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Le Service public de Wallonie

1. M Yvon LOYAERTS Directeur g n ral BOULEVARD DU NORD 8 8 B 5000 NAMUR T L 081772680 FAX 081 77 37 60 66 ORGANIGRAMME DE LA DGO 2 CELLULE FERROVIAIRE D PARTEMENT DE LA STRAT GIE DE LA MOBILIT DIRECTION DE LA PLANIFICATION DE LA MOBILIT DIRECTION DE LA R GLEMENTATION ET DES DROITS DES USAGERS DIRECTION DES IMPACTS CONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX DIRECTION DE LA PROMOTION DES VOIES NAVIGABLES ET DE L INTERMODALIT D PARTEMENT DES TUDES ET DE L APPUI LA GESTION DIRECTION DES TUDES TECHNIQUES DIRECTION DES RECHERCHES HYDRAULIQUES DIRECTION DE LA GESTION HYDROLOGIQUE INT GR E DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DELA MOBILITE ET DES VOIES HYDRAULIQUES DEPARTEMENT DE L EXPLOITATION DU TRANSPORT DIRECTION DU TRANSPORT DE PERSONNES DIRECTION DE L EXPLOITATION A ROPORTUAIRE DIRECTION DE L A ROPORT DE CHARLEROI DIRECTION DE L A ROPORT DE LIEGE D PARTEMENT DES VOIES HYDRAULIQUES DE L ESCAUT DIRECTION DES VOIES HYDRAULIQUES DE TOURNAI DIRECTION DES VOIES HYDRAULIQUES DE MONS DIRECTION DE LA GESTION DES QUIPEMENTS DES VOIES HYDRAULIQUES DE L ESCAUT SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI DIRECTION DE LA GESTION DES VOIES NAVIGABLES D PARTEMENT DES VOIES HYDRAULIQUES DE NAMUR DIRECTION DES VOIES HYDRAULIQUES DE CHARLEROI DIRECTION DES VOIES HYDRAULIQUES DE NAMUR DIRECTION DE LA GESTION DES QU
2. LA COMP TITIVIT L INNOVATION Le d partement de la Comp titivit et de l Innovation offre un p le d expertise dans les domaines conomique juridique et des politiques europ ennes Sa mission est de maximiser les synergies entre les politiques d attractivit du territoire d investissement et d innovation et de soutien la cr ativit et l esprit d entreprise en Wallonie Il s inscrit au c ur du Plan Marshall 2 Vert et s appuie sur le cadre europ en Strat gie Europe 2020 notamment en mati re de politiques d entreprises de march int rieur et de concurrence ainsi que pour l acc s aux moyens financiers dela politique de coh sion travers les fonds structurels europ ens L action de ses trois directions r pond aux objectifs suivants e am liorer la connaissance de l environnement conomique e d velopper des approches pour anticiper et r pondre aux effets des grandes tendances qui p sent sur le tissu conomique wallon e proposer de nouvelles approches en mati re de politique industrielle r seaux d entreprises innovation coop ration internationale diff renciation et cr ativit e participer activement l int gration de la Wallonie dans l espace europ en par le benchmarking la transposition de bonnes pratiques et des directives l laboration de positions dans les d bats europ ens e am liorer l octroi d incitants financiers aux entreprises en proposant des d
3. Les travaux a plateforme multimodale de Vaulx ont repris en mars 2013 Elle va b n ficier de six boxes couverts de stockage de produits en vrac et d une zone de manutention de conteneurs et de produits dits lt indivisibles Le projet de modernisation des barrages de Papignies et de Deux Acren s est poursuivi en 2013 Les travaux devraient d buter en 2014 Papignies et les tudes pour la construction du barrage de Deux Acren seront initi es L objectif poursuivi est de limiter les risques d inondation dans les communes d Ath et de Lessines Quelques r alisations en bref Le terminal trimodal de Garocentre La Louvi re a accueilli ses premiers conteneurs en 2013 Un p le d attraction pour les entreprises cherchant un acc s l eau ou au rail Sur le canal du Centre historique l cluse de Thieu a t enti rement automatis e C est une premi re en Wallonie L inauguration a eu lieu en mars 2013 Harchies la DGO 2 a proc d en juin 2013 la d licate d molition d un pont routier dit bielles ou b quilles tendues C est la dixi me op ration du m me type en dix ans s agit de ponts jug s irr parables et qui doivent donc tre enti rement reconstruits R novation de trois barrages sur la Basse Sambre les superstructures des barrages de Mornimont et Salzinnes ont t remplac es respectivement en 2012 et 2013 Le remplacement de la superstructure du barrage d Auvelais est quant e
4. L objectif du d partement est d assurer la l galit de l action publique wallonne et l efficience de l activit juridique du SPW L ann e 2013 a surtout t l ann e de la d finition du plan strat gique du Secr taire g n ral et des 20 objectifs fix s pour le d partement Si les projets d velopper concernent principalement la direction du Support juridique les trois directions sont n anmoins concern es par une mise plat de leurs proc dures de travail huit processus de travail ont ainsi t tablis en 2013 quatre DCG un DMP et trois DSJ Dans ce cadre le d partement a pr par son projet de catalogue de services diffus aupr s des clients du SPW pour remarques et avis Relevons galement l adoption en 2013 d un accord SLA avec la DGO 3 qui explicite ce que les deux entit s attendent l une de l autre Ce document pr voit notamment une r flexion commune en mati re de gestion des contentieux li s la responsabilit extra contractuelle et une collaboration troite dans l alimentation de nos banques de donn es JURIWAL et WALLEX LE CONTENTIEUX GENERAL Au cours de l ann e 2013 l activit de la direction du Contentieux g n ral DCG a surtout t marqu e par l attribution du 2 march public avocats Depuis le 1 juillet 2013 et except pour la province de Li ge les d signations d avocats se font pour la direction sur base de listes communes au SPW Cela a induit une
5. ES e 1 j P E 8 c O lis y N E 4 k A Exercice sur le th me de la co construction lors des Rencontres de la qualit au minist re de l conomie et des Finances Paris Bercy spw DGO 7 COORDONNEES DE CONTACT DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DELA FISCALITE M PATRICK MEURICE DIRECTEUR G N RAL ADRESSE DE CONTACT AVENUE GOUVERNEUR BOVESSE 29 B 5100 NAMUR JAMBES POUR TOUTE INFORMATION T L 32 0 81 33 03 28 FAX 32 0 81 33 02 01 LE SITE INTERNET http www wallonie be fr comp tences fiscalite SPW e RAPPORT D ACTIVIT S 2013 SPW e RAPPORT D ACTIVIT S 2013 128 SPW e RAPPORT DACTIVITES 2013 129 RAPPORT D ACTIVIT S 2013 SPW ditions Secr tariat g n ral D partement de la Communication Direction de l Identit et des Publications Place Jos phine Charlotte 2 5100 Namur diteur responsable Claude DELBEUCK Secr taire g n ral Supervision Jacques MOISSE Inspecteur g n ral R daction Secr tariat g n ral Directions g n rales du Service public de Wallonie Conception Ligne ditoriale Jacques VANDENBROUCKE Annie SCHANDELER Sofia LEMA TRE Graphisme Nathalie LAMBRECHTS Impression BIETLOT IMPRIMERIE Diffusion SPW Secr tariat g n ral Direction de la Communication externe Direction de l Identit et des Publications D p t l gal D 2014 11802 60 Publication gratui
6. En 2013 la direction a assur l ensemble des activit s li es ces missions dans un contexte particulier En effet en date du 1 f vrier 2013 une restructuration importante du cadre organique a amen les services de la DGT 1 direction g n rale transversale du Personnel et des Affaires g n rales rejoindre ceux du Secr tariat g n ral faisant d sormais partie int grante de celui ci Les deux DFA ont donc fusionn et la premi re mission de la nouvelle DFA ainsi cr e a bien s r t l int gration des deux quipes et l harmonisation de plusieurs proc dures d organisation internes au Secr tariat g n ral LE SERVICE SUPPORT LA GESTION CELLULE AVANTI Le principal projet port par la cellule AVANTI en 2013 a t sans conteste l actualisation du Plan strat gique AVANTI Ce plan est d sormais structur en trois grandes cat gories d objectifs Management M tier et Support Cette d marche d actualisation a par ailleurs permis de viser l exhaustivit des orientations strat giques garantissant la d clinaison des objectifs des plus strat giques aux plus op rationnels jusqu la planification individuelle pour couvrir l ensemble des missions du Service public de Wallonie De plus la poursuite des projets So veg un lan partager PLAN STRAT GIQUE DU SERVICE PUBLIC DE WALLONIE Proposition adapt e suite au Comit Strat gique du 6 juin 2013 d am liorations AVANTI impul
7. La direction g n rale op rationnelle des Pouvoirs locaux de l Action sociale et de la Sant DGO 5 exerce quatre m tiers savoir e contr ler e conseiller agr er e subventionner Ces m tiers s exercent autour des trois piliers centraux de la DGO 5 les Pouvoirs locaux l Action sociale et la Sant Dynamique projet et mise en place d une Communaut des chefs de projets La Communaut des chefs de projets CCP a t cr e en mars 2012 suite une vaste op ration visant mettre en place au sein dela 5 une v ritable Dynamique projets La CCP se r unit trois fois par an Elle est compos e de tous les agents Pouvoirs locaux Action sociale et Sant ayant dans leurs missions la r alisation d un ou plusieurs projets En 2012 les travaux de la CCP ont abouti la r daction de fiches projets et la constitution de la matrice qui reprend les interd pendances des diff rents projets de la DGO 5 En 2013 la CCP a produit pour le Comit de direction un vaste rapportage de l tat d avancement de tous les projets via les fiches bilans V ritable lieu d change la CCP est un outil compl mentaire la mise en place d une v ritable transversalit POUVOIRS LOCAUX Programme Strat gique Transversal 102 Prevu DPR 2009 2014 le plan strat gique communal coordonne et f d re les diff rentes politiques sectorielles de la vie communale plan communal de
8. Le compte Twitter vivrelawallonie compte 864 followers d cembre 2013 Ce compte Twitter est davantage orient vers les relais d opinion les journalistes et les comptes Twitter des Services publics wallons Les foires et salons La direction dela Communication externe s est montr e activement pr sente lors de diverses manifestations au cours de l ann e 2013 Elle a particip ou coordonn un grand nombre d v nements notamment le Salon des Mandataires au Wex Marche en Famenne la foire du livre Bruxelles la F te nationale Bruxelles le salon ducation Charleroi les F tes de Wallonie Elle est galement un support important pour les autres directions du SPW en assurant notamment un soutien logistique Quelques grandes campagnes ele d partement de la Communication a r alis trois spots t l vis s pr sentant les missions du SPW et les Espaces Wallonie Ces spots ont t diffus s sur la Une et la Deux dans les salles de cin ma et sur le web e lapromotion des mesures du Plan Marshall 2 Vert s est poursuivie notamment par la diffusion de livrets sur des actions phares Wallangues primes habitat et cr er son entreprise d informations sur le site web et de capsules vid o dans la continuit de la campagne de 2012 lt Toujours plus haut gt en collaboration avec le cabinet du Ministre Pr sident du Gouvernement wallon le d partement de la Coordination des Fonds structurels du SPW l Age
9. Le d partement veille ce que les conditions l gales et financi res auxquelles doivent r pondre les donn es et les services mis la disposition des utilisateurs via l infrastructure de diffusion soient satisfaisantes De nombreuses consultations ont eu lieu pour la d signation du Comit strat gique de la G omatique tel que prescrit par le d cret InfraSIG Ce comit a t mis en place parle Gouvernement wallon le 26 septembre 2013 Par ailleurs les tudes initi es en 2012 ainsi que l enqu te en ligne de type Delphi ont aliment un atelier de 150 personnes d di la pr paration du Plan strat gique de la G omatique pour la Wallonie qui fut approuv par le Comit strat gique de la G omatique le 13 d cembre 2013 Plusieurs centaines de remarques et commentaires ont t collect s et incorpor s au plan avant son approbation Repr sentation de la Wallonie au niveau r gional interr gional national et international En 2013 les activit s de la DIG pour la repr sentation de la Wallonie se sont exprim es travers la participation au Comit belge de coordination INSPIRE et la comitologie INSPIRE la participation au groupe de travail belge des m tadonn es la participation divers v nements de la communaut g omatique wallonne belge ou internationale participation des r unions de travail avec les instances f d rales Institut g ographique national IGN Administration g n rale
10. a Commission des Arts a octroy des subventions pour un montant total de 10 000 au parcours d art actuel Fluide Thuin au projet photographique Retour aux sources a Fl malle Engis et Seraing l installation d une oeuvre d Olivier Bovy dans le cadre de l art est dans la place Wanze et l initiative Leuz Arts Nature Leuze en Hainaut Sculpture musicale Hymne d Olivier musiques de Jean Marc Lissens Wanze 2013 Centre culturel de Wanze Bovy LE CENTRE R GIONAL DE CRISE CRC W Les missions et r les du CRC W D finis par le Gouvernement wallon et adapt s en fonction des besoins les missions et les r les du Centre peuvent tre synth tis s de mani re non exhaustive comme suit interface entre les autorit s f d rales en charge de la planification d urgence et de la gestion de crise et les d partements du Service Public de Wallonie concern s par ces mati res interlocuteur officiel et unique de la Wallonie aupr s des instances f d rales de crise CGCCR gouverneurs communes etc e informateur du Gouvernement en situation de crise ou sa demande organe de coordination strat gique pour la mise en uvre de plans d intervention au niveau r gional ou en collaboration avec d autres niveaux de pouvoirs relations avec les autorit s transfrontali res Zones de D fense pr fectures dans le cadre de la mise en oeuvre de proc dures d intervention dans les mati
11. celle de l laboration des arr t s d ex cution et de la mise en oeuvre des mesures nouvelles Le Code ainsi devenu Code wallon du Logement et de l Habitat durable a ainsi vu ses quatre objectifs structurant la r forme se concr tiser progressivement processus d ailleurs encore inachev placer le locataire au c ur du logement public et red finir des conditions d acc s et les modalit s de fonctionnement pour tenir compte de nouvelles pr carit s et d une n cessaire mixit sociale accompagner les habitants dans leur parcours locatif et les inclure de mani re participative dans la gestion du secteur e am liorer l offre de logement augmenter quantitativement le parc en facilitant la mise en uvre des projets notamment dans le cadre de l ancrage communal am liorer la qualit des logements par une approche plus durable int grer davantage les besoins des populations concern es renforcer l action des communes e renforcer les moyens d action des soci t s de logement de service public et am liorer l efficience du secteur r organiser le financement des op rations revoir le calcul des loyers et diminuer les impay s augmenter le niveau de comp tences et les ressources des op rateurs e am liorer l image du logement public pour dynamiser le secteur assurer la promotion du secteur et de ses apports soci taux encourager les changes avec les autres composantes de la soci t Am
12. d une part au rassemblement des donn es d adresses disponibles au SPW donn es PICC au cadastre et au registre national en une base de donn es authentiques unique des donn es d adresses g or f renc es d autre part mettre la disposition des administrations communales et des autres partenaires du projet une plateforme d change d informations relatives aux adresses ajout suppression modification demande de v rification ou de correction etc Suite la phase d tude technique et juridique pr alable aux d veloppements de cette plateforme une analyse d taill e a eu lieu qui abouti la livraison d une premi re version d application en test actuellement avec les donn es re ues du registre national Parall lement un march d aide au d ploiement de l application dans les 262 communes a t pass L objectif de ce march est de veiller l information et la formation des agents communaux amen s utiliser l application et offrir des services permettant une utilisation optimale de l application 28 e depuis le 1 janvier 2013 les corrections du r seau WALCORS ne sont plus d livr es gratuitement aux utilisateurs auto guid s principalement les agriculteurs et les entreprises de travaux publics En effet la forte croissance de cette cat gorie d utilisateurs ces derni res ann es risquait court terme de saturer le r seau Des conventions ont t sign es avec deux so
13. diverses commissions et des comit s f d raux tels que la Base documentaire f d rale ou le Comit scientifique sur le budget conomique de l Institut des comptes nationaux etc Ses collaborateurs dispensent galement des cours pour former le personnel des services r gionaux en mati re de finances publiques et d utilisation d outils informatiques budg taires comptables GCom Business objects R pertoire r gional wallon etc 44 de la R gion wallonne Budget initial 2013 D Parierment du CHARPENTE Tarte B Budget logistique et technologie de lr informalion et de E communication Dates 44 B Mobit ci voies hycirauliques BAGUE ressources ues et enyironnemment 3 Am nagement du lernteine 8 parer er nergie WB Paris locaux acti n socie ei sant DE empleo 61 recnercne I Fiscalit Beiohtinancementbs europ ens D Provision interd sparbementale pour be Pian Marshal 2 vert el ON mmlws LE D PARTEMENT DE LA COMPTABILIT Le d partement de la Comptabilit a pour missions d une part de permettre l ex cution du budget des d penses du SPW par les directions op rationnelles et d autre part d tablir les documents qui permettront au Gouvernement de rendre compte de cette ex cution aupr s du Parlement wallon Ces activit s sont contr l es par la Cour des comptes qui sous l impulsion du l gislateur a
14. la restauration et la protection de la biodiversit et enfin la transition nerg tique Pour faire face ces d fis la strat gie contient un plan d actions Deux d entre elles ont d marr en 2013 Fe LH li 5 ABT g lt la mise en place d une cellule autonome d avis en mati re de d veloppement durable l organisation d un processus participatif visant mobiliser les citoyens sur la 1 SWDD Ce processus est galement destin alimenter le prochain Gouvernement wallon dans le cadre de l laboration de la future 2s strat gie 30 CONTRIBUTION PLUSIEURS INITIATIVES DE PROMOTION DU D VELOPPEMENT DURABLE Des crit res de d veloppement durable ont t introduits dans les appels a projets en mati re de soutien de la recherche du d veloppement et de l innovation en Wallonie lanc s par la DGO 6 Le d partement est charg d analyser et d valuer les r ponses relatives ces crit res dans les dossiers introduits et de participer au pr jury et au jury Le d partement a ainsi particip en 2013 quatre appels projets En ce qui concerne les appels projets Biodibap visant promouvoir des r alisations favorisant la diversit biologique aux abords des b timents publics le d partement a particip activement au suivi des 219 projets retenus dans le cadre des appels lanc s en 2011 et 2012 Le d partement a contribu en collaboration a
15. pour la fin de l ann e 2014 T l travail l adaptation de la proc dure d octroi et des outils de suivi du t l travail ont permis de traiter 224 dossiers de candidature 187 dossiers ont t retenus par les CODI et 133 autorisations de t l travail ont t d livr es pour l ensemble de l ann e 2013 Ces autorisations portent 485 le nombre de fonctionnaires en situation de t l travail au cours de l ann e 2013 R seaux RH La direction des Ressources Humaines a organis des groupes de travail et des s ances d information afin de r pondre la n cessit d un lieu de concertation decommunication etde partage de bonnes pratiques en mati re de ressources humaines C est ainsi que et des OIP Cette initiative se verra compl t e par le ex sensibilisation et conseils relatifs l accueil de x m JA les r seaux HE t cr s Ceux ci permetren nouveaux collaborateurs en situation de handicap Eee vis ot S er de faire face aux modifications op r es en termes ou de stagiaires trangers celui de la carri re ex KU eO T IE de processus et de proc dures suite aux transferts conciliation vie professionnelle vie priv e par TS iset des comp tences et assurent une coh rence dans l extension du t l travail celui de la formation SON C la gestion des ressources humaines au sein du SPW des valeurs et de la culture d entreprise ex int gration d une th matiqu
16. 2013 2 769 jeunes engag s 251 projets 209 communes 174 CPAS 31 SLSP 6 net heure de salaire pour les jeunes e 1 2 million mobilis s e trois d partements r gionaux financent le dispositif 3 Le Plan Habitat Permanent Le Plan Habitat Permanent vise favoriser l galit des chances et des droits pour tous les habitants de Wallonie dans une d marche de co construction des solutions destin es maitriser l volution de l habitat permanent d velopper l offre de logements et accompagner les habitants permanents sur une base volontaire Le Plan HP en quelques chiffres 2013 e 28 communes 8 512 r sidents permanents concern s 81 96 des r sidents permanents concern s 1 666 m nages relog s e 2 4 millions mobilis s e toutes les comp tences r gionales impliqu es Plus d infos http cohesionsociale wallonie be LA CELLULE DE L AUTORIT DE CERTIFICATION LAutorit de certification est l une des trois autorit s d finies par les R glements europ ens formant ensemble la colonne vert brale des syst mes de gestion des Fonds structurels Dans le cadre des Fonds europ ens de d veloppement r gional FEDER l Autorit de certification est l l ment pivot de la structure car elle fait le lien entre la Wallonie et la Commission europ enne notamment pour les aspects financiers Elle occupe une position centrale de collationnement et de traiteme
17. Ss Part Aides du second pilier par axe Part FEADER Se Montant total r gionale AXE 1 AM LIORER LA COMP TITIVIT DU SECTEUR AGRICOLE ET FORESTIER AXE 2 AM LIORER L ENVIRONNEMENT ET LES CAMPAGNES 9 056 924 14 349 581 23 406 505 AXE 3 QUALIT DE VIE DANS LES R GIONS RURALES ET DIVERSIFICATION DE L CONOMIE 388 222 388 222 776 444 RURALE AXE 4 LEADER 2 495 088 2 495 086 4 990 174 AXE 5 ASSISTANCE TECHNIQUE 474 749 474 749 949 498 S A Part Principales aides 100 96 r gionales AC Montant total r gionale FIA 4 337 632 4 337 632 Mesures agro environnementales 31254416 31254416 Aides NATURA 377 008 377 008 Part Aides FEP Part FEP See Montant total r gionale Axe prioritaire 3 mesures d int r t commun 324 298 324 298 648 596 Axe prioritaire 5 assistance technique 62 800 62 800 125 600 COORDONN ES DE CONTACT Direction g n rale op rationnelle de l Agriculture des Ressources naturelles et de l Environnement DGO 3 Jos RENARD Directeur g n ral a i ADRESSE DE CONTACT Avenue Prince de Li ge 15 5100 Namur Jambes POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 33 51 31 Fax 32 0 81 33 51 22 LES SITES INTERNET http agriculture wallonie be http environnement wallonie be 89 90 M Ghislain GERON Directeur g n ral RUE DES BRIGADES D IRLANDE 1 B 5100 NAM
18. WIFI En novembre 2013 un projet d upgrade des connexions WAN de 89 petits sites du SPW a d marr permettra des vitesses d acc s de 2 4 ou 10 Mbps en fonction du nombre de PC par site Les 11 Espaces Wallonie du SPW ont t r nov s au niveau du LAN de l quipement WIFI de l am lioration des acc s au WAN et de l am lioration de la s curit des acc s Internet des citoyens En mati re de t l phonie la DEX a poursuivi une importante mise jour de l infrastructure centrale de t l phonie sur IP VOIP Un grand nombre de batiments ont t migr s de la t l phonie classique vers la t l phonie sur IP avec en ligne de mire l augmentation des fonctionnalit s disponibles mais aussi r duction des co ts de communications Fin 2013 c est un peu plus de 7 000 t l phones et plus de 400 fax qui sont enregistr s dans les serveurs de t l phonie VoIP Cisco permettant aux utilisateurs de communiquer par la voix en utilisant les r seaux de donn es du SPW sans co t de communications entre les postes du SPW qu ils soient fixes ou mobiles Enfin un march public relatif la fourniture de terminaux mobiles communicants GSM smartphone et tablettes et de leurs accessoires a t attribu Ces quipements sont repris dans un catalogue r visable p riodiquement afin de suivre les volutions du march Outre un mat riel diversifi prix comp titif le march offre galement un c
19. avec tous les acteurs concern s Cette rencontre a permis de mieux appr hender les attentes des uns et des autres et de progresser ensemble dans l laboration d un programme d actions Plans communaux de mobilit existe en Wallonie diff rents types de Plans de mobilit 115 peuvent tre communaux intercommunaux urbains ou provinciaux Leur philosophie est la m me ces documents cherchent favoriser l accessibilit qu on dit multimodale int gr e aux diff rents lieux de vie et d activit Sont ligibles pour laborer leur Plan de Mobilit les communes qui comptent en leur sein un Conseiller en Mobilit et qui acceptent de financer une partie de l tude Celle ci se d coupe en trois phases un diagnostic de la situation existante la d finition d objectifs et un programme d actions concr tes la fin 2013 l on totalisait 98 Plans Communaux de Mobilit initi s et suivis par la DGO 2 Une commune sous Plan de mobilit peut r pondre l appel projets cr dits d impulsion qui visent mettre en ceuvre le volet modes doux du PCM Par ce biais les autorit s r gionales couvrent 75 96 du co t des projets En 2013 3 4 millions sont ainsi venus soutenir les efforts des communes pour largir les trottoirs cr er des pistes cyclables ou encore sur lever des passages pour pi tons Plan Wallonie cyclable En 2013 la DGO 2 a poursuivi la mise en ceuvre du Plan Wallonie Cyclable L
20. cembre 2012 1 septembre 2013 mars 2013 juin 2013 2013 Le d partement de la Tr sorerie en chiffres d cembre 2013 SP 1 o lt 2009 2010 2011 2012 2013 La direction des Recettes La direction du Contentieux de la tr sorerie un effectif de 37 personnes 34 70 quivalents temps plein un budget d penses d dicac de 261 8 millions affect pour l essentiel au paiement des charges de la dette une dette r gionale directe de 6 1 milliards une dette garantie premi re demande de 6 0 milliards un centralisateur qui a ex cut 184 694 paiements pour un montant total de plus de 7 2 milliards une direction des Recettes qui a trait 7 650 droits constat s a encaiss et imput 14 356 recettes pour un montant total imput de 7 6 milliards 13 952 paiements effectu s par le centralisateur ont t g r s par le service du contentieux pour un montant de 91 18 millions 4 un encours contentieux de 25 7 millions au 31 d cembre 2013 2 069 paiements ont t g r s par le service des fonds en souffrance pour un montant de 13 8 millions Droits constat s Contribution moyenne des OIP la centralisation des tr soreries en 2013 1 41 milliard AUTRES CRAC 12 24 0 SPAQUE 7 SOWAFINAL 9 LE DEPARTEMENT DES TECHNOLOGIES L INFORMATION ET DE LA COMMUNICAT
21. d localisation des capitaux des emplois et bien entendu des entreprises Afin de pouvoir b n ficier de la mesure l entreprise doit r pondre certaines conditions qui sont examin es la demande pour la phase octroi et apr s une p riode de cinq ans pour la phase maintien En 2013 le service octroi a r ceptionn 998 nouvelles demandes d application du taux r duit ce qui repr sente une augmentation de plus de 7 96 par rapport 2012 1 090 attestations d octroi ont t d livr es En ce qui concerne le service maintien celui ci a r ceptionn 168 dossiers en 2013 Ce service a galement t charg de l ex cution des nouvelles dispositions pr vues par l article 55 quater du Code des droits de succession visant accorder un avantage en mati re de droits de succession pour les h ritiers de victimes d actes de violence disposition voulue par le l gislateur suite aux v nements tragiques survenus Li ge en 2012 LE D PARTEMENT DU RECOUVREMENT Le d partement du Recouvrement a pour mission la perception et la comptabilisation des recettes fiscales ainsi que l ensemble du recouvrement des taxes g r es par la DGO 7 qui demeurent impay es C est au sein de ce d partement que sont affect s les receveurs des imp ts et taxes wallons qui veillent la bonne perception des taxes tablies Le d partement g re galement la perception et le recouvrement de la taxe sur le d versement des
22. d audit d l gu e pour le Fonds europ en de la p che FEP ont galement t men s en 2013 Pour ces derniers il s agit d une mission compl mentaire attribu e au d partement en dehors du plan d audit initialement valid par le Comit d audit De plus la demande du Secr taire g n ral un audit blanc de la proc dure de certification ISO 9001 2008 a t entam cette m me ann e Le d partement a poursuivi le d veloppement de sa m thodologie d audit sur base d ouvrages de r f rence et de normes internationales reconnues en la mati re avec notamment la cr ation d un manuel d audit et de mod les de documents L Audit des Fonds europ ens Pour la programmation 2013 2020 sur base des chantillons principaux et compl mentaires de l ann e 2013 concernant des d penses certifi es la Commission europ enne en 2012 le d partement a r alis les audits de 30 projets pour les programmes Convergence et Comp titivit et emploi 8 projets pour Interreg France Wallonie Vlaanderen 3 projets pour Interreg Grande R gion Le montant total des d penses publiques auditer en 2013 contributions nationale et europ enne tait d environ 50 millions Par ailleurs le d partment a r alis deux missions de conseil La premi re concernait l Autorit de certification du SPW La seconde concernait une demande d avis sur une modification de statut d une ASBL Le suivi des recommandations figurant
23. es services SOA offrant plus de perspectives de r utilisation et pour proposer ainsi des dossiers d architecture plus complets dans le cadre de certains projets Elle a diversifi et tendu ses activit s au niveau de l architecture technique en r alisant des analyses ATAM Architecture Tradeoff Analysis Method de certaines applications au niveau de l architecture m tier ou d entreprise en r alisant les premi res tudes cibl es d urbanisation du syst me d information visant optimiser la couverture informatique des besoins et processus m tier e au niveau de l architecture de l infrastructure en analysant en particulier les techniques de virtualisation et en proposant des recommandations relatives l int gration s curis e des tablettes num riques dans le parc des quipements connect s au r seau SPW e au niveau de l architecture des donn es am liorant le r f rentiel de donn es du SPW RSPW notamment au niveau des donn es BCE Banque carrefour des entreprises et BNB Banque nationale de Belgique Elle a galement labor les mod les de donn es de r f rence pour la BCED et en particulier pour le CENM cadastre de l emploi du non marchand et a contribu activement la mise en ceuvre de divers projets de flux de donn es tout au long de l ann e Dans le domaine de la s curit elle a poursuivi le d ploiement de Gestia Syst me de Gestion des Identit s et des
24. l avis du Conseil d tat Toutefois la Commission Parlementaire n a pas pu l int grer dans son programme Ceci signifie qu il reviendra au prochain ministre de d cider du sort de ce projet Au niveau des outils qui entourent le d cret sols 2013 a marqu la publication officielle du Code Wallon de Bonnes Pratiques CWBP qui a aussit t fait l objet de plusieurs formations La publication du CWBP a permis d instruire des tudes d Orientation des tudes de Caract risations et des Projets d assainissement Du renfort avec un nouveau service g ologique Les R gions ont h rit de la gestion des ressources de leur sous sol et leurs eaux souterraines mais aussi des aspects scientifiques li s ces comp tences La r gionalisation du Service g ologique de Belgique SGB qui aurait d en tre la cons quence n a cependant toujours pas eu lieu Son rattachement l Institut royal des Sciences naturelles de Belgique en 2002 l a r orient vers la recherche scientifique et la publication abandonnant ainsi ses anciennes missions de service public En parall le la r vision de la Carte g ologique de Wallonie a d but en 1990 l initiative du SPW Si sa publication est pr vue pour 2024 le projet s est d ores et d j enrichi des Th matiques Sous sol exploitations souterraines gites miniers karst glissements de terrains radon et contraintes associ es etc En cons quence fin juin 2013 le Gouvernement
25. paysages faune et flore produits wallons sont mis en valeur Des ouvrages En 2013 le d partement a publi une brochure intitul e Wallonie mode d emploi qui a pour but de mieux faire comprendre l implication de l institution r gionale dans la vie quotidienne des Wallons tout en mettant leur disposition certaines informations utiles ainsi qu un ouvrage sur l histoire du Canal Albert et une brochure sur l historique de la composition des gouvernements de la R gion wallonne de 1968 2013 Le M rite wallon Le d partement assure le secr tariat du M rite wallon qui depuis 2011 consacre la reconnaissance des autorit s wallonnes envers toute personne physique ou morale dont le talent ou le m rite fait honneur la Wallonie dans une mesure exceptionnelle et contribue son rayonnement tout en ayant valeur d exemple En 2013 les distinctions du M rite wallon ont t d cern es 27 personnalit s actives dans les domaines de l conomie entreprise du socio conomique et du social de la recherche de la culture de l engagement soci tal ou wallon de la politique et du sport La banque Images La banque de donn es mages comprend actuellement plus de 10 000 photos qui concernent la Wallonie travers les th matiques les plus vari es Cette banque d images a une vocation historique informative et illustrative Parmi les photos ajout es la banque mages en 2013 citons deux vues panorami
26. tariat est le notaire de ses s ances r daction des proc s verbaux e d autre part le Secr tariat remplit des missions de gestion administrative et mat rielle du Conseil et de ses organes lesquelles impliquent notamment l conomat l informatique la bonne tenue des locaux la comptabilit ainsi que l organisation des r unions et l optimisation du fonctionnement de l institution dans le cadre de ses relations avec ses membres et ses interlocuteurs institutionnels Cette mission se concr tise galement par la distribution des documents les convocations et l archivage Au cours de l ann e 2013 le Conseil a tenu 8 s ances et a rendu 49 avis sur des sujets aussi divers que le march de l lectricit la politique de l eau les voiries communales le code wallon de l action sociale le code de la d mocratie locale le logement les d chets le CWATUP le code wallon de l agriculture le Plan Marshall 2 Vert et le d veloppement rural T sen 5 h dmt LA COMMISSION DES ARTS DE WALLONIE CAW La CAW met des propositions motiv es en mati re d int gration d oeuvres dans les infrastructures difi es par la Wallonie Son champ d action s tend l ensemble des investissements en ce compris les pouvoirs subordonn s subventionn s Elle conseille notamment les pouvoirs locaux lors d op rations de r novation urbaine La CAW a galement la possibilit d apporter son soutie
27. veloppement durable l organisation de quatre Midis du d veloppement durable la r alisation d une enqu te sur la connaissance du PDD par les agents du SPW et leur sensibilisation ce plan la refonte du site Intranet du SPW consacr au PDD l organisation d un v nement D fi 4 4 visant stimuler la mise en ceuvre du PDD et l adoption de comportements plus durables par les agents du SPW Suivi des n gociations internationales europ ennes et nationales sur la th matique du d veloppement durable Parmi les d cisions adopt es lors de la Conf rence de l ONU sur le d veloppement durable en 2012 Rio la mise en uvre de deux d entre elles sont suivies de pr s par le d partement savoir d une part le cadre de programmes 10 ans sur les modes de consommation et de production durables SCP pour lequel la Wallonie a obtenu en f vrier 2013 le r le 32 de point focal national Dans ce cadre le d partement a mis en place une plate forme rassemblant des experts des administrations f d rales r gionales et communautaires et coordonne les positions au niveau belge sur le th me des modes de consommation et de production durables d autre part le processus devant d ici 2015 permettre la d finition d un cadre multilat ral global en mati re de d veloppement durable et de lutte contre la pauvret plus commun ment appel cadre post 2015 Les experts du d partement ont partici
28. 17 de niveau C et 12 de niveau D La DAP a r alis la promotion par avancement de grade et ou d chelle de traitement de 46 agents statutaires et sept contractuels de niveau A de 28 statutaires et cinq contractuels de niveau B de 98 statutaires et 10 contractuels de niveau C de 75 statutaires et 15 contractuels de niveau D Suite la cr ation du m tier 80 administratif au rang D3 293 agents statutaires et contractuels D4 sont devenus D3 En ex cution de d clarations de vacances d emplois de directeurs la DAP a entam les proc dures et assur le suivi des propositions formul es par les Comit s de direction des directions g n rales concern es la place du contrat dur e d termin e li l ann e scolaire dont ils b n ficiaient auparavant 42 nouveaux convoyeurs scolaires ont accept un contrat dur e ind termin e De plus l t 2013 les convoyeurs scolaires sous CDI ont eu l opportunit d exercer diverses t ches au sein des directions g n rales du SPW Par ailleurs la DAP a proc d l analyse et l ex cution de la d cision du Gouvernement wallon du 11 juillet 2013 portant notamment sur la constitution des enveloppes budg taires et sur les plans de recrutement En mati re de cong s suite l valuation de la proc dure de 2012 la DAP a p rennis le syst me d envoi automatique de la feuille de cong 2014 par mail et a autoris l acc s l dition pour les correspond
