biologie et physiologie cellulaires, biologie m
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1. dans l ensemble assez bien r ussie Il faut noter n anmoins que les caract res d hydrophyte sont rarement cit s de mani re satisfaisante les figur s conventionnels sont mal ma tris s pour la repr sentation des diff rents tissus le sch ma de la coupe transversale propos e n est pas la transcription fid le de l observation t56 Ce dernier d faut se retrouve dans le dessin de daphnie demand au d but de la seconde partie Manifestement les candidats pr f rent dessiner en utilisant leur m moire plut t que de partir des faits d observation Par ailleurs cette seconde partie met en vidence l oubli quasi syst matique d un titre et d une chelle accompagnant le dessin une utilisation encore tr s g n rale des termes de l ancienne classification une technique de diagnose non ma tris e la difficult traduire un protocole exp rimental sous forme sch matique La troisi me partie montre que tr s peu de candidats savent ce qu est la DBO5 et font preuve d un recul suffisant par rapport des donn es En effet le tableau propos ne devait pas faire l objet d une paraphrase mais d une mise en relation conduisant au diagnostic d une vidente eutrophisation Une quinzaine de candidats seulement semble conna tre ce processus et uniquement deux ou trois copies le d crivent correctement 5 6 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE OPTION C pour les candidats ayant choisi l option A ou B 5 6 12. 5 COMMENTAIRES DES EPREUVES PRATIQUES 5 1 Travaux pratiques d option A biologie et physiologie cellulaires biologie mol culaire leur int gration au niveau des organismes 5 2 Travaux pratiques d option B biologie et physiologie des organismes et biologie des populations en rapport avec le milieu de vie 5 3 Travaux pratiques d option C sciences de la Terre et de l Univers interactions entre la biosph re et la plan te Terre 5 4 Travaux pratiques de contre option A pour les candidats des secteurs B et C 5 5 Travaux pratiques de contre option B pour les candidats des secteurs A et C 5 6 Travaux pratiques de contre option C pour les candidats des secteurs A et B 48 5 1 TRAVAUX PRATIQUES D OPTION A Biologie et physiologie cellulaires biologie mol culaire leur int gration au niveau des organismes 5 1 1 Sujet dur e totale 6 heures Voir le sujet annex concernant l preuve pratique portant sur la sp cialit A 5 1 2 Commentaires du jury Premi re partie Il s agissait de fixer de colorer puis d observer au microscope des cellules pith liales en culture trait es par diff rents facteurs de croissance et cytokines num rot s 1 2 3 et 4 Certaines solutions devaient tre pr par es par le candidat La quasi totalit des candidats a effectu le travail pratique de mani re satisfaisante De m me les observations au microscope ont g n ralement t pr cises et r alistes Deuxi m
3. preuve pratique portant sur la sp cialit C 5 3 2 Commentaires du jury Le premier exercice portait sur le traditionnel exercice de la coupe g ologique Sa r alisation aurait du permettre de souligner la pr sence d un syst me de plis pouvant tre chevauchants ou faill s Cette coupe proposait galement d interpr ter des surfaces de d collement li es la pr sence de niveaux triasiques disharmoniques A l instar des ann es pr c dentes de trop nombreux candidats n ont pas r ussi cet exercice en r alisant des coupes incompl tes voire b cl es Une nouvelle fois le jury d plore que des candidats inscrits dans cette preuve de sp cialit ne sachent pas appliquer des r gles de base de la coupe g ologique comme celle qui consiste d finir le pendage d une surface g ologique partir de son contour comme le permettait par exemple celui passant par le col du Charbonnier NE de Cotignac Le second exercice visait associer observation et raisonnement simple en g ochimie La lame fournie correspondant l chantillon photographi ne pr sentait pas de difficult majeure l exception d un syst me de fractures occup par de la serpentine reconnue par de nombreux candidats Si l olivine tr s abondante ainsi que le grenat ont t en g n ral identifi s la coexistence de clinopyrox ne et d orthopyrox ne a pos quelques difficult s ainsi que l identification de la phlogopite Si le mica a t r guli
4. rement rep r il a t d crit comme phengite ou muscovite alors que son pl ochro sme et la min ralogie devaient guider vers son identification Plusieurs candidats ont de toute vidence consid r le grenat comme un min ral du m tamorphisme au sens habituel du terme et ont trouv d autres min raux m tamorphiques tel que le disth ne en association avec de l olivine De telles erreurs auraient pu tre vit es en r fl chissant sur la chimie du milieu partir des min raux principaux qui sugg rent une composition peu alumineuse et sans doute magn sienne On regrettera que certains candidats puissent proposer la coexistence d olivine et de quartz Une origine de la roche n a t que tr s rarement propos e La provenance Afrique du Sud et la fracturation n ont pas guid les candidats de rarissimes exceptions pr s vers les kimberlites Quelques candidats ont tent de tirer parti de la pr sence de grenat et estim que la roche provenait du manteau inf rieur Les calculs g ochimiques ont t correctement r alis s Les explications sur l volution des concentrations en Ce Lu et des terres rares en g n ral au sein des liquides ont t laborieuses m me si la majorit des candidats semblent conna tre le comportement de ces l ments traces La question sur l anomalie en Europium n a que rarement donn lieu une r ponse satisfaisante qui t53 devait d finir ce que l on appelle anomalie
