Solidarité paysans n° 257 - Confédération Paysanne du Nord
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1. Pour d fendre le droit des paysan ne s d utiliser et d changer librement leurs semences et leurs animaux reproducteurs et d acc der sans restriction l ensemble de la diversit cultiv e disponible Contre les brevets sur le vivant et le contr le du march des semences par les multinationales La Conf se mobilise l chelle nationale et europ enne Lundi 20 janvier 10 repr sentants de l ADEARN Conf d ration Paysanne Nord Pas de Calais se sont rendus Bruxelles devant le parlement europ en pour rejoindre le mouvement Via Campesina alors que le parlement europ en s appr te voter un paquet l gislatif sur la commercialisation des semences la sant des animaux et des plantes et les contr les sur la cha ne alimentaire Le lendemain mardi 21 janvier une centaine de la Conf a pris possession de l immeuble du GNIS Groupement National Interprofessionnel des Semences Paris Des paysans ont d cid de pour obtenir une d cision politique dans le cadre du vote de la loi sur les contrefa ons Et l action pay d s le lendemain le gouvernement faisait une d claration claire il N 357 F vrier 2014 Prix 3 50 Bulletin de la Conf d ration Paysanne Nord Pas de Calais Solidarit Paysanne 40 avenue Roger Salengro 62223 SAINT LAURENT BLANGY T l Fax 03 21 24 31 53 courriel nordpasdecalais confederationpaysanne fr http nordpasdecalais confed2. notamment l table le Juge verra une d molition partielle reste possible pour la rendre plus conforme Pas d illusions donc le chantier ne sera pas ras dans les prochains jours 2 Quand le Pr fet a eu en main les conclusions de la DDTM et de la DRAC il a averti ses sup rieurs les Ministres et notamment Mme C cile Duflot 3 qui g re tout ce qui touche l urbanisme Les techniciens de son Cabinet Minist riel se penchant sur le permis initial ont d couvert de nombreuses et graves irr gularit s un tel permis n aurait jamais d tre sign en mars 2013 Ces irr gularit s sont exactement celles que notre avocat a relev es en vue de d poser devant le Juge des r f r s F vrier 2014 au Tribunal Administratif d Amiens une demande de suspension des travaux Apr s maints retards dont 7 mois d attente car malgr des demandes r it r es et l avis de la 4 la Pr fecture ne parvenait pas nous voici le dossier d pos en ce 27 janvier Mieux Il a le soutien du Cabinet Minist riel de Mme Duflot Certes tant qu on n a pas la d cision du Juge le suspense demeure et il va durer un mois et demi environ Mais sachez qu en cas d chec nous ne serons pas d munis pour autant Que les Services de l Etat reconnaissent l ill galit globale du dossier est d j une avanc e consid rable Eh oui la surprise exprim e M Welter et M Ramery n est pas feinte D habitude ce
3. un ph nom ne pluvieux exceptionnel En novembre 2013 nous avons connu quelques jours de pluie parfois fortes mais courtes dans la dur e Et en novembre 2013 la presse locale n a pas v ritablement os aborder la question des causes de ces ruissellements et de toute cette rosion Il y a pourtant bien des choses dire ce sujet Histoire d une parcelle origine d une rosion Penons un exemple Etaples comme il en existe bien d autres Lefaux Brexent ou ailleurs Photo prise en novembre 2013 Etaples 62630 A description Faisons un historique r cent de cette parcelle situ e au dessus d un chemin communal d Etaples Sur la ligne d horizon de la photo se trouvait un petit talus enherb d un m tre de hauteur et 50 m tres de long et une prairie Celle ci qui t retourn e en 1980 suite au remembrement sur la commune d Etaples et le talus supprim ce qui a permis l agrandissement des parcelles dans le sens de la pente bien s r Solidarit Paysanne n 357 ROSION Pourquoi la veut Par ailleurs jusqu au d but des ann es 2000 deux agriculteurs sur les cinq qui cultivent au dessus du chemin cultivaient r guli rement tr fles et luzernes Depuis ils sont partis retraite et leurs successeurs ont remplac les cultures fourragaires par du ma s ensilage Ces deux changements locaux se combinent avec une volution globale des modes de productions agric
4. L agriculture Paysanne est cette agriculture riche et diversifi e qui cr e de l emploi paysan et produit des aliments sains C est un chemin qu on devrait prendre pour redonner de l espoir en un d veloppement humain Jean Louis Robillard vice pr sident de R gion a appel un rapprochement des r seaux travaillant au d veloppement de la bop St phanie Pageot pr sidente de la FNAB et Christian Durlin repr sentant la Chambre ont r pondu en vitant Sr soigneusement cette question fondamentale de Se l emploi question qui f che Christian Durlin On peut saluer l exploit que repr sente cette Maison de la Bio dans une profession qui s est donn une repr sentation institutionnelle enferm e dans un corporatisme aveugle qui pousse les paysans refuser les contraintes au lieu de les motiver pour voluer avec les attentes de la soci t Quid de la dimension sociale dans le d veloppement de l Agriculture Biologique Qu il tait encourageant de voir de plus en plus de paysan nes heureux ses d avoir pris ce chemin Pour beaucoup c est le chemin d une agriculture paysanne et Jacques Caplat qui participait la conf rence de l apr s midi expliquait tr s bien comment l agriculture pourrait nourrir le monde sans recourir chimie Heureusement qu il tait l pour replacer le d veloppement de la bio dans un F vrier 2014 ER revendiqu pour la Chambre les comp tences n cessaires au d
5. d bnitons Un organisme g n tiquement est un omanpme l exception des tes humains dont le mat ni g n tique a t modifi d une mamibre qui ne lt efleciue pas naturellement par multiphcation etau par recombinaison naturelle Annexe 1 Les techniques m thodes de modication g n tique poduisant des organismes du hamp d application de a pr sente L sont 1 mutagen 2 la fusion reklam Les vari t s de sont sr e au catalogue europ en mas pas le catalogue fran ais betterave monogerme Cependant son usage s est fortement amplifi cette derni re d cennie grace aux nouvelles techniques de marquage mo l culaire de mutag n se dirig e Les adeptes du syst me agro industrid tentent de faire croire que ces techniques ne se diff rencent pas des processus naturels Certes les organismes mutent aussi sous l influence de faibles stress mutag nes naturels mais un rythme tr s lent qui permet ceux qui survivent de se r adapter naturellement leur environnement Ce proces sus naturel est donc tr s diff rent des manipu latons intentionnelles du g nome obtenues exposant le mat riel v g tal sorti de son en vironnement naturel des stress mutag nes tr s violents Les individus qui r sistent ces manipu lations sont ensuite s lectionn s en laboratoire semences aptes germer pollen capable de f conder cellul
6. l Adearn Conf d ration Paysanne et associations partenaires En particulier dans le cadre du projet Semences Paysannes en Nord Pas de Calais Picardie Rendez vous la F te de l Agriculture Paysanne Loos en Gohelle le dimanche 6 juillet 2014 de Jean Michel LOUF Jean Michel Louf nous subitement le 22 d cembre dernier quitt Install au d but des ann es 80 comme leveur laitier Bonningues les Ardres il s tait converti l agriculture biologique en 2000 Suite une reconversion professionnelle il tait depuis quelques ann es formateur au CFA de Saint Omer Jean Michel tait de ceux qui avaient cr la Conf d ration paysanne du Pas de Calais en 1987 Son engagement n a jamais cess depuis et il a t de tous les combats pour defendre agriculture plus juste plus solidaire respectueuse de la terre a au cours de ces ann es t membre du comit national et lu la Chambre d Agriculture NE eet g Jean Michel nous garderons de toi le souvenir d un homme de conviction pris de justice et dot d une d termination et d un humour remarquables Pour tout ce que nous avons partag avec toi et pour ce que la conf te doit nous te disons merci De nombreux n gociants et coop ratives pr l vent automatiquement sur vos factures une taxe revers e aux sections sp cialis es de la FNSEA AGPB bl ma s FOP ol oprot agi
