les thèmes abordés
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1. s approprier un outil type tablette Sans ce relai indispensable et sans offre pratique servie par une interface graphique attrayante comme il sied aux applications smartphones grand public l utilisation d outils domicile restera tr s hypoth tique On ne fait pas le bonheur des gens malgr eux aura rappel Arnaud Duglu en conclusion coh sia Le Blog Coh sia pour partager vos exp riences Les 4 mes Rencontres Coh sia ont t loccasion de pr senter le tout nouvel outil www blog cohesia fr destin d livrer de l information sur ce que r alise le Groupe Ch que D jeuner recueillir les r actions et les besoins de ses clients et permettre aux professionnels d changer Nous entendons souvent dire que ce que nous d veloppons pour diff rents clients m riterait d tre connu par ailleurs a comment Jacques Yves Harscou t directeur des programmes publics et sociaux du Groupe C est la finalit de cette plateforme de partage m tiers On y commentera galement l actualit par exemple pour valuer l impact des nouvelles lois qui concernent le secteur Ceci en interaction entre tous les acteurs concern s et les experts du Groupe Mais ce blog ne marchera que si tout le monde y participe insiste Jacques Yves Harscou t LA LA LL es Es on LA N a e _ E N LLI l e _ _ LL Mn ELI LD LI2. Hi A LS 2 lt a LS 14 ATELIER 4 LE PARTAGE D INFORMATION AU SEIN DU SECTEUR HANDICAP Le parcours m dico social d une personne handicap e peut durer toute une vie le jeune enfant passant du CAMPS au SESSAD puis en ITEP ou IME l ESAT et en foyer l ge adulte et jusqu en EHPAD la retraite Comment l outil informatique peut il aider la coordination et au partage d information tout au long de ce parcours Nous le constatons en accompagnant toutes ces structures l informatisation n est pas forc ment vidente constate Guillaume Chomat responsable produit D3i chez Arcan Les professionnels sont parfois r ticents les plus g s ne s approprient pas toujours le produit Notre ligne de conduite est donc de rester en contact avec le terrain pour faire voluer l outil en fonction des besoins Quelles solutions en ressort il pour que l informatisation du dossier soit b n fique pour tous dans le cadre du parcours de vie d une personne handicap e TROIS NIVEAUX DE PARTAGE DE L INFORMATION Premi re r ponse d Arcan travers la solution D3i l informatique permet d sormais des notifications centr es sur l usager au sein d un m me tablissement A la cl une consolidation permanente du projet personnalis de la personne handicap e Des alertes automatis es param trables par professionnel sont galement possibles A l avenir il sera indispensable de renforcer les int
3. Mn LE TIERS PAYANT ATELIER N 1 LE TIERS PAYANT UN L MENT FACILITATEUR DANS LE SUIVI DU PARCOURS DE L USAGER Depuis juin 2014 le Centre National du Ch que Emploi Service Universel CNCESU exp rimente avec quatre d partements pilotes le tiers payant pour le paiement des cotisations sociales des intervenants dues par les b n ficiaires de l APA et de la PCH Etienne Lansiaux responsable du p le Juridique et technique au CNCESU et Michel BRAYET chef de projet au CN CESU ont explicit ce nouveau dispositif destination des Conseils g n raux lors des 4 mes Rencontres Coh sia Aujourd hui le CESU pr financ par les d partements permet aux b n ficiaires de l allocation personnalis e d autonomie APA et de la prestation de compensation du handicap PCH de r gler directement le salaire de leur intervenant domicile avec des titres pr pay s En revanche le montant des cotisations sociales prises en charge par le d partement sont vers es sur le compte du b n ficiaire Le CNCESU pr leve la totalit des cotisations sociales dues sur le compte du b n ficiaire Avec le tiers payant le D partement verse directement les cotisations qu il prend en charge au CNCESU les b n ficiaires payant uniquement la part des cotisations non prises en charge par le Conseil g n ral Cette solution est test e en Gironde depuis juin 2014 avec la PCH et depuis octobre pour l APA dans les Bouches du Rh
4. s technologiques la t l gestion mobile en 2011 St phane Dalbies confirme les avantages pressentis avec une tra abilit effective des interventions horodatage pr cis des alertes imm diates en cas d anomalie et une simplification de la gestion D sormais seulement 15 factures sur 2 500 sont revoir mensuellement La facturation part le 2 du mois au lieu du 10 12 auparavant avec peu de litiges d plorer du fait de cette tra abilit A la cl un doublement de l activit en 8 ans avec un effectif des assistants t l phoniques rest stable 4 agents d di s et un gain de temps pour les agents n ayant plus passer r guli rement au bureau t moigne t il Bilan Une meilleure qualit de prise en charge Une meilleure information de l usager de son entourage des intervenants et de la structure L optimisation de la gestion Une professionnalisation et responsabilisation des aides domicile In fine l outil aura aid la labellisation du service en NF Service et Cap Hand o C t inconv nients il ne faut pas sous estimer l accompagnement au changement pr vient St phane Dalbies la formation et l information des usagers de l entourage des aides domicile et de l quipe gestionnaire sont indispensables A noter que si certaines familles veulent tout savoir des d tails des interventions au domicile de leur proche d autres pr f rent garder une certaine distance La t l gestion mobi
