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Allergologie

1. t l 32 0 4 254 72 11 INTRODUCTION ui n a pas t confront une allergie ou une pseudoallergie dans sa vie personnelle ou dans son entourage familial Pour diff rentes raisons l allergie devient une maladie de plus en plus fr quente mais curieusement l allergologie n est pas enseign e dans nos universit s et il n y a toujours pas de dipl me reconnu dans cette mati re Pourtant il faut constater en plus de l augmentation de la pr valence de l allergie que des progr s tr s importants sont accomplis dans cette discipline dont les m canismes physiopathologiques sont de mieux en mieux compris et les moyens diagnostiques de plus en plus pr cis Les maladies allergiques peuvent tre fort invalidantes pour certains patients elles peuvent parfois comporter un risque mortel Quand ces maladies sont chroniques elles peuvent avoir un co t social non n gligeable Cela peut tre le cas dans certaines formes d asthme de rhinite d urticaire d d ecz ma ou d allergie alimentaire Vingt trente pour cent de la population souffre d une forme d allergie Le diagnostic des maladies allergiques peut s av rer compliqu et ne pas tre r solu par un simple examen biologique Ce diagnostic implique donc une expertise clinique En l absence de reconnaissance d allergologue il n est pas toujours facile pour le m decin g n raliste de savoir qui adresser son patient lorsqu il l estime n cessaire L
2. TESTS DE TOL RANCE D SENSIBILISATION AUX VENINS PAR LA METHODE RUSH INDUCTION DE TOL RANCE MEDICAMENTEUSE Allergies alimentaires Pneumallerg nes Trophallerg nes M dicaments Venin de gu pe et d abeille AUTRES RAISONS D HOSPITALISATION SOUHAITABLES Dermatites s v res Urticaires et d mes Asthme Choc anaphylactique 2 CITADOC Allergologie LA PRISE EN CHARGE OE DES ALLERGIES RESPIRATOIR ES l asthme et la rhinite allergique ont une pr valence importante dans la population Les allerg nes principaux l origine des sensibilisations respiratoires sont les acariens les pollens et les pith lias Moins fr quemment les moisissures peuvent tre l allerg ne majeur et induire des formes d asthme particuli rement s v res comme l aspergillose bronchopulmonaire allergique l asthme est galement favoris par la pollution soit ext rieure soit int rieure comme le tabagisme actif et passif l asthme et la rhinite d origine professionnelle sont sous diagnostiqu s et parmi les causes multiples de pathologie respiratoire professionnelle notons particuli rement la farinose comme cause principale d asthme professionnel allergique et les isocyanates polyurethanes comme cause principale d asthme chimique Les tests cutan s permettent de rechercher une sensibilisation en 20 minutes O Dr H SIMOI IS Pnet E DE QUELS OUTILS DISPOSONS NOUS AU CHR POUR F
3. ase et une phase tardive cons cutive une infiltration de cellules inflammatoires osinophiles dont les m canismes complexes d extravasation impliquent de multiples intervenants Mol cules d adh sion cytokines chemokines IL5 CITADOC Allergologie Plus rarement dans le cadre d une allergie aux moisissures on observe une sensibilisation de type 3 m di e par des IgG pr cipitines notamment pour la moisissure Aspergillus Le traitement de la rhinite allergique comporte l viction des allerg nes incrimin s m me si ce dogme fait l heure actuelle l objet de multiples controverses Buy a cat or kill the cat des m dicaments administr s le plus souvent de facon intermittente en fonction des sympt mes antihistaminiques non hypnog nes cortico des topiques voire anti leucotri nes plus rarement et pour de br ves cures cortico des syst miques et sympathicomim tiques topiques Une hyposensibilisation sp cifique sublinguale ou sous cutan e traitement long et astreignant peut tre envisag e en tenant compte du rapport co t b n fice Son succ s est d autant plus pr visible qu elle s adresse un patient jeune avec une histoire clinique r cente sensibilis un seul allerg ne surtout si celui ci est pollinique A c t de la rhinite allergique cons cutive une sensibilisation IgE m di e l oto rhino laryngo logiste est confront aux pathologies inflam ma
4. g ne au travail ou l cole sympt mes invalidants L asthme accompagne les manifestations inflammatoires des voies respiratoires sup rieures dans 20 38 des cas Invers ment 78 des patients asthmatiques souffrent de rhinite chronique allergique ou non On attribue commun ment l incidence croissante de la rhinite allergique aux facteurs suivants DR J J DAELE ORL pollution de l environnement effet de serre et r chauffement climatique mode de vie occidental western s way of life diminution des infections exposition accrue aux allerg nes La rhinite allergique induit des co ts directs 42 et indirects 58 importants 3 009 en 1993 en CEE 20 337 pour l asthme et alt re La qualit de vie questionnaire SF 36 autant qu un asthme de s v rit 4 sur une chelle de s v rit de 1 5 Les acariens les pollens les moisissures les squames d animaux constituent les a roallerg nes les plus fr quemment impliqu s Les sensibilisations aux pollens d arbres bouleau surtout mais aussi aux gramin es et l armoise s accompagnent souvent de sensibilisation alimentaire aux fruits noyaux fruits secs pomme pomme de terre c leri Sur le plan physiopathologique la r action inflammatoire allergique se d roule en deux phases une phase pr coce est induite par la lib ration de m diateurs surtout mastocytaires histamines prostaglandines leucotri nes PAF tromboxane h parine prot
5. viande poisson crustac s 53 Arachide 23 L gumineuses lentille pois soja lupin f ve pois chiche 3 Noix 2 6 ALLERG NES ALIMENTAIRES AU DEL e Ce sont surtout des aliments d origine v g tale Dr M DESCHAMPHELEIR RE PI DE 15 ANS e 6 classiques couvrent 55 5 des allergies alimentaires rosac es p che pomme poire cerise ombellif res c leri fenouil coriandre crustac s oeuf poisson lait e 5 valeurs s res 17 1 des cas bl soja banane avocat kiwi e Tout le reste 19 3 des cas pomme de terre moule tournesol arachide mangue sarrasin porc rognons poulet sesame tomate fraise tomate ch taigne LA PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE DES ALLERGIES ALIMENTAIRES LES TESTS CUTAN S e Sont r alis s avec des allerg nes commerciaux mais id alement avec des aliments l tat natif e Les aliments natifs sont conserv s dans un cong lateur et sont utilis s pour les tests cutan s apr s d cong lation e Ils permettent d augmenter la sensibilit des tests cutan s de fa on importante LE CAP RAST IL faut vraiment s en m fier dans l allergie alimentaire e En cas d allergie aux pollens on risque un RAST faussement positif pour tous les aliments v g taux de fa on presque syst matique e En cas d allergie aux acariens possibilit d un RAST faussement positif pour les crustac s e De plus un RAST positif n e
6. Allergologie HORAIRES DES CONSULTATIONS SITE CITADELLE Lundi DR GRAND DR DESCHAMPHELEIRE Mardi DR SIMONIS DR DESCHAMPHELEIRE Mercredi DR GRAND DR GRAND DR SIMONIS Jeudi DR GRAND DR GRAND DR SIMONIS DR DESCHAMPHELEIRE Contact possible avec les m decins sur le Dect cfr coordonn es SITE DE SAINTE ROSALIE AM PM DR DESCHAMPHELEIRE DR GRAND Contact possible au bureau de consultation 04 2547253 Vendredi AM DR GRAND Contact possible au bureau de consultation 04 2405965 G LE SERVICE D ALLERGOLOGIE NOM PRISE DE RENDEZ VOUS ame O gsn BEC O oaas O SECR TARIAT HOSPITALISATION TESTS R ALISABLES EN CONSULTATION Pneumallerg nes PRICK TEST Trophallerg nes Aliments natifs M dicaments INTRADERMO Venins M dicaments PATCH TEST Anene Anesth siques locaux TESTS DE Aliments dans certains cas PROVOCATION Ent ropathies lait de va che bl arr ter les antihistaminiques 7 jours avant arr ter les corticoides topiques 6 semaines avant arr ter les tricycliques et le zaditen 3 semaines avant arr ter les antitussifs 3 jours avant idem que pour les prick tests arr ter les cortico des oraux et topi ques 6 semaines avant d finir en consultation Stopper les antihistaminiques 7 jours avant TESTS R ALISABLES EN HOSPITALISATION 24 36 H SALLE 27 Une consultation pr alable ce type d hospitalisation est souhaitable TESTS DE PROVOCATION
7. allergologue n est pas clairement identifi dans le trajet de soins La prise en charge du patient allergique implique le plus souvent un travail de collaboration entre le m decin g n raliste et diff rents sp cialistes les uns prenant en charge le diagnostic d autres pouvant prendre en charge les investigations tiologiques C est dans ce cadre que l allergologue devient incontournable pour une prise en charge de qualit et que l allergologie constitue une discipline part enti re Bien s r le support des techniques de laboratoire a aussi un r le important L objectif de ce num ro de Citadoc est double D abord rappeler au m decin g n raliste les l ments de prise en charge des principales maladies allergiques Ensuite pr senter les diff rents services du CHR pouvant dans ce cadre leur rendre service Il faut souligner que certains m decins du CHR de la Citadelle se sont investis dans ce domaine notamment en s inscrivant des formations en particulier en France ou en adh rant des soci t s savantes d allergologie Ils ont ainsi pu d velopper cet aspect de leur sp cialit qu elle soit la m decine interne l ORL la p diatrie la dermatologie ou la biologie clinique Docteur J M LEVA Docteur M GUSTIN M decin G n raliste Chef du Service d l gu F L A M G aupr s du CHR de Pneumologie CITADOC Allergologie EDITORIAL es maladies allergiques voient leur pr valence augmenter depuis plu
