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COMMUNE DE SEES - Préfecture de l`Orne

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1. Par d cision du 20 d cembre 2012 suite la demande de Monsieur le Pr fet de l Orne Madame la Pr sidente du Tribunal Administratif de CAEN a d sign M G rard GESLIN en qualit de commissaire enqu teur titulaire et Mme Val rie STOLL en qualit de suppl ante pour conduire l enqu te publique relative la demande d autorisation d exploiter une plateforme de compostage de d chets verts et une plateforme Bois Energie situ es sur la commune de S es au lieu dit Zone industrielle des Fourneaux par la Soci t S E P Valorisation 2 1 ARRETE PREFECTORAL Un arr t pr fectoral en date du 13 f vrier 2013 a t pris par Monsieur le Pr fet de l Orne annexe n 1 Cet arr t a fix notamment la dur e des enqu tes publiques 32 jours cons cutifs du 4 mars au 4 avril 2013 2 2 TEXTES REGLEMENTAIRES DE L ENQUETE Proc dure installations class es e articles L 511 1 L 512 20 L 515 1 L 515 14 L 516 1 du code de l environnement e articles R 512 2 R 512 46 R 512 67 R 515 1 R 515 31 R 515 37 R 515 57 R 517 1 R 517 10 du code de l environnement e arr t s du 22 avril 2008 et 27 juillet 2012 fixant les r gles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage soumises autorisation en application du titre du livre V du code de l environnement Enqu te publique Article R 123 1 R 123 19 du code de l environnement 2 3 PUBLICITE DE L ENQUETE ET INFORMATI
2. bertrand penlae sep environnement com 1 2 CAPACITES TECHNIQUES ET FINANCIERES 1 2 1 CAPACITES TECHNIQUES L entreprise SEP VALORISATION a le mat riel suivant pour ses activit s de compostage et Bois Energie Crible 3 fractions toiles SM 1200 Doppstadt 1 chargeur L 70 F Volvo quip e GHD Pelle sur pneu Doosan cabine sur lev e bras quip d une griffe 5 doigts La soci t BIOCOMBUSTIBLE met disposition de SEP VALORISATION pour ces m mes activit s le mat riel suivant 1 broyeur rapide affinage AK 530 Doppstadt 1 broyeur rondins DH Doppstadt 1 2 2 MOYENS HUMAINS L exploitation du site est assur e par 16 personnes d pendant de SEP VALORISATION 1 2 3 CAPACITES FINANCIERES Attestations de C I C OUEST ORNE ENTREPRISE et du CREDIT AGRICOLE NORMANDIE ENTREPRISE voir annexe 2 la page 45 du dossier administratif soumis l enqu te Commentaires du commissaire enqu teur Les seules attestations bancaires sont insuffisantes pour appr cier la capacit financi re de l entreprise La remarque a t faite M Penla g rant de la S E P Valorisation lors de notre entretien du 22 f vrier dernier Il s est engag fournir un extrait du bilan comptable des ann es 2009 2010 et 2011 Par messagerie ces extraits me sont parvenus le jour m me voir les r sultats des trois derniers exercices dans le tableau ci dessous RESULTATS 2009 2010 2011 Total bilan HT 1919 917 2 489 408
3. S es M R gis ROLAND Les Longschamps 61370 ST PIERRE DES LOGES R n 8 Travaillant sur la ville de S es depuis de longues ann es j ai remarqu les odeurs naus abondes lors des vents d Ouest qui restent tr s d sagr ables Egalement j ai remarqu que les andains sont plus hauts que la hauteur pr vue 3 m M et Mme Pierre RIVIERE Le Pont G douin BP 35 61500 SEES R n 9 M Le Pr fet de R gion dont l environnement doit se traduire par un jardin municipal de chaque c t de sa pr fecture me semble bien loign et incomp tent pour porter un jugement sur cette monstruosit naus abonde qui pollue la vie des riverains et de S es v ch de l Orne et ville touristique Cette filiale de G D E a achet il y a 6 ans un terrain de 33 ha 65 a Vingt Hanaps 3 000 l ha qui convenait pour le d chargement et le traitement de leurs ordures vertes or ils ont revendu en septembre 2012 cette parcelle 7 500 l ha c est dire de 5 ans apr s pour viter les plus values travail de voyous Ils remettent aux plaignants les plus illisible du bl empoisonn avec une bouteille d ap ritif Ils ont vit de me proposer ce genre de march Rien n est respect dans les hauteurs et arrosage du bois broyer et des andains Je suis ici depuis 1973 j tais le primo arrivant et la parcelle o ils s vissent tait un herbage avec des bovins Comme le droit me le permet je suis en droit de contester ce
4. tude se trouve dans la plaine de SEES paysage mixte de bocage et de plaine qui offre des paysages ouverts entour s de for ts ll se trouve dans une zone industrielle entre deux routes PAYSAGE d partementales Il s agit par cons quent d un paysage peu sensible Le site est bord d une haie au Nord et au Sud ainsi qu en bordure du chemin d exploitation Un merlon a galement t mis en place entre la zone de culture et la plateforme Bois Energie MILIEU NATUREL 1 Patrimoine naturel Le site n est inclus dans aucune Z N LE F F Il n y a pas de protection r glementaire r gionale ou d partementale sur la commune de SEES La commune de SEES appartient au Parc R gional Normandie Maine Le site d tude se trouve proximit du Site d Int r t Communautaire Haute Vall e de l Orne et affluents qui concerne 90 communes dont S es Compte tenu de la nature du projet de l absence d habitats ou d esp ces d int r t communautaire les activit s de l entreprise ne sont pas de nature remettre en cause l int grit physique du site Natura 2000 FAUNE ET FLORE Aucun terrassement ni nouvelle construction n est pr vu dans le projet La poursuite des activit s n aura pas d impact direct ou indirect Le site d tude est travers par un aqueduc et une voie antique situ s l Est et au Sud du site Ces secteurs ne seront pas modifi s car aucun travaux de terrassement n est pr vu PATRIMOINE no ne Le site
5. 2 133 240 Chiffre d affaire HT 2 950 081 3 407 029 3 635 250 R sultat comptable HT 511 220 534 637 523 779 1 3 PRESENTATION DU SITE 1 3 1 LOCALISATION L entreprise se trouve dans une zone vocation d activit s conomiques depuis f vrier 2005 d pendant du territoire de la commune de SEES au lieu dit Les Fourneaux Elle est contigu au Sud la d chetterie de la Communaut de Communes Au Nord Est elle est bord e par d autres activit s d pendant de la zone d activit s l Est et au Sud Ouest par des parcelles agricoles La commune de SEES est rattach e la Communaut de Communes des Sources de l Orne depuis le 1 janvier 2013 Elle se situe 20 kilom tres au Nord d Alen on Son territoire est rattach au Parc R gional Normandie Maine Voir plan de situation page suivante Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 3 aW 7 p am N7 l en TS 2 2 s alorisation w C X N re Le territoire de la commune de SEES s tend une surface de 4031 hectares pour une population de 4515 habitants 2009 i 2 ET 1 3 2 SITUATION CADASTRALE La demande d exploitation p
6. Sup rieure ou gale 10 t j 2 km Quantit de d chets trait s 50 t j Extension de la capacit de traitement Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 8 su Da ni th d ri Rayon Capacit Nomenclature D signation de l activit R gime 9 y p Observation affichage envisag e 1430 Liquides inflammables d finition Stockage en r servoirs Cuve gasoil de manufactur s de liquides 6 m en double inflammables enveloppe soit PSE oi PR Pas de modification 2 Stockage de liquides inflammables 1 2 m de 1432 er NC Bo par rapport la vis s la rubrique 1430 capacit p Lous situation actuelle b repr sentant une capacit quivalente 6 quivalente totale sup rieure 10 m x coefficient m mais inf rieure ou gale 100 m 1 5 Stations services installations ouvertes ou non au public o les Ii a Quantit carburants sont transf r s de re A distribu e r servoirs de stockage fixes dans les 3 EREE p a ne lt entre 100 m et Pas de modification r servoirs carburant de v hicules 3 1435 i NC 200 m an soit par rapport la mote
7. d tude se trouve en dehors de tout p rim tre de protection de monument historique de CULTUREL Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager et de tout p rim tre de protection de monument historique RISQUES Il n y a pas d tablissement class SEVESO 2 sur SEES et les communes voisines Le site n est pas INDUSTRIELLES situ dans une zone de dangers TRANSPORT La commune de SEES est desservie par les autoroutes A28 et A88 les routes d partementales n 908 438 958 ainsi que d autres routes d partementales et communales L entr e et la sortie du site ne posent pas de probl me particulier Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 10 Le projet peut pr senter des risques pour la s curit du public qui sont principalement li s la pr sence de bois et de produits transform s potentiellement inflammables l utilisation des machines engins de manutention broyeurs SECURITE la circulation des camions Les stockages ne d passeront pas 3 m tres de haut et seront situ s plus de 3 m tres des bordures de l installation L ensemble du site est cl tur et interdit au public Les bruits
8. et des emplacements disponibles ainsi les bois ont chang trois fois de localisation ces deux derni res ann es critique de l tude d impact paragraphe 5 2 1 description des sources de contamination d j pr sentes En 5 2 1 1 Qualit de l air page 145 le p titionnaire voque aircom ayant mesur la qualit de l air sur S es la jugeant bonne SEP VALORISATION aurait d proc der une batterie de test de dispersion des poussi res et des odeurs plut t que de compiler les donn es disponibles et d en faire un argumentaire En 5 2 3 description g ographique des lieux et milieux d exposition de la population Le p titionnaire persiste valider le caract re industriel de la zone mais pour la premi re fois il voque d autres activit s de la zone industrielle reconnaissant de facto que ces activit s ne sont pas de caract re industriel Il commet l m me approximation sur le nombre d habitations riveraines et dans un p rim tre proche 3 5 2 QUESTIONS DU COMMISSAIRE ENQUETEUR THEMES QUESTIONS Avant le rejet dans le milieu naturel des eaux issues des bassins tanches provenant des plateformes de compostage et bois nergie il est pr vu de cr er un bassin d infiltration Pr alablement sa r alisation une tude de sol para t n cessaire pour conna tre la capacit d infiltration des sols voir l avis d un hydrog ologue L tude d impact n en fait pas tat cette tude est elle ou va t elle
