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1982.1

1. 6 d TI A 13 04 WI TT EN MAA E en ni a Dis T4 At 74 02 1 A wa pme LE Pes a AS Na A vite C3 A1 FpA C3 Ne ott aM 4 42 SES 04 A1 c3 04 OL A1 C4 02 R b a R ZE D a A esa b MN 4 b Im EEG nach Entgiftung theta delta Fokus temporo parietal rechts Nach Schlafentzug vereinzelt Spitzenpotentiale rechts temporal 43 milupa FIN 25 Alimentation di t tique sp cifique et reconstituante dans nombre de troubles digestifs Enrichi en prot ines Apport quilibr en acides amin s essentiels Pauvre en lipides mais ALIMENT riche en DI T TIQUE COMPLET acides gras ET RECONSTITUANT insatur s DES TROUBLES DIGESTIFS Pauvre en lactose troubles digestifs b nins diarrh es aig es ou chroniques dyspepsies aigu s chroniques ou postop ratoires maladie coeliaque Vite NOURRISSONS ENFANTS Riche en ADULTES fibres et pectines Sans gluten Enrichi en min raux MILUPA s a Hendrik 1 lei 327 1800 VILVOORDE T l 02 251 52 80 secundum artem test suivant les r gles de l art Sibelium Nouveau n de la recherche cardio at vasculaire de Janssen Pharmaceutica Premier m dicament contre les troubles d irrigation au niveau des tissus i p riph riques et du cerveau qui r pond 1 M A z
2. eejodoog XIpeH SNe jyeixepinjJ jeujue uajdouy 06 Iu 1 01 puoju ojpAp uue eded Auiy eprojexrejureseBueeoeue Jog ueisipiepueijs 0 eeoijorujeo eerodoog x pey SNE 2 91131081 L Bunzjasuowwesnz tt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Fes LA PREMI RE MOL CULE ANTIRHUMATISMALE QUI AGIT 24 HEURES SUR 24 AVEC UNE SEULE PRISE PAR JOUR fruit de la recherche rue L on Th odor 102 1090 Bruxelles t l 02 426 49 20 UNE MOLECULE CHIMIQUEMENT ORIGINALE UNE PHARMACOCINETIQUE TOTALEMENT DISTINCTE UN ANTIRHUMATISMAL ESSENTIELLEMENT NOUVEAU Premier m dicament antirhumatismal d une nouvelle classe chimique d anti inflammatoires non st roides les OXICAMS 3 Grace ses caract ristiques pharmacocinetiques particuli res le FELDENE AVEC UNE SEULE PRISE PAR JOUR assure 24 heures d action continue sur la douleur l inflammation et la raideur un soulagement d installation rapide et persistant tout au long du nycth m re une att nuation de la douleur nocturne et une r duction de la dur e de la raideur matinale une posologie optimale facilitant la bonne observance du traitement par le malade Hautement et durablement efficace dans les affections rhumatismales chroniques et aigu s 3 Sa bonne tol rance fait du Feld ne un m dicament de choix appr
3. BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 1 1982 119 ann e sesa k Dr Madaus amp Co D 5000 K ln Integral S A 25 rue d Epernay Luxembourg Indikationen Echinacin hat sich in den verschiedensten Darreichungsformen zur Steigerung der k rpereigenen Abwehr bei subakut und chronisch verlaufenden Krankheiten mit mangelhafter spontaner Abwehrreaktion bew hrt Zusammensetzung 1 Ampulle Echinacin zu 2 ml enthalt 0 1 PreBsaft aus Herba recens Echinaceae purpureae 100 g Echinacin Liquidum enthalten 80 0 g PreBsaft aus Herba recens Echinaceae purpureae 100 Echinacin extern Liquidum enthalten 26 7 g PreBsaft aus Herba recens Echinaceae purpureae 9 0 g Urea pura 100 g Echinacin Salbe enthalten 16 0 g PreBsaft aus Herba recens Echinaceae purpureae Bitte fordern Sie weitere vvissenschaftliche Informationen an Echinacin BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 1 1982 119 ann e Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Publi sous la direction du Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Section des Sciences M dicales de l Institut Grand Ducal Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Pr sident Dr H Metz Secr taire G n ral Dr J Neu
4. LL FO w Magan Darm 7 318 197 DOLTER und H THALER aa 77 Legalon Legalon 70 Zusammensetzung 1 Dragee Legalon enth lt 35 mg Silymarin 1 Drag e Le galon 70 enthalt 70 mg Silymarin eti R i n nisch persistieren nM Stoffe RE 2000040 Leberschaden z B F ettleber d ba ung In schweren Fallen 3mal taglich 2 Drag es Legalon 70 zur Nachbehandlung und als Initialdosierung bei mit telschweren Fallen 3mal taglich 1 Drag e Legalon 70 in leichteren Fallen 3m i Handelsformen Legalon O P mit 80 400 Drag es Legalon 70 O P mi 90 400 Deusen Legalon zu 35 mg Weitere Hinweise siehe wissenschaftlichen Prospekt Dr Madaus amp Co K ln Integral s a 25 rue d Epernay Luxembourg 37816L Etude de deux tumeurs carcinoides du gr le MAGRI L MANDRES G Les caract res tr s diff rents de deux tumeurs carci BLESER F ET FERRES M noides d couvertes r cemment illustrent le polymor phisme d une l sion apparemment bien d finie Nous d crirons bri vement les deux cas cliniques puis nous les replacerons dans le cadre plus g n ral des tumeurs carcinoides gastro intestinales CAS CLINIQUES a Un premier patient m le age de 42 ans a t vu par son m decin traitant pour des douleurs violentes de la r gion r nale gauche Les douleurs taient aggrav es en position debout et en d cubitus mais soulag es en position assise Les douleurs taient ac
5. M Fandel LE SEIN THE BREAST La nouvelle dition bilingue francais et anglais du livre Le sein the breast par J D Picard parue dans la s rie des monogra phies de Radiologie n 18 de l Expansion Scientifique Francaise frappe par trois qua lit s essentielles l s adresse au grand public m dical en soulignant les possibilit s les limites et surtout les indications de la mammographie l insiste sur la n cessit de perfection absolue des films de l appareillage et de l infrastructure radiologique indispensables une interpr tation correcte Le texte s accompagne de clich s r a lis s avec grande minutie et surtout repro duits de facon extraordinaire dans le livre Notons la mise en garde de l auteur envers ses propres confreres radiologues l faut s abstenir de faire ce genre d exa mens si l on ne dispose des conditions pr alables que sont l quipement et la mai trise de l interpr tation parce que les cons quences de faux diagnostics p sent par la s v rit du pr judice caus la patiente Si l interpr tation de la pathologie des tissus mous est rest e difficile et souvent incertaine malgr les progr s de la tomo densitom trie J D Picard a certainement raison d insister sur les difficult s de l exa men des seins par une m thode de radiolo gie conventionnelle R sumons pour dire que l auteur veut montrer l essentiel ce qu il arrive faire
6. NC ruption cutan e et stomatite gu z 9 ges une seule fois des Comme lors de l emploi d autres anti inflammatoires non st ro des on a observ chez certains patients une l vation de l azote ur ique du sang Ces l vati sont pas progressives tout au long du traitement avec le FELDENE piroxicam en effet apr s avoir atteint un plateau le taux d azote ur ique redescend j niveau de d part ou presque d s l arr t de la m dication L augmentation du taux d azote ur ique du sang ne s accompagne pas d l vation de la cr atinine qu a son On a signal une diminution des valeurs de l h moglobine et de l h matocrite que n accompagnait aucun saignement gastro intestinal manifeste Des modifications de diff rents param tres de la fonction h patique ont t observ es l est possible comme d ailleurs avec la plupart des autres anti infl non st ro des que certains patients pr sentent lors du traitement par le FELDENE piroxicam une l vation du taux des transaminases noue E PONIES SURDOSAGE En cas de surdosage avec le FELDENE piroxicam on instaurera une th rapeutique de soutien et de nature symptomatique INTERACTIONS Le FELDENE piroxicam est fortement li aux prot ines on pourrait donc s attendre qu il prenne la place d autres m dicaments li s aux prot i 2 ont cependant montr que ceci n tait pas le cas avec le dicoumarol Quoi qu il en soit le m decin surveillera de pr s les patie
7. NV Schering Pharma S A 1920 Machelen Diegem Anxi t Troubles psychosomatiques Troubles du sommeil Lys WARNER LAMBERT anxia anxiolytique s lectif SUBSTANTIA S A avenue Carton de Wiart 126 bte 2 1090 Bruxelles T l 02 428 51 62 M DULLOBLASTOME PIN ALOME PAPILLOMES DES PLEXUS CRANIOPHARYNGIOME H MANGIOBLASTOME ASTROCYTOME SOUS PENDYMAIRE A CELLULES GEANTES LIPOME Tumeur tr s maligne se situant dans le cervelet et dans le tronc c r bral pr sentant des m tastases au niveau des espaces du liquide c phalo rachidien Cliniquement on note une hypertension intracranienne et de l ataxie Le CT montre des foyers iso ou hyper denses prenant le produit de contraste Le mauvais pronostic de ces tumeurs s est net tement am lior gr ce a la radioth rapie et la chimioth rapie Signes d hypertension intracr nienne chez l enfant avec paralysie verticale des moteurs oculaires Syndrome de Parinaud Le CT donne un foyer arrondi iso ou hyper dense prenant le produit de contraste qui se localise dans la r gion pin ale et s accom pagnant d une hydroc phalie Les germi nomes m tastasent par le liquide c phalo rachidien dans les ventricules tapiss s alors par des masses tumorales hyperdenses Ces tumeurs pr sentent une forte radiosensibi lit Foyers arrondis iso ou hyperdenses pre nant le produit de contraste situ s au ni veau du IVe ventricule e
8. A Kohn G Theves Abattoir de la Ville de Luxembourg Laboratoire de m decine v t rinaire de l Etat Diagnostic tomodensitom trique des tumeurs c r brales S Lange Clinique Radiologique de l H pital Spandau Berlin M Fandel Service de Radiologie Centre Hospitalier de Luxembourg A Roilgen G Sandt Service de Neurochirurgie Centre Hospitalier de Luxembourg Etude de deux tumeurs carcinoides du gr le Magri L Mandres G Bleser F Ferres M Livreset p riodig eS ea a a RE 27 45 67 73 Nomenclature des Laboratoires et Firmes ayant annonc dans le pr sent num ro Boehringer Ingelheim Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois Heumann Continental Pharma Integral S A Luxembourg Blendax Belgium Madaus Troponwerke Janssen Phamaceutica Etablissement Thermal Mondorf les Bains Pfizer Prophac Luxembourg Boehringer Fabre Lepetit Adrosanol Salvia Werke GmbH Sandoz A G Schaper amp Br mmer Laboratoires S M B Union Chimique Belge S A Milupa Astra Nobelpharma S A Reckitt amp Colman S A Union Pharmaceutique Belge Schernig Pharma Substancia La seule station h patique du Benelux INDICATIONS SEQUELLES D HEPATITE LITHIASE BILIAIRE MALADIES DE LA NUTRITION HYPERCHOLESTEROLEMIE OBESITE GOUTTE RHUMATISMES VOIES RESPIRATOIRES CENTRE DE REEDUCATION PHYSIQ
9. des Sciences M dicales The Bulletin is published two or three times per year and accepts articles in French German and English The authors are invited to submit the original copy and a duplicate typed double spaced to the editor The references in alphabetical order should conform to the style of the Index Medicus Surname and initials of authors title of article name of journal volume number first page and year All the articles which should be succinct are reviewed by the editor and a member of the editorial board Copyright 1981 by Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg SOMMAIRE Greffe de moelle pour aplasie m dullaire M Dicato R Hemmer F Hentges D Kamioner R Mangen Centre Hospitalier de Luxembourg C Farrell Recherche sur le Cancer et les Maladies du Sang Luxembourg D Heiser bourse de recherche Ministere de la Sant Luxembourg Estimation des pressions arterielles pulmonaires sur la radiographie standard du thorax R Dondelinger J Schlink D partement de Radiologie Centre Hospitalier de Luxembourg J Beissel C Pesch D partement de Cardiologie Centre Hospitalier de Luxembourg Zur Atiopathogenese zerebral gesteuerter Anf lle bei chronischem Alkoholismus 4 Haan Neurologische Klinik der Ruhr Universit t St Josef Hospital B chum k B r ee a Q A ae eee ee ea Leucose bovine
10. l mentaires sont discut s pour chaque chapitre Les illustrations ra diographiques sont nombreuses et d mons tratives m me s il existe des variations im portantes dans la qualit des clich s repro duits Les l gendes des figures sont reprises en anglais On peut d plorer le caract re approximatif du texte anglais L angioplastie percutan e trans luminale n est envisag e que bri vement a la fin de la monographie Ce livre s adresse dans l esprit des mono graphies de radiologie aux tudiants en sp cialisation en Radiodiagnostic et aux radiologues qui voudront d buter en radio logie vasculaire Dr R Dondelinger 82 TECHNIQUES DE RADIOTH RAPIE J S Abbatucci Expansion Scientifique Francaise Cette 19 monographie de Radiologie de l Expansion Scientifique Francaise retiendra l attention de tous les m decins int ress s de pr s ou de loin par la canc rologie Parmi les innombrables publications d Abbatucci sa Technique de t l cobaltoth rapie radi cale se trouve dans toutes les biblioth ques m dicales La nouvelle dition com pl tement revue et mise jour depuis 1972 en raison du consid rable essor de la radio th rapie rayonnements corpusculaires et de haute nergie en photons montre le grand int r t personnel de l quipe du Pro fesseur Abbatucci Nul ne contestera le Pro fesseur Tubiana s il r sume l importance de ce livre en disant que le traitement aux rayons ionisan
11. 1 N 7 m AN D AN de io x er i af iM i 4 ri v 3 Irregul re SW und poly SW Komplexe fronto temporo parietal rechts Spitzenpotentiale uber den linkshirnigen Ableitungen mittelschwere bis schwere Allgemeinver nderungen FFG Nr 2R6 no FFG nach Fntriftung a 2 FREE d 7 Y v i 7 e 2 i z m E H ke Kiem D 1 t l i PENES A a A d 15 2 E R x 3 Ei am m m tr ET i i 2 b em x r a t TEN ROSTER 1 1 Sta 1 d ez 5 1 8 m x Jie 1 fr 1 v 7 A d e 4 l 2 3 c Schwere Allgemeinveranderungen Spitzenpotentiale fronto temporo parietal rechts gerin ger ausgepr gt auch temporo parietal links 42 Abb 4 Anf lle bei Alkoholismus und vascularem Hirnsubstanzdefekt 4 a Im CCT Zustand nach Infarkt der Art cerebri media rechts i FFG Nr 1105 8o of 56 J FR d FEG Xr 1129 40 n Fp 4 A1 EFG e h FpA T3 FFG nach Sehlafentzuginach Fatriftung ET SN Ee An ANN e NES etm te an e Pss m ii u Fp1 A2 Fp 2 7 _ A v 6 Nm T su YR
12. 40 mmHg 21 cas une concordance exacte avec les r sul tats du cath t risme dans 16 cas 77 pour des valeurs de pression com prises entre 40 et 60 mmHg 14 cas une concordance exacte est not e dans 11 cas 73 pour des valeurs de pression sup rieures 60 mmHg 10 cas une concordance exacte est retrouv e dans 4 cas 40 96 La concordance moyenne s tablit 6396 b Quand la pression maximale dans l ar tere pulmonaire est estim e en se fondant sur les crit res tablis par CARMICHAEL et Col Tableau 1 nous obtenons les r sultats figurant dans le tableau 2 suivant La concor dance moyenne est de 5796 c Les r sultats obtenus par Vapplication de la formule de MOORE et Col Ta bleau 1 dans Vestimation des pres sions maxima et moyenne dans l ar t re pulmonaire permettent d tablir les corr lations suivantes Figure 1 une corr lation exacte avec la pres sion art rielle pulmonaire moyenne mesur e lors du cath t risme est retrouv e dans 6096 des cas pour l ensemble des valeurs en admet tant une pr cision gale 410 mmHg En revanche les corr lations avec la pression art rielle pulmonaire maxi ma mesur e donnent les r sultats sui vants en consid rant toutes les valeurs de pression 45 cas et en admettant une pr cison de 10 mmHg la concordance est retrouv e dans 22 cas 4896 11 en consid rant les valeurs de pres sion inf rieures
13. amp Colman Pharma Destree Rue de la Bienvenue 7 1070 Bruxelles T 376 20 66 Figure IX Figure X Figure XI dug 1 A 1 ul lifli n Figure XII Figure XIII 64 Figure XIV 65 Wirksamkeit in Doppelblindstudlen 197 bei akuter Virushepatitis bei chronischer Hepatitis notwendige Behandlungsdauer in Tagen Biopsiebefunde Legalon 29 Bei Patienten mit normalem linearem GPT Verlauf n 20 war die Zeit bis zur Normalisierung signifikant k rzer P 0 05 Bei Patienten mit 5 abnormem Verlauf rebound effect n 20 12 2 ist die R ckfallh ufigkeit der GPT Aktivit ten mesen signifikant vermindert P 0 05 Vergleichende chymale 28 PROV Studien auf der Basis anderer biologischer Tests intra fiche Alene n GOT OCT Gesamtbilirubin best tigen die f r lobulare fealai n aon GPT erhaltenen Ergebnisse Reaktion PLOMTEUX G A ALBERT und C HEUSGHEM IRCS Medical Suence 5 259 11977 ESSI ega on 19 Placebo 17 n 36 Die signifikante berlegenheit von Silymarin in der Beeinflussung der mesenchymal entz ndlichen Reaktion innerhalb des Leberparenchyms P lt 0 05 und Hinweise f r eine solche berlegenheit hinsichtlich der Beeinflussung der entz ndlichen Reaktion im Leberbindegewebe der Ausbildung von MottenfraBnekrosen und der parenchymat sen Alteration sind sicherlich bemerkenswert KIESEWETTER
14. ganglions bronchiques et m diastinaux sont tr s hypertrophi s 3 4 x le volume habituel Toute structure interne a com pl tement disparu comme on peut le voir apres incision Cette remarque vaut d ail leurs pour tous les ganglions de cet animal 4 sur la carcasse et la t te les ganglions pr scapulaires parotidiens sous maxil laires et r tropharyngiens ont galement augment leur taille de 6 10 fois ils se laissent toutefois facilement d tacher du tissu conjonctif qui les entoure 5 La surface de coupe rouge clair des apophyses pineuses dorsales et lom baires est parsem e de fins foyers gris tres Est il besoin de pr ciser que la viande a t saisie EXAMEN HISTO PATHOLOGIQUE l a port sur le foie un rein et un ganglion et il a montr un envahissement par des lymphoblastes de tous les organes exa min s RECHERCHE SEROLOGIQUE DE LA LEUCOSE ENZOOTIQUE Elle se fait par immuno diffusion dans un milieu g los On se sert de pr f rence d un antig ne d sign g p 58 68 qui est pr par 47 sur mouton L antigene p 24 est plus rare ment utilis Jusqu ici environ 10 000 s rums de bovins adultes ont t examin s dans notre pays par cette m thode sans qu on ait enregistr une seule r action posi tive l faut noter que la r action d immuno diffusion a t n gative deux reprises pour la b te en question La leucose bovine est une maladie ma ligne du syst me iympho
15. ine tumorale produite par les ca t cholamines Le traitement m dical est nettement moins efficace Les immuno suppresseurs 5 Fluoro Uracyl ou Cyclo Phosphamide n apportent pas d am lioration sensible Les corticoides gardent leur indication Pour le traitement symptomatique du flush on a conseill des anti adr nergiques L indom thacine peut tre utilis e pour neu traliser l effet sur la musculature lisse des vaisseaux de la prostaglandine E par cer taines tumeurs carcinoides DISCUSSION La comparaison des 2 cas cliniques met en vidence une symptomatologie clinique tr s diff rente Le premier patient en effet pr sentait toute la gamme classique des troubles li s la pr sence d une tumeur s cr tante tandis que le deuxi me avait une symptomatologie non caract ristique mais 70 seulement en rapport avec le facteur m ca nique de l occlusion et la cachexie tumorale Pareillement le dosage urinaire de l acide 5 a donn des r sultats diff rents Dans le deuxi me cas o les valeurs res taient normales la tumeur mesurait 2 cm de grand axe et avait donn des m tastases diss min es dans toute la cavit p rito n ale N anmoins cette deuxi me tumeur n avait pas donn de m tastases intrah pati ques Le traitement reste d cevant Les m dica ments n apportent que des am liorations temporaires et transitoires ls ont g n rale ment un effet purement symptomatique comme
16. l INTRODUCTION Alors que les corr lations radio anatomiques et l ap proche de la signification des images pathologiques pleuro parenchymateuses en radiologie conventionnelle ont vu se d velopper une s miologie d une pr cision toujours croissante les corr lations radio physiologiques tant ventilatoires que circulatoires ont suscit beaucoup moins d int r t Or le poumon est le seul organe dont il est possible d analyser la vascularisation gr ce aux seuls contrastes naturels La petite circulation est caract ris e par son grand d bit ses r sistances faibles et sa capacit vasculaire lev e par rapport au volume sanguin circulant Ces propri t s font que des variations m me minimes du flux sanguin et des r sistances vasculaires entrainent des modifications morphologiques touchant la distribu tion et le calibre des vaisseaux pulmonaires Les variations morphologiques refl tent ainsi secondai rement des modifications de pression en radiographie conventionnelle Un grand nombre de travaux fondamentaux exp ri mentaux et cliniques ont d montr le bien fond des corr lations entre les conditions h modynamiques d une part et les aspects topographiques et morphologiques des vaisseaux pulmonaires d autre part 6 9 10 11 13 14 15 Pratiquement tous les auteurs essayant d tablir des corr lations radio physiologi ques entre l image thoracique standard et les pressions r gnant dans les vaisseaux pulm
17. paule D Patte Les auteurs s int ressent particuliere ment non pas aux luxations r cidivantes de l paule mais aux syndromes avort s dits d instabilit suivant une premi re luxation 77 ou spontan ment pouvant mettre en cause une d chirure du bourrelet ou se pr sentant simplement sous la forme d un syndrome douloureux lis insistent particuli rement sur l int r t d un bilan radiographique complet et no tamment la recherche d une encoche de la partie ant rieure et inf rieure de la gl ne ainsi qu une arthrographie qui pourra d tec ter une d chirure du bourrelet Une critique est r alis e des op rations habituelles l auteur ayant port son choix plut t sur l usage d une but e au moyen de la coracoide p dicul e sur le coraco biceps essentiellement lorsque les radiographies ont d tect un culement de la partie ant rieure et inf rieure de la gl ne VI Le cartilage de croissance J G Pous Il s agit d une analyse complete du r le du cartilage de croissance tant au plan histolo gique qu au plan clinique Les auteurs en d finissent la physiologie normale et l inter pr tation radiographique de l volution au cours de la croissance du cartilage Un certain nombre de syndromes sont analys s en fonction des troubles de la croissance Ils insistent sur la n cessit en orthop die de respecter la plaque conjugale sa vascu larisation et les conditions m caniques de fonctionn
18. tomie du bassin assurant une couverture compl mentaire Ensuite vient un chapitre d analyse de l vo lution long terme Il s agit d un travail consid rable de comparaison des diffe rentes s ries parues dans la litt rature et qui permet en fonction des traitements pro pos s de donner un pronostic dont il est difficile en r alit de se faire une opinion car les auteurs n ont pas toujours compar ce qui est comparable En r alit le chapitre principal est repr sent par les indications th rapeutiques o l on retiendra pour les auteurs jusqu 4 ans une ost ochondrite d pist e au d but rece vra simplement au maximum une orth se d abduction avec autorisation de mise en charge si la scintigraphie montre des l sions tendues et des signes anatomiques de risque ce moment l un tuteur en abduction mais en d charge cette fois sera pos peut tre une p riode courte de 3 4 semaines de traction Plus tard si la l sion est inqui tante il sera pr f rable d imposer la d charge pendant plusieurs mois ventuellement une indica tion chirurgicale de recentrage Vers l ge de 5 7 ans la chirurgie a une place de choix Au d but on conseillera la d charge avec ou sans appareil d abduc tion L apparition de signes anatomiques inqui tants fera poser assez rapidement une indication op ratoire Au del de cet ge la chirurgie a une place aussi importante et le contexte familial a un r
19. Antagoniste En cas do surdosage Fentagoniste do choix est Is tolszotine Priscol Uno injection intraveineuse de 10 mg de collo ci peut n vlralisor 0 6 mg do Catapressan conviont toutofois d adapter la posologie en fonction du tableau clinique die Un surdosage peut provoquer notamment hypotension bradycardio ot s dation Des mesures symptomatiques cardiovasculairos donnent on g n ral des r sultats satisfaisants En cas do bradycor prononc e l atropine i m permat do restaurer le rythme cardiaque Une hypotonsion grave pout justifier l emploi d alpha btoquants Pr sentations Comprim s 0 150 mg flacon do 30 comprim s fl amp con de 75 comprim s flacon ciinique de 250 comprim s 15 C Le comprim Cataprosssn est blanc il a 8 mm de diam tro sur 2 mm d paissour Il est s cabio en deux Una taco porte gravure du siglo Boehringor l autre 15 Pertonguettes 0 250 mg boite de 70 conditionnement clinique do 280 Pertonguettes i La 0 Cotapressan so pr sente sous forme d une g luto d onviran 18 mm de long sur 6 5 mm de diam tre bicoloro jaune ot rougo contenant 5 noyaux laqu s de 5 mm do diambtro Ampoules 0 150 mg bolto de 5 ampoules conditionnement clinique de 50 ampoutes L empouie est une petito ampoute bouteille de 4 cm do haut contenant 1 mi do solut injectable incolore et transparent Chaquo ampoule porto une 4186 Validit Comprim s et empoulos 5 ans
20. En g n ral le temps d endormussementest de 15 30 minutes la dur e de somme de 6 8 heures La concentration plasmatique diminue en deux phases dont les dermi vies sont d environ 2 heures distnbuton et 10 heures Elimination Indications Troubles de l endormissement troubles du sommeil Posologie et mode d emploi La dose standard s l ve 1 mg par jour Selon la nature et la gravit des troubles du sommer elle peut tre doubl e ou cummnu e de mori Les patients g s et ceux dont l tatest attad re orvent en foncbon deleur tat 0 5 1 mg par pour En cas de traitement ant neur avec d autres somnif res le trarternent devras en principe commencer par une dose plus Hevte aduites 2 mg patients 4065 1 mg Les comprim s seront pris avec un peu de liquide peu avant le coucher Effets secondaires Des migraines de somnolence de l h b tude des ver ges peuvent se produire Comme avec d autres m dicaments du groupe des benzodiaz oines des r actions paradoxales peuvent se produise telles que verbges confusion apathie perte d iitiative provocation de d pression et d personnatsation Dans ce cas i leut onvisager l arr t du t aitemont Contre indications Myasth nie grave Hypersensibitit aux benzod az pines Utilisation su cours de la grossesse et de l allaitement On dispose detrop peu de donn es relatives l emploi de Noctam d au cours de la grossesse pour valuer une nocmit ventuel
21. Epilepsie und Alkohol Z f ges Neurol Psychiat 111 1927 145 9 Marchand L Rapports de l alcoolisme et de l pilepsie Paris med 2 1937 29 10 Meese W Grumme Th Die Beurteilung hirnatrophischer Prozesse mit Hilfe der Computertomographie Fortschr Neu rol 48 1980 494 11 M ller Fahlbusch H Epileptiforme falle beim Delirium tremens Minch med Wschr 107 1965 2473 38 12 Neund rfer B Meyer Wahl L Meyer J G Bals E Bals R Die sogenannte Sp tepilepsie Wien klin Wschr 90 1978 765 13 Newman S E The EEG manifestation of chronic ethanol abuse Relation to cerebral cortical atrophy Ann Neurol 3 4 1978 299 14 Pearson S B Edinb med J 9 1813 326 15 Riser M G raud J 63 L Bascol A Clausse S Garrigues P De l pilepsie alcoolique Rev neurol 94 1956 628 16 Tamburini G Alkoholepilepsie Epilep sia 4 1911 12 36 Ware J Med Comm Mass med Soc 5 1836 136 17 18 Wartmann E Alkoholismus und Epilep sie in ihren wechselseitigen Beziehun gen Arch f Psychiat u Nervenkrankh 29 1897 933 19 Zwingern Th Der sichere und der ge schwindte Arzt oder Neues Arzney Buch J Ph Richers Basel 1686 Anschrift des Verfassers Dr J Haan Neurologische Klinik der Ruhr Universitat St Josef Hospital GudrunstraBe 56 D 4630 Bochum 1 Abb 1 nach Meese W Gr
