Home

L`objectif de cette rubrique est d`intégrer du mieux

1. Lampadaires avec optique non parall le l horizontale 1 pts par ex 25 du parc 25 pts Utilisation de lampes Sodium Haute Pression de 100 W 30 pts Sodium Haute Pression de 150 W 60 pts lodure M talliques de 100 W 40 pts lodure M talliques de 150 W 70 pts Vapeur de mercure toutes puissances confondues 80 pts Halog nes partir de 100W et au del 80 pis Spots encastr s au sol 50 pts ou par rapport au nombre total de lampadaires 5 pts par exemple 5 25 pts Pas d extinction nocturne de l clairage public 50 pts 90 21 Faisceau laser ou toute autre technologie implant sur la commune 500 pts par faisceau 22 Consommation lectrique li e l clairage valeurs en kWh an point lumineux valeur vou e modification en fonction de l volution future des sources rendement lumens Watt lampe Consommation Nombre de points kWh an point lumineux attribu s Faible pollution lumineuse 1 A 150 1 B 125 Go mi D NEUTRE BE 1 F 150 gt 400 E Forte pollution lumineuse En France 1 kWh clairage 119 gr de CO2 source ADEME 5 toiles partir de 500 points 4 toiles partir de 400 points 3 toiles partir de 300 points 2 toiles partir de 200 points 1 toile partir de 100 points Plan d am lioration de l clairage public Pour toute source lumineuse de type la
2. Respect du crit re 3 avec en plus 106 Le ma tre d ouvrage fait appel des ESAT pour intervenir sur l op ration Respect du crit re 4 avec en plus Un jardin collectif disponible aux habitants est mis en place sur l op ration Remarque Pour trouver toutes les informations sur le d veloppement d un jardin ducatif une brochure est disponible cette adresse internet http www ariena org jardin Media jardin padf EF 7 4 Gestion de la consommation nerg tique Le r f rentiel anticipe la r glementation en prenant en compte la r glementation thermique qui sera appliqu e en 2012 RT 2012 rendant obligatoire l obtention du label BBC pour les b timents publics et logements sociaux puis pour l ensemble des b timents De plus le projet de Loi Grenelle 1 voque l obligation pour les entreprises employant plus de 250 salari s d tablir un bilan carbone d ici fin 2013 Les fortes missions de GES actuelles conduisent au r chauffement progressif de la plan te pouvant se traduire par des bouleversements quivalents l inverse d une glaciation Respect de certaines conditions voqu es par la RT 2005 e Le coefficient Cep du b timent o est situ le logement tudi est inf rieur ou gal au coefficient Cepr f de ce m me b timent Cep lt Cepr f Le maitre d ouvrage doit fournir au stade du dossier march une note de dimensionnement des metteurs de chaleur dans
3. l chelle globale un appauvrissement de la diversit g n tique Pourtant la ville est l vidence un milieu sp cifique o la biodiversit a sa place Tout comme la lutte contre le changement climatique est int gr e toutes les politiques qui sont conduites la diffusion au sein de toute la soci t encore trop ignorante et n gligente vis vis des pr occupations li es la biodiversit constitue un d fi majeur pour notre pays ce titre l Ann e internationale de la biodiversit c l br e en 2010 l initiative de l organisation des Nations unies repr sente une formidable opportunit Faisons de la biodiversit une science citoyenne Selon la loi du 10 juillet 1976 relative la protection de la nature la protection des espaces naturels et des paysages la pr servation des esp ces animales et v g tales le maintien des quilibres biologiques auxquels ils participent et la protection des ressources naturelles contre toutes les causes de d gradation qui les menacent sont d int r t g n ral Il est du devoir de chacun de veiller la sauvegarde du patrimoine naturel dans lequel il vit Les activit s publiques ou priv es d am nagement d quipement et de production doivent se conformer aux m mes exigences La r alisation de ces objectifs doit galement assurer l quilibre harmonieux de la population r sidant dans les milieux urbains et FUTAUX 11 B La d marche EFFINATURE Ins
4. la liste des types d habitats naturels et des esp ces de faune et de flore sauvages qui peuvent justifier la d signation de zones sp ciales de conservation au titre du r seau cologique europ en Natura 2000 gt Identifier et cartographier sur une carte au 1 25000 de pr f rence les habitats humides zones humides au sens de la loi sur l eau cf d finition article L 211 1 du code de l environnement gt En d duire le ou les corridors la ou les zones nodales Pr ciser si le terrain est sur un axe de d placement un axe de passage de la faune gt Pr ciser les statuts de raret et de menace des esp ces partir notamment de la liste rouge gt Pr ciser le degr de protection locale r gionale nationale europ enne des especes gt M thodologie succincte e R aliser des transects de v g tation et ou inventaires par zones homog nes e D crire les cort ges floristiques 43 Des informations g n rales sur le relev date num ro taille strate nom du site du lieu cosyst me correspondant coordonn es etc Une description de l cosyst me biotopes rencontr s conform ment la nomenclature utilis e par le Projet Des observations occupation humaine levage agriculture pr sence mammif res oiseaux et autres D autres remarques L inventaire floristique Il comprend e La liste des esp ces pr ciser l esp ce et le genre disti
5. activit s pr alables la conception tudes d opportunit et de faisabilit conception du programme r alisation de l ouvrage activit de post r alisation Profil AU sens du pr sent r f rentiel ensemble des th mes environnementaux retenus Programme Ensemble d informations concernant la conception destination de la maitrise d uvre pour la conception architecturale et technique de l ouvrage Syst me de management environnemental d finition GA P01 003 La composante du syst me de management global qui inclut la structure organisationnelle les activit s de planification les responsabilit s les pratiques les proc dures les proc d s et les ressources pour laborer mettre en uvre r aliser passer en revue et maintenir la politique environnementale 3 Analyse de site m thodologie pour la r alisation de l inventaire de la diversit biologique du site Dans un premier temps il s agit de d finir l chelle spatiale de l ordre de l are de l hectare du km et temporelle variations d ordre p riodique saisons Les inventaires de terrain seront de pr f rence effectu s au printemps p riode de l ann e optimale pour l observation de la faune et flore Si n cessaire deux chantillonnages sont r alis s avec un d lai minimum de 3 mois et maximum de 6 mois entre les deux a Recueil pr liminaire d informations Avant de proc der aux expertises terrains proprement dites
6. oreenlogic me mature 2011 Copyright Copyright 2010 GREENLOGIC Tous droits r serv s Avertissement GREENLOGIC vous autorise consulter le r f rentiel EFFINATURE pour votre usage personnel et le copier tel quel en tout ou en partie si vous faites r f rence au document original Il vous est interdit d en modifier le contenu En change de cette autorisation vous acceptez de conserver tous les avis de droit d auteur et autres mentions de propri t contenus dans le r f rentiel EFFINATURE Vous acceptez galement de ne pas vendre ni modifier le r f rentiel EFFINATURE ni de la reproduire de l afficher ou de la distribuer d aucune fa on pour aucune fin publique ou commerciale incluant la diffusion sur un site Web ou dans un environnement r seaut L utilisation non autoris e du r f rentiel EFFINATURE enfreint les lois sur les droits d auteur et sur les marques d pos es et d autres lois et elle est interdite Tous les textes le mat riel graphique la mise en page et les autres l ments du contenu de le r f rentiel EFFINATURE sont la propri t GREENLOGIC et sont prot g s par le droit d auteur en vertu des lois fran aises et trang res Veuillez aussi prendre note du fait qu aucune des parties impliqu es dans le financement ou la cr ation de le r f rentiel EFFINATURE incluant GREENLOGIC ou ses partenaires ne fournit aucune garantie expresse ou implicite ni n assume aucune responsabilit
7. plus de la moiti de la valeur du CBS recommand 5 Le CBS recommand pour la parcelle est atteint Remarques e Pour un am nagement o il est impossible techniquement de r aliser les surfaces en pleine terre les coefficients concernant les murs v g taux et les toitures terrasses v g talis es augmentent et varieront de 0 2 0 4 67 Pour les constructions neuves ou les renovations cons quentes aU moins 20 de la surface totale du terrain doit tre d di es de la pleine terre et 10 15 de la pleine terre ou de la surface v g talis e pond r e svp surface v g talis e sur 0 80 m tres de terre toiture terrasse v g talis e mur v g talis ll est possible d allouer des espaces libres r glementaires sur le terrain en fonction de l environnement comme ci dessous EF 5 1 2 Couverture v g tale du b ti indice CES Les murs et la toiture du b ti sont Un support potentiel pour la v g tation L indice CES qui correspond la compensation de l emprise au sol du b timent a t mis au point afin d valuer la participation du b timent pour retrouver la part de couverture v g tale pr sente initialement ou pour la d velopper Il vient pr ciser la prise en compte de la v g tation du b ti repris d un point de vue global dans l indice CBS La construction a une emprise au sol dont la surface est d finie Cette surface r duit donc l aire totale potentiellement v g talisable de l
8. Ce nombre est inf od aux classes de vari t figurant dans le tableau Le groupe faunistique indicateur GFI en ne prenant en compte que les taxons indicateurs repr sent s dans les chantillons par au moins 3 individus ou 10 individus selon les taxons La d termination du GFI s effectue en prospectant le tableau de gauche droite GFI 9 GFI 1 et en arr tant l examen la premi re pr sence significative n gt 3 individus ou n gt 10 individus d un taxon du r pertoire du tableau E Test d cotoxicit eau douce test Daphnie Le test daphnie appliqu selon la norme ISO 6341 est applicable pour d terminer la toxicit aigu vis vis de Daphnia magna des substances chimiques solubles ou pouvant tre maintenues en suspension ou en dispersion stable Cette m thode s applique la d termination de la toxicit dans les chantillons liquides tels les eaux us es industrielles les 96 eaux municipales ou agricoles les eaux de lixiviation les lixiviats de r sidus solides les eaux r ceptrices les substances chimiques solubles dans l eau ou toutes autres solutions susceptibles de contenir des substances toxiques Le test Daphnie est r alis apr s la phase chantier par un laboratoire respectant la norme ISO 6341 les conditions et param tres de la m thodologie sont contr l s Cette m thode ne peut tre calcul que pour les op rations qui ont un impact direct sur l cosyst me aquatique 1
9. Crdd La Calade p 45 50 Paillat G Butet A 1994 Fragmentation ef connectivit dans les paysages importance des habitats corridors pour les petits mammif res Arvicola n 6 p 5 12 Ramade F 2002 l rosion de la biodiversit Etude r trospective et prospective des volutions de la soci t fran aise 1950 2030 Futuribles Venn SJ Kotze DJ Et Niemela J 2003 Urbanization effects on carabid diversity in boreal forests European Journal of Entomology 100 p 73 80 Voogt JA Oke TR 2003 Thermal remote sensing of urban climates Remote sensing of environment p 370 384 Wilcox BA Murphy DO 1985 Conservation strategy the effects of fragmentation on extinction American naturalist 125 p 879 887 Wilson EO 1993 La diversit de la vie Editions Odile Jacob Paris p 496 131 Ouvrages D velopper le v g tal Paris Atelier d urbanisme parisien 2004 Biodiversit et choix vari tal Adalia 2004 Pr conisations g n rales pour prendre en compte la biodiversit dans les projets d am nagement Observatoire D partemental de la Biodiversit Urbaine 2009 La v g talisation des b timents Agence locale de l nergie de Grenoble 2007 R gles Professionnelles pour la conception et la r alisation des terrasses et toitures v g talis es dition n 2 2007 La pollution sonore et lumineuse Assembl e parlementaire du Conseil europ en 2010 Mare tampon r guler les d
10. EF 3 Eco construction d pendance la N e blodiversit 5 1 D pendance aux mati res premi res R o td B Q 8 o Q S 2 o g D 0 9 Oo w w w pogo 008 08 pg Q Q oa on EF 4 Impacts du projet sur la blodiversit 4 1 G n ration des pollutions de chantier 9 3 GE 4 2 Modification de l cosyst me EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit 3 0 5 1 Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue 5 2 Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit N amp EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me 3 4 6 1 Restauration de l environnement pour la biodiversit 6 2 D chets verts recyclage et compostage 6 3 Fr quentation des espaces verts so ES BS o EF 7 Eco responsablilit Bia o na on NN 1 BBE BE BE 7 1 Confort de l habitant N Le 7 2 Information et communication 7 3 Services culturels et sociaux 7 4 Gestion de la consommation nerg tique EF 8 Valorisation conomique du projet 3 o 5 60 B 2 Valorisation mon taire du projet 60 82 vaaata mon tdre au projet 21 D pendance aux mati res premi res CSL UE CL LOT D 42 Modification ce l c st me a VE LES EN D LE ON 32 D pendance ax semice cologiques 41 G n ration a potutions cae chanter 0 D DD D 40 70 O w 32 Entchisementrasonn
11. Griffes de sorci res Balsamine de l Himalaya Jussies Herbac es Ambroisie Herbe de la Pampa Lippia Renou e du Japon Morelle jaune e Typiques Arbres Phoenix dactylifera Platanes Micocouliers Ch ne li ge Pin d Alep Arbustes Calicotome spinosa Ciste Aub pines Bois gentil Myrte commun Ch ne Kerm s Plantes Helichrysum Dasylirion glaucophyllum Chamaerops humilis Flamboyantes h m rocalles Bougainvill es Laurier rose Callistemon Perovskia Lavande Orchid es Salvia Herbac es Gramin es Lin de Nouvelle Z lande Pour un support d identification des esp ces v g tales m diterran ennes se r f rer au site http animateur nature com Guide_fleurs guide_fleurs himl EF 5 2 2 Indice de Shannon L indice de diversit de Shannon quantifie la diversit en combinant deux composantes le nombre d esp ces et la r partition des superficies entre ces diff rentes esp ces L indice de Shannon H est calcul en additionnant pour chaque esp ce pr sente le quotient r sultant de la multiplication des proportions de surface couverte de chaque esp ce p par le logarithme n p rien In de cette proportion soit S nombre d esp ces p Si S proportion de surface couverte par une esp ce Ainsi pour Un nombre d esp ces donn plus la distribution est quitable plus l indice est lev H est maximal lorsque toutes les fr quences sont gales et dans ce cas H est gale la va
12. I m 2 Toa a parcelle mm an Coefficient de ruissellement de la ae parcelle Les activit s en cause de l imperm abilisation sont lister Le niveau d imperm abilisation du sol est lev le coefficient de ruissellement sur la parcelle est sup rieur 0 6 Le niveau d imperm abilisation du sol est moyen le coefficient de 61 ruissellement sur la parcelle est compris entre 0 4 et 0 6 Le risque de ruissellement sur le terrain en forte pente est pris en compte et des solutions sont apport es pour palier ce ph nom ne Respect du crit re 3 avec en plus Le niveau d imperm abilisation du sol est bas le coefficient de ruissellement sur la parcelle est compris entre 0 2 et 0 4 La zone de cours et jardin comporte une surface perm able en pleine terre et plant e au moins gale 50 de sa surface Respect du crit re 4 avec en plus Le niveau d imperm abilisation du sol est tr s bas le coefficient de ruissellement sur la parcelle est inf rieur 0 2 Remarque Evoqu e dans le Grenelle 2 de l environnement la cr ation d une taxe sur l imperm abilit des sols a t valid e le 4 mars 2010 Une taxe unique sera per ue sur chaque m tre carr de sol hauteur d un euro par m tre carr et par an o les surfaces seront imperm abilis es L emprise des constructions ou installations ne sera pas soumise la taxe Le coefficient de taxation variera selon le degr d imperm
13. Le maitre d ouvrage devra pr senter ces derniers d s lors de l intervention de v rification in situ 119 Lorsque les contr les mettent en vidence un ou plusieurs carts le maitre d ouvrage s engage mettre en conformit l op ration concern e Un contr le compl mentaire la charge du maitre d ouvrage est alors pr vu pour s assurer apr s l intervention du maitre d ouvrage de la conformit de l op ration 2 Attribution du label EFFINATURE Une fois l valuation r alis e la grille et les commentaires associ s sont adress e par l examinateur GREENLOGIC ECOCERT qui validera d finitivement la certification GREENLOGIC ECOCERT adresse au maitre d ouvrage pour accord e les r sultats de l valuation d finitive e la liste des dispositions et des particularit s cologiques et environnementales int grer dans le document d information diffuser au regard du respect du Th me 7 EF 7 Eco responsabilit e un r capitulatif de tous les documents ayant servi de base l tablissement du rapport de l valuation d finitive En cas d accord du maitre d ouvrage sur les l ments pr c dents GREENLOGIC ECOCERT d cerne ou non l op ration tudi e le label EFFINATURE Lorsque le label EFFINATURE est d cern e GREENLOGIC ECOCERT transmet au maitre d ouvrage le certificat EFFINATURE qui se pr sente sous la forme d un document r capitulant les diff rentes caract ristiques sp ci
14. Les personnels de la soci t GREENLOGIC Ainsi que Jennifer AMSALLEM UMR TETIS Ing nieur d tudes projet Trame verte et bleue CEMAGREF Montpellier Julie DELCROIX WWF France Thierry TATONI Directeur de l IMEP Institut m diterran en d cologie et de pal o cologie Universit Aix Marseille 3 John THOMPSON Directeur de recherche au CEFE Centre d Ecologie Fonctionnelle et Evolutive Universit de Montpellier 2 CNRS Table des mati res PARTIE 1 PRESENTATION ET APPLICATION DE LA DEMARCHE ERIN ATU RR Boxes Re RAT 10 Pre Generdlites a Un ne ane A renier Ptit 11 B L amp d marche EFFINATURE sn sieve tide caves sitet aa E EEE 12 1 Les milieux naturels ou espaces verts C CUIOUF NU ls ste 12 2 Quelle biodiversit est prise en COMpte esesssssesssersserssressrtssrresrrersreresreersssssreeessse 13 Sy Les SnieUx EFRINA TUR E oeer a a Ride uns estate 13 4 Mise en place de la d marche FEINATURE uen ethnie nait 14 Cy Le label EFFINATURE Se nd nana et eee ATTESA R i 16 1 Champ d application du label EFFINATURE 16 2 SOMGINOMSCATMIDU TOM issih a eas sn nu nie An a ed ns Ent 17 Ou Processus de labellis ahoNs nissai n a E tithe Ea 18 PARTIE 2 D TAILS DES TH MES ENVIRONNEMENTAUX 21 1 Pr sentation des th mes environnementaux 22 2 D tails des THEMES nvironnemMentaux as cpesayseqnseest dostvceneg onitborsi eueseavesdavee then h entaaols 22 PARTIE 3 D TAILS ET APPLICATION D
15. Nichoirs clos type boite aux lettres Profondeur Diam tre Hauteur de sous le trou du trou placement Fr quences Planch er cm cm mm m 15x15 Banlieve village 81 domestique Chouette A 30x30 Banlieve village 30x30 3 10 Village Rouge queue front blanc 13x13 3 12 Banlieve village 15x15 3 10 Banlieve village 15x12 205 al aes 15x15 3 10 Banlieve village Sittelle 15x15 3a10 Banlieve village Hirondelle 15x15 3a10 Banlieve village 20x20 10 100 4 12 A ea v Nichoirs ouverts Planche Profondeur Diam tre Hauteur de cm cm mm m gorge lle Roitelet Merle O 40 150 5a 12 Banlieve village vi lle Protocole de mise en place et d entretien des nichoirs oiseaux Rouge queue noir Fixation e hors de port e d une personne ou d un animal domestique e utiliser des fils de fer gain s de plastique si le nichoir est fix un arbre pour ne pas l abimer e ne pas fixer vos nichoirs au dessus d une branche horizontale sur laquelle n importe quel pr dateur pourrait prendre appui e ne pas fixer les nichoirs sur les peupliers branches fragiles et les h tres tronc souvent humide Orientation e dans un endroit ombrag e le trou d envol l oppos des vents dominants porteurs de pluie e orientation conseill e est sud est Entretien e nettoyez le nichoir l automne et la fin de l hiver en enlevant tous les mat riaux accumul s
16. d chets d entretien de massifs ou les d chets de jardin des particuliers collect s s par ment Les d chets verts souill s par des substances dangereuses r sidus phytosanitaires par exemple sont des d chets dangereux qui ne sont pas trait s dans ce crit re Le compostage est un moyen efficace d liminer les d chets verts sur le lieu de production sans production de pollutions et faible co t financier et nerg tique Il se d fini comme un proc d biologique contr l de conversion et de valorisation des mati res organiques sous produits de la biomasse d chets organiques d origine biologique en un produit stabilis hygi nique semblable un terreau riche en compos s humiques le compost 2 Aucune exigence n est requise pour le recyclage et ou le compostage des d chets verts Des bacs collectifs d chets verts sont mis en place sur le site afin d assurer leur collecte par la municipalit et de promouvoir leur recyclage dans une plate forme de compostage Le volume de ces bacs est de 240 litres et leur nombre varie selon le nombre de logements 97 La p riode et la fr quence de collecte des d chets verts sont fix es par la municipalit Dans le cas o la collecte des d chets verts par bac n est pas possible des sacs d chets verts biod gradables d une capacit variant de 130 272 litres sont distribu s gratuitement aux habitants poss dant un jardin priv et au gardien du si
17. e Pour les parcelles ou groupes de parcelles dont la surface totale est inf rieure 5000 m le taux de d tente minimum est fix 35 de la surface totale Pour les parcelles ou groupes de parcelles dont la surface totale exc de 5000 m le taux de d tente minimum est fix 50 de la surface totale Les espaces verts sont accessibles aux gens et leurs offrent une aire de loisirs lls ne sont en aucun cas travers s par une voie de circulation autres que pi tonnes Respect du crit re 4 avec en plus pour le privatif Collectif Le b timent est v g talis en facade Privatif A Chaque logement du rez de chauss e est attribu un jardin privatif d une superficie sup rieure ou gale 15 m Le jardin est d limit et s par des parcelles voisines Conformit s du mobilier aux normes AFNOR r f renc es NF P 99 610 pour les caract ristiques de robustesse et de stabilit NF P 99 650 pour la maintenance du mobilier urbain d ambiance et de propret Le positionnement et la densit du mobilier devront tre en rapport avec l usage la fr quentation attendue EF 7 1 1 Confort visuel mise en valeur du patrimoine v g tal Ce crit re permet de juger l am nagement de la parcelle d un point de vue esth tique de part l association raisonn e d esp ces v g tales La valeur esth tique est mise en avant les essences plant es y prennent une part importante L approche paysag re utilise au
18. lt 0 5 exclu CES 20 5 Conditions Tout toit plat non accessible de plus de 100 m est am nag en toiture v g tale La toiture est v g talis e si une surface v g tale minimale correspondant 3 10 de la surface libre au sol n est pas pr vue lors de la construction d un b timent Une inspection r guli re du syst me drainant et d vacuation des toitures et fa ades v g talis es doit tre effectu e raison d une fois au moins par an Remarques L entretien des toitures et des fa ades est r alis en fonction des accords stipul s dans le R glement de Copropri t tout comme les r parations potentielles Les toitures v g talis es sont r alis es selon le respect des r gles professionnelles pour la conception et la r alisation des toitures et des terrasses v g talis es dit es par l association pour le d veloppement et l innovation en v g talisation de toiture novembre 2007 Ces r gles s appliquent aux terrasses et toitures de pente inf rieure 20 limite de pente incluse avec tanch it des b timents r alis s en France m tropolitaine y compris en climat de montagne dans le seul cas de l l ment porteur en ma onnerie Dans ce dernier cas le complexe de v g talisation sera videmment particuli rement r sistant au gel et l rosion Les r gles concernent les travaux neufs et les travaux de r fection totale de l tanch it apr s tude notamment de sta
19. t communautaire et les habitats r pertori es lors des inventaires ZNIEFF zones naturelles d int r t cologique faunistique et floristique sont pr serv es sur le site M Exigences de la directive 92 43 CEE habitats faune flore EF 5 2 Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit ll ne s agit pas de privil gier des esp ces embl matiques mais plut t des groupes fonctionnels d esp ces Il ne s agit pas non plus de cr er des r serves en ville Le but recherch est d apporter une v g tation stable pour favoriser la p rennit de la faune Le semis et ou la plantation de v g taux diversifi s au niveau des esp ces et des strates ne peut qu augmenter le d veloppement animal allant de la microflore aux petits mammif res terrestres arboricoles souterrains amphibies ou volants en passant par les oiseaux Un tel concept offre une grande palette d habitats et favorise la formation de couloirs cologiques Un raisonnement est effectu en amont afin d carter toute introduction d esp ces trang res dites allog nes ou invasives Dans de nombreux cas elles voluent en tant qu esp ces envahissantes Ces esp ces envahissantes diff rent selon les r gions Attention toutes les esp ces non indig nes ne sont pas consid r es comme envahissantes Remarque Les risques sont d autant plus importants en r gion m diterran enne car le patrimoine naturel y est remarquable et sensible EF
20. 3 D tails et application des th matiques d organisation G n ralit s D tails des rubriques environnementales Management environnemental de l op ration Chantier propre 26 A G n ralit s Cette pr sente Partie 3 du r f rentiel a pour objet de pr senter pour les deux th mes d organisation retenus qui sont Management Environnemental de l Op ration et Chantier Vert le d tail des rubriques cologiques et environnementales relatives un plusieurs th mes num r s dans les Parties 1 et 2 du r f rentiel La d marche EFFINATURE progressive chaque tape des proc dures r glementaires implique un ajustement du projet vers le moindre effet La collaboration d s l amont de la conception des quipes techniques avec les sp cialistes de l environnement permet de faire merger diverses variantes pr servant autant que possible les enjeux de proposer des solutions alternatives et enfin de proposer des mesures de suppression ou de r duction des impacts B D tails des rubriques environnementales EF1 Management environnemental de l op ration a Introduction La volont exprim e par le Maitre d Ouvrage de r aliser une op ration dans un cadre respectueux de l environnement requiert Un ensemble de m thodes et de proc dures impactant le management et les prestations des acteurs concern s Les objectifs fix s en la mati re par le Maitre d Ouvrage n cessitent une adaptation des organisa
21. EFFINATURE mill sime 2011 est d cern e par GREENLOGIC une op ration a condition que e Sur la base des devis descriptifs plans et pi ces crites de l op ration les exigences de tous les Th mes du r f rentiel de la marque EFFINATURE mill sime 2011 soient satisfaites e Le Maitre d Ouvrage s engage r aliser l op ration concern e en conformit avec le dossier ayant servi de base l attribution du label EFFINATURE mill sime 2011 e Le Maitre d Ouvrage s engage prendre en compte les r sultats des audits et ou contr les de conformit qui seront r alis s ventuellement en cours en fin de chantier ou apr s la livraison de l op ration et tout mettre en uvre le cas 17 ch ant pour que les niveaux de performance atteints une fois l op ration livr e soient au minimum ceux requis pour l obtention du label EFFINATURE mill sime 2011 Le Maitre d Ouvrage s engage respecter par ailleurs les dispositions lui incombant pr vues dans les R gles G n rales et les R gles Techniques de la marque EFFINATURE Le d tail des diff rents Th mes actuellement retenus pour l attribution du label EFFINATURE mill sime 2011 correspond aux dispositions d finies dans la Partie 2 D tails des Th mes environnementaux du r f rentiel Le d tail des crit res et exigences qui se rapportent chacun des Th mes actuellement retenus pour l attribution du label EFFINATURE mill sime 2011 est d fini
22. Establishment Certification BREEAM GB 2006 e LEED syst me d valuation des b timents durables Conseil du b timent durable du Canada Certification LEED Canada 2009 e Trame verte et bleue synth se documentaire CRDALN 2010 e Plan restaurer et valoriser la nature en ville Rapport de synth se de l Atelier n 3 Formes de viles chelles de territoires trame verte et bleue Minist re du d veloppement durable 2010 e 2010 ann e internationale de la biodiversit une nouvelle pr occupation pour la biodiversit urbaine Urbanit n 12 p 36 39 2009 e La nature dans le ville Biodiversit et Urbanisme tude du Conseil conomique et social pr sent e par Reygrobellet B 2007 Enqu te les espaces verts de demain usages et attentes des Francais UNEP Union Nationale des Entrepreneurs du Paysage et IPSOS 2008 e Les mesures compensatoires pour la Biodiversit principe et projet de mise en uvre dans la r gion PACA Rapport de la Direction r gionale de l Environnement PACA F vrier 2009 Logiciel informatique DailyET Rapport Audit 133 Liste des Acronymes ACERMI Association pour la certification des mat riaux isolants BBC B timent basse consommation CAP Consentement payer CAUE Conseil d architecture d urbanisme et de l environnement CBS Coefficient de biotope par surface CDB Convention de la diversit biologique CEE Communaut c
23. L Agenda 21 vient en soutien en d crivant les secteurs o le d veloppement durable doit s appliquer dans le cadre des collectivit s territoriales Il impose des recommandations diverses dans les domaines du logement et de la gestion des espaces qui sont reprises dans ce crit re afin d veiller la conscience des habitants quant l utilisation durable des ressources biologiques Respect du Chapitre 15 de l Agenda 21 Pr servation de la diversit biologique repris par les agendas 21 locaux Respect du niveau 2 avec en plus Le maitre d ouvrage s engage procurer aux habitants et au gestionnaire au plus tard lors de la livraison des logements un document d information Ce document dit sous forme de guide vert pour les habitants informe des bonnes pratiques comportementales des occupants Cette op ration est 103 r p t e chaque ann e ll est voqu dans ce document plusieurs points de l op ration e les espaces verts diversit floristique et les habitats pour la faune Une notice d am nagement paysager est fournie par le ma tre d ouvrage afin d expliquer la cr ation des diff rents espaces verts leurs r les les services qu ils apportent et leurs besoins pour durer et leur gestion durable La pr sence de toiture et ou mur v g talis est pr cis e e le bruit Chaque m nage est inform du plan de gestion des nuisances sonores mis en place Les points principaux seront repris bri vement
24. PHYTAIR Seuils de recommandations et d alertes du d cret 2002 213 du 15 f vrier 2002 cf valeurs limites des concentrations des principaux polluants de l air 2 Exemples d esp ces fort pouvoir allerg ne gramin es ambroisies cypr s thuya bouleau etc Le programme PHYTAIR prochainement normalis AFNOR XP B44 200 porte sur l valuation de l efficacit et de linnocuit des syst mes de phytorem diation pour applications tertiaires et r sidentielles Le programme PHYTAIR est l origine du label PHYTAIR Il certifie du pouvoir purateur de la plante concern e plantes tudi es Chlorophytum Plante araign e ou Phalang re Dracaena marginata Dragonnier Scindapsus aureus Liere du diable Le dimensionnement du nombre de plantes ou de syst mes dynamiques de biofiltration au m tre carr n cessaires l limination efficace des polluants dans une pi ce sera fourni lissu du programme Valeurs limites des concentrations des principaux polluants de l air 93 Dioxyde d azote NO humaine v g tation Ozone Oz pour le maximum journalier de la moyenne humaine sur 8 heures ne pas d passer plus de 25 jours par an moyenne sur 3 ans protection de la 18 000 ug m h en AOT40 calcul e partir des valeurs sur v g tation 1 heure de mai juillet en moyenne sur 5 ans Dioxyde de soufre SOz Protection de la sant 99 2 des moyennes journali res doivent humaine t
