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Marketing de la ville et implication de ses parties

1. entre 18 et entre 26 et entre 31 et entre 41 et entre 51et plus de 61 25 ans 30 ans 40 ans 50 ans 60 ans ans TAFD 32 3 16 8 20 4 20 4 5 4 4 8 PD 34 1 41 5 12 2 9 8 2 4 0 SA 29 4 47 1 11 8 5 9 5 9 0 PPD 0 0 0 25 0 75 0 0 PDTD 0 100 0 0 0 0 0 On rel ve le grand int r t des 18 25 ans pour leur contribution l am lioration de la prestation de services aux citoyens mais aussi celui des 26 30 ans D battre des questions sociales Age Crosstabulation entre 18 et entre 26 et entre 31 et entre 41 et entre 51et plus de 61 25 ans 30 ans 40 ans 50 ans 60 ans ans TAFD 31 0 17 8 20 8 20 2 6 0 4 8 PD 44 7 31 6 13 2 10 5 0 0 SA 21 1 57 9 5 3 10 5 5 3 0 PPD 0 25 0 0 0 75 0 0 PDTD 0 100 0 0 0 0 0 L int r t pour les questions sociales semble aussi tre plus important chez les jeunes r pondants 18 25 ans et 26 30 ans D battre des projets pr vus au niveau de la ville Age Crosstabulation entre 18 et entre 26 et entre 31 et entre 41 et entre 51et plus de 61 25 ans 30 ans 40 ans 50 ans 60 ans ans TAFD 29 3 14 3 22 1 23 6 5 0 5 7 PD 40 0 40 0 9 1 5 5 5 5 0 SA 25 0 50 0 15 0 5 0 5 0 0 PPD 22 2 0 22 2 22 2 33 3 0 PDTD 50 0 33 3 0 16 7 0 0 Par contre les plus jeunes questionn s ne semblent pas tr s int ress s par le d bat sur les p
2. La manipulation correspond une fausse participation o il s agit surtout de convaincre les habitants que des projets en r alit d j retenus par les autorit s sont bons pour eux vV L information communication Le flux d information est unidirectionnel les autorit s publiques fournissent des informations aux citoyens spontan ment ou suite des demandes afin de leur fournir des outils de compr hension des probl mes travers les forums publics les affiches les missions radios les articles de presse site internet bulletin communal interviews expositions journal bo te suggestions y La consultation la consultation correspond au second stade de la participation Le flux est bidirectionnel les autorit s publiques d finissent les th mes et les modalit s du processus et en informent les citoyens puis ceux ci transmettent leur avis et opinion en retour aux autorit s publiques G n ralement l outil privil gi est l enqu te publique y La concertation il y a plusieurs allers retours d informations entre les citoyens et les d cideurs avec des volutions et des adaptations progressives de chaque c t m me si la responsabilit de la d cision finale reste du ressort des autorit s publiques C est par exemple le cas des conseils de quartier des commissions locales ou des ateliers d urbanisme La coproduction le partenariat Les habitants sont amen
3. 2 Ibid 122 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes m me mondiale de la culture l inscription d une ville au patrimoine mondiale de l UNESCO Les v nements commerciaux les foires et salons Foires internationales salons de l automobile de l immobilier ou du tourisme et diff rentes animations commerciales Ce genre de manifestations vise essentiellement attirer des professionnels susceptibles de devenir visiteurs une fois qu ils ont quitt les stands Enfin Jean Marc BRAJOU sp cialiste de l v nementiel et de la communication publique indique qu une ville qui cr erait aujourd hui un nouveau festival pour exister au plan national ou international aurait peu de chances de rencontrer le moindre cho tant il y a pl thore d v nements A contrario si elle choisit d investir des sujets concernant l conomie l environnement ou les nouvelles technologies elle aura plus de facilit rayonner Dans tous les cas elle doit commencer par mener une r flexion plus profonde en choisissant un territoire d expression l gitime comme l a fait Angers avec le d veloppement durable puis d terminer le type d v nement qui soutiendra son positionnement La construction d infrastructures pour attirer des v nements culturels ou des conventions d entreprises peut tre aussi b n fique pour une ville qui veut profiter de l v nementiel pour promouvoir
4. PDTD citoyens pour D battre des questions sociales 73 0 16 5 8 3 1 7 0 4 Am liorer la prestation de services aux citoyens 72 6 17 8 7 4 1 7 0 4 D battre des projets pr vus au niveau de la ville 60 9 23 9 8 7 3 9 2 6 10 Selon vous est ce que votre participation comme Tr s Plut t Peu Pas du Sans citoyen devrait avoir un impact sur les d cisions prises Importa Importa Importa tout Avis par nt nt nt important Le gouvernement 38 9 24 8 17 3 10 2 8 8 La wilaya 49 6 24 8 11 5 7 1 7 1 La mairie 64 3 12 3 8 4 7 0 7 9 11 Selon vous est il important que le citoyen participe Tr s Plut t Peu Pas du Sans aux d cisions sur les th mes suivants Importa Importa Importa tout Avis nt nt nt important ducation 80 3 14 0 3 1 1 7 0 9 Sant et services sociaux 80 4 13 9 3 9 1 7 0 0 Environnement 68 7 24 8 5 2 1 3 0 0 Emploi 70 9 23 9 3 9 1 3 0 0 S curit 77 4 15 7 3 9 1 3 1 7 Habitat 77 4 21 7 3 5 1 3 0 4 Culture 48 9 29 3 14 8 6 1 0 9 12 Pensez vous que vous tes aptes prendre part aux d cisions de votre ville 12 1 Pourquoi Oui 68 7 Non 31 3 CITOYENNETE PAS QUALIFIE MEILLEURE CONNAISSANCE DE LA VILLE MANQUE DE CONSIDERATION QUALIFIE MANQUE DE TEMPS 13 Qv est ce qui vous motiverez participer aux questions relatives votre Oui Non Sans Avis ville Le sentiment que ma participation aura un impact 71 2 18 9 10 0 Le sujet m interpelle particuli rem
5. 139 WALLACE Laura Tournant Finances et d veloppement L urbanisation en marche septembre 2007 p1 140 Waseda University 2013 Institute of e Government released the 2013 World e Government Ranking En ligne URL http www waseda jp eng news12 130326_egov html consult le 16 04 2013 141 WHITE Lesley YANAMANDRAM Venkata K 2006 Exploratory and confirmatory factor analysis of the perceived switching costs model in the business services sector Faculty of Commerce Papers Archive URL http ro uow edu au cgi viewcontent cgi article 1240 amp context commpapers consult le 20 03 2014 142 WINDBERG Constanze 2009 Strategy Development for Successful Implementation of Ecological Sanitation Approaches in Sri Lanka using Stakeholder Analysis Evaluation of the Appropriateness of Ecological Sanitation in Relation to the Social Cultural and Economic and Financial Context of Sri Lanka http www ecosanres org pdf_files EvalEcoSanSriLanka Report3 StakeholderAnalysis pdf consult le 10 01 2013 143 WINFIELD PFEFFERKORN Julia 2005 The branding of cities Exploring city branding and the importance of brand image http www brandchannel com images papers 245_Branding_of _Cities pdf consult le 05 03 2013 144 YANG Jing QIPING SHEN Geoffrey HO Manfong DREW Derek S et CHAN Albert P C 2009 Exploring critical success factors for stakeholder management in construction projects Journal of civil engineering a
6. 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 LABRECQUE Annie Claude 2009 D mocratie participative locale Villes R gions Monde r seau interuniversitaire d tudes urbaines et spatiales URL http www vrm ca Cap_0514 asp consult le 17 07 2013 LEGRAND Patrick 2001 Changer de lunettes pour changer la ville Le Courrier de l environnement n 43 Mai URL http www inra fr dpenv legrac43 htm consult le 12 10 2013 LELOUP Fabienne et al 2005 La gouvernance territoriale comme nouveau mode de coordination territoriale G ographie conomie soci t Avril Vol 7 p 321 332 LENDREVIE Jacques LEVY Julien LINDON Denis 2006 Mercator Th orie et pratique du marketing Editions Dalloz 8 dition LIEBERHERR GARDIOL Fran oise 2007 Durabilit urbaine et gouvernance enjeux du xxie si cle Revue internationale des sciences sociales Mars n 193 194 p p 373 385 URL www cairn info revue internationale des sciences sociales 2007 3 page 373 htm consult le 11 01 2013 LIENERT Juri Planning amp Process tools Stakeholder Identification http www sswm info category planning process tools exploring exploring tools stakeholder analysis stakeholder identific consult le 12 02 2014 LOUBIERE Antoine 2005 Editorial La ville marketing n 344 Sept Oct LYNCH Kevin 1976 L image de la cit Ed BORDAS Paris MAAREK Philippe RAULET GICQUEL Elodie 2003 La C
7. B La fonction conomique La ville n est pas seulement un lieu de consommation mais aussi un lieu de production Elle attire de nouveaux consommateurs par de meilleurs services favorise l innovation industrielle en mettant en place des p les de comp titivit Les secteurs secondaires sont distingu s de ceux tertiaires la fonction industrielle rassemble les entreprises avec pour mission principale la production de biens destin s la collectivit Tandis que la fonction commerciale regroupe toutes les activit s de commerce de vente et de services vente au d tail bureaux professionnels institutions financi res restauration et h bergement C La fonction culturelle La culture est l une des composantes de la fonction urbaine La ville regroupe les organismes et les infrastructures n cessaires pour garantir des services culturels aux citoyens Seulement entre ville et ville les ressources varient tout comme les comportements culturels de la population La pr sence et le dynamisme des foires expositions congr s et festivals qui contribuent aux fonctions culturelles des villes sont souvent retenus pour marquer l aspect culturel de la ville D La fonction de transport et de communication La fonction de transport et de communication regroupe les infrastructures qui relient le territoire Elle comprend des l ments comme e Les r seaux d lectricit et de gaz de t l phonie de c ble e Les tro
8. engagement soci tal les parties prenantes alli es engag es passives et militantes voir Figure 5 16 Chapitre I L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Degr d engagement organisationnel Figure 5 Typologie des parties prenantes de SOBZACK et GIRARD 2006 A Partie alli e Partie engag e Partie passive Partie militante Degr d engagement soci tal Source EL ABBOUBI M CORNET A 2008 Entreprendre une Certification Sociale dans une PME Quels Enjeux pour la Mobilisation des Parties Prenantes 9 me Congr s International Francophone en Entrepreneuriat et PME CIFEPME Louvain la Neuve Belgique D autres classifications sont propos es comme celle de LEPINEUX 2003 qui propose de retenir les cat gories d acteurs suivantes les actionnaires les parties prenantes internes salari s syndicats les partenaires op rationnels clients fournisseurs sous traitants banques compagnies d assurance la communaut sociale pouvoirs publics organisations sp cialis es de type syndicat professionnel organisations non gouvernementales soci t civile D autres distinctions existent comme par exemple celle qui est tablie entre les parties prenantes internes externes classiques et externes pouvoir d influence ou encore PELLE CULPIN 1998 la distinction entre les parties prenantes institutionnelles celles qui sont li
9. permettra sans doutes de satisfaire plusieurs des attentes de ses citoyens Aussi plus d ouverture et de communication vis vis des repr sentants de la soci t civile favoriserait un meilleur feed back de la soci t et donc am liorerait la participation citoyenne Dans le m me cadre les citoyens consid rent comme tr s importants les modes de participation suivants La consultation publique 57 2 le droit d initiative 46 1 360 2 Lei p va x er L EN FEN La commune de Tlemcen a dit en f vrier 2007 un magazine municipal trimestriel L exp rience n a pas t renouvel e depuis et les citoyens n ont m me pas entendu parler de cette premi re dition 361 5 EE n 2 Aucun des organismes sollicit s lors de notre recherche n a de charg de communication a9 29 3 le consid rent plut t important 173 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen les forums citoyens 41 9 les jurys citoyens 34 2 les activit s de d bats en ligne 38 6 et les agendas 21 33 3 A notre avis et vue la r ticence des r pondants envers notre questionnaire le meilleur moyen de participation reste les d bats en ligne qui permettent l anonymat des participants et donc plus de libert d expression 33 3 le consid rent plut t important de 36 1 le consid rent plut t important 35 1 le consid rent plut t importa
10. 133 UBIQUS 2011 Les rencontres th matiques des citoyens ambassadeurs et prescripteurs 4 me Universit de l accueil de nouvelles populations Clermont Ferrand 26 27 28 septembre URL http www partoutlaville com documents pdf Partout_la_ville 260912 citoyens ambassadeurs pdf consult le 09 10 2013 134 UNFPA 2007 Pour un avenir urbain durable politique information et gouvernance URL http www unfpa org swp 2007 french chapter 6 consult le 11 02 2014 135 UN HABITAT The Urban Legislation Land and Governance Branch http www unhabitat org content asp cid 2796 amp catid 260 amp typeid 24 amp subMenuld 0 consult le 18 11 2013 136 VAKNIN Sam 2005 Nation Branding and Place Marketing Promotion Sales Public Relations Marketing and Advertising http samvak tripod com nationbranding5 html consult le 13 10 2013 137 VIEL Laurent LIZARRALDE Gonzalo MAHERZI Fella Amina and THOMAS MARET Isabelle 2012 L influence des parties prenantes dans les grands projets urbains Cybergeo European Journal of Geography Online Regional and Urban Planning document 604 URL http cybergeo revues org 25310 lang en consult le 27 07 2013 138 VILLENEUVE Jean Pierre 2005 Citoyens clients et usagers face l administration publique Les balises d une relation difficile http www idheap ch idheap LAON CECAIS EASES FIC 25 70DF OUE DADR le tee 420 wp 206 2005 20mp pdf consult le 11 02 2012
11. 6 2 4 4 2 7 Tlemcen est une ville dynamique conomiquement 14 9 40 4 10 5 26 3 7 9 Il y a beaucoup de commerces diversifies a Tlemcen 36 2 30 6 5 7 24 0 3 5 Tlemcen est une destination touristique attractive 56 3 36 7 2 2 3 9 0 9 Tlemcen est une ville calme 68 4 26 8 1 8 2 2 0 9 Tlemcen est une ville propre 36 2 50 7 3 5 7 4 2 2 Tlemcen est une ville ou le niveau de pollution est bas 31 4 36 7 15 3 11 4 5 2 Tlemcen est une ville dynamique culturellement 50 7 349 8 3 5 7 0 4 Les gens sont fiers d habiter Tlemcen 66 2 21 5 10 1 0 9 1 3 Tlemcen est riche historiquement 86 5 10 5 1 3 0 4 1 3 Le climat de Tlemcen est bon 70 3 24 0 2 6 1 3 1 7 On trouve facilement des logements a prix abordables a Tlemcen 3 5 15 0 8 8 35 2 37 4 Les moyens de transport sont disponibles au niveau de la ville de 26 8 41 7 3 1 21 1 7 5 Tlemcen La ville de Tlemcen rec le pas mal de lieux de loisirs 18 6 41 2 3 1 26 1 11 1 La ville de Tlemcen est connue l chelle nationale 785 7 1 2 2 1 8 0 4 La ville de Tlemcen est connue l chelle internationale 17 5 37 7 25 0 9 6 10 1 Je suis tr s attach la ville de Tlemcen 57 0 28 7 3 0 10 0 1 3 Je me sens bien dans la ville de Tlemcen 63 6 25 0 7 5 3 1 0 9 La ville de Tlemcen satisfait tous mes besoins de la vie 30 6 32 3 3 9 28 4 4 8 quotidienne 4 Veuillez indiquer votr
12. An analysis of citizen participation in anti poverty programs Community Development Journal Vol 42 Issue 2 pp 237 250 BURBY Raymond J 2003 Making Plans that Matter Citizen Involvement and Government Action Journal of the American Planning Association Vol 69 No 1 Hiver CANNAC Yves GODET Michel 2001 La bonne gouvernance L exp rience des entreprises sa valeur pour la sph re publique Futuribles N 265 juin pp 41 50 CARASSUS David 2006 La ville comme lieu de gouvernance XI me Colloque international du GRET Les politiques de la ville entre coh sion sociale et int gration urbaine Avril Rabat URL http iae creg univ pau fr live digitalAssets 98 98213 PC9 LaVilleCommeLieuDeGouvernance pdf consult le 22 10 2013 CARASSUS David BEAUREGARD Claude EBONDO WAMANDZILA Eustache FOUDA ONGODO Maurice 2006 Les m canismes de gouvernance publique locale Une comparaison l chelle internationale CIDEGEF Ville et management AUF 66 p CARRICANO Manu POUJOL Fanny BERTRANDIAS Laurent 2010 Analyse de donn es avec SPSS Pearson Education France CAYROL Annika 2006 Analyse du r le des parties prenantes dans la strat gie de d veloppement durable d une banque tude de cas la Banque Triodos M moire de fin d tudes Sp cialis es en Gestion de l Environnement IGEAT Universit Libre de Bruxelles Belgique CAZAL Didier 2011 RSE et th orie des parties prenantes les impas
13. Le marketing viral au service de la communication des TPE 2008 http www paperblog fr 768808 le marketing viral au service de la communication des tpe consult le 13 10 2013 306 Buzz et marketing viral les collectivit s aussi 2006 http www blog territorial com article 2994012 html consult le 13 10 2013 307 BILLION D 2007 C est so paris Marketing alternatif touristique Le c l brissime charme parisien http www vanksen fr blog cest so paris marketing alternatif touristique consult le 13 10 2013 308 CHAPTAL St phanie 2008 Rennes pousse l information municipale sur les mobiles par Bluetooth http www 01net com editorial 395914 rennes pousse l information municipale sur les mobiles par bluetooth consult le 13 10 2013 309 LENDREVIE J et al 2006 op cit p 1112 137 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes et les tipping points Les relations publiques concernent galement les partenaires de la ville associ s les fournisseurs et les investisseurs Il fait directement appel aux tours op rateurs importants aux l gislateurs trangers aux multinationales et aux organismes non gouvernementaux importants ONG aussi bien qu aux forums nationaux r gionaux et internationaux Et comme son nom l indique les relations publiques concernent le relationnel et c est particuli rement vrai dans le cas des end
14. MORSING Mette SCHULTZ Majken 2006 Corporate social responsibility communication stakeholder information response and involvement strategies Business Ethics A European Review Volume 15 Number 4 October MULLENBACH SERVAYRE Astrid 2007 L apport de la th orie des parties prenantes la mod lisation de la responsabilit soci tale des entreprises La Revue des Sciences de Gestion Janvier n 223 p 109 120 URL www cairn info revue des sciences de gestion 2007 1 page 109 htm consult le 03 02 2013 NADOU Fabien 2013 Processus d interm diation territoriale Dynamique s d acteurs et spatialisation du d veloppement conomique Marseille Aix Nantes St Nazaire et Rennes 50 me colloque de l ASRDLEF culture patrimoine et savoirs du 08 au 13 juillet NASH Nick 2008 Future issues in socio technical change for UK citizenship the importance of place URL http www beyondcurrenthorizons org uk future issues in socio technical change for uk citizenship the importance of place consult le 20 03 2014 NOISETTE Patrice VALLERUGO Franck 1996 Le marketing des villes Les ditions d organisation 100 NOISETTE Patrice VALLERUGO Franck 2010 Un monde de villes Le marketing des territoires durables Editions de l Aube 101 OCDE 2007 R forme de la gouvernance m tropolitaine http www oecd org dataoecd 3 18 1918024 pdf consult le 18 11 2013 102 OUZAKA ldir 2001 Impli
15. amp Human Values Vol 30 No 2 Spring pp 251 290 JAMES et BLARNEY 1999 ont propos une typologie fond e sur sept niveaux de participation inspir s d une application des th ories de la d mocratie participative aux questions d environnement et des parcs nationaux en Australie On peut alors distinguer une approche dite top down cat gories 1 et 2 d une plus int grative cat gories 3 7 la participation passive o la participation r elle est absente puisque l Etat indique ce qui est fait sans avis des citoyens la participation sous forme d information o il n y a pas d implication r elle des citoyens mais une approche plus int grative la participation par consultation la participation continue par l emploi permanent ou saisonnier r p t la participation fonctionnelle o les parties prenantes participent divers projets la participation interactive o les parties prenantes participent des actions qui perdurent apr s la r alisation du projet initial l auto mobilisation o les parties prenantes ext rieures la gestion r guli re prennent l initiative d un projet TSSHERITIER S 2010 Participation et gestion dans les parcs nationaux de montagne approches anglo saxonnes Revue de g ographie alpine Journal of Alpine Research En ligne n 98 mis en ligne le 13 avril URL http rga revues org 1128 quotation consult le 02 ao t 2013 84 Chapitre II Identi
16. ont que des fonctions politico administratives En plus et hormis les probl mes d infrastructures et de projets les villes alg riennes souffrent d une mauvaise communication envers leurs parties prenantes et ce notamment cause d un sous encadrement et une sous qualification du personnel communal Abdellah MEZIANE dans un article du Quotidien d Oran pense que parce que depuis quelques ann es les autorit s locales se sont loign es des normes ad quates de la gouvernance urbaine et que les Alg riens ont perdu la notion de leur civisme que le Pr sident de la R publique est intervenu une nouvelle fois aupr s du minist re de l Int rieur et des Collectivit s Locales pour lui recommander des formations pour tous le personnel de ces administrations commencer par les walis les chefs de da ra et les secr taires g n raux ainsi que les chefs de services de wilaya et d une ouverture timide aux technologies de l information et de la communication En 338 b effet tr s peu de villes ou carr ment wilayas ont un site we et l informatisation des proc dures et des prestations se fait tr s lentement Enfin et dans un sondage r alis par MyWorld2015 org aupr s de 766 internautes alg riens sur leurs priorit s pour un avenir meilleur les trois priorit s suivantes ont t retenues une bonne ducation un meilleur syst me de sant et la protection contre le crime et la
17. urbain architecturale Cependant la classification de JACQUART 2013 est inspir e de plusieurs autres chercheurs et parait un peu plus compl te et m thodique On identifie alors sept cat gories d acteurs deux faisant partie des acteurs internes et cinq appartenant aux acteurs externes 108 a Renouvellement urbain op cit 109TRANDA PITTION M 2010 Quel potentiel pour les projets urbains de territoire dans les processus de production urbaine Centralit s urbanisme durable et projet Les cahier du d veloppement urbain durable n 11 d cembre HOJACQUART S 2012 La mobilisation des parties prenantes dans les d marches d agenda 21 local Strat gie pour la ville de Macon http www usherbrooke ca environnement fileadmin sites environnement documents Essais 2013 Jacquart S__2013 01 16 pdf consult le 10 11 2013 55 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes y Les acteurs internes La mairie a pour mission de satisfaire les besoins de la population en construisant exploitant et entretenant des infrastructures sociales conomiques et environnementales Elle doit veiller au respect de la loi et la prise en consid ration des dol ances des habitants y Les lus ce sont les repr sentants de la population travers un vote qui veillent faire respecter la volont du peuple Les agents de la ville ils sont constitu s de toutes les personnes travaillant pour
18. 2002 individus et l ments constitutifs qui contribuent de fa on volontaire ou non la capacit de la firme cr er de la valeur et ses activit s et qui en sont les principaux b n ficiaires et ou en supportent les risques Source MERCIER S GOND J P 2005 La th orie des parties prenantes Cahier du FARGO FARGO Centre de recherche en Finance Architecture et Gouvernance des Organisations n 1050502 URL leg u bourgogne fr wp 1050502 pdf 2013 02 consult le 13 12 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain 1 2 Identification et analyse des parties prenantes Selon MAYERS 2005 l analyse des parties prenantes permet non seulement l aide la d cision dans une recherche d quilibre et de gestion d int r ts contradictoires mais aussi l tablissement de sc narios possibles C est le probl me de qui Qui y gagne Qui y perd Quelles sont les relations et les diff rences de pouvoir entre les parties prenantes Quelle est leur influence respective Traiter des parties prenantes pose la question de leur identification effective et leur hi rarchisation De l plusieurs classification ont t propos es Nous retenons ici la classification d IGALENS et PONT 2009 A Selon la proximit des parties prenantes Dans cette cat gorie on retrouve les parties prenantes qui sont impliqu es dans les activit s de l entreprise PP interne et PP
19. Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville de PENCEN et e Nas e e MR aae er Re e de AR bit ae 140 Introduction d urchapitr 25 e eee Re tree re nn etre nee 141 I Implication citoyen dans les villes alg riennes et en particulier la ville de Tlemcen 142 1 1 Le cadre l gislatif de la ville alg rienne oossnnsnssssesnsenrrsssssserernrssssesereesnssssesereesnsssseeeneens 142 1 2 La gouvernance urbaine en Alg rie 145 1 3 La participation citoyenne en Alg rie 148 1 4 Le cas de laville de Tlemcen sine nenmentenentinnienenntue centimes 150 Il L tude par questionnaire aupr s d un chantillon des habitants de la ville de Tlemcen 152 IT Constitution du questionnaire iii 152 11 2 Administration du questionnaire iii 154 11 3 R sultats du questionnaire iii 156 A La perception de la participation ne 157 B Les facteurs d terminants de la participation 163 C Les bases d une d marche marketing ss 166 Concl sions d l tude iii dass einen tee Rift dates 174 Conclusionig n ral r ruete rule tetere r n dt ne dorer eee ne dore dou A re surtt Te detente EES 177 ANN XES Et tes MAN E E E dant dede net ETE 180 R f rences issues tenant at Aa on fan date 193 List des first en ee ne tente ere ananas dore end Tarte da a nes e n ee een 205 Liste des tableaux sisi ain ame ae ne tons EMA Ar ae a A SUR ee ee ne ee ep sie List
20. Ils consid rent ainsi la gouvernance territoriale comme un nouveau mode de coordination territoriale Avant d aller plus loin il est imp ratif de d finir la ville pour mieux cerner son mode de gouvernance et ses parties prenantes En 2008 plus de 50 de la population mondiale vit en villes c est dire l importance que rev t cette unit territoriale dans la vie de tous chacun Une place favoris e par une am lioration de la croissance et de la qualit de vie et d favoris e par l essor des bidonvilles et d autres probl mes sociaux comme la criminalit Les transformations que subit la ville reposent alors la question de sa d finition et de ses fonctions Car la ville est non seulement un objet per u et peut tre appr ci par des millions de gens de classe et de caract re tr s diff rents mais elle est galement le produit de nombreux constructeurs qui sont constamment en train d en modifier la structure pour des raisons qui leur sont propres Tandis qu elle peut rester stable dans ses grandes lignes pendant un certain temps elle n arr te pas de changer dans le d tail On ne peut contr ler que partiellement sa croissance et sa forme Il n y a jamais de r sultat final mais seulement une succession ininterrompue de p riodes et il n est alors pas tonnant que l art de modeler les villes pour le plaisir des sens soit un art tout fait distinct de l architecture de la musique ou de la li
21. Le ch mage le sous emploi le d ficit des services publics et l absence de politique de solidarit et de proximit au niveau du quartier ach vent de donner aux grands ensembles le caract re de r pulsion et d exclusion qui fonde la mal vie Ces probl mes m me si elles sont propres plusieurs villes au niveau mondial restent un handicap une gestion ouverte de la ville car force de chercher r soudre ces probl mes on oublie souvent de solliciter les personnes concern es Selon DJELLAL 2007 les communes de par la surcharge des taches et surtout de par leurs moyens d risoires ont d normes difficult s laborer et mettre en uvre des programmes d actions globaux coh rents et instituer des m canismes durables de gestion Press es par les urgences expos es des actions dispers es elles ne peuvent agir qu au coup par coup parant au plus press 329 oi 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville op cit 330 http www cnes dz cnesdoc cneshtm ville htm consult le 20 06 2012 331 Qui se fait souvent dans la pr cipitation et dans un esprit de bricolage CNES 1998 Rapport sur la ville alg rienne ou le devenir urbain du pays en ligne URL 146 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen L impuissance de ces communes r pondre aux demandes et aux besoins de leur population
22. chantillonnage donn e 347 1 A x 1 l chelle progresse dans deux directions oppos es CEGO Les chelles de mesure URL http grandsorganismes gouv qc ca page element amp nIDElement 2155 348 155 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen mais selon SAUTORY 2010 Un chantillon n est jamais repr sentatif en soi il est repr sentatif par rapport certaines variables Notre chantillon est constitu de deux cent cinquante 250 personnes ayant plus de 18 ans et r partis sur les trois communes constituant la ville de Tlemcen Le nombre de personnes questionn es bien que n tant pas tr s grand nous parait suffisant pour une tude exploratoire d autant plus que les chercheurs pr conisent 10 r pondants pour chaque item dans le cadre des analyses de composantes principales utilis e dans notre tude HAIR et al 1998 et que le questionnaire tait assez long et demandait du temps et de l assistance pour le remplir et par la suite pour le traiter Il faut dire que devant le manque de donn es et notamment des classements par cat gorie socioprofessionnelle et par tranche d ge nous nous sommes r sili s utiliser deux variables le genre et la r partition de la population par commune afin d utiliser la m thode des quotas gr ce aux donn es recueillies aupr s du DPAT de la Wilaya de Tlemcen Voir annexe 5 pour les statist
23. civile KMF CNOE Friedrich Ebert Stiftung FES URL http library fes de pdf files bueros madagaskar 06890 pdf Consult le 14 02 2014 DALIMIER Isabelle et al 2009 Processus de participation Tableau de bord Participation et espaces publics Pour un d veloppement et une gestion concert e des espaces publics article 74 mis en ligne le 31 janvier URL http www topozym be spip article php3 id_article 74 consult le 28 11 2013 DAMAK AYADI Salma PESQUEUX Yves 2003 La th orie des parties prenantes en perspective Atelier de FAIMS D veloppement durable gt gt Angers 15 mai DAMAK AYADI Salma PESQUEUX Yves 2005 Stakeholder Theory in perspective Corporate governance vol 5 n 2 pp 5 21 DAVIDSON Scott 1998 Spinning the wheel of empowerment Planning vol 1262 3 April pp14 15 DE SAINT ALBIN Hermine SURYASUMIRAT Cathy 2008 Les dispositifs habitants ambassadeurs Revue Espace n 264 novembre pages 39 46 DEFFNER Alex LIOURIS Christos 2005 City Marketing a Significant Planning Tool for Urban Development in A Globalised Economy 45th Congress of the European Regional Science Association Land Use and Water Management in a Sustainable Network Society Vrije Universiteit Amsterdam consult le 12 05 2013 DETRIE Jean Pierre 2005 Strat gor 4 dition Ed DUNOD DJELAL Nadia 2007 Politiques urbaines et r le des acteurs publics dans les dynamiques territoriales en Alg rie
24. construite mais le projet d esplanade reste toujours en suspens y L exemple d Amsterdam aux Pays Bas Reprenant les tudes de m tro des ann es 1970 le projet de ligne Nord Sud vise r duire le trafic dans le centre ville d Amsterdam Rendu public tardivement le projet est mal accept par la population Malgr une importante hausse du co t du projet de fortes contestations et un r f rendum n gatif la municipalit lance la construction du m tro en 2003 Suite des incidents de chantiers tr s m diatis s en 2008 la ville d cide de rompre avec la conduite de 13 S nat Fran ais Rapports d information Villes du futur futur des villes quel avenir pour les villes du monde Enjeux http www senat fr rap r10 594 1 r10 594 117 html 14 La Fabrique de la Cit 2012 Vers l adh sion citoyenne aux grands projets urbains Document de travail S minaire international Amsterdam du 29 au 31 aout www lafabriquedelacite com sites default files note_adhesion_sc_po pdf 76 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes projet opaque adopt e jusque l et d veloppe de nombreux dispositifs pour informer le public Aujourd hui les conflits sont apais s et la construction se poursuit y L exemple de Nanterre en France Le projet Arena 92 a pour objectif la construction d un stade de 40 000 places dans le tissu urbain contraint de la D fense Financ int gralement par des fond
25. http www cultureunbound ep liu se v1 a19 cu09v1a19 pdf consult le 12 12 2013 228 KAVARATZIS M 2004 From City Marketing to City Branding Towards a Theoretical Framework for Developing City Brands Place Branding and Public Diplomacy Vol 1 N 1 pp 58 73 229 NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p215 Idem p224 LYNCH K 1976 L image de la cit Ed BORDAS Paris p2 230 231 112 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes L image un message interne et externe L image d une ville est autant une image interne nourrie par les citadins eux m mes qu une image externe renvoy e la ville par le monde environnant et les gens de passage NOISETTE et VALLERUGO 1996 Le rapport entre image interne et image externe de la ville est assez difficile g rer car il d pend du rapport entre citadins et trangers et il d passe une simple comparaison entre un objet du dedans et du dehors ou entre la relation des citadins leur ville et la relation des trangers cette m me ville NOISETTE et VALLERUGO 1996 Une mauvaise gestion pourrait conduire alors des r sultats n gatifs au niveau interne ou externe Par exemple Singur ville du Bengale Oriental en Inde o la firme Tata a d cid de construire sa future usine o sera produite la Nano la fameuse voiture 2 500 dollars Cette ville d termin e s industrialiser
26. janvier no 49 50 pp 107 138 URL www cairn info revue societes contemporaines 2003 1 page 107 htm consult le 27 02 2013 121 ROGERS Richard GUMUCHDJIAN Philip 2000 Des villes pour une petite plan te Traduit de l anglais par Claudine GILBERT et Jean DURIAU Editions du Moniteur Pari 122 ROSEMBERG LASORNE M 2007 Marketing urbain et projet de ville parole et repr sentations g ographiques des acteurs Cybergeo En ligne Am nagement Urbanisme article 32 mis en ligne le 23 octobre 1997 modifi le 15 mai 2007 http www cybergeo eu index1977 html Consult le 27 mai 2012 123 SAULNIER Natalia ZANIN Christine 2003 Le bruit comme facteur de nuisance la qualit de la vie du citadin G ocarrefour Vol 78 2 pp 121 128 124 SEISDEDOS Gildo 2006 State of the Art of City Marketing in European Cities http www isocarp net Data case_studies 858 pdf consult le 11 05 2013 125 SEMAL Nathalie 2006 Quelle place pour le citoyen dans les processus de qualification environnementale des entreprises D veloppement durable et territoires En ligne Dossier 5 mis en ligne le 10 janvier 2006 URL http developpementdurable revues org 1656 consult le 22 mai 2013 126 SIDANER Xavier 2013 Favoriser la circulation des donn es publiques est n cessaire mais insuffisant En ligne Acteurs publics 17 d cembre URL http www acteurspublics com 2013 12 17 favoriser la circulation des donnees publ
27. limiter la notion de citoyen et les notions qui l entourent Penser le citoyen suppose une r flexion sur les valeurs mettant en cause le vivre ensemble Ces derniers font l objet de beaucoup d int r t dans la litt rature et doivent tre de plus en plus impliqu s dans la gestion de la ville histoire de rendre la ville ceux qui y vivent L approche du comportement du citadin est diff rente de celle du comportement de l entreprise pour les raisons suivantes les personnes contrairement aux entreprises sont citoyennes ils entretiennent une relation double avec la ville celle de client et celle de pouvoir d cisionnel Ce qui rend la distinction entre la partie fiscale et la partie tarifi e des services urbains plus compliqu e en comparaison avec l entreprise les citadins vivent la ville selon une modalit professionnelle emploi et une autre personnelle vie familiale et sociale les opportunit s les contraintes et les objectifs des personnes peuvent tre contradictoires entre deux d cisions simultan es ou une seule 120 BERNER M M et al 2011 op cit NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p358 Idem p374 375 121 122 62 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes d cision Tandis que l entreprise ne se r f re pas la ville mais son espace conomique qu elle consid re homog ne et auquel elle peut rapporter le territoire le
28. me Conf rence de l Association Internationale de Management Strat gique 13 14 15 juin Ne sont exclus de cette acception que ceux qui ne peuvent affecter l entreprise du fait de leur absence de pouvoir et ceux qui ne sont pas affect s par ses actes du fait de l absence d une quelconque relation II convient galement de noter qu une parties prenantes peut MERCIER S 2001 op cit 11 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain tr s bien tre affect e sans pouvoir affecter l entreprise et r ciproquement Ces parties prenantes peuvent donc constituer de fa on potentielle soit une aide soit un danger pour l organisation Leurs droits l gitimes se fondent sur l existence d une relation d change avec l entreprise Tableau 1 Les diff rentes d finitions des parties prenantes Auteurs D finitions propos es STANFORD les groupes sans le support desquels l organisation cesserait d exister cit RESEARCH par FREEMAN 1984 INSTITUTE 1963 RHENMAN ET groupe qui d pend de l entreprise pour r aliser ses buts propres et dont cette STYMNE 1965 derni re d pend pour assurer son existence STURDIVANT 1979 1 individus qui sont affect s par les politiques et pratiques de l entreprise et qui consid rent avoir un int r t dans son activit 2 tout groupe dont le comportement collectif peut affecter directemen
29. ographie alpine Journal of Alpine Research En ligne n 98 mis en ligne le 13 avril URL http rga revues org 1128 quotation consult le 02 ao t 2013 89 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes La consultation publique un m canisme permettant aux citoyens de se prononcer sur des projets ou des politiques et de faire des recommandations Le droit d initiative un processus de vote permettant de donner son avis sur une proposition de loi de politique ou un projet de r glement au niveau municipal Le forum citoyen v nement permettant de fournir de l information et d exprimer des opinions spontan es sur des projets ou des politiques Le jury citoyen une assembl e citoyenne d sign e au sort inform e en profondeur par des experts afin d orienter des d cisions politiques pr cises Les activit s de d bat en ligne par le biais d un portail web de dialogue citoyens d cideurs ou des m dias sociaux L agenda 21 un document permettant de d terminer les grandes orientations pour une organisation ou un territoire Aussi il est recommand de d terminer le niveau d implication recherch e pour pouvoir adapter les outils Une typologie d velopp e et utilis e par l Association internationale pour la participation publique reprend les objectifs suivants 1 Sensibilisation sensibiliser le public une question un processus ou une d cision 2 Education fournir
30. organisation de la partie prenante ou sur la place qu elle occupe par rapport aux autres parties e L importance de certaines parties prenantes pour la r ussite du projet peut tre valu e l aide des questions suivantes Quels probl mes le projet vise t il r soudre ou att nuer Quelles sont les parties prenantes concern es par ces probl mes Quelles sont les parties prenantes dont les besoins les int r ts et les attentes constituent une priorit dans le cadre du projet Parmi l ensemble des int r ts identifi s lesquels sont les plus en ad quation avec la strat gie adopt e et les objectifs du projet C Identification des risques et des hypoth ses associ s aux parties prenantes L valuation de l influence et de l importance des parties prenantes principales fait appara tre certains risques qui n cessitent d tre pris en charge pour garantir la r ussite du projet Pour ce faire certaines questions peuvent aider examiner les hypoth ses et les risques relatifs chaque partie prenante Quels seront le r le et la r action probables de chacune des parties prenantes principales en cas de r ussite du projet Ces r les sont ils plausibles et r alistes Faut il s attendre des r actions n gatives dues aux int r ts de la partie prenante concern e Sic est le cas quelles seront les r percussions sur le projet Quel est le degr de probabilit de ce
31. pour r pondre aux besoins des parties prenantes de la ville Traditionnellement le marketing op rationnel est r sum en les 4P classiques de KOTLER le client per oit les avantages du produit qui est livr travers un canal de distribution sp cifique et est communiqu par une politique de promotion et de publicit Tout ceci en change d un prix Cela n est pas aussi vident en application la ville Puisqu il ne s agit pas simplement de techniques ASHWORTH amp VOOGD 1994 SANSOUCY L LANCIEN B 2007 Quelles pistes pour le marketing territorial de l Ile de France Avis d experts gome s minaire conomique de l ARD 12 septembre http www le per org 12 sept 07 ard vgollain intro seminaire 12 septembre 2007 2 pdf consult le 11 05 2013 222 Cit dans RAINISTO S K 2003 op cit 109 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Pour le cas de la ville et des endroits de mani re g n rale un certain nombre d adaptations s av rent n cessaires ces adaptations ont fait l objet de contributions de diff rents auteurs Figure 23 Diff rentes adaptations du mod le des 4P aux villes ASHWORTH amp VOOG 1990 KOTLER et al 1999 HUBBARDY Hall 1998 La ville comme Activit s promotionnelles Design Personnalit Publicit et promotion Activit s spatiales et Infrastructure Environnement stable D veloppeme
32. re que le citoyen dans ces conditions passe d un simple r cepteur un usager de l information en assurant son interpr tation et sa s lection active Il devient alors clair et apte interpr ter les messages politiques et participer au d bat Ainsi Les types de la communication de la ville peuvent tre class s soit selon les cibles vis es soit selon la nature des informations divulgu es ou des circonstances qui ont n cessit cette communication Communication interne et communication externe La distinction entre communication externe et communication interne de la ville est souvent tablie Pour NOISETTE et VALLERUGO 1996 la communication externe touche les touristes les investisseurs et toutes personnes trang res d sirant habiter ou exercer n importe quel type d activit dans la ville Tandis que la communication externe concerne HOULLIER GUIBERT C E 2005 Quand la communication territoriale s empare du d veloppement durable L exemple de Rennes http www unil ch webdav site ouvdd shared Colloque 202005 Communications B 29 20Gouvernance B 5 C E 20Houllier Guibert pdf consult le 09 03 2013 248 BAILLEUL H 2008 Les nouvelles formes de la communication autour des projets urbains modalit s impacts enjeux pour un d bat participatif M tropoles En ligne Mars mis en ligne le 11 juin 2008 URL http metropoles revues org 2202 consult le 24 mars 2014 118 Chapitre
33. souvent interpr t e comme tant de l inertie devient la cause de pratiques informelles Toutefois et pour faire face ces maux une politique long terme est tablie travers le SNAT 2025 Sch ma National de l Am nagement du Territoire l horizon 2025 dont il faudrait veiller sa concr tisation Les pr rogatives et les comp tences des villes alg riennes Le statut et les pr rogatives de la commune en Alg rie restent assez flous En effet et selon DJELLAL 2007 la multiplicit et la diversit des fonctions s ajoutent un flou et une impr cision des taches car les textes la plupart du temps use de termes vagues et incertains tel que la commune initie veille participe etc Ceci ne favorise pas la lisibilit des pr rogatives que chacun peut interpr ter sa fa on Ce qui fait que les communes elles m mes n arrivent plus distinguer l essentiel de l accessoire les t ches secondaires des missions principales l exercice desquelles elles sont pr cis ment attendues observ es et jug es Le CNES propose aussi les causes suivantes Fes __L inad quation des dispositifs institutionnels avec la r alit de la ville Une option de d centralisation proclam e et contrari e les m canismes de la d centralisation ont r v l des dysfonctionnements parfois assez graves apparemment imputables l encore des failles dans les approches institutionnelles
34. tre que leurs checs ont t en partie l origine de l annulation de ce rallye La r ussite de l organisation des jeux olympiques de P kin a t b n fique pour l image de la ville mais aussi pour celle du pays entier En organisant des jeux Olympiques de haut niveau P kin a impos l image d une Chine moderne et efficace dont ses entreprises pourraient tre les grandes b n ficiaires tandis que l impact sur l conomie s annonce mod r Les v nements culturels artistiques ou historiques les conf rences et expositions les festivals et les grands v nements culturels une ville capitale r gionale ou 239 MASSON D 2006 Le coup de show des collectivit s Strat gies Enligne URL http www strategies fr archives 1427 page 37307 le coup de show des collectivites html consult le 13 12 2013 260 MABIRE M 2003 Les territoires am nagent leur image Strat gies Enligne URL http www strategies fr etudes tendances dossiers r30909 les territoires amenagent leur image html consult le 22 11 2013 SICLAVEAU P 2005 Managements de projets v nementiels mode d emploi pour les associations et les entreprises Collection Gestion en Plus Editions PUG Grenoble p 39 22 Les Jeux de P kin imposent la marque Chine au reste du monde 2008 http www ladepeche fr article 2008 08 24 472018 jeux pekin imposent marque chine reste monde html consult le 13 02 2013
35. velopper la t l vision locale Colloque Multim diaville Bordeaux 2001 http www csa fr actualite interventions interventions detail php id 5920 consult le 20 09 2013 288 Elle parle de la ville d cor et pr cise que gr ce au cin ma la t l vision et l Internet l exp rience de la ville devient plus virtuelle que r elle GRAVARI BARBAS M 1997 La ville d cor accueil de tournages de films et mise en place d une nouvelle esth tique urbaine Cybergeo European Journal of Geography En ligne Dossiers Colloque les probl mes culturels des grandes villes 8 11 d cembre document 101 mis en ligne le 27 mai 1999 URL http cybergeo revues org 1170 consult le 02 janvier 2014 20 FROCHOT I LEGOHEREL P 2007 op cit p226 227 pour rappel les sc nes qui se d roulent sur la plan te Tatooine ont t film es sur l le de Djerba en Tunisie Tataouine ce qui explique le nom de cette plan te fictive Tatooine pour presque tous les films Les sc nes pr sentant la maison de l oncle Owen ont t film es au village troglodyte de Matmata toujours en Tunisie une partie des d cors a t pr serv e et est visitable dans ce village du sud tunisien 130 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes le mobilier de repos bancs banquettes si ges tables les objets contribuant la propret de la ville poubelles corbeill