5. vers le b n ficiaire et surtout vers le proche r pond la m me logique en ajoutant les informations de soins domicile SSIAD inclut un mini dossier m dical interop rable entre les structures ainsi qu un annuaire des SAD SSIAD et une collaboration avec Medical Concept qui quipe 50 des SOS m decins VERS UN LABEL D DITEURS INTEROP RABLES Nous jouons le jeu avec nos concurrents sur ce projet explique Jacques Yves Harscou t Car les clients ne vont pas nous choisir sur cette zone d militaris e que constituent les changes de donn es Ce b n fice pour les usagers enrichira l cosyst me de tout le monde D autres diteurs sont appel s adh rer ce document d interop rabilit L id e d un label est dans l air Le deuxi me niveau du bouquet du GOPAD sera dans un second temps constitu de services suppl mentaires payants facilitant la vie des familles Attention cependant vouloir tout prix quiper des s niors de tablettes par exemple aura mis en garde un membre du CG de la Sarthe Ce d partement t moigne d un projet qui a t mis en chec par le manque de formation des agents et surtout par le manque de proactivit de certaines familles peu d sireuses de subir les intrusions du s nior Dans ce type de d marche la premi re tape est de viser le proche quip de smartphone confirme Arnaud Duglu Celui ci pourra ensuite devenir prescripteur et aider le s nior
6. CCAS qui se positionnent de plus en plus en coordinateur du parcours de l usager recentrant leurs aides directes sur l urgence a analys Jacques Yves Harscou t l issue du d bat L encouragement au MAD est aussi financier a t il rappel citant l cart entre l OCDE 29 et la France 37 pour l h bergement hospitalier Soit 1 milliard d euros d conomies potentielles gr ce au MAD UN PREMIER PAS VERS L INTEROP RABILIT Troisi me exemple d initiative pr sent e lors de cette s ance pl ni re GOPAD est une association cr e par Arnaud Duglu consultant dans les nouvelles technologies appliqu es au MAD Sa d marche s inscrit totalement dans l id e de fluidifier le parcours de vie des b n ficiaires GOPAD met en effet des diteurs concurrents autour de la table pour apporter directement de l information m dico sociale aux b n ficiaires et aux proches Au c ur du sujet l interop rabilit Aux c t s de la f d ration nationale Adessadomicile et de Domidom Soins nous pensons pouvoir exp rimenter un bouquet de services commun trois diteurs informatiques fin 2015 int grant par ailleurs un annuaire des SAD Une exp rimentation est pr vue dans une centaine de foyers au printemps prochain Plusieurs projets auxquels participe le Groupe Ch que D jeuner sont l articulation dueGOPAD Arhome Equip age Eclairage avec Apologic vise faire converger une information de prise en charge SAD
7. bases qui ont fait sa force handicap s articul e autour des technologies Web une plate forme de coordination par l accompagnement des un logiciel de gestion multi entit s ouvert toutes structures m dico sociales encadrant les handicap s un syst me collaboratif pour l acc s l information de mani re s curis e et en temps r el pour les ducateurs th rapeutes enseignants gestionnaires Avec la possibilit de choisir le mode h berg AtHome SAAS AtHome Handicap permet de g rer le dossier informatis de l usager avec un suivi pluridisciplinaire du projet individuel d accompagnement une coordination optimale des interventions des professionnels Philosophie de cet outil garantir la continuit de l accompagnement pour construire un v ritable parcours de vie adapt la personne handicap e 15 a lt m a lt L a es LL bn di gt LL on m LLJ N lt lt mn e am a Li A LLJ z z a LL Le Blog x cohe sia wwuw blog cohesia fr Soyez les premiers inform s des actualit s des initiatives et des nouvelles solutions sur le march Donnez votre avis en participant aux sondages gro Le Bio S ta SERVADOMICILE UN OUTIL DE MODERNISATION Echangez et r agissez aux articles publi s IMAGINONS ENSEMBLE DE DEMAIN Pour poursuivre nos changes tout au long de l ann e le Groupe Ch que D
8. des besoins sp cifiques de tel ou tel d partement A la signature de la convention il est demand un ticket d entr e d un montant de 10 000 aux d partements pour assurer la maintenance de l infrastructure mat rielle du CNCESU le d veloppement l accompagnement au d ploiement etc Le CNCESU s engage intervenir aupr s des diff rents d cideurs d un d partement pr sentation de la solution envoi de kits de pr sentation d placement sur le territoire Les exp rimentations actuelles confirment que cette mesure simplifie le parcours social de l usager tout en garantissant aux financeurs une tra abilit et une effectivit des aides allou es C est pourquoi le Groupe Ch que D jeuner s engage r solument aux c t s du CNCESU et des d partements pour r aliser le d ploiement du tiers payant EEEE EITT LA LA 0G LLJ CD lt on l LLI e is gt S es Wn LLJ on z s i a Ta m TT mr TT LE TIERS PAYANT aq un Lai gt Li 7 N LLI ce LLJ 5 a A S a N j a z LL LL z j a A EI l ce A Li a Li LL EL z 7 Eea zZ LA LA LA TELEGESTION MOBILE DOMICILE Atelier n 1 ATELIER N 2 LA T L GESTION MOBILE UNE SOLUTION EFFICACE POUR LE PARTAGE D INFORMATIONS AVEC L USAGER DES S
