica Notre brochure prolessionnetes Pour obieni des 0 six reprises et sur un cycle de consultation des principaux d cideurs concer n s par la pro COPA Char wot negim La r forme des retraite sur la retraitz bl matique liste des audi tions en an nexe VI Ces travaux interviennent avec en arri re plan la mise en uvre des propositions du rapport du d put Franck RIESTER officiel lement engag e en f vrier 2010 par le Gouvernement qui portent globalement sur l am lioration de la relation
18. senter rapi dement quelques mod les types d organisation des circuits de l information administrative au sein des minist res correspondant au niveau de bonne prati que recherch 14 56 PARTIE 2 LA MISE DISPOSITION ET LA VALORISATION DES DONNEES PUBLIQUES LA MISE DISPOSITION ET LA VALORISATION DES DONNEES PUBLIQUES Clanfier le cadre juridique des donn es publiques R fl chir la cha ne de valeur lors que la probl matique de la r utilisation des informations publi ques prend une importance crois sante tant pour le secteur de l conomie num rique et les citoyens que pour les administrations productrices ou d tentrices de donn es le Conseil d orientation s est engag dans un examen m thodique des questions juridiques soulev es et des l ments constitutifs d une de valeur de la donn e publique Ces travaux s inscrivent dans la perspective du chan tier ouvert par la Commission europ enne en vue de la r vision de la directive de 2003 concernant la r utilisation des infor mations du secteur public Dans cette formation sp cialis e tout parti breuses auditions sont venues enrichir la r flexion liste des auditions en annexe VI 2 D s le mois de novembre 2010 la forma tion sp cialis e a ainsi pu pr senter la r union pl ni re des membres du Conseil d orientation plusieurs projets de recom mandations venant notamment pr ciser le ca
19. 25 56 dr e par une circulaire du Premier ministre du 20mars 1998 Les exigences qui s imposent la politique de publication de l tat appellent sans doute une clarifica tion pour tenir compte des volutions de la soci t vers l conomie de l information et de l tat vers la performance Le r le de la oublication dans la r alisation des missions de l tat ne saurait tre sous estim no tamment du fait d internet et des deman des croissantes de transparence de la so ci t civile L importance potentielle de la valorisation des donn es publiques par les entrepreneurs est consid rable La formation sp cialis e a consid r que la publication de l tat doit la fois tre efficace dans l appui qu elle apporte 0 ses missions qu elles soient de diffusion ou d un autre ordre efficiente comme une d pense publique propice l activit conomique du pays et mise disposition dans des conditions telles qu elle r ponde aux attentes de la soci t Porter la performance de la pu blication publique sur internet au niveau de la publication papier La formation sp cialis e a constat que la performance de la production imprim e est globalement assur e Quelques pistes d am lioration ont toute fois pu tre d gag es La Direction de l information l gale et administrative DILA pourrait administrer en collaboration avec le Service des achats de l tat bourse qui rapprocherait les besoins
20. ADBS chauss es HOCQUART DE Syndicat de la presse hebdomadaire M Bruno Directeur TURTOT r gionale Chef du service projets de la Direction g n rale de la modernisation M Arnaud LACAZE Rapporteur g n ral de ja formation de l Etat Minist re du Budget des sp cialis e Qualit de l information Comptes publics de la Fonction publique administrative des usagers et de la R forme de l Etat Chef du p le multim dia a M Franck LENOBLE D partement de l information et de S RIG la communication nication 40 56 R dacteur en chef intranet a Minist re de l ducation nationale de la Bureau de l animation des r seaux et Jeunesse et de la Vie associative Minis M Stanislas MAILLARD de la communication interne D l 2 on a t re de l Enseignement sup rieur et de la gation la communication Secr ta Recherche riat g n ral o c R RANAN Minist re du Travail de l Emploi et de la M Albin MASCIO Sant Minist re des Solidarit s et de la D l gation l information et la Coh sion sociale communication Secr tariat g n ral Charg de mission multi canal aupr s M Michel OZENDA du sous directeur Diffusion et Adminis tration lectronique Direction de l information l gale et admi nistrative Premier ministre Chef du D partement communica Minist re du Travail de l Emploi et de la M Maurice QUERE tion
21. Pre mier ministre Fondation pour le droit continental Groupement fran ais de l industrie de l information CLII Groupement fran ais de l industrie de l information CLII Direction de l information l gale administra tive Premier ministre Direction de l information l gale et administra tive Premier ministre Syndicat national de l dition SNE Secr tariat g n ral du Gouvernement Pre mier ministre Secr tariat g n ral du Gouvernement Pre mier ministre Minist re de l conomie des Finances et de l Industrie Minist re du Budget des Comptes publics de la Fonction publique et de la R forme de l tat 46 56 V LISTE DES R UNIONS DU CONSEIL D ORIENTATION EN 2010 R unions pl ni res R unions de la formation sp cialis e Politiques de l dition publique 04 03 2010 17 06 2010 10 05 2010 25 11 2010 28 05 2010 25 06 2010 10 09 2010 19 11 2010 R unions de la formation sp cialis e Qualit de l information administrative des usagers 8 R union du groupe de travail charg de 10 05 2010 la mise au point d un programme de re 1er 06 2010 lance des traductions sur L gifrance 06 07 2010 mation sp cialis e Politiques de l dition 21 09 2010 publique 20 10 2010 26 10 2010 14 06 2010 16 11 2010 02 07 2010 08 07 2010 28 07 2010 R unions de formation sp cialis e Mise disposition et valorisati
22. ces ped Am tiorati mesures pr sentent une de parfois masquer d une 91 de la re adh rence directe avec part le travail accomplir qui est pourtant d gale difficult et de m me importance sur les au tres canaux que le web et d autre part agr gation de contenus qui n apporte pas forc ment de garanties en termes de lisibilit et de fra cheur de l information et qui ne s appuie pas n cessai rement sur des techni ques de r utilisation de type _ _ ensuite ces bonnes pratiques observ es isol ment sur des th matiques sp cifiques laissent partiellement inexploit poten tiel de mutualisation assez fort et n apportent aucune r ponse sur la n ces saire transversalit de l approche d ve lopper en mati re d information adminis trative v nement de vie ou une for malit administrative mettant fr quem ment l usager qui regarde l administration comme un tout en rela tion avec plusieurs guichets administratifs Rappo du gr t tia l usager Num rique la mission de la formation Mt issu des sp cialis e la r duction de T Pers Num riques du nombre de sites inter Woerth net de l Etat et la mise en place d une charte inter 0 net de l Etat Les travaux pour r duire _ le nombre de sites sont 4 Le rapport RIESTER sur l am lioration de la relation num rique
23. d impression et les capacit s internes l tat Un r f rentiel interminist riel d impression et des prestations associ es pourrait tre entrete nu par le Service des achats de l tat ou groupe de minist res gros acheteurs Un 5VIVI particulier des gros services de repro graphie lourde en termes de 60015 com olets de r f rentiels de choix et de diffu sion des pratiques performantes serait portun Un ou deux minist res pourraient en tre charg s avec l appui du Service des achats de l tat Une exp rimentation de reprographie mutualis e dans une r gion pourrait tre lanc e ainsi qu une stra t gie d dition la demande labor e oar la DILA pour le compte des diff rents minist res services d concentr s Par ailleurs beaucoup de minist res ont re cours des march s bo te outils leur permettant de r pondre un besoin de prestation impr vu et ponctuel Un disposi tif interminist riel pour chaque prestation mais accessible simplement aux minist res serait moins co teux 681 plus performant La publication sur internet doit b n ficier des m mes efforts L orientation de l internet public reste largement d finir comme son organisation Une centralisa tion serait contradictoire avec son objet Le partage des exp riences 61 la mise disposition d outils communs doivent tre organis s rapidement La publication sur internet est ainsi le chantier priori
24. de bases de donn es fait l objet de demandes de r utilisation de la part d op rateurs priv s qui souhaitent laborer des services et produits notamment sur internet et les administrations peuvent se trouver d munies pour r pondre ces demandes qui posent de nombreuses questions tant au regard de la loi n 78 17 du 6 janvier 1978 CNIL que de la loi n 78 753 du 17 juillet 1978 CADA Se posent notamment les questions de la responsabilit et de la charge de 20 56 l anonymisation des proc dures les plus adapt es pour confier l anonymisation Un prestataire des modalit s et pr cau tions pr voir encore de l articulation des lois du 6 janvier et du 17 juillet 1978 La formation sp cialis e d cid d analyser cette question afin de donner tant aux administrations qu aux r utilisa teurs potentiels des l ments de r ponse pr cis et pratiques La Commission na tionale de l informatique et des libert s CNIL lamyline fr et la Commission K d acc s aux do cuments administra tifs ont t invit es participer 2 aux travaux de la D formation sp ciaili 566 M Jean MASSOT commis saire 0 la CNIL M Jean Pierre LECLERC pr sident de la CADA et Mme Pearl NGUYEN DUY rapporteur g n ral adjoint sont venus apporter leur contribution Quelques jours olus tard la CNIL a d ailleurs mi
25. de l information administrative pr cision frai cheur lisibilit 8 Retraites RSA quelques exem ples de bonnes pratiques La mise uvre des dispositifs d information sp cifiques aux retraites ou au RSA fournit quelques exemples de bon nes pratiques mais aussi quelques points de vigilance La formation sp cialis e a appuy son analyse sur quelques cas concrets em bl matiques par l tendue du public concern la complexit r glementaire qui les sous tend ou encore leur actualit Ain si Un examen sp cifique des th mes de la retraite de la nationalit et du revenu de solidarit active RSA a t conduit Cette analyse compar e a d abord permis de mettre en exergue quelques bonnes prati ques les vertus d un 6 guichet unique lieu et r f rent uniques de pro duction et de validation de l information particuli rement dans le cadre du RSA 61 son articulation avec les conseils g n raux l int r t a fortiori quand la loi le pr voit d une information pouss e vers ses ci bles cas de l information retraites qui pr sente le double avantage de la pro activit et d une personnalisation selon le destinataire force d un dispositif dont la responsabi lit et la comitologie sont clairement d fi nies cas du GIP Info Retraites dont le mandat est explicite ou du portail RSA appuy sur Un comit associant les collec tivit s locales les caisses d allo
26. donn es publiques Les politiques Il Organisation du Conseil d orientation Il Liste des membres du Conseil d orientation IV Liste des participants aux travaux V Liste des r unions du Conseil d orientation VI Liste des personnes auditionn es Pr face PAR SERGE LASVIGNES Secr taire g n ral du Gouvemement Membre du Consil d orientation de l dition publique et de l infommation administrative oublique et de l information adminis trative vient de terminer sa premi re ann e Comme le montre son rapport elle est tr s prometteuse Conseil d orientation de l dition La mission est pourtant difficile Non seule ment le spectre des sujets dont traite le Conseil est vaste il va de l dition papier traditionnelle la mise disposition de donn es num riques en passant par l information t l phonique mais il s agit en outre d activit s marqu es par des volutions rapides et profondes tant en ce qui concerne les techniques utilis es que les attentes et le profil des usagers Diversit des sujets mais aussi de la com position Non seulement l administration y est repr sent e dans toutes ses activit s et dans la vari t de ses sensibilit s mais en core pour viter que cette administration ne r fl chisse en vase clos on a fait appel 0 plusieurs acteurs priv s Dans des do maines tels que l dition et l information oublic et priv ne sauraient raisonnable ment
