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1. l instruction des dossiers et sur le r le attendu des services charg s de l urbanisme et de l environnement dans leur mission nouvelle de rapporteur Elle vous guidera par ailleurs sur l articulation des autorisations commerciales et des permis de construire ainsi que sur la remont e des informations n cessaires l instruction des dossiers devant la commission nationale d am nagement commercial CNAC 1 Le nouveau dispositif d instruction des demandes d autorisation commerciale Dans chaque d partement est constitu e une commission d partementale d am nagement commercial CDAC dont le secr tariat est assur par les services de la pr fecture article R 752 16 du code de commerce Le r le de rapporteur devant la CDAC est assur par le directeur des services territorialement comp tents charg s de l urbanisme et de l environnement directions d partementales ou par son repr sentant linstruction est assur e conjointement par les services charg s de l urbanisme et de l environnement et par ceux charg s du commerce Les d cisions rendues par la CDAC peuvent faire l objet d un recours devant ta CNAC Les dispositions issues des textes cit s pr c demment ont une incidence sur l instruction des demandes de permis de construire pour les projets examin s par les commissions d am nagement commercial Pr sent QUT avenir www developpement durable gouv fr Pr sent for avenir www developpement durab2. res fix s par la loi Lorsque le projet n est pas contraire aux orientations d un SCOT mais que la r gle locale PLU carte communale n est pas encore stabilis e l analyse devra tout particuli rement porter sur la pertinence du choix d implantation propos Lorsque la r gle locale autorise d j les activit s commerciales sur l espace sur lequel porte la demande il conviendra de s interroger sur la nature et l importance du commerce envisag et de se demander si ce type de commerce est bienvenu cet endroit Il est donc ici rappel que les missions d instructeur et de rapporteur doivent tre confi es de pr f rence un service charg de la planification et ou de la prospective territoriale II Mode d emploi Votre analyse vous conduira examiner la compatibilit du projet avec le SCOT ou avec le sch ma directeur s il existe un tel document et si celui ci comporte des orientations en mati re d urbanisme commercial Toute ventuelle incompatibilit manifeste entre le projet et le contenu du SCOT ou du sch ma directeur doit vous conduire proposer la CDAC de ne pas autoriser le projet Parmi les informations que vous communiquerez sur les dossiers examin s par la CNAC vous veillerez apporter toutes pr cisions sur le type de sch ma auquel vous vous r f rez SCOT sch ma directeur voire ancien SDAU et indiquerez quelle est sa date d approbation M me dans l hypoth se o vous conc
3. activit agricole A La qualit environnementale du projet La protection de l environnement Le projet risque t 1l d entra ner une consommation excessive de l espace Le projet est il situ dans un secteur soumis des risques naturels technologiques miniers et prend il ces risques en compte La parcelle est elle concern e par des protections particuli res au titre de la biodiversit r serve naturelle arr t de biotope ou se trouve t elle l int rieur d une ZNIEFF ou d un secteur concern par un inventaire Les modes de d placement alternatifs Une fr quentation de l tablissement par des pi tons et ou des cyclistes est elle envisageable habitat ou autres activit s proximit de l tablissement Le projet pr voit il des modalit s d approvisionnement pr servant l environnement ferroutage cabotage voie fluviale strat gie logistique avec d autres enseignes La conception des constructions Le projet a t il fait l objet d un avis de l architecte conseil et ou du paysagiste conseil de la DDEA ou autre conseil public Le projet est il con u de fa on ne pas g n rer des nuisances sonores olfactives visuelles ou lumineuses L am nagement de la parcelle Un accompagnement v g tal de qualit est il envisag incluant abords d p ts stationnement Le projet contribue t il limiter l imperm abilisation des sols parkings enterr
