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Qualité des interventions en promotion de la santé

1. 8 B L INSCRIPTION DES ACTIONS DANS LE TEMPS ET DANS UNE STRATEGIE GLOBALE 8 C LA DIMENSION PARTICIPATIVE nn nn ns nee ne te ne de de den 9 D LA DEMARCHE METHODOLOGIQUE 22 Re nette al 11 LL analyse de ld siuatton ssh landes 12 2 La d finition des priorit s et des ObJeChifs siii sen stintsntennns died t raatilenas lacets 12 3 La planification des ressources et des strat gies de mise en uvre nsss 13 4L evaluation RE NN Mt Sn antenne la Le Te MR AU nt 13 ENCADRE Crit res de qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant HI ANALYSE DE LA QUALITE DES INTERVENTIONS EN PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE MISES EN UVRE PAR LES CENTRES MUNICIPAUX DE SANTE DU BLANC MESNIL seen 15 A METHODE DE RECUEIL ET DE TRAITEMENT DES DONNEES ss sssessesseeeresetsseesresresseeseesresste 15 1 Recherche et s lection des actions osssenseesesessessesseessesessseessressersseesseeessseesseese 15 2 Recherche et mobilisation des personnes impliqu es dans les interventions 16 3 Conception et test des questionnaires s sssssssssseesseessesesssessseessersserssssessseesseesserssee 17 4 Traitement de l information Siren ste us dada dant dt dates td tas ste 17 B EVALUATION DE LA QUALITE DES INTERVENTIONS DE PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE DES CENTRES MUNICIPAUX DE SANTE DU BLANC MESNIL 18 1 Les interventions CVAIRO ES D a a ea 18
2. indications pr conis es oui non Compl mentarit avec les autres actions Des membres de l quipe porteuse du projet ont ils recens sur le territoire du Blanc Mesnil les actions visant lutter contre le probl me identifi oui non Si oui pr cisez selon quelles sources d information Selon vous l action que vous menez est elle compl mentaire de celles mises en uvre sur le territoire population vis e m thode utilis e O oui non L Ne sait pas Si oui pr cisez en quoi VI 38 39 Adaptation au groupe cible de l action Des habitants ont ils particip la planification de l action son ex cution ses b n fices son valuation Des habitants ont ils t inform s de l action sans objet t consult s pour la planification l ex cution ou l valuation de l action particip aux d cisions li es l une plusieurs de ces tapes particip la mise en uvre de l une plusieurs de ces tapes 40 En fonction de la nature de l action que vous menez pensez vous que les habitants ont suffisamment 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 particip sa planification son ex cution et ou son valuation O oui O non Connaissez vous gr ce la r
3. la Pr vention primaire qui vise diminuer l incidence des maladies la Pr vention secondaire qui vise diminuer la pr valence de la maladie la Pr vention tertiaire qui vise diminuer la pr valence des handicaps et des s quelles Il n existe pas de typologie aussi largement admise des interventions en Promotion de la Sant J A Bury met en relief que les typologies existantes m langent de mani re peu claire les finalit s les m thodes et parfois m me les publics cibles Dans le cadre de la litt rature consacr e aux Centres de Sant il existe galement des classements des actions de Promotion de la Sant Pr vention Ces typologies construites partir des actions effectivement mises en a aSa 2 2 uvre dans les centres croisent leurs finalit s et leurs m thodes La difficult d laboration d une typologie des actions en Promotion de la Sant est manifeste puisqu elle concerne des concepts dont les limites ne sont ni pr cises ni partag es Dans le cadre de cette tude les interventions seront class es selon les m mes axes que ceux retenus par J A Bury les finalit s am liorer l environnement am liorer la capacit des individus agir sur leur sant diminuer l incidence des maladies diminuer la pr valence des handicaps et des s quelles les m thodes informer duquer r glementer d pister rechercher des l ments d analyse de situation pid miologi
4. devrait voluer vers une plus grande contribution la Pr vention qu elle soit individuelle par les conseils personnalis s et l ducation sanitaire ou collective Jla d termination des priorit s et des objectifs f t d abord le fait de la mairie D cid unilat ralement le risque tait de placer la mairie dans une relation de prestation vis vis de l tablissement Huit rencontres et r unions avec les professeurs avec la direction ont permis d viter cet cueil du aussi l implication individuelle des professeurs Les bailleurs de fonds sont en g n ral des demandeurs d valuations en fin d exercice Cette culture prend de plus en plus place dans la gestion municipale La question est bien ce que l on value Des probl mes d chelle et d indicateurs se posent quand il s agit d valuer l efficacit des actions 1 La mise en uvre est facilit e par l octroi d heures d activit s hors soins aux praticiens temps plein g n ralistes chirurgiens dentistes Ce temps d activit s hors soins n est pas gag a priori sur un financement ext rieur la ville il suppose cependant qu une recherche de financements sera engag e La salle polyvalente du coll ge est extraordinaire pour les projections et interventions extra scolaires mais produisant justement sur les l ves comme un signal de d tente et de rel chement de toute nature attitudes corporell
5. ENCADRE Pr sentation des actions valu es 2 R sultats de l analyse de la qualit des interventions ss 18 a Inscription des interventions dans le temps et dans une strat gie globale 19 b La dimension participative issu 20 6 L analyse d SION Sn Re LE RS tee Te 21 d La d termination des priorit s et des objectifs 21 e La pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre 21 fE valuation L nine dE E e ee An es a A 22 ENCADRE Points forts et limites de la qualit des interventions valu es C ELEMENTS FACILITANT ET FREINS A LA MISE EN UVRE DE QUALITE DES INTERVENTIONS EVALUFES a dent CN ne NDS NUS ns en ns dns 23 1 El ments facilitant et freins au d veloppement des axes de qualit des projets 23 2 Positionnement des porteurs de projets partenaires et responsables hi rarchiques 26 a Donn es sur les crit res de qualit des interventions selon les cat gories de personnes U SUORR SS AE RARES ee Re Se eee 26 b Analyse des donn es sante tonnes nt Ra 27 IV CRITIQUE DE LA METHODE ET PERSPECTIVES sssssseennnnnee 29 AACRITIQUE DE LA METHODE aripi eei eiei N ete te RE se er en fe ee 29 1 Un repr sentation partielle de l activit en Pr vention Promotion de la Sant des Centres de Sant du Blane Mesh tt er states 29 2 Un r f rentiel de qualit des interventions en Pr vention et Promotion de la Sant RELATIA ARR Nues rare N Ce dede E AN te AS Le 30 3 Des r
6. Il existe diff rentes terminologies des types d objectifs pr ciser L une des plus fr quentes est objectifs g n raux r sultats g n raux atteindre sens de l action objectifs sp cifiques r sultats des actions mettre en uvre pour atteindre les objectifs g n raux et objectifs op rationnels ces derniers correspondent aux t ches pr cises effectuer Pour tre de qualit les objectifs doivent tre coh rents avec l analyse de la situation sp cifier les l ments changer le groupe cible le territoire et si possible les temps de r alisation des objectifs et la magnitude des effets ex 10 de r duction des caries dentaires 3 La planification des ressources et des strat gies de mise en uvre Les ressources et les strat gies mobilis es doivent assurer la faisabilit de l action cf supra IL A 4 b PREFFI propose d valuer leur planification en fonction des axes suivants la rationalit de la strat gie d intervention m thodes d intervention pr cis es connaissance d valuations d applications r ussies ou non exp rience du promoteur de ce type d intervention pr test la coh rence la dur e l intensit et le calendrier de l intervention adaptation au groupe cible participation du groupe cible adaptation du message du support des interm diaires de l intervention la culture du groupe cible savoirs coutumes r le comp
7. grande difficult parents la contr le abusif plaquette pr sentant la m thode de brossage et les soins pr ventifs Familiariser les parents au scellement de sillons Dur e Ann e scolaire Ann e scolaire 01 2004 1980 2005 Ann e scolaire Ann e scolaire 06 2005 2h semaine Territoire Maternelles CES M Cachin Classes CP Coll ges et Coll ges et LEP J Moulin coles coll ges Sud lyc es lyc es lyc es Th mes Alimentation Di t tique La dent de six contraception relations filles Addictions abord s corps tiquettes ob sit pratique ans IVG violence gar ons probl mes produits 5 sens sportive IST relations affirmation de relationnels filles gar ons soi tol rance suicide des jeunes adh sion l autorit a Inscription des interventions dans le temps et dans une strat gie globale En premier lieu l analyse des interventions mises en uvre montre une r elle volont de les inscrire dans le temps En effet les six interventions proposent des activit s r p t es aupr s d un m me public Une seule action propose des activit s ponctuelles une partie du public vis Toutefois seulement deux porteurs de projet savent gr ce la recherche des consid rations th oriques ou des rapports d valuation d applications du type d action qu ils mettent en uvre selon quelle dur e quelle intensit et quelle
8. ponses de la part des porteurs de projet sont ceux relatifs la participation la compl mentarit et la d finition des priorit s et objectifs Les quatre responsables hi rarchiques ont fourni 10 sur 13 r ponses correspondant clairement au r f rentiel de qualit Ainsi deux r ponses concernaient chacune des tapes suivantes l analyse de situation la d finition des priorit s et des objectifs la pr vision des ressources et des strat gies l valuation Les cat gories inscription des actions dans une strat gie globale 1 r ponse et dimension participative 1 r ponse ont galement t mentionn es Seules deux autres th matiques apparaissent importantes comme crit re de qualit des interventions la formation des intervenants 2 r ponses et la dimension partenariale 1 r ponse Cette conformit importante des r ponses des responsables hi rarchiques au r f rentiel de qualit d fini en amont est confirm e par le faible nombre de non r ponses la question relative aux l ments facilitant et aux freins aux diff rents axes de qualit du r f rentiel seulement 2 non r ponses la question relative aux freins la d finition de priorit s et objectifs 3 non r ponses aux questions relatives l inscription des actions dans une strat gie globale et 2 non r ponses relatives la participation Les r ponses des partenaires se r partissent entre l ensemble des crit res de qu
9. s m nent des enqu tes r guli res ou ponctuelles aupr s de leurs usagers pour valuer l ad quation du service rendu aux besoins de la population desservie L existence de comit s d usagers de Centres de Sant est davantage li e des situations de crise pour une action de type d fensif qu une participation effective l laboration et la mise en uvre des projets d tablissement et la gestion organisationnelle ou financi re des Centres Des initiatives en mati re d ducation ou de sensibilisation des probl mes sp cifiques sont parfois prises par des associations ou des institutions qui s appuient alors sur les dynamiques existantes dans les Centres de Sant L mergence de pratiques de Sant communautaire autour de Centres de Sant est encore trop exceptionnelle 0 D veloppement Social et Promotion de la Sant la D marche Communautaire SFSP Collection Sant et Soci t n 9 avril 2000 p 35 36 3l D veloppement Social et Promotion de la Sant la D marche Communautaire SFSP Collection Sant et Soci t n 9 avril 2000 p 34 10 PREFFI 2 0 tient compte de la participation des usagers en fonction de deux crit res le groupe cible ou les habitants du territoire vis a au moins t consult dans le cadre de la conception de l intervention en fonction de la nature du projet le groupe cible a suffisamment particip au d veloppement ou la s lection de l intervention Toutefoi
10. sultats non BCRETAUSADIES st ea nn SE aa EN nn r tus 30 B PERSPECTIVES 2u8 ro ge nn ne EEEE EE tea te ads iA 30 1 Am liorer la collecte et la gestion de l information 31 2 Mutualiser les pratiqu s RE TE mn e 31 3 D finir un projet politique global de Pr vention Promotion de la sant 32 4 D velopper la participation des habitants ss 32 CONCLUSION sianenennimnsaannnitiinen ndiienitentenimnentestes 33 ANNEXES P E E S E A ia desteteisesees es I 1 Lettre de pr sentation de l tude aux porteurs de projet et questionnaire actions de Promotion de la Sant de Pr vention port es par les Centres de Sant Il 2 Lettre de pr sentation de l tude aux partenaires et questionnaire Activit de Pr vention Promotion de la Sant la contribution des partenaires X 3 Tableau des r ponses aux questions portant sur les l ments facilitant et freinant la mise en uvre d actions de Promotion de la Sant de qualit XII 4 R ponses la question Selon vous quels sont en g n ral les crit res de qualit des actions de Promotion de la Sant Pr vention XXI De DIDHO TUBES ad E EE EE E E LiDE ui Den S he AT DGA es XXII L une des conditions d efficacit des strat gies de Promotion de la Sant Pr vention est d en conjuguer les niveaux d intervention l chelle nationale r gionale et locale Aussi est il essentiel pour les institutions nationales de s ap
11. 1P la charge et le volume de travail sont des partenaires l ments de frein pour toute personne avertie Compl mentarit NON R PONSES 4A 7P 2hf non interpr table 1A 1P bonne coordination avec A 2hf M existence d une organisation sanitaire et de les autres acteurs r seaux li s la nature municipale des l ments Centres de Sant conduit une facilitant compl mentarit des actions La mise en partenariat uvre des ateliers sant ville la probl matique qu ils posent est un facteur facilitant d pend du degr de communication et de coop ration entre les rofessionnels NON R PONSES 6A 7P thf sp cifique Manque d information 1P 1hf Manque de recherche hf Les quipes des Centres de Sant se sont d information longtemps maintenues dans une superbe sp cifique ignorance de ce qui se faisait ailleurs par d autres services municipaux d nomm s freins k la mairie Manque de coordination Bhf Beaucoup d actions On a l impression que chacun agit dans son coin L inexistence partenariat aujourd hui d une r elle coordination des actions de Pr vention est un handicap d pend du degr de communication et de coop ration entre les professionnels institutions Manque d action politique 1 hf XVIII Participation des usagers NON R PONSES 6A 4P 1 hf non interpr table 1P utilisation de m thodes 2P 1hf knqu te aupr s des familles ou
12. Sant caract ris s tous deux par la Promotion de la Sant individuelle et collective par une diversit de m thodes visant y compris l environnement et le d veloppement des comp tences individuelles La Pr vention est l ensemble des actions qui tendent promouvoir la Sant individuelle et collective au sens donn ci dessus c est dire assurer l int grit physique mentale et d velopper les capacit s vitales de chaque personne cr ativit d sir plaisir rapport actif avec l environnement r duire les menaces que font peser sur la personne ses environnements physique psychologique et social et maintenir les contradictions un niveau tel qu elle puisse les g rer sans diminuer ses capacit s vitales ce qui implique une dynamique sociale qui renforce les possibilit s de chaque personne Gremy F Pissaro P Propositions pour une politique de Pr vention rapport au Ministre de la Sant La Documentation Fran aise Paris 1982 p 18 La Promotion de la Sant est un processus visant rendre l individu et la collectivit capables d exercer un meilleur contr le sur les facteurs d terminants de la Sant et de ce fait d am liorer leur Sant Glossaire de la Promotion de la Sant in Sant Soci t collection Promotion de la Sant 1 Gouvernement du Qu bec p 22 11 414 2 LE 4 4 gt gt Ces l ments sont notamment pr sents dans la d finition donn e par l OMS en 1986 d
13. Sant Pr vention 080 iii idees XXI 5 Bibliographic ess one be nr a ne de XXII ANNEXE 1 Lettre de pr sentation de l tude aux porteurs de projet et questionnaire actions de Promotion de la Sant de Pr vention port es par les Centres de Sant Madame Monsieur La Pr vention et la Promotion de la sant font partie des activit s d velopp es par les Centres de Sant Toutefois la nature et les m thodes selon lesquelles les actions sont mises en uvre sont mal connues Cette tude vise mieux conna tre les actions auxquelles les Centres de Sant participent ainsi que les l ments facilitant et freinant leur mise en uvre Vous tes impliqu e dans l activit en Pr vention Promotion de la Sant des Centres de Sant Municipaux du Blanc Mesnil Je vous remercie de remplir le questionnaire ci joint en pr sentant chacune des actions de Pr vention Promotion de la Sant que vous avez port e dans l exercice de vos fonctions dans les CMS du Blanc Mesnil et qui ont t mises en uvre lors de l ann e civile 2004 ou de l ann e scolaire 2004 2005 Un questionnaire doit tre rempli pour chaque action Votre contribution cette tude est pr cieuse En effet votre contribution permettra de r aliser un m moire de Master de Sant Publique sur la qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant mise en uvre par les Centres de Sant Par ailleurs les c
14. Vers un mod le d valuation de l efficacit des interventions communautaires en Promotion de la Sant compte rendu de quelques d veloppements Nord am ricains r cents Efficacit de la Promotion de la Sant Actes du colloque organis par l INPES 2004 ROUSSILLE B 1998 1 MOLLEMAN G PETERS L HOMMELS L PLOEG M Health Promotion Effect Management Instrument Preffi 2 0 Assessment Package NIGZ Netherlands Institute for Health Promotion and Disease Prevention 2003 20 Preffi 2 0 est un outil d aide la gestion des actions de Promotion de la Sant Pr vention Il n est pas con u pour des valuations externes De plus certains items point s par l outil comme difficiles et facultatifs renseigner ne peuvent tre utilis s pour l analyse comparative d une vari t d interventions Enfin certains items visent pr ciser de mani re tr s pointue certaines dimensions de la d marche projet ex dans le cadre de l laboration d un diagnostic recherche de l incidence de la pr valence du probl me des co ts mat riels et immat riels qu il engendre et m ritent d tre synth tis s C est pourquoi il n a pas t appliqu directement dans le cadre de cette tude A Typologie des interventions en Promotion de la Sant Pr vention La typologie la plus r pandue des actions de Pr vention concerne leurs finalit s Pour une population donn e cette typologie est la suivante
15. autres actions du territoire Participation des habitants Participation des partenaires ANNEXE 2 Lettre de pr sentation de l tude aux partenaires et questionnaire Activit de Pr vention Promotion de la Sant la contribution des partenaires Madame Monsieur La Pr vention et la Promotion de la sant font partie des activit s d velopp es par les Centres de Sant Toutefois la nature et les m thodes selon lesquelles les actions sont mises en uvre sont mal connues Cette tude vise mieux conna tre les actions auxquelles les Centres de Sant participent ainsi que les l ments facilitant et freinant leur mise en uvre Vous tes impliqu e dans une action de Pr vention Promotion de la Sant men e gr ce aux Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Je vous remercie de remplir le questionnaire ci joint Votre contribution cette tude est pr cieuse En effet votre contribution permettra de r aliser un m moire de Master de Sant Publique sur la qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant mise en uvre par les Centres de Sant Par ailleurs les conclusions de ce travail pourront alimenter la r flexion sur l action en Pr vention Promotion de la Sant des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Les l ments que vous apporterez resteront anonymes Afin de partager et de discuter les r sultats de cette enqu te vous tes convi e la
