Newsletter Droit bancaire et financier n° 3 - MAI 2013
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1. l Association Fran aise de la Gestion Financi re AFG Lors de sa s ance du 16 avril 2013 et apr s avis de l Association Fran aise des Etablissements de Cr dit et des Entreprises d Investissement AFECET le coll ge de l AMF a d cid d tendre les Dispositions de ce R glement de d ontologie l ensemble des soci t s de gestion de portefeuille Il est rappel que tout manquement ces Dispositions est susceptible de donner lieu au prononc d une injonction ou d une sanction Source Communiqu de presse de l AMF du 30 Avril 2013 e Une consultation internationale sur l acc s des autorit s aux donn es d tenues par les r f rentiels centraux de donn es est lanc e Le comit sur les Syst mes de Paiement et de R glement Livraison Committee on Payment and Settlement Systems CPSS et l Organisation Internationale des Commissions de Valeurs OICV ont publi le 11 avril 2013 un rapport consultatif intitul Acc s des autorit s aux donn es d tenues par les r f rentiels centraux de donn es Le terme autorit s fait ici r f rence aux r gulateurs de march s aux banques centrales aux r gulateurs prudentiels aux autorit s de r solution bancaire et le cas ch ant aux institutions financi res internationales officielles Ces r f rentiels pr vus par le r glement europ en sur les produits d riv s de gr gr permettent un enregistrement lectronique centralis des donn es rela2. commune d instaurer un projet multilat ral d change de renseignements inspir de la l gislation am ricaine FATCA Foreign Account Tax Compliance Act et de voir ce type d change s tendre aux autres tats membres et tiers Rappelons que la r glementation am ricaine dite FATCA du 18 mars 2010 impose aux institutions financi res non am ricaines de transmettre selon un syst me proche de l change automatique de donn es l Internal Revenue Service IRS des informations relatives certains titulaires de comptes bancaires sous peine de sanctions p cuniaires Source Communiqu Minefi 10 avr 2013 e Statut de juriste d entreprise tranger est d sormais reconnu aux Etats Unis Ce nouveau statut sera notamment subordonn aux m mes obligations de formation continue aux Etats Unis que celles des avocats locaux au paiement de cotisations l ordre local des avocats et l obligation de se conformer aux r gles d ontologiques et de discipline du barreau d enregistrement Le juriste tranger pourra sous couvert de son nouveau statut prot g fournir des avis en droit non am ricain mais galement de fa on limit e en droit am ricain sous l autorit et le contr le d un avocat am ricain interne ou externe l entreprise Source Communiqu AFJE 18 avr 2013 Site de l Association fran aise des juristes d entreprise Jurisprudence e Coup de tonnerre sur le droit des s ret s S ag
3. faire l objet de poursuites pour diffamation ou injure publique On rappellera que la diffamation et l injure non publiques sont punies par une amende de 38 euros alors que si elles taient publiques elles seraient passibles de 12 000 45 000 euros d amende Source Cass 1re civ 10 avr 2013 n 11 19 530 Doctrine e D lais de paiement l histoire sans fin par CHARLES THIERRY Revue Lamy Droit des affaires 2013 n 80 p 57 e Clauses de good bad leaver comment assurer leur pleine efficacit par POTTIER ALEXANDRA BRISSOT MARIE HELENE BRUNSWICK PHILIPPE BEAUREGARD PHILIPPE Actes pratiques 2013 n 127 p 25 28 e Un droit europ en des soci t s plus souple pour les PME Par LECOURT BENOIT Revue des soci t s n 5 Mai 2013 p 319