4. des commerces fix s par le SCoT ou le sch ma directeur L tablissement public charg de l laboration et du suivi du SCoT s est il prononc sur la compatibilit du projet avec ses dispositions Le respect de la r gle d urbanisme locale Le projet respecte t il la r gle d urbanisme locale PLU carte communale A Effet sur l animation de la vie urbaine rurale et de montagne A l chelle du grand territoire selon le contexte local la notion de grand territoire peut s entendre au sens du bassin de vie de l aire du SCOT du parc naturel du pays Les quilibres territoriaux Le projet est il situ plusieurs r ponses possibles au plein c ur d une agglom ration sauce haute nuuus has sation has nee hu sel en p riph rie d un agglom ration 7eme nine sin rende annee ane dans un p le secondaire d agglom ration IL SCC ITA nd DR EE en a Gien in nZone d montagne ssissveuressemenninnleeniNenauesensMenivesernNen eq EKOSE En S CteUrtouristigue Pi A ho dia LZDAS frontali res ses NN KEE En Sn ne N ans Quels seront les impacts du projet sur les quilibres g n raux du grand territoire A l chelle de l agglom ration Le choix de l emplacement Le projet est il situ plusieurs r ponses possibles TOO US ren ee mea ann dde donne a es te a ca da sung arti r de faubourgs es rent en ra e
5. e pour analyser de fa on prospective les volutions possibles des territoires Apr s rapprochement avec les secr tariats des CDAC devront tre mises en uvre les modalit s de transmission des dossiers les plus rapides possibles au regard des d lais tr s brefs d instruction J appelle votre attention sur le cas particulier des dossiers port s devant la CDAC au titre des dispositions de l article L 752 4 du code de commerce surfaces de vente comprises entre 300 m et 1000 m dans les communes de moins de 20 000 habitants pour lesquels ces d lais sont particuli rement r duits 4 La transmission des informations pour les dossiers examin s par la CNAC Les r les de secr taire et de rapporteur devant la CNAC sont confi s aux services du ministre charg du commerce DGCIS et la DGALN met un avis au titre des crit res d am nagement du territoire et de d veloppement durable Par le biais de la fiche d instruction mentionn e pr c demment vous ferez donc remonter la DGALN DHUP QV3 selon un processus inchang par rapport la situation ant rieure les l ments d information indispensables la pr paration de cet avis Vous veillerez produire des documents cartographiques de qualit tels que demand s l appui de la fiche d instruction Vous adresserez galement ces l ments la DGCIS lorsque celle ci vous en fera la demande 5 L articulation des autorisations commerciales et des permis de construi
6. flux de circulation actuels Les informations fournies par le demandeur telles que le nombre de v hicules jour suppl mentaires ou la distance moyenne parcourue par client appellent elles des commentaires A l chelle de l agglom ration Le projet est il compatible avec le plan de d placements urbains PDU s il existe Les d placements motoris s Le projet g n rera t 1l des d placements motoris s importants l chelle de l agglom ration Quel sera l impact des d placements des clients et du personnel sur les flux de circulation actuels La desserte routi re g n rale est elle s curis e et de capacit adapt e Sono eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eee eeeeeeeceeeeesecce A l chelle du tissu de proximit La desserte imm diate Les commodit s routi res de desserte de la parcelle offrent elles toutes garanties en termes de s curit C Le lien avec les politiques men es localement Le projet est il compatible avec les actions men es dans le cadre de la politique de la ville et avec les ventuelles d marches urbaines telles que le plan ville durable les op rations programm es d am lioration de l habitat et les orientations urbaines contenues dans certaines zones d am nagement concert 4 Examen du projet au regard du d veloppement durable Le choix de la localisation Le projet risque t il de compromettre l exercice de l
7. s ou en silos rev tements de sols filtrants pour les parkings en surface ou pr voit il une compensation des espaces imperm abilis s B L insertion du projet dans les r seaux de transport collectif La desserte Quels transports collectifs desservent le projet La cha ne du d placement pour les consommateurs capacit de d placements limit e personnes mobilit r duite personnes g es est elle respect e L action sur la fr quentation Existe t il une offre de livraison domicile 5 Avis de synth se du service charg de l urbanisme et de l environnement Au regard de l am nagement du territoire Pi ces joindre n cessairement pour les dossiers examin s par la CNAC localisation du projet sur une carte au 1 25000 environnement du projet sur une distance d environ 1 km partir de son site d implantation pr sentation visuelle du projet notamment document graphique permettant d appr cier l insertion du projet de construction par rapport aux constructions avoisinantes et aux paysages son impact visuel ainsi que le traitement des acc s et du terrain Annexe 2 Am nagement commercial Bilan et suivi du r le des DDEA dans le dispositif CDAC 1 Les d cisions de la CDAC Rapports DDEA D cisions Avis CDAC Favorables D favorables Favorables D favorables Nb de projets examin s au titre de l article L 752 1 1000 m SdV Nb de pro
