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Le dossier du Finistère - Espace Educatif - Rennes

1. id 7 Autonomie et initiative L autonomie est une condition de la r ussite scolaire a Autonomie Capacit s Les principales capacit s attendues des l ves pour tre autonome sont les 23 Finist re suivantes Identifier un probl me et mettre au point une d marche de r solution rechercher l information utile l analyser la trier la hi rarchiser l organiser la synth tiser mettre en relation les acquis des diff rentes disciplines et savoir les mobiliser dans des situations vari es identifier expliquer rectifier une erreur mettre l essai plusieurs pistes de solution d velopper sa pers v rance Attitudes La motivation la confiance en soi le d sir de r ussir et de progresser sont des attitudes fondamentales b Esprit d initiative Il faut que l l ve se montre capable de concevoir de mettre en oeuvre et de r aliser des projets individuels ou collectifs Qu elle qu en soit la nature le projet doit toujours tre valid par l tablissement et valoriser l implication de l l ve Capacit s 7 faut apprendre passer des id es aux actes ce qui suppose savoir d finir une d marche adapt e au projet trouver et contacter des partenaires consulter des personnes ressources prendre des d cisions de s engager et de prendre des risques en cons quences prendre l avis des autres changer informer organiser une r union r
2. Le profil l ve identifiant et mot de passe l ve permet de r diger les articles de les poster et par l m me de les soumettre la validation des enseignants En aucun cas un l ve ne peut publier directement sur la plate forme Ce profil permet aussi la lecture et la consultation des articles mis en ligne par les autres classes presses dans le d partement Le profil personne ressource ou enseignant permet d acc der aux propositions d articles soumises par les l ves de les modifier de les valider ou les supprimer le cas ch ant et d autoriser la publication sur la plate forme c est dire la mise en ligne Compatibilit du navigateur et quelques logiciels de traitement de l image La plate forme PHARE n est compatible qu avec les navigateurs Internet Explorer dans sa version 6 0 pour obtenir la bonne version http www microsoft com france windows ie puis T l charger maintenant ou Mozilla FireFox en version 2 partir de cette adresse http www mozilla europe org fr Il existe aussi de petits outils gratuits bien utiles pour classer les images les visualiser et les redimensionner comme Xnview http www commentcamarche net telecharger telecharger 134 xnview ou Irfanview http telecharger O net com windows Multimedia albmums_et_visionneuses fiches 2053 html Une r gle virtuelle permet de mesurer la taille de vos images en pixels PixelRuler t l chargeable
3. Prolongements Les in galit s Nord Sud analphab tisme esp rance de vie faible Travail critique sur les messages publicitaires gt une banane cologique Objectif sensibiliser la n cessit de prot ger notre environnement L exportation des bananes est une source importante pour de nombreux pays du tiers monde mais malheureusement sa production intense ne respecte pas toujours l environnement Lister les dangers de pollution li s l agriculture utilisation d engrais et de pesticides accumulation de mat riaux non d gradables Fiche 12 Le monde de la p che Sur le site du clemi Bretagne et des prolongements possibles par disciplines 146 Finist re Fiche 13 Prendre position et exprimer son opinion dans un article de presse Les journaux Internet la radio ou la t l vision nous permettent de nous informer et de comprendre Mais en classe presse il arrive un moment o il faut participer soi m me et amener les autres nous couter Il ne suffit donc pas de s informer il faut aussi donner son opinion et prendre position Faire conna tre son opinion est une forme d engagement c est exprimer sa vision du monde et c est donner l occasion d autres de r fl chir sur les m mes questions et de mieux comprendre le monde Objectifs exploiter l information diff rencier les genres journalistiques et leurs fonctions dans la communication informer r agir faire r agir mouvoir vendre
4. Finist re gt Site Le T l gramme Le T l gramme 18 Concours des journaux scolaires a Inscriptions jusqu au 14 avril 2006 aire Classes presse Enqu te sur la r ussite L heure de la rentr e des Classes presse sonn Depuis le lundi 22 novembre les l ves des classes presse recoivent quotidiennement leur journal aire Les derniers journaux CR Corsuttez les dossiers du T l gramme COMENIUS PROJECT Travaillez avec tes fiches 6 06 2007 2nde PRO MDS Buigerie Pologne Lyc e Brest Rive Droite p dagogiques de Prease BREST LES FOUS D INFOS 1 63 2006 Terminale Bac Pro Vente Cons eil IREO RUMENGOL LE FAOU Br houle 16 07 2004 Seconde LEGTA DE BREHOULOU 29170 FOUESNANT Les derni res actualit s Classes L actualit des classes racont e par les classes Jezzine une ville du Liban 04 05 2006 Jezzine est une viie de notre seys elle est en marisg perp tuel qui ne finit de se ren vejzie Inscription 07 04 2006 Enfin natre inscription est valid e nous allons pouvoir publier nos articles en bgne H a bien taure 257
5. Exposition Nourrir les hommes se nourrir tous Agropolis Mus um Agropolis Mus um 1997 10 affiches 3 livrets 32 p 126 p 8 p 1 carte 10 affiches qui pr sentent la nourriture dans le monde des agricululture dans le monde vers l quilibre alimentaire des repas et les mani res de cuisiner en passant par la faim dans le monde Un dossier compl mentaire permet de travailler sur le voyage des aliments dans le monde des menus quilibr s selon les ressources des diff rents pays les fili res d aliments courants et des alternatives pour mieux nourrir la plan te Un livre de Louis malassis Nourrir les hommes et un dossier Okapi CCFD permettent de faire le point sur l histoire alimentaire Une carte sur l origine des plantes A07 Livre A table tout le monde Alimentation culture et sant du CE2 la 5e Azorin Jean Christophe Colin Nathalie Le Cain Anne CRDP de Languedoc Roussillon Montpellier 2005 63 p ill r f doc Cet ouvrage propose des conseils m thodologiques et des activit s pour mettre au point des s quences d apprentissage dans le cycle 3 et au coll ge dans les domaines de l alimentation de la pr vention et promotion de la sant de l quilibre et des coutumes alimentaires Avec des fiches photocopier pour la classe 371 71 AZO Lorient 641 1 AZO Vannes Cycle 3 Ecole primaire Classe de 6e Classe de 5e Coll ge Secondaire Livre Notre nourriture aliments cult
6. port e de bourse Un mod le uniformisant r duisant la diversit quelques clich s de femmes objets et d enfants rois En 2003 ce sont 1 000 milliards de dollars qui ont t consacr s la publicit et au marketing dans le monde Soit plus de de 10 fois la somme n cessaire pour assurer l enseignement l acc s l eau potable aux soins de sant de base et l alimentation pour tous chiffres du S nat fran ais session du 15 octobre 2003 proposition de loi instituant un fonds pour la promotion du d veloppement durable Patrick Viveret cours des comptes 2003 France Chiffres Les m nages fran ais amassent en moyenne pr s de 40 kg de bo tes et emballages alimentaires source commission charg e du Grenelle de l environnement 2008 102 Finist re e Sur les liens entre publicit et d mocratie L quation sugg r e par les publicitaires est simple la pub est indispensable aux m dias Or la diversit m diatique est garante de d mocratie Donc plus il y a de d mocratie plus il y a de pub La pub n est pas signe de d mocratie pour 3 raisons Un le d veloppement de la pub cr e une d pendance financi re vis vis de ressources qui ne sont pas publiques Cela entra ne la recherche de la rentabilit et du profit tout prix mesur s par l audimat quitte sacrifier la qualit et la diversit du contenu C est d autant plus pr occupant pour les m dias de service public Certaines missions sont
7. une lite qui a les moyens de bien manger Mais lorsqu on leur demande d expliquer ce que signifie pour eux bien manger c est d abord avant tout prendre du plaisir et avoir envie de se faire plaisir tre surpris par d autres go ts et par la pr paration des plats qu on ne conna t pas qui sont beaux voir et qui sentent bon Les repr sentations des l ves li es la gastronomie s largissent on peut tous faire de la gastronomie La gastronomie n est plus r serv e une lite et aux grands chefs mais englobe aussi un patrimoine culinaire populaire issu des familles vivant dans des r gions diff rentes et d veloppant un savoir faire qui leur est propre Sont associ s cette repr sentation les repas pr par s par les grands parents les recettes de la famille la r gion o on est n e et o on a v cu un produit qui rappelle notre enfance ou encore un lieu et un paysage Bref tout ce qui tisse un lien et une proximit g ographique et affective d autant plus importante lorsque le mode de vie des l ves est urbain Les produits produits et fabriqu s en Bretagne sont pour eux synonyme d une tradition et d une qualit car ils sont proches de nous On les connait Ce registre explique en partie la r surgence ou l apparition des produits dits de terroir dans les soci t s urbaines Mais elle fait aussi l objet d une invention et d une cr ativit permanentes et n est do
8. OGM stop ou encore Objectifs comprendre les liens existant entre esp ces sauvages et vari t s domestiques comprendre que la nature est un formidable r servoir de g nes prendre conscience de la notion de risque biologique de la n cessit de l valuation de ces risques et dans le doute de l application du principe de pr cautions percevoir la diff rence de vitesse des processus d volution naturelle et de ceux de la s lection dirig e r fl chir sur le pouvoir acquis par l homme gr ce sa technologie Notions cl s s lection g nie g n tique barri re d esp ce risque biologique Organisme G n tiquement Modifi e La nature fragilis e Caract riser un espace naturel for t prairie mar cage friche d crire les couleurs les lignes les formes l espace les impressions d ensemble D tailler le fonctionnement d un cosyst me donn pour en comprendre les enjeux cologiques Relever une modification importante d un milieu naturel et les adaptations cons quentes des esp ces l occupant Par quel signe se caract rise t elle terre craquel e asphalte fendu Donner un exemple de r ponse Rechercher dans quelle mesure depuis les ann es 60 les changements socio conomiques nombre et superficie des exploitations agricoles techniques productions utilisation de produits chimiques irrigation ont alt r l ensemble de la diversit biologique des esp ces domestiqu es Quel
9. On pourra ensuite s appuyer sur des messages de type campagne humanitaire pour prendre conscience que les techniques publicitaires peuvent tre utilis es d autres fins que commerciales Pour travailler ce th me EN MATHEMATIQUES exploitation des donn es num riques des publicit s ou emballages r colt s Objectif reconna tre une situation de proportionnalit Les donn es num riques du document permettent d aborder ou de renforcer la notion de pourcentage Que veut dire par exemple 5 de mat gr 5 par rapport quoi L analyse nutritionnelle se pr te tous types d exercices sur la proportionnalit 100g de produit apporte 29 kcal combien apporte 125g de produits Faire apporter aux l ves des emballages vides afin d observer que l analyse nutritionnelle est toujours donn e pour 100g de produit quel que soit son poids total Faire remarquer que parfois ce n est pas le poids mais le volume du produit qui est donn ce qui rend le calcul difficile sans balance Pour travailler ce th me en SCIENCES le corps humain et l ducation la sant Objectif comprendre que les aliments sont des mat riaux de construction et une source d nergie pour notre corps et qu ils ne poss dent pas tous les m mes qualit s nutritionnelles Le corps a besoin d aliments vari s R aliser divers classements d aliments afin de d gager les grandes familles puis composer des menus quilibr s en utilisant des do
10. Banque d images et de sc narios p dagogiques images libres de droit Classement par mots cl s World village project si la terre tait un village il compterait X europ ens X personnes parleraient etc La d clinaison de cette phrase sous de multiples angles apporte un clairage surprenant sur la composition de notre plan te Une d clinaison est d di e au th me de l alimentation dans le monde existe aussi en livre Le monde par pays sur le site du Monde diplomatique 6 milliards d hommes site exposition du Mus e de l homme Paris qui propose un parcours interactif personnalis la d couverte de la d mographie aujourd hui Sur la page d accueil un compteur tourne en permanence 85 Finist re Le telegarden un jardin cultiv collectivement distance Eat the World recettes en anglais class s par pays Saveurs du monde site tr s fourni proposant plus de 800 recettes des quatre coins du monde en fran ais Outre une pr sentation d taill e des recettes des aliments des plats nationaux et des mani res de recevoir de divers pays le site donne des informations plus g n rales sur chacun d entre eux Le banquet de l humanit sur le serveur agropolis est l pour montrer que chaque homme y mange en fonction de son revenu des ressources alimentaires et de la culture de son pays Les in galit s sont bien r elles urgence et n cessit de lutter pour que chaque habitant de la plan te pu
11. Ce sera un Marseille Lyon Canal diffuse son 1 000e match dimanche 2 En Sports s A du Opel oon e Avantage client de 4 000 Diesel Navi Pack partir de 21 900 a Le Ci SZ Ed RA F8 M CE SE aa A bordure Rocode sud e a 1 u 97 Bd 1 Mermoz RENNES 5t JACQUES r lt 02 99 65 23 oo et ses agents de Vitr Foug res Redon et B d e 359 2010 0 85 HU ll 196 Le T l gramme Finist re Nom du journal Le T l gramme Si ge social 7 voie d acc s au port BP 67243 29672 Morlaix cedex Directeur de la publication R dacteur en chef Edouard Coudurier Marcel Quiviger et Olivier Clech Date de cr ation 18 septembre 1944 Lieu de la r daction Si ge social Morlaix 22 r dactions locales r parties sur le Finist re C tes d Armor et Morbihan Jour de parution Du lundi au dimanche Non parution 3 jours dans l ann e seulement 1 mai 25 d cembre et 25 janvier Prix 0 75 euro du lundi au vendredi et 0 90 euro les samedis et dimanches suppl ments TV et F mina Effectif total au journal Journalistes Correspondants locaux 650 229 700 Diffusion en exemplaires Tirage 225 000 ex Diffusion 203 700 Nombre de lecteurs 537 000 lecteurs 72 par portage et poste 28 en kiosque 2800 points de vente Nombre de pages Nombre de pages couleur 80 au maximum 40 pages quadri au maximu
12. D ontologie Sources de l information le journaliste se doit de v rifier et recouper ses informations Mais il est parfois difficile d appr cier exactement la cr dibilit de certaines sources certains informateurs ne souhaitent pas tre cit s et la r f rence explicite de l origine de l information n est pas toujours donn e Pourtant le journaliste et sa r daction restent responsables des informations qu ils fournissent 1 Au cycle 3 de l cole primaire les l ves travaillent sur le rep rage des sources d articles courts ou partir de reportages t l vis s d o viennent les informations relat es Qui signe les articles ou le reportage Selon les articles ils notent son sujet et si possible les organismes les gouvernements les institutions les entreprises les personnes cit s et sous quelle forme d clarations communiqu s conf rences de presse interviews 2 Apr s ce premier rep rage on propose aux l ves de coll ge de relever dans le texte les origines des informations du journaliste Le journaliste fait il usage des pr positions selon d apr s Les verbes sont ils au conditionnel Dresser un tableau des diff rentes sources rep r es les officielles non officielles t moignages rumeurs etc partir d extraits de journaux radiophoniques ou t l vis s on peut effectuer les m mes rep rages Pour les reportages t l vis s on notera la source des images 3 Constituer une
13. Quel lien existe t il entre des cr mes glac es et des pizzas commercialis s sous une m me marque Pourquoi et comment cette marque arrive t elle commercialiser des produits industrialis s alors que les mati res premi res pour les confectionner sont diff rentes et ne poussent pas sur une m me r gion ou un m me continent Ces questions sont un levier fort int ressant pour les aider comprendre les mutations et les enjeux li s l agriculture le r le et le pouvoir des industries agro alimentaires d une part et les circuits d changes mondiaux d autre part Ou comme questionnait cet l ve pourquoi trouve t on les m mes produits alimentaires dans tous les magasins en France et m me en Europe 1 S informer sur e Les lieux de production et l origine des plantes une longue histoire qui n est pas termin e Les paysans puis les agronomes recherchent les meilleures vari t s les croisent entre elles pour obtenir des plantes plus r sistantes aux maladies ou plus productives Ceci permet d augmenter consid rablement les rendements Le premier pi de ma s connu date d il y a 7 000 ans Il a t retrouv dans une tombe azt que et mesure 2 5cm e Les grandes variations des cours mondiaux des mati res premi res Le terroir ringard Lorsque les l ves ont mis en commun leurs emballages de produits alimentaires consomm s sur une semaine et les ont class s par type de produits
14. ces l ves qu il leur faut maintenant passer quelque chose de plus s rieux T che impossible et vou e l chec si nous ne consid rons pas que ce sont au contraire des appuis 62 Finist re pour leur faire d couvrir autre chose Mais leur faire d couvrir autre chose et donc s ouvrir aux autres n est possible que si on les consid re comme les autres avec leurs diff rences Pouvoir au contraire solliciter leurs int r ts et les faire parler de leurs lectures eux a souvent permis qu ils prennent leur place dans un groupe et ce groupe est d abord la classe Soyons clairs plus ces manifestations de rejet sont importantes r p t es plus cette expression est clam e comme une diff rence laquelle ils s accrochent moi je ne lis pas le journal sous entendu parfois et je ne le lirai jamais plus elles t moignent d un cart social et culturel et parfois aussi scolaire important et plus ces manifestations nous apprennent que l on a devant nous des l ves qui ont d j acquis int rioris qu ils ne font pas partie de la soci t dont on leur parle Ces expressions t moignent finalement non de leur rejet mais de la fa on dont ils se sentent rejet s C est important de faire preuve de clairvoyance et d ouverture Tu t int resses au programme t l ou aux avis de d c s ou tel sport peux tu nous en parler et nous dire pourquoi c est important pour toi C est s
15. l exception de A partir des quelques titres les diteurs de presse ont recours la publicit Elle leur chiffres de permet d offrir un produit informatif un prix inf rieur son prix de diffusion de la revient Les diteurs doivent donc s duire la fois les lecteurs et les presse annonceurs Pour mieux conna tre la diffusion d un titre les annonceurs e Faire prendre conscience aux l ves de la grande diversit de la presse e Appr hender le r le conomique de la publicit dans la presse crite Public Ecole e Coll ge e Lyc e Mat riel Les chiffres de diffusion publi s dans les pages de ce dossier Collection de quotidiens et de magazines re us l occasion de la semaine de Presse dans l cole Organisation Travail par groupe Plusieurs s ances selon le niveau des l ves Mots cl s Tirage Diffusion Annonceur Publicitaire disposent d outils comme l Office de justification de la diffusion OJD 1 Faire choisir des magazines ou des quotidiens dans le kiosque de la semaine de la Presse et distribuer chaque groupe une photocopie des pages pr sentant les chiffres de diffusion Donner une explication de ces chiffres 2 Chaque groupe rep re les chiffres correspondant aux titres de presse choisis montrer l cart important entre les chiffres d un titre l autre en donner les raisons partir d un chantillon de quotidiens
16. la fois un bon consommateur et un bon citoyen Quelles sont les strat gies que tout un chacun met en place pour ne pas culpabiliser d s qu il d guste une religieuse au chocolat ou un poulet en batterie lev au Br sil 144 Finist re Fiche 11 Le commerce quitable Un exemple la banane Premi re piste d o viennent les bananes Objectif Mettre en vidence le rapport climat production agricole Contexte La banane occupe le 2 me rang du march mondial des fruits derri re les oranges et devant le raisin Les principaux pays producteurs et exportateurs de bananes sont l Equateur le Costa Rica la Colombie et les Philippines ils sont tous situ s sur la ceinture banani re zone d limitant les r gions id ales pour la culture de la banane A partir d une carte ou d un globe lister les pays situ s sur la ceinture banani re Puis gr ce la lecture des diagrammes de temp ratures et de pr cipitations de ces pays d gager leurs caract ristiques climatiques temp rature moyenne de 27 C et peu de pr cipitations Deuxi me piste de la r colte la table Objectifs Retracer les tapes d un circuit conomique simplifi production distribution consommation et mettre en vidence les changes commerciaux entre les pays exportation importation O sont produites les bananes Par qui O sont elles consomm es Par qui Quelles sont les tapes interm diaires entre la pr
17. nonce cet l ve C est donc bien la preuve que c est utile Utile ou superflu le d bat est vif Utile pour qui Pour le joueur ou pour le contrat publicitaire pass avec cette quipe Et pourquoi ce produit a t il t rendu visible lors de ce match Autant de questions qui vont permettre d veiller un esprit critique d autant plus utile que sa force r side dans l motion qu elle suscite Les l ves sont sensibles aux histoires que racontent ces publicit s et leurs mises en sc ne surtout dans les spots t l vis s Elles plaisent lorsqu elles racontent toutes quelque soit le produit une histoire de bonheur de bien tre de confort mat riel ou encore de r ussite auxquels ils souhaitent spontan ment se raccrocher Qui aujourd hui n aspire pas ces id aux sur lesquels surfent les publicit s 98 Finist re Quelques constats La publicit semble toujours avoir une longueur d avance Les enjeux conomiques principalement qu elle v hicule sont si puissants qu aucun cadre r ellement contraignant ne fixe les limites son intrusion M me si les d bats sont houleux et les critiques vives la publicit gagne encore et toujours du terrain Elle construit ce monde d abondance o le r ve est accessible il suffit de l acheter Que dire du contr le qui devient de plus en plus difficile pour freiner son avanc e la publicit se d veloppant de plus en plus hors des m dias traditionnels inter
18. CRDP de Poitou Charentes Poitiers Orcades 12 panneaux en quadrichromie 60 cm X 80 cm R sum Cette exposition est structur e en trois grandes parties d couvrir comprendre r agir La premi re partie permet de d couvrir l importance du riz dans le monde les diff rentes zones de culture les m thodes culturales la r volution verte La deuxi me partie aide comprendre la question de la faim dans le monde la nature des changes internationaux le d veloppement de la g n tique La derni re partie voque les solutions possibles pour limiter le probl me de la faim dans le monde ma triser l exc s de semences am liorer les conditions de vie des producteurs Cote VP d veloppement d Lorient A45 Vannes Vid ocassette Sur le plancher des vaches Breton Catherine France 3 RIFF International Production 1994 1 vid ocassette 26 min C est pas sorcier R sum Lait c r ales oeufs viande Tous ces produits alimentaires que nous consommons chaque jour viennent de la ferme Mais qui fabrique quoi Comment la vache fabrique t elle son lait ou son veau Comment la terre fabrique t elle du bl ou du ma s Comment les poules pondent elles des oeufs Et le fromage comment est il fait En visitant l une des plus grandes fermes d Europe nous red couvrons les grands principes physiques et chimiques de la nature Cote 3 Lorient PLURIDISCIPLINAIRE Vannes Vid ocassette Ecocitoyens 1 Oh les b
19. changer leur vision les envoyer plus vite sur le terrain faire une interview ou collecter de l information me semblent pour ma part une gestion p dagogique plus efficace pour d marrer ce projet D autant plus que les bauches de leurs articles ont ensuite eu besoin d tre lues corrig es et am lior es Je me suis m me retrouv corriger pour eux toujours par manque de temps alors que si j avais pr vu plus de temps pour qu ils utilisent les articles crits par les journalistes ces m mes articles qu ils avaient d coup s dans leurs journaux cela leur aurait permis je pense de mieux comprendre comment s crit un article qui est une interviewe par exemple L id al serait d alterner dans la gestion p dagogique d s le d marrage du projet une s ance presse crite et une s ance criture d articles de presse et non r partir l ann e en 2 blocs s par s Surtout que j ai naturellement commenc par le bloc conna tre la presse crite car c est rassurant Le guide des classes presse ainsi que la journ e de formation sont tr s utiles car ils permettent d aborder plus sereinement le projet C est un outil indispensable ainsi que la journ e de formation Il serait bien que celle ci se d roule plus t t novembre d cembre afin d tre plus solide au d marrage du projet avec les l ves Le document d accompagnement a permis par la suite d affiner les pr parations et d tre notre tour plus ouverts et
20. et qu ils sont une minorit En France mais aussi dans le reste du monde Ce qui nous le verrons ne correspond pas la r alit Dans l change qui a suivi la discussion entre les l ves s est vite port e sur la col re des agriculteurs qui jettent des tonnes de marchandises et bloquent les routes A la question qu avez vous dire sur cette r alit ils sont nombreux dire que cette nourriture serait bien plus utile aux Restos du Coeur par exemple Levier formidable pour faire comprendre nos l ves que oui le r le de l agriculture c est bien de nourrir les Hommes Et pourtant cette vidence est loin loin d tre vidente Elle illustre sa fa on la complexit des changes entre agriculture et soci t aujourd hui Ces repr sentations relev es et d battues sont une chance parce que la mise en vidence des repr sentations et de leurs paradoxes sont une premi re marche vers l intelligence et vers le refus de la simplification des clich s et des opinions toutes faites Les mots class s d m l s dans cet cheveau de repr sentations sont d j une pens e qui labore un projet Mais encore trop brouill pour s engager dans une construction Car comment exercer et aider nos l ves prendre de la distance exercer leur esprit critique si cette tape est n glig e 3 la notion de pays ou de fronti res Il n y a pas si longtemps les populations en France mangeaient ce que la ter
21. tre capable de comprendre qu un effet peut avoir plusieurs causes agissant simultan ment de percevoir qu il peut exister des causes non apparentes ou inconnues Il doit tre capable de comprendre la nature et la validit d un r sultat statistiques d utiliser les techniques et les technologies pour surmonter des obstacles Attitudes L appr hension rationnelle des choses requiert les attitudes suivantes le sens de l observation la curiosit pour la d couverte des causes des ph nom nes physiques l imagination raisonn e l ouverture d esprit l esprit critique distinction entre le prouv le probable ou l incertain la pr diction et la pr vision la situation d un r sultat ou une information dans son contexte Tout l ve doit avoir conscience des implications thiques du progr s scientifique et technique et de ses responsabilit s face l environnement au monde du vivant la sant id 21 Finist re 4 Ma trise des techniques usuelles de l information et de la communication La culture num rique implique l usage s r et critique des technologies de la soci t de l information Ces techniques font souvent l objet d un apprentissage empirique hors de l cole Il appartient n anmoins celle ci de faire acqu rir chaque l ve un ensemble de comp tences lui permettant de les utiliser de fa on r fl chie et plus efficace Les connaissances et les capacit s
22. 1 2 milliard de personnes vivent avec moins de 1 05 euro par jour et 2 8 milliard d autres vivent avec 2 1 euro par jour Banque Mondiale Dans la fili re quitable le producteur re oit un prix juste pour son produit ce qui lui permet d investir dans l avenir de participer activement au d veloppement conomique social et environnemental de sa r gion Et de pouvoir aussi scolariser ses enfants Les noms des entreprises qui pratiquent le commerce quitable Alter Eco Ethiquable Artisans du monde ont pour mission de concilier l thique et le profit en redonnant leur place aux petits producteurs d Afrique d Asie ou d Am rique Latine Pas de charit dans la d marche de ces nouveaux entrepreneurs Ils font du commerce Mais ils se sont donn des r gles pas de travail des enfants salaire minimum n goci et garanti pour les producteurs nombre r duit d interm diaires respect de l environnement entre autres Et le succ s est l Pas au point de faire trembler le commerce international car l conomie solidaire n en est encore qu une partie infime 0 02 mais suffisant pour permettre d j des millions de paysans et d artisans d favoris s de vivre de leur travail Le commerce quitable s est aussi impos dans l opinion occidentale L Europe est devenue la premi re destination des produits export s travers le monde et en France les achats thiques ont rapport 166 millions d euros en 20006 contre
23. Comme dans un film la taupe a su gagner patiemment la confiance des mafieux Son activit de truand consistant revendre en pi ces d tach es des voitures d clar es vol es Comme dans un film les r unions se tenaient dans le restaurant d un des capo L autour d un plat de p tes servi sur une nappe carreaux s changeaient les grands et petits secrets d une des branches de la famille Genovese Comme dans un film les participants taient fouill s pour d couvrir d ven tuels micros Et comme dans un film le policier a d quitter da famille et son quartier le Bronx pour s instaHer dans un autre Etat Il aurait pu tre reconnu par certaines personnes qui auraient trahi sa double vie La famille Genovese qui compte 200 300 membres de plein droit et sans doute six fois plus d associ s est l un des cinq grands clans new yorkais Elle aurait servi de mod le l crivain Mario Puzo pour sa trilogie Le Parrain Quand la r alit rejoint la fiction 227 Inter titre Les parties de l article _ m Gite d enfants La ferme version r alit A l occasion de leur 50 anniversaire les relais bretons des G tes de France organisent une journ e por tes ouvertes dimanche dans 50 gites Gites ruraux chambres d h tes camping la ferme gites d tapes les formules de manquent pas II y a m me des gites d enfants En avant pre mi re nous avons pouss la porte
24. Dans le regroupement pr c dent la synth se faite exprime un constat et une tension qui appellent un questionnement a un constat manger ce n est pas pour eux rappelons qu il s agit d l ves citadins et ayant v cu depuis leur petite enfance exclusivement en ville se nourrir mais consommer et tre le mieux possible en conformit avec les autres et l entourage imm diat r el les copains ou fictif les publicit s et magazines de modes Pour un grand nombre d l ves manger c est aussi un comportement une habitude qui d finit une fa on de vivre qui est v cue par eux comme une ligne de d marcation ou de rupture ou de libert avec les parents pour s affranchir pour se faire plaisir entre copains et faire la f te pour s affirmer devenir plus autonome b une tension Les r ponses les plus nombreuses et les plus d velopp es portent sur l aspect organisation des repas et environnement L alimentation serait donc avant tout culturelle le miroir d une soci t qu ils ont peu l habitude de questionner car manger est banalis anodin normal On n en parle pas sauf quand ma m re me dit d arr ter de manger des c r ales pour ne pas prendre de poids d clare cette l ve 17 Finist re e Les diff rentes dimensions de l alimentation Les regroupements pr c dents nous apprennent que les significations et les d terminismes du comportement alimentaire sont multiples L acte de
25. Grille d criture d article TITRE Quoi SOUS TITRE Qui O Quand CHAPEAU QUI O Quoi Comment CORPS Qui O Quoi Quand Pourquoi Comment Mis o a a Finist re Intertitre Intertitre Signature Illustration pr vue 236 Finist re Petit lexique des genres journalistiques B Billet bref article de commentaire g n ralement sur un fait d actualit et caract ris par une chute inattendue humoristique impertinente paradoxale Br ve information brute et courte 5 6 lignes colonne qui r sume un fait en r pondant aux questions qui quoi quand o et ventuellement comment pourquoi La br ve ne comporte pas de titre C Chronique article publi intervalles r guliers sur un th me chronique litt raire scientifique m dicale ou bien commentaire libre d un collaborateur g n ralement connu Compte rendu relation d un fait conseil municipal assembl e r union par le journaliste qui est all sur place et raconte sans commentaire ce dont il a t le t moin Critique article traitant d un spectacle d une exposition d un livre et dans lequel l auteur exerce son droit de critique E Echo petite information de caract re anecdotique amusant pittoresque insolite et r dig e de fa on piquante Editorial article de commenta
26. INTER INEEN mobile Le salon de Langolvas MOrIaIX canier s pages ___ 0 75 TGV OUEST mH HAE TL a Hier une d l gation d lus r gionaux de la majorit et de l opposition a t re ue par Jean Pierre Raffarin afin de relancer la prolongation du TGV Ouest et le projet d un nouvel a roport pr s de Nantes Nous avons bon espoir s est f licit Josselin de Rohan pr sident du conseil r gional de Bretagne ci dessus en pr cisant que les deux chantiers pourraient b n ficier de fonds europ ens tr s importants Page 3 205 Finist re gt R aliser une revue de presse Objectifs Apprendre se rep rer dans l information Savoir comparer et pr senter des discours diff rents Aborder la diversit des opinions Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Un panel de quotidiens du m me jour quelques magazines Un panneau d affichage Magn tophon e et micro L enregistrem ent d une revue de presse radiophonique du matin Un panel d une semaine de deux quotidiens nationaux Un planisph re Epingles de couleur Mots cl s Proximit Pluralisme Hi rarchisation de l information R aliser une revue de presse c est montrer comment les journaux et les magazines traitent les faits et les pr sentent leurs lecteurs Une excellente fa on de prendre conscience de la diversit des attitudes et des points de vue des
27. La bonne photo donne voir comprendre reconnaitre D embl e on exclura les photos dites mortes paysages sans personnages ni points de rep re et les photos qui ne permettent pas de reconna tre les personnages pris de dos trop loign s Une bonne photo compl te le texte Une bonne photo montre sugg re ou compl te l information essentielle de l article Elle doit donc tre coh rente avec son titre et son contenu si l on parle d une foule enthousiaste on vitera une photo montrant quelques personnes clairsem es qui paraissent s ennuyer ferme Une bonne photo comme un bon texte dit l essentiel et carte le superflu Vouloir tout montrer c est commettre l erreur d une image fourre tout qui manquera de densit de force o rien ne sera mis en valeur On choisira son angle de vue ou le cadrage du sujet de mani re ce qu aucun objet parasite ne perturbe le regard dossiers de chaises vides bouteilles et couverts sur une table b Explication imm diate Le propre d une photo est de faire comprendre en un clin d il ce qui n cessiterait plusieurs lignes d criture Si l on parle des dimensions exceptionnelles d un objet ex une sculpture monumentale il est bon de le photographier en compagnie d un personnage qui donnera l chelle 213 Finist re 2 Une photo vivante Une photo nette bien expos e et informative c est d j satisfaisant Moyennant un peu d imagination et quel
28. Ouest France Le T l gramme Le Courrier du L on Progr s de Cornouaille 17 Finist re Autorisation parentale relative la publication de photographies d l ves Dans le cadre des activit s journalistiques men es pour le projet classes presse votre enfant pourra tre photographi afin de donner mati re illustrer les sujets trait s dans les diff rents articles Votre enfant ne sera jamais photographi isol ment mais en groupe de trois ou quatre personnes au minimum Ces photographies seront publi es sur la plate forme classe presse accessible sur Internet et dans les pages et suppl ments encart s publi s dans les journaux partenaires au mois de juin 2009 Pour respecter les obligations l gales en la mati re nous vous demandons de retourner aux enseignants responsables du projet l autorisation d ment remplie et sign e Dans le cas d une absence de r ponse nous consid rerons comme acquis l accord en vue d autoriser la publication de la photographie de votre enfant responsable s l gal aux de l ve de la classe de autorisons la publication de la photographie de notre enfant dans le cadre du projet Classes presse Signature de la m re Signature du p re Autorisation remettre avant le 200 18 Finist re L ducation aux m dias dans les programmes de coll ge Le socle commun D cr t depuis juillet 2006 l
29. Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE d Dans le tableau ci dessous vous pourrez tablir des correspondances et m moriser quelques rep res Appareil photo numerique Dimensions de Nombre de pixels Taille de limage R solution Nombre d images Pi imprim e en Poids en Ko image en pixels par image ica pour carte qualit photo m moire de 8 Mo Haute 600 300 11 1600x1200 1 900 000 18x25 cm 341 dpi Moyenne 150 200 32 1280x1024 1 300 000 14x20 cm 248 dpi Basse Moins de 75 60 800x600 480 000 lt 8x12 cm 134 dpi 3 L insertion des images dans les articles publi s sur la plate forme a Les formats d images pour pouvoir afficher une image dans les articles il conviendra d utiliser exclusivement les formats gif jpeg ou jpg ou png Vous r serverez le format gif aux dessins sch mas infographies en 256 couleurs maxi Le format jpeg offre une gamme de 16 millions de couleurs il est donc appropri pour la photographie b L avantage de ces deux formats est leur taux de compression qui permet d obtenir des images assez l g res pour tre ins r es dans des pages web c Le poids des images pour la plate forme limitez vous 100 Ko maximum pou
30. bruts pr par s congel s le regroupement produit en Bretagne ou produit du terroir a retenu leur attention Le terroir a c est vraiment ringard a d clar un l ve Lorsqu il a t pouss s expliquer il a donn comme raison Ca sent le vieux et c est d pass Dans sa t te resurgissaient des repr sentations de fermes perdues au fin fond d une campagne sans eau ni 132 Finist re lectricit et o survivaient des ploucs qui ne connaissent pas le progr s Ce qui soi dit en pensant n est pas si loign d un certain nombre de publicit s vantant un produit simple et de tradition Et pourtant il s agissait d une bo te de conserve confit de canard et non un fromage de ch vre achet sur un march Cette remarque a permis de comprendre une des raisons qui pr side au fait que les produits alimentaires que nous consommons ne sont pas que des produits de consommation uniformis s mais sont aussi issus d un environnement et d un savoir faire fa onn s par des hommes Qu y a t il donc dans ce confit de canard Une tradition une recette particuli re Qu a t elle donc de particulier Elle ne se fait que dans cette r gion Ces r ponses apport es permettent de comprendre que des produits de terroir sont des produits issus d un m me endroit et d une m me fa on de faire Et qu ils repr sentent des comp tences locales diverses Mais qu ils ne sont p
31. d couvertes pour les l ves La question de l alimentation s impose qui r fl chit sur notre soci t contemporaine Elle est d autant plus importante qu elle touche aussi bien au domaine de l intime du priv qu aux sph res publiques au monde de l industrie et l thique Bref un th me embl matique de l tat de notre soci t Plusieurs pistes d analyse et de productions d articles sont ici propos es dont un grand nombre a donn lieu des exp rimentations en coll ge A vous de picorer de savoir doser les ingr dients n cessaires pour nourrir votre propre travail en classes presse et cr er votre menu Etrassurez vous sur ce th me comme tant d autres nos l ves ont cette capacit nous surprendre pour peu que nous les aidions construire leurs changes et leurs productions Tout n est pas dit dans ce dossier Tout ne peut tre dit Tout ne sera pas dit D autres approches aussi pertinentes si ce n est plus vont merger dans chacune des classes Et c est l le v ritable enjeu de ce document mettre la disposition des enseignants des ressources p dagogiques et des angles d attaques qui permettent leur tour d ouvrir de nouvelles perspectives En n oubliant pas qu il s agit avant tout d une op ration d ducation aux m dias c est dire d un temps privil gi pour aider nos l ves se frotter l actualit construire leur esprit 68 gt o e Finist re critique et produire
32. dagogiques int ressent plus particuli rement les ducateurs www cncd fr APRAD provoque une remise en question des images v hicul es dans les m dias quant aux rapports Nord Sud Animations et outils clich s d ailleurs www aprad org Autre Terre propose aussi des outils pour travailler sur ces questions WW W autreterre org Fr res des hommes vid os brochures jeux et outils p dagogiques sur l conomie solidaire l acc s la terre ou la souverainet alimentaire WWW freresdeshommes org Antennes locales Le Monde selon les femmes aborde principalement le r le des femmes dans le d veloppement www mondedesfemmes org SOS Faim aborde principalement la question de l alimentation et de l agriculture dans le monde WW W sosfaim org 154 Finist re Se nourrir dans le monde Ob sit ou famine Des paradoxes forts 155 Se nourrir dans le monde l enjeu alimentaire Probl matique la faim est partout Elle est seulement rendue plus visible dans certains coins du bout du monde Finist re 156 o a a Finist re La situation alimentaire dans le monde Contexte L agriculture pourrait nourrir la population mondiale e Dans le monde Pourtant aujourd hui dans le monde plus de 850 millions d hommes et de femmes ne mangent pas leur faim Se nourrir reste une pr occupation majeure pour les populations d favoris es dans un tr s grand nombre de pays La faim s vit majoritairement
33. e Nourrir et se nourrir dans les m dias Le th me de l alimentation dans ses aspects de production et de consommation est tr s pr sent dans les m dias Mais quelles images v hiculent ils ce propos du cin ma au quotidien r gional en passant par la publicit la t l vision Internet ou m me nos manuels scolaires quels regards portent ils et portons nous sur ce th me Les l ves criront des articles partir d observations et d analyses y compris sur notre comportement de r cepteur de consommateur et ou de citoyen e En bref billets chiffres ou t moignages Pour varier les genres les l ves r digeront de courts billets d humeur ou d humour ou des br ves avec des chiffres parlants ou des t moignages sur leur rapport plus personnel et 40 o L Finist re culturel aux diff rents aspects du th me la maison entre copains ou au coll ge Une m thode de travail ouverte d autres contributions Nourrir se nourrir quelques approches ducatives de Michel Chouzier IA IPR responsable acad mique de l Education au D veloppement Durable Quel poisson pour nourrir le monde de Alain Le Sann du Crisda Bretagne Centre de R flexion d Information et de Solidarit avec les peuples d Afrique d Asie et d Am rique latine Nourrir tout le monde le cas de l Afrique subsaharienne de Sania Scolan du CASI Bretagne Coordination des Associations de solidarit internationa
34. l op ration classes presse en Finist re Votre enfant recevra bient t un journal et ce pendant un total de 10 semaines scolaires Vous pourrez le lire et parler de l actualit en famille Les l ves apprendront bien lire la presse dans sa diversit gr ce aux enseignants de diff rentes disciplines qui accompagnent l op ration Ils criront des articles sur le th me Nourrir se nourrir Ils pourront voir valoris e leur expression crite sur Internet et dans un suppl ment des quotidiens partenaires d but juin Chaque classe sera suivie par un journaliste parrain qui changera au moins deux fois avec les l ves Ces derniers auront la possibilit de visiter une entreprise de presse L information occupe une part croissante dans la vie quotidienne L ducation aux m dias et la citoyennet est donc indispensable Classes presse permet de travailler avec et sur la presse au coll ge dans la dur e et dans le pluralisme des titres L op ration trouve sa place dans les programmes des disciplines concern es Depuis plusieurs ann es notamment dans l Ouest l op ration classes presse permet une ouverture au monde une ma trise des langages et le d veloppement de l esprit critique L op ration est possible gr ce aux efforts des diff rents partenaires et au soutien financier du Conseil g n ral Partenaires Inspection acad mique le Clemi le Conseil g n ral
35. le productiviste Alternatives durables possibles l agriculture productiviste L agriculture biologique T moignages d agriculteurs bretons Encadr s sur la PAC les OGM la pollution par les nitrates et les pesticides Bibliographie P riodique La s curit alimentaire Textes et documents pour la classe 01 02 2008 p 5 50 Dossier publi en 2008 sur la s curit alimentaire Probl matiques et enjeux de la s curit alimentaire dans les pays d velopp s Le spectre de la maladie de la vache folle R glementation en vigueur et notion de risque Les aspects sociologiques de l alimentation moderne Poster l itin raire technologique du lait de la ferme au consommateur S quences p dagogiques Histoire Education civique en classe de 3e la grippe aviaire menace mondiale SVT en classes de l re ES et L les OGM utiles ou dangereux Classe de 3e Coll ge Classe de 1 re Lyc e Secondaire P riodique Les OGM richesses et servitudes Arbona C cile P dersen Christiane Textes et documents pour la 56 Finist re classe 01 02 2002 p 4 37 Initiation la g n tique face au d bat qui oppose partisans et opposants aux organismes g n tiquement modifi s D finition des OGM et enjeux pour la biotechnologie Leur utilit et leurs risques ventuels pour la sant et l environnement dans les pays industrialis s et les pays en d veloppement Les difficult s d obtention de plantes transg niques p
36. mince muscl corps bien fait besoin envie de maigrir mal tre mal dans sa t te et ses baskets honte d tre trop grosse trop gros ou trop maigre ou pas assez muscl pas envie d tre avec d autres r gime peur ce qui renvoie aux go ts et aux d go ts alimentaires aux pr f rences la notion de gourmandise et d envie de manger bonbons viennoiseries sodas hamburgers pizzas frites chocolat c r ales cuisiner soi m me copains ce qui rel ve de l environnement niveau de vie argent de poche sufjisant pas suffisant pour s acheter des confiseries publicit s restaurants proches de chez soi ou de son tablissement scolaire offre alimentaire tr s grande ou toujours r p titive prix chers marques ce que font les autres et ce qu ils consomment les grandes surfaces ce qui rel ve de l organisation des repas organis s heures r guli res seul ou en famille avec ou sans les parents les adultes grignotage devant la t l dans sa chambre sur le trajet du coll ge la boulangerie du coin au cin ma quand les parents sont de sortie dans la grande surface dans les restaurations rapides faire les courses ne pas faire les courses cuisiner ne pas cuisiner entr es plats dessert avoir le temps n avoir pas le temps ou pas assez de temps d congeler un repas pr par et achet s asseoir table ne pas 76 Finist re i A pe s asseoir table prendre s
37. paration du repas Ont ils assez manger pas assez trop Ont ils l air satisfaits Heureux Pauvres Riches e Lister les produits que les l ves ne connaissent pas Donner lire la l gende en anglais e Confronter leur perception avec la r alit Discuter de l information donn e l argent que d pense chacune de ses familles pour se nourrir et d battre Et si eux taient leur place que feraient ils Comment Pourquoi Leur demander de garder les emballages des produits alimentaires utilis s qu ils ont consomm s pendant une semaine ou de leur dernier achat alimentaire en y ajoutant les photos des produits bruts La photo no anoxeria ou l anorexie en image de Olivero Toscani photographe italien qui a offert en septembre 2007 une campagne choc en partenariat avec la marque de v tements italienne No Lita qui a soulev et continue de soulever des controverses sur le r le et le pouvoir de l image Un bon exemple pour aider comprendre le poids des images et son r le informer faire agir mouvoir d naturer une r alit lever un tabou Pour les aider comprendre cette difficult demander aux l ves comment ils r agissent mais aussi ce que eux souhaitent et ne souhaitent pas montrer aux autres et les raisons qui motivent leurs choix Qu en est il de l ob sit en images 93 Finist re Sur le WEB Ce qui a pr sid la s lection des sites repris ci dessous c est leur int r
38. probl me certains l ves qui prenaient plus l activit comme un travail de recherche avec compte rendu de recherches Cela peut tre d l ge des l ves ils taient un peu jeunes classe de S me Les difficult s ont t moins importantes quand les l ves ont collect des informations hors des murs de la classe ou du CDI Rencontrer des acteurs du d veloppement durable dans leur quartier leur a permis d tre plus actifs et plus motiv s La publication sur la plate forme a t faite par les l ves eux m mes lorsque le calendrier le permettait Un nombre important de coll gues d clarent que tous les articles n ont pas t publi s sur la plate forme par manque de temps La publication des articles n a pas toujours t enti rement r alis e par les l ves mais par la documentaliste ou par les enseignants par manque de temps Le manque de temps d l ch ance qui arrivait en m me temps que plusieurs projets dans l tablissement changes voyages a perturb la fin de la r alisation de la classe presse Vous tes nombreux dire que si c tait refaire vous consacreriez plus de temps d s le d but du projet l criture des articles Vous tes aussi nombreux dire que si c tait refaire vous ajouteriez dans le calendrier de la classe une rencontre avec le journaliste parrain pour qu il pr sente les diff rents types d articles et leurs contraintes d critures Con
39. retrouver les lieux pr cis o ont t prises les photos o dans la cour o dans la classe Ce que montre la photo ce qu elle ne montre pas A l aide des bo tes en carton fabriquer des appareils photographiques d crire ce que l on voit dans le cadre chercher retrouver les lieux de prises de vue Les remarques seront analys es discut es ce que je vois ce que je ne vois pas Pourquoi C est trop haut trop bas pas pareil 3 R aliser cinq clich s dans l cole II s agit d encourager les l ves avoir un regard s lectif prendre des photographies partir d intentions pr cises Apr s plusieurs manipulations de l appareil photo les l ves par groupe de 2 ou 3 choisiront de photographier un lieu dans l cole la classe le couloir la BCD la cour Mais il faudra apr s plusieurs essais de cadrages l aide de caches en carton d terminer le lieu Une fois ces d cisions prises chaque groupe tentera de r aliser cinq clich s de l cole qui seront regard s comment s et l gendes quelques jours plus tard 222 Finist re gt Rep rer les genres journalistiques Objectifs Pour rendre compte d une information d un fait ou d un v nement le D couvrir les journaliste dispose de techniques r dactionnelles vari es Selon qu il principaux s agira de relater un fait de l expliquer de le commenter ou de le mettre en genres sc ne le r dacteur choisira le genre journalistique
40. sont propos es et pourquoi Qui produit ces messages et dans quel but A qui s adresse ces messages et comment sont ils re us sont des entr es efficaces permettant de travailler sur les productions m diatiques elles m mes sur leurs origines et sur la mani re dont elles sont construites diffus es et re ues Ces questions les am nent aussi r fl chir et s interroger sur la nature des relations qu ils 61 Finist re tablissent avec les m dias tant sur le plan individuel que collectivement M me si certains de nos l ves ont peu de pratique de lectures d un journal ils ne sont pas pour autant des r cepteurs passifs Bien au contraire Nos l ves aussi sont impr gn s de cette culture qui fa onne leurs perceptions du monde et avec laquelle nous enseignants et adultes nous devons composer Tout en les informant et les divertissant les m dias nourrissent l imaginaire de nos coll giens fa onnent leurs habitudes et leurs opinions Ils apportent donc dans leur sac de coll gien et dans leur imaginaire une foule d impressions qui proviennent de leur fr quentation diversifi e mais assidue des m dias publicit s omnipr sente s ries t l vis es magazines people radio clips vid os et bien d autres sollicitent tr s largement ce public Malgr leurs diff rences ils sont tous tr s sensibles l esth tique des langages utilis s par les m dias image son couleur clairage
41. 356 tonnes Jus de fruits en 2002 300 tonnes En 2005 251 tonnes Chocolat en 2002 100 tonnes En 2005 634 tonnes sources site Max Havelaar et comprendre l actualit par l image Hachette pratique 2008 e Pourquoi du bio Gr ce son image rassurante pour la sant et pour l environnement l agriculture biologique conna t de puis quelques ann es une progression importante l chelle mondiale L Europe repr sente les plus grosses ventes de produits bio Mais le march reste limit et les contraintes li es ce mode de culture sont un frein son d veloppement Comprendre les raisons contexte e En 1986 en Europe l agriculture bio faisait ses premiers pas officiels dans un scepticisme g n ral et sous les moqueries d une majorit d agriculteurs hostiles 142 o a a Finist re e 20 ans plus tard bien que marginal 1 4 de la production agricole europ enne selon les pays le bio a la c te Il r pond aux pr occupations du moment s curit des aliments sant go t du terroir environnement e C est d abord dans les r gions m ridionales de la France que progresse l agriculture biologique en particulier dans les r gions de moyenne montagne Il est plus facile pour les petites exploitations que pour les grosses de faire leur r volution e Le nombre d exploitation a tripl Nombre d exploitations travaillant sous le label biologique depuis 1995 1995 3700 exploitations 2005 11 4
42. 38 o a a Finist re Quels contenus aborder 1 Le dispositif p dagogique des classes presse e un th me nourrir se nourrir et 5 rubriques e une m thode de travail ouverte d autres Michel Chouzier IA IPR responsable acad mique EDD Alain Le Sann CRISLA Bretagne centre de R flexion d Information et de Solidarit avec les peuples d Afrique d Asie et d Am rique latine Sonia Scolan du CASI Bretagne coordination des associations de solidarit internationale en Bretagne Isabelle Desestret Mazard du CDDP du Morbihan e une approche interdisciplinaire 2 Pour impulser le projet classe presse avec les l ves quelques constats dans le Finist re un travail d quipe des comp tences transversales questionner les repr sentations li es au th me le positionnement des l ves en d but du projet comprendre la relation des l ves avec les m dias mieux articuler analyses des m dias et critures des articles 3 Finalit et probl matique des th mes classes presse e une approche ducative e organisation du dossier et d clinaisons p dagogiques du th me 2008 2009 e 6 parcours p dagogiques propos s pour un travail avec les l ves 39 Finist re Le th me des classes presse 2008 2009 Nourrit se nourrir Apr s Le respect La r ussite Echange dialogue partage Demain F minin Masculin et Le d veloppement durabl
43. Archim deEd L cole des Loisirs 2003 La s curit alimentaire Ce livre traduit l actualit alimentaire la r volution alimentaire l agriculture et l levage intensifs la mondialisation le retour la nature et ses acteurs Tout est expliqu de fa on directe et concentr e bref compr hensible On demande votre avis on met les faits en vidence on affronte les probl mes A partir de 10 ans Andrea Claire Harte Smith Ed Gamma cole active 2002 Vid o documentaire L le aux fleurs En tra ant le chemin d une tomate le r alisateur r ussit en l espace de 12 minutes d montrer les rapports production distribution consommation d chet ainsi que les injustices qu ils engendrent Par la prise de conscience et le flot de questions qu il peut faire na tre ce film court et percutant peut facilement ouvrir un d bat aupr s des l ves R alis par Jorge Furtado Lib ration Films 1989 149 Finist re 150 Finist re Et dans l avenir qui va nourrir le monde Ou faut il au Nord d j avoir peur de manger Manger est un besoin vital Tout le monde s accorde sur cette id e Mais alors pourquoi ceux qui nous nourrissent sont ils de moins en moins nombreux dans les pays industrialis s alors que la population mondiale ne cesse d augmenter Pourquoi ceux qui nous nourrissent sont dans le monde ceux qui ne mangent pas toujours leur faim Sommes nous trop nombreux O en est on de la faim dans le monde Le
44. C est d j une revue de presse mais elle est simplifi e 2 me m thode Apr s feuilletage et prise de connaissance des informations le groupe rel ve les sujets qu il souhaite retenir en fonction de l int r t qu il y d couvre Choix des sujets privil gier Sur un m me sujet chaque groupe compare les articles Comment les titres la une sont ils d velopp s Quels articles trouve t on en pages int rieures Les articles sont d coup s analys s et confront s Points communs et diff rences dans le compte rendu des faits Part de factuel et de commentaire Passages similaires signal s l aide d une m me couleur Citations mises en valeur L origine des articles doit tre rappel e avec pr cision Les r sultats de l analyse sont comment s sous forme de l gendes manuscrites Ce proc d permet une lecture d ensemble 211 Finist re gt Ecrire pour tre lu La facilit de lecture tel doit tre l objectif num ro 1 Il faut partir du principe suivant le lecteur ne connait rien ou presque au sujet abord Le plus grand respect que l on peut avoir pour son lecteur est d crire court Plus un texte est long moins il est lu et plus les lecteurs d crochent en cours de lecture Longueur maxi 100 lignes journal 3000 signes Qualit et densit des textes Un texte doit aller l essentiel d s le premier paragraphe les informations doivent ensuite d encha ner par ordre d croissant d importanc
45. Dans cette classe comme dans d autres ce sont ces interactions qui ont dynamis organis et enfin structur les apprentissages venir Y compris celui de l criture Ce premier temps de lectures individuelles du journal et de restitution collective devant la classe met tr s souvent en mouvement la d marche d criture d articles avec l envie de communiquer d autres que nous les autres l ves de la classe qui n ont pas travaill sur la m me recherche documentaire mais qui ont t veill s la curiosit des autres par l change collectif puis d autres que la classe 3 Comprendre la relation des jeunes avec les m dias une relation tr s polys mique Pour aborder en classes presse l tude d un message d un texte ou d un document m diatique quel qu il soit plusieurs champs d investigations peuvent tre privil gi s Naturellement il est tr s souvent impossible de traiter tous ces domaines d investigation Mais le fait d aborder de mani re r currente l tude et la pratique des m dias selon ces domaines d investigation nous semble propice favoriser le d veloppement des comp tences des l ves et le transfert de ses observations et d couvertes d autres m dias ce qui est une condition n cessaire pour leur apprendre une autonomie critique Pouvoir familiariser nos l ves ces questions cl s e Quelles repr sentations de la r alit nourrir se nourrir
46. Gr ce France TURBOT une entreprise de Noirmoutier 85 qui l ve et exporte du turbot Aujourd hui ces prennent m me l avion ils sont endormis pour pouvoir tre transport s Le technoparc des 24h du Mans 72 est une zone industrielle consacr e l auto mobile Depuis 1995 Elf une entreprise p troli re y dispose d une fili re une cole pour former des jeunes Le lyc e de Vallet 44 a ouvert ses portes au moins de novembre dernier dans la campagne nantaise Le conseil r gional qui a d cid de sa construction a voulu en faire un lyc e de taille moyenne 600 places pour que les l ves aient plus de plaisir y travailler Mais c est aussi un lyc e poissons ultramoderne La sortie de la PlayStation 2 au Japon est un v ritable succ s Sony pr voit d couler un million de consoles en deux jours Le fabricant est d j au bord de la rupture de stock En France il faudra attendre l automne pour tester la nouvelle PlayStation Sony souhaite en vendre 100 millions dans le monde Sega avait commenc la guerre des consoles en septembre avec sa Dreamcast Nitendo la finira en sortant Dolphin l ann e prochaine 232 ss prassa Finist re gt Lire une photo de presse Observe bien cette photo Ecris un petit texte pour d crire ce que tu vois Ecris la l gende de cette photo L gende 233 Finist re gt Guide du r dacteu
47. Notions g nie g n tique risque biologique les OGM et la faim dans le monde D marche constitution d un dossier de presse rencontre de scientifiques d acteurs d associations de consommateurs et de producteurs Objectifs conna tre ce que sont les biotechnologies prendre conscience de la notion de risque biologique d velopper un esprit critique de responsabilit et de solidarit Partenaires chercheur m decin cologiste association humanitaire producteur consommateur Etapes de r alisation Les OGM on en parle partir des repr sentations des l ves et faire un sondage propos des biotechnologies argumenter les avis et analyser les r ponses constituer un dossier de presse partir des articles sur la Conf rence mondiale sur la faim et sur les plantes transg niques relever les arguments favorables et hostiles la diss mination d OGM et leur d veloppement Classer ce qui rel ve de donn es conomiques scientifiques thiques cologiques Confronter les arguments avanc s dans la presse ceux fournis par les l ves G nie g n tique et risque biologique e Qu est ce que le g nie g n tique visite d un laboratoire ou rencontre avec un biotechnologue rechercher et expliquer les principales diff rences entre s lection dirig e classique et transg n se lister les divers modes de s lection des plantes et donner des exemples d application e Prise en compte de la notion
48. Pour les l ves le ou la documentaliste peut est l en dehors des heures de cours pour r pondre aux questions des l ves sa pr sence permet de faire un lien entre les diff rentes s ances Une ressource Les classes presse et la recherche documentaire les classes presse passent forc ment par une phase de recherche documentaire le ou la documentaliste est la fois disposition des l ves pour trouver des ressources ou des contacts ext rieurs aux l ves afin qu ils puissent avoir mati re r diger leur articles Le travail en atelier L op ration classes presse favorise le travail en atelier et donc en bin me atelier d analyse des quotidiens et atelier d criture Les classes presse reposant souvent sur des travaux de groupe la mise en place de s ance en bin me avec le ou la documentaliste permet d tre plus attentif chaque travaux d l ves Le CDI Le lieu CDI permettra enfin d avoir un endroit o d poser et disposer des dossiers presse des recherches en cours des l ves Cette organisation permettra alors aux l ves de poursuivre leur travaux notamment lorsque leurs enseignants ne travaillent sur le projet classes presse que une deux heures par semaine Pour toutes ces raisons la pr sence du ou de la documentaliste au sein de l quipe classes presse est une n cessit N h sitez pas en d but de classe presse fixer un temps de concertation avec cette quipe au complet afin d labore
