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Lettre n° 7

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1. Publications r centes Damette O Parent A 2015 Did the Fed follow an im plicit McCallum rule during the Great Depression Eco nomic Modeling Abstract In this paper we address the is sue of the consistency of the Fed action during the interwar period using a McCallum base money rule Developing backward looking models forward looking models and counterfactual historical simu lation we found that the McCallum rule provides interesting historical lessons to identify possible driving forces of its policy setting We give evidence that over the period 1921 1933 the Fed followed an imperfect and partial McCallum rule moving the money base instru ment according to an output target but not correcting for the deviation from this target Lastly our outcomes high light that during the Great Depression the Fed was proba bly more active than suggested in the literature Charles A Darn O Diebolt C Ferrara L 2015 A New Monthly Chronology of the US Industrial Cycles in the Pre war Economy Journal of Financial Stability 17 pp 3 9 Abstract This article extends earlier efforts at redating the US industrial cycles for the prewar period 1890 1938 using the methodologies proposed by Bry and Boschan 1971 and Hamilton 1989 and based on the monthly industrial production index constructed by Miron and Romer 1990 and modified by Romer 1994 The alterna tive chronology detects 90 of the peaks and trough
2. Ansgar Belke Institute of Business and Economic Studies University of Duisburg Essen et Gunther Schnabl Institute for Economic Policy University of Leipzig Contact saadaoui unistra fr Site internet http ermees eu October 16 AEFI LA e ECS 2015 o Economie de Recherche en Macr urop enne de Strasbourg The Euro Crisis Where Do We Stand 17 18 septembre 2015 STRASBOURG 6 rencontre du Groupe de Recherche Th matique Innovation de PAIMS L objectif de cette rencontre sera de faire le point et de d gager des perspectives de recherches futures concer nant le management de l innovation au sens large Contact penin unistra fr Site internet http www beta umr7522 fr 6ieme rencontre AIMS FINNOATION gft A FL ct laf T T amp AGNE a i 0 A Re nen A a 2 Le management de l innovation j O en sommes nous O allons nous 23 octobre 2015 STRASBOURG Journ e de conf rences en management de projets Dans le cadre du prix Excellence Formation IDEX le master Management de Projets Internationaux de la Facult de Sciences Economiques et Gestion de l Universit de Stras bourg organise une journ e d di e aux Pratiques ac tuelles du Management de Projets l international La journ e s adresse aux professionnels du management de projets Elle permettra galement de rassembler les an ciens des 15 promotions du mas
3. Francois Richard Blundell professeur Uni versity College London qui collabore avec Fran ois Laisney depuis 1984 a pr sent un mod le dynamique qui permet d tudier l impact de r formes du syst me social et fiscal sur l offre de travail les choix d du cation les salaires et la consomma tion sur le cycle de vie des femmes Gauthier Lanot de l universit d Ume s est pench sur la substitution du travail entre les jeunes et les personnes en ge de partir la retraite au Danemark Ralf Wilke professeur la Business school de Copenhague analyse les transitions du march du travail en pr sence d erreurs de classification de donn es sur le niveau d ducation Bernd Fitzenberger de l uni versit Humboldt Berlin a discut les effets de long terme de programmes de formation sur le retour l em ploi en Allemagne de l Ouest et montr que ces effets d pendent du type et de la dur e de la formation Deux chercheurs ont pr sent des travaux portant sur l conomie de la famille Fr d ric Vermeulen professeur l universit de Leuven a tudi dans un cadre tr s peu contraignant de pr f rence r v l e les implications du march du mariage sur la consommation des couples stables Dans le m me domaine Denis Beninger de l Universit d Hambourg tudie le pouvoir de n gocia tion au sein des couples dans une approche exp rimen tale Michael Lechner de l univer
4. sieurs communaut s et la capacit se d finir simultan ment dans plusieurs espaces sociaux En cons quence la cr ativit individuelle et collective au Japon est beaucoup plus naturellement de type incr mental au sein d une or ganisation que de type radical en jouant sur des effets de traduction entre organisations ou entre communaut s de connaissances Bref un champ de recherche d couvrir en partenariat avec nos coll gues japonais Axe conomie du travail formation emploi et politiques sociales Les parcours d insertion de l enseignement sup rieur Magali Jaoul Grammare et Philippe Cordazzo ont organi s les 27 et 28 mai 2015 Strasbourg la r union semes trielle du Groupe de Travail sur l Enseignement Sup rieur pilot par le CEREQ Strasbourg En tout une quarantaine de charg s d tudes chercheurs enseignants chercheurs membres des observatoires de la vie tudiante etc se sont r uni pour discuter de l tude de la professionnalisa tion des parcours les conditions mat rielles des tudiants et les parcours sp cifiques des docteurs Le s minaire a donn lieu une s ance de trois conf rences s adressant un large public portant sur le syndicalisme tudiant les conditions de vie des tudiants trangers et la d marche cr ative dans le parcours doctoral Centre d tudes et de recherches amp sur les qualifications ereq Les effets de la politique familiale sur l
5. Donn es Articque Source EU SILC UDB 2009 version 2 d ao t 2011 Eurostat calculs des auteurs Taux de renoncement aux soins dentaires Ed Taux de renoncement aux soins dentaires moins de 3 de3 6 de6 9 de 9 12 EETL 12 ou plus Carte r alis e avec Cartes amp Donn es Articque Source EU SILC UDB 2009 version 2 d ao t 2011 Eurostat calculs des auteurs Sabine Chaupain Guillot est ma tre de conf rences l Universit de Lorraine Olivier Guillot est charg de recherche au CNRS Cette recherche a b n fici du soutien de la R gion Lorraine et du Conseil Scientifique de l Universit de Lorraine Pour en savoir plus Sabine Chaupain Guillot Olivier Guillot 2015 Health system characteristics and unmet care needs in Europe an analysis based on EU SILC data The European Journal of Health Economics DOI 10 1007 s10198 014 0629 x Seconde tribune Interview P Du c t des axes scientifiques D 10 Axe Routines communaut s r seaux Publication r cente Simeth Markus Lhuillery Stephane 2015 How do firms develop capabilities for scientific disclosure Research Policy 44 7 p 1283 1295 Summary Many profit oriented companies publish re search outcomes in scientific literature However very few studies have focused on the capabilities that enable firms to engage in scientific disclosure wi
6. Il s agit d un m tier en pleine croissance et se structurant autour de certifications professionnelles telles que celles d livr es par le PMI Project Management Institute Les intervenants sont des sp cialistes du domaine majoritai rement des professionnels exer ant leur expertise l international en deuxi me ann e du master pr s de 40 des cours sont enseign s en anglais plusieurs ensei gnements sont assur s par des professeurs de HEC Mon tr al TOEIC obligatoire issue du M1 les tudiants r alisent tous leur stage de fin d tudes l tranger un partenariat avec les Conseillers du Commerce Ext rieur Fran ais Contact Andr Schmitt a schmitt unistra fr Ouvrages r cents revues et bulletins dit s avec la complicit des membres du BETA Les politiques conomiques europ ennes sous la direc tion de Gilbert Koenig et Michel D voluy Ce livre couvre tous les champs de la poli tique conomique europ enne budget monnaie emploi agriculture industrie largissement coop ration internationale D voluy e z Gilbert Koenig etc Pour chaque politique il d crit ses Les politiques conomiques fondements ses r sultats ses probl mes europ ennes Z jeas E et ses perspectives Cette nouvelle dition w est tr s largement refondue pour tenir compte des bouleversements institution nels et politiques survenus apr s l chec du projet de Constitution europ en
7. Le BETA tait repr sent par milien Prost doctorant contractuel en pre mi re ann e de th se sous la direction de Yannick Gabuthy dont l intervention s intitulait L gitimit et incitations dans la relation d autorit une approche d co nomie comportementale Micka l Lebdar doctorant du BETA s lec 11 J tionn pour la finale r gionale lorraine de PLL 180 eu lieu Metz le 24 mars 2015 ANGEL silos 3 LITTY Ma th se en 180s La finale r gionale a s tudes Doctorales 17 Du c t des Masters B 18 La lettre du BETA ouvre ses colonnes aux masters adoss s au BETA Le Master en Management des Projets Interna tionaux l honneur Le Master en Management des Projets Internationaux de la Facult des Sciences conomiques et de Gestion de Strasbourg a t prim lors de la c r monie de remise du prix d Excellence Formation qui s est d roul e mardi 20 janvier 2015 Ce prix financ par l Initiative d excellence Idex 2014 de l Universit de Strasbourg vient saluer le travail et l implication de l quipe p dagogique du point de vue des pratiques p dagogiques innovantes et de l ou verture l international Ce master pr pare aux m tiers du management de projets dans un contexte international Le management de pro jets r pond aux besoins actuels des entreprises pour faire face la triple contrainte de co t temps et qualit
8. en particulier sur les march s l ex port Rencontre avec Jean Arthuis d put europ en Le 11 mars 2015 les tudiants du Master Analyse et Politiques conomiques et leur quipe enseignante la Facult des Sciences conomiques et de Gestion de Stras bourg et au BETA ont re u Jean Arthuis pour une conf rence intitul e L Europe derni re chance pour la France Ancien Ministre de l conomie et des finances Eurod put et Pr sident de la Commission des budgets du Parlement Europ en Jean Arthuis a pu changer avec tudiants et enseignants chercheurs sur la gouvernance conomique europ enne et r pondre aux questions rela tives aux enjeux qui se posent actuellement dans l UE The Future of Fiscal Policy in the EU Le 24 avril 201 Am lie Barbier Gauchard intervenait l Institute for European Studies de l Universit Libre de Bruxelles sur le th me The Future of Fiscal Policy in the EU the Multi level Governance of Public Finance Collaborations avec l Afrique du Sud et la Pologne A l initiative de Francis Bismans les collaborations entre le BETA et le Center of Expertise for Forecasting de l Universi t Nelson Mandela de Port Elisabeth en Afrique du Sud se sont intensifi es dans la cadre d un projet Campus France PROTEA soutenu par le Minist re des Affaires trang res Dans ce cadre un workshop a t organis Nancy le 24 juin 2015 sur le th me Forecasting