27. externe Sant Minist re des Solidarit s et de la DICOM Secr tariat g n ral Coh sion sociale Mme ROCHE Charg e de mission simplification Minist re de la Culture et de la Commu administrative nication Minist re de l Int rieur de l Outre Mer des Collectivit s territoriales et de l Immigra Mme Sandrine ROBINET lectronique tion D l gu l information et la com Minist re du Travail de l Emploi et de la M Laurent SETTON munication Sant Minist re des Solidarit s et de la Secr tariat g n ral Coh sion sociale M TELA RD Service d information du Gouvernement D EYRY Premier ministre 41 56 IV 2 H Formation sp cialis e Mise disposition et valorisation des donn es publiques Mme Mme Mme Mme Mme Mme Roland Denis Philippe Danielle Kristof Anne Guillaume Arnaud Anne Pierre Sylvie Pascale Fr d ric Guy Pascale Alain ANDR BERTHAULT BOBET BOURLANGE DE MEULDER DEMANGEOT DEROUBAIX DUFOURNET FAUCONNIER FAURE FAYE G L BART LAISN LAMBOT LE THOREL LOPES Pr sident Directeur de l information de LexisNexis Greffier associ au tribunal de commerce de Paris Directrice g n rale adjointe de l APIE Rapporteur g n ral de la formation sp cialis e Mise disposition et valorisation des donn es publi ques Chef de projet Chef du
28. gouvernance Plusieurs recommandations ont t formu l es afin de clarifier le cadre juridique de la r utilisation des donn es publiques par les op rateurs priv s tandis que se poursuit activement l analyse th orique et pratique de la cha ne de valeur de la donn e pu blique La performance de la fonction de publica tion de l tat a fait l objet d une enqu te sur les bonnes pratiques aupr s des princi paux acteurs partir de laquelle une s rie de recommandations 0 t mise Parall lement et la suite d une analyse concer t e de la situation et de ses perspectives Un programme de relance des traductions du droit fran ais diffus es sur L gifrance a t mis au point 87 56 2011 entretenir la dynamique du Conseil d orientation Alors qu il entre dans sa deuxi me ann e d existence le Conseil d orientation entre tiendra en 2011 la dynamique que ses membres ont su faire pour remplir enti rement sa mission Une dynamique d change d abord II convient de cultiver l originalit et la ri chesse de cet organisme consultatif en nous assurant de l implication la plus large et continue de tous les membres publics comme priv s Une dynamique d innovation ensuite Ces premiers r sultats obtenus en quelques mois nous encouragent poursuivre nos travaux pour trouver des pistes adapt es la soci t d aujourd hui et aux technolo gies disponibles face aux probl matiques de
29. hen La collecte de financements priv s est der la port e des choix de mise en ligne apparue comme une perspective m ritant sur L gifrance des traductions d tre approfondie m me s il ne peut 29 56 Les conditions de diffusion et de r utilisa tion des donn es ont galement t ana lys es amenant le groupe de travail consid rer que la pr sentation des res sources sur L gifrance devait tre refon due mise en regard de la traduction et de la version correspondante du texte source am lioration de l information sur le statut des ressources propos es Sans que cette perspective apparaisse ce stade tr s prometteuse la voie n a pas t fer m e l ventuelle r utilisation des don n es publiques issues du programme par exemple par des diteurs juridiques tran gers Enfin la forme institu tionnelle d un nou veau programme de traduction a t des TET LE P CODES AND TEXTS Leg ifranc u e LI E LA FLE H Une proposition de plan d action La r flexion engag e par le Conseil d orientation a ainsi d bouch sur une proposition de plan d action articul en deux phases l une court terme l autre moyen et long terme PHASE actions conduire dans les six mois Action 1 prise en charge par les services du Premier ministre de la responsabilit technique de la diffusion des ressources de traduction et adap
30. l information administrative de la mise disposition des donn es publiques et de l dition publique Une dynamique de conseil enfin Le Conseil d orientation devra en 2011 tout la fois veiller ce que ses travaux se concr tisent en recommandations et res ter attentifs la mise en uvre des d ci sions qui sont n es de nos propositions Michel PINAULT 2 Les pr sidents rapporteurs g n raux et secr taires du Conseil d orientation 1 Michel PINAULT 2 Olivier CAZENAVE 3 Olivier SCHMIT 4 Arnaud LACAZE 5 Danielle BOURLANGE 6 Bernard MARX 7 Alain Roland KIRSCH 8 Olivier GARNIER 9 ric GRISTI Organisation du Conseil d orientation en annexe 11 8 56 PARTIE 1 0831 DE L INFORMATION ADMINISTRATIVE DES USAGERS DES USAGERS LA QUALIT DE L INFORMATION ADMINISTRATIVE Vers un cadre commun de production et de gouvemance de l information administrative cid saisir les opportunit s d une meilleure prise en compte de la qualit de l information administra tive apport e aux usagers par internet le Conseil d orientation avanc l id e d offrir aux acteurs publics un cadre com mun de production et de gouvernance de l information administrative en finir avec la redondance d informations h t rog nes ou non mises jour 8 L information administrative un r le encore faiblement structur au sein des minist
31. la Recherche P le de comp titivit Cap Digital Commission nationale de l informatique et des libert s CNIL Minist re du Budget des Comptes publics et de la R forme de l Etat Minist re de la Culture et de la Com munication 50 56 VI 3 Formation sp cialis e Politiques de l dition publique M R mi BILBAULT Pr sident M Brice BOHUON Secr taire g n ral adjoint Co responsable du Centre de M Vincent DAUMAS recherches et de diffusion juridi ques Chef de projet au D partement Mme Martine DEGUSSEAU de l acc s au droit Directeur g n ral du Centre na M Patrick DION tional de documentation p da gogique CNDP Responsable du D partement MME FANE de l acc s au droit Pr sident du groupe des diteurs M Renaud LEFEBVRE du SNE Directeur de projet au Secr tariat M Sylvain g n ral Charg e de mission au Secr tariat Mme Val rie WOLFARTH g n ral Groupement fran ais de l industrie de l information CLII Conseil d tat Conseil d tat Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Minist re de l Enseigne ment sup rieur et de la Recherche Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Syndicat national de l dition Minist re de l ducation nationale Min
32. le pr sident Les formations sp cialis es peuvent com prendre outre des membres du conseil d orientation des membres suppl mentai res d sign s par le pr sident Le conseil d orientation peut des rapporteurs H Article 4 Le pr sident et le vice pr sident du conseil d orientation sont choisis parmi les mem bres du Conseil d tat et de la Cour des comptes lls sont nomm s par arr t du Premier ministre H Article 5 Les cr dits n cessaires au fonctionnement du conseil d orientation sont inscrits au budget annexe publications officielles et information administrative H Article 6 Le pr sent d cret sera publi au Joumal officiel de la R publique fran aise Fait Paris le 11 janvier 2010 Fran ois FILLON 34 56 lI ORGANISATION DU CONSEIL D ORIENTATION 15 mai 2011 Pr sident du Conseil d orientation M Michel PINAULT Conseil d Etat Vice pr sident Secr tariat du Conseil d orientation du Conseil d orientation M Olivier CAZENAVE M Olivier GARNIER Cour des comptes M ric GRISTI LES MEMBRES DU CONSEIL D ORIENTATION D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 arr t du 13 janvier 2010 arr t du 11 f vrier 2010 M Serge LASVIGNES M Jean MARIMBERT Claude Mme Nathalie M Alain Roland SGG SG Min ducation RUBINOWICZ LAMEYRE KIRSCH M Jean Fran ois M Christian PIOTRE DG APIE Pdte FIGEC CGEFI
33. nistrative Premier ministre Savoir Livre Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Groupement fran ais de l industrie de l information Syndicat national de l dition SNE Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Minis t re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche 42 56 Mme Mme Mme Catherine Martine Bernard Fr d ric Catherine Jean Edmond Patrice Olivier Laurent Georges Andr Emmanuel Jean Paul LUCET MARIGEAUD MARX MEY MOREAU JUNG PILVEN PLATEL SCHMIT SETTON SILBER TEXIER VICAT Pr sidente des ditions Nathan Groupe Enseignement du SNE Inspectrice g n rale des finances Rapporteur g n ral de la formation sp cialis e Mise disposition et valorisation des donn es publi ques Greffier associ du tribunal de commerce de Chamb ry Responsable de la cellule valorisa tion du patrimoine immat riel DICOM Adjoint au sous directeur des affai res juridiques de l enseignement scolaire Secr tariat g n ral Adjoint au chef de la Mission d or ganisation des services du Premier ministre Chef de la Mission d organisation des services du Premier ministre Pr sident de la formation sp ciali s e Mise disposition et valorisa tion des donn es publiques D l gu l information et la communication Secr tariat g n ral
34. ral Chef du bureau du droit compar Service des affaires europ ennes et internatio nales Secr tariat g n ral Minist re de la Justice et des Libert s Minist re de la Justice et des Libert s Minist re de la Culture et de la Communication Minist re des Affaires tran g res et europ ennes Minist re des Affaires tran g res et europ ennes CNRS Secr tariat g n ral du Gou vernement Premier ministre Minist re des Affaires tran g res et europ ennes Minist re des Affaires tran g res et europ ennes Minist re du Travail de la Solidarit et de la Fonction publique Conseil d tat Minist re de la Justice et des Libert s Minist re de la Justice et des Libert s 54 56 Photographies droits r serv s D 6 photographie par Xavier Renauld p 35 photographies par J r me Leroux sauf 1 7 et 8 55 56 Rapport tabli en application de l article du d cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 instituant un Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative Publi en version num rique uniquement Mai 2011 Consultable sur internet dans la biblioth que des rapports publics de la Direction de l information l gale et administrative www ladocumentationfrancaise fr Secr tariat du Conseil d orientation de l dition publique et de l information administrative 26 rue Desaix 75727 Paris cedex 15 secretariat coepia dila
35. 006 relative au droit d auteur et aux droits voisins dans la soci t de l infor mation La loi de 1978 instaure depuis sa modifica tion par l ordonnance n 2005 650 du 6 juin 2005 droit r utilisation des informa tions publiques par des op rateurs priv s notamment des fins autres que celles de la mission de service public pour les be soins de laquelle elles ont t produites sont d tenues Cette loi exclut du champ de la r uti ces textes solent n es en vue d une r utilisation des fins commer lisation les infor en outre ciales un avis de CADA l occasion rappeler les en Dans un avis du 5 novembre 2009 20092706 relatif la r utili sation de photographies la CADA conclut en ces termes si mations contenues dans des docu ments sur lesquels jeux d mocraii en vertu de l article L 131 3 1 du m me code code de la des tiers d tien ques 61 culturels propri t intellectuelle le droit d exploitation que d tient nent des droits de attach s l agent sur cette uvre dont il est l auteur a t c d de plein propri t intellec droit la R gion qui l emploie pour l accomplissement de ses meilleure diffu missions de service public parmi lesquelles l laboration de tuelle arti sion et r utilisa l inventaire du patrimoine culturel cette cession ne s tend pas cle 10 c Or cette tion des infor la mise disposition de la p
