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sujet national pour l`ensemble des centres de gestion

1. 5 E a H I m rt laz E EI E E F e D o C Eu o d c o E E 8 o o ud pe Exemple Source Guide pour la pratique de l Intermittence du chauffage dans le tertiaire occupation discontinue ADEME 1989 Trois b timents respectivement de 500 1 niveau 2 000 2 niveaux et 4 000 m 4 niveaux sont chauff s 10 h par jour et 5 jours par semaine Le niveau de surpuissance de l installation de chauffage est assez lev puisqu il atteint 2 fois les d perditions calcul es avec un taux de ventilation r duit Trois niveaux d isolation ont t repris e peu isol simples vitrages murs non isol s e res isol doubles vitrages murs avec 8 cm d isolant e bien isol niveau interm diaire entre les 2 pr c dents Trois modes de coupure sont propos s e un abaissement de la temp rature de l eau de chauffage e une coupure totale du chauffage avec maintien hors gel par une horloge qui relance l installation toujours au m me moment le matin e une coupure totale avec maintien hors gel avec une relance optimis e just in time conomie par rapport au fonctionnement continu Mode de ralenti Isolation 500m 2000m 4 000 m Abaissement de temp rature d eau peu isol 12 5 114 10 8 bien isol 11 7 10 9 10 3 33 65 tr s isol 10 2 9 5 8 3 96 Coupure horloge faible inertie peu isol 37 7 96 31 9 96 29 5 96 150 kg m
2. La vile d INGEVILLE 50 000 habitants g re le chauffage de ses b timents en r gie Dans l agenda 21 qui vient d tre mis en place par le Maire figure l optimisation des consommations de fluides et la diminution de l empreinte cologique due au CO2 La vile possede 50 b timents dont les moyens de production de chaleur sont relativement r cents Les anciennes chaudi res au fuel sont d j toutes remplac es par des chaudi res au gaz Celui ci provient soit du r seau de gaz naturel soit d une livraison par camion citerne de la soci t Antargaz Quelques b timents sont raccord s au r seau de chaleur du centre ville aliment par une chaudi re centralis e au bois Cette derni re est g r e en r gie int ress e par une soci t priv e Dans le parc il existe galement une chaudi re qui fonctionne l huile de colza Vous tes nouvellement nomm ing nieur au Centre Technique et votre directeur vous demande d tudier les performances nerg tiques du chauffage des b timents communaux de rep rer les points qui n cessitent des investissements et de lui pr senter un projet d optimisation de la gestion thermique de ces b timents puis d organiser le management du dossier en mode projet afin d optimiser sa gouvernance et de garantir le respect des co ts et des d lais Question 1 Vous d taillerez les obligations r glementaires pour une collectivit territoriale de maitriser ses consommations d n
3. 46 65 D pannages par change standard des l ments pr vus cet effet et op rations mineures de maintenance pr ventive telles que graissage ou contr le de bon fonctionnement Commentaire Ce type d intervention peut tre effectu par un technicien habilit de qualification moyenne sur place avec l outillage portable d fini par les instructions de maintenance et l aide de ces m mes instructions On peut se procurer les pi ces de rechange transportables n cessaires sans d lai et proximit imm diate du lieu d exploitation Note Un technicien est habilit lorsqu il a re u une formation lui permettant de travailler en s curit sur une machine pr sentant certains risques potentiels et est d sign pour l ex cution des travaux qui lui sont confi s compte tenu de ses connaissances et de ses aptitudes 3 me Niveau Identification et diagnostic des pannes r parations par change de composants ou d l ments fonctionnels r parations m caniques mineures et toutes op rations courantes de maintenance pr ventive telles que r glage g n ral ou r alignement des appareils de mesure Commentaire Ce type d intervention peut tre effectu par un technicien sp cialis sur place ou dans le local de maintenance l aide de l outillage pr vu dans les instructions de maintenance ainsi que des appareils de mesure et de r glage et ventuellement des bancs d essais et de contr le des quipements et en ut