36. 2 Ibid 204 WINFIELD PFEFFERKORN J 2005 The branding of cities Exploring city branding and the importance of brand image http www brandchannel com images papers 245 Branding of Cities pdf consult le 05 03 2013 2 BENKO G 2006 op cit 103 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes D Une nouvelle tape dans l volution du marketing Le marketing est avant tout une d marche qui consiste d couvrir et analyser les besoins afin de mettre en uvre une politique de production et de diffusion adapt e Le march les clients les concurrents l offre les prix toutes ces notions bien qu elles soient propres au marketing classique peuvent se retrouver dans la r alit quotidienne d un territoire qui se trouve confront leur gestion et la r alisation d un quilibre dans le processus de leur traitement De ce fait le marketing territorial devient une nouvelle tape dans l volution du marketing Georges BENKO pense que c est m me probablement l un des derniers champs d application de cette discipline micro conomique Chaque territoire a un certain nombre d images et est per u de diff rentes mani res selon ses parties prenantes des images et des perceptions qu il ne peut pas toujours contr ler Cela n cessite de lui de les cerner pour pouvoir pr senter l image qu il souhaite et susciter envers elle un sentiment d apparte
37. 4 Gouvernance priv e et gouvernance publique Crit res de Gouvernance priv e soci t s Gouvernance publique Institutions comparaison par actions publiques Propri t souverainet Les actionnaires Le peuple les lecteurs Organes de contr le Le Conseil d administration ou de Le Parlement le conseil surveillance d partemental r gional et municipal Gouvernement maire adjoint aux communes Organes de gestion Direction g n rale limit fix es Dur e d termin e mandat aux ch ances lectorales l galement Dur e de mandat Dur e d termin e Source CARASSUS D et al 2006 op cit 66 p CARASSUS et al 2006 proposent en s inspirant de la typologie de CHARREAUX 1997 une classification des m canismes relatifs la gouvernance locale Ils font ressortir les m canismes sp cifiques intentionnelset les m canismes intentionnels mais non sp cifiques les m canismes spontan s sp cifiques et les m canismes de gouvernance locale spontan s non sp cifiques r sum s dans le tableau suivant Tableau 5 Typologie des m canismes de gouvernance locale M canismes sp cifiques M canismes non sp cifiques M canismes intentionnels Citoyens contr le direct politique Conseil municipal g n ral et r gional Commissions internes finance participation des citoyens etc Auditeurs internes locaux Consultants auditeurs contractuels
38. 4 8 11 4 14 5 32 9 36 4 5 Le r le du citoyens consiste TAFD PD SA PPD PDTD Voter aux lections 47 0 26 5 11 7 9 6 5 2 Payer ses imp ts et respecter les lois 50 4 27 4 10 0 7 0 5 2 S exprimer ou exprimer son opinion par des manifestations 40 6 36 2 12 2 6 1 4 8 ou dans les lieux d expression comme les m dias S impliquer par le militantisme associations PARTIS 23 0 33 9 23 5 10 0 9 6 6 Saviez vous que les d lib rations concernant les projets de la commune en Alg rie sont ouvertes tous les citoyens Oui 19 8 Non 80 2 6 1 Si oui avez vous d j particip l une d elle Oui 7 3 Non 92 7 7 Saviez vous qu l chelle de chaque wilaya il existe un m diateur qui s assure de la prise en charge des dol ances des citoyens Oui 29 1 Non 70 9 7 1 Avez vous d j fais recours lui Oui 5 6 Non 94 4 8 Avez vous ressenti une am lioration dans les services publics durant l an dernier Oui 30 5 Non 69 5 8 1 Si oui comment La majorit des r ponses tournent autour de la rapidit dans la d livrance des documents personnels Certaine portent sur l am nagement urbain et d autres sur les v nements 9 Croyez vous qu il est important de solliciter l opinion des TAFD PD SA PPD
39. Apr s l introduction de cette notion par FREEMAN pendant une communication au sein du Stanford Research Institute elle a t impos e dans la litt rature dans son ouvrage Strategic Management A Stakeholder Approach 1984 Au tout d but le concept de partie prenante d signait les groupes indispensables la survie de l entreprise Stanford Research institute 1963 mais par la suite les d finitions se sont multipli es voir Tableau n 1 en donnant naissance diff rentes approches de la th orie des parties prenantes normative instrumentale ou empirique Nous retiendrons pour la suite de ce travail la d finition de FREEMAN 1984 une partie prenante est un individu ou groupe d individus qui peut affecter ou tre affect par la r alisation des objectifs organisationnels A partir de cette d finition une cartographie des diff rentes parties prenantes de l entreprise peut tre dessin e voir Figure 2 En outre des parties prenantes peuvent affecter l entreprise sans tre affect es et vice versa et peuvent de ce fait constituer un danger ou au contraire une aide pour l entreprise Figure 2 Les parties prenantes de l entreprise adapt DONALDSON et PRESTON 1995 Groupes de Gouvernements pression Communaut Associations locale professionnell Source MERCIER Samuel 2001 L apport de la th orie des parties prenantes au management strat gique une synth se de la litt rature Xi
40. Elle est r ussie par une meilleure connaissance des publics et une prise en compte des demandes exprim es par les citoyens afin que chaque territoire puisse trouver des r ponses ad quates sa situation sp cifique Pour Carlos MORENO ce qui tire la ville intelligente c est l innovation sociale et l innovation urbaine D apr s lui il faut savoir faire anticiper l acceptabilit sociale la mutation technologique en impliquant l usager la mise en place des solutions techniques et en respectant les trois piliers innovation sociale innovation urbaine et innovation technologique Bruno MARZLOPFF sociologue et directeur du cabinet d tudes Chronos insiste sur le fait que la ville intelligente ne se r duit pas au tout num rique Le big data analyse de masses de donn es au c ur des strat gies marketing des acteurs priv s n est que le premier tage de la fus e de la ville intelligente Le second qui l accompagne n cessairement est une r flexion sur la r duction de la demande moins de d placements motoris s de consommation d nergie de d chets etc Sans doute en faudrait il un troisi me qui nourrisse l imaginaire de la ville que nous voulons Enfin l intelligence territoriale est consid r e comme une d marche strat gique au service du d veloppement local GIRARDOT 2009 Tout comme l adoption d une d marche durable qui fait de la ville une agglom ration
41. Monde La participation citoyenne URL www inm qc ca democratie documentation participation citoyenne consult le 06 011 2013 93 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes III Les d terminants de l implication citoyenne Apr s avoir d termin l essentiel de l implication des parties prenantes et fait ressortir le citoyen comme principale partie prenante de la ville nous pouvons traiter des recherches en relation En effet plusieurs recherches montrent l int r t de plusieurs variables dans la participation des citoyens dans les affaires de leur ville mais la majorit insiste sur le degr d attachement la ville 11 1 L attachement la ville Un lieu peut tre consid r comme une unit d exp riences environnementales CANTER 1986 une convergence de cognitions les sentiments et les comportements des personnes qui l exp rimente CANTER 1991 Les dimensions psychologiques de l exp rience li e un lieu ont t d crites sous plusieurs concepts tels que le sentiment communautaire HUMMON 1992 et le sentiment d appartenance RELPH 1976 JORGENSEN et STEDMAN 2001 ou encore la d pendance un endroit l identit du lieu et l attachement un lieu MANZO 2003 l attachement un lieu est d crit en termes d engagement comportemental et de liens affectifs BROWN et PERKINS 1992 Toutefois PUDDIFOOT 1995 rapporte qu il y a une ce
42. XLille Colloque de l ASRDLF Les dynamiques territoriales d bats et 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 enjeux entre les diff rentes approches disciplinaires Grenoble et Chambery 11 12 13 Juillet URL http edytem univ savoie fr d asrdlf2007 pub resumes textes Djelal pdf consult le 06 12 2013 EL ABBOUBI Manal CORNET Annie 2008 Entreprendre une Certification Sociale dans une PME Quels Enjeux pour la Mobilisation des Parties Prenantes 9 me Congr s International Francophone en Entrepreneuriat et PME CIFEPME Louvain la Neuve Belgique ELIAS Arun amp CAVANA Robert Stakeholder Analysis for Systems Thinking and Modelling School of Business and Public Management Victoria University of Wellington New Zealand FAO New approaches to participation in fisheries research URL http www fao org docrep 007 y1127e y1127e04 htm consult le 27 07 2013 FLORIN Paul WANDERSMAN Abraham 1991 An introduction to citizen participation voluntary organizations and community development Insights for empowerment through research American Journal of Community Psychology Janvier pp 41 54 FROCHOT Isabelle LEGOHEREL Patrick 2007 Marketing du Tourisme Dunod GAUVIN Fran ois Pierre ROSS Marie Christine 2012 La participation citoyenne dans l valuation d impact sur la sant Survol des enjeux Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la sant UR
43. acc s Internet site web D veloppement conomique du territoire Contribution l am lioration de l attractivit du territoire Techniques Mise en valeur du territoire implication d entreprises nouvelles infrastructures r seaux acc s r alisation de contenus sites Internet Source JUBERT F et al 2005 L e administration Levier de la r forme de l Etat Collection Management Public Dunod p157 Dans cette logique de plus en plus de collectivit s sont pr sentes sur la toile Outil ludique comme indispensable les services en ligne permettent de se renseigner et de visiter un territoire par une diffusion tr s large d informations tout en limitant parfois des co ts de 132 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes publicit Promouvoir sa ville ou tre pr s de ses citoyens devient de plus en plus une obligation D un c t Internet permet de susciter un int r t et d exposer les richesses culturelles touristiques et gastronomiques d une ville ou d une r gion et d un autre c t il permet de faciliter la t che aux citoyens en d veloppant des services en ligne et permet de recueillir leurs avis leurs critiques et leurs propositions concernant des prestations qui ont des r percussions sur leur vie quotidienne Aussi Internet peut tre un outil d attraction pour les investisseurs en montrant expliqu
44. affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen des initiatives locales visant int resser et inciter les citoyens participer au r glement de leurs probl mes et l am lioration de leurs conditions de vie art 12 Le pr sident de l assembl e populaire communale peut chaque fois que les affaires de la commune l exigent faire appel titre consultatif toute personnalit locale tout expert et ou tout repr sentant d association locale d ment agr e qui en raison de ses comp tences ou de la nature de ses activit s est susceptible d apporter toutes contributions utiles aux travaux de l assembl e ou de ses commissions Art 13 Les extraits des d lib rations de l assembl e populaire communale ainsi que les arr t s communaux peuvent tre consult s par toute personne Art 14 Ces textes ont permis la cr ation d un certain nombre d associations dont les missions ne sont pas toujours faciles L association dans un cadre r glementaire constitue une convention r gie par les lois en vigueur dans le cadre de laquelle des personnes physiques ou morales se regroupent sur une base contractuelle et dans un but non lucratif art 2La loi 90 31 du 4 d cembre 1990 En plus des associations la soci t civile est constitu e d individus non organis s au sein de groupes hommes de culture intellectuels de tous bords scientifiques et autres Selon GRIM 2007 plus que la presse aussi ind pendante
45. apport de la th orie des parties prenantes au management strat gique une synth se de la litt rature Xi me Conf rence de l Association Internationale de Management Strat gique 13 14 15 juin D autre part PESQUEUX et DAMAK AYADI 2005 rappellent les postulats de la th orie des parties prenantes DAMAK AYADI S PESQUEUX Y 2005 op cit 24 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain l organisation est en relations avec plusieurs groupes qui affectent et sont affect s par ses d cisions FREEMAN 1984 la th orie est concern e par la nature de ces relations en termes de processus et de r sultat vis vis de la soci t et des parties prenantes les int r ts des parties prenantes ont une valeur intrins que et aucun int r t n est cens dominer les autres CLARKSON 1995 DONALDSON et PRESTON 1995 SHARMA 2001 consid re qu court terme l int gration des parties prenantes permet de r duire les co ts et apporte des opportunit s de diff renciation long terme elle permet la construction dynamique de ressources concurrentielles de valeur Cela se concr tise notamment travers les points suivants sugg rer une nouvelle vision de la gouvernance des entreprises relever les dispositifs de management des parties prenantes adopt s par les organisations codes de conduite cr ation de comit s d thiq
46. au milieu urbain pose la question de la sp cificit de ce milieu Nous cherchons alors d terminer ce qui fait la diff rence des villes comme objet de gouvernance UN HABITAT The Urban Legislation Land and Governance Branch http www unhabitat org content asp cid 2796 amp catid 260 amp typeid 24 amp subMenuld 0 consult le 18 11 2013 ROBERTSON P J TAEHYON C 2009 Self organization and Responsiveness A Simulation of Collaborative Governance 10th National Public Management Research Conference URL http www2 ku edu pmranet conferences OSU2009 papers Robertson 20Peter 20J 20and 20Choi 2 Taehyon 20 20Self organization 20and 20Responsiveness 20 20A 20Simulation 200f 20Collaborative 20Governance pdf consult le 11 02 2014 SANSELL C GASH A 2007 Collaborative Governance in Theory and Practice Journal of Public Administration Research and Theory Oxford University Press URL http sites duke edu niou files 2011 05 Ansell and Gash Collaborative Governance in Theory and Practice pdf consult le 11 02 2014 42 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain 1 2 En quoi les villes sont elles diff rentes Les entreprises peuvent cr er leurs produits et leurs marques les adapter la demande leur attribuer une identit et un positionnement Une d marche qui ne semble pas tre compliqu e pour des entreprises comme Nike Carrefour ou Dior mais qui
47. chelle les probl mes de niveaux inappropri s d empowerment peuvent tre surmont s car elle favorise le niveau de participation qui permet de r aliser des objectifs clairs sans sugg rer que l objectif est toujours de monter au sommet de l chelle A partir de l la roue de participation de Davidson tourne au tour de quatre modes de participation dont chacun se d cline en plusieurs niveaux 165 165 L Information dans ce mode nous retrouvons La communication minimale minimal communication o la d cision est prise par les autorit s sans consultation du public sauf que quand la loi l exige L information limit e limited information ici on ne dit au public que ce que nous voulons qu il sache et non pas ce que lui veut savoir travers les articles de presse par exemple L information de bonne qualit good quality information qui consiste fournir des informations quand les habitants les d sirent ou ont en besoin comme par exemple des notes d orientation pour le d veloppement d une zone de conservation La Consultation ce mode regroupe La consultation limit e limited consultation qui procure des informations de fa on restreinte mais qui attend souvent des r ponses de la part du public notamment travers les enqu tes Le service la client le customer care en ayant une vision ax e sur le client usager et veiller satisfaire le maximum d habitants La consultation v rit
48. civique et de citoyennet ONU HABITAT d veloppe galement des indicateurs de bonne gouvernance urbaine pour aider les villes identifier les priorit s de la gouvernance urbaine et d valuer leur progression La gouvernance collaborative quant elle est un processus de prise de d cision collective pr sent e par plusieurs chercheurs Ainsi ANSELL et GASH 2008 d finissent la gouvernance collaborative comme un arrangement o un ou plusieurs organismes publics engagent directement les intervenants non tatiques dans le processus de prise de d cision collective et soulignent que la participation sans pouvoir de d cision n est pas une gouvernance collaborative mais simplement une consultation cependant la gouvernance collaborative est un processus d lib ratif BOUWEN amp TAILLIEU 2004 DRYZEK 2000 Les participants la gouvernance collaborative sont dot s de l autorit pour prendre des d cisions collectives Ce qui implique que ces acteurs auront la responsabilit r elle des r sultats des politiques d cid es Par cons quent ANSELL et GAPARTIES PRENANTES 2007 impose que les parties prenantes doivent tre directement impliqu es dans la prise de d cision un crit re implicite dans la plupart des ouvrages de gouvernance collaborative FREEMAN 1997 par exemple soutient que les parties prenantes participent dans toutes les tapes du processus de prise de d cision La gouvernance ainsi appliqu e
49. communes le Chef du Cabinet du Wali le M diateur de la Wilaya de Tlemcen un inspecteur au niveau de l inspection g n rale de la Wilaya le Chef de Da ra de Mansourah et plusieurs administrateurs au niveau des diff rents organismes de la ville Ces rencontres ont fait ressortir les points suivants Les essais de rencontres avec certains responsables se sont av r es assez difficiles Sur place nous remarquons aussi certaines carences en accueil et en orientation et peut tre m me une certaine r ticence envers les chercheurs La majorit des responsables consid re qu il y a une nette am lioration dans les services publics notamment en mati re d infrastructures d accueil et d all gement des proc dures administratives mais qu en contrepartie il existe un d sint ressement et un manque de civisme de la part des citoyens Dans cette m me perspective les responsables consid rent que la majorit des citoyens ont peu d int r t pour le d veloppement de leur ville et ne se mobilisent que pour des probl mes de logement ou d emploi Aussi ils consid rent que les associations ne sont pas aussi actives et impliqu es dans les affaires de la population comme elles devraient l tre D un autre c t nous relevons l existence de certaines associations militant dans divers 345 domaines leur t te l ASPEWIT Toutes militent pour convaincre les habitants de la possibilit d une vie meilleure en se ba
50. d affrontements d enjeux et de consensus et s apparente ainsi un syst me complexe et ouvert sur un environnement fluctueux qui l influence et auquel elle essaye de s adapter DEMEESTRE PADIOLEAU 1989 BARTOLI 1991 Ainsi le dynamisme de la ville son influence sur les activit s et sur les individus fait d elle un territoire d analyse pertinent Entit la fois conomique territoriale politique urbanistique historique la ville a toujours constitu un domaine de recherche int ressant pour les sciences humaines Christian DEVILLERS note que le projet urbain ne rel ve pas d une seule profession mais d une comp tence Allier les savoirs et savoir faire devient alors une urgence Architectes urbanistes ing nieurs paysagistes sociologues ne doivent plus se contenter de 7 KAUFMANN V 2007 R sum d un programme de recherche Laboratoire de sociologie urbaine LASUR Suisse http lasur epfl ch download Programme recherche FR pdf consult le 18 12 2012 74 BLOOM D KHANNA T 2007 R volution urbaine Finances et d veloppement L urbanisation en marche n 3 septembre pp 8 14 BENKO G 2006 Strat gies de communication et marketing urbain Pouvoirs Publics n 42 Septembre pp 12 18 HERNANDEZ S KERAMIDAS O 2006 Strat gies territoriales pour ville durable Gestion 2000 n 1 pp 133 148 37 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au mi
51. d orientation de la ville Suivant la d finition cit e plus haut les villes sont class es en M tropole une agglom ration urbaine dont la population totalise au moins trois cent mille 300 000 habitants et qui a vocation outre ses fonctions r gionales et nationales d velopper des fonctions internationales Art 3 alin a 2 de la loi n 01 20 du 12 d cembre 2001 relative am nagement et au d veloppement durable du territoire S AIT OUARABI M 2006 Les villes alg riennes seront satur es dans 20 ans ELWATAN 17 janvier 2006 http www elwatan com Les villes algeriennes seront 320 L urbanisme commercial face au commerce urbain Le bras de fer Editorial 2007 Vies de Villes n 7 Mai 2007 321 oi 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville JO N 15 Minist re de l am nagement du territoire et de l environnement 2008 Principaux textes l gislatifs document fourni par la Direction de la Planification et de Am nagement du Territoire de la Wilaya de Tlemcen 322 143 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Grande ville une agglom ration urbaine dont la population totalise au moins cent mille 100 000 habitants Art 3 alin a 4 de la loi n 01 20 du 12 d cembre 2001 relative l am nagement et au d veloppement durable du territoire Ville moyenne l aggl
52. d un contr le d mocratique sur les A 2 100 agents charg s de l autorit Enfin l innovation est un enjeu strat gique fondamental permettant aux grandes villes de faire face aux d fis sociaux conomiques et environnementaux de notre temps Elle est intiment li e aux avanc es technologiques de la ville et est principalement ax e sur la participation des diff rentes parties prenantes RIEL SALVATORE G 2006 Gouvernance locale et d mocratie participative le projet de r am nagement Benny Farm Montr al Universit du Qu bec Montr al URL http www archipel ugam ca 3282 1 M9528 pdf consult le 07 12 2013 100 IRDP 2010 La participation citoyenne un des enjeux de la d mocratie au Rwanda URL http www interpeace org publications rwanda 129 1 file consult le 06 03 2013 47 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Conclusion du chapitre La revue litt raire ayant prouv e l adaptabilit des principes de la th orie des parties prenantes au milieu urbain il convient alors d tre capable d identifier ces parties prenantes de les analyser et encore mieux les impliquer dans les affaires de la ville Aussi l o l conomie urbaine se charge de la question de la croissance des villes les sciences politiques apportent un l ment suppl mentaire de r ponse en mettant les rapports entre acteurs publics et priv s au centre du jeu conomique
53. de s exprimer Cependant plusieurs difficult s ont t rencontr es lors de l administration du questionnaire En plus du fait que les Alg riens ne sont pas tr s habitu s aux tudes par questionnaires les personnes sollicit es t encore plus r ticentes envers le th me du questionnaire qu ils estimaient tre vocation politique Apr s d pouillement nous n avons retenus que 230 questionnaires jug s remplis correctement II 3 R sultats du questionnaire L analyse et l interpr tation des donn es issues des questionnaires sont rendues possibles par le logiciel SPSS qui offre nombre de tabulations dont le traitement permet de mieux comprendre la signification des diff rentes perceptions des interview s Afin de rendre la lecture des r sultats plus facile nous essayerons de traiter les variables de chaque hypoth se part Mais de mani re g n rale nous proc derons de la m me fa on en utilisant la technique de l analyse de composantes principales ACP qui vise structurer les variables de d part en les regroupant en un plus petit nombre de facteurs et puis la coh rence interne de chaque dimensions en utilisant l a de CRONBACH 1951 qui est utilis habituellement comme une mesure de la coh rence interne d une chelle plusieurs items Elle est fond e sur la corr lation entre ces items Le coefficient est compris entre 0 et 1 et est proportionnel la coh rence interne de l chelle On consid re que
54. dent que le pouvoir qui reste inutilis par manque de l gitimit x Discr tionnaire Elles disposent de l gitimit mais pas de pouvoir ni d urgence et n ont aucune pression sur les managers pour les engager dans une relation active Demandeuse Pas de pouvoir ni de l gitimit Malgr leur demande elles n ont aucune capacit d influence sur l entreprise Dominante Le pouvoir d influence est l gitime et donc toute demande est consid rer s rieusement m me les non urgentes D pendante Elles expriment des demandes l gitimes et urgentes mais ne poss dent aucun pouvoir pour les faire valoir Elles restent d pendantes de l entreprise ou d autres parties prenantes Dangereuse sans l gitimit mais suffisamment de pouvoir pour exiger des demandes urgentes Pr gnante Cat gorie caract re prioritaire dans les strat gies de l entreprise Inspir de EL ABBOUBI et CORNET 2008 Source EL ABBOUBI M CORNET A 2008 Entreprendre une Certification Sociale dans une PME Quels Enjeux pour la Mobilisation des Parties Prenantes 9 me Congr s International Francophone en Entrepreneuriat et PME CIFEPME Louvain la Neuve Belgique Une autre classification est propos e par SOBCZAK et GIRARD 2006 qui est fond e sur le degr d engagement des parties prenantes l gard de l entreprise engagement organisationnel et de la soci t
55. depuis A ladder of citizen participation de S R ARNSTEIN Participations N 1 janvier pp 36 66 S7MORSING M SCHULTZM 2006 Corporate social responsibility communication stakeholder information response and involvement strategies Business Ethics A European Review Volume 15 N 4 October pp 323 339 69 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes RABINOVICH et NAVEZ BOUCHANINE 2005 consid rent que l implication directe de diff rents groupes d acteurs particuli rement les habitants permet de d voiler des attentes et des comp tences tr s diff rentes et reste un des aspects centraux de l urbanisme innovateur et du d veloppement durable Pour elles la participation est encore une notion floue dans laquelle se diluent souvent des illusions et des pratiques fort contradictoires ce qui rejoint la vision de OAKLEY et MARSDEN 1984 pour qui la participation chappe toute d finition en raison de ses multiples usages conduisant beaucoup de confusion sur ce qui est et ce qui n est pas la participation ou encore la vision de l UN Habitat 2009 qui consid re que la participation est un terme parapluie pour une multitude d approches allant de l information la d l gation du pouvoir de d cision en passant par la consultation voire par la d mocratie repr sentative La participation peut alors avoir diff rentes significations pour diff rentes personn
56. des budgets cons quents Ils n cessitent aussi une mobilisation de tout un ensemble 257 Cit dans HOULLIER GUIBERT C E 2005 op cit 258 MAAREK P J RAULET GICQUEL E 2003 op cit 121 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes d acteurs locaux entreprises sp cialistes touristiques et culturels Mais l un des grands atouts de la communication v nementielle reste dans son accessibilit tous les territoires peuvent s y risquer quelle que soit leur taille Trois grandes cat gories d v nements peuvent tre voqu es Les v nements sportifs des manifestations locales marathon tournoi d un sport collectif accueil des grands v nements sportifs jeux olympiques coupes du monde meetings d athl tisme La ville de Strasbourg par exemple en accueillant le d part du Tour de France 2006 s est trouv e au centre du monde en profitant d une diffusion dans plus de 180 pays aupr s de 2 8 milliards de t l spectateurs L accueil du grand d part du Tour a permis la ville d affirmer son image europ enne et transfrontali re notamment en organisant une tape traversant non seulement la r gion mais aussi le Rhin le temps d une courte visite aux voisins allemands FRAIOLI 2007 Le Rallye Paris Dakar a t sans doute une occasion pour plusieurs villes africaines de se forger une identit internationale et peut
57. des parties prenantes selon MITCHELL AGLE amp WOOD 1997 15 Synth se des approches de la th orie des parties prenantes 23 Gouvernance priv e et gouvernance publique ssssssssssessssenssneesserrnssrnenssernnssrnnnssernnssne 45 Typologie des m canismes de gouvernance locale 45 Les mod les de gestion des parties prenantes dans les projets de construction 50 Les diff rents r les du citadins 62 Typologie des diff rentes approches de participation selon REED 2008 78 Techniques de la participation publique Us 90 Pratiques innovantes et durables de certaines villes nssnsssssesssssserenrnsssssserrnnnssssrnee 116 Les diff rentes cibles de la communication de la ville 118 Les supports crits de la communication de la ville n00nnnnnnnnnnnonnennsenennsenenssennnssrenssee 127 L impact des technologies de l information au niveau local ssssssssesnnsssseserensrsssseeee 131 R partition de l chantillon par genre et par commune 155 Annexe 1 Annexe 2 Annexe 3 Annexe 4 Annexe 5 Annexe 6 Liste des annexes Analyse des responsabilit s selon CARROLL 1991 181 Des penseurs de la ville d hier et d aujourd hui 182 Les instruments de la politique de la ville selon la l gislation alg rienne 183 D limitation de la ville de Tlemcen ss 184 Estimation de la population par genre et par commune de la ville de Tlemcen a
58. duquer aux activit s du Gouvernement Se pose aussi la question de repr sentativit des citoyens et l absence d un mode d emploi prouv ce qui poussent certains la consid rer comme une pratique intangible et une aspiration inatteignable ELLIOTT et WILLIAMS 2008 Toutefois certains auteurs renvoient ces critiques au fait que la participation citoyenne reste une pratique mergente qui n cessite plus de r flexions sur ses m thodes et ses pratiques GORMAN et DOUGLAS 2001 Plusieurs disciplines essayent de comprendre la ville et de la rendre meilleure Mais pour qu elle soit prosp re sans injustices sociales moderne sans renoncement son identit attractive sans r percussion sur le bien tre de ses habitants la ville se doit de se soumettre aux pratiques d un sp cialiste qui ferai correspondre son ses offre s aux attentes de toutes ses parties prenantes en jouant sur ses acquis mat riels et l imaginaire qu elle d gage Le marketing reste la discipline la mieux plac e pour remplir cette mission Durant ces derni res ann es le marketing semble avoir jou un r le important dans le secteur public L administration publique et la gouvernance implique d sormais des disciplines telles que l image de marque par exemple VIRGO et CHERNATONY 2006 la communication institutionnelle par exemple TRUEMAN et al 2004 et le marketing KOTLER et al 1993 initi es par la r forme de la gestion publique POLLITT
59. dynamique collective REMY et VOYE 1992 A partir de l les tudes sur la ville ont t abord es selon diff rentes approches telle le droit les sciences politiques l histoire et l administration publique dans lesquelles le statut conomique politique et l gal de la ville a jou un r le majeur Cependant une nouvelle re pour la conceptualisation de la ville a merg e dans laquelle la ville assume de nouveaux r les En utilisant la th orie des parties prenantes en tant que cadre pour la conceptualisation de la ville nous soutenons que la ville joue un r le de mise sur l agenda politique et conomique comme elle fournit la possibilit de constructions identitaires et de repr sentations relationnelles entre les consommateurs les organisations les m dias les politiciens et les autres parties prenantes La th orie des parties prenantes nous permet de conceptualiser la ville comme tant constitu d enjeux et de relations TLIEBERHERR GARDIOL F 2007 Durabilit urbaine et gouvernance enjeux du xxie si cle Revue internationale des sciences sociales Mars n 193 194 p 373 385 En effet ce courant repose sur une repr sentation de l organisation comme un n ud de contrats autour d un r seau complexe de relations mettant aux prises des groupes aux int r ts et rationalit s multiples et parfois divergents PENROSE 1959 CYERT et MARCH 1963 FREEMAN 1984 HARRISSON et FREEMAN 1999 Ce qui per
60. en arr tant une strat gie tout en fixant les priorit s pour le d veloppement durable de la ville r unissant les conditions de concertation et de d bat entre les diff rents intervenants dans la politique de la ville arr tant les normes et les indicateurs urbains ainsi que les l ments d encadrement d valuation et de correction des programmes et actions arr t s trouvant des solutions pour la r habilitation de la ville la requalification de ses ensembles immobiliers et la restructuration des zones urbaines sensibles concevant et mettant en uvre des politiques de sensibilisation et d information destin es aux citoyens mettant en place les instruments d intervention et d aide la prise de d cision pour la promotion de la ville favorisant le partenariat entre l Etat les collectivit s territoriales et les op rateurs conomiques et sociaux pour la mise en uvre des programmes de la politique de la ville veillant la coh rence des instruments li s la politique de la ville et en assurant le contr le et l valuation de sa mise en uvre Une fois arr t s les programmes et les actions sont mis en uvre par les collectivit s territoriales qui doivent prendre en charge la gestion de leurs villes respectives pour tout ce qui concerne leur volution la pr servation de leur patrimoine b ti leur fonctionnement et les qualit s et conditions de vie de leurs habitants dans le respect
61. entre le public et les commanditaires Autrement dit il y a un certain degr de dialogue dans le processus qui se d roule en g n ral dans un contexte de groupe ce qui peut 166ROWE G FREWER L J 2005 A typology of public engagement mechanisms Science Technology amp Human Values Vol 30 No 2 Spring pp 251 290 ci le terme commanditaire traduction du terme anglais sponsor est utilis pour d signer la partie en charge de la r alisation du service qui sera g n ralement mais pas toujours une agence gouvernementale ou r glementaire bien que un groupe ou des repr sentants du public peuvent parfois tre les promoteurs 83 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes impliquer des repr sentants des deux parties dans des proportions diff rentes selon le m canisme concern s Ces trois formes d engagement sont suffisamment diff rents la fois structurellement et en fonction de leurs objectifs que les m canismes utilis s doivent tre valu es selon des crit res diff rents pour assurer leur efficacit Figure 18 Les trois types de l implication du public Flow of Information Public Communication Sponsor gt Public Representatives Public Consultation Sponsor lt Public Representatives Public Participation Sponsor lt gt Public Representatives Source ROWE G FREWER L J 2005 A typology of public engagement mechanisms Science Technology
62. entreprises par la ville ont suscit la contestation de certains habitants qui y ont vu une fa on de repousser l ext rieur de la ville les classes populaires Ceci a pouss a cr dans chaque arrondissement vers la fin des ann es 80 un Conseil citoyen et des Conseils sectoriels afin d associer lus et repr sentants de la soci t civile quant l avenir de la ville Pour autant ces instances ne sont que consultatives pour la plupart d entre elles et non d cisionnelles C est pourquoi malgr l institutionnalisation de la consultation publique de vives tensions sont apparues entre autorit s locales et associations d habitants propos de projets urbains r cents projet 22 qui vise la r habilitation du Poblenou ancien quartier industriel projet Diagonal Mar qui consiste construire des h tels de luxe Pour se faire entendre les habitants ont alors d cid de contourner les proc dures de participation existantes en adoptant des manifestations des f tes de revendication des occupations d espaces pour maintenir la pression y L exemple de Li ge en Belgique A Li ge le projet de la Gare des Guillemins fait couler beaucoup d encre Si la Gare semble avoir t accept e par la population le projet d esplanade soul ve la pol mique car il est jug de trop grande ampleur par les riverains qui craignent la multiplication des expropriations Aujourd hui la gare imagin e par l architecte S CALAVATRA a t
63. et voulant associer son image celle d une forte entreprise et d une r volution dans le domaine automobile s est heurt e aux oppositions des paysans se refusant de vendre leurs terres et handicapant du coup le d marrage des travaux En fait une image de la ville doit avoir deux objectifs interm diaires pour assurer son efficacit Renforcer la relation des citadins leur ville en leur offrant le cadre de vie qu ils recherchent et en les impliquant dans la vie de la ville de mani re leur prouver qu ils sont sa plus importante partie prenante car l image d une ville associe la perception de cette ville la relation que l on a avec elle NOISETTE et VALLERUGO 1996 Faire de chaque personne de chaque entreprise un ambassadeur de sa ville Le citadin par ce qu il dit ceux qu il rencontre et la mani re dont il le fait devient un porteur passif de l image de sa ville Il peut m me devenir actif en influen ant un parent touriste potentiel un ami pour accepter une mutation professionnelle une entreprise avec laquelle il est en relation pour investir dans la ville Cet influence s accro t quand il s agit de professionnels h teliers repr sentants sous traitants 232 NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p224 CALLE M F 2008 Des paysans indiens bloquent la Nano Le Figaro 04 09 2008 http www lefigaro fr societes 2008 09 04 04015 20080904ARTFIG00627 des paysa
64. externe CARROLL et N SI 1997 proposent de classer les parties prenantes selon leur positionnement par rapport l organisation les parties prenantes internes regroupent les propri taires dirigeants employ s et les parties prenantes externes qui regroupent les concurrents consommateurs gouvernements groupes de pression media communaut et environnement naturel PP primaire et PP secondaire les parties prenantes primaires sont celles qui ont une relation contractuelle et formelle avec l entreprise propri taires employ s fournisseurs et clients tandis que les secondaires sont celles qui peuvent avoir une influence potentielle sur la performance de l entreprise m dia consommateurs groupes de pression gouvernements concurrents public et soci t CARROLL et BUCHHOLTZ 2000 GIBSON 2000 WEISS 1994 CLARKSON 1995 PP normatives fonctionnelles diffuses et consommatrices cette classification est tablies en fonction de la relation qu entretiennent les pp avec leur entreprise Les pp normatives repr sentent les autorit s qui r gulent les activit s de l entreprise celles fonctionnelles affectent quotidiennement le fonctionnement de l entreprise celles diffuses concernent les 15 MAYERS J 2005 Analyse du pouvoir des parties prenantes Power tools series International Institute for Environment and Development Londre Royaume Uni 1 IGALENS J POINT S 2009 op cit pp 26 35 MERCIER S
65. http www see leeds ac uk sri consult le 27 07 2013 71 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes On tire alors des le ons du sud et d appliquer des m thodes et des approches participatives mergents de ces pays DOUGILL et al 2006 B L int r t de l implication Un des points les plus importants pour la r ussite d un projet reste la participation des parties prenantes BURBY 2003 montre travers une tude d une soixantaine de processus de planification locale qu une plus importante implication des parties prenantes permettra une meilleure compr hension de ces plans et donc une meilleure application Impliquer une partie prenante reviendrai aussi viter le ph nom ne NIMBY not in mybackyard qui pousse rejeter des projets par d fense de l int r t personnel mais souvent aussi par manque d informations ce qui permettrai une adaptation de ces projets aux int r ts de cette partie prenante En outre et selon LEFEBVRE et NONJON 2003 cette implication vise r aliser plusieurs objectifs 7 Un objectif gestionnaire ou manag rial qui vise rendre l action publique plus efficace plus adapt e aux besoins des diff rentes parties prenantes et plus acceptable Appuy s sur les principes du new public management Des tudes comparatives de SINTOMER r v lent la consid ration de cet aspect de modernisation en Espagne en Allemagne au Br sil mais m
66. ils apporter S Quelles strat gies devraient tre utilis es pour communiquer et impliquer chaque groupe v Quelles strat gies sont n cessaires pour g rer l implication n gative L int r t d une analyse des parties prenantes peut se r sumer dans les points suivants y Comprendre les int r ts les besoins et les capacit s des b n ficiaires v Analyser tous les groupes qui pourraient avoir un int r t dans un projet ou un concept de projet v Identifier les opportunit s et les menaces potentielles la r alisation du projet D terminer la mesure dans laquelle certains groupes devraient participer la planification la mise en uvre et l valuation du projet 114 2 E TI Lie ce da c Les groupes manant de la soci t civile tels que des associations de riverains de commer ants des groupes communautaires ainsi que des organes consultatifs plus officiels tels que les conseils de quartiers 115 EE nus m L ensemble des citadins et usagers consid r s individuellement me LIENERT J Planning amp Process tools Stakeholder Identificationhttp www sswm info category planning process tools exploring exploring tools stakeholder analysis stakeholder identific consult le 12 02 2014 TROBERTS R 2012 Plan Commission Handbook 2 me Edition Center for Land Use Education University of Wisconsin Stevens Point URL http www uwsp edu cnr ap clue Documents PlanCommissions PCHandbook pdf
67. incontestable dans l implication des diff rentes parties prenantes de la ville Les chercheurs vont plus loin en affirmant qu une marque ville serait aussi efficace pour assurer une adh sion une vari t multiple et complexe de parties prenantes VIRGO et de CHERNATONY 2006 TRUEMAN et al adoptent une approche similaire en liant l image de marque de la ville la gestion des parties prenantes et ils soulignent les objectifs contradictoires des parties prenantes comme une cause fondamentale d une structure complexe de la marque traitant avec de multiples identit s TRUEMAN et al 2004 Aussi la majorit des r f rences appliquent la th orie des parties 23YANG J et al 2009 Exploring critical success factors for stakeholder management in construction projects Journal of civil engineering and management Septembre pp 337 348 725 ROSEMBERG LASORNE M 2007 Marketing urbain et projet de ville parole et repr sentations g ographiques des acteurs Cybergeo En ligne Am nagement Urbanisme article 32 mis en ligne le 23 octobre 1997 modifi le 15 mai 2007 http www cybergeo eu index1977 html Consult le 27 mai 2012 111 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes prenantes comme un outil pratique d analyse de l tude de la relation entre la ville et ses cibles D o l application du marketing de la ville d pend en grande partie de la construction de la c
68. la planification urbaine ou de la r alisation de grandes infrastructures l adh sion des parties prenantes associations lus entreprises locales institutions publiques et plus encore celle des citoyens est la condition sine qua non de la r ussite des projets urbains D finir le concept d implication rechercher ses origines et ses outils devient une n cessit A Gen se et d finition de l implication l implication est consid r e comme l importance per ue avec laquelle un individu tablit une relation avec quelque aspect de son monde SHERIF et CANTRIL 1947 SHERIF et HOVLAND 1961 ou comme un niveau individuel une variable d tat interne qui indique le niveau de stimulation arousal ou d int r t ou de pulsion drive voqu par un stimulus ou une situation particuli re MITCHELL 1979 L expression de d mocratie participative est souvent employ e pour d signer l ensemble des m canismes de participation mis disposition de l ensemble des acteurs locaux pour influencer le processus d cisionnel local et vise aussi la cr ation et la mise en place de m canismes d information de consultation de d lib ration ou bien encore de concertation FBOWEN G A 2007 An analysis of citizen participation in anti poverty programs Community Development Journal Vol 42 Issue 2 pp 237 250 133 NADOU F 2013 Processus d interm diation territoriale Dynamique s d acteurs et s
69. la ville Tlemcen repr sentent pratiquement 40 des d terminants de la participation citoyenne chez les questionn s tlemceniens Ces variables rel vent toutes d un esprit marketing Cette d marche marketing reposant sur une bonne communication et une am lioration de l image de marque de la ville peut se ressourcer aupr s de citoyens soucieux du d veloppement de leur ville et de l am lioration de leur cadre de vie mais aussi aupr s de responsables ambitieux et ouverts d esprit Seulement il faut plus qu une bonne volont pour r tablir la situation assez d licate des villes alg riennes en g n ral Il faudrait d abord recourir des sp cialistes dans la mati re pour tablir des strat gies d action appropri es Ensuite veiller mettre en uvre cette strat gie en impliquant toutes les parties prenantes de la ville diff rents organismes soci t civile entreprises et en s inspirant des pratiques des diff rentes entreprises du secteur conomique et de toutes les possibilit s qu offrent les TIC d autant plus que la majorit des r pondants 90 disent utiliser Internet En fait la ville n est pas la seule bl mer dans la d faillance de la participation citoyenne Les repr sentants de la soci t civile sont aussi montr s du doigt car ils ne font pas suffisamment d efforts de communication et de sensibilisation envers les citoyens et ils manquent de cr dibilit et de dynamisme dans leu
70. le compte de la ville et assurant son bon fonctionnement Les acteurs externes Les principaux acteurs externes sont les habitants les acteurs conomiques les associations les organismes partenaires de la Ville et les partenaires institutionnels Les habitants l analyse des donn es d mographiques permet de conna tre le profil des diff rentes cat gories des habitants de la ville L analyse quantitative et qualitative de l ge des habitants et de leurs dynamiques assure une meilleure prise en charge des besoins en quipements services et mobilit Cette analyse doit prendre en consid ration toutes les cat gories des jeunes et des populations fragilis es c est dire personnes g es faibles revenus handicap es Les acteurs conomiques le recensement du nombre des entreprises et des commer ants voluant au sein de la ville et de leur nature permet de d tecter ses capacit s satisfaire leurs attentes et celles des entreprises potentiellement int ress es Il permet aussi de conna tre la capacit de la ville assurer l emploi de ses r sidants Les associations les associations qui sont pr sentes sur le territoire permettent aux habitants de trouver un cho leurs centres d int r ts qu ils soient port s vers la musique les pratiques culturelles en g n ral ou encore le sport Le milieu associatif joue un r le significatif dans le changement social et dans l ducation populaire qu il s
71. les diff rents enjeux celui relatif aux moyens humains constitue coup s r le facteur le plus d cisif pour la promotion de la ville et la r ussite de l ensemble des actions devant tre engag es dans cette direction Ce qui nous m ne un autre nouveau concept pour les villes alg riennes la bonne gouvernance qui privil gie la diffusion de la responsabilit et l implication de tous les agents aux diff rents niveaux hi rarchiques ainsi que la participation des citoyens pour qu ils prennent en mains leurs probl mes et non pour qu ils les posent seulement l Administration Plus qu une bonne gouvernance les villes alg riennes ont plus que jamais besoin d un esprit marketing pour r tablir les relations en leur sein et la mani re d aborder les probl mes Ce besoin a t confirm travers les traitements des r sultats des questionnaires qui ont fait ressortir l attachement la ville le d veloppement et l am lioration de l acc s l information l accueil et l information l int r t pour le sujet bord la possibilit de participer via Internet et l am lioration des services de la ville qui 368 CNES Rapport sur la ville alg rienne ou le devenir urbain du pays 1998 http www cnes dz cnesdoc cneshtm ville htm 369 l utilit du marketing pour la ville n tant plus prouver 175 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de