9. Abstract The reduction of global imbalances observed during the climax of crisis is incomplete In this context currencies realignments are still proposed to ensure glob al macroeconomic stability These realignments are based on equilibrium rates derived from equilibrium exchange rate models Among these models we have the funda mental equilibrium exchange rate model introduced by Williamson 1994 If the FEER is not related either in the short run or in the long run to the real exchange rates we see no clear justification to intervene in foreign exchange markets based on these equilibrium rates In this case the FEER does not include any element of long run predictive value and should not be used to reduce global imbalances This paper provides panel empirical evidences that the FEER is related to real exchange rate in the long run and thus could be a useful tool to prevent the resurgence of large global imbalances and associated risks Papadamou S Sidiropoulos M Spyromitros E 2015 Central bank transparency and the interest rate channel Evidence from emerging economies Economic Model ling 48 p 167 174 Abstract This paper highlights the essential role of central bank transparency in the transmission mechanism of mon etary policy through the interest rate channel for emerg ing economies It has been shown that when the central bank s monetary policy is more transparent the transmis sion mechanism of that mone
10. Methodology and Practice avec notamment des interventions de coll gues et doctorants sud africains Par ailleurs le BETA a sign une convention de partenariat international avec la Facul t de sciences conomiques et gestion de Poznan en Po logne convention dont l objet est de faciliter l accueil de coll gues et doctorants des deux pays Dans ce cadre no tamment un num ro sp cial en fran ais de la revue polo naise d conomie Studia Oeconomica Posnaniensia a ou vert ses colonnes aux chercheurs du BETA http www soep ue poznan pl index php pl o Nelson Mandela 4 x DEEN a University Axe Science Technologie Innovation Creativ Caf Strasbourg Le 3 f vrier 2015 dans le cadre du 3 Creativ Caf Claude Guittard recevait Adrien Aumont co fondateur de la plate forme Kiss Kiss Bank Bank de Hello merci et de Lendopolis Kiss Kiss Bank Bank leader Europ en du crowdfunding d di la cr ation et l innovation interna tionale offre tous la possibilit de financer des projets entrepreneuriaux notamment dans le champ des indus tries cr atives Le cr dit d imp t recherche Le 27 mai 2015 Stephane Lhuillery intervenait lors d un s minaire portant sur l valuation du cr dit d imp t re cherche organis par France Strat gie et la Commission nationale d valuation des politiques d innovation FRANCE STRAT GIE VALUER AMTICIPER D BATTRE PROPOSER L avenir en c
11. assurance courtage banque management des risques membres du P le taient repr sent es Soutenance d une HDR risque incertitude et ressources naturelles Marielle Brunette charg e de recherche INRA au Labora toire d conomie Foresti re Nancy a soutenu son habili tation diriger des recherches le 15 avril dernier l Uni versit de Strasbourg garante Sandrine Spaeter dans les locaux du BETA Strasbourg Le fil conducteur de ses re cherches et de ses projets est la Prise en compte du risque et de l incertitude dans la gestion des ressources naturelles renouvelables Applications aux ressources foresti res Nouveau programme de recherche avec EDF et la R gion Alsace MN un nouveau programme de recherche en partenariat avec EDF et la R gion Alsace La Region question de l assurabilit du risque de non Alsace atteinte de la performance nerg tique apr s r novation en BBC B timent Basse PUS Consommation d nergie f d re ainsi une J v partie des travaux de th se de Nicolas Lam pach financement IDEX en cours et e GDF Lucie Martin Bonnel stagiaire du Master Assurance et gestion des risques EDF et au BETA Le travail de Lucie consiste en particulier alimenter la base de donn es relatif aux m nages ayant r nov leur habita tion en Alsace dans le cadre du programme EDF R gion Alsace Ademe Je r nove BBC et exploiter ces don n es afin d isoler les
12. biais de comportements Ces biais non encore bien identifi s et donc non pris en compte rendent en effet l estimation de la probabilit d chec de la r novation et donc l assurabilit du risque de non atteinte de la performance nerg tique particuli rement difficile Bertrand Koebel et Sandrine Spaeter encadrent ce travail L quipe travaillant dans le domaine de l conomie de l environnement d marre Publication r cente Lefebvre M Pestieau P Riedl A Villeval M C 2015 Tax Evasion and Social Information an Experiment in Belgium France and The Netherlands International Tax and Public Finance 22 3 p 401 425 R sum L effet des interactions sociales sur le comporte ment individuel fait de plus en plus l objet d analyses Dans cet article nous tudions exp rimentalement l effet des interactions sociales sur le comportement individuel dans un contexte de choix d occupation et de d claration de revenu Nous sommes int ress s de savoir si connaitre les comportements des autres influence sa propre d ci sion d d vader le fisc ou non Nous comparons plusieurs traitements dans lesquels nous faisons varier l information sociale re ue par les sujets Nous observons un effet asy m trique de l information sur la fraude Alors que l obser vation de taux lev s de d claration du revenu n a pas d effet nous observons que l observation de taux lev s de fraude augmente significativemen
13. facile organiser elle reste une source inestimable de richesse Contacts avec le Japon et conomie de la cr ativit Jean Alain H raud revient d un s jour pass l universit Toyo Tokyo Le partenariat avec cette universit a trente ans Par ailleurs et de mani re ind pendante en partenariat avec la Soci t Japonaise pour l Avancement de la Science JSPS le BETA a organis en juin 2015 un forum franco japonais sur la globalisation et les grands d fis conomiques et sociaux de notre poque Plusieurs membres du BETA ont galement particip de courtes formations destination d tudiants de l Universit Keio dans le cadre du programme d accueil d tudiants japo nais mis en uvre en Alsace par le CEEJA Le Japon est donc la crois e de plusieurs initiatives manant de membres du BETA Les changes avec les coll gues japonais de Toyo portent sur l conomie de l innovation et le management de la cr ativit La th matique du Knowledge Angels KA a par ticuli rement retenu leur attention ces anges de la con naissance qui font plus que savoir des choses ils sont ca pables de visions et donc ce sont des cr atifs n s Pour les japonais cette probl matique s inscrit plut t dans le champ de l conomie de l ducation En effet le syst me ducatif japonais pousse les individus exactement l inverse de ce que l on attend du profil d un KA savoir l appartenance plu
14. offre de travail et la fertilit L Agence National de la Recherche ANR soutient dans le cadre de son programme Franco Allemand conjoint avec la Deutsche Forschungsgemeinschaft un projet de re cherche du BETA sur les effets de la politique familiale sur l offre de travail et la fertilit ayant pour objectif de d ve lopper et d estimer un mod le structurel dynamique pour expliquer et comparer les trajectoires de natalit et d em ploi des femmes en France et en Allemagne Les taux de natalit des deux pays sont caract ris s par une tendance la baisse sur les 70 derni res ann es Le taux de natalit en France reste cependant plus lev et s est stabilis durant les ann es 2000 au dessus du taux de l Allemagne toujours d croissant Lors du baby boom les taux de na talit des deux pays sont tr s proches mais un foss se Suite page 14 Du c t des axes scientifiques D 13 Du c t des axes scientifiques B 14 creuse subitement partir de 1968 Par la suite au d but des ann es 1980 le taux de natalit de l Allemagne de l Est augmente subitement pour recoller au taux fran ais avant de s effondrer apr s la chute du rideau de fer Les choix individuels de fertilit en partie al atoires sont certainement affect s par des d terminants socio conomiques les pr f rences individuelles l tat du mar ch du travail ainsi que par la politique familiale L objectif principal de c
15. pas tre Pareto domin e Cinqui me axiome dans des situa tions sym triques les deux joueurs doivent ob tenir la m me chose Nash montre alors que la seule solution qui v ri fie ces cinq axiomes est la solution x x du r UNIVERSIT DE LORRAINE I programme de maximisation MaX xdansx X1 d1 x2 d2 Dans le cas d un g teau uniforme de taille totale gale 1 on ob tient par exemple le partage quitable 1 2 1 2 A travers l approche coop rative l ambition de John Nash tait de proposer un m canisme per mettant de pr dire l issue d un processus de n gociation sans en d crire la lourde machine rie Bien s r cette premi re proposition de solu tion est sans doute trop parfaite Comme le note ric Rasmusen les r sultats coop ratifs sont beaux nets moraux et efficients Nash tait conscient des limites de l approche coop rative et par la suite il a cherch d crire un processus non coop ratif de n gociation qui aboutit une pr diction proche de celle du mo d le coop ratif Initi par un article paru dans Econometrica en 1953 ce programme de re cherche a ensuite t qualifi de programme de Nash par John Binmore en 1987 et a no tamment t poursuivi par d autres th oriciens des jeux On peut penser Ariel Rubinstein et son mod le dynamique de marchandage de 1982 Que reste il de l apport de Nash aujourd hui au probl me de marchandage D ab