29. 96 par le PICC Seules restent en travaux quelques zones autour de Malmedy La mise jour du PICC s effectue gr ce la m thode WALTOPO 2013 a vu l ach vement de Tournai et de Namur e un march sur trois ans a t pass pour mettre jour les plus anciennes planches du PICC En 2013 la planche de Mons et le nord dela planche de Nivelles ont t r alis s par topographie suivantla m thode WALTOPO soit 96 000 ha L change de donn es gr ce aux conventions s est d velopp e demande de donn es du PICC ne faiblit pas L ann e 2013 a t marqu e par un ralentissement des nouvelles demandes de donn es PICC mais par une explosion des demandes de mises jour de donn es l ann e 2013 a vu le d but du d veloppement d une application lt Aide la mise jour du PICC qui contient tant un outil web qu un outil mobile prototype Android pour le partage efficace d informations et la collaboration entre les utilisateurs professionnels dans la mise jour du PICC l acquisition de la couverture 2012 2013 des orthophotos num riques couleur de toute la Wallonie est finalis e Fin 2013 un nouveau march a tranches conditionnelles t attribu Une couverture compl te de la Wallonie produite en collaboration avec la DGO 3 est pr vue chaque ann e pour 2014 2016 e une commande a t pass e en 2012 pour un relev par LiDAR LASER a roport des altitudes de tout le territoire de la Wall
30. Acc s en prot geant l acc s une vingtaine d applications par ce syst me Elle a produit environ 600 conseils ou recommandations en mati re de s curit ou de vie priv e tant aupr s du management du SPW que des responsables fonctionnels d applications des chefs de projets du service desk ou des prestataires externes Enfin elle a men des contr les et des audits et propos des mesures correctives ou d am lioration pour lutter contre les failles et les attaques informatiques Dans le domaine de la qualit elle a formalis un service d audit interne et men divers audits afin d am liorer la bonne ex cution de certains march s pass s par le DTIC Elle galement formalis un processus de gestion de plaintes des clients du DTIC Par ailleurs elle a r dig des documents r gissant divers sujets dont par exemple les d nominations d environnements applicatifs et le d p t des livrables finaux par les prestataires techniques l issue des projets Enfin elle a proc d l analyse du code source de 18 applications au moyen d un outil sp cifique dans le but d tablir un premier bilan de sant technique de ces applications La direction de l Exploitation informatique DEX contribu aux missions du DTIC dans diff rents domaines Elle a publi un catalogue reprenant l ensemble des services offerts par le DTIC et d crivant les modalit s d acc s ces services leur tendue et des nivea
31. DES CONTR LES DE L ENREGISTREMENT DIRECTION DU CONTENTIEUX DE L ENREGISTREMENT DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DES SUCCESSIONS DIRECTION DE L TABLISSEMENT DE L IMP T DES SUCCESSIONS DIRECTION DES CONTR LES DE L IMP T DES SUCCESSIONS DIRECTION DU CONTENTIEUX DE L IMP T DES SUCCESSIONS D PARTEMENT DU RECOUVREMENT DIRECTION DU RECOUVREMENT EXTERNE DIRECTION DES FACILIT S DE PAIEMENT DIRECTION DE LA GESTION DES COMPTES COURANTS FISCAUX DIRECTION DE LA COMPTABILIT DES RECETTES FISCALES 119 L ANN E 2013 PR PARATION DU TRANSFERT DES COMP TENCES Pour la direction g n rale op rationnelle de la Fiscalit DGO 7 les activit s de l ann e 2013 ont fortement t marqu es par la pr paration du transfert des comp tences en mati re de fiscalit des v hicules En effet partir du 1 janvier 2014 la DGO 7 devait assurer la gestion des taxes de circulation de mise en circulation et de l Eurovignette pr c demment du ressort du SPF Finances Afin de pr parer ce transfert de comp tences la DGO 7 a entrepris diverses actions de multiples niveaux pour assurer l accueil du personnel transf r la mise disposition de nouveau mat riel le d veloppement de programmes informatiques L accueil du personnel transf r Comme pr vu par la loi sp ciale de inancement du 13 juillet 2001 la DGO 7 devait accueillir 118 agents f d raux afin d assurer ses nouvell
32. DFA et services du contentieux et de la rue Van Opr directions de l tablissement des Contr les de la Perception et de la Comptabilit ainsi que du Recouvrement Ces r partitions permettent aux diff rentes directions d exercer leurs missions pour des taxes diff rentes dans une proximit tant fonctionnelle que g ographique Le service d Eupen qui devait recevoir trois nouveaux agents a de son c t galement t d m nag dans des locaux plus vastes et plus fonctionnels dans un centre d affaires bas H tte 79 Eupen Un vaste plan de formation a t mis en place au cours du second semestre afin de pr senter la totalit des agents de la DGO 7 leurs nouvelles missions en mati re de taxation des v hicules Un autre programme a t mis en place pour tre d livr aux agents transf r s d s les premi res semaines de 2014 afin de les familiariser avec les diverses mati res g r es par la DGO 7 et les r gles de fonctionnement du Service public de Wallonie Finalement un syst me de parrainage et des journ es d accueil ont t pr par es afin de favoriser la rencontre et l int gration des agents d s les premiers jours de 2014 Un mat riel nouveau pour des activit s nouvelles Afin d assurer ses nouvelles comp tences l Administration fiscale a d faire face de nombreux besoins en terme de mat riel traditionnel d une part avec notamment le mobilier et fournitures de bureau pour le nouveau
33. La banque de donn es NOTIFRW d cisions de l Ex cutif r gional wallon et du Gouvernement wallon est r guli rement mise jour et est accessible aux membres des cabinets minist riels l Inspection des Finances et aux membres du personnel du Service public de Wallonie qui ont t d sign s par leur hi rarchie Qualit des textes Les projets d arr t s qui sont soumis en derni re lecture au Gouvernement wallon sont relus et mis en forme par la direction en vue de leur signature et de leur publication au Moniteur belge La direction proc de de la m me mani re pour les projets de d crets avant leur d p t sur le Bureau du Parlement wallon Traductions La direction se charge dela traduction des d crets et arr t s du Gouvernement wallon en langues allemande et n erlandaise Lorsque le volume des textes traduire le permet la direction traduit galement en allemand et ou en n erlandais des documents administratifs pour les autres directions g n rales Les traducteurs r viseurs et traducteurs utilisent une banque de donn es terminologiques sp cifiquement d velopp e pour les besoins de la Wallonie sous Multiterm un syst me de gestion et d archivage des m moires de traduction Wordfast ainsi que de nombreux dictionnaires internes et externes Intranet et Extranet Quelques chiffres 4 088 interrogations ont t faites dans la banque de donn es NOTIFRW 5 433 dispositions ont t publi
34. Le rapport fourni par la DRIGM consiste en la r alisation d une analyse de risques de ces anciens ouvrages miniers afin de d terminer les travaux imposer au concessionnaire Une visite de terrain est ensuite r alis e pour constater leur bonne r alisation Depuis 2010 27 dossiers ont t trait s au niveau de la DRIGM et 9 dossiers ont t transmis par le d partement des Permis et Autorisations DPA au cabinet du ministre de l Environnement Aucun dossier n a encore fait l objet d un retrait par le gouvernement Le travail d analyse de ces dossiers se poursuivra les prochaines ann es UNE AM LIORATION CONSTANTE DE NOTRE ENVIRONNEMENT Le d cret sols r vis en profondeur Au sein du d partement du Sol et des D chets DSD la direction de la Protection des Sols et la direction de l Assainissement des Sols ont travaill sur une r vision du d cret sols Parmi les nouveaut s significatives on retrouve une banque de donn es de l tat des sols Des modifications importantes seront apport es au niveau des faits g n rateurs c est dire les v nements qui d clenchent le processus inscrit dans le d cret sols Ainsi la cession immobili re ne sera plus un fait g n rateur ce qui permettra d viter de bloquer de nombreuses transactions Chaque op ration de cession immobili re imposera dor navant au c dant une consultation payante de la banque de donn es d tat des sols pour produir
35. Manager de chaque a roport etc Charleroi la DGO 2 a coordonn la mise en place d une proc dure unique en Belgique lors de l inauguration de la nouvelle dalle nord en juin 2013 Sur ce nouvel espace de parking pour avions des consignes minutieuses permettent la circulation de 33 avions au maximum dans des conditions optimales de s curit Les activit s d inspection a roport et d inspection s ret de la DGO 2 Liege Airport ont obtenu le 30 juillet 2013 une nouvelle certification ISO 9001 2008 Cette norme de management de la qualit restera valable jusqu la fin juillet 2016 Nuisances sonores La DGO 2 fournit une assistance technique aux a roports wallons en mati re de bruit et veille au respect par les compagnies a riennes des Plans d exposition au bruit PEB Ses agents contr lent notamment le respect des proc dures et des restrictions d atterrissage et de d collage ou les niveaux sonores ne pas d passer Par ailleurs depuis 2013 trois agents de la DGO 2 ont suivi une formation en vue du contr le des sonom tres et dela gestion du logiciel de d pouillement des mesures sonores effectu es Diff rentes proc dures m thodologie de contr le guides d utilisation carnet de suivi de chaque appareil etc ont t labor es Une collaboration technique a galement t initi e fin 2013 avec le Service technique de l aviation civile DGAC de Toulouse Enfin pas moins de 636 rapports relatifs
36. NAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L URBANISME La politique de l am nagement du territoire se pose comme l une des pierres angulaires du d veloppement Elle se situe au croisement des destin es impliquant directement ou indirectement l usage du sol La vocation que lui a attribu e le l gislateur est ambitieuse puisqu aux termes de l article 1 8 1 du CWATUPE est assign aux entit s garantes de l am nagement du territoire le soin de rencontrer de mani re durable les besoins sociaux conomiques nerg tiques de mobilit patrimoniaux et environnementaux de la collectivit par la gestion qualitative du cadre de vie par l utilisation parcimonieuse du sol et de ses ressources par la performance nerg tique de l urbanisation et des b timents et par la conservation et le d veloppement du patrimoine culturel naturel et paysager Le principal enjeu pour notre d partement est donc de conforter et de d velopper cette vocation int gratrice de l am nagement du territoire Sa concr tisation rev t diverses formes qui participent elles m mes d une vision incluant nombre d acteurs commencer par les autres d partements de la direction g n rale Cette vocation particuli re de l am nagement du territoire trouve une retentissante d clinaison dans la D claration de politique r gionale intitul e nergie partag e pour une soci t durable 92 humaine et solidaire qui entend concentrer l action du Gouv
37. POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 33 42 20 Fax 32 0 81 33 39 33 LES SITES INTERNET https www economie wallonie be http www emploi wallonie be http recherche technologie wallonie be 117 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DELA FISCALITE M Patrick MEURICE Directeur g n ral Adresse Centrale AVENUE GOUVERNEUR BOVESSE 29 5100 NAMUR JAMBES T L 081 33 00 01 FAX 081 33 02 01 EL eg Seconde implantation depuis 2013 rue Van Opre 91 95 5100 Namur 118 D PARTEMENT DE LA FISCALIT SP CIFIQUE DIRECTION DE L TABLISSEMENT DE LA FISCALIT SP CIFIQUE DIRECTION DES CONTR LES DE LA FISCALIT SP CIFIQUE DIRECTION DU CONTENTIEUX DE LA FISCALIT SP CIFIQUE ORGANIGRAMME DE LA DGO 7 D PARTEMENT DE LA FISCALITE IMMOBILIERE ET ENVIRONNEMENTALE DIRECTION DE L TABLISSEMENT DE LA FISCALIT IMMOBILI RE ET ENVIRONNEMENTALE DIRECTION DES CONTR LES DE LA FISCALIT IMMOBILI RE ET ENVIRONNEMENTALE DIRECTION DU CONTENTIEUX DE LA FISCALIT IMMOBILI RE ET ENVIRONNEMENTALE DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE LA FISCALIT D PARTEMENT DE LA FISCALIT DES VEHICULES DIRECTION DE L TABLISSEMENT DE LA FISCALIT DES V HICULES DIRECTION DES CONTR LES DE LA FISCALIT DES V HICULES DIRECTION DU CONTENTIEUX DE LA FISCALIT DES V HICULES SERVICES EXT RIEURS D PARTEMENT DE L ENREGISTREMENT DIRECTION DE LA MANUTENTION DIRECTION
38. Wallonie en Belgique et m me en l Europe n cessitent plus que jamais une plus grande coh rence et une plus grande implication de tous les acteurs pour construire ensemble une r ponse socialement et conomiquement pertinente et durable LES D FIS DU D PARTEMENT DE L NERGIE ET DU B TIMENT DURABLE Pour renforcer l efficacit nerg tique de la Wallonie la priorit d finie par le Gouvernement wallon dans la D claration de politique r gionale DPR pour la p riode 2009 2014 est la r duction de la consommation d nergie dans les b timents Premier vis le logement Mais le secteur tertiaire et plus particuli rement les b timents publics doivent galement faire l objet d une d marche de construction et de r novation durables Souvenez vous en mai 2010 une tape importante en vue de r duire la consommation d nergie dans les b timents avait t franchie avec l entr e en vigueur de la r glementation wallonne sur la PEB Deux ans plus tard en juin 2012 un arr t du Gouvernement wallon est venu renforcer les exigences en mati re d isolation des parois Le calcul du crit re d isolation global K respecter par les constructions neuves et les changements d affectation a aussi indirectement t renforc puisqu il doit depuis lors tenir compte des pertes de chaleur dues aux noeuds constructifs du b timent En novembre 2013 le nouveau D cret PEB met la barre encore un peu plus haut en t
39. abandonn depuis 2012 le traditionnel visa pr alable des paiements pour orienter son action vers une activit d audit externe dont le champ d passe la stricte ex cution budg taire La mission d ex cution du budget est confi e la direction de la Comptabilit administrative Elle contr le les demandes de r servation de cr dits engagements et les demandes de paiement ordonnancements ou liquidations qui lui sont transmises par l ensemble des services La direction conserve galement les archives de ces op rations jusqu leur prescription En 2013 elle a ainsi contr l et valid 22 237 demandes d engagement et 195 159 demandes de paiement La seconde mission celle de rendre compte est confi e aux directions de la Comptabilit patrimoniale et de la Comptabilit g n rale Nbre de demandes d engagement Nbre de demandes d ordonnancement 190 089 53 235 ordonnances Nbre de paiements par comptable extraordinaire 172 317 37 907 ordonnances 197 963 42 485 ordonnances La direction de la Comptabilit patrimoniale est charg e de r aliser et de valoriser l inventaire du patrimoine de la Wallonie Cette mission s inscrit dans le cadre du passage progressif de la Wallonie la comptabilit financi re dite en partie double semblable celle des entreprises et instaur e par un nouveau dispositif l gal Cet inventaire permettra d avoir une vue pr cise des avoirs
40. amp b Wd ee Uy 1 ow x D ipio bh uw US lt Rapport d activit s 2013 C gt Communication BILANS ET PERSPECTIVES Economie Wallonie CEE Wallonie ENSEMBLE AU SERVICE DE TOUS SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 SPW RAPPORT DACTIVITES 2013 TABLE DES MATIERES PREFACE LE SECRETARIAT GENERAL LA DIRECTION GENERALETRANSVERSALE DU BUDGET LA LOGISTIQUE ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DES ROUTES ET DES B TIMENTS LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE LA MOBILIT ET DES VOIES HYDRAULIQUES LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE L AGRICULTURE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE L ENVIRONNEMENT LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE L AM NAGEMENT DU TERRITOIRE DU LOGEMENT DU PATRIMOINE ET DE L NERGIE LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DES POUVOIRS LOCAUX DE L ACTION SOCIALE ET DE LA SANT LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE L CONOMIE DE L EMPLOI ET DE LA RECHERCHE LA DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE LA FISCALIT PA 6 P 40 P 58 P 66 80 P 90 100 108 P 118 SPW e RAPPORT DACTIVITES 2013 PR FACE Madame Monsieur C est avec plaisir que nous vous pr sentons le Rapport d activit s 2013 du Service public de Wallonie la lectur
41. avec la Commission europ enne est noter que dans le cadre de la pr sidence tournante entre les entit s belges la Wallonie a assur le tour de r le de la coordination administrative interfonds pour un an partir du 1 juillet 2013 Communication En collaboration avecle d partement de la Communication l Agence FSE et le cabinet du Ministre Pr sident le d partement a particip au lancement d un nouveau march de services portant sur la communication pour la p riode 2013 2015 Au terme de la proc dure le march a t attribu la soci t Cible Un compendium de projets FEDER est paru en juin 2013 disponible sur simple demande et des baches promotionnelles ont t plac es sur 20 sites qui ont b n fici du soutien du FEDER et ou du FSE e if CE 1O TRE NOST 15 me aventi LE DEPARTEMENT DELAUDIT Ses missions concernent la r alisation de l audit interne organisationnel et financier du SPW d audits ponctuels th matiques sp cifiques et de l audit d op rations cofinanc es par le FEDER L Audit interne de fonctionnement En ex cution du plan d audit labor pour les ann es 2012 et 2013 valid par le Comit d audit en mars 2012 et qui reprenait la liste des audits mener sur la p riode deux audits ont t finalis s en novembre 2013 et en fin d ann e deux nouvelles missions ont t lanc es En outre des travaux li s la d claration d assurance de l Autorit
42. camions etc ou l Eurovignette ont t d velopp s et sont accessibles via l onglet formulaires en ligne du Portail de la Wallonie www wallonie be Un travail de communication n cessaire La direction g n rale op rationnelle de la Fiscalit est avant tout une administration au service du citoyen Conscient de son r le d information aux contribuables la DGO 7 a r alis divers projets de communication relatifs en particulier au transfert des comp tences Les brochures afin de communiquer efficacement sur le transfert la DGO 7 en partenariat avec le d partement Communication du Secr tariat g n ral a r alis deux brochures sur le transfert des comp tences La premi re abordait la taxe de circulation et de mise en circulation et la seconde l Eurovignette Diffus es via nos diff rents guichets lors de manifestations et annex es l ensemble de nos courriers relatifs ces mati res ces brochures avaient pour objectif de rassurer le citoyen et de l informer sur son nouvel interlocuteur en mati re de taxe sur les v hicules Les Espaces Wallonie d s octobre 2013 la DGO 7 a mis en place des permanences Fiscalit au sein de sept Espaces Wallonie savoir Li ge Verviers Mons Charleroi La Louvi re Nivelles et Arlon raison d un 122 jour par semaine Cette pr sence de proximit de l Administration fiscale wallonne se voulait tre une alternative partielle aux bureaux de recettes du SPF
43. concern s ont t interrog s Les informations ont t v rifi es Les tableaux requis ont t compl t s document s et transmis la Commission europ enne En outre les travaux engendr s par les propositions de cl ture de la Commission europ enne pour la programmation 2000 2006 ont t poursuivis 19 LE DEPARTEMENT DE LA COMMUNICATION LA COMMUNICATION EXTERNE La direction de la Communication externe assure de nombreuses missions orient es vers l autorit et vers le citoyen au sens large tout en remplissant un r le de coordination et de service transversal pour l ensemble du SPW Le T l phone Vert Ce centre d appel r pond aux questions pos es par les citoyens sur les comp tences r gionales en ce compris les questions portant sur l nergie et la fiscalit En 2013 c est un total de 93 536 appels qui ont t pris en charge par les mandataires du T l phone Vert francophone 0800 11 901 Les mandataires du T l phone Vert germanophone 0800 11 902 ont pris en charge 1 988 appels Les expositions Espace Wallonie de Li ge SPW Les Espaces Wallonie proposent des expositions animations conf rences et autres v nements en lien avec les comp tences r gionales Avec des th matiques vari es environnement sciences et technologies social ces v nements s adressent un public diversifi scolaire sp cialis grand public Une quinzaine d expositions ont t pr
44. d un back office d mat rialis pour l ensemble du SPW Au cours du dernier trimestre 2013 le d partement a particip aux tables rondes organis es par l UCM sur la d mat rialisation des march s publics En 2013 630 num ros de cahiers sp ciaux des charges ont t attribu s et 787 avis de march s pour le SPW ont t publi s COORDONN ES DE CONTACT Secr tariat g n ral SG M Claude DELBEUCK Secr taire g n ral ADRESSE DE CONTACT Place Jos phine Charlotte 2 B 5100 Namur Jambes POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 32 13 14 Fax 32 0 81 32 16 00 39 DGT 253 40 LA DIRECTION G N RALE TRANSVERSALE DU BUDGET DE LA LOGISTIQUE ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION M Francis MOSSAY Directeur g n ral BOULEVARD DU NORD 8 5000 NAMUR T L 081772000 FAX 081 77 38 39 O DGT 201 SPW e RAPPORT DACTIVITES 2013 ORGANIGRAMME DE LA DGT 2 DIRECTION G N RALE TRANSVERSALE DU BUDGET DE LA LOGISTIQUE ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DU BUDGET DIRECTION DU BUDGET DIRECTION DES TUDES DIRECTION DU CONTR LE BUDG TAIRE DIRECTION DE LA PROGRAMMATION ET DE L ASSISTANCE D PARTEMENT LA COMPTABILITE DIRECTION DE LA COMPTABILITE ADMINISTRATIVE DIRECTION DE LA COMPTABILITE PATRIMONIALE DIRECTION DE LA COMPTABILITE GENERALE DEPARTEM
45. de Biowallonie et de cellule de recherche bio au CRA W ont n cessit eux seuls un investissement de pas moins de 1 6 million dans ce domaine Cela afin de mettre en uvre le Plan strat gique wallon de d veloppement de l agriculture biologique l horizon 2020 L ASBL Biowallonie est devenue l unique cellule d encadrement du secteur bio Elle rassemble ses organismes actifs et g re de nombreuses missions telles que l am lioration de l information la sensibilisation des exploitants conventionnels ou encore l accompagnement des collectivit s coop ratives et circuits courts c t de cela par la cr ation d une cellule de recherche et d veloppement en agriculture biologique le Centre wallon de Recherches agronomiques CRA W veut renforcer ses recherches dans ce domaine pour apporter des pistes de solutions aux probl mes et interrogations rencontr s Cette cellule Bio regroupe et organise l ensemble des comp tences et actions des diff rentes unit s de recherche n cessaires la r alisation du programme de recherche AB 88 390 MILLIONS POUR LE MONDE RURAL En 2013 le d partement des Aides DA qui g re au sein de l organisme payeur wallon OPW l ensemble des aides destin es au d veloppement de l agriculture en Wallonie a pay quelque 390 millions aux agriculteurs et acteurs du monde rural Pr s de 75 96 de ce montant soit 292 millions concernent les aides du premier pilier
46. de l ONSS a t effectu e fin 2013 En outre suite l adoption de la Vis r forme de l tat notamment en ce qui concerne les allocations familiales la d cision a t prise de centraliser les allocations familiales de tout le secteur public au niveau de l Office National des Allocations Familiales pour Travailleurs Salari s ONAFTS La reprise des allocations familiales des agents du SPW a t op r e avec succ s le 1 d cembre 2013 36 La DGP a galement collabor au travail r alis en vue de la mise disposition de tous les agents via ULISWEB de leur situation administrative et p cuniaire travail qui a d marr en 2013 et devrait tre termin pour l t 2014 Divers projets informatiques se sont poursuivis durant l ann e 2013 ainsi que le gros projet CAPELO relatif la reprise de l historique des carri res des agents du SPW n cessaire au calcul informatis de la pension En dehors de ces t ches plusieurs agents de la direction ont galement consacr beaucoup de temps la r daction de sous fonctionnalit s relatives aux t ches de la DGP dans le cadre de la pr paration du march M22 relatif la gestion de personnel LE D PARTEMENT DES AFFAIRES JURIDIQUES Le DA J comprend trois directions qui offrent un support juridique aux neuf entit s composant le Service public de Wallonie aux cellules externes au SPW aux cabinets des ministres r gionaux et dans certains cas aux OIP wallons
47. de la Documentation patrimoniale AGDP Sensibilisation formation et information Des formations de haut niveau ont t propos es aux g omaticiens et informaticiens du SPW en partenariat avec des prestataires priv s Les agents de la DIG se sont galement form s l criture pour le web En parall le un cycle de formation la r daction des m tadonn es a t initi au sein du SPW Une formation au g oportail pour le personnel des Espaces Wallonie a t dispens e G eoportmi de ip Wallonie domm djs dg 41 M Bi I 1 AH en e Ep Daun Au eng A Auen 81 TS LTD LE DEPARTEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Le d partement du D veloppement durable est charg de promouvoir et de mettre en uvre le projet de d veloppement durable en Wallonie Il inscrit ses actions dans le respect des engagements r gionaux et internationaux sur le d veloppement durable et y travaille en troite collaboration avec tous les autres acteurs du SPW STRAT GIE WALLONNE DE D VELOPPEMENT DURABLE Le GW a adopt en juin 2013 le d cret relatif la strat gie wallonne de d veloppement durable SWDD PREMIEN et dans la foul e en octobre 2013 la 1 STRA T SWDD bt ALLONNE Cinq d fis sont mis en vidence dans cette premi re strat gie savoir l aggravation de la fracture sociale les d r glements climatiques les volutions d mographiques
48. de la Politique Agricole Commune PAC Ce pilier visant soutenir les march s et prix agricoles est financ int gralement par le Fonds Europ en Agricole de Garantie FEADER De son c t la Wallonie cofinance avec ce m me fonds la part des aides du second pilier de la PAC ax quant lui sur le d veloppement rural Ce second pilier atteint 16 96 soit un peu plus de 61 millions Enfin les aides 100 96 r gionales s l vent 9 96 soit approximativement 36 millions Le DA paie galement des aides relatives au Fonds europ en pour la P che FEP En 2013 sept b n ficiaires ont recu une aide pour la r alisation d un total de 13 projets soit un financement public de 774 196 repr sentant moins d 1 96 du montant total des aides pay es Outre les deux axes repris dans le tableau ci contre l axe prioritaire 2 offre une aide l aquaculture la p che dans les eaux int rieures la transformation et la commercialisation des produits de la p che et de l aquaculture Principales aides pay es en 2013 par le d partement des Aides p riode du 01 01 2013 au 31 12 2013 Principales aides du premier pilier Part FEAGA Montant total R gime de paiement unique RPU 232 201 266 232 201 266 Primes la vache allaitante et soutien sp cifique 62 507 158 62507 158 prime l herbe Fruits et l gumes aux coles 716 742 716 742
49. du plan de coh sion sociale En 2013 le syst me a t adapt pour permettre la production des budgets et des comptes provisoires conform ment une d cision du Gouvernement wallon Dans le domaine des finances locales le plan eComptes est donc un vecteur de simplification administrative un outil d aide la gestion et un syst me d alimentation d mat rialis de la tutelle et des statistiques Espaces publics de Wallonie AC Le d veloppement des technologies peut tre source d int gration ou d exclusion fracture num rique au niveau local la Wallonie octroie depuis 2004 via le lancement d appels projets des subventions aux entit s locales d sireuses de p renniser ou de mettre sur pied un Espace Public Num rique EPN sur leur territoire S inscrivant dans une politique visant r duire la Aujourd hui ce projet sur lequel la Wallonie collabore avec le Centre de comp tence Technofutur TIC bas Gosselies repr sente un r seau de 148 EPN labellis s sur le territoire de 103 entit s locales Le label Espaces publics num riques de Wallonie est initi par le Gouvernement wallon et port par les pouvoirs locaux pour lutter contre l exclusion num rique et favoriser l int gration la participation citoyenne de tous la soci t de l information Un nouvel appel projets Papy et Mamy surfeurs a t lanc en juin 2013 par le Gouvernement wallon visant lutter contre la frac
50. e La revue de presse 2013 en un coup d il e 239 parutions 14 218 pages d information une moyenne de 59 5 pages jour prest e 300 664 consultations sur l Intranet du SPW e 90 exemplaires jour en version papier e 22 lt dossiers LE GEOMATIQUE LA GEOMETROLOGIE l une des principales missions de la direction de la G om trologie consiste acqu rir produire et mettre jour des g odonn es de base amen es notamment constituer le g or f rentiel de la Wallonie Il s agit des donn es topographiques de r f rence en 3D le PICC mais aussi de photographies a riennes satellites ou terrestres de mod les altim triques MNT S LiDAR ou de r sultats de levers sp cialis s Pour assurer la coh rence et pourfaciliter les levers topographiques en Wallonie la direction de la G om trologie a mis en place et op re le r seau permanent de positionnement par satellites WALCORS WALlonia Continuously Operating Reference System Enfin le d partement assume des missions transversales d une part en passant des march s d acquisition centralis e d quipements topographiques pour les DGO et d autre part sous forme d expertise dans ses domaines de comp tence Cette expertise se concr tise notamment en une m thode visant l harmonisation de la collecte sur le terrain des g odonn es de base WALTOPO En 2013 quelques avanc es ela Wallonie est couverte 95
51. es au Moniteur belge 2 745 in extenso et 2 688 par extrait Parmi les dispositions publi es in extenso on en compte 427 r glementaires 130 d crets 210 arr t s du Gouvernement 75 arr t s minist riels et 12 circulaires 231 documents administratifs ont t traduits en allemand et ou n erlandais LA DIRECTION INTERD PARTEMENTALE DE LA COH SION SOCIALE DICS La direction interd partementale de la Coh sion sociale a pour missions de coordonner des plans d actions et de d velopper une dynamique transversale et int gr e pour promouvoir l acc s de tous aux droits fondamentaux et lutter contre la pauvret d accompagner et d valuer les programmes mis en uvre d encourager la participation et le partenariat local et de relayer les besoins du terrain aupr s des autorit s politiques d impulser des am liorations et des initiatives nouvelles La DiCS en quelques chiffres 220 communes partenaires e 700 projets coordonn s e 200 commissions locales accompagn es 14 agents impliqu s Parmi les programmes coordonn s par la DiCS on peut pointer 1 Le Plan de coh sion sociale Le Plan de coh sion sociale PCS intervient pour coordonner un ensemble d initiatives au sein des communes afin de permettre chaque personne de vivre dignement en Wallonie se construit sur la base d un diagnostic local et 10 s articule avec les autres dispositifs pour r pondre aux besoins particul
52. es lors des march s pass s par le Service public de Wallonie SPW Parmi les premi res interventions de cette nouvelle cellule fin 2013 il faut pointer la v rification des fixations des charni res d une porte de l cluse d Andenne Seille le nettoyage et la v rification des grilles d amen e d eau aux cluses des Grands Malades de Namur et de Lanaye ainsi que l inspection d une porte de l cluse de P ronnes 74 Dragage et valorisation des produits de dragage En 2012 2013 des op rations de dragage ont t men es sur la Basse Sambre le canal Charleroi Bruxelles le canal Albert le canal du Centre et l Escaut notamment pour y maintenir les tirants d eau n cessaires la navigation Le dragage de la Dendre et celui du canal Blaton Ath se sont galement achev s en 2013 Les volumes vacu s dans le cadre du programme prioritaire de dragage sont de l ordre de 220 000 m en 2013 La valorisation des normes quantit s de s diments pr lev s dans les cours d eau est une op ration co teuse Les produits de dragage peu ou pas pollu s sont achemin s vers les centres de regroupement de la DGO 2 pour y tre s ch s Ils seront ensuite valoris s par des tiers Pour les produits plus pollu s ils sont trait s par un op rateur priv puis sont soit valoris s soit dans une majorit de cas mis en d charge En 2012 DGO 2 a r alis les tudes n cessaires en vue de l obtention du permis unique p
53. et aux d cisions et projets du Comit strat gique Osmose est une fen tre ouverte sur les services les m tiers les sp cificit s et surtout sur les gens Chiffres 2013 e tirage 12 000 exemplaires e volume de 40 48 pages E e nombre de num ros 4 e concours 1 100 participants 198 gagnants Les transversales et les transversales Ces publications traitent de th matiques sp cifiques ou g n rales ayant une incidence directe ou indirecte sur les membres du personnel du SPW Les transversales ou sur les membres du personnel des services du GW SPW et OIP Les transversales Deux collections pour trois s ries SPW rouages SPW attitudes et la s rie SPW modes d emploi Chiffres 2013 e SPW rouages Guide des services 12 000 exemplaires e SPW modes d emploi Charte relative l utilisation des donn es personnelles du personnel du SPW 15 000 exemplaires e poster lt Organigramme du SPW a 12 000 exemplaires Intranet et Post it Un site portail interne qui se veut une vitrine dynamique des activit s et des services du SPW et une source abondante de donn es et d outils Un journal en ligne Post it a t cr en juillet 2013 Int gr dans l Intranet du SPW accessible via la page d accueil ce support de communication propose de nombreux reportages photo et vid o ce qui le distingue des autres canaux de communication interne i Com Pour
54. et des ressources financi res de la Wallonie au d but et la fin de chaque exercice En 2013 la direction a poursuiviune analyse m thodologique et informatique de la probl matique La direction de la Comptabilit g n rale quant elle a pour mission d tablir le compte g n ral annuel de la Wallonie consiste tablir une image fid le de toutes les op rations budg taires financi res et patrimoniales r alis es durant un 180 062 37 474 ordonnances an par la Wallonie Depuis 2010 elle s attache r cup rer un retard pris ant rieurement dans la remise des comptes g n raux faute d effectifs suffisants En 2013 elle a remis les comptes g n raux relatifs aux budgets des ann es 2010 et 2011 Le compte g n ral de l ann e 2012 sera transmis la Cour des comptes dans le courant de 2014 Le retard aura t ainsi compl tement r sorb En outre le compte g n ral relatif l ann e 2007 ayant t d clar contr l par la Cour des comptes le service a pu en 2013 en r diger le projet de r glement d finitif Ce dernier a t vot par le Parlement le 10 octobre 2013 et a t publi au Moniteur belge le 5 novembre 2013 45 Les comptes g n raux des ann es 2008 et 2009 ont t d clar s contr l s par la Cour des comptes en 2013 et la direction de la Comptabilit g n rale en pr par le projet de r glement d finitif durant le 1 trimestre 2014 Enfin en 2
55. experts du m tier Plus de 200 agents de la DGO 5 et du cabinet du ministre des Pouvoirs locaux ceuvrent chaque jour l instruction des dossiers de tutelle depuis des sites distants Les 12 125 dossiers recus en 2013 ont t instruits de A Z dans l eTutelle sans qu aucun signataire papier ne transite de l administration vers l autorit de tutelle Le processus a t enti rement harmonis cette fin Gr ce au dispositif le pari est largement atteint puisque la r forme de simplification de la tutelle a pu tre propos e aux communes en juin 2013 en toute transparence et simplicit Pour recueillir tous les fruits de la simplification il restera donc g n raliser l eTutelle LES E DES POUVOIRS LOCAUX Outre l eTutelle on peut citer Le cadastre des subsides http subsides pouvoirslocaux wallonie be 141674146 ke UC VAN Le cadastre des subsides apporte une solution au nombre toujours croissant de subsides octroy s aux communes provinces et CPAS et aux difficult s rencontr es par les lus locaux pour conna tre les possibilit s de financement RE a E des mm 103 qui leur sont offertes et les administrations aupr s desquelles ils doivent se renseigner Chaque subside y est pr sent sous la forme d une fiche reprenant les informations essentielles le lt qui quoi o Le m mento fiscal http pouvoirslocaux wallonie be rubrique Memento fiscal Log surle porta
56. faire au 2 trimestre 2014 un premier bilan des impacts socio conomiques et environnementaux de la 1 Alliance ainsi que une valuation du mode de gouvernance de la 1 AEE Mobilisation des services publics pour un d veloppement durable Un plan de d veloppement durable interne au SPW adopt en 2011 vise rendre l administration plus responsable en mati re de d veloppement durable jouant pleinement son r le d exemple Le d partement assure le pilotage de la mise en uvre du plan 1 veille aussi au bon fonctionnement des groupes de travail th matiques et en pilote certains PDD quelques actions phares de 2013 Une d marche d enregistrement EMAS pour le b timent du Secr tariat g n ral a t lanc e en 2013 en collaboration avec la DGO 3 Cette d marche consiste mettre en place un syst me de gestion environnementale au sein de ce b timent et le faire certifier En ce qui concerne l nergie deux d marches importantes et compl mentaires ont t men es ou poursuivies en 2013 la r alisation du bilan carbone du SPW pilot par l AWAC et la mise en place d un syst me de suivi et d acquisition des donn es de consommation nergie papier eau au sein du SPW Suite l attribution du march catalogue de fournitures pour la p riode 2013 2015 une analyse de ce catalogue a t men e pour identifier une s rie de produits consid r s comme d