22. GE E R SSS Se ho CEE Dosierung und Anwend We endungsweise Morte dar Li anders verordnet mehrmals taghch je Strang ripe nd iani Gebiete einen bis 10 cm langen Haut einreiben auftragen und m glichst gro fl chig in dic N n schr ay sich nach Zeien Reizungen ge Haut auftreten dic amentes rasc Besonderer Hinweis 7100 cumon Gel soll ni cht auf verl zundeter Haut angewendet wages oder ckzematos ent 0 e im Vergleich zu nicht entz Gewebe 1 Stunde nach toa Applikation Dell et al Arzneim Forsch 27 1316 1322 1977 AAA Darreichungsformen und Packun H Tube mit 40 g 26 Tube mit 100 8 TROPON ARZNEIMITT EL KOLN JE Vertretung f r L Integral S A 25 Rue de Epernay Leucose bovine A Kohn G Theves Abattoir de la Ville de Luxem bourg Laboratoire de m de cine v t rinaire de l Etat Bull Soc Sc Med p 45 1982 Le 26 janvier 1981 nous est adress e une g nisse pie rouge en vue de l abattage d office pour leucose L examen ante mortem r v le les signes cliniques suivants La g nisse de 2 ans et demi a fortement maigri la peau est collante les muqueuses sont p les tous les ganglions explo rables savoir les ganglions parotidiens sous maxillaires pr scapulaires pr cruraux et poplit s ont consid rablement augment de volume 6 10 x le volume normal ils restent cependant mobiles so
23. Postthrombophlebitisches Syndrom Ulcus cruris Venalot trifft Stauung Entz ndung Odem Schmerz y beseitigt Schwere gef hl und Schmerzen bessert ven se Zirkulationsst rungen befreit das Interstitium von angeh uften Plasma Proteinen mobilisiert den Lymphstrom P p erm Extr Melilot stand 25 mg Cumaringehalt 5 mg Rutin 25 mg 1 Ampulle zu 2ml 5 ml enth lt Extr C in 15 s Troxeritin 90 UL umaringehalt 3 mg 7 5 mg Rutinschvvefelsaureester Natriumsalze 50 mg 125 mg 1 Depotdrag e enth lt ch EI cheb mg 100 ml Liniment enthalten Extr Melilot stand 50 ml Cumaringehalt 500 mg Heparin 5000 I E Kontraindika Dosierung Oral Venalot Depot morgens und oder abends 1 Drag 9 Bali g e Venalot Kapseln 3 x t glich 1 2 Kapseln Parenteral 2 5 ml i v oder i m Venalot Liniment mehrmals t glich ber den erkrankten Stellen einreiben Darreichungsformen und Packungsgr Ben Kapseln 30 St T 75 St AP 500 St Ampullen 5 x 2 ml AP100 x 2ml 5 x 5ml 10 x 5ml AP100 x 5ml Liniment 40 ml Schaper amp Brimmer 70 mi AP 400 ml Depot Drag es 20 St 50 St 100 St AP 500 St Salzgitter Ringelheim Pharmacie Legros 52 Grand rue Luxembourg Naturstoff Forschung und Therapie Parce qu elle tait atherosclereuse avant 6 insuffisante Indications insuffisances art rielles p riph rique et c r brale Effets sedonda
24. UUBLU YON ZH Xepuj u10ujeju014 34 uejeuui 74 yosiBojoujed s p Gunsainpesd pun apunjaqieuon OL UL euunus M S HV uoeu 1 34 UROLOGIKA Schmerzhafte Miktion L U 5 zo 0 c A agde c o X t o 25 X o6 dir l st die krampfartigen Schmerzen 10140 Wu Bueyuawwesnz wi sjepuoseq ules 161 82 9 0 ueBouueAsuoryeoH sep UUEN we lgews unwuns 0q19q yony 68 5 uejeuousyeuos1ebuewuos 8 uejsJe USP ui Bunupio1en erp 151 U B TOA gU 1 O UOA epueBipeuosuurey aula jne DOOR opum seaman ee Sije1suv WA 0 62 1181191081 001 1 000 8 WO Sp OL oe WwW Bunxoeg 0 0922 uejdojj W QS Hw 60 0 8 WO 0 jw oz Wu uego18sBunxoed pun ueuuojsBunuosjeuieg 08 ZEN pues OH38NH N H pun s uolnu b l p BunxjMueqaN SOL D S E Q l Q 25 863 aipseyAyoey sIeuey wieg uo ey 218189 WI uesouajgs uu Deu DIEN n E DI uauopexipujeuoy ueyubur3 9 81800 pun ueuosmsouBerp yoeu Bunjersuejeujey ueuornejinsu YILU snnejsojg snuujeup snns o req ueBuniJojssuonxw ayosiseds ayeyZewyos 109100 18 bul oz puoju o1pAH uueAeded uiy epiojexjejuresebueeoeue og 9 08 Leisipsepueys pun 5 5 joueu y we op yu jejre1eq Dul 90
25. absorber imm diatement 1 cuiller e caf 5 ml 2 1 mesurette Suspension buvable liquide Adultes et enfants de plus de 10 ans 10 20 ml 234 cuiller es caf apr s les repas et au coucher Enfants de moins de 10 ans 10 ml apr s les repas et au 1 Si on le desire ces doses peuvent tre dilu es dans de l eau mais il est conseill de ne pas ajouter plus d une quantit g d eau Bien m langer CONSERVATION A temp rature ambiante Ne pas exposer au soleil Bien refermer le flacon apr s usage PRESENTATIONS Comprim s boite de 40 comprim s Poudre flacon de 50 poudre l Suspension buvable liquide flacons de 250 et 500 ml FORMULES Comprim s m Alginic acid 260 mg Natr alginas 260 mg Magn trisilic 26 mg Algeldratum 104 mg Natr hydrogenocarbonas 88 5 mg Sacch Mannitol Vanillin Aether menth Polyvodonum Magn stereas pro compr uno Poudre m Alginic acid 1 g Magn trisilic 0 05 g Algeldratum 0 2 g Natr hydrogenocarbonas 0 34 Silici oxyd coll Mannitg q s pf pulveres 2 g cafeti cochlearia una 5 cc Suspension buvable liquide Natrii alginas 500 mg Natrii hydrogenocarbonas 267 mg Calcii carbonas Carbomerum Methylis parahydroxyben Natrii sacharium Propylis parahydroxybenzoas harium Actheroleum Foeniculi Erythrosinum Natrii hydroxydum Aqua ad 10 ml Reckitt
26. atriale gauche etc Figures 5 et 6 On retrouve n anmoins une corr lation exacte pour l ensemble des 45 cas tu di s entre la pression art rielle pulmo naire moyenne et les criteres de MOORE dans 27 cas 60 En ne consid rant que les valeurs de la pression art rielle maxima comprises entre 20 et 60 mmHg on trouve une bonne corr lation avec la pression art rielle moyenne pour cette m me tranche dans 21 cas sur 30 soit 7096 en admet tant une pr cision gale 10 mmHg Figure 7 13 b 14 Ces valeurs sont largement inf rieures celles habituellement trouv es pour des s ries homog nes o la pr cision du critere de MOORE atteint jusqu 9576 dans la pr diction de la pression art rielle pulmonaire moyenne 9 Nous avons l impression que les crit res de MOORE surestiment de fa on g n rale des pressions art rielles pulmo naires peu lev es et qu ils ne peuvent que difficilement indiquer des pressions sup rieures 60 mmHg Le crit re de LUPI 8 mesurant le rapport entre la somme des deux diam tres des art res pulmonaires droite et gauche et le diam tre transverse du thorax n a pas permis de retrouver des corr lations si gnificatives avec la pression moyenne de l artere pulmonaire dans notre s rie h terogene Nous n avons pas non plus retrouv une relation significative entre la pression art rielle pulmonaire et l in dice cardio thoracique ni en mesurant la
27. auf so ergeben sich folgende Befunde Bei rund einem Drittel finden sich Normalbefunde Pathologisch lediglich bei der Aufnahme bzw nach der Entgiftung waren jeweils drei Prozent der Kurven Isolierte pathologische Befunde nur im Schlaf EEG fanden sich zweimal Bei insgesamt 13 Patienten fanden sich Ver n derung n sowohl bei der Aufnahme und nach Schlafentzug wahrend vier Patienten nach Entgiftung und Schlafentzug patholo gische Ver nderungen aufzeigten In der berwiegenden Mehrzahl aber d h in 30 6 insgesamt fanden sich pathologische Ver n derungen in allen drei EEG s Tabelle 4 Grundrhythmusverlangsamungen fanden sich insgesamt bei 29 Patienten 38 696 30 Schnelle Frequenzen ber den vorderen Hirnabschnitten lagen bei 34 596 vor aller dings oft nicht in allen drei EEG s Eine Korrelation zu vornehmlich bestehender Rindenatrophie und einer beidseits beton ten Frontalhirnrindenatrophie wie dies in der Literatur berichtet wurde konnte nicht hergestellt werden Bei insgesamt 21 Patienten fanden sich SW Komplexe Sharp waves und Spikes F nfmal lagen solche Krampfpotentiale bei trau matischer f nfmal bei vaskularer Sub stanzsch digung des Gehirns vor Zweimal hatten die Patienten Sch delhirntraumata mit l nger dauernder BewuBtlosigkeit ohne sichtbaren Substanzdefekt im CCT erlitten Dreimal mu te anhand der EEG Kurve und des Alters bei Auftreten der zerebralen An f lle von einer latenten Anlage zu epi
28. cas selon les crit res de CARMICHAEL et dans 71 des cas d apr s les crit res de MILNE Devant des pressions moyennement le v es entre 30 et 60 mmHg des corr la Effortil PL tonique cardiovasculaire action quilibr e e hypotension l orthostatisme e hypotension secondaire surmenage convalescence apr s maladies infectieuses op rations accouchements e hypotension iatrogene antid presseurs tricycliques 3 x1 drag e par jour Boehringer ingeiheim 250 B frz POS d NGELHEIM n v Boehringer Ingelheim s a rue du Coll ge St Michel 17 1150 Bruxelles Effortil PL tonique cardiovasculaire action quilibr e pour la correction des hypotensions orthostatiques Indications D faillance circulatoire collapsus circulatoire dans les tats co mateux au cours et apr s les maladies infectieuses l infarctus du myocarde les interventions chirurgicales les accouche ments les accidents les intoxications les tats de cachexie des patients canc reux Hypotension troubles de la tension circula toire d origine hypotonique dysr gulation orthostatique dans l asth nie constitutionnelle les maladies infectieuses chroni ques la convalescence les tats post op ratoires et le post partum la grossesse et la p riode de croissance Pr vention des perturbations cardiovasculaires au cours des petites inter ventions diagnostiques ou th rapeutiques cer
29. d veloppe avant 4 ou 5 ans ou apr s Le garcon semble plus particuli rement at teint et notamment lorsqu il a un retard de croissance Les auteurs font aussi le r pertoire de toutes les malformations qui ont pu tre trouv es associ es et qui donnent cette maladie un caract re g n tique particulier mais ils ont la prudence de ne pas trop s engager sur ce terrain A cet gard les art riographies s lectives faites dans quelques cas ont permis d avan cer sur l interpr tation des raisons puisque l on a montr que les art res vascularisant la t te f morale taient manifestement throm bos es ce qui n assure pas absolument de l origine art rielle du m canisme de la ma ladie Les auteurs insistent particuli rement sur l int r t de la scintigraphie qui par rapport l art riographie repr sente un examen de plus pouvant tre utilis en clinique et qui tr s t t met en vidence une encoche dont l intensit peut avant les signes radiologi ques assurer du diagnostic Ils rappellent aussi les travaux exp rimentaux qui ont t r alis s sur les animaux et qui ont permis en particulier de comprendre le m canisme d volution de l isch mie jusqu la recons truction osseuse ainsi que le m canisme de la d formation de la t te f morale Dans le chapitre de l tude clinique le rap port entre l ost ochondrite et le rhume de hanche est particuli rement discut La filiation n est pas
30. dans la cavit abdo minale en particulier au niveau de l pi ploon et du m sent re avec pr sence de m tastases h patiques La biopsie extempo ran e confirmait le diagnostic pr op ratoire de tumeur carcinoide du gr le Le patient est mort quelques mois apr s la d couverte de sa tumeur b Un deuxi me patient m le g de 66 ans a t vu par un gastro ent rologue pour des troubles digestifs voluant vers un tat sub occlusif La laparotomie ex ploratrice devait r v ler au niveau de l intestin gr le une tumeur irr guli re st nosante Le p ritoine pari tal et visc ral tait recouvert de petits nodules blancs durs Aucun nodule palpable n a t retrouv au niveau du foie Vu l tat local et le mauvais tat g n ral du pa tient une ent ro anastomose court cir cuitant la st nose a t r alis e Un nodule p riton al pr lev pour l examen histologique a permis de porter le dia gnostic de tumeur carcinoide du gr le avec diss mination m tastatique au ni veau du p ritoine Le dosage urinaire de l acide 5 hydroxy indol ac tique donnait une valeur de 8 90 mg par 24 heures 68 Apr s am lioration de l tat g n ral du patient une ex r se large de la tumeur a t d cid e Une ent ro anastomose ter mino terminale a t pratiqu e sur le gr le en tissu sain L examen histologi que de la tumeur primaire a permis de pr ciser que la l sion de 2 cm de grand axe avait i
31. de lecture du clich standard qui rend l individualisa tion et la diff renciation vasculaires mal ais es dans un nombre de cas impor tants comparable celui avanc par d autres auteurs Tableau 7 Le flou p rivasculaire et le flou interstitiel associ s ou non la pr sence de lignes septales repr sentent des signes plus discutables pris isol ment dans l appr ciation des pressions maxima dans l ar t re pulmonaire Tableau 6 La mesure du crit re de MOORE d finie par Diam tre de l art re pulmonaire x 100 V diam tre transverse maximum du thorax n a pas permis de retrouver les corr la tions pr cises cit es par les diff rents auteurs chaque fois qu il s agissait de l tude d une s rie de malades homo g ne comme les valvulopathies mitrales et en particulier les r tr cissements mi traux ou les hypertensions art rielles pulmonaires essentielles Tableau 8 Le tableau 8 montre qu il existe n an moins comme l indiquent les diff rents auteurs une relation plus pr cise entre les criteres de MOORE et la pression art rielle pulmonaire moyenne qu avec la pression art rielle maxima 12 Les difficult s d application du crit re de MOORE dans une s rie non homog ne sont dues l interaction de nombreux facteurs influen ant le bombement de l arc pulmonaire sur la radiographie de face scoliose dorsale trouble ventila toire du poumon gauche retractions pa renchymateuses dilatation
32. e e a I NIE H moment du m 7A t yi T CAC 0 aux exigences strictes des autorit s niversitaires wi m 4 lt LN ner une protection de 24 heures pour votre patient ath roscl reux Composition 5 mg de flunarizine R 14 950 par g lule Propri t s Des tudes cliniques contr l es ont montr que Sihelium r duit les sympt mes vestibulaires de l insuffisance c r brovasculaire et combat les sympt mes de troubles vas culaires p riph riques dus des art riopathies organiques Sibelium poss de une longue dur e d action par voie orale Indications Traitement d entretien symptomatique des trou bles circulatoires suivants vertige d origine c r brovascu laire troubles de la circulation p riph rique dus des art rio pathies organiques Dans certains cas il y a lieu d associer Sibellum des mesures hygi niques d usage comme le r gime l interdiction de fumer et les exercices de marche appropri s Pr sentation Emballage alv ol s de 20 et 50 g lules 5 mg de flunarizine A Posologie La dose a la fois standard et maximale est de 10 mg par jour soit 2 g lules 5 mg prendre soit 1 le matin et 1 le soir soit les deux le soir Effets secondaires A la dose normale recommand e on a observ de rares cas de somnolence et de fatigue mais ces effets secondaires sont le plus souvent passagers Dans des cas exceptionnels la
33. est bas habituellement le diagnostic d finitif de tumeur carcinoide chaque fois que les signes cliniques font suspecter l exis tence de la tumeur Ainsi une valeur sup rieure 40 mg d acide 5 H I A par 24 heures peut confirmer le diagnostic sans toutefois exclure des faux n gatifs et des faux posi tifs Les premiers peuvent se voir chez un patient avec une tumeur locale au niveau du tube digestif sans m tastase du foie ou du poumon qui restent ainsi des manations valables Des r sultats faussement positifs peuvent tre dus un r gime alimentaire riche en tryptophane bananes etc 1 2 Habituellement c est assez tard que le syn drome clinique classique apparait II se ma nifeste quand le foie et le poumon envahis par les m tastases ont perdu leur capacit d inactivation de la 5 H 1 A Ainsi par exemple dans les rares cas de carcinoides malins du poumon le syndrome clinique est complet et pr coce cause de la mise en circulation directe de la 5 Clinique Le tableau clinique classique est caract rise par un certain nombre de sympt mes Crises d hyperh mie cutan e 80 9096 durant quelques minutes L hyperh mie survient Souvent apr s un effort ou une emotion au niveau du visage des bras et du thorax et est accompagn e par de l hyperhydrose tachycardie ou des crises asthmatiformes Si les crises se r p tent Souvent elles peuvent entrainer une rou 9eur permanente du visage avec
34. exem ple par les bassins dysplasiques Le d tail des r sultats se pr sente de la fa on suivante 1 an 86 5 de bons ou tr s bons r sultats 5 ans 81 5 de bons r sultats I y a particuli rement stabilit sur douleur et marche Parmi les complications on note ra 4 496 de luxations 1 696 de fractures de la diaphyse f morale Cette s rie a l norme int r t d tre homo gene et d tre r alis e par une m me quipe IV Syndromes isch miques post traumati ques des loges de la jambe A Lortat Jacob L auteur reprend la question fort d battue des troubles isch miques cr es en trauma tologie habituelle et en particulier apr s fractures de jambe L tude porte essentiellement non pas sur les interruptions de la voie principale mais sur les symptomes isch miques suspendus ou syndromes de Volkmann dont 15 cas ont t r pertori s sur une s rie de 900 fractures de jambe enclou es Les auteurs insistent particulierement sur l importance d un diagnostic pr coce avant la 12 heure bas essentiellement sur l ap parition de petits signes neurologiques L art riographie liminera une interruption de la voie art rielle principale et en cas de confirmation diagnostique il ne faut pas h siter reprendre le patient en r alisant une section ant ro externe et post ro in terne des apon vroses jambi res seul moyen d viter le syndrome de Volkmann V Instabilit s ant rieures de l
35. fatigue peut augmenter il convient alors d interrompre le traitement et de le reprendre ventuellement a une dose moins lev e Contre indications Aucune Formula Flunarizini hydrochloridum 5 9 mg aequiv 5 mg flu narizinum lactos amyl mayd talc magnesi stearas silici oxyd q s pro caps un E 172 E 127 titani oxyd gelatin con fect La dur e de conservation de ce produit est limit e voir la date de p remption sur l emballage JANSSEN PHARMACEUTICA 2340 BEERSE dw berragende Resorption und 20 fach h here Wirkstoff Anreicherung im entz ndeten Gewebe Zusammensetzung g Rheumon Gel enth lt 50 mg Etofenamat Anwendungsgebiete Rheumon Gel wirkt entz ndungshemmend und schmerzlindernd bei akuten und chronischen Erkrankungen der Weichteile des Bewegungs und St tzapparates 7 B bei Muskelrheumatismus Muskelverspannung bel schmerzhafter Schultersteife Periarthro pathia humero scapularis Hexenschu Lumbago Ischialgie Sehnenscheidenentz ndung Schicimbeutelentzundung sowie bei stumpfen Traumen wie Prellungen Verstauchungen Zerrungen Rheumon Gel wirkt auBerdem in gleicher Weise bei schmerzhaften Weichteilerkrankungen infolge von berlastungs und Abnutzungserscheinungen der Wirbels ule und Gelenke Arthrosen i Monosubstanz mit gesicherter Anti Rheuma Wirkung theumori Gel Das Eriolgsgeheimnis f r die schnelle 1 7 ct 1 A
36. hypotensour font largomont d faut dans lo cas du Calapressan Par ailleurs l tude approfondie de ce m dicament pratiqu e sur uno large chello n a fourni aucun l ment en faveur d uno toxicit organique quolconquo Indications Administration orais hypertension arterielle quefs qu en soient la formo ot le stado ralo ost paront rale cn cas do criso hyportonsive pour instaurer ta th rapoutiquo dans ios cas d hypertonsion grave ou difficilement contr table dans los cas o l administration praticebte Posologie et mode d administration comprim s 075 mg La posotogio doit si possible tro fix o do facon individuelle Il ost racommand d instauror lo traitemont doso progrossivamont croissanto par patiers d comprim 0 a en fonction de l effet th rapeutique obtonu ot de la tol rance 1 La dose unitsiro peut Aire port o 1 comprim 0 15 mg et la dose journali ra amp 3 comprim s 0 45 mg Dans los cos difficilomont contr tablos cotto dose pout vontuo tro doubl e On n aura recours das doses sup riouros quo sous surveillance stricto Porlonguattes Chez les patients n ayant jamais recu de clonidine il convient d instaurer le traitement au moyen dos comprim s voir rubrique ci dossus d intor Uno Parlonguette Cataprossan 0 25 mg est comparablo au point de vuo offot un dosago journalior do 2 comprim s 0 15 mg do Cataprossan administr s 6 12 neuror admi vailo No lib rant dans un
37. im Rahmen des Alkoholismus vor Das pathologisch anato mische Korrelat einer Krosakovv Psychose die Wernicke Enzephalopathie konnte pe der Sektion nachgewiesen werden Dieses ist unseres Erachtens nach der einzige Pa Catapressan Perlonguettes Th rapeutique simplifi e mais fiable de la maladie hypertensive a tous ses stades par jour au repas du soir Boehringer jj D v Boehringer Ingelhei e du Coll ge BE T 1150 Bruxelles 290 frz Catapressan clonidine antihypertenseur action centrale Compositlon 1 comprim Catspresssn contient 0 150 mg de chlorhydrate do 2 6 dichloro N 2 imidazolidinylid ne benzamino t 1 Pertonguette Catapressan contiont cinq micro comprim s dos s chacun 0 050 mg de chlorhydrate da 2 8 dichiloro N 2 imidazotidinyhd no bonzamino Lo temps do hb ration du principe acti varie pour 163 5 micro comprim s ot en cons quence ios taux plasmatiques du chiorhydrate do clonidine sont prolong s avec das pics moins lov s La concontration maximale ost atteinto 4 heures apr s administration et 5116 ast maintenue pendant environ 6 hauros Ensuite les taux plasmatiques diminuent progrossivament ot apr s 24 heures onviron 50 do la concentration maximala do chlorhydrate de clonidine inchang sont encoro pr sents 1 empoulo Cataprossan contient 0 150 mg de chiorhydrate do 2 6 dichtoro N 2 imidazotidinytid ne benzamino Propri t s et mode d action Lo Catepressan cst un
38. images et tableaux les interventions courantes de la bouche telles que les extractions dentaires simples extractions chirurgicales ex tractions de dents incluses description du mat riel d intervention et de la technique de l anesth sie loco r gionale d crit un proc d personnel de mise en place sur l arcade de dents retenues la technique op ratoire du curetage apical des kystes des maxillaires Le traitement des phlegmons d origine dentaire quelques chapitres de chirurgie pr proth tique et de chirurgie des parodontoses Pour toutes ces interventions l auteur a une longue exp rience de plus de 40 ans et toutes peuvent tre r alis es en cabinet priv elles ne n cessitent pas de traitement en milieu hospitalier est int ressant de comparer ses exp riences avec les n tres Cependant je ne partage pas certaines de ses vues Un temps de saignement et de coagulation donnent ils des renseigne ments h matologiques suffisants encore s ils sont faits au cabinet Le miroir de Clar est pour Parant le meilleur instrument pour Villumination de la cavit buccale or les chirurgiens oraux et maxillo faciaux que je connais se servent presque exclusivement de bons scialtiques ainsi que de lumi re fibre optique fix e aux instruments Le titre Petite Chirurgie de la Bouche ne me plait pas j aurais pr f r Chirurgie de la Bouche interventions courantes Enfin dans son avant propos il veut info
39. par exemple les corticoides qui agis sent par leur effet anti inflammatoire et anti oed mateux Les alpha bloquants s oppo sent aux manifestations vaso motrices et l indom thacine peut tre utilis e dans le traitement d une tumeur s cr tant de la prostaglandine E Si l ex r se chirurgicale reste le meilleur traitement possible son efficacit est limit e souvent par la d couverte trop tardive de la tumeur Tant que cette derni re reste locali s e et petite les r sultats de la chirurgie sont satisfaisants Les r sultats de la chirur gie sont encore am lior s du fait de la croissance lente de la tumeur Mais ce stade initial le diagnostic est rarement fait et au moment o le tableau clinique est com plet les m tastases sont d j pr sentes Une ex r se totale n est plus possible Il est donc particulierement important de garder pr sent l esprit la possibilit d une tumeur carcinoide chaque fois que le patient pr sente des troubles digestifs ou cardiaques mal d finis et imparfaitement expliqu s Le diagnostic de tumeur carcinoide peut tre fait par des examens compl mentaires simples qui comprennent avant tout le do sage urinaire de l acide 5 1 ainsi que l examen radiologique du tube digestif A eux seuls ils sont capables d op rer d j une bonne s lection Nous venons de voir ce pendant que le dosage de l acide 5 peut donner des r ultats faussement n ga tifs Cette di
40. rents r sultats obtenus par ces quatre s ries de crit res font l objet d u ne analyse critique permettant de d ga b c ger des signes simples et fiables pour l appr ciation des pressions art rielles pulmonaires Pour l appr ciation de la pression art rielle capillaire les signes suivants sont retenus comparaison entre le diam tre des art res pulmonaires segmentaires api cales et basales rapport apex base visibilit des art rioles pulmonaires p riph riques au del du V externe et de la bande claire sous pleurale flou des limites vasculaires hilaires et centrales visibilit de lignes septales d un paississement scissural ou pleural accentuation et flou de l interstitium signes d hypertension art rielle pul monaire majeure plus de 60 mmHg Les r sistances vasculaires pulmonaires totales sont estim es d apr s les signes suivants comparaison entre le diam tre des vaisseaux segmentaires apicaux et ba saux rapport apex base accentuation et flou de l interstitium pr sence de lignes septales emphys me ou l sions interstitielles chroniques signes d hypertension art rielle pul monaire majeure plus de 60 mmHg RESULTATS Appr ciation de la pression art rielle pulmonaire maxima 45 cas a En utilisant les crit res tablis par GOODWIN et Col Tableau 1 on trouve pour des valeurs de pression inf rieures
41. reticulaire La distribution g ographique se pr sente de la facon suivante la plupart des pays d Europe surtout l Allemagne l Am rique du Nord et du Sud l Union Sovi tique L tiologie virale est reconnue dans le monde entier il s agit d un R trovirus du type C activit oncog nique chez la b te bovine et le mouton seulement L infection par le virus ne suffit pas d clencher la leucose mais la constitution g n tique de l h te joue un r le d terminant dans le d veloppement des tumeurs Alors que le virus de la leucose bovine est r pandu dans le cheptel de la plupart des pays le d velop pement des tumeurs est assez rare La transmission pr sente deux modes 1 la transmission verticale de la m re au produit par la voie transplacentaire dans moins de 2096 des cas via le colostrum et le lait surtout par le passage massif de lymphocytes porteurs de virus dans le lait 2 la transmission horizontale par les in sectes suceurs de sang transportant des lymphocytes infect s d un animal l au tre cela essentiellement en p riode esti vale La transmission horizontale joue un r le preponderant ce qui permet d appliquer des mesures d radication efficaces bas es sur Vabattage et l isolement Deux principales formes de la leucose bo vine sont connues 48 1 La leucose enzootique ou la leucose des bovins adultes atteint les animaux de plus de 12 24 mois avec une fr quence max
42. retrouve un agent causal virus ou m dicament et les autres cas sont dits idiopathiques Divers types de traitement ont t pr co nis s Les r sultats sont variables et diffi ciles valuer du fait que les patients ne sont pas toujours comparables Les androg nes sont utilis s depuis des ann es Leur effet est controvers Des tudes prospectives contr l es n ont pas montr d effet 9 toutefois une certaine efficacit semble tre prouv e par d autres 10 Si un effet est trouv partir de trois mois d utilisation on a limin une partie des cas graves par ce biais de s lection Diff rentes tiologies pourraient tre don n es des volutions naturelles diff rentes et de ce fait galement constituer un biais dans l valuation th rapeutique Des r sultats de certains centres de r f rence peuvent cons tituer un biais de s lection les cas graves infect s et h morragiques n tant souvent pas transf r s Peut tre la mise en vidence de r cep teurs androg niques permettra t elle de s lectionner les patients pouvant b n ficier de ce type de traitement 11 D autres auteurs ont montr un certain nombre de r missions apr s immunosuppression mais ce traite ment reste tre d fini 12 Les meilleurs r sultats sont trouv s apr s greffe de moelle La culture lymphocytaire mixte constitue un bon pr dicteur pour une transplantation mais les chances d un don neur identiqu
