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Parmi les sujets sélectionnés dans ce numéro :

1. Clotilde Mazerolles PharmD Nadine Vincent PharmD Aurelio Zerial PhD and a panel of Experts specialized in drug and device evaluation medical amp scientific Yves TILLET MD WHITE Tel 33 0 1 600 843 85 35 rue Franck H mon F 77500 CHELLES Le Cabinet WHITE TILLET est lorsque les prestations le justifient 32 D WHITE TILLET T Experience amp Expertise Associate Consultants amp Experts Tel 33 1 600 843 85 E mail white tillet white tillet com Website www white tillet com Pour abonner vos ami e s crire white tillet white tillet com Pour vous d sabonner crire contact wt wanadoo fr 33
2. HT TVA 19 6 pour 1 journ e de formation au choix 1495 HT TVA 19 6 pour une participation aux 2 journ es 10 de remise si inscription avant le 15 avril 2014 ou au del de deux personnes Cette formation entre dans le cadre du DIF ou de la formation continue Inscription gr ce au bulletin d inscription joint OBJECTIFS A l issue des deux jours de formation les participants gt poss dent les bases de la microbiologie gt connaissent les r glementations permettant la mise sur le march des produits biocides notamment TP1 2 3 4 gt connaissent les produits fronti res des biocides et leurs sp cificit s r glementaires cosm tiques biocides d sinfectants dispositifs m dicaux gt poss dent les bases de la formulation de nombreux produits cosm tiques Une d couverte pratique des microorganismes animera ces deux journ es METHODE PEDAGOGIQUE Avec des intervenants int grant les valeurs m tiers de la chimie fine fondamentaux exercices et cas concrets retours d exp rience travaux pratiques in vivo visualisation identification des microorganismes en Laboratoire sur le site du stage Vous pouvez directement visualiser la fiche p dagogique ainsi que le bulletin d inscription Pour plus de renseignements n h sitez pas nous contacter www scientis fr T l 33 0 1 41 50 59 89 Fax 33 0 1 41 50 05 06 30 Congres International A3P 14 15 et 16 octobre 2014 Biarritz CONFERENCE
3. Le communiqu de presse de la HAS b 2 Lo Les h pitaux publics nouveau dans le rouge en 2013 Apres une ann e dans le vert en 2012 27 millions d exc dents largement d s a des l ments exceptionnels comme des cessions d actifs immobiliers les comptes des tablissements de sant publics sont nouveau en d ficit en 2013 d apr s les chiffres publi s mardi par le minist re de la Sant Un d ficit global qui s est tabli 70 millions d euros l ann e derni re mais qui ne repr sente que 0 1 du total des produits des h pitaux souligne Jean Debeaupuis directeur g n ral de la DGOS au minist re Cette perte comptable de 2013 est aussi tr s concentr e 37 tablissements sur 950 au total repr sentent la moiti du d ficit En 2013 les charges du personnel ont augment plus vite 2 8 que les revenus des tablissements une premi re depuis 2009 Cette d gradation s explique par un effet de ciseaux entre les revenus et les frais de personnel explique le minist re Les produits vers s par l Assurance maladie qui repr sentent 75 des revenus des h pitaux n ont progress que de 2 2 apres r int gration du FIR Les recettes per ues aupr s des patients des compl mentaires et de l tat ont de leur c t augment de 2 5 La capacit d autofinancement a recul de 8 l an dernier alors qu elle tait d j en baisse de 4 en 2012 Enfin la dette des h pitaux a continu progresser l
4. amp Brain Abnormalities Linked to Internet Addiction 4 Mounting research points to the potentially devastating effects of Internet addiction especially in adolescents A new literature review of 13 published articles showed that people with Internet addiction disorder IAD especially those addicted to Internet gaming tend to have certain brain abnormalities The results were presented here at the American Psychiatric Association s 2014 Annual Meeting Source Medscape 19 K World Health Organization http www who int en Webzine A S eS 6 amp _ Base de donn es m dicament e Cardiologie e Contraception Insuffisance r nale Neurologie Virologie e Pneumologie e Urologie source HAS amp EUROPEAN JOURNAL OF PUBLIC HEALTH htto eurpub oxfordiournals org content current EUROPEAN JOURNAL OI PUBLIC HEALTH Volume 24 Issue 3 June 2014 Editorial Viewpoints Commentaries Socioeconomic inequalities Economic crisis Work and health Tobacco control Alcohol policy Miscellaneous SO NN NON NR ON NN European Public Health News HEALTH AFFAIRS http www healthaffairs org Vol 33 No 5 May 2014 20 US Hospitals Responding To An Uncertain Environment San JOURNALS From the Founding Editor Entry Point Payment Paradox Hospitals And The Recession Focused Factory Model Physician Practices At Hospi
5. ANS and on Food Contact Materials Enzymes Flavourings and Processing Aids CEF Panel Members will serve on the respective Panels as of 1 July 2014 for a three year term The nomination of Panel members follows a strict selection procedure Following a call of interest applicants were evaluated against defined selection criteria and the selection process was reviewed by an external evaluation committee Members of the respective panels were appointed by EFSA s Management Board on 20 March 2014 Commenting on the composition of the new Panels Dr Juliane Kleiner EFSA s Head of the Science Strategy and Coordination Department said Our call for experts attracted a very high calibre of scientific expertise in the important areas covered by the ANS and CEF Panels such as food additives and food contact materials EFSA extends a warm welcome to the members of the two Panels both the new faces and those who have been reappointed and looks forward to a fruitful three years working with them EFSA is currently renewing membership of its Scientific Committee and eight remaining Panels e Additives and products or substances used in animal feed FEEDAP e Animal health and welfare AHAW e Biological hazards BIOHAZ e Contaminants in the food chain CONTAM e Dietetic products nutrition and allergies NDA e Genetically modified organisms GMO e Plant health PLH e Plant protection products and their residues PPR
6. Health Policy amp Regulation REGULATORY INTELLIGENCE SERVICE Friday June 6 2014 SW23 2014 Le webzine du cabinet White Tillet Send a surprise gift to your friends sign them up to receive our free weekly Webzine by sending their email address to white tillet white tillet com gt SOMMAIRE HISTORY SOCIETY o LEGISLATIF SOCIAL ECONOMIQUE e SANTE PUBLIQUE o ALIMENTATION ENVIRONNEMENT e EVENTS TRAINING BOOKS AWARDS Parmi les sujets s lectionn s dans ce num ro Le nombre de demandeurs d emploi inscrits en cat gorie A P le emploi a encore bondi de 14 800 en avril p 3 Les d penses d assurance maladie du r gime g n ral en hausse de 2 7 sur un an fin avril 2014 p 3 PAERPA la HAS publie de nouveaux documents sur le plan personnalis de sant et l ducation th rapeutique p 4 WHO urged not to class e cigs as tobacco products p L avis du Haut Conseil de la Sant publique HCSP sur la cigarette lectronique a t publi Plan anti tabac les 3 mesures chocs de Marisol Touraine p 7 p 9 Health services should be small and local NHS chief Stevens p 10 Cancer du poumon l haleine un outil de d pistage p 11 Tamoxifen for 10 Years an Option ASCO Guideline Update p 13 Number of drugs prescribed for alcoholism leaps 79 ina decade p 15 Produits et substances chimiques future source de contentieux p 24 ANSES lons perchlorate travaux et reco
7. penses rembours es par le R gime g n ral dans le champ de l ONDAM sont en hausse fin avril 2014 de 2 7 en donn es CJO CVS un chiffre en l g re baisse par rapport au mois pr c dent 2 8 Les d penses de soins de ville augmentent en rythme annuel de 2 5 contre 2 8 3 en mars Les diff rents postes de d penses sont relativement stables a l exception des soins de m decins et dentistes qui reviennent 2 8 contre 4 1 le mois pr c dent Les d penses d auxiliaires m dicaux sont toujours sur une pente forte bien qu un peu moins soutenue 6 7 que lors du mois pr c dent et celles des m dicaments d livr s en ville toujours tr s sages 0 2 Les indemnit s journali res augmentent de 1 3 en rythme annuel Mais elles sont assez dynamiques depuis le d but de l ann e 3 2 sur les quatre premiers mois 2014 Toujours en ann e compl te mobile les d penses des tablissements sont en hausse sur douze mois de 2 3 contre 2 2 fin mars pour le public de 2 9 contre 3 4 pour le priv et de 4 5 pour le m dico social stable Source Annuaire s cu Communiqu de la CNAMTS du 28 mai 2014 ai S curit sociale amp Selon le comit d alerte la sous ex cution de l ONDAM 2014 pourrait atteindre plusieurs centaines de millions d euros Dans son avis rendu le 11 avril dernier le comit d alerte avait estim que les d penses d assurance maladie devraient pouvoi
8. Quant aux ch meurs de longue dur e leur nombre a bondi en avril de 1 1 pr s de 2 115 millions d inscrits L encore un triste record portant 42 4 leur part parmi l ensemble des demandeurs d emploi L anciennet moyenne ressort 521 jours Source Annuaire s cu Demandeurs d emploi inscrits et offres collect es par P le emploi en avril 2014 28 mai 2014 P le emploi continue susciter des blogs Sur son blog Michel Abherv professeur associ l universit de Paris Est Marne la Vall e nous propose un petit tour d horizon actualis des diff rents blogs que suscite le fonctionnement pas toujours optimum de l op rateur public Mais suivre l actualit des blogs n est pas chose ais e pr vient l universitaire leur dur e de vie tant parfois courte Un certain nombre manent d agents de l institution Apr s La Fusion pour les Nuls aujourd hui disparue on retrouve sur Les irritants de P le emploi des informations r guli res et des commentaires qui font parfois partie des irritants People Emploi Magazine propose de nombreux textes dont certains internes l institution qui gagnent tre connus Source Annuaire s cu La suite sur le blog de Michel Abherv LEGISLATIVE SOCIAL ECONOMIC OCt4 ak i ae s EA assurance Maladie Les d penses d assurance maladie du r gime g n ral en hausse de 2 7 sur un an fin avril 2014 Sur les douze derniers mois les d