5. Sujet dur e totale 2 heures Voir le sujet annex concernant l preuve pratique portant sur la contre option du secteur C 5 6 2 Commentaires du jury L preuve pratique de contre option c s organisait autour de quatre exercices permettant de valoriser les qualit s des candidats dans quelques uns des principaux domaines de la g ologie La conception de cette preuve montre l attachement du jury l analyse et l exploitation des supports concrets et classiques repr sent s ici par la carte g ologique et par les chantillons p trologiques parties I et IV Elle tait aussi destin e montrer la n cessit de ma triser convenablement certaines m thodes fond es sur le traitement d analyses parties Il et 111 Ces deux parties devaient tester la fois l aisance des candidats sur certaines notions fondamentales tablissement d une formule structurale et leur capacit envisager de mani re plus quantitative et plus pr cise certains ph nom nes La compr hension r elle des objets et des ph nom nes impose souvent le recours des outils simples de physique chimie et ou de math matiques que l tudiant candidat un concours scientifique ne peut ignorer preuve de cartographie L tude cartographique propos e visait faire appara tre les grands traits de la structure d un socle m tamorphique et granitique et proposer une chronologie relative des v nements ayant conduit la mise en place de
6. du d but du Barr mien sup rieur H54 Le jury a t une nouvelle fois surpris du niveau tr s faible de certains candidats qui ont choisi l option C et ont malgr ce choix normalement r fl chi fait preuve d une incapacit tonnante r pondre des questions de base en s dimentologie Le quatri me exercice de tectonique portait sur la r gion de Sumatra La premi re s rie de questions visait associer les m canismes au foyer observ s aux trac s des failles actives visibles en surface et dans la bathym trie L identification des diff rents types de m canisme a t en g n ral satisfaisante par contre la comparaison avec la tectonique s est av r e plus hasardeuse Par exemple de nombreux candidats n ont pas su choisir le plan de faille associ la subduction sur le crit re du pendage La d termination du m canisme au foyer du s isme de Sumatra partir des polarit s a t souvent catastrophique apparemment de nombreux candidats n ont aucune notion de la construction d un m canisme au foyer ni m me quelquefois de l utilisation d un canevas Par ailleurs lorsque le m canisme a t correctement construit une importante proportion de candidats a choisi le mauvais plan de faille La deuxi me s rie de questions portait sur la cin matique r gionale On attendait que les candidats estiment la direction de la contrainte maximale o1 sur la base de sa compatibilit avec les m canismes i
7. la justifier sur les tats de valence de l Europium et dire quels min raux sont consid r s comme responsables de celle ci Leur absence dans la roche devait conduire l absence d anomalie dans le liquide La derni re question na donn lieu qu des r ponses acad miques ne faisant appel aucune mobilisation de connaissances Le taux de 30 de fusion a t rejet car trop lev on sait que les taux de fusion les plus lev s sont de l ordre de 20 La question mettait l accent sur le caract re modal Aucun candidat n a indiqu que la fusion ne peut tre modale except dans des conditions exceptionnelles de composition de la roche composition eutectique ou fait r f rence un diagramme de phase De trop rares r ponses ont signal que le liquide et le solide r siduel tendent se s parer pour des raisons de densit et que cette s paration devient de plus en plus probable lorsque le taux de fusion augmente Le troisi me exercice tait divis en sept questions chacune tant bas e sur le Barr mien de la carte de Mens au 1 50 000 Le fragment de carte joint et sa l gende permettaient aux candidats de conna tre le contexte s dimentaire dans lequel se trouvaient les chantillons et les photographies propos s Il tait possible de voir sur la carte qu il s agissait de calcaires bioclastiques n4a2b calcaires bioclastiques lit s ou massifs et de calcaires argileux n4a2 calcaires argileux gris Il es