43. rinaire Bruxelles Eradication of enzootic bovine leukosis bared on the detection of the disease by the gp immunodiffusion test 49 SYNTHOL Anti algique Antiseptique D sodorisant Antiprurigineux Composition Solution alcoolique a 34 5 d hydrate de chloral resorcine v ratrol et menthol PR SENTATION Flacon de 200 ml usage externe INDICATIONS POSOLOGIE ET MODE D EMPLOI EN M DECINE G N RALE Dans les affections douloureuses rhumatismes migraines c phal es n vral gies douleurs musculaires Sur les points douloureux lotion de Synthol pur ou applications pendant 1 heure maximum de compresses de Synthol coup d eau 5076 Sur les piq res d insectes dans les prurits et d mangeaisons lotion de Synthol pur EN CHIRURGIE Dans les traumatismes ferm s entorses foulures ecchymoses dans les plaies variqueuses les affections veineuses et les engelures compresses de Synthol dilu 5096 avec de l eau EN GYN COLOGIE Leucorrh es vulvo vaginites prurits vulvaires injections gyn cologiques de Synthol dilu 596 soit 3 4 cuiller es soupe par litre d eau bouillie EN STOMATOLOGIE Douleurs dentaires gingivites pyorrh es alv olaires aphtes extractions den taires bains de bouche de Synthol dilu 1096 soit 1 cuiller e soupe dans un verre d eau bouillie EN OTO RHINO LARYNGOLOGIE Angines pharyngites rhino pharyngites gargar
44. telle m thode ne doit tre utilis e que par des op rateurs chevronn s Le p ron dans les fractures diaphysaires BUSCAYRET FISCHBACH VIDAL Il s agit d un rappel du r le du p ron utilis comme stabilisateur dans les fractures du tibia et en particulier les fractures basses La simple ost osynth se du p ron est un l ment stabilisateur lui seul constitue un point d appui dans les pseudarthroses ce sont les greffes intertibio p ronieres et dans certains cas sur tibia enclou au contraire l ost otomie du p ron peut rendre service et permettre une coaptation aboutissant la fusion sans geste suppl mentaire Traitement par enclouage centrom dul laire foyer ferm KEMPF COPIN et GROSSE II s agit de l expos de l enclouage centro m dullaire foyer ferm mais avec al sage utilis Strasbourg depuis de nom breuses ann es L int r t de l article est surtout d exposer la technique extr mement pr cise et rigoureuse utilis e par les auteurs qui utilisent un clou b quill en haut droit l extr mit inf rieure ou presque La m thode est utilis e dans les fractures trans versales les fractures 3 fragments et cer 80 taines fractures bifocales Dans certaines fractures comminutives les auteurs utilisent afin de bloquer la rotation et viter le t les copage de fragments un syst me de fixation compl mentaire piphysaire c est l en clouage v rouill L ost
45. termination de l index de MOORE Px 100 8 OP ligne m diane pro minence maxi mum de l art re pulmonaire ab demi diam tre frontal maximum index de MOORE 18 Cath t risme p AP max 18 mmHg Figure 2 Cardiomyopathie Dilatation mod r e des arteres pulmonai res et des branches segmentaires Index de MOORE 31 p AP max estim e 40 mmHg Catheterisme p AP max 40 mmHg p AP moyenne 32 mmHg Figure 3 Maladie mitro aortique Redistribution vasculaire 2 1 Dilatation des art res pulmonaires et des branches lobaires et segmentaires Rar faction vasculaire basale Index de MOORE 34 p AP max estim e gt 60 mmHg Catheterisme p AP max 65 mmHg p AP moyenne 42 mmHg Figure 4 Maladie mitrale Redistribution vasculaire 2 1 Dilatation des arteres pulmonaires jus qu en p riph rie Tortuosit s vasculaires Index de MOORE 50 p AP max estim e 90 mmHg Cath t risme p AP max 2 110 mmHg p AP moyenne 50 mmHg Figure 5 Tuberculose chronique Dilatation des art res pulmonaires droite et gauche sans rar faction vasculaire en p riph rie Bronchoemphyseme s v re La r traction fibreuse bi apicale interdit la mesure de l index de MOORE p AP max estim e 60 mmHg Cath t risme p AP max 60 mmHg p AP moyenne 40 mmHg Figure 6 Insuffisance ventriculaire droite severe Bronchoemphyseme Metastase lobaire inferieure droite 22 Dilatation des branches proximales de
46. troubles du sommeil est le r sultat de son effet anxiolytique INDICATIONS TH RAPEUTIQUES Toutes les affections relevant d une th rapeutique anxiolytique Anxi t et ses manifestations fonctionnelles En psychiatrie compl ment th rapeutique des tats d pressifs n vrotiques ou psychotiques cures de d sintoxication alcoolique et pr vention des accidents de sevrage Laboratoires PIERRE FABRE Fimex 125 rue de la Faisanderie 75116 PARIS PRECAUTIONS D EMPLOI Sauf n cessit th rapeutique il est pr f rable d viter d associer S riel aux d presseurs centraux en raison d un risque ventuel de potentialisation r ciproque EFFETS INDESIRABLES La prise du m dicament jeun peut tre parfois cause de naus es Pr cautions communes aux m dicaments de cette classe pharmacoloq que L absorption de boissons alcoolis es pendant le traitement est d conseill e Les conducteurs et utilisateurs de machines seront pr venus d un risque ventuel de diminution de la capacit de r action surtout en d but de traitement MODE D EMPLOI ET POSOLOGIE Chez l adulte actif 3 comprim s par jour Co t du traitement journalier 1 47 F Dans les indications psychiatriques des posologies sup rieures peuvent tre utilis es 3 6 comprim s par jour Chez le vieillard 2 3 comprim s par jour Chez l enfant 1 2 comprim s par jour SURDOSAGE Les tudes de toxicologie aigu montrent la fai
47. va tion gastrique b Traitement symptomatique desn S es et vomissements chez l adulte et l enfant effets secondaires Ne se pr sentent paquet Pas exceptionnellement on peut observer des cra Pes intestinales passag res contre indications n y a pas d incompatibilit con nue avec d autres substances th rapeutiques except les anticholinergiques qui pourraient inhiber les effets antidyspeptiques de Motilium Bien que les exp rien ces r alis es avec Motilium sur l animal n aient pro duit aucun effet t ratog ne il conviendra toujours de mettre en balance les risques ventuels et les effets th rapeutiques ventuels avant d administrer le m di cament aux femmes enceintes je et mode d administration a Dyspepsies ona administration orale surtout Adultes 10 mg 1 comprim ou 1 ml de la solution gouttes 1 ou 10 mi de la solution orale 3 fois par jour 15 30 minutes avant les repas si n cessaire encore une prise avant le coucher Enfants solution gouttes 1 1 goutte 0 3 mg par kg de poids ou solution orale 0 1 1 4 de la mesurette la division de 1 25 mg par 5 kg de poids 3 fois par jour avant les repas et si n cessaire avant le coucher Remarques Si le r sultat s av re insuffisant la posologie ci dessus peut tre doubl e Il est conseill de diluer les gouttes dans un peu de liquide agiter avant l administration b Conditions aigu s et subaigu s principa
48. vaso motrices broncho constrictrices et activent le p rital tisme intestinal 9 Du point de vue histologique on trouve au niveau de la tumeur carcinoide les m mes cellules argentafiles de Kultschitzky qu au niveau des cryptes de la muqueuse intesti nale Bien que la tumeur soit bien circonscrite elle ne poss de pas de capsule Sa taille varie habituellement entre 0 5 et 2 cm Sa couleur est jaune vif La tumeur carcinoide est assi mil e au cancer cause de la structure de ses tissus et de son caract re invasif La tumeur s accro t tr s lentement avec d abord extension sous muqueuse puis elle infiltre toute l paisseur de la paroi intesti nale Plus tard elle donne des m tastases d abord au niveau des ganglions r gionaux puis au niveau du foie et du poumon 7 Biochimie Les sympt mes cliniques sont en relation directe avec l activit hormono s cr trice de la tumeur carcinoide qui produit principale ment de la s rotonine ou ent ro gastrine partir du tryptophane La s rotonine 5 hydroxy tryptophane ou 5 H T A est cata bolis e par inactivation enzymatique au ni veau du foie du poumon des reins du cerveau et de la muqueuse intestinale La s rotonine est d grad e en acide 5 hydroxy indol acetique 5 H I A dont l limination urinaire varie habituellement entre 2 et 10 mg par 24 heures C est sur l augmentation de l excr tion urinaire de l acide 5 H I A qu
49. 296 der 30 bis 39 und 50 bis 59j hrigen und bei 27 der 40 bis 49j hri gen Auch bei der Atrophie Grad halt sich der relative prozentuale Antei in den Grup pen von 30 bis 39 40 bis 49 und 50 bis 59 Jahren in etwa die Waage Diese Befunde deuten insgesamt darauf hin da das Alter zwar eine Rolle offenbar jedoch nicht die 29 ausschlaggebende bei der Ausbildung der Hirnatrophie spielt Eine eindeutige Korrelation zwischen der getrunkenen Alkoholmenge und der Atro phie konnte jedoch nicht gefunden werden wobei hier nat rlich immer die Schwierig keit besteht daB die von den Patienten gemachten Angaben ber den reellen Alko holkonsum nicht berpr fbar sind und vor allem bei einem unausgesuchten zur Be handlung wenig motivierten Patientengut einer Neurologischen Klinik u erst frag w rdig sind Die Frage ob bereits vor dem Alkoholkon sum eine Rinden oder Ventrikelerweiterung bestanden hat dr ngt sich sicherlich auch auf Diese wird jedoch nicht zu beantworten sein Spekulativ k nnte man postulieren da wenn solche Ver nderungen bereits vor dem Alkoholkonsum bestanden haben sich die Abh ngigkeit auf dem Boden einer zere bralen Vorsch digung erst entwickelt hat 2 1 2 EEG Befunde Klammern wir wieder die beiden Patienten mit dem Tumor und denjenigen mit dem subduralen H matom aus schl sseln die pathologischen EEG Befunde je nach dem Auftreten bei Aufnahme nach Entgiftung oder im Schlaf EEG
50. 3 1976 2 Lynch R E Williams D M Reading J C et al The prognosis in aplastic anemia Blood 45 517 1975 3 Thomas E D Storb R Technique for human marrow grafting Blood 36 507 1970 10 11 12 Storb R Thomas E D Buckner R A et al Allogeneic marrow grafting for treat ment of aplastic anemia Blood 43 157 1974 Camitta B M Nathan D G Forman E N et al Posthepatitic severe aplastic anemia An indication for early bone marrow transplantation Blood 43 473 1974 Hoffman R Zanjani E D Lutton J D et al Suppression of erythtroid colony formation by lymphocytes from patients with aplastic anemia N Engl J Med 296 10 1977 Boggs D R S S Boggs The pathoge nesis of aplastic anemia a defective pluripotent hematopoietic stem cell with inappropriate balance of self replica tion Blood 48 71 1976 Wolff N S The haemopoietic microen vironment Clin Haematol 8 469 1979 Camitta B M Thomas E D Nathan D G et al A prospective study of andro gens and bone marrow transplantation for treatment of severe aplastic anemia Blood 53 504 1979 Najean Y Le Danvic M Pecking A Present results of the cooperative stu dies on aplastic and refractory anemias Acta Haematol 61 325 1979 Marmont A Congress of the Internatio nal Society of Hematology Athens 1981 Speck B Gluckman E Haak H L et al Treatment of aplastic anemia by anti lymphocyte gl
51. 5 92 8 seozuaqAxoeied 0048 oo AjDaua dOJ d ULJBYDORS EN 199 JEN 58021016008180 JAUJOW 9 9 81002 pruejeoe 7060 2 0 2 ayjaunsaw 801002 wp oZ 9jnjos ep 002 SL jur pe s b enby 192 ploy 1992 IVEN pruigjeoe uopijouj d z enbiuro eBesn Bg uojijoe uj 1nod sajnodwe gg G ju pe sb enby 1992 piov 192 IEN L piwejaoe Z uojjoafuj inod zt jonpqo 20 09 28 J8SUNS 8 3 PAXOIP UB 58800 0 5 Ud AYJABBAXOAIOY sojnjaoj doad Axojup AH S lnil iAqy uAdodAxolpALI 150 0 83 9 un SSa1dW09 na qey pe s b 0009 102416 uajAujaedAjog 1881s SAUDE 2121115 prov woog Piwe a9e 0 2 6008 8 pajeoo uj soui iduro2 Q9 JaSUNS AE 4 UISOIU A13 WIND 10 09 p XOID uep wno un 6 08089 osd sb 281 18 9985 seas 58068 jAyjow Led 2121 15 ploy prumgjeoe Z Buigop 9 s lni b 09 23111 180 13 SNOILVLIN3S3Hd sejqesuedsipur juasnawap anbiuor ojp u UOHesquinbsas uor gurrugaJ ap s nbiuq sa se anbguo ep uornjoA9 UOIJOUO 21581 juauig reJ np e BOUBIDSUOD 8 80 spuojoud sajqnoj saj 5 80 U8 IBJ ui2apaouu np 5 8 juBAIns epouad ayaa ap 8 88 8 ju8auJ8 I8BJ 9 82 5710 ap JUBIAUOD 9 8 ej ap Ja 8118 80 U
52. 7 dai A hypersensibilit au m di Le FELDENE piroxicam doit tre utilis avec une grande prudence chez i 20050 Carmen int siinales ou une gastrite p es patients pr sentant dans leur anamn se un ulc re peptique des h morragies gastro MISES EN GARDE 7751 57 0050 piroxicam des patients pr sentant des troubles h patiques ou r naux dans leur anamn se de contr ler Emploi durant la grossesse NOE A 7 iech 1 277 s 27 sr 7 ree Substance pendant la grossesse chez l tre humain pour se prononcer sur sa nocivit ventuelle Le FELDENE piroxicam inhibe l synth se la ihr l ndepruland ne en agissant sur la prostaglandin biosynth tase Cet ellet accompagne dun croise Emploi chez l enfant Les recommandations posologiques et les indications du produit chez l enfant n ont pas t tablies EFFETS SECONDAIRES Les sympt mes gastro intestinaux sont les effets secondaires les plus souvent signal s Le risque d apparition de ces elfets augmente en cas d utilisation prolong e du piroxicam des doses sup rieures 30 mg par jour Une faible proportion de patients ont pr sent de l d me principalement de l aed me mall olaire Une ophtalmoscopie syst matique et l examen la lampe f n ont mis en vidence signe 2 E pe fente De la vision trouble a t rapport e Oni aussi signal s modification de la formule sanguine dyspn e fatigue tintements d oreille verti paresth sies
53. Bisolvon est bien tol r court et long terme Exceptionnellement on peut observer de l gers troubles gastro intestinaux tels que naus e et dyspepsie Modo d emplol et posologie Vole orale Pour cette voie d administration on peut utiliser soit les comprim s soit la solution un comprim 8 mg correspond 4 mi de solution Inhalation au moyen d un appareil a rosol Chez les malades bronchospastiques il est recommand d administrer pr alablement un bronchospasmolytique p ex Berotec Atrovent Solution Doses journali res Comprim s vole orale inhalation diluer 1 1 avec eau distill e Adultes 3 x 1 2 comp 3 4 8 ml sn Enfants de plus de 10 ans 3 x 1 2 comp 3 x 4 8 ml 2 Enfants de 5 a 10 ans 3 x 1 2 ou 1 comp 3x4ml 2 9 10 t Petits enfants 3 x 1 2 comp 3x1 2ml 7 gouttes Nourrissons 3 x 10 gouttes x 5 gouttes Remarques sssi SR En recourant simultan ment l administration orale et l inhalation on peut obtenir une intensification de l action qu produit ii faut viter de m langer des solutions alcalines la solution de Bisolvon dont le pH est acide 2 8 Pr sentations Comprim s 8 mg flacon de 50 comprim s conditionnement clinique de 250 dini Solution pour inhalation et administration orale 4 ml 8 mg flacon de 100 ml co Que de 250 mi Chaque flacon de solution est accompagn d une mesurette gradu e Formules C
54. CARICIN mio enth lt 50 mg Benzoromaron INN 1 Orag e NARCARICIN enthalt 100 mg Benzbromaron INN Indikationen Hyperuokam o jeder Genaso und Gicht Durch medikamentose Behandlung entstandene orhohte Serumharnsaure Konzentrauonen Kontraindikationen Die Praparate sollen nicht angewendet werden be metteischwercr bis schwerer Niererinsuthzienz Glomerulusfitrat unter 20 ml min Benzbromaron wm Tiervatsuch keine schadigende Wirkung zeigte soitten NARCARICIN mite und NARCARICIN dennoch wahrend der Schwangerschatt ment verabreicht werden Nebenwirkungen und Begleilerscheinungen Dio Vertraglichkert ist im allgemeinen sehr gut Unter ener Behandlung md Benzbromaron konnen Durchlatie auftreten Treton diesa Durchlalle heuhg oder uber langere 264 auf 0 sind die Natnum und Kalumwerto m Blut Zu kontroleren Gegobenentalls kann Tagosdoss rodurieri werden Besonders zu beachten Bo der vorgeschnabenen Dosierung sind Gichtanlalle zu Beginn der Therapie im allgemeinen nicht zu erwarten Tritt dennoch in seltenen Fallen besonders zu Beginn der Behandlung mi NARCARICIN ein Gichtantall aul solite gleichzeitig oder qin antiphlogistisch mrkondes Preparat gegeben werden Fur ene austechende Dureso und tur cing Alkalmerung des Harns ist zu sorgen Ores ist be Patenlon mit Nierensteinen besonders wichtig Die taghche Trinkmenge sollte mindestens 1 5 2 Liter betragen Hierzu emphiehlt sich u a ein urologischer Teo wo 0 Stand Januar 1979
55. E bee ET PERTRANQUIL m probamate INDICATIONS Etats d anxi t et de tension nerveuse troubles psychosomatiques Pour faciliter le sommeil physiologique POSOLOGIE MOYENNE 1 4 comprim s GRUPPO LEPETIT S p A MILAN Italie Repr sentant pour le Grand Duch de Luxembourg PROPHAC S r l Case postale 2063 T l 48 24 82 Euglucon 5 noch mehr Altersdiabetiker sind mit Euglucon 5 optimal einstellbar denn nur Euglucon 5 setzt immer dann Insulin frei wenn es gebraucht wird nach jeder Mahlzeit B Insulinsekretion bei mit Euglucon 5 behandelten Altersdiabetikern in Relation zu den Mahlzeiten Adapt nach S Raptis und E F Pfeiffer Acta diabet Lat IX 1972 865 Zusammensetzung 1 Tablette enthalt 5 mg Glibenclamid Indikationen Erwachsenen und Altersdiabetes wenn S nicht ausreicht Dosierung Ersteinstellung Beginn mit Tablette t glich Bei Umstellung von anderen oralen Antidiabetika und nicht optimaler Stoffwechseleinstellung Beginn mit maximal 1 Tablette Euglucon 5 taglich baehringer A 4 an 4 y 1 Prophac Luxembourg ase postale 2063 T l 482482
56. IJY SUIPUJSS SUIQISIOJ 19 s9jrugui S e e9u9B u 39U3WWOD 86 38 SUdIUBID 595118 8 sap jrjoe qns 1 WOIPUAS USIUBIO aujsijeuingJ un e no auas uornjoAur e sjnnoesuoo s nbiup540 ou24sd saujojpu s s sueg e Kiss 8273139811 pel iri Bun p cainiah ynan cii SiO n an BIP IND HOP alin P 3x2 GELULES PAR JOUR D a 2 i 02 537 12 20 Poste 361 Chauss e de Charleroi 18 1060 Bruxelles UCHs a secteur pharmaceutique T l phone AUDIO VISUAL CENTER epjupae Unol sed 5 e sejnoduue ajjenb e S101 ap UOSIEJ e nq p ne 8181511082180 3160 e ap 5 enbjjooo2je 3882 88 saJno s sug 9 EJO e e Jassed jned uo jeuued 9 35113139105 3849 1 uongJjorguie enb seq wi no a ua NO sed sio S101 BE 394319 8180 500 eun sed sadUaWWOD ap lin 168 enbijguinga 1sod aulB110 p 99031961109 e ap spuojoud 5310806011 Sa 18 SPWO9 sa sueg L e sejnoduue p ej gjnosnuigjju no esneujaABJju uonoefu eje19juejed 810 e 195 snDBje 680 s 80 8 0 ua nol sed 6211 e eynpoi 99 898186010 8286 esop 31189 9Jis9p 18118 ep uoruejqo s idy sesid ua snol sed 6p z e1pueud jnqap ny 81810 ajoa ej 9101818810 ep 185 0 sanbjuosys sed s sued 3190710S0d 2U PIA ue esiui PU UONEIIPUI 91 U09 UNINE IN
57. Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeols S A Luxembourg 100 mg Benzbromaron Darreichungsformen u Packungsgr flan NARCARICIH mite 30 Tabtetten 100 Tabletten NARCARICIN 30 Drag os 100 Dragees Anstaltspackungen LUDWIG HEUMANN A CO GMBH NURNBERG Diagnostic tomodensitom trique des tumeurs c r brales S LANGE M FANDEL A ROILGEN G SANDT CLINIQUE RADIOLOGIQUE DE L HOPITAL SPANDAU BERLIN SERVICES DE RADIOLOGIE ET DE NEUROCHIRURGIE DU CENTRE HOSPITALIER DE LUXEMBOURG Bull Soc Sc Med p 51 1982 Pendant la derni re d cennie le diagnostic radiologique des tumeurs c r brales a connu une volution extraordi naire et ceci gr ce la d couverte et la mise au point de la tomographie axiale comput ris e scanner pour laquelle Geoffrey HOUNSFIELD a obtenu le prix NOBEL Le scanner fournit des informations sur les affections c r brales qui d passent par leur pr cision l ensemble des informations donn es par les autres m thodes neuro radiologiques La faible fr quence des variations anatomi ques au niveau du cerveau les diff rences nettes de densit entre le L C R la substance blanche et grise ainsi que les processus pathologiques font que le cerveau se pr te mieux que tout autre organe aux investigations tomodensitom triques PRINCIPE ET M THODE D EXAMEN Un faisceau bien diaphragm de rayons X traverse une tranche c r brale tra
58. O 89 R 91I9IXO ep 9 9 91 sed JUBAB U 0 9 SNOILVOIQNI 3HINOO 159101518 889111 5818108133 SUOISS BP 8 seanjijsuoo SBDUBWBP BP 582 ol suep jio sed1sa u 1IdOH LOON 91 enbipul 83584 5 8 88 s p sed no Sauiwe iA sep sed 5806188815 ju8uJ9jI J al aunalew ao1 OWOYIASGC uor ejioxe p no 9051 8 259118189 ep 582 ue uepuada enbiuoJuo 00 0038 280 2882 88 ep a1n9 e 1191n09921 jeuned s nol e Juepuad 36111 JIdOHLOON enbiguingj sod aui6110 p eouaiosuoo ep spuojoJd 55100011 sap 18 SEWOO s p sino p INS SUBIUBIO sasi guungJ sap Jnoe qns awospUAS uaiugio euisijeuinej un E sjnnoesuoo s nbiup540 ou 4sd seujojpu s sa ans uonde eun p ssod 1IdOH LOON T Dau ne 830888 ainajjiaw eun nb suo sed JAWIA eoujourouo Asd 35 9 uou e ep 8908 6 ep S qNOJ sep 51 1301588 38 3 I DIPINAIA Ai 11Pl US AN LOOOYNI DD BIIAH2B II eNOLI WOON BROXOJET 3007 BROXODENT Les compl ments quotidiens et efficaces d une hygi ne bucco dentaire rationnelle Broxojet 3007 est le premier hydropulseur au monde haute fr quence et micro jets fractionn s Chacun des 7 orifices distincts de la buse met des millions de micro gouttes 3 000 fois la minute La pression de l eau peut tre modul e progressive ment et perm
59. Perlonguettes 3 ans Formules Comprim s 2 6 Dichlor N 2 imidazolidinylidonbonzamin clonid hydrochiorid 150 mg Sacchar lact Dicatcii phosphas Amy Silic oxyd coltoid Polyvidonum Acidum stearicum pro compr uno Perlongusttes 2 6 Dichlor N 2 imidazolidinylidenbanzamin clonidin hydrochtorid 0 250 mg Lactos Polyvidon Magnes stearas Hypromotlos Aethyicollulos Macrogolum 6000 E 132 E 171 E 172 q s pro golul gelatin un Ampoules 2 6 Dichlor N 2 imidazotidinylidenbenzamin clonidin hydrochlorid 0 150 mg Natr chtorid Hydrochlor ac dil Aqua pro n ad 1 ml if peut diminuer la ommation tient in diesem Kollektiv bei dem die Pra gung des Begriffes Alkoholepilepsie ge rechtfertigt erscheint weil durch einen alko holtoxischen Stoffwechselschaden epilepti sche Manifestationen in Gang gekommen sind und auch nach Entgiftung noch fortbe standen haben ohne da ein zus tzlicher morphologischer Schaden des Gehirns vor gelegen hat Alle anderen Formen erlauben es nicht den Begriff Alkoholepilepsie anzu wenden Entweder die Anfalle treten nur sporadisch im Rahmen des Entzuges auf wobei der genaue Mechanismus dieser An f lle noch nicht bekannt ist wahrscheinlich handelt es sich jedoch um eine St rung im Bereich der Neurotransmitter oder aber sie bestehen im Rahmen eines prim ren Anfall leidens oder einer Disposition dazu Des weiteren lagen haufig zus tz
60. UE ET RESPIRATOIRE CONSULTATION DE CARDIOLOGIE SERVICE DIETETIQUE OUVERTE TOUTE L ANNEE INFORMATIONS MONDORF ETAT TEL 67011 L 5601 MONDORF LES BAINS B P 52 AIO D Bakterielle Infektionen Y Sterinor we A niedrige oubstanzbelastung Sterinor Q vernichtet den Keim schont den Patienten Zusammensetzung 1 Tablette enth lt Tetroxoprim 100 mg Sulfadiazin 250 mg 5 mi Suspension 1 MeBl f el enthalten Tetroxoprim 100 mg Sulfadiazin 250 mg Indikationen Infektionen der Atemwege der Nieren und ableitenden Harnwege Kontraindikationen Sullonamidallergie auch Sulfonylharnstoff Antidiabetika und Diuretika auf Sulfonamidbasis sind zu beachten schwere Leber und Nierenfunktions st rungen Erythema exsudativum multiforme auch in der Anamnese Ver nderungen des Blutbildes Sterinor ist ebenfalls nicht angezeigt bei schweren Leber und Nieren schaden falls wiederholte Bestimmungen der Plasmakonzentrationen von Sterinor nicht durchgef hrt werden k nnen Aus Sicherheitsgrunden ist Sterinor bei Graviditat und wahrend der Laktation kontraindiziert Besonderer Hinweis Tritt w hrend der Behandlung eine Schwangerschaft ein so ist unverz glich der Arzt aufzusuchen der ber die Fortselzung der Behandlung entscheidet Hinweise Bei l ngerer Behandlung mehr als 14 Tage mit Sterinor sind regelm ige Blutbildkontrollen einschlie lich Thrombozytenz hlung angeze
61. a vor allem einmalige zerebrale Kr mpfe zu Beginn eines Entzugsdelirs nicht unter den Begriff der Alkoholepilepsie eingeordnet werden k nnen Bereits in den sehr kontroversen Auffas sungen bis zur Jahrhundertwende sind die wesentlichen Fragen des Problems von Al kohol und Epilepsie aufgezeigt Bis heute sind wir in der Beantwortung der eigentli chen Frage auch nicht wesentlich weiter gekommen Seit Beginn des 20 Jahrhunderts mehrten sich nun die Stimmen die in der Alkoholin toxikation einen Teilfaktor in der Ausl sung einer latent gebliebenen Epilepsie sahen Tamburini 16 und K ffner 8 legten Wert auf eine genaue Faktorenanalyse und konn ten nachweisen daB neben einer Disposi tion zu epileptischen Reaktionen vor allem Traumen andere Hirnerkrankungen sog fa mili re Belastungen eine Rolle bei der Ent 28 stehung eines epileptischen Syndroms unter Alkoholzufuhr spielten Der Exaktheit der franz sischen Schule entsprechend forderte Marchand 9 1936 eine sehr strenge Definition der Alkoholepi lepsie Er zeigte bereits deutlich darauf hin daB der Begriff Alkoholepilepsie nur dann zu rechtfertigen sei wenn bei chronischen Al koholikern die abstinent leben w rden trotzdem noch weiter Anfalle auftreten w rden Seit der EEG Einf hrung durch Hans Ber ger suchte man nach charakteristischen Hirnwellenbildern die allerdings nicht ge funden wurden H ufig wurden abnorme EEG Kurven beschrieben spezifisch
62. acification de l art re sylvienne et des art res c r brales post rieures apr s contraste Grand neurinome de l acoustique avec compression du IV ventricule et important blush apr s contraste M tastases d un cancer bronchique Des deux c t s on note des nodules tumoraux prenant le produit de contraste et pr sentant des Zones n croti ques Figure X Figure XI Figure XII Figure XIII Figure XIV M dulloblastome Foyer l g rement hyperdense du cervelet avec zones kystiques et hydroc phalie hypertensive Craniopharyngiome Tumeur suprasellaire envahissant le ille ventricule zones kystiques et calcifications Hydrocephalie interne traitee par drai nage du c te droit Germinome Les masses tumorales hyperdenses moulent les cornes fron tales des ventricules premi re ligne Apr s cobaltoth rapie la tumeur a nettement diminu de volume Angiome Tr s discr te compression de la corne frontale droite Opacit s ruban es apr s contraste L angiographie montrait l aspect typique d un angiome Abc s c r bral Zone hypodense frontale droite comprimant la corne frontale droite Apr s contraste on note une opacit annulaire La tomoden sitom trie ne permet pas de diff rencier cet abc s d un glioblastome LITTERATURE 1 AMBROSE J Computerized x ray scan ning of the brain J Neurosurg 40 1974 679 FAWCITT R A Radiological diagnosis of intra cranial pearly tumours st E
63. anches de premi re division associ s la visibilit des art rioles p riph riques dans la bande sous pleurale et la redistribution vasculaire et au flou intersti tiel il est possible d affirmer la pr sence d une hypertension art rielle pulmonaire et capillaire ainsi que de juger des valeurs des r sistances vasculaires pulmonaires totales sans pr juger du m canisme physiopatholo gique en cause Accessoirement le calcul du crit re de MOORE ainsi que l observation de lignes septales ou la pr sence d un paississement pleural ou scissural repr sentent des signes contingents U est possible de retrouver une relation pr cise entre l apparition et l intensit de ces diff rents signes et l l vation des pres sions art rielles pulmonaires trouv es lors du cath t risme droit Il n est pas n cessaire pour cela d introduire des mesures ou des index suppl mentaires Une analyse s miologique pr cise tout en restant subjective mais en tenant compte simultan ment des diff rents signes nu m r s permet une estimation rapide et fa cile des valeurs de pression ainsi que des r sistances vasculaires pulmonaires Une lecture vis e plus physiologique du clich du thorax permet d affirmer la pr sence de pressions pulmonaires normales Elle indique la pr sence de pressions anor males avec une fiabilit lev e et pourra poser l indication d un cath t risme car diaque Dans d autres cond