9. e m dicale sensible ne soit communiqu e I faut un gros travail de conviction au d part d une telle initiative notamment aupr s des professionnels de sant tr s carr s sur le secret professionnel a fait savoir Jean Fran ois Cellier vice pr sident du centre intercommunal d action social CIAS d Auch II est vident qu avec la volont affich e au niveau national de d velopper le maintien domicile MAD il faut des outils aux professionnels pour concilier informations sant et sociales a r agi la responsable du SI du CG de l Oise d partement qui exp rimente galement un dossier m dical social unifi DMSU sur la base de formulaires de consentement ET R SEAU PUBLIC D AIDE DOMICILE Dans le Gers le DMSP est le second volet du programme Gers sant ruralit initi en 2012 qui vise faciliter l acc s aux soins le MAD et l autonomie de personnes en situation de fragilit Le premier volet avait t la cr ation d regroupant 17 collectivit s CCAS CIAS et tablissements publics de coop ration intercommunale EPCI qui ont mutualis une application informatique l ensemble des services d aide domicile Effective depuis janvier 2014 avec le concours d Implicit et la mise en place du logiciel Mill sime MAD cette application s tendra avec l quipement en t l gestion mobile de l ensemble des SAD Les contraintes budg taires font voluer les missions des
10. jeuner met votre disposition des sujets d actualit s des br ves pratiques mais aussi des t moignages Sur le Blog Coh sia changeons tout au long de l ann e autour des projets et solutions qui participeront la modernisation de l action sociale Vous n avez pas encore d acc s au blog Coh sia Contactez nous au 01 41 85 06 56 communication pps groupechequedejeuner fr inscrivez vous l alerte nouvel article es de servxes la a ts les chents el a ALERTE NOUVEL ARTICLE BIENVENUE SUR LE BLOG COH SIA Devenez r dacteur du blog sur simple demande chequedejeuner
11. ne depuis octobre pour les deux prestations Paris en d cembre et dans le Bas Rhin partir d avril 2015 a expliqu Etienne Lansiaux UN CADRE L GISLATIF ET UN PROCESSUS BIEN BORD S Le tiers payant ob it ici un cadre l gislatif et r glementaire d cret n 2013 604 du 9 juillet 2013 qui d finit le mode de versement des cotisations sociales financ es par les d partements pour les b n ficiaires utilisant le CESU pr financ Ce texte encadre la mise en place d un tiers payant entre le d partement et le CNCESU Seuls les dispositifs APA et PCH vers s en CESU pr financ s sont concern s Cette mise en place s effectue par une convention sign e entre le D partement l ACOSS caisse nationale du r seau des Urssaf et le CNCESU Le tiers payant ne concerne que le mode d intervention en emploi direct pour le paiement des cotisations sociales des salari s domicile les modes mandataire et prestataire tant donc exclus du dispositif Concr tement le processus se d roule en trois tapes le Conseil g n ral transmet chaque mois un fichier mensuel de la totalit des plans d aide de ses b n ficiaires au CNCESU avant l envoi l metteur puis chaque mois le b n ficiaire employeur d clare le nombre d heures effectu es par l intervenant domicile et le salaire vers enfin deux mois apr s chaque d claration le CNCESU facture au d partement les cotisations sociales prises en charge
12. side dans l accompagnement en termes de communication effectu par le financeur car ce syst me induit un changement d habitudes pour les b n ficiaires Une communication pr voir en trois tapes pr information avant la mise en place communication au d marrage gestion de la p riode transitoire C est pourquoi le CNCESU propose des mod les types de supports de communication lettre d pliant CESU tiers payant Mode d emploi qui peuvent tre d ploy s par les d partements aupr s des b n ficiaires G N RALISATION AU DEL DES D PARTEMENTS PILOTES EN 2015 Pour plus de clart et de facilit le Centre national recommande la mise en place du tiers payant en m me temps que le lancement d un dispositif de CESU pr financ s il n est pas encore en place Apr s une ann e d exp rimentation dans les Bouches du Rh ne en Gironde dans le Bas Rhin et Paris le CNCESU mettra donc en place d s 2015 la solution aupr s des Conseils g n raux candidats Il est pr vu de r aliser un lancement maximum par mois sachant qu il faut compter trois quatre mois d tudes pour la mise en place de la solution tiers payant dans un d partement informe Etienne Lansiaux A ce jour il n est pas pr vu de d veloppement d interface en fonction des besoins sp cifiques de chaque d partement La solution propos e actuellement n est pas modulable et elle ne fera pas l objet d volutions en fonction