36. Direction g n rale des finances publiques Minist re du Budget des Comptes PU blics et de la R forme de l Etat GIP Info Retraite Minist re de la Culture et de la Commu nication Direction de l information l gale et admi nistrative Premier ministre Direction g n rale des finances publiques Minist re du Budget des Comptes PU blics et de la R forme de l Etat Direction nationale de l action sociale Caisse nationale d assurance vieillesse Caisse des d p ts et consignations Direction de l information l gale et admi nistrative Premier ministre Direction de l information l gale et admi nistrative Premier ministre Service d information du Gouvernement Premier ministre Secr tariat g n ral du Gouvernement Premier ministre Minist re de la Culture et de la Commu nication 48 56 Directeur adjoint au Secr taire Secr tariat g n ral du Gouvernement M SENERS g n ral du Gouvernement Premier ministre M C dric VERPEAUX Caisse des d p ts et consignations 49 56 VI 2 Formation sp cialis e Mise disposition et valorisation des donn es publiques Mlle Mme Mme Mme Mme Mme Jean Arnaud Jean Pierre Jean Pascal Valentine Charles Pearl Julien Jean Edmond Benoit Georges Andr Virginie Jean Baptiste Rebecca Sylvie Val rie CHERBONNIER DUFOURNET LECLERC MASSOT MENDAK MILLOT
37. IQUES DE L EDITION PUBLIQUE LES POLITIQUES DE L DITION PUBLIQUE Mettre en perfomance la fonction publication de l tat Relancerle programme de traduction du droit fran ais eux chantiers principaux ont struc tur les travaux de la formation sp cialis e en 2010 D une part la d marche de mise en performance de l dition publique a conduit r aliser une enqu te sur les bonnes pratiques qui 0 d bouch sur un rapport et plusieurs re commandations r pondant aux questions Pourquoi publier Comment publier avec efficience D autre part la r flexion sur une relance du programme de traductions du droit sur L gifrance a conduit l aussi un rapport sur les principes susceptibles de guider un tel programme et un plan d action g n ral conomique et financier rappor teur g n ral de la formation sp cialis e Politiques de l dition publique Ses conclusions sont r sum es ci apr s Le concept d dition publique gt mal rep r entre communication dition mar chande 61 mise disposition plus ou moins valoris e de donn es publiques n a pas paru signifiant pour Une analyse en termes d efficience Une distinction entre ces ou tils n a gu re sembl pertinente du moins en termes de performance non plus qu un traitement diff rent de la communication interne La mise en uvre du droit de r Utiliser les donn es administratives conduit consi Pou
38. ISTE DES PARTICIPANTS AUX TROIS FORMATIONS SPECIALISEES au 31 d cembre 2010 IV 1 H Formation sp cialis e Qualit de l information administrative des usagers Mme Marie Minist re de Justice des Libert s QUENOT Secr taire g n ral M Maxime BORNET Cabinet du Secr taire g n ral Minist re de la Justice et des Libert s Conseiller maitre Vice pr sident du Conseil d orienta M Olivier CAZENAVE non A Cour des comptes Pr sident de la formation sp cialis e Qualit de l information administra tive des usagers ea Minist re de Education nationale de la a a _ Jeunesse et de la Vie associative Minis M Olivier COLAS D l gation la communication ne de l Enseignement sup rieur et de la Secr tariat g n ral Recherche Eve DAVY Responsable du service de documen Institut national de la consommation Marie tation INC FAUCONNIER Chef de projet Agence du patrimoine immat riel de pro l tat APIE M Luc FERRAND 4 Minist re Justice des Libert s Secr taire g n ral Association des professionnels de l infor MME PADEN GAYON mation et de la documentation ADBS Association des professionnels de l infor Mme Isabelle GAUTHERON de l Ecole nationale des ponts et f mation et de la documentation
39. NE Vice pr sidente du SNE Pr si dente du groupe diteurs scolaires du SNE D l gu e la communication D l gu l information et la communication Institut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE Minist re de l conomie des Finances et de l Industrie Syndicat national de l dition Minist re du Budget des Comptes publics de la Fonction publique et de R forme de l tat Minist re de l ducation nationale de IC Jeunesse et de la Vie associative Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Syndicat national de l dition Minist re de l conomie des Finances et de l industrie Minist re du Budget des Comptes publics de la Fonction publique et de la R forme de l tat Minist re de l ducation nationale de IC Jeunesse 61 de la Vie associative Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Minist re de la Culture et de la Com munication Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Syndicat national de l dition Syndicat national de l dition Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Minist re de l Int rieur de l Outre Mer des Collectivit s territoriales et de l Im migration M Jean Marc Jean Emmanuel Xavier Christian Laurent NEUVILLE PAILLON
40. OMPFTHSE LY BE L Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination du pr sident du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive Arr t du 11 f vrier 2010 portant nomination du vice pr sident du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre 85 qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 56 56 8 M Michel Mme Emmanuelle M Pierre Yves M Christian M Guillaume C M Philippe COMET WARGON DUWOYE PIOTRE BOUDY MIGEON JOSSE Secr taire g n ral du minis t re de l Int rieur de l Ou tre Mer des Collectivit s territoriales de l Immigra tion Secr taire g n ral du minis t re du Travail de l Emploi et de la Sant et du minis t re des Solidarit s et de la Coh sion sociale Secr taire g n ral du minis t re de l ducation natio nale de la Jeunesse et de la Vie associative et du minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recher che Secr taire g n ral pour l administration du minist re de la D fense et des An ciens combattants Secr taire g n ral du minis t re de la Culture de Communication Directeur g n
41. ROSENWALD KRASNOPOLSKI MA A MAILLARD MARC Pr sident Greffier associ au tribunal de commerce de Paris Responsable du d partement des ressources et conseils ditoriaux Directrice de cabinet du Secr taire g n ral Adjointe la directrice de la com munication Secr tariat g n ral Chef du d partement de la strat gie et de la modernisation Secr tariat g n ral Directrice de Savoir Livre Charg e de mission du groupe Enseignement SNE PDG des ditions La D couverte Pr sident du groupe Universitaire du SNE Contr leur g n ral conomique et financier Rapporteur g n ral de la formation sp cialis e Politiques de l dition publique PDG des ditions Dalloz Pr sident du groupe Editeurs de droit du SNE M diatrice de l dition publique Chef du bureau de la cr ation gra phique et de la production multi m dia D l gation la communication Secr tariat g n ral Chef du Service de la l gislation et de la qualit du droit R dacteur en chef intranet Bureau de l animation des r seaux et de la communication interne D l gation la communication Secr tariat g n ral PDG des ditions Belin Vice pr sidente du SNE Pr sidente du groupe diteurs scolai res du SNE Groupement fran ais de l industrie de l information Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Direction de l information l gale et administrative
42. T ESP ALIEU GRIMALDI GRAZIANI HOPITAL KINDER GEST LAURENT ATAHALIN MAITREPIERRE SCHALLER Conseiller diplomatique du Garde des Sceaux Adjointe au chef de bureau du droit compar Service des affaires europ ennes et internatio nales Secr tariat g n ral D l gu g n ral adjoint la langue fran aise et aux langues de France Chef du p le tat de droit Mission de la gouvernance d mocratique Direction g n rale de la mondialisation du d veloppement et des partenariats Chef de la mission de la gouvernance d mo cratique Direction g n rale de la mondialisation du d veloppement et des partenariats Directrice de recherche au CNRS Directrice du Charg de mission aupr s SGG D velop pement des syst mes d information et valorisa tion des ressources documentaires Secr taire g n ral de l Association Henri Capi tant des amis de la culture juridique fran aise Professeur l Universit Paris Est Cr teil Cabinet Gide Chef du d partement de la traduction Association Henri Capitant Pr sident du conseil scientifique de la Fondation pour le droit continental Mission de la gouvernance d mocratique Direction g n rale de la mondialisation du d veloppement et des partenariats Direction g n rale du travail Professeur l Universit Paris II Panth on Assas Chef du service des affaires europ ennes et internationales Secr tariat g n
43. UES ET TECHNIQUES 7 Rapporteurs g n raux Mme Danielle BOURLANGE APIE M Bernard MARX GFll 35 56 1 M 2 M 3 M 4 M 5 M 6 M LISTE DES MEMBRES au 31 d cembre 2010 Michel Olivier Serge Jean Fran ois Emmanuel Dominique PINAULT Pr sident CAZENAVE Vice pr sident LASVIGNES MONTEILS R BEILL BORGELLA LAMIOT Pr sident de la section de l administration au Conseil d tat Conseiller maftre en service extraordinaire la Cour des comptes Secr taire g n ral du Gou vernement Secr taire g n ral du minis t re de l cologie du D ve loppement durable des Transports et du Logement Secr taire g n ral du minis t re de la Justice et des Libert s Secr taire g n ral du minis t re de l conomie des Finances et de l Industrie et du minist re du Budget des Comptes publics de la Fonction publique et de la R forme de l tat ST CONSEIL D TAT ____ gt ar Dipan KIPUELHHIE FRAK AISE durable des et du Logement dikerid Fradarmdid R PUBLIQUE FRAN AISE lt lt MINIST RE DE LA JUSTICE DES LIREKT S Libert galir Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE DU 55 bii C
44. am lioration de l information administrative La diffusion d un document de r f rence fixant un cadre commun de production et de gouvernance de l information adminis trative serait tr s utile et pourrait permettre de donner corps aux r flexions de la for mation sp cialis e formation mise la mise disposition de cette m me in formation le plus sou vent en temps r el au travers de plusieurs sites internet voire diffusion mul i canal le cas ch ant l ditorialisation de cette information dans logique de vulgarisation et d accessibilit Le plan Riester pr voit par ailleurs la publica tion en 2011 d une charte internet de l tat Les travaux in terminist riels pour l laborer pilot s par la DGME et le SIG ont commenc la fin de l ann e 2010 Cette charte qui a pour but d appr hender la fois la dimension technique des sites r f rentiel technique La qualit de l information administrative diffus e l chelon local l avenir du co marquage La Caisse des d p ts a d cid en 2010 d arr ter progressivement sa plateforme Service public lo cal qui proposait aux collectivit s territoriales et aux services locaux de l tat un service de mise en uvre du co marquage avec le portail national service public fr Le 6 co marquage permet aux sites internet publics locaux de rediffuser le guide des droits et d marc