64. antihypertonseur actif tr s faible dozo Il abaisso ta tension art rielle tant systoliquo quo d astoliquo H agit per stimulation des r copteurs cipha adr nergiques du syst me nerveux Central ot plus pr cis mont des r coptours des centres vasomotours ot card o accdleratours do to moolte ationg 2 Comme tes nourones do ces centres ont un effet inhibiteur Hon r sulto uno diminution das r sistances p riph riquos at do la fr quonca cardiaque co quiso traduit cliniquoment par uno baisso dota pros sion ert rielle A doso suprath rapsutique que co soit au cours dos premi res minutes qui suivont uno injoclion introvoineuso trop rapide ou en cas do surdosago par voto orato la ctonidino Ben galement stimuler les r ceptours alpha adr nargiques p riph riques d o vasoconstriction at hausso momoentan o do pression art riolto Un tol effet pout tro antagonis par l administration d u atpha iytiquo 101 quo la tolazoline ou la phentolsmine A dose th rapeutique cependant les r copteurs contraux sont pr f rontiellemont impliqu s la clonidine ayant beaucoup moins d affinit pour los r coptours p riph riques l offot hypotonseut donc largement pr dominant 7 Oe son mode d action central te Catepressan respecte los m canismes physiologiques d adaptation circutatoira l effori ot au changement do position il on r sulto qua troubles orthostatiquos qul pcuvont fr quemment amp pperaitre au cours d un traitement
65. ants de type coumarinique et aux diab tiques Posologie 3 g lules 100 mg par jour Conditionnement 50 et 100 g lules dos es 100 mg Validit Voir emballage Formule Suloctidil 100mg Mannitol Silicoxyd Gelat Giycerol Amyl Talc pro capsulgelat una Titanoxyd E171 Natr indigotinodisulf E132 pro color 213 569 F4 pars D OCTAME premier anti isch mique global une synergie d action 5 h modynamique et m tabolique 1050 5 E Zur Behandlung des hohen Blutdrucks S diucomb Kaliumneutrales Saluretikum Sa Gefahr f r den Hypertoniker Deo 1 Dragee enthalt Bemetizid 25 mg Triamteren mg Indikationen Arterielle Hypertonie leichte und miltelschwere For men Zur Basisbehandlung bei schwereren Formen in Kombination mit anderen blutdrucksenkenden Medikamenten Odeme bei Herz insuffizienz Niereninsuftizienz und Lebererkrankungen Kontraindikationen Hyponatr am e Na unter 132 mval l Hyper kali mie Serum Kalium ber 5 5 mval l Therapieresistente H po und Hyperkaliamie Ausgepragte Nieren funktionsst rung Sulfonamiduberempftindlichkeit In den ersten 3 Schwangerschaftsmonaten Nebenwirkungem Schw chegeluhl und Ohnmachtsneigung k nnen am Anfang jeder Hochdruckbehandlung auftreten Bemetizid kann in u erst seltenen F llen zu Leuko und Throm bopenie f hren Es kann zu einer Verschlechterung der Kohlen hydratverwertung kommen und
66. assur e mais c est dans ces cas que la scintigraphie 10 15 jours apr s le d but des troubles permettrait de faire la distinction et par cons quent d en gager une th rapeutique dont on sait qu elle am ne l enfant un traitement prolong Le chapitre radiographique est videmment tr s d velopp puisque c est partir des images radiographiques que le diagnostic sera fait dans la majorit des cas et que la surveillance sera faite N anmoins les au teurs soulignent l int r t aujourd hui du Scanner qui permet de remplacer l arthro graphie D excellents documents montrent les diff rents types de l sion mais on retien dra surtout la classification radiologique de CATTERALL qui reste la base de l valua tion du pronostic graduation en 4 groupes selon l tendue et la topographie de la l sion On sait que c est partir de cette cat gorisation que les indications th rapeu tiques sont pos es m me si d autres au teurs ont apport des l ments suppl men taires qui affinent ces indications th rapeu tiques En tous cas on retiendra comme signes t moins de la gravit de la maladie d une part l tendue de la l sion l existence d une excentration avec d bord externe de la t te ainsi qu une calcification la partie externe de la t te t moin d une fracture sous chon drale Bien entendu d autres signes sont discut s mais ils ont une valeur relativement secondaire Parmi les formes clinique
67. au niveau de la selle turcique les pin alomes au ni veau de la citerne de Galien les lipomes habituellement au niveau du corps calleux et les m ningiomes pr s de la base du cr ne ou pr s de la calotte cr nienne A c t de la forte pr somption histologi que la localisation tumorale permet d va luer l op rabilit d une tumeur Structure tumorale et r partition des densit s La densit d une tumeur peut servir de critere dans l approche histologique Ainsi les astrocytomes I et Il faible degr de malignit sont g n ralement hypodenses les neurinomes pr sentent souvent la m me densit que le tissu c r bral normal et les m ningiomes se traduisent par leur l g re hyperdensit Les oligodendrogliomes pr sentent des calcifications dans 40 des cas Les tumeurs contenant des corps gras pi dermoides lipomes permettent une forte pr somption histologique du fait de leur densit fortement n gative Certaines tu meurs malignes croissance tr s rapide pr sentent des zones de n crose qui leur conf rent un aspect non homog ne comme p ex le glioblastome astrocytome IV Mode et intensit de r partition du produit de contraste Le comportement de la tumeur apr s in jection du produit de contraste peut fournir des crit res utiles dans l valuation de l his tologie Les tumeurs avasculaires comme les as trocytomes I et Il les pidermoides et les lipomes ne montrent pas d au
68. bei Diabetikern eine Anpassung der Diat und oder der Dosis der Antidiabetika erfordern Das Pr parat kann zu Erh hung der Harnsaurevverte und damit zu einer Verschlechterung bei Gicht f hren Serumkal umverande rungen durch DIUCOMB sind sehr selten Bei Anstieg des Kreatinins im Serum solite jedoch auch d s Serum Kalium beobachtet werden bei Werten ber 5 5 mval l sollte DIUCOMB abgesetzt werden Besondere Hinweise DIUCOMB verst rkt die Wirkung blul drucksenkender Medikamente und erfordert eine Neueinstel lung der antihypertensiven Dosis Empfehlungen bei Langzeitbehandlungen Kontrollen der Kreatinin und Harnstottwerte bei Patienten mit eingeschrank ter Nierenfunktion Kontrollen des Serum Kaliums Kontrollen der Harns ure im Serum Kontrollen des Blut und Harnzuckers bei Diabetikern Dosierung und Anwendungsweise Hypertonie Initial 1 1 2 Dragees nach dem Fruhstuck Langzeitbehandlung 4 1Dragee taglich Odeme Initial morgens 2 Dragees nach dem 5 Mittagessen 1 Dragee Erhallungsdosis t gl oder jeden 2 Tag 1 Dragee nach dem Fr hstuck In schweren Fallen weiterhin 2 Dragees Handelsforme und Preis Packung mit 50 Dragees se Sat A AEN Weitere Informationen entnehmen Sie bitte unserer wissen Schattlichen Basisdokumentation oder fragen Sie unseren Mitarbeiter im wissenschaftlichen Au endienst d 1 Bluthochdruck Spezialist _ melusin roms marre f Melusn Schwarz Monh
69. ble toxicit de Tofisopam DL 50 de l ordre de 2000 mg kg chez la souns CFLP TABLEAU A AMM 3232231 Commercialis en 1980 Prix 14 70 F 040 SHP 30 comprim s Remboursement S curit Sociale 709 Agr aux Collectivit s 8011 SE Zur Atiopathogenese zerebral gesteuerter Anfalle bei chronischem Alkoholismus J Haan Neurologische Klinik der Ruhr Universitat St Josef Hospital Bochum Bull Soc Sci Med p 27 1982 ZUSAMMENFASSUNG Anhand von 78 Alkoholikern mit Anf llen wird im Ver gleich zu einer Gruppe von 63 Alkoholkranken ohne Anf lle versucht die Ursache mittels EEG und cranialem Computertomogramm CCT zu erfassen Es wird heraus gestellt da relativ h ufig bei Patienten mit Anf llen zus tzliche Sch den am Gehirn vorliegen die ohne weite res das Entstehen zerebraler Anf lle mit erkl ren k nnen Aber auch bei denen ohne Anfalle sind gelegentlich hirnorganische Ver nderungen vorhanden ohne da es zum Auftreten von Anfallen kommt Auf hirnatrophische Ver nderungen im CCT sowie auf unspezifische h ufig nicht pathologische EEG Auff lligkeiten wird hingewie sen Bez glich des Begriffes Alkoholepilepsie wird gefol gert da dieser nur in u ersten Fallen angewandt wer den sollte 1 EINLEITUNG Bereits im Jahre 1686 19 wird ein Krankheitsbild das dem heutigen Delirium tremens entspricht beschrieben wobei auch Gichtern d h Anf lle ervvahnt werden Im 19 Jahrhu
70. bution vasculaire 2 1 Flou interstitiel lignes septales et liquide pleural droit RVPT estim es lt 400 Catheterisme RVPT 898 dyn sec cm 5 Fig 1 Fig 2 Fig 3 Fig 4 23 Fig 5 Fig 6 Fig ig 7 Fig 8 24 Fig 9 Fig 10 Fig 11 29 TOFISOPAM FORME ET PRESENTATION Comprirn s blancs boite de 30 COMPOSITION Ethyl 5 Dim thoxy 7 8 dimethoxy 3 4 Ph nyl 1 Methyl 4 SH benzo diazepine 2 3 ou Tofisopam DCI 5 mq par comprim 1 5 g pour une boite Excipient lactose talc st arate de magn sium amidon de pomme de terre acide st arique g latine QSP 1 comprim de 200 mq SORT DU M DICAMENT t Administre par voie orale Tofisopam marque au C est r sorb totalement et rapidement Le taux sanguin maximum est obtenu la 60 minute La demi vie du produit inchang est de 8 heures La voie d limination pr f rentielle est urinaire une excretion bihaire est cependant mise en vidence PROPRIETES Tofisopam est la premiere mol cule d une nouvelle s rie chimique les 2 3 benzodiaz pines Le profil pharmacologique de SERIEL permet dele d marquer nettement des produits classiques s son ettet anxiolytique est incontestable en clinique il est d nu des effets lat raux propres cette famille il na pas d effet s datif myorelaxant ou anticonvulsivant Enfin ses propn t s hypnotiques sont extr me ment r duites son action b n fique observ e en climque sur les
71. compagn es de diarrh e avec 5 selles par jour L examen clinique r v lait une rythrocyanose mar qu e avec des pouss es congestives au moindre effort et une couperose apparue r cemment Le patient pr sentait une dyspn e d effort Le foie tait augment de volume la palpation L auscultation cardiaque mettait en vidence un galop trois temps L urographie intraveineuse d celait une dilatation du bassinet et de l uretere droit par compression externe de la part d un paquet ganglionnaire calcifi Le lavement baryt apportait peu d l ments A cause de la pr dominance de la symptomatologie cardiaque le patient a t vu par un cardiologue Ce 67 Bull Soc Sci Med p 67 1982 dernier devait confirmer la pr sence d un souffle m so diastolique decrescendo en 3 M enregistr aussi l appex et d une inten sit 1 6 A l examen radiologique du thorax on remarquait un d bord droit et un r tr cis sement de l espace r tro sternal par aug mentation du volume du ventricule droit Des oed mes pr tibiaux taient pr sents Devant la suspicion d une tumeur carcinoide le dosage urinaire de l acide hydroxy indol ac tique a t demand Le taux des 24 heures tait fortement lev avec 210 mg contre 2 10 mg chez le t moin Le patient a t adress au chirurgien pour laparotomie exploratrice Cette derniere de vait r v ler une tumeur du gr le avec diss mination m tastasique
72. con plus de 1 000 fractures ont t trait es aboutissant bien entendu une absence d infection 2 pseu darthroses 0 296 seulement et 596 de cals vicieux dont quelques raccourcissements L indication est r serv e surtout aux frac tures spiroides aux fractures 3 fragments l gard desquelles une tentative de r duc tion pl tre a t tent e sans succ s et aux fractures comminutives toutes fractures es sentiellement ferm es L auteur pratique dans les autres cas une ost osynth se Ce premier expos est suivi d un plaidoyer l gard de la nouvelle m thode orthop di que dite de SARMIENTO par I KEMPF et H GRAF en r alit m thode connue en Europe depuis 1913 par des auteurs francais LUCAS CHAMPIONNIERE et DELBET Le principe de la m thode est une mobilisation pr coce des articulations apr s 15 jours de traction le traitement d bute donc au 15 jour et consiste utiliser les principes des ortheses l gard des amput s avec un appui au niveau du tendon rotulien dimi nuant ainsi les contraintes En r alit le syst me est un systeme hydraulique o in tervient un lement actif le mollet et un l ment passif la chambre pl tr e qui laisse l articulation tibio tarsienne libre de mouve ments ou maintenue dans un syst me qui la limite au minimum L appareil est donc plac au 15 jour lorsque l oed me a dimi nu ou disparu et la reprise de la marche est faite avec appui avec 2 cann
73. connu ce jour CONTRE INDICATIONS L attention du corps m dical est attir e sur les contre indications que pourraient pr senter chez l enfant une insuffisance r nale ainsi qu une diarrh e hyperosmolaire PRECAUTIONS 5 Les comprim s doivent tre bien m ches et 5 de l absorption d un liquide Pour les enfants et les personnes agees la poudre ou la suspension buvable sont d un usage plus ais Teneur en 46 mg 46 mg 145 mg sodium 2 mmol 2 mmol 6 3 mmol comprim g poudre 10 ml importance en cas de Ces teneurs en sodium peuvent tre d i r gime d sod strict de m me que chez l enfant atteint de gastro ent rite ou suspect d insuffisance r nale Dans ce cas Gaviscon pourrait augmenter le risque d hypernatr mie Chez l enfant la ration quotidienne de sodium est habituellement de 3 mmol par kilo Comprime Poudre Susp buvable Teneur en 0 7 g saccharose comprime POSOLOGIE MODE D EMPLOI Comprimes Adultes et enfants au dessus de 10 ans 2 comprim s apr s chaque repas et au coucher Bien m cher les comprim s Poudre Adultes et enfants partir d un an 1 cuiller e caf apr s les 3 repas et au coucher Dissoudre la poudre dans un demi verre d eau et avaler imm diatement B b s 1 2 soit une demi une cuiller e a cafe rase danse biberon ou la panade suivant l avis Gu m decin Bien dissoud la poudre dans le liquide et faire
74. cul es par le rap port Gradient de pression pulmonaire D bit cardiaque Elles sont d termin es par l interaction entre les pressions intravasculaires d une part avec les pressions intersti tielles et intra alv olaires d autre part En l absence de l sions alv olaires ou interstitielles il semble que l accentua tion progressive de l interstitium et le flou interstitiel qui l accompagne la re distribution vasculaire l apparition de lignes septales ou de liquide pleural ac cessoirement repr sentent les signes ra diographiques les plus fiables dans l ap pr ciation d une l vation des RVPT pour des valeurs inf rieures ou gales 40 dyn sec cm Tableau 10 Figure 10 Pour des valeurs pius lev es l i mage radiographique ne subit plus de changements correspondants nota bles 9 Figure 11 L absence de redistribution vasculaire et de flou interstitiel permet d affirmer la pr sence de valeurs des RVPT normales En revanche quand il existe des l sions interstitielles chroniques un tat emphy s mateux diffus localis associ ou non des signes d HTAP s v re les RVPT correspondent des valeurs largement sup rieures 400 dyn sec cm m me si les signes pr alablement num r s de congestion interstitielle font d faut V CONCLUSION Gr ce l analyse d un nombre restreint de signes radiographiques simples comme la dilatation progressive des art res pulmo naires et des br
75. das rechte Herz betreffenden Klappenfehlern und Pulmonalstenose ein eigenartiger Symptomenkomplex Schweiz med Wschr 1953 83 4 KAPLAN E L JAFFE B M PESKIN G W A new provocative test for the diagnosis of the Carcinoid Syndrome Am J Surg 1972 123 173 MASSON P Carcinoids avgentaffin cells tumors and nerve hyperplasia of appendiculair mucose Amer J Pettial 1928 4 181 SCHNECKLOTH R E Mc ISAAC and PAGE Serotonin metabolism in carcinoid syn drome with metastatic bronchial adeno ma J Amer med Ass 1959 170 1143 SMITH A N Carcinoid Tumor and 5 hydroxytrypta mine Quart Rev Obstet Gynec 1960 17 11 THORSON A BIORCK BJORKMANN and WALDENSTROM Malignant carcinoid of small intestine with metastases to liver valvulair di sease of right side of heart pulmonary stenosis and tricuspid regurgitation without septal defects peripheral vaso motor symptoms bronchoconstriction and unusual type of cyanosis clinical and pathologic syndrome Amer Heart J 1954 47 795 71 E 7 6 NE 9 G VIBRAMYCINE FRUIT DE LA RECHERCHE PFIZER ii Er 5 SS 2 3 As aa ET iy AZ RE w TEL 02 4264920 N H A a ix 22 27 E 22 P z 2 2 A LE 252 tng LE m E dex Ca a a m 7 DD 2 m PFIZER SA 102 RUE LEON THEODOR 0 p 5 D tw m2 1 1 K GN Dickes Bein
76. de CARMICHAEL des concordances pr cises respectivement dans 5396 et 7296 des cas dans une s rie homog ne de 50 cas de st nose mitrale L analyse de ces diff rentes s ries de crit res nous a permis de d gager les signes les plus int ressants dans l appr ciation rapide et facile de la pression art rielle pulmonaire maxima pour des valeurs moyennement lev es allant de 30 60 mmHg r sum s dans le tableau 6 On note qu il existe une corr lation troite entre l augmentation des pres sions maxima et l apparition progressive de la dilatation des branches art rielles pulmonaires allant du hile vers la p ri ph rie Ces signes sont plus pr coc ment vi dents sur la radiographie standard que la redistribution vasculaire et la visibilit des art rioles au niveau de la bande claire sous pleurale Figure 2 La redis tribution vasculaire peut tre mieux ap pr ci e sur une tomographie frontale passant par le plan hilaire qui pourra tre r alis e secondairement en cas de doute 7 L apparition progressive de ces diff rents signes a t observ e pour des valeurs ce pression correspondantes relativement lev es Tableau 6 Ainsi la redistribution vasculaire n est pas toujours aper ue sur la radio graphie standard pour des valeurs inf rieures 40 mmHg alors qu elle est constamment pr sente pour des valeurs plus lev es Figure 3 Ceci est d en particulier aux difficult s
77. de Recherche de Janssen Pharmaceutica Moti lium favorise l vacuation gastrique et poss de une activit anti m tique puissante Motilium n influence Das la s cr tion gastrique Motilium ne produit pas d effets secondaires psychiques ou neurologiques Composition et modes d administration Motilium est disponible sous les formes suivantes pour l adminis tration parent rale ampoules p diatrie de 2 ml 2 mg par ml 4 mg ampoules de 2 ml 5 mg perm 10 mg pour l administration perorale compri m s 10 mg solution gouttes 1 1 ml 10 mg 1 goutte 0 3 mg le compte gouttes porte une divi Sion par 0 5 ml solution orale 0 1 la mesurette en plastique 5 mg la division est 1 25et 25 mo pour l administration rectale suppositoires adul tes 60 mg suppositoires enfants 30 mg SUP Positoires b b s 10 mg Propri t s Le m canisme d action de Motilium repose probablement sur son effet anti dopamine P riph rique Motilium n exerce pratiquement aucun effet au niveau des r cepteurs dopaminergiques c r braux de sorte que des effets psychotropes ou neo logiques sont pratiquement absents Motilium est bien r sorb et rapidement m tabolis Indications a Traitement symptomatique des nau S es ou vomissements de la pesanteur ou du baton nement pigastrique ou abdominal qui se apr s les repas suite un ralentissement de l
78. dem Ausma der Auspr gung der Rinden oder Ventrikelatrophie gebracht werden Ebensowenig die Kombination zwi schen hoher Dosis und langj hrigem MiB brauch Ein Zusammenhang zwischen pa thologischen Leberwerten oder dem Grad der Erh hung der Leberwerte und dem Grad der Hirnatrophie konnte ebenfalls nicht her gestellt werden Die individuelle Toleranz gegen ber der Noxe Alkohol scheint sehr unterschiedlich zu sein Unklar scheint je doch die Frage ob nicht vielleicht ein ange borener Schaden besteht der eventuell zum Alkoholkonsum und zur Abh ngigkeit pr disponiert Auf der anderen Seite spricht aber die Tatsache da auch normale CCT Befunde bei Alkoholikern gefunden wurden und zwar nicht nur bei j ngeren sowohl gegen die Tatsache des alleinigen angebo renen Schadens als auch gegen die Tatsa che daB Alkoholismus grundsatzlich zur Hirnatrophie f hre Besonders hier zeigt sich die Diskrepanz zwischen klinischem Bild und computertomographischem also in gewissem Sinne morphologischem Be 32 fund Erw hnt werden soll vielleicht auch hier da bei drei uns bekannten Patienten mit Korsakow Psychose die hirnatrophi schen Ver nderungen gering ausgepragt waren bei zwei waren sie allerdings deut lich Auch dies spricht gegen die einfache Korrelation zwischen Morphologie und Klinik Bez glich der Frage von zerebralen Anfal len im Rahmen des chronischen Alkoholis mus mu unbedingt hervorgehoben werden da be
79. e Ver anderungen konnten jedoch nicht heraus gestellt werden Die Liste der kontroversen Meinungen lie Be sich beliebig lange fortsetzen In den f nfziger Jahren wurde vor allem von der franz sischen Schule wiederum sehr viel ber Alkohol und Anf lle gearbeitet wobei neben dem EEG auch h ufig die Pneumen zephalographie bem ht wurde Eine endg l tige Auffassung konnte nicht erarbeitet wer den Nachdem es dann ber l ngere Zeit relativ ruhig um das Thema der Alkoholepi lepsie geworden war hat sicherlich auch unter dem Einflu der neu eingef hrten Computertomographie die Diskussion er neut begonnen Aber auch neuere Arbeiten haben bis jetzt eine endg ltige Stellungnah me vermissen lassen 1 6 7 12 13 2 EIGENE UNTERSUCHUNGEN Eine prospektive Untersuchung umfafite Insgesamt 141 Alkoholkranke die alle ein Pr delir oder ein Delir durchgemacht hatten Sie wurden eingeteilt in zwei Gruppen 1 Alkoholiker mit Anf llen 78 Patienten 2 Alkoholiker ohne Anf lle 63 Patienten Bei allen wurden drei EEG Kurven abge leitet und zwar die erste bei der Aufnahme die zweite drei bis f nf Tage nach erfolgter Entgiftung AuBerdem wurde bei allen ein craniales Computertomogramm angefertigt Die Labordiagnostik umfaBte Blutbild Le ber und Nierenstatus Elektrolyte Fettwer te Blutzucker inklusive Tagesprofil und Glu kosebelastung Schilling Test Rheuma Se rologie Lues Reaktionen und Urinstatus Die A
80. e la lombalgie chronique J Cauchoix G Pouget et J C Chaboche l s agit de l exp rience de l auteur portant sur plus d une dizaine d ann es concernant l arthrod se post ro lat rale Les auteurs insistent particulierement sur le bilan pr op ratoire comportant la place des anti inflammatoires titre m dical un bon bilan de l tat psychique du sujet enfin la place de la discographie afin d tudier les disques voisins situ s au dessus de l arthro d se L auteur r alise une arthrod se post ro lat rale apr s avoir limin les autres m thodes dans les ann es pr c dentes Ce type d intervention est r alis de facon syst matique depuis 1970 et il a obtenu 8376 de succ s Le nombre d checs augmente avec le nombre d tages op r s L chec est en relation soit avec un chec de fusion soit videmment une insuffisance dans l indica tion op ratoire qui souligne l importance du bilan pr op ratoire et en particulier de l tat psychique du sujet En tous cas cet expos souligne l int r t de l arthrod se post ro lat rale chez des lombalgiques qui souffrent depuis plusieurs ann es seule op ration capable de faire disparaitre les douleurs si toutefois les tages concern s ont abouti la fusion 1 Antibioth rapie pr ventive et chirurgie orthop dique J Evrard II s agit du r sultat d une enqu te portant sur l int r t de l antibioth rapie pr ventive dans la chirurgie des pro
81. e sont de 2596 pour un membre d une fratrie et pour le moment des greffes partir de donneurs non identiques don nent encore des mauvais r sultats Dans l ensemble environ 4096 des patients greffes sont en vie un an le probl me majeur apr s transplantation tant celui du rejet Avec les moyens de r animation h matolo gique actuels milieu st rile transfusion de plaquettes et leucocytes etc le pro bl me majeur reste celui de la r action greffe contre h te qui est major e l en contre des greffes r nales par des transfu sions pr c dant la transplantation et par une discordance d antig nes autres que les HL A Une s paration s lective des cellules souches h matopoi tiques par des lectines ou des anticorps monoclonaux pourra am liorer la r action greffe contre h te Avec les donn es actuelles on peut conclure qu une greffe de moelle devrait tre tent e le plus rapidement possible notamment avant que des transfusions nombreuses aient t administr es chez l enfant et le sujet jeune S il y a un donneur compatible en attendant un affinement des techniques de s paration cellulaire et des tudes prospectives contr l es pour d terminer les sous groupes de malades susceptibles de b n ficier d un au tre traitement 1 Camitta B M Thomas E D Nathan D G et al Severe aplastic anemia prospective study of the effect of early marrow transplantation on acute morta lity Blood 48 6
82. eim GmbH 4019 Monheim In Luxembourg PROPHAC air 1 Luxembourg Case Postale 2063 T l 48 24 82 VU Tableau 2 D termination de la p A P max suivant les criteres de CARMICHAEL Cath t risme p A P max mmHg Nombre de malades 5 15 27 17 80 53 44 76 7 2 29 Tableau 3 D termination de la p A P max suivant les crit res de MILNE Cath t risme p A P max mmHg Nombre de malades 2 5076 71 78 62 40 Tableau 4 Estimation de la p cap suivant nos crit res retenus voir texte 11 9 8196 13 10 76 6 5 8396 9 6 6696 Tableau 5 Estimation des RVPT suivant les crit res retenus voir texte 250 300 4 3 75 300 400 3 1 33 70 17 14 82 Tableau 7 Identification des vaisseaux pulmonaires dans notre s rie APEX BASE D G D G 17 diy xew 0 1518 101 Xew d y 70 ej ap 8 99 anod snuejeJ s ubis s p 1 8 9 1 salleJusWu und 3913118 s p Se ISON 10 9 0 0 91 8 saiieuouwnd L L 4 B NOSBA UOI nquisipeg NISEA S Ill SAP DO sajougye SOP SeJieq 0 0 ue q Sap je wind 1 0 8 00 18 19 E 007 006 008 053 gt 6Hww 09 lt seq x de wosoas uAp eunefeu dY LH eu 00 81 jeanajd unijnsaejul LdAH ashydwa p 58 89 uonn
83. einer Rinden oder vornehmlich frontal betonten Rindenatro phie Umschriebene Substanzdefekte lagen ins gesamt zweimal 3 496 vor Bei den Patien ten waren die EEG Kurven pathologisch Krampfpotentiale fanden sich jedoch nicht Erw hnt werden mu sicherlich da sich bei den 59 Patienten ohne Anfalle insgesamt viermal paroxysmal dysrhythmische Grup pen mit steilen Wellen fanden einmal irre gul re SW Komplexe zweimal isolierte scharfe Wellen und dreimal isoliert paroxys 31 mal dysrhythmische Gruppen Insgesamt la gen also zehnmal Zeichen einer gesteiger ten zerebralen Erregbarkeit in irgendeiner oder mehrerer der drei EEG Ableitungen vor ohne da ein klinisches Korrelat bestan den h tte 3 ZUSAMMENFASSUNG UND SCHLUSSFOLGERUNGEN Hirnatrophische Ver nderungen finden sich sowohl bei Alkoholikern mit als auch bei denen ohne Anf lle Bei letzteren sind sie allerdings geringer ausgepr gt Wahrend bei den Alkoholkranken mit Anf llen zwi schen den Patienten im dritten vierten und f nften Dezennium kaum Differenzen be z glich der Auspr gung der Atrophie beste hen so liegt bei den Patienten ohne Anfa lle eine deutliche Steigerung der pathologi schen Befunde mit zunehmendem Alter vor Das Alter allein scheint jedoch auf Grund der Befunde nicht ausschlaggebend f r die Aus pr gung atrophischer Ver nderungen zu sein Auch die t glich genossene Alkohol menge konnte nicht in direkten Zusammen hang mit
84. ement des articulations probl me universel en chirurgie orthop dique infan tile VII Etude anatomique et clinique des dys plasies et luxations cong nitales de hanche avant l ge de 4 mois R Seringe s agit d un travail consid rable et proba blement historique puisqu il est bas sur l examen de 1 500 nouveau n s dans la ma ternit de l H pital Saint Vincent de Paul Paris 78 A partir de cet examen syst matique les auteurs ont pu red finir la seule mani re clinique de d tecter les l ments de s mio logie n cessaires la d tection d une insta bilit de hanche savoir une asym trie dans l hypertonie de la musculature des adduc teurs la pr sence du signe de Barlow seule m thode pour d pister une instabilit dans un sens ou dans un autre et enfin une analyse des anomalies rotatoires au niveau du genou ainsi que les d saxations du pied qui sont autant de facteurs qui permettent r trospectivement de d finir la position du foetus dans l ut rus Le grand int r t de ce travail est d appor ter des preuves tres s rieuses de l origine fondamentalement posturale de la luxation cong nitale de hanche du fait d une mau vaise position de l enfant dans l ut rus de sa m re des sch mas explicatifs sont suffi samment clairs pour faire comprendre aux non sp cialistes les raisons de cette effroya ble maladie qui peut etre d tect e d s la naissance et trait e par des moyens extr mem
