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Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations

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1. Echelle 2 les besoins relatifs aux projets de territoires ayant une port e g n rale Il peut s agir de projets de d veloppement globaux SCOT mise en place ou suivi d un pays d un parc naturel r flexions sur les contours d une intercommunalit plan local d urbanisme PLU plan d am nagement de d veloppement durable PADD Sch ma r gional de d veloppement SRADT contrats de site Il peut s agir aussi de projets th matiques mais n cessitant une prise en compte du territoire dans sa globalit sch ma de transport de d placement plan local d habitat concertation sur l urbanisme commercial Il peut s agir galement de projets d implantation d activit s ou d quipements la recherche du meilleur positionnement possible Il peut s agir de th matiques li es la nature et la gestion des ressources naturelles comme dans le domaine de l eau l laboration des Sch mas Directeur d Am nagement et de Gestion des Eaux SDAGE ou les Sch mas d Am nagement et de Gestion des Eaux SAGE ou dans le domaine de la nature les zones Natura 2000 Il peut s agir encore de travaux de chercheurs ou de bureaux d tudes qui viennent en appui aux projets cit s ci dessus Les territoires concern s sont majoritairement ind pendants des limites administratives et s appuient sur des limites topographiques de fa on variable au cours du temps Ces projets n cessitent l acc s une information territ
2. L am lioration de la r solution des sources disponibles pour conna tre de d veloppement de l urbanisation un niveau g ographique fin 3 2 4 La d finition des conditions techniques juridiques commerciales qui permettraient le rapprochement des donn es cl s d un territoire selon des zones g ographiques infracommunales fa on 3 2 5 3 2 1 CONSTITUER UN DISPOSITIF PUBLIC DE MISE DISPOSITION DE STATISTIQUES LOCALES SUR LES MARCHES IMMOBILIER ET FONCIER HABITAT ET ACTIVITES Les utilisateurs doivent pouvoir mobiliser en priorit des informations sur les mutations immobili res et fonci res et sur le march immobilier locatif Types de biens tudier sur un territoire Terrains b tir lotissement individuel artisanal ou industriel autre selon la surface Terres agricoles et foresti res surfaces Maison selon le nombre de pi ces ou appartement selon le nombre de pi ces et surface habitable neuf ou ancien si possible selon la date de construction Local d activit usine local commercial surfaces Indicateurs attendus sur ces types de biens Indicateurs essentiels pour les mutations de gr gr et le march locatif Volume des transactions ouverture du march volume rapport au stock Prix moyen m dian et prix au m appartements par pi ce maisons ou par hectare biens agricoles et forestiers Indicateurs sur les acqu reurs et les ve
3. l adresse dans les communes de plus de 10 000 seulement mais les conditions actuelles d utilisation pour une diffusion externe sont clarifier Filocom localise les habitations la section cadastrale uniquement Sitadel ne porte que sur le champ de la construction neuve et la localisation infracommunale identifiant cadastral la parcelle adresse postale des logements est parfois de mauvaise qualit Le fichier des propri t s b ties coupl la composante parcellaire du RGE ou au plan cadastral informatis peut terme devenir une r f rence sur la localisation des immeubles et des logements A signaler galement le projet annonc par l Insee lors de la rencontre du moyen terme du CNIS de constitution d un r pertoire du logement qui permette d analyser l volution du parc immobilier 5 1 3 MARCH IMMOBILIER ET FONCIER R f rences D crire l occupation de l espace et le march Voir CR du 31 mars 2009 immobilier et foncier avec les sources fonci res Corinne Podilejski CETE M diterran e Jean Cavailh s INRA Les sources sur la valeur v nale des biens 3 Cf le guide sur le secret statistique en ligne sur le site Insee fr 3 Statistique r gionales et locales 19 septembre 2008 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Franci
4. nergie territoriaux l incitation au d veloppement de formes urbaines denses et au d ploiement des transports collectifs le maintien de la nature en ville et de l agriculture p riurbaine Une palette de mesures qui concernent toutes les chelles d intervention publique du quartier la r gion Transport Logistique Recherche Entretien R paration Distribution L Insee a r cemment mis au point une nomenclature dite Analyse fonctionnelle des emplois qui permet d identifier les fonctions exerc es par les entreprises selon 15 postes fonctionnels voir annexe 3 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 18 La mise en place et le suivi des recommandations du Grenelle de l environnement suppose en particulier 1 L am lioration de la pr cision g ographique de certaines informations la localisation des personnes logements activit s et quipements le rep rage de d placements un niveau infracommunal une perception fine de l usage des espaces habitat activit infrastructures espaces naturels agricoles et forestiers et de la transformation de cet usage dans le temps 2 La mise au point d indicateurs sur l occupation de l espace sur la consommation nerg tique et sur les missions de gaz effet
5. tr s disparates ce qui complique beaucoup leur rapprochement sur un m me territoire Beaucoup d acteurs regrettent la disparition de l lot comme maille de diffusion des donn es b La n cessit de pouvoir reconstituer ses propres zonages En cons quence les utilisateurs souhaitent pouvoir rapprocher des informations issues de sources statistiques vari es selon leurs propres mailles g ographiques maille fa on Des mailles d environ 2 000 habitants dimension quivalente celle des IRIS sont souhait es dans toutes les agglom rations et EPCI partir d une certaine taille Pour ce faire les utilisateurs doivent pouvoir reconstituer l information statistique selon ce maillage directement partir de fichiers qui leur seraient fournis ou bien via un processus s curis du type de celui qui va tre mis en place pour les zones fa on du recensement de la population Le syst me de mise disposition Diaf RP diffusion infra communale fa on du recensement de la population para t tout fait innovant pour la mise disposition d information au coup par coup mais pas sur un zonage complet Il gagnerait cependant tre largi un espace g ographique plus important aujourd hui limit aux communes gt 10 000 habitants tre ouvert d autres sources statistiques c Quelle maille infracommunale Les _ XY sont utiles pour localiser et caract riser des objets
6. CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Er I Rapport du groupe de travail STATISTIQUES ET NOUVELLES TENDANCES DE LOCALISATION DES POPULATIONS ET DES ACTIVITES SUR LE TERRITOIRE Pr sident Francis CUILLIER Rapporteurs Mohamed HILAL Dalila VIENNE Septembre 2009 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 3 Sommaire SYNTHESE DU RAPPORT ocn veau Eed La ne Den tn AEN 5 1 Diffusion de donn es nouvelles sur le march de l immobilier et du foncier 5 2 R novation des Enqu tes M nages et D placements EMD sssssssssesrrssserreserrrssrerrrssrerrssrees 5 3 Rapprochement pour un territoire donn des informations sur l appareil productif 6 4 Am lioration des instruments de mesure de l occupation du sol ssssssseserrenssesrerrrrnnereerreeennn 7 5 Diffusion de donn es de base au niveau tr s fin XY et petits polygones sssseesersseeeeseeeesn 7 6 Diffusion de chiffres cl s au carreau iii 8 7 Actualisation des zonages d tudes A 9 8 Des indicateurs de r f rence pour caract riser les territoires s s sesssssseerrrrreeesresrrrrrrenssrent 10 1 INTRODUCTION seseante aeaea ae an en ed nee ein ann a nt Sa Aa aaaea Aani Se aa nr ere inde gun rent n
7. Ceci suppose la mise disposition d informations une chelle g ographique tr s fine estimations de population et d emploi au niveau de petits polygones tablissements logements et quipements l XY Les XY sont utiles pour localiser et caract riser des objets adress s immeubles d habitation entreprises quipements Un tel projet ne peut tre entrepris que si l on parvient lever deux incertitudes La premi re porte sur la possibilit de diffuser l effectif salari d un tablissement une fois par an sans contrevenir aux principes de respect du secret statistique La seconde a trait la nature des informations qu il est possible de localiser publiquement Tea XY sans contrevenir ces m mes r gles A noter que dans cette perspective le projet Insee de r pertoire des logements annonc lors de la rencontre Statistiques r gionales et locales du 19 septembre 2008 de pr paration du programme de moyen terme est tout fait essentiel L Insee et le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer conduiraient cette action 4 fichiers des propri t s b ties et fichiers des propri t s non b ties 5 parcelle cadastrale surfaces Global Monitoring for the Environment and Security 7 Infrastructure for Spatial Information in the European Community CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances d
8. Groupe Francis Cuillier septembre 2009 59 ANNEXE 8 LISTE DES R UNIONS ET COMPTES RENDUS Mercredi 10 septembre 2008 Pr sentation du mandat et des objectifs du groupe de travail Perception du sujet et attentes des participants Calendrier des prochaines r unions et th mes abord s Mardi 28 octobre 2008 Quels besoins de connaissance pour quelles probl matiques partie 1 Prospective des territoires urbain ruraux Denise Pumain Universit Paris 1 IUF et Jean Cavailh s INRA Politiques publiques d am nagement du territoire projets de territoires SCOT transports PLU PLH Isabelle Maquin Agence d urbanisme de Besan on Evolution des institutions locales comp tences intercommunalit Philippe Estebe Sciences Po Paris ACADIE Mardi 18 novembre 2008 Quels besoins de connaissance pour quelles probl matiques partie 2 Implantation des activit s E de Lannoy APCM E Ligouzat La Poste F Lonchambon ACFCI D veloppement durable Grenelle de l environnement J M Bouchereau ADEME M David Meeddm Mardi 20 janvier 2009 Etat des lieux des outils statistiques partie 1 Indicateurs sur la morphologie des espaces p riurbains et ruraux par l INSEE Brigitte Bacca ni Insee Formes urbaines et densit Nathan Starkman Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole Les outils statistiques du MEEDAAT Alain Jacquot SOES Mardi 31 mars 2009 Eta
9. espace par l acc s des modes d emploi didactiques accompagn s d exemples d utilisation et de concepts document s Troisi me point de convergence la n cessit de faire voluer la g ographie de production et de diffusion des statistiques territoriales Les utilisateurs font tous le constat que la g ographie de production et de diffusion de la statistique locale est mal adapt e celles des projets et actions dans les territoires urbains Sans remettre en question les d coupages administratifs communes cantons d partements r gions et les mailles statistiques actuelles dans la production de donn es deux critiques principales sont adress es cette g ographie a elle g n re plusieurs ruptures dans le contenu de l information disponible sur une m me agglom ration du fait du secret statistique tel qu il est g r actuellement et du fait de la coupure 10 000 habitants impos e par le RP b elle ne permet pas aux utilisateurs de rassembler des informations de sources diverses par quartiers de projets ou d intervention qui ne correspondent souvent pas aux quartiers IRIS Sur ce dernier point de nombreux exemples d action locale n cessitant de l information statistique au niveau infracommunal sur des voies des p t s de maisons ou des quartiers ont t cit s Quatri me point de convergence la n cessit de r f rentiels de comparaison r gions d partements zonages d tudes Les zona
10. zonages d tudes ze zauer bassins de vie Accompagnement de ces indicateurs d un r f rentiel documentaire qui indique aux utilisateurs les concepts la m thode la proc dure suivre pour calculer ces indicateurs sur d autres niveaux g ographiques Mise en place d un acc s via internet ces donn es et leur documentation transversal aux diff rents producteurs de sources Mise en place d valuations r guli res afin de s assurer de l adaptation de ce r f rentiel aux probl matiques locales 5 ETAT DES LIEUX SUR LES OUTILS DISPONIBLES ET LEURS LIMITES 5 1 ETAT DES LIEUX SUR LES SOURCES STATISTIQUES 5 1 1 OCCUPATION DU SOL R f rences L ENQU TE TERUTI LUCAS OUTIL Voir CR du 31 mars 2009 D OBSERVATION DU TERRITOIRE Jo l GRIVAUX Minist re de l Agriculture et de la P che Service de la statistique et de la prospective SSP Contribution du SoES Michel David A SuiviMorphologieTerr toires doc L occupation du sol peut tre d finie en r f rence la directive INSPIRE comme la couverture physique et biologique de la surface terrestre qui inclut les surfaces artificialis es les zones agricoles les for ts les espaces semi naturels les zones humides et les surfaces en eau Plusieurs sources permettent d analyser l occupation du sol CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation d
11. Pour l heure la mise en relation de ces donn es s av re difficile voire impossible d autant que la documentation propos e sur www insee fr est souvent impr cise incompl te ou herm tique Le bouclage annuel flux stocks des cr ations et disparitions est hors de port e Enfin les outils d analyse de l ancrage territorial du syst me productif font d faut Les utilisateurs souhaitent la mise sur pied d un outil statistique rassemblant de mani re synth tique les informations ainsi produites pour chaque territoire Parmi les b n fices attendus il faut mentionner la mise en coh rence et une meilleure int gration des sources mises contribution Un l ment indispensable de cette offre nouvelle sera la documentation de l outil articulant mode d emploi nonc des concepts et expos de la m thodologie Le produit final comprendrait deux volets Le premier serait un r f rentiel de base mis jour annuellement de tous les tablissements pr sents sur le territoire localis s XY avec le code activit Naf 700 et l emploi Le second serait un outil statistique permettant une lecture int gr e des diff rentes sources disponibles en rapprochant sur un territoire les diff rentes informations sur l appareil productif Cet outil se pr senterait comme un fichier annuel d tablissements anonymis chaque tablissement tant localis l Iris et la commune En charge de ces diff rentes sources l Insee sera l
12. Zones g ographiques de production de ces fichiers agglom rations au sens Insee et EPCI fiscalit propre au dessus d une certaine taille fixer en fonction des contraintes techniques le seuil peut tre progressivement abaiss commencer par les agglom rations gt 100 000 puis les agglom rations gt 50 000 3 2 ECHELLE 2 LES BESOINS RELATIFS AUX PROJETS DE TERRITOIRES AYANT UNE PORT E GENERALE Les utilisateurs se d clarent tr s satisfaits des nombreuses donn es locales d sormais disponibles Une tape importante a t franchie en la mati re ces derni res ann es en termes de vari t de sources fra cheur d information et accessibilit Internet gratuit pour beaucoup de donn es CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 22 Des points faibles ont cependant t identifi s sur lesquels il serait utile de progresser dans le moyen terme La constitution d un dispositif public de mise disposition de statistiques locales sur les march s immobilier et foncier habitat et activit s 3 2 1 L adaptation des enqu tes sur les d placements des m nages au nouveau contexte et leur largissement au domaine public 3 2 2 L am lioration du dispositif statistique pour l tude de l appareil productif 3 2 3
13. l urbanisation via les PLU L tat des lieux cf 5 1 1 montre que de nombreuses sources sont actuellement disponibles pour cela apportant chacune des informations utiles et compl mentaires mais pr sentant cependant des lacunes notamment par rapport aux objectifs du Grenelle Il conviendrait en cons quence pour certaines sources d am liorer leur pr cision o les perspectives haute r solution de Corine Land Cover et les r flexions europ ennes autour du projet GMES ouvrent des perspectives en ce sens il conviendrait que la statistique publique fran aise participe pleinement ces projets et d veloppe des exp rimentations fran aises qui aille dans le sens d une plus grande pr cision de l information 1 Clap connaissance locale de l appareil productif Dads d clarations annuelles de donn es sociales 21 Dads d clarations annuelles de donn es sociales 7 Ree r pertoire des entreprises et des tablissements issu de Sirene 2 Occupation physique sols artificialis s cultiv s bois s naturels Occupation fonctionnelle production routes commerce sport habitat PLU Plan Local d Urbanisme 25 Le MEEDDM participe depuis peu un groupe de travail dans le cadre du projet GMES CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe
14. rie La notion pourrait tre tendue l infra urbain Ils s adosseraient aux contours des aires urbaines donnant ainsi une coh rence d ensemble aux zonages d tudes La caract risation de la ruralit d un territoire s appuierait sur les d finitions internationales bas es sur la densit Un bassin de vie pourrait ainsi pr senter deux caract ristiques compl mentaires son caract re urbain ou rural en fonction de sa densit et l intensit de son lien la ville en fonction de son appartenance ou non une aire urbaine Il convient cependant de garder l esprit la n cessit d une harmonisation des concepts et m thodes pr sidant ces d coupages d tudes au plan europ en et international 8 DES INDICATEURS DE R F RENCE POUR CARACT RISER LES TERRITOIRES Il est important que la statistique publique d finisse des indicateurs permettant de lire et comparer les territoires entre eux rapidement L enjeu est de fournir un cadre d intelligibilit des territoires apportant des cl s de lecture commune tous les acteurs locaux Cela va dans le sens d une appropriation par tous de concepts et de m thodes partag s Au del de la simple description ces indicateurs doivent permettre de caract riser la structuration du territoire que l on tudie qu il s agisse du degr d artificialisation des sols ou de la distance parcourir pour atteindre un p le de proximit Plusieurs indicat
15. Cuillier septembre 2009 13 Dans un contexte o les politiques publiques s interrogent sur les cons quences de ces nouvelles dynamiques sur le d veloppement durable des territoires l objectif est de s assurer que la statistique publique mettra disposition des outils de mesure adapt s la connaissance de ces formes spatiales en mutation talement urbain et ou retour au centre et claire ainsi les acteurs du d veloppement territorial sur ce contexte spatial dans lequel ils travaillent 1 2 M THODE DE TRAVAIL Le groupe de travail a choisi de travailler en deux temps identification des probl matiques et besoin de connaissance de diff rents acteurs tat des lieux des outils existants limites pr conisations d volution Pour le premier temps le groupe de travail a identifi plus particuli rement 3 domaines d intervention qui n cessitent une connaissance statistique de l occupation des territoires les politiques territoriales des collectivit s les logiques d implantation des activit s services et quipements le d veloppement durable le grenelle de l environnement Chacune de ces probl matiques a donn lieu des expos s d acteurs Pour le deuxi me temps le groupe s est interrog sur le champ des outils examiner En effet la caract risation des espaces comme la compr hension des logiques de localisation des personnes et des activit s n cessitent le recours des
16. D FINITIONS ET CONCEPTS DISCUT S PAR LE GROUPE e Etalement urbain L talement urbain d signe l extension des surfaces urbanis es principalement r sidentielles en discontinuit morphologique avec l agglom ration et en rupture avec la densit des villes centres et des banlieues Trois formes morphologiques sont associ es l talement urbain la forme compacte qui correspond des noyaux villageois r partis uniform ment sur le territoire sur lesquels se greffent des lotissements pavillonnaires la forme r ticulaire qui correspond une urbanisation qui suit le dessin de la voirie et relie les anciens noyaux villageois les uns aux autres le mitage ou la forme miett e qui correspond un parpillement anarchique du b ti r sidentiel Pour l agence europ enne de l environnement l talement urbain se manifeste lorsque le taux de changement d occupation des terres exc de le taux de croissance de la population On pourrait suivre la d finition de l agence europ enne de l environnement cependant on ne tiendrait pas compte du fait que la surface du logement qui est un bien normal augmente avec l accroissement du revenu Ainsi l talement urbain ou on observe en France comme dans les autres pays d velopp s ne refl te pas une croissance urbaine quantitative comme dans les pays en d veloppement mais une transformation qualitative des villes Les populations et les agents conomiques disposent d une plus grand