8. l allergie Cette analyse ne doit pas tre utilis e comme d pistage de l allergie Acarien x LA PRISE EN CHARGE CITADOC Allergologie DES ALLERGIES ALIMENTAIRES L ALLERGIE ALIMENTAIRE VRAIE DOIT ETRE DISTINGUEE D AUTRES PATHOLOGIES NON ALLERGIQUES D ORIGINE ALIMENTAIRE e intol rance alimentaire favisme intol rance au lactose e Toxicit alimentaire endotoxines bact riennes ergotisme e Nevrose orale phobies alimentaires e Fausses allergies alimentaires histamine tyramine e Allergies crois es syndrome d allergie orale en cas de sensibilisation au latex pollen de bouleau L ALLERGIE ALIMENTAIRE PEUT S EXPRIMER A PLUSIEURS NIVEAUX e Cutan dermatite atopique urticaire angioed me dermatite herp tiforme e Respiratoire rhinite conjonctivite asthme Syndrome de Heiner e Oculaire conjonctivite e Syst mique choc anaphylactique e Digestif douleurs abdominales vomissements diarrh e malabsorption syndrome d allergie orale SAO QUELLE EST LA PR VALENCE DE L ALLERGIE ALIMENTAIRE e 25 de la population croit souffrir d allergie alimentaire elle est prouv e chez e 3 7 des enfants 80 en cas de dermatite atopique e 2 3 des adultes e 7 pense avoir une intol rance ou allergie aux additifs alimentaires 0 01 en souffre ALLERG NES ALIMENTAIRES JUSQU L GE DE 15 ANS Ce sont surtout les aliments d origine animale lait oeuf
9. le test sont pr alablement incub s avec des microsomes h patiques ce qui permet d obtenir les m tabolites du m dicament apr s m tabolisation par le syst me cytochrome P450 h patique e Technique lourde et co teuse mais de sensibilit satisfaisante dans des mains exerc es s il est coupl d autres techniques de recherche d allergie m dicamenteuse 2 ELISPOT IFN e Technique nouvelle en d veloppement prometteuse on incube les leucocytes du patient avec le m dicament et on value la lib ration d IFN y cytokine signant l activation des lymphocytes sensibilis s au m dicament Non disponible en routine e Pour la p nicilline sensibilit de 86 sp cificit de 95 e Outre sa bonne sensibilit et sp cificit ce test permet d valuer les r actions allergiques crois es potentielles entre les m dicaments et il semble ind pendant du d lai existant depuis la r action m dicamenteuse 3 TESTS IN VIVO Les intradermo r actions lecture retard e 48 heures 96 heures et 1 semaine e Elles sont utiles dans le diagnostic des rashs maculopapulaires ou les toxidermies aux p nicillines en particulier O Elles sont contre indiqu es en cas de vasculite syndrome de Stevens Johnson Lyell capables de r activer la r action 6 de probabilit Les patch tests r alis s avec les m dicaments sont reconnus tr s utiles par de nombreuses publications r centes positi
10. n gatifs e La prescription d un r gime d viction alimentaire complique fortement l existence des patients et ne devrait donc tre prescrit que si l allergie alimentaire here a pu tre prouv e sans ambigu t c est la ari place du test de provocation alimentaire le gold standard de l allergie alimentaire e En cas de r action imm diate il n est pas d nu de risque et doit tre r alis en hospitalisation d au moins 36 heures avec voie veineuse pr sente et mat riel de 12 r animation disponible e Ces tests sont r alis s en routine dans le service d Allergologie pour les adultes et dans le service de p diatrie Dr J P Sacr pour les enfants LE SERVICE DE DI T TIQUE DU CHR e Le suivi d un r gime d viction alimentaire est parfois tr s difficile assumer par les patients chez qui une allergie alimentaire a pu tre prouv e e Les di t ticien ne s du CHR permettent de donner des conseils avis s et faciliter la vie de ces patients LE TRAITEMENT DES ALLERGIES ALIMENTAIRES e Les moyens de traitement sont pauvres et bas s sur les r gimes d viction e Aucun m dicament n est utile La d sensibilisation sp cifique ne peut tre r alis e Des traitements d accoutumance sont publi s et efficaces mais encore dans le domaine des tudes Ils ne sont pas recommandables comme traitement de routine LE D PISTAGE DES ALLERGIES ALIMENTAIRES IN VITRO CAP RAST 6
11. population a tendance d velopper des r actions retard es avec vasculite maladie s rique n vrites enc phalite n phropathie troubles de la coagulation Le d lai entre l apparition des sympt mes et la piqure peut tre de plusieurs jours ou de plusieurs semaines parfois pr c d d une r action anaphylactique CITADOC Allergologie Gu pe LA PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE DES ALLERGIES AUX HYM NOPT RES IN VITRO CAP RAST pour levenin tr s utile pour le diagnostic mais attention au pi ge du RAST dans le diagnostic de l allergie au venin si le sujet est allergique et en particulier s ilestsensibilis aux pollens ila 20 30 de probabilit d avoir des IgE sp cifiques dirig es contre les radicaux carbohydrate des pollens Or ces radicaux carbohydrate se trouvent galement sur les allerg nes des venins d hym nopt re IL y a donc un risque lev de faux positif pour le venin La pr sence des IgE anti carbohydrate explique galement pourquoi on observe fr quemment un dosage d IgE sp cifique pour le venin d abeille en cas de r action allergique au venin de gu pe et invers ment il s agit de faux positifs li s aux IgE anti carbohydrate IL est tr s simple de v rifier les IgE anti carbohydrate cet allerg ne est disponible au catalogue CAP RAST de Phadia r f rence R0214 CCD MUXF3 IN VIVO In vivo le diagnostic de l allergie au venin d hym nopt res se fait par des intr
12. ss snrnrsrrsernennnnnns p 9 3 La prise en charge des allergies alimentaires ss p 11 4 La prise en charge des allergies au venin d hym nopt res nn snsnennennnnns p 13 5 La prise en charge des allergies m dicamenteuses nssnrrrenennennennnnne p 17 6 Les allergies expression CUtAan e nnnn nn nnrrnnnenmnmannenmannenmeneenmmnneemeneennnnennne p 23 7 Le r le capital du laboratoire en allergologie ssssssnsnnnnnnunnnnnunnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn E p 25 8 Nouveaut au laboratoire a sss1112 12n0unnuunnnnnnnonnnnnnn nenna eee p 26 9 Liste des allerg nes none neneme emmm meeer p 27 10 Pr sentation du service de pneumologie allergologie p diatrique p 32 11 L activit allergologique en p diatrie nssnnrrrnnereennennennennennennenmennenmeneenmennnnne p 33 12 Allergie et ORL nnnnnnnannennonnsnnnnaneen ee ea aeaa p 34 13 Consultations de pneumologie sur les sites p riph riques partir du 1er octobre 2008 p 36 14 Un service administratif d dicac aux patients nn rrrnnnsnnenennenmannenneneennnne p 37 15 Programmede la 19 journ e m dicale nn rnrnnnnsnmmmmannemnmmnnenenndtenensnnennne p 39 M SITE DE LA CITADELLE boulevard du 12 de Ligne 1 4000 Li ge t l 32 0 4 225 61 11 M SITE DU CHATEAU ROUGE rue du Grand Puits 47 4040 Herstal t l 32 0 4 240 59 05 M SITE DE SAINTE ROSALIE rue des Wallons 72 4000 Li ge HER ICITADELLE CENTRE R SRIEUER R GIONAL DE LA
13. transmet les s rums Copenhague et nous permet d affiner grandement nos diagnostics d urticaire chronique Notre statistique sur 175 cas d urticaire chronique nous a permis de montrer que cette forme d urticaire auto immune tait confirm e chez 35 7 des patients O UTILISATION DES IGG DANS LES PNEUMOPATHIES D HYPERSENSIBILIT Chez certaines personnes pr dispos es l exposition des quantit s importantes de particules d origine fungique bact rienne ou animale peut provoquer des perturbations immunitaires entra nant une pneumopathie d hypersensibilit Ces pneumopathies inflammatoires et granulomateuses peuvent se manifester par une augmentation d IgG circulantes dirig es contre l agent causal Elles r sultent vraisemblablement de La formation de complexes immuns au niveau de la paroi des alv oles pulmonaires hypersensibilit de type IlI qui entra ne une activation des macrophages une r action inflammatoire au niveau de l pith lium broncho alv olaire et une infiltration de lymphocytes Th1 hypersensibilit de type IV lorsque l exposition est chronique La fibrose interstitielle qui en r sulte peut tre irr versible Le meilleur rem de consiste liminer la source d antig ne le plus rapidement possible Ces maladies sont observ es chezles travailleurs tr s expos s aux moisissures leveurs de b tail c r aliers champignonnistes ou les leveurs d oiseaux surtout les
14. 2 f424 rAra h3 RECOMBINANT DE NOISETTE f425 rCor a8 RECOMBINANT DE NOIX DE BR SIL rf354 rBer el RECOMBINANT DU POISSON rf355 rCyp c1 RECOMBINANT DE SOJA rf353 rGly m4 LL Dr J P SACRE Dr J LECLERCQ FOUCART Si 5 4 i 7 i k UC E a i P Dr V PASQUASY Dr H BOBOLI HORAIRES DES CONSULTATIONS SITE CITADELLE Mardi DR J P SACRE DR J P SACRE DR S HANSOUL DR S HANSOUL Mercredi DR J P SACRE DR J P SACRE Jeudi DR J P SACRE DR J P SACRE DR S HANSOUL DR S HANSOUL Vendredi DR J P SACRE DR J P SACRE DR J LECLERCQ FOUCART DR J LECLERCQ FOUCART Contact possible avec les m decins sur le Dect cfr coordonn es amp LE SERVICE D ALLERGOLOGIE P DIATRIQUE NOM DR FOUART oasa OOOO PRISE DE RENDEZ VOUS EN P DIATRIE Les maladies allergiques repr sentent une part importante de l activit de la polyclinique p diatrique comme le montrent les pr valences rappel es par le Docteur Grand Outre l asthme 10 des enfants la dermatite atopique 15 20 des enfants en bas ge les allergies alimentaires 4 8 des jeunes enfants il faut encore signaler les rhinites p rennes les rhino conjonctivites polliniques saisonni res l allergie aux venins d hym nopt res les urticaires aigu s et plus rarement chez l enfant chroniques les allergies m dicamenteuses plus particuli rement aux antibiotiques mais galement aux autres classes m dicame