49. Sur les marques li es aux produits il importe galement de montrer comment elles contribuent un syst me destructeur vis vis des ressources naturelles et g n rateur d in galit s Lorsqu on parle de la probl matique des marques on rejoint celle de la publicit de la soci t de consommation et de ses effets sur l environnement et les gens explique Vincent Cheynet de Casseurs de pub Une attention particuli re est d ailleurs port e sur les jeunes de banlieues Les classes les plus fragiles en prennent plein la vue Nous travaillons donc tout naturellement avec les enseignants de ces zones On voit l des enfants compl tement d structur s socialement mais surint gr s conomiquement En d autres mots ils int grent toutes les valeurs du march mais repoussent les valeurs sociales Il y a un gros travail faire e Sur l mergence des nouvelles formes de publicit s 76 des gens ne croient plus en la pub 78 font confiance en leurs pairs 24 se fient aux blogs pour leurs choix Mon m tier trouver les personnes qui ont de l influence par exemple le passionn de p che reconnu par ses pairs qui parlera sur son blog ou dans ses soir es de 101 Finist re mon produit pour p cheurs Gr gory Pouy de Buzz paradise e Sur la r glementation des espaces publicitaires et des contenus Il est interdit d interdire Si la libert d expression notamment via la publicit est garantie par la Convention euro
50. a d abord propos moi Comme si les diff rences de comportement ne pouvaient tre dites ou engageaient trop celui ou celle qui s identifiaient comme diff rent e Alors Comment celui qui me dit que la viande rouge donne des forces que l eau me purifie et fait maigrir que les c r ales X sont indispensables pour mon petit d jeuner que cette boisson donne des ailes ou que ce plat pr par rend heureux une famille comment le sait il Le sait il vraiment Ou veut il que nous le croyons Et comment pourrai je manger ce que je ne connais pas Autant de questions qui ouvrent des perspectives la fois pour mieux comprendre les diff rences culturelles d un pays l autre r v l es par les diverses fa ons de se nourrir mais aussi pour accepter les diff rences individuelles et questionner des repr sentations Certains l ves ressentent de la r pugnance envers un aliment et rejettent par ricochet ceux qui la consomment Et par ricochet encore leur culture S interroger sur nos pratiques alimentaires c est aussi l occasion de faire aussi de la g ographie et de l ducation civique de s initier ou d approfondir les langues trang res par la traduction des menus d aborder l ducation l image en particulier publicitaire bref s ouvrir aux diff rences Et comprendre que nos repr sentations sont toujours trompeuses et nourrissent m me parfois nos valeurs Pour le meilleur et pour le pire P
51. actuaiit fiction Tous les filins de France des DOM TOM d Europe du monde peuvent participer ta s lec on Les dates de la manilestalon sont confirmer elles secsient donc les jeudi 25 et vendredi 26 juin 2009 Le Clap Sant Jeunes ser l occasion marquer lt journ e irtemation le de kitte contre l abus et le trafic ilicite de drogues Ex e degus 7 par l Assembl e g n rale des Nalions Unies la date du 26 juin Toutes informations sur le site Clapsent jeunes Demain l Europe Nantes lance un rendez vous europ en aux jeunes _ LIRE La conf rences A und Semaine de la presse A Avec Ouest France j ai La mondialisation d couvert Les ann es pr c dentes Avec le journal Travai sur l criture Jeunes citoyens Initiatives Travai sur l image Su daires e i Z RA Doilymotion LEW Liens utiles 50 autres th mes 7a dire du 11 octobre 2008 Nos partenaires par MANTEST A l occasion du forum Parcies d Europ ens Nantes Jean Michel Naga Derniers articles d bat avec ses invit s de Nantes 7 sur les Dans entre l Europe el ses citoyens Les autres sites L exp rience d Eureradio Nantes le tente et la parole Consulter kes derniers Ouest France Cat babel une association eurup enne de journalisme articles mis en ligne Les jeunes crivent l Europe inscrivez vous 256
52. agricole de type industriel Ce sera l occasion de lire des graphiques des cartes sur la taille des entreprises sur les productions agricoles c r ales bovins ovins lait vignobles L agriculture fran aise constitue la plus importante en Europe En prolongement de l activit pr c dente on pourra travailler sur les techniques qui permettent de d velopper une agriculture association de exploitations en coop ratives pour faire face aux lourdes d penses utilisation de techniques g n tiques pour augmenter la production le rendement Utilisation des engrais et des pesticides pour am liorer le rendement Ce sera l occasion de mettre en place une r flexion sur des th mes d actualit les risques de ces fameux OGM voir fiche de travail dans ce dossier les pesticides les engrais et la notion d cosyst me Ce sera mettre en rapport avec le d frichage et la suppression des haies reconstituer l cosyst me d une haie ou d un champ et ce qu il devient avec les nouvelles techniques pour am liorer la production ces techniques sont elles utiles n cessaires Questions pour un d bat en classe l exode rural et l volution des exploitations Pour travailler ce th me EN SVT Etude du ph nom ne de fermentation au travers de l exemple du yaourt et du pain 2 produits facilement r alisables en classe La fermentation produite par la levure peut tre constat e gr ce la fabrication de pains azymes cuits sans le
53. b Si vous voulez contacter la r daction d Enqu te d emploi enquete emploi orange fr En France comme dans le d partement le nombre d em plois pourvoir est norme Plus de 3000 dont 900 cuisiniers selon l enqu te Besoin de main d uvre 2006 r alis e aupr s des entreprises finist riennes Probl me le personnel qualifi fait cruellement d faut dans ce secteur d activit s V ritable pilier conomique d partemen tal avec 3 100 entreprises bars et discoth ques compris pour un peu moins de 17 000 actifs l h tellerie restauration est le quatri me employeur du Finis t re selon l Umih 29 Etre passionn En t les besoins en person nel sont logiquement plus forts Mais des emplois sont pour voir toute l ann e et tous les niveaux nuance Ghislain Mari ton directeur d l gu de l ANPE du Finist re Sud Le recrutement lui ne conna t donc pas ou peu la saisonnalit Il s tale sur l en semble de l ann e l image du travail r alis par la plate forme des vocations de l ANPE Brest Celle ci vise valoriser les habi let s de la personne un poste de travail Et ce quels que soient sa formation initiale et ses dipl mes Philippe Corre patron de l Hostellerie Saint Mathieu approuve cette d marche Et ce chef cuisinier exp riment d in sister Nos m tiers sont acces sibles Quelqu un qui n a pas un gros niveau scolaire peut gale ment de
54. bat en classe Ce ph nom ne de manipulation sera d autant plus important avec les nouvelles formes plus ou moins cach es de publicit s Si l apparition sur de nombreux sites internet des bandeaux publicitaires parfois en plein milieu de l cran est facilement rep r e par les l ves comme tant de la publicit il n en est pas de m me pour certains blogs Principalement ceux associ s un sport ou un loisir Arr tons nous quelques instants sur les forums ou blogs d Internet Pour les l ves ce sont des lieux de discussions ouverts et sans pression surtout pas publicitaires Qu en est il r ellement Comment expliquer alors que sur ce blog consacr aux supporters de ce grand club de foot suite au match retransmis la t l vision plusieurs internautes lancent en m me temps une apparente banale discussion sur la marque de cette nouvelle boisson pourtant interdite dans d autres pays Aujourd hui les publicitaires vont plus loin en investissant les nouvelles technologies Ciblant les usagers d Internet ils s infiltrent dans les forums et autres blogs pour propager la promotion d un nouveau produit l insu bien souvent des utilisateurs de ces nouvelles technologies qui inconsciemment propagent leur tour par bouche oreille ou discussions sur le net la surench re m diatique d un produit cibl par les publicitaires Objectif Plus la confusion des genres et des buts sera entretenue plus la possibilit
55. cificit du menu enseignant Menu principal Page d accueil Rubriques e La liste des inscrits Ecrire un article iia 7 offre la possibilit aux enseignants de contacter par l envoi d un message un coll gue le journaliste parrain le Clemi ou les responsables des journaux partenaires iste des inscrits Articles suivants Autres options e La recherche d articles par le n ID Chaque article est identifi par un num ro Vous pouvez RE retrouver facilement un article en inscrivant le num ro dans Valider le champ de recherche et en validant 11213141516171819110111112113 14 15 e Trouver le n ID d un article o soit apr s avoir affich l article et en regardant dans la barre d adresse Coll ge Pier An Dall CORLAY le Ven r 02200092 B E Ag e de 22 ans et originaire de Corlay 22 Anne Laure Duedal a choisi une orientation originale pour une femme Son parcourt le montre bien masculin Apr s avoir obtenu un baccalaur at scientifique elle choisi de poursuivre ses tudes l I U T de Pontivy en ans les m tiers Ania rhimimin nt n nia dan rmenr d gt EA Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de 0810454 YY l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr assitancegactennes ii d Manch m ve
56. classe22 Titre Le bouton Classer dans les Die brouillons permet de sauvegarder un Rubrique Ech dial part au col ge travail non achev R diger un article court A _ M me si ce n est pas obligatoire il est Pr visualisation Classer dans les Eroun Poster souhaitable d avoir fini le travail d criture avant de le poster sur la plate forme Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr assistance informatique 10456459 Giitancegsctennes ft Daho ms vendre de 209 1739 FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE Si l article a t enregistr dans les brouillons vous retrouverez votre travail en cliquant sur le lien Ecrire un article gt Liste des articles de vos brouillons R f Titre i Rubrique j _ Mise jour Modifier Supprimer 1667 article de test gt R ussite au coll ge 26 10 2005 14 07 49 Modifier Supprimer Cliquer sur un article pour le modifier et ou le poster Un tableau des diff rents articles stock s dans les brouillons appara tra Le titre de l article ou le lien modifier permettent alors d acc der la page de r daction de l article Il suffira ensuite de poster l article L article ne sera env
57. clemi Bretagne gt fiche 11 le commerce quitable partir d un exemple la banane lt fiche 12 le monde de la p che consulter sur le site clemi Bretagne gt fiche 13 Prendre position crire un article d opinion 134 o a a Finist re Fiche 8 d o viennent les produits alimentaires que l on consomme et comment arrivent ils jusque dans nos assiettes Objectifs Mieux comprendre la diversit des mod les agricoles et leurs cons quences sur l environnement Saisir l impact l chelle mondiale des produits de consommation courante Evaluer le co t environnemental de notre alimentation Aborder les notions de tra abilit fili res courtes Prendre en compte la notion de d veloppement durable dans l alimentation Mat riel Des produits alimentaires achet s dans le commerce Une grande carte murale du monde Papier fils de couleurs colle ciseaux D roulement 1 D terminer l origine des ingr dients des produits alimentaires pr sents dans le commerce Les l ves choisissent un aliment et construisent un r seau montrant les divers endroits d o il provient Il faut essayer d inclure dans ce r seau le plus d information possible concernant l endroit o le produit a t cultiv ou fabriqu celui o a t fabriqu la mati re utilis e pour l emballage celui o le produit a t entrepos avant sa distribution Il faut aussi indiquer comment le produit a t trans
58. courts reportages se succ dent proposant des approches compl mentaires historique la d couverte des aliments volution des usages scientifiques relations physiologique de l homme avec ses aliments sociologique volution des habitudes alimentaires de la soci t philosophique artistque linguistique 4085 et 4086 ALIMENTATION Cycle 3 Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Vid ocassette C est pas sorcier 42 boire et manger Courant Fr d ric Gourmaud Jamy Riff international 55 Finist re production 1994 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son Emission n 11 diffus e le 18 12 1994 Fred et Jamy nous d voilent les coulisses d un grand restaurant Qu est ce que le go t et les ar mes Comment per oit on le sucr et le sal Pourquoi les aliments ont ils du go t Que se passe t il quand on fait cuire un aliment Comment les go ts se r v lent ils PLURIDISCIPLINAIRE Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Vid ocassette Bien dans son corps 4 Equilibre alimentaire Cros Jean Louis r alisateur Cros Roland Delebecque H l ne CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1998 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM sonore 1 livret 14 p Interrog s sur leurs pratiques alimentaires les jeunes avouent mal se nourrir tout en s inqui tant de la qualit des aliments L image d un corps mince se heurte la r alit des gr
59. coutumes les diff rents types d agriculture les risques sanitaires les organismes g n tiquement modifi s Aborde galement la question de la faim dans le monde 641 642 BUL Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Livre Alimentation atout prix guide de formation et d intervention INPES INPES 2006 164 p fiches transparents Ce classeur a comme objectif de former des professionnels et des b n voles du secteur m dico social et associatif et de promouvoir des actions autour de l alimentation aupr s de personnes en situation de pr carit Il propose aux intervenants en ducation nutritionnelle une r flexion thique et des fa ons d agir face aux besoins et demandes du public il aborde l alimentation sous les 3 angles compl mentaires acheter pr parer manger il permet aux b n ficiaires d explorer leurs repr sentations et attitudes de rep rer les facteurs li s l environnement social et conomique afin de mieux percevoir ce qui les influence dans les diff rents actes alimentaires il favorise la construction de solutions personnelles adapt es chacun il valorise l alimentation et les ressources personnelles des participants il donner ou redonner le go t et le plaisir de manger de pr parer Les fiches de ce classeur sont t l charger sur le site de l INPES http www inpes sante fr 642 ALI Livre Casseroles et prouvettes This Herv Belin Pour la science Bibl
60. critique et r fl chie vis vis de l information disponible id 5 La culture humaniste La culture humaniste permet aux l ves d acqu rir tout la fois le sens de la continuit et de la rupture de l identit et de l alt rit Elle contribue la formation du jugement du go t et de la sensibilit Elle enrichit la perception du r el ouvre l esprit la diversit des situations humaines invite la r flexion sur ses propres opinions et sentiments Connaissances En donnant des rep res communs la culture humaniste participe la construction du sentiment d appartenance la communaut des citoyens aide la formation d opinions raisonn es et pr pare chacun la construction de sa propre culture Les l ves doivent avoir des rep res g ographiques des rep res historiques les v nements fondateurs les caract ristiques permettant de les situer les unes par rapport aux autres en mettant en relation des faits politiques conomiques sociaux culturels religieux scientifiques et techniques litt raires et artistiques ainsi que les ruptures Tout l ve doit comprendre la complexit du monde par une premi re approche des droits de l Homme de la diversit des civilisations des soci t s des religions aire de diffusion contemporaine les grands principes de la mondialisation des in galit s et des interd pendances dans le monde des notions de ressourc
61. d parte mentaux d un m me jour et de magazines d information g n rale d une m me semaine rep rer les diff rents types d images Les l ves d coupent toutes les images sauf les publicit s avec leur l gende et notent les sources au dos nom du journal rubrique titre de l article d o l image est extraite cr dit photo Pour prendre conscience de la vari t des images publi es et de la diver sit de leurs r les ils cherchent diff rents crit res de classement type d images taille sujet couleur 2 R aliser un tableau double entr e avec le type d image photo des sins sch ma bande dessin e et la cat gorie de presse quotidienne d in formation news magazine o l on note le nom des journaux Exploitation g n rale du tableau quel type d images dans quel type de presse Exploitation par type d image les l ves reprendront par exemple les portraits ou les sch mas et rep reront les rubriques dans lesquels ils apparaissent le plus souvent conomie sport science 2 Rep rer la fonction de l image dans la rubrique Les l ves se reportent des journaux non d coup s choisissent une rubrique par exemple le sport Ils r fl chissent au r le assign l image quelle information apporte t elle Est elle descriptive d une situation Symbolique Cr e t elle de l motion Est elle compl mentaire du texte Une simple illustra tion dans la page PROLONG
62. dans les zones rurales et dans les pays en d veloppement principalement en Afrique o la situation dans certaines r gions est catastrophique Soudan Nigeria Mais aussi en Inde et en Chine Dans les pays industrialis s aussi des millions de personnes n ont pas acc s une alimentation suffisante En France quelque 2 5 millions de personnes ont recours chaque ann e l aide alimentaire Selon les derniers chiffres l aide alimentaire a augment de 8 depuis 2006 Pourquoi cette situation Quelles sont les causes de ces in galit s Pourquoi les paysans qui sont cens s nourrir la plan te ne parviennent ils pas se nourrir eux m mes Aider oui mais comment Qui sont les victimes de la faim Des chiffres Selon la FAO Dans le monde 852 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim 3 sur 4 sont des agriculteurs e Sur 100 personnes qui ont faim 80 sont des ruraux 20 vivent en ville La Terre compte 6 5 milliards d habitants Elle peut en nourrir 12 milliards Chaque jour 17 000 enfants de moins de 5 ans meurent de maladies li es la malnutrition En 40 ans le cours du riz a chut de 42 e 2 milliards de personnes vivent avec moins de 2 euros par jour au del du seuil de pauvret Plus de 2 5 millions de fran ais ont recours l aide alimentaire Dans 30 ans les sous aliment s pourraient tre de 1 2 milliards principalement en Afrique e 3 milliards de personnes dans le
63. de r tabir forire par la dictature de la loi comme il le pr tendait son arriv e au pouvoir l ancien officier du KGB a res taur l arbitraire et l impunit Poutine n h site pas tordre ls bras de voisins enclins se tourner vers l Eu rope et l Otan On l a vu au d but de l ann e quand Moscou a coup le gaz l Ukraine On le constate nouveau avec le blocus de la G orgie at la chasse aux G orgiens qui bat son plein en Russie Seulement voll l Europe occiden tale d pend 25 de la Russie pour son rav aillement en gaz et en p trole un moment o la demande mondiale et la perspective d un puisement des gisements font flamber les prix Cela donna Moscou un avantal at gique si consid rable que l Union au moment de revoir son partenariat avec la Russie souha e y inclure un volet relatf l nergie C est pour elle une u pr sent chaque tat traitait lui m me avec ses fournisseurs ion du reste est diff rente d un pays l autre selon que l on y trouve ou pas du charbon du p trole de l lectri c hydraulique ou nucl aire Pologne R publique tch que et Pays baltes sr ritent de voir se construire un ol oduc direct entre la Russie st l Allemagne qu contoume leurs propres territoires Or l Union repr ssnterait une force de n gociaton commerciale bien plus puis sante si ele s entendai sur les grandes gnes d une politique nerg tique corm mune La
64. de risque d finir les notions risque biologique principe de pr caution faire une synth se de l avanc e des recherches et des applications en biotechnologie analyser les pr cautions utilis es et les risques encourus par la recherche et l utilisation d OGM pour la sant humaine et pour l environnement Partir d tudes de cas tudier les l gislations existantes Qu en conclure sur le plan thique 167 Finist re Les OGM un rem de contre la faim rechercher les potentialit s et les probl mes li s l utilisation des plantes transg niques dans les pays d velopp s d un point de vue conomique rentabilit nouveaux march s social agriculture non agroalimentaire r cession des friches cologique controverse entre partisans et adversaires thique information des consommateurs test d innocuit tendre cette tude aux pays en d veloppement effets de l introduction d OGM sur l agriculture traditionnelle le transfert technologique l acc s de nouveaux types de vaccin imaginer un jeu de r le propos d une conf rence de presse sur le th me de la faim faisant intervenir chercheur d mographe cologiste association tiers mondiste et porte parole d une firme fabricant des OGM Les repr sentations initiales des l ves ont elles volu En faire l analyse 168 Finist re Fiche 18 valoriser la biodiversit D marche Etude de marketing Lancement d un produit Object
65. des rubriques Monde Europe France Bretagne d partement locales sports cultures regards TV Der 195 av d de Gaulle BRUZ 02 93 52 73 77 wern ca neudagre com f ouest rance Finist re Rennes Vendredi 20 octobre 2006 phone 02 99 32 6 waw ouest irence tr N 18880 0 85 de la publication s R gis Hutin Pr sidentielle Va t on Menace sur 89 m dicaments revivre le choc de 2002 SG Le choc du 21 avril 2002 s expliquat par une forte conse conomique et sociale provoqu e par le ch mage avec son lot de souffrances de gens d boussol s et aussi de col re sx mois de la prochaine lection pr sidentielle ces causes demeurant affirme le potologue Pascal Pemineau Certaines se sont m me accentu es Qintenvew en page 3 Les droits de l homme doivent composer avec le gaz russe Malaise europ en face Poutine Pour diner avec Viacimir Poutine ce soir en Finlande las vingt cinq Euro p ens pourraient avoir envie d une grande cuiller Certes le pr sident pas le diable Nombre des urtant aimeraient se tenir la Russie les inqui te Tous ont condamn l assassinat de la journaliste Anna Politkovskaia le 7 octobre devant son domicile mos conte lis savent que ce meurtre sans pouvoir tre imput directement au maitre du Kremlin t moigne d une mont s cs la vigience proportionnelle la restriction des libert s Loin
66. du projet avec les l ves Curiosit chez les l ves par rapport l objet du journal lui m me Je me rappelle d un temps fort o mes l ves ont t tr s surpris et contents d apprendre qu ils auraient un journal pour eux chaque jour J ai compris alors que pour cette classe le fait m me d avoir son journal tait d j une action concr te qui les valorisait et qui allait les faire grandir car il cr ait d j des attentes qui les mettaient en situation de se poser des questions J avais oubli que tr s peu d l ves ont r ellement l occasion de lire un m dia papier d information Encore moins d en discuter Et pourtant nous ne sommes ni dans une segpa ni dans un coll ge labellis ZEP 26 Finist re Certains voquent tout de m me le fait que les l ves n ont pas manifest d int r t particulier pour ce projet ni pour ce th me mais qu ils se sont pris au jeu par la suite A noter moins d int r t d avoir son journal de la part des 3DP implant s dans les lyc es et qui ont d j un journal r gional leur disposition Pour eux le fait d avoir leur disposition le journal chaque jour tait d j habituel L effet surprise n a donc pas eu lieu La pr sence abondante du journal concurrent dans le lyc e explique en grande partie le peu de motivation pour eux d avoir le T l gramme au d marrage du projet Leur attitude tait parfois m me n gative pourquoi eux avai
67. entr e du journal c est la premi re page Comprendre Elle t moigne du choix d une r daction et de la hi rarchisation de l organisation l information Voici un exercice classique qui permet de synth tiser d une Une Prendre con de ses fonctions Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Feuilles au format du ou mieux gabarits du journal Echantillon de journaux du jour Si possible un rouleau de d p ches d agence de la veille voir fiche Le r le des d p ches d agence Ciseaux feutres r gles etc Organisation Travail par groupes Mots cl s El ments constitutifs d une Une manchette tribune hi rarchie de l information mise en page rapidement les notions de base de l information crite 1 Etude pr alable de la Une Chaque groupe d l ves choisit deux quotidiens de format diff rent afin de distinguer la Une des grands formats classiques et celle des tablo ds Il identifie les emplacements du bandeau de la manchette de la tribune de la sous tribune du ventre Des comparaisons sont tablies entre la com position des Unes de tablo ds et celles des grands formats On a souvent parl d un mode de lecture en Z de la Une tabli partir du mouvement des yeux sur la page Proposez aux l ves de colorier les zones d accroche et de v rifier selon les titres et les formats si c est toujours le cas 2 Demandez chaque groupe de dist
68. et sur ce qu on les m decins les parents les publicitaires leur dit ou impose L ensemble de ces l ments relativise l aspect normatif qui fonde certaines recommandations simplement nutritionnelles et qui n chappent pas aux l ves ne pas manger trop sucr s trop gras et faire du sport Pour autant ces recommandations ont elles du poids sans qu ils en comprennent et les raisons et les enjeux De m me ont elles r ellement un impact si la dimension nutritionnelle est la seule qui a valeur de r gle Suffit il de communiquer pour informer e Les grands d terminants du comportement alimentaire 1 Le pays la soci t et les m dias Lorsqu on interroge ces l ves sur ce qui d termine leur comportement alimentaire le pays la soci t et les m dias viennent en t te de leurs r ponses la profusion alimentaire affich e partout dans notre pays dont les grandes surfaces et les centres commerciaux en sont les preuves visibles mais aussi les messages v hicul s par les m dias magazines pubs alimentaires Internet qui continuent faire le culte de la minceur pour les femmes ou le culte de la musculation ou d un corps bien fait pour les hommes ainsi que l impact des marques des grandes entreprises mondiales de l agroalimentaire sont les premiers cit s 78 Finist re Il est r v lateur aussi que l tiquetage alimentaire et l acc s l information ne soient aucun moment cit s par les l
69. exigibles pour le B2i coll ge correspondent au niveau requis pour le socle commun Elles sont acquises dans le cadre d activit s relevant des diff rents champs disciplinaires Connaissances Les l ves doivent ma triser les bases de la technologie de l information et de la communication composants mat riels logiciels de services courants traitement et change de l information caract ristiques techniques fichiers documents structuration de l espace de travail produits multim dias Ils doivent galement savoir que les quipements informatiques traitent une information cod e pour produire des r sultats et peuvent communiquer entre eux Ils doivent savoir aussi que l usage de ces outils est r gi par des r gles qui permettent de prot ger la propri t intellectuelle les droits et libert s des citoyens et de se prot ger soi m me Capacit s La ma trise des techniques de l information et de la communication rel ve des cinq domaines dont quatre sont d velopp s en terme de capacit s identifi s et d velopp s dans les textes r glementaires d finissant le B2i S approprier un environnement de travail Cr er produire traiter exploiter des donn es S informer se documenter Communiquer changer Attitudes Le d veloppement du go t pour la recherche d informations des fins ducatives culturelles sociales professionnelles doit s accompagner d une attitude responsable qui suppose une attitude
70. exprim plusieurs fois Voici quelques t moignages Le projet a videmment profit aux bons l ves mais il a aussi permis de d velopper la curiosit de tous et leur culture personnelle En ce sens il est tr s positif car il a fait voluer la place et le r le de chacun bon ou en difficult scolaire Il a aussi valoris des l ves en difficult qui ont r ussi crire des articles lus et appr ci s par toute la classe Cela les a plac s en situation de r ussite Ce projet demande un esprit d entraide et de coop ration entre les l ves Nous avons t agr ablement surpris de voir que les l ves les plus en difficult adh raient aussi au projet m me s ils avaient moins de facilit pour le dire et pour s organiser Mais l envie de faire a toujours t l Aujourd hui le constat fait entre nous est que ce projet permet de travailler autrement Tous les l ves bons ou en difficult ont appris apprendre et bien souvent c est le travail de groupe qui a t le plus formateur Tous y trouvent leur compte et les enseignants aussi car c est finalement une belle aventure C est un projet tr s b n fique qui redonne confiance aux l ves en difficult oui je peux crire un article qui sera publi C est une ouverture sur le monde tr s importante De tr s bonnes surprises au final ce ne sont pas les l ves qui ont le plus de facilit s scolairemen
71. extraits de conf rences de presse de documents Diff rencier ce qui rel ve de la communication de l entreprise et de l enqu te journalistique 4 R unir nouveau le groupe classe pour dresser un tableau des diff rentes sources rep r es officielles non officielles t moignages rumeurs etc 5 partir d enregistrements de journaux radiophoniques ou t l vis s on peut effectuer les m mes rep rages Pour les reportages t l vis s on notera la source des images diffus es PROLONGEMENT A partir d un m me v nement comparer les sources et leur traitement dans la presse crite la radio et la t l vision 182 Finist re gt Du fait l v nement Objectifs Le fait brut n existe pas La nouvelle est d j un fait r pertori trait qui e Chercher devient v nement lorsqu elle est jug e particuli rement importante par les comprendre m dias qui la s lectionnent et lui attribuent un emplacement privil gi quelles sont les Cette s lection s op re selon certains crit res le caract re plus ou moins A8 extraordinaire de cette nouvelle et sa plus ou moins grande proximit par e la presse rapport au lecteur Observer PP t x ria 3a F Ea 1 Proposer chaque groupe d l ves de choisir une ou plusieurs par apport d informations successif se constitue une nouvelle R fl chir sur les composantes de l v nement Aborder la structure du r cit de presse Pu
72. l ves ont achet le m me produit alimentaire ils peuvent aussi se centrer sur ce m me produit et en explorer toutes les facettes crit res environnement crit re sant crit re pays producteurs crit res pour l entreprise agroalimentaire e Analyse des publicit s papier ou vid o qui mettent en sc ne ces produits alimentaires achet s par les l ves eux m mes voir la fiche a publicit on s en d marque e Exploiter le site Transnationale site o l on trouve un r pertoire des multinationales class es par type de produit pour faire la carte d identit du produit de la marque et du groupe agrolimentaire dont il d pend 89 Finist re e Se documenter sur le site pour une consommation responsable ou du commerce quitable e Synth se comment prendre une d cision rationnelle Lister les questions g n rales se poser l achat d un produit crit res Faire quelques synth ses des l ments de connaissance indispensables pour y r fl chir Faire une carte du monde des marques agroalimentaires pr sentes sur les produits rapport s par les l ves et ses cons quences Au travers de la discussion mettre en vidence des tensions qui r sultent d une prise de conscience entre plaisir mode et responsabilit par exemple e Ecrire Quel est votre dernier achat alimentaire Pourquoi celui ci et pas un autre Que repr sentait ce produit pour vous Qui ou quoi vous a pouss l achat Dans quel tat d es
73. l vision radios journaux disposent dans le monde d un large r seau d informateurs qui sont la source des informations Il est souvent possible d identifier leur origine la lecture des journaux selon la nature de l information et l endroit d o elle provient 1 Les l ves choisissent une ou plusieurs rubriques dans un quotidien et sans lire les articles rel vent d o viennent les informations relat es qui signe les articles Ils notent aussi l origine des photos qui accompagnent les articles 2 Une premi re mise en commun conduit aux constatations suivantes tous les articles ne sont pas sign s en particulier les br ves il s agit de simples d p ches d autres plus longs sont aussi fournis par des agences de presse mais sign s AFP Reuter ou d apr s l AFP ou une signature accompagn e du nom d une agence Reste que la plupart des articles por tent la signature d un journaliste ou d un correspondant du journal qui indique le pays la ville le village d o il crit Relever dans le texte les origines des informations du journaliste Les l ves sont invit s lire un ou plusieurs articles de leur choix Ils en notent le sujet Ils rel vent si possible les organismes les entreprises les institutions les personnes cit s par le journaliste Comment sont ils cit s Le journaliste fait il usage des pr positions selon d apr s S agit il de d clarations d interviews de communiqu s d
74. le mieux appropri journalistiques son propos Cette fiche propose de faire d couvrir aux l ves cette vari t Etudier les des modes d criture modes d nonciation des textes de presse et leurs fonctions Am liorer la r daction et l organisation des articles des journaux scolaires Public Cycle 3 Coll ge Lyc e Mat riel Un panel de journaux et de magazines d information Une d p che trouv sur Internet par exemple sur le site des grands m dias Un glossaire des termes de presse voir www clemi org f ormation outils g lossaire_presse h tml Mots cl s Genres journalistiques 1 Demander aux l ves de rechercher dans le glossaire mis en ligne sur le site du Clemi les d finitions suivantes br ves reportage interview enqu te ditorial billet A partir d une d p che relatant un fait divers imaginer en quoi consisterait et sur quoi porterait l criture d une br ve d un reportage d une interview ect Etudier la caract ristique de chacun de ces genres relater des faits informer br ve interview expliquer enqu te analyse commenter argumenter billet ditorial raconter faire vivre un v nement reportage 2 Proposer aux l ves de retrouver dans les journaux mis leur disposition des articles trait s sous forme de br ve de reportage d ditorial Par groupe et apr s leur recherche les l ves pr sentent la classe un article e
75. les dessous du montage Portail documentation M Utiliser nos ressources M Projet acad mique 2007 q q Expositions Prix national concours journaux Dossiers p dagogiques scolaires Productions d l ves cole Skol ar Vugale de l Ile de Batz Publications 3 Les m dias partenaires en Bretagne Presse crite Radios t l visions internet 3 Liens Clemi National Notre s lection Accueil Plan du site Connexion Aide 255 Finist re gt Site Ouest France ouestfrance ecole com jte aian du ministere de CEdication nationale Accueil Mode d emploi D couvrir Ouest France Exercices sur le journal Articles pour comprendre S orienter vers un m tier 3 novembre 2008 Au programme A voie sarvica La joc uel en Mat riel _ 10 question IONS Soie outis Formations Im rventions t Pourqua un journal Le guide de la presse crite Visites si T n L objectif des suteurs eg de ls presse crite esi Abonnements r avent lout p cagogique Destn tous ceux Qui souhait Comment est A d s iau 5 es hi approfondir leur compr hension de la presse il est con u Hors s ris Ouest France ou 4 cire comme un QUE pratique at synth tique el propose une Chic c est mercredi Comment pour 4 mine de cocuments d p ches artcles issus de quotidiens tre w z gt crivez nous 5 Queles sources pour le du magazines pr
76. leur tour des informations sur les r alit s et les enjeux de l alimentation aujourd hui Ici mais aussi l autre bout du monde Organisation du dossier et d clinaisons p dagogiques du th me 2008 2009 e Des parcours pour entrer dans le th me A construire et mettre en oeuvre partir de vos centres d int r t et de ceux de vos l ves Pour faciliter la lecture et l exploitation de ce document d accompagnement p dagogique des classes th me cette ann e nous vous proposons plusieurs parcours qui correspondent des th matiques sp cifiques Ces parcours et entr es sont compl mentaires L ordre choisi et le nombre de parcours r aliser est fonction de votre projet Les l ves vont la fois quelque soit le ou les parcours que vous choisissez mobiliser leurs connaissances sur ce th me les mettre en relation sur des faits d actualit propos s dans les m dias en particulier dans le journal qu ils ont dans leurs mains Et sortir de la classe pour r aliser des reportages des interviews des portraits e Mettre en valeur le th me selon un angle de vue particulier L int r t est de montrer tous les liens qu on peut tablir partir de l alimentation la sant la citoyennet la gestion des d chets l agriculture la s curit alimentaire les produits locaux les interd pendances des relations Nord Sud e R flexions p dagogiques pour nourrir le th me e Un concept aux multiples facettes Au fil
77. m dias face l actualit 1 Avec les plus jeunes d buter par une revue de presse simplifi e partir des titres des Unes deux quotidiens nationaux et un r gional On propose de confectionner un panneau d information sur l actualit du jour Il s agit de d couper les manchettes comprenant le nom du journal et les titres de Une de les coller sur une feuille en prenant soin de les posi tionner selon l importance des titres et leur position dans la page Ce travail permet d j des constatations quels sont les sujets la Une Quels titres sont communs aux diff rents journaux Quelles sont les ressemblances et les diff rences dans les nonc s Les l ves peuvent enregistrer une revue de presse des titres du jour 2 On peut choisir apr s un feuilletage des quotidiens de ne d velopper que trois informations qui font les titres du jour Chaque groupe travaille sur un seul sujet et examine le traitement d un journal l autre Les articles sont analys s et confront s angles et choix de chacun des journalistes expriment ils des points de vue diff rents ou similaires Chaque groupe r dige lit et enregistre sa synth se accompagn e des cita tions des journalistes concern s Comparer la revue de presse des l ves celle du m me jour diffus e sur une station radiophonique 3 On peut r aliser une revue de presse partir d un seul sujet ou d un seul th me tudier sur une semaine les rubriques mond
78. manger se d cline beaucoup plus largement que la satisfaction d un besoin biologique Car il se trouve au carrefour de l affectif du culturel du social Selon ces l ves les aliments sont porteurs de diff rents r les r le nourricier de maintien en vie mais aussi de marque d affection r le hygi niste de maintien de la forme et de la sant r le h doniste go ts et pr f rences culinaires et alimentaires plaisir de manger se faire plaisir r le social et d identification Ainsi chacun se construit sa propre histoire alimentaire qui r sulte de l interaction de diff rents facteurs biologiques culturels et commerciaux Les diff renciations individuelles vont appara tre travers les comportements alimentaires certains mangent plus ou moins vite les prises alimentaires gros mangeurs petits mangeurs et la perception des odeurs et des saveurs Mais c est du moins dans nos soci t s d abondance pour eux le patrimoine culturel qui est galement tr s largement d terminant dans l alimentation L existence des mod les rep r s ou non d terminent des comportements L alimentation est donc aussi pour ces l ves un vecteur d identit et de communication Elle permet de marquer ses diff rences par l identification ou par l opposition au groupe Les valeurs les croyances et les aspirations mises en jeu sont en constante mutation mais aussi en constante contradiction sur ce qu ils ont envie de manger
79. mouvement gros titre leur parlent d abord affectivement Ces langages utilis s captent leur attention En cela la fa on dont ils entrent dans le journal lors des classes presse est prendre en compte Selon leurs int r ts du moment leurs loisirs les relations qu ils entretiennent avec leurs proches parents fr res soeurs copains leurs pr occupations dans leurs vies de tous les jours leur environnement social et culturel ils vont diversifier leurs parcours de lectures et leurs centres d int r ts Bref ils ne vont pas tout lire ni s int resser la m me actualit Et m me si ils sont capt s par un m me fait ils ne vont pas tous y donner le m me sens 4 Le positionnement des l ves en d but de classes presse Depuis 6 ans de pratiques et de t moignages classes presse nous savons que le journal local avec son ancrage g ographique proche de chez eux mais aussi avec son ouverture vers d autres r alit s plus loign es g ographiquement suscite chez nos l ves une curiosit et veille une sensibilit qui les d centre de leurs propres pr occupations ou qui les valorise Il permet donc aussi de favoriser une capacit de cr ation et d volution dans les liens les contacts sociaux et la confiance qui les relie ou pas un groupe et d veloppe ou pas sa capacit d agir de s informer de prendre position L objectif des classes presse est aussi celui l leur apprendre construire un
80. mun ratrice Les volutions Le continent africain qui a mis bien longtemps s organiser en terme de regroupement et de n gociation porte d sormais ses propres revendications au niveau international dans le cadre des n gociations de l OMC ou de la PAC 1 Que revendiquent les organisations paysannes africaines Qu entend on par souverainet alimentaire 2 Quelle est la plus value des produits vendus par l Afrique Subsaharienne sur la march mondial Comment le cours des mati res premi res agricoles caf coton est il fix Pourquoi la productivit des agriculteurs est elle aussi in gale dans le monde 4 Quel est la cons quence des subventions accord es par les pays du Nord certaines agricultures U Ces mouvements sociaux s organisent en contre pouvoir et ont besoin de relais au Nord pour asseoir leur l gitimit Parall lement se d veloppent au Nord des actions en faveur de la hausse du revenu des populations du Sud Pourquoi parler d Annulation de la dette des pays les plus pauvres A quoi correspond cette dette Est elle l gitime Quels sont les principes du Commerce quitable En quoi celui ci contribue t il la lutte contre la faim dans le monde En quoi consiste la nouvelle approche par les Droits humains conomiques Sociaux et culturels Comment accompagner la construction des revendications africaines et soutenir efficacement l organisation des producteurs fac
81. ne doit pas exc der la capacit des populations se r g n rer impacts sur le milieu marin l exercice de la p che ne doit pas porter atteinte la structure la diversit et la production des cosyst mes concern s gestion de la p cherie conforme aux exigences cologiques l gales et sociales De grandes surfaces ont adopt un label propre comme Carrefour Dans de nombreux cas mener l enqu te notamment dans les poissonneries site du WWWF Suisse www wwwf ch Les dangers du saumon d levage http natpro org 124 Finist re Fiche 6 conna tre les m tiers du secteur primaire Comment comprendre le paradoxe que nous vivons aujourd hui sur le march du travail et plus pr cis ment dans le monde de l agriculture et de la p che qui soul ve beaucoup de doutes quant son avenir De m me les m tiers agricoles et les m tiers de la p che sont ressentis comme appartenant un milieu tr s ferm une histoire de famille et par cons quent tr s peu ouverts ceux qui n en font pas issus La diversit des t ches est mal connue en particulier le travail de gestion administrative et conomique et les choix qui sont faits en mati re de production Une des r ponses est d amener les l ves s informer et partir la rencontre de ceux qui nous nourrissent des agriculteurs ou p cheurs qui vivent pr s de chez eux ou qu ils connaissent afin de mieux comprendre la r alit de leurs pro
82. nourrir les hommes 2 Microbes sur voie lact e Cros Roland r alisateur Baruch Jacques Olivier r alisateur CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1997 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son 1 guide p dagogique 15 p Aliment complet mais aussi complexe le lait produit fini est en fait en constant devenir ce document montre ce qu il est comment on le conserve et pr sente les tapes de la fabrication du fromage qui n cessite l activit de microorganismes En finale un lactobacille baladeur fait d couvrir les installations d une fromagerie ultramoderne 1002 Coll ge Secondaire Vid ocassette Pour nourrir les hommes 3 Aliments de base Cros Roland r alisateur Baruch Jacques Olivier r alisateur CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1997 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son 1 guide p dagogique 24 p 50 Finist re chaque climat son aliment de base riz ma s bl dont la production peut tre augment e par les techniques Le module la ratte et la bintje fait p n trer l INRA lors de la s lection et multiplication de pommes de terre dans des tubes avant leur plantation L aubaine qu a constitu l apparition de cette denr e n a pas empch des famines Irlande lors des pid mies de mildiou 1017 Classe de 6e Classe de 5e Coll ge Secondaire Vid ocassette Mb gu une for t sacrifi e Gillot Michel CNDP Paris Images lire 1992 25 m
83. nous enseignants avec ces l ves Mais que nous devons appr hender diff remment le d marrage du projet et l appropriation du journal En particulier ne pas donner le journal sans consacrer le temps n cessaire pour couter leurs r actions sur ce qui retient leur attention m me et surtout s il s agit de remarques n gatives Accepter qu il faut du temps pour construire une ambiance de la classe o ils se sentent bien et l aise o ils ne seront pas jug s sur leurs difficult s et leurs faiblesses mais sur leurs capacit s imaginer s entraider apprendre ensemble s organiser couter d autres avis Ce travail est long mais indispensable Pour ces l ves plus ils sont amen s verbaliser ce qu ils pensent ou ressentent et plus ils se sentent cout s plus ils vont s impliquer par la suite dans le groupe de la classe et plus ils auront envie d tre compris par d autres que leur groupe C est tout l enjeu du projet classe presse crire pour tre lu Si c tait refaire nous consacrerions le mois de janvier f vrier ce temps de feuilletage et de lecture du journal sans intervenir avec nos contenus disciplinaires dans le contenu Mais en distillant petit petit des aides et des techniques pour les aider comprendre et crire pour tre lus par d autres personnes que leurs enseignants Et en r agissant simplement en tant que lecteurs adultes Nous nous sommes vite aper us que la rencontre avec le journ
84. pensez que tout le monde les conna t 4 Pr cautions trucs et astuces La loi prot ge le droit des personnes leur image et leur vie priv e Les photos de Personnes prises dans leur cadre priv ne peuvent donc tre publi es sans leur accord Attention aux yeux ferm s ou mi clos coup de flash aux personnes qui tournent la t te au dernier moment aux enfants qui font des oreilles de lapin leur petit camarade Il n est pas inutile parfois de rappeler gentiment un groupe l ordre s il vous pla t on ne bouge plus Pour viter que votre sujet ne prenne la pose ou qu un groupe ne reste fig un petit truc consiste faire semblant de prendre la premi re photo puis d clencher r ellement quand chacun reprend une attitude naturelle Il est parfois judicieux de faire une rapide mise en sc ne Il est prudent de recharger son appareil aussit t apr s avoir enlev le film trop b te de prendre de belles photos sans film dans le bo tier Si vous couvrez plusieurs sujets sur le m me film veiller laisser une vue vierge entre deux sujets diff rents cela limitera le risque de confusion 214 Finist re gt Partir en reportage Objectifs Agenda Mat riel S ance de pr paration S ance d exploitation Conclusion Suggestions Donner vie l v nement Apprendre couter voir sentir et rapporter ses informations sensations Deu
85. plus d tonant Tous ces chiffres racontent des histoires Celles d hommes de femmes et d enfants Comme vous comme nous mais n s l bas De tous ces chiffres retenons en un caricatural e l aide annuelle vers e par l Union Europ enne l Afrique subsaharienne est de 8 dollars par habitant e surla m me p riode chaque vache europ enne re oit quant elle des subventions 120 fois sup rieures 140 Finist re 1 PNUD Programme des Nations Unies pour le D veloppement wwwundp org french 2 SOS Faim d fi Sud n 21 2005 Que nous raconte cette comparaison Qui y gagne voir la contribution du CASI Bretagne dans ce dossier Sur les changes et la circulation des produits alimentaires Pour comprendre ces dimensions et analyser pourquoi ces agricultures alternatives sont n es Pour comprendre avant de juger 3 questions souvent pos es lors des d bats en classe e Y a t il des produits alimentaires id aux la fois quitables savoureux bios et meilleur march Non Le produit id al n existe pas Cependant il y en a malgr tout de meilleurs que d autres Pour choisir en connaissance de cause il convient de se poser des questions questions Avant de trancher en fonction de nos propres priorit s ou de nos valeurs participer la justice sociale prot ger l environnement conomiser de l argent e Pourquoi quitable 56 de la population mondiale vit actuellement dans la pauvret
86. plus seulement des consommateurs ils d veloppent un regard un esprit critique et donc des aptitudes essentielles leurs formations a Et au fait je mange quoi Un atelier d coder les tiquettes des emballages alimentaires Les emballages font vendre avec des publicit s et des all gations nutritionnelles attractives Mais que contiennent les produits que nous mangeons Comment comprendre la liste des ingr dients et les tableaux d informations nutritionnelles Apr s un apport th orique sur les informations figurant sur les emballages les l ves s exercent leur lecture critique des emballages en analysant les informations techniques sur la composition du produit et en les confrontant avec les messages publicitaires et les ventuelles all gations nutritionnelles Quels comportements l gard de la sant respect ou n gligence protection ou prises de risques prise en charge ou d l gation de sa responsabilit tre soucieux de s informer aupr s de sources diff rentes ou pas Comment je g re ma sant Deux informations qui ont capt l attention des l ves e D but Ao t un rapport proposant de taxer les produits trop gras trop sucr s ou trop sal s afin de financer la S curit sociale a t remis aux ministres de la Sant et du Budget e En janvier 2007 la Commission Europ enne a propos d am liorer l tiquetage des 107 Finist re denr es alimentaires Ces deux informations permett
87. quand c est dire ne pas attendre n cessairement que les l ves aient entre leurs mains le journal mais anticiper sur l esprit de ce projet et ses cons quences dans la vie de la classe en particulier en amenant r guli rement la classe travailler au CDI pour d couvrir d j les revues ou magazines qui sont propos s la lecture Ensuite il nous semble important que durant la premi re heure de pr sentation du projet avec les l ves les adultes qui vont accompagner ce projet dans l ann e soient tous pr sents C est important de leur montrer qu on travaille ensemble et dans le m me esprit dans plusieurs disciplines De plus nous n avons aucun moment du projet mis l accent sur le c t concours ou comp tition individuelle mais plut t sur l aspect projet de classe et travail coop ratif En cela l exp rience de l an pass la journ e de formation et le document qui propose des pistes de travail p dagogiques nous ont t tr s utiles nous n avons pas reproduit les m mes erreurs que l an pass en particulier dans l approche du projet avec la classe Nous avons donc consacr beaucoup plus de temps en pr sence des l ves pour discuter avec eux du comment ils souhaitaient travailler en classe presse et du comment ils souhaitaient travailler sur le th me et le journal Ce temps l n a pas t du temps perdu mais du temps gagn Pour preuve nous avons rencontr beaucoup moins de difficult s pour faire merger des id es
88. quels produits Que pensez vous des derniers achats alimentaires que vous avez faits sous influence publicitaire Ils taient aussi soulag s de constater qu ils n taient pas les seuls se faire avoir Autant d occasion d ouvrir des pistes pour changer y compris avec leurs grands parents lorsqu ils taient enfants au sujet de leur alimentation et de mieux cerner les rapports historiques et culturels que l on tisse avec notre alimentation Certains sont partis interroger l pici re de leur quartier sur les volutions de son m tier les liens avec les clients et les fournisseurs et son r le dans le quartier D autres enfin sont partis enqu ter aupr s du cuisinier et de l quipe charg e de la restauration au coll ge sans oublier la di t ticienne qui signe la composition des menus comment sont ils tablis Quel est le r le de chacun Quelles sont les contraintes de go ts de prix de transports de temps qui rentrent dans la composition d un menu la cantine Enfin parce que les marques sont un l ment important leurs yeux ils ont discut du texte Les marques et toi site casseurs de pub Mais la fronti re semble parfois bien t nue entre fiction et publicit mensong re et le risque majeur est celui de la confusion croissante des messages nutritionnels aboutissant la d rive des modes de consommation alimentaire abandon d habitudes alimentaires quilibr es favorables la sant au profi
89. r els R diger un article partir d un titre propos Etude du titre par rapport l article un m me v nement sur diff rents journaux Donner des titres de courts articles d coup s dans des journaux Travail de r daction d articles R diger un ou plusieurs articles d apr s des nouvelles venues de l ext rieur invent es par l enseignant ou d p ches de l A F P Compte rendu d un v nement dont on a t t moin match visite etc Ecrire un article d apr s une enqu te des documents crits des interviews etc Fabrication d une feuille d un journal fictif avec des v nements locaux ou imaginaires Reconstitution d un journal partir de diff rents journaux du jour Aspects particuliers du journal Etude et cr ation de publicit s Les petites annonces tude r criture Les couvertures des magazines 176 Finist re 5 Expression crite R sum reconstitution de texte Synth se de plusieurs informations R actions des articles 6 Expression orale R action des articles Entretiens quotidiens ou hebdomadaires propos d v nements 7 Grammaire vocabulaire Explication de termes Choix de mots pr cis concis en rapport direct avec le sujet donn Etude de vocabulaire en particulier partir de titres mots brefs redondants franglais etc Etude de style m taphore clich hyperbole antith se Etudes grammaticales tournures interpell
90. re catastrophe climatique ni par une guerre mais pour les pays les plus pauvres par une augmentation de la facture des importations c r ali res de pr s de 90 en deux ans ue produit la paysan africain Que mange t il Mange t il sa production Comment arrive t il s int grer dans le march mondial Les causes conjoncturelles Trois nouvelles causes de la crise alimentaire dans le monde ont merg ces derniers mois la hausse du prix des mati res premi res la promotion des agrocarburants comme alternative l utilisation du p trole le mode de consommation des europ ens de plus en plus pris notamment par les Indiens et les Chinois I Pourquoi les populations touch es par ces volutions conjoncturelles sont elles les populations du Sud II Comment expliquer cette d pendance un syst me conomique et financier dans lequel l Afrique fait figure de pot de terre Aux causes conjoncturelles de la faim dans le monde les solution sont g n ralement des solutions d urgence Ces solutions ponctuelles ne r solvent en rien les causes structurelles de la faim dans le monde Les causes structurelles En 50 ans malgr les actions d urgence men es les actions des ONG les programmes internationaux le nombre de mal nourris ne cesse de cro tre en Afrique subsaharienne I Quelles r ponses a apport la Communaut internationale Les institutions financi res internationales Banque Mondia
91. re que l espace agricole est un espace vert accessible tous comme un jardin public Alors que l agriculteur ou le p cheur le consid re comme un espace de travail de production avec la cl quelques nuisances de bruits et d odeurs Pour les lus locaux il y a l un travail d anticipation mener Encore faut il qu il y ait des hommes derri re ces objets mat riels que sont la terre l aliment l arbre la haie le poisson Sinon on ne g rera que de la mati re et non pas du lien social Or la fonction de la terre implique d abord quelqu un qui produit quelque chose pour nourrir quelqu un d autre Ce d bat pose la question de la terre mais aussi quoi sert cette terre et qui est derri re La question pos e aux agriculteurs comme chacun de nous en tant que consommateurs et citoyens c est de s obliger reconstruire une identit commune qui passe par notre identit personnelle dans la fa on dont on mange par exemple En faisant cela on s inclut ou non dans une relation des producteurs D o vient cet aliment et aussi quoi sert cette terre ou cette mer Au lieu de se dire simplement je mange des prot ines C est notre d bat tous A t on le choix finalement de se poser ces questions l lorsqu on travaille sur ce th me li l alimentation Mais la repr sentation n est pas inn e Elle se construit par exp riences directes ou par enseignements Elle va se modifier surtout par la pratique et aussi la r
92. ressources sans menacer les disponibilit s alimentaires des pays exportateurs Avec des films comme Le cauchemar de Darwin des campagnes de boycott men es par des organisations environnementalistes la question du poisson et de la p che est de plus en plus fr quemment d battue par les m dias souvent sur la base d une approche catastrophiste Ces d bats peuvent tre l occasion d exercer son esprit critique en s interroger sur la validit d approches parfois simplistes pour des probl mes d une tr s grande complexit Quatre questionnements peuvent tre propos s 1 La consommation fran aise de poissons et produits de la mer d passe les 35 kg par an et par habitant Le poisson est souvent conseill pour la qualit de ses apports nutritionnels Pourtant les disponibilit s moyennes dans le monde sont d environ 15 kg La production europ enne ne cesse de faiblir et les importations croissent Celles ci proviennent souvent de pays du Sud Quel est l impact de ces importations sur les disponibilit s dans ces pays N est on pas entrain d enlever le poisson de la bouche des plus pauvres comme le sugg re le film le cauchemar de Darwin Au contraire ces importations sont elles favorables au d veloppement Faut il freiner nos importations limiter notre consommation 2 De nombreuses ONG comme Greenpeace ou le WWF proposent aux consommateurs de mieux choisir leurs poissons en fonction de l tat de
93. restaurants trangers Pour travailler ce th me en FRANCAIS BIOLOGIE GEOGRAPHIE Les saisons des fruits et des l gumes Tous les fruits et les l gumes ne poussent pas de mani re naturelle au m me moment Si on plante un fraisier dans un jardin on ne pourra pas manger de fraises en janvier Il faudra attendre le mois d ao t Donner aux l ves une liste vari e de fruits et de l gumes et leur demander de mener une enqu te sur le moment de l ann e o ces fruits et l gumes se trouvent dans la nature En fonction de la saison il sera ais ensuite de faire remarquer que certains fruits ou l gumes dont ce n est pas la saison se trouvent tout de m me chez les commer ants 128 o Ld Finist re Cette constatation permettra de s interroger sur la provenance de ces aliments serre ou pays lointains Pour travailler ce th me EN FRANCAIS Lire des emballages de produits agro alimentaires et dresser la liste des produits bruts n cessaires leur fabrication Pour travailler ce th me EN GEOGRAPHIE Conna tre un des secteurs du monde conomique le secteur primaire On tudiera plus particuli rement l agriculture travers des photos de presse ou des photos contenues dans leur manuels d histoire g ographie Types d exploitations agricoles Quel type d exploitation cette photo repr sente t elle On pourra donc travailler l agriculture de type familial l exploitation familiale pour ensuite travailler l entreprise
94. revue de presse crite sur un v nement Noter le titre du journal le nom de la rubrique le ou les titres des articles consacr s au sujet dans chacun des journaux Analyser chaque article partir des questions qui quoi quand o comment pourquoi R aliser une premi re comparaison Y a t il des informations divergentes Si oui lesquelles Des informations suppl mentaires apport es par certains articles Quelles sont les sources cit es Sont elles identiques A la suite de la mise en commun une discussion peut s engager en fonction de l actualit du moment Les questions qui mergent peuvent pr parer la venue d un journaliste dans la classe quelles diff rences doit on faire entre communication et information Pourquoi est il de la responsabilit du journaliste de v rifier ses sources PROLONGEMENT Chaque ann e depuis 1988 parait un sondage r alis par la SOFRES pour le jour nal La Croix et le magazine T l rama Il porte sur la cr dibilit des m dias On peut reprendre les questions du sondage avec les l ves les analyser avec l clairage du travail effectu au cours de plusieurs s quences POUR EN SAVOIR PLUS T lescope revue du CNDP publiera le 10 mars 1999 un dossier sp cial pour accompagner la semaine de la Presse dans l Ecole Il voquera pistes p dagogiques l appui la complexit du traitement de l information diversit des sources dont disposent les m dias const
95. s accorder Q Fege 2 Le d bat sur la torture rebondit aux Etats Unis La nouvelle lai sign e mardi par le pr sident am ri cain George Bush l galsant les confessions obtenues par la force et prot geant de touts poursuite ceux qui les recueilent susc e des remous aux tats Unis L accusant de violer la Constitution des avocats des d tenus de Guan tanamo notre photo o sont maintenus au secret sans Jugement des dizaines de prisonrvers soup onn s de ter ronsme l attaquant en justice Page 2 Les jugeant inefficaces la Haute Autont de Sant pr conise le d remboursement total de 89 m dicaments Essantiellement des vaso dilatateurs prescr s contre art rite des membres inf neurs et les troubles l gers de la m moire certains an tidiarn iques et des pro duits utilis s en oto rhino aryngologie pneumolo gle et infectiologie Pour 44 autres m dicaments une prse en charge limit e est recommanc s Le ministra de la Sant prencra sa d cision la semaine prochaine Page 4 wa f 7 3 wa Y gt s TT Des vendeuses sous l il des cam ras de surveillance QU Pages Ille et Vilaine Onzeinterpellations apr s des braquages dans le Grand Ouest 2 Page 6 Rennes lls braquent la poste de Villejean et prennent des otages Page 6 En r duisant la production de 1 2 million de barils par jour L Opep veut relever le prix du p trole 2
96. se nourrissent les hommes dans chaque coin de la plan te Quels sont les produits qui les nourrissent Combien d pense ton par semaine pour se nourrir Autant d occasion de s informer d aborder les diff rences culturelles d un pays l autre r v l es par les diverses fa ons de se nourrir de faire ainsi de la g ographie et de l ducation civique de s interroger sur les pratiques alimentaires mais aussi d aborder la biologie la chimie et les math matiques pourcentage proportionnalit Occasion encore d enrichir son vocabulaire de lire et d crire autour du go t et de la cuisine d aborder l ducation l image d information et publicitaire de s initier aussi aux langues trang res Le propos dans cette fiche est d duquer les l ves pour leur faire comprendre et accepter les diff rences alimentaires qui ne sont autres que culturelles Ce qui a pr sid la s lection des sites repris ci dessous c est leur int r t pour d velopper chez les l ves une conscience plan taire le plus souvent au travers d images et propos de divers sujets li s aux enjeux conomiques culturels thiques et environnementaux de l alimentation Ressources Internet Altavista Photo Finder syst me de recherches d images avec 2 fonctions la premi re offrant une s lection de photos partir de mots cl s la deuxi me proposant pour chaque image une s rie d images visuellement semblables R sultats tonnants