8. saisie elle dispose d un d lai d un mois pour se prononcer Son silence vaut avis favorable En cas d avis favorable de la CDAC le permis de construire peut tre d livr I n y a alors pas de possibilit de former un recours devant la CNAC En cas d avis d favorable de la CDAC l autorit comp tente est tenue de refuser le permis de construire article L 752 4 du code de commerce La lettre par laquelle le secr tariat de la CDAC notifie cet avis au demandeur l informe qu il ne pourra pas se pr valoir d un permis tacite l issue du d lai d instruction et que dans le cas o il formerait un recours devant la CNAC le d lai d instruction du permis de construire serait major de 2 mois article R 423 44 2 du code de l urbanisme La CNAC dispose d un mois pour mettre son avis Son silence vaut confirmation de l avis de la CDAC L avis d favorable de la CNAC lie l autorit comp tente qui sera tenue de refuser le permis sollicit 6 Suivi du nouveau dispositif Cette nouvelle mission de rapporteur ainsi que l volution des crit res d autorisation constituent des changements importants Afin d valuer et d accompagner au mieux la mise en uvre de cette r forme je vous remercie de me transmettre sous le timbre DGALN DHUP QV3 des l ments de bilan semestriels 30 juin et 30 d cembre selon le mod le que vous trouverez d fini en annexe 2 Vous me ferez conna tre sous le m me timbre les ventuelles d
9. R PUBLIQUE FRAN AISE Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer en Charge des technologies vertes et des n gociations sur le climat NOR DEVU1000389C Texte non paru au joumal officiel Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature Circulaire du 31DEC 2009 Objet r le des services de l Etat charg s de l urbanisme et de l environnement dans la mise en oeuvre des dispositions sur l am nagement commercial Le ministre d Etat ministre de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer en charge des technologies vertes et des n gociations sur le climat Mesdames et Messieurs les pr fets de d partement pour attribution Direction d partementale des territoires Direction d partementale des territoires et de la mer Direction d partementale de l quipement Madame et Messieurs les pr fets de r gion pour information Direction r glonale de l environnement de l am nagement et du logement Direction r glonale de l quipement Textes de r f rence Loi n 2008 776 du 4 ao t 2008 de modemisation de l conomie notamment ses articles 102 et 105 codifi e aux articles L 750 1 L 752 26 du code de commerce et aux articles 30 1 30 3 du code de l industrie cin matographique D cret n 2008 1212 du 24 novembre 2008 relatif l am nagement commercial codifi sous les articles R 751 1 R 752 54 du code de commerc
10. diff rencie de l instruction des autorisations d urbanisme soit confi e de pr f rence des agents d pendant d un service charg de la planification et ou de la prospective territoriale Vous serez amen s par ailleurs vous interroger sur l impact du projet au regard des diff rentes chelles territoriales grand territoire agglom ration tissu de proximit pour pouvoir ensuite d cliner les effets du projet chacune de ces chelles Les crit res d analyse sont en partie pr cis s par la loi a L effet sur l animation de la vie urbaine rurale et de montagne l chelle du grand territoire ce crit re consistera mesurer les effets ventuels du projet sur les grands quilibres territoriaux s assurer en particulier qu il ne fait pas peser une menace sur l existence de commerces consid r s comme l ments essentiels de l animation des bourgs ruraux ou de montagne l chelle de l agglom ration il conviendra de s interroger sur l quilibre g n ral entre te commerce de centre ville ou de quartier qu il convient de privil gier et le commerce situ la p riph rie l chelle du tissu de proximit l analyse se portera plus particuli rement sur l insertion du projet dans le tissu urbain en examinant notamment le respect des continuit s coh rence avec les trames viaires verte bleue existantes et sur la fa on dont il contribue l animation urbaine du secteur par un apport v