45. anne Philippe Christine Renaud Didier Nathalie PATIER RUBINOWICZ LEVY ROSENWALD GOSSELIN DE MAZI RES LEFEBVRE OUDENOT LAMEYRE galtt gt R PUBLIQUE FRAN AISE Directeur du service d information du Gouver nement Premier ministre Service d information du Gouvernement lt Fratresiid R FUBLIQUE FRAN AISE Directeur de l information l gale et administrative Pr mi r ministre DIRECTION DE L GALE ET ADMINISTRATIVE gt Directeur g n ral de l Agence du patrimoine immat riel de l tat M diatrice de l dition publique D put maire de Remilly sur Lozon repr sentant l Association des maires de France D l gu e g n rale du Syndicat national de l dition e Pr sident du groupe di SYNDICAT NATIONAL teurs de droit du Syndicat national de l dition Pr sident du Conseil natio nal des greffiers des tribu naux de commerce CN G Pr sidente de la F d ration nationale de l information FIGEC d entreprise et de la gestion de cr ances Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de m
46. ation articulation avec L gifrance politique de r utilisation les diteurs priv s etc Enfin le Syndicat national de l dition a or sent les r sultats de l tude qu il a command e l institut Sofres sur l impact de L gifrance sur l dition juridique priv e La formation sp cialis e convenu d tudier la question de l offre de L gi france en 2011 Recommandations adopt es 2010 R unis en formation pl ni re le 25 novembre 2010 les membres du Conseil d orientation ont adopt les projets de rapports et de recommandations pr sen t s par la formation sp cialis e relatifs la performance de la publication de l tat programme de relance des traductions du droit fran ais sur L gifrance 31 56 Joumal officiel du 12 janvier 2010 Le Premier ministre Vu le d cret n 2006 672 du 8 juin 2006 modifi relatif la cr ation la composi tion et au fonctionnement de commissions administratives caract re consultatif Vu le d cret n 2010 31 du 11 janvier 2010 relatif la direction de l information l gale et administrative D cr te H Article 1 Le conseil d orientation de l dition publi que de l information administrative pla c aupr s du Premier ministre exerce une fonction d valuation d expertise et de conseil dans les domaines suivants l dition publique et les publications ad minis
47. bles du contr le de qualit des traductions COMNSTITL 2001 on k Action 4 choix des premiers travaux engager PHASE II actions de moyen 61 long ferme Action 5 prospection de financements NOUVEAUX Action 6 enrichissement de la partie portail de la rubrique traduction du droit fran ais de L gifrance Action 7 tendre vers la constitution de glossaires sur la base des travaux engag s 30 56 R flexion sur la diffusion du droit Parall lement ces deux chantiers qui ont structur l essentiel de ses travaux en 2010 la formation sp cialis e a entam une r flexion sur les conditions de diffusion du droit Le Conseil d orientation a d abord t saisi par le Secr taire g n ral du Gouverne ment d une demande d avis sur la diffu sion du site Adress RLR par le minist re de l ducation nationale et le Centre national de documentation p dagogique CNDP ce titre les responsables ce projet ont t entendus ainsi que la Direction de l information l gale et administrative rateur de L gifrance liste des personnes auditionn es en annexe VI 3 Ces travaux d boucheront sur Une recommandation en 2011 Par ailleurs la formation sp cialis e a en trepris d analyser les politiques de diffusion de la jurisprudence en commen ant par le Conseil d tat qui a pr sent sa strat gie de diffusion de la jurisprudence admi nistrative organis
48. bureau de l animation de la communication interne et des r seaux D l gation la communication Secr tariat g n ral Directeur ditorial de LexisNexis Vice pr sident du groupe Editeurs de droit du SNE Responsable marketing d Altares Chef de projet Greffier du tribunal de commerce de Saint tienne Responsable du d partement de l acc s au droit Directrice de Savoir Livre Charg e de mission du groupe Enseignement SNE Greffier du tribunal de commerce de Meaux Pr sident d Infogreffe Avocat Directrice des ditions de l cole nationale sup rieure des Beaux Arts Pr sidente du groupe Art du SNE Responsable du d partement de la valorisation et de l dition Direction de l valuation de la prospective et de la performance Syndicat national de la communication directe Groupement fran ais de l industrie de l information Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Agence du patrimoine immat riel de l tat APIE Agence du patrimoine immat riel de l tat APIE Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Minis t re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Syndicat national de l dition Groupement fran ais de l industrie de l information Agence du patrimoine immat riel de l tat APIE Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce Direction de l information l gale et admi
49. cations fa miliales et les services d concentr s de l tat en une v ritable boucle d am lioration continue l effort port sur la pr cision l exhaustivit des informations et ou des justificatifs demand s l usager d s l amont dans le cadre d une d marche administrative comme l a montr l exemple de la nationalit 11 56 a valeur ajout e d quipes r dactionnel les internes externalis es comme cel les dont dispose le SIG ou auxquelles re court le minist re de l ducation natio nale qui contribuent rendre accessible l information administrative brute des directions m tier Ces quelques bonnes pratiques invitent parall lement pointer deux principaux points de vigilance d abord la logique de guichet unique SOU vent entendue comme mise en uvre d un grand portail internet qui Plan Riester une opportunit de meilleure prise en compte de la qualit de l information administra tive par internet Les travaux engag s pour Am liorer la relation num rique l usager plan Riester constituent une opportunit de meilleure prise en compte de la qualit de l information administrative apport e par le canal internet La mise en application des mesures propos es le groupe d experts du num rique pr sid TE par le d put Riester est besoins des Usagers qui 5 Z en cours Deux de
50. des mutations engag es par l tat pour s adapter aux volutions de la soci t comme des technologies le Conseil d orientation doit contribuer clairer accompagner et valuer l action administrative sans la perturber Le Conseil d orientation n est pas administration de plus Il n a pas de vocation d cision nelle son r le est bien en amont de contribuer orienter la r flexion et la poli tique de l tat en mati re d information administrative de donn es publiques et d dition publique 5 Premi res analyses et recommandations L actualit t particuli rement riche dans les domaines de comp tence du Conseil d orientation rapport Riester et mesures d am lioration de la relation nu m rique avec les usagers d veloppement de licences de r utilisation des informa tions publiques projet de portail talab Ces volutions nombreuses et rapides au raient pu ralentir et disperser nos efforts C est le contraire qui s est produit Le programme de travail arr t au temps pour l ann e 2010 permis d enregistrer des avanc es sur plusieurs sujets d bouchant en fin d ann e sur des premi res analyses 61 recommandations quelques mois peine apr s l installation du Conseil d orientation La r flexion engag e sur la qualit de l information administrative des usagers ainsi ouvert des pistes pour offrir aux ac teurs publics Un cadre commun de pro duction et de
51. donn es Elles n imposent pas non plus de modalit s particuli res de mise disposi tion dans le but d am liorer leur exploitabi lit par des r utilisateurs Dans ces condi tions les personnes publiques ne sont pas tenues de retraiter les formats de donn es en r ponse aux demandes de r utilisation Pour autant 61 pour favoriser large r utilisation il peut y avoir int r t parta g entre l administration et les r utilisateurs ce que les donn es soient mises dispo sition dans des formats enrichis plus faci 22 56 lement exploitables et assurant d s lors l interop rabilit ainsi procur e un meilleur acc s de tous citoyens consom mateurs entreprises administrations etc aux ressources publiques Du point de vue de la chaine de valeur l enrichissement apport par l administration valorise les donn es publi ques permettant de r duire une partie des charges support es les r uftilisa teurs ce titre conform ment la loi du 17 juillet 1978 il peut trouver une contre partie au travers des redevances de r utili sation L enrichissement des formats ainsi apport par l administration dans le but de favoriser la r utilisation ne devrait pas d passer certaines limites celle ci ne devant pas empi ter sur ce qui rel ve l gitime ment de l initiative priv e Compte tenu de ces l ments la forma tion sp cialis e recommand qu au regard de
52. dre juridique de la mise disposition et de la r utilisation des informations publi ques PA Des pistes de clarification des r gles concernant la mise dispo sition des donn es publiques Confirma 38 REMEO RASE DE DONN E culi rement la parti tion de 2 Yos besoins Nos produits Conditions commercia cipation des gt i l existence sentants des grou d un droit Trouver rapidement pements profession Page d accueil du site r utilisation Ajustez votre cible nels du secteur priv aux c t s des admi nistrations liste des participants la for mation sp cialis e en annexe IV 2 appa La rediffusion Le contenu de la base Gr ce Afin de lever toute ambigu t quant la port e r elle du droit r utili un syst me r f rencement unique une base de donn es exhaustive Nouveaut s sur le site des mises jour quotidiennes Une rubrique Foire Aux Questions est cr e afin de r pondre aux principales questions pos es Quel que soit votre domaine d activit que vous 50 d cideur dans un grand groupe cr ateur d entrepri membre d une association ou d une collectivit raft d terminante et FAQ CRE besoins trouvez la solution dans nos p sation la forma fructueuse pour les L Insee est le propri taire des droits intellectuels de tion sp cialis e donn es dont II assure la diffusion Pour plus d i
53. e de fa on consolid e le budget de publication des minist res Les prestations internes seraient factur es aux co ts stan dards dans les fiches de publication I conviendrait ensuite d laborer et entre tenir un cahier des charges de la publica tion Le Conseil d orientation serait rendu destinataire chaque ann e de la strat gie de publication des minist res de leur pro gramme annuel de publications et de la cartographie de leurs sites ainsi que du compte rendu du comit de publication minist riel II animerait un groupe de travail avec les principaux minist res pour d finir une fiche type de justification des publica tions 1005 supports qui retracerait les l ments strat giques op rationnels finan ciers et juridiques de la d cision de publi cation Le Conseil d orientation organise rait la synth se des valuations que les secr taires g n raux lui communique raient diffuserait les bonnes pratiques saisirait le Premier ministre des adaptations Utiles ou des difficult s La DILA organiserait la veille technologique l observation des pratiques trang res en diffuserait les fruits Une certification ISO de la fonc tion de publication publique pourrait tre engag e afin d valuer les efforts d organisation et de qualit La formation sp cialis e a pr t une at tention particuli re aux effets de la publi cation sur le secteur conomique concer n d faut d une comptab