17. Mer en charge des Technologies vertes et des N gociations sur le climat CGDD commissariat g n ral au d veloppement durable Le SESP l Ifen et l Observatoire de l nergie constituent d sormais le Service de l observation et des statistiques SOeS CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 LISTE D INTERVENANTS INVIT S INSEE DR de Provence Alpes C te d Azur P le national Analyses territoriales INSEE DR de Bourgogne Assembl e permanente des chambres de m tiers APCM Meeddm Service de l observation et des statistiques SoeS du CGDD Institut National de Recherche sur les Transports et leur S curit INRETS Meeddm CETE M diterran e Professeur Universit Paris Panth on Sorbonne Institut Universitaire de France Directeur Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole LISTE DES MEMBRES DE L ATELIER APPAREIL PRODUCTIF Dominique ALLAIN INSEE Insee Info service Chef de la division Grands comptes Eric BARBARIN CCI Savoie INSEE Coordination des relations entre l Insee et les associations nationales Philippe CLAIRET d acteur locaux CRCI Haute Normandie H l ne MAURY CCI Maine et Loire INSEE Chef adjointe du D partement R pertoires infrastr
18. XY sans contrevenir ces m mes r gles Cette boite outils doit permettre d identifier les points de polarisation des emplois de la population et des quipements sur tout le territoire y compris dans les petites communes Le groupe souligne l importance dans cette perspective du projet Insee de r pertoire logements annonc lors de la rencontre moyen terme Statistiques r gionales et locales du 19 septembre 2008 Organismes concern s Insee Meeddm R f rence sur le besoin paragraphe 3 1 R f rence sur l tat des lieux des sources paragraphe 5 1 2 LA DIFFUSION DE CHIFFRES CL S AU CARREAU rassembler des informations cl s issues de sources diverses selon une m me maille g ographique le carreau ceci afin de les agr ger et de les analyser sur leurs propres terrains infracommunaux d observation et d action Ceci suppose notamment que des r gles d adressage normalis soient d finies puis int gr es par tous les producteurs de ces informations cl s la d finition d une g ographie du carreau la d finition puis l utilisation de m thodes de floutage des donn es la d finition avec la CNIL de principes de diffusion qui autorisent la mise disposition de donn es au carreau la clarification pour chaque source statistique des organismes et unit s responsables de chaque tape production des donn es d
19. ceux de l Institut de la recherche agronomique tout comme les utilisateurs de zonages d tude et la d l gation interminist rielle l am nagement et la comp titivit des territoires Le dispositif actuel pourrait toutefois conna tre certains ajustements Les zones d emploi gagneraient ainsi tre plus repr sentatives qu aujourd hui des bassins du march du travail Cela suppose d envisager l all gement des contraintes administratives actuelles comme par exemple le respect des limites d partementales dans certains cas Le zonage en aires urbaines et aires d emploi de l espace rural ZAUER serait reconduit comme identifiant les degr s d influence de la ville sur son environnement et non comme une partition a urbain rural Par ailleurs le groupe insiste sur la n cessit d identifier des p les secondaires au sein des aires urbaines les plus importantes CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 10 Les bassins de vie constitueraient une partition coh rente de l ensemble du territoire repr sentative des aires de vie de la quotidiennet que l on vive dans l urbain ou dans le rural Aujourd hui le d coupage des bassins de vie laisse de c t les unit s urbaines de plus de 30 000 habitants voire parfois leur p riph
20. d adressage normalis et les faire int grer par tous les producteurs des informations concern es Des m thodes de floutage des donn es doivent tre labor es puis mises en uvre En concertation avec la Cnil les principes de diffusion autorisant la mise disposition de donn es au carreau devront tre arr t s La r alisation d un tel projet passe par la clarification pour chaque source statistique des organismes et unit s responsables de chaque tape qu il s agisse de la production des donn es de base l adresse du g or f rencement de ces donn es selon le carreau et ventuellement d autres polygones zonages politique de la ville Is Lou encore de la diffusion de ces donn es g or f renc es Il est par ailleurs indispensable que l utilisateur puisse acc der via un point unique l ensemble des chiffres cl s disponibles au carreau Le groupe pr conise cette fin que l Insee soit d sign comme le coordonnateur de la diffusion des chiffres cl s au carreau et qu ce titre il soit le pilote d un projet diffusion de donn es au carreau Il est conseill de ne pas attendre que toutes les conditions soient r unies pour initier ce projet Il est notamment recommand la mise en place rapide d une exp rimentation pour pr ciser les contours et l usage d une base de donn es au carreau Cette exp rimentation permettrait de pr ciser le type de produit attendu a
21. d finitions variables L Institut a souhait mettre au point une grille d analyse simple et utilisable avec de nombreuses sources La partition de l conomie en deux sph res pr sentielle et non pr sentielle permet de mettre en vidence le degr d ouverture des syst mes productifs locaux Elle permet aussi de fournir une grille d analyse des processus d externalisation et autres mutations conomiques l uvre dans les territoires Les activit s pr sentielles sont les activit s mises en uvre localement pour la production de biens et de services visant la satisfaction des besoins de personnes pr sentes dans la zone qu elles soient r sidentes ou touristes Les activit s non pr sentielles sont d termin es par diff rence Il s agit des activit s qui produisent des biens majoritairement consomm s hors de la zone et des activit s de services tourn es principalement vers les entreprises de cette sph re Cette grille s appuie sur un d coupage de l activit Elle peut donc tre utilis e avec des sources diverses le recensement de la population CLAP SIRENE DADS etc CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 52 ANNEXE 4 BIBLIOGRAPHIE SUR LES SOURCES Sites consult s le 25 08 2009 LES SOURCES STATISTIQUES Occupation du sol CO
22. de surface la densit d emplois nombre d emplois par unit de surface la densit d activit humaine nombre d habitants et nombre d emplois par unit de surface la densit b tie rapport entre l emprise au sol du b ti par le nombre d tages et la surface d un lot la densit v g tale surface de la masse v g tale par unit de surface la densit mouvante variation de densit de la population pr sente cf supra etc CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 50 La surface de r f rence utilis e au d nominateur permet de calculer une densit brute lorsque la surface correspond l ensemble du territoire sans aucune exclusion ou une densit nette qui ne prend en compte que la surface des parcelles r ellement occup es par l affectation donn e Par exemple une densit r sidentielle brute se calcule en rapportant le nombre d habitants la surface de la commune alors que la densit r sidentielle nette se calcule en rapportant le m me nombre d habitants la surface des parcelles occup es par le b ti r sidentiel emprise du b ti cours jardins voies de desserte Pour en savoir plus MOULINI Claire NAUDIN ADAM Muriel Appr hender la densit 1 Les rep res historiques Note
23. et locaux d activit s Deuxi me point de convergence l attente forte d un cadre d intelligibilit de la statistique sur les territoires notamment suscit par la multiplication r cente des sources statistiques locales 2 L article 7 de la Loi de programmation relative la mise en uvre du Grenelle de l environnement Grenelle 1 dispose que le droit de l urbanisme devra prendre en compte l objectif suivant Lutter contre la r gression des surfaces agricoles et naturelles les collectivit s territoriales fixant des objectifs chiffr s en la mati re apr s que des indicateurs de consommation d espace auront t d finis Cette disposition est compl t e par les articles 9 et 10 du Projet de loi portant engagement national pour l environnement Grenelle Il qui pr cisent que les rapports de pr sentation des SCOT et PLU devront pr senter une analyse de la consommation des espaces naturels agricoles et forestiers et justifier les objectifs de limitation ou de mod ration de cette consommation CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 19 Ce cadre doit permette aux utilisateurs une approche p dagogique de l information par la mise disposition d indicateurs signifiants permettant de se comparer dans le temps et dans l
24. finances locales expliquent en partie la fa on dont se d veloppe l espace par la plus ou moins forte volont et capacit des politiques locales influer sur l occupation du sol par la r glementation par l engagement financier dans certains projets de d veloppement et par la fiscalit locale Le groupe na pas jug opportun d examiner ces points les sujets tant difficiles la gouvernance est difficilement mesurable l analyse fonctionnelle des finances publiques locales est un sujet en soi qui d passe les moyens du groupe Ce groupe a pour but d laborer des indicateurs territoriaux de d veloppement durable ITDD 40 50 indicateurs une chelle territoriale adapt e Ces indicateurs territoriaux sont destin s faciliter l identification des vuln rabilit s majeures de certaines trajectoires de d veloppement manifestement non durables et cela l chelle d observation territoriale la plus pertinente compte tenu des sources disponibles et des marges de man uvre des acteurs du territoire CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 15 2 ENJEUX ET BESOINS DES UTILISATEURS SELON DIFF RENTES PROBLEMATIQUES 2 1 POLITIQUES TERRITORIALES DES COLLECTIVIT S ET ACTEURS LOCAUX e R f rences Les besoins pour les politiqu
25. finition d indicateurs partag s par les acteurs locaux pour accompagner la mise en uvre du Grenelle et en mesurer les impacts notamment sur les dynamiques d artificialisation des sols La description de occupation des territoires un niveau tr s fin XY flot parcelle etc quelle densit de personnes et d emplois quelle localisation d immeubles et logements d entreprises d quipements Quelle surface occup e par le b ti Cette connaissance l mentaire du tissu est indispensable l initialisation de tous les projets d am nagement CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 16 L tude de la mobilit des personnes et des polarit s p les de concentration d emploi de commerce et services d quipements Les modes de vie voluent et g n rent de nouveaux comportements de mobilit vers les p les d activit de loisirs et de consommation Appr hender la mobilit des personnes est au c ur des pr occupations des am nageurs notamment pour la mise en place de plans de transports et d placements avec d sormais le souci d am liorer le bilan carbone Cette mobilit doit s tudier plusieurs chelles de territoires de fa on ce que les autorit s organisatrices des transports AOT puissent c
26. informations bien plus larges que la seule mesure de la pr sence des personnes et des activit s sur le territoire Ceci tant dit le groupe n avait pas non plus pour mandat d explorer toutes les statistiques locales susceptibles d alimenter des diagnostics de territoire En cons quence le groupe a choisi de travailler de fa on pragmatique en gardant le c ur du sujet comme priorit mais en n excluant pas l examen de sources statistiques qui sont apparues fondamentales aux intervenants et participants comme par exemple les sources fiscales sur les mutations immobili res Les outils examin s gt Les outils au c ur du sujet occupation de l espace aspects morphologiques occupation de l espace activit s personnes logements flux mobilit des personnes d placements des entreprises transferts Sur ces outils le groupe a travaill en parall le avec le groupe de travail pilot par le Certu et repris son compte certains travaux de ce groupe gt Les autres outils structurants pour la qualification des espaces le march immobilier et foncier l accessibilit aux quipements et services l appareil productif 8 Le groupe de travail Mesurer et caract riser la consommation d espaces par l urbanisation a t constitu la demande du secr tariat d Etat l am nagement du territoire pour concr tiser les recommandations du Grenelle de l environnement en ce qui
27. les EMD soient r vis es en fonction de ce nouveau contexte d autant que l Insee va devoir stopper la mise disposition d enqu teurs du fait de moyens limit s 5 1 5 APPAREIL PRODUCTIF Atelier appareil productif Voir CR de l atelier du 13 mai 2009 Localisation des entreprises et analyse des CH de la r union du 5 mai 2009 syst mes productifs F Gilli Expos ACFCI F Lonchambon Voir le CR de la r union du 10 juin L Insee a largement enrichi son syst me d information local sur l appareil productif Ce dernier est d sormais compos des sources statistiques suivantes e Pour d crire un stock d tablissement sur un territoire source Clap e Pour tudier la d mographie d tablissements cr ations transferts source REE Sirene REE r pertoire des entreprises et des tablissements d faillances source BODACC e Pour valuer un volume d emploi ou de masse salariale sources Clap et Dads Les principales limites ce dispositif sont les suivantes e La documentation sur Insee fr est souvent impr cise intitul s incompr hensibles pas assez compl te r serv e des a connaisseurs e La mise en relation des sources existantes et difficile voire impossible 38 Source note de synth se 02 du CERTU Mobilit et transports F vrier 2008 Des EMD villes moyennes ont r cemment t mises en place avec une m thodologie plus l g re et moins co teuse
28. particuli re sera port e aux informations qui pourraient r pondre la qualification de la richesse d un territoire ou donner des indications sur les liens entre les entreprises 3 2 4 ACCRO TRE LA R SOLUTION DES SOURCES SUR L OCCUPATION DU SOL S appuyant en grande partie sur les travaux du groupe de travail Mesurer et caract riser la consommation d espaces par l urbanisation pilot par le CERTU le groupe de travail consid re qu en mati re de mesure d occupation des sols 4 types d outils statistiques sont n cessaires Des outils qui permettent de d observer l artificialisation des sols selon des secteurs g ographiques fins par commune et secteurs infracommunaux surface b tie non b tie destination d habitat ou d activit une date donn e et en volution Des outils qui permettent de caract riser la nature de l occupation du sol de territoires institutionnels r gion d partement SCOT intercommunalit s selon une maille g ographique de l ordre de 5 ha voire moins type d occupation physique et fonctionnelle une date donn e et en volution Des outils qui permettent une description plus qualitative de l occupation du territoire notamment de d terminer le degr de continuit ou de discontinuit de son b ti Des outils qui permettent une vision prospective de l occupation du territoire en particulier par la connaissance des affectations potentielles des sols
29. population suit une distribution en cloche avec des valeurs lev es au centre et une d croissance r guli re du centre vers la p riph rie L talement urbain se traduit par un aplatissement de la courbe de densit r sidentielle qui s affaisse au c ur des villes gonfle en banlieue et se redresse en p riph rie Les volutions d mographiques r centes nuancent ce mod le la croissance r sidentielle p riurbaine se ralentit tandis qu on observe nouveau une croissance d mographique de certains p les urbains notamment li au renouveau de grandes villes centres Les espaces ruraux dont les dynamiques sont surtout aliment es par les migrations r sidentielles sont confront s la p riurbanisation Les grandes villes en tendant ainsi leur influence de plus en plus loin court circuitent les relais ruraux traditionnels bourgs et petites villes Cependant la dynamique d mographique des espaces ruraux ne rel ve pas uniquement de l influence directe des villes certains territoires ruraux voient leur population cro tre en parall le un d veloppement de leur conomie r sidentielle tandis que persistent des zones de d sertification rurale du fait de la r manence de l exode agricole et de la crise industrielle CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis
30. r sidentielle arriv e de retrait s ou d actifs des p les urbains conflits d usage pour l implantation d activit s d infrastructures ou de quartiers r sidentiels L espace rural se transforme et se diversifie sous l effet de dynamiques nouvelles de localisation de la population et des activit s Le groupe de travail poursuivra un double objectif 1 Proposer les adaptations du dispositif statistique d observation et d analyse en vue de mieux rendre compte de ces nouvelles tendances en abordant notamment les deux dimensions g n ralement reconnues comme n cessaires la caract risation de ces ph nom nes la dimension physique quelles sources quels indicateurs et quelles chelles retenir pour mesurer la densit la consommation d espaces d di s aux diff rentes activit s Ta talement urbain la dimension fonctionnelle comment mesurer les flux et plus g n ralement les interactions les plus structurantes entre territoires Par exemple la place aujourd hui des relations domicile travail mais aussi des conditions d acc s aux services publics la consommation aux loisirs comment rendre compte des interactions d ordre conomique r seaux et relations entre entreprises Le groupe n a pas pour objet de conduire de nouvelles analyses sur les causes et les cons quences de ces nouvelles tendances mais il pourra s appuyer sur les exp riences et les r sultats disponibles en France et
31. rapide sur l occupation du sol n 382 IAURIF Paris Juin 2005 lt http www iaurif org fileadmin Etudes etude 215 nr 382 Apprender la densite 1 pdf gt MOULINI Claire NAUDIN ADAM Muriel Appr hender la densit 2 Les indicateurs de densit Note rapide sur l occupation du sol n 383 IAURIF Paris Juin 2005 lt http www iaurif org fileadmin Etudes etude 214 nr 383 Apprehender la densite 2 pdf gt MOULINI Claire NAUDIN ADAM Muriel Appr hender la densit 3 Formes urbaines et densit s Note rapide sur l occupation du sol n 384 IAURIF Paris Juin 2005 lt http www iaurif org fileadmin Etudes etude 213 nr 384 Apprehender la densite 3 pdf gt NAUDIN ADAM Muriel Zunini G Appr hender la densit 4 A l chelle de l lot Note rapide sur l occupation du sol n 440 IAURIF Paris D cembre 2007 lt http www iaurif org fileadmin Etudes etude 212 nr 440 Apprehender la densite 4 pdf gt e Equipements de proximit L INSEE d finit 4 gammes d quipements selon leur plus ou moins grande raret sur le territoire De l alimentation g n rale l h pital en passant par la station service la banque ou le m decin ces commerces et services ne se r partissent pas de la m me fa on Les communes les plus peupl es r unissent l ensemble des quipements les autres s adjugent un nombre d quipements variable selon leur taille et leur statut administratif Au vu du nombre de communes
32. rence territoriale Sch ma directeur d am nagement des eaux Strat gie europ enne de d veloppement durable Syst me informatis du r pertoire national des entreprises et des tablissements INSEE Syst me d information et de traitement automatis des donn es l mentaires sur les logements et les locaux base de donn es sur la construction neuve aliment e par les formulaires de demande de permis de construire Minist re de l cologie du d veloppement durable et de la mer Strat gie nationale de d veloppement durable Service de l observation et des statistiques d veloppement durable et de la mer Sch ma r gional d am nagement et de d veloppement du territoire Service de la statistique et de la prospective Minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che Utilisation du territoire composante de l enqu te europ enne Lucas Land use cover area frame statistical survey Zonage en aires urbaines et aires d emploi de l espace rural nomenclature g ographique d tude INSEE INRA Zone d emploi nomenclature g ographique d tude INSEE DARES Minist re de l cologie du CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009
33. selon une grille de carreaux pr sente trois avantages importants la continuit dans le temps pas de changement de contours au fil du temps l agr gation possible des carreaux en vue d analyses infra communales op rationnelles sur des zones fa on d environ 2000 habitants la possibilit de rapprocher ais ment des informations de diff rentes sources L affectation d une information rattach e une adresse au bon carreau suppose entre autre une g o localisation correcte des adresses il faut pouvoir associer toute adresse un XY de pr cision absolue d cam trique et de pr cision relative suffisante pour que l adresse tombe du bon c t des r seaux structurant le paysage tels que voies de communication ou r seaux hydrographiques Pour chacun carreau l utilisateur disposerait de l ensemble des informations cl s issues des diff rentes sources existantes Les informations souhait es sont celles qui sont aujourd hui disponibles l Iris et pour certaines sur les quartiers politique de la ville Il s agit en premier lieu des chiffres cl s du recensement de la population qui seront d finis fin 2009 Les chiffres cl s pr sents dans la rubrique Donn es urbaines infra communales par quartier du site de l Insee constituent un deuxi me ensemble revenus niveau de vie allocataires de la Caisse d allocation familiale et revenus fiscaux b n ficiaires de la Couverture mala