15. 2 gros chiendent t17 c dre du Japon g3 dactyle pelotonn t18 eucalyptus g4 f tuque des pr s t19 mimosa g5 ray grass anglais t23 cypr s g fl ole des pr s t201 sapin g7 roseau t203 marronnier g8 p turin des pr s t205 sureau g agrostis blanc t206 ch taignier g12 seigle t207 sapin de Douglas g13 houlque velue t208 tilleul g14 avoine t209 charme g15 froment t210 tro ne g70 ivraie sauvage t212 c dre g201 orge t214 dattier g202 ma s tx1 t1 t3 t7 t8 t10 rable bouleau ch ne orme gx1 93 g4 g5 g6 g8 dactyle pelotonn f tuque des Li pr s ray grass anglais fl ole tx5 t2 t4 t8 t12 t14 aulne noisetier orme saule des pr s p turin des pr s peuplier gx2 92 95 96 98 g10 g17 gros chiendent ray grass tx t1 t3 t5 t7 t10 rable bouleau h tre ch ne anglais fl ole des pr s p turin noyer des pr s sorgho herbe de Bahia gx3 g1 g5 g6 g12 g13 flouve odorante ray grass RECOMBINANTS DU BOULEAU anglais fl ole des pr s seigle houlque velue t215 rBet v1 gx4 g1 g5 g10 g11 g13 g17 flouve odorante ray grass t216 rBet v2 profiline anglais roseau seigle houlque t220 rBet v4 velue t221 rBet v2 rBet v4 RECOMBINANTS DE FL OLE DES PR S RECOMBINANTDE OLIVER g205 JARADI t224 nOle e1 Olive g206 rPhl p2 g208 rPhl p4 209 Phl p6 me E gt w1 ambroisie lanc e ne IT s7 a w3 ambroisie trifide a i z n _ w4 fausse ambroisie 3 Di T RR w5 absinthe g214 rPhl p7 rPhl p12 w6 armoisie commune
16. AIRE LE DIAGNOSTIC DES MALADIES RESPIRATOIRES ALLERGIQUES LA FONCTION RESPIRATOIRE QUI PERMET D AFFIRMER LE DIAGNOSTIC D ASTHME En particulier les tests de provocations asp cifiques qui permettent de mettre en vidence une hyperr activit bronchique pathologique Le dosage du NO exhale qui permet de mesurer in vivo le degr d inflammation bronchique osinophilique En effet le NO est synth tis par les osinophiles activ s dans la muqueuse bronchique LES TESTS ALLERGIQUES Une batterie d allerg nes respiratoires pour les tests cutan s allergiques y compris professionnels permet d obtenir un diagnostic de sensibilisation allergique en 20 minutes Le laboratoire par l interm diaire des CAP RAST permet de faire le diagnostic d allergie in vitro Depuis l utilisation des allerg nes recombinants la pr cision des diagnostics allergiques est grandement am lior e avec la possibilit d valuer la sensibilisation aux diff rentes prot ines constituantes d un seul allerg ne S ilexiste une discordance entre les r sultats des tests allergiques et de l histoire du patient il est possible de r aliser un test de provocation nasale sp cifique pour l allerg ne suspect Les indications de la d sensibilisation sp cifique sont maintenant bien codifi es et font l objet de guidelines IL est toujours possibles de les r aliser par l interm diaire d injections sous cutan es mai
17. D Dr G HOTERMANS Dr Y SAMBON Dr T WEBER allergologie pneumologie g n rale pneumologie g n rale pneumologie g n rale consultant consultant LS HORAIRES DES CONSULTATIONS SITE DE SAINTE ROSALIE AM PM Lundi DR DESCHAMPHELEIRE DR GRAND Mecredi DR Y SAMBON DR C COMPERE Jeudi Dr F BAHARLOO Vendredi Dr T WEBER Rendez vous amp 04 254 72 28 AM PM Lundi DR G HOTERMANS DR G HOTERMANS Jeudi DR T WEBER Vendredi DR J L GRAND Rendez vous amp 04 240 59 40 36 CITADOC Allergologie joritare Num ro pror X exclusivement r serv au m decins g n rdlistes Le CHR de la Citadelle a structur son service administratif aux patients en rassemblant la t l phonie les rendez vous l accueil les inscriptions policliniques les admissions le service social et La m diation interculturelle dans un m me service Il est int gr au p le Ressources Humaines et Qualit globale et s intitule Service Administratif Patient Son principal objectif est d optimaliser le trajet du patient et de favoriser un accueil de qualit autour d un projet de gestion des files d attente Par files d attente il faut entendre les attentes t l phoniques physiques aux guichets ou en salle d attente de m me que le planning des rendez vous Ainsi depuis quelques mois une ligne prioritaire 04 230 78 78 a t mise la disposition de tous les m decins ext rieurs Leurs appels sur cette ligne sont
18. I VOUS D SIREZ NOUS CONTACTER NOM REA 04 225 64 20 Nathalie Duliba Chef administratif de l Encadrement des polycliniques 04 225 75 39 Kezban Kaya Chef administratif de l accueil et de la t l phonie 04 225 69 51 V ronique Baronheid Chef de service administratif des admissions 04 225 67 93 Marie Anne Nyssen Chef de service administratif de Sainte Rosalie 04 254 72 10 Fabienne Goffin Chef de service administratif de Ch teau Rouge 04 240 59 02 Raphael Driesen Chef du service social et m diation interculturelle 04 225 64 50 CITADOC Allergologie PROGRAMME DE LA 19 JOUR N E M DICALE DU CHR DE LA CITADEL SAMEDI 29 NOVEMBRE 2008 Expos s scientifiques Orateurs Pr sident Dr M DUSART Mod rateur Dr J M LEVA Nouveaut s dans le traitement du diab te de type Il D sensibilisation par voie sublinguale Chirurgie rologique par robotique Arthroplastie de la hanche et du genou actualit s 4heures pour 4mm3 quel traitement pour les an vrysmes c r braux Dr L COLLIGNON Dr J D BORN La vitamine D Dr 0 KAYE DL KA E Orateurs Pr sident J D BORN Mod rateur Dr D ABBATE Nouveaut s en radiobiologie et radioprotection Dr P SMEESTERS L gitimit des antioxydants et suppl ments vitaminiques Bien manger la meilleure facon de vivre mieux plus Dr N PAQUOT longtemps Pr J O DEFRAIGNE organe de communication interm dicale l attention des m decins g
19. L oto rhino laryngologie est impliqu e dans les pathologies allergiques principalement au niveau rhino sinusal rhinites et rhino sinusites moins fr quemment au niveau des muqueuses buccales pharyng es ou laryng es Les sympt mes de la rhinite allergique sont corr l s la lib ration la surface de la muqueuse nasale par les basophiles et mastocytes de m diateurs Histamine qui induisent une r action inflammatoire avec tum faction d mateuse de la muqueuse nasale obstruction une hypers cr tion glandulaire rhinorrh e muqueuse et une irritation des terminaisons amy liniques des fibres trig min es prurit et ternuements La rhinite allergique est une pathologie tr s fr quente 17 6 de la population belge 33 si les deux g niteurs sont allergiques 25 si l un des g niteurs est allergique 14 6 si aucun des deux n est allergique dont les sympt mes se d clinent sur un mode intermittent 59 des cas dont les sympt mes sont pr sents moins de 4 semaines par an ou moins de quatre jours par semaine ou persistants 41 des cas avec sympt mes pr sents plus de quatre jours par semaine et plus de quatre semaines par an Selon l alt ration de la qualit de vie les sympt mes sont qualifi s de l gers 25 des cas ou de mod r s s v res 75 suivant la pr sence ou non d un des items suivants sommeil perturb g ne lors des activit s quotidiennes de la pratique du sport ou des loisirs
20. adermo r actions avec du venin dilu En cas d allergie au frelon on peut utiliser le venin de gu pe identique au venin de frelon En cas d allergie au bourdon il est pr f rable d utiliser du venin de bourdon car il poss de Abeille O des prot ines identiques au venin d abeille mais galement des prot ines sp cifiques du bourdon Heureusement les piqures de bourdon sont exceptionnelle cet hym nopt re est tr s pacifique la majorit des piqures de bourdon sont constat es en horticulture dans les serres tomates o les bourdons sont utilis s pour polliniser les plans de tomate Le r sultats des intradermo r actions au venin sont beaucoup plus sensibles et sp cifiques que ceux du CAP RAST car en particulier ils sont insensibles la pr sence chez le patient d IgE contre les radicaux carbohydrate LA PRISE EN CHARGE TH RAPEUTIQUE DE L ALLERGIE AU VENIN D HYMENOPTERE LA PRISE EN CHARGE M DICAMENTEUSE Les antihistaminiques ne sont utiles que pour des sympt mes mineurs comme un l ger prurit ou urticaire Ils sont inefficaces dans une r action syst mique Les cortico des doivent tre utilis s dans une r action syst mique mais ils sont insuffisants dans la prise en charge d une r action s v re en raison de leur d lai d action important L adr naline e C est Le traitement obligatoire d une r action syst mique elle est active sur l hypotension
21. allerg nes autoris s Blanc d oeuf Lait de vache Poisson Farine de bl Arachide Soja Les hym nopt res susceptibles d induire une r action anaphylactique sont dans notre r gion les vespidae gu pe frelon et les apidae abeille bourdon Le venin d hym nopt re peut induire des r actions locales et des r actions anaphylactiques On estime que 3 de la population est susceptible de pr senter des r actions anaphylactique au venin Le risque l thal est faible estim 40 morts par an pour la population des Etats Unis mais ce chiffre est probablement sous estim On estime que de nombreuses morts subites inexpliqu es pourraient r sulter d une anaphylaxie une piqure d hym nopt re le record homologu du d lai entre une piqure de gu pe et Le d c s est de 3 minutes En cas de r action locale m me tr s tendue s tendant sur plus de deux articulations le risque de d velopper une r action g n rale grave est estim 5 maximum chez l adulte et 10 maximum chez l enfant Ce n est pas une indication lancer une d sensibilisation sp cifique Contrairement ce qu on pourrait croire chez les sujets pr sentant des r actions locales intenses seule une minorit a tendance d velopper des r actions plus intenses lors des piqures ult rieures la majorit des sujets ayant tendance d velopper des r actions uniquement locales chaque piqure 0 3 de la