16. passement du principe de pollueur payeur De quoi confirmer la grande diversit et la grande qualit de tout ce qui fourmille aux quatre coins du laboratoire prochaine dition Strasbourg en 2016 Les 10 mes Rendez vous europ ens de Strasbourg A l occasion des 10 Rendez vous europ ens de Stras bourg l atelier anim par le BETA sur La gouvernance de la zone euro a donn lieu de vives discussions entre chercheurs praticiens et citoyens Cet atelier a permis de conduire une r flexion sur les volutions souhaitables de la gouvernance conomique de UEM et d en faire mer ger enjeux et perspectives et notamment d apporter des l ments de r ponse aux interrogations portant sur les contradictions dans la gouvernance conomique de la zone euro le r le de le BCE la cr ation d un fonds con joncturel Un v nement coordonn par Am lie Barbier Gauchard BETA avec la participation de Mo se Sidi ropoulos BETA Nicolas Carnot Commission euro p enne et Giuseppe Diana Cour des Comptes Euro p enne Workshop Technology Dynamics amp Policies Nancy Le 9 avril 2015 dans le cadre d un partenariat entre le BETA et ICN Business School un s minaire d conomie de l innovation intitul Technology Dynamics amp Policies rassemblait Nancy une belle quipe de sp cialistes du domaine autour de huit pr sentations de travaux r cents portant sur des th matiques en ap
17. t pour les langues et cultures m a amen e poursuivre mes tudes en France Apr s un DESS en Traduction INALCO et un DESS en Langues Etran g res Appliqu es au Commerce Interna tional j ai particip activement la coop ration technique franco allemande cr ation d une filiale d un grand groupe allemand en France voire europ enne publication de normes fran aises et europ ennes avant d int grer le CNRS en 2005 en passant par le Politecnico di Milano Pendant six ans j ai manag des projets euro p ens coordonn s par le CNRS un projet Marie Curie en math matiques Phenomena in High Dimensions et un r seau de coordination d agences de financement en phy sique nucl aire NuPNET ensuite j ai administr une Uni t Mixte de Recherche en linguistique partir de 2012 Depuis le 1 avril dernier j ai rejoint l quipe administra tive du BETA en tant que Responsable administrative du site de Strasbourg et Responsable des relations internatio nales du BETA organisation de colloques internationaux accueil de chercheurs veille scientifique Doroth e PEITZMANN Je suis Ma tre de conf rences l univer sit de Strasbourg et exerce d sormais mon activit scientifique au sein du BE TA Mes travaux portent sur le contr le de gestion des activit s complexes et les projets dans l industrie m canique et automobile Je suis galement l auteur de nombreux articles dans d
18. 5 03 Interest Rates Eurobonds and Intra European Exchange Rate Misalignments the Challenge of Sustaina ble Adjustments in the Eurozone Vincent Duwicquet Jacques Mazier Jamel Saadaoui 2015 04 Do self theories explain overconfidence and financial risk taking A field experiment Bertrand Koebel Andr Schmitt Sandrine Spaeter 2015 05 Environmental Kuznets Curve and Economic Growth The Role of Institutional Quality and Distribution al Heterogeneity Revisited Tapas Mishra Mamata Parhi Claude Diebolt Prashant Gupta 2015 06 Stochastic Economic Growth and Volatile Population Dynamics Past Imperfect and Future Tense Tapas Mishra Claude Diebolt Mamata Parhi 2015 07 Does sector specific experience matter The case of European higher education ministers Julien Jacqamin Mathieu Lefebvre 2015 08 Replacing the Polluter Pays Principle by the Cheapest Cost Avoider Principle On the Efficient Treat ment of External Costs Dieter Schmidtchen Jenny Hel stroffer Christian Koboldt 2015 09 Becoming We Instead of I Identity Man agement and Incentives in the Workplace Jocelyn Donze Trude Gunnes 2015 10 Efficient and fair allocation of aid Patrick Guillaumont Phu Nguyen Van Thi Kim Cuong Pham Lau rent Wagner 2015 16 How can the labor market accounts for the effectiveness of fiscal policy over the business cycle Thierry Betti Thoma
19. A l inverse ces taux sont particuli rement faibles moins de 2 5 en Slov nie en Belgique au Luxembourg et aux Pays Bas Quant la France elle se situe un niveau interm diaire avec un taux de 5 1 pour les soins m dicaux et de 8 2 pour les soins dentaires La Lettre du BETA comment expliquer ces diff rences entre pays Olivier Guillot partir de mod les de r gression multiniveaux il a t possible d introduire dans l analyse des l ments per mettant de caract riser les syst mes nationaux de soins Les r sultats obtenus montrent que les diff rences entre pays eu rop ens s expliquent en partie par les sp cificit s de ces sys t mes de soins Les taux de renoncement sont ainsi plus lev s lorsque la part des d penses restant la charge des assur s sociaux est importante Une augmentation de 5 points de celle ci aurait pour effet d accro tre de 0 8 point la probabilit de renoncer des soins m dicaux et de 1 point celle de ne pas se rendre chez le dentiste En revanche ni la densit m dicale ni le mode de paiement des m decins ni la fa on dont est organi s e l offre de soins avec ou sans m decin orientateur ne semblent tre des facteurs d terminants Taux de renoncement aux soins m dicaux Taux de renoncement aux soins m dicaux moins de 3 de3 6 de6 9 de 9 12 EEND 12 ou plus Carte r alis e avec Cartes amp
20. NUM RO Bulletin d information bi annuel Juillet 2015 Bureau d conomie Th orique et Appliqu e BETA UMR 7522 du CNRS BETA Universit de Strasbourg Facult des sciences conomiques et de gestion 61 avenue de la For t Noire 67085 Strasbourg Cedex T l 33 0 3 68 85 20 69 Fax 33 0 368 852070 Secr tariat G raldine Del Fabbro g delfabbro unistra fr BETA Universit de Lorraine Facult de droit sciences conomiques et de gestion 13 place Carnot C O 70026 54035 Nancy Cedex T l 33 0 3 54 50 43 50 Fax 33 0 3 54 5043 51 Secr tariat Sylviane Untereiner sylviane untereiner univ lorraine fr Site internet http www beta umr7522 fr th orique et appliqu e BETA UMR 7522 UNIVERSIT DE STRASBOURG La Lettre du BETA Dans ce num ro Des membres l honneur 2 Premi re tribune 2 Nouveaux membres 4 Manifestations scientifiques 7 Seconde tribune 9 Du c t des axes scientifiques 10 tudes doctorales 16 Du c t des Masters 18 Publications 19 Agenda 20 Editorial par Jocelyn Donze John Nash son pouse Alicia et le chauffeur de taxi qui les conduisait sont d c d s lors d un accident le 23 mai dernier Nash venait de rece voir le prix Abel en compagnie de Louis Niren berg pour leur contribution la th orie des quations aux d riv es partielles non lin aires et leur application en analyse g om trique Les commentateurs se s
21. RASBOURG Colloque Anticipations Conjectures et Coordi nation Le prochain colloque biannuel de l Asso ciation Charles Gide pour l tude de la 4 pens e conomique sera organis par le 4 BETA Strasbourg Les conf renciers invit s sont Anna Carabelli Universit du Pi mont oriental et Roger Guesnerie Coll ge de France Contact ragip ege unistra fr Agenda 2015 2016 D La Lettre du BETA n 7 Juillet 2015 Directeur de la publication Bruno JEANDIDIER Communication Catherine TROMSON Mise en page Karine PELLIER
22. ageant une strat gie com mune et visant attaquer un m me march Jean Alain H raud JAH si le terme a t remis au go t du jour par Michael Porter il remonte beaucoup plus loin dans l histoire de la pens e conomique Alfred Marshall l em ploie mais sous forme verbale to cluster en s interrogeant sur les raisons pour lesquelles les entreprises innovantes de la premi re r volution indus trielle ont eu tendance se regrouper de mani re tr s locale typiquement dans la r gion de Manchester plut t que de se r partir sur tout le territoire de l Angleterre Marshall est non seulement le premier conomiste avoir conceptualis l id e d externalit mais aussi celui qui a soulign l existence d effets externes spatialis s La Lettre du BETA nous sommes tr s proches de la d fini tion du diamant de Porter TBH en effet le mod le de la fin des ann es 1980 de Porter explique que la comp titivit des Nations ou d autres zones g ographiques plus petites provient de regroupements par ticuliers une masse critique de demandes provenant de consommateurs solvables une stimulation concurrentielle entre des entreprises aux connaissances et comp tences proches et ou compl mentaires On retrouve cette id e d ac cumulation et de densit des ressources n cessaires l appa rition d une innovation La Lettre du BETA mais quelle diff rence avec un cosys t me d affaire
23. ale de Lausanne EPFL o j ai finalis mon doctorat en janvier 2014 Depuis je suis Ma tre des conf rences ICN Business School et au Bu reau d conomie Th orique et Appliqu e BETA l Uni versit de Lorraine Mes int r ts de recherche rel vent de l conomie appliqu e Mes th mes sp cifiques sont le processus de cr ation de nouvelles entreprises la diversi t de la main d uvre la mobilit de la main d uvre la productivit des entreprises les externalit s de connais sances l valuation des politiques de R amp D J ai obtenu mon dipl me de Master en conomie internationale l Universit f d rale de l Oural Russie en 2008 Puis a 4 j ai entrepris la JLU Giessen un docto 4 rat en macro conomie et en m thodes Z d optimisation intensive Entre 2011 et 2015 j ai eu un contrat de post doctorant l Universit de Jena plus sp cifique Ivan SAVIN ment la Graduate School Economics of Innovative Change Depuis mai 2015 je suis post doctorant KIT BETA financ par la Helmholtz Association HIRG 0069 Mon principal sujet de recherche dans ce cadre est le r le de la GPT general purpose technologies dans les r seaux complexes de connaissance constitu s de multiples inte ractions et d effets de feedback du fait de liens horizon taux et verticaux entre les acteurs impliqu s Mes autres sujets de recherche portent sur l conomie de l innova tion l optimisa