8. la structure observ e L tude de l unit de la Br venne conduit analyser la g om trie de la foliation m tamorphique S1 dont on note la direction NNE SSW NE SW les pendages relativement forts et changeants vers le NW ou vers le SE ce qui atteste d une foliation pliss e L unit pr sente par ailleurs des chevauchements internes tous vergence SE et de direction NE SW parall le la foliation r gionale On note la pr sence d une faille NE SW sub verticale limitant un bassin s dimentaire carbonif re L unit est enfin affect e par un r seau de failles verticales le plus fr quemment de direction NW SE et recoupant les structures pr c dentes L unit de la Br venne appara t finalement comme une s rie de m tavolcanites acides et basiques foli es avec des chevauchements internes de m me direction que la foliation L unit des Monts du Lyonnais montre une foliation r gionale pliss e de m mes caract ristiques g om triques que celle de la Br venne on peut alors formuler l hypoth se d une structuration des H57 deux unit s par au moins un v nement tectono m tamorphique commun La comparaison avec l unit de la Br venne conduit aussi noter l absence de chevauchements internes dans l unit des Monts du Lyonnais et la pr sence au voisinage de la limite des deux unit s du r seau de failles tardives Le granite de Saint Laurent de Chamoussset ne montrait ni foliation r gionale ni cheva
9. a r alit a t valu e en salle il est regrettable que certains candidats aient reproduit un dessin appris par c ur pour la coupe de feuille de Laurier par exemple au lieu d observer et d identifier la position des tissus sur la coupe qu ils ont tudi e Trop nombreux sont aussi les candidats qui ignorent la diff rence entre un dessin de d tail qui suppose de repr senter avec soin quelques cellules d une crypte stomatif re par exemple et un sch ma d interpr tation La m connaissance des figur s conventionnels des tissus est galement surprenante ce niveau universitaire La r daction des conclusions d gageant l adaptation des v g taux tudi s leur milieu de vie a bien souvent manqu de concision il ne fallait pas r diger de longs d veloppements sur l quilibre hydrique mais plut t mettre en relation d une fa on claire les caract res structuraux visibles sur les coupes et les caract ristiques physiques des milieux de vie qui devaient tre connues des candidats B Mesure du potentiel hydrique du parenchyme de tubercule de pomme de terre La notion de potentiel hydrique n est toujours pas ma tris e par la quasi moiti des candidats pour bon nombre d entre eux elle se limite la composante osmotique de ce dernier L exp rimentation propos e avait pour but d estimer le potentiel hydrique du tubercule de pomme de terre en mesurant des changements de taille de frites plac es d
10. ans diff rentes solutions de saccharose de potentiel osmotique connu A l quilibre le flux net d eau tait nul ceci permettait d estimer le potentiel hydrique du tubercule partir du calcul du potentiel osmotique de la solution de saccharose pour laquelle l quilibre des potentiels tait atteint Les valeurs num riques obtenues par un grand nombre de candidats montrent qu ils n ont pas manipul soigneusement le jury a vu des candidats essuyer les frites avec du papier absorbant avant de les placer dans les solutions de saccharose alors qu ils voulaient en estimer le potentiel hydrique Il L eau un milieu de vie II A Etude pratique d une branchie de lamellibranche Cette partie ne posait priori aucune difficult il fallait appliquer le protocole et manipuler soigneusement et habilement Les r sultats sont pourtant d cevants pour plus de la moiti des candidats Dans l ensemble on note un manque de connaissances des structures et du fonctionnement des branchies un manque de pr cision dans l observation et sa repr sentation confusion entre dessin d observation et sch ma d interpr tation manque de pr cision dans le trait l gendes souvent incompl tes chelles absentes ou erron es des difficult s dans l orientation des dessins Tout ceci traduit une connaissance au mieux livresque du plan d organisation d un lamellibranche Il B La respiration chez un T l ost en 1 Etude anato
11. artilage avec des globules rouges 3 L entretien du flux d eau Les courbes propos es ne pr sentaient aucune difficult d interpr tation pour qui connaissait les modes de ventilation branchiale des T l ost ens flux p riodique basse vitesse et flux continu grande vitesse Le co t en oxyg ne de la respiration nage lente devait tre clairement d gag Quelques interpr tations surprennent pour certains grande vitesse le maquereau est mort puisque ses opercules ne fonctionnent plus mais pour d autres il est en apn e 4 1 La loi de Fick Les expressions sont correctes pour une bonne moiti des candidats Ailleurs elles sont incompl tes et les termes mal explicit s formules sans AP ou AC Le contre courant est tr s souvent cit mais l importance du renouvellement des deux fluides circulations d eau et de sang est rarement impliqu e dans le maintien des diff rences des pressions partielles On a pu lire des confusions surprenantes loi de Laplace loi de Poiseuille loi de Fick incluant la constante de Planck 4 2 Les caract ristiques du milieu aquatique Bien que figurant clairement au programme elles sont rarement connues et reli es la vie des organismes aquatiques A titre d exemple le caract re porteur pouss e d Archim de est reli la raret ou l absence de tissus de soutien chez les v g taux Elod e mais pas l abondance des particules en suspension si importante pour un ani