25. a pas ou semble ne pas avoir subi d influence anthropique et pouvant accueillir Une richesse sp cifique lot de chaleur urbain l vation de temp rature localis e en milieu urbain par rapport aux zones rurales voisines Les flots thermiques sont des microclimats artificiels provoqu s par les activit s humaines centrales nerg tiques changeurs de chaleur et l urbanisme surfaces sombres qui absorbent la chaleur comme le goudron Ce ph nom ne peut aggraver les pisodes de canicule et affecter la biodiversit en repoussant certaines esp ces et en attirant d autres esp ces plus thermophiles Impacts environnementaux ensemble des modifications qualitatives quantitatives et fonctionnelles de l environnement n gatives ou positives engendr es par un projet un processus Un proc d un ou des organismes et un ou des produits Insectes entomophages insectes qui se nourrissent d autres insectes Liste rouge des esp ces menac es la Liste rouge de l UICN des Esp ces Menac es classe les esp ces en fonction de leur risque d extinction C est une base de donn es en ligne qui permet de faire des recherches et comprend le statut mondial de 45 000 esp ces avec des informations l appui Elle a essentiellement pour but de d terminer quelles esp ces ont le plus besoin de mesures de conservation de documenter leur situation et de fournir un indice de l tat de la biodiversit Macrofaune ensemble des animaux
26. avec les occupants en portant une attention particuli re aux points d cris ci dessus Respect du crit re 3 avec en plus Une r union d information mise en place par le ma tre d ouvrage et men e par un professionnel en gestion des espaces verts et de la biodiversit ou une personne titulaire du certificat de participation la formation EFFINATURE est organis e chaque ann e afin de sensibiliser les habitants sur les comportements adopter Elle a pour but e d valuer les perceptions de la biodiversit des habitants afin d estimer l int r t et les efforts qu ils sont dispos s consentir pour participer sa pr servation e de leur faire d couvrir la biodiversit en milieu urbain e deles initier aux bonnes pratiques environnementales Respect du crit re 3 avec en plus Une journ e th matique est mise en place par le ma tre d ouvrage et 104 dispens e gratuitement aux habitants Celle ci est renouvel e chaque ann e Elle est compos e d une partie th orique et d une partie pratique et permet d apprendre aux habitants les bases de la gestion raisonn e des espaces verts et les principes de la pr servation de la biodiversit qui nous entoure Les habitants sont sensibilis s sur les techniques favorables la pr servation de la biodiversit et mises en place sur le site Ces formations seront obligatoirement conduites par un professionnel en gestion des espaces verts et de la biodiversit o
27. bits de ruissellement ARFAS et les chambres d agriculture de l Eure et de Seine Maritime 2008 Verdure et biodiversit pour un d veloppement durable champs d action au niveau de l habitat Le centre urbain de Bruxelles 2007 Atlas 2010 de la biodiversit dans les communes Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer 2010 La biodiversit dans les nouveaux quartiers CAUE de le Vend e 2009 R ussir un projet d urbanisme durable m thode en 100 fiches pour une approche environnementale de l urbanisme AEU ADEME ditions du Moniteur 2006 Les Fran ais et la biodiversit Etude de la Presse d Information Quotidienne 2010 Le r le des espaces verts dans les arbitrages r sidentiels des m nages L urbanisme et ses territoires Gueymard S Universit Paris XII me 2004 Approche environnementale de l urbanisme le guide m thodologique ADEME 2008 Plan de pr servation et de renforcement de la biodiversit Paris Atelier professionnel Biodiversit et urbanisme synth se 2 r union 2010 La fragmentation des milieux naturels Etat de l art en mati re d valuation de la fragmentation des milieux naturels DIREN PACA 2008 La fragmentation des milieux naturels Elaboration d une m thode d analyse dynamique et prospective de la fragmentation DIREN PACA 2008 Strat gie nationale pour la biodiversit Pr sentation des indicateurs de suivi de la biodiversit pr
28. chaque tape de l op ration e Pr sentation et mode d emploi ll revient au Maitre d Ouvrage de d finir l organisation les comp tences les m thodes les moyens la documentation n cessaire pour r pondre ses objectifs aux exigences environnementales qu il aura hi rarchis es et aux exigences du r f rentiel Le niveau de d tail de cette d finition doit d pendre de la sp cificit de chaque op ration La mise en uvre d un management environnemental de l op ration a entre autres pour objet de permettre au Maitre d Ouvrage d exprimer ses priorit s et ses exigences cologiques et environnementales li es l op ration et par voie de cons quence de d finir les th mes composant le profil de la certification environnementale retenu ainsi que le cas ch ant les choix techniques lui permettant d atteindre les niveaux d exigences requis Le respect des exigences du pr sent document n implique pas n cessairement la mise en uvre par le Maitre d Ouvrage d un syst me de management toutefois si un tel syst me fait l objet d une certification ou d une attestation pr existante il aura pour effet de simplifier la d marche et le processus de l audit f Assistant Environnemental Maitre d Ouvrage AEMO Le Maitre d Ouvrage peut d cider du recours une assistance pour le conseiller et l assister dans l tablissement et la mise en uvre des objectifs environnementaux d s lors qu il a d cid de son engagement
29. d vorer mutuellement si la population de ravageur est trop r duite Aucun l cher n est effectu avant la r alisation d une tude qui estime si la faune en place est en quantit suffisante ou non pour r gler le probl me Applications e Les auxiliaires doivent tre apport s tr s t t d s l apparition des premiers ravageurs ou pr ventivement d s la mise en place de la culture si l auxiliaire la possibilit de trouver une nourriture de substitution ou en mettant en place un syst me de plantes relais e Les l chers sont r alis s en faibles quantit s mais de mani re r p t e e La m thode d application est adapt e au type d auxiliaire apports ponctuels ou dispersion homog ne sur la culture e Le choix de l auxiliaire se fait en fonction des conditions climatiques et de la densit de population du ravageur e Des associations d auxiliaires sont galement possibles utilisation d auxiliaires ayant une action compl mentaire parasitisme sur diff rents stades larvaires e Le choix dun traitement chimique est pris lorsqu un auxiliaire ne parvient pas ma triser suffisamment la population d un ravageur La pr f rence sera alors donn e un traitement local et avec un produit compatible avec les auxiliaires pr sents dans la serre Un planning de l chers pr ventifs est mis en place afin de suivre les actions r alis es Chaque l cher s accompagne d une observation de la faune indig ne en place Exemple
30. dans cette notice Les habitants sont inform s si c est le cas de la mise en place d une cl ture acoustique antibruit ou d un talus am nag pour att nuer les pollutions sonores d origines ext rieures au site e l eau Chaque foyer est inform des bonnes pratiques adopter pour l arrosage de ses plantes et de son jardin viter au maximum d utiliser de l eau potable seulement pour les plantes d int rieures utiliser les eaux pluviales r cup r es sur site pour arroser son jardin e les d chets verts Les habitants sont mis au courant des m thodes de recyclage et de compostage des d chets verts Une plaquette d information ce sujet doit tre fournie avec galement une notice de fonctionnement du composteur individuel e lair Les habitants sont inform s du plan de gestion des d placements en voiture sur le site Les points principaux seront repris bri vement dans ce courrier e l nergie La notice pr cise les performances nerg tiques du b timent BBC en faisant r f rence notamment aux toitures v g talis es et au bilan carbone Les choix de l clairage sont galement expliqu s e Les mat riaux issus du vivant pour la construction Les habitants sont inform s des caract ristiques cologiques du b timent Les mat riaux issus du vivant utilis s pour la construction sont num r s ainsi que leur volume et leur co t Une visite de l habitation d une dur e minimale d une heure est organis e
31. dans la Partie 3 D tails des Rubriques environnementales du r f rentiel Par ailleurs il y a lieu de satisfaire les dispositions g n rales suivantes Le projet est r alis avec des produits et ou proc d s certifi s dans les cat gories en disposant aujourd hui ou d faut justifiant de caract ristiques quivalentes L quivalence s entend au sens de la recommandation T1 99 du GPEM tablie en date du 7 octobre 1999 Sur le principe la justification de l quivalence est fournir par le fabricant concern la demande du Ma tre d Ouvrage La liste des produits certifi s pour chaque application ainsi que les informations concernant les diff rents organismes certificateurs peuvent tre consult es partir du site Internet de l AFOCERT Association Fran aise des Organismes de certification des Produits de Construction www afocert asso fr et des sites du CSTB www cstb fr et www it batiment fr r glementation thermique Le Maitre d Ouvrage contracte pour l op ration une mission de contr le technique incluant les missions dites de base L solidit et S s curit cette exigence ne s applique pas l individuel Une mission compl mentaire PS parasismique est confi e lorsque la r glementation l exige en fonction de la situation de l op ration Le Maitre d Ouvrage s assure du respect du Code de la construction des autres r glementations techniques en vigueur y compris des r glementations loca
32. dont l ozone et les oxydes d azote Les espaces verts cologiques contribuent la diminution de cette pollution Les v g taux notamment ceux dont la masse et la surface foliaires sont les plus grandes constituent via la photosynth se un potentiel important de captage du CO2 et d mission d oxyg ne dans l atmosph re urbaine Ils retiennent galement une partie des particules en suspension dont certains polluants pr sents dans l air de la ville par exemple les m taux lourds Les jardins souvent couverts de plantes participe aussi afin de limiter l accumulation de dioxyde de carbone sur le site La qualit de l air est conforme la r glementation fran aise 1 Respect du crit re 2 avec en plus Les esp ces dont la lib ration de pollens allerg nes est lev e sont plant es de fa on ce que le pollen ne soit pas dirig vers le b timent sous l action du vent Un plan de gestion des d placements en voiture est mise en place e la distance entre l entr e du site et le parking est r duite dans la mesure du possible de fa on limiter l utilisation de la voiture sur l op ration les passages des v hicules proximit des espaces verts et ou riches en habitats naturels sont vit s Respect du crit re 3 avec en plus Le niveau 4 du crit re changement de la valeur cologique du site est 5 attribu Les plantes utilis es dans les parties communes des b timents sont labellis es
33. du code de l environnement La pr servation et la gestion durable des zones humides d finies l article L 211 1 du code de l environnement sont d int r t g n ral Ce dernier vise en particulier la pr servation des zones humides dont l int r t patrimonial se retranscrit travers plus de 230 pages d enveloppes r glementaires A noter que leur caract risation et leur crit res de d limitation sont r gis selon l arr t du ler octobre 2009 en application des articles L 214 7 1 et R 211 108 du code de l environnement selon des crit res p dologiques botaniques ainsi que d habitats le d cret du 17 juillet 2006 pr cise la nomenclature des op rations soumises autorisation ou d claration conform ment l application de la Loi sur l Eau et les Milieux Aquatiques de 2006 en int grant les Zones humides Les zones humides peuvent donc pr tendre au titre de la Loi sur l Eau et les Milieux Aquatiques de 2006 des mesures correctives ou compensatoires relatives et r sultantes aux am nagements portant atteinte leur int grit et ou leur fonctionnalit 39 Flore mw Esp ces v g tales prot g es par la loi fran aise Pour la flore vasculaire ce qui exclut donc les mousses algues champignons et lichens deux arr t s fixent en r gion PACA la liste des esp ces int gralement prot g es par la loi fran aise Il s agit de La liste nationale des esp ces prot g es sur l ensemble d
34. envers vous ni aucune tierce partie pour l exactitude l exhaustivit la fiabilit ou l utilisation de toute information contenue dans le r f rentiel EFFINATURE ni pour quelque pr judice perte ou dommage incluant sans s y limiter le redressement quitable qui pourraient r sulter d une telle utilisation de ces informations ou du fait de s y fier Comme condition d utilisation vous vous engagez ne pas poursuivre GREENLOGIC et ses partenaires et vous acceptez de renoncer vos droits et de d gager ces parties relativement quelque r clamation revendication ou fondement pour une action pour tout pr judice perte ou dommage incluant sans s y limiter le redressement quitable que vous pourriez maintenant ou ci apr s avoir le droit de pr senter contre ces parties suite votre Utilisation de le r f rentiel EFFINATURE Veuillez noter que le constructeur ou le principal gestionnaire de projet est le seul responsable du choix des utilisations de le r f rentiel EFFINATURE qui conviennent au projet et de son installation ad quate GREENLOGIC et ses repr sentants ne sont responsables que de la v rification de la conformit de l application du r f rentiel EFFINATURE telles qu tablies dans le pr sent r f rentiel ces v rifications ne constituent d aucune mani re une garantie concernant la pertinence des mesures choisies en vertu du r sultat final ou concernant la qualit de leur mise en uvre Le terme EFFINATU
35. est indispensable C est pourquoi ne seront prises en compte que les esp ces remarquables d int r t communautaire ou remplissant des fonctions essentielles pour l homme o la diversit biologique chaque fois que cela sera possible les esp ces v g tales seront valu s sous forme de patch de groupements v g taux qui remplissent d avantage les fonctions cosyst miques attendues except s les cas d esp ces recens es en voie d extinction qui seront trait s s par ment Un inventaire de la microflore ne sera pas obligatoirement r alis Toutefois Une analyse compl mentaire de cette m me microflore du sol peut s av rer n cessaire la validation ou non du projet si le diagnostic de pollution des sols r v le des taux importants de pollutions De ce fait elle sera obligatoire Autre remarque une tude de la faune pr sente sur et proximit du site sera faite si la faune s av re remarquable ou d int r t communautaire 3 Les enjeux EFFINATURE En ville et en milieu rural ou p ri rural il convient d amplifier le d veloppement d un r seau cologique maillage vert et maillage bleu incluant des sites prot g s des l ments ponctuels mares jardins naturels toitures v g tales etc ou lin aires talus haies etc du paysage En outre des mesures ad quates et effectives de protection hi rarchis es selon l int r t biologique des diff rentes zones doivent s y appliquer EFFINATURE se disti
36. et gestion labiodentt 31 C ction et veioppement ce ic rame verte et teue cn 2 5 D 40 70 DID 43 Fr quentation Sem epaces verts 62 D chet vers mcyciage et composage 41 Restaurotion de l envdronnement pour ie blodiverst 74 Gestion Ge la consommation nerg tique 73 Senicecuumiset odas 72 Infamation et communication 71 Cotat Sel hotitont 0 10 D 70 a 7 10 o 0 DDD OD OD 90 OW gt Pourcentages d implication des th mes EFFINATURE Profil EFFINATURE EFFINATURE P EFFINATURE TP cologique EF 3 Eco construction d pendance la blodiversit 3 5 EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me EF 7 Eco responsablilit EF 8 Valorisation conomique du projet Le profil cologique de l op ration est d fini partir des donn es de la colonne profil cologique du tableau ci dessous 123 124 Glossaire Agenda 21 d marche de r flexion men e l chelle d une commune d un lyc e d une entreprise etc visant orchestrer l ensemble des documents d objectifs et des projets dans un esprit de d veloppement durable Il s agit donc de mettre en place toute une s rie de mesures concr tes associant environnement social et conomique dans un objectif durable et qualitatif Anthropique relatif l activit humaine Qualifie
37. externalit li e au paysage et sa bonne gestion Outrequin P Le co t global partag d un projet de construction 2007 Celle ci a t exprim e en pourcentage de la valeur immobili re du projet de construction e espaces verts entretenus ou bois s accessibles 6 10 Les principaux crit res qui d terminent l valuation sont la proximit le cheminement la taille et l attractivit e paysage vu depuis la parcelle 4 5 8 5 L valuation se distingue selon quatre modes diff rents paysage exceptionnel pour les zones humides cela rejoint la vue sur Un lac ou un canal entretenu paysage agr able paysage banal paysage m diocre e gestion des pollutions nuisibles 2 4 Les principaux crit res qui d terminent l valuation sont qualit de l air degr de pollution lieu o lequel s ins re le projet et nuisances sonores fr quence p riodicit dur e lieu o s ins re le projet La pr sence de biodiversit au sein d un projet de construction a une part importante d un point de vue financier au regard de la plus value apport e Les habitants sont pr ts payer plus pour un logement dot d espaces verts A chaque niveau atteint on estimera une hausse du prix du logement de 2 6 Z La biodiversit pr sente sur site ou les espaces verts am nag s mis en place sur le site ne conviennent pas apporter une plus value financi re au projet Le projet a obtenu le niveau 3 p
38. le paillage en une couche paisse de Zem environ Prenez garde ne pas recouvrir le collet point de s paration entre la tige et les racines d un v g tal des plantes Rajoutez r guli rement quelques centim tres car le paillage organique se transforme en humus gt Commencer par pailler les jeunes plants 2 3 cm gt Compl ter pour atteindre 7cm apr s le d veloppement de la plante e Ne pas pailler par vent fort et sur un sol gel e Arroser avant et apr s avoir mis en place le paillis Type de paillage Paille de bl Co t faible Renouveler tous les ans grosses temps acidifie le sol petites sa d composition temps Imputrescible apporte les min raux n cessaires la croissance des Pouzzolane Coot lev plantes Ardoise TOO NET AEA E Difficile manipuler vents PH neutre 85 Possibilit d tre color s TONER CRAQUE palettes de bois souvent appliqu Paillettes de lin Co t faible apport S envole au vent Paillettes de d humus lors de sa Peu durable dans le chanvre d composition temps de cacao Toile en fibre Ne pourrit pas tr s Non d gradable plastique efficace Protocole d utilisation des auxiliaires pour la lutte biologique Sont choisis en priorit parmi les auxiliaires recommand s les auxiliaires les plus adapt s au milieu puis la saison et au regard de leur efficacit Plusieurs auxiliaires pour le m me cas parasitaire peuvent tre combin s bien qu ils puissent se
39. les logements ou satisfaire une des deux dispositions propos es ci dessous soit le d tail du calcul des d perditions de base pi ce par pi ce est requis au stade de l valuation dans la mesure o les pi ces crites du dossier march pr cisent que le calcul du dimensionnement des metteurs de chaleur devra tre effectu par l entreprise r alisant les travaux sur la base des calculs de ces d perditions Le calcul des d perditions de base pi ce par pi ce est r alis sur la base des m thodes de calcul en vigueur et selon les dispositions des normes NF EN 12831 et NF P52 612 CN Le calcul du dimensionnement des metteurs de chaleur puissances de chauffage installer est r alis selon les dispositions de la norme NF EN 14337 pour les syst mes de chauffage lectrique direct et de la norme NF EN 12828 pour les syst mes de chauffage eau chaude Dans la mesure o les pi ces crites du dossier tudi ne pr cisent pas l existence de cette note de calcul du dimensionnement des metteurs de chaleur le Maitre d Ouvrage devra s engager faire r f rence cette note de calcul dans les pi ces crites du dossier march afin de rendre contractuelles ces dispositions soit il est pr cis dans les pi ces crites du dossier march que le calcul du dimensionnement des metteurs de chaleur est r alis sur la base d un calcul de d perditions pi ce par pi ce l ensemble tant la charge de l entr
40. les esp ces appartenant un grand groupe syst matique v g taux vasculaires col opt res etc Services cologiques processus naturels utiles et souvent n cessaires aux populations humaines sans qu elles aient agjir pour les obtenir Services cosyst miques tous les services que nous tirons des cosyst mes pollinisation fermentation filtration r gulation du climat Smog urbain brume brun tre et paisse provenant d un m lange de polluants atmosph riques qui limite la visibilit dans l atmosph re Il est constitu surtout de particules fines et d ozone Le smog est associ plusieurs effets n fastes pour la sant et pour l environnement 128 Strat gie Nationale pour la Biodiversit adopt e en f vrier 2004 appuy e et confort e par les travaux du COMit OP rationnel n 11 du Grenelle de l environnement 2007 08 vise conserver la diversit du vivant en terme de g nes d esp ces d habitats et d cosyst mes Cet objectif passe par la pr servation le r tablissement voire le d veloppement d une trame cologique coh rente et fonctionnelle de milieux aussi bien patrimoniaux qu ordinaires Parmi les quatre axes d action d velopp s dans la strat gie pour la biodiversit la mobilisation de tous les acteurs chacun leur niveau de responsabilit est celui qui mobilise les ma tres d ouvrage de tous projet d am nagement ou de tous documents de planification ou de programmati
41. politique en mati re environnementale et ce jusqu livraison et mise en place de la structure d exploitation si n cessaire Les crit res retenus par le Ma tre d Ouvrage comp tences en management comp tences techniques r f rences dans des domaines quivalents moyens internes disponibles pour valuer l expertise environnementale des prestataires d assistance environnementale doivent tre coh rents avec ses objectifs Lorsque le Maitre d Ouvrage n a pas souhait recourir une mission d assistance ext rieure il doit tre en mesure d attester des comp tences environnementales d un ou de plusieurs de ses collaborateurs selon leur niveau de formation initiale ou professionnelle par l adoption d un plan de formation adapt de connaissance ou d exp rience en la mati re Le Maitre d Ouvrage pr sentera le plan Formation en mati re d environnement et d veloppement durable COMMENTAIRES ll est recommand l AEMO ou au Maitre d Ouvrage de pouvoir justifier d une capacit en management environnemental et d une comp tence technique g n rale par des connaissances ou exp riences dans des domaines tels que e Le g nie cologique et la biodiversit e La gestion et l entretien des espaces verts e La trame verte et bleue L am nagement paysager e les techniques de v g talisation du b timent e La gestion et les traitements d eau de sol et de l air 29 e Les d chets verts les techniqu
42. principale et compl mentaire des substances actives phytosanitaires susceptibles de se retrouver dans les eaux souterraines et toxiques pour l Homme 2 Selon les exigences du d cret n 87 361 Cahier des d marches pour la gestion et l entretien des espaces verts Donner d s qu il est possible la priorit l volution naturelle en limitant les interventions Avant chaque lagage ou abattage des arbres cavit une expertise visuelle des cavit s arboricoles est r alis e Pour les esp ces enracin es profond ment il est recommand d augmenter la dose d apport d eau et de r duire la fr quence des arrosages Le d sherbage doit s effectuer sous plusieurs conditions m t orologiques Des disposions respecter pour conomiser l eau sont affich es chaque point de prise d eau bien fermer les robinets apr s chaque utilisation r gles de l arrosage jamais arroser en plein soleil arroser moins souvent et copieusement plut t que chaque jour et l g rement arroser tous les 2 jours en sol sableux et 1 fois par semaine en sol plus compact argileux g rer l arrosage en t o arroser plut t le soir pour que la terre conserve l humidit o pratiquer le binage au printemps et l t cela consiste casser la cro te du sol pour liminer les mauvaises herbes et conomiser l arrosage Remarques Avant toute action de d sherbage s assurer qu il n y ait pas de point d eau cours
43. produit stabilis hygi nique semblable un terreau riche en compos s humiques le compost Contaminant substance ou agent pr sent dans le sol r sultant de l activit humaine ISO 15176 Corine Land Cover base de donn es g ographiques construite partir d images satellitaires et fournissant des donn es d occupation des sols produite dans le cadre du programme europ en de COokRdination de l INformation sur l Environnement Corridors biologiques passage de libre circulation pour la faune et la flore C est le chemin constitu d espaces naturels que la faune utilise pour aller d un massif un autre ou tout simplement pour aller de la zone o elle vit habituellement la zone o elle se reproduit D chets organiques autre appellation des d chets fermentescibles Ce sont les r sidus d origine v g tale ou animale qui peuvent tre d grad s par les micro organismes pour lesquels ils repr sentent Une source d alimentation Ils incluent les v g taux les d chets 125 putrescibles de la cuisine et ceux collect s aupr s des cantines et restaurants d entreprises les papiers et cartons souill s sous certaines conditions Ces d chets sont utilis s pour la fabrication du compost D sherbage thermique choc thermique de mani re faire clater les cellules v g tales des plantes sans pour autant les br ler Durabilit naturelle facult d un mat riau naturel en particulier le bois de demeur
44. rapport la limite de mitoyennet des propri t s Elles sont d finies ainsi e 2 m pour les arbres haute tige hauteur minimum 4 m circonf rence du tronc minimum 40 cm 1 5 m du sol e 50cm pour les autres v g taux arbres et haies vives Les arbres fruitiers plant s en espaliers chappent cette prescription R glementation des plantations arbustives Afin de maintenir un niveau d clairement naturel satisfaisant des locaux les arbres ne devront jamais tre positionn s moins de 5 m pour les arbres de 1 grandeur 4 m pour les arbres de 2 grandeur et 3 m pour les arbres de 3 grandeur des fa ades ou des balcons 78 Classification selon 3 grandeurs de quelques esp ces arbres communs de l espace urbain Le choix des essences conditionne des distances de plantation Le tableau ci dessous indique les valeurs minimales respecter Les plantes r sistantes la s cheresse Les plantes adapt es au climat m diterran en conviennent le mieux aux terrains secs Pensez galement aux plantes de sols sableux et secs comme les bruy res et autres plantes du bord de mer Les plantes aromatiques appr cient les emplacements secs et ensoleill s Liste des esp ces v g tales m diterran ennes 79 e Envahissantes Arbres Mimosa d hiver Faux vernis du Japon Robinier faux acacia Arbustes Faux indigo Senecon Budadleia arbre aux papillons Oponces Figuiers de Barbarie Plantes
45. repr sente une augmentation de la valeur cologique du site Nombre Nombre d esp ces d esp ces x aire pionni res de la parcelle Aire de la parcelle m Type de parcelle 1 Aire totale des parcelles 2 Total z Indice de la valeur cologique 2 1 Diff rents types de parcelles champs de mauvaises herbes grande prairie prairie fertile ou infertile plaine bois e lande bruy re marais am nagement paysager dur jardin pelouse gazon Aucune r ponse n a t apport e sur l enrichissement raisonn de la diversit biologique gt Indice de la valeur cologique lt 0 Un enrichissement raisonn de la diversit biologique et tal sur l ensemble de la parcelle est r alis sur les recommandations d un cologiste ou paysagiste qualifi gt 0 gt indice de la valeur cologique gt 5 Un plan de gestion est mis en place et prend en compte plusieurs points importants cit s ci dessous 76 plantation d esp ces v g tales locales limitation de l abondance d une esp ce les diff rentes strates de v g tation sont repr sent es arbres arbustes herbac es afin de renforcer la richesse sp cifique Au moins 6 arbres sont plant s o 3 esp ces minimum y sont repr sent es les esp ces dites envahissantes ne sont pas plant es S ily a la pr sence d un parkings non souterrains e les stationnements sont plant s d arbres et d arbustes raiso
46. surface indice CBS Le CBS indique la part de la surface d un terrain servant de station v g tale ou assumant d autres fonctions pour l cosyst me am liorer le microclimat garantir la fertilit du sol et la gestion de l eau cr er et valoriser l espace vital pour la faune et la flore am liorer l environnement de l habitat 65 On calcule la proportion de toutes les surfaces favorables la nature sur la parcelle par rapport a la surface totale de la parcelle N D 0 O o W i 2 N Surface du b ti Surfaces co am nageables m CBS ei lt cr Surface totale de la parcelle m Coefficient de valeur conomique 2 Exemples m de sorte de surface Imperm able air eau sans v g tation Surfaces imperm ables b ton bitume dallage mortier Perm able air eau sans v g tation Surfaces semi perm ables dallage avec gravier sable clinker Perm able air eau avec v g tation Ecoulement infiltration eau de pluie Surfaces semi ouvertes dallage de bois pierres de treillis sur pelouse sout nements verts murs de cl tures Epaisseur de terre v g tale jusqu 80 Espaces verts sur dalle cm rez de chauss e garages souterrains Espaces verts sur dalle 0 7 Epaisseur de terre v g tale d au moins 80 cm Espaces verts en pleine terre Continuit avec la terre naturelle Zones humides d veloppement faune et flore Verdisementv dic l 0 2 V g talisation des murs aveugle
47. ter au fur et mesure du d roulement de l op ration les processus cl s concernant la qualit environnementale de l op ration Cette planification doit d crire la succession des actions de chaque phase et pour chacune des actions e Les responsabilit s et autorit s correspondantes e Les interfaces le cas ch ant avec les diff rents intervenants impliqu s donn es d entr e et donn es de sortie e Les tapes et activit s e Les moyens n cessaires et les documents utilis s e Les enregistrements conserver par le Maitre d Ouvrage e Les interventions de l organisme certificateur j Choix de la Maitrise d uvre Le Maitre d Ouvrage int grera dans son processus de choix de l quipe de maitrise d uvre des crit res portant sur les exp riences comp tences affich es par cette derni re en mati re environnementale en fonction des sp cificit s environnementales du projet Si le maitre d uvre ce stade ne dispose pas des exp riences ou comp tences il devra la demande du Maitre d Ouvrage compl ter son dispositif afin de mettre en uvre les moyens n cessaires sa mission en ad quation avec l engagement politique de celui ci k Revue de management Des valuations sont r alis es par le Maitre d Ouvrage des phases cl s au minimum au moment du d p t de la demande d autorisation de construire et lors de la passation des march s aux entreprises Elles doivent permettre de v
