MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE
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1. NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES L esprit de Par qui l esprit de sel a t il t pr par et quelle poque Quelle est l origine de Faire rechercher ces informations par les l ves sel P l appellation esprit de sel L esprit de sel est une solution concentr e environ 30 en masse soit 8 mol L d acide chlorhydrique HCI aq de qualit technique c d non chimiquement pur La solution concentr e est fumante HCI gazeux qui s chappe de la solution concentr e se dissout dans la vapeur d eau atmosph rique et forme un nuage de vapeur Utilisation domestique de l esprit de sel dilu o d capage des m taux limination de la couche d oxyde et ou de carbonate form e par action de l atmosph re O2 et CO2 sur le m tal o d tartrage des appareils et des canalisations obstru es par le calcaire o nettoyage des surfaces ternies par des d p ts calcaires limination des r sidus de ciment NB ne pas utiliser ces m thodes pour des appareils lectrom nagers Risques de d t rioration du mat riel et de formation de sels toxiques Pr cautions d utilisation L esprit de sel tant irritant pour la peau et les muqueuses et toxique par inhalation il convient lors de sa manipulation o d viter de travailler avec une solution concentr e o de travailler dans un lieu bien ventil o de porter des gants et d2. La d nomination solvants organiques d signe un ensemble d hydrocarbures HC compos s principalement de C H O et CI utilis s pour leurs propri t s dissolvantes vis vis de substances qui sont insolubles dans l eau huiles graisses peintures vernis Nature et usage des principaux solvants organiques Nom Formule Usages Ac tone CH3 CO CH Solvant du vernis ongles T trachlorure ere d carbone CCl D graissant CHCI CCE D graissant Nettoyage Trichlor thyl ne sec Perchlor thyl ne CCI CCI Nettoyage sec White spirit M langes d HC Diluants Thinner pour peintures et vernis aliphatgues ei Nettoyage des pinceaux et Ether de p trole aromatiques en ettoyag p limination des taches de proportions variables peinture ou de vernis Pr cautions d utilisation Tous les solvants organiques pr sentent des risques toxicit inflammabilit et sont volatils Lors de leur utilisation il convient o d viter tout contact du produit avec la peau et les muqueuses o de porter des gants des lunettes et un masque appropri o de travailler l ext rieur ou dans un endroit bien ventil o de ne pas travailler proximit d une source de chaleur o de stocker le produit l abri de la lumi re et de la chaleur Remarques En aucun cas il ne faut utiliser du benz ne Ce solvant aromatique est un compos minemment tox
3. Endom tre paississement vascularisation Faire merger les repr sentations des l ves Graphiques des taux hormonaux Documents vari s F condation union du spermatozoide et de l ovule Zygote tiers sup rieur de la trompe blocage de la polyspermie appariement des chromosomes du p re et de la m re 46 chromosomes jumeaux faux jumeaux Situation probl me propos des vrais et des faux jumeaux Principales tapes du d veloppement embryonnaire et f tal Organog n se Annexes embryonnaires et leurs r les Divisions cellulaires siamois nidation hormone chorionique test de grossesse maintien du corps jaune et des taux hormonaux poche des eaux liquide amniotique ponction amniotique placenta changes m re enfant dioxyg ne dioxyde de carbone nutriments sels min raux vitamines d chets m taboliques drogues m dicaments virus f tus Projection de films vid os Photos Mat riel frais si possible placent Conf rences ou articles sur les dangers de l alcool de la nicotine des m dicaments Thalidomide probl mes li s la rub ole la toxoplasmose Accouchement principales tapes de l accouchement et lactation Oestrog nes prostaglandines ocytocine muscles ut rins contractions dilatation du col expulsion d livrance diminution du taux san
4. pr puce gland corps caverneux et spongieux Ovaire pavillon trompe de FALLOPE ut rus col de l ut rus vagin grandes l vres et petites l vres hymen clitoris endom tre L anatomie des appareils reproducteurs pourra tre abord e partir des repr sentations des l ves Le sch ma d une de ces repr sentations pourra tre dessin au tableau et servir de base la construction de l appareil Q et Cellules reproductrices formation et structure Gam te spermatozo de tube s minif re testicule pubert testost rone formation continue t te noyau acrosome pi ce interm diaire flagelle 23 chromosomes Ovule ovocyte ovaire follicule follicule de DE GRAAF ovulation vie embryonnaire pubert f condation fin de la transformation 23 chromosomes m nopause Base du cours divers documents ou mat riel frais dissection d un testicule de mouton par exemple abattoir La gam togen se est abord e de fa on simplifi e voquer simplement la r duction du nombre de chromosomes 46 23 chromosomes NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Cycles menstruel et ut rin de la femme 28 jours r gles ovulation strog nes corps jaune progest rone chute du taux hormonal en fin de cycle
5. MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE Administration G n rale de l Enseignement et de la Recherche Scientifique Service g n ral des Affaires p dagogiques et du Pilotage du r seau Enseignement organis par la Communaut fran aise ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DE PLEIN EXERCICE HUMANITES PROFESSIONNELLES ET TECHNIQUES ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL 7 ann e de type B qualifiante 7 ann e de type B compl mentaire T ann e de type B ancien r pertoire T ann e de type C FORMATION COMMUNE FORMATION SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE PROGRAMME D ETUDES DU COURS D EDUCATION SCIENTIFIQUE 334 2007 249 AVERTISSEMENT Le pr sent programme est d application partir de l ann e scolaire 2007 2008 en 7 ann e secondaire professionnelle de type C et de type B qu elle soit qualifiante ou compl mentaire ou qu elle rel ve de l ancien r pertoire Il abroge et remplace le programme 334P 2006 249 auquel il est identique Le programme 334P 2006 249 avait t approuv titre provisoire dans l attente de l avis favorable de la Commission des programmes pour les humanit s professionnelles et techniques Cet avis favorable tant intervenu le programme repris ci apr s 334 2007 249 a re u l approbation minist rielle titre d finitif Ce programme figure sur RESTODE serveur p dagogique de l enseignement organis par le Communaut fran aise Adresse http www restode cfwb be I