57. l ann e 2013 la DMP a ouvert 207 dossiers demande d avis dont la majorit concerne des march s de services et a g r 42 dossiers contentieux dont cinq au Conseil d tat La majorit des contentieux concernent des march s de travaux La cellule contr le social Au total 508 actions ont t men es dont 327 enqu tes sur chantier 181 contr les conduits en aval aupr s des secr tariats sociaux services comptables des adjudicataires et ou des sous traitants instances administratives r gionales et f d rales 74 avertissements et 19 PV ont t dress s et trois p nalit s inflig es LESUPPORT JURIDIQUE La direction du Support juridique a particip l organisation du colloque de l association des juristes namurois concernant la transposition des directives europ ennes et est intervenue dans le cadre du colloque Comprendre ses 38 droits est le droit de tous organis par l ASBL Droits quotidiens mais elle a surtout organis une premi re rencontre des juristes le 20 septembre 2013 En plus des juristes du SPW les juristes du Minist re de la FWB et ceux des cabinets minist riels taient galement invit s La journ e s est articul e sur deux th mes les banques de donn es juridiques et l orientation clients dans l activit juridique Le guichet unique des d clarations Vie priv e a t mis en place au sein du d partement fin 2012 pour g rer les d clarations aupr
58. l inspection par l appui d un prestataire ext rieur qui vient de terminer en d cembre 2012 son intervention entam e en 2011 Ce march s est centr sur les objectifs suivants e mettre le r sident et le patient au centre du dispositif viser au d veloppement conomique au bien tre et la sant publique en Wallonie a conduit la r partition claire des t ches entre l administration et l inspection sur la base du principe d exploitation du potentiel de mutualisation des ressources inventaire des t ches actions d finition de proc dures 33 et mod lisation sous la forme de processus inventaire des courriers types et mod lisation archivage papier et d mat rialis gestion par base de donn es et mise en place d un tableau de bord outils juridiques base de donn es jurisprudence m thodologies de contr le qualit de soins r vision des rapports d inspection De mani re plus transversale il am nera une nouvelle conception de l inspection r pondant au rapport d audit de la Cour des Comptes et sinscrivant en particulier dans une strat gie d am lioration continue tant pour l administration que pour l autorit politique et les usagers gestionnaires d tablissements ou utilisateurs de services agr s 105 Reforme du controle des subventions En 2011 la DGO 5 avait entam une r flexion afin de simplifier et d harmoniser la proc dure de contr le des subventions r glement es octroy es
59. m ne les contr les Gr ce son travail le taux de perception spontan e de la redevance TV est pass de 77 15 en 2012 80 01 en 2013 En 2013 la gestion de la redevance t l vision connu d importants changements avec l adoption du d cret du 19 septembre 2013 apportant les modifications majeures suivantes e l extension du d lai de d claration spontan e de la d tention d un appareil de t l vision de 30 60 jours e modification du syst me de sanction en cas de non d claration d un appareil de t l vision le doublement automatique de la redevance t l visionencasdenon respectdesobligations de d claration de d tention et de paiement spontan de la redevance est supprim et remplac par un syst me d amendes administratives variables En r sum un redevable qui d clare de bonne foi la d tention d un t l viseur en dehors du d lai prescrit par la loi et ou suite une interpellation de l administration se verra imposer une amende unique de 25 Les redevables pour lesquels une intention frauduleuse aura t reconnue se verront appliquer une amende de 100 e l extension des cat gories d exon ration notamment pour les t l viseurs install s dans un tablissement hospitalier ou une maison de repos de soins ou dans un centre d accueil de jour pour personnes g es sans restriction Les conditions de mise disposition gratuite ou sans but de lucre ont t supprim es pour c
60. matique de fond qui concerne la mise en ceuvre d un avenir nerg tique d carbon et base d nergies renouvelables dont l intermittence devra tre g r e 80 95 96 de diminution des missions de CO dans la production d nergie l horizon 2050 Les conventions de parrainage seront mises en ceuvre d s 2014 Am liorer le fonctionnement du march et garantir un droit l nergie pour tous sont aussi rest s une pr occupation du d partement en 2013 par le biais du facilitateur social et notamment des appels PAPE lesquels ont fait l objet d un colloque destination des administrations et des CPAS plus particuli rement Par ailleurs les facilitateurs sp cialis s dans les fili res renouvelables ont continu oeuvrer au d veloppement harmonieux de leur fili re sur le territoire wallon COORDONN ES DE CONTACT Direction g n rale op rationnelle de l Am nagement du Territoire du Logement du Patrimoine et de l Energie DGO 4 M Ghislain GERON Directeur g n ral ADRESSE DE CONTACT Rue des Brigades d Irlande 1 5100 Namur Jambes POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 33 21 11 Fax 32 0 81 33 21 10 99 100 Mme Sylvie MARIQUE Directrice g n rale AV GOUVERNEUR BOVESSE 100 B 5100 NAMUR JAMBES T L 081337211 FAX 081 30 90 93 DEPARTEMENT DE LA GESTION DES FINANCES DES POUVOIRS LOCAUX DIRECTION LA TUTELLE FINANCI RE SUR LES POUVOIRS LOCAUX
61. notamment permis d assurer la pr sence de tr s nombreuses unit s de recherche et de plus de 150 entreprises wallonnes dont de nombreuses PME dans les programmes europ ens et internationaux f w 1 a D 99 inel di t 8 Sri ues a ss a LA GESTION FINANCI RE Le d partement de la Gestion financi re a pour principaux objectifs ede r aliser une valuation de la sant financi re des entreprises sollicitant une aide en mati re de recherche pr s de 400 dossiers ont ainsi fait l objet d une analyse en 2013 concernant pr s de 300 entreprises diff rentes e de g rer le budget relatif aux diff rents programmes de recherche 308 1millions en 2013 en ce compris les 68 1 millions du Plan Marshall 2 Vert et les 4 2 millions des Fonds structurels europ ens e de contr ler l emploi conforme des subsides publics e d effectuer les mises en liquidation de ces aides sur base de dossiers de cr ances 5 985 demandes de mises en liquidations en 2013 e de r aliser tous les encodages relatifs aux demandes d engagement 1 390 nouveaux visas en 2013 et d ordonnancement e de pr parer les certifications des d penses dans le cadre des aides cofinanc es par les Fonds Structurels europ ens e de pr parer et participer aux travaux de contr le et d audit r alis s par les autorit s e d assurer la gestion des recettes alimentant le Fonds dela Recherche du D velopp
62. ont t ajout es au fur et mesure De m me dans ses deux num ros semestriels de 2013 mars et septembre la lettre d information appel e nfoFEDER destin e un large public int ress par les Fonds structurels a fait la part belle la nouvelle programmation En 2013 ce webzine a galement permis de diffuser des informations au sujet de projets cofinanc s Redynamisation urbaine de Farciennes site Interlac Dison et d aborder des th matiques g n rales telles que la culture cofinanc e par le FEDER ou encore un tat des valuations des programmes valuation L ann e 2013 a enregistr la finalisation de deux valuations majeures coordonn es par le d partement La premi re visait tudier la concr tisation des synergies et partenariats et la plus value g n r e par les 17 portefeuilles de projets La deuxi me s int ressait de mani re approfondie au d veloppement des p les urbains wallons Les conclusions de ces valuations ont t publi es sur http europe wallonie be L ann e 2013 galement t le t moin du lancement des valuations ex ante et strat gique environnementale pour les programmes FEDER et FSE wallons 2014 2020 qui seront finalis es dans le courant 2014 Enfin la veille informative et les contacts du d partement ont permis d enrichir le processus d valuation des programmes participation aux r unions du r seau valuation gt de la DG REGIO aux Comit
63. ont t d velopp es plusieurs fois ce qui entraine notamment une interaction entre ces applications difficile et co teuse la mise en place en octobre 2013 d une nouvelle interface web intuitive et conviviale pour permettre aux utilisateurs du SPW d introduire plus facilement leurs nouvelles demandes informatiques la mise en place de centres d expertise au sein dela DSLP afin de r pondre des besoins g n riques ou en outils transversaux centres d expertise en gestion lectronique des documents et en cr ation de sites web le d veloppement des activit s du centre de comp tences en informatique d cisionnelle Business intelligence activit s permettant au management de rapporter et d analyser les activit s dans son domaine m tier et d assurer par ailleurs le pilotage de ses t ches quotidiennes et Ing nierie des Exigences approche syst matique et formalis e pour sp cifier et g rer les exigences La direction de l Architecture et de la S curit informatiques DAS a quant elle contribu aux missions confi es au DTIC dans ses trois domaines de comp tence Dans le domaine de l architecture informatique elle poursuivi sa remise d avis et de 50 recommandations dans le cadre des projets initi s par le Secr tariat g n ral et les directions g n rales du SPW Elle a profit de 2013 pour toffer ses principes d architecture pour produire des architectures de r f rence orient
64. paration et d entretien soit 1 352 bons de travail en 2013 e l ad quation des lieux de travail aux r glementations en vigueur en mati re de s curit et de bien tre au travail en ce compris l tablissement des plans et consignes de s curit Dans ce cadre la direction a assur le suivi de 105 visites de lieux de travail et particip 33 r unions de Comit de concertation La direction suit galement l volution des adaptations des b timents en terme d accessibilit aux personnes mobilit r duite eles contr les techniques obligatoires pr vention et d tection incendie inventaire amiante lectricit gaz ascenseurs etc COORDONNEES DE CONTACT Direction g n rale transversale du Budget de la Logistique et des Technologies de l Information et de la Communication DGT 2 M Francis MOSSAY Directeur g n ral ADRESSE DE CONTACT Boulevard du Nord 8 5000 Namur POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 77 25 71 Fax 32 0 81 77 38 39 DGT 201 direction fonctionnelle et d appui Directeur Marc BAUVIN Admis la retraite en 2014 DGT 210 d partement du Budget Inspecteur g n ral ric DEGROS DGT 220 d partement de la Comptabilit Inspecteur g n ral Daniel BRASSEUR DGT 230 d partement de la Tr sorerie Inspecteur g n ral Alain GENETTE DGT 240 d partement des Technologies de l Ittnformation et de la Communication Inspecteur g n ral Thierry
65. point d entr e par excellence vers l information g ographique wallonne La convivialit et les fonctionnalit s du g oportail s am liorent sans cesse afin de r pondre aux attentes d utilisateurs de plus en plus nombreux 1 300 visites quotidiennes fin 2013 Les activit s 2013 centr es sur l am lioration des fonctionnalit s de l infrastructure de diffusion et du g oportail se sont exprim es travers la refonte du G oportail de la Wallonie inaugur par le ministre Philippe Henry le 7 f vrier 2013 le d veloppement d une application cartographique g n raliste WalOnMap permettant d exploiter la majorit des donn es g ographiques relatives au territoire wallon la poursuite des d veloppements du catalogue de m tadonn es M tawal la mise jour de certains services de diffusion des donn es ou de traitement des donn es la r alisation d tudes pour automatiser certaines op rations courantes effectu es dans l infrastructure telles que le chargement des donn es par les producteurs ou le t l chargement des donn es par les utilisateurs la r alisation d une tude visant planifier les volutions de l infrastructure de donn es spatiales wallonne InfraSIG notamment pour la rendre conforme la Directive INSPIRE l volution des outils de gestion des droits d acc s aux g odonn es et aux services web g ographiques Gestion des aspects juridiques et conomiques li s la diffusion des g odonn es
66. poursuivie en 2013 LES GRANDS ENJEUX DU D PARTEMENT DU PATRIMOINE Le contexte g n ral notamment budg taire est particuli rement d favorable la prise en compte des enjeux dont rel vent les mati res culturelles souvent les premi res faire les frais en cas de crise C est bien videmment le cas pour le patrimoine qui chez nous comme dans bon nombre d autres pays notamment d Europe connait un mouvement de d sint r t voire de rel gation 95 des consid rations secondaires Cette tendance est minemment insidieuse Or elle semble pour beaucoup antinomique avec l int r t qui continue tre soutenu et se d velopper de la part d une partie non n gligeable de la population et elle est dangereuse pour l avenir m me de nos soci t s en mutation Nier l importance de notre h ritage et de nos racines c est mettre en p ril les bases sur lesquelles devrait se construire notre avenir et c est d savouer les valeurs fondamentales qui seules peuvent permettre notre soci t de fonctionner mieux dans l int r t g n ral La r organisation du d partement du Patrimoine sest poursuivie de mani re progressive afin de mieux rencontrer les priorit s de la l gislature qui sach ve et de pr parer celles venir La nouvelle l gislature et les lignes directrices qui seront fix es par la D claration de politique g n rale du prochain Gouvernement wallon seront r v latrices ce sujet et ne
67. qui leur simplifie la vie a t mis jour Et puisqu anticiper est le ma tre mot de la 2 le remboursement d emprunts venant ch ance en 2014 a t entam d s 2013 175 millions ont pu tre lev s soit une couverture de pr s de la moiti des besoins de 2014 Le p le TIC a quant lui uvr d veloppement d un travail collaboratif de qualit avec le projet Convergence Pour rappel ce projet a permis de regrouper diff rentes fonctionnalit s g r es auparavant par des programmes diff rents en un seul outil Outlook Le p le TIC a aussi impl ment pour davantage de simplification administrative deux centrales de march s sp cifiques l informatique le march M035 relatif l h bergement externalis de donn es et applications informatiques et le tout nouveau march 042 relatif la fourniture de terminaux mobiles communicants et de leurs accessoires gsm smartphone tablette etc avec un seul cadre contractuel pour plusieurs b n ficiaires dont les cabinets et les Le p le Logistique et particuli rement son d partement de la Gestion immobili re a connu un v ritable jeu de chaises musicales en mati re de d m nagement entre DGO 5 et DGO 7 lequel a entra n le d placement d environ 300 agents Le d partement de la Gestion mobili re outre le renforcement du parc des v hicules lectriques s est attach s inscrire dans une fili re d
68. r alisables en changeant ses habitudes de d placements voiture individuelle au profit d une mobilit plus douce Un calculateur mobilit tait disponible en ligne Ce calculateur est toujours accessible sur le portail http mobilite wallonie be La politique ferroviaire La DGO 2 joue un r le de plus en plus important sur le plan de la politique ferroviaire en Wallonie Une analyse en profondeur du plan pluriannuel d investissements d Infrabel pour la p riode 2013 2025 soit quelque 25 milliards d investissements en infrastructures et mat riel roulant a permis au Gouvernement wallon de se forger une vision strat gique dans ce dossier faut savoir en effet que les investissements tels qu ils sont envisag s dans ce plan pluriannuel sont insuffisants pour assurer l entretien de l ensemble des lignes wallonnes du r seau En outre alors que la Wallonie avait fourni au groupe SNCB un plan de desserte ferroviaire comportant 35 projets prioritaires 70 pour l am lioration du rail celui ci n en a retenu que trois C est dire combien il est important que la DGO 2 se dote d une expertise de haut niveau dans ce domaine LETRANSPORT DE PERSONNES Subventions financi res La somme totale d aides financi res qui ont t octroy es par la DGO 2 dans le courant de l ann e 2013 est de 483 651 000 dont 86 96 pour couvrir les charges d exploitation du Groupe TEC et de la SRWT en ce qui concerne les services de transport
69. r gulier lignes TEC les services scolaires en ce compris le transport interne d l ves fr quentant les tablissements de la F d ration Wallonie Bruxelles et les services en faveur des personnes mobilit r duite Afin de notamment lui permettre de construire des am nagements gares de correspondances arr ts de bus etc et de subventionner les communes qui installent des abribus 7 96 ont t consacr s des aides financi res la SRWT Quelques autres 5 6 96 sont consacr s aux aides aux investissements d infrastructures SRWT SNCB La DGO 2 participe au pr financement prise en charge des int r ts des emprunts contract s de travaux prioritaires r alis s par la SNCB sur le territoire wallon la cr ation d un parking relais c t de la gare d Ottignies Louvain la Neuve la construction d un nouveau quai dans la gare multimodale de Mons etc Suivi du contrat de service public y 1 w NM ALLL is ra H mi E Pu z ee me i Gd o n ao Leg T ET Un nouveau contrat de service public en phase avec le cadre r glementaire europ en a t sign le 18 novembre 2013 pour la p riode 2013 2017 Il d finit les objectifs assign s par le Gouvernement wallon au Groupe TEC et les obligations respectives de chaque partie pour la r alisation de ces objectifs Plus pr cis ment la DGO 2 est charg e de mettre disposition le
70. res relevant de la comp tence r gionale Les actions qui en d coulent sont organis es autour d une m thodologie structurante garante d une approche logique et constructive figurant dans le plan op rationnel du Secr tariat G n ral Dans l hypoth se d une crise il est n cessaire de pouvoir b n ficier rapidement des comp tences et expertises pr sentes en Wallonie la charni re d institutions efficaces le Centre r gional de Crise de Wallonie se doit de favoriser les synergies en vue de mieux anticiper les crises tout en valorisant les savoir faire des acteurs Au cours de l ann e 2013 l identification des risques communs l ensemble du SPW ou sp cifiques certaines directions g n rales a constitu le point de d part de l tablissement d une m thodologie synth tique en vue d un approche transversale d anticipation de situations potentiellement critiques Le renforcement de contacts fr quents avec des partenaires de plus en plus nombreux a conduit l laboration de SLA Service Level Agreement cadre de relations clairement organis es et gage d une plus grande efficacit pour l tablissement de proc dures sp cifiques dans des domaines aussi vari s que les pics de pollutions par particules fines les risques d inondation ou de feu de for ts la cellule d alerte routi re Ces d marches n cessitent des outils adapt s d ores et d j utilis s de mani re op rationnelle par le CRC W en 2013 nou
71. s d valuation organis s par l Agence FSE aux s minaires qui se sont tenus dans le cadre de la politique de la ville en lien direct avec l valuation traitant des p les urbains La programmation 2014 2020 Les r glements de la nouvelle programmation ont t publi s au Journal Officiel le 20 d cembre 2013 En parall le le d partement a particip activement aux travaux d un nouveau groupe d experts qui a t cr par la Commission pour analyser les projets d actes d l gu s et d actes d ex cution qui doivent compl ter ces r glements Les t ches li es la pr paration de la nouvelle programmation sont nombreuses et vari es Citons par exemple ela diffusion des orientations 2014 2020 aupr s d un public vari administrations partenaires socio conomiques cabinets b n ficiaires potentiels via diff rents canaux r unions lettres d information site Internet la passation et le suivi de march s publics pour d signer un expert charg de la r daction des documents de programmation un valuateur charg de l valuation ex ante et un autre de l valuation environnementale e la contribution la finalisation des documents de programmation FEDER 18 apports techniques sur base des r glements des recommandations des valuateurs de l exp rience de la programmation 2007 2013 la participation aux n gociations formelles et informelles aux niveaux wallon et belge ainsi qu
72. s de 15 millions ce sujet il faut noter que l APE Marchand et l APE Jeune ont t remplac s au 1 juin 2013 par un nouveau dispositif nomm SESAM En 2013 1 092 employeurs ont introduit dans ce cadre une demande d aide pour lengagement de 1 640 demandeurs d emploi En 2013 la direction de la Promotion de l Emploi a r ceptionn plus de 2 600 demandes APE ll assure galement le suivi du plan Cyberclasse qui vise l installation d ordinateurs dans les tablissements scolaires Au 31 d cembre 2013 le bilan tait le suivant 3 178 implantations scolaires ont introduit un dossier Cyberclasse aupr s du SPW soit 94 8 96 des coles cibl es 2 988 coles ont confirm leur demande et sont d ores et d j quip es ou en passe de l tre et 38 538 ordinateurs soit 96 34 96 des 40 000 ordinateurs pr vus sont d ores et d j op rationnels ou en passe de l tre L INVESTISSEMENT Le d partement de l investissement g re les aides l investissement Celles ci sont une n cessit majeure pour le d veloppement conomique de la Wallonie Elles se composent d aides l investissement en faveur des entreprises priv es et de soutien des entreprises publiques priv es sp cialis es dans l am nagement de zones d activit s conomiques Le d partement de l Investissement se compose de trois directions ela direction des Petites et Moyennes Entreprises qui participe l lab
73. sent es en 2013 dont certaines dans plusieurs Espaces Elles ont accueilli plus de 13 000 visiteurs 20 Vivre la Wallonie Vivre la Wallonie a pour ambition d tre un magazine informatif qui valorise les initiatives de la Wallonie et un magazine pratique au service des citoyens LE MA 242 AGAZINE pg VOTRE R GION 23 Mare 2013 7 lon e I compte 110 000 abonn s Quatre num ros de Vivre la Wallonie ont t dit s en 2013 Chaque num ro a fait l objet d un dossier sp cial les routes l agriculture l action sociale et la Meuse Les quatre num ros 2013 de Vivre la Wallonie ont t mis en ligne sur le nouveau portail www wallonie be Le n de d cembre a galement fait l objet d une version tablette disponible sur Apple store et Google Play LE DO 55 27 R Les Espaces Wallonie 15 ont pour mission principale d informer et d orienter les citoyens 115 h bergent galement les permanences sp cialis es logement nergie m diateur Fonds du Logement des Familles nombreuses Soci t wallonne du Cr dit social ainsi que des expositions caract re p dagogique et ou artistique En 2013 ce sont plus de 78 000 citoyens qui ont obtenu des renseignements une aide ou un accompagnement dans leurs d marches administratives en poussant la porte des Espaces Wallonie Courant 2013 des contacts se sont nou s avec la direction g n rale de la Fiscalit afin de mettre
74. territoire D autres projets illustrent le r le actif que joue le d partement dans un secteur du logement caract ris par un parc immobilier la fois vieillissant et peu en phase avec les r alit s contemporaines en termes de performances nerg tiques L enjeu s assimile cet gard une qu te permanente de l harmonie qui doit s tablir entre l adverbe durablement et le verbe habiter La probl matique pos e par la localisation des activit s de services et de commerce a galement t prise bras le corps tant est urgent d endiguer l talement urbain compte tenu des co ts de la gestion publique du territoire qu il induit et de la n cessit de ne pas alourdir davantage l hypoth que qui plane sur l avenir des centres urbains Pour autant les efforts de vigilance quant aux modes d action au sein des zones non urbanisables sont continuellement maintenus comme vecteur de la volont d am nager un espace rural de qualit Enfin aucun des d fis qui se profilent pour le d partement ne saurait tre pleinement relev sans un investissement dans le capital humain qui soit la hauteur de ces ambitions C est pourquoi l effort de formation des agents se poursuit sans rel che pour accro tre notre capacit mobiliser judicieusement les outils de l am nagement du territoire Il s impose au demeurant que l expertise acquise puisse irradier toutes les couches de la population en renforcant dans le
75. totalement ou partiellement consult s sur place ou sur le site Internet qui a t mis en ligne en 2013 archives wallonie be une collection de journaux allant de 1829 1981 un important fonds cartographique ancien les archives 1968 2010 de la section wallonne de la Commission royale de Toponymie et de Dialectologie relatives la d nomination des noms de rue De plus depuis sa cr ation le Service des Archives r gionales accueille des archives interm diaires produites par certaines directions du SPW Ces documents doivent tre conserv s temporairement pour des besoins administratifs ou juridiques Chiffres 2013 12 584 5 m lin aires d archives dont 2 063 8 m lin aires d archives historiques et 10 520 7 m lin aires d archives interm diaires 817 demandes d information ou de consultation 26 LA REVUE DE PRESSE Larevue de presse du d partement de la Communication offre chaque jour une synth se de l actualit parue dans les principaux quotidiens et p riodiques de la presse francophone Principalement orient e vers les comp tences r gionales cette synth se ne manque pas de replacer celles ci dans un contexte largi tant national qu international En marge de l dition quotidienne des dossiers permettent le cas ch ant de compiler des articles de longueur plus importante parfois extraits de sources multiples abordant des sujets dont l int r t est susceptible de s inscrire dans la dur
76. un danger imminent cons quence d un v nement qui vient de se produire ou qui risque de survenir rapidement constitue une des priorit s de la gestion de crise La multiplicit des moyens traditionnels 15 m dias divers v hicules sonoris s sir nes etc restent souvent impuissants effectuer la diffusion effective d un message dans les d lais requis d s lors le recours des dispositifs plus performants s impose Le syst me GEDICOM dont le CRC W dispose depuis plus d un an r pond ces exigences Sur base du fichier des abonn s au r seau t l phonique jumel une cartographie performante le syst me permet la diffusion tr s rapide de messages des groupes cibles pr tablis ou choisis en temps r el chaque abonn tant g o positionn sur la carte le simple trac d une zone quelconque sur l cran d un ordinateur permet de s lectionner l ensemble des abonn s dela zone qui re oivent alors instantan ment un appel t l phonique contenant les informations requises La capacit de diffusion est de 2 500 appels t l phoniques par minute En outre le syst me offre la possibilit de diffuser par s lection de fichiers pr enregistr s l ensemble des maisons de repos l ensemble des bureaux de police l ensemble des fonctionnaires de tel d partement ou par s lection par commune rue ou autres param tres L outil offre galement le choix de la communication par fax SMS ou mails sur base
77. universit s divers organismes publics Wallonie cyclable Un r seau de Conseillers en Mobilit Au 31 d cembre 2013 la Wallonie comptait un total de 836 conseillers en mobilit dont 55 form s en 2013 s agit d ambassadeurs form s par 69 la DGO 2 et charg s de mettre de l huile dans les rouages de la politique de mobilit Tr s actifs dans les communes au sein du groupe TEC SRWT ou des associations promouvant l usage du v lo par exemple les CeM sont devenus des acteurs incontournables de la politique r gionale Leur r le est d identifier les dysfonctionnements et les ventuelles incoh rences dans la gestion des d placements d alerter les responsables de favoriser les changes entre les interlocuteurs concern s et de contribuer des solutions innovantes Semaine de la Mobilit La Semaine de la Mobilit se d roule annuellement dans toute l Europe du 16 au 22 septembre Le th me de la Semaine de la Mobilit 2013 tait Un jour Un mode Chaque jour dela semaine a mis l honneur un mode de transport diff rent Originalit de cette derni re dition dix familles wallonnes se d placant habituellement en voiture ont relev le d fi qui consistait se passer de leur v hicule durant toute la semaine De Neufch teau Comines ces m nages se sont essay s au covoiturage aux transports en commun au v lo En septembre le grand public a aussi eu l occasion de calculer les conomies
78. 013 le d partement dela Comptabilit a poursuivi activement sa participation la r forme de la comptabilit publique Il a ainsi contribu la r daction de l arr t du Gouvernement wallon du 28 novembre 2013 portant organisation des contr le et audit internes budg taires et comptables ainsi que du contr le administratif et budg taire et a particip aux travaux d analyse informatique destin s adapter l application GCOM la gestion des engagements juridiques pr vue par la nouvelle l gislation 46 LE D PARTEMENT DE LA TR SORERIE Le d partement de la Tr sorerie assure ses missions au travers de trois directions La direction du Financement g re le cycle de tr sorerie et assure le service financier de la dette directe indirecte et de l emprunt de soudure dette des Soci t s patrimoniales d administration des b timents scolaires SPABS Depuis la mise en uvre de la centralisation financi re des tr soreries des organismes d int r t public wallons OIP elle g re aussi les pr visions de tr sorerie de ces derniers afin d optimaliser la position nette de tr sorerie r sultant de l tat global de la Wallonie et de celui de ces OIP La direction des Recettes quant elle a pour mission de percevoir et de comptabiliser l ensemble des recettes de la Wallonie Elle assure galement le recouvrement des recettes g n rales Depuis 2010 cette direction est charg e d assurer le recou
79. 13 il a d livr pas moins de 10 115 permis de travail ce qui repr sentait une diminution de 16 96 par rapport 2012 La r gularisation du s jour par le travail s est poursuivie et les demandes introduites suite aux d cisions favorables de l Office des trangers ont continu affluer la DGO 6 Le d partement de l Emploi et de la Formation professionnelle s implique aussi dans la mise en oeuvre du Plan Marshall 2 Vert en soutenant la formation qualifante des jeunes nouvelles technologies formation en alternance etc et leur insertion professionnelle tout en appuyant le d veloppement durable par le biais d aides aux PME et aux agences de d veloppement local En 2011 et 2013 il a lanc deux appels projets cole num rique aupres des directions d coles qui leur proposaient d introduire des sc narios p dagogiques novateurs int grant l usage des technologies de l information et de la communication Sur les 600 projets introduits 100 ont t s lectionn s Et en novembre 2011 il a lanc la plate forme Wallangues qui permet aux Wallons d apprendre les langues en e learning Un indiscutable succ s puisque au 1 mars 2014 la plate forme comptait plus de 300 000 inscrits Il instruit aussi les demandes en mati re d Aides la Promotion de l Emploi APE un dispositif qui repr sentait en 2013 un budget de 632 millions et du programme de transition professionnelle qui s levait en 2013 pr
80. ANCES PUBLIQUES LOCALES En 2013 l eMandat a t mis jour suite l entr e en vigueur de la r forme de la tutelle et des grades l gaux et des modifications en mati re de march s publics Par ailleurs 2013 a galement t plac e sous le signe d une tude quant l ouverture de l eMandat aux mati res relatives aux provinces aux intercommunales et aux associations Chapitre Un march public de services a t lanc afin de d terminer le prestataire qui accompagnera la DGO 5 dans la mise en production de l eMandat version 2 0 Les travaux avec ce prestataire sont pr vus pour 2014 Le d veloppement de l eTutelle etutelle Aujourd hui l eTutelle est une r alit pour 75 des villes et communes de Wallonie qui utilisent le guichet lectronique de d p t des actes Les plus grandes villes nous font confiance Namur Li ge Mons La Louvi re et cette confiance se traduit par une utilisation volontaire et croissante un acte sur deux transmis par voie lectronique en 2013 soit 5 801 actes c est trois fois plus qu en 2012 La grande majorit des communes adh rentes au projet eTutelle se disent satisfaites temps gagn dans l encodage et le suivi des dossiers facilit pour trouver le bon interlocuteur flexibilit dans le travail mais aussi la dimension p dagogique d velopp e dans l accompagnement au changement Ces r sultats encourageants sont le fruit d une collaboration constante avec les
81. BERTRAND DGT 250 d partement de la Gestion mobili re Inspecteur g n ral Freddy DEHOUX Admis la retraite en 2014 DGT 260 d partement de la Gestion immobili re Poste en proc dure de vacance 57 DL DRE 558 RA i LT Ci E 2 Xu E ret Pd M Etienne WILLAME Directeur g n ral f f BOULEVARD DU NORD 8 5000 NAMUR 081 77 26 03 T L 081 77 3666 FAX 58 ORGANIGRAMME DE LA 1 DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DES ROUTES ET DES B TIMENTS SPW e RAPPORT D ACTIVIT S 2013 DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DE LA STRATEGIE ROUTIERE DIRECTION DES DROITS DES USAGERS DIRECTION DES IMPACTS ECONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ROUTIERS DIRECTION DE LA COORDINATION DES DISTRICTS ROUTIERS DIRECTION DE LA GESTION DES PROGRAMMES ROUTIERS D PARTEMENT DE LA S CURIT DU TRAFIC ET DE LA T L MATIQUE ROUTI RE DIRECTION DE LA S CURIT DES INFRASTRUCTURES ROUTI RES DIRECTION DES QUIPEMENTS ROUTIERS DIRECTION DE LA GESTION DU TRAFIC ROUTIER DIRECTION DE LA T L COMMUNICATION D PARTEMENT DU R SEAU DE NAMUR ET DU LUXEMBOURG DIRECTION DES ROUTES DE NAMUR DIRECTION DES ROUTES DU LUXEMBOURG DIRECTION DES QUIPEMENTS LECTROM CANIQUES DE NAMUR ET DU LUXEMBOURG D PARTEMENT DU R SEAU DU HAINAUT ET D
82. D iLibrary e pour les quelque 240 juristes SPW les deux bases de donn es juridiques g n ralistes Strada Lex et Jura ont t compl t es par un acc s la nouvelle formule de la plateforme Jurisquare revues et ouvrages juridiques belges ces trois outils documentaires offrent au total plus de 1 000 ouvrages et 80 revues int gralement accessibles en version num rique par ailleurs une dizaine de bases de donn es plus sp cifiques droit des march s publics droit fiscal droit social sont propos es aux juristes sp cialis s en ces mati res cette offre num rique a t largie en 2013 aux huit cabinets minist riels wallons 25 Chiffres 2013 41 480 ouvrages e 240 p riodiques e 1 pr ts plus de 10 000 consultations des ressources documentaires num riques en ligne LES ARCHIVES R GIONALES Le d cret du 6 d cembre 2001 surles archives publiques imposela conservation des archives d finitives ou historiques des services de la Wallonie des OIP et des cabinets minist riels Le service des archives r gionales recoit galement les archives priv es de ceux qui ont contribu la mise en place et au bon fonctionnement des institutions wallonnes ministres hauts fonctionnaires membres des cabinets minist riels En raison de leur caract re r cent la majorit des documents conserv s sont inaccessibles au public Toutefois certains fonds peuvent d s pr sent tre
83. DIRECTION DES RESSOURCES FINANCI RES DES POUVOIRS LOCAUX D PARTEMENT DES RESSOURCES HUMAINES ET DU PATRIMOINE DES POUVOIRS LOCAUX DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES DES POUVOIRS LOCAUX DIRECTION DU PATRIMOINE ET DES MARCH S PUBLICS DES POUVOIRS LOCAUX ORGANIGRAMME DE LA DGO 5 DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DES POUVOIRS LOCAUX DE L ACTION SOCIALE ET DE LA SANT D PARTEMENT DE LA L GISLATION DES POUVOIRS LOCAUX ET DE LA PROSPECTIVE DIRECTION DE LA PROSPECTIVE ET DU D VELOPPEMENT DES POUVOIRS LOCAUX DIRECTION DE LA L GISLATION ORGANIQUE DES POUVOIRS LOCAUX DIRECTION DE LINSPECTION ET DE L AIDE LA GESTION DES POUVOIRS LOCAUX D PARTEMENT DE L ACTION SOCIALE DIRECTION DE L ACTION SOCIALE DIRECTION DE L INT GRATION DES PERSONNES D ORIGINE ETRANGERE ET DE L GALIT DES CHANCES D PARTEMENT DES A N S ET DE LA FAMILLE DIRECTION DES AINES DIRECTION DE LA FAMILLE DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DE LA SANT ET DES INFRASTRUCTURES MEDICO SOCIALES DIRECTION DES INFRASTRUCTURES MEDICO SOCIALES DIRECTION DES SOINS HOSPITALIERS DIRECTION DE LA SANT ENVIRONNEMENTALE DIRECTION DES SOINS AMBULATOIRES SERVICES EXT RIEURS DIRECTION DU LUXEMBOURG DIRECTION DE LI GE DIRECTION DU HAINAUT DIRECTION DE NAMUR DIRECTION DU BRABANT WALLON 101 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DES POUVOIRS LOCAUX DE L ACTION SOCIALE ET DE LA SANT