48. tout l ment provoqu directement ou indirectement par l action de l homme rosion des sols pollution par les pesticides des sols relief des digues DU grec anthropos homme Biodiversit d apr s la Convention pour la diversit biologique adopt e lors du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992 c est la variabilit des organismes vivants de toute origine y compris entre autres les cosyst mes terrestres marins et autres cosyst mes aquatiques et les complexes cologiques dont ils font partie cela comprend la diversit au sein des esp ces et entre esp ces ainsi que celle des cosyst mes Biosparging technique biologique de d pollution des eaux souterraines in situ consistant injecter dans la zone satur e de l air stimulant la biod gradation des polluants Biotope milieu ou lieu de vie relativement stable identifi par un certain nombre de caract ristiques g ologiques g ographiques hydrologiques et climatologiques qui vont d terminer les conditions de vie des tres qui y vivront Bioventing technique de traitement d un substrat sol pollu en zone non satur e qui consiste a rer le substrat par injection d air ou d Oxyg ne afin d y favoriser l activit microbienne et la volatilisation des polluants Compostage proc d biologique contr l de conversion et de valorisation des mati res organiques sous produits de la biomasse d chets organiques d origine biologique en un
49. vitesse lt 10 km h limiter les bruits ponctuels et ou continus gt 40 d cibels niveau sonore moyen d une rue r sidentielle moins de 5 m tres des zones propices pour abriter les esp ces animales espaces verts naturels jardins prairies Respect du crit re 3 avec en plus Les niveaux d intensit sonores ne d passent pas 40 d cibels estimation qui refl te l intensit sonore moyenne des for ts Ou Une cl ture prot geant l op ration du bruit ext rieur est install e e une cl ture acoustique ll en bois en terre cuite en fibres naturelles ou en b ton de bois une cl ture antibruit v g talisable en laine de roche ou en bois et offrant une surface de d veloppement pour les v g taux Pour le dimensionnement il faut se r f rer au PLU si la commune en dispose d un en g n ral la hauteur limite des cl ture est de 2 m tres En l absence d usages et de r glements il faut se r f rer l article 663 du Code Civil qui stipule que tout mur de s paration entre voisins construit ou r tabli doit avoir au maximum y compris le chaperon e 320 m tres dans les villes de 50 000 habitants et plus 92 260 m tres dans les villes de 49 999 habitants et moins m Pollution atmosph rique La pollution de l air en milieu urbain se caract rise par la pr sence de polluants divers notamment des particules fines les a rosols et notamment de carbone et la formation de smogs urbains bien visibles
50. 07 e Sp cifier le r le jou par les esp ces pollinisateurs pr dateurs d composeurs pr sence de Fabac es etc e Pour les grands mammif res localiser les populations dans et aux abords du secteur d tudes pr ciser les densit s et d terminer les couloirs de d placement traversant ce secteur afin de hi rarchiser ces franchissements en fonction de leur importance en tant que couloir de d placement privil gi distinguer les couloirs de d placements quotidiens des couloirs de migration et d changes entre populations de grands mammif res e Pour les autres esp ces et en fonction de l enjeu au moins pour les esp ces vuln rable tr s menac es il convient de d terminer si le projet est susceptible de porter atteinte ou non au bon tat de conservation de l esp ce rupture des continuit s cologiques par obstacle physique perturbation sonore lumineuse olfactive Remarque On vitera si possible les relev s pendant ou directement apr s des fortes pluies ou des pluies de longue dur e attendre au moins 2 jours car on perturberait consid rablement le sol par pi tinement De plus les mauvaises conditions d observation conduiraient des erreurs d observation aussi bien qu des esp ces non vues Attention Il est rappel que la destruction d esp ces prot g es en application des dispositions de l article L 411 1 du code de l environnement ainsi que de leurs habitats est interdite sauf
51. 1 1 Gestion des pollutions nuisibles pollution lumineuse ions nubes E rs pollution atmosph rique pollution lectromagn tique op on IBGN indice biologique global normalis option Test d cotoxicit eau douce test Daphnie EF 7 Eco responsabilit 7 1 Confort de l habitant 7 1 1 Bien tre de l habitant 7 1 2 Confort visuel mise en valeur du patrimoine v g tal 2 0 5 w Men oo oo olajojojojo EA LS LS 4 nl 2 Information et communication 7 2 1 Sensibilisation et formation du propri taire ou du locataire g Kad C Cad Cad Da ojojo 7 2 2 Sensibilisation et formation du gestionnaire du site 3 Services culturels et sociaux 4 Gestion de la consommation nerg tique EF 8 Valorisation conomique du projet 3 3 3 o o js ss ES o nn ES o ln 5 ei ei N Ra 8 1 Investissements pour la biodiversit 8 1 2 Subventions et aides financi res 8 2 Valorisation mon taire du projet hag TOTAL Moyenne Les cases sur fond blanc corresoondent aux notes obtenues par l op ration valu e les cases sur fond vert correspondent aux moyennes des diff rents th mes et tout en bas la note moyenne finale 122 gt Influence des diff rents crit res du projet sur la biodiversit en 1 Th mes et crit res d valuation Notes Cotation
52. 5 2 1 Valeur cologique du site La valeur cologique du site est calcul e en estimant la diversit de la flore Les estimations de la valeur cologique du site sont exprim es par le relev des esp ces v g tales Toutes les esp ces ne peuvent pas tre prises en compte seules les esp ces principales ou d int r t communautaire sont relev es pour ce crit re Pour les jardins privatifs les esp ces plant es ne sont pas prises en consid ration Cette enqu te doit tre conduite la p riode appropri e l panouissement des plantes consid r es Un rapport cologique doit tre remis faisant appara tre 75 e les types de parcelles e les types d habitats e les nombres d esp ces examin s par habitat Sans ce rapport qui est la preuve que l enqu te a bien t r alis e la note 1 sera attribu e L estimation de la valeur cologique du site doit prendre en compte le temps de croissance et de d veloppement des diff rentes esp ces v g tales Calcul de la valeur cologique Le nombre moyen d esp ces pour le site est calcul en faisant la somme des surfaces des diff rentes parcelles qui ont t au pr alable multipli es par le nombre respectif d esp ces pr sentes O m nombre total de parcelles apr s la construction Une valeur n gative repr sente une diminution de la diversit des esp ces v g tales soit une diminution de la valeur cologique AU contraire une valeur positive
53. 82 Pots en terre cuite ll en existe 3 types e Pot de terre cuite M sanges diam tre 10 5 cm et hauteur 20 cm e Pot de terre cuite Moineaux diam tre 13 cm et hauteur 22 cm e Pot de terre cuite Etourneaux diam tre 16 5 cm et hauteur 27 cm EF 5 2 4 Gestion diff renci e et entretien des espaces verts Une gestion cologique des espaces verts est avant tout une gestion diff renci e et raisonn e qui s inscrit dans la d marche du d veloppement durable cherchant respecter les biotopes existants C est un moyen de lutte efficace contre les parasites des plantes au d triment de l utilisation des produits phytosanitaires trop polluants et non cologiques Cela va dans le sens des recommandations du Grenelle de l environnement qui pr voit de r duire de 50 l usage de pesticides d ici dix ans Chaque type d espace doit b n ficier d un mode de gestion adapt ses contraintes environnementales et paysag res aux risques et aux impacts E Entretien et jardinage Aucune exigence quant l utilisation des produits phytosanitaires 11 Le lieu de stockage des produits phytosanitaires est loign des zones d habitation et de tout b timent susceptible d accueillir du public Ce local est construit en mat riaux solides non combustibles et dot d un sol imperm able L utilisation de produits phytosanitaires est interdit dans la gestion et l entretien des espaces sur l op ration Le cah
54. 9 EF 6 1 Restauration de l environnement au service de la qualit de vie de la Ge 6 ASE ILE RE ST E E nian vibrancy sepa RS 89 EF 6 2 D chets verts recyclage compostage 97 EF 6 2 Fr quentation des espaces verts iii 98 ER 7 ECOPESO GIS GIDC Te Ne elite ani etat 101 EF 72 Contomde l habitant haine E ETE E 101 EF 7 2 Information et communication ss 103 EF 7 3 Services culturels t SOCIAUX rires n ei i ea ie 106 EF 7 4 Gestion de la consommation nerg tique cccccccesscessscessecessccesscesssseeesestseeees 107 EPS Valorisation conomique du Pro ssssnnnennmndirnennn indienne has 110 EF 8 1 Investissements pour la biodiversit 110 EF 8 2 Valorisation mon taire du projet PARTIE 5 VALUATION DU PROJET ET PROCESSUS DE CERTIFICATION ware atte casts E P E EE E A A T 115 A AUCit biodiversit de prol fi c erne aeii a ai a 116 B valuation d finitive du projet 116 C Processus de certification contr les de conformit et attribution du label EFRINA TURE wa ware e aE O E ER EEEE ELERE ESETE deen ee 117 1 ONTOI S de SONO NIMES amende teen ie den nie elite Eaa 117 2 Attribution du label EFFINATURE en dan as hoc nt tete nanas 120 ANNEXES INTOMOTVES oesie init tnt Em du niet A a 121 GOSSES ne RSR ROUE OR Re RER RAS ER A EE 125 BibliGgraphie ssssssses ren AN ie lisant 130 tiste Ces A CIONY MES 0 arte rs aient rai 134 D marche EFFINATURE ee Nature Ce pr sent r f rentiel se pr
55. ACA Site du SIETREM www sietrem fr relatifs aux informations sur le compostage individuel des d chets verts et m nag s Site de France Assainissement www franceassainissement com relatif la perm abilit des sols Articles Aubertin C et Vivien FD 1998 Les enjeux de la biodiversit ditions Poche environnement Economica p 112 e Barbault R 2004 Biodiversit et crise de croissance des soci t s humaines L horizon 2010 Chevassus au Louis 130 Cavailh s 2005 The landscape from house seeing and being seen A GIS based hedonic price valuation Cherqui F 2005 Th se M fhodologie d valuation d un projet d am nagement durable d un quartier M thode ADEQUA Soutenue le 14 d cembre 2005 Universit de la Rochelle p 59 67 85 99 Clergeau P Savaed JPL MENNECHEZ G et Falardeau G 1998 Bird abundance and diversity along an urban rural gradient a comparative study between two cities on different continents Condor 100 p 413 425 Clergeau P D sir G 1999 Biodiversit paysage et am nagement du corridor la zone de connexion biologique Mappemonde 55 P 19 22 Costanza R Arge R Groot R Farber S Grasso M Hannon B Limburg K Naeem S O Neill RV Paruelo J Raskin RG Sutton P et Van den Belt M 1997 La valeur des services de l cosyst me mondial et du capital naturel Nature Vol 387 p 253 260 Croci S 2007 Th se Ur
56. Aucune r ponse n a t apport e pour ce crit re Z O O Le test Daphnie a t calcul sur l op ration L op ration a eu un impact n gatif sur la qualit du cours d eau Le test Daphnie a t calcul sur l op ration L op ration a eu un impact n gatif sur la qualit du cours d eau mais la pollution a t trait e Le test Daphnie a t calcul sur l op ration L op ration n a eu aucun impact sur le cours d eau Le test Daphnie a t calcul L op ration a eu un impact positif sur le cours d eau traitement des pollutions restauration du cours d eau restauration de la ripisylve etc Le test Daphnie Les daphnies sont des petits crustac s zoo planctoniques Elles sont utilis es par les toxicologues pour d tecter la pr sence de certains toxiques dans l eau Contrairement aux tests physico chimiques qui n glige le lien direct avec le monde vivant le test Daphnie value directement l impact du milieu sur la faune aquatique Ce test permet de d terminer la concentration de polluants n cessaires pour que la moiti des daphnies deviennent immobiles ou meurent DL 5 EF 6 2 D chets verts recyclage compostage Les d chets verts sont des d chets organiques form s de r sidus issus de l entretien des espaces verts des zones r cr atives des jardins priv s etc On d signe par d chet vert les feuilles mortes les tontes de gazon les tailles de haies et d arbustes les r sidus d lagage les
57. CSA www csa fr com relatifs aux sondages des Fran ais vis vis de la biodiversit Site portail des d marches de l Agenda 21 en France www agenda21france org Site du Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer www developpement durable gouv fr relatifs aux am nagements durables et la biodiversit portail francais de l ann e internationale de la biodiversit www biodiversite2010 fr site de la ligue ROC www biodiversite2012 org relatif la pr servation de la faune sauvage Site de l Institut National de Recherche Agronomique www inra fr relatif la valorisation de la biodiversit Site du Grenelle Environnement www legrenelle environnement fr relatifs aux principes du Grenelle Environnement concernant la biodiversit et l urbanisme Site de Cerqual organisme de certification www cerqual fr relatifs aux certifications de l habit t Site the Environmental Assessment Method for Buildings Around The World GB www breeam org relatif la certification des b timents au Royaume Uni Site sur l observation et les statistiques de l environnement www ifen fr relatif aux informations et donn es sur l environnement et la biodiversit Site de la l gislation fran aise www legifrance gouv fr relatif la r glementation de la plantation d essences v g tales en propri t et l arr t pour la diversit des esp ces en r gion P
58. ES TH MATIQUES D ORGANISATION steno rie E A nn 26 AO EdE SERRE no En Em a Ea ia EES 27 B D tails des rubriques environnementales 27 EF Management environnemental de l op ration ss 27 ETNIEI GUC TION AE E A EEEE SE A MR E M sized cove sens E E ere genous 27 b D mained appleatioNesssasnnnanndannne cine initial 27 c Engagement politique du Ma tre d OUvVrage ss 28 d D finition du management environnemental de l op ration oo eeeesseeesteeeeeeees 28 6 Pr sentation ef mode d empl f sise hrs een A 29 f Assistant Environnemental Maitre d Ouvrage AEMO cccccescessccessceesssseceeesseees 29 9 tudes prGclables ccccscsssssssessesssssesssssssssssssssssecesssrsssssssuseusssvasscussvsesaneesecvesusaseasaneas 30 1 Analyse de l tat initial du site 30 2 Evaluation de l tat de la biodiversit 31 3 Besoins et attentes pour l op ration Lo ccccccccessccssecessccesecessscessecesseceseeseseeesseeeaeees 32 4 Etudes de faisabilit des approvisionnements en nergie cceeecceesteeeeseeees 32 h Programme d l Op r tion ssssssinantunente di nent Mn eed eS 32 i Planification de l op ration srursrdsealihhan casita ste len nan von Beaten eee 33 j Choix de la Marise d UVre seu nnion ara EENAA a 33 k Revue d manggement annuere euina a a a 33 l Exigences relatives la documentation ss 34 m Consultation des entreprises et la passation des m
59. LASSE DE VARIETE 1 L BGN est tabli partir des tableaux de d termination comprenant pour le premier les 14 classes de vari t taxonomique et pour le second les 9 groupes faunistiques indicateurs Tableau de d termination de la classe de vari t taxonomique En gras les taxons repr sent s par au moins 10 individus On d termine partir des 2 tableaux successivement Taxons gt 45 41 37 33 29 25 21 17 13 10 79 4 6l1 3 50 49 44 40 36 32 28 24 20 16 12 Classe de 14 13 12 1 10 9 8 7 5 4 3 2 1 vari t Tableau de d termination du Groupe Faunistique Indicateur GFI Chloroperlidae Capniidae Leuciidae Nemouridae Hydroptilidae Glossosomatidae x Taxons Perlidae Brachycentridae B r eidde Lepidostomatidae Heptageniidae Perlodidae Odontoceridae Sericostomatidae Polymitarcidae T iopt id Philopotamidae eee Ephemeridae Potamanthidae del a baa p Leptophlebiidae P GFI 9 8 7 6 5 Leptoceridae Limnephilidae Baetidae Chironomidae Caenidae Polycentropodidae Hydropsychidae Asellidae Taxons A Elmidae Psychomyidae Ephemerellidae E Ach tes ni pa Gammaridae Rhyacophilidae Aphelocheiridae Oligoch tes Mollusques GFI 4 3 2 e La vari t taxonomique de l chantillon gale au nombre total de taxons r colt s m me s ils ne sont repr sent s que par un seul individu
60. RE peut d signer l un des l ments suivants e Le r f rentiel d velopp par GREENLOGIC qui expose comment valuer le prise en compte de la biodiversit dans une op ration d am nagement et de construction e Les m thodes de calculs les crit res d valuations et le manuel d utilisation associ s e Les diff rents rapports r sultants de l application du r f rentiel Marques d pos es EFFINATURE est une marque d pos e de GREENLOGIC Acc s au r f rentiel et aux documents qui la composent Dans l esprit le r f rentiel EFFINATURE se veut simple et accessible De ce fait le pr sent r f rentiel est librement accessible sur le site www greenlogic fr L application du r f rentiel est r serv e aux personnes agr es par GREENLOGIC dans la limite de leur licence d utilisation Ce choix est justifi par le fait que par del la lecture des documents t l chargeables il est n cessaire de maitriser un minimum de connaissances g n rales pour conseiller efficacement les parties prenantes des projets Ces connaissances sont les suivantes l ments de base sur la biodiversit et les services rendus par celle ci il faut conna tre les enjeux pour inciter passer l action Aptitude interpr ter de mani re correcte les crit res de labellisation Aptitude organiser globalement une d marche d valuation puis de passage l action Personnes ayant contribu au r f rentiel EFFINATURE
61. a parcelle ce qui fait qu il y a obligatoirement une perte en terme de superficie v g talisable par rapport l tat initial dans le cas d un terrain vierge de construction Dans le cas d une r novation on cherche maximiser le rendement du b timent selon son emprise au sol L indice CES regroupe les aspects qualitatif type de v g tation et quantitatif surface de v g talisation Protocole de calcul de l indice CES 1 2 D termination de la surface d emprise au sol du b timent mr D termination des surfaces du b timent potentiellement v g talisables e Toiture m Fa ades m Coefficients de valeur cologique des surfaces e coefficient pleine terre 1 e coefficient toiture terrasse v g talis e e v g talisation extensive 0 3 e v g talisation semi intensive 0 4 e v g talisation intensive construction neuve seulement avec au moins 80 cm de terre 0 5 68 e coefficient m r v g talis e v g talisation extensive 0 2 e v g talisation intensive 0 3 4 Calculs des surfaces emprise au sol du b timent n e Surface totale du b timent v g talis e n x 0 3 ou 0 4 ou 0 5 m x 5 0 2 ou 0 3 ny Ce calcul est r alis le site l tat initial et pour le site l tat final 5 Calcul du CES Emprise au sol du b timent m CES RE Surface v g talis e du b timent m CES O 0 lt CES lt 0 3 exclu 0 3 lt CES
62. abilisation Exemple Pourcentage du couvert v g tal des surfaces non b ties sur l op ration aspect quantitatif Degr d imperm abilisation O O O 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 EF 4 2 2 R versibilit des impacts de la construction Une bonne appr ciation de la r silience des syst mes perturb s conditionne le caract re r versible ou non de l artificialisation La sensibilit du monde du vivant aux agressions prend une large place dans la r versibilit ou non de l impact Ainsi Ce n est pas parce qu un effet a une dur e permanente qu un l ment de l environnement est irr m diablement perdu A l inverse un effet ponctuel pourrait tr s bien entrainer la disparition de certains l ments La qualit du sol de l air et de l eau sont prendre en compte pour juger l tat de r versibilit de la biodiversit Pour rappel le sol l air et l eau ont un niveau de r versibilit diff rent e lesolaune r versibilit faible en g n ral e l eau a une r versibilit qui varie elle est plus lev e pour les eaux courantes que pour les eaux stagnantes e l air a une r versibilit moyenne elle varie selon l origine et la quantit de polluants valuer la r versibilit l irr versibilit d un cosyst me consiste mesurer sa capacit retrouver un bon tat c est dire un tat d quilibre cologique sans intervention humaine Un milieu dit r versible a la capacit de e limin
63. ales et animales pouvant s adapter aux conditions urbaines y abondent et offrent un environnement naturel aux r sidents urbains Enfin on peut retrouver d autres genres de terrains qui contribuent largir la notion g n rale d espace vert dans la ville les ceintures vertes Elles ont souvent la particularit d tre des territoires hors terres agricoles principalement occup s par une v g tation 12 spontan e ce qui fait d eux des espaces fort potentiel cologique Le r le de lien entre le monde rural et le monde urbain ne fait que renforcer leur importance S ils sont ad quatement planifi s et g r s ces terrains peuvent retrouver ou enrichir leurs fonctions naturelles ainsi qu augmenter les possibilit s de loisirs et ajouter la beaut de la ville 2 Quelle biodiversit est prise en compte EFFINATURE se concentre d avantage sur la densification et l intensification des esp ces v g tales et des coul es vertes car premi rement la flore conditionne l habitat principal de la faune sauvage Deuxi mement les v g taux sont plus facilement exploitables et il est donc plus facile d agir leur niveau Et enfin trois mement une gestion raisonn e des essences v g tales est indispensable car l rosion de la couverture v g tale et l augmentation des esp ces exotiques envahissantes sur site sont les principales causes de la perte de biodiversit De ce fait Un p rim tre d action du r f rentiel
64. ant la classe de risques de l ouvrage NF EN 1176 1 classe de risque 4 pour les bois en contact avec le sol ou avec l eau douce Les bois utilis s devront satisfaire l arr t du 2 juin 2003 qui interdit la mise sur le march de bois trait s avec certaines substances toxiques Les produits de traitement du bois les bois trait s et les services d applicateurs de traitements des bois en uvre devront r pondre au syst me de certification qualit suivant e CTB P certification de produits de traitement du bois CTB B certification de produits de bois trait s e CTB A certification de services d applicateurs de traitements pr ventifs et curatifs sur les bois en uvre BI L utilisation des bois exotiques devra rester exceptionnelle et toujours justifi e Les bois fropicaux sans certificat d origine seront refus s Les fibres min rales utilis es devront justifier des tests de non canc rog nicit taille des fibres et bio solubilit pr vus par la directive europ enne 97 69 CE du 5 d cembre 1997 transpos e en droit fran ais le 28 ao t 1998 permettant de les exclure de la cat gorie des produits dangereux class s Xn Une attention particuli re est apport e la gestion durable des for ts dont le bois est issu Elle est d finie par l Office Nationale des For ts comme la g rance et l utilisation des for ts et des terrains bois s d une mani re et une intensit telles qu elles maintiennent leur div
65. arch s 0 ceceessceeseceeessseeeeeees 34 A INTOFMAG MEST COMMUNICATION Essia tinada ades E testes E E EES 35 Bilin GEN OpSrahOMese atcsr ac soit a A teas ART ae OL aNd eT eet 35 ANNEXES INIOMMOINVES seraient tit an entre eas 39 EF 2 Chantier propre sine Mn nn M OE EE 46 PLINTOAU TON ASE ER eur hi ant nn AMAR nan fes fin ct 46 G Criteres SLSxiGGmGes an nan T castes teed ee a ete e te data tte 46 1 Dispositions pr alables as minette sent ee d ailes ts 46 2 Plans d am nagement de chantier ss 47 3 Traitement Gesid ecnelss ninaa ant rater ie Anal ER 47 4 Organisation et maitrise des impacts du chantier 47 b BIAN ASCHIERE T E E Aas Le Ne Eee Au 48 PARTIE 4 EVALUATION EFFINATURE DE L OP RATION 49 EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit 51 EF 3 1 D pendance aux mati res premi res 51 EF 3 2 D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de r dulation s sinistre ns Mn ne ea ab dt TR en as RCS Rd nt Seva tte 53 EF 4 Impacts du projet sur la DIOGIV EIST sn en Re 57 EF 4 1 G n ration des pollutions du chantier 57 EF 4 2 Modifications de l COSyst mMme iii 60 EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit 65 EF 5 1 Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue 65 EF 5 2 Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit 75 EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me ss 8
66. artementales r gionales nationales ou europ ennes d esp ces menac es AU niveau europ en il s agit de la liste rouge des L pidopt res diurnes SWAAY amp WARREN 1999 AU niveau national il s agit des listes rouges des L pidopt res diurnes DUPONT 2001 des Orthopt res SARDET amp DEFAUT 2004 et des Odonates DOMMANGET 1987 Tous les groupes ne disposant pas de telles listes au niveau r gional ou m me national l identification des esp ces dites patrimoniales peut s appuyer uniquement sur dires d experts Amphibiens et reptiles Afin de cerner les enjeux concernant les amphibiens et les reptiles les principaux textes r glementaires ou scientifiques les concernant sont rappel s ci dessous m Convention de Berne Cf ci dessus m Directive Habitats Cf ci dessus m Liste nationale des reptiles et amphibiens prot g s sur l ensemble du territoire m tropolitain Correspondant l arr t du 19 novembre 2007 publi au J O du 18 d cembre 2007 tablissant des listes d esp ces auxquelles sont associ s diff rents niveaux de protections a Inventaire de la faune menac e de France Cet ouvrage de r f rence labor par la communaut scientifique FIERS et al 1997 livre rouge permet de faire un tat des lieux des esp ces menac es Il liste 117 esp ces de vert br s strictement menac es sur notre territoire voire disparues dont notamment 27 mammif res 7 reptiles 11 amph
67. aux EF 7 4 Gestion de la consommation nerg tique 100 EF 7 Eco responsabilit Ce concept place l Homme au centre de ses responsabilit s environnementales et sociales La pr servation de la nature et de ses richesses sources de confort et de bien tre passe par la connaissance et la prise de conscience de ce qu est la biodiversit EF 7 1 Confort de l habitant La diversit v g tale urbaine joue un r le social plus d un titre D une part la pr sence de la v g tation au c ur des villes am liore le bien tre des habitants notamment en procurant un sentiment de confort visuel et en att nuant les flots de chaleur Les villes majoritairement b tonn es et goudronn es qui pr sentent des surfaces sombres et le manque de place laiss e la v g tation sont les 2 principales causes de ce ph nom ne Les esp ces qui peuplent nos villes repr sentent souvent la seule vie sauvage accessible aux citadins r pondant ainsi leur besoin de nature et les veillant la biodiversit en g n ral sa fragilit et la n cessit de son maintien On rappelle que pour tre qualifi d espace vert un site doit r pondre plusieurs crit res informellement d finis mais qui semblent consensuels Il doit tre assez grand ouvert au public et facilement accessible Ne sont pas consid r s comme espaces verts e les terre pleins nus e les cours et les parkings arbor s e les terrains de sport
68. banisation et biodiversit traits biologiques et facteurs environnementaux associ s l organisation des communaut s animales le long d un gradient rural urbain Soutenue le 15 juin 2007 Universit de Rennes p 13 26 129 148 Mohamed Hilal Jean Cavailh s Thierry Brossard Daniel Joly Fran ois P Tourneux Pierre Wavresky 2008 Les m triques paysag res utilis es pour d terminer le prix des paysages Inra Lille Houdet J 2008 nt grer la biodiversit dans les strat gies des entreprises Guide Oree et FRB Levrel H 2006 Th se Biodiversit et d veloppement durable quels indicateurs 2 Soutenue le 23 octobre 2006 Ecole des hautes tudes en sciences sociales p 19 65 143 176 Luttik J 2000 The values of trees water and open space as reflected by houses prices in the Netherlands Landscape and Urban Planning NL Vol 48 p 161 167 Marzluff JM 2001 Worldwide urbanization and its effects on birds Avian ecology and conservation in an urbanizing world Kluwer Academic Publishers Boston P 19 47 Mcdonnell MJ Et Picket STA 1990 Ecosystem structure and function along urban rural gradients an unexploited opportunity for ecology Ecology 71 p 1232 1237 McKinney ML 2006 Urbanization as a major of biotic homogenization Biological conservation 127 p 247 260 Outrequin P 2007 Le co f global partag d un projet de construction dossier de pr sentation du mod le CoParCo
69. bilit de l l ment porteur existant Quelques caract ristiques selon les types de plantation et de toitures Plantation extensive pente inf rieure 20 tout type de toiture acier b ton ou bois r novation et construction neuve substrat 70 d agr gats poreux Plantation semi intensive pente inf rieure 20 tout type de toiture acier b ton ou bois r novation et construction neuve substrat 50 d agr gats poreux Plantation intensive pente inf rieure 3 toiture en b ton construction neuve arrosage automatique substrat 40 d agr gats poreux 69 Plantation extensive plantation l g re sur substrat de 10 15 cm d paisseur qui ne demande que tr s peu d entretien Le couvert v g tal est enracinement superficiel couvre sols rustiques capable de supporter des s cheresses et prend rapidement de l expansion pour ombrager le sol et le stabiliser Il est permanent et change au cours des saisons Plantation semi intensive plantation sur substrat de 15 cm en moyenne L entretien est moyennement r gulier avec Un apport en eau obligatoire syst me d arrosage automatique Ce type de culture peut m langer les couvre sols les plantes fleurs ou feuillage et m me de petits arbuste ou des grimpants vigne vierge ou ch vrefeuille Plantation intensive plantation sur substrat de plus de 30 cm L entretien doit tre r gulier La culture intensive se limite aux es
70. cales l o elle s est tablie en devenant un agent de perturbation la biodiversit autochtone des cosyst mes Cette esp ce invasive est en g n ral introduite par l homme volontairement ou par accident Les ph nom nes d invasion biologique sont aujourd hui consid r s par l ONU comme une des grandes causes de r gression de la biodiversit Evapotranspiration Les plantes sont 80 90 constitu es d eau La journ e sous l effet de la chaleur du soleil elles transpirent L eau ainsi rejet e s vapore C est ce que l on appelle l vapotranspiration ET Faune la totalit des animaux habitant naturellement une certaine contr e ou r gion ou qui y ont v cu pendant une p riode g ologique quelconque Flore la totalit des plantes croissant naturellement dans un pays ou pendant une p riode g ologique quelconque 126 Fonctions cologiques processus biologiques qui permettent le fonctionnement et le maintien des cosyst mes Grenelle Environnement ensemble de rencontres politiques organis es en France en octobre 2007 visant prendre des d cisions long terme en mati re d environnement et de d veloppement durable en particulier pour restaurer la biodiversit par la mise en place d une trame verte et bleue et de Sch mas r gionaux de coh rence cologique tout en diminuant les missions de gaz effet de serre et en am liorant l efficience nerg tique Habitats naturels qui n