22. ans le m tabolisme de la bradykinine Kininase Il En cas de d ficit des autres enzymes de catabolisme de la bradykinine de synth se excessive de bardykinine ou d activation du compl ment on peut voir appara tre des pouss es d d me angioneurotique parfois plus de 10 ans apr s le d but du traitement par les IEC 0 3 0 5 des traitements Les Sartans peuvent galement induire les m mes r actions mais par un m canisme diff rent 5 ACTIVATION DU COMPL MENT l activation du compl ment induit la lib ration d anaphylatoxines C3a et C5a qui ont des r cepteurs sur les mastocytes et les basophiles et induisent une histaminolib ration si le compl ment est activ Une r action clinique anaphylactoide n est cependant pas toujours observ e E EN CHARGE DES AL AMENTEUSES LA Plusieurs m dicaments peuvent induire des r actions anaphylacto des par activation du compl ment la protamine 6 AUGMENTATION DE LA SYNTH SE DES LEUCOTRI NES L aspirine les anti inflammatoires non st ro diens sont en deuxi me place des r actions m dicamenteuses derri re les p nicillines et d riv s Le m canisme l origine de ces r actions n est cependant pas allergique IgE d pendant IL passe par le blocage des cyclo oxyg nases de type avec augmentation de la synth se des leucotri nes et diminution de la synth se de prostaglandines L alternative est l utilisation des inhibiteurs s lec
23. colombophiles Elles peuvent galement survenir chez l habitant d un logis devenu insalubre la suite d inondations ou tout simplement trop isol et mal a r Ces IgG ont La propri t de pr cipiter en pr sence de l antig ne dans un gel d agarose Auparavant ce test permettait leur d tection et explique le nom de pr cipitines qui leur a longtemps t attribu Il est actuellement possible de les doser avec les m mes techniques et les m mes antig nes que les IgE il suffit de changer un r actif On peut donc parler d IgG sp cifiques L interpr tation des r sultats est toutefois difficile En effet chacun d entre nous poss de des IgG dirig es contres ces particules qui font partie de l environnement Un taux lev peut correspondre un degr d exposition important et n entra ne pas n cessairement la maladie Ce n est que sur base d une anamn se soign e de l imagerie m dicale des ventuelles donn es anatomo pathologiques et de l tude du cadre de vie du patient que le clinicien peut tablir le lien entre les IgG sp cifiques lev es et les signes cliniques Ces tests l aideront convaincre le patient d am liorer son habitat de modifier son cadre de vie professionnelle ou d loigner un compagnon qui lui est cher CITADOC Allergologie LISTE DES ALLERG NES DISPONIBLES EN PERMAN LABORATOIRE DU CHR D t15 fr ne g1 flouve odorante t16 pin blanc g
24. directement pris en consid ration et relay s vers Le num ro souhait Quel que soit le service contact ces communications sont trait es prioritairement Notre service administratif patient a galement d velopp la prise de rendez vous multisites Votre correspondant t l phonique vous proposera la premi re consultation disponible sur n importe quel site du CHR de la Citadelle en fonction de la sp cialit concern e de la liste d attente et de la proximit avec le domicile du patient Pour rappel les sites g r s sont la Citadelle Ch teau Rouge Sainte Rosalie et l IPAL site du Valdor CITADELLE Pour obtenir un rendez vous En polyclinique 04 240 59 04 59 40 59 42 En radiologie 04 240 59 06 En h pital de jour g riatrique 04 248 54 50 SAINTE ROSALIE En polyclinique 04 254 72 28 72 48 En radiologie 04 254 72 80 Pour obtenir un rendez vous En radiologie 04 223 89 97 En m decine nucl aire 04 223 89 05 C I M C Pour obtenir plus d informations 04 227 15 81 Nous offrons aux patients non seulement des soins de proximit mais aussi un souci permanent de qualit Les courriers adress s aux patients ont t r actualis s et un rappel de l existence des sites y est inclus Unebrochuredestin eaupatientquise pr senteenpoliclinique CHR est distribu e Elle rappelle les sp cialit s pratiqu es sur chaque site et les services qui s y sont d velopp s Des affiches aux couleurs des sites son
25. e en cas de r action syst mique grave engageant le pronostic vital mais pas dans les r actions syst miques mod r es comme de l urticaire et pas en cas de r action locale m me tr s tendue Elle est d but e en milieu hospitalier par un traitement dit RUSH permettant d atteindre la dose protectrice en moins de 36 heures Elle peut tre d but e en urgence en plein t apr s une r action grave pour mettre rapidement le patient l abri d une nouvelle r action la protection tant obtenue dans les quelques jours suivant la d sensibilisation RUSH Le traitement est alors poursuivi au moins 5 ann es vie pour CITADOC Allergologie EN CHARGE DESA D HYM NOPT RE les apiculteurs allergiques au venin d abeille ne voulant pas renoncer lapiculture ou pour les sujets continuant pr senter des r actions durant la d sensibilisation Le risque de r action grave chez les patients non d sensibilis s et ayant pr sent des r actions syst miques est de 30 60 chaque nouvelle piqure durant la d sensibilisation le risque passe 10 15 pour le venin d abeille 5 pour Le venin de gu pe Apr s l arr t de la d sensibilisation d une dur e de 5 ans le risque est de 10 dans les 10 ann es qui suivent l arr t de la d sensibilisation Attention l utilisation des B bloquants est contre indiqu e dans la d sensibilisation sauf s ils sont prescrit dans le cadre d une pathologie coro
26. e normale avec restauration d une r ponse normale des lymphocytes T r gulateurs Si ceux ci sont stimul s ils lib rent de l interleukine 10 qui modifie la r ponse immune contre l allerg ne au lieu d une r ponse immune IgE pr pond rante appara t une r ponse IgG4 pr pond rante Ainsi la mesure de la modification des IgG4 sp cifiques contre l allerg ne utilis dans la d sensibilisation t moigne t elle de la r ponse immune favorable dans la d sensibilisation Mesures des IgG sp cifiques contre les moisissures et les antig nes aviaires c est une m thode de diagnostic des pneumopathies d hypersensibilit ou de l aspergillose bronchopulmonaire allergique qui tait autrefois r alis s par la technique des pr cipitines Cette nouvelle technique tout aussi sensible permet d avoir un diagnostic beaucoup plus rapidement e Mesure des auto anticorps dirig s contre le r cepteur Fc2RI ou les IgE la surface des mastocytes ces auto anticorps sont l origine de la forme la plus commune d urticaire chronique et se rencontrent dans 30 50 des urticaires chroniques d apr s les donn es de la litt rature leur mise en vidence est donc capitale dans le diagnostic de l urticaire chronique mais fait appel des techniques utilis es uniquement dans les laboratoires de recherche en immunologie Un seul laboratoire fait cette analyse pour les h pitaux en Europe il est situ Copenhague Notre laboratoire
27. emple rash maculopapulaire exanth me bulleux syndrome de Stevens Johnson ou de Lyell pustulose exanth matique aigu DRESS drug rash with eosinophilia and systemic symptoms Ainsi les m dicaments peuvent induire des r actions diverses par des m canismes nombreux immunologiques ou non s exprimant cliniquement de fa on tant t sp cifique tant t non sp cifique Le m me m dicament peut parfois induire des r actions diff rentes ou cliniquement semblables par des m canismes diff rents en particulier les p nicillines Urticaire Exemples de m dicaments inducteurs de r actions anaphylactiques IgE d pendantes S rums h t rologues Insuline ACTH Chymopapaine G latines fluides Chlorhexidine e Exemples de m dicaments inducteurs de r actions anaphylacto des non IgE d pendantes Aspirine AINS Anesth locaux Plasma 7 Dextrans fiec Gamma globulines DIAGNOSTIC DES ALLERGIES e Crit res s miologiques est ce que le M DICAMENTEUSES Le m decin est fort d muni face un tableau d allergie ou d intol rance m dicamenteuse e Seules les r actions m diation immunitaire peuvent b n ficier d une exploration in vivo et in vitro mais la sensibilit et la sp cificit des diff rentes techniques de diagnostic sont souvent pauvres e L hapt ne responsable de la r action n est pas n cessairement le m dicament lui m me utilis pour les explorati
28. erotoxine C staphylococcus enterotoxine D staphylococcus enterotoxine TSST malassezia penicillium notatum cladosporium herbarum aspergillus fumigatus alternaria tenuis RECOMBINANTS DE ASPERGILLUS FUMIGATUS m218 m219 m220 m221 m222 rAsp f1 rAsp f2 rAsp f3 rAsp f4 rAsp f6 RECOMBINANTS DE ALTERNARIA ALTERNATA rm229 k70 k71 k72 k74 k75 k76 k77 k78 k79 k80 k81 k82 k83 k84 k85 k86 k87 k202 k212 rAlt a1 grain de caf vert graine de ricin ispaghule soie production isocyanate TDI isocyanate MDI isocyanate HDI oxyde d thyl ne anhydride phtalique formald hyde ficus latex graines de coton graines de tournesol chloramine T anhydride trim llitique alpha amylase bromeline poussi re de bois d Abachi RECOMBINANTS DU LATEX rHrv b1 rHrv b3 rHrv b5 rHrv b6 01 k215 k217 k218 k219 k220 k221 k222 k224 f1 f2 f3 f4 f5 f f7 f8 f f10 f11 f12 f13 f14 f15 f17 f18 f20 f23 f24 f25 f26 f27 f31 f33 f35 f36 f37 f40 f41 f44 f45 f47 f48 f49 f58 f59 f60 f61 f75 f76 f77 f78 f79 f80 rHrv b6 02 rHrv b8 rHrv b9 rHrv b11 blanc d uf lait poisson cabillaud froment seigle orge avoine ma s riz s same sarrasin pois arachide soja haricot blanc noisette noix du Br sil amande crabe crevette tomate viande de porc viande de b uf carotte orange pomme de terre noix de coco moule th
