Le mercredi 22 mai 2013 à 14h30
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1. uzg mu w f 7 Conf rence R gionale de la Sant et de l Autonomie PROCES VERBAL COMMISSION SPECIALISEE DROITS DES USAGERS DU SYSTEME DE SANTE Le mercredi 22 mai 2013 14h30 A PARS Picardie Grande salle du rdc 52 rue Daire AMIENS M BARBIER Pr sident de la Commission ouvre la s ance 14h45 remercie les membres pr sents et constate que le quorum est atteint listes d margement t l chargeables sur l espace collaboratif CRSA M BARBIER pr cise que Mme Mich le BOULNOIS Directrice de l h pital de Doullens est invit e en tant qu experte concernant les l ments du rapport d valuation des droits des usagers 2012 Il demande chacun de se pr senter APPROBATION DU PROCES VERBAL DE LA REUNION DU 29 OCTOBRE 2012 M BARBIER demande aux membres de la commission s ils ont des remarques mettre sur le proc s verbal de la r union du 29 octobre 2012 Le proc s verbal de la r union de 29 octobre 2012 est approuv l unanimit par les membres de la Commission I RAPPORT D EVALUATION DES DROITS DES USAGERS 2012 PRESENTATION ET VALIDATION DES RECOMMANDATIONS M BARBIER pr cise aux membres la m thodologie de pr sentation du rapport dans un premier temps une pr sentation du plan d taill du rapport puis une pr sentation des r sultats des 2 enqu tes et des indicateurs recueillir et enfin une discussion et laboration en s ance des recommandati2. jusqu la vue 9 M COUDRE constate que le retour des questionnaires pour les tablissements a t difficile et s interroge sur la lourdeur des l ments demand s Mme MAURICE confirme que les tablissements lors des relances ont argu du manque de temps en raison d une forte charge de travail II leur a fallu galement faire des recherches des donn es de 2011 Pour les tablissements de sant c est la premi re ann e qu une enqu te faisait office de remont e du rapport CRUQPC un temps d adaptation est galement n cessaire Le taux de r ponse pour les tablissements m dico sociaux est de 80 et 77 pour les tablissements de sant I est certain que r glementairement un taux de r ponse de 100 devrait tre atteint pour les tablissements de sant dans la mesure o cette enqu te valait transmission du rapport de la CRUQPC M BARBIER pr cise que le taux de retour est bien meilleur que celui des ann es pr c dentes m me si effectivement la Commission reconna t que ces taux de retour pourraient tre meilleurs La Commission doit avoir un r le de coordination ces enqu tes permettant de rendre le rapport d valuation des droits des usagers dans de bonnes conditions la CNS Il est difficile de faire autrement sachant qu il y a eu un long travail pour arriver une uniformisation Concernant la vue 9 28 des tablissements ont associ les repr sentants des usagers ces formations notamme
3. confront s des difficult s et souhaitant des conseils Elles se d placent dans tout le d partement Mme GOUJON a d j abord ce sujet lors d une r union de la commission en d cembre 2011 En r ponse M COUDRE Mme GOUJON pr cise que les personnes qualifi es personnes g es font partie du CODERPA et il y a un repr sentant par secteur Quand elles sont saisies elles sont contact es leur permanence pour voir ce qu il est possible de faire I est vrai que peu de personnes qualifi es ont des connaissances m dico sociales mais elles s entraident les changes et exp riences permettant de renseigner l usager Concernant la partie Sant mentale Veiller au bon fonctionnement des commissions d partementales de soins psychiatriques et en r ponse Mme GOUJON Mme MAURICE pr cise que HDT signifie hospitalisation la demande d un tiers vue 42 En r ponse Mme BOULNOIS concernant les vues 43 et 47 Mme MAURICE pr cise que 0 signifie que la Commission d partementale de soins psychiatriques CDSP ne s est pas r unie en 2011 pour les d partements de l Aisne et de la Somme Concernant l orientation 3 conforter la repr sentation des usagers du syst me de sant vue 56 il faut se reporter l enqu te pr sent e l ann e derni re dont les r sultats ont t pr sent s la Commission en juin 2012 Concernant l orientation 4 renforcer la d mocratie sanitaire vue 61 les ta