7. T l Fax 03 21 24 31 53 Courriel nordpasdecalais confederationpaysanne fr F vrier 2014 15 Solidarit Paysanne n 357 Bus organis par la Conf et EELV D part Samedi 22 f vrier vers 2h du matin donc le vendredi soir de Lille MRES 23 rue Gosselet Arr ts proximit d Arras et d Amiens Arriv e Nantes vers 11h Retour Samedi 22 f vrier vers 22h30 Nantes Arr ts proximit d Arras et d Amiens Arriv e Lille vers 7h30 Prix de la place 40 par personnes au tarif de base 10 pour les paysans adh rents la Conf d ration paysanne le reste est pris en charge par le national EELV prend en charge le d placement de ses adh rents Vu les engagements non tenus par plusieurs personnes lors des derniers d placements aucune inscription ne sera d finitive sans paiement pr alable Les ch ques doivent tre envoy s la Conf d ration Paysanne 40 rue Roger Salengro 62223 SAINT LAURENT BLANGY Modalit s d inscription AVANT LE 12 F VRIER R server par message lectronique intitul BUS NDDL 22 FEVRIER nordpasdecalais confederationpaysa nne fr Envoi ou d p t de votre ch que pas d inscription d finitive sans paiement Mod le de message de r servation Je souhaite faire le d placement bus pour la manif du 22 f vrier Nantes Nom et pr nom habitant la Commune N de t l phone adresse mail souh
8. apporter une nouvelle solution chimique aux probl mes de d sherbage La tol rance lher bicide permet l utilisation coupl e de la vari t et de l herbicide associ peut tre appliqu en post lev e c est dire sur une culture et des adventices d j d velopp es Ces sont rare ment issues de s lections traditionnelles de mu tants spontan s La plupart sont obtenues l aide de techniques comme la transg n se et mutag n se Mais m me si les plantes ob tenues par mutag n se sont des organismes g n tiquement modifi s selon la d finition of ficielle de la Commission Europ enne elles ne sont pas soumises la m me r glementation que les plantes transg niques C est pourquoi nous utilisons l expression OGM clandestins ou cach s un Elles ne sont donc ni valu es ni trac es ni tiquet es ni surveill es Elles sont tout simplement mises sur le march comme n importe quelle vari t issue de la s lection vari tale classique MANIPULATIONS G N TIQUES OU PROCESSUS NATUREL La mutag n se est utilis e depuis 50 ans pour produire par exemple des fourrages et autres plantes t traploides ou des vari t s de Les pantes tran g niques sant des plantes dent le g nome t modifi par de g r s 2 Cr ation atihcele de mutants avec des produits chimiques ou des rayonnements gonsanb 3 Erat de la directive 2001 18 Anice 2
9. au Projet Mercredi 19 mars 2014 Journ e Cultivons l humain sur nos fermes Faire ses choix sur sa ferme en tenant compte du facteur humain avec l intervention de Dominique Lataste psychosociologue Autrement Dit Organisation CEDAPAS au 03 21 24 31 54 Lieu Arras Lille ou Arques ou autre lieu en fonction de la demande des inscrits Lundi 31 mars la Maison de Paysans St Laurent Blangy D velopper des strat gies pour mieux rebondir Pour plus d information contactez Avenir au 03 21 24 31 52 ou contact avenir5962 org Coorganis avec Arcade Samedi 5 avril Assembl e G n rale d AVENIR Lieu d finir bient t Ferme transmettre Secteur Bergues Flandres maritime ferme de 30 ha en polyculture partiellement en bio recherche porteur de projet sensibilit agriculture paysanne bio agro cologie Contact 06 30 56 35 37 Bulletin d abonnement Solidant paysanne 59 62 b r go ral 11 nur ros an gratuit ke adh rent o Abonnement normal 30 o Abonnement de soutien partir de 30 o Abonnement budget tudiants ch meurs 15 Abonnement a Campagnes Solidaires ensual national 42 o Demande recontact en vue d une adh sion Bulletin d abonnement et ch que l ordre de Conf d ration Paysanne renvoyer Conf d ration Paysanne Nord Pas de Calais T l phone 40 avenue Roger Salengro Portable 62223 SAINT LAURENT BLANGY Courriel
10. juridique et de responsabilit QUI EST RERSPONSABLE DE L EAU ET DE LA TERRE QUI SORT D UN TERRAIN AGRICOLE Prenons un exemple avec ce chemin communal d t rior sur 250m et remis neuf par la commune en 2012 pour 18000 euros A description Les contribuables taplois qui ont d j pay en 2012 Les contribuables de la Communaut de communes Mer et Terres d Opale Les 4 ou 5 agriculteurs qui cultivent au dessus du chemin par o l eau est arriv e La question m rite d tre pos e Monsieur le Prefet du Pas de Calais afin qu il aide les lus de la commune d Etaples dans une d cision juste Les agriculteurs qui sont aussi des leveurs cultivent le ma s pour nourrir leurs animaux mais le ma s accentue fortement l rosion 115 ont aussi la possibilit de r implanter des F vrier 2014 prairies temporaires base de luzernes ou des prairies permanentes dans les endroits les plus sensibles l rosion Pourquoi ne le font ils pas Pourquoi faudrait il que ce soit toujours le contribuable payer pour les cons quences de choix agricoles de plus en plus ruineux pour la soci t L agence de l eau a d pens 18 millions d dans des programmes d actions pour le compte de l agriculture lutte contre l rosion pollution par les nitrates et pesticides conc d s des responsables agricoles n en ont pas grand chose faire de l environnement Leur argument principal est toujours l
11. t de transformation soit moindre voir nul dans un objectif de solidarit Enfin qui t obtenu cette ann e terme de d fiscalisation pour les dons de lait en nature pourrait tre tendu d autres produits agricoles dans les ann es venir En de doute contactez nous novissen free fr BK Le CA de Novissen le 30 01 14 1 DDTM Direction D partementale des Territoires et de la Mer 2 DRAC Direction R gionale des Affaires Culturelles 3 Madame C cile Duflot Ministre de l Egalit du Territoire et du Logement 4 CADA Commission d Acc s aux Documents n 357 Solidarit Paysanne Loi d Avenir agenda et mode d emploi 1 L initiative Novembre 2013 L initiative de la loi peut venir du Gouvernement ensemble des ministres ou des parlementaires d put s et s nateurs Subtilit quand c est le Gouvernement parle d un projet de loi Quand cela vient des parlementaires on parle d une proposition de loi La LAAF est un projet de loi pr par par le gouvernement Le ministre de l Agriculture officiellement pr sent son projet de loi d avenir agricole au Conseil des ministres le 13 novembre 2013 2 L examen par les commissions parlementaires Novembre d cembre 2013 Le texte est d abord examin par la commission parlementaire comp tente pour le domaine concern dans notre cas cest la commission des affaires conomiques D autres commissions peuve