71. ces esp ces l am nagement paysager est consid rer sur chaque op ration o le risque d tre expos e un champ lectromagn tique fort est consid rable EF 6 1 2 Qualit des eaux douces 94 E IBGN Indice biologique global normalis La qualit biologique d un cours d eau traduit son aptitude h berger une faune abondante et vari e Pour la mesurer un indice a t mis en place et homologu par l Association fran aise de normalisation en 1992 NF T90 350 L indice biologique global normalis IBGN permet e Une valuation de la qualit biologique d un cours d eau partir du recensement des invert br s e De d celer les perturbations du milieu qui se traduisent par une modification de la population d invert br s Cet indice constitue une expression synth tique de la qualit du milieu toutes causes confondues L IBGN est sensible aux variations de la composition physico chimique de l eau et plus particuli rement aux fluctuations de la pollution organique et chimique mais aussi de la nature des substrats travaux en rivi re ou recalibrage et des v nements climatiques orages crues subites La m thode permet dans les conditions naturelles de stabilit hydraulique et dans les limites de sa sensibilit d valuer l incidence d une perturbation sur le milieu r cepteur L indicateur permet de positionner la situation actuelle du cours d eau par rapport l objectif de la Directive Cadre su
72. cuite sur les toits pour servir d habitats aux oiseaux cavernicoles Respect du niveau 4 avec en plus Une parcelle de l op ration est de type prairie lande milieu ouvert ou semi ouvert zone humide milieu stagnant ou tourbi re Selon les exigences de la directive 92 43 CEE habitats faune flore Remarque Pour qu un espace soit caract ris de zone de refuge il doit avoir la capacit d accueillir la faune locale de lui servir d abri et il doit suivre une volution naturelle Attention La pose de nichoirs destin s une m me esp ce proximit les uns des autres est proscrire Les habitats dont d pend la survie d esp ces prot g es sont pr serv s par les arr t s pr fectoraux de protection de biotope Ils sont r gis par les articles L 411 1 et 2 du code de l environnement et par la circulaire du 27 juillet 1990 relative la protection des biotopes n cessaires aux esp ces vivant dans les milieux aquatiques Les arr t s de protection de biotope permettent sur tout ou une partie du territoire la conservation des biotopes n cessaires l alimentation la reproduction au repos ou la survie d esp ces prot g es Ces biotopes peuvent tre des mares des mar cages des marais des haies des bosquets des landes des dunes des pelouses ou toutes autres formations naturelles peu exploit es par l homme Pr sentation des diff rents nichoirs existants selon les esp ces
73. d valuer la nature de la fragmentation c est dire identifier les types de barri res ou d obstacles existants ou venir issus de la construction qui emp chent les d placements faunistiques et floristiques sur le site et vers le paysage environnant Cela nous permettra d estimer le degr d imperm abilit de la fragmentation On identifie ainsi e les l ments ponctuels infrastructures urbaines parcelles agricoles intensives etc e les l ments lin aires infrastructures routi res chemins pi tons etc 71 e les principaux seuils pour le continuum aquatique Les diff rents facteurs de fragmentation sont class s afin d valuer leur degr s d imperm abilit pour la faune et la flore e Construction d obstacles class s comme l ments imperm ables et infranchissables autoroutes ou routes nationales et d partementales infrastructures urbaines b timents constructions surfaces recouvertes d un mat riau imperm able b ton goudron etc e les l ments plus ou moins perm ables routes de r seaux secondaires chemins et passage non recouverte d une surface imperm able matrice agricole cours d eau gazon ou pelouse entretenue Cette imperm abilit sera fonction du continuum et des groupes d esp ces identifi s Pour les routes elle pourra tre valu e en fonction de la largeur des voies de la pr sence ou non de cl tures des donn es de trafic ou encore de mortalit routi re connu
74. d eau foss caniveau plans d eau collecteurs d eaux pluviales proximit c est dire moins de 5 m tres e point d eau proximit zone risque lev le d sherbage chimique est proscrire tout prix 84 e pas de point d eau proximit les points d eau sont suffisamment distants un d sherbage chimique est possible mais non conseill La perm abilit conditionne galement le d sherbage Lazone est perm able plus de 50 avec une pente e gt 3 zone risque lev donc le d sherbage chimique est proscrire Il faut utiliser les principes diff renci s e lt 3 zone risque mod r donc le d sherbage chimique est autoris mais un degr moindre Il est associ un d sherbage manuel et ou thermique La zone est imperm able risque lev donc le d sherbage chimique est proscrire Principales substances actives phytosanitaires toxiques pour l Homme susceptibles de se retrouver dans les eaux souterraines directive 97 57 CEE et Trait de Stockholm 2001 Herbicides Fongicides Insecticides Atrazine et ses d riv s Arsenic de l arsenite de sodium Aldrine Glyphosate Hexachlorobenz ne loxynil ees es e Soproturon Mrex Simazine Oxydeme hion methyl Sulcotrione Parathionmethyl Terbuthylazine et ses d riv s Toxaph ne Protocole d application du paillage e La terre doit tre parfaitement d sherb e Epandez
75. dangers ou causer un trouble excessif aux personnes la faune la flore ou aux cosyst mes entrainant un gaspillage nerg tique ou emp chant l observation du ciel nocturne feront l objet de mesures de pr vention de suppression ou de limitation 1 Le projet n obtient aucune toile Le projet obtient au minimum 2 toiles voir concours habitats toil s Le projet obtient au minimum 3 toiles voir concours habitats toil s Le projet obtient au minimum 4 toiles voir Concours habitats toil s Concours habitats toil s En r f rence au concours Villes et Villages Etoil s cr par l Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l Environnement Nocturnes ANPCEN et organis en partenariat 89 officiel avec l Association des Maires de France et France Nature Environnement les lotissements ou petits villages valu s seront r compens s de les efforts faits par l attribution de 1 5 toiles pour leur engagement vers un d veloppement durable L attribution de la plus haute note sera donn e aux projets pratiquant l extinction nocturne et agissant concr tement pour la sauvegarde du ciel et de l environnement nocturnes avec un clairage ext rieur doux et conome en nergie Grille de notation pour l attribution des toiles Os Sn ONS 14 15 l 20 Notation positive Extinction nocturne de l clairage public 40 points par heure d e
76. de l indice maillage effectif est inf rieure 0 3 Fractionnement et morcellement moyens des milieux La valeur moyenne de l indice maillage effectif est comprise entre 0 3 et 0 5 Faibles fractionnement et morcellement des milieux naturels La valeur moyenne de l indice maillage effectif est comprise entre 0 5 et 0 7 Tr s faibles fractionnement et morcellement des milieux naturels La valeur moyenne de l indice maillage effectif est sup rieure 0 7 Remarque Le niveau 1 est marqu par l interruption ou la perturbation des changes faunistiques et ou floristiques Le maillage effectif Cet indice est proportionnel la probabilit que deux points choisis au hasard dans une zone donn e soient connect s qu ils ne soient pas s par s par des barri res telles que des routes ou des zones b ties par exemple Cette probabilit est exprim e par une surface qui correspond la taille de la zone accessible depuis un point choisi dans la zone de calcul ou le d placement n est pas emp ch par un obstacle Ainsi plus le maillage effectif est faible plus le paysage est fragment Le maillage effectif est d fini par la formule suivante 1 2 2 2 2 Mn ri Al A t t Al Ay Mer maillage effectif Atota taille totale de la zone de calcul An taille de la tache n l int rieur des limites de la zone d tude n nombre de taches gt Niveau d imperm abilit de la fragmentation ll s agit
77. de moyenne ou de grande taille appartenant l cologie d un milieu Les individus vont de 4 80 mm de longueur et peuvent modifier la structure physique du sol en creusant des galeries ou en ing rant la terre Macrophyte plante aquatique de grande taille Microfaune antonyme de macrofaune c est l ensemble des animaux dont la taille est inf rieure un millim tre et qui vivent dans un milieu particulier Microflore Ensemble d esp ces microbiennes ou microorganismes bact ries champignons qui vivent dans les milieux obscurs et humides tels que les sols Microorganisme tres vivants invisibles l il nu unicellulaires ou pluricellulaires Dans ce cas les cellules ne sont pas diff renci es en tissus Natura 2000 sur l ensemble de la Communaut Europ enne le r seau Natura 2000 d termine les Sites d Importance Communautaire en mati re d habitat faune flore Un document 127 d objectifs est alors r alis pour chaque site visant garantir la pr servation de ce patrimoine tout en permettant les activit s humaines sur le site Ce document doit tre anim notamment par la valorisation et la mise en place de mesures en faveur du milieu mesures qui sont soutenues financi rement Les collectivit s peuvent tre innovantes et exemplaires sur ces sites patrimoniaux Patch tache constituant une unit cologique fonctionnelle plus ou moins stable ou isol e Perm abilit du sol propr
78. demande d autorisation de construire ou la d claration pr alable est d pos e entre le ler d cembre 2010 et le 30 novembre 2011 cette quantit ne peut tre inf rieure 420 dm m de surface hors uvre nette SHON pour un immeuble usage d habitation ne comportant pas plus de deux logements destin s au m me Maitre d Ouvrage Toutefois les b timents dont la charpente de toiture est r alis e en majorit dans des mat riaux autres que le bois ou n ayant pas de charpente de toiture rel vent de la condition 3 pr sent e ci apr s 3 dm m de surface hors uvre nette SHON pour un b timent usage industriel de stockage ou de service de transport 7 dm m de surface hors uvre nette SHON pour tout autre b timent e Pour les b timents dont la demande d autorisation de construire ou la d claration pr alable est d pos e partir du ler d cembre 2011 cette quantit ne peut tre inf rieure 35 dm m de surface hors uvre nette SHON pour un immeuble usage d habitation ne comportant pas plus de deux logements 51 destin s au m me maitre d ouvrage Toutefois les bdtiments dont la charpente de toiture est r alis e en majorit dans des mat riaux autres que le bois ou n ayant pas de charpente de toiture rel vent de la condition 3 pr sent e ci apr s 5 dm m de surface hors uvre nette SHON pour un b timent usage industriel de stockage ou de service de transp
79. des d chets tri s e lazone de traitement des polluants possibles 3 Traitement des d chets ll faudra veiller limiter la mise en d charge des d chets en privil giant leur valorisation via les fili res de recyclage actuellement disponibles Pour les op rations ne permettant pas la mise en place d un tri s lectif une logistique concernant l enl vement des d chets sera tout particuli rement tudi e Le tri des d chets se fera l ext rieur du chantier Il sera confi un prestataire sp cialis dans ce domaine et d localis du chantier Les entreprises veilleront l information de l ensemble de leur personnel devant travailler sur le chontier sur les proc dures suivre en mati re de d chets En cas de sous traitance il sera tabli un livret d accueil explicite 4 Organisation et ma trise des impacts du chantier La phase de pr paration de chantier est d terminante pour r pondre aux objectifs du chantier propre dont le but est de r duire les nuisances environnementales Chaque entreprise informe au travers de cette note ses intervenants salari s et sous traitants des conditions et des contraintes du chantier notamment en mati re de bruit de respect de la biodiversit et de son environnement de protection de zones et ou habitats remarquables de tri et de traitement des d chets et de risques de pollution accidentelle Le Maitre d ouvrage ou son repr sentant fait tablir selon l a
80. e Les lements ou infrastructures li es la construction ou l am nagement du projet qui fragmentent les espaces verts sont pour 75 ou plus d entre eux imperm ables par la faune et ou la flore Les l ments ou infrastructures li es la construction ou l am nagement du projet qui fragmentent les espaces verts sont pour moins de 25 d entre eux imperm ables par la faune et ou la flore Respect du crit re 3 avec en plus Un plan d action biodiversit am nagements de passerelles mesures de r ductions des impacts am liorations des infrastructures existantes etc est mis en place pour palier l imperm abilisation des milieux avec le paysage environnant Les espaces verts ne sont pas fragment s avec le paysage environnant m valuation qualitative et fonctionnelle des corridors cologiques La mise en place de corridors cologiques permet de lutter contre l rosion de la biodiversit et au del de cr er un r seau maill de voies vertes pour stimuler les modes doux de d placements C est un milieu ou un r seau de milieux r pondant des besoins fondamentaux des tres vivants se d placer pour des animaux tr s mobiles ou se propager pour des plantes ou des animaux peu mobiles de fa on pouvoir se nourrir ou se reproduire Les corridors cologiques maintiennent le fonctionnement des cosyst me Leur diversit est troitement li e avec la diversit des zones de refuge de la fau
81. e d placement des communaut s animales En effet la fragmentation d un habitat a deux types de cons quences elle le d coupe en plusieurs parties mais elle en r duit aussi la surface totale Elle emp che les flux susceptibles de se produire entre le site et son environnement proche ll est important de se munir si possible de cartes ou de plans des structures paysag res en vue a rienne montrant la fragmentation et ou la connectivit et des inventaires des populations d esp ces v g tales et animales Pour valuer cette fragmentation on utilise des indicateurs simples e qualitatif cartographies de l emprise verte dat es et compar es pour identifier les structures paysag res importantes pour la conservation des descripteurs biologiques retenus esp ces e quantitatif calculs des surfaces vertes et des mesures globales de l h t rog n it de ces patchs ou taches pour valuer l ampleur de fragmentation spatiale gt L indice maillage effectif L indice maillage effectif va permettre de calculer le degr de non fragmentation du paysage 70 Donn es quantitatives Mesure de l indice de maillage effectif de lavone d t de Atota taille totale de la zone de calcul An taille de la tache n l int rieur des limites de la zone d tude n nombre de taches Mett maillage effectif Forts fractionnement et morcellement des milieux naturels La valeur moyenne
82. e et la flore dans les projets de construction Aujourd hui la pr sence d espaces verts joue un r le consid rable dans la prise de d cision pour le choix d un logement Gueymard S Le r le des espaces verts dans les arbitrages r sidentiels des m nages 2004 o 7 fran ais sur 10 choisissent aujourd hui leur lieu de vie en fonction de la pr sence d espaces verts proximit de leur habitation Les espaces verts offrent la possibilit de profiter tout moment d un lieu de d tente sans Utiliser la voiture ou un autre moyen de transport Les espaces verts de proximit donnent l impression d un cadre de vie apaisant et hygi nique Ils am liorent le paysage urbain donnent des satisfactions d ordre esth tique une ville a r e par les espaces verts diminue l effet de densit impos par l urbanisation croissante EF 8 1 1 Co t de la prise en compte de la biodiversit ll s agit d valuer le co t des mat riaux issus du vivant utilis s pour la construction du b ti Cette valuation se fait gr ce au calcul du rapport co t des mati res premi res issues du monde vivant co t des mat riaux issues du non vivant Seuls les mat riaux voqu s dans la partie EF 1 1 D pendance aux mati res premi res sont pris en compte Les composants du b timent issus du vivant sont les volets les portes les fen tres le parquet les escaliers la charpente les isolants naturels les espaces verts 110 Un i
83. e les alignements d arbres Les zones humides ont galement leur part d importance Ne sont pas consid r es comme zones humides e les piscines e les mares d eau non p renne EF 7 1 1 Bien tre de l habitant Les services cologiques contribuent directement au bien tre des humains La pr sence d espaces verts ou la vue de v g tation est habituellement agr able elle change au cours des saisons de m me que l odeur des plantes la qualit de l espace en est am lior e La v g talisation permet d attribuer une nouvelle signification des structures d su tes ou dont l utilisation a chang Ce crit re prend aussi bien en compte l am nagement de la zone d tude non construite que le b timent tout cela dans le but d am liorer le bien tre de l habitant Aucune exigence Collectif Le site se compose d un espace vert de type parc ou jardin e Pour les parcelles ou groupes de parcelles dont la surface totale est inf rieure 5000 m le taux de d tente minimum est fix 25 de la surface totale Pour les parcelles ou groupes de parcelles dont la surface totale exc de 5000 m le taux de d tente minimum est fix 40 de la surface totale 101 Les espaces verts sont accessibles aux gens et leurs offrent une aire de loisirs lls ne sont en aucun cas travers s par une voie de circulation autres que pi tonnes Collectif Le site se compose d un espace vert de type parc ou jardin
84. e mettre en place une protection durant toute la dur e du chantier d limitation de la zone protection vis vis des pollutions du chantier Cette analyse va servir de point de d part pour la mise en place de solutions de gestion de protection et de valorisation de la biodiversit mesures visant r duire les impacts ou par d faut mesures compensatoires Avant d agir avant de construire ou de d truire quoi que ce soit il sera indispensable d apprendre mieux conna tre le site et le patrimoine o il est ins r afin de savoir avec pr cision ce qui est valoriser L tude s tend galement aux alentours du site pour valuer la biodiversit pr sente et son tat C est en ce sens qu une approche patrimoniale globale de la parcelle d tude permettra d analyser et de diagnostiquer la situation pour proposer les solutions les plus adapt es au projet ll est recommand de se procurer tous documents lorsqu ils existent faisant l inventaire de la biodiversit pr sente sur le terrain d implantation du projet et ou nous renseignant sur la qualit environnementale de ou des cosyst mes Il est galement fortement conseill de prendre rendez vous avec le propri taire et ou le gestionnaire du terrain notamment pour se renseigner sur l tat de la biodiversit lors des ann es pr c dentes 2 valuation de l tat de la biodiversit Un bilan est d duit de cette analyse afin de visualiser l tat de sant gl
85. ec son engagement politique Le Maitre d Ouvrage int gre les attentes et les besoins environnementaux des futurs occupants locataires et ou acc dants tels qu il peut les appr hender ce stade du montage de l op ration tude de march donn es statistiques exp rience demande des r servataires etc ll tient compte des retours d exp riences d exploitation des op rations pr c demment r alis es notamment au travers d enqu tes de satisfaction des occupants d changes avec les gestionnaires et les mainteneurs et dont les conclusions pourront se traduire en prescription pour le projet Dans certains cas le Maitre d Ouvrage doit aussi se pr occuper des sp cificit s des constructions riveraines et de leurs utilisateurs 4 Etudes de faisabilit des approvisionnements en nergie Conform ment au d cret n 2007 363 du 19 mars 2007 pour toute construction dont la superficie hors uvre nette totale nouvelle est sup rieure 1000 m le Maitre d Ouvrage r alisera ou fera r aliser une tude de faisabilit technique et conomique des diverses solutions d approvisionnement en nergie devant r pondre aux besoins h Programme de l op ration A ce stade de la d marche le Ma tre d Ouvrage aura d fini le profil envisag et le niveau de la certification AU vu des informations disponibles de l analyse du site et du bilan de celle ci de l tude de faisabilit des approvisionnements en nergie et des beso
86. eprise titulaire du lot chauffage Le calcul des d perditions de base pi ce par pi ce est r alis sur la base des m thodes de calcul en vigueur et selon les dispositions des normes NF EN 12831 et NF P52 612 CN Le calcul du dimensionnement des metteurs de chaleur puissances de chauffage installer est r alis selon les 107 dispositions de la norme NF EN 14337 pour les syst mes de chauffage lectrique direct et de la norme NF EN 12828 pour les syst mes de chauffage eau chaude L entreprise titulaire du lot chauffage devra avoir pris connaissance des prestations d enveloppes et syst mes d finis par le bureau d tudes dans le cadre du respect de la r glementation thermique en vigueur au stade du dossier march pour une parfaite ad quation entre les diff rentes pi ces crites du projet e Fourniture des tiquettes Energie et Emission GES ll doit tre pr cis dans les pi ces crites du dossier march que l installation de VMC en immeuble collectif sera r alis e conform ment la note de calcul du dimensionnement de celle ci selon les dispositions pr vues dans le DTU 68 1 tablie par l entreprise titulaire du lof Le niveau BBC EFFINERGIE est atteint pour la construction du b ti La consommation conventionnelle d nergie primaire pour le chauffage le refroidissement la ventilation la production d eau chaude sanitaire et l clairage des locaux est inf rieure ou gale u
87. er intact de toutes alt ration Ecosyst me notion qui s appuie sur une partie min rale le biotope et une partie vivante organique la bioc nose le biotope constitue la fois le support et la source d nergie de la bioc nose qui constitue un ensemble d esp ces Biosph re Syst me plan taire incluant l ensemble des organismes vivants et des milieux o ils vivent Bioc nose Ensemble des tres vivants qui peuplent Un cosyst me donn Biotope Milieu biologique d termin offrant des conditions d habitat stables un ensemble d esp ces animales ou v g tales Entomophage qui mange des insectes Erosion de la biodiversit perte de la diversit sp cifique des esp ces animales et v g tales Esp ce une population compos e d organismes troitement apparent s et similaires pouvant se reproduire et avoir une descendance viable Chez les esp ces se reproduisant sexuellement il s agit d une population ou d une s rie de populations d organismes qui se croisent entre eux sans difficult s dans les conditions naturelles En d pit d une variabilit souvent non n gligeable les membres d une m me esp ce pr sentent g n ralement une certaine ressemblance morphologique marqu par le partage de caract res h rit s d une parent commune Esp ce envahissante ou exotique esp ce introduite en dehors de son aire de r partition habituelle et qui vient nuire la vari t des esp ces lo
88. er les pollutions r siduelles du sol et de l air e maintenir la biodiversit long terme 62 harmonie des esp ces v g tales et animales entre elles degr s de la biodiversit restante apr s chantier r g n ration de la v g tation par l appr ciation des la reconstitution de la flore Cela vise estimer le temps de restauration de l cosyst me et de reconqu te par les esp ces R versibilit partielle L cosyst me du site est sujet un temps de r adaptation dans sa d marche de retour ou d volution vers un tat d quilibre cologique Les capacit s de r ponses et d adaptation des organismes vivants aux changements sont en partie jug es aptes r pondre mais dans une dur e non d termin e a l chelle de la d cennie R versibilit certaine L cosyst me du site est vou retrouver un tat d quilibre cologique Les capacit s de r ponses et d adaptation des organismes vivants aux changements sont jug es bonne mais sur une dur e variable l chelle de l ann e Une visite est r alis e un an apr s la fin du chantier le plus proche possible de la p riode printani re afin d appr cier l volution de l cosyst me vers un tat d quilibre Un rapport sera dit pour d crire l tat des lieux R versibilit totale L cosyst me du site a la capacit de retrouver un tat d quilibre cologique rapidement Les capacit s de r ponses et d adaptation des organi
89. ersit biologique leur productivit leur capacit de r g n ration leur vitalit et leur capacit satisfaire actuellement et pour le futur les fonctions cologiques conomiques et sociales pertinentes aux niveaux local national et mondial et qu elles ne causent pas de pr judices d autres cosyst mes L exploitation des for ts doit tre r alis e sans pour autant conduire la d forestation l appauvrissement de la biodiversit et autres ACERMI l association pour la certification des mat riaux isolants int gre dans son r f rentiel les caract ristiques et le contr le de production dans le respect des normes europ ennes Les produits certifi s sont soumis un contr le continu e V rification du syst me de contr le de production en usine e Essais par les laboratoires CSTB et LNE sur les produits pr lev s en usine 2 fois an Liste des isolants naturels mouton li ge cellulose chanvre lin fibre de bois canard EF 3 2 D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de r gulation Les services cologiques regroupent les conditions et processus gr ce auxquels les cosyst mes avec l ensemble des esp ces qui en constituent la trame vivante et active supportent et satisfont entre autres les besoins des hommes Cette partie int gre la production de biens et de services proprement dits visant l am lioration de l environnement du projet Le choix de la prise en comp
90. es de traitement et de gestion L analyse de site et les tudes d impact g Etudes pr alables 1 Analyse de l tat initial du site L AEMO ou le Maitre d Ouvrage r alise une analyse de l tat initial du site et de son environnement Les perspectives d volution doivent tre pr sent es en exposant notamment les caract ristiques des zones susceptibles d tre touch es de mani re notable par la mise en uvre de la directive article R111 28 du Code de l Urbanisme Cette analyse de site est r alis e en amont de toute intervention sur le site et va permettre d valuer l tat de sant du ou des cosyst me s et des populations pr sentes sur le territoire d implantation du projet On valuera ainsi le degr de gestion apporter Une tude d impact est obligatoire pour tout projet susceptible de porter atteinte l environnement Art L 122 1 du code de l environnement Cet outil d expertise pr voit notamment une analyse de l tat initial du site et de son environnement L objectif mis au sujet de la biodiversit est de pr server la biodiversit et la vitalit des cosyst mes par le maintien des conditions de reproduction L analyse de site doit tablir et identifier les l ments suivants Les aspects techniques du projet voir carte Occupation des sols 2006 e contexte agricole forestier Natura 2000 urbain e vile verte la proportion entre sols libres et surface
91. es habitants de cette op ration lors des futurs renouvellements EF 7 3 Services culturels et sociaux ll s agit de b n fices non mat riels obtenus par les hommes partir des cosyst mes travers l enrichissement spirituel le d veloppement cognitif la r flexion la cr ation les exp riences esth tiques L ducation et la formation doivent apporter leur concours la pr servation et la mise en valeur de l environnement Projet de loi constitutionnelle sur la charte de l environnement article 8 C est dans cette voie que le r f rentiel intervient afin d apporter un soutien ducatif et aider l insertion dans le monde du travail des personnes qui en ont besoin Il est notamment question de faire appel des ESAT tablissements et Services d Aide au Travail ou faire participer les coles sur des projets d am nagements paysagers sur l op ration D autre part les cosyst mes renforcent les relations sociales Le fait de b n ficier de leurs aspects esth tiques et r cr atifs avec par exemple la pr sence d un jardin collectif contribuent au renforcement des liens sociaux Aucune exigence Valeurs ducatives Des formations p dagogiques sont mises en place sur l op ration dans le but d initier les institutions d ducation locales la d couverte et au respect de la nature Cette op ration des fins non lucratives contribue l enrichissement raisonn e de l am nagement paysager
92. et animales les habitats naturels et les surfaces vertes d int r t Taux lev de pertes cologiques caract ris par une d gradation de plus de 50 de l cosyst me diminution de l affluence des esp ces animales et v g tales et d t rioration des habitats naturels et du milieu 74 Les esp ces d int r t communautaire et les habitats r pertori es lors des inventaires ZNIEFF zones naturelles d int r t cologique faunistique et floristique sont pr serv es sur le site Taux moyen de pertes cologiques caract ris par une d gradation de moins de 50 de l cosyst me par rapport l tat initial o ce qu il aurait naturellement t sur le site s il restait vierge de construction diminution de l affluence des esp ces animales et v g tales et d t rioration partielle des habitats naturels et du milieu Les esp ces d int r t communautaire et les habitats r pertori es lors des inventaires ZNIEFF zones naturelles d int r t cologique faunistique et floristique sont pr serv es sur le site Taux faible voire nul de pertes cologiques caract ris par une d gradation de moins de 20 de l cosyst me par rapport l tat initial o ce qu il aurait naturellement t sur le site s il restait vierge de construction faible diminution de l affluence des esp ces animales et v g tales et conservation des habitats naturels et du milieu plus de 90 Les esp ces d int r
93. et la flore Diversit des habitats et zones de refuges Mettre en uvre des pratiques cologiques _ pour le d sherbage l arrosage la fertilisation Gestion diff renci e et des sols entretien des espaces verts N Favoriser la lutte biologique contre les esp ces parasites 23 EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me Domaines tudi s Niveaux d intervention G rer les pollutions nuisibles sonores lumineuses Optimisation cologique atmosph riques lectromagn tiques G rer la qualit des eaux douces sur site D chets verts Instaurer le recyclage et le compostage je ARM E Prot ger les milieux d int r t pour la biodiversit EF 7 Eco responsabilt Domaines tudi s Niveaux d intervention Confort de l habitant Am liorer le bien tre de l habitant Information des habitants et Faire adopter les pratiques cologiques et un du gestionnaire bon comportement environnemental Sevic s c lioreieisociaux Mettre profit le projet pour l ducation et la formation Consommation Atteindre le niveau BBC Effinergie pour le b ti nerg tique Contribuer pour un bilan carbone nul EF 8 Valorisation conomique du projet Domaines tudi s Niveaux d intervention valuation de la valeur de Estimer la plus value financi re de la biodiversit sur site l am nagement paysager du projet 24 25 D marche EFFINATURE em Nature Partie
94. fiques du projet de construction et d am nagement certifi ainsi que les diff rents th mes environnementaux satisfaits grille d valuation et profil cologique L attribution du certificat EFFINATURE engage le maitre d ouvrage r aliser la construction conform ment aux documents et pi ces crites ayant servi de base l tablissement de l valuation d finitive Elle l engage galement accepter que GREENLOGIC ECOCERT puisse r aliser des contr les de conformit en cours ou en fin de chantier voire apr s livraison des logements A ce titre GREENLOGIC ECOCERT autorise le maitre d ouvrage utiliser le label EFFINATURE uniquement pour cette op ration et d une mani re qui ne puisse pr ter confusion Lorsque la marque n est pas d cern e GREENLOGIC ECOCERT cl ture le dossier r pertori en tant que non certifi 120 Annexes informatives R alisation du profil cologique du projet Pour tablir le profil cologique du projet une synth se de la notation est r alis e par l interm diaire d une cascade de tableaux gt R f rences du projet Qgreenlogic Profil cologique du projet synth se de l valuation de la biodiversit et de son environnement R f rentiel EFFINATURE nom du site date de l analyse CLIENTS Audre Aur es remarques pr ncipsux chests 121 gt Audit du projet Evaluation et notation par la d marche EFFINATURE Eff