9. amp L Anses publie son rapport d activit 2013 L ann e 2013 a t particuli rement active pour l Anses que ce soit par la publication d avis significatifs les activit s de recherche et de r f rence men es au sein de ses laboratoires le lancement d un nouveau site Internet ou encore la certification ISO 9001 reconnaissance de la qualit de l expertise de l Agence Le rapport d activit publi aujourd hui revient en d tail sur les faits marquants de l ann e 2013 illustrant l tendue de son champ de comp tences et son d sir de prot ger les citoyens au quotidien tout en gardant un temps d avance pour anticiper toujours plus efficacement les risques mergents T l charger le rapport d activit 2013 de l Agence pdf 27 EVENTS TRAINING BOOKS AWARDS ee j E D P P f i Zs PARIS DESCARTES La facult des sciences pharmaceutiques et biologiques de l Universit Paris Descartes conclut l ann e universitaire avec la s rie de s minaires de formation suivant Le 16 juin Etudes de cas en pharmacovigilance les atteintes h patiques m dicamenteuses alternant expos s th orique et tudes de cas cette formation pourra s enrichir d exemples amen s par les stagiaires Elle est r f renc e OGDPC Le 27 juin Pharmacovigilance et r seaux sociaux Organis e avec le concours de responsables de pharmacovigilance CRPV laboratoires pharmaceutiques soci t s pre
10. an dernier de 1 milliard d euros passant 29 milliards La progression de l endettement est cependant ralentie en particulier gr ce au recul des investissements rel ve Jean Debeaupuis Les d penses d investissement ont recul de 10 en 2013 5 milliards d euros et devraient encore baisser cette ann e La d crue devrait se poursuivre estime le directeur Apr s des ann es d investissements massifs cons quence des plans H pital 2007 et H pital 2012 le gouvernement vise des d penses r duites 4 5 milliards par an en moyenne au cours des dix prochaines ann es Source Annuaire s cu Les h pitaux publics sont nouveau en perte Le Figaro conomie FHF BU LH HEEF AL ts Li LHL amp Rapport annuel 2013 de la F d ration hospitali re de France Regroupement de 1 000 h pitaux publics et de 3 800 tablissements m dico sociaux la F d ration hospitali re de France FHF a mis en ligne son rapport annuel 2013 l occasion des Salons de l autonomie et de la sant Il d taille notamment les chiffres cl s de la FHF et du monde hospitalier et m dico social les faits marquants qui ont ponctu l ann e les missions et actions de la FHF et des f d rations r gionales ainsi que des donn es chiffr es sur la vie interne de la F d ration Le rapport 144 pages amp L atlas des syst mes d information hospitaliers 2014 de la DGOS La direction g n rale de l offre de soins DGOS a mis
11. class as traditional tobacco products but the authors of the letter argue that regulators should avoid support for measures that could have the perverse effect of prolonging cigarette consumption We are deeply concerned that the classification of these products as tobacco will do more harm than good Speaking to the BBC Prof West said e cigarettes are orders of magnitude safer than tobacco cigarettes saying that we need to weigh up the benefits of fewer people smoking against the risk of electronic cigarettes leading to more people starting to smoke Source PharmaTimes Haut Conseil de la RCE amp L avis du Haut Conseil de la Sant publique HCSP sur la cigarette lectronique a t publi 4 4 oi Oui La cigarette lectronique peut tre consid r e comme un outil de r duction des risques du tabagisme d s l instant o le fumeur de tabac a recours l e cigarette pour arr ter de fumer indique l avis Mais Au vu de l analyse de la litt rature internationale sur le sujet le HCSP conclut pour l instant qu il n y a pas d efficacit significativement plus importante par rapport aux substituts nicotiniques Et d ailleurs pr cise Francois Bourdillon pr sident de la commission pr vention du HCSP pour l heure il n y a pas de preuve que l e cigarette conduise a l arr t du tabac car la majorit des utilisateurs vapote et fume en
12. lamp products poses a risk of skin cancer for all users but the highest risk for skin cancer is in young persons under the age of 18 and people with a family history of skin cancer Source Medscape 11 fa L due Articulation entre sant au travail et sant publique une illustration au travers des maladies cardiovasculaires Dans le prolongement d un premier rapport publi en juillet 2013 Interactions entre sant et travail l Inspection g n rale des affaires sociales IGAS a diffus le 23 mai 2014 un rapport qui poursuit l examen de l articulation entre sant au travail et sant publique au travers de l exemple des maladies cardiovasculaires MCV Constatant que certains facteurs de risque de MCV sont de nature professionnelle agents chimiques stress ainsi que contraintes physiques et organisationnelles l Inspection appelle ce que les d marches de pr vention des risques professionnels men es en entreprise prennent en compte ce type de maladie et que la pr vention des MCV fasse aussi partie du prochain plan sant au travail Plus g n ralement pour l Inspection l entreprise est un lieu de pr vention laquelle doit articuler sant au travail et sant publique Tout en relevant les obstacles la mise en uvre des politiques de pr vention et la promotion de la sant en entreprise notamment la p nurie de m decins du travail et l volution des modes de travail elle propose un certain nombr
13. may be significant they write The results were presented here at the American Psychiatric Association s APA s 2014 Annual Meeting Source Medscape Love Addiction Biology Gone Wrong Love addiction a condition characterized by severe pervasive and excessive interest toward a romantic partner may actually be a form of attachment disorder new research suggests A new literature review of studies using the terms love addiction pathological love and behavioral addiction showed possible involvement of the brain reward dopaminergic system as well as attachment related biological systems We wondered where does love a feeling of well being devolve into addiction And what might be the criteria for love addiction and its destructive and dysfunctional behaviors asked Vineeth P John MD associate professor of psychiatry and behavioral health at the University of Texas Health Science Center in Houston during a press briefing here at the American Psychiatric Association 2014 Annual Meeting 18 Still he told Medscape Medical News that it is important not to medicalize normal albeit deep love Instead clinicians should be concerned if patients stay in a relationship despite danger or if have severe pining long after a breakup despite knowing the relationship is over There is an urgent need for a better conceptualization of love addiction from a nosological and neurobiological perspective the inves
14. sont pas satisfaisantes mais des pistes pour l am lioration de l interface ville h pital ont t identifi es et propos es Article en PDF NHS amp Health services should be small and local NHS chief Stevens Simon Stevens the new chief executive of NHS England says the service needs to return to treating more patients in their local communities and learn from countries such as Sweden Holland and the USA to bolster care around small hospitals Speaking to the Daily Telegraph ahead of a major speech to the NHS Confederation s conference in Liverpool on Wednesday he said that most of western Europe has hospitals which are able to serve their local communities without everything having to be centralised He added that the service needs to abandon a fixation with mass centralisation and instead invest in community services to care for the elderly Mr Stevens told the newspaper that the single most important question facing us is how do we best support older people Two thirds of hospital patients are over retirement age However you cannot have a modern health service that is not treating older patients with dignity and compassion supporting them at home and ensuring targeted prevention He argues that the system of care outside hospitals is too complex with too much duplication and too many gaps for patients to fall through he suggests There is a big opportunity to reorganise that so it meets the ne
15. tools in new and more powerful ways to improve and extend patients lives Dr Hudis explained These are big time data that will have a strong impact on a small subset of men with metastatic prostate said Andrew Armstrong MD associate professor of medicine and surgery at the Duke Cancer Institute in Durham North Carolina Source Medscape amp Death Due to Unnatural Causes More Common in Diabetes Unnatural deaths are more common among people with diabetes at least in Sweden according to the results of a new study The findings represent the first comprehensive national epidemiologic study of unnatural death in diabetes and were published online May 21 in Diabetes Care by Roger T Webb PhD a senior research fellow at the Centre for Suicide Prevention University of Manchester United Kingdom and colleagues from Sweden The researchers found increased risks for death from unnatural causes including suicide accidents and even homicides among people with both type 1 and type 2 diabetes They also show that the fatalities occurred at a younger age among diabetes patients than in the general population Various causes of unnatural death in particular deliberate and accidental poisonings occur more frequently among diabetic patients Before preventive strategies can be implemented a deeper understanding of the risk factors and causal mechanisms explaining the marked elevations in risk is needed Dr Webb and collea