9. projet pour mon bien tre en bon p re de famille c est un droit de la constitution fran aise Ne laissons pas cette affaire finir par un drame car je ne supporterais jamais de vivre le reste de mes jours en vivant un tel calvaire M Jean Luc TRIQUENAUX Maison Berry 61500 SEES R n 10 Propri taire depuis 35 ans 50 m du site A l poque c tait doux et agr able de vivre en cette maison mais aujourd hui depuis l arriv e de la S E P fermons les fen tres et laissons les volets clos car poussi res et mauvaises odeurs envahissent notre quotidien sans compter le lot d insectes qui l t foisonne et nos amis les rats Fini le bon air dans la maison Fini les repas l ext rieur De quel droit pouvez vous nous emmerder sans tre inqui t Je serais curieux de votre r action si une telle chose se produisait pr s de chez vous Je sais que vous avez soudoy certain des propri taires avoisinants ce qui veut dire que votre activit est loin d tre au top Vous avez de ce fait en plus d valoris nos habitations Alors au niveau des soudoiements r glez notre taxe d habitation et notre imp t foncier Mais j ai une meilleure id e foutez le camp Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour l
10. proviennent des engins broyeur engins et camions de transport L tude acoustique montre que les valeurs r glement es sont respect es VIBRATIONS L activit ne g n re pas de vibration Les d chets sont minimes il s agit des d chets encombrants emballage des d chets industriels banals provenant des bureaux DECHETS des boues de curage des bassins d eaux pluviales des d chets verts de l entretien des espaces verts Ces d chets sont stock s sur le site dans des conteneurs adapt s et collect s r guli rement par des entreprises sp cialis es Les zones de stockage les pistes de circulation et les parkings sont clair s permettant le d placement des pi tons ou des v hicules en toute s curit qualit de l air Les ventuelles pollutions peuvent provenir des origines suivantes les gaz d chappement mis par les engins et les camions les poussi res soulev es par le passage des engins des camions et le broyage du bois rejet liquide SANTE HUMAINE il n y a aucun rejet d eau contamin e dans le milieu naturel Les seuls risques peuvent venir de fuite accidentelle d hydrocarbures provenant des engins bruit Les niveaux sonores mis par l activit sont largement inf rieurs aux niveaux sonores pouvant entra ner des risques pour la sant BRUIT ECLAIRAGE En cas de cessation d activit s deux cas de figure peuvent tre envisag s la reconversion partielle ou
11. totale du site avec r utilisation des b timents pour une nouvelle REAMENAGEMENT activit DU SITE la d construction compl te du site pour une reconversion agricole Dans les deux cas des pr conisations feraient l objet d une analyse d taill e dans le m moire que l exploitant enverrait au Pr fet dans le cadre de la cessation d activit Commentaires du commissaire enqu teur Les nuisances pour ce type d activit concernent essentiellement celles li es aux odeurs aux poussi res au bruit au risque d incendie mais galement la circulation des camions assurant le transport des produits bruts et transform s Un s parateur d hydrocarbure en amont du bassin bois nergie a t r alis positionn en aval du bassin sur le plan annex au dossier Concernant l impact sur les eaux superficielles pr alablement la mise en place d un bassin d infiltration r cup rant les eaux des bassins issues des plateformes compostage et bois nergie une tude semble n cessaire pour connaitre la capacit d infiltration du sol De m me l avis d un hydrog ologue pourrait tre utile 1 10 ETUDE DE DANGERS pi ce 4 du dossier d enqu te Objet Identifier les risques internes et externes au site par les installations et activit s en cas de dysfonctionnement ou d accident Elle d veloppe les points suivants e Le r sum non technique de l tude de dangers p rim tre de l tude de dangers descriptio
12. 011 il est rattach au zonage Ux class urbaine vocation d activit s conomiques 1 4 AUTORISATION D EXPLOITATION EN COURS LA SEP VALORISATION actuellement sous le r gime d claration des installations class es a re u deux r c piss s d livr s le 13 novembre 2003 et 8 ao t 2007 Puis un arr t de prescriptions sp cifiques compl mentaires a t pris le 6 avril 2010 Le passage au r gime d autorisation r sulte des demandes d extension de r gularisation et du b n fice de l ant riorit pour certaines installations compte tenu de la modification de la nomenclature des installations class es Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 5 1 5 OBJET DE L ENQUETE PUBLIQUE Par courrier en date du 6 mars 2012 M Bertrand PENLA g rant de la soci t SEP VALORISATION a sollicit M le Pr fet de l Orne pour obtenir l autorisation d exploiter une plateforme de compostage et de bois nergie au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement rubriques 1532 2170 2260 2714 2780 Suite l augmentation de la capacit de stockage sup rieure 20 000 m de traitement du bois et la modification de certaines rubr
13. DEPARTEMENT DE L ORNE COMMUNE DE SEES ENQUETE PUBLIQUE du 4 mars au 4 avril 2013 Au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement I C P E DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER une plateforme de compostage de d chets verts une plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation RAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUETEUR Enqu te publique Dossier E12000266 14 Commissaire enqu teur G rard GESLIN 1 AVRIL 2013 SOMMAIRE GENERAL 1 PRESENTATION DE L ENQUETE P 3 1 1 IDENTITE DU DEMANDEUR P 3 1 2 CAPACITES TECHNIQUES ET FINANCIERES P 3 1 2 1 CAPACITES TECHNIQUES P 3 1 2 2 MOYENS HUMAINS P 3 1 2 3 CAPACITES FINANCIERES P 3 1 3 PRESENTATION DU SITE P 3 1 3 1 LOCALISATION P 3 1 3 2 SITUATION CADASTRALE P 4 1 3 3 RESEAUX P 5 1 3 4 URBANISME P 5 1 4 AUTORISATION D EXPLOITATION EN COURS P 5 1 5 OBJET DE L ENQUETE PUBLIQUE P 6 1 6 PRESENTATION DES ACTIVITES P 6 1 6 1 ACCES DU SITE P 6 1 6 2 DESCRIPTION DES ACTIVITES P 6 1 6 2 1 ACTIVITE COMPOSTAGE P 6 1 6 2 2 ACTIVITE BOIS ENERGIE P 6 1 7 PLAN GENERAL DES INSTALLATIONS P 7 1 8 LISTE DES RUBRIQUES DE LA NOMENCLATURE DES INSTALLATIONS CLASSEES P 8 1 9 ETUDE D IMPACT P 9 1 10 ETUDE DE DANGERS P 11 1 11 ETUDE D HYGIENE ET DE SECURITE P 12 2 MODALITES ET TEXTES REGLEMENTAIRES DE L ENQUETE P 12 2 1 ARRETE PREFECTORAL P 12 2 2 TEXTES REGLEMENTAIRES DE L ENQUETE P 12 2 3 PUBLICITE DE L ENQUETE ET INFORMATION DU PUBLIC P 12 2 3 1
14. ES a permis de d montrer aux agriculteurs de la r gion de SEES l int r t technique et conomique de l utilisation de ce compost 1 6 2 2 ACTIVITE BOIS ENERGIE La fili re Bois Energie de SEP VALORISATION re oit quatre types de produits bruts du bois rondins provenant de l exploitation foresti re du bois classe A provenant du tri des d chets du bois classe A B m lange classe A et B provenant de d ch teries et de chantiers de d molition la fraction interm diaire bois de l activit compostage r alis e sur le site de SEES Les quantit s re ues en tonne par an sont les suivantes Nature Type Volume ou quantit Bois classe A B Bois en m lange de d ch teries ou de 2 000 T an chantiers de d molition Bois classe A Palettes chutes de bois de scierie 10 000 T an Bois rondins Exploitation foresti re 20 000 T an Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 6 Le bois brut est stock sur une aire r serv e cet effet sur la plateforme Bois Energie sous forme d lot de taille variable selon la cat gorie de produits sur une hauteur maximale de 3 m espac de 5 m de large afin de r duire les risques de propagat
15. ON DU PUBLIC 2 3 1 Par voie de presse Conform ment l article 4 de l arr t pr fectoral l avis d enqu te a t publi dans les journaux suivants Ouest France les 12 f vrier et 7 mars 2013 annexe n 2 Le Journal de l Orne les 14 f vrier et 7 mars 2013 annexe n 3 2 3 2 Par affichage de l avis d enqu te L avis d ouverture de l enqu te publique annexe n 4 a t affich aux endroits suivants A l initiative des mairies e la mairie de S es sur plusieurs panneaux ext rieurs Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 12 e la mairie d Aunou sur Orne sur un panneau ext rieur e la mairie de Neauphe sous Essai sur un panneau ext rieur e la mairie de La Chapelle Pr s S es sur un panneau ext rieur e la mairie du Bouillon sur un panneau ext rieur e la mairie de Belfonds sur un panneau ext rieur e la mairie de Mac sur un panneau ext rieur A l initiative du ma tre d ouvrage e l intersection de la route d partementale n 908 et de la voie communale n 14 desservant la zone d activit s e rue Auguste Mottin voie interne de la zone d activit s desservant le site SEP Valorisation par le Nor