24. an Pierre Florens de l universit de Toulouse 1 a inaugur ces deux jours de conf rence en pr sentant deux travaux sur l estimation d op rateurs lin aires en pr sence de donn es fonctionnelles et sur la d convolu tion dans les r seaux Comme lui d autres conf renciers ont expos des travaux dont l objet essentiel est le d ve loppement de nouvelles m thodes conom triques Ain si Arthur Lewbel de l universit de Boston a pr sent une nouvelle mod lisation des pr f rences avec h t ro g n it inobservable g n ralisant les chelles d quiva lence de Barten et mis en vidence l int r t de cette approche dans le cadre de l valuation de politiques co nomiques R mi Piatek professeur assistant l universit de Copenhague a propos une m thode d estimation Bayesienne d une forme contrainte du mod le probit multinomial adapt e la mod lisation de choix simulta n s par exemple le choix joint des tudes et d une pro fession Steve Pischke de la London School of Economics a pr sent un papier m thodologique o il discute la puissance de tests de la validit de restrictions identi fantes en pr sence d erreurs de mesure D autres pr sentations se sont concentr es sur l applica tion et l adaptation de m thodes conom triques des probl matiques telles que l conomie du travail de la famille l innovation ou encore la croissance conomique endship and insights
25. buer la m daille de bronze du CNRS pour ses travaux de recherche qui portent principalement sur des questions de d veloppement durable selon une approche macro conomique et empirique Phu Nguyen Van s int resse plus particuli rement l interaction entre l activit conomique et la sph re environnementale Il tudie la validit de la courbe de Kuznets environnementale entre le revenu et la d gra dation environnementale Ses travaux rejettent la vali dit de la forme en cloche et mettent en vidence une relation globalement croissante entre le revenu d un pays et la d gradation de l environnement Ceci signifie qu en l tat actuel tant dans les pays les plus riches que dans les pays pauvres les activit s conomiques tendent d grader l environnement d gradation qui peut tre mesur e par la d forestation les missions de gaz effet de serre ou la consommation d nergie non renouvelable Si le d veloppement conomique ne permet pas de r duire les d gradations faites l environnement sommes nous pour autant condamn s une apoca lypse environnementale Cela d pendra en particulier du prolongement des efforts initi s dans le cadre du protocole de Kyoto notamment lors de la prochaine conf rence internationale sur le climat qui sera organi s e Paris en d cembre 2015 Un autre espoir vient de la part de la soci t civile avec de nouveaux comporte ments de consommation comme
26. disciplinaire dans le domaine du law and economics Les intervenants fran ais et trangers Universit s Paris 2 Lorraine Chicago Hull Lucerne sont intervenus sur des th matiques vari es telles que la m thodologie de l co nomie du droit le raisonnement cons quentialiste en droit la notion d efficacit en droit le droit des contrats ou encore le droit de la responsabilit Ce s minaire con joint devrait se poursuivre en 2015 2016 selon des moda lit s d finir Num ro sp cial de la revue conomie amp Pr vision Ce num ro coordonn par Yannick Gabuthy et paru en f vrier 2015 est con sacr la th matique de l conomie du droit Il est constitu de contributions de nature vari e analyses th oriques ar ticles de m thodes et applications empi riques et organis autour de trois dos siers intitul s conomie du droit et responsabilit ci vile Apports de la statistique et de l conom trie l conomie du droit et Apports de l analyse exp ri mentale l conomie du droit Ces trois dossiers abor dent un certain nombre de questionnements ayant trait l analyse conomique des r gles de responsabilit civile s agissant des risques technologiques au fonctionnement de la justice prud homale aux m canismes judiciaires de traitement des situations de surendettement des particu liers ou encore aux comportements de fraude sociale et fiscale Pl
27. e connaissances et l innovation Partici per un cluster permet des PME d acc der aux laboratoires qui en g n ral travaillent pour de grandes institutions euro p ennes ou pour de grandes entreprises Elles peuvent ainsi b n ficier de solutions la pointe de la cr ativit et gagner en efficacit et en comp titivit Jean Alain H raud est professeur de Sciences conomiques l Uni versit de Strasbourg Thierry Burger Helmchen est Professeur de Sciences de Gestion l Universit de Strasbourg Deux r compenses en Histoire de la Pens e co nomique au BETA L European Society for the History of Economic Thought ESHET vient de d cerner pour l ann e 2015 Phi lippe Gillig le Gilles Dostaler Award un prix r compen sant le meilleur article publi par un jeune chercheur dans les domaines d int r t de Gilles Dostaler et Her rade Igersheim en tandem l ESHET Young Scholar Award Ces deux r compenses t moignent de la vitalit de la recherche en Histoire de la Pens e conomique au sein du BETA Le 29 janvier 2015 Thierry Burger Helmchen s exprimait France Bleu Alsace sur la hausse du Franc suisse ses causes et ses cons quences http bit ly 1SCbLqaE Le 29 janvier 2015 Thierry Burger Helmchen tait re u par Precepta stra t giques pour parler des volutions int grer dans l laboration de la strat gie d entreprise dans un environne ment en mouvement per
28. e march boursier qui sont une des variables principales dans les mod les de choix de portefeuilles Il montre que l er reur de mesure dans les pr visions subjectives peut tre utilis e pour mettre en vidence l h t rog n it des r gles de d cisions individuelles Pierre Mohnen professeur l Universit de Maastricht a cl tur ces journ es en pr sentant un mod le permettant d tu dier le lien entre innovation et croissance inclusive mo d le dynamique estim par MCMC Ces deux journ es de conf rence d un tr s bon niveau scientifique pass es dans une ambiance conviviale et chaleureuse en pr sence d une cinquantaine d audi teurs ont permis de rendre un digne hommage Fran ois Laisney pour sa contribution tant la recherche scientifique qu la formation de plusieurs g n rations d conom tres PHU NGUYEN VAN VA RECEVOIR LA M DAILLE DE BRONZE DU CNRS Arriv du Vietnam en France en 1994 gr ce une bourse du gouver nement fran ais Phu Nguyen Van a commenc ses tudes en conomie la Facult des Sciences cono miques et de Gestion de l Universit de Strasbourg Il s est sp cialis en statistique et conom trie avant de faire une th se de doctorat au BETA Recrut au CNRS comme Charg de recherche en 2004 juste apr s sa th se il a travaill en r gion parisienne pendant quatre ans avant de revenir au BETA en Al sace Il s est vu attri
29. e projet et d identifier et d valuer empiri quement les d terminants du taux de fertilit et ses inte ractions avec l offre de travail Ce projet de recherche im plique des enseignants chercheurs de trois institutions Hans Martin von Gaudecker Universit de Bonn Ber trand Koebel Fran ois Laisney Bruno Rodrigues Vincent Vergnat BETA Universit de Strasbourg ainsi que An dreas Peichl Holger Stichnoth et Raphael Abiry ZEW Mannheim Taux de natalit pour 1000 habitants France Allemagne 5 Allemagne Ouest Allemagne Est 0 9 CS Ces Co 497 19 CU Cia Ci 7 a 99 x 5 29 19 0 BETA N de la Reche AA Bureau d conomie th orique et appliqu e UMR 7522 un ta rer etes ape Centre fo Econ omi c ke Friedri re ae Universit t Bonn l galit professionnelle entre les femmes et les hommes Dans le cadre d une convention de recherche conclue avec la DIRECCTE Alsace l Institut Du Travail de l Universit de Strasbourg a rendu le rapport final de la recherche N gocier l galit professionnelle entre les femmes et les hommes avanc es r sistances et conditions de d ve loppement Ce projet pluridisciplinaire port par Mi ch le Fort Beta et r unissant conomistes A Bucher et I Terraz Beta F Tournadre Large et juristes T Garat et N Moizard Dres proposait d analyser la mani re dont sont appliqu es en Alsace les obligations des entre
30. es revues L Wilfrid AZAN acad miques d ouvrages et de cas sur les technologies int gr es le knowledge management et sur les syst mes big data Lorsque j ai t nomm PRAG la Facult des Sciences Sociales il y a 5 ans j ai d ci d d entamer parall lement une th se sous la direction de Ragip Ege J ai donc rejoint depuis cette date la grande famille du BETA Ma th se soutenue le 24 juin P 2014 a port sur la critique de l conomie Phillipe GILLIG politique dans l histoire des id es et en particulier sur la controverse autour des lois naturelles en conomie Je me suis notamment concentr sur les attaques port es par Marx Durkheim Veblen et l cole historique allemande l encontre de John Stuart Mill Je poursuis actuellement mes recherches en histoire des id es pist mologie et philosophie conomique en por tant une attention singuli re la question de l h ritage et de la progressivit de l imp t dans les th ories cono miques de la justice sociale Apr s avoir r alis un Master en cono mie et Gestion des Administrations pu bliques et des institutions internationales l Universit Bocconi j ai t assistante de recherche au Centre danois pour les tudes en recherche sur les politiques et la recherche CFA Et j ai t chercheuse Marianna post doctorale la Chaire d conomie et MARINO de gestion de l innovation CEMI de l cole Polytechnique F d r
31. hives Poincar UMR 7117 a t organis e le 7 avril 2015 au BETA Lorraine Ce fut une belle occasion Se pour d montrer que des int r ts scienti fiques communs entre les deux UMR SHS de l Universit de Lorraine m ritent d tre mieux valori s s Au programme philosophes et conomistes lorrains et alsaciens ont alternativement abord des questions portant sur l pist mologie des vertus et son application en conomie la th orie de la d cision et l conomie com portementale autour des nouvelles formes de paterna lisme la th orie de la justice selon Sen le serment selon une approche conomique et philosophique Prochaine dition l an prochain au LHSP Beta 6 rue des Michottes NE ELIRI rendre leur territoire smart Les nouveaux business models cosyst mes le r le des contrats partenariats publics priv s les probl matiques li es l incitation des utilisateurs mais aussi les questions relatives aux comp tences de ces derniers dans l adoption et l usage des ser vices innovants de la Smart Cities ont t d battus sur la base d une vari t de cas les services de mobilit de paiement mobile la consommation nerg tique etc Une s lection d articles discut s pendant cette journ e fera l objet d une publication dans le cadre d un num ro th matique du Journal of Strategy and Management Grande Conf rence du BETA Lorraine mr y Ar Lundi 2 ma