54. els d un nou veau programme de traductions du droit fran ais sur L gifrance Un tat des lieux des traductions du droit a montr que les attentes aussi amples que diverses ne trouvaient de r ponse que partiellement dans les initiatives en cours qu elles ma nent d acteurs priv s ou d administrations Les discussions sur la nature des objectifs susceptibles d tre assign s un pro gramme de traductions destin L gi france ont fait appara tre des conceptions relativement divergentes l une recherche le dialogue le plus rigoureux possible entre syst mes juridiques avec un tr s haut de gr en termes de perfection nement juridique et linguistique l autre met davantage l accent sur les enjeux du rayonnement du droit fran ais non pas seulement sous l angle proprement juridi que mais aussi sous l angle de ses enjeux politiques ou conomiques 28 56 s agir que d une entreprise inscrire dans La compl mentarit entre ces deux ap la dur e et dont le succ s d pend de proches s est finalement impos e condui l adaptabilit du dispositif cet gard le sant recommander que le programme Conseil d orientation a recommand que de traduction comporte deux axes soient admises les souplesses n cessaires l attractivit du programme de traduction pour les financeurs priv s comme publics telles que la mention sur le site sous des formes appropri es de l appui donn a
55. embres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant de l Association des maires de France Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentants du Syndi cat national de l dition Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra tive repr sentant du Conseil national des greffiers des tribunaux de com merce Arr t du 13 janvier 2010 portant nomination de membres du conseil d orientation de l dition publique et de l information administra 38 56 23 24 25 26 27 28 27 M M M Mme Mme Mme Roland Bruno R mi Elisabeth ve Marie Alain Roland Martine Georges Andr ANDR HOCQUART DE TURTOT BILBAULT GAYON DAVY KIRSCH MARIGEAUD SILBER Pr sident du Syndicat na tional de la communication directe Repr sentant la F d ration nationale de la presse fran aise Pr sident du Groupement fran ais de l industrie de l information Pr sidente de l Association des professionnels de l information et de la do cumentation Membre du comit de direction de l Institut natio nal de la consommation Contr leur g n ral cono mique et financier Inspectrice g
56. ense Le secr taire g n ral du minist re de la culture et de la communication Le directeur g n ral de la modernisation de l tat Le directeur du budget Le directeur du service d information du Gouvernement Le directeur de l information l gale et ad ministrative Le directeur g n ral de l Agence du pa trimoine immat riel de l tat 39 Le m diateur de l dition publique 4 Un repr sentant de l Association des maires de France 5 Deux repr sentants du Syndicat national de l dition 33 56 Un repr sentant du Conseil national 5 greffiers des tribunaux de commerce Deux repr sentants des entreprises utilisant des donn es publiques Un repr sentant de la F d ration natio nale de la presse fran aise Un repr sentant du Groupement fran ais de l industrie de l information Un repr sentant de l Association des pro fessionnels de l information et de la docu mentation Un repr sentant de l Institut national de la consommation 6 Trois personnalit s qualifi es d sign es en raison de leurs comp tences dans les domaines de la diffusion l gale de l di tion publique et de l information adminis trative Les membres mentionn s aux 4 5 et 6 du pr sent article sont nomm s par arr t du Premier ministre Article 3 Outre les r unions pl ni res le conseil d orientation peut se r unir en formations sp cialis es institu es par
57. es de droits de propri t intel lectuelle et plus particuli rement de droits d auteur sur les contenus qu ils cr ent dans le cadre de leur fonction si ces der niers remplissent les crit res d ligibilit originalit notamment La loi n 2006 961 du le ao t 2006 relative au droit d auteur et aux droits voisins dans la soci t de l information qui reconna t la qualit d auteur aux agents publics pr voit que l administration est titulaire des droits pa trimoniaux sur les contenus cr s pour l exploitation de ces contenus dans le ca dre des missions de service public Par contre elle pose un r gime sp cifique pour l exploitation titre commercial des droits d auteur des agents publics cr s dans le cadre de leur fonction 18 56 l administration ne disposant dans ce cas que d un droit de pr f rence article L 131 3 1 du CPI Un d cret en Conseil d tat qui ce jour n a pas t publi doit pr ciser les condi tions de mise en uvre du droit d auteur des agents publics article 1 131 3 3 du CPI Au regard des enjeux conomiques et sociaux de la r utilisation des informations publiques la formation sp cialis e a re command que la r flexion interminist rielle s engage rapidement sur la question de l articulation du droit d auteur des agents publics avec le droit r utilisation instaur par le chapitre II de la loi n 78 753 du 17 juillet 1978 notamment pour clairer la mi
58. es points de vue tous les membres du Conseil j adresse les remerciements du Premier ministre Je forme enfin le v u que les travaux venir soient d une aussi belle qualit Serge LASVIGNES 5 56 Introduction PAR MICHEL PINAULT Pr sident de la section de l administration du Conseil d tat P sdent du Conseil d orientation de l dition publique et de l infomnation administrative u d but de l ann e 2010 est n le d orientation de l dition publique et de l information admi nistrative cr par le d cret 2010 32 du 11 janvier 2010 II t install par le Se cr taire g n ral du Gouvernement au printemps avec l ambition d enclencher une dynamique d change d innovation et de conseil dans ses domaines de com p tence 25 r unions 69 participants et 79 person nes auditionn es ont nourri un travail de r flexion qui a d bouch d s le mois de novembre sur la formulation de premi res analyses et recommandations 99 Une fonction d valuation d expertise et de conseil Plac aupr s du Premier mi nistre le Conseil d orientation exerce fonction d valuation d expertise et de conseil dans les domaines de l dition publique et des publications administratives quel que soit leur support de l information et dU rensei gnement administratifs et de la mise dis position des donn es publiques II veille la bonne allocation des moyens et la quali
59. es r utilisa tion des donn es caract re personnel l autorit d ten tions produisent ou teurs Elle a recomman d que ces conditions g n rales soient utilis es de fa on harmonis e dans les diff rentes administrations de l tat et qu cet effet leur diffusion s accompagne d un mode d emploi pr cis qui fasse bien com orendre les situations dans lesquelles elles sont susceptibles de s appliquer et l articulation de ces conditions g n rales et des autres types de documents telles que les licences type de r utilisation pou vant trouver s appliquer aux informations publiques I t observ que la version actuelle VI pourra tre amend e ult rieurement en fonction des remarques qui auront t formul es aupr s de l APIE et afin de prendre en compte les analyses et exp riences de mise 0 disposition d informations publiques encadr es par ces conditions g n rales ou d autres li cences qui en seraient d riv es trice y proc de sous r serve que cette op ration n entra ne pas des efforts disproportionn s article 40 d tiennent des ba ses de donn es qui comportent des donn es caract re personnel ef qui peuvent tre diffus es par exemple des annuaires ou fiches d informations com portant des noms de responsables profes sionnels ou d interlocuteurs des adresses de messagerie etc Certaines de ces bases de donn es ont t anonymis es d autres non type
60. fre professionnelle op rateurs publiant plaques interminist rielles r f rents La publication payante et certaines fonctions critiques notamment sur internet en sont les priorit s La mission et l organisation de la DILA orennent en compte son r le d op rateur interminist riel de publication pour tous les supports elle animerait les dispositifs mu tualis s dont conviendraient les minist res Le Service d information du Gouverne ment SIG pourrait animer groupe de travail sp cialis qui conviendrait de re commandations afin de pr server la per formance de la publication publique tout en garantissant prestation r active et de qualit aux ministres Comment relancer les traduc tions du droit sur L gifrance Les travaux sur la mise au point d un pro gramme de relance des traductions du droit fran ais sur L gifrance ont d abord permis de d finir les l ments d termi nants pour la conception du nouveau pro gramme avant de d boucher sur une proposition de programme d action op rationnel Saisi par le Secr taire g n ral du Gouver nement le Conseil d orientation a charg un groupe de travail pilot par M Jean MA A chef du service de la l gislation et de la qualit du droit au SGG de formuler des propositions quant la mani re de relancer le programme de traduction du droit fran ais qui avait permis la mise en ligne sur le site L gifrance de 2000 6 de versio
61. gouv fr L 1 1 Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre CONSEIL D ORIENTATION DE L EDITION PUBLIQUE ET DE L INFORMATION ADMIN TS TRA TEX
62. hes de service public fr en le compl tant par des infor mations locales afin d offrir l usager acc s adap t son contexte local pour ses droits et d marches Ce 6 co marquage pouvait tre mis en uvre direc tement par l administration locale avec la DILA rateur de service public fr ou via la plateforme Ser vice public local de la Caisse des d p ts Alert notamment le minist re de l Int rieur le Conseil d orientation a constat que l interruption des services propos s par la Caisse des d p ts risquait de mettre de nombreuses administrations locales dans l incapacit de g rer elles m mes la mise en uvre co marquage avec la DILA cette derni re poursuivant en effet le service de fourniture directe des donn es et reprenant la gestion de la base de donn es locales Dans le contexte de la mise en place de sites internet uniques des services d parte mentaux de l tat les pr fectures se trouvent particu li rement expos es Le Conseil d orientation a alert le Secr tariat g n ral du Gouvernement des risques de d gradation de la qualit de l information administrative diffus e aux usagers l chelon local La formation sp cia is e a en effet retir de ses travaux la conviction qu une d marche interminis t rielle structur e d am lioration l information admi nistrative est n ces saire et peut tre engag e en consi d rant trois pr
63. hotographie au profit d un tiers exception est 5V5 mations publi comme La Poste en vue de sa r utilisation par ce dernier D s ceptible de lors qu il ne ressort pas des l ments que vous avez fournis la commission que l agent aurait au del des dispositions de cet ques concerner les u article L 131 3 1 c d son droit d exploitation par contrat crit vres cr es Enfin la forma la R gion la r utilisation de ce document ne saurait tre des agents publics tion sp cialis e r gie par les dispositions du chapitre II du titre ler de la loi du dans le cadre de a recommand 17 juillet 1978 II appartient La Poste de solliciter l accord de l agent et de convenir avec lui le cas ch ant des modalit s leur fonction de mettre ces de cession du droit d exploitation dans les conditions de droit objectifs en commun du code de la propri t intellectuelle exergue dans le cadre du projet de portail d acc s aux informations publiques r utilisables da ta gouv fr conduit par la Mission talab Pour une meilleure articulation du droit d auteur des agents publics et du droit r utilisation Une r flexion interminist rielle appara t urgente afin de clarifier l articulation entre le droit d auteur des agents publics r sul tant de la loi du 1 ao t 2006 et le droit r utilisation affirm par la loi du 17 juillet 1978 Les agents publics peuvent en effet tre titulair