84. ENT DE LA TR SORERIE DIRECTION DU FINANCEMENT DIRECTION DES RECETTES DIRECTION DU CONTENTIEUX DE LA TR SORERIE D PARTEMENT DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION DE L ARCHITECTURE ET DE LA S CURIT INFORMATIQUES DIRECTION DE L EXPLOITATION INFORMATIQUE DIRECTION DES SOLUTIONS LOGICIELLES ET DES PROJETS D PARTEMENT DE LA GESTION MOBILIERE DIRECTION DE LA GESTION MOBILI RE DIRECTION DE L APPUI LOGISTIQUE DIRECTION DE L DITION D PARTEMENT DE LA GESTION IMMOBILIERE DIRECTION DE LA GESTION IMMOBILIERE DIRECTION DES ETUDES DES MARCHES ET DES TRAVAUX PATRIMONIAUX DIRECTION DE LA MAINTENANCE DIRECTION DE LA PREVENTION ET DES CONTROLES 41 SPW e RAPPORT D ACTIVIT S 2013 DGT 2 LA DIRECTION G N RALE TRANSVERSALE DU BUDGET DE LA LOGISTIQUE ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION DGT 2 Le mot du Directeur g n ral C est une nouvelle satisfaction de pr senter les activit s de la DGT 2 au sein de ce rapport d activit s du SPW Le rapport annuel constitue un point de rep re ponctuel dans une valuation permanente des missions et des activit s du service public Il t moigne du travail fourni par les agents durant l ann e coul e Je profite de l occasion pour remercier tous les collaborateurs de la DGT 2 de leur implication dans les missions qui rel vent de leurs comp tences e la gestion du budget de la com
85. ES RISQUES INDUSTRIELS G OLOGIQUES ET MINIERS DIRECTION DES EAUX DE SURFACE DIRECTION DES EAUX SOUTERRAINES DIRECTION DES OUTILS FINANCIERS 81 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DE L AGRICULTURE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE L ENVIRONNEMENT UNE D MARCHE QUALIT AVEC LE SIMO La direction g n rale op rationnelle de l Agriculture des Ressources naturelles et de l Environnement DGO 3 s est engag e depuis quelques ann es dans une d marche de management qualit environnement int gr e Cela se traduit concr tement par la mise en place d un syst me de management respectant des normes internationalement reconnues le Syst me Int gr de Ma trise des Op rations SIMO Le Comit de Direction s est ainsi engag entre autres fixer les objectifs strat giques balisant l activit de la DGO 3 identifier les orientations en mati re de qualit d environnement de gestion de l information de sant et de s curit au travail et en d duire les objectifs les r les et responsabilit s de chacun La certification progressive de certains l ments cl s du SIMO a bien avanc Elle concernait les normes et r f rentiels ISO 9001 2008 Syst me de managementdela qualit Exigences l Eco Managementand Audit Scheme r glement CE n 1221 2009 du Parlement europ en et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations un syst me communautaire de manage
86. Finances dans lesquels le contribuable wallon avait l habitude de se rendre pour les questions relatives la taxe de circulation de mise en circulation et pour l Eurovignette Cette initiative a tr s rapidement t accueillie avec succ s par le public et son extension a t envisag e pour l ann e 2014 Le web dans un souci d information du citoyen par rapport aux comp tences transf r es la DGO 7 a actualis l information pr sente sur le Portail de la Wallonie www wallonie be en y int grant notamment une foire aux questions FAQ o le citoyen peut trouver r ponse de nombreuses questions ainsi que les grilles tarifaires relatives la taxe de circulation et de mise en circulation en Wallonie de m me que les bar mes de l Eurovignette Les brochures dont il est question ci avant y ont galement t int gr es Le Salon de l Auto vu le transfert des comp tences la DGO 7 se devait d tre pr sente au Salon de l Auto 2014 Le dernier trimestre de l ann e 2013 a donc t en partie consacr l organisation de sa pr sence ce salon afin d aller la rencontre du citoyen de l informer du transfert et de r pondre ses multiples questions LES RECETTES 2013 En 2013 le budget des recettes fiscales percevoir par la DGO 7 s tablissait comme suit Taxes Budget 2013 T l vision redevance RTV 115 millions Jeux et paris JP 18 974 millions Appareils automa
87. ION Le d partement des TIC se compose de trois directions La direction des Solutions logicielles et des Projets DSLP participe la mise en uvre de la strat gie d finie par le Gouvernement wallon pour l informatique en assurant la mise disposition et l volutivit des solutions fournies par les logiciels n cessaires aux activit s de l ensemble du SPW Elle a pour missions de e d velopper une approche orient e lt client en offrant un interlocuteur pour chaque besoin ou projet m tier un point de contact unique entre le DTIC et chaque direction g n rale e assurer la mise disposition et l volution des solutions logicielles applications et outils n cessaires aux activit s du SPW e assister les services m tier du SPW dans la formalisation et l analyse de leurs exigences par rapport aux solutions logicielles e d finir l alignement de la strat gie informatique sur les besoins m tier assurer la d finition d un plan directeur informatique pluriannuel et sa mise jour permanente coordonner une conduite transversale de projets informatiques au sein du SPW En 2013 on peut mettre en exergue au niveau du bureau de projet du DTIC PMO continuit dans ses t ches courantes op rationnelles comme le suivi des projets la formation des agents et le support l outil de gestion du portefeuille de projets du SPW L quipe PMO a trait pour le SPW plus de 200 projets et fi
88. IPEMENTS DES VOIES HYDRAULIQUES DE NAMUR D PARTEMENT DES VOIES HYDRAULIQUES DE LIEGE DIRECTION DES VOIES HYDRAULIQUES DE LIEGE DIRECTION DE L EXPLOITATION DES BARRAGES DIRECTION DE LA GESTION DES QUIPEMENTS DES VOIES HYDRAU LIQUES DE LIEGE ET DES BARRAGES 67 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DELA MOBILITE ET DES VOIES HYDRAULIQUES DGO 2 68 La direction g n rale op rationnelle de la Mobilit et des Voies hydrauliques DGO 2 fait partie int grante du Service Public de Wallonie SPW Ses missions consistent organiser une meilleure mobilit dans nos villes et communes organiser et encadrer le transport scolaire de nos enfants g rer et exploiter les voies navigables pour qu elles offrent une capacit de tonnage suppl mentaire et d sengorgent nos routes veiller la s curit et la s ret des sites a roportuaires pr voir les risques de crues et mettre tout en ceuvre pour accompagner soutenir et informer les populations La DGO 2 en chiffres c est 298 millions de voyageurs dont plus de 27 000 l ves transport s en toute s curit vers leur tablissement scolaire 450 km de voies navigables exploit es et g r es permettant le transport de quelque 40 millions t de marchandises plus de 6 7 millions de voyageurs qui ont rejoint leur destination par avion au d part de l a roport de Charleroi ou encore 560 000 t de mouvements cargo enregistr s par l a roport d
89. MMISSION DES ARTS D PARTEMENT DE LA COMMUNICATION DIRECTION DE LA COMMUNICATION EXTERNE DIRECTION DE LA COMMUNICATION INTERNE DIRECTION DE L IDENTIT ET DES PUBLICATIONS DIRECTION DE LA DOCUMENTATION ET DES ARCHIVES R GIONALES DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI DIRECTION DE LA CHANCELLERIE ET DELA TRADUCTION DIRECTION INTERD PARTEMENTALE DE LA COH SION SOCIALE SERVICE INTERNE POUR LA PR VENTION ET LA PROTECTION AU TRAVAIL SERVICE EXT RIEUR DU LUXEMBOURG SERVICE EXT RIEUR HAINAUT I SERVICE EXT RIEUR DE LIEGE SERVICE EXT RIEUR HAINAUT II SERVICE EXT RIEUR DE NAMUR LE SECRETARIAT GENERAL LA CELLULE DES STRATEGIESTRANSVERSALES CST La CST du D l gu sp cial a pour principale mission le suivi des plans projets et dossiers transversaux et ou strat giques d cid s par le Gouvernement wallon Dans ses missions li es au Plan Marshall 2 Vert la CST e organise les Comit s de suivi op rationnels analyse l tat d avancement physique et financier des actions du Plan et rapporte aux ministres recherche les pistes de solutions en cas de probl me dans la mise en ceuvre de certaines mesures e actualise l Extranet Plan Marshall 2 Vert et tablit un rapport annuel de suivi du Plan Dans ses missions transversales la CST assure galement un appui au Secr tariat g n ral dans le cadre de la mise en uvre de la VI r forme de l Etat au niveau de la Wallonie coordin
90. Partout elles poursuivent un objectif essentiel viter toute interruption de la navigation sur des voies d eau parsem es d obstacles naturels ou artificiels et ce en toutes saisons et en toutes circonstances Le travail des quipes de maintenance comporte de multiples t ches r paration r novation neufde pi ces lectrom caniques de barri res de batardeaux maintien en tat des berges et des murs de quais entretien des cluses des barrages des ascenseurs am lioration de certains sites au niveau de la s curit mais aussi entretien des chemins de service des halages des pistes cyclables et pi tonnes etc Au cours de l ann e 2013 certains travaux de grande envergure repr sentant un budget tr s cons quent ont t entrepris comme par exemple les travaux de r habilitation au Plan inclin de Ronqui res dont l usure du temps l tanch it du pont canal par o transitent les bateaux Une nouvelle quipe de plongeurs La nouvelle cellule Plongeurs de la DGO 2 est op rationnelle depuis septembre 2013 Localis e Jambes elle se compose de huit plongeurs poss dant un certificat de plong e professionnelle ou assimil Ceux ci op rent sur l ensemble des cours d eau de Wallonie et ont pour missions essentielles l inspection des ouvrages d art l ex cution de petits travaux d entretien ou de r paration etle contr le des travaux subaquatiques r alis s par les entreprises priv
91. REPRISES DIRECTION DE LA COOP RATION ET DE L ENCADREMENT D PARTEMENT DU D VELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE DIRECTION DE L VALUATION ET DE LA SENSIBILISATION DIRECTION DES PROJETS DE RECHERCHES DIRECTION DE L ACCOMPAGNEMENT DE LA RECHERCHE DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DES PROGRAMMES DE RECHERCHE DIRECTION DES PROGRAMMES R GIONAUX DIRECTION DES PROGRAMMES F D RAUX ET INTERNATIONAUX D PARTEMENT DE LA GESTION FINANCIERE DIRECTION DE LA GESTION FINANCI RE DIRECTION DE L ANALYSE FINANCI RE D PARTEMENT DE L INSPECTION DIRECTION DE L INSPECTION SOCIALE DIRECTION DU HAINAUT DIRECTION DE LIEGE ET DU LUXEMBOURG DIRECTION DE NAMUR ET DU BRABANT WALLON 109 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DE L CONOMIE DE L EMPLOI ET DE LA RECHERCHE L CONOMIE L EMPLOI ET LA RECHERCHE C est la DGO 6 qui g re ces trois domaines au sein du SPW de sorte remplir au mieux sa mission essentielle celle de participer activement au renouveau conomique de la Wallonie Cela commence par des actions de sensibilisation aux sciences et aux technologies tout au long des tudes notamment avec la revue Athena et par le projet Cyberclasse qui met la disposition des coles du mat riel informatique et du personnel afin d assurer son entretien mais aussi la formation des utilisateurs Cela se poursuit par le soutien et la valorisation de la recherche qui se concr tisent dans
92. S DIRECTION DES STRUCTURES AGRICOLES DIRECTION DE LOCTROI DES AIDES AGRICOLES DIRECTION DIRECTION D ATH DE CINEY DIRECTION DE HUY DIRECTION DE LIBRAMONT DIRECTION DE MALMEDY DIRECTION DE THUIN DIRECTION DE WAVRE D PARTEMENT DE LA NATURE ET DES FORETS DIRECTION DES RESSOURCES FORESTIERES DIRECTION DE LA NATURE DIRECTION DE LA CHASSE ET DELA PECHE DIRECTION D ARLON DIRECTION DE DINANT DIRECTION DE LI GE DIRECTION DE MALMEDY DIRECTION DE MARCHE DIRECTION DE MONS DIRECTION DE NAMUR DIRECTION DE NEUFCH TEAU SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI D PARTEMENT DU SOL ET DES D CHETS DIRECTION DE LA PROTECTION DES SOLS DIRECTION DE LA POLITIQUE DES D CHETS DIRECTION DES INSTRUMENTS CONOMIQUES DIRECTION DES INFRASTRUC TURES DE GESTION DES D CHETS DIRECTION DE L ASSAINISSEMENT DES SOLS D PARTEMENT DE LA POLICE ET DES CONTROLES DIRECTION DES CONTROLES DIRECTION DE LANTI BRACONNAGE ET DE LA REPRESSION DES POLLUTIONS DIRECTION DE CHARLEROI DIRECTION DE LIEGE DIRECTION DE MONS DIRECTION DE NAMUR LUXEMBOURG DEPARTEMENT DES PERMIS ET DES AUTORISATIONS DIRECTION DES PERMIS ET AUTORISATIONS DIRECTION DE CHARLEROI DIRECTION DE LI GE DIRECTION DE MONS DIRECTION DE NAMUR LUXEMBOURG D PARTEMENT DE L ENVIRONNEMENT ET DE L EAU DIRECTION DE LA PR VENTION DES POLLUTIONS DIRECTION D
93. U BRABANT WALLON DIRECTION DES ROUTES DE MONS DIRECTION DES ROUTES DE CHARLEROI DIRECTION DES ROUTES DU BRABANT WALLON DIRECTION DES EQUIPEMENTS ELECTROMECANIQUES DU HAINAUT ET DU BRABANT WALLON D PARTEMENT DU R SEAU DE LI GE DIRECTION DES ROUTES DE LI GE DIRECTION DES ROUTES DE VERVIERS DIRECTION DES QUIPEMENTS LECTROM CANIQUES DE LI GE D PARTEMENT DES EXPERTISES TECHNIQUES DIRECTION DE LA G OTECHNIQUE DIRECTION DES CONCEPTIONS ET DES CALCULS DIRECTION DES STRUCTURES EN B TON DIRECTION DES STRUCTURES M TALLIQUES DIRECTION DE LEXPERTISE DES OUVRAGES DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DU CONTR LE ROUTIER D PARTEMENT DES INFRASTRUCTURES SUBSIDIEES DIRECTION DES VOIRIES SUBSIDIEES DIRECTION DES AMENAGEMENTS PAYSAGERS DIRECTION DES DEPLACEMENTS DOUX ET DES PARTENARIATS COMMUNAUX DIRECTION DES BATIMENTS SUBSIDIES DIRECTION DES INFRASTRUCTURES SPORTIVES 59 SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 LA DIRECTION G N RALE OPERATIONNELLE DES ROUTES ET DES B TIMENTS 60 Mise trois voies de l E42 OSPW 61 SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 62 Contournement d Enghien OSPW Am nagement de s curit Aiseau Presles OSPW SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 63 SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 64 quipement de signalisation SPW 65
94. UR JAMBES T L 081332111 FAX 081 33 21 10 ORGANIGRAMME DE LA 4 DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE L AM NAGEMENT DU TERRITOIRE DU LOGEMENT DIRECTION FONCTIONNELLE DU PATRIMOINE ET DE L NERGIE ET D APPUI D PARTEMENT D PARTEMENT DU LOGEMENT D PARTEMENT DU PATRIMOINE D PARTEMENT DE L NERGIE SERVICES EXT RIEURS DE L AM NAGEMENT ET DU B TIMENT DURABLE DU TERRITOIRE ET DE L URBANISME DIRECTION DE L AM NAGEMENT DIRECTION DE L INFORMATION DIRECTION DE LA PROTECTION DIRECTION DES B TIMENTS DIRECTION DIRECTION OP RATIONNEL ET DU CONTR LE DU PATRIMOINE DURABLES DU BRABANT DE LI GE I WALLON DIRECTION DE L AM NAGEMENT DIRECTION DES SUBVENTIONS DIRECTION DE LA RESTAURATION DIRECTION DE LA PROMOTION DIRECTION DIRECTION R GIONAL AUX ORGANISMES PUBLICS DU PATRIMOINE DE L NERGIE DURABLE D EUPEN DE LIEGE ET PRIV S DIRECTION DE L AM NAGEMENT DIRECTION DES AIDES DIRECTION DE L ARCH OLOGIE DIRECTION DE L ORGANISATION DIRECTION DIRECTION DU LOCAL AUX PARTICULIERS DES MARCH S R GIONAUX DU HAINAUT LUXEMBOURG DE L NERGIE DIRECTION DE L URBANISME DIRECTION DES TUDES DIRECTION DIRECTION ET DE L ARCHITECTURE ET DE LA QUALIT DU LOGEMENT DU HAINAUT II DE NAMUR DIRECTION DE LA G OMATIQUE DIRECTION JURIDIQUE DES RECOURS ET DU CONTENTIEUX 91 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DE L AM NAGEMENT DU TERRITOIRE DU LOGEMENT DU PATRIMOINE ET DE L NERGIE LES D FIS DU D PARTEMENT DE L AM
95. XELLES SIMPLIFICATION eWBS D PARTEMENT DE LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES DIRECTION DU MANAGEMENT DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES DIRECTION DE LA S LECTION DIRECTION DE LA FORMATION DU PERSONNEL ORGANIGRAMME DU SG CENTRE R GIONAL DE CRISE D PARTEMENT DES AFFAIRES G N RALES DIRECTION DE LA FONCTION PUBLIQUE DIRECTION DE L ADMINISTRATION DU PERSONNEL DIRECTION DE LA GESTION P CUNIAIRE D PARTEMENT DU D VELOPPEMENT DURABLE DIRECTION DES STRAT GIES DU D VELOPPEMENT DURABLE DIRECTION OP RATIONNELLE DU D VELOPPEMENT DURABLE SECR TARIAT G N RAL CELLULE DE L AUTORIT DE CERTIFICATION D PARTEMENT DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DU SUPPORT JURIDIQUE DIRECTION DU CONTENTIEUX G N RAL DIRECTION DES MARCH S PUBLICS D PARTEMENT DE L AUDIT DIRECTION DE L AUDIT DES FONDS EUROP ENS DIRECTION DE L AUDIT INTERNE DE FONCTIONNEMENT SECR TARIAT DU CONSEIL SUP RIEUR DES VILLES COMMUNES ET PROVINCES DE LA R GION WALLONNE D PARTEMENT DE LA COORDINATION DES FONDS STRUCTURELS DIRECTION DE LA GESTION DES PROGRAMMES FONDS STRUCTURELS DIRECTION DE L ANIMATION ET DE L VALUATION DES PROGRAMMES FONDS STRUCTURELS DIRECTION DU CONTR LE DE PREMIER NIVEAU DES PROJETS FONDS STRUCTURELS D PARTEMENT DE LA G OMATIQUE DIRECTION DE LA G OM TROLOGIE DIRECTION DE L INT GRATION DES G ODONN ES SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 CO
96. a finalit de ce plan lanc fin 2010 est d am liorer fortement les conditions de la pratique du v lo et d augmenter significativement son utilisation d ici 2020 Dix communes pilotes avaient t s lectionn es en 2011 sur un total de 62 dossiers de candidature parce qu elles disposaient d j de plans communaux cyclables En 2013 de grands investissements ont t engag s dans ces dix communes Les premiers r sultats sont attendus au printemps 2014 Au m me moment elles subiront une valuation Cet audit permettra l administration d am liorer certaines actions de renforcer la coordination mais aussi de r colter des enseignements pr cieux pour d ventuelles exp riences semblables Tous v lo actifs s agit d une action sp cifiquement d di e la promotion des d placements domicile travail via le v lo pour les travailleurs et les tudiants Une vingtaine de grandes entreprises de Wallonie sont ainsi aid es dans la mise en uvre de politiques de mobilit favorisant la pratique du v lo Pour encourager les travailleurs des incitants ont t mis en place des formations visant se mouvoir au mieux dans un trafic dense des pr ts de v los en test des aides l installation de parkings adapt s etc Aux 18 organisations pr s de 75 000 salari s qui avaient r pondu pr sentes l appel lanc en 2012 sept autres se sont ajout es en 2013 parmi lesquelles de grandes entreprises des h pitaux des
97. aces chauffeur compris Un tel certificat atteste que l int ress dispose des capacit s professionnelles et financi res requises et satisfait aux conditions d honorabilit n cessaires pour exercer la profession d organisateur de transport En 2013 la DGO 2 a trait 41 dossiers d acc s la profession et d livr 27 attestations Les conditions d acc s au march pour les services r guliers sp cialis s font l objet d un contr le syst matique de la part de la DGO 2 depuis 2013 Suite la nouvelle r glementation des march s publics entr e en vigueur le 1 juillet 2013 celle ci impose aux op rateurs de transport de faire la preuve de la mise en concurrence pr alable Un tel m canisme a pour objectif d assurer une compl te transparence dans ce secteur au b n fice des usagers 1 Transport individuel par taxi et v hicules assimil s location de voitures avec chauffeur taxis collectifs La DGO 2 d livre les attestations de qualification professionnelle obligatoires pour les exploitants de taxis et v hicules assimil s En 2013 131 attestations ont t d livr es par ses services sur un total de 1138 dossiers trait s La permanence t l phonique qui fonctionne un jour par semaine recueille de tr s nombreux appels 1066 sur l ann e 2013 De nombreux dossiers d infractions assorties de sanctions ont galement t trait s par un agent sanctionnateur au sein de la DGO 2 d sign par le Gouvernem
98. adre attractif concernant les livraisons la facturation et les garanties Ce march a par ailleurs t pass en formule de centrale de march s pour d une part d velopper des conomies d chelle et permettre d autres services publics d en profiter et d autre part r duire donc simplifier le nombre de proc dures de march s mener par les services publics d autre part 5 DEPARTEMENT DE LA d partement de la Gestion mobili re t l phonie et mise disposition progressive sur une vingtaine de sites de bornes informatiques GESTION MOBILI RE Pour la direction de l Appui logistique accessibles par les techniciennes de surface bt di D ae de LD 2v e a passation de nouveaux march s en mati re le suivi sur le terrain de l utilisation de d partement de la Gestion mobili re a pour r le d assurer une s rie de services transversaux l ensemble du Service public de Wallonie en mati re d quipements mobiliers direction de la Gestion mobili re d appui logistique direction de l Appui logistique ainsi que d ditions et de publications direction de l dition produits respectueux de l environnement pour l entretien des b timents e la finalisation des travaux du groupe de travail sur la modernisation des accueils t l phonie e la poursuite de l installation de fontaines d eau dans les b timents non dot s de caf t rias le formation du personnel d accueil la gestion du st
99. altern es Toutes les tudes et perspectives en la mati re sont unanimes pour dire qu il faudra pouvoir h berger au moins 300 000 m nages en plus l horizon 2040 dans 25 ans Perspectives de population et de m nages M nages par an M nages Ann e Population M priv s 2013 3 563 060 1536011 2040 3 955 758 1 834 745 Solde 2040 2013 392 698 298 734 11 064 Source IWEPS citant observations DGSIE et calculs BFP 2014 2061 perspectives BFP et DGSIE 2013 2060 Il en r sulte donc qu il faudra pr voir la mise sur le march d environ 12 000 logements par an sur 27 ans D apr s les chiffres du cadastre l augmentation du nombre de logements entre 2003 et 2013 en Wallonie aurait t d environ 14 500 logements par an caract ris e par la production de plus en plus grande de logements en appartements pr s de 40 96 de la hausse Les statistiques des permis de batir d livr s de 2003 2012 pour de nouvelles constructions r sidentielles donnent une moyenne annuelle de logements cr s d environ 13 000 auxquels il faudrait ajouter les logements cr s au sein de b timents r nov s L effort de production fournir dans l avenir est donc du m me ordre de grandeur qu au cours des 10 derni res ann es Toutefois la demande de logement est spatialement diff rente de ce qu elle pouvait tre ant rieurement De plus les nouveaux m nages sont de diff rents types avec un accroissement de
100. andes th matiques d j envisag es ont fait l objet d un surcro t d attention renforcer les synergies avecles autres comp tences de la DGO 4 am nagement du territoire logement et nergie pour valoriser davantage les aspects positifs de nos compl mentarit s renforcer les collaborations avec d autres comp tences du SPW pouvoirs locaux tourisme nature et for ts travaux publics etc en participant la construction de la nouvelle image du Service public de Wallonie notamment en termes de simplification et de recherche de coh rence et enfin entamer une d marche de refonte de nos pratiques en terme de gestion du patrimoine davantage orient e vers le client Le bilan 2013 dans la continuit du pr c dent montre que le d partement du Patrimoine poursuit son volution tout en consolidant son engagement d termin au service du patrimoine de Wallonie Les m mes enjeux persistent les menaces s amplifient qu elles soient externes ou m me internes Plus que jamais tous les acteurs du patrimoine doivent s pauler pour faire en sorte de mieux rencontrer d une mani re g n rale les attentes de la population vis vis de son patrimoine et en particulier celles des propri taires des biens patrimoniaux Cela n cessite de se remettre chaque jour en question de se restructurer pour rendre le patrimoine plus accessible et rendre notre action plus efficiente Les menaces qui p sent sur le patrimoine en
101. ants du personnel Le nouveau cong pour prestations r duites avant accouchement a t accord 46 reprises tandis que le cong parental notamment 1 5 temps l a t 214 reprises En septembre 2013 est entr en vigueur le march avec un nouveau prestataire en mati re de contr le des absences pour maladie Medconsult Apr s plusieurs r unions de concertation avec le nouvel organisme la DAP a inform les agents et les directions g n rales des nouveaux proc d s des nouveaux formulaires de certificats etc elle a aussi du tre particuli rement disponible pour r pondre aux questions des agents et des services De septembre 2013 fin d cembre 2013 Medconsult a r alis 480 contr les m dicaux Au troisi me trimestre la DAP a particip aux r unions pr paratoires la mise en place du suivi des dossiers d accidents du travail dans Publiato qui implique l obligation partir du 1 janvier 2014 de l encodage des donn es de l accident via le portail de la S curit sociale Par ailleurs apr s plusieurs mois de test en interne et de r vision de l application la DAP a termin l impl mentation de l Extranet SPMT qui vise permettre une meilleure gestion des consultations de m decine du travail par les correspondants du personnel 35 En outre afin de faciliter l accessibilit des agents leur dossier personnel la DAP en collaboration avec DGP a mis en place le d but de l impl men
102. ation du transfert des comp tences La cellule en quelques chiffres En 2013 la CST a organis une centaine de r unions de Comit s de suivi op rationnels associant 32 directeurs g n raux et plus de 250 agents Elle a r colt plus de 120 indicateurs d avancement qui sont en permanence monitor s et a effectu le suivi du Plan aupr s du Gouvernement par le biais de quatre rapports d avancement et d un rapport annuel La CST vient de pr senter le bilan de fin de l gislature disponible sur http www wallonie be fr plan marshall LA DIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI DFA La DFA a pour mission g rer les ressources humaines participer l laboration du plan de personnel et au suivi de son ex cution coordonner les travaux pr paratoires au budget et l ex cution de celui ci et en assurer le suivi g rer le parc informatique les ressources mat rielles mobili res et immobili res du Secr tariat g n ral coordonner et transmettre des informations tant au sein du Secr tariat g n ral que vers d autres directions g n rales et repr senter le Secr tariat g n ral au sein de diff rents r seaux constitu s au sein du SPW assurer le secr tariat et le suivi des diff rents comit s Comit strat gique Comit de direction statutaire Comit de direction de gestion Comit de secteur XVI Comit sup rieur de concertation Comit interm diaire de concertation et Comit de concertation de base
103. au contr le du niveau de bruit dans les habitations insonoris es situ es aux abords des a roports wallons ont t remis la SOWAER en 2013 Il s agit de dresser un tat des lieux avant les travaux d insonorisation coordonn s par la SOWAER et de v rifier apr s travaux si l abaissement de la g ne sonore r pond aux normes fix es LES VOIES HYDRAULIOUES La DGO 2 g re 761 km de voies d eau dont 450 km sont ouverts la navigation marchande Gr ce un maillage naturel avec les voies d eau des pays voisins les voies navigables wallonnes sont en connexion directe avec les principaux ports maritimes belges et europ ens ce qui constitue un avantage strat gique majeur Environ 40 millions t de marchandises ont t transport es par la voie d eau en 2013 que ce soit en trafic interne d un port int rieur wallon un autre en transit l importation ou l exportation Maintenance et modernisation de la voie d eau et des ouvrages La Wallonie compte 126 ouvrages d art hydrauliques dont 40 barrages Un patrimoine remarquable mais certaines de ces infrastructures prennent de 73 l ge L un des d fis permanents de DGO 2 est de continuer faire vivre ces installations en les entretenant correctement et en les modernisant lorsque cela s av re n cessaire Les op rations de maintenance ordinaire et extraordinaire sur les ouvrages de navigation et les biefs occupaient 148 personnes la fin 2013
104. cc s des PME wallonnes la reconnaissance au niveau europ en du Small Business Act Wallon comme bonne pratique avec la structuration du travail des op rateurs publics au sein du Comit de pilotage et l approfondissement du th me de la lt croissance des PME au cours de la 111 dition du Parlement des PME la mise disposition des acteurs industriels et op rateurs publics d un outil m thodologique d analyse des chaines de valeur industrielle et le portage du dossier politique industrielle au niveau europ en les contributions la red finition des modalit s de la politique europ enne de contr le des Aides d tat par la Commission europ enne ainsi que la mise en place des premiers m canismes d ajustement des politiques wallonnes en la mati re 113 la prise en charge de la coordination au niveau wallon de partenariats europ ens d innovation Mati res Premi res et Smart Cities pour une meilleure prise en compte de l co innovation et de l conomie circulaire comme axe du d veloppement industriel wallon LE D VELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE Le d partement du D veloppement technolo gique g re les m canismes d aides l innovation technologique aupr s des entreprises soutient et organise des actions de sensibilisation aux sciences et aux techniques et favorise la valorisation des recherches men es au sein des universit s et des hautes coles Dans le cadre de la promot
105. ccueil e les centres d accueil de jour En vue d accompagner ce changement un Manuel des subventions r glement es pour l Action sociale et la Sant a t r dig Parall lement cette exp rience pilote les r glementations des 13 autres secteurs regroup es au sein du Code wallon de l Action sociale et de la Sant seront adapt es de mani re pouvoir tendre l application du principe de confiance 106 La Plate forme Bien vivre chez soi La Plate forme Bien Vivre chez soia vu le jour en novembre 2010 Co construite avec l AWIPH elle s adresse aux personnes g es ou en situation de handicap Elle offre un site internet rassemblant conseils et adresses de services ou prestataires Elle met la disposition des ain s ou des personnes handicap es un service d ergoth rapie gratuit domicile afin d tablir un diagnostic d envisager les am nagements indispensables ou n cessaires au maintien domicile et d valuer la mise en oeuvre afin de faire voluer le domicile en fonction de l autonomie de la personne www bienvivrechezsoi be Plan wallon Nutrition Sant en faveur des Ain s l alimentation et l tat nutritionnel de nos ain s participent de facon essentielle au bien vieillir Tous doivent pouvoir b n ficier d actions concr tes et visibles favorisant une prise alimentaire optimale qui r pondent leurs besoins et leurs attentes de mani re r duire les risques de maladies et de d pen
106. ce juridictionnelle et administrative JURIWAL est une nouvelle banque de donn es informatiques qui compl tera WALLEX En 2013 le Comit ditorial a t mis sur pied et en d cembre les travaux de ce comit ont permis l adoption d une charte ortho typographique La DSJ a pr par avec l aide de la Commission d acc s aux documents administratifs et du Centre d Expertise et de Pilotage de l Informatique et du Gouvernement lectronique le site commun des CADA RW et FWB mis en ligne en avril 2014 la demande du Comit de pilotage wallon en charge de l organisation du transfert des comp tences suite la VI r forme de l tat un mod le de protocole de collaboration a t tabli Au cours de l ann e WALLEX a publi 230 textes 115 modifiant des textes pr existant et a trait 179 demandes d information recues via son adresse La d mat rialisation des march s publics Depuis mars 2013 l acc s aux applications informatiques li es la passation des march s est simplifi Le bureau unique permet de passer ais ment d une application l autre Dans un premier temps trois applications sont concern es CESAME IAM et URNE Depuis mai 2013 l application PNSP permet de contacter des entreprises et de tracer les contacts avec celles ci dans le cadre d une proc dure n goci e sans publicit Un Comit de suivi le COSSIM a t mis en place en novembre 2013 pour piloter le projet de d veloppement
107. ches avant projets informatiques fiches reprenant l identification d un besoin informatique en termes d volution d extension ou de d veloppement d une application ou de s lection d une solution la finalisation du projet Convergence solution de travail collaboratif centralis e unique et s curis e au sein du SPW g n rant une simplification pour les utilisateurs gestion des messages d absence gestion et partage d agendas et des r unions au travers d un seul et m me outil Outlook la mise en place du p le informatique de la BCED Banque carrefour d change de donn es au sein du DTIC Les ressources de ce p le travaillent ainsi en collaboration avec leurs quivalents de l ETNIC pour proposer les services informatiques de la BCED l laboration dun PDI Plan directeur informatique mis en oeuvre en trois phases En 2013 la phase 1 a t r alis e laboration d une proposition de charte de projet PDI afin de d crire la m thode appliquer pour construire et ex cuter le PDI c est dire la mani re de mener les phases 2 et 3 et recueillir l adh sion des parties prenantes sur cette m thode harmonis e la mise en ceuvre du projet PANTERE ayant comme objectif de red finir le portefeuille applicatif de la DGO 6 bas sur plusieurs applications phares construites au fil du 2 Project Management Office 49 DGT 201 tempsensilosetdontcertainesfonctionnalites identiques
108. ci t s priv es DrivenBy et MoveRTK qui proposent ce service d sormais payant aux utilisateurs auto guid s L acc s au r seau WALCORS reste cependant gratuit pour les autres utilisateurs g om tres topographes etc e en 2013 la direction de la G om trologie a tenu un stand Marche en Famenne Salon des Mandataires et Li ge G oexpo Elle a aussi organis les deux premi res ditions du Club des utilisateurs du PICC La deuxi me rencontre qui a rassembl plus de 120 participants a t l occasion de f ter les 10 ans de WALCORS L INT GRATION DES G ODONN ES Coordination de la production des g odonn es En 2013 diverses actions ont t men es par la direction de l Int gration des G odonn es DIG organisation des r unions mensuelles du Comit de Concertation G omatique CCG suivi de certains groupes de travail transversaux li s la mati re g omatique participation des comit s d accompagnement de projets de production de g odonn es d applications composante g omatique ou de coordination pour la mise en place de sources authentiques coordination de la num risation de l Atlas des voiries vicinales par les provinces La mission de coordination centr e sur les directions g n rales op rationnelles n a pas t accomplie de mani re optimale par manque d effectif Gestion du G oportail et de l infrastructure de diffusion Le G oportail de la Wallonie constitue le
109. cier les chances de succ s d un nouveau produit proc d ou service ou de soutenir la protection d une innovation il a finalis 152 dossiers en 2013 pour 4 657 149 42 Dans le cadre des Fonds structurels europ ens 2007 2013 mesure 2 1 Stimulation technologique des PME il a en 2013 finalis trois dossiers pour un montant de 2 30 millions Dans le cadre du soutien pour la pr paration le d p t et la n gociation d un projet introduit en vue de participer une action de l Union europ enne en mati re de R amp D il a finalis en 2013 pas moins de 310 dossiers primes Horizon Europe pour un montant de 966 480 03 a galement financ en 2013 douze postes de valorisateurs aupr s des universit s et des hautes coles et les frais de brevets pris sur les r sultats pour un montant de1 290 000 Enfin le d partement du D veloppement technologique remet galement des avis d autres d partements dans le cadre d aides l investissement Athena gt E ma Aa Jai Tec Les batiments les plus fous Biotec Faut il encore avoir peur des OGM Val c 5 ug D o Wallonie LES PROGRAMMES RECHERCHE Le d partement des Programmes de recherche a pour mission de soutenir les unit s de recherche des universit s et des hautes coles les organismes publics de recherche les centres de recherche agr s et les entreprises dans le cadre
110. cs a en outre t entam e par l actualisation de la rubrique consacr e aux bases l gales Les march s publics durables La DMP a pilot le groupe de travail mis en place pour finaliser la note faisant la synth se des possibilit s juridiques d int gration de clauses environnementales sociales et thiques dans les cahiers sp ciaux des charges La derni re version de cet outil int gre la nouvelle r glementation entr e en vigueur en juillet 2013 Un chapitre concernant l accessibilit des PME nos march s a galement t ajout 37 La DMP est directement impliqu e dans la gestion des demandes arrivant sur l adresse helpdesk clausesese spw wallonie be Dix questions ont t pos es en 2013 Deux agents ont particip activement au groupe de travail des facilitateurs clauses sociales Quatre clauses ont t d velopp es dans cette optique la clause de formation la clause flexible la clause de r servation de march l conomie sociale et la clause de r servation de march aux ateliers prot g s Le CSC pour la d signation d une agence de voyages La DMP pilot un groupe de travail visant la coh rence et la convergence des pratiques du SPW en cas de recours des agences de voyages Ce groupe s est r uni quatre reprises en 2013 avec pour objectif de soumettre au Comit strat gique du SPW un march pour l ensemble du SPW Les avis juridiques et les dossiers de contentieux Au cours de
111. cter strictement la l gislation environnementale applicable etles autres ventuelles exigences auxquelles la DGO 3 a souscrit s agit d am liorer constamment la pr vention de la pollution par la ma trise et l am lioration continue des performances environnementales de ses quipements de favoriser l utilisation des nergies renouvelables ainsi que d inciter ses fournisseurs respecter les consignes environnementales et de s curit dans le but de pr venir les nuisances ventuelles induites par leurs activit s Ainsi la DGO 3 a opt dans cet esprit pour l enregistrement progressif de trois de ses implantations situ es Jambes Promibra 1 et Il et Namur flot St Luc repr sentant quelque 27 906 mi Un audit externe en vue de l enregistrement EMAS du site de l ilot Saint Luc a eu lieu en octobre 2013 La conformit au r glement EMAS est donc d j une r alit La DGO 3 devra poursuivre ses efforts pour tendre l enregistrement aux autres b timents de l administration UN ECHANGE EUROPEEN SURLA BIOMASSE Les int r ts de la Wallonie sur la sc ne europ enne et internationale ont t d fendus durant l ann e 2013 par le d partement des Politiques europ ennes et des Accords internationaux DPEAI Dans le cadre de la r forme de la Politique Agricole Commune PAC le DPEAI a n goci les modalit s des quatre projets de r glements europ ens Le DPEAI a galement poursuivi la publication des Nouvelles