16. des programmes de sant DESS Management des services et Actions en Sant Publique Universit s Paris XI VI VII 2003 BOURGUEIL Y DEVELAY A Gestion et valuation des institutions sanitaires et des programmes de sant DESS Management des services et Actions en Sant Publique Universit s Paris XI VI VII 2003 DEVELAY A valuation des institutions sanitaires et des programmes de sant DESS Management des services et Actions en Sant Publique Universit s Paris XI VI VIL 2003 SISARET A FOURNIER C Evaluation mode d emploi INPES r alis suite aux journ es de la Pr vention La Pr vention en action partage d exp riences avril 2005 ARTICLES Cr er un projet d action locale en Promotion de la Sant guide m thodologique Contact Sant avril 1997 XXII BARTELEMY L CENARD L TULEU F Analyser une situation La Sant de l Homme n 329 juin 1997 p 13 14 CONTANDRIOPOULOS A P CHAMPAGNE F DENIS J L PINAULT R L valuation dans le domaine de la Sant concepts et m thodes Version r vis e de l article des m mes auteurs publi dansles actes du colloque L valuation en mati re de sant des concepts la pratique CREGE Lille 1992 p 14 32 DEMARTEAU M Les pratiques d action en Education pour la Sant et leurs modes d valuation r flexions critiques et questions pour la recherche Comit d Education pour la Sant ENSP Universit V
17. financements sera engag e est class en disponibilit des professionnels des CMS mission des professionnels des CMS et autofinancement 17 B Evaluation de la qualit des interventions de Pr vention Promotion de la Sant des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Les r sultats de l valuation de la qualit des interventions de Pr vention Promotion de la Sant des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil sont pr sent s selon quatre dimensions actions analys es 1 r sultats de l analyse de la qualit des interventions 2 l ments facilitant et freins au respect des axes de qualit des interventions 3 1 Les interventions valu es Les six interventions valu es sont pr sent es dans le tableau ci dessous La septi me action pour laquelle aucune information n a t obtenue concerne l laboration d un Protocole d Accueil Individualis l cole et en particulier la cantine des enfants allergiques Les actions mises en uvre visent des objectifs g n raux et sp cifiques divers Pr vention des conduites risque de l ob sit de la carie sur la dent de 6 ans des comportements sexistes des probl mes des adolescents et pr sentation des th matiques de planification familiale Les th mes abord s sont alimentation conduites risque violences questions relationnelles questions relatives la sexualit la dent de six ans Les proje
18. jamais abouti manque de langage partag professionnels usagers hf L adh sion individuelle des messages de Pr vention rel ve la fois d un langage partag avec le professionnel de sant et d une thique de la part de celui ci L laboration de ce langage la formulation de cette thique sont loin d tre acquises chez tous les professionnels Le discours du m decin selon J Lacan est le discours du ma tre et pour Anna Harendt on n change vraiment qu entre gaux C est peut tre pour cette raison que les messages v hicul s par les agents moins socialement loign s de la majorit des patients des centres comme les infirmi res passent mieux manque de volont des lus 1hf manque de volont de la direction 1hf XIX Partenariat NON R PONSES 4A 5P personnes relais 1A infirmi res scolaires pr sentes et relais entre les quipe p dagogiques et les structures motivation des 1A 3hf lles infirmi res scolaires et les assistantes sociales partenaires coh rences ont besoin de la collaboration avec les CPEF FT avec leur fonction notamment pour des prescriptions m dicales l ments Le facilitant gratuires et confidentielles proximit g ographique et4P proximit du Centre de Sant Centre de Sant institutionnelle municipal habitude 1P 1hf uivi habitude de travail en commun outi
19. la recherche d informations th oriques Cette collaboration pourrait tre soutenue par une personne charg e de centraliser de synth tiser et de diffuser l information r alisation d une enqu te impuls e par la ville aupr s des partenaires et des habitants de la ville pour mieux conna tre leurs perceptions des probl mes de sant du territoire Cette enqu te pourrait tre men e par un tudiant en troisi me cycle de Sant Publique 2 Mutualiser les comp tences et les savoirs La mise en uvre d un projet de Pr vention Promotion de la Sant suppose l acquisition de nombreux savoirs et savoir faire que la pratique permet petit petit d acqu rir Le partage des savoirs accumul s par chacun des professionnels des CMS actifs en Pr vention Promotion de la Sant de leurs responsables hi rarchiques et de leurs partenaires permettrait certainement d enrichir la qualit des projets Cr er un groupe de mutualisation des comp tences permettrait de renforcer les comp tences et de cr er une culture commune en abordant les th mes suivants collecte de l information et formalisation synth tique de l analyse de situation d finition de priorit s et d objectifs g n raux et sp cifiques pr vision des ressources et des strat gies mobilisation des ressources financi res outils et centres de ressources valuation d finition des finalit s objectifs m thodes et crit res partenariat mobi
20. les parents il reste une partie de la population non vis e les personnes g es des m thodes et des ressources recherch es et mobilis es une attention particuli re est port e la recherche et au choix des m thodes et des outils d intervention ainsi qu la mobilisation de ressources humaines mat rielles et dans une moindre mesure financi re 2 Points moyens une analyse de situation implicite et partielle certains aspects des probl mes sont connus d terminants mais l analyse de situation est insuffisamment explicit e nature gravit du probl me et partielle groupe cible perception du probl me vis par les partenaires et par les habitants une d finition impr cise des objectifs les groupes cible et les territoires vis s sont sp cifi s toutefois il subsiste un certain flou autour des l ments changer un processus d valuation syst matiquement mis en uvre et bas sur la recherche d l ments multiples mais croisant les points de vue d un nombre insuffisant de types d acteurs 3 Point faible une participation des habitants insuffisante les habitants ont t consult s dans le cadre de la conception la mise en uvre ou de l valuation d une seule intervention Toutefois une volont existe d adapter les interventions la culture des groupes cibles gr ce au dialogue avec les personnes vis es et les personnes relais C El ments fac
21. li s l environnement possibilit d action sur ces d terminants 2 La d finition des priorit s et des objectifs Les l ments retenus ci dessus permettent d acqu rir une solide connaissance du probl me mais sont insuffisants d terminer les actions prioritaires En effet Hanlon 1984 explique que quatre composantes permettent de d terminer les priorit s d actions l ampleur du probl me la s v rit du probl me l efficacit de la solution la faisabilit du programme ou de l intervention Nous avons d j voqu la question de l ampleur et de la s v rit il reste d tailler celle de l efficacit et de la faisabilit L efficacit de la solution peut tre connue par la recherche des solutions d j test es et valu es pour lutter contre le probl me identifi Toutefois J A BURY explique que dans le domaine de l Education pour la Sant cette notion est souvent lastique et qu elle d pend beaucoup de la faisabilit Selon Hanlon cinq facteurs d terminent la faisabilit d une intervention sa pertinence sa faisabilit conomique son acceptabilit culturelle thique r glementaire conomique sa l galit et la disponibilit des ressources Or le sch ma des interventions propos par PINAULT et Ces l ments sont transversaux Agir en Promotion de la Sant un peu de m thode Bruxelles Sant 2000 Cr er un projet d action locale en Promot
22. n cessit d valuer les actions en Promotion de la Sant notamment pour des raisons d ajustement des pratiques et d obtention de financements En tenant compte des limites des propositions ont merg pour valuer les effets court terme plut t que ceux long terme Toutefois m me l valuation des effets court terme peut se r v ler d licate C est pourquoi la question de la qualit des interventions est explor e C Comment valuer la qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant De nombreux articles contribuent la r flexion autour des bonnes pratiques Ils sont consacr s aux l ments qui sont indispensables la mise en uvre d actions de qualit des d marches participatives partenariales m thodologiques Toutefois les articles qui r pertorient les crit res de qualit des actions de Promotion de la Sant sont trop peu pr cis ou trop peu complets pour servir de r f rence une valuation L valuation de la qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant n cessite par cons quent d laborer dans un premier temps un r f rentiel de cette qualit Etant donn que cette tude s applique aux Centres de Sant une attention particuli re sera port e au positionnement des Centres de Sant et de leurs partenaires sur cette question En effet la qualit est galement au c ur de la controverse entre les Centres de Sant et leurs finance
23. ne du Blanc Mesnil au profil tr s proche des personnes identifi es dans le cadre de l tude Ces tests ont permis de clarifier certaines questions et de valider les questionnaires 4 Traitement de l information Le traitement des questions ouvertes a suppos une d marche sp cifique afin de synth tiser les r ponses apport es dans les 18 questionnaires exploitables recueillis tout en pr servant leur sens Une premi re lecture des questionnaires a permis de d gager les principales cat gories d l ments de r ponses puis de les classer Le d tail des 174 r ponses ou l ments de r ponses class s par cat gories figure en Annexe 3 Les non r ponses ou r ponses non interpr tables ont galement t comptabilis es par question et exploit es dans l analyse ci dessous 5 Certaines r ponses ont t divis es en diff rents l ments de r ponse lorsqu elles correspondaient plusieurs cat gories de r ponses d duites de la premi re lecture des questionnaires A titre d exemple La mise en uvre est facilit e par l octroi d heures d activit s hors soins aux praticiens temps plein g n ralistes chirurgiens dentistes ainsi que l inscription dans le profil de poste de temps consacr la Pr vention pour d autres professionnels et l incitation faire Ce temps d activit s hors soins n est pas gag a priori sur un financement ext rieur la ville il suppose cependant qu une recherche de
24. p riodicit l action doit tre men e pour atteindre ses objectifs Parmi ces deux porteurs de projet un seul pense que la dur e l intensit et la p riodicit de l action qu il m ne correspond aux indications pr conis es En d finitive on ignore si l inscription dans le temps des interventions est adapt e aux objectifs vis s D autre part les interventions mises en uvre tendent galement s inscrire dans une strat gie globale En effet chacune des interventions mise en uvre vise plusieurs niveaux en terme de finalit de m thodes de public eten terme g ographique 5 L laboration des projets est guid e par la motivation de lutter contre des probl mes touchant les enfants les adolescents et les jeunes adultes en cumulant les strat gies d intervention et en intervenant l chelle de tout le territoire La diff rence entre les th matiques trait es montre galement la compl mentarit entre les actions mises en uvre par les Centres de Sant m me si aucune action ne vise le public des personnes g es Enfin la plupart des projets mis en uvre l ont t apr s recherche des actions existantes et en compl mentarit avec elles En effet dans le cadre de 4 des interventions des membres de l quipe porteuse du projet ont recens sur le territoire du Blanc Mesnil les actions visant lutter contre le probl me identifi Ce recensement a t r alis dans deux cas pa
25. r ponse D autres l ments que ceux ci dessus expliquent sp cifiquement le d veloppement de certains axes de qualit des interventions l analyse de situation l valuation et la participation de la population En effet l analyse de situation et la d finition des priorit s d pendent de la mobilisation de donn es 8 r ponses S il est possible de s appuyer sur les donn es nationales les donn es locales sont plus rares en dehors de celle fournies gr ce l informatisation des dossiers m dicaux En second lieu l valuation des actions de Promotion de la Sant et de Pr vention est pr sent e comme plus d licate du fait de la difficult r aliser l valuation moyen terme 4 r ponses Enfin la participation de la population est facilit e 4 r ponses par le fait que le public soit captif coll giens ou lyc ens 1 r ponse par l utilisation de th mes porteurs 1 r ponse de canaux de mobilisation 1 r ponse et l existence d instances de participation 1 r ponse Toutefois de nombreux freins la participation de la population sont mentionn s 8 r ponses les r ticences par rapport aux th mes pr sent s 1 r ponse la pr sence de certaines personnes parents ou professionnels entravant expression des adolescents 2 r ponses La mobilisation des personnes serait rendue plus difficile par amp Manque de temps en commun des membres de l quipe pour la pr parat
26. r union de restitution des r sultats qui sera organis e le 8 septembre 2005 14h Je vous remercie de renvoyer le questionnaire ci joint le vendredi 1 juillet au plus tard l adresse y q J J P suivante Delphine Dubois Fabing 45 rue Jules Guesde 93 220 Gagny Pour tout besoin d appui pour le remplissage du questionnaire ou tout besoin d information compl mentaire n h sitez pas me contacter au 06 62 14 66 37 Delphine Dubois Fabing Lors de l ann e civile 2004 ou de l ann e scolaire 2004 2005 vous avez particip l ACHON Sn due en collaboration avec Je vous remercie de r pondre aux questions suivantes au sujet de cette action 1 Pr cisez quels sont les l ments facilitant et les freins la les action s stipul e s en introduction en fonction des tapes suivantes Ces l ments facilitant et ces freins peuvent par exemple tre relatifs au positionnement au niveau de participation la formation aux motivations aux priorit s des acteurs impliqu es dans l action de leurs partenaires et des autres professionnels de leur institution aux m canismes de communication entre ces personnes la mobilisation des ressources humaines financi res mat rielles etc El ments facilitant Freins Analyse de la situation D termination des priorit s et des objectifs Mise en oeuvre Evaluation Inscription de l actio
27. rofessionnels 2P 2hf objectifs pr cis et peu nombreux les objectifs clairement d clin s et pr cis s choix au fur et mesure du d roulement de l action des objectifs pr cis et priorit s obj mesurables D finir pr ci s ment ce qu est un niveau de sant en quoi il peut tre am lior de quelle population il s agit Rss 3P 2hf Coh rence des intervenants sur les objectifs clart des discours pertinence prevision des outils adapt s discut s choisis au pr alible avec l quipe d intervenants ressources j RES 7 et strat gies des outils pertinents et test s adpat s la cible et des moyens en rapport m thode adapt e la population concern e F 3P 2hf L valuation avant et apr s vu qu on ne sait jamais ce que les enfants valuation retiennent l action doit tre valu e de fa on adapt e 4A 2P Permettre chacun de pouvoir apporter des modifications dans ses pratiques alimentaires sur du long terme que les effets durent dans le temps aboutir amener en consultation des jeunes concern s par ces items pour une bonne Pr vention diminuer les IVG chez les jeunes am liorer l usage des efficacit pr servatifs donc tablir un dialogue et une relation de confiance faire en sorte que les jeunes se prennent en charge diminuer la violence le racisme un d pistage mettant en vidence une diminution de la pr valence serait un crit re certain de qualit inculquer lesbons gestes et donne
28. s par des experts en fonction des connaissances du moment sur les demandes des membres du groupe cible et sur les r ponses existantes en terme d offre ou de structures Les informations recueillies sont soit objectives ex pr valence soit subjectives perception du probl me par les personnes Ces deux types d informations sont compl mentaires et serviront de socle la d termination de priorit s d actions pertinentes coh rentes et acceptables par la population L outil PREFFI envisage l analyse de la situation en fonction de nombreux crit res qui donnent la fois des indications sur les m thodes de recueil des informations et sur la nature de ces derni res la nature et la gravit du probl me probl me d fini probl me r pandu dans le groupe cible ou la communaut si possible pr valence et incidence connues lien aux probl mes sociaux d termin ch mage peur du crime addictions la perception du probl me par les partenaires accord des partenaires sur l existence du probl me interventions des partenaires recens es le groupe cible personnes concern es ge sexe statut socio conomique origine ethnique religion rythmes motivations au changement canaux de mobilisation analyse des d terminants du probl me existence d un mod le th orique des d terminants du probl me connaissance des d terminants li s au comportement des personnes connaissance des d terminants
29. tences les caract ristiques du milieu d implantation la coh rence des ressources les ressources humaines mat rielles et financi res disponibles et n cessaires identifi es et mobilis es 4 L valuation Les l ments transversaux aux d finitions de l valuation apparaissent dans ces deux citations Evaluer consiste fondamentalement porter un jugement sur une intervention ou sur Ji ur 49 n importe laquelle de ses composantes dans le but d aider la prise de d cision C est aussi comparer les informations collect es avec des crit res des normes correspondant aux 36 GRANGER I Promouvoir une d marche locale de Sant exemple de m thodologie DDASS Seine Saint Denis Sept 2002 37 La sant en action CFES 1987 BURY A Education pour la Sant Concepts enjeux planification De Boeck universit 1988 GRANGER I Promouvoir une d marche locale de Sant exemple de m thodologie DDASS de Seine Saint Denis Septembre 2002 HENCELIN L Conduire un projet de Pr vention De la th orie la pratique Lettre du centre d information et de ressources sur la drogue et les d pendances de Seine Saint Denis d cembre 2004 p 1 4 38 voir note 36 MOLLEMAN G PETERS L HOMMELS L PLOEG M Health Promotion Effect Management Instrument Preffi 2 0 Assessment Package NIGZ Netherlands Institute for Health Promotion and Disease Prevention 2003 ce point est trait sp cifiquement s
30. valu s En effet la litt rature reste peu pr cise sur ces deux points 3 Des r sultats non g n ralisables L id e de travailler sur l valuation des interventions en Pr vention Promotion de la Sant men es par des Centres de Sant est n e du constat d une diff rence de discours sur la qualit de ces interventions entre les collectifs repr sentant les Centres de Sant et des institutions telles que l IGAS Toutefois deux obstacles majeurs l absence de r f rentiel de qualit et la difficult identifier les Centres de Sant ont interdit de r aliser une tude permettant de faire un point sur l activit en Pr vention Promotion de la Sant des Centres de Sant une chelle suffisamment importante Ainsi si les r sultats de cette tude peuvent tre utilis s dans le cadre de la r flexion sur l avenir des Centres de Sant men e actuellement au Blanc Mesnil il ne peuvent pas tre extrapol s d autres Centres de Sant B Perspectives L analyse des r sultats de cette tude permet de d finir plusieurs objectifs pouvant contribuer renforcer la qualit des interventions en Pr vention Promotion de la Sant mises en uvre par les Centres de Sant du Blanc Mesnil am liorer la collecte et la gestion de l information 1 mutualiser n MOLLEMAN G PETERS L HOMMELS L PLOEG M Health Promotion Effect Management Instrument Preffi 2 0 Assessment Package NIGZ Netherlands Institut