32. ial Context s est tenu les 6 7 juillet 2015 Ottrott un projet financ par la Fondation de l Universit de Strasbourg Au programme des communi cations portant notamment sur les exp rimentations en laboratoire et In Situ de nouveaux modes de scrutin et plus pr cis ment sur la mani re dont les votants per oi vent et s emparent des m thodes de vote par valuation KIT Karlsruher Institut f r Technologie FONDATION BETA Bureau d conomie th orique et appliqu e UMR 7522 I LI STRASBOURG Soutenance d Habilitation Diriger des Recherches HDR Herrade Igersheim a soutenu le 23 avril 2015 l Universi t de Strasbourg une HDR intitul e Lib ralisme de la libert Fondements Analyses Exp rimentations Le jury tait compos de Claude Diebolt Ragip Ege Jean Fran ois Laslier Philippe Mongin Emmanuel Picavet et Anne Rozan R sum L ensemble des travaux pr sent s s inscrivent dans l tude qu elle soit historique conceptuelle analy tique ou exp rimentale du concept de lib ralisme de la libert Le premier chapitre est consacr aux fondements du lib ralisme de la libert une r flexion sur les uvres de Rawls et de Sen Il fait ainsi appel l histoire de la pen s e conomique et la philosophie morale et politique Il examine la question de l mergence de valeurs ou de prin cipes communs et donc en filigrane celle de la r vision des pr f rences individuelle
33. les nouvelles formes d co citoyennet les interactions hors march entre individus l apparition de consommateurs responsables etc Dans un de ses projets de recherche en cours Phu Nguyen Van vise justement valuer les impacts de l mergence de ces nouveaux comportements sur l en semble de l conomie Avec l espoir de voir enfin mer ger la partie d croissante de la courbe en cloche e q Premi re tribune Interview 4 EUROPEAN CLUSTER DAYS Les 18 19 mars 2015 se sont tenus les European Cluster Days au Parlement Europ en Lors de ces journ es 365 acteurs europ ens se sont r unis pour booster leur coop ra tion internationale appr hender les pratiques et politiques des autres pays et d montrer leur valeur ajout e aux repr sentants des politiques publiques La Lettre du BETA on parle de cluster mais qu est ce qu un cluster Cette notion est elle nouvelle Thierry Burger Helmchen TBH non m me s il y a des diff rences notables entre cluster p le de comp titivit ou de comp tences grappe industrielle les notions existent de puis longtemps Ainsi Robert Huggins d s la fin des ann es 2000 produit une classification de ces diff rents regroupe ments Pour cet auteur il s agit d une concentration g ogra phique d acteurs unis par des cha nes de valeur cono miques voluant dans un environnement b n ficiant d infrastructures de soutien part
34. ly act as substitutes or comple ments Axe Comportements et march s Jeu et conomie A l occasion de la remise des prix d un con cours de photos et nouvelles sur le th me du jeu le CAES du CNRS a organis une table ronde sur le m me th me anim e par Laurent Mandeix la Biblioth que Nationale Universitaire de Strasbourg le 10 d cembre 2014 Medhi Belhaj Kacem philosophe Christian Bucher psychiatre en service d addictologie Patrick Schmoll psy chosociologue et anthropologue et Gis le Umbhauer conomiste et membre du BETA ont chang sur les diff rentes conceptions du jeu N gt Survivre la prochaine crise financi re Mercredi 15 avril la facult de sciences conomiques et de gestion accueillait Mi chel Dacorogna conseiller scientifique au SCOR pr s du pr sident de la SCOR l un des cinq plus grands groupes de r assurance au monde pour la 1 conf rence organis e conjointement par l Association des tudiants du master Assurance et gestion des risques et le P le rh nan de gestion du risque et de l assurance M Dacorogna est intervenu sur la question de la th matique Survivre la prochaine crise financi re un d fi pour la gestion des risques en s ap puyant notamment sur l exp rience de la SCOR et les d veloppements r cents des mod les de r assurance per mettant de prendre en compte les v nements extr mes Une vingtaine d entreprises
35. mandeur La relation demandeur avocat est mod lis e comme une relation d agence dynamique dans laquelle l effort de l avocat est inobservable par son client Les r sultats montrent que la nature s quentielle de la proc dure induit un effet de spillover la perspective de paiement la seconde p riode a une vertu incitative la premi re p riode motivant l avocat l effort de mani re maximiser ses chances d atteindre l tape de n gociation des dommages Cet effet implique la mise en uvre d un contrat particulier dans lequel l avocat ne per oit aucun transfert la premi re p riode du jeu S minaire co organis par plusieurs centres de recherche en droit de Nanterre et le BETA Durant l ann e 2014 2015 le BETA a co organis un s mi naire mensuel d analyse conomique du droit en collabo ration avec les laboratoires CEDCACE Centre de droit civil des affaires et de contentieux conomique et CRDP Centre de recherche en droit public de l Universit Paris Ouest Nanterre la D fense Destin un double public de juristes et d conomistes et associant des chercheurs se niors et juniors le s minaire a poursuivi un triple objectif Il s agissait 1 de pr senter les m thodes outils et th ma tiques de l analyse conomique du droit 2 d en discuter la pertinence et la port e pour le droit fran ais 3 de con tribuer au d veloppement d une approche r ellement Suite page 15 inter
36. ne 2005 et depuis la crise finan ci re de 2008 ditions Points 444 pages Cliometrica Journal of Historical Econo mics and Econometric History volume 9 Num ro 2 mai 2015 http link springer com journal 11698 9 2 page 1 R dacteur en chef Claude Diebolt Revue Mondes en d veloppement Ethique entrepreneuriat et d veloppe ment revue Mondes en d veloppement Num ro 168 d De Boeck tome 42 2014 4 168 p APPROCHES Emergences asiatiques objets et ap proches revue Mondes en d veloppe ment Num ro 169 d De Boeck tome 43 2015 1 174 p http www mondesendeveloppement eu Directeur de publication Hubert G rardin Bulletin de l Observatoire des Politiques conomiques en Europe L Observatoire des politiques La fiscalit L conomie de l offre L Union Economiques i na en Europe bancaire Le trait transatlantique Le syst me europ en de comptes N 31 Hiver 2014 http opee unistra fr Directeurs de publication Michel D voluy et Gilbert Koe nig Les Working Papers du BETA Accessibles sur www beta umr7522 fr productions workingpapers php 2015 01 Playing the game the others want to play Keynes beauty contest revisited Camille Cornand Rodolphe Dos Santos Ferreira 2015 02 Spillover effects in a monetary union Why fiscal policy instruments matter Am lie Barbier Gauchard Thierry Betti Giuseppe Diana 201
37. onfiance pour les entreprises qui innovent A l initiative de Jean Alain H raud Le Professeur Michel Godet un des sp cialistes de la prospective strat gique est venu Strasbourg le 4 f vrier 2015 faire une conf rence et animer une manifestation sur le th me de l avenir en confiance pour les territoires et entreprises qui innovent La manifestation a permis beaucoup d acteurs locaux de l conomie sociale et solidaire des entreprises engag es et des chercheurs int ress s d changer sur la cr ativit en r seau qui produit de lem ploi et de la coh sion sociale tout en montrant comment les territoires peuvent contribuer vaincre le d clinisme affich par la France d en haut qui peine se r former Droit conomie gestion de la propri t intellectuelle Strasbourg Le 23 mars Strasbourg dans le cadre du projet commun BETA CEIPI en Droit conomie Gestion de la propri t intellectuelle le BETA le CEIPI et l association i3PM ont organis un workshop destin la fois aux praticiens et aux chercheurs int ress s par les questions de propri t intellectuelle et d innovation ouverte Cet v nement a permis de faire connaitre les recherches les plus r centes dans le domaine des professionnels qui en retour ont pu faire part aux chercheurs de leurs probl matiques quo tidiennes Ces journ es ont ainsi montr que si l interdisci plinarit n est pas toujours
38. ont beaucoup attard s sur l apport majeur l analyse conomique que Nash a effectu en d veloppant le concept d quilibre non coop ratif qui porte maintenant son nom Cependant ils sont moins revenus sur une autre de ses contributions importantes savoir la th orie du marchandage Avant la con tribution de Nash parue dans Econometrica en 1950 les conomistes pensaient que l issue d un marchandage bilat ral tait largement in d termin e et refl tait de vagues notions de puissance de marchandage bargaining po wer des participants Nash d finit son probl me de marchandage dans un cadre avec deux joueurs Il d crit un ensemble X de paiements r alisables par les deux joueurs et un point d de X qui indique ce que les joueurs obtiennent en cas de d saccord Fid le l esprit de la th orie des jeux coop ra tifs Nash cherche alors caract riser les solu tions qui v rifient certains axiomes Il en pro pose cinq Premier axiome une solution doit appartenir l ensemble X et procurer aux joueurs des paiements au moins gaux d Deu xi me axiome une solution ne devrait pas d pendre de la fa on dont les paiements sont ta lonn s Troisi me axiome si les joueurs se mettent d accord sur un couple de paiements s face X alors ils doivent continuer choisir s lorsqu on les contraint faire leur choix dans un sous ensemble de X qui contient s Quatri me axiome une solution ne doit