12. atical total allant dans nombre de cas n gliger tout accord en genre et en nombre des adjectifs ou des participes pass s souvent confondus il est vrai avec des infinitifs Epreuve de radiochronologie On attendait une pr sentation de la m thode SRb Sr et l tablissement de l quation avec le recours justifi de la prise en compte du Sr que l on montrait indispensable pour obtenir l ge Les caract res contemporains et cog n tiques des chantillons ainsi que l absence d alt ration n cessaire au maintien d un syst me ferm sont des conditions attendues auxquelles doivent r pondre les chantillons Le trac de la courbe permet alors l estimation du coefficient directeur de la droite isochrone environ 0 005 ce qui correspondait un ge d environ 350 Ma L intersection avec l axe des ordonn es donnait la valeur du rapport initial P Sr Sr 0 710 ce qui signait une origine crustale des granites en accord par ailleurs avec les hypoth ses formul es dans la question pr c dente Cette partie a t sommairement trait e l quation demand e n est que trop rarement justifi e alors qu elle s inscrit dans le programme de la classe de Terminale S Les erreurs de calcul sont nombreuses ce qui traduit une absence pr judiciable d habitude au maniement quantitatif des donn es Tr s peu de candidats connaissent finalement la signification du rapport initial Epreuve de min ralogie I
13. cteur 3 avait un effet apparemment tr s drastique et que au contraire le facteur 4 exer ait tr s peu d effet nous attendions surtout que l on nous propose une analyse cin tique de l effet des facteurs et l utilisation d une gamme de concentration des facteurs Le manque de r activit des candidats sur ce type de question r v le des lacunes dans leur formation exp rimentale pourtant indispensable en biologie Troisi me partie En tant que telle cette partie a t trait e correctement En revanche peu de candidats ont mis en relation les informations apport es ici avec leurs propres conclusions issues des parties 1 et 2 Quatri me partie Dans cette partie les r sultats exp rimentaux propos s ont souvent t d crits correctement mais non interpr t s N anmoins au travers de cette analyse de l effet cin tique du facteur 3 la plupart des candidats ont compris la raison pour laquelle leur bo te de cellules trait es par le facteur 3 tait vide 49 Cinqui me partie La quasi totalit des candidats ont su reformuler les hypoth ses test es dans cette derni re partie sous forme d un sch ma comme il tait demand En revanche l interpr tation des exp riences d incorporation de BrdU a souvent t erron e car bien qu il ait t mentionn dans le texte que la BrdU est un analogue de thymidine beaucoup l on prise comme un marqueur de transcription Pour ce qui tait des exp riences utilisa
14. deur d un exc s d azote augmentation de la pression partielle en azote est due l excr tion d azote par le dytique et l animal doit remonter en surface rejeter l exc s d azote qui devient toxique l animal pratique aussi l apn e et ou la respiration trans t gumentaire H52 lll Diagnoses Cet exercice a montr une grande disparit dans les connaissances des candidats et une plus ou moins grande facilit d identification selon les chantillons Il n y avait pourtant aucun pi ge et tous les sp cimens propos s taient tr s communs Un des moins bien reconnus est la myriophylle On a pu noter de grossi res erreurs confusion entre la massette Typha latifolia et le ma s ou le jonc Joncus effusus et le poireau Lorsque la reconnaissance pr cise fait d faut de nombreux candidats montrent une r flexion convenable sur l appartenance syst matique Sans entrer dans une classification exhaustive il convient de placer l organisme dans une unit significative et actuelle de la classification Le milieu de vie tait attendu mais il tait inutile de pr ciser le mode de vie de l organisme concern Parfois un m me chantillon montrait plusieurs esp ces les renseignements taient attendus pour chacun d eux 5 3 TRAVAUX PRATIQUES D OPTION C Sciences de la Terre et de l Univers interactions entre la biosph re et la plan te Terre 5 3 1 Sujet dur e totale 6 heures Voir le sujet annex concernant l
15. e partie Le colorant utilis est soluble dans l acide ac tique Il tait donc propos aux tudiants de reprendre le colorant dans un volume donn d acide ac tique puis de proc der une mesure d absorbance Cette m thode permettait un comptage relatif des cellules ce que la quasi totalit des candidats a compris Il tait demand aux candidats de concevoir leur protocole de mesure d absorbance dans les r gles de l art La plupart des candidats ont proc d des mesures en duplicat ou triplicat ou mieux encore des gammes de dilution sans oublier de faire un blanc Cependant beaucoup de candidats ont cru bon de r aliser aussi une gamme de dilution de la solution m re de colorant comme courbe talon mais de quoi Si les mesures d absorbance ont t r alis es correctement en revanche l exploitation des r sultats s est av r e m diocre Dans le cas de mesures r alis es en duplicat ou triplicat quasiment aucun candidat n a effectu un calcul de la moyenne des valeurs et de l cart type pourtant la calculatrice fournie avec son mode d emploi le permettait Parmi ceux ayant opt pour une gamme de dilutions tr s peu ont calcul le coefficient directeur de chaque droite obtenue Cependant la plupart des candidats ont correctement interpr t les r sultats qui taient assez vidents Peu de candidats ont montr comment les observations et les mesures pouvaient tre rendues plus fiables Vu que le fa