95. formation et communication Services culturels et sociaux Gestion de la consommation nerg tique e EF 8 Valorisation conomique du projet Investissements pour la biodiversit Valorisation mon taire du projet 116 Afin de mener bien cette mission l examinateur applique les dispositions d finies dans la partie 3 D tails et application des th matiques d organisation pr vues dans le pr sent document L valuation d finitive L valuation d finitive ne peut tre tablie tant que les r sultats de l audit biodiversit pour l op ration n ont pas t valid s par GREENLOGIC ECOCERT L valuation d finitive est tablie le plus rapidement possible apr s la fourniture par le maitre d ouvrage de l ensemble des l ments n cessaires son tablissement Tous les choix techniques pr cisions et niveaux de qualit technique doivent donc tre ce stade parfaitement d finis et arr t s compl t s ventuellement des l ments requis dans le rapport de l audit A l issue de l tude d finitive l examinateur adresse GREENLOGIC ECOCERT le rapport L examinateur doit aussi tenir compte dans l tude d finitive des conclusions du rapport d Audit du projet si celles ci conduisent l examinateur obtenir en phase d valuation des l ments compl mentaires de la part du maitre d ouvrage En m me temps que pour l valuation d finitive l Examinateur doit fournir les l ments permettan
96. hemin entre deux milieux favorables la distance limite parcourir tant la perception visuelle ou olfactive depuis l un des milieux pour les esp ces caract ristiques e D un espace troit li la pr sence d une structure de guidage majeur permettant les d placements et servant simultan ment de rep re visuel de refuge en cas de danger et de ressource alimentaire en cas de n cessit exemples haies bords de ruisseau ou lisi res foresti res D une matrice paysag re riche en microstructures et utilis e extensivement par des activit s agricoles ou de loisirs cas des bocages de jardins de zones r sidentielles Attention Ce qui est favorable une esp ce ne l est pas forcement pour une autre La mise en place d un corridor ne doit pas nuire d autres esp ces E Estimations des pertes cologiques Les pertes d l ments indispensables au bon fonctionnement de l cosyst me sont valu es en se r f rant l analyse de site initial corridors biologiques ou coul e verte habitats naturels flux d esp ces zones humides etc Si le site l tat initial supporte une biodiversit tr s faible voire nulle l valuation de ce crit re conduit au niveau 5 si on observe une am lioration par rapport l tat initial Si aucune am lioration n est constat e le crit re est class comme sans objet Une liste compl te des pertes est tablie elle fait appara tre les esp ces v g tales
97. hropisation et leur emplacement g ographique rural p ri urbain urbain Mais dans leur forme la plus simple ils sont d crits comme un terrain servant l une des fonctions suivantes ou les deux e mise disposition de possibilit s de loisir au public e pr servation du milieu naturel et de syst mes environnementaux Les terrains naturels comme les terres humides les for ts et les couloirs de cours d eau sont reli s pour former des cosyst mes essentiels leur existence Si ces cosyst mes sont sains ces espaces verts adeptes du monde rural deviennent autonomes et ne n cessitent qu une intervention humaine minime contrairement ce qui se produit habituellement en milieu urbain Car le milieu totalement naturel n existe plus vraiment aujourd hui il devient de plus en plus d pendant de l homme La planification de ces espaces verts est opportuniste en ce sens que de tels espaces ne peuvent tre cr s ou facilement recr s artificiellement une fois d truits En ville les espaces verts prennent une toutes autres formes du fait de l empreinte humaine plus oppressante les parcs les jardins les espaces corridors Ces terrains se caract risent par leur am nagement paysager associant des arbres de la pelouse et d autres types de v g taux avec des b timents En tant que terrains ouverts ils remplissent des fonctions hydrologiques Bien que la diversit v g tale et faunique soit limit e les esp ces v g t
98. i res ou reconnues comme ayant une attraction positive pour la faune et la flore locales arbres arbustes microflore d int r t A Exigences de l Article L 411 3 du code de l Environnement 4 La marge de recul est au minimum de 0 50 m frontalement aux v hicules stationn s entre l aire de stationnement et la limite de d veloppement de la v g tation de 030 m lat ralement aux v hicules stationn s entre l aire de stationnement et la limite de d veloppement de la v g tation Remarques e N de la volont du Conservatoire Botanique National M diterran en de Porquerolles CBNMED de mettre en ligne sa base de donn es Flore afin de faciliter l acc s 77 l information pour tous l outil SILENE Syst me dlinformation et de Localisation des Esp ces Natives et Envahissantes est le portail d acc s aux donn es naturalistes publiques en Provence Alpes C te d Azur En facilitant l acc s l information SILENE a pour objectif la gestion et la protection du patrimoine naturel r gional Les donn es faune et flore stock es par SILENE sont donc accessibles et viennent compl ter l inventaire exhaustif du site pour estimer sa valeur cologique e Se r f rer au guide de la gestion diff renci e Pr cisions quant aux marges de recul Elles sont mat rialis es physiquement afin d emp cher les v hicules d y p n trer L article 671 du code civil pr cise la distance minimale observer par
99. i t qu a le sol de transmettre l eau et l air troitement d pendante de la texture et de la structure du sol Photosynth se La photosynth se est le syst me qui permet la plante de se nourrir Les feuilles organes absorbants des polluants transforment le gaz carbonique C02 et l hydrog ne H contenus dans l eau en sucre et amidon gr ce la lumi re du soleil et rejettent de l oxyg ne Equation de la photosynth se CO H20 nergie lumineuse gt compos s carbon s O2 Phytorem diation d pollution des sols puration des eaux us es ou assainissement de l air int rieur Utilisant des plantes vasculaires des algues phycorem diation ou des champignons mycorem diation et par extension des cosyst mes qui supportent ces v g taux Ainsi on limine ou contr le des contaminations La d gradation de compos s nocifs est acc l r e par l activit microbienne Plantes vivaces plante p renne plante vivant plus de deux ans mais qui vit souvent beaucoup plus longtemps la limite de deux ans tant fix e pour s parer les vivaces des bisannuelles Polluant substance qui par ces propri t s son abondance ou sa concentration influe sur la fonction du sol ou son utilisation ISO 11074 1 Prairie terrain couvert de plantes herbac es Richesse sp cifique nombre d esp ces animales ou v g tales d une communaut d une station ou d un territoire En g n ral on ne consid re que
100. i consistent provoquer la biod gradation des polluants au moyen de microorganismes endog nes appartenant au milieu ou exog nes trangers au milieu au milieu Elle s applique des polluants organiques 59 e Traitements chimiques D shalog nation des Polychlorobiph nyles PCB substitution des radicaux halog n s par poly thyl ne glycol Oxydation des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques HAP PCB 03 H202 Cl ou r duction chimique des pesticides HAP m taux Stabilisation par pr cipitation chimique Electromigration Les diff rents syst mes de traitements par voie biologique sont e Phytoextraction utilisation de plantes pour l extraction de polluants de l environnement tels que les m taux Quand les plantes sont satur es en polluants elles sont r colt es Exemples de plantes utilis es Tabouret bleuGtre zinc Brassica cuivre plomb Thlaspis zinc nickel cadmium Streptanthus cuivre nickel Hordeum vulgare Orge Avena sativa Avoine e Phytostabilisation utilisation de plantes pour r duire la biodisponibilit la mobilit ou le lessivage des polluants Exemples de plantes utilis es Poaceae Festuca arvernensi rubra Agrostis capillaris et Koeleria vallesiana Fabaceae Anthyllis vulneraria et Tr fle Saule Peuplier e Phytod gradation utilisation des plantes productrices d enzymes telles que la d halog nase l oxyg nase etc qui cata
101. ibiens Pour chaque esp ce le niveau de menace est valu par diff rents crit res de vuln rabilit Liste rouge des amphibiens et reptiles de France m tropolitaine La Liste rouge de l UICN est reconnue comme l outil le plus fiable au niveau mondial pour valuer le risque d extinction des esp ces Fond e sur une solide base scientifique elle met en lumi re le d clin marqu et continu de la biodiversit dans le monde gr ce diff rents crit res pr cis Le comit fran ais de l UICN a proc d d but 2008 l valuation des esp ces d amphibiens et de reptiles de France m tropolitaine Six niveaux de menaces sont ainsi attribu s aux esp ces valu es LC Pr occupation Mineure NT Quasi Menac e VU Vuln rable EN En Danger CR En Danger Critique d Extinction DD Donn es insuffisantes http www uicn fr Liste rouge reptiles amphibiens html 2 Termes et d finitions 41 Environnement Milieu dans lequel un organisme fonctionne incluant l air l eau la terre les ressources naturelles la flore la faune les tres humains et leurs interrelations Op ration Ouvrage services associ s et ensemble des processus conduisant l obtention de l ouvrage Parties int ress es Individu ou groupe concern ou affect par la performance environnementale d une op ration Processus Pour un Maitre d Ouvrage les processus s inscrivent dans plusieurs phases
102. idit qui mesure l humidit du sol pour r guler l arrosage et r pondre aux besoins optimaux des v g taux Pour une construction avec une toiture v g talis e Un arrosage d appoint est pr vu Il peut s av rer n cessaire en p riode s che pour la bonne tenue des plantes et pour l efficacit thermique de la toiture par vapotranspiration en t Il peut se faire soient par Arrosage manuel par des bouches en toiture Arroseurs canons sprinklers traditionnels pour un arrosage en surface Syst me injecteurs individuels et syst me tubes piqu s dans la surface ou enterr s dans le substrat Syst me capillaire enterr qui achemine l eau sur l ensemble de la surface depuis quelques points d arrosage Remarques Les syst mes d irrigation temporaires utilis s pendant l tablissement des plantes sont permis la condition qu ils soient enlev s au plus tard un an apr s leur utilisation Pour les jardins secs qui n cessitent peu ou pas d arrosage l arrosage est assur manuellement selon un plan de gestion hebdomadaire ou saisonnier e Au stade v g tatif il faut arroser peu mais souvent abondamment la plantation Une fois la phase de croissance atteinte apr s la 1 ann e souvent il faut arroser tous les 2 3 semaines en saison estivale et une fois par mois en hiver 87 D marche EFFINATURE EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me EF 6 1 Restauratio
103. ie pour la diversit biologique Ne sont pas consid r es comme zones humides e les piscines e les mares d eau non p rennes Dans cette th matique le label EVE a t appliqu pour la gestion des espaces verts Le label Eve d ECOCERT permet d valuer la qualit de la gestion effectu e sur les espaces verts et d orienter les services gestionnaires vers l am lioration de leurs pratiques en accord avec le d veloppement durable Ce r f rentiel con u par des professionnels permet un diagnostic de la qualit de la gestion des espaces verts un accompagnement vers une am lioration continue des pratiques Il offre galement aux gestionnaires et aux jardiniers la r compense du travail r alis par l obtention de la labellisation Eve et aux usagers la garantie d espaces r ellement sains conomes et contribuant l am lioration de l environnement urbain EF 5 1 Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue La trame verte lanc e en 2008 par le Grenelle de l environnement a t con ue comme un instrument d centralis d am nagement durable et de concertation favorable une densification urbaine permettant une gestion int gr e du territoire Elles vise la pr servation de la biodiversit ordinaire en intensifiant les flux de dispersion des esp ces Un des objectifs prioritaires est la mise en place de corridors cologiques sur tout le territoire national EF 5 1 1 Coefficient de biotope par
104. ier des d marches pour la gestion et l entretien des espaces verts est respect D sherbage Les principes diff renci s utilis s sont e d sherbage manuel e d sherbage thermique gt vapeur ou eau chaude gt mousse gt agaz d sherbage m canique gt micro balayeuse gt d broussailleuse Respect du niveau 3 avec en plus Une tracabilit exhaustive des interventions est appliqu e afin de faciliter leur gestion e dates de plantations e dates de fauches e travaux de taille r alis s e attaques parasitaires d tect es Un suivi est appliqu pour les plantations arbustives du projet 83 Engrais Les engrais utilis s sont de nature biologique soient 100 naturels compost e engrais naturels d origine v g tale ou organo min rale certifi s ECOFERT lombricompost Respect du niveau 4 avec en plus D sherbage Un paillage est appliqu sur les espaces verts principalement au pied des jeunes haies et des jeunes arbres et arbustes ainsi qu autour des plantes vivaces et annuelles voir protocole d application du paillage Gestion int gr e La lutte biologique est utilis e sur le site par un professionnel afin de g rer les invasions parasitaires des essences v g tales voir protocole d utilisation des auxiliaires pour la lutte biologique M Leurs utilisations sont reglement es par a directive 91 414 CEE et la directive 95 36 CEE voir liste
105. il conviendra de faire le point sur l tat des connaissances sur le secteur consid r partir de l analyse de la bibliographie et des donn es existantes inventaires ZNIEFF ZICO corridors cologiques Consulter pour cela le site internet de la DREAL pour la r gion consid r e par exemple pour la r gion PACA www paca developpement durable gouv fr rubrique l environnement en Picardie et en particulier la rubrique faune et flore Les esp ces d terminantes de ZNIEFF et les ORGFH vous donneront galement des indications sur le statut d esp ces animales de la r gion Il existe galement de nombreuses informations sur le site de l inventaire du patrimoine naturel http inon mnhn fr Ce site recense les listes des esp ces animales et v g tales prot g es au niveau r gional et national rubrique conservation r glementation et une fiche descriptive pour chaque esp ce incluant notamment sa r partition en France la consultation des associations naturalistes locales 42 Sur les zones d j identifi es dans les inventaires l examen des listes d esp ces patrimoniales sur le site esp ces prot g es et des listes rouges permettra d affiner la m thodologie afin de cartographier avec pr cision la localisation de ces esp ces et de leurs habitats Si le projet n est situ dans aucune zone d inventaire identifi e l examen des milieux naturels pr sents permettra de d terminer la pr sence potentielle d es
106. inature Sur Commentaires Plan d action EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit 3 1 D pendance aux mati res premi res Eg 3 2 D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de 40 5 qulation EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit 4 1 G n ration des pollutions de chantier xt EW 4 1 1 Chantier propre 4 1 2 D pollution des sols Ea 4 2 Modifications de l cosyst me Ea 4 2 1 Imperm abilisation des sols 40 ie 4 2 2 R versibilit des impacts de la construction EX EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit 5 1 Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue Sal Ea 5 1 1 Coefficient de biotope par surface indice CBS IS 5 1 2 Couverture v g tale du b ti indice CES 5 1 3 Maintien et ou d veloppement des coridors cologiques EI Evaluation qualitative et fonctionnelle Ea Fragmentation cologique Es Estimation des pertes cologiques Ey 5 2 Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit En Ee 5 2 1 Valeur cologique du site 5 H 5 2 2 Indice de Shannon option 30 S 5 2 3 Diversit des habitats et zones de refuge 5 2 4 Gestion et entretien des espaces verts REDE entretien et jardinage En arrosage 30 In EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me 6 1 Restauration de l environnement au service de la qualit de vie de la biodiversit 6
107. ins attentes le Maitre d Ouvrage tablit ou fait tablir le programme de l op ration projet e qui comporte au moins les l ments suivants e Lanature et la situation de l op ration les am nagements de la parcelle e Les caract ristiques du terrain e Le nombre et l orientation des b timents pour permettre de favoriser l ouverture de lot sur le paysage environnant 32 e Les exigences architecturales techniques confort de l habitant et fonctionnelles gestion des espaces verts diversit des habitats faunistiques limitation de l rosion des sols etc des am nagements e Le programme d engagement en faveur de la valorisation de la biodiversit titre indicatif le choix des mat riaux la pr servation de la biodiversit avec le choix des essences naturelles v g tales etc e Le niveau des prestations et les quipements souhait s e Le budget pr visionnel e Le calendrier pr visionnel des diff rentes phases de l op ration Avant d engager la conception le Maitre d Ouvrage valide le contenu du programme Il v rifie notamment que le programme r pond bien au profil environnemental envisag tant entendu que ce dernier peut tre amen voluer en particulier la demande des utilisateurs ou en fonction des contraintes li es la conception ou de tout autre v nement i Planification de l op ration Le Maitre d Ouvrage doit d terminer planifier et mettre jour et ou compl
108. ion de la biodiversit EF 5 2 1 Valeur cologique du site EF 5 2 2 Indice de Shannon option EF 5 2 3 Diversit des habitats et zones de refuge EF 5 2 4 Gestion diff renci e et entretien des espaces verts e Entretien et jardinage e Arrosage 64 EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit Selon la loi du 10 juillet 1976 relative la protection de la nature la protection des espaces naturels et des paysages et la pr servation des esp ces animales et v g tales est d int r t g n ral C est pourquoi un des objectifs recherch s est de structurer Un maillage vert bas sur la conservation et la valorisation de la biodiversit locale Ce r seau vert regroupe les espaces verts et corridors cologiques qui participeront au d veloppement de la Trame verte Dans un second temps cette partie vise faire de la construction Un b timent dit cologique c est dire qui abrite sur ses fa ades une biodiversit capable de s y d velopper Pour tre qualifi d espace vert un site doit r pondre plusieurs crit res informellement d finis mais qui semblent consensuels Il doit tre assez grand ouvert au public et facilement accessible Ne sont pas consid r s comme espaces verts e les terre pleins nus e les cours et les parkings arbor s e les terrains de sport e les alignements d arbres Les zones humides ont galement leur part d importance puisqu elles sont source de v
109. ique qui vise am liorer la pr servation de la diversit biologique et l utilisation durable des ressources biologiques ainsi qu compl ter et renforcer la Convention sur la diversit biologique ll est fournit au gestionnaire du b timent un manuel qui reprend et d crit avec d tails tous les points qui ont n cessit un am nagement sur le site e la gestion cologique des espaces verts diversit floristique et des habitats pour la faune 105 le bruit la gestion de l eau les d chets verts l air l nergie et l clairage les mat riaux issus du vivant pour la construction Une visite du b timent avant l occupation d une dur e minimale de 2 heures est organis e en portant une attention particuli re aux points suivants l identification de tout l quipement install e instruction sur la mani re d appliquer les mesures adopt es par EFFINATURE e l information sur la fa on de maintenir l application des mesures adopt es par EFFINATURE Respect du crit re 3 avec en plus Une journ e de formation portant sur la gestion cologique du site et le bon comportement adopter est dispens e au gestionnaire du b timent Cette formation est dirig e par un professionnel de l am nagement paysager qui lui enseignera les bonne pratiques environnementales pour maintenir la performance cologique du site Le gestionnaire devra veiller perdurer toutes ces informations destination d
110. ire ventuellement envisag e Liste des acteurs intervenants aux diff rents stades et pr cisions sur leur responsabilit r le Calendrier de mise en uvre des diff rentes tapes acquisition r trocession gestion 7 Suivis Suivi du chantier retour sur l efficacit des mesures de suppression et r duction d impact propos es 36 e Suivi du site impact long terme retour sur l impact r el du projet comparaison avec l impact pr vu e Suivi du site de compensation valuation de la r ussite des mesures compensatoires e Pr cision sur les intervenants et leur r le e Sp cification des donn es recueillir incluant les outils et m thodes d valuation utilis es fr quence des suivi m thodologies employ es 8 Evolutivit du plan de mesures compensatoires e Evaluation des causes potentielles d chec des mesures d vitement de r duction et de compensation e Description des mesures correctives envisag es en cas de retour n gatif sur les suivis mis en uvre type de mesure financement cas de mises en uvre Un r capitulatif des actions venir sur le projet est pr sent ci dessous Comparaison des crit res communs de l tat initial et du projet Etat initial Phase projet Eco construction d pendance la biodiversit D pendance aux mati res premi res gular eee j Ld r gulation Impacts du projet sur la biodiversit Ge
111. ire et ou normatif en vigueur que le Maitre d Ouvrage doit par ailleurs conna tre maitriser et appliquer Les documents suivants ont servi de r f rence pour la r daction de ce r f rentiel de certification d op ration de logement e FNPC AFAQ C S T B R f rentiels Qualiprom Management de processus de r alisation op rationnelle en promotion construction octobre 2007 Qualimo Management de processus de r alisation op rationnelle en maitrise d ouvrage locative e le code des march s publics larecommandation T2 99 Commission centrale des march s e la norme NF PO1 010 relative la d claration informative des caract ristiques environnementales et sanitaires des e produits de construction e la norme NF P 01 020 relative la qualit environnementale des produits de construction et des b timents e lanorme ISO 14001 Systemes de management environnemental Sp cifications et lignes directrices pour son utilisation e le GA P01 030 portant sur le Systeme de management environnemental Habitats naturels Les habitats en tant qu entit s d finies par la directive Habitats b n ficient du statut r glementaire suivant m Directive Habitats Directive europ enne n 92 43 CEE du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages elle est entr e en vigueur le 5 juin 1994 m Prise en compte des zones humides Selon l article L 211 1 1
112. irons leur compatibilit avec le fonctionnement cologique souhait Pr cisions sur la faisabilit de la compensation co t maitrise des techniques de g nie cologique Dans le cas d une compensation ailleurs et ou sur d autres esp ces habitats en justifier les raisons techniques financi res administratives Description des restrictions d usage et ou servitudes envisag es sur le site de compensation 4 Description de la mesure compensatoire Localisation Description des caract ristiques obtenir hydrologie v g tation sol zone tampon Planning de mise en uvre pr cisions sur les mesures envisag es pour compenser les pertes interm diaires de biodiversit Description des interventions travaux envisag s en vue de la r habilitation restauration recr ation du milieu g nie cologique mat riaux utilis s v g tations implant es D crire les mesures de gestion future 5 Indicateurs de r ussite Identifier des indicateurs de r sultats permettant de qualifier la r ussite de la mesure et de comparer les fonctions gagn es et perdues sur les sites d impact et de compensation param tres des sols v g tation pr sence d esp ces remarquables 6 Protection et gestion du site Description des l ments assurant la p rennit de la mesure acquisition maitrise fonci re finale r trocession mesures de gestion cologiques protection r glementa
113. l EFFINATURE value la performance globale de l am nagement d un site selon 8 th mes environnementaux dont 6 th matiques techniques d valuation EF 1 Management environnemental de l op ration EF 2 Chantier propre EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit EF 6 Optimisation cologique de l cosyst me EF 7 Eco responsabilit EF 8 Valorisation conomique du projet Pour tous les crit res de chaque th me environnemental le niveau d exigence minimum recherch est la labellisation EFFINATURE soit le niveau 3 2 D tails des th mes environnementaux Pour chaque th me environnemental les tableaux suivants pr cisent e Le ou les domaines techniques abord s e Les niveaux d intervention EF Management Environnemental de l Op ration Domaines tudi s Niveaux d intervention Objectifs environnementaux CE RA le maitre Audit de l organisation du maitre d ouvrage ainsi que la d ouvrage pour l op ration concern e d finition et la mise en en phase de conception uvre de l organisation n cessaire pour les atteindre au niveau de l op ration Examen des pi ces crites en cours d valuation si n cessaire EF2 Chantier propre Domaines tudi s Niveaux d intervention Compl ment d audit celui se rapportant au Th me EF e Management envi
114. les cf tableau ci apr s Les dispositions g n rales d finies ci dessous concernant la R glementation et les R gles de l Art doivent toutes tre respect es Code de la Construction et de l Habitation Code de l Urbanisme Normes fran aises et europ ennes en vigueur Documents Techniques Unifi s Avis Techniques ATEC Fran ais ou Europ ens Agr ment Technique d Exp rimentation ATEX R gles professionnelles 3 Processus de labellisation Le processus de labellisation d une op ration se traduit par diff rents types d interventions 18 e Pour les th mes d organisation et de responsabilit soci tale un audit de l organisation du Maitre d Ouvrage et la validation de ses engagements e Pour les th mes techniques audit et valuation de la conception de l op ration e Contr les de conformit Le processus est d taill et explicit ci dessous Demande de labellisation tude pr paratoire analyse de site Expertise et valuation de programme l op ration d action pour la biodiversit Bilan de l tat final valuation d finitive du projet Droit d usage de la marque Processus de labellisation 19 20 D marche EFFINATURE es Noture Partie 2 D tails des themes environnementaux Pr sentation des themes environnementaux D tails des themes environnementaux 21 1 Pr sentation des th mes environnementaux Le r f rentie
115. leur In S Il tend vers O lorsqu une fr quence tend vers 1 dominance d une essence L indice de Shannon ne s interpr te pas dans l absolu il permet une comparaison entre les valeurs de cet indice l tat initiale et l tat final Pour chaque esp ce sa fr quence sur le terrain d tude est d termin e par relev s L indice de Shannon est ensuite calcul en prenant l ensemble des esp ces pour chaque tat s par initial et final Esp ces l Indice de Shannon H de l op ration 1 l indice de Shannon du projet lt 02 0 EF 5 2 3 Diversit des habitats et zones de refuge 80 L habitat est Un concept utilis pour d crire l endroit ou plus pr cis ment les caract ristiques du milieu dans lequel une population d individus d une esp ce donn e peut vivre et s panouir Qu ils soient d origine naturels ou non ces habitats permettent la faune locale de se reproduire et s panouir Destruction des milieux vitaux Conservation des habitats naturels d int r t communautaire Habitats naturels Le projet n offre pas une banalisation et une simplification morphologique des structures paysag res Respect du niveau 3 avec en plus Habitats non naturels Installation de nichoirs oiseau ou chiropt re en bois non agglom r et 4 dispos s au minimum raison d un pour une superficie de 100 m d espaces verts de type parc ou jardin Ou Installation de pots oiseaux en terre
116. litres gt exemple dimensions base au sol L x P x H 98 x 98 x 101 cm Remarque ll est n cessaire de se renseigner aupr s de la mairie pour se fournir ces composteurs souvent en location Des aides de l ADEME peuvent aussi tre distribu es sous conditions EF 6 2 Fr quentation des espaces verts La fr quentation intensive ou non de certains espaces verts ont un effet perturbateur sur la faune et la flore pi tinement des essences v g tales destruction des zones et habitats de refuge g ne pour la faune locale etc 1 Aucune r ponse n a t apport e pour ce crit re Un plan de fr quentation des espaces verts est mis en place il pr cises les zones ou habitats de refuge pr server pas de pi tinements ni toute autre g ne pour la faune et la flore Des points de collecte de d chets sont am nag s sur les aires de d tentes Respect du niveau 3 avec en plus Des am nagements structurent et d limitent les zones ou habitats de refuge pour la faune et la flore 98 99 D marche EFFINATURE e LA EF 7 Eco responsabilit EF 7 1 Confort de l habitant EF 7 1 1 Bien tre de l habitant EF 7 1 2 Confort visuel mise en valeur du patrimoine v g tal EF 7 2 Information et communication EF 7 1 1 Sensibilisation et formation du propri taire ou du locataire EF 7 1 2 Sensibilisation et formation du gestionnaire du site EF 7 3 Services culturels et soci
117. ls r glementaires Le sol est trait par des m thodes de d pollution de type physiques ou chimiques Traitements physiques Bioventing Biosparging Biostimulation ou Bioaugmentation Traitements chimiques D shalog nation Oxydation Stabilisation par pr cipitation chimique Electromigration Le sol n est pas pollu Le sol est pollu mais de faibles concentrations ll est trait par une m thode de d pollution de type phytorem diation ou biorem diation d pollution sp cifique par les plantes vasculaires Les diff rents syst mes de traitements applicables par voie biologique sont la phytoextraction la phytostabilisation la phytod gradation la phytovolatilisation la phytostimulation La r glementation de la pollution des sols est r git par la Circulaire du 3 d cembre 1993 la Loi 92 646 du 13 juillet 1992 la Circulaire DPPR SEI 94 I 1 du 9 f vrier 1994 l Arr t du 17 octobre 1994 la Circulaire du 3 avril 1996 la Circulaire du 18 avril 1996 la Circulaire du 7 juin 1996 et la Norme AFNOR NF ISO 110 74 1 Remarques e La phytorem diation doit intervenir apr s avoir veill limiter les sources de polluants la mise en place en 2011 d un tiquetage des produits de construction et de d coration bas sur les missions de COV y aidera et apr s avoir assur une a ration et une bonne ventilation 58 e L inventaire floristique et l inventaire de la microflore servent de point d app