34. 0 html CRCI Paris Ile de France 2006 R vision du Sch ma directeur de la r gion le de France Contribution des CCI de Paris Ile de France septembre 2006 http www etudes ccip fr archrap pdf06 SDRIF revision0609 pdf FNAU 2006 Habitat et formes urbaines Densit s compar es et tendances d volution en France Les tudes et rapports octobre 2006 http www fnau org file news HabitatFormesUrbaines pdf Hilal M 2005 Localisation des emplois et d placements domicile travail dans le Grand Dijon et sa p riph rie Insee Bourgogne Dimensions Dossier n 42 f vrier 2005 http www insee fr fr themes document asp reg_id 22 amp ref_id 8738 INRA 2008 Prospective Nouvelles Ruralit s Les devenirs des ruralit s en France l horizon 2030 http www paris inra fr prospective projets nouvelles_ruralites Pageaud D Carr C 2009 La France vue par CORINE Land Cover outil europ en de suivi de l occupation des sols Le Point Sur n 10 Commissariat g n ral au d veloppement durable avril 2009 http www ifen fr uploads media PointSur10_01 pdf Pumain D 2006 Villes et syst mes de villes dans l conomie Revue d conomie financi re 86 29 46 http hal archives ouvertes fr docs 00 14 59 23 PDF villes_economie pdf Pr sentation de la directive europ enne INSPIRE http www certu fr fr _ Information _g C3 A9ographique n32 Politique_et_organisation_nationale n156 IMG pdf Inspire pdf CONSEIL NATI
35. 2000 habitants La r vision des autres zonages aires urbaines zones d emploi pourrait intervenir fin 2010 d but 2011 Dans ce processus le groupe remarque oul est n cessaire de disposer au plus vite du nouveau contour des unit s urbaines l Insee a d j beaucoup de demande sur ce sujet que la d finition actuelle des unit s urbaines doit tre conserv e la modernisation des proc dures de d termination avec des outils automatiques permettrait une mise jour plus rapide et moins co teuse Une mise jour tous les cinq dix ans des zonages appara t comme suffisante et raisonnable Les zones d emploi Les zones d emploi gagneraient tre plus repr sentatives qu aujourd hui des bassins du march du travail ce qui suppose d envisager l all gement des contraintes administratives qui ont pu peser sur le d coupage actuel comme par exemple le respect des limites d partementales dans certains cas Les aires d influence de la ville Il est propos la reconduction des principes du zonage ZAUER avec cependant une clarification sur le r le de ce zonage il identifie des degr s d influence de la ville sur son environnement et non pas une partition a urbain rural la n cessit d identifier des p les secondaires au sein des aires urbaines les plus importantes Les bassins de vie Les bassins de vie seraient revus comme une partition coh rente de l ensemble du territoire repr sentative de
36. CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 36 e Les sources actuelles ne permettent pas de boucler l quation stock N 1 stock N cr ations arriv es par transferts disparitions d parts par transferts e Le manque d outils pour analyser l ancrage territorial du syst me productif difficult conceptuelle mesurer la richesse produite et r investie par les entreprises d un territoire question du PIB local difficult conceptuelle d terminer les relations entre les entreprises m connaissance du prix du foncier et de l immobilier d entreprises 5 2 ETAT DES LIEUX SUR L ACCESSIBILIT AUX DONNEES SUR DES ZONES INFRACOMMUNALES Atelier maille infracommunale CR de l atelier maille infracommunale a Les limites des zonages actuels de diffusion des donn es infracommunales Les p rim tres de l intervention publique ou des projets territoriaux ne correspondent souvent pas aux seules fronti res des communes ni celles des Iris Chaque probl matique habitat transport quipements de proximit sant n cessite d appr hender l espace urbain selon des quartiers qui sont souvent sp cifiques Les donn es actuellement disponibles au niveau infracommunal le sont selon des mailles
37. D EDVM ET EDGT M THODE STANDARD CERTU AU NOUVEAU CONTEXTE ET LARGIR LEUR DIFFUSION AU DOMAINE PUBLIC Les enqu tes sur les d placements des m nages sont d une importance capitale mais elles sont encore mal adapt es aux enjeux d aujourd hui malgr leurs volutions de ces derni res ann es La mobilit des personnes est d sormais en volution constante en terme de flux de directions de motifs de modes Elle fait cho une offre elle m me en profonde transformation multiplication des acteurs de cette offre Etat r gions d partements intercommunalit s et des modalit s de transport propos es TER tram m tro RER cars Ce qui est en jeu aujourd hui La coordination des politiques de transport au niveau d une r gion et donc la possibilit d avoir des donn es objectives sur l ensemble de la r gion en raisonnant par grands quartiers dans les zones denses et bassins de vie dans les zones moins denses La mutualisation de la r flexion entre agglom rations de m mes dimensions Paris grandes agglos moyennes agglos pour tenter de distinguer les comportements g n raux des comportements induits par l offre locale La n cessit de disposer d une information fr quente et rapide pour suivre les effets des politiques de transport au plus pr s et les adapter dans le sens des recommandations du Grenelle de l environnement En cons quence il serait n cessaire d tabl
38. ESTEBE EE LAO0E EE Ci e Directeur Ste Se CERTU Centre d tudes sur les r seaux les transports l urbanisme et les constructions Groupe ESIU espaces sous influence urbaine a g q Rene D PrOSpEC iVE SSP eee a Mohamed H HILAL Rapporteur _ NMRA UMR 1041 CESAER d Groupe ESIU espaces sous influence urbaine Da Jean Paul HUBERT Institut National de Recherche sur les Transports et leur S curit INRETS Lab Poste Directrice des Etudes Direction Marketing de Coliposte o Assembl e des Chambres Fran aises de Commerce et d Industrie ACFCI Direction des Politiques Territoriales Olivier MAZEL Minist re du travail Direction de l Animation de la Recherche des Etudes et des Statistiques DARES Institut National de Recherche sur les Transports et leur S curit INRETS Si Directeur scientifique Groupe ESIU espaces sous influence urbaine Done MIGNOT Pr sident Assembl e des communaut s de France AdCF D l gu g n ral Meeddmt Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature _ DGALN ex DGUHC _Dalila VIENNE Rapporteur ett D partement de l action r gionale Nicolas PORTIER d SALGE NB Marcel BELLIOT D l gu g n ral de la FNAU a par ailleurs remplac Francis Cuillier dans sa fonction de pr sident lors de 2 s ances Meeddm Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement durable et de la
39. Francis Cuillier septembre 2009 25 o les extensions d chantillon propos es par l enqu te Teruti Lucas sont galement une r ponse int ressante au probl me de la repr sentativit des r sultats sur des petits secteurs g ographiques mais actuellement ces extensions sont mises en uvre au coup par coup On peut s interroger sur l int r t d un plan coordonn d extensions en partenariat avec des collectivit s ou leurs associations de fa on ce que les territoires puissent se comparer entre eux selon certains crit res pour d autres sources de les mettre en relation afin de pouvoir caract riser finement l occupation du sol selon diff rentes dimensions surface b tie non b tie habitat et activit fichiers fonciers contour des exploitations agricoles registre parcellaire graphique du minist re de l agriculture pr sence de for ts Inventaire forestier national De ce point de vue il est important que le projet de groupe de travail qui doit tre mis en place sous la responsabilit du Meeddm pour mettre au point un processus de production d une base de donn es nationale facile utiliser se concr tise rapidement Au del de ces projets en cours ou confirmer deux autres pistes de travail sont propos es pour am liorer la connaissance de l occupation du sol Mettre en place les conditions d une exploitation statistique de la destination des sols dans les PLU par leur informatisation plus
40. Minist re de l cologie du d veloppement durable et de la mer Commissariat g n ral au d veloppement durable Conna tre les loyers et analyser les march s sur les espaces urbains et ruraux Connaissance locale de l appareil productif Corine coordination de l information sur l environnement Land cover Couverture maladie universelle Conseil national de l information statistique D clarations annuelles de donn es sociales Direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques Minist re de l conomie de l industrie et de l emploi Minist re du travail des relations sociales de la famille de la solidarit et de la ville Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature Minist re de l cologie du d veloppement durable et de la mer Direction g n rale des finances publiques Minist re du budget des comptes publics de la fonction publique et de la r forme de l tat D claration d ali ner D l gation interminist rielle l am nagement et la comp titivit des territoires Diffusion infra communale fa on du recensement de la population Enqu te sur la commercialisation des logements neufs Enqu tes d placements Grands Territoires M thode CERTU Standard Enqu tes d placements Villes moyennes M thode CERTU Standard Ecole nationale des sciences g ographiques Etablissement public de coop ration intercommunale Enqu te sur le parc locatif social Enq
41. OGRAPHIE PR TE L EMPLOI La forme de mise disposition de cette cartographie devrait permettre Soit de la r int grer directement dans un document soit de la superposer ou de la combiner d autres informations propres l utilisateur Il faudrait donc que cette cartographie soit con ue comme une couche de SIG selon une chelle d finir Cartes de base densit de population PIRIS et au carreau densit d emplois PIRIS et au carreau al localisation l XY des tablissements selon leur taille leur activit localisation des immeubles d habitation selon leur nombre de logements mode de repr sentation d finir Voir en annexe 1 des exemples de cartes 3 1 2 UN FICHIER FOURNISSANT DES ESTIMATIONS DE POPULATION ET D EMPLOI et si possible de personnes en formation selon un maillage carreau de surface d finir et ou selon un maillage parcelle cadastrale avec la surface pour calculer des densit s 3 1 3 UN FICHIER DONNANT POUR CHAQUE ENTREPRISE TABLISSEMENT sa localisation XY son emploi postes de travail et ventuellement son secteur agriculture industrie construction commerce service 3 1 4 UN FICHIER DONNANT POUR CHAQUE IMMEUBLE sa localisation XY et son nombre de logements 3 1 5 UN FICHIER DONNANT POUR CHAQUE QUIPEMENT sa localisation XY son secteur sant sport tourisme culture et sa fr quentation si connue
42. ONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 55 ANNEXE 6 MANDAT CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Pr sident Francis CUILLIER Directeur g n ral de l agence d urbanisme Bordeaux m tropole Aquitaine a urba Rapporteurs Mohamed Hilal G ographe Ing nieur de Recherche INRA Dalila Vienne Charg e de la coordination des publications nationales sur les territoires Insee Dans le cadre de la pr paration des orientations du moyen terme le CNIS souhaite qu une r flexion soit engag e pour pr ciser les adaptations des statistiques et des op rations de g or f rencement n cessaires la mesure des nouvelles tendances de localisation des populations des emplois et des tablissements sur l ensemble du territoire e La forme de ville concentrique villes centre couronnes est historiquement et culturellement celle des villes d Europe et en particulier de la France Cette forme pr sente une certaine inertie cependant de nouvelles tendances semblent se dessiner Au c t de la ville dense se d veloppe d sormais une ville plus diffuse du fait de tissus relationnels plus nombreux et pl
43. ORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 28 Nous aurions ainsi un dispositif coh rent qui en croisant ZAUER et bassins de vie permettrait de distinguer des bassins urbains et ruraux qu ils soient sous influence de la ville ou non La terminologie Le groupe fait en outre la recommandation suivante Les nomenclatures statistiques publiques en mati re de zonages d tude doivent tre respect es dans les publications des organismes statistiques publics et par les agents de ces derniers Pour cela le mode de construction de ces zonages doit tre suffisamment clair pour que l intuition puisse en tre donn e des non sp cialistes dans un texte r sumant bri vement la d finition 4 2 UN SOCLE D INDICATEURS DE R F RENCE ACCOMPAGN DE CONCEPTS ET METHODES Voir annexe 2 Il est important que la statistique publique d finisse des indicateurs de r f rence qui permettent de lire et comparer les territoires entre eux rapidement Ces indicateurs vont au del de la simple description ils doivent permettre de situer le territoire que l on tudie ils doivent tre les t moins d une situation artificialisation des sols distance parcourir pour atteindre un p le de proximit Enjeux d un socle d indicateurs _ L approche des territoires selon d
44. RINE Land Cover http www ifen fr index php id 88 CORINE http glossary eea europa eu terminology sitesearch term CORINE Teruti Lucas http agreste agriculture gouv fr IMG pdf_teruti2009metho pdf LUCAS http glossary eea europa eu terminology sitesearch term LUCAS Comparaison des bases de donn es d occupation des sols volet tache urbaine http www geomatique aln fr article php3 id_article 47 Donn es fonci res et immobili res Dossier du CERTU sur les donn es cadastrales fonci res et immobili res http www observation urbaine certu equipement gouv fr IMG pdf rapport d etude cle277d51 G pdf Plan parcellaire donn es g ographiques du cadastre http www geomatique aln fr rubrique php3 id_rubrique 37 Matrice cadastrale donn es litt rales du cadastre http www geomatique aln fr rubrique php3 id_rubrique 40 Donn es des notaires PERVAL http www geomatique aln fr rubrique php3 id_rubrique 41 Le march locatif base CLAMEUR Conna tre les loyers et analyser les march s sur les espaces urbains et ruraux http www clameur fr presclameur htm Enqu te sur la commercialisation des logements neufs ECLN http www statistiques equipement gouv fr article php3 id article 145 Statistique sur la construction neuve base SITADEL Syst me d information et de traitement automatis des donn es l mentaires sur les logements et les locaux http www statistiques equipement gouv
45. S POPULATIONS ET DES ACTIVIT S SUR LE TERRITOIRE CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 12 1 INTRODUCTION 1 1 ORIGINE DU GROUPE DE TRAVAIL ET ENJEUX Le groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire est issu d une demande conjointe des formations urbanisme et logement et statistiques r gionales et locales du CNIS Cette demande s est traduite par la r daction d un mandat discut puis valid par le bureau du CNIS cf mandat en annexe 6 Ces deux formations souhaitent que les utilisateurs de la statistique publique et notamment tous les acteurs des projets touchant au d veloppement des territoires puissent disposer moyen terme des outils statistiques n cessaires pour caract riser et quantifier les nouvelles tendances de localisation des populations des emplois et des tablissements sur l ensemble du territoire et leurs cons quences sur la transformation des espaces urbains et ruraux Ces outils socle d informations essentiels indicateurs fichiers concepts doivent permettre d am liorer le suivi de l occupation de l espace par les populations et les activit s conomiques aspects physiques et le suivi des flux et des interac
46. _vie bassins_vie htm Le zonage en aires urbaines et aires d emploi de l espace rural http www insee fr fr methodes default asp page zonages aires_urbaines htm CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 54 ANNEXE 5 BIBLIOGRAPHIE RELATIVE AUX EXPOS S Documents consult s le 25 08 2009 APUR 2007 Consommations d nergie et missions de gaz effet de serre li es au chauffage des r sidences principales parisiennes Etudes et Dossiers n 246 d cembre 2007 44 p http www apur org telecharger php fichier 246 pdf Bacca ni B S m curbe F 2009 La croissance p riurbaine depuis 45 ans Extension et densification Insee Premi re n 1240 juin 2009 http www insee fr fr ffc ipweb ip1240 ip1240 pdf Bertaud A 2001 Metropolis A Mesure of the Spatial Organization of 7 Large Cities alain bertaud com http alain bertaud com images AB Metropolis _Spatial_Organization pdf Bisault L 2009 Des territoires de plus en plus artificialis s La maison individuelle grignote les espaces naturels Agreste Primeur n 219 janvier 2009 http agreste agriculture gouv fr IMG pdf primeur219 pdf Bretagnolle A Paulus F Pumain D 2002 Time and space scales for measuring urban growth Cybergeo 219 12 p http www cybergeo eu index379
47. adress s en permettant des analyses spatiales pouss es immeubles d habitation entreprises quipements Le statut de diffusion de donn es localis es selon des XY n est cependant pas clair et freine de ce fait leur mise disposition Les besoins sont de plus en plus de le consid rer comme un l ment de localisation g ographique besoins de pr cision pour permettre d utiliser les outils d analyse spatiale que notamment les SIG offrent 40 Iris parcelle ou section cadastrale lots de 1999 quartiers de la politique de la ville secteurs administratifs police scolaires adresses CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 37 Les petits polygones sont utiles pour repr senter des agr gats statistiques estimation de la population et les surfaces urbanis es e La parcelle cadastrale pr sente 3 avantages Elle conserve les informations surfaciques et permet de couvrir la zone d tude hors voirie et espaces publics elle est la maille d acc s potentiel d autres informations relatives aux propri t s b ties et non b ties surfaces prix etc partir des fichiers des services fiscaux voir plus loin Elle est pr sent g olocalis e par les coordonn es d un centro de et pour une moit
48. agir par exemple de la cr ation d un quartier r sidentiel ou d activit par extension de l urbanisation conversion de friches industrielles militaires de l embellissement du c ur d un bourg centre ou d une petite ville de la mise en place d une infrastructure de transport comme un tramway ou un m tro d une op ration de r novation urbaine d un quartier etc Il peut galement s agir d op rations ponctuelles d am lioration du cadre de vie installation d un tablissement de commerce ou de services implantation d un tablissement scolaire ou d un quipement sportif trac d une piste cyclable Il peut s agir encore de p rim tres plus larges correspondant aux politiques de pr vention des risques industriels ou naturels Il peut aussi s agir de projets l chelle de grands territoires n cessitant d avoir une vision globale mais fine du territoire par exemple dans le cadre de la mise en place d un plan de d placement voire d une ligne grande vitesse ou d une autoroute Le besoin alors est de mesurer les enjeux humains conomiques mat riels l int rieur de ces territoires soumis transformation potentielle ou des al as naturels Cette mesure concerne peu d objets les personnes les emplois les logements et les activit s mais elle est n cessaire selon une maille g ographique tr s fine au sein du territoire concern XY petits polygones flots parcelles cadastrales carreau
49. concerne la n cessit de disposer d outils de mesure pour une utilisation rationnelle de l espace Ce groupe pilot par le CERTU pr sentera son rapport fin septembre CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 14 Les outils non examin s gt L environnement La question de l environnement a bien s r t voqu e plusieurs reprises comme tant fondamentale La n cessit de disposer d indicateurs environnementaux tant pour le diagnostic que pour le suivi cologique des territoires est une pr occupation de tous les acteurs Cette question est cependant apparue comme un sujet part enti re n cessitant de lourds investissements de r flexion d j men s dans d autres cadres voir le R f rentiel national pour l valuation des projets territoriaux de d veloppement durable et agendas 21 locaux http www ecologie qouv fr Referentiel national pour l html labor sous le pilotage du commissariat g n ral au D veloppement durable qui a pour objectif de permettre aux collectivit s d valuer l efficacit de leurs strat gies de d veloppement durable voir les travaux r cemment initialis s par la commission du CNIS Environnement et d veloppement durable voir les travaux du groupe Indicateurs territoriaux