4. Sila volont existe malgr tout de r aliser un r seau multi marques tout commence au niveau du cahier des charges qui doit imposer Jalivraison d une interface avec le protocole d acc s l acc s la base de donn es compl te des adresses sondes consignes y compris l acc s aux plages horaires unengagement sur les prix d entretien pour 10 ans sur les pi ces install es et la main d uvre Janon r ception stricte si toutes les informations ne sont pas fournies Dans tous les cas le probl me de t l gestion doit tre pos M me si aucune r alisation n est envisag e court terme il est utile d investir actuellement dans du mat riel DDC communiquant avec la perspective qu une gestion centralis e puisse avoir lieu dans le futur 16 65 ACTIVITE ACTIVITE ACTIVITE Documents 5 La t l gestion gt Ateliers de C blage du Centre 2012 ACTIVITE La t l gestion Q Qu est ce que la t l gestion La t l gestion regroupe un ensemble de produits qui mettent en uvre plusieurs technologies telles que l informatique l lectronique et les t l communications r seau t l phonique par exemple ce qui permet un contr le distance d installations techniques Param trage des sites Diff rents moyens de consultation et de transmission Voir sch ma au verso OBJECTIFS Avoir une tra abilit des temp ratures pour les services sanitaires et les assur
5. 12 pages Plan d action Alliance C 2012 1 page Documents reproduits avec l autorisation du CFC Ce document comprend un sujet de 2 pages un dossier de 65 pages Certains documents peuvent comporter des renvois des notes ou des documents volontairement non fournis car non indispensables la compr hension du sujet Document 1 Description de la RT 2012 gt Site internet aneo energie fr 2012 La r glementation thermique RT 2012 remplace la r glementation en vigueur RT 2005 Elle sera applicable tous les permis de construire d pos s partir du e 28 octobre 2011 pour les b timents usage d habitation en zone ANRU zone de r novation urbaine e 1er janvier 2013 pour tous les autres types de b timents neufs Elle impose pour toutes les maisons individuelles de recourir une source d nergie renouvelable Consommation en kwh m oyg an d nergie primaire arc m diterran en THERMIQUE 2 99 2012 Les exigences de r sultat e La caract risation nerg tique du b ti repr sent e par le coefficient Bbio e Une consommation Cep en nergie primaire max de 50 kKWhep m suowgar an modulable e Une temp rature de confort d t TIC dans les b timents non climatis s D finition du coefficient Bbiomax Orientation pour un meilleur gain Le coefficient Bbio valorise la qualit nord nerg tique du b ti ind pendamment des syst mes qui l quiperont pour
6. D finir les raisons d tre du projet par ceux qui en sont l origine pour quoi Sa finalit Ses motifs Ses enjeux Ses valeurs Objectif g n ral Performance attendue qualit co ts d lais 2 Pr paration D terminer le contexte les enjeux le p rim tre Identifier les points forts ressources facilitants risques et contraintes D terminer l quipe projet D terminer les objectifs et objectifs interm diaires tapes D finir les r sultats les indicateurs D finir les sc narios pessimiste normal optimiste D terminer les objectifs fonctionnels ou compl mentaires en v rifiant leur coh rence Qualit Co t charge Ordonner les diff rentes t ches Y Affecter des dur es Y Affecter des moyens D finir les liens entre les t ches int grer les taches de gestion de projet Valider et communiquer le planning 4 Pilotage r alisation Lancer la r alisation Mettre en uvre le plan de communication y Collecte d informations Y Analyse des carts avec le pr visionnel Y Ajuster manager Temps Communication D finir les axes cibles et moyens en communication 5 Bilan Pr senter les conclusions et promouvoir y D sengagement Communication des r sultats y Capitalisation d exp riences Archivage cl ture du projet Phase N 1 INITIALISATION ANALYSE DE LA DEMANDE Cette phase est primordiale avant de s engager dans la c