85. en Membres Dr A Betz Dr M A Dicato Dr G Kayser Dr R Koppes Dr M Schroeder M P Hippert Dr G Theves Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales Administration et Publicit Dr J Neuen Secr taire G n ral 3 rue Conrad 18 Luxembourg R daction Dr M A Dicato R dacteur en chef Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg publie des articles en francais en allemand et en anglais Les auteurs sont pri s de remettre leurs manuscrits dactylographi s en double ou triple interligne et en deux exemplaires au r dacteur en chef Les r f rences class es par ordre alphab tique doivent comporter dans l ordre a Le nom des auteurs et les initiales de leurs pr noms b le titre du travail c le nom du journal d le tome e la premi re page de l article f l ann e de parution Pour les citations d ouvrages une r f rence comportera dans l ordre outre les noms des auteurs et le titre du livre a la ville b l ann e de parution c le nom de la maison d dition ll est recommand aux auteurs que les articles soient succincts et si possible suivis d un r sum en anglais Tous les articles seront lus par le r dacteur et un consultant sp cialiste Les articles n engagent que leurs signataires et sauf avis sp cial les opinions exprim es ne refl tent pas n cessairement la position de la Soci t
86. ent simples Vill Chirurgie des chondrosarcomes des membres et des ceintures A Trifaud Ce travail est l expos de l exp rience importante de l auteur l gard de l une de ces seules tumeurs osseuses chirurgicales du squelette encore malheureusement mal connue dans les milieux non sp cialis s puisque le chondrosarcome dans sa forme habituelle diagnostiqu t t peut b n ficier d une chirurgie de r section avec recons truction sous forme de proth se ou Sous forme d arthrod se La chirurgie recons tructrice est malheureusement difficile r aliser dans les localisations pelviennes Le pronostic se d finit la fois par le volume de la tumeur sa localisation son type histologique diff renci ou pas ainsi que par l indice mitotique voire m me la concentration en ADN nucl aire Quoi qu il en soit toutes les s ries sont d accord sur ces bases pronostiques et permettent de dire qu un diagnostic fait t t d une tumeur peu volumineuse d un type anatomique avec diff renciation cellulaire et indice mitotique faible a toutes chances 5 ans d avoir une survie 8996 entre 5 et 8 ans Une tumeur proximale volumineuse un type cellulaire peu diff renci et un indice mitotique lev a entre 50 et 25 de chances de survie 5 ans IX Spondylolyse et spondylolisth sis chez l enfant et l adolescent J Hall II s agit de l exp rience de l auteur am ri cain de Boston sur la cure des spondylo lyses et sp
87. entionne ni la calcito nine ni les diur tiques Dans le traitement des complications des cancers aucune atti tude th rapeutique n est propos e pour le syndrome de la veine cave sup rieure l en est de m me de la chirurgie des m tastases Malgr ces diff rentes critiques ce manuel repr sente certainement vu le prix modi que une acquisition utile toute personne int ress e par l oncologie m dicale M DICATO Luxembourg L h mostase J Vermylen M Verstraete J B Bailli re Paris 1981 p 176 85 FF Petit manuel destin aux m decins non sp cialistes en coagulation ne d crivant pas seulement les grands syndromes de la pa thologie de la coagulation mais galement de mani re claire et succinte sans pr ter confusion les acquisitions plus r centes ain si que les maladies moins fr quentes de l h mostase On remarque surtout ce qui en g n ral n est que tr s sommairement trait dans les livres de pathologie interne les diff rents syn 74 dromes des thrombopathies c t des alt rations cong nitales classiques de la coagu lation sanguine Par ailleurs un chapitre est consacr aux troubles de la coagulation en obst trique un autre aux affections h mor ragiques du nouveau n et enfin un dernier traite des probl mes de l h mostase chez l op r En dernier lieu on note un chapitre pratique et bien venu d crivant les diff rentes th ra peutiques h mostatiques surtou
88. entou r es d un grand oed me perifocal et leur grande taille met en valeur les signes indi rects des processus expansifs A l occasion les m ningiomes infiltrent l os et provoquent une hyperostose loca lis e Les glioblastomes astrocytomes IV Deux fois plus fr quents chez les hommes que chez les femmes les glioblastomes sont les tumeurs d origine c r brale les plus fr quentes pr sentant le plus haut degr de malignit avec croissance rapide En moyenne la survie n est que de 6 9 mois 115 se localisent au niveau de la substance blanc e et des noyaux gris centraux Le scanner montre de larges oed mes p rifocaux et des signes indirects de d pla cement des structures m dianes Les zones tumorales n crotiques provoquent un as pect non homog ne des densit s Apr s injection du produit de contraste on note des opacit s nodulaires et annulaires au niveau des zones tumorales bien vasculari s es 54 Les astrocytomes Cliniquement les astrocytomes se d cla rent souvent par des crises pileptiques focales ou g n ralis es existant depuis plu sieurs ann es Le scanner montre des zones hypodenses circonscrites ne prenant pas le produit de contraste Les structures m dianes peuvent rester en place ou pr senter de discrets d place ments L oed me p rifocal est discret ou n existe m me pas Les astrocytomes ana plasiques plus malins pr sentent un aspect tomodensitom trique poly
89. er exa men le diagnostic fut pos par un contr le ult rieur Dans 1 396 des cas la tomodensi tom trie est rest e n gative La corr lation radioclinique dans ces cas a t tablie par l angiographie l enc phalographie gazeuse ou la cisternographie l s agissait en r gle g n rale de tumeurs situ es la base du cr ne 8 DIAGNOSTIC HISTOLOGIQUE DES TUMEURS C R BRALES EN TOMODENSITOM TRIE 8096 des tumeurs c r brales correspon dent aux 8 types histologiques suivants glioblastomes 1996 m ningiomes 1675 m tastases 1496 ad nomes hypophysaires 1096 astrocytomes 8 neurinomes 596 oligodendrogliomes 5 et spongio blastomes 4 Les autres tumeurs comme les pendy momes les m dulloblastomes les sar comes les lymphomes les papillomes des plexus les cr niopharyngiomes les t ra tomes sont relativement rares 8 Les pr somptions tomodensitom triques sont con firm es par l histologie dans 8096 des cas Parmi les criteres qui orientent le diagnos tic histologique citons a la localisation tumorale b la structure tumorale avec la r partition intratumorale des densit s c le mode et l intensit de la r partition du produit de contraste La localisation La localisation caract ristique de cer taines tumeurs permet leur diagnostic pr cis Ainsi les neurinomes de l acoustique se situent au niveau de l angle ponto c r bel leux les ad nomes hypophysaires
90. es puis sans canne la 6 semaine Les auteurs ont utilis la m thode dans 50 cas qui taient 1 fois sur 2 des fractures spiroides quelques fractures trait oblique et d autres vari t s mais qui se pr sentaient avec une certaine stabilit Toutefois les auteurs montrent un exemple de fracture tr s instable 2 tages trait e par cette m thode Dans l ensemble le pro c d est r server aux fractures stables et moyennement stables et vite comme tout 79 traitement orthop dique toute pathologie iatrog ne L article suivant est sign de M E MUL LER qui reproduit ici tous les sch mas trouv s dans les nombreuses publications qui ont parsem la litt rature depuis des ann es sur la maniere d utiliser le mat riel AO On trouvera dans cet article les bases l mentaires de l ost osynth se et la m thode de mise en place d un mat riel bas essentiellement sur l usage de vis et de plaques L auteur pr sente les r sultats de plus de 1 200 fractures op r es entre 1972 et 1976 On remarquera videmment que dans cette s rie des fractures vissees provenait des accidents de ski l s agit pour l essentiel de sujets jeunes Contrairement la m thode orthop dique on trouve ici 20 infec tions 9 cals vicieux 8 retards de consolida tion 1 fracture it rative 1 pseudarthrose Sur les 227 fractures trait es par plaque on comptait un nombre plus important de com plications II est clair qu une
91. essan 61 n cessite donc un ajusloment do ta posologio Miz on garde L arr amp t brusque d un traitement ta clonidine est susceptible de provoquor dans tes heures qui suivent une remont o plus ou moins brusquo de In tonsion sanguin qui pout atteindro dos velours tr s lev es Cotte hypertension peut s accompagner d insomnie do c phal es viotentes d agitation do tremblement parfois de naus es ot do doulours gastriques H convient d s tors 1 que to patient pronno r guli rement sa m dication ot no l interrompe brutalement sous aucun pr toxto I d vra vaillor ne jamais tre court do m dicament 2 do no pas arr ter la m dicatlon tors do la pr paration une intervention chirurgicalo la derni re doso doit avoir t priae ond ans tos 6 houres avant l intervention tologie 3 s ils av reh m dicalement n cessaire de changer de m dication un traitement 4 la r serpine pendant quotques jours avant l abandon de la clonidine ost suscoptiblo de diminuer la EL E dag Uno autro possibilit consiste A diminuer progressivement la posologio par exempte cn diminuant la dose do moiti tous les 3 jours en terminant par un palior comprim Quoi qu il en soit l abandon do ta th repeutique devra toujours se faire sous Contr le m dical strict En pr senco d uno crise hypertensive suite ta supprossion do la clonidine un traitement comportant un a ot un S adr noiytiquo est indiqu On peut aussi r administror do la clonidine
92. et donc un traitement appropri cha que cas sp cifique Il est le seul hydropulseur qui utilise toute l nergie cin tique de l eau pour attein dre les buts d sir s Nettoyage des d bris alimen taires des zones de r tention massage des gen cives en un minimum de temps et sans provoquer de traumatismes gingivaux Broxojet 3007 permet Q Une meilleure limination de la plaque dentaire Q Un nettoyage parfait des zones de r tention Une augmentation de l auto d fense des gencives par un massage en profondeur et la r duction des inflammations d j pr sentes Broxodent est une brosse dents automatique qui assure le nettoyage complet des dents 3 avantages essentiels sont noter Mouvement automatique d oscillation verticale brossage correct des dents massage des gen cives Oscillation de la tige brosse 3 000 fois la minute une minute de brossage avec Broxodent qui vaut trois minutes de brossage manuel Tige brosse haute densit t te courte permet tant de nettoyer toutes les surfaces des dents et de masser en douceur la gencive en accroissant sa k ratinisation Repr sentant pour le Grand Duch INTEGRAL s a 25 rue d Epernay Luxembourg kerlichtstimulation zu erh hen zeigten kei nen Erfolg so daB die Photostimulation nicht mehr routinem ig durchgef hrt wurde 2 2 Gruppe 2 63 Alkoholiker ohne Anf lle 2 2 1 Computertomogra
93. fer de surcharge ferrique d alcool et d h mochromatose idiopathique sont trait s mais a la lumiere des connais sances appliqu es apr s l introduction en m thodologie de laboratoire courante de la mesure de la ferritine s rique les concepts de base du m tabolisme du fer sont revus Un chapitre extensif d une centaine de pages sur les m thodes de laboratoire con cernant les mesures relatives au m tabo lisme du fer est peut tre moins int ressant pour le clinicien Ceci constitue certainement le livre le plus r cent donnant toute l information voulue sur le fer et les diff rentes maladies causales et cons cutives au d rangement de son m tabolisme chez l homme M DICATO Luxembourg Bull Soc Sci M d p 73 1982 Manuel of cancer chemotherapy International Union Against Cancer UICC Technical Report Series Volume 56 Gene va 1981 p 230 SF 30 Manuel qui de par son volume ne peut videmment tre extensif mais contenant dans un style t l graphique une grande quantit d informations par rapport au nom bre de pages Ce livre qui n a pas la pr tention de contenir du mat riel originai mais qui pr sente des donn es compil es d un certain nombre de publications diss min es dans la litt rature donne une information fondamentale la fois sur la th orie et sur la pratique clinique de la canc rologie m dicale Une premi re partie donne les g n ralit s sur le d veloppement de la c
94. fficult peut tre contourn e par ASTRA In Neuroscience Research 0 E zi 7 ASTI neurotherapeutica Astra announces the 5 HT reuptake blocker N 0 0 0 o FS AST 0 0 A 14 A KS 9 Chauss e d Alsemberg 1001 1180 Bruxelles e roth rape uti Ca Alsembergsesteenweg 1001 1180 Brusse des tests plus pouss s tel le d clenchement de crises de flushing de diarrh e ou de tachycardie apr s injection de calcium intra veineux ou tel le dosage de la 5 H T A sanguine 6 R SUM Le polymorphisme de leurs sympt mes a fait d crire deux cas de tumeurs carcinoides du gr le Profitant d un apercu g n ral sur la maladie des conseils pratiques pour la con duite tenir sont donn s BIBLIOGRAPHIE 1 ANDERSON U A DOEDEN Banana feeding and urinary exection of 5 hydroxy idolacetic acid Science 1958 127 236 ZIEGLER and 2 CONNEL A M WILCOX Serotinin bananas and diarrhea Gut 1960 1 44 ROWLANDS and 3 GARDNER B DOLLINGER M SILEN W BACK N and O REILLY S Studies of de carcinoid syndrome its relationship to serotonin bradykinin and histamine Surgery 1967 61 847 4 HEDINGER C and GLOOR Metastasierende D nndarmkarzinoide Tricuspidalklappenver nderungen und Pulmonalstenose ein neues Syndrom Schweiz med Wschr 1954 84 942 10 ISLER P and HEDINGER Metastasierendes D nndarmkarzinoid mit schweren vorwiegend
95. fie les s cr tions bronchiques visqueuses et favorise l expectoration par ce biais il attonde la toux irritative et facilite la respiration Par vole orale l effet apparait au bout de 30 minutes environ et par inhalation il se manifeste apr s 10 15 minutes toute fois l effet th rapeutique optimal n est obtenu qu apr s quelques jours de traitement Bien tol r le Bisolvon peut tre administr long terme sans inconv nient dans les cas chroniques Propri t s Le Bisolvon diminue la viscosit des s cr tions du tractus respiratoire par fragmentation des fibres mucopolysaccharides acides et augmente la perm abilit capillaro bronchique Il favorise ainsi le transport mucociliaire et expectoration aug mente le volume des expectorations diminue l encombrement bronchique et l ve les taux endobronchiques d antibioti ques et d immunoglobulines Indications Affections des voies respiratoires comportant une alt ration de la production ou de l limination du mucus bronchite aigu trach obronchite bronchite chronique bronchopneumopathies chroniques obstructives bronchiectasies sinusite aigu sinusite chronique 6 K ratoconjonctivite s che syndrome de Si gren Le est galement indiqu lorsqu on veut faciliter l limination de liquides trangers intrabronchiques moyen de contraste Contre indications II n existe aucune contre indication l emploi du Bisolvon Effets secondaires Le
96. gmentation des densit s intra tumorales apr s injection intraveineuse de produit opaque l en est de m me pour les zones n crotiques des tu meurs croissance rapide Ces derni res tumeurs montrent alors souvent une aug mentation annulaire des densit s corres pondant la p riph rie tumorale active qui reste bien vascularis e Quelques tumeurs tels les m ningiomes les neurinomes et les ad nomes hypophysaires se caract risent par leur forte vascularisation avec augmen tation nette des densit s apr s injection intra veineuse de produit opaque L valuation histologique pr op ratoire doit tenir compte aussi bien des donn es 53 cliniques que des crit res tomodensitom triques Les m ningiomes Ces tumeurs ont leur origine au niveau des m ninges Leur croissance est lente Elles deviennent en g n ral cliniquement apparentes au del de la trentaine malgr leur volume parfois norme en zone muette L ex r se chirurgicale radicale entraine une gu rison d finitive Les m ningiomes se lo calisent avec pr dilection au niveau de la convexit c r brale de la faux du cerveau mais aussi au niveau des m ninges de la base du cr ne surtout l tage cr nien ant rieur Typiquement le scanner montre des tumeurs nettement d limit es rondes hyperdenses pr sentant parfois des calcifi cations granulaires et prenant fortement le produit de contraste En r gle g n rale ces tumeurs sont
97. gr ce son iconographie irr prochable Donc tout en renoncant d tre exhaustif J D Picard donne un apport tr s utile tous les m decins int ress s par la pathologie du sein M Fandel Luxembourg 83 z L alcoolisme est une maladie beaucoup trop grave pour qu on puisse accepter sans rien dir des fausses croyances qu une publicit habile sugg re de croire 2 Quelle que soit la forme sous laquelle on l absorbe l alcool ne r chauffe pas alcool ne donne pas de forces Le petit verre qui remonte E n est qu illusion L alcool n est pas un fortifiant ni pour l adulte ni pour l enfant E l alcool n est pas un aliment L nergie qu il apporte ne peut tre utilis e de fa on b n fique par l organisme l alcool n est pas bon pour le coeur et les vaisseaux 2 l alcool n est pas indispensable la vie seule l eau est le liquide n cessaire l alcool ne d salt re pas au contraire il augmente le volume des urines et donne soif l alcool ne donne pas de l app tit et n aide pas dig rer E Dans notre soci t l alcool fait partie des rites agr ables encore faut il ne pas trop en abuser eg SOOT KT OT OH MMMM MMMM DEE sa epropamate up d An J DONNE A LANX EUX NAT SERENITE ET DETENTE 4 DONESEN D
98. himioth rapie canc reuse et les concepts de base de la maladie des traitements m dicamenteux hormonaux et de la biologie g n rale du cancer chez l homme Dans une deuxi me partie un certain nom bre de n oplasies sont trait es par site anatomique d abord chez l adulte ensuite chez l enfant et enfin un certain nombre de tumeurs dont l incidence est surtout fr quente dans des pays africains et de l Asie sont d crites Dans l ensemble les diff rents chapitres pr sentent une information facile suivre 73 ils sont parfois condens s parfois bien r sum s souvent sommaires mais quand m me pratiques Dans des livres auteurs multiples il est souvent tr s difficile de faire un choix judi cieux de l information reproduite c est ainsi qu on note des diff rences de style et de niveau dans les diff rents chapitres trait es En particulier alors que les bases th ori ques de l oncologie donnent une informa tion utile on a dans des chapitres de patho logie relativement courante des lacunes qui frappent tel par exemple le fait que dans ie chapitre de la leuc mie my loide chronique on ne mentionne pas la transf rase d soxy nucl otidyle terminale dans la crise blasti que le traitement du plasmocytome isol n est pas mentionn du tout et il en est de m me du traitement de l hypercalc mie dans les n oplasies o on recommande encore un traitement par EDTA et par sels de phosphates et on ne m
99. i einer Reihe von Patienten morpholo gische Substrate wie Substanzdefekte infol ge von Traumata oder Hirninfarkten oder aber Tumoren oder sonstiger Erkrankungen gefunden wurden Besonders bei den Pa tienten die sowohl unspezifische als auch spezifische Zeichen zerebraler Erregbar keitssteigerung im EEG zeigten waren sol che morphologischen Zusatzschaden vor handen oder aber es lag bereits ein Anfalls leiden vor Beginn des Alkoholmi brauchs vor respektive es bestand eine latente Anla ge zu Krampfanfallen die durch den Alkoho lismus lediglich manifestiert wurde Auf der anderen Seite jedoch sollte nicht bersehen werden da auch bei den Patienten ohne Anf lle auch wenn nicht in der gleichen H ufigkeit wie in der Gruppe mit Anf llen unspezifische und einmal sogar spezifische Zeichen zerebraler Erregbarkeitssteigerung gefunden wurden Hier mu sich die Frage aufwerfen ob diese Patienten wenn sie vielleicht sp ter zur Aufnahme gekommen w ren also auch sp ter mit der Entgiftungs behandlung begonnen worden w re nicht eventuell doch noch gekrampft hatten Bei einem Patienten in der Gruppe mit Anf llen fanden sich auBer dem Alkoholismus keine zus tzlichen Sch den die auch die EEG Ver nderungen hatten erkl ren k nnen und zwar nicht nur die EEG Ver nderungen bei der Aufnahme sondern auch die die nach der Entgiftung geblieben sind Bei diesem Patienten lag sicherlich eine schwere zere brale Stoffwechselst rung
100. ibiotiques non r sorbables furent administr s pour viter des infections d part digestif Du Bactrim fut administr long terme pour pr venir les probl mes de cytom galovirus Trois semaines apr s la greffe une r g n ration m dullaire put tre mise en vidence avec normalisation de la num ration formule dans les dix jours sui vants Dans le sang p riph rique une double population d rythrocytes put tre d mon tr e qui disparut apr s trois mois quand tous les globules rouges taient devenus rh sus n gatif Transitoirement un infiltrat pulmo naire interstitiel put tre mis en vidence sans preuve de cytom galovirus Depuis le quatrieme mois une ruption cutan e ryth mato papuleuse que la biop sie confirma tre une r action chronique greffe contre h te s accompagna de diar rh es profuses et persistantes faisant partie de cette entit Un traitement par corti coides immunosuppresseurs et s rum anti 6 lymphocytaire permit de contr ler la partie digestive avec toutefois persistance d un tat de scl rodermie cutan e de cette r ac tion chronique greffe contre h te avec tol rance digestive compl te Discussion L an mie aplastique grave est heureusement une maladie rare Diverses hypoth ses tiologiques sont entretenues virale 5 auto immunes 6 l sion de la cellule souche 7 l sion du micro environ nement m dullaire 8 etc Dans environ la moiti des cas on
101. igt Sterinor sollte Fruh und Neugeborenen sowie S uglingen w hrend der ersten Lebenswochen nicht verabreicht werden Nebenwirkungen Gastrointestinale Storungen Kopfschmerzen Hautreaktionen Arzneimittelfieber Cholestase pathologische Blutbildveranderungen wie z B Leuko Thrombopenie Agranulozytose Cave Funktionsst rungen der Schilddr se Wechselwirkungen mit anderen Mitteln Gleichzeitige Verabreichung von Benzocain Procain oder Tetracain kann die Sulfonamidwirkung verandern mit Hexamethylentetramin kann es zur Kristallurie kommen Obwohl bisher keine Hinweise dar ber vorliegen da die Kombination Tetroxoprim Sulfadiazin die Wirkung von Antikoagulantien oder Antidiabetika beeinflu t empfehlen wir bei der Langzeit behandlung die Quickwerte und Blutzuckerwerte zu kontrollieren Darreichungsformen und Packungsgr Ben Packung mit 10 Tabletten DM 16 50 Packung mit 20 Tabletten DM 30 45 HEUMANN Packung mit 50 Tabletten DM 67 70 Packung mit 50 ml Suspension PHARMA DM 18 65 Anstaltspackungen Stand August 1980 LUDWIG HEUMANN amp CO GMBH NURNBERG Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Greffe de moelle pour aplasie m dullaire M DICATO R HEMMER F HENTGES D KAMIONER R MANGEN Centre Hospitaller de Luxembourg C FARRELL Recherche sur le Cancer et les Maladies du Sang Luxembourg D HEISER bourse de recherche Minist re de la Sant Luxem bourg Bull S
102. imale entre 5 8 ans c est une maladie de troupeaux ou m me de famille elle est fatale et s accompagne de processus n oplasi ques des ganglions lymphatiques et d autres organes 75 des animaux atteints pr sentent des anomalies chromosomiques Seulement 3 indique une augmentation du nombre des leucocytes surtout des lympho blastes atypiques Par contre des cas de leucose bovine accusent une p riode souvent de quelques ann es au cours de laquelle les animaux pr sentent une lym phocytose persistante sans signes clini ques de maladie de sorte que la leucose a t d crite comme une maladie carac t ris e par une phase pr tumorale dont le signe typique est la lymphocytose per sistante suivie d une phase au cours de laquelle apparaissent les tumeurs leuco siques mais des recherches r centes affirment que la lymphocytose persis tante est une r ponse b nigne l infec tion par le virus de la leucose bovine plut t qu une forme subclinique de la m me maladie 2 La forme sporadique ou la forme des jeunes bovins forme plut t rare atteint les animaux de moins de 2 ans Trois aspects clinico pathologiques a la forme juv nile chez les veaux de moins de 6 mois avec atteinte g n rali s e du syst me lymphatique et de la moelle osseuse 20 des cas concer nent des animaux g s de six mois deux ans b la forme thymique avec augmentation du volume du thymus C la forme cutan e a
103. ires SULOCTON est d nu de toxicite et est bien tolere Pr cautions on vitera la prescription du m dicament durant la grossesse bien qu exp rimentalement SULOCTON soit depourvu d action t ratog ne Il n y a pas d inconv nient d administrer SULOCTON des patients soumis un traitement par anticoagulants de type coumarinique et aux diab tiques Posologie 3 g lules 100 mg par jour Conditionnement 50 et 100 g lules dos es amp 100 mg Formule Suloctidil 100mg Mannitol Silic oxyd Gelat Glycerol Amyl Talc pro capsul gelat una Ferr oxyd flav E172 Natr indigotinodisulf E132 Titan oxyd E171 pro color Validit voir emballage 213 565 4 3 x 1 g lule jour CENTRE DE o RECHERCHES BELGE O C CONTINENTAL 1 PHARMA 2 Av Louise 135 1050 Bruxelles Traite l insuffisance vasculaire T 02 53180 10 S oppose l volution de l ath roscl rose P WE CREACTION Livres et p riodiques ron metabolism in man Th H Bothwell R W Charlton J D Cook C A Finch Blackwell Scientific Publications p 576 Manuel d crivant de mani re exhaustive tous les diff rents aspects nutritionnels et cliniques de base ainsi que de m thodes de laboratoire du fer chez l homme En tenant compte de l explosion d informa tions sur le m tabolisme du fer au cours de la derni re d cennie non seulement les chapitres classiques d tat ferriprive d in toxication au
104. ismes ou inhalations de Syntho dilu 1096 soit 1 cuiller e soupe dans un verre d eau bouillie CONTRE INDICATION La pr sence de menthol contre indique l emploi du SYNTHOL chez les nourrissons et les enfants de moins de deux ans CONSERVATION Bien bouch et l abri de l air et de la lumi re Formule 1 2 dimethoxy benzen 240 mg Resorcin 20 mg Chlorali hydras 800 mg Menthol 260 mg Geranii essent Citri cedrae essent Acid salicylic Tartrazin Isopropanol Aqua ad 100 g sous licence GREMY LONGUET UNION PHARMACEUTIQUE BELGE S P R L Parc Industriel de la Vall e du Hain 1420 BRAINE L ALLEUD WAUTHIER BRAINE 7 3 Motiliu TRADE MARK m JAD ES EY gastrocin tique rend la digestion lourde l g re l g re legere Posologie 1 comprim 3 fois par jour avant les repas 1 ml de solution gouttes 3 fois par Jour avant les repas 2 cuill res doseuses de solution orale 3 fois par jour avant les repas Si n cessaire une derni re prise avant le coucher Pr sentations 30 et100 comprim s 10 mg i dl 30 et 100 mi de solution gouttes 10 mg par ml 0 3 mg par goutte 200 mi de solution buvable 5 mg par cuill re doseuse 1 mg par ml d finition Le principe actif de Motilium est le domp ridone R 33 812 une synth se originale des Labora toires
105. itions elle pourra pr dire les variations des conditions h modynami ques sur le clich standard partir d une corr lation entre la radiographie et un pre mier cath t risme de r f rence ll est ainsi possible de juger de l volution clinique ou post op ratoire de certains ma lades rendant les cath t rismes de contr le successifs moins indispensables 15 Tableau 1 Crit res de GOODWIN et Col largissement discret isol de l art re pulmonaire 40 mmHg largissement de l art re pulmonaire et des divisions droites et gauches avec r tr cissement et tortuosit s des branches p riph riques basales 40 60 mmHg largissement marqu de l art re pulmonaire des branches droites et gauches et visibilit accrue des branches p riph riques 60 mmHg Criteres de CARMICHAEL et Col aspect normal des art res pulmonaires Det 18 23 mmHg suspicion d un largissement des art res pulmonairesDetG 18 34 mmHg largissement certain des art res pulmonaires D et G les branches p riph riques tant normales ou tortueuses au niveau des bases 22 55 mmHg largissement marqu des art res pulmonaires D et G avec visibilit des art res p riph riques jusqu au niveau de la bande claire sous pleurale 39 65 mmHg largissement marqu des art res pulmonaires D et G avec r tr cisse ment des branches art rielles pulm