97. ses pu alien rs 5 Z 01 0 Qui sommes nous _ L ducation aux m dias dans les programmes Partenaires pme r Bienvenue au CLEMI Le CLEMI est charg de l ducation aux m dias dans l ensemble du syst me ducatif Il a pour mission d apprendre aux l ves une pratique citoyenne des m dias Cet objectif est atteint en tablissant des partenariats constants entre enseignants et professionnels de l information Tous les enseignants quels que soient leur niveau et leur discipline peuvent venir se former au CLEMI Lire la suite RESSOURCES ET PUBLICATIONS INTERNATIONAL ET RECHERCHE A ere rm F gt TIVAL La 2 me dition du Festival M EUROP EN europ en des 4 crans se tiendra les DES 14 15 et 16 novembre 2008 la mice Biblioth que nationale de France et au cin ma MK2 Biblioth que Paris Le Festival est consacr aux films ax s sur le r el et les faits de soci t qu ils soient r alis s pour le cin ma la t l vision le net ou le t l phone mobile Lire la suite Caricature st dessin dans la presse lyc enne Le CLEMI et la Maison des Journalistes sont Fongine de l op ration Renvoy Sp cial financ e par les NMPP qui consiste envoyer dans des lyc es de France des journalistes r fugi s r sidents ou anciens r sidents de la Maison des journalistes Lire la suite 254 Finist re gt Site du CLEMI acad mique http espaceeducatif ac rennes fr jahia Jahia lang fr pi
98. seulement transforment 65 de la production europ enne 1 milliard de produits vendus par jour 3 8 de chiffres d affaires cette multinationale se porte bien m me en p riode de crise A l image des 4 autres groupes agroalimentaires mondiaux Pour travailler ce th me EN BIOLOGIE SVT Retrouver le processus de fabrication de certains aliments de consommation courantes pr sent s dans des bo tes au packaging savant ou avec de dr les de formes le chocolat le caf le th un steak les paquets de c r ales les p tes les chips une brick de soupe etc Classement des aliments A partir de photos ou de dessins d aliments d coup s dans des publicit s ou sur des emballages demander aux l ves de r aliser un classement en deux cat gories aliments bruts aliments transform s Si cette classification est vidente en ce qui concerne les plats cuisin s en conserve ou en surgel elle demandera des recherches et des discussions argument es pour des produits comme l huile le sucre la farine les yaourts Prolongement classement des m mes aliments d apr s d autres crit res aliments d origine animale aliments d origine v g tale aliments cuits aliments crus aliments produits localement aliments exotiques Visites chez un artisan ou une usine pour suivre la fabrication d un pain ou d un yaourt ou de tout autre production alimentaire Pour travailler ce th me EN LANGUES ETRANGERES Traduire des menus de
99. sur http www mioplanet com products pixelruler index htm Se connecter la plate forme Dans un navigateur Internet Internet Explorer ou Mozilla FireFox taper l adresse suivante dans la barre d adresse https phares ac rennes fr classespresse_annee https phares ac rennes fr classespresse_2008 sr a Veuillez vous authentifier Pour se connecter compl ter les champs Identifiant ss Q u7 u _ avec l identifiant et le mot de passe qui Motdepasse gt s _ Q U vous ont t communiqu s gt Entrer dL Le mot de passe des enseignants doit rester TOTALEMENT CONFIDENTIEL celui des l ves de la classe presse sera utilis indiff remment par tous mais il convient d viter de le diffuser en dehors de la classe Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE La r alisation des articles en tant qu l ve 1 Se connecter la plate forme sous l identifiant l ve 2 Ecrire un article a Les menus situ s gauche de la page rassemblent les diff rentes actions mises votre disposition NS Ecrire un article b S lectionner dans le Menu principal le lien Ecrire un article Autres options F
100. t quels sont les r f rents et les publics de consommateurs auxquels elle s adresse La publicit raconte la soci t en essayant de pr c der l g rement les tendances de celle ci Et parmi celle ci les publics qui la composent Parmi les publicit s apport es par les l ves leur guise beaucoup se ressemblent et brandissent l argument contre la vie ch re Cet argument trouve un cho favorable aupr s des l ves Si telle centrale d achat se bat contre la vie ch re c est que elle nous comprend et souhaite nous aider Est ce aussi simple Derri re ce slogan quelle est la r alit Qui tablit les prix de vente Comment Pour quelle quantit de produits Quels sont les fournisseurs Et qui paie cette publicit Autant de questions qui vont mettre en mouvement la fois un d sir de s informer pour y r pondre mais aussi un espace pour mettre distance ce qui est dit De m me qui aujourd hui refuserait un produit sain et bon pour la sant A ce sujet les l ves soulignent que la publicit n est pas un m dia condamner tout prix car elle donne aussi la possibilit de passer des messages en mati re de pr vention quilibre alimentaire de protection de l environnement ou de campagne humanitaire Ces remarques permettent de rebondir sur les diff rentes sortes d informations que contiennent les messages publicitaires d un produit alimentaire les publicit s caract re commercial di
101. t pour d velopper chez les l ves une conscience plan taire le plus souvent au travers d images et propos de divers sujets li s aux enjeux conomiques culturels thiques et environnementaux de l alimentation Ressources Internet Altavista PhotoFinder syst me de recherches d images avec 2 fonctions la premi re offrant une s lection de photos partir de mots cl s la deuxi me proposant pour chaque image une s rie d images visuellement semblables R sultats tonnants Banque d images et de sc narios p dagogiques images libres de droit Classement par mots cl s World village project si la terre tait un village il compterait X europ ens X personnes parleraient etc La d clinaison de cette phrase sous de multiples angles apporte un clairage surprenant sur la composition de notre plan te Une d clinaison est d di e au th me de l alimentation dans le monde existe aussi en livre Le monde par pays sur le site du Monde diplomatique 6 milliards d hommes site exposition du Mus e de l homme Paris qui propose un parcours interactif personnalis la d couverte de la d mographie aujourd hui Sur la page d accueil un compteur tourne en permanence Le telegarden un jardin cultiv collectivement distance Eat the World recettes en anglais class s par pays Saveurs du monde site tr s fourni proposant plus de 800 recettes des quatre coins du monde en fran ais Outre u
102. toutes les mains L occasion de travailler aussi avec les enseignants d anglais P Menzel et F D Aluisio Ten Speed Presse 2005 Pistes et objectifs Il s agit ici de proposer aux l ves une dizaine de photos qui sont construites avec le m me objectif donner voir l ensemble des produits alimentaires qu une famille utilise pour se nourrir pendant une semaine Chacune des photos choisies donne lieu une lecture des l ments qui font sens pour les l ves hypoth se sur le pays sur les revenus sur la qualit de vie sur leurs impressions Demander aussi aux l ves d crire leurs interrogations leurs surprises ou leurs doutes et en d battre Vous pouvez soit utiliser la photo et sa l gende soit selon vos objectifs cacher la l gende C est alors aux l ves que revient la t che d crire leurs l gendes d apr s eux o vit cette famille Dans quel pays Sur quel continent Quels sont les l ments visuels qui motivent leurs r ponses couleur de la peau v tements habitat objets mobiliers pr sents dans la pi ce quipement lectrom nager pr sent ou absent Nombre de personnes qui compose cette famille Enfants Adultes Quels sont les produits identifiables sur la photo les lister et les classer par cat gorie produit brut produit de consommation commerciale nombre de chacun de ces types de produits Comment les l ves imaginent ils un repas La mani re de cuisiner Qui d apr s eux va participer la pr
103. votre jardin Paye Moissinac Lucie CRDP du Centre Orl ans 2004 17 fiches bibliogr 2 posters Cet ensemble de fiches la fois descriptif et p dagogique peut tre utilis dans sa totalit ou partiellement par l enseignant Il peut tre la base d un projet d cole conception d un jardin mais aussi servir de support pour sensibiliser les enfants la nature Interdisciplinaire cet outil fait fait appel des notions g ographiques et artistiques int ressantes 371 386 PAY La nutrition les aliments l quilibre alimentaire le go t Valise bo te L alimentation Tout go ter c est jouer Durack Isabelle Jobb Duval Brigitte CRDP de l acad mie de Versailles Buc 2005 1 jeu de 49 cartes 1 jeu de 25 cartes 4 planches A4 5 livrets 1 affiche tiquettes pr d coup es 30 affichettes Six jeux proposant une approche originale et ludique de la nutrition Le professeur guid par des livrets transmet les bases d une alimentation quilibr e et organise des activit s vari es dessin exp riences jeux de cartes VP Alimentation Ecole l mentaire Ecole primaire Classe de 6e Classe de 5e Coll ge Secondaire Affiches L quilibre alimentaire CFES Comit Fran ais d Education pour la Sant 6 affiches Regroupement d affiches autour de la sant et de l alimentation les fruits et l gumes les 4 saveurs les groupes d aliments le calcium Cote 371 71 EQU Lorient
104. 007 rubrique th me en images Une exposition pr sentant 30 images du d veloppement durable r alis es par ces l ves est disponible pour les tablissements qui le souhaitent Prendre contact avec Myriam Condamines enseignante et cl mi Finist re second degr Tel 02 98 44 04 61 courriel condamines garreau wanadoo fr Pierre Bazin enseignant en arts plastiques et charg du projet classes images Pont Aven pour l ann e 2007 2008 nous fait part de son exp rience des difficult s rencontr es dans le dialogue images et m dias et productions des l ves et de son bilan Une mani re concr te pour poursuivre les changes sur le r le es images dans les m dias et leurs lectures Voici son t moignage Deux troisi mes classes images Pont Aven 2007 2008 retour sur un projet p dagogique Quelques questions se sont pos es d s la mise en place sous la forme de classes presses exp rimentales des classes images la rentr e 2007 Jusqu o pouvions nous pousser l autonomie de l image dans une publication de presse lieu tout comme l cole plut t organis autour de l crit Comment viter deux cueils r currents s enfermer dans l illustration dans le sens d une traduction litt rale d un texte ou d une annexe visuelle 36 Finist re anecdotique et se focaliser sur l objet fini obtenir sur la commande par l enseignant oubliant au passage l l ve les interrogations sou
105. 02 e Au total en 2005 11 288 agriculteurs exploitent 517 965 hectares soit 1 86 de la surface agricole utile de la France e Pour l Europe ce taux est de 3 e Les c r aliers en premier puis les producteurs de fruits et de l gumes Du nouveau pour les tiquettes et les cantines scolaires La nouvelle r glementation sur les produits bio et leur tiquetage d cid e en juin 2007 par l Union europ enne ne satisfait pas les milieux cologistes Mesure la plus d cri e la tol rance accord e par Bruxelles la pr sence de traces OGM dans les produits 0 9 au maximum comme pour les produits classiques Autre nouveaut l obligation d apposer le logo de l U E Sur les produits et d indiquer le lieu o ils ont t cultiv s y compris pour ceux de l importation portant le logo Les r gles d attribution du label sont renforc es seuls les aliments contenant au moins 95 d ingr dients biologiques au lieu de 70 pr c demment y auront droit source Comprendre l actualit par l image Hachette pratique et site de la culture biologique e Partir en qu te d informations aupr s d agriculteurs bio conna tre leurs motivations leur travail les contraintes et les avantages de ce type d agriculture Que souhaitent ils pour les ann es venir Quel message veulent ils faire passer e La g ographie alimentaire impose ses donn es culturelles l ensemble des acteurs qui font des choix en fonction des niveaux techni
106. 12 millions en 2000 Le commerce quitable taille sa route jusqu se retrouver en position phare sur les rayons de la grande distribution 141 Finist re Comprendre l espoir que repr sente le commerce quitable Contexte e cr ation en 1987 au Mexique par un pr tre hollandais insurg contre les profits empoch s par les interm diaires du caf Max Havelaar a popularis l id e de commerce quitable D autres associations ont repris ses principes de fonctionnement Certaines tourn es vers la France aident les paysans trouver des mod les de distribution plus rentables e Le commerce quitable en chiffres 1 700 Le nombre d industriels exportateurs importateurs et transporteurs impliqu s dans le seul circuit r git par Max Havelaar 800 000 Le nombre des familles de petits producteurs b n ficiant dans 46 pays des ressources du commerce quitable en Afrique Asie Am rique Latine 75 La part des Fran ais ayant entendu parler du commerce quitable Ils n taient que 9 en 2 000 La moiti sont pr ts payer plus cher un produit thique e Une explosion des ventes En consultant les statistiques de Max Havelaar qui regroupe 118 organisations dans 45 pays on peut se faire une id e de cette volution Les principaux produits diffus s volution des ventes sous le label Max Havelaar En tonnes Caf en 2001 2002 1000 tonnes En 2005 5 489 tonnes Bananes en 2001 2002 d une tonne En 2005 3
107. 2 Titre Soyez descriptif simple et clair Titre Ex de mauvais titres Lisez ceci ou Un article Rubrique Ech dial part au coll ge z R diger un article court Pr visualisation Vous devez pr visualiser avant de pouvoir soumettre M Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de MY l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr R 08104544 donandi m vendredi de 2303 IT FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE Cette nouvelle fen tre n est pas un diteur de texte Vous pouvez saisir le texte directement utiliser les commandes copier coller partir d un texte pr alablement enregistr mais sans mise en forme Vous ouvrez le fichier texte vous s lectionnez le texte que vous copiez puis vous le collez ensuite dans le cadre de l Editeur HTML gt c Vous n oublierez pas d indiquer les r f rences des auteurs de l article comme dans l exemple ci dessous lexte Texte Texte TexteNigxte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte TexteWexte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte exte Texte Texte Texte Texte Te exte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Tee Tex
108. 2030 L aquaculture d j en pleine expansion devrait conna tre de beaux jours en 2005 elle azproduit 47 8 millions de tonnes de poissons selon un rapport de la FAO l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture publi en 2006 En 1980 l aquaculture ne repr sentait que 9 de la consommation Impact social et conomique Mais l impact de telles pratiques ne se limite pas la qualit des cosyst mes et la rar faction d animaux marins Sur le plan social et conomique les cons quences des p ches abusives sont multiples et notamment en terme d emploi Selon le WWE le secteur europ en de la 119 Finist re p che aurait ainsi perdu 13 de ses emplois entre 1990 et 1997 soit 60 000 postes de travail Un autre exemple illustre les cons quences de telles pratiques lorsqu en 19992 30 000 canadiens se retrouv rent soudainement sans emploi quand les stocks de cabillaud des c tes de Terre Neuve s effondr rent Les implications sur la p che artisanale sont multiples galement Dans nos pays les petites et moyennes entreprises de p cheries r sistent difficilement sur le plan conomique Dans les pays du sud les eaux mal prot g es se voient pill es par des flottes industrielles au d triment de la p che locale En ce qui concerne l aquaculture leur installation dans les eaux riveraines de pays du Sud fait perdre l acc s des populations locales d importantes ressources alimentaires sans p
109. AQ A nie c Vous aurez alors le choix entre article court ou article long 3 Proposer un article court Quel type d article souhaitez vous proposer z Valider N B Quelques rappels importants e un article court est compos de 500 1000 signes Le T l gramme e un article long comporte 2000 3000 signes enqu fes portraits intervikws reportages il est accompagn d illustrations une l gende doit figurer c t de chaque illustration gn voici un exemple source Ouest France es chos billet d humeur d humour etc en voici un exemple source Lorsque vous composerez votre article l aide de l diteuy la couleur du cadre voudindiquera si le nombre de signes de votre article est conforme ces r gles o sile cadre est vert vous tes dans la norm si le cadre est orange attention vous tef aux limites de la norme v sile cadre est rouge revoyez votre texte il est trop long ou trop court sil est un article long Un bouton situ sous la fen tre d dition vous perpet d obtenir le nombre de signes delvotre texte a La liste vous offre le choix que devez ensuite valider article court ou article long b Commencez par inscrire le TITRE 80 caract res au maximum s lectionnez la RUBRIQUE liste Pour le TEXTE DE L ARTICLE appuyez sur le bouton Composer Modifier pour ouvrir l diteur Proposer un article Votre Nom classe2
110. Caract ristiques des formulations mots simples phrases courtes aller l essentiel Organisation des textes reconstituer les plans autour du message essentiel plan chronologique plan en flash back plan dit en pyramide invers e c est dire les informations les plus importantes au d but de l article Pr sentation des textes comment l habillage est il constitu quels sont les proc d s de mise en valeur Comment l attention est elle soutenue 3 Synth se Reprendre les lois propres l criture d information lois de communication clart concision relances de l attention guide interne au message PROLONGEMENTS Ecriture d articles R critures dans chaque support R criture dans le multim dia comparaisons notamment des proc d s de lisibilit 218 flass Finist re gt La lecture et l criture d articles Objectifs Par rapport d autres types de textes litt raire scientifique technique Apprendre les l article de presse est original Son criture ob it des lois bien pr cises modalit s En effet le texte journalistique a deux objectifs prioritaires aller d criture d un l essentiel et tre accessible au plus grand nombre de lecteurs Des MESSABC caract ristiques faire d couvrir aux l ves et un moyen de les aider d information Apprendre r diger un texte informatif bref Commencer la d couverte des genres jou
111. Der la Derni re page d un journal E Encadr texte entour d un trait ou filet G Griller publier une information avant un autre m dia 190 Finist re L Lectorat ensemble des lecteurs d un journal Ligne r dactionnelle ou ditoriale ce qui dicte le choix des sujets et de leurs modes de traitement Locale rubrique particuli re une ville M Maquette plan d une page ou de l ensemble du journal Elle comporte le mention de toutes les composantes titre texte dessin photo publicit Menu liste de sujets propos s ou retenus par un service r dactionnel O Ouverture situation d un article en haut et gauche d une page P Papier faire crire un article en jargon journalistique Pied de page Zone inf rieure d une page de journal Pigiste journaliste qui n est pas attach un titre Il est r mun r le plus souvent selon la longueur des articles fournis autrefois mesur s avec une pige tige gradu e permettant de mesurer des longueurs R R daction ensemble des journalistes Rubrique division d un journal ensemble des articles portant sur un th me commun S Scoop importante information in dite Source lieu de provenance origine attest e d une information Suppl ment ensemble de pages consacr es un domaine pr cis Publication annexe encart e l int rieur du journal T Titraille Ensemble form pa
112. EMENT Analyser toutes les images publi es dans un magazine par exemple la presse pour jeunes et r fl chir l quilibre de l ensemble le choix illustre la ligne r dactionnelle du journal S lectionner uniquement des photographies de presse et r fl chir a leurs diff rences notion de scoop de reportage d archiv de promotion 186 Finist re gt L ambigu t de l image de presse Objectifs Une image est re ue diff remment et parfois de mani re contradictoire Mettre jour la vari t des interpr tations d une image due la dispersion des signes visuels sa polys mie en opposition avec la lecture plus lin aire du texte sa relative monos mie Mettre en vidence la fonction d ancrage du sens de l image par le texte Public Cycle 3 Coll ge Mat riel Photocopies sur transparents de photographies de presse d coup es avec et sans l gende pr sent es hors de leur contexte de publication Et les pages d o sont extraites les images Organisation Travail du groupe classe Mots cl s Lois de proximit Effet de r el Vraisemblance Point de vue selon les individus leur culture leur ethnie Au del de l effet de r el les circonstances de parution et l accompagnement par le texte l gende et titre orientent notre compr hension de l image En travaillant sur ce dernier point on am nera les l ves comprendre d une part la va
113. Finist re Les classes presse dans le Finist re Une op ration partenariale d ducation citoyenne Participer aux classes presse c est prendre conscience de la part croissante occup e par l information dans la vie quotidienne des l ves qui rend indispensable l apprentissage d une lecture critique des m dias Il s agit de d velopper chez les l ves leurs capacit s de mise en perspective et d appropriation des messages d information Il s agit galement de leur donner le go t de s informer pour viter le repli sur soi m me et pour ouvrir leur curiosit sur le monde qui les entoure Pour entrer dans le monde fort complexe de l information nous vous proposons d analyser mais aussi de produire des informations Cette alternance entre analyse et production est un moyen pour progresser dans la connaissance des m canismes de l actualit pour en avoir un usage citoyen Gr ce aux contributions des services presse cole de Ouest France et du T l gramme l quipe du Clemi de l acad mie de Rennes vous propose une d marche et quelques outils pour atteindre les objectifs de cette op ration e apprendre aux l ves bien lire le journal et les journaux e apprendre aux l ves crire pour tre lu e travailler sur le th me de l alimentation Outre les journaux que vous allez recevoir le parrainage d un journaliste la visite des sites d impression ce dossier p dagogique a comm
114. Le Page Cas n accuefle pes plus de quete enfants b fs se owsa QU DAU DA une sanane deux perfs taut suoglement qu is sachent dre bonjour 51 fe piat ef med Photo ML QI champs faire du v lo aller la pla ge quand H fait beau aller vor ls cochons cans ama Ai oma soupe des lapins pouks des canards sans oublier un catin l ne Loustic M me pas le temps de regarder la t Et puls manger des cr pes de la bonne wande du latt tout Fals Manger les produits de la ferme A suie Marthe ne manque pas d anecdotes Je suls oblk e d acheter du latt en briques pour le petit d pguner vous Imaginez parce que beaucoup d enfants n ament ple cat de celui de ba ferme A l inverse mes entants ne pouwrralent pas avaler une goutte de lait UHT D autres encore ne savent pas parexemple avec qua est fait le steak hach Une lacu ne que Marthe et ses enfants se tont fort de combler b uf l ap pul Exp rience sociale Question de place dars la mason familiale Marthe n accuetlle pas plus de quatre enfants la fols se connaissant cu non pour une semaine deux patois Et lls sont nombreux revenir Je n al pas de crit re d accueil particulier Tous les enfants de six douze ans sont kes blenvenus de quelque mileu cu condtion que ce sott La seuk exigence c est qu is solent vraiment int ress s par la d cou verte de la vie la campagne Et ik sachent dre bonjour s
115. Leur phrase a ensuite t lue la classe qui r agissait en posant des questions pour mieux comprendre le projet de l l ve en question ou pour proposer des gens rencontrer car ces gens pouvaient leur donner l information qu ils souhaitaient Ensuite chacun affinait son projet en prenant soit des rendez vous soit en compl tant leur texte par exemple en r digeant les questions qu ils souhaitaient poser aux gens qu ils allaient rencontrer ou encore en recherchant de l information sur le sujet qui les int ressait On tait encore loin de la r alisation finale d un article Mais leur projet et leurs id es pouvaient enfin tre formul s par crit et prenaient donc vie pour eux Ca y est ils taient entr s dans un projet d criture Pour ceux qui ont eu le plus de difficult crire il a fallu prendre du temps pour les aider formuler d abord oralement ce qu ils voulaient Ensuite il a fallu les aider crire leurs id es Je me suis servie tr s souvent de la technique du titre 20 mots puis 10 puis 5 qui sont enfin retenus pour servir de guide pour la fois que les l ves ne se perdent pas dans le trop d information qu il puisse la ma triser et enfin pour que ces m mes mots soient aussi le fil qui les aide ensuite formuler cette information par crit Ensuite se posait la question de je fais quoi de mon texte m me court car ce n est pas un article mais un texte Le retour au journal pour chercher une interview un
116. Mornas un village au site exceptionnel situ pr s de la N7 1064 Coll ge Secondaire Vid ocassette Pays paysages 5 Labourages et p turages in USA Cros Roland Pernot Herv CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1998 1 vid ocassette VHS 26 min 1 guide p dagogique 19 p Les Etats Unis ont une agriculture plusieurs vitesses Au Colorado les ranchs disparaissent au profit de l industrialisation Dans le Sud les exploitants du coton sont marginalis s et s appauvrissent L agriculture c r ali re du Middle West familiale et traditionnelle s adapte aux technologies performantes et aux march s mondiaux au pr judice d une population agricole vieillissante et appauvrie 1037 Coll ge Secondaire Vid ocassette Pour nourrir les hommes 2 Foi de poisson Cros Roland r alisateur Baruch Jacques Olivier r alisateur CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1997 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son 1 guide p dagogique 14 p Devenu courant nutritif ce poisson qui nous arr te appara t en premier lieu dans sa diversit sur des tals La p che s tant substitu e la chasse et la cueillette d antan la pisciculture est un moyen de pr server la biodiversit des esp ces sans entraver la subsistance de l homme Ainsi on d couvre l levage de truites et l histoire de l esturgeon d Aquitaine et de Sib rie 1002 Classe de 6e Classe de 5e Coll ge Secondaire Vid ocassette Pour
117. a faim dans le monde Cette affirmation est elle d montr e Le d veloppement de ces biotechnologies doit il faire l objet d une totale transparence et du principe de pr caution leur innocuit long terme est elle tablie les OGM mettent ils en danger la biodiversit v g tale font ils l objet de brevets qui en facilitent l acc s pour les paysans du Tiers Monde La R volution verte lanc e dans les ann es soixante qui avait pour objectif d apporter une solution au probl me de la faim a am lior la productivit de cultures vivri res importantes riz ma s manioc et la s curit alimentaire d un pays comme l Inde Mais a t elle b n fici la majorit des paysans du monde La promotion de l agriculture durable est une dynamique qui respecte les milieux naturels eau sol v g tation et les soci t s qui y vivent et qui permet aux petits agriculteurs de se d velopper sans d truire le milieu naturel Elle vise atteindre un prix juste qui permette aux petits paysans et leurs familles de se nourrir correctement de vivre d cemment et d investir dans leurs productions En cela le commerce quitable est il une solution 159 Finist re Pour faire reculer la faim La r duction de la malnutrition et de la faim dans le monde passe t elle par un ensemble de mesures visant Permettre aux petits paysans d avoir acc s la terre et l eau Consolider les s
118. a photo ou l tiquette du produit choisi sur la carte du monde et la relie l aide d un m me fil de couleur aux endroits d o il provient Les l ves pourront ainsi visualiser que les aliments qu ils consomment viennent du monde entier 4 D terminer et analyser les cons quences environnementales de la production de l emballage du transport et de la commercialisation de produits alimentaires courants On choisira plus pr cis ment un aliment pour retrouver toutes les d penses nerg tiques n cessaires sa production On pourra comparer par exemple les co ts cach s d une pomme non biologique provenant d une province lointaine et ceux d une pomme biologique cultiv e localement On pourra ainsi travailler sur les prix des emballages Pomme non bio produite loin utilisation d engrais chimiques puisement d une ressource nerg tique non renouvelable puisement des sols substances chimiques mises en circulation dans le milieu utilisation de pesticides substances chimiques et toxiques r pandues dans l environnement co ts de transports l ves consommation d une ressource nerg tique non renouvelable pollution atmosph rique infrastructures routi res n cessaires clairage entretien alt ration des routes contr les policiers douanes utilisation de mati res premi res pour la construction de v hicules servant au transport r frig ration utilisation du fr on dans les anciens mod les
119. a population mondiale rep rer les littoraux et en particulier les deltas O se trouvent les aires de forte concentration humaine Retrouve t on le m me ph nom ne l chelle nationale r gionale d partementale Peut on tablir une relation 123 Finist re Sur un atlas recenser les diverses activit s c ti res tourisme plaisance p che commerce industrie aquaculture d fense leurs poids conomiques et le nombre d emplois qu elles g n rent en particulier la p che Les classer par ordre d importance Les attraits et les menaces 1 Relever comment et avec quelles incidences les littoraux supportent la pression humaine qui r sulte d une population de plus en plus dense 2 Mettre en syst me les attraits du littoral de sa fr quentation et les menaces qui p sent sur lui quels paradoxes apparaissent 3 Relever les conflits pour l occupation d un espace restreint au regard des ports de p che des stations touristiques du commerce de la plaisance des installations industrielles li es aux ressources de la mer et des infrastructures du transport Sur le web Des poissons issus de pratiques de p che durable MCS Marine Stewardship Council www mcs org MCS est aujourd hui le seul label chelle internationale permettant d valuer si des p cheries sont durables Sur base volontaire les p cheries concern es s engagent respecter 3 grands principes stocks de poissons la quantit p ch e
120. ag s la d rive Trafic de b b La fili re bulgare Naufrages Les blessures de l me Le crimescope permet de r v ler une fois la pi ce plong e dans l obscurit les traces biologiques pr sentes sur les scell s que les enqu teurs confient au laboratoire nantais U G n tique Sur les traces des criminels Mod le chinois Le gvmnastes bretons r ve des Ag s de 11 20 ans originaires de toute la Bretagne 19 gymnastes bretons auront la chance de suivre et de participer durant cinq jours l entra nement de l quipe nationale de Chine et de celle de P kin Des juges pour enfants de chaque juridiction concern e vont tre saisis des situations des b b s et d cider de leur A l heure o les Chinois se pr parent activement pour les jeux olympiques de 2008 de jeunes gymnastes bretons vont aller leur rendre visite Un stage unique en son genre dans l antre secret des gymnastes de talent Plusieurs couples en mal d enfant soup onn s d avoir achet des b b s bulgares ont t arr t s hier en France dans le cadre d une instruction men e depuis plus d un an Bobigny Seine Saint Denis sur un trafic de revente de nourrissons Le traumatisme maritime tait l un des th mes du troisi me colloque mer et sant vendredi et samedi Brest l initiative de la soci t fran aise de m decine maritime Le
121. ain Coll ge Jean Marie Le Bris Douarnenez Hubert Orione 02 98 92 05 78 Coll ge Saint S bastien Landerneau Dominique Le Bihan Rivier 02 98 85 03 29 Coll ge Saint Augustin Morlaix Sophie Pr vost 02 98 63 88 00 Coll ge Saint Joseph Landivisiau Jean Philippe Quignon 02 98 63 88 00 Coll ge Louis H mon Pleyben Jean Luc Padellec 02 98 86 16 32 Coll ge Saint Antoine Lannilis Guy Pellen 02 98 33 74 00 Coll ge Kroas Saliou Plouzan Contact Sarah Morio 02 98 33 74 39 ou 02 98 33 74 00 Coll ge K ranroux Brest Contact Sarah Morio 02 98 33 74 39 ou 02 98 33 74 00 Lyc e Rive Droite Javouhey Brest 3 me DP6 Contact Sarah Morio 02 98 33 74 39 ou 02 98 33 74 00 SEGPA Coll ge Lesven Jacquard Brest Contact Sarah Morio 02 98 33 74 39 ou 02 98 33 74 00 Coll ge Iles du Ponant Brest Sein ou Ouessant ou Batz ou Mol ne Contact Bertrand Le N na 02 98 63 88 00 COURRIELS lere lettre du pr nom nom letelegramme fr e Classes Ouest France Finist re Etablissement Journaliste parrain SEGPA Coll ge de K ranroux Brest Laurence Guilmo 02 98 33 22 00 Coll ge Antoine de St Exup ry Lesneven Olivier Pauly 02 98 33 22 00 Coll ge Beg Aavel Cahraix G raldine Br mand 02 98 99 47 20 Coll ge de Mescoat Landerneau Nelly Cloarec 02 98 30 37 30 Coll ge Penanroz Pont A
122. aine et les hebdo jeunes d information d actualit correspondant le Journal des Enfants Les Cl s de l actualit Junior Les Cl s de l actualit L Hebdo des Juniors Organisation Travail individuel et par groupes plusieurs s ances Mots cl s Choix e S lection Proximit Lectorat les jeunes se multiplient Mon Quotidien a choisi une p riodicit journali re d autres pr f rent une parution hebdomadaire et offrir leurs lecteurs un panorama de l actualit de la semaine Quels crit res pr sident aux choix des r dactions dans cette actualit hebdomadaire Cherchent elles r sumer l actualit du monde dans un langage clair et accessible A r pondre l int r t suppos des jeunes lecteurs pour certains sujets Feuilleter une semaine de presse quotidienne choisir les sujets qui retiennent l attention r aliser son hebdo d actualit de la semaine et le comparer ceux du march une activit proposer aux l ves dans le cadre d un club presse 1 Organiser la classe en r daction en vue de r aliser la maquette d un hebdomadaire d actualit destin des jeunes de coll ge ou de lyc e Faire choisir aux l ves les rubriques qu ils souhaitent trouver dans cet hebdo et les responsabiliser sur le suivi d une rubrique actualit internationale int rieure faits divers sports culture sciences m dias 2 Chaque jour les l ves puisent dans l actualit du j
123. alifi De l avis des professionnels les m tiers de ce secteur sont difficiles mais passionnants DOSSIER R ALIS PAR Matthieu Gain oraires d ca l s travaux saisonniers salaires mo destes Autant de pr jug s qui p nalisent encore l h tellerie restauration Claire et Mathieu la vingtaine d ann es tous les deux r pli quent Du moment que notre m tier nous pla t nous y allons fond Ces tudiants en BTS au Paraclet Quimper savent quoi s attendre Un de leur professeur au lyc e a jou cartes sur table ll ne faut pas se leurrer M me avec un BTS nos jeunes d bute ront comme serveur ou commis de cuisine observe Cyrille Fra din Ils doivent s adapter au poste qu on leur propose 3 0 3 2 Comme le nombre de projets de recrutement dans l h tellerie restauration en Finist re C est ce que montrait l enqu te Besoin de main d uvre 2006 r alis e par l Unedic et le Credoc L ann e derni re les tablissements recherchaient pas moins de 900 cuisiniers et quelque 2 100 employ s et agents de ma trise serveurs ma tre d h tel 700 Comme l effectif d employ s qui travaillent dans les quelque 3 100 restaurants h tels bars et discoth ques du Finist re 6 9 Le nombre d offres d emploi disponibles dans le Finist re sur le site internet de l ANPE La plupart sont cependant des postes saisonniers dur e d termin e Vos r actions nous int ressent
124. aliste a t un temps fort pour eux en quelque sorte le tournant qui leur a permis d aller au bout de ce qu il voulait dire C est cet apport ext rieur d un professionnel journaliste qui a t pour un groupe un peu plus motiv le moteur qui a entrain les autres Ils avaient des questions qu ils jugeaient b tes ou trop simples poser et se sont rendus compte qu ils taient pris au s rieux et que le journaliste avait aussi du plaisir leur parler C tait notre premi re participation une classe presse C tait pour nous un choix r fl chi d inscrire la classe la plus difficile car la plus d munie scolairement et socialement de l tablissement J ai parfois l impression que nous nous sommes mal d brouill s pour beaucoup de choses En particulier donc nous aurions d appr hender diff remment dans le d marrage du projet l appropriation du journal par ces l ves c est dire pendant 3 semaines minimum nous aurions d regrouper les journaux sur 3 jours et travailler nous m mes sur les articles li s au th me et r server au moins 2 heures par semaine les aider rentrer dans la lecture critique du journal et de ces articles Ce temps l n a pas t suffisamment pr par par manque d exp rience mais aussi par manque de r alisme face aux difficult s r elles que rencontrent nos l ves face au journal Mais nous sommes partants pour mener nouveau ce projet tr s riche Les volutions les plus si
125. anger sur leurs repr sentations et pour mieux comprendre le lien qui les relie au journal qu ils ont entre leurs mains Lier lecture du journal et criture des articles La deuxi me exigence c est de r fl chir dans le temps consacr ce projet l articulation entre les deux facettes du projet classe presse lecture du journal et criture des articles Par habitude en classes presse nous enseignants avons plut t tendance donner des cl s pour d abord lire le journal organisation des rubriques organisation d un article et rel guer plus tard dans la suite du d roulement du projet la d marche qui va mettre en mouvement les l ves pour crire leurs propres articles sur le th me Comment pouvons nous mieux articuler ces deux temps et ce d s le d marrage du projet sur ce th me commun qu est nourrir se nourrir 2 Questionner les repr sentations Tout d abord laissons parler les l ves Car leurs perceptions sur le th me le journal les m dias v hiculent des repr sentations utiles pour nous enseignants afin de mieux comprendre la mani re dont nos l ves sont influenc s par l univers m diatique qui est le leur Ces repr sentations deviennent ce point famili res qu elles prennent leurs yeux la valeur de la r alit objective et naturelle C est pourquoi d ailleurs les m dias ont un impact si important Les aider prendre conscience que les messages des m dia
126. anise les informations Attaque le d but de l article On dit aussi parfois l accroche B Boucler achever la r alisation d une page ou d une dition avant son impression Au del de l heure de bouclage aucune modification ne peut tre apport e C Chapeau petit texte pr c dant un article pour l annoncer compos en caract res diff rents Dans la presse on l crit chap Chemin de fer plan d ensemble d un num ro de magazine ou de journal indiquant page par page l emplacement des sujets et les encombrements publicitaires Cheval en cheval article au centre ou en bas droite de la premi re page dont la suite se trouve sur une autre page L article se trouve donc cheval entre deux pages Chute partie de phrase ou phrase qui cl t un article Communiqu information manant d un organisme public d une entreprise d une association etc Conf rence de r daction r union de travail r unissant le directeur la r daction en chef les ditorialistes les chefs de service Correspondant r dacteur qui a la responsabilit de l information dans une ville un d partement une r gion ou un pays dans lequel il r side Il peut tre salari r gulier ou pigiste Couvrir assister un v nement ou ses suites suivre l actualit d un pays d une r gion pour transmettre des informations D D p che information communiqu e par une agence de presse
127. ans les journaux Les dossiers documentaires et autres ressources du CDI Bloc notes et bons stylos si possible viter le magn tophone qui suppose un temps important de r coute S ance de pr paration L enseignant fait d couvrir les caract ristiques de l interview l encha nement des questions la mani re de faire pr ciser les r ponses les relances etc 40mn Les l ves pr parent leur interview pendant 20mn approche du sujet et r daction des principales questions L enseignant les aide faire Je point sur la documentation recueillie et v rifie la pertinence des questions S ance d exploitation Quand tous les groupes ont r alis leur interview L enseignant donne les consignes d criture pr cise les directives pour Je titre le chap la longueur 5mn Les l ves relisent les notes d gagent J essentiel cherchent le moyen de le mettre en valeur Conclusion Ils r digent en respectant le style de la personne interview e mais en pensant au lecteur cibl 50mn La pratique de l interview permet d approcher l essence m me du journalisme tre porte parole des lecteurs face l v nement ici une personne qui s exprime rapporter en peu de temps et de place sans trahir Suggestions Pr voir un compte rendu des r alisations et un moment d valuation Faire appara tre la part du connu et de la nouveaut dans les informations recueillies L int r t final de l interview pour le
128. ant a Ce menu vous permet de lire et de modifier les articles propos s par f Articles valider 1 votre classe ou vos classes Gestion des groupes Menu admin Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE b Le tableau vous offre la possibilit d acc der l article me R s en cliquant sur le titre ou de le Articles valider su ppri mer Nouveaux articles propos s Menu Administration c Vous retrouvez J 2004 02 l diteur HTML eurre Que D mes 10 39 08 permettant de modifier l article d Vous pourrez renvoyer l l ve l article retravailler en choisissant Choisissez une option ok l option Envoyer dans les Effacer l article brouillons de l metteur Pr visualisation de l article Publier l article Classer dans les brouillons Envoyer dans les brouillons de l metteur e Il vous est conseill de pr visualiser une derni re fois l article avant d activer Publier l article gt f L Une fois l article publi sur la plate forme vous n y aurez plus acc s pour y apporter des modifications Soyez vigilant dans cette derni re phase 2 Acc s d autres fonctionnalit s a La sp
129. ant particip l an pass au projet classes presse Car peut on parler de l alimentation et oublier la Terre qui nous nourrit Mais ce th me ouvre des perspectives nouvelles qui lui sont sp cifiques Qui nous nourrit aujourd hui Et demain Pourquoi ceux qui nous nourrissent les agriculteurs les p cheurs sont aussi ceux qui dans le monde ont faim Comment comprendre les paradoxes nombreux que concentre ce th me alors que la priorit pour les pays industrialis s est d enrayer l ob sit galopante et de g rer la surabondance alimentaire c est la famine et la malnutrition qui ne cessent de grandir l autre bout du monde et parfois m me nos portes Pourquoi les publicit s alimentaires continuent elles de mettre en sc ne des produits trop sucr s trop gras ou trop sal s malgr les all gations nutritionnelles relatives la sant Comment d battre des OGM Voici quelques unes des questions parfois pol miques qui alimentent le d bat sur ce th me Aucune de ces questions n appelle de r ponses simples Mais au contraire ouvrent des perspectives dans lesquelles la g ographie l ducation civique les langues trang res les sciences les math matiques le fran ais les arts plastiques et les m dias d information ont toute leur place Pour ce th me comme pour les pr c dents il n est donc pas question d aborder de fa on magistrale des sujets isol s sans aucune possibilit d ouvrir des espaces de r flexion et de
130. ar la biologie mol culaire Les lois de Mendel Les dispositifs de pr vention DVD vid o Le monde selon Monsanto Robin Marie Monique Arte Vid o 2008 1 DVD 109 min Implant e dans 46 pays Monsanto est devenue le leader mondial des OGM mais aussi l une des entreprises les plus controvers es de l histoire industrielle Depuis sa cr ation en 1901 la firme a accumul des proc s en raison de la toxicit de ses produits mais se pr sente aujourd hui comme une entreprise des sciences de la vie convertie aux vertus du d veloppement durable partir de documents in dits de t moignages de victimes de scientifiques et d hommes politiques ce documentaire reconstitue la gen se d un empire industriel qui est devenu le premier semencier du monde permettant l extension plan taire des cultures OGM sans aucun contr le s rieux de leurs effets sur la nature et la sant humaine ENVIRONNEMENT Coll ge Lyc e Secondaire DVD vid o Plan te environnement Yeganeh Aly CNED 2004 DVD 156 min 1 livret 13 p DVD sur l environnement con u autour de six films et un site Internet pour les extensions p dagogiques Les sujets sont abord s sous forme d un dialogue entre des scientifiques de haut niveau et des adolescents et concernent nutrition et alimentation ressources g ologiques m t orologie et climat atmosph re terrestre technologies et sant les nergies chaque th me trait dans le DVD correspond une
131. as fig s dans le pass ne serait ce que par l volution des techniques de productions Terroirs et mondialisation La mondialisation est elle l uniformisation Ou est elle un brassage des forces plus ou moins visibles que d autres Car d sormais on mange chinois turc ou indien si on le souhaite ce qui est le cas aussi de cet l ve La g ographie alimentaire impose ses donn es culturelles l ensemble des acteurs qui font des choix en fonction des niveaux techniques et conomiques C est ainsi qu on peut saisir les bouleversements actuels sur la plan te alimentaire o le brassage des plats des go ts et des saveurs formulent de nouvelles pratiques Jusqu aux d nonciations virulentes comme celle d Erwin Wagemhober We feed the world le march de la faim qui rappelle que si tout se lie sur le plan conomique la solution aux probl mes alimentaires d aujourd hui est entre nos mains qu en somme nous avons l agriculture et l alimentation que nous m ritons 2 Quels choix D une simple question d alimentation nous voil partis sur un vaste d bat de fond et une approche globale par excellence Besoin fondamental li notre survie l acte de se nourrir questionne notre relation nous m mes l coute et les r ponses que nous donnons nos besoins fondamentaux et nos d sirs l coute et les r ponses que nous donnons face aux suggestions et repr sentations du monde ext rieur m diatique en particu
132. at A3 sur lequel est dessin e cette boussole Les l ves sont invit s d finir les 4 axes de la boussole comment chacun de ces 4 concepts sont per us par la classe Par exemple l organisation politique quoi cela vous fait penser 3 Ensuite on place une grande photo au centre de la boussole sur un th me d int r t choisi Exemple les enfants sur une d charge une Indienne porteuse d eau Le groupe est invit formuler des questions sur la r alit repr sent e partir de chaque axe environnement conomie social organisation politique On termine par un d bat sur l analyse r alis e Les l ves refont alors le m me exercice en sous groupe avec une autre photo Ils disposent d une heure pour analyser leur propre photo sous les diff rents angles que propose la boussole et pour noter leurs questions et bauches de r ponses 4 Mise en commun Les rapporteurs de chaque sous groupe pr sentent les conclusions de l analyse de leur image Puis une synth se est labor e en tablissant des liens entre les quatre axes ainsi qu entre la r alit quotidienne des l ves et celle des populations repr sent es sur les images e Variante sur les repr sentations M me processus mais en rempla ant les axes environnement social conomie et organisation politique par Qu est ce que vous voyez Qu est ce que vous avez en commun avec ces personnes Qu est ce qui pourrait am liorer le
133. ations conditionnel phrases nominales phrases interviews 8 Lecture N cessit de lire et comprendre pour pouvoir participer Choisir cerner le plus important 9 Math matiques Point de d part d activit s math matiques aires temps classement statistiques etc 10 Discipline d veil Point de d part de travaux de prolongement Localisation g ographique des v nements Approfondissement de l tude de l histoire des hommes et des pays Communication vers l ext rieur des v nements des travaux de la classe N cessit de r agir de sortir de comprendre l information Enqu tes pour compl ter illustrer etc 11 Travail en situation Dialogue avec un journaliste Etude de l actualit du jour du village du quartier de l cole Visite du journal Cr ation et enrichissement du journal scolaire les th mes qui y seront d velopp s sa pr sentation le style des textes qui y figureront 12 P dagogie g n rale Large ouverture de l cole sur la vie ext rieure D veloppement de la personnalit de l enfant favorisant son int gration ult rieure dans la vie active D veloppement de l analyse critique de l l ve vers une meilleure compr hension du monde qui l entoure 177 Finist re gt La circulation dans le journal Objectifs Observer le Les choix du lecteur rencontrent ceux de la r daction loin d tre un fonctionnement fourre tout le jo
134. blic Ecole ne seront abord s que les points 1 et 2 e Coll ge Lyc e Mat riel e Deux s ries de quotidiens nationaux et ou r gionaux sur plusieurs jours Organisation Plusieurs s ances de deux heures Travail par groupe ou individuel Mots cl s Fait Nouvelle Ev nement Unit d information rubriques d un quotidien du jour et de relever dans les rubriques choisies toutes les br ves et les nouvelles annonc es 2 partir des m mes quotidiens du lendemain et des jours suivants noter quelles sont les br ves d velopp es le ou les jours suivants dans les rubriques concern es ou en Une comparer les choix des r dactions Existe t il des diff rences notables entre les quotidiens dans le traitement de la nouvelle 3 D terminer quand une nouvelle devient v nement pourquoi une telle importance lui est accord e Est ce le caract re exceptionnel des faits nouveaut ampleur Les r sonances sociales affectives et le degr de proximit avec les lecteurs jouent ils un r le pr pond rant L v nement peut il tre consid r comme une mise en question de l ordre habituel du monde 4 Choisir l v nement du jour pr sent dans tous les quotidiens Proposer aux l ves de lire l article correspondant partir des cinq questions de r f rence qui serviront de grille qui quoi o quand pourquoi d essayer en incluant toute la tit
135. blissement qui ont pris le rendez vous par t l phone et ont expliqu leur projet Tous ont donc v cu une m me rencontre et ont pu leur tour exprimer ce qu ils avaient appris et d couvert Un m me sujet a en fait servi d entr e et de mati re plusieurs articles La phase d criture tait plus facile car ils partaient d une exp rience commune mais v cue de mani re diff rente selon leurs int r ts qui taient compl mentaires mais trait s sous des aspects diff rents Ils vivaient tous un m me projet et pouvaient s entraider Le travail avec les journalistes A l unanimit une r ussite qui a m me parfois d pass les attentes des enseignants Quelques t moignages Les l ves ont t enthousiasm s par la visite de la journaliste et avaient beaucoup de questions poser Il faudrait plus d interventions 1 g n rale et 1 sp cifique l criture Nous n avons pas pu faire intervenir le journaliste Le professeur de fran ais tait absent pendant un trimestre la suppl ante n a pas pu assumer compl tement ce projet C est un temps cl dans le projet Le journaliste parrain est intervenu plusieurs fois 5 6 fois en pr sence des l ves pour travailler en petits groupes l aide l criture Il n intervenait pas pour crire leur place mais pour les aider finaliser leurs articles le rendre moins long ou plus accrocheur L coute des l ves a toujours t tr s grande Ces re
136. c qu il vise 0 de mat gr all g sans sucre toutes ces qualit s sont mises en valeur en utilisant de gros caract res des polices plus importantes elles sont entour es encadr es Entre ce qui est dit et la r alit un espace pour s informer comprendre et exercer son esprit critique Une grille d analyse pour la lecture d images publicitaires Ici peut tre mise en place une grille d analyse permettant de donner un cadre ce travail de lectures d images pour aider les l ves distinguer les diff rents l ments de sa construction 1 Quel est le choix du photographe quel cadre Quelle composition Quelles lumi re et couleurs Quel est l angle de prise de vue 2 Qu est ce que je vois d crire avec le plus de pr cision ce que je vois pour les personnages indiquer le sexe insister sur le regard lorsqu il s agit d un visage 90 Finist re 3 Qu est ce que je comprends 4 Comment j interpr te je donne du sens L image comme le texte n existe que dans son appropriation par chacun de ses lecteurs Son interpr tation est donc individuelle mais se doit d tre justifi e par des l ments concrets per us dans l image Deux autres l ments participent notre lecture de l image sa l gende et son ancrage dans le temps et l espace et lorsqu il s agit d une publicit le slogan la marque et parfois le texte qui l accompagnent Analyser la partie injonctive ou argumentative du message
137. cernant le th me les l ves ont d abord associ le th me la pollution et l environnement Il a fallu largir leur champ de vision Un grand merci pour le dossier Education au d veloppement durable et ducation aux m dias et les changes lors de la formation Le fait que le th me du d veloppement durable soit un sujet d actualit nous a tr s largement aid s Une des premi res activit s avec les l ves a t de leur demander de compter tous les jours le nombre d articles qui parlaient de ce th me Ils taient toujours tr s surpris du nombre Petit petit c tait la fois devenu un jeu et un moyen pour qu ils ouvrent le journal le feuillettent et soient curieux Ensuite on a complexifi le jeu En plus du nombre d articles je leur ai demand d indiquer la page puis la rubrique puis le sujet qui tait d velopp Sans cette m diatisation du th me l appropriation du journal et de son contenu aurait t beaucoup moins attractive et beaucoup plus difficile concr tement Du fait qu ils ramenaient le journal chez eux ils pouvaient aussi prolonger cette lecture seul ou avec leurs parents Tous ne l ont pas fait mais sur l ann e presque tous au moins une fois Ils taient d ailleurs d us et frustr s quand la fin de l op ration ils n ont plus eu leur 31 Finist re journal Nos l ves ont r ussi crire plus d articles que l an pass et sur des angles d attaque plus vari
138. che Graz Environ 350 000 hectares de terres agricoles essentiellement en Am rique latine sont employ es la culture du soja destin la nourriture du cheptel des pays europ ens alors que pr s d un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique Un film pour veiller les consciences sur les absurdit s et les g chis de la production la distribution et la consommation des produits alimentaires Dossier p dagogique sur le film sur http www zerodeconduite net wefeedtheworld ENVIRONNEMENT Coll ge Lyc e Secondaire Vid ocassette Objectif plein sud nourrir la plan te 2 la s curit alimentaire Orchid es Orchid es 50 min S alimenter un droit fondamental et pourtant La lutte des paysans sans terre au br sil D bat sur l aide alimentaire aux pays sous d velopp s 50 ans d volution de l agriculture en France 372 857 NOU Coll ge Secondaire Vid ocassette Le Chemin des coliers 4 L Ecole nourrici re Madagascar dernier puits Namibie Beeckmans Roger CNDP 1991 31 mn 29 mn 2 livrets Images lire 3738 R sum Vie quotidienne de la population de Madagascar malnutrition maladie pauvret Les difficult s au d but des ann es 90 de la population namibienne qui vient d acc der l ind pendance s cheresse ducation des enfants et des adultes r le des femmes Cote 916 BEE Lorient 59 Finist re Pour impulser le projet avec les
139. cherche des mots dans les articles Renseigner le terme recherch et filtrer ou pas par rubrique et ou type d article Pour afficher tous les articles produits par une classe ou un validateur saisir l identifiant de la classe ou du validateur dans le champ de recherche et cocher le bouton radio Utilisateurs gt On peut aussi filtrer par ordre chronologique dernier champ tous ou les articles publi s depuis 1 mois ou plus o Il affiche la liste des articles de la s lection Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE La gestion des images 1 L acquisition d images num ris es a Une image num rique est un fichier Il est caract ris par une taille en pixels points composant l image un poids en Ko et une extension gif jpeg png bmp b C est la r solution qu il importe de comprendre il faut trouver le meilleur compromis entre la dimension de l image en pixels et son poids en Ko Elle d termine la quantit de d tails visibles sur une image donc sa qualit visuelle c A partir d un appareil photo num rique Utiliser les images en r solution moyenne souvent 2 toiles d A partir d un scanner faites des num risations entre 150 et 200 dpi pour les journaux et 75 d
140. consommation Ils sont aussi de tous ordres informatifs commerciaux ducatifs structurant ainsi des repr sentations sociales des normes des valeurs des cultures Comment alors faire le tri de ces messages Quels cr dits leur accorder Quels impacts en attendre Quels effets en redouter Ces questions sont au coeur de ce dossier qui prend plus particuli rement pour objet de r flexion des l ves Baignant dans un univers m diatique la fois consommateurs et cibles des m dias les jeunes sont en effet les plus vuln rables La premi re partie du dossier propose une mise en perspective de l information sant De quoi parle t on Se rep rer dans ce v ritable et foisonnant march de l information sant proposer quelques cl s de lecture et de d cryptage des m dias et inciter enfin d crypter l information et les m dias sont les lignes d intention de cette premi re partie La deuxi me partie aborde les relations des l ves avec les modes de communication et leur mani re de les consommer Le dossier pr sente enfin une s rie d exp rience o concr tement des actions ont t mises en place pour comprendre autrement les m dias et l information qui y est v hicul e Notamment les publicit s et leurs messages s ducteurs Dans un dernier temps il est propos aux l ves d tre leur tour producteurs d informations relative ce th me En tant cr ateurs d informations les l ves ne sont
141. ct res relevant de l autonomie comme la capacit agir en fonction du contexte ou celle d exp rimenter et d en tirer des conclusions Mais les contraintes impos es un temps court pour un long processus ne nous ont pas permis de d velopper volont ces derniers points On ne peut pas oublier hors de la salle que la collaboration r guli re avec les responsables du Clemi avec l quipe p dagogique la confiance de l administration du coll ge les moyens mis notre disposition par le Conseil g n ral et la disponibilit des journalistes sont videment des facteurs importants pour la r ussite du projet pour lui donner tout son sens dans l enseignement Une fois de plus il a fallu choisir parmi de tr s nombreuses perspectives propositions En guise de conclusion la tension cr e par l ambition impossible d associer un discours pr alable et fini propre l information de presse avec une intervention po tique et personnelle ou plus encore de d tourner un m dia a t voqu e par les l ves Et c est plut t la surprise face des travaux mis en avant par le regard des autres qui a t la source de nouveaux projets d initiatives originales de prises de conscience r ciproques Pierre Bazin 24 octobre 2008 professeur d arts plastiques charg des classes images pour le Finist re Coll ge de Penanroz Pont Aven 29 Http phares ac rennes fr classespresse 2008 rubrique th me en image
142. cuments permettant d valuer les apports en nergie kal et en mat riaux de construction lipides glucides protides Insister sur les cons quences court et long terme de notre alimentation Pour travailler ce th me EN EDUCATION CIVIQUE Objectif d velopper l esprit critique par rapport des mod les esth tiques impos s Les m dias les magasines les affiches publicitaires nous pr sentent des corps sveltes minces muscl s bronz s Notre soci t nous impose des crit res de beaut fond s sur l apparence Tous les aliments ou presque peuvent se trouver sous une forme all g e qui nous permet de manger plus mais sans craindre les kilos en trop Pour les l ves de coll ge en pleine construction il est important de d gager les notions de tol rance et de droit la diff rence S accepter soi m me et accepter l autre tel qu il est sont les bases d un panouissement personnel r ussi 91 Finist re 92 Finist re Un th me en images L album Hungry Planet est un formidable outil p dagogique pour comprendre la diversit des modes d alimentation et des produits dans le monde Peter Menzel a photographi des familles issues de 24 pays travers le monde entour es de la totalit des denr es qu elles consomment pendant une semaine Chaque chapitre comprend une liste de chiffres et de statistiques sur le pays observ S il n est actuellement disponible en anglais ce livre est mettre entre
143. d veloppement durable leur fa on Leur participation cette tape du projet m a agr ablement surprise car c tait une classe qui tait surtout caract ris e par un manque de motivation g n rale L au contraire les id es fusaient Il y en avait m me trop curiosit et doute chez les l ves par rapport leur capacit lire et donc comprendre ce journal C est un constat largement partag par les enseignants nos l ves taient sceptiques sur le fait que le journal qu ils auraient pour eux puisse tre compris par eux et donc utile dans leur formation Cette remarque n mane pas exclusivement des coll gues ayant travaill avec des publics dits sp cifiques Mais elle est par contre commune aux coll gues ayant eu en charge les 2 classes DP6 et 1 classe de 3 me en alternance Elle est aussi partag e par les coll gues travaillant avec des l ves de segpa Ces m mes coll gues insistent sur la difficult qu ils ont eu passer du projet d criture sa r alisation effective la fois en raison des obstacles li s la ma trise de l crit en g n ral et la fois leur image tr s souvent n gative qu ils ont d eux m mes Ou comme le d clare cet autre enseignant La moindre difficult d organisation pour concr tiser un rendez vous ou le moindre impr vu prof absent par exemple taient source de d couragement Pour les enseignants qui d veloppent cet aspect du bilan d ma
144. d 3458 acad mie p Rennes L Education nationale t L A g dans les d partements Ae e i a LE 5 i Accueil gt Education aux m dias CLEMI a ET recherche avanc e 3 Education aux m dias CLEMI Le Centre de Liaison de l Enseignement et des M dias d Information est P charg de l ducation aux m dias dans l ensemble du syst me ducatif Il a pour CL 1 mission de promouvoir tant au plan national que dans les acad mies notamment par des actions de formation l utilisation pluraliste des moyens d information dans M Actualit s l enseignement afin de favoriser une meilleure compr hension par les l ves du monde qui les entoure tout en d veloppant leur sens critique Semaine de la presse et des m dias D cret n 2007 474 du 28 mars 2007 dans l cole 3 P du 23 au 28 mars 2009 Informations institutionnelles LS TRS dba tbt Missions le 12 novembre Rennes Contacts Concours reportage Arte M Formations l dition 2008 2009 Se former en 2008 2009 Galerie Faites la Une Se faire aider Laur ats 2008 M duquer aux m dias en classe Laur ats Concours journaux scolaires La galerie dition 2008 Le Blog lyc en par Phosphore avec le Clemi et Jets d encre Actions en Bretagne Concours Dans les tablissements Classes presse Semaine de la presse et des m dias dans l cole 2009 Une vid o pleine d humour pour comprendre