7. M me si le temps est l unit la plus r pandue d autres unit s peuvent tre retenues telles que la quantit de produits fabriqu s la longueur de produits fabriqu s la distance parcourue la masse de produits fabriqu s le nombre de cycles effectu s etc Cette p riodicit d intervention est d termin e partir de la mise en service ou apr s une r vision compl te ou partielle Cette m thode n cessite de connaitre o Le comportement du mat riel o Les modes de d gradation o Le temps moyen de bon fonctionnement entre 2 avaries Remarque de plus en plus les interventions de la maintenance syst matique se font par changes standards Cas d application o quipements soumis une l gislation en vigueur s curit r glement e appareils de levage extincteurs r servoirs sous pression convoyeurs ascenseurs monte charge etc o quipements dont la pane risque de provoquer des accidents graves tous les mat riels assurant le transport en commun des personnes avions trains etc o quipement ayant un co t de d faillance lev l ments d une cha ne de production automatis e processus fonctionnant en continu industries chimiques ou m tallurgiques o quipements dont les d penses de fonctionnement deviennent anormalement lev es au cours de leur temps de service consommation excessive d nergie 44 65 clairage par lampes usag es allumage et carburation d r gl s moteurs
8. Le r le d espion permanent de la t l gestion permet des conomies r elles quoique difficilement chiffrables En fait l conomie d pendra de la situation initiale Sur un b timent en chauffage quasi continu 30 d conomie sont possibles Mais au d part d un b timent muni d une r gulation correcte et r guli rement v rifi e on ne peut esp rer plus de 5 d conomie d nergie suppl mentaire par l installation d une t l gestion Mais ces diverses motivations sont frein es par les l ments suivants un syst me de t l gestion n entraine t l pas un monopole de facto de la soci t de r gulation installant le superviseur Ce monopole sous entend que chaque nouveau r gulateur serait acquis dans cette marque lal gislation sur les march s publics permet elle d imposer la marque des r gulateurs suite l existence d une marque d termin e de superviseur les automates programmables moins on reux peuvent ils dans ce cadre concurrencer les marques sp cialis es en r gulation des installations thermiques de b timent C est ces questions que nous tentons de r pondre dans les pages qui suivent 8 65 La r gulation de la chaufferie repose sur les r gulateurs locaux Ils fonctionnent en toute autonomie ind pendamment de la liaison avec le superviseur Ils sont de type DDC Direct Digital Control c est dire qu ils utilisent une technologie num rique similaire celle utilis e da
9. Les projets de conception de produits ou de services Pour des clients internes Pour des clients externes Pour des clients internes et externes 3 Les projets d tude recherche et d veloppement 4 Les projets de la collectivit C est un ensemble d objectifs et de valeurs cl s reconnus identifi s clarifi s de l entreprise des services visant mobiliser tous les acteurs d velopper un management responsabilisant une plus grande coh sion et un esprit d initiative Les diff rents acteurs d un projet Le commanditaire d un projet Est l origine de l objectif projet ayant une vision strat gique Estun d cideur Le directeur de projet Est en lien direct avec le commanditaire d cideurs son activit peut varier en fonction des organisations ex v rifie et valide les notes de cadrages rend compte de l avanc e des projets n gocie les ressources financi res humains mat riels Peut tre commanditaire Conduit plusieurs projets portefeuille en v rifiant leur coh rence Manage plusieurs chefs de projets soutient accompagne tudie Contr le sur le plan op rationnel la coh rence des actions pr vues pour les diff rents projets Le chef de projet Est un op rationnel formalise met en uvre les actions planifi es ajuste N est pas un expert id al Estun coordonnateur et animateur d experts d acteurs choisis pour leurs comp tences n cessaires pou