72. mod les La relation avec les parties prenantes est suppos e tre interactive mutuellement engag e et sensibles qui tablissent le contexte des affaires moderne et de cr er les bases de la transparence et de la responsabilit ANDRIOF et al 2002 Cela am ne la notion de participation le dialogue et l implication au centre de la th orie des parties prenantes Alors que le dialogue est l outil l accord et le consensus sont le plus souvent consid r s comme la solution sur laquelle fonder de nouvelles d cisions et des actions et donc continuer la collaboration Comme soutenu par JOHNSON CRAMER et al 2003 L essentiel du dialogue des parties prenantes est la co cr ation d une compr hension partag e par la soci t et des parties prenantes La strat gie de l implication des parties prenantes suppose un dialogue avec ces derni res Et parce que cette strat gie prend la notion de relation avec les parties prenantes l extr me les organisations doivent non seulement influencer mais aussi chercher tre influenc s par les parties prenantes et donc changer si n cessaire TSLABRECQUE A C 2009 D mocratie participative locale Villes R gions Monde r seau interuniversitaire d tudes urbaines et spatiales URL http www vrm ca Cap 0514 asp consult le 17 07 2013 136B ACQUE M H GAUTHIER M 2011 Participation urbanisme et tudes urbaines Quatre d cennies de d bats et d exp riences
73. n rale dans la communication de crise deux tapes doivent tre diff renci es La communication pendant la crise qui a pour r le d informer et de rassurer les acteurs et les consommateurs et la communication post crise qui a pour objectif de restaurer l image d une ville autant que destination par exemple Enfin associ des m dias tels que les journaux lumineux la radio la t l vision le t l phone Internet prend une place privil gi e dans la gestion de crises n cessitant une information imm diate et la prise de dispositions urgente II 3 Qui fait la communication de la ville et comment Une bonne communication de la ville compte sur non seulement les personnes qui la pr parent et la diffusent mais aussi sur la mani re dont ils le font La communication constitue une composante indispensable d une strat gie marketing Certaines villes l ont compris en initiant un d partement service charg de marketing ou de communication La ville de Glasgow a son City Marketing Bureau celle de Lyon a son charg de rayonnement international 770 celle de Abu Dhabi a son Office of the Brand Abu Dhabi les appellations peuvent changer mais le r le reste le m me promouvoir la ville et d fendre son image aupr s de ses parties prenantes A La ville elle m me La ville recrute des sp cialistes de communication dont le nombre et le degr de sp cialisation diff rent d un
74. ne s applique pas aussi facilement la ville A cause notamment Des cibles multiples La ville consid r e s adresse des publics par essence h t rog nes et souvent ind pendants r sidents touristes en famille touristes d affaires investisseurs tudiants etc tous avec des attentes et des comportements diff rents et surtout des sources d information propres CHAMARD 2003 Des associations multiples Les villes se situent dans un environnement pr cis sur lequel elles n ont pas ou peu de pouvoir de d cision Elles appartiennent cet environnement qui est essentiellement compos de la r gion ex r gion d Alger du pays ex l Alg rie d un groupe de pays ex les pays de l Afrique du Nord d un continent ex l Afrique Il est vident alors que l image de la ville serait affect e par les associations fortes de cet environnement qui souvent chappent son contr le Plus la ville a une forte image plus ses propres associations dominent la perception de cette image Dans certains cas la ville peut m me devenir un symbole du pays par exemple Paris Kuala Lumpur ou Rio de Janeiro Enfin une ville offre beaucoup plus de diversit ce qui rend son image de marque plus complexe que celle d une marque commerciale Des acteurs multiples Une des principales difficult s de g rer la ville est la multiplicit des acteurs qui concourent la prise de d cisions la concernant et l
75. northern Europe and the united states lib tkk fi Diss 2003 isbn9512266849 isbn9512266849 pdf 208 209 104 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes recherche de l origine de la discipline et la distinction entre les diff rents termes s imposent alors La litt rature francophone parle plus de marketing urbain ou marketing territorial et ce n est qu en 1996 que le terme de marketing de la ville appara t NOISETTE et VALLERUGO 1996 Le marketing urbain est alors d fini comme l ensemble des techniques moyens jeu d acteurs ou processus visant promouvoir la ville WARD 1998 en recherchant un positionnement strat gique et une image de marque s ductrice pour les investisseurs et les jeunes cadres ASCHER 1995 ou encore l analyse la planification la mise en uvre et le contr le de programmes con us par l autorit de gestion urbaine et par les organismes qui d pendent d elles afin de mieux r pondre aux attentes des personnes et des activit s de son territoire et d autre part d am liorer court et long terme la qualit et la comp titivit globale de la ville dans son environnement concurrentiel NOISETTE et VALLERUGO 1996 1 Quant au marketing territorial Patrice NOISETTE le d finit comme une mani re de penser et de mettre en uvre une politique territoriale de d veloppement dans des contextes de march s qui doit
76. ont g r leur territoire en bon p re de famille cette gestion suivait un environnement stable et des comp tences peu diversifi s FAVOREU 2000 Mais depuis quelques ann es l environnement des organisations publiques a subi des transformations GOUTTEBEL 2001 HERNANDEZ 2004 sous la pression de facteurs institutionnels d centralisation et structurels mondialisation et m tropolisation Ce qui a conduit l volution des modes d action publique et l mergence de diff rentes r flexions portant sur le d veloppement de strat gies locales de d veloppement territorial GOUTTEBEL 2001 La d marche du marketing de la ville se concr tise travers une vision strat gique et un mix adapt A La strat gie et la ville Nous n allons pas revenir sur les fondements de la strat gie mais se contenter de dire qu laborer la strat gie de l entreprise c est choisir les domaines d activit dans lesquels l entreprise entend tre pr sente et allouer des ressources de fa on ce qu elle s y rag z 218 s k maintienne et s y d veloppe et de relever son importance grandissante au sein des d marches des d cideurs locaux Selon NOISETTE et VALLERUGO 1996 le r le de la strat gie consiste impulser une dynamique et faire merger une r flexion collective des th mes mobilisateurs pour le plus grand nombre d acteurs et essayer de rassembler ces derniers autour de projets structur
77. ou moins dominante et des acteurs externes les usagers l opinion publique les pouvoirs publics avec une influence sp cifique Toutefois certains acteurs sont mi chemin entre l externe et l interne il s agit des lus et des syndicats ce qui conduit rendre la configuration des contours perm ables 11 BARTOLI A 2002 Le management des organisations publiques Puf pp 270 273 57 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Exemples 1 Constanze WINDBERG 2009 consultant aupr s de l UNICEF propose dans son tude intitul e Strategy development for successful implementation of ecological sanitation approaches in Sri Lanka using stakeholder analysis les parties prenantes suivantes Les utilisateurs des installations d assainissement les m nages les quartiers les touristes les l ves les employ s Les utilisateurs de produits trait s les m nages les agriculteurs les entreprises Les organisations communautaires et les groupes d entre aide Les organisations non gouvernementales ONG et OING Les autorit s locales les institutions gouvernementales Les fournisseurs de services les planificateurs consultants constructeurs fournisseurs de services d entretien les producteurs d quipements prestataires de collecte de traitement de transport et de commercialisation des produits trait s Les d veloppeurs et les investisseurs Les in
78. pour promouvoir une ville Selon GRAVARI BARBAS Le regard cin matographique apporte une plus value culturelle et m diatique des lieux qui n avaient pas a priori une qualit esth tique affirm e Et selon FROCHOT et LEGOHEREL 2007 un film permet d exposer un public captif et pendant une p riode relativement longue les diff rentes facettes d une destination ville sur un support de bonne qualit visuelle Le film peut constituer une publicit indirecte qui n est pas per ue comme telle par le public et qui gagne du coup en cr dibilit sans oublier le lien affectif qui peut se cr er entre le public et le pays ou la ville o le film a t r alis et auxquels il associera le th me du film un acteur favori un v nement particulier C est ainsi que l Australie dans son ensemble a b n fici de films mythiques comme Mad Max et Crocodile Dundee et la Nouvelle Z lande de la trilogie du Seigneur des anneaux Ce genre de publicit est tr s utile pour des villes des pays pauvres ou en voie de 291 d veloppement ainsi par exemple les d cors de la Guerre des Etoiles If ont encourag la cr ation de circuits dans le d sert du sud de la Tunisie C Le mobilier urbain Le mobilier urbain est d fini comme un ensemble des objets ou dispositifs publics ou priv s install s dans l espace public et li s une fonction ou un service offert par la collectivit a concerne alors ai D
79. pourrait le traduire par point de basculement sociologique point critique sociodynamique ou seuil de tol rance C est est une expression technique de la sociologie qui se rapporte un moment dramatique o un ph nom ne singulier devient commun 31 VAKNIN Sam 2005 Nation Branding and Place Marketing Promotion Sales Public Relations Marketing and Advertising http samvak tripod com nationbranding5 html consult le 13 10 2013 312 Cit dans FROCHOT I LEGOHEREL P 2007 op cit p219 VAKNIN S 2005 op cit HEEMS P 2004 La ville en chanson http www acim asso fr article php3 id article 101 Le top 5 des chansons de ville 2007 http www top5records biz Le top 5 des chansons de ville html 313 314 315 138 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Aussi le projet urbain est consid r comme un outil de planification et de communication tabli l chelle de l agglom ration INGALLINA 2001 consid re que ce terme est utilis pour caract riser des l ments diff rents un concept globalisant architectural souvent participatif centr sur les espaces publics et qui donne la ville une unit et une personnalit un concept de marketing soci tal de communication et de positionnement des investissements par rapport aux march s cibl s nouvelles entreprises et populations b n ficiaires BORJA ET CASTE
80. qui permettrait de renforcer les efforts de la ville dans sa qu te de d veloppement Mais aussi rechercher la pr disposition des adolescents futurs citoyens part enti re participer dans les affaires de leur ville ou de leur pays pour pouvoir affiner ou adapter certaines d marches marketing pour cibler ces parties prenantes incontournables du futur Au final cette recherche n est que le d but d une longue s rie de recherches ax es sur le devenir de nos villes et soutenues par notre sinc re d sir de contribuer leur d veloppement et l panouissement de leurs habitants Annexes Annexe 1 Analyse des responsabilit s selon CARROLL 1991 Le mod le de Carroll 1991 Desirs de la societ civile Responsabilit s philanthropiques Responsabilit s thiques Responsabilit s l gales Responsabilit s conomiques Attontes de la soci t Requis par la socicte Source GILORMINI P 2012 Les sp cificit s du m c nat de l conomie sociale et solidaire La bancassurance mutualiste et coop rative entre tradition solidariste et nouvelle philanthropie La Revue des Sciences de Gestion Direction et gestion des entreprises 3 4 n 255 256 pp 171 180 Annexe 2 Des penseurs de la ville d hier et d aujourd hui L cole de Chicago Un des principaux courants de la sociologie am ricaine l origine des premiers travaux de sociologie urbaine Entre les ann es 20 et 40 se
81. riennes et en particulier la ville de Tlemcen ll L tude par questionnaire aupr s d un chantillon des habitants de la ville de Tlemcen Conclusions et limites de l tude Annexes R f rences Introduction g n rale A partir de 2008 plus de 50 de la population mondiale vit en villes c est dire l importance que rev t cette unit territoriale dans la vie de tout chacun Les villes se pr sentent de plus en plus comme des acteurs politiques au niveau international parce qu elles constituent un chelon d intervention efficace dans la gestion politique conomique et sociale des questions urbaines Elles sont d une part reconnues comme des espaces conomiques moteurs des lieux d innovation sociale et de diversit culturelle des laboratoires d exp rimentation d mocratique et de prospective cologique Mais d autre part elles produisent de mani re concentr e pollutions et d gradations environnementales risques industriels et sanitaires exclusion sociale et conflits ethniques Ainsi le choix de la ville comme unit territoriale d tude s av re plus judicieux que celui de la commune qui reste attach e aux seules relations citoyens lus Etat de par son statut de circonscription territoriale de base de l Etat et de circonscription lectorale LUCHAIRE 1989 Par contre la ville permet de rep rer une r alit mat rielle concr te et d voquer le lien entre un type d appropriation de l espace et une
82. s participer concr tement aux actions et deviennent des partenaires de la d cision chaque tape du processus yY Empower Il s agit de l chelle la plus pouss e de la participation o la d cision appartient v ritablement aux citoyens Ce point sera d taill plus loin Par ailleurs une roue de la participation a t sugg r e par Davidson 1998 comme une m taphore alternative qui met l accent sur la l gitimit des diff rents degr s d engagement La roue fournit une base th orique d un syst me de planification ouvert et d mocratique qui encourage les techniques d une bonne participation pour atteindre l objectif recherch L utilisation de la roue aiderait minimiser les probl mes du pass o les attentes de participation ne se sont pas concr tis es cause de l utilisation de techniques inappropri es IHURARD M 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Workingpaper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working paper participation citoyenne 26 08 11 pdf consult le 20 10 2013 81 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes et des objectifs peu clairs La roue promeut une approche positive et sensible dans laquelle un dialogue et un partenariat peut vraiment se d velopper En outre en utilisant la roue comme un mod le pour la consultation et la participation plut t que l
83. signification Sig tend vers 0 000 c est tr s significatif inf rieur 0 05 significatif entre 0 05 et 0 10 acceptable et au dessus de 0 10 on rejette Nous faisons aussi recours au calcul des communalit s part des variances des composantes expliqu e par l item qui doivent d passer 0 5 et si possible 0 7 Une communalit de 0 5 signifie que 50 de la variance de l item est prise en compte ou expliqu e par les facteurs Le niveau de communalit est consid r comme moyen s il est compris entre 0 40 et 0 65 bon s il est compris entre 0 65 et 0 80 et excellent au del Evrard et al 2009 Les items de communalit s inf rieur 0 5 sont g n ralement limin s Pour une bonne interpr tation de ces facteurs il est recommand de faire une rotation M me si elle n est pas toujours n cessaire elle permet d am liorer et de simplifier dans la majorit des cas la solution obtenue L objectif de notre analyse est de r sumer l information en quelques dimensions pertinentes qui forment des combinaisons d items Pour choisir les axes retenir nous utilisons la r gle de KAISER o les facteurs retenus sont ceux dont les valeurs propres sont sup rieures 1 Le principe d une ACP est de faire un tri dans les variables on limine celles qui ne r pondent pas aux crit res de corr lation et de qualit de repr sentation On les supprime dans ce cas 1 par 1 en re faisant tourner l analyse cha
84. signifie la ville m re m t r m re et polis ville 57 Une agglom ration est consid r e m gapole partir d un seuil qui varie de 8 10 millions d habitants 8 Un ensemble urbain reli s fonctionnellement r seaux de transport communication et dont l urbanisation n est pas forc ment continue elle peut inclure des espaces ruraux naturels for ts zones humides 69 ALLEMAND S 2000 Ville A l heure de l urbanisation g n ralis e Sciences Humaines Hors S rie n 34 Septembre Octobre Novembre pp 29 36 33 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Enfin l exercice de la d finition de la ville est loin d tre facile pour la simple raison que la ville est complexe et abord e par une telle quantit de disciplines et de th ories diff rentes que les r sumer en quelques mots semble impossible Alors une d finition ne peut tre mise que dans un contexte pr cis et pour des besoins de recherche auparavant d termin s Pour la suite de ce m moire la ville est consid r e comme un syst me dynamique et complexe bas sur des interactions entre les hommes et l espace qui les entoure et dot d une symbolique sp cifique ILZ Les fonctions de la ville Outre les crit res d ordre statistique ou administratif la ville est caract ris e par ses fonctions principales La fonction commerciale est privil gi e par certains celle politique ou religieuse par d a
85. soit elle plus que les m dias en g n ral c est la soci t civile qui par son dynamisme sa diversit la prise en compte de tous les aspects d un probl me constitue le v ritable contre pouvoir Malgr l effort et les r alisations de certaines associations qui font un travail important au profit des causes qu elles repr sentent qu elles soient les repr sentantes ou les relais d ONG internationales Amnesty International Transparency International Reporters sans Fronti res Forum Social Alg rien ou d authentiques associations nationales Forum des chefs d entreprise RAJA Touiza Ouled El Houma et beaucoup d autres moins m diatis es d autres restent absentes et ne donnent signe de vie qu au moment de la distribution des subventions Cette situation est accentu e par un syst me politique totalitaire d un mode de financement ali nant et d ambitions personnelles d bordantes Hecham ZEHIOUA 2011 consid re que l Alg rie a besoin d associations cr dibles dont la vraie vocation reste de travailler avec les communes pour am liorer le cadre de vie des 342 GRIM R 2007 La soci t civile en Alg rie un mythe aujourd hui une r alit demain URL http algerie wordpress com 2007 05 27 la societe civile en algerie un mythe aujourd E2 80 99hui une realite demain consult le 06 02 2014 150 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville
86. soutenable conomique social et environnemental Le premier syst me d interactions r guler concerne les rapports entre l conomie et le social Les conomiesqui participent la cr ation de richesses sont aussi g n ratrices de ch mage et d exclusions Elles doivent donc assurer le maintien de la coh sion sociale de leur territoire au risque de limiter l efficacit et la r activit des acteurs conomiques C est la dimension quitable du d veloppement soutenable Le second syst me d interactions r guler concerne les rapports entre l conomie et l environnement Les conomies en comp tition g n rent une fragmentation de leurs territoires des gaspillages et des pollutions et il faut mettre en uvre les politiques qui permettent de pr server au maximum les ressources naturelles C est la dimension viable du d veloppement soutenable Le troisi me syst me d interactions porte sur les rapports entre le social et l environnement L quilibre social de certains territoires ne peut s tablir que sur le renoncement satisfaire les exigences de certaines demandes ce qui se manifeste Renouvellement urbain et concertation 2004 http www respublicaconseil fr source articles renouvellement urbain htm consult le 12 10 2012 MERUNKA D OUATTARA A op cit 95 JAQUIER C 2008 La gouvernance urbaine entre complications et complexit s comment s orienter Colloque Vers
87. suffisamment ses droits et ses devoirs La comparaison de l offre du secteur priv celle du secteur public influence grandement son attitude envers cette derni re Des crit res comme la proximit l accueil amabilit la rapidit la propret la performance ressentie p sent norm ment dans son syst me d valuation autant de challenges relever par le service public Quant au citoyen contribuable qui correspond l Administr Assujetti et au Partenaire Co producteur selon la classification de VILLENEUVE 2005 77 il estime qu il a des droits sur les services publics Il cherche savoir o va son argent combien a co te et si a ne pourrait pas tre moins cher Autant que citoyen il a l impression d tre cart de la prise de d cisions et que ses pr occupations ch mage s curit pourtant claires et ses attentes simplicit rapidit personnalisation sont peu prises en consid ration Enfin le citoyen aimerait contribuer la r ussite de la prestation publique en participant la conception de cette prestation et en restant tenu au courant des r sultats obtenus de la qualit et des co ts B Quand le citoyen s organise L organisation des citoyens commun ment appel e soci t civile qui est un vecteur de la participation des individus dans l espace politique par la recherche de l int r t g n ral d un int r t commun ou encore la d fense d int r t par
88. touristique attractive Tlemcen est une ville propre Propret et s curit 14 44 Tlemcen est une ville ou le niveau de pollution est bas Tlemcen est une ville ou r gne la s curit Aspect affectif 12 79 Les gens sont fiers d habiter Tlemcen Tlemcen est une ville o il fait bon vivre Tlemcen est une ville conviviale chaleureuse l climat de Tlemcen estbon Confort et aspect historique 10 45 Tlemcen est une ville calme Tlemcen est riche historiquement Rayonnement national et 10 29 dynamisme culturel La ville de Tlemcen est connue l chelle nationale Tlemcen est une ville dynamique culturellement Les facteurs repr sentant l image de la ville sont l aspect conomique la propret et la s curit l aspect affectif envers la ville le confort et l aspect historique le rayonnement l chelle national et le dynamisme culturel Donc une image de marque de la ville de Tlemcen devrait se baser son un potentiel conomique de la ville sur un potentiel de cadre de vie s curit propret calme sur le potentiel affectif des citoyens sur le potentiel historique et culturel de la ville Aussi les associations spontan es la ville de Tlemcen demand es aux interview s font ressortir les notions habituellement li es la ville de Tlemcen beaut calme civilisation histoire traditions et coutumes ducation propret qui reste
89. une information quilibr e et objective pour aider le public mieux comprendre 3 Input obtenir les commentaires du public sur une question un processus des alternatives une d cision 4 Interaction travailler avec le public pour s assurer que leur avis est entendu et pris en compte dans la d cision 5 Partenariat offrir un r le officiel dans le processus d cisionnel Le tableau suivant pr sente les outils de participation du public selon les objectifs souhait s 177 ROBERTS R 2012 op cit 90 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Tableau 9 Techniques de la participation publique M thodes Sensibilisation Education Inputs Interaction Partenariat Avis au public Courrier direct Mass media Internet X IX IX IX Xx e Expositions et affiches Portes ouvertes x Excursion Simulation visuelle X IX X X Programmes ducationnels Meetings publics Atelier ou charrette Audience du public Enqu tes d opinion XIXIXIXJX groupes de discussion Comit s consultatif x x x x Objectifs primaires e Objectifs secondaires Source ROBERTS R 2012 op cit On parle du community plannig si on a le temps Les tudes ont prouv qu il devrait y avoir une forte pr disposition de la part du participant Cette pr disposition est souvent le r sultat d une forma
90. ville on est confront un double sens Sur le plan spatial la ville est une agglom ration caract ris e par une certaine densit de l habitat et surtout par une population relativement nombreuse et sur le plan social la ville est faite pour des citadins et non des paysans ceux qui travaillent la terre Mais cerner la d finition de la ville reste une impossible ambition selon Jacques ELLUL aucun faisceau de regard per ants et d intelligences opini tres ne peut pr tendre en faire le tour emmailloter toutes les facettes d une r alit caract ris e par un tat de complexit qu aucune construction de sens ne peut dominer compl tement Plusieurs d finitions apparaissent alors mais elles restent toutes essentielles pour une entit aussi plurielle et partag e qu est la ville voir Annexe 2 Des penseurs de la ville d hier et d aujourd hui Une vision appuy e par Sorre Un ph nom ne aussi complexe peut tre revendiqu par bien des sp cialistes Fait social par excellence la ville offre aux m ditations des sociologues un riche sujet L historien aussi a bien des remarques apporter sur l volution et les transformations des villes conomistes et hygi nistes ne sont pas moins 54 Qui tend loigner du centre ROBIC M C 2003 op cit PAQUOTT 1997 Qu est ce qu une ville Sciences humaines n 70 mars pp 26 27 57 ROGERS R GUMUCHDJIAN P 2000 Des villes pour une pet
91. villes concern es Les modalit s d application du pr sent article sont fix es par voie r glementaire Art 22 Dans le cadre d une politique adapt e de la ville des instruments d valuation et d information socio 2 conomique et g ographique doivent tre identifi s et mis en place 2 S 5 Doivent tre galement identifi s et mis en place des instruments d intervention et de suivi pour faciliter 5 E valuation et l intervention des ajustements appropri s F E5 Les modalit s d application du pr sent article sont fix es par voie r glementaire Art 23 Chaque ann e une journ e est consacr e et appel e Journ e nationale de la ville Un prix annuel intitul S Z Prix de la R publique est d cern la plus belle ville d Alg rie 1 Les modalit s d application du pr sent article sont fix es par voie r glementaire Art 24 a P Sont financ s par les ressources publiques locales avec le concours du budget de l Etat toutes les tudes et z 5 actions engag es par les pouvoirs publics comp tents conform ment aux articles 13 et 14 ci dessus dans le v Era cadre de la politique de la ville Z j A Des mesures financi res incitatives ou dissuasives peuvent tre prises en vertu de la loi pour la conduite de la politique de la ville Il est cr un observatoire national de la ville ci dessous d nomm l observatoire national v L observatoire national est rattach au minist re
92. 001 op cit 19 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain coh rence dans ce domaine cause notamment d une confusion faite parfois entre sa nature et son objectif La th orie des parties prenantes est consid r e comme une tentative de fondation d une une nouvelle th orie de la firme int grant son environnement avec lequel elle entretient des relations et agit afin de d passer la vision actionnariale et conomique classique de la firme maximisatrice de profit DONALDSON amp PRESTON 1995 opposent deux sch mas celui du mod le traditionnel de la firme en tant qu input output Figure 7 Le mod le traditionnel de la firme la firme en tant qu input output Ceo ae Source DAMAK AYADI S 2003 op cit et celui du mod le de la firme et des parties prenantes pour lequel les relations de l entreprise avec ses parties prenantes sont quidistantes et donc elles ont la m me importance Aussi BLIND 1977 fut un des premiers proposer un mod le dynamique des relations entre l entreprise et ses parties prenantes Figure 8 2 DAMAK AYADI S 2003 La th orie des parties prenantes th orie empirique ou th orie normative Identification et ma trise des risques enjeux pour l audit la comptabilit et le contr le de gestion Belgique 2 MULLENBACH SERVAYRE A 2007 L apport de la th orie des parties prenantes la mod lisation de la respon
93. 13 224 RAINISTO S 2003 op cit 110 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes succ s et ils montrent que la relation entre les responsables de la ville et les parties prenantes est importante De leur c t ROWLINSON et CHEUNG 2008 estiment que le succ s de la gestion de la relation avec les parties prenantes est subordonn e une strat gie de communication bien d finie soutenue par un sens du relationnel prononc Aussi plusieurs chercheurs consid rent que le marketing est une composante du projet de ville un l ment fonctionnel de celui ci Le projet de ville est vu comme l ensemble des actes volontaires de transformation de la ville ces actes peuvent se pr senter sous la forme d op rations urbaines d importance qu on appelle projets urbains Le projet de ville peut tre vu aussi comme une vis e pour la ville une intention globale qui guide l action Le marketing peut alors tre consid r comme un acteur dans la production de la ville de ce fait les villes qui font des actions sans agir sur l espace ne font pas du marketing et les villes qui ne font pas correctement leur communication ne font pas du marketing non plus La plupart des chercheurs en marketing urbain consid rent la communication et l image de marque restent des variables cl IL Communication et image de marque de la ville Le r le de la communication est
94. 2001 op cit Ibid 13 Chapitre I L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain parties int ress es par la d fense du droit d autrui en relation avec l entreprise et celles consommatrices repr sentent les clients voir Figure 3 Figure 3 Segmentation selon les relations des parties prenantes avec l entreprise Groupes normatifs roupes fonctionnels Gouvernement Salari s Soci t s professionnelles Syndicats Association de commerce Fournisseurs R gulateurs Distributeurs Actionnaires Fournisseurs de service Comit de direction Entreprise Groupes difus Groupes clients Journalistes diff rents segments d attentes Communaut Groupes d int r t sp cifiques Source IGALENS J POINT S 2009 op cit p 28 B Selon le pouvoir des PP L influence que les parties prenantes peuvent avoir sur leur entreprise est d terminante de leur classification Plus l entreprise est d pendante d une pp plus celle ci trouvera son pouvoir renforc IGALENS et PONT 2009 recensent trois grilles d analyse double entr e dynamisme pouvoir elle recense les pp passives et actives et leur poids vis vis de l entreprise pouvoir int r t elle recense les int r ts des pp et l influence qui en d coule menace coop ration elle value la capacit de menace des pp et son degr 14 Chapitre L application de la th orie des parties prenan
95. 7 1 Sinon Pourquoi Par peur de repr sailles 2 1 Parce que je n ai pas le temps 6 5 tes vous habitu critiquer les d cisions des responsables de votre ville Oui 33 3 Parce que a ne sert rien 51 3 17 2 Si oui comment le faites vous Par protestations 9 1 Par crits 11 7 Autre Verbalement 11 7 17 3 Quel organisme de votre ville sollicitez vous d habitude APC 13 plusieurs organismes selon le besoin 2 5 Wilaya 2 2 17 4 Les r ponses taient elles satisfaisantes Toujours 0 9 Parfois 19 1 Jamais 11 3 17 5 Quels taient les d lais de r ponse Moins de 7 jours 5 7 Entre 8 et 15 jours 3 1 Entre 16 et 30 jours 1 3 plus d un mois 1 7 plus de 2 mois 0 4 plus de 3 mois 1 3 plus de 6mois 0 9 plus de 1 an 1 3 jamais 10 9 18 tes vous affili un parti politique Oui 1 3 Non 98 7 18 1 Pourquoi 22 ne sont pas int ress s 10 n aiment pas la politique 9 6 a ne sert rien 7 manque de confiance en les partis politiques 5 7 par manque de temps 3 parce qu ils consid rent que les partis politiques manque de cr dibilit 19 tes vous affili une association 19 1 Si oui quel est son domaine d activit 19 2 Sinon pourquoi Oui 13 0 Non 87 0 culture 3 sport 2 6 environnement manque de temps 23 2 2 sant 2 2 culte 1 3 a ne sert rien 7 8 manque d in
96. 991 HANSMANN 1980 JAMES 1987 en particulier dans la th orie du demand creating supply de BEN NER et VAN HOOMISSEN 1991 La notion de parties prenantes permet de concevoir l environnement de mani re plus riche et complexe que dans la plupart des th ories des organisations et des approches de la strat gie et de souligner la relativit et la porosit des fronti res de l entreprise Elle ambitionne de d passer une vision troitement conomique de l entreprise et invite prendre en compte des variables sociopolitiques dans l analyse strat gique pr nant ainsi une vision assez ouverte de l entreprise dont les fronti res avec l environnement et la soci t seraient non plus stables et bien tranch es mais mouvantes et susceptibles de n gociations et de red finitions A partir de l application de l approche des parties prenantes au milieu urbain nous apparait vidente et tr s riches en enseignements Plut t que d tre consid r es comme des unit s limit es par des fronti res g ographiques les villes sont consid r es comme socialement construites des r seaux non contigus vari es dynamiques et superpos es de relations sociales et de significations BONNAFOUS BOUCHER PESQUEUX 2006 D cider avec les parties prenantes mise en ligne le 01 05 2010 URL http halparties prenantess archives ouvertes fr hal 00479620 consult le 06 06 2013 HUYBRECHTS B 2010 Economie solidai
97. AMA 2007 Une d finition qui inclue le r le que joue le marketing dans la soci t en g n ral et qui le pr sente comme une science un processus ducationnel et une philosophie et pas seulement un syst me manag rial Le marketing est alors une discipline plus vaste qui d passe le cadre d une fonction Les d finitions se succ dent pour soutenir que les performances marketing sont aussi possibles en dehors des murs des entreprises Le marketing s annexe alors de nouveaux domaines qui deviennent soumis des logiques de conception et de promotion proches de celles des produits commerciaux marketing du tourisme marketing politique Le marketing servirait alors tablir une d marche strat gique et globale o cibles concurrence et environnement seront connus C est dans cette perspective qu on a commenc a appliqu le marketing au domaine de la gestion des territoires de mani re g n rale et de la ville en particulier Une application pas toujours facile tant les sp cificit s de cette derni re et les diff rentes approches des chercheurs 128 DUMONT M et DEVISME L 2006 Les m tamorphoses du marketing urbain http www espacestemps net document1831 html consult le 06 01 213 13 The American Marketing Association Releases New Definition for Marketing http www marketingpower com content2653039 ph 20NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p23 101 Chapitre III Le r le du marketing de
98. AYOLO Auteur de nombreux ouvrages sur la ville il a dirig les tomes IV et V de l Histoire de la France urbaine Seuil 1983 85 cet historien et d mographe s est attach mettre en vidence les logiques sociales et conomiques ainsi que les repr sentations qui sous tendent l organisation de l espace urbain Paul CLAVAL Dans un c l bre article intitul La th orie des villes et publi en 1968 qui sera repris plus tard dans La Logique des villes LITEC 1982 il est l un des premiers entreprendre une approche globale du fait urbain Plut t que de chercher une d finition formelle il pose l hypoth se que la ville est une organisation destin e maximiser l interaction sociale Une hypoth se toujours d actualit Source ALLEMAND S Ville A l heure de l urbanisation g n ralis e http www scienceshumaines com ville a l heure de l urbanisation generalisee fr 12429 html Annexe 3 Les instruments de la politique de la ville selon la l gislation alg rienne Le sch ma national d am nagement du territoire v Le sch ma r gional de la r gion programme 2 5 T Le sch ma directeur d am nagement d aires m tropolitaines s t 5 Le plan d am nagement de la wilaya 5 2 lt Le plan directeur d am nagement et d urbanisme E 2 g Le plan d occupation des sols 5 S T Le plan d am nagement de la ville nouvelle T5 Le plan permanent de sauvegar
99. Approach E O Freeman 1364 E pee aii DS pe 4 De Corporate ne FT System Hi e7 Corporaie Saaai Cr gt lt j Desonptiver C Instrumental 1 7 Nommaine _Empirical AIDE __ Ke _ Aae D Ma Aspect A en Stakeholder eny o Corpora ion bY Donakison amp Preston isas _ cn Fa Dynamics of TT Ao Stakeholders _ 77 More Stakehoider Ma Theories TE j C Empirical Studies D Source ELIAS A CAVANA R op cit 23 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Tableau 3 Synth se des approches de la th orie des parties prenantes Les SH comme prenant Tous les participants au tes RES t cts part une histoire processus organisationnel syst mique strat gique SHT comme thique normative SHT comme Science sociale strat gique Approches narratives Approches analytiques M ta phoriq u centr e sur la vie de l entreprise RSE fond e sur le Th orie largie des droits Principes centr s sur Th orie des contrats principe de fiduciarit de propri t le syst me sociaux int gr s Inst rumentiN ormative Descriptive et de l gitimit de l entreprise Capitalisme kantien Effet de la prise en Efficience des relations Comportement compte des SH sur la contrats relationnels concurrentiel r seaux SOCIAUX performance Th ories orsarisationnelle Prise en c
100. Des administrations communales subissant des contraintes d organisation et de fonctionnement Des pratiques d rogatoires et informelles de la part des citoyens F DJELALN 2007 Politiques urbaines et r le des acteurs publics dans les dynamiques territoriales en Alg rie XLllle Colloque de l ASRDLF Les dynamiques territoriales d bats et enjeux entre les diff rentes approches disciplinaires Grenoble et Chambery 11 12 13 Juillet URL http edytem univ savoie fr d asrdlf2007 pub resumes textes Dijelal pdf consult le 06 12 2013 333 SNAT l horizon 2025 document fourni par le DPAT de la Wilaya de Tlemcen DJELAL N 2007 op cit CNES Rapport sur la ville alg rienne ou le devenir urbain du pays 1998 http www cnes dz cnesdoc cneshtm ville htm consult le 03 04 2013 334 335 147 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Et donc et malgr la d centralisation et les pouvoirs qui leurs sont conf r s par la loi les collectivit s locales communales continuent observer une attitude de soumission aux d cisions et aux instructions manant de leur hi rarchie En effet c est le Wali qui d cide souvent en mati re de choix d am nagement ou d intervention dans la gestion ce qui ne favorise pas l mergence d un pouvoir local et d une autonome dans la d finition et la gestion des politiques locales En somme les communes n
101. Exemple de la ville Tlemcen citoyens Il estime que sur les milliers d associations agr es tr s peu ont un rapport troit avec les autorit s et les citoyens Par exemple le projet des comit s de la ville d nomm COVILLE dont la mission principale est l assurance des conditions d hygi ne de salubrit publique et de protection de l environnement Cette structure cens e tre un espace de repr sentation de la soci t civile des lus locaux et des services de l Etat s est av r e un chec et est d un flou du concept et un manque d int r t des parties concern es Seulement toutes ces lois et ces efforts s av rent insuffisantes pour apaiser le malaise social et renforcer la relation entre le citoyen et les autorit s D un c t les autorit s reprochent aux citoyens leur manque d engagement et d un autre les citoyens ne trouvent pas une meilleure mani re pour se faire entendre que de protester ou d utiliser de la violence I 4 Le cas de la ville de Tlemcen La ville de Tlemcen dans la pr sente tude repr sente le Grand Tlemcen dans le vocabulaire administratif Elle est constitu e de la commune Da ra de Tlemcen la commune de Chetouane et la commune de Mansourah Une d finition plut t conomique et administrative car les habitants de ces communes et leurs activit s conomiques sont en liaison troite Et c est sur cette base que les informations qui suivent peuvent tre nonc es Vo
102. GOND J P 2005 La th orie des parties prenantes Cahier du FARGO FARGO Centre de recherche en Finance Architecture et Gouvernance des Organisations n 1050502 URL leg u bourgogne fr wp 1050502 pdf consult le 13 02 2013 9 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain I La th orie des parties prenantes De nos jours la th orie des parties prenantes retient une attention croissante dans la litt rature manag riale qui cherche d limiter le r le jou par l entreprise dans les soci t s et qui tend se poser comme une alternative aux th ories contractuelles des organisations th orie de l agence et conomie des co ts de transaction pour reformuler la th orie de la firme Quant la notion de partie prenante elle a d abord t mobilis e en strat gie avant de devenir incontournable dans les r flexions centr es sur les syst mes de gouvernance des entreprises BLAIR 1995 CHARREAUX 1997 1999 CHARREAUX et DESBRIERES 1998 WIRTZ 1999 Cette partie concerne une revue de la litt rature relative la th orie des parties prenantes Il sera question de la gen se de cette th orie de la d finition de son sujet d tude de ses principes et limites et de ses domaines d application 1 1 Qu est qu une partie prenante AMEDZRO ST HILAIRE consid re la partie prenante comme un acteur particulier partir du moment o il a un sens moral Cet acteur serait l
103. IEL L et al 2012 L influence des parties prenantes dans les grands projets urbains Cybergeo European Journal of Geography Online Regional and Urban Planning URL http cybergeo revues org 25310 lang en consult le 27 07 2013 58 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Identifier les parties prenantes n est que la premi re tape d un long parcours Il s agit ensuite de les analyser afin de pouvoir mieux les g rer I 2 Analyse des parties prenantes de la ville L analyse des parties prenantes est le processus qui consiste identifier et analyser les parties prenantes et planifier leur participation RIETBERGEN McCRACKEN et al 1998 Il existe un grand nombre de m thodes concernant l analyse des parties prenantes avec un large ventail de complexit RIETBERGEN McCRACKEN et al 1998 NETSSAF 2008 CAP NET 2005 Une analyse typique des parties prenantes pourrait inclure les questions suivantes Qui sont les individus et les groupes qui ont un int r t sont affect es par ou peuvent tre en mesure d influencer la d cision Quels sont leurs objectifs leurs motivations et leurs int r ts Quel niveau de connaissance ont ils du projet Est il exact Sont ils susceptibles de soutenir ou de s opposer au projet ou la d cision SES S Combien de puissance et d influence ont ils sur la d cision Sur les autres parties prenantes lt Quelles ressources peuvent
104. III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes les agents de l entreprise municipale et les membres de la collectivit citoyens 2 Cette dichotomie est souvent selon HOULLIER associations acteurs conomiques etc GUIBERT 2005 artificielle dans la mesure o de nombreuses passerelles existent entre les deux publics tel point que l on peut se demander si certaines techniques de promotion territoriale n ont pas l objectif de cibler indirectement par exemple les palmar s de la presse nationale semblent plus int resser les lecteurs propos de leur propre ville Cette distinction des types de la communication de la ville para t un peu plus pratique que les autres Dans ce qui suit nous nous inspirerons de cette logique pour tablir notre propre classification des types de la communication de la ville par soucis de clart Nous consid rons alors la communication interne la communication locale et la communication externe Tableau 11 Les diff rentes cibles de la communication de la ville Individus Organisations Communication personnel des administrations de la autres organisations territoriales et autres organisations environnantes Interne ville Communication r sidents permanents entreprises commer ants locale r sidents occasionnels artisans r sidents temporaires investisseurs Intra muros relais d opinion r sidents Comm
105. L http www inspq qc ca pdf publications 1483_ParticipCitoyenneSurvolEjeux pdf consult le 18 07 2013 GERVILLE REACHE L o COUALLIER Vincent et PARIS Nicolas 2011 Echantillon repr sentatif d une population finie D finition statistique et propri t s URL http hal archives ouvertes fr docs 00 65 55 66 PDF Representativite LGR_VC_NP pdf consult le 12 06 2013 GILORMINI Patrick 2012 Les sp cificit s du m c nat de l conomie sociale et solidaire La bancassurance mutualiste et coop rative entre tradition solidariste et nouvelle philanthropie La Revue des Sciences de Gestion Direction et gestion des entreprises 3 4 n 255 256 pp 171 180 GIRARDOT Jean Jacques 2009 Evolution of the concept of territorial intelligence within the coordination action of the European network of territorial intelligence URL http www territorial intelligence eu index php eng Ongoing research Concept of Territorial intelligence Evolution of the concept of territorial intelligence within the coordination action of the European network of territorial intelligence consult le 07 12 2013 GOUDARZI Kiane GUENOUN Marcel 2010 Conceptualisation et mesure de la qualit des services publics QSP dans une collectivit territoriale Politiques et management public En ligne Vol 27 3 URL http pmp revues org 2986 consult le 24 mars 2014 GRAVARI BARBAS Maria 1997 La ville d cor accueil de tournages de films et mise
106. LEAU 2003 la gouvernance conduit en g n ral d noncer le mod le de l autorit sans partage et exp rimenter des mod les visant une plus grande d mocratie par l association de la population au processus de formulation des choix qui la concerne et de leur concr tisation GUERARD 2003 stipule aussi que La d mocratie locale est par volution une d mocratie duale dans la mesure o elle est tout autant repr sentative que participative A partir de l le r le du citoyen ne passe plus exclusivement par une repr sentation d mocratique mais aussi par une r elle participation BREUX BHERER COLIN 2004 BELLAVANCE 2003 Il faut aussi ne pas confondre gouvernance et d mocratie m me si la forme id ale de gouvernance est d mocratique dans son contenu BELLINA MAGRO et VILLEMEUR 2008 A ce sujet la notion de bonne gouvernance est consid r e comme tant plus large que celle de la d mocratie Selon lIRDP la bonne gouvernance n existe qu la condition de rendre la culture de participation citoyenne plus effective Ainsi la notion de participation est intimement li e celle de la bonne gouvernance en s appuyant sur la d finition de la Banque Mondiale qui consid re que la bonne gouvernance recouvre aussi bien la capacit du gouvernement g rer efficacement ses ressources mettre en uvre des politiques pertinentes que le respect des citoyens et de l tat pour les institutions ainsi que l existence