145. d articles et pour les aider aller au bout de leur projet d criture que l an pass avec une classe ayant le m me profil scolaire Autre t moignage Si c tait refaire je ne commencerais pas ce projet en v rifiant leurs connaissances th oriques sur la presse crite organisation des rubriques organisation de la 28 Finist re une vocabulaire sp cifique de la presse crite par exemple comme le proposent certains manuels de 4 me car les l ves ont eu ensuite du mal lier lecture du journal et criture de leurs articles du fait m me que j ai pass trop de temps sur ces connaissances th oriques non ancr es dans leurs pratiques Si c tait refaire j inverserais la vapeur en partant du th me propos et des chos de ce th me dans le journal et comment eux le comprennent Par exemple je ne me suis rendu compte que tr s tard que leurs collectes d articles d coup s dans leurs journaux auraient n cessit plus de temps en classe pour qu ils se les approprient et pour qu ils les pr sentent aux autres Je n ai fait cette activit que tardivement alors m me que c est ce temps de d bat en classe qui a permis aux l ves les plus en difficult de trouver une id e d article qui les motivait et pour laquelle ils ont accept de produire leur tour leur propre article qui leur grande surprise ont int ress les autres l ves plus l aise dans le rapport l criture Partir du th me les pousser
146. d exercer son esprit critique sera difficile C est le cas aussi pour la forme r dactionnelle des publi reportages information ou promotion du produit Les l ves ont une conscience diffuse de ce qui les entoure et n arrivent pas toujours mettre des mots sur les strat gies utilis es Pouvoir 99 Finist re expliciter les supports qui servent la publicit permet alors de mieux prendre conscience de son effet sur notre consommation Travailler sur le message publicitaire mais aussi sur le syst me publicitaire en lien avec la soci t de surconsommation leur faire prendre conscience qu il doivent r fl chir par eux m mes avant tout acte d achat est un pas important pour comprendre et peser sur le monde qui les entoure C est aussi l occasion de les questionner sur quelques id es re ues En particulier qui dit que cher et marque riment toujours avec qualit L objectif est de sensibiliser de fournir des outils et d alimenter la r flexion afin de s interroger sur sa consommation au quotidien et d veiller aux d marches citoyennes 1 source CREDOC 2008 et qu elle surfe sur l air du temps Les questions se posent donc plusieurs niveaux pression publicitaire mais aussi contenu des publicit s Sur ce domaine aussi les publicitaires semblent avoir une longueur d avance Si l on veut bien comprendre la publicit aujourd hui il faut aussi aider les l ves rep rer quelles sont les tendances de la soci
147. dans le plat c est la cerise sur le g teau tailler le bout de gras mettre son grain de sel dans une conversation tre chocolat entre la poire et le fromage mi figue mi raisin lee 95 Finist re M dias publicit s alimentaires et sant D veloppons l esprit critique Communiquer n est pas toujours informer 96 La publicit en questions Exp riences Que faire face la publicit alimentaire La publicit nous dicte t elle ce que nous devons manger Finist re 97 Finist re Quand les l ves collectent les publicit s alimentaires voir fiche 2 manger ou consommer D codage de la publicit Munis de leurs trouvailles en classe seul ou en groupe ils choisissent une publicit alimentaire non pas pour le produit mais parce qu elle les interpelle Les regards balaient le tas de d coupes de magazines apport es Apr s distribution d un questionnaire de d codage a cogite J aime j aime pas cette pub pourquoi Quel public cible t elle Quelles le ons j en tire Vient le moment du tour de table En brandissant la pub s lectionn e les l ves s expriment tour de r le Quand un comportement devient une habitude comment le changer Les l ves n ont pas toujours un parcours o on leur a donn l occasion de r fl chir ces questions li es l alimentation et la consommation Tout fonctionne par stimulus Cette activit est l occasion pour eux de formul
148. de cacao 5 collecte et exportation des f ves 5 TVA 6 production de f ves de cacao 7 laboration du chocolat industrielle 70 moulage et distribution de la plaquette source Centre de coop ration internationale en recherche agronomique pour le d veloppement cirad Comprendre l actualit par l image Hachette pratique 2008 e En achetant un kilo de fraises Gariguette le consommateur paie 9 l exp diteur coop rative conditionnement 12 au distributeur grandes surfaces 14 TVA 20 divers transport stockage 45 au producteur plantation main d oeuvre source Estimations d apr s donn es du Service des nouvelles du march 2008 Comprendre 127 Finist re l actualit par l image Hachette pratique 2008 e Dans le prix d une baguette de pain sont inclus 25 des mati res premi res sel farine levure eau 25 des charges loyers imp ts 50 de masse salariale e Autre piste mener l enqu te le prix du lait du producteur au consommateur apr s transformation du produit 0 26 centime d euro c est le prix que re oit un leveur pour un litre de lait de vache 09 2008 et 2 86 euros c est le prix d un yaourt boire d une contenance de 75 cl O passe la diff rence Une poign e 5 de groupes industriels se partagent le secteur agrolimentaire Dont Nestl qui domine le march international du lait en poudre avec 50 des exportations mondiales Et 40 des entreprises
149. de celui de la famille Le Page dans sa fer me de Cast Chez les Le Page Kerveluen a ne sent pas la bouse de vache et Il ny a pas de poues sous la table Blandine 13 ans Cl ment 10 ans et leurs parents Marthe et Michel 40 ans habitent une conkrtable kag re r nov s avec pit dont la pl ce vivre Inon de lumi re regarde la campa gne perte de vue L table mada ne et sa chquantane de vaches sont quelques encablures signa ke par une pancarte peinte par les enfants Partager le quotidien Dans la cour de la maton tamiiale envahie de fleurs tr ne un trac teur vert F Hre super qup Mab un peu fatigu C est cui de Cl ment Il n a que des jouets s agicoles sourit sa maman Plus petit Il await du mal les pr ter Maintenant a va Il faut dire qu ils sont tr s conaol t s ces jouets Ne serait ce que cet t 17 bambins de l age de cl ment et Blandine ont pass tour tour des vacances Kerwelquen sam popa et maman a falt du monde sw le tracteur Le jouet autant que le wal d afleurs Les enfants alment tellement a qu avec mon mar nous avons achet un quad On met la remor que derri re et on part dans la cam pagne Les enfants y passeratent des heures D couvrir les animaux Mats Il y t lement d autres cho ses falre Traire les vaches des balles Hoktein nores et blanches les conduire au pr court dans les La fanile
150. de montage qui puise dans un patrimoine d images constitu depuis les ann es 60 retrace partir de ce que nous rapportent des paysans de diff rentes r gions l histoire de cette mutation les d buts de la m canisation le remembrement la d sertification l arriv e de nouveaux agriculteurs et l apparition des exploitations modernes aux rendements lev s 914 4 VER Lorient 4621GEO AGRICULTURE Vannes Coll ge Secondaire Vid ocassette Si cle des machines Dents de la terre Philippe Pierre CNDP Paris La Cinqui me Images lire 1996 26 min Evolution des outils utilis s dans l agriculture depuis la force humaine et animale jusqu aux premi res moissonneuses et aux premiers tracteurs 3965GEO AMENAGEMEN Classe de 3e Classe de 1 re Coll ge Lyc e Secondaire Livre Comment jardiner sans pesticides Les solutions techhniques et les mat riels P pin Denis Gautier Louis illustrateur AUDIAR Agence d Urbanisme et de D veloppement Intercommunal de l Agglom ration Rennaise 2002 18 p Limiter le recours aux pesticides c est possible car la plupart des probl mes rencontr s au jardin sont la cons quence de mauvaises pratiques de culture ou d entretien du jardin Propositions pour adapter des techniques agronomiques plus naturelles et s lection de mat riaux et plantes qui permettent d viter de traiter 371 386 COM 51 Finist re Livre Dessine moi un jardin 17 fiches pour construire ensemble
151. de r sumer les diff rentes phases de la visite du journal r daction maquette montage impression exp dition et de d gager la diversit des activit s trois entreprises en une production intellectuelle activit industrielle activit commerciale 2 Rassemblez le mat riel promotionnel du journal r colt pendant la visite affiches prospectus objets promotionnels v tements etc Que vise t il impact message quel est le public touch Proposez aux l ves d enqu ter afin de situer la campagne de promotion dans l ensemble de la strat gie du journal Co t de la campagne 3 A partir des comptes d exploitation c est dire de donn es concr tes fournies par le journal souvent publi s par le journal lui m me on peut initier les l ves aux r alit s conomiques d une publication Analyser les diff rents postes et les r sultats annonc s par le journal Etablir le sch ma d quilibre de la gestion du journal 4 On pourra s int resser aux diff rentes lois sur la presse propos es depuis celle de 1944 Comment ces textes r glementaires interviennent ils dans l conomie du journal Prolongements Comparaison des comptes d exploitation de plusieurs quotidiens Evolutions restructurations industrielles poids de l investissement financier 188 S Finist re gt Une approche de l conomie du journal Objectifs Le journal est un produit qui co te cher Aujourd hui
152. des consommateurs critiques 1 Darwen Breny Un projet pour travailler l image et les m dias Col Delagrave 2008 e Sommes nous tous gaux face la publicit Si nous sommes tous confront s aux m mes publicit s certains publics sont cependant plus fragiles que d autres face aux messages publicitaires Selon notre ge et notre ducation nous r sisterons mieux ou moins la publicit L enfant ne comprend compl tement l intention persuasive des publicitaires qu partir de 12 ans explique un expert en neuro marketing dans l ouvrage L enfant jack pot Il peut aussi y avoir confusion lorsque la publicit rev t volontairement une apparence non publicitaire Par ailleurs quelque soit l ge pour r sister une pub pour se dire l ils essaient de nous faire croire n importe quoi il faut en avoir la volont et l envie Cette volont d pend directement de notre expertise sur le sujet abord de notre ducation li e notre niveau socio culturel En simplifiant plus nous sommes pauvres plus nous sommes fragiles face la pub Si nous n avons pas cette volont ducation et cette capacit ge les l ments motionnels prendront le dessus Il y a un r le important jouer pour les parents et les enseignants amener d velopper le sens critique des enfants Lors de la diffusion d un spot ils peuvent d construire le proc d comparer l image et la r alit extrait de L enfant jackpot e
153. dividu autonome et responsable dans ses choix de consommation m diatique Objectifs Prendre conscience de l influence de la publicit sur nos go ts Initier un regard critique Susciter l int r t sur les questions li es la publicit alimentaire afin de poursuivre la r flexion et passer l action La pub on s en d marque Mat riel Collecter ou faire collecter une s rie de publicit s extraites de diff rents magazines en ad quation avec les l ves Pr parer un questionnaire de d codage comprenant par exemple les questions suivantes J aime ou je n aime pas cette publicit pourquoi Qu veille t elle en moi comme sentiment En quoi cette publicit touche t elle mon v cu A quel public s adresse t elle Quels messages fait elle passer Qu est ce que cette publicit ne dit pas Quel produit cherche t elle vendre Quel est le rapport entre le produit et le support publicitaire message valeurs choisi Quelles conclusions j en tire a Disposer au milieu d une table une s rie de publicit s et inviter les participants en choisir une qui leur pla t ou leur d pla t tout particuli rement Pr ciser qu il s agit de la publicit et non du produit promu et inviter ne pas faire de commentaires sur ces choix b Lorsque chaque l ve a fait son choix proposer chacun de pr senter tour tour la publicit choisie et de motiver en quelques mots son choix A l aide d un ques
154. dre la complexit de sa gestion e conna tre les organismes et les dispositions juridiques de protection du littoral e partenaires collectivit locale territoriale industriel club de sports nautiques p cheurs D marche observation visite travail sur documents travail d enqu tes sur le terrain et revues de presse I Un littoral industrialis e faire l tude d un am nagement du port analyser les tapes de cette volution Quels changements au cours de l histoire peuvent expliquer ces transformations En quoi sont ils li s les uns aux autres Faire prendre conscience des probl mes environnementaux e Analyser comment le littoral supporte une pression de plus en plus forte qui r sulte d une occupation de plus en plus dense Identifier les besoins en espace quel est l impact de l urbanisation sur les terres agricoles les for ts les zones humides risques le patrimoine paysager Evaluer les besoins en eau sur les les par exemple e Examiner les divers types de pollution d chets eaux us es II Les enjeux du littoral Le littoral est soumis une pression conomique et sociale contrepartie de son attractivit Objectifs e sensibiliser la fragilit du milieu littoral et la n cessit de le pr server e d finir les contradictions entre les activit s du littoral ses modes d occupation et ses utilisations Les concentrations humaines et les activit s Observer une carte de l
155. du dossier et des changes le constat appara t vident l alimentation fait l objet de toutes les attentions rattach e au d veloppement durable au travers des m dias d ouvrages de d bats publics ou de discours ambiants Mieux cerner ce concept sans pour autant le figer dans l une ou l autre d finition en est l enjeu principal L exploration globale des 4 grands piliers de l alimentation environnemental socio culturel conomique et thique passe par d autres ingr dients incontournables Le syst me participatif et les relations Nord Sud par exemple Un d tour du c t des critiques et alternatives est aussi de mise Le d bat est ouvert sur la place de l alimentation dans une soci t r gie par la croissance conomique qui vacille A chacun de choisir ce qui lui correspond le mieux et de prendre ce qu il a envie de prendre e exploiter dans toute sa complexit Un th me multiple donc L int r t de cette approche vise comprendre la r alit dans sa 69 Finist re complexit L approche est essentielle ouvrir d autres portes pour rentrer dans les apprentissages Elle permet de se rendre compte que chacun est acteur de son syst me et que choisir de modifier un param tre a des cons quences sur d autres param tres Elle peut tre adapt e tous les publics m me avec les plus jeunes des l ves de coll ge e M thode de travail Pour r diger ce document nous avons travaill en version papier et e
156. e tranger ou international des quotidiens nationaux Relever le nom des pays les rep rer sur la planisph re l aide d pingles d couper les articles les concernant en notant le nom et la date du journal Coller sur des cartons les articles et les relier avec des fils aux diff rents pays A la fin de la semaine une revue de presse sur l actualit internationale sera r alis e Noter les pays dont on parle comment en quels termes et ceux qui ne sont pas dans l actualit 206 Des fiches pour comparer gt Comparaison des Une gt Comparaison des contenus Finist re 207 gt Comparaison des Une Finist re Ouest France Le T l gramme Sens du nom du journal Devise Prix Logo sens Autres informations donn es Dans le bandeau Titre principal du jour Nombre de sujets Liste des sujets Editorial sujet Surface de photos totale Quels publics Diff rences ditoriales Commentaires 208 gt Comparaison des contenus Finist re Ouest France Le T l gramme Format Surface d une page Nombre de pages Nombre de pages en couleurs Surface totale Nombre de sujets Bretagne Nombre de sujets d partementaux Nombre de sujets sur votre commune Nombre de sports couverts Nombre de sujets au total Surface de publicit totale T
157. e le th me retenu pour les classes presse 2008 2009 est Nourrir se nourrir Les arguments ne manquent pas en faveur de ce th me Tl est dans l actualit Comment nourrir 9 milliards d habitants Les meutes de la faim suite la hausse des prix du riz et des c r ales Ila de multiples facettes l agriculture ici et dans le monde l agro alimentaire la restauration les repas la sant les m tiers TI permet des approches journalistiques vari es les sujets sont proches et concrets Le th me et ses rubriques e Nourrir tout le monde Il s agira d aborder les probl mes et les solutions pour agir contre la faim Loin de chez nous ou nos portes L occasion d voquer les diff rents types d agriculture les circuits commerciaux du champ l assiette les actions de solidarit la souverainet alimentaire e Des m tiers pour demain Les secteurs de l alimentation agriculture agro alimentaire distribution restauration repr sentent de nombreux emplois en France Et parfois des emplois non pourvus Autant de m tiers d couvrir et raconter e Bien se nourrir Types de repas qualit des aliments information du consommateur publicit s quilibre di t tique ob sit anorexie autant de th mes qui peuvent susciter l int r t des l ves Ils pourront approfondir ces sujets mais aussi aborder les go ts la convivialit le plaisir et la gourmandise
158. e Un article doit partir d une situation concr te avant de tirer des enseignements d crire des comportements pour illustrer une situation g n rale Il faut rester concret et humain Les citations rendent souvent un texte plus vivant mais elles ne doivent pas tre trop longues sauf s il s agit d une interview Dans l criture il faut privil gier le style direct avec phrases courtes et mots compr hensibles par tous Structure du texte Le titre Il doit tre simple court et efficace Le chapeau Tous les textes de plus de 60 lignes doivent d buter par un chapeau de quelques lignes 10 maxi il doit tout la fois inciter la lecture du texte mais aussi donner l essentiel de l information pour le zappeur press qui n a pas le temps de lire l article en entier En fait entre le titre et le chapeau le lecteur doit conna tre l essentiel de l info comme un flash radio il doit ainsi pouvoir lire le journal en quelques minutes et faire son choix sur les textes qui l int ressent Le texte 100 lignes maximum Il doit avoir du rythme et tre synth tique Il ne doit pas tre un r cit lin aire d un v nement Il doit d gager les le ons de l v nement ce que l on doit retenir Il doit d buter par l essentiel en se rappelant que l attention du lecteur ne cesse de d cro tre au fil de la lecture Relancer l attention par des intertitres chocs et attractifs est n cessaire pour rythmer le papier El ment essenti
159. e agriculture de ma s et mara ch re en Roumanie une culture de soja au Br sil une agriculture vivri re et pauvre en productivit au Br sil et enfin un levage industriel de poulets en Autriche Chacun de ses tableaux peut donner lieu une analyse venant prolonger un axe particulier choisi par les l ves ou par leurs enseignants notamment en g ographie et SVT Des th mes tels que l acc s l eau ou la qualit des produits alimentaires ou le gaspillage alimentaire dans les pays du Nord par exemple sont aussi trait s parfois de mani re indirecte et demandent donc un d cryptage particulier Enfin la lecture de l affiche permet de formuler des hypoth ses sur les intentions de r alisateur et ainsi de questionner leur tour les l ves sur ce message Afin de trouver au mieux un angle d attaque pertinent pour approfondir un sujet li l agriculture et la faim le contenu analys du film ainsi que les questions servant l analyse aupr s des l ves sont disponibles sur le site du clemi Bretagne Vous trouverez aussi sur ce site en documents des extraits d articles de journaux qui rendent compte du caract re pol mique de ce documentaire Une autre fa on de croiser des informations ou de faire la diff rence entre opinions et informations bref d apprendre nos l ves aiguiser leur esprit critique Pour des l ves plus aguerris aux techniques utilis es par les m dias et de fa on g n rale aux
160. e ambition de vous aider dans votre travail Ce dossier est un outil con u pour d couvrir la presse pour s initier au monde de l information Il ne s agit pas de tout exploiter vous y trouverez des fiches p dagogiques des pistes de travail des fiches d informations des fiches l ves des aides m thodologiques mais aussi des prolongements possibles A vous de s lectionner les documents pertinents en fonction de votre projet p dagogique Nous esp rons vivement que cette op ration d ducation aux m dias ainsi que ce dossier p dagogique vous aideront accompagner vos l ves vers une lecture responsable active et critique des m dias Bonne chance pour cette exp rience qui sera pour vous et vos l ves nous n en doutons pas tr s enrichissante Corinne Tual D l gu e acad mique du Clemi Acad mie de Rennes Ce dossier a t con u partir de documents r alis s par le CLEMI national et le CLEMI Bretagne Centre de Liaison de l Enseignement et des M dias d Information Finist re Finist re SOMMAIRE Organisation p 5 Mode d emploi et dispositif g n ral des classes presse en Finist re Pratiques en classes presse p 25 e exp riences et t moignage e une nouveaut la classe image son r le t moignage d un enseignant en Arts plastiques Quels contenus aborder p 39 Le dispositif p dagogique des classes presse Pour impulser le projet classe presse avec les l ves que
161. e aux nouveaux d fis acc s l eau techniques agricoles adapt es au climat capacit nerg tique n cessaire pour la modernisation de l appareil de production nouvelles fili res Sonia Scolan du CASI Bretagne coordination des associations de solidarit internationale en Bretagne Site www casi bretagne org 47 ge L Finist re e Etenfin une bibliographie tr s riche sur le th me r alis e par Isabelle Desestret Mazard du CDDP du Morbihan CDDP DU MORBIHAN SERVICES CULTURE EDITIONS RESSOURCES POUR L EDUCATION NATIONALE CRDP 5 rue du C Charcot BRETAGNE CDDP 56000 VANNES MORBIHAN T 02 97 63 21 37 F 02 97 63 87 65 51 avenue Chenailler 56100 LORIENT T 02 97 64 64 62 F 02 97 64 65 08 Nourrir se nourrir Classes Presse 2008 2009 S lection de ressources emprunter au CDDP de Vannes et de Lorient agriculture et levage La nutrition les aliments l quilibre alimentaire le go t sant et alimentation la faim dans le monde 48 Finist re Agriculture et levage Exposition Nourrir les hommes Chabrol Didier Emorine Eug nie Agropolis Museum CDTM 10 affiches 0 50 x 0 70 R sum 10 affiches traitant de l alimentation dans le monde sa production sa distribution les probl mes de famine de d s quilibre alimentaire les fa ons de manger dans diff rents pays Cote 613 2 NOU Lorient A07 Vannes Exposition A la d couverte du riz Poitiers cedex
162. e br ve ou un reportage tait alors utile On observait et on apprenait petit petit faire la mani re de Pour mes l ves le fait que le th me du d veloppement durable ait t un th me couvert tr s largement dans les journaux a norm ment facilit cet apprentissage de lecture et d criture Le journal tait leurs yeux utile et tr s utile pour voir comment ils crivaient et voir ce que eux disaient du th me Un rapprochement tait rendu possible Au final malgr toutes les emb ches je suis contente de leurs productions Seuls 3 articles ont t mis en ligne mais ils refl tent bien le travail de toute la classe et ils taient eux m mes surpris d avoir pu r ussir Autre probl me soulev mais aussi solution pour s adapter aux difficult s d organisation obtenir un rendez vous qui convienne tous par exemple T moignage Nos l ves les plus fragiles sont souvent tr s vite d motiv s lorsque les d marches qu ils 32 Finist re souhaitent faire mettent trop de temps se concr tiser D autres en restent facilement au projet l intention de faire mais passent difficilement la r alisation surtout lorsqu il leur faut rencontrer d autres personnes qui leur sont pratiquement inconnues C est un apprentissage qu ils sont peu habitu s faire Nous avons alors d cid 2 reprises de faire venir ces personnes dans l tablissement Mais ce sont les l ves dans l ta
163. e d bat pour exploiter ce suppl ment et ce qu il apporte en fin du projet Ils mettent aussi en valeur le travail de la classe et du coll ge C est un objet qui valorise l l ve dans sa famille Ce suppl ment valorise le travail des classes et rend plus concr te l op ration Cela permet aux l ves de voir le travail des autres classes De la fiert de se lire Un bon moyen pour finaliser et rendre public les efforts de tous Les suppl ments des classes presse sont aussi utiles pour montrer le r le des enseignants en coll ge et valoriser une autre fa on de travailler avec les l ves C est la seule apparition qui montre la diversit des publics et du travail inter disciplinaire Nous avons t surpris de la diversit des articles et de leurs richesses C est toujours une bonne surprise que celle de d couvrir qu en fin de compte a valait le coup de s y mettre Chacun a apport sa pierre un projet collectif Les suppl ments montrent cette souplesse 33 Finist re dans le traitement du th me mais aussi sa coh rence C est une ouverture suppl mentaire indispensable poursuivre Certains l ves taient fiers de me dire qu ils avaient vu leur article m me si l article n tait pas crit par eux dans le journal Ils se reconnaissaient tout de m me dans le travail accompli dans la classe Le suppl ment repr sente la reconnaissance du travail
164. e d marche citoyenne s couter s accepter diff rents s entraider sont des conditions n cessaires pour animer et faire avancer ce projet Pouvoir les aider diversifier leurs sources d information et mieux comprendre comment pour qui et dans quel but sont construits ces messages c est les aider s inscrire dans une appropriation du monde qui n est ni fig e ni totalement achev e et dans lequel ils ont tous leurs places pour peu qu on leur donne les moyens d y acc der A ce sujet en d but du projet il n est pas rare de voir des comportements d l ves qui peuvent tre interpr t s comme des manifestations de rejet face au journal je ne le lis pas ou Je ne m int resse qu aux avis de d c s parce que je connais des gens sous entendu et ces gens s int ressent moi ou je ne m int resse qu au sport parce ce que je fais moi m me tel sport ou je ne m int resse qu aux programmes de t l parce que je veux savoir ce que je vais regarder chez moi ce soir Toutes ces expressions nous permettent de comprendre quelles relations ces l ves entretiennent avec les m dias Loin de condamner ces paroles et donc ces l ves sachons qu elles nous informent de leurs relations sociales mais aussi de la place qu ils ont dans leurs relations sociales La tendance serait grande pour nous enseignants de consid rer ces manifestations comme tant un rejet une opposition totale et de dire
165. e de ces d nominations sont au masculin les mots ploucs bouseux mais aussi pour ces citadins le mot paysans les conduisent facilement exprimer une vision d form e de la r alit mais plus importante encore une attitude 112 Finist re p jorative et d valorisante du monde agricole Pour certains Zis sont des paysans parce qu ils n ont pas fait de longues tudes et pour d autres ce sont des gens qui n ont pas fait d tude ils continuent le travail de leurs parents c est tout Dans leurs esprits spontan ment il existe donc des groupes professionnels dans notre soci t qui seraient plus dignes plus int ressants plus nobles dans leur fonction Pouvoir les interroger sur le statut et le r le des agriculteurs dans la soci t permet une premi re avanc e La diversit de ces repr sentations met en vidente aussi un constat si ce groupe professionnel n a pas de mot pour se dire est ce dire que leur r le dans la soci t n est pas clairement identifiable pour eux Du paysan au chef d entreprise ces oscillations verbales sont aussi l expression d une recomposition professionnelle disparate et source de paradoxes Elles sont videmment la source d un brouillage total pour qui n en est pas et qui entend tour tour des mots qui tymologiquement conomiquement politiquement renvoient des statuts et des r alit s fort diff rentes Pourtant les mots agricult
166. e est de l Inde Il en existe une version fran aise disponible au CRISLA Des p cheurs sont pouss s au suicide du fait de l interdiction de la p che Il existe cependant des alternatives qui permettraient deconcilier protection de la biodiversit et maintien de l activit et des ressources alimentaires Alain Le Sann CRISLA Bretagne centre de R flexion d Information et de Solidarit avec les peuples d Afrique d Asie et d Am rique latine Site www crisda org BRETAGNE amp 6 o 2 eo 4 leusoqut Nourrir tout le monde le cas de l Afrique subsaharienne La sous alimentation ou sous nutrition est un tat de manque important de nourriture insuffisant pour combler les d penses nerg tiques journali res d un individu entra nant des carences nutritionnelles Chez l tre humain la sous nutrition prolong e provoque des dommages irr versibles aux organes et au final la mort Le seuil d terminant l tat de sous alimentation est estim 2700 calories par jour et par personne par la FAO Organisation des Nations Unis pour l alimentation et l agriculture qui vient d valuer 923 millions le nombre de personnes sous aliment es en hausse de 75 millions depuis la derni re tude Pour la premi re fois au printemps dernier la faim a suscit des meutes en Ha ti en Indon sie aux Philippines mais surtout en Afrique Et elles n taient occasionn es n1 par une 45 ri o a L Finist
167. e pars avant la fin du repas et je ne suis pas la seule quitter la table dans cette situation Du coup je n ai plus vraiment envie de partager un repas avec eux Et pourtant je les vois peu dans la journ e En revanche ma m re peut me pr parer mes petits plats pr f r s quand elle veut me faire plaisir et me t moigner de l affection Autre t moignage J ai plaisir manger quand je me sens bien et quand je sais que je vais pouvoir faire plaisir ma famille ou mes copains L image de soi Si je devais dire ce que j ai mang hier j aurais honte et je ne serais pas tr s fi re d clare cette l ve ce qui provoque des rires dans la classe J ai mang tout ce qu il ne faut pas manger chocolat bonbons pizza chips et soda Mais en temps normal je fais un r gime Rire dans la classe A la question de savoir pourquoi veut elle faire un r gime je me sens trop grosse et puis ma copine en fait un alors moi aussi C est plus facile deux Et de reconna tre ensuite que ni elle ni sa copine n ont pas vraiment besoin d un r gime Oui mais je me sens trop grosse C est mieux d tre mince Ces 2 l ves ont 12 ans La culture de la minceur d velopp e dans les publicit s alimentaires mais pas seulement exercent une influence forte aupr s des l ves et ce tr s t t S associent cet id al de minceur une promesse de plaire et donc l envie d tre regard e avec des crit
168. e pratiques ont t ax s sur des points sp cifiques mis en oeuvre dans le projet des classes presse Ont t abord s le d marrage du projet la lecture des journaux et leur appropriation par les l ves l criture des articles et la publication sur la plate forme Phare des classes presse le travail avec les journalistes le travail en quipe pluridisciplinaire et enfin l valuation globale qui cette ann e tait plus centr e sur ces deux questions En quoi ce projet est il b n fique A qui profite 1l Les enseignants ayant contribu cette r flexion sont de disciplines diverses et enseignent dans des classes diff rentes de la 6 me la 3 me en passant par les SEGPA et les 3 me option d couvertes professionnelles implant es dans des lyc es professionnels Qu ils soient plus anciens ou nouveaux dans ce projet tous ont appr ci ce temps d valuation et d changes C est leur demande aussi que cette synth se vous est communiqu e afin de nourrir la r flexion de mutualiser les changes et d am liorer une exp rience collective qui a d but il y a maintenant six ans Le choix a t fait de donner une large place dans cette synth se la parole et aux t moignages de ces enseignants engag s en classes presse l an dernier 1 Le d marrage du projet curiosit des l ves et adh sion au projet sont les termes qui sont largement utilis pour caract riser le d marrage
169. e socle commun des connaissances et des comp tences est d sormais notre cadre de travail et d initiatives C est pour nous une avanc e car pour la premi re fois dans l histoire des programmes scolaires et des volutions de l cole l ducation aux m dias est reconnue comme tant une des 7 comp tences n cessaires la formation Prenons donc acte l ducation aux m dias est d sormais une comp tence inscrite dans le socle commun qu il va donc falloir mettre en oeuvre Le projet classes presse en est une de ses d clinaisons La brochure Eduquer aux m dias a s apprend distribu e et pr sent e chacun des stagiaires et des formateurs des sites IUFM en France depuis la rent e 2006 r pond cette exigence En effet les sept comp tences n cessaires tout au long de la vie sont 1 La ma trise de la langue fran aise 2 La pratique d une langue trang re 3 La culture scientifique et technologique 4 La ma trise des techniques usuelles de l information et de la communication 5 La culture humaniste 6 Les comp tences sociales et civiques 7 L autonomie et l initiative des l ves Nous avons voulu la fois souligner les objectifs g n raux du socle commun qui l gitiment l ducation aux m dias mais aussi mettre en vidence les mots ou expressions qui incitent former aux m dias et donc qui peuvent tre reli s au projet p dagogique des classes presse Ces mots ou express
170. eaux champs Montvalon St phane de Mason Anne Marie CNDP Paris La Cinqui me Images lire 1995 26 min Modifications des pratiques agricoles depuis 30 ans avec l emploi massif des engrais et des pesticides d o une pollution de la terre et des plantes 3808 ENVIRONNEMENT Coll ge Secondaire Vid ocassette Travailler aujourd hui Mara cher en Vend e Imbert Thierry CNDP Paris La Cinqui me Images lire 1996 13 min Tourn en Vend e le film pr sente les fr res Renou mara chers 3899 ORIENTATION P Coll ge Secondaire Vid ocassette Le cochon Logeais Isabelle SCEREN CNDP Paris Sciences de la vie et de la Terre 2004 12 min 1 livret 8 p r f bibliogr Ce petit film concentre les informations essentielles relatives l levage porcin en France Apr s avoir bri vement rappel l histoire de l levage du porc par l homme les esp ces de la famille des suid s et les diff rentes races de cochons il d veloppe plus en d tail les questions techniques intervenant aujourd hui dans l exploitation porcine qui sont principalement li es l alimentation et la reproduction Il expose ensuite les probl mes cologiques li s l levage porcin et au recyclage du lisier mentionne les qualit s nutritionnelles de la viande de porc et d nombre les diff rents labels dont elle fait l objet Pour finir il met en vidence les comp tences que requiert le m tier d leveur et voque la repr sentat
171. ech A la conqu te du monde e Sur les 102 millions d hectares dans le monde consacr s aux plantes transg niques les Etats Unis les plus gros producteurs en totalisaient en 2006 plus de la moiti 54 6 suivis de l Argentine 18 du Br sil 11 5 et du Canada pr s de 10 e Avec 3 8 millions d hectare 192 de croissance l Inde devient le cinqui me plus grand producteur mondial devant la Chine e En Europe 5 pays produisent des OGM l Espagne l Allemagne le Portugal la France et la R publique tch que Les principaux OGM cultiv s sont le soja 57 de la superficie biotech mondiale le ma s 25 le coton 13 et le colza 5 Pr s de 80 des OGM cultiv s servent nourrir le b tail Les produits autoris s e Au total 16 produits OGM taient autoris s en 2006 en Europe et 10 attendaient de l tre e Depuis le 18 Avril 2004 toute denr e destin e l alimentation humaine contenant plus de 0 9 d OGM doit en porter la mention sur une tiquette e Rien n est pr vu pour la viande le lait les oeufs ou tous les produits issus d animaux nourris aux OGM 163 Finist re En France le conseil d Etat a d cid en mars 2008 de rejeter le recours d pos par des semenciers et des producteurs de ma s transg niques Ceux ci demandaient au gouvernement de leur redonner le droit de cultiver le ma s contenant des OGM Au d but du mois de f vrier 2008 le gouvernement fran ai
172. el Ne pas glisser ses consid rations personnelles dans les papiers informatifs Les billets d ment identifi s sont r serv s cet usage Informations pratiques Un tr s grand nombre de textes n cessitent des infos pratiques o trouver un livre dont on parle combien cela co te pour une famille o t l phoner pour r server Toutes ces informations sont essentielles pour le lecteur 212 Finist re gt Photos 1 L criture c est aussi l image Une image vaut mieux qu un long discours On oublie trop souvent que l image est une forme d criture part enti re Choisir un angle Il suffit avant d appuyer sur le d clencheur de r fl chir quelques secondes la photo que l on veut prendre Quelle image je veux montrer quel message doit elle faire passer au lecteur quel angle choisir L criture visuelle est une question de choix On ne peut pas tout montrer en m me temps le premier plan et l arri re plan Plut t que de chercher tout montrer il vaut donc mieux r fl chir au moyen de sugg rer l information Une dizaine de visages expressifs photographi s en gros plan sugg rent mieux une foule qu une photo de masse prise de tr s loin Il ne faut pas craindre de composer son image en demandant aux personnages de se placer comme on le d sire plut t que de laisser le hasard d cider notre place Le lecteur attend des images vivantes charg es de sens et d motion a Une photo qui informe
173. eloppement au Parlement Europ en Joseph Borrell Or la part de l agriculture dans l aide europ enne est pass e de 17 il y a 30 ans 4 aujourd hui Accro tre la productivit agricole c est accro tre l investissement a t il conclu Le Commissaire europ en au D veloppement Louis Michel a quant lui propos d utiliser les marges budg taires de la Politique Agricole Commune PAC c est dire les subventions l exportation pr vues pour2008 mais non utilis es du fait de la hausse des prix et de les allouer pr venir une ins curit alimentaire qui m nera t t ou tard une ins curit tout court Rappelant que l Union Europ enne avait d j aboli les taxes l importation sur de nombreux produits la commissaire europ enne l agriculture Mariann Fischer Boel n a pas exclu la possibilit de recourir aux Organismes G n tiquement Modifi s pour aider l Europe et le monde 80 du soja import dans l Union Europ enne est d j OGM a t elle not En conclusion le ministre fran ais de l agriculture Michel Barnier a cit la Banque Mondiale Un euro ou un dollar investi dans l agriculture c est le moyen le plus efficace de lutter contre la pauvret source compte rendu minist re de l agriculture fran aise de la r union d veloppement et coop ration qui s est tenue Bruxelles le 4 juillet 2008 Depuis le printemps 2008 pas une semaine sans que ne surgissent de nouvelles meutes c
174. ent de travailler avec nos l ves sur des sujets d actualit qui rejoignent leurs pr occupations lorsqu ils interrogent et mettent distance leurs pratiques alimentaires et leurs fa ons de consommer b Quand les consommateurs s informent et interpellent la soci t Les consommateurs ont ils des droits Pour r pondre la question les consommateurs ont ils des droits et qui les repr sentent les l ves sont partis en qu te d informations Voici dans les m dias les textes qui ont retenu leur attention sur des sujets d actualit qui font d bat dans la soci t mais aussi en classe Autant de supports qui peuvent prolonger et nourrir la r flexion Et donner l envie d en savoir plus en partant interviewer des consommateurs regroup s en association pr s de chez eux ou dans leur entourage Les sujets qui ont retenu leur attention taient l tiquetage des denr es alimentaires sont ils faits pour tre compris et la publicit alimentaire la t l vision pourquoi nous montrer des produits qui sont trop sucr s et trop gras alors qu ils nous disent en m me temps de ne pas manger trop sucr ni trop gras De fil en aiguille dans cette activit li e aux m dias la t l vision son influence et son r le a suscit un d bat Pour prolonger ce d bat des l ves ont voulu aussi interroger leurs parents et vous qu en pensez vous Etes vous aussi influenc s dans vos achats par les messages publicitaires Sur
175. ent s y retrouver pour manger juste sans faire l amalgame calories vitamines sucres lents Herv This chimiste biologiste commente des plats cuisin s usuels r alise des exp riences scientifiques et explore les ar mes d velopp s par la cuisson parfaite 4609 ALIMENTATION Coll ge Secondaire Vid ocassette C t labo c t cuisine 1 les haricots verts le steak les frites la tarte au citron l oeuf le pot au feu les p tes la salade les pommes au caramel Tourancheau Philippe This Herv SCEREN CNDP Paris France 5 Galil e C t labo c t cuisine 2002 1 vid ocassette VHS secam 54 min livret 23 p Comment faire pour que les enfants mangent de tout comment s y retrouver pour manger juste sans faire l amalgame calories vitamines sucres lents Herv This chimiste biologiste commente des plats cuisin s usuels r alise des exp riences scientifiques et explore les ar mes d velopp s par la cuisson parfaite 4608 ALIMENTATION Coll ge Secondaire Vid ocassette C est pas sorcier 33 La nutrition les fili res de la viande L onard P Courant Fr d ric Gourmaud Jamy CNDP Paris C t T l C est pas sorcier 2002 1 vid ocassette VHS 1 h 20 min 1 livret 15 p 1 Une alimentation quilibr e et vari e base d aliments naturels est n cessaire notre bonne sant Il existe des liens entre alimentation maladies et ph nom nes de soci t 2 La via
176. ent un autre journal alors que les autres l ves et eux m mes s ils le voulaient comme le note l enseignante avaient la possibilit d avoir un Ouest France Cependant ma grande surprise ils emportaient la maison ce journal classe presse chaque fois que je prenais du temps pour le lire avec eux et discuter des photos ou des titres qui avaient retenu leur attention Les jours o faute d autres enseignants prenant le relais pour accompagner ce projet et par manque de temps je ne prenais pas la peine de lire avec eux le journal ils taient beaucoup moins nombreux Leur attitude tait parfois m me n gative pourquoi eux avaient un autre journal alors que les autres l ves et eux m mes s ils le voulaient comme le note l enseignante avaient la possibilit d avoir un Ouest France A ma grande surprise ils emportaient la maison ce journal classe presse chaque fois que je prenais du temps pour le lire avec eux et discuter des photos ou des titres qui avaient retenu leur attention Les jours o faute d autres enseignants prenant le relais pour accompagner ce projet et par mangue de temps je ne prenais pas la peine de lire avec eux le journal ils taient beaucoup moins nombreux l emporter avec eux Ils sont rest s au d marrage du projet un peu dubitatifs sur l int r t du projet et sur le th me Mais tr s inventifs ensuite en discussion dans la classe pour trouver des id es pour exploiter le th me du
177. ents ont une vie Et ce sont les agriculteurs leveurs p cheurs qui en sont l origine Les d fis qui attendent les agriculteurs et les p cheurs sont multiples gestion de l environnement et de l espace s curit alimentaire probl matique de la grande distribution concurrence croissante des pays mergents Autant d enjeux qui vont mettre les agriculteurs et les p cheurs rude preuve Mais aussi des chances saisir L agriculture et la p che sont plus que jamais vitale pour la plan te en 2050 elle devra doubler sa production pour nourrir 9 milliards d hommes Tout ce que l on mange ou presque provient donc du travail des agriculteurs du monde entier Pour justement mieux comprendre son pr sent et si possible peser sur son avenir pouvoir s interroger et interroger nos l ves sur la question suivante gr ce qui on se nourrit on mange Autrement dit quelles sont les tapes avant que la nourriture se trouve dans nos assiettes Qui produit O Comment Dans quels buts Quelques chiffres 1 e Dans le monde Il y a 1 3 milliards d agriculteurs dans le monde Sur les 6 4 milliards d habitants que compte la plan te 3 milliards vivent de l agriculture Et leur nombre est appel progresser malgr les mouvements d exode Mais 75 des agriculteurs dans le monde travaillent exclusivement avec des outils manuels houe b che e En France La France est le premier producteur agricole europ en et le 2 me expo
178. epr senter un groupe d terminer les t ches accomplir tablir des priorit s Attitudes L envie de prendre des initiatives d anticiper d tre ind pendant et inventif constitue une attitude essentielle Elle implique curiosit et cr ativit motivation et d termination dans la r alisation d objectifs id Le dipl me national du brevet session 2009 Les comp tences li es la ma trise des techniques de l information et de la communication constituent le B2i qui doit tre valu pour tous les l ves de coll ge en fin de 3 me Les diff rentes phases de l op ration des classes presse sont une opportunit pour cette valuation 24 Finist re Regards sur les pratiques en classes presse e exp riences et t moignages e une nouveaut la classe image son r le t moignage d un enseignant en Arts plastiques 25 Finist re Regards sur les pratiques en classes presse en Finist re r flexions t moignages exp riences d enseignants ou d quipes en classes presse 2007 2008 Cette synth se a t construite partir des r ponses apport es au questionnaire propos 14 r ponses qui repr sentent 14 classes presse dont 6 sont des r ponses individuelles et 8 des r ponses collectives manant des quipes p dagogiques ainsi que partir de la rencontre qui s est tenue le 18 juin en pr sence de 5 enseignants repr sentants 5 autres classes presse Les changes d
179. er leurs frustrations et de d velopper leur esprit critique Et donc de questionner ce qui leur semble naturel et des habitudes de consommations Les mots se posent peu peu sur les ressentis et les changes prennent une tournure plus personnelle s ouvrant aux v cus de ces l ves Beaucoup sont sensibles cette proximit qui est la leur la publicit fait partie de leur quotidien Ils la recherchent m me pour ses qualit s cr atives et son humour Induit elle des comportements Pousse telle consommer Nombreux sont ceux qui cette occasion vont voquer le nom d une rue commer ante ou d un centre commercial qu ils fr quentent et dans lesquels ils ont plaisir aller pour voir passer le temps ou acheter Pour eux consommer est un pouvoir et un plaisir D o n ce plaisir Les r actions des l ves fusent Ils sont nombreux dire que ce plaisir est li leur libert d acheter ce qu ils veulent si leur budget le permet mais aussi de se tenir au courant des nouveaux produits et d en parler dans leur conversation Certains citent m me quelques uns de ces nouveaux produits miracles charg s en vitamines et apportant toute l nergie n cessaire pour supporter l effort physique et se d passer Sur ce produit les avis fusent de toutes parts Certains ont essay et vantent ses qualit s et ses vertus Au dernier match de foot les joueurs ont t film s en train de boire cette boisson
180. er notre propre mod le que nous tentons depuis des d cennies de leur imposer Un mod le qui pourtant accentue les in galit s sociales et les d sastres environnementaux La paix de demain sera menac e par des changements environnementaux Sauf m tamorphose urgente le Sud en sera la premi re victime le Nord le premier responsable Sur ce th me comme sur de nombreux autres les d fis environnementaux rejoignent les enjeux sociaux Poser la question du Sud c est questionner les soci t s C est aussi comprendre les interd pendances Nord Sud et les m canismes d exploitation injustes qui engendrent des relations in galitaires entre ces deux p les C est enfin proposer des passages l acte pour plus de solidarit et de justice sociale Pour moins d ethnocentrisme et de st r otypes Car la question que nous posons est bien celle ci Et le Sud dans tout qu est ce que je peux y faire Que des chiffres 20 de la population mondiale d tient 90 des richesses 1 e Dans les pays en d veloppement plus d un enfant sur 10 n atteindra pas l ge de 5 ans Une personne sur 6 dans le monde n a pas acc s de l eau salubre En 2050 85 de la population vivra dans le Sud 2 Des chiffres de ce type 1 nous pourrions en citer n en plus finir Tous montrent que de tous ces d fis que doit affronter l humanit des d sastres conomiques l exclusion sociale le d s quilibre Nord Sud est probablement le
181. ervices aux petits producteurs acc s aux semences aux engrais aux cr dits l information Prot ger les producteurs du Tiers Monde afin qu ils puissent vendre leurs produits un prix r mun rateur R guler le commerce international pour que soit respect le droit des peuples et des nations la s curit et la souverainet alimentaires De nombreuses associations locales travaillent sur ces questions en lien avec des acteurs locaux de l autre bout du monde Rencontrez les et d battez de cette situation et des moyens qu ils mettent en uvre 160 Finist re Fiche 15 O en est on de la faim dans le monde Faim chronique faim visible seulement en Afrique La faim est partout Plus de 850 millions de personnes sont aliment es ou expos es une ins curit alimentaire chronique Plus de 2 milliards souffrent de carences notamment dans les zones rurales des pays en d veloppement Les effets d une alimentation inad quate ne sont pas toujours visibles Le corps s adapte une sous alimentation par une r duction de l activit physique et dans le cas de l enfant de la croissance Les carences peuvent ainsi conduire la c cit Ces cons quences refl tent la face noire de notre soci t mondiale Des images de famine Les images de famines et d enfants squelettiques sont connues des l ves Encore faut il avec eux prendre le temps de les lire que nous apprennent ces images Que construisen
182. es l ves il est possible de d finir les genres journalistiques utilis s 6 Distribuer aux l ves des photocopies d articles pris dans la presse choisir des sujets attrayants et demander de souligner les l ments essentiels de l article Quelles informations les l ments non soulign s apportent ils le commentaire du journaliste le point de vue de t moins des informations compl mentaires sur des lieux des personnages 7 partir articles r dig s par les l ves pour le journal de la classe ou de l cole tenter de leur faire retrouver les questions de r f rence PROLONGEMENT Conduire les l ves r fl chir la mani re d mettre une information claire et concise et appr hender la notion de r cepteur 219 Finist re gt Les titres Objectifs Comprendre la fonction des titres et de l ensemble de la tiraille Relever les principaux proc d s utilis s dans les titres Public Ecole points 1 et 2 Coll ge Lyc e Mat riel Un chantillon de quotidiens ou d hebdomadair e Organisation Travail individuel ou en groupes Mots cl s Fonctions du titre Titre Informatif Titre indicatif Les titres accrochent notre regard nous les parcourons Ils peuvent nous intriguer nous informer Vus lus la devanture de la maison de la presse ils nous incitent acheter le journal ou le magazine et nous invitent la lecture Travailler su
183. es de contraintes de risques du d veloppement durable des l ments de 22 Finist re culture politique conomique et sociale des conflits dans le monde et des notions de d fense Capacit s Les l ves doivent tre capables de lire et utiliser diff rents langages en particulier les images diff rents types de textes graphiques sch mas tableaux repr sentations cartographiques photographies images de synth se de situer dans le temps les v nements et les mettre en relation avec des faits historiques ou culturels utiles leur compr hension de mobiliser leurs connaissances pour donner du sens l actualit Pour exercer librement sa citoyennet d autres comp tences sont indispensables chaque l ve L Ecole doit permettre chacun de devenir pleinement responsable c est dire autonome et ouvert l initiative id 6 Les comp tences sociales et civiques Il s agit de mettre en place un v ritable parcours civique de l l ve constitu de valeurs de savoirs de pratiques et de comportements dont le but est de favoriser une participation efficace et constructive et d exercer sa libert en pleine conscience des droits d autrui a Vivre en soci t L objectif est de pr parer les l ves bien vivre ensemble Capacit s Chaque l ve doit tre capable de communiquer et de travailler en quipe ce qui suppose savoir couter faire valoi
184. es champs partir de l exemple des cerisiers obtenus par clonage description des techniques de transfert de g ne pour produire des plantes r sistant aux insectes et aux virus et m me des plantes productrices de m dicaments 3811BI0 BIOETHIQUE Coll ge Secondaire Vid ocassette Pour nourrir les hommes 4 Vers quelle alimentation Cros Roland r alisateur Baruch Jacques Olivier r alisateur CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1997 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son 1 guide p dagogique 24 p 57 Finist re Si Les T miars du Kelantan vivent seulement de cueillette p che et chasse resteront ils toujours l cart des fa ons modernes de se nourrir Mais quels risques nous font courir les aliments de l an 2000 Les vaches ing rent parfois des granul s fabriqu s partir de carcasses d animaux malades et conna t on les dangers des manipulations g n tiques sur les plantes de consommation 1021 Classe de 6e Classe de 5e Coll ge Secondaire Vid ocassette Biotechnologie et alimentation 2 Simonin Guy Foucher Roger SCEREN CNDP Paris Hachette In situ 2003 33 min 1 livret 47 p r f doc index Cette vid ocassette est compos e de huit films de courte dur e trois quatre minutes Chaque film utilise des images scientifiques techniques ou industrielles en situation Les concepts scientifiques et techniques essentiels pour la compr hension de ces objets
185. es forums de discusion sur internet 104 Finist re Fiche 3 la publicit on s en d marque Te souviens tu de ton dernier achat alimentaire Apprendre d monter d crypter les m canismes de la publicit pour pouvoir s en distancier D cortiquer la publicit et par extension la soci t Proposer des grilles d analyse mall ables dans un monde o r gne l omnipr sence d une publicit aux allures avant gardistes Un exercice qui se veut sans jugement de valeurs Mais sans complaisance non plus Certains se plaisent dire que la publicit sous toutes ses formes ne doit en aucun cas franchir les grilles de l cole y compris dans un but p dagogique d ducation aux m dias Certes l cole a interdit les distributeurs que met elle la place Les l ves n apportent ils pas les m mes produits de chez eux L cole peut elle tre un espace hypocritement privil gi o on exclurait la publicit en sachant qu elle passera par ailleurs Dans tous les cas ces situations n exon rent pas l cole de faire un travail d ducation aux m dias Elle doit fournir les armes n cessaires aux l ves qui seront expos s la publicit une fois sortis de l cole Les l ves qui une fois apr s une formation la publicit se jettent quand m me sur le distributeur la sortie de l cole le font en connaissance de cause Ils savent qu elle les manipule C est la d finition m me de l ducation aux m dias rendre l in
186. es sujets La plupart du temps des ces tudes parviennent dans les r dactions sous forme de rapports ou de suppos es de son lectorat Travailler sur la mise en forme journalistique et les proc d s de narration Mettre en vidence les r les de la presse Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Des quotidiens nationaux d une m me semaine Des hebdomadaires d information Organisation Travail par petits groupes Plusieurs s ances sont n cessaires Mots cl s Angle d un article Pluralisme communiqu s via les agences de presse ou les services de presse des organismes metteurs Aux r dactions de d cider d en parler ou non et sous quelle forme 1 Dans un premier temps l occasion de la publication d une enqu te institutionnelle ou d un rapport on propose aux l ves de feuilleter un titre de presse nationale de leur choix 2 Une premi re mise en commun conduira la constatation suivante selon les titres de presse le sujet retenu est souvent abord sous des rubriques diff rentes Ainsi des donn es de l Insee sur la soci t fran aise sont pr sent es sous des angles diff rents un journal comme Les Echos s attachera fournir les donn es conomiques comme la consommation des m nages l tat du patrimoine des Fran ais ou la situation des ch meurs de longue dur e Lib ration peut conjuguer l aspect soci tal de ces donn es avec l volut
187. esoin mais qu on n a pas encore acquise plus on ma trise l information L aptitude appliquer et utiliser ces capacit s habitudes et attitudes permet de prendre des d cisions judicieuses en temps opportun pour faire face aux difficult s qui peuvent survenir sur les plans personnels et familial comme sur les plans de la sant et du bien tre de l ducation de l emploi de la citoyennet et autres Woody Horton Introduction la ma trise de l information Paris Unesco Division de la soci t de l information Secteur de la communication et de l information 2007 70 Finist re Six parcours p dagogiques associ s au th me des classes presse 2008 2009 Comp tences et parcours p dagogiques Fiches p dagogiques Parcourir un th me et ses repr sentations Manger a vous fait penser L alimentation question de culture Localiser et situer des v nements dans un cadre de r f rences temps et espaces Comment lire le monde dans son assiette Qui fait quoi D o viennent les produits alimentaires D coder diff rentes formes d utilisation de l espace dans le monde Qui nous nourrit Evaluer les enjeux de la consommation Manger ou consommer M dias et sant d veloppons l esprit critique Communiquer n est pas informer Le commerce quitable Poser des actes personnels collectifs en tant conscients de leur impact M dias et sant d veloppons l esprit cri
188. esse crite Le th me est une info des m dias e Attention si vous souhaitez b n ficier d un lot de presse gratuit ainsi que du dossier p dagogique inscrivez vous d but janvier sur le site www clemi org Munissez vous de votre code d tablissement pour vous identifier Des actions r gionales et d partementales seront propos es sur le site du clemi Bretagne acad mie de rennes espace ducatif A consulter pour des pistes et r alisations Contact pour toute demande ou aide pour des projets d ducation aux m dias concours de Unes expo projets m dias Myriam Condamines En particulier Concours Acad miques de Unes Modalit s de l action inscription et productions acad miques d couvrir sur le site du Clemi Bretagne Ainsi que d autres actions r alis es Pour piocher des id es r aliser avec vos l ves 10 Finist re Le Conseil g n ral du Finist re Le Conseil g n ral propose aux classes de d couvrir ses locaux lors d une visite comment e Le conseiller de votre circonscription peut galement vous rencontrer dans votre tablissement Pour prendre rendez vous Conseil g n ral du Finist re 32 Boulevard Dupleix 29196 Quimper cedex T l 02 98 76 20 20 La remise des prix Les classes laur ates du challenge seront convi es dans les locaux du Conseil g n ral pour la remise des prix Les ressources du Conseil g n ral du Finist re sur le th me Nourrir se nourrir e P
189. esse gratuite ent igne photos dessins etc LIRE joumaliste Dossier le dessin de presse G Quels vsuets dans joumal Photojourakisme 7 Quais crises pour Le monde d aujourd hui vu par des coll giens du Calvados choisir les sujets is gt B Poutori tout dire tout l occasion de le 15 me dition du Prix Bayeux Calvados des correspondants morro de guerre qui se d roulera du 6 au 11 octobre la ville de Bayeux et le Conseil 3 Le jourraliste esti g n ral du Calvados ont propos aux classes de Je du d partement de cbjectf choir la photographie qui symbolise pour eux le monde d aujourd hui Ces 10 Carmen ornent on coll giens ont kavaill partir d une s l ction de 22 cich s propos s par jouraliste fugence d nfommation Reul rs sur les grands th mes d actualil s de 2007 extraite de l ouvrage Reuters Note monde de Thames amp Hudsoni b lt z P Op ration Classes presse Voir la photographie choisie La foire aux questions Tous les r sultats de la quinzi me dition du Prix Bayeux Calvados Les autres op rations Pr vention sant par les jeunes BLOG OUEST FRANCE Inscriptions ouvertes pour le festival vid o DE LA R DACTION amateur 2009 Le concours est lanc inscrivez vous per la rubrique R agissez sur les sujets les inscription sur le site et envoyez votre film avant ie 30 avril plus marquants de 2009 Cat gories celle ann e animation clip reportage l
190. et la classe de 4 me 3 aurait pu ressembler beaucoup d autres que j ai d j connues des l ves bien trop passifs peu concentr s et peu habitu s fournir des efforts Je ne dis pas que c est la panac e mais au moins nous avons pass ensemble une ann e agr able et riche en d couvertes mutuelles Il est parfois difficile de faire un bilan objectif Mais sachez que pour r pondre votre questionnaire je me suis constamment pos la question suivante et si je n avais pas choisi ce projet pour cette classe que ce serait il pass Autre remarque sur cet aspect du bilan Nous sommes convaincus apr s ces quelques mois de travail en classes presse l heure du bilan interne que sans le projet classe presse nos l ves n auraient pas acquis autant d autonomie ni construit autant d apprentissages utiles pour leur vie quotidienne Cette volution positive a aussi t signal e lors du conseil de classe du troisi me trimestre par des enseignants non impliqu s directement dans la conduite p dagogique de ce projet Mais c est un travail de longue haleine pour lequel la gestion p dagogique est complexe peut tre parce qu il s agit pour nous d une premi re exp rience de ce type Sur cette question de l importance de prendre du temps avec la classe presse pour pr senter les attendus de ce projet quelques t moignages d enseignants qui insistent sur la n cessit de ne pas d marrer n importe comment ni n importe
191. et le JEUDI 4 JUIN 2009 pour Le T l gramme Diffusion des pages scolaires dans l hebdomadaire le Progr s VENDREDI 19 JUIN 2009 Evaluation de l op ration aupr s des l ves des enseignants et des journalistes A PARTIR DU 20 MAI 2009 R union d valuation avec tous les partenaires MERCREDI 17 JUIN 2009 10h30 l Inspection acad mique Finist re Contacts ressources et partenaires condamines garreau wanadoo fr nicolas dupain ac rennes fr Clemi Finist re Seria Plate forme PHARE Service presse cole Myriam Condamines Nicolas Dupain Le T l gramme Enseignante Rectorat 96 rue d Antrain Bertrand Le N na Tel domicile avec r pondeur 02 98 44 04 C 34415 BP 67243 61 35044 Rennes cedex 29672 Morlaix Tel 02 97 84 46 55 b lenena letelegramme fr Service presse cole Ouest France Patrick La Prairie ZI Rennes Sud Est 35705 Rennes cedex 7 tel 02 99 32 61 04 patrick laprairie ouest france fr Brest Le Progr s de Cornouaille Courrier du L on Martine de Saint Janvier55 route de 29018 Quimper tel 02 98 95 96 86 progres msj wanadoo fr Clemi Bretagne Corinne Tual 02 23 30 26 83 clemi bretagne ac rennes fr e Chaque classe est parrain e par un journaliste Il viendra rencontrer les l ves au moins deux fois Prenez rendez vous d s le d but de l op ration e Classes Le T l gramme Etablissement Journaliste parr