64. ilit analyti que ou de co ts complets une publica tion payante emporte Un ensemble de risques que la d cision devrait express ment cantonner La DILA pourrait offrir aux minist res une prestation de co dition avec les diteurs marchands Une licence de r utilisation m me gratuite des don n es publiques devrait tre d finie afin de rep rer les flux de cantonner les respon sabilit s et d valuer les pratiques Le Conseil d orientation contribue cons truire une doctrine de r utilisation des donn es publiques et formuler la position de la France dans les volutions de la r gle europ enne I conviendrait d inciter les minist res concern s par la publication num rique mieux afficher leur strat gie afin de s curiser moyen terme les op ra teurs priv s dont l investissement est autant un facteur de succ s p renne que celui de l tat Enfin il s agirait de concilier un accueil performant des contributions des scientifiques l dition scientifique afin d en assurer l valuation et la consolida tion d diteurs priv s sur un march tic ket d entr e tr s co teux et largement mondlialis 27 56 Evoluer vers une mutualisation gradu e Le Conseil d orientation animerait de ma ni re concert e un dispositif optionnel de mutualisation interminist riel en fonction des volumes d activit et des comp ten ces critiques n cessaires C la perfor mance direction d of
65. incipa les recommanda tions 1 Faire clore au sein des minist res id alement aupr s des secr taires g n raux fonction clairement identifi e de responsable de l information admi nistrative gt Ses principales mis sions seraient de fa on transversale au sein de chaque minist re 1 en rela tion avec les op ra teurs sous tutelle le graphisme ergonomie et la qualit du service apport pourra utilement repren dre quelques unes des pr conisations du Conseil en mati re de qualit de l information administrative cas ch ant de coordonner la produc tion de l information sa mise en forme vulgarisation lisibilit sa validation et sa mise disposition des canaux de diffusion Ainsi ce responsable serait par exemple en contact au sein de son minist re avec les directions m tiers la direction de la communication le webmestre 61 les cor respondants SOLON formulaires et circulai res 13 56 2 Mettre en place un dispositif interminis t riel de coordination et de responsabilit ditoriales dans lequel seraient notam ment impliqu s la DILA la DGME et le SIG Cette instance aurait pour principaux ob jectifs d accro tre les changes entre les princi paux producteurs d information adminis trative et leurs diffuseurs d offrir l usager pour certaines politi ques publiques au c ur de l actualit une information mieux articul e clai
66. ion Or la qualit des formats constitue l un des principaux d terminants du co t d appropriation de la donn e par le r utili sateur ce co t d appropriation se d finis sant comme l investissement n cessaire pour comprendre la nature le contenu et la signification des donn es par exemple compr hension de l architecture d une base de donn es 61 effectuer si n ces saire des traitements pr alables permet tant leur exploitation le cas ch ant au tomatis e Les travaux de la formation sp cialis e ont permis de confirmer non seulement que ce co t d appropriation peut constituer une barri re la r utilisation des informa tions publiques et favoriser des exclusivit s de fait mais encore que l impact de la qualit des formats sur le potentiel de r uti lisation est minemment variable selon la nature des donn es et les cas de r utilisa tion Dans cette optique la question de la qua lit des formats doit tre appr hend e de fa on extensive englobant la fois les aspects techniques des donn es codage syntaxe structuration s mantique etc leurs modes de diffusion voire l accompagnement des r utilisateurs pour la prise en main des donn es documen tation associ e une base de donn es complexe par exemple La l gislation relative la r utilisation des informations publiques ni la directive euro p enne n imposent d obligations aux ad ministrations d adapter les formats des
67. ist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Minist re de l ducation nationale Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche 51 56 VI 3 1 H Liste des personnes auditionn es par le rapporteur g n ral concernant les bonnes pratiques de l dition publique Formation sp cialis e Politiques de l dition publique Mme Mme Mme Mme M Pierre Sophie Jacques Jean Yves Philippe Christine Philippe Patrick Alain Lo c Renaud Sylvie V ronique Michel AUDIBERT BANCQUART BARAILLER CAPUL COSNARD DE MAZI RES DEBET DION FERNANDEZ GAUTIER LECHEVALIER LEFEBVRE MARC MELY MOSIMANN Directeur de la diffusion et de l action r gionale Pr sidente du groupe des diteurs scientifiques du SNE Directeur du Service des achats de l tat Sous directeur des technologies de l information et de la commu nication pour l ducation Sous directeur de l dition et de la production D l gu e g n rale Sous directeur des supports de la production et des v nements Service de la communication Secr tariat g n ral Directeur g n ral du Centre na tional de documentation p da gogique CNDP SCEREN Chef du d partement de la stra t gie et de la modernisation Secr tariat g n ral Sous directeur de la diffusion et de l administration lectronique Pr sident du groupe diteurs de droit du S
68. nfa examine les dis rubrique conditions commerciales travaux du Conseil d orientation R unis six reprises en 2010 partir de sa mise en place au printemps ce sont plus d une trentaine de partici pants d origine di verse qui ont apport leur expertise et leur exp rience sur des questions souvent com olexes sans que la diversit des int r ts ne nuise l efficacit des travaux De nom Le contenu des fichiers structure d finitions des w documentation technique positions de la loi du 17 juillet 1978 modifi e pour conclure qu elle reconnait bien un tel droit et pas une simple fa cult Avant toute commande nous tablissons un devis g acc der au formulaire choisissez commander 5 Exemple de donn es publiques r utilisables la base SIRENE de l INSEE Certains commentateurs ont avanc que la r daction de la loi pr sentait une ambi guit quant l existence d un droit la 8 16 56 r utilisation des informations publiques La formation sp cialis e a jug utile de clari fier rapidement ce point L article 10 de la loi n 78 753 du 17 juillet 1978 pr voit en effet que les informations figurant dans des documents produits re us par les administrations mentionn es l article 1er quel que soit le support peu vent tre utilis es par toute personne qui le soUhaite d autres fins que celles de la mission de service public pour les besoins de laquelle les doc
69. nistration En effet partir de l information publique initiale mise disposition doit se d velop per toute une cha ne de valeur ajout e permettant d innover 61 de cr er des nou veaux services ef produits de l emploi de la croissance De nombreux secteurs peuvent tre concern s notamment ceux de l conomie num rique La mise disposition des informations pu bliques rev t galement enjeu soci tal et culturel avec la r utilisation des don n es dans cadre non commercial par 6 des groupes citoyens associatifs OU par des chercheurs Ces enjeux s expriment particuli rement au niveau local o l acc s aux informations publiques et la possibilit de les r utiliser favorisent l exercice de la d mocratie et le d ve loppement de services au plus pr s des citoyens Aussi la formation sp cialis e a t elle re command qu en cas de modification de la loi de 1978 cet objectif de d veloppe ment conomique et de l innovation soit express ment mentionn dans l expos des motifs du projet de loi ef dans son rapport de pr sentation au Pr sident de la R publique Elle a aussi re command que Accord de l agent et mise disposition de don La formation sp cialis e a examin la question de l articulation de la loi n 78 753 du 17 juillet 1978 avec certaines disposi tions du code de la propri t intellectuelle CPI introduites par la loi n 2006 961 du ler ao t 2
70. ns anglaises 61 espagnoles de codes 61 lois fran ais Ces travaux 56 sont appuy s sur rapport de Philippe BELAVAL conseiller d tat dans lequel avaient t analys es en 2009 les causes de l interruption du programme commencer par la perspective du taris sement de son financement 81 les options possibles quant sa relance Le groupe de travail a profit des exp riences diversi fi es de ses membres composition en an nexe V 4 et des avis recueillis aupr s de diff rents intervenants susceptibles de trouver int r t la perspective d une re lance du programme liste des auditions en annexe VI 3 2 Sans chercher d finir d s aujourd hui le moindre d tail d un programme plurian nuel ambitieux et notamment d arr ter un choix de textes traduire ou de langues cibles ces travaux abouti des re commandations pr cises quant au conte nu de la premi re tape de relance du programme de traduction et aux l ments structurants des tapes qui pourraient sui vre Au del sa pr occupation t de d crire les conditions de mise en uvre d un programme coh rent et p renne E l ments de cadrage d un pro gramme de traductions Une analyse des principaux l ments d terminants pour la conception du nouveau programme t conduite objectifs moyens qualit diffusion r utilisation Les travaux se sont d abord attach s d finir les objectifs op rationn
71. ns g n rales permettant notamment de rappeler les conditions g n rales de r utilisation des informations publiques pr vues dans la loi exigence de non d natu ration non alt ration indication de la source et de la date de la derni re mise Jour d indiquer les responsabilit s de chacun sur la qualit des donn es fournies sur l usage qui en est fait rappeler l existence ventuelle de droits de propri t intellectuelle de l administration sans que cela puisse faire obstacle la r utilisation des donn es Une telle licence viendrait donc renforcer la s curit juridique des r utilisateurs et aussi permettrait d assurer tra abilit des informations pour notamment v rifier le respect de l article 12 de la loi La France n est pas la seule se poser la question le sujet des licences est gale ment pr occupation dans beaucoup d tats membres de l Union europ enne qui consid rent que m me dans le cas des r utilisations libres et gratuites une licence permet de s assurer du respect des conditions et de poser les limites quant la responsabilit l administration d apporter les pr cisions utiles quant II existe des droits de propri t intellectuelle de l administration notamment droit sui generis sur les bases de donn es la li cence portant alors cession des droits au sens du CPI Un certain nombre d observateurs vo quent la possibilit
72. num rique l usager et notamment sa mesure n 4 intitul e syst matiser la r utilisation des informations entre les administrations pour Qu est ce que be droit information 3 Le site internet gouvernemental sur la r forme des retraites de 2010 et le site du GIP Info Retraite La r flexion en Eee de Sr gag e rejoint en london de votre DNCOUTS largement les L retraitz m des usagers telles que la Direction g n rale de la modernisation de l tat a pu les tablir travers son pad nel et sa d marche d coute structur e les pr occupations expos es par le Ser vice d information du gouvernement SIG qui voque notamment son dispositif r dactionnel ainsi qu une distinction entre l information dite dlitorialis e du site gouvernement fr et celle dite administra tive gt reprise sur service public fr ou celles de la Direction de l information l gale et administrative DILA tr s directement 10 56 confront e aux enjeux et parfois aux diffi cult s par exemple avec la sph re so ciale de l alimentation et de l actualisation des informations reprises par le site service public fr L ensemble des membres du groupe de travail des personnes consult es s accordent sur trois principaux crit res de qualit de l information administrative pr cision fra cheur lisibilit Les crit res compl mentaires de