50. de d veloppement durable co pilot par l Observatoire des territoires de la Diact et le Service de l observation et des statistiques SOeS du CGDD Les propositions qui seront issues de ces diff rents groupes de travail devront tre prises en compte par les travaux qui feront suite ce rapport d s lors qu elles poursuivent le m me objectif Ces groupes de travail vont notamment arr ter la liste d un certain nombre d indicateurs de d veloppement durable dont il conviendra den retenir tout ou partie dans le socle d indicateurs de r f rence pr conis s au point 6 5 gt Les flux mat riels et immat riels Faute de temps l examen des outils sur les flux mat riels et immat riels na pas pu tre men Il s agit des flux de type transports communications filaires satellitaires pour lesquels une approche capacit d acc s semble la plus pertinente accessibilit du territoire aux diff rents r seaux d bits gt Les facteurs d attractivit des personnes et des entreprises La qualit de vie qualit des services des emplois de la formation des infrastructures du logement sont autant d l ments importants de l attractivit des territoires et donc autant de facteurs explicatifs de la localisation des personnes et activit s Le groupe n a pas jug prioritaire d examiner ces points tant donn s les d lais impartis gt Les facteurs financiers et institutionnels La gouvernance et les
51. de r pondre ou de ne pas r pondre deux questions r currentes quelle est la richesse produite par les entreprises sur un territoire quels sont les liens entre les entreprises d un territoire 2 3 POLITIQUES TERRITORIALES DE L ETAT D VELOPPEMENT DURABLE GRENELLE DE L ENVIRONNEMENT e R f rences Mesurer et caract riser la consommation Voir CR du 31 mars 2009 d espaces Monique Gadais D crire l occupation de l espace et le march Voir CR du 31 mars 2009 immobilier et foncier avec les sources fonci res Corinne Podilejski CETE M diterran e Jean Cavailh s INRA Les besoins du Meeddm pour ses diff rentes Voir CR du 18 novembre 2008 politiques publiques territoriales Michel David Service de l observation et des statistiques SoeS et Fran ois Salg Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature DGALN Voir CR du 18 novembre 2008 Missions et observation statistique l ADEME Voir CR du 18 novembre 2008 Jean Marie Bouchereau Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie ADEME e R sum Enjeux Probl matiques Besoins L Etat met en place diff rentes politiques territoriales visant au d veloppement durable des territoires La plus embl matique de ces politiques est le Grenelle de l environnement et ses cons quences la mise en place d co quartiers et d co cit s la g n ralisation des plans climat
52. de serre 3 Une connaissance approfondie du march de l immobilier et des terrains habitat et activit s et ce un niveau g ographique fin Ce march est d terminant dans les choix de localisation des personnes et activit s Le logement repr sente le premier poste de d pense des m nages la terre constitue le premier poste du patrimoine de la branche agricole Les cycles foncier et immobilier sont souvent la cause des crises conomiques majeures L action fonci re est au c ur des projets d am nagement et de d veloppement du territoire et en sens inverse les projets d am nagement et de d veloppement des territoires ont des effets sur les march s immobilier et foncier Le l gislateur a mis en place de nombreux outils de r glementation de planification de r gulation qui permettent aux pouvoirs publics une plus grande ma trise fonci re Le constat d une grande variabilit spatiale des prix et des loyers n cessite que l observation fonci re soit compl te et exhaustive 2 4 CONCLUSION SUR LES CONSTATS ET BESOINS EXPRIM S PAR LES UTILISATEURS Les acteurs ont exprim des attentes convergentes quelles que soient leurs probl matiques que leur champ d action soit national ou local que leur mission soit dans le champ public ou pour le compte d activit s priv es Premier point de convergence le besoin de production de nouvelles donn es est limit sauf dans le domaine du march immobilier et foncier logements
53. die universelle entreprises Clap emploi salari DADS ou Clap activit ch mage qualification des actifs Une troisi me partie se compose des chiffres de pr sence d quipements Base permanente des quipements BPE actuellement disponibles au niveau de Iris sur le site de l Insee Certaines donn es actuellement indisponibles au niveau infracommunal comme la construction neuve pourraient s y ajouter A c t de cette mise disposition directe de bases de donn es au carreau certaines informations plus sp cialis es pourraient faire l objet d une mise disposition indirecte dans le cadre de prestations sur mesure ou via un processus s curis du type de celui qui va tre mis en place pour les zones fa on du recensement de la population Ce syst me tout fait innovant est cependant limit aux communes de plus de 10 000 habitants Il gagnerait tre largi un espace g ographique plus important et s ouvrir d autres sources statistiques CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 La premi re tape de ce projet est l examen de sa faisabilit Diff rentes conditions doivent tre remplies Il convient tout d abord de parvenir d finir une g ographie du carreau Il faut ensuite tablir des r gles
54. e Certaines ruptures propos es par le syst me statistique ne sont aujourd hui pas repr sentatives des r alit s de l action publique le d coupage des villes en quartiers IRIS est fig et ne correspond pas la r alit des a mailles de l intervention publique la distinction entre communes de plus de 10 000 et communes de moins de 10 000 pour l acc s certaines donn es est arbitraire elle cr e des ruptures d informations contraignantes dans les espaces des agglom rations qui sont privil gi s pour de nombreux projets d am nagements Le souhait des acteurs publics serait dont de disposer d un syst me d information allant des morceaux de villes aux grands territoires qui leur permettent une vision continue des territoires Les morceaux de villes tant multiples variables en fonction des projets m me si PIRIS reste int ressant notamment pour les comparaisons dans le temps Des donn es locales de plus en plus nombreuses avec cependant quelques insuffisances En termes de donn es et indicateurs locaux les sources d information sont de plus en plus nombreuses et leur acc s s est simplifi ces derni res ann es nombreuses mises en ligne gratuites sur internet L int gration relativement r cente d une pr occupation forte de d veloppement durable dans les politiques publiques n cessite cependant d am liorer les outils existants dans trois domaines en particulier La d
55. e 2009 31 commercial etc La surface habitable qui peut tre distincte de l emprise au sol de la parcelle est fiable mais pas la surface des locaux d activit Des sources pas toujours adapt es aux enjeux du Grenelle Dans de nombreux cas ces sources de donn es se r v lent de pr cision insuffisante TERUTI et Corine Land Cover sont de tr s bons outils qui donnent une vision compl mentaire sur l occupation des sols sur des territoires relativement larges L enqu te TERUTI pr sente l avantage d tre annuelle ce qui permet un suivi r gulier de l utilisation du territoire et de proposer une lecture fonctionnelle de cette utilisation mais ne peut donner des informations fiables pour certains th mes sur des territoires plus petits que les d partements Corine Land Cover masque les territoires urbanis s de moins de 25 ha ce qui am ne ignorer le b ti dispers Cependant l outil permet d sormais d observer l volution de l artificialisation affectant au moins 5 ha selon 11 types diff rents d espaces artificialis s entre 2000 et 2006 Les fichiers fonciers contiennent une information selon une pr cision g ographique plus fine parcelle cadastrale surfaces que les sources pr c demment cit es et pourraient donc convenir l analyse de la pr sence du b ti sur de petits espaces g ographiques Cependant ils sont d une accessibilit difficile peu adapt e aux traitements statistiques la qua
56. e 2009 42 Organismes concern s Insee et organismes producteurs d information infracommunale en concertation avec les utilisateurs de donn es infracommunales R f rence sur le besoin paragraphe 3 2 5 R f rence sur l tat des lieux paragraphe 5 2 6 4 PR CONISATIONS RELATIVES LA M THODOLOGIE L actualisation des zonages d tudes et actualiser en 2010 2011 le zonage en aires urbaines et les bassins de vie en s attachant ce que ces zonages rendent compte des mutations structurelles du territoire largissement de l influence des villes imbrication de l urbain et du rural et polycentrisme urbain notamment en all geant les contraintes administratives qui p sent sur la d finition de ces zones au profit de leur meilleure repr sentativit des bassins du march du travail L actualisation de ces zonages pourrait ensuite tre r alis e tous les 5 10 ans Les bassins de vie devraient avoir un statut de zonage d tude standard au m me titre que les zones d emploi et que le zonage en aires urbaines et en aires d emploi de l espace rural Organismes concern s Insee 7a et Dares 7b en concertation avec la recherche notamment l INRA la DIACT et les utilisateurs de zonages d tudes R f rence sur le besoin paragraphe 4 R f rence sur l tat des lieux paragraphe 5 3 6 5 PR CONISATIONS RELATIVES AU DISPOSITIF D ACCOMPAGNEMENT DE LA DIFFUSION Un r f rentiel d indicateu
57. e base l adresse g or f rencement de ces donn es selon le carreau et ventuellement d autres polygones zonages politique de la ville Iris diffusion de ces donn es g or f renc es Il est par ailleurs indispensable que l utilisateur puisse acc der via un point unique l ensemble des chiffres cl s disponibles au carreau Il est pr conis cette fin que l Insee soit clairement d sign comme le coordonnateur de la diffusion des chiffres cl s au carreau et qu ce titre il soit le pilote d un projet diffusion de donn es au carreau Il est conseill de ne pas attendre que toutes les conditions soient r unies pour initier ce projet II est notamment recommand la mise en place rapide d une exp rimentation pour pr ciser les contours et l usage d une base de donn es au carreau Cette exp rimentation permettrait de pr ciser le type de produit attendu avec des utilisateurs la Fnau serait int ress e et de disposer d un l ment de dialogue indispensable avec tous les organismes concern s par ce projet 4 Il est noter que le groupe souhaiterait que la statistique publique puisse s appuyer sur un r f rentiel d adresses non nominatives g or f renc es CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembr
58. e des territoires groupe Certu et groupe Diact Soes Elle devra tre pr cis e dans sa partie l ments structurants le groupe n ayant pas eu les moyens de pr ciser ce point Les indicateurs sont susceptibles d tre modifi s ou modul s en fonction des niveaux g ographiques Les niveaux g ographiques de production sont France m tropolitaine R gions D partements Aires urbaines EPCI Zones d emploi bassins de vie Certains indicateurs ne pourront pas tre disponibles ou fiables sur tous ces niveaux g ographiques La pr cision des donn es devra tre document e A En mati re morphologique e Indicateurs de l occupation et de l utilisation du territoire Indicateur Origine Remarque Surface urbanis e dans surface totale Groupe CERTU Teruti Parts et taux d volution Occupation physique du territoire en 9 postes Groupe F Cuiller et groupe Teruti CERTU d taill que groupe Sols b tis Sols artificialis s non b tis CERTU Sols cultiv s Sols bois s Landes friches maquis garrigues Surface toujours en herbe Sols nus naturels Zones sous les eaux Autres Zones interdites non photo interpr t es SONE m DD Parts et taux d volution Tissu urbain continu Groupe F Cuiller Teruti CLC e S Pour les zones urbaines Tissu urbain discontinu Parts et taux d volution Occupation fonctionnelle du territoire Groupe F Cuiller et groupe Te
59. e libert de localisation Le d veloppement de l automobile l augmentation du nombre de m tres carr s n cessaires aux habitants et aux activit s l accroissement des surfaces consacr es aux infrastructures de transport la demande de nature et de faibles densit s etc font que les villes tendent leurs franges plus rapidement et plus loin que par le pass La commission g n rale de terminologie et de n ologie publie les d finitions suivantes cf FranceTerme talement urbain domaine Urbanisme d finition extension non ma tris e de zones construites la p riph rie d un espace urbain Voir aussi mitage quivalent tranger sprawl urban sprawl Source Journal officiel du 16 septembre 2006 mitage n m domaine Urbanisme d finition prolif ration non ma tris e de constructions en milieu rural ou p riurbain Voir aussi talement urbain quivalent tranger urban scattering Source Journal officiel du 21 octobre 2004 e Population pr sente Le d nombrement de la seule population r sidente n est pas suffisant pour rendre compte de la charge spatiale quotidienne ou saisonni re des territoires Il correspond un cas particulier d occupation de l espace ici la r sidence L occupation g n r e par les autres activit s travail fr quentation scolaire achats loisirs etc n est pas prise en compte V Fouchier 1997 a propos de rajouter les emplois aux habi
60. e localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 6 DIFFUSION DE CHIFFRES CL S AU CARREAU Les acteurs locaux font le constat que les p rim tres de l intervention publique ou des projets territoriaux ne correspondent que rarement aux seules fronti res des communes ou celles des Iris Pour chaque grande th matique qu il s agisse de l habitat des transports des quipements de proximit ou de la sant l espace urbain se trouve appr hend selon des d coupages sp cifiques Les donn es actuellement disponibles au niveau infracommunal le sont selon des mailles tr s disparates Iris parcelles ou sections cadastrales lots de 1999 quartiers de la politique de la ville secteurs administratifs adresses ce qui complique beaucoup leur rapprochement sur un m me territoire En cons quence les utilisateurs souhaitent pouvoir rapprocher des informations issues de sources statistiques vari es selon leurs propres mailles g ographiques maille fa on avec un int r t marqu pour des mailles d environ 2 000 habitants dimension quivalente celle des Iris Pour ce faire les utilisateurs doivent pouvoir reconstituer l information statistique selon ce maillage directement partir de fichiers qui leur seraient fournis La maille g ographique la plus adapt e cet objectif est le carreau En effet le carroyage ou d coupage d un territoire
61. e seul intervenant sur ce chantier mais l Institut devra mener une concertation pouss e avec les utilisateurs de statistiques locales sur le syst me productif Le terme a appareil productif comprend ici l ensemble des secteurs d activit agriculture construction services commerce et industrie CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 4 AM LIORATION DES INSTRUMENTS DE MESURE DE L OCCUPATION DU SOL La mesure de l volution de la consommation d espace par l urbanisation a t prescrite par le Grenelle de l environnement Dans de nombreux cas les sources de donn es disponibles se r v lent de pr cision insuffisante ou d acc s trop difficile pour r pondre aux attentes du Grenelle Deux outils de la statistique publique donnent une bonne vision compl mentaire sur l utilisation et l occupation des sols D une part l enqu te Utilisation du territoire est la composante de l enqu te europ enne Lucas Land use cover area frame statistical survey dite Teruti D autre part il existe l outil Corine coordination de l information sur l environnement Land cover dit CLC Tous deux s av rent parfois inadapt s pour retracer le d veloppement de l urbanisation une chelle locale Par ailleurs les fichiers fonciers fournissent une inf
62. e sont rendues possible par une offre de transports publics cons quente jusqu minuit plus restreinte ensuite La circulation automobile quant elle ne s interrompt gu re m me si elle conna t un creux entre 4 et 6 heures du matin Pour en savoir plus Mille Matthieu 2000 Des densit s habitantes aux densit s mouvantes l exemple de la m tropole lilloise Cybergeo European Journal of Geography Espace Soci t Territoire document 121 mis en ligne le 25 f vrier 2000 http www cybergeo eu pdf 1866 APUR 2004 Paris la nuit Note de 4 pages n 12 mars 2004 http www apur org images notes4pages 4P12 pdf e Densit quel num rateur quel d nominateur La densit est un indice permettant de mesurer la concentration d un l ment quantifiable sur un espace de r f rence Elle s exprime comme un nombre d l ments par unit de surface La densit permet de comparer les niveaux de concentration entre des espaces de m me chelle ayant des surfaces diff rentes p rim tres administratifs de m me niveau p rim tres morphologiques fonctionnels etc Pour d crire la fa on dont se r partit la population sur un territoire on calcule la densit de population en rapportant le nombre d habitants la surface exprim e en kilom tre carr ou en hectares En changeant les grandeurs au num rateur on peut calculer de nombreuses densit s la densit r sidentielle nombre de logements par unit
63. en 54 postes sols b tis sols artificialis s non b tis sols cultiv s sols bois s et l usage ou utilisation utilisation fonctionnelle en 38 postes agriculture levage activit s industrielles r seaux routiers services publics habitat individuel ou collectif des sols Teruti Lucas permet de suivre et quantifier les changements d occupation et d usage des sols au fil du temps rotations culturales consommation d espaces etc Cette enqu te est un sondage deux degr s on tire d abord des segments photos puis des points pour lesquels les observations sont effectu es nature de l occupation du sol et usage Cela fait la faiblesse de la source comme dans tout sondage il faut un certain nombre d observations pour obtenir une information valide et sa force puisque l on peut qualifier l information en calculant des indicateurs de pr cision la pr cision de ses r sultats varie suivant le niveau g ographique et le niveau de nomenclatures souhait s La pr cision des r sultats est tr s satisfaisante l chelle nationale mais au niveau r gional ou infrar gional la pr cision est d autant moins bonne que le poste tudi est de moindre importance en surface et donc en nombre de points chantillonn s L enqu te telle qu elle est effectu e par le SSP ne changera pas dans sa dimension nombre de relev s Mais il est possible sur demande externe et avec l apport d un budget de renforcer sur une portion de t
64. erm diaire et sup rieure Distancier INRA Odomatrix Taux d quipements gamme d finir INSEE CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 47 C Indicateurs structurants Indicateur Origine Remarque Profil des habitants Groupe CNIS F Cuillier Age moyen taux jeunes taux personnes g s R partition selon quantiles de revenus Part des personnes seules familles Profil des logements Groupe CNIS F Cuillier Part individuel collectif dt construction neuve Part locatif priv social Prix moyen par type de logement Profil des emplois Groupe CNIS F Cuillier Profil des logements Part des formes d emplois pr carit ou non Part des qualifications Part des emplois r sidentiels non r sidentiels Profil des activit s Groupe CNIS F Cuillier selon les grands secteurs selon la fonctionnalit recherche logistique March immobilier et foncier Groupe CNIS F Cuillier Taux d ouverture du march Prix moyen m dian des transactions par type de bien CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 48 ANNEXE 3 LES
65. erritoire le nombre de points observ s par segment 10 25 et ou le nombre de segments en mobilisant la r serve Les projets du SSP visent am liorer faciliter la mobilisation des donn es en d finissant un kit permettant de prendre en compte un zonage particulier ainsi qu une nomenclature particuli re d occupation du sol qualifier les r sultats obtenus en fournissant des indicateurs de pr cision Les fichiers fonciers propri t s b ties FPB et propri t s non b ties FPNB Le fichier des propri t s non b ties ou fichier parcellaire FPNB pr sente par commune toutes les informations relatives aux parcelles aux lots non b tis et le cas ch ant aux subdivisions fiscales correspondantes Il contient avec une fiabilit variable des informations relatives la surface des parcelles et la nature de l occupation Le fichier des propri t s b ties ou fichier des immeubles FPB r pertorie toutes les informations relatives l identification et l valuation des locaux quelle que soit leur destination habitation activit conomique stockage d pendance terrain nu affect un usage industriel ou 2 Coordination de l information sur l environnement CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembr
66. es cl s de lecture commune tous les acteurs locaux Appropriation par tous les acteurs locaux de concepts et m thodes partag s L enjeu est de fournir un cadre d intelligibilit des territoires El ments attendus dans le socle d indicateurs a Le groupe a d fini 2 cat gories d indicateurs n cessaires la connaissance des territoires Indicateurs pour l analyse morphologique Indicateurs pour l analyse fonctionnelle comportement des agents Le groupe de travail a pris connaissance des travaux de deux groupes de travail concernant la d finition d indicateurs territoriaux l groupe de travail sur la consommation d espaces pilot par le CERTU l groupe de travail sur les indicateurs territoriaux de d veloppement durable pilot par la DIACT et le Soes Les travaux de ces groupes de travail vont dans le sens des besoins exprim s par notre groupe mettre disposition de tous les acteurs locaux des indicateurs qui font r f rence parce qu ils ont t choisis comme outils repr sentatifs du positionnement des territoires dans des domaines proches des pr occupations de notre groupe de travail talement urbain mobilit s de personnes coh sion territoriale profil conomique et social La liste des indicateurs souhait s s inspire donc en grande partie de ces travaux b Les d bats ont cependant plusieurs reprises fait appara tre la n cessit de disposer d autres indica