39. ord une pr diction plausible de son issue que les cono mistes ont utilis en conomie du travail en sciences politiques et en conomie industrielle Ensuite une formidable intuition de la compl mentarit entre l approche coop rative et l ap proche non coop rative Enfin de beaux articles r dig s en moins d une dizaine de pages Celui que les dieux aiment meurt jeune di sait le po te M nandre John Nash avait une trentaine d ann e lors d une premi re dispari tion dans la maladie mentale Il est d c d 87 ans alors qu il travaillait toujours au pro gramme de Nash Pr Jocelyn Donze responsable de l axe scienti fique Comportements et march s du BETA 2 FRAN OIS LAISNEY L HONNEUR Les 4 et 5 juin derniers s est tenue la conf rence d cono m trie en l honneur de Fran ois Laisney professeur l Universit de Strasbourg et au BETA qui prendra pro chainement sa retraite a consacr sa carri re l co nom trie l conomie du travail l conomie de la fa mille et la fiscalit des m nages Ses travaux ont t publi s dans des revues telles que Annals of Economics and Statistics Journal of Applied Econometrics Journal of Business and Economic Statistics Journal of Econometrics ou encore Journal of Public Economics La conf rence a donn lieu dix sept pr sentations d amis de coll gues et d anciens doctorants de Fran ois Laisney Je
40. orisation de la recherche en sciences humaines et sociales et dirig e par Thierry Lam bert l Universit de Lorraine le 19 mars 2015 Veronica Acurio Vasconez ATER l Universit de Lorraine et membre associ du BETA a soutenu sa th se de sciences conomiques intitul e Macroeconometric Model of Energy for Public Policy et dirig e par Ga l Giraud l Universit Paris 1 le 12 juin 2015 Stefano Bianchini a soutenu sa th se de sciences cono miques intitul e Trois tudes sur la croissance de l en treprise l innovation et la performance persistante et codirig e par Patrick Llerena et Giulio Bottazzi Univer sit de Strasbourg et en cotutelle avec la Scuola Superiore Sant Anna de Pise le 23 juin 2015 Tiana Rafanomesantsoa a soutenu sa th se de sciences conomiques intitul e Les m canismes d apprentissage exploitant la cr ativit dans une r gion apprenante une approche par les conventions et dirig e par Jean Alain H raud l Universit de Strasbourg le 03 juillet 2015 Caroline Blech Bauer a soutenu sa th se de sciences co nomiques intitul e Travail et responsabilit selon Jean Calvin une interpr tation par le devoir de lieutenance et codirig e par Ragip Ege et Fran ois Dermange l Univer sit de Strasbourg le 03 juillet 2015 Naou l Rasouri Kouider a soutenu sa th se de sciences conomiques intitul e L impact des IDE sur la dyna mi
41. p tuel http bit ly 1THjqFR Le 30 janvier 2015 Bertrand Koebel s exprimait France Bleu Alsace sur ce qui fait la force du mod le conomique allemand et les difficult s des Grecs faire face leur dette publique http bit ly 1CnUvyla Distinctions Le 22 janvier 2015 Mireille Zanardelli lors de la C r monie de Rentr e Solennelle de la Facult de Droit Sciences conomique et Gestion de Nancy a re u le prix 2014 de la meilleure th se de Sciences conomiques de la Facult th se intitul e Impact de la maladie sur la d cision d absence ou de pr sence au travail Analyse conomique du pr sent isme appliqu e au Luxem bourg sous la direction de Jean Claude Ray Le 12 f vrier 2015 Julien P nin tait re u par Precepta strat giques pour parler de l innovation ouverte http bit ly 1GCf9MO Le 12 mars 2015 Mo se Sidiropoulos intervenait sur Fr quence Europe pro pos de la situation conomique de la Gr ce apr s l lection d Alexis Tsipras http bit ly 1dZaue7 Le 30 mars 2015 dans le cadre de l mis sion Modes de vie Mode d emploi sur France Culture Samuel Ferey est interve nu sur le paternalisme lib ral http bit ly 1GCfsY5 Le 19 mai 2015 Precepta strat giques recevait Marc Deschamps pour parler des strat gies mettre en place pour augmenter les co ts des concurrents http bit ly 1CnVmNi Nouveaux membres E 6 Mon int r
42. parence diversifi es mais aux intersections multiples la structuration dyna mique de l innovation du secteur de la chimie les b n fices environnementaux de l innovation l impact de la connaissance sur l innovation dans les nergies propres l valuation conomique du synchrotron Soleil les outils des politiques d innovation les politiques de R amp D en na notechnologie l impact des politiques environnementales sur les firmes danoises Une journ e qui illustra parfaite ment la dynamique du partenariat entre le BETA et l cole de management en Lorraine LE RENONCEMENT AUX SOINS EN EUROPE La Lettre du BETA quel est pr cis ment l objet de votre tude Sabine Chaupain Guillot il s agissait de mettre en vidence les d terminants du renoncement aux soins dans les pays euro p ens les 27 plus la Norv ge et l Islande partir des donn es de 2009 de l enqu te europ enne EU SILC et ce en insistant tout particuli rement sur l impact ventuel des caract ris tiques des syst mes de sant La Lettre du BETA le renoncement aux soins est un sujet qui revient r guli rement dans l actualit comment peut on le d finir Olivier Guillot on parle de renoncement aux soins lorsqu une personne qui aurait besoin de soins n a pas recours aux ser vices de sant Quand on les interroge sur les raisons pour les quelles ils ont d cid de ne pas consulter les individus concer n s mettent bien
43. prises en mati re d galit professionnelle entre les femmes et les hommes L objectif tait d une part de d terminer les avanc es produites par les r formes successives visant renforcer ces obligations et d autre part de comprendre les d terminants du processus de n gociation ainsi que les freins qui ont pes sur l action des partenaires sociaux Cette recherche s est appuy e sur l analyse de l ensemble des accords et plans d actions sur le th me de l galit professionnelle d pos s la DIRECCTE Alsace entre 2010 et 2013 ainsi que sur la r alisation d entretiens semi directifs aupr s des cinq organisations syndicales salari es repr sentatives et de deux organisations professionnelles d employeurs Les r sultats de cette recherche seront pr sent s lors d un colloque organis par l IDT UdS et la DI RECCTE Alsace au cours de l ann e universitaire 2015 2016 inshtvt de TRAVAIL ii de Missina Alsace Axe conomie du droit Publication r cente At C Gabuthy Y 2015 Moral Hazard and Agency Rela tionship in Sequential Litigation International Review of Law and Economics 41 p 86 90 R sum Cet article vise d terminer le contrat optimal entre un plaignant demandeur et son avocat dans le cadre d un proc s s quentiel le juge d termine tout d abord le degr de responsabilit du d fendeur puis le niveau d indemnisation ventuellement verser au de
44. que industrielle de la r publique tch que et codirig e par Francis Kern et ric Raugraff l Universit de Stras bourg le 10 juillet 2015 A l cole Doctorale Augustin Cournot de l Universit de Stras bourg Le BETA a accueilli cette ann e cinq doctorants de Konstanz dans le cadre du coll ge doctoral franco allemand Dominik Bauer qui travaille en th orie des jeux et de la d cision et en conomie exp rimentale Michael D rsan en conomie de l ducation Carl Maier sur les d cisions collectives et l action publique Christian Neu meier sur la discrimination salariale et Marco Menner sur la tarification des produits d riv s Universit franco allemande A l cole Doctorale SJPEG de l Universit de Lorraine Le 19 mai 2015 le BETA et le LEF organisaient la nouvelle journ e jeunes chercheurs avec quatre pr sentations de travaux doctoraux milien Prost et Wafa Toubi pour le BETA et Florian Claeys et Oph lie Darses pour le LEF Ce s minaire doctoral tait suivi d une conf rence exception nelle donn e par Marcel Boyer CIRANO Montr al Le 4 juin 2015 l cole doctorale SJPEG de l Universit de Lorraine a organis sa journ e des doctorants Cette jour n e a pour vocation de faire dialoguer les disciplines de l cole doctorale droit priv droit public conomie ges tion histoire du droit science politique sur un th me transverse cette ann e l autorit
45. rious aspects of tran sitions Manifestations scientifiques Clara Mattei doctorante sous la direction de Claude Diebolt et de Giovanni Dosi co organise du 14 au 16 juillet 2015 dans les locaux de la Scuola Superiore Sant Anna de Pise un colloque international intitul The Nation State and the World Economy bet ween Two Eras of Globalization 1913 1975 Claude Diebolt a organis via l Association Fran aise de Cliom trie 3 sessions AFC AFSE lors du 64 Congr s de l Association Fran aise de Science conomique Rennes 22 24 juin 2015 Contact cdiebolt unistra fr Pour plus d information http afse2015 sciencesconf org Invitations aux tats unis Claude Diebolt a t invit la Deirdre McCloskey Festschrift Conference Chica go en mars 2015 Herrade Igersheim sera Research Fellow au Center for the History of Political Econo MPd my at Duke University CN USA en 2015 2016 conomie d mographie galit Le 12 mars 2015 Claude Diebolt intervenait dans le cadre de la 12 USIAS Fellows Seminar Economic Growth and Gender Equality Strasbourg propos du lien suppos entre d veloppement conomique transition d mogra phique et galit de genre lien que l analyse cliom trique permet d interpeller Votez A l initiative d Herrade Ilgersheim et Clemens Puppe le workshop BETA KIT Karlsruhe Institute of Technology Voting Behavior and Soc
46. rs 2015 le BETA recevait Nancy Louis Eeckhoudt sur le th me Risque prudence et temp rance L absence de certitude est la norme de la vie humaine et sociale Nos soci t s ac tuelles semblent m me tre de plus en plus confront es des situations o la prise de d cision s effectue dans un cadre o l existence de l al a ne peut tre n glig e sant environnement technologie industrie etc Louis Eeckhoudt conomiste parmi les meilleurs sp cialistes au monde des questions de risques a pr sent une vue d en semble de la th orie conomique du risque et de l incerti tude depuis ses d buts au XVIII si cle jusqu nos jours A Manifestations scientifiques B Manifestations scientifiques i 8 Journ e du BETA 2015 Nancy La Journ e du BETA 2015 et l Assembl e g n rale de l UMR ont eu lieu Nancy le jeudi 19 mars 2015 Cette journ e scientifique rendez vous interne d sormais in contournable de l UMR a rassembl cette ann e une bonne soixantaine de membres du laboratoire pour cou ter la pr sentation de travaux tr s r cents et novateurs dans des domaines tr s diversifi s allant de l exp rimen tation en finance l aide au d veloppement en passant par la pens e conomique d Averroes ou encore les incita tions dans un cadre professionnel l tat de l art critique dans les m thodes conom trique du cycle d affaires voire encore le d