12. terrain Recevez nos sinc res salutations syndicales Denis Top Solidarit Paysanne n 357 Rencontres territoriales agricoles Ont t organis es par la DDTM du Nord plusieurs rencontres travers le d partement afin de favoriser les changes sur les probl matiques Jean Luc Bardel et moi m me y avons particip pour la Conf d ration paysanne au niveau de l arrondissement de Dunkerque Socx le 7 novembre dernier Environ 70 personnes avaient r pondu l invitation syndicats lyc es agricoles DRAAF Chambre GEDA Syndicagt mixte SCOT coop abattoirs industriels de la transformation GABNOR AMAP Union des Wateringues et 23 maires du secteur Apr s des pr sentations concernant le territoire et l agriculture au sens large il y eu de nombreuses interventions remarques et interrogations de la profession concernant la taille des levages les modes de production et la qualit de vie am liorer en particulier en levage L apr s midi vu plusieurs th matiques faire l objet d changes environnement les analyses des eaux de surfaces sont m diocres moyennes ou mauvaises foncier 85 des surfaces fermage et une artifialisation 4 quivalent 500 m habitant an mara chage et vente directe veillez bien appliquer les textes r glementaires de la DDPP dispositifs op rationnels PLU SCOT PAEN et les MAET pour lesq
13. veloppement de Bio mais quid de la comp tence pour d velopper l emploi paysan D velopper l agriculture bio en misant sur les emplois paysans Cette comp tence elle peut s acqu rir la condition de faire le choix politique qui s impose choisir de mettre en priorit l emploi paysan dans les actions de d veloppement Ca n est pas aujourd hui le choix politique de l quipe qui dirige la Chambre d Agriculture Leur choix est de soutenir le mod le lib ral et industriel s adaptant comme l a clairement dit Christian Durlin au syst me au lieu de d fendre l int r t de producteurs nombreux Les interventions de l INRA de l Ademe n ont pas plus r pondu cette attente il n est ressorti de leurs expos s que des aspects techniques agronomiques qui sont certes importants mais qui sont connus depuis longtemps et ne permettent pas pour autant de changer le mode de d veloppement agricole Ce sont les choix humains les choix politiques qu il faut travailler Monsieur Lebel Directeur adjoint de la Draaf a propos de remettre l agronomie au c ur de l enseignement agricole Ca parait urgent de remettre en cause certains enseignements qui consid rent la nature les sols les plantes les animaux comme objets d exploitation Mais l encore il 11 fait l impasse sur un enseignement qui est d terminant d velopper la capacit r fl chir sur le sens qu on donne son m tier 5 vie da
14. CH ee HN SE 5 l chelle des des probl me gu rotations d Les impacts sur le 5 oansmes l augmentation de l utilisation combin e de transg n se et de la mutag n se permet aux semenciers de contour ner la l gislation contraignante qui s applique sur les plantes transg niques et de proposer de nouvelles van tes rendues tol rantes aux herbi cides non tiquet es OGM En r sum cette nouvelle g n ration de techniques de modification g n tique ne differe de que par le fait qu il n y pas eu introduction d un g ne ext rieur dans le g nome de la plante Les modifications non intentionnelles de ce g nome peuvent pourtant tre selon certains scientifiques aussi importantes et provoquer les m mes risques sanitaires et environnementaux que la esp ces des rotations de grandes gultur Ours pius Aux LISA M LOUS 2 M ee pe t r ons CroOsee amp Tournesol 5 de r colte on Peut auss s graines budeises est mentionn e a modiversit les usage OE3 d sher barts COIMIQUES CON s Vi tournesol t cola actuellement mises herbicides s lectifs concern s appartiennent des sont d j tr s fr quemment utilis es sur les 5 COMTE mais La culture de ces van t s et l utilisation acc l re
15. RINGHEMN R UNION D INFO SOUS HAUTE SURVEILLANCE Invit par l association AIVES une r union d information publique je me suis rendu Heuringhem le 25 novembre dernier Le pr sident d AIVES JM Jedrazcack comptait sur notre syndicat pour proposer des solutions alternatives l industrialisation de l levage La r union faisait suite la manifestation houleuse organis e par les bons petits soldats de Gilles Durlin pr sident de la FDSEA du Pas de calais suite la suspension du permis de construire d une porcherie industrielle dans le village La salle communale tait comble avec de nombreux agriculteurs debouts dans le fond huant et sifflant apr s chaque intervention n allant pas dans leurs sens En effet les divergences de fond taient nombreuses entre les intervenants d AIVES et une FDSEA arcbout e sur le fait que 300 truies naisseuses engraisseuses n tait pas un projet d mesur ni industriel Pour justifier son point de vue Durlin argua que la production porcine dans la r gion tait insuffisante et que nous avions la chance d avoir des outils de transformation comme l usine Herta de Saint Pol sur Ternoise pour proposer des produits bon march aux consommateurs les moins fortun s F vrier 2014 D autres interventions comme Demol de JA ont fustig la Conf d ration Paysanne qu il consid re comme non repr sentative ce qui lui interdirait de parler la d fense des paysans Dr le d
16. a Fadear et 5 r seaux partenaires publient un recueil de t moignages de paysans sur leur parcours la transmission et de pr sentations d accompagnements pour permettre un plus grand nombre d agriculteurs de transmettre leur ferme Ce livret a t r alis pour donner envie aux paysans de transmettre leurs fermes Pour leur dire c est parfois pas facile mais vous n tes pas seuls Vous pouvez t l charger ce livret d une soixantaine de pages sur le site www agriculturepaysanne org transmission ou le trouver en version imprim e la maison des paysans 6 F vrier 2014 G N TIQUES ET ES BREVET ES MUTATIONS PLANTES PESTICI ri d i m e Ce Le d d i V ch LA 3 F LST I NW E P MT a 1 d wi A a A i GN K se d KZ Ve Fab zb ARA L ss H WR a KZ j ER S KR i j e gy ge i j A i o a A Ze EF e d H i i i Le EN e e e KE 4 DL E Le 4 D Ah BS 3 i T Novembre 2013 Conf d ration paysanne 104 rue Robespierre 93170 Bagnolet T l 01 43 62 04 04 contact confederationpaysanne fr www confederatonpavzanne VRTH PLANTES MUT ES OGM CLANDESTINS DE QUOI PARLONS NOUS Le d veloppement de Vari t s rendues Tol rantes aux Herbicides VrTH a comme objectif affich d
17. a faute la m t o ou bien il faut vivre avec son temps Sous entendu des c est tr s moderne d utiliser pesticides de cultiver le mals BK H ge Ne 4 administration agricole d partementale est aussi responsable quand elle autorise des agriculteurs retourner des prairies sensibles aux ruissellements De m me que les lus de nos communes et communaut s de communes qui pr f rent financer des r alisations haies bassins pour le compte des agriculteurs au d triment de l ensemble des citoyens Cette situation engendr irresponsabilit agricole collective inqui tante Non la Conf d ration Paysanne nous ne nous reconnaissons pas dans cette agriculture qui n assume pas financi rement ses choix C est avec les aides PAC qui vont essentiellement ceux qui en ont le moins besoin un ind cent gaspillage d argent public pour une efficacit pratiquement nulle Comment une agriculture qui se dit productive peut elle envisager de nourrir le monde pour le pr sent et pour les g n rations na tre si elle provoque chaque ann e une rosion de la terre des champs vers les foss s les rivi res et vers la mer la terre la plus fertile des sols F vrier 2014 Nous demandons l arr t des subventions de l agence de l eau dans leurs formes actuelles qui sont un encouragement cette agriculture qui provoque l rosion qu