192. et ph nom nes sont expliqu s l aide d animations et d images de synth se Th mes abord s Antioxydants Colorants alimentaires Ar mes Conservation des aliments Prot ines Lecture du g nome humain Transfert de g nes Anticorps monoclonaux ALIMENTATION Coll ge Lyc e Secondaire La faim dans le monde Multisupport Dossier p dagogique campagne pour le droit une alimentation saine et suffisante partout et pour tous Du CP la 5 me Colin Nathalie Gillet Corinne CFSI Comit Fran ais pour la Solidarit Internationale 2003 Dossier p dagogique campagne pour le droit une alimentation saine et suffisante partout et pour tous 23 fiches 2 affiches 1 p riodique Dossier p dagogique qui vise informer les enfants de 7 13 ans sur l alimentation dans le monde Des fiches d information une revue Okapi et une affiche sur la faim dans le monde sont compl t es par des fiches animation qui proposent des jeux pour d couvrir les modes d alimentation l quilibre alimentaire les diff rents mod les agricoles le commerce quitable comprendre les d s quilibres d mographiques cuisiner r aliser des oeuvres d art et faire des exp riences Multisupport Dossier p dagogique campagne pour le droit une alimentation saine et suffisante partout et pour tous Colin Nathalie Gillet Corinne CFSI Comit Fran ais pour la Solidarit Internationale 2003 13 fiches 2 affiches 1
193. eurs paysans exploitants agricoles sont cens s v hicul s la d nomination d un m me groupe autour d un objectif commun nourrir les Hommes Derri re ces d nominations c est le travail la r alit et du monde agricole qui sont red finir comme autant de tensions qui traversent cette profession Une tension tr s forte qui avouons le caract rise en effet l agriculture plus que d autres secteurs entre la tradition et la modernit entre la comp tition des agriculteurs entre eux sur le foncier sur le march sur des soutiens et le discours oblig de la solidarit Car comme le rappelle cette l ve Tous ne sont pas pauvres et illettr s en France Il y en a qui sont vraiment riches mais pas comme les riches que l on a l habitude de voir Ils travaillent la terre et on les consid re comme des moins que rien En fait on ne sait pas comment ils travaillent et ce qu ils font r ellement Des paradoxes multiples Qui fait quoi et au non de quoi ou de qui Comme quoi cela ne va donc plus de soi que l activit agricole soit int gr e dans son environnement son terroir ou dans une cha ne alimentaire On peut avoir une vision une exp rience de l alimentation qui s arr te l aliment sans voir derri re le producteur Parce que la soci t est aujourd hui loign e de l agriculture il y a n cessit de g rer cette confrontation Mais quel poids p se t 1l dans le d bat Interpeller galement les agriculteurs sont
194. eursdepub org de quoi outiller son esprit critique par des publications des campagnes des affiches des vid os gt WWW marketing alternatif com exemples de nouveaux supports et v nements publicitaires Qui fabrique la pub Pourquoi est elle souvent dr le Pourquoi a ton envie souvent des produits qu elle montre Dit elle la v rit Y a t 1l des r gles Co te t elle cher gt www quechoisir org nombreux textes sur la l gislation en cours et sur les projets d une t l vision europ enne l usage destin e aux enfants De nombreux textes d opinion sur le rapport m dias publicit s enfants et alimentation Quelques d finitions des nouvelles techniques publicitaires De plus en plus de techniques marketing utilisent le consommateur lui m me pour vanter leur produit Citons le marketing vral qui joue sur la surprise et le bouche oreille en envoyant par exemple par mail la vid o d une pub marrante Le buzz qui fait que l on discute d un produit lors d une soir e sur les blogs sites personnels ou les forums internet avant m me que le produit ne soit sorti le sreet marketing qui prend par exemple la forme d chantillons distribu s lors d un v nement sportif le marketing d influence qui g n re du bouche oreille en impliquant des leaders d opinion jeunes branch s stars du sport ou du cin ma le guerilla marketing o l on paie des gens pour d molir des produits sur l
195. exercer son Jugement critique se donner des m thodes de travail efficaces pour l argumentation argumenter n est pas imposer son avis communiquer de fa on appropri e comprendre le r le citoyen des m dias Quelles sont nos repr sentations sur les prises de position Qu est ce qu avoir une opinion Qu est ce que prendre position Quel est l int r t d exprimer son opinion publiquement Comment peut on mesurer l impact de l expression d une opinion Quels sont les risques li s au fait d exprimer une opinion Quels sont les avantages d exprimer une opinion R alisation 1 Demander aux l ves de collecter dans les journaux les articles qui prennent position et expriment une opinion sur le th me des classes presse Accorder un temps de lecture Choisir un de ces articles avec les l ves 2 Amorcer une analyse propos de l impact de cet article qui a crit cet article quel est l objectif de ce journaliste en crivant et publiant cet article comment l article est il construit faire une synth se de cette construction l auteur pr sente le probl me qui l indigne sa fa on d obtenir des informations pr cises sur ce probl me les r sultats de cette recherche ainsi que les cons quences de ce probl me il pr sente ensuite son opinion et un argument pour s attaquer au probl me et invite ainsi les citoyens et dirigeants agir 147 Finist re 3 Le choix des mots et la rigue
196. exte bref coh rent construit en paragraphes correctement ponctu en respectant les consignes impos es r cit description explication scientifique texte argumentatif compte rendu crits courants d adapter le propos au destinataire et l effet recherch S exprimer l oral Il s agit d apprendre prendre la parole en public prendre part un dialogue un d bat prendre en compte les propos d autrui faire valoir son propre point de vue rendre compte d un travail individuel ou collectif expos s exp riences d monstrations Attitudes L int r t n cessaire pour la langue comme instrument de pens e et d insertion suppose l int r t pour la lecture de la presse crite des livres l ouverture la communication au dialogue au d bat d cret du 12 juillet 2007 publi au J O du 13 juillet 2007 2 La pratique d une langue vivante trang re Elle implique galement la connaissance et la compr hension des cultures dont la langue est le vecteur elle permet de d passer la vision que v hiculent les st r otypes Attitudes l apprentissage d une langue trang re d veloppe la sensibilit aux diff rences et la diversit culturelle Il favorise le d sir de communiquer avec les trangers dans leur langue d couter les m dias audiovisuels et de lire un journal tranger de voir des films en version originale Il favorise l ouverture d esprit et la compr
197. ez compl ter votre guise 5 Ecrire un article en classe presse Dans le cadre du projet classe presse sur le th me nourrir se nourrir les l ves vont tre amen s d finir le probl me qui les int resse recueillir l information la s lectionner identifier les causes les cons quences et proposer des solutions et enfin communiquer par un article Leur apprendre les diff rents types d articles qu ils peuvent crire en fonction du projet qui est le leur je veux plut t informer prendre position faire agir est tr s souvent n cessaire pour les aider aller au bout de leur article Notre r le est alors de les aider d finir leur projet d criture en les amenant r fl chir sur ce qu ils veulent communiquer et la raison de leur choix Mais quoi a sert d crire la m me chose que les journalistes En plus nous on crit moins bien qu eux Cette remarque d un l ve est importante car elle permet de r fl chir au d calage pour nos l ves entre les crits journalistiques et leur univers de comp tences Alors s agit il de faire comme des journalistes Non certainement pas car ils ne sont pas des journalistes 63 Finist re Mais lancer ce d bat sur les limites le projet criture est souvent v cu au d marrage de la classe presse comme une contrainte par nos l ves et nos attentes quant l criture d articles permet de situer leurs res
198. ez de la distance et trouvez le juste quilibre entre le visuel ce qui se voit du premier coup d il et le r dactionnel le corps de l article les textes Plusieurs essais peuvent tre faits Retenez celui qui r pond le mieux ces 3 crit res la mise en page doit rendre l information lisible la mise en page doit tre quilibr e et enfin la mise en page doit donner une unit d ensemble 240 Finist re La plate forme Phares mode d emploi Publier vos articles 241 Finist re 242 FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE Introduction La plate forme Classes presse est la fois un espace de publication et de stockage des articles propos s par les classes participantes et un espace de diffusion d informations sur le d roulement de l op ration Classes presse gt Ce n est pas vraiment un journal en ligne travaillez davantage la structure des articles avec la place accord e l illustration que la mise en page Il s agit d un travail en deux temps La plate forme vous ouvrira dans un premier temps une visibilit limit e au d partement puis elle sera mise en acc s libre depuis l Internet la fin de l ann e scolaire et vous aurez ainsi la possibilit de d couvrir tous les articles r dig s dans l acad mie La plate forme est un espace prot g par authentification offrant des droits diff rents selon le principe des profils d utilisateurs gt
199. fessions Les interroger sur le type de travail sur leurs conditions de travail sur les raisons qui les ont pouss es exercer ce travail Ces divers t moignages sur leurs r alit s leur perception de cette r alit leurs craintes et leurs analyses sur leur r le dans la soci t et l alimentation sont des opportunit s pour comprendre et faire partager leurs d couvertes par des articles ou des reportages photo l gend s Un outil pour s informer sur le web www nadoz org index tr s d taill et tr s formateur cr par l ONISEP pour informer et s informer sur les m tiers les parcours de formation les d bouch s et les carri res les autres m tiers appartenant au m me secteur professionnel Avec la cl des t moignages et des vid o pour donner voir des facettes d un m tier Une vraie mine d informations sous un format dynamique et attractif Un secteur la loupe H tellerie restauration dans le Finist re Emplois et formation au menu voir verso Dossier r alis par Mathieu Gain Enqu te d emploi F vrier 2007 Le Progr s du L on Le courrier de Cornouaille Finist re Ainsi que d autres reportages sur ce secteur en pointe et en pleine volution y compris dans les formations et l emploi Site clemi Bretagne 125 H TELLERIE RESTAURATION Emplois et formations au menu Le quatri me employeur du Finist re continue de recruter L h tellerie restauration manque de personnel qu
200. flexion et la discussion Et l enjeu est bien l Le monde agricole serait il ce point singulier qu il ne leur serait leurs yeux d finitivement plus accessible ni compr hensible Pour prolonger cette r flexion voir fiche 4 conna tre l emploi agricole et ses m tiers dans les prolongements p dagogiques 2 Le r le de l agriculture dans la soci t Parmi leurs r ponses la question pour vous l agriculture c est quoi il est aussi frappant de constater que parmi les r ponses individuelles apport es par les l ves ils sont peu nombreux r pondre qu ils nous nourrissent et ont donc un r le et une fonction positive certes mais surtout vitale pour l humanit De nombreuses r ponses expriment par contre une repr sentation et un r le n gatifs ils polluent les rivi res ils jettent sur les routes des 114 Finist re tonnes de pommes de terre d artichauts et de choux fleurs lorsqu ils sont en col re Pour d autres c est la t l le salon de l agriculture o on voit des vaches et des animaux de la ferme et la visite du pr sident de la R publique Une mise en spectacle et rien de plus qui rappelle beaucoup d entre eux des vacances la ferme ou des s jours dans des fermes p dagogiques lorsqu ils taient plus jeunes Mais aussi le fait que l agriculture est une affaire d Etat Les l ves s accordent cependant dire facilement qu ils ne sont plus tr s nombreux
201. fois m me ils sont prompts dire que c est pas bon alors m me qu ils ne connaissent ni les ingr dients ni les saveurs que ce plat comporte Mais les repr sentations que se font les l ves sur tel ingr dient ou tel produit qui ne rentre pas dans leur habitude culinaire font force d opinion Opinion qui n a rien de rationnel mais qui s enracine sur des repr sentations la fois du produit alimentaire en question mais aussi des gens qui les consomment Comment peuvent ils manger a Ils sont compl tement fous s exclamait une l ve qui d couvrait que certains peuples appr ciaient des insectes Qu il s agisse d escargots de cuisses de grenouille ou m me d pinards les avis fusent et tous ont quelque chose dire non pas sur la qualit nutritive des ces produits mais sur ce qu ils pensent de ce produit en terme de repr sentation et de go t c est bon ce n est pas bon l encore qu ils aient eu ou non l occasion de v rifier leur opinion en go tant un de ces produits Lorsqu ils sont convi s expliquer ce qui fonde leur opinion ils noncent le fait que ces produits ne sont pas des produits de marketing publicitaire et donc ne sont pas dignes d int r t et donc qu ils sont sans importance Certains l ves n h sitent pas dire que ces produits trangers leurs cultures ne sont pas beaux et sont m me d go tants Et on veut pas leur ressembler quand m me c est laid les grenouil
202. gnificatives concernent la d couverte de la presse crite et l ouverture qu elle repr sente pour les l ves mais aussi le fait que certains d entre eux les plus fragiles scolairement se sont sentis valoris s car c est eux qui apportaient le journal la maison Pour beaucoup c est leur seul 30 Finist re acc s aux m dias crits D autres ont d couvert que la page sportive n tait pas forc ment la seule ni la plus int ressante Pb soulev Demander aux l ves d aller prendre le journal au CDI chaque jour n a pas forc ment bien fonctionn Si c tait refaire la distribution du journal se ferait par les enseignants eux m mes Car les l ves ont besoin de la pr sence active d un adulte qui les aide rentrer dans le journal et donc le d couvrir Cette pratique de lecture est inhabituelle pour eux En soi c est d j un nouvel apprentissage Nous avons sous estim ce besoin L criture des articles sur le th me et publication sur la plate forme Constat unanime L criture journalistique reste un apprentissage complexe qui demande plus de temps que celui qui a t donn Un cours de fran ais par semaine tait consacr au travail d criture Le th me tait complexe il a fallu beaucoup travailler sur le projet avant de se lancer dans le travail de journalisme Autre t moignage Le travail de recherche a t important le passage l criture journalistique a pos
203. hension d autres fa ons de penser et d agir id 20 Finist re 3 les principaux l ments de math matiques et la culture scientifique et technologique Il s agit de donner aux l ves la culture scientifique n cessaire une repr sentation coh rente du monde et la compr hension de leur environnement quotidien Ils doivent saisir que la complexit peut tre exprim e par des lois fondamentales Dans chacun des domaines que sont le calcul la g om trie et la gestion des donn es les math matiques fournissent des outils pour agir choisir et d cider dans la vie quotidienne Elles d veloppent le raisonnement logique et le go t de la d monstration Les sciences exp rimentales et la technologie ont pour objectif de comprendre et de d crire le monde r el celui de la nature comme celui construit par l Homme ainsi que les changements induits par l activit humaine L observation le questionnement la manipulation et l exp rimentation sont centrales dans cette d marche Les sciences exp rimentales et la technologie contribuent apprendre la distinction entre faits et hypoth ses v rifiables d une part opinions et croyances d autre part Les notions complexes ainsi l ADN les g nes la tectonique des plaques dont les l ves entendent continuellement parler dans la vie courante sont abord es de mani re adapt e La pr sentation de l histoire de la d couverte des loi
204. heurs du Finist re pratiqueront leurs m tiers Quelles r percussions ces volutions auront elles pour les ports du Finist re et pour l ensemble du d partement Et vous voulez vous devenir p cheur ou travailler sur un bateau Partez aussi la rencontre d un ancien p cheur ou d un ancien patron de p che faites le parler de son m tier mais aussi de ce qu il souhaite dire tous ceux qui de pr s ou de loin ont un lien avec la mer et la p che La p che et les mers et le littoral Quels poissons dans nos assiettes La mer par del les fronti res On prot ge ce qu on aime on aime ce qu on connait Nous sommes CO responsables de l environnement chacun a un r le jouer m me minime On a souvent tendance mettre la pollution de la mer sur le dos des professionnels qui l utilisent les p cheurs les p troliers Certes ils ont un impact sur la mer mais celui ci est directement li notre consommation de poissons et de produits divers La majorit de notre consommation d pend des hydrocarbures pour le transport le plastique Plus on va consommer dans nos actes quotidiens plus on devra transporter du p trole sur la mer ce qui engendrera davantage de trafic maritime Sans parler de toute la pollution des cours d eau int rieurs qui se jettent dans la mer Demain l oc an aura t il encore la p che Les poissons sont ils vraiment en train de dispara tre Quel avenir pour les p cheurs Autant de questions cruciale
205. i a permis des volutions positives Prolongements lors de la semaine de la presse avec notamment le CD des photos de presse 20 Photos de l AFP qui a tr s bien fonctionn J organise pour la derni re semaine de juin une visite de Ouest France avec beaucoup plus de s r nit qu en d but du projet avec une classe certes sympathique mais turbulente C est sur ce point que je r alise que ce projet de visite aurait t difficilement envisageable en d cembre Pour preuve ils viennent tous et ont tous contribu sa pr paration On est loin de la classe de d but d ann e Ouverture d esprit initiatives responsabilisation sont les 3 mots les plus souvent cit s pour qualifier cette op ration et ses impacts pour les l ves A l exception d un t moignage qui pointe des difficult s trop nombreuses dans l organisation et une op ration corv e pour les l ves IIs manquent cruellement de connaissances pour s investir dans ce projet qui doit avant tout tre centr sur les apprentissages fondamentaux des connaissances Piste retenue suite un change pour mieux impulser le projet d s le mois de septembre une fois que le th me est connu et que l quipe est constitu e nous pensons demander la documentaliste de r server un coin au CDI pour les l ves de la classe presse Pouvoir am nager un espace o serait entrepos es toutes les ressources li es au th me permet
206. ien les messages prescriptifs de bons comportements alimentaires les regards de nos parents ou voisins sur le paquet de chips apport de la maison marquent nos habitudes alimentaires d s l enfance Les images de la mode et de l t au ventre plat culpabilisent nos fringales le regard jugement des autres sur notre silhouette et nos choix alimentaires portent un coup l estime de soi le sacrifice du budget m nage en faveur du bio casse le plaisir du go t retrouv le pot de yaourt jet dans la poubelle plut t que dans le sac pour le recyclage fait un pincement nos m canismes acquis de recyclage Nous avons d s lors pour mission prioritaire de donner la capacit aux l ves de pouvoir acc der ce processus d coute de soi d interrogation de mise en balance de ces choix et de volont d agir bien plus que de donner les r ponses Il demeure une r sistance aux changements Mais l important c est que soit pos e la question pourquoi je mange ceci plut t qu autre chose gt Prolongements p dagogiques gt fiche 8 d o viennent les produits alimentaires que l on consomme et comment arrivent ils jusque dans nos assiettes gt fiche 9 des produits consomm s la plante consulter sur le site clemi bretagne gt fiche 10 WE feed the world le march de la faim de E Wagenhofer film une pr sentation et une analyse de Gilles Fumey g ographe et deux exploitations p dagogiques sur le site du
207. ient la fois de l art et de la technique Elle doit allier 3 qualit s de base 1 La lisibilit ne pas entasser le maximum de choses dans le minimum de place faire attention l espace vide autour du texte les blancs On a re viter une trop grande masse de texte d un bloc couper le texte par des sous titres hi rarchisez l information et placez les articles selon l importance que vous voulez leur donner dans la page utilisez la m me police de caract re pour le texte Times New Roman 12 les citations Italique 12 le titre Times New Roman 16 en gras et les sous titres Times New Roman 12 en gras disposez votre article sur deux colonnes pr sentez votre fiche technique en colonnes sur le long de la page gauche ou droite Sachez que notre regard retient davantage les informations situ es sur la page de droite 2 L quilibre pas de redite m me s il s agit d un autre intervenant choisissez avec soin l emplacement d une photo ou d un dessin obligatoire pour les articles longs variez la disposition de chacun des textes 3 L unit organisez l ensemble de votre article comme s il s agissait d une vraie page d un journal quotidien ou hebdomadaire Feuilletez le journal et prenez des id es Utilisez un format A3 pour les articles longs et A4 pour les articles courts gardez la m me coh rence de ton et de style pren
208. ifs construire un message en faveur e la diversit poser des probl mes d ordre thique mettre en place des comportements en faveur d un produit local Partenaires biologiste M dias Publicitaire Agence de marketing producteur coop ratives agricoles consommateurs D roulement Analyse de messages publicitaires dans les m dias crits et audiovisuels rechercher le but poursuivi la cible l ad quation du message celle ci et les principes de communication utilis s Quelles consid rations thiques apparaissent au travers de ces exemples analyser les strat gies promotionnelles utilis es pour modifier les comportements et valuer l impact des messages publicitaires Elaboration de strat gies marketing Jouer le r le d une quipe de marketing qui valorise la diversit alimentaire de votre r gion Transf rer ce th me les concepts et principes de marketing qui ont t analys s analyser les enjeux et le ressenti du public propos de la diversit au niveau local et global Quelles sont les attitudes dominantes les efforts entrepris pour am liorer les comportements d finir les buts et les objectifs va t on promouvoir un aspect particulier l ment local en p ril cadrer les efforts de persuasion dans les limites d une r solution de probl me rationnelle et objective 169 Finist re Fiche 19 une thique de la nature Evolution de la conception de la nature Positions d ordre thi
209. ignotages et d une nourriture trop grasse et mal quilibr e Coll ge Secondaire Sant et alimentation Livre Les pieds dans le plat la face cach e de notre alimentation Sabatier Maccagno Karine Hamon Lo c Elka Les carnets de Tim o 2007 74 p ill 21 cm Tim o part enqu ter sur le contenu de nos assiettes De Camembert Ouagadougou il part la rencontre de ceux qui nourrissent les hommes depuis la nuit des temps les paysans De cette immersion dans le quotidien d leveurs peuls et de ses rencontres avec des convaincus bien d cid s en finir avec la faim dans le monde Tim o d couvre les dessous de notre alimentation 642 SAB Cycle 3 Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Livre Malbouffe la s curit alimentaire PEMF 30 mots cl s pour comprendre 2003 64 p phot coul r f bibliogr La s curit alimentaire mat rialis e par le vocable devenu courant de malbouffe est aujourd hui l une des pr occupations majeures des Fran ais et sans doute de nombreux Europ ens 30 mots sont expliqu s pour la d finir 641 1 MAL P riodique L agriculture autrement BT2 Biblioth que de travail 2d degr 2004 074 p 1 63 Dossier r alis en 2004 sur les enjeux de l agriculture mondiale du 21e si cle Comment nourrir les hommes sans porter atteinte la faune et la flore tout en vitant les exc dents au Nord et la sous alimentation au Sud Bilan du mod
210. il des ans l une des cibles favorites du NYPD et du FBI il reste le plus puissant des cinq grands clans new yorkais donc l une des plus importantes familles mafieuses du pays Il aurait inspir l crivain Mario Puzo pour sa trilogie Le Parrain Mm bd 5 d cembre 2001 22h00 Si les r ponses sont diff rentes ou plus compl tes dans les articles essaie d imaginer comment le journaliste a obtenu ces informations 226 Finist re L HISTOIRE Un flic dans la mafia new yorkaise Un flic dans la mafia Ce n est pas le titre d un film ou d une s rie t l mais une histoire vraie Pendant plus de deux ans un policier new yorkais dont l identit n a bien s r pas t r v l e a infiltr la premi re famille mafieuse des Etats Unis les Genovese Gr ce aux renseignements qu il a rassembl s soixante treize membres de l organisation criminelle ont t arr t s mercredi par la police et le FBI Ils ont t inculp s de trafics en tous genres recels jeux ill gaux possession de fausse monnaie extorsion de fonds et sont passibles de peines d passant les 100 ans de prison C est un coup s v re port la famille Genovese le groupe du crime le plus puissant et le plus secret Nous avons pu observer la p gre de l int rieur comme de l ext rieur a comment un responsable du FBI C est l une des op rations d infiltration la plus r ussie de notre histoire a ajout un porte parole de la police
211. il te ant merck Ca suit amplement pa taire presque partie de la anile Marie Line Qu au Co gte Joas ag lounesse et Sports accueille durant toutes les wancos scolaires sauf Joussit et No l Prix moyen de pums 3 Ch ques vacamces et bors Caf accapt s Portes ouvertes dimanche de 10b 17h Adresse Karvat quen route de Romo n 29150 Cst Tal 02078 8 Iya 14 gites d or ents Gites de Face 0 Betsgpe Plus d infos sw wwwgites de brame hbreta gpecom Clg Finist re Sous titre Signature du journaliste 228 gt gt Clas SA Finist re Titre chap photo l gende Sur la page suivante tu trouveras des titres des chap s des photos et des textes Le maquettiste s est tromp et a tout m lang A toi de retrouver le titre le chap la photo et le texte de chaque article Inscris les num ros de chaque partie de l article dans les cases ci dessous ARTICLE 1 TITRE CHAP PHOTO LEGENDE ARTICLE 2 TITRE CHAP PHOTO LEGENDE ARTICLE 3 TITRE CHAP PHOTO LEGENDE ARTICLE 4 TITRE CHAP PHOTO LEGENDE 229 S Finist re 230 filassa a Finist re gt Titre chap photo l gende Le psychiatre brestois Luc Guillerm doit recevoir demain Paris le prix de l Acad mie de Marine pour son livre Naufr
212. ilotage Inspection acad mique Clemi DDEC Conseil g n ral Ouest France Le T l gramme Le courrier du L on Progr s de Cornouaille Une d marche approfondie e Un travail avec la presse Chaque classe travaille avec un titre partenaire principal Ouest France ou le T l gramme Pendant 10 semaines chaque l ve recevra dans la classe un exemplaire du titre partenaire principal soit du 17 Novembre au 6 f vrier 2009 Pendant 2 semaines 15 exemplaires des titres seront transmis la classe pour un travail de comparaison soit 23 f vrier au 7 mars 2009 Les professeurs recevront pendant 4 mois des abonnements aux trois journaux e Un lien privil gi Le parrainage d un journaliste de l un des trois journaux au moins deux interventions en classe La visite du site d impression du journaliste L appui des services et des sites internet presse cole Une journ e de formation au CDDP de Quimper le lundi 19 janvier 2009 e Ecrire sur le th me Nourrir se nourrir Les l ves devront enqu ter et r diger des articles sur le th me avec les rubriques suivantes Tous les articles seront mis en ligne sur la plate forme Phare de l acad mie de Rennes pour le 21 mars 2009 au plus tard Pour le challenge chaque classe proposera au jury son meilleur article illustr pour le 3 Avril 2008 Les articles retenus seront r compens s lors de la remise des prix au Conseil G n ral le 17 juin 2009 Des articles seront publi
213. ils bien s rs de nourrir leurs concitoyens Comment communiquent ils sur ce sujet On entend parler de prix du gazole des quotas de lait ou des cours en chute pour les leveurs de porcs ou d interdictions pour les p cheurs C est difficile comprendre C est tout disait cet l ve Cette fameuse vocation nourrici re ne va donc plus de soi Non plus pour les agriculteurs et les p cheurs s ils se donnent comprendre comme des gestionnaires d un syst me de production bien souvent en crises et en crises r p t es CF articles des journaux sur les portraits de p cheurs ou d agriculteurs Faut il des crises sanitaires pour revenir l essentiel Les alertes sanitaires ont r v l ce fait elles obligent les syst mes de production et donc les producteurs se r organiser autour des conceptions de la vie du vivant Les interrogations des consommateurs vont de plus en plus loin que faites vous au nom de qui et de quoi Ce d bat est int ressant Il est particuli rement int ressant d analyser les mots apparus dans le d bat public au moment des derni res crises concernant les alertes sanitaires cf lait en Chine Avant on ne parlait pas ou peu de tra abilit M me chose pour transparence 113 Finist re consommateur citoyen d veloppement durable et thique responsabilit Tous ces mots cl s sont omnipr sents au moment des crises comme autant de questions pos es sans r ponse simple Autre le o
214. importantes l rappelle les consignes d criture commencer par le plus frappant crire simple faire des phrases courtes Les l ves r digent leur papier en s appuyant sur leurs notes on peut demander une r daction individuelle L enseignant pr voit la correction des articles J D Boucher ancien grand reporter Ouest France souligne le r le essentiel du reportage dans la presse crite Journalisme du v cu il donne des couleurs l actualit la plus grise mais les reporters s ils sont des raconteurs d histoires demeurent avant tout des informateurs Le reportage crit ed CFPJ Paris 1993 Une autre s ance peut tre consacr e aux r actions des l ves la lecture des reportages crits par leurs camarades que donnent ils voir sentir ressentir 215 Finist re gt R aliser une interview Comment s y pr parer comment exploiter l information Objectifs S entra ner l art du questionnement la prise de notes Passer de l oral l crit et de l crit l oral Apprendre couter et retenir l essentiel Agenda 3 4 semaines l avance choisir le th me de l interview et rechercher la personne interviewer Constituer des bin mes de travail Prendre le rendez vous Se documenter sur le sujet Pr parer des questions j Faire tr s r guli rement le point sur l tat des d marches Mat riel Des exemples d interviews trouv es d
215. in infographie sans oublier de noter l article que cela concerne la classe et l auteur de l illustration Les journaux auront peut tre besoin de vous les demander au moment de la mise en page du suppl ment Les illustrations mises sur la plate forme Phare ne sont pas forc ment exploitables pour l impression du suppl ment e Les classes peuvent envoyer leurs productions sur la plate forme d s le d but de l op ration jusqu au 21 mars http phares ac rennes fr classespresse A cette adresse aussi vous pouvez consulter les r alisations des classes presse des ann es pr c dentes La formation Afin d accompagner au mieux les projets toutes les quipes interdisciplinaires classes presse b n ficient d une formation d une journ e organis e par le Clemi L utilisation de la plate forme l criture journalistique et le th me Nourrir se nourrir seront au programme Date le 19 janvier 2009 au CDDP de Quimper Les enseignants des tablissements publics ou priv s qui souhaitent y participer doivent s inscrire clemi bretagne ac rennes fr aupr s de Corinne Tual au plus vite 12 Finist re Le suivi Tout au long de l op ration le Clemi d partemental est votre disposition pour r pondre vos interrogations et accompagner votre projet Contact Myriam Condamines condamines garreau wanadoo fr Tel 02 98 44 04 61 r pondeur Le Challenge Chaque classe doit s lection
216. in 35 sec L arachide est la principale culture d exportation du S n gal En un si cle cette culture n a cess d puiser les terres et d en coloniser de nouvelles au d triment de la r gion foresti re situ e au centre du S n gal Terroir traditionnel d velage cette zone s est r tr cie de fa on dramatique pour les pasteurs peuls et leur b tail L accent est mis sur la disparition d un patrimoine naturel la for t s che subtropicale et un changement significatif du paysage s n galais 3788 GEO AFRIQUE Classe de 5e Coll ge Secondaire Vid ocassette Un paysage rural d Asie la plaine rizicole aux Philippines Th au Beno t Orcades CRDP de Poitou Charentes Poitiers Diversit du d veloppement 2000 livret 47 p Sept reportages pour comprendre les modes de vie dans un milieu rural asiatique la plaine rizicole aux philippines Le livret pr sente les personnages des informations g n rales sur le cadre du tournage du vocabulaire les textes des interviews une grille de lecture du reportage et des pistes d approffondissement p dagogique GEO ASIE CM1 CM2 Cycle 3 Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Vid ocassette Paroles de paysans V rot Michel Ramognino Pierre CNDP Paris Les archives audiovisuelles du Sc r n 2002 1 vid ocassette VHS 26 min coul Secam livret 7 p De 1950 1980 l volution de l agriculture fran aise a t consid rable Ce film
217. inaire Elles favorisent en cela le travail en quipe et le croisement de plusieurs disciplines Dans cette dimension collaborative le r le du ou de la documentaliste va se r v ler essentiel pour mener bien cette action Un r f rent Pour votre coordonnateur Clemi d partemental Le la documentaliste a la particularit d tre pr sent sur une plus grande plage horaire dans l tablissement C est pourquoi il ou elle est toujours notre interlocuteur privil gi lorsque nous d sirons joindre l quipe pour un souci mat riel une question de d lai ou une r ponse une question La possibilit de joindre rapidement un des membres de l quipe classes presse en contactant le CDI est essentielle pour la personne qui coordonne le projet classes de votre d partement Pour le journaliste parrain Il est fort utile que la le documentaliste puisse joindre le journaliste qui parraine la classe presse diff rentes tapes de l op ration et qu il ou elle dispose donc de ses coordonn es Pour l quipe des enseignants disciplinaires cette pr sence dans l tablissement permet aux enseignants disciplinaires d avoir un relais un interlocuteur privil gi qui peut transmettre aux autres membres du projet les diverses informations C est lui ou elle qui re oit la documentation relative l op ration classes presse Il peut ainsi tenir jour un calendrier et un planning collectif des classes presses
218. inguer les titres incitatifs et les titres informatifs puis d analyser leur forme syntaxique A l aide de papier calque faites relever les emplacements et l occupation des textes photos publicit s Quels sont les sujets les plus importants ce jour l Sont ils identiques pour l ensemble des journaux tudi s 3 Chaque groupe choisit de r aliser la Une d un journal Il s organise en comit de r daction choisit les d p ches qui lui paraissent importantes envisage un crayonn maquette r aliser Choix d finitif titres illus trations Pr voir les emplacements publicitaires 4 R alisation d finitive de la page 5 Comparaison avec la Une d un journal r el PROLONGEMENTS Reproduire une Une dans le format du journal tudi Utiliser du faux texte pour distinguer la question de la mise en page de celle du traitement de l information Revue de presse simplifi e des titres la Une Comparer la Une des tablo ds avec l ouverture des news couverture page sommaire 180 Finist re gt Comment s informe t on Objectifs e Sensibiliser la pr sence locale de la presse Faire prendre conscience de son attitude de consommateur Comprendre en quoi savoir s informer est important dans la formation du citoyen Public Coll ge Lyc e Mat riel Panneaux de r sultats de la taille d un tableau mural Organisation Individuel ou groupe de 2 3 participa
219. ion des modes de vie Sur ce sujet L Humanit a titr en avril 1993 Radiographie d une soci t d in galit s 3 A la suite de ces constatations une tude sur la mise en forme du sujet est propos e Il s agit de noter les diff rents types d articles et les informations compl mentaires apport es par chacun d eux l angle de l article et si possible les personnes cit es par le journaliste Interview de sp cialistes encadr chiffr article explicatif accompagn de citations d experts article donnant le point de vue d usagers de lecteurs Sch mas croquis infographie photographies informatives ou illustratives l gendes sont aussi relev s 4 On pourra lier les modes de narration utilis s par les m dias la repr sentation qu ils ont sur les savoirs les exp riences et les attentes de leurs publics On mesurera le r le que la presse entend jouer dans la formation de l opinion PROLONGEMENT On peut trouver sur Internet bilans et rapports institutionnels comparer avec des articles parus dans la presse A partir de cette source r fl chir au traitement de ces informations dans le journal scolaire en fonction de l int r t des lecteurs 203 Finist re gt Illustration de la fiche un m me sujet plusieurs approches ouest NOUVEAUPAJERO NOUVEAU DESIGN NOUVELLE MOTORISATION z Brest A om ouvri au SALON DE LAUTO P ES gt a Ww 4 moristi maine B me
220. ion du cochon dans l imaginaire collectif 4713BI0 VIE MILIEU Classe de 6e Coll ge Secondaire 49 Finist re Vid ocassette Biotechnologie et alimentation 1 Simonin Guy Foucher Roger SCEREN CNDP Paris Hachette In situ 2003 28 min 1 livret 47 p r f doc index Cette vid ocassette est compos e de sept films de courte dur e trois quatre minutes Chaque film utilise des images scientifiques techniques ou industrielles en situation Les concepts scientifiques et techniques essentiels pour la compr hension de ces objets et ph nom nes sont expliqu s l aide d animations et d images de synth se Th mes abord s Cultures hors sol et in vitro Lutte biologique Am lioration par s lection Fixateurs d azote Cultures de cellules Bior acteurs Bifidus ALIMENTATION Coll ge Lyc e Secondaire Vid ocassette Pays paysages 11 Agriculture m diterran enne Cros Jean Louis r alisateur Cros Roland Pernot Herv CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1998 1 vid ocassette VHS 26 min coul SECAM son 1 guide p dagogique 15 p La culture en espace m diterran en est souvent per ue comme artisanale et traditionnelle Mais l mission pr sente une agriculture qui se modernise grands pas Les reportages concernent les Taureaux de Camargue o l animal est une l gende vivante les Jardins de Provence o l agriculteur travaille en collaboration avec les agronomes
221. ion notable de style dans des textes manant de plusieurs sources d p ches d agence dossier rapport communiqu Mouture r criture dans le style maison d informations manant de m mes sources que le montage P Portrait article qui d crit dessine la personnalit de quelqu un travers ses caract ristiques biographie d clarations mani re d tre apparence physique R Reportage article dont le but est de faire voir entendre sentir et ressentir par le lecteur ce que le journaliste a vu entendu senti et ressenti lui m me dans un lieu donn Le reporter est le t moin privil gi qui pr te ses sens au lecteur et lui fait vivre au pr sent ce que lui m me a v cu Le reportage comporte une part de subjectivit un droit la critique mais exige la rigueur dans l information 238 Finist re Petit guide du r dacteur Consignes d criture et crit res de r ussite pour la r daction finale de votre article Int resser capter et retenir l attention de ses lecteurs est la r gle num ro 1 de tout journaliste lire demande un effort Savoir mettre en sc ne les textes produits est une exigence Une page de journal n est pas une suite de textes juxtapos s par hasard elle a une unit Lire demande un effort Avant de vous lancer dans l article vous avez d termin un angle d attaque une th matique Vous avez rassembl des documents et s lectionn des informations Soignez vot
222. ions sont mis en caract re gras C est donc d une lecture partielle qu il s agit d autant plus que le contexte de mise en oeuvre est ce jour exp rimental et que des volutions ou des ajustements sont pr vus pour la rentr e 2009 Que disent les textes Le socle commun de connaissances et de comp tences fixe les rep res culturels et civiques qui constituent le contenu de l enseignement obligatoire Il d finit les sept comp tences que les l ves doivent ma triser l issue de la scolarit obligatoire Le socle commun est la disposition majeure de la loi d orientation et de programme pour l avenir de l cole du 23 Avril 2005 d cret 2006 830 11 juillet 2006 L Ecole doit en effet offrir chacun les moyens de d velopper toutes ses facult s en mettant en valeur toutes les formes d intelligence et toutes les aptitudes La sp cificit du socle commun r side dans la volont de donner du sens la culture scolaire fondamentale en se pla ant du point de vue de l l ve et en construisant les ponts indispensables entre les 19 Finist re disciplines et les programmes Il d termine ce que nul n est cens ignorer en fin de scolarit obligatoire sous peine de se trouver marginalis ou handicap Ma triser le socle commun c est tre capable de mobiliser ses acquis dans des taches et des situations complexes l Ecole puis dans sa vie C est poss der les moyens de continuer se former
223. ioth que scientifique 2002 239 p ill Herv This pr sente les r sultats les plus importants et les plus r cents de la discipline nomm e gastronomie mol culaire discipline qu il a cr pour la plus grande satisfaction des physico chimistes des cuisiniers et des gastronomes 641 5 THI Tous niveaux Livre La plan te dans l assiette Roques Nathalie Hennig Agathe Mango jeunesse 2004 115 p ill Cet ouvrage propose une balade gourmande gr ce 49 d licieuses recettes originales et faciles r aliser travers les 5 continents de notre plan te 641 5 083 12 ROQ P riodique L Equilibre alimentaire savoir raison garder Ancellin Rapha lle P dersen Christiane Textes et documents pour la classe 15 02 2000 p 4 37 Dossier Comportements d s quilibres alimentaires ob sit anorexie ou boulimie r gimes Les nutriments les repas Lexique Les habitudes alimentaires des r gions fran aises Cat gories d aliments La cuisine des autres pays les bienfaits d une pratique sportive Les risques de l alimentation actuelle Le 53 Finist re petit d jeuner Bibliographie P riodique Le pain Textes et documents pour la classe 15 10 2003 p 6 52 Historique et point sur cet aliment consid r comme un patrimoine universel Pr sentation des nouvelles m thodes utilis es en panification et la recherche sur les textures et choix des produits entrant dans la composition des pains Aspec
224. ir sur plusieurs leviers le commerce les investissements agricoles l aide et le partenariat En Afrique de l Ouest c est m me 60 de la population qui vit dans des zones rurales a rench ri Ousseni Salifou de la Commission Economique des Etats de l Afrique de l Ouest L agriculture est le principal l ment de l conomie de l Afrique de l Ouest c est celui qui offre de la nourriture et des emplois Un secteur cl donc qui a du potentiel d velopper Vu du monde Au plan mondial ce sont pr s de 450 millions de paysans et d agriculteurs qui vivent de terres de moins de 2 hectares Avec leurs familles ils repr sentent un tiers de la population mondiale Le directeur de la FAO l Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture Jacques Diouf a averti des pr misses de la catastrophe alimentaire qui pourrait s annoncer si rien n est fait le nombre de famine s est accru en 2007 de 50 millions de personnes En cause l explosion du prix des denr es alimentaires de base Comment combattre ces prix lev s l chelle mondiale Pour le directeur de l Organisation 151 Finist re Mondiale du commerce Pascal Lamy cela passe par des changes Vu d Europe Quel r le l Europe peut elle jouer pour encourager la production agricole et emp cher d autres famines de survenir L aide au d veloppement doit davantage tre orient e sur la productivit agricole a d fendu le pr sident de la commission D v
225. ir de rapport PROLONGEMENT A partir des photos l gend es d coup es construire une revue de presse th matique afficher exemple la repr sentation des Etats Unis dans les magazines la repr sentation des stars dans la presse pour jeunes Polys mie de l image Pluralit de sens d une image L gende Texte court accompagnant une photographie Une l gende peut tre descriptive interpr tative informative 221 Finist re gt Le reportage photographique dans la classe Objectifs Favoriser une approche critique sur la mani re dont la photographie est produite diffus e et regard e Valoriser l image de soi l expression crite et orale Apprendre utiliser un appareil photo Public Maternelle et l mentaire Mat riel Photographies apport es par les enfants Boites en carton utiliser comme viseurs d appareils photo Appareils photo Organisation Travail par groupe sur plusieurs semaines Ces diff rentes s quences demandent du temps Elles sont le d but d un parcours une ducation l image qui se fera tout au long de la scolarit Mots cl s Selon l ge des enfants Cadre Ombre lumi re couleur noir et blanc Echelle des plans Intention Repr sentation Pr parer le jeune l ve recevoir l abondance des images J avec lesquelles il est mis en contact d s son plus jeune ge les textes officie
226. ire qui prend position sur un fait d actualit et refl te la tendance ou les engagements du journal Il peut tre r dig par le directeur ou un journaliste d sign par lui Enqu te article ou suite d articles partant d une question pr alable et apportant une r ponse ou des informations in dites partir de t moignages et documents recueillis la source Si le reportage montre l enqu te d montre La d marche de l enqu te ressemble celle de la recherche scientifique F Filet comme la br ve le filet est une information courte sans commentaire mais dont l importance relative justifie un titre et un d veloppement un peu plus important Le filet insiste plus sur le comment et le pourquoi Il ne d passe gu re 20 25 lignes colonne I Interview d marche d investigations qui a pour but d obtenir des informations originales in dites de la part d une personne qui consent ce que ses propos soient rapport s au grand public Comme l enqu te l interview prend sa source dans les questions qu un journaliste ou le public se pose sur un probl me Mais ici ces questions m nent une personne qui d tient des r ponses ou dont l opinion int resse le public Bien conduite une interview doit amener l interview en dire plus qu il n a jamais dit ou qu il ne souhaitait en dire 237 Finist re M Montage article d information brute r alis par l assemblage coh rent de passages repris sans modificat
227. isse se nourrir correctement Univers nature le site suit l actualit cologique On y trouve par exemple la liste des produits alimentaires sans OGM Consignes Interroger les l ves sur leur projet de recherche documentaire qu est ce que je recherche et pour quel projet Demander une trace crite des informations recueillies qu est ce que j ai appris Comment Et o Interpr ter quelle s repr sentation s de l alimentation des pays ou des peuples a ont chang Pourquoi et comment ont elles volu Ecrire pourquoi est il important de le communiquer d autres sous la forme d un article Quel type d article je choisis 86 Finist re Pour travailler ce th me en EN EDUCATION CIVIQUE Rationnalisons les pratiques alimentaires En premier lieu se nourrir c est survivre et se d velopper Nous avons tous besoin d un ratio quotidien de calories et de nutriments Ceci est de la chimie en quelque sorte Dans l espace les cosmonautes sont nourris avec des tablettes sans go t qui contiennent tout ce dont l organisme a besoin En revanche dans la nature l homme se procure prot ines glucides lipides et vitamines n cessaires en consommant animaux et v g taux Objectivement la viande cela peut tre une vache un kangourou ou un rat Ainsi un plat de crustac s c est au choix des crevettes ou des cloportes Pour travailler ce th me EN BIOLOGIE SVT Distinguer protides glucides et nutriments Classer
228. istiques des articles cit s Les citations directes sont annot es et class es r f rences du journal et du journaliste Conclure d une mani re agr able d Pr sentation Ce texte lin aire pr sente la synth se des r sultats de l tude C est un papier lecture r dig sur des feuillets num rot s crits sur une seule face et donc facile manipuler 210 Finist re 2 Revue de presse murale C est un exercice de synth se Objectif confection de panneaux a Le rep rage des titres ler temps Il faut d terminer l importance que les journaux attribuent aux diff rents faits du jour Quels sont les sujets mont s la une des quotidiens Quels titres sont communs aux diff rents journaux Cette hi rarchie des titres peut tre d gag e en deux temps Quels sont les premiers titres que per oit le lecteur Dans quel ordre Chaque groupe donne son avis on trouve des points d accord 2 me temps Appr ciation cette fois plus m thodique en fonction de l emplacement du titre de la surface qu il occupe calcul e en tra ant un cadre entourant ses limites extr mes du corps utilis taille et paisseur des lettres Premier tableau D coupe de manchettes comprenant le nom du journal D coupe des titres et des photographies toffant les titres Premi res constatations Titres communs aux diff rents journaux Ressemblances et diff rences des nonc s Ton employ dans chaque journal
229. iter les pol miques M thodes p dagogiques Apports th oriques Entra nement au d bat avec enregistrement et analyse vid o Jeux de r le Sur le web e historique chiffres et donn es prises de position recherche r glementation tudes documentation source www OGM org site officiel ISAAA e site www confederationpaysanne org e site fnsea org les sites d associations de consommateurs 171 Finist re 172 Finist re Pour d couvrir travailler le journal et crire des articles pendant 10 semaines en classe presse 173 Finist re 174 G n ralit s La bo te id es La circulation dans le journal D une rubrique l autre La Une du journal V VVY Le traitement de l information gt Comment s informe t on gt Comment les journalistes s informent ils gt Du fait l v nement gt La v rification des sources Les images gt L image un r le part enti re gt Le r le des images d information gt L ambigu t de l image de presse Les aspects conomiques gt Un journal c est une entreprise gt Une approche de l conomie du journal Petit lexique de presse Pour comparer les journaux et faire une revue de presse Pour r diger analyser des articles des photos et leurs l gendes Guide de relecture des articles crits en classes presse un outil pour s lectionner aussi votre article du challenge Pour publier les articles p p Fini
230. ivit agricole qui est le moyen d existence principal de 70 des pauvres dans le monde Dans certains cas le portefeuille de pr ts agriculture est pass de 33 en 1979 1 en 2007 Alors que le monde ne demande que 30 milliards de dollars par an pour relancer l agriculture et radiquer d finitivement la faim 1200 milliards de dollars US sont d pens s pour l armement pendant que 862 millions de personnes meurent de faim dans le monde e Et pourtant Article 25 de la d claration universelle des droits de l homme Toute personne a droit un niveau de vie suffisant pour assurer sa sant son bien tre et ceux de sa famille notamment pour l alimentation S informer et comprendre des paradoxes forts L enjeu 2015 les grands de ce monde ont crit noir sur blanc que la pauvret dans le monde serait r duite de moiti Il ne reste plus beaucoup de temps pour y arriver Pourquoi ceux qui nous nourrissent n ont pas assez manger eux m mes Pourquoi alors que la production agricole d passe les besoins de la populations mondiale la malnutrition la sous alimentation et les famines sont elles acceptables Pourquoi alors que les agriculteurs du Sud repr sentent la moiti de la population de la plan te la plupart n acc dent pas une alimentation suffisante tandis que la circulation des denr es alimentaires ne cesse d augmenter sur les march s internationaux Plus de 850 millions de personnes
231. jug es peu int ressantes par tel administrateur de cha ne mais utiles car elles rapportent de l argent et concurrencent une autre cha ne qui diffuse la m me heure une mission similaire Deux la pub a un impact direct sur le contenu ditorial Et de citer Patrick Le Lay PDG de TF1 Soyons r alistes Pour qu un message publicitaire soit per u il faut que le cerveau du t l spectateur soit disponible Nos missions ont pour vocation de le rendre disponible c est dire de le divertir de le d tendre pour le pr parer entre deux messages Ce que nous vendons Coca Cola c est du temps de cerveau humain disponible Enfin c est peut tre le plus important lorsqu on parle de d mocratie la pub est impos e aux gens A quelques tr s rares exceptions pr s elle est unilat rale et incontestable En d mocratie on devrait avoir le droit de choisir ce quoi on est soumis Extrait de Jean Baptiste Godinot Mon enfant n est pas une cible Sur le WEB textes sur le lien T l vision publicit enfants et alimentation Consommateur si tu savais le blog d Alain Bazot Pr sident de l UFC Que Choisir 2006 2008 UFC Que Choisir TSF L Europe fera telle barrage aux flots publicitaires TSF Tous Sauf Favorable Quelques ouvrages sur ces sujets gt Mon enfant n est pas une cible A partir de t moignages de professionnels de la t l vision d exp riences l cole de sondages d analyses sociologiques cet
232. l ves S approprier le projet un travail d quipe des comp tences transversales 1 Quelques constats Le lancement du projet classe presse avec nos l ves est une phase d terminante pour la suite des apprentissages En cela il m rite d tre discut dans chacune des quipes car de ce lancement d pendent la fois l adh sion des l ves au projet et leur capacit s inscrire dans une dynamique de lecture du journal et d criture des articles les deux facettes incontournables pour chacune des classes presse Certaines classes presse d butent par une activit visant rep rer les constantes d un article de presse D autres partent du rep rage dans l organisation du journal les rubriques D autres encore proposent de r fl chir sur le m tier de journaliste son travail ses sources D autres encore s appuient sur un v nement m diatique et son traitement dans le journal local Cette diversit des approches est une richesse consulter sur le site du clemi Bretagne ce sujet 2 exp riences de travail sur la presse papier TV et Internet mises en oeuvre au d but de l op ration classes presse Cependant deux points d appui nous semblent utiles pour cr er une dynamique avec nos l ves et ce d s le d marrage du projet Prendre du temps La premi re exigence qu il nous semble importante prendre en compte c est accepter de prendre du temps au d marrage du projet avec nos l ves pour ch
233. l de l alimentation qui se tient tous les ans en octobre Site le point sur la table qui analyse les relations difficiles entre la sant des consommateurs et les industries mondiales de l agroalimentaire 109 Finist re 110 Finist re Qui nous nourrit Probl matique faire merger des repr sentations Des images aux r alit s 111 Finist re Qui nous nourrit Objectifs e Quel imaginaire les l ves ont ils de l agriculture Et des p cheurs e Que peut on comprendre et penser de ces repr sentations li es l alimentation e Aborder une probl matique donn e toujours sous le triple regard conomique social et environnemental Donner des cl s pour comprendre Instaurer un espace propice la r flexion individuelle et collective L objectif principal recherch est d aider les l ves diff rencier un pr jug d une opinion et de comprendre que la confrontation des points de vue est n cessaire dans l laboration d une r flexion de qualit sur les repr sentations Que nous apprennent ces repr sentations Que peut on en comprendre Que peut on en penser D marche La d marche est similaire faire merger les repr sentations On utilise un tableau afin de relever les mots et expressions nonc s par les l ves sur le th me On arrive ainsi une diversit d opinions sur un m me th me Il s agit de montrer que les soci t s ne sont pas fig es et que les valeurs qui les c
234. lasses presse est un moyen efficace la fois pour d culpabiliser ceux qui ont moins de facilit s scolaires mais aussi pour comprendre ce qui est attendu d eux L acc s aux autres articles crits par des l ves des classes presse de l ann e pr c dente plate forme classes presse ou suppl ments classes presse dit s par les journaux partenaires est une tape qui peut s av rer utile Spontan ment ils vont avoir envie de d couvrir ce que d autres ont r alis avant eux et de faire partager leurs surprises leurs articles pr f r s Nous pensons que pouvoir exploiter ce temps de lectures des articles d j crits par d autres l ves est un autre moyen pour leur faire comprendre que les langages et codes sp cifiques l criture journaliste sont la fois accessibles pour eux la preuve d autres l ont fait avant eux mais aussi pour leur faire rep rer les l ments formels auxquels ils ont t sensibles les titres qui les ont accroch s et ceux qu ils n ont pas retenu le chapeau la longueur de l article structur ou pas par des inter titres l illustration le langage employ Dans cette activit aussi il est important qu ils gardent une trace crite de leurs rep rages individuels ou par groupes de 2 ou 3 et qu ensuite ils restituent collectivement leurs d couvertes au reste de la classe afin que la classe discute et labore les constantes qui r gissent un article crit pour tre lu e
235. le Et enfin de Isabelle Desestret Mazard du CDDP de Lorient une s lection des ressources des CDDP et CRDP Bretagne sur nourrir se nourrir Ces contributions pr cisent des regards Elles ont pour but de proposer des pistes investir et de favoriser le questionnement aupr s de nos l ves Emanant de secteurs diff rents mais compl mentaires elles contribuent ouvrir des portes aussi pour un travail local avec ces associations ou partenaires Qu ils en soient ici remerci s car notre volont est de partager ces d bats et de favoriser un travail en commun acad mie de Rennes Nourrir se nourrir quelques approches ducatives Nourrir se nourrir Lorsqu on voque cette th matique une tendance assez naturelle est celle qui consiste l appr hender en se centrant sur l individu et le fonctionnement de son organisme Quelle alimentation pour me nourrir Quels probl mes nutritionnels pour nos adolescents Quelle qualit sanitaire des aliments que je consomme ou que consomment mes enfants Comment duquer au go t La question alimentaire y compris lorsqu il s agit d introduire une alimentation biologique dans les cantines scolaires se cristallise ainsi souvent sur des probl matiques d ducation pour la sant qui sont par ailleurs fort int ressantes Pourtant y regarder de plus pr s la th matique propos e est surtout une excellente occasion d ducation au d veloppement durable
236. le Fonds Mon taire International la FAO L Organisation Mondiale da Commerce les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement le Sommet international de juin 2008 Quelle volution r elle de la situation II Quelle Aide Publique au D veloppement APD apportent les Etats Comment est elle affect e Comment volue t elle Quelle part de cette APD va l agriculture III Quelles solutions apportent les ONG d urgence Celles de d veloppement Aujourd hui alors que la plan te peut nourrir la plan te la production de nourriture dans le monde d passe les besoins des humains et que l Afrique est le continent qui compte le plus de paysans pourquoi l Afrique ne peut elle pas nourrir l Afrique Il y a deux fa on de se nourrir acheter sa nourriture et ou la produire Produire sa nourriture suppose d tre en possession des moyens de production Acheter sa nourriture suppose d avoir les revenus suffisants pour le faire L Afrique utilise t elle ses terres pour produire ses aliments Quels int r ts les multinationales ont elles s installer en Afrique L Afrique qui est un continent fort peupl est elle vraiment riche en capital humain L Afrique subsaharienne dispose t elle de moyens financiers et de marge de manoeuvre 46 Finist re suffisants pour prot ger son domaine agricole comme les pays aujourd hui industrialis s ont pu le faire en leur temps Pourquoi son agriculture n est elle pas r
237. le sujet et de ce qui lui semblait possible de proposer Certains m me avaient une intention pr cise Les l ves ont alors altern un d veloppement proprement num rique de leurs productions avec des s ances d interventions plastiques compl mentaires en fonction des besoins de chacun Les priorit s s imposant parfois chaotiquement une id e une forme une mani re de faire une citation une conviction Quelques renoncements h sitations incompr hensions habitudes contrari s par le cadre ont t le pr texte s interroger sur le sens la singularit de leurs projets m me sommairement les techniques et les proc d s retenus Deux points d terminants se sont ajout s ce moment l la r daction d une l gende d taill e sens e pr senter la d marche et les perspectives du travail de donner envie de la regarder de comprendre et d un titre pour leurs images ainsi que la mise en ligne sur la plate forme des classes presse moment de distanciation et de prise de conscience du travail collectif ainsi qu une opportunit de consulter les productions des autres coll ges Le tout provoqua moult rebondissements et a acc l r les choix R trospectivement il aurait fallu faire une premi re mise en ligne compl te plus t t dans l ann e et consulter r guli rement le site internet au fond objet central de ce projet coop ratif En plus d tre un outil de pr sentation multim dia nouveau pour eux cela aurai
238. lemi Bretagne adresse acad mie de Rennes espace ducatif le clemi rubriques classes presse Finist re 2008 2009 e Journal TV et Journal papier compl mentarit Notion impacts chez le lecteur spectateur accroche r sonnance personnelle des faits retenus pluralit des lectures et des regards e Pourquoi peut on dire que la presse quotidienne est un des medias les plus importants pour s informer aujourd hui notion d information actualit bref historique de la presse Une rubrique sens de lecture information en ligne crire un article d mocratie et libert de la presse e Prolongements libert de la presse dans le monde Photo de presse r alit ou point de vue R daction imaginez un monde sans lettres imprim es Comp tences transversales sollicit es lettres histoire g ographie ducation civique SVT EPS technologie math matiques arts plastiques documentalistes et journalistes C est aussi l occasion d un travail avec l infirmi re ou le m decin scolaire le cuisinier et son quipe la di t ticienne et l intendante du coll ge 67 Finist re Finalit s et probl matique des th mes des classes presse Probl matique nourrir se nourrir qui comment dans quels buts Une approche ducative Ce th me d actualit n est pas sans liens avec le pr c dent ducation aux m dias et au d veloppement durable Il peut m me tre per u comme un prolongement pour les classes ay
239. les Ah bon On devient ce que l on mange Int ressant non De m me qui mange du lapin Pour eux le lapin n est plus un aliment dans la repr sentation des l ves A force de fabriquer des lapins en peluche d en faire des personnages de dessin anim ou de les vendre comme animaux de compagnie cette esp ce est en train de passer du statut d aliment celui d animal familier dans les jeunes g n rations il y a d j eu un pr c dent avec le cheval Bref on ne mange presque plus ni de l un ni de l autre En manger non C est trop mignon Ces remarques nous aident comprendre que l image que chacun se fait d un aliment est en 79 Finist re lien troit avec ce que chacun se repr sente et veut faire de son corps Plus cette repr sentation sera per ue comme positive et valorisante plus l adh sion ce produit sera forte Qui construit ce que je per ois comme bon Mais la question qui construit ce que je per ois comme bon apr s un moment de doute et de r flexion des l ves noncent ma m re car c est elle qui fait les courses et c est elle qui sait ce qu on aime D autres r pondent l habitude ou la tradition car c est comme a Certains vont dire les m decins quand ils disent que c est bon pour la sant Et d autres encore C est dit dans la pub Si l environnement culturel est omnipr sent dans leurs r ponses en change la sph re personnelle est oubli e Aucun n