47. s TBH dans un r cent num ro de la Revue d conomie Indus trielle Amel Attour et moi m me montrons les diff rences entre ces notions Un cosys gt t me d affaires a une plus grande diversit d acteurs Les entreprises sont actives dans des sp cialit s souvent tr s diff rentes mais reli es par un l ment d un mod le d affaires Le r le des tats notam ment dans la gouvernance y est galement moindre que dans les clusters voire totalement absent La Lettre du BETA l tude des clusters n est pas un sujet nouveau pour le BETA des exemples d tudes historiques JAH toute une cole de pens e s est d velopp e partir des ann es 1980 au tour du mod le marshallien pour expliquer l efficacit conomique et la cr ativit de territoires particuliers comme ceux de lal E Troisi me Italie des districts de la For t Noire etc Plus tard on s est interrog sur la notion de syst me r gional d innovation dans la foul e du d veloppement des travaux sur les syst mes nationaux d innovation Le BETA a large ment pris sa part dans l tude de la dimension territoriale de l innovation depuis plusieurs d cennies D ailleurs en oc tobre prochain nous organisons Strasbourg en collabora tion avec l ISI de Karlsruhe la 10 conf rence internationale sur les politiques r gionales d innovation RIP La Lettre du BETA les clusters sont ils des lieux plus cr a
48. s identified by the NBER and Romer 1994 but the new dates are consistently dated earlier for more than 50 of them especially as regards the NBER troughs The new dates affect the comparison of the average duration of recessions and expansions in both pre WWI and interwar eras Whereas the NBER reference dates show an increase in average duration of the expansions between the pre WWI and interwar periods the new dates show evidence of shortened length of expansions However the new dates confirm the traditional finding that contractions lasted longer in the post war period than during the pre war period Suite page 16 Du c t des axes scientifiques M 15 Du c t des axes scientifiques D 16 Un num ro sp cial coordonn par Claude Diebolt notam ment Diebolt C Wallusch J Eds Cliometrics of Transition Economics and Business Review 1 1 2015 107 pages Economics and Business Review A quarter of a century has passed since the beginning of transition from centrally z planned to market economies in Central Europe Yet post Soviet economies still struggle with their past Other transitions have taken many more decades but there is always a part of the globe where they have not reached their final stage Cliometrics provides an additional insight into the evolution of institutions cus toms constraints opportunities failures and successes In this volume the authors elucidate va
49. s Coudert 2015 17 The effects of firing costs on the wage con tracts under adverse selection Anne Bucher S bastien M nard MERGENCES ASIATIQUES OBJETS ET Publications 19 Agenda 2015 D 20 14 16 juillet 2015 PISE Italie Scuola Superiore Sant Anna The Nation State and the World Economy between Two Eras of Globalization 1913 1975 The conference will focus on the dialectic between na tion states and global markets during the long middle of the twentieth century from the peak of the first era of globalization before the First World War to the end of the Bretton Woods System and the advent of a new wave of financial globalization Contact cdiebolt unistra fr 16 octobre 2015 STRASBOURG Coll ge Doctoral Europ en Macroeconomics Workshop The Euro Crisis Where Do We Stand Ce workshop est organis avec le soutien financier de l universit de Strasbourg dans le cadre d un projet IDEX coordonn par Jamel Saadaoui Dans le cadre de cet v nement nous souhaitons explorer les causes macro conomiques de la crise de la monnaie unique strat gie de repli et soutien la croissance policy mix europ en march s du travail en crise d s quilibres externes poli tique fiscale et soutenabilit budg taire politique mo n taire et int gration financi re Trois conf renciers principaux Paul De Grauwe European Institute London School of Economics
50. s cens es promouvoir la liber t dont les origines remonteraient aux Lumi res Afin de saisir toute la complexit de la pens e des auteurs dits lib raux il s agira de se focaliser sur les rapports d opposition qu ils entretenaient avec leurs adversaires Un colloque organis par le BETA et DynameE Contact ragip ege unistra fr 27 29 juin 2016 NANCY Facult de Droit Sciences conomiques et de Gestion 65 Congr s de l Association Fran aise de Science Economique Le BETA organisera le 65 congr s annuel de l Asso ciation Fran aise de Science Economique AFSE Nan cy du 27 au 29 juin 2016 Contacts bruno jeandidier univ lorraine fr cdiebolt unistra fr AFSE Association Fran aise de Science Economique 10 11 d cembre 2015 NANCY Facult de Droit Sciences conomiques et de Gestion XIT Journ es de Recherches en Sciences Sociales En association avec le Laboratoire d conomie Fores ti re de Nancy LEF INRA AgtroParisTech le CIRAD et la SFER le BETA organisera les 10 et 11 d cembre 2015 les IX Journ es de Recherches en Sciences Sociales JRSS journ es qui rassemble la communaut scienti fiques francophone en SHS dans le champ de l agricul ture la for t la p che l alimentation l environnement Contacts serge garcia nancy inra fr bruno jeandidier univ lorraine fr e e NRA dcirad C ses mer RE G a opp avio 14 16 avril 2016 ST
51. s imm diates ou premi res L analyse interroge donc en derni re instance le probl me du vivre ensemble tel qu il est envisag par Rawls et Sen Le deuxi me chapitre est consacr l laboration de solutions nouvelles pour les paradoxes de Sen et de Gibbard for mul s dans le cadre de la th orie du choix social Sur la base des valeurs v hicul es par le lib ralisme de la libert ces solu tions sont de trois types laboration d un m taclassement restrictions de la condition U m canisme de modification des pr f rences Enfin le troi si me et dernier chapitre s attache tudier de mani re empirique la modification ou la reconstruction des pr f rences individuelles qu op re tel ou tel mode de scrutin et ce gr ce l conomie exp rimentale relative au vote en parall le des lections pr sidentielles fran aises de 2007 et 2012 Le rappel des principaux enseignements permet ensuite de d crire en quoi l approche est m me de nourrir les recherches relatives au lib ralisme de la libert notamment gr ce la mise au jour du vote d expression Nouveau doctorant Abdulnasser Alshaali sous la direction de Thierry Aimar projet de th se Analyse neuro conomique des d ci sions organisationnelles en sant Nouveaux docteurs Maud Righetti a soutenu sa th se de Droit Priv et Sciences criminelles intitul e Le droit d auteur fran ais un obstacle majeur la val
52. sit de Saint Gall a mis en vidence les effets b n fiques de la musique et du sport sur les r sultats scolaires et la sant des adoles cents filles et gar on en mettant l accent sur leur h t rog n it dans un cadre permettant une interpr tation causale de ces effets Dans le domaine de l conomie de l innovation Dirk Czarnitzki professeur l Universit de Leuven examine un changement de la l gislation des brevets en Alle magne et explique que le passage d un syst me inventor ownership un syst me university ownership r duit le volume des brevets d pos s par des universitaires Ulrich Kaiser professeur l Universit de Zurich examine l im portance de la mobilit des scientifiques universitaires sur les entreprises activit s innovantes Enfin St phane Robin de l universit Paris 1 quantifie l impact des er reurs de mesures dans la relation R amp D innovation et productivit Deux autres pr sentations ont port sur les erreurs de pr visions notamment dans le domaine financier San dra Nolte actuellement lecturer en finance l Universit de Lancaster analyse les erreurs des pr visionnistes montrant que les professionnels de la finance sont ca Suite page 3 pables de r viser leurs mauvaises pr dictions sur le long terme mais pas sur le court terme Hans Martin von Gaudecker professeur l Universit de Bonn se concentre sur les pr visions subjectives sur l
53. t l vasion fiscale Axe Fluctuations croissance et poli tiques macro conomiques 15th SAET Conference on Current Trends in Economics A Cambridge les 27 31 juillet 2015 dans le cadre du 15 Congr s annuel de la SAET Society for the Advancement of Economic Theory dont la revue officielle est Economic Theory Rodolphe Dos Santos Ferreira et Claude d Aspremont organisent deux sessions sur le th me Exten ding Monopolistic Competition Models Ces deux sessions regroupent huit contributions proposant diverses exten sions du mod le de Dixit Stiglitz qui est aujourd hui au centre des th ories macro conomique et du commerce international Ces contributions exploitent soit des formes de la fonction d utilit plus g n rales que la CES soit l h t rog n it des entreprises selon plusieurs caract ris tiques taille co ts qualit des produits soit encore la nature oligopolistique de la concurrence qui suppose des comportements strat giques des entreprises Ces exten sions ont un int r t la fois positif et normatif Elles bri sent la rigidit du taux de marge pr sente dans le mod le originel et font notamment appara tre la possibilit d effets anti concurrentiels de l largissement des mar ch s et de la cr ation d entreprises Publications r centes Jamel Saadaoui 2015 Global imbalances Should we use fundamental equilibrium exchange rates Economic Modelling 47 p 383 398
54. tary policy is more effective Highly transparent central banks do not need to be ag gressive in their policy rate actions in order to more effec tively produce output and price dynamics implied by mon etary policy shocks La comp titivit internationale de la fili re for t bois fran aise Le projet de recherche contractuelle men par le BETA en partenariat avec le FCBA et financ par le GIP 0 0 ECOFOR vient de s achever Dans un en contexte de d ficit structurel de la balance commerciale fran aise des produits bois ce projet de recherche avait pour objectif principal d analyser les d terminants des changes internationaux des produits bois Plus pr cis ment il s agissait de mettre en vidence sur la base de travaux empiriques les facteurs explicatifs de la comp titivit des industries du bois appr hend e ici comme la performance l exportation Au del des fac teurs amont li s la mobilisation de la ressource l accent a t mis sur le r le de la performance industrielle des entreprises Ce projet vise la fois contribuer nourrir Suite page 12 Du c t des axes scientifiques p 11 Du c t des axes scientifiques D 12 la litt rature acad mique sur le commerce international des produits issus de la for t ainsi qu alimenter la r flexion des pouvoirs publics et des professionnels sur les leviers d actions pour renforcer la position des industries fran aises du bois