67. es populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 30 Corine land cover CORINE Land Cover est un programme de l Agence europ enne pour l environnement Le mill sime 2006 succ dant ceux de 1990 et 2000 est en cours de production l chelle de 38 pays d Europe ou proches de l Europe achev en d cembre 2008 pour la France m tropolitaine Il d crit l occupation biophysique des sols d coup e par photo interpr tation manuelle d images satellites avec des donn es compl mentaires d appui L chelle de production est le 1 100 000 avec un seuil de 25 ha pour la cartographie des unit s d occupation homog ne des sols La nomenclature en trois niveaux issue de Corine Land Cover convient la plupart des utilisateurs m me si il est n cessaire de d finir sur la base des initiatives locales un quatri me niveau standardis Plusieurs pays europ ens ont des bases nationales d occupation du sol plus pr cises que Corine Land Cover en particulier les pays scandinaves Leurs bases sont op rationnelles et r pondent aux besoins des utilisateurs Ils en d rivent ensuite la couche CLC sur leur territoire pour satisfaire les besoins europ ens La France participe depuis peu aux d bats europ ens autour de lavenir de CLC MEEDDM Teruti Lucas L enqu te Teruti Lucas du minist re charg de l agriculture permet d observer annuellement l occupation utilisation physique
68. es publiques l chelle des villes agglom rations grands territoires Isabelle Maquin Agence d urbanisme de l agglom ration de Besan on Voir CR du 28 octobre 2008 Nathan Starkman Agence de d veloppement et d urbanisme de Lille M tropole Voir CR du 20 janvier 2009 Francis Cuillier Voir CR du 8 juillet 2009 Les besoins de connaissance des acteurs publics locaux Philippe Estebe Voir CR du 28 octobre 2008 ACADIE e R sum Enjeux Probl matiques Besoins Du morceau de ville au r seau m tropolitain la n cessit de pouvoir mobiliser une information sur des contours d action publique multiples Les p rim tres de l action publique territoriale sont multiples d chelles variables et instables La ma trise de la coh sion territoriale par les pouvoirs publics locaux s exerce de fa on a embo t e par des politiques localis es au quartier politique de la ville par exemple l chelle de la commune ou de son intercommunalit PLH PLU par exemple ou l chelle un peu plus strat gique de grands territoires SCOT par exemple jusqu l chelle d partementale voire r gionale SRADT PNR A Les acteurs publics locaux ont besoin de cette vision embo t e de leur tissu territorial Et ceci sans discontinuit les territoires comme leurs repr sentations institutionnelles pr sentent d sormais une continuit de leur partie la plus urbanis e jusqu leur composante rural
69. eurs devraient avoir trait au d veloppement durable D autres seraient de caract re structurel profil des habitants logements emplois activit s march immobilier densit quipements de proximit ratio de l emploi r sidentiel au non r sidentiel ratio de pr sence de la population nocturne diurne t hiver Une r flexion doit tre conduite sur la conception d indicateurs de richesse d un territoire de liens entre les entreprises de continuit de l urbanisation Ces indicateurs seraient produits annuellement aux niveaux du d partement de la r gion et du zonage d tudes et accessibles via l internet lls seraient accompagn s d un r f rentiel documentaire indiquant aux utilisateurs les concepts la m thode et la proc dure suivre pour les calculer sur d autres niveaux g ographiques Des valuations r guli res permettraient de v rifier l ad quation de ce r f rentiel aux probl matiques locales L Insee et le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer conduiraient cette action en concertation avec les producteurs et les utilisateurs du r f rentiel CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 11 RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL STATISTIQUES ET NOUVELLES TENDANCES DE LOCALISATION DE
70. fr article php3 id article 163 Enqu te sur le prix des terrains b tir EPTB http www statistiques equipement gouv fr article php3 id _article 867 Enqu te sur le parc locatif social EPLS http www statistiques equipement gouv fr article php3 id article 146 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 53 D placements Enqu tes M nages D placements EMD http www certu fr fr _Mobilit et dAO placements n25 download php file_url IMG pdf Note 2 _ _recueils de donnees pdf Appareil productif Connaissance locale de l appareil productif Clap http www insee fr fr methodes default asp page definitions clap htm R pertoire d entreprises et tablissements REE http www insee fr fr ppp bases de donnees donnees detaillees duicq accueil asp page doc stmna htm D claration annuelle de donn es sociales DADS http www insee fr fr methodes default asp page sources sou adm dads htm Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales BODACC http www bodacc fr ZONAGES D EITUDES Les zones d emploi http www insee fr fr methodes default asp page zonages zones_emploi htm Les bassins de vie http www insee fr fr themes detail asp ref_id bassins_ vie amp reg_id 99 amp page donnees detaillees bassins
71. g n ralis e et par une meilleure qualit de la codification de cette destination du moins dans ses principaux postes Engager une r flexion sur les indicateurs repr sentatifs du degr de continuit de l habitat et du b ti dans un territoire donn 3 2 5 D FINIR LES CONDITIONS TECHNIQUES JURIDIQUES COMMERCIALES QUI PERMETTRAIENT LE RAPPROCHEMENT DES DONNEES SELON DES ZONES GEOGRAPHIQUES A FA ON Les zonages de l intervention publique et des projets territoriaux ne correspondent pas le plus souvent aux seules fronti res des communes ni celles des Iris Chaque probl matique habitat transport quipements de proximit sant n cessite d appr hender l espace urbain selon des quartiers qui sont souvent sp cifiques En cons quence les utilisateurs souhaitent pouvoir rapprocher des informations issues de sources statistiques vari es selon leurs propres mailles g ographiques maille fa on al Pour ce faire les utilisateurs doivent pouvoir reconstituer l information statistique selon ce maillage directement partir de fichiers qui leur seraient fournis ou bien via un processus s curis du type de celui qui va tre mis en place pour les zones fa on du recensement de la population Deux formes de mise disposition sont donc souhait es a Une mise disposition directe de bases de donn es au carreau Les utilisateurs pourraient agr ger eux m mes les informations
72. ges dit d tudes zones d emploi unit s urbaines zonages en aires urbaines et espaces ruraux bassins de vie ne correspondent g n ralement pas aux p rim tres des institutions locales ni aux projets de territoire locaux Ils n en sont pas moins reconnus par tous les utilisateurs comme des outils indispensables la connaissance du fonctionnement des territoires et la comparaison des territoires entre eux selon des concepts communs Cette fonction doit tre renforc e en faisant de ces zonages le support de diffusion des indicateurs cl s sur la morphologie et le fonctionnement des territoires Les expos s ont fait merger deux chelles g ographiques de besoin correspondant deux types de projets ou d intervention sur les territoires voir encadr ci apr s Si cette partition peut parfois poser un probl me de fronti re elle nous a sembl n anmoins significative de 2 types d attente et elle est donc utilis e dans la suite du rapport pour pr senter les besoins 3 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 20 Les deux chelles g ographiques de besoin Echelle 1 les besoins relatifs aux projets d am nagement ou la pr vention des risques qui ciblent une action et un territoire pr cis Il peut s
73. i des communes par les coordonn es les limites de parcelles La parcelle cadastrale pr sente n anmoins l inconv nient de ne pas tre une maille utilis e de fa on standard pour l information statistique et celui d voluer dans le temps ce qui cr e des difficult s pour observer les volutions sauf syst matiquement associer au num ro de parcelle les coordonn es de son centro de Certains travaux utilisent la section cadastrale qui est un regroupement de parcelles d finie pour les besoins cartographiques du plan cadastral La section cadastrale n est pertinente que dans les centres urbains anciens e L lot nest plus la maille de collecte du recensement de la population dans les communes de plus de 10 000 habitants Sa repr sentation cartographique est donc fig e sur le tissu urbain tel qu il existait au recensement de 1999 L lot n est donc plus utilisable comme maille de restitution e La grille carroy e permet de couvrir des objets surfaciques et de repr senter des agr gats statistiques Elle pr sente l avantage de d couper l espace de fa on homog ne carreaux Selon que le carreau de base est plus ou moins fin le carroyage permettra de couvrir avec une plus ou moins grande pr cision g om trique le territoire tudi Le carroyage pr sente l avantage de la continuit dans le temps et de pouvoir rapprocher ais ment des informations de diff rentes sources L affectation d une information ra
74. ier par leurs choix de localisation participent pleinement la vie locale et au d veloppement des territoires L implantation des activit s est structurante pour l organisation d un territoire que ce soit d un point de vue morphologique occupation de l espace fonctionnel transports d placements g n r s conomique march du travail dynamisme conomique Pour optimiser leurs implantations tout en tant d sormais attentifs aux orientations du Grenelle de l environnement les acteurs conomiques ont besoin d informations qui leur permettent d appr hender les conditions conomiques de leur implantation march immobilier et foncier transports et accessibilit de conna tre le tissu conomique dans lequel l entreprise va s ins rer les partenaires la concurrence les r seaux fili res d estimer le potentiel de la demande et de d terminer des zones de chalandise lorsque la client le est locale de dialoguer avec les acteurs publics sur les apports conomiques de leur pr sence richesse produite et sur leur empreinte cologique 10 EMD enqu te m nages d placements EDVM enqu te d placements villes moyennes EDGT enqu te d placements grand territoire CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septemb
75. il g ographique plus fin La r flexion autour de cette r novation doit prendre en compte plusieurs pr occupations Les enqu tes r nov es doivent en premier lieu s int grer un dispositif global de connaissance des mobilit s des m nages comprenant notamment les campagnes annuelles de recensement et les enqu tes Transports L information produite doit tre accessible tous Enfin diff rents modules d enqu tes pourraient tre envisag s afin d optimiser en fonction du champ tudi le ratio entre le co t de collecte et la pr cision de l information L encore les intervenants principaux seraient l Insee et le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer Le nouveau syst me d information ne peut toutefois tre d fini qu en concertation troite avec les organismes intervenant dans la planification des transports 3 RAPPROCHEMENT POUR UN TERRITOIRE DONN DES INFORMATIONS SUR L APPAREIL PRODUCTIF La statistique publique a consenti des investissements lourds sur diff rents instruments afin de les fiabiliser et de r duire les d lais de fourniture de l information C est le cas notamment pour le r pertoire des entreprises et tablissements REE issu de Sirene pour les outils sur la d mographie des entreprises mais aussi pour le dispositif Connaissance locale de l appareil productif Clap et pour la cha ne de traitement des d clarations annuelles de donn es sociales DADS
76. ilisateurs de la statistique publique et notamment tous les acteurs des projets touchant au d veloppement des territoires puissent disposer moyen terme des outils statistiques n cessaires pour caract riser et quantifier les nouvelles tendances de localisation des populations des emplois et des tablissements sur l ensemble du territoire et leurs cons quences sur la transformation des espaces urbains et ruraux Les travaux ont abouti l tablissement de huit recommandations Certaines ont trait la production de nouvelles donn es ou l am lioration de certaines productions D autres concernent la mise disposition de l information ou sa diffusion la mise jour des zonages existants tant un dernier axe 1 DIFFUSION DE DONNEES NOUVELLES SUR LE MARCH DE L IMMOBILIER ET DU FONCIER Dans leur quasi totalit les transactions donnent lieu la r daction d un acte authentique par un notaire mais les professionnels d plorent la pauvret de l information disponible au niveau local Il existe certes diff rents fichiers ou bases de donn es mais h t rog nes et difficiles d acc s Le groupe de travail recommande la mise en uvre d un programme de production et de diffusion annuelle de statistiques sur les transactions immobili res et fonci res la location comme la vente stocks de biens flux et prix des transactions Les biens concern s sont les terrains b tir les terres agricoles et foresti res les
77. ins des responsables sur un domaine en volution rapide L offre se diversifie quant aux acteurs concern s Etat r gions d partements intercommunalit s et aux modalit s propos es TER tramway m tro RER cars etc La coordination des politiques de transport au sein d une m me r gion requiert des informations homog nes sur les diff rentes zones qui la composent Le besoin d homog n it s impose galement lorsque l on cherche mutualiser la r flexion entre agglom rations comparables Les collectivit s territoriales voient appara tre une exigence suppl mentaire suite au Grenelle de l environnement c est dire du plus petit regroupement d lots pr vu pour la diffusion d informations statistiques CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 Or les enqu tes EMD se caract risent par leur co t lev leur manque de repr sentativit sur des territoires fins la lourdeur et la lenteur de leur exploitation la difficult des comparaisons temporelles et l absence de mise disposition au del des commanditaires De plus en plus les d cideurs souhaitent disposer d informations fr quentes et rapides notamment en termes de flux IIS ressentent le besoin d investigations plus l g res et plus rapides mais avec un d ta
78. ir un programme d enqu tes coordonn dans les grandes agglom rations _ d aller vers une mise en coh rence des donn es sur les d placements disponibles dans diff rentes sources enqu tes d placements recensement DADS base permanente des quipements de disposer rapidement et r guli rement de donn es de flux origine destination compl mentaires celles des recensements qui ne s int ressent Ou aux d placements domicile travail sur des secteurs g ographiques d terminer d tudier un syst me d enqu te plus modulaire permettant des enqu tes l g res et rapides sur une zone une p riode une population sp cifique tudiants personnes g es ou un facteur particulier modes de transport mobilit de week end par exemple autorisant des r sultats par secteurs g ographiques plus fins qu avec les enqu tes actuelles 3 2 3 AM LIORER LE DISPOSITIF STATISTIQUE POUR L TUDE DE L APPAREIL PRODUCTIF Pour analyser l appareil productif les utilisateurs font appel d sormais de nombreuses sources d informations Clap Sirene et son d riv sur la d mographie des entreprises Dads Bodacc pour l essentiel Le souhait de ces utilisateurs est une mise en coh rence et une plus grande int gration de ces sources 3 EMD Enqu te M nages D placements 14 EDVM Enqu tes D placements Villes Moyennes 15 EDGT Enqu te D placements Grands Territoires 16 Clap connaissance locale de
79. ivit s 22 3 2 2 Adapter les enqu tes sur les d placements M nages D placements EMD EDVM et EDGT M thode standard CERTU au nouveau contexte et largir leur diffusion au domaine ee 23 3 2 3 Am liorer le dispositif statistique pour l tude de l appareil productif 23 3 2 4 Accro tre la r solution des sources sur l occupation du sol 24 3 2 5 D finir les conditions techniques juridiques commerciales qui permettraient le rapprochement des donn es selon des zones g ographiques fa on ssssssssresrsssssrrrrrrrsse 25 4 LES R F RENTIELS G OGRAPHIQUES DE COMPARAISON LES ZONAGES D TUDES ess REEEERNEESNen 26 4 1 Les ajustements au dispositif actuel 27 4 2 Un socle d indicateurs de r f rence accompagn de concepts et m thodes s 1e1s00 28 Le terme appareil productif comprend ici l ensemble des secteurs d activit agriculture construction services commerce et industrie CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 5 ETAT DES LIEUX SUR LES OUTILS DISPONIBLES ET LEURS LIMITES 29 5 1 Etat des lieux sur les sources statistiques 29 BA Occupation AU SOI EE 29 5 1 2 Localisation des personnes logements activit s quipements 31 5 1 3 March immobilier et foncie
80. l tranger les plus utiles l am lioration du dispositif statistique l horizon du moyen terme 2 Formuler des pr conisations en vue de l actualisation l horizon 2010 des zonages d tudes sous la responsabilit du syst me statistique public aires urbaines et espace rural bassins de vie zones d emploi Le groupe tirera les principaux enseignements retenir des r flexions pr c dentes dans la perspective d une actualisation en 2010 de ces zonages Le groupe devra s int resser l observation des facteurs identifi s de localisation ch ance le rapport final devra tre remis pour juin 2009 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 57 ANNEXE 7 COMPOSITION DU GROUPE LISTE DES MEMBRES PERMANENTS INSEE DR de Provence Alpes C te d Azur Responsable du p le national Brigitte BACCAINI Analyses territoriales Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie ADEME E Meeddm Service des tudes et de l valuation du CGDD INRA UMR 1041 CESAER Centre d conomie et Sociologie Appliqu es a l Agriculture et aux Espaces Ruraux Michel DAVID Meeddm Service de l observation et des statistiques SoeS du CGDD SAmANNADEDARD des Statistiques DARES Pipe
81. l appareil productif IT Dads d clarations annuelles de donn es sociales 18 Bodacc Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales utilis pour les statistiques de d faillances d entreprises CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 24 Deux priorit s ont t d finies Un r f rentiel annuel de base de tous les tablissements pr sents sur le territoire localis s l XY avec le code activit NAF 700 et l emploi Ceci est indispensable la cartographie du tissu productif toile de fond de nombreux projets d am nagement Un outil statistique qui permette une lecture int gr e des diff rentes sources disponibles sans se heurter de nombreuses ruptures de champ et concepts en rapprochant sur un territoire diff rentes informations sur l appareil productif activit s Clap emploi Clap masse salariale Dads qualification Dads date de cr ation Sirene Ree Chiffre d affaire des entreprises Sirene Il est souhait que cet outil se pr sente comme un fichier annuel d tablissement anonymis chaque tablissement tant localis l IRIS et la commune Cet outil devrait tre accompagn d une documentation pr cisant le mode d usage des informations les concepts Une attention
82. lation pr sente et de la densit de logements Indicateur Origine Remarque Surface occup e et population concern e selon diff rents INSEE espaces Ville centre Banlieue P riurbain Rural Distance moyenne parcourir partir d une ville centre pour INSEE Distancier INRA atteindre une densit inf rieure 80 hab km 100 hab km A Odomatrix Population moins de 30 minutes 1 h etc de la ville centre d un Groupe CNIS F Cuillier Distancier INRA territoire Odomatrix Distance temps moyenne parcourir pour atteindre la ville centre d un territoire Groupe CNIS F Cuillier Distancier INRA Odomatrix Population r sidente rapport e la surface totale et la surface urbanis e du territoire idem logements Groupe F Cuiller et groupe CERTU A d cliner aussi selon la population pr sente p riodes creuses et p riodes pleines pour les zones touristiques Nombre de logements construits rapport surface urbanis e correspondante logements ha Groupe F Cuiller et groupe CERTU B En mati re fonctionnelle Indicateur Origine Remarque D placements domicile travail Distances moyennes m dianes parcourues par mode de transport Temps moyens m dians Groupe DIACT SOes Distancier INRA Odomatrix Accessibilit aux quipements Ne INSEE Distances et temps moyens d acc s aux 4 gammes d quipements de base de proximit int