4. ie Cela explique que le chiffre soit faible par rapport au nombre d entr es dans tous les h pitaux de Picardie Le retour des questionnaires de sortie est un ternel probl me En dessous de 10 de retour cela n est pas utile II faudrait que les CRUQPC r agissent et proposent une am lioration M MARION propose que cela puisse devenir une recommandation de la part de la Commission M BARBIER indique que cela pourrait effectivement en faire partie Mme BOULNOIS ajoute qu il y a des patients qui viennent de fa on r currente dans les services hospitaliers et ne peuvent compl ter les questionnaires de satisfaction syst matiquement pour la m me chose Il faudrait garder la notion d un passage dans le service n y a pas les m mes patients dans les tablissements publics que priv s Ils sont peut tre moins motiv s y r pondre M BARBIER indique que certains tablissements arrivent mettre en place des actions par service pour que le taux de retour de satisfaction soit augment Il faut effectivement qu il y ait une motivation permanente les CRUQPC tant pr sentes pour le rappeler Mme JOUY r pond que cela a t signal dans le dernier rapport savoir que les cadres de sant doivent faire le relais et pointer cette probl matique Les patients peuvent effectivement venir plusieurs fois mais ils n ont pas plusieurs fois la m me exp rience Aussi certains patients n osent pas crire leur r clamation M DUCHANGE
5. indique qu il ne faut pas tre si ambitieux pour le retour des enqu tes de satisfaction Sur ces quelques taux de retour il y a malgr tout mati re travailler Mme MAURICE reprend la pr sentation la vue 16 Mme MAURICE indique qu un travail a t effectu pour recenser les si ges vacants dans les CRUQPC en partenariat avec M BARBIER Il reste moins de si ges vacants ce jour mais encore trop au niveau des suppl ants Mme BOULNOIS fait remarquer que pour le CH de Doullens la CRUQPC ne pouvait pas fonctionner car il ny avait pas de repr sentants des usagers Il faut faire partie d une association agr e pour si ger ce qui peut tre une difficult M COUDRE fait remarquer que parfois les usagers sont m contents mais ne s expriment pas forc ment Il faut voir comment faire pour qu ils s approprient les droits d expression Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex 1 www ars picardie sante fr 3 Mme BOULNOIS r pond que pour s exprimer il faut faire partie d une association reconnue et agr e Parfois l usager qui souhaite exprimer une mauvaise exp rience et qui voudrait ventuellement am liorer la situation dans l tablissement concern ne peut pas si ger M BARBIER ajoute que d un autre c t c est un gage de s curit pour l tablissement d avoir une personne qui a t form e et qui fait partie d une association reconnue et agr e M COUDRE r p
6. interr gional ou national qui paraissent satisfaisants l ensemble des repr sentants des usagers Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex 1 wwWw ars picardie sante fr 2 M NEMITZ pr cise que le CHU et les universit s ont mis en place un centre de formations des professionnels de sant qui utilise largement les techniques de simulation destin aux formations initiales et continues de tous les tudiants et professionnels de sant Il est largement pr vu de faire appel aux associations de repr sentants des usagers pour former les professionnels de sant la sollicitation risquant fortement de s accro tre dans les ann es venir Mme MAURICE reprend la pr sentation la vue 10 En r ponse M CAUDRON Mme MAURICE pr cise que les donn es correspondent au nombre d tablissements ayant r pondu et non au nombre total d tablissements vue 13 sachant que 71 des tablissements de sant ont r pondu l enqu te et pas toutes les questions M COUDRE la vue 15 concernant les taux de satisfaction indique qu il est difficile d amener une bonne interpr tation de ces r sultats Les taux de retour des questionnaires de sortie sont faibles M BARBIER pr cise qu il s agit des enqu tes de satisfaction et non des questionnaires de sortie r alis es par les tablissements aupr s d usagers s lectionn s d une mani re al atoire Cela ne touche qu une petite part