29. es et des basophiles induisant une d granulation sans participation des IgE e stimulation des r cepteurs IgG des mastocytes par les IgG anti m dicament b Modulation des r cepteurs des mastocytes et des basophiles e les b ta bloquants favorisent l histamino lib ration L inverse est vrai pour les mim tiques e modulation de l histamino lib ration des mastocytes et basophiles par l interm diaire de neuro transmetteurs comme la substance P par exemple e l histamine par la stimulation des r cepteurs H2 des mastocytes et basophiles diminue les capacit s d histamino lib ration de ces cellules La prise d un m dicament anti H2 est capable de favoriser la lib ration d histamine en bloquant les r cepteurs H2 des basophiles et des mastocytes c Les produits hyperosmolaires e Les basophiles et mastocytes sont tr s sensibles l hyperosmolarit avec une variation interindividuelle tr s importante Cependant les solutions de perfusion hyperosmolaire mannitol glucose et principalement les produits de contraste iod s sont impliqu s dans ce type de r action Exemples de m dicaments histamino lib rateurs Morphine et d riv s cod ine t tracyclines polymyxine vancomycine papav rine myorelaxants atropine dextrans polyvidone produits de contraste iod s 4 ACCUMULATION DE BRADYKININE M dicaments de la classe des IEC Les IEC inhibent l angiotensine qui interf re galement d
30. f45 f47 f48 f85 fx8 f17 f18 f33 f49 f93 fx10 f26 f27 f75 f83 f284 fx13 f12 f15 f31 f35 fx15 f33 f49 f92 f95 fx22 f201 f202 f203 f256 fx32 f235 f12 f15 f296 rf282 origan viande de dinde lait de jument myrtille datte huitre papaye fruit de la passion caroube ch taigne lait de ch vre kaki mandarine langouste citron vert escargot graine colza coriandre ecrevisse viande de cheval groseille rouge figue past que menthe graine de lin graine de lupin sole coquille St Jacques olive noire framboise quinoa litchi arachide noisette noix du Br sil amande noix de coco cabillaud crevette moule thon saumon froment avoine ma s s same sarrasin blanc d uf lait cabillaud froment arachide soja tomate levure de bi re ail oignon c l ri noisette noix du Br sil orange pomme cacao viande de porc b uf poulet dinde jaune d uf pois haricot blanc carotte pomme de terre orange pomme banane p che noix de P can noix de Cajou pistache noix lentille pois haricot blanc caroube noix de muscade rf220 cannelle rf324 houblon rf340 cochenille rouge carmin RECOMBINANT DE CREVETTE f351 rPen a1 tropomyosine RECOMBINANT DE FROMENT f416 rTri a19 omega 5 gliadin RECOMBINANT DE P CHE f419 rPru p1 f420 rPru p3 RECOMBINANT DE C L RI f417 rApi 1 01 RECOMBINANTS DE CACAHU TE f352 rAra h8 f422 rAra h1 f423 rAra h
31. fs dans 28 50 des r actions retard es Leur positivit d pend du m dicament impliqu et du type de r action positifs dans 59 des rashs maculopapulaires positifs dans 50 en cas de pustulose exanth matique aigu les exanth mes positifs dans l ruption fixe si le test est r alis sur la cicatrice pigment e Uniquement utiles galement dans l ecz ma le syndrome babouin l rythrodermie la pustulose exanth matique aigu le DRESS en cas de photosensibilit Mauvaise sensibilit dans lurticaire la vasculite l ryth me polymorphe les syndromes de Stevens Johnson et Lyell o ils peuvent r activer la toxidermie Dans une tude sur 164 cas de toxidermie ces tests sont positifs dans 72 des r actions retard es s ils sont tous r alis s avec positivit respective de e Patch tests 41 e Photo patch tests 46 e Prick tests 14 e Intradermo r actions 59 R ACTIFS M DICAMENTEUX DISPONIBLES EN CAP RAST PHADIA P nicilline G et V Amoxycilline Ampicilline Cefaclor Insuline ACTH Chymopapaine Protamine Anatoxine t tanique Suxamethonium Ispaghula G latine Ricin Gingembre Excipients Chlorhexidine Rouge carmin Gomme de guar Cas ine BSA Chloramine Lysozyme Enzymes prot olytiques Alpha amylase Brom laine Oed me de Quincke Comme pour les allergies expression ORL il s agit du domaine o une synergie et une collaboration tr
32. g215 rPhl p5 7 w7 marguerite w8 pissenlit w9 plantain lanc ol t1 erable w10 ch nopode t2 aulne w11 soude kali t3 bouleau w14 amaranthe t4 ear w18 petite oseille to kode w20 grande ortie t DEMEURER w21 pari taire t7 ch ne w203 colza t8 SUME w204 tournesol t olivier w206 camomille t10 Roye w207 lupin t11 platane wx2 w2 w6 w9 w10 w15 ambroisie chauve armoisie t12 saule commune plantain lanc ol ch nopode arroche t14 peuplier wx3 w6 w9 w10 w12 w20 wx5 w1 w6 w7 w8 w12 wx6 w9 w10 w11 w18 RECOMBINANT DE PARI TAIRE w211 el e2 e3 e4 e5 eb e7 e70 e71 e72 e73 e76 e77 e78 e79 e80 e81 e82 e83 e84 e85 e86 e87 e88 e200 e201 e204 e208 e209 e213 e215 e217 e218 e220 s e221 pig e222 ex1 e1 e3 e4 e5 ex2 e1 e5 e6 e87 e88 armoisie commune plantain lanc ol ch nopode solidage verge d or grande ortie ambroisie lanc e armoisie commune marguerite pissenlit solidage verge d or plantain lanc ol ch nopode soude kali petite oseille rPar j 2 chat pith lium et squames chien pith lium cheval poils et squames vache poils et squames chien poils et squames cobaye pith lium pigeon excr ments oie plumes souris pith lium souris prot ines urinaires rat pith lium souris prot ines s riques perruche excr ments perruche plumes perruche prot ines s riques ch vre pith lium mouton pith
33. i la collaboration n cessaire avec Le m decin du travail qui pourra informer sur le type d exposition professionnelle la nature et la composition des produits utilis s et en fournir les chantillons tester Ces diverses explorations sont r alis es en troite collaboration e avec le service de pneumoallergologie e avec Le service d allergologie p diatrique pour la dermatite atopique M decin r f rent pour l exploration de l enfant V WILLEMAERS l exploration del adulte F CORNIL M LESUISSE F GOFFIN M SOYEUR Syndrome de Lyell CITADOC Allergologie LE R LE CAPITAL DU pnn icio Ee c Sans un laboratoire comp tent lallergologue serait bien d muni les tests cutan s in vivo tant insuffisants pour la majorit des diagnostics en allergologie Le service d allergologie permet de b n ficier d outils de diagnostics pr cieux propos s par le laboratoire de biologie et a toujours une coute tr s positive des responsables dans ce domaine en particulier le Dr Minon Madame Gillain et le Dr Milet e Disponibilit de toute la gamme des allerg nes CAP RAST Phadia et en particulier des allerg nes recombinants si utiles pour poser les diagnostics plus difficiles e Mesure des 1gG4 sp cifiques dans le suivi des d sensibilisations pour les pneumallerg nes ou les venins En effet si la d sensibilisation est efficace elle entra ne la restauration d une r ponse immun
34. illoyl G penicilloyl V ampicilloyl amoxicilloyl cefaclor chlorhexidine insuline porcine insuline bovine insuline humaine g latine suxamethonium succinylcholin protamine tetanus toxine i70 i71 i72 i73 i76 i204 p1 p2 p4 01 070 0201 ro214 m1 m2 m3 m4 m5 m m7 m8 m9 m10 m11 m12 m14 m15 m16 m36 m70 venin d abeille venin de gu pe USA dolichovespula maculata venin de gu pe vespula spp venin de poliste venin de gu pe dolichovespula arenaria venin de frelon europ en cafard fourmi rouge moustique mouche du Soudan larve rouge de moustique col opt re taon ascaris echinococcus anisakis coton liquide s minal feuille de tabac CCD MUXF3 from bromeline penicillium chrysogenum P notatum cladosporium herbarum aspergillus fumigatus mucor racemosus candida albicans alternaria tenuis botrytus cinerea setomelanomma rostrata helminthosporium halodes fusarium proliferatum F moniliforme stemphylium herbarum S botryosum rhizopus nigricans aureobasidium pullalans epicoccum purpurascens trichoderma vivide curvularia lunata aspergillus terreus pityrosporum orbiculare m80 m81 m202 m205 m207 m210 m223 m224 m226 m227 mx1 m1 m2 m3 m staphylococcus enterotoxine A staphylococcus enterotoxine B cephalosporium acremonium trichophyton rubrum aspergillus niger trichophyton ment var goetzii staphylococcus ent
35. l d me suffocant et la crise d asthme Beaucoup de r actions graves sont la cons quence d un traitement trop tardif par l adr naline e L adr naline ne doit pas tre inject e en sous cutan mais en intra musculaire car en sous cutan le pic s rique appara t seulement apr s 20 30 minutes alors que si l injection est faite dans un muscle tr s vascularis il appara t apr s 2 5 minutes le muscle id al est le vaste externe mi chemin entre le genou et la hanche Toujours injecter l adr naline ce niveau e Quelle dose utiliser Chez l adulte 0 3 ml 0 5 ml en fonction du poids d adr naline 1 1000 Chez l enfant 0 10 ml par 10kg maximum 0 30 ml R p ter la dose apr s 15 minutes si l tat du patient ne s am liore pas e La trousse d urgence Epipen Permet au patient de s auto injecter l adr naline en IM dans le vaste externe Ne doit pas tre conserv e au frigo Quand prescrire Tous les patients chez qui une sensibilisation est d montr e pour le venin et qui ont pr sent une r action allergique Quelle dose prescrire L Epipen 0 30 doit tre prescrite aux adultes et aux enfants d au moins 30 kg Pour les enfants de 15 30 kg prescrire galement Epipen 0 30 s ils ont pr sent des r actions s v res risque sur le plan vital Sinon prescrire Epipen 0 15 pour les enfants de moins de 30 kg LA D SENSIBILISATION SP CIFIQUE Elle est indiqu