107. LLS 1997 ROSEMBERG LASORNE 1997 un concept instrumental de planification strat gique souple compl t par une esquisse directrice spatiale d am nagement et relay aux niveaux des quartiers et de l organisation SISREPETTI A 2004 Un concept de monitoring participatif au service des villes en d veloppement Approche m thodologique et r alisation d un observatoire urbain Th se de doctorat en sciences et ing nierie de l environnement Lausanne EPFL URL http infoscience epfl ch record 33378 files EPFL TH2903 pdf consult le 20 08 2013 139 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Conclusion du Chapitre Le r le du marketing de la ville est devenu indispensable l implication des diff rentes parties prenantes notamment les citoyens La communication et la promotion d une image de marque de la ville reste le c ur de la d marche marketing de celle ci En gros r ussir une d marche marketing de la ville revient r ussir la gestion de sa marque appuy e par une communication efficace et cr ative qui n est pas toujours une affaire de budget Les technologies de l information et de la communication jouent un r le incontournable dans la communication de la ville elles permettent de cibler les gens individuellement avec des offres personnalis es et une plus grande argumentation image et son l appui Elles sont aussi un moteur de changem
108. La fonction r sidentielle et publique 35 11 3 La ville objet de plusieurs disciplines sssssssnssssssssenrnssssssrrerrrssssesrrennnsssssrnernnssssesrneennssns 36 Il Lago vernance Urbaine een Nine a et a Ea e e E Ea 38 l 1 Gen se et d finition risiini iiien aiai aiaiai adeis 39 1 2 En quoi les villes sont elles diff rentes snnonssnnsnssssssenrrssssesrnennnssssssnreennssssennennnssssenne 42 111 3 Les m canismes de la gouvernance urbaine 44 Conclusion du Chapitre 28e iee e a E tete aa EEEE E EEE EOE eee titan tnt 47 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes de la ville ns nnnsnosessseesnssssesereernssee 48 Introduction duchapitre sscsderkoenepeetan neee andea aaaeeeaa a area area a aee a aa Ea aieea dant aeeai iaee 49 I Identification et analyse des parties prenantes de la ville 51 1 1 Identification des parties prenantes de la ville 52 1 2 Analyse des parties prenantes de la ville 58 1 3 Le citoyen principale partie prenante de la ville ss 61 Il Implication des parties prenantes de la ville 66 IT Gen se et d finition de l implication s nssssnnsseneesseneesseennssenensseeenssennnsseennssernnssernnsseennne 67 A Gen se et d finition de l implication 67 B L int r tidelimpli ation 2e ru ne dire renier AEA 71 11 2 Les degr s de l implication 34 856 tre ie di A An le dt dis 76 A Typologie bas e sur les diff rent
109. Moyens de communication sp cifiques bulletin municipal r union de quartier etc march s Environnement l gal et r glementaire Parlement commissions parlementaires Chambres r gionales des comptes Comptable public s paration entre l ordonnateur et le comptable Pr fet contr le de la l galit et budg taire Syndicats Moyens de communication non sp cifiques informations comptable et budg taire m dias etc M canismes spontan s Associations des usagers des services publics locaux de contribuables Surveillance mutuelle inter collectivit s locales Culture publique et politique locale Notori t aupr s des lecteurs citoyens des fonctionnaires territoriaux March politique ch ances lectorales partis politiques March bancaire interm diation financi re March des biens et des services publics et priv s appel d offres etc March conomico fiscal Attractivit territoriale Culture du service public local Environnement soci tal Source CARASSUS D et al 2006 op cit 66 p 46 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Aussi souvent les pratiques locales de d mocratie participative sont rang es sous le vocable gouvernance urbaine En effet la gouvernance implique des formes de concertation institutionnalis e ou non qui rassemblent en g n ral plusieurs groupes d int r ts Selon BORDE
110. NEUVE J P 2005 Citoyens clients et usagers face l administration publique Les balises d une relation difficile http www idheap ch idheap nsf view 16EC8495FA3549F3C12570DF005D4D8F SFile texte 20w 206 2005 20mp pdf consult le 11 02 2012 123 relation VILLENEUVE J P 2005 Citoyens clients et usagers face l administration publique Les balises d une difficile http www idheap ch idheap nsf view 16EC8495EA3549F3C12570DF005D4D8F File texteX20wp 206 2005 20mp pdf consult le 11 02 2012 124 L empowerment comme son nom l indique est le processus d acquisition d un pouvoir power le pouvoir de travailler de gagner son pain de d cider de son destin de vie sociale en respectant les besoins et termes de la soci t 63 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes l usager est un terme g n rique qui met en avant l utilisation de la prestation publique quant au consommateur client il est la personne qui utilise des biens ou des services pour la satisfaction de ses besoins g n ralement contre un paiement Le comportement de l usager ressemble plus au comportement d un consommateur qui ach te des services m me si le r glement de la prestation ne se fait pas toujours directement II est agac des dysfonctionnements qu il constate ou croit constater et est tr s sensible l image l attention au d tail bien qu il ne connaisse pas
111. NSTEIN 1969 ASCHER 2001 UN Habitat 2009 GAUTHIER et al 2008 ARNSTEIN 1969 labore une chelle de participation citoyenne incluant huit chelons regroup s en trois cat gories vy la non participation qui regroupe la manipulation et la th rapie o les citoyens sont repr sent s par des comit s mis en place par les d cideurs v le tokenism la pure forme o l on retrouve l information la consultation et la placation l apaisement 1 o le contr le de la d cision n est jamais transf r au citoyen 160 VIELL et al 2012 op cit Dans le cas de la consultation la population est sond e au sujet de son opinion sans garantie de prise en compte de celle ci alors que dans la placation une minorit de citoyens peut tre pr sente dans certains organes de d cision 161 79 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes v le pouvoir au citoyen qui comprend le partenariat la d l gation de pouvoir et le contr le du citoyen Figure 17 L chelle de la participation citoyenne d ARNSTEIN 1969 Partenariat D l gation de pouvoir Pouvoir au citoyen Contr le du citoyen Information Tokenism Consultation Placation Th rapie Non participation Manipulation Source VIEL L et al 2012 op cit R cemment UN Habitat propose dans son rapport Planning sustainable cities plut t une typologie des formes de participatio
112. R publique Alg rienne D mocratique et Populaire Minist re de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche Scientifique Universit Abou Bakr Belkaid Tlemcen Facult des Sciences Economiques de Gestion et Commerciales Th se de Doctorat en Sciences de Gestion Option Marketing Ne Th me Marketing de la ville et implication de ses parties prenantes Cas de la ville de Tlemcen Pr sent e par Mme BELKAID Esma Epse ALILI Devant le jury Directeur de th se Pr BENHABIB Abderrezak Directeur de l Ecole Pr paratoire des Sciences Economiques Commerciales et de Gestion Pr sident du jury Pr KERZABI Abdelatif Universit de Tlemcen Examinateurs Pr TCHOUAR Kheireddine Universit de Tlemcen Pr BOURAHLA ALLAL Universit de Sidi Bel Abb s Dr CHERIF TOUIL Noureddine Universit Mostaganem Dr AMRAOUI Abdennour Kamar Eddine Universit de Sidi Bel Abb s Ann e Universitaire 2013 2014 N allez pas l a le chemin peutmenez lez l o il n y a pas de chemin et laissez une trace Ralph WALDO EMERSON Remerciements Ce travail n aurait pu tre effectu sans le soutien et l aide de plusieurs personnes Je tiens remercier mes directeurs de th se Professeur BENHABIB Abderezzak et Docteur HERNANDEZ Solange pour avoir accept de diriger cette th se J esp re qu ils trouveront dans ce travail de quoi justifier leur confiance J adresse videmment mes sinc res remerciements l ensemble d
113. a on dont l entreprise les prend en compte dans sa strat gie et la focalisation sur les modes d interaction avec ces parties prenantes CARROLL et BUCHHOLTZ consid rent que l analyse des PP rel ve de la fonction strat gique de l entreprise et n cessite la consid ration des cinq tapes suiva ntes identification des PP de l entreprise qui sont elles quelles sont les coalitions form es entre les PP quelle sont les PP potentielles identification des int r ts des PP que veulent elles et quel pouvoir relatif d tiennent elles analyse des opportunit s et pressions qu elles repr sentent pour l entreprise comment chaque PP est elle susceptible d affecter l entreprise comment l entreprise peut elle les affecter analyse des responsabilit s conomique l gale thique et discr tionnaire selon la typologie de CARROLL 1991 annexe 1 de l organisation envers ses PP mise en place d un plan strat gique pour tirer parti des opportunit s et viter les menaces Ce plan doit enfin tre suivi par une veille strat gique pour analyser l volution des coalitions Aussi ce point sera trait en d tails dans la partie consacr e aux parties prenantes urbaines 1 3 Les principes de la th orie Selon DAMAK AYADI 2003 les vingt derni res ann es ont connu un franc essor de la th orie des parties prenantes bien que la litt rature n a pas connu une v ritable MERCIER S 2
114. a Lettre du cadre territorial URL http ddata over blog com xxxyyy 0 18 46 70 lirevoir plancomnet pdf consult le 16 04 2013 134 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Les chats Certaines villes permettent de chatter dialoguer par crit avec les lus ou les responsables de la ville Internet donne alors l occasion aux habitants de poser des questions en direct et de faire des propositions Les questions valid es seront diffus es apr s limination des participations jug es incorrectes Les dialogues sont ensuite bien souvent laiss s sur le site de la ville et peuvent tre consult s n importe quel moment Les forums Un forum est un moment de r el d bat entre de multiples interlocuteurs pendant lequel les diff rentes parties prenantes de la ville peuvent poser leurs questions simultan ment ou presque N importe quel utilisateur peut lancer une discussion et r pondre aux autres usagers Le forum prend la forme que lui donnent les internautes et constitue une vraie source pour conna tre avis pr occupations et parfois m me propositions spontan es des diff rentes cibles de la ville Les blogs Un blog abr viation weblog est un journal personnel en ligne qui est fr quemment mis jour et diffus au grand public Les blogs sont d finis par leur format une s rie d entr es signal es sur une seule page class es par ordre ant ch
115. a consommation nerg tique des b timents la vid osurveillance etc Chacune de ces probl matiques ouvre la voie des disciplines comme l acoustique l cotoxicologie la g omatique la criminologie Autant de disciplines qui permettent d aborder la ville autrement Mais de nos jours c est plus la pluridisciplinarit qui prime Etats et lus locaux tablissent des programmes de recherche qui r unissent des sp cialistes de diff rents horizons privil giant une approche transversale des enjeux urbains Enfin la conception organisationnelle et syst mique de la ville a favoris une r flexion manag riale qui est cens e l aider adapter ses capacit s et ses potentiels aux exigences d un environnement complexe incertain et changeant 77 KAUFMANN V 2007 op cit 78 PAQUOTT 1997 op cit 7 HERNANDEZ S KERAMIDAS O 2006 op cit 38 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain A partir de l planifier une ville implique une grande compr hension des relations entre les citoyens les services les politiques et de leur impact global tant sur l environnement local que sur une sph re g ographique plus large lll La gouvernance urbaine La ville suscite de plus en plus l int r t des usagers des habitants des lus des investisseurs des industriels et des am nageurs Elle se doit de r pondre aux besoins de ses habitants et de s duire
116. a difficult identifier les parties prenantes invisibles et du manque de communication avec les parties prenantes POULOUDI et WHITLEY 1997 LOOSEMORE 2006 BOURNE et WALKER 2006 ROWLINSON et CHEUNG 2008 L identification et l analyse des diff rentes parties prenantes de la ville nous permet de mieux les g rer et fait ressortir le citoyen comme partie prenante centrale d une d marche d un d veloppement urbain YANG et al 2009 Exploring critical success factors for stakeholder management in construction projects Journal of civil engineering and management Septembre pp337 348 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Dans cette optique plusieurs chercheurs ont essay de th oriser la mani re de g rer les parties prenantes Pour un projet urbain par exemple le tableau suivant r sume les principales contributions sur la gestion des parties prenantes d un projet urbain dans le domaine de la construction Tableau 6 Les mod les de gestion des parties prenantes dans les projets de construction Chercheurs Processus de gestion des parties prenantes KARLSEN 2002 Identification des parties prenantes analyse des caract ristiques des parties prenantes communication et partage d information avec les parties prenantes d veloppement de strat gies mise en uvre ELIAS et al 2002 Etablissement d une carte des parties prenantes du projet pr paration d u
117. a fois homo economicus un tre conomique engag dans des transactions dans le but d en tirer un profit homo socialis il est profond ment enracin dans des relations sociales qui lui donnent une identit homo politicus il d ploie des relations de pouvoirs et de contr le et homo moralis il fonctionne sur la base d un ensemble de principes culturels de codes d ontologiques et de r gles d thique A partir de l une partie prenante aurait plusieurs visages bien que les approches traditionnelles ne consid re qu une seule dimension la fois Le terme de Stakeholder stake pour int r t a t cr par opposition au terme de Stockholder d signant l actionnaire pour souligner l existence d autres groupes qui peuvent avoir des int r ts dans l entreprise Ce terme est traduit par les expressions comme partie int ress e ayant droit ou partie prenante ce dernier tant le plus utilis dans la litt rature francophone T MERCIER S 2001 L apport de la th orie des parties prenantes au management strat gique une synth se de la litt rature Xi me Conf rence de l Association Internationale de Management Strat gique 13 14 15 juin SAMEDZRO ST HILAIRE W G 2011 L adaptation organisationnelle dans les th ories manag riales et sociales Presses de l Universit du Qu bec Qu bec p 132 10 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain
118. a formation de son image Les sp cialistes et les responsables doivent prendre en consid ration les pr occupations des habitants et futurs habitants des bailleurs des associations des professionnels des 9t MERUNKA D OUATTARA A La ville en tant que marque m taphore ou r alit http www cidegef refer org douala Merunka Ouattara doc 92 L Ibid 43 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain commer ants et des chefs d entreprises des lus pour l tablissement d une offre territoriale ce qui n est pas toujours vident Coordonner les actions de tous ces acteurs reste une t che difficile qui n cessite des campagnes d information de formation et de communication envers les prestataires de service et les r sidents La consommation de la ville est alors une exp rience qui implique des motions cr es par l architecture la culture la musique la nourriture et des relations et impressions d gag es par les acteurs de cette ville qu il convient de g rer et d en tirer le meilleur pour tablir un climat attractif de la ville Les villes et les r gions urbaines apparaissent alors selon JACQUIER 2008 comme le lieu privil gi de la r gulation des contradictions C est leur chelle que doivent tre r gul es les tensions au sein d un triple syst me d interactions voire de contradictions entre les piliers constitutifs du d veloppement
119. able genuine consultation les autorit s de la ville discutent avec la communaut des projets entretenus en r alisant des enqu tes de satisfaction fr quentes par exemple La participation il s agit de Un organe consultatif efficace effective advisory body o on invite la population formuler des propositions afin qu elles soient examin es par les autorit s Par exemple les jurys des citoyens Le partenariat partenership qui consiste r soudre les probl mes en partenariat avec la communaut Exemple les jeux de conception DAVIDSONS 1998 Spinning the wheel of empowerment Planning vol 1262 3 April pp14 15 82 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes La prise de d cision d centralis e limit e limited decentralized decision making qui permet au public de prendre ses propres d cisions sur certaines issues en lui d l guant un pouvoir gr ce des supports politiques L empowerement qui regroupe Le contr le d l gu delegated control qui consiste en la d l gation limit e du pouvoir de la prise de d cision sur des zones ou des projets particuliers Le contr le ind pendant independant control ici la ville est oblig e de fournir un service mais elle choisit de l ex cuter en facilitant un groupe de citoyens ou d autres organismes de r aliser ce service en leur nom Par exemple les services d aide la personne assur s par des vo
120. acteurs groupes sociaux et institutions visant la r alisation des projets collectivement n goci s pour un am nagement et un d veloppement durables des territoires urbains Dans cette logique la gouvernance urbaine n cessiterait la concentration sur des formes de coordination mixte verticale et horizontale sur une grande participation des habitants usagers et acteurs socio conomiques afin de r aliser des projets urbains durables La bonne gouvernance quant elle est un concept normatif lanc par la Banque Mondiale d s 1989 Elle est consid r e par UN Habitat comme un ensemble de principes interd pendants de durabilit OCDE 2007 R forme de la gouvernance m tropolitaine http www oecd org dataoecd 7 3 1918024 pdf consult le 18 11 2013 3 UNFPA 2007 Pour un avenir urbain durable politique information et gouvernance URL http www unfpa org swp 2007 french chapter 6 consult le 11 02 2014 86 LIEBERHERR GARDIOL F 2007 op cit 87ISIAT 2010 Gouvernance et dimensions de la participation citoyenne dans les coQuartiers URL http www franche comte developpement durable gouv fr IMG pdf Gouvernance et dimensions de la participation citoyenne dans les EcoQuartiers cle2d5ac7 pdf consult le 20 02 2013 41 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain d quit d efficacit de transparence et de responsabilit de s curit d engagement
121. agisse d environnement de sant ou d conomie sociale Gagnon et al 2007 Elles seront donc consid rer avec beaucoup d importance dans l laboration de la strat gie d animation territoriale Les organismes partenaires de la Ville La ville doit travailler en collaboration avec des organismes et syndicats les entreprises de transport de gestion d eau de gestion d ordures l implication de ces acteurs permettra de recueillir leur expertise technique essentielle la pr paration des projets et leur mise en uvre Les partenaires institutionnels Ce sont toutes les parties d l gu es par l Etat pour assurer le bon fonctionnement de la ville 56 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Dans le m me sens BARTOLI 2002 propose une repr sentation des acteurs cl s du changement dans le management public Elle sugg re une configuration aux contours perm ables o les usagers sont consid r s comme des acteurs externes tout comme les pouvoirs publics et l opinion publique Figure 13 Influence des parties prenantes dans le management public Hauts responsables administratifs Encadrement interm diaire Clients ou usagers Source BARTOLI A 2002 Le management des organisations publiques Puf p 272 On retrouve alors des acteurs internes les agents publics les hauts responsables administratifs ou les personnels d encadrement qui ont une influence plus
122. alistes ou sp cialis es permettent quand elle sont contr l es de v hiculer une perception favorable de la ville images l appui aupr s des touristes des investisseurs et ventuellement des r sidents potentiels travers des reportages des missions et m me des feuilletons ou des t l films qui font d couvrir des villes avec leur mode de vie leurs traditions et leurs monuments phares aux t l spectateurs ou simplement des news sur un v nement ou un projet r alis par la ville Mais la t l vision qui est un extraordinaire observatoire sur le monde doit aussi devenir une fen tre sur la rue ouverte sur l entourage le proche le familier l o se noue le lien humain social Quand la mondialisation appara t sur tous les crans une autre t l vision est 285 St Priest communique autrement 2007 http www lyon webzine com lyon event 966 st priest communique autrement html 286 KOUCHNER J 2006 Les radios de proximit Mode d emploi http www irma asso fr Les radios de proximite 129 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes attendue celle qui rapproche et rassure Envers les citadins une t l vision locale peut tre le moyen de nourrir et de conforter une identit et une culture locales fortes en mesures de renforcer la citoyennet de proximit Le cin ma Le cin ma peut constituer un moyen original et peu co teux
123. alors la participation comme un devoir un engagement une forme d organisation caract ris e par son but et l int r t qu on y porte mais aussi du degr d influence des d cisions prises lors d un processus de participation Ces variables ainsi retenues nous permettent de croiser la perception avec les facteurs individuels ge genre et niveau d instruction Les analyses sur l chantillon tudi gr ce la technique ANOVA nous r v lent les r sultats suivants 3 Une technique utilis e pour comparer les moyennes de deux chantillons ou plus Cette technique peut tre utilis e que pour des donn es num riques 160 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Sig Genre Age Niveau d instruction Niveau d influence 316 019 000 Buts de la participation 032 000 633 Organisation 002 060 711 Devoir 756 424 844 Engagement 016 000 080 Int r t pour la participation 923 720 000 En consid rant qu il existe une relation entre deux variables quand le sig est inf rieur 0 05 nous pouvons remarquer ce qui suit Le niveau d instruction semble avoir un impact sur le niveau d sir pour l influence de la participation et l int r t pour la participation l ge influence les buts vis s par la participation et l engagement exprim Le genre influence la perception du c t organis
124. amp BOUCKAERT 2000 dans lequel on attribue au secteur public un comportement ax sur le march Ainsi l application des th ories de la gestion et de l organisation l administration publique et la recherche urbaine semble raisonnable et n est pas nouvelle VIRGO et De BERNER M M et al 2011 What Constitutes Effective Citizen Participation in Local Government Views from City Stakeholders Public Administration Quarterly n 35 1 pp 128 162 7 GAUVIN F P ROSS M C 2012 La participation citoyenne dans l valuation d impact sur la sant Survol des enjeux Centre de collaboration nationalesur les politiques publiques et la sant URL http www inspq qc ca pdf publications 1483_ParticipCitoyenneSurvolEjeux pdf consult le 18 07 2013 CHERNATONY fondent d ailleurs leur mod le de marque ville sur le principe d une vari t multiple et complexe de parties prenantes L adoption des techniques marketing dans les affaires de la ville devient une n cessit sp cialement envers les citoyens Cette pratique devient encore plus n cessaire dans les cas des pays mergents o la participation citoyenne est d faillante et les pratiques marketing ont beaucoup d efforts faire En Alg rie et malgr certaines mesures de l Etat les protestations et les manifestations posent la question des d marches prendre et des mesures pr voir Nous posons alors la probl matique suivante quel est le r le du market
125. an DURIAU Editions du Moniteur Paris p52 245 Idem p53 HERNANDEZ S KERAMIDAS O 2006 Strat gies territoriales pour ville durable Gestion 2000 n 1 pp 133 148 246 116 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Tableau 10 Pratiques innovantes et durables de certaines villes Villes L id e Description Curitiba Des transports un syst me de transports publics inscrit dans une vision globale habiter travailler Br sil astucieux pour Un r seau de bus biarticul s en site propre s arr tant devant de v ritables stations une ville tubes transparentes 40 fois moins cher construire qu un v ritable m tro harmonieuse souterrain Au total sur 34 kilom tres de lignes reliant les banlieues et le centre ville 2 millions de passagers quotidiens repr sentent 70 des transports urbains avec un m me ticket pour toute distance afin de ne pas p naliser les banlieusards B le Du solaire aux la cr ation d une centrale g othermique qui couvrira quelques pour cents des Suisse conomies besoins nerg tiques de la ville Une premi re au c ur de l Europe Le courant et le d nergie chauffage ainsi produits alimenteront 5 000 m nages urbains Des projets innovateurs de ce type B le en a produits plusieurs depuis pr s de 25 ans D s 1983 une taxe d encouragement sur l lectricit 5 de la facture rapporte chaque ann e l quiva
126. and the united states lib tkk fi Diss 2003 isbn9512266849 isbn9512266849 pdf consult le 25 08 2013 53 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Figure 12 Les acteurs majeurs dans le processus du marketing de la ville d apr s KOTLER et al 1999 Maire et ou le manager de la ville D partement du d veloppement conomique de la ville D partement de la planification urbaine de la ville transport ducation sanitaire etc Bureau du tourisme Bureau du contentieux Cellules d informations Les citadins Principales entreprises Promoteurs et agents immobiliers Institutions financi res banques et compagnies d assurance Services de l lectricit et de gaz compagnies de t l communications Chambre de commerce et autres organismes locaux d affaires Service d accueil et industries du commerce au d tail h tels restaurants magasins autres d taillants expositions et centres de conventions Agences de voyage Organismes du march du travail Architectes Compagnies de transport taxi chemin de fer ligne a rienne M dias journal radio TV Agences pour le d veloppement conomique r gional Gouvernement local Conseils r gionaux de tourisme Chefs du gouvernement politique Agences de promotion de l investissement tranger Offices nationaux de tourisme Ambassades et consulats Agences d investissements trangers Agences pour le d veloppement cono
127. ant et d montrant les initiatives et les projets r alis s pour permettre un meilleur accueil des entreprises qui ne laisse pas insensibles ces derni res En effet et selon JUBERT et al 2005 le territoire local reste le plus pertinent pour que les nouveaux usages des technologies s ancrent dans le quotidien car les collectivit s sont avant tout des espaces culturels et sociologiques relativement homog nes des sortes d cosyst mes en mod le r duit dans lesquels les exp rimentations du changement trouvent un terreau favorable En fait nous pouvons consid rer deux mani res d envisager une strat gie Internet pour une collectivit dans une d marche de d mocratie locale VEDEL 2001 Internet peut tre consid r comme un simple syst me de diffusion d informations top down ou alors comme un outil d change de communication multidirectionnelle entre citoyens lus associations techniciens et experts L utilisation d Internet peut alors avoir plusieurs formes Les sites web La plupart des villes ont un site vitrine qui propose une information en ligne sur l histoire et la m moire de la ville en plus de plusieurs autres informations concernant les structures et l administration de la ville les services de la ville tat civil affaires scolaires Marketing des collectivit s territoriales 2006 http guillaumemorin blogemploi com guillaume morin weblog marketing territorial i
128. ants 1 Le cas de la ville est beaucoup plus complexe que celui de l entreprise En premier lieu car il y a une double finalit La ville doit satisfaire les attentes de ses citadins citoyens en m me temps que les besoins de la ville elle m me des n cessit s sans lesquelles cette derni re ne fonctionnerait plus Pour l action municipale la ville est donc un objet en m me temps qu un moyen Par exemple la qualit de la ville est en m me temps un moyen pour la satisfaction des citadins et une fin pour le bon fonctionnement de celle ci r seaux circulations b timents s curit HERNANDEZ S KERAMIDAS O 2006 Strat gies territoriales pour ville durable Gestion 2000 n 1 pp 133 148 HBDETRIE J P 2005 Strat gor 4 dition Ed DUNOD p12 219 HERNANDEZ S KERAMIDAS O 2006 op cit 107 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes L action strat gique agit alors sur la ville et dans la ville de trois mani res par transaction sur des march s internes ou externes la ville am nagement urbain services collectifs par action sur elle m me une partie de la ville est plus au moins patrimoine municipal b timents administratifs logements quipements et services publics par influence directe r glementaire fiscale ou contractuelle ou par de multiples influences indirectes la ville est situ e
129. arketing de la ville dans l implication de ses diff rentes parties prenantes Seulement une revue de la litt rature nous a permis d affiner notre probl matique de recherche pour nous concentrer sur le r le du marketing de la ville dans la participation citoyenne partant du constat que le citoyen repr sente la principale partie prenante de la ville En effet apr s avoir expos les principes de la th orie des parties prenantes appliqu es initialement aux entreprises et avoir prouv la possibilit d appliquer ses principes au milieu urbain nous avons pu identifier les diff rentes parties prenantes de la ville et leur t te le citoyen Nous avons pu relever l importance de la participation citoyenne pour le d veloppement de la ville et l panouissement de ses habitants et avons relev les principaux facteurs relay s par les recherches pr c dentes et conditionnant cette participation Ces facteurs bien que relevant de diff rentes visions semblent insister sur l importance de la communication de l attachement la ville de la satisfaction du citoyen vis vis des prestations fournies par sa ville ce qui rel ve d un esprit marketing et nous pousse pr senter les principes et le r le d une d marche marketing pour les villes et faire ressortir la communication et l image de marque de la ville comme les piliers de cette d marche Les bases th oriques tant pos es nous nous sommes int ress s la ville de Tlemcen
130. artition de la valeur cr e 1 4 Approches multidisciplinaires de la th orie des parties prenantes et application au milieu urbain Les sciences humaines et sociales sont constitu es d un ensemble de disciplines sociologie conomie management anthropologie histoire etc qui vise tudier les r alit s et les interactions humaines et sociales Dans la mesure o ces disciplines partagent des objectifs communs il n est pas surprenant qu elles s empruntent les unes aux autres des m thodes de travail des th ories des concepts et des notions partir d une tude ethnographique des m canismes de coordination du travail scientifique STAR et GRIESEMER 1989 proposent dans leur article Institutional Ecology Translations and Boundary Objects Amateurs and Professionals une nouvelle notion qui est celle de l objet fronti re boundary object Depuis le concept a connu une carri re acad mique importante et s est notamment d ploy dans le champ du management des connaissances L objet fronti re m me tant sp cifique une discipline il a suffisamment de caract ristiques reconnaissables par d autres groupes ce qui pr suppose que les diff rents groupes l utilisant auront un socle minimum de connaissances communes de mani re donner la m me interpr tation l objet 39MERCIER S GOND J P 2005 op cit Pour plus de d tails voir entre autres TROMPETTE Pascale et VINCK Domi
131. ationale et lance d autres projets innovateurs Source LIEBERHERR GARDIOL F 2007 Durabilit urbaine et gouvernance enjeux du XXIe si cle Revue internationale des sciences sociales mars n 193 194 pp 373 385 117 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes II 2 La communication de la ville La communication de la ville reste un des piliers du marketing de celle ci Elle se d finit comme l ensemble des messages mis par les institutions gouvernementales comme la ville pour se mettre en sc ne se donner une image favorable aupr s de leur propre soci t et de l ext rieur ROSEMBERG 2003 La communication d une ville doit voluer en permanence car ses cibles deviennent de plus en plus exigeantes et habiles d coder les messages publicitaires et comparer les atouts mis en avant Avec les nouvelles modalit s de la communication notamment avec le fort d veloppement d Internet dans diff rents champs de la vie sociale laisse esp rer un av nement d une souverainet populaire o les citoyens connect s entre eux s informent d battent ensemble des sujets politiques qui les concernent mettant en uvre la participation de tous au d bat qui selon Bernard MANIN 1985 fonde la l gitimit de la d cision la d cision l gitime n est pas la volont de tous mais celle qui r sulte de la d lib ration de tous RODOTA 1999 consid
132. blige saisir les diff rentes dimensions et r alit s et les prendre en compte simultan ment L identification des parties prenantes peut se faire travers un processus de brainstorming afin de recueillir une liste exhaustive des personnes groupes institutions pouvant tre z a 104 105 impliqu s ou encore gr ce un mind mapping ou un venn diagram Plusieurs chercheurs proposent des classifications pour les diff rentes parties prenantes d une ville Ainsi les plus importants acteurs de la ville selon KOTLER 1999 dans sa vision du place marketing sont pr sent s dans la figure 12 Ils sont class s par importance d intervention local r gional national et international Pour lui motiver et coordonner les actions des diff rentes parties prenantes en faveur des int r ts communs devient alors imp ratif 203 Agence des villes et territoires m diterran ens durables 2013 Participation citoyenne Forum Anna Lindh du 4 au 7 avril http www avitem org fr Cooperation a57 html consult le 25 08 2013 Ou carte heuristique est une repr sentation non lin aire qui permet d organiser ses id es de fa on intuitive autour d un noyau central Le diagramme de Venn est un graphique form de cercles qui illustre les ressemblances et les diff rences entre deux groupes distincts 106 RAINISTO S K 2003 Success factors of place marketing A study of place marketing practices in northern Europe
133. bre Nombre Tlemcen 73428 50 6 71688 49 9 145116 100 Chetouane 28842 51 03 27679 48 97 56521 100 Mansourah 29924 50 9 28867 49 1 58791 100 Total 132194 50 76 128234 49 24 260428 100 SOURCE DPAT WILAYA DE TLEMCEN 2013 Annexe 6 Le questionnaire administr aux citoyens de la ville de Tlemcen Bonjour le pr sent questionnaire vise conna tre votre perception de la ville de Tlemcen compos e des trois communes Tlemcen Mansourah et Chetouane et le degr de votre participation son d veloppement Depuis quand habitez vous Tlemcen Depuis ma naissance 72 5 Depuis plus de 1 an 0 Depuis plus de 3 ans 2 5 Depuis plus de 5 ans 5 Depuis plus de 10 ans 5 Depuis plus de 15 ans 0 Depuis plus de 20 ans 5 Depuis plus 25 ans 2 5 Depuis plus de 30 ans 7 5 Les membres de votre famille habitant Tlemcen une majorit 75 8 Indiquez votre degr d accord avec les affirmations suivantes une minorit 24 2 TAFD tout fait d accord PD plut t d accord SA sans avis PPD plut t pas d accord PDTD pas du tout d accord TAFD PD SA PPD PDTD Tlemcen est une ville o il fait bon vivre 63 26 4 1 8 8 4 0 4 Tlemcen est une ville ou r gne la s curit 44 1 46 3 3 1 4 8 1 8 Tlemcen est une ville conviviale chaleureuse 65 9 20 8
134. bservatoire urbain Th se de doctorat en sciences et ing nierie de l environnement Lausanne EPFL URL http infoscience epfl ch record 33378 files EPFL_TH2903 pdf consult le 20 08 2013 39 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain I1 1 Gen se et d finition Depuis plusieurs ann es la notion de gouvernance s est impos e comme un bruit de fond buzzword qui sert d signer et formaliser un certain nombre de transformations majeures Aussi l approche par les parties prenantes fait figure d approche dominante dans le vaste champ de la litt rature sur la responsabilit sociale et la gouvernance de l entreprise En effet elle a le m rite d apporter le cadre de r flexion qui faisait d faut au concept de responsabilit sociale de l entreprise Ainsi la notion de partie prenante permet d identifier et d organiser les multiples obligations de l entreprise envers les diff rents groupes qui y contribuent MERCIER 2001 A partir de l le concept de partie prenante est tr s souvent repris dans la mise en uvre de politique de Responsabilit Sociale de l entreprise car elle permet aux dirigeants de prendre en consid ration les attentes en termes conomiques sociaux ou soci taux de leur environnement Dans le domaine de l aide aux pays en d veloppement la gouvernance peut tre consid r e et notamment par la Banque mondiale et le Fonds Mon tai
135. cation et risque per u Ambigu t conceptuelle ou probl me de mesure Centre d tudes et de recherche sur les organisations et la gestion W P n 607 URL http www cergam org fileadmin files cerog wp 607 pdf consult le 11 04 2013 103 PAQUOT Thierry 1997 Qu est ce qu une ville Sciences humaines n 70 mars pp 26 27 104 PECQUEUR Bernard 2006 De la ville qui consomme la ville qui produit La reterritorialisation des fonctions conomiques de l urbain Annales de la recherche urbaine n 101 pp 7 13 105 PERRIN Christophe 2008 R ussir son plan de communication Dossier d experts La Lettre du cadre territorial URL http ddata over blog com xxxyyy 0 18 46 70 lirevoir plancomnet pdf consult le 16 04 2013 106 PLANCHE Jeanne 2007 Soci t civile un acteur historique de la gouvernance ECLM 107 PLOSTAINER Zlata MENDES Ivona 2005 Citizens Participation URL http www fes hr E books pdf How 20to 20lmprove 20Development 20on 20Local 20Level 06 pdf consult le 04 02 2014 108 PNUD 2013 Rapport Consultation nationales post 2015 URL http www dz undp org content algeria fr home library mdg rapport de consultations nationales post 2015 consult le 12 12 2013 109 POLERE C dric 2007 La d mocratie participative tat des lieux et premiers l ments de bilan Synth se l occasion de l laboration du num ro des Synth ses Mill naire 3 sur le th me de la d
136. ces nature et sports sont plusieurs facteurs susceptibles de cr er la satisfaction D autre part NELKIN et POLLAK 1979 consid rent que la participation citoyenne est vue selon trois d finitions du probl me d acceptabilit le manque de confiance l ali nation et information insuffisante Dans le cas de la participation politique les citoyens se m fient de la politique des politiciens locaux et des repr sentants du gouvernement et ne croient pas que les politiciens se soucient vraiment de leurs besoins Les citoyens manquent galement de l exp rience de la citoyennet active dans une d mocratie Pour que les citoyens deviennent motiv s pour participer ils doivent avoir le sentiment que leur voix compte et qu ils peuvent influencer la situation et le cours de l action Ils doivent avoir la possibilit de parler librement de tout ce qui les d range Leurs opinions doivent tre trait es avec toute l attention voulue 186 NSCH A FLOREK M 2008 A great place to live work and play Conceptualising place satisfaction in the case of a city s residents Journal of Place Management and Development 1 2 138 149 187 GUERIN PACE France 2006 Lieux habit s lieux investis le lien au territoire une composante identitaire Economie et statistique Volume 393 Num ro 393 394 pp 101 114 188 PLOSTAINER Zlata MENDES lvona 2005 Citizens Participation URL http www fes hr E books pdf How 20to 20lmprove 20De
137. charg de la ville et a pour missions E Le suivi de la mise en uvre de la politique de la ville F L laboration d tudes sur le d veloppement des villes dans le cadre de la politique nationale d am nagement B du territoire g T La production et la tenue jour d une nomenclature des villes BAN La proposition au Gouvernement de toutes mesures de nature promouvoir la politique nationale de la ville m z La participation la promotion de la coop ration internationale dans le domaine de la ville 5 lt La proposition au Gouvernement d un cadre d actions permettant de promouvoir la participation et la k consultation des citoyens S Le suivi de toute mesure prise par le Gouvernement dans le cadre de la promotion de la politique nationale de la ville La composition l organisation et le fonctionnement de l observatoire national sont fix s par voie r glementaire Source Loi 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville JO N 15 http www cna dz dmdocuments textesjur texte legislatifs 20et 20regleemtaires RI loi06 06du 2020 20fevrier 202006 20orientation 20de 20la 20ville pdf Annexe 4 D limitation de la ville de Tlemcen Source D coupage administratif de la Wilaya de Tlemcen Monographie DPAT 2007 Annexe 5 Estimation de la population par genre et par commune de la ville de Tlemcen au 31 12 2013 Hommes Femmes Population totale Nombre Nom
138. citoyens d j organis s sous forme associative ce mod le repose sur la participation des groupes d habitants constitu s autour de projets souvent tourn s vers les secteurs sociaux marginalis s 170 REED M 2008 op cit POLERE C 2007 La d mocratie participative tat des lieux et premiers l ments de bilan Synth se r alis e par C dric POLERE l occasion de l laboration du num ro des Synth ses Mill naire 3 sur le th me de la d mocratie DPSA consult le 17 07 2013 sur http www millenaire3 com fileadmin user upload syntheses Polere democratie particicipative pdf 171 86 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Selon des citoyens motiv s qui s organisent pour l occasion dans des assembl es les assembl es de quartiers les conseils de quartiers Des dispositifs qui proc dent par tirage au sort d un chantillon repr sentatif de citoyens en g n ral volontaires ou motiv s Des dispositifs qui en appellent l ensemble des citoyens la mani re des r f rendums qui est particuli rement utilis en Suisse et aux Etats Unis Seulement il a un co t lev peut tre dangereux pour la majorit qui l organise et peut avoir des effets pervers question d magogique r ponse c t de la question manque de d bat De nombreux dispositifs utilisent plusieurs de ces cinq modes de s lection A l image des dispositifs
139. comme exemple des villes alg riennes D une mani re g n rale ces villes souffrent de d faillances au plan de l urbanisme et de l architecture mais aussi de malaises sociaux et de d ficit des services publics Ces probl mes m me si elles sont propres plusieurs villes au niveau mondial restent un handicap une gestion ouverte de la ville car force de chercher les r soudre on oublie souvent de solliciter les personnes concern es et essentiellement les citoyens Il tait donc int ressant de questionner les citoyens tlemceniens comme exemple des citoyens alg riens sur leur avis concernant la participation aux affaires de leur ville et sur ce qui les motiverait ou non pour y faire partie Un questionnaire et puis une analyse en composantes principales ACP nous ont permis de faire ressortir la perception de la participation citoyenne chez les Tlemceniens mais aussi la communication l accueil et l attachement la ville l appr ciation des services de la ville ou la confiance envers les lus les partis politiques et les associations comme des d terminants de cette participation Ces r sultats nous ont permis de proposer les bases d une d marche marketing de la ville qui permettrait plus de communication et d implication des citoyens dans les affaires de leur ville mais aussi celle de ses diff rents organismes et entreprises en s appuyant essentiellement sur les avantages qu offrent les TIC Le r le de cette d march
140. comme les jurys berlinois 7 Enfin la participation peut tre consid r e comme un change entre des d cideurs qui accordent un certain pouvoir aux administr s et ces m mes administr s qui acceptent en contrepartie de se mobiliser en faveur d un projet d am nagement VODOZ et REY 2001 Le sch ma suivant pr sente les diff rents niveaux de participation qui vont de l information la cod cision Vans le cas de la ville de Berlin il s agit de jurys d habitants pour moiti tir au sort pour moiti faisant partie de la soci t civile constitu s dans 17 quartiers ayant pour r le de soutenir des projets micro locaux Ce projet a dur deux ans et s est arr t en 2003 L originalit de cette initiative est la prise de d cision r elle de ces jurys dans la gestion de l argent public 500 000 euros chacun ce qui les rapproche des budgets participatifs de Porto Alegre TSREPETTI A 2004 Un concept de monitoring participatif au service des villes en d veloppement Approche m thodologique et r alisation d un observatoire urbain Th se de doctorat en sciences et ing nierie de l environnement Lausanne EPFL URL http infoscience epfl ch record 33378 files EPFL TH2903 pdf consult le 20 08 2013 87 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Figure 19 Niveaux de participation adapt de VODOZ et REY 2001 Amplitude de la participation capacit d influ
141. confiance en leurs lus Qu est ce qui vous motiverait participer aux questions relatives Oui Non Sans Avis votre ville Le sentiment que ma participation aura un impact Le sujet m interpelle particuli rement La disponibilit des informations n cessaires sur le sujet d battre Il est possible d y participer via internet Le bon accueil et les orientations de la part des organismes publics Ma participation favorise la formulation de recommandations Plus ma ville est d velopp e plus je suis motiv de participer ce d veloppement Qu est ce qui vous emp cherait de participer aux questions Oui Non Sans Avis relatives votre ville Le sentiment d impuissance que ma participation ne changera rien Le sentiment que je n en connais pas assez sur le sujet Le manque d int r t pour le sujet Le manque de temps Le manque de confiance pour l organisateur de la consultation c est un leurre les d cisions sont d j prises 164 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Quelle importance accordez vous aux facteurs suivants pour T Plut l SA Peul PDTI que la participation des citoyens s am liore Avoir un meilleur acc s l information Obliger les organismes qui consultent rendre des comptes aux participants sur le r sul
142. consult le 12 08 2013 59 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Et vu que les avis et les int r ts des personnes concern es sont difficilement stockables dans des sources existantes On fait g n ralement appel des donn es d ordre qualitatif ainsi qu un ensemble d impressions et de pr f rences on utilise alors des sources telle que v les interviews des sources cl v les documents secondaires tels que les articles de journaux v les recherches relevant du domaine des sciences humaines La majorit des processus d analyse se basent sur les typologies des parties prenantes d taill es pr c demment Des grilles d analyse sont alors cr es pour structurer l analyse nous pr sentons dans ce qui suit la plus simple d entre elles qui consiste relever les int r ts et les impacts des parties prenantes dument identifi es Figure 14 Grille d analyse Int r t Impact des parties prenantes D ES Source adapt de Public Sector Improvement Facility Project Resources StakeholderAnalysis http www samoapsif gov ws portals 42 files Stakeholder 20Analysis ppt consult le 13 02 2014 L analyse des parties prenantes peut comprendre plusieurs tapes A laboration d un tableau des parties prenantes B valuation des mesures dans lesquelles chaque partie prenante contribue la r ussite du projet et d terminer son pouvoir relatif son influence rela