118. lysent la d gradation des substances adsorb es Celles ci sont transform es en substances moins toxiques ou non toxiques par la m tabolisation des contaminants dans les tissus des plantes et ou par les organismes de la rhizosph re maintenue par la plante Exemples de plantes utilis es Coriandre lindane Jacinthe Pyr thrino de de synth se Ma s V tivier lindane e Phytovolatilisation utilisation des plantes pour volatiliser des polluants m talliques Les polluants sont absorb s par les plantes gr ce aux ph nom nes d vapotranspiration puis sont transform s et rejet s dans l atmosph re Exemples de plantes utilis es Scirpus lacustris Glyceria spectabilis Phragmites communis Typha latifolia Phalaris arundinacea Carex e Phytostimulation acc l ration de la biod gradation naturelle par stimulation des micro organismes gr ce aux apports naturels d oxyg ne et de nutriments par le syst me racinaire des plantes sup rieures donc au niveau de la rhizosph re Exemples de plantes utilis es la plupart des plantes hyperaccumulatrices EF 4 2 Modifications de l cosyst me Cette partie value les changements de l cosyst me li s l imperm abilisation des sols qui est une des principales causes d rosion de la biodiversit EF 4 2 1 Imperm abilisation des sols L imperm abilisation des sols menace la biodiversit des communaut s sp cifiques des sols et des cosyst mes dont les sols
119. menac es l chelle mondiale ou bien des esp ces end miques de France voire d un pays limitrophe mais relativement abondantes sur notre territoire bien qu surveiller l chelle mondiale a Directive Habitats Diff rentes annexes de cette directive concernent les esp ces notamment la flore Esp ces d int r t communautaire dont la conservation n cessite la d signation de Zones Sp ciales de Conservation ZSC Esp ces qui n cessitent une protection stricte sur l ensemble du territoire de l Union Europ enne Esp ces dont le pr l vement dans la nature et l exploitation sont susceptibles de faire l objet de mesures de gestion Insectes m Convention de Berne Convention relative la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l Europe 19 09 1979 listant en annexe 2 la faune strictement prot g e et en annexe 3 la faune prot g e dont l exploitation est r glement e esp ces ci apr s d sign es BE2 et BE3 m Directive Habitats 40 Liste nationale des insectes prot g s sur l ensemble du territoire m tropolitain Cette liste est issue de l arr t du 23 avril 2007 Elle largit la protection de l esp ce son milieu particulier c est dire l habitat d esp ce Cette liste concerne 64 esp ces m Listes rouges Elles pr sentent les esp ces constituant un enjeu de conservation ind pendamment de leur statut de protection Il existe des listes rouges d p
120. mpadaire la lumi re est mise du haut vers le bas dans un c ne de 70 par rapport la verticale garantissant la non diffusion de la lumi re vers le haut Donc les lampadaires de type boule sont interdits gt L intensit lumineuse maximum est de 49 cd klm gt La luminance moyenne est maintenue la valeur moyenne inf rieure de 1cd m gt l clairage des zones naturelles sur site et aux alentours est vit d s que c est possible gt Les lampadaires n clairent pas une surface r fl chissante 91 60 perdu 40 utile E Pollution sonore La pollution sonore repr sente une agression s rieuse pour l homme et l environnement Le bruit contrarie et ou freine les changes vitaux au sein d un m me cosyst me ou entre cosyst mes diff rents La pollution sonore est un des enjeux sur lequel le Grenelle de l environnement compte intervenir notamment en r duisant les zones dites points noirs o le niveau sonore moyen peut avoir des cons quences sur la faune locale Ce crit re prend en compte principalement le type de bruit vocateur ou non de menace pour la biodiversit plut t que le niveau sonore qui ne suffit pas indiquer la g ne inflig e aux animaux 1 Aucune r ponse apport e pour r duire la pollution sonore sur le site Un plan de gestion des nuisances sonores est mis en place et affich sur site e limiter les bruits occasionn s par votre v hicule en roulant au pas
121. n compte de la biodiversit or EF 8 1 2 Subventions et aides financi res Po EF 8 2 Valorisation mon taire du projet Po TOTAL Moyenne ee Le profil cologique du projet est tabli partir de l valuation d finitive de l op ration Il permet de visualiser clairement les parts d investissement du projet pour la pr servation et la valorisation de la biodiversit EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit EF 4 Impact du projet sur la EF 8 Valorisation conomique du projet biodiversit EF 7 Eco EF 5 Valorisation et responsabilit co gestion de la biodiversit r O Profil cologique EF 6 Optimisation B EFFINATURE fonctionnelle de EFFINATURE P l t cosyst me EFFINATURE TP Exemple d illustration d un profil cologique sur un projet valu Les contr les de conformit vis s aux R gles G n rales de la d marche EFFINATURE sont effectu s par GREENLOGIC ECOCERT selon le taux de sondage en vigueur Les contr les de conformit sont constitu s e de la v rification in situ des ouvrages et am nagements en cours ou en fin de chantier e de la validation du Bilan de chantier avec le diagnostic biodiversit e dela validation du crit re EF 7 2 Information et communication GREENLOGIC ECOCERT aura en charge de valider les dispositions prises par le maitre d ouvrage sur le bilan de chantier et le crit re EF 7 2 Information et communication
122. n d au moins Un arbre pour 4 places de stationnements un p rim tre de s curit est respect autour des arbres pour pr server le v g tal les plantations arbustives et florales r alis es proximit imm diate des zones de stationnement ont une marge de recul pour faciliter l acc s aux v hicules stationn s et l entretien des plantations Respect du crit re 3 avec en plus La diversit arborescente est repr sent e raison d au moins 12 arbres plant s o 5 esp ces minimum y sont repr sent es gt 5 gt indice de la valeur cologique gt 10 La v g tation spontan e est favoris e mais contr l e dans son d veloppement Respect du crit re 4 avec en plus gt indice de la valeur cologique gt 10 Un jardinier qualifi ou une personne ayant particip une formation reconnue ou tant membre d une association li e aux espaces verts collectifs du site est charg e de g rer les espaces verts collectifs du terrain Ne sont plant es que les essences locales arbres et arbustes r gionaux vari t s fruiti res et ornementales les couvertures de plantes herbac es et grimpantes plut t que le gazon fondu et la haie taill e de valeurs cologiques peu int ressantes cf liste des esp ces m diterran ennes Une attention particuli re est port e aux esp ces ayant des pollens fort pouvoir allerg ne l Les esp ces v g tales concern es sont de type plantes indig nes pionn
123. n de l environnement au service de la qualit de vie de la biodiversit EF 6 1 1 Gestion des pollutions nuisibles e Pollution lumineuse e Pollution sonore e Pollution atmosph rique e Pollution lectromagn tique fopfion EF 6 1 2 Qualit des eaux douces IBGN Indice Biologique Global Normalis option e Test d cotoxicit eau douce test Daphnie EF 6 2 D chets verts recyclage et compostage EF 6 3 Fr quentation des espaces verts 88 EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me Faire de l environnement un facteur de qualit de vie sur le long terme passe la fois par son am lioration d s aujourd hui et une gestion durable des ressources vitales Ce th me est charg d valuer la qualit de l environnement dans lequel s ins re le projet en prenant en compte le sol l eau l nergie les d chets EF 6 1 Restauration de l environnement au service de la qualit de vie de la biodiversit Pour un d veloppement optimal la biodiversit a besoin d un environnement sain et pour le moins pollu Le sol et l eau composantes indispensables de la faune et la flore conditionnent l panouissement de la diversit biologique S y ajoutent les autres pollutions diverses anthropiques De leur bonne gestion en d coule une biodiversit en bonne sant EF 6 1 1 Gestion des pollutions nuisibles pollution lumineuse pollution atmosph rique pollution sonore pollution lectromagn ti
124. n de ma trise des nergies Respect du niveau 4 avec en plus Le bilan carbone est au moins neutre c est dire que le stockage du carbone sur le site pour le projet consid r est sup rieur ou gal aux missions gt Bilan Carbone 2 0 108 D marche EFFINATURE EF 8 Valorisation conomique du projet EF 8 1 Investissements pour la biodiversit EF 8 1 1 Co t de la prise en compte de la biodiversit EF 8 1 2 Subventions et aides financi res EF 8 2 Valorisation mon taire du projet 109 EF 8 Valorisation conomique du projet La biodiversit est valu e conomiquement en quantifiant les fonds obtenus et investis pour les mat riaux de la construction issus du vivant bois isolants naturels La valorisation mon taire du projet est galement estim e selon les atouts et opportunit s propos s EF 8 1 Investissements pour la biodiversit La biodiversit n est pas toujours dot e de prix ce qui conduit les individus agir vis vis d elle comme si elle n avait aucune valeur Pourtant la m thode d valuation contingente ou consentement payer CAP qui vise demander aux habitants ce qu ils seraient pr ts payer pour am liorer la qualit et la quantit de la biodiversit a permis de voir l implication des habitants dans cet enjeu La moyenne de ce CAP est aux alentours de 15 euros par an et par habitants d o la n cessit de ne pas n gliger la valorisation de la faun
125. n des propri taires des locataires et du gestionnaire je D 18 fe Le Services culturels et sociaux Gestion nerg tique _ Valorisation Investissements pour la biodiversit conomique du oe ANE projet Valorisation mon taire du projet C Le label EFFINATURE 1 Champ d application du label EFFINATURE Le r f rentiel EFFINATURE s applique d s la phase de conception du projet en apportant des solutions cologiques pour pr server une qualit optimale de l environnement La pr servation de la biodiversit s applique d s la phase conception du projet analyse des plans et pi ces crites Cette orientation doit faire l objet d un engagement de la part des diff rents acteurs du chantier ma tre d uvre entreprises L valuation du site par EFFINATURE ne peut tre r alis e qu une fois l am nagement et la construction termin s Il sera pris en compte le temps de croissance et de d veloppement pour les jeunes v g taux lors de cette valuation Le r f rentiel EFFINATURE mill sime 2011 est applicable pour toute op ration de logements neufs et r habilit s collectifs et individuels r alis es en France m tropolitaine ayant fait l objet d une demande de permis de construire compter du 1 janvier 2009 et d une date de proposition de contrat de labellisation compter du 1 janvier 2010 et dont le profil environnemental satisfait les exigences d finies au paragraphe 2 Condition
126. ndice Efficacit constructeur vient r sumer les efforts faits par le constructeur pour rendre le projet plus cologique et en lien avec le milieu naturel Il s agit de rapporter les d penses li es la restauration la pr servation et la valorisation de la biodiversit au co t total de l op ration Cet indice est calcul ainsi IB CTO Ou IB investissements pour la biodiversit exprim en euros comprenant les co ts de l am nagement paysager de la gestion des espaces et des mat riaux issus du vivant CTO Co t total de l op ration exprim en euros Remarque Cette indication du co t des mati res premi res issues de la biodiversit pour le b ti sera mise en vidence dans les documents portant sur la construction du projet EF 8 1 2 Subventions et aides financi res Pour inciter les particuliers et les bailleurs sociaux agir favorablement en faveur de la nature l tat et ou certaines r gions ont mis en place des aides financi res dont le cr dit d imp t d veloppement durable l co pr t taux z ro la TVA 5 5 les aides de l ANAH Agence Nationale de l Habitat les aides cibl es collectivit s territoriales VVVVV Ces aides concernent en particulier les mat riaux naturels pour l isolation et les toitures terrasses v g talis es Un indice Efficacit collectivit vient r sumer les efforts financiers faits par les collectivit s pour la r alisati
127. ne zones d extension et zones de d veloppement appel es aussi taches La pertinence des corridors cologiques est estim e en valuant 3 classes principales Qualit La diversit en esp ces en taxons ou en milieux 7 point La naturalit soit l tat naturel du milieu selon un gradient d artificialisation les corridors naturels peuvent limiter la propagation des esp ces invasives point si le corridor est recouvert de toute autre couverture v g tale que du gazon et si son niveau d artificialisation est limit ou 7 point si le corridor est un cours d eau avec une ripisylve d velopp e Capacit 72 La surface occup e 7 point pour les corridors qui ont une largeur sup rieure 10 m tres La complexit de structures 7 point si au moins deux niveaux de strates v g tales sont repr sent es les besoins du milieu et sa structure sont prendre en compte pour l am nagement Le niveau de protection contre les perturbations externes elles sont d termin es apr s avoir d fini le corridor concern point si le corridor a la capacit d assurer la protection de la faune r sidente et de la flore r sidente ou passag re Fonction L accueil ou le r le de refuge des milieux 7 point si le corridor remplit le r le de nourrissage journaliers ou saisonniers et 7 point si le corridor est compos d habitats naturels ou non pouvant servir de refuge de fa on jou
128. ne satisfaisant pas les exigences du niveau EFFINATURE pour le crit re concern e Dans le second cas elle est significative d une construction respectant la r glementation en vigueur mais ne permettant pas de satisfaire le crit re du label EFFINATURE concern La note maximale est 5 elle est accord e toute construction pr nant pour la limitation de l rosion de la biodiversit mais aussi sa valorisation et la compensation des impacts dus l am nagement du site pour la th matique relative la valorisation conomique du projet la note maximale accord e est 3 Entre ces deux notes des paliers sont atteindre et les notes 3 et 4 seront donn es cet effet selon les crit res La note 3 correspondant au niveau du label EFFINATURE est attribu e une construction qui s ins re dans le respect et la valorisation de l environnement et du monde du vivant Ce niveau EFFINATURE conduit atteindre l objectif pas de perte nette de biodiversit que ce soit dans la r alisation d un ouvrage dans la conception d un site ou d une zone d activit s de mani re am nager en m nageant la biodiversit Pour atteindre un niveau EFFINATURE sup rieur il faut respecter enti rement les indications du niveau pr c dent Niveau d valuation 1 Aucune r ponse Respect de la r glementation en vigueur Correspondance Label Effinature P performant Label Effinature T tr s performant 2 4 5 Le label
129. ne valeur en kWh m SHON an d nergie primaire qui s exprime sous la forme 50 x a b pour du neuf et 80 x a b pour de l existant e La valeur de a est fonction des zones climatiques d finie dans l arr t du 24 mai 2006 Hla et Hlb 7 3 Hic 7 2 H2a 7 1 H2b 7 H2c et H2d 0 9 H3 0 8 La valeur de b est fonction de l altitude du terrain d assiette de la construction lt 400m 0 gt 400m et lt 800m 0 7 gt 800m 0 2 Exclusivement pour cette option le coefficient de transformation en nergie primaire de l nergie bois pour le calcul des consommations conventionnelles d nergie primaire est pris par convention gal 0 6 Fourniture des tiquettes Energie et Emission GES Un bilan carbone est r alis Une r flexion bioclimatique est amorc e en mati re d isolation et de mat riaux utilis s conception du b ti v g talisation du b ti Respect du niveau 3 avec en plus Une r flexion bioclimatique a men a e l utilisation de v g taux pour un r le de brise soleil e l installation d une toiture v g talis e am liorant les isolations acoustique thermique et permettant la r cup ration des eaux Le niveau 4 doit tre atteint pour le crit re Environnement du b timent fonctions cosyst miques de r gulation un diagnostic et un suivi de la consommation nerg tique mat riels fixes et mobiles pour la gestion des espaces verts locaux la mise en place d un pla
130. ngu es selon 6 strates muscinale herbac e semis arbustes bas ou arbrisseaux 0 3 2 m arbustes haut 2 7 m et arbres gt 7 m e La cote selon l chelle mixte d abondance dominance de Braun Blanquet esp ce pr sente l tat des individus isol s abondance et recouvrement faibles 1 esp ce pr sente l tat des individus abondants recouvrement faible R lt 5 2 esp ce pr sente l tat des individus abondants recouvrement 5 3 esp ce dont le recouvrement peut atteindre le 1 3 du relev R 10 35 4 esp ce dont le recouvrement occupe entre 1 3 et 2 3 du relev R 35 65 5 esp ce dont le recouvrement occupe plus des 2 3 du relev R gt 65 La cotation du couvert v g tal en de l ensemble du relev e Inventorier et localiser de fa on pr cise les esp ces patrimoniales esp ces prot g es et esp ces des listes des rouges dans le secteur d tudes e Proc der par m thode phytosociologique jusqu au niveau de l alliance dans l ensemble du secteur d tudes et pour les secteurs pr sentant un int r t patrimonial particulier habitats relevant de l arr t minist riel du 16 novembre 2001 ou en liste rouge r gionale pousser la d termination jusqu au niveau de l association Identifier et localiser les milieux les plus sensibles e En d duire la diversit g n tique nombre d esp ces animales et v g tales d Diagnostic pour la Faune gt Localise
131. ngue en prenant en compte ces besoins Le r f rentiel intervient galement sur l importance des missions ducatives qu un projet peut mettre en uvre selon son implication EFFINATURE met un point d honneur au r le p dagogique jouer dans cette op ration De l am nagement paysager la pr servation de la biodiversit des solutions sont propos es de fa on ce que les enfants et les personnes handicap es soient impliqu s dans chaque projet afin de les initier aux principes de base du bon comportement cologique et d int grer leur travail dans une d marche cologique Le minist re fran ais du d veloppement durable a lanc d but 2010 la mise en place d un Aflas de la biodiversit dans les communes leur proposant ainsi un dispositif pour les aider comprendre prot ger et valoriser la biodiversit locale L objectif est d aider via un inventaire pr cis et cartographi des habitats de la faune et la flore les communes am nager leurs territoires Le r f rentiel pourra alors anticiper cette d marche et intervenir suite aux valuations r alis es sur les diff rents sites expertis s sur le territoire fran ais afin de compl ter cet atlas Il aidera de ce fait les communes g rer la biodiversit sur leurs terres et identifier les enjeux sp cifiques 13 4 Mise en place de la d marche EFFINATURE La d marche EFFINATURE est r partie en 8 th mes environnementaux tandis que l valuati
132. ntielles activit s industrielles qui ont eu lieu sur ce site et qui ont pu alt rer plus ou moins la qualit du sol www basias brgm fr ou http basol ecologie gouv fr Des pr l vements de sol et de sous sol sont analys s en laboratoire pour valuer le niveau de pollution Si pollution il y a celle ci doit tre trait e efficacement Une documentation tablissant la preuve que des travaux de d pollution du sol ont t men s sur le site pour enlever ou stabiliser les contaminants doit tre ajout ce dossier 57 La sant de la biodiversit va de paire avec la qualit du sol De ce fait l inventaire floristique et si possible l inventaire de la microflore sont analys s pour servir de point d appui efficace pour valuer la qualit du sol pr sence de plantes non r sistantes la pollution diversit v g tale lev e ou non densit des microorganismes s lection vis vis de la pollution Pour s aider se r f rer aux sites internet http floraterre e monsite com rubrique plantes indicatrices 264849 html http cfopah free fr sol htm indicatrices Si le sol analys ne pr sente aucune trace de pollution quelle qu en soit l origine le niveau 5 lui est automatiquement attribu Le sol est soumis une r glementation en r f rence aux pollutions potentielles a ll a subi un traitement de d pollution m canique Les concentrations des l ments traces ne d passent pas les valeurs seui
133. nts sont issus du monde du vivant tableau ci dessous Ces mat riaux isolants sont compatibles avec le respect de la r glementation thermique RT 2005 pour les constructions neuves et sont soumis la certification ACERMI Respect du d cret n 2010 273 du 15 mars 2010 Fourniture par le ma tre d ouvrage du volume de bois tel que e Collectif volume de bois gt 35 dm individuel volume de bois gt 60 dm Le bois est co certifi labels FSC PEFC La tra abilit des mat riaux devra tre assur e gr ce un carnet de bord 0 Ce d cret s applique l ensemble des b timents neufs l exclusion de ceux pour lesquels le Ma tre d Ouvrage justifie de lincompatibilit de l utilisation du bois avec le respect des exigences r glementaires de s curit ou de sant ou avec une fonction du b timent 52 Le calcul du volume de bois incorpor dans une construction devra tre effectu dans des conditions fix es par arr t para tre Ce d cret remplace donc le d cret n 2005 1647 qui n imposait qu un volume minimum de 2 d cim tres cube par m tre carr Il concr tise l engagement de l Etat promouvoir un mat riau aux multiples qualit s environnementales d laiss depuis longtemps par les professionnels de la construction au profit de mat riaux min raux et dont les ressources fran aises sont fortement sous exploit es 2 Tous les bois devront satisfaire la norme fran aise d finiss
134. obal de l cosyst me et son devenir si rien n est fait e points forts ou atouts du site esp ces remarquables climat ville verte e points faibles ou contraintes du site climat ville dense nuisances sonores voies de transports activit s industrielles e tat du sol et son volution e estimation de l volution de l cosyst me Une tude pr paratoire est r alis e une fois l analyse de site l tat initial faite et apr s examen des pi ces crites et des plans du projet Elle se base sur les diff rents crit res tablis 31 par le r f rentiel aucune notation n est donn ce stade il s agit juste d une prise d informations du lieu de construction Un avis est donn pour chaque crit re valu Favorable Mitig suspendu Non conforme Les PLU SCOT et autres documents d am nagement li s l op ration sont prendre en compte durant toute la suite de la mise en place de la d marche 3 Besoins et attentes pour l op ration Le Maitre d Ouvrage ou son repr sentant s assure que les besoins et les attentes en mati re environnementale des diff rents acteurs impliqu s dans le projet ont t collect s et enregistr s au sein de sa propre structure Direction g n rale service technique service commercial service marketing service financier etc mais galement au niveau du futur gestionnaire lorsque ce dernier est connu et qu ils sont en ad quation av
135. ollutions du chantier Lors de la r alisation du chantier le risque de pollutions est lev rejets de produits dangereux dans le sol et le sous sol rejets d effluents liquides pollution sonore ce qui peut nuire la biodiversit EF 4 1 1 Chantier propre Ce crit re vient valider les recommandations li es au maintien d un environnement de qualit et exig es dans la th matique chantier propre Celles ci sont e la gestion des travaux de d molition e le traitement des d chets nuisibles au monde vivant e la maitrise des impacts environnementaux nuisances sonores chantier propre pollution des sols des eaux et de l air protection de la faune et de la flore A la fin du chantier si accident cologique il y a eu il devra tre tabli un bilan contenant les informations li es cet accident ainsi que le traitement des non conformit s 5 Une personne est charg e d appliquer sur le site le crit re Chantier vert et d assurer le respect de l environnement EF 4 1 2 D pollution des sols Le sol abrite une grande diversit d organismes vivants la majorit de la biodiversit terrestre ll constitue le support de la v g tation et permet la stabilit du milieu Une attention particuli re est donc accord e la qualit du sol qui est un patrimoine indispensable la vie terrestre En plus de l tude du diagnostic de pollution du sol une recherche doit tre effectu e sur les pote
136. on Trames verte et bleue r seau de connexion entre espaces de biodiversit qui assure la continuit biologique entre les grands ensembles naturels La trame La trame verte est d finie dans le cadre du grenelle de l environnement comme un outil d am nagement du territoire constitu e de grands ensembles naturels et de corridors les reliant ou servant d espaces tampons La trame bleue form e des cours d eau et masses d eau et des bandes v g talis es g n ralis es le long de ces cours et plans d eau Concr tement identifier la trame verte et bleue consiste identifier les routes naturelles on parle de continuit s cologiques que pourront emprunter la faune et la flore sauvages pour communiquer et changer entre noyaux ou c urs de biodiversit Transformation des habitats modification des conditions environnementales locales dans lesquelles vit Un organisme Les habitats sont transform s de mani re naturelle par les s cheresses les maladies les incendies les ouragans les glissements de terrain les ruptions volcaniques les tremblements de terre les l g res variations dans les temp ratures saisonni res ou les pr cipitations etc Cependant ces transformations sont g n ralement induites par les activit s humaines telles que la modification dans l affectation des terres et la modification physique des rivi res ou encore le captage d eau dans les rivi res UICN cr en 1992 le Comit fran ai
137. on de la biodiversit s ex cute selon 2 analyses de site et 6 th matiques techniques en verts divis es en 15 rubriques environnementales qui sont eux m mes subdivis es pour avoir au total 33 crit res d tude dont 3 optionnels Le niveau d intervention est vari la gestion et la valorisation de la biodiversit et de son environnement qui sont bien entendu au c ur de l valuation viennent se m ler la responsabilit soci tale et la valeur conomique du projet Analyse de site l tat initial Eco construction d pendance la biodiversit Impacts du Valorisation et projet sur la co gestion de biodiversit NS a la biodiversit LE An Chantier propre environnementa 0 ta nature Optimisation 4 Valorisation fonctionnelle conomique du de l cosyst me Eco projet responsabilit Analyse de site l tat final Sch ma structur e de la d marche EFFINATURE Les domaines techniques et les rubriques cologiques et environnementales de chaque th me sont pr sent s dans le tableau suivant Th mes environnementaux Domaines techniques Management Ensemble d l ments permettant de Environnemental de re e Conna tre les sp cificit s du site et les l Op ration attentes des parties concern es Organiser l op ration pour atteindre les niveaux de performance EFFINATURE Cc fe O a E o D Ma triser les processus en phase c
138. on d un projet cologique Il s agit de rapporter les financements apport s par les collectivit s pour les mat riaux issus du vivant au co t total des mat riaux issus du vivant Cet indice est calcul ainsi SO SEO O SO subventions obtenues pour l op ration exprim en euros SEO subventions existantes pour l op ration exprim en euros Remarque Cette indication du co t pour la pr servation et la valorisation de la biodiversit au sein de l am nagement paysager du site sera mise en vidence dans chaque document portant sur la construction du projet 111 EF 8 2 Valorisation mon taire du projet L am nagement du terrain pour la protection de la biodiversit a un co t mais qui est amorti par un rehaussement de la valeur des logements Le paysage et l environnement naturel ont un impact sur la valeur d un logement le paysage en vue depuis la parcelle repr sente environ 2 4 du prix moyen des maisons toutes cat gories confondues Cavailh s et al 2005 Dans cet indice il s agit de mettre en vidence le retour sur investissement de la biodiversit du paysage autrement dit la diff rence entre le co t de fabrication et le prix de vente Il sera pris particuli rement en compte l accessibilit et la qualit taille entretien esth tique des espaces verts L valuation cologique est troitement li e l valuation conomique Une valeur a t tablie pour chaque
139. onception 14 Th mes environnementaux Technique Chantier propre Eco construction Impact du projet sur la biodiversit Valorisation et co gestion de la biodiversit Optimisation fonctionnelle de l cosyst me Domaines techniques Organisation du chantier Gestion des d chets de chantier Ma trise des impacts du chantier r duction des nuisances D pendance aux mati res premi res D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de r gulation G n ration des pollutions de chantier Imperm abilisation des sols R versibilit des impacts de la construction Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue Maintien et ou d veloppement des corridors biologiques Coefficient de biotope par surface Couverture v g tale du b ti Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit Valeur cologique du site Diversit des habitats et zones de refuge pour l int gration de la biodiversit Gestion et entretien des espaces verts Gestion des pollution nuisibles pollution lumineuse pollution sonore pollution atmosph rique pollution magn tique Qualit des eaux douces D chets verts recyclage et compostage Fr quentation des espaces verts 15 Th mes environnementaux Domaines techniques Confort de l habitant confort visuel et bien tre Information et communication Eco responsabilit sensibilisation et formatio
140. onomique europ en CEMAREF Centre national du machinisme agricole du g nie rural des eaux et for ts CES Compensation de l emprise au sol du b timent COV Compos s organiques volatils CSTB Centre scientifique et technique du b timent CTB Certification de produits de traitement DBO Demande biologique en oxyg ne DTA Directives territoriales d am nagement ET Evapotransporation FSC label bois Forest stewardship HAP Hydrocarbures aromatiques polycylcique INRA Institut de recherche agronomique MES Mati res en suspension PCB Polychlorobiph nyle PEFC label bois Pan european forest certification council SCOT Sch mas de coh rence territoriale 134
141. opos s pour la m fropole Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer 2009 Guide sur la diversit biologique et l valuation environnementale Ministre des Approvisionnements et Services Canada 1996 R f rentiel pour l valuation des projets territoriaux Minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de la mer 2009 Guide de la gestion diff renci e l usage des collectivit s Naturparif agence r gionale pour la nature et la biodiversit en Ile de France OCDE Manuel d valuation de la biodiversit Les ditions de l OCDE Paris 2002 OCDE Mobiliser les march s au service de la biodiversit Les ditions de l OCDE Paris 2003 132 e OCDE Manuel pour la cr ation de march s de la biodiversit principaux enjeux Les ditions de l OCDE Paris 2005 e Perspectives mondiales de biodiversit 2 Secr tariat de la Convention sur la Diversit Biologique 2006 e Perspectives mondiales de la biodiversit 3 Secr tariat de la Convention sur la Diversit Biologique 2010 e Vers des indicateurs de fonctions cologiques Liens entre biodiversit fonctions et services Commissariat G n ral du D veloppement Durable n 51 2010 e Habitat amp Environnement R f rentiel Mill sime 2008 Cerqual e R f rentiel EVE Espaces verts cologiques ECOCERT 2008 e Ecohomes 2006 The environmental rating for homes Building Research