31. Delphine Dubois Fabing Master Sant Publique Evaluation de la qualit d interventions en Promotion de la Sant Pr vention l exemple des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Directeur de m moire Aude Develay Universit de Versailles Ann e 2004 2005 Remerciements Je remercie vivement pour l aide qu ils m ont apport e et leur participation ce m moire Aude Develay Jo l Le Corre H l ne Le Glaunec C cile Lagier ainsi que les professionnels des CMS impliqu s dans des actions de Pr vention Promotion de la Sant et leurs partenaires Enfin des remerciements particuliers Jean Xavier pour ses petits coups de main informatiques et pour avoir fait le m nage plus souvent qu son tour SOMMAIRE I EVALUATION DES INTERVENTIONS EN PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE Sn nn ne nier ii tres nt radio r ete annees one eteN ad nd eines ds ait tte etes added 4 A QU EST CE QUE LA PROMOTION DE LA SANTE NOTAMMENT AU REGARD DE LA PREVENTION DE L EDUCATION A LA SANTE ET DE LA SANTE PUBLIQUE sssssssssssssssssssssssssssssssssssesssssnnes 4 B PEUT ON EVALUER L EFFICACITE DES ACTIONS DE PROMOTION DE LA SANTE PREVENTION 5 C COMMENT EVALUER LA QUALITE DES ACTIONS DE PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE IL REFERENTIEL DE QUALITE DES ACTIONS DE PREVENTION PROMOTION DELA S INTER insiste A entente ii ienten nn enieEt 7 A TYPOLOGIE DES INTERVENTIONS EN PROMOTION DE LA SANTE PREVENTION
32. E EN UVRE DE L ACTION Strat gie mise en oeuvre Les m thodes de mise en uvre de l action sont elles sp cifi es dans les documents pr sentant fondant l action 1 oui O non Savez vous gr ce la recherche des consid rations th oriques ou des rapports d valuation d applications du type d action que vous mettez en uvre si les m thodes d action sont adapt es pour atteindre les objectifs vis s O oui non Ne sait pas Si oui les m thodes choisies pour la mise en oeuvre de l action que vous menez correspondent elles aux indications pr conis es L oui non Des membres de l quipe porteuse du projet ont ils l exp rience d une application r ussie ou non du type d action mise en uvre oui non Dur e de l action Pour un m me groupe de b n ficiaires l action est ponctuelle r p t e Savez vous gr ce la recherche des consid rations th oriques ou des rapports d valuation d applications du type d action que vous mettez en uvre selon quelle dur e quelle intensit et quelle p riodicit l action doit tre men e pour atteindre ses objectifs O oui non L Ne sait pas Si oui la dur e l intensit et la p riodicit de l action que vous menez correspondent elles aux
33. a population en l occurrence les personnes g es ne b n ficie pas de projets de Pr vention mis en uvre gr ce aux Centres de Sant D finir un projet municipal de Pr vention suppose de dresser un tat des lieux des besoins et des ressources en sant du territoire Un tel tat des lieux peut s appuyer sur les diagnostics existants tout en les compl tant sur certains aspects perception des habitants et des partenaires sur les probl mes de sant sant des personnes g es Cet tat des lieux permettrait de d finir des priorit s en terme de Pr vention et de Promotion de la Sant et de donner des orientations aux professionnels des CMS impliqu s dans ce type de projet Cette dynamique constituerait un gage suppl mentaire de qualit des interventions condition que des ressources soient mobilis es en coh rence avec les priorit s d finies 4 D velopper la participation des habitants Le manque de participation des habitants est la principale faiblesse des interventions valu es En effet le niveau de participation des habitants est faible ou nul dans la mise uvre de toutes les interventions valu es Afin d am liorer globalement le niveau de participation dans les interventions de Pr vention Promotion de la Sant des Centres de Sant une double strat gie pourrait tre envisag e am liorer le niveau de participation des habitants dans tous les projets en s appuyant sur le groupe de mutual
34. ablissements de l ensemble du territoire de la ville 1 action vise un lyc e d enseignement professionnel accueillant des jeunes de l ensemble de la ville Une action est limit e un seul coll ge 19 L ensemble de ces l ments montrent l importance de l inscription des projets dans des strat gies globales tant du point de vue du cumul d action sur des leviers de changement que du point de vue de la compl mentarit avec les autres actions de Pr vention et de Promotion de la Sant men es sur le territoire b La dimension participative L analyse des questionnaires et des non r ponses fait appara tre le manque de participation des habitants dans le cadre des interventions En effet aucune r ponse n a t apport e la question relative la participation des habitants aux diff rents temps du projet la planification l ex cution l valuation La question relative aux niveaux de pouvoir des habitants n a re u que trois r ponses Parmi ces trois r ponses la case sans objet a t coch e deux fois tandis qu un seul projet s adresse des professionnels et non des habitants Une seule r ponse stipulait que des habitants avaient t consult s pour la planification l ex cution ou l valuation de l action Ils n avaient ni particip aux d cisions li es une ou plusieurs de ces tapes ni leur mise en uvre Une seule r ponse de surcro t n gative a t obtenue
35. alit apport s par les r ponses des diff rents type de partenaires De plus 5 de leurs r ponses mettent en relief deux cat gories non abord es sp cifiquement par les autres types d acteurs l appui institutionnel 1 r ponse et l inscription des actions dans la dur e 4 r ponses Les 9 partenaires ayant r pondu apparaissent par cons quent dans une position m diane relativement aux porteurs de projet et aux responsables hi rarchiques Toutefois le nombre important de non r ponses la question relative aux l ments facilitant et aux freins la mise en uvre des diff rents axes de qualit des interventions sup rieur la moyenne des r pondants pour 10 16 des parties de la question peut tre interpr t comme un certain manque de pratique de ces dimensions de r alisation des interventions En d finitive 1l appara t que les responsables hi rarchiques et une partie des partenaires d finissent la qualit des interventions selon le m me type de crit res que ceux retenus dans cette tude Les porteurs de projet semblent davantage focalis s sur le r sultat Ces diff rences entre types d acteurs montrent la n cessit d un meilleur partage des connaissances et des perceptions 28 IV CRITIQUE DE LA METHODE ET PERSPECTIVES Suite l analyse des r sultats de cette tude il convient de pr ciser les limites de la m thode employ e A avant de pr senter les perspectives ouvertes par cette rech
36. anc Mesnil galement M decin Directeur des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil de mener une valuation sur les interventions de Pr vention et de Promotion de la sant qui y sont mises en uvre Puis diff rentes tapes ont jalonn le recueil des informations n cessaires D l valuation Un premier temps a t consacr la recherche et la s lection des actions valuer 1 Dans un second temps les personnes interroger ont t recherch es et mobilis es 2 Etant donn le nombre de personnes identifi es la m thode des questionnaires a t choisie pour le recueil des donn es 3 En dernier lieu l utilisation de questions ferm es et ouvertes a n cessit une m thode adapt e de traitement de l information 4 1 Recherche et s lection des actions Des entretiens men s avec le M decin Directeur et la Directrice Administrative des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil ont permis d identifier 18 professionnels impliqu s en Pr vention et Promotion de la Sant dans ces Centres Une prise de contact avec ces z s NAS Et gt i 247 professionnels a permis d identifier une activit riche en Pr vention Promotion de la Sant 47 2 2 2 7 interventions dont la mise en uvre a d but en 2004 et dont des professionnels des Centres de Sant sont les promoteurs 1 intervention con ue en 2004 dont la mise en uvre a d but en 2005 et dont des pro
37. ans la Charte d Ottawa La Promotion de la Sant est le processus qui conf re aux populations les moyens d assurer un plus grand contr le sur leur propre Sant et d am liorer celle ci la sant publique vise am liorer la sant de la population elle inclut la Promotion de la Sant la Pr vention et le soin Outre l Education pour la Sant les strat gies sur lesquelles elle s appuie sont la planification la gestion et l valuation du syst me de soins et l action politique Malgr ces diff rences th oriques la confusion demeure sur le terrain titre d exemple l accord national conclu en 2003 partir d un consensus entre les Caisses d Assurance Maladie et les principaux repr sentants des Centres de Sant utilise indiff remment les quatre termes En d finitive le fait que la Pr vention et la Promotion de la Sant soient plut t des finalit s d intervention et l Education pour la Sant une strat gie est mal connu De plus la question de l inclusion de la Pr vention dans la Promotion de la Sant n est pas tranch e En outre dans l hypoth se o les deux champs seraient distincts il est souvent difficile d associer une action de terrain pleinement un seul de ces deux champs Enfin on note galement une grande proximit de d finition entre les concepts de Promotion de la Sant et de sant publique En fait lorsque la question du soin et du syst me de soin est en jeu on
38. ant Fonctionnement et Analyse Financi re IGAS mars 1990 REVUES ET ARTICLES AZAN DELION F et al Les Centres de Sant 1 Missions et Pratiques Pr venir Cahiers d tude et de r flexion dit s par la coop rative d dition de la vie mutualiste n 36 premier semestre 1999 BCHIR A et al Les Centres de Sant 2 Pertinence et Modernit Pr venir Cahiers d tude et de r flexion dit s par la coop rative d dition de la vie mutualiste n 37 deuxi me semestre 1999 LE CORRE Jo l Centres de Sant Municipaux destin national ou destin local Le nouveau Centre de Sant n 125 juin 1998 AUTRES DOCUMENTS Accord National destin organiser les rapports entre les Centres de Sant et les Caisses d Assurance Maladie 2003 FEURTET D Maire du Blanc Mesnil Discours inaugural des s ances de travail sur l Avenir des Centres de Sant Municipaux de Blanc Mesnil 27 avril 2004 LESIOUR A Les Centres de Sant Municipaux pass pr sent perspectives Action la journ e de formation des lus municipaux 1 f vrier 2003 MANUELLAN P E Cartographie des professionnels de sant au Blanc Mesnil novembre 2004 MANUELLAN P E Evaluation quantitative de l activit des CMS au Blanc Mesnil 1999 20053 novembre 2004 ROSENBERG S Vers une d marche qualit des Centres de Sant de la ville du Blanc Mesnil M moire IUP ville et Sant Universit Paris Nord XIII mai 1998 www le
39. avoir des comptes rendre leur hi rarchie et non pas dans le cadre de cette tude elles estimaient leur charge de travail trop lourde pour pouvoir y ajouter la r ponse au questionnaire Malgr le nombre important de non retour des questionnaires 48 la richesse des r ponses reste sans doute largement pr serv e du fait de la repr sentation de toutes les cat gories de personnes identifi es parmi les r pondants l exception des professeurs de l enseignement secondaire 3 Conception et test des questionnaires La technique du questionnaire a t choisie du fait du nombre important de th mes abord s dans le r f rentiel de qualit des actions de Promotion de la Sant du nombre de projets et du nombre de personnes identifi es Deux questionnaires ont t construits Le premier adress uniquement aux porteurs de projet avait pour objectif de v rifier l ad quation des projets avec les crit res de qualit de cette tude Il tait compos essentiellement de questions ferm es adapt es partir du mod le de PREFFI voir Annexe 1 Le second questionnaire compos de question ouvertes a t adress l ensemble des porteurs afin de mieux comprendre les l ments facilitants et les freins la mise en uvre de projets de qualit voir Annexe 2 Deux tests ont t r alis s sur les deux questionnaires aupr s d un professionnel de Sant Publique et aupr s d une infirmi re du Service d hygi
40. cipaient aux 7 actions identifi es Parmi ces dix personnes 7 d entre elles taient porteuses d un projet Les contacts avec les porteurs de projet ont permis d identifier les autres acteurs impliqu s dans les interventions 5 responsables hi rarchiques 2 financeurs 57 partenaires Toutefois aucun b n ficiaire n a t identifi En effet les adolescents les enfants et les parents participant aux interventions n avaient pas t mobilis s par les professionnels des Centres de Sant Tardifs les contacts pris en juin avec leurs relais des professionnels de l ducation nationale n ont pas non plus permis de toucher le public vis L absence d usagers questionn s dans le cadre de cette tude est une lacune importante Toutes les personnes identifi es ont re u un questionnaire accompagn d une pr sentation de l tude incluant une invitation une r union de restitution des r sultats fix e au 7 septembre cf Annexes 1 et 2 Les personnes dont il a t possible d obtenir les coordonn es t l phoniques ont re u un appel au moment de la r ception du questionnaire et une relance deux jours de la date fix e pour le retour des questionnaires En d finitive 20 personnes ont r pondu dont 6 taient des porteurs des interventions 3 des responsables hi rarchiques municipaux 1 responsable hi rarchique fonctionnelle d partementale 1 financeur r ponse inexploitable et 7 partenaires La
41. co laborateurs de projets et de programmes XV institutions manque 1A 1P Bien qu adopt et pr sent comme un projet inetit tions d implication thf d tablissement la r alit du fonctionnement des tablissements fait que ce projet est port par quelques individualit s manque de temps et 1A 4P Manque de temps en commun des membres del travail interpartenarial l quipe pour la pr paration et la r alisation des actions difficult mobiliser sur les cr neaux partenariat horaires n cessit de mobiliser plusieurs personnes pas toujours disponibles difficult faire toute l organisation interne et externe en tenant compte des rythmes et des emplois du temps partenariat Manque de coordination 1P Inad quation avec les 3P difficult pour les professeurs de faire le lieni partenariat programmes scolaires avec les programmes de voir ce que a va leur apporter Place des partenaires 1P Un questionnement subsiste sur la place desl professeurs Cette pr sence est souhait e partenariat n anmoins elles peut tre aussi contre productive bloquer la parole des l ves mais lle est toujours r gulant manque de personnels MP 1hf Le frein principal est actuellement lel form s manque de personnels particuli rement le personnel para m dical comme les infirmi res dont le m tier dans les Centres RH de Sant devrait voluer vers une p
42. compte de cette r alit Rifkin S B distingue 5 niveaux dans la participation aux avantages des programmes aux activit s des programmes leur ex cution leur valuation leur planification Plusieurs auteurs d taillent les niveaux de participation en fonction du pouvoir sp cifique du citoyen sur la d cision Parmi eux Hance B J propose la classification suivante pas de participation des citoyens citoyen inform s citoyens consult s co d cision co mise en uvre citoyens seuls promoteurs de l action 2 AZAN DELION F Les centres de Sant aujourd hui participation des usagers dans une municipalit p 167 168 BELLIERE J C Participation des usagers dans le mouvement mutualiste p 169 172 ESTECAHANDY P Les autres formes d accueil l exemple de M decins du Monde p 173 176 LEFEVRE P Le centre de sant des Epinettes Evry et la participation des usagers p 159 166 77 La Sant communautaire terme parfois critiqu cause de sa proximit avec le mot communautarisme est une forme aboutie de la participation des habitants au d veloppement de leur Sant 8 Pratiquer la Sant Communautaire de l intention l action Institut Th ophraste Renaudot Chronique Sociale 2001 voir par exemple l article Les Centres de Sant pertinence et modernit o Claudie Gillot Dumoutier Pr sidente du Comit National de Liaison des Centres de Sant explique Certaines municipalit
43. e de savoir si les crit res retenus pour d finir la qualit des interventions dans le cadre de cette tude sont les m mes que ceux mis en relief par les diff rents types d acteurs L analyse de diff rentes sources d informations a permet de mieux d finir le positionnement des acteurs au regard du r f rentiel de qualit d fini en amont b a Donn es sur les crit res de qualit des interventions selon les cat gories de personnes questionn es Deux sources d information ont t utilis es pour mieux conna tre les crit res de qualit des interventions selon les cat gories de personnes questionn es En premier lieu les acteurs ont apport les r ponses suivantes la question de mani re g n rale quels sont selon vous les crit res de qualit des actions activit de Promotion de la Sant Pr vention Porteurs de projets Partenaires Resp Hi rarchiques Total temps dur e 4 4 inscription dans une strat gie globale 1 1 dimension participative 1 1 2 analyse situation 2 2 d finition des priorit s et des objectifs 2 2 4 pr vision ressources et strat gies 3 2 5 valuation 3 2 5 efficacit 4 2 6 Pertinence action adapt e au public cible 1 1 2 dimension partenariale 2 2 1 5 formation des intervenants 2 2 4 appui institutionnel 1 1 Total r ponses 7 21 13 41 La conception de ce tableau a suppos un classement des r ponses pr sent en Annexe 4
44. e de travail courant meilleure compr hension des commun robl matiques de l tablissement comp tence disponibilit 1 part 3 La mise en uvre est facilit e par l octroi l ments Ut des hi d heures d activit s hors soins aux praticiens facilitant temps plein g n ralistes chirurgiens RH dentistes ainsi que l inscription dans le profil de poste de temps consacr la Pr vention pour d autres professionnels et l incitation faire motivation des 2 hf RH promoteurs de projet rencontres entre 1 part partenariat partenaires int gration du projet 1 part int grer le projet au projet d tablissement partenariat ceux des partenaires permettre aux l ves de r aliser leur projet rofessionnel pluridisciplinaire m thodes outil attractif 2 part Ce temps d activit s hors soins n est pas financement financement fonds gag a priori sur un financement ext rieur l propres hf la ville freins NON R PONSES 2A3P non interpr table 1A 1P partenaires manque 1A 1P d implication 3hf difficult avoir l adh sion des professeurs difficult mobiliser les parents D autres partenariat difficult s proviennent de la conception que les partenaires se font de la Pr vention C est ainsi qu un certain nombre d tablissements scolaires s adressent aux quipes des Centres de Sant comme des prestataires de service demande de prestations clefs en mains et non comme des