16. PAR VOIE DE PRESSE P 12 2 3 2 PAR AFFICHAGE DE L AVIS D ENQUETE P 12 2 3 3 SITE INTERNET DE LA PREFECTURE P 13 2 4 PERMANENCES DU COMMISSAIRE ENQUETEUR P 13 2 5 REGISTRE D ENQUETE P 13 2 6 LE DOSSIER D ENQUETE P 14 3 ORGANISATION ET DEROULEMENT DE L ENQUETE P 14 3 1 PREPARATION DE L ENQUETE ET CONTACTS P 14 3 1 1 ENTRETIEN AVEC LE GERANT DE LA SEP VALORISATION ET VISITE DU SITE P 14 3 1 2 AUTRES CONTACTS P 15 3 2 DEROULEMENT DE L ENQUETE P 15 3 3 AUTRES AVIS RECUEILLIS P 16 3 3 1 AVIS DE L AUTORITE ENVIRONNEMENTALE P 16 3 3 2 AVIS DES CONSEILS MUNICIPAUX P 16 3 3 3 AUTRES AVIS P 16 3 4 RESUME DES OBSERVATIONS P 17 3 5 REGROUPEMENT PAR THEMES DES OBSERVATIONS 354 QUESTIONS DU COMMISSAIRE ENQUETEUR 3 6 CLOTURE DU RAPPORT P 26 ANNEXES LES CONCLUSIONS ET AVIS MOTIVES FONT L OBJET D UN DOCUMENT SEPARE Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 2 1 GENERALITES 1 1 IDENTITE DU DEMANDEUR S A R L S E P VALORISATION Si ge Social et adresse d exploitation Z I Les Fourneaux 61500 SEES T l phone 02 33 26 03 97 Fax 02 33 28 24 78 N SIRET 450 550 421 000 17 N Registre de commerce Alen on 450 550 421 Code APE 3811Z G rant M Bertrand PENLA
17. T pr s des services de l Etat et m me du Pr fet de l Orne ces questions sont ce jour valid es par la pression faite au t l phone par Alain Pelleray sur les si geant au CODERST qui a eu donner son avis sur Nonant le Pin De m me par courrier en date du 18 d cembre 2007 Alain LAMBERT a d clar le site compatible avec le plan D partemental Ces l ments permettent de comprendre le d sarroi des riverains devant ce site port et appuy outrageusement par les responsables politiques et administratifs en d ni du droit critique de l tude d impact page 155 du paragraphe 5 4 C est faire l impasse sur une pr occupation majeure des riverains Contrairement l affirmation du p titionnaire lors des phases de broyage de manutention des bois et des broyats des quantit s importantes sont transport es par le vent et dispers es bien au del des p rim tres de l installation cette installation a prouv par son activit contrevenantes qu elle n tait pas en mesure de capter ces poussi res La rose des vents de l tat initial caract rise les dispersions Page 38 critique de l tude d impact page 18 A l vidence le p titionnaire nie les plaintes r currentes et les preuves fournies par les voisins critique de l tude d impact page 149 paragraphe 5 3 dangers du projet poussi res n gation de l impact poussi res et invocation du caract re industriel du site Sont occult s les invasions parasita
18. a Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 18 M Ren HAMEL Cabinet d Audit Diagnostic Expertise et Conseil en Environnement L Etre Pissot 61500 LA FERRIERE BECHET R n 11 Le r sum du contenu de l observation ne reprend uniquement que les points en lien direct avec la pr sente enqu te L int gralit de l observation figure dans les annexes du rapport Observation de M Ren Hamel rudologue mandat par les riverains pour tudier le d p t du dossier pour l instruction d une autorisation sous le r gime ICPE Le p titionnaire affirme huit reprises que son site est dans une zone industrielle La SEP est la seule installation industrielle l Est de la RD 908 Les riverains taient install s ant rieurement la SEP En l absence de publicit sur la mise l enqu te de cette r gularisation de fonctionnement n a pas permis une appr ciation des ressentis des Sagiens La SEP devait satisfaire aux obligations du permis de construire d livr par le maire de S es qui exigeait une cl ture p riph rique la plantation d une strate arbustive ne constitue en rien une cl ture p riph rique telle que d crite dans ce permis Obligation dont s est affranchi SEP VALORISATION Nous reviendrons sur les dysfonctionnements et infractions constat es par les riverains et nous m mes l ments communiqu s au g rant du site et aux services de contr le de l Etat Rembla
19. ait l objet d une certification aux normes ISO 9001 l objectif tant d obtenir terme la norme ISO 14000 Interrog sur l affichage de l avis d enqu te M Penla explique l avoir fait aux deux entr es du site ainsi qu l entr e de la zone industrielle l angle avec la route d partementale n 908 Il va envoyer au commissaire enqu teur une photographie de chaque affichage VISITE DU SITE Elle s est d roul e la suite de l entretien avec M Penla A noter que ce jour l aucun engin n tait pr sent sur le site J ai obtenu des explications sur le contr le des entrants la tra abilit de tous les produits concernant les plateformes de compostage et de bois nergie et sur le contr le du compost r alis lequel est normalis J ai notamment demand que me soit pr sent le fonctionnement de l vacuation des eaux de ruissellement de l ensemble des installations M Penla pr cise qu un syst me de traitement d bourbeur s parateur hydrocarbures a t mis en place en amont du bassin bois nergie J ai constat qu actuellement des travaux taient en cours de r alisation concernant d une part l am nagement d un second acc s au site et d autre part l am nagement d une aire de stockage suppl mentaire Interrog sur l manation d odeurs provenant des op rations de compostage M Penla explique que celles ci sont perceptibles en t avec la pr sence des tontes de gazon Enq
20. all e de l ensemble des machines fixes concourant au fonctionnement de l installation tant sup rieures 500 Kw 1 Sup rieur ou gal 1 000 m 2 km Puissance totale 758 Kw 1 broyeur de 390Kw 1 crible de 368 kW R gularisation de l activit 2714 Installation de transit regroupement ou tri de d chets non dangereux de papiers cartons plastiques caoutchoucs textiles bois l exclusion des activit s vis es aux rubriques 2710 et 2711 Le volume susceptible d tre pr sent dans l installation tant 1 Sup rieur ou gal 1 000 m 1km Volume pr sent dans l installation 35 000 m Modification de la nomenclature des I C P E b n fice de l ant riorit 2780 Installation de traitement a robie compostage ou stabilisation biologique de d chets non dangereux ou mati re v g tale brute ayant le cas ch ant subi une tape de m thanisation 1 Compostage de mati re v g tale ou d chets v g taux d effluents d levage de mati res stercoraires a la quantit de mati res trait es tant sup rieures ou gale 50t j 3 km Quantit de mati re trait e 50t j Modification de la nomenclature des ICPE b n fice de l ant riorit 2791 Installation de traitement de d chets non dangereux l exclusion des installations vis es aux rubriques 2720 2760 2771 2780 2781 2782 La quantit de d chets trait s tant 1
21. ation PROTECTION DES 1 Eaux souterraines et captages Il n y a pas sur la zone tudi e de contraintes environnementales li es la pr sence de p rim tres de protection de captages destin es l alimentation en eau potable La nappe souterraine est une dizaine de m tres de profondeur Afin d viter l infiltration direct des eaux de pluie les plateformes et les voies de circulations ont t imperm abilis es et l installation est organis e pour pouvoir collecter les eaux de ruissellements 2 Eaux superficielles EAUX L entreprise est raccord e au r seau d assainissement communal et trait es en station d puration La plateforme de compostage est quip e d un bassin tanche de 1 000 m Il sera divis en deux parties de 300 et 700 m La plateforme Bois Energie est quip e d un bassin de 800 m Il sera agrandi jusqu 1 000 m Un bassin d infiltration et un s parateur d hydrocarbure seront cr s Compte tenu de la topographie l coulement des eaux entre les bassins des plateformes et le bassin d infiltration sera gravitairement Le risque de zone karstifi e au niveau du site d tude existe mais il est faible RISQUES Le site d tude est en dehors des zones inondables de S es le risque de remont es de nappe est nul tr s faible NATURELS La commune de SEES ne pr sente pas de risque d incendie particulier elle n est pas situ e dans une zone risque sur le plan de la foudre Le site d
22. aux lignes a riennes le long de la voie communale n 14 et du chemin d exploitation EXTRAIT DU P L U L gende Limite de zone Zone urbaine du centre ville Secteur de la zone Ua avec caract re urbain renforc ub Zone urbaine de type r sidentiel Ue Zone d quipement collectif Uh Zone de b ti traditionnel en hameau Zone dominante d activit s Uz Zone d activit concern e par la Zac Uza Secteur de la zone Uz destin la diversification de l activit conomique AL Secteur d urbanisation future dominante d habitat A Zone d activit agricole Aco Secteur de la zone agricole avec F j prise en compte renforc e des corridors cologiques A Secteur de la zone agricole p avec protection du paysage renforc e Zone naturelle Ne Secteur d exploitation de carri re Secteur de hameau Secteur de jardin Continuit pi tonne existante conserver R gles d implantation particuli res SE A Aire d implantation des constructions principales et de leurs extensions Implantation obligatoire l alignement des constructions principales Kassi gt Sal Implantation obligatoire l alignement des constructions principalas Implantation obligatoire l alignement Commentaires du commissaire enqu teur Dans le dossier soumis l enqu te il est indiqu que le site est inclus en zone Uz depuis l approbation de la premi re r vision en date du 14 septembre 2