106. itoires b b s 10 mg La dur e de conservation de ce produit est limit e voir la date de p remption sur l emballage formulae amp domperidonum 4 mg acid acetic aq ad iniect q s ad 2 ml amp domperidonum 10 mg acid acetic aq ad iniect q s ad 2 ml tabl domperi donum 10 mg lactos hydric amyl mayd polyvidon natri laurylsulfuric cellulos microcristallin El stearas ole hydrogenat pro tabi compress un hypromellos macrogol 6000 ethyicellulos 20 cps glycerol gtt domperidonum 10 mg saccharin ma crogol 400 aetherole menth aetherole banan pro pyleneglycol q s ad 1 ml sir domperidonum 1 mg acid tartaric aetherole rib rubr aetherole menth sorbitol sol 70 q s ad 1 ml supp 60 mg domperi donum 60 mg acid tartaric sorbitan monostearas macrogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro supp un supp 30 mg domperidonum 30 mg acid tartaric sorbitan monostearas macrogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro supp un supp 10 mg domperido num 10 mg acid tartaric sorbitan monostearas ma crogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro SUPP un Hyperurikamie tophose Gicht Den Serum Harns ure Stau renal l sen Zur schonenden Einleitungstherapie Zur individuellen Dauerbehandlung dem Schweregrad immer entweder angepa t Narcaricin Narcaricin mite 50 mg Benzbromaron D Zusammensetzung 1 Tablette NAR
107. l art re proximale qui sont tortueuses Rarefaction vasculaire peripherique Index de MOORE 28 p AP max estim e 90 mmHg mais il existe une discordance avec l index de Moore Cath t risme p AP max 50 mmHg p AP moyenne 32 mmHg Les modifications thoraciques et vasculai res dues l emphys me sont responsa bles d une surestimation des pressions art rielles pulmonaires Figure 7 R tr cissement mitral Pro minence de l art re pulmonaire Visi bilit accrue des art res segmentaires en p riph rie Redistribution vasculaire 1 1 Index de MOORE 33 p AP max estim e 40 mmHg Cath t risme p AP max 35 mmHg p AP moyenne 24 mmHg Figure 8 Insuffisance respiratoire chronique Signes vidents d HTAP 70 mmHg Redistribution vasculaire 1 1 Absence de flou interstitiel de remplissage vasculaire p riph rique et de lignes septales p cap estim e 18 mmHg Cath t risme p cap 3 mmHg Figure 9 Insuffisance mitrale Signes vidents d HTAP 70 mmHg Redistribution vasculaire 1 1 Flou inter stitiel et p rivasculaire Epaississement des coupes optiques bronchiques p cap estim e 23 29 mmHg Cath t risme p cap 25 mmHg Figure 10 Cardiomyopathie Egalisation du flux vasculaire 1 1 Flou interstitiel mod r Absence de lignes septales ou de liquide pleural RVPT estim es 300 400 dyn sec cm Cath t risme RVPT 430 dyn sec cm Figure 11 Cardiomyopathie Redistri
108. la tomodensitom trie repr sente la m thode neuroradiologique la plus importante dans le d pistage des tumeurs c r brales l incidence des vrais positifs tant de 9796 Le diagnostic histologique pr op ratoire est pos dans 8096 des cas Description de criteres tomodensitometriques des tumeurs c r brales Foyer de densit modifi e oe d me p ritumoral et signes indirects signa lant le caract re expansif Description de l aspect typique de diff rents types tumoraux avec aper u sur les difficult s du diagnostic diff rentiel 1981 Conseillers Publicitaires Associ s Noctamid r unit un 1 ensemble de caract ristiques s remarquables Noctamid Un sommeil au plus pr s du physiologique Noctamid est facile doser la dose unitaire est en Noctamid est disponible general d 1 comprim en un seul dosage Img Cette dose peut tre dou bl e ou r duite de moiti oraq Noctamid est presente en en fonction de la nature et emballages de 10 et 30 de la gravite des troubles N V Schering Pharma S A comprim s du sommeil 1920 Machelen Diegem Lorm taz pam Somnifere Form Lormetazepam 1 mg Lactos Amy Potyndon Magn Stearasq s protablei compress una Composition 1 comprim de Noctam d renferme 1 0 mg de lo Propri t s Le Noctarm favonse le sommer II raccourat le temps d endormissement r duit les r veils nocturnes et augmente la dur e totale de sommes
109. largeur du tronc interm diaire de l art re pulmonaire droite dont on ne peut pr ci ser les limites exactes sur la radiographie standard que dans deux tiers des cas pression art rielle capillaire Le tableau 9 d taille la fr quence d ob servation des diff rents signes retenus pouvant refl ter les valeurs de la pres sion art rielle capillaire trouv e lors du cath t risme Ce tableau fait sortir qu il existe une relation directe entre la redistribution du flux vasculaire rapport apex base qui est progressivement vidente en fonc tion de l augmentation de la pression art rielle capillaire Figure 8 de m me que la visibilit accrue des art rioles p riph riques comblant l espace clair sous pleural avec des valeurs crois santes art rielles capillaires Figure 9 II est remarquer que pour des valeurs de pression art rielle capillaire sup rieure 30 mmHg qui accompagnent la c plupart du temps une pression maxima dans l art re pulmonaire tr s lev e il existe une r traction des art res p riph riques et une diminution de la visibilit des art rioles p riph riques Les signes les plus fiables sont repr sent s par la redistribution vasculaire et la visibilit des art rioles p riph riques L apparition de lignes septales est d ob servation plus inconstante r sistances vasculaires pulmonaires totales Les r sistances vasculaires pulmonaires totales RVPT sont cal
110. le Bien que les essas sur animaux n aent pas r v l des indications d une 10 16 on n uthsera pas du Noctarnad pendant ta grossesse saut autre d cision du m decin Pendant la p riode d allaitement on conseille de ne presente Noctarud que sur endicabon Lr s s v re Mesures de pr caution Apr s utilisation quotidienne prolong e plus de deux semaines le Noctamid ne dor pas tre suspendu brusquement car des insomnres temporairement plus prononc es sont alors possibles On conseille d s lors de mettre fin zu traitement en 0 11 71 la dose progressrvement La capacit de r action conduite de v hicules ou commande de machines peut tre selon te moment de l ingestion la sensibilit individuelle et dose Comme avec d autres produits de ce West possible qu une d pendance apparaisse apr s utiksation prolong e Noctamud ne 004 pas tre donn aux entants En tes sormvuf res ne doivent pas tre utilis s pour une p riode prolong e Les personnes pr sentant une tendance latoxicomanme ne 000 60 pas prendre du Noctamid 3 heu d adapter posologie ndrmduetlement chez les patents souffrant d insufhsance cardio respuratour Interactions Site Noctam d est pris avec des m dicaments s datits centraux eYou avec de d faut s attendre un rentorcement r ciproque des effets Pr sentations 10 et 30 compnm s s cables 1 0 mg octomidL Un sommeil au plus pr s du physiologique drehen
111. le pressant dans cette indication On retiendra enfin qu partir du moment o le traitement est commenc il doit tre prolong entre 12 et 24 mois Les auteurs discutent sur les signes de gu rison qui sont videmment des signes anatomiques de re construction de l os sous chondral En conclusion norme travail qui a le grand avantage de faire un tour general de l histo rique de cette maladie de son d veloppe ment anatomique ainsi que des diff rents criteres etiologiques qui amenent com 76 prendre un peu mieux cette myst rieuse affection l gard de laquelle les indications th rapeutiques se clarifient nettement domi n es par deux tranches d ge avant 5 ans et apr s la tendance actuelle tant de ne pas imposer des conditions d hospitalisation en centres dits sp cialis s dont on sait le grave retentissement sur l volution normale de l enfant J Y DE LA CAFFINI RE CAHIERS D ENSEIGNEMENT D ORTHOPE DIE DE LA SOFCOT No 15 1981 Expansion Scientifique Francaise Ce recueil rassemble les conf rences faites l occasion du congr s de la SOFCOT 1980 et dont 3 sujets int resseront particu li rement le m decin g n raliste le traite ment chirurgical des lombalgies chroniques une tude anatomique et clinique des dys plasies et luxations cong nitales de hanche avant 4 mois et la chirurgie des chondrosar comes des membres inf rieurs et des cein tures I Traitement chirurgical d
112. lement naus es et vomissements Adultes ampoules 1 ampoule 10 mg au besoin 20 mg par voie intra veineuse ou intramusculaire cette dose peut tre administr e 6 fois par jour posologie maximale 1 mg par kg par jour suppositoires adultes 60 n 2 4 par jour vole orale 20 mg 2 comprim s ou 2 m de la solution gouttes a1 3a 4 fois par jour avant les repas et avant le coucher cette dose peut tre dou bl e Enfants ampoules p diatrie 2 mg ml 0 1 0 2 mg milligramme par kg par administration par voie intraveineuse ou intramusculaire au besoin 3 fois par jour posologie maximale 1 mg par kg par Le M JANSSEN PHARMACEUTICA 2340 Beerse vant 3 jour suppositoires b b s jusqu l ge de 2 ans 10 mg 2 4 fois par jour enfants 30 mg 2 4 ans 2 par jour 46 ans 3 par jour plus de 6 ans 4 par jour voie orale 2 gouttes par kg 3 4 fois par our avant les repas et le coucher Remarque Les suppositoires seront de pr ference introduits dans un rectum vide pr sentations 10 ampoules de 2 ml 5 mg par mi 10 mg 10 ampoules p diatrie de 2 ml 2 mg par ml 2 4 mg 30 et 100 comprim s 10 mg 30 et 100 ml de la solution gouttes 1 200 ml de la solu tion orale 0 1 6 suppositoires e adultes 60 mg 6 suppositoires enfants 30 mg 6 suppos
113. lepti schen Reaktionen ausgegangen werden Ein Patient kam als Folge einer Meningoenze phalitis ins Delir Ob die Krampfbereitschaft haupts chlich auf den Entzug oder auf die Meningoenzephalitis zur ckzuf hren war wird nicht entschieden werden k nnen Bei vier Patienten bestenden gesicherte Anf lle bereits zu Beginn des AlkoholmiBbrauchs Lediglich bei einem Patienten fand sich auBer Alkohol keine Noxe Klinisch war die ser Patient im Status epilepticus aufgenom men worden nach Abklingen des lebensbe drohlichen Zustandes bildete sich eine Kor sakow Psychose heraus interkurrent ver starb der Patient wegen des sehr schlechten k rperlichen Allgemeinzustandes Patholo gisch anatomisch fand sich eine Atrophie und Gelbfarbung der Corpora mammillaria im Sinne einer Wernicke Enzephalopathie Tabelle 5 Abbildung 2a und b 3a b und C 4a und b Da h ufig Krampfpotentiale in nur einer der drei EEG Ableitungen gefunden wurden ist es wichtig eine konsequente EEG Durchuntersuchung d h eine Ableitung so wohl bei der Aufnahme als auch nach Ent giftung und nach Schlafentzug durchzuf h ren Anf ngliche Bem hungen die Ausbeu te an pathologischen Befunden durch Flik G Ss 31 E 8 g S E 63 G a 1 LO c z LR c 2 Ern KL a SENILITE det 8 9 Hd pe Sb 21892 ploy un ui pe Sb enby 1010 uloJv 1 10
114. liche Sch den wie Hirnsubstanzdefekte raumfordernde Prozesse Blutungen und einmal sogar eine Entz ndung vor Allgemeine EEG Ver nderungen fanden sich genauso wie Veranderungen im CCT h ufig in der Gruppe mit Anf llen Wollte man diese Befunde anhand dieser Zahlen interpretieren so w rde das meines Erach tens auf Spekulation hinauslaufen auch wenn das Kollektiv gegen ber anderen bis heute publizierten relativ gro ist Da um schriebene Veranderungen im CCT in der Gruppe mit Anf llen haufiger sind als in der ohne Anf lle deutet nur darauf hin da diese zusatzliche sch digende Noxe ein wichtiger Faktor f r das Entstehen von epi leptischen Reaktionen ist Wichtig scheint vor allem auch festzuhal ten da die Tatsache des zerebralen Anfalls bei chronischem Alkoholismus ein Grund sein sollte den Patienten durchzuuntersu chen Die Computertomographie als sehr teure Methode routinem flig anzuwenden wird sicherlich aus wirtschaftlichen Gr n den nicht berall m glich sein Eine EEG Analyse mit mehreren Kurven u a auch unter Provokation nach Schlafentzug mit Ableitung im Schlaf und in der labilen Phase des Wachwerdens sollte zumindest bei sta tionar behandelten Patienten erfolgen Gele gentlich ergibt sich hierbei noch die Indika tion einer antikonvulsiven Therapie BEFACT FORT 250 mg 10 mg 250 mg 20 mcg Flacons de 25 et 100 drag es Indications Polyn vrites d origine toxique en particu
115. lier alcoolique ou cons cutive un traitement par l Isoniazide N vrites algies zona syndrome neuroleptique etc Asth nies myopathies crampes musculaires etc Carence d origine alimentaire ou m dicamenteuse antibiotiques Posologie 1 4 drag es par jour au moment des repas St Anonyme LABORATOIRES S M B rue de la Pastorale 26 28 1080 BRUXELLES 33 4 A Ms H 4 M M uiu e 115 9 2 St 1801 0 5 INS OLE 6 9 9 6 sje 70 I9 ng 1 8 7 uu 017 ww 6 9 wu uiu g eds 6 0 ue1eudsiueuJ81u 80 5 6014015 puis ww Jopo pun 2115 uu 012 ww 6 9 ww G Jeqiuois yaru Se1e nsu i 151 NN BipesByooyu 6 68 8 818661 0 0 6 190 081 8 0 602 10 nn nn ueyepugieA uosiDojoujed s p Gunisinpeio pun epunjeqieuuoN __ E 58 0 6 9 2 0 S 18014915 1210 ww HL 6z OC S S OC Op I ve IND 42 pL LL 01 8 15 ww A 8 2 64 S 9 v 9 L S 95 ZH 925 9z 0 16 96 Lez IHd BipesByooy 6 081 6 6 8 66 0 1190 81 48 dl 001816 7 mm YON YoISIS qav ui puls eyyundgey a ww HL X8PUI E1POUEI89 IND ww jey1ayuaA 6 A uu YUBZ
116. lop pent partir de l hypophyse mais ils peuvent pr senter une croissance para ou suprasel laire Cliniquement l ad nome se manifeste chez le sujet de 30 60 ans soit par l insuffi sance hypophysaire en cas d ad nome chro mophobe soit par l acrom galie en cas d a d nome osinophile beaucoup plus rare S ajoutent des troubles de la vision et des signes de compression du chiasma optique Le scanner montre des tumeurs bien cir conscrites l endroit typique qui sont g n ralement hyperdenses et prennent bien le produit de contraste Les neurinomes Histologiquement il s agit de tumeurs b nignes qui se d veloppent le plus souvent au d pens du nerf acoustique angle ponto c r belleux ou plus rarement au d pens du trijumeau Cliniquement le sujet de 40 a 60 ans est atteint d hypoacousie de vertiges de par sie faciale hypoesth sie trig minale et ult rieurement de troubles c r belleux et de la d glutition La tomodensitom trie met en vidence les tumeurs bien circonscrites localis es au ni veau de l angle ponto c r belleux Souvent elles sont isodenses et n apparaissent qu a pr s injection du produit de contraste qu elles accumulent Si leur taille est plus volumineuse ces tumeurs provoquent un d placement du quatri me ventricule elles peuvent entrainer une hydroc phalie Les m tastases Par ordre de fr quence d croissante les tumeurs suivantes peuvent donner des m tasta
117. ments de 30 et 60 capsules 10 mg Conditionnements de 30 capsules 20 mg FORMULES Piroxicamum 10 mg Lactosum Amy maydis Magnes stearas Natr laurilsulfas Pro ca i i i psula gelatinosa alba Titan dioxyd E 171 F Piroxicamum 20 mg Lactosum Amyl maydis Magnes stearas Natr laurilsulfas Pro capsula gelatinosa alba Titan m E 171 Fem ee i i Marque d pos e de Pfizer Inc New York USA Anf lle bei Alkoholismus CCT Befunde 78 Patienten Befund Anzahl der Patienten prozentualer Anteil GefaBprozesse Mediainfarkt Posteriorinfarkt Hamangiom intracranielle Hamatome traumatische Substanzdefekte Encephalitis Normal oder Hydrocephalus 74 4 Tab 3 Haufigkeit der Hirnatrophie bei 75 Alkoholikern mit Anf llen CCT Befund Anzahl der Patienten prozentualer Anteil 20 076 Hydrocephalus externus 20 0 Hydrocephalus internus Hydrocephalus int et ext 10 0 0 Cerebell re Atrophie 13 3 isoliert mit Hydroceph Tab 4 EEG bei 75 Alkoholikern mit Anf llen Befund Anzahl der Patienten prozentualer Anteil Normal 33 3 Pathologisch 66 6 bei Aufnahme 4 0 nach Entgiftung 4 0 nach Schlafentzug 2 6 bei Aufnahme und nach Entgiftung 17 3 bei Aufnahme und nach Schlafentzug 2 6 nach Entgiftung und nach Schlafentzug 5 3 alle 3 EEG s 30 6 35 SW Komplexe sharp waves und spikes bei Alkoholikern mit Anf llen und Korrelation
118. morphe c est la juxtaposition de zones hyper et hypodenses qui partiellement prennent le contraste Les oligodendrogliomes Tant du point de vue clinique que du point de vue tomodensitom trique les oligoden drogliomes ressemblent souvent aux astro cytomes Comme ceux ci ils prolif rent de fa on infiltrante mais leur croissance est lente et l on consid re ainsi que ce sont des gliomes relativement b nins Leur principal signe distinctif sont des calcifications typi ques qui malheureusement ne se voient dans 4096 des cas Si les calcifications font d faut il est g n ralement impossible de faire la diff rence entre les olidendrogliomes et des astrocytomes Les spongioblastomes Les spongioblastomes appel s aussi as trocytomes pilocytiques en vertu des prolon gements piliformes de leurs cellules se voient surtout lors des deux premi res d cennies Ils ont une croissance lente sont souvent kystiques et se localisent de pr f rence au niveau du cervelet des p don cules des voies optiques et rarement aussi au niveau du lobe temporal Une localisation favorable peut faire esp rer une absence de r cidive apr s extirpation Le scanner donne une image bariol e o alternent des zones hypo iso et hyperdenses des inclusions cystiques et des calcifications En g n ral la partie tumorale solide prend bien le produit de contraste Les ad nomes hypophysaires Les ad nomes hypophysaires se d ve
119. mposites et vascularis s au moyen de la microchirur gie dans les grandes pertes de substance cutan o osseuses IIs utilisent un fragment pr lev au d pens d une aile iliaque et branch sur l art re circonflexe iliaque su perficielle Des sch mas parfaitement clairs expliquent la technique Une autre techni que est utilis e c est celle de pr l vement d un p ron sain muni de son p dicule vasculaire Quelques exemples de succ s sont aussi montr s toutefois les auteurs se montrent r serves l gard de ces indica tions op ratoires qui restent tout de m me en comp tition avec les m thodes plus con ventionnelles de lambeaux jambes crois es cette chirurgie ne pouvant tre propos e que dans des centres ayant un entrainement sp cial l gard de cette chirurgie En conclusion ce recueil est particuli re ment destin aux jeunes chirurgiens ortho p distes en formation mais m rite d tre lu par les pratiquants de la chirurgie g n rale qui rencontrent dans leur pratique quoti dienne ces fractures de jambe et cette lec ture devrait les inciter une grande pru dence dans le maniement du bistouri dans ce genre de l sions consid r es pourtant comme banales J Y De la Caffini re PETITE CHIRURGIE DE LA BOUCHE par Marcel Parant 7 dition 396 pages Expansion Scientifique Francaise 15 rue Saint Benoit Paris 6 Marcel Parant d crit avec beaucoup de d tails relev s par de nombreuses
120. n n en est pas z n n connu sum 07000 en 77 en inflammatoires non st ro des Il a t tabli que le FELDENE piroxicam n agit pas par stimulation de l axe hypoph s renal Le FELDENE piroxicam est facilement absorb apr s administration per os L importance et la rapidit de j absoriion ne sont pas nici es 1 dui administr ieun La demi vie plasmatique est d environ 35 70 heures chez l homme Des taux plasmatiques constants la maintiennent du fauta le i T que le FELDENE piroxicam est administr en une prise quotidienne unique Apr s administration r p t e les taux plasmatiques conti 5 toute la journ e jours pour atteindre alors un point d quilibre qui n est pas d pass si l on poursuit l administration quotidienne la memea inuent croitre pendant 5 Le FELDENE piroxicam est fortement m tabolis et moins de 5 6 de la dose journali re est excr t e sous forme inchang e dans l rine et les f ie m bolique importante est l hydroxylation du noyau pyridyle de la chaine lat rale du FELDENE piroxicam suivie de glycuroconjugaison et Eeer et INDICATIONS Le FELDENE piroxicam est indiqu pour le traitement de l arthrite rhumatoi 5 les sympt mes de la goutte aigu o de l ost oarthrose arthrose d formante la spondylite ankylosante et afin de soulager CONTRE INDICATIONS Le FELDENE piroxicam ne doit pas tre administr aux patients qui auraient pr c demment ifest ibilit 75
121. n von kortikaler und subkortikaler Atro phie Grad und Il in den Gruppen der 40 bis 49 und 50 bis 59j hrigen VVahrend der diffuse Atrophiegrad bei 21 796 der 40 bis 49j hrigen vorliegt steigt die Anzahl bei den 50 bis 59j hrigen auf 53 896 Ein hnlicher Sprung besteht bei der Atrophie Grad l von 7 496 auf 2396 Ein solches Gef lle hatte es bei der Gruppe der Alkoholiker mit Anf llen nicht gegeben Hier hatten sich wie bereits angef hrt die Gruppe der 30 bis 39 40 bis 49 und 50 bis 59j hrigen bez glich der atrophischen Ver nderungen in etwa die Waage gehalten In diesen Gruppen zeich net sich bez glich der atrophischen Ver n derungen eine deutliche Gradienz zu un gunsten der lteren Patienten ab 2 2 2 EEG Befunde Normalbilder bzw Normvarianten fanden sich bei 52 596 28 Patienten 47 5 zeigten pathologische Hirnstrombilder viermal nur nach der Aufnahme einmal nur nach der Entgiftung viermal nur im Schlaf zehnmal nach Aufnahme und Entgiftung sowie neun mal in allen drei Ableitungen Tabelle 8 Insgesamt fand sich 18mal eine Verlang samung des Grundrhythmus 30 676 Die Grundrhythmusverlangsamung war in die ser Gruppe wesentlich st rker an das Vor handensein einer Atrophie gekoppelt als bei den Patienten mit Anf llen Schnelle Fre quenzen ber den vorderen Hirnabschnitten fanden sich bei insgesamt 3296 Auch hier wie bei der anderen Gruppe bestand keine eindeutige Korrelation zu
122. nary venous hyper tension Brit J Radiol 1962 35 303 313 LUPI E DUMONT C TEJADA V M A radiological index of pulmonary arte rial hypertension Chest 1975 68 28 10 11 12 13 14 15 MILNE E N C Physiological interpretation of the plain radiograph in mitral stenosis including a review of criteria for the radiological estimation of pulmonary arterial and ve nous pressures Brit J Radiol 1963 36 902 913 MILNE E N C and CARLSSON E Physiological interpretation of plain ra diograph following mitral valvotomy valvuloplasty and prosthetic replace ment Radiology 1969 92 1201 1210 MILNE E N CH Some new concepts of pulmonary blood flow and volume Radiologic Clinics of N America 1978 XVI 3 515 535 MOORE Ch B KRAUS W L DOCK D S WOODWARD Jr Ed and DEX TER L The relationship betvveen pulmonary ar terial pressure and roentgenographic appearance in mitral stenosis Am Heart J 1959 58 4 576 581 RIGLER L Functional roentgen diagnosis anato mical image physiological interpreta tion Am J Roentgenol Radium Ther Nucl Med 1959 82 1 24 SIMON MI The pulmonary veins in mitral stenosis J Fac Radiol 1958 9 25 SIMON M SASAHARA A A CAN NILLA J Ei The radiology of pulmonary hyperten sion Seminars Roentgen 1967 2 368 388 21 L GENDE DES FIGURES Figure 1 D
123. ndert werden epileptische Anf lle bei Alkoholismus h ufig im Rahmen des Delirs erw hnt 3 5 14 17 Der Begriff der Alkoholepilepsie der Mitte des 19 Jahrhunderts gepr gt wurde wird in der Folgezeit bis heute h ufig ohne genaue Definition generell auf zere brale Anf lle bei Alkoholismus angewandt Die Angaben 27 der Haufigkeit der sog Alkoholepilepsie schwanken zwischen 1 4 und 46 Ein Grund hierf r d rfte sein da einmal von einer unterschiedlichen Definition des Be griffes ausgegangen wird und zum anderen wohl je nach Klinik das Patientengut mehr oder weniger selektiert ist Die einen bezeichnen als Alkoholepilepsie nur ein solches Syndrom das ausschlieflich auf dem Boden eines chronischen Alkohol miBbrauchs ohne zus tzliche andere tiolo gische Faktoren entsteht 8 15 Andere subsummieren darunter diejenigen Patien ten die vielleicht nur einmal oder vereinzelt im Rahmen des absoluten oder relativen Alkoholentzugsyndroms mit pr deliranter oder deliranter Symptomatik zerebrale Krampfanfalle erlitten haben Prim r Epilepsiekranke bei denen ein Al koholmi brauch anfallausl send oder be z glich der Grundkrankheit verschlimmernd wirkt werden ebenfalls unter dem Oberbe griff der Alkoholepilepsie gelegentlich ein geordnet Unter anderen wiesen Wartmann 1897 18 und Bratz 1899 2 darauf hin da es eine Alkoholepilepsie als eigenst ndiges Krankheitsbild nicht gebe M ller Fahlbusch 11 sagt d
124. nfiltr toute la paroi de l intes tin La r p tition du dosage urinaire de l acide 5 H I A a donn des valeurs de 9 1 mg par 24 heures Ce patient n avait pr sent aucun ph no m ne vaso moteur ni aucun trouble gas tro intestinal part le syndrome sub occlusif II devait mourir par troubles m taboliques en rapport avec son tat cachectique TUMEURS CARCINO DES GASTRO INTESTINALES Aspects g n raux II faut remonter jusqu en 1808 pour trou ver la premi re description histologique de la tumeur Le terme carcinoide a t cr seulement 90 ans plus tard pour souligner le caract re biologique faussement b nin de la tumeur par rapport sa morphologie nette ment canc reuse C est seulement entre 1953 et 1954 que le syndrome provoqu par la tumeur carcinoide a t d crit par 3 groupes d auteurs diff rents 4 5 10 Le syndrome de tumeur carcinoide maligne connu aussi comme syndrome de Thorson Bi rck est caract ris par le polymorphisme de ses sympt mes int ressant divers or ganes en m me temps Selon les tudes les plus r centes les sympt mes sont provo qu s par la s rotonine 8 qui est synth tis e de fa on autonome par la tumeur partir du tryptophane alimentaire mais galement par d autres substances tels le 5 hydroxy tryptophane la kallikr ine l histamine et parfois 3 Ces derni res subs tances sont toujours produites par la m me tumeur et ont des actions
125. nn es de laboratoire au d part h moglobine 3 2 g 100 mi h matocrite 10 r ticulocytes inf rieurs 1 25 neutrophiles inf 200 mm plaquettes inf 15 000 mm groupes sanguins A CcDee MN kk JK JK5 Fy3Fy3 Lu HLA A1 B14 B18 HB virus n gatif Un pr l vement de 1 200 ml de moelle fut pratiqu selon la technique de D Thomas et al Seattle 3 aupr s d un fr re HLA et ABO identique h t rozygote pour le groupe san guin Duffy et rh sus n gatif ces deux der ni res diff rences servant de marqueurs du greffon la culture lymphocytaire mixte don neur receveur tant compatible La pr pa ration du receveur consista en une ex traction compl te de toutes les dents dont l tat aurait constitu un foyer septique per manent Dans l intervalle un traitement au lithium a t sans effet La r action h te contre greffe fut supprim e par un traite ment d Endoxan 50 mg kg jour pendant 4 jours 3x10 cellules nucl es kg partir du donneur furent administr es La r action greffe contre h te fut contr l e par du Me thotrexate pendant trois mois apr s la greffe comme d crit 4 Pendant les 3 semaines qui suivirent la greffe un traitement pr ven tif et symptomatique de la thrombop nie fut effectu par des plaquettes pr lev es aupr s du donneur par cytoph r se cryopr ser v es et administr es la demande Tout sang transfus fut irradi Le patient tait isol et des ant
126. nner et de la confiance qu il inspire aux m decins trai tants Les affections suivantes peuvent tre difficilement discern es des tumeurs les infarctus les h morragies les malforma tions vasculaires les abc s les kystes les granulomes L infarctus se traduit d ordinaire par une zone hypodense triangulaire Au stade initial cependant l oed me situ l int rieur de l infarctus peut lui conf rer un caract re expansif avec compression ventriculaire A 55 ce stade il peut s av rer impossible de faire la diff rence avec un astrocytome En g n ral des contr les volutifs permettent de trancher tant donn que l infarctus dimi nue de taille se d limite et perd en densit alors que l astrocytome grandit L h morragie intrac r brale se traduit g n ralement par des zones circonscrites de densit accrue de facon homog ne Les propri t s expansives de l h matome provoquent une compression et une d via tion des cavit s ventriculaires Parfois la diff rence avec un m ningiome ou une h morragie intratumorale peut pr senter des difficult s L encore le contr le volutif montrant une diminution de densit et de taille permet d identifier l h matome Les malformations vasculaires Les an vrismes sont g n ralement situ s pr s de la base cu cr ne et montrent un aspect arrondi circonscrit partiellement calcifi prenant intens ment le produit de contraste Occasionnellement ils