240. les tres vivants Pour travailler ce th me EN MATHEMATIQUES Calculer les apports caloriques d aliments en fonction de leur pourcentage en protides glucides et lipides Pour travailler ce th me EN GEOGRAPHIE Conditions climatiques et cons quences sur l organisation des hommes les moussons les crues fluviales les d serts Pour travailler ce th me EN EXPRESSION ORALE ET OU ECRITE Les superstitions alimentaires est on ce que l on mange Pour travailler ce th me EN FRANCAIS HISTOIRE LANGUES ETRANGERES LATIN Travail sur des textes mettant en oeuvre des festins extraordinaires dans l antiquit chez les romains la derni re vignette des albums d Ast rix les menus courants chez les anglais les espagnols les italiens les allemands ETC 87 Finist re 88 Finist re Fiche 2 manger ou consommer Analyse d une publicit pour un produit all g ou de tout autre produit alimentaire courant et recherch des l ves en y associant toutes les comp tences disciplinaires n cessaires sa compr hension e Objectifs prendre conscience de l impact de l achat de tel ou tel produit de consommation courante clarifier les m canismes de choix confronter des avis contradictoires clarifier ses valeurs prendre conscience de ses ambivalences comprendre les strat gie commerciales se construire un esprit critique Le texte d accompagnement pourra servir d illustration ou de prolongement dans ce
241. les g n rations futures qu ils ont amen s 165 Finist re e G nie g n tique et volution D finir le g nome le code g n tique tudier le fonctionnement des g nes codage ADN duplication transmission h r ditaire et rechercher les possibilit s de transfert des informations g n tiques d un individu vers un autre Identifier les exemples d OGM Pourquoi peut on dire qu on a franchi la barri re des esp ces Qu est ce qui diff rencie les m canismes de la s lection naturelle de ceux utilis s dans les techniques des s lections dirig es et en particulier du g nie g n tique Quels sont les risques encourus pollution g n tique risque technologique alimentation sant Quelles sont les potentialit s de la modification des plantes par transg n se pour les pays d velopp s et pour les pays en d veloppement Quelles conditions faut il respecter pour les uns et les autres Rechercher les implications au plan conomique social culturel Rechercher dans quels cas et comment le principe de pr caution est applicable dans le cadre du g nie g n tique au regard de l environnement de la population ou de la sant e La l gislation relative aux biotechnologie Rechercher l tat actuel des l gislations fran aises europ enne et mondiale sur les utilisations des biotechnologies et en particulier sur la transg n se 166 Finist re Fiche 17 le g nie g n tique un rem de contre la faim
242. les sont les cons quences des points e vue g n tique et culturel Rechercher les menaces qui p sent sur les esp ces sauvages de votre r gion directe surexploitation indirecte extension des zones urbaines impact de la pollution diminution de la superficie des zones humides introduction d esp ces trang res d sertification banalisation des milieux Observer une carte des foyers d origine des principales plantes cultiv es Quelles sont les zones les plus riches en biodiversit Comment peut on conserver g nes graines plantes boutures ou cultures de tissu gt Perte de biodiversit Recenser des activit s agricoles et agro alimentaires types de cultures et d levage modes de fabrication des aliments Identifiez les produits naturels ou non utilis s pour les productions agricoles Observer l talage de fruits et de l gumes d une grande surface ou d un march quelle impression d ensemble en retirez vous D nombrez les vari t s vendues Diff rent elles au cours des saisons D un point de vente l autre Recenser les changements culturels et technologiques qui ont eu lieu depuis le XVIIIe si cle dans diff rents parties du monde et les caract riser en termes de type d forestation plantations agriculture industrialis e r duction des famines etc Evaluer leurs impacts sur la biodiversit et discuter des avantages co t rentabilit et les risques rosion g n tique cons quences pour
243. les titres sur un m me sujet dans diff rents journaux Classer dans une collection de journaux les titres informatifs les titres incitatifs Fonctions du titre L ensemble des titres titres sous titres surtitres guident et a rent la lecture de l article Les titres incitatifs suscitent la curiosit du lecteur Les titres informatifs fournissent l essentiel de l information 220 Finist re gt L gendes et photographies de presse Objectifs Les commentaires que provoque une seule image soulignent la pluralit de Metire en ses sens La l gende le texte d accompagnement pr cisent et orientent une do lecture parfois trop flottante de l image caract re polys mique de P ee l image 1 Distribuer chaque l ve une photocopie de la photographie isol e de sa Faire d couvrir les relations du texte et de la photographie typologie des l gendes et leur r le Public Ecole Coll ge Mat riel Un jeu de photocopies d une photographie de presse d coup e dans un journal et isol e de sa l gende et des titres Un jeu de photocopies d une grande quantit de photographies provenant de la presse quotidienne d partementale r gionale ou nationale Organisation Travail par groupe ou individuel Plusieurs s ances de deux heures Mots cl s Polys mie des images L gende l gende Demander chacun d crire pour soi m me une description ou une inter
244. lev es Enfin et comme d habitude comment faire pour ne pas accentuer l homog n it de certains travaux impos e par un th me un outil une mati re un mode de pr sentation la posture de l l ve ou pire en sugg rant qu il pourrait y avoir une seule bonne r ponse En d but d ann e les enseignants de SVT et de documentation ont introduit les notions ensuite plusieurs r f rences choisies par les l ves ont permis de rep rer libert s et sp cificit s des domaines graphiques d un journal d un magazine ou d un site d information Des cas particuliers historiques ont aussi t pr sent s maquettes et design exp rimentaux agences de photojournalistes ind pendants rebours de cette exploration et de mani re plus concluante l appr hension tait palpable de courts travaux ont t envisag s comme entr es en mati re installations ph m res productions en plein air d tournements de maquettes d informations de papier journal Les multiples angles de la th matique du d veloppement durable comme celle du progr s et du temps quel est mon avenir ont alors t discut s afin que chacun y trouve un cho personnel lors d exp riences mat rielles voire physiques Ces s quences ont aussi t l occasion de r aliser des photographies qui r unies ont constitu un corpus documentaire pour chaque l ve ce stade chacun avait d j une petite id e de ce que lui voque
245. lier Il nous questionne sur notre relation aux autres et les valeurs que nous y accordons responsabilit solidarit ouverture autonomie comp tition individualisme fatalisme int grisme 133 Finist re Enfin il nous interroge sur notre rapport la gestion de l environnement quels impacts les choix individuels et collectifs que nous posons vont ils avoir sur la qualit de notre environnement et sa capacit nourrir les populations ici ailleurs et demain Les lunettes de l ducation relative l alimentation sont pos es Et les r ponses Elles ne sont pas pour autant donn es les situations sont complexes et en volution permanente Faire des choix sains le v ritable enjeu Qui dit choix pr suppose capacit et libert Possibilit de faire un choix savoir ce que l on choisit tre inform et comprendre l effet de ces choix pouvoir y mettre le prix Libert de d cider de rythmer et varier ses choix d tre conome ou pas de faire des exc s ou pas d tre raisonnable ou pas de finir son assiette ou pas d aimer ou d tester tel aliment Libert de consommer avec des valeurs en t te ou pas Mais m me cette libert fort individuelle est teint e d autres imp ratifs sociaux qui rendent les choix moins faciles Nous sommes tous imbib s de ces imp ratifs et nous les v hiculons notre mani re et souvent de mani re inconsciente dans les diff rents milieux de vie que nous croisons au quotid
246. ll ge Retour sur images de Annick Cojan Grasset Le Monde 1997 Les 100 photos du si cle de Marie Monique Robin Arte du ch ne Hachette 2000 Comprendre l actualit par l image infographies sur de nombreux sujets de soci t de Danielle Dulhoste Pascal Watter Olivier Picard Hachette pratique 2008 Regards partag s sur la terre et les hommes de Yann Arthus Bertrand Albert Jacquard Isabelle Delannoy la Martini re 2006 150 petites exp riences de psychologie des m dias pour mieux comprendre comment on vous manipule de S bastien Bolher Dunod 2008 Un projet pour travailler l image et les m dias Delagrave 2008 Dictionnaire d initiation l info com de Laurence Correy Jacques Gonnet Vuibert 2008 R aliser un journal d information les essentiels de Milan Milan 2006 Manuel de journalisme crire pour le journal Yves Agn s La d couverte 2002 Faire son journal au lyc e et au coll ge Cheneuvez Odile Famery Pascal Victoire 2005 La libert de la presse un combat toujours actuel Jonqua Daniel Les essentiels de Milan Milan 2004 Les jeunes font leur presse par l association Jet d encre et Anacel 2006 Le journalisme Jean Marie Charon les essentiels Milan Milan 2007 d couvrir si ce n est d j fait le magazine trimestriel XVI 253 Finist re gt Site du CLEMI national htip www clemi org Centre de liaison i minis Rechercher
247. llement 3 Le d lai entre l enqu te et la mise en commun ne doit pas exc der un mois un grand tableau consigne les r sultats globaux nombres en valeur absolue 4 Essayer de faire se croiser dans un tableau double entr e les six cat gories d inform s et les tranches d ges des interview s Apr s d pouillement et synth se ouvrir un d bat PROLONGEMENT La consultation de sites Internet est le prolongement direct de cette enqu te et peut m me faire l objet d une ou plusieurs questions Quels usages peut on faire d Internet Lectorat Ensemble des lecteurs et non des acheteurs d un journal sachant que chaque num ro d un journal peut tre lu ou feuillet par plusieurs personnes 181 Finist re gt Comment les journalistes s informent ils Objectifs Savoir rep rer l origine d une information Mieux comprendre le travail du journaliste Aborder le circuit de l information et la notion d metteur Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Quotidiens nationaux r gionaux ou d partementaux Enregistrements de journaux radiophoniques Magn toscope Magn tophone Organisation Travail par petits groupes l cole primaire il est pr f rable de d buter ce travail avec le quotidien de la r gion ou du d partement Mots cl s Agence de presse Correspondant Communication Information Les organes de presse cha nes de t
248. loppement des agro carburants faut il choisir entre se nourrir ou nourrir son automobile Quelles sont les conditions de production des paysans au niveau mondial Existe t il des solutions technologiques ces questions industrialisation de l agriculture mondiale biotechnologies dont celles faisant appel aux Organismes G n tiquement Modifi s OGM transferts de technologies et de mod les agricoles vers les pays en voie de d veloppement Comment juguler l puisement de certaines ressources Comment par exemple concernant la p che et plus g n ralement les ressources de la mer imaginer une r gulation des pr l vements concert e au niveau international Quelle prise en compte de la r mun ration et des conditions de travail des producteurs au Sud mais aussi au Nord travers le commerce quitable Quelle organisation du commerce mondial Naturellement la formulation par les l ves de ce type de questions est tout aussi importante que les r ponses y apporter Michel Chouzier IA IPR responsable acad mique EDD 43 Finist re CSA f Centre de R flexion d Information et de Solidarit avec les peuples d Afrique d Asie et d Am rique latine Quel poisson pour nourrir tout le monde Quelle place peut on donner au poisson dans l alimentation la n tre et celle des pays les plus pauvres Quel type de poisson de quelle provenance peut on consommer sans mettre en p ril les
249. lques constats dans le Finist re Finalit s et probl matique des th mes classes presse 8 parcours p dagogiques pour travailler avec les l ves sur le th me nourrir se nourrir Les fiches p dagogiques p 73 Pour d couvrir travailler le journal et crire des articles pendant 10 semaines en classe presse p 173 Bibliographie et sites p 253 Finist re Finist re Organisation Mode d emploi et dispositif g n ral des classes presse en Finist re vade mecum calendrier contacts journalistes parrains des classes presses visite des entreprises de presse visite du Conseil G n ral du Finist re la formation et le suivi le format des articles la 20 me semaine de la presse l cole le challenge d criture d articles le prix des l ves les illustrations en classes presse les lettres d information aux parents d l ves et aux l ves l autorisation parentale d utilisation de photographies dans le cadre du projet classes presse le r le des documentalistes dans une quipe transdisciplinaire le cadre p dagogique et l ducation aux m dias dans les programmes scolaires Finist re Classes presse en Finist re Mode d emploi 200 2009 Pr sentation Objectifs Une action p dagogique citoyenne destin e e apprendre aux l ves bien lire le journal et les journaux e apprendre aux l ves crire pour tre lu e apprendre sur le th me de l alimentation Comit de p
250. ls encouragent introduire une ducation l image d s le cycle 1 Il s agit d aider les tout petits se lib rer de leurs motions face aux images acqu rir un regard actif en comprenant que l image est un langage Les activit s conduisant l analyse et donc la lecture des images sont multiples et vari es Celles concernant la fabrication la production d images et la ma trise des outils sont aussi des tapes au d veloppement des savoir faire visuels et des comp tences critiques 1 A partir des photos apport es par les l ves II s agit de tirer parti de l exp rience des l ves et de la leur faire partager en se montrant les photos pourquoi et quand cette photo a t elle t prise O a t elle t prise A quel moment Par qui Faire observer les diff rences entre photo couleur noir et blanc papier brillant papier blanc encadr e d une bordure blanche ou non A la suite de ces changes inviter les l ves faire des dessins photos d eux m mes et de leur famille l int rieur d un cadre Attirer leur attention sur les diff rences qui existent entre le dessin et la photo sur le fait que l un et l autre sont construits et non r els 2 Des photos de chacun dans l cole Photographier les l ves dans diff rentes situations et activit s de la journ e S attacher r aliser dans ces prises de vue diff rents types de plans des l ves Proposer d observer les clich s r alis s
251. ls sont les changements Analyse du rapport texte image Chercher l apport r ciproque du texte et de l image en s attachant notamment aux points suivants l motion la reconnaissance des faits leur compr hension 3 Synth se Faire le bilan de l volution dans la construction du sens de l image Mettre en vidence les facteurs d terminants Daniel Besson acad mie de Paris 187 Clg Finist re gt Un journal c est une entreprise Objectifs Le journal est une entreprise pas tout fait comme les autres Elle e Savoir produit un bien intellectuel fabrique et dans certains cas distribue un identifier les objet consommable et p rissable L entreprise de presse constitue diff rentes activit s d une entreprise de presse Public e Coll ge e Lyc e Mat riel Si possible documents manant du journal organigramme de la r daction document sur la fabrication comptes d exploitation Animation Inviter des responsables du journal journalistes techniciens de la fabrication commerciaux van Organisation Travail individuel et ou par groupe Mots cl s Production Chaine de fabrication Recettes D penses Distribution Routage comme dans tout r gime lib ral une propri t priv e Pourtant en raison de son objet elle est soumise des textes juridiques particuliers A la suite de la visite du journal 1 Proposez aux l ves de retrouver et
252. m Format tablo d Type de publicit et superficie R gie publicitaire Viam dia publicit locale cahier th matiques hebdomadaires magazine TV suppl ment F mina R partition de 0 100 des pages en quilibre avec le r dactionnel Nom des rubriques Monde France Le fait du jour Bretagne d partement locale sports pages th matiques histoire bricolage multimedia psychologie L actu des ados Formation Etudes 197 Clg Finist re Sant Allergies les ennemis du nez rss s 0 75 Le T l gramme Directeur de la publication Etouar Couturier T l 1256621123 Siege sodal 7 wole d Acc s au Port EP 67243 25672 Morlaix Cedex N LECTEURS 08 20 04 08 29 mail telegrammeBtetelegramene r N 19 039 LUNDI 11 SEPTEMBRE 2006 FAC VITER L IMPASSE GRANDE MAR E ILS ONT MARCH EN MER D IROISE De Trielen Mol ne par les gr ves les ro chers et les champs de laminaires ils sont une centaine avoir profit de la grande mar e hier pour parcourir pied le pe tit monde marin de l Iroise Derni re page l article de Guy Pellen JEAN FLOC H E TON MONTE BREZELLEC Page 11 NEW YORK mr L AME RICAIN Nicolas Sarkozy a redit hier New York son admira tion pour les Etats Unis et exalt l occasion de l anni versaire du 11 sep tembre l amiti franco am ricaine R v Page 2 l article Co
253. mages ou texte Bordure 1 Contenu 1 7A aN Attention si vous pouvez copier coller du texte vous ne pourrez pas copier coller des images Vous tes tenu de proc der selon les explications du point 5 a ui Il sera possible de faire dispara tre les bordures dans la mise en page finale Utilisez le bouton qui affiche 1 0 c d l affichage ou le masquage des bordures Si l effet attendu ne se produit pas positionnez le curseur sur une autre ligne en g n ral une ligne vide de caract re convient et cliquez sur le bouton La publication des articles en tant que personne ressource enseignant Pour acc der aux articles d pos s par les l ves l enseignant doit utiliser identifiant personne ressource le mot de passe personne ressource Le travail de saisie et de premier d p t des articles a t r alis par les l ves L enseignant doit v rifier la qualit du travail et d cider de sa validation Il est n cessaire de pr voir un temps sp cifique allou la lecture des articles r dig s par les l ves L enseignant proc de la publication des articles qui seront automatiquement mis en ligne Il faut penser tout v rifier auparavant car une fois l article publi il n y aura pas moyen de le modifier Seul le Seria aura la possibilit d intervenir en cas de r elle n cessit 1 Acc s la liste des articles post s par les l ves sous l identifiant enseign
254. men l ext rieur de l tablissement mais aussi l int rieur C est donc important pour les l ves Les groupes dont les articles n apparaissent pas la majorit dans le suppl ment ont exprim leur d ception De m me cette ann e un article de la classe a t retenu pour recevoir un prix Mais il est difficile de faire comprendre aux autres que ce choix n enl ve rien la valeur de leurs articles Le fait que la classe soit publi e est une r compense tr s forte des efforts fournis par tous M me s ils sont tr s attach s retrouver leurs noms et sont donc majoritairement frustr s de ne pas trouver le leur ils sont fiers que leur classe soit publi e et ou que leur coll ge soit cit Le travail en quipe Constat En moyenne Deux disciplines fran ais histoire g o Svt et documentation donc 3 adultes ont encadr le projet d un bout l autre Autre remarque partag e l unanimit Une quipe plus toff e aurait permis un travail plus efficace et moins contraignant ainsi qu une meilleure gestion du temps ne pas oublier l an prochain Une demande exprim e plusieurs fois Pourrions nous conna tre d s mi juin la poursuite de cette op ration et le th me retenu C est pour nous plus facile pour nous organiser et donc motiver d autres coll gues et pour inclure ce projet dans le calendrier des actions du coll ge En quoi ce projet est il b n fique A qui profite t il Constat
255. monde vivent en dessous du seuil de pauvret 2 dollars par jour e La quasi totalit des 185 millions d enfants sous aliment s dans le monde sont des enfants d agriculteurs et d leveurs En Afrique C est en Afrique subsaharienne pays situ s sous le Sahara que l on a le moins manger et que la situation est la plus dramatique 40 55 de la population y est sous aliment e 157 o a a Finist re e L Afrique est le continent o s vit le plus durement la faim 1 enfant sur 10 n y atteint pas l ge de 1 an 30 millions d enfants souffrent de sous nutrition sous nutrition calories en quantit insuffisante moins de 2 000 calories par jour par rapport aux besoins du corps sous alimentation quantit insuffisante d aliments voir la contribution du CASI Bretagne e La Chine et le subcontinent indien continuent regrouper les plus grands nombres de personnes sous aliment s sur notre plan te malgr le d veloppement industriel et la r volution verte e La faim d cime plus que la guerre Premi re cause de mortalit au monde elle tue pr s de 24 000 personnes par jour dans le monde e La FAO organisation mondiale pour l alimentation et l agriculture a soulign en 2008 que la part de l agriculture dans l aide publique au d veloppement a chut passant de 17 en 1980 3 en 2006 Les Instructions Financi res et R gionales ont baiss d une mani re drastique les ressources destin es l act
256. n 4 mum de Cr dit na tise Coin tacize ta c cit volcitakre cas rou n proie une r crminatie Qu ere Ch Pouinporie nor st dis d avance n cl do vo te du pro ses Ces crois ja Mona m a nessa on Kichere Washington ont des entbr ts communs Des banas ar sort emprant as on Asie Qt poign e de todion On est loin pourtari de ta norma lsabon Malgr la pr sence du 80000 soldata rues la Guerre continuo Las pertes da l arm e sont quotctenneas Les attentats ve mukip ort y compris hors de Toh tch nie Rocket ent So pow raider dre Lo CREME Gos pays Qui saronno sa pogue in Kanne Honneur ram venio roco voir Viadirnit Poutine un ty bion 0 es n d cid e E 30 000 sokits on garrason permanerto mot 1 bulletin dans Furr cola 10 pr nonto soua uh W lout Que ni l Union euro vi l Organisation pour la s la coop ration en Europe gonn de Gmanche oi ne dot pas occuMeor ta r ali t les cons quences d uno Gu ret n envoent d obenrvatours sus es de garantir le bon d route art Qu sen fin Viadi Poutine Que setat im a quatro ans la t te de la n rolan ant la guerre en VA veut una solution Mique man n resKientode russo Enten De so rendra Mroenent sur h ter ren ces rbal s sont connues Mais l Occident orne ins yeux et sa tat De puis le 1t septembre 2001 Viacienr Poutine tat passer sa querre nabe pour Nun des fronts de ta kar
257. n r sumant son sujet le classant dans son genre journalistique justifiant le classement d apr s la d finition donn e dans le glossaire 3 Selon le positionnement ditorial du journal et les lecteurs vis s certains genres journalistiques sont plus ou moins utilis s par une r daction Demander aux l ves de noter ceux qui apparaissent le plus souvent dans les journaux et magazines pr sents dans la classe Pourquoi 4 A la suite de cette s quence interroger les l ves sur les formes r dactionnelles qu ils pr f rent lire En comparant les choix de chacun introduire une r flexion sur les modalit s d criture du journal de la classe ou de l tablissement s il existe Approfondissement En cours de fran ais comparer deux articles de genres journalistiques diff rents par exemple reportage et ditorial en analysant leurs caract ristiques formelles structure des phrases modes et temps des verbes choix de vocabulaire types d nonciation niveau de langage ponctuation 223 S Finist re 224 Finist re gt De la d p che l article Voici une d p che A F P et un article concernant le m me v nement Ecris dans le tableau les r ponses aux questions pour chaque document D p che Article Quoi Qui Quand O Comment Pourquoi USA mafia police International AFP LO56 Un policier new yorkais infilt
258. n de ces crises les agriculteurs sont souvent et globalement apparus avec un statut de victimes Cela n est pas n cessairement sain Encore moins quand personne ne revendique le statut de coupable ou d oppresseur Enfin l espace Les agriculteurs vivent la campagne Moi j en connais qui ont plein de terres et qui emp chent ceux qui voudraient d y construire leur maison C est pas juste disait cet l ve et un autre de rench rir Dans le village de mes grand parents c est la pisciculture qui a fait qu ils n ont pas pu agrandir leur maison De quelle fa on va t on tre amen s g rer les conflits autour de l espace rural D autant plus que le d sir de campagne augmente et la pression fonci re devient telle que l activit agricole pourrait tre demain impossible notamment en zone p ri urbaine Dans un certain nombre de territoires o la pression sociale est forte du fait de n o r sidents et de n o ruraux l acceptabilit sociale d un certain nombre de pratiques telles que l levage est pos e concr tement Les extensions de porcheries l irrigation les remembrements posent probl me et ces nouveaux habitants verraient bien en certains endroits une campagne sans paysans comme le sugg raient implicitement ces 2 l ves Ces conflits autour de la gestion de l espace rel vent non pas seulement d un conflit d usage mais aussi d un conflit de repr sentations dans la mesure o une soci t urbaine consid
259. n version en ligne Internet ce qui permet une autre fa on d articuler les id es entre elles un souci plus grand de l utilisateur diff rentes fa ons de d couvrir un m me contenu enfin de pouvoir compl ter ce document en permanence sans tre coinc par le c t d finitif d une seule version papier La lecture de ce dossier papier et les renvois au site du clemi Bretagne permet donc des chemins de traverse non lin aires L intention p dagogique qui a pr sid est de proposer dans la mesure du possible diff rentes fa ons de d couvrir un m me concept et diff rentes fa ons de travailler en classes presse e Invitation collaborer Les fiches p dagogiques ainsi que celles qui se trouvent sur le site du clemi Bretagne n ont pas la pr tention de constituer une sorte de recueil de recettes Elles sont destin es recevoir avis et critiques et sont destin es voluer au gr des pratiques futures des quipes p dagogiques classes presse N h sitez pas proposer vos propres contributions vos bonnes adresse Pour envoyer votre message condamines garreau wanadoo fr ou clemi bretagne ac rennes fr e Pour conclure une citation Tout au long de la vie plus on apprend et plus on conna t mais surtout plus vite on ma trise et adopte des capacit s habitudes et attitudes d apprentissages efficaces trouver comment o aupr s de qui et quand rechercher et extraire l information dont on a b
260. nationaux r gionaux et d par tementaux comparer leur zone de diffusion et les chiffres On peut constater par exemple qu il existe des journaux qui diffusent sur une zone g ographique limit e avec un chiffre de diffusion lev Les quotidiens indiquent le nombre d exemplaires imprim s pour le jour donn Ce chiffre varie souvent d un jour sur l autre Comparer ce chiffre le tirage et la diffusion annonc e En consid rant les dates voir quel cart existe entre les deux chiffres 3 Comparer la surface r dactionnelle et la surface publicitaire d une m me cat gorie de presse sachant que les chiffres OJD sont des outils pour les annonceurs Voir s il existe une ad quation entre le pourcentage des surfaces publicitaires et les chiffres de diffusion annonc s Qui sont les annonceurs pour une m me cat gorie de presse Quels sont les secteurs conomiques repr sent s Certains titres n ont pas de chiffres OJD Ils ne sont pas abonn s l office Peut on en tirer des conclusions Si oui lesquelles PROLONGEMENT partir de l tude des publicit s retrouver les publics vis s 189 Finist re gt Petit lexique de presse A Agence entreprise de presse dont la fonction est de transmettre le plus rapidement possible des informations ses abonn s m dias ou organismes sous forme de d p ches Angle un journaliste ne peut tre exhaustif il choisit un axe de pr sentation du sujet autour duquel il org
261. nc pas fig e dans le temps comme ils sont au d part enclin le croire ne serait ce qu en raison des transformations des techniques de production Enfin les l ves sont sensibles tout qui va casser une routine permettre d exp rimenter et d essayer de nouvelles pr parations et de nouvelles pr sentations des plats Lorsqu ils en ont l occasion cuisiner est v cu par eux comme un plaisir et non une corv e si on leur laisse le temps et on leur accorde de la confiance Lorsqu on fait une f te entre copains on prend des produits sympas et faciles mais si on peut et si on n est pas tr s nombreux on s amuse pr parer nous m mes des plats qu on am ne pour manger ensemble C est plus sympal 82 Finist re Et si cuisiner convivialit plaisir de vivre et culture alimentaire taient li es Pourquoi donc alors cantonner dans nos soci t s la culture alimentaire la nutrition D o viennent nos passions mais aussi nos hantises face ce que nous mangeons D o viennent nos go ts et nos d gouts A ce sujet lire l extrait de l entretien qu a men la Mission Agroscience avec Jean Pierre Corbeau l ducation alimentaire alimentaire est une forme d humanisme situ dans les prolongements p dagogiques Extrait qui analyse les volutions r centes du r le de l alimentation les approches nutritionnistes et les initiatives prises par des professionnels soucieux de redonner toutes ses dimensions l alime
262. ncontres ont t v cues comme un ballon d oxyg ne Elles font respirer la classe presse Notre journaliste parrain du Courrier du L on nous a m me fait un vrai journal avec une Une et un sommaire et tous les articles et illustrations des l ves et le tout en couleur C est une tr s grande fiert pour les l ves et une tr s grande r compense pour tous sans oublier leurs familles Bonne coop ration du journaliste Bonne participation en amont et en aval du projet Bonnes suggestions mais en n crivant pas leur place Le journaliste parrain a donn de la cr dibilit au projet Il a pr sent d abord le m tier le journal travers un article r dig par lui m me puis nous a donn des conseils professionnels dans le choix des articles et dans l criture Excellent contact avec le journaliste L re intervention en f vrier juste avant le d but du travail d criture 4 l ves ont ensuite collect les articles crits par lui m me dans le journal Ce travail les a stimul s dans leur propre travail d criture Il est ensuite intervenu une 2 me fois en mars pour les aider finaliser leurs articles Les suppl ments classes presse du 5 juin Unanimit pour reconna tre l importance de ces suppl ments T moignages Jls sont valorisants pour les l ves mais certains auraient pr f r y trouver l article choisi par la classe enti re Je suis consciente que il faut pr voir un temps d
263. nde de boeuf et de volailles que nous consommons est soumise certains crit res de qualit qu il s agisse de contr les sanitaires ou de certificats de garanties 4504 PLURIDISCIPLI Coll ge Secondaire Vid ocassette 54 Finist re L Oeuf de Colomb 8 Pain Briday Philippe Philibert Nicole CNDP Paris 2000 1 vid ocassette VHS 52 min 4 X 13 min 1 livret p dagogique C est en m langeant du malt aux galettes de c r ales que na t le pain 7 000 ans av J C en Egypte Aujourd hui le consommateur et les nutritionnistes recherchent dans cet aliment le go t et la qualit alimentaire 4322 TECHNOLOGIE Classe de 6e Classe de 3e Coll ge Secondaire Vid ocassette L Oeuf de Colomb 8 Fromage Briday Philippe Philibert Nicole CNDP Paris 2000 1 vid ocassette VHS 52 min 4 X 13 min 1 livret p dagogique Ce film retrace l histoire du fromage fabriqu d s l Antiquit partir du lait de brebis et devenu un aliment de base en France Actuellement les normes deviennent de plus en plus strictes 4322 TECHNOLOGIE Classe de 6e Classe de 3e Coll ge Secondaire Vid ocassette Du jardin la table 1 La Fraise Deballe V ronique CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1999 1 vid ocassette VHS 13 min coul SECAM son 1 livret p dagogique 11 p La fraise comment a pousse Les diff rentes tapes du cycle de vie d un fraisier Jus de fraise et confiture deux fa ons de tran
264. ndre de 209 1739 FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE o soit en passant la souris sur le titre de l article et en rep rant l adresse de la page qui appara t en bas droite de l cran Liste des articles Rubrique F minin masculin dans les m tiers Articles courts Anne Laure D propos par la 4 me Coll ge Pier An Articles courts Un bon pilote do porter une moustache p Articles longs Guy Herv et Odile des employers modernes prop tatps phames ac rennes fridamespreme 2007 artice pag Ce menu Aide amp info rassemble des informations concernant 9 Aide 2006 Hlcatendrier 2006 VOTE des classes EB pr sentation de PHARE Acc s aux documents Plateforme 0810452452 e De m me le Autorisations parentales permet d avoir des mod les d autorisations parentales et des informations et des recommandations concernant la photographie des l ves Qu handi ma ven redi de 8h09 17h30 Le module de recherche o Ilest accessible sur toutes les pages droite du bandeau o Il permet de lancer une recherche sur les articles en mode plein texte dans les articles par classe et par validateur Rechercher dans PHARE pep _ Recherche Toutes les rubriques _ Artides M Tous les Auteurs Tous M Chercher dans Artides Commentaires Utilisateurs Par d faut il re
265. ne des am ricains qui semblent vouloir avoir toujours plus et toujours plus grand Pourquoi cette entr e en mati re Une des lectures propos es pour comprendre le rapport entre alimentation et soci t est la suivante un Etat qui se pense se veut et se montre comme surpuissant y compris dans sa fa on de vivre Pourquoi donc s tonner alors de l emprise de ce type de nourriture dans ce pays Sur le film culte de J Furtado L le aux fleurs 1989 http www filmdeculte com culte culte php 1D 147 Slow Food http www slowfood fr france A Lire Erwin Wagenhofer Max Annas Le march de la faim Editions Actes Sud 2007 A Voir Le cauchemar de Darwin http www cafe geo net article php Et vous quelle cause souha teriez vous d fendre sur ce th me l agriculture et la faim pour prolonger ce documentaire Comment Quelles seraient les images et les portraits d acteurs locaux que vous choisiriez Quels choix feriez vous pour introduire et conclure votre reportage titre citation chiffres voir dans le dossier crire un article d opinio 139 Finist re Et le Sud dans tout a D construire les st r otypes Outiller la solidarit Poser la question du Sud c est interroger le mod le de d veloppement v cu au Nord et vendu au Sud Nous ne pouvons en effet nous pencher sur le d veloppement des pays d Afrique d Asie d Am rique latine et d Europe de l Est sans au pr alable examin
266. ne pr sentation d taill e des recettes des aliments des plats nationaux et des mani res de recevoir de divers pays le site donne des informations plus g n rales sur chacun d entre eux Le banquet de l humanit sur le serveur agropolis est l pour montrer que chaque homme y mange en fonction de son revenu des ressources alimentaires et de la culture de son pays Les in galit s sont bien r elles urgence et n cessit de lutter pour que chaque habitant de la plan te puisse se nourrir correctement Univers nature le site suit l actualit cologique On y trouve par exemple la liste des produits alimentaires sans OGM 94 Finist re Consignes gt Interroger les l ves sur leur projet de recherche documentaire qu est ce que je recherche et pour quel projet gt Demander une trace crite des informations recueillies qu est ce que j ai appris Comment Et o gt Interpr ter quelle s repr sentation s de l alimentation des pays ou des peuples a ont chang gt Pourquoi et comment ont elles volu gt Ecrire pourquoi est il important de le communiquer d autres sous la forme d un article Quel type d article je choisis gt Alimentation et culture autres piste de travail rechercher les expressions li es aux aliments et aux fa ons de manger et leurs origines pour mieux comprendre que l aspect culturel signifie volution et m tissage Par exemple que signifie e mettre les pieds
267. ner parmi ses productions mises sur la plate forme PHARE son meilleur article qui participera au challenge Cet article devra r pondre aux r gles de l criture journalistique et tre accompagn obligatoirement d une illustration Ces l ments doivent tre exp di s l Inspection acad mique soit par la poste soit par e mail pour le 3 avril 2009 dernier d lai Inspection acad mique du Finist re Classes Presse en Finist re DEPAC 1 Boulevard du Finist re 29558 Quimper cedex 9 ce depac292 ac rennes fr Un jury compos des partenaires de l op ration se r unira le 29 mai 2009 votera et d cernera des prix certains des articles de la s lection Le Prix des El ves Cette m me s lection d articles fera l objet d un vote des l ves des classes presse e Ils voteront sur la plate forme PHARE entre le 4 et le 16 mai 2009 pour l article qui leur semble le meilleur Cet article sera r compens lors de la remise des prix A cet effet un mode d emploi sp cifique au vote des l ves leur sera transmis courant avril 2009 Les r sultats seront communiqu s toutes les classes participantes et les classes laur ates seront convi es au Conseil g n ral pour une remise des prix le 17 juin 13 Finist re 14 Finist re Travail d quipe en classes presse le r le des documentalistes Les classes presse comme toute ducation aux m dias s inscrivent dans un cadre transdiscipl
268. net film jeux vid os soir es et v nements discussions y compris jusqu nos l ves qui se transforment en supports publicitaires vivants Sur un blog j ai lu les avis de ceux qui ont achet cette boisson ils sont tous d accord pour dire qu elle est vraiment efficace annon ait cet l ve La publicit est bien plus pr sente dans nos esprits que ce que l on croit au travers d un exercice consistant dire ce que l on sait d une marque partir d une bandelette sur laquelle figure un logo et la publicit varie en fonction du profil du consommateur via une activit visant cr er plusieurs publicit s pour un m me produit mais pour diff rentes cat gories de personnes Autant d l ments cl s appliquer en classe d autant plus que la pub est de plus en plus l o on ne l attend pas En effet aujourd hui seul un tiers des investissements publicitaires est consacr aux m dias dits classiques TV radio Internet presse crite A l int rieur de ces m dias les investissements en mati res d affiches ne repr sentent que 10 1 L affiche ne repr sente que 3 1 du ph nom ne Les deux tiers restants des investissements passent dans tout ce qui est hors support traditionnel action de sponsoring buzz sreeet marketing voir d finitions Les agences publicitaires sont de plus en plus cr atives en mati re de supports et de m thodes de communication Ces nouvelles publicit s arrivent dans le d
269. nnementales mais aussi sociales et conomiques Quels impacts environnementaux des diff rents types de productions agricoles Quelle volution des pratiques alimentaires en France depuis cinquante ans Quelle relation entre agro industrie production de masse et s curit alimentaire Quelle origine et quels impacts des crises alimentaires r centes Est il possible de produire en masse des co ts abordables pour tous des aliments respectueux de l environnement et dans des conditions socialement acceptables Comment expliquer en France le succ s des restaus du c ur Existe t il en France une possible fracture alimentaire sur le plan qualitatif Quel est l impact de nos choix alimentaires consommation de viande chaque repas absence de prise en compte de la saisonnalit des produits modes alimentaires comme le d veloppement de la consommation de poissons crus de fruits exotiques Quelle est l empreinte cologique d un aliment depuis sa production jusqu notre assiette Nourrir se nourrir l bas dans les pays du Sud Enfin naturellement la question de l quilibre alimentaire mondial est essentielle et doit permettre de relier pr occupations locales et approche globale Notre plan te peut elle actuellement produire une alimentation quantitativement et qualitativement suffisante pour nourrir l ensemble de l humanit De ce point de vue quelle nouvelle donne apporte le d ve
270. ns dauphins tortues de mer oiseaux marins sont l instar des poissons trop jeunes et d esp ces non d sir es rejet s dans la mer bless s ou morts Selon l estimation de la FAO Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture les prises fortuites sont de l ordre de 1 3 des captures On estime par exemple de 11 12 millions le nombre de requins p rissant de la sorte chiffre de 1997 Les perspectives ne sont pas r jouissantes m me si certaines r glementations plus contraignants concernant le maillage des filets notamment et projets alternatifs voient le jour Elevage marin Pour r pondre cette demande croissante de poissons et particuli rement les poissons et fruits de mer c t s comme le saumon et les crevettes l aquaculture a pris un essor consid rable ces derni res ann es Plus de 20 des poissons et fruits de mer consomm s proviennent ainsi d levages Cependant les levages industriels conventionnels de poissons de mer g n rent des nuisances importantes Enfin la plupart des esp ces sont carnivores et sont nourries de farines et d huiles de poisson Les levages contribuent ainsi l appauvrissement des mers Sur le plan sant les poissons vivant dans un espace tr s r duit sont sujets diverses infections et re oivent fr quemment antibiotiques et autres m dicaments Pour subvenir aux besoins de la population mondiale la production de poissons devrait doubler d ici
271. nt j caa Vendredi 3 oct nn atome K Poa J credi 3 octobro 2003 2003 m n CAP MOTORS 29 en decn c e page QUIMPER BREST adera 0 f Jean Pierre Raffarin a re u les lus bretons etlig riens Grand a roport et TGV l Ouest devra patienter COTE COST We 17034 0 85 ance Leur chalutier a fait naufrage au large d Aurigny Quatre marins p cheurs port s disparus en Manche Cont la constornaton Carb apros la daparkon de quatre orange TAAN Das Mayona cons d rabios art t d Piords dopuis mer Credi midi au large au Nord Coterean we Finist re Grosses intemp ries en pays bigouden et en pays de Quimperl ge Ilavaienttent de braquer une picerie Taul prison ferme pour les agresseurs Q Payo L Ma Lara taor A MEDION LOUE AE ONA JOAD EN PANAS a gt gt OSO fure entertibte Na ropart de Notre Damo des Landon ot programocne radono o TOV Ouest Loa doux FR devront g in son des rmatructuras Qn J po Un entrep t de fruits pr s de Saint tienne Explosion 3 pompiers dans un tat critique Q Page 4 Dimanche un scrutin dans un pays d vast Des lections tch tch nes d j jou es D Page 2 ameo Bone Not Jean Pierre Raff rin s est montr rassurant Poids lourds en Bretagne pas de taxation CA rochebobois do mars t sa tr s probable rbdk x tcri N pr tend rotarmar ainsi la pare
272. ntation y compris dans l effet non attendu de la hausse des prix alimentaires Le niveau socio conomique Enfin le troisi me d terminant du comportement alimentaire selon ces l ves est fonction de la richesse de chacun et du prix des denr es alimentaires Que l on soit riches ou pauvres on ne mange pas la m me chose et on ne se nourrit pas de la m me fa on C est bien beau de dire qu il faut manger 5 fruits et l gumes par jour non maintenant c est 10 par jour coupe une l ve mais c est vraiment cher La nourriture saine ne serait elle r serv e qu une lite gt Compl ments p dagogiques gt Fiche n 1 L alimentation question de culture gt Fiche 2 Manger ou consommer gt Un th me en images Regroupement de photos de presse Planet Hungry de Peter Menzel A propos de la photographie No Anorexia de Olivero Toscani photographe italien gt A consulter sur le site du clemi Bretagne lectures pub et image de soi travaux d l ves 83 Finist re 84 Finist re Fiche 1 l alimentation question de culture La g ographie des produits et de l alimentation Objectifs e Comprendre des diff rences culturelles e Comprendre des comportements diff rents autour des pratiques alimentaires e Construire des repr sentations plan taires les analyser et largir les horizons e Aborder ce th me partir d une revue de presse et ou d une recherche documentaire sur Internet Comment
273. nts Mots cl s Distribution Lectorat Entre ceux qui veulent tout savoir de l actualit et ceux qui ne sont jamais en contact avec la moindre information donn e par les m dias les attitudes et les besoins varient largement Certains sans d marche volontaire entendent ou regardent les nouvelles la radio ou la t l vision D autres ach tent chaque jour le journal voire plusieurs coutent la radio et suivent r guli rement un journal t l vis Proposer une enqu te sur nos comportements face l information est un bon point de d part d une activit presse 1 Phase d enqu te tablir avec les l ves un questionnaire destin plusieurs personnes d ges et de conditions vari s Ce travail conduit les l ves r fl chir leur propre comportement Noter ge sexe profession r sidence de l interview Penser dans la r daction des questions aux diff rents modes de lecture de la presse tous les journaux susceptibles d apporter des informations aux lieux d achat Pour la radio les diff rentes stations les types d missions l heure d coute De m me pour la t l vision 2 Pr voir une grille de d pouillement Six grandes cat gories d inform s peuvent appara tre l inform z ro l inform de temps en temps l inform r gulier l inform multiple l hyper inform l inform sp cialis Consigner les r sultats sur les grilles de d poui
274. oduction et la consommation emballage transport commerce en gros Vocabulaire sp cifique plantation ou bananeraie r gime r colte ou fanaison producteurs consommateurs coop ratives commerce en gros import export b n fice e une banane quitable Objectif d couverte d une conomie plus solidaire le commerce quitable Qu est ce que le commerce quitable Son historique il a commenc avec des produits artisanaux dans les ann es 60 et aujourd hui il comprend le caf le cacao les fruits secs le miel le vin le riz et depuis 1997 la banane Ses principes et ses objectifs d gager partir de l exemple d une association qui agit pour un commerce quitable entre Nord et Sud Artisans du Monde par exemple Les in galit s du commerce international pourront tre mises en vidence par la comparaison de la r partition de ses b n fices avec celle du commerce quitable pour les bananes non quitables les pays du Nord consommateurs re oivent 80 du prix tandis 145 Finist re que les pays du Sud producteurs ne re oivent que 20 du prix Qu en est il pour la banane quitable Pour engager les l ves dans une consommation plus thique on mettra l accent sur la n cessit de s informer sur la provenance des produits que nous achetons et sur les conditions dans lesquelles ils sont fabriqu s travail des enfants respect des droits de l Homme au travail scolarisation
275. on apporter l article consulter ce sujet la fiche guide du r dacteur en classes presse 6 Des exemples prendre position pour contre le commerce quitable prendre position pour l limination de la pauvret prendre position pour contre l agriculture BIO prendre position pour contre les OGM etc 148 Finist re Sur le web Max Havelaar www maxhavelaar org des infos sur leurs produits issus du commerce quitable WWW natetprogres org WWW agriculturebio org Pour voyager dans l univers de la cha ne et la s curit alimentaires sur un m me site Internet depuis les origines de l alimentation et l histoire de la transformation des aliments jusqu nos modes de consommation actuels les impacts de l industrie agroalimentaire sur l environnement et la sant humaine http www alimentationinfo org Le site fran ais de l Institut National de la Consommation propose des chiffres documents pour s informer http www inc60 fr Logos labels pictogrammes Comment s y retrouver Dans la jungle des tiquettes de produits alimentaires on se sent souvent perdu Les conna tre nous permet de savoir qui o comment pourquoi a t produit ce que l on met sous la dent et ainsi consommer autrement Www ecoconso org Quelques ouvrages Manger quelle histoire Ce livre apporte un ventail des liens qui peuvent exister partir de l alimentation Pour les enfants de 8 12 ans Martie Ange Le Rochais Coll
276. on temps tre press e climat tendu serein ce qui rel ve de l quilibre alimentaire besoins nutritionnels rep res de consommations cours de SVT ce que disent les parents ce que r p tent les m decins vitamines allergie ob sit trop sucr s trop gras sant r gimes publicit s ce qui rel ve de la sant plus g n ralement ce sont les m mes d nominations dans leur majorit en y ajoutant la taille le poids l ge et parfois la maladie ce qui rel ve d un manque pour d autres pauvret mis re famine pays pauvres meutes de la faim dans les pays pauvres mort Afrique Que nous apprennent ces repr sentations Deux approches pour susciter un esprit critique sont particuli rement pertinentes aupr s des coll giens qui ont apport les r ponses pr c dentes parce qu elles t moignent d un impact culturel tr s fort Il s agit en particulier de les aider prendre conscience des relations et des influences qui se tissent dans le rapport alimentation consommation publicit manger ou consommer Mais aussi celui du rapport aux autres et de la relation soi dimensions sociales et culturelles influences des autres du niveau de vie du lieu dans la famille et hors de la famille des motions et des 5 sens en particulier pour eux la vue Ces deux probl matiques sont pour un grand nombre d entre eux extr mement li es d pendantes solidaires entre elles
277. onstituent se transforment s inversent disparaissent et sont donc en mutation Qu est ce qui favorise ou freine l volution des modes de vie et des comportements alimentaires ici en France mais aussi l autre bout du monde En lien avec l histoire g o les activit s de lecture aident situer dans son contexte cette probl matique L enseignant veille ainsi ce que se construise au fil des lectures une repr sentation pr cise de ce contexte donn es historiques et r alit s socio conomiques Lorsqu on interroge les l ves de coll ge sur qui produit les aliments que nous avons dans nos assiettes on s expose aussi des repr sentations qu il est n cessaire de prendre en compte Parmi leurs r ponses se trouve une d clinaison de mots et d expressions tournant autour du monde agricole mais aussi et c est un exemple concret de brouillage dans l information de la consommation des entreprises agroalimentaires qu ils connaissent le plus 1 Le monde agricole Pour des coll giens vivant et ayant v cu toute leur vie un mode de vie citadin les difficult s pour nommer ce monde agricole sont significatives des repr sentations et d un imaginaire clarifier agriculteurs paysans entreprises agricoles fermes et parfois m me ploucs ou bouseux sont les d nominations qui font partie de leurs repr sentations Arr tons nous quelques instants sur ces d nominations Outre le fait que chacun
278. ontr le et de ma trise sur leurs comportements table Les l ves baignent aussi dans ce contexte e Peut on nourrir les politiques publiques par les seules injonctions sanitaires Qu est ce qui donne sens et des sens au mangeur au consommateur et au citoyen europ en Lorsque les l ves s expriment sur la culture alimentaire ils la d finissent comme un ensemble de savoirs et de r gles Dans les savoirs viennent en premier ce qui est comestible et ce qui ne l est pas Il a donc fallu qu avant nous des gens testent risquent et rep rent les produits susceptibles de devenir des aliments Le deuxi me type de savoirs que les l ves peuvent identifier concerne tous les aspects culinaires comment produire conserver pr parer les aliments de mani re notamment ne pas en manquer et ne pas s empoisonner Il y a l des savoirs faire et des symboliques souvent li es des aires g ographiques pr cises qui diff rent fortement entre pays europ ens et entre ces pays des r gions qui les composent Enfin dernier type de savoir li la culture alimentaire concerne la gastronomie Ce domaine de savoirs est celui qui a mis le plus de temps tre formul par les l ves Peut tre parce que ces groupes d l ves sont la fois des urbains et ne cuisinent que tr s rarement Dans leurs repr sentations les gastronomes et la gastronomie c est la grande cuisine et les restaurants quatre toiles donc r serv s
279. ontre la vie ch re dans les pays du Sud et plus particuli rement en Afrique subsaharienne L ampleur de ces mouvements populaires leur spontan it parfois leur violence branlent nos consciences questionnent les puissances politiques nationales ou internationales Au final elles inqui tent la crise est elle contr lable a t elle une issue Sur le web Site du CCFD principalement l article La faim n est pas in luctable juillet 2008 ainsi que de nombreuses analyses et donn es sur l aide au d veloppement Site generations futures en particulier et demain manger clon 152 Finist re Fiche 14 un th me en images La boussole La boussole est un sch ma dans lequel les points cardinaux sont remplac s par des concepts socio conomiques afin d analyser et d approfondir des th mes du d veloppement en partant des r alit s locales pour arriver une r flexion globale Objectifs Cette d marche tient compte de la complexit de l ensemble des l ments qui composent toute r alit humaine environnement Nord social Sud conomie Est organisation politique Ouest ainsi que leur interd pendance D roulement 1 Pr senter d abord le sch ma cadre de la boussole Puis expliquer en quoi cette boussole consiste comment on l utilise et quels sont ses objectifs d sarticuler les pr jug s viter les simplifications et faire des analyses critiques de la r alit 2 D pliez un grand papier form
280. our autant g n rer de l emploi puisqu il suffit d une personne pour produire une tonne de crevettes Enfin et surtout pr s de 2 6 milliards de personnes d pendent aujourd hui du poisson comme principale source de prot ine animale Un chiffre qui va augmenter chaque ann e avec la croissance de la population particuli rement dans les pays en d veloppement La FAO estime que sans changement la s curit alimentaire mondiale est menac e court 210 et moyen terme Face cette situation elle a demand lors de la conf rence de KYOTO aux Etats une combinaison de mesures qui prennent en compte tant les dimensions environnementales sociales conomiques et culturelles et qui r pondent un souci de maintenir une source durable de ressources alimentaires renouvelables Reste passer l action vite L o les r serves naturelles existent les esp ces se r tablissent pour que l on r agisse avant que la situation devienne irr versible Probl me l heure actuelle moins de 1 de la surface des oc ans est prot g e Mer d hommes combien a chiffre e Pr s de 80 de la pollution marine provient de la terre et non de la mer En cause les activit s industrielles l agriculture les d chets domestiques e 6 des 8 villes de plus de 10 millions d habitants s tendent en bord de mer Il y a 2 5 fois plus d habitants sur le littoral que sur le reste du territoire En Europe 1 km d espace naturel c tier est artificiali
281. our le ou les articles qui ont retenu leur attention Ils les d coupent et les collent sur de grands panneaux de papier par rubriques en indiquant la source nom du journal et la date de l article 3 A la fin de la semaine les responsables de rubriques se rassemblent et d terminent les informations qui leur paraissent les plus importantes et sur lesquelles ils souhaiteraient trouver des compl ments d information Un chemin de fer est dessin il s agit de l organisation des pages pr sentant la Une et la succession des pages rubriqu es ainsi que les sujets souhait s 4 A la suite de ce travail une comparaison sera faite avec les sujets trait s dans les hebdomadaires d actualit pour jeunes Les similitudes et les diff rences seront appr ci es et discut es BILAN Cette activit offre une approche multiple de l information produite dans la presse crite Elle permet aux l ves d exprimer leur choix et leur point de vue sur l actualit 201 S Finist re 202 Finist re gt Un m me sujet plusieurs approches Objectifs Chaque ann e des tudes sont r alis es la demande d institutions de D couvrir minist res d organisations internationales Des annonces comment la gouvernementales sont faites la suite de rencontres ou de colloques Faits presse crite de soci t modes de vie sant publique informations scientifiques ou informe en m dicales consommation en constituent l
282. our prolonger cette r flexion lire dans les compl ments p dagogiques la fiche n 1 l alimentation une question de culture Le but est aussi de cr er des liens avec les enseignants de disciplines diverses sur cette question 80 Finist re 2 La convivialit le regard des autres et l image de soi La relation parents enfants Viennent ensuite dans les d terminants du comportement alimentaire de ces l ves la qualit de relation avec les parents le temps consacr entre parents et enfants et l image de soi G rer les relations en famille et les relations parents enfants tout un programme qu ils d veloppent au sujet des repas Principalement autour du repas du soir car c est pour beaucoup d entre eux le seul moment de la journ e o ils se retrouvent en famille Pour eux la qualit des repas ne tient pas uniquement la qualit alimentaire de ces repas ni au talent culinaire des m res ou des p res mais au climat qui r gne l occasion de ces repas et la disponibilit des parents pour les couter Voici ce t moignage Si mes parents me demandent comment s est pass ma journ e au coll ge je sais qu ils attendent que je leur dise mes notes scolaires Si ces notes sont bonnes pour eux le repas se passera bien pour moi et pour tout le monde Si ces notes sont mauvaises pour eux le repas devient une gal re car je sais qu ils seront d us que je vais les d cevoir Souvent je ne finis pas mon repas et j
283. our s informer prendre contact avec des acteurs professionnels ou associatifs du terrain pr sents sur le d partement consulter le site de Pen Ar Bed magazine du Conseil g n ral du Finist re des reportages sur des acteurs et des actions sur le th me Nourrir se nourrir dans le Finist re e Adresse www cg29 fr Les articles Trois formats e Articles longs 2500 signes enqu tes portraits interviews reportages e Articles longs 1500 signes e Articles courts 500 signes br ves chos billets d humeur d humour gt gt gt En cliquant dans la barre de t ches sur outils puis statistiques on peut conna tre le nombre de signes tap s caract res espaces compris 11 Finist re Les illustrations Tous les articles longs doivent tre accompagn s d illustrations photos dessins infographies r alis s par les l ves Les illustrations ne peuvent pas tre prises dans les journaux ou sur internet Les l ves seront les auteurs de leurs illustrations gt gt gt Pensez donc prendre des photos quand vous faites votre reportage ou votre interview e N h sitez pas cr er des situations mettre en sc ne votre sujet pour illustrer votre article Consignes pour l envoi des articles et illustrations Attention une haute d finition 1 m ga octets minimum soit 200 ko en format jpg est n cessaire pour l impression dans les journaux e Conseil gardez un exemplaire de la photo dess
284. ournalistes Correspondants locaux 14 personnes 7 20 Diffusion en exemplaires 7000 exemplaires Nombre de lecteurs 28 000 lecteurs Nombre de pages 32 Nombre de pages couleur 14 Format Tablo d Type de publicit et superficie 30 de publicit Nom des rubriques Dossier Agriculture Economie Finist re Culture Patrimoine C t jardin Portrait Loisirs Enfance Breton D veloppement durable 199 Finist re ERRORES DE TAU AU LE H RUCMAGAIRE D VELOPPEMENT _ DURABLE i i PENSER L AGRICULTURE IRA LE AUTREMENT Pace b PORTRAIT Reun An Ostis fondateur de Diwan p 2 80 des touristes sont fran ais pi FINIST RE Le Pays de Morlaix engag pour l emploi p 7 D CHETS Moins de rejets l incin rateur de Briec p 8 Sn QU DARITE Les communaut s Emma s ont 50 ans p 39 C T JARDIN Majestueux marronnier d inde p18 Brittany Ferries www brittanyferries com 200 Finist re gt L information de la semaine Objectifs Les journaux d information en particulier d actualit pour les enfants et Apprendre r aliser une revue de presse Comprendre les choix ditoriaux d un journal R fl chir au traitement de l information en fonction des lecteurs vis s Public Coll ge Lyc e Mat riel Les num ros de deux quotidiens nationaux d une m me sem
285. ouvent alors l occasion d un change avec le restant de la classe qui leur montre qu ils sont cout s et que donc ils ont leur place Il est souligner aussi que ce sont souvent ces m mes l ves qui vont servir par la suite de catalyseurs car ils auront un regard et un esprit critiques tels qu ils vont pousser les autres l ves mieux d fendre leurs points de vue mieux convaincre du bien fond de leurs d marches Un autre point r v lateur Il est tr s rare que ces l ves en retrait au d part du projet classe presse n emportent avec eux leur journal et le proposent chez eux dans leurs familles Pouvoir prendre le temps de discuter de ce qu ils en font de qui d autres dans la famille le lit de quoi ils ont discut est aussi un autre moyen de cr er du lien A ce sujet 1l nous semble important de rappeler que les familles parents fr res ou soeurs se rendent chaque ann e disponibles et donnent de leur temps pour soutenir leur niveau les projets classes presse Ils sont par exemple tr s nombreux chaque ann e se rendre disponibles pour conduire leurs enfants et d autres de la classe un rendez vous pour r aliser un reportage ou une interview et se d clarent tr s satisfaits de voir leurs enfants motiv s Pouvoir informer les familles d s le d marrage du projet est aussi une phase de l op ration ne pas manquer voir ce sujet le document photocopier que vous pouv
286. ouvrage d voile une enqu te pointant un constat alarmant les besoins de marketing d terminent une partie des programmes TV pour la jeunesse L auteur veut d montrer combien le petit cran influence la structure mentale de l enfant JP Desbordes d Actes Sud 2007 gt Enfants consommation et publicit t l vis e Cette tude d crit l ensemble des moyens mis en oeuvre par la publicit t l visuelle en direction des jeunes consommateurs de 6 14 ans Elle explicite comment et dans quelle mesure cette publicit les marque dans leur repr sentation du monde et envisage des pistes afin de fournir aux jeunes connaissances et armes critiques M Dagnaud d La documentation fran aise coll Les tudes de la Documentation fran aise hors s rie 2003 2007 103 Finist re gt L enfant jackpot Cet ouvrage met jour les d rives de la soci t marchande dans laquelle l enfant est la cible d une intense artillerie publicitaire De nombreux exemples illustrent diff rentes facettes codes sociaux neuromarketing marques pub l cole ob sit fringues alcool Un dernier chapitre propose des pistes d actions pour parents et ducateurs afin de limiter l envahissement publicitaire Nathalie Sapena d Flammarion 2005 Sur le web gt www ecopublicit com Ecopublicit est un outil qui permet de mesurer la performance environnementale d une campagne de publicit du point de vue des moyens utilis s gt www cass