23. ble la D D T de la politique territoriale de l eau et des milieux pour des informations sur la r glementation de la gestion des eaux issues des plateformes avant leur rejet dans le milieu naturel le 4 avril 2013 l issue de la derni re permanence M Le Maire de S es et M Penla g rant de la S E P ont pris connaissance des observations d pos es lors des cinq permanences M le maire a indiqu que son conseil municipal avait mis hier soir un avis favorable avec plusieurs r serves sur la demande de la S E P d exploiter le site des Fourneaux le 9 avril 2013 au si ge de la S E P avec M Penla pour lui remettre et commenter le proc s verbal de fin d enqu te et le r sum des observations le 17 avril 2013 avec Mme Connesson chef de l unit territoriale de l Orne de la DREAL pour information sur les dispositions de l arr t du 22 avril 2008 relatif aux installations de compostage 3 2 DEROULEMENT DE L ENQUETE Le dossier d enqu te et le registre relatif l enqu te publique ont t mis la disposition du public dans la mairie de SEES Conform ment aux dispositions de l arr t pr fectoral l enqu te publique s est d roul e du lundi 4 mars au jeudi 4 avril 2013 Au cours des permanences le commissaire enqu teur a re u la mairie de SEES 13 personnes 3 courriers ont t remis au commissaire enqu teur lors des permanences L accueil du public s est tenu en mairie dans la salle du cons
24. ction de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 17 Mme Jo le PHELIPOT Le Pont G douin 61500 SEES R n 6 Lors de la construction de notre pavillon en 1970 on nous a impos la hauteur et une fa ade blanche compte tenu de sa situation dans le p rim tre de protection de la cath drale A 500 m de notre pavillon se trouve maintenant cette d charge Un monticule de bois o nous profitons des odeurs du bruit ainsi qu un nombre de mouches sur la fa ade et les vitres cela est vraiment d sagr able Peut tre allez vous fournir une femme de m nage Je trouve intol rable qu aupr s de la ville en pleine zone industrielle que l on puisse laisser un d p t dont les odeurs se r pandent sur plusieurs kilom tres Pauvre que ville de S es avec sa cath drale et ses odeurs Mme Marcelle GESLAIN 21 rue Desgenettes 61000 ALENCON R n 7 Mes locataires M et Mme LUTRAND Dominique demeurant la Fosse Boudin St Laurent S es se plaignent d odeurs pres et naus abondes Ils ont fini par savoir que cela provenait de la S E P Cela me rappelle de biens mauvais souvenirs car ma m re est d c d e d un cancer des poumons suite aux manations d un d p t d ordure ciel ouvert qui br lait continuellement et d gageait des odeurs tout ainsi naus abondes pas tr s loin de cette entreprise Je compte sur vous pour ne pas renouveler votre accord ou faire abroger la pr sence de cette usine
25. d Est e l entr e du site SEP Valorisation sur la voie communale n 14 2 3 3 Sur le site internet Les documents ci dessous ont t mis en ligne sur le site de la pr fecture de l Orne Internet d partemental de l Etat dans l Orne SEP VALORISATION http www orne gouv fr spip php page article_print amp id_article S 129 E E Les services de l tat dans le R FURLIQUI PRAN AIE PREFET DE L ORNE SEP VALORISATION Article cr le 14 02 2013 par les services de la Pr fecture de l Orne Mis jour le 14 02 2013 Compl ments Documents t l charger gt avis de l autorit environnementale 1 1 Mo 14 02 2013 gt ETUDE DE DANGER 2 1 Mo 14 02 2013 gt ETUDE D IMPACT 3 7 Mo 14 02 2013 gt ARRETE D OUVERTURE D ENQUETE 186 3 ko 14 02 2013 En dehors de la rubrique des annonces l gales un article de presse est paru dans l Orne Hebdo du 2 avril 2013 annexes 11 Les affichages ont t constat s pr alablement au d marrage de l enqu te et diff rentes occasions pendant l enqu te par le commissaire enqu teur 2 4 PERMANENCES DU COMMISSAIRE ENQUETEUR Conform ment l article 3 de l arr t pr fectoral le commissaire enqu teur a assur les permanences suivantes A LA MAIRIE DE SEES Lundi 4 mars de 9h 12h mercredi 13 avril de 14h 17h samedi 16 mars de 9h 12h jeudi 21 mars de 14h 17h jeudi 4 avril de 14h30 17h30 2 5 REGISTRE D ENQUETE Ce regis
26. du site et de son environnement SYNTHESE DES IMPACTS DE L ACTIVITE SUR L ENVIRONNEMENT l ments suivants sont issus du dossier d enqu te analyse des impacts du projet sur l environnement analyse des impacts du projet sur la sant raison du choix du projet mesures envisag es pour supprimer limiter ou compenser les impacts sur l environnement remise en tat du site Analyse des m thodes utilis es et des difficult s rencontr es pour valuer les effets du projet Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 9 SYNTHESE DES IMPACTS SUR L ENVIRONNEMENT GEOLOGIE Le site est localis au sein d un vaste bassin de roches s dimentaires le bassin parisien HYDROGEOLOGIE Il n y a pas sur la zone tudi e de contraintes environnementales li es la pr sence de p rim tres de protection de captages destin es l alimentation en eau potable HYDROLOGIE Le site d tude se trouve plus d 1 km de la rivi re Orne et environ 100 m d un cours d eau temporaire affluent de l Orne Le bassin de l Orne d pend du SDAGE du bassin de la Seine et des cours d eau c tiers normands Le SAGE Orne Amont est en cours d labor
27. e d claration Br lage ill gal ayant amen l intervention des pompiers sur site Stockage temporaire en bennes sur le site de mat riaux transit non conformes l tat d claratif Non respect des pr conisations du permis de construire cl tures Pour justifier du gardiennage de son site Monsieur le G rant devra s obliger fournir toutes les factures mises par la soci t de gardiennage La SEP n ayant pas d installation de traitement des d chets elle doit livrer la Snn filiale de SITA ses ultimes Colonard Corubert ou au Ventes de Bourse distants de 50 et 20 kms Ces l ments permettent de comprendre le d sarroi des riverains devant ce site port et appuy outrageusement par les responsables politiques et administratifs en d ni du droit R n 11 critique de l tude d impact page 155 du paragraphe 5 4 C est faire l impasse sur une pr occupation majeure des riverains Contrairement l affirmation du p titionnaire lors des phases de broyage de manutention des bois et des broyats des quantit s importantes sont transport es par le vent et dispers es bien au del CRITIQUE ETUDE D IMPACT des p rim tres de l installation cette installation a prouv par son activit contrevenante qu elle n tait pas en mesure de capter ces poussi res La rose des vents de l tat initial caract rise les dispersions Page 38 critique de l tude d impact page 18 A l vide
28. eil municipal dans des conditions satisfaisantes Les changes avec les personnes venues d pos es des observations se sont d roul s dans de bonnes conditions BILAN DES OBSERVATIONS e 12 observations ont t enregistr es sur le registre CLOTURE DU REGISTRE D ENQUETE La cl ture de l enqu te a eu lieu le jeudi 4 avril 2013 17 heures 30 Le registre d enqu te a t clos par M le commissaire enqu teur Conform ment aux dispositions de l article 6 de l arr t pr fectoral le commissaire enqu teur a remis au terme de l enqu te publique un proc s verbal de fin d enqu te M Penla le 9 avril 2013 g rant de la S E P Valorisation l invitant produire dans un d lai de 15 jours un m moire en r ponse aux observations mises par le public et aux questions du commissaire enqu teur annexe 9 La soci t SEP Valorisation a transmis au commissaire enqu teur le 18 avril 2013 par courriel confirm par courrier un m moire en r ponse avec en annexe une copie du contrat GDS 61 SEP concernant la d ratisation du site et une documentation sur la ma trise de la poussi re et le traitement des nuisances olfactives annexe n 10 Un compl ment au m moire en r ponse a t re u par courriel le 19 avril 2013 Ce m moire r pond chaque th me abord dans les observations Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d che
29. enne de 10 000 tonnes par an soit environ 50 tonnes par jour Les d chets verts sont stock s sur la plateforme de compostage sur une zone r serv e aux produits bruts Ils sont r guli rement broy s avec une fr quence de 4 5 broyages maximum du 1 avril au 30 septembre et de 2 3 broyages du 1 octobre au 31 mars par un broyeur mis disposition par l entreprise BIDCOMBUSTIBLE SA Puis la mati re broy e est ensuite tri e en 3 fractions l aide d un crible Les produits obtenus sont r partis ainsi Fraction lt 20 mm compost Fraction gt 20 mm et lt 80 mm traitement bois nergie Fraction gt 80 mm refus retour au broyeur Le compost est m lang puis mis en andains trap zo daux d une hauteur maximum de 3 m tres de haut l aide d un chargeur sur une zone r serv e cet effet sur la plateforme Ils sont retourn s r guli rement pour une bonne oxyg nation du produit Au bout de 4 6 mois le compost passe au crible afin d obtenir la granulom trie souhait e Conforme la norme NFU 44051 le compost est valoris en agriculture et aupr s des collectivit s clientes de SEP VALORISATION Depuis l origine de la plateforme de compostage SEP VALORISATION a souhait remettre disposition gratuitement ces clients ce compost afin de montrer l int r t de trier les d chets verts permettant un amendement organique gratuit Un partenariat technique mis en place avec le lyc e agricole de SE
30. er proximit de la ville et de sa cath drale BRUITS R n 4 Poussi res bruit mouches rats nuisances tr s n gatives pour l environnement Honte pour la ville de S es et ses habitants qui subissent une pollution due aux mauvaises odeurs R n 6 Lors de la construction de notre pavillon en 1970 on nous a impos la hauteur et une fa ade blanche compte tenu de sa situation dans le p rim tre de protection de la cath drale A 500 m de notre pavillon se trouve maintenant cette d charge Un monticule de bois o nous profitons des odeurs du bruit ainsi qu un nombre de mouches sur la fa ade et les vitres cela est vraiment d sagr able R n 4 Poussi res bruit mouches rats nuisances tr s n gatives pour l environnement Honte pour la ville de S es et ses habitants qui subissent une pollution dues aux mauvaises odeurs R n 6 Lors de la construction de notre pavillon en 1970 on nous a impos la hauteur et une fa ade blanche compte tenu de sa situation dans le p rim tre de protection de la cath drale A 500 m de notre pavillon se trouve maintenant cette d charge Un monticule de bois o nous profitons des odeurs du bruit ainsi qu un nombre de mouches sur la fa ade et les vitres cela est vraiment d sagr able R n 10 Propri taire depuis 35 ans 50 m du site A l poque c tait doux et agr able de vivre en cette maison mais aujourd hui depuis l arriv e de la S E P fermons les fen tres et lais