7. la Une personne peut se retrouver isol e Ce ne sont pas les plus fragiles qui sont le plus prot g es Mme BOULNOIS r pond que cela n est pas adapt pour les personnes malades psychiatriques M HENRY fait remarquer que cela vaut aussi pour les personnes abandonn es Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex www ars picardie sante fr 4 M CAUDRON indique que les patients peuvent r diger des directives mais non port es la connaissance de l tablissement vue 33 Concernant la partie sur les personnes qualifi es dans le champ m dico social Mme MAURICE pr cise que pour le d partement de l Aisne un arr t des personnes qualifi es au niveau du champ personnes g es existe et un autre est en cours pour les personnes handicap es L arr t est pris conjointement par le Directeur G n ral de l ARS le Pr fet et le Pr sident du Conseil G n ral Pour les 2 autres d partements l arr t n a pas t pris M BARBIER propose que la Commission mette une recommandation sur la d signation des personnes qualifi es pour la Somme et l Oise Mme GOUJON indique que la liste des personnes qualifi es dans l Aisne est transmise par le Pr fet chaque directeur d tablissement La liste est affich e l entr e de l tablissement et Mme GOUJON en fait partie environ 7 personnes au total Les personnes qualifi es peuvent tre contact es par les familles ou les r sidents
8. nformations qui permettrait de recueillir plus facilement les donn es de les mettre jour et les exploiter Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex 1 www ars picardie sante fr 7 En r ponse M CAUDRON Mme MAURICE indique que l annuaire pr voira une r partition des repr sentants des usagers par territoire de sant Concernant la confidentialit des donn es personnelles la diffusion de la liste des repr sentants des usagers ne comportera que le nom pr nom et la structure L objectif final de cet annuaire est la formation des repr sentants des usagers La Commission a pris connaissance de l avancement de l annuaire des repr sentants des usagers et attend la version finalis e VI CALENDRIER DES REUNIONS La prochaine r union de la Commission est fix e le Jeudi 19 septembre 2013 partir de 9h30 la journ e lieu pr ciser ult rieurement VII QUESTIONS DIVERSES Mme MAURICE indique que le rapport de la Conf rence Nationale de Sant CNS sera envoy par mail aux membres M HENRY Vice pr sident de la FNARS Picardie informe qu un colloque est organis le 24 juin 2013 AMIENS sur la participation et expression de l usager en 2013 M HENRY transmettra les informations aux membres M BARBIER indique avoir t interpell par 3 associations diff rentes concernant la mauvaise distribution du futur tramway sur le site du CHU Nord d AMIENS Le t
9. nt celles concernant le fonctionnement de la CRUQPC droits des patients soins palliatifs fin de vie M MARION indique que ce chiffre est faible II lui semble important que les formations des repr sentants des usagers int grent aussi des professionnels Mme MAURICE pr cise qu il s agit des formations organis es par les tablissements de sant pour les personnels des tablissements La formation des repr sentants des usagers est abord e dans un autre point du rapport Mme JOUY ajoute concernant ce chiffre faible de 28 qu il faudrait augmenter le pourcentage de pr sence des usagers dans ces formations Il est important d apporter le v cu des repr sentants des usagers M BARBIER indique que les repr sentants des usagers b n ficient depuis 2013 d un plan de formation assez cons quent et se demande s ils seraient preneurs de formations suppl mentaires avec les professionnels de sant Il y a deux choses diff rentes d une part la participation des repr sentants des usagers en tant que b n ficiaires de formations en m me temps que les professionnels de sant pour des formations organis es par les tablissements ce qui est diff rent de leur participation en tant qu apport de contributions aux formations des professionnels dans le cadre de formations organis es par les tablissements donc ne b n ficient pas de la formation I y a pr sent un plan de formation et des formations propos es au niveau r gional