18. able que des difficult s nous attendent encore et nous devrons les r soudre l une apr s l autre Pour mieux comprendre il faut distinguer d une part la d molition de ce qui est construit d autre part la suspension des travaux 1 Suite au permis de construire accord le 7 mars 2013 nous l appelons le permis initial le chantier a d marr Mais le 28 novembre 2013 le promoteur d posait un permis modificatif quelques d tails ayant t modifi s par rapport au permis initial Par des vues a riennes nous tions d j en alerte Mais en d couvrant l importance de ces d tails nous avons averti le Pr fet moins de cautionner l ill galit il tait impossible aux Services de l Etat d accepter au vu et au su de tout le monde ce permis modificatif Le Pr fet envoy sur place des personnes de la DDTM 1 et la DRAC 2 Elles ont confirm des irr gularit s nombreuses touchant l ensemble du chantier la plus grave tant un b timent d plac par rapport au plan initial et construit sur une zone de r serve arch ologique Le Pr fet a donc donn l ordre M Ramery de d molir Mais il n a pas le pouvoir de faire appliquer son ordre Il faut pour cela une d cision de Justice La proc dure est actuellement en cours En ce qui concerne le b timent plac sur la zone arch ologique de toute fa on inacceptable le promoteur semble d j se pr parer le d molir Pour les autres
19. ailleurs b n voles de l ombre 7 jours sur 7 du printemps l automne sont ici l uvre dans une prairie temporaire de la ferme d Hilbert Etaples sans engrais ni pesticides chimiques depuis plus 15 ansjlls remontent la surface du sol leurs excr ments base de terre et viennent enrichir la culture en m me temps qu ils a rent et fertilisent la culture en place 12 Les vers de ne s ach tent pas P Lef AL TAN d k z Gei e d E SE er Le m i vi ka Ils ne se vendent pas non plus 115 n int ressent donc pas les firmes commerciales qui dirigent l agriculture dominante et qui ont justement int r t leur disparition totale pour les remplacer par des machines fonctionnant l nergie fossile par des engrais chimiques et par des pesticides de synth se de plus en plus dangereux L avenir ne serait il pas plutot dans la recherche et l utilisation de produits respectant faune et la mycorhizienne champignons du sol Comme cela n a jamais t pris en compte nous demandons que les agriculteurs qui s engagent ne plus mettre de fongicides ni d insecticides dans les terres sensibles soient encourag s financi rement par une aide compensatoire une mesure agro environnementale protections des organismes vivants dans de le sol D gats d rosion qui paye Au del de la question agronomique les ruissellements et l rosion entra nent aussi un probl me
20. aite partir de et revenir Si vous ne pouvez pas venir mais que vous voulez soutenir la mobilisation vous pouvez financer le d placement de personnes qui n ont pas les moyens de venir leurs propres frais Pour cela envoyez vos participations la Conf d ration paysanne nous attribueront les places aux personnes qui en ont besoin Solidarit Paysanne n 357 Notre Dame des Landes Plus d infos http 22fevrier2014 hlogspot com Ai HP KA Di L Etat et les pro a roport menacent de passer de nouveau en force Ils pr tendent d buter dans les mois qui viennent la destruction des esp ces prot g es et les chantiers de l a roport Une nouvelle vague d expulsions pourrait survenir Nous ne les laisserons pas faire Les travaux ne commenceront pas Sur place le mouvement est plus vivant encore qu l automne 2012 les liens plus denses les champs plus cultiv s et les habitats plus nombreux Au del plus de 200 comit s locaux se sont cr s en solidarit avec la lutte et pour la faire essaimer par chez eux 16 F vrier 2014
21. ale Pour certains agriculteurs adeptes de d marches productiustes ces vari t s sont opportunit de maintenir leurs syst mes ba s s sur des rotations trop courtes favorisant la multiplication de certaines adventices A l oppos de cette vision des choses pour solutionner les probl mes de d sherbage il existe des solutions m caniques et agronomiques simples et efficaces Ces solutions sont conomes contribuent l autonomie des paysans et sont en phase avec les options agro cologiques officiellement et avec l objectif affich du programme Ecophyto qui pr voit de r duire de 50 l usage des pesticides d ici 2018 BREVETS S APPROPRIER LE VIVANT R DUIRE L AUTONOMIE DU PAYSAN Ces vari t s mut es et rendues r sistantes des herbicides sont elles r ellement utiles Les avan tages mis en avant les firmes semenci res portent principalement sur un meilleur contr le des adventices s agit d un avantage court terme qui induira moyen terme plus de dom mages conomiques et environnementaux que d avantages De plus il s agit d une innovation contraire aux principes de l agro cologie qui s appuie sur les fonctionnalit s de la nature et sur la r duction de l utilisation de produits 7 Comme par emple Les rotations longues Epress un est une solution in dite de lutte contre les at du tourmesal en past lev e de la culture Expresssu asso
22. cie les hybrides de lournesols ol iques et d e de Pioneer avec j herbicide anti dicotyi dar D autres paysans sont tromp s par les distributeurs qui indiquent sur les sacs de semences VrTH qu elles sont sues de s lection cassque chimiques Sous le vernis d une innovation devant simplifier le travail de l agriculteur a l objectif des firmes phyto semenci res est clair vendre un maximum de semences et d herbicides et ainsi r duire l autonomie des paysans Ces va n t s prot g es par un COV contiennent un g ne brevet responsable du caract re tol rance l herbicide Gr ce la d tection de g ne on pourrait facilement prouver qu il s agit de la vari t en question et poursuivre le paysan qui utiliserait des semences de ferme De plus le g ne responsable de la tol rance l herbicide de ces plantes peut contaminer les r coltes d autres paysans Suite cela la firme pourrait leur r da mer des royalties En conclusion les s ins crivent dans une strat gie contraire aux int r ts des agricultures paysannes Nous souhaitons pas que les firmes phyto semenci res contr lent nos agnicultures et notre alimentation Certificat d Obtention v g tale N Auge si n utilisent pas des var t s prot g es par un droit de pro Deg intelecuel bs semences paysannes et e du domaine pubic com pe onge 12 ct probl me d j renco
23. cultures afin de limiter les probl mes d rosion Aujourd hui il ne faut pas figer les contraintes sur certaines parcelles de fermes qui ont maintenu des l ments naturels sans compensation financi res mais faire partager l ensemble des contraintes par la profession Il faut galement garder en m moire qu il n y a pas que l agriculture qui est concern e par l origine de la probl matique de l eau et du climat Nous avons besoins d acteurs sur le terrain avec du bon sens et le sens des responsabilit s partag es Face au d fi du r chauffement climatique des solutions sont inventer en amont et non pas apr s les catastrophes Une volution n cessaire du mod le agricole doit se mettre en place comme celle pratiqu e par une poign e de paysans l agriculture paysanne et biologique qui am liore la qualit de l eau la biodiversit les paysages et qui emploie beaucoup de main d oeuvre Enfin il faudra aussi penser entretenir les canaux envas s depuis 40 Globalement il faudra accepter de r unir l ensemble des diff rents syndicats agricoles pour traiter ces probl matiques et trouver des solutions locales efficaces sans investissements d mesur s La conf d ration paysanne s est oppos e aussi au boisement sur de bonnes terres mais soutient les projets d agroforesterie Dans l attente d avoir des r ponses positives sur les suites donner ce dossier de concertation avec l ensemble des acteurs de