16. Bons de Commandes www alainrusterholtz com Pour une commande sp ciale alain rusterholtz wanadoo fr 23 ALIMENTATION ENVIRONNEMENT PAROLES D EXPERT Produits et substances chimiques future source de contentieux Sylvie Gallage Alwis Avocat a la Cour Solicitor in England amp Wales Senior Associate Le 28 avril de chaque ann e est marqu par la journ e mondiale de la s curit et de la sant au travail organis e sous l gide de l Organisation Internationale du Travail OIT En 2013 le Bureau International du Travail BIT s est focalis sur la pr vention des maladies professionnelles les d signant comme constitutives d une pid mie cach e qui frapperait 2 02 millions de personnes chaque ann e dans le monde Un chiffre mettre en perspective avec le nombre d accidents du travail qui serait bien inf rieur et repr senterait 321 000 cas Le BIT expliquait ainsi qu en d autres termes sur environ 6 300 d c s li s au travail constat s chaque jour 5 500 sont caus s par divers types de maladies li es au travail Il est int ressant de noter que dans ce rapport le BIT apr s avoir list les pneumoconioses identifiant sp cialement celles li es l amiante et la silicose les troubles musculo squelettiques TMS et les troubles psychiques comme tant les causes premi res de maladies professionnelles a attir l attention sur les risques mergents et nouveaux d fis Le BIT a plu
17. Objectif en France l interface entre les soins primaires et les soins hospitaliers est la principale fracture de l offre de soins L objectif de cette tude tait de recueillir l opinion des m decins g n ralistes sur la qualit du service rendu par un h pital et sur leurs relations avec les quipes hospitali res 9 M thodes il s agissait d une enqu te par questionnaire auto administr adress par voie postale aux m decins g n ralistes du territoire de sant du Centre hospitalier universitaire de Grenoble R sultats parmi les 778 m decins g n ralistes inclus dans l tude 327 42 ont renvoy un questionnaire exploitable L indicateur de satisfaction globale obtenait une note moyenne de 55 5 100 Le score le plus lev 66 100 tait attribu l indicateur portant sur les soins dispens s aux patients Venaient ensuite les indicateurs portant sur la continuit des soins 45 100 et sur l acc s aux soins 43 9 100 Les scores les plus faibles concernaient le courrier d hospitalisation 35 9 100 la pr paration de la sortie 29 3 100 et leur difficult majeure joindre les m decins hospitaliers 20 2 d avis favorables Ils n taient pas satisfaits des d lais de transmission des informations 17 1 et consid raient que les m decins hospitaliers ne les faisaient pas participer aux d cisions concernant leurs patients 4 6 Conclusion les communications entre m decins g n ralistes et hospitaliers ne
18. S ATELIERS EXPOSITION TABLE RONDE Traduction simultan e Anglais lt gt Fran ais Chaque ann e plus de 600 professionnels des industries pharmaceutiques et biotech se retrouvent Biarritz au mois d octobre pour partager leurs exp riences et d couvrir les innovations techniques et scientifiques du moment 3 th mes ont t d finis pour orienter l dition 2014 du Congr s International A3P Maitrise de la Contamination Utilit s Pharmaceutiques Dispositifis M dicaux PROGRAMME INSCRIPTION EXPOSITION 31 WHITE TILLET Se Experience amp Expertise The Cabinet WHITE TILLET consists in an Associate Senior panel of Experts and Consultants French and British whose experience and expertise can offer a wide range of multidisciplinary Industrial Health Services in quality development regulatory affairs registration reimbursement and business development The Cabinet WHITE TILLET is also access to an international network composed of professionals in Regulatory Affairs selected experienced as reliable sources of information advice and assistance in the world PROFESSIONAL SERVICES MEDICINAL PRODUCTS MEDICAL DEVICES ISO 9001 ISO 13485 Audit Qu Aseurence GMP Partie 1 amp 2 Gay Management Systems implementation 0 Development Pharmaceutical Technical Development Plans ASMF Advices in Regulatory and Methodology Nonclinical Selection and Follow up of Nonclinical and Clinical CROs C
19. act du vin rouge et de ses composants sur la sant buccale Maria Victoria Moreno Arribas et ses collaborateurs de l Institut espagnol d investigations des sciences de l alimentation et de l universit de Zurich ont montr que les polyph nols contenus dans ce type de boisson ralentissent le d veloppement du film bact rien qui se fixe sur les dents Ce dernier se d pose sous forme de plaques qui favorisent la synth se de sucre et entra nent terme l apparition de caries de gingivites et sont peut tre l origine d un d chaussement dentaire Pour en arriver cette conclusion les chercheurs espagnols et suisses ont cultiv des bact ries dans un milieu proche de l environnement buccal avant de les plonger dans diff rents liquides vin rouge vin rouge sans alcool vin rouge m lang un extrait de p pins de raisin de l eau et de l thanol 12 Les r sultats ont montr que seuls les liquides contenant du vin rouge taient efficaces et permettaient de r duire le d veloppement bact rien Forte de ces donn es l quipe de Maria Victoria Moreno Arribas envisage de mettre au point des dentifrices et des bains de bouche base des polyph nols contenus dans le vin rouge Source InformationHospitali re amp Sports related Injuries Can Cause Isolated Renal Trauma Boxers are not the only athletes who take blows to the kidneys recreational athletes such as cyclists skiers and snowboarders can a
20. ant ainsi les travailleurs des risques inconnus Plus g n ralement le BIT regrette le fait que si la cadence des innovations et des progr s de la recherche en mati re de d veloppement et d utilisation des produits chimiques est tr s soutenue les tudes portant sur les aspects li s la s curit et la sant de ces produits chimiques suivent un rythme bien plus lent S agissant de la France cette remarque suscite plusieurs commentaires La jurisprudence actuelle relative l exposition l amiante celle qui se d veloppe en mati re de pesticides et la r cente plainte d pos e contre X du fait du d passement des seuils de particules fines dans l air doivent tre mises en perspective avec le rapport du BIT En effet il est crucial de comprendre que ce rapport pourra tre utilis l avenir par de potentielles victimes pour d montrer que les industriels devaient avoir conscience du danger li l utilisation de produits chimiques Il ne pourra en revanche sans doute pas tre utilis pour d montrer que des incertitudes scientifiques existaient et que l utilisation de ces produits tait l gale En effet la jurisprudence susvis e tend faire jouer les incertitudes scientifiques l encontre des industriels renversant la charge de la preuve et se contentant de liens de causalit tres fins Elle n accorde en outre pas d importance la l galit de l utilisation du produit L impact de ce rapport est d aut
21. ant plus grand qu il ne se limite pas aux expositions professionnelles directes savoir aux ouvriers fabriquant les produits chimiques Le rapport alerte galement sur toutes les expositions indirectes comme par exemple l exposition aux solvants ou aux particules de toners dans les bureaux Il doit d s lors tre recommand chaque professionnel de mettre en place des m thodes de travail associ es des protections d s qu il l estime utile et ce m me si la l gislation n impose pas encore de telles d marches 25 gt efsam EE CZ Foi Salet Acthawit http www efsa europa eu fr Inscrivez vous la prochaine r union pl ni re du comit scientifique Les observateurs qui souhaitent assister a la r union pl ni re du comit scientifique de l EFSA des 8 et 9 juillet prochains Parme peuvent s y inscrire jusqu au 23 juin Pour les scientifiques qui envisagent de rejoindre le comit ou les groupes scientifiques de l EFSA qui seront renouvel s en 2015 cette r union constitue une bonne occasion de venir voir comment fonctionne une r union pl ni re e EFSA scientific meetings open to observers guidelines amp registration amp EFSA renews membership of ANS and CEF Panels for new three year term The European Food Safety Authority EFSA has published today the names Declarations of Interest and CVs of members of its renewed Scientific Panels on Food Additives and Nutrient Sources Added to Food
22. de sa sup riorit sur les substituts nicotiniques classiques un tude australienne tend seulement le laisser penser faute de puissance suffisante Rappelons toutefois que la cigarette lectronique contenant de la nicotine associe la fois l effet nicotinique et celui de la gestuelle c est ce qui plait aux fumeurs Il existe galement des cigarettes lectroniques sans nicotine dont l efficacit reposerait sur la gestuelle seule Quoiqu il en soit m me si dans une majorit de cas le sevrage tabagique n tait que partiel la cigarette lectronique permettrait de diminuer la consommation de tabac qui tue tout de m me 70 000 personnes par an en France C est comme si la population d une ville de taille moyenne disparaissait chaque ann e Ce serait d j un succ s Pourquoi demander davantage la cigarette lectronique qu aux autres m thodes de sevrage dont l int r t en terme de morbidit et de mortalit est loin d tre tabli Pourquoi lui laisser un statut par lequel n importe qui peut vendre ce produit sans garantie de qualit et de s curit Attend on un accident grave pour discr diter un produit qui fait une quasi unanimit chez les fumeurs qui veulent se sevrer et qui g n re un taux lev d observance m me chez ceux qui continuent de fumer beaucoup moins Pourquoi ne pas valider le statut de dispositif m dical de la cigarette lectronique sans nicotine et celui de m dicament lorsqu e
23. du poumon l haleine un outil de d pistage L analyse de notre haleine pourrait elle servir de d tecteur de cancer C est ce que sugg rent les travaux de Fred Hirsch et de ses collaborateurs de l cole de m decine de l Universit du Colorado Pr sent e lors de la cinquanti me r union de l ASCO cette tude montre qu il serait possible de r volutionner totalement le d pistage et le diagnostic du cancer du poumon En effet gr ce un simple test un m decin pourrait identifier rapidement un patient touch par une tumeur pulmonaire ou une autre maladie des voies respiratoires telle que la broncho pneumopathie chronique obstructive BPCO Peu co teux et non invasif le dispositif mis au point par l quipe de Fred Hirsch permettrait non seulement un d pistage pr coce mais aussi de conna tre le stade d volution de la tumeur Pour cela le patient n aura qu gonfler un ballon fix une sonde de nanoparticule d or Les particules ainsi r colt es par le capteur seront analys es et il sera ainsi possible de donner la composition en compos s organiques volatils de lair que l on expire Leur tude permettra ainsi de d pister les personnes touch es par des maladies pulmonaires Par ailleurs un suivi de la composition des particules pr sentes dans l haleine des patients permettra de savoir comment ce dernier r agit aux traitements Source InformationHospitali re amp Tanning Beds Must Carry Skin Cance