112. dance renforcer leur tat de sant et am liorer leur qualit de vie tout moment de leur existence Dans ce contexte DGO 5 g re le projet relatif l impl mentation de la charte qualit nutrition et le Plan Wallon Nutrition Sant et bien tre des Ain s PWNS b A parties int grantes du Plan National Nutrition Sant pour la Belgique PNNS B Pour assurer le d veloppement de ce plan un guide a t labor et distribu en 2012 aux professionnels du secteur Pour illustrer ce guide et principalement la charte qualit nutrition un film compos de sept capsules pour sept th mes a t r alis dans les maisons de repos qui ont accept de tester la charte Outil de sensibilisation ces capsules montrent quelques actions simples mener pour lutter contre la d nutrition des personnes agees en maison de repos Par ailleurs en collaboration avec les F d rations des actions de sensibilisation de promotion et d accompagnement au PWNS be A ont t propos es aux maisons de repos De plus un partenariat a t tabli avec la Soci t scientifique de m decine g n rale en vue se sensibiliser les m decins g n ralistes la probl matique de la d nutrition des personnes g es et de l int r t primordial de veiller ce que la nutrition soit pour eux optimale LUTTE CONTRE LE SURENDETTEMENT Un site portail Surendettement a t d velopp et mis en ligne avec l Observatoire du Cr d
113. dans 18 secteurs r glement s en mati re d action sociale et de sant Cette r flexion s imposait suite deux constats e d une part les 18 secteurs actifs en mati re d Action sociale ou de Sant relevant de la comp tence de la DGO 5 r pondaient des r glementations et des modalit s de mise en ceuvre compl tement disparates e d autre part nous avons l obligation de nous conformer deux directives europ ennes qui visent la r duction des d lais de paiement 30 jours en 2013 a r duction des charges administratives moins 25 96 fin 2012 La DGO 5 a fait le choix de mettre en application le principe de confiance en collaboration avec e WBS afin de r duire significativement le nombre de pi ces justificatives produire par les entit s subsidi es ASBL CPAS pour le calcul et le paiement du solde de leur subvention Les travaux men s en 2012 ont permis d aboutir une nouvelle proc dure qui sest appliqu e d s la subvention 2013 contr l e en 2014 cinq secteurs dits pilotes pour lesquels aucune modification r glementaire n tait n cessaire Savoir e les initiatives locales de d veloppement social en mati re d int gration des personnes d origine trang re e les institutions agr es pour la m diation de dettes les centres de r f rence en m diation de dettes et l Observatoire du cr dit et de l endettement e les services d insertion sociale e les centres de t l a
114. dans les rapports d audits de la campagne 2013 a t assur ainsi que le suivi des recommandations des ann es ant rieures pour les constats non cl tur s De plus le d partement a continu l am lioration et l informatisation des proc dures des listes de contr le des mod les utilis s dans le cadre des audits d op rations et a mis jour son guide d audit dans le respect des normes d audit Fin 2012 et d but 2013 la cellule Audit de l Inspection des Finances et la direction de l Audit des Fonds europ ens du d partement de l Audit ont fait l objet d un audit tr s approfondi de la Cour des Comptes europ enne Les contr les visaient assurer que les travaux effectu s par l Autorit d audit CAIF et l organisme associ DAFE sont conformes aux dispositions r glementaires et que le principe de confiance qui a t accord l Autorit d audit par la Commission europ enne est justifi Une r union d changes de vues entre l Autorit d audit et la Commission europ enne a eu lieu Jambes en mai 2013 Une autre r union entre l Autorit d audit la Cour des Comptes europ enne et la Commission europ enne a eu lieu en juin 2013 Luxembourg La version d finitive du rapport a t transmise par la Cour des Comptes europ enne en septembre 2013 Concernant la programmation 2000 2006 le d partement a assur le suivi annuel des retraits et recouvrements apr s cl ture Les diff rents services administratifs
115. de communication Un site Internet Suite l augmentation des contenus de la rubrique consacr e la d couverte de la Wallonie sur wallonie be le site http connaitrelawallonie wallonie be a vu le jour en septembre 2013 offre une navigation plus claire et des recherches par filtres ainsi que de nouvelles fonctionnalit s ligne du temps sons t l chargements Ce sont plus de 4 500 pages web 1 200 biographies de Wallons marquants 250 cartes 1 200 dates 12 lecons p dagogiques etc De septembre d cembre 2013 le site a recu 21 917 visiteurs diff rents irl L Espace Wallonie de Bruxelles Comme les autres Espaces Wallonie l Espace Wallonie de Bruxelles a pour mission d informer et d orienter les citoyens accueille galement des expositions caract re p dagogique et ou artistique De part sa situation g ographique au c ur de la capitale belge et europ enne l Espace Wallonie de Bruxelles a en outre travers ses diverses missions la vocation de faire conna tre et de mettre en valeur l identit wallonne En 2013 l Espace Wallonie de Bruxelles a accueilli plus de 16 000 visiteurs a organis 6 expositions et 16 v nements et a distribu plus de 70 000 publications gratuites Des articles Dans chaque num ro du magazine Vivre la Wallonie mais aussi dans le magazine Osmose des ouvrages dit s par le SPW et ou ayant pour objet la Wallonie histoire conomie talents patrimoine
116. de programmes de recherche r gionaux f d raux et internationaux avec pour objectif de contribuer au d veloppement conomique et social de la Wallonie Dans ce but il g re une s rie de programmes r gionauxderecherche programmes d excellence mobilisateurs First recherche collective guidance technologique et participation public priv qui font l objet d appels propositions de sorte soutenir avec des budgets limit s les projets de recherche qui ont le plus de chance de d boucher D sur une exploitation industrielle Wallonie raison travail r seau des diff rents partenaires des th matiques concern es et ou des comp tences scientifiques et manag riales disponibles Ces diff rents programmes r gionaux de recherche repr sentaient en 2013 un budget total de 90 456 206 48 partiellement charge du Fonds social europ en Mais conscient du fait que travailler dans son dE coin sans tenir compte de ce qui se fait ailleurs n a pas de sens et qu il est difficile pour une unit de recherche de se tenir au courant de tout ce qui se passe au niveau international dans son secteur d activit s le d partement des Programmes de recherche participe aussi un grand nombre de comit s europ ens afin de pouvoir optimiser leur participation aux programmes internationaux et de coordonner au mieux les politiques scientifiques r gionales et europ ennes C est ce qui lui a
117. des partenariats entre les universit s les hautes coles les centres de recherche et les entreprises dont elle encourage le travail en r seau en Wallonie mais aussi aux niveaux europ en et international Cela se prolonge par des aides l innovation la formation l investissement ainsi qu la cr ation et au d veloppement d activit s en faveur des entreprises et des candidats entrepreneurs Et cela aboutit la cr ation d emplois et au d veloppement conomique de la Wallonie Mais ce n est pas tout car pour encadrer et favoriser cette fili re dynamique la 6 se pr occupe de l insertion professionnelle des demandeurs d emploi du soutien l conomie 110 sociale et de la formation professionnelle dans des secteurs aussi vari s que l a ronautique l aide aux personnes ou l agriculture Elle participe galement l am nagement et l quipement des parcs d activit s conomiques pour rendre la Wallonie encore plus attractive aupr s des investisseurs Ces multiples activit s elle les g re avec une grande coh rence puisqu elle met tout en ceuvre pour que la recherche profite l innovation l innovation l conomie l conomie l emploi et l emploi au bien tre de tous Par ailleurs elle se pr occupe aussi des licences d armes Mais elle ne se limite pas concilier emploi conomie et bien tre social car elle s int gre totalement dans une perspective d veloppement du
118. des fichiers constitu s pour diff rentes cat gories d autorit s ou intervenants Un suivi de campagne en temps r el donne au gestionnaire de crise une vision pr cise du pourcentage des destinataires ayant recu le message Le nombre de tentatives de r appels comme leurs intervalles sont ais ment programmables LE D PARTEMENT DE LA COORDINATION DES FONDS STRUCTURELS DCFS Loin d tre exhaustifs les points d velopp s ci apr s visent illustrer les activit s r alis es par le d partement en 2013 Gestion des programmes Les rapports annuels d ex cution 2012 des programmes FEDER Comp titivit r gionale et emploi et Convergence ont t transmis dans les d lais r glementaires la DG REGIO La Commission europ enne les repr sentants du Gouvernement et des partenaires socio conomiques taient pr sents lors des deux r unions des Comit s de suivi organis es conjointement avec l Agence Ces r unions qui ont pour but d examiner l tat d avancement des programmes dans tous ses aspects ont eu lieu en juin 2013 Dison et dans les locaux du centre de comp tence EPICURIS en d cembre 2013 Le d partement r alise le suivi des modifications des fiches projets aupr s des b n ficiaires des administrations et des cabinets minist riels En 2013 il y a eu des modifications pour 35 fiches projets en zone Comp titivit r gionale et emploi et 34 fiches projets en zo
119. dget au b n fice de pr s de 370 b n ficiaires diff rents communes centres de recherche universit s intercommunales ASBL En termes de volume d activit s depuis 2007 plus de 10 000 d clarations de cr ance ont pu tre globalement trait es repr sentant un volume de d penses valid es de pr s de 640 millions noter que les r sultats sont rest s sup rieurs l objectif fix au niveau du pourcentage des d clarations de cr ance trait es dans les d lais fix s 80 96 Au niveau qualitatif les contr les de second niveau effectu s sur les projets conduisent un taux d erreur en dec de la barre des 2 96 g n ralement admis Accompagnement des projets Les 150 portefeuilles de projets s lectionn s par le Gouvernement wallon font l objet d un suivi rapproch Des r unions appel es Comit s d accompagnement COMAC et auxquelles collabore et participe le d partement sont organis es au minimum une fois par an pour chaque portefeuille Elles permettent aux diff rents protagonistes concern s de suivre avec la plus grande attention la mise en uvre et le d veloppement de ces portefeuilles de projets wallons En 2013 209 r unions de Comac ont eu lieu ainsi qu une centaine de r unions techniques visant mettre plat les probl mes rencontr s et y trouver des solutions Par ailleurs les projets men s bien font l objet d inaugurations mettant en avant la place du cofinancement europ en e
120. du Parlement europ en qui est une lettre d information visant attirer l attention des agents de la DGO 3 sur les travaux du Parlement europ en concernant les mati res environnementales et agricoles c t de cela une visite du Parlement europ en a t organis e en 2013 En novembre de cette m me ann e les DPEAI des DGO 3 et DGO 4 ont organis conjointement le premier s minaire wallon consacr la biomasse nergie de la Grande R gion R gion wallonne Communaut germanophone de Belgique Sarre Lorraine Grand Duch de Luxembourg et Rh nanie Palatinat C est la premi re fois que ce s minaire s est d roul en Wallonie Son objectif est clair tablir un tat des lieux de la biomasse dans chacune des r gions pr sentes et instaurer un change de bonnes pratiques LUTTER CONTRE LES INONDATIONS Les ZIT une solution En 2013 les op rations de remembrement men es par la direction de l Am nagement foncier rural DAFOR ont accru la capacit r gionale de lutte contre l rosion des sols et les inondations En 2013 deux zones d immersion temporaire ZIT d une capacit totale de stockage de 45 000 m et d une superficie de 7 5 ha ont t inaugur es Enghien Hainaut Le remembrement d Aineffe Li ge en voie de finalisation a permis de r aliser de son c t deux zones d immersion temporaire et un bassin d orage ainsi que de nombreuses digues et foss s pi geurs de boue ET SW e o Ma
121. e 325 l ont pass e et 261 80 3 l ont r ussie et ont donc obtenu le certificat de r ussite l examen de chasse 86 UN TRAVAIL QUOTIDIEN POUR LA S CURIT La reprise des inspections Seveso Depuis 2008 les inspections des tablissements Seveso n taient plus r alis es Un renfort d effectifs a permis ces contr les pris en charge par la cellule Risques d Accidents majeurs RAM de la direction des Risques industriels g ologiques et miniers DRIGM de red marrer d but 2013 M me si les inspections sont r alis es conjointement avec le f d ral et les autres R gions une m thodologie d inspection sp cifique au SPW avec un outil informatique de suivi de ces inspections est en cours de d veloppement Cette m thodologie devra bien s r s int grer dans les outils d inspection d j d velopp s au sein des autorit s belges Notre h ritage minier sous la loupe En Wallonie le sillon Sambre et Meuse abonde d anciennes exploitations mini res qui ont fait l objet d octroi de concessions mini res Dans les ann es 1990 leurs propri taires ont fait des demandes de retrait Ces dossiers sont toujours en attente de traitement Courant 2010 3 a inscrit dans son plan d actions ce projet comme prioritaire et fix un objectif de dix retraits de concessions par an La DRIGM a labor une proc dure pour encadrer ces retraits et les premiers dossiers ont t transmis au gouvernement pour d cision
122. e Diversit dans les projet de cr ation d une plate forme collaborative enqu tes de satisfaction du personnel et celui de la gU n MANG qui devrait tre mise en place en 2014 communication 9 a coui Projet optimisation du processus de un AV C prot recrutement ei Dansle cadre ce projet la direction des Ressources SU qualit EN a 33 humaines a d fini les objectifs d optimisation compte tenu de l analyse d j r alis e par elle en 2011 2012 et de l audit r alis par la direction de l Audit interne de Fonctionnement Suite cela une m thodologie de description du processus optimis a t labor e puis la description elle m me et la mod lisation du nouveau process de recrutement Am lioration du processus d valuation Suite aux nombreuses r flexions et interrogations sur les valuations de la part de la hi rarchie concern e le d partement a planifi une r flexion sur l am lioration du processus d valuation Un premier groupe de travail avec les repr sentants des travailleurs a permis d tablir une m thodologie du projet Un rapport sur l tat actuel du processus d valuation et une proposition d am lioration seront tablis en 2014 Entretiens d orientation professionnelle Un des objectifs de la gestion des ressources humaines est de disposer de la bonne personne la bonne place cette fin la direction des Ressou
123. e Bierset C est encore plus de 2 000 agents qui assument de mani re professionnelle l ensemble de ses missions et un budget de 761 2 millions en 2013 en moyens d action ce qui correspond 9 7 du budget g n ral du SPW ILA STRAT GIE DE LA MOBILIT Plan R gional de Mobilit Durable pour la Wallonie PRMD Au cours de l ann e 2013 la DGO 2 a trac les lignes directrices du futur Plan R gional de Mobilit Durable pour la Wallonie PRMD et ce en nouant le dialogue le plus large possible avec la soci t wallonne Ce plan doit prendre en compte l ensemble des modes de d placement int grer l offre comme la demande et couvrir tant la mobilit des personnes que celle des marchandises dotera la Wallonie d une vision prospective et transversale dans les domaines de la mobilit et de l accessibilit qui sont d une importance capitale pour le d veloppement conomique de notre r gion Pour la premi re fois les autorit s r gionales b n ficieront ainsi d un tableau de bord long terme o les enjeux de mobilit seront analys s au regard d autres mati res ou pr occupations l volution de la population l emploi la fiscalit l environnement l am nagement du territoire Le souhait de la DGO 2 est que le PRMD soit porteur de solutions r ellement novatrices pour le futur Le travail d analyse entam au printemps 2013 a d bouch sur l organisation d une journ e de r flexion le 25 novembre 2013
124. e d m nagement labor s et ex cut s e 986 demandes d interventions ind pendantes des march s repris ci dessous et ayant g n r un bon de commande toutes techniques confondues e 181 interventions r alis es par notre op rateur de la cellule de Li ge lancement et attribution d un march d interventions de maintenance travaux 16 lots par zone g ographique en fonction du type de travail toitures menuiseries vitreries plomberies etc lancement et attribution d un march d interventions HVAC sur commande 3 lots Des march s d entretien ont galement t lanc s et attribu s savoir un march d entretien des ascenseurs un march d entretien desinstallations de chauffage de diverses implantations 8 lots 55 un march d entretien des abords de diverses implantations 22 lots 7 implantations En 2013 77 march s d entretien sanitaires ont t reconduits et 39 nouveaux march s ont t attribu s Ont galement t attribu s des march s d vacuation des d chets et papiers cartons de diverses implantations 4 lots ainsi que 4 nouveaux march s de gardiennage labor s et engag s en 2012 14 march s de travaux ont t concr tis s en 2013 tandis que 20 nouveaux march s ont pu tre labor s engag s et r alis s Au niveau des travaux ex cut s on retiendra entre autres des travaux de r novation de toiture le remplacement de contr le d acc s l
125. e de celui ci vous constaterez une fois de plus l ampleur et la diversit des t ches accomplies au jour le jour par les entit s administratives formant le SPW Le Service public de Wallonie fait assur ment face aujourd hui de nouveaux d fis dont la gestion de nouvelles comp tences re ues suite la sixi me r forme de l tat Le SPW entend relever ces d fis avec succ s tout en collaborant aussi efficacement que possible aux nouvelles politiques que lancera le nouveau Gouvernement wallon mis en place en juillet 2014 Tout en vous assurant de l entier d vouement des agents du SPW et tout en remerciant chaleureusement celles et ceux qui ont oeuvr l laboration du pr sent Rapport d activit s nous vous prions d agr er nos sentiments les meilleurs Claude DELBEUCK Francis MOSSAY tienne WILLAME Yvon LOYAERTS Secr taire g n ral Directeur g n ral Directeur g n ral f f Directeur g n ral Jos RENARD Ghislain GERON Sylvie MARIQUE Yves SENNEN Patrick MEURICE Directeur g n ral a i Directeur g n ral Directrice g n rale Directeur g n ral f f Directeur g n ral f f SERVICE PUBLIC DE WALLONIE RAPPORT D ACTIVIT S 2013 LE SECRETARIAT GENERAL M Claude DELBEUCK Secr taire g n ral E si pum ur a VE PLACE JOS PHINE CHARLOTTE 2 B 5100 NAMUR JAMBES T L 081 32 13 14 FAX 081 32 16 00 CELLULE DES STRATEGIES TRANSVERSALES SERVICE SUPPORT LA GESTION AVANTI E WALLONIE BRU
126. e et des tests de suivi des contr les sur place Et ont permis l Autorit de certification de pr senter la dixieme demande de paiement aupr s de la Commission europ enne pour les programmes Convergence et Comp titivit r gionale et emploi FEDER e pour le programme Convergence le montant certifi en part FEDER est de 350 260 414 94 Le montant de la demande de paiement est de 69 873 936 82 e pour le programme Comp titivit r gionale et emploi le montant certifi en part FEDER s l ve 163 629 621 38 Le montant de la demande de paiement est de 48 183 225 55 Le total g n ral des d penses certifi es s l ve quant lui 472 620 166 91 pour le programme op rationnel Comp titivit r gionale et emploi et de 805 849 824 92 pour le programme Convergence Les tats certifi s de d penses et les demandes de paiement permettent pour les deux programmes op rationnels d atteindre les seuils N 2 auxquels nous tions astreints pour cette fin d ann e 2013 12 En outre la maquette financi re du programme op rationnel Comp titivit r gionale et emploi FEDER 2007 2013 a fait l objet d une autre modification particulierement importante dans le cadre de l application de la r gle de d sengagement N 2 puisque au m me titre que ce qui avait t fait en 2011 pour le PO Convergence une augmentation de 10 points du taux de cofinancement a t sollicit e et obtenue des services de
127. e plus en plus durable en introduisant dans ses march s de nombreuses clauses environnementales et thiques Des synergies ont t d velopp es entre les diff rents pouvoirs publics wallons et entre entit s f d r es Par exemple la centrale de march s de fournitures compte de plus en plus d adh rents 512 en 2012 550 en 2013 Le d partement s est aussi illustr avec la direction de l dition dont les services en mati re de reportages photo vid o et d impressions grand format ont t fortement sollicit s Notre challenge anticiper ensemble pour un service plus performant LADIRECTION FONCTIONNELLE ET D APPUI DFA Cinq cellules la composent La cellule Strat gie est en lien direct avec le directeur g n ral elle assure le suivi du Plan op rationnel et des dossiers aff rents tel le Plan Avanti La cellule Communication est charg e entre autres t ches du suivi du Plan de communication de la DGT 2 pour 2013 2015 en termes de promotion des comp tences et des missions de la direction g n rale au moyen de toutes actions et de tous supports ad quats en ce compris des articles r dactionnels destination du journal d entreprise Osmose et la gestion des sites web en particulier l Intranet de la direction g n rale Ele a notamment d velopp en 2013 une campagne d information sur les centrales de march s en Logistique et TIC destination des pouvoirs locaux et autres institu
128. e un certificat d tat du sol Le c dant aura l obligation d informer l acheteur Les recettes de ces consultations vont permettre d installer un m canisme de soutien pour les pollutions orphelines pollutions existantes mais ant rieures l activit actuelle ou non li es au propri taire actuel consid r comme innocent et de bonne foi De plus une distinction nette entre les notions de sol et de d chets permettra une meilleure r ponse aux situations environnementalement probl matiques Le texte pr voit galement la soumission des actes et travaux la proc dure de permis et l int gration des listes d activit s potentiellement polluantes la liste des activit s du permis d environnement Cette nouvelle d marche dans un cadre connu et prouv permettra une lisibilit accrue notamment pour l activit conomique Le projet envisage aussi la possibilit de report de l assainissement du sol la fin de l exploitation quand il n y a pas d urgence moyennant une garantie financi re Enfin il sugg re la cr ation de conventions de gestion des sols permettant une programmation des actions notamment pour les propri taires de multiples terrains en Wallonie Le projet r dig par un consortium d avocats a t soumis pour avis aux principaux acteurs SPGE UWE UVCW FEDEXSOL Le document a t approuv en troisi me lecture par le Gouvernement wallon apr s avoir t soumis
129. eaux us es domestiques et industrielles et de la taxe sur les d chets non m nagers En 2013 la DGO 7 a entam la r flexion sur le regroupement des toutes les cr ances d un m me contribuable aupr s d un m me receveur afin que cette nouvelle r partition soit op rationnelle au 1 janvier 2014 Initialement un redevable pouvait avoir faire des receveurs diff rents selon la taxe concern e ce qui tait peu commode pour l administration et le citoyen et en contradiction avec la volont du dossier fiscal unique Les contribuables seront r partis sur base alphab tique entre les receveurs partir du 1 janvier 2014 Toutes les cr ances de l administration l gard d un m me contribuable seront alors entre les mains d un m me receveur quelles que soient les taxes concern es Un travail important a galement t op r vis vis des huissiers de justice avec la d nonciation des anciens protocoles et le lancement d un march public pour la d signation des huissiers de justice en 2014 Finalement une nouvelle application informatique a t mise en place pour permettre la gestion int gr e de la perception et du recouvrement de la redevance t l vision la taxe de circulation la taxe de mise en circulation et l Eurovignette ainsi que les amendes qui s y rapportent 125 LES PROJETS INITIES EN 2013 La DSU 2013 la DGO 7 a int gr le projet de d claration de service l usager DSU en tant qu
130. elle ou de la direction de l conomie sociale Son r le de conseil aux op rateurs contr l s sinscrit quant lui dans une approche de pr vention s tend la recyclage professionnels Son champ de comp tence reconversion et au agr ment et subvention des organismes d insertion socioprofessionnelle et des entreprises de formation par le travail ch que formation plan mobilisateur des technologies de l information et de la communication la politique de l emploi programmes de r sorption du ch mage agences de placement missions r gionales pour l emploi l conomie sociale entreprises d insertion agences conseil IDESS et enfin l occupation des travailleurs trangers ce qui repr sente en tout la surveillance du respect de plus de 20 l gislations diff rentes Le contr le des dispositifs d aide l emploi repr sente en chiffres absolus un tiers du travail de l inspection Tandis que les contr les en mati re de main d oeuvre trang re en repr sentent un autre tiers En suite aux contr les effectu s en 2013 les inspecteurs sociaux ont r dig 1 977 rapports et 156 employeurs ont fait l objet d un avertissement cela s ajoutent les 63 proc s verbaux dress s la suite de la constatation d infractions en mati re d occupation de travailleurs trangers et les 224 rapports envoy s l Auditorat du Travail dont 194 en r ponse des apostilles et 30 constatant des infrac
131. ement 115 116 et de l Innovation en 2013 407 ordres de recettes ont t tablis concernant de nouveaux droits et correspondant un montant total de l ordre de 30 1 millions Les recettes de l ann e 2013 se sont quant elles lev es 28 2 millions de collecter traiter analyser et diffuser les donn es issues des enqu tes r alis es aupr s des entreprises wallonnes en mati re de R amp D et d innovation Ainsi en 2013 ce sont pr s de 2 000 entreprises qui ont t interrog es dans le cadre de l enqu te CIS Community Innovation Survey de traiter analyser et diffuser les informa tions statistiques relatives aux aides la recherche et au d veloppement statis tiques budg taires d une part compil es au sein d un rapport publi annuellement sous le titre Les cr dits budg taires affect s au soutien la valorisation et la promotion de la R amp D en Wallonie et statistiques plus qualitatives d autre part collect es depuis 2012 aupr s des b n ficiaires en fin de projet et qui devraient faire l objet d une premi re diffusion dans le courant de l an n e 2014 L INSPECTION Le d partement de l Inspection regroupe les services de l inspection sociale et de l inspection conomique La direction de l Inspection sociale assume essentiellement des missions de contr le soit d initiative soit la demande du d partement de l Emploi et de la Formation professionn
132. ements Le projet Seine Escaut vise cr er un nouvel axe de navigation reliant Paris Anvers et Rotterdam au gabarit de 4 500 t s est dessin avec davantage de pr cision en 2013 Entre autres la demande de permis d urbanisme pour la mise gabarit classe Vb de la Lys entre l cluse de Comines et Wervicq a t introduite en avril 2013 Le permis unique pour la modernisation du barrage de Kain a quant lui t introduit en octobre 2013 Celui concernant le barrage d H rinnes le sera au d but 2014 Le d but des travaux est pr vu pour les deux ouvrages durant le dernier trimestre 2014 La construction de la nouvelle cluse d Ivoz Ramet s inscrit dans le cadre de la liaison Meuse Rhin Danube Entam s en 2011 les travaux lvoz Ramet se sont poursuivis en 2012 et 2013 La fin des travaux est pr vue pour 2015 rom 7 Nu LL Un autre chantier vise supprimer le goulet d tranglement dans la travers e de Tournai afin d y faire passer des bateaux de 2 t concerne notamment une adaptation du Pont des Trous monument embl matique de la ville de Tournai comprend galement le remplacement du Pont Ponts l largissement de la voie d eau en aval de celui ci ainsi que le r am nagement des quais du Pont Devall e au Pont Delwart et la construction d un nouveau port de plaisance am nagements connexes demand s par la Ville L tude d incidences a t lanc e en novembre 2013
133. emplois De plus ces trois directions sont tr s largement impliqu es dans les diff rents axes d intervention du Plan Marshall 2 Vert engendrant des programmes de priorit s ainsi que l octroi de primes compl mentaires certains types d entreprises LE D VELOPPEMENT CONOMIQUE Le d partement du D veloppement cono mique a pour mission de soutenir le d veloppe ment durable de la Wallonie en favorisant ele d veloppement conomique la cr ation d activit s et le d veloppement des 112 PME dans une logique de cr ation d emplois et d insertion de notre r gion dans l conomie immat rielle et la soci t de la connaissance e le d veloppement social un soutien actif a l conomie sociale et au tiers secteur dans une logique de production de valeurs d usage et d insertion des publics loign s du march de l emploi ele d veloppement environnemental par la promotion du transport fluvial et des modes de transport alternatif qu il a soutenus activement par l octroi en 2013 de primes pour un montant total de 1 708 368 20 a notamment pour mission d assurer dans le cadre des programmes cofinanc s par le Fonds europ en de d veloppement r gional le suivi administratif et budg taire des projets d animation conomique en bonne collaboration avec l Agence de Stimulation conomique et l accompagnement des projets d ing nierie financi re en collaboration avec la SOWALFIN et
134. en place des permanences sp cialis es d s novembre 2013 en vue de la r gionalisation des taxes de circulation de mise en circulation etc Les sites Internet ele portail www wallonie be a recu 802 246 visiteurs en 2013 soit une augmentation de pr s de 11 96 par rapport aux chiffres de 2012 En 2013 y ont t mis en ligne plus de 500 actualit s 400 v nements 400 formulaires et 750 d marches administratives les plus fr quentes list es dans l ABC des d marches recherche d emploi r novation d une maison class es par publics et selon les comp tences de la Wallonie Des contenus qui mettent en vidence les acteurs ad quats au sein de l Administration et des autres services publics wallons Le site propose galement un guide complet des institutions wallonnes ela valorisation des actions li es au Plan Marshall 2 Vert fait d sormais partie int grante du Portail de la Wallonie Planmarshall2vert wallonie be Une quarantaine d actualit s ont t identifi es Plan Marshall 2 Vert et b n ficient ainsi de la visibilit et du r f rencement de wallonie be Les r seaux sociaux Durant l ann e 2013 la page Facebook lawallonie a connu un bel essor multipliant pratiquement par trois le nombre de ses fans 6 086 fans en d cembre 2013 Compl ment id al de nos outils classiques d information la page Facebook met en avant les actualit s et v nements marquants li s aux comp tences r gionales
135. ent wallon Le transport scolaire La DGO 2 coordonne le transport scolaire en Wallonie en collaboration avec les TEC Cette mission est assur e en concertation avec les diff rentes commissions de d placements scolaires En 2013 27 000 l ves fr quentant les tablissements organis s ou subventionn s par la F d ration Wallonie Bruxelles ont eu recours chaque 72 mois un service r gulier de ramassage scolaire que ce soit dans l enseignement ordinaire ou sp cialis Toutes les demandes de prises en charge de transport sont trait es par les bureaux r gionaux de transport scolaire de la DGO 2 qui octroient ou non le droit au transport apr s v rification du respect de la l gislation et des d rogations ventuelles Ce sont les TEC qui organisent le circuit scolaire En d cembre 2013 l on comptabilisait 936 circuits scolaires m L EXPLOITATION AEROPORTUAIRE S curit a roportuaire Le programme de s curit d velopp par la 2 pour objectif de lutter contre les d faillances humaines ou techniques qui pourraient mettre en danger les personnes ou les biens pr sents dans la zone a roportuaire notamment par l analyse des dangers pr sents ou latents sur les sites des actions de sensibilisation la s curit affiches publications s quences audiovisuelles des formations du personnel des soci t s actives sur le site des membres du service incendie et du Safety
136. entaire du patrimoine immobilier culturel I PI C s est restructur et est aujourd hui recentr sur une interpr tation plus patrimoniale des crit res de choix tout en maintenant un lien troit avec l am nagement du territoire en tant qu outil d aide la gestion et la d cision Le souhait est de conscientiser le grand public par une diffusion maximale des donn es au moyen d une nouvelle informatisation de l I P I C qui va voluer rapidement vers un processus interactif favorisant une meilleure appropriation de la mati re par l ensemble des citoyens Les outils informatiques n cessaires ont t finalis s pour permettre de concr tiser ces volutions En mati re de restauration la dynamique interne mise en place pour la r alisation des fiches d tat sanitaire s est amplifi e par une syst matisation des contacts avec les communes et une plus grande implication de celles ci Cela permet de sensibiliser davantage ces communes et surtout les propri taires a l tat de leur bien et de d velopper une gestion plus proactive du patrimoine La r alisation de ces fiches d tat sanitaire a permis d tablir un lien plus troit avec les conditions d octroi des subsides comme le pr conisait d j le d cret du 1 avril 1999 par la transposition en cours de dispositions adapt es inscrites dans un projet d arr t d octroi de subsides en voie de finalisation Au niveau international le d partement a poursuivi son
137. ente 1 Une unit affiche ou logos par exemple recouvre toutes les d clinaisons r alis es pour l affiche ou le logo plusieurs versions et diff rents formats il en va de m me pour les autres cat gories LA DOCUMENTATION BIBLIOTHEQUE En 2013 les missions ont t centr es sur ele d veloppement de la biblioth que centrale du SPW e la coordination de la gestion des besoins documentaires ouvrages codes abonnements ressources documentaires num riques en ligne de l ensemble des d partements du Service public de Wallonie e gestion des uvres d art acquises par le Gouvernement wallon Apr s son double d m nagement en deux ans 2009 et 2011 la Bibliotheque centrale du SPW a termin le red ploiement de ses collections dans ses nouveaux locaux d finitifs du 39 avenue Bovesse Jambes Les lecteurs y sont d sormais accueillis tous les jours ouvrables de 10 16 heures plus de 40 000 ouvrages et 240 collections de journaux et revues y sont leur disposition Par ailleurs en 2013 le Service Documentation Biblioth que a encore enrichi son offre de ressources documentaires num riques ele nombre de revues francophones de sciences humaines et sociales disponibles en ligne d passe d sormais les 800 titres au total pour deux portails cairn info et revues org e une 3 plateforme IP a t rendue accessible tous les agents du SPW biblioth que num rique de l OCDE OEC
138. entit pilote Ce projet dirig par le Mouvement wallon pour la Qualit a pour objectif de produire un document caract re public dans lequel des engagements sont formul s quant au niveau et la qualit des services fournis aux usagers par l administration Les engagements formul s dans la DSU sont identifi s en fonction des attentes des usagers et des ressources propres chaque organisation Dans ce cadre et comme point de d part le a r alis une visite diagnostic au sein de la DGO 7 qui a permis d identifier les points forts les faiblesses et les opportunit s de notre organisation Le travail s est ensuite poursuivi dans des changes de bonnes pratiques avec les autres entit s pilotes et des s ances de co construction notamment Paris lors des Rencontres de la qualit Les premiers r sultats du projet DSU sont attendus en 2014 Les processus en collaboration avec e WBS la DGO 7 a entam un travail important sur ses processus Avec l aide d un consultant externe les processus g n riques de contentieux exon ration recouvrement ont t tablis et cartographi s notamment dans le cadre de la gestion des mati res transf r es relatives la fiscalit des v hicules La DGO 7 a collabor activement aux travaux transversaux du plan AVANTI ou HORIZON 2022 Elle participe d sormais galement aux travaux du Conseil sup rieur de la fiscalit et des finances de Wallonie 126