36. lergie certains m dicaments e B5701 et Abacavir e B1502 et carbamazepine e B5801 et Allopurinol M CANISMES DES R ACTIONS ALLERGIQUES M DICAMENTEUSES 1 IDIOSYNCRASIE INTOL RANCE R actions m dicamenteuses d aspect allergique mais pour lesquelles aucun m canisme pr cis physiopathologique n est d crit 2 INFECTIONS 80 des r actions cutan es observ es apr s la prise de p nicilline et d riv s sont d origine virale Les virus induisent une prolif ration polyclonale des lymphocytes responsable de O rash maculopapulaire survenant 2 3 jours apr s le d but de l infection rash qui ressemble une r action m dicamenteuse Les infections virales ou bact riennes induisent une r ponse anticorps IgG ou IgM capables de former des immuns complexes Ces derniers peuvent induire des rash maculo papulaires ou des l sions de vasculite cutan es facilement confondues avec des r actions allergiques 3 M CANISMES D HISTAMINO LIB RATION ASP CIFIQUE Certaines r actions allergiques graves peuvent tre la cons quence d une activation non allergique des mastocytes et des basophiles Plusieurs m canismes d action sont possibles a Stimulation des r cepteurs des basophiles et mastocytes e les morphiniques et apparent s en particulier la cod ine et les produits d induction en anesth sie sont capables de stimuler des r cepteurs morphiniques la surface des basophil
37. lium lapin pith lium porc pith lium hamster pith lium poule plumes canard plumes rat pith lium prot ines urinaires prot ines s riques souris pith lium prot ines urinaires prot ines s riques canari excr ments canari plumes bovin albumine s rique chinchilla pith lium gerbille pith lium perroquet plumes pigeon plumes furet pith lium poulet fientes chat albumine s rique chien albumine s rique porc albumine s rique chat cheval vache chien chat chien cobaye rat souris ex71 e70 e85 e86 e89 ex72 e78 e201e213 e214 re214 oie poule canard dinde plumes perruche canari perroquet pinson plumes pinson plumes RECOMBINANT DU CHAT e94 rFel d1 RECOMBINANT DU CHIEN e101 e102 d70 d71 d72 d73 d74 d201 h1 h2 hx2 h2 d1 d2 i6 c73 c74 c202 rc207 rc208 rCanf1 rCanf2 acarien de maison dermatophagoides pteronyssinus acarien de maison dermatophagoides farinae acarien de maison dermatophagoides microceras acarien de stockage acarus siro acarien de stockage lepidoglyphus destructor acarien de stockage tyrophagus putrescentiae acarien de stockage glycyphagus domesticus acarien de maison euroglyphus maynei blomia tropicalis poussi re de maison poussi re de maison hollister stier labs dermatophagoides pteronyssinus dermatophagoides farinae blatella germanica penic
38. logues et les allergologues internistes se r v le La plus fructueuse CITADOC Allergologie Dermatite atopique Vasculite Urticaire QUE PEUT PROPOSER LE SERVICE DE DERMATOLOGIE En dermatologie les tests suivants sont r alis s e Tests picutan s ou patch tests lecture tardive 72 heures e Tests intradermiques ou pricks tests lecture directe Les tests picutan s sont coll s dans le dos du patient pour une dur e de 3 jours 2 jours chez l enfant en bas ge Le choix des batteries de tests picutan s est d termin par le type de l sions observ es ecz ma conjonctivite allergique stomatite etc par une anamn se d taill e par l avis de l allergologue par la demande du m decin du travail LES BATTERIES SUIVANTES SONT DISPONIBLES e Batterie standard europ enne enfant et adulte e Batterie cosm tique et produits pharmaceutiques e Batterie coiffure e Batterie dentiste e Batterie chaussures e Batterie textiles e Atopy patch tests a ro allerg nes aliments natifs fournis par Le patient e Batterie m taux proth se dentaire implant En plus de ces batteries standardis es il faut souvent compl ter l investigation par l application de produits personnels manipul s par le patient que ce soit titre priv cosm tiques poudre lessiver etc ou titre professionnel huiles de coupe r sines v tements etc On peut souligner ic
39. n ralistes
40. narienne En effet en cas de choc allergique ils sont responsables de chocs durables et profonds emp chant l efficacit de l adr naline M me raisonnement pour les IEC L ALLERGIE AU VENIN D HYM NOPT RES RETENIR Le venin induit des r actions e Locales e Syst miques e Retard es Attention au CAP RAST pour les venins faux positifs en rapport avec les IgE anti CCD e Tester le CAP RAST R0214 CCD MUXF3 La d sensibilisation pour le venin d hym nopt re est tr s efficace L adr naline doit toujours tre utilis e en cas de r action grave e En IM dans le vaste externe pas en SC e La trousse d adr naline Epipen est le moyen actuel le plus efficace pour que le patient s injecte lui m me l adr naline Les B bloquants sont contre indiqu s en cas de d sensibilisation m me en collyre ainsi que les IEC sauf s ils sont prescrits pour une pathologie coronarienne TROUSSE D URGENCE EPIPEN TROUSSE D URGENCE EPIPEN MODE D EMPLOI e _L adr naline est une hormone naturelle lib r e en cas de stress par les glandes surr nales C est un antidote naturel aux substances allergiques lib r es durant les r actions allergiques s v res d origine m dicamenteuse alimentaire ou par piq res d hym nopt res gu pes abeille e Apr s son injection elle am liore rapidement les sympt mes de gonflement de la gorge elle ouvre les bronches et maintient la pression art
41. nner Erreur N 1 Erreur N 3 BON SAVOIR CONCERNANT EPIPEN Epipen ne doit pas tre conserv au frigo comme les autres formes d adr naline Conservez toujours votre trousse d urgence sur vous quelles que soient les temp ratures ext rieures Ce n est pas un produit dangereux n h sitez jamais l utiliser si vous ressentez les sympt mes d crits ci dessous en cas de r actions allergique Si vous aviez oubli de faire renouveler votre trousse apr s sa p remption n h sitez pas utiliser la trousse apr s sa date de p remption des tudes pharmacologiques ont d montr qu elle garde plus de 70 de son activit apr s 5 ans de p remption Si vous avez d utiliser l adr naline contactez rapidement votre m decin il faudra probablement vous garder en observation l h pital durant 24 36 heures car 10 des chocs anaphylactiques r cidivent dans les 10 36 heures apr s Le premier acc s CITADOC Allergologie LA PRISE EN CHARGE DES AL M DICAMENTEUSES Syndrome de Lyell IMPORTANCE DU PROBL ME Les allergies m dicamenteuses sont une source de morbidit importante en m decine les r actions allergiques aux m dicaments tant fort fr quentes et parfois graves l tales Plusieurs tudes de pr valence des r actions allergiques ont t faites en milieu hospitalier o les statistiques sont beaucoup plus ais es r aliser qu en m decine ambulat
42. nt des allerg nes d animaux vivant dans l habitation et de la concentration des polluants chimiques issus des mat riaux de construction ou de mobilier moderne en particulier le formaldehyde Les infections virales du jeune ge le tabagisme parental la diversification pr coce des aliments l ob sit et Les antibiotiques jouent galement un r le Par contre il n y pas d effet potentialisateur ou inhibiteur des maladies allergiques des vaccinations et des suppl ments alimentaires de type probiotiques Que conseiller un enfant risque sur Le plan allergique Un enfant risque a deux collat raux atopiques soit les deux parents soit deux fr res ou soeurs soit un fr re ou une soeur et un parent Que conseiller Pr vention du tabagisme parental d s la grossesse Mesures anti acariens Eviter la pr sence d animaux domestiques Alimentation par du lait hydrolys apr s l allaitement maternel Diversifier les aliments de fa on retard e Dr Jean Luc GRAND Dr Jean Luc Grand Dr Maud Deschampheleire Dr H l ne Simonis Dipl mes Dipl mes Dipl mes Pneumologie en 1980 Pneumologie en 2005 Pneumologie en 1999 DES d allergologie PARIS DES d immuno allergologie ULB DES d immuno allergologie Necker cochin 2005 2007 Lille 2000 2002 1986 1987 DES allergologie Lille Activit principale depuis 2002 Activit principale depuis 87 en cours Activit principale depuis 2006 CITADOC
43. nteuses vaccins AINS Initialis e par le Docteur Leclercq Foucart qu il faut remercier pour l immense travail accompli la consultation d allergologie p diatrique s est consid rablement d velopp e au cours des quelques derni res ann es particuli rement dans la prise en charge des allergies alimentaires notamment par la r alisation des atopy patch tests permettant de diagnostiquer les allergies alimentaires lymphocytes m di es mais aussi des preuves de provocation orale gold standard du diagnostic Pour la prise en charge de la dermatite atopique une fructueuse collaboration avec le service de dermatologie s est spontan ment et naturellement d velopp e et a permis une optimalisation du suivi diagnostique et th rapeutique de ces patients Actuellement au sein de l quipe pneumo allergologique les p diatres ayant acquis une comp tence en allergologie et assurant la consultation d allergologie p diatrique l allergologie n est pas reconnue comme une sp cialit part enti re dans notre pays sont les CITADOC Allergologie Docteurs Leclercq Foucart et Sacr D s l automne 2008 la bienvenue en renfort du Docteur Hansoul nous permettra de d velopper davantage la consultation d allergologie p diatrique et de r duire nous l esp rons le d lai d attente pour les rendez vous Dermatite atopique Le faci s de l enfant allergique RE ALLERGIE ET ORL