13. une am lioration de notre productivit am liorerait la qualit de service l usager et les conditions de travail des agents moins de papier Une d marche inscrite dans le contrat de mandature des lus ce qui tait crucial pour l acceptabilit du projet La premi re tape fut de connecter le portail social du CG sur toutes les bases MDPH RSA etc pour observer comment se d pla aient les usagers dans le parcours social du D partement L id e tant aussi de permettre aux partenaires du CG centres locaux d information et de coordination maisons pour l autonomie et l int gration des malades d Alzheimer etc un acc s distant ses logiciels A la cl une meilleure r ponse l usager sur le suivi de son dossier La premi re r ponse l usager devait ainsi tre donn e sur la plateforme t l phonique d partementale supprimant 80 des appels dans les Services Parall lement cela a t mis en place le CESU Selon un premier bilan 80 des prestations sont consomm es Sur la t l gestion le CG est en phase d exp rimentation et d essai des flux sur Solis avec quatre services d aide domicile SAD pilotes la g n ralisation tant pressentie en 2015 La brique tiers payant est galement pr vue pour l an prochain L installation de Multigest logiciel de gestion lectronique des documents est programm e en janvier pour la d mat rialisation des donn es sociales ainsi que la mise en
14. ERVICES DOMICILE La simplification des flux de gestion des services d aide domicile et un meilleur partage de l information permettent aux intervenants de se recentrer sur leur travail l aide domicile Ce postulat de d part dans l utilisation de la t l gestion mobile se confirme sur le terrain comme le montre l exp rience de Home Services Marseille Face aux contraintes d changes d informations et de coordination entre le service d aide domicile les intervenants et les proches des b n ficiaires la t l gestion fixe s est impos e depuis une dizaine d ann es notamment sur la question de l horodatage Mais l volution des pratiques et des technologies permet d sormais la t l gestion fixe d voluer vers la t l gestion mobile Les chiffres d Apologic sp cialiste de l informatisation des structures de services la personne et soins infirmiers domicile le confirment sur 60 000 intervenants quip s du syst me de t l gestion Domatel un tiers fonctionne en t l gestion mobile et celle ci repr sente 83 des nouveaux quipements Lessor des technologies de pointe permet la t l gestion mobile de se baser sur divers syst mes d horodatage tels que le NFC Near Field Communication ou communication de donn es sans contact disponible sur de nombreux supports badge autocollant porte cl s carte bracelet LA MOBILIT MAIS AVEC LES BONS OUTILS C est dans ce contexte que
15. RES ACTES O O O roUe z mes quedejeunef che RENCONTRES CONESIA CONSTRUIRE ENSEMBLE JN PARCOURS SIMPLE ET COH RENT pour l usager A MEE aio les JEUDI 13 NOVEMBRE 2014 nr organis e en partenariat EI Care Insight 17 21 Place Etienne Pernet 750175 Paris emes RENCONTRES COhN SIA CONSTRUIRE ENSEMBLE UN PARCOURS SIMPLE ET COH RENT pour l usager SOMMAIRE PL NI RE p4 ATELIER N 1 LE TIERS PAYANT UN L MENT FACILITATEUR DANS LE SUIVI DU PARCOURS DE L USAGER p9 ATELIER N 2 LA T L GESTION MOBILE UNE SOLUTION EFFICACE POUR LE PARTAGE D INFORMATIONS AVEC L USAGER DES SERVICES DOMICILE p10 VERS LA CARTE SOCIALE ET LE PORTAIL CITOYEN p12 ATELIER 4 LE PARTAGE D INFORMATION AU SEIN DU SECTEUR HANDICAP p14 Les 4 Rencontres Coh sia qui se sont tenues Paris le 13 novembre 2014 avaient pour fil conducteur le parcours de l usager Une th matique devenue omnipr sente dans la prise en charge sanitaire et m dico sociale qui est galement au c ur de la philosophie et de l activit du Groupe Ch que D jeuner simplifier les d marches de l usager assurer la coordination et partager l information autour de lui optimiser le suivi des prestations faciliter la mobilit des professionnels Partenaire privil gi des Conseils g n raux des Centres Communaux d Action Sociale des structures d aide et de soins domi
16. cile des organismes sociaux et des tablissements m dico sociaux notre approche est aujourd hui globale Nos solutions s interfacent avec chacune des briques m tiers et assurent ainsi une meilleure coordination entre les acteurs du secteur La simplification du parcours de l usager constitue le fil rouge de chacun de nos projets men s leurs c t s Jacques Yves Harscou t Directeur Programmes Publics et Sociaux PL NI RE UN CONTEXTE R GLEMENTAIRE FAVORABLE AU PARCOURS USAGER L volution des textes et les orientations actuelles du l gislateur vont dans le sens d un maintien domicile et d une n cessaire fluidification du parcours et de l information autour de l usager C est ce qu a d montr H l ne Delmotte du cabinet Care Insight animatrice de cette s ance pl ni re en introduction des 4 mes Rencontres Coh sia La tendance est la territorialisation des politiques La R gion est par exemple l chelon de mise en uvre de l conomie sociale et solidaire par contractualisation avec les d partements communes EPCI Le projet de loi d adaptation de la soci t au vieillissement pr voit un financement de 645 millions par an dont une revalorisation de l APA afin de favoriser le maintien domicile et 140 millions pour la t l assistance et la domotique Le parcours de sant et le service territorial de sant sont au c ur du projet de loi de sant de Marisol Touraine av