6. REMARQUES COMMENTAIRES Techniques modernes et reproduction humaine les d couvertes scientifiques et technologiques r centes permettant d apporter des solutions aux probl mes du couple en mati re de procr ation surveillance de la grossesse diagnostic pr natal infertilit masculine causes et traitements infertilit f minine causes et traitements procr ation m dicalement assist e techniques utilis es Amniocent se biopsie des villosit s chorioniques analyse g n tique caryotype anomalies g n tiques chographie f condation in vitro traitement hormonal superovulation transfert intratubaire de gam tes GIFT transfert intratubaire d embryons ZIFT Idem THEME 3 La reproduction humaine Les maladies sexuellement transmissibles MST NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Anatomie de l appareil reproducteur de l homme et de la femme Testicule scrotum bourses pididyme canal d f rent v sicule s minale prostate ur tre p nis pr puce gland corps caverneux et spongieux Ovaire pavillon trompe de FALLOPE ut rus col de l ut rus vagin grandes l vres et petites l vres hymen clitoris endom tre Voir commentaires formul s pour le THEME 1 Cellules reproductrices formation et
7. R Vanwuytswinkel r dit e par le Centre Technique et P dagogique de la C F de Frameries en 1996 18 THEME 2 L effet de serre NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Qu est ce que l effet de serre Cons quences de l effet de serre Quelle est l origine de l appellation effet de serre Une partie de l nergie provenant du soleil radiations visibles UV et IR est r fl chie par les gaz de la haute atmosph re tandis qu une autre fraction est absorb e par ces m mes gaz Le reste des radiations solaires 50 traverse l atmosph re et atteint la surface de la Terre Celle ci absorbe une partie du rayonnement solaire absorption par les plantes vertes r chauffement du sol et des oc ans vaporation des eaux de surface et en r fl chit une partie Certains gaz voir tableau ci apr s de la haute atmosph re absorbent une partie du rayonnement r fl chi par la Terre et le renvoient par rayonnement vers celle ci essentiellement des radiations IR donc de la chaleur Ce ph nom ne a t qualifi d effet de serre car il est analogue celui qui se produit dans une serre la lumi re solaire p n tre dans la serre o elle est partiellement absorb e et partiellement r fl chie Toutefois les parois de la serre absorbent et r mettent une partie de ce rayonnement le confinant l int rieur de la serre ce qui provoque un r ch
8. re qualitative Par exemple 10 instrumentistes jouant de la m me fa on x10 produisent une intensit sonore augment e de 10 dB 10 Il faut bien entendu pr ciser quoi correspondent OdB pas le silence et 90dB La loi log ne doit pas tre obligatoirement crite Les diff rents points mentionn s dans la partie acoustique seront plus ou moins d velopp s en fonction du temps disponible Si le professeur le juge indispensable certains pourront tre omis Le document du CAF Les ondes au niveau B destin au cours de 6 sciences de base peut aider le professeur lors de ses pr parations 26 THEME 2 Les ondes lectromagn tiques NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Introduction Ondes lectromagn tiques Cette introduction doit tre vue si le th me 1 n a pas t choisi Voir th me 1 Optique propri t s g n rales de la lumi re r flexion r fraction diffraction interf rences Polarisation facultatif Fr quence d une onde lumineuse monochromatique et couleur Lumi re d autres couleurs non monochromatiques m langes de fr quences Infrarouge et ultraviolet Ondes lectromagn tiques de fr quences non visibles Ondes GSM et four micro ondes autre gammes d ondes Le laser explication qualitative du principe de fonctionnement et applications Si le th me 1 n a pas t vu ce th me d butera obl
9. constituant 100 fois plus abondant que le CO dans l atmosph re ne contribue pratiquement pas au r chauffement global La raison se trouve aussi au niveau mol culaire les liaisons pr sentes dans la mol cule H2O n absorbent pas les radiations IR o La production de CO a particuli rement augment au cours des deux derniers si cles en raison notamment de la consommation croissante des combustibles fossiles consommation industrielle et circulation automobile de l accroissement de la production de CO par la biomasse comme cons quence de la pratique de cultures intensives o Les chlorofluorocarbones CFC lib r s par les a rosols ou lors de la destruction des appareils de r frig ration les CFC ont t massivement utilis s comme gaz de r frig ration dans les r frig rateurs participent de mani re importante l effet de serre En outre ils sont aussi incrimin s dans la destruction de la couche d ozones stratosph rique La lutte contre le r chauffement global implique la r duction de la production des gaz effet de serre Le protocole de KYOTO initi en 2001 constitue un premier pas dans cette direction en programmant une r duction de la production de CO due aux activit s humaines Ceci impose une r duction drastique de la consommation des combustibles fossiles carburants p troliers laquelle ne fait pas consensus dans les pays industrialis s Les CFC sont progressivement remplac s par des
10. formule g n rique NOx sont galement incrimin s mais dans une moindre mesure Ces d riv s proviennent des gaz d chappement des moteurs combustion interne v hicules automobiles moteurs industriels consommant des carburants p troliers moteurs d avions Recourir aux mod les mol culaires pour d crire les mol cules de CH et de Fr on Expliquer le principe de fonctionnement d un frigidaire plus particuli rement le r le du gaz r frig rant Montrer des chantillons de polym res expans s et expliquer le principe de la technique utilis e pour provoquer l expansion lors de leur fabrication 23 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Les Les m canismes qui conduisent la destruction de l ozone 203 302 sont A ce stade il est utile de pr senter de mani re 5 complexes et ne sont d ailleurs pas compl tement lucid s imag e et simplifi e ce qu est un radical CI ou O mecanismes de Il s agit dans tous les cas de r actions radicalaires impliquant le chlore atomique On empruntera la d marche suivante destruction de la couche d ozone CI ou l oxyg ne atomique O r actifs attaquant la mol cule O3 La r action volue par tapes l tape initiale tant la production des radicaux actifs CI ou O Comme l illustre le tableau ci dessous les CFC et les NO g n rent ces radicaux sous l effet des rayons UV