31. es avis du SDIS et du Parc R gional Normandie Maine sur ce projet ont t demand s mais non joint au dossier d enqu te on peut le regretter Chaque pi ce du dossier a t paraph e par le commissaire enqu teur au d but de la premi re permanence 3 ORGANISATION ET DEROULEMENT DE L ENQUETE 3 1 PREPARATION DE L ENQUETE ET CONTACTS 3 1 1 Entretien avec M Penla g rant de la S E P Valorisation et visite du site ENTRETIEN AVEC M PENLA Il s est d roul le 22 f vrier 2013 dans les bureaux de la S E P Valorisation J tais accompagn de Mme Val rie Stoll commissaire enqu teur suppl ante M Penla a pr sent sa soci t expliquant que celle ci intervient dans un rayon d environ 50 kilom tres autour de S es qui ne se limite pas uniquement l exploitation du pr sent site En effet sa soci t assure galement le transport et la mise disposition de bennes pour vacuer toutes sortes de d chets issus notamment de d chetteries vers des centres de traitements sp cialis s Le commissaire enqu teur a demand des pr cisions sur les informations contenues dans le dossier notamment sur la capacit financi re de la soci t sur le planning et le chiffrage des travaux pr vus bassins de r cup ration des eaux des plates formes d incendie et bassin d infiltration M Penla s est engag fournir rapidement des informations compl mentaires sur ces sujets Puis il pr cise que son entreprise a f
32. gienne R n 2 Riverains de la S E P nous manifestons notre m contentement contre les odeurs naus abondes qui nuisent notre qualit de vie L t pendant les beaux jours cela est insupportables impossibilit de manger dehors d a rer les pi ces de la maison D gradation importante de la chauss e et d valorisation de nos habitations R n 3 NUISANCES OLFACTVES Nous sommes de fa on constante pollu s par l odeur de l herbe pourrie par le bruit au moment du broyage et surtout par le d versement des poussi res de bois insupportables entra nant un d p t de plusieurs millim tres sur les voitures photos l appui sur le salon de jardin sur les murs et les vitres de notre maison afflux de mouches l t c est un bonheur Cette soci t qui nous envoie des cartes de v ux remplies de fleurs et de verdure est une soci t polluante dont le site devrait tre couvert et ne pas repr senter une verrue qui n aurait jamais d se trouver proximit de la ville et de sa cath drale M Le Pr fet les odeurs naus abondes se r pandent sur la ville demandez M Houssemaine notre maire actuel et aussi tous les sagiens Trouvez une solution sinon pour chasser la S E P de S es mais pour r glementer comme c est votre devoir les droits et devoirs de cette entreprise au service de l environnement Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de c
33. i dans des volumes et avec des mat riaux interdits D passements syst matiques des volumes autoris s par le r c piss de d claration D p t sur terrain d autrui au Pont G doin de mat riaux interdits Placoplatre amiante Temporisation 3 ans apr s l ouverture pour clore le bassin de r tention des jus de la plateforme de maturation des d chets verts Collecte et stockage de bois d abord ill galement voir premier objet puis dans des volumes largement exc dentaires au vu du r c piss de d claration Br lage ill gal ayant amen l intervention des pompiers sur site Stockage temporaire en bennes sur le site de mat riaux transit non conformes l tat d claratif Non respect des pr conisations du permis de construire cl tures Pour justifier du gardiennage de son site Monsieur le G rant devra s obliger fournir toutes les factures mises par la soci t de gardiennage La SEP n ayant pas d installation de traitement des d chets elle doit livrer la Snn filiale de SITA ses ultimes Colonard Corubert ou Ventes de Bourse distants de 50 et 20 kms Peut on imaginer que le dossier de CSDU de Nonant le Pin situ 10 kms sera promu par Alain Pelleray minence grise quant d aucuns affirment que GDE aurait des participations dans la SEP tant les camions bennes et tracteurs de GDE sont pr sents sur le site Peut on craindre des pressions d Alain Pelleray voire d Alain LAMBER
34. ierre RIVIERE Le Pont G douin BP 35 61500 SEES R n 3 Nous habitons environ 300 350 m du c ur de la soci t se faisant appeler environnement propret S E P notre propri t tant entretenue de fa on fort convenable L ampleur prise par les activit s de cette entreprise d passe d une fa on hont e la superficie et la hauteur annonc es initialement par le maire de S es de l poque et les responsables de cette soci t Nous sommes de fa on constante pollu s par l odeur de l herbe pourrie par le bruit au moment du broyage et surtout par le d versement des poussi res de bois insupportables entra nant un d p t de plusieurs millim tres sur les voitures photos l appui sur le salon de jardin sur les murs et les vitres de notre maison afflux de mouches l t c est un bonheur Cette soci t qui nous envoie des cartes de v ux remplies de fleurs et de verdure est une soci t polluante dont le site devrait tre couvert et ne pas repr senter une verrue qui n aurait jamais due se trouver proximit de la ville et de sa cath drale M Le Pr fet l Orne serait il devenu le d potoir de la r gion avec Nonant le Pin et les Ventes de Bourses en plus Une extension serait une honte Mais une l gislation plus stricte devrait uvrer la surveillance continue de la S E P Je ne me suis pas oppos cette installation M Pelletier maire de S es cette poque m avait demand de me rendre Ne
35. ion en cas d incendie A la suite interviennent les op rations suivantes le s chage le broyage le criblage le stockage Le broyeur rondins transforme ceux ci en plaquettes copeaux de bois utilisables par les chaufferies bois Le broyeur rapide d affinage est utilis pour le broyage des d chets bois classe A palettes chutes de bois scieries et classe A B bois en m lange de d ch terie ou de chantiers de d molition Puis le bois est cribl l aide d un crible toiles en 3 fractions aliment par une pelle sur pneus Fraction fine lt 20 mm fraction interm diaire entre 20 mm et 80 mm fraction sup rieure gt 80 mm Les 3 fractions obtenues sont ensuite stock es sur des zones sp cifiques en attente de reprise et exp dition des produits finis n cessaire l approvisionnement des chaufferies de la r gion La plateforme de SEES est l une des 17 plateformes utilis es pour assurer et s curiser l approvisionnement des chaufferies collectives g r es par BIOCOMBUSTIBLES SA SEP VALORISATION a mis en place une proc dure permettant le suivi qualit des produits r ceptionn s et transform s sur le site de SEES Ce suivi qualit commence chez les fournisseurs se poursuit sur la plateforme et se termine chez les clients Commentaires du commissaire enqu teur M Penla g rant de la S E P Valorisation lors de notre rencontre a pr cis que son entreprise a fait l objet d une ce
36. iques de la nomenclature des installations class es le site d exploitation est soumis autorisation en application des articles R 512 2 R 512 10 du Code de l Environnement 1 6 PRESENTATION DES ACTIVITES 1 6 1 ACCES DU SITE Le site SEP VALORISATION est accessible par la voie communale n 14 desservant l ensemble de la zone d activit s des Fourneaux Il est partiellement cl tur et l entr e sortie est quip e d un portail deux battants fermant cl Le site est quip de 3 cam ras de vid osurveillance avec d tection de mouvement et enregistrement des images couvrant l entr e par une cam ra fixe le pont bascule la voie principale et la plateforme de compostage par une cam ra mobile les parkings poids lourds et bennes et la plateforme de stockage de bois par une cam ra fixe Un acc s secondaire est en cours de r alisation au Nord Est du site d bouchant sur la rue Auguste Mottin voie interne de la zone d activit s afin de faciliter la circulation des camions et viter des man uvres 1 6 2 DESCRIPTIONS DES ACTIVITES 1 6 2 1 ACTIVITE COMPOSTAGE Les d chets verts branchages feuilles tonte de pelouses tailles d arbres proviennent principalement des d ch teries collectivit s de la r gion et entreprises d horticultures ou de p pini ristes Ils font l objet d un pr tri directement en d ch terie avant d tre amen s sur le site de la zone des Fourneaux Les quantit s re us sont en moy
37. ires mouches moustiques et opportunistes rats renards qui pullulent chez les voisins Affirmer que les produits basiques trait s ne sont pas app tants c est une chose nier le transit et le stationnement de bennes pleines de d chets le m lange de restes de cantines avec les d chets verts est insupportable et d montre l envi le modus operandi du p titionnaire critique de l tude d impact page 121 les odeurs Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 19 M Ren HAMEL suite R n 11 Outre la r affirmation fallacieuse du caract re industriel du site le p titionnaire ne mentionne que deux habitations Le nombre des habitations et les distances entre le site et les riverains est inexact De plus les broyages ne sont pas ex cut s toujours aux m mes emplacements tels que d crits sur le plan d ensemble ils varient au gr des d p ts et des emplacements disponibles ainsi les bois ont chang trois fois de localisation ces deux derni res ann es critique de l tude d impact paragraphe 5 2 1 description des sources de contamination d j pr sentes En 5 2 1 1 Qualit de l air page 145 le p titionnaire voque aircom ayant mesu