10. ts tre enfich s sur un support de type Connect BOX ou Connect DIN PLUG Unit Centrale PLUG Interface Il existe 2 familles d Unit Centrale qui sont Le PLUG ExtenBUS COM permet la d termin es par la fonction finale du produit liaison avec le bus ExtenBUS et int gre de base 1 port s rie RS232 Ce PLUG assure galement la liaison entre l Unit PLUG e sy pro LAN sans Modem Centrale et les PLUG Entr es Sorties 4 PLUG e sy pro WAN e avec Modem RTC e e e PLUG e sy pro GSM avec Modem GSM Fonction Process Fonctions T l gestion Process PLUG eesy lIO e e e ie e o e e e e i o6 0000 int gre en standard 1 port ExtenBUS 1 port Ethernet 10 100 Base T en facade e e gt e Supports de PLUG e 2 types de supports sont disponibles Connect DIN pour l int gration un tableau lectrique avec ou sans plastron Connect BOX pour l installation hors armoire Extensions d entr es sorties Connect BOX et Connect DIN existent galement en version Extension Elles peuvent accueillir de 7 9 PLUG d en tr es sorties pour augmenter le nombre de points de t l ges tion Connect BOX 27 65 Document 7 Le Grenelle de l environnement gt M mento Maires 2011 B TIMENT L Etat se fixe un objectif majeur dans le domaine du b timent R duire les d penses nerg tiques dans le domaine du b timent impliquant le d ve
11. venir ces probl mes e Pr voir une ouverture progressive des vannes m langeuses Dans ce cas l eau froide se m langera progressivement l eau chaude ce qui vitera une chute brutale de la temp rature Exemples en pratique La fonction d ouverture progressive des vannes m langeuses est g n ralement int gr e dans les nouveaux r gulateurs En cas de doute la confirmation peut tre demand e au chauffagiste et ou au fabricant Dans le cas d un ancien r gulateur on peut quiper l installation d un r gulateur qui commandera la fermeture progressive des vannes si la temp rature de retour chute trop bas e impulsions gt fermeture 7 i Arr t r Impulsions __ ouverture 4 i _ impulsions _ P fermeture t R gulateur arr t 2 _ impulsions ouverture 3 points Un r gulateur impulsionnel 3 points r agit la temp rature d eau de retour vers la les chaudi re s Si la temp rature de retour chute en dessous de la consigne le r gulateur envoie une impulsion de fermeture aux vanne s m langeuse s et vice versa _ _ o 9 0 Raccordement lectrique du r gulateur 3 points si la temp rature de l eau des circuits secondaires est sup rieure la consigne de leur courbe de chauffe ou si la temp rature de retour vers les chaudi res est trop basse une impulsion est envoy e aux moteurs des vannes m langeuses qui se ferment d un cran L
12. Honeywell Landis et Gyr Johnson Siemens Staefa ne peut tre r alis e en ligne commut e par un superviseur de marque diff rente L utilisation d un superviseur multimarque PC VIEW CIM VIEW entra ne pratiquement l obligation d installer un PC local ce qui rend les syst mes applicables uniquement aux gros b timents Pour les petits b timents il faudra donc envisager un syst me coh rent langage unique Cet tat de fait impose de r aliser le choix d une marque sur base de crit res dont notamment existence d une liste de prix clairement publi e et compl te unengagement ventuel sur des prix durant x ann es lors de l acquisition du syst me de supervision on pourrait imaginer une adjudication pour tous les b timents existants avec contrat long terme 10 ans sur un pourcentage de variation de prix Jjafiabilit dans le temps de la soci t de r gulation l acc s l information sur le fonctionnement des syst mes mode d emploi formation le besoin ventuel de recourir un contrat de maintenance ces deux derniers points sont li s la lisibilit des messages par le personnel de maintenance lespossibilit s d adaptation des programmes de gestion des quipements si ceux ci sont modifi s par exemple le remplacement d une chaudi re par deux plus petites en cascade n cessite t une reprogrammation par le constructeur Mais alors pourquoi ne p