287. oy dans la bo te Articles valider de l enseignant qu apr s avoir vu ce message appara tre sur l cran Nous avons re u votre article Merci pour votre proposition Nous examinerons votre proposition dans quelques heures si elle est int ressante nous la publierons prochainement En ce moment nous avons 1 proposition s en attente de publication 4 Poster un article long a La manipulation est la m me que pour un article court Quel type d article souhaitez vous proposer tic ona A b La diff rence de nature de l article se retrouve dans la structure de la saisie L article se compose de deux parties r dig es Ex de mauvais titres Lisez ceci lou Un article Titre Soyez descriptif simple et clair v un chapeau Rubrique S lectionnez une rubrique v e AE v un corps d article appel suite sur la plate forme Il est donc n cessaire de bien concevoir R diger la suit de l article l article en deux parties distinctes la premi re tant plus courte que la deuxi me UI Ins rer des images et modifier la mise en page a Pour ins rer une image Ouvrez l diteur insertion d image Infonie a chacun son Intemet_ x html avec le bouton Composer modifier Cliquez sur le bouton CI r oi cal a EME a AE A N oubliez pas que les articles seront soumis un vote et qu il est par cons quent souhaitable Valider Annuler q
288. p cifique et demande donc de mettre en place des modalit s d appropriation du journal particuli res comme l indique ce t moignage ces l ves sont ceux qui sont les plus loin de l analyse de l image et de l information De plus ils 29 Finist re se retrouvent entre eux parce que leur scolarit ant rieure a t difficile et mal v cue Dans leur tr s grande majorit ils n ont pas choisi de suivre cette formation ils y ont t contraints parce qu ils ne pouvaient pas souvent tre pris ailleurs Socialement et dans leurs familles aussi tr s souvent ce sont les l ves et les jeunes qui ont le moins de soutien et le moins d encouragements Ils vivent leur scolarit dans ce type de 3 me comme une honte parfois lorsqu ils se confrontent avec les autres l ves de l tablissement Ils en retirent un sentiment de mal tre tr s grand et ont d eux m mes une image tr s n gative Ils se sont r sign s accepter qu ils ne valent rien Ils ont tr s peu de contacts avec les autres l ves et sont souvent mis au rang des perturbateurs Il faut faire avec et notre tour en tant qu enseignants ou documentalistes ne pas nous m mes nous r signer mais au contraire exploiter la plus petite motivation et la plus petite tincelle qui peut les faire voluer Nous insistons sur ce point parce que forts de notre exp rience nous sommes convaincus que la classe presse a t une opportunit tr s grande pour eux et pour
289. p enne de sauvegarde des droits de l Homme les annonceurs ne peuvent pas pour autant dire ce qu ils veulent qui ils le veulent et o ils le veulent La publicit est interdite l cole mais aussi ailleurs tout affichage ext rieur est interdit dans le centre ville de Sao Paulo au Br sil les enseignes lumineuses ont t interdites sur les toits du centre ville de Tokyo Japon pour prot ger le patrimoine urbain et le panorama l affichage est de plus en plus limit dans les centres ville de Rome et de Paris Si les lieux sont r gul s le contenu l est aussi interdiction pour faire de la publicit raciste ou pour les produits du tabac ou pour les armes feu l alcool de plus de 20 degr s C t environnement les annonceurs sont m mes soumis un code de la publicit cologique Cela n emp che pourtant pas de voir fleurir les arguments du type achetez notre voiture ou notre yaourt la plan te vous remerciera Car si la l gislation et les codes de bonne conduite existent ils restent faibles souvent inadapt s rarement appliqu s Et donc fr quemment soit d tourn s soit transgress s par les publicitaires Lesquels sont rarement r ellement sanctionn s Ceci dit r guler la publicit n est pas facile faire parce que les messages circulent au del des pays via internet qui ne sont pas soumis une m me l gislation et d autre part par l mergence de nouvelles formes de publicit s voluant bien plu
290. p riodique Dossier p dagogique qui vise informer les jeunes de 14 20 ans sur l alimentation dans le monde Des fiches d information la revue no217bis d Alternatives Economiques et une affiche sur la faim dans le monde sont compl t es par des fiches atelier qui proposent d aborder des notions de tra abilit des aliments de commerce quitable d in galit des richesses dans le monde de consom acteur de travailler sur la nutrition et sant sur la pollution de l eau douce partir d une oeuvre artistique et de concevoir des actions de communication contre la faim Cote 502 5 COL Lorient 372 857 DOS Vannes P riodique Nourrir la plan te Textes et documents pour la classe 01 10 2004 p 3 54 Le point en 2004 sur les probl mes de sous nutrition et malnutrition dans le monde La production agricole vers les villes L exemple du riz Interview d un repr sentant de la FAO La recherche agronomique et les OGM quelles alternatives pour un d veloppement durable Le probl me alimentaire envisag comme un choix politique S quences p dagogiques Adresses bibliographies cartes graphiques webographie DVD vid o We feed the world le march de la faim Wagenhofer Erwin Editions Montparnasse 2008 1 DVD Vid o Rom 95 min 1 livret 52 p ill Chaque jour Vienne la quantit de pain inutilis e et vou e la destruction pourrait nourrir la seconde 58 Finist re plus grande ville d Autri
291. page d un site relais Le livret p dagogique d taille chaque film et page du site Internet Chapitre Nutrition et Alimentation http planete environnement cned fr 1 index asp ENVIRONNEMENT Coll ge Lyc e Secondaire Vid ocassette C est pas sorcier 37 le clonage les OGM Subra Lorraine Renon Christophe Breton Catherine SCEREN CNDP Paris Riff international production France 3 C t T l C est pas sorcier 2001 1 vid ocassette VHS 1 h 50 min 4 X 26 min 1 livret d accompagnement 19 p Les emissions Fred Jamy et Sabine bord de leur camion laboratoire et compl t es de reportages sur le terrain Dans les deux premi res missions sur Le clonage et Les OGM le questionnement s enrichit d une r flexion thique et concerne les l ves du coll ge et du lyc e PLURIDISCIPLINAIRE Cycle 3 Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Lyc e Vid ocassette Biotechnologies 1 Des Animaux sur mesure G nie des champs Petter Xavier CNDP Paris La Cinqui me INRA Images lire 1995 2 x 13 min 1 livret Des animaux sur mesure pr sentation de plusieurs techniques destin es am liorer la production animale comme l ins mination artificielle le transfert d embryon la s lection des reproducteurs en fonction de leurs qualit s g n tiques Mise en vidence des relations entre la recherche fondamentale la recherche appliqu e et l levage Le g nie d
292. partient la nature Que repr sente un brevet Si le vivant revu et corrig par le g nie g n tique devient une invention quels types de probl mes sont pos s Quelle nature pour demain Effectuer un choix au niveau individuel puis au niveau collectif du groupe Rechercher des t moignages et proc der des interviews sur ce sujet S informer et recueillir des interviews sur les mutations de l agriculture ces derni res ann es et en rechercher les causes puis analyser les cons quences 170 Finist re Fiche 20 apprendre d battre sur le dossier des OGM Objectif g n ral Apprendre d battre sur le dossier des OGM Objectifs sp cifiques Conna tre les positions des diff rents acteurs Savoir argumenter Savoir traiter les objections S entra ner au d bat Programme Les l ments du d bat public en Europe et en particulier en France sur les OGM e historique du d bat e analyse du traitement du sujet dans les m dias e analyse de arguments des opposants e analyse des arguments des partisans e positionnement des diff rents acteurs e de la fili re agroalimentaire du monde agricole du monde scientifique D finir ses arguments et savoir d battre e Mettre en place et adapter son argumentaire en fonction du public rencontr e Utiliser les supports p dagogiques e R pondre aux objections D velopper des contre arguments e Savoir contr ler un d bat e Rendre un d bat constructif et v
293. pi pour la plate forme Classes presse Vous cho sirez le format gif pour les dessins ou infographies et le format jpeg pour les photographies voir 3 a 2 Le stockage et l archivage des images a Les noms des fichiers les noms des fichiers image ne doivent pas S ei EC classes presse comporter d accent d espaces de caract res sp ciaux et ne doivent pas D imes monde tre trop longs IL faut trouver un nom en rapport avec l article auquel il SR echanges_autres se rapporte Il est encore possible d utiliser une nomenclature de type ma E art1_img1 Le plus important est de conserver une coh rence en rapport C mn avec l archivage Utilisez un visualiseur d images pour vous faciliter la C echanges_ coll ge Z Q echanges_societe t che a b Ilfaut concevoir le stockage des images avec une double finalit gt Pour les pages publi es sur la plate forme des images all g es en octets pour un affichage cran gt Pour les journaux les originaux les photos en haute ou moyenne d finition pour conserver une qualit suffisante lors de l impression papier gt NE JETEZ PAS LES IMAGES ORIGINALES FAITES DES COPIES SUR LESQUELLES VOUS POURREZ TRAVAILLER ET VOUS TROMPER c Vous pouvez utiliser les lettres h et l gt pour sp cifier haute et basse d finition lors de l enregistrement du fichier Un visualiseur d images permet de voir tout de suite la diff rence
294. plus r ceptifs quant la complexit li e au th me du d veloppement durable C est d ailleurs un outil p dagogique que nous allons continuer d utiliser l an prochain car dans le projet d tablissement l ducation au d veloppement durable est pr vue pour les sixi mes et les pistes propos es permettent de faire travailler plusieurs disciplines 2 La lecture des journaux en classe et leur appropriation par les l ves Les remarques les plus nombreuses portent sur le temps horaire consacr la lecture du journal en classe et son utilisation Lecture des journaux en classe en d but de cours de fran ais trois fois par semaine et commentaire de certains articles en classe Lecture des journaux et recueil des articles concernant le th me Pr sentation des articles qui ont retenu leur attention et d bats En moyenne 2 heures Constitution de revues de presse sur le th me d coupage de ce qui pour eux repr sentait le th me du d veloppement durable et de ce qui pour eux tait contraire au d veloppement durable Ces heures taient la fois tr s anim es et int ressantes de part les d bats qui s instauraienty Remarque des enseignants ayant en charge des 3 me DP ou en alternance Constat la prise en compte de ce public doit tre devrait tre sp cifique dans le d marrage du projet et l utilisation des journaux en particulier Ces 3 quipes s accordent pour dire que ce public est s
295. ponsabilit s eux Y a t il un int r t supposer que cela soit possible d crire comme les journalistes et de dire la m me chose qu eux Non bien s r Par contre prendre le temps d expliciter ce que l on attend d eux dans l criture d articles leur permet de prendre leur place dans ce projet Pouvoir leur dire dans un change en y conviant pourquoi pas le journaliste parrain que ce sont leurs regards sur des faits d actualit qui est important leurs d couvertes qui int ressent bref leurs traitements de l information et leurs envies de les faire partager d autres est le but vis par ce projet L criture d un premier article parce que moins ardu peut s appuyer sur une exp rience v cue par la classe sur la fa on dont les l ves ont construit leurs repr sentations et ce qu ils ont retenu comme pouvant int resser d autres que eux m mes C est souvent le moyen de lancer rapidement dans l ann e une dynamique d criture chez les l ves On le sait lorsqu ils ont compris qu ils crivent pour d autres et pas seulement pour un devoir et l enseignant leurs motivations est bien plus grande y compris dans l usage de la langue et dans les codes de pr sentations utiliser pour se faire comprendre et donc tre lus 6 Se servir des exp riences pass es A ce sujet prendre le temps de leur faire d couvrir ce que d autres avant eux ont crit dans les pr c dentes c
296. port et comment il a t distribu l picerie locale Pour cela il faut apprendre lire les tiquettes des produits Pour prolonger ce travail les l ves peuvent aussi aller interviewer un g rant de magasin Cette analyse n a pas besoin d tre d une exactitude toute preuve Elle vise avant tout amener r fl chir l origine des aliments Elle permettra galement de montrer quelles tiquettes donnent le plus d informations aux consommateurs et d aborder la notion de tra abilit des produits alimentaires Le produit vient il d une origine unique Est il enti rement fran ais ou est il pass par une fili re internationale avant d atteindre le lieu de vente 2 Remplir la fiche environnement alimentation pour chaque produit Cette fiche facile remplir permet de synth tiser toutes les informations connues sur le produit voir au verso 135 Finist re Fiche environnement alimentation Nom du produit Utilit indispensable Rempla able Superflu Marque Degr de transformation 0 1 2 3 Format Valeur alimentaire Kcal 100g Pays de provenance Liste des ingr dients Distance km Emballage Prix au kilo NB Degr de transformation 0 nature 1 transformation simple 2 recette de plusieurs compos s 3 transformation complexe 3 Indiquer sur la carte l origine des divers ingr dients de ces produits Les l ves affichent l
297. pr tation de l image distribu e Faire lire ensuite les diff rentes r dactions des l ves et relever dans la colonne d un tableau les mots cl s descriptifs ceux qui r p tent l image communs toute la classe Dans une deuxi me colonne relever les mots cl s communs tout le groupe concernant l interpr tation Montrer ensuite les textes originaux qui encadraient la photo Noter les pr cisions informatives apport es par les textes On s apercevra que ces pr cisions ne pouvaient pas tre invent es On appr ciera en quoi le rapport texte image produit du sens Les textes jouent un r le d ancrage exemple la photographie atteste les faits rapport s dans la l gende et de relais la photo pr cise et compl te les faits rapport s 2 Proposer ensuite la classe r partie en groupes qui disposeront chacun d environ 25 photographies l gend es de classer les l gendes Les crit res seront tablis par les groupes partir du travail pr c dent l gendes descriptives l gendes interpr tatives l gendes informatives partir de ce travail on d couvrira aussi qu il est possible que la photographie n ait pas de l gende l information principale soit transmise par le texte la photographie semblant inutile la m me information soit apport e par le texte et la photographie la l gende compl te l information transmise par la photographie la l gende et la photographie ne semblent pas avo
298. prit tiez vous Qu en pensez vous aujourd hui on peut inviter croiser les repr sentations en posant ces m mes questions aux parents fr res ou soeurs plus jeunes ou plus g s grand parents Pour travailler ce th me EN FRANCAIS Le travail mener sur deux axes principaux la lecture d image et le message publicitaires Objectif comprendre que dans la publicit comme dans toute situation de communication un metteur transmet un message un destinataire Qui est ici l metteur Quel est son message Qu attend il du destinataire Qui est ce destinataire Il s agit de faire prendre conscience aux l ves qu il faut garder une distance par rapport au discours publicitaire Le r le de la publicit est d ajuster la consommation la production ce qui revient dire que son r le est de pousser la consommation l achat Le produit pr sent sur cette page est un produit all g qui vise une certaine cat gorie de la population des personnes soucieuses de leur ligne et ou de leur sant Cet aspect qui s adresse le produit nous m ne au travail sur l image elle m me Objectif rep rer et donner du sens aux l ments pr sents dans l image Dans un premier temps il s agira d analyser les images les couleurs les formes les illustrations les textes Dans un deuxi me temps il s agira de d gager les proc d s qu utilise le publicitaire pour souligner les m rites des produits en fonction du publi
299. provoquant la d t rioration de la couche d ozone Pomme bio cultiv e localement co ts de transport r duits r frig ration idem fr on 136 5 Comparer les co ts des emballages Les l ves comparent le prix des produits emball s en format familial et en format individuel ri o a a Finist re Exemples de produits Prix pour 100 grammes Format familial Format individuel C r ales Fromage Jus de tomate 6 Discussion Qu arriverait 1l si l on ne pouvait consommer que des aliments produits localement En quoi cela modifierait 1il notre mode de vie Quelle serait l incidence sur notre environnement Compl ments documentaires Fiche 9 Les aliments du monde comment sont ils produits consulter sur le site clemi bretagne 137 Finist re Fiche 10 We feed the world le march de la faim film documentaire de Erwin Wagenhofer 2007 Pr sentation de deux exploitations p dagogiques de ce documentaire les deux fiches de travail sont disponibles sur le site du clemi Bretagne Ce documentaire donne voir et comprendre ce qu est un type d agriculture l agriculture productiviste et ses cons quences l chelle mondiale Il est compos de 7 tableaux qui pr sentent des contextes g ographiques et des pratiques agricoles diff rents un producteur c r alier autrichien un p cheur de Concarneau une culture sous serre en Espagne un
300. psychiatre brestois Luc Guillerm auteur d un livre distingu par l Acad mie de Marine a voqu le soutien aux marins et leurs familles Ancien directeur du service de g n tique du CHU de la cit des Ducs de Bretagne Jean Paul Moisan dirige depuis deux ans l Institut G n tique Nantes Atlantique IGNA En 2004 son quipe a r alis pr s de 30 000 analyses la demande de magistrats ou des services de police gt Ecrire un titre Finist re Voici des br ves Lis les attentivement et cris ensuite un titre pour chacune dans le cadre ci dessus Des l ves du Lyc e Rabelais de Fontenay le Comte 85 ont remis une vieille recette au go t du jour celle du pain l ail Aujourd hui leur produit est en vente dans les grandes surfaces Sylviane Martel la sp l ologue coinc e dans une grotte en Savoie depuis huit jours suite une chute de pierre a t secourue le week end dernier Sortie sur un brancard ka jeune femme a t transport e par h licopt re l h pital de Chamb ry Elle souffre d une fracture un bras et Avec 32 000 km les Pays de la Loire sont aussi grands que de probl mes aux vert bres cervicales la Belgique Ils comptent 3 millions d habitants r partis sur 5 d partements Loire Atlantique Maine et Loire Mayenne Sarthe Le turbot un poisson des grands fonds s est bien adapt l aquaculture levages en bassin
301. que sous groupe devra mettre sur la feuille manger ses repr sentations et regrouper autour des grands th mes entre 4 et 6 les mots retenus par chacun de ses membres lors de l tape individuelle pr c dente Demander chaque rapporteur de pr senter au tableau le regroupement labor par son sous groupe Les titres des diff rents regroupements propos s sont not s au tableau Construire avec les l ves une repr sentation commune partir des titres des regroupements crits sur le tableau Il s agit de faire une synth se de l ensemble des repr sentations nonc es par les l ves en insistant sur leur vari t et leur richesse et en mettant en vidence par un classement les diff rentes dimensions de l alimentation mais aussi en second temps ce qui les d termine que ces influences soient conscientes ou cach es e Exemple de regroupements possibles regroupements effectu s partir des r ponses d l ves de 6 me et de 3 me de deux tablissements brestois ce qui se rapporte la dimension relationnelle de l alimentation convivialit rassemblement des g n rations de la famille des copains f tes anniversaires r veillon plaisir se faire plaisir se r conforter tre avec notre famille ou ceux qu on aime mais aussi d go t pas envie de manger ne pas se sentir bien r gime tre bien et anorexie ce qui renvoie des pr occupations esth tiques tre beau belle fort
302. que vis vis de la nature complexit des relations des soci t s la nature D marche dossier de presse Objectifs Analyser les discours Etapes de r alisation Quelle nature Repr sentation de la nature recueil de textes et images de presse sur ce th me Relever les diff rences attitudes approches sensibilit s et les mettre en relation avec les milieux naturels d origine des auteurs et les modes d exploitation de la nature Comparer les points de vue des soci t s occidentales ceux d autres soci t s Evolution de la conception de la nature faire un recueil d articles et de documents y compris visuels sur les diverses conceptions de la nature dans le temps et l espace comparer et retracer l volution La nature entre l thique et le march Position d ordre thique rechercher leurs strat gies et analyser leurs finalit s quelle thique se r f rent les strat gies des produits de la nature gocentrique antrhropocentrique ou cocentrique A qui appartient le vivant laborer un dossier de presse relatif un v nement ex fabrication de clones de mammif res relever les pbs concernant l thique les arguments mis en balance les valeurs avanc es s interroger sur les limites de l appropriation de la mati re vivante g nes de l homme des animaux des plantes des bact ries Ces g nes et leurs produits sont ils des d couvertes ou des inventions A qui ap
303. ques et conomiques C est ainsi qu on peut saisir les bouleversements actuels sur la plan te alimentaire o le brassage des plats des go ts et des saveurs formulent de nouvelles pratiques e Jusqu aux d nonciations virulentes comme celle d Erwin Wagemhober We feed the world le march de la faim qui rappelle que si tout se lie sur le plan conomique la solution aux probl mes alimentaires d aujourd hui est entre nos mains qu en somme nous avons l agriculture et l alimentation que nous m ritons 143 Finist re e Les malheurs du mangeur fran ais consommateur ou citoyen faut il choisir Le mangeur doit aujourd hui faire face une situation nouvelle dans l histoire de l humanit l abondance alimentaire Devant les rayons des supermarch s les talages des piceries ou ceux de nos march s de plein vent nous avons le choix Plusieurs postures s offrent nous l une plut t citoyenne qui consisterait par exemple acheter des produits issus du commerce quitable de l agriculture biologique ou encore des Associations pour le Maintien d une Agriculture Paysanne Mais le mangeur est aussi un consommateur Il doit galement faire les bons choix pour sa sant troquer les produits gras au profit de ceux riches en micro nutriments et ce dans un contexte actuel de flamb e des prix Comment g rer toutes ces contraintes De quelles informations avons nous besoin pour choisir en connaissance de cause Peut on tre
304. ques secondes de r flexion on peut en plus lui donner de la vie de la p che et parfois ce petit plus qu on appelle l motion Si vous parlez des animations du centre a r il est plus sympa de r unir les enfants en arc de cercle certains debouts d autres assis bien regroup s et souriants plut t que de les prendre align s sur un rang avec des visages graves et ferm s comme s ils subissaient une punition L un des meilleurs conseils que l on puisse donner est de se rapprocher de son sujet Un cadrage serr est le meilleur moyen de cr er l intimit entre le lecteur et l image Un visage expressif souriant ou en col re la bouille malicieuse d un bambin pr sent s en gros plan attireront imm diatement le regard du lecteur En outre cela vite de polluer son image avec des objets sans int r t 3 Ins parable de la photo la l gende La l gende et la photo forment un couple ins parable C est gr ce la l gende que la photo peut tre associ e coup s r son article C est aussi gr ce elle qu on identifie les personnages sur la photo Rappelez vous que de nombreux lecteurs s int ressent au titre la photo et la l gende avant de lire l article Parfois ils ne vont m me pas plus loin Il est absolument n cessaire que la l gende contienne une information et surtout qu elle donne les noms des personnages m me si vous pensez avoir tout dit dans l article et m me si vous
305. question ouverte qui interpelle les l ves et correspond leurs exp riences et opinions chaque l ve est invit crire individuellement ses r ponses lecture et criture des r ponses pour tout le groupe avec l aide de la classe classement des r ponses par th me chaque groupe th matique ainsi constitu est relu et discut par le groupe qui lui donne un titre e Cette technique permet d am liorer l efficacit des groupes de travail de prendre en compte toutes les opinions de susciter la participation et l interaction de cr er une dynamique dans la classe autour d un th me f d rateur et de permettre la structuration de leurs id es e Quelques r gles d utilisation l usage des enseignants veiller l application de r gles de communication respectueuses des uns et des autres chacun doit pouvoir s exprimer chacun coute et respecte les paroles exprim es par les autres prendre en compte toutes les propositions mises par le groupe rester neutre noter leurs doutes ou leurs inqui tudes 75 Finist re e M thode Expliquer les consignes travail individuel puis travail en sous groupes puis pr sentation l ensemble de la classe inscrire la question au tableau Demander chaque l ve de noter sur sa feuille individuellement tous les mots que lui voque ce th me Demander aux l ves de se rassembler en sous groupes et de choisir un rapporteur par groupe Cha
306. qui inscrivent leurs RDV On peut ainsi mieux suivre l avancement des projets de chacun car ils sont affich s et g r s sur le temps Dernier souhait nonc mettre dans le guide p dagogique les fiches aide l criture journaliste distribu es la journ e de formation certains ne les ont pas eues De m me les fiches lecture d une image de presse Derni re remarque c est d apr s les coll gues la p riode fin janvier f vrier qui est la plus difficile et cruciale dans la gestion des classes presse Ils ont senti un degr plus ou moins important un d couragement On a voqu avec les coll gues pr sents le 18 juin la possibilit de remotiver les troupes en proposant un temps d ouverture Certains ont voqu la possibilit de venir voir une exposition photo sur le th me avec le photographe ce serait encore mieux ou de venir avec leurs l ves participer une conf rence d bat li au th me et aux m dias Un photographe AFP a t sugg r ou Albert Jacquard La classe image une exp rience p dagogique qui se poursuit Le coll ge de Pont Aven s est associ l an dernier au projet classes presse avec une sp cificit celle de produire des images sur le th me des classes presse 50 productions titr es et l gend es sont publi es sur la plate forme Phare des classes presse que vous pouvez consulter l adresse http phare ac rennes classespresse 2
307. r Votre article doit tre lu Pour cela il vous faut tenir compte de vos lecteurs et faire en sorte que votre article les int resse par les informations qu il contient et retienne leur attention par la forme qu il prend Son titre sa composition ses illustrations le genre choisi pour le r diger seront donc les points importants particuli rement soigner La composition de l article L article doit comporter une ATTAQUE qui accroche le lecteur doit suivre le sch ma de la PYRAMIDE INVERS E en r pondant aux questions suivantes Du plus important aux d tails doit tre VIVANT avec par exemple des extraits d interviews doit tre CLAIR en expliquant les sigles par exemple doit tre CONCIS avec des phrases courtes doit tre PR CIS ne dites pas ce qui n est pas dites ce qui est doit se terminer par une CHUTE qui laisse l impression finale au lecteur peut comporter un CHAPEAU CHAPO au d but qui en quelques lignes r sume l id e essentielle de l article peut tre jalonn d INTERTITRES de quelques mots en gras toutes les 30 ou 40 lignes pour accrocher le lecteur et aider la compr hension et sa progression dans l article 234 Mis o a a Finist re gt La pyramide invers e TITRE E QUAND COMMENT QUOI POURQUOI TITRAILLE j CHAPEAU AT TAQUE CORPS QUI QUAND ne QUOI L ARTICLE O COMMENT POURQUOI gt
308. r des images de grande taille d Le redimensionnement des images Vous pouvez redimensionner l image avec les poign es mais sans faire diminuer le poids en octets Pour modifier le poids d une image il faut utiliser un logiciel de traitement d image ou un explorateur d images et passer par le redimensionnement Il est possible de jouer sur la taille et pixels ou cm ou effectuer une diminution en pourcentage de l original Attention pensez bien toujours avoir une copie de sauvegarde de l original Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr CIEL auqnd 7 7 ansssaJoid 3191142 31 p NU3 JU0IJ 9 SPNEA OPA SONY J04d NUaW O uorx uuo 2 21e ap SUBI US SIW 9121 1e 93sod 94A919 7 suo ino1gq 2135189107 SO6eUIL 1919SU 2X9 J9109 191d07 21913 UOIXOUUOT 2121312 ap SISIES Z 3 P121e 1 9A219 1 sasewl s p JU3W31JS1831U4 21X9 NP aLSLes gt 7 2121 18 aP UOLJ2N13SU09 Finist re Bibliographie Vous trouverez sur le site clemi bretagne une bibliographie plus tofj e Quelques r f rences qui ont retenu notre attention pour leur ressources en classes presse et toute autre action d ducation aux m dias pour le co
309. r le titre le surtitre le sous titre voire le chap U Une la premi re page du journal v Ventre partie centrale de la page 191 S Finist re 192 Pr sentation des journaux partenaires gt Ouest France gt Le T l gramme gt Le Progr s de Cornouaille Courrier du L on Finist re 193 S Finist re 194 Ouest France Finist re Nom du journal Ouest France Si ge social Rue du Breil ZI Sud Est 35051 Rennes cedex 9 Directeur de la publication R dacteur en chef Fran ois R gis Hutin Jean Luc Evin Date de cr ation 7 ao t 1944 Lieu de la r daction 62 villes de l Ouest et Paris Jour de parution 6 jours sur 7 Dimanche Ouest Frnace Prix 0 70 euros 0 85 le vendredi avec TV et 0 80 le DOF Effectif total au journal 1845 Journalistes 553 Correspondants locaux 2750 780 000 ex jours Diffusion en exemplaires Nombre de lecteurs 2 4 millions de lecteurs dans l Ouest Nombre de pages Nombre de pages couleur De 28 un jour d ao t tr s creux 110 un samedi riche en petites annonces Moyenne 46 pages dont 16 pages couleur Format Berlinois et Tablo d demi format pour le DOF Type de publicit et superficie Publicit d image publicit de traffic et petites annonces Superficie moyenne 43 des 46 pages Importance due au PA et aux encart s Precom Nom
310. r les pistes de travail et les p riodes d occupation du CDI Yann N dellec clemi 35 15 Finist re A photocopier pour informer les l ves L op ration classes presse en Finist re En tant que coll gien vous allez d couvrir la diversit de la presse apprendre r diger un article et d velopper votre esprit critique tout au long de l op ration Classes presse Pour ce faire vous allez recevoir un journal de novembre mars au coll ge Vous aurez la possibilit de le rapporter chez vous pour parler d actualit avec votre entourage Votre classe sera suivie par un journaliste des journaux r gionaux qui vous parrainera deux interventions au moins dans les classes Apr s avoir appris lire le journal vous crirez des articles sur le th me Nourrir se nourrir Vous les publierez tous sur Internet et votre classe proposera son meilleur article au jury des partenaires en avril Une s lection d articles sera ensuite publi e dans des suppl ments encart s dans Ouest France et Le T l gramme Les laur ats se verront remettre des prix en juin Cette ann e encore 80 classes des coll ges de Bretagne participent l op ration classes presse Partenaires Inspection acad mique le Clemi le Conseil g n ral Ouest France Le T l gramme Le Courrier du L on Progr s de Cornouaille 16 Finist re A photocopier pour les parents d l ves Votre enfant participe
311. r les titres permet une r flexion sur leurs fonctions et leur rapport l esprit du journal 1 Faire relever les titres la Une des quotidiens distribu s Proposer aux l ves de retrouver l int rieur du journal les rubriques et les articles cor respondants aux titres de Une Confronter titres et articles correspondants Quels sont les titres qui annoncent le contenu des articles ceux qui sont plus ambigus non explicites ou incompr hensibles 2 Proposer d tudier la mise en page des titres l emplacement le pour centage de la surface occup e par le titre par rapport la page par rapport l ensemble de l article la jonction avec d autres l ments sous surtitre illustration 3 Apr s avoir choisi un ensemble de titres les d couper dans les journaux ou les polycopier Faire tudier leurs composantes phrases mots et relever les unit s de sens contenues dans chaque titre r ponses aux questions de r f rence qui quoi o quand pourquoi comment Puis proposer d identifier les proc d s utilis s pr suppos s allusions invitations la lecture de noter les effets de style jeu de mots vocabulaire motionnel ou parti culier m taphores etc 4 Classer les titres selon leur composition ou encore selon leur fonction informative titres informatifs titres incitatifs On peut conclure sur les cat gories dominantes PROLONGEMENTS Les exercices sont nombreux Comparer
312. r quelques fonctions des images vues Collage sur des panneaux des clich s r pondant aux crit res d finis ensemble V rifier si ce qui a t choisi est valide pour la majorit des images envisag es e Faire remarquer qu une image peut avoir diff rentes fonctions suivant le texte qui l accompagne PROLONGEMENT Prise de vue pour un article travail sur la diversit des points de vue e R alisation d un journal scolaire production compl te Image d information et citoyennet l cole primaire collection Les Actes du Clemi Clemi mars 2000 p 101 185 lsssa Finist re gt Le r le des images d information Objectifs Identifier les genres utilis s dans la presse crite et leur r le dans la rubrique Faire la diff rence entre images d information images illustratives images pr textes Public Coll ge Mat riel Un panel de quotidiens du m me jour Organisation Travail en groupe en lien avec les documentalist es Mots cl s Scoop Reportage Cr dit photo L gende Parmi les l ments qui composent les pages des journaux et des magazines les images peuvent constituer des p les d attraction puissants Des photos des dessins attirent notre regard mobilisent notre attention Pourtant dans l ensemble des images publi es beaucoup restent banales illustrent sans informer 1 A partir d un panel de quotidiens nationaux r gionaux et
313. r son point de vue n gocier rechercher un consensus accomplir sa t che selon les r gles tablies en groupe Il doit tre capable galement de savoir valuer les cons quences de ses actes savoir reconna tre et nommer ses motions ses impressions pouvoir s affirmer de fa on constructive Attitudes La vie en soci t se fonde sur le respect de soi le respects des autres civilit tol rance refus des pr jug s et des st r otypes le respect de la vie priv e la conscience que nul ne peut exister sans autrui la n cessit de la solidarit prise en compte des besoins des personnes en difficult physiquement conomiquement en France et ailleurs dans le monde b Se pr parer sa vie de citoyen Capacit s Les l ves devront tre capables de jugement et d esprit critique ce qui suppose savoir valuer la part de subjectivit ou de partialit d un discours d un r cit d un reportage savoir distinguer un argument rationnel d un argument d autorit apprendre identifier classer hi rarchiser soumettre critique et mettre distance l information savoir distinguer virtuel et r el tre duqu aux m dias et avoir conscience de leur place et de leur influence dans la soci t savoir construire son opinion personnelle et pouvoir la remettre en question la nuancer par la prise de conscience de la part d affectivit de l influence de pr jug s et de st r otypes
314. raille de relever les l ments d infor mation factuels pr sents dans tous les quotidiens de relever et de comparer pour chacun d eux les l ments d information compl mentaires apport s 5 Analyser l angle d attaque des diff rents journaux S agit il pour un m me v nement d un seul article offrant une construction chronologique des faits ou ayant recours au retour en arri re De plusieurs articles pr sentant une structure en toile partir d une information premi re et utilisant une vari t de genres journalistiques Etablir quels aspects ou th mes les diff rentes r dactions ont choisi de privil gier PROLONGEMENTS Travailler sur la mise en sc ne de l actualit Unit d information El ment de texte ou d image qui apporte une information nouvelle par rapport l v nement relat 183 Finist re gt La v rification des sources Objectifs Avant de publier une nouvelle de r aliser un reportage t l vis ou radiophonique Savoir rep rer l origine d une information Mieux comprendre le travail du journaliste Aborder les droits et devoirs d une profession Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Hebdomadaires et quotidiens r gionaux ou nationaux D p ches enregistrements de journaux radiophoniques et t l vis s Magn toscope et magn tophone Une revue sur un sujet donn Organisation Travail par petits groupes Mots cl s
315. raudes aux cr dits bancaires recel jeux ill gaux tentative de vol main arm et sont passibles de peines d passant les 100 ans de prison et d amendes pouvant atteindre un million de dollars Comme dans les films les r unions d une des quipes bas es dans le Bronx se tenaient dans un restaurant italien Rigoletto appartenant Pascale Parrelo le plus grad des trois capos arr t s Le policier infiltr tait parvenu inspirer assez confiance pour tre convi certaines r unions Pour se prot ger contre des coutes clandestines les participants taient fouill s et des appareils de d tection de micros taient m me employ s ont expliqu les enqu teurs De peur de croiser dans son quartier certaines personnes qui auraient pu trahir sa double vie la taupe a quitt sa famille et s est install e dans un autre Etat a pr cis Bernard Kerik le chef de la police new yorkaise New York Police Department NYPD L unit sp ciale charg e de la lutte anti mafia tait galement parvenue retourner un membre de la famille qui a alert les forces de l ordre alors que le projet d attaquer l un des b timents du New York Times un jour de paie pour un butin qui aurait pu atteindre 6 millions de dollars tait bien avanc Le clan Genovese comprend selon les forces de l ordre 200 300 membres de plein droit et sans doute dix fois plus d associ s Bien qu il eut t au f
316. rche de d veloppement durable elle peut faire l objet d actions concr tes et de projets ayant l tablissement lui m me comme support de r flexion autour de l alimentation propos e la cantine en particulier Nourrir se nourrir ici au coll ge L introduction de produits issus de l agriculture biologique ou de fili res courtes constitue souvent un point d entr e des tablissements dans des d marches de d veloppement durable impliquant la mobilisation des gestionnaires parfois l origine de la d marche et celle des personnels de la restauration Elle correspond aussi souvent la demande formul e par des l ves dans le cadre d ateliers ou de clubs d veloppement durable et celle d un certain nombre de familles Enfin elle fait l objet d une forte impulsion politique par les collectivit s territoriales qui ont lanc ces derni res ann es un certain nombre d exp riences pilotes dans ce domaine Toute la question est alors de savoir comment de telles initiatives peuvent s accompagner d une vraie d marche ducative favorisant le questionnement des l ves Quelles r gles se donner concernant les approvisionnements pour la cantine Par exemple vaut il mieux proposer des pommes bio venant de Colombie ou des pommes non bio provenant d une production locale Quelles sont les difficult s rencontr es par l tablissement pour privil gier des produits co re
317. re leur tour de l information Faut il rappeler combien dans ce domaine leur cr ativit est riche et nous surprend chaque ann e quand nous avons le plaisir de lire leurs articles et leurs productions Nous sommes convaincus que gr ce aux interactions multiples que ce th me construit nos l ves vont une fois de plus nous surprendre et nous tonner Cinq rubriques sont propos es pour apprendre lire le journal et crire des articles sur le th me nourrir tout le monde des m tiers pour demain bien se nourrir nourrir et se nourrir dans les m dias en bref billets chiffres ou t moignages Une classe image est charg e de produire des visuels photo infographies peintures collages dessins de presse sur ce th me Cette ann e ce sont deux classes de troisi me du coll ge K ranroux Brest qui sont charg es de cette production sous la responsabilit de leur enseignante en Arts Plastiques Gw nola Agaesse Leurs productions visuelles seront titr es et l gend es et publi es sur la plate forme Phares des classes presse rubrique le th me en images Vous pouvez consulter sur cette m me plateforme Phares les productions images r alis es l an dernier sur le th me du d veloppement durable Adresse http phares ac rennes fr classespresse 2007 65 Finist re 66 Finist re Pour lancer l op ration en classe 2 s quences diff rentes et ou compl mentaires d couvrir sur le site c
318. re la plus proche leur donnait Aujourd hui cette proximit n existe plus sauf pour un certain type de consommateurs qui s approvisionne sur les march s ou directement aupr s des producteurs locaux bio Cette distance g ographique qui s accro t et ce lien qui tisse des relations entre ceux qui produisent ce qui nous permet de nous nourrir et ceux qui les nourrissent permet de comprendre un des plus grands bouleversements dans le comportement alimentaire La g ographie appara t en effet comme un des liens entre le champ ou le pr et l assiette Mais comment vais je manger ce que je ne connais pas ce qui ne fait pas partie ni de ma tradition ni de ma culture ni de mon exp rience Comment savoir l origine des produits qui sont dans mon assiette ou mon caddy Sont ils soumis un m me cahier des charge et une m me r glementation sanitaire O donc est la g ographie plus que sur la table o nous mangeons o abondent les r f rences g ographiques des plantes des lieux o elles vivent des plats tous issus d une culture d une civilisation qui les a fa onn s des eaux des produits souvent estampill s par un terroir une origine un nom m me qui signe une culture des saveurs qui ont voyag Notre pari est donc de faire de cette g ographie l La distance grandissante entre le consommateur et le lieu de production de l aliment la succession des crises alimentaires la m fiance l gard du mod le agro industriel sont autan
319. re lecteur Accrocher et int resser le lecteur est un art qui s apprend Appliquez ces 4 r gles et votre article sera r ussi 1 D finissez le message essentiel de l article Si vous avez r uni toutes les informations n cessaires vous devez pouvoir crire en quelques mots l id e fondamentale que vous voulez communiquer 2 Trouvez un fil conducteur il structure l article vite les r p titions et fournit un plan Dans une page de journal le plus important est plac au d but qui o quand comment pourquoi Puis vous r digez des d veloppements successifs qui pr cisent l information par ordre d int r t d croissant 3 Soyez vivants N h sitez pas intercaler dans le corps de l article de courts extraits d interviews ou d opinion en style direct Utilisez le syst me du pr sent L originalit et l humour sont des ingr dients pr cieux 4 Soyez explicites et concis Expliquez les sigles utilis s les mots peu connus Pr sentez m me bri vement les personnes interview es ou cit es Faites des phrases courtes une information par phrase Travaillez les constructions des phrases allez droit au but Pas de tournures inutiles du genre il convient de souligner notons encore que Un article long ou court a une unit une coh rence Soignez votre lecteur 6 points importants 1 Le titre il donne envie de lire l article Il peut tre incitatif ti
320. re pendant vingt sept mois une famille mafieuse Par Michel MOUTOT NEW YORK 5 d c AFP Un policier new yorkais a infiltr pendant plus de deux ans au p ril de sa vie la premi re famille mafieuse des Etats Unis les Genovese permettant l arrestation mercredi de 73 membres de Cosa Nostra Le policier dont le nom n a pas t r v l est parvenu pendant 27 mois dans le cadre d une enqu te qui s est tal e sur plus de trois ans se faire accepter par une branche de la famille jusqu atteindre le rang d associ Les mafieux lui faisaient notamment confiance pour croyaient ils revendre en pi ces d tach es des voitures qu ils d claraient vol es pour toucher les primes d assurance C est un nouveau coup s v re port la famille Genovese le groupe de crime organis le plus important le plus puissant et le plus secret des Etats Unis Nous avons pu une nouvelle fois observer la p gre de l int rieur comme de l ext rieur a t il ajout A l aube mercredi 300 policiers et agents f d raux ont r veill leurs domiciles New York et dans le New 225 Finist re Jersey les 73 pr venus au nombre desquels figurent 3 capos chefs d quipe un rang lev dans la hi rarchie mafieuse sept soldats et 63 associ s Ils ont t inculp s de nombreux crimes dont extorsion de fonds trafics en tous genres fraudes multiples rackets possession de fausse monnaie f
321. res de beaut physique tr s conventionnels Sont sous jacentes aussi la peur de grossir de ne pas tre aux normes de ne pouvoir un jour mettre les v tements que je veux d tre moins consid r e de n int resser personne Envie promesse et peur sont des mots qui vont construire un lien n gatif et anxiog ne avec la nourriture Peut on vraiment alors se construire pleinement lorsque la peur et l inqui tude sont au coeur du quotidien Et cette l ve le dit c est tous les jours que je me demande si c est bon pour moi m me si je n en parle personne e Pourquoi un rapport si difficile l alimentation alors que depuis 3 g n rations maintenant la crainte de ne pas avoir manger est pour beaucoup d pass e en France e Que dire de la pression des politiques publiques de sant 81 Finist re La mont e des pr occupations de sant publique ob sit et maladies cardio vasculaires principalement et le changement du regard que nous portons sur notre corps impriment une dimension nouvelle l acte de manger o la pr vention et la sant ont pris le pas sur la notion de plaisir Il y a l des facteurs d angoisse ou du moins d anxi t qu expriment volontiers les mangeurs d aujourd hui gar s dans les m andres des discours nutritionnels surabondants affol s par la multiplicit des messages de ce qu il faut ou non manger voire culpabilis s par des discours de c
322. ri t des parcours personnels dans la lecture d une image et d autre part l importance du texte 1 Analyser une image seule sans texte ni l gende Moment d expression libre formulation d hypoth ses par les l ves les noter et ventuellement les classer Construire l observation Rechercher dans les l ments graphiques et la composition de l image l ments de perspective d angle et de plan ce qui exprime le point de vue de l auteur quels sont ses choix distance avec l v nement implication D gager les diff rents niveaux de compr hension factuelle culturelle symbolique Ainsi au del de son caract re st r otyp l image d une poign e de mains peut tre lue comme une simple mani re de se saluer comme une relation chaleureuse ou comme le r sultat d un accord Mais on peut y voir encore des antagonismes sous jacents Faire appara tre les divergences les expliciter si possible Donner quelques informations compl mentaires temporelles ou g ographiques La connaissance de la date du lieu ou de l auteur peut faire basculer les effets d une image Reprendre les hypoth ses pr c dentes et tablir ce qui change 2 Pr senter le m me document complet page ou double page Faire relever les informations textuelles titre de l information l gende pr cise de l image Chercher quelle information est illustr e par l image Comparaison avec les hypoth ses de d part que
323. rimaire rend compte des analyses et des r flexions men es par des professionnels de l image journalistes psychanalystes chercheurs en sciences de l ducation et de la confrontation de leurs recherches avec des enseignants du premier degr Cette fiche p dagogique contribution de l un d entre eux est extraite de cet ouvrage On s appuiera sur l observation d images la lecture s lective d articles de presse illustr s la comparaison entre l un et l autre pour d gager des fonctions de l image de presse Pr alable la s quence demander aux l ves d apporter des quotidiens des hebdomadaires des mensuels d information Travail en deux groupes 10 15 minutes Apr s distribution d un journal ou d un magazine d information par groupe demander aux l ves d observer les images et d en choisir trois cinq en fonction de crit res qu ils auront d termin s avec le souci de savoir ce que les images s lectionn es apportent aux articles ex monstration de l v nement l inauguration t moignage des effets de l v nement l accident La consigne peut tre donn e sous la forme je compl te le tableau suivant L article m informe sur l image m informe sur l image ne m informe pas sur pr sentation en trois colonnes Les images sont mises dans les enveloppes portant le crit re de choix Travail collectif 20 25 minutes Mettre en commun les crit res de tri afin de d fini
324. rnalistiques Public Cycle 3 de l cole l mentaire Mat riel Plusieurs quotidiens d un m me jour un par groupe d enfants Pr voir de photocopier quelques articles en nombre choisis par l ensemble de la classe Organisation Travail par petits groupes et groupe classe pr voir plusieurs s ances Mots cl s Message essentiel Questions de r f rence Genres journalistiques r diger et organiser un texte informatif Ils am lioreront ainsi les textes de leur propre journal 1 Feuilletage et lecture silencieuse Chaque groupe dispose d un quotidien que les enfants feuillettent ensemble Ils choisissent deux ou trois de lire un article qu ils r sumeront au groupe classe Donner aux l ves une grille de lecture partir des questions de r f rence qui quoi quand o pourquoi comment 2 Trouver la ou les phrases essentielles de l article Etablir un r sum et le lire l ensemble du groupe Inscrire au tableau les questions de r f rence un l ve pointe si le r sum y r pond 3 Le titre de l article Est il clair par rapport au texte contient il des informations susceptibles d clairer le lecteur sur le contenu de l article 4 Trouver la bonne rubrique Ceux qui n ont pas lu l article doivent l coute de son r sum proposer dans quelle rubrique l article se trouve 5 A l occasion de la mise en commun selon les articles choisis par l
325. rrage du projet la mani re de pr senter ce projet classes presse aux l ves est d terminante pour la suite du projet car pour eux ce temps de pr sentation a permis de lever des malentendus Certains l ves taient inquiets de savoir s ils seraient not s sur la lecture du journal ou bien autre t moignage nos l ves ne savaient pas trop ce que nous attendions d eux et se demandaient m me pourquoi et comment tout d un coup le journal remplacerait certains cours Ce 27 Finist re temps de pr sentation du projet a permis aussi selon eux d expliciter des objectifs et des m thodes de travail peu habituelles n cessit de s entraider de se forger au d bat d apprendre r partir la parole dans une quipe de travail de s couter de renoncer des id es de savoir rebondir pour d passer une difficult de faire une recherche documentaire en prise avec l actualit de donner son opinion de se faire confiance ont t nos priorit s dans le d marrage du projet avec nos l ves et ce pendant pr s de 3 semaines raison de 2 heures par semaine Autre t moignage les l ves ont t enthousiasm s par le projet Le sujet totalement inconnu les a int ress s la m thode de travail nouvelle par rapport leur activit en cours leur a permis tous de s investir et d oser la curiosit Ou encore ce coll gue qui d clare Sans cette curiosit et cette ouverture apport es par ce proj
326. rs Prolongement Objectifs repr sentations r alit s e Faire une revue de presse sur les repr sentations m diatiques de la Chine de l Inde et de l Afrique Au pr alable demander aux l ves leurs repr sentations personnelles sur ces derniers quand vous entendez la Chine l Inde l Afrique qu est ce que vous voyez Confronter ces repr sentations initiales avec leurs d couvertes faites par l analyse de leurs revues de presse 161 Finist re e actualiser des donn es sur la faim dans le monde et mettre en relation des interd pendances Distribuer une carte de la faim dans le monde Demander ensuite aux l ves de faire une recherche sur le web dans le but d actualiser les informations reprises sur la carte O en est la situation pour chacun des pays et des peuples cit s Y a t il de nouveaux pays et de nouveaux peuples en danger Quelles sont les volutions e R partir le travail par quipes e Consignes identifier les sources enregistrer les informations int ressantes y compris les images qui peuvent servir de preuve Visiter au moins 5 pays diff rents dont un pays d Europe Trouver au moins un exemple de projet qui tente d am liorer la situation e Discussion d un concept partir de quel moment peut on dire qu un pays et qu un peuple sont t en danger e Discussion sur les droits humains Quels sont les droits humains Une partie de la plan te peut elle les ignorer Quels sont alors les ri
327. rtaines mati res e Mat riel Les l ves apportent en classe apporter l image ou l emballage du dernier achat alimentaire que chacun d eux a r alis et ou la derni re liste de courses ou son ticket de caisse e Pistes de recherche Il s agit en premier temps d utiliser l exp rience v cue pour faire merger des affirmations et des questions de recherche en second temps Les l ves sont amen s expliquer les motifs qui les ont pouss s acheter eux m mes tel ou tel produit La liste des produits est not e au tableau ainsi que pour chacun des produits leurs affirmations concernant les motifs d achat Ensuite dans un second temps chaque l ve est amen dire ce qu il pense de ce produit en terme de crit res pour l environnement type de production emballage de crit res pour la sant lire et d crypter les informations nutritionnelles de crit res pour les producteurs qui produit ce produit O Comment est il achemin jusqu nous et enfin pour l industrie agroalimentaire qui commercialise ce produit qui est elle sous forme de questions de recherche Un groupe peut aussi travailler la m me d marche sur une liste de courses r elle ou son ticket de caisse ou sur une liste de course r v e e Recherche La s lection de pistes exploiter suite une mise en commun des r ponses des l ves est fonction des r ponses L important r side dans les argumentations contradictoires Si plusieurs
328. rtateur mondial derri re les Etats Unis L industrie agroalimentaire prosp re mais avive les craintes des agriculteurs dans le nouveau contexte communautaire et mondial qui se dessine quel sera demain le r le de l agriculteur et quel avenir y ont ils e 36 du territoire de la France est en culture e Un fran ais sur quatre vit en milieu rural 25 Au 18 me si cle c tait 80 de la population e Les agriculteurs taient 10 millions apr s 1945 ils ne sont plus aujourd hui que 2 millions 4 de la population mais avec des exploitations de plus en plus grandes 117 Finist re e Mais En 12 ans 1 exploitation agricole sur 5 a disparu Respect de l environnement de la sant de l hygi ne protection sociale la France et l Europe sont tr s exigeants en mati re d alimentation Mais en m me temps pour un petit producteur cela co te tr s cher de se mettre aux normes europ ennes Beaucoup cessent leur activit faute de moyen pour y parvenir 1 source l agriculture en France comprendre l actualit par l image infographie Hachette pratique 2008 La p che lire contribution de Alain Le Scann du CRISLA BRETAGNE dans ce dossier Pour poursuivre la r flexion et rencontrer des p cheurs finist riens ainsi que des entreprises agroalimentaires sp cialis es dans le poisson Qu en est il de cette r alit Quelles actions sont en cours Quels sont les enjeux en pr sence Comment d ici 10 20 ans les p c
329. rubriques choisir pour quelles informations Au coll ge et au lyc e 1 Identifier et comparer les rubriques des diff rents quotidiens e Travail par groupe Distribuer chacun des groupes des quotidiens de m me cat gorie nationaux et r gionaux Demander aux l ves de lister et de noter les noms des rubriques de chaque quotidien qu ils ont en main et le nombre de pages consacr es chacune des rubriques e Comparer quelles sont les rubriques identiques les noms diff rents pour des rubriques similaires Des rubriques portant le m me nom recouvrent elles les m mes sujets Quelles ont les rubriques absentes d un journal l autre 2 Retrouver et comparer dans quelles rubriques sont d velopp s les titres de Une Les groupes changent les journaux Demander aux l ves de r pertorier les titres de la Une et d mettre des hypoth ses sur les noms des rubriques dans lesquelles sont d velopp s les sujets annonc s en Une V rifier dans les pages du journal Comparer les carts entre les propositions des l ves et les choix des journaux PROLONGEMENTS Comparer les rubriques du journal papier et sa version enligne Comparer sur une semaine les rubriques d un m me journal quelles rubriques nouvelles apparaissent Pourquoi Identifier et comparer les rubriques ou les hebdomadaires d information sommaires des magazines 179 Finist re gt La Une du journal Objectifs La Une repr sente l accueil et l
330. ruction de l actualit en v nements n cessit de diff rencier communication et information 184 Finist re gt L image un r le part enti re Objectifs L image n est qu un point de vue elle d coupe une totalit des Montrer que l image de presse participe de la connaissance de la vie d mocratique dans le cadre de la libert d opinion et d expression Faire d couvrir que l image d information n est pas une fin en soi qu elle a des fonctions multiples et vari es enregistrer t moigner illustrer informer mouvoir surprendre symboliser Public Pr requis Avoir pratiqu la lecture s lective pr l vement d informations ponctuelles dans la presse Cycle 3 Mat riel Presse r gionale et ou nationale quotidienne hebdomadaire mensuelle apport e par les l ves Paires de ciseaux enveloppes 42x29 7 panneaux d affichage Mots cl s Fonctions des images Monstration e Illustration T moignage environnements des espaces Elle ne poss de pas une totalit de sens elle ne parle pas de fa on universelle tous mais concerne chacun de fa on diff rente selon son exp rience ses affects sa culture son tat du moment son projet Il est imp ratif de prendre en compte ces l ments pour travailler avec les images d actualit dans les classes l mentaires Image d information et citoyennet l cole p
331. s Les coll gues travaillant avec des l ves dont le rapport l criture n est n1 naturel ni spontan s accordent dire qu il est indispensable d avancer tape par tape Une coll gue d crit par exemple une modalit d criture qui a t mise en place au d but de la phase d criture et qui peut tre utile tous Suite des changes avec le journaliste parrain de la classe et ceux lors de la journ e de formation et de ce que j avais appris les ann es pr c dentes nous avons d abord travaill sur un article crit par le journaliste parrain dans le but que chaque l ve apr s 2 ou 3 lectures soient m me de proposer la classe un mot cl qui aurait pu servir de titre l article Les mots cl s propos s par les l ves ont tous t mis au tableau et class s par domaines ou par int r ts Sur 24 mots 5 seulement devaient tre gard s parce qu ils exprimaient le mieux l information communiqu e dans l article Cet exercice est utile pour rentrer dans un article mais aussi et surtout pour travailler le titre de chacun des articles crits par la classe Tous les l ves sont un moment donn soumis cet exercice C est donc un temps f d rateur Il est utile aussi pour faire comprendre qu un article c est un travail de construction Pour mes l ves leur premier travail d criture a consist leur faire crire 1 phrase qui informait de ce qu ils voudraient communiquer dans leur article
332. s chaque jour e Globalement les 2 3 du trafic mondial de marchandises transitent par voie maritime et 60 de la flotte de la flotte mondiale navigue sous pavillon de complaisance Panama Liberia Malte St Vincent Iles Marshall etc qui chappe toute r glementation Sources SPF environnement Fondation Nicolas Hulot Sources WWWFInfo Ecole2005 le poisson dans nos assiettes excellente synth se de la probl matique et id es de le ons en quelques pages WWW fao org p che pour approfondir les questions Reportages voir La p che les poissons ont le mal de mer C est pas sorcier 120 Finist re Et moi que puis je faire Quel poisson dans mon assiette Face aux nuisances de la surp che et aux levages marins traditionnels que pouvons nous faire Et quelles en seraient les cons quences pour les p cheurs R ponse simple s abstenir Sous toutes ses formes produits frais en bo te ou surgel s la consommation de poissons et de fruits de mer est en constante augmentation Parall lement la pression de la p che s est aussi fortement accu Aujourd hui 75 des stocks de poissons commercialis s de la plan te ont t exploit s excessivement ou la limite de ce qu ils sont en tat de supporter 1 Face cette situation de surp che la relation de l offre et de la demande et un ensemble de fonctionnement conomique le prix du poisson augmente et va continuer augmenter Les plus nan
333. s journaux t l vision photos de presse Internet ne sont pas la r alit mais des constructions qui proposent des conceptions et des interpr tations de la r alit est un enjeu central dans les classes presse comme de toute 60 Finist re ducation aux m dias Prendre conscience qu une part importante de ce que nous apprenons et savons du monde provient des repr sentations que v hiculent les m dias permet selon nous de d velopper l esprit critique et de faire voluer notre compr hension du monde Faire merger les repr sentations et prendre conscience que ces repr sentations sont construites par notre univers m diatique permet d j de comprendre comment nos perceptions si elles ne sont ni discut es ni soumises la repr sentation des autres sont un frein notre propre d veloppement Et il en va de m me pour tous les sujets d actualit L alimentation n chappe pas ce constat Exemple de phase de recherche et projet d criture autour de l alimentation Exp riences Le premier temps d appropriation du journal j ai retenu quoi dans le journal par rapport au th me propos et pourquoi est un des leviers forts pour donner chaque l ve sa place dans ce projet et pour f d rer le groupe autour du projet classe presse Ce sont donc moins les apports disciplinaires des enseignants qui en sont le moteur que les interactions multiples entre les l ves qui partagent leurs int r ts et leurs opinions
334. s OGM vont ils nous sauver ou au contraire nous nuire Autant de questions complexes et parfois pol miques dans l actualit et chez les l ves Pour prolonger ces questions des analyses et des d clarations qui nourrissent ce d bat Dans 40 ans la plan te comptera pr s de 9 milliards d habitants Y aura t il assez de terres agricoles pour tous les nourrir C est ce que se sont demand s les experts universitaires et dirigeants politiques d Europe d Afrique et du monde le 4 juillet 2008 Bruxelles Ensemble ils ont esquiss des solutions Parmi elles l investissement dans la productivit agricole l abolition des subventions et l aide au d veloppement Les prix alimentaires ont explos cette derni re ann e certaines denr es de base comme le riz ou le ma s ont connu une inflation de pr s de 70 Partout dans le monde des meutes de la faim se sont multipli es Est ce le signe alarmiste d une plan te qui ne pourra plus nourrir tous ses habitants Comment agir maintenant pour nourrir demain tous les peuples du monde Le d fi de la production vu d Afrique La crise actuelle est tr s pr occupante s est inqui t le ministre marocain de l Agriculture Aziz Akhannouch avant de souligner le manque de diversit des sources d alimentation Au Maroc par exemple 45 de la population est rurale et parmi elle 80 des familles vivent directement de l agriculture Pour emp cher la famine il faut selon lui ag