17. cr taires passent leur temps saisir de la grille AGGIR conclut Caroline P ron Avec le principe du cartable lectronique le travail en mode d connect est possible et fait fi des zones blanches aura pr cis Jacques Yves Harscou t iN PARCOURS A SAGER D bats anim s par H l ne Delmotte cabinet de conseil Care Insight Intervenants la table ronde Arnaud Duglu Pr sident GOPAD Bruno Dujardin Directeur commercial Implicit Jacques Yves Harscou t Directeur programmes publics et sociaux et Caroline Peron responsable SI Conseil g n ral de Seine et Marne DOSSIER M DICO SOCIAL PARTAG Un autre exemple concret de fluidification du parcours usager a t mis en avant au niveau de l aide domicile cette fois DMSP L Union d partementale des CCAS du Gers a lanc une exp rimentation de DMSP pour faciliter le passage successif des usagers des tablissements de sant aux tablissements m dico sociaux ou leur domicile D ploy dans un premier temps au CHU d Auch dans les h pitaux ruraux et les maisons de sant pluridisciplinaires il sera ensuite tendu aux professionnels de sant lib raux La r ciprocit d information entre professionnels de sant et structures est de mise avec le signalement des entr es et sorties d h pital une liste des pr conisations pour les intervenants domicile la notification des difficult s rencontr es par ces derniers sans qu aucune donn
18. des logiciels m tiers se sont d velopp s en orientant les utilisateurs dans le sens des bonnes pratiques comme le d montre Domatel Mobile plus de r activit volution des plannings et de la mission en temps r el commentaires sur l intervention r aliser effectivit des interventions et par cons quent des intervenants moins stress s et plus disponibles Sur le plan administratif on dispose de flux optimis s tra abilit de l intervention pour le b n ficiaire avec une facturation en ad quation davantage de pr cisions sur le temps de prestation et sur les actions r alis es et venir gr ce un badge NFC positionn au domicile Sur le plan qualitatif la famille peut avec un smartphone et gr ce au tag NFC ou un code barre 2 D consulter le planning d intervention du b n ficiaire C t salari s le confort passe par un planning consultable tout moment et la garantie d avoir des informations jour un acc s facile aux coordonn es des usagers aux demandes de cong s DOUBLEMENT D ACTIVIT POUR HOME SERVICES Le t moignage de St phane Dalbies directeur de Home Services six agences en PACA 650 salari s et pas moins de 2 500 clients a permis d illustrer concr tement l utilisation de la t l gestion mobile Ciblant un public vuln rable dans la moiti de ses prestations Home Services a en effet t pr curseur des 2006 avec la t l gestion fixe voluant au fil des nouveaut
19. ec une structuration des soins de proximit de la pr vention une relance du DMP Le projet de loi de financement de la s curit sociale pour 2015 nous promet quant lui un v ritable virage ambulatoire Tout ceci sur fond de r forme territoriale qui semble plaider pour un maintien du D partement en zones rurales Alors que tout pousse au d veloppement du MAD 500 000 demandes d emplois sont non satisfaites et plusieurs dizaines de milliers d emplois non pourvus observe H l ne Delmotte UN CONSEIL G N RAL EN MODE D MAT RIALISATION A l instar des ditions pr c dentes ces Rencontres Coh sia taient bas es sur le partage d exp riences Premier exemple pr sent la r volution num rique initi e par le Conseil g n ral CG de Seine et Marne depuis 2010 Cette informatisation avait pour objectifs d une part de favoriser la continuit et le partage de l information dans le suivi de l usager d autre part d optimiser les services la population via l valuation des politiques publiques explique Caroline P ron responsable du service projet de coordination des syst mes d information SI cr cette occasion Nous nous sommes rendu compte en 2010 que les d lais de traitement de l allocation personnalis e d autonomie APA et la prestation de compensation du handicap PCH d passaient 100 jours Notre seul levier dans un contexte budg taire tr s contraint tait de moderniser notre SI avec l id e qu
20. erfaces avec les autres applicatifs agendas personnels des professionnels par exemple Au deuxi me niveau de communication entre plusieurs structures suivant le m me usager le partage d information constitue un gain de temps et d nergie Avec une probl matique cependant l interop rabilit lorsque ces structures utilisent des outils diff rents voir l exemple du projet GOPAD dans la s ance pl ni re de Coh sia Troisi me niveau de partage b n fique la continuit de l information lorsqu une personne quitte une structure pour une autre par exemple un enfant handicap passant du CAMPS au SESSAD en grandissant ou quand un tablissement est cr repris ou restructur L aussi se pose la question de l informatique en tant qu aide dans la continuit de l accompagnement LE CASSE T TE DU TRANSFERT DE DOSSIER Mary Jos Novas secr taire la Fondation protestante Sonnenhof dans le Bas Rhin est bien plac e pour t moigner de ces difficult s car elle les a v cues et subies Les structures de la Fondation sont organis es en trois p les Junior Adulte et S nior A l ouverture de la nouvelle maison d accueil sp cialis e MAS Dietrich Bonhoeffer 70 places enfant en d but d ann e certains usagers du p le Junior en attente de places depuis 2 3 ans sont pass s soit chez nous au p le Adulte soit la nouvelle MAS Bonhoeffer Or la Fondation n avait pas donn les autorisations n cessaires po