73. omique de la r utilisation L importance de l objectif conomique et social attach la r utilisation des don n es publiques justifierait qu il soit davan tage mis en exergue L ensemble de la formation sp cialis e s est accord pour consid rer que l objectif conomique et social du d ve loppement de la r utilisation des informa tions publiques est essentiel et doit gou verner les actions mises en uvre pour favoriser la r utilisation Cet objectif motive d ailleurs les disposi tions de droit communautaire en la ma ti re et a t express ment rappel dans les consid rants de la directive euro du 17 juillet 2003 L am lioration des possibilit s de r utilisation des informa tions manant du secteur public devrait notamment permettre aux entreprises eu rop ennes d exploiter le potentiel de ces informations et contribuer la croissance conomique et la cr ation d emplois consid rant 5 Si cet objectif n est pas inscrit dans l ordonnance 2005 650 du 6 juin 2005 modifiant la loi du 17 juillet 1978 car ce n est pas la vocation d un texte l gislatif la circulaire n 5156 SG du Premier ministre du 29 mai 2006 l a rappel la pr oc cupation de transparence administrative qui 9 inspir la loi du 17 juillet 1978 vient ainsi s ajouter un objectif de d veloppe ment conomique par meilleure valo risation des gisements de donn es dont dispose l admi
74. on des donn es publiques 12 05 2010 15 06 2010 20 07 2010 05 10 2010 17 11 2010 14 12 2010 47 56 VI LISTE DES PERSONNES AUDITIONN ES EN 2010 PAR LES TROIS FORMATIONS SPECIALISEES VI 1 H Formation sp cialis e Qualit de l information administrative des usagers Mme Mme Mme Mme Mme Mme Michel Magali Catherine Julien Alain Didier Anne Laure Albert Karen Lo c B n dicte Jean Emmanuel Christophe Astrid AUBOUIN BRABANT BRIGANT CERIOLI FERNANDEZ GAUTIER FRAN OIS LAGADEC LAUTMAN LE CHENADEC LECHEVALIER ROULLIER PAILLON PROU ROCHE Directeur de l accueil de l int gration et de la citoyennet Chef de la mission relations usa gers Membre du bureau permanent Chef du d partement de la stra t gie et de la modernisation Secr tariat g n ral Directeur adjoint Mission relations Usagers Sous directeur charg de mission Directrice du D partement D ve loppement num rique des territoi res Sous directeur Diffusion et Admi nistration lectronique Responsable du d partement des produits internet et de l administration distance Secr taire g n ral Charg de mission Charg e de mission simplification administrative Minist re de l Immigration de l Int gration de l Identit nationale et du D veloppement solidaire Caisse des d p ts et consignations
75. personna lisation renseigner l usager sur sa situation ses droits ses obligations ou ses d mar ches et de pro activit aller au devant de l usager devan ant si possible sa sollicitation ont galement t mis en avant Trois principaux crit res de qualit de l information administrative Pour autant la fonction infor mation administrative appara t comme faiblement structur e souvent miett e et rarement incarn e par un responsable nomm ment identifi Ainsi se lon les minist res elle semble tant t port e par la direction de la com munication tant t par les webmestres ces derniers relevant soit de la direction de la communication soit de la direction des syst mes d information quelquefois par les directions juridiques ou par un corres pondant au sein du secr tariat g n ral charg aussi de la modernisation et ou d assurer l interface avec service Public fr II n est pas rare que les directions m tier en leur qualit d mettrice de contenu prennent aussi place dans le dispositif Pour cette raison Un r seau des corres pondants information administrative n existe pas en tant que tel ce qui limite fortement les possibilit s d harmonisation ou de mutualisation des pratiques cet gard aucun des deux cercles informels sur lesquels prennent appui respective ment le SIG et la DILA ne r pond pleine ment aux objectifs de pilotage de la quali t
76. priorit concerner les sujets et les minist res forts enjeux pour le grand public parmi lesquels se trouvent les questions de droit du travail de fiscali t de scolarit de logement de d li vrance des titres ou encore de prestations sociales Dans la cha ne de valorisation de l information administrative l instance in terminist rielle aurait aussi pour mission de veiller la prise en compte des attentes des usagers l harmonisation des prati ques ef au partage des sources par exemple en suivant troitement la mise en uvre tendue du co marquage Enfin l ensemble des recommandations visant am liorer l information administra tive pourrait faire l objet d une circulaire du Premier ministre Cette derni re pourrait se donner pour objectif de rappeler les enjeux 61 de fixer Un cap en mati re de qualit de l information administrative de pr ciser l organisation des travaux interminist riels pour atteindre les objectifs ainsi d finis notamment la mise en place des responsables minist riels de mandater le Conseil pour assurer le suivi de la mise en uvre de tout ou partie des recommandations formul es par la formation sp cialis e Recommandations adopt es en 2010 R unis en formation pl ni re le 25 novembre 2010 les membres du Conseil d orientation ont adopt les projets de recommandations pr sent s par la forma tion sp cialis e et sont convenus de pr
77. r la per d rer comme une formance de la te blication de gt l Etat met disposi tion quel que solt l Etat son degr d laboration Dans le cadre de Te ta pubad aa la publication pa sa mission pier oU num rique d orientation de comme la mise en l dition publique le D igne rel vent des sent CEM m mes crit res de Ia RS performance Une esquelles les minis TES fonction de publi t res publient afin qu cation tous sup d en relever les ports toutes cibles bonnes pratiques et tous niveaux de PIOPOSE leur de la publication de l tat a t adopt g n ralisation par le Conseil d orientation lors de sa Premier ministre r union pl ni re du 25 novembre 2010 L ensemble des recommandations auxquelles ces travaux ont abouti s appuie sur une pratique cons tat e au moins dans un minist re liste des auditions en annexe IV 3 Les travaux de la formation sp cialis e ont t synth tis s dans le rapport pr sent M Alain Roland KIRSCH contr leur 7 Le rapport sur la performance d laboration mar chande ou pas paru tre le champ significatif de cette recherche de performance Les crit res de performance pour cette fonction de l tat m ritent de m me une actualisation Ainsi l activit d dition des administrations et des tablissements pu blics de l tat est principalement enca
78. ral de la modernisation de l Etat Directeur du budget 2 CES KE POLI LI gt R PUBLIQUE FRAN AISE DU DE LA SANT MINIST RE DES SOUIDARIT S ET DE LA COH SION SOCIALE Libertd gal r Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE B 17 MINISTERE DE ENSEIGNEMENT IP RIEUR ET DE LA RECHERCHE L 5 lt i 12 515 1 ET DIX C X ES CRUA T A S FR Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE ommunication MINISTERE DU RUES bii EF BE L FENCFSN F SLIQUE N COMPTES 8 II DE LA FOSLIQUE DIRECTION DU BUDGET Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 Membre s qualit D cret n 2010 32 du 11 janvier 2010 837 56 20 21 22 Mme Mme Mme Xavier Claude Mari
79. rant s il le faut la distinction et la chronologie entre l intention de r forme le d bat pu blic in fine l inscription de la nouvelle r glementation dans son contexte l instar de ce qui existe en Finlande ou au Royaume Uni d viter la d perdition d nergie qui r sulte aujourd hui d une approche frag ment e la fois dans l animation des por tails mais galement au sein m me des minist res Il s agit aussi de rechercher une meilleure compl mentarit et d exploiter toutes les possibilit s de mutualisation 06 n ration ou reprise de contenu comp tence r dactionnelle r utilisation multi canal etc Ce dispositif serait galement charg d organiser la mutualisation des ressources ditoriales de l tat en mati re d information administrative en tablissant par minist re Une cartographie d taill e des principaux metteurs ou lieux de r daction de cette information administra tive en vue de constituer des centres de ressources r dactionnelles identifi s et p rennes d veloppant des techniques communes d information Ces centres de ressources ditoriales seraient appel s alimenter progressivement l ensemble des sites de l tat dans le cadre de l extension du co marquage y compris l chelon local 3 Partager les sources entre administra tions et mettre en uvre plus syst mati quement une r utilisation des informations administratives Cette action doit en
80. rendre en compte le besoin expri m par certains producteurs de donn es et des r utilisateurs d avoir une licence quand les donn es sont mises disposition titre gratuit mais sont soumises des conditions particuli res La question de l anonymisation des donn es Sensible aux diffi cult s naissant de la mise disposition et de la r utilisation d informations publi de s curiser beuvent faire l objet d une r utilisation soit lorsque la per ques comportant r utilisation des sonne int ress e a consenti soit si l autorit d tentrice des donn es cad informations pu est en mesure de les rendre anonymes ou d faut ract re personnel la bliques par la mise uvre des conditions d anonymisation si une disposition l gislative ou r glemen taire le permet article 13 Elle ajoute que La r utilisation d informations publiques EOF comportant des donn es caract re personnel est 50 g n rales pordonn e au respect des dispositions de la loi n 78 17 du formation sp ciali s e entrepris l tude de la ques tion de leur anony r es par l APIE en 6 janvier 1978 relative l informatique aux fichiers et aux misation concertation libert s avec les minist res Le d cret n 2005 1755 du 30 d cembre 2005 pr cise que En effet de nom et les repr sen lorsque la r utilisation n est possible qu apr s anonymisa breuses administra tants d
81. s une importante recommandation relative aux conditions de r utilisation des donn es caract re personnel contenues dans des documents d archives publiques d lib ration 2010 460 du 9 d cembre 2010 Les travaux sur cette question se poursui vent en 2011 a keolis rennes com LES DONN ES TRANSPORT DE RENNES M TROPOLE EN ACC S LIBRE 1 Cartes disponibles Actualit s raf 7 e diii pe ag Ce z QUES 6 Quelques exemples d informations publiques mises disposition par des administrations minist re de la Justice Loir et Cher Rennes minist re de l cologie et de services d velopp s par des entreprises priv es en r utilisant des donn es publiques ditions Lamy Navx Approche conomique ana lyse de la cha ne de valeur de la donn e publique La formation sp cialis e s est attach e en 2010 bien comprendre le contexte de la r utilisation des informations publiques avant d entamer une analyse de la chaine de valeur qui devrait d boucher sur des conclusions en 2011 Gr ce la diver sit de ses mem bres la formation sp cialis e avoir des changes parti culi rement ri ches nourris par les exp riences crois es des pro ducteurs de donn es servi ces publics et li des profession 2 nels de la r utili sation des infor mations oubli Une plate forme d partem d di e l information terri