11. durable doivent tre particuli rement examin es la qualit environnementale du projet et son insertion dans les r seaux de transports collectifs Le choix de la localisation est cet gard d terminant pr servation de l activit agricole sensibilit du paysage desserte par des modes doux respect des coupures vertes des sites prot g s en particulier lorsque les documents d urbanisme ne sont pas stabilis s En mati re d insertion paysag re c est la question de la pr sence m me du commerce envisag l endroit demand qui doit tre pos e les caract ristiques propres du projet rel vent pour l essentiel de l examen qui en est fait lors de l instruction du permis de construire D une fa on plus g n rale les l ments du dossier qui pr sentent un caract re irr versible devront faire l objet de la plus grande attention destruction d un cosyst me d un espace bois implantation dans une zone inconstructible d un PPR consommation excessive d espace atteinte aux enjeux paysagers Le service instructeur s assurera aupr s du service charg de la police de l eau du respect des prescriptions pr vues en la mati re Les l ments fournis en mati re de transports collectifs devront tre examin s en tenant compte des possibilit s effectives de la client le les utiliser la nature des marchandises propos es la vente et l offre ventuelle d un service de livraison domicile seront c
12. e R 423 36 R 423 36 1 R 423 44 1 R 423 44 2 R 424 2 R 425 22 1 R 431 27 1 et R 431 28 du code de l urbanisme Autres textes Circulaire interminist rielle du 18 f vrier 2009 relative la Commission d partementale d Am nagement Commercial CDAC La loi n 2008 776 du 4 ao t 2008 de modernisation de l conomie et son d cret d application du 24 novembre 2008 ont profond ment modifi les dispositions relatives au r gime de l autorisation d exploitation commerciale Le nouveau dispositif supprime toute r f rence des crit res conomiques et il convient donc de ne plus faire intervenir les m canismes concurrentiels comme l ments d appr ciation des autorisations d implantations commerciales Dans le m me temps travers le Grenelle de l Environnement l Etat fran ais a ouvert un tr s vaste chantier tendant concevoir et r aliser sur des bases renouvel es l am nagement durable de notre territoire L activit commerciale est une composante tr s importante de cet am nagement en ce qu elle contribue grandement structurer les bassins de vie conditionner les flux de d placements marquer souvent fortement les paysages Pour cette raison il a t d cid de soumettre autorisation commerciale les projets les plus importants en demandant aux nouvelles commissions d am nagement commercial de prendre leurs d cisions sur la base de crit res d am nagement du territoire et de d veloppeme
13. e communes de moins de 20 000 habitants projets compris entre 300m2 et 1 000m2 le pr ciser 2 Analyse des dispositions applicables au projet Les documents de r f rence Documents d urbanisme applicables SCoT ou sch ma directeur PLU ou POS Carte communale Pr cisions Autre document d orientation commerciale eee eee eee eeeeeeeeeeeeeeeee Les proc dures d urbanisme Le projet est il soumis permis de construire ssssssresrrrerererreressssssssresessetrrerrsssseeee Le projet est il soumis d claration pr alable nssssssssseseerrerereneerereresrssssssssssesererers L article L 122 2 du code de l urbanisme Rappel l article L 122 2 du code de l urbanisme concerne tout projet situ dans une zone urbaniser ouverte l urbanisation apr s le 4 juillet 2003 dans une commune non couverte par un SCoT et situ e moins de 15 kilom tres des limites d une agglom ration de plus de 50 000 habitants ou du rivage de la mer Le projet rentre t il dans ce cas de figure in nn er idee aus edate ere irite ie La d rogation est elle accord e ou envisag e parle pr fet par l EPCI Pr cisions 3 Examen du projet au regard de l am nagement du territoire La compatibilit avec le SCoT ou avec le sch ma directeur Le projet est il compatible avec les objectifs relatifs l quipement commercial et la localisation pr f rentielle