45. e for Health Promotion and Disease Prevention 2003 Voir Notes li es l introduction 30 les pratiques 2 d finir un projet politique global de Pr vention Promotion de la sant 3 et d velopper la participation des habitants 4 1 Am liorer la collecte et la gestion de l information Le manque d information s est r v l tre un frein important de la qualit des projets dans le cadre de cette tude En effet les porteurs de projets manquent d informations th oriques sur les d terminants de sant les groupes cible le temps dur e intensit p riodicit n cessaires pour atteindre les objectifs De plus le manque de donn es locales est point comme rendant plus fragile l analyse de situation et la compl mentarit avec les autres actions men es sur le territoire En tenant compte de ces constats la question se pose de la capacit des porteurs de projet en terme de comp tences de moyens et de temps rechercher et formaliser les informations Afin de r pondre cette question une premi re tape consisterait mutualiser les pratiques des professionnels des CMS ce sujet pour mieux en conna tre les points forts et les limites Si l hypoth se du manque de moyens et de temps est confirm e plusieurs solutions pourraient tre exp riment es parmi celles ci dessous formalisation d une collaboration avec les services de documentation de l INPES du CIRDD et de la ville pour
46. e global d velopper la participation des habitants
47. echerche des consid rations th oriques ou des enqu tes la culture du groupe cible savoirs coutumes r le comp tences oui O non O Ne sait pas Avez vous adapt le s message s le s support s le choix ou la formation des personnes interm diaires de l action cette culture Doui Onon L Sans objet Si oui pr cisez en quoi Ressources Les ressources humaines disponibles et n cessaires l action ont elles t recens es L oui non Si oui ont elles t obtenues oui non Les ressources mat rielles disponibles et n cessaires l action ont elles t recens es oui non Si oui ont elles t obtenues oui non Les ressources financi res disponibles et n cessaires l action ont elles t recens es 1 oui non Si oui ont elles t obtenues oui non S1 oui quels sont les financeurs sollicit s et ceux ayant accord une subvention ville comprise Financeur sollicit Montant demand Subvention accord e 77 PETE syi P x n Personnes interm diaires personnes permettant de mobiliser le groupe cible d agir sur leurs savoirs savoirs faire ou savoirs tre ou d agir sur leur environnement VII EVALUATION DE L ACTION Si l action n a pas ou
48. els Sexe OM OF sans objet sans objet sans objet 13 Selon vous quels sont en g n ral les crit res de qualit des actions de Promotion de la Sant Pr vention 14 Selon vous parmi ces crit res quels sont ceux remplis par l action pr sent e 76 3 p PEE agir sur les attitudes les comportements les croyances les prises de d cision IV LES ELEMENTS CONNUS AVANT LA CONCEPTION DE L ACTION 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 Nature et gravit du probl me Le probl me vis par l action est Sans intervention efficace dans les cinq ans le probl me va beaucoup s aggraver peut s am liorer tout seul ne changera pas Ne sait pas La mise ne place d une action ayant une valeur correctrice est Tr s difficile Difficile Faisable Tr s facile va l g rement s aggraver Ne sait pas Perception du probl me par les habitants et les partenaires S1 les habitants ont t consult s pour eux le probl me est Pas ressenti Peu ressenti Tr s ressenti V cu comme prioritaire S1 les partenaires ont t consult s pour eux le probl me est Pas ressenti Analyse des d terminants du
49. ent valuer la qualit des actions de Pr vention Promotion de la Sant C A Qu est ce que la Promotion de la Sant notamment au regard de la Pr vention de l Education la Sant et de la Sant Publique L interrogation de la base de concepts de l INPES met en relief une grande diversit et une certaine confusion des d finitions pour les termes de Promotion de la Sant 8 d finitions Pr vention 14 Education la Sant 31 et sant publique 10 Toutefois certaines dimensions redondantes entre les d finitions permettent de pr ciser ces concepts la Promotion de la Sant inclut l ensemble des strat gies qui visent am liorer la sant bien tre physique psychique et social d terminants inclus de la population g n rale ou de groupes cible Le d veloppement de l individu est une valeur fondamentale de la Promotion de la Sant a contrario les interventions du champ de la Pr vention visent lutter contre les maladies en agissant sur des groupes risque l Education pour la Sant est une strat gie reli e des objectifs de Pr vention ou de Promotion de la Sant et bas e principalement sur les apprentissages par l information ou d autres actions Elle agit sur les connaissances attitudes comportements valeurs modes de prise de d cision 10 Un exemple de confusion entre les concepts est fourni par ces d finitions des concepts Pr vention et Promotion de la
50. entiel de qualit des interventions en Pr vention Promotion de la Sant et valuer la qualit de celles mises en uvre par les Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Cette recherche a permis d tablir un r f rentiel de qualit des interventions en Pr vention Promotion de la Sant selon 6 axes l inscription des actions dans le temps et dans une strat gie globale la dimension participative l analyse de la situation la d termination des priorit s et des objectifs la pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre l valuation C est sur la base de ce r f rentiel qu ont t d termin s les principaux atouts et limites de la qualit des interventions de Promotion de la Sant Pr vention men es par les Centres de Sant du Blanc Mesnil D une part des points forts ont t mis en relief l inscription des interventions dans le temps et dans une strat gie globale la recherche et la mobilisation de ressources et de m thodes de mise en uvre D autre part le manque de participation des usagers est apparu comme le principal point faible Ces r sultats ainsi que les principaux l ments facilitant et freinant le d veloppement des interventions ont permis de proposer des pistes d am lioration de la qualit des interventions valu es en fonction de quatre objectifs am liorer la collecte et la gestion de l information mutualiser les pratiques d finir un projet politiqu
51. entionn s planification familiale hygi ne alimentaire et alcoologie d pistage des tumeurs Priorit s et objectifs NON R PONSES 3A4P non interpr table 2A 3P expertise professionnels A 2hf expertise des partenaires sur le terrain RH terrain exp rience par les professionnels connaissance des probl mes de sant __ multi partenariat 1P 1hf partenariat connaissances 1hf sp cifique Scientifiques et statistiques l ments positionnement m decin 1 hf Une d l gation de pouvoir est donn e lal facilitant directeur direction des services pour la d termination des projets au niveau de leur laboration Lal validation politique est requise pour le sp cifique financement que celui ci soit municipal oul externe la ville Le positionnement actuel du m decin directeur dans l organigramme de l administration communale est un facteur facilitant d cision unilat rale 1P 1hf prise de d cision par la mairie recherche instit tioris d adh sion des institutions et acteurs partenaires priorit s d finies par les financeurs PRAPS PRS Accord National NON R PONSES 6A8P 2hf impossibilit d avoir des donn es chiffr es de sp cifique manque de donn es r sultat par absence de situation de d part locales 2hf connaissances partielles des professionnels institutions Manque d implication des freins lus ihf Un certain nombre de priorit s et d objectifs est cependant d fini par des institutions dunes ext rieur
52. ents avec l analyse de la situation sp cifier les l ments changer le groupe cible le territoire et si possible les temps de r alisation des objectifs et la magnitude des effets ex 10 de r duction des caries dentaires 6 La pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre Avoir pr vu les ressources et les strat gies de mise en uvre en fonction des l ments suivants la rationalit de la strat gie d intervention m thodes d intervention pr cis es connaissance d valuations d applications r ussies ou non exp rience du promoteur de ce type d intervention pr test la coh rence la dur e l intensit et le calendrier de l intervention cf supra l adaptation au groupe cible participation du groupe cible cf supra adaptation du message du support des interm diaires de l intervention la culture du groupe cible savoirs coutumes r le comp tences la coh rence des ressources les ressources humaines mat rielles et financi res disponibles et n cessaires identifi es et mobilis es 7 L valuation 7 a Avoir respect les tapes suivantes personnes ou organisation pertinentes promoteurs de l action membres du groupe cible et s il y a lieu financeurs responsables hi rarchiques partenaires experts impliqu es dans la d finition du cadre de l valuation cadre de l valuation d fini finalit s de l valuation ex formative
53. envoy s PRESENTATION DE L ACTION L action est intitul e L action a t men e en 2004 men e sur plusieurs ann es y compris 2004 de P Les objectifs g n raux buts ou finalit s de l action sont Les objectifs sp cifiques de l action sont Le territoire vis est Le temps pr vu de r alisation des objectifs est La magnitude des effets attendus ex 10 de r duction des caries dentaires Est o XX L action vise am liorer les facteurs environnementaux agissant sur la sant am liorer la capacit des individus agir sur leur sant diminuer l incidence des maladies diminuer la pr valence des handicaps et des s quelles 7 Objectifs des actions mettre en uvre pour atteindre les objectifs g n raux IT 5 5 QE 9 Pour y parvenir l action consiste Informer Eduquer R glementer situation action un niveau individuel 10 Les personnes vis es sont usagers habitants Age sans objet Origine ethnique Statut socio conomique cibl 11 Le nombre de personnes vis es est 12 Le s th me s de l action est sont D pister Rechercher des l ments d analyse de action un niveau collectif professionn
54. erche B A Critique de la m thode La m thode utilis e s est r v l e comprendre plusieurs inconv nients dont une repr sentation partielle de l activit des CMS du Blanc Mesnil 1 l utilisation d un r f rentiel perfectionner 2 et la production de r sultats non g n ralisables 3 1 Un repr sentation partielle de l activit en Pr vention Promotion de la Sant des Centres de Sant du Blanc Mesnil En premier lieu comme il tait pr cis dans la pr sentation de la m thode seules les interventions formalis es mises en uvre partir de 2004 par des professionnels des CMS du Blanc Mesnil au titre de ces fonctions ont t valu es Ainsi des actions en gestation ou mises en uvre par la mairie du Blanc Mesnil sans l intervention des Centres de Sant ont pu tre cart es Toutefois une dimension de la Pr vention men e par les professionnels des CMS a t perdue En effet les professionnels des CMS salari s et non pay s l acte sont susceptibles de passer davantage de temps avec leurs patients que leurs confr res lib raux Ce temps suppl mentaire permettrait notamment une transmission plus fr quente et plus adapt e de messages de Pr vention Toutefois le manque de formalisation de cette activit a rendu impossible son valuation dans le cadre de cette tude et m riterait un travail sp cifique En second lieu il apparaissait dans les r ponses aux questionnai
55. es conversations et apart s Par ailleurs elle institue une distance du type conf rencier coutants 24 Le temps n est pr sent que comme un frein 10 fois en particulier pour les partenaires qui l ont cit 9 fois En effet les contraintes horaires le manque de temps inter partenarial le manque de disponibilit entravent l analyse de situation la mise en uvre et l valuation des interventions D un autre c t le temps n cessaire la mise en uvre de projets de qualit est tel qu il risque de 2 64 d courager les acteurs La dimension m thodologique est pr sent e plut t dans le cadre des l ments facilitant 7 r ponses sur 8 En effet un outil attractif et une m thode clairement d finie contribuent la mise en uvre et l valuation des interventions 3 r ponses 55 et peuvent tre utilis s pour d velopper la articipation des usagers 3 r ponses ou soutenir le partenariat 1 r ponse p p g P p P De mani re plus minoritaire la question de la culture de la Pr vention ou de l valuation est voqu e comme un l ment facilitant lorsqu elle est diffus e par une institution 1 r ponse mais qui serait insuffisamment partag e 2 r ponses entre les partenaires et les professionnels des CMS Enfin la participation des habitants est galement cit e comme un l ment facilitant l valuation des projets 2 r ponses lorsqu elle est suffisamment d velopp e 1
56. es actions de Promotion de la Sant Pr vention et valuer la qualit de celles mises en uvre par les Centres de Sant du Blanc Mesnil Dans un premier temps il importera de se demander dans quelle mesure il est possible d valuer des interventions en Promotion de la Sant Pr vention 1 Dans un second temps une analyse de la litt rature permettra de construire un r f rentiel de qualit des actions de Promotion de la Sant Pr vention tenant compte du positionnement des Centres de Sant et de leurs partenaires ID C est sur la base de ces l ments que la m thode et les r sultats de l valuation de la qualit des interventions en Promotion de la Sant Pr vention mises en uvre par les Centres de Sant du Blanc Mesnil seront pr sent s III Pour conclure une analyse critique de la m thode visera tablir les principaux atouts et limites de cette tude ainsi que les perspectives qu elle permet d ouvrir IV I EVALUATION DES INTERVENTIONS EN PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE Cette tude se propose d valuer des interventions en Promotion de la Sant Pr vention Ce champ d investigation complexe n cessite plusieurs pr cisions conceptuelles pr alables qu est ce que la Promotion de la Sant notamment au regard de la Pr vention de l Education la Sant et de la Sant Publique A Peut on valuer des actions de Promotion de la Sant Pr vention et en particulier leur efficacit B Comm
57. es administratifs des centres et des financeurs participent tr s peu la d finition des valuations La prise en compte de la perception de diff rents types d acteurs est limit e au maximum trois types de partenaires ont t interrog s au cours de la r alisation de l valuation 22 Points forts et limites de la qualit des interventions valu es 1 Points forts des interventions inscrites dans le temps les personnes vis es sont le plus souvent rencontr es plusieurs fois toutefois les porteurs de projet manquent de connaissances document es sur la dur e la p riodicit et l intensit selon lesquelles mener les interventions afin d atteindre les objectifs vis s des interventions inscrites dans une strat gie globale elles agissent une multiplicit de niveaux vari t des finalit s vis es des m thodes employ es et des publics vis s ensemble du territoire du Blanc Mesnil couvert elles sont compl mentaires entre elles ainsi qu avec celles qui sont connues et mises en uvre par les autres acteurs du territoire L apport sp cifique des actions mises en uvre par des professionnels des Centres de Sant est notamment l articulation avec l offre de soin Ces l ments montrent l intensit de l effort de Pr vention r alis par les Centres Municipaux de Sant en direction du public des enfants et des adolescents Toutefois si des r percussions peuvent rejaillir sur
58. es comme cela a t dit plus haut institutions Poa aE Leur choix l chelon local reste fortement manque de prise de marqu par le point de vue des experts d cision locale thf impliqu s XIV partenariat manque de r flexion Des lieux de d bat associant politiques gestionnaires professionnels et usagers manquent Il existe donc la fois une dispersion dans les options et les m thodes et une r duction du champ des possibles par l instauration d une forme de client lisme les actions se font prioritairement l ou il y a de la demande et de la partenariat appui par des partenaires de terrain collective locale ihf relation Mise en uvre NON REPONSES 4A5P non interpr table 1A 3P mobilisation motivation 2A 8hf bonne connaissance du groupe enseignant par d une r seaux l infirmi re scolaire quinzaine d l ves vuln rables institutionnels de soutien rapprochement des institutions appuis institutionnel 1A 2hf hvoir pour alli la direction de l tablissement partenariat intervention 2 part pour encadrer les enfants h t rog n it des partenariat intervenants pour faire passer un m me message de mani res diff rentes partenariat Partenariat organisation 2 part Thfbour faciliter la prise en charge partenariat 2 part tout le monde y compris l administration est aul partenariat habitude dur
59. es usagers permet d adapter les services aux besoins de la population en fonction des savoirs d usage De plus elle est essentielle sur un plan thique En effet comme l explique P Lecorps la sant publique l gitim e par les savoirs des pid miologistes est du c t de la morale c est dire du c t de l exigence de soumission au bien de la sant d fini de l ext rieur et impos tous Cette d finition met en relief la tentation des experts en Sant Publique de se r f rer une v rit unique Or l affirmation d une v rit univoque est incompatible avec la r alit complexe dans laquelle les individus doivent inscrire leurs choix De plus cette violence est davantage susceptible de conduire au blocage qu au changement des La d claration d Alma Ata 1978 voque le droit et le devoir de participer individuellement et collectivement la planification et la mise en uvre des mesures de protection sanitaires qui leur sont destin es La Charte d Ottawa 1986 pr conise la participation effective et concr te de la communaut la d finition des priorit s la prise de d cisions l laboration et la mise en uvre des strat gies de planification en vue d atteindre une meilleure Sant La d claration de Caracas 1991 met en relief que le renforcement des dynamiques sociales internes aux quartiers en difficult est une condition n cessaire la participation des popu
60. fessionnels des Centres de Sant sont les promoteurs 6 interventions d but es en 2004 et dans le cadre desquelles les professionnels des Centres de Sant intervenaient sans ma triser l laboration des projets des interventions de Pr vention Promotion de la Sant men es dans le cadre des consultations sans tre formalis es des interventions de Pr ventions men es par des professionnels des Centres de Sant au titre d autres fonctions ex vaccinations mises en uvre par un m decin au titre de sa fonction de responsable du Service Communal d Hygi ne et de Sant 15 Le choix des interventions valu es a t fait selon trois crit res interventions mises en uvre en 2004 ou sur l ann e scolaire 2004 2005 interventions mises en uvre par des professionnels dans le cadre de leurs fonctions exerc es pour les Centres Municipaux de Sant interventions dont les professionnels des Centres de Sant ma trisent la qualit c est dire dont ils sont les promoteurs Ces crit res ont conduit privil gier l tude des 7 actions dont des professionnels des Centres de Sant sont les promoteurs au titre des fonctions qu ils exercent dans les Centres de Sant et dont la mise en uvre a d but en 2004 2 Recherche et mobilisation des personnes impliqu es dans les interventions Dans le cadre des contacts avec les professionnels des Centres de Sant il s est r v l que dix d entre eux parti
61. fois deux rapports de PIGAS pointent le manque de m thode et en particulier d valuation des actions mises en uvre Toutefois ils ne pr cisent pas ce que serait leurs yeux une d marche m thodologique rigoureuse qui tiendrait compte des moyens des Centres Dans un contexte de ressources limit es pour la mise en uvre d interventions locales en Promotion de la Sant les paragraphes suivant ont pour vocation de tenter de d terminer des crit res de qualit de la mise en uvre des temps qui rythment la planification des actions de Promotion de la Sant Pr vention l analyse de la situation 1 la d finition des priorit s et des objectifs 2 la pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre 3 valuation 4 3 SQUARCIONI G Le Centre de Sant face un risque majeur de Sant Publique l exemple de l amiante Pr venir n 36 1999 p 121 126 un carnet Risque Amiante a t cr et diffus par le Centre de Sant de la Ciotat suite un diagnostic et une valuation rigoureux VIAU A IMBAULT P Pr vention le d pistage de cinq cancers Pr venir n 36 1999 p 133 136 dans le cadre du d pistage de cinq cancers en r gion PACA trois centres de sant ont labor un protocole commun afin de mener une surveillance syst matique sili 1 L analyse de la situation L analyse de situation vise recueillir des informations sur les besoins probl mes de sant d termin