139. ermes d exigence M thode de calcul de la PEB exigences concr tes bas es sur cette m thode modalit s 97 de certification des b timents et d agr ment des responsables PEB des certificateurs PEB et des auteurs d tude de faisabilit autant d volutions qui vont dansle sens d un nouveau d fi lanc tous les secteurs de la construction et de l immobilier Deux actions phares avaient servi pr parer sur une base volontaire l entr e en vigueur de la l action Construire avec l nergie et la Proc dure d Avis nerg tique Un terme avait t mis la premi re fin 2011 lorsque ses exigences qui visaient au d part encourager faire mieux que la r glementation avaient t quasiment rattrap es par celle ci En 2012 une nouvelle action volontaire avait t lanc e l appel projets B timents exemplaires Wallonie Ici c est l excellence qui tait vis e Il ne suffisait plus de r pondre aux conditions il fallait repousser les limites et servir d exemple pour les autres Et c est en juin 2013 quelles laur ats ont t proclam s Dans la foul e a t lanc le nouvel appel tertiaire Ce concours a pour vocation de mettre l honneur des b timents tertiaires b timents destin s l enseignement immeubles de bureaux ou immeubles de services remarquables par leur r ponse une s rie de crit res parmi lesquels l nergie joue un r le pr pond rant Quant la Pr
140. ernement wallon sur 13 mixit des fonctions afin de rencontrer les besoins des habitants en leur offrant un cadre de vie de qualit avec des services et des infrastructures de proximit en suffisance logement emploi services commerces transport culture e l utilisation parcimonieuse de l espace la limitation de l impact de l urbanisation et la prise en compte des co ts et de l impact environnemental li s la dispersion de l habitat en mati re de mobilit d nergie de climat gaz effet de serre de biodiversit et de sant le d veloppement quilibr de l ensemble des fonctions conomiques agriculture industrie artisanat commerce et de la protection du patrimoine naturel paysager culturel et architectural de la Wallonie e l attractivit de la Wallonie L accent est galement mis sur la n cessaire promotion d une culture de l urbanisme int grant des pr occupations d ordres environnemental et architectural ainsi que l int r t g n ral n est d s lors gu re tonnant que les r alisations marquantes du d partement s articulent autour des divers th mes abord s dans l engagement politique du Gouvernement wallon Ainsi plusieurs r alisations t moignent elles de notre action dans l am nagement le r am nagement ou la requalification de l espace public tant il est vrai que la qualit de ces lieux qui sont au cceur de la vie citoyenne faconne l identit d un
141. es tablissements Ces modifications soutenues par le l gislateur refl tent la volont de l Administration fiscale wallonne d agir en accord avec ses valeurs de service 124 d int grit et d quit et avec l instauration de la pr somption d honn tet du contribuable dans les m canismes de taxation En mati re de contr le de la redevance TV des actions cibl es ont t men es en 2013 aupr s des personnes morales des campings des h tels et chambres d h tes ainsi que dans les d bits de boissons et tablissements de jeux LE D PARTEMENT DE LA FISCALIT IMMOBILIERE ET ENVIRONNEMENTALE Le d partement de la Fiscalit immobili re et environnementale assure la gestion des taxes sur les jeux et paris JP sur les appareils automatiques de divertissement AAD sur les automates sur les sites d activit conomique d saffect s SAED ainsi que l co bonus malus des v hicules et l octroi de taux r duits de droits d enregistrement de donation et de succession dans le cadre de la transmission d entreprises Au niveau des contr les en 2013 une campagne conjointe pour les automates distributeurs de tabac et les AAD a t men e entre mars et avril dans 1 971 tablissements Parmi ceux ci 82 disposaient d au moins un automate et 67 d un AAD non d clar et ont fait l objet de poursuites par l administration Des relations de collaboration ont t mises en place avec la Commission f d rale des Jeu
142. es missions L offre de service invitant le personnel du SPF Finances concern se porter volontaire pour le transfert a t publi e au moniteur belge du 10 avril 2013 Dans la foul e la DGO 7 avec le soutien du Secr tariat g n ral du SPW a tenu six s ances d information l attention du personnel f d ral concern afin de pr senter le Service public de Wallonie en g n ral et la DGO 7 en particulier Ces s ances d informations ont t organis es Namur Charleroi Li ge et Bruxelles et ont remport un franc succ s avec plus de 900 participants permettant ainsi de transf rer un personnel volontaire et motiv 120 S ance d information Li ge le 22 avril 2013 spw DGO 7 S ance d information Charleroi le 23 avril 2014 spw DGO 7 Les agents s lectionn s pour le transfert ont ensuite pu b n ficier d entretiens d orientation personnalis s aupr s des services RH de la DGO 7 et du Secr tariat g n ral afin que leurs affectations concilient au mieux leurs attentes leurs comp tences et les besoins de l Administration wallonne Afin d accueillir ce nouveau personnel de nouveaux locaux situ s rue Van Opr 91 95 Jambes ont t mis disposition de la DGO 7 apr s que ceux ci aient t r nov s dans le but d en am liorer le confort et les performances nerg tiques Les services ont ensuite t r partis entre les deux b timents de l avenue Bovesse 29 direction g n rale
143. facteur trois les d lais de paiement des factures adress es au e l ach vement de l informatisation des accueils 52 Pour la direction de l dition edes reportages photo vid o couvrant l ensemble des chantiers et des v nements entrepris ou organis s par le SPW e l impression en grand format entre autres sur vinyle b che ou forex afin de promouvoir l identit du SPW et de ses services travers la Wallonie salons colloques expositions etc a conception graphique et la r alisation de documents de tous types carte de visite brochures flyers etc e la d coupe vinyle logos lettrage etc e l habillage et le lettrage sur v hicules vitrines monolithes ou autres supports O DGT 253 53 LE DEPARTEMENT DE LA GESTION IMMOBILIERE Le departement de la Gestion immobiliere gere les biens immobiliers mis la disposition par la Wallonie pour le fonctionnement de ses services La direction de la Gestion immobili re assure l exploitation de ces b timents e elle prend en charge leurs co ts tant de fonctionnement nergies eau assurance et taxes que les loyers et les interventions r sultant des op rations de promotions pour un total d environ 200 contrats ainsi que la gestion administrative des mati res immobili res telles que les contrats de location baux emphyt otiques gestion des sinistres relevant de l assurance RC incendie gestion des moyens d acc s au
144. faillite r organisation judiciaire administration provisoire r glement collectif de dettes etc Elle assure par ailleurs via le service des fonds en souffrance e la liquidation des d penses dans tous les cas o des paiements r alis s par le centralisateur n ont pas pu aboutir en raison d obstacles administratifs ex d c s procurations reports en compte e la gestion des comptes ONSS AMI pr compte professionnel cotisations sp ciales ONSS cotisations de solidarit pour v hicule de fonction fonds de pension de survie TVA intracommunautaire pr compte mobilier dette directe 1 Les recettes fiscales la redevance radio tv et la taxe sur les sites d activit s conomiques d saffect s sont recouvr es par la DGO 7 direction g n rale de la Fiscalit 47 Origine principale des recettes 8 000 000 E Partie attribu e de l imp t des personnes physiques 7 000 000 E Droits d enregistrement sur les transmissions titre on reux de biens immeubles 6 000 000 Droits de succession et de mutation par d c s Ma trise de l encours en millions du contentieux 45 40 35 30 25 27 44 7 5 000 000 B Taxe de circulation sur les v hicules automobiles 4 000 000 Moyens transf r s par la Communaut fran aise 3 000 000 B Emprunt 2 000 000 E Autres 1 000 000 T M TOTAL DES RECETTES hors d
145. he strat gique qui doit rester r aliste tenir compte de l tat des finances et des projets en cours e la collaboration entre le Coll ge et l administration est indispensable dans la r daction du PST m me s il n est pas toujours vident de concilier les ambitions politiques qui veulent une action rapide et le temps de leur mise en uvre qui est souvent tributaire de proc dures administratives longues et multiples eles outils de suivi doivent mettre en vidence les interactions entre les objectifs et favoriser la gestion transversale Enfin il faut souligner la richesse des changes avec les communes dans le cadre de cet appel candidatures et les apprentissages retenus tant au niveau des communes qu au niveau de l administration L eMandat au service des mandataires eMandat http emandat d pouvoirslocaux wallonie be est la plateforme de formation uy destination des mandataires des gt gt communes et des CPAS L eMandat est accessible gr ce un code d acc s fourni chacun des mandataires C est un outil interactif des quiz permettent l utilisateur de participer activement sa formation volutif il sera mis jour au gr des modifications de la l gislation et ludique des animations facilitent la compr hension des concepts expos s L eMandat permet actuellement de suivre les cours suivants FONCTIONNEMENT G N RAL DES COMMUNES MARCH S PUBLICS PERSONNEL DES POUVOIRS LOCAUX et FIN
146. ide nergie et logement voire d autres encore et de tendre autant que possible vers une philosophie de guichet unique et d accompagnement du citoyen Par ailleurs et dans la m me optique il s impose d assurer une coh rence suffisante entre les nombreuses aides publiques au logement qui rel vent de divers niveaux de pouvoir s agit d un travail de longue haleine s talant sur plusieurs ann es et occupant une place importante dans plusieurs programmes phares de la Wallonie projets de simplification administrative mise en uvre de l Alliance Emploi Environnement en particulier Les d partements de la 4 dont celui du logement ont pris une part importante dans cet effort qui s est poursuivi en 2013 La concr tisation des r sultats s est d j traduite dans diverses adaptations de la r glementation m me si le projet doit encore tre poursuivi D importants projets d adaptation de la r glementation ont t labor s en 2013 et entreront en vigueur les ann es suivantes Anticiper les besoins Outre une pression d mographique constante la structure de la population est caract ris e par un double ph nom ne une taille moyenne des m nages qui tend diminuer multiplication du nombre de m nages d une seule personne c t de l existence de familles d une taille plus importante que la moyenne de facon constante recompositions familiales ou intermittente ph nom ne des gardes
147. iers de la population dans leur volution Chaque plan est sp cifique la commune et se d ploie sur six ann es L ann e 2013 a vu le lancement de l appel projet de la deuxi me programmation des PCS 2014 2019 cet gard l IWEPS a actualis l ISADF indicateur synth tique d acc s aux droits fondamentaux qui mesure le niveau de coh sion sociale des communes wallonnes Les communes ont t ensuite invit es r aliser un nouveau diagnostic de coh sion sociale en vue de pr senter un projet de Plan analys dans la foul e par la DiCS Face au constat d une d gradation conomique et d un accroissement des in galit s les PCS ont cherch avant tout am liorer la situation des personnes les plus touch es en tenant compte des types de probl mes qu elles rencontrent solitude d tresse probl mes relationnels manque de formation etc et de leurs attentes Outre la poursuite des partenariats nou s les ann es pr c dentes Amnesty International Agence europ enne pour les droits fondamentaux le PCS a adh r au r seau Together un r seau international des Territoires de Coresponsabilit regroupant tous les territoires qui se reconnaissent dans la d marche de coh sion sociale et SPIRAL La vocation de ce r seau est notamment de faciliter les changes entre territoires et de promouvoir la d marche de coresponsabilit dans les autres r gions int ress es Une collaboration s est galement
148. ihange Cette convention a notamment permis le financement par Electrabel d une nouvelle station de mesure de d bits sur la Meuse la sortie de Huy afin de s curiser les mesures hydrologiques dans ce secteur Cartographie de l al a d inondation e d inondation par d bordement decours d eau Une nouvelle cartographie de l al a d inondation a t publi e en d cembre 2013 L al a d inondation comprend les zones dans lesquelles des inondations sont susceptibles de se produire de facon plus ou moins importante et fr quente suite au d bordement naturel de cours d eau Cet outil est donc particuli rement utile pour les services de l urbanisme et les gestionnaires des voies d eau au sein de la DGO 2 notamment C est le Groupe Transversal Inondations qui a pilot ce projet mais ce sont des fonctionnaires de la DGO 3 direction g n rale op rationnelle de l Agriculture des Ressources Naturelles et de l Environnement qui ont r alis les diff rentes cartes au sein du SPW Cette nouvelle cartographie est l un des volets du futur Plan de Gestion des Risques d Inondation qui doit tre finalis pour la fin 2015 afin de r pondre aux exigences europ ennes Une quipe de la DGO 2 est impliqu e dans les travaux pr paratoires de ce document 75 Activit s v nementielles autour de la voie d eau La participation des salons et autres v nements professionnels est l occasion d informer et de cr er des con
149. il des Pouvoirs locaux le Memento fiscal s inscrit dans l objectif de simplification administrative poursuivi par le Gouvernement wallon Il permet aux villes et communes de disposer de mod les de r glement taxe labor s sur base d un m me canevas bien structur de comparer les textes et les taux en vigueur depuis 2003 1990 pour le PI et l IPP Il est galement accessible au grand public eComptes T plan eComptes dont le d ploiement a commenc en 2009 visait quiper toutes les communes et tous CPAS de Wallonie d un logiciel d velopp au sein ii ga de la DGO 5 avec la contribution d experts de terrain finances boc Sen Aujourd hui ce logiciel est d ploy dans toutes les villes communes CPAS soit 506 administrations avec plus de 1500 utilisateurs et la diffusion d une version adapt e est en cours dans les provinces Ce logiciel dont nous assurons le d veloppement et la maintenance permet ces pouvoirs locaux e d envoyer leurs budgets et comptes dans le syst me d mat rialis de l eTutelle e d alimenter r guli rement par voie de fichiers une base de donn es statistiques la DGO 5 e de g n rer les documents impos s par la r glementation comptable ede produire analyses et rapports sans encodage manuel aidant la gestion financi re 104 e d automatiser la production de documents de suivi de subventions dans le cadre par exemple de la m diation de dette ou
150. implication et sa collaboration troite avec les principales organisations qui soccupent de patrimoine avec le Conseil de l Europe et son comit directeur de la Culture du Patrimoine et du Paysage CDCPP avec l EHHF The European Heritage Heads Forum et avec l EAC Europea Archeologica Consilium principalement En parall le le d partement est associ un long travail de r flexion pour mettre en place un relais plus efficace vers la Commission europ enne en ce qui concerne le patrimoine Pour le patrimoine mondial la suite de l inscription par l Unesco des sites miniers majeurs de Wallonie Bois du Luc Bois du Cazier Grand Hornu et Bl gny Mine sur la liste du patrimoine mondial de l Unesco le r le du Comit wallon du patrimoine mondial CWAPAM et des structures tripartites de gestion pour chaque site inscrit s est consolid La mise en uvre de plans de gestion pour chaque site inscrit ou inscrire sur base des recommandations nonc es par l Unesco d s 2005 est pass e une phase op rationnelle via l laboration de r sum ex cutif soumettre aux diff rentes instances L laboration de ces diff rents outils de gestion a progress pour chaque site et mobilise un grand nombre d acteurs dans le cadre d une d marche participative coordonn e par le d partement du Patrimoine Pour l ensemble du d partement du Patrimoine et de son fonctionnement au niveau des grands principes trois gr
151. informer les membres du personnel en temps r el la direction de la Communication interne envoie une lettre lectronique mail to all dont la fr quence varie en fonction des besoins et des priorit s Le principe des informations tr s br ves tr s synth tiques avec un lien vers une page du site Intranet contenant de plus amples d veloppements Chiffres 2013 Insertions Intranet e petites annonces 8 084 e focus 20 e actualit s diverses 45 e v nements 40 divers 18 e mises jour du guide des services 150 e Post it 59 articles Nombre d i Com 165 348 items Les supports et les v nements Organisation de l accueil du nouveau Secr taire g n ral par les directions g n rales et le Secr tariat g n ral Organisation de l accueil des agents de la DGO 7 quatre s ances Participation l organisation de l v nement D fi quatre quatre pour le d partement du D veloppement durable Mise en ligne de la nouvelle structure du site Intranet et d un nouvel habillage graphique adapt Mise en ligne du webzine Post it int gr dans la nouvelle version du site Intranet Organisation de la projection du film Yam Dam pour les agents du SPW dans le cadre du FIFF Festival International du Film Francophone de Namur LA PROMOTION DE L IDENTIT WALLONNE Le d partement de la Communication a pour mission de promouvoir l identit wallonne par le biais de diff rents supports
152. installation de cam ras le remplacement de rev tements de sol des travaux de mise en peinture de facades la r alisation de cloisonnements des travaux de r novation transformation ou adaptation le remplacement des quipements de supervision technique des travaux d installation lectrique et data ainsi que des travaux de rafraichissement des peintures de bureaux 56 Une attention particuli re a t port e aux travaux favorisant l conomie d nergie mises en conformit lectriques remplacement de chaudi res le placement de stores l installation de parlophones et le remplacement d clairage de secours pingler la participation de la direction l laboration du cahier des charges relatif l implantation de la nouvelle cole d Administration publique sur le site d Harscamp de m me qu au suivi du chantier de r novation Six march s de travaux engag s en 2013 seront r alis s 2014 Ils porteront sur la remise en peinture d une cage d escalier l am nagement d une cuisine le remplacement de fen tres de toit la r fection de corniches et le R trofit de quatre groupes de production d eau glac e Op rations comptables trait es sur l ensemble des articles budg taires e 458 engagements e 2 448 ordonnancements sur visas e 3 597 paiements La direction de la Pr vention et des Contr les d veloppe ses activit s selon trois axes e les travaux simples de r
153. ion et de la vulgarisation des sciences et des techniques il finance de nombreux projets destin s sensibiliser le grand public 6 845 000 de subsides en 2013 et a poursuivi l initiative de 2011 en lancant un nouvel appel projets visant donner aux jeunes le go t des sciences en collaboration avec la R gion de Bruxelles Capitale et la F d ration Wallonie Bruxelles 17 projets s lectionn s en 2013 pour un montant total de 72 400 Il assure par ailleurs la r daction de la revue Athena et la gestion du site web DIFST Dans le cadre des financements des projets de recherche industrielle et de d veloppement exp rimental aupr s des entreprises il g re 114 l octroi de subventions 33 dossiers en 2013 pour 25 millions et d avances r cup rables 38 dossiers en 2013 pour 70 80 millions Depuis 2012 il octroie aussi des aides aux projets prototyping 45 dossiers en 2013 pour 33 90 millions et OPIN trois dossiers en 2013 pour 740 000 et via le programme First 10 dossiers en 2013 pour 908 000 il permet le renforcement du potentiel scientifique et technologique des entreprises En outre il gere les appels projets R amp D des p les de comp titivit au sein du Plan Marshall 17 dossiers en 2013 pour 27 50 millions En ce qui concerne les m canismes d aides sp cifiques destin s aux PME en vue d tudier la faisabilit d un projet sur le plan technique d appr
154. ionale des am liorations destin es pallier les difficult s rencontr es notamment l occasion de l laboration de projets d arr t s du Gouvernement wallon et de circulaires Elle collabore aux activit s d information collective des agents quant aux r gles susceptibles de leur tre appliqu es Elle g re le contentieux de la fonction publique Conseil d tat cours et tribunaux relatif au personnel statutaire et contractuel du SPW Elle assure le greffe de la chambre de recours des services du Gouvernement wallon et des organismes d int r t public qui d pendent de la Wallonie ainsi que celui de la chambre de recours des fonctionnaires g n raux Quelques chiffres en 2013 la direction a trait plus de 3 000 courriers dans le cadre de plus de 400 dossiers aussi vari s que techniques Le greffe de la chambre de recours a quant lui instruit pas moins de 26 recours introduits par les agents du SPW et des organismes d int r t public qui d pendent de la Wallonie L ADMINISTRATION DU PERSONNEL Outre les t ches de gestion quotidienne la direction de l Administration du Personnel DAP a proc d aux formalit s de recrutement de 162 nouveaux agents statutaires et d engagement ou r engagement de 446 contractuels De plus 90 contractuels ont pu tre recrut s en qualit de statutaires Lors d une c r monie officielle 107 fonctionnaires nouvellement nomm s ont pr t serment 48 de niveau A 30 de niveau B
155. ions la coordination et la gestion des relations du SPW avec la presse y compris en situation de crise Par l entremise du porte parole du SPW diff rentes pratiques constitution d un fichier presse laboration d un mod le de communiqu de presse r gles de collaboration avec les autres services du SPW etc ont t initi es et mises en oeuvre tout au long de l ann e 2013 afin de permettre au Secr tariat g n ral de remplir cette mission In fine 75 questions particuli res de journalistes ont t rencontr es une douzaine d interviews accord es et une dizaine de communiqu s de presse envoy s LA COMMUNICATION INTERNE Les objectifs de la direction de la Communication interne sont informer efficacement l ensemble du personnel du SPW y compris des d cisions prises par le GW lorsque celles ci concernent de pr s ou de loin la vie et les comp tences du SPW promouvoir un sentiment d appartenance une culture d entreprise au sein du SPW sensibiliser et rassembler autour de grands projets transversaux dont l aboutissement requiert une participation active des services entit s du SPW et ou des membres du personnel Enfin elle a pour vocation d tre un relais privil gi dans la communication manag riale notamment dans le cadre du d ploiement de plans strat giques 22 Osmose SPW s agit d un trimestriel adress aux agents et d di aux activit s des directions g n rales du Secr tariat g n ral
156. ispositifs r glementaires ad quats et simplifi s en veillant au respect des r gles europ ennes en mati re d aides d tat de march s publics et de libre circulation des services et en mettant en place des dispositifs d valuation conformes aux standards europ ens En 2013 la direction des R seaux d Entreprises la direction de la Coordination et de l Encadrement et la direction de la Politique conomique ont pris en charge des dossiers cruciaux pour le red ploiement conomique de la Wallonie comme e une refonte compl te du site economie wallonie be et l utilisation des r seaux sociaux pour mieux communiquer sur les politiques de comp titivit et d innovation et le potentiel industriel wallon Economie Wallonie p m zeg la consolidation de la politique des p les de comp titivit travers la professionnalisation des quipes d animation et diverses actions visant renforcer leur internationalisation le soutien l mergence de l conomie cr ative par une attention accrue pour les industries cr atives et culturelles la conception et la mise en ceuvre de premiers exercices et modules d valuation du Programme Creative Wallonia et du projet europ en Wallonia European Creative District WECD le positionnement wallon au sein de l architecture mise en place pour le suivi des programmes europ ens Horizon 2020 et Cosme avec une attention port e sur l a
157. it et de l Endettement Ce portail est destin la population confront e a la question du surendettement ou d sireuse de recevoir des informations pertinentes et des conseils http socialsante wallonie be surendettement Par ailleurs la r forme de la m diation de dettes a abouti l adoption d un d cret et d un arr t du Gouvernement wallon en 2013 L objectif de cette r forme est de renforcer les outils mis disposition des institutions agr es afin de r pondre le mieux possible aux besoins des personnes en m diation de dettes et de mettre en ceuvre les dispositifs les plus ad quats comme le r glement collectif de dettes LA CR ATION D UNE CELLULE DE CRISE AU SEIN DE LA DIRECTION DES AINES La direction des A n s a mis en place une cellule de crise qui intervient avec les pouvoirs locaux lorsqu il est n cessaire de fermer un tablissement destin l accueil et l h bergement des personnes g es d urgence ou non en vue de soutenir les acteurs d apporter son expertise et de garantir le bien tre des r sidents L Observatoire wallon de la Sant a mis en place avec les autres services des d partements de la Sant de l Action sociale des midi sant s agit de permettre aux agents de se rencontrer une fois par mois sur le temps de midi de d couvrir des mati res en lien avec les activit s de la DGO 5 et ainsi de se former de mani re continue et conviviale La Cellule permanente envir
158. la Commission europ enne apr s validation par le Comit de suivi en novembre 2013 Cette modification du taux FEDER de 40 96 50 96 permettra d acc l rer les remboursements attendus des services de la Commission et de faciliter l ateinte de l objectif N 2 au 31 d cembre 2014 Elle aura donc pour cons quence d augmenter le montant de la demande de paiement relatif la certification 1013 LE SERVICE INTERNE POUR LA PREVENTION ET LA PROTECTION DU TRAVAIL SIPP La mission du SIPP est d assister l employeur le SPW et certains OIP les membres de la ligne hi rarchique et les travailleurs pour l application des dispositions r glementaires relatives au bien tre des travailleurs Les domaines concern s sont la s curit la protection de la sant les risques psychosociaux l ergonomie l hygi ne l embellissement et l environnement Le SIPP collabore avec le SPMT qui prend en charge les aspects relatifs la sant ainsi que les aspects psychosociaux en collaboration avec les personnes de confiance du SPW Quelques chiffres e nombre de d clarations d accidents du travail trait es 516 e taux de fr quence SPW 2013 15 82 et taux de gravit 2013 1 09 nombre de visites des lieux de travail r alis es 304 pour 260 journ es e nombre de demandes de carnets souche trait es 32 participation aux CCB CIC 126 dont 57 groupes de travail nombre d interventions des personnes de co
159. lation lectrique 1 9 96 des m nages wallons 4 3 96 des locataires contre 0 8 96 des propri taires sont confront s un ou plusieurs probl mes de s curit et 1 1 96 des m nages 1 7 96 des locataires contre 0 8 96 des propri taires ne disposent pas d une salle de bain Sur le plan nerg tique une majorit des m nages wallons 80 96 b n ficie d une isolation de R novation d une maison de ma tre en logements Brugelette Grand Place 9 SPW Photo Fabrice Dor l ensemble des baies et fen tres de leur logement g n ralement par du double vitrage ordinaire toutefois Une majorit de m nages propri taires 61 996 habite dans un logement dont la toiture est isol e sur l ensemble de sa surface mais la situation est moins favorable pour les m nages locataires 34 3 96 disposent d une telle isolation Par contre une majorit des m nages qui habitent dans une maison et ce quel que soit le nombre de facades ne disposent pas de murs isol s respectivement 50 9 96 69 9 96 et 76 5 96 des m nages qui habitent dans une maison de quatre trois ou deux facades Ces chiffres sont meilleurs que ceux que l on pouvait rencontrer dans le pass L effort demande toutefois tre poursuivi pour atteindre une situation enti rement satisfaisante Adapter les aides publiques au logement Les aides existantes formant un ensemble de plus en plus complexe il devient essentiel de rapprocher les syst mes d a
160. liorer la l habitat globalement qualit de pris Selon une enqu te de 2006 2007 pr s des 2 3 des logements taient d ores et d j salubres en Wallonie mais les logements r serv s la location secteurs priv et public n taient que 45 1 96 tre salubres et pr s de 20 96 des logements locatifs taient en mauvais ou tr s mauvais tat Mais les 2 3 retombaient environ 55 96 lorsqu on valuait 93 leur qualit globale performance nerg tique comprise La lutte contre l insalubrit doit s articuler avec la recherche de performances nerg tiques pour cr er ou r nover des logements durables Les aides r gionales ont donc vis tant lutter contre l insalubrit qu renforcer l isolation ou d autres l ments de la qualit nerg tique des b timents installation de chauffage notamment Plus g n ralement il s agit d orienter davantage les actions vers la production d un habitat durable et de veiller am liorer la situation des locataires dans le secteur priv locatif Les r sultats de la nouvelle enqu te sur la qualit des logements en Wallonie finalis e en 2013 montrent une volution favorable de la situation Dans 3 696 des logements seulement la toiture doit tre remplac e en totalit ou en partie 8 9 96 des logements pr sentent des murs avec des fissures ouvertes ou un rev tement d grad L humidit est pr sente dans 23 96 des logements En ce qui concerne leur instal
161. lle programm e pour 2014 Ces travaux s accompagnent du remplacement complet des quipements lectrom caniques de commande des vannes et des hausses Sur le site du barrage de la Gileppe les voiries l clairage et le parking du barrage de la Gileppe ont t r nov s Ces travaux rendent le complexe plus convivial pour les visiteurs de plus en plus nombreux chaque ann e 77 78 kownux A el A 2 NEDERLAND R GION WALLONNE SACH FETE AA NH DGO2 MOBELITE ET VOIES HYDRAULIQUES T a Lar Ps ba LE Tu Les ML DE LUXEMBUOLIEUS kel Le tourisme fluvial Malgr des investissements dans la modernisation des infrastructures construction de capitaineries installation de bornes d eau et d lectricit de nouveaux pontons et embarcad res clairage des ports de plaisance etc et la gratuit de circulation sur le r seau des voies navigables wallonnes le tourisme fluvial est en baisse en 2013 16 88 906 Plusieurs facteurs permettent d expliquer cette baisse d activit la crise conomique des conditions m t orologiques peu favorables prix lev du carburant Le Comit de la navigation de plaisance pr sid par le directeur g n ral de la DGO 2 a d s lors mis en place un programme d actions visant sensibiliser les communes concern es aux enjeux conomiques et touristiques que repr sente la navigation de plaisance Restructu
162. m me temps la participation du public au processus d cisionnel et son adh sion la plus large aux choix de soci t appel s s inscrire dans le territoire La page dict e par l article 1 du CWATUPE est r crire sans cesse Dans pareil contexte notre mission premi re est d aiguiser la r activit et la capacit cr atrice des professionnels de l am nagement pour fa onner les solutions marquantes de demain Trimestriel du D veloppement territorial Les Cahiers nouveaux D cembre 2013 Wallonie Co dition Service public de Wallonie Mardaga SPW ditions HE La politique fonci re th me des Cahiers nouveaux 87 de d cembre 2014 LES GRANDS ENJEUX DU D PARTEMENT DU LOGEMENT Garantir l acc s un logement d cent Le droit au logement ent rin par l article 23 de la Constitution belge est rappel par l art 2 du Code wallon du Logement La R gion et les autres autorit s publiques chacune dans le cadre de leurs comp tences mettent en ceuvre le droit a un logement d cent en tant que lieu de vie d mancipation et d panouissement des individus et des familles Reste aux autorit s publiques mettre en oeuvre un droit qui fait d faut de nombreux citoyens Logement public mise en ceuvre de la r forme 2012 du Code du Logement Si 2012 fut une ann e charni re vu l entr e en vigueur d une vaste r forme du logement public l ann e 2013 a t
163. ment environnemental et d audit EMAS Norme ISO 9001 en bonne voie Le cycle de certification de trois ans prendra fin en octobre 2014 Depuis fin 2013 tous les lt supports de la DGO 3 administratif audit interne budget communication contr le donn es gestion informatique logistique politique juridique recherche et d veloppement et ressources humaines sont certifi s conformes la norme ISO 9001 2008 Pour rappel depuis fin 2011 l ensemble des processus de management ont recu ce label La prochaine phase s attaquera la fin de la labellisation des processus M tier des diff rents d partements qui composent la DGO 3 Pour l instant 82 sept sur dix sont labellis s pour d partement des Politiques europ ennes et des Accords internationaux DPEAI d partement du D veloppement DD d partement de l tude du milieu naturel et agricole DEMNA d partement des Aides DA d partement de la Nature et des For ts DNF d partement des Permis et Autorisations DPA et d partement de la Police et des Contr les DPC La certification ISO 9001 des activit s m tier des d partement de l Environnement et de l Eau DEE d partement de la Ruralit et des Cours d Eau DRCE et d partement du Sol et des D chets DSD sera concr tis e en 2014 L ISL conforme au r glement EMAS En mati re de conformit au r glement EMAS le Comit de Direction de la DGO 3 s est engag respe
164. ment sur 240 projets d arr t de d signation a t cl tur e en f vrier Elle a donn lieu plus de 18 000 remarques Les travaux r alis s en cours d ann e ont permis l adoption d finitive de 52 sites par le Gouvernement wallon Poursuite des actions mise en vidence des initiatives et acteurs de terrain cr ation de synergies et mise en place de nouveaux projets favorables la nature en 2013 encore le R seau Wallonie Nature a permis d augmenter sensiblement le potentiel d accueil de la vie sauvage sur le territoire wallon en maintenant et en renforcant la prise en compte de la nature dans les diverses activit s humaines Adopter la sylviculture Pro Sylva L Inventaire permanent des ressources foresti res a mis en vidence une volution importante dela proportion relative des surfaces de peuplements r sineux et feuillus en Wallonie En 10 ans les surfaces feuillues sont pass es de 53 96 57 96 de l ensemble des surfaces foresti res alors que les surfaces r sineuses ont r gress et n en constituent plus que 43 96 L quilibre entre les surfaces r sineuses et feuillues voulu par le code forestier est donc quelque peu mis mal devrait tre r tabli de facon pr server la fili re de transformation du bois actuellement plus favorable pour les r sineux En parall le de nouveaux d bouch s doivent tre recherch s pour les esp ces feuillues Combinant respect des processus naturels des c
165. mobilit plan d ancrage communal du logement sch ma de structure plan communal de d veloppement rural plan communal de d veloppement de la nature plan d conomie d nergie Suite un appel projets lanc en mars 2013 87 communes ont r pondu positivement Parmi celles ci 24 communes pilotes ont t s lectionn es afin de tester la m thodologie d laboration du PST et de proposer pour la prochaine mandature communale un mod le renforc assorti de recommandations et de bonnes pratiques m thodologiques Le travail avec les communes pilotes a d but en avril 2013 et a t organis en ateliers th matiques au cours desquels des experts sont venus pr senter les enjeux les opportunit s mais aussi les contraintes qui concernent les communes et dont elles pourraient se saisir dans leur PST e ateliers m thodologiques au cours desquels les communes ont pu changer sur la m thodologie l criture les bonnes pratiques les difficult s qu elles rencontrent e parall lement un certain nombre d outils ont t propos s par le Comit d accompagnement compos de la DGO 5 DGO 1 le CRAC et l UVCW tels que le guide m thodologique la plate forme ww w pstcommunal be la iche communale les documents sur le portail des pouvoirs locaux etc Le d p t officiel des PST a eu lieu le 25 f vrier 2014 Trois conclusions peuvent d j tre tir es de cette exp rience e le PST est une d marc
166. n toute initiative participant au d veloppement de l art contemporain en Wallonie dans le domaine des pratiques environnementales ou de l int gration l architecture et l urbanisme Sa d marche associe tous les acteurs du projet y compris les repr sentants des futurs utilisateurs instaurant un r el dialogue entre tous les partenaires En 2013 sila CAW a continu assurer l ensemble des activit s li es ses missions l ann e a surtout t marqu e par le renouvellement de son mandat acte qui t moigne de la confiance du Gouvernement wallon et de la reconnaissance de son action Au cours de l ann e plusieurs projets ont t initi s qui se concr tiseront au cours des mois venir Suite un accord de partenariat conclu avec la Province de Namur la ville de Rochefort a d cid d int grer une ceuvre d art sur le giratoire situ entre Jemelle et Rochefort la jonction entre la N86 et la N836 et de confier l expertise de la CAW la proc dure de s lection d un projet Suite une pr s lection op r e parmi 35 candidats trois artistes ont t invit s remettre une proposition circonstanci e C est le projet Rochefort la Belle du designer et plasticien Micha l Bihain qui a t retenu Octroi des subventions dans le cadre des comm morations 14 18 Les Gouvernements wallon et de la FWB ont labor ensemble un vaste plan d actions et lanc plusieurs appels projets C est la CAW