55. ter En association avec les CCEF Alsace et Al a Risque Contact a schmitt unistra fr BETA Bureau d conomie th orique et appliqu e UMR 7522 LEARISQUE C Risque et de l Assurance P le rh nan de Gestion du 6 novembre 2015 STRASBOURG Facult des Sciences conomiques et de Gestion Workshop communaut s et Innovation Un workshop propos en collaboration entre le BETA et Kedge Busi ness School dans le cadre de l Observatoire des communaut s de connaissance et en partenariat avec l association Gestion de la Connais sance Soci t et Organisations L objectif de cette jour n e sera de faire le point et de d gager des perspectives de recherches futures concernant le lien entre commu naut s au sens large et innovation i S minaire de l Observatoire des communaut s de connaissance Contact guittard unistra fr Site internet http www beta umr7522 fr 1er Seminaire de l Observatoire 1027 Bureau ae P KNOWLEDGE th orique UNIVERSIT DE STRASBOURG KEODGE espal A AGeCs0 ia gestion o BUSINESS SCHOOL F an ME enr CREATE SHARE CARE 4 5 f vrier 2016 STRASBOURG Colloque La construction des lib ralismes face leurs adversaires XVIII XIX si cle Le vocable de lib ralisme est aujourd hui massive ment utilis dans le d bat public Il s agit d une ti quette bien commode pour d signer un vaste ensemble de th ories et de politique
56. th consequent potential benefits for the firm We propose that specific investments are required in order to engage in scientific disclosure activities since the disclosure process requires distinctive capabilities This paper empirically analyses the relationship between the composition of industrial re search labs personnel basic research and scientific disclo sure capabilities Our econometric analysis provides evi dence that scientific disclosure requires specific human resource allocations which supports the view that scien tific disclosure is not just a by product of standard R amp D activities Cassi Lorenzo Plunket Anne 2015 Research collabora tion strategies in co inventor networks combining clo sure briging and proximities Regional Studies 49 6 p 936 954 Summary This paper investigates the determinants of co inventor tie formation using micro data on genomic pa tents from 1990 to 2006 in France In a single analysis it considers the relational and proximity perspectives that are usually treated separately In order to do so it anal yses various forms of proximity as alternative driving forc es behind network ties that occur within existing compo nents that is closure ties as well as those between two distinct components that is bridging ties Thus the pa per investigates not only the respective impacts of net work and proximity determinants but also how they over lap interact and possib
57. tifs Pourquoi JAH le propre de certains territoires est de favoriser la cr a tivit individuelle et la cr ativit en r seau sur un certain champ d activit Tout n est pas strictement r ductible aux variables conomiques dans l explication de ce type de ph nom ne le cluster est forc ment li l histoire du lieu une certaine culture partag e des formes particuli res de confiance galement un l ment essentiel pour l efficacit conomique et la cr ativit des perceptions partag es des opportunit s pr sentes et des futurs possibles TBH les clusters sont des lieux d incubation et de transfor mation des id es en innovation Par d finition dans un clus ter des compl mentarit s doivent apparaitre on y trouve des connaissances analytiques synth tiques et symboliques au sens d Asheim C est dire l ensemble des savoirs op ra tionnels scientifiques d ing nierie et de design n cessaires pour que les id es deviennent une r alit Sur ce point les clusters se distinguent des communaut s pist miques qui elles ne rassemblent qu un type de connaissance La Lettre du BETA quel int r t pour les PME et les cher cheurs JAH et TBH les clusters permettent de mutualiser les moyens mais ils permettent aussi de mutualiser les pro bl mes Ces regroupements permettent aux chercheurs d interagir avec plusieurs PME simultan ment et de favoriser ainsi les transferts d
58. tion volutionniste et les m thodes de con tr le optimal Workshop Green and sustainable innovations in Smart Cities Nice A l initiative de Thierry Burger Helmchen et Amel Attour le workshop international Green and Sustainable Inno vations in Smart Cities Business Models and Ecosys tems GSISC co organis par le GREDEG UMR CNRS 7321 et le BETA UMR CNRS 7522 et soutenu par la Ville de Nice s est tenu le 6 mars 2015 dans les locaux du Smart City Innovation Center Une quinzaine de chercheurs de diff rentes disciplines sciences conomiques sciences de gestion architecture etc taient r unis pour d battre des probl matiques relatives aux transformations pro fondes qu imposent le d veloppement des services inno vants dans les villes dont les politiques d innovation visent CCECECEELE EEE CEST EEE CEE EEE CEE EEE TETE ESS CEST ECTS CESSE CE ETS EEE T ECTS CES TETE CES EEE CEE TEE CE STE ES CEE TE CEE CEE ET CEE EEE TE CT ET CEE TE EEE CES EEE LE ETS EEE CEE ET CEE TE CEE CEE EEE TE CEE EEE CE EE CEE TE EEE CT EEE CE EEE EEE CEE EE CE EEE ET CEE EEE EEE EEE LEE ET EEE TE ET CEE EEE CE EEE EEE CE ET EE ET EE EE EEE EEE EEE CEE EE EE ET EEE CE EEE TE CEE EEE CEE ET EE EEE Journ es Philosophie amp conomie Nancy a Une journ e Philosophie amp conomie commune au Bureau d conomie Th o rique et Appliqu e UMR 7522 et au La boratoire d Histoire des Sciences et de Philosophie Arc
59. us d information http bit ly 1CaqALid Approche conomique de l acc s la justice Bruno Jeandidier a t auditionn au Minist re de la Jus tice et a remis une note de synth se au Service de l Acc s au Droit et la Justice et de l Aide aux Victimes portant sur l apport de l conomie dans l analyse de l acc s la justice et plus particuli rement du point de vue de l aide juridictionnelle Une publication destination des lus et fonctionnaires territoriaux Pascale Duran Vigneron et deux coauteurs publient un article destination d un public professionnel dans la re vue de l Institut de la gouvernance territoriale et de la d centralisation D aucuns comme le d put Herv Mari ton dans son rapport sur l volution de la fiscalit locale publi en 2005 soutiennent que la coop ration inter communale serait un facteur significatif d augmentation des taux d imp ts locaux en France La fiscalit du bloc communal a augment de 12 sur la p riode 1997 2009 Existe t il effectivement un lien de causalit entre la cr a tion des EPCIs et l augmentation de la fiscalit locale Le cas ch ant comment la taille des com En 7 munes et le r gime fiscal de l EPCI modi LL fient l impact de la coop ration intercom munale sur la fiscalit locale Quels sont e D les diff rents m canismes conomiques en action Axe Cliom trie et Histoire de la pens e conomique
60. videmment souvent en avant des raisons financi res dans un peu plus de la moiti des cas s agissant des soins dentaires et dans pr s d un quart des cas pour ce qui est des soins m dicaux Mais d autres raisons peuvent tre invoqu es Ainsi concernant les soins m dicaux pr s d un cinqui me des europ ens interrog s disent attendre que cela s arrange Quant au renoncement aux soins dentaires c est la peur de tels soins qui le justifie dans un peu moins d un cas sur sept Le manque de temps et l existence de listes d attente sont galement des raisons souvent cit es La Lettre du BETA ce ph nom ne est il fr quent Sabine Chaupain Guillot parmi l ensemble des europ ens interrog s 6 3 des personnes g es de 16 ans ou plus ont d clar avoir renonc des soins m dicaux au moins une fois au cours des 12 derniers mois Ce taux s l ve 6 8 pour les soins dentaires La Lettre du BETA quels sont les facteurs individuels qui peu vent expliquer ce comportement Sabine Chaupain Guillot comme on peut s y attendre la si tuation financi re du m nage est un facteur pr dominant dans la d cision de ne pas se soigner Toutes choses gales par ail leurs les personnes vivant dans les m nages les plus pauvres ont un risque deux fois plus lev de renoncer des soins m dicaux et un risque presque trois fois plus lev de ne pas se rendre chez le dentiste que les personnes appartenant au
61. x m nages les plus ais s Dans le m me ordre d id es les loca taires ou les personnes vivant dans un m nage endett sont plus enclins renoncer des soins m dicaux ou dentaires Le fait d avoir des enfants charge accro t galement le risque de ne pas consulter particuli rement dans le cas des familles mo noparentales Olivier Guillot s agissant des autres d terminants on peut noter que les hommes renoncent un peu plus souvent que les femmes Sans surprise les personnes qui d clarent tre en mauvais ou tr s mauvais tat de sant sont galement plus concern es A l inverse les personnes g es sont davantage l coute de leurs besoins de sant On observe en outre un effet du niveau de l ducation les moins dipl m s sont plus souvent amen s ne pas se rendre chez le dentiste alors qu ils en auraient besoin Les contraintes de transport ont galement un r le ainsi les personnes vivant dans un m nage ne dispo sant pas de v hicule ont davantage tendance ne pas se soi gner La Lettre du BETA du point de vue de l ampleur de ce ph no m ne comment se situe la France par rapport aux autres pays europ ens Sabine Chaupain Guillot les taux de renoncement les plus lev s sont observ s en Bulgarie et en Lettonie Dans ces deux pays plus de 15 des individus g s de 16 ans ou plus ont re nonc au moins une fois des soins m dicaux ou dentaires au cours des 12 derniers mois

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