14. entuel de mixit des fonctions des pratiques et des usages du quartier b L effet du projet sur les flux de transport pour le grand territoire seront analys s les ventuels d placements de masse g n r s par le projet devront galement tre examin s les d placements des v hicules de livraison des marchandises Pr sent favenir www developpement durab e gouv fr l chelle de l agglom ration la compatibilit du projet avec le plan de d piacements urbains constitue un imp ratif il conviendra aussi d examiner l impact du projet sur les d placements des clients et du personnel l chelle du quartier sera analys e la question g n rale des commodit s d acc s La question sp cifique de la s curit de ces acc s sera examin e lors de l instruction du permis de construire D une fa on g n rale vous pourrez vous appuyer sur les correspondants d placements pr sents au sein des directions d partementales et ou des DREAL pour appr cier le plus pr cis ment possible les effets du projet sur les flux de transport c L instruction consistera aussi veiller ce que le projet respecte les d marches urbaines qui peuvent r sulter des actions s inscrivant dans le plan ville durable des op rations ANRU ainsi que des orientations de certaines zones d am nagement concert et de certaines op rations programm es d am lioration de l habitat 3 2 En mati re de d veloppement
15. et gard des indications prendre en compte 3 3 En mati re de protection des consommateurs l instruction est du ressort des services charg s du commerce dans le d partement qui devront vous faire parvenir un rapport Pour mettre en uvre votre mission d instructeurs vous pourrez vous appuyer sur la fiche d instruction et sur Sa note d accompagnement jointes en annexe 1 elles vous seront utiles pour les missions d instructeur et de rapporteur devant la CDAC mais aussi pour la transmission la DGALN d informations n cessaires la pr paration des avis sur les dossiers port s devant la CNAC Cette fiche doit vous permettre non seulement d instruire le dossier sur la base d un ensemble de questions mais surtout de d celer derri re ces questions les points qui pour le projet consid r vous apparaissent d cisifs dans la construction de votre avis Vous pourrez galement faire appel aux architectes et paysagistes conseils de votre d partement pour mettre un avis le plus complet et le plus tay possible en mati re d am nagement du territoire et de d veloppement durable Dans le cas o une volution du Pr sent pue l avenir www developpement durable gouv fr plan local d urbanisme serait n cessaire pour rendre le projet r alisable ces avis pourront utilement porter sur la localisation de ce projet et sur les ventuels enjeux paysagers du lieu propos La contribution de la DREAL pourra aussi tre recherch
16. ifficult s que vous pourriez rencontrer pour l application de la pr sente circulaire Pour le ministre d Etat Pour te ministre d Etat et par d l gation et par d l gation Le Pr fet secr taire g n ral Le directeur de fabitat de l urbanisme e g Vobyucb BA Didier LALLEMENT Etien ARENON www developpement durable gouv fr Annexe 1 Am nagement commercial fiche d instruction et note d accompagnement La circulaire dont la pr sente note d accompagnement constitue l annexe 1 a pr cis le r le des services charg s de l urbanisme et de l environnement dans l instruction des demandes d autorisation commerciale Pour faciliter cette instruction vous trouverez jointe la pr sente note une fiche sur laquelle vous pourrez vous appuyer Elle vous servira aussi pour transmettre la DGALN les informations n cessaires la pr paration des avis sur les dossiers port s en appel Les d veloppements qui suivent ont pour objet de vous apporter quelques clairages pour l utilisation de cette fiche d instruction I Cadre g n ral L examen des dossiers par la CDAC ne consiste pas instruire une demande d autorisation d urbanisme suppl mentaire ni se substituer aux pouvoirs du maire ou du pr sident de l EPCI dans l appr ciation qu ils portent sur la demande cet gard mais consid rer la pertinence de l implantation commerciale propos e en se basant sur les nouveaux crit