16. e tr s faible Il est impardonnable de se tromper sur la vergence de la subduction Par ailleurs seules deux copies ont mentionn l existence de la ride 90 E 5 4 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE OPTION A pour les candidats ayant choisi l option B ou C 5 4 1 Sujet dur e totale 2 heures Voir le sujet annex concernant l preuve pratique portant sur la contre option du secteur A 5 4 2 Commentaires du jury Le th me choisi tait l information nerveuse Les supports la blatte et l il La premi re question demandait de commenter les r ponses lectriques d une cellule sensorielle des souffles d air d orientations diff rentes La plupart des candidats ont su retranscrire les nombres de potentiels d action figurant sur le document moins nombreux sont ceux qui ont d crit avec pr cision les t55 variations de la fr quence des potentiels d action en fonction de langle Tr s peu de candidats ont not la bouff e de potentiels d action observ e la fin de l application du souffle dans certains cas Beaucoup de candidats ont compris que la disposition des sensilles permettait de d tecter la direction du souffle d air mais peu ont voqu la possibilit de d tecter ainsi l approche d un pr dateur La dissection de la cha ne nerveuse de blatte n tait pas not e pour elle m me mais devait permettre de r aliser une pr paration microscopique du dernier ganglion apr s coloration au bleu de m thyl ne D as
17. emand s par les questions et bien difficiles argumenter de mani re convaincante avec les seules indications fournies Ce sont ces connaissances mal appliqu es mal assimil es et mal int gr es dans leurs dimensions spatiales qui ont aussi conduit par exemple la mention de failles transformantes pour qualifier le r seau tardif de failles verticales Ceci montre combien il est ais que se construisent des repr sentations apparemment coh rentes pour les tudiants mais finalement non pertinentes au regard du r el lorsque sont privil gi es les seules descriptions des mod les et oubli es les contraintes des chelles et du terrain Une moindre pratique des cartes g ologiques de cha nes anciennes explique sans doute que la grande majorit des candidats ait n glig toutes les informations relatives la foliation On notera aussi que la seule lecture de la l gende a parfois suscit des difficult s l unit des Monts du Lyonnais tant fr quemment consid r e comme chevauchant celle de la Br venne La coupe a conduit des r sultats moyens convenables dans nombre de copies t58 Sur cette partie le jury d plore toutefois vivement l extr me m diocrit de la r daction et de l orthographe dans de tr s nombreuses copies Ce d faut a d j t observ l crit Il devient sans exag ration inadmissible pour une telle preuve pratique tant les candidats donnent le sentiment d un rel chement syntaxique et gramm
18. identifiables leurs faces brillantes et la pr sence de la trace des canaux axiaux Ils ont t fr quemment confondus avec des cristaux de feldspaths l chantillon devenant alors une arkose chantillon B l analyse de l chantillon reste d cevante la texture n est pas toujours d crite et les min raux quartz et feldspaths sont loin d tre reconnus L identification laborieuse d une roche volcanique ne pr serve pas des erreurs ult rieures conduisant tout aussi bien et de mani re al atoire la reconnaissance d un granite d une sy nite ou d un basalte t59 Conclusion En conclusion le jury souhaite nouveau attirer l attention des candidats sur deux points particuliers la r daction et l orthographe points d j mentionn s doivent faire l objet d un soin tout particulier Il faut prendre conscience que la d sinvolture constat e tend devenir incompatible avec la profession envisag e en regard de ce qui devra tre exig des l ves les difficult s conduire des approches quantitatives critiques impliquant des m thodes issues d autres disciplines cette absence de ma trise tend alors d cr dibiliser la formation au plan scientifique t60
19. iologie et physiologie des organismes et biologie des populations en rapport avec le milieu de vie 5 2 1 Sujet dur e totale 6 heures Voir le sujet annex concernant l preuve pratique portant sur la sp cialit B 5 2 2 Commentaires du jury Conception de l preuve de travaux pratiques de la sp cialit B Il a t tenu compte des constats faits les ann es pr c dentes il tait apparu que nombre de candidats admissibles m connaissent les notions fondamentales de potentiel hydrique et de pression partielle ainsi que la loi de diffusion de Fick et les plans d organisation L preuve a donc t con ue dans le but d valuer tous les admissibles sur ces questions sans oublier les aspects naturalistes les aptitudes manipuler et appliquer un protocole simple La forme pr sentation r daction Une expression crite peu claire et approximative est trop souvent rencontr e Clart et concision sont pourtant des qualit s incontournables chez de futurs enseignants Les candidats doivent comprendre qu ils sont not s sur ce qu ils ont crit repr sent et non sur ce qu ils ont voulu ou cru exprimer Le fond l L eau et le v g tal A Etude compar e de l anatomie et de l histologie de feuilles d Angiospermes Dans l ensemble la qualit des coupes r alis es a t convenable cependant leur exploitation est souvent rest e insuffisante t50 La fid lit des repr sentations graphiques l