127. noffensive SIGNES TOMODENSITOM TRIQUES DES TUMEURS C R BRALES On note essentiellement trois signes ca ract ristiques des tumeurs 1 Le foyer circonscrit densit modifi e 2 L oed me p ritumoral 3 Les signes indirects des processus ex pansifs Le foyer circonscrit densit modifi e Par rapport la radiologie classique le scanner se distingue par sa grande d fini tion de contraste Des diff rences minimes de densit qui chappent au radio diagnos tic conventionnel sont visualis es par la tomodensito metrie La texture histologique et la composition chimique des tumeurs produisent une ab sorption des rayons differente de celle du tissu cerebral normal Si la densite de la tumeur est accrue par rapport au tissu cerebral normal le scanner montre une plage blanche 52 Si par contre la densite tumorale est tres faible le scanner la traduit par une zone plus foncee que le tissu normal Dans les rares cas o la tumeur presente la m me densite que le tissu avoisinant le diagnostic peut tre difficile Suivant leur densit on distingue ainsi des tumeurs hy per iso ou hyperdenses Du point de vue histologique de nom breuses tumeurs pr sentent un espace ex tracellulaire plus d velopp que le tissu c r bral normal Cet espace extracellulaire comprend l espace intravasculaire et l es pace interstitiel dans lesquels se r pand le produit de contraste tri iod inject par
128. ns l art re pulmonaire sans tenir compte du m canisme qui est la base de l hypertension art rielle pulmo naire mais en observant les variations de calibre au niveau de l art re pulmonaire et de ses premi res divisions l largisse ment et la morphologie des branches p riph riques ainsi que la redistribution du flux vasculaire associ e aux signes de congestion interstitielle Les crit res l mentaires crit res de GOODWIN ne tenant compte que des modifications portant sur les grosses branches de division de l art re pulmo naire trouvent d j une corr lation tr s acceptable pour diff rencier des pres sions peu lev es inf rieures 40 mmHg de pressions moyennement le v es 40 60 mmHg En revanche comme ces crit res ne tiennent compte ni des changements p riph riques ni de la redistribution vas culaire il est difficile d appr cier des valeurs de pression peu lev es et des pressions sup rieures 60 mmHg quand la distensibilit des art res pulmonaires principales a atteint sa limite Des crit res plus d taill s tenant compte des variations morphologiques aussi bien au niveau des vaisseaux centraux que p riph riques et de la redistribution vasculaire permettent d tablir une ap 7 plus correcte des valeurs mesu r es Ainsi les corr lations les plus pr cises ont t retrouv es soit pour affirmer la pr sence de valeurs sub normales ou tr s peu lev es dans 8096 des
129. nsversale d environ 1 cm et en aval du cr ne un syst me sensible de d tecteurs mesure les diff rences d absorption de ce faisceau Pendant l exa men l ensemble form par le tube radiog ne et les d tecteurs fait une rotation de 360 autour de la tranche c r brale de facon telle que les diff rentes parties de la tranche sont explor es dans toutes les dimensions Pen dant ce mouvement de rotation les d tecteurs enregis trent de nombreuses mesures d absorption p ex 128 000 mesures unitaires qui permettent l ordinateur de calcu ler gr ce un logarithme compliqu la r partition des 51 densit s l int rieur de la tranche de section choisie L ordinateur traduit ces mesures par une image axiale compos e d une gra dation de diff rentes nuances grises En r gle g n rale l examen complet du cerveau r unit 8 coupes tomodensitom tri ques adjacentes parall les la ligne orbito m atale Souvent on r p te cet examen apr s in iection intraveineuse de produit de con traste p ex 1 ml de Conray par kg de poids pour mieux mettre en vidence des struc tures pathologiques Les nouveaux scan ners de la troisi me g n ration permettent de r aliser une coupe en peu de secondes de facon que l examen complet du crane se r alise en un quart d heure Remarquons par ailleurs que si on renonce l injection de produit opaque la tomodensitom trie repr sente une m thode radiologique tout fait i
130. nts trait s par le nes Les tudes in vitro coumarine et par d autres m dications fortement li es aux prot ines afin de modifier ventuellement la posologie requise du FELDENE 5 anticoagulants du type Il ressort des tudes r alis es chez l homme que contrairement beaucoup d autres anti inflammatoires non st roides le FELDENE piroxi x tamment avec l aspirine ne modifie les taux sanguins th rapeutiques d aucun des deux compos s icam administr concomi POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Arthrite rhumatoide ob et spondylite ankylosante La posologie initiale recommand e est de 10 20 mg en une seule prise par jour Pour la plupart des patients ceci constitue Certains peuvent n cessiter jusqu 30 mg par jour en une prise unique ou fractionn e L administration au long cours de 2 bonne dose d entretien augmentation du risque d effets secondaires gastro intestinaux perieures 30 mg entra ne une Goutte aigu 4 424 La posologie sera de 40 mg le premier jour puis de 40 mg par jour pendant 4 6 jours en prise qu tidienne fractionn s onn e EE l pour le traitement long terme de la goutte L administration de cette posologie lev e doit tre aussi courte que 2755 d r ee eg 5 7 cette dose CONSERVATION Conserv es temp rature ordinaire les capsules de FELDENE gardent leur activit jusqu la date indiqu e sur le conditionnement PRESENTATIONS Conditionne
131. obulin with or without marrow infusion Clin Haematol 7 611 1978 Les asthmatiques allergiques aux pollens NW aa le nouveau traitement pr ventif oral de l asthme deux capsules par jour existe aussi sous forme de sirop pour enfants admis par les Caisses maladie ition formations Le traitement prolong par le ZADITEN am ne une Composition 7 Pour a autres inform diminution de la fr quence de l intensit et de la PE s g wok le Compendi en dur e des crises d asthme d origine allergique resentation 30 100 capsules 1 mg arfois m me leur suppression 100 ml de sirop 0 2 mg ml Salvia Werk Homburg Saar est sp cialis e pour ist f r Lieferungen von la fourniture de solut s Infusionsl sungen perfusion et spezialisiert und pr sente aussi une bietet auch ein komplettes gamme compl te pour la Programm f r die h modialyse H modialyse L alimentation Parenterale parent rale Ern hrung avec mit SALVIAMIN LX 4 10 SALVIAMIN L o K H 4 10 sans glucides ohne Kohlenhydrate plus Kalorische Elektrolytl sung Salvia G 12 G 24 GLX 24 Kalorische L sung LGX 40 Salvia Salviamin OP 1500 2000 solut complet Komplettl sung Pour toute information F r jegliche Information adressez vous wenden Sie sich an Salvia Werk GmbH Postfach 1655 FabrikstraBe 51 D 6650 HOMBURG SAAR Telefon 06841 7030 Telex 044608 Schmerzpa
132. oc Sci M d p 5 1982 Introduction L an mie aplastique peut prendre deux formes mod ree ou grave et le traitement de choix de cette derni re forme chez l enfant et chez l adulte jeune est la transplan tation de moelle 1 Divers indices de gravit permettent de pr dire le groupe de patients mauvais pronostic et dont la mortalit 4 mois est de 9096 ou plus 2 C est l les patients qui en premier lieu peuvent b n ficier d une greffe Comme les indications de greffe de moelle pour d autres entit s cliniques sont en train de s largir et que souvent pour des raisons conomiques les quipes de transplantation sont r duites les listes d attente sont souvent longues et tous les malades transplantables ne sont pas greff s Si les possibilit s de greffe partir de donneurs seulement partiellement identiques se confir ment le nombre de malades transplantables s largit et ce probl me risque de s aggraver davantage Apr s avoir pratiqu un certain nombre de greffes dans d autres situations tumeurs solides leuc mies aigues A un patient avec un donneur HLA identique n ayant pu tre pris par les centres correspondants nous nous sommes d cid s proc der une greffe pour aplasie m dullaire grave Patient et m thode un jeune homme de 20 ans nous a t adress pour pancytop nie avec h morragies et infec tion Plusieurs biopsies m dullaires confim rent une apla sie pratiquement totale Do
133. omprim s N cyclohexyl N methyl 2 amino 3 5 dibromobenzyl amine bromhexin hydrochlorid 8 mg lact amyl gelatin magnes stearas pro compr uno S Solution N cyclohexyl N methy 2 amino 3 5 dibromobenzy amine bromhexin hydrochlorid 0 2 g acid tartaric methyl p oxybenzoas aqua purific ad 100 g n v Boehringer Ingelheim s a D 20 rue du Coll ge St Michel 17 1150 Bruxelles 298 8 frz Tab 8 EEG Befunde bei 59 Alkoholikern ohne Anfalle Anzahl der Patienten prozentualer Anteil Pathologisch OOOO P co Insgesamt bei Aufnahme nach Entgiftung Schlaf EEG bei Aufnahme und nach Entgiftung bei Aufnahme und Schlaf EEG nach Entgiftung und Schlaf EEG in allen 3 Ableitungen 37 Literaturverzeichnis 1 Avdaloff W Cerebral atrophy and alco hol withdrawel epilepsy A clinical and computertomographic study In Mei nardi H Rowan A J Advances in Epi leptology Swetz und Zeitlinger Amster dam 1977 2 Bratz D Alkohol und Epilepsie Allg Z f Psychiat 56 1899 334 3 Drouet J Ann med psychol 12 1875 193 4 Galle P zitiert nach 16 5 Jakobson D E Allg Z f Psychiat 54 1897 221 6 Klupp M Zerebrale Krampfanfalle bei chronischem Alkoholismus Fortschr Med 98 1980 1777 7 Koufen H Klinische und EEG Untersu chung zum Problem der sogenannten Alkoholepilepsie Nervenarzt 51 1980 100 8 K ffner VV
134. onaires font tat de s ries homog nes de valvulopathies mitrales 3 4 6 9 12 14 ou d hypertensions art rielles primitives par exemple 5 Tous introduisent de nombreu ses mesures et index rendant la lecture des clich s longue et on reuse 2 5 8 Nous avons voulu souligner l importance de quelques signes l mentaires qui lors qu ils sont interpretes de fa on concomitan te permettent d tablir facilement des d ductions valables sur les pressions art riel les pulmonaires capillaires et sur les r sis tances vasculaires totales quelque soit la nature des l sions causales IL MATERIEL ET METHODE Pour cette tude r trospective une s rie suivie de 45 malades non s lectionn s dont 18 femmes et 27 hommes porteurs d affec tions cardio pulmonaires diverses est re tenue L ge varie entre 20 et 72 ans 6296 des patients ont entre 45 et 65 ans Chez tous les malades un cath t risme cardiaque droit est pratiqu avec enregistre ment des pressions dans les cavit s cardia ques droites Chez 39 malades les pressions art rielles capillaires sont obtenues Pour 23 malades le d bit cardiaque est d termin par la m thode de thermodilu tion Une radiographie de face et de profil est r alis e chez l ensemble des malades pour 33 d entre eux dans la m me semaine que le cath t risme pour 7 d entre eux dans les quinze jours avant ou apr s le cath t risme Pour 5 malades porteurs d une
135. onaires p riph riques 69 95 mmHg Criteres de MOORE et Col La pression moyenne dans l art re pulmonaire est estim e par le rapport Q de l A P x 100 Vo transverse max du thorax Crit res de MILNE Art re pulmo A P Det G Divisions lo Branches de P max de l art naire baires et seg division p ri re pulmonaire mentaires ph riques mmHg Discretement discretement 40 largies largies mod r ment largies aux 40 60 largies apex r tr cies aux bases largies normales ou largies largies de fa largies normales ou r tr cies aux con mod r e r tr cies Sommets et ou marqu e aux bases r tr cies apex clairs r tr cies bases claires normales ou r tr cies largies de fa con tr s mar qu e Tableau 1 Tableau synoptique des crit res utilis s par les diff rents auteurs pour la d termina tion des pressions art rielles pulmonaires 16 isch mie c r brale ou p riph rique Indications Insuffisances art rielles p riph rique et c r brale Elfets secondaires OCTAMET est d nu de toxicit et est bien tol r Pr cautions On vitera la prescription du m dicament durant la grossesse bien qu exp rimentalement l OCTAMET soit d pourvu d action t ratog ne ny a pas d inconv nient adminstrer l OCTAMET des patients soumis un traitement par anticoagul
136. ondylolisth sis dont un expos des diff rentes variantes anatomiques est fait L auteur expose tr s clairement le traite ment non op ratoire par corset et sa ma ni re de le r aliser propos pour la lordose douloureuse qui suffit dans les glissements peu importants Par contre dans les formes douloureuses et avec glissement important l auteur a r a lis quelques r ductions au moyen d une intervention dans la plupart des cas par voie post rieure au moyen d un mat riel d riv de celui de Harrington Article pour sp cialistes J Y De la Caffini re Luxembourg CAHIER D ENSEIGNEMENT DE LA SOFCOT N 14 EXPANSION SCIENTIFIQUE FRANCAISE 1981 Traitement des fractures r centes de jambe Il s agit d une s rie de conf rences expo sant les diff rents proc d s utilis s actuelle ment l gard d une fracture qui pose en core de nombreux probl mes et dont la gu rison n est pas obtenue toujours tous coups au premier traitement Le premier expos par E TROJAN est un long plaidoyer de l auteur autrichien l gard du traitement orthop dique Les frac tures stables sont trait es par r duction et pl tre On d crit avec une grande pr cision la m thode De m me pour les fractures instables l auteur traite celles ci par traction avec un clou trans calcan en Les patients sont ainsi install s sous surveillance pen dant 3 semaines apr s quoi un pl tre est mis en place De cette fa
137. ont la dur e n exc do pas quelques minutes t T valus Bien quo l hypertonston accompagn o d insuftisanco r nale no constituo pas uno contre indication l admintstration du Cetaprossan il ost cependant indiqu do procidor 58 90 amp par tion de la fonction r nale Exceptionnellement dens ce ces on poul observer l apparition d un exanth me D une mani ro g n rale l limination du Cataprossan a oxorcant raison do 60 P vole r nato la survaillanco devra tre d autant plus attentive quo ta fonction r nate est d prim s Le Catspressan diminuant 5 fr quence cardiaque sera administr avec pr caution aux patients pr sontant uno bradycardio s v ro Comme l exige toute m dication hypotensive le traitement des hyportondus porteurs do graves l sions vascutalros c r bralos doit commonc par dos doses minimos ranima Les trois premiers mois do ta grossesse constituent une contre indication de principo bien que l on n aia pas rolov d affots t ratog nos choz animal Par atllours eher on a mis en vidonco un passage de la clonidine dans te lait maternel Interaction L usage concomitant d autros hypotenssurs tois que diur tiques vasodilstateurs ou gangliopl giques accroit l effet du Catapressan Par contre les agents alphsiytiquss 1014 quo la tolazolino abolissont fection du Cataprossan L edministrstion concomitante d antid prosseurs tricycliques diminue l action hypotensive du Catapr
138. opri au traite ment court et long terme M TUN NN 4 ANM 7 Y 001 0 2 i F SCH m M n 08 ze BE D Ze id Ma Mm Se k r 0 er 3 510 is IE 4i b 01 e Id MES P mg 20 d 30 CA SULES PF 412 E ER N V BRUXELLES BRUSSEL b 2 77 AN i TA TR vg 4 E Ki A 1 CH Habituellement 20 mg en une seule prise par jour dans l arthrose la polyarthrite rhumato de et la spondylarthrite ankylosante f voir informations scientifiques au verso INFORMATIONS SCIENTIFIQUES CAPSULES Le FELDENE marque du piroxicam fait partie d une imi anti i i 1 2 dioxyde de 1 2 benzothia 7 p nouvelle classe chimique d anti inflammatoires non st roides les carboxamides N h t rocycliques du piroxicam est un compos amphot re L absorption dans l ultraviolet mesur e Gurt omt par spectrophotom trie dans un solvant co 2 oe que le piroxicam pr sente un proton l g rement acide en OH 4 pK 5 1 et un radical N pyridyle faiblement basic et r 1 Sa 7 orme d un solide cristallin blanch tre faiblement soluble dans l eau les acides dilu s et la plupart des solvants organiques OH o N N N S cu O FELDENE piroxicam ACTION Le FELDENE piroxicam est un anti inflammatoire non st ro de poss dant des i t iacit prostaglandines Le m canisme d actio
139. osynth se est r ali s e gr ce un syst me un petit peu compli qu et probablement tr s on reux On ne peut s emp cher de rappeler que le pl tre compl mentaire constitue un excellent moyen de bloquer la rotation mais est insuf fisant quant viter le t lescopage du foyer tibial on est tonn que les auteurs ne profitent pas de l enseignement exprim dans l article pr c dent pour ost osynth ser le p ron dans ces circonstances particu li res Classification des fractures ouvertes J DUPARC et D HUTEN II s agit d un r per toire de toutes les cat gories de l sions cutan es et osseuses afin d aboutir une classification en 3 cat gories de l sions cutan es et osseuses qui am nent les au teurs proposer des choix th rapeutiques compte tenu de cette classification est certain que cette classification rend service mais que les cat gories interm diaires sont il faut bien le dire fonction de la capacit des chirurgiens identifier et imaginer ce quen particulier une l sion cutan e peut devenir ce qui fait que cette cat gorie peut tre consid r e d une certaine mani re comme un peu artificielle Traitement des fractures ouvertes par fixa teur externe par l quipe de Montpellier Le fixateur externe de Hoffmann qui existe depuis plus d un demi si cle a vu son usage se d velopper ces derni res ann es gr ce l cole de Montpellier qui gr ce une tude th orique et p
140. ou gales 50 mmHg 31 cas et en admettant une pr cision de 10 mmHg la concor dance est not e dans 24 cas 77 en consid rant les valeurs de pres sion inf rieures ou gales 50 mmHg 31 cas mais en acceptant une pr cision gale 15 mmHg la concordance s tablit avec les donn es du cath t risme dans 25 cas 80 d Les criteres de MILNE Tableau 1 permettent d observer les concor dances suivantes entre les valeurs de pression estim es et mesur es dans l art re pulmonaire pour 27 cas Ta bleau 3 Appr ciation de la pression art rielle capillaire maxima 39 cas Dans 39 cas la pression art rielle capil laire est mesur e lors du cath t risme cardiaque En estimant la pression art rielle capil laire suivant les crit res nonc s ci des sus on peut tablir les corr lations sui vantes avec les pressions mesur es Ta bleau 4 Des r sultats concordants sont obtenus en moyenne dans 76 des cas en admet tant une pr cision gale 3 mmHg Appr ciation des r sistances vascu laires pulmonaires totales RVPT Chez 24 malades les mesures calcul es de la RVPT sont compar es aux valeurs estim es en fonction des signes radiogra phiques num r s ci dessus Le tableau suivant Tableau 5 r sume la r partition des r sultats concordants 12 IV DISCUSSION a pression art rielle pulmonaire II est possible de pr dire les valeurs des pressions da
141. peuvent tre confondus avec des m ningiomes de la base respectivement avec des neurinomes Les angiomes se voient tous les niveaux du cerveau et se distinguent par l intense impr gnation par le produit de contraste G n ralement l angiographie permet de faire une diff rence nette entre malforma tion vasculaire et tumeur Afin d viter les confusions entre tumeurs et malformations vasculaires le bilan pr op ratoire doit com prendre l angiographie en cas de suspicion tomodensitom trique de tumeur Les abc s pr sentent une zone hypo dense entour e d un d p t annulaire de produit de contraste Pour cette raison ils peuvent tre confondus avec les glioblas 96 tomes Si les param tres cliniques sont en d faut ce n est souvent que l op ration qui r v le le diagnostic d finitif Les granulomes tuberculose syphilis sarcoidose pr sentent des zones circons crites hypo et hyperdenses G n ralement le scanner n arrive pas les diff rencier des tumeurs Les kystes Les kystes arachnoidiens se localisent surtout au niveau des citernes et en avant du lobe temporal II s agit de grands foyers paroi nette ayant la densit du LCR 15 peuvent d vier et comprimer le cerveau En g n ral la tomodensitom trie les iden tifie ais ment Quelques difficult s peuvent surgir mais rarement diff rencier les kystes des pidermoides des dermoides ou des gliomes n cros s R SUM De nos jours
142. phische Befunde In dieser Gruppe fanden sich insgesamt vier Patienten mit traumatisch bedingten intracraniellen Blutungen zweimal lag ein Media Infarkt vor Tabelle 6 Bei den brigen 57 Alkoholikern fanden sich im CCT Normalbefunde bei 16 Patien ten ein isolierter Hydrozephalus ext bei 7 ein isolierter Hydrozephalus int bei 10 eine kombinierte kortikale und subkortikale Atro phie bei 24 Patienten Auffallend war die hohe Anzahl atrophischer Ver nderungen des Cerebellums sowohl isoliert d h ohne Veranderungen an den GroBhirnhemispha ren als auch in Kombination mit einem Hydrozephalus Auffallend war auch die Haufigkeit der Arachnoidalzysten im Bereich der hinteren Sch delgrube wahrscheinlich ein Zufallsbefund ohne klinische Bedeu tung Tabelle 7 Genau wie bei der Gruppe mit Anf llen wird das gr Bte Kontingent der Patienten von den 40 bis 49j hrigen gestellt Insge samt ist die Anzahl der normalen CCT Befunde gr Ber als in der Gruppe mit Anf l len In Bezug auf die jeweilige Anzahl der Patienten in diversen Altersgruppen werden am meisten Normalbefunde in der Gruppe der 20 bis 29j hrigen gefunden w hrend in den Gruppen der 30 bis 39j hrigen und 40 bis 49j hrigen die Normalbefunde wieder um bezogen auf die jeweilige Anzahl der Patienten in diesen verschiedenen Gruppen sich die Waage halten Hervorgehoben wer den mu das starke Gef lle an pathologi schen Befunden insbesondere der Kombi natio
143. premier tomps quo los 50 y de son noyau non onrob avant la lib ration progrossivo dos 200 y restants ta Pertonguotto ost bien tot r o Uno dose et eg Cata nistr e une fois par jour suffit amp contr ler ta pression sanguine d uno mani ra satisfaisante pendant 24 houros choz ta msjortt dos pationts souffrant d uno hypartonsion faible mod r e Lo pressan Perionguotics peut do co fait tr pris soit lo malin soit ie soir allo Dans les hypertensions plus s v ros colto dose pout tre accruo Ello peut atteindro cas ch ant 4 Perlongueltes par 24 houres r parties an doux administrations 12 houros Les Perlonguettes doivent tre sval es en entier sans tro croqu es do pr f renco avec un pau do liquido 1 si la 0 Pour la poursuite d un traitement d j commenc avec l administration des comprim s do Catapressan on pout ais mont passer l administration de Perlonguoitos sau At suffi journali re d entretien est inf rieure 1 comprim r partie en plusieurs prises Si la posologie tait do 1 2 comprim s par jour uno Perlonguotto g n ralema sente Si otlo 6 do 3 4 comprim s per jour deux Pertonguettos seront habituellement suffisantes 12 heures ampoulss Sur malade en position allong o injection sous cuten e intra musculaire ou encore intraveineuse tr s tento administre En administration intraveineuse do Catapressan doit tre dilu e avec a
144. qu sip ki sajeydes uonenjue2o0y eJquioN LdAH Sep uoieuuse anod snu i s ubis s p 3110118 01 1 se eides 7 jennsJejurnoj4 3118 0958 01 deo d e ep 8 88 anod snuejaJ souBis sap 2116116 6 18931081 s nbu ud 119d seJieuouJ 2 8 80 seo 1 1 uonnquisipeu 2118 1 082 HE 018 20 BIBLIOGRAPHIE CARMICHEAL J H E JULIAN D GI JONES G Pi Radiological signs in pulmonary hyper tension Brit J Radiol 1954 27 393 CHANG C H 4 The normal roentgenographic measure ment of the right descending pulmonary artery in 1085 cases Am J Roentgenol 1962 87 929 GOODWIN J F HUNTER J D CLE LAND W P DAVIES L G and STEI NER R E Mitral valve disease and mitral valvo tomy Brit Med J 1955 2 573 585 JOHNSON P M WOOD E H PA STERNACK B S and JONES M Roentgen evaluation of pulmonary arte rial pressure in mitral stenosis Radiology 1961 76 741 747 KANEMOTO N FURUYA H ETOH T SASAMOTO H MATSUYAMA S Chest roentgenograms in primary pul monary hypertension Chest 1979 76 1 45 49 KURTZMAN R S Acquired lesions of mitral valve plain film analysis Seminars Roentgenol 1979 XIV 2 131 143 LAVENDER J P UA SHAWDON H and STEINER R E The hilum in pulmo
145. r mer ses lecteurs qu aux USA il existe une sp cialit Minor Oral Surgery je m em presse de lui rappeler que cette sp cialit s appelait Oral Surgery sans distinction entre Minor et Major et depuis 1978 elle s appelle Oral and Maxillo Facial Surgery 81 Ce livre qui ne contient pas des descrip tions originales et nouvelles peut tre re command aux tudiants qui veulent avoir une bonne description step by step des interventions courantes de la bouche Dr Georges Kayser Luxembourg L ANGIOGRAPHIE DE L ATH ROME par J D Picard avec la participation de L Orcel et G Frija Expansion Scientifique Francaise 1981 Le num ro 20 des Monographies de Ra diologie consacr l Angiographie de l A th rome d taille sur 144 pages et dans 275 illustrations les aspects angiographiques des l sions art rielles ath romateuses La structuration de cette monographie est di dactique Une place suffisante est accord e aux consid rations histologiques des l sions qui soustendent les images radiogra phiques L auteur insiste Sur les principes techniques de l angiographie ses indica tions et contre indications ainsi que sur les complications observ es en radiologie vas culaire Les images ath romateuses de tous les territoires art riels sont envisag es y compris les art res destin e enc phalique et la circulation coronaire Les diagnostics diff rentiels voqu s devant les images an giographiques
146. ratique a amen ce syst me tre consid r comme un v ritable moyen d ost osynth se gr ce un syst me en ca dre et une implantation scientifique des fiches Les auteurs insistent beaucoup sur les conditions de prise en charge au d part en particulier l importance du parage vis vis de ces fractures ouvertes l gard des quelles le syst me est utilis avant tout dans les fractures instables et particuli rement dans celles que l on laissera ouvertes La greffe inter tibio peroniere est utilis e assez pr coc ment en cas de potentiel volutif de non consolidation fixateur en place Fractures chez l enfant J G POUS A DIMEGLIO J TROUILLAS Il s agit du rappel mais qui m rite d tre fait de l incontesta ble r le iatrog ne de la th rapeutique op ra toire dans les fractures de jambe de l enfant interventions chirurgicales qui peuvent me ner la v ritable catastrophe comme le montrent un certain nombre d exemples Bien s r le traitement orthop dique mal appliqu n est pas non plus indemne de critiques Cet article m rite d tre relu par les praticiens de la chirurgie orthop dique afin de se rappeler la grande prudence qu il faut avoir l gard de ces tibias en p riode de croissance Traitement des pertes de substance os seuse par transferts libres en micro chirur gie MELKA BUSCAYRET VIDAL Les au teurs rappellent la place occup e ces der ni res ann es par ces transferts co