38. mille PELLERAY soit rompu afin de redonner de la cr dibilit et de la moralit cette entreprise Mme Anne Sophie BOISGALLAIS 17 rue Comte 61500 SEES R n 12 S interroge sur le choix conomique qui peut pr valoir dans une cit patrimoniale et touristique potentiellement et souhaite que les nuisances olfactives soient contenues de fa on ne pas faire fuir les visiteurs Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 20 3 4 1 SITUATION GEOGRAPHIQUE DES PERSONNES AYANT DEPOSEES DES OBSERVATIONS les QuatreVents Ch t deau il Y Al B f e hiri 3 SA A habitent hors S ST Thu LP re 3 lt J EN K Y 3 5 REGROUPEMENT DES OBSERVATIONS DU PUBLIC PAR THEMES QUESTIONS DU COMMISSAIRE ENQUETEUR 3 5 1 OBSERVATIONS DU PUBLIC THEMES SYNTHESE R n 1 L activit de la S E P implant e l Ouest de la ville de S es g n re norm ment de g nes olfactives lors du maniement des andains et des op rations de broyage Il est impossible de pouvoir profiter des quelques journ es ensoleill es Les odeurs port es par les vents dominants d Ouest sont ressenties sur toute l agglom ration sa
39. n 10 Vous avez de ce fait en plus d valoris nos habitations Alors au niveau des soudoiements r glez notre taxe d habitation et notre imp t foncier Mais j ai une meilleure id e foutez le camp PERTE VALEUR PATRIMOINE R n 11 PUBLICITE ENQUETE L absence de publicit sur la mise l enqu te de cette r gularisation de fonctionnement n a pas permis une appr ciation des ressentis des Sagiens Rn 3 Une extension serait une honte Mais une l gislation plus stricte devrait uvrer la surveillance continue de la S E P R n 8 Travaillant sur la ville de S es depuis de longues ann es j ai remarqu les odeurs naus abondes lors des vents d Ouest qui restent tr s d sagr ables Egalement j ai remarqu que les andains sont plus hauts que la hauteur pr vue 3 m R n 9 Rien n est respect dans les hauteurs et arrosage du bois broyer et des andains R n 11 Remblai dans des volumes et avec des mat riaux interdits D passements syst matiques des volumes autoris s par le r c piss de d claration D p t sur terrain d autrui au Pont G douin de mat riaux interdits Placoplatre amiante DYSFONCTIONNEMENTS Temporisation 3 ans apr s l ouverture pour clore le bassin de r tention des jus de la plateforme de maturation des d chets verts Collecte et stockage de bois d abord ill galement voir premier objet puis dans des volumes largement exc dentaires au vu du r c piss d
40. n de l environnement description de l installation e e e e analyse des risques externes Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 11 e analyse des accidents d origine interne e moyens de pr vention et d intervention e conclusion de l tude de danger Commentaires du commissaire enqu teur Page 48 il est indiqu qu une cl ture p riph rique d une hauteur de 2 m est en place c est inexact l installation n est que partiellement d limit e par une cl ture Travaux pr voir 1 11 ETUDE D HYGIENE ET DE SECURITE pi ce 5 du dossier d enqu te Les points suivants y sont d velopp s e M thode d laboration de la notice e valuation et pr vention des risques par unit fonctionnelles e gestion de la pr vention et des secours e l ments g n raux des conditions de vie et de travail Commentaires du commissaire enqu teur Ce volet ne soul ve pas de commentaires particuliers Son contenu et les dispositions prises sont priori celles que toute entreprise se doit de mettre en uvre dans l int r t de son personnel et dans le strict respect de la l gislation 2 MODALITES ET TEXTES REGLEMENTAIRES DE L ENQUETE
41. nce le p titionnaire nie les plaintes r currentes et les preuves fournies par les voisins Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 24 critique de l tude d impact page 149 paragraphe 5 3 dangers du projet poussi res n gation de l impact poussi res et invocation du caract re industriel du site Sont occult s les invasions parasitaires mouches moustiques et opportunistes rats renards qui pullulent chez les voisins Affirmer que les produits basiques trait s ne sont pas app tants c est une chose nier le transit et le stationnement de bennes pleines de d chets le m lange de restes de cantines avec les d chets verts est insupportable et d montre l envi le modus operandi du p titionnaire critique de l tude d impact page 121 les odeurs Outre la r affirmation fallacieuse du caract re industriel du site le p titionnaire ne mentionne que deux habitations Le nombre des habitations et les distances entre le site et CRITIQUE ETUDE D IMPACT les riverains est inexact De plus les broyages ne sont pas ex cut s toujours aux m mes emplacements tels que suite d crits sur le plan d ensemble ils varient au gr des d p ts
42. nexact dans ses propos lorsqu il pr tend la cl ture du site qui pourtant devrait tre effective depuis 10 ans Le p titionnaire a enfoui ill galement sur son site des produits amiante pl tres interdits dans ces installations Le p titionnaire a enfoui sur un terrain voisin au Pont G doin des d chets ill gaux d pos s sur une t te de bassin hydraulique alimentant la ville de S es Le p titionnaire a proc d au moins un br lage sur son site de mati re dangereuse Le p titionnaire a de fa on constante et depuis dix ans d pass les volumes autoris s justifiant une r gularisation en forme d Arr t Pr fectoral Le p titionnaire a abus de ses relations institutionnelles pour parer son incurie en mati re de traitement violant les lois encadrant ses activit s Les preuves de ces graves dysfonctionnements existent elles sont dans les mains du Pr fet et du Procureur dossier port directement par Alain Pelleray la pr fecture S es mairie et gendarmerie la DRIRE d Alen on et Caen Cette activit qui a son int r t tre ne peut se d velopper sur le site des Fourneaux S es dans les volumes demand s sans porter atteinte significative au droit des tiers Cette entreprise est facile d placer elle n a pas de structures lourdes implant es et il ne manque pas S es de grands espaces encore mieux connect s Il serait souhaitable que le lien factuel unissant SEP VALORISATION et fa
43. nts entre les stockages 3m retournement plus fr quent des composts pour limiter les nuisances olfactives d ratisation rigoureuse mise en place de filets de haut vol pour viter les projections contr le r gulier des installations COMMUNES AVIS FAVORABLE SEES D lib ration conseil AUNOU PV ORNE municipal du 19 mars 2013 NEAUPHE SOUS D lib ration conseil ESSAI municipal du 15 avril 2013 LA CHAPELLE PRES D lib ration conseil SEES municipal du 20 mars 2013 D lib ration conseil municipal du 12 avril 2013 BELFONDS Avis favorable mais demande ce que tous les moyens soient mis en uvre pour att nuer au maximum les nuisances olfactives D lib ration conseil municipal du 27 mars 2013 D lib ration conseil municipal du 22 mars 2013 LE BOUILLON MACE Commentaires du commissaire enqu teur La commune de S es est le seul territoire des 7 communes consult es o la population est directement concern e par les activit s de la SEP Valorisation Les r serves mises par cette collectivit sont coh rentes avec les nuisances voqu es dans les observations d pos es par le public 3 3 3 Autres avis Le S D I S en date du 10 janvier 2013 annexe n 8 Les avis de la Direction D partementale des Territoires D D T du Parc R gional Normandie Maine P R N l Agence R gionale de Sant A R S Institut National des Appellation d Origine I N A O et de la Di
44. ompostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 21 R n 4 Poussi res bruit mouches rats nuisances tr s n gatives pour l environnement Honte pour la ville de S es et ses habitants qui subissent une pollution dues aux mauvaises odeurs R n 5 Habitant du centre ville je sens des odeurs piquantes par p riode suivant l orientation des vents R n 6 Lors de la construction de notre pavillon en 1970 on nous imposait la hauteur et une fa ade blanche compte tenu de sa situation dans le p rim tre de protection de la cath drale A 500 m de notre pavillon se trouve maintenant cette d charge Un monticule de bois o nous profitons des odeurs du bruit ainsi qu un nombre de mouches sur la fa ade et les vitres cela est vraiment d sagr able Peut tre allez vous fournir une femme de m nage Je trouve intol rable qu aupr s de la ville en pleine zone industrielle que l on puisse laisser un d p t dont les odeurs se r pandent sur plusieurs kilom tres Pauvre ville de S es avec sa cath drale et ses odeurs R n 7 Mes locataires M et Mme LUTRAND Dominique demeurant la Fosse Boudin St Laurent S es se plaignent d odeurs pres et naus abondes Ils ont fini par savoir que cela provenait NUISANCES OLFACTVES de la S E P Cela me rappelle de biens mauvais s