20. l s agissait dans un premier temps d tablir la formule structurale d un pyrox ne Cette question ne posait a priori pas de difficult s On notera que la transformation des analyses pond rales en analyses molaires devra tre ma tris e par un professeur enseignant en classe de Premi re S s il veut exploiter destination de ses l ves les analyses fournies par la litt rature On appliquait ensuite la relation donn e par l nonc ce qui conduisait une temp rature d environ 850 C La derni re question ne pouvait pas tre trait e en raison du manque d une donn e pression du pic m tamorphisme qui aurait permis d acc der la profondeur Cette question n a donc pas t prise en compte par le jury Cet oubli n a visiblement pas g n les candidats une infime minorit d entre eux ayant franchi le cap de la premi re question Une gratification a cependant t accord e aux quelques tr s rares candidats qui ont fait mention justifi e de leur impossibilit r pondre cette question Cette preuve n a pratiquement pas t trait e par les candidats Il est donc souhaitable qu un effort important soit port sur les connaissances de base en min ralogie pr alables tout travail s rieux en p trologie Epreuve de p trologie Les chantillons A et B taient respectivement un chantillon de calcaire entroques et un chantillon de rhyolite chantillon A les entroques taient ais ment
21. mal filtreur comme la moule Il s agit l d un manque d propos ou de pertinence surprenant pour de futurs enseignants II C La respiration a rienne sous l eau chez le Dytique Cet exercice proposait de r fl chir partir de donn es figurant dans de nombreux ouvrages fondamentaux Il fallait prendre en compte les pressions partielles des deux gaz et leurs gradients celles ci indiquaient une consommation d oxyg ne respiration de l animal une diffusion de l oxyg ne de l eau dans la bulle sous lytrale et une forte diffusion de l azote en sens inverse Ainsi le volume de la bulle tend diminuer et l animal remonte en surface reconstituer une bulle de volume lev Cet exercice a t d cevant et peu de candidats raisonnent correctement en termes de pressions partielles et de pression hydrostatique Ainsi les m mes erreurs sont revenues fr quemment titre d exemples on a lu que l azote se dilate dans la bulle au fur et mesure de la consommation d oxyg ne la plong e en profondeur est pr c d e d une plus grande mise en r serve d air et cela explique la pression plus lev e dans la bulle en bref le dytique pr voirait d emmagasiner plus de gaz pour une plong e plus profonde un m tre de profondeur le volume de la bulle d air augmente et ceci fait remonter le dytique qui par ailleurs limite sa consommation d oxyg ne le dytique est un insecte marin qui souffre du mal de la profon
22. mique de la r gion cardio branchiale Comme pour l histologie v g tale la fid lit des repr sentations graphiques la r alit a t valu e en salle L aussi certains candidats r citent un dessin appris par c ur Ainsi l o l valuation en salle indiquait une dissection de qualit m diocre la copie offrait parfois un superbe dessin d observation avec 5 voire 6 paires de branchies Dans l ensemble les dissections injections et dessin d observation de la dissection sont de pi tre qualit Ces derniers sont souvent trop petits aux trac s impr cis quelquefois r alis s au stylo bille et offrent peu de ressemblance avec l original L organisation cardiaque pourtant simple est m connue on a vu des c urs 2 oreillettes et 2 ventricules des chambres cardiaques identifi es dans le d sordre une circulation invers e des branchies vers le c ur et des veines imm diatement en aval du c ur 51 2 Organisation des branchies Une des plus grandes difficult s a r sid dans l orientation des documents d histologie A B et C les uns par rapport aux autres les grossissements ont t souvent ignor s L organisation branchiale est souvent m connue elle a conduit certains candidats interpr ter la coupe de filament branchial du document comme une coupe transversale de poisson ou d embryon L axe cartilagineux a t confondu avec de l os ou avec un vaisseau sanguin les cellules du c
23. ne Lyonnais L intrusion granitique de Saint Laurent de Chamousset se produit ult rieurement On peut ensuite noter l installation du bassin carbonif re signe d une extension tardive le dernier v nement tectonique rep rable tant le d veloppement plus tardif du r seau de failles verticales recoupant l ensemble des unit s La coupe attendue devait faire appara tre l ensemble des l ments contact Br venne Monts du Lyonnais chevauchement et vergence bande de granite syntectonique chevauchement intra Br venne repr sentation de la foliation structure du bassin carbonif re contact granite Saint Laurent de Chamousset Br venne Cet exercice doit tre d abord l occasion d analyser avec pr cision les structures tectoniques repr sent es sur la carte On vite ainsi deux cueils de nombreux candidats se sont par exemple livr s une simple paraphrase de la l gende reprenant de mani re indistincte et maladroite l ensemble des informations fournies structurales ou lithologiques De tels d veloppements ne montraient pas une vraie compr hension de la carte et ne conduisaient pas la pr sentation synth tique attendue des principaux caract res tectoniques de la r gion d autres candidats ont davantage utilis les connaissances qu ils poss daient sur la r gion au risque de d velopper de nombreux aspects g odynamiques ouverture et fermeture oc aniques interpr tation en termes de subduction non d