167. nce de Fonds social europ en et la COCOF le d partement a poursuivi les actions de communication visant valoriser l impact des Fonds structurels europ ens sur la Wallonie et Bruxelles Une vingtaine de b timents significatifs ont t habill s aux couleurs de l Europe et de la Wallonie Middle Office Le projet Middle office entam en 2012 a pour missions la collecte la vulgarisation la transmission et la v rification des informations g n ralistes du SPW et leur diffusion de mani re multi canale vers les usagers de Wallonie structurera cette information dans un syst me d information unique Durant l ann e 2013 les actions suivantes ont t r alis es r alisation de la fiche type d informations g n riques criture des r gles r dactionnelles pour la r daction des contenus UMI d finition des diff rents profils des agents Middle office g n raliste Middle office sp cialis relais m tiers 21 dans les DG listing et d finition des processus mis mettre en place au sein du Middle office g n raliste officialisation du projet via l approbation par le COSTRA r daction du SLA listing des contenus DGO 7 attribution du march pour le plan de communication et de gestion du changement r daction de la FAP fiche avant projet pour la pr analyse de l outil Le volet organisationnel du Middle office a t valid par le COSTRA Les relations presse Le Secr tariat g n ral a dans ses miss
168. ne Convergence Parmi celles ci 45 modifications ont directement d coul des d cisions du GW du 30 mai 2013 portant sur des r allocations budg taires entre projets Le cabinet du Ministre Pr sident a t r guli rement inform de l tat d avancement des d penses dans le cadre du suivi du respect de la r gle de d gagement N 2 En 2013 une vingtaine de courriers lectroniques lui ont t transmis avec une intensification du rythme d envoi partir de la rentr e de septembre c t du suivi budg taire des projets du d partement l engagement et la liquidation de la part FEDER des projets relevant des comp tences du Commissariat g n ral au Tourisme et du Minist re de la F d ration Wallonie Bruxelles a galement t r alis Au total 68 dossiers ont t engag s et 136 paiements ont t effectu s auxquels il faut ajouter 41 paiements par comptable extraordinaire 1 Pendant du d partement de la Coordination des Fonds structurels pour les programmes cofinanc s par le Fonds social europ en FSE Contr le de premier niveau sur pi ces Le d partement a galement assur le contr le comptable sur pi ces des d penses effectu es dans le cadre des programmes cofinanc s par le FEDER y compris ceux relevant de l objectif de coop ration territoriale Interreg IV Grande R gion et France Wallonie Flandre Pr s de 900 projets sont ainsi contr l s repr sentant plus d 1 milliard de bu
169. nfiance 241 dossiers 415 pour Les t ches qui incombent au SIPP sont partag es entre les cinq services ext rieurs Arlon Charleroi Li ge Mons et Namur et le service central En 2013 sous l impulsion du Secr taire g n ral le SIPP a labor une pr sentation et une synth se du concept de syst me dynamique de gestion des risques SyDyGRi gt Celui ci structure la d marche de la planification de la pr vention au sein du SPW et propose en outre un canevas de plan global de pr vention cinq ans et de plan annuel d actions 1 Taux de gravit repr sente le nombre de journ es r ellement perdues par rapport aux heures d exposition aux risques Taux de fr quence repr sente le nombre d accidents par rapport aux heures d exposition aux risques LE SECR TARIAT DU CONSEIL SUP RIEUR DES VILLES COMMUNES ET PROVINCES DE LA R GION WALLONNE La gestion administrative du Conseil sup rieur des Villes Communes et Provinces de la R gion wallonne est confi e un secr tariat dont les missions peuvent tre regroup es en deux cat gories e d une part il remplit des missions d tude et de conception de documents destin s alimenter la r flexion du Conseil sup rieur et de ses organes dans le cadre de sa mission consultative et de r alisation du rapport d activit s En outre le Secr tariat tient la plume du Conseil r daction des avis et rapports du Conseil et le Secr taire qui assume la direction du Secr
170. nou e avecles Centres Locaux de Promotion de la Sant qui ont organis une formation connaitre sa commune et partager cette connaissance en vue d outiller les chefs de projet PCS et les acteurs communaux l utilisation de donn es au niveau communal et la r alisation d un profil communal en mati re de sant Le PSC en quelques chiffres 2013 e 147 communes impliqu es e 35 millions part communale incluse e 3 d partements r gionaux financant le dispositif 2 t solidaire je suis partenaire L op ration t solidaire je suis partenaire vise d velopper le sens de la citoyennet et de la solidarit chez les jeunes en les impliquant dans l am lioration et l embellissement de leur quartier et de leur environnement Les communes les CPAS et les Soci t s de Logement de Service Public ont ainsi chaque ann e la possibilit d engager des jeunes de 15 21 ans durant les vacances d t En 2013 l accent a t mis sur l importance de la qualit de l accompagnement des projets tant au niveau humain que technique ainsi que sur l obligation pour les communes et les CPAS de privil gier le partenariat pour l laboration et la mise en ceuvre de leurs actions En outre dans un souci d quit pour les SLSP les crit res d attribution des jeunes ont t revus en fonction du nombre de logements g r s par celles ci et non plus du nombre d habitants de la commune ESOL en quelques chiffres
171. nt des informations issues des deux autres Autorit s gestion et audit Travaux de l ann e 2013 ela cellule de l Autorit de certification a transmis la Commission une d claration Annexe pr cisant pour le programme op rationnel 11 Convergence un montant recouvr qui a t d duit des tats de d penses initialement certifi s en d cembre 2012 eelle a tabli un Grand livre des d biteurs avec effet r troactif sur les cinq ann es ant rieures de l actuelle programmation e elle a r alis conjointement avec le prestataire externe la certification 1013 qui cl ture de ce fait l ann e 2013 Aucune autre certification interm diaire n ayant t r alis e dans le courant de l ann e e pour les d penses relatives aux programmes op rationnels Convergence et Comp titivit r gionale et emploi la certification de d cembre 2013 concerne 12 administrations dont sept ayant eu une cotation 1 de la part de l Autorit d audit la DCPN la 1 Strat gie routi re la DGO 6 D veloppement conomique la DGO 6 Investissement FWB Infrastructures culturelles FWB Enseignement obligatoire le Commissariat g n ral au Tourisme Les travaux de la cellule de certification ont t bas s sur une circularisation une revue des audits syst me r alis s par l Autorit d audit des tests d int grit effectu s sur les donn es provenant de la base de donn es EUROGES des tests de coh renc
172. oc dure d Avis nerg tique la PAE2 elle a t lanc e en 2013 apr s une pr paration minutieuse de ses outils par la direction du B timent durable en 2012 Les primes restent un levier important de la diminution de la consommation d nergie cit 98 dans la DPR Les primes nergie ont continu de battre leur plein en 2013 et le nombre de dossiers introduits a augment par rapport 2012 Du c t du secteur tertiaire le programme UREBA Utilisation rationnelle de l nergie dans les b timents a continu en 2013 soutenir les investissements conomiseurs d nergie les plus performants dans les b timents des administrations locales des coles des cr ches et du monde associatif En outre un appel projet UREBA exceptionnel a t lanc Les facilitateurs tertiaire et non marchand de m me que les conseillers nergie dans les communes ont continu de sensibiliser et d accompagner B timent sis Stavelot Basse Voye 6 Architecte Stephen Toumpsin ma tre de l ouvrage Olivier Georges leurs publics dans leurs d marches d utilisation rationnelle de l nergie La transposition et l impl mentation de la nouvelle directive sur l efficacit nerg tique et les services nerg tiques compte parmi les actions s inscrivant dans le premier axe de la DPR en mati re d nergie sur lesquelles le d partement et plus particuli rement la Cellule SIE syst me d information nerg tiq
173. onie Les r sultats attendus de ce march sont notamment la repr sentation homog ne du relief du sol sous forme d un mod le num rique de terrain MNT ainsi qu un mod le num rique de surface MNS Suite aux conditions m t o exceptionnellement d favorables de l ann e 27 2013 l acquisition des donn es LiDAR accuse un l ger retard par rapport la planification initiale N anmoins trois des huit blocs ont fait l objet d une livraison et sont en cours de contr le Les donn es de la totalit de la Wallonie seront acquises et contr l es valid es courant 2014 e afin d am liorer les donn es d adresse des rues et des b timents de Belgique le projet BeSt Adresses a d marr en 2012 L objectif consiste d abord uniformiser la mani re de r f rencer et de mettre en relation les adresses et ensuite constituer des registres r gionaux d adresses Ces registres deviendront la source officielle pour les donn es d adresse et seront actualis s en permanence grace aux informations transmises par les administrations communales Les pouvoirs publics ayant besoin de ces donn es officielles ex registre national cadastre etc s y r f reront Dans ce but des r unions entre l tat f d ral les r gions et les repr sentants des communes ont eu lieu pour pr parer un accord de coop ration En Wallonie ce projet pris en charge par la direction de la G om trologie avec l aide d un sous traitant doit aboutir
174. onnement sant CPES a quant elle coordonn le premier Plan d actions de lutte contre le radon en Wallonie C est ce titre qu elle a initi le Radon day la premi re journ e wallonne de d pistage du radon en octobre 2013 107 LA DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DE L CONOMIE DE L EMPLOI ET DE LA RECHERCHE i em UNE a d PI i cS e L p E M Yves SENNEN Directeur g n ral ff PLACE DE LA WALLONIE 1 5100 NAMUR JAMBES T L 081 33 42 20 FAX 081 33 39 33 108 D PARTEMENT DE L EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE DIRECTION DE L EMPLOI ET DES PERMIS DE TRAVAIL DIRECTION DE LA PROMOTION DE L EMPLOI DIRECTION DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE DIRECTION DES POLITIQUES TRANSVERSALES R GION COMMUNAUT ORGANIGRAMME DE LA DGO 6 DIRECTION DES LICENCES D ARMES D PARTEMENT DE L INVESTISSEMENT DIRECTION DES PROGRAMMES D INVESTISSEMENT DIRECTION DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES DIRECTION DE L QUIPEMENT DES PARCS D ACTIVIT S D PARTEMENT DU D VELOPPEMENT CONOMIQUE DIRECTION DU D VELOPPEMENT DES ENTREPRISES DIRECTION DES PROJETS TH MATIQUES DIRECTION DE L CONOMIE SOCIALE DIRECTION G N RALE OP RATIONNELLE DE L CONOMIE DE L EMPLOI ET DE LA RECHERCHE D PARTEMENT DE LA COMP TITIVIT ET DE L INNOVATION DIRECTION DE LA POLITIQUE CONOMIQUE DIRECTION DES R SEAUX D ENT
175. oration d une politique sp cifique aux PME sur base du d cret du 11 mars 2004 relatif aux incitants en faveur des PME En 2013 elle a pris 1 940 d cisions d octroi ce qui repr sentait un budget de 98 millions et 863 millions d investissements la direction des Programmes d investissement qui g re les dossiers de prime l investissement en application des incitants r gionaux en faveur des grandes entreprises des aides cofinanc es par le FEDER et des incitants en faveur de la protection de l environnement et l utilisation durable de l nergie d crets du 11 mars 2004 Elle a soutenu 140 projets en 2013 toutes mesures confondues ce qui repr sentait plus de 490 millions d investissements et un budget de 66 millions 111 ela direction de l quipement des parcs d activit s qui assume les missions en application du d cret du 11 mars 2004 relatif aux infrastructures d accueil des activit s conomiques Dans ce cadre elle a octroy pr s de 83 millions de subsides en 2013 dont 50 millions dans le cadre du Plan Marshall 2 Vert Ces trois directions sont impliqu es directement dans des actions ou programmes de grande ampleur et d importance budg taire consid rable En effet les programmations europ ennes 2007 2013 permettent la Wallonie d intervenir avec la contribution de financements europ ens dans diff rents domaines au profit du d veloppement conomique et de la cr ation d
176. osyst mes forestiers et viabilit conomique la sylviculture Pro Sylva a h rit d une circulaire adopt e fin 2013 par le d partement de la Nature et des For ts DNF Celle ci vise donc favoriser une structure irr guli re dans les peuplements forestiers des propri taires publics et produire du bois de qualit en minimisant les co ts c t de cela l an dernier les ventes de bois dans les for ts domaniales ont rapport 10 2 millions et quatre fois plus pour les autres propri taires publics La certification dela gestion durable des for ts PEFC a t maintenue et la nouvelle charte apportant une am lioration suppl mentaire a t approuv e 85 Examen reussi pour 261 chasseurs Chaque ann e le DNF organise l examen de chasse dont la r ussite est un pr alable pour toute personne d sireuse de pouvoir un jour chasser en Wallonie Cet examen comporte une preuve th orique et une preuve pratique Toute l organisation de l examen de chasse est confi e la direction de la Chasse et de la P che mais elle implique la participation active d une cinquantaine d agents des for ts des cantonnements soit comme surveillants l preuve th orique soit comme examinateurs l preuve pratique En 2013 692 personnes se sont inscrites l preuve th orique de l examen de chasse 571 l ont effectivement pr sent e et 296 51 8 96 l ont r ussie y avait 366 candidats inscrits l preuve pratiqu
177. our la construction d un nouveau centre de regroupement Tongre Notre Dame dans le Tournaisis La r ception des travaux a t faite en 2013 Quelque 3 000 m de s diments y ont d ores et d j t d shydrat s En 2013 un march de travaux de d shydratation et de valorisation au centre de regroupement de Laplaigne a par ailleurs t mis en adjudication Enfin la construction de deux autres nouveaux centres de regroupement s est poursuivie Obourg et Ampsin Leur mise en service est pr vue pour la fin 2014 ou le d but 2015 Pr vention des risques d inondations La 2 poss de entretient et contr le un r seau de 230 stations d observation hydrologique qui mesurent le d bit et la hauteur de l eau dans le r seau hydrographique wallon ainsi que les quantit s de pr cipitations Gr ce des outils de vigilance et une permanence op rationnelle la DGO 2 peut alerter les directions territoriales les partenaires sp cifiques producteurs d hydro lectricit parexemple les paysetr gionslimitrophes et viale centre de Crise de la R gion wallonne les autorit s concern es en cas de risques Le site Internet de la DGO 2 permet galement aux riverains de s informer de la situation sur les cours d eau qui les int ressent En 2013 la DGO 2 a sign une convention avec Electrabel pour l change de donn es et de pr visions adapt es aux risques d inondations de la Meuse au droit des unit s nucl aires de T
178. p la concertation au niveau belge afin de d terminer la position que la Belgique exprime au niveau de l UE et de l ONU LE D PARTEMENT DE LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES LA S LECTION DU PERSONNEL La direction de la S lection propose depuis mars 2012 la possibilit de postuler en ligne pour les emplois contractuels que ce soit en r ponse une offre d emploi ou simplement pour d poser une candidature spontan e Les candidatures sont regroup es dans une banque de donn es unique g r e par la direction de la S lection seule porte d entr e du SPW Depuis son lancement l outil CV en ligne connait un succ s croissant En 2013 5 421 candidatures spontan es ont t enregistr es soit une augmentation de 300 96 par rapport 2011 et de 50 96 par rapport 2012 En outre on a enregistr en 2013 plus de 200 demandes de CV adress es la direction de la s lection par les DG OIP 120 engagements de contractuels experts ou BET besoin exceptionnel et temporaire plus de 100 recrutements statutaires 4 concours d accession aux niveaux A et C ont t cl tur s ainsi que l preuve g n rale commune aux 7 concours d accession au niveau B Des pistes d am lioration ont t d gag es mettre la base de donn es la disposition directe des directions g n rales et des OIP am liorer le logiciel afin d int grer de nouveaux crit res de s lection permettant un tri sur CV plus pr cis disposer en
179. par la conduite d un v hicule dans le cadre de leurs fonctions s est poursuivie tout au long de cette ann e 2013 Par ailleurs le programme de formation destin aux convoyeurs euses scolaires engag e s sous contrat dur e ind termin e a t mis en ceuvre au cours des mois de juillet et ao t 2013 Enfin le d partement a mis en oeuvre les formations pr paratoires aux concours d accession aux niveaux A et C LE D PARTEMENT DES AFFAIRES G N RALES LA FONCTION PUBLIQUE EN QUESTION Une des missions principales de la direction de la Fonction publique DIFOP consiste conseiller l autorit le plus souvent par le biais d avis rendus la demande du ministre de la Fonction publique et du Secr taire g n ral Au sein et l ext rieur du SPW les comp tences transversales de la direction en font l interlocuteur privil gi non seulement de la direction de l Administration du personnel de la direction de la Gestion p cuniaire de la direction des Ressources humaines et des directions fonctionnelles et d appui mais galement des organismes d int r t public qui d pendent de la Wallonie Elle assiste les services charg s de questions de personnel dans toutes les mati res r gionales f d rales europ ennes qui s appliquent tant aux agents statutaires que contractuels statuts administratif p cuniaire syndical droit du travail et du contrat de travail Le cas ch ant la DIFOP propose l autorit r g
180. permanence de concours comportant suffisamment de laur ats SELOR pour r pondre nos besoins repenser la proc dure d accession dans sa globalit afin de permettre aux agents de progresser dans leur carri re LES RESSOURCES HUMAINES Plan d actions Lutte contre les discriminations et promotion de la diversit Ce plan d actions labor conjointement par les services du SPW et du Minist re de la F d ration Wallonie Bruxelles vise renforcer l image de la Fonction publique comme employeur de la diversit Approuv en d cembre 2012 il reprend 26 actions concr tes et s talera sur une p riode de quatre ann es Les actions pr vues touchent diff rents domaines d activit s tels que celui du recrutement et de la d entretien sans biais discriminatoire pour les agents charg s du recrutement celui de l accueil et de l int gration Description de fonctions Afin de constituer un outil de r f rence en mati re de gestion des ressources humaines un r f rentiel de fonctions a t labor et est en cours d homog n isation pour l ensemble du SPW et des OIP En parall le un dictionnaire de comp tences est actuellement en cours de d veloppement afin d harmoniser les pratiques au sein du d partement de la Gestion des Ressources humaines La direction des Ressources humaines a d crit dans le cadre de ce projet plus de 65 96 du nombre total des fonctions d crire Ce dictionnaire devrait tre finalis
181. personnel mais galement plus sp cifique pour la mise en place des brigades de contr le routier en Wallonie et la gestion quotidienne de l imp t Dans ce cadre divers march s publics ont t r alis s afin de doter les futures quipes de contr le routier d uniformes d quipement personnel de v hicules sp cifiques de scanners de plaques et de tout le mat riel n cessaire leur signalisation leur s curit et leur interaction lectronique avec les applications du si ge lorsqu ils seraient en mission sur le terrain V hicule des nouvelles brigades de contr le sur route pour la fiscalit des v hicules 121 De nouveaux programmes informatiques ont galement t d velopp s pour l tablissement et le recouvrement des taxes sur les v hicules D s 2012 le travail de conception du programme de perception etrecouvrement permettant de g rer la redevance t l vision et les taxes relatives la fiscalit des v hicules avait t entam et le produit livr d s mai 2013 en ce qui concerne la redevance TV Les programmes d tablissement de la taxe de circulation de la taxe de mise en circulation et de l eurovignette ont t d velopp s en 2013 afin de permettre leur op rationnalit d s janvier 2014 En collaboration avec e WBS e Wallonie Bruxelles Simplification des formulaires intelligents permettant d introduire en ligne des d clarations pour la taxe de circulation non automatis e remorques
182. pourront manquer de red finir certaines priorit s Pour l arch ologie la r flexion sur la mise en place du principe de l am nageur payeur est rest e l ordre du jour Mais la priorit a surtout t donn e la finalisation de l inventaire cartographi des sites arch ologiques et leur zonage En tant qu outil transversal cette d marche est aujourd hui devenue essentielle et doit permettre une meilleure prise en compte de la r alit et du potentiel arch ologique de la Wallonie en donnant galement un cadre mieux balis pour hi rarchiser les interventions des arch ologues Ces principes sous tendent le projet de circulaire soumis la validation du ministre Parall lement 96 la conservation des artefacts issus de nos propres fouilles n cessitait une nouvelle approche pour leur inventaire leur identification leurs conditions de conservation et de maintenance et leur organisation physique Ce chantier est en Cours avec l appui des quipes du Pr histosite de Ramioul L ann e 2013 a galement t l occasion de pr parer une vaste campagne de sensibilisation pour 2014 ann e de l arch ologie en vue de comm morer le 25 anniversaire du transfert de la Solution mobile de l Inventaire du patrimoine immobilier culturel comp tence la Wallonie En mati re de protection l valuation d un futur processus de requalification s est poursuivie avec l aide de l ASBL Wallonia Nostra L Inv
183. ptabilit et de la tr sorerie de la Wallonie la gestion du parc informatique mat riel logiciels applications du SPW et d une partie des cabinets minist riels la gestion des biens immobiliers appartenant la Wallonie des biens mobiliers en ce compris le parc automobile et de consommables caf t rias v tements de travail etc ainsi que la production de documents crits visuels ou multim dias pinglons quelques projets importants r alis s par la DGT 2 durant l ann e 2013 Le p le Budget Finances s est attel la mise en uvre du d cret WBFin analyse des fonctionnalit s n cessaires pour proc der l enregistrement comptable des engagements juridiques pr paration du compte annuel des tr soriers d centralis s et r alisation d un premier inventaire des d penses fiscales La r sorption du retard accumul du compte g n ral de la Wallonie mais aussi le maintien du d lai de traitement des factures sous le seuil des 13 jours sont souligner Un nouveau contrat de Caissier pour la Wallonie est entr en vigueur le 1 janvier 2013 offrant une am lioration des conditions en compte et une ligne de tr sorerie port e 3 250 milliards 2013 a galement vu para tre la deuxi me dition du rapport annuel de la dette de la Wallonie Le programme EMTN programme de financement qui met la disposition des investisseurs potentiels de la Wallonie un cadre juridique standard
184. qu a t confi le volet art contemporain de ceux ci Comment les artistes contemporains s approprient ils les th matiques et les enseignements de ce conflit mondial Les projets de trois artistes ou collectifs d artistes retenus parmi 18 propositions 14 recues apportent ces questionnements des r ponses tr s personnelles il s agit du Mur de la m moire de Francois HUON Braine l Alleud des Lignes de Vie de Marie ZOLAMIAN sur la tour d a ration du Fort de Fl malle et du Projet 4 fruit d une r flexion conjointe des tudiants de la facult d Architecture et d Urbanisme de Mons et de l cole sup rieure des arts de Mons Relevons encore qu avec l aval du Ministre Pr sident la CAW a lanc le Prix de la Commission des arts de Wallonie destin encourager un jeune artiste de moins de 40 ans Une premi re s lection sera effectu e en 2014 La Commission s est galement engag e dans l organisation de la nouvelle dition de la triennale Art Public qui sera pr sent e Tournai en mai 2014 une dizaine d artistes sont invit s int grer des oeuvres dans le centre de la ville avec pour seule contrainte de travailler en fonction de l environnement architectural urbanistique naturel et surtout humain La s lection des artistes est op r e tant pour la signification contemporaine de leurs recherches que sur base de leur capacit communiquer avec le grand public Pour l ann e 2013 enfin
185. ques de Namur des photos prises de la tour de guet de la Citadelle de Namur des vues panoramiques de la Plante des vues de l cluse de la Plante des photos du Parc communal E Simon et de la maison communale de P ruwelz La banque de donn es mages est accessible l adresse images wallonie be LA GESTION DES PUBLICATIONS La direction de l Identit et des Publications DIP g re le d p t l gal et le d p t la biblioth que centrale du SPW de toutes les publications dit es par le SPW et de certaines publications dit es par des acteurs publics avec le soutien de la Wallonie Elle assure le stockage la promotion via www wallonie be le magazine Vivre la Wallonie les Espaces Wallonie et la diffusion d une grande partie des publications du SPW Le catalogue des ouvrages disponibles pr s de 2 000 titres se trouve sur le portail de la Wallonie www wallonie be fr publications et les commandes se font par mail l adresse publications spw wallonie be En 2013 139 nouveaux ouvrages ont t ajout s au catalogue plus de 170 000 publications ont t diffus es et pr s de 130 publications ont t dit es sous le label SPW ditions dont 18 publi es par le SG entre autres E d EL een PA A8 ges CT e Wallonie mode d emploi L Europe pr s de chez vous R nover pour consommer moins d nergie Historique de la composition des ex cutifs gouvernement
186. r organisation du syst me de d signation des avocats et de paiement des honoraires Le Gouvernement wallon ayant d cid que les dossiers confi s avant la fin des nouvelles d signations continuent tre trait s de mani re diligente par l avocat initialement d sign la DCG a dress un tat des lieux de ces dossiers Le passage en revue des centaines dossiers fut l occasion de faire un travail de cl ture 838 dossiers restent ouverts En outre la DCG a men une r flexion sur la motivation des d cisions d indemnisation de tiers afin de coordonner les positionnements des juristes sur base de la jurisprudence actuelle de la responsabilit extra contractuelle et de la preuve Par ailleurs un groupe de travail DCG direction de l Administration du Personnel mis sur pied en septembre 2013 a red finile processus de gestion des dossiers accident du travail avec tiers responsable au sein du SG En 2013 la DCG a galement tabli avec la DDU de la DGO 1 une convention entre la Wallonie la SOFICO et l Union professionnelle des Entreprises d Assurances belges et trang res op rant en Belgique ASSURALIA qui fixe les modalit s appliquer pour l valuation des dommages caus s par des tiers au domaine routier ou autoroutier ainsi qu aux installations qui s y rapportent Pour rappel la DCG traite les contentieux de la responsabilit Qu il s agisse de la responsabilit de la Wallonie mise en cause pa
187. r un tiers ou qu il s agisse de la responsabilit d un tiers mise en cause par la Wallonie Au cours del ann e 2013 la DCGaouvert 1 111 nouveaux dossiers contentieux 972 dossiers demandes d indemnisation 136 r cup rations de cr ance et trois divers Dans les dossiers demande d indemnisation de tiers la DCG a soumis 673 d cisions de refus d indemnisation l IG et soumis 1 146 propositions d indemnisation au ministre concern ou la SOFICO Au total elle a pris position par rapport 1 819 demandes d indemnisation LES MARCH S PUBLICS La Commission wallonne des march s publics Depuis 2012 la direction assume le secr tariat de cette Commission dans le cadre de laquelle elle anime un groupe de travail qui met notamment au point des mod les de cahiers sp ciaux des charges ou des mod les de documents tels que des conventions d adh sion des centrales de march s Les March s avocats En 2012 quatre listes d avocats ont t tablies Dans la continuit de ce premier march de services juridiques douze lots ont t attribu s en 2013 La direction a assur la pr paration des march s et l organisation et le suivi des travaux des commissions de s lection et d attribution Les formations internes et l information En 2013 trois agents de la DMP ont dispens plusieurs dizaines de journ es de formation en march s publics La refonte du contenu du portail des march s publi
188. rable en soutenant activement les projets de recherche et d investissement les plus respectueux de l environnement Pour ce faire la DGO 6 disposait en 2013 de 13 sites d activit s et de 498 agents Et elle g rait un budget total de 2 027 755 milliers dont 25 444 milliers taient r serv s son fonctionnement ce qui repr sentait 26 33 96 du budget total de la Wallonie L EMPLOI ET LA FORMATION PROFESSIONNELLE Le d partement de l Emploi et de la Formation professionnelle participe la mise en ceuvre d une politique active de l emploi en g rant les dispositifs destin s favoriser la cr ation d emplois et lutter contre l exclusion sociale et professionnelle encourage le d veloppement de la formation professionnelle pour permettre chacun et notamment aux plus d favoris s d acc der un emploi Adapter la qualification professionnelle des salari s aux besoins des entreprises fait partie de ses pr occupations Et dans ce domaine il agit en compl mentarit avec des organismes tels que le Forem et l IFAPME est galement comp tent pour diverses mesures visant favoriser l emploi agr e les agences de placement et subventionne les agences de d veloppement local et les cellules de gestion centre ville intervient encore dans la politique de l immigration en veillant l application de la l gislation relative l occupation des travailleurs de nationalit trang re En 20
189. ration des districts des voies hydrauliques Le 12 septembre 2013 le Gouvernement wallon a adopt le principe d une restructuration des districts des voies hydrauliques Un arr t minist riel du 4 novembre 2013 officialise la d nomination et l aire g ographique des nouveaux districts ainsi que des ateliers de la direction g n rale op rationnelle de la Mobilit et des Voies hydrauliques La nouvelle r partition g ographique a pour but de r quilibrer l importance respective de chaque direction territoriale Elle coincide aussi dans la mesure du possible avec la d limitation des provinces et le domaine de chacun des ports autonomes Les missions des districts sont galement repr cis es et homog n is es des organigrammes types sont mis en place pour chacun d entre eux et certains postes sont revaloris s ce qui aura un impact positif sur l volution des carri res de certains collaborateurs de la DGO 2 Enfin une nouvelle direction transversale la direction de la Gestion des Voies navigables sera mise en place pour assurer la coordination n cessaire COORDONN ES DE CONTACT Direction g n rale op rationnelle de la Mobilit et des Voies hydrauliques DGO 2 M Yvon LOYAERTS Directeur g n ral ADRESSE DE CONTACT Boulevard du Nord 8 B 5000 Namur POUR TOUTE INFORMATION T l 32 0 81 77 26 80 Fax 32 0 81 77 37 60 E mail cellullecommunication dgo2 spw wallonie be LES SITES INTERNET http voie
190. rces Humaines a men des entretiens d orientation professionnelle tout au long de l ann e 2013 Au cours de ces entretiens men s sur base de la m thode STAR la direction identifie les comp tences des agents leurs motivations et leurs valeurs Elle r dige un rapport d orientation professionnelle qu elle transmet aux directions g n rales et aux services potentiellement int ress s LA FORMATION DU PERSONNEL Au cours de l ann e 2013 la direction de la Formation du personnel a d ploy diverses activit s de formation destination des agents de la Fonction publique wallonne Certaines d entres elles rev tent un caract re r current et s inscrivent dans la dur e d autres concernent des actions ponctuelles visant le plus souvent accompagner et faciliter certains changements organisationnels Outre les formations reprises dans le programme g n ral le d partement a mis en ceuvre des formations sp cifiques en Belgique et l tranger En 2013 34 292 demandes sp cifiques en provenance des diff rentes directions g n rales et des OIP ont t recues En outre dans le cadre de la migration du parc informatique de PC du SPW vers la suite Office 2007 la direction de la Formation du personnel a poursuivi la mise en ceuvre du plan de formation visant accompagner cette transition De m me l ex cution du programme de formation la conduite d fensive et co responsable l attention des agents concern s
191. re am nag e Remembrement d Aineffe O DGO 3 C LAMBAY 83 Des cartographies finalis es Uso 5 8 65 Le Riwelwt Tg e Les re d Tinne de Beochbetort Ay d Plaine de la Lesse Lessive Plus le bleu est fonc plus les classes d hauteur d eau sont lev es avec un courant plus fort dans les zones en pointill gt 1m s DGO 3 Dans le cadre de la Directive europ enne Inondations 2007 60 CE et dans le contexte wallon du plan PLUIES la direction des Cours d Eau non navigables DCENN a r alis avecl appui dela direction du D veloppement rural DDR la cartographie del Al a d Inondation par d bordement de cours d eau et ruissellement ainsi que les cartographies des Zones inondables et des Risques d inondation La m thodologie a t pr alablement valid e par 84 Le 5 d SN ere m me Ten D av Xt B md de Rochefort gd d i ap 4 m H drimant Plaine de la Lesse Lessive En rouge orange et jaune respectivement al a inondation lev moyen et faible p riode de retour de 25 50 et 100 ans DGO 3 le Groupe transversal Inondations GTI et approuv e par le Gouvernement wallon le 19 d cembre 2013 respec
192. ress gestion de l agressivit etc pingler en 2013 Pour la direction de la gestion mobiliere e la mise en uvre avec le DTIC du nouvel outil de gestion des r servations des salles de r union la passation de nouveaux march s en mati re d agendas et calendriers petites fournitures de bureau appareils photo ventilateurs frigos box et thermos copieurs et mobilier de lt mise en uvre du d ploiement sur l Intranet bureau d un outil de gestion relatif aux fiches de l quipement en compactus syst me d archi vage mobile sur les sites d Eupen et de Li ge la participation au groupe de travail ax sur DGT 201 la refonte des applications informatiques du la passation du premier march pour l acquisi dus d partement de la Gestion mobili re tion de v hicules utilitaires camionnette four gonn e de 500 kg de charge utile d envois postaux internationaux blanchis lt la pr paration du cahier sp cial des charges serie lectrom nagers vaisselles masses a recherche r daction et mise en application dhabill t Ee ud portant sur les envois postaux nationaux d sdures faisant suite la directive PEE r fectoristes les chauffeurs et les techniciennes ela mise en uvre du nouveau syst me de seis 011 7 UE qui one de lt gestion des acc s du b timent Cap Nord de diviser par un
193. rt de Li ge ont d marr le 28 juin 2013 115 devraient s achever en 2015 Cette plateforme multimodale sera la plus importante de Wallonie Deux march s ont t pass s en 2013 l un pour l am nagement de la plateforme proprement dite qui devrait tre termin e pour l t 2014 et l autre pour la r alisation des acc s et d un nouveau pont sur la Meuse ach vement pr vu en 2015 L investissement global se chiffre quelque 41 millions dont 6 5 millions financ s par l Union europ enne via les fonds FEDER La DGO 2 pilote ce projet en concertation avec le Port autonome de Li ge PAL les communes avoisinantes ainsi que des partenaires priv s 76 La quatri me cluse de Lanaye permettra une continuit de la dorsale navigable wallonne en termes de gabarit 9 000 t depuis Namur jusqu la fronti re belgo n erlandaise C est en 2012 qu ont d but les travaux de construction de la quatri me cluse de Lanaye L ch ance annonc e est le 31 mars 2015 Aux 42 mois de chantier succ deront 8 mois de tests durant lesquels les postes de commande des quatre cluses seront int gr s sur un seul site et la mise en service du site complet sera assur e Pour faciliter le financement de ce projet tr s ambitieux la Wallonie a d sign la Soci t wallonne de financement compl mentaire des infrastructures SOFICO comme ma tre d ouvrage mais c est la DGO 2 qui assure sur le terrain le suivi et la gestion des quip
194. s ce cadre qu un affichage des consignes de tri dans le b timent du SG et un test de tri s lectif de d chets biod gradables ont t r alis s en 2013 Une valuation du test est pr vue en 2014 31 Par ailleurs en 2013 plusieurs outils ont t mis disposition des pouvoirs adjudicateurs wallons visant favoriser l insertion de clauses environnementales sociales et thiques dans les cahiers des charges Afin de g n raliser l acc s l ensemble des chercheurs wallons une boite outils a t publi e sur le Portail des march s publics de Wallonie Cette boite outils met notamment la disposition des pouvoir adjudicateurs des sources juridiques une s rie de guides et manuels des mod les de cahiers sp ciaux des charges ainsi que des liens vers des sites Internet et une foire aux questions en mati re d achats publics durables En outre le service d aide helpdesk lanc en 2012 a poursuivi sa mission d assistance aux acheteurs d sireux d introduire de telles clauses et une cinquantaine d agents ont t form s aux march s publics durables durant l ann e coul e Enfin en s appuyant notamment sur les travaux du SPW le GW a adopt fin 2013 un plan d actions en faveur des march s publics durables En ce qui concerne la sensibilisation et la communication retenons pour 2013 la diffusion par le d partement de la Communication de quatre capsules vid o nous invitant poser des gestes en faveur du d