4. 44 e Abrogation du d cret passerelle parlementaires avocats Le d cret n 2013 319 du 15 avril 2013 supprime la passerelle vers la profession d avocat ouverte par le d cret n 2012 441 du 3 avril 2012 aux personnes justifiant de huit ans au moins d exercice de responsabilit s publiques les faisant directement participer l laboration de la loi Source D cret n 2013 319 du 15 avril 2013 e Pour la Cour de cassation la page Facebook n est pas un lieu public La Cour de cassation a t conduite se prononcer dans l affaire d une employ e Mme Y qui avait tenu des propos injurieux envers son employeur sur Facebook Sur sa page elle avait plaid pour l extermination des directrices comme la sienne et des patronnes qui nous pourrissent la vie suivre les Hauts magistrats apr s avoir constat que les propos litigieux avaient t diffus s sur les comptes ouverts par Mme Y tant sur le site Facebook que sur le site MSN lesquels n taient en l esp ce accessibles qu aux seules personnes agr es par l int ress e en nombre tr s restreint la cour d appel a retenu par un motif adopt exempt de caract re hypoth tique que celles ci formaient une communaut d int r ts qu elle en a exactement d duit que ces propos ne constituaient pas des injures publiques En d autres termes Facebook et MSN ne sont pas des lieux publics Les propos que l on y tient ne sont donc pas susceptibles de
5. Newsletter Droit bancaire et financier n 3 MAI 2013 Droit bancaire L gislation e Enqu te de la Commission europ enne sur les commissions interbancaires pratiqu es par MasterCard Susceptibles de constituer des pratiques anticoncurrentielles les commissions interbancaires pratiqu es par MasterCard font l objet d une enqu te approfondie de la Commission europ enne L enqu te r alis e vise les commissions interbancaires subies par les titulaires de cartes de pays hors Espace conomique europ en EEE les r gles relatives l acquisition transfrontali re restreignant la possibilit pour un commer ant de b n ficier des conditions offertes par des banques trang res tablies au sein du march et les r gles et pratiques commerciales de ces acteurs notamment l obligation d accepter toutes les cartes Honour All Cards Rule obligeant les commer ants accepter tous types de cartes bancaires MasterCard La Commission estime que ces pratiques sont susceptibles de restreindre la concurrence et nuisent aux commer ants dont les co ts augmentent en fonction de ces pratiques La dur e de l enqu te n est soumise aucun d lai l gal et sera d termin e par la complexit de l affaire et la coop ration de l entreprise MasterCard et les autorit s nationales de concurrence des tats membres ont t alert s de l ouverture de cette proc dure Par ailleurs la Commission entend r glementer sur le sujet avant l t a
6. ciers 2013 n 4 p 166 note de SCHMIDT DOMINIQUE e Vers une reconnaissance en droit fran ais de la notion de b n ficiaire conomique L associ unique de deux soci t s luxembourgeoises ayant omis de d clarer l AMF plusieurs franchissements la hausse et ou la baisse du seuil de 5 en capital et en droits de vote dans une soci t cot e est passible d une sanction administrative raison de sa qualit de b n ficiaire conomique des personnes morales concern es dont il n tait cependant pas le dirigeant y compris lorsque l une d entre elles a t entre temps dissoute Source Commission des sanctions de l AMF 28 01 2013 Doctrine e Investissement socialement responsable va t il devenir la norme Banque 2013 n 758 p 22 44 e Typologie des syst mes de n gociation dans les projets de r vision de la directive MIF par ROUAUD ANNE CLAIRE Revue trimestrielle de droit financier 2013 n 1 p 103 107 e Crowdfunding placement priv ou offre de titres au public Un exemple topique d une r glementation qui bride le d veloppement de l innovation par BRUN JEAN PASCAL Revue trimestrielle de droit financier 2013 n 1 p 64 66 e Les incidences en droit p nal financier de la reconnaissance du d lit de violation du secret des affaires par LASSERRE CAPDEVILLE JEROME Bulletin Joly Bourse et produits financiers 2013 n 4 p 207 211 e L AMF saisie du plus gros dossier d initi de