24. e Experts are invited to apply by 18 June 2014 e Consolidated list of ANS Panel member 2014 2017 e Consolidated list of CEF Panel member 2014 2017 Profiles of Scientific Committee and Panel members in brief 26 Strong expertise present in universities and other public research institutes throughout the European Union as well as from governmental bodies 41 come from universities 39 from public research institutes and 15 from government bodies the remaining 5 are retired from such institutions amp Changement de la mise en page de notre site pour faciliter la recherche d information par les utilisateurs D s aujourd hui le site de l EFSA b n ficie d une nouvelle pr sentation plus claire et plus actuelle ainsi que de plusieurs nouvelles fonctionnalit s Le changement le plus important porte sur la restructuration compl te de la page d accueil Les contenus de cette page ont t r organis s afin d optimiser l espace et afin de faciliter et d acc l rer les recherches Les derni res publications de l EFSA Journal par exemple sont imm diatement visibles en haut de page Toujours sur la page d accueil nous avons facilit l acc s aux informations concernant les valeurs cl s de l EFSA et les aspects importants de son travail scientifique expertise scientifique collecte des donn es ou encore m thodologies d valuation des risques L EFSA esp re que ces changements am lioreront l acc
25. e d orientations pour repenser les jeux d acteurs et mieux articuler sant publique et sant au travail afin d aider faciliter le maintien en emploi des salari s Source Annuaire s cu Le rapport IGAS avril 2014 119 pages IRDES Institut de recherche et documentation en canomiedelasante L acc s aux soins dentaires ophtalmologiques et gyn cologiques des personnes en situation de handicap en France Peu d tudes fran aises ont jusqu pr sent analys la question du recours aux soins des personnes en situation de handicap Les enqu tes Handicap Sant M nages HSM et Institutions HSI r alis es par la Drees et l Insee en 2008 2009 ont en partie combl le manque de donn es sur le handicap L IRDES dans son dernier Questions d conomie de la sant pr sente le premier volet d une tude sur le recours aux soins de la population en situation de handicap Il explore avec les donn es de l enqu te HSM de 2008 trois soins m dicaux courants au sein d une population g e de 20 59 ans les soins dentaires ophtalmologiques et gyn cologiques L analyse repose sur deux indicateurs d finissant le handicap les limitations fonctionnelles limitations motrices cognitives visuelles ou auditives et la reconnaissance administrative du handicap mesur e par l acc s des prestations allocations emplois ou droits sp cifiques Cette premi re tude met en vidence un moindre acc s aux soins dentaires et gy
26. eds of those at home At the moment it is too complicated and too fragmented If you were starting from scratch you would not design community services like that Source PharmaTimes amp New MS Database Could Transform Patient Care Research Multiple sclerosis MS experts are planning to launch a new national database along the lines of the tremendously successful Alzheimer s Disease Neuroimaging Initiative ADNI With funding from the pharmaceutical industry the North American Registry for Care and Research in MS NARCRMS will be an open source database with information available to clinicians patients and pharmaceutical companies The totally novel database promises to provide a vast amount of information that will transform care and transform research giving clinicians a much broader understanding of the disease said Kottil W Rammohan MD professor clinical neurology University of Miami Florida during a lecture here at the 6th 10 Cooperative Meeting of the Consortium of Multiple Sclerosis Centers CMSC and the Americas Committee for Treatment and Research In Multiple Sclerosis ACTRIMS In return for providing funding pharmaceutical companies will have access to information updated daily in real time that will help define better drugs said Dr Rammohan The new database will be connected to a patient reported database called NARCOMS which includes 30 000 patients Source Medscape Cancer
27. educing alcohol consumption hit the market The Net Ingredient Cost NIC of these prescription items in 2013 was 3 13 million which is an increase of 200 000 since 2012 and just over double the NIC in 2004 of 1 51 million Source PharmaTimes 15 Hospital admissions for allergies jump 8 in a year NHS hospitals in England have seen a near 8 rise in admissions relating to allergies in just one year rising to 20 320 in the 12 months to February 2014 fresh data from the Health and Social Care Information Centre show According to the report 62 12 560 of admissions due to allergic reactions were classed as emergencies which marks a 6 2 rise on the same period last year with nearly one in five 4 070 of admissions now for anaphylactic reactions up 9 9 Also the figures show that babies and infants up to four years old are more likely to be admitted than other age groups and that the danger is higher in boys than girls of this age Admissions for allergic rhinitis also jumped 10 9 in males and 13 3 in females over the period marking significant increases in a relatively short period of time Source PharmaTimes amp CDC Announces False Alarm on MERS Transmission An Illinois man once thought to have been infected with the Middle East Respiratory Syndrome coronavirus MERS CoV after he was exposed to an infected business associate never had the virus after all the Centers for Disease Control and Preventio
28. employ s dans la production de ces pesticides dans leur pandage ou qui sont expos s leurs r sidus ajoutant que les r sidus de la production et de l utilisation de pesticides peuvent aussi g n rer des effets n fastes persistants sur l environnement S agissant des produits pharmaceutiques le BIT souligne le fait qu ils permettent de sauver la vie mais qu ils peuvent avoir de s rieuses cons quences pour la sant des travailleurs qui y sont expos s lors de leur production ou de leur administration Dans la m me lign e le BIT vise les produits de nettoyage qui contribuent l hygi ne des conditions de vie mais qui constituent galement un danger pour ceux qui les utilisent ou qui y sont expos s quotidiennement Enfin pour conclure sur l utilit des produits chimiques malgr leur potentielle dangerosit le BIT s attarde sur les nanotechnologies Le rapport identifie la petite taille de ces produits comme tant un facteur aggravant d exposition indiquant que les propri t s uniques de ces mat riaux peuvent affecter la mani re dont ils impactent les tres humains qui y sont expos s et que les dimensions minuscules des mat riaux peuvent accro tre le potentiel d exposition des travailleurs qui produisent ces innovations Le BIT souligne en outre que comme dans le cas d autres innovations la production est lanc e avant m me que les risques n aient t correctement valu s expos
29. en ligne son atlas 2014 des syst mes d information hospitaliers SIH Comme chaque ann e sont compil es les donn es recueillies par l observatoire des syst mes d information de sant oSIS pilot par l Agence technique de l information sur l hospitalisation le dispositif de suivi des charges et ressources SIH et l observatoire du r f rencement des diteurs de logiciels et des int grateurs du monde de la sant Relims L dition 2014 int gre galement les donn es de d ploiement et d usage des SIH indicateurs H pital num rique les charges et ressources mises en oeuvre par les tablissements pour accompagner le d ploiement des SIH et les donn es de l offre industrielle L atlas montre que les tablissements consacrent en moyenne 1 85 de leurs d penses au SIH pour un montant de 1 4 milliard d euros Atlas 2014 des SIH Etat des lieux des syst mes d information hospitaliers mai 2014 P MERCER e 2e vague de l Observatoire de la Sant YouGov pour Mercer 57 des salari s du priv b n ficient d une compl mentaire Sant d entreprise Mercer sp cialiste du conseil et services en ressources humaines protection sociale et avantages sociaux pr sente son second barom tre sur le sujet Il r v le que les Fran ais restent attach s leur compl mentaire sant 57 des sond s sont en effet couverts par une mutuelle d entreprise obligatoire Un attachement confirm par un chiffre s ils devaient faire
30. gues write Asked to comment Laura N McEwen PhD senior epidemiologist at the University of Michigan Ann Arbor told Medscape Medical News have not seen this type of evaluation before and it is very interesting Much work would need to be done to figure out why people with diabetes are at higher risk Dr McEwen who has done extensive research on mortality in diabetes added Certainly more depression in patients with diabetes could lead to more suicide and self poisoning And hypoglycemia and or neuropathy could be a factor in transportation accidents and accidental falls But do not see the connection between having diabetes and other accidents homicide and iatrogenic effects Source Medscape amp Number of drugs prescribed for alcoholism leaps 79 in a decade The number of drugs prescribed for treating alcohol dependence in England has shot up 79 in just a decade as their cost to the NHS tops 3 billion for the first time According to a report by the Health and Social Care Information Centre almost 184 000 prescription items were dispensed in primary care and NHS hospitals in 2013 marking a rise of 3 1 178 000 on the previous year and a 78 9 on ten years ago 103 000 The two main drugs prescribed for the treatment of alcohol dependence are Campral acamprosate calcium and Antabuse disulfiram and earlier this year saw Lundbecks s newcomer Selincro nalmefene the first drug approved specifically for r