82. s enjeux conomiques et so ciaux de la r utilisation des informations publiques la question de la qualit des formats et des conditions de mise dispo sition des donn es publiques fasse l objet d une r flexion particuli re dans les admi nistrations afin d examiner en fonction des moyens disponibles les am liorations pou vant tre progressivement apport es Dans Un premier temps la formation recommand que les administrations iden tifient en fonction notamment des de mandes adress es par les r utilisateurs les donn es ayant un fort potentiel de r utili sation mais dont le format constitue frein afin de d terminer des priorit s d adaptation op rer en fonction des moyens budg taires disponibles Les inves tissements n cessaires pourront dans les limites impos es par la loi pr cit e tre pris en compte pour la fixation des rede vances de r utilisation Un tel m canisme permettrait de cr er cercle vertueux favorisant l mergence d une conomie de la r utilisation des informations publi ques tout en assurant Un gal acc s aux donn es La formation ensuite recommand que les administrations prennent en consid ra tion les probl matiques de format et de conditions de mise disposition aux fins de r utilisation lorsqu elles font voluer leurs syst mes d information Dans le respect du cadre fix par le r f rentiel g n ral d interop rabilit RGI adopt
83. s ignorer ils ont tout gagner dis poser d une enceinte permettant de mu tualiser des exp riences et d exprimer attentes ou mises en garde Pluralit enfin de l objet Le Conseil ne sau rait se borner tre lieu d changes et de d bat II doit permettre au Premier ministre de disposer de propositions concr tes dans des mati res dont l enjeu interminis t riel est vident Et ces propositions doi vent concilier le souci de modernisation de l tat la volont de r pondre aux attentes des citoyens et des entreprises et la n cessit de r sorber le d ficit public Le Conseil a r ussi son d marrage II a su trouver les angles d attaque pertinents se donner des m thodes de travail effica ces I concile la hauteur de vues et le souci d tre concret la rigueur et le prag matisme Cette mise en route on la doit la qualit des membres qui constituent le Conseil Michel PINAULT dont la pr sidence qui allie un v ritable investissement sur le fond des travaux avec le souci constant d une organisation efficace a su d embl e cr er une dynamique Olivier CAZENAVE vice pr sident et la phalange des pr si denis 61 rapporteurs des formations 506 cialis es dont le travail de r flexion et de proposition nourrit le Conseil et lui permet de traiter de front la diversit de ses sujets l ensemble des participants qui ont bien VOUIU se pr ter une enrichissante confrontation d
84. se en uvre de l article L 131 3 3 du code de la propri t intellectuelle 8 Respect de conditions g n rales de r utilisation en l absence de ta rification Soucieuse de s curiser la r utilisation des informations publiques la formation sp cialis e a recommand de recourir aux conditions g n rales de r utilisation actuellement labor es par l APIE et de ne pas utiliser les licences Creative Com mons La formation sp cialis e s est interrog e sur la possibilit ou la n cessit d une li cence en l absence de tarification L article 16 de la loi de 1978 pr voit qu une licence est obligatoire quand il y a redevance Lorsqu elle est soumise au paiement d une redevance la r utilisation d informations publiques donne lieu la d livrance d une licence Mais elle ne s oppose pas la d livrance d une li cence en cas de r utilisation gratuite de l information D ailleurs la circulaire du Premier ministre du 29 mai 2006 indique qu il n est pas interdit l administration d utiliser galement des licences en cas de mise disposition gracieuse Or on observe en France depuis plusieurs mois Un d bat sur la question des licences libres pour la r utilisation des informations oubliques quand il n y a pas de redevan ces Beaucoup de r utilisateurs mais 890 lement de producteurs souhaitent en effet la mise en place d une licence de ce type quivalente des conditio
85. t du service rendu l usager Il re met chaque ann e au Premier ministre un rapport sur l activit des administrations de l tat en ces mati res Sa premi re richesse est sa composition le Conseil d orientation r unit en effet les responsables des principales administra tions concern es les repr sentants d organismes professionnels et d associations actifs dans ces secteurs 4 1 Michel PINAULT avec le renfort de personnalit s qualifi es dans les domaines de la diffusion l gale de l dition publique et de l information administrative La diversit des membres du Conseil d orientation et la qualit des participants aux travaux que nous menons conf rent nos analyses et recommandations une originalit et Une valeur ajout e essentiel les au accomplissement de notre mis sion aupr s du Premier ministre Je salue galement ici l engagement d termin du Secr taire g n ral du Gouver nement dont l appui s est av r d cisif en cette premi re ann e de vie 59 _ Etre pragmatique et efficace tre pragmatique efficace est notre pr occupation perma nente Sur les sujets de la comp tence du Conseil d orientation je crois qu il convient de nous garder de la tentation naturelle d une discus sion trop abstraite qui ferait perdre de vue l objectif d aide la d cision Aussi notre d marche se veut elle la plus souple L organisation de nos travaux vise
86. taire de la mutualisation gradu e qu a propos e la formation sp cialis e Un club des responsables de communica tion interne pourrait laborer un r f rentiel commun et mettre en place des actions mutualis es Un texte unique pourrait re grouper des dispositions revisitant les cas O le support papier est impos par texte afin d autoriser Une volution pro gressive dans le temps le champ De m me le r gime juridique de la publica tion en ligne de donn es nominatives pourrait il tre r vis afin de limiter davan tage encore le recours obligatoire au pa pier et d organiser les protections ou gad ranties ventuellement n cessaires L Institut national de la statistique et des tudes conomique INSEE pourrait tre charg de proposer au Premier ministre la pr figuration d un portail statistique unique et ses liens avec les sites minist riels th matiques La DILA avec le minist re des Affaires trang res pourraient tre charg s d apporter Un appui conceptuel aux mi nist res g rer un march cadre de tra duction voire allouer des dotations aux op rations jug es prioritaires Une veille des applications de l internet dans les ac tivit s des administrations serait utile La DILA pourrait solliciter le d partement de l conomie num rique la Direction g n rale de la modernisation de l tat afin de l organiser et le cas ch ant coordonner des exp rimenta
87. tation de la pr sen tation sur le site L gi france VA DU PAU C DIGOS Y TEXTOS j sin e AVEC b CODE Un comit de pilo tage apte pr pa rer sous l autorit du SGG et du cabinet du Premier ministre les choix strat giques et notamment arr ter les projets conduire leur programmation leurs modalit s d organisation et les ressources qui pour ront tre r f renc es P COMMERCIAL CODE b PENAL CODE t Legislative Fart Regulary Part b CONSUMER Legislative Part Un r seau d experts charg s d clairer les responsables du programme aux diff rents stades du contr le de qualit la Fondation pour le droit continental qui serait op ratrice de la collecte de fonds et de l organisation des travaux de traduc tion le Conseil d orientation de l dition pu blique et de l information administrative auquel des bilans d tapes r guliers se raient pr sent s CODE OF CRIMINAL PROCEDURE b INTELLECTUAL PROPERTY CODE b LAN ON SUBCONTRACTING n 75 1334 Regulatory Part Council of State decrees Regulatory Part Simple Decrees 9 Ancienne pr sentation sur L gifrance des codes issus du premier programme de traduction conduit de 2000 2006 P MONETAF Action 2 constitu D INSURAN tion du comit de CODE OF pilotage du pro lt ENVIRON gramme PUBLIC Action 3 constitu tion d un r seau de responsa
88. tratives quel que soit leur support l information et le renseignement admi nistratifs la mise disposition des donn es publi ques I veille la bonne allocation des moyens et la qualit du service rendu l usager I remet chaque ann e au Premier ministre un rapport sur l activit des administrations de l tat en ces mati res H Article 2 Le conseil d orientation comprend 1 Un membre du Conseil d tat et un membre de la Cour des comptes 2 Le secr taire g n ral du Gouverne ment D CRET 2010 32 DU 11 JANVIER 2010 INSTITUANT UN CONSEIL D ORIENTATION DE L EDITION PUBLIQUE ET DE L INFORMATION ADMINISTRATIVE Le secr taire g n ral du minist re de l cologie de l nergie du d veloppe ment durable et de la mer Le secr taire g n ral du minist re de la justice et des libert s Le secr taire g n ral du minist re de l conomie de l industrie et de l emploi et du minist re du budget des comptes pu blics de la fonction publique et de la r forme de l tat Le secr taire g n ral du minist re de l int rieur de l outre mer et des collectivit s territoriales Le secr taire g n ral des minist res char g s des affaires sociales Le secr taire g n ral du minist re de l ducation nationale et du minist re de l enseignement sup rieur et de la recher che Le secr taire g n ral pour l administration du minist re de la d f
89. u programme par des financeurs priv s et la visibilit et p rennit du programme titre principal l laboration et la mise en ligne de traductions de haute qualit de pans coh rents du droit effectu es sous le contr le des instances de pilotage du programme en r gle g n rale dans deux versions linguistiques au moins et avec un objectif d actualisation r guli re en outre titre compl relev que la r ali mentaire le r f sation de traduc rencement avec tions par les servi l accord des per 7 ces minist riels de sonnes qui en ont traduction pourrait eu l initiative de contribuer au pro ressources publi SP Port du ro gramme sans ques voire priv es do n Programs Mise l avan qu elle puisse ce de traductions qui Sons sur pendant consti seraient libres de tuer une r ponse droits pour lesquel Se unique les vaudraient cer ma tes des exigences Le groupe de tra de qualit mais sans ie vail a d autre part que le plurilinguisme examin l exi ni l exigence E gence de qualit d actualisation r gt L rapportsurta lon ce retenir pour la guli re constituent duction du droit a t adopt diffusion de tra des exigences aussi par le Conseil d orientation ductions sur L gi lors de sa r union pl ni re du 25 novembre 2010 france concluant fortes que pour le
90. uments ont t produits re us Les limites et conditions de cette r utilisation sont r gies par le pr sent cha pitre m me si ces informations ont t obtenues dans le cadre de l exercice du droit d acc s aux documents administratifs r gi par le chapitre ler Plusieurs l ments tendant confirmer l existence d un droit la r utilisation des informations publiques dans les conditions pos es par la loi ont t soulign s le rapport au Pr sident de la R publique du projet d ordonnance en 2005 avait indiqu que le projet pose le principe de la libert de r utilisation des informations pu bliques a circulaire du Premier ministre du 29 mai 2006 note que l ordonnance du 6 juin 2005 consacre un droit la r utilisation des in formations publiques la Commission d acc s aux documents administratifs CADA en charge de l application des dispositions de la loi en mati re de r utilisation voque aussi sans ambigu t ce droit tant dans ses avis que dans ses pr sentations ou publications Au regard de ces l ments la formation sp cialis e a estim qu une modification des textes en vigueur n tait pas v rita blement n cessaire sur ce point Ce droit r utilisation pourrait tre confir m le cas ch ant l occasion d une modification l gislative qui r sulterait de la r vision de la directive europ enne 8 Reconnaissance de l objectif de d veloppement con

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