7. e ainsi que les actifs accept s en couverture e les proc dures de gestion en cas de d faillance d un adh rent de la chambre de compensation et en particulier les modalit s de transfert des actifs et des positions des clients de l adh rent compensateur d faillant qui doivent tre d crites dans les r gles de fonctionnement de la chambre e certaines dispositions du livre V sont transf r es au livre II du r glement g n ral Par ailleurs l AMF souhaite clarifier certains articles de son r glement g n ral sur les march s r glement s et syst mes multilat raux de n gociation les d positaires centraux et les syst mes de r glement livraison Source Communiqu AME 8 avr 2013 Jurisprudence e La remise volontaire de correspondances couvertes par le secret Ayant constat que les correspondances lectroniques que le repr sentant l gal de la soci t avait accept de remettre en copie aux enqu teurs n avaient pas t annex es au rapport d enqu te et d s lors qu il n tait pas all gu qu avaient t fournis aux enqu teurs pr alablement ces remises des l ments propres tablir que les messageries contenaient des correspondances couvertes par le secret des changes entre un avocat et son client la cour d appel a l galement justifi sa d cision de rejeter la demande en annulation de la proc dure Source Cass Com 29 01 2013 N 11 27 33 Voir aussi Bulletin Joly Bourse et produits finan
8. es La Cour de cassation ne cesse de marteler sa jurisprudence Selon des offres accept es les 11 f vrier 2003 et 15 mai 2005 l int ress e a contract aupr s d une banque un pr t habitat et un pr t relais tous deux de nature immobili re l occasion de chacun desquels elle a souscrit des parts sociales de cette soci t coop rative de banque Assign e en paiement des soldes d biteurs de ces concours elle s est pr value notamment de l absence d int gration des frais de ces souscriptions dans le calcul du taux effectif global pour opposer par voie d exception la d ch ance du droit aux int r ts de la banque A viol l article L 313 1 du Code de la consommation ensemble les articles 615 et suivants de l ancien Code rural la cour d appel qui pour d bouter l int ress e de sa demande aff rente au pr t relais du 15 mai 2005 a nonc que la souscription des parts sociales dont les frais constituent davantage un actif remboursable qu une charge n a pas t impos e par la banque comme une condition de l octroi du cr dit d s lors que cette op ration ne relevant manifestement pas des dispositions des articles 615 et suivants du Code rural n entrait pas dans le champ d application de la clause des conditions g n rales du pr t intitul e souscription de parts sociales qui n impose cette souscription que pour les op rations vis es par ces textes ces motifs tant impropres exclure que l octroi du pr t relais a
9. faire la publicit de la condamnation Les consommateurs victimes devront alors se faire conna tre In fine les d dommagements seront pay s directement par l entreprise ou via l association Source Communiqu Cons min 2 mai 2013 Portail du Gouvernement e Quelles nouvelles pour le r gime de l auto entrepreneur Apr s la remise du rapport de la mission de l Inspection g n rale des finances IGF et de l Inspection g n rale des affaires sociales Igas le Gouvernement a d voil les adaptations qu il souhaite apporter au r gime de l auto entrepreneur Le rapport d valuation qui n a pas retenu l id e de limiter dans le temps le b n fice du r gime ou d exclure des secteurs particuliers pr conise des ajustements du cadre fiscal et social dans le sens d une plus grande quit avec les autres r gimes de cr ation d entreprise et formule des recommandations en mati re de suivi statistique d accompagnement des auto entrepreneurs et de contr les Source Communiqu min Artisanat Commerce et Tourisme 10 avr 2013 Site du minist re de l Artisanat du Commerce et du Tourisme e Echange de renseignements vers la mise en uvre d un FATCA europ en Avec ses homologues britannique allemand espagnol et italien Pierre Moscovici ministre de l conomie et des Finances a envoy mardi 9 avril 2013 un courrier au commissaire europ en en charge de la Fiscalit pour lui faire part de leur demande