10. nts des usagers des informations ont t collect es sur les participants mettre en corr lation avec l annuaire des repr sentants des usagers cr par Mme NHEM Mme JOUY indique que le Powerpoint pr sent n est pas clair pour elle notamment sur les statistiques Il faut que cela soit compris par tous et efficace Mme MAURICE r pond qu elle reverra avec M Nicolas HOUPIN responsable du service soins psychiatriques sans consentement PARS Picardie mais que l exhaustivit des enqu tes a seulement t pr sent e la s ance de ce jour d faut d avoir pu transmettre les donn es au pr alable Ce n est pas cette pr sentation trop longue qui sera faite M CHAIB ajoute qu une synth se sur les chiffres serait peut tre pr f rable Votes de la Commission droits des usagers sur le rapport d valuation des droits des usagers 2012 Pour unanimit Abstention 0 Contre 0 La Commission valide l unanimit la pr sentation du rapport Les recommandations 2012 sur la personne qualifi e et la personne de confiance sont adopt es par les membres de la Commission Le Powerpoint sera transmis aux membres de la Commission apr s la r union Ill GRILLE D ANALYSE POUR LE BILAN DE LA LABELLISATION DROITS DES USAGERS 2012 M CHAIB fait part d un travail men en 4 ans par la Direction de la Protection Judiciaire et de la Jeunesse DPJJ avec le Centre Universitaire de Recherches su
11. ond que cela permet d avoir un discours collectif par le repr sentant d usagers et non personnel M CHAIB demande combien de structures ont t interrog es Mme MAURICE r pond que l ensemble des tablissements de sant picards ont t interrog s et sont au nombre de 78 M CAUDRON ajoute que d un tablissement un autre le nombre d entr es est tr s diff rent Mme MAURICE reprend la pr sentation la vue 17 jusqu la vue 20 En r ponse M COUDRE Mme MAURICE indique que le faible pourcentage d tablissements qui ont r alis des valuations externes est logique car les valuations externes sont en cours de mont e en charge dans les tablissements m dico sociaux et c est une d marche nouvelle Ces valuations se font sur le budget de l tablissement Concernant la vue 26 et en r ponse M COUDRE Mme BOULNOIS indique qu il est beaucoup plus compliqu d avoir un centre anti douleur qu un comit de lutte contre la douleur La diff rence est qu un comit de lutte contre la douleur permet des discussions et changes entre professionnels de sant sur le sujet tandis qu un centre anti douleur re oit et traite les patients M BARBIER ajoute qu il existe 2 centres anti douleur par territoire Mme BOULNOIS exprime sa g ne sur le fait que la personne de confiance soit abord e en m me temps que les directives anticip es et indique que ce sont deux choses diff rentes Mme MAURICE r pond que les 2
12. ons Le rapport sera consolid apr s la s ance de ce jour au vu des commentaires des membres de la Commission Mme MAURICE pr sente un Powerpoint t l chargeable sur l espace collaboratif CRSA et propose aux membres de la Commission afin d viter une pr sentation longue de donner leur avis apr s la pr sentation de chaque indicateur Compte tenu de l ampleur des enqu tes et en accord avec M BARBIER il a t d cid d tudier l application des droits des usagers en 2012 sur le secteur du handicap et en 2013 sur le secteur des personnes g es Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex I www ars picardie sante fr 1 L enqu te r alis e aupr s des tablissements de sant portant sur le m dico social vaut transmission du rapport de la CRUQPC qui est pr vu r glementairement Ces 2 enqu tes ont t adress es aux tablissements d but mars 2013 avec un retour demand pour d but avril L quipe de la cellule d mocratie sanitaire et droits des usagers a effectu des relances aupr s des tablissements qui n ont pas r pondu jusque fin avril Ainsi l exploitation des donn es a pu commencer d but mai Ces l ments n ont pu tre transmis au pr alable aux membres avant la r union de ce jour Le plan du rapport est bas sur le cahier des charges minist riel les 4 chapitres correspondant aux 4 grandes orientations Ce rapport 2012 porte sur les donn es 2011