44. nusite chronique est constitu e des cortico des topiques dont l efficacit dans les cas rebelles peut tre fortement augment e par une intervention nasale endoscopique permettant un drainage et une ventilation optimale des cavit s paranasales et surtout une p n tration optimale du cortico de topique au sein de cavit s sinusales exclues En fonction d une volution d favorable des anti leucotri nes en cas d intol rance aux AIN S des antihistaminiques surtout si une allergie IgE m di e est document e des antibiotiques en cure de courte amoxycilline cefuroxime axetil ou de longue macrolide t tracycline dur e peuvent compl ter le traitement Rhinite allergique O A l occasion de l arriv e de sa pension d but octobre 2008 le Docteur Yves SAMBON va r duire ses activit s dans notre institution Il continuera les consultations raison d une demi journ e par semaine la clinique de Sainte Rosalie et une demi journ e par semaine au CHR de la Citadelle Le Docteur Christophe COMPERE commencera des consultations la clinique de Sainte Rosalie raison d une demi journ e par semaine Les Docteurs Jean Luc GRAND Maud DESCHAMPHELEIRE Thierry WEBER et Farhad BAHARLOO continueront bien entendu les consultations sur le site de Sainte Rosalie Dr F BAHARLOO Dr C COMPERE Dr M DESCHAMPHELEIRE consultation des troubles du sommeil pneumologie g n rale pneumologie allergologie Dr J L GRAN
45. oire Une tude publi e dans le JAMA en 1998 fait la m ta analyse de 33 tudes am ricaines sur le sujet entre 1966 et 1996 e R actions allergiques chez 15 des patients hospitalis s dont 6 7 sont s v res e Admissions motiv es par une r action allergique ou toxique m dicamenteuse 3 1 6 7 e 13 des r actions ind sirables m dicaments sont d origine allergique e 0 32 des patients hospitalis s meurent de r actions adverses aux m dicaments aux Le risque l tal d une allergie m dicamenteuse est loin d tre n gligeable il est estim en fonction du type de r action pr sent e 2 5 en cas de choc anaphylactique 5 en cas de syndrome de Stevens Johnson 30 en cas de Syndrome de Lyell 10 en cas de r actions d hypersensibilit avec atteinte syst mique foie rein poumons Les r actions d hypersensibilit aux m dicaments concernent environ 1 3 du total des r actions ind sirables aux m dicaments Les m dicaments les plus souvent impliqu s e P nicilline et d riv s e Aspirine et AINS e Sulfamid s e Myorelaxants QUELS SONT LES FACTEURS DE RISQUE DE R ACTIONS ALLERGIQUES M DICAMENTEUSES e Sexe 60 des allergies m dicamenteuses concernent la femme polymorphisme g nique HLA e Fr quence site et dose d administration Importance de l all le HLA on a pu montrer que certains all les HLA s observaient plus fr quemment en cas d al
46. oite entre le service de dermatologie doit s tablir en effet les allergologues sont de pi tres dermatologues et les dermatologues sauf pour certains d entre eux n ont pas de formation pouss e dans le domaine de l immuno allergologie Une quipe soud e entre les deux sp cialit s est donc le gage de succ s en ce domaine Nous avons eu le privil ge d avoir une coute et une collaboration attentives avec le service de dermatologie du CHR qui nous permet de pouvoir mettre au point de fa on optimale et en quipe les pathologies fronti res entre les deux sp cialit s que sont 1 L ecz ma de contact les patch tests diagnostiques et le suivi des patients sont r alis s par Le service de dermatologie mais l approche diagnostique destin e rechercher une sensibilisation plus rare b n ficie parfois d un avis de l allergologue 2 La dermatite atopique les bilans destin s rechercher une sensibilisation aux pneumallerg nes ou aux allerg nes alimentaires sont r alis s par le service de dermatologie parfois le service d allergologie en r alisant des tests cutan s et des patch tests alimentaires Le suivi des patients est toujours assur par les dermatologues 3 L urticaire chronique c est une pathologie expression dermatologique mais dont les m canismes tiologiques rel vent plus de la m decine interne que de la dermatologie C est la pathologie type o la collaboration entre les dermato
47. on saumon fraise levure de bi re ail oignon pomme calmar du pacifique pieuvre maquereau commun sardine jaune d uf alpha lactalbulmine beta lactoglobuline cas ine gluten homard f81 f82 f83 f84 f85 f86 f87 f88 f89 f90 f91 f92 f93 f94 f95 f96 f201 f202 f203 f204 f205 f207 f208 f209 f210 f212 f213 f214 f215 f216 f218 f221 1225 f227 f232 f233 f234 f235 f237 f242 f244 f245 f247 f253 f255 f256 f259 f260 f262 f280 f281 fromage p te press e fromage riche en moisissures viande de poulet kiwi c l ri persil melon viande de mouton moutarde malt mangue banane cacao poire p che avocat noix de P can noix de Cajou pistache truite hareng palourde citron pamplemousse ananas champignon viande de lapin pinard laitue chou paprika caf potiron citrouille betterave sucri re ovalbumine ovomucoide vanille lentille abricot cerise concombre uf miel pignon de pin prune noix raisin broccoli aubergine poivre noir curry Santa Maria CITADOC Allergologie DES ALLERG NES z p FR N BLES EN PERMAI f283 f284 f286 f288 f289 f290 f293 f294 f296 f299 f300 f301 f302 f304 f306 f314 f316 f317 f320 f321 f322 f328 f329 f332 f333 f335 f337 f338 f342 f343 f347 f348 fx1 f13 f17 f18 f20 f36 fx2 f3 f24 f37 f40 f41 fx3 f4 f7 f8 f10 f11 fx5 f1 f2 f3 f4 f13 f14 fx7 f25
48. ons mais un de ses m tabolites non disponible fix ventuellement sur une prot ine porteuse En ce qui concerne les m dicaments induisant des r actions par un m canisme non immunologique il n y a pas de possibilit de diagnostic en dehors d un test de provocation m dicamenteux mais qui est contre indiqu pour toutes les r actions gravesou accompagn es d unatteinte syst mique ou d une vasculite L valuation des crit res d imputabilit s miologique et chronologique permet d approcher le diagnostic en l absence d outil fiable de diagnostic m dicament suspect est connu pour induire la symptomatologie rapport e par Le patient e Crit res chronologiques le type de r action pr sent e est elle logique si on tient compte du d lai entre Le d but de La prise du traitement et du d but des sympt mes DIAGNOSTIC DES R ACTIONS IGE DEPENDANTES 1 TESTS CUTAN S ALLERGIQUES e Utiles uniquement pour les m dicaments induisant des r actions imm diates IgE d pendantes e Par Prick test puis intradermo r action des concentrations sp cifiques pour chaque mol cule une connaissance approfondie de ce type d allergie des concentrations utilis es et des m canismes physiopathologiques d un m dicament donn est indispensable faute de quoi les tests n ont aucune valeur risque de faux positifs et de faux n gatifs 2 LA RECHERCHE D IGE SP CIFIQUES RAST e Disponible pour tr s peu de
49. organe de communication interm dicale l attention des m decins g n ralistes novembre 2008 SITE DU CHATEAU ROUGE rue du Grand Puits 47 4040 Herstal t l 32 0 4 240 59 05 SITE DE SAINTE ROSALIE rue des Wallons 72 4000 Li ge t l 32 0 4 254 72 11 COMIT DE R DACTION Dr J D BORN Dr R BROUX Dr M DUSART Dr V FRAIPONT Dr C GILLARD Dr R JAMMAER Dr J M LEVA Dr L LHOEST Dr A RODRIGUEZ Dr X WARLING CITADOC ON LINE Vous y trouverez les textes au format PDF sur www chrcitadelle be CITADELLE Ser s CENTRE HOSPITALIER R GIONAL DE LA SITE DE LA CITADELLE boulevard du 12 de Ligne 1 4000 Li ge t l 32 0 4 225 61 11 Editeur responsable Dr M DUSART Graphisme Unijep Av Georges Truffaut 42 B 4020 Li ge Coordination Service Communication M HEUSCHEN Les articles sont publi s sous la responsabilit de leurs auteurs CITADOC Allergologie Le ai Fi Dun 4 E E b Pr Es 0 rs al CE L FL D AE 4 kal i Maaa LT 4 LLLE s EE x ls bE P SOMMAIRE ai Pu RS EE 8 ar E n E ira 2 Introduction scaasansnnnusaaucanensananc tasses 2e tn de p 4 Editorial ssssaunaucuconennann nan nana encens nes 00e ee p 5 1 Pr sentation du service de pneumologie allergologie mm snsnmnerremnnmemnnnenns p 6 2 La prise en charge des allergies respiratoires
50. rielle e C est Le premier traitement urgent envisager lors des r actions anaphylactiques allergiques graves bien avant l utilisation de d riv s de cortisone ou d antihistaminiques e Pour tre rapidement efficace elle doit tre inject e en intramusculaire dans le muscle de la cuisse ETAPES D UTILISATION 1 Retirer l appareil de son tui protecteur en plastic Tenez bien l appareil dans votre main serr e Le pouce plac sur le capuchon gris 2 Enlevez le capuchon gris l extr mit de l appareil avec l autre main attention cela arme l appareil il se d clenchera la moindre vibration sur l extr mit noire Evitez de la toucher ou de vous l enfoncer dans le ventre 3 Appliquez l appareil sur la cuisse mi chemin entre le genou et la hanche D un mouvement rapide et nergique poussez alors fortement pour d clencher l appareil vous entendrez un click bruyant li la d tente du ressort Gardez la seringue enfonc e dans la cuisse durant 10 15 secondes puis retirez la ERREURS NE PAS COMMETTRE 1 Ne pas mettre son pouce sur l extr mit noire si l appareil se d clenche vous aurez tr s mal et Le traitement ne sera pas tr s efficace 2 Tant que le capuchon gris n est pas enlev l appareil ne fonctionnera pas m me si vous poussez tr s fort 3 Il n y a aucun bouton pousser Il est inutile de pousser sur l extr mit de l appareil pour le faire fonctio