11. gaz ne contribuant pas l effet de serre tandis que les a rosols sous pression sont remplac s par des propulseurs m caniques Voir compl ment d information dans le THEME 3 21 THEME 3 La d pl tion de la couche d ozone stratosph rique NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS L ozone dans la haute atmosph re Le r le de l ozone Le trou d ozone L ozone est une forme mol culaire particuli re de l oxyg ne qui r pond la formule O3 La couche d ozone se situe dans la stratosph re entre 12 et 50 km d altitude Elle est constamment renouvel e par la concurrence entre les r actions de formation 1 et de d composition 2 Dans les conditions naturelles ces deux r actions sont en quilibre de sorte que le taux de formation de l ozone compense sont taux de disparition La r action 1 est initi e par les rayons UV solaires de haute fr quence Uvb R action 1 O 0O 2 O oxyg ne atomique o O gt O La r action 2 est initi e par les rayons UV solaires de basse fr quence Uva R action 2 O3 02 0 0O O 2 O Etant donn que les deux r actions pr c dentes n cessitent l absorption des radiations UV l effet majeur de l ozone stratosph rique est de r duire l intensit du rayonnement UV re u par la Terre en particulier celle des rayons UV les plus dangereux rayons UV de haute fr quence La concentra
12. l ves devraient tre capables de formuler les trois commentaires suivants o Bien que son pouvoir absorbant soit faible compar celui des autres gaz effet de serre faible capacit d absorption de la chaleur le CO appara t comme le principal responsable du ph nom ne o Les CFC jouent un r le non n gligeable dans la gen se de l effet de serre o Les agents responsables de l effet de serre sont pour la plupart des produits provenant des activit s humaines utilisation massive d engrais dans les cultures intensives biomasse et de la pollution combustion de carburants brouillard photochimique a rosols 20 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Les gaz responsables de l effet de serre donn es qualitatives Les rem des Les donn es quantitatives du tableau pr c dent appellent quelques commentaires o Le dioxyde de carbone alors qu il ne repr sente que 0 03 de l atmosph re terrestre et bien que son pouvoir absorbant soit relativement faible constitue le premier responsable du r chauffement global La raison se trouve dans une particularit de la mol cule de CO Contrairement aux autres gaz effet de serre les doubles liaisons pr sentes dans la mol cule O C 0 absorbent et r mettent s lectivement les radiations dans le domaine de l infrarouge IR domaine des ondes calorifiques Par contraste la Vapeur d eau un
13. qui se pose la classe est alors de comprendre d o viennent les couleurs observ es Les discussions devront conduire l hypoth se qu il y a des diffractions diff rentes pour les diff rentes couleurs qui composent la lumi re blanche Les couleurs seront alors associ es des ondes diff rant par leur longueur d onde ou leur fr quence Le professeur pr sentera alors un CD et il faudra expliquer pourquoi les couleurs de l arc en ciel y sont observ es Il faudra finalement amener les l ves formuler l id e qu il y a ici aussi un ph nom ne de diffraction et concevoir une exp rience permettant de valider cette hypoth se NB utiliser d abord un pointeur laser puis la source de lumi re blanche Le professeur pr sentera alors de CD comme un r seau en r flexion et montrera utiliser un r seau en transmission D autres ph nom nes observ s dans la vie courante peuvent galement servir de sujet d tude dans le cadre du cours d optique irisations la surface d une flaque d eau ou d une bulle de savon diffraction au travers de rideaux L univers Travail de recherche sur Internet concernant les exoplan tes Le professeur fournira une liste de questions et l adresse d un site voir ci apr s o les l ves pourront trouver les r ponses ces questions Ils devront structurer leur production crite La partie recherche de ce travail ne doit pas exc der une p riode de cours Elle peut ven
14. solaires NB Les quations qui figurent dans le tableau ci dessous sont les quations simplifi es des principales r actions en cause CFC NOx Exemples Fr on CCI2F2 NO2 Etape CCF gt CCIF CI NO gt NO 0 d initiation Destruction CI O CIO O3 de l ozone CIO Os gt CI 20 RE RE Bilan CCIF 203 CCIF CI 30 NO 03 NO NO Comme signal pr c demment les CFC sont les principaux agents de la destruction de l ozone stratosph rique Ce fait s explique d une part par la sensibilit de la liaison C CI aux rayons UV ce qui conduit la formation de chlore atomique CI extr mement r actif tape d initiation et d autre part par le fait que les radicaux CI consomm s sont r g n r s la fin du cycle Ils ont donc un r le catalytique et entretiennent une r action en cha ne Ainsi compte tenu de la dur e de vie moyenne des radicaux CI dans la basse stratosph re jusqu 10 ans on estime qu au d part d un atome de chlore CI 100 000 mol cules d ozone seront d truites En outre la dur e de vie des CFC tant de l ordre d une centaine d ann es leur radication compl te ne marquera ses effets positifs sur la couche d ozone qu apr s 2080 a Repr senter la structure lectronique de la couche valentielle du chlore dans la mol cule Cl sCI CI ou CIC b Sous l effet des rayons UV la mol cule subit une r
15. structure Gam te spermatozo de tube s minif re testicule pubert testost rone formation continue t te acrosome pi ce interm diaire flagelle 23 chromosomes Ovule ovocyte ovaire follicule follicule de DE GRAAF ovulation vie embryonnaire pubert f condation fin de la transformation 23 chromosomes m nopause Idem NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Cycles menstruel et ut rin de la 28 jours r gles ovulation strog nes femme corps jaune progest rone chute du taux Idem hormonal en fin de cycle Endom tre paississement vascularisation F condation union du Zygote tiers sup rieur de la trompe blocage de la polyspermie appariement des chromosomes Idem spermatozoide et de l ovule du p re et de la m re 46 chromosomes jumeaux faux jumeaux Maladies sexuellement transmissibles agents infectieux sympt mes effets traitements prophylaxie et moyens de protection H patite B vaccin syphilis tr pon me chlamydia gonorrh e Sida VIH s ropositivit trith rapie pr servatif Informations utiles propos des MST sur le site Internet http www doctissimo fr html dossiers mst mst htm CHIMIE THEME 1 L utilisation ratio
16. surfaces trait s Remarque L hydroxyde de potassium KOH s ou potasse caustique poss de les m mes propri t s et les m mes usages que la soude caustique Les pr cautions d utilisation sont identiques Analyser l tiquette d un conditionnement de soude caustique vendue comme d boucheur nature usages mode d emploi risques et pr cautions d utilisation Exp riences r aliser sous hotte a D montrer exp rimentalement les propri t s chimiques de la soude caustique action sur les indicateurs color s en solution caract re basique action de NaOH aq sur les m taux poudre de zinc ou d aluminium et sur certains sels A l tat solide action de NaOH s sur le chlorure d ammonium NHACI S d gagement d ammoniac NH3 9 En solution action de NaOH aq sur une solution de sulfate de cuivre ll CuSO aq pr cipitation de Cu OH bleu b Verser quelques mL de la solution concentr e de soude d boucheur dans un tube essais ajouter un petit fragment de graisse un morceau de beurre par ex Agiter r guli rement Observer le r sultat apr s quelques minutes c Laisser s journer des cheveux dans une lessive de soude d boucheur pendant quelques heures Observer le r sultat 17 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Les solvants organiques Expliquer les termes solvant et organique