31. herche D veloppement Qualit Laboratoire Marketing Commercial en lien avec les produits cosm tiques d hygi ne cutan e d hygi ne environnementale li s la mise sur le march de produits a label cologique CONTEXTE La conception et la formulation de produits de chimie fine innovants et de qualit exigent la mobilisation de nombreuses connaissances La mise sur le march des produits cutan s cosm tiques cosm tiques biocides destin s l hygi ne environnementale d sinfectants d tergents dispositifs m dicaux engendrent un deuxi me niveau de complexit mobilisant les disciplines telles que chimie microbiologie r glementation avec la question des biocides Afin de proposer des produits performants l utilisation de biocides destin s a liminer les organismes nuisibles est incontournable mais pose question sur le plan environnemental protection des organismes vivants Devant ces 3 niveaux de complexit seule une action p dagogique appelant la mod lisation proposera des pistes efficaces de r ussite autour d une gestion combinatoire des l ments de 29 formulation et de mise sur le march optimisant ainsi le travail des diff rents acteurs de la Business Chain LIEU PARC BIOCITECH 102 Avenue Gaston Roussel 93230 ROMAINVILLE Situ aux portes de Paris BIOCITECH est un parc scientifique d di aux sciences de la vie www biocitech com TARIFS par stagiaire 795
32. ized controlled trials are also needed to clarify exactly how and if anticoagulation should be used in the treatment of psychosis The findings were presented here at the American Psychiatric Association s APA s 2014 Annual Meeting Source Medscape amp Practice Changing Results for Metastatic Prostate Cancer For patients with metastatic hormone sensitive prostate cancer upfront chemotherapy with docetaxel given at the same time as hormone therapy instead of later prolongs survival This finding from the ECOG E3805 CHAARTED trial is being described as practice changing and transformative This is one of the biggest improvements in survival we have seen in a trial involving patients with an adult metastatic solid tumor said lead investigator Christopher Sweeney MD from the Dana Farber Cancer Institute in Boston The benefit is substantial and warrants this being a new standard treatment for men who have high extent disease and are fit for chemotherapy 14 The results were highlighted during a press briefing here at the American Society of Clinical Oncology ASCO In prostate cancer am not aware of a historic study that ever offered up this magnitude of improvement in survival said ASCO president Clifford Hudis MD during the press briefing Quite frankly he said across all of solid tumors this is an almost unprecedented improvement in median survival These results demonstrate how we can use old
33. linical Nonclinical and Clinical Protocols and Study Reports CTA ORegulatory Affairs Registration Files CE Mark dossiers Medicinal Products All CTO modules e CTD CE Procedures including Chemicals Herbals Biologics Validation for Submission Combination Products Orphen Drugs Follow up of all EU procedures Relationship with all Advanced Therapies Centralized DCP MRP Nat Notified Bodies NB Medical Devices Blue box Modifications Combination Products Relationship with Regulatory Agencies Borderline Products EMA ANSM MHRA BfArM All EU member States Reimbursement National amp Common European dossiers Post Marketing Studies OFost Marketing Medicinal Information and Advertising Control OExport outside EU Advice amp Assistance Business Development Parternship Due diligence amp Permanence Portfolio products Manufacturing Suppliers Quality Training Quality Development Regulation and Reimbursement for Medicinal Products and Medical Devices Food Supplement Cosmetics We also advice and assist clients in food supplements and cosmetics when medical purpose Contact e mail white tillet white tillet com Web site www white tillet com French Office Yves Tillet PharmD M Sc IAE AFAR FTOPRA UK Office Charisbert Owen Lewellen PhD C Chem FRSC FTOPRA Associate Consultants amp Experts Robert Benzaki Ing SupElec S verine Fran ois M Sc Jocelyne Lejay ParmD PhD
34. lle contient de la nicotine d s lors que le titulaire aura apport la preuve de la qualit de la s curit et de l efficacit m me partielle de son produit sur le sevrage Le fl au que repr sente le tabagisme ne m rite t il pas qu on consid re le sujet au del d int r ts partisans y compris ceux de l Etat ou au del de la limite de ses aspects strictement juridiques Pour une fois la France ne serait plus parmi les derniers de la classe en sant publique Y Tillet amp Dramatic Jump in e Cigarette Advertising Aimed at Youth e Cigarette companies have substantially increased their advertising to a broad television viewing audience resulting in an incredibly dramatic jump in exposure of its products to both teens and young adults new research shows A study of Nielsen records showed that exposure to e cigarette television ads increased by 256 from 2011 to 2013 for youth between the ages of 12 and 17 years and increased by 321 for those between the ages of 18 and 24 years In addition these ads appeared on programs ranked among the 100 highest rated for youth during the 2012 2013 season Interestingly more than 80 of these ads in 2013 were driven by a campaign for Blu eCigs alone Unlike in the early days of e cigarette advertising it seems that television ads have been consolidated by very few e cigarette brands lead author Jennifer Duke PhD researcher and senior public health analyst at RTI International i
35. lso sustain isolated high grade renal trauma investigators have found Emergency department clinicians and surgeons should be aware that patients who sustain a sports related injury might have high grade renal trauma in the absence of injury to other organ systems said Jeffrey Redshaw MD a research fellow in the division of Urology at the University of Utah School of Medicine in Salt Lake City Dr Redshaw presented results from the retrospective study here at the American Urological Association AUA 2014 Annual Scientific Meeting 17 To test their hypothesis that sports related renal trauma can produce high grade renal injuries not associated with polytrauma Dr Redshaw and his colleagues conducted a retrospective review of adult patients treated for renal trauma at their center from 2005 to 2011 Injuries were categorized as being related or unrelated to sports Renal trauma sustained during a sporting activity but caused by a nonsport event such as a bicyclist being struck by a car or a skier colliding with a snowmobile was counted as a nonsport injury The researchers identified 138 patients with a grade Ill to V injury on the American Association for the Surgery of Trauma AAST kidney injury scale 42 were sports related and 96 were not Overall men were more likely than women to sustain kidney injuries 61 1 vs 38 9 P lt 001 In particular men were more likely to sustain sports related injuries 90 5 vs 9 5 P lt 001 pos
36. lts on the Illinois man earlier this month but instead had played it safe given that the virus has a 30 mortality rate The CDC he said would continue to act on such initial findings in the future even though they might prove to be in error down the road We can t wait for all the test results to take public health action said Dr Swerdlow We have to be absolutely certain we are protecting the public Source Medscape amp Obesity Epidemic Is Global New Study Confirms The obesity epidemic extends well beyond the developed world according to the findings of a new global review Most startling of all is the fact that no country appears to have made any inroads to tackling this scourge 16 Between 1980 and 2013 the combined prevalence of overweight and obesity worldwide rose by 27 5 in adults and 47 1 in children a new analysis of the Global Burden of Disease Study 2013 shows Obesity has become a major global health challenge Not only is obesity increasing but no national success stories have been reported in the past 33 years Urgent global action and leadership are needed to help countries to more effectively intervene write Marie Ng PhD of the Institute for Health Metrics and Evaluation IHME University of Washington Seattle and colleagues They report their findings in an article published online May 28 in the Lancet Source Medscape De l effet anti carie du vin rouge En tudiant l imp
37. m me temps Verdict la cigarette lectronique pourrait avoir un faible impact sur la morbidit li e au tabac si les vapoteurs continuent a en fumer simultan ment Par ailleurs le Haut Conseil de la Sant publique met en garde sur le risque d entr e en addiction nicotinique des adolescents et leur d tournement vers le tabagisme Le HCSP pointe aussi le risque de la re normalisation du tabagisme et de l usage de nicotine sous toutes ces formes en particulier insiste l avis du HCSP d s lors que de puissants int r ts commerciaux s emparent de cet outil Le HCSP recommande entre autres une observation p riodique des modes de consommation ainsi que du sevrage et invite les tablissements publics inscrire l interdiction du vapotage dans leur r glement int rieur Cet avis va t il peser dans sur les d cision de Marisol Touraine quant au cadre r glementaire de la cigarette lectronique C est en tout cas la MILDT qui a annonc l avis sa pr sidente Dani le Jourdain Menninger avait saisi le HCSP suite l enqu te de OFDT sur la cigarette lectronique voir Lemondedutabac du 13 f vrier Source LeMondeDuTabac Notre analyse La cigarette lectronique est pl biscit e par les fumeurs qui veulent arr ter de fumer C est un fait Beaucoup d entre eux ont tent sans succ s d autres m thodes Certes la cigarette lectronique contenant de la nicotine n a pas encore fait la preuve