17. jets examin s au titre de l article L 752 4 1000 m de SdV TOTAL Pourcentage d avis DDEA suivis par la CDAC P riodicit nombre de r unions CDAC Nombre de demandes d autorisations Quel ordre d importance les d cisions rendues accordent elles aux crit res d appr ciation les classer de 1 4 o Pertinence de la zone de chalandise o Am nagement du territoire o D veloppement durable o Protection du consommateur Autres observations sur les d cisions rendues par la CDAC 2 Le fonctionnement de la CDAC Difficult s ventuellement rencontr es en mati re de o Protection du consommateur o Am nagement du territoire o D veloppement durable Commentaires L implication des repr sentants des coll ges am nagement du territoire d veloppement durable protection du consommateur est elle o importante o moyennement importante o peu importante Commentaires L influence des repr sentants de ces coll ges sur les d cisions prises par la commission est elle o d cisive o peu d cisive o pas du tout d cisive Commentaires 3 L instruction des dossiers Les dossiers sont ils complets au regard de l arr t qui en pr cise la composition o oui o non Commentaires Les l ments contenus dans les dossiers permettent ils d mettre un avis selon les nouveaux crit res dans de bonnes conditions o oui o non les
18. le gouv fr 2 La mission de rapporteur La mission de rapporteur devant la CDAC est express ment confi e au directeur des services charg s de l urbanisme et de l environnement ou son repr sentant article R 752 16 du code de commerce Il peut se faire accompagner de collaborateurs Lorsque le directeur des services charg s de l urbanisme et de l environnement choisit de se faire repr senter vous veillerez ce que cette mission soit assur e par un agent de rang suffisamment lev Elle portera strictement sur les diff rents champs num r s par les textes l gislatifs et r glementaires sur la base desquels le dossier doit tre instruit 3 La mission d instructeur La CDAC est appel e se prononcer sur la base des crit res fix s par l article L 752 6 du code de commerce effets du projet en mati re d am nagement du territoire de d veloppement durable et de protection des consommateurs 3 1 En mati re d am nagement du territoire vous aurez examiner en particulier la compatibilit du projet avec le SCOT ou le sch ma directeur lorsqu il existe ce qui constitue un l ment d terminant de l examen du dossier dernier alin a de l article L 122 1 du code de l urbanisme vous aurez aussi appr cier en l absence de SCOT ou de sch ma directeur la situation du projet au regard des dispositions de l article L 122 2 du code de l urbanisme Il convient ce titre que la mission d instructeur qui se
19. luriez la non compatibilit avec le SCOT ou le sch ma directeur vous proc derez un examen d taill des autres crit res pr vus par les textes et d velopp s dans la fiche d instruction Il se peut en effet que la CDAC ne suive pas les conclusions de votre rapport sur ce premier point Il importe par ailleurs que le demandeur ventuellement appel reconsid rer son projet dispose de l ensemble des l ments ayant conduit la commission le lui refuser une premi re fois Vous veillerez galement apporter toutes pr cisions sur la prise en compte des dispositions de l article L 122 2 du code de l urbanisme page 2 de la fiche d instruction et chaque fois que le projet rentrera dans le champ de cet article vous expliquerez pour les dossiers examin s par la CNAC en quoi le projet satisfait ou ne satisfait pas les conditions fix es par cet article Pour l appr ciation des crit res d am nagement du territoire de d veloppement durable et de protection des consommateurs il convient d observer les principes g n raux suivants La loi n a pas hi rarchis ces crit res Dans l absolu il n y a donc pas lieu de retenir a priori une pr minence de l un par rapport l autre Il arrivera toutefois qu un seul crit re d appr ciation soit de nature motiver le rejet du projet exemple absence de compatibilit avec les objectifs commerciaux fix s par le SCOT Dans d autres cas les quali
20. n dehors du tissu agglom r sise fhontebiunensitemeatiieeeiseeatnesn tisane 3 en bordure d un axe routier important 7 2eme NM Eee Na Te NN en tn se dans une zone commerciale ess CR et RE de er an ee l int rieur ou proximit d une zone d habitation importante proximit d activit s autres que commerciales dans un quartier forte proportion d habitat social sssssesssssssssssssssssseerrrrrsseeeeee Quels seront les impacts du projet vis vis de l animation urbaine de centre ville ou de centre bourg Existe t il pour ce type de commerce une offre fonci re plus proche du centre ville ou du centre bourg A l chelle du tissu de proximit La qualit urbaine Le projet est il en coh rence avec les diff rentes trames urbaines existantes viaires verte bleue Le projet contribue t il r sorber ou r habiliter une friche urbaine commerciale industrielle militaire La conception des constructions Le projet consiste t il en la r utilisation de b timent s existants s B Effet sur les flux de transport A l chelle du grand territoire Les quilibres territoriaux Le projet g n rera t il des d placements motoris s importants l chelle du grand territoire Quel sera l impact des d placements des clients et de la livraison des marchandises sur les