83. le volume de gaz ou de substances polluantes mis par individu ou par m nage au cours de ses d placements et ainsi de quantifier la consommation et les missions l chelle de tout le p rim tre d tude Par rapport aux enjeux d aujourd hui elles pr sentent n anmoins des limites notables 3 CLAMEUR calcule un coefficient de repr sentativit sur le march locatif priv qui rapporte les r f rences de Clameur au march locatif th orique Source Filocom 3 Voir 2 1 note de bas de page EMD enqu tes m nages d placements dans les agglom rations avec un p le urbain sup rieur 100 000 habitants EDVM enqu tes d placements dans les villes moyennes ou agglom rations avec p le urbain de moins de 100 000 habitants ou EDGT enqu tes d placements dans les grands territoires p riurbaines les d partements voire m me les r gions CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 35 leur co t l ordre de grandeur du co t d une EMD est de 160 180 HT par m nage suivant la taille de l chantillon Sachant qu un minimum de 1 500 m nages doit tre enqu t le co t minimum d une EMD est de 270 000 HT 480 000 HT pour un chantillon de 3000 m nages Pour les EDVM et EDGT le co t est d envir
84. leen de Paris H Territem Analyse du tissu conomique LA Chambre de commerce cr du tramway T1 sur la commune at d industrie de Paris de Noisy le Sec le tissu conomique en 2007 Breser z n techn Tecritem tarm oyes JE ag BET s Rapathon de Tempio par trace en 2007 SE Cen e Ke i tag ven P rim tres d nate de 200 m amour des ptn envisag s Q Zahl der Einwohner Autobahnen Schnellstrafen je Rasterzelle 250m araen ges Vote berregionalen Verkehrs m 10 100 Stra en des SEH S i a berregionalen Verkehrs E 1 001 1 500 E 1 501 2 700 Wald Gew sser Quelle STATISTIK AUSTRIA Volksz hlung 2001 Geb udekoordinaten Stand Dezember 2004 Topographische Kartengrundlage Geoatlas Ma stab 1 125 000 1 2 3 4 5 Kilometer Lambert sche konforme Kegelprojektion Raster ausgerichtet auf die Lambert Abbildung Bezugsmeridian 13 20 Bezugsbreitenkreis 47 30 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 45 ANNEXE 2 LES INDICATEURS DU R F RENTIEL La liste des indicateurs propos s ci apr s est indicative Elle sera compl t e en fonction des travaux des diff rents groupes de travail relatifs l occupation et au d veloppement durabl
85. lit des donn es et la couverture territoriale est in gale les formats de fichiers complexes et les autorisations obtenir pour leur traitement peu engageantes Sur de nombreuses r gions Provence Alpes C te d Azur Languedoc Roussillon Nord Pas de Calais ou sur la bande du littoral IPLI et IPLI MOS les acteurs concern s ont d proc der la constitution de bases de donn es d occupation des sols avec des unit s minimales de collecte de l ordre d un hectare voire du quart d hectare pour les zones b ties En outre dans le cadre de GMES Global monitoring for environment and security les r flexions sur les besoins de donn es d occupation du sol men s l occasion de la d finition du LMCS Land Monitoring Core Service ont montr la n cessit op rationnelle de donn es d occupation du sol plus pr cises notamment en milieu urbain et p riurbain 5 1 2 LOCALISATION DES PERSONNES LOGEMENTS ACTIVIT S QUIPEMENTS Estimation de la population r sidente La nouvelle m thode de recensement pr sente deux limites pour estimer la population aux chelles infra urbaines fines les d nombrements de la population sont d sormais obtenus par sondage 40 dans les communes de plus de 10 000 habitants selon un chantillon repr sentatif sur la plupart des l IRIS mais qui rend l estimation de population d licate des niveaux plus fins le recensement ne permet pas d obtenir de r sultats infracommunaux p
86. logements et les locaux d activit Les informations essentielles prendraient la forme d indicateurs produits pour chaque Iris commune et pour tous les niveaux g ographiques sup rieurs lls porteraient sur les volumes de transactions et les prix Des informations sont galement attendues sur l origine g ographique des acheteurs et sur la cat gorie socioprofessionnelle des acqu reurs et des vendeurs Par ailleurs des fichiers d tail anonymis s seraient mis la disposition des professionnels selon une maille g ographique et des conditions d acc s qui restent d finir Une tude pr alable devra notamment d terminer les conditions de faisabilit pour chacun des deux grands domaines celui de la vente et celui de la location Un tel projet ferait intervenir l Insee mais aussi le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer ainsi que la direction g n rale des finances publiques Minist re du budget des comptes publics de la fonction publique et de la r forme de l Etat Parmi les partenaires concern s figurent outre la Cnil les notaires et les professionnels de l immobilier 2 R NOVATION DES ENQU TES M NAGES ET D PLACEMENTS EMD Bien que tr s riche le dispositif d enqu tes EMD g r par le Centre d tudes sur les r seaux les transports l urbanisme et les constructions Certu du Minist re de l cologie du d veloppement durable et de la mer doit s adapter aux beso
87. mations recueillies concernent les caract ristiques des logements tudi s leur quipement et leur confort l immeuble leur place dans la ville les loyers correspondants le loyer actuel le loyer de l ancien locataire et le taux de mobilit r sidentielle des locataires Ces informations sont recueillies sur la base du volontariat des partenaires de Clameur La base d observations disponibles couvre la totalit des d partements m tropolitains avec cependant des coefficients de repr sentativit variables de moins de 5 plus de 12 5 X Clameur fournit des indices d volution des loyers pour la France les r gions les d partements et les grandes villes avec cependant un manque de pr cision de l information au niveau infrar gional notamment lorsque l on souhaite cette information par type de bien Les sources aujourd hui disponibles sur les loyers ne permettent donc pas une analyse des march s locatifs locaux y compris dans les grandes agglom rations o l information disponible reste tr s agr g e Dans certaines r gions des observatoires fonciers et immobiliers ont t cr s sur l initiative des acteurs r gionaux et locaux des secteurs publics et priv s Ils sont aliment s parfois manuellement en utilisant des informations de diverses provenances extraits d actes notari s DIA bases notariales base il des Domaines etc Cependant ces structures pr sentent une certaine fragilit instit
88. mentaires plateforme de services activit s sportives donn es bilocalis es de la grande distribution et du r seau des cartes bancaires etc c Le zonage en aire urbaine et son compl ment rural Les principales remarques des utilisateurs sont relatives la complexit du zonage aux modalit s de partitionnement polarisation seuil une d finition du rural en n gatif par rapport l urbain et une couverture insuffisante du rural La complexit provient des modalit s techniques de constitution du zonage processus agr gatifs m lange de partition et de typologie du vocabulaire qui cr e parfois une confusion dans les concepts d crits en empruntant des termes g n riques trop connot s et pas assez diff renci s par rapport d autres cat gories existantes aire espace urbain rural p le p riurbain Ce n est pas au groupe de trancher sur la m thodologie cependant il faudra prendre en compte les remarques relatives l h t rog n it interne des grandes aires urbaines qui sont polaris es par un p le central mais qui peuvent aussi avoir des p les secondaires identifier au sein de leur aire d influence Les couronnes p riurbaines tr s tendues constituent aussi un ensemble h t rog ne L utilisation de la distance au p le urbain ou de la classification traditionnelle commune rurale unit urbaine ou des bassins de vie au sein de ces couronnes permett
89. n s CNIL Notaires professionnels de l immobilier R f rence sur le besoin paragraphe 3 2 1 R f rence sur l tat des lieux des sources paragraphe 5 1 3 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 6 2 6 2 1 6 2 2 6 2 3 40 PR CONISATIONS RELATIVES L AM LIORATION DE SOURCES EXISTANTES ENQU TES D PLACEMENTS EMD EDVM ET EDGT M THODE STANDARD CERTU d placements afin qu elles produisent des informations adapt es aux nouvelles exigences fra cheur comparabilit adaptabilit toutes tailles de territoires analyses de zones fines et de populations sp cifiques Cette r novation doit par ailleurs satisfaire plusieurs conditions int grer les enqu tes r nov es dans un dispositif global de connaissance des mobilit s des m nages qui comporte notamment les recensements annuels et les enqu tes transports fournir de l information publique accessible tous et non pas aux seuls commanditaires optimiser le rapport co t information fournie en proposant le cas ch ant diff rents modules d enqu tes selon le champ et la pr cision des informations attendues Organismes concern s Meeddm Inrets et Insee en concertation avec les organismes intervenant dans la planification des transp
90. ndeurs Origine g ographique des acqu reurs et locataires m me commune agglom ration d partement r gion autre r gion tranger Profession des acqu reurs locataires et des vendeurs et propri taires cat gorie socioprofessionnelle en 8 postes Ces indicateurs seraient publi s selon diff rentes mailles g ographiques agglom ration et EPCI commune IRIS zones fa on de 2000 habitants en fonction des contraintes de disponibilit et de secret Annuellement anciennet de l information la plus fra che possible n 2 maxi Fichiers attendus par les professionnels sur ce type de bien La d finition de programmes structurants pour le territoire comme par exemple les programmes locaux de l habitat PLH n cessite le croisement de donn es tr s d taill es pour comprendre les march s locaux immobilier et foncier Les chercheurs les responsables de lobservation du march de l habitat dans les collectivit s locales et d autres organismes souhaiteraient pour cela acc der des fichiers statistiques document s et qualifi s leur permettant de r aliser des croisements d taill s CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 23 3 2 2 ADAPTER LES ENQU TES SUR LES D PLACEMENTS M NAGES D PLACEMENTS EM
91. oci t s d Am nagement Foncier et d Etablissement Rural SAFER peuvent exercer un droit de pr emption lors de la vente de tout fonds agricole ou de terrain destination agricole A ce titre elles re oivent une notification de la part des notaires Cette obligation d information fait des 25 SAFER m tropolitaines et des 3 SAFER des d partements d outre mer des observateurs privil gi s du march foncier agricole et rural La SCAFR Soci t Centrale d am nagement foncier rural assure la diffusion et les analyses de ces informations qui couvrent l ensemble du territoire national avec des s ries de donn es pouvant remonter jusqu en 1968 Les sources sur la valeur locative des biens L enqu te sur le parc locatif social EPLS permet de disposer d informations la commune sur les loyers HLM Les r gles de secret actuelles emp che n anmoins sa diffusion si il n y a pas 3 bailleurs sur la zone tudi e La refonte de cette enqu te passage un r pertoire du logement social et son nouveau statut permettront vraisemblablement de disposer d informations diffusables un niveau g ographique plus fin voire l infracommunal dans les villes de taille importante Loyer dans le secteur locatif priv e Les sources publiques Il nest pas envisageable d tendre l enqu te loyers et charges de l Insee un niveau g ographique fin car le questionnement est compliqu pour bien distinguer le loyer hors charge La loi pr
92. ommunal du moins pas directement la construction neuve par exemple Cette mise disposition suppose que les donn es soient diffusables eu gard aux r gles de secret statistique et donc que ces r gles soient ventuellement revisit es en ce sens que des m thodes de brouillage soient appliqu es de fa on respecter ces r gles sans pour autant perdre du sens statistique ce niveau g ographique Cela suppose aussi que les diff rents producteurs s accordent pour une mise disposition ce niveau carreau Cette mise disposition suppose enfin que le carreau soit un objet g ographique bien d fini Dans le cadre d INSPIRE une d finition du carroyage normalis europ en existe Il serait utile que la d finition du carreau de base fran ais permette de reconstituer le carreau europ en sans perte de pr cision statistique b Une mise disposition sur mesure indirecte pour des informations plus sp cialis es Certains projets publics n cessitent que l information fournie soit sur le contour exact de l intervention secteur scolaire zone de r habilitation de l habitat et ou n cessitent des donn es qui ne pourraient pas tre accessibles au carreau car confidentielles ce niveau non agr geables partir du carreau comme c est le cas par exemple des quantiles de revenus des indicateurs de prix de l immobilier Il est donc attendu dans ce cas un di
93. on 12 1 1 Origine du groupe de travail et enjeux 12 1 2 M thode de travail it time in in ete it fente mn tres 13 2 ENJEUX ET BESOINS DES UTILISATEURS SELON DIFF RENTES PROBL MATIQUES un 15 2 1 Politiques territoriales des collectivit s et acteurs locaux ssssssessenenenssseirrrnrrnnssterrrnnrenssrne 15 2 2 Implantation des activit s conomiques 16 2 3 Politiques territoriales de l Etat D veloppement durable Grenelle de l environnement 17 2 4 Conclusion sur les constats et besoins exprim s par les utilisateurs 18 3 LES BESOINS D OUTILS STATISTIQUES SELON LES 2 CHELLES DE PROJETS rnrrrrsnres 21 3 1 Echelle 1 les besoins relatifs aux projets d am nagement ou la pr vention des E UE EN 3 1 1 Une cartographie pr te l emploi ss 21 3 1 2 Un fichier fournissant des estimations de population et d emploi 21 3 1 3 Un fichier donnant pour chaque entreprise tablissement 21 3 1 4 Un fichier donnant pour chaque immeuble sssssssenerensseeertrrnensstterrnnrtnnssrerttnnnn nenen reenn 21 3 1 5 Un fichier donnant pour chaque quipement renren ne nnn 21 3 2 Echelle 2 les besoins relatifs aux projets de territoires ayant une port e g n rale 21 3 2 1 Constituer un dispositif public de mise disposition de statistiques locales sur les march s immobilier et foncier habitat et act
94. on 30 HT par personnes enqu t es leur manque de repr sentativit sur des territoires fins directement li la taille de l chantillon donc au co t de l enqu te la relative lenteur de leur mise disposition et la lourdeur de leur exploitation les donn es que fournit l enqu te sont nombreuses et pas toujours ma tris es par le commanditaire qui n utilise parfois des tableaux standard fournis par le CERTU mais d j nombreux D mportants progr s ont r cemment t accomplis dans les d lais d exploitation 2 ans pour Lille et Lyon mais ceci reste encore souvent tr s long Le manque de coordination dans le temps ce qui rend les r sultats difficilement comparables d autant que l enqu te nationale transport ne fournit un point de r f rence national que tous les 12 14 ans L absence de mise disposition publique des r sultats l exclusion des tableaux standard alors que ce sont des donn es fondamentales pour nombre de services la population la Poste les distributeurs d nergie les transporteurs Cars taxis les quipements et commerces l impossibilit en g n ral d apparier l chantillon avec le RP motorisation des m nages et domicile travail et par suite de stratifier le plan de sondage puisque celui ci n est g n ralement pas tir par l Insee mais par les instituts de sondage priv s qui r alisent les EMD la plupart du temps Il serait donc souhaitable que
95. oordonner leur offre de la R gion la ville Il faut veiller ce que les outils disponibles aujourd hui s adaptent bien ces nouveaux enjeux que les enqu tes d placements les 3 enqu tes m thode standard Certu EMD EDVM et EDGTTT ainsi que l EGT sp cifique l Ile de France soient plus souples d utilisation puissent donner des r sultats sur des secteurs plus fins des co ts par m nage moins lev s qu aujourd hui en s appuyant sur une mise en coh rence avec d autres sources disponibles sur ce th me DADS RP enqu te nationale transport que les nouvelles sources disponibles Clap BPE permettent d identifier les p les d emploi et les p les d quipements y compris au niveau infracommunal 2 2 IMPLANTATION DES ACTIVIT S CONOMIQUES e R f rences Artisanat et territoire Eric De Lannoy Assembl e Voir CR du 18 novembre 2008 permanente des chambres de m tiers APCM Enjeux et besoins des acteurs priv s et publics en Voir CR du 18 novembre 2008 mati re d implantation d activit s Fr d ricke LONCHAMBON Assembl e des Chambres Fran aises de Commerce et d Industrie ACFCI Une segmentation territoriale pour l implantation de la Voir CR du 18 novembre 2008 Poste Emmanuelle LIGOUZAT La Poste Atelier appareil productif Voir CR de l atelier du 13 mai 2009 e R sum Enjeux Probl matiques Besoins Les acteurs conomiques en particul
96. orialis e permettant aux acteurs d identifier les sp cificit s d un territoire sa structuration ses forces ses faiblesses ses potentialit s dans diff rents domaines Ces domaines sont vari s l objectif tant de comprendre le territoire par une synth se de son fonctionnement selon toutes ses dimensions d mographique conomique sociale environnementale Les aspects de morphologie et de localisation des personnes et des activit s sont la base de cette synth se Le besoin est dans ce cas prioritairement de pouvoir calculer des informations cl s selon une maille g ographique variable en fonction des th mes abord s souvent de niveau infracommunale Cette maille peut tre de l ordre de 2000 habitants faisant r f rence en cela la taille des IRIS CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 21 3 LES BESOINS D OUTILS STATISTIQUES SELON LES 2 CHELLES DE PROJETS 3 1 ECHELLE 1 LES BESOINS RELATIFS AUX PROJETS D AM NAGEMENT OU LA PREVENTION DES RISQUES Pour cette chelle deux modes de mises disposition de l information sont envisageables non exclusifs les cartes pr tes l emploi 3 1 1 peuvent faire l objet d une mise disposition anticip e par rapport aux fichiers 3 1 2 3 1 5 UNE CART
97. ormation selon une pr cision g ographique plus fine que les sources pr c demment cit es et pourraient donc convenir l analyse de la pr sence du b ti sur de petits espaces g ographiques Cependant ils sont d une accessibilit difficile peu adapt e aux traitements statistiques la qualit des donn es et la couverture territoriale est in gale les formats de fichiers complexes et les autorisations obtenir pour leur traitement peu engageantes Le groupe recommande que le CNIS soit tr s attentif la participation de la statistique publique aux diff rents projets qui devraient contribuer une connaissance plus fine et plus g n ralis e de l occupation du territoire le projet de recherche appliqu e visant mettre au point un processus de production d une base nationale th matique de donn es d occupation du sol le projet de refonte de Corine Land Cover au niveau europ en le projet GMESS et les diff rents groupes de travail pour la mise en uvre de la directive INSPIRE Cette recommandation concerne le Minist re de l agriculture le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer et la DGFIP 5 DIFFUSION DE DONN ES DE BASE AU NIVEAU TR S FIN XY ET PETITS POLYGONES Le besoin exprim par les utilisateurs est d identifier les points de polarisation des emplois de la population et des quipements au sein des territoires concern s par des projets d am nagement
98. orts R f rence sur le besoin paragraphe 3 2 2 R f rence sur l tat des lieux des sources paragraphe 5 1 4 APPAREIL PRODUCTIF sur un territoire des informations disponibles sur l appareil productif Sirene REE D mographie des entreprises CLAP DADS Cet outil devrait tre accompagn d une documentation pr cisant le mode d usage des informations et les concepts Une attention particuli re sera port e aux informations qui pourraient r pondre la qualification de la richesse d un territoire ou donner des indications sur les liens entre les entreprises Organismes concern s Insee en concertation avec les utilisateurs des statistiques locales sur l appareil productif R f rence sur le besoin paragraphe 3 2 3 R f rence sur l tat des lieux des sources paragraphe 5 1 5 OCCUPATION DU SOL ET SON VOLUTION des diff rents projets qui devraient contribuer une connaissance plus fine et plus g n ralis e de l occupation du territoire le projet de recherche appliqu e visant mettre au point un processus de production d une base nationale th matique de donn es a d occupation du sol pilote MEEDDM le projet de refonte de Corine Land Cover au niveau europ en le projet GMES et les diff rents groupes de travail pour la mise en uvre de la directive INSPIRE locales dans la perspective d avoir une vision prospective sur l utilisation des sols par la mise au point d une stati
99. our les zones denses des communes de moins de 10 000 habitants cela pose un r el probl me pour observer la p riph rie des agglom rations Par contre l exploitation de sources administratives notamment les fichiers des propri t s b ties et de la TH DGFiP permet d estimer aux chelles infra urbaines fines le nombre de locaux d clar s comme logements occup s par le propri taire par un locataire ou vacant et d estimer la population r sidente Estimation de l emploi 30 www geolittoral equipement gouv fr Le projet Global Monitoring for Environment and Security GMES est une initiative conjointe de l Agence spatiale europ enne ESA et de l Union europ enne GMES permettra de rassembler l ensemble des donn es obtenues partir de satellites environnementaux et d instruments de mesure sur site afin de produire une vue globale et compl te de l tat de notre plan te CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 32 Les estimations d emploi au niveau infracommunal sont actuellement difficiles pour 2 raisons L acc s l effectif salari de chaque entreprise et tablissement reste impossible Pourtant les r gles du secret statistique indiquent qu il y a d sormais la possibilit de diffuser pour chaque entreprise sauf oppo