195. s de la RW 1968 2013 La strat gie ditoriale D velopper une strat gie ditoriale coh rente et transversale pour toutes les publications du SPW fait partie des missions de la DIP La nouvelle charte ditoriale entr e en vigueur en 2012 s applique au Secr tariat g n ral et toutes les directions g n rales du SPW cela afin de cr er une coh rence accrue entre les nombreuses publications manant du SPW en les dotant d une marque de fabrique commune claire et reconnaissable par tout un chacun savoir SPW ditions En 2013 la DIP a veill la bonne int gration de cette charte par les diteurs En outre elle a poursuivi la mise en place d une strat gie ditoriale propre au d partement de la Communication Le but tant de lancer des collections qui seraient port es par le d partement de la Communication dans certains cas en partenariat avec les directions g n rales op rationnelles de leur conception la r daction l impression et la diffusion Les travaux graphiques L quipe de graphistes du d partement de la Communication est charg e de r aliser tous travaux graphiques mise en page et illustration de livres brochures folders panneaux habillage de stands affiches sur commande du d partement de la Communication ou de n importe quelle direction du SPW qui en fait la demande En 2013 pr s de 200 travaux graphiques ont t r alis s soit le double de l ann e pr c d
196. s de la Commission de la protection de la Vie priv e CPVP impos e par la loi du 8 d cembre 1992 En 2013 cinq d clarations ont t d pos es et une modifi e La th matique tant de plus en plus suivie au sein du SPW la DSJ recoit de plus en plus de questions concernant l application de la loi D s lors une rubrique a t cr e sur l Intranet du SPW Au cours de l ann e 2013 la DSJ a ouvert 53 nouveaux dossiers pour avis ou analyses juridiques Le Guichet unique des pi ces de proc dure a transmis aux correspondants juridiques locaux du SPW 2 262 pi ces de proc dure li es aux contentieux dans lesquels la Wallonie est partie La cellule LEGISA analyse sur le plan de la l gistique tous les avant projets de d crets et d arr t s r glementaires Elle oeuvre pour que toutes les normes wallonnes soient exemptes d erreurs de l gistique avant leur envoi au Conseil d tat En 2013 les demandes ont quasi doubl par rapport l ann e pr c dente 237 demandes contre 149 en 2012 En moyenne 19 textes par mois ont t analys s Une exp rience pilote a t lanc e en 2013 Le document pr sentant les remarques de l gistique est d sormais accompagn d un projet de texte dans lequel ont t int gr es les corrections attendues a pu tre relev que cette m thode agr e les demandeurs et induit une meilleure prise en compte des remarques Le relooking de WALLEX La banque de donn es de jurispruden
197. s est apparu opportun d en d crire deux d entre eux en raison des possibilit s pluridisciplinaires qu ils offrent Le Syst me d Information G ographique SIG de crise du CRC W D velopp en interne gr ce une troite collaboration avecle d partement g omatique et le DTIC le SIG du CRC W permet au gestionnaire de crise de conna tre avec pr cision l environnement d un lieu quelconque du territoire en acc dant aux sources cartographiques pertinentes existantes en Wallonie Sur base de plusieurs fonds de plan disponibles le trac d une zone l cran va permettre de d terminer par exemple la population de la zone d y faire apparaitre coles maisons de repos b timents publics avec toutes leurs coordonn es et le nombre d occupants ou d y faire figurer les r seaux de communication les points de captage d eau les tablissements SEVESO avec leurs caract ristiques De la m me mani re le syst me identifie imm diatement les fonctionnaires comp tents pour la zone districts routiers ou de navigation zones de police limites de communes en sorte de pouvoir les contacter sans d lais Utilis dans de nombreuses proc dures ce SIG de crise int gre des donn es tr s sp cifiques comme les cartes d taill es des blocs et tranches de d lestages des r seaux lectriques auxquels la Wallonie sera peut tre confront e les hivers prochains Le syst me de diffusion d alerte du CRC W Alerter la population d
198. s hydrauliques wallonie be http mobilite wallonie be http transportscolaire wallonie be http aeroports wallonie be 79 80 M Jos RENARD Directeur g n ral a i AVENUE PRINCE DE LIEGE 15 B 5100 NAMUR JAMBES T L 081335131 FAX 081 33 51 22 DEPARTEMENT DES POLITIQUES EUROPEENNES ET DES ACCORDS INTERNATIONAUX DIRECTION DE LA COORDINATION ET DE LA CONCERTATION DIRECTION DE LA POLITIQUE AGRICOLE DIRECTION DE LA POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE DIRECTION DES PROGRAMMES EUROP ENS D PARTEMENT DE LA RURALIT ET DES COURS D EAU DIRECTION DU D VELOPPEMENT RURAL DIRECTION DE L AM NAGEMENT FONCIER RURAL DIRECTION DES ESPACES VERTS DIRECTION DES COURS D EAU NON NAVIGABLES ORGANIGRAMME DE LA DGO CELLULE AUDIT FEAGA FEADER D PARTEMENT DU D VELOPPEMENT DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DU D VELOPPEMENT DIRECTION DE LA QUALIT DIRECTION DE LA COMMUNICATION EN RESSOURCES NATURELLES EN ENVIRONNEMENT ET EN AGRICULTURE D PARTEMENT DE L TUDE DU MILIEU NATUREL ET AGRICOLE DIRECTION DE L ANALYSE CONOMIQUE AGRICOLE DIRECTION DE L TAT ENVIRONNEMENTAL DIRECTION DE LA NATURE ET DE L EAU DIRECTION DU MILIEU FORESTIER DIRECTION DE LA COORDINATION DES DONN ES DIRECTION GENERALE OPERATIONNELLE DE L AGRICULTURE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE L ENVIRONNEMENT D PARTEMENT DES AIDES DIRECTION DES DROITS ET DES QUOTAS DIRECTION DES SURFACES AGRICOLE
199. s moyens financiers convenus pour permettre la r alisation des diff rents missions confi es et de veiller au travers de l examen de diff rents tableaux de bord tablis et communiqu s par le Groupe TEC au respect des objectifs fix s que ce soit en termes d offre minimale de transport de qualit de transport de management de la mobilit ou encore de bonne gouvernance En collaboration avec la SRWT la DGO 2 met en place les outils lui permettant d assurer efficacement sa mission de contr le des obligations de service public impos es au Groupe TEC La mise en place de ces outils s est poursuivie durant le premier semestre 2014 Les missions d inspection men es sur les lignes TEC parla DGO 2 ont d bouch sur la r daction de 162 rapports en 2013 Ceux ci ont t transmis aux soci t s d exploitation concern es TEC Brabant wallon TEC Namur Luxembourg TEC Charleroi TEC Li ge Verviers et TEC Hainaut dans le but d am liorer de mani re continue la qualit des services offerts aux usagers Acces la profession et au march des services r guliers sp cialis s de transport La DGO 2 d livre les certificats d acc s la profession obligatoires pour tous les op rateurs de transport organisant des services r guliers lignes TEC ou des services r guliers sp cialis s ramassage scolaire transport d enfants vers les piscines les centres de sant les lieux de classes vertes etc dans des v hicules de plus de neuf pl
200. s petits m nages suite notamment au vieillissement de la population et aux s parations de couples est donc n cessaire d adapter l offre cette nouvelle demande Quant au nombre de logements cr er une pr occupation importante est que certaines communes o la demande est forte arrivent la saturation de leurs terrains b tir pour les besoins d habitation est donc n cessaire de permettre aux m nages d acc der un logement notamment les m nages les moins ais s ayant des difficult s trouver un logement abordable dans des zones forte pression fonci re et immobili re Des passerelles doivent d s lors se construire entre la politique du logement et les politiques d am nagement du territoire et d urbanisme entre autres sur le plan de la gestion fonci re Les aides publiques sont concentrer en priorit dans les noyaux d habitat et des op rations immobili res d envergure doivent permettre aux m nages revenus modestes de s ancrer pr s des services et des quipements collectifs Mais des passerelles doivent aussi se d velopper entre les politiques du Logement et celles de l Action sociale et de la Sant pour pr server les droits l mentaires de chacun Plusieurs programmes d aide des projets exp rimentaux de logements visant pr cis ment rencontrer les besoins nouveaux qui se profilent l avenir ont t financ s en 2010 et 2011 et la r alisation de ces projets s est activement
201. se 25 Jambes b timent remarquable sur le plan nerg tique l implantation de l cole d Administration publique Namur la passation des march s pour la r novation d un b timent Florenville et d un autre b timent Nismes Viroinval la finalisation des travaux d am nagement d un Espace Wallonie La Louvi re ainsi que des travaux d am nagement d un parking et d une aire d acc s pour pompiers Salzinnes Elle a continu de suivre l imposant chantier de r novation de la ferme abbatiale de Villers la Ville dossier FEDER finalisation tout d but 2014 ainsi que divers travaux au ch teau de La Hulpe Sur le plan nerg tique elle a poursuivi la mise en place d am liorations prioritaires d termin es la suite d audits ainsi que d quipements sp cifiques tels que l installation d une unit de cog n ration Arlon et une importante installation de panneaux photovoltaiques Namur b timent Cap Nord 125 kWc Atelier d architecture Th Lamotte sprl DGT 201 La direction de la Maintenance g re l entretien technique r gulier des immeubles administratifs r pond le cas ch ant aux demandes d adaptation et d am lioration fonctionnelle et assure la logistique de proximit nettoyage des locaux via des firmes ext rieures tri et vacuation des d chets gardiennage et d m nagements Les activit s men es par la direction en 2013 sont les suivantes e 18 march s d
202. ses 2012 a t garantie pour les th mes transversaux suivants la construction et suivi r gulier des indicateurs critiques de performance l laboration d une cartographie des transversalit s l amorce des m thodologies en gestion de projet en mod lisation et optimisation des processus en gestion des risques En outre le Service Support la Gestion a op rationnalis un projet pilote de d marche Qualit au sein du Secr tariat g n ral le Syst me Int gr de Management Ce syst me pens en fonction de diverses normes Qualit devrait permettre terme l obtention de plusieurs certifications pour le Secr tariat g n ral ISO 9001 2008 OHSAS EMAS Cette d marche a n cessit la cr ation d outils sp cifiques portail de structure documentaire mod les de documents proc dures Qualit propres au syst me LA DIRECTION DELA CHANCELLERIE ET DE LA TRADUCTION La direction fournit au GW le support logistique et l assistance n cessaire son bon fonctionnement assistance directe aux travaux du Gouvernement wallon traitement et exploitation technique des d cisions et actes l gislatifs r gionaux ainsi que la publication de ces derniers au Moniteur belge archivage des originaux toute traduction en langues n erlandaise et allemande La direction assure le suivi des d cisions du GW au niveau du SPW et des OIP r gionaux et leur fournit les copies des d cisions et des notes quiles concernent
203. ses filiales sp cialis es Par ailleurs ses services des conseillers d entreprises localis s Mons et Li ge aident les cr ateurs d entreprises et les entreprises existantes en phase de d veloppement tablir leurs tudes de march et plans financiers g re aussi un ensemble d incitants r gionaux en faveur des petites ou moyennes entreprises afin de favoriser les op rations contribuant de mani re d terminante au d veloppement de ces derni res Les aides octroy es peuvent tre qualifi es d aides immat rielles l inversedesaidesal investissement proposant une intervention financi re portant sur les infrastructures mat rielles d une soci t La vie d une entreprise en croissance est symbolis e par une spirale qui alterne phases de croissance et de questionnement Les entrepreneurs demandent alors soit une intervention financi re soit l avis d un expert ext rieur indiquant les meilleures strat gies suivre dans des domaines tels que la gestion des ressources humaines l e business ou la gestion financi re En 2013 le d partement notamment octroy des primes l emploi pour un montant de 21 074 250 00 des subsides l administrateur externe pour 60 000 00 des primes aux services de conseil pour 2 877 885 45 des primes la qualit pour 99 991 64 des primes pour le recours un RENTIC pour 1 596 916 60 et des primes e business pour 2 435 548 61 ALAS
204. t wallon dans la bonne fin de ceux ci Le d partement assiste les porteurs de projets notamment en mettant leur disposition du mat riel de communication L ann e 2013 a ainsi vu l inauguration de plusieurs projets dont par exemple le site Interlac Dison le boulevard urbain Marche en Famenne le parc d activit conomique de la sucrerie Frasnes lez Anvaing l office du tourisme de Tournai et la grange restaur e accueillant la confr rie du vignoble de l abbaye de Villers la Ville Comme en 2012 le d partement a t troitement associ au cabinet du Ministre Pr sident pour finaliser un exercice important de r allocation budg taire en identifiant pour les diff rents projets les compl ments n cessaires et les d sengagements financiers puis en adaptant les tableaux financiers en cons quence Animation Le d partement a organis le 25 octobre 2013 une matin e d changes d exp riences entre b n ficiaires portant sur les contr les des instances europ ennes Les Moulins de Beez ont fait salle comble puisque pr s de 150 porteurs de projets et repr sentants des administrations en charge du suivi de ces projets ont r pondu pr sents l invitation Afin d assurer une visibilit optimale de l intervention du FEDER en Wallonie le site consacr au FEDER a fait peau neuve en 2013 et a t rebaptis Waleurope Tout au long de l ann e les volutions relatives au lancement de la programmation 2014 2020 y
205. tacts avec des partenaires d j implant s en Wallonie ou des investisseurs potentiels mais aussi de favoriser les synergies avec des organismes ayant des missions comparables ou compl mentaires celles de la DGO 2 l instar des ann es pr c dentes la DGO 2 a particip en 2013 au salon Transport amp Logistics d Anvers ainsi qu la convention d affaires Riverdating by VNF Voies Navigables de France d di e au transport fluvial et intermodal Dans le domaine du tourisme fluvial elle est pr sente au salon Belgian Boat Show qui a lieu chaque ann e Gand Epinglons enfin la conf rence internationale Smart Rivers qui s est d roul e a Li ge et Maastricht du 23 au 27 septembre 2013 Organis sous l gide de l Association mondiale pour les Infrastructures de Transport maritimes et fluviales AIPCN cet v nement majeur dans le domaine des voies navigables des infrastructures portuaires et du transport fluvial a recu le soutien op rationnel de la DGO 2 Pr s de 400 experts venus du monde entier ont assist aux s ances pl ni res et techniques qui avaient pour cadre le Palais des Congr s de Li ge Des experts de la DGO 2 ont eu l opportunit d y pr senter les r sultats de plusieurs tudes Les participants ont aussi pu visiter certains chantiers embl matiques de la DGO 2 commele site de Trilogiport ou les nouvelles cluses de Lanaye et d Ivoz Ramet Des chantiers embl matiques Les travaux du Trilogipo
206. tant ainsi l ch ance europ enne Ces outils qui ont un degr de pr cision in gal au niveau europ en sont disponibles via le Portail Inondations http environnement wallonie be inondations ou le g oportail de la Wallonie LA CR ATION DE 1131 HA RESERVES NATURELLES Sites naturels prot g s en Wallonie 20 000 00 18 000 00 16 000 00 14 000 00 12 000 00 E sf RFI E sf ZHIB ha E sf RF ha B sf RNA ha E sf RND ha 10 000 00 Superficie ha 8 000 00 6 000 00 4 000 00 2 000 00 0 00 N 1965 1967 1969 1971 1973 1975 1977 1979 1981 1983 1985 1987 1989 1991 1993 1995 1997 1999 2003 2003 2005 2007 2009 1961 1963 2011 2013 Au cours de l ann e 2013 le d partement de la Nature et des For ts DNF pu enregistrer une augmentation significative de la superficie des r serves naturelles Tout statut confondu 1131 ha de r serves ont t cr s cela s ajoutent 1235 ha de r serves foresti res int grales tablies en application du code forestier Ces derni res viennent compl ter le dispositif de protection de la nature en Wallonie en tablissant un r seau d ilots de vieillissement dans les espaces bois s Cela porte 1 09 la superficie des zones prot g es en Wallonie De son c t la mise en uvre de Natura 2000 s est poursuivie L enqu te publique qui portait principale
207. tation de l espace personnel s agit d un site s curis disponible depuis Internet et qui permettra l agent de pouvoir visualiser son dossier personnel Dans la perspective du lancement d un nouvel appel d offres pour la fourniture d un logiciel de gestion administrative et p cuniaire du personnel la DAP a galement entam l criture des exigences formuler dans le cahier des charges La DAP a pr par en fonction des l ments dont elle disposait l arriv e du personnel transf r du SPF Finances au 1 janvier 2014 LA GESTION P CUNIAIRE Les t ches quotidiennes permettant d assurer un paiement correct et rapide de l ensemble des agents du SPW et des diverses cellules ont videmment monopolis comme chaque ann e toutes les quipes de la direction de la Gestion p cuniaire DGP En outre durant l ann e 2013 en application de certaines dispositions introduites par l arr t du GW du 18 octobre 2012 modifiant diverses dispositions relatives la Fonction publique wallonne la DGP a pris en charge la gestion p cuniaire de 1 030 dossiers de promotion et a proc d la valorisation d une quarantaine de doctorats En d cembre 2013 dans la perspective du transfert de 110 agents du SPF Finances du 1 janvier 2014 a commenc l encodage de toute une s rie d informations relatives leur situation personnelle La mise jour des unit s d tablissement au niveau de la Banque Carrefour des Entreprises et
208. te Toute reproduction totale ou partielle n cessite l autorisation de l diteur responsable 130 FSC SPW RAPPORT D ACTIVIT S 2013 131 901 S Appel gratuit WWW WALLONIE BE PW SECR TARIAT G N RAL Place Jos phine Charlotte 2 Service public 5100 NAMUR de Wallonie
209. tion sur base d une erreur au niveau du projet La r forme de la tutelle a aussi touch les CPAS dans le cadre de la loi du 8 juillet 1976 organique des centres publics d action sociale Toutes les dispositions relatives la tutelle ont t regroup es dans un seul chapitre Le principe de la r forme consiste en une seule autorit de tutelle par acte et une seule autorit de tutelle par type de tutelle Cette r forme est le reflet du principe de confiance d une concertation accrue entre la commune et le CPAS et d une vidente simplification administrative est le fruit de deux tudes qui ont permis d analyser la mise en oeuvre des r gles de tutelle qui taient jusqu il y a peu applicables aux CPAS un Standart Cost Model SCM et un audit consacr au fonctionnement de l ancien article 111 de la loi organique ACTION SOCIALE ET SANT La r forme de l inspection En 2009 la Cour des Comptes a r alis un audit sur l inspection mettant en vidence ses faiblesses en termes de contenu de l inspection de strat gie et de planification de support hi rarchique et de leadership Depuis 2009 le plan op rationnel de la DGO 5 a t adopt mettant en ceuvre la modernisation de l administration et en vidence la n cessit de r former l inspection avec pour priorit celle des tablissements de soins ou h pitaux et des maisons de repos L autorit politique a marqu sa volont de soutenir la r forme de
210. tions ne relevant pas de leur comp tence De leur c t les trois directions r gionales en charge de l inspection conomique assurent le contr le aupr s des b n ficiaires d aides r gionales et europ ennes du respect de l ensemble de leurs obligations l gales et contractuelles en la mati re Ces missions sont assur es sur le terrain par des enqu teurs itin rants Elles peuvent avoir lieu soit avant soit apr s le versement des aides r gionales et se poursuivre ventuellement durant une p riode pr d termin e Les contr les sont assur s par une quipe d conomistes et de comptables quiles effectuent tout moment soit sur demande des instances habilit es soit d initiative et r guli rement en collaboration avec la cellule Audit Fonds europ ens de l Inspection des Finances avec la cellule Audit du Secr tariat g n ral et avec la cellule OLAF pour les dossiers avec intervention europ enne ainsi qu avec les services du SPF Finances En 2013 ces trois directions r gionales de l Inspection conomique ont trait ensemble pas moins de 3 042 dossiers sans compter les dossiers suivis de facon continue Lx Ge Wi za Sq Y 8 La fm COORDONN ES DE CONTACT Direction g n rale op rationnelle de l conomie de l Emploi et de la Recherche DGO 6 M Yves SENNEN Directeur g n ral f f ADRESSE DE CONTACT Place de la Wallonie 1 5100 Namur Jambes
211. tions publiques Elle repr sente la DGT 2 au sein des diff rents groupes de communication organis s par le d partement de la Communication du Secr tariat g n ral La cellule March s publics est en charge du contr le des march s publics pass s par les services de la DGT 2 Elle apporte assistance et conseils aux diff rents services en mati re de cahier sp cial des charges d obligations d information dans le cadre d un march public etc Elle repr sente la direction g n rale au sein de la Commission wallonne des march s publics Elle assure une veille l gislative et jurispruden tielle relative aux comp tences relevant de la DGT 2 Elle est en outre habilit e remettre des avis juridiques Dans le cadre de ses missions la responsable assure le secr tariat du Comit de direction lequel s est r uni 54 reprises en 2013 et participe divers groupes de travail transversaux march s publics de services juridiques avocats SPW agence de voyage achats durables comit ditorial Juriwal comit strat gique du projet Simppa etc La cellule Ressources humaines collabore avec le Secr tariat g n ral pour optimaliser la gestion des ressources humaines ce qui implique l analyse et le suivi de tous les dossiers relatifs l ex cution du plan de personnel recrutements engagements etc la r partition des t ches l application de la charte de bonne conduite adminis
212. tiques de divertissement AAD 25 685 millions Automates 19 932 millions D chets 23 378 millions Eaux 61 293 millions Sites d activit conomique d saffect s SAED 0 6 million Part de chaque imp t dans le budget des recettes fiscales 2013 0 23 m nedevance t l vision m jeux e paris m AAD 8 Automates m D chets m Eaux E SAID La redevance t l vision repr sentait 43 96 du budget des recettes g r es et ou percues par la DGO 7 Elle est suivie en degr d importance par les taxes sur les eaux tablies par la DGO 3 et la taxe sur les appareils automatiques de divertissement AAD qui repr sentent respectivement 23 96 et 10 96 du total Les taxes sur les d chets tablies par l Office wallon des d chets les taxes sur les automates et sur les jeux et paris suivent de pr s avec une part de 9 7 96 La taxe sur les sites d activit conomique d saffect s SAED ne repr sente que 0 23 96 du total s agissant davantage d une taxe de dissuasion que d une recette fiscale recherch e Les recettes fiscales 2013 ont t stables voire en l g re augmentation par rapport l ann e 2012 123 LE D PARTEMENT DE LA FISCALITE SPECIFIQUE Le d partement de la Fiscalit sp cifique assure le juste tablissement de la redevance t l vision visant la d tention d appareils de t l vision en Wallonie g re galement le contentieux en la mati re et
213. trative la formation la pr vention et la gestion des conflits Elle assure en ces mati res information conseil et assistance tant envers la hi rarchie qu envers les correspondants RH et tous les membres du personnel de la DGT 2 Ele participe aux s ances du Comit de concertation de base CCB et aux r unions organis es parle r seau RH Elle assiste galement aux jurys de recrutement et de promotion La cellule Logistique assume les t ches de secr tariat du directeur g n ral et du directeur de la DFA en ce compris les fonctions d indicateur d huissier d agent d accueil de chauffeur et d intendance 43 LE D PARTEMENT DU BUDGET Le d partement du Budget est au c ur de la politique budg taire de la Wallonie L tendue de ses missions va de l analyse transversale des pr visions budg taires des d partements administratifs et minist riels au pingler en 2013 le d veloppement des exploitations statistiques des donn es issues du Facturier outil essentiel dans la gestion et le traitement des factures valuation statistique du d lai de paiement contr le de l ex cution des budgets vot s par le R partition des moyens budg taires en moyens de paiement l gislateur soit plus de 7 8 milliards Quatre directions Budget Contr le budg taire tudes Programmation et Assistance le composent soit quelque 45 collaborateurs Ses repr sentants participent en outre
214. ture num rique et participer la qualit de vie des a n s domicile et au sein des tablissements qui les accueillent et les h bergent Pour en savoir plus sur les EPN consultez le blog des EPN www epn ressources be La r forme de la tutelle Depuis la r forme de la tutelle entr e en vigueur le 1 juin 2013 les Communes peuvent introduire leurs d cisions soumises la tutelle sp ciale d approbation via l application e tutelle Dans ce cadre pr s de 300 dossiers ressources humaines ont t instruits durant cette ann e 2013 La r forme a aussi des implications au niveau des march s publics En effet cette r forme a supprim la transmission obligatoire des march s publics au stade de la fixation des conditions et du choix du mode de passation du march ce qui en principe r duira le nombre de dossiers trait s annuellement par la direction des March s publics 5 000 dossiers en 2013 Parall element cet all gement de la tutelle les pouvoirs locaux qui le souhaitent peuvent demander un avis pr alable sur toutes leurs questions march s publics la direction du Patrimoine et des March s publics Ces demandes d avis doivent conform ment au prescrit de la circulaire du 27 mai 2013 relative aux pi ces justificatives tre formul es pr alablement la prise de la d cision concern e Le recours cette proc dure d avis diminuera ainsi les risques d une annulation au stade de l attribu
215. ue a travaill en 2013 Le d partement de l nergie et du B timent durable a galement men en 2013 des actions allant dans le sens du deuxi me axe de la DPR aider les entreprises r duire leur consommation d nergie et s ancrer dans les m tiers d avenir Les Accords de branche de premi re g n ration sign s entre la Wallonie et 16 f d rations sectorielles 177 entreprises pour 219 sites fin 2011 ont engrang d excellents r sultats en termes d efficience nerg tique et de r duction des missions de CO Pendant plus de dix ans les entreprises engag es ont largement d pass les objectifs fix s Elles auront l opportunit de remettre le couvert puisque ces accords ont t reconduits pour la p riode 2013 2020 Les aides la r alisation d audits nerg tiques et la mise en place d une comptabilit nerg tique octroy es dans le cadre d AMURE am lioration de l utilisation rationnelle de l nergie ont t maintenues Le facilitateur industrie a pour sa part continu ses actions de sensibilisation et d accompagnement des entreprises dans leurs d marches en vue d conomiser l nergie l ann e 2013 a t particuli rement fructueuse en mati re de soutien la recherche et d veloppement et l innovation Un appel projets dans le cadre du programme mobilisateur de recherche ENERGINSERE sur le stockage en nergie lectrique a t lanc Il s inscrit dans une probl
216. urables Ensuite un groupe d conomes pilotes issus de l ensemble du SPW a t constitu en 2013 afin de tester ces produits en 2014 Les r sultats de ce test devraient permettre de s lectionner une liste de fournitures durables valid es en interne d tablir un catalogue de ces fournitures et de recommander leurs achats Du point de vue de la mobilit pour les d placements de service plusieurs actions ont t men es par la DGO 2 en collaboration avec le d partement des cartes de bus ont t mises disposition des agents de Namur et Jambes l exp rience pilote de mise disposition de v los pour les agents de Namur a t tendue aux services d centralis s du SPW et plusieurs formations v lo dans le trafic urbain ont t organis es avec Pro V lo Le SPW a galement particip activement au projet Tous v lo actifs dans le cadre du plan Wallonie cyclable et a obtenu deux toiles dans le cadre d une labellisation des actions Dans le domaine du tri des d chets un plan d am lioration de la pr vention et un plan de gestion globale des d chets ont t labor s Le plan de pr vention pr voit des actions en termes de politique d achat du SPW et de sensibilisation des agents Le plan de gestion globale vise pr venir ou diminuer la production des d chets r sultant des activit s du SPW en optimisant les op rations de tri et en privil giant les meilleures fili res de traitement C est dan
217. ux d engagement standards La cellule bureautique de la DEX a ax ses activit s sur l inventorisation des biens PC et logiciels ainsi que sur la distribution automatis e des applications sur les postes de travail Un effort particulier a t port sur la mise en place d un syst me de contr le des licences install es et utilis es La cellule a aussi contribu la mise en exploitation des solutions de messagerie calendrier et en assure l exploitation courante Enfin la cellule a pr par l arriv e du nouveau syst me d exploitation Windows 7 en participant activement aux tests applicatifs et la r alisation des images qui seront d ploy es sur le nouveau mat riel achet En ce qui concerne l h bergement des applications et des bases de donn es le service de garde qui garantit une disponibilit 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 a t tendu d autres applications critiques Espace personnel et m t o routes D autre part la DEX a assur une haute disponibilit sur des applications critiques destin es l information des citoyens trafiroutes wallonie be et wallonie be Le chantier de r novation des r seaux locaux pr sents sur environ 350 sites du SPW s est poursuivi en 2013 avec la mise neuf de 10 des plus importants d entre eux Par ailleurs un total de 37 salles de r union de 21 b timents importants par le nombre de leurs occupants sont pr sent quip es de la technologie sans fil
218. vec le d partement de la Communication l organisation administrative et logistique du 1 Congr s interdisciplinaire du d veloppement durable qui s est tenu Namur les 31 janvier et f vrier 2013 Mise en uvre et coordination des Alliances RENE Emploi Environnement COR GL POUR La premi re AEE centr e sur la construction et P Ne ER la r novation durable a pour objectif de faire de l environnement une source d opportunit s conomiques et de cr ation d emplois et ce arm travers un plan pluriannuel Les principales actions men es dans ce cadre par le d partement en 2013 sont les suivantes la mise en place d un portail de la construction durable destination des professionnels du secteur de la construction en collaboration avec l Administration de Bruxelles Capitale le pilotage d un appel projets mat riaux durables visant favoriser le d veloppement de fili res de mat riaux durables de construction la coordination des travaux relatifs l insertion et l ex cution de clauses sociales dans les march s de travaux en partenariat avec des acteurs publics et priv s la publication d une brochure permettant via 10 fiches th matiques de conseiller les particuliers pour la r novation et la r duction de la consommation en nergie de leur habitation la coordination des travaux d valuation interm diaire de la 1 AEE qui ont d but fin 2013 en vue de
219. vrement et la perception des recettes autres que les recettes fiscales savoir e le remboursement des d g ts occasionn s aux r seaux routier et hydraulique e les redevances li es aux autorisations de voiries sur le domaine de la Wallonie e la vente du gibier tir sur les chasses de la Couronne e la vente des bois et chablis e le produit des biens immobiliers acquis dans le cadre de la politique fonci re agricole e le produit de la revente de sites industriels d saffect s e la location de b timents industriels en application des lois d expansion industrielle e les recettes provenant des d livrances des permis de chasse et de p che e le remboursement des allocations de loyer ind ment percues e le remboursement de primes ind ment percues en mati re de logement La direction des Recettes est galement charg e de la comptabilisation budg taire de l ensemble des recettes de la Wallonie universalit et unicit du budget en ce compris les recettes transf r es en provenance de l tat f d ral La direction du Contentieux de la tr sorerie assure via le service du contentieux la conservation ou le paiement des d penses ordonnanc es charge du budget g n ral des d penses dans tous les cas le paiement au b n ficiaire se heurte un obstacle juridique et ou la Wallonie est tiers d biteur saisie arr t conservatoire ou ex cution cession gage liquidation
220. wallon a d cid la cr ation du service g ologique au sein de la DRIGM Le Fonds Fost dit non aux d chets d emballage De son c t la direction des Infrastructures de Gestion des D chets DIGD a entres autres activit s g r le Fonds Fost 50 cents par habitant soit 1 9 million au total Celui ci est d di principalement la pr vention des d chets d emballage et la propret En 2013 une partie de ce fonds a t 87 r partie entre divers projets pr sent s par des associations des communes et des ASBL La DIGD a voulu via un vade mecum am lior et un jury qualifi favoriser un acc s quitable aux subsides r partis en deux campagnes Emball agir www emballagir be et la Poubelle www alapoubelle be Pour Emball agir 33 dossiers principalement introduits par des organisateurs d v nements ont t retenus sur les 52 candidats subsides totaux 571 553 Les 27 projets poubelle choisis visent plus sp cifiquement les actions originales de r duction des d chets sauvages subsides totaux de 427 867 DE NOUVEAUX OUTILS POUR PORTER LE BIO En vingt ans le nombre de producteurs bio wallons est pass d une cinquantaine plus de mille V ritable moteur du secteur agricole wallon la filiere requiert des moyens consacrer la recherche et au d veloppement Port s par le d partement du D veloppement DD et mis en place en 2013 les projets
221. x b timents cl s et badges d acc s et repr sentation des int r ts de la Wallonie au sein de copropri t s elle contribue la programmation des besoins g n raux ainsi qu la concr tisation de r ponses ad quates en termes d acquisition de vente de prise en location de programme de regroupement et d adaptation de b timents Pour 2013 les d penses couvrant les mati res trait es par le service repr sentent un budget total de 45 783 000 00 54 En mati re de gestion des fournitures et services on pinglera la conclusion de nouveaux march s pour les b timents qui sont la propri t de la Wallonie portant sur la consultance en mati re nerg tique la fourniture de gaz la couverture assurance RC Incendie ainsi quela contribution du service la mise en place du nouveau march de fourniture d lectricit La direction des tudes des March s et des Travaux patrimoniaux a pour mission de r pondre aux diff rents besoins des implantations administratives de la Wallonie ce titre elle passe les march s de services en architecture de travaux construction ou r novation et accessoirement de fournitures par exemple le placement de panneaux photovoltaiques sur un b timent Elle travaille aussi l am lioration des performances nerg tiques des b timents sous sa gestion pingler plus particuli rement en 2013 le d but des travaux pour le b timent situ avenue Boves
222. x de Hasard afin d am liorer la perception et le contr le des jeux et paris ainsi que des appareils automatiques de divertissement Pour ce qui est des SAED 347 sites ont t visit s en 2013 dont 59 taient susceptibles de taxation En mati re d co bonus malus le syst me a t revu en 2013 avec l octroi d un bonus pouvant aller de 250 2 500 pour une mission de CO inf rieur 71 g km et l imposition d un malus partir d une mission de 146 g km L objectif du syst me est d encourager l acquisition de v hicules propres par l octroi d un bonus et de dissuader la mise en circulation de v hicules polluants par imposition d un malus Comme le d partement de la Fiscalit sp cifique ce d partement comprend une direction du contentieux qui g re le contentieux administratif et judiciaire relatif aux taxes g r es parle d partement ainsi que certains r gimes sp ciaux en mati re de droits d enregistrement de donation et de succession ce sujet la transmission d entreprise est un r gime de taxation qui tablit que toute transmission d entreprise y compris agricole titre gratuit par voie de donation ou par voie de succession est soumise un taux de 0 96 de droits de succession ou d enregistrement L objectif d une telle mesure est d viter des situations absurdes qui verraient des soci t s p ricliter en raison du co t fiscal de la transmission elle m me Ceci concourt galement pr venir la

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