21. nt durable ainsi que de protection des consommateurs Le nouvel article L 752 1 du code de commerce fixe les seuils de surface de vente partir desquels les projets sont soumis une autorisation d exploitation commerciale de fa on g n rale le seuil de 300 m du r gime pr c dent a t port 1000 m2 Sont concern s les commerces de d tail et les ensembles commerciaux ainsi que les projets d am nagement cin matographique pour des quipements comportant plusieurs salles et plus de 300 places Ne sont pas concern s les pharmacies les h tels les commerces de v hicules automobiles ou de motocycles les stations de distribution de carburants les halles et march s d approvisionnement au d tail couverts ou non tablis sur les d pendances du domaine public et dont la cr ation est d cid e par le conseil municipal les magasins accessibles aux seuls voyageurs munis de billets et situ s dans l enceinte des a roports ainsi que dans la timite de 2500 m maximum les parties du domaine public affect aux gares ferroviaires situ es en centre ville Ne sont pas non plus concern s les regroupements de surface de vente de magasins voisins sans cr ation de surfaces suppl mentaires n exc dant pas 2500 m ce plafond tant ramen 1000 m lorsque l activit nouvelle est pr dominance alimentaire Dans ce contexte l objet de la pr sente circulaire est de vous apporter des pr cisions sur les modifications relatives
22. oseess 1 Pr sentation de la demande Le demandeur NOM Sen E TROTE E A T E O en NE N aE CAR e AE D EAE e A a EN Aa S E AE a EN de au Adresse aei ana ea a ara E a TAS e ACHLVIL EEEE A O A EAT A E O La nature du projet Nature de l activit du commerce envisag ENSEDE STRING NE Ne ARS nt ns E E E A ON ne S agit il de la cr ation ou de l extension de la surface de vente d un magasin de la cr ation ou de l extension d un ensemble commercial d un changement de secteur d activit dela r ouverture au public d un magasin du regroupement de magasins voisins Surface de vente demand e Surface de vente existante Surface de vente totale La localisation du projet D DATI MENE ER AS SR AT A A a E Commune d implantation israel Nombre d habitants esse ini eine nn EEEREN AEREE entre Agglom ration au sens de l INSEE Nombre d habitants Seisd SN Rd ER nee reed an get CEA ae L historique du projet Si le projet a fait l objet de demandes ant rieures pr ciser en quoi il a volu En cas de passage en CDAC sur la base de l article L 752 4 du code de commerc
23. ppara tre dans la motivation de la d cision Si l on dispose des renseignements correspondants il est en revanche possible d y voir des indices qui selon les cas conduiront porter une appr ciation plut t favorable ou plut t d favorable au projet De fa on plus g n rale rarement une r ponse une question particuli re de la fiche d instruction pourra conduire seule conclure dans un sens ou dans l autre c est une sorte de bilan entre les aspects positifs et les aspects n gatifs du projet qu il convient de se livrer pour faire ressortir une impression g n rale L importance relative des crit res reposera alors sur les l ments de contexte du dossier comme expliqu pr c demment En tout tat de cause la d cision que prendra la commission devra tre motiv e en fait et en droit Il conviendra donc de produire des rapports particuli rement tay s d crivant d une part les caract ristiques de l espace et les tendances territoriales sur lesquelles le raisonnement prend appui d taillant d autre part les crit res tels que fix s par la loi qui conduisent proposer une d cision dans un sens ou dans l autre DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L EQUIPEMENT ET DE L AGRICULTURE Fiche d instruction des demandes d autorisation d exploitation commerciale CDAC CNAC Cr ation et extension de commerce Projet reeoisreois TR E EEEE Num ro de dossier eeesseeosseeosesosesosssoosse