45. orte sur les parcelles cadastrales suivantes COMMUNE SECTION N PARCELLE CONTENANCE PROPRIETAIRE S es AV 60 90 678 m SEP VALORISATION S es AV 54 6 993 m SEP VALORISATION S es AV 55 938 m SEP VALORISATION TOTAL 98 609 m EXTRAIT DU PLAN CADASTRAL SANS ECHELLE Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 4 1 3 3 RESEAUX Le site d exploitation est raccord aux r seaux d eau potable et d eaux us es desservant la zone d activit s l lectricit basse tension alimente l clairage ext rieur des plateformes le chauffage l clairage des bureaux et locaux et le petit outillage 1 3 4 URBANISME La commune de SEES est dot e d un Plan Local d Urbanisme approuv le 17 juillet 2007 Depuis ce document a fait l objet d une premi re r vision approuv e le 14 septembre 2011 une deuxi me r vision doit tre approuv e prochainement Le site d exploitation se situe en zone Ux zone urbaine vocation d activit s conomiques Servitudes le site de l entreprise est travers en limite Sud par une servitude lectrique Une autre servitude se trouve en bordure mais l ext rieur du site correspondant
46. ouvenirs car ma m re est d c d e d un cancer des SUITE poumons suite aux manations d un d p t d ordure ciel ouvert qui br lait continuellement et d gageait des odeurs tout ainsi naus abondes pas tr s loin de cette entreprise Je compte sur vous pour ne pas renouveler votre accord ou faire abroger la pr sence de cette usine S es R n 8 Travaillant sur la ville de S es depuis de longues ann es j ai remarqu les odeurs naus abondes lors des vents d Ouest qui restent tr s d sagr ables Egalement j ai remarqu que les andains sont plus hauts que la hauteur pr vue 3 m R n 10 Propri taire depuis 35 ans 50 m du site A l poque c tait doux et agr able de vivre en cette maison mais aujourd hui depuis l arriv e de la S E P fermons les fen tres et laissons les volets clos car poussi res et mauvaises odeurs envahissent notre quotidien sans compter le lot d insectes qui l t foisonne et nos amis les rats Fini le bon air dans la maison Fini les repas l ext rieur R n 12 S interroge sur le choix conomique qui peut pr valoir dans une cit patrimoniale et touristique potentiellement et souhaite que les nuisances olfactives soient contenues de fa on ne pas faire fuir les visiteurs R n 3 Nous sommes de fa on constante pollu s par l odeur de l herbe pourrie par le bruit au moment du broyage et surtout par le d versement des poussi res de bois insupportables en
47. pact page 155 du paragraphe 5 4 C est faire l impasse sur une pr occupation majeure des riverains Contrairement l affirmation du p titionnaire lors des phases de broyage de manutention des bois et des broyats des quantit s importantes sont transport es par le vent et dispers es bien au del des p rim tres de l installation cette installation a prouv par son activit contrevenantes qu elle n tait pas en mesure de capter ces poussi res La rose des vents de l tat initial caract rise les dispersions Page 38 Qualit de l air page 145 le p titionnaire voque aircom ayant mesur la qualit de l air sur S es la jugeant bonne SEP VALORISATION aurait d proc der une batterie de test de dispersion des poussi res et des odeurs plut t que de compiler les donn es disponibles et d en faire un argumentaire POUSSIERES R n 3 Nous sommes de fa on constante pollu s par l odeur de l herbe pourrie par le bruit au moment du broyage et surtout par le d versement des poussi res de bois insupportables entra nant un d p t de plusieurs millim tres sur les voitures photos l appui sur le salon de jardin sur les murs et les vitres de notre maison afflux de mouches l t c est un bonheur Cette soci t qui nous envoie des cartes de v ux remplies de fleurs et de verdure est une soci t polluante dont le site devrait tre couvert et ne pas repr senter une verrue qui n aurait jamais due se trouv
48. r la qualit de l air sur S es la jugeant bonne SEP VALORISATION aurait d proc der une batterie de test de dispersion des poussi res et des odeurs plut t que de compiler les donn es disponibles et d en faire un argumentaire En 5 2 3 description g ographique des lieux et milieux d exposition de la population Le p titionnaire persiste valider le caract re industrielle de la zone mais pour la premi re fois il voque d autres activit s de la zone industrielle reconnaissant de facto que ces activit s ne sont pas de caract re industriel Il commet l m me approximation sur le nombre d habitations riveraines et dans un p rim tre proche En conclusion Dans ce dossier le p titionnaire commet des inexactitudes sur le caract re industriel de la zone se basant sur une d nomination obsol te le p titionnaire nie l impact de la dispersion des poussi res li es l activit broyage en la r duisant au seul trafic Le p titionnaire omet d voquer les invasions chez les riverains de mouches du type Calliphora vomitoria et d esp ces opportunistes renards et rats Le g rant de SEP VALORISATION a pourtant conscience du probl me pos puisqu il propose r guli rement aux riverains raticide et bouteille d ap ritif mais faute de mode d emploi ceux ci h sitent m langer ces deux produits l heure de l ap ritif qui pourrait tre pris en terrasse s il n y avait les mouches le p titionnaire est i
49. rection R gionale des Entreprises de la Concurrence de la Consommation du Travail et de l Emploi D I R R E C T E ont t sollicit s par la pr fecture mais non transmis au commissaire enqu teur Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 16 3 4 RESUME DES OBSERVATIONS M Thierry BRILLAND 7 r sidence du Parc 61500 SEES R n 1 L activit de la S E P implant e l Ouest de la ville de S es g n re norm ment de g nes olfactives lors du maniement des andains et des op rations de broyage Il est impossible de pouvoir profiter des quelques journ es ensoleill es Les odeurs port es par les vents dominants d Ouest sont ressenties sur toute l agglom ration sagienne M Michel HERBINIERE La Croix des Buissons 61500 LA CHAPELLE PRES SEES M Mme BAZILLIERS Maison Berry 61500 SEES R n 2 Riverains de la S E P nous manifestons notre m contentement contre les odeurs naus abondes qui nuisent notre qualit de vie L t pendant les beaux jours cela est insupportable impossibilit de manger dehors d a rer les pi ces de la maison D gradation importante de la chauss e et d valorisation de nos habitations M et Mme P
50. rtification aux normes ISO 9001 l objectif tant d obtenir terme la norme ISO 14000 1 7 PLAN GENERAL DE L INSTALLATION SSSR PART A NE PR SEE Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 7 1 8 LISTE DES RUBRIQUES DE LA MONENCLATURE DES I C P E DONT DEPEND L EXPLOITATION Nomenclature D signation de l activit R gime Rayon affichage Capacit envisag e Observation 1532 D p t de bois secs ou mat riaux combustibles analogues y compris les produits finis conditionn s l exception des tablissements recevant du public Le volume susceptible d tre stock tant 1 Sup rieure 20 000 m 1 km Volume susceptible d tre 35 000 m Extension de la capacit de stockage 2260 Broyage concassage criblage d chiquetage ensachage pulv risation trituration nettoyage tamisage blutage m lange pluchage et d cortication des substances v g tales et de tous produits organiques naturels y compris la fabrication d aliments compos s pour animaux mais l exclusion des activit s vis es par les rubriques 2220 2221 2225 et 2226 2 Autres installations a La puissance inst
51. secours disposeront d un bassin souterrain de 540 m qui sera cr pr s de la plateforme de stockage de bois dont son volume sera maintenu constant par alimentation par le r seau d eau communal O et quand sera r alis ce bassin suite page suivante INCENDIE Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 25 THEMES QUESTIONS Dans la notice de pr sentation page 50 il est pr cis que l ensemble du site conform ment SECURITE DU SITE la r glementation est entour d une cl ture de 2 m de haut r alis e en mat riaux r sistants treillis soud s Aujourd hui ce n est pas le cas sur la totalit du p rim tre de l installation Des travaux sont ils pr vus 3 6 CLOTURE DU RAPPORT A l issue de l enqu te publique le 9 avril 2013 le commissaire enqu teur a rencontr sa demande dans les locaux de la soci t SEP Valorisation M Penla g rant de la soci t Au cours de cette rencontre le commissaire enqu teur a remis son interlocuteur le proc s verbal de fin d enqu te publique annexe n 9 Puis pr sent et comment les observations d pos es par le public et questions du commissaire enqu teur M Penla s e
52. sons les volets clos car poussi res et mauvaises odeurs envahissent notre quotidien sans compter le lot d insectes qui l t foisonne et nos amis les rats Fini le bon air dans la maison Fini les repas l ext rieur R n 11 Le p titionnaire omet d voquer les invasions chez les riverains de mouches du type Calliphora vomitoria et d esp ces opportunistes renards et rats PRESENCE DE RATS ET DE MOUCHES Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 23 R n 11 La SEP devait satisfaire aux obligations du permis de construire d livr par le maire de S es qui exigeait une cl ture p riph rique la plantation d une strate arbustive ne constitue en rien CLOTURES une cl ture p riph rique telle que d crite dans ce permis Obligation dont s est affranchi SEP VALORISATION Nous reviendrons sur les dysfonctionnements et infractions constat es par les riverains et nous m mes l ments communiqu s au g rant du site et aux services de contr le de l Etat R n 2 VOIRIE D gradation importante de la chauss e et d valorisation de nos habitations R n 2 D gradation importante de la chauss e et d valorisation de nos habitations R