38. mmandations de l Anses p 27 Adrien Tillet Beyond words the world HISTORY SOCIETY Skepticism About e Cigarettes as Safe Alternative Grows Overall awareness of electronic cigarettes e cigarettes has increased in the United States but so has skepticism about whether these products are any safer than traditional cigarettes new research shows A national survey of more than 3000 adults showed that 77 of adult Americans were currently aware of e cigarettes vs just 16 in 2009 However only 51 of the current responders who noted awareness believe these products are less harmful than tobacco cigarettes Interestingly current smokers were 2 5 times more likely than nonsmokers to believe that e cigarettes were less harmful Basically we found that level of awareness has increased but perception of it having less harm has declined lead author Andy S L Tan PhD from the Annenberg School for Communication at the University of Pennsylvania in Philadelphia told Medscape Medical News Still one key message we were trying to deliver through this paper is that e cigarettes are no longer a passing fad and it s no longer a niche tobacco product said Dr Tan He noted that it is important for clinicians to familiarize themselves with these products so that they can better answer patients questions The study was published online recently in the American Journal of Preventive Medicine Source Med
39. n CDC said today On May 17 the CDC announced that the Illinois man had tested negative for an active infection by way of a polymerase chain reaction assay However serological testing showed him to be apparently positive to MERS CoV antibodies suggesting a past infection Today the CDC explained that its preliminary diagnosis which was always hedged as ostensible was based on the first 2 in a series of 3 different serological tests for the MERS virus These initial tests the enzyme linked immunosorbent assay and the immunofluorescent assay are faster than the third and final one the neutralizing antibody assay but are not as definitive according to the CDC The results of the neutralizing antibody assay for the Illinois man taken together with the earlier tests persuaded the CDC that the man had never been infected The Illinois man had face to face contact with an infected healthcare worker from Saudi Arabia the hotbed of the MERS outbreak who traveled in April to Indiana where he was hospitalized on April 28 and discharged May 9 After the Illinois man was initially diagnosed with a past infection he was instructed to wear a mask and avoid crowds as a precaution The CDC also tested his family members and coworkers for the virus which did not turn up At a news conference today David Swerdlow MD the CDC s point person on MERS CoV said his agency had not jumped the gun when it announced the preliminary test resu
40. n cologiques des personnes en situation de handicap quel que soit l indicateur de handicap utilis En revanche elle ne montre pas de probl me d acc s aux soins ophtalmologiques Une concentration des in galit s d acc s aux soins courants est observ e chez les personnes relevant de l AAH qui cumulent des revenus plus faibles que les allocataires des pensions et rentes d invalidit et ne b n ficient pas de la prise en charge 100 de leurs soins D autres tudes sur le handicap suivront analysant le recours d autres soins en particulier pr ventifs ainsi que l acc s aux soins des personnes prises en charge en institution Source Annuaire s cu IRDES Questions d conomie de la sant n 197 avril 2014 Strongest Cardiology Guideline Recommendations Last Longer 12 In a study examining how the two most recent versions of major cardiology clinical practice guidelines changed over time researchers report that recommendations based on multiple randomized trials were the most durable They looked at 600 class 1 recommendations in 11 American College of Cardiology ACC American Heart Association AHA clinical practice guidelines Four out of five class 1 recommendations were retained The odds that a recommendation was not retained ie it was reversed downgraded or omitted were more than three times greater for a recommendation based on one randomized trial observational data or expert opinion as opposed to
41. n Research Triangle Park North Carolina told Medscape Medical News This is really the first study that extensively analyzes these trends in exposure to e cigarette advertising added Dr Duke The investigators note that although research on the health risks of e cigarettes has been mixed television advertising may be promoting beliefs and behaviors that pose harm to the public health The study is published in the June issue of Pediatrics Source Medscape amp Plan anti tabac les 3 mesures chocs de Marisol Touraine La ministre de la Sant doit annoncer le 17 juin une s rie de mesures de lutte contre le tabagisme dont la mise en place du paquet de cigarettes neutre et l interdiction de la cigarette lectronique dans les lieux publics Le projet de loi relatif la politique de sant qui devrait tre discut au Parlement l automne pr voirait notamment La mise en place du paquet de cigarettes neutre galement appel paquet g n rique De rendre possible un nouveau type d action de groupe ouverte aux fumeurs inspir des class actions am ricaines afin de franchir une nouvelle tape dans le droit des malades explique une source proche du dossier au quotidien D interdire l utilisation de la cigarette lectronique dans les lieux public Source LaTribune amp Qualit des services rendus par un Centre hospitalier universitaire le point de vue de m decins g n ralistes
42. one based on multiple randomized controlled trials For policy makers and clinicians deciding to make policies on practices and treatments that are supported by multiple randomized trials seems a safer thing to do in terms of their durability Dr Mark D Neuman University of Pennsylvania Philadelphia PA told heartwire It would be helpful for clinicians and policy makers if the reasons that a recommendation was downgraded reversed or omitted were included in the update which was not always the case he added Only a small fraction of these changes were explained in focused updates he added The article was published in the May 28 2014 issue of the Journal of the American Medical Association Source Medscape Tamoxifen for 10 Years an Option ASCO Guideline Update Women with stage to III hormone receptor positive breast cancer should consider taking tamoxifen for 10 years the American Society of Clinical Oncology ASCO says in a clinical practice guideline focused update This update was prompted by emerging data demonstrating that longer durations of tamoxifen up to 10 years are more effective than shorter durations at preventing cancer recurrence and improving breast cancer survival Harold J Burstein MD PhD co chair of ASCO s expert panel that wrote the guideline update told Medscape Medical News Clinicians should consider longer durations of adjuvant endocrine therapy up to a total of 10 years f
43. or many patients advised Dr Burstein breast oncologist at the Susan F Smith Center for Women s Cancers at Dana Farber Cancer Institute in Boston Massachusetts The option of 10 years of tamoxifen therapy is recommended for both premenopausal women and postmenopausal women although the latter also have the option of taking a sequence of tamoxifen and aromatase inhibitor therapy Dr Burstein commented Aromatase inhibitors are not recommended for premenopausal women Another co chair of the expert panel Jennifer Griggs MD MPH from the University of Michigan in Ann Arbor emphasized that it was important for clinicians and patients to discuss the trade offs between potential risks for side effects and potential benefits of taking adjuvant endocrine therapy for up to 10 years As with many decisions in breast cancer the decision about extending adjuvant therapy is a shared one in which informational support is critical she told Medscape Medical News Source Medscape Melanome l immunoth rapie un traitement d avenir Les quipes de recherche sp cialis es en canc rologie tudient de plus en plus des voies innovantes afin de lutter contre cette tumeur particuli rement agressive C est dans ce contexte que trois essais cliniques en immunoth rapie men s par des chercheurs de l Institut Gustave Roussy ont t men s Les premi res donn es qui viennent d tre pr sent es ASCO 2014 montrent que ces nouvelle
44. r tre r alis es en 2014 en deca de l objectif fix 179 1 Md Dans un nouvel avis du 27 mai il valide ce constat et les conditions du respect de l objectif pour 2014 apr s avoir analys les informations disponibles et entendu les experts de l administration et de la CNAMTS Les d penses de soins de ville 2013 inf rieures au montant retenu pour la construction de l ONDAM 2014 cr ent un effet de base favorable valu 450 M auquel s ajoute 15 M d effet base favorable compl mentaire sur le sous objectif autres prises en charge La moindre ex cution de l ONDAM hospitalier ne cr e pas d effet de base pour 2014 Tout laisse penser que l effet de base h rit de 2013 pourra tre conserv en 2014 et que les d penses de soins de ville pourraient tre significativement inf rieures l objectif vot S agissant des tablissements de sant le comit a constat que comme les ann es pr c dentes des cr dits avaient t mis en r serve hauteur de 340 ME sous la forme d un coefficient prudentiel sur les tarifs hospitaliers 141 M des cr dits d chus du FMESPP 20 M et de gel sur les cr dits de dotations annuelles de financement aux tablissements 179 M De m me 75 M de cr dits du fonds d intervention r gional FIR ont t mis en r serve Ces m canismes doivent permettre d assurer le respect des deux sous objectifs de l ONDAM relatifs au secteur hospitalier Le comit signale toutefois q