17. M PHYSIQUE Pages de Physique Ces sites sont accessibles via le site du CAF http www lecaf be entree htm e CENTRE TECHNIQUE DE L ENSEIGNEMENT DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE Publications mat riel scientifique Aide personnalis e Route de Bavay 70 7080 Frameries T l 065 66 73 22 67 62 61 ASSOCIATION DES PROFESSEURS DE BIOLOGIE 29 rue Vautier 1000 BRUXELLES PERIODIQUE TRIMESTRIEL PROBIO revue http www probio be c o M G rard Cobut Mme J Mignolet T l 32 0 2 627 42 44 Fax 32 0 10 61 22 80 E Mail info probio be ASSOCIATION BELGE DES PROFESSEURS DE PHYSIQUE ET DE CHIMIE A B P P C Site www umh ac be abppc PERIODIQUE TRIMESTRIEL bulletin de l ABPPC Tr sorier M Alain BRIBOSIA Rue de la Couture 51 5570 BEAURAING T l 082 71 10 70 29
18. auffement de lair ambiant Dans le cas de la serre du jardinier le r chauffement de l air ambiant est bien l objectif recherch mais l chelle de la plan te le r chauffement global qui en r sulte a des cons quences dramatiques modifications climatiques grande chelle modification des limites des zones climatiques alt ration des courants a riens et oc aniques modification du r gime des pr cipitations changements concomitants de la biodistribution de la faune et de la flore extinction d esp ces modification de l habitat et migration d esp ces fonte des calottes polaires des glaciers et l vation du niveau des mers et des oc ans Faire rechercher ces informations par les l ves Site donnant des informations utiles http www cea fr fr pedagogie EffetDeSerre eds_1 htm recourir un sch ma pour d crire l effet de serre D finir le terme biodistribution 19 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Les gaz responsables de l effet de serre donn es quantitatives Les gaz responsables de l effet de serre Gaz Source principale Pouvoir absorbant relatif r f rence CO Contribution relative au r chauffement global H20 Evaporation des eaux de surface 0 1 n gligeable CO Combustion des carburants fossiles Production de la biomasse 50 CH D compositi
19. d autre part compte tenu de la multiplicit des options auxquelles elle s adresse En cons quence aux deuxi me et troisi me degr s cette formation s est fix e pour objectif de faire acqu rir des notions de base et des concepts fondamentaux dans les domaines de la biologie de la chimie et de la physique Ainsi les cours de sciences ont ils rev tu davantage la forme d une vulgarisation scientifique de bon aloi que celle d une formation scientifique pr parant des tudes sup rieures caract re scientifique lls se sont attach s la compr hension des principes plut t qu au formalisme aux g n ralit s plut t qu aux d tails C est finalement l acquisition d une culture scientifique qu ils ont vis Les notions les concepts et les principes qui ont t abord s jusqu ici doivent permettre aux l ves parvenus au terme des humanit s professionnelles de disposer de r f rences scientifiques leur permettant de comprendre et d valuer avec pertinence les grandes questions qui font d bat aujourd hui et propos desquelles la science peut apporter un clairage utile E cette fin il est n cessaire que les apprentissages favorisent l acquisition de comp tences et d attitudes qui attestent d un mode de raisonnement ad quat et rationnel la compr hension des rapports entre la science la technologie et l Homme l ouverture d esprit et le sens critique la curiosit intellectuelle Ces qualit s trouveront s exe
20. de la couche d ozone antarctique p le sud entre 1978 et 1991 http www cnes fr html 96_4138_4305_4309_ php Site g r par le Centre National d Etudes Spatiales CNES http fr wikipedia org wiki Couche_d ozone Site de l Encyclop die en ligne WIKIPEDIA On y trouve une bonne information g n rale sur le sujet 22 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Les agents responsables du trou d ozone Les agents responsables de la d pl tion de la couche d ozone stratosph rique sont les compos s d j voqu s propos de l effet de serre savoir les chlorofluorocarbones ou CFC Les CFC sont des d riv s fluorochlor s du m thane CH4 Le plus connu et le plus largement utilis est le Fr on qui r pond la formule CCF soit F CI cd CI FE On estime que les CFC sont l origine de 70 de la perte d ozone stratosph rique Les CFC ont t utilis s de mani re intensive depuis la fin des ann es 50 comme agents r frig rants dans les frigidaires et comme gaz propulseurs dans les a rosols sprays Ils ont galement t utilis s dans l industrie des polym res comme agent moussant pour produire l expansion de certains mat riaux plastiques polystyr ne expans mousse de polyur thane par exemple Les oxydes d azote gazeux N20 NO NO N20 et N205 plus simplement d sign s par la
21. e de sodium est il qualifi de soude Faire rechercher ces informations par les l ves La soude EAA 2 caustique caustique S agit il du m me produit que celui que l on conna t sous l appellation commerciale de soude SOLVAY La soude caustique est l hydroxyde de sodium NaOH s Elle se pr sente sous la forme d un solide blanc granul s ou paillettes En vue de son utilisation comme d boucheur de canalisations sanitaires elle est vendue sous la forme d une solution concentr e appel e essive de soude dont la concentration peut atteindre 50 en masse Utilisation domestique de la soude caustique o d bouchage des conduits d eaux us es siphons d viers sanitaires gouts par dissolution des graisses et d naturation des mati res organiques prot ines o d graissage industriel la soude caustique est un agent d graissant nerg tique et doit tre r serv des usages limit s NB ne pas utiliser ces m thodes pour des appareils lectrom nagers Risques de d t rioration du mat riel et de formation de sels toxiques Pr cautions d utilisation La soude caustique tant tr s irritante pour la peau et les muqueuses elle provoque de graves br lures il convient lors de sa manipulation o d viter dans toute la mesure du possible de travailler avec le solide o de porter des gants et des lunettes o de rincer abondamment l eau les objets ou les