62. gers sur les activit s 4 r ponses au degr de concordance entre les activit s et la planification 2 r ponses au degr de concordance entre les effets r els et les effets pr vus 2 r ponses aux effets secondaires et aux conditions de succ s ou d chec de l action 2 r ponses Une des valuations a galement port sur la couverture de l action personnes touch es repr sentativit qui a t exclu et pourquoi En dernier lieu toutes les valuations ont t r alis es par des professionnels des Centres de Sant impliqu s dans l action 4 d entre elles l ont t avec des partenaires impliqu s dans l action une d entre elle a impliqu les financeurs une autre des responsables administratifs des Centres de Sant Les partenaires impliqu s dans l action ainsi que les membres de groupes cibles ont t interrog s dans le cadre de deux valuations Les professionnels des Centres de Sant ont t interrog s dans le cadre d une des valuations et les financeurs ont t interrog s dans le cadre d une autre des valuations Par cons quent il appara t que les quipes des projets valu s n ont jamais t paul es par des experts pour mener les valuations Il appara t galement que si les partenaires sont tr s fr quemment int gr s la d finition de l valuation les membres du groupe cible sont absents du processus d valuation De m me les responsabl
63. icipative description par niveaux dans la participation aux avantages du programme aux activit s des programmes leur ex cution leur valuation leur planification pas de participation des citoyens citoyen inform s citoyens consult s co d cision co mise en uvre citoyens seuls promoteurs de l action en fonction de la nature du projet et de l appr ciation des acteurs le groupe cible a suffisamment particip au d veloppement ou la s lection de l intervention crit re de qualit avoir consult les habitants 4 L analyse de la situation Avoir recherch des l ments sur la nature et la gravit du probl me probl me d fini probl me r pandu dans le groupe cible ou la communaut si possible pr valence et incidence connues la perception du probl me par les partenaires accord des partenaires sur l existence du probl me intervention des partenaires recens es le groupe cible personnes concern es ge sexe statut socio conomique origine ethnique motivations au changement canaux de mobilisation l analyse des d terminants du probl me existence d un mod le th orique des d terminants du probl me connaissance des d terminants li s au comportement des personnes connaissance des d terminants li s l environnement possibilit d action sur ces d terminants 5 La d termination des priorit s et des objectifs d finir des objectifs coh r
64. ictor S galen Bordeaux 2 Evaluer l Education pour la Sant concepts et m thodes Ed INPES 2002 p 35 51 DEMEULEMEESTER R Evaluation et bilan Politiques et programmes r gionaux de Sant Actualit et dossier en Sant Publique mars 2004 p 44 76 DENIS JL CHAMPAGNE F L analyse de l implantation mod les et m thodes The Canadian Journal of Program Evaluation Volume 5 Number 2 Canadian Evaluation Society 1990 p 47 67 HENCELIN L Conduire un projet de Pr vention De la th orie la pratique Lettre du centre d information et de ressources sur la drogue et les d pendances de Seine Saint Denis d cembre 2004 p 1 4 Mc QUEEN D ANDERSON L Donn es probantes et valuation des programmes en Promotion de la Sant Ruptures revue transdisciplinaire en sant vol 7 n 1 2000 p 79 98 TULEU F Construire un projet La sant de l homme n 331 octobre 1997 p 15 16 n 332 d cembre 1997 p 19 20 AUTRES DOCUMENTS Efficacit de la Promotion de la Sant Actes du colloque organis par l INPES 2004 La Promotion de la Sant une d marche de sant publique efficace Avis du Conseil Scientifique du CFES 1999 2001 FONTAINE D BEYRAGUED L MIACHON C L valuation en neuf tapes fiches pratiques pour l valuation des actions et programmes Sant et Social Espace R gional de Sant Publique janvier 2004 MOLLEMAN G PETERS L HOMMELS L PLOEG M Health Promotion Effect Management Instrumen
65. ientifique du CFES 1999 2001 L ducation en sant enjeux obstacles et moyens Colloque pluridisciplaine Rennes Editions CFES janvier 1998 La Pr vention en mati re de sant Rapport du Conseil Economique et Social d cembre 2003 SCHOENE M Quels atouts et obstacles pour le d veloppement de politiques locales de sant action lors des rencontres parlementaires sant soci t entreprise citoyen ville sant quelles r ponses concr tes pour la mise en uvre d une politique de Sant Publique novembre 2003 2 PLANIFICATION DES INTERVENTIONS EN PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE OUVRAGE Agir en Promotion de la Sant un peu de m thode Bruxelles Sant 2000 La sant en action CFES 1987 BAUMANN M CANNET D CHALONS S Sant communautaire et action humanitaire Le diagnostic de sant d une population Ed ENSP 2001 BURY A ducation pour la Sant Concepts Enjeux Planification De Boeck Universit 1988 PINAULT R La planification de la sant Ed d agence ARC inc 1991 RAPPORTS GRANGER I Promouvoir une d marche locale de Sant exemple de m thodologie DDASS de Seine Saint Denis Septembre 2002 JOURDAIN A COTARD B BRZUSTOWSKI M CHEVAILLIER G Etude de faisabilit d une valuation des dispositifs d am lioration de l acc s aux soins et la Pr vention ENSP octobre 2002 DOSSIERS DOCUMENTAIRES BOURGUEIL Y Gestion des institutions sanitaires et
66. ilitant et freins la mise en uvre de qualit des interventions valu es L analyse des l ments facilitant et des freins aux interventions de Pr vention Promotion de la Sant fournit une premi re s rie d l ments de compr hension des limites de mise en uvre des crit res de qualit retenus dans le r f rentiel 1 Par ailleurs l analyse du positionnement des diff rents acteurs porteurs de projets partenaires ou responsables hi rarchiques et financiers au regard des crit res de qualit des interventions peut galement apporter d autres l ments de compr hension de l environnement dans lequel les projets sont d velopp s 2 1 El ments facilitant et freins au d veloppement des axes de qualit des projets Parmi les r ponses apport es 1l existe de nombreux th mes redondants Parmi les 174 l ments de r ponse certains th mes sont plus fr quemment voqu s que d autres le th me du partenariat appara t 42 fois le th me des ressources humaines personnel des Centres Municipaux de Sant 26 fois celui des institutions 20 fois celui des finances 13 fois celui du temps 10 fois celui des m thodes 6 fois celui de la culture 3 fois et celui de la participation 3 fois Les l ments relatifs au partenariat sont cit s 26 fois comme atouts et 16 fois comme freins l ensemble des crit res de qualit des projets except la participation des usagers La multiplicit des points de vue e
67. ion culture d partementale lihf L adh sion au programme de Pr vention bucco dentaire d partemental puis la culture cr ation d une mission toxicomanie ont pos les bases d une politique de Pr vention individuelle et collective sp cifique donn es locales 2hf informatisation du dossier m dical sp cifique Kstatistiques sant nationales hf freins NON R PONSES 3A8P non interpr table 1A 3P RH Manque de personnel 1 part Manque de culture 1 hf Par ailleurs une culture de Pr vention fait Sie Pr vention des d faut une majorit de personnels des personnels centres tr s orient s vers une activit curative temps contraintes horaires 1 part institutions cadre institutionnel 1 part contraignant hf XII sp cifique manque de donn es locales 3 hf L analyse de la situation sanitaire locale manque cependant d indicateurs m me si un effort est fait dans ce sens par les services de l Etat et du d partement manque de participation 1 part parents ne se sentent pas toujours concern s participation des parents questionnaires non remis ou compl t s n importe comment financement financement hi Il faut dire que le paiement l acte source principale de financement des Centres de Sant n est pas incitatif une autre orientation La Pr vention a t par le pass limit e aux activit s pr ventives pour lesquelles les centres taient conv
68. ion la r alisation des actions difficult mobiliser sur les cr neaux horaires n cessit de mobiliser plusieurs personnes pas toujours disponibles la charge et le volume de travail sont des l ments de frein pour toute personne avertie 6 pr cision des crit res d valuation 66 Enqu te aupr s des familles outils th tre vid o questionnaires rencontres incitation information Difficult de suivre les enfants mobilit changement d cole La v ritable valuation d une telle action serait la mesure de l atteinte carieuse des dents de 6 ans moyen terme difficile dans le temps de voir l impact de cette action sur les comportements La question est bien ce que l on value Des probl mes d chelle et d indicateurs se posent quand il s agit d valuer l efficacit des actions manque de recul dans le temps 25 leur manque de disponibilit 2 r ponses le manque d instances de participation sp cifiques 1 r ponse et le manque de langage partag professionnels usagers 1 r ponse Enfin la population pourrait tre d courag e par les d calages de discours entre les institutions 1 r ponse 2 Positionnement des porteurs de projets partenaires et responsables hi rarchiques Les valeurs des acteurs figurent parmi les facteurs susceptibles de faciliter ou de freiner le d veloppement de certains axes de qualit des interventions C est pourquoi la question se pos
69. ion de la Sant guide m thodologique Contact Sant avril 1997 La sant en action CFES 1987 BARTELEMY L CENARD L TULEU F Analyser une situation La Sant de l Homme n 329 juin 1997 p 13 14 BURY A Education pour la Sant Concepts Enjeux Planification De Boeck Universit 1988 GRANGER I Promouvoir une d marche locale de Sant exemple de m thodologie DDASS de Seine Saint Denis Septembre 2002 HENCELIN L Conduire un projet de Pr vention De la th orie la pratique Lettre du centre d information et de ressources sur la drogue et les d pendances de Seine Saint Denis d cembre 2004 p 1 4 PINAULT R La planification de la sant Ed d agence ARC inc 1991 BURY A Education pour la Sant Concepts Enjeux Planification De Boeck Universit 1988 35 Ceci est notamment li aux difficult s de l valuation des effets des actions de Promotion de la Sant Cf supra I B 102 DAVELUY 1986 montre que les objectifs les strat gies et les ressources de l intervention sont d finis en interaction Les facteurs de la faisabilit d pendent de l analyse de la situation et des objectifs et sont assur s par les strat gies et les ressources mobilis es Une fois les priorit s d termin es gr ce aux crit res ci dessus il est possible de d finir les objectifs de l intervention Les l ments collect s lors du diagnostic permettent de les pr ciser et de les d cliner en cascade
70. ion et de ressources sur la drogue et les d pendances de Seine Saint Denis d cembre 2004 p 4 4 FONTAINE D BEYRAGUED L MIACHON C L valuation en neuf tapes fiches pratiques pour l valuation des actions et programmes Sant et Social Espace R gional de Sant Publique janvier 2004 14 Crit res d valuation de la qualit des interventions en Promotion de la Sant Pr vention 1 Nature des interventions en Promotion de la Sant description les finalit s am liorer l environnement am liorer la capacit des individus agir sur leur sant diminuer l incidence des maladies diminuer la pr valence des handicaps et des s quelles les m thodes informer duquer r glementer d pister rechercher des l ments d analyse de situation pid miologiques ou autres les groupes cibles usagers habitants professionnels ge sexe origine statut socio conomique les th mes 2 L inscription des actions dans le temps et dans une strat gie globale inscription dans le temps inscrire l intervention dans la dur e rechercher et utiliser les informations sur la dur e et l intensit selon lesquelles l action doit tre men e pour atteindre ses objectifs coh rence avec les interventions agissant d autres chelles territoriales et ou sur d autres leviers d action recenser ces interventions et en avoir tenu compte dans l laboration de leurs objectifs 3 La dimension part
71. ires une bonne int gration leurs projets en particulier aux programmes dans l Education Nationale ou toute autre i i 8 motivation les infirmi res et les assistantes sociales scolaires ont besoin de la collaboration avec la Planification Familiale notamment pour les prescriptions m dicales confidentielles et gratuites 23 Les l ments relatifs au personnel des Centres Municipaux de Sant sont plus fr quemment pr sent s comme des l ments positifs 11 r ponses que comme des freins 6 r ponses Le fait qu il existe du personnel dont une partie des missions concerne la Pr vention et la Promotion de la sant 3 r ponses que ce personnel soit disponible 4 r ponses motiv 3 r ponses comp tent et exp riment 3 r ponses favorise l analyse de situation la mise en uvre et l valuation des projets Toutefois m me si ce personnel est le plus souvent pr sent comme tel il est ressenti comme insuffisant en terme de nombre 1 r ponse de formation 4 r ponses et parfois m me de motivation notamment au regard de l valuation 1 r ponse Le th me des institutions est particuli rement d velopp par les responsables hi rarchiques Elles sont tout autant pr sent es comme des l ments facilitant 9 r ponses que comme des freins 11 r ponses pour l ensemble des crit res de qualit des projets Les r ponses montrent que leur impulsion favorise l analyse de situati
72. isation des pratiques formation des professionnels sur les niveaux de participation des habitants et partage des strat gies de mobilisation des habitants d velopper un projet pilote de sant communautaire en s appuyant sur des structures repr sentatives comme le Conseil Local des Jeunes ou sur des services en contact avec le public comme le Service des Retrait s ou sur la cr ation d un comit d usagers des Centres Municipaux de Sant 32 CONCLUSION Les objectifs de cette tude taient dans un premier temps de d terminer un r f rentiel de qualit des actions de Promotion de la Sant Pr vention puis d valuer la qualit de celles mises en uvre par les Centres de Sant du Blanc Mesnil En premier lieu le r f rentiel a t tabli Ce r f rentiel permet d valuer la qualit des interventions en Pr vention Promotion de la sant selon 6 axes l inscription des actions dans le temps et dans une strat gie globale la dimension participative l analyse de la situation la d termination des priorit s et des objectifs la pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre l valuation C est sur la base de ce r f rentiel qu ont t d termin s les principaux atouts et limites de la qualit des interventions de Promotion de la Sant Pr vention men es par les Centres de Sant du Blanc Mesnil D une part des points forts ont t mis en relief l inscription des in
73. it s de l valuation ex formative sommative objectifs de l valuation m thodes et crit res crit res indicateurs sources d informations personnes impliqu es dans la r alisation de l valuation valuation r alis e prise de d cision partage des r sultats En plus de ces l ments de processus PREFFI permet de juger de la qualit de l valuation en s int ressant aux informations qu elle apporte Ce proc d est galement retenu dans le cadre de cette tude Un groupe de six questions est propos Si trois r ponses sont positives le processus d valuation est consid r comme moyennement fructueux Dans le cas o cinq r ponses sont positives le processus d valuation est consid r comme fortement fructueux Les informations recherch es sont relatives degr de concordance entre les activit s et la planification opinion des usagers sur les activit s couverture de l intervention personnes touch es repr sentativit qui a t exclu et pourquoi degr de concordance entre les effets r els et les effets pr vus effets secondaires conditions du succ s de l chec 4 DECCACHE A Pour mieux choisir son valuation D finition et r les des valuations en Education pour la Sant M thodes au service de l Education pour la Sant APES Li ge 1989 p 2 45 HENCELIN L Conduire un projet de Pr vention De la th orie la pratique Lettre du centre d informat
74. l 1hf outil facile utiliser cadre m thodologique hf bien d fini NON R PONSES 5A 7P personnes barrage 1A P Certaines personnalit s font obstruction ou ne facilitent pas la mise en place des actions Manque de coordination 1P D callage de discours entre les institutions th me 2 hf Manque de connaissances des m decins sur l importance de la sant bucco dentaire imposer freins un th me manque de motivation hf promoteurs de projet ou partenaires Manque de culture hf partag e sur la Pr vention XX ANNEXE 4 R ponses la question Selon vous quels sont en g n ral les crit res de qualit des actions de Promotion de la Sant Pr vention A porteur de projet P Partenaire HF responsable hi rarchique 4P R gularit des interventions possibilit de prise en charge et de r ponse aux temps dur e questions pos es pendant l intervention inscription dans un projet non ponctuel le temps une bonne planification un timing quilibr dans l ann e inscription 1 hf L action doit s inscrire dans un projet global d am lioration de la sant sur le dans une territoire strat gie globale dimension 1P 1hf Adolescents partants interactif participative 2hf Connaissance aussi pouss e que possible de la population L action doit analyse f A i situation r pondre aux besoins de la population aux probl mes d tect s par les
75. la question en fonction de la nature de l action que vous menez pensez vous que les habitants ont suffisamment particip sa planification son ex cution et ou son valuation Cette faiblesse est un peu relativis e par la volont d adapter les messages les supports de l action la culture du groupe cible En effet tous les porteurs de projet connaissent les principales caract ristiques des personnes touch es par le probl me qu ils ont identifi De plus 3 des porteurs de projet ont adapt les messages les supports le choix ou la formation des personnes interm diaires la culture du groupe cible savoirs coutumes r le comp tences Ils lont fait en partant du v cu l int rieur des familles en privil giant les d bats en dialogue avec le groupe en travaillant avec l quipe ducative en apportant sans d lais des r ponses aux demandes formul es Toutefois seulement deux porteurs de projet connaissent les motivations au changement de ces personnes et un seul les canaux de mobilisation de ces personnes En d finitive c est davantage par un d veloppement du dialogue que par des connaissances th oriques que les porteurs de projet adaptent au fur et mesure leurs interventions Toutefois le nombre de projets participatifs et le niveau de pouvoir des habitants dans leur conception leur mise en uvre et leur valuation reste inexistant ou faible Ce manque est d autant plus t