45. r Warning U S FDA The U S Food and Drug Administration is strengthening its regulation of tanning beds which have been shown to increase the risk of skin cancer The FDA which is reclassifying sun lamp products from low risk to moderate risk said on Thursday that in future sun lamp manufacturers must seek approval before they market a new product In addition tanning beds must carry a visible warning against their use in people under the age of 18 Warnings about the risk of skin cancer must be included in any user instructions brochures or marketing materials on the internet The requirement that beds carry a label warning against use in young people does not carry any legal weight and salon owners would not face fines if they allowed under 18 year olds to use them Some dermatologists and public health advocates had argued for an actual restriction which would have carried penalties for violators We applaud the FDA for taking this important first step Dr Brett Coldiron president of the American Academy of Dermatology said in a statement However we recognize that there is still more work to be done to protect the public from these dangerous devices A study by the American Academy of Dermatology found that people exposed to ultraviolet radiation from indoor tanning faced a 59 higher risk of melanoma Dr Jeffrey Shuren director of the FDA s Center for Devices and Radiological Health said repeated UV exposure from sun
46. rvie des patients Source InformationHospitali re Warfarin for Long term Psychosis Remission Warfarin has been linked to a decrease in and even long term remission of psychotic symptoms in patients with schizophrenia preliminary research suggests A study examining adults at an anticoagulation clinic for deep venous thrombosis DVT showed that 5 patients who also had schizophrenia and who received long term treatment with warfarin for recurrent DVT achieved full psychosis remission In addition these patients remained free of any psychotropic medication for 2 to 11 years The investigators note that the underlying mechanism could be tissue plasminogen activator tPA a protein that not only promotes the dissolution of blood clots but also plays a role in neurogenesis after severe stress Our findings suggest that normalization of tPA function may induce long term remission of psychotic symptoms they write However lead author Silvia Hoirisch Clapauch MD a hematologist specializing in vascular medicine at the Federal University of Rio de Janeiro in Brazil told Medscape Medical News that she is not yet suggesting that psychiatrists should start prescribing warfarin for these patients What we found seems to make sense but we need other scientists to help us to search for markers in a population with schizophrenia that is medication naive said Dr Hoirisch Clapauch She added that larger studies including random
47. s par plusieurs professionnels de sant sous la responsabilit du m decin traitant Il s agit d un outil de concertation et de planification de la prise en charge de patients en situation complexe par plusieurs intervenants des secteurs sanitaires et sociaux On peut retrouver concernant le PPS sur le site de la HAS un questionnaire d aide la d cision d initier un PPS ainsi qu un mod le de PPS t l chargeable et directement utilisable un mode d emploi un exemple de cas clinique illustrant la d marche du PPS une synth se de la d marche Des documents qui seront n anmoins actualis s par la HAS dans les six douze mois venir la suite des retours d exp riences des r gions pilotes La HAS a aussi labor un cahier des charges pour l ducation th rapeutique du patient ETP inscrit au PAERPA et son entourage Un document est mis disposition par la HAS sur son site pour les professionnels de sant L efficacit de l ETP pour ce type de patient le a t d montr e dans trois domaines la pr vention des chutes la r duction du risque iatrog ne chez les patients polym dicament s le traitement de la d pression Ce travail s inscrit dans le cadre de l exp rimentation des parcours de sant des personnes g es en risque de perte d autonomie en cours dans neuf r gions Aquitaine Bourgogne Centre Ile de France Limousin Nord Pas de Calais Pays de la Loire Lorraine et Midi Pyr n es Source Annuaire s cu
48. s approches bas es sur la stimulation du syst me immunitaire permettraient de lutter efficacement contre les cellules tumorales du m lanome et ainsi d augmenter l esp rance de vie des patients 13 Dirig par Alexander Eggermont et ses collaborateurs l un des essais cliniques consistait a injecter 950 patients atteints d un m lanome un stade avanc de I Ipilimumab un anticorps d j autoris par l agence am ricaine des m dicaments FDA D apr s les informations fournies par les chercheurs ce traitement a permis de r duire de 25 les risques de d c s et de limiter les rechutes Par ailleurs cette strat gie th rapeutique pourrait tre utilis e avec un certain succ s chez les patients inop rables ou un stade tr s avanc Le deuxi me essai clinique conduit par Antoni Ribas a t men sur 411 malades souffrant d un m lanome invasif qui ont chacun re u comme traitement un tout nouvel anticorps nomm MK 3475 Financ par les laboratoires Merck ce travail a montr chez 40 des participants une r gression durable de leur cancer Devant de tels r sultats encourageants la FDA tudieraient actuellement la mise sur le march de ce dernier bien que l essai soit de phase I Enfin la derniere exp rience a permis de tester sur 94 malades souffrant d un m lanome inop rable l impact de la combinaison de deux anticorps le Yervoy et le Nivolumab Tr s vite les chercheurs ont constat un doublement de la su
49. s aux informations et plus globalement l exp rience des utilisateurs anses C2 lons perchlorate travaux et recommandations de l Anses WWW anses fr A l occasion d une campagne nationale de mesures r alis e en 2011 par le Laboratoire d hydrologie de l Anses des ions perchlorate ont t d tect s dans les eaux destin es la consommation humaine EDCH dans plusieurs r gions fran aises Ces ions inhibent l tape d incorporation de l iode dans la thyro de l une des premi res tapes de la synth se des hormones thyroidiennes A la demande du minist re charg de la sant l Anses a men une valuation du risque sanitaire relatif a la pr sence des ions perchlorate dans l EDCH et les laits infantiles utilis s pour l alimentation des nourrissons de 0 a 6 mois qui repr sentent la population la plus sensible Au regard des niveaux d exposition calcul s l Anses conclut que le risque de d passement de la valeur toxicologique de r f rence qu elle a pr c demment tablie en 2011 ne peut tre exclu pour certains nourrissons En cons quence l Anses recommande de diminuer les concentrations en ions perchlorate dans les laits infantiles et dans les cas o l eau du robinet pr senterait une concentration en ions perchlorate sup rieure 4 ug L recommande aux autorit s d informer la population en conseillant de limiter sa consommation par les enfants ag s de moins de 6 mois Source ANSES
50. s li s des particules mises en milieu professionnel et 240 000 li s des produits chimiques Pour autant l utilit de ces produits chimiques est reconnue et les incertitudes scientifiques encore pr sentes sont rappel es C est ainsi qu il est admis dans le rapport que les produits chimiques sont indispensables la vie et leurs b n fices sont multiples et largement reconnus et que les produits chimiques sont essentiels au monde moderne et continueront d tre produits et utilis s sur les lieux de travail Pourtant il est galement 24 indiqu que la production et l utilisation des produits chimiques sur les lieux de travail dans le monde constituent l un des enjeux majeurs des programmes de protection sur les lieux de travail et que des maladies sont indiscutablement li es a ces produits Quatre types de produits chimiques sont plus particuli rement vis s dans ce rapport Il faut noter que ce choix est loin d tre anodin et qu il correspond au contraire surtout en France aux d bats juridiques actuels Les pesticides sont les produits chimiques vis s le plus souvent dans ce rapport qui reconnait leur caract re indispensable tout en leur attribuant sans d tour des cons quences n gatives sur la sant humaine et l environnement Le BIT indique ainsi que les pesticides am liorent l ampleur et la qualit de la production alimentaire mais qu ils peuvent se r v ler toxiques pour les travailleurs
51. s pr cis ment indiqu qu il convient pour les professionnels de s adapter de nouvelles technologies telles que les nanotechnologies et certaines biotechnologies qui seraient l origine de dangers in dits et non identifi s sur le lieu de travail Cette mention n tait pas anodine et a permis d annoncer le rapport de l dition 2014 qui porte sur la s curit et la sant dans l utilisation des produits chimiques au travail Ce rapport est symptomatique des craintes qui entourent l utilisation de certaines substances sans pour autant que la communaut scientifique dans son ensemble ou les statistiques ne viennent toutefois les confirmer Le BIT indique ainsi que les effets aigus de l exposition a des produits chimiques tels que l empoisonnement ou le d c s apres une seule exposition sont parfaitement document s comparativement ceux caus s par des expositions mineures et r p t es sur la dur e en raison des sympt mes imm diats associ s et que le manque d information sur les cons quences d une exposition des produits chimiques a longtemps emp ch de faire le lien entre une exposition et un cancer qui se d clare 20 ans plus tard Des chiffres sont pourtant avanc s comme ceux d une tude de 2004 effectu e au plan mondial qui identifierait 4 9 millions de d c s directement imputables une exposition environnementale et la gestion de produits chimiques Il y aurait par ailleurs eu 375 000 d c
52. scape G p le emploi amp Le nombre de demandeurs d emploi inscrits en cat gorie A a P le emploi a encore bondi de 14 800 en avril Alors que le ministre du Travail Fran ois Rebsamen s est fix pour objectif de faire passer le ch mage de cat gorie A sous la barre des 3 millions de demandeurs d emploi d ici la fin du quinquennat les derniers chiffres disponibles publi s par P le emploi montrent que la cat gorie de r f rence recense fin avril plus de 3 364 millions inscrits en m tropole en hausse de 0 4 en un mois et de 3 5 en un an Sur la France enti re la progression est de 16 900 aboutissant un total de 3 626 500 Un nouveau record absolu qui porte plus de 440 000 le nombre de nouveaux demandeurs d emploi depuis l lection de Fran ois Hollande en mai 2012 M me punition en ajoutant les inscrits en activit r duite Sur un mois leur nombre a encore enfl de 36 400 la fin avril il s agit de la plus forte progression enregistr e depuis septembre 2013 pour fr ler d sormais les 4 986 millions dans les cat gories A B et C 5 285 600 personnes DOM compris La progression sur un an est encore plus cons quente 4 2 Dans le d tail toutes les cat gories de ch meurs sont concern es par les mauvais chiffres d avril La hausse est de 0 7 pour les plus de 50 ans et 0 2 pour les moins de 25 ans alors que cette cat gorie avait recul ces derniers mois en raison du succ s des emplois d avenir