22. es lunettes et de ne pas porter de v tements en nylon le nylon se dissout dans HCI concentr o de rincer abondamment l eau les objets ou les surfaces trait s o de stocker le produit labri de la chaleur et de la lumi re Analyser l tiquette d un flacon d esprit de sel nature usages mode d emploi risques et pr cautions d utilisation Exp riences r aliser sous hotte D montrer exp rimentalement les propri t s chimiques de l acide chlorhydrique action sur les indicateurs color s caract re acide sur les m taux sur les oxydes m talliques rouille sur certains sels carbonate de calcium ou calcaire CaCO s carbonate de cuivre ll CuCO s ou vert de gris a introduire un clou rouill dans une solution dilu e d esprit de sel dilution 1 5 de la solution commerciale Observer le r sultat b Introduire une pi ce de cuivre oxyd e CuO ou couverte de vert de gris CUCO dans la solution dilu e d esprit de sel Observer le r sultat c Montrer que contrairement au fer le cuivre d cap ne r agit pas avec HCI aq d Introduire un morceau de calcaire CaCO3 marbre dans la solution dilu e d esprit de sel Observer le r sultat e introduire un fragment de tissu en nylon dans de l esprit de sel concentr Observer le r sultat 16 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Pourquoi ce produit en fait l hydroxyd
23. et s L aspect historique des connaissances astronomiques peut galement tre expos ou faire l objet d un travail en classe par exemple bas sur des textes anciens On pourra se r f rer au CD Rom Un album photo de lunivers accompagnant le livre Introduction la physique moderne de M Bellemans disponible au centre technique et se trouvant normalement dans toutes les coles Site Internet utiles http mediad obspm fr exoplanetes http fr wikipedia org wiki SETI http setileague free fr index html 28 ADRESSES UTILES PROGRAMMES DE L ENSEIGNEMENT ORGANISE PAR LA C F Administration g n rale de l Enseignement et de la Recherche scientifique A G E R S Service g n ral des Affaires p dagogiques de la Recherche en p dagogie et du Pilotage de l enseignement organis par la Communaut fran aise Direction M thodes Exp riences p dagogiques Programmes Documentation et statistique p dagogique Boulevard du Jardin botanique 20 22 1000 BRUXELLES T l 02 690 81 20 02 690 81 21 Fax 02 690 81 34 e CENTRE D AUTOFORMATION DE L ENSEIGNEMENT DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE C A F Centre de documentation de l Enseignement du r seau de la CF Aide personnalis e La Neuville 1 4500 TIHANGE HUY T l Secr tariat 085 27 13 60 T l Service vente publications 085 27 13 63 SITES WEB BIOLOGIE BIODIDAC e CHIMIE DIDACHI
24. ex cathedra B TH MES PROPOS S Le tableau ci dessous pr sente de mani re synoptique les diff rents th mes d velopp s dans le programme THEME 1 THEME 2 THEME 3 La reproduction La reproduction La reproduction humaine les maladies BIOLOGIE humaine transmettre la humaine sexuellement vie La parent responsable sus transmissibles MST L utilisation rationnelle La d pl tion de la CHIMIE des produits chimiques L effet de serre couche d ozone usage domestique stratosph rique Les ondes PHYSIQUE Les ondes m caniques Sa L univers lectromagn tiques C COMP TENCES D VELOPPER Comme il a t mentionn dans l introduction l objectif majeur du programme sur le plan des comp tences est l acquisition d un comportement citoyen inform et responsable En d autres termes il s agit de faire acqu rir l l ve des connaissances des comp tences et des attitudes qui lui permettront de d coder d analyser et d interpr ter correctement les informations relatives une situation probl me donn e afin d en faire une valuation la plus objective possible avant de se forger une opinion et de prendre position Les ressources n cessaires sont celles qui permettront l l ve de se situer par rapport l environnement physique et humain par rapport aux technologies et aux sciences Sans pr tention d exhaustivit on citera e la compr hension de
25. guin de progest rone prolactine glande mammaire colostrum Projection de films vid os Bienfaits de l allaitement THEME 2 La reproduction humaine Parent responsable NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Anatomie de l appareil reproducteur de l homme et de la femme Testicule scrotum bourses pididyme canal d f rent v sicule s minale prostate ur tre p nis pr puce gland corps caverneux et spongieux Ovaire pavillon trompe de FALLOPE ut rus col de l ut rus vagin grandes l vres et petites l vres hymen clitoris endom tre Voir commentaires formul s pour le THEME 1 Cellules reproductrices formation et structure Gam te spermatozo de tube s minif re testicule pubert testost rone formation continue t te acrosome pi ce interm diaire flagelle 23 chromosomes Ovule ovocyte ovaire follicule follicule de DE GRAAF ovulation vie embryonnaire pubert f condation fin de la transformation 23 chromosomes m nopause Idem NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Cycles menstruel et ut rin de la 28 jours r gles ovulation strog nes femme corps jaune progest rone chute du
26. igatoirement par une introduction aux ondes La partie consacr e aux ondes lectromagn tiques doit commencer par une tude des ondes lumineuses Les diff rentes propri t s de la lumi re permettent d mettre l hypoth se que c est une onde On peut ensuite parler de sa fr quence l associer la couleur puis quitter le spectre visible pour introduire le reste des ondes lectromagn tiques 27 THEME 3 L univers NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Structure de l univers Les forces l uvre dans l univers Evolution de l univers La vie ailleurs dans lunivers Le syst me solaire Notre Galaxie amas de galaxies univers en expansion Gravitation Forces lectriques et nucl aires rappel fusion nucl aire Th orie du Big Bang La vie existe t elle ailleurs que sur Terre Quel est le point actuel des connaissances Dans le syst me solaire D tection d exoplan tes Le professeur choisira de d velopper telle ou telle partie de ce th me en fonction des possibilit s et des int r ts de chacun Certains points peuvent faire l objet d un travail de recherche condition qu il soit bien encadr par des consignes pr cises questions par exemple sur les exoplan tes voir situations d apprentissage On pourra faire r f rence aux projets SETI et SETI home Divers documents audiovisuels de qualit peuvent tre proj
27. indications figurant sur les tiquettes de produits commerciaux nature du produit composition affectation du produit mode d emploi dangers et pr cautions d utilisation e _en faisant r f rence des situations v cues et ou en soumettant aux l ves des cas pratiques e parla r alisation d exp riences par le professeur afin d amener les l ves r pondre des questions d ordre pratique telles que Pourquoi ne faut il pas verser un acide dans de l eau de Javel Pourquoi ne faut il pas manipuler de l esprit de sel en portant des v tements en nylon Pourquoi ne faut il pas utiliser des solvants organiques ac tone white spirit dans un local non ventil Pourquoi les produits organiques doivent ils g n ralement tre utilis s loin d une source de chaleur Les th mes 2 et 3 sont le plus souvent trait s dans le cadre d un cours de biologie consacr l environnement S ils sont repris comme th mes en chimie c est que les aspects plus sp cifiquement chimiques de l effet de serre et de la d pl tion de la couche d ozone stratosph rique ne sont souvent qu voqu s et parfois m me compl tement ignor s La mise en situation trouvera facilement son ancrage dans les m dia Relayant les inqui tudes des scientifiques ceux ci voquent de mani re r currente les menaces que font peser sur la plan te le r chauffement global fonte des glaces hausse du niveau des oc ans et des mers bouleve