21. ermettre l dition de vouchers autrement dit de bons de r duction pouvant tre utilis s aupr s de structures qui ne disposent pas obligatoirement d un terminal de paiement De son c t la r gion dispose en temps r el de diff rentes statistiques sur le nombre d utilisateurs et les choix effectu s par produits culturels par ge TRANSPOSITION L ACTION SOCIALE Et si cette solution tait transpos e en mati re d action sociale Pourquoi en effet ne pas imaginer demain une carte couvrant l ensemble du parcours de vie de chaque citoyen et pouvant tre aliment e par diff rentes aides que celles ci proviennent des centres communaux et intercommunaux d action sociale CCAS des Conseils g n raux en fonction de l volution de chaque situation Comme l a expliqu Yann Kerbriand du Groupe Ch que D jeuner Nous d mat rialisons le ch que d accompagnement personnalis CAP 1 et nous l adaptons aux diff rents champs d utilisation Les CAP repr sentent 80 millions d euros d aides vers es chaque ann e L envoi de supports papiers chaque mois g n re des frais importants pour les collectivit s L innovation r side donc dans l envoi d une carte au b n ficiaire recharg e distance De nouvelles aides peuvent y tre ajout es en fonction de l volution de la situation sociale de la personne A l inverse la carte peut tre facilement annul e ou d sactiv e Le filtrage des r seaux m
22. ionnelles 5 ans demand es par l agence r gionale de sant ARS L id e utiliser des r f rentiels internes la structure ou des r f rentiels qui seront communs entre plusieurs tablissements avec des l ments qu il est inutile de ressaisir Dans ce cas pr cis la date du projet l tablissement pr visionnel la cat gorie FINESS de l tablissement le niveau d urgence avec cr ation d un r f rentiel la date pr visionnelle de mise en uvre un bloc d observation libre w e Parmi les points faibles de cette d marche Bernard Bordessoulles directeur du p le Enfance de l Adapei des Landes pointe les positions parfois tr s diff rentes des tablissements une culture de l valuation encore embryonnaire et la difficult qu ont les professionnels passer syst matiquement l crit pour les observations cliniques Parmi les points forts Bernard Bordessoulles rel ve notamment la possibilit de d montrer concr tement les possibilit s du syst me sur un site pilote y compris aupr s des parents l exp rimentation par les professionnels d une communication syst matique des observations cliniques entre les membres de l quipe pluridisciplinaire et un gain de temps probant dans la transmission des donn es Compte tenu des retours positifs de l exp rience cette flexibilit de Dai est destin e tre g n ralis e au del de ce prototype G RER LES LISTES D ATTENTE Autre pi
23. is en place permet non seulement de collecter les donn es relatives aux prestations vers es mais aussi de s assurer de la bonne utilisation des aides Par exemple une somme destin e des achats alimentaires ne pourra pas tre utilis e d autres fins Un r seau d acceptation peut facilement tre d fini par domaine d utilisation par zone g ographique Et l envoi de mails ou de SMS peut permettre l usager de connaitre les montants actualis s des prestations Il est galement possible d int grer sur ces cartes un code qui flash par travailleur social lui fournirait imm diatement toutes les informations relatives la personne accompagn e Cette solution se r v lant particuli rement adapt e des publics d bancaris s des projets sont l tude avec des institutions 4 Hitige Lim 100 jeunes 100 Limousin LE Accueil Les aventeges de Le certe Be Lim c est quoi J BE LIM EST LE SERVICE PROPOS AUX JEUNES PAR LA R GION LIMOUSIN r ssrtons waes SPOTS et demander Vous svez entre 16 et 20 ans Pour vos projets pensez Oe Lim Ce service vous permet de bost savoir va les sides qui vous sont destin es LL a O A LLJ n La LLJ l a Q on LL aa lt d lt l ou a LL Atelier n 4 am lt q Z m a a L a LL di LL o ELI o lt lt a cT a a gt
24. le s accompagne par ailleurs d une contrainte suppl mentaire la gestion de la flotte de t l phones la relation avec les op rateurs avec un souci de rationalisation des co ts Peut tre aboutit on aussi une certaine distance avec les agents regrette t il Sans parler des nouveaux cueils techniques probl mes de batterie de t l phone badge d fectueux RETOURS POSITIFS DES INTERVENANTS Concernant les plannings le pr visionnel est disponible sur les smartphones des aides domicile dans le respect des d lais conventionnels En cas de changement elles re oivent directement sur leur mobile toutes les modifications en temps r el et peuvent consulter tout moment leur d compte de prestations r el et pr visionnel a rassur lors du d bat J r me Gresse responsable des Charg s de Missions chez Apologic en r ponse une pr occupation du Centre d Action Social de la Ville de Paris CASVP Les avantages par rapport la t l gestion fixe sont bien per us par les intervenants avec un usage professionnel qui s appuie sur un outil du quotidien appr ci smartphone qui est aussi peu intrusif pour l usager simple badgeage a t on r pondu une question du CCAS de Suresnes m me si la t l gestion mobile semble plus contraignante car dynamique Comment apporter des corrections sur les prestations relev es a galement interrog une repr sentante de la CASVP Les donn es enregistr es dans la solution m