24. re Le passage d un projet devant la CDAC voire devant la CNAC occasionne des modifications sur les d lais d instruction du permis de construire et sur la possibilit pour le demandeur d obtenir un permis de construire tacite Deux cas sont distinguer 5 1 Projets aboutissant une surface de vente sup rieure 1000 m soumis autorisation d exploitation commerciale en application des articles L 752 1 L 752 3 du code de commerce La proc dure d instruction du permis de construire pour un projet soumis autorisation d exploitation commerciale est sensiblement la m me qu auparavant Dans un premier temps le p titionnaire d pose sa demande d autorisation d exploitation commerciale au secr tariat de la CDAC Le projet d am nagement tant soumis accord au titre du code de la construction et de l habitation un d lai de 6 mois s applique d sormais La majoration du d lai d instruction du permis de construire 7 mois anciennement pr vue par l article R 423 30 du code de l urbanisme a donc t abrog e En cas d autorisation accord e par la CDAC et conform ment aux dispositions nouvelles issues de la loi LME et destin es ne pas retarder la d livrance de l autorisation d urbanisme le permis de construire peut tre d livr et l arr t doit pr ciser au demandeur qu en cas de recours form devant la CNAC dans les conditions fix es par l article L 752 17 du code de commerce l ex cution des travaux ne pou
25. rra pas commencer avant que la CNAC se soit prononc e article L 425 7 du code de l urbanisme Ainsi si la CNAC infirme la d cision de la CDAC le demandeur ne pourra pas mettre en uvre le permis de construire qui lui aura t d livr Pr sent our l avenir En cas de refus de la CDAC l autorit comp tente est tenue de refuser le permis de construire article L 425 7 du code de l urbanisme La lettre par laquelle le secr tariat de la CDAC notifie ce refus au demandeur l informe qu il ne pourra pas se pr valoir d un permis tacite l issue du d lai d instruction et que dans le cas o un recours serait form devant la CNAC le d lai d instruction du permis de construire serait major de 5 mois article R 423 44 1 du code de lurbanisme 5 2 Projets aboutissant une surface de vente comprise entre 300 m et 1000 m situ s dans les communes de moins de 20 000 habitants et susceptibles d tre soumis pour avis la CDAC en application de l article L 752 4 du code de commerce La demande de permis de construire est d pos e en mairie accompagn e d une notice pr cisant la nature du commerce projet et la surface de vente articie R 431 27 1 du code de l urbanisme A compter du d p t de la demande de permis la CDAC peut tre saisie dans un d lai d un mois dans les conditions fix es par l article L 752 4 et pr cis es par les articles R 752 29 R 752 44 du code de commerce Lorsque la CDAC est
26. services charg s du commerce dans le d partement font ils un rapport sur la protection du consommateur o oui o non La fiche d instruction est elle o adapt e o moyennement adapt e o peu adapt e Observations sur la fiche d instruction Exprimer les ventuels besoins de formation en pr cisant les points particuliers sur lesquels ils devraient porter
27. t s environnementales reconnues au projet pourront compenser d autres aspects moins satisfaisants Le contexte local peut aussi vous permettre de d terminer en fonction des enjeux du territoire si l un de ces crit res ou certains aspects particuliers de celui ci appellent une attention plus soutenue A titre d exemples pour un territoire pr sentant une tendance la d sertification la contribution du projet l animation de la vie rurale et peut tre de montagne pourra tre jug e d terminante sur tout espace o un enjeu fort de paysage aurait t identifi et o la r gle locale PLU carte communale n aurait pas encore t stabilis e le principe de la pr sence du commerce sollicit dans le paysage consid r m ritera un examen tr s approfondi et le recours au paysagiste conseil devra tre vivement encourag sur un territoire o la proportion de personnes g es serait lev e le positionnement du projet dans un centre urbain ou son insertion dans les r seaux de transports collectifs devront tre au nombre des crit res de d cision importants La fiche fait appara tre des questionnements dont la r ponse ne d coule pas directement des l ments contenus dans le dossier voire m me qui rel vent de r glementations trang res l urbanisme commercial Il n est bien s r pas possible de s appuyer sur ces seuls crit res pour faire une proposition la commission n1 m me de les faire a
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