24. e cette lutte soit men e dans chaque communaut de communes sur une ligne budg taire sp cifique lutte contre l rosion agricole et financ e en grande partie par les agriculteurs eux m me par l imp t foncier non b ti Cela va tre douloureux mais ce sera un choc salutaire n cessaire pour responsabiliser les agriculteurs dans leurs pratiques et diminuer fortement les ruissellements et l rosion agricole La communaut de communes devra encourager les agriculteurs qui font les efforts n cessaires par une exon ration partielle ou totale de cet imp t suivant le pourcentage de prairie 10 25 l assolement d s lors qu ils sengageront dans un programme de remise en prairies temporaire de leur assolement et qu ils v ritablement dans une mesure protection du sol Les autre devront assumer financi rement leurs pratiques Cela co tera bien moins cher aux contribuables et les r sultats seront visibles tr s rapidement L agronomie au service de la protection des sols L o l rosion est moins forte les agriculteurs doivent aussi repenser l rosion parcelle par parcelle Chaque agriculteur doit tout faire pour retenir l eau l o elle tombe en mettant en eouvre des techniques agronomiques adapt es et en consacrant 1 2 m par hectare et en r alisant des mini retenues L agriculture ne doit pas tre une charge environnementale mais une solution pour la s
25. e conception de la d mocratie Les nombreux habitants furent beaucoup plus pr cis dans leurs questionnements sur l avenir de l agriculture Les adh rents d AIVES ont bien compris probl matique et plusieurs intervenants ont dit nous sommes pr t accompagner l agricultrice en achetant ses produits si demain elle part vers une autre installation beaucoup plus modeste et avec une production de qualit Mais nous n avons pu que constater une fois de plus le foss grandissant entre des riverains exasp r s de voir de tr s grosses structures industrielles agricoles envahir les campagnes et la FDSEA UA qui croit vraiment que type d agriculture au service de l agro alimentaire un avenir Dans mon intervention j ai mis l accent sur le fait que face Ramery et son projet de ferme usine nous n avions pas entendu les JA et la FDSEA le d clin la production porcine dans la r gion est surtout d aux prix extr mement bas impos s par l agro alimentaire depuis plus de 10 ans Pourquoi ne voit on aujourd hui se monter que de grosses structures si ce n est que vos repr sentant sont hostiles aux petites installations Et pourquoi donc manifestez vous seuls dans vos gros tracteurs N avez vous encore rien compris sur la demande soci tale Pourquoi d fendre un mod le compl tement d pass Avez vous pens l ombre que va faire un tel projet aux futures installations notamment avec la captat
26. enne Afin d assurer la conservation des ressources g n tiques et en promouvoir l utilisation il est n cessaire d am liorer le b n fice conomique que les agriculteurs peuvent tirer de l utilisation d esp ces sous employ es Ce changement d approche passe par une meilleure allocation des fonds allou s par l Union europ enne UE de l ordre de 143 millions pour la p riode 2011 2013 d encourager l utilisation des ces ressources de d velopper la recherche scientifique et le partage des connaissances La Commission propose aussi une r vision de la l gislation sur les semences de faciliter l acc s aux march s des vari t s traditionnelles ce jour seules les vari t s homologu es et inscrites dans le catalogue officiel europ en peuvent tre commercialis es Source Campagnes et envir 10 decembre 2013 Solidarit Paysanne n 357 pr sentera un amendement afin que les semences de ferme ne soient plus concern es par la loi contre les Contrefa ons Les perspectives comment agir L enjeu reste de taille et nous avons besoin de chacun de vous et citoyen ne s en soutenant les politiques publiques qui participent la mise en uvre de la Souverainet Alimentaire en favorisant les paysan ne s locaux qui utilisent des semences paysannes et les boulangers qui proposent du pain issus de ces vari t s en renfor ant votre soutien
27. erationpaysanne fr R daction Conf d ration paysanne Nord Pas de Calais Directeur de publication Antoine Jean ISSN 1148 098X D p t l gal parution IPNS Comit du Nord Lundi 10 f vrier Lille MRES Comit du Pas de Calais Date d finir Comit r gional D but avril Lille Assembl e G n rales d partementales annuelles Nord 3 mars d cembre Lille Pas de Calais 12 mars date confirmer et lieu d finir Salon de l Agriculture Paris du 22 f vrier au 2 mars 26 02 2014 atelier les promesses sociales alimentaires et territoriales de la nouvelle PAC sont elles tenues R unions ouvertes Merci de pr venir de votre participation T l 03 21 24 31 53 L UE recommande une meilleure utilisation de la biodiversit agricole Dans un rapport intitul Ressources g n tiques agricoles de la conservation l utilisation durable publi le 28 novembre la Commission europ enne affirm sa volont de valoriser la diversit des ressources g n tique agricoles Elle pourrait en effet permettre de r pondre aux grands d fis de l agriculture de demain s curit alimentaire adaptation au changement climatique d veloppement conomique des zones Mais elle est menac e par un mod le conventionnel agricole qui privil gie les vari t s et races les plus courantes monocultures et cultures monovari tales Pour la Commission europ
28. es non tu es par des herbicides Pour pouvoir d velopper commercialement des vari t s rendues tol rantes aux herbicides chaque firme semenci re cherche diminuer au maximum le caract re al atoire de l apparition des mutations en ablant le g ne susceptible de muter vers la tol rance l herbicide Lob Jectif est de selectionner beaucoup plus rapide ment mais aussi de pouvoir d poser un brevet sur le g ne identifi L apparition du TILLING de la technique des transposons mais aussi lege ainsi des og obtenues par mutag n se qui sont uilis es en belogique comme kstoernesoks ol iques ou e Camargue qu il But opleen emplacer par des var t s de m thodes de En utilisant des enzymes dites a doigt de zinc qui cassent l ADN d une pane par exemple Mutag n se assist e par marqueurs a Kn UE march les familles d herbicides qu H AR H GA ANT LES 5 de l herbicide r sistances de certanes t tol rantes heruade et de s lection des espace moins a Itt rature scientque less SAT AT Ba delt cutture sur de nombreux hectare tol rante b WLI 7 ps Ra d amp les es transports les mat ri et la l h rnade lournesol et sont des esp ces don s 5015 et Sont d s adventrtes L Ch LS
29. gn s pendant de nombreuses ann es se lance dans une production de bi re biologique Gavrelle chez Fran ois Therry Nous lui souhaitons beaucoup de r ussite dans son projet Aline Delpeuch le remplacera l animation de nos deux structures Jean Baptiste Pertriaux qui vient aussi d arriver remplacera Yoanne Scottez qui a mis en place avec Didier Findinnier une fili re semence paysanne avec le concours de boulangers r gionaux Nous vous reparlerons tr s prochainement de ce projet N Des dates retenir d s maintenant pour les prochains mois d abord nos assembl es g n rales qui seront le 24 02 pour le 62 et 25 02 pour le 59 nous aborderons les diff rents sujets d actualit le bilan d une ann e syndicale et l impact de la PAC sur nos fermes Venez nombreux nourrir et enrichir les d bats Un autre v nement tr s important sera sans nul doute la premi re f te de l agriculture paysanne qui aura lieu le dimanche 6 juillet Loos en Gohelle Au programme visite de parcelles d essai de vari t s anciennes de bl march paysan repas avec des produits paysans animations pour les enfants cin d bat Nous comptons bien videmment sur l engagement de tous pour faire de cette journ e une belle vitrine pour l agriculture paysanne que nous d fendons A bient t et encore bonne ann e tous Antoine JEAN FNB F d ration Nationale Bovine association sp cialis e de la FNSEA PORCHERIE D HEU