100. partition compl te du territoire La red finition des zones d emploi est donc tr s attendue Cependant les contraintes administratives qui pourraient influer sur cette red finition risquent d tre un probl me pour satisfaire cette attente Certains utilisateurs souhaiteraient que cette partition s articule avec les aires urbaines et tiennent compte des polarisations embo t es b Bassins de vie Les bassins de vie actuels ne couvrent pas les unit s urbaines de plus de 30 000 habitants et couvrent mal leur p riph rie p riurbain Une r flexion doit tre engag e afin de couvrir ces territoires et d largir la notion de bassins de vie l infra urbain et d articuler ces derniers avec le p riurbain Le zonage bassins de vie deviendrait ainsi un zonage de r f rence couvrant et partitionnant tout le territoire selon une maille et un concept coh rent celui du bassin d accessibilit aux quipements si l on s en tient essentiellement la source base permanente des quipements comme l ment de d finition de ces bassins La redistribution des quipements sur le territoire les nouveaux modes de consommation les comportements de mobilit s etc font que certains utilisateurs proposent de r fl chir aux donn es mobiliser pour d finir les bassins de vie outre celles qui sont d j pr sentes sant ducation services publiques d explorer la possibilit d int grer d autres sources compl
101. quip es en France et de la population totale pouvant b n ficier sur place de chaque quipement quatre gammes d quipements quipements de base de proximit de la gamme interm diaire et de la gamme largie La gamme de proximit est compos e des commerces et services suivants parmi les 36 types recens s aux inventaires communaux de 1980 1988 et 1998 pharmacien salon de coiffure m decin boucherie carburant infirmier boulangerie poste lectricien pl trier peintre Selon les r gions ces commerces et services sont pr sents dans 20 40 des communes et pr s de 80 de la population m tropolitaine peut en b n ficier sans avoir quitter sa commune La gamme de proximit se situe entre la gamme de base celle des quipements tr s courants pr sents dans 40 60 des communes et desservant sur place 90 de la population m tropolitaine et la gamme interm diaire qui quipe les communes jouant un r le cl dans l animation des campagnes et des p riph ries urbaines La gamme de proximit comprend d sormais 26 types d quipements sur les 137 recens s dans la base permanente des quipements BPE 2007 dont 6 quipements class s dans la gamme de base aux inventaires communaux Pour en savoir plus Op ration statistique Inventaire communal 1998 http www insee fr fr methodes default asp page sources ope enq inventaire communal 1998 htm Op ration statistique Base permanente des quipemen
102. r 32 5 1 4 D placements Enqu tes sur les d placements des m nages EMD EDVM et EDGT enqu tes m thode standard CERTU iii 34 R f rences item nt dort Te MT Ann mt nan ten Rene 34 ee EE Le ET 35 5 2 Etat des lieux sur l accessibilit aux donn es sur des zones infracommunales 36 5 3 Etat des lieux sur les zonages d tudes siesssesesrisstsrrnssinnesnanannttnaneatnnnntanaaanananntenadanaa nanna 37 6 CONCLUSION PR CONISATIONS munmmrunnmnrrenemmrennrmmmennnnmmmennnneemmennnemneennenneennneneennneneneneeeneenneeeneenne 39 6 1 Pr conisations relatives la diffusion de nouvelles donn es nssssssssssrnnrseesrrerrrnrrenssrerrrnnn 39 6 1 1 March s immobilier et foncier habitat et activit s 39 6 2 Pr conisations relatives l am lioration de sources existantes sssessrrrrseessrrrrrnrrenssrerre nen 40 6 2 1 Enqu tes D placements EMD EDVM et EDGT m thode standard Certu sl 40 Lee le Reiter EE 40 6 2 3 Occupation du sol et son volution 40 6 3 Pr conisations relatives aux modalit s de la mise disposition 41 6 3 1 La diffusion de donn es de base au niveau tr s fin XY et petits polygones 41 6 3 2 La diffusion de chiffres cl s au carreau sssssensssrrsserrresttttsttttrnstttrnsstrr rnnr rn nnn er nnne ee nn 41 6 4 Pr conisations relatives la m thodologie seessssieeseerreseerrssttrrssttrrsssttrns
103. rait de diff rencier les communes p riurbaines l h t rog n it entre les aires urbaines on consid re trop souvent tord que les aires urbaines sont identiques en terme d organisation territoriale de dynamiques d mographique et socio conomique Les aires urbaines pourraient syst matiquement tre diff renci es selon la taille du p le urbain d appartenance plus ou moins 100 000 habitants l identification des p les Certaines aires urbaines sont artificiellement vastes car elles sont construites autour de plusieurs p les d emploi morphologiquement connexes donc qui forment une seule unit urbaine mais qui n ont pas n cessairement une forte CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 39 continuit conomique cf Paris Melun Marseille Aix en Provence et bient t Toulon etc A cet gard les p rim tres correspondant aux unit s urbaines de 1968 semblent d limiter des c urs urbains ayant plus de sens conomique que les p rim tres des unit s urbaines d aujourd hui Pour le compl ment rural du ZAU les remarques concernent les modifications des d finitions la p riph rie des p les ruraux le passage une d finition identique celle retenue pour les couronnes p riurbaines 40 de
104. re 2009 17 Les acteurs conomiques et les chercheurs de ce domaine soulignent la richesse actuelle des sources locales disponibles notamment avec l arriv e de Clap Cependant cette richesse a son revers la lecture transversale des toutes les donn es d sormais disponibles pour d crire l appareil productif d un territoire devient compliqu e Les besoins prioritaires exprim s par les acteurs conomiques concernent La connaissance essentielle du tissu de l appareil productif d un territoire par la localisation XY des entreprises tablissements selon leur taille emplois et leur secteur d activit conomique 4 ou 5 secteurs __ L acc s une boite outils compos e de donn es et de m thodologie qui donne le mode d emploi d une description de l appareil productif d un territoire quelconque travers toutes ses composantes entreprises activit s et fonctions effectifs masse salariale qualification caract re r sidentiels ou non artisanal ou non des emplois et qui permette galement d tudier comment volue cet appareil productif dans le temps et dans l espace cr ations disparitions et transferts d entreprises L acc s la connaissance du march local de l immobilier et du foncier d entreprises dans le neuf et dans l ancien qui est un facteur explicatif essentiel de la localisation des activit s La d finition de concepts et m thodes qui permettent
105. royage de l information Projet de conclusions du groupe Cnis sur cette question CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 61 ANNEXE 9 LEXIQUE DES SIGLES ET ACRONYMES UTILIS S DANS LE RAPPORT ACFCI AdCF ADEF ADEME AOT APCM BIEN Bodacc CETE CGDD CLAMEUR DGALN DGFiP DIA DIACT Diaf RP ECLN EDGT EDVM ENSG EPCI EPLS EPTB Filocom FNAU SAFER GMES IEN IGN INRA INRETS INSEE Assembl e des chambres fran aises de commerce et d industrie Assembl e des Communaut s de France Association des tudes fonci res Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Autorit organisatrice de transports Assembl e permanente des chambres de m tiers et de l artisanat Base d informations conomiques notariales base francilienne de donn es immobili res et fonci res Chambre des Notaires Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales utilis pour les statistiques de d faillances d entreprises Base permanente des quipements Caisse d allocation familiale Chambre de commerce et d industrie Centre d tudes sur les r seaux les transports l urbanisme et les constructions Minist re de l cologie du d veloppement durable et de la mer Centre d tudes techniques de l Equipement
106. rs fournisse un a cadre d intelligibilit des territoires commun tous les acteurs locaux Ce r f rentiel comporterait des indicateurs cl s sur la morphologie et le fonctionnement des territoires aux niveaux d partements r gions zonages d tudes zones d emploi aires urbaines bassins de vie Il comporterait galement un volet documentaire pr sentant les concepts la m thode la proc dure suivre pour calculer ces indicateurs sur d autres niveaux g ographiques Ce r f rentiel devra faire l objet d valuations r guli res afin de s assurer de son adaptation aux probl matiques locales Organismes concern s Insee et Meeddm en concertation avec les producteurs et les utilisateurs de ces indicateurs R f rence sur le besoin paragraphe 4 Annexe pr sentant un exemple d indicateurs annexe 2 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 43 ANNEXES CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 44 ANNEXE 1 EXEMPLE DE CARTES La localisation des entreprises namore qe commerce Extension du tramway T1 sur la commune de Noisy le Sec PA
107. ruti 1 Production industries en transformation nergie SES Ge que groupe 2 R seau routier ferroviaire fluvial et maritime a rien 3 Commerce artisanat 4 Administrations cultes quipements sociaux et sanitaires Sport et loisirs de plein airs Habitat individuel Habitat collectif Autres Gef CA Parts et taux d volution CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 46 e Indicateurs sur la dynamique de l occupation du territoire talement urbain Indicateur Origine Remarque Surface artificialis e par habitant Part et volution Groupe CERTU Teruti RP Taux volution surfaces artificialis es taux volution population Groupe CERTU Agence europ enne de l environnement Teruti Indicateur retenu pour l talement urbain Surface urbanis e b tie par habitant Groupe CERTU Cadastre RP Part et volution Taux volution des surfaces b ties taux volution population Groupe CERTU Cadastre RP Surface consomm e nouvelle urbanisation par habitant Groupe CERTU Teruti suppl mentaire p riode d finir Et Cadastre Surfaces naturelles devenant urbanis es CLC Surfaces urbanis es devenant naturelles Teruti Solde e Indicateurs de densit de la popu
108. rvice de base de suivi des surfaces continentales Minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che Mise A Jour des Informations Cadastrales deuxi me version syst me mis en place la Direction des finances publiques permettant de g rer et diter la documentation cadastrale litt rale relative aux propri t s b ties et non b ties Minist re de l Ecologie du D veloppement Durable et de la Mer en charge des Technologies vertes et des N gociations sur le climat Nomenclature d activit s fran aise Observatoire des valuations immobili res locales base de donn es des Domaines Office national de l eau et des milieux aquatiques Projet d am nagement et de d veloppement durable Programme locale de l habitat Plan local d urbanisme Parc naturel r gional R pertoire des entreprises et des tablissements issu de Sirene cf infra R f rentiel grande chelle base de donn es g ographiques de l IGN compos e de la db ortho bd topo bd parcellaire et bd adresse R pertoire des immeubles localis s base de donn es g ographique de l INSEE permettant de localiser les immeubles dans les communes de plus de 10 000 habitants R pertoire parcellaire graphique base de donn es g ographiques du MAAP et de l Agence unique de paiement Sch ma d am nagement et de gestion des eaux Soci t d am nagement foncier et d tablissement rural Soci t centrale d am nagement foncier rural Sch ma de coh
109. s aires de vie de la quotidiennet que l on vive dans l urbain ou dans le rural Ils s adosseraient aux contours des aires urbaines donnant ainsi une coh rence d ensemble aux zonages d tudes La ruralit La caract risation de la ruralit d un territoire s envisagerait plus clairement sous deux aspects le caract re plus ou moins dense du territoire on pourrait identifier des bassins de vie ruraux et des bassins de vie a urbains selon leur densit le degr d influence de la ville sur le territoire les bassins de vie pourraient tre class s en fonction de leur appartenance tel ou tel espace ZAUER a serait souhaitable que le caract re rural ou non d un territoire soit d fini en coh rence avec les d finitions internationales La classification mise en place par l OCDE consid re qu une communaut de base en France il s agit du canton est rurale si sa densit est inf rieure 150 habitants au kilom tre carr L OCDE utilise un second crit re pour qualifier les r gions elles sont consid r es comme a essentiellement rurales si plus de 50 de leur population vit dans des communaut s rurales comme essentiellement urbaine si moins de 15 de la population vit dans des communaut s rurales et comme interm diaire pour le reste cf OCDE Le nouveau paradigme rural Politiques et gouvernance OCDE Editions 2006 CONSEIL NATIONAL DE L INF
110. s Cuillier septembre 2009 33 Il n existe pas d outils statistiques publics permettant une observation et une connaissance locale des march s immobilier et foncier quantit s prix acteurs sauf pour les terrains b tir et la commercialisation des logements neufs La pauvret de l information sur le march immobilier en particulier sur les prix a souvent t d plor e par les professionnels comme par le Conseil National de l Information Statistique CNIS Rapport Koepp Corvaisier 1995 Pourtant les mutations dans leur quasi totalit donnent lieu la r daction d un acte authentique par un notaire Le fichier il Observatoire des valuations immobili res locales a t cr en 1993 partir des extraits d actes Il est aliment par les agents des services des domaines La saisie qui d pend des besoins et des moyens humains mis disposition est h t rog ne L acc s aux donn es de IL g r par la Direction g n rale des finances publiques DGFiP est complexe tant par la proc dure que par la forme et le contenu des fichiers de qualit tr s in gale Le projet PATRIM gestion renforc e des mutations au niveau des notaires ne prend pas en compte les objectifs de la statistique publique Les bases de donn es notariales sur les mutations fonci res BIENS PERVAL sont de qualit et de taux de couverture tr s variables d une r gion l autre d un territoire l autre Les S
111. s actifs occup s dans un p le rural avec effet boule de neige et respect de la connexit a d bouch sur un nombre important de p les ruraux n ayant aucune p riph rie 319 sur les 524 actuels La cat gorie qui comporte seulement 832 communes et 253 000 habitants en 1999 est difficilement utilisable des fins d analyse statistique C est pourquoi elle est agr g e avec la cat gorie p les d emploi du rural pour former la cat gorie aire d emploi de l espace rural L utilisation d un seuil 20 coh rent avec l existence d une cat gorie rural sous faible influence urbaine dans la premi re version du zonage ZAUR permettait de rassembler dans la cat gorie p riph rie des p les ruraux 3319 communes et 1 239 millions d habitants La disparition de la cat gorie rural sous faible influence urbaine pour la raison qu on y retrouvait des communes tr s loign es d un p le urbain est regrett e par beaucoup d utilisateurs Cette cat gorie trouvait sa justification dans un fonctionnement conomique et social se diff renciant de ceux observ s dans les autres cat gories rurales Conceptuellement son fonctionnement se situe mi chemin entre un fonctionnement de p riurbain et un fonctionnement d espace rural A ce titre de la m me fa on que les communes p riurbaines ne peuvent tre assimil es l urbain les communes de cette cat gorie ne peuvent pas tre assimil es celles d
112. selon leur maillage 2000 partir de donn es de base diffus es au carreau L information n est pas forc ment statistiquement fiable au carreau elle le devient une fois agr g e selon ces mailles fa on 2000 26 Par exemple zone urbaine zones d extension urbaine multifonctionnelle ou dominante conomique espace agricole prot g espace dominante naturelle et r cr ative a roport ou a rodrome CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 26 Les informations souhait es correspondent celles qui sont aujourd hui disponibles l IRIS et pour certaines sur les quartiers politique de la ville savoir Les chiffres cl s du recensement de la population qui seront d finis fin 2009 Les chiffres cl s pr sents dans la rubrique Donn es urbaines infracommunales par quartier du site de l Insee revenus niveau de vie allocataires CAF revenus fiscaux b n ficiaires de la CMU Entreprises Clap Emploi salari DADS ou Clap activit ch mage qualification des actifs Les chiffres de pr sence d quipements BPE actuellement disponibles au niveau de PIRIS sur le site de l Insee Ces informations pourraient tre enrichies de donn es actuellement non disponibles au niveau infrac
113. sition de celle ci notifi e au comit du secret statistique un certain nombre d informations dont les effectifs de l entreprise et de chacun de ses tablissements une fois par an Les conditions pratiques de mises en uvre de cette clause restent d finir _ Des efforts importants ont t d velopp s ces derni res ann es pour mieux d grouper les effectifs d une entreprise selon ces diff rents lieux d activit tablissements La qualit de ce d groupement demanderait cependant tre am lior e au niveau infracommunal Estimation de la population en formation l ves des coll ges et lyc es formation sup rieure ou continue Le groupe na pas expertis cette question Il semblerait qu ce jour il n y ait pas de fichiers permettant de localiser finement les populations en situation de formation La localisation des entreprises et des tablissements L acc s cette information se heurte une ambigu t qui doit tre lev e sur le statut de diffusion du XY est ce un l ment d identification au m me titre que le SIRET ou l adresse ou bien est ce un l ment de localisation g ographique au m me titre que la commune d implantation La localisation des immeubles d habitation et de leurs logements Le r pertoire permettant d tablir cette localisation reste d finir Le R pertoire des immeubles localis s RIL pourrait permettre de localiser l ensemble du parc de logements
114. spositif de prestation sur mesure qui permette d acc der l information souhait e sur le territoire tudi 4 LES R F RENTIELS G OGRAPHIQUES DE COMPARAISON LES ZONAGES D TUDES Le groupe de travail pr conise l actualisation des zonages d tudes selon 2 principes la reconduction p riodique tous les 10 ans maximum de ces zonages moyennant quelques ajustements pour tenter de r pondre leurs limites actuelles 4 1 l accompagnement syst matique de la mise disposition de ces zonages par un socle d indicateurs dot s des concepts et m thodes dont ils sont issus 4 2 27 http inspire jrc ec europa eu reports ImplementingRules DataSpecifications INSPIRE Specification GGS v2 0 pdf CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 27 4 1 LES AJUSTEMENTS AU DISPOSITIF ACTUEL La commission a Territoires du CNIS qui se r unira en septembre 2009 donnera le coup d envoi des travaux mener pour la r vision des zonages en pr cisant les objectifs la m thode et le calendrier Le point de d part indispensable est la r vision des unit s urbaines sous la responsabilit du d partement de la d mographie de l Insee Cette r vision pourrait se faire d but 2010 sur la base des populations au 1 1 2007 pour le seuil de
115. stique sur les futures affectations de l occupation des sols partir des programmes locaux d urbanisme du b ti illustrant notamment le degr de continuit de ce b ti sur un territoire Organismes concern s Minist re de l agriculture Meeddm DGFIP chercheurs R f rence sur le besoin paragraphe 3 2 4 4 EMD Enqu te M nages D placements 4 EDVM Enqu te D placements Ville Moyenne EDGT Enqu te D placements Grands Territoires 7 Global Monitoring for the Environment and Security Infrastructure for Spatial Information in the European Community CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 6 3 6 3 1 6 3 2 41 PR CONISATIONS RELATIVES AUX MODALIT S DE LA MISE DISPOSITION LA DIFFUSION DE DONN ES DE BASE AU NIVEAU TR S FIN XY ET PETITS POLYGONES une chelle g ographique tr s fine estimation de population et d emploi au niveau de petits polygones tablissements logements et quipements l XY Ceci suppose pr alablement de lever l incertitude qui p se sur deux sujets la possibilit de diffuser l effectif salari d un tablissement une fois par an sans contrevenir aux principes de respect du secret statistique le type d information qu il est possible de localiser publiquement l