10. fin de s curiser le march et garantir des conditions de concurrence quitables pour tous les op rateurs Source Communiqu Comm UE n IP 13 314 9 avr 2013 e Migration SEPA tat des lieux et inqui tudes Le Comit national SEPA s est r uni le 3 avril 2013 en vue d examiner l tat d avancement de la migration SEPA en France Le Comit s inqui te de la faible mont e en charge des moyens de paiement SEPA la migration au virement SEPA a peu progress depuis la fin 2012 et la migration au pr l vement SEPA n est ce jour toujours pas engag e Le Comit national SEPA alerte une nouvelle fois les utilisateurs professionnels du virement et du pr l vement sur les risques de blocage qu implique une migration tardive dans le contexte d arr t d finitif des virements et pr l vements au format national le 1er f vrier 2014 Source Communiqu FBF 4 Avril 2013 Jurisprudence e Les emprunts structur s sanctionn s pour non respect du taux effectif global Si le TGI de Nanterre par ses trois d cisions du 8 f vrier 2013 d clare valables les contrats de pr t structur s souscrits par le D partement de Seine Saint Denis il sanctionne toutefois la banque par la nullit de la clause d int r ts conventionnelle pour d faut de mention du TEG Source T G I Nanterre 08 02 2013 Voir aussi Bulletin Joly Bourse et produits financiers 2013 n 4 p 187 note de PAILLER PAULINE e TEG et souscription des parts social
11. issant d un gage portant sur des l ments vis s l article L 527 3 du code de commerce les parties dont l une est un tablissement de cr dit ne peuvent soumettre leur contrat au droit commun du gage de meubles sans d possession cassation pour violation de l art 2333 c civ par fausse application et de l art L 527 1 c com par refus d application Source Cass Com 19 02 2013 n 11 21 763 e Cautionnement un arr t sur les mentions manuscrites En l esp ce une cour d appel avait prononc la nullit d un cautionnement estimant que la mention manuscrite r dig e par la caution n tait pas totalement conforme aux exigences des articles L 341 2 et L 341 3 du Code de la consommation Certes le contrat de cautionnement ne reprenait pas mot mot le texte de ces articles Pour autant les divergences de r daction avaient elles entra n une m prise de la caution sur la teneur de son engagement La Cour de cassation r pond par la n gative et tranche en faveur d une interpr tation efficace des articles L 341 2 et suivant du Code de la consommation l vocation du caract re personnel et solidaire du cautionnement d une part la substitution du terme banque ceux de pr teur et de cr ancier d autre part n affectaient ni le sens ni la port e des mentions manuscrites prescrites par les articles L 341 2 et suivant du Code de la consommation Source Cass 1 civ 10 avr 2013 n 12 18 5
12. it t subordonn la souscription de parts sociales de la soci t coop rative de banque dispensatrice du cr dit sur le co t duquel le montant de cette souscription influait Source Cass 1 Civil du 24 avril 2013 n 12 14 377 Doctrine e R gulation du secteur bancaire et enjeu d efficacit des r gles prudentielles par TISSEYRE SANDRINE Gazette du Palais 2013 n 79 80 p 6 9 e Paralysie des clauses de walk away en cas de d signation d un administrateur provisoire de l ACP la t te d un tablissement de cr dit ou d une entreprise d investissement par GAUDEMET ANTOINE Revue de droit bancaire et financier 2013 n 2 p 63 64 e Ilne faut pas prendre les collectivit s territoriales pour des profanes et les emprunts structur s pour des produits sp culatifs propos de TGI Nanterre 8 f vrier 2013 par MARTIN JULIEN Revue de droit bancaire et financier 2013 n 2 p 15 23 e CRD 4 enfin un compromis par BONNEAU THIERRY La semaine juridique Entreprise et Affaires n 15 11 avril 2013 L gislation e L Autorit des march s financiers approuve les Dispositions du r glement de d ontologie de l AFG et l tend toutes les soci t s de gestion de portefeuille Lors de sa s ance du 21 d cembre 2012 le Coll ge de l AMF a approuv en qualit de r gles professionnelles les Dispositions du r glement de d ontologie sp cifique aux soci t s de gestion d OPCVM d pargne salariale de