28. ique canc rig ne dont l utilisation est strictement INTERDITE dans les laboratoires scolaires Le sulfure de carbone CS toxique et hautement inflammable est galement un produit dont l utilisation est interdite Faire rechercher ces informations par les l ves Demander aux l ves de nommer les solvants synth tiques diluants qu ils connaissent NB Sans en conna tre la nature pr cise ils seront capables de citer quelques solvants organiques parmi les suivants ac tone ther t trachlorure de carbone trichlor thyl ne trichlo perchlor thyl ne Ils citeront sans doute des solvants par leur appellation commerciale thinner white spirit ther de p trole naphta Faire analyser par les l ves des tiquettes de solvants identifier les pictogrammes et les phrases R et S Exp riences r aliser sous hotte Introduire 1 mL d une huile d une graisse d une peinture ou d un vernis non aqueux dans des tubes essais contenant 5 mL d eau et agiter Observer le r sultat R p ter l exp rience en introduisant les m mes produits dans les tubes essais contenant 5 mL 1 d ac tone 2 de white spirit 3 de thinner 4 de trichlor thyl ne Observer les r sultats NB Voir A R du 02 12 93 publi au Moniteur belge du 29 12 93 Annexes et V Une copie de ces annexes figure en annexe de la publication Chimie organique de J L Bouxin amp
29. l peut en outre tre imprim au format PDF TABLE DES MATI RES rA aiai aore la le ioa AIEE E AEE EE EEN RS EL RS dd B Th mes bDropos s sin EN M C Comp tences d velopper D Situations d apprentissage et mise en situation Dii Biologie Essen Dust Re es en ee ee D CRM Eran ea a a E AS M A ren DS PRYS GE Siiiaena Na Contenus notionnels Biologie Th me 1 La reproduction humaine transmettre la vie Biologie Th me 2 La reproduction humaine parent responsable Biologie Th me 3 La reproduction humaine les maladies sexuelle MONEtrANSMISSIDIeS esse ere nt ne A Ne tes Chimie Th me 1 L utilisation rationnelle des produits chimiques usage 0 LATE SU LOTS rneer eea E EErEE S Chimie Th me 2 L effet de serre Chimie Th me 3 La d pl tion de la couche d ozone Physique Th me 1 Les ondes Physique Th me 2 Les ondes lectromagn tiques Physique Th me SE UMNerS sense nahentisieninunannidirane Adresses utiles sreco Re ARE D A A AU A A dede a dea O1 B D D 13 15 19 22 26 27 28 29 A INTRODUCTION La formation scientifique dispens e dans l enseignement professionnel est forc ment limit e d une part en gard au volume horaire qui lui est consacr dans le cursus des tudes
30. lO aq 2NaCl aq O g Pr caution d emploi risques li s la pr sence en solution et au d gagement de chlore irritant pour les muqueuses toxique par inhalation Ne pas mettre de l eau de Javel en pr sence d un acide celui ci provoque une lib ration massive de chlore cf exp rience d crite ci contre L eau de Javel doit tre conserv e l abri de la chaleur et de la lumi re Risques pour l environnement action destructrice du chlore sur la faune et la flore lors du rejet d eau de Javel dans l environnement http fr wikipedia org wiki Eau_de_Javel analyser l tiquette d un conditionnement d eau de Javel nature usages mode d emploi risques et pr cautions d utilisation rappeler la notion de volume molaire d un gaz Vu soit le volume occup par 1 mol de gaz Aux CNTP Vu 22 4 L mol Faire calculer le degr chlorom trique d une eau de Javel dont la teneur en chlore est donn e en g L ou en en masse Exp riences r aliser sous hotte a b Ajouter lentement un acide dilu HCI dilu de eau de Javel et observer le d gagement de dichlore gazeux Cl g gaz de couleur jaune verd tre plus dense que l air Equation bilan NaCIO aq 2HC aq NACI aq CI2 g H20 1 Ajouter un colorant organique teinture de tournesol ou jus de chou rouge par exemple l eau de Javel pour constater ses propri t s d colorantes 15
31. nnelle des produits chimiques usage domestique NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES L eau de Par qui l eau de Javel a t elle t mise au point A quelle poque et pour quel s Faire rechercher ces informations par les l ves motif s Quelle est l origine de l appellation eau de Javel Javel Site donnant des informations utiles Composition de l eau de Javel solution d hypochlorite de sodium NaCIO et de chlorure de sodium NaCl dont la concentration est comprise entre 0 5 et 1 5 mol L Javel concentr e soit entre 35 5 et 105 g de Cl par litre Le degr chlorom trique D d une eau de Javel volume de dichlore gazeux Cl g que peut lib rer la d composition compl te d un litre d eau de Javel trait e par un acide dans les conditions normales de temp rature et de pression CNTP soit 0 C 1013 hPa NB 1 mol de Cl g repr sente 22 4 L Le degr chlorom trique d une eau de Javel D est compris entre 12 et 35 Utilisation domestique de l eau de Javel agent d sinfectant d sodorisant neutralise l ammoniac et le sulfure d hydrog ne et d colorant agent de blanchiment des mati res organiques en raison de la pr sence de chlore Cl l tat dissous Les solutions d eau de Javel s alt rent au cours du temps par d composition de l hypochlorite de sodium dismutation et lib ration de dioxyg ne 2NaC
32. obl mes techniques s av rent ardus et le co t de ces dispositifs reste lev 25 PHYSIQUE THEME 1 Les ondes NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Introduction Acoustique Propagation d une onde vitesse Energie et propagation d nergie Ondes transversales et longitudinales P riode et fr quence d une oscillation p riodique longueur d onde Propri t s g n rales r flexion r fraction diffraction dispersion interf rences r gime stationnaire r sonance Perception des sons par l oreille humaine fr quences audibles infrasons et ultrasons d finition du d cibel Instruments de musique corde vibrante tuyau sonore membrane vibrante fr quence propre r sonance caisse de r sonance Effet Doppler application en m decine explication qualitative Principe de num risation chantillonnage d un enregistrement audio CD Une seule loi num rique sera nonc e dans la partie du cours consacr e aux ondes A v T elle permettra de donner des ordres de grandeur de longueur d onde Le reste du th me sera vu de mani re qualitative et sera obligatoirement illustr de nombreuses exp riences corde vibrante long ressort slinky cuve ondes tuyaux sonores interf rences sonores d tect es avec un micro et visualis es l aide d un oscilloscope L chelle d cibel peut tre expliqu e de mani