147. ri cule et provoquant un blocage des trous de Monroe M ningiome sph noidal Notez la compression de la corne frontale gauche et la r gion tumorale l g rement hyperdense s injectant intens ment apr s contraste o l on note un petit foyer kystique M ningiome du dos sellaire Tumeur pr sentant des bords nets d velopp e au d pens de la limite ant rieure de la tente et s tendant dans la r gion suprasellaire La tumeur prend intens ment le contraste M ningiome frontal avec hyperostose localis e Glioblastome en papillon du corps calleux avec compression et d viation du ventricule hydroc phalie gauche localis e L important blush apr s produit de contraste met en vidence quelques zones de n crose Glioblastome occipital Malade trait en juillet 78 pour h morragie massive L volution ult rieure montre en octrobre 78 que l h matome avait t caus par une h morragie de glioblastome qui d vie le plexus choroide vers l avant comprime le ventricule lat ral gauche et d vie la ligne m diane vers la droite L injection de produit de contraste permet d identifier des zones n crotiques Cette tumeur infiltrant les noyaux gris est inop rable Astrocytome anaplasique Petit foyer hypodense c t de la corne frontale droite d formant l g rement le ventricule Blush intense apr s produit de contraste Petit ad nome chromaphobe de l hypophyse Notez le comblement de la citerne basale et l op
148. ross neurosurgical 1976 pathology Berlin Springer 1975 59 Figure Figure l 60 Figure Ill vi A 307 1006 0 ch Figure IV 13 Figure V 61 62 Figure VI NETE TS 41 R au KEN T 7 n Figure VIII Gaviscon GAVISCON Comprim s poudre suspension buvable liquide Gaviscon a t concu pour le traitement du reflux gastro cesophagien Il agit m caniquement par formation d une mousse protectrice qui flotte sur le contenu gastrique offrant une barri re physique entre le suc gastrique acide et le tiers inf rieur de l sophage Pris apr s le repas Gaviscon maintient son activit anti reflux pendant plusieurs heures supprimant la fois la douleur r trosternale et la sensation de br lure Les composants antacides protegent la region muqueuse du cardia et le tiers inf rieur de Gaviscon soulage les sensations douloureuses cons cutives au reflux des sucs gastriques et biliaires dans l oesophage Dans des cas s v res le gel peut refluer dans l oesophage ou il prot ge la muqueuse enflamm e ce qui facilite la gu rison INDICATIONS Traitement symptomatique de la dyspepsie associ e au reflux gastro cesophagien a la hernie hiatale la r gurgitation et tout cas de trouble pigastrique et retrosternal provoqu par le reflux gastrique Pyrosis e a pendant la grossesse EFFETS SECONDAIRES Aucun
149. s on retiendra sur tout l ost ochondrite du petit enfant ou ma ladie de MEYER qui intervient dans la petite enfance mais dont le pronostic est toujours favorable Un long chapitre de diagnostic diff rentiel permet de passer en revue les erreurs dia gnostiques ventuelles ne pas faire mais en r alit il s agit beaucoup plus d une discussion sur la filiation entre l ost ochon drite et les autres affections et on notera particuli rement la discussion concernant les ost ochondrodysplasies puisqu un fac teur g n tique est probablement pr sent dans le d veloppement d une ost ochon drite En ce qui concerne le traitement toutes les m thodes th rapeutiques sont d velopp es en d tail mais les auteurs insistent particu li rement sur l importance du contexte so cial et familial qui doit intervenir dans la pose des indications th rapeutiques et no tamment une poque o l on essaye de diminuer au maximum les hospitalisations en centres sp cialis s C est la raison de la place importante des orth ses principale ment d origine am ricaine qui permettent l enfant de se d placer la hanche plac e en abduction en charge ou non Les diff rentes interventions chirurgicales propos es sont d crites avec beaucoup de pr cision et en particulier leurs avantages et leurs inconv nients L ost otomie f morale 75 de r axation a la place principale elle peut tre associ e dans certains cas une ost o
150. ses c r brales le cancer bronchique le cancer mammaire l hypern phrome le m lanome Les m tastases souvent multiples se voient dans les r gions sous et sustento rielles L image tomodensitom trique de pe tites tumeurs pr sentant un important oe deme p rofocal est evocatrice de m tastase Par ailleurs les m tastases peuvent avoir des aspects tr s variables pouvant simuler toutes les autres tumeurs c r brales Les localisations multiples sont en faveur d une m tastase la multiplicit d autres tumeurs comme les glioblastomes tant rarissime La nature m tastatique d une tumeur c r brale solitaire devra tre envisag e chez un ma lade porteur d un cancer primaire extrac r bral connu potentiel neurotrope Les tu meurs c r brales rares ne permettent en g n ral pas de diagnostic histologique pr op ratoire Le tableau reprend cepen dant quelques criteres cliniques et tomo densitom triques pouvant donner des indi cations dans ces cas DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL DES TUMEURS CEREBRALES PAR TOMODENSITOMETRIE Des processus intrac r braux non tumo raux peuvent simuler l aspect tomodensito m trique des tumeurs ll importe donc avant de poser le diagnostic tomodensitom trique de tumeur d avoir limin des l sions non tumorales afin d viter de faux gestes th ra peutiques lourds de cons quences Ceci est d autant plus important du fait de la grande fiabilit diagnostique du sca
151. t usage syst mique de mani re objective sans in fluence commerciale de toute une s rie de produits prescrits couramment et dont l uti lit est des plus douteuses Enfin des r f rences bibliographiques choisies permet tent aux lecteurs int ress s de trouver dans la litt rature courante des compl ments d information M DICATO Luxembourg Ost ochondrite primitive de la hanche R Kohler et R Seringe Cahiers d enseigne ment de la SOFCOT N 16 1981 Expansion Scientifique Francaise La maladie de Legg Perthes Calv ou ost o chondrite de la hanche est une affection de l appareil moteur de l enfance qui par bien des c t s reste myst rieuse Le m rite des auteurs est d avoir entrepris un travail consid rable et exhaustif permet tant aujourd hui une mise au point sur tous les aspects de cette maladie et commen cer par les donn es de base on trouvera dans ce recueil tout particulierement toutes les consid rations anatomiques et anatomo pathologiques concernant la vascularisation de la t te f morale durant toute la phase de croissance notions qui videmment doivent tre pr sentes si l on veut comprendre l his toire naturelle de cette maladie qui est envi sag e en fonction de tous les faits enregis tr s ces 50 derni res ann es La maladie on le sait touche l enfant d s la toute premi re enfance jusqu l ge de 12 ans et parfois plus mais se divise en 2 cat gories selon qu elle se
152. t lan giectasie capillaire Diarrh e 80 avec jusqu 20 selles par Jour Si les troubles persistent pendant longtemps d autres sympt mes tels que cachexie et hypoprot in mie peuvent S ensuivre 5 Oligurie 70 r sultant de la vaso cons triction pr glom rulaire au niveau du rein D tresse respiratoire asthmatiforme 2596 Sympt mes en rapport avec une activa tion fibro blastique consid rable entrai nant a une fibro lastose endocardiaque au niveau de la valve tricuspidi me et de l ostium pulmonaire 50 b scl rose du tissu conjonctif pelvien 69 c raideur et durcissement de la paroi intestinale d scl rose avec paississement du m sent re Les deux premi res modifica tions sont responsables des ph no m nes obstructifs de l intestin dans une plus grande mesure que le d ve loppement endoluminal de la tumeur Oed mes et ascite 4096 dus aux troubles m taboliques l effet antidiur tique et l invasion m tastatique du foie en partie par l augmentation de la pression forte Traitement Le traitement de choix de la tumeur carci noide reste l ex r se chirurgicale surtout si elle peut tre pratiqu e pr cocement avant le d veloppement des m tastases Le traite ment chirurgical est moins satisfaisant si le diagnostic est fait trop tardivement Un ris que op ratoire possible reste le collapsus cardio circulatoire cons cutif la lib ration de kallikr
153. t du trigone des ventricules lat raux s accompagnant d hy droc phalie Ce sont surtout des tumeurs de l enfant Troubles de la vision et insuffisance hydro physaire chez l enfant Le CT montre un foyer polylob suprasellaire prenant le pro duit de contraste Pr sence de zones kysti ques et de calcifications C est la tumeur c r belleuse la plus fr quente de l adulte Le CT montre une hydro c phalie un kyste c r belleux dont la paroi prend le produit de contraste Mise en vi dence d un nodule tumoral intrapari tal Malades ayant une scl rose tub reuse pr sentant des foyers arrondis iso ou hyper denses parfois calcifi s et prenant intens ment le produit de contraste Localisation au niveau des ventricules lat raux provoquant une hydroc phalie localis e Foyer circonscrit graisseux avec calcifica tions concentriques situ au niveau du corps calleux du tubercinereum et de la lame quadrig minale 57 EPIDERMO DE Foyer homogene nettement circonscrit ayant une densit proche de la graisse et ne prenant pas le produit de contraste Angle ponto cerebelleux r gion parap donculaire et citerne de la lame quadrig minale KYSTE COLLO DAL Cephalees intermittentes et syncopes chez Figure Figure Il Figure Ill Figure IV Figure V Figure VI Figure VII Figure VIII Figure IX 58 l adolescent Foyer arrondi hyperdense situ au niveau du plexus choroide du llle vent
154. t mit Zeichen atrophi scher Ver nderungen an den GroBhirnhemi sph ren Tabelle 3 Die Einteilung der Patienten in Dezennien und der Vergleich der atrophischen Ver n derungen in den verschiedenen Altersgrup pen zeigt daB Atrophien vom Schweregrad III insgesamt eher selten sind am h ufigsten bei Patienten zwischen 40 und 59 Jahren M Biggradige sowie leichte Atrophien fan den sich am haufigsten im 5 Dezennium wobei diese Zahlen bezogen auf das ge samte Patientengut allerdings etwas t u schen da sich der gr te Anteil der Patien ten in der Gruppe zwischen 40 und 49 Jahren befindet Berechnet man die relative H ufigkeit der verschiedenen Befunde bezo gen auf den Gesamtanteil der untersuchten Patienten einer Altersgruppe so findet sich da in 38 der Altersgruppe 30 bis 39 Jahre Normalbefunde gefunden wurden dagegen nur in zehn Prozent bei den Patienten der Altersgruppe zwischen 20 und 29 Jahren in 11 5 der Gruppe 40 bis 49 und 5 5 der Gruppe 50 bis 59 Jahre Die ber 60j hrigen zeigten keinen normalen Befund allerdings befanden sich auch nur drei Prozent in dieser Altersgruppe so daB hier eine statisti sche Aussage reine Spekulation ware Schwere Atrophien fanden sich nur zwi schen 40 und 59 Jahren Bei den Atrophien Grad ll waren jedoch die Unterschiede zwi schen den einzelnen Gruppen recht gering So fanden sich ein Hydrozephalus int et ext vom Grad bei 30 der 20 bis 29jahrigen bei jeweils 2
155. taines formes de c phal es vasomotrices tendance au collapsus orthostatique dans le dumping syndrome sensibilit aux influences atmosph riques Contre indication Thyr otoxicose Posologie Effortil PL Drag es Adultes 1 2 drag es le matin Au besoin 1 autre drag e au cours de l apr s midi Ecoliers 1 drag e le matin Au besoin 1 autre drag e au cours de l apr s midi Les drag es d Effortil PL doivent tre aval es sans tre cro qu es de pr f rence avec un peu de boisson IN ull Formule 2 aethylamino 1 3 hydroxyphenyl aethanol etilefrin hydro chlorid 12 mg Amyl Silic oxyd colloid Acid tartaric Acid stearic q s pro compr uno 2 aethylamino 1 3 hydroxyphe nyl aethanol hydrochlorid 13 mg Polyvidonum Amyl Silic oxyd colloid Talc Saccharum Titan oxyd Acac gum Carboxypolymethylen Cellulos acetylphtalic Aethylcellulos Dibutyl phtalas Glycolumpolyethylen 5000 6000 Methyl pa raoxybenzoas Propyl paraoxybenzoas Cera alba et carnauba cera obduct Pr sentations Drag es PL Flacon de 20 drag es Flacon de 50 drag es Conditionnement clinique de 250 drag es n v Boehringer Ingelheim s a rue du Coll ge St Michel 17 1150 Bruxelles tions satisfaisantes sont retrouv es aussi bien pour les crit res de MILNE que pour ceux de CARMICHAEL MILNE 9 a trouv en comparant la validit des criteres de GOODWIN et
156. th ses totales de hanche Cette enqu te statistique rassemble l ex p rience de 9 services de chirurgie orthop dique francais qui ont collectionn de facon prospective leurs observations sur plusieurs ann es avec un antibiotique de la s rie b talactamine inject en intra musculaire avant et apr s l intervention De cette s rie il apparait qu il y a effective ment plus d infections chez les sujets qui n ont pas recu cette antibioth rapie toute fois le risque septique n est pas totalement limin et il n apparait pas que l usage d air filtr en salle d op ration puisse abaisser ce risque En tous cas on retiendra que dans la s rie placebo il y a 396 de sepsis dans la s rie sous antibiotique 0 9 lil Arthroplasties totales de hanche sans ciment par implants madr poriques G Lord ll s agit de l exp rience personnelle de l auteur qui a mis au point une proth se dont la fixation des 2 pi ces aujourd hui se fait sans scellement L auteur expose les bases th oriques et exp rimentales de cette proth se dont les surfaces sont r envahies par l ost og n se Au plan pratique plus de 1 200 proth ses ont t op r es avec un recul de 5 ans aboutissant 8396 de bons et tr s bons r sultats La technique op ratoire est d crite dans ses d tails ainsi que les pro bl mes particuliers pos s par les reprises de proth se descell e ainsi que les conditions anatomiques particuli res cr es par
157. tienten optimal versorgen Spasmo Solugastri stoppt Krampf un Saure schmerzen spontan un anhaltend Das erste Antacidum Spasmolyticum Gel Zusammensetzung 1 Beutel Gei Alummumhydroard 10 g berechnet auf AILO 4 350 q Calc umcarbonal 0 6009 Butinohnphosphat 0 002 9 Excipientes ad 10 000 g Indikationen Krampt und Saureschmerzen bet Gastritis Gastro duvdenitis Ulcus ventric hi el duodeni Hyperaz d lat Vollegeluhl Sodbrennen und Magenunvertraghchkeien durch Diat tenter Kontraindikationen Glaukom Prostatahyperttrophee m t Neigung zu Restharnbildung Stenosen 1m Bereich des Magen Damm Kanals Tuchycard e Handelsformen 20 Beutel 50 Beute Anstaltspackungen Hinweise Ber M oraler Verablolgung von Breitbandanl b ol ka nsbesondere Tetracyclin sollte be rucksicniigt werden da dic Resorplion mio op der adsorptiven Wirkung von Alumintumhydroxid reduziert sein kann In seltenen Fallen kann die Verkehrstuchtigkeit beemtracht igi werden Stand Mai 1978 Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Estimation des pressions art rielles pulmonaires sur la radiographie standard du thorax R DONDELINGER J SCHLINK J Beissel C Pesch D partement de Radiologle Centre Hos pitaller 4 rue Barbie Luxembourg D partement de Cardlotogte Centre Hos pitatler 4 rue Barbt Luxembourg Bull Soc Sci M d p 9 1982
158. ts est une arme th rapeutique qu il faut savoir utiliser sur une cible d finie selon une balistique rigoureuse et bien mai tris e en tant conscient des risques encou rus si la technique n est pas irr prochable La mani re claire concise et pr cise avec laquelle les auteurs exposent l approche diagnostique dosim trique avant d aboutir au traitement m rite que nombre de m de cins le lisent et l tudient de pr s ceci surtout en vertu des optimisations ayant boulevers les principes fondamentaux de la radioth rapie moderne au cours des der ni res ann es Ceci est un livre qui deviendra un outil de travail pour le radioth rapeute une initiation pour les sp cialistes connexes comme les chirurgiens urologues gyn cologues on cologues etc On appr cie surtout les tableaux d iso doses le planning par scanner avec des illustrations bien compr hensibles Un seul regret c est que l quipe du Professeur Ab batucci n insiste pas plus sur une discipline qui connait en ce moment un essor tout fait comparable la radioth rapie la curie th rapie tant interstitielle qu endocavitaire b n ficiant de substances radioactives beaucoup plus maniables que le Radium connait actuellement un grand essor aux Etats Unis Tout comme les livres d Abbatucci seront traduits en anglais ceux de Hilaris seront lus en France et deux m thodes compl men taires pourront tre tudi es par ceux qui sont int ress s
159. u moins 10 mi do solut physiologique ot ta dur e d injection doit atro do 10 minutos L a tion psront rate peut tre r p t s jusqu 4 fois par jour Effets secondaires et pr cautions Au d but du traitement l action hypotensive du Catapressan peut s accompagner d uno l g ro s dation En g n ral cotto derni re s estompo au cours du traitamont Cat vigilanca on on tlendra compte lors de la conduite d un v hicule ou dena l exercice de certains m tiers p riltoux L administration simultan o de tranquillisanis ou do somnif ros la CONS d alcool peuvent renforcer cet offet s datit 7 Lo s cheresse buccale qui peut survonir au d but du traitement disparall on g n ral ult riaurement 7 D autres offets secondaires tals qu tourdissements constipation manque d app tit naus es inqui tude p tour ei bradycardio surviennont occasionnaliemont Tous ces ph nom nes sont 18 plupart du temps de nature passag ro at tors do l administration do doses th rapouliques no pr sontont aucun caract ro do gravit n rale On pout s attendro co qu avec les Perlonguottos la fr quence ot l intonsil des offots socondairos tols quo s dation ot s chcrosso buccalo soiont doses quivalentos 9 ment moindros iro do ta tension En administration i v par contro cos 6115 13 socondeires peuvont Aire plus prononc s Dans cortains cas finioction intravaineuso trop rapido poul provoquar uno augmentation transitotro systolique d
160. umme Th 10 BEURTEILUNG DER HIRNATROPHIE INNERE LIQUORRAUME Frontalh rner Frontalhornindex FHI A B nZ 3 7 Huckmannzahl HZ B C n 5 cm Corpus ventriculi Bereich Cella media Index CMI D E n 4 1 3 Ventrikel direkte Messung n 7 mm 4 Ventrikel direkte Messung n bis 12 mm AUSSERE LIQUORRAUME Sulci direkte Messung n 3 mm Anzahl 3 Inselzisternen direkte Messung n 3 mm frontaler Interhemisph renspalt direkte Messung n lt 3 mm 39 Abb 2 Anf lle bei Alkoholismus und Zustand nach Schadel Hirn Trauma a Schwerer posttraumatischer Substanzdefekt rechts temporal kleinerer Substanzdefekt im sogenannten contre coup Bereich links temporal EFG Xr 425 80 of 43 J FFG nach Intgliftung mM m Ma ema 2b EEG nach Entgiftung Spitzenpotentiale bitemporal mit Betonung rechts 40 Abb 0 gt EI 0 Uz TON 3 Alkoholepilepsie klinisch Status epilepticus und Delir sp ter Korsakow Psychose CVO U0 i 0 Fr TUL un bo d 10 125 2 4 3 a Ausgepr gte Rinden und Ventrikelerweiterung im CCT 41 ora FEG Xr 43 8o o a 3 FEQ bet Entgiftung LP a 5 Vi E x3 E 4 LE v a e un NE s 2 H d As I J A A e l 2 vee ay D s N U fa h
161. uro pean Sem on CAT London 1976 GAWLER J DUBOULAY G BULL J MARSHALL J Computer assisted to mography EMI scanner its place in in vestigation of suspected intracranial tu mors Lancet August 1974 419 KAZNER E WENDE S ET AL Com putertomographie intrakranieller Tumo ren Springer Berlin 1981 KAZNER E AULICH A GRUMME T Results of computerized axial tomogra phy with infratentorial tumors n Lanksch Kazner Cranial computerized tomography Berlin Springer 1976 LANGE 5 GRUMME T MEESE W Zerebrale Computer Tomographie Schering Berlin 1977 GRUMME T STEINHOFF H WENDE 10 LANGE S STEINHOFF H AVILES S Diagnosis of supratentorial tumors CH KAZNER E GRUMME T Kon with computerized tomography n trastmittelkinetik in zerebralen Tumoren Lanksch Kazner Cranial computerized Fortschr R ntgenstr 130 1979 6 tomography Berlin Springer 1976 11 NAIDICH R P PINTO R KUSHER M enen GN We Ero llr an par transverse axial scanning tomography n Part Description of system Brit J lar masses by computed tomography Radiol 46 1973 1076 Radiology 120 1976 91 12 WENDE S A german multicentre study ISHERWOOD Electron 070 ang of intracranial tumours Ist European atomic number determinations me GAT London 1926 thods limitations and a study of colloid cysts Ist European Sem on CAT London 13 Z LCH K J Atlas of g
162. us la peau L animal pr sente une expression triste se l ve difficile ment une fois couch marche de facon h sitante et ne s int resse gu re son entourage L examen apr s abattage nous permet de constater les l sions anatomo pathologiques suivantes 1 le sang a un aspect clair aqueux 2 l ouverture de la cavit abdominale a ganglions m sent riques pratiquement du m me dia m tre que l intestin gr le b foie fortement hypertrophi 4 x le volume normal parsem de multiples zones d aspect lardac et blan ch tre qui touffent litt ralement les rares lobules rouges encore intacts 45 LA 4 4 Z r L x m Ld LE P gt be m D w i do m z lt a r E EX a ganglions iliaques et r naux C les ganglions iliaques et r naux ont augment leur volume de 15 20 fois ils sont de couleur rouge fonc sous un mince film de graisse blanche Ils pr sentent par endroits des zones h morra giques l g rement pro minentes sous leur capsule d les reins de volume normal rouge fonc sont parsem s de nombreuses plages blancnacr galement pro minentes et de grandeur allant d un petit pois une pi ce de cinq francs La graisse p rir nale a fondu e la rate ne pr sente aucune l sion 3 l ouverture de la cavit thoracique le poumon est d aspect normal mais les
163. uswertung der Computertomogram me bez glich atrophischer Ver nderungen erfolgte nach folgendem Schema Abbildung 1 Die Einteilung der Schweregrade der Atro phie in m ig mittel und hochgradig Grad 1 II 111 wurde nach folgender Tabelle vorge nommen Tabelle 1 2 1 Gruppe 1 78 Alkoholiker mit Krampf anfallen 2 1 1 Computertomographische Befunde Computertomographisch fanden sich um Schriebene L sionen bei insgesamt 20 Pa tienten hierunter einmal ein subdurales H matom zweimal ein Tumor achtmal trauma tische und achtmal gef abh ngige Sub stanzdefekte des Gehirns Einmal handelte es sich um eine Meningoenzephalitis diese Diagnose wurde durch die Liquoruntersu chung gesichert Normalbefunde oder Zeichen eines Hy drozephalus int oder ext oder int et ext fanden sich bei 58 Patienten 74 4 Tabelle 2 Klammern wir die beiden Patienten mit dem Tumor und denjenigen mit dem subdu ralen H matom aus so bleiben 75 Alkohol kranke mit Anf llen bei denen eine Beurtei lung bez glich der Hirnatrophie exakt m g lich sein wird Normale Befunde fanden sich bei insge samt 15 Patienten 2096 Ein isolierter Hy drozephalus ext lag bei 2896 vor ein isolier ter Hydrozephalus int bei 5 496 w hrend bei den meisten Patienten eine Kombination von Hydrozephalus int et ext bestand 54 6 Zeichen einer cerebell ren Atro phie fanden sich insgesamt bei 13 396 aller dings nur kombinier
164. valvulopathie mitrale plus de 5 semaines s parent la date de la radiographie du thorax utilis e de la date laquelle a lieu le cath t risme 10 Les diagnostics cliniques qui ont motiv le cath t risme cardiaque sont vari s 1 Valvulopathies 21 maladie mitrale 7 insuffisance mitrale 4 retrecissement mitral 4 maladie mitro aortique 4 insuffisance aortique 2 2 insuffisances respiratoires chroni LIT MEET 14 3 Cardiomyopathies 6 4 Infarctus du myocarde 2 5 Communication interatriale 1 6 Insuffisance r nale chronique 1 Les radiographies du thorax sont interpr t es sans connaissance du diagnostic clini que et des r sultats du cath t risme car diaque On note pour chacun des malades la valeur estim e de la pression maxima dans l art re pulmonaire p A P max la valeur estim e de la pression art rielle capillaire p cap la valeur estim e des r sistances vasculai res pulmonaires totales RVPT Ces valeurs sont ensuite compar es aux r sultats obtenus par le cath t risme car diaque a Pour l estimation des pressions dans l art re pulmonaire la lecture de la radio graphie se fonde successivement sur les crit res tablis par GOODWIN et Col 3 par CARMICHAEL et Col 1 par MOORE et Col 12 et par MILNE 10 qui sont rappel s dans le tableau 1 Les diff
165. vec nodules infiltra tion leucosique du derme l atteinte des ganglions survenant plus tard au cours de l volution de la maladie se rencon tre chez les animaux de 1 4 ans rarement chez les plus g s En conclusion la forme enzootique et la forme sporadique sont deux aspects de la m me maladie d origine virale Il faut consid rer que les bovins atteints de leucose enzootique peuvent ne pas pr senter d anticorps et qu il existe des mo ments au cours de l volution de la maladie o les examens serologiques ne mettent pas en vidence des anticorps les veaux n s de m res infect es et ayant absorb du colos trum pr sentent jusqu l ge de 6 mois des anticorps d origine maternelle sans tre in fect s eux m mes Aspects de Sant Publique Jusqu pr sent aucune tude n a permis d tablir des relations entre les leuc mies de l homme et la leucose bovine mais comme beaucoup de vaches infect es excr tent le virus par le lait et comme d autre part des chercheurs ont d montr que le virus est capable de passer la barri re des esp ces sous les conditions naturelles de transmis sion de nouvelles investigations seront n cessaires pour clarifier cette question im portante et pr occupante R f rences 1 Rosenberger Gustav Krankheiten des Rindes 2 Joest Ernst Handbuch der speziellen pathologischen Anatomie der Haustiere 3 Mammerickx M Institut National de Recherche V t
166. voie intraveineuse Dans ces conditions la den sit radiologique de la zone tumorale est nettement et artificiellement augment e Ce ci permet donc de reconnaitre des tumeurs c r brales malgr leur caract re isodense L oed me p ritumoral Cet oed me s tend en r gle g n rale la substance blanche L infiltration d eau pro voque une diminution de densit accrois sant le contraste tomodensitom trique avec le cortex et les noyaux gris centraux Par opposition avec l oed me posttraumatique qui se voit tant au niveau de la substance grise qu au niveau de la substance blanche l oed me p ritumoral se limite sauf cas ex ceptionnels la substance blanche Les signes indirects des processus ex pansifs primordiaux en neuro radiologie conventionnelle se retrouvent galement en tomodensitom trie d placement des plexus choroides de la glande pin ale de la scis sure inter h misph rique d une part com pression et obturation des citernes et des sillons corticaux d autre part D s les pre miers stades radiologiques d une tumeur on peut noter des modifications du syst me ventriculaire aplatissement d placement et compression avec ou sans hydroc phalie Une tude tomodensitom trique portant sur plus de 3000 tumeurs c r brales montre que les crit res que nous venons de d crire permettent le diagnostic de tumeur dans 95 7 des cas Dans 396 des cas o la tumeur passait inapercue au premi
167. zum klinischen Bild und CCT Anzahl der Patienten 21 1 5 X traumatischer Substanzdefekt 2 5 vascul r bedingter Substanzdefekt 3 2 mehrfach Sch del Hirn Trauma mit l ngerer BewuBtlosigkeit 4 3 latente Anlage zu epileptischen Reaktionen 5 1 Meningo Encephalitis 6 4 x gesicherte Anf lle vor dem Alkoholmi brauch 7 1 keine Noxe au er Alkohol klinisch Status epilepticus Korsakoff Psychose pathologisch anatomisch Atrophie und Gelbfarbung Anzahl der Patienten Prozentualer Anteil Mediainfarkt 4 ohne Anf lle u ohne intracranielle Komplikationen akute intracranielle Komplikationen 1 Subarachnoidalblutung CCT bei den brigen 57 Patienten Anzahl der Patienten Prozentualer Anteil der Corpora mamillaria i S einer Wernicke Encephalopathie Tab 6 CCT bei 63 Alkoholikern ohne Anfalle 2 Epidurales H matom 3 Subdurales H matom Normal 16 25 4 Atrophie 41 65 0 CCT bei 57 Alkoholikern Hydrocephalus int Hydrocephalus ext et int 42 1 Cerebell re Atrophie 1 isoliert 22 90 2 mit Hydrocephalus 5 3 3 Arachnoidalzyste 10 5 36 Bisolvon Plus qu un simple mucolytique Boehringer 1 e Ingelheim BOEHRINGER rue du el 17 VER graas 20 gt 2 Bisolvon sorn mucolytique Le Bisolvon est une substance obtenue par synth se correspondant au principe actif contenu dans une 5 plante indienne 1 Adhatoda vasica Nees II fluidi

1982.1

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