24. nt la PLC y tronqu e il s est av r que beaucoup de candidats ne connaissent pas la notion de dominant n gatif en cons quence ils se sont content s de d crire les r sultats sans r ellement les hi rarchiser et les interpr ter Enfin comme dans la deuxi me partie les propositions d exp riences compl mentaires ou t moin taient souvent peu logiques ou inutiles Quand la proposition tait recevable son principe tait souvent mal expliqu et les r sultats attendus ou possibles g n ralement peu pr sent s En conclusion beaucoup de candidats ont n anmoins correctement analys et interpr t les effets des facteurs 1 et 3 en l occurrence un effet mitog ne du facteur 1 il s agissait de EGF et un effet apoptog ne du facteur 3 il s agissait du TNF a Les effets du facteur 2 ont laiss les candidats un peu plus perplexe ils ont souvent paraphras ce qu ils avaient d j d velopp sans pouvoir trouver un qualificatif court Il s agissait du SF scattor factor un facteur dispersif impliqu dans la transition pith lio m senchymateuse Enfin les candidats ont t tr s vasifs sur le facteur 4 juste raison II s agissait du TGF B qui conf re aux cellules un ph notype que l on peut qualifier de transform mais qui malheureusement ce jour l n tait observable que sur un tr s petit nombre d ilots cellulaires Le jury a tenu compte de cette difficult d analyse 5 2 TRAVAUX PRATIQUES D OPTION B B
25. nverses et d crochants ce qui a t globalement r ussi En revanche peu d entre eux ont dessin correctement le triangle des vitesses demand du fait d une m connaissance totale de la m thode ou bien d erreurs dans le sens ou la direction des vecteurs mouvement La notion de partitionnement de la d formation qui devait se d duire de l obliquit entre le vecteur Australie Sonde et la fosse a t quelquefois correctement abord e L analyse de l image LANDSAT a t tr s m diocrement trait e Cette question avait pour but de mettre en vidence les relais transpressifs et transtensifs compatibles avec le d crochement dextre de la faille de Sumatra mais le lien entre cette question et les pr c dentes n a que rarement t tabli Les derni res questions permettaient de mettre en vidence la structure en coupe l aide d un profil sismique d une zone de faille d crochante situ e l arri re de la fosse De nombreux candidats ont cru d celer un diapir de boue ou de sel ce qui tait cr dible d apr s la structure superficielle mais peu probable car on voyait nettement les failles s enraciner profond ment dans le socle Encore moins pardonnable a t l affirmation de la pr sence de diapirs mantelliques ou de chemin es volcaniques notons que de nombreux r flecteurs s dimentaires taient visibles Pour finir malgr l actualit r cente la connaissance de la g odynamique r gionale s est av r
26. p rimentales afin d laborer pas pas des mod les plut t que de r citer des connaissances la faveur d une donn e utilis e comme d clencheur Analyser une courbe ne consiste pas la d crire soigneusement pour constater ensuite que les modifications port es en abscisse entra nent des variations report es en ordonn e ce qui prouve qu il y a eu des changements On attend une interpr tation du fait constat voire des hypoth ses permettant de proposer une ou plusieurs explications Une pr paration microscopique de coupe de r tine humaine tait reconna tre dessiner l gender et expliquer Peu d tudiants ont reconnu cette pr paration la confondant le plus souvent avec un t gument d insecte ou un piderme de Vert br La qualit des dessins est tr s variable le titre le grossissement et des l gendes explicites doivent toujours accompagner un dessin 5 5 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE OPTION B pour les candidats ayant choisi l option A ou C 5 5 1 Sujet dur e totale 2 heures Voir le sujet annex concernant l preuve pratique portant sur la contre option du secteur B 5 5 2 Commentaires du jury L preuve b cartant tout encyclop disme a privil gi la conduite d un raisonnement scientifique et le compte rendu de r sultats sous forme graphique La premi re partie du sujet faisait appel des qualit s d observation et ne pr sentait pas de difficult s particuli res elle a t