143. d implication d estime et d coute pour le citoyen Plus d honn tet et de justice Moins de bureaucratie Plus d ordre et de s curit 26 Quelles sont les priorit s des dirigeants de la ville de Tlemcen d apr s vous D apr s les r pondants la priorit des autorit s locales reste leurs propres int r ts alors qu elle devrait se focaliser sur le citoyen l couter l impliquer et le servir et le d veloppement de la ville et son attractivit FICHE SIGNALETIQUE Age entre 18 et 25 ans 31 7 entre 26 et 30 ans 23 5 entre 31 et 40 ans 17 8 entre 51 et 60 ans 6 1 plus de 61 ans 3 5 Vous tes une femme 48 7 un homme 51 3 Vous tes c libataire 49 3 mari e sans enfants 7 9 mari e avec enfants 42 8 Autre Non sp cifi Niveau d instruction primaire 1 3 fondamentale 4 8 secondaire 2 4 bac 2 3 5 bac 3 25 4 bac 4 17 4 bac 5 25 4 Fonction occupation administrateur 2 6 interpr te 0 9 architecte 2 2 m decin 2 6 artisan 0 9 ouvrier 3 9 ch meur 8 3 pharmacien 0 9 commer ant 2 2 pilote 0 4 comptable 0 4 Pr emploi 0 4 enseignant 10 8 retrait 3 9 tudiant 19 6 secr taire 1 3 fonctionnaire 27 8 technicien 0 4 infirmier 0 9 ing nieur 6 5 O habitez vous commune Tlemcen 59 1 Mansourah 20 Chetouane 18 7 Vous habitez un petit apparteme
144. d rable dense et permanente hautement organis e g n ralement ind pendante pour sa nourriture du territoire sur lequel elle se d veloppe et impliquant par son existence une vie de relations active n cessaire l entretien de son industrie de son commerce et de ses autres fonctions SORRE 1929 Pour les partisans de la g ographie politique la ville est analys e comme l un des organes du pouvoir et un lieu d implantation de l autorit l gitime et de ses rouages elle repr sente l une des places centrales d un territoire BRUNHES VALLAUX 1921 VALLAUX 1911 Donc la ville est le lieu des pouvoirs qui d passent la simple volont de chacun c est dans la ville que s est cr e la politique du grec polis la ville La ville est une machine conomique qui engendre une richesse sup rieure la somme de celles produites par l ensemble de ses acteurs En permettant la rencontre des offres et des demandes elle favorise l optimisation du march Pour HASSINGER 1910 la ville est laire habit e l int rieur de laquelle les int r ts conomiques des habitants subissent une 4 attraction principale centrip te au lieu que cette attraction est principalement centrifuge dans les villages 8 FRIEDMAN Y Utopies R alisables http www lyber eclat net lyber friedman 8ville html consult le 27 02 2013 ROBIC M C 2003 La ville objet ou pr
145. dans un environnement mais elle est aussi l environnement premier de ses acteurs et de ses march s Figure 21 Les d terminants de la strat gie de la ville Attente des lecteurs Mission et image Re Source NOISETTEP VALLERUGO F 1996 op cit p79 KOTLER et al 2002 ont synth tis les l ments du marketing des endroits dans leur mod le Les niveaux du marketing de l endroit Levels of Place Marketing Ces niveaux regroupent les march s cibles les facteurs marketing et les acteurs de cette d marche 220 RAINISTO S K 2003 op cit 108 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Figure 22 Les niveaux du marketing des endroits KOTLER et al 2002 EE U O OOO March s cibles Exportateurs Facteurs Marketing Infrastructures Touristes et Investisseurs conventionn s Groupe de planning Citoyens Attractions Plan du marketing Gens d endroit diagnostic vision et actions I Communaut Gouvernement d affaires t gt local r gional Le Nouveaux I Ja Entrepreneurs mage et qualit r sidents devi e vie T Si ges d entreprises Source RAINISTO S 2003 op cit B Le mix marketing de la ville Quant au plan d action il a pour r le d tablir le mix marketing et de veiller sa mise en application 1 Dans le marketing de la ville le produit de la ville ou la ville produit doit tre adapt
146. de et de mise en valeur des secteurs 5 Le plan de protection et de mise en valeur des sites arch ologiques et leur zone de protection Le plan g n ral d am nagement des parcs nationaux x cE Un cadre de concertation et de coordination est mis en place pour assurer aux instruments de planification et E 2 lt d orientation sectoriels au niveau de la ville notamment ceux relatifs la protection de l environnement et du o T 5 5 5 patrimoine culturel de l urbanisme du transport de l eau et des quipements et infrastructures une mise en Z i E gt 2 5 N uvre concert e coh rente et optimale Ce cadre est charg de proposer des mesures non pr vues par les b instruments de planification et d orientation sectoriels 7 Les modalit s d application du pr sent article sont fix es par voie r glementaire Les programmes et les actions entrant dans le cadre de la politique de la ville sont le cas ch ant mis en 2 uvre suivant des contrats de d veloppement de la ville souscrits avec la collectivit territoriale et les se partenaires conomiques et sociaux 5 Les modalit s d application du pr sent article sont fix es par voie r glementaire Art 21 E Des actions de partenariat entre deux ou plusieurs villes pour la r alisation d quipements et infrastructures 5 3 urbains structurants peuvent tres initi s dans le cadre de conventions conclues entre les collectivit s territoriales responsables des
147. de la participation Aussi et concernant les domaines o le citoyen tlemcenien aimerait tre sollicit sur les th mes suivants L ducation dont 80 3 des r pondants estiment tr s important La sant et les services sociaux dont 80 4 des r pondants estiment tr s important __L environnement dont 68 7 des r pondants estiment tr s important L emploi dont 70 9 des r pondants estiment tr s important La s curit dont 77 4 des r pondants estiment tr s important l habitat dont 73 0 des r pondants estiment tr s important La culture dont 48 9 des r pondants estiment tr s important 66 7 des r pondants disent ne pas tre habitu s critiquer les d cisions des responsables de leur ville essentiellement car a ne sert rien pour 89 6 d entre eux mais aussi cause peut tre des r ponses n gatives ou inexistantes l issue d exp riences pass es ou des d lais de r ponses trop longs Par contre pratiquement 84 des gens affirmant tre habitu s critiquer les d cisions des responsables de leur ville ont au moins un bac 3 Plus de 66 des bac 3 et plus estiment que leurs avis doivent influencer les 161 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen d cisions gouvernementales 72 des bac 2 et plus estiment que leurs avis doivent influencer les d cisions de leur wilaya 74 des 2 et plus estiment que leurs av
148. des comp tences qui leur 328 Loi 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville op cit 145 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen sont d volues par la loi Art 15 de la loi n 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi 329 d orientation de la ville L annexe 3 r sume les diff rents instruments de la politique de la ville Il convient de dire que la ville alg rienne peut tre le regroupement de plusieurs communes d o la difficult de sa gestion et d assurer une certaine coordination Toutefois la commune constitue le cadre d expression de la d mocratie locale est l assise de la d centralisation et le lieu de participation du citoyen la gestion des affaires publiques Ses comp tences portent la fois sur l am nagement et le d veloppement local I 2 La gouvernance urbaine en Alg rie La gouvernance telle que d finie plus haut est avant tout un mode de gestion ouvert aux diff rentes parties prenantes Seulement et dans le cas des villes alg riennes ce mode de gestion reste assez compliqu notamment cause de Les probl mes des villes alg riennes D une mani re g n rale nos villes souffrent selon le CNES en premier lieu de d faillances au plan de l urbanisme et de l architecture et de la maladie des grands ensembles mais ces l ments ne sont pas les seuls facteurs aggravants de la situation
149. des entreprises et des touristes A partir de l les pr mices de r flexion sur la gouvernance urbaine peuvent tre resitu es dans l historique de la recherche de nouveaux modes d organisation et de gestion territoriale alternatifs aux d marches territoriales descendantes classiques Cette notion renvoie ainsi tout d abord celle du d veloppement local et vise l implication croissante des acteurs locaux priv s publics associatifs dans les dynamiques de d veloppement dans leur capacit se mobiliser et se prendre en charge Parler de la gouvernance urbaine nous conduira forc ment parler de sa gen se et de sa relation avec la gouvernance des entreprises et la RSE et de la sp cificit des villes entant qu objet de gouvernance BORJA et CASTELLS 1997 consid rent que la gestion d une collectivit urbaine regroupe cinq d fis v assurer des bases conomiques construire des infrastructures y am liorer la qualit de vie v assurer l int gration sociale et v garantir les bonnes conditions de gouvernement La qualit de la gestion ne d pend pas alors seulement de la r ussite individuelle de chacun de ces d fis mais aussi de la bonne coh rence des diff rentes composantes du d veloppement de la ville 80 LELOUP F et al 2005 op cit SIREPETTI A 2004 Un concept de monitoring participatif au service des villes en d veloppement Approche m thodologique et r alisation d un o
150. dont le fonctionnement social biophysique 239 SPI Intelligence territoriale URL http www spi be fr territoire intelligence territoriale consult le 12 12 2013 240 MOAL C 2013 Le citoyen en plein c ur de la ville intelligente En ligne Alliancy le Mag 19 mars URL http www alliancy fr 2013 03 19 alliancy web le citoyen en plein coeur de la ville intelligente 1765 html consult le 12 12 2013 27 SIDANER X 2013 Favoriser la circulation des donn es publiques est n cessaire mais insuffisant En ligne Acteurs publics 17 d cembre URL http www acteurspublics com 2013 12 17 favoriser la circulation des donnees publiques est necessaire mais insuffisant consult le 02 01 2014 242 SIRARDOT J J 2009 Evolution of the concept of territorial intelligence within the coordination action of the European network of territorial intelligence URL http www territorial intelligence eu index php eng Ongoing research Concept of Territorial intelligence Evolution of the concept of territorial intelligence within the coordination action of the European network of territorial intelligence consult le 07 12 2013 115 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes et cologique les projets et l volution s inscrivent dans les perspectives ouvertes par le d veloppement durable A partir de l planifier une ville durable implique un
151. e 103 1 3 La d marche du marketing de la ville 106 A La strat gie et la Ve ir SR ARS aaea nn ir te ed trs ehas 106 B Le mix marketing de la ville 108 Il Communication et image de marque de la ville 110 1 1 L image de marque de la ville sn 111 11 2 La communication de la ville ss 117 11 3 Qui fait la communication de la ville et comment ins 123 As Lavill iell sm me sise ne te mt ee Re Re ee Mt RE a Et 123 B Les agences consultants en communication sssssssssssessssssressresssrssrrssrresressreerereserssrreene 124 Cr L shabitantss ssasss manne nt tte etes 124 Ill Les supports et les modes de communication de la ville 126 Il1 1 Les supports de communication de la ville ansnnnnonnseeenensnsssseseseesssssseserersrssssrsereesrssssesereesessno 127 As Les S pPports crits iseni re e a a a A A et ea a ai 127 B Les supports audiovisuels sisi 128 C Le mobili r urbain z ss Line ir ME aaia aaia aade EE baie terne dense 129 D Les TIC sn tent A ne A ea a a E RP tend hr 130 111 2 Les modes de communication de la ville 135 A L v nement le sponsoring et le m c nat sssnnssneesseneessenenssensnssernnssernnsserenssernnssenne 135 B L mark ting Viral eat ein ter ln tite ht taste ste eds fe 135 C kes relations publige S mesnr areeni A E rh esse arte dns arrete sets 136 Conclusion du Ch pitre sinssuntenn nintendo aa ee ee E es 139
152. e buts de la particpation organisation devoir engagement interet pour la participation 372 BENFODIL M 2014 op cit Probl matique quel r le le marketing de la ville peut il jouer dans l implication dul citoyen en tant que principale partie prenante de celle ci H2 la participation est conditionn e par certains facteurs CONFIRM E les facteurs motivants de la participation citoyenne chez les questionn s Attachement la ville d veloppement et am lioration de l acc s l information aptitude disponibilit et impact de la participation accueil et information vocation des partis et des associations qualification et pr rogatives des lus manque de confiance et de transparance de la part des autorites locales confiance dans les lus et dans la r glementation Interet pour le sujet et possibilite de participer via internet am lioration des services de la ville H3 les facteurs motivants d une participation pourraient constituer la base dune d marche marketing CONFIRM E l attachement la ville le d veloppement et l am lioration de l acc s l information l accueil et l information la possibilit de participer via internet et l am lioration des services de la ville peuvent constituer la base d une d marche marketing Conclusion g n rale Le point de d part de notre recherche tait de relever le r le du m
153. e Cependant la notion d empowerment reste floue d un point de vue conceptuel BACQUE 2005 la d finit comme le processus par lequel un individu ou un groupe acquiert les moyens de renforcer sa capacit d action de s manciper ou encore l empowerment d crit la fois un objectif et une m thode collective un processus d apprentissage des individus membres des groupes d favoris s en vue d une insertion sociale o ils peuvent faire valoir leur culture et leurs int r ts BACQUE REY et SINTOMER 2005 CRAIG 2002 quant lui d finit l empowerment dans le contexte de d veloppement communautaire comme la cr ation de structures de processus et de m canismes durables sur lesquels les communaut s locales ont un degr accru de contr le et gr ce auxquelles elles peuvent avoir un impact mesurable sur les politiques publiques et sociales qui les affectent 0 DALIMIER et al 2009 proposent ce sujet un processus de formation des citoyens et avec les citoyens Ils proposent alors les formes suivantes d apprentissage y Apprendre participer on consid re que la formation est la cl de la participation A partir de l apprendre aux habitants utilisateurs comment travailler ensemble comment changer leurs id es d fendre les siens et prendre le soin d couter les VEHURARD M 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Working
154. e Exemple de la ville Tlemcen I Implication citoyen dans les villes alg riennes et en particulier la ville de Tlemcen A l aube de 2025 80 de la population alg rienne vivra dans les villes Un chiffre qui effraie mais qui n cessite surtout une v ritable strat gie long terme et des moyens pour la mettre en uvre Pour comprendre le fonctionnement des villes alg riennes il est imp ratif de cerner son statut des pr rogatives et ses probl mes I 1 Le cadre l gislatif de la ville alg rienne Depuis 2001 le l gislateur a mis en place un nombre tr s important de textes de lois dans les domaines qui touchent directement l urbain l environnement l am nagement du territoire la ville le patrimoine l architecture mais aussi d autres textes concernant notamment les travaux publics le transport l industrie la sant le sport etc La ville est d finie comme toute agglom ration urbaine ayant une taille de population et disposant de fonctions administratives conomiques sociales et culturelles Art 3 de la loi n 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville De plus outre leur classement selon la taille de leur population les villes sont class es selon leurs fonctions et leur rayonnement au niveau local r gional national et international particuli rement leur patrimoine historique culturel et architectural Art 5 de la loi n 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi
155. e Tlemcen Summary From 2008 more than 50 of the world population lives in cities that is to say the importance of this territorial unit in the life of every one The city is perceived as consisting of stakes and relationships which allow introducing the notion of stakeholder in urban governance and proposing the stakeholder theory as a conceptual approach to the development of the city as a complex form of organization The review of literature allows us to highlight the citizen as the main stakeholder of the city s business Thus citizen participation is advocated as an effective way to reduce the level of distrust of citizens and educate them to Government activities From there the city must submit to a specialist which practices will do match its offer s with the expectations of all its stakeholders especially the citizen playing on its material acquired and imaginary side The marketing remains the best placed discipline to fulfill this mission especially in emerging countries such as Algeria This was confirmed by our empirical study mainly realized on 250 citizens of the city of Tlemcen taken as an example of Algerian cities Keywords stakeholders citizen involvement city marketing city of Tlemcen gail Qi AY san oll oaa Araaj es Laa call giia allall u a X 50 oa Si aal 2008 iiu c lelai Qi aladi olaa aggio Jaah gany Laa Luis g Ciara ga albi LS je aa iadi gli de g ie analy JS iha Ge a g gai job iiad juil bi JS lala
156. e appr ciation sur les affirmations TAFD PD SA PPD PDTD suivantes La participation du citoyen aux questions relatives leur ville 73 2 17 4 6 7 1 3 1 3 est indispensable En Alg rie il y a suffisamment de textes r glementaires qui 10 4 25 2 20 4 27 8 16 1 prot gent le citoyen et qui lui garantissent ses droits La majorit des Alg riens sont int ress s par la participation 19 7 25 0 14 0 33 3 7 9 aux affaires de leur ville Les citoyens doivent s organiser sous forme de comit s de 72 6 20 0 4 8 1 7 0 9 quartiers ou d associations pour d fendre leurs int r ts et se faire entendre Les partis politiques cherchent plus l int r t de leurs 57 0 13 5 17 0 7 0 5 7 adh rant que celui de la soci t en g n ral Les associations cherchent plus l int r t de leurs adh rant 37 6 22 7 23 1 13 1 3 5 que celui de la soci t en g n ral Les citoyens doivent int grer un parti politique pour d fendre 20 5 24 0 24 0 10 5 21 0 leurs int r ts et de se faire entendre Le r le des partis politiques est de d fendre les int r ts des 44 5 20 5 10 9 10 5 13 5 citoyens Les lus municipaux ne sont pas toujours qualifi s pour g rer 61 3 20 0 10 9 2 6 5 2 les pr occupations des citoyens Les lus municipaux n ont pas toujours la libert de prendre 42 6 21 7 25 2 6 5 3 9 des d cisions ou des initiatives concernant leur commune La majorit des citoyens ont confiance en leurs lus
157. e de l entretien et d aller plus loin sur un sujet pr cis Les questions ferm es sont prescrites pour les sujets que l on ma trise dont on conna t d j les diff rentes options Par contre une question ouverte permettra de ratisser large de ne pas trop influencer les opinions de ne pas voir merger des r ponses convenues et de d couvrir peut tre des th mes que l on n avait pas encore imagin s Aussi plusieurs questions sont pr sent es sous formes d chelle de mesure L chelle de mesure tant un ensemble de gradations permettant d attribuer une valeur attendue une question Son utilisation pour obtenir une r ponse une question oriente le r pondant sur les nuances souhait es sa r ponse et permet d avoir une information facile traiter Nous adoptons dans notre questionnaire l chelle de LIKERT une chelle de type s mantique bidirectionnelle avec un point de neutralit permettant au r pondant de ne pas prendre position Ce genre d chelle offre comme int r t le fait qu elle est plus facile comprendre pour le r pondant II 2 Administration du questionnaire L administration du questionnaire n cessitait forc ment la d limitation de la taille de chantillon et du mode administration A cet effet il est vrai que la repr sentativit d un chantillon ne peut tre envisag e qu en termes de qualit d un chantillon provenant d une m thode d
158. e des annexes R sum A partir de 2008 plus de 50 de la population mondiale vit en villes c est dire l importance que rev t cette unit territoriale dans la vie de tout chacun La ville est alors per ue comme tant constitu d enjeux et de relations ce qui permet d introduire la notion de partie prenante dans la gouvernance urbaine et de proposer la th orie des parties prenantes comme une approche conceptuelle dans l laboration de la ville en tant qu une forme complexe d organisation La revue litt raire nous permet de faire ressortir le citoyen comme principale partie prenante des affaires de la ville Ainsi on pr conise la participation citoyenne comme un moyen efficace pour r duire le niveau de m fiance des citoyens et de les duquer aux activit s du Gouvernement A partir de l la ville se doit de se soumettre aux pratiques d un sp cialiste qui ferai correspondre son ses offre s aux attentes de toutes ses parties prenantes et sp cialement le citoyen en jouant sur ses acquis mat riels et l imaginaire qu elle d gage Le marketing reste la discipline la mieux plac e pour remplir cette mission sp cialement dans les pays mergents tel que l Alg rie Cela a t confirm gr ce notre tude empirique r alis e essentiellement aupr s de 250 citoyens de la ville de Tlemcen prise comme exemple des villes alg riennes Mots cl s parties prenantes implication citoyen marketing de la ville ville d
159. e grande compr hension des relations entre les citoyens les services les politiques de transport et la production d nergie et de leur impact global tant sur l environnement local que sur une sph re g ographique plus large Une ville durable est une ville qui prend en compte dans sa planification l cologie l conomie et la sociologie urbaines tout en impliquant le citoyen Les politiques qui visent am liorer l environnement peuvent aussi am liorer la vie sociale des citadins Les solutions cologiques et sociales se renforcent mutuellement et permettent de construire des villes plus respectueuses de la sant plus vivantes et plus ouvertes Mais surtout durabilit signifie qualit de vie pour les g n rations futures A ce titre le concept de ville durable ne se limite pas une tournure d esprit ou un style de vie La ville est d finie ici comme l chelon administratif le plus m me de donner cette probl matique environnementale et territoriale une teneur strat gique Dans le tableau suivant des exemples de pratiques innovantes mais tout aussi durables de certaines villes au niveau mondial 243 LEGRAND P 2001 Changer de lunettes pour changer la ville Le Courrier de l environnement n 43 Mai URL http www inra fr dpenv legrac43 htm consult le 12 10 2013 244 ROGERS R GUMUCHDJIAN P 2000 Des villes pour une petite plan te Traduit de l anglais par Claudine GILBERT et Je
160. e marketing peut aller encore plus loin en contribuant enraciner une culture commune de concertation de prise en compte des dol ances citoyennes de changement dans les mentalit s et tous les niveaux pour faire merger une nouvelle citoyennet Aussi les r sultats de notre tude font ressortir un manque de confiance et parfois d int r t envers les associations et les partis politiques or ces derniers sont cens s tre les m diateurs entre le citoyen et les autorit s locales galement cette d marche sera encore plus efficace quand des r sultats des efforts produits seront visibles et que le citoyen sentira l utilit de sa participation et ses impacts sur la qualit de sa vie et celle de ses proches Enfin les r sultats obtenus reste une modeste contribution des th mes de recherches diff rents mais interdisciplinaires la fois En effet comme n importe quel travail de recherche le pr sent travail affiche des limites qu il convient de prendre en consid ration lors de la lecture de ses r sultats et dans d ventuelles recherches D abord on ne r p tera jamais assez la complexit de la ville en tant que sujet d tude et notamment dans le cas des villes alg riennes Les autres notions abord es ne sont pas plus faciles cerner la participation citoyenne qui a t abord e par plusieurs disciplines mais qui peinent en donner une d finition g n rique ou fixer ses d terminants d une mani re d fin
161. e ville l autre suivant la taille et l importance de celle ci Le 267 HEYMANN 2002 L volution du m tier de communicateur public et de l organisation des services de communication des institutions publiques Synth se de l tude URL http blog communication ublique fr archive 2006 05 19 annexe ii synthese de l etude heymann 2002 p 80 a 84 html consult le 02 01 2012 288 FROCHOT I LEGOHEREL P 2007 Marketing du Tourisme Dunod Paris p247 Glasgow City Marketing Bureau http www seeglasgow com media office news archive january june2005 glasgow city marketing bureau formalised 770 Site official de la ville de Lyon http www lyon fr vdl sections fr international 271 FRAZIER M 2008 Abu Dhabi A City Rich in Branding http www brandchannel com starti asp fa_id 449 124 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes directeur de communication est le premier responsable de la communication d une ville Viennent ensuite des charg s de communication d clin s selon la diversit des outils de communication de la ville Le directeur de la communication territoriale de la ville est souvent le chef d orchestre qui veille harmoniser les diff rentes actions de communication de la ville Il a pour mission de choisir les modes de diffusion et de r ception pr parer les contenus ad quats g rer l interactivit organiser les flux d informa
162. echnologies du g oweb un ensemble de perspectives envisager URL 97 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Conclusion du chapitre La n cessit d impliquer le citoyen en tant que principale partie prenante de la ville n tant plus prouver plusieurs b n fices sont attendus que ce soit pour le bon fonctionnement de la ville ou pour la satisfaction des citoyens Cependant il est prouv que des efforts en marketing et notamment en communication sont essentiels pour le maintien de l appui et l engagement de toutes les parties prenantes BRINER et al 1996 Une communication efficace r guli re et planifi e avec tous les membres de la communaut du projet est n cessaire pour le succ s d un projet ou d une initiative communaux BRINER et al 1996 CLELAND 1995 https www academia edu 212365 Concertation territoriale et technologies du geoweb une serie de pe rspectives a envisager consult le 04 02 2014 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Introduction du chapitre I Le marketing de la ville I Communication et image de marque de la ville lll Supports et modes de communication de la ville Conclusion du Chapitre 99 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Introduction du chapitre La ville est par consensus un objet de recherche complexe et pluriel rev
163. en place d une nouvelle esth tique urbaine Cybergeo European Journal of Geography En ligne Dossiers Colloque les probl mes culturels des grandes villes 8 11 d cembre document 101 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 mis en ligne le 27 mai 1999 URL http cybergeo revues org 1170 consult le 02 janvier 2014 GRIM Rachid 2007 La soci t civile en Alg rie un mythe aujourd hui une r alit demain URL http algerie wordpress com 2007 05 27 la societe civile en algerie un mythe aujourd E2 80 99hui une realite demain consult le 06 02 2014 GUERBOUB Djahida 2013 Contribution du marketing territorial au d veloppement local Quel r le pour la communication territoriale Une application aux communes de Bejaia et d El Kseur Alg rie Dialogue Euro M diterran en de management public MED 6 Culture pour le changement changement par la culture Marseille 7 8 9 octobre GUERIN PACE France 2006 Lieux habit s lieux investis le lien au territoire une composante identitaire Economie et statistique Volume 393 Num ro 393 394 pp 101 114 HARDINA Donna 2006 Strategies for Citizen Participation and Empowerment in Non Profit Community Based Organizations Journal of the Community Development Society Vol 37 No 4 Winter pp 4 18 HERITIER St phane 2010 Participation et gestion dans les parcs nationaux de montagne approches anglo saxonnes Revue de
164. encer la d cision cod cision ne concertation participation PA o a Lo Z i g E 5 v puo ap nbsu np uopnurup 19 uoma ype 2P Pren information relations unilat raks Nombre de personnes impliqu es Source REPETTI A 2004 Un concept de monitoring participatif au service des villes en d veloppement Approche m thodologique et r alisation d un observatoire urbain Th se de doctorat en sciences et ing nierie de l environnement Lausanne EPFL URL http infoscience epfl ch record 33378 files EPFL TH2903 pdf consult le 20 08 2013 II 3 Les m canismes d implication des parties prenantes Il existe une vari t de techniques disponibles afin de solliciter la participation des parties prenantes Celles ci vont des r unions ouvertes des techniques plus sophistiqu es telles que le Delphi et la technique des groupes nominaux COGAN et al 1986 stipulent qu quelques exceptions pr s un programme de participation publique r ussie int gre plusieurs techniques On retrouve alors v La publicit Les techniques de publicit sont con ues pour persuader et faciliter le soutien du public mais d une mani re passive vY L ducation publique les programmes d ducation du public pr sentent de l information relativement compl te et quilibr e afin que les parties prenantes puissent tirer leurs propres conclusions vy La participation du p
165. endiqu par plusieurs disciplines Etant moins soumise une tutelle centralisatrice elle peut aujourd hui prendre son avenir en mains l re est alors bien engag e du management urbain dans 194 Puisque les villes les lequel le marketing constitue une dimension essentielle d partements les r gions les nations entrent en concurrence pour attirer touristes usines si ges d entreprises et nouveaux r sidents le marketing appara t comme la nouvelle arme des villes pour assurer leur survie dans un grand march concurrentiel et parfois m me mondial et garantir de meilleures conditions de vie leurs habitants puisque KOTLER assure que la plus satisfaisante des pratiques marketing consiste apporter plus de sant et 16 Des d ducation aux gens et de cr er une r elle diff rence dans leur qualit de vie sp cialistes comme les experts conomiques en d veloppement les agents immobiliers les banques les associations locales les agences de publicit et de relations publiques mn x lt 197 s int ressent alors cette nouvelle re du marketing Le pr sent chapitre tente de d finir la notion de marketing de la ville son r le dans l implication des parties prenantes de la ville et notamment la communication et l image de marque de la ville 194 NOISETTE P VALLERUGO F 1996 Op cit p6 KOTLER P et al 2006 Marketing management 12 me dition Editions Pearson Educat
166. ent 64 9 23 6 11 1 La disponibilit des informations n cessaires sur le sujet d battre 63 9 15 4 20 7 Il est possible d y participer via internet 61 0 22 8 16 2 Le bon accueil et les orientations de la part des organismes publics 54 0 32 7 13 3 Ma participation favorise la formulation de recommandations 57 2 29 3 23 5 Plus ma ville est d velopp e plus je suis motiv de participer ce 89 3 4 0 6 7 d veloppement 14 Qu est ce qui vous emp cherez de participer aux questions relatives Oui Non Sans Avis votre ville Le sentiment d impuissance que ma participation ne changera rien 58 1 33 9 7 9 Le sentiment que je n en connais pas assez sur le sujet 35 5 52 2 12 3 Le manque d int r t pour le sujet 36 0 57 3 6 7 Le manque de temps 55 5 38 4 6 1 Le manque de confiance pour l organisateur de la consultation 70 2 20 6 9 2 c est un leurre les d cisions sont d j prises 66 5 17 6 15 9 15 Quelle importance accordez vous aux Tr s Plut t Peu Pas du Sans facteurs suivants pour que la participation des Important Important Important tout Avis citoyens s am liore important Avoir un meilleur acc s l information 78 9 16 7 2 2 0 0 2 2 Obliger les organismes qui consultent rendre 59 1 30 0 6 1 0 0 4 8 des comptes aux participants sur le r sultat de la consultation et sur l impact r el de la consul
167. ent des pratiques dans la ville surtout au niveau conomique CASTELLS amp Hall 1994 CASTELLS 1991 1996 Mais comme ces outils sont devenus la port e de tout le monde les villes doivent se m fier des informations mises par d autres parties le bouche oreille les blogs les t l visions et les radios priv es qui peuvent tre cr dibles et tr s marquantes aupr s de leurs cibles 3Y La ville de Philadelphie aux Etats Unis utilise des ralentisseurs 3D pour inciter les conducteurs respecter la limitation de vitesse Une autre avait pos devant les coles des silhouettes d enfants en carton de grandeur naturelle dans la rue Les photos taient tellement r alistes qu premi re vue on croyait voir de vrais enfants Source Street marketing Des actions cr atives Enfants en carton et ralentisseurs en 3D 2008 http www culture buzz fr blog Street marketing des actions creatives 2479 html 318 Cit dans RAINISTO S K 2003 op cit Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville de Tlemcen Introduction du chapitre I Implication du citoyen dans les villes alg riennes et en particulier la ville de Tlemcen II L tude par questionnaire aupr s d un chantillon des habitants de la ville de Tlemcen Conclusions et limites de l tude 141 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la
168. er le programme de participation en cons quence I Identification et analyse des parties prenantes de la ville Le d fi constant d une implication efficace est d identifier et d obtenir la contribution d un large chantillon de la communaut Dans la pratique il se peut qu une personne appartienne simultan ment plusieurs groupes de parties prenantes ou qu elle change de groupe au fil du temps Il se peut donc qu il soit n cessaire de revenir r guli rement sur l identification des parties prenantes pour r viser les r sultats La conception et la gestion de la ville sont le fait des lus et des autorit s qui apportent leur engagement politique et celui des techniciens qui apportent leurs comp tences techniques Mais la ville ne peut se construire qu avec ceux qui la vivent les habitants et autres usagers 52 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes non r sidents mais aussi l ensemble des acteurs qui font la ville entreprises associations collectifs informels etc I 1 Identification des parties prenantes de la ville Il convient de pr ciser que la liste des parties prenantes peut tre tr s longue et diversifi e suivant la nature et l envergure de la question abord e mais aussi l angle choisi La complexit du ph nom ne urbain due essentiellement l volution rapide des comportements et des dynamiques diff rentes du rythme de l volution des politiques o
169. ernance ECLM p 34 12 HUYGHE F B 2012 Qu est ce que la soci t civile URL http www huyghe fr actu 369 htm consult le 14 02 2014 130CVETEK N DAIBER F 2009 traduit en Fran ais par RABARY ANDRIAMANDAY V Qu est ce que la soci t civile KMF CNOE Friedrich Ebert Stiftung FES URL http library fes de pdf files bueros madagaskar 06890 pdf Consult le 14 02 2014 65 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes La fonction de protection La soci t civile a le devoir de procurer la libert aux citoyens et les prot ger de l arbitraire tatique La fonction de contr le Appel e aussi la s curisation de la libert par la n gative Elle est tr s d pendante de la fonction de protection puisqu il s agit de l observation et du contr le du pouvoir politique La fonction de participation Il s agit ici de la socialisation d mocratique et participative des citoyens La fonction d all gement de l Etat Dans plusieurs domaines la soci t civile contribue all ger dans le sens strict du terme l Etat le gouvernement et le monde politique La fonction d articulation La soci t civile peut contribuer ouvrir des voies efficaces de production de rassemblement et d articulation de valeurs communautaires et d int r ts sociaux en dehors des partis politiques et des parlements La fonction de d mocratisation Il s agit ici de la contributi
170. es H1 plusieurs notions contribuent la d finition de la participation telle que per ue par le citoyen tlemcenien Pour y traiter de cette hypoth se nous posons diff rentes questions sur la signification de la participation ses domaines ses niveaux et ses buts en utilisant diff rents types de questions voir d tails des questions dans la partie traitement H2 la participation est conditionn e par certains facteurs La litt rature est assez riche dans ce sens Parmi les d terminants les plus voqu s nous retenons l attachement la ville les efforts d ploy es par la ville les facteurs personnels li s au citoyen videmment les facteurs individuels sont indispensables pour tablir le profil 154 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen H3 les facteurs motivants d une participation pourraient constituer la base d une d marche marketing Cette hypoth se est intiment li e la pr c dente En effet nous supposons que la participation citoyenne repose essentiellement sur des variables marketing Les questions seront d taill es plus loin Ce questionnaire est compos de questions ouvertes et d autres ferm es Chaque type rempli une fonction et nous permet de tirer un certain type d information Alterner les protocoles de questionnement au sein d un m me questionnaire permet de valider les r sultats de varier le rythm
171. es chaque secteur conomique agences sp cialis es ONG Figure 6 Typologie des parties prenantes selon IGALENS et POINT 2009 Parties prenantes soci tales nantes conomiques Parties pre Parties prenantes organisationnelles Source IGALENS J POINT S 2009 op cit p45 Une telle pr sentation permet de prendre en compte les chevauchements l int rieur d une cat gorie mais se pr te moins facilement aux r les multiples qu on rencontre Toutefois cette r alit n est pas de nature remettre en cause la pertinence de ce d coupage 2lEn tenant compte des sp cificit s de chaque organisation IGALENS J POINT S 2009 op cit pp 43 45 18 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain L identification des parties prenantes n est que la premi re tape qui doit tre imp rativement suivie par une analyse L analyse des parties prenantes permet de comprendre comment celles ci agissent sur les entreprises travers leur influence sur le processus de d cision Il s agit d une d marche permettant dans une situation donn e d identifier les principales parties prenantes impliqu es d valuer leurs int r ts respectifs et de d gager les enjeux qui y sont attach s Tandis que FREEMAN propose d aborder le management des parties prenantes en trois niveaux l identification des parties prenantes ainsi que leurs attentes la f
172. es Elle est port e par eux Il en est de m me pour son image Ce qui fait l image positive ou n gative nette ou trouble c est avant tout la 7 DURAND TORNARE F 2006 Le directeur de la communication territoriale au c ur de la soci t de l information locale http blog communication publique fr archive 2006 05 19 b contributions des partenaires c florence durand tornare html consult le 13 02 2013 FROCHOTI LEGOHEREL P 2007 op cit p207 125 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes mani re dont on parle de la ville NOISETTE et VALLERUGO 1996 Dans un document diffus par la ville de Bruxelles l auteur assure que l image a besoin de porte parole enthousiastes et chauvins taximen gar ons de caf ma tres d h tels culturels professionnels du tourisme sont tous qu ils le veuillent ou non consid r s par les visiteurs comme des Ambassadeurs de leur ville et 1 sourire vaut mieux que 2 ristournes promotionnelles En l informant sur les diff rents projets de la ville en prenant son avis on invite le citoyen adh rer la r alit territoriale et prendre conscience des enjeux de toute sorte sociaux culturels et conomiques II peut alors se d gager chez tout administr un sentiment de fiert ou tout au moins d empathie envers cette commune ce d partement cette r gion o il a lu domicile Le c
173. es Nous proposons une s lection des d finitions les plus r pandues Pour OAKLEY 1991 la participation se d finit la fois comme un acte et comme un terme g n rique pour un soi disant nouveau style de recherche et d intervention de d veloppement Elle peut galement tre consid r e comme un point final d sir et li au degr d implication dans le processus de la prise de d cision et qui reste un concept d une importance consid rable dans le d bat actuel sur la gouvernance Aussi OAKLEY et MARSDEN 1984 d crivent un continuum de la participation qui s tend de collaboration l empowerment Dans un contexte de d veloppement communautaire la participation peut tre d finie comme l implication d un large ventail de parties prenantes dans un processus de d veloppement communautaire en cours de l identification des zones probl mes l laboration l ex cution et la gestion de la planification strat gique SCHAFFT et GREENWOOD 2003 FBRABINOVICH A NAVEZ BOUCHANINE F 2005 Projet urbain entre innovation et tradition dans l action urbaine http www unil ch webdav site ouvdd shared Colloque 202005 Communications C 29 20Mise 20en 20oeuvre C4 A 20Rabinovich pdf consult le 11 03 2013 FAO New approaches to participation in fisheries research URL http www fao org docrep 007 y1127e y1127e04 htm consult le27 07 2013 VIEL L et al 2012 L influence des parties prenantes dan
174. es sanitaires publics les quipements d clairage public les mat riels d information et de communication plaques de rues affichage d informations municipales ou culturelles tables d orientation les jeux pour enfants les objets utiles la circulation des v hicules ou la limitation de celle ci potelets barri res bornes feux tricolores les grilles tuteurs et corsets d arbres les abris destin s aux usagers des transports en commun La ville peut jouer sur n importe quel quipement pour attirer l attention ou v hiculer une d marche Ainsi La ville d Helsinki a install des poubelles polies qui diront merci avec des voix de personnalit s finlandaises quand on s en sert Une initiative d j mise en uvre par Berlin D Les TIC Les nouvelles technologies sont susceptibles d apporter des solutions l inclusion de tous dans le d bat public ce qui permet de favoriser la coop ration de la soci t civile essentiellement avec l av nement de l empowerment la transparence des d cisions publiques et le partenariat KLECK 2006 Le sch ma suivant r sume les conclusions du rapport de pr sentation d une initiative internationale sur l insertion des TIC dans la d mocratie locale E agora 2006 Finlande des poubelles qui disent merci 2008 http www linternaute com actualite depeche afp 27 548682 finlande des poubelles qui disent merci sht mi consult le 17 02 2013 131 Chap
175. es aux lois r glementations entit s inter organisationnelles organisations professionnelles propres une industrie les parties prenantes conomiques les acteurs DAMAK AYADI S PESQUEUX Y 2003 La th orie des parties prenantes en perspective gt gt Atelier de FAIMS D veloppement durable Angers 15 mai 17 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain op rant sur les march s de l entreprise concern e les parties prenantes thiques qui manent des organismes de pression thique et politique plus difficiles figurer IGALENS et POINT 2009 retiennent une logique de pr sentation plut t p dagogique qui conviendrait aussi bien aux entreprises priv es ou publics qu aux autres formes d organisations Cette logique repose sur trois types Les parties prenantes organisationnelles il s agit des actionnaires des dirigeants et des employ s qui ont un lien en commun les premiers apportent aux deux autres des capitaux mis au service d un projet d un int r t commun Les parties prenantes conomiques il s agit par exemple des clients des sous traitants des fournisseurs des banquiers qui sont consid r es comme indispensables la p rennit de l entreprise Les parties prenantes soci tales certaines sont communes toutes les entreprises Etat Collectivit s locales tandis que d autres sont particuli r
176. es prenantes au milieu urbain o la participation des entreprises et de la soci t civile est de plus en plus la norme le terme de gouvernance d finit mieux les processus par lesquels les citoyens r glent collectivement leurs probl mes et r pondent aux besoins de la soci t en faisant appel au concours de l administration publique La gouvernance urbaine auparavant synonyme de gestion urbaine est consid r e aujourd hui comme joignant la responsabilit redditionnelle des instances gouvernementales et l engagement civique Elle fait g n ralement r f rence aux processus par lesquels les administrations urbaines locales en partenariat avec d autres organismes publics et diff rents segments de la soci t civile r pondent aux besoins sociaux de mani re efficace participative et transparente et sont tenues responsables de leurs actions Fonds des Nations Unies pour la Population 2007 Pour le PNUD 1997 elle comprend les m canismes complexes les processus et les institutions au travers desquels les citoyens individuellement ou en association et les personnes morales g rent leurs int r ts exercent leurs droits et obligations et n gocient leurs d saccords Sa responsabilit incombe non seulement l tat mais galement au secteur priv et la soci t civile Elle d signe aussi l ensemble des rapports de pouvoir des processus de mobilisation et de coordination d
177. et 90 nous avons alors pos la question de la n cessit pour la ville de Tlemcen d avoir un site web propre elle et 97 8 estimaient que c tait important afin de remplir les missions suivantes 171 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Figure 26 R le d un site web pour la ville de Tlemcen INFORMER SUR INFORMER SUR RECLAMATIONS AVIS CITOYENS INFORMER SUR SENSIBILISER LES PROJETS TOURISME ECONOMIE Donc un site web de la ville serait le bienvenu pour tout type d information ce qui dit bien la soif du citoyen tlemcenien en mati re d informations concernant sa ville Le probl me de communication n est pas vraiment sp cifique la ville de Tlemcen car il repr sente le handicap majeur de toutes les villes alg riennes GUERBOUB 2013 fait ressortir d une tude sur la contribution du marketing territorial au d veloppement local en Alg rie qu il existe un manque de communication publique qui affecte l image de marque des deux communes tudi es Bejaia et El Kseur Pour elle le manque de communication constat sur le terrain explique le manque d implication des acteurs dans les projets de d veloppement local et dans la promotion du territoire ce qui contribue asseoir un climat d favorable pour l mergence des projets de d veloppement Pour proposer la d marche marketing pour la ville de Tlemcen nous reprenons cer
178. et DOOLEY 1997 Identification et POOLE et COLBY 2002 SCHAFFT et analyse des parties GREENWOOD 2003 SILVERMAN prenantes de la ville 2005 p ee La communication POULOUDI et Chapitre II Identification Implication des MATE 2997 ILOOSEMORE 2006 et implication des parties parties prenantes de BOURNE et WALKER 2006 ROWLINSON prenantes de la ville la ville et CHEUNG 2008 l attachement la _ _ _ ville GERSON STUEVE et FISHER i d t n ts d 1977 BROWN et PERKINS 1992 la es e erminan SSe satisfaction du citoyen INSCH et implication citoyenne FLOREK 2010 les questions socio politiques AITKEN et MICHEL 1995 MILLER 1995 Van de TOORN et De MAN 2000 BERRY 2001 WEINER HARRIS et al 2002 De MAN 2003 la culture HOFSTEDE 1980 et 1997 les TIC RODOTA 1999 KLECK 2006 VODOZ 2001 MONIERE 2002 LEVY 2002 COLEMAN 2005 LE BOT 2008 les facteurs individuels BAKER et al 2005 sont pr sent s comme des facteurs d terminants de la Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville de Tlemcen ra N Le marketing de la ville J TN Communication et image de marque de la ville a N Supports et modes de communication de la ville Gouvernance et implication du c