13. On v rifiera galement si le logiciel de supervision est pr vu pour cr er une alarme sur base des informations transmises Par exemple lire les consommations d eau constitue une premi re tape mais pouvoir d finir les param tres qui entrainent une alarme dans un logiciel de gestion standard sera tout aussi important exemple une alarme est d clench e si la consommation de nuit d passe x m Si ce logiciel doit tre r alis la carte la d marche risque d tre co teuse Ons assurera galement de la lisibilit des informations pr vues par le logiciel de supervision Le prix annonc comprend t il un synoptique de l installation ou simplement un listing des tats et valeurs des entr es sorties La mise en place d un syst me de t l gestion entra ne galement une modification de la distribution des t ches au sein de l quipe technique Si l organisation est assur ment am lior e c est notamment parce qu une personne du cadre assure un suivi r gulier des installations Celle ci doit avoir une comp tence minimale en HVAC et une connaissance physique des installations g r es pour pouvoir interpr ter les pannes la baisse de la temp rature de l ambiance peut provenir de diverses causes par exemple Si son r le se limitait r percuter le message d alarme l quipe de maintenance une part de l int r t de l op ration serait perdue L efficacit accrue de l quipe d intervention se r
14. Premi re Phase installation des quipements de t l surveillance en trois tranches avec en parall le le passage au gaz des chaufferies fonctionnant au fioul lourd Deuxi me Phase Installation du syst me de t l gestion et des sondes de temp ratures dans les appartements Troisi me Phase ach vement du syst me de t l gestion et extension de la t l surveillance la VMC Pour chaque b timent la GTB g re La chauffage 50 des b timents sont quip s de radiateurs 50 de plancher chauffant La VMC pour l ensemble des quipements sanitaires salle de bains WC cuisine Les fonctions du syst me GTB L objectif de ce projet R aliser des conomies Connaitre le d roulement de distribution de chauffage et suivre en permanence les consommations Surveiller les temp ratures dans les appartements t moins Etre alert de tous les dysfonctionnements pour une intervention dans les deux heures des exploitants Contr ler les prestations des exploitants L Office souhaitait une solution simple et volutive qui lui assurait une ind pendance totale vis vis des exploitants Les fonctionnalit s du syst me devaient galement pouvoir voluer de la t l surveillance la t l gestion Le mat riel install Les 151 Unit s Locales totalement d centralis es et autonomes sont install es dans les chaufferies gaz et les sous stations elles assurent les fonctions techniques
15. algorithme de calcul H2c EB 120 Certains param tres doivent traduire un comportement moyen observ en France d termin s de fa on conventionnelle et bas s sur des tudes statistiques La m thode de calcul int gre les donn es m t orologiques e Fichiers m t orologiques fournis par M t o France e D coupage de la France en 8 zones climatiques e Constitution d ann es m t orologiques types au pas horaire reconstitu es sur la base des mesures des 15 20 derni res ann es e Facteur correctif des donn es m t orologiques selon l altitude lt 400m de 400m 800m gt 800m e Types de donn es temp rature de l air la vitesse du vent rayonnement direct normal 3 65 Rupture entre la RT 2005 et la RT 2012 Consommation nerg tique moyenne selon la zone climatique et le type de chauffage kWh m2 an RT2005 Cmax en logement RT2012 Zones Chauffage par LE z lectrique dont Valeur climatiques combustibles PESTE pompes moyenne chaleur LH 130 250 L H2 110 190 H3 80 130 Les exigences de moyens Acc s l clairage naturel surface minimale de vitrage 1 6 de la SHONg Un comptage d nergie avec r partition Une tanch it l air sous une d pression de 4 Pa volume de fuite 0 6 m m2 h de parois d perditives hors plancher bas Une isolation renforc e et un traitement des ponts thermiques Le coefficient de transmi