25. obile sont pouss es vers l application m tier il y a donc toujours possibilit de forcer les donn es dans le back office m me si l horodatage est un outil de tra abilit ne pas d naturer insiste J r me Gresse Des modifications manuelles doivent rester possibles par exemple en cas de services rendus par l aide domicile avant de badger cas typique de courses faites avant d arriver au domicile DES VERSIONS SOINS INFIRMIERS ET PORTAGE DE REPAS POUR 2015 Parmi les autres pr occupations pratiques et techniques soulev es lors de l atelier la question r currente des zones blanches Un faux probl me ici puisque l horodatage peut tre effectu partout tandis que la transmission des informations se fait d s que le r seau redevient disponible L outil de t l gestion est il le m me pour Implicit et Apologic a t on encore demand lors du d bat C t intervenant l interface utilisateur est la m me ainsi que la plateforme technique In fine l outil m tier peut tre diff rent mais il y a harmonisation des processus entre les Solutions A noter la n cessit de s quiper d un outil pour la gestion de la flotte de t l phones en plus de l application m tier a galement indiqu J r me Gresse une question du CCAS de Suresnes Enfin ce type de solution est il adapt d autres usages que l aide domicile notamment aux services de soins infirmiers domicile s est interrog e Marie Cla
26. opole bancaire en application de l article 525 4 du code mon taire et financier Parmi ceux ci le titre restaurant le ch que emploi service universel CESU pr financ ou encore le ch que d accompagnement personnalis d ici fin 2014 le Groupe se sera dot de son propre EME via sa filiale CEV UN DISPOSITIF TECHNIQUE PERFORMANT Pionnier sur ce nouveau march le Groupe Ch que D jeuner a d velopp une plateforme mon tique avec Atos Worldline leader europ en dans le domaine des paiements et des services transactionnels et choisi de travailler avec le groupe Mastercard pour l acc s aux terminaux de paiement des commer ants Techniquement un portail permet aux populations de remplir leur dossier en ligne de contr ler leur ligibilit aux diff rentes aides et aussi de les activer En France sept Conseils r gionaux ont mis en place des cartes gratuites et individualis es pour diff rents publics par exemple les jeunes les lyc ens les tudiants et les apprentis dans la r gion Limousin Le portail appel BeLim permet un jeune d effectuer sa demande de carte en ligne et son titulaire d acc der un espace personnel gr ce un code secret la carte ayant t pr alablement activ e sur le site Cette carte permettra l achat de produits culturels ou sportifs sp cifi s en fonction des montants d cid s et octroy s par la collectivit Les solutions techniques mises en uvre peuvent galement p
27. par celui ci Le reliquat d est pr lev sur le compte bancaire du b n ficiaire Le paiement intervient par virement un mois plus tard Afin de laisser une certaine souplesse aux b n ficiaires dans l utilisation des heures financ es par le d partement et si le Conseil g n ral l accepte une d claration inf rieure au nombre d heures pr vues dans le plan d aide cr e un cr dit d heures annuel Celui ci peut tre affect pour le calcul de la prise en charge une d claration ult rieure d heures qui serait sup rieure au plan d aide du mois consid r La mise en place ou non de la gestion du cr dit d heures est laiss e au choix du d partement Des avantages pour les trois parties Pour le b n ficiaire la solution du tiers payant est facilitatrice car il n a plus g rer l argent des cotisations sociales jusqu ici vers es par le conseil g n ral sur son compte C t D partement le tiers payant induit une gestion plus rigoureuse des finances publiques affect es au plan d aide Pour le CNCESU le recouvrement des prestations sociales est am lior EXTRANET ET OUTILS DE COMMUNICATION DISPOSITION Pour assurer le suivi du dispositif tiers payant le CNCESU met un extranet la disposition des d partements Cet outil permet un pilotage de l ensemble des informations Si le tiers payant intervient apr s le lancement d un dispositif CESU pr financ le succ s de sa mise en place r
28. pe l adaptation du dispositif l action sociale De nombreux pays ont d j adopt une carte sociale offrant aux b n ficiaires de prestations de solidarit une gestion plus facile et s curis e de leurs droits et aux financeurs un suivi plus qualitatif C est le cas des Etats Unis de la Russie de l Afrique du Sud de l Italie du Royaume Uni de l Espagne L Agence sud africaine de s curit sociale SASSA et Mastercard ont par exemple lanc en mars 2012 un syst me biom trique de versement des prestations sociales Et en 2013 le Groupe Ch que D jeuner a acquis Si Vale le leader mexicain du march des titres de services pr pay s et d velopp des actions innovantes gr ce ces nouveaux supports d mat rialis s en direction des publics les plus d munis LE CADRE JURIDIQUE Ces nouvelles prestations sont encadr es juridiquement par la directive europ enne n 2009 110 ce du 16 septembre 2009 transpos e en France par la loi n 2013 100 du 28 janvier 2013 portant diverses dispositions d adaptation de la l gislation au droit de l union europ enne en mati re conomique et financi re Suite a l adoption de ces textes les tablissements de monnaie lectronique EME se sont vu reconnaitre la capacit d mettre de la monnaie lectronique au m me titre que les autres tablissements de cr dit un arr t du 17 juin 2013 a ensuite fixe la liste des titres sp ciaux de paiement d mat rialises soustraits au mon