179. et d mocratique local La gouvernance urbaine est alors consid r e comme un moteur interne du d veloppement local et un alli du marketing urbain 1 101 NOISETTE P VALLERUGO F 2010 Un monde de villes Le marketing des territoires durables Editions de l Aube p71 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes de la ville Introduction du chapitre I Identification et analyse des parties prenantes de la ville II Implication des parties prenantes de la ville III Les d terminants de l implication citoyenne Conclusion du chapitre 49 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Introduction du chapitre La notion de parties prenantes a fait l objet de d veloppements significatifs depuis plusieurs ann es Il faut dire que cette notion offre une meilleure vision de l environnement de l organisation et permet une analyse plus riche que la plupart des th ories des organisations et des approches de la strat gie La capacit de cette th orie s appliquer au milieu urbain tant pr c demment prouv e nous adoptons cette approche dans le pr sent chapitre pour mieux comprendre la relation d une ville avec ses principaux acteurs mais aussi les b n ficiaires de ses services En effet de nombreux probl mes dans la gestion des parties prenantes rel vent de l engagement insuffisant de leur part des objectifs flous de la part des gestionnaires de projets de l
180. et offre la possibilit d effectuer certaines proc dures en ligne tel que les actes de l tat civil extrait de naissance extrait de mariage extrait de d c s 176 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen les r seaux caritatifs Cet engagement prend de plus en plus la forme d actions ponctuelles pour soutenir une cause ou d noncer une injustice Il insiste aussi sur la vague des r seaux sociaux qui mobilise des milliers d adh rents virtuels dont la mobilisation se concr tise rarement sur le terrain Ces militants du clavier comme ils les appellent peinent en effet mutualiser leurs nergies et faire front autour de causes communes Donc faire preuve de partage et d coute envers les citoyens d un grand sens de communication et de professionnalisme restent entre autre les cl s de la r ussite d une d marche marketing de la ville de Tlemcen Cet esprit marketing influen ant fortement l attitude des citoyens envers la participation aux affaires de leur ville contribuerait au d veloppement de celle ci et son rayonnement national et pourquoi pas international Figure 27 R capitulatif de l tude empirique H1 plusieurs notions contribuent la d finition de la participation telle que per ue par le citoyen tlemcennien CONFIRM E la participation citoyenne selon les questionn s niveau d influenc
181. eurs poids la course aux r sultats l instabilit des march s et la pr sence des scandales financiers cologiques ou les progr s de la technologie des communications sont autant de facteurs qui participent aux nouvelles r flexions d velopp es sur une nouvelle gouvernance L id e est d am liorer la relation de l entreprise avec les diff rentes parties et gagner en l gitimit et en notori t La gouvernance s int resse ainsi aux relations que l organisation entretient avec ses nombreux partenaires stakeholders pour lui permettre d atteindre ses objectifs Cependant plusieurs chercheurs pensent que m me si le concept de parties prenantes s est compl tement int gr dans le vocabulaire acad mique ses fondements th oriques sont rest s un stade de d veloppement embryonnaire DONALDSON et PRESTON 1995 JONES et WICKS 1999 En effet la diversit des approches th oriques pousse identifier des th ories des parties prenantes et porter un regard critique sur leurs limites conceptuellest mais en m me temps s ouvrir de nouvelles disciplines Le pr sent chapitre pr sente la gen se de la th orie des parties prenantes de ses principes mais aussi de la possibilit de son application d autres domaines tels que le milieu urbain TIGALENS J POINT S 2009 Vers une nouvelle gouvernance des entreprises L entreprise face ces parties prenantes Dunod Paris p 8 MERCIER S
182. fication et implication des parties prenantes D autres visions permettent d approcher de nouvelles dimensions propos es en particulier par PRETTY 1995 et reprises avec certaines modifications par BEURET 2011 dans son tude de la participation du public la conservation de la nature dans des r serves de biosph re C Typologie bas e sur une approche th orique D autres typologies mettent l accent sur les fondements th oriques en distinguant essentiellement entre la participation qui est normative et ou pragmatique Une participation normative se concentre sur le processus ce qui sugg re que les gens ont le droit d mocratique de participer la prise de d cisions Tandis que l approche pragmatique est plut t ax e sur la participation comme un moyen pour une fin ce qui peut fournir des d cisions de qualit sup rieure Le contraste entre ces deux types de participation a t ps conceptualis de diff rentes fa ons Par exemple la th orie de l action communicative propos e par HABERMASS 1987 sugg re que la participation devrait tre juste repr sentant l ensemble des parties prenantes concern es et galisant le pouvoir entre les participants en plus d tre comp tente r sultant de revendications r gl es RENNETAL 1995 WEBLER 1995 WEBLER et TULER 2000 Cette distinction a galement t conceptualis comme la n cessit de l acceptation par le public contre la qualit de la d c
183. g ographie alpine Journal of Alpine Research En ligne n 98 mis en ligne le 13 avril URL http rga revues org 1128 quotation consult le 02 ao t 2013 HERNANDEZ Solange KERAMIDAS Olivier 2006 Strat gies territoriales pour ville durable Gestion 2000 n 1 pp 133 148 HOF Melanie 2012 Questionnaire Evaluation with Factor Analysis and Cronbach s Alpha An Example URL http www let rug nl nerbonne teach rema stats meth seminar student papers MHof QuestionnaireEvaluation 2012 Cronbach FactAnalysis pdf consult le 24 mars 2014 HOULLIER GUIBERT Charles Edouard 2005 Quand la communication territoriale s empare du d veloppement durable L exemple de Rennes http www unil ch webdav site ouvdd shared Colloque 202005 Communications B 29 20G ouvernance B5 C E 20Houllier Guibert pdf consult le 09 03 2013 HURARD Marie 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Working paper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working_paper_ _participation_citoyenne_26 08 11 pdf consult le 20 10 2013 HUYBRECHTS Benjamin 2010 Economie solidaire Parties prenantes Centre d Economie Sociale d HEC Ecole de Gestion de l Universit de Li ge http www ces ulg ac be fr__FR services cles dictionnaire o p q r parties prenantes stakeholders consult le 06 06 2013 HUYGHE Fran ois Bernard 2012 Qu est ce que la soci t civie URL
184. g de la ville dans l implication de ses parties prenantes d veloppement conomique touristique social urbain culturel ou sportif qui soit de nature renforcer ou forger une identit propre Il sera r ussi quand les travailleurs et les r sidents sont satisfaits de leurs conditions de vie et quand les touristes les nouveaux commerces et les nouveaux investisseurs trouvent leurs attentes KOTLER et al 1999 Le marketing des collectivit s locales ou des villes est souvent confondu par les journalistes ou les acteurs eux m mes avec le marketing politique Selon Georges BENKO cette confusion m me si elle provoque des r actions n gatives n est pas anormal puisque le marketing territorial a fait son apparition dans le but de promouvoir une collectivit locale dont l ex cutif le maire le pr sident est effectivement lu par les administr s du territoire concern Une confusion accentu e par l usage du marketing territorial de la part des hommes politiques qui s en servent pour faire leur propre promotion et assurer leur r lection travers des actions de communication qui valorisent leurs r alisations au lieu de promouvoir la ville Mais depuis les ann es 1990 la communication et le marketing territorial sont devenus plus professionnels et une r elle distinction s est tablie Cependant un constat sur une contradiction entre deux types de marketing Un marketing destination des d cideu
185. garder l information le contact avec les citoyens les informer et recueillir leurs avis Plus ma ville est d velopp e plus je suis motiv de participer ce d veloppement Obliger les organismes qui consultent rendre des comptes aux participants sur le r sultat de la consultation et sur l impact r el de la consultation sur la d cision qui est prise Le sentiment que ma participation aura un impact Aptitude disponibilit et 7 84 Ma participation favorise la formulation de recommandations impact de la participation aptes prendre part aux d cisions de votre ville Le manque de temps La disponibilit des informations n cessaires sur le sujet Accueil et information 6 36 d battre Le sentiment que je n en connais pas assez sur le sujet Le bon accueil et les orientations de la part des organismes publics Le sujet m interpelle particuli rement Les associations cherchent plus l int r t de leurs adh rents Vocation des partis et des 5 25 que celui de la soci t en g n ral associations Les partis politiques cherchent plus l int r t de leurs adh rents que celui de la soci t en g n ral Les lus municipaux n ont pas toujours la libert de prendre Qualification et pr rogatives 4 64 des d cisions ou desinitiatives concernant leur commune des lus Les lus municipaux ne sont pas toujours qualifi s pour g rer les pr occupations des citoyens Le manque de confiance pour l organisateur de la consultation Manque de conf
186. gique et r alisation d un observatoire urbain Th se de doctorat en sciences et ing nierie de l environnement Lausanne EPFL URL http infoscience epfl ch record 33378 files EPFL TH2903 pdf consult le 20 08 2013 116 RICARD Brigitte GARON Rosaire 2005 Les quipements culturels et la pratique culturelle dans la ville Qu b coise Le d veloppement culturel dans les villes lier la recherche la planification et la pratique Loisir et Soci t vol 27 no2 pp 327 354 117 RIEL SALVATORE Gabriel 2006 Gouvernance locale et d mocratie participative le projet de r am nagement Benny Farm Montr al Universit du Qu bec Montr al URL http www archipel uqgam ca 3282 1 M9528 pdf consult le 07 12 2013 118 Plan Commission Handbook 2012 Center for Land Use Education University of Wisconsin Stevens Point URL http www uwsp edu cnr ap clue Documents PlanCommissions PCHandbook pdf consult le 12 08 2013 119 ROBERTSON Peter J TAEHYON Choi 2009 Self organization and Responsiveness A Simulation of Collaborative Governance 10th National Public Management Research Conference URL http www2 ku edu pmranet conferences OSU2009 papers Robertson 20Peter 20J 20and 20Choi 2 Taehyon 20 20Self organization 20and 20Responsiveness 20 20A 20Simulation 200f 20Collaborative 20Governance pdf consult le 11 02 2014 120 ROBIC Marie Claire 2003 La ville objet ou probl me Soci t s contemporaines
187. he discriminating features of place attachment sense of community and place dependence in relation to place identity Journal of Environmental Psychology 23 3 pp 273 287 185 SAULNIER N ZANIN C 2003 Le bruit comme facteur de nuisance la qualit de la vie du citadin G ocarrefour Vol 78 2 pp 121 128 95 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes installations de loisirs des quipements publics et des v nements WILLIAMS et al 2008 186 Enfin les appartenances d un individu sont multiples familiales professionnelles culturelles ventuellement communautaires religieuses etc mais aussi spatiales chaque individu est attach un ensemble de lieux son lieu de naissance les lieux d origine de sa famille les lieux dans lesquels il a v cu successivement les lieux qu il fr quente ou qu il a fr quent s les lieux de vie de ses proches mais aussi des lieux plus imaginaires ou projet s comme les lieux de vie souhait s ou de projet ventuels Tous ces lieux constituent le patrimoine identitaire g ographique de chacun susceptible selon les individus et les moments de la vie d tre mobilis 111 2 Autres facteurs Certains chercheurs proposent la satisfaction du citoyen par rapport aux services de leur ville Ainsi INSCH et FLOREK 2010 mentionnent diff rents facteurs qui pourraient tre importants afin de faire des r sidents satisfaits Travail culture commer
188. http www huyghe fr actu_369 htm consult le 14 02 2014 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 ICHEBOUDENE Larbi 2009 R flexion sur la gouvernance urbaine Alger Pr rogatives institutionnelles et monopoles politiques Insaniyat 45 44 pp 97 113 IGALENS Jacques POINT S bastien 2009 Vers une nouvelle gouvernance des entreprises l entreprise face ces parties prenantes Dunod Paris INSCH Andrea FLOREK Magdalena 2008 A great place to live work and play Conceptualising place satisfaction in the case of a city s residents Journal of Place Management and Development 1 2 138 149 IRDP 2010 La participation citoyenne un des enjeux de la d mocratie au Rwanda URL http www interpeace org publications rwanda 129 1 file consult le 06 03 2013 ISIAT 2010 Gouvernance et dimensions de la participation citoyenne dans les coQuartiers URL http www franche comte developpement durable gouv fr IMG pdf Gouvernance_et_dimensions_de_la_participation_citoyenne_dans_les _EcoQuartiers_cle2d5ac7 pdf consult le 20 02 2013 JACCOUD Christophe SCHULER Martin BASSAND Michel 1996 Raisons et d raisons de la ville Approches du champ urbain Presses Polytechniques et Universitaires Romandes JACQUART Sandrine 2012 La mobilisation des parties prenantes dans les d marches d agenda 21 local Strat gie pour la ville de Macon http www usherbrooke ca envir
189. iance et de 4 11 c est un leurre les d cisions sont d j prises transparence de la part des Avez vous suffisamment d informations sur le d veloppement autorit s locales de votre ville La majorit des citoyens ont confiance en leurs lus Confiance dans les lus et dans 3 82 En Alg rie il y a suffisamment de textes r glementaires qui la r glementation prot gent le citoyen et qui lui garantissent ses droits Il est possible d y participer via internet Int r t pour le sujet et 3 64 Le manque d int r t pour le sujet possibilit de participer via internet Avez vous ressenti une am lioration dans les services publics Am lioration des services de la 3 59 durant l an dernier ville 166 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Nous remarquons alors que les facteurs conditionnant la participation des citoyens tlemceniens dans les affaires de leur ville avec un KMO 0 631 et un alpha 0 649 tournent autour de Facteurs li s au citoyen l attachement la ville le sentiment d aptitude et la disponibilit du citoyen et l impact de ses d cisions Facteurs li s la ville le d veloppement et l am lioration de l acc s l information l accueil et l information garantis par la ville le manque de confiance et de transparence de la part des autorit s locales l am lioration des services de la ville Facteurs li s aux
190. iation ommunicatior ISIAT 2010 Gouvernance et dimensions de la participation citoyenne dans les coQuartiers URL http www franche comte developpement durable gouv fr IMG pdf Gouvernance et dimensions de la participation citoyenne dans les Ec oQuartiers cle2d5ac7 pdf consult le 20 02 2013 Toutefois la volont ou les dispositifs de participation ne sont pas toujours au rendez vous ce qui peut produire des r actions n gatifs concernant un projet ou un dispositif En effet des aspirations des craintes des oppositions multiples peuvent merger de diff rentes sph res de la soci t civile organis es ou non riverains associations etc et tre exprim s gr ce aux nouveaux moyens de communication notamment Internet en donnant cette expression une force qu elle n avait pas avant Plusieurs exemples nous permettent de constater que certains projets ont provoqu des controverses majeures en conduisant des mobilisations citoyennes largies qui visaient soit la modification de certains aspects du projet emplacement envergure etc soit le retrait complet du projet 75 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Nous proposons dans ce qui suit un nombre d exemples qui nous permet de relever les cons quences d une absence ou d un manque d implication dans certains projets urbains 15 L exemple de Barcelone en Espagne A Barcelone les vastes op rations architecturales
191. iations 2 6 Pour ceux affili s des associations les domaines pr f r s restent la culture 3 le sport 2 6 l environnement 2 2 la sant 2 2 le culte 1 3 356 montre que seulement 16 1 des jeunes Ainsi une tude r alis e par l association RAJ interrog s ont d clar avoir particip une activit politique ou associative en 2010 4 7 uniquement ont adh r une association 1 7 un parti politique et peine 1 5 ont milit dans un syndicat Ce qui a permis au RAJ d en d duire 50 ans apr s l ind pendance 6 Rassemblement Actions Jeunesse RAJ est une association alg rienne de jeunes dont le but est la sensibilisation et la mobilisation des jeunes gar ons et filles et le travail la promotion de toutes activit s sociales culturelles citoyennes et le respect des droits de la personne humaine 162 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen la jeunesse alg rienne croit peu la politique et aux institutions de l Etat Un climat de non confiance s est install entre le gouvern et le gouvernant nu 357 A partir des r sultats pr c dents montrant que l ge influence les buts vis s par la participation et l engagement exprim nous faisons ressortir les analyses crois es suivantes Am liorer la prestation de services aux citoyens Age Crosstabulation
192. ication et implication des parties prenantes Tableau 8 Typologie des diff rentes approches de participation selon REED 2008 Bases de la typologie Exemple Typologie bas e sur les diff rents degr s de la L chelle de participation d Arnstein 1969 participation De nombreux termes alternatifs sont parfois pr sent e comme une roue propos s pour les diff rents niveaux de l chelle participation DAVIDSON 1998 par exemple Biggs 1989 Jolie 1995a b Farrington 1998 Goetz et Gaventa 2001 Lawrence 2006 de Typologie fond e sur la nature de la participation ROWE et FREWER 2000 selon le sens du flux de la communication Typologie bas e sur une approche th orique qui THOMAS 1993 BEIERLE 2002 distingue essentiellement la participation normative de celle pragmatique Typologie bas e sur les objectifs souhait s de la OKALI et al 1994 MICHENER 1998 WARNER participation 1997 LYNAM et al 2007 TIPPETT et al 2007 Source REED M 2008 Stakeholder participation for environmental management A literature review Biological conservation 9 August available at www sciencedirect com A Typologie bas e sur les diff rents degr s de la participation Depuis la fin des ann es 1960 et la remise en cause de l urbanisme fonctionnel des approches recommandant une meilleure prise en compte de la participation publique dans la production de la ville ont vu le jour AR
193. ide et sa patience A la prunelle de mes yeux mon fils Mohamed Yasser A mes fr res Salim et Fadl Allah pour leur soutien constant pour leur pr sence dans les bons et moins bons moments et pour leur affection A tous les membres de ma famille qui ont toujours cru en moi A tous mes ami e s A tous ceux et toutes celles qui ont contribu de pr s ou de loin ma r ussite Esma BELKAID Sommaire Introduction g n rale Chapitre I L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Introduction du chapitre I La th orie des parties prenantes ll L approche des parties prenantes adapt e au milieu urbain Il La gouvernance urbaine Conclusion du chapitre Chapitre II Identification et implication des parties prenantes de la ville Introduction du chapitre I Identification et analyse des parties prenantes de la ville Il Implication des parties prenantes de la ville Ill Les d terminants de l implication citoyenne Conclusion du chapitre Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Introduction du chapitre l Le marketing de la ville Il Communication et image de marque de la ville Il Les supports et les modes de communication de la ville Conclusion du Chapitre Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville de Tlemcen Introduction du chapitre l Gouvernance et implication citoyen dans les villes alg
194. idien l identification des potentialit s et des carences des cadres de vie Afin de la cerner deux approches ont t d velopp es une approche subjective qui s attache l analyse du bien tre une approche objective qui analyse les conditions de vie Figure 20 Les deux approches de la qualit de vie Qualit de vie Approche objective Approche subjective Sph re de la vie mat rielle Sph re de la vie personnelle Qualit s de Repr sentatons lenvronnemeet Carsect nstques spr at opemions des habitants Satistaction et bien tre et des condibons de ces qualit s de vie Analyses quantitatives Analyses qualitatives y vaiuation si es M Idemtiticaton Li des syst mes tude des conditions des condhisas de valeurs et des niveaux n cessaires d ea en sa tude de satistacton la qualit de vie spatiales des pr f rences et de bien tre subjectives Source SAULNIER N ZANIN C 2003 op cit Des recherches ant rieures ont indiqu une s rie de facteurs pour valuer la qualit de la vie urbaine FERNANDEZ BALLESTEROS 2001 Ces indices tentent de capturer les n cessit s pour vivre travailler et s amuser dans les villes que la plupart des gens partagent le logement abordable le transport la sant l ducation et la formation des loisirs et des 184 PRETTY G H et al 2003 Sense of place amongst adolescents and adults in two rural Australian towns T
195. igure 14 Grille d analyse Int r t Impact des parties prenantes 59 Figure 15 Les raisons pour impliquer inserer 72 Figure 16 Les finalit s de la participation 74 Figure 17 l chelle de la participation citoyenne d ARNSTEIN 1969 79 Figure 18 Les trois types de l implication du public sssssssnssssssnssnessssssenennnssssesrrennnssssesereennssssreeneenn 83 Figure 19 Niveaux de participation adapt de VODOZ et REY 2001 87 Figure 20 Les deux approches de la qualit de vie 94 Figure 21 Les d terminants de la strat gie de la ville 107 Figure 22 Les niveaux du marketing des endroits KOTLER et al 2002 ssnnnnnsnnnnsnnenssennnssreesee 108 Figure 23 Diff rentes adaptations du mod le des 4P aux villes ssosnnnsnnsnssssnsenensnssssrserrnsnssssrsee 109 Figure 24 R le des TIC dans la d mocratie publique nnsnnnnsennnnsnnnnssennnssennnssennnssernnssennnssernnsseennssee 131 Figure 25 Les sources d informations sur la ville 170 Figure 26 R le d un site web pour la ville de Tlemcen 171 Figure 27 R capitulatif de l tude empirique 176 Tableau 1 Tableau 2 Tableau 3 Tableau 4 Tableau 5 Tableau 6 Tableau 7 Tableau 8 Tableau 9 Tableau 10 Tableau 11 Tableau 12 Tableau 13 Tableau 14 Liste des tableaux Les diff rentes d finitions des parties prenantes ssssenssennssesensseennssenenssernnsserensseennse 11 Classification
196. incipes suivants pour une bonne gouvernance des collectivit s publiques la transparence de l information la lisibilit des budgets valuation publique des projets ex ante et ex post la s paration des responsabilit s la limitation du cumul des mandats interdiction pour les fonctionnaires d exercer plusieurs mandats parlementaires de suite sans d missionner de la fonction publique MASSON V M et al 2012 La G ogouvernance un concept novateur Cybergeo European Journal of Geography En ligne Am nagement Urbanisme document 587 URL http cybergeo revues org 25086 consult le 21 f vrier 2014 CARASSUS D 2006 La ville comme lieu de gouvernance XI me Colloque international du GRET Les politiques de la ville entre coh sion sociale et int gration urbaine Avril Rabat URL http iae creg univ pau fr live digitalAssets 98 98213 PC9 LaVilleCommeLieuDeGouvernance pdf consult le 22 10 2013 CANNACY GODETM 2001 La bonne gouvernance L exp rience des entreprises sa valeur pour la sph re publique Futuribles N 265 juin pp 41 50 45 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain le r le des diff rentes parties prenantes notamment reconnaissance des pr rogatives l opposition politique Dans le m me tat d esprit il est possible de comparer les pratiques dans le priv celle dans le public Tableau
197. ing de la ville dans l implication de son citoyen en tant que principale parties prenantes Cas de la ville de Tlemcen Pour y r pondre nous utilisons la m thode qualitative d ductive pour proposer les hypoth ses suivantes H1 plusieurs notions contribuent la d finition de la participation telle que per ue par le citoyen tlemcenien H2 la participation du citoyen tlemcenien est conditionn e par plusieurs facteurs H3 les facteurs motivants de cette participation pourraient constituer la base d une d marche marketing Ces hypoth ses feront l objet d analyses empiriques gr ce la m thode du questionnaire Les diverses contributions qui traitent de participation citoyenne serviront de base notre recherche Elles seront adapt es pour prendre en consid ration le contexte particulier dans lequel elle est men e Enfin c est dans ce cadre que les ventuels apports th oriques de notre recherche s inscrivent et la validation des hypoth ses permettra d affirmer qu une d marche marketing de la ville est le cadre privil gi pour favoriser la participation citoyenne En fait notre int r t pour ce th me est n des recherches men es pr c demment sur le marketing 8 Andersen S E Nielsen A E 2009 op cit Dans ce genre de m thode le chercheur tablit la liste de concepts composant le ph nom ne tudi partir d informations recueillies au travers des r sultats de recherches ant rieures E
198. ion France p9 KOTLER P The Thinkers 50 http www thinkers50 com page biography amp ranking 11 KOTLER P et al 2006 op cit p9 195 196 197 100 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Le marketing de la ville Cette r flexion a t l origine des disciplines comme le management urbain le management territorial ou encore le marketing urbain qui d s les ann es 90 tait pr sent comme un objet scientifique tudiant le renouvellement des formes de production de la ville BOCK HILBER ERGEZ WEHRLI SCHINDLER 2004 NOISETTE VALLERUGO 1996 Le marketing est aujourd hui une discipline passe partout qui s applique tous les domaines ou presque de la vie quotidienne au point o les sp cialistes ne cessent de revoir leurs d finitions pour y int grer de nouvelles dimensions Pour AMA American Association of marketing par exemple la d finition du marketing est pass e d une fonction organisationnelle et un ensemble de processus qui vise cr er communiquer et fournir une valeur aux clients et g rer les relations avec les clients de mani re faire b n ficier l organisation et ses parties prenantes AMA 2004 une activit un ensemble d institutions et de processus pour cr er communiquer fournir et changer les offres qui ont une valeur pour des consommateurs des clients des associ s et la soci t dans son ensemble
199. ionnement d mocratique et reconna tre un nouveau droit aux habitants participer directement l laboration de la d cision La FAO quant elle d finit les raisons suivantes fonctionnelle l empowerment et philosophique d crites et r sum s dans la figure ci dessus Figure 15 Les raisons pour impliquer Fonctionnelle Accro tre l efficience et l efficacit de la recherche et le d veloppement Participation Philosophique Empowering Augmenter la prise de conscience de Permettre l expression de points de vue l ind pendance et de la capacit des groupes marginalis s diff rents du monde et comment s y Source FAO New approaches to participation in fisheriesresearch http www fao org docrep 007 1127e y1127e04 htm consult le 10 12 2013 Ayant expos l importance du citoyen en tant que partie prenante de la ville nous cherchons exposer les avantages d une participation citoyenne En effet les avantages de la participation des diff rentes parties prenantes ont t largement d battue depuis de nombreuses ann es CAHN et CAMPER CAHN 1968 GAMBLE et WEIL 1995 HARDINA 2003 SCHAFFT et GREENWOOD 2003 La participation citoyenne s inscrit dans la recherche d un mod le de d mocratie plus pr s des citoyens et devient un concept central dans les agendas de d veloppement port e internationale notamment dans ceux de la Banque mondiale et du Fonds mon taire international Ceci d
200. iques est necessaire mais insuffisant consult le 02 01 2014 127 SMIDT JENSEN S ren 2006 City branding lessons from medium sized cities in the Baltic Sea Region In Medium sized cities in dialogue around the Baltic Sea ed Danish Centre for Forest Landscape and Planning KVL 128 TJ NAITIEN Rigita NEVERAUSKAS Bronius BALCI NAS Sigitas 2009 Motivation expression of citizen participation in organizations of citizen society The economic conditions of enterprise functioning engineering economics N 1 61 URL http beta orionshoulders com Resources articles 24 18395 R 20Tijunaitene 20 pdf consult le 04 02 2014 129 THIETART Raymond Alain et coll 2003 M thodes de recherche en management 2 me dition Dunod Paris 130 TRANDA PITTION M 2010 Quel potentiel pour les projets urbains de territoire dans les processus de production urbaine Centralit s urbanisme durable et projet Les cahier du d veloppement urbain durable n 11 d cembre 131 TSCHIRHART Mary 2009 Identity Management and the Branding of Cities Campbell Public Affairs Institute Online URL http www pmranet org conferences geor getownpapers Tschirhart pdf consult le 18 01 2012 132 TURKUCU Aysegul 2008 Development of a conceptual framework for the analysis and the classification of Public Participation GIS Universit de Laval URL http theses ulaval ca archimede fichiers 25326 25326 html consult le 09 09 2013
201. iques sur la population de la ville de Tlemcen Tableau 14 R partition de l chantillon par genre et par commune FEMME HOMME EFFECTIF RETENU EFFECTIF RETENU TLEMCEN 27 53 69 28 20 CHETOUANE 10 63 27 11 07 MANSOURAH 11 08 28 11 49 Source DPAT de la Wilaya de Tlemcen Le questionnaire a t administr durant le mois de f vrier 2014 aupr s d un chantillon le plus vari que possible diff rents niveau d instruction et diff rentes occupations Il a t assist dans la plupart du temps sauf pour les questionnaires remplis via Internet environ 349 propri t s URL http hal archives ouvertes fr docs 00 65 55 66 PDF Representativite LGR VC_NP pdf consult le 12 06 2013 350 http ro uow edu au cgi viewcontent cgi article 1240 amp context commpapers consult le 20 03 2014 GERVILLE REACHE L et al 2011 Echantillon repr sentatif d une population finie D finition statistique et WHITE L YANAMANDRAM Venkata K 2006 Exploratory and confirmatory factor analysis of the perceived switching costs model in the business services sector Faculty of Commerce Papers Archive URL 156 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen 20 du total des questionnaires remplis Et une version en langue arabe a t pr vue afin de permettre diff rentes cat gories de la population
202. ir annexe 4 D limitation de la ville de Tlemcen Ainsi la superficie et population de la ville peuvent tre calcul e et pr sent e dans le tableau suivant Superficie km 112 11 Population 260428 Densit hab km 2323 Estimation de la population de la Wilaya de Tlemcen par commune au 31 12 2013 7EHIOUA H 2011 Gouvernance locale focalisation sur la participation citoyenne a la construction des projets locaux Colloque International Interventions sur les tissus existants pour une ville durable du 30 4 au 4 5 2011 ICHEBOUDENE L 2009 R flexion sur la gouvernance urbaine Alger Pr rogatives institutionnelles et monopoles politiques Insaniyat 44 45 pp 97 113 151 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Cette d limitation pause une certaine confusion sur la gestion de la ville En effet la ville telle que pr sent e plus haut n a pas vraiment une existence officielle car sa gestion d pend des d cisions du Wali dans la majorit des cas sinon de chaque commune part quand il s agit d affaires moins importantes Dans cette perspective et avant de proc der l tude par questionnaire nous avons voulu soulever quelques interrogations sur la participation citoyenne dans la ville de Tlemcen Pour ce faire nous avons consult plusieurs responsables de la ville qu ils soient au niveau de la Wilaya ou de l une des
203. is doivent influencer les d cisions de leur mairie Cela pousse consid rer que plus on est instruit plus on devient exigent envers les autorit s locales mais aussi nationales ce qui rejoint la relation entre le niveau d instruction et l int r t pour la participation pr sent e plus haut 11 7 de ceux habitu s critiquer le font par crits et 11 7 le font verbalement en discutant avec des proches ou des amis et 9 1 le font par protestations Sur les 22 qui ont pr cis les organismes consult s 13 disent consulter APC contre 2 5 qui consultent plusieurs organismes selon le besoin et 2 2 consultent la Wilaya 19 1 estiment que les r ponses taient parfois satisfaisantes contre 11 3 qui m taient jamais satisfaits des r ponses leurs requ tes En outre et sur les 98 n adh rant pas un parti politique 22 expliquent cela par le fait qu ils ne sont pas int ress s 10 parce qu ils n aiment pas la politique 9 6 jugent que a ne sert rien 7 par manque de confiance en les partis politiques 5 7 par manque de temps et 3 parce qu ils consid rent que les partis politiques manque de cr dibilit Concernant les associations 87 ne sont pas affili s A cause notamment du manque de temps 23 du fait que a ne sert rien 7 8 du manque d int r t 5 2 du manque de confiance envers les associations 3 9 et d envie 3 9 et du manque d informations sur ces assoc
204. ision ou la participation politique contre la participation technique THOMAS 1993 BEIERLE 2002 1 D Typologie bas e sur les objectifs souhait s de la participation D autre part un certain nombre de tentatives pour d velopper des typologies sur la base des objectifs pour lesquels la participation est utilis e ont vu le jour Par exemple OKALI et al 1994 distingue entre la participation ax e sur la recherche et la participation ax e sur le d veloppement De m me MICHENER 1998 oppose la participation centr e sur planificateur qui est ax e sur les r sultats la participation centr e sur les personnes ce qui renforce les capacit s et permet aux parties prenantes de d finir et de r pondre leurs propres besoins 1 REED M 2008 op cit 85 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes WARNER 1997 pense quant lui qu aucune de ces cat gories ne refl te ad quatement l objectif de durabilit que les processus participatifs sont couramment utilis s pour y r pondre Au lieu de cela il a propos une troisi me cat gorie ax e sur le renforcement du consensus Se concentrant plut t sur les objectifs op rationnels de la participation LYNAM et al 2007 font la distinction entre les m thodes de diagnostic et d information de l apprentissage mutuel co learning et du co management et TIPPETT et al 2007 ont examin les diff rences en
205. it sociale soit plus efficace II Implication des parties prenantes de la ville l implication des diff rentes parties prenantes et en particulier les citoyens a longtemps t synonyme d une soci t d mocratique Cette implication s av re tre une partie int grante de l volution conomique et de l panouissement social et un axe de recherche de plus en plus int ressant NAPARSTEK et DOOLEY 1997 POOLE et COLBY LS Fabrique de la Cit 2012 Vers l adh sion citoyenne aux grands projets urbains Document de travail S minaire international Amsterdam du 29 au 31 aout www lafabriquedelacite com sites default files note_adhesion_sc_po pdf 67 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes 2002 SCHAFFT et GREENWOOD 2003 SILVERMAN 2005 D autres parts le questionnement sur les territoires a sensiblement volu et est pass des analyses g ographiques et administratives des approches et des conceptions plus riches Godron 2003 o plusieurs acteurs sociaux civils ou conomiques font face des enjeux communs La pr sente partie tente de d finir le concept de l implication ses origines et ses types et ses modes IL 1 Gen se et d finition de l implication De nos jours la globalisation a fait des villes des acteurs centraux sur la sc ne politique Le territoire devient galement un l ment important de la citoyennet urbaine BELLEY 2003 Qu il s agisse de
206. it cette d marche peut avoir LBBOWEN G A 2007 op cit 73 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes des effets ambigus qui risquent de renforcer la position de ceux qui ont le plus de voix dans la soci t marginalisant les plus d munis McEWAN 2005 mpliquer les citoyens dans les efforts de planification communautaire est consid r comme un m canisme de r forme sociale MARRIS et REIN 1982 ZIMMERMAN et RAPPORT 1988 soulignent que l implication des citoyens dans le processus de prise de d cision et les activit s de changement social a des effets th rapeutiques en aidant les participants acqu rir des comp tences en leadership afin de r duire le sentiment d oppression et d accro tre celui 150 Ainsi se voit d velopper un sentiment d appartenance d auto efficacit personnelle une communaut un engagement une g n rosit un sens de la moralit un int r t pour les affaires publiques un d passement des int r ts individuels etc t La participation puise dans les nergies et les ressources des citoyens en leur fournissant une source d informations de connaissances et d exp rience qui contribuent au renforcement des solutions communautaires CAHN et CAMPER CAHN 1968 Elle contribue galement assurer une r partition plus quitable des ressources et am liorer la situation des communaut s faible revenu GAMBLE et WEIL 1995 et v hiculer plus d emp
207. ite plan te Traduit de l Anglais par Claudine GILBERT et Jean DURIAU Editions du Moniteur Paris p52 58 LEGRAND P 2001 Changer de lunettes pour changer la ville Le Courrier de l environnement n 43 Mai URL http www inra fr dpenv legrac43 htm consult le 12 10 2013 5 JACCOUD C et al 1996 Raisons et d raisons de la ville Approches du champ urbain Presses Polytechniques et Universitaires Romandes p377 32 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain sollicit s par les questions urbaines Enfin les probl mes soulev s par la croissance des cit s ont un aspect pratique qui rel ve de l art de l urbaniste N anmoins c est bien au g ographe qu il appartient de prendre une vue centrale du fait urbain car celui ci est inconcevable en dehors de certaines conditions g ographiques physiques et humaines SORRE 1928 Les crit res de d finition de la ville varient d un pays l autre Dans la majorit des pays le nombre d habitants agglom r s est retenu avec une certaine diff rence de seuil selon le pays Dans d autre pays comme la Tunisie ou le Royaume Uni c est l organisation administrative qui prime et dans certains pays les deux crit res sont combin s Etats Unis Canada Turquie Norv ge Enfin des pays comme l Italie se basent plus sur l activit conomique les communes dont la population active est majoritairement agricole ne sont pas de
208. itive le marketing de la ville qui malgr le progr s consid rable r alis gr ce de multiples tudes reste peaufiner surtout dans le cadre des villes des pays en voie de d veloppement Ensuite le contexte de l tude tel que choisi minimise l aspect politique de la participation citoyenne pour se concentrer sur l aspect sociologique et marketing et cela est d essentiellement au manque de coop ration de certains responsables locaux et au manque de donn es pour des analyses plus pouss es Aussi le citoyen alg rien demeure peu habitu la m thode du questionnaire s ajoute cela une certaine m fiance envers le th me de l tude qui a t consid r par les r pondants comme tant sensible la limite du tabou et susceptible de d voiler leurs pr f rences politiques ce qui a fait que la taille de l chantillon tait plus au moins r duite Ces conclusions gagneraient tre confort es par de nouvelles recherches avec des chantillons plus importants et plus vari s et dans d autres villes alg riennes ce qui permettrait la proposition d une chelle de mesure de la participation citoyenne adapt e au contexte alg rien Evidemment les analyses seraient plus pertinentes avec plus de collaboration de la part des autorit s locales et aussi de la part des citoyens questionn s Il serait int ressant aussi de rechercher les d terminants de l implication des autres parties prenantes de la ville ce
209. itoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Items Facteurs Poids factoriel La wilaya Niveau d influence 15 96 Le gouvernement La mairie Buts de la participation 14 84 Am liorer la prestation de services aux citoyens D battre des questions sociales D battre des projets pr vus au niveau de la ville Organisation 13 59 S impliquer par le militantisme associations partis Le r le des partis politiques est de d fendre les int r ts des citoyens S exprimer ou exprimer son opinion par des manifestations ou dans les lieux d expression comme les m dias Les citoyens doivent int grer un parti politique pour d fendre leurs int r ts et de se faire entendre Devoir 9 75 Payer ses imp ts et respecter les lois Voter aux lections Engagement 8 96 tes vous affili un parti politique tes vous affili une association Int r t pour la 7 45 participation tes vous habitu critiquer les d cisions des responsables de votre ville La majorit des Alg riens sont int ress s par la participation aux affaires de leur ville Donc les facteurs retenus et renomm s selon les items qui les composent avec un KMO 0 709 et un alpha 0 742 repr sentent alors les variables qui pourraient clairer la vision de la participation par le citoyen tlemcenien On voit
210. itoyen peut avoir envie de d fendre ce territoire face la comp tition conomique ou plus prosa quement se faire porteur d une part de cette identit sous de multiples aspects la valorisation d un paysage d un monument un tat d esprit une mentalit locale Cela ne veut pas dire qu il est enti rement d accord sur la politique du territoire sur lequel il vit mais seulement qu il ne va pas exposer ses critiques devant une personne trang re Les citoyens doivent avoir l occasion de contribuer la gestion de leur ville pour mieux s identifier ses r alisations mieux les accepter et pourquoi pas les d fendre Et au lieu de viser un citoyen acteur les villes et les territoires d une mani re g n rale 277 doivent viser un citoyen ambassadeur MEGARD 2012 Ces ambassadeurs peuvent tre des habitants de souche des nouveaux arrivants ou encore des r sidents secondaires NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p222 75City marketing Bruxelles http www brusselsinternational be newsimages 12365 a citymarketing pdf consult le 02 02 2013 7SSMIDT JENSEN S 2006 op cit UBIQUS 2011 Les rencontres th matiques des citoyens ambassadeurs et prescripteurs 4 me Universit 277 de l accueil de nouvelles populations Clermont Ferrand 26 27 28 septembre URL http www partoutlaville com documents pdf Partout la ville 260912 citoyens ambassadeurs pdf co
211. itre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Figure 24 R le des TIC dans la d mocratie publique Prise de ri collective 1 R f rendums en Planificationet ns PROCESSUS e ES E ss Pr paration ns _ DEMOCRATIQUE QUE syt mesde e EE TT ETM ete feedback S Fourniture de S 7 d informatio Lo Contr M et evaluation Lan Source BAILLEUL H 2008 Les nouvelles formes de la communication autour des projets urbains modalit s impacts enjeux pour un d bat participatif M tropoles En ligne Mars mis en ligne le 11 juin 2008 URL http metropoles revues org 2202 consult le 24 mars 2014 Aussi certains auteurs r sument l apport des technologies de l information pour l administration locale dans le tableau suivant Tableau 13 L impact des technologies de l information au niveau local Champ concern Apports Contraintes Bilan Fonctionnement interne de la collectivit Efficacit r activit am lioration de la communication interservices R sistance au changement formation des personnels Gain de temps efficacit rapidit intranet annuaires transmissions de donn es Relations et services vers les citoyens Mise disposition d informations pratiques Manque de formation aux outils contraintes organisationnelles D mocratisation de l acc s l information t l proc dures bornes d
212. ityoen dans les villes alg riennes et en particulier la ville de Tlemcen Kl L tude par questionnaire aupr s d un chantillon des habitants de la ville de Tlemcen A a N Conclusions et limites de l tude S Les techniques marketing sont devenues indispensables au d veloppement de la ville KOTLER amp HAMLIN amp REIN amp HAIDER 2002 BERG amp KLAASEN amp MEER 1990 BRAUN 1994 HERRN 1997 HOLCOMB 1993 KEARNS amp PHILO 1993 WARD 1998 WITT amp MOUTINHO 1995 La communication et l image de marque restent les piliers d une d marche marketing de la ville KAVARATZIS 2004 ROSEMBERG ASORNF 1997 D faillance en mati re de participation citoyenne en Alg rie plusieurs facteurs marketing peuvent influencer la participation citoyenne au niveau de la ville de Tlemcen une d marche marketing pour la ville de Tlemcen serait le gage d une meilleure participation citoyenne et plus de d veloppement Chapitre I L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Introduction du chapitre I La th orie des parties prenantes ll L approche des parties prenantes adapt e au milieu urbain II La gouvernance urbaine Conclusion du chapitre 8 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Introduction du chapitre La mondialisation le d veloppement des ONG et de l
213. l objet d tude et de classement en mati re d e gouvernance Par exemple une tude 2013 r alis e par l Universit Waseda au Japon qui effectue depuis plusieurs ann es un classement des gouvernements en ligne les plus performants a class Singapour au premier rang mondial Viennent ensuite la Finlande et les Etats Unis Dans ce classement qui tudiait 55 pays nous retrouvons les Emirats Arabes Unis 29 l Afrique du Sud 36 le Nig ria 47 l Egypte 48 et la Tunisie 53 mais pas l Alg rie Les emails La plupart des sites proposent des contacts permettant aux internautes d envoyer des e mails La gestion des r ponses apporter aux questions et demandes diff re d une ville l autre Ainsi les d lais et la qualit des r ponses d pendent des moyens et des comp tences de la ville 6 MICHEL H 2004 E administration e gouvernement et e gouvernance vers de nouveaux modes de management de la citoyennet locale XIII colloque des sciences de l information et de la communication SFSIC Beziers Juin URL http gdrtics u paris10 fr pdf doctorants 2004 Michel H pdf consult le 13 01 2013 7 Waseda University 2013 Institute of e Government released the 2013 World e Government Ranking En ligne URL http www waseda jp eng news12 130326_egov html consult le 16 04 2013 SPERRIN C 2008 R ussir son plan de communication Dossier d experts L