13. points seront distingu s Mme JOUY indique que dans le domaine psychiatrique la personne de confiance n est pratiquement pas abord e Mme BAJUS Charg e de mission l Espace de R flexion Ethique R gionale invit e la commission est tr s tonn e des r sultats concernant la personne de confiance et les directives anticip es car l ann e derni re une enqu te a t effectu e aupr s des tablissements hospitaliers en Picardie Les r sultats de cette enqu te ont montr que 10 de personnels savait r ellement ce qu tait la personne de confiance Il faisait l amalgame avec la personne r f rente La m me enqu te a t r alis e cette ann e dans les EHPAD et c est le m me r sultat les personnels ne sont pas form s ne connaissent pas la personne de confiance et les directives anticip es ne sont jamais r dig es car ils ne savent pas comment aborder le probl me avec les r sidents M BARBIER propose qu une recommandation sur la probl matique de la personne de confiance soit faite par la Commission Il a lui m me constat l amalgame entre la personne de confiance et la personne pr venir M COUDRE ajoute que cela n est pas signal dans le rapport des usagers non plus Mme JOUY concernant la personne de confiance en psychiatrie indique que la personne malade nomme la personne de confiance quand elle se sent bien Celle ci n a pas acc s aux donn es m dicales car confidentielles I faut faire voluer ce
14. pr ciser s ils souhaitent concourir ou non au national L annonce des labels ne pourra tre possible qu en d but de l ann e 2014 En r ponse M CHAIB sur le choix des laur ats et le calendrier Mme MAURICE indique qu il y aura une r union de la commission sp cialis e droits des usagers en septembre 2013 Il faudra noter les projets et faire une autre r union en janvier 2014 M CAUDRON demande ce que l on retient de la labellisation et ce qu elle a apport la structure au projet et aux usagers M CHAIB r pond que l valuation des labellis s de l ann e pr c dente trouve ainsi son utilit Mme MAURICE ajoute que c est pour cette raison que la grille d valuation des projets doit tre r alis e et transmise M BARBIER indique que pour certains dossiers et certains cas cela peut permettre de mener une r flexion sur une prise en charge particuli re M BARBIER pr cise que la labellisation 2013 sera lanc e dans les prochains jours et diffus e sur le site de ARS avec la bonne formule de communication sur les dates La Commission prend acte du renouvellement de la labellisation droits des usagers en 2013 V PRESENTATION DE L ANNUAIRE DES REPRESENTATIONS DES UAGERS L annuaire t l chargeable sur l espace collaboratif CRSA a fait l objet d une premi re pr sentation la r union du 29 octobre 2012 Une r flexion est en cours avec le service informatique de ARS pour pouvoir b tir un syst me d i
15. questions ouvertes et une autre partie d clarative plus administrative sur l action avec le d claratif et le r alis afin de voir le service fait Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex wwWw ars picardie sante fr 6 M BARBIER ajoute que cette grille servira donc valuer les 7 projets labellis s en 2012 accompagn e d un mode d emploi surtout pour certaines structures et associations ne comprenant pas tout le vocabulaire administratif La grille d valuation pour les projets labellis s en 2011 tait plus succincte M CHAIB transmettra ult rieurement la cellule d mocratie un projet de grille d valuation Mme MAURICE propose ensuite un change par mail pour que chacun puisse mettre des observations La Commission valide le principe IV LANCEMENT DE LA LABELLISATION DROITS DES USAGERS 2013 Mme MAURICE pr sente un Powerpoint aux membres de la Commission t l chargeable sur l espace collaboratif CRSA Mme MAURICE indique que les dossiers de demande de label doivent parvenir l ARS jusqu au 31 d cembre 2013 pour le concours r gional mais jusqu au 15 septembre 2013 pour concourir au national M BARBIER pr cise que les 2 projets retenus pour le concours national pourraient ne pas faire partie des projets retenus pour le grand prix r gional II conviendra la cellule D mocratie r ception des dossiers de demander au porteur de projet de