142. ors de la livraison des logements le Maitre d Ouvrage devra transmettre aux futurs occupants les informations pertinentes pour que ces derniers utilisent et maintiennent la qualit cologique et environnementale du site et qu ils renforcent par leurs comportements et leurs gestes verts l efficacit cologique et environnementale de l ouvrage durant sa phase d exploitation o Bilan de l op ration Le Maitre d Ouvrage tablit notamment partir des enregistrements concernant les carts et des mesures correctives mises en uvre un bilan du management de l op ration au regard des objectifs fix s et en ressort les bonnes pratiques cologiques pour une op ration future Ce bilan se caract rise par la r alisation du diagnostic biodiversit Le diagnostic biodiversit repose sur une r flexion cologique en amont avant toute intervention sur le site afin de mettre en place une m thodologie visant pr server la biodiversit existante et valoriser la biodiversit locale sur le site Elle se d coupe en 5 tapes cl s gt le projet localisation surface dur e du chantier calendrier des activit s du terrain etc gt les enjeux du site menaces et opportunit s au niveau cologique conomique et social gt l tat de conservation de la biodiversit tudi au travers de l analyse de site l tat initial sa pertinence d pendra des enjeux d termin s pr c demment gt les impacts du
143. ort 10 dm m de surface hors uvre nette SHON pour tout autre b timent Le bois issu de la for t tropicale est co certifi labels FSC PEFC Les isolants sont certifi s CE AU moins 25 des mat riaux isolants sont issus du monde du vivant voir tableau mat riaux isolants naturels issus du monde du vivant Ces mat riaux isolants sont compatibles avec le respect de la r glementation thermique RT 2005 pour les constructions neuves et sont soumis la certification ACERMI Respect du d cret n 2010 273 du 15 mars 2010 Fourniture par le ma tre d ouvrage du volume de bois tels que pour le collectif volume de bois gt 10 dm e pour l individuel volume de bois gt 20 dm Le bois issu de la for t tropicale ou temp r e est co certifi labels FSC PEFC Au moins 50 des mat riaux isolants sont issus du monde du vivant tableau ci dessous Ces mat riaux isolants sont compatibles avec le respect de la r glementation thermique RT 2005 pour les constructions neuves et sont soumis la certification ACERMI Respect du d cret n 2010 273 du 15 mars 2010 Fourniture par le maitre d ouvrage du volume de bois tel que e pour le collectif volume de bois gt 20 dm e pour l individuel volume de bois gt 40 dm Le bois est co certifi labels FSC PEFC La tra abilit des mat riaux devra tre assur e gr ce un carnet de bord AU moins 75 des mat riaux isola
144. our quatre des cing crit res suivants e EF 5 1 1 Coefficient de biotope par surface e EF 5 2 1 Valeur cologique du site e EF 5 2 4 Gestion et entretien des espaces verts 3 e EF 6 1 1 Gestion des pollutions nuisibles la moyenne des deux sous crit res pollution sonore et pollution atmosph rique est prise en compte ici e EF 7 1 Confort de l habitant la moyenne des deux sous crit res est prise en compte ici 112 Le projet a obtenu au moins le niveau 3 pour les cing crit res suivants EF 5 1 1 Coefficient de biotope par surface EF 5 2 1 Valeur cologique du site EF 5 2 4 Gestion et entretien des espaces veris EF 6 1 1 Gestion des pollutions nuisibles la moyenne des trois sous crit res est prise en compte ici EF 7 1 Confort de l habitant la moyenne des deux sous crit res est prise en compte ici Le projet a obtenu le niveau 4 pour au moins trois des cing crit res suivants Les autres crit res ont obtenu le niveau 3 EF 5 1 1 Coefficient de biotope par surface EF 5 2 1 Valeur cologique du site EF 5 2 4 Gestion et entretien des espaces verts EF 6 1 1 Gestion des pollutions nuisibles la moyenne des trois sous crit res est prise en compte ici EF 7 1 Confort de l habitant la moyenne des deux sous crit res est prise en compte ici 113 114 D marche EFFINATURE em Nature Partie 5 valuation du projet et processus de certification Audit biodiver
145. p ces herbac es et arbustives mais elle peut permettre la culture d arbres dans certains cas Ces syst mes doivent tre munis d arrosage automatique Fa ade extensive ou intensive La diff rence se fait principalement sur la densit des esp ces v g tales composant le m r Le syst mes d arrosage automatique et le support doivent tre adapt respectivement aux besoins des v g taux et leurs poids Un entretien moyennement r gulier voir r gulier est indispensable EF 5 1 3 Maintien et ou d veloppement des corridors cologiques Une des principales actions du Grenelle Environnement est de stopper partout l rosion de la biodiversit Pour ce faire il est pr vu la cr ation de trame verte et bleue afin d assurer le d veloppement de r seau cologique permettant aux esp ces de circuler et d interagir et aux cosyst mes de fonctionner Les corridors cologiques sont des composantes indispensables de cette trame verte et bleue E Fragmentation cologique du milieu La fragmentation est le morcellement du paysage puis l isolement de ces fragments Elle est responsable de la r duction et la destruction plus ou moins partielle des habitats C est la cause directe la plus importante de d clin de la diversit des esp ces animales et v g tales en France comme dans le reste du monde La mesure de la fragmentation est un indicateur essentiel de la structure du paysage puisque celle ci conditionne les modes de vie et d
146. p ces patrimoniales Ainsi il conviendra de porter pr f rentiellement la pression d inventaire sur une zone humide une pelouse ou une prairie que sur une terre labour e ou un milieu fortement rud ralis b D finition du p rim tre d tude Ce p rim tre ne se limite pas l implantation de l am nagement mais doit prendre en compte toutes les zones alentours susceptibles d tre affect e pas des impact indirect alt ration de la capacit des d placement des animaux pollution distance rabattement de l aquif re pollution lumineuse Le choix du p rim tre d tude doit tre justifi par des crit res topographiques cologiques g ologiques d occupation des sols c Diagnostic pour la Flore et les Habitats gt Identifier et cartographier sur une carte au 1 25000 de pr f rence les esp ces prot g es en application des dispositions de l article L 411 1 du code de l environnement gt Identifier et cartographier sur une carte au 1 25000 de pr f rence les esp ces inscrites en liste rouge r gionale gt Identifier et cartographier sur une carte au 1 25000 de pr f rence les esp ces d int r t jouant un r le significatif au sein de l cosyst me gt Identifier et cartographier sur une carte au 1 25000 de pr f rence les habitats par une m thode phytosociologique inventaire transcrit en code Corine biotope en sp cifiant les habitats relevant de l Arr t du 16 novembre 2001 relatif
147. pir es de l Agenda 21 ou encore des r f rentiels BREHAM et LEED entre autres la d marche EFFINATURE a t labor e par GREENLOGIC dans le but de pr server nos espaces naturels de prot ger nos esp ces ordinaires et remarquables et d assurer un d veloppement responsable en harmonie avec le monde animale et v g tal Cette initiative vient relayer toutes les d marches entreprises en faveur de la biodiversit comme le Grenelle de l environnement la strat gie nationale de la biodiversit adopt e par la France en 2004 du fait de son engagement aupr s de la Convention pour la diversit biologique CDB 1992 ou encore la loi du 10 juillet 1976 relative la protection de la nature Les principaux objectifs d EFFINATURE sont de e promouvoir l int gration de la nature en ville e am liorer les changes Homme Nature e agir sur les causes directes de l appauvrissement de la diversit biologique pollutions transformation de l habitat gestion non durable etc e mettre en uvre des mesures visant assurer le b n fice long terme des services cosyst miques La d marche EFFINATURE vient en aide tous les lus et acteurs intervenant sur la sc ne de l urbanisme qui rencontrent des difficult s pour int grer la biodiversit sur leurs op rations 1 Les milieux naturels ou espaces verts d aujourd hui Les espaces verts englobent une multitude de milieux diff rents et qui varient selon leur degr d ant
148. place Ce bilan permet d valuer les r elles r ductions des nuisances environnementales Cette action doit permettre d am liorer chantier apr s chontier la prise en charge de la biodiversit et de limiter son rosion au d pend de l talement urbain Le ma tre d ouvrage sera tenu de pr senter le bilan de chantier d s lors que l op ration fera l objet d une intervention de v rification in situ 48 D marche EFFINATURE F2 Nature Partie 4 valuation EFFINATURE de l op ration EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me EF 7 Eco responsabilit EF 8 Valorisation conomique du projet 49 D marche EFFINATURE EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit EF 3 1 D pendance aux mati res premi res EF 3 2 D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de r gulation 50 EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit Cette partie pr sente les liens directs de la construction avec le monde vivant autrement dit l interd pendance du b timent la biodiversit EF 3 1 D pendance aux mati res premi res ll s agit d examiner la part des mati res premi res issues de la biodiversit dans la r alisation de la construction Ce sont des mat riaux renouvelables et biosourc s aut
149. prises voire dans le dossier des March s Le r le de chaque intervenant est pr cis dans la rubrique MEO Management Environnemental de l Op ration L valuation peut se limiter dans la phase audit s assurer que le Maitre d ouvrage est en mesure de r diger un document sur ses intentions en mati re de chantier propre notamment lorsque la conception de l op ration se situe en phase amont la pr paration de l appel d offres Ce document crit r dig par le Ma tre d ouvrage et pr cisant ses objectifs et les principes des modalit s envisag es pour les atteindre pourra ainsi tre appr ci par l auditeur en fonction des crit res et des exigences d finies ci dessous q Crit res et exigences 1 Dispositions pr alables Le Maitre d ouvrage a mis en place un management environnemental de l op ration Dans ce cadre il a pr cis et communiqu son engagement politique aupr s de tous les intervenants prenant en compte entre autres le Chantier propre Le Maitre d ouvrage r alise ou fait r aliser une analyse du site d crivant les caract ristiques g n rales du site et prenant en compte les l ments de l existant Il s assure que les dispositifs r glementaires et les traitements associ s ont t r alis s Il dispose ainsi d informations lui permettant d appr cier globalement les propositions et mesures pr sent es par la maitrise d uvre pour la r alisation des travaux Le Mai
150. projet phase construction phase exploitation identification des am nagements annexes gt Strat gies de gestion conservation restauration compensation am lioration laboration d un programme moyens mesures Engagement du ma tre d ouvrage Le maitre d ouvrage doit fournir les l ments suivant 1 But et objectifs de la compensation e Description des impacts et des fonctionnalit s perdues sur le site du projet incluant les impacts temporaires et permanents directs et indirects e Description des fonctionnalit s regagner sur le site de compensation e Description des gains en fonctionnalit une chelle plus large entit g ographique coh rente par exemple le bassin versant 2 Informations de base sur le site du projet le site de compensation les ventuels sites de r f rence e Caract ristiques des sites et de leur environnement proche localisation surface g ologie hydrologie v g tation 35 Donn es cologiques habitats et esp ces en pr sence fonctionnement cologique fonctionnalit s cologiques Description des usages historiques et actuels des sites menaces et pressions ventuelles 3 Choix et justification du site de compensation Type de compensation retenu r habilitation restauration gestion Pr ciser en quoi la mesure propos e compense les fonctions et fonctionnalit s impact es Usages probables futurs du site et de ses env
151. ptenia cordifolia Asteriscus sericeus Delosperma Erigeron karvinskianus Gramin es Lantana sellowiana Osteospermum Plumbago capensis Sedum Thymus Verbena e Arbuste bas Anthemis Cistus rose Euryops chrysanthemoides Lantana camara Phlomis fruticosa Rosmarinus Salvia Solanum EF 7 2 Information et communication Le partage de la connaissance de la biodiversit avec le grand public est un l ment d terminant et vital La diffusion et les changes de savoirs constituent la cl de vo te pour sensibiliser la population et l inciter adopter des pratiques plus respectueuses de la biodiversit L objectif de ce crit re est de sensibiliser au maximum les habitants et le gestionnaire sur les diff rents th mes li s la pr servation et la protection de la biodiversit De ce fait le but recherch est de s assurer que les habitants s engagent dans l entretien du biotope pour garantir au mieux la gestion de la biodiversit ll sera pr cis les efforts faits lors de la construction quant l am lioration des conditions de vie du monde vivant pour lesquels il est n cessaire d informer et de sensibiliser les occupants et le gestionnaire sur les bonnes pratiques adopter EF 7 2 1 Sensibilisation et formation du propri taire ou du locataire La sensibilisation des occupants propri taires ou locataires au fonctionnement et l entretien de l ensemble du site permet de maintenir la performance cologique du projet
152. que La biodiversit est soumise diverses pressions de sources anthropiques qui influent fortement sur ses cycles de vie Ce crit re value la port e de ces pressions exerc es sur la faune et la flore E Pollution lumineuse Les plantes et les animaux ont Un besoin indispensable du cycle jour nuit n cessaire leurs m tabolismes On parle de pollution lumineuse lorsque les clairages artificiels lampadaires veilleuses nuisent l obscurit normale et souhaitable de la nuit qui est n cessaire au cycle de vie des organismes vivants Le but est d viter toute lumi re intrusive et blouissante Les effets du sur clairage sur la faune et la flore ne sont pas n gligeables e La v g tation clair e en permanence d g n re de fa on pr coce et subit des d r glements biologiques e les oiseaux migrateurs sont g n s et d sorient s pr s d un million d entre eux en meurent chaque ann e e les populations d insectes nocturnes et pollinisateurs sont d cim es seconde cause de mortalit apr s les produits phytosanitaires Les insectes ont un r le essentiel dans les cosyst mes par leur place dans la cha ne alimentaire et comme pollinisateurs sans lesquels beaucoup de plantes seraient st riles La surmortalit des insectes due l clairage a donc des cons quences tr s pr occupantes La loi Grenelle 1 pr cise ainsi farticle 41 Les missions de lumi re artificielle de nature pr senter des
153. r et d crire les milieux naturels abritant une faune patrimoniale int r t local r gional national ou international tudier les corridors cologiques utilis s par ces esp ces gt R aliser des tudes approfondies pour certaines esp ces particuli res au regard de leur statut de conservation et de leur sensibilit propre vis vis du projet consid r gt M fhodologie succincte S int resser prioritairement aux taxons comportant des esp ces patrimoniales esp ces prot g es esp ces en listes rouges et esp ces bio indicatrices mammif res dont chiropt res et grande faune amphibiens reptiles oiseaux insectes Le choix des taxons tudi s sera fonction de la nature et des potentialit s du site d tude 44 e Pour les taxons vis s pr c demment identifier les esp ces pr sentes Dans le cas ou des esp ces patrimoniales sont pr sentes il conviendra d identifier leurs territoires vitaux ainsi que leurs couloirs de d placement pr f rentiels dans la limite des possibilit s d une tude d impact L identification des sites de reproduction et des aires de repos des animaux sont d sormais n cessaires pour les esp ces prot g es mentionn es dans les arr t s suivants Insectes arr t minist riel du 23 avril 2007 Mollusques arr t minist riel du 23 avril 2007 Mammif res arr t minist riel du 23 avril 2007 Reptiles et amphibiens arr t minist riel du 19 novembre 20
154. r l eau d atteindre le bon tat cologique pour l ensemble des masses d eau Cette m thode n est valable que pour les cours d eau l exclusion des lacs tangs et grands fleuves et ne peut tre calcul que pour les op rations qui ont un impact direct sur ce cours d eau L indice IBGN est r alis apr s la phase chantier par un laboratoire accr dit L IBGN peut varier de 1 20 ces valeurs sont group es en six classes chacune d terminant une cote de sant de l cosyst me tel que le montre le tableau suivant Cote de qualit des cosyst mes fluviaux associ e aux valeurs de l IBGN IBGN Cote de qualit des cosyst mes 18 20 Excellente 15 17 Bonne 12 14 Moyenne 8 11 faible 4 7 Tr s faible 1 3 Extr mement faible 1 Aucune r ponse n a t apport e pour ce crit re L indice IBGN a t calcul sur l op ration L op ration a eu un impact n gatif sur la qualit du cours d eau L indice IBGN a t calcul L op ration a eu un impact n gatif sur la qualit du cours d eau mais la pollution a t trait e L indice IBGN a t calcul IBGN gt 14 L op ration n a eu aucun impact sur le cours d eau 5 L indice IBGN a t calcul IBGN gt 14 95 L op ration a eu un impact positif sur le cours d eau traitement des pollutions restauration du cours d eau restauration de la ripisylve etc Calcul de IBGN IBGN GFI C
155. re inf rieures 3 jours de d passement maximum protection des 20 pg m en moyenne annuelle cosyst mes Monoxyde de carbone CO protection de la sant 10 mg m soit 10 pour le maximum journalier de la moyenne humaine 000 ug m glissante sur 8 heures Benz ne protection de la sant 5 ug m en moyenne annuelle humaine Particules PMio protection de la sant 40 ug m en moyenne annuelle humaine M taux lourds Plomb Pb protection de la sant 0 5 g m en moyenne annuelle humaine L index d exposition appel AOTA40 est calcul en faisant la somme des diff rences entre les concentrations horaires en ppb et 40 ppb chaque heure pendant laquelle la concentration exc de 40 ppb E Pollution lectromagn tique Le champ lectromagn tique est une nergie la fois lectrique et magn tique qui se d place sous forme d ondes Le champ magn tique terrestre naturel est indispensable mais une exposition une trop forte puissance lectromagn tique issue d antennes relais proximit de c bles et fils lectriques peut provoquer des perturbations sur le syst me de sant animal Une expertise lectromagn tique est effectu e sur le site Blanche Meriz pr sidente de l institut de recherches de g obiologie de Chardonne Suisse a d montr le pouvoir d absorption de certaines esp ces v g tales vis vis des ondes lectromagn tiques Cactus Crassula La possibilit d int grer
156. rement dits d origine animale ou v g tale Nous nous int ressons plus pr cis ment au mat riau bois qui permet de stocker le CO et diminuer ainsi les missions de goz effet de serre et aux isolants naturels Les isolants d origine v g tale animale ou min rale poss dent en plus de leurs performances acoustiques et ou thermiques des caract ristiques environnementales sp cifiques L isolant naturel sain est entre autres anallergique durable renouvelable biod gradable recyclable en fin de vie propre et non polluant La certification ACERMI des isolants compl te le marquage CE de ces produits qui est obligatoire depuis mars 2003 Toutes les caract ristiques d clar es sont certifi es elles sont minima la r sistance thermique avec la conductivit thermique le comportement l eau le comportement m canique et selon les cas la r action au feu Quant au bois il est dot d une durabilit naturelle impressionnante et permet des performances thermiques consid rables avec notamment une isolation sup rieure et une rapidit de chauffage int ressante due une inertie thermique faible L ensemble des activit s des entreprises pendant toute la dur e du chantier n est pas prise en compte Respect du d cret n 2010 273 du 15 mars 2010 qui remplace le d cret n 2005 1647 du 26 d cembre 2005 et qui pr cise la quantit de bois incorporer dans une construction e pour les b timents dont la
157. rifier que le programme d engagement en faveur de la pr servation de l environnement correspond au profil retenu 33 Chaque cart constat et ou mesures correctives mise en uvre dans le cadre du management de l op ration fera l objet d un enregistrement La participation ces revues de programme du SPS de la maitrise d uvre et des bureaux de contr le est recommand e I Exigences relatives la documentation La ma trise d ouvrage doit d finir la documentation en moftriser la tra abilit mettre en uvre et entretenir le management environnemental pour soutenir un fonctionnement efficace de l op ration La maitrise d ouvrage doit entre autres int grer le document comprenant le profil de certification Habitat amp Environnement retenu pour l op ration La documentation se pr sente sous toute forme et sur tout support convenant aux besoins de l op ration Les informations confidentielles ou susceptibles de nuire l activit d un acteur d une op ration ne doivent tre diffus es qu aux seuls responsables pour leur permettre d agir conform ment la politique du Ma tre d Ouvrage COMMENTAIRES L utilisation de moyens informatiques peut tre privil gi e afin de r duire l utilisation du support papier et faciliter les changes Les chapitres suivants ne feront pas l objet de l audit sauf demande du Maitre d Ouvrage m Consultation des entreprises et la passation des march s Le Maitre d Ouvrage int
158. rnali re ou saisonni re la faune Le r le de sites de nourrissage journaliers ou saisonniers 7 point Le r le du milieu il est important de bien valuer la connectivit en fonction des objectifs atteindre 7 point si le corridor connecte au moins deux zones riches en biodiversit La validation de chaque sous crit re quivaut 1 point voire 2 points qui sont accord s lors de l valuation de la zone d tude si celle ci r pond aux exigences demand es Caract ristiques de la zone d tude Classes d valuation BEC BR eee Fonction Le r seau de corridors cologiques de la zone d tude a valid 3 points ou moins de 3 points Le r seau de corridors cologiques de la zone d tude a valid au moins 4 points r partis dans les 3 classes d valuation Le r seau de corridors cologiques de la zone d tude a valid au moins 6 points r partis dans les 3 classes d valuation Le r seau de corridors cologiques de la zone d tude a valid au moins 8 points 73 El ments relais Zones d extension Zones de d veloppement TAG imite de continuum aa Zones nodales ou r servoirs SS Zones d extension ou de d veloppement ay Zones tampons Sch ma symbolisant les l ments de base d un r seau cologique Les corridors de liaison peuvent tre constitu s e D un espace tendu de d placement sans obstacle constituant g n ralement le plus court c
159. roduira des crit res valorisant les comp tences des entreprises au moment de l appel d offres en mati re d environnements Les offres des entreprises et prestataires devraient faire l objet d une analyse de l AEMO ou du repr sentant du Maitre d Ouvrage comp tant apr s v rification des r f rences et des qualifications Le rapport qui en d coule serait pris en compte par l quipe de maitrise d uvre pour la s lection des prestataires qui sera propos e au Maitre d Ouvrage COMMENTAIRES La s lection des entreprises pour l appel d offres pourra tre compl t e par certains crit res tels que e Qualifications professionnelles ECOCERT e R f rences dans les domaines d activit s concern es accompagn es d une information environnementale portant sur le choix des techniques utilis es et les solutions apport es e Moyens mat riels et humains disponibles dispositions prises habituellement en mati re de chantier propre Les offres des entreprises analys es par l quipe de ma rise d uvre pourront tre compl t es des l ments suivants e Informations environnementales sur les produits e Dispositions prises pour le respect de la biodiversit lors des mises en uvre niveau acoustique des outils et machines pour la mise en ceuvre aspiration des 34 poussi res quipement de protection pour le personnel base vie zone de stockage traitement des d chets etc n Information et communication L
160. ronnemental de Chantier propre l op ration e Examen des pi ces crites en cours d valuation si n cessaire 22 EF3 Eco construction d pendance la biodiversit Domaines tudi s Niveaux d intervention Utilisation de mat riaux issus Utiliser Un volume minimum de mat riaux du vivant renouvelables bois et isolants naturels Mettre profit les fonctions cosyst miques de r gulation d pollution du biotope entretien du sol D pendance aux services cologiques EF4 Impacts du projet sur la biodiversit Domaines tudi s Niveaux d intervention viter tout risque de pollution lors du chantier et Pollutions de chantier mettre en place des m thodes de traitement des pollutions cologiques et efficaces Maintenir l cosyst me stable en limitant Modifications de l imperm abilisation des surfaces l cosyst me valuer la capacit du projet retrouver un tat de stabilit naturelle EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit Domaines tudi s Niveaux d intervention Maximiser le degr s de couverture v g tal indices CBS et CES Densifier la Trame verte et Restaurer et ou d velopper les corridors bleue cologiques Limiter la fragmentation et les pertes cologiques du milieu Gestion esp ces v g tales Enrichir de fa on raisonn e la diversit v g tale Multiplier les habitats et les zones de refuge d approvisionnement pour accueillir la faune
161. rus SOE 100 Juncus conglomeratus 50 OO Nuphar Lutea 90 20 k Phragmite australis 70 60 Ranunculus Flammula 80 80 700 Scirpus maritimus OOO Stachys palustris OOO Typha latifolia CO es a ee Sagittaria japonica 3 50 50 90 70 50 70 55 D marche EFFINATURE EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit EF 4 1 G n ration des pollutions de chantier EF 4 1 1 Chantier propre EF 4 1 2 D pollution des sols EF 4 2 Modifications de l cosyst me EF 4 2 1 Imperm abilisation des sols EF 4 2 2 R versibilit des impacts de la construction 56 EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit Relativement la loi du 10 juillet 1976 sur la protection de la nature le maintien des quilibres biologiques auxquels les esp ces animales et v g tales participent et la protection des ressources naturelles contre toutes les causes de d gradation qui les menacent sont d int r t g n ral L urbanisation est une menace de premier ordre En plus d tre g n ratrice de pollutions lors des phases de construction et de gestion du b ti se traduit le plus souvent par une forte r gression des habitats naturels et semi naturels Cette partie est d di e l valuation des impacts n gatifs de l am nagement du terrain sur la biodiversit permettant d tablir un diagnostic pr cis des enjeux compenser lors de la gestion cologique du site EF 4 1 G n ration des p
162. s la coccinelle pour les invasions de pucerons des champignons contre les n matodes les trichogrammes contre des insectes ravageurs Bacillus thurigiensis contre les chenilles E Arrosage En Aucune r ponse n a t apport e pour la gestion de l arrosage des espaces verts L arrosage est assur par un syst me avec programmation divisant le terrain en zones distinctes et subvenant ainsi aux besoins optimaux des diff rentes v g tations e Arrosage goutte goutte conomie d eau installation facile et absence de maladies dues l eau sur les feuilles le goutte goutte r glable est conseill afin d alimenter les plantes selon leurs besoins diff rents en eau 86 e Micro aspersion arrosage conomique et faible pression qui dispense l arrosage en une pluie tr s fine sans abimer les plantes Respect du cahier des d marches pour la gestion et l entretien des espaces verts Respect du niveau 3 avec en plus Les eaux pluviales sont utilis es sur site pour l irrigation des am nagements paysagers espaces verts en pleine terre ou non toitures et murs v g talis s selon la condition suivante Consommation eau non potable non pollu e Consommation eau potable Respect du niveau 3 avec en plus L arrosage est assur par un syst me de gestion centralis e d une ou de plusieurs op rations OU L arrosage est assur par un syst me de programmation quip de sondes d hum
163. s construites est quilibr e ville dense les constructions dominent des espaces r duits g n ralement min ralis s et soumis G une pression humaine intense e microclimat proximit et hauteurs des b timents gt temp rature et humidit lumi re ombre danger des arbres et de l eau De ces informations d couleront les diff rentes solutions apporter pour la pr servation et la valorisation de la biodiversit ll La qualit environnementale identifier les sources de pollution existantes ou potentielles e tat des sols e qualit de l eau e qualit de l air e nuisances sonores lumineuses et magn tiques e sant des esp ces lll La microflore la microfaune et la macrofaune du sol qui assurent la d composition de la mati re organique par d gradation m tabolique a robie et des milieux aqueux 30 IV Les fonctions cosyst miques les fonctions actuellement remplies par les milieux qui seront soumis artificialisation ainsi que les cons quences des modifications induites sur ces milieux V La connectivit et ou la fragmentation des espaces verts VI L imperm abilisation des sols calculer le coefficient de ruissellement VIl L inventaire exhaustif des esp ces et individus v g taux et animaux macroorganismes pr sents sur le site X L tat de conservation des habitats et des esp ces XL Les zones conserver voir s il est n cessaire d
164. s d attribution Par op ration de logements il faut entendre les op rations relatives la construction et la r habilitation de logements les r sidences tudiantes les EHPA et EHPAD les h bergements de tourisme et de loisirs les h bergements pour handicap s Sont consid r s comme relevant de l application du r f rentiel EFFINATURE mill sime 2011 e Les b timents neufs et existants e Les b timents pour lesquels seule l enveloppe ext rieure est conserv e et n cessitant le d p t d un permis de construire e Les b timents pour lesquels une construction neuve est r alis e adoss e une construction existante e Les b timents existants pour les lesquels Une op ration de r habilitation est engag e 16 Attention La notation des crit res devra prendre compte de la superficie de la parcelle Pour cela il faudra rep rer les caract ristiques d int r t pour l application de la d marche EFFINATURE Plus la zone d tude est tendue et vaste plus pertinents seront les crit res et l valuation en elle m me 2 Conditions d attribution Chaque crit re du r f rentiel mise part l valuation de la sant de s cosyst mes l tat initial est valu s par ment des autres par un syst me de notation croissante La note minimale est 1 pour les crit res non r glement s ou 2 pour les crit res r glement s Dans le premier cas elle est significative d une construction
165. s de l UICN est le r seau des organismes et des experts de l Union Internationale pour la Conservation de la Nature en France Urbanisation action d urbaniser c est dire de favoriser la croissance ou la naissance des villes Ce ph nom ne renvoie galement une concentration croissante de la population dans des agglom rations de type urbain Zone humide r gion o le principal facteur d influence du biotope et de sa bioc nose est l eau Selon l article 2 de la loi sur l eau fran aise de 1992 on entend par zone humide les terrains exploit s ou non habituellement inond s ou gorg s d eau douce sal e ou saumdatre de fa on permanente ou temporaire la v g tation quand elle existe y est domin e par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l ann e 129 Bibliographie Internet Site de l actualit professionnelle du secteur de l environnement www actu environnement com Site Afnor www afnor org relatif l laboration l homologation et la promotion des normes fran aises Site du Comit fran ais de l Union Internationale pour la Conservation de la Nature www uicn fr relatif la conservation de la faune et la flore Site de l information mondiale pour le d veloppement durable www mediaterre org Site de l Organisation des Nations Unis pour l ducation la science et la culture http www unesco org relatif la biodiversit mondiale Site du