214. la gouvernance urbaine Selon Nadia DJELAL 2007 tout cela n a pas suffi att nuer la crise laquelle font face les villes alg riennes avec une anarchie dans la production du cadre b ti la r duction des moyens financiers les zones d exclusion sociale et les conditions de vie dans les quartiers marginalis s le mauvais entretien des quartiers anciens les sp culations sur les loyers et les terrains en plus des probl mes li s la gestion urbaine la mont e du ch mage Plusieurs lois ont t promulgu es pour assurer la participation citoyenne L article 11 stipule que la commune constitue le cadre institutionnel d exercice de la d mocratie au niveau local et de gestion de proximit L assembl e populaire communale prend toute mesure pour informer les citoyens des affaires les concernant et les consulter sur les choix des priorit s d am nagement et de d veloppement conomique social et culturel en s aidant des supports et des m dias disponibles L assembl e populaire communale peut galement pr senter un expos sur ses activit s annuelles devant les citoyens Elle doit veiller mettre en place un encadrement ad quat 34PNUD 2013 Rapport Consultation nationales post 2015 URL http www dz undp org content algeria fr home library mdg rapport de consultations nationales post 2015 consult le 12 12 2013 IDJELAL N 2007 op cit 149 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les
215. la ville dans l implication de ses parties prenantes 1 1 Pourquoi la ville a t elle besoin du marketing Quatre facteurs principaux ont contribu l mergence du marketing des diff rents espaces villes r gions territoires A Mondialisation et concurrence Il y a quelques ann es les relations entre les chelles locales nationales et internationales ont consid rablement chang es La sp cialisation de plus en plus accrue des r gions fait de la mondialisation un ph nom ne de diff renciation et de sp cialisation et non pas d homog n isation qui se traduit par la constitution de grands p les conomiques formant une conomie mondiale en oasis qui distingue un r seau des r gions les plus dynamiques du reste du monde De plus les entreprises recherchent aujourd hui dans les territoires un environnement de qualit des services multiples et sophistiqu s une main d uvre qualifi e des infrastructures et des centres d affaires Des qualit s immat rielles qui les placent sur un march concurrentiel et qui les poussent renforcer leur attractivit et donc leur capacit attirer les entreprises et les personnes 1 Le marketing appara t alors comme une solution pour tablir une strat gie efficace et une identit repr sentative de ces territoires destin es leur offrir un poids concurrentiel B La revalorisation du local La nouvelle tendance du d veloppement local offre une p
216. lent de 8 millions de dollars us somme r investie dans les nergies renouvelables et les conomies d nergie Karachi Autoconstruction Les habitants d Orangi la plus grande agglom ration de squatters de Karachi Pakistan et gestion de paul s par une ONG ont particip de 1981 2005 la mise en place des gouts l assainissement dans 5 394 ruelles desservant 80 910 des 94 100 maisons existantes La par les quartiers communaut a vers 93 8 millions de roupies le gouvernement contribuant pauvre hauteur de 90 millions En 2003 le mod le participatif a t officiellement reconnu comme une politique appliquer dans les quartiers d favoris s de toutes les villes du Pendjab province la plus peupl e du Pakistan Le PNUD l applique dans trois villes ainsi qu un projet de la Banque asiatique de d veloppement pour 21 autres agglom rations Le quartier d Orangi est aujourd hui un exemple vivant et encourageant du triple partenariat population soci t civile tat Vienne Les achats publics Le projet kokauf acheter vert d montre que la capitale autrichienne est un Autriche verdissent consommateur de poids qui d pense plus de 5 milliards d euros annuels en produits l industrie et la et services pour favoriser une production plus cologique et moins gaspilleuse consommation depuis l an 2000 kokauf vise subordonner les achats publics des crit res cologiques L un des projets les p
217. les collectivit s territoriales de l Intranet aux Social Softwares 2003 http www netpolitique net php articles ceccopop php3 consult le 20 02 2013 253 TSCHIRHART M 2009 Identity Management and the Branding of Cities Campbell Public Affairs Institute Online URL http www pmranet org conferences geor getownpapers Tschirhart pdf consult le 18 01 2012 3 4 Ibid Communication et information http www cdg35 fr Data Fichiersattaches DBB6 document fichier body 1 pdf 7 Cit dans NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p257 260 120 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes La mise en valeur des actions de la ville la communication apporte aux citoyens les explications et l volution des d marches entreprises par les responsables de la ville lesquels elle cherche l gitimer La participation des citadins citoyens consommateurs La participation locale reste le meilleur gage de r ussite des projets La communication a pour r le d informer et d impliquer les habitants dans la gestion de leur ville et de recueillir leurs impressions et avis m me apr s la r alisation d un projet Cette communication peut avoir plusieurs formes des publications p riodiques et journaux municipaux aux sorties sur le terrain ou ouverture d un site Internet pour recueillir avis et critiques Elle peut tre un peu ambigu quand il devient difficile de la disting
218. lieu urbain revendiquer le monopole de la pens e de la ville Le but tant de mieux conna tre le ph nom ne urbain et de peut tre mieux pr parer la ville de demain Autant de disciplines qui l ont abord d s la fin du XIX me si cle en donnant naissance des sous disciplines la sociologie urbaine d velopp e par l cole de Chicago pendant l entre deux guerres la g ographie urbaine initi dans l apr s guerre par G CHABOT Les villes 1958 ou encore l ethnologie urbaine l histoire urbaine l conomie urbaine et m me la s miologie qui essaye d s les ann es 60 de d crypter la ville CHOAY Le Sens de la ville 1972 Durant les derni res ann es le droit urbain fait son apparition suite au d veloppement de la l gislation sur la ville les sciences politiques accordent un int r t grandissant aux politiques urbaines et les fervents du d veloppement durable cherchent toujours les bases pour une ville durable Les philosophes renouent leur tour avec les sujets sur la cit avec par exemple la publication de Vers la troisi me ville du philosophe Olivier MONGIN 1995 Enfin l internationalisation des villes a produit des tudes comparatives pour compl ter les monographies traditionnelles Aussi Les mutations de la ville font merger des probl matiques nouvelles qui touchent aussi bien la qualit de l air le bruit la gestion des flux de circulation l information en temps r el l
219. lir ses questions principales en comptant notamment sur un pr questionnaire aupr s d une cinquantaine de citoyens Ainsi et en s inspirant de notre partie th orique plusieurs interrogations se posent Le but premier tant de mesurer la perception qu a le citoyen tlemcennien de la participation dans les affaires de sa ville et les facteurs qui conditionnent cette participation L analyse de ces facteurs devrait faire ressortir des variables susceptibles de fonder une d marche marketing La revue litt raire fait ressortir plusieurs variables influen ant la participation des citoyens aux affaires de leur ville A ces variables s ajoutent d autres jug es int ressantes pour l analyse de la participation citoyenne et les pratiques marketing 346 THIETART R A et coll 2003 M thodes de recherche en management 2 dition Dunod Paris p 226 153 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Pour r pondre notre probl matique du d part qui tait quel r le le marketing de la ville peut il jouer dans l implication du citoyen en tant que principale partie prenante de celle ci ST Revue de la Litt rature gt Repenser les variables Enqu te par questionnaire ACP Prouver l int r t d une d marche marketing pour la participation Retenir les bases d une d marche Pour y r pondre nous posons les hypoth ses suivant
220. lle offrant toutes les informations n cessaires la concernant Renforcer la communication interne et mobiliser les habitants de la ville pour devenir ses propres ambassadeurs Am liorer l affichage dans la rue Cr er un journal de la ville r v lant les derni res news et les projets venir essentiellement en direction des habitant de la ville Multiplier les portes ouvertes sur les diff rents organismes de la ville Adopter un logo d finitif et l arborer dans toutes les communications relatives la ville Etre cr atif dans sa communication car souvent la communication n est pas que question de gros budgets Utiliser les TIC pour atteindre les diff rentes cibles email sms deviennent les modes de communication pr f r s des jeunes et des moins jeunes Etablir des partenariats entre les tablissements scolaires et diff rents organismes et associations pour la sensibilisation d s le jeune ge aux pr occupations de la ville Recourir un personnel qualifi en marketing communication dans chaque organisme de la ville 1 Concernant les autres facteurs marketing de la ville il serait n cessaire d am liorer les infrastructures et l encadrement touristique de promouvoir les produits locaux d am liorer l information et l accueil envers les entreprises et les investisseurs ce qui permettra un d veloppement conomique et une meilleure image de la ville envers ces cibles et qui
221. lle peut avoir lieu en amont lors de l laboration du projet et en aval lors de la mise en uvre Les outils participatifs sont divers site internet info kiosques courriers m dias publicit enqu te sociologique r union publique enqu te publique conseil consultatif atelier participatif groupe de travail dialogue citoyen dynamique associative bo te id es expositions forums participatifs Il est noter que plusieurs de ces techniques comportent quelques similitudes et se co ncident au niveau de leur application Cependant il est conseill d avoir l esprit qu il n existe pas de m thode ou de technique type qui peut traiter les divers besoins de participation d un projet ou d un secteur pr cis chaque situation sa m thode et sa technique Une trentaine de m thodes de participation ont t identifi s par PIMBERT et PRETTY 1997 Ces diff rentes approches restent troitement li es la soci t civile Les m thodes de participation et leurs conditions d application sont largement d pendantes de la mani re dont la d mocratie s exerce dans le pays Nous retenons dans ce qui suit les m thodes suivantes TSHURARD M 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Workingpaper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working paper participation citoyenne 26 08 11 pdf consult le 20 10 2013 VSHERITIER g
222. lontaires Le contr le confi entrusted control en d veloppant un pouvoir substantiel pour la prise de d cision du public B Typologie bas e sur la nature de la participation selon le sens du flux de la communication ROWE et FREWER 2000 mettent l accent sur la nature plut t que sur le degr d implication en identifiant les diff rents types de participation suivant la direction des flux de communication entre les diff rentes parties En effet ils proposent les trois modes suivants la communication publique la consultation du public et la participation du public Ces concepts combin s sont appel s engagement public Les trois concepts sont d finis ci dessous et repr sent es la figure suivante La communication publique o l information est transmise par les commanditaires de l initiative au public Le flux d information est sens unique il n y a pas de participation du public en soi Quand le public tente de fournir des informations il n y a pas de m canismes sp cifi s pour faire face cela La consultation publique l information est transmise par des membres du public aux commanditaires la suite d un processus initi par ces derniers De mani re significative il n existe pas de dialogue formel entre les deux parties l information recueillie aupr s du public est cens e repr senter les opinions sur le sujet en question y La participation publique des informations sont chang es
223. lus avanc s concerne les 17 h pitaux de la ville o la conversion a commenc depuis 5 ans de la nourriture aux m thodes de nettoyage en passant par l eau Un tiers des 60 000 menus servis chaque jour aux malades sont enti rement bios l eau servie aux patients ne provient plus d une bouteille d eau min rale mais d eau de source alpine du robinet et un nettoyage plus cologique des locaux a r duit de 39 les co ts Toute cette politique s op re en concertation avec les fournisseurs et fait l objet d une importante sensibilisation aupr s du public en g n ral et des coles en particulier Rosario Une agriculture La mairie deux ONG et le programme Pro Huerta de l Institut national de Argentine dans la ville Technologie agricole ont lanc conjointement un projet cologique et social contre la faim et la pauvret durable Au bilan cr ation de 791 potagers urbains procurant des emplois plus de 5 000 familles En outre 10 000 familles sont li es une production v g tale bio qui nourrit plus de 40 000 personnes dans cette ville de 1 3 million d habitants Aujourd hui des centaines de mara chages et des foires r guli res non seulement procurent des emplois et des aliments sains mais aussi embellissent la ville prot gent l environnement et favorisent l int gration sociale des plus pauvres qui trouvent dignit et l gitimit dans cette activit durable Rosario a obtenu une reconnaissance intern
224. lus forte dans les travaux Les villes sont devenues le lieu privil gi de l innovation sociale et politique notamment dans le domaine de la gestion des affaires publiques SEMAL N 2006 Quelle place pour le citoyen dans les processus de qualification environnementale des entreprises D veloppement durable et territoires En ligne Dossier 5 mis en ligne le 10 janvier 2006 URL http developpementdurable revues org 1656 consult le 22 mai 2013 3 CAZAL D 2011 RSE et th orie des parties prenantes les impasses du contrat Revue de la r gulation En ligne n 9 1er semestre printemps mis en ligne le 15 juin URL http regulation revues org 9173 consult le 12 08 2013 ANDERSEN E NIELSEN S 2009 The city at stake Stakeholder mapping the city Culture Unbound Volume 1 pp305 329 URL http www cultureunbound ep liu se v1 a19 cu09v1a19 pdf consult le 06 08 2013 ICHEBOUDENE L 2009 R flexion sur la gouvernance urbaine Alger Pr rogatives institutionnelles et monopoles politiques Insaniyat 45 44 pp 97 113 L adoption de la notion de parties prenantes urbaines pose alors la question de leur identification et de leur gestion La revue litt raire nous permet de faire ressortir le citoyen comme principale partie prenante des affaires de la ville Ainsi on pr conise la participation citoyenne comme un moyen efficace pour r duire le niveau de m fiance des citoyens et de les
225. lus grande autonomie et plus de moyens aux collectivit s territoriales Une concurrence est alors ouverte entre les territoires pour attirer les investissements publics et priv s Il en r sulte le d veloppement de technop les de gares de TGV ou d a roports internationaux la construction d immeubles prestigieux en plein centre ville l accueil d v nements sportifs ou culturels des enjeux qui d passent les fronti res nationales le d veloppement de strat gies de communication originales ou encore la proposition d avantages fiscaux Les dynamiques conomiques contemporaines sont alors soutenues par cette concurrence spatiale COLLETIS et PECQUEUR 1993 montrent alors que certains espaces peuvent se concurrencer sur des bases quantifiables qui concernent au premier rang les facteurs de BENKO G 2006 op cit 102 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes production co ts de la main d uvre prix d nergie taux d int r ts dont l offre et la demande d terminent le prix qui devient alors un axe de concurrence entre r gions D autres jouent plus sur la sp cificit territoriale qui est bas e sur la mise en valeur de savoirs non reproductibles qui n existeraient pas ailleurs ou qui seraient difficiles copier Ce qui offrirait une diff renciation durable au territoire qui doit tre mise en avant comme un avantage concurrentiel dans une d marche marketing
226. m mes Les parties prenantes peuvent aussi tre identifi es gr ce leurs profils et leur mani re de voir la villet v Le citoyen il est la fois usager et acteur principal des dynamiques urbaines y Les lus pour eux la ville est le lieu d expression du pouvoir public local ou r gional voire national v Les conomistes pour eux la ville est un lieu de production une plateforme d change qui constitue le support des m canismes conomiques et le d terminant majeur de son d veloppement v Les sociologues ils tendent comprendre les rapports d interaction et de transformation qui existent entre les formes d organisation de la soci t et les formes d am nagement des villes v Les ing nieurs pour qui la ville est une ossature d terminante de la vie urbaine n cessitant l optimisation de la circulation des fluides de toutes natures et la conception puis la r alisation et l entretien de tous les infrastructures et r seaux qui permettent de circuler v Les cologues consid rent la ville comme un cosyst me constitu de patrimoines et de ressources renouvelables ou non qui n cessite d tre sauvegard v Les artistes ils per oivent et travaillent en premier lieu les ambiances de la ville bruits lumi res couleurs images v Les urbanistes architectes paysagistes g ographes ils sont souvent consid r s comme les professionnels charg s de la synth se des diff rents m tiers de l
227. met de d passer les visions restrictives de la strat gie qui se limitaient la confrontation de l entreprise avec ses seuls actionnaires th orie de l agence ou ses seuls concurrents th ories de l avantage concurrentiel comme celles de PORTER A partir de l passer d une conceptualisation centr e de la ville vers une vision plus dynamique fluide et relationnelle devient n cessaire BOVAIRD 2008 consid re que le passage d une activit de planification simple de l administration publique un d veloppement urbain et innovant est un enjeu de gouvernance strat gique hautement sophistiqu Ce qui permet d introduire la notion de partie prenante dans la gouvernance urbaine et de proposer la th orie des parties prenantes comme une approche conceptuelle dans l laboration de la ville en tant qu une forme complexe d organisation en aidant repenser la ville travers des r seaux de relations entre les acteurs et les structures ANDERSEN et NIELSEN 2009 La litt rature existante d montre alors la pertinence de l application de la th orie des parties prenantes aux tudes urbaines Dans le m me contexte la notion de gouvernance a t adopt e au contexte territorial Le GALES 1995 consid re que L tude du gouvernement des villes suscite un int r t plus grand parce que les enjeux li s la ville sont forts Ceci explique pourquoi la probl matique de la gouvernance urbaine a fait une perc e p
228. miques avec un lien sp cifique une r gion ou une ville Entreprises internationales Source RAINISTO S K 2003 Success factors of place marketing A study of place marketing practices in northern Europe and the united states lib tkk fi Diss 2003 isbn9512266849 isbn9512266849 pdf Tandis que NOISETTE et VALLERUGO 1996 nous donnent une id e un peu plus g n rale sur les acteurs dont il est question en milieu urbain L administration municipale Des cellules d tude et d actions au sein de la mairie comme le cabinet du maire ou l ext rieur Des soci t s d conomie mixte soci t d am nagement de transport Des regroupements formels ou informels de personnes ou d institutions associations de d veloppement clubs de personnalit s groupes de pression Des entreprises op rateurs urbains am nagement promotion immobili re entreprises publics et priv es de services m NOISETTE P VALLERUGO F 1996 Le marketing des villes Les ditions d organisation p68 54 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes Des habitants citadins citoyens la fois destinataires et acteurs Donc les acteurs de la ville sont soit des organismes publics repr sentant de l Etat soit des organismes priv s entreprises conomiques prestataires de services soit les deux la fois Organismes parapublics S ajoutent ces organismes les citoyens eux
229. mocratie DPSA URL http www millenaire3 com fileadmin user_upload syntheses Polere democratie_particicipativ e pdf consult le 17 07 2013 110 PRETTY Grace H CHIPUER Heather M BRAMSTON Paul 2003 Sense of place amongst adolescents and adults in two rural Australian towns The discriminating features of place attachment sense of community and place dependence in relation to place identity Journal of Environmental Psychology 23 3 pp 273 287 111 Public Sector Improvement Facility Project Resources Stakeholder Analysis http www samoapsif gov ws portals 42 files Stakeholder 20Analysis ppt consult le 13 02 2014 112 RABINOVICH Adriana NAVEZ BOUCHANINE Fran oise 2005 Projet urbain entre innovation et tradition dans l action urbaine http www unil ch webdav site ouvdd shared Colloque 202005 Communications C 29 20Mi se 20en 20oeuvre C4 A 20Rabinovich pdf consult le 11 03 2013 113 RAINISTO Seppo 2003 Success factors of place marketing A study of place marketing practices in northern Europe and the united states lib tkk fi Diss 2003 isbn9512266849 isbn9512266849 pdf consult le 04 05 2013 114 REED Mark S 2008 Stakeholder Participation for Environmental Management A Literature Review Sustainability Research Institute n 8 F vrier URL http www see leeds ac uk sri 115 REPETTI Alexandre 2004 Un concept de monitoring participatif au service des villes en d veloppement Approche m thodolo
230. n UN Habitat 2009 o on ne retrouve pas d quivalent aux chelons sup rieurs de l chelle D ARNSTEIN Cependant le terme de participation repr sentative est retenu bien que plusieurs auteurs dont L BLONDIAUX pense que la d mocratie participative pr sente pr cis ment une alternative ou un compl ment 163 la d mocratie repr sentative BLONDIAUX 2008 v 162 la participation nominale affichage manipulation la participation consultative rassemblement d information pour une d cision clair e la participation instrumentale participation des citoyens la r alisation concr te d un projet la r alisation de travaux notamment la participation repr sentative implication citoyenne travers le syst me politique d mocratiquement lu notamment les lus locaux la participation transformative partenariat entre acteurs institutionnels et groupes de citoyens avec d volution de pouvoirs et de ressources Ces trois chelons transf rant un pouvoir de d cision des institutions des groupes de citoyens dont ARNSTEIN ne dit pas comment ils sont d sign s 163 VIELL et al 2012 op cit 80 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Cette chelle a t souvent reprise par de nombreuses organisations et notamment par l association internationale pour la participation publique dans son spectrum of public participation
231. n avec les organismes concern s le tout en se basant sur une communication adapt e A ceux l s ajoute un concept voqu dans la partie th orique et 167 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen qui s av re tr s int ressant dans le contexte de la participation citoyenne et qui est le city branding ou l image de marque de la ville Ainsi sur les attentes des citoyens nous relevons une grande importance du d veloppement dans tous les domaines emploi logement projets conomiques de l am lioration du cadre de vie de plus d implication d estime et d coute pour le citoyen de plus d honn tet et de justice et de moins de bureaucratie de plus d ordre et de s curit Et d apr s les r pondants la priorit des autorit s locales reste leurs propres int r ts alors qu elles devraient se focaliser sur le citoyen l couter l impliquer et le servir et le d veloppement de la ville et son attractivit Aussi 80 2 des questionn s disent ne pas tre au courant que les d lib rations sont ouvertes au public et 70 9 ne pas savoir qu un m diateur tait d sign au niveau de la Wilaya pour recueillir les dol ances des citoyens et de faire de son mieux pour les r gler Nous remarquons alors que plusieurs attentes des citoyens peuvent tre satisfaites gr ce l adoption d une vision marketing de la ville m me si elle
232. nance I 2 Essai de d finition du marketing de la ville Selon NOISETTE et VALLERUGO 1996 Une ville n est bien s r pas vendre elle est un bien collectif et une entit sociale c est ce qui l gitime et rend n cessaire sa gestion publique Ce qui est nouveau c est que cette dimension collective de la ville ne peut tre garantie dans une conomie ouverte que par la capacit de sa gestion publique prendre en compte intelligemment les m canismes du march Il n y a aucun doute maintenant que le marketing peut servir la ville tout comme les autres lieux Cette derni re doit saisir les opportunit s offertes aux autres organisations par le marketing et ses nouvelles techniques KOTLER amp HAMLIN amp REIN amp HAIDER 2002 BERG amp KLAASEN amp MEER 1990 BRAUN 1994 HERRN 1997 HOLCOMB 1993 KEARNS amp PHILO 1993 WARD 1998 WITT amp MOUTINHO 1995 En voulant d finir le marketing appliqu la ville on se perd g n ralement dans les multiples appellations Entre marketing urbain marketing territorial marketing des collectivit s locales ou encore city marketing place marketing la 206 THEBAULT M 2006 Le marketing territorial http www notabene asso fr journal journaux journal24 pdf consult le 05 03 2013 2BENKO G 2006 op cit NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p16 RAINISTO S K 2003 Success factors of place marketing A study of place marketing practices in
233. nantes la ville appara t sous la forme d une entreprise politico conomique tes la vill t la f d t lit La ville est la somme de sa gouvernance politique et conomique constitu par les parties prenantes qui affectent ou sont affect es dans ce centre politique et conomique de pouvoir I L approche des parties prenantes adapt e au milieu urbain Les recherches urbaines ont longtemps ouvert la voie des tudes conomiques sociales et culturelles de la ville et la mani re d aborder les espaces urbains partir d une planification et une gestion pens e par exemple GRAHAM amp HEALEY 1999 HEALEY 2004 HEALEY 2006a amp HEALEY 2006b FLORIDA 2005 LAUNDRY 2000 amp 2006 SIMPSON amp KELLY 2008 En effet les territoires sont le r sultat d interactions entre les espaces physiques et construits d une part et les syst mes sociaux conomiques politiques et culturels d autre part Le d veloppement des territoires a donn naissance plusieurs formes urbaines dont la plus r pandue reste la ville ANDERSEN E et al 2009 op cit 29 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Aussi et selon LELOUP et al 2005 la gouvernance territoriale se situe dans le contexte historique de l implication croissante des acteurs locaux priv s publics associatifs dans les dynamiques de d veloppement dans leur capacit se mobiliser et se prendre en charge
234. nd management Septembre pp 337 348projects Journal of civil engineering and management Septembre pp 337 348 145 ZEHIOUA Hecham 2011 Gouvernance locale focalisation sur la participation citoyenne a la construction des projets locaux Colloque International Interventions sur les tissus existants pour une ville durable du 30 4 au 4 5 2011 Liste des figures Figure 1 R capitulatif des chapitres de la th se 5 Figure 2 Les parties prenantes de l entreprise adapt DONALDSON et PRESTON 1995 10 Figure 3 Segmentation selon les relations des parties prenantes avec l entreprise 13 Figure 4 Les grilles d analyse des parties prenantes 4 14 Figure 5 Typologie des parties prenantes de SOBZACK et GIRARD 2006 nssssnnssnennsennnssneessenne 16 Figure 6 Typologie des parties prenantes selon IGALENS et POINT 2009 17 Figure 7 Le mod le traditionnel de la firme la firme en tant qu input output 19 Figure 8 Les relations de l entreprise avec ses parties prenantes adapt de BLIND 1977 20 Figure 10 th orie corporative des parties prenantes 22 Figure 11 Propositions pour une meilleure gestion des parties prenantes 51 Figure 12 Les acteurs majeurs dans le processus du marketing de la ville d apr s KOTLER et al LS LS Le RSR siaaa RE D ne 53 Figure 13 Influence des parties prenantes dans le management public ssssssssssnnsssseserensnssssrsereene 56 F
235. ndex html consult le 12 03 2013 294 JUBERT F et al 2005 L e administration Levier de la r forme de l Etat Collection Management Public Dunod p151 235 MERICSKAY B Concertation territoriale et technologies du g oweb un ensemble de perspectives envisager URL https www academia edu 212365 Concertation territoriale et technologies du geoweb une serie de pe rspectives a envisager consult le 04 02 2014 133 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes les grands domaines d intervention de la ville urbanisme local conomie et commerce coles vie culturelle vie associative sports des agendas f tes et manifestations rendez vous culturels De plus en plus les sites web des villes sont utilis s pour assurer un service public en ligne paiement en ligne suivi de dossiers permettant de faciliter la t che aux citoyens et de les rapprocher de leurs administrations On parle alors d e gouvernance o le citoyen est envisag comme un acteur cherchant participer pleinement la vie de la cit La participation comprend une dimension plus active du c t des citoyens puisqu il s agit de prendre part un processus d cisionnel Le but est de permettre aux habitants de formuler des avis puis de recueillir ces avis et de les prendre en compte dans la d cision finale PAILLIART 2003 Les territoires font m me
236. ne charte pour les parties prenantes sp cifique identification des int r ts des parties prenantes r alisation d une analyse des parties prenantes d termination de la capacit de gestion des parties prenantes des projets de R amp D analyse de la dynamique des interactions entre les parties prenantes YOUNG 2006 Identification des parties prenantes collecte d information sur les parties prenantes analyse de leur influence BOURNE et WALKER 2006 Identification des parties prenantes Recensement des parties prenantes prioritaires d veloppement d une strat gie pour l implication des parties prenantes OLANDER 2006 adopt de CLELAND 1999 Identification des parties prenantes collecte d information sur les parties prenantes identification des missions des parties prenantes identification des forces et des faiblesses des parties prenantes identification des strat gies des parties prenantes pr vision des comportements des parties prenantes mise en uvre de la strat gie de gestion des parties prenantes Walker et al 2008 Identification des parties prenantes Recensement des parties prenantes prioritaires visualisation des parties prenantes engagement des parties prenantes suivi de l efficacit de la communication JEPSEN and ESKEROD 2009 Identification des parties prenantes importants caract risation des intervenants soulignant leur a contributions n cessaires b a
237. ne doit pas toujours tre centr e sur le citoyen Le d veloppement de la ville par exemple peut tre assur sur diff rents axes marketing en attirant des investissements trangers des touristes et ventuellement de nouveaux r sidents telle que la classe cr ative pr conis e par Richard FLORIDA mais aussi favoriser les exportations de la ville gr ce un effet made in soutenu par une forte image de marque de la ville Afin de sugg rer des mesures nous d sirons nous concentrer sur les deux notions jug es essentielles dans les d marches marketing des villes au cours de la partie th orique et relativement mesurables aupr s des citoyens L image de marque de la ville et la communication Pour proposer les bases d une image de marque pour Tlemcen il faut d abord mesurer l image de la ville telle que per ue par le citoyen tlemcenien Une nouvelle analyse ACP est donc effectu e sur des items pouvant exprim s les d terminants de l image de Tlemcen Nous retenons les items suivants 38 L id e qu on se fait d un produit partir du lieu o il a t fabriqu 168 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen TAFD PD SA PPD PDTD Tlemcen est une ville o il fait bon vivre Tlemcen est une ville ou r gne la s curit Tlemcen est une ville conviviale chaleureuse Tlemcen est une ville dynamique conomiquemen
238. nique Retour sur la notion d objet fronti re Revue d anthropologie des connaissances 1 2009 Vol 3 n 1 p 5 27 URL www cairn info revue anthropologie des connaissances 2009 1 page 5 htm 27 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Le concept de partie prenante est ainsi consid r comme un objet fronti re Pour MINVIELLE 2006 la notion de parties prenantes repr sente un objet fronti re car elle est la fois un outil conceptuel pour les acad miciens un outil utilis par les valuateurs pour l audit social et pour les managers Pour Rappel la th orie des parties prenantes a t popularis e par FREEMAN qui est philosophe de formation Cette mise en perspective explore galement des champs d application plus larges dans diff rents domaines des plus techniques au plus prospectifs gestion strat gique droit du travail et des soci t s sciences politiques philosophie politique et morale Ainsi BONNAFOUS BOUCHER et PESQUEUX 2006 discutent l importance et les incidences de la th orie des parties prenantes en mati re de gouvernance d entreprise de gouvernance nationale et territoriale et de gouvernance europ enne et HUYBRECHTS 2010 insiste sur son utilisation explicite ou implicite dans l tude des organisations d conomie sociale Selon lui la notion des parties prenantes est d j pr sente dans les th ories fondatrices sur les non profit organisations GUI 1
239. ns indiens bloquent la nano php 234 NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p227 228 Idem p224 233 235 113 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes banquiers consultants et se renforce quand un touriste est bien accueilli un donneur d ordre est bien servi un cadre sup rieur est convaincu Ces derniers deviendront alors des t moins favorables la ville L image un patrimoine productif Selon NOISETTE et VALLERUGO 1996 la fonction de l image dans la dynamique de d veloppement de la ville se r sume en deux mots le r cit et la marque En fait l image est une histoire faite de r el et d imaginaire toujours en mouvement dont la cr dibilit doit beaucoup la qualit du rapport cr e entre celui qui la raconte et celui qui la lit ou qui l coute NOISETTE et VALLERUGO 1996 Elle est aussi une dimension symbolique sujette des variations brutales qui la rapprochent de ce qu est la marque pour une entreprise et ses produits NOISETTE et VALLERUGO 1996 Enfin la marque servira soulever le statut de la ville en tant qu une destination touristique ou r sidentielle ou lieu pour l tablissement de nouveaux commerces La renomm e d une ville fera que les touristes voudraient venir la visiter et les entreprises voudraient s y installer juste en raison de sa renomm e EJIGU et al 2004 La mar
240. ns pour d fendre leurs int r ts et se faire entendre Les citoyens doivent int grer un parti politique pour d fendre leurs int r ts et de se faire entendre Le r le des partis politiques est de d fendre les int r ts des citoyens D apr s vous le r le du citoyens consiste TAFD PD SA PPD PDTD Voter aux lections Payer ses imp ts et respecter les lois S exprimer ou exprimer son opinion par des manifestations ou dans les lieux d expression comme les m dias S impliquer par le militantisme associations PARTIS Croyez vous qu il est important de solliciter l opinion des citoyens TAFD PD SA PPD PDTD pour D battre des questions sociales Am liorer la prestation de services aux citoyens D battre des projets pr vus au niveau de la ville Selon vous est ce que votre participation comme citoyen devrait T I Plu SA Peu PDT avoir un impact sur les d cisions prises par t l Le gouvernement La wilaya La mairie A ces questions s ajoutent les questions directes suivantes tes vous habitu critiquer les d cisions des responsables de votre ville tes vous affili un parti politique tes vous affili une association Apr s plusieurs essais nous retenons les facteurs suivants que l analyse a fait ressortir Chapitre IV L implication du c
241. nsuite il op rationnalise ces concepts partir de donn es de l tude empirique pour obtenir des r sultats de la ville et aussi cause de notre ambition de contribuer au d veloppement et l panouissement de nos villes et par cons quence de notre cadre de vie Notre int r t a t confort par le manque de ce genre d tudes en particulier concernant les villes alg riennes et tout ce qui concerne les pratiques marketing en leur sein Figure 1 R capitulatif des chapitres de la th se La notion de partie prenante est complexe et difficile cerner DAMAK La th orie des parties prenantes AYADI et PESQUEUX 2005 Possibilit d appliquer la TPP plusieurs g A le milieu urbain domaines dont Chapitre I L application L approche des parties de la th orie des parties prenantes adapt e au ANDERSEN E et al 2009 prenantes au milieu urbain milieu urbain La ville est une unit complexe et difficile cerner JACCOUD C et al 1996 La gouvernance urbaine La gouvernance urbaine devient le mt mode privil gi de la gestion urbaine Plusieurs PP de la ville peuvent tre identifi es mais le citoyen reste la PP essentielle NOISETTE VALLERUGO 1996 BERNER et al 2011 la participation citoyenne est pr conis e pour favoriser le d veloppement local BERNER et al 2 S 2011 NAPARSTEK
242. nsult le 09 10 2013 78DE SAINT ALBIN H SURYASUMIRAT C 2008 Les dispositifs habitants ambassadeurs Revue Espace n 264 novembre pages 39 46 126 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes Seulement quelle que soit la partie charg e de la communication certaines pr cautions sont prendre En effet la communication d une ville devient de plus en plus compliqu e quand elle vise des cibles diverses et un niveau internationale La langue de la communication La langue est un l ment tr s important et parfois m me handicapant dans la communication d une ville En effet et comme pr cis plus haut la ville a plusieurs cibles qu elle tente d influencer La langue peut diff rer alors d une cible l autre et parfois d une personne l autre dans une m me cible Ainsi dans une m me ville les citoyens peuvent parler des langues diff rentes que ce soit dans les grandes m tropoles r sultats d une population multiculturelle ou dans les villes en voie de d veloppement une langue maternelle et une autre issue des colonisations Cela pousse les villes a adopt une communication bilingue et parfois m me trilingue langue nationale Anglais Fran ais ou plus dans la plupart des supports de communication affichage publications sites Internet et m me aupr s de ses citoyens quand il s agit de communiquer avec des trangers en favo
243. nt 26 1 un appartement spacieux 20 8 une maison 36 3 une villa 16 8 C est une propri t 35 une location 8 un logement de fonction 3 5 j habite avec mes parents 53 5 Utilisez vous Internet oui 90 non 10 Sinon pourquoi Manque d habitude manque d int r t Si oui vous vous connectez la maison 79 1 au travail 20 au cyber 8 3 partout en utilisant une cl internet ou la 3G 3 9 Vous utilisez Internet pour plusieurs choix sont possibles Jouer tchater 47 4 Etudier 61 7 Consulter les derni res informations 76 1 Utilisation r seaux sociaux 49 1 Autre T l chargement Ecouter de la musique ou voir des vid os R f rences 10 11 12 Agence des villes et territoires m diterran ens durables 2013 Participation citoyenne Forum Anna Lindh du 4 au 7 avril http www avitem org fr Cooperation a57 html consult le 25 08 2013 ALEXANDRE BOURHIS Natalie ROUVRAIS CHARRON Chantal Les collectivit s locales et le marketing un mariage d exception Le cas des services et quipements sportifs de la communaut d agglom ration de Caen la Mer http w3 cieu univ tlse2 fr publications publis Rouvrais pdf consult le 22 02 2013 ALLAIN Remy 2005 Ville et proximit Le point de vue d un g ographe urbaniste Mots Les langages du politique En ligne n 77 mis en ligne le 31 janvier 2008 consult le 25 f vrier 2014 URL http mo
244. nt 40 4 le consid rent plut t important 25 3 le consid rent plut t important 365 366 367 174 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Conclusions de l tude Au cours de notre tude nos hypoth ses ont t confirm es et de ce fait nous avons pu r pondre notre probl matique La figure 27 pr sente l essentiel de notre tude empirique Notre recherche r v le d un c t le manque d effort de la part des responsables de la ville et d un autre c t un certain d sint ressement de la part de la population surtout d un point de vue mobilisation dans le cadre d associations ou de partis politiques On se retrouve alors devant la double n cessit de re gagner la confiance des citoyens et d am liorer l efficacit de la gestion publique ce qui appelle une profonde transformation des administrations et plus globalement celle du fondement de l action publique D ailleurs le CNES voit juste titre que rien ne sert de dynamiser les institutions d am liorer l instrumentation juridique de d finir des comp tences de tracer des territoires suffisamment dimensionn s de vouloir agir sur les m thodes les proc dures et les techniques si les hommes charg s de veiller la concr tisation de tous ces processus n ont ni les aptitudes n cessaires ni les motivations indispensables l exercice de leurs responsabilit s En effet parmi
245. nt assez positives contre d autres relativement n gativement comme la taille petite de la ville un certain manque de dynamisme surtout pour certains jeunes et l attitude de certains de ses citoyens conservateurs et un peu trop renferm s par rapport d autres cultures 170 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Ces associations positives peuvent motiver les citoyens s impliquer plus dans leur ville et m me la promouvoir aupr s d autres cibles Nous vient l esprit la chanson de Pharrell WILLIAMS qui a t reprises par de nombreux citoyens travers le monde pour exhiber leur bonheur de vivre dans telle ou telle ville L image de marque tant essentiellement soutenue par une bonne communication nous recherchons dans ce qui suit les attentes des r pondants en mati re de communication de la ville Les r pondants estiment 77 8 qu ils ne sont pas suffisamment inform s sur le d veloppement de leur ville Ils pr f rent que cette communication se fasse en Arabe 62 2 en Fran ais pour 55 5 et 39 6 en dialecte Ils d clarent aussi avoir recours aux moyens de communication suivants afin de s informer sur leur ville Figure 25 Les sources d informations sur la ville Tlemcen 70 4 Journaux Radio locale Radio Internet Chaines TV BAO nationaux nationale A partir du constat que la majorit des r pondants utilisent Intern
246. nt physique fonctionnelles grande chelle Activit s organisationnelles Services de base Fournisseur de service quipements civiques et culturels Activit s financi res Attractions Loisirs et divertissement M ga v nements R g n ration culturelle Partenariat Priv public PPP Source SEISDEDOS G 2006 op cit Le marketing de la ville peut se concr tiser par la vente d un ensemble d quipements choisis ou l ensemble de la ville travers des images associ es Les endroits sont comme les produits pr sent s diff rents groupes de consommateurs et de clients pour diff rents buts Les organismes publics para publics et priv s peuvent tre des producteurs d une ville produit Le prix des villes est habituellement indirect intangible et souvent non mon taire La publicit et la promotion sont seulement une part d un ensemble d outils accessibles au marketing de la ville Chaque strat gie exigera un mix diff rent et nombreuses strat gies peuvent tre simultan es MEER 1990 SANCHEZ 1997 RAINISTO 2001 PORTER 2001 KOTLER et GERTNER 2002 JENSEN BUTLER et al 1997 Enfin BAKENS et al 2005 JERGEAS et al 2000 KARLSEN 2008 OLANDER et LANDIN 2008 et YOUNG 2006 confirment que la communication est un facteur cl de 7 SEISDEDOS G 2006 State of the Art of City Marketing in European Cities http www isocarp net Data case studies 858 pdf consult le 11 05 20
247. ntail d interpr tations LAWRENCE 2006 La participation citoyenne a g n ralement lieu travers deux dynamiques principales celle manant d une initiative citoyenne on parle alors de forme ascendante ou de bottom up ou celle manant d une initiative des autorit s publiques on parle alors de forme TSREED Mark S 2008 Stakeholder Participation for Environmental Management A Literature Review Sustainability Research Institute Online n 8 F vrier URL http www see leeds ac uk sri consult le 27 07 2013 77 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes 156 descendante ou de top down POLERE 2007 propose un troisi me sc nario plus rare o les dynamiques sont la fois descendantes et ascendantes en donnant l exemple de Porto Alegre Pour lui la plupart des dispositifs aujourd hui sont de type descendant et estime que pour produire l effet d sir les dynamiques ascendantes doivent trouver une forme de collaboration avec les autorit s publiques collectivit s ou instances d centralis es de l tat ou avec des acteurs ayant une v ritable capacit d action associations collectifs syndicats 7 La participation peut galement se concr tiser travers le syst me lectoral et par des processus obligatoires tels que le paiement de taxes ou le service militaire GAMBLE et WEIL 1995 Cependant le degr d implication va
248. obl me Soci t s contemporaines janvier n 49 50 pp 107 138 URL www cairn info revue societes contemporaines 2003 1 page 107 htm consult le 27 02 2013 Ibid t BESSARD L 1995 Etat des lieux la ville aujourd hui http www bessard fr diplome prejury3 html consult le 11 02 2013 ALLAIN R 2005 Ville et proximit Le point de vue d un g ographe urbaniste Mots Les langages du politique En ligne n 77 mis en ligne le 31 janvier 2008 URL http mots revues org 222 consult le 25 f vrier 2014 53 Qui tend rapprocher du centre 31 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Enfin la ville est une unit de production sp cifique dont le r le de productrice de connaissances est incontournable AYDALOT P et les d fenseurs du courant de recherche qu il a initi affirment le r le des villes dans la production et la diffusion de l innovation Pour eux la pr sence de r seaux d entreprises et de centres de recherche font de certaines villes de v ritables milieux innovateurs La ville est une matrice complexe et changeante des activit s humaines et de l environnement Une ville durable est quant elle une agglom ration dont le fonctionnement social biophysique et cologique les projets et l volution s inscrivent dans les perspectives ouvertes par le d veloppement durable D j en voquant le mot
249. oins en France Quant aux pays du Sud cet objectif sert plus favoriser l acc s de ces services aux plus pauvres et donc garantir une justice sociale Un objectif social l implication des parties prenantes permettront de renforcer les liens sociaux et de favoriser la coh sion sociale en donnant par exemple plus de pouvoir aux individus REED M S 2008 op cit 1S BURBY R J 2003 Making Plans that Matter Citizen Involvement and Government Action Journal of the American Planning Association Vol 69 No 1 Hiver 146 UURARD M 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Workingpaper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working_paper participation citoyenne _26 08 11 pdf consult le 20 10 2013 1 POLERE C 2007 La d mocratie participative tat des lieux et premiers l ments de bilan Synth se l occasion de l laboration du num ro des Synth ses Mill naire 3 sur le th me de la d mocratie DPSA URL http www millenaire3 com fileadmin user upload syntheses Polere democratie particicipative pdf consult le 17 07 2013 72 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Un objectif politique il rec le plusieurs sous objectifs savoir former des citoyens et favoriser leur politisation rendre une cr dibilit au syst me politique redynamiser le fonct