33. on ana robique de la mati re organique fermentation 30 18 NOx N20 Production de la biomasse et d composition des engrais organiques Gaz d chappement 150 6 O Polluant secondaire des brouillards photochimiques smog des villes pollu es 2000 12 CFC Fr on Agents r frig rants des installations de r frig ration industrielles Gaz vecteurs des a rosols sprays 10000 25000 14 Il s agit du pouvoir d absorption des radiations infrarouges IR c d du rayonnement thermique Il permet de comparer la capacit des diff rents gaz emmagasiner la chaleur re ue Faire analyser le tableau ci contre par les l ves individuellement ou par groupes au d part des questions suivantes a Rechercher la signification des termes biomasse et d composition ana robie b 1 Identifier l agent principal responsable de l effet de serre 2 Comparer son pouvoir absorbant celui des autres compos s responsables de l effet de serre et commenter c Parmi les agents r pertori s dans le tableau identifier ceux qui ne sont pas d origine naturelle il s agit donc de compos s de synth se fabriqu s par l Homme d Parmi les gaz responsables de l effet de serre quels sont ceux qui sont issus des activit s humaines transports industries agriculture Sur la base des donn es fournies les
34. ons climatiques en modifiant les courants de convection stratosph riques alt ration du r gime des vents et des courants oc aniques La recrudescence des cyclones et des tsunamis en serait l une des cons quences La lutte contre la destruction de la couche d ozone passe forc ment par la r duction sinon l limination des agents responsables Les CFC ils sont presque compl tement limin s des domaines dans lesquels ils taient utilis s et remplac s par des produits alternatifs Protocole de MONTREAL 1987 Ces produits sont entre autres les fluorocarbones qui tout en ayant les propri t s des CFC n en pr sentent pas les inconv nients fragilit aux UV de la liaison chlorocarbon e C Cl la liaison C F tant beaucoup plus r sistante que la liaison C Cl Les hydrochlorofluorocarbones HCFC repr sentent galement une alternative int ressante Ces compos s sont des analogues des CFC dans lesquels subsistent de l hydrog ne CHCIF et CH CIF par exemple Ils r agissent assez facilement avec les radicaux OH pr sents dans l atmosph re et sont ainsi d truits avant d avoir pu atteindre la stratosph re Les NOx la r duction de leur mission par les moteurs explosion est obtenue par l utilisation de pots d chappement catalytiques Si cette technique est assez performante dans le domaine de l automobile elle est plus difficile mettre en uvre au niveau des installations industrielles les pr
35. op rer de mani re vari e Par exemple e en soumettant aux l ves des documents qui interpellent et qui par la discussion qu ils suscitent appellent un approfondissement articles de presse articles de revues scientifiques documents audio visuels missions scientifiques d bats t l vis s interview d une personnalit e en interrogeant les l ves sur leur degr d information et sur leurs repr sentations initiales de notions et de concepts qui seront abord s dans le th me contraception IVG th rapies g niques MST parent responsable D 2 CHIMIE Le premier th me abord est en rapport imm diat avec la vie quotidienne En effet tout citoyen quelle que soit sa formation initiale est amen manipuler des produits chimiques au cours de ses activit s domestiques eau de Javel pour d sinfecter et d sodoriser d boucheur pour canalisations sanitaires agent de d tartrage pour les percolateurs caf esprit de sel pour d rouiller les m taux solvants organiques pour diluer les peintures et les vernis d tachant pour enlever les taches de graisse solvant pour vernis ongles Tous ces produits pr sentent des risques et doivent tre utilis s de mani re appropri e Pour cela il faut tre inform propos de leur nature de leurs propri t s de leur mode d emploi et des pr cautions prendre lors de leur utilisation La mise en situation pourra se faire e en d codant les
36. rcer travers une premi re approche de quelques th mes en rapport avec des pr occupations soci tales actuelles C est dans cette optique qu a t con u le programme de 7 ann e Pour chacune des disciplines trois th mes sont propos s Certains th mes constituent diff rentes facettes d un m me sujet cf la partie biologie Lorsque le cours comporte une p riode hebdomadaire r serv e aux sciences un th me sera envisag dans chacune des disciplines Lorsque le volet sciences b n ficie de deux p riodes hebdomadaires deux th mes seront trait s dans chacune des disciplines Pour optimaliser la gestion du temps chacun des th mes repr sente un volume horaire d environ 8 p riodes Cette restriction impose de limiter le traitement du sujet une approche assez g n rale Le cas ch ant l accent sera mis sur les aspects plus en rapport avec l actualit en particulier lorsqu il s agit de questions qui font l objet d un d bat de soci t Le choix des th mes est libre La seule contrainte est que chacune des trois disciplines soit repr sent e Le professeur s efforcera de traiter le sujet sur un mode inductif en recourant autant que possible l exp rimentation en soumettant aux l ves des documents qu ils analyseront et interpr teront sous sa guidance Il convient avant tout de stimuler l int r t et la motivation des l ves en vitant un mode d enseignement frontal du type cours
37. rsements climatiques et la rar faction progressive de la couche d ozone stratosph rique augmentation du risque de cancers cutan s perturbations des cosyst mes terrestres et marins modification des courants de convection a riens et marins Les principales causes de ces alt rations de notre environnement son identifi es production de gaz effet de serre lors de la combustion des mati res organiques en premier lieu les carburants issus de la distillation du p trole destruction de l ozone de la haute atmosph re par les oxydes par les gaz propulseurs des a rosols ou CFC D 3 PHYSIQUE Les ondes lectromagn tiques Des exp riences de r flexion d ondes se propageant la surface de l eau sur des miroirs plan et concave puis des exp riences similaires en optique g om trique permettent d mettre l hypoth se que la lumi re se comporte comme une onde L observation d une diffraction la surface de l eau puis de la diffraction de la lumi re laser au travers d une fente ou d un r seau en transmission simple expliquer ce stade renforcera cette id e Le professeur r alisera alors une exp rience de diffraction en lumi re blanche par exemple en utilisant un projecteur de diapositive comme source puissante une fente troite est plac e la place de la diapositive et le projecteur est r gl pour obtenir l image de la fente sur l cran le r seau est plac devant l objectif La question