166. s ou non jusqu 10 m tres de hauteur Planter sur les toitures de mani re extensive ou intensive V g talisation du mobilier 02 Lampadaires poteaux lectriques urbain bancs publics Toiture v g talis e Le CBS atteindre est attribu la parcelle selon la densit urbaine emprise au sol la destination de la parcelle et le type de b timent existant neuf Industries ou mixtes r novation neuve recommand recommand Jusque 0 37 De 0 38 0 49 Au del de 0 50 Habitations installations d int r t collectif Commerces bureaux administrations 66 L emprise au sol de la parcelle est d taill e graphiquement en pr cisant les diff rents recouvrements de la parcelle exemple ci dessous Emprise au sol de la parcelle 10 E b ti E Trames verte et bleue B parcelle perm able E parcelle imperm able Trames verte et bleue B ti v g talisation de la toiture du b timent Espaces verts pleine terre E Toiture v g talis e E Espaces verts sur dalle lt 80 cm E Toiture non E Zone humide v g talis e Parcelle perm able Parcelle imperm able 60 E Dallage sur E Bitume terre gravier sable 40 i E Bois E B ton 20 O Chemins 0 gravier terre Daliage sur mortier La valeur du CBS projet ne correspond m me pas la moiti de la valeur du CBS recommand La valeur du CBS projet correspond
167. sente sous plusieurs parties d finies ci apr s e Partie 1 Pr sentation et application de la d marche et du label EFFINATURE e Partie 2 D tails des th mes environnementaux e Partie 3 Application des th matiques d organisation e Partie 4 Evaluation EFFINATURE de l op ration e Partie 5 Synth se de l valuation et tablissement du profil cologique du projet D marche EFFINATURE F2 Nature Partie 1 Pr sentation et application de la d marche EFFINATURE G n ralit s La d marche EFFINATURE Le label EFFINATURE A G n ralit s Au del des miliards d esp ces de microorganismes de plantes d animaux d tres humains etc qui la composent la biodiversit se caract rise par une multitude d informations qui forme le tissu vivant syst me dont toutes les mailles sont li es et qui vont plus loin qu un simple catalogue d esp ces De part ses interactions avec son environnement non vivant elle forme un complexe dynamique appel cosyst me qui assure une fonction essentielle pour l expression et le maintien de la vie La France poss de un patrimoine naturel exceptionnel Or ce patrimoine qui s inscrit dans le quotidien des fran ais alimentation mati res premi res maintien de la qualit de l eau de l air et des sols patrimoine culturel inestimable m dicaments de demain est fortement menac et semble de plus en plus vuln rable notamment du fait de pressions li es l activi
168. si le projet s inscrit dans le cadre des champs d rogatoires d finis par l article L 411 2 du code de l environnement 45 EF 2 Chantier propre p Introduction Dans le cadre du management environnemental de l op ration le Maitre d ouvrage d finit son engagement politique en mati re d objectifs environnementaux C est dans ce contexte que devront tre mises en place des conditions visant l obtention d un Chantier propre Cette orientation doit faire l objet d un engagement de la part des diff rents acteurs du chantier Maitre d uvre entreprises OPC organisation planification coordination coordinateur SPS Le Chantier propre ou Chantier vert n cessite une organisation et une pr paration d s la phase de conception prenant en compte le respect de l environnement de la faune et de la flore locales et des riverains Afin de limiter les impacts environnementaux dus au chantier pouvant avoir des cons quences sur l conomie du projet le chantier sera tudi d s la phase conception du projet plans d am nagement pr visionnel avec si possible positionnement des zones de stockage points de livraison des nergies et fluides flux diverses base vie limite de chantier L valuation est r alis e en deux phases e audit des objectifs du Maitre d ouvrage et des dispositions envisag es e le cas ch ant valuation des dispositions retenues lors de la phase d appel d offres des entre
169. sit de projet valuation d finitive du projet Processus de certification Contr le de conformit et attribution du label EFFINATURE 115 A Audit biodiversit de projet L audit biodiversit du projet concerne exclusivement la validation du th me 1 EF 1 Management environnemental de l op ration et du th me 2 EF 2 Chantier propre Une seule intervention de l auditeur est pr voir Afin que l auditeur puisse pr parer son intervention d audit il appartient au maitre d ouvrage de lui adresser un dossier technique de l op ration compl t de tous les documents et l ments n cessaires la validation des th mes concern s L auditeur doit se rapprocher du maitre d ouvrage afin de convenir de la date de l audit selon l avancement de la conception au regard des points aborder qui devront tre justifi s lors de l audit tout particuli rement pour le th me 1 EF 1 Management environnemental de l op ration Concernant le theme 2 EF 2 Chantier propre il est pr vu que quelques l ments non encore disponible lors de l audit puisse tre valid s par la suite dans le cadre de la mission d valuation confi e l examinateur ll convient donc de pr voir la date de cet audit au plus tard en phase Avant projet afin qu il profite au mieux la ma trise d ouvrage comme sa ma trise d uvre D s la fin de l audit l auditeur adresse GREENLOGIC ECOCERT les fiches d carts
170. smes vivants aux changements sont jug es tr s bonnes Remarques e Le caract re d irr versibilit conf r un impact est un crit re parfois d terminant dans la d cision de r aliser un am nagement o un projet Pour les esp ces en voie de disparition leur limination est jug e inacceptable et le maitre d ouvrage devra donc tre inform si le projet conduit ce genre de pression En accord avec les partis concern s le maitre d ouvrage devra proposer une ou des solutions qui pallieront ce probl me e Les sites destin s une d g n rescence certaine sont sujets un seul relev floristique et faunistique d taill afin de d tecter la pr sence potentielle d esp ces en voie d extinction Si c est le cas ces esp ces seront prot g es selon l Article L 411 1 du code de l Environnement 63 D marche EFFINATURE EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit EF 5 1 Cr ation et d veloppement de la trame verte et bleue EF 5 1 1 Coefficient de biotope par surface indice CBS EF 5 1 2 Couverture v g tale du b ti indice CES EF 5 1 3 Maintien et ou d veloppement des corridors cologiques Fragmentation cologique du milieu gt L indice maillage effectif gt Niveau d imperm abilit de la fragmentation e Evaluations qualitative et fonctionnelle des corridors cologiques e Estimation des pertes cologiques EF 5 2 Enrichissement raisonn et gest
171. son engagement et la politique qu elle cherche d velopper en mati re d objectifs environnementaux traitant de la maitrise des impacts sur l environnement ext rieur et du niveau de bien tre int rieur Elle s lectionne les th mes correspondant aux objectifs attendus afin d tablir le profil de certification retenu Elle informe d s la phase de programmation puis au fur et mesure de la d signation des diff rents intervenants des objectifs atteindre en mati re environnementale Le Maitre d Ouvrage s assure de l atteinte des objectifs fix s dans son engagement politique D s lors qu il estime ne pouvoir assurer cette mission en interne il peut missionner cet effet un Assistant Environnemental Maitre d Ouvrage AEMO qui lui apportera conseil et assistance COMMENTAIRES L engagement de la direction de la maitrise d ouvrage peut s exprimer de la fa on suivante e La d finition des orientations qu elle cherche d velopper en mati re de prise en compte de la biodiversit pr servation et valorisation de la biodiversit r duction des impacts de la construction gestion des espaces verts optimisation cologique de l cosyst me confort des occupants etc e Des objectifs quantifi s et des indicateurs pertinents la valeur cologique du site les r sultats d enqu te de satisfaction etc e L information et la formation des collaborateurs la r partition des responsabilit s entre les collabora
172. sont l origine galement elle augmente les d bits les 60 volumes ruissel s la pollution lessiv e Elle limite la r alimentation naturelle des nappes et petits cours d eau amont Le coefficient de ruissellement est calcul pour estimer l imperm abilisation des sols Il s agit du rapport entre la pluie nette c est dire le d bit ruisselant en sortie de la surface consid r e et la pluie brute est d taill pour chaque type de surface A l chelle de la parcelle ce coefficient refl te le degr d imperm abilisation de la superficie de l iot Il renseigne sur les capacit s d infiltration de l eau dans un sol selon la couverture de celui ci Plus le coefficient de ruissellement est lev plus la surface du sol est imperm able D termination du coefficient de ruissellement de la parcelle gt Formule du ruissellement ou d bit de pointe calculs sur l ann e R gion Pluviom trie mm m Coefficient de Surface Ruissellemen ruissellement mz t I m Nature de la surface Surfaces imperm ables 0 98 y y O Terrasses oa goudronn Pavage larges joints CTC All e en gravier ou en terre SCTE Cid Parking Evergreen 0 5 y y Espaces verts am nag s 0 8 o Z y O Seal A A bois es Influence de la pente sur le coefficient de ruissellement Pente lt 2 RE RE EE Pente de 2 7 007 y E Pente gt 7 o Ob O es m2 t
173. ssi la couleur et la lumi re l ments fondamentaux du d cor urbain qui contribuent la mise en sc ne de la nature en ville Le vert n est pas la couleur uniforme de la nature en ville d une part elle se d cline en une multitude de nuances d autre part les vari t s de plantes ornementales et les fleurs apportent Un bouquet de couleurs savamment agenc es dans les espaces paysagers 1 Aucune r ponse n a t apport e pour ce crit re La diversit v g tale est cultiv e de fa on avoir Un couvert v g tal permanent et li au patrimoine naturel existant Les esp ces locales sont favoris es Respect du crit re 3 avec en plus L am nagement paysager choix et disposition des essences plant es se distingue par sa valeur esth tique Un paysagiste qualifi ou sp cialiste en diversit biologique urbaine est amen valuer l tat final de l am nagement Respect du crit re 4 avec en plus 102 Un paysagiste est consult pour r aliser Un am nagement paysager d agr ment essentiellement compos s d essences rustiques permettant la restitution de la biodiversit sur le site Remarques e Les plantes vivaces sont propices la r alisation de jardins ou parcs fleuris Ce sont des couvre sols aux couleurs diverses et vari es et persistantes e Se r f rer au guide de la gestion diff renci Exemples de plantes vivaces m diterran ennes e Couvre sol Agathea coelestis A
174. stion des pollutions des sols R versibilit des impacts Densification de la trame verte et bleue e couverture v g tale indices CBS et CES corridors biologiques valuation fragmentation estimation des pertes Enrichissement raisonn de la v g tation e valeur cologique esp ces indig nes envahissantes remarquables diversit des habitats et zones de refuge 37 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me Gestion des pollutions nuisibles lumineuse sonore atmosph rique lectromagn tique option IBGN Indice biologique global normalis option D chets verts recyclage et compostage Fr quentation des espaces verts Eco responsabilit Information et communication a Services culturels et sociaux a Gestion de la consommation nerg tique Valorisation conomique du projet Estimation de la plus value financi res des logements La notion d organisation de la biodiversit tant importante tous les niveaux une br ve conclusion de l tat de la diversit biologique diff rents chelons paysage cosyst mes habitats esp ces est pr sent e pour compl ter le diagnostic chelons Qualit de l tat Paysage cosyst mes Habitats Esp ces 38 Annexes informatives 1 R f rences normatives r glementaires et bibliographie Le pr sent r f rentiel ne se substitue pas aux exigences d ordre l gislatif r glementa
175. t de macrophytes et adapt au projet en terme de surface est install sur la parcelle pour l assainissement des eaux us es et ou la d pollution des eaux pluviales voir tableau plantes utilis es pour la phyto puration Un suivi et un entretien du syst me sont assur s afin de garantir la qualit du syst me 1 Les toitures v g talis es sont r alis es selon le respect des r gles professionnelles pour la conception et la r alisation des toitures et des terrasses v g talis es dit es par l association pour le d veloppement et l innovation en v g talisation de toiture novembre 2007 Ces r gles s appliquent aux terrasses et toitures de pente inf rieure 20 limite de pente incluse avec tanch it des b timents r alis s en France m tropolitaine y compris en climat de montagne dans le seul cas de l l ment porteur en ma onnerie Dans ce dernier cas le complexe de v g talisation sera videmment particuli rement r sistant au gel et l rosion Elles concernent les travaux neufs et les travaux de r fection totale de l tanch it apr s tude notamment de stabilit de l l ment porteur existant Remarque Pour les eaux us es et ou les eaux pluviales trait es par r seau s par le syst me de phyto puration fortement conseill est un jardin filtrant coulement vertical ou horizontal Listes des principales plantes utilis es en phyto puration 54 is pseudaco
176. t humaine Actuellement la perte de biodiversit et les changements dans l environnement qui y sont li s sont plus rapides qu aucune autre p riode de l histoire humaine De nombreuses populations animales et v g tales sont en d clin que ce soit en terme de nombre d individus d tendue g ographique ou les deux D apr s la liste rouge mondiale de l UICN la France se place au 4 rang mondial pour les esp ces animales menac es et au 9 rang pour les plantes Elle a donc une responsabilit majeure dans la lutte contre la perte de biodiversit Au niveau mondial selon l UNESCO 25 des esp ces connues disparaitront d ici 2050 si rien ne change Le livre rouge de la flore menac e recense en m tropole 486 esp ces ou sous esp ces prioritaires dont 25 teintes ou pr sum es teintes 387 en danger ou vuln rables et 70 rares Aujourd hui l urbanisation est une des causes principales de l rosion de la biodiversit Elle couvre environ 8 du territoire de la France m tropolitaine et cause aux paysages naturels la destruction et fragmentation des habitats l uniformisation des paysages la disparition des milieux naturels et des zones humides des pollutions etc La disparition locale d esp ces ou sous esp ces animales et v g tales le recul de certaines populations ainsi que la d gradation des habitats ont l chelle locale des impacts sur le fonctionnement des cosyst mes et contribuent
177. t de lever les carts restants et ainsi GREENLOGIC ECOCERT pourra valider l Audit C Processus de certification contr les de conformit et attribution du label EFFINATURE 1 Contr les de conformit Une fois le chantier termin l examinateur doit valider la grille d valuation EFFINATURE lors de l analyse de site de l tat final de l op ration EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit EF 3 1 D pendance aux mati res premi res EF 3 2 D pendance aux services cologiques fonctions cosyst miques de r gulation EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit EF 4 1 G n ration des pollutions de chantier EF 4 1 1 Chantier propre EF 4 1 2 D pollution des sols td 117 EF 5 1 2 Couverture v g tale du b ti indice CES re EF 5 1 3 Maintien et ou d veloppement des corridors cologiques i e Evaluation qualitative et fonctionnelle des corridors cologiques e Fragmentation cologique du milieu e Estimation des pertes cologiques EF 5 2 Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit EF 5 2 1 Valeur cologique du site EF 5 2 2 Indice de Shannon option EF 5 2 3 Diversit des habitats et zones de refuge EF 5 2 4 Gestion diff renci e et entretien des espaces verts e Entretien et jardinage EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me EF 6 1 Restauration de l environnement au service de la qualit de vie de la biodiversit 118 EF 8 1 1 Co t de la prise e
178. tablies lors de l audit Une fois le rapport de son intervention tabli l auditeur adresse ce dernier GREENLOGIC ECOCERT qui apr s l avoir valid en envoie Un exemplaire au ma tre d ouvrage et l examinateur ll est de la responsabilit du maitre d ouvrage de tenir compte des conclusions du rapport d audit notamment s il y est pr cis que des compl ments d informations doivent tre adress s ult rieurement l examinateur afin de satisfaire minima l exigence de la certification Habitat amp Environnement B valuation d finitive du projet L valuation du projet par l examinateur concerne exclusivement la validation des cinq th mes suivants et des rubriques s y rapportant e EF 3 Eco construction d pendance la biodiversit d pendance aux mati res premi res fonctions cosyst miques de r gulation e EF 4 Impacts du projet sur la biodiversit G n ration des pollutions de chantier Modifications de l cosyst me EF 5 Valorisation et co gestion de la biodiversit Cr ation et ou d veloppement de la trame verte renforcement du v g tal Enrichissement raisonn et gestion de la biodiversit e EF 6 Optimisation fonctionnelle de l cosyst me Restauration de l environnement au service de la qualit de vie de la biodiversit D chets verts recyclage et compostage Fr quentation des espaces verts e EF 7 Eco responsabilit Confort de l habitant In
179. te galement Le nombre de sacs distribu s leur volume et leur p riode de distribution sont fix s par la municipalit Un composteur individuel est install sur l op ration 1 Les composteurs install s sont notifi s du label NF Environnement composteurs individuels Un guide du compostage est remis chaque foyer participant l op ration Une information rappelant les consignes d utilisation est effectu e lors de l inauguration du composteur collectif Une personne r f rent est charg e de l animation et du suivi du compostage 0 Ces composteurs individuels sont install s m me le sol au milieu des espaces verts qui seront la source des d chets traiter dans un endroit semi ombrag Ils sont prot g s ou un peu l cart des lieux de passage fr quents mais ils restent facilement accessibles Ils sont quip s d un bio seau et d un r teau permettant aux utilisateurs d taler les d chets sur le tas de compost et d a rer si besoin Selon la faille de la surface verte trait e diff rents composteurs sont propos s e surface verte inf rieure 350 n composteur d un volume minimum de 325 litres gt exemple dimensions base au sol L x P x H 70x 70 x 72 cm e surface verte comprise entre 350 et 500 m composteur d un volume minimum de 400 litres gt exemple dimensions base au sol L x P x H 80 x 80 x 94 cm surface verte sup rieure 500 n composteur d un volume minimum de 600
180. te des services cosyst miques doit tre fait en fonction des besoins de l op ration 53 Les fonctions de r gulation sont des b n fices obtenus de la r gulation des processus des cosyst mes tels que le maintien de la qualit de l air notamment gr ce la photosynth se la r gulation du climat la purification de l eau la d toxification ou encore le contr le de l rosion des sols Ce crit re prend particuli rement en compte la v g talisation des fa ades et des toitures des b timents et la phytorem diation utilis e pour d polluer les sols les eaux et l air gr ce aux pouvoir d polluant des v g taux 1 Aucune r ponse apport e sur l op ration Le chantier et l am nagement de l op ration ont t r alis s de fa on minimiser la perte de biodiversit ou d habitats naturels d int r t cologique qui taient pr sents l tat initial L op ration a un taux de recouvrement v g tal du sol n cessaire pour emp cher le risque d rosion des sols Respect du crit re 3 avec en plus La strate arbor e est suffisamment dense et d velopp e sur l op ration pour r duire les lots de chaleur potentiels Ou La toiture terrasse non accessible est v g talis e sur au moins 50 de sa surface Respect du crit re 4 avec en plus La toiture terrasse non accessible est v g talis e sur au moins 80 de sa surface Ou Un syst me de phyto puration de type filtre plan
181. teurs etc e La r f rence l engagement du Maitre d Ouvrage dans la mise en place d un syst me de management environnemental s appliquant l acte de construire d D finition du management environnemental de l op ration Le management environnemental de l op ration peut se d finir comme tant un ensemble d l ments permettant de e D finir le profil environnemental de l op ration adapt aux sp cificit s du site et aux attentes des parties concern es e Organiser l op ration pour atteindre les niveaux de performance des th mes techniques composant le profil retenu e Maitriser les processus en phase programmation et conception Le management environnemental doit permettre de contribuer atteindre tous les objectifs environnementaux d finis par le Maitre d Ouvrage tous les stades d avancement de l op ration et tous les niveaux de responsabilit Il met en place les modalit s de validation de v rification et de contr le afin de s assurer du respect des orientations fix es Le management environnemental doit s enrichir des exp riences et des bilans des op rations ant rieures Chaque manager l quipe de maitrise d uvre l encadrement op rationnel des diff rents prestataires et des intervenants s assure dans le cadre de ses responsabilit s que les objectifs 28 fix s dans l engagement politique du Maitre d Ouvrage sont pris en compte par l encadrement fonctionnel et op rationnel
182. tions du management g n ral du pilotage op rationnel et des proc dures ainsi que dans les choix des proc d s de mise en uvre des produits et des mat riaux Cette rubrique du r f rentiel porte sur le Management Environnemental d Op ration Les dispositions d crites ci apr s s inscrivent dans un management global A partir des bonnes pratiques et sur la base des textes r glementaires et l gaux qui ne sont pas rappel s ici ce document liste et d finit les exigences en mati re de management dans le cadre des engagements du Maitre d Ouvrage dans les domaines environnementaux Un sch ma pr sentant le d roul d op rations et des missions est pr sent en fin de la pr sente rubrique b Domaine d application Le management environnemental prend en compte les caract ristiques et les enjeux de la collectivit locale du site et des attentes du gestionnaire de l habitant final et des partenaires financiers ventuels en ad quation avec les objectifs fix s par le Maitre d Ouvrage ll s applique l ensemble des acteurs de l acte de construire de l op ration concern e pour toute la dur e de l op ration comprenant la phase de programmation les tudes de faisabilit les tudes de conception de l am nagement la r alisation les op rations de r ception ainsi qu la future gestion de l op ration 27 c Engagement politique du Maitre d Ouvrage La direction de la maitrise d ouvrage d finit par crit
183. tre d ouvrage doit mettre la disposition de la maitrise d uvre et des entreprises l ensemble des l ments dont il a connaissance et qui sont de nature leur permettre de r pondre aux objectifs biodiversit et environnementaux plan de protection pour les zones et habitats remarquables identifi s et pour les esp ces animales et v g tales embl matiques et ou prot g es diagnostic de pollution des sols fili re et plan d limination des d chets 46 Les crit res et exigences d crits ci apr s devront faire l objet d une annexe au contrat de maitrise d uvre pour les prestations Chantier propre qui le concernent 2 Plans d am nagement de chantier Un plan pr visionnel d am nagement de chantier ainsi qu une note descriptive et d organisation seront r dig s Ces deux documents s appuieront sur l analyse de site r alis e Le plan pr visionnel pourra comporter selon les sp cificit s du chantier r pertori es au cours de l analyse de site l tat initial les l ments suivants la limite de chantier e lav g tation conserver et les l ments les prot geant e les zones ou habitats remarquables conserver et les m thodes mises en place pour les prot ger notamment les limitations de circulation des engins et camions proximit e l entr e et la sortie des engins et camions ainsi que la zone servant de parking temporaire e les zones de stockage des mat riaux et produits
184. u territoire m tropolitain de l arr t du 20 janvier 1982 paru au J O du 13 mai 1982 modifi par l arr t du 31 ao t 1995 paru au J O du 17 octobre 1995 Cette liste reprend notamment toutes les esp ces fran aises prot g es en Europe par la Convention de Berne 1979 La liste r gionale des esp ces prot g es en Provence Alpes C te d Azur de l arr t du 9 mai 1994 paru au J O du 26 juillet 1994 Cette liste compl te la liste nationale pr cit e Livre rouge de la flore menac e de France Le tome 1 paru en 1995 recense 485 esp ces ou sous esp ces dites prioritaires c est dire teintes en danger vuln rables ou simplement rares sur le territoire national m tropolitain Le tome 2 para tre recensera les esp ces dites surveiller dont une liste provisoire de pr s de 600 esp ces figure titre indicatif en annexe dans le tome 1 Une actualisation scientifique de ce dernier tome est effectu e r guli rement par le Conservatoire Botanique National M diterran en de Porquerolles C B N M P Elle ne poss de pour l instant aucune valeur officielle mais peut d j servir de document de travail Ainsi seules les esp ces figurant sur la liste du tome 1 sont r ellement menac es Elles doivent tre prises en compte de fa on syst matique m me si elles ne b n ficient pas de statut de protection Celles du tome 2 sont le plus souvent des esp ces assez rares en France mais non
185. u une personne titulaire du certificat de participation la formation EFFINATURE assist de repr sentants d une association cologique et environnementale et ou de repr sentants du syndicat responsable de la gestion des espaces verts Un panneau expliquant les choix de gestion de l espace non b ti du site et rappelant le bon comportement adopter vis vis de la biodiversit et de son environnement est labor Il est r dig clairement et plac un endroit strat gique sur le terrain la vue de tous de fa on ce que le lecteur est Un panorama de l am nagement paysager face lui tout en lisant le panneau il est illustr de sch ma explicatif Exemple d un panneau expliquant les choix de gestion d une vall e M Leur statut figure dans la charte des jardins ouvriers familiaux et sociaux du 12 f vrier 1993 Les projets labellis s EFFINATURE doivent tre identifiable via une enseigne EFFINATURE affich e sur la fa ade ext rieure du b timent visible pour tout le monde et mesurant au moins 0 6 m tre carr ou plus EF 7 2 2 Sensibilisation et formation du ou des gestionnaires du b timent La sensibilisation du gestionnaire du b timent au fonctionnement et l entretien des caract ristiques EFFINATURE et de l quipement du site va permettre de maintenir la performance cologique du projet Le gestionnaire est bien inform du Chapitre 15 de l Article 21 Pr servation de la diversit biolog
186. ui efficace pour valuer la qualit du sol pr sence de plantes non r sistantes la pollution diversit v g tale lev e ou non densit des microorganismes s lection vis vis de la pollution Pour s aider se r f rer aux sites internet http floraterre e monsite com rubrique plantes indicatrices 264849 html http cfopah free fr solhtm indicatrices Les traitements physiques et chimiques de d pollution des sols e Traitements physiques Bioventing technique de traitement d un substrat sol pollu en zone non satur e qui consiste a rer le substrat par injection d air ou d oxyg ne afin d y favoriser l activit microbienne et la volatilisation des polluants Puits d extraction Puits d injection Ventilateur Ventilateur Puits d extraction t IL Sol non contamin Sol contamin Zone satur e Os Biosparging limination de polluants biod gradables dans l eau souterraine et ventuellement aussi dans la zone insatur e du sol par un apport d oxyg ne pour acc l rer la biod gradation Il est souvent coupl un venting D contamination de l air du sol la pression Aspiration de l air du sol D bitm tre D bitm tre Zone pollu e Figure 1 Principe de l air sparging coupl avec un venting Biostimulation ou Bioaugmentation technique biologique in situ de traitement des eaux souterraines qu
187. vancement du chantier un rapport d activit comprenant les incidents de chantiers pollutions accidentelles destruction d esp ces embl matiques d gradation des zones et ou habitats conserver etc Les impacts du chantier nocifs la biodiversit sont prendre en compte particuli rement e la limitation des nuisances sonores 47 e les pollutions des sols des eaux et de l air ll s agit de prot ger les essences v g tales arbres plantes haies parterres de fleurs et gazons et la faune locales des agressions m caniques et de la poussi re En cas de risque de rejet de substances dangereuses pr voir des zones de stockage adapt es aux diverses pollutions et faisant l objet d une signal tique sp cifique ainsi que les dispositions permettant une isolation du sol et une r cup ration des ventuels rejets En l absence d un r seau communal de collecte des eaux us es les eaux us es et les eaux vannes provenant du chantier devront tre trait es par un dispositif d assainissement autonome avant leur rejet au milieu naturel ll sera tabli une proc dure traitant des pollutions accidentelles En cas de pollution non ma tris e et non trait e les autorit s locales devront tre inform es dans les meilleurs d lais r Bilan de chantier ll devra tre tabli sous la responsabilit du maitre d ouvrage en phase projet un bilan afin de mesurer les efforts et dispositions cologiques a mettre en
188. xtinction D but d extinction nocturne 22h00 75 pts suppl mentaires Baisse de la puissance lumineuse en cours de nuit 15 pis Extinction d un lampadaire sur deux 50 pts 50 des lampadaires avec ampoules encastr es 25 pts 100 des luminaires dont l mission est de 100 au dessous de l horizontale avec verre plat et transparent et non translucide full cut off source non visible distance 75 pts Utilisation de lampes Sodium Haute Pression de 50 W 50 pts Sodium Haute Pression de 70 W 35 pts lodure M talliques de 70 W 40 pts Utilisation de l clairage passif catadioptres bornes r fl chissantes par kilom tre de voie 75 pis Utilisation de bornes lumineuses clairage directionnel 25 pts Utilisation de d tecteurs de pr sence pour un allumage r ellement s curitaire 50 pts Signature de la Charte ANPCEN pour la protection du ciel et de l environnement nocturnes 100 pis Pr sence d un plan d am lioration tudi et programm afin de maitriser l clairage public 100 pts Pas d uniformit appliqu e l clairage public 75 pts Notation n gative Mise en lumi re d un site naturel 100 pts clairage des arbres 50 pts Lampadaires parc avec cand labres type boules lumineuses ou type lanternes avec ampoules apparentes et ou verre d poli ou lampadaires avec sources visibles directement 1 5 pts par exemple 50 du parc 75 pts

L`objectif de cette rubrique est d`intégrer du mieux

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

L`objectif de cette rubrique est d`int&eacute;grer du mieux

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

L`objectif de cette rubrique est d`intégrer du mieux