76. lations La D claration de Sundswall sur les milieux favorables de 1991 stipule l importance de garantir une participation d mocratique la prise de d cisions et la d centralisation des responsabilit s et des ressources SFSP D veloppement Social et Promotion de la Sant la d marche communautaire 2000 3 LECORPS P Au del de la morale une thique du sujet L ducation pour la Sant est elle thique La Sant de l Homme CFES janvier f vrier 2000 p 30 31 comportements C est pourquoi 1l est essentiel de construire les interventions en s appuyant sur les savoirs des experts et de la population Ces pr occupations sont partag es au niveau local et notamment dans les Centres de Sant Le num ro 36 de la revue Pr venir qui leur sont consacr s pr sente plusieurs actions s appuyant sur la participation des usagers ou visant la d velopper En 1981 le Dr R gnier alors m decin directeur des Centres de Sant du Blanc Mesnil fonde l Institut Renaudot association qui se consacre la promotion de la participation et dont les buts sont notamment de valoriser les pratiques de sant communautaire existantes et de susciter le d veloppement des pratiques de sant communautaire en France Si le principe est affirm tous les chelons du syst me de sant il existe en r alit des degr s de participation diff rents Plusieurs chelles de participation tentent de rendre
77. lement sous valu De plus les actions pr sent es aux financeurs le sont fr quemment au nom du gestionnaire une commune une association ou une mutuelle Par cons quent les financeurs ne sont pas en mesure d identifier quelles sont parmi les actions qui leur sont pr sent es celles mises en uvre par les Centres de Sant Enfin les Centres de Sant revendiquent de r aliser des actions de Promotions financ es exclusivement sur leurs fonds propres 4 Voir titre d exemple SISARET A FOURNIER C Evaluation mode d emploi INPES dossier documentaire r alis suite aux journ es de la Pr vention La Pr vention en action partage d exp riences avril 2005 Voir En d finitive l intervention des Centres de Sant en Promotion de la Sant Pr vention est mal connue tant au niveau national que local En effet une recherche un niveau territorial tendu r gional d partemental est difficile mettre en uvre et n cessite d importants moyens du fait de l absence de centralisation de l information recensement des Centres et de leurs interventions et de la difficult s lectionner les actions effectivement mises en uvre par les Centres de Sant Une recherche l chelle locale permet d valuer l ensemble des actions mises en uvre par le les Centres de Sant implant s sans se limiter aux interventions que ces centres ou les financeurs souhaitent mettre en avant au service de le
78. lisation r le et coordination participation des habitants niveaux de participation et mobilisation La r flexion pourrait tre enrichie sur le plan de la m thodologie et de la participation des habitants par la collaboration de l Atelier Sant Ville La contribution de professionnels du Service d Hygi ne ou du Directeur de l Information M dicale seraient galement enrichissante De plus la participation ponctuelle d autres acteurs tels que les financeurs serait galement int ressante Enfin des comptes 31 rendus r guliers de ces s ances de travail permettraient de capitaliser ce travail et de transmettre l information aux partenaires qui faute de temps ne pourraient pas participer au groupe Il reste noter que la p rennit de ce type de groupe d pend du soutien politique dont il b n ficie 3 D finir un projet politique global de Pr vention Promotion de la sant L appui institutionnel fait partie des l ments facilitant la mise en uvre de projets de qualit Mais au del de cet appui il appara t qu un certain nombre de d cisions doivent tre prise un niveau sup rieur celui des porteurs de projet En effet c est au niveau politique que les priorit s doivent tre d finies que les ressources et l valuation doivent tre pr vues afin d assurer une meilleure coh rence des projets au niveau local La d finition d un projet global permettrait d viter qu une partie de l
79. ltats est cependant en train d voluer manque de formation des hf EE professionnel manque de temps et de IBP ce processus quand il se passe peut tre lourd temps disponibilit pour les professeurs comme pour les intervenants 4 puisqu il se passe pour chacun sur du temps freins extra non pr vu soir ou midi __7 manque de partage de P partenariat eee i difficult r aliser 4 hf Difficult de suivre les enfants mobilit l valuation moyen changement d cole La v ritable valuation terme d une telle action serait la mesure de l atteinte carieuse des dens de 6 ans moyen terme Zain difficile dans le temps de voir l impact de cette sp cifique s action sur les comportements La question est bien ce que l on value Des probl mes d chelle et d indicateurs se posent quand il s agit d valuer l efficacit des actions manque de recul dans le temps li aux financements inad quation protocoles hf On a le sentiment par ailleurs que certains sp cifique d valuation protocoles d valuation sont format s pour conclure des checs ou des insuffisances Dur e l ments NON R PONSES 3A5P facilitant non interpr table 2A 1P partenariat travail en r seau 1 hf partenariat Soutien des partenaires 1A institutions Soutien des institutions 1A stabilit institutionnelle 1 hf Les Centres de Sant municipaux de Blanc Mesnil ont b n fici d une certaine stabilit de leurs quipes dans le
80. lus grande contribution la Pr vention qu elle soit individuelle par les conseils personnalis s et l ducation sanitaire ou collective manque de personnel th RH exp riment RH Changements d quipes 1P mobilisation des 1P financement Lessources financi res mat riel 2P disposition inad quate et manque de disponibilit financement des salles lenteur ou d lais pour obtenir le mat riel de communication affiches Evaluation l ments NON R PONSES 3A3P facilitant non interpr table 2A 3P thf RH motivation des 1A promoteurs de projet motivation des 2P panenanat partenaires RH exp rience des hf professionnels institutions accord des institutions 1P participation participation des 2P retour des l ves mais non exhaustif gr ce des b n ficiaires contacts avec eux sp cifique crit res 1hf pr cision des crit res d valuation XVI institutions demande par les financeurs thf Les bailleurs de fonds sont en g n ral demandeurs valuations en fin d exercice Cette culture prend de plus en plus place dans la gestion municipale NON R PONSES 3A3P non interpr table 2A 3P 1hf manque d implication 1A partenariat partenaires manque de motivation 1hf Les professionnels sont assez r tifs professionnels l valuation Le droit qui requerrait de la RH part des m decins une obligation de moyens et non une obligation de r su
81. n dans la dur e 78 Cet intitul est r serv aux partenaires impliqu s dans la d finition et ou la mise en uvre de l action L intitul r serv aux sup rieurs hi rarchiques est Lors de l ann e civile 2004 ou de l ann e scolaire 2004 2005 des professionnels des Centres de Sant ont mis en uvre des actions de Pr vention Promotion de la Sant Merci de r pondre aux questions suivantes leur sujet L intitul r serv aux partenaires financiers est Lors de l ann e civile 2004 ou de l ann e scolaire 2004 2005 vous avez financ les actions de Pr vention Promotion de la Sant pr sent es par les Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil et intitul es Merci de r pondre aux questions suivantes leur sujet XI Compl mentarit avec les autres actions du territoire Participation des habitants Participation des partenaires 2 De mani re g n rale quels sont selon vous les crit res de qualit des actions activit de Promotion de la Sant Pr vention 3 En s attachant nouveau la les action s cit e s en introduction quels sont les crit res de qualit selon vous remplis par cette ces action s Pr ciser en quoi les crit res retenus sont effectivement remplis par l action l activit Pr cisez votre fonction votre institution XII ANNEXE 3 Tableau des r ponses aux questio
82. ne strat gie globale B la dimension participative C et la d marche m thodologique D Ces deux derniers points sont particuli rement importants dans le cadre de la controverse entre les Centres de Sant et leurs financeurs L laboration de ce r f rentiel est bas e sur un examen de sources documentaires qui semblent tre largement reconnues du fait de leur reproduction ou r f rence par des sources multiples dossiers documentaires ouvrages articles L valuation devant tre envisag e en fonction des valeurs des acteurs impliqu s dans les interventions les points de vue des Centres de Sant et de leurs financeurs ont galement t pris en compte Malgr ces pr cautions la construction d un r f rentiel d analyse d interventions en Promotion de la Sant Pr vention reste un exercice d licat En effet ce champ d investigation est r cent en construction et bas sur des approches multiples C est pourquoi un outil n erlandais de management des interventions en Promotion de la Sant PREFFI 2 0 test depuis 1994 et pr sent lors du colloque Efficacit de la Promotion de la Sant organis par l INPES en 2004 a t utilis afin d affiner les crit res retenus La synth se des crit res d velopp s ci dessous figure en fin de chapitre 18 Voir titre d exemple Conseil Economique et Social 2003 DEMARTEAU M 2002 HENCELIN L 2004 p 1 4 HILLS M CARROLL S O NEIL M
83. ne va pas tre valu e poursuivez au titre suivant contexte de l action 51 Quelles sont les personnes qui ont particip la d finition de l valuation 52 Quelles sont les personnes qui ont t interrog es au cours de la r alisation de l valuation 53 54 55 56 57 58 59 60 1 professionnels des Centres de Sant impliqu s dans e l action des partenaires impliqu s dans l action des financeurs des responsables administratifs des Centres de Sant des membres du groupe cibles des experts de l valuation les partenaires impliqu s dans l action les financeurs les responsables administratifs des Centres de Sant des membres du groupe cibles des experts de l valuation Les finalit s de l valuation sont elles pr cis es explicitement les professionnels des Centres de Sant impliqu s dans l action oui oui Les objectifs de l valuation sont ils pr cis s explicitement non non Les m thodes et crit res retenus pour l valuation sont ils pr cis s explicitement O oui L valuation a t elle t r alis e 1 oui non Des d cisions ont elles t prises suite l valuation arr t modification de la m thode O oui Les
84. ns la cat gorie efficacit qui suppose notamment l existence d objectifs et d une mise en uvre inscrite dans la dur e avec des ressources adapt es En second lieu les non r ponses la question sur les l ments facilitant et les freins la mise en uvre des diff rents axes de qualit des interventions ont t r pertori es Non R ponses mise en oeuvre mise en oeuvre Evaluation Parten Resp Hi Port Projet Parten dur e dur e compl mentarit 2 compl mentarit ati Participation S JD BR a U US uw w w u Un oo A Un TOTAL non r ponses Total de r ponses possibles L analyse des non r ponses donne une indication sur la connaissance de la mise en uvre des diff rents axes de qualit par les acteurs Les non r ponses peuvent en particulier indiquer les th matiques auxquelles les porteurs ont le moins donn d importance ou qu ils se sentent le moins en capacit de ma triser par manque de moyens ou de m thode ou encore dont la responsabilit reviendrait d autres b Analyse des donn es L analyse des r ponses apport es par cat gories d enqu t s a permis de mettre en relief le fait que la conception de la qualit par les porteurs de projet est fortement tourn e vers le r sultat tandis que celle des responsables hi rarchiques est orient e vers la dime
85. ns portant sur les l ments facilitant et freinant la mise en uvre d actions de Promotion de la Sant de qualit A porteur de projet P Partenaire HF responsable hi rarchique th me r ponses Nombre de r ponses in extenso extraits de r ponses r ponses retrait des l ments nominatifs Analyse de situation Non r ponses 3A5P Non interpr table 1 A 4P partenariat 1P 1hf partenariat sp cifique demande initiale 2A1hf We plusieurs partenaires 2A analyse en amont thf Pour la plupart des actions engag es celles ci rel vent de programmes d termin s par des institutions ext rieures la commune telles que le d partement l Etat la Caisse Nationale d Assurance Maladie etc Praps Fndpeis Accord National activit s pr ventives sp cifique Fonventionn es Programmes de Pr vention bucco dentaire Ces institutions d finissent leurs propres priorit s en fonction de crit res politiques comptables scientifiques etc La ville les Centres de Sant municipaux r pondent l ments aux appels d offres Les projets retenus doivent facilitant ensuite tre mis en uvre Sur le principe les choses sont simples le cadre est trac ressources ressources humaines 1hf Les actions qui manent de la commune humaines elle m me peuvent b n ficier de la pr sence RH d experts qui interviennent sur des tudes oul en appui m thodologique DIM charg s de miss
86. nsion m thodologique et que celles des partenaires incluent ces deux tendances La majorit des r ponses 4 7 sur la qualit des porteurs de projet tait centr e sur l efficacit de leurs interventions c est dire sur l ad quation des r sultats avec les objectifs vis s deux autres se rapportaient la dimension partenariale et une autre la pertinence de l action par rapport la demande du public cible Contrairement aux autres types de partenaires les dimensions m thodologiques sont peu pr sentes Seule l importance de l inscription des effets dans la dur e 7 Permettre chacun de pouvoir apporter des modifications dans ses pratiques alimentaires sur du long terme que les effets durent dans le temps aboutir amener en consultation les jeunes concern s par ces items pour une bonne Pr vention donc tablir un dialogue et une relation de confiance diminuer la violence le racisme 27 figure dans deux r ponses Cette tendance est confirm e par le nombre de non r ponses la question sur les l ments facilitant et les freins la mise en uvre des diff rents axes de qualit des interventions En effet chacune des questions n a pas t renseign e par la moiti ou plus des porteurs de projet l exception de la question relative aux freins la mise en uvre des interventions laquelle 4 porteurs de projet ont r pondu Les axes ayant obtenu le moins de r
87. ntion m me s ils ne sont pas chiffr s Ils sont peu pr cis dans le cas de 3 interventions et non indiqu s dans le cadre de deux interventions Le temps de r alisation des objectifs et la magnitude des effets attendus ne sont connus dans le cadre d aucune intervention e La pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre Tous les porteurs de projets apportent un soin tout particulier au choix des strat gies mises en uvre En effet 5 d entre eux ont sp cifi les m thodes de mise en uvre de l action dans les documents pr sentant l action 6 d entre eux connaissent les m thodes adapt es pour atteindre les objectifs vis s gr ce la recherche des consid rations th oriques ou des rapports d valuation d interventions du m me type 6 d entre eux ont choisi des m thodes correspondant aux indications pr conis es pour la mise en uvre enfin 4 d entre eux ont une exp rience d une application r ussie ou non de ce type d intervention Ces strat gies peuvent tre mises en uvre gr ce une bonne mobilisation des ressources humaines et mat rielles En effet tous les porteurs de projet ont recens les ressources humaines disponibles et n cessaires l action Quatre d entre eux les ont obtenues 5 d entre eux ont recens et obtenu les ressources mat rielles disponibles et n cessaires Enfin tous les porteurs de projet ont recens les ressources financi res disponibles et n ce
88. on d velopp es par ces Centres de Sant dans le cadre de l action des Centres de Sant Rapport IGAS 1990 Rapport IGAS 1998 Revue Pr venir n 36 et n 37 1999 Voir Note 2 Dans les villes il est souvent difficile de faire la part entre les actions mises en uvre par les Centres de Sant ou d autres services tels que les Services Municipaux de Sant les Services d Hygi ne et de Sant etc notamment du fait de l intervention de professionnels identiques dans les Centres et ces diff rents services La question se pose galement d inclure les actions de certains professionnels menant dans les Centres de Sant des missions donn es par le Conseil G n ral planification familiale Pr vention des Addictions Le m me type de difficult se pose dans les Centres g r s par des associations ou des mutuelles qui d veloppent leur activit une chelle d passant celle des Centres 7 A titre d exemple 40 9 des blanc mesnilois sont locataires en parc HLM le pourcentage de ch meurs est pass de 11 6 en 1990 17 1 en 1999 8 FEURTET D Maire du Blanc Mesnil Discours inaugural des s ances de travail sur l Avenir des Centres de Sant Municipaux de Blanc Mesnil 27 avril 2004 MANUELLAN P E Evaluation quantitative de l activit des CMS au Blanc Mesnil 1999 2003 novembre 2004 Pour r pondre cette question cette tude visera deux objectifs d terminer un r f rentiel de qualit d
89. on 1 r ponse la d finition des priorit s 2 r ponses et l valuation 1 r ponse tout comme leur soutien facilite la mise en uvre 3 r ponses et la dur e des projets 1 r ponse Toutefois les impulsions institutionnelles ne peut tre b n fiques que si les d cisions et les m thodes sont partag es ainsi que si les proc dures ne sont pas trop lourdes 7 r ponses La stabilit institutionnelle est galement un facteur favorisant 1 r ponse L absence de d cision ou d appui institutionnel ou politique est pr sent comme un frein la d finition de priorit s 3 r ponses et la participation des usagers 1 r ponse Les moyens financiers sont pr sent s comme des l ments facilitant 5 fois ou des freins 8 fois selon qu ils sont p rennes 3 r ponses ou non 4 r ponses Le financement direct de la mairie pour un certain nombre de projets explique sans doute que la question financi re n a pas t davantage voqu e En effet cette autonomie est pr sent e comme un avantage 1 r ponse Toutefois le temps de recherche de financements reste une contrainte 3 r ponses Sur un plan mat riel il appara t galement que les moyens mis dispositions salles outils ne sont pas toujours ad quats 1 r ponse Le frein principal est actuellement le manque de personnels particuli rement le personnel para m dical comme les infirmi res dont le m tier dans les centres de sant
90. on des Groupe de conduites l ob sit communication activit s Centres comportements parole risque dent de 6 ans de planification sexistes enseignants Objectifs Conna tre les Infl chir la Savoir prendre Connaissance Modification Faciliter la prise g n raux aliments et leur courbe de soin de la dent du corps de la des en charge des r le savoir les progression de de 6 ans d s son contraception comportements probl mes des besoins de l ob sit dans le arriv e en des IST etjet des adolescents en l organisme coll ge Marcel bouche enfants Pr vention des repr sentations difficult par adapter Cachin vis s comportements l information la l alimentation risque formation et par rapport la Inciter un grossesses non l coute des famille recours aux d sir es IST adultes reconna tre les soins pr ventifs Pr vention de la situations parents vis s violence risques gar ons filles Objectifs Adaptation Non r pondu Apprendre aux Intervention Information sur R duction des sp cifiques individuelle enfants dans les coll ges la loi conduites Mise en forme reconna tre lalet les lyc es risque de fa on faire dent de 6 ans ainsi qu au Identification du circuler les se brosser CMS processus de D pistage messages efficacement les pression de pr coce des dents l autre du adolescents en Faire lire aux groupe te du