335. s auteurs pour les lecteurs l interview peut tre une des phases pr paratoires au reportage et au portrait 216 Finist re gt La part informative de l article Objectifs D terminer la part du factuel et la part de commentaire dans les articles de presse Public Coll ge Lyc e Mat riel Echantillon de quotidiens ou articles choisis l avance et polycopi s Grille d analyse pr par e par l enseignant Organisation Travail par groupes de 3 4 un quotidien par groupe Mots cl s Factuel Message essentiel Commentaire Implicite Explicite 1 Chaque groupe se r partit les articles un article par participant 2 Rep rer dans chaque article les unit s d information r pondant aux questions de r f rence les 5W Comparer Art 1 Art 2 Art 3 Art 4 QUI QUOI QUAND O COMMENT 3 Rechercher les carts entre le message essentiel et les unit s de sens compl mentaires celles qui rel vent des compl ments d information celles qui rel vent du commentaire et de l analyse celles qui rel vent de la mise en spectacle 4 Comparer les r sultats Int r t Mieux cerner sur les textes eux m mes des articles l cart possible avec la simple relation des faits Prolongements extension partir des unit s de base l ments du factuel r diger un filet ou un ar
336. s avait d cid d interdire la culture du ma s transg nique MON810 r sistant la pyrale sur son territoire Evidemment les semenciers et les producteurs de ce type de ma s ont contest cette d cision en pr cisant que cette culture est autoris e ailleurs dans les pays faisant partie de l Union europ enne Le verdict a t rendu le conseil d Etat a rejet le recours d pos par les semenciers et les producteurs de ma s MON810 La production de ce ma s transg nique est d sormais interdite sur le territoire fran ais pendant l ann e 2008 Enjeux Les OGM sont ils un progr s r volutionnaire comme l avancent ses partisans ou une bombe retardement d nonc e par ses d tracteurs Pr sentent ils des risques pour la sant et pour l environnement ou sont ils une solution inesp r e la faim dans le monde Qui croire Pendant ce temps bien loin de nos d bats 10 3 millions de fermiers dont 90 dans les pays en d veloppement cultivent des plantes transg niques selon les r gles dict es par les firmes agrochimiques Cinq dont le g ant am ricain Monsanto d tiennent elles seules la totalit du march des semences Au del des aspects prometteurs clam s par les uns ou des dangers soulign s par les autres l av nement des OGM se double d un enjeu crucial la mainmise des multinationales sur l agriculture Qu adviendra t il alors des agriculteurs et de leurs savoir faire 164 Finist re Fiche 16
337. s dans un suppl ment encart dans les 2 r gionaux le 4 juin pour le T l gramme et le 2 juin pour Ouest France ainsi que dans les pages de l hebdomadaire d information le 19 juin 2009 Finist re Calendrier 2008 2009 en Finist re R union de lancement de l op ration information et remise du dossier p dagogique le MERCREDI 12 NOVEMBRE 2008 au Conseil G n ral 10 h 30 Diffusion des journaux aux l ves et professeurs partir du 17 NOVEMBRE 2008 chaque jour scolaire pendant 9 semaines jusqu au 6 FEVRIER 2009 Journ es de formation pour les enseignants 19 janvier 2009 au CRDP Quimper Comparaison des journaux gr ce aux 15 exemplaires par titre du 23 FEVRIER 2009 au 7 MARS 2009 Ouverture sur l ensemble des m dias pendant la Semaine de la Presse et des M dias dans l Ecole du 23 MARS 2009 au 28 MARS 2009 Envoi des articles sur la plate forme PHARE pour les suppl ments jusqu au 21 MARS 2009 Envoi de l article illustr s lectionn par la classe l inspection acad mique Pour le 3 AVRIL 2009 au plus tard Vote des classes pour le prix l ves sur Internet du 4 MAI au 16 MAI 2009 R union des jurys challenge dans les d partements l Inspection Acad mique VENDREDI 29 MAI 2009 10 h 30 Remise des prix au Conseil G n ral MERCREDI 17 JUIN 2009 14h30 Diffusion des suppl ments encart s le MARDI 2 JUIN pour Ouest France
338. s discussions en cours avec Moscou visent un accord gagnant gagnant permettant de s curiser la fois les approisionnements de l Europa et les exportations de la Russie Poutine s est souvent plaint de ne pas savoir qui parler quand s adresse l Europe C est donc ls pr sident en exaroce de l Union le Finlandais Matt Vahanen et le pr sident de la Com mission Jos Manuel Barrcso qui se ront ce soir la voix des Vingt Cing Encore faut il que tous soient d ac cord sur le message lis n ont que le temps du d jeuner pour rapprocher leurs points de vue Ayant subi le joug sovi tique les nouveaux membres de Union restent beaucoup plus r serv s que les anciens vis 1s de Moscou lls souhaitent que l on pare ciair Viadimir Poutine On ne peut ignorer le poids cono mique et pokique de la Russie Cebe ci est membre permanent du Conseil de s cuni et l on a besoin d elle pour contenir les ambitions nuci aires de la Cor e du Nord at de l Iran Elle est d ailleurs comme la Chine r ticante imposition de sanctions s v res l an contre de ces pays En mati re com mercials l Union doit aussi veillar pr server ses int r ts Encore taut que ceia ne se fasse pas au d triment de ses valeurs La voix de l Europe sara plus cr dible et mieux respect e si elle chappe la complasance qui est une forme de servilit Joseph LIMAGNE Immigration l Europe tente de
339. s dont les r ponses incertaines et complexes m lent de mani re inextricable les questions sociales conomiques et culturelles El ments de r flexion Les techniques sophistiqu es de la p che actuelle laissent peu de chance aux poissons d chapper aux mailles En effet les bancs de poissons sont rep r s par h licopt re et satellites et localis s l aide de techniques ultramodernes V ritables usines flottantes les 118 Finist re bateaux de p che industriels sont quip s pour nettoyer appr ter surgeler le poisson sur place e En un demi si cle la quantit de poissons p ch e chaque ann e est ainsi pass e de 20 92 millions de tonnes une consommation qui devrait cro tre avec une population en constante augmentation Les populations de poissons pr sentant un grand int r t commercial cabillaud sole carrelet turbot ont t litt ralement d cim s e Au niveau mondial 52 des stocks de poissons sont exploit s leur maximum et 24 sont surexploit s Si la pression exerc e ne diminue pas la biodiversit et par cons quent la cha ne alimentaire de nombreuses esp ces marines pourrait se trouver compromises moyen terme 1 3 des captures rejet es Les bateaux de p che sont g n ralement sp cialis s dans la capture et le traitement d un petit nombre d esp ces de poissons La plupart des autres animaux qui se font prendre malencontreusement dans les filets tels que les c tac s requi
340. s et identifier leur provenance r gion levage ou p che Interroger le poissonnier Suppl ment noter le prix de vente 2 Le nom des poissons est inscrit sur une carte avec leur provenance 3 D bat qui mange volontiers du poisson ou des fruits de mer Qui n appr cie pas qui a une id e concernant l impact de la p che sur l environnement 4 Recherches autour des questions qui ont man du d bat pourquoi les populations de poissons sont elles en diminution Quels sont les probl mes que posent certaines m thodes de p che Quelles sont les alternatives existantes Formuler des hypoth ses sur l origine des variations de prix raret provenance m thodes de p che 5 D bat quelles conclusions en tirer Que pouvons nous faire en tant qu individus et consommateurs pour contribuer modifier la situation 6 Prolongements examiner les menus poissons de la cantine 122 Finist re Autre piste Quand il y a enqu te et reportage Faire comprendre que respecter la nature c est relier temps espace homme et mati re Se questionner sur les diff rentes activit s du port p cheurs plaisanciers industriel c tier ou scientifique organisme de p cheurs garde p che agriculteur de g n rations diff rentes Objectifs e prendre conscience du ph nom ne appr hender les pressions conflictuelles qui s exercent sur le littoral identifier les diff rents acteurs en concurrence et compren
341. s et les tapes de l laboration des concepts en mobilisant toutes les ressources des disciplines concern es constitue en particulier un moyen efficace d aborder la complexit Connaissances l issue de la scolarit obligatoire tout l ve doit avoir une repr sentation scientifique du monde reposant sur des connaissances Chacun doit donc savoir que l Univers la mati re les organismes vivants baignent dans une multitude d interactions et de signaux Chacun doit savoir que l nergie perceptible dans le mouvement peut rev tir des formes diff rentes et se transformer de l une l autre conna tre l nergie lectrique et son importance conna tre les ressources en nergie fossile et les nergies renouvelables Chacun doit ma triser des connaissances sur l Homme unicit et diversit des individus qui composent l esp ce humaine influence de l Homme sur l cosyst me gestion des ressources Chacun doit tre familiaris avec les technologies courantes le traitement lectronique et num rique de l information et les processus automatis s la base du fonctionnement d objets de la vie courante Capacit s L tude des sciences exp rimentales d veloppe les capacit s inductives et d ductives de l intelligence L l ve doit tre capable de savoir regarder questionner observer formuler une hypoth se et la valider argumenter mod liser de fa on l mentaire Il doit
342. s stocks des supermarch s les suivent dans leurs d marches Ces propositions sont elles pertinentes Quels sont les effets sur les p cheurs et leurs pratiques En ciblant globalement des esp ces dont les stocks sont tr s divers ne met on pas en p ril des activit s tout fait acceptables et durables ne sous estime t on pas la complexit des probl mes la variabilit naturelle etc 3 L aquaculture se d veloppe rapidement et fournit actuellement pr s de la moiti du poisson consomm dans le monde Elle concerne des produits tr s populaires en France comme le saumon les crevettes tropicales et plus r cemment le pangasius le tilapia Quels choix faire en tant que consommateurs en fonction de l analyse des conditions d levage des impacts divers de l aquaculture 4 Les inqui tudes sur l tat 44 Finist re de la biodiversit marine am nent de nombreuses organisations et beaucoup de scientifiques pr ner le d veloppement des r serves marines et des aires marines prot g es Quelle est l efficacit de ces r serves Quel est leur impact sur les ressources et les disponibilit s alimentaires N y a t il pas des contradictions et des conflits possibles entre la protection de la biodiversit et les moyens d existence des communaut s littorales Un film indien The Right to Survive examine les graves probl mes sociaux li s la cr ation de r serves pour prot ger les tortues sur la c t
343. s vite que le l gislateur Patrick Viveret 2007 Extrait Proposition de loi pour un fonds pour la promotion du d veloppement durable e Sur les liens entre publicit s et soci t s et l importance de montrer galement comment elle contribue un syst me destructeur vis vis des ressources naturelles et g n rateur d in galit s La publicit v hicule les courants dominants d une soci t C est vrai Les publicitaires s inspirent des tendances du moment de nos comportements Si les publicit s actuelles ne cessent de brandir l argument cologique pour vendre leurs produits m me les plus polluants c est parce que l environnement r chauffement climatique aidant est devenu une pr occupation importante des citoyens consommateurs Le produit marchera s il rencontre un besoin r el m me si la plupart du temps ce besoin est p riph rique besoin social d estime de soi Ce besoin la pub le transforme en d sir Et ainsi naquit le bonheur et la reconnaissance sociale La pub influence ainsi tout autant la soci t qu elle s en inspire En transformant des besoins p riph riques en d sirs chroniques elle est devenue le moteur de la soci t de consommation le porteur d un mod le qui doit couler ses stocks et puise la plan te cf c r ales Un mod le fond sur l panouissement personnel et dissipant nos aspirations et responsabilit s collectives Un mod le faisant croire que le bonheur est port e de main
344. sformer un aliment confection en cuisine par Jean Michel Lorrain et fabrication industrielle de la confiture chez Andr sy 2038 Cycle 3 Ecole l mentaire Ecole primaire Vid ocassette Du jardin la table 2 La Pomme de terre Foucher Roger CNDP Paris La Cinqui me Galil e 1999 1 vid ocassette VHS 13 min coul SECAM son 1 livret p dagogique 10 p La pomme de terre comment a pousse Les diff rentes tapes du cycle de vie d un plant de pomme de terre Chips ou pur e deux fa ons de transformer un aliment fabrication industrielle des chips et de la pur e vite pr te et confection en cuisine d une pur e l ancienne par Jean Michel Lorrain 2039 BEP Lyc e professionnel Secondaire Vid ocassette Transversales Consommation Le Menu l oseille Cros Roland CNDP Paris Images lire 1992 1 vid ocassette 12 min coul travers les m saventures d un duo d apprentis cambrioleurs le film pr sente les six groupes d aliments indispensables au fonctionnement de l organisme humain et d crit le r le de chacun des nutriments qu ils contiennent 3583 ALIMENTATION Coll ge Secondaire Vid ocassette Bout bout 1 et 2 Qu est ce qu on mange Gosse Jean Marc M news t l vision 1997 14 X 13 min x 2 Une s rie documentaire qui propose un all chant voyage au pays du comestible Chaque volet est l occasion de plonger dans l univers d un aliment bien connu Des interviews et de
345. souffrent de la faim tandis que plus de 1 milliard souffrent de suralimentation Et pourtant Le droit l alimentation est fondamental cf d claration DDH C est le droit de chaque homme de chaque femme et de chaque enfant individuellement et en communaut d avoir 158 Finist re en tout temps acc s physiquement une nourriture ad quate ou de disposer des moyens conomiques de l acqu rir dans le respect de la dignit FAO La s curit alimentaire est assur e quand toutes les personnes en tout temps ont conomiquement socialement et physiquement acc s une alimentation suffisante s re et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs pr f rences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine FAO e Le prix des produits agricoles a t divis par deux en quarante ans La production alimentaire augmente plus vite que la population Questionner quelques repr sentations courantes L aide alimentaire ses limites La distribution de denr es alimentaires aux populations pour assurer leur survie en cas de famine r pond une n cessit d urgence mais est elle une solution long terme Les OGM en question Depuis une dizaine d ann es se pose la question de vari t s nouvelles de plantes performantes obtenues gr ce des modifications du g ne de la plante les Organismes G n tiquement Modifi s suppos s apporter une solution au probl me de l
346. sponsables Quels freins conomiques probl me des co ts mais aussi r glementaires question des appels d offres des groupements d achats des r glementations sanitaires Qu est ce qu une volution vers l utilisation de ce type de produits implique sur le travail des agents plus de produits frais g n re plus de travail de pr paration des produits moins standardis s allongent les temps de confection des repas les conditions de conservation peuvent tre diff rentes il peut tre plus difficile d anticiper car les productions sont moins r guli res Que signifient les logos et les labels Sont ils fiables sont ils contr l s Y a t il une relation entre mode de production en particulier respectueux de l environnement en limitant les intrants et qualit gustative ou nutritionnelle du produit Peut on manger bio et d s quilibr 42 Finist re Nourrir se nourrir ici en France et en Europe Nourrir six milliards d hommes est une pr occupation affich e des programmes de g ographie et de SVT Cette question renvoie juste titre imm diatement vers les probl mes de malnutrition et de sous nutrition qui constituent le quotidien d une partie importante de l humanit sur tous les continents en particulier en Afrique et en Am rique du Sud Pourtant cette question est aussi int ressante regarder en Europe et dans notre pays en relation avec des questions enviro
347. sques Et pour qui e Quelle campagne publicitaire feriez vous pour que tout le monde ait droit l alimentation argument slogan image gt Un outil p dagogique pour lire l actualit partir des images Un certain nombre de photos de presse propos es dans le CD 20 photos de l AFP remis chacun des tablissements scolaires inscrits la 1a semaine de la presse l cole pour l ann e 2007 2008 peuvent proposent des images r alis es par des photographes reporters sur ces sujets Vous y trouverez aussi l analyse de chacune des images par son cr ateur photographe ainsi que des pistes pour apprendre lire une image de presse d information 162 Finist re Les OGM en questions Depuis les premi res domestications l homme a utilis de mani re empirique les lois de la s lection naturelle et obtenu des plantes et des animaux de plus en plus performants Depuis quelques ann es les biotechnologies ont volu consid rablement avec la fabrication d OGM organisme g n tiquement modifi Le pouvoir de l homme sur la mati re vivante est elle sans limite Contexte Depuis la commercialisation en 1996 des cultures transg niques leur exploitation dans le monde a progress de 60 En France les OGM repr sentent 0 75 des surfaces cultiv es en ma s S elon l ISAA l organisme charg du recensement d ici 2015 plus de 20 millions d agriculteurs dans 40 pays cultiveront 200millions d hectares de plantes biot
348. st re 176 181 185 188 190 193 212 239 241 175 gt Finist re La bo te id es 1 Analyse et compr hension de la presse crite Libre choix par les l ves d un article de journal Lecture Explication collective D composition de la Une du journal Importance des titres leur syntaxe leur fabrication Classification des titres politique int rieure trang re faits divers sports social Choix et importance des photographies Comparaison des Unes de plusieurs quotidiens classification des journaux sportifs politiques r gionaux Etude comparative d un m me v nement sur plusieurs journaux Naissance vie et mort d un v nement Revue de presse dossiers de classement par rubriques ou par p riodes ou panneaux actualit s Comparaison des sommaires A partir d articles retrouver les diff rentes sources d information agences envoy sp cial correspondant etc Analyse d un article au m me titre qu un texte litt raire Comparaison des buts de l organisation d un article par rapport un texte litt raire Exposition documentaire propos de questions d actualit les l ves recueillent chacun de leur cot le plus grand nombre possible d articles qui sont tri s class s r pertori s afin d afficher les plus significatifs Travail sur les titres R duire les titres Composition de la Une d un journal fictif Trouver les titres d articles
349. stinguer des messages d int r t g n ral Ne pas manger trop gras trop sal trop sucr et faire du sport Comment ces informations peuvent elles co habit es alors m me que la composition de ces produits remet en cause tr s souvent le message d int r t g n ral Intuitivement les l ves sentent bien un d calage Certains parlent m me d hypocrisie Compl ments p dagogiques gt Quelques infos chiffres et documents pour prolonger la r flexions gt Quelques ouvrages sur le sujet gt Sur le web textes sur les liens TV publicit enfant alimentation gt Quelques d finitions des nouvelles techniques publicitaires gt Fiche 3 la publicit on s en d marque gt M dias et sant 100 Finist re Quelques infos chiffres et documents pour prolonger cette r flexion e Sur l influence de la t l vision et la consommation des produits alimentaires Les enfants voient en moyenne 350 000 publicit s entre 0 et 18 ans Ils sont soumis 4 00 messages commerciaux par jour de la publicit TV l affiche publicitaire en passant par les marques inscrites sur quasiment chacun des objets du quotidien v tements mat riels scolaires aliments 1 Quand on sait le lien troit existant entre la publicit sa cible et le contenu des nonc s audiovisuels s arr ter quelques instants sur la fonction de la publicit semble tre une n cessit absolue si l on veut que nos l ves puissent devenir des citoyens et
350. t d l ments qui ont bouscul ces derni res ann es notre rapport l alimentation 115 Prolongements p dagogiques gt Fiche 4 Qui nous nourrit gt Fiche 5 Mer et alimentation gt Fiche 6 Conna tre le secteur primaire et ses emplois gt Fiche 7 Qui fait quoi Pour prolonger la r flexion Lancement d un plan pour une meilleure alimentation Minist re de l agriculture et de la p che 25 septembre 2008 Finist re nouvelles orientations 116 Finist re Fiche 4 Qui nous nourrit Comprendre le pr sent le contexte L alimentation est l une des plus vieilles histoire de l humanit L agriculture est n e au n olithique entre 7 000 et 3 000 avant J C C est au proche Orient que tout a commenc avec la domestication du mouton de la ch vre et la culture du bl et de l orge Toutes les soci t s dans leur histoire sont d abord rurales et agricoles L agriculture et l levage sont donc parmi les plus vieilles activit s de l homme A travers le monde et aujourd hui encore ce sont toujours les activit s les plus pratiqu es mais avec de nombreuses diversit s de tout ordre qui mettent sous pression le monde agricole plus que jamais confront la mondialisation L enjeu Non les salades ne poussent pas en sachets et les poissons ne nagent pas pan s Avant d tre sur nos march s dans les rayons des grandes moyennes et petites surfaces o nous faisons nos courses les alim
351. t elles comme repr sentations et comme information Objectifs le r le de l image dans les campagnes humanitaires Nombreuses sont les finalit s de l image dont l efficacit ne fait plus aucun doute informer et aider comprendre communiquer une motion faire communier dans l motion d un spectacle qui est parfois nationalement mondialement retransmis divertir d tourner du r el stimuler la curiosit voire le voyeurisme des spectateurs provoquer des r actions influencer d noncer pour faire agir ou l inverse impressionner pour terroriser pour d sagr ger une soci t sid r e rendre cyniquement passifs des spectateurs ali n s qui vivent par procuration ce qu on leur donne voir ou donner ceux qu on ne voit pas le moyen d tre visibles audibles d acqu rir une importance qu on leur d niait Faut il craindre l abondance des images Fait elle courir un risque la vie politique ou concourt elle plus de d mocratie Faut il s offusquer que tout devienne pr texte diffuser des images Quels rapports la r alit entretiennent les missions et les images diffus es Faut il craindre le pouvoir des images sur les individus ou se r jouir de leur pouvoir faire partager et faire agir Ces questions sont d actualit si l on veut aider nos l ves comprendre la fois les causes de la famine et les aider comprendre et mettre distances leurs repr sentations qui structurent des normes et des valeu
352. t aid certains l ves saisir les latitudes possibles d un bout l autre de ce contexte scolaire 37 Finist re Les tapes d une cha ne ditoriale production dition mise en page impression distribution assimil es dans notre cas une agence photographique ont aussi beaucoup compt tout au long des s quences o il s agissait de g rer des flux de travaux de rappeler d lais et engagements D un point de vue pratique toute information incompl te oublie de la l gende du titre du nom de l auteur ou fichier mal pr par format nombre de pixels couleurs etc aurait eu de graves cons quences vu la s rie d intervenants dans le processus d dition d un m dia Cela en particulier lors de la s lection d images du choix de leur taille et de l espace pour la l gende dans les suppl ments des classes presse ins r s dans les ditions des journaux Ouest France le T l gramme et le Progr s de Cornouaille Enfin cela nous a permis de souligner l importance du cadre et autant que possible de sa ma trise dans lequel l image va tre pr sent e et d clin e site internet exposition itin rante impression dans un journal L valuation est bien entendu un domaine critique lieu de convention avec l l ve et de questionnement pour l enseignant Au del des commentaires faits tout au long du travail permettant de pointer des acquis notions vocabulaire probl matiques on a pu observer des cara
353. t de l int gration inappropri e de nouveaux produits pr tendant avoir des vertus qu ils n ont pas Pour promouvoir un produit alimentaire le publicitaire doit convaincre l acheteur potentiel qu il a entre les mains l aliment qui lui convient Diff rentes strat gies sont alors susceptibles d tre mises en oeuvre pour y parvenir Vous connaissez s rement les g teaux all g s con us pour garder la ligne en se faisant 108 Finist re plaisir les barres chocolat es riches en calcium ou les gouters quilibr s Qu y a t il d quilibr Que signifie bon pour la croissance ou bon pour les enfants D construire les arguments pour analyser les strat gies mises en oeuvre pour faire vendre un produit puis analyser les compositions et l apport nutritionnel de ces produits permet de comprendre l objectif marketing poursuivi et de ne pas croire simplement la magie des mots Sur le web Comment lire les sigles et les logos les labels alimentaires de qualit Sur le site lire les tiquettes et labels alimentaires Lire l tude tr s d taill e et tr s instructive de l UFC que choisir effectu e en 2006 les publicit s de l industrie agroalimentaire Influence sur les pr f rences et les comportement alimentaires des enfants site UFC que choisir rubrique Alimentation et nutrition site 60 millions de consommateurs Au sujet des innovations alimentaires le site du SIAL salon internationa
354. t qui a donc retenu leurs attentions Les classes presse par la lecture du journal et par l criture d articles et de productions visuelles ne visent donc pas faire des coll giens des sp cialistes des m dias mais des consommateurs et des utilisateurs un peu plus clair s que ce qu ils taient avant Nous privil gions dans ce guide des outils qui nous semblent utiles pour construire des apprentissages de la lecture des m dias et du journal Ce sont des outils la disposition des 64 Finist re quipes A charge chacune des quipes classe presse en fonction de ses objectifs d en cibler certains et d en inventer d autres Car ce projet n est ni fig dans le temps ni dans l espace des classes presse qui depuis maintenant six ans se renouvellent et s enrichissent d exp riences EN GUISE DE CONCLUSION Cette th matique Nourrir se nourrir pourtant complexe recouvre les objectifs phares des classes presse Quelques soient les d clinaisons de chacun des projets classes presse un enjeu d apprentissage et de formation nous r unit familiariser les coll giens l objet singulier pour beaucoup d entre eux qu est le journal puis sa lecture en en comprenant petit petit son organisation et son impact sur le lecteur Agir c est aussi dans le cadre des classes presse rencontrer des acteurs du terrain exprimer leurs points de vue faire r agir par une photo ou une illustration Bref produi
355. t qui ont toujours t les moteurs Des l ves plus fragiles ou timides ont r ussi prendre leur place et se faire reconna tre positivement Les relations dans la classe ont volu au fil du projet Et les l ves ont chang Certains en ayant plus de modestie et plus de respect pour ceux qu ils jugeaient nuls et d autres peu habitu s s impliquer ou participer plus craintifs d tre mal jug s ont pris de l assurance et de l autonomie Autres remarques Les ouvertures et les prolongements donn s cette action t moignages Ce projet a permis de travailler en collaboration avec la biblioth que municipale qui a mis en place une apr s midi d veloppement durable en relation avec des intervenants ext rieurs 34 Finist re acteurs du d veloppement durable de la commune Ce projet les a sensibilis s au travail du journaliste mais aussi au d veloppement durable Il a permis de travailler autrement avec des supports diff rents journaux images visite exposition des dessins de presse Nos meilleurs l ves ne sont pas ceux qui ont produit le meilleur travail dans ce projet La visite du T l gramme Morlaix ainsi que des expositions Reporters Sans Fronti res et le dessin de presse sur le sport ont t une phase importante dans le projet Cela a remotiv les l ves et a largi le projet l a sorti des murs du coll ge C est cette possibilit d ouverture vers l ext rieur qu
356. te Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte T ste Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte Texte gt areret res Czcompris les espaces El ves x y Classe22 d Pour enregistrer l article utilisez le bouton w e Il est important de relire attentivement l article tel qu il se pr sentera vous pouvez aussi conna tre le nombre de caract res avec le bouton nombre de signes dans l diteur l Nombre de signes j La couleur du cadre donne aussi une indication sur le nombre de caract res de l article sile cadre est vert vous tes dans la norme e sile cadre est orange attention vous tes aux limites de la norme e sile cadre est rouge revoyez votre texte il est trop long ou trop court si c est un article long Pour la limitation en nombre de caract res des articles longs ou courts reportez vous au livret p dagogique f Apr s la pr visualisation vous pouvez corriger le titre la rubrique POSTER ou CLASSER DANS LES BROUILLONS et modifier l article le bouton Composer modifier qui permet d afficher de nouveau l article dans la fen tre de l diteur g Une fois ces v rifications faites le PR ne dr L me le bouton Poster gt transmet la proposition d article pour validation EIEVES x y CISSSEZ otre texte eurs de l article Votre Nom
357. techniques de communication ce travail peut tre prolong par une activit visant r pondre la question s agit il d un documentaire de propagande Ou comment le r alisateur nous sert son message Ce prolongement participe un travail critique du documentaire et de sa fabrication Il inclut donc fortement les l ves comme r cepteurs et stimule leur capacit s prendre des distances Un bon exemple d ducation l information et aux images disponible sur le site clemi Bretagne Ces pistes d exploitation ont t retravaill es partir du travail effectu par l association Zootrope Films et des pratiques d enseignants ayant exploit ce documentaire 138 Finist re gt Un autre film documentaire am ricain de Morgan Spurlock Super Size me peut tre propos pour un travail de d cryptage Enqu te d un journaliste sur l importance des fast food dans le r gime alimentaire des am ricains D cryptage en particulier des 3 premi res minutes du film qui m ritent un regard attentif pour comprendre les intentions du r alisateur Certes la consommation des MacDo est au coeur du sujet et ses cons quences galement Cependant les premi res sc nes du film nous donnent voir un mode de vie global de cette soci t am ricaine les maisons sont surdimensionn es les voitures sont aussi surdimensionn es les personnes dans la rue sont aussi en sur poids Et l on pourrait multiplier les exemples de la vie quotidien
358. telle que la promeuvent les diff rents textes parus ces derni res ann es Circulaire du 8 juillet 2004 parue au BO n du 15 juillet 2004 Circulaire du 29 mars 2007 parue au BO n 14 du 5 avril 2007 D une part elle permet de croiser des pr occupations environnementales conomiques 41 Finist re sociales qui constituent les trois piliers du d veloppement durable Comment concilier des imp ratifs d une production alimentaire de masse avec les pr occupations environnementales la prise en compte des impacts environnementaux des productions agricoles et de leur transport dans le contexte de la mondialisation avec la question conomique des co ts avec la question sociale de l acc s pour tous des aliments de qualit Et cette question ne se pose pas que l bas c est dire dans les pays du Sud ou mieux des Suds mais bien s r aussi ici dans nos pays d velopp s du Nord D autre part elle constitue un excellent objet d tude favorable aux croisements disciplinaires en particulier en g ographie et en sciences de la vie et de la Terre seuls des regards crois s entre ces disciplines permettent d aborder les questions pos es dans toute leur complexit et en vitant des r ponses simplistes Sans oublier l histoire faite de famines et de disettes et qui permet de replacer le probl me dans sa profondeur temporelle Enfin dans une perspective d approche globale E3D tablissements en d ma
359. ti lo torrons islomnique intem nabi Cont i No marquera pas fn NI b Russio ni ingota R puo ge casionno ne lireront avanta parodie de d mocratie qui Qera ron Mais au Moins ut ON chez noaa s en indigne Josoph UMGNE Le gouvernement tire les le ons de la canicule devant les d put s Sant l tat d cid tre plus pr sent Page 3 Une des mesures envisag es pour r duire le d ficit de la S cu D rembourser l hom opathie pourquoi LE REST 02 58 K NOUVELLE ADRESSE 5 BREST 174 rue Je ri Jau ANOETA E AUIEN FANCH Qui meme lt ss DITUE e E22 AT IE AR LE BRA EE NAN PANES rra MEE z 204 Finist re A la Une des deux r gionaux un m me v nement local le TGV et deux approches ditoriales BRETAGNE NEUF BLESS S SUR LA RN 12 Soleil rasant aveuglant les automobilistes chauss e humide et l g re brume hau teur de Plouagat sur la RN 12 Hier treize v hicules ont t impliqu s dans un carambolage qui a fait neuf bless s et pro voqu un bouchon de 5 km Derni re page BREST LA GROGNE DES MOTARDS Page 12 NATURE IX NEUF SITES DECOUVRIR Ce week end les beaut s secr tes de la nature bretonne vont se d voiler au gr de 19 sites parti culi rement remar H quables et d ateliers BIS pour les petits et les grands Page 10 EXPLOSION LOURD BILAN DANS LA LOIRE Page 6 rE SAE
360. ticle plus complet commentaire explicite implicite d bat sur l impossible objectivit comparaison entre les mani res dominantes des diff rents organes de presse 217 Cle Finist re gt L criture de presse Objectifs Les lois de l criture de presse Ecriture d information criture de communication Public Ecole Coll ge Lyc e Mat riel Articles br ves filets reportages enqu tes sous forme de textes polycopi s Extraits de JT et de flash radio o intervient un pr sentateur Organisation Travail en petits groupes participation souhaitable d un journaliste Mots cl s Lisibilit Genres jJournalistiques Lois journalistiques Le journaliste crit pour tre lu et compris de tous ses lecteurs pr viennent les auteurs du Guide de la r daction ditions du CFPJ destination des futurs journalistes Et ils poursuivent Le premier souci du journaliste doit tre la clart clart du message clart du langage Ecriture de communication l criture d information ob it des lois communes tous les supports 1 Les extraits d articles de pr sentations radio et t l vis es sont r partis dans les groupes Chaque groupe analyse les caract ristiques des textes 2 Mettre en commun et engager des constatations sur les points suivants R ponses aux questions de r f rence qui quoi o quand pourquoi comment
361. tionnaire d codage les l ves vont alors travailler seul ou en duo sur 105 Finist re l analyse de leur publicit La mise en commun peut porter sur le public vis les messages et le produit vendre le support choisi et le partage de la r flexion issue de l exercice Sans jugements consigner au tableau les informations livr es Ces l ments alimentent un d bat discussion amenant tre plus vigilant face de telles publicit s Aller plus loin poursuivre l analyse et la r flexion et passer l action Analyser apprendre distinguer les informations images textes slogans chiffres au sein des publicit s Quelles sont les repr sentations offertes Quels liens avec la r alit avec la qualit de l environnement et la belle nature souvent pr sent e Que nous apprennent les informations contenues dans la publicit Faire la distinction entre une publicit et un message d int r t g n ral Comptabiliser le temps consacr la publicit dans diff rents programmes t l vis s suivis par les l ves Rechercher la publicit sur Internet et ses diff rentes formes banni res po ups blogs vid os et les publi reportages articles de presse qui sont en fait des publicit s Suivre le chemin d une publicit les diff rents m tiers de la publicit et les diff rentes tapes de cr ation Visiter une agence publicitaire Interroger le responsable marketing d
362. tique Communiquer n est pas toujours informer La publicit on s en d marque Mer et alimentation We feed the World Prendre position Comment d battre des OGM 3 fiches Ecrire un article d opinion prendre position L enjeu alimentaire Se nourrir dans le monde des paradoxes Dans l avenir qui va nourrir le monde Les droits universels 71 Finist re 72 Finist re Les fiches p dagogiques et les liens vers le site du clemi bretagne pour des compl ments 73 Finist re 74 Finist re Faire merger les repr sentations des l ves Pour aborder le th me avec les classes presse Manger a vous fait penser e Objectifs Il s agit de faire merger des repr sentations des l ves sur l acte alimentaire quel est le rapport des l ves leurs alimentations et d identifier les diff rents regroupements possibles qui organisent les dimensions de l acte alimentaire A l issue de l activit les l ves seront mieux capables de s exprimer sur leurs connaissances et leurs pr occupations en mati re d alimentation de distinguer les diff rentes dimensions de l alimentation de renforcer et de d velopper leurs capacit s faire des choix adapt s leurs besoins leurs go ts leurs habitudes et leur mode de vie de poser un regard critique sur le lien entre leur environnement et l alimentation e D roulement exposer les r gles de l animation proposer une
363. tis pourront encore choisir tel ou tel poisson l tal Les moins nantis prendront ce qui reste tant qu il y en aura Le poisson devient une denr e de luxe alors qu il repr sente pour plus d un tiers de la population une denr e de base Quel pouvoir avons nous face cette situation Nos choix de consommateurs influencent dans une certaine mesure le jeu de l offre et de la demande et sont ainsi une mani re d exprimer notre avis et de mettre en avant les valeurs qui nous guident 121 Finist re Fiche 5 Mer et alimentation Activit La poissonnerie Objectifs mieux conna tre les poissons prendre connaissance de ses qualit s comme aliment prendre conscience des menaces qui p sent sur lui changer d habitudes alimentaires Suggestions d activit s partir d une visite de poissonnerie La visite d une poissonnerie ou de rayons de grandes surfaces peut servir de point d ancrage pour inviter les l ves s int resser au poisson et la probl matique de la p che Dans les rayons d une grande surface pour d couvrir la vari t des produits alimentaires d origine marine conserves poissons produits frais ou semi frais sous emballages surgel s produits di t tiques Activit s de recherches 1 Aller dans un magasin supermarch s traiteur poissonnerie picerie avec pour consigne d examiner les poissons propos s la vente plats cuisin s inclus trouver le plus grand nombre d esp ces possible
364. tout au long de la vie afin de prendre part aux volutions de la soci t C est aussi tre en mesure de comprendre les grands d fis de l humanit la diversit des cultures et l universalit des droits de l Homme la n cessit du d veloppement et la protection de la plan te C est pourquoi en utilisant la terminologie europ enne chaque comp tence se d finit comme une combinaison de connaissances fondamentales pour notre temps et de capacit s les mettre en oeuvre dans des situations concr tes mais aussi d attitudes Chaque comp tence requiert la contribution de plusieurs disciplines et r ciproquement une discipline contribue l acquisition de plusieurs comp tences Annexe du d cret 2006 830 Juillet 2006 du socle commun 1 la ma trise de la langue fran aise Savoir lire crire et parler le fran ais conditionne l acc s tous les domaines du savoir et l acquisition de toutes les comp tences La langue fran aise est l outil premier de l galit des chances de la libert du citoyen et de la civilit Elle permet de comprendre et d exprimer ses droits et ses devoirs Capacit s Lire Au terme de sa scolarit obligatoire tout l ve devra tre capable de d gager l id e essentielle d un texte lu ou entendu manifester sa compr hension de textes vari s qu ils soient documentaires ou litt raires Ecrire La capacit crire suppose de savoir r diger un t
365. trait de d marrer le projet plus t t et de pr parer mieux les l ves la r ception des journaux ainsi qu la recherche des id es d critures d articles et d j de les familiariser la presse crite Demande de formation nonc e plusieurs fois Sur la lecture de l image de presse et sur les chiffres dans la presse y compris la fabrication des infographies Autre demande apprendre faire une interview vivante C est le type d articles qui para t au premier abord le plus facile mais se r v le en fait d licat Enfin principalement pour les 3 meDP implant s dans un lyc e recevant des exemplaires de Ouest France en grand nombre penser construire un travail permettant d utiliser les 2 journaux en comparant le traitement des informations sur une p riode suffisamment longue L article qui repr sente la classe pour le vote l ve et pour le jury adulte certains n avaient pas compris qu il s agissait du m me article est tr s souvent une tape difficile dans le projet et v cue parfois comme d cevante par les enseignants qui souhaiteraient donc une aide pour mieux faire Les enseignants les anciens trouveraient int ressant de remettre l ordre du jour le calendrier qui tait remis il y a quelques ann es et pouvait donc tre affich en classe presse 35 Finist re utile pour la gestion du temps des tapes du projet mais utile aussi pour les l ves
366. tre amusant ou bizarre qui renseigne peu sur le contenu de l article ou plut t informatif beaucoup de renseignements sur l essentiel de l information trait e dans l article Il peut tre pr cis ou renforc par un surtitre et un sous titre C est souvent une fois l article r dig qu un titre s impose 2 Le chapeau quelques lignes de texte Elles r sument l essentiel de l information et incitent lire le reste Evaluez votre chapeau une fois l article compl tement r dig 3 L attaque c est la premi re phrase de l article proprement dit Souvent une phrase bien travaill e parfois un mot ou quelques mots Il faut d buter l article sans h siter originale br ve et rythm e l attaque accroche le lecteur 4 Les sous titres Quelques mots qui jalonnent le texte toutes les vingt lignes Ils sont souvent tir s du texte 5 La chute c est la derni re phrase de l article Souvent une phrase courte et travaill e comme l attaque Elle est importante car c est l impression finale que le lecteur garde de l article au bout du compte quel sentiment voulez vous lui laisser 6 Les l gendes et les sources obligatoires pour les cartes dessins et photos 239 Finist re Petit guide du maquettiste Pour pr senter votre article s lectionn au jury du Challenge Mettre en page c est faire respirer votre article Surtout s il s agit d un reportage La mise en page t
367. ts nutritionnels et anthropologiques Interview de G rard Brochoire propos du pain de tradition fran aise S quences p dagogiques Bibliographie videographie webographie P riodique Le sucre Textes et documents pour la classe 15 04 2003 854 p 5 52 Le sucre sous tous ses aspects Historique de l utilisation du sucre dans la cuisine Technique de transformation de la canne ou de la betterave sucre Maladies li es l hypoglyc mie Biochimie des plantes sucri res et grandes familles de sucres L art du sucre dans la confiserie et la d coration Economie du sucre et l esclavage aux Antilles Les muscles consommateurs de glucose Bibliographie s quences p dagogiques webographie C d rom M tabolisme Chouzenoux Jean Pierre Dubos Jean Pierre Chrysis 2003 1 c d rom 1 livret 31 p Etude de la composition des aliments et des menus de leur valeur nutritive Leur r percussion sur l organisme humain l apport et la d pense en calorie SECURITE SANTE Secondaire Coll ge Lyc e Lyc e professionnel Vid ocassette C t labo c t cuisine 2 le yaourt le poulet les carottes le pain les meringues l italienne le cabillaud la pur e le chocolat la tarte aux fraises Tourancheau Philippe This Herv SCEREN CNDP Paris France 5 Galil e C t labo c t cuisine 2002 1 vid ocassette VHS secam 54 min livret 23 p Comment faire pour que les enfants mangent de tout comm
368. udurier AFGHANISTAN LE PAYS DE Choix qui se r v lent d cevants s lection lol d s v re apr s huit mois de cours manque de d bouch s TOUS LES MAUX La premi re ann e l universit peut parfois se transformer en chec Pour les tudiants comme pour les tablissements eux m mes la question de l orientation est devenue cruciale Page 3 le dossier d Yvon Corre FORMULE 1 SCHUMACHER SUR LE D PART Le septuple champion du monde de Formule 1 Mi chael gra a rail marqu les es EPS TEE re prits hier Monza Italie en remportant d une mr prie ETE part la 90 victoire de sa carri re et en annon ant s e vici par le fl au de l opium l Afgha str prochain d part la retraite fin octobre Per nistan souffre Et peu de solutions s of sonnalit contest e l Allemand laissera derri re frent lui Page 7 la correspondance de lui d faut d une r elle popularit le plus beau Freidoune Sahebjam palmar s du sport automobile cahier Sport 198 Finist re Le Progr s de Cornouaille Courrier du L on Nom du journal Le Progr s de Cornouaille Courrier du L on Si ge social 55 route de Brest 29 018 Quimper t l 02 98 95 1601 Directeur de la publication R dactrice en chef R gis FORT Martine de Saint Jan Date de cr ation 1945 Lieu de la r daction Quimper Jour de parution Vendredi Prix 1 euro Effectif total au journal J
369. ue les illustrations soient judicieusement ins r es dans le plus grand nombre d articles possibles afin de rendre leur lecture plus Chercher le attrayante fichier image Si vous rencontrez des difficult s lors du travail sur la plate forme contactez la l assistance informatique de l acad mie par t l phone 0810 454 454 ou par m l assistance ac rennes fr Daho ms vendre de 209 1739 FORMATION A L UTILISATION DE LA PLATE FORME CLASSES PRESSE Les images sont redimensionnables avec les poign es apparaissant lorsque l on passe la souris sur les carr s noirs encadrant l image s lectionn e voir en fin de document les pr cisions sur la gestion des images b Personnaliser la mise en page de l article facultatif Si l on veut obtenir une mise en page soign e dans le cas o l on pr sente des images il est souhaitable de cr er un tableau dont on peut masquer les bordures Utilisez le bouton qui ouvre l insertion de Ins rer un tableau Dialogue de page Web X tableau b Ins rer un tableau Nom requis pour modifier le tableau ensuite gt D terminez le nombre de colonnes et de lignes Lignes 1 Colonnes 2 Largeur 100 gt Ecrivez le texte dans une cellule puis dans une autre afin qu elles se redimensionnent tente nom A arame tres Espacement automatiquement alignement Par d faut v Cellules 1 gt Il est tout fait possible d ins rer i
370. une grande enseigne ou du service communication de votre journal Cr er une annonce publicitaire ou une contre publicit D battre sur le r le de la publicit Distinguer besoin envie et d sir Pour amorcer cette r flexion demandez aux l ves s ils ont d j vu une publicit sur le sel Pourquoi Pourtant tout le monde utilise du sel Rencontrer et interviewer un voisin de palier ou de quartier qui a appos sur sa bo te aux lettres un autocollant pub non merci Ou un l ve qui ne se transforme presque jamais en porte pub les fabricants de v tements adorent afficher leur marque et leur logo en grand sur leurs produits afin de transformer les gens en hommes sandwiches et celui ou celle qui ne jure que par les marques Analyser les publicit s pr sentes la Une du journal que les l ves ont entre leurs mains quel s produit s Courant De luxe Quelle marque et quel magasin O se situe t il pour mieux comprendre le lectorat type de ce journal pr occupation centre d int r t ge parfois sexe lieu de r sidence professions niveau socio conomique par exemple 106 Finist re M dias et sant d velopper l esprit critique L ducation la sant s est longtemps r sum e transmettre des informations Ne doit elle pas aussi duquer l information Les messages sant sont certes partout sur les t l visions les t l phones Internet les journaux les produits de grande
371. ur Si les l ves r alisent un journal dans la classe ou l tablissement c est l occasion de lancer un d bat sur son contenu sa mise en valeur et les lecteurs vis s PROLONGEMENTS La lecture de l article et les l ments de lisibilit qui l environnent L tude des textes et images du journal Accroche Elle peut avoir plusieurs formes selon le type de publication C est souvent un texte court redise en gros caract res Elle peut tre plac e au dessus du chapeau ins r e dans le corps de l article affich dans te sommaire ou en Une Appel Titre ou titre et chapeau publi en Une ou dans le sommaire 178 Finist re gt D une rubrique l autre Objectifs De la Une la derni re page un journal est organis structur Comprendre compartiment en rubriques ou s quences Elles constituent l armature l organisation permanente du journal et sont r v latrices de ses orientations et des d un journal domaines auxquels il s int resse Elles sont variables d un journal l autre mettre en vidence le r le et la fonction des rubriques Montrer comment la surface r dactionnelle varie d un journal l autre Public Ecole e Coll ge Lyc e Mat riel Un panel de la presse quotidienne nationale et r gionale d un m me jour et de presse jeune Organisation Travail par groupe Plusieurs s ances selon le niveau des l ves Avec les plus jeunes 1 D cou
372. ur de l argumentation Choisir le sujet et amorcez une discussion propos du sujet choisir et de l opinion exprimer Notez les id es qui mergent au tableau Quelle situation ou quel v nement vous indigne dans votre vie quotidienne l cole ou dans le monde propos du th me des classes presse Comment trouver un sujet qui puisse int resser un large public de lecteurs Comment concilier des opinions individuelles en une opinion collective Seul ou en groupe une opinion exprim e collectivement par une classe ou un groupe a t elle davantage de poids qu une opinion exprim e par une seule personne 4 crire c est s engager Diviser les l ves en quipes Proposer chaque quipe de r diger un article 450 signes sur le sujet retenu par le groupe Portez l attention des l ves sur la structure de l article l introduction ou pr sentation du sujet qui part souvent d une r alit quotidienne v cue la pr sentation de renseignements sur le sujet l expression de l opinion la conclusion ouverte qui exprime l effet souhait la signature et la date qui confirment l acte d engagement 5 Chaque quipe une fois l article r dig le pr sente l ensemble de la classe Amorcez une discussion propos des articles de toutes les quipes quel est le sujet de l article quelle est l opinion exprim e l article veut il avoir un effet aupr s des lecteurs quelle s am lioration s peut
373. ur sort et Qu est ce que vous ressentez 153 Finist re Fiche activit photo langage Disposez les photos du th me r colt es par les l ves Chaque l ve choisit une image et par groupe essaie d imaginer l histoire de cette photo pour nous la raconter L imagination travaille mais la r alit est parfois loign e rappel e par l enseignant Sur l exemple d un enfant sur une d charge pourquoi les enfants sont sur la d charge Pourquoi ne sont ils pas l cole Ce gar on qui pousse la charrette il ne joue pas il travaille pour gagner un euro par jour Elargir le d bat Rapprochement entre environnement et commerce quitable par la connaissance des crit res du commerce quitable qui sont directement li s d autres grands enjeux du monde Voir et le Sud dans tout a Sur le web Le Centre National de Coop ration au D veloppement CNCD ACODEV Acodev est la F d ration des associations de coop ration au d veloppement francophones et germanophones Elle compte 90 ONG membres Vous trouverez sur leur site web notamment une base de donn es sur les nombreuses ONG d ducation au d veloppement des documents de r f rence des pistes vari es sur ce qu il y a faire en France ou ailleurs comme b n vole ou salari www acodev fr CNCD Vous cherchez des infos sur la solidarit internationale Vous la trouverez au CNCD associant peu pr s 90 associations Son site et ses outils p
374. ure et sant Buller Laura Gallimard Jeunesse Les yeux de la d couverte 2006 71 p ill en coul phot coul 29 x 23 cm Pour apprendre bien se nourrir en reconnaissant les diff rents types d aliments et en tudiant leurs propri t s Explique les diff rentes mani res de cuisiner selon les r gions du monde et les coutumes les diff rents types d agriculture les risques sanitaires les organismes g n tiquement modifi s Aborde galement la question de la faim dans le monde 52 Finist re 641 642 BUL Ecole l mentaire Ecole primaire Coll ge Secondaire Livre Nourrir les hommes Association des professeurs de biologie et de g ologie APBG Protection des plantes et environnement 1992 65 p ill 10 fiches 10 transparents coul Cet ensemble p dagogique aborde les sujets suivants comment nourrir les hommes les relations alimentaires une histoire d aliment l eau et la vie sant et environnement nutrition et sant l ing nierie du vivant les plantes de la ville les m dicaments des plantes la production agricole raisonn e 372 857 NOU Livre Notre nourriture aliments culture et sant Buller Laura Gallimard Jeunesse Les yeux de la d couverte 2006 71 p ill en coul phot coul Pour apprendre bien se nourrir en reconnaissant les diff rents types d aliments et en tudiant leurs propri t s Explique les diff rentes mani res de cuisiner selon les r gions du monde et les
375. urnal est organis selon ses r gles propres Cette fiche du journal son propose la d couverte par les l ves des l ments qui contribuent une organisation lecture efficace de la presse pour une lecture efficace Confronter les choix du journal et les choix du lecteur Public Coll ge Lyc e Mat riel Un exemplaire d un quotidien par l ve Organisation Travail individuel Intervenants souhait s journaliste secr taire de r daction Mots cl s Niveaux de lecture Accroche Appel 1 Observations Un chantillon de quotidiens vari s est r parti entre les l ves Apr s un temps laiss la prise en main chacun indique le comportement de lecture qu il privil gie Lit il pour rechercher l information Sur quels articles s arr te t il 2 A l aide de feutres les l ves soulignent les facteurs de lisibilit Quels sont les l ments d accrocher Comment fonctionnent les appels de lecture Comment choisit on poursuit on sa lecture Ils abordent les niveaux de lecture Au del des premi res approches quel est le parcours entre les titres les chapeaux les corps d articles Quelles sont les autres entr es dans le journal La Une mais aussi le sommaire et les rubriques seront identifi s 3 Proposez aux l ves d tablir des conclusions sur l organisation du jour nal la facilit de circulation les l ments stables visant fid liser le lecte
376. vain et de pains traditionnels cuits avec levain puis comparer Enqu te locale sur le bio Pour travailler ce th me EN MATHEMATIQUES Travailler sur des situations de proportionnalit travers la notion de rendement Ex 50 quintaux de bl par hectare en France Combien de quintaux pur 2 hectares Travailler sur les superficies travers les mesures agraires de hectare are centiare Sur le web Lire Le dossier de presse du 25 septembre 2008 Pour une meilleure alimentation Minist re de l Agriculture et de la P che 247 2 ko PDF 129 Finist re 130 Finist re Comment lire le monde dans son assiette Entre les paysans du monde entier et les millions de consommateurs qui fait le lien et comment 131 Finist re Comment lire le monde dans son assiette Comprendre et enqu ter du producteur au consommateur les tapes et circuits conomiques d changes alimentaires Dans les repr sentations premi res des l ves nourriture aliments et marques sont confondues A tel point que lorsque les l ves ont t convi s collecter des images ou des emballages de ce qu ils mangent couramment tr s peu ont propos des produits bruts et la tr s grande majorit a s lectionn des cartons d emballages enveloppant des produits confectionn s et pr ts tre consomm s Ils ont vite rep r ensuite que des grandes marques se retrouvaient pr sentes quel que soit le produit consommer
377. ven Guillaume Bouniol 02 98 50 14 60 SEGPA Coll ge La nnec Pont l Abb Ren e Laure Euzen SEGPA Coll ge Max Jacob Quimper Lucile Vanweydeveldt 02 98 90 93 93 Coll ge des Iles du Ponant site de Batz Ouessant Mol ne et Sein Contacts Didier Gourin 02 98 90 93 51 courriels prenom nom ouestfrance fr e Classes Le Progr s de Cornouaille Courrier du L on Etablissement Journaliste parrain Coll ge La Tourelle Quimper Ad le Morlet 02 98 96 80 73 progres am awanado fr Coll ge Notre Dame de Kerbertrand Quimperl Martine de Saint Jan 02 98 95 96 86 progres msj wanadoo fr Coll ge Saint Joeph Fouesnant Matthieu Gain 02 98 95 35 34 progres mG wanadoo fr Visites des entreprises de presse Prendre rendez vous d s le mois de d cembre Les visites sont gratuites Le transport est pris en charge par le Conseil G n ral e Ouest France 10 rue du Breil ZI Rennes Sud Est Rennes Colette James 02 99 32 66 27 de 14h 18 h visite virtuelle www ouest france fr e Le T l gramme 7 voie d acc s au port Morlaix Bertrand Le Nena 02 97 84 46 75 b lenena letelegramme fr visite virtuelle www presse ecole com Finist re La semaine de la presse l cole e La 20 me semaine de la presse dans l Ecole se d roulera du 23 au 28 mars 2009 Elle permettra aux l ves de d couvrir la diversit de la pr
378. venir un excellent ouvrier Seulement il faut tre passionn Sans oublier le sens de l accueil et du service Union des m tiers de l industrie h teli re Finist re 6 sa t che en cuisine Le travail se fait en quipe bien avant l arriv e des premiers clents Quelqu un qui n a pas un gros niveau scolaire peut devenir un excellent ouvrier Finist re Fiche 7 Qui fait quoi De l origine d un aliment la transformation de ce que nous consommons Distribution le partage in gal Pour les producteurs la pression des interm diaires groupes industriels multinationales se fait de plus en plus forte Mais elle p nalise davantage encore les petits producteurs des pays du Sud qui n ont pas d acc s direct au march mondial C est pour lutter contre ces pratiques qu est n le commerce quitable voir fiche e De la terre la table bien des interm diaires e Combien a co te Quatre exemples de produits courants e Pour un paquet de th en sachets mousseline sachets en coton les consommateurs paient 12 pour l emballage 13 pour les feuilles de th 25 pour le conditionnement 50 pour les d taillants comptoirs du th source Comit fran ais du th Comprendre l actualit par l image Hachette pratique 2008 e Pour une tablette de chocolat noir vendue au supermarch le consommateur paie 3 addition de sucre 4 laboration de la liqueur et du beurre
379. ves Le droit de choisir ce que l on mange est pour eux vident oui car on a tout ce qu on veut partout Est ce si simple On a tout ce qu on veut Restons quelques instants sur cette affirmation On a tout ce que l on veut partout ne signifie pas pour autant curiosit d couvertes ni m me pour certains l ves choix raisonn s et volontaires Je mange ce que me pr pare ma m re dit cet l ve ou je mange ce que la cantine me propose Ou encore quand je fais les courses avec ma m re si j ai le choix je prends ce que j ai vu la t l et que j ai envie d essayer Ces d clarations sont la marque que dans le quotidien l acte de manger et de se nourrir sont une exp rience qui n est pas dissoci e d un environnement et d une culture qui est la leur Mais qu ils consid rent comme allant de soi naturelle et tablie une bonne fois pour toute Cette profusion et cette abondance des produits alimentaires est elle signe d ouverture d autres fa on de se nourrir ou un repli sur nos habitudes et notre tradition Lorsque les l ves sont amen s dire les plats ou les produits alimentaires qu ils aiment leur pr f rence tient compte de leurs exp riences Si dans la classe d autres l ves ayant v cu dans un autre pays t moignent avec recettes l appui d une autre fa on de pr parer un repas ou de se nourrir le caract re tranger leur culture alimentaire les tonne et les d range Par
380. vrir la notion de rubrique Travail par groupe Distribuer un exemplaire du quotidien r gional chacun des groupes constitu s Demander aux l ves de rechercher dans les pages int rieures du journal des images ou des articles qui parlent de sports de m t o des programmes de t l vision ou qui proposent des jeux Faire observer aux l ves les crits qui figurent en haut de la page en gros caract res le nom des rubriques Les lire ou les crire les d finir Une fois la notion stabilis e proposer aux l ves de rep rer les autres rubriques du journal Lister au tableau les rubriques trouv es Faire mettre des hypoth ses sur leurs contenus des informations sur la politique du pays sur des spectacles sur des v nements de la r gion le monde 2 Trouver la bonne rubrique e S lectionner de courts articles dans les diff rentes rubriques d un journal Les photocopier sans la r f rence la rubrique dont ils sont extraits et les distribuer aux l ves Ecrire au tableau les noms de ces rubriques Inviter les l ves lire les articles distribu s les placer sous une rubrique et justifier leur choix e Conduire les l ves mieux organiser les pages du journal scolaire R fl chir au r le des rubriques dans le journal classement d crits pour viter un fourre tout d articles Montrer les choix r dactionnels d une quipe Aider les lecteurs se rep rer dans les pages du journal Quelles
381. x semaines avant la premi re s ance de travail Choisir le sujet et penser aux lieux possibles d enqu te par groupes de 2 ou 3 Pr ciser les ch ances et tablir un planning r capitulatif des t ches effectuer entre les deux s ances de travail Fixer la 2 s ance en laissant un d lai suffisant pour la r alisation du reportage Pour cela faire le point r guli rement Un calendrier par groupe pour r pertorier les dates les t ches les responsabilit s Un cahier sp cial par personne pour la prise de notes Un dossier par groupe pour la documentation L enseignant demande aux l ves de choisir un angle comme en photographie pour traiter le sujet choisi en fonction de ce qui existe d j sur le sujet des lecteurs auxquels ils s adressent de l actualit 15mn On rappelle les dates butoir Pendant 45mn les l ves organisent la r partition des t ches d marches diverses contacts t l phoniques prises de rendez vous demandes d autorisation organisation de d placements Ils se procurent la documentation disponible au CDI y rep rent les l ments conna tre sur le sujet Ils pr voient ce quoi ils seront attentifs sur le terrain ambiance d cor pour que le reportage soit vivant Quelques jours apr s la fin du reportage L enseignant demande aux l ves de b tir la trame de l article synopsis Il v rifie la pr sence de toutes les informations
382. ype de pub Commentaires 209 Finist re gt La revue de presse La revue de presse concerne la presse crite elle n admet pas de s lection priori permettant justement de lire tous les journaux sans exclusive d opinion ou de qualit Elle consiste montrer comment les journaux et magazines traitent les faits et les pr sentent leurs lecteurs Elle d tecte au passage l orientation de l opinion de chaque journal La revue de presse est une comparaison de ce qu il y a dans les journaux Elle retient des extraits d articles et les assemble en un montage de citations organis selon un angle particulier ou autour d un th me La revue de presse peut s int resser l ensemble des informations ou au mieux se limiter aux informations essentielles Elle peut se limiter un type d articles ditos ou un v nement en particulier 1 D roulement d une revue de presse Pr paration Quel est le public auquel s adressera la revue de presse Mat riel Un ventail de quotidiens Dur e 2 4 heures a Exploration Prise de connaissance des journaux feuilletages premi res constatations b Travail sur chaque journal Recenser les titres choisir les faits qu on pense retenir ex seuls faits importants qui occupent la Une un sujet qui n appara t qu en pages int rieures mettre en valeur 2 ou 3 faits c Mise au point d un plan de pr sentation Choix des extraits caract r

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