30. ion de foncier exig e pour l pandage Affaire suivre Antoine Jean AIVES Association InterVillages pour un Environnement Sain Solidarit Paysanne n 357 INDUSTRIA Solidarit Paysanne n 357 C est une victoire de la Conf et de ses partenaires Apr s des mois d actions fortes de manifestations des gardes vue de nombreuses prises de position la mobilisation a pay La ferme usine des 1000 vaches ne verra pas le jour ES nepara Jeudi dernier une centaine de paysans de la Conf bloquaient une nouvelle fois le chantier des 1000 vaches D s le lendemain le pr fet de la Somme demandait l arr t des travaux et la destruction des b timents ill gaux Une d cision confirm e ce matin par la ministre de l Am nagement du territoire C cile Duflot qui recevait la Conf Novissen Depuis septembre nous avons pris la responsabilit de tout mettre en uvre pour stopper ce chantier Face au sentiment d impunit de son promoteur Michel Ramery nous n avons rien l ch Et nous sommes fiers aujourd hui d avoir eu raison Nous avons mis terre un symbole La ferme usine des 1000 vaches ne verra pas le jour Mais ce n est pas pour autant que nous cesserons d tre vigilants Nous savons de quels appuis dispose Michel Ramery pour inverser la vapeur Mais surtout c est l industrialisation de l agriculture qui doit tre stopp e Le gouvernement a choisi d user des moyens l gaux pour arr
31. la ne se passe pas comme cela disent ils Bien s r en l absence de surveillance de la part des citoyens Ajoutons que si la situation para t se d bloquer ce n est pas le fait d un subit heureux hasard C est le fruit d une lutte longue de deux ans et demi d un effort collectif concert et tenace o il a fallu d ployer une nergie consid rable Une lutte laquelle nos partenaires ont apport leur aide courageuse et solide entre autres la Conf d ration Paysanne Par ses actions spectaculaires celle ci a donn des impulsions d cisives r cemment encore le 16 janvier sur le chantier pour obtenir une rencontre sans plus tarder avec Mme C cile Duflot le 23 janvier et M Philippe Martin le 30 janvier Et une lutte laquelle chacun d entre VOUS aussi vous avez apport petite ou grande votre contribution Mais vous l avez compris ce n est pas fini il faut donner encore un bon coup de collier Si vous voulez nous aider nous nous adressons une nouvelle fois aux personnes habitant Drucat Le Plessiel Buigny Saint Maclou ou l une des 22 autres communes touch es par les pandages Abbeville en fait partie Nous avons instamment besoin pour r partir au mieux le paiement des frais de Justice que ces personnes si elles ont la protection juridique dans leur contrat d assurance veuillent bien l utiliser Actuellement 29 personnes ont accept c est bien mais c est encore insuffisant N
32. le point sur leur projet de transmission sur l tat d avancement de leur d marches et sur la situation de leur ferme conomique technique fonctionnalit perspectives d volution ou diversification Infos et inscription au 03 21 24 31 54 Jeudi 20 f vrier 2014 17h30 l ISA de Lille Bd Vauban Conf rence Qu est ce que l agroforesterie 7 Quelles perceptions Nord Pas de Calais Freins et motivations Politique agroforesti re r gionale Que propose l ISA au niveau p dagogique sur ce sujet Mercredi 26 f vrier Cobrieux Journ e change AVENIR Beno t et Charline Leroy install s en endives c r ales pommes de terre vous invitent venir passer un moment agr able chez eux rencontrer d autres personnes install es ou qui s installent sur des petites fermes parler de votre projet de vos r ussites et de vos difficult s Pour plus d information contactez Avenir au 03 21 24 31 52 ou contact avenir5962 org Lundi 3 mars au Quesnoy Assembl e g n rale de la Conf d ration paysanne du Nord Th me Nouvelle PAC quelle sauce allons nous tre mang s Intervenant Jacques Pasquier paysan en Poitou Charentes en charge du dossier PAC au niveau national du syndicat Lundi 17 Mars dans les 7 Vall es et ou Calaisis Journ e Concurrence Coop ration Infos aupr s d Avenir au 03 21 24 31 52 ou contact avenir5962 org Organis avec A Petits PAS dans le cadre du Collectif de l Envie
33. loi aurait pu marquer durablement l agriculture Faire en pr ambule le constat que les politiques pass es ont eu un effet d sastreux tait un bon point de d part Pourtant l arriv e il n y a que peu d volution Une nouvelle fois il semble qu on s appr te renoncer aux moyens de changer de mod le agricole Mais tout n est pas encore jou Une loi d orientation de l agriculture coh rente avec les ambitions affich es doit poursuivre des objectifs certes conomiques mais aussi clairement environnementaux et sociaux Cette derni re variable est cart e du texte d montrant ainsi l absence d ambition du ministre de l Agriculture en mati re d emploi paysan l heure o les chiffres du ch mage atteignent des niveaux clairement pr occupants La loi doit permettre sans d tours de soutenir les paysans qui veulent changer de syst me de favoriser l installation et de stopper net l industrialisation de l agriculture On appr ciera bien s r la probable suppression de la voie m le obligation de n utiliser en levage que de la semence de m les certifi e et la prise en compte de la n cessit pour les paysans d changer des semences Nous restons par contre dans l attente d une introduction claire de la dimension sociale dans les et de leur encadrement Par ailleurs l ouverture de l acc s au m tier reste tr s contenue la diminution de l usage des pesticides et antibiotiques est tr s limit e l encadrement de
34. neux Si vous constatez que c est le cas sur vos factures vous pouvez demander tre rembours Faites respecter votre libert syndicale 2 F vrier 2014 Meilleurs voeux militants tous IALISA TION L ann e 2013 a t tr s charg e d actions notamment avec l usine des 1000 vaches de Ramery et la future PAC La fin programm e des quotas en production laiti re nous a aussi fait rentrer dans plus d incertitudes avec des volumes produire plus importants et des prix de plus en plus volatiles Malgr tout ceci nous nous battons chaque jour pour d fendre les paysannes et paysans pour le droit un revenu d cent Certains diront que nous avons obtenu peu d avanc es pour un r quilibrage des aides en faveur des petits paysans dans la nouvelle PAC Mais que se serait il pass si la Conf ne se s tait pas battue pied pied pour limiter ce que la FNSEA voulait liminer des milliers de paysans touchant quelques aides N oublions pas que la FNB demandait que seuls les leveurs de 30 vaches allaitantes et plus soient reconnus Les 52 premiers ha seront certes sur prim s mais minima de quoi pr server les gros ch ques des c r aliers IDommage car pour la plupart des structures moyennes de notre r gion cela aurait pu avoir un effet de plus d quit Pour cette ann e qui d bute la Conf d ration paysanne et l ADEARN accueillent 2 nouveaux salari s Mathieu Glorian apr s nous avoir accompa
35. ns cette nature et avec les autres Changer de logique l agriculture Biologique ne peut pr tendre nourrir le monde et tre la voie suivre pour toute l agriculture que si elle se d veloppe selon les crit res de l Agriculture Paysanne mettant au premier plan la solidarit le partage de la terre et la limitation des tailles d ateliers Vive donc la Maison de la Bio en esp rant qu il ne faille pas 40 ans pour qu elle une Maison de l Agriculture Paysanne pour tous les paysans et paysannes de la R gion Fran ois Th ry paysan Gavrelle Jacques Caplat fut l un des co fondateurs du R seau Semences Paysannes et est administrateur de l association Agir Pour l Environnement L Agence de l environnement de la ma trise de l nergie ADEME INRA Institut National de Recherche Agronomique Solidarit Paysanne n 357 Pourquoi les terres agricoles ont elles perdu une part importante de leur capacit d infiltration r tention L automne 2012 a t marqu par une succession de pluies plus ou moins importantes et rapproch es qui ont engendr de nombreuses coul es de boues dans les champs du Montreuillois et aussi dans tout l ouest du d partement Fin 2012 chaque jour les m dias locaux et nationaux parlaient des immenses surfaces inond es des torrents d eau et de terre qui coulaient dans les plaines mais sans voquer les causes agricoles On attribuait alors l rosion