250. olaa ibi giil CU A2 YL aall ai aiil aiad Gail i gat I aladi ahas blyad jiy G aas LA ia Laai Lidell ami yal dj GAl iea Gas dea da egi pre cg gima ga JAEN Allai ilus g ai ihl gall S Lia oh Jal Use Las And Das pli On G sil Au yanai ile laal aii of Gas gadi oa dia Ge Da aSa hij le aeua O Ajal y Alal Lette le SA ls y obl sell iali 3 aladi ciansi gua lalki y Less pil pasli ai Le lda g SAIS tl lall La pus Lugall odes dll Ge YI paai au Gill yanai Al jall conall Mia La Jieha old Line opiki pa ja 250 pui de ilat Qi Agilagall Lul ya d a Ouai Aie cadi 3 gui chl sall l jf ciala cils hatid alasi
251. om ration urbaine dont la population est comprise entre cinquante mille 50 000 et cent mille 100 000 habitants Art 4 alin a 1 de la loi n 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville Petite ville l agglom ration urbaine dont la population est comprise entre vingt mille 20 000 et cinquante mille 50 000 habitants Art 4 alin a 2 de la loi n 06 06 du 20 f vrier 2006 portant loi d orientation de la ville Selon Ahmed MEZMAZ Chef du Cabinet en 2007 au Minist re D l gu e charg de la Ville le concept de la ville et de la politique de la ville est le centre d un d bat riche et fructueux entre les diff rents milieux aussi bien qu acad mique scientifique et technique dans ses diff rents disciplines en d autres termes pluridisciplinaires et m me aupr s de la soci t civile Cet int r t s est renforc depuis la promulgation de la loi n 06 06 du 20 f vrier 326 2006 portant loi d orientation de la ville La politique de la ville est alors le cadre l gislatif pr vu pour l encadrement de la gestion des villes alg riennes Elle vise orienter et coordonner toutes les interventions particuli rement celles cit es dans l article 6 La r duction des disparit s inter quartiers et la promotion de la coh sion sociale La r sorption de l habitat pr caire ou insalubre La ma trise des plans de transport de d placement et de circula
252. ommunication et de la gestion de l image de celle ci puisque l adoption de la ville se fait par des perceptions et des images Selon NOISETTE et VALLERUGO 1996 Ja ville est un objet un lieu et un support privil gi d images Elle existe d tre imagin e autant que d tre v cue Marketing et communication ont trouv cette vidence de l image en s int ressant la ville jusqu oublier parfois que la ville n est pas seulement une image d elle m me II 1 L image de marque de la ville L image d une ville quant elle associe la perception de cette ville la relation que l on a avec elle NOISETTE et VALLERUGO 1996 Le plus souvent notre perception de la ville n est pas soutenue mais plut t partielle fragmentaire m l e d autres pr occupations Presque tous les sens interviennent et se conjuguent pour composer l image LYNCH 1976 La marque et son image sont intimement li es et donc avoir une forte marque revient avoir une forte image de celle ci dans les esprits qui influencera les d cisions et les comportements des individus Cette d marche doit tre soigneusement entreprise pour viter des r sultats ind sirables NOISETTE et VALLERUGO 1996 consid rent que l image d une ville a deux missions principales 227 ANDERSEN E et al 2009 The City at Stake Stakeholder Mapping the City Culture Unbound Volume 1 pp 305 329 URL
253. ommunication interne en qu te d identit Publics N 42 Juillet Aout MABIRE Marc 2003 Les territoires am nagent leur image Strat gies En ligne URL http www strategies fr etudes tendances dossiers r30909 les territoires amenagent leur image html consult le 22 11 2013 MASSON Delphine 2006 Le coup de show des collectivit s Strat gies En ligne URL http www strategies fr archives 1427 page 37307 le coup de show des collectivites html consult le 13 12 2013 MASSON VINCENT Michelle DUBUS Nathalie BLEY Daniel VOIRON Christine HELLE C cile CHEYLAN Jean Paul DOUART Pierre DOUGUEDROIT Annick FERRIER Jean Paul JACOB Fr d rique LAMPIN Corinne MAIGNANT Gilles et PIOT Jean Yves 2012 La G ogouvernance un concept novateur Cybergeo European Journal of Geography En ligne Am nagement Urbanisme document 587 URL http cybergeo revues org 25086 consult le 21 f vrier 2014 MAYERS James 2005 Analyse du pouvoir des parties prenantes Power tools series International Institute for Environment and Development Londre Royaume Uni MERCIER Samuel 2001 L apport de la th orie des parties prenantes au management 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 strat gique une synth se de la litt rature Xi me Conf rence de l Association Internationale de Management Strat gique 13 14 15 juin MERCIER Samuel GOND Jean Pascal 2005 La th orie des partie
254. ompte des SH Orientation vers la dans le management de performance et vers la manag rial manag riale Comportement Economie Etude de la nature et des Comportement valeurs des SH organisationnel organisations Th ories de la d cision Tableat adapt d apr s Andriof et Waddock 2002 p 34 Typologie propos e par Jones et Wicks 1990 Cat gorisation globale des approches propos e par Andriof et Waddock 2002 Typologie retenue par Andriof et Waddock 2002 reprenant la typologie de Donaldson et Preston 1995 et y ajoutant l approche m taphorique opos e par Freeman 1904 Niveau d analyse Th orie sous jacente Perspective macro et Management R seaux relationnels Principes centr s sur Ethique f ministe l organisation Ethique de l agent Principes centr s sur Th orie principal l organisation agent Justice sociale Principes centr s sur Th ories de la justice le syst me contractuelles Avocats Mitroff 1983 Freeman 1994 Litz 1996 Donaldson et Preston 1905 Donaldson et Dunfee 1999 Wood et Jones 1995 Yuthas et Dillard 1999 Wicks et ai 1994 Burton et Dunn 1906 Rawls 1971 Freeman 1994 Phillips 1997 Freeman et Evan 1990 Preston et al 1991 Hill Jones 1992 Jones 1995 Clarkson 1905 Etzioni 1988 Mitchell et al 1997 Brenner et Cochran 1991 Berman et al 1999 Source MERCIER S 2001 L
255. on de la soci t civile au processus de formation de l opinion publique et de la volont populaire La fonction de r glement ou gestion des conflits sociaux Gr ce ses r seaux d associations d initiatives et de mouvements la soci t civile admet des superpositions au niveau de l adh sion des membres Sur le m me registre plusieurs formes d organisation de la soci t civile sont labor es Elles ont toutes comme caract ristiques communes l autonomie l autor gulation ou l autodiscipline le volontariat et la solidarit ainsi que diff rentes valeurs d mocratiques fondamentales libert d opinion libert de se r unir etc La forme la plus connue reste les organisations non gouvernementales viennent ensuite les clubs ou associations les syndicats les initiatives de citoyens les groupes d entraide et mutuelles et les organisations but non lucratif Non Profit Organisation 66 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes A titre d exemple une enqu te du cabinet Sociovision command e par La Fabrique de la Cit fait ressortir cinq types d acteurs s impliquant des degr s divers et de fa on diff rente dans la fabrication future de leur ville Les grassroot champions nouveaux militants du local 17 llssont totalement enracin s dans leur ville et ma itrisant l usage des TIC afin de coproduire l avenir de leur ville sur la dur e S ils ne se sen
256. onnement fileadmin sites environnement documents Essais_ 2013 Jacquart_S__2013 01 16_ pdf consult le 10 11 2013 JAQUIER Claude 2008 La gouvernance urbaine entre complications et complexit s comment s orienter Colloque Vers une Nouvelle Gouvernance des Territoires 15 septembre Reims JOUVE Bernard 2005 La d mocratie en m tropoles gouvernance participation et citoyennet Revue fran aise de science politique n 2 Vol 55 pp 317 337 URL www cairn info revue francaise de science politique 2005 2 page 317 htm consult le 11 01 2013 JOUVE Bernard 2007 La gouvernance urbaine vers l mergence d un nouvel instrument des politiques Revue internationale des sciences sociales Mars n 193 194 pp 387 402 URL www cairn info revue internationale des sciences sociales 2007 3 page 387 htm consult le 11 01 2013 JUBERT Francis MONTFORT Elizabeth STAKOWSKI Robert 2005 La e administration Levier de la r forme de l Etat Collection Management Public Dunod KAVARATZIS Mihalis 2004 From City Marketing to City Branding Towards a Theoretical Framework for Developing City Brands Place Branding and Public Diplomacy Vol 1 N 1 pp 58 73 La Fabrique de la Cit 2012 Vers l adh sion citoyenne aux grands projets urbains Document de travail S minaire international Amsterdam du 29 au 31 aout www lafabriquedelacite com sites default files note_adhesion_sc_po pdf 75 76 77
257. oriale ppt consult le 09 02 2013 L affichage quant lui peut tre l uvre de la ville ou celle des entreprises Il peut prendre plusieurs formes affichage mural transports en communs affichage lumineux etc 284 Les journaux lumineux sont tr s utiles pour faire d filer des messages ou des informations La ville de Saint Priest par exemple est une des pionni res dans l exploitation g La communication des collectivit s territoriales 2008 http lavigie ublog com lacompublique files Lecon4ComTerritoriale ppt consult le 09 02 2013 78 Les livres et les romans peuvent avoir des impacts tr s forts sur les amateurs de lecture Le Da Vinci Code par exemple a influenc la fr quentation de certains sites parisiens comme le Louvre o les visiteurs s y prom nent livre en main Source Le Louvre et le Da Vinci Code http www louvre fr llv dossiers page magazine jsp CONTENT 3C 3Ecnt_id 101341986734604968 amp CURRE NT LLV MAGAZINE 3C 3Ecnt _id 10134198673460496 Les livres scolaires peuvent aussi pr senter une ville dans un contexte diff rent 28 LENDREVIE J et al 2006 Mercator Th orie et pratique du marketing Editions Dalloz 8 me dition p 1075 128 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes de cet quipement En effet la diff rence du traditionnel journal lumineux qui ne fait d filer que du texte l affichage dynamiq
258. ormes de la communication autour des projets urbains modalit s impacts enjeux pour un d bat participatif M tropoles En ligne Mars mis en ligne le 11 juin 2008 URL http metropoles revues org 2202 consult le 24 mars 2014 BAKER William H ADDAMS H Lon amp DAVIS Brian 2005 Critical factors for enhancing municipal public hearings Public Administration Review Volume 65 N 4 pp 490 499 BARTOLI Annie 2002 Le management des organisations publiques Puf 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 BENKO George 2006 Strat gies de communication et marketing urbain Pouvoirs Publics n 42 Septembre pp 12 18 BERNER Maureen M JUSTIN M Amos and RICARDO S Morse 2011 What Constitutes Effective Citizen Participation in Local Government Views from City Stakeholders Public Administration Quarterly n 35 1 pp 128 162 BESSARD Laurent 1995 Etat des lieux la ville aujourd hui http www bessard fr diplome prejury3 html consult le 11 02 2013 BILLION David 2007 C est so paris Marketing alternatif touristique Le c l brissime charme parisien http www vanksen fr blog cest so paris marketing alternatif touristique consult le 13 10 2013 BONNIN Luc MARTINEAU C cile Le m c nat de proximit ou la sauvegarde du patrimoine local http www lesclefsdupatrimoine com pdf article mecenat pdf consult le 12 01 2013 BOWEN Glenn A 2007
259. out du processus de participation les pr occupations individuelles sont reformul es pour satisfaire un int r t g n ral on apprend alors de la participation Le fait de penser ensemble et de d battre des questions du territoire fait merger une intelligence collective que les auteurs d finissent comme Une intelligence commune du territoire correspondrait une mani re d y vivre et d en vivre qui serait sp cifiquement li e au fait de ressentir penser agir communiquer en groupe ses membres poss dant des habilet s mergentes qu aucun acteur ou groupe d acteurs n aurait pu construire isol ment DALIMIER et al 2009 Enfin la participation citoyenne reste l expression d une certaine citoyennet sous plusieurs facettes 182 http La participation publique qui est engagement des individus dans des dispositifs formels r gis par des r gles clairement tablies et ayant pour but l atteinte d un objectif formul explicitement Participation sociale la participation des individus travers des activit s collectives dans le cadre de leur vie quotidienne tre membre d un groupe communautaire d une association de locataires d un syndicat ou d un parti politique faire du b n volat pour un organisme caritatif militer pour une cause etc Participation lectorale Elle est pratiqu e lors des lections o le citoyen participe en votant ou en pr sentant sa candidature Institut du Nouveau
260. owerment HARDINA 2003 ISIAT 2010 r sume les finalit s d une participation citoyenne dans ce qui suit 149 ANDRE P et al 2012 Participation citoyenne dans L C t et J F Savard dir Le Dictionnaire encyclop dique de l administration publique en ligne www dictionnaire enap ca consult le 12 10 2013 150 HARDINA D 2006 Strategies for Citizen Participation and Empowerment in Non Profit Community Based Organizations Journal of the Community Development Society Vol 37 No 4 Winter pp 4 18 SIJOUVE B 2005 La d mocratie en m tropoles gouvernance participation et citoyennet Revue fran aise de science politique n 2 Vol 55 pp 317 337 URL www cairn info revue francaise de science politique 2005 2 page 317 htm consult le 11 01 2013 S2BOWENG A 2007 op cit 74 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Figure 16 Les finalit s de la participation Lesfinalit s dela participation exclus techniciens dEnrichir la Tester Outil Outil de i r flexion des l acceptabilit h d int gration bilisationh lus optimiser PT f sociale d une d inclusion un projet P P aN i safi S T propositi m m R soudreles util d aide iti conflits laten ion sai gt Outil citoyens privil gier la transparence Outil de Outil de mobilisationt d mocratisation appropr
261. paper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working paper participation citoyenne 26 08 11 pdf TSBACQUE M H 2006 Empowerment et politiques urbaines aux Etats Unis G ographie conomie soci t Vol 8 n 1 pp 107 125 180 ARDINA D 2006 Strategies for Citizen Participation and Empowerment in Non Profit Community Based Organizations Journal of the Community Development Society Vol 37 No 4 Winter pp 4 18 BIDALIMIER let al 2009 Processus de participation Tableau de bord Participation et espaces publics Pour un d veloppement et une gestion concert e des espaces publics article 74 mis en ligne le 31 janvier URL http www topozym be spip article php3 id_article 74 consult le 28 11 2013 92 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes argumentaires des autres comment arriver un consensus et formuler des recommandations devient imp ratif y Apprendre en participant Arriv cette tape on n apprend pas pour participer on apprend en participant et on participe en apprenant Car en effet le fait d tre encadr et de pouvoir changer avec d autres personnes nous donne la possibilit d apprendre toujours plus Apprendre de la participation L objectif est de demander aux participants ce que signifie pour eux le vivre ensemble afin que leur compr hension de la r alit dans laquelle ils voluent augmente ou change Au b
262. patialisation du d veloppement conomique Marseille Aix Nantes St Nazaire et Rennes 50 me colloque de l ASRDLF culture patrimoine et savoirs du 08 au 13 juillet OUZAKA 2001 Implication et risque per u Ambigu t conceptuelle ou probl me de mesure Centre d tudes et de recherche sur les organisations et la gestion W P n 607 URL http www cergam org fileadmin files cerog wp 607 pdf consult le 11 04 2013 68 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes QUESNEL 2000 Par exemple les premi res consultations publiques ont vues le jour au Qu bec au d but des ann es 1960 dans les domaines de l am nagement du territoire et de l environnement SIMARD 2003 BLONDIAUX 2004 consid re qu il existe un d calage entre l importance des enjeux soulev s par la question de la participation le consensus dont fait objet cette id e et la pauvret des concepts des cadres th oriques et des moyens pour penser cette nouvelle r alit Ceci dit les essais de th orisation dans ce champ remontent plus de 40 ans et l un des articles pr curseur reste celui de Sherry R ARNSTEIN publi en 1969 dans la revue am ricaine des professionnels du planning qui proposait une chelle de la participation partir d une analyse des programmes f d raux impliquant des dispositifs participatifs en mati re de r novation urbaine de lutte contre la pauvret et de cit s
263. peuvent y tre diffus s III 2 Les modes de communication de la ville Les plus fr quents modes de communication sont cit s dans ce qui suit A L v nement le sponsoring et le m c nat La communication par le biais d v nements tant expos e plus haut nous nous int resserons alors au sponsoring et au m c nat qui peuvent eux aussi tre consid r s comme une communication v nementielle La diff rence ici consiste dans le fait que ce n est pas la ville qui initie et organise l v nement mais elle se contente de le soutenir par des apports financiers mat riels ou immat riels Par exemple la ville peut assurer un local pour une exposition artistique ou un meeting d une association humanitaire sans contrepartie ou elle peut parrainer une mission de jeux pour b n ficier de l audience en offrant un s jour dans l un de ses tablissements d accueil ou une invitation l une de ses manifestations elle r alisera alors une op ration double effet B Le marketing viral Le marketing viral est un outil de communication qui place les consommateurs comme vecteur de la communication de la marque Par int r t curiosit ou amusement ils diffusent l information leur r seau de connaissance Contrairement la rumeur souvent abstraite informelle et instable le marketing viral se repose avant tout sur un support afin de pouvoir 301 S A M T A 4 La communication interne dans les collec
264. pour une tude exploratoire la est acceptable s il est compris entre 0 6 et 0 8 alors que pour une tude confirmatoire une valeur sup rieure 0 8 est recommand e Evrard et al 2000 a Aussi le KMO et le test de sph ricit de Bartlett permettent de donner plus de cr dibilit aux r sultats de l tude Le coefficient de KAISER MEYER OLKIN KMO mesure l importance des coefficients de corr lation observ s par rapport l importance des coefficients de corr lations partiels I peut signaler l avance si la taille de l chantillon est suffisamment grande 351 GOUDARZI K GUENOUN M 2010 Conceptualisation et mesure de la qualit des services publics QSP dans une collectivit territoriale Politiques et management public En ligne Vol 27 3 URL http pmp revues org 2986 consult le 24 mars 2014 157 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen pour extraire de mani re fiable les facteurs FIELD 2009 Un KMO lev proche de 1 indique que l analyse factorielle est une m thode appropri e et pertinente pour l analyse des donn es Ainsi un KMO inf rieur 0 5 signifie que les items ne partagent pas assez de variance pour que l analyse factorielle soit ad quate Le test de sph ricit de BARTLETT permet de confirmer l existence de relations entre les variables et la pertinence de l analyse factorielle Evrard et al 1993 Si la
265. que fois jusqu obtention d une solution satisfaisante A La perception de la participation Pour d limiter la notion de participation telle que per ue par le citoyen tlemcenien nous avons retenu les questions suivantes 332 HOF M 2012 Questionnaire Evaluation with Factor Analysis and Cronbach s Alpha An Example URL http www let rug nl nerbonne teach rema stats meth seminar student papers MHof QuestionnaireEvaluation 2012 Cronbach FactAnalysis pdf consult le 24 mars 2014 333 L ACP sous SPSS URL http www lemoal org download spss ACP pdf consult le 24 mars 2014 CARRICANO M et al 2010 Analyse de donn es avec SPSS Pearson Education France p 69 354 158 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen Avec TAFD Tout fait d accord PD plut t d accord SA sans avis PPD plut t pad d accord PDTD pas du tout d accord et TI tr s important Plut l plut t important SA sans avis Peu peu important PDTI pas du tout important Veuillez indiquer votre appr ciation sur les affirmations suivantes TAFD PD SA PPD PDTD La participation du citoyen aux questions relatives leur ville est indispensable La majorit des Alg riens sont int ress s par la participation aux affaires de leur ville Les citoyens doivent s organiser sous forme de comit s de quartiers ou d associatio
266. que ville vise ajouter un niveau motionnel l image de celle ci et promouvoir ses qualit s intangibles par exemple son me et ses valeurs en plus de d gager des sentiments et de la sympathie pour ceux qui la visitent ou qui y vivent tablie avec succ s une marque ville repr sentera la totalit des pens es des sentiments des associations et des esp rances qui viennent l esprit quand le nom d une ville son logo ses produits ses services ses v nements ou n importe quel autre symbole la repr sentant sont expos s de fa on ou d une autre Aussi et de nos jours la plupart des villes cherchent se faire distinguer en se vantant durables ou intelligentes Mais quel point ces orientations sont elles b n fiques pour l implication des diff rentes parties prenantes et notamment le citoyen 26 NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p234 DEFFNER A LIOURIS C 2005 op cit SMIDT JENSEN S 2006 City branding lessons from medium sized cities in the Baltic Sea Region In Medium sized cities in dialogue around the Baltic Sea ed Danish Centre for Forest Landscape and Planning KVL 237 238 114 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes D abord l intelligence territoriale peut tre d finie comme un ensemble de m thodes scientifiques d outils d analyse et de syst mes de mesure mobilisant les acteurs d un territoire d termin
267. r les clich s des parisiens avec humour travers des caricatures sur la gestuelle de l attitude parisienne la ville entre dans le marketing viral Un jeu online vient s ajouter au site en proposant de gagner un voyage pour deux Paris si et seulement si la photo envoy e montre que la personne a la Parisian Attitude 7 Enfin en plus des emails le marketing viral peut aussi utiliser les sms Un outil aussi performant et parfois m me moins cher diffuser Ou encore le bluetooth comme l a fait la ville de Rennes en testant un nouveau mode de communication l envoi infos pratiques localis es directement sur le mobile du visiteur Pour cela elle a dispos sept bornes de connexion sans fil Bluetooth diff rents endroits strat giques de la ville mairie centre culturel a roport parking de centre ville piscine municipale etc pour envoyer gratuitement un fichier sonore ou une image par exemple un instantan de l tat du trafic dans la ville C Les relations publiques D une mani re g n rale les relations publiques sont un ensemble de techniques faisant partie de la communication hors m dias et ayant pour but de cr er ou t entretenir de bonnes relations avec certains publics restreints et importants Tandis que la publicit et la promotion essayent d acc der aux masses et de les influencer les relations publiques se concentrent sur les leaders d opinion les d cideurs les initiateurs
268. rcheurs parlent de l influence des TIC d une mani re g n rale RODOTA 1999 KLECK 2006 VODOZ 2001 MONIERE 2002 LEVY 2002 COLEMAN 2005 LE BOT 2008 A ces facteurs s ajoutent les facteurs individuels tel que l ge le genre l ethnicit l ducation et le niveau intellectuel BAKER et al 2005 1 189 FLORIN P WANDERSMAN A 1991 An introduction to citizen participation voluntary organizations and community development Insights for empowerment through research American Journal of Community Psychology Janvier pp 41 54 1 TJ NAITIEN R et al 2009 Motivation expression of citizen participation in organizations of citizen society The economic conditions of enterprise functioning engineering economics N 1 61 URL http beta orionshoulders com Resources articles 24 18395 R 20Tijunaitene 20 pdf consult le 04 02 2014 191 TURKUCU A 2008 Development of a conceptual framework for the analysis and the classification of Public Participation GIS Universit de Laval URL http theses ulaval ca archimede fichiers 25326 25326 html consult le 09 09 2013 192 BAILLEUL H 2008 Les nouvelles formes de la communication autour des projets urbains modalit s impacts enjeux pour un d bat participatif M tropoles En ligne Mars mis en ligne le 11 juin 2008 URL http metropoles revues org 2202 consult le 24 mars 2014 193 MERICSKAY B Concertation territoriale et t
269. re Parties prenantes Centre d Economie Sociale d HEC Ecole de Gestion de l Universit de Li ge http www ces ulg ac be fr FR services cles dictionnaire o p q r parties prenantes stakeholders consult le 06 06 2013 CAZAL D 2011 op cit 28 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain GRAHAM et HEALEY 1999 Par cons quent il n est plus possible de consid rer la ville comme une conomie limit e isol e et unique qui peut tre soumise des instruments traditionnels de planification sectorielle Seule la cr ation de mod les de planification urbaine qui g n rent des synergies entre les int r ts d j tablis ou mergents des parties prenantes de la ville peut permettre aux gouverneurs et planificateurs de la ville de r pondre la complexit des dynamiques urbaines et r gionales La gouvernance urbaine repose donc sur une conception large et multiple des citoyens et des parties prenantes impliquant les acteurs non seulement des autorit s de l Etat et du gouvernement r gional mais des entreprises des ONG des institutions d enseignement et de recherche les m dias et les autres parties prenantes Consid rer la ville dans une perspective de parties prenantes la fait apparaitre dans des structures et des modes de relations et d int r ts manifest s ou latents Lors de la reconfiguration de la ville dans un cadre moderne de la th orie des parties re
270. re International comme une nouvelle approche de l aide destination de ces tats en impliquant de plus en plus la soci t civile en se basant sur son empowerment son contr le sur les d cisions et les ressources Cette d marche s accompagne de r formes institutionnelles lutte contre la corruption d mocratisation lib ralisation des services Le d veloppement de la gouvernance en tant qu instrument d action publique est consid r comme une importation dans le champ de l action publique d une s rie de diagnostics et d analyses labor es par les sciences sociales s int ressant la transformation des tats contemporains Cette philosophie est consid r e par les grands organismes internationaux comme la m thode de gestion urbaine la plus adapt e la situation actuelle et en regard des objectifs du Mill naire pour le D veloppement UN 2007 OCDE 2001 L OCDE consid re que le terme d administration publique ne convient plus pour d crire les modes d organisation et d administration des villes et de leurs habitants Dans un monde 82 MERCIER S 2001 op cit SJOUVE B 2007 La gouvernance urbaine vers l mergence d un nouvel instrument des politiques Revue internationale des sciences sociales Mars n 193 194 pp 387 402 URL www cairn info revue internationale des sciences sociales 2007 3 page 387 htm consult le 11 01 2013 40 Chapitre L application de la th orie des parti
271. reposer structurellement sur des partenariats d acteurs en faisant converger logiques publiques et priv es Franck VALLERUGO son coauteur ajoute que le marketing territorial est la coordination des fonctions du territoire qui peuvent uvrer en faveur du d veloppement conomique et social et de l attraction d investisseurs et d habitants nouveaux En cela il ne saurait tre confondu avec la communication publique Des d finitions qui se rapprochent d ailleurs NOISETTE et VALLERUGO dans leur livre Le marketing des villes utilisent les deux termes sans une v ritable distinction pour parler du marketing appliqu la ville Donc les deux appellations sont justes mais ayant pris connaissance des diff rentes d finitions et sp cificit s de la ville qui est beaucoup plus qu un ph nom ne urbain et beaucoup plus qu un simple lieu dans un territoire puisqu elle en est l unit motrice nous pr f rons le terme de marketing de la ville dont nous retiendrons la d finition suivante Le marketing de la ville est une d marche qui consiste identifier et analyser les besoins exprim s ou latents d une population intra ou extra muros afin de concevoir et de mettre en uvre une politique territoriale attractive dans des champs aussi divers que le OMOINAT V 2007 op cit NOISETTE P VALLERUGO F 1996 op cit p142 THEBAULT M 2006 op cit 211 212 105 Chapitre III Le r le du marketin
272. repr sentants de la soci t civile la vocation des partis et des associations Facteurs li s aux lus la qualification et les pr rogatives des lus la confiance dans les lus et dans la r glementation Nous rel verons l importance des notions de l attachement la ville de l am lioration de l acc s l information et de l accueil expliquent plus de 30 des facteurs d terminant la participation Aussi les notions de manque de confiance et de transparence de la part des autorit s locales et l am lioration des services de la ville peuvent tre influenc s par une d marche marketing C Les bases d une d marche marketing A partir des r sultats pr c dents nous pouvons supposer qu une d marche marketing bas e sur une bonne communication et une image de marque de la ville construite sur un attachement la ville favoriserait la participation des citoyens tlemceniens Puisque la ville de Tlemcen n entreprend pas une d marche marketing nous nous proposons de poser les bases d une d marche marketing pour elle Il faut dire que les cibles d une d marche marketing d une ville sont diverses mais nous nous int ressons sp cialement dans cette th se aux citoyens A partir de l la d marche marketing devrait se focaliser sur certains principes du marketing tels qu une meilleure connaissance de la cible le citoyen et de ses attentes de faire en sorte de satisfaire ses attentes en collaboratio
273. rganisent entre elles pour avoir plus d influence dans la balance d cisionnelle du gestionnaire 34CAZAL D 2011 op cit SMERCIER S GOND J P 2005 op cit 36DAMAK AYADI S PESQUEUX Y La th orie des parties prenantes en perspective URL http basepub dauphine fr bitstream handle 123456789 1098 ethiquepesqueux pdf sequence 2 consult le 13 12 2013 37MERCIER S 2001 op cit 38 CAYROL A 2006 op cit 26 Chapitre L application de la th orie des parties prenantes au milieu urbain Enfin cette diversit dans les cadres les m thodologies et les perspectives bien qu elle soit source de confusions et de probl mes contient des opportunit s appr ciables pour le renouvellement et l am lioration de cette th orie Selon MERCIER et GOND 2005 la th orie des PP semble poss der un potentiel explicatif lev pour analyser les nouvelles formes organisationnelles dont l excellence relationnelle est vue comme une ressource cl Elle fournit galement une grille d analyse f conde pour expliquer les m canismes de management des stakeholders introduits de fa on croissante dans les organisations Les auteurs consid rent que dans une optique plus normative cette th orie permet d introduire les probl mes de respect de la personne et de justice organisationnelle dans le management et se pose comme une alternative au mod le de gouvernance actionnariale en int grant les probl mes d origine et de r p
274. rie selon les buts les objectifs de l organisation et la question abord e BAKER et al 2005 font remarquer que plusieurs communaut s trouvent des diff rences dans l implication sur la base du genre plus d hommes que de femmes de l ge moins d implication chez les plus jeunes et les plus g s de l ethnicit moins d implication chez les minorit s ethniques et de l ducation plus d implication de la part des intellectuels REED 2008 propose une typologie pour faire ressortir les diff rentes approches de la participation voir tableau n 8 SSHURARD M 2011 La participation citoyenne au d veloppement durable l chelle locale en Europe Collection Workingpaper Aout http observatoire territoires durables org IMG pdf working paper participation citoyenne 26 08 11 pdf consult le 20 10 2013 S POLERE C 2007 La d mocratie participative tat des lieux et premiers l ments de bilan Synth se l occasion de l laboration du num ro des Synth ses Mill naire 3 sur le th me de la d mocratie DPSA URL http www millenaire3 com fileadmin user upload syntheses Polere democratie particicipative pdf consult le 17 07 2013 18BOWENG A 2007 op cit BAKER W H ADDAMS H L amp DAVIS B 2005 Critical factors for enhancing municipal public hearings Public Administration Review Volume 65 N 4 pp490 499 159 78 Chapitre II Identif
275. risant l apprentissage de nouvelles langues trang res Par exemple le site web de la ville de Paris pr voit une version anglaise et une autre espagnole pour ses articles celui de la ville de Berlin propose six 280 langues Anglais Chinois Japonais Polonais Russe et Turque celui de la ville de Tunis pr voit une version fran aise et une autre anglaise en plus de l arabe t Mais pr senter ses messages dans plusieurs langues n est pas le gage de r ussite d une communication d une ville Un slogan par exemple se traduit assez mal car il est souvent bas sur une sp cificit locale ou un jeu de mots valable seulement dans la langue maternelle de la ville Ce qui repose la question du professionnalisme de la communication de la ville I Les supports et les modes de communication de la ville Il est certain que la forme la plus officielle et la plus directe de la communication de n importe quelle organisation reste la publicit Cette derni re doit tre intelligemment con ue pour refl ter l image de la ville et soutenir ses atouts Elle peut tre d une grande 27 Site officiel de la ville de Paris http www paris fr portail accueil Portal lut page id 1 Site officiel de la ville de Berlin http www berlin de 81 Site officiel de la ville de Tunis http wWww commune tunis gov tn fr index asp 280 127 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses pa
276. roits d une mani re g n rale qui doivent entretenir des relations solides avec leurs diff rentes parties prenantes directement ou par le biais d interm diaires 1 Les outils des relations publiques sont g n ralement Les conf rences de presses les visites de journalistes les communiqu s de presse les portes ouvertes la cr ation d v nements les r ceptions les activit s de parrainage les services aux consommateurs les bulletins d informations p riodiques adapt s de TOQUER et ZINS 1999 Les relations publiques sont un des moyens de communication les plus performants pour le soutien d une communication de crise Enfin d autres moyens peuvent tre utilis s pour promouvoir une ville m me si ce n est pas toujours celle ci qui les initie Ainsi une chanson qui marque J aime Paris au mois de mai de Charles Aznavour Marseille de Patrick Fiori Sous le ciel de Paris d Edith Piaf New York New York de Frank Sinatra Alexandrie Alexandra de Claude Fran ois ou un beau po me qui parlent de la ville offrent cette derni re une nouvelle mani re de faire parler d elle La peinture et la photographie peuvent elles aussi tre un vecteur de promotion de la ville Un tableau ou une photo qui capturent un moment ou un v nement unique dans la ville peuvent tre un vrai miroir de celle ci 310 Es Ce terme anglais n a pas d quivalent fran ais pr cis on
277. rojets pr vus au niveau de leur ville 357 BENFODIL M 2014 Alg rie Les jeunes grands absent istes El Watan 8 f vrier 163 Chapitre IV L implication du citoyen alg rien dans les affaires de sa ville Exemple de la ville Tlemcen B Les facteurs d terminants de la participation Apr s avoir d limit la notion de participation nous nous proposons de cerner les d terminants de cette participation pour le citoyen tlemcenien Pour ce faire nous posons les questions suivantes TAFD PD SA PPD PDTD Tlemcen est une ville o il fait bon vivre Les gens sont fiers d habiter Tlemcen Je suis tr s attach la ville de Tlemcen Je me sens bien dans la ville de Tlemcen La ville de Tlemcen satisfait tous mes besoins de la vie quotidienne En Alg rie il y a suffisamment de textes r glementaires qui prot gent le citoyen et qui lui garantissent ses droits Les partis politiques cherchent plus l int r t de leurs adh rents que celui de la soci t en g n ral Les associations cherchent plus l int r t de leurs adh rents que celui de la soci t en g n ral Le r le des partis politiques est de d fendre les int r ts des citoyens Les lus municipaux ne sont pas toujours qualifi s pour g rer les pr occupations des citoyens Les lus municipaux n ont pas toujours la libert de prendre des d cisions ou des initiatives concernant leur commune La majorit des citoyens ont
278. ronologique les plus r cents en premiers Les blogs repr sentent g n ralement la personnalit de l auteur ou refl tent le but du site Web qui accueille le blog Le blog est la fois un moyen quasi instantan de publication d informations et une agora virtuelle Pour les collectivit s il devient un v ritable outil de modernisation de la d mocratie locale et d offre de services en ligne permettant d afficher une image r solument novatrice et d affirmer la volont d ouverture au dialogue des lus CONFINO 2006 Intranet L Intranet est l outil de communication interne par excellence Il permet le passage une administration en r seau qui g re le flux d information n cessaire la vie d une ville et 7 Ibid 300 Cit dans PERRIN C 2008 op cit 135 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes am liore la qualit des prestations envers ses habitants Les r seaux intranet peuvent constituer la fois un vecteur de d mocratie interne un outil de management et une belle opportunit de sensibiliser les agents et de les mobiliser autour des objectifs et des actions de la collectivit PERRIN 2008 2 D une mani re g n rale Internet peut constituer un support pour les autres outils de communication de la ville Les d tails d une campagne publicitaire les articles de presse les programmes t l visuels et radiophoniques
279. rs conomiques visant favoriser des implantations ou des d veloppements d activit s Un autre destination des habitants visant convaincre ceux ci de la qualit des services urbains locaux Seulement ces deux marketings ne convergent pas spontan ment car les habitants n aspirent pas d embl e au d veloppement mais plut t l am lioration constante de leur cadre de vie A ce sujet MASBOUNGI sugg re que les villes soucieuses de leur attractivit doivent d abord re donner une estime de soi l ensemble de leurs habitants pas seulement cibler ladite classe cr ative L ambiance d une ville se ressent d ailleurs pour ceux qui la d couvrent d s la mont e dans un taxi ou la r ception d un h tel 2SMEYRONIN B 2006 Marketing des services publics et marketing des territoires Vers une dynamique de r henchantement http www groupe esc rouen fr img docs aims 03 pdf consult le 12 05 2013 214 DEFFNER A LIOURIS C 2005 City marketing A significant planning tool for urban development in a globalisede conomy http www ersa org ersaconfs ersa05 papers 395 pdf consult le 12 05 2013 25 BENKO G op cit 7161 OUBIERE A 2005 Editorial La ville marketing n 344 Sept Oct 106 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes 1 3 La d marche du marketing de la ville Pendant longtemps les d cideurs et lus locaux
280. rs actions Bien que l organisation sous forme d associations ou de partis ressorte comme une composante de la participation chez le citoyen tlemcenien 13 59 de la perception g n rale de la participation seulement 13 adh reraient une association et 2 un parti politique Cette r ticence est essentiellement due un manque de confiance mais aussi d information BENFODIL 2014 consid re que si la politique politicienne ne passionne pas les citoyens et sp cialement les jeunes on aurait tort de conclure une indiff rence totale de la jeunesse alg rienne l gard de la politique Selon lui des formes d engagement citoyen apparaissent et l le plus souvent sans socle id ologique notamment dans l associatif et 370 r i S Pas seulement ceux du marketing mais aussi des urbanistes des sociologues des historiens des paysagistes 371 Plusieurs villes utilisent les TIC pour informatiser leurs bases de donn es tat civile par exemple et communiquer avec leurs parties prenantes et citoyens en particulier travers des sites web qui permettent non seulement de s informer sur l actualit s de la ville mais aussi d effectuer certaines op rations comme d clarer ses imp ts ou mettre une dol ance Certaines villes alg riennes commencent elles aussi utiliser ces techniques Par exemple le site de l APC des Eucalyptus au niveau d Alger propose pas mal d informations sur la commune
281. rtaine confusion dans les d finitions de l attachement et de l identit dans la litt rature GOUDY 1990a STINNER VAN LOOM CHUNG et BYUN 1990 O BRIEN et al 1994 Les tudes sociologiques initiales GERSON STUEVE et FISHER 1977 d finissent l attachement en termes de sentiment subjectif vers la localisation g ographique le comportement du voisinage l implication sociale et l engagement de ressources personnelles Ces dimensions ont t incluses dans la recherche psychologique de l attachement dans les r gions rurales GOUDY 1990b ainsi que dans les milieux urbains BROWN et PERKINS 1992 L attachement un lieu implique une perspective individualiste bas e sur un engagement affectif et comportemental 183 NASH N 2008 Future issues in socio technical change for UK citizenship the importance of place URL http www beyondcurrenthorizons org uk future issues in socio technical change for uk citizenship the importance of place consult le 20 03 2014 94 Chapitre Il Identification et implication des parties prenantes Ainsi il est prouv que les personnes qui ont r sid dans une ville le plus longtemps ont tendance avoir les plus hauts indicateurs d attachement celle ci KASARDA et JANOWITZ 1974 ROWLES 1990 GOUDY 1990a SAMPSON 1988 Aussi la qualit de vie est souvent associ e l attachement un lieu de vie Elle est en lien avec la proximit la gestion du quot
282. rties prenantes envergure destin e essentiellement aux touristes et investisseurs ou locale qui porte sur des th mes de la vie quotidienne s curit routi re d chets 2 La campagne publicitaire peut avoir plusieurs supports et tre renforc e par d autres modes de communication I 1 Les supports de communication de la ville La ville peut compter sur une palette de moyens notamment ceux offerts par les TIC Certains outils sont exclusivement au service de la communication de la ville brochures d pliants site web de la ville affichage d autres peuvent parfois nuire la r putation de la ville cha nes de TV priv es journaux blogs forums moins qu elle sache les mobiliser en sa faveur A Les supports crits Les supports crits peuvent tre dit s par la ville ou par les tiers Tableau 12 Les supports crits de la communication de la ville Supports dit s par la ville Supports dit s par les tiers Brochures et d pliants informant sur les d marches Journaux quotidiens hebdomadaires et les services offerts guide la ville Magazines revues Panneaux lectroniques Autres publications p riodiques Courriers d information travaux invitations Livres et romans Journaux et bulletins municipaux Source La communication des collectivit s territoriales 2008 http lavigie ublog com lacompublique files Lecon4ComTerrit
283. s degr s de la participation 78 B Typologie bas e sur la nature de la participation selon le sens du flux de la communication 82 C Typologie bas e sur une approche th orique 84 D Typologie bas e sur les objectifs souhait s de la participation 84 11 3 Les m canismes d implication des parties prenantes 87 A Les outils d participation assiette deteste tisres a R 88 B Formation et empowerment isre i a i a a inia iai irio Eie 90 Ill Les d terminants de l implication citoyenne ssssssnsseseessesesssenerssernnsserenssennnssernnssernnsserenssee 93 II 1 Lattachement la ville voir si on ajoute un peu 93 111 22 AUtres facteurS r rate dfesretsrenanierenestereen rdegr nn ressent ann ter ons done ia en terne 95 Conclusion du chapitr is he trim nn Mn dm ae re en nn ane ren nent 97 Chapitre III Le r le du marketing de la ville dans l implication de ses parties prenantes 98 Introduction du Chapitre msi a aaaea aai aaa aaa aaa iaoa ie ia iE Kaaa 99 i L mark ting d laville nsista pariani a e a a e ak fn ae 100 1 1 Pourquoi la ville a t elle besoin du marketing 101 A Mondialisation et concurrence sise 101 B La revalorisation du local sise 101 C La rapide volution des outils de communication ssss nsseneesseneesseoensseneesseneessrnesseresssereeno 102 D Une nouvelle tape dans l volution du marketing 103 1 2 Essai de d finition du marketing de la vill
284. s les grands projets urbains Cybergeo European Journal of Geography Online Regional and Urban Planning URL http cybergeo revues org 25310 lang en consult le 27 07 2013 Ji FAO New approaches to participation in fisheries research URL http www fao org docrep 007 y1127e y1127e04 htm consult le 27 07 2013 2BOWEN G A 2007 op cit 70 Chapitre II Identification et implication des parties prenantes La participation est d finie comme un processus par lequel les individus les groupes et les organisations choisissent de prendre un r le actif dans la prise des d cisions qui les concernent WANDERSMAN 1981 WILCOX 2003 ROWE et al 2004 Et c est cette derni re d finition que nous retenons pour la suite de ce travail Une d finition qui nous permet de faire la liaison avec un autre concept qui est l implication car elle souligne la volont des individus participer activement dans les questions qui les concernent qui sous entend aussi une ouverture de la part des organismes publics pour permettre cette participation En outre Les approches sur la participation des parties prenantes ont progress suivant des phases assez distinctes la simple sensibilisation la fin des ann es 1960 VAN TATENHOVE et LEROY 2003 l int gration des perspectives locales dans la collecte des donn es et la planification dans les ann es 1970 PRETTY 1995 le d veloppement de techniques qui reconnai
285. s personnes se situent dans la ville sur des march s qui leur sont moins fluides que pour les entreprises les choix des personnes dans le domaine personnel et professionnel sont moins contr l s que ceux des entreprises Choisir une r sidence par exemple d pend de l inertie de l offre et des effets de seuil dissuasifs entre une cat gorie de logement et une autre Du coup le citadin est moins libre que l entreprise de satisfaire ses int r ts dans la ville A Usager citoyen et consommateur VILLENEUVE J P 2005 propose une synth se permettant de distinguer les diff rents acteurs de la ville et leur r le se basant sur un ensemble de crit res Tableau 7 Les diff rents r les du citadin Citadin Administr Usager Client Partenaire Assujetti Co producteur Concepts cl s Autorit Service R activit Solidari

Marketing de la ville et implication de ses parties

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