29. place de t l proc dures APA PCH pour le suivi en ligne du dossier 10 20 D CONOMIES A noter par ailleurs l laboration d un annuaire m dico social en ligne pour le secteur du handicap qui doit ensuite tre tendu aux personnes g es Objectif apprendre chacun professionnels comme usagers qui fait quoi sur le territoire de leur Maison Des Solidarit s MDS Un change de donn es avec l ARS aura permis cet annuaire mis jour au fil de l eau par les directeurs de structures Parall lement la mise en place du module ViaTrajectoire pour la gestion des places et files d attente en tablissements nous allons construire un r f rentiel pour tout ce qui concerne les centres communaux d action sociale CCAS services d ducation sp ciale et de soins domicile SESSAD transports compl te Caroline P ron Il fera communiquer l ensemble des bases pour cr er un portail de l autonomie o usagers et professionnels pourront se connecter pour avoir les informations et acc der leur dossier en ligne Sur l ensemble du projet les d lais de r ponse sont tomb s 73 jours des conomies de 10 15 sont attendues gr ce au GESU et d autres valuables 20 sont esp r es gr ce aux t l transmissions Prochaine tape en 2015 la r vision des plans d aide et le d veloppement de la mobilit Vous attendons beaucoup de la solution Solis amp G0 pour viter que les se
30. ste d Arcan pour fluidifier le parcours de l usager permettre la transmission automatique d informations entre structures et avec les Maisons d partementales du handicap MDPH On aura not cet gard une pr occupation particuli re des participants cet atelier sur la gestion des listes d attente Thierry Sulvic DSI du Conseil g n ral de la Sarthe voque ici une adh sion croissante des CG au projet ViaTrajectoire n en Rh ne Alpes et en train d tre adopt par les ARS en fonction de ses places disponibles chaque structure peut postuler sur cette plateforme lectronique pour prendre en charge un usager dont le profil a t post Autre t moignage la MDPH de Moselle a mis en place sa propre plateforme de gestion des listes d attente sur le m me principe II est dans l int r t de l diteur de logiciels d aller dans le sens de louverture pour utiliser ces plateformes commente Laurent Florentin directeur commercial d Arcan Arcan est d ailleurs en train de d velopper des connecteurs avec ViaTrajectoire sur ses solutions d hospitalisation domicile Une piste tudier sur D3i estime Guillaume Chomat Dans le m me ordre d id e des passerelles entre Via rajectoire et le progiciel Solis d info DB seraient pr voir a relev Thierry Sulvic Le message est pass D3i devient AtHome Handicap DSi change de nom pour AtHome Handicap La solution informatique elle continue d voluer sur les
31. ude Daquin de l Union nationale de l aide des soins et des services aux domiciles UNA La r ponse est oui mais avec des solutions sp cifiques aux prestations de soins en plus de l horadatage gestion des tourn es transmissions cibl es Une telle version de Domatel adapt e aux soins infirmiers sera disponible fin janvier 2015 nous a appris J r me Gresse Une autre solution adapt e au portage de repas est galement pr vue optimisation des tourn es qualification de la prestation comme les repas sans sel En fait la plateforme commune actuelle de Domatel permettra terme d adapter le produit chaque besoin m tier ou service r alis au domicile 11 Atelier n 1 lt lt N Li _ En LL on N Li e Li es s Ze gt Cd S lt N a 3 LL ii a a m LL a A RL es lt LL LL E Se j l on LL Se LA LA LA TELEGESTION MOBILE DOMICILE paa LLI es a s ELI LL LL l Q on LLJ n am lt lt ou a es LL Atelier n 3 12 ATELIER 3 VERS LA CARTE SOCIALE ET LE PORTAIL CITOYEN Le Groupe Ch que D jeuner d veloppe en collaboration notamment avec les Conseils r gionaux des dispositifs d mat rialis s sous forme de cartes facilitant acc s des usagers diff rents services Prochaine ta
32. ur partager le dossier des r sidents passant au p le Adulte d o un transfert des dossiers au format papier Nous avons d ressaisir tous les dossiers Un surcro t de travail norme Inversement pour les enfants passant la MAS Bonhoeffer louverture d un partage a permis le transfert informatique de tout le dossier synth ses projets personnalis s Ici la continuit des soins a du coup tr s bien fonctionn L on Rozsypal responsable qualit de l Association familiale d aide aux enfants inadapt s AFA I qui g re 17 tablissements explique que sa structure pratique aussi l change de dossiers d mat rialis s mais cela implique d autres difficult s en amont convaincre les directions convaincre chaque m tier de partager l information convaincre les anciens Cela tant on y arrive Notre objectif est le z ro papier FAIRE VOLUER SOI M ME SON APPLICATION Autre exemple pr sent lors de cet atelier l exp rience de l Adapei des Landes qui souhaitait faire voluer ses outils sans avoir passer par le prestataire Arcan en l occurrence Le monde m dico social est tellement divers que notre id e est plut t de permettre chaque utilisateur d adapter l outil D3i ses pratiques approuve Guillaume Chomat Un prototype a ainsi t test la demande de l Adapei des Landes afin qu elle puisse cr er ses propres formulaires de saisie et ses requ tes pour les orientations pr vis
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