91. onclusions de ce travail pourront alimenter la r flexion sur l action en Pr vention Promotion de la Sant des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil Les l ments que vous apporterez resteront anonymes Afin de partager et de discuter les r sultats de cette enqu te vous tes convi e la r union de restitution des r sultats qui sera organis e le 8 septembre 2005 14h Je vous remercie de renvoyer le questionnaire ci joint le vendredi 1 juillet au plus tard l adresse suivante Delphine Dubois Fabing 45 rue Jules Guesde 93 220 Gagny Pour tout besoin d appui pour le remplissage du questionnaire ou tout besoin d information compl mentaire n h sitez pas me contacter au 06 62 14 66 37 Delphine Dubois Fabing Il Les actions prises en compte sont celles que vous avez port e dans l exercice de vos fonctions dans les CMS du Blanc Mesnil et qui ont t mises en uvre lors de l ann e civile 2004 ou de l ann e scolaire 2004 2005 Un questionnaire doit tre rempli pour chaque action Des modalit s de r ponse sont pr cis es par les signes suivants r pondez la question si les l ments de r ponse sont pr cis s dans tout document existant pr sentant fondant l intervention xk 2 Cochez la ou les cases correspondant la description de l action plusieurs r ponses sont possibles Cette consigne est r p t e toutes les ent tes des questionnaires
92. onnant qu au niveau national les Centres de Sant revendiquent la mise en uvre de projets participatifs Personnes interm diaires personnes permettant de mobiliser le groupe cible d agir sur leurs savoirs savoir faire ou savoirs tre ou d agir sur leur environnement 57 R ponse une question ouverte 20 c L analyse de la situation L analyse de la situation semble avoir t men e de mani re partielle par les porteurs de projets 4 porteurs de projet n ont pas r pondu la question sur la nature et ou celle sur la gravit du probl me vis la perception qu ont les partenaires du probl me est connue deux fois sur trois celle des habitants est connue 1 fois sur deux Toutefois tous les porteurs de projets connaissent des facteurs comportementaux du probl me cibl et 5 d entre eux connaissent en des facteurs environnementaux La dimension partielle de l analyse de la situation pose en partie la question des moyens dont disposent les professionnels des Centres de Sant pour mener des analyses de situation plus approfondies d La d termination des priorit s et des objectifs Les objectifs g n raux des interventions sont pr sent s Toutefois les objectifs sp cifiques sont le plus souvent peu pr cis En effet le groupe cible et le territoire sont identifi s dans le cadre de toutes les interventions Toutefois les l ments changer sont pr cis dans le cadre d une seule interve
93. probl me Peu ressenti Tr s ressenti V cu comme prioritaire Ne sait pas Ne sait pas En se basant sur la litt rature un mod le th orique des d terminants du probl me est 1l connu oui non Des facteurs comportementaux sont ils connus comme contribuant au probl me oui non Ne sait pas Ne sait pas Des facteurs environnementaux sont ils connus comme contribuant au probl me oui non Ne sait pas La mise ne place d une action ayant une valeur correctrice de ces d terminants est Tr s difficile Difficile Personnes touch es par le probl me Quelles sont les caract ristiques connues des personnes touch es par le probl me Age Les motivations au changement de ces personnes sont elles connues Sexe Origine Faisable Tr s facile oui Statut socio conomique non Ne sait pas Ne sait pas Ne sait pas Les canaux de mobilisation de ces personnes supports personnes relais sont elles connues oui non Ne sait pas 2T 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 ELEMENTS CARACTERISANT LA MIS
94. puyer sur des structures locales impliqu es dans la mise en uvre de ce type d actions Parmi ces structures locales les Centres de Sant d veloppent au niveau municipal une action sp cifique caract ris e par la pluridisciplinarit et la proximit avec les publics les plus fragilis s Forts de ce positionnement la plupart des Centres de Sant d veloppent une activit de Promotion de la Sant Pr vention dont ils revendiquent les qualit s m thodologiques et participatives Ces activit s sont reconnues par l accord national destin organiser les rapports entre les Centres de Sant et les Caisses d Assurance Maladie Toutefois l action en Promotion de la Sant Pr vention des Centres de Sant est controvers e tous les centres ne s investissent P i 242 1 pas dans ce domaine et la qualit des interventions serait h t rog ne Les ressources documentaires ne permettent pas de trancher ce d bat En effet les Centres de Sant rapportent d une part des exp riences tr s int ressantes mais qui ne peuvent tre g n ralis es D autre part des rapports labor s par des financeurs ou suite des commandes gouvernementales sans m me tenir compte du positionnement de ces derniers ne rendent pas davantage compte de l action en Promotion de la Sant Pr vention des centres En effet ils ne pr sentent pas de recensement fiable des Centres de Sant ni de leurs actions en Promotion de la San
95. ques ou autres les groupes cibles usagers habitants professionnels ge sexe origine statut socio conomique les th mes B L inscription des actions dans le temps et dans une strat gie globale Les comportements en sant et leurs effets sont influenc s par de nombreux facteurs li s l individu et son environnement Leur volution ne peut pas tre durable si l on tente de modifier ponctuellement un seul de leurs d terminants C est pourquoi l efficacit des interventions en Promotion de la Sant d pend de leur inscription dans le temps et de leur dimension globale Lorsque l on admet qu une intervention doit s inscrire dans le temps pour tre efficace la question se pose de la caract risation de cette dur e combien de fois l action doit elle tre l Dictionnaire fran ais de Sant Publique Paris Editions de Sant 1991 p 260 7 J A BURY 1988 3 IGAS 1990 SIMONICI A THERY J L Centres de Sant Polyvalents mission et contenu de la pratique Pr venir n 36 1999 Les rubriques les plus fr quemment voqu es sont la Pr vention individuelle notamment en consultation en cho au concept de m decine lente la Pr vention collective et la recherche prise en compte de l environnement local D autres cat gories non consensuelles apparaissent comme la recherche et l valuation des risques professionnels ou le relais des campagnes nationales 8 r p t e Selon q
96. qui ne se rapportaient le plus souvent qu imparfaitement aux diff rentes cat gories En effet la plupart des r ponses apport es par les acteurs se rapportent au r f rentiel de qualit d fini dans la seconde partie mais de mani re partielle A nsi des r ponses telles que r gularit des interventions ont t inscrites dans la cat gorie temps dur e connaissance aussi pouss e que possible de la population dans la cat gorie analyse de situation pertinence des outils 68 Difficult dans notre soci t actuelle de toucher les parents qui travaillent Hormis dans le cadre des ateliers sant ville il n existe pas de lieu sp cifique pour un d bat r gulier sur les politiques de sant Celui ci est limit aux commissions municipales ad hoc L appel la constitution d un collectif d usagers des centres de sant n a jamais abouti 26 adapt s discut s choisis au pr alable avec l quipe d intervenants dans la cat gorie pr vision des ressources et strat gies D autres r ponses cumulaient diff rents niveaux du r f rentiel de qualit tels que la r ponse action adapt e au public cible qui suppose une d finition des priorit s des objectifs et une mise en uvre en fonction de l analyse de la situation ou la r ponse Permettre chacun de pouvoir apporter des modifications dans ses pratiques alimentaires sur du long terme class e da
97. r sultats de l valuation ont ils t partag s O0 oui O non Si oui avec qui et comment Les informations recherch es dans le cadre de l valuation sont elles relatives degr de concordance entre les activit s et la planification opinion des usagers sur les activit s degr de concordance entre les effets r els et les effets pr vus effets secondaires conditions du succ s de l chec de l action VII couverture de l action personnes touch es repr sentativit qui a t exclu et pourquoi non non CONTEXTE DE L ACTION Pr cisez quels sont les l ments facilitant et les freins la mise en uvre des actions de Pr vention Promotion de la Sant en fonction des tapes suivantes Ces l ments facilitant et ces freins peuvent par exemple tre relatifs au positionnement au niveau de participation la formation aux motivations aux priorit s des acteurs impliqu es dans l action de leurs partenaires et des autres professionnels de leur institution aux m canismes de communication entre ces personnes la mobilisation des ressources humaines financi res mat rielles etc El ments facilitant Freins Analyse de la situation D termination des priorit s et des objectifs Mise en oeuvre Evaluation Inscription de l action dans la dur e Compl mentarit avec les
98. r vention et Promotion de la Sant En effet la plupart des documents existants sur la qualit des interventions a pour but d indiquer aux promoteurs de projet l importance d une d marche m thodologique et participative sans pr ciser les jalons de cette d marche Un seul outil offrant ces qualit s mais non traduit en fran ais PREFFI 2 0 semble exister et tre test Toutefois il n est qu imparfaitement compatible avec une valuation externe Cette tude a contribu tester le r f rentiel labor Ce test pose la question de la qualit de certains crit res En effet l un des crit res d valuation de l inscription des actions dans le temps est la recherche et l utilisation des informations sur la dur e et l intensit selon lesquelles l action doit tre men e pour atteindre ses objectifs Or la question se pose de la disponibilit et de l accessibilit de telles informations En d autre terme les professionnels des Centres de Sant ont ils les moyens de trouver ce type d information Si l on r pond par la n gative ce crit re devrait tre cart du r f rentiel Par ailleurs deux axes de qualit absents du r f rentiel mergent de l analyse des questions ouvertes le partenariat et la formation des intervenants Il pourrait tre int ressant d introduire ces dimensions dans le r f rentiel condition de d terminer selon quels crit res ils pourraient tre
99. r le biais de r unions pluridisciplinaires avec des partenaires socio ducatifs et dans deux autres cas par la consultation des quipes enseignantes et ducatives dans les tablissements de la ville Selon 4 porteurs de projet l action qu ils m nent est compl mentaire de celles mises en uvre sur le territoire sur le plan de la population vis e 2 r ponses de la m thode utilis e 2 r ponses de l offre de soin 1 r ponse l ensemble des finalit s propos es cf Annexe 2 question 8 sont vis es par plusieurs interventions am liorer les capacit s des individus agir sur leur sant vis par 6 interventions am liorer les facteurs environnementaux agissant sur la sant 5 interventions diminuer l incidence des maladies 3 interventions et diminuer la pr valence des handicaps et des s quelles 3 interventions 5 sur 6 projets visent plusieurs finalit s 2 projets en visent 4 2 projets en visent 3 et 1 projet en vise 2 5 l ensemble des m thodes propos es cf Annexe 2 question 9 sont utilis es l ensemble des actions consistait informer et duquer 5 d entre elles consistaient rechercher des l ments d analyse 2 d pister et 1 r glementer Parmi les 6 actions 5 visaient un niveau individuel et 5 un niveau collectif Je public vis est celui des mineurs tout au long de leur scolarit des jeunes majeurs et des professionnels enseignants LEP 5 4 actions visent des t
100. r les bonnes habitudes et ce le plus t t possible 2A 2P 1hf implication des professionnels implication et motivation des personnes relais dimension la mobilisation des partenaires int gr dans une r flexion partenariale partenariale CESC l implication des professeurs des actions multipartenariales avec un discours harmonis des diff rents adultes entourant l enfant pertinence HA 1P la pertinence de l action par rapport au public cible la r ponse une attente du action public cible r ponse une demande action adapt e au public cible adapt e au public cible 2P 2hf intervention de personnes qualifi es personnel qualifi sachant bien animer les formation s ances avec les enfants qualification des intervenants capacit faire des passer des messages des comp tences av r es ou des formations chez les intervenants acteurs de l action appui 1P la motivation des structures qui accueillent ann e apr s ann e institutionnel XXI ANNEXE 5 BIBLIOGRAPHIE 1 PROMOTION DE LA SANTE PREVENTION EDUCATION A LA SANTE OUVRAGES BAUDIER F Education pour la Sant Guide pratique Comit D partemental d Education pour la Sant du Doubs 1987 REVUE L ducation pour la Sant est elle thique La Sant des l Homme CFES janvier f vrier 2000 AUTRES DOCUMENTS Base de concepts http wWww inpes sante fr consult en mars 2005 Education pour la sant et thique Avis du Conseil Sc
101. r les interventions des Centres de Sant du Blanc Mesnil Toutefois le r f rentiel labor ne pourra tre valid qu la condition d tre test une plus large chelle De plus les perspectives ouvertes ne pourront tre mises en pratique qu la condition d un travail collectif plus approfondi par les acteurs du Blanc Mesnil et la condition d une r elle volont politique Enfin les r sultats obtenus ne peuvent pas tre g n ralis s d autres Centres de Sant et une tude sur un chantillon plus important permettrait d am liorer la visibilit sur la qualit des interventions de Pr vention et de Promotion de la Sant men es en g n ral par les Centres de Sant 33 ANNEXES 1 Lettre de pr sentation de l tude aux porteurs de projet et questionnaire actions de Promotion de la Sant de Pr vention port es par les Centres de Sant Il 2 Lettre de pr sentation de l tude aux partenaires et questionnaire Activit de Pr vention Promotion de la Sant la contribution des partenaires X 3 Tableau des r ponses aux questions portant sur les l ments facilitant et freinant la mise en uvre d actions de Promotion de la Sant de qualit XII 4 R ponses la question Selon vous quels sont en g n ral les crit res de qualit des actions de Promotion de la
102. res une certaine confusion au sujet de certains termes comme par exemple ceux d objectifs g n raux et d objectifs op rationnels Par ailleurs certaines r ponses apport es par des porteurs de projet semblaient incompatibles entre elles A titre d exemple un porteur de projet n a pas coch comme finalit de cette intervention diminuer l incidence de maladies alors que son intervention y correspond manifestement Ces inconv nients sont certainement li s en partie la longueur et la dimension technique du r f rentiel d analyse et du questionnaire qui y tait li Leur r percussion a t limit e par l emploi de certaines questions ouvertes permettant de mieux comprendre le sens des r ponses Enfin l auto administration du questionnaire a pu tre une source de manque de pr cision En dernier lieu l absence du point de vue des habitants est une limite importante de cette tude 72 ERE 2 re A Exemple Des membres de l quipe porteuse du projet ont ils recens sur le territoire du Blanc Mesnil les actions visant lutter contre le probl me identifi oui O non Si oui pr cisez selon quelles sources d information 29 2 Un r f rentiel de qualit des interventions en Pr vention et Promotion de la Sant perfectionner L un des principaux apports de cette tude est vraisemblablement l laboration d un r f rentiel de qualit de interventions en P
103. s si ces questions ont la vertu d inciter les promoteurs de projets tenir compte de la participation elle semble difficile utiliser pour comparer des interventions Les trois chelles d crites ci dessus sont compl mentaires et elles seront retenues pour d crire la dimension participative des projets analys s Toutefois si les deux premi res chelles facilitent l analyse du niveau de participation des usagers elles ne permettent pas de d finir quel serait le niveau souhaitable de participation En effet les consid rations thiques inciteraient choisir le niveau maximal participation des usagers toutes les tapes du projet par la co d cision et la co mise en uvre Toutefois les usagers ne sont pas toujours disponibles pour un tel investissement Ceux qui participent aux projets ne peuvent pas tre repr sentatifs de l ensemble des usagers et les d cisions prises avec des professionnels si elles sont impos es d autres manquent galement d thique C est pourquoi la consultation des habitants sera seule retenue comme crit re de qualit dans le cadre de cette tude D La d marche m thodologique Ce point est essentiel pour l valuation des actions de Promotion de la Sant Pr vention et au c ur de la controverse entre les financeurs et les Centres de Sant En effet plusieurs Centres de Sant ont mis en uvre des interventions selon une d marche m thodologique rigoureuse Toute
104. scentresdesante com consult en octobre 2004 6 Recueil d informations BLANCHET Interviewer Les techniques d enqu te en sciences sociales p 81 126 BLANCHET A GOTMAN A L enqu te et ses m thodes l entretien collection 128 Nathan 1992 SINGLY de F L enqu te et ses m thodes le questionnaire collection 128 Nathan 1992 XXIV R sum L une des conditions d efficacit des strat gies de Pr vention Promotion de la Sant est d en conjuguer les niveaux d intervention l chelle nationale r gionale et locale Les Centres de Sant font partie des acteurs locaux de Pr vention Toutefois la qualit des interventions qu ils m nent en Pr vention Promotion de la Sant n est pas valu e L absence de r f rentiel d valuation explique en partie cette lacune Une recherche men e partir d un site dynamique en Pr vention Promotion de la Sant permet d valuer une vari t d interventions de ce type Dot e de deux Centres de Sant et impliqu e dans le r seau des Villes Sant de l OMS depuis 1991 la Ville du Blanc Mesnil et ses Centres Municipaux de Sant font partie des acteurs locaux dynamiques en Pr vention et en Promotion de la Sant Mais qu en est il de la qualit des interventions en Pr vention et en Promotion de la Sant d velopp es par ces Centres de Sant Pour r pondre cette question cette tude a vis deux objectifs d terminer un r f r
105. seconde relance t l phonique a permis d obtenir des l ments d explication de cette faible proportion de r ponses En effet plusieurs personnes contact es se sont dites r ticentes r pondre au questionnaire pour les raisons suivantes 48 les responsables hi rarchiques identifi s sont trois responsables hi rarchiques municipaux m decin directeur directrice administrative infirmi re chef deux responsables fonctionnels d partementaux responsable du label Arcade responsable d partementale de la planification familiale les partenaires identifi s sont 8 professionnels municipaux 1 m decin 6 infirmi res et assistantes sociales et 3 enseignants de l enseignement secondaire 1 responsable de l enseignement primaire 35 instituteurs et 3 tudiants Parmi ces personnes 3 professionnels municipaux avaient quitt la ville 50 20 personnes sur les 68 personnes identifi es et en poste ont renvoy un questionnaire 19 des questionnaires taient exploitables La relance t l phonique semble avoir t une strat gie de mobilisation essentielle En effet parmi les 24 personnes relanc es par t l phone 18 ont r pondu A contrario seuls 2 instituteurs ont r pondu parmi les 44 partenaires sollicit s sans relance t l phonique 16 elles ne se consid raient pas comme des partenaires du projet elles consid raient qu elles n avaient pas juger les actions des professionnels des CMS elles estimaient