53. sibly because of their testosterone fueled aggression and risk taking activities said Dr Redshaw Source Medscape Online Sex Supplements Linked to Serious Psychoactive Effects Ingredients in sexual enhancement products advertised and sold online are associated with several serious psychoactive effects new research shows A review of 108 Web sites and other online resources showed that the most common of these products contained the active ingredients yohimbine maca ginkgo biloba and or horny goat weed These 4 substances were linked to the induction of anxiety panic mood changes hallucinations and or addictive behaviors There are different compounds that have sexual enhancement properties but they can also have psychiatric effects such as acting as a stimulant or predisposing someone for a manic episode Giovanni Martinotti MD PhD from the Department of Neuroscience and Imaging at the G d Annunzio University in Chieti Pescara Italy told Medscape Medical News The researchers note that they wanted to raise public awareness about the adverse effects of these products most of which are not regulated In addition they suggest that clinicians should ask their patients about use especially because additional adverse reactions can occur when mixed with psychiatric medications The possible impact on population health particularly among subjects with psychiatric disorders who are usually at risk for sexual dysfunction
54. ssionnels ACI UNPS CSMF CNPS SML ou la F d ration fran aise des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs FFMKR entre autres ont donc quitt la table des n gociations puisque l Assurance maladie insiste sur ce point Les d l gations restantes ont travaill sur des themes comme la pr vention et la vaccination les sorties d h pital et la chirurgie ambulatoire le d pistage du cancer colorectal etc Trois autres r unions pr paratoires doivent encore avoir lieu les 12 et 25 juin et le 9 juillet et une s ance de signature la mi juillet mais il y a peu de chances que tout soit boucl d ici la Source Annuaire s cu Source Le G n raliste 28 mai HEALTH amp PUBLIC HEALTH X World Health ye Organization le r WHO urged not to class e cigs as tobacco products Public health specialists and researchers have asked the World Health Organisation to resist the urge to control and suppress e cigarettes An open letter to the WHO has been signed by 53 researchers including Robert West professor of health psychology and director of tobacco studies at UCL and others who have been involved in advising the National Institute for Health and Care Excellence NICE They argue that products such as e cigarettes could be among the most significant health innovations of the 21st Century perhaps saving hundreds of millions of lives The WHO has previously suggested that it views e cigarettes in the same
55. stataires ce s minaire a pour objectif d acqu rir des l ments d organisation pour collecter trier et traiter les informations de pharmacovigilance circulant dans les r seaux sociaux Le 30 juin Les contrats pharmaceutiques qualit et conformit r glementaire Anim par un avocat professeur de droit pharmaceutique avec des pharmaciens responsables et des juristes d entreprises pharmaceutiques cette journ e abordera l ensemble des situations existantes dans le secteur Pour toute information ou inscription merci de vous rendre sur notre site www pharmacie univ parisS fr spip php 2article1997 ou d appeler au 01 53 73 97 98 28 SCIENEIS La mise sur le march des produits cosm tiques biocides dispositifs m dicaux d tergents engendre un niveau de complexit mobilisant des domaines aussi pointus que la formulation la microbiologie la r glementation R servez vite votre place pour participer la nouvelle session de notre formation alliant toutes ces probl matiques Elle aura lieu les 10 et 11 juin prochains sur le Parc Biocitech Romainville une d monstration pratique de la microbiologie sera effectu e dans notre laboratoire COSMETIQUES BIOCIDES DISPOSITIFS MEDICAUX Cosm tiques Cosm tiques biocides D sinfectants d tergents D sinfectants DATE 10 et 11 juin 2014 De 9h 18h Fonctions Concern es Elles sont exerc es au sein des Affaires r glementaires Rec
56. tals Ambulatory Surgery Centers Disparities In Readmissions Emergency Dept Profits To Grow ACA And Uncompensated Care Costs Health Spending By Age And Gender Treatment Cost Increases 1980 2006 Illegal Immigrants And Healthcare Use amp HEALTH ECONOMICS POLICY and LAW HEALTH ECONOMICS POLICY and LAW alt 21 http www nxtbook com nxtbooks medimedia managedcare 201403 src forms iframe mar html 0 Le Panorama de l actualit Internet dans le domaine de la S curit sociale gt Archives et formulaire d abonnement en ligne sur le site Sant publique amp Rubrique Pratiques et organisation des soins Sommaire 2 2014 Acc s toute la rubrique en texte int gral 22 LIVRES INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE Bonnes Pratiques de Management applicables l industrie pharmaceutique 2009 Format A5 216 pages 20 TTC ALAIN RUSTERHOLTZ dec l cofaberwtion de Camille GLIGNON Bonnes Pratiques BONNES PRATIQUES DE MARKETING de Marketing Pharmaceutique 2012 Format A5 252 pages 20 TTC PHARMACEUTIQUE Lee poer im Gebai At tam te we um or tee 4 art mt re y i Bonnes Pratiques de l ARC mene aca crn Attach de recherche clinique 2013 Format A5 216 pages 20 TTC Gai rire Histoires dr les sur les pathologies les m dicaments et l industrie pharmaceutique 2014 Format A5 112 pages 20 TTC Disponibles uniquement chez l auteur
57. tigators note This would be the first step in devising controlled studies aiming at properly assessing the efficacy of different psychosocial and pharmacological interventions in the treatment of this intriguing condition Source Medscape Cynicism Linked to Dementia A high level of cynical distrust for example believing that no one cares much what happens to you and that it s safer not to trust anybody is associated with a higher risk for dementia and the association is not entirely explained by depressive symptoms a new study shows Although researchers also found a link between cynical distrust and mortality this was nonsignificant after adjustment for behavioral factors self reported health status and especially socioeconomic background Along with previous evidence the current results suggest that life view and personality can affect a person s health The findings of this study propose that psychosocial and behavioral risk factors may be modifiable targets for prevention of dementia the researchers with senior author Anna Maija Tolppanen PhD Department of Neurology University of Eastern Finland Kuopio conclude It may thus be possible to improve life quality by attempting to change people s attitudes to a more positive direction The study with first author Elisa Neuvonen also with the Department of Neurology at the same institution was published online May 28 in Neurology Source Medscape
58. u ils ne suffisent cependant pas assurer la ma trise des d penses des tablissements de sant dont le rythme de progression des d penses hors dotations aux amortissements et provisions est sup rieur au taux de croissance de l ONDAM tablissements de sant Au total l ONDAM tel qu il a t vot en LFSS pour 2014 devrait pouvoir tre respect avec une marge de plusieurs centaines de millions d euros Il n y a donc pas lieu de mettre en uvre la proc dure d alerte annonce le comit Mais la donne pourrait changer en cas de modification de l ONDAM dans le PLFSS rectificatif actuellement en pr paration Source Annuaire s cu Avis du Comit d alerte n 2014 2 sur le respect de l objectif national de d penses d assurance maladie 27 mai 2014 HAS HAUTE AUTORIT DE SANTE PAERPA la HAS publie de nouveaux documents sur le plan personnalis de sant et l ducation th rapeutique Alors que la ministre de la Sant a affirm la semaine derni re que les patients inscrits aux programmes PAERPA parcours de sant des personnes g es en risque de perte d autonomie devraient b n ficier de 4 fa on prioritaire du d ploiement d un DMP de deuxi me g n ration la Haute Autorit de sant HAS vient de mettre en ligne le 26 mai plusieurs documents et outils pratiques notamment le plan personnalis de sant PPS et le cahier des charges sur l ducation th rapeutique Le PPS est un plan d actions formali
59. un choix 6 Fran ais sur 10 pr f reraient conserver la participation employeur leur mutuelle a une hausse de salaire quivalente Diverses mesures l gislatives et reglementaires bouleversent le secteur fiscalisation de la part patronale des cotisations g n ralisation des contrats collectifs tous les salari s du priv d ici au 1er janvier 2016 projet de plafonnement des remboursements des frais d optique pour les contrats responsables avec un risque de nivellement par le bas Si les remboursements de la compl mentaire sant venaient baisser pr s de 4 Fran ais sur 10 disent qu ils auraient alors recours une surcompl mentaire Source Annuaire s cu Communiqu Mercer 5 AN assurance Maladie R mun rations sur le travail en quipe la n gociation achoppe toujours sur le cadre juridique Infirmi res kin s m decins sages femmes ou encore pharmaciens se sont retrouv s le 28 mai autour de la table avec l Assurance maladie pour une premi re s ance de n gociations sur la r mun ration interprofessionnelle Au total une cinquantaine d organisations syndicales repr sentant 18 professions participent aux d bats La premi re s ance a t repouss e plusieurs fois notamment en raison des divergences sur le p rim tre de l accord Plusieurs syndicats estiment en effet que la n gociation de l accord cadre interprofessionnel ACIP doit se tenir avant celle des accords conventionnels 6 interprofe

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