51. s les r sultats par voie sublinguale sont presque quivalents ceux de la voie injectable L int r t de la voie sublinguale est d avoir un traitement d pourvu de risque de r action anaphylactique Son d savantage est un co t nettement sup rieur pour le patient l INAMI ayant supprim le remboursement dela d sensibilisation sp cifique ily a plusieurs ann es Un des int r ts majeur de la d sensibilisation est que non seulement elle soulage efficacement et long terme les patients allergiques si les indications de traitement ont t ad quates mais qu en plus elle a un effet inhibiteur sur la maladie allergique au sens large en diminuant l apparition de nouvelles sensibilisations et en diminuant la pr valence de l apparition de l asthme COMMENT FAIRE RAPIDEMENT UN DIAGNOSTIC D ALLERGIE RESPIRATOIRE IN VITRO L INAMI ne permet le remboursement que de six allerg nes in vitro M lange de 5 gramin es Pollen d armoise Pollen de bouleau allergie crois e avec tous les pollens d arbres belges sauf le fr ne Dermatoph Pteronyssinus Chat Chien Avec ce bilan on couvre plus de 90 des tio logies d allergie respiratoire Ce dosage am ne plus de confusion que d claircissements Il est souvent normal chez les allergiques et pathologiques en l absence d allergie prise de m dicaments infection virale pathologie auto immune cancer parasitose Sa valeur n est pas un thermom tre de
52. sieurs dizaines d ann es Dans les ann es soixante elles concernaient environ 15 de la population occidentale cette pr valence atteint maintenant 25 30 de la population Actuellement plus de 10 des enfants sont asthmatiques 15 20 des enfants en bas ge souffrent de dermatite atopique 4 8 des enfants en ge pr scolaire ont une allergie alimentaire et 20 de la population souffre de rhinite Cette pid mie est d origine multifactorielle mais les modifications de vie et d environnement en sont la cause principale entra nant une disparition des facteurs protecteurs de l allergie La vie ant rieure surtout agraire mettait les jeunes enfants en contact avec des prot ines d origine bact rienne les endotoxines qui si ce contact a lieu dans les neuf premiers mois de l existence diminuaient le risque de d veloppement d une r ponse immunitaire de type allergique La pollution par l interm diaire des particules de diesel stimule la production d IgE au niveau des muqueuses respiratoires Le NO2 des moteurs essence induisent une corrosion chimique des grains de pollens leur permettant d exprimer plus de prot ines allergisantes la surface de chaque grain de pollen Les maisons modernes sont trop bien isol es avec comme cons quence une humidit ambiante trop lev e par manque de ventilation stimulant la croissance des acariens et des moisissures Cette mauvaise ventilation est l origine du confineme
53. st corr l une allergie alimentaire clinique que dans 1 cas sur trois Un RAST n gatif n exclut pas une allergie alimentaire La sensibilit des tests cutan s et des RAST ne d passe pas 70 en fonction des allerg nes LE DOSAGE DES IGG SP CIFIQUES CONTRE LES ALIMENTS e C estunexameninutile dans le diagnostic des allergies ou des intol rances alimentaires qu elles soient imm diates ou retard es e Les sujets allergiques et Les sujets normaux d veloppent une r ponse immune avec des IgG contre les antig nes alimentaires en fonction de la fr quence d ingestion de l aliment et de la perm abilit intestinale e Le dosage des IgG contre les aliments ne permet pas de s parer les sujets allergiques des sujets normaux Les tests de provocation alimentaire r alis s sur base du r sultat des dosages d IgG sp cifiques ne permettent pas de confirmer une allergie alimentaire e C est un dosage proscrire il est tr s on reux pour le patient jusqu 500 il n a aucune valeur diagnostique dans l allergie alimentaire et conduit des R r gimes d viction alimentaire non justifi s et inefficaces gt LE TEST DE PROVOCATION ORALE SP CIFIQUE lat TIEF POUR LES ALIMENTS En cas d allergie alimentaire il existe souvent un doute sur la r alit de D l allergie alimentaire puisque les moyens d explorations sont peu sensibles et donnent souvent des r sultats faussement positifs ou faussement
54. substances m dicamenteuses CITADOC Allergologie EN CHARGE DESA ENTEUSES e Pour la p nicilline mauvaise sensibilit 13 en cas de r action allergique prouv e car seul un des d terminants de la p nicilline est concern 3 CAST CELLULAR ANTIGEN STIMULATION TEST e Mesure la lib ration de leucotri nes par les leucocytes du sujet mis en pr sence du m dicament Non disponible sauf en laboratoire de recherche e R sultats dispers s sensibilit insuffisante Ce test n est pas valid dans cette indication 4 TEST D ACTIVATION DES BASOPHILES HUMAINS IN VITRO CYTOM TRIE DE FLUX e activation des basophiles est mesur e soit par cytom trie de flux soit par expression du CD63 soit par celui du CD203c par les basophiles activ s e Technique int ressante sp cificit de 93 sensibilit de 50 pour les p nicillines 86 pour les myorelaxants si l examen est r alis moins de trois ans apr s l accident m dicamenteux 40 pour le m tamizole 43 pour les AINS e Technique plus sensible que le CAST Non disponible sauf en laboratoire de recherche 5 TEST DE LIB RATION D HISTAMINE PAR LES BASOPHILES e Sensibilit pauvre moins bonne que les tests cutan s allergiques DIAGNOSTIC DES R ACTIONS M DIATION CELLULAIRE 1 TEST DE TRANSFORMATION LYMPHOBLASTIQUE e Sensibilit et sp cificit controvers es e Sensibilit am lior e si les m dicaments utilis s pour
55. t dispos es dans nos salles d attente informent galement les patients En vue de l am lioration de la qualit les messages t l phoniques ont t adapt s Ils mentionnent par exemple la dur e d attente probable De m me une information sur l attente aux guichets d inscription est donn e Ces d lais sont r guli rement mesur s afin d adapter l information ou de r agir pour les r duire H CITADELLE C H R DE LA CITADELLE DE LIEGE D R H amp QUALITE Cher patient le C H R de la Citadelle est soucieux de r duire votre temps d attente Les employ s du service Inscription des Polycliniques sont votre disposition et souhaitent vous servir un rythme de 1 minute 30 secondes par patient e Le service administratif patient a galement r actualis la proc dure des pr admissions afin que la situation m dicale administrative et sociale du patient soit examin e avant Le jour son hospitalisation L enjeu est multiple augmenter le confort du patient et r duire son stress le jour de l intervention faciliter son cheminement administratif et diminuer le risque d annulation d interventions Il ne sera atteint qu avec votre collaboration Enfin depuis octobre une assistante sociale de policliniques est mise votre disposition ainsi qu celle des patients externes pour assurer une parfaite prise en charge psychosociale en collaboration troite avec le service de m diation interculturelle S
56. tifs des COX2 ou du parac tamol qui donnent moins de 5 de r action crois e avec les AINS et l aspirine mais la tol rance ces traitements doit d abord tre v rifi e en milieu hospitalier 7 LES R ACTIONS ALLERGIQUES VRAIES Elles sont d finies par l existence d un m canisme d origine immunologique On distingue a M canisme IgE d pendant type e Urticaire d me de Quincke choc anaphylactique e Exemple p nicilline myorelaxants b M canisme cytotoxique de type II e Le m dicament se fixe sur une cellule La r ponse immune est dirig contre le m dicament et aboutit la mort de la cellule neutrop nie thrombop nie h molyse c M canisme immuns complexes type Ill e Les immuns complexes IgG anti m dicament induisent des r actions par activation du compl ment rash maculopapulaire pseudo maladie s rique m dicamenteuse vasculite e D lai habituel de 3 9 jours avant le d but des plaintes DR L CRA e Exemple rash maculopapulaireauxp nicillines et apparent s d M canismes cellulaires type IV e Lesr actionssontm di espardeslymphocytes comme dans l ecz ma e Le d lai entre le d but du traitement et l apparition des plaintes varie entre 3 jours et 21 jours le m dicament est parfois arr t quand les plaintes d butent Les lymphocytes peuvent tre cytotoxiques et induire des toxidermies graves avec ou sans atteinte syst mique e Ex
57. toires chroniques sinusales dont la physio pathologie plus complexe est moins lucid e Sur le plan clinique on distingue deux entit s la rhinosinusite chronique et la rhino sinu sopathie inflammatoire chronique polypeuse commun ment d sign e polypose rhino sinu sale dont les profils inflammatoires cytokines et des m diateurs impliqu s sont diff rents La pr valence de la rhinosinusite chronique est de 14 5 celle de la polypose de 2 4 Cette derni re s accompagne d asthme dans 40 des cas et dans 15 des cas d une intol rance aux AIN S Dans 90 des cas on observe une infil tration massive du chorion par des osinophiles Les conceptions physio pathologiques r centes impliquent une sensibilisation IgE m di e pure ment locale avec hyperproduction d IL5 d eo taxine de cysteinyl leucotri ne et d ECP induite pilot e exacerb e par des superantig nes les enterotoxines d origine microbienne produites essentiellement par le staphylocoque dor Dans la rhinosinusite chronique sans polypose Le r le des bact ries reste peu explicit Ces deux entit s se manifestent par les m mes sympt mes que la rhinite allergique avec cependant moins de prurit et d ternuements un caract re plus souvent purulent de La rhinorrh e une an hyplosmie plus constante et plus rebelle et souvent une pesanteur faciale voire des algies en p riode d exacerbation La pierre angulaire du traitement de la rhinosi

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