13. n de la nouvelle grille d agr ment des soci t s de gestion de portefeuille Source Guide AIFM Soci t de gestion Avril 2013 e Consultation publique sur les modifications envisag es des livres II et V du r glement g n ral de l AMF la suite de l entr e en vigueur du r glement n 648 2012 UE sur les produits d riv s de gr gr les contreparties centrales et les r f rentiels centraux EMIR l AMF a lanc le 8 avril 2013 une consultation publique sur les modifications portant sur le livre II du r glement g n ral concernant les prestataires et sur le livre V relatif aux infrastructures de march L AMF propose ainsi d amender le titre IV du livre V du r glement g n ral sur les chambres de compensation Les principales modifications portent sur e l introduction de la possibilit pour l AMF d approuver des r gles de fonctionnement dans une langue usuelle en mati re financi re autre que le fran ais autrement dit en anglais e les r gles de participation une chambre de compensation de mani re aligner celle ci sur les obligations d coulant du r glement europ en e les conditions de transparence sur les prix et frais aff rents aux services que les chambres de compensation fournissent e les exigences en mati re de garantie les r gles de fonctionnement devant ainsi d crire les principes r gissant la d termination des d p ts de garantie des marges des contributions au fonds de d faillanc
14. son histoire par DUFOUR OLIVIA Petites Affiches 2013 n 65 66 p 3 4 e Les d riv s actions face la taxation des transactions financi res par METAYER THOMAS VALENTIN CYRIL Revue trimestrielle de droit financier 2013 n 1 p 59 60 e Le trading haute fr quence et l int grit du march par DESPLAT STEPHANIE GIZARD BRUNO Revue de droit bancaire et financier 2013 n 2 p 89 94 e Abus de march de la coexistence la coordination des proc dures r pressives administrative et p nale par DEZEUZE ERIC Revue de droit bancaire et financier 2013 n 2 p 82 86 Droit commercial et des soci t s L gislation Adoption de la class action la fran aise Beno t Hamon a pr sent le 2 mai 2013 en Conseil des ministres un projet de loi sur la consommation visant renforcer les droits des consommateurs Parmi les mesures phares du texte l instauration d une action de groupe L objectif est de permettre aux consommateurs victimes d un m me dommage de poursuivre collectivement une entreprise Seuls sont concern s les dommages mat riels Selon le texte la proc dure ne pourra tre engag e que par l une des 16 associations de consommateurs agr es par l tat Elle devra tre mandat e par au moins deux consommateurs l s s Le dossier sera ensuite pr sent un juge Ce dernier d cidera si l action de groupe est valide ou non Si c est le cas ce sera l entrepreneur ou l association de
15. tives aux transactions Ils joueront un r le cl en faveur de la transparence des march s d riv s de gr gr en am liorant la disponibilit des donn es pour les autorit s et le public La consultation est ouverte par le CPSS et l IOCV jusqu vendredi 10 mai 2013 Source Consultative report Autorities acces to trade repository data e Directive AIFM publication par l AMF d une guide d accompagnement des soci t s de gestion existantes Afin d aider les soci t s de gestion existantes anticiper la transposition de la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs dite directive AIFM l Autorit des march s financiers a publi leur attention un guide qui a pour vocation de r pondre de mani re concr te toutes les questions qu elles pourraient se poser Il est pr cis que d s la parution de ce document les soci t s de gestion auront la possibilit de d poser aupr s de l AMF une demande d agr ment AIFM Cela leur permettra ainsi d avoir une offre commerciale destination des investisseurs professionnels disponible dans toute l Europe d s l entr e en vigueur du texte Pour rappel la directive doit tre transpos e au plus tard le 22 juillet 2013 Con u comme un mode d emploi l attention des soci t s de gestion existantes ce document d taille concr tement les modalit s pratiques pour obtenir un agr ment au titre de la directive AIFM II est galement accompag
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