38. s quilibres naturels par le biais d une approche pluridisciplinaire e la reconnaissance de l impact des activit s humaines sur la dynamiques et l quilibre des cosyst mes e a reconnaissance de l influence positive ou n gative des d veloppements technologiques sur notre mode de vie e l aptitude rechercher l information et en valuer de mani re critique la fiabilit e la capacit op rer un raisonnement logique en utilisant une d marche scientifique e la capacit fonder ses choix sur des crit res objectifs et non sur des pr jug s ou des a priori e aptitude d fendre son point de vue en recourant des arguments pertinents et en faisant preuve d ouverture d esprit l gard d opinions diff rentes D SITUATIONS D APPRENTISSAGE ET MISE EN SITUATION D 1 BIOLOGIE Les trois th mes propos s se situent dans le cadre g n ral de La reproduction humaine Au deuxi me degr trois grandes fonctions physiologiques ont t envisag es la digestion la respiration et la circulation La reproduction humaine n a pas t abord e alors qu il s agit d un sujet qui par nombre de ses aspects soul ve des questions qui int ressent et concernent les jeunes gens au m me titre que leurs a n s La fonction de reproduction et les aspects sociaux thiques et de sant publique qu elle v hicule seront abord s dans les trois th mes du programme La mise en situation pourra s
39. taux Idem hormonal en fin de cycle Endom tre paississement vascularisation F condation union du Zygote tiers sup rieur de la trompe blocage de la polyspermie appariement des chromosomes Idem spermatozoide et de l ovule du p re et de la m re 46 chromosomes jumeaux faux jumeaux M thodes contraceptives description et modes d action Pr servatif prot ge contre les MST ligature des canaux d f rents pr servatif f minin agents spermicides st rilet pilule anticonceptionnelle strog nes progest rone en dosages variables minipilule ligature des trompes m thodes naturelles abstinence co t interrompu temp rature et glaire cervicale efficacit Dans la mesure du possible visite dans un centre de planning familial pr sentation et comparaison efficacit avantages inconv nients de diff rents moyens contraceptifs diaphragme st rilet tablette de pilules pr servatifs et M thodes abortives description fonctionnement et aspects psychologiques Avortement spontan fausse couche avortement provoqu interruption volontaire de grossesse ou IVG pilule abortive RU486 planning familial Dans la mesure du possible visite dans un centre de planning familial entretien avec psychologues et ou m decins 11 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS
40. tion en ozone de la stratosph re varie de mani re saisonni re au dessus des p les ph nom ne li la rotation de la Terre et aux variations saisonni res des mouvements atmosph riques de convection Depuis la fin des ann es 70 on a constat une r duction nette et progressive de la concentration en O au dessus des p les la couche d ozone pr sente une zone centrale particuli rement appauvrie qualifi e de trou d ozone REMARQUES COMMENTAIRES Remarque importante Il est question ici de la destruction de l ozone dans les couches sup rieures de l atmosph re terrestre la stratosph re entre 12 et 50 km d altitude Dans les couches inf rieures de l atmosph re la troposph re de 0 15 km d altitude on observe au contraire la formation d ozone Celle ci est la cons quence de la pollution par les compos s organiques volatils COV et par les oxydes d azote NOx du brouillard photochimique smog qui plane au dessus des villes pollu es par les gaz d chappement Les oxydes d azote plus particuli rement NO2 g en lib rant des radicaux O provoquent la formation d ozone O au d pens de l O de l air cf la 2 quation de la R action 1 ci contre Sites donnant des informations utiles http www planetecologie org ENCYCLOPEDIE Env ironEurope 2ATR 7ozone 0ozone htm Ce site dit par l Universit de Cambridge fournit une animation format MPGE montrant l volution
41. tuellement tre scind e et r partie entre plusieurs groupes Exemples de questions e Quelle est la diff rence entre une plan te et une exoplan te e Quelle s diff rence s y a t il entre une exo plan te et une toile e Les points lumineux observ s dans le ciel nocturne sont ils des exoplan tes Justifiez la r ponse e Quand a t on d couvert les premi res exoplan tes e Combien d exoplan tes a t on d couvert jusqu pr sent e A combien estime t on le nombre d exoplan tes dans notre galaxie e Expliquez bri vement la m thode de transit Permet elle de d tecter toutes les exoplan tes Pourquoi e Pourquoi est il si difficile d observer et de photographier directement une exoplan te e A t on d j pu photographier une exoplan te e Le site Internet o vous avez recherch vos informations est il fiable Comment pouvez vous vous en assurer en dehors du fait qu il vous a t renseign par le professeur Adresse Internet fournie Observatoire de Paris Meudon http media4 obspm fr exoplanetes CONTENUS NOTIONNELS BIOLOGIE THEME 1 La reproduction humaine Transmettre la vie NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Anatomie de l appareil reproducteur de l homme et de la femme Testicule scrotum bourses pididyme canal d f rent v sicule s minale prostate ur tre p nis
42. upture homolytique chaque atome de chlore reprend son lectron de liaison oo e oo oo 8CIS Ci gt 38Cle C oo 00 ce c Notation conventionnelle CI d Insister sur le fait que les radicaux libres comme CI ou O sont extr mement r actifs en raison de la pr sence d un lectron libre C est la raison pour laquelle les corps simples hydrog ne oxyg ne chlore ou azote n existent l tat naturel que sous la forme de mol cules diatomiques H2 O Ch N3 24 NOTIONS MOTS CLES EXPLICITATION DES NOTIONS REMARQUES COMMENTAIRES Cons quences de la d pl tion de la couche d ozone Les rem des L effet majeur de la d pl tion de la couche d ozone stratosph rique est de priver la Terre de son bouclier naturel contre les radiations UV de haute fr quence les plus nerg tiques donc les plus dangereuses Les dommages produits par les rayons UV touchent directement les cellules plus particuli rement le noyau et alt rent le mat riel g n tique Il en r sulte un risque accru de d veloppement de cancers cutan s m lanome et d accidents li s un exc s de rayonnement UV vieillissement pr matur de la peau r actions allergiques La faune et la flore ne sont pas pargn es par ces atteintes cellulaires inhibition de la photosynth se de la croissance rar faction du phytoplancton La d pl tion de la couche d ozone entra ne galement des modificati
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