53. st expliqu sur l ensemble des points d velopp s dans les observations et s est engag fournir les r ponses aux divers questionnements vers le 19 avril 2013 La soci t SEP Valorisation a transmis au commissaire enqu teur le 18 avril 2013 par courriel confirm par courrier un m moire en r ponse avec en annexe une copie du contrat GDS 61 SEP concernant la d ratisation du site et une documentation sur la ma trise de la poussi re et le traitement des nuisances olfactives annexe n 10 Un compl ment au m moire en r ponse a t re u par courriel le 19 avril 2013 Observations et m moire en r ponse sont analys es dans le document Conclusions et avis motiv s L enqu te s tant d roul e de mani re tout fait satisfaisante dans le respect de la r glementation le commissaire enqu teur cl t le pr sent rapport Fait Alen on le 6 mail 2013 SR PP OP T02 E ER OAE Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 26
54. tra nant un d p t de plusieurs millim tres sur les voitures photos l appui sur le salon de jardin sur les murs et les vitres de notre maison afflux de mouches l t c est un bonheur Cette soci t qui nous envoie des cartes de v ux remplies de fleurs et de verdure est une soci t polluante dont le site devrait tre couvert et ne pas repr senter une verrue qui n aurait jamais d se trouver proximit de la ville et de sa cath drale POUSSIERES R n 4 Poussi res bruit mouches rats nuisances tr s n gatives pour l environnement Honte pour la ville de S es et ses habitants qui subissent une pollution dues aux mauvaises odeurs R n 10 Propri taire depuis 35 ans 50 m du site A l poque c tait doux et agr able de vivre en cette maison mais aujourd hui depuis l arriv e de la S E P fermons les fen tres et laissons les volets clos car poussi res et mauvaises odeurs envahissent notre quotidien sans compter le lot d insectes qui l t foisonne et nos amis les rats Fini le bon air dans la maison Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 22 Fini les repas l ext rieur R n 11 critique de l tude d im
55. tre compos s de 32 pages a t c t et paraph par le commissaire enqu teur et mis disposition du public la mairie de SEES annexe n 5 Les observations pouvaient tre galement adress es par voie lectronique la pr fecture de l Orne l adresse suivante bbup orne gouv fr Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 13 2 6 LE DOSSIER D ENQUETE 1 Arr t pr fectoral du 13 f vrier 2013 2 Le dossier tabli par la soci t ALISE la demande de la S A R L S E P VALORISATION compos des 5 pi ces reli es formant un seul document compos ainsi pi ce 1 Dossier administratif avec plan d ensemble au 1 1000 pi ce 2 Notice de pr sentation du projet pi ce 3 Etude d impact et son r sum non technique pi ce 4 Etude de dangers pi ce 5 Notice d hygi ne et de s curit 3 L avis de l autorit environnementale 4 Le registre d enqu te cot et paraph destin recevoir les remarques et observations Commentaires du commissaire enqu teur Les pi ces 1 5 reli es dans un classeur sont conformes sur la forme avec un support cartographique et photographique facilitant sa compr hension L
56. tre effectu e Quand ce bassin et ses travaux annexes seront r alis s GESTIONS DES EAUX Plateforme bois nergie l tude d impact indique qu il est n cessaire d agrandir le bassin existant de 800 m 1000 m qui servira galement la r cup ration des eaux d incendie Les travaux effectu s courant 2012 ont ils port la capacit du bassin 1000 m Plateforme compostage il est pr vu que le bassin actuel sera s par en 2 parties Une partie de 300 m pour les besoins d arrosage des andains Une partie d au moins 690 m quip e d un d bit de fuite et vanne de fermeture Quand ces travaux seront r alis s Lors d une permanence m a t montr e une vid o prise lors d une op ration de broyage POUSSIERES partir d une habitation riveraine On constate un d gagement important de particule dans BRUIT l atmosph re galement beaucoup de bruit Quels sont les moyens mis en uvre aujourd hui pour r duire ce type de nuisances Vont ils voluer Le d bit d odeur global de l installation est il connu L tude d impact n en fait pas tat on peut s en tonner Pour ce type d activit cela para t n cessaire mais galement la r alisation ODEURS d une tude de dispersion des odeurs permettant de s assurer du respect des normes r glementaires en mati re de nuisances olfactives Qu en pensez vous Dans la notice de pr sentation du projet page 50 il est pr cis que les services de
57. ts verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 15 3 3 AUTRES AVIS RECUEILLIS 3 3 1 Avis de l autorit environnementale annexe n 6 En date du 7 f vrier 2013 Ci dessous la synth se de cet avis figurant la page 3 du document Le dossier de demande comporte l ensemble des documents exigibles Les l ments du dossier paraissent suffisamment d velopp s pour permettre d appr cier les caract ristiques du projet d exploitation de l installation sur le site et dans son environnement Au regard des mesures d am nagement et d exploitation pr vues par l exploitant les diff rents risques et nuisances telles que mentionn es pr c demment ont t correctement pris en compte L autorit environnementale consid re que le dossier pr sent par le p titionnaire prend bien en compte les impacts environnementaux g n r s par son installation et que les mesures d am nagement et d exploitation telles que d crites sont proportionn es ces impacts 3 3 2 Avis des conseils municipaux annexe n 7 AVIS FAVORABLE AVEC RESERVES D lib ration conseil municipal du 3 avril 2013 avis favorable assorti de r serves fermes quant aux mesures rendre ou respecter imp rativement dans l exploitation de ces plateformes arrosage syst matique en p riode de broyage respect des hauteurs et espaceme
58. u te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Protection de l Environnement Rapport du commissaire enqu teur Page 14 M Penla a expliqu que toute la surface du site n est pas utilis e par les installations La partie inutilis e est rest e en terre agricole exploit e par le lyc e agricole de S es Elle est s par e des plateformes par un merlon plant ce qui permet d isoler les installations des habitations les plus proches Le 16 mars et 4 avril 2013 j ai effectu une reconnaissance d une part des limites ext rieures du site et d autre part des villages du Pont Godouin et de Maison Berry o se trouvent les habitations les plus proches de l entreprise 3 1 2 Autres contacts le 11 janvier 2013 la pr fecture de l Orne remise du dossier d enqu te et du registre destin recueillir les observations du public par Mme Val rie GRENET le 5 mars 2013 avec Mme LALIE charg e du suivi du dossier la D R E A L Alen on pour obtenir des informations compl mentaires sur le dossier notamment en ce qui concerne la gestion des eaux issues des plateformes et le risque incendie Conclusions rencontre improductive qui ne m a pas permis d obtenir les informations attendues le 11 mars 2013 avec Fr d ric Scornet responsa
59. ufchatel en Saonois pour voir quoi ressemble cette installation Le dixi me de la surface et le tiers de la hauteur donc mensonge et abus de ma bonne foi M Le Pr fet les odeurs naus abondes se r pandent sur la ville demandez M Houssemaine notre maire actuel et aussi tous les sagiens Trouvez une solution sinon pour chasser la S E P de S es mais pour r glementer comme c est votre devoir les droits et devoirs de cette entreprise au service de l environnement Compl ment l observation Pour compl ter cette observation Mme RIVIERE a montr au commissaire enqu teur une vid o prise de chez elle lors d une op ration de broyage d montrant les nuisances subies d une part sonores et d autre part atmosph riques dues au d gagement de poussi res M Mme Jean PRESTAVOINE Les Fourneaux 61500 SEES R n 4 Poussi res bruit mouches rats nuisances tr s n gatives pour l environnement Honte pour la ville de S es et ses habitants qui subissent une pollution dues aux mauvaises odeurs M Daniel LECHIEN 21 rue Allard 61500 SEES R n 5 Habitant du centre ville je sens des odeurs piquantes par p riode suivant l orientation des vents Enqu te publique du 4 mars au 4 avril 2013 sur la commune de SEES Demande d autorisation d exploiter plateforme de compostage de d chets verts et plateforme de Bois Energie par la S E P Valorisation au titre des Installations Class es pour la Prote
60. ur de bateaux ou d a ronefs 3 23 5 20 40 m an situation actuelle La quantit annuelle de carburant te en volume distribu e tant de Z cuival nt 3 sup rieure 100 m mais q inf rieure ou gale 3 500 m LEGENDE A installation soumise autorisation D installation soumise d claration NC installation non soumise au cadre r glementaire non class e Commentaires du commissaire enqu teur Depuis la r alisation du dossier mars 2012 soumis l enqu te publique les travaux suivants ont t effectu s sur la plateforme bois nergie mise en place d une lagune de 1000 m et d un d shuileur d bourbeur chemin d acc s au Nord Est du site par une voie interne la zone d activit s des travaux de terrassement en cours de r alisation afin d am nager une aire de stockage Ces travaux ont t constat s lors de ma visite du site effectu e le 22 f vrier 2013 1 9 ETUDE D IMPACT Pi ce 3 du dossier soumis l enqu te elle est compos e de 190 pages les pages 15 28 forment le r sum non technique Elle a t r alis e par la soci t ALISE domicili e 102 rue du Bois Tison 76160 St Jacques sur Darnetal repr sent e par St phane Cadeau Laure Dandre Carole David et Thierry Triquet ing nieurs Environnement Cette tude bien pr sent e aborde tous les impacts li s ce type d activit Elle d veloppe les points suivants e analyse de l tat initial

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