36. nt galement donner leur avis d veloppement durable La commission valide un rapporteur propos par le gouvernement qui assure la courroie de transmission tudie le texte et r dige un rapport Germinal Peiro d put de Dordogne pour la Loi d Avenir Il peut comme les autres membres de la commission proposer des modifications au texte de la future loi Ce sont des amendements Pour les syndicats c est un moment privil gi pour faire du lobbying en proposant ou appuyant des amendements Le rapport est ensuite adopt par cette commission parlementaire 3 L examen et le vote du Parlement en premi re lecture Janvier 2014 Le projet ou la proposition de loi apr s inscription l ordre du jour peut tre examin e par la 1 re assembl e o il a t d pos g n ralement l Assembl e nationale Selon le cas les d put s ou les s nateurs votent d abord pour chaque article et amendement avant de voter sur l ensemble du texte Une fois adopt le texte est transmis la seconde assembl e S nat La LAAF en sera l courant janvier 4 La navette F vrier mars 2014 Le S nat examine le texte selon les m mes r gles Des amendements peuvent aussi tre vot s Le texte doit alors repartir vers premi re assembl e pour tre nouveau examin C est la navette Pendant cette phase seuls les articles modifi s sont tudi s 5 L adoption Mai juin 2014 Le projet de loi est adopt lors
37. ntr au Canada avec le de Monsanto UNE MAISON DE LA BIO Le 3 d cembre le Gabnor f tait ses 40ans d existence et annon ait la construction d une Maison de la Bio Salom qui regroupera le Gabnor Aprobio et Norabio 40 ann es de convictions et d engagement Qu il tait r jouissant de se retrouver le 2 d cembre dernier avec autant de paysan nes qui ont r sist aux tentations du productivisme et construit une alternative en 40 ann es de convictions et d engagements C est parce qu ensemble ils ont fait groupement qu ils ont revendiqu leur l gitimit que les bio r coltent aujourd hui une large reconnaissance Au point qu ils peuvent se payer une Maison de la Bio symbole d une autonomie potentiellement forte dans un monde agricole cras par l id ologie de comp titivit et productivisme _ d Agriculture contexte plus global que la seul contrainte environnementale On aurait appr ci que les autres intervenants tr s nombreux r agissent sur sa remarque pleine de bon sens nous ne sommes plus dans une p riode comme celle des trente glorieuses o il fallait que l agriculture fasse avec moins de main d uvre pour faire tourner l industrie aujourd hui la main d uvre n est plus le facteur limitant l agriculture biologique peut tre beaucoup plus productive que l agriculture conventionnelle mais elle demande pour cela plus de travail et des comp tences nouvelles
38. oci t et cela a change tout Pour cette nouvelle ann e j mets un v u Que l ann e 2014 soit une ann e de progr s Qu elle soit celle de la prise de conscience qu une agriculture plus respectueuse de la terre et des animaux est possible et qu elle se concr tise par un changement de comportement des lus de l administration agricole et des agriculteurs eux m me par des actions significatives dans les champs Daniel Troll Paysan membre de la Conf d ration Paysanne et conseiller municipal Etaples 13 Lettre ouverte au pr sident de la commission d enqu te publique portant sur le Sch ma R gional Coh rence Ecologique SRCE Monsieur le pr sident de la commission d enqu te Je vous cris en tant que paysan sur le secteur du SCOT de Dunkerque et en tant que membre du comit d partemental de la Conf d ration paysanne du Nord repr sentant dans divers organismes agricoles dont la Chambre d Agriculture La contribution de la Chambre d Agriculture de r gion est une contribution FRSEA et non repr sentative de toute la profession Leur mod le d agriculture intensive doit devra voluer La biodiversit qui est mise en avant avec les bandes enherb es est une exigence r glementaire de la PAC BCAE Aujourd hui il est grand temps de reconsid rer l agriculture au travers de l Agronomie associer des cultures et de l levage r duire la taille des parcelles favoriser la diversit des
39. oles Depuis quelques ann es les machines pour travailler la terre ont beaucoup volu et permettent maintenant de la terre qui devient tr s fine comme dans un jardin supprimant ainsi les mottes indispensables pour viter que le sol ne devienne imperm able d s les premi re grosses pluies et c est ce qui est arriv en novembre En parall le une volution tout aussi importante s est op r e celle de la chimie par l utilisation syst matique et r p t e d ann e en ann e de pesticides et d engrais chimiques Or l usage r p t d insecticides et de fongicides incorpor s la semences ou pulv ris s sur les plantes finissent J an antir les champignons dans le sol qui participent la cha ne alimentaire nourrici re des animaux vivants du sol Ils entrainent ainsi la M destruction des vers de M terre qui par leur action A fabriquent des micro canalisations si utiles pour favoriser l a ration et les infiltrations d eau de pluie dans les sols De plus l pandage de lisiers et fientes de volailles contribue l acidification des sols acc l rant la d composition de l humus etprovoquant l appauvrissement du sol en mati res organique C est la combinaison de l ensemble de ces facteurs issus de l intensification des pratiques agricoles qui est l origine des probl mes d infiltration de l eau et d rosion C est Im description Les vers de terre infatigables trav
40. on il n y pas pour vous de risques financiers ou autres Les frais sont pris en charge par les assurances Et ce n est pas en vain que vous participerez la victoire est port e de main maintenant Les explications se trouvent sur notre site Cliquez ICI 1003030 Les Restos du Coeur qui lan aient le 25 novembre dernier leur 29 campagne hivernale ont obtenu du ministre de l Agriculture St phane Le Foll l assurance pour fin de l ann e d une exon ration fiscale pour les dons du secteur agricole comme ils le r clamaient Le don de lait du producteur de lait doit se faire via sa laiterie et sous forme de produit fini En effet depuis l annonce de la fin des quotas et des augmentations de volume attribu par les laiteries le don de lait aux associations caritatives a beaucoup diminu alors que les demandes d aide alimentaire sont toujours en augmentation Cette disposition est donc possible pour la campagne laiti re en cours 2013 2014 titre d exp rimentation et ils nous ont demand de relayer cette information aupr s de nos adh rents afin que ceux qui sont concern s puissent le faire ceci avant le 15 f vrier prochain Enfin il faut savoir que pour la distribution aux associations caritatives les restos rach tent aux entreprises les produits au prix du co t de la transformation puisque le lait est donn Nous vous incitons donc signifier votre laiterie votre souhait que ce co