106. sommative objectifs de l valuation m thodes et crit res indicateurs sources d informations personnes r alisant l valuation valuation r alis e prise de d cision partage des r sultats 7 b Avoir produit dans le cadre de l valuation des informations sur au moins trois des th mes ci dessous degr de concordance entre les activit s et la planification opinion des usagers sur les activit s couverture de l intervention personnes touch es repr sentativit qui a t exclu et pourquoi degr de concordance entre les effets r els et les effets pr vus effets secondaires conditions du succ s de l chec II ANALYSE DE LA QUALITE DES INTERVENTIONS EN PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE MISES EN UVRE PAR LES CENTRES MUNICIPAUX DE SANTE DU BLANC MESNIL Le r f rentiel d fini ci dessus permet de proc der l valuation de la qualit des actions de Pr vention et de Promotion de la Sant mises en uvre par les professionnels des Centres Municipaux de Sant du Blanc Mesnil La premi re partie de chapitre est consacr e la m thode de recueil des informations A Dans un second temps les actions valu es sont pr sent es et leur qualit analys e en tenant compte des l ments facilitant et des freins leur mise en uvre B A M thode de recueil et de traitement des donn es En premier lieu l accord a t obtenu du Directeur G n ral Adjoint la Sant du Bl
107. ssaires l action Trois les ont obtenues et trois ne disposent pas de cette information En d finitive une attention particuli re est port e la recherche et au choix des m thodes et des outils d intervention ainsi qu la mobilisation de ressources humaines mat rielles et dans une moindre mesure financi re 21 f L valuation Un effort particulier est port sur l valuation des interventions et en particulier sur la diversit des l ments recherch s Toutefois le processus reste trop peu partag et port essentiellement par les quipes promotrices de l intervention En effet 5 des porteurs de projet ont r alis une valuation En terme de processus 4 des porteurs de projet ont pr cis explicitement les finalit s les objectifs les m thodes les crit res de l valuation et pris des d cisions suite sa r alisation 5 porteurs de projet ont partag les r sultats de l valuation 4 d entre eux les ont partag s avec leurs institutions et leurs partenaires deux d entre eux avec le public vis Quatre porteurs de projet ont r pondu la question relative aux informations recherch es dans le cadre de l valuation Chacune des r ponses tait multiple 1 fois 6 r ponses 1 fois 3 r ponses 2 fois 2 r ponses Ainsi il appara t une certaine volont d valuer les projets selon plusieurs aspects Les informations recherch es taient relatives l opinion des usa
108. t En lien avec la d marche curative les Centres de Sant participent activement des actions de Pr vention et de Promotion de la Sant favorisant une prise en charge globale de la sant 13 O NEIL M D bat international sur l efficacit de la Promotion de la Sant d o vient il et pourquoi est il si important version abr g e par l auteur d un article intitul Pourquoi se pr occupe t on tant des donn es probantes en Promotion de la Sant SMP International Journal of Public Health 48 2003 p 317 326 pr sent dans Efficacit de la Promotion de la Sant Actes du colloque organis par l INPES 2004 DEMARTEAU M Les pratiques d action en ducation pour la Sant et leurs modes d valuation r flexions critiques et questions pour la recherche Comit d Education pour la Sant ENSP Universit Victor S galen Bordeaux 2 Evaluer l ducation pour la Sant concepts et m thodes Ed INPES 2002 p 35 51 BURY A Education pour la Sant Concepts Enjeux Planification De Boeck Universit 1988 disproportionn au regard de celui des interventions les causalit s de changement sont multiples et leurs effets sont difficiles diff rencier de ceux des actions de Promotion de la Sant Des difficult s thiques existent galement au nom de quoi peut on affirmer qu un comportement est plus favorable la sant qu un autre Toutefois un consensus existe sur la
109. t Enfin la richesse des d bats sur l valuation des actions de Promotion de la Sant Pr vention montrent l absence de consensus sur un r f rentiel de ce que serait la qualit de ce type d intervention En 1990 un rapport de PIGAS sur la situation des Centres de Sant stipule la n cessit d une rigueur m thodologique accrue et visible En 1998 un second rapport de I IGAS beaucoup plus s v re mais aux critiques parfois contradictoires stipule De quelque Centre qu elles manent les actions hors soins pr sentent par ailleurs de r elles faiblesses en terme de m thode La possibilit pour les Centres les plus entreprenants de pouvoir disposer de financements au del de fonds actuellement fl ch s pour des actions novatrices et pertinentes a une l gitimit Un financement syst matique des Centres au nom d actions hors soins tr s in galement r parties n en aurait aucune pas plus que celui d un r le social tr s in galement assum Voir en annexe le paragraphe de la bibliographie consacr e aux Centres de Sant les recensements indiquent un nombre variant de 1 454 Bloc Note Statistique CPAM juillet 1996 qui indique galement une certaine stabilit du nombre de Centres de Sant 2 224 Centres Rapport sur la situation des Centres de Sant fonctionnement et analyse financi re IGAS 1990 Le rapport stipule par ailleurs que le nombre de Centres recens est vraisemblab
110. t Preffi 2 0 Assessment Package NIGZ Netherlands Institute for Health Promotion and Disease Prevention 2003 3 PARTICIPATION DES USAGERS OUVRAGES D veloppement Social et Promotion de la Sant la D marche Communautaire SFSP Collection Sant et Soci t n 9 avril 2000 Pratiquer la Sant Communautaire de l intention l action Institut Renaudot Chroniques Sociales 2001 AUTRES DOCUMENTS BANTUELLE M MOREL J DARIO Y Des concepts et une thique ASBL Sant Communaut Participation 2000 BANTUELLE M MOREL J DARIO Y Les acteurs et leurs pratiques ASBL Sant Communaut Participation 2000 BANTUELLE M MOREL J DARIO Y Le diagnostic communautaire ASBL Sant Communaut Participation 2000 BANTUELLE M MOREL J DARIO Y La participation et les acteurs ASBL Sant Communaut Participation 2000 BANTUELLE M MOREL J DARIO Y L valuation un outil au service du processus ASBL Sant Communaut Participation 2001 XXIII BANTUELLE M MOREL J DARIO Y Des ressources pour agir ASBL Sant Communaut Participation 2001 4 CENTRES DE SANTE RAPPORTS BURSTIN A LALANDE F MERLHE G Rapport sur les Centres de Sant IGAS d cembre 1998 PIERRE LOUIS J enqu te sur les Centres de Sant en 1995 CNAMTS Bloc Notes Statistique n 79 juillet 1996 TROUVE C DRIVET R LEMOINE M Rapport sur la situation des Centres de S
111. t la connaissance du territoire par les partenaires facilitent l analyse de situation et la d finition des priorit s et des objectifs 4 r ponses L appui de partenaires motiv s et proches de la population est pr sent comme un l ment facilitant la mise en uvre l valuation et la dur e des projets 13 r ponses Certaines instances de coordination sont voqu es comme l ment facilitant Toutefois le partenariat peut appara tre comme difficile et contribuer freiner la mise en uvre d interventions de qualit en cas de manque g n ral de coordination 5 r ponses et en particulier le manque d un projet politique d ensemble 1 r ponse le manque de culture commune 2 r ponses et de cadre m thodologique bien d fini 1 r ponse sont pr sent s plus fr quemment comme des freins D autre part lors des rencontres avec la population la participation est ressentie soit comme un l ment facilitant lorsque la pluralit des discours sert un m me objectif 4 r ponses soit comme un frein lorsque les discours des partenaires sont mal coordonn s 1 r ponse ou que la pr sence de certains partenaires professionnels ou parents freine la parole des adolescents 3 r ponses En d finitive la dimension positive du partenariat est conditionn e une certaine habitude du travail en commun des rencontres r guli res entre partenaires une bonne coordination une bonne coh rence avec les fonctions des partena
112. temps trois institutions m decins directeurs en 70 ans d existence Cette stabilit va de pair avec la stabilit politique de la direction municipale et de la direction d partementale Hnanc ment p rennit financement IP 2 hf financement obtenu pour 3 ans ad quation de l action aux priorit s des financeurs mission du porteur de 1P journ e de la semaine pr vue et consacr e la RH projet Pr vention dans l emploi du temps d un professionnel du CMS XVII motivation des quipes P 8hf RH CMS int F volont des professionnels endurance inscription du projet dans 2P r p tition du sujet dans les programmes scolaires partenariat un programme connaissance de la dentition des carnivores des herbivores des omnivores analyse sur deux ans sp cifique projet pertinent thf NON R PONSES 4A 7P non interpr table 1A RH Changements d quipes fA 1 hf partenariat financements temps de 1P 4hf Demande de financement refaire chaque ann e recherche manque de sans assurance d accord parfois les priorit s freins p r nit changent A la diff rence de la politique fnancement pr ventive d partementale qui contre vents et mar es s inscrit dans la dur e celles de l Etat et de la S curit Sociale sont court terme Les financements ne sont pas garantis d une ann e sur l autre temps temps et mobilisation des
113. terventions dans le temps et dans une strat gie globale la recherche et la mobilisation de ressources et de m thodes de mise en uvre D autre part le manque de participation des usagers est apparu comme le principal point faible des interventions Toutefois au del de ces tendances une analyse plus fine montre des l ments am liorer dans le cadre de chacun des axes valu s En troisi me lieu les principaux l ments facilitant et freins la mise en uvre d interventions de qualit ont t recherch s se basant sur la perception des acteurs Cette analyse a notamment montr l importance pour la qualit des projets du partenariat de la motivation et de la comp tence des professionnels de Pappui et des prises de d cisions institutionnelles ainsi que de la mobilisation des ressources et de m thodes adapt es L ensemble de ces l ments a conduit d finir des objectifs pouvant contribuer renforcer la qualit des interventions en Pr vention Promotion de la Sant mises en uvre par les Centres de Sant du Blanc Mesnil am liorer la collecte et la gestion de l information mutualiser les pratiques d finir un projet politique global de Pr vention Promotion de la sant d velopper la participation des habitants En d finitive cette tude a atteint ses objectifs En effet un r f rentiel de qualit des interventions en Pr vention Promotion de la Sant a t d fini et a permis d value
114. tils th tre m thodes pour d velopper la vid o questionnaires rencontres incitation participation information public captif 1P l ments utilisation de canaux de fhf partenariat avec l cole et autres structures de lal facilitant mobilisation etite enfance existence d instances de 1 hf Des instances de participation des habitants participation aux politiques municipales existent au niveau local Des ateliers se sont tenus pendant un an avec une faible participation des habitants pour d battre de l avenir des Centres de Sant municipaux th me porteur th NON R PONSES 5A 4P thf non interpr table 1P r ticence par rapport au 1A r ticence des parents d l ve concernant la th me contraception d urgence pr sence de personnes 2A la pr sence de ces parents dans les d bats g n re censure une censure frein des jeunes par rapport aux adultes peur d tre jug s quand ils sont en groupe difficult acc der aux MP 1hf difficult dans notre soci t actuelle de toucher usagers les parents qui travaillent manque de lisibilit 1P calage du discours entre les institutions manque d instance de hf Hormis dans le cadre des ateliers sant participation sp cifique ville il n existe pas de lieu sp cifique pour un d bat r gulier sur les politiques de sant Celui ci est limit aux commissions municipales ad hoc L appel la constitution d un collectif d usagers des Centres de Sant freins n a
115. ts valu s sont r alis s dans le cadre de l Education Nationale et se d roulent sur l ann e scolaire Deux projets visent des classes primaires quatre projets visent les coll ges et quatre projets visent les lyc es notamment professionnels Le nombre d l ves vis s est important dans trois projets pour lesquels il est pr cis 1500 1150 et 150 l ves Un seul projet vise explicitement les parents un autre vise directement les professionnels Les r ponses apport es aux questions cocher sur la finalit vis e et les m thodes utilis es ont obtenu des r ponses qui ne permettent pas le classement des actions mises en uvre selon cet axe Elles montrent par contre l inscription des actions dans une strat gie globale C est pourquoi elles sont trait es dans le paragraphe ci dessous 2 R sultats de l analyse de la qualit des interventions La qualit des interventions est valu e ici au regard du r f rentiel pr sent au chapitre II et de ses diff rentes rubriques l inscription des interventions dans le temps et dans une strat gie globale a la dimension participative b l analyse de la situation c la d termination des priorit s et des objectifs d la pr vision des ressources et des strat gies de mise en uvre e et l valuation f 18 Pr sentation des actions valu es Titre Pr vention des Pr vention de Campagne de Pr sentation Pr venti
116. uel calendrier A quels ges de la vie etc Par ailleurs il n existe pas de mod le unique qui pourrait servir de r f rentiel l ensemble des types d interventions En tenant compte de ces difficult s PREFFI 2 0 value la prise en compte de cette dimension dans les projets au travers de l existence et de l utilisation d informations sur la dur e et l intensit selon lesquelles l action doit tre men e pour atteindre ses objectifs Une intervention en Promotion de la Sant Pr vention est galement jug e plus efficace si elle vise plusieurs niveaux en terme de territoire national r gional local en terme de cibles de changement savoirs savoir faire savoirs tre ou environnement Dans le cadre de la probl matique identifi e les interventions en Promotion de la Sant Pr vention prises en compte dans cette tude doivent tre en coh rence avec les interventions agissant d autres chelles territoriales et ou sur d autres leviers d action Pour ce faire les acteurs doivent avoir cherch les recenser et en avoir tenu compte dans l laboration de leurs objectifs C La dimension participative L P g z 24 Les trente derni res ann es de nombreuses D clarations et Chartes internationales ont r affirm la n cessit d tayer les politiques sociales ou de sant par la participation des personnes en tant que b n ficiaire usager ou citoyen La participation d
117. upra II B 2 ce point est trait sp cifiquement supra II B 3 4l ce point est trait sp cifiquement infra II B 5 Base de concepts http www inpes sante fr consult en mars 2005 CONTANDRIOPOULOS A P CHAMPAGNE F DENIS J L PINEAULT R Concepts et m thodes L valuation en mati re de Sant des concepts la pratique CRESGE Lille 1992 p 17 12 objectifs de l valuation Cela sous entend qu il existe une d cision prendre un objet valuer des objectifs d valuation des crit res des informations collecter Un processus d valuation de qualit suppose donc la d finition collective de ces l ments En effet comme le pr cise Hencelin L Les nouvelles d marches d valuation qui r ussissent sont celles o il y a partage partage d un vocabulaire commun autour des incontournables objectifs partage des d cisions quant la m thode partage des outils qui la finalisent partage des r sultats entre commanditaires et b n ficiaires Ainsi les crit res de qualit du processus d valuation des interventions en Promotion de la Sant retenus dans le cadre de cette tude sont personnes groupes ou organisation pertinentes promoteurs de l action membres du groupe cible et s il y a lieu financeurs responsables hi rarchiques partenaires experts impliqu s dans la d finition du cadre de l valuation cadre de l valuation d fini final
118. urs qui porte largement sur les qualit s m thodologiques ou participatives des actions mises en uvre 5 ROUSSILLE B L efficacit de l Education pour la Sant L ducation en Sant enjeux obstacles et moyens Colloque pluridisciplinaire Rennes Editions CFES janvier 1998 L ducation pour la Sant est elle thique La Sant de l Homme CFES janvier f vrier 2000 Diff rents travaux existent sur ce point Ainsi Green distingue deux types d effets l impact et les r sultats L impact regroupe les effets directs ou indirects interm diaires imm diats vis s ou non Les r sultats sont les effets finaux souvent moyen ou long terme tels les changements en terme de morbidit DECCACHE A Evaluer la qualit et l efficacit de la Promotion de la Sant approches et m thodes de Sant publique et de sciences humaines CFES Promotion et Education 1997 4 p 10 14 U Voir infra Chapitre II IH REFERENTIEL DE QUALITE DES ACTIONS DE PREVENTION PROMOTION DE LA SANTE Dans l objectif d valuer les interventions en Promotion de la Sant Pr vention mises en uvre par les Centres de Sant il convient de dresser une typologie de ces actions A avant de d finir un r f rentiel de bonnes pratiques comme signe de leur qualit La litt rature r cente d veloppe de mani re r currente plusieurs crit res qui seront d velopp s ci dessous l inscription des actions dans le temps et dans u
119. urs th ses Elle permet galement de s int resser au contexte d implantation des actions mises en oeuvre Il peut tre judicieux de choisir un cas implant dans un milieu local dynamique en Promotion de la Sant Pr vention afin d obtenir de la mati re l valuation de la qualit des interventions Ville de Seine Saint Denis le Blanc Mesnil accueille 47 000 habitants dont un nombre important cumule les facteurs de pr carit L histoire politique de la ville est marqu e par une r elle volont de d veloppement de l acc s la sant deux Centres de Sant sont ouverts le centre m dico social Pierre Rouqu s en 1948 et le Centre de Sant Fernand Lamaze en 1962 Ces deux centres polyvalents accueillent chaque ann e plus de 21 000 usagers diff rents dont 17 000 habitants du Blanc Mesnil En plus de la m decine g n raliste douze sp cialit s sont propos es En 1991 la ville adh re au r seau des villes sant promu par l OMS Le 27 avril 2004 le maire inaugure une s rie de d bats sur l avenir des Centres Municipaux de Sant de Blanc Mesnil L une des six s ances est intitul e Pr vention articul e aux soins suivi longitudinal collectif et individuel Education pour la Sant Ce contexte dynamique devrait tre favorable au d veloppement d actions de Promotion de la Sant Pr vention de qualit Mais qu en est il de la qualit des interventions en Promotion de la Sant Pr venti
120. utilisera plus g n ralement le terme de sant publique Dans le cadre de ce m moire les deux concepts de Promotion de la Sant et de Pr vention sont donc utilis s conjointement pour qualifier globalement les interventions tudi es La question du soin n tant prise en compte que marginalement le terme de sant publique n est pas privil gi B Peut on valuer l efficacit des actions de Promotion de la Sant Pr vention De nombreux auteurs voquent les limites de l valuation de l efficacit des actions de Promotion de la Sant Des difficult s d ordre m thodologique sont mises en relief les indices et temps de r f rence du changement des comportements ou de l environnement des individus semblent difficiles sinon impossibles d finir l analyse des effets des interventions suppose des approches pluridisciplinaires complexes dont la mise en uvre est co teuse ce co t peut tre 12 En effet dans le paragraphe du pr ambule concernant les missions des Centres de Sant il est pr cis Les Centres de Sant assurent dans le respect du libre choix de l usager des activit s de soins sans h bergement et participent des actions de sant publique de Pr vention d Education pour la Sant et des actions sociales Structures de proximit se situant au plus pr s des assur s et de leurs besoins ils participent l acc s de tous la Pr vention et des soins de quali

Qualité des interventions en promotion de la santé

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