116. sttnnssttnnnsttnnssttnnnet 42 L actualisation des Zonages d tudes recoin aa re EE A 42 6 5 Pr conisations relatives au dispositif d accompagnement de la diffusion 42 Un Ne Ee E Be indicat TEE 42 ANNEXES E 43 Annexe 1 Exemple de cartes see 44 Annexe 2 Les indicateurs du r f rentiel 45 Annexe 3 Les d finitions et concepts discut s par le groupe sssssssssssssesrrrrstsstrerrrnrstssrrrnrrnnnenne 48 Annexe 4 Bibliographie sur les sources assscesiiecireicesrreeirineeerudaiinnddstniaaatenneatenudatdandetenaadteaadanaaa 52 Annexe 5 Bibliographie relative aux expos s 54 Annexe 6 E ne E EE 55 Annexe 7 Composition du groupe seine 57 Annexe 8 Liste des r unions et comptes rendus sssssseseresssterttttrtrsstttttintntnrttttttnnnn nsare rtnn nenne 59 Annexe 9 Lexique des sigles et acronymes utilis s dans le rapport 61 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 SYNTH SE DU RAPPORT Le groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire est issu d une demande conjointe des formations Urbanisme et logement et Statistiques r gionales et locales du Cnis Toutes deux ont souhait que les ut
117. t des lieux des outils statistiques partie 2 Avancement des travaux du groupe pilot par le CERTU sur les indicateurs d talement urbain Monique Gadais CERTU Indicateurs d occupation du sol avec TERUTI LUCAS Jo l Grivaux SSP Les sources fiscales pour d crire l occupation de l espace MAJIC 11 et le march immobilier et foncier OEIL Corinne Podlejski CETE M diterran e Les autres sources pour le march immobilier et foncier PERVAL et SAFER Jean Cavailh s INRA Mardi 5 mai 2009 Localisation des emplois et dynamiques m tropolitaines Fr d ric Gilli Sciences Po Paris ADEF Premi res conclusions Pr sentation par les rapporteurs CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 60 Mercredi 10 juin 2009 Etat des lieux des outils statistiques partie 3 Services et quipements localisation et accessibilit Christophe Barret Insee Approche des territoires urbains par l observation infracommunale des emplois et des d placements Christine Charton Insee Compte rendu de 2 ateliers Zonages et Sources statistiques disponibles pour tudier l appareil productif local Sirene Clap Mercredi 8 juillet Projet d un grand quipement bases de donn es pour le p le scientifique et technique d
118. t nombreux les communes seuls habilit s d finir les nouvelles adresses les gestionnaires de r seaux eau lectricit qui doivent livrer leur service avant m me que la construction n existe la Poste d s lors que du courrier et des colis doivent arriver la bonne adresse al la DGFiP ne serait ce que pour tablir les taxes fonci res l IGN charg par d cret d tablir le RGE comportant une composante adresse le secteur priv de la vente directe et de la vente par correspondance L absence actuelle de solution op rationnelle pour produire entretenir et mettre la disposition des acteurs un tel r f rentiel d adresse non nominative g or f renc e est un frein important la normalisation du g or f rencement et de la mise disposition des donn es infracommunales 5 3 ETAT DES LIEUX SUR LES ZONAGES D TUDES Atelier sur les zonages g ographiques Voir CR de l atelier du 29 mai Discussion sur les zonages Voir le CR de la r union du 10 juin CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 38 Concernant les zonages existants les d bats concluent aux avantages et limites suivants a Zones d emploi Il y a un besoin tr s fort de clairement identifier des a march s locaux du travail a sous la forme d une
119. tants pour mesurer l activit humaine se d roulant sur un territoire Plus r cemment plusieurs mesures de l occupation dynamique du territoire ont t propos es tenant compte des principaux types de fr quentation Les mod les d velopp s calculent la population pr sente sur un territoire en additionnant les effectifs de populations stables et de populations temporaires d apr s des estimations bas es sur les d placements Variations saisonni res de population pr sente La population pr sente d finie par le minist re du Tourisme Terrier et alii 2005 Terrier dir 2006 correspond la population r sidente laquelle on soustrait les absences des r sidents partis en d placement professionnel ou non pour une nuit e au moins et laquelle on rajoute la pr sence des touristes sur le territoire Cet indicateur est disponible pour les 12 mois de l ann e Un indicateur annuel est obtenu par lissage des donn es mensuelles Il permet de raisonner non plus sur le nombre de personnes recens es mais sur le nombre de personnes effectivement pr sentes consommant se d pla ant etc sur le territoire d apr s Talandier 2007 CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 49 Pour en savoir plus TALANDIER Magali 2007 Un no
120. teurs structurants pour les territoires Le profil des habitants logements emplois et activit s pr sents sur un territoire Le march du logement du foncier des locaux d activit s conomiques bureaux entrep ts c Le groupe insiste sur la fonction p dagogique de ces indicateurs qui doivent permettre l utilisation de concepts partag s par les acteurs locaux Les concepts suivants ont t discut s et propos s Etalement urbain CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 29 Population pr sente nocturne diurne t hiver Densit quel num rateur quel d nominateur _ Equipements de proximit Nomenclature fonctionnelle d activit _ Emplois r sidentiels non r sidentiels Voir annexe 3 Il est souhait par ailleurs la mise en place d une r flexion concernant les concepts et la m thodologie d tude sur les sujets suivants Richesse d un territoire Liens entre entreprises Le degr de continuit ou discontinuit de l urbanisation d un territoire d Plus globalement le groupe recommande que les conditions de production et de mise disposition de ces indicateurs soient clarifi es dans le sens suivant Production annuelle de ces indicateurs aux niveaux d partements r gions
121. tions structurantes des territoires aspects fonctionnels Ce souci fait cho au constat que les activit s conomiques et sociales ont une empreinte plus importante sur l occupation des espaces urbains et ruraux Les villes constitu es historiquement d un tissu urbain compact de forme plut t concentrique deviennent plus diffuses et ar olaires De larges zones r sidentielles se d veloppent en p riph rie sans compter l implantation de vastes zones d activit s consacr es au commerce au tertiaire ou la logistique Ce processus qui a d abord touch Paris et les grandes villes de m tropole concerne aujourd hui de tr s nombreuses agglom rations L extension spatiale discontinue des surfaces urbanis es couramment d nomm e talement urbain est associ e trois formes morphologiques la forme compacte qui correspond des noyaux villageois r partis uniform ment sur le territoire sur lesquels se greffent des lotissements pavillonnaires la forme r ticulaire qui correspond une urbanisation qui suit le dessin de la voirie et relie les anciens noyaux villageois les uns aux autres le mitage ou la forme miett e qui correspond un parpillement du b ti r sidentiel Sur le plan d mographique l talement urbain encore nomm a p riurbanisation correspond une redistribution de la population entre le c ur des villes leur banlieue et la p riph rie Dans la ville traditionnelle la densit de
122. ts BPE http www insee fr fr methodes default asp page sources ope adm bpe htm CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 51 e Nomenclature fonctionnelle d activit L Insee a r cemment mis au point une nouvelle grille d analyse des emplois intitul e nomenclature fonctionnelle des emplois par regroupement de cat gories de la PCS 4 positions Pour mieux rendre compte de la sp cialisation conomique de la zone il lui a sembl souhaitable de compl ter les approches en secteurs conomiques par une analyse des fonctions exerc es par les personnes qui travaillent dans la zone Au final 15 fonctions ont t d finies Conception recherche Prestations intellectuelles Agriculture et p che B timent et travaux publics Fabrication Commerce inter entreprises Gestion Transports logistique Entretien r paration Distribution Services de proximit Education formation Sant et action sociale Culture loisirs Administration publique e Emplois r sidentiels non r sidentiels L Insee a r cemment mis au point une nouvelle grille d analyse de l appareil productif local en deux grandes sph res pr sentielle et non pr sentielle Ces notions sont fr quemment employ es l ext rieur de l Insee selon des
123. ttach e une adresse au bon carreau suppose entre autre une g olocalisation correcte des adresses associer toute adresse un XY de pr cision absolue d cam trique et de pr cision relative suffisante pour que l adresse tombe du bon c t des r seaux structurant le paysage voies de communication ou des r seaux hydrographiques d La g olocalisation des adresses L adresse est un des l ments incontournables des relations des citoyens avec l administration Beaucoup d informations dans l administration sont rattach es une adresse La justification de l importance de l existence et de l entretien d un r f rentiel num rique de l adresse non nominative a fait l objet de nombreux rapports Par ailleurs les obligations qui d coulent de la directive INSPIRE en mati re de mise disposition de donn es g ographiques entre acteurs publics suppose que l tat clarifie les r les de ses services tant en mati re de production et d entretien des donn es publiques que de diffusion des donn es et de publication sur Internet Enfin certaines collectivit s territoriales repensent le partage de l information g ographique dans le sens de la mise en place d infrastructures de donn es g ographiques partag es permettant aux acteurs d tre plus efficaces et plus pertinents dans leurs m tiers respectifs Les acteurs produisant des l ments pouvant contribuer au r f rentiel num rique de l adresse non nominative son
124. u rural isol CONCLUSION PR CONISATIONS PR CONISATIONS RELATIVES LA DIFFUSION DE NOUVELLES DONN ES MARCH S IMMOBILIER ET FONCIER HABITAT ET ACTIVIT S Pr conisation 1 D finir et mettre en uvre un programme de production et de diffusion annuelle de statistiques sur les transactions immobili res et fonci res pour l habitat et les activit s conomiques stocks flux et prix des transactions de vente et de location Ces statistiques prendraient la forme d indicateurs disponibles pour tous les publics partir l IRIS et selon tous les niveaux g ographiques sup rieurs la commune Des fichiers d tail anonymis s seraient par ailleurs mis disposition des professionnels selon une maille g ographique et des conditions d acc s d finir Le groupe recommande que ce sujet soit initialis par une tude pr alable qui devra notamment d terminer les conditions de faisabilit des statistiques de chacun des 2 grands domaines la vente et la location Le groupe souhaite que la priorit soit donn e la diffusion d indicateurs de stock flux et prix des transactions de vente tous les niveaux g ographiques Les autres indicateurs caract risant les acqu reurs peuvent se concevoir diff rentes chelles g ographiques en fonction des contraintes de secret statistique et des co ts de production Organismes concern s Insee Meeddm DGFIP en concertation avec les diff rents partenaires concer
125. u minist re de l cologie Marne la Vall e sur la ville et la mobilit durables Jean Paul HUBERT et Jean Loup Maddre INRETS Projet de conclusions int grer au rapport Atelier appareil productif 13 mai 2009 Pr sentation du contexte le groupe Cnis et ses objectifs rapporteur groupe Cnis Pr sentation du dispositif actuel de diffusion de statistiques sur l appareil productif Insee Pr sentation de la synth se des remarques des chambres de commerce ACFCI Expos d une ou deux chambres sur l utilisation concr te des donn es et les besoins Evolutions envisageables retenir dans le cadre du groupe Cnis Atelier zonages 26 mai 2009 Pr sentation du contexte le groupe Cnis et ses objectifs rapporteur groupe Cnis Expos sur la finalit et les modalit s de constitution des trois zonages zones d emploi bassins de vie zonage en aires urbaines Avantages et limites des zonages Atelier maille infracommunale de diffusion 29 juin 2009 Pr sentation du contexte les travaux et objectifs du groupe Cnis rapporteur groupe Cnis Pr sentation par l agence d urbanisme de Lille M tropole de cas concrets n cessitant le recours de l information statistique infracommunale Quelle maille Pour quelle pr cision de l information Pour quelles informations Pr sentation la R gion Nord Pas de Calais l Insee de la r gion de travaux r alis s sur la base d un car
126. u te sur le prix des terrains b tir Fichier des logements par commune base de donn es sur les logements et leur occupation DGFiP pour le MEDDM F d ration nationale des agences d urbanisme F d ration nationale des Soci t s d am nagement foncier et d tablissement rural Global monitoring for environment and security Observation globale pour l environnement et la s curit Inventaire forestier national Institut g ographique national Institut national de la recherche agronomique Institut national de recherche sur les transports et leur s curit Institut national de la statistique et des tudes conomiques CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 INSPIRE IPLI Litto MOS MAAP MAJIC Il MEEDDM NAF IL ONEMA PADD PLH PLU PNR Ree RGE RIL SEDD Sirene Sitadel SNDD SOes SRADT SSP Teruti Lucas ZAUER ZE 62 Infrastructure for spatial information in the European Community directive europ enne Infrastructure de donn es g ographiques Inventaire permanent du littoral Mode d occupation du sol sur le littoral lots regroup s pour l information statistique nomenclature g ographique Indicateurs territoriaux de d veloppement durable SOesS DIACT Land Monitoring Core Service Se
127. uctures et statistiques structurelles CCI du Grand Lille Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole Directeur g n ral adjoint Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole CERTU INRA Rapporteur du groupe CNIS Conseil r gional Nord Pas de Calais DR INSEE Nord Pas de Calais Agence d urbanisme de la r gion mulhousienne AURM INSEE Direction g n rale Conseil r gional Nord Pas de Calais CERTU Agence d tudes d Urbanisme de Caen m tropole AUCAME Directeur g n ral Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole Agence d urbanisme et de d veloppement de Lille m tropole INSEE Rapporteur du groupe CNIS DR INSEE Nord Pas de Calais Brigitte BACCAINI INSEE DR de Provence Alpes C te d Azur Responsable du p le national Analyses territoriales ns Minist re du travail Direction de l Animation de la Recherche des Etudes et Samantha DODARD des Statistiques DARES C cile METAYER DIACT Observatoire des territoires DR de Provence Alpes C te d Azur P le national Analyses Fran ois SEMECURBE SE TT territoriales Le SESP l Ifen et l Observatoire de l nergie constituent d sormais le Service de l observation et des statistiques SOeS CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire
128. us lointains qu auparavant dispersion des r sidences principales vers des lieux plus loign s du noyau dense vers le rural le littoral etc accroissement des distances parcourues pour la mobilit professionnelle accroissement des mobilit s li es aux loisirs la famille et la consommation d veloppement des mobilit s transversales notamment de p riph rie p riph rie L espace de la ville s largit se disperse m me s il semble que la ville centre en reste le moteur Les notions de p riurbanisation a d talement urbain sont rediscut es au moment o les politiques publiques d battent des cons quences de l talement urbain et de l accroissement de la consommation d espace CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 56 e L espace rural est en mutation Ses territoires sont confront s de nouveaux enjeux r sultant d une part des transformations propres aux activit s rurales d autre part de l emprise croissante de l aire d influence des villes et des nouveaux modes de vie diminution importante du nombre d actifs agricoles risque de d sertification de certaines zones d clin d mographique redistribution des fonctions de proximit reconversion vers une conomie touristique ou
129. utionnelle et technique probl me d acc s aux informations collecte de donn es inadapt es co t lev manque de formation des agents etc Les donn es sur le march immobilier locatif march immobilier locatif qui repr sente 44 du parc des logements sont encore plus parses L ensemble des ces sources ne donne pas lieu la diffusion publique des informations de base n cessaires au niveau local 5 1 4 D PLACEMENTS ENQU TES SUR LES D PLACEMENTS DES M NAGES EMD EDVM ET EDGT ENQU TES M THODE STANDARD CERTU R f rences CR du 8 juillet 2009 Les enqu tes sur les d placements sont un outil tr s riche de connaissance des pratiques de d placements dans les espaces urbanis s et depuis peu dans des territoires moins denses et plus larges Ces enqu tes renseignent les ordres de grandeur des flux et leur direction les caract ristiques du m nage localisation logement motorisation stationnement et plus r cemment le type de v hicule ce qui permet d tablir des normes en terme de pollution les modes de transport pour chaque personne ainsi que le motif l heure la distance Elles permettent de d terminer les parts de march des diff rents modes de transport les flux de d placements d avoir des indications sur les distances de d placements mais seulement pour un jour de semaine hors des vacances scolaires octobre mai Elles peuvent tre utilis es pour calculer l nergie consomm e et
130. uveau mod le de d veloppement hors m tropolisation Le cas du monde rural fran ais Universit Paris 12 lt http talandier com thesetalandier pdf gt TERRIER Christophe SYLVANDER Marguerite KHIATI Abdel 2005 En haute saison touristique la population pr sente double dans certains d partements Insee Premi re n 1050 novembre 2005 http www insee fr fr ffc docs_ffc ip1050 pdf TERRIER Christophe dir 2006 Mobilit touristique et population pr sente Les bases de l conomie pr sentielle des d partements dition Direction du Tourisme http www veilleinfotourisme fr 1171052503642 0 fiche V0705 _document amp RH 1173709334557 Fluctuations horaires de population pr sente Plusieurs travaux mod lisent la fluctuation horaire de population pr sente sur un territoire au cours des diff rentes p riodes de la journ e et de la nuit Matthieu Mille estime ainsi pour l agglom ration lilloise la variation de population dans le temps et dans l espace de la ville durant la journ e Une autre tude exploratoire de APUR met en vidence un usage continu de la ville entre 20 heures et 8 heures du matin avec des activit s aux logiques fonctions diff rentes les services de garde et d intendance nettoyage r paration approvisionnement les activit s de loisirs ou festives les commerces nocturnes la ville qui dort la ville des marges sans abris et autres pratiques marginales Certaines activit s en continu
131. vec des utilisateurs la F d ration nationale des agences d urbanisme serait int ress e et de disposer d un l ment de dialogue indispensable avec tous les organismes concern s par ce projet 7 ACTUALISATION DES ZONAGES D TUDES Le groupe de travail pr conise l actualisation r guli re des zonages d tudes tous les cinq dix ans R unie en septembre 2009 la commission Territoires du Cnis a donn le coup d envoi de cette r vision en en pr cisant les objectifs la m thode et le calendrier La premi re tape est la r vision des unit s urbaines sous la responsabilit du d partement de la d mographie de l Insee Elle pourrait avoir lieu d but 2010 sur la base des populations au 1 janvier 2007 La d finition actuelle des unit s urbaines doit tre conserv e La modernisation des proc dures de d limitation gr ce des outils automatiques permettrait une mise jour plus rapide et moins co teuse La r vision des autres zonages aires urbaines zones d emploi pourrait intervenir fin 2010 d but 2011 Le groupe recommande que les modifications rendent compte des mutations structurelles du territoire largissement de l influence des villes imbrication de l urbain et du rural et polycentrisme urbain Les administrations impliqu es dans cette mission sont la Dares pour les zones d emploi et l Insee pour les autres d coupages Les chercheurs doivent tre associ s cette op ration notamment
132. voit la cr ation d observatoires des loyers dans les grandes agglom rations pour avoir une r f rence de loyers dans le voisinage mais ceci est rest limit la r gion parisienne avec la mise en place en 1993 de l Observatoire des Loyers de l Agglom ration Parisienne OLAP essentiellement financ par des fonds publics Les travaux de OLAP se basent actuellement sur 40 000 situations locatives avec une mise jour chaque ann e par moiti L chantillon des observations annuelles ne permet pas de d crire de mani re suffisamment fiable tous les cas souha itables ni m me les principaux r sultats du croisement des crit res essentiels explicatifs des loyers extrait du site de OLAP gt Les imp ts disposent de la totalit des loyers per us par un bailleur sans le d tail du bien mais cette source n est pas exploit e statistiquement ce jour e Les sources des professionnels CLAMEUR Conna tre les Loyers et Analyser les March s sur les Espaces Urbains et Ruraux est un outil d velopp par une association de professionnels de l immobilier L observatoire porte sur les loyers de march pour des baux conclus l occasion d une relocation ou d une location nouvelle CONSEIL NATIONAL DE L INFORMATION STATISTIQUE Rapport du groupe de travail Statistiques et nouvelles tendances de localisation des populations et des activit s sur le territoire Groupe Francis Cuillier septembre 2009 34 Les infor

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