41. qu il est vot dans les m mes termes par les deux chambres S nat et Assembl e nationale En cas de d saccord le Gouvernement peut convoquer une commission mixte paritaire Elle est compos e de 7 d put s et de 7 s nateurs qui doivent proposer un texte commun vot ensuite par chaque assembl e En cas d chec une nouvelle lecture du texte lieu dans les deux assembl es et le Gouvernement peut donner le dernier l Assembl e nationale Dans le meilleur des cas la LAAF pourrait tre adopt e vers mai juin mais cela d pendra de l avanc e des travaux 6 La promulgation Juin 2014 Le texte est ensuite promulgu par le pr sident de la R publique dans les 15 jours Pendant ce d lai le pr sident peut demander un nouvel examen du texte et le Conseil constitutionnel peut tre saisi pour v rifier qu il n est pas contraire la Constitution La loi promulgu e entre en vigueur apr s sa publication au Journal Officiel 7 La mise en uvre Plus tard Les articles de loi fixent un cadre g n ral mais manquent parfois de pr cisions pour tre appliqu s concr tement Dans ce cas l article de loi nonce qu un d cret minist riel devra pr ciser son application Il arrive d ailleurs que des d crets d application ne sortent jamais Solidarit Paysanne n 357 Les d put s ont vot en premi re lecture le texte global de la Loi d avenir pour l agriculture l alimentation et la for t Cette
42. ra l appantion dans les rotations de mauvaises herbes rendues leur tour naturellement pont tr s important est largement signal dans Utiliser meme herbicid e chaque annee sur mportantes amplifiera les probl mes SR es agnculteurs ont ainsi du abandonner toute 5 PFI fan li wf be DL TK Sa E es colza leur forte polhnisation des andre la diffusion du caract re tol rance ontammation d s champs vasna ou d s plantes sauvages Slip cluswurs ann es dans potentielles pour d autres esp ces des rotations de grande culture Out DAN faut pas S0ur stimer Qui n cessairement es SUrFCOLITS ressources en Gau et les sols seront li es ut WE DES PLANTES TOLERANTES DES PESTICIDES SONT ELLES DES SOLUTIONS AGROECOLOGIQUES Les plantes obtenues par transg n se sont en g n ral rendues tol rantes un herbiade total efficace sur l ensemble des esp ces v g tales et la plupart de celles obtenues par mutag n se sont rendues tol rantes un herbicide s lec tif c est dire actif sur certaines familles bota niques Ces vari t s sont pr sent es comme une solution la question du d sherbage des esp ces concern es Mais en Gate 11 s agit l d une Comme le fameux Round Ready fuite en avant dans le tout chimique et pour l industrie semenc re d une nouvelle opportunit commerci
43. s montages soci taires pour viter l accaparement du foncier sera inop rant l ouverture de l enseignement diversit de l agriculture sera encore une exception le pluralisme syndical n est toujours pas pleinement assum etc La question essentielle de cette loi aurait d tre quelle agriculture avec combien de paysans pour r pondre aux enjeux sociaux conomiques et environnementaux Mais par leur vote les d put s ont r pondu que leur vision de l agriculture de demain est toujours celle pass iste de l agro industrie qui fragilise et limine les paysans Pour la Conf d ration paysanne il faut rompre avec ce dogme de la comp tition internationale l agriculture doit tre relocalis e pourvoyeuse d emploi riche de sa diversit et de la qualit de ses produits elle doit redonner du sens au m tier de paysan tre en phase avec l environnement et moteur de la dynamique des territoires ruraux Nous ne cesserons de le marteler Le vote des s nateurs et celui des d put s en deuxi me lecture doit faire voluer ce texte pour qu il soit enfin en coh rence avec les grands enjeux actuels Contacts Marie No lle Orain Secr taire g n rale en charge de la LAAF 06 07 85 95 83 Mikel Hiribarren Secr taire g n ral en charge de la LAAF 06 38 91 04 83 Laurent Pinatel Porte parole national 06 80 58 97 22 Elina Bouchet Charg e de communication 06 95 29 80 78 Des id es pour transmettre sa ferme L
44. s r diger de transfert de droits au titre de la campagne 2014 Il vous est donc demand de ne pas d poser de clause de transfert avant la notification de leur nouveau portefeuille de droits 14 Nouvelles aides l levage 1 Les mise en paiement des aides la production de lait la vache allaitante et l engraissement jeunes bovins d buteront fin mars 2014 Gestion des aides 2014 secteurs ovin et caprin les aides aux ovins AO et aux caprins AC sont reconduites deux volutions seront introduites concernant les r gles d identification des agnelles ainsi que la r f rence aux contrats interprofessionnels ovins pr cisions sur la circulaire en attente de parution une nouvelle aide coupl e article 68 est mise en uvre dans le secteur de la f cule de pomme de terre l aide la production de lait APL et l aide la vache allaitante ne seront pas reconduites Une incertitude existe encore concernant l aide l engraissement des jeunes bovins EJB Changement de site internet pour la DDTM du Nord Par ailleurs vous retrouverez toutes les infos de la DDIM son son nouveau site http www nord gouv fr F vrier 2014 Lundis 10 et 17 f vrier Saint Amand les eaux Formation transmission Evaluer le potentiel de sa ferme pour la transmettre Le PNR Scarpe Escaut et le CEDAPAS proposent une formation collective destination des futurs c dants souhaitant faire
45. ter le chantier doit d sormais utiliser les moyens DW La l gislatifs sa disposition pour emp cher que d autres 1000 vaches ne sortent de terre La Loi d avenir agricole en cours d examen doit fin de l industrialisation de l agriculture Mardi 21 janvier nous avons obtenu le pouvoir de l industrie sur les paysans soit contenu Aujourd hui nous avons mis fin au projet de ferme usine des 1000 vaches La recherche du profit absolu aux d pends des paysans ne doit pas r gir leur avenir Ces victoires ne sont OU au d but nous l cherons rien pour l avenir des paysans pour leur place essentielle dans la soci t 1 Bagnolet le 23 janvier 2014 Contacts Antoine Jean Porte parole r gional 06 07 95 68 88 Pierre Alain Pr vost Animateur en charge du dossier 1000 vaches 06 65 78 54 90 k 77 238 4 F vrier 2014 Gardons le contact n 36 Adh rents adh rentes de Novissen bonjour Apr s le bref mais heureux l message de 23 janvier nous vous devons des pr cisions Les m dias ont tant t minimis l v nement tant t claironn la totale victoire au point de quasiment se contredire Qui croire O en sommes nous La position m diane est la plus juste oui nous pouvons nous r jouir Le vent a tourn comme jamais auparavant nous avons actuellement des possibilit s s rieuses et solides d aboutir Mais il est prob
46. uels l administration se demande encore pourquoi y a t il si peu de dossiers d pos s Peu r mun rateur et trop contr l Denis Top paysan Pitgam 1 DDPP direction d partementale de protection des populations et de l limination des fromages au lait cru remarque propos e le maquettiste et pas par l auteur Solidarit Paysanne n 357 Informations pratiques gestion des aides PAC en d but d ann e 2014 Vue des Wateringues depuis Pitgam Communiqu DDTM 59 DPU L ann e 2014 constitue une ann e de transition avant la mise en uvre de la r forme de la PAC 2015 ce titre certaines volutions baisse du budget volutions des soutiens coupl s impacteront le montant des aides d s campagne 2014 et conduiront r duire la valeur de tous les DPU Exceptionnellement les portefeuilles finaux 2013 ne seront ainsi pas identiques aux portefeuilles initiaux 2014 la valeur des DPU initiaux 2014 tant diminu e Il sera donc notifi aux agriculteurs les portefeuilles final 2013 et initial 2014 par un courrier qui explicitera de fa on claire le passage de l un l autre des portefeuilles En raison des d lais n cessaires au recalcul des droits le courrier de notification ne sera mis en ligne et adress aux exploitants par courrier que d but avril En l attente et tant que le portefeuille initial 2014 n est pas notifi aux agriculteurs il convient de ne pa
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