16. r l Action Publique et le Politique CURAPP sur une d marche de qualit et d valuation Des questionnaires ont t faits aupr s des jeunes et des Directeurs de structures pour prendre en compte r ellement la parole de l usager Cette d marche est pr sent e dans un guide de l valuation interne des tablissements et services r dig par la DPJJ Un exemple de fiche d valuation et le guide de l valuation interne des tablissements et services sont joints dans le fond de dossier et disponibles sur l espace collaboratif CRSA Le projet labellis en 2012 du CISS Pic en lien avec la DRJSCS sur le recueil de la parole des usagers est en cours de r alisation avec l Universit de Picardie Jules Verne UPJV Des stagiaires ont t int gr s dans ce projet pour effectuer cette d marche de recueil Par ce travail l usager pourra tre identifi par rapport sa parole Il est important que l usager puisse exister Par le biais de l enqu te de la DPJJ on voit que l usager s exprime par l interm diaire de l h bergeant c est la structure qui r pond on ne l a pas en direct M CHAIB pr sente une grille d analyse pour le bilan de la labellisation droits des usagers 2012 sous le mod le de la DPJJ L objectif de la grille de travail propos e par M CHAIB est de savoir si l usager a t actif et pr sent dans l action et s il a t au centre de l action Une partie de la grille sera centr e sur l usager avec des
17. rac indique une desserte quelques centaines de m tres du CHU et non devant le CHU ce qui peut poser probl me aux personnes malades M BARBIER propose la Commission de r diger un texte type motion afin de le pr senter la prochaine assembl e pl ni re de la CRSA du 12 juin 2013 M MARION et M HENRY pr cisent que le trajet n est pas encore d finitif mais qu il est n cessaire de signaler ce probl me au CHU d AMIENS M BARBIER remercie les membres et l ve la s ance 18h10 Le Pr sident de la Commission Droits des Usagers A Henri BARBIER Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex 1 www ars picardie sante fr 8
18. ux de participation des repr sentants des usagers dans les instances r gionales de sant publique sont disparates et la cellule D mocratie nest pas en possession des taux pour les conf rences de territoire de l Oise M CHAIB souhaite disposer d une fiche r sum e par tablissement Mme MAURICE r pond que ce n est pas possible M BARBIER pr cise que les r sultats de l enqu te sont du d claratif Par exemple la vue 83 tous les tablissements ayant r pondu indiquent remettre syst matiquement le livret d accueil l entr e ce qui n a pas t le cas pour M BARBIER lors d une hospitalisation Concernant la vue 111 sur les recommandations Mme MAURICE invite la Commission consulter le document de suivi des recommandations mises par la CRSA dans le rapport r gional des droits des usagers 2010 joint en fond de dossier M BARBIER indique que des formations pour les repr sentants des usagers ont t organis es dans toute la r gion depuis le d but de l ann e 2013 par le CISS PICARDIE M BARBIER propose de pr parer un courrier cosign par lui m me et le Directeur G n ral de l ARS concernant les 5 recommandations destin es aux tablissements Agence R gionale de Sant de Picardie 52 rue Daire CS 73706 80037 Amiens cedex I wWwWw ars picardie sante fr 5 M CAUDRON souhaite un tableau de recommandations sans pr ciser l ann e pour suivre l volution Suite aux formations des repr senta
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