27. se d enfouissement tait reconnaissable au ph nom ne de microstylolitisation visible au contact de certains grains Dans les questions 4 et 5 il tait question de figures s dimentaires de courant L chelle tait plac e en vidence sur la photo Il est donc surprenant de lire des commentaires sur la stratigraphie s quentielle alors qu il s agissait de figures de temp tes HCS ici reconnaissables aux mamelons rides entrecrois es et ceci dans les deux plans d observation L int r t pal oenvironnemental pr sent par de telles figures est vident Le sch ma demand la question 6 devait reprendre toutes les observations r alis es jusque l et repr senter une coupe orient e sur un transect plate forme bassin avec la localisation des lames des figures de temp tes La derni re question tait bas e sur l examen d une photo montrant un relief ruiniforme d l alt ration d un calcaire dolomitis Encore une fois de nombreux candidats n ont pas fait preuve d une r elle capacit de r flexion car m me si l on ignorait de quel type de roche il s agissait il tait possible de se reporter au fragment de carte sur lequel le site photographi tait localis On d couvrait alors qu il ne s agissait pas de roche de socle pas plus que de gr s et encore moins de niveaux m tamorphis s dans le faci s des schistes verts sic mais de calcaires bioclastiques de la fin du Barr mien inf rieur et
28. sez nombreux candidats ont d truit la cha ne nerveuse au moment de la dissection ou m me n ont pas su la reconna tre alors qu ils l avaient pourtant bien d gag e et n ont pas r alis la pr paration demand e D autres ont pr sent une pr paration microscopique sale ou constell e de bulles d air Lorsque la coloration des neurones a t r ussie les candidats n en ont pas toujours tir parti faute d utiliser un grossissement suffisant La qualit du dessin et des l gendes a t tr s variable L chelle na pas toujours t indiqu e Le grossissement de l objectif a parfois t confondu avec le grossissement total du microscope Les techniques de coloration des neurones ne sont pas connues de la plupart des candidats La signification d un d lai synaptique a t souvent voqu e mais rarement justifi e Le rapport de contiguit entre les cellules n a pas t utilis pour identifier une synapse qui les relie bien qu il ait t le plus souvent t identifi a priori Le calcul de la diff rence de potentiel transmembranaire est rarement effectu seuls quelques candidats proposent une valeur le plus souvent fausse Le GABA a t consid r d embl e comme inhibiteur sans prendre en compte la valeur de Ec propos e aussi la valeur de la ddp transmembranaire dans les conditions exp rimentales n a t elle pas pu tre fournie Les candidats doivent toujours s efforcer d utiliser les donn es ex
29. t donc surprenant de lire dans certaines copies que l on avait affaire des gr s parfois feldspathiques d apr s la lame 1 de la question 1 Cette partie de l exercice demandait que l on d finisse la texture des deux chantillons II fallait bien s r voir un grainstone ou une biosparite pour la lame 1 et un wackestone ou une biomicrite pour la lame 2 La seconde question concernait la micropal ontologie On y demandait de reconna tre les microfossiles pr sents dans les deux lames Une fois que l on avait correctement lu la l gende de la carte sur laquelle taient rep r s les lieux de pr l vement des deux chantillons il devenait normalement impossible de reconna tre des fusulines des bouts d escargots sic En revanche on pouvait voir des orbitolines des milioles des bryozoaires des dasycladales des fragments d chinodermes de lamellibranches et de gast ropodes dans la lame 1 La lame 2 pr sentait des spicules d ponges calcaires de petits foraminif res Textulariid par exemple quelques fragments de fines valves de lamellibranches La question 3 demandait de d crire les diff rentes phases de la diagen se visibles dans la lame 1 Il tait possible d y reconna tre une cimentation isopaque autour de certains l ments figur s cimentation dans un milieu phr atique puis une seconde phase entra nait la cristallisation de calcite en grands cristaux sparitiques dans les pores Une diagen
30. uchement interne Son contact net avec l unit de la Br venne est en accord avec son caract re intrusif et post rieur Il est toutefois recoup par le r seau de failles verticales qui affectait ainsi toutes les unit s de la carte La seule lecture de la carte montrait que le contact Br venne Lyonnais correspond un chevauchement de direction NE SW de vergence SE l unit de la Br venne chevauchant celle des Monts du Lyonnais On observe alors que l allure des trajectoires de la foliation obliques puis parall les au niveau du contact est r gl e par le chevauchement Le trac sigmo de des trajectoires au niveau du contact sugg re une composante d crochante dextre ce dernier L hypoth se du caract re syntectonique du granite du Grand Chemin peut tre argument e par sa disposition en troite bande le long du contact tectonique Lyonnais Br venne La reconstitution de la chronologie relative devait conduire replacer en ordre chronologique la structuration du socle ant d vonien de l unit des Monts du Lyonnais avec un m tamorphisme de faci s amphibolite puis la mise en place au D vonien sup rieur d une s rie volcanique complexe unit de la Br venne L ensemble des deux unit s est ensuite le si ge d un m tamorphisme de faci s schistes verts associ des v nements tectoniques d terminant le d veloppement de la foliation r gionale S1 et la mise en place des chevauchements intra Br venne et Br ven
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