16. alise donc moyennant un investissement plus important du staff de maitrise Une alternative peut alors consister investir dans le mat riel tout en confiant la gestion une entreprise locale de maintenance Les soci t s de r gulation assurent galement ce genre de services LE CHOIX DES POINTS EN CHAUFFERIE UN EXEMPLE TA 1 TM 5 T M 6 de sortie chaudi re Br leur Temp rature en d faut de fum es Temp rature TM 7 Temp rature de d part E C S T C I 10 Compteur g n ral pour E C S TS 4 T C I 9 TA 2 Pompe de charge en d faut Compteur de fuel Niveau bas cuve fuel T A 3 Pompe de distribution en d faut Normal ralenti Action sur le r gulateur Temp rature d part du chauffage 12 65 LES POINTS ENVISAGEABLES DANS UNE CHAUFFERIE POUR SA TELEGESTION Signalisations TS Marche arr t pompes br leurs ventilateurs Surpresseurs Fin de course vanne Disjonction g n rale secteur pompes br leurs ventilateurs D passement de limite haute ou basse temp rature fum es niveau de cuve de combustible temp rature chaudi re temp rature ECS temp rature chauffage temp rature retour pression eau pression 002 d bit Anomalies br leur s curit incendie fuite de gaz ascenseur fuite d eau Intrusion ouverture de porte de local ouvert
17. bien isol 33 8 96 29 6 96 26 6 tr s isol 26 5 226 17 0 forte inertie peu isol 37 5 96 28 0 96 25 0 96 400 kg m bien isol 30 6 25 2 96 22 0 96 tr s isol 21 9 18 2 96 13 7 96 Optimiseur faible inertie peu isol 38 5 96 33 4 96 31 2 96 190 kg m bien isol 35 0 96 31 4 96 28 7 tr s isol 28 6 96 25 1 96 20 1 96 forte inertie peu isol 38 2 96 31 2 96 28 6 400 kg m bien isol 33 4 96 28 7 25 8 tr s isol 25 6 96 22 2 96 17 6 96 Les pr cautions Si le thermostat d ambiance agit directement sur la chaudi re Dans ce premier cas il faut que la chaudi re existante puisse retomber compl tement en temp rature et ensuite fonctionner temp rature r duite car command e par le thermostat d ambiance de nuit sans risquer l apparition de condensation et de corrosion Ce devrait tre le cas si la courbe de chauffe agissait d j sur la temp rature de la chaudi re Les anciennes chaudi res en fonte ne posent pour cela aucun probl me Ce n est pas le cas pour les anciennes chaudi res en acier qui elles sont sensibles la corrosion Anciennes chaudi res en fonte I est vident que les chaudi res modernes tr s basse temp rature s accommodent tr s bien de ce type de r gulation Si un doute subsiste sur les capacit s la chaudi re r sister ce mode de fonctionnement le plus simple est d interroger le fabricant de la chaudi re ou son fournisseur est ce que le br leur de la
18. cas des fa ades nord et sud ou des profils d occupation diff rents zones occup es en dehors des heures normales par exemple Dans la mesure du possible ces diff rentes zones ont int r t tre regroup es en zones homog nes permettant d assurer une r gulation plus ad quate Tout simplement r guler les installations qui ne le sont pas Trop d installations anciennes ne poss dent encore aucune r gulation la temp rature de l eau dans la chaudi re ou la position des vannes m langeuses est modifi e manuellement en fonction de la saison II n y a aucun r glage de la temp rature ambiante si ce n est par l ouverture des fen tres Cette situation est videmment inacceptable Si on part de rien l id al serait de concevoir une r gulation compl te telle qu on pourrait l i maginer pour une nouvelle installation 11 faudra cependant tre attentif au type de la ou des chaudi res install es Par exemple peuvent elles travailler basse temp rature ou encore fonctionner d bit nul Une installation de r gulation peut aussi tre r habilit e remplacement des moteurs de vanne remplacement des r gulateurs remplacement des sondes Le gain Comme pour toutes les am liorations qui sont d crites ci apr s il est difficile de chiffrer pr cis ment le gain nerg tique qui r sultera d un remplacement complet de la r gulation Cela d pend de la gravit r elle de la situation de d part quelle est la temp rat
19. chaudi re dont 34 65 je dispose peut tre command e par un thermostat d ambiance sachant que cela impliquera par moment un fonctionnement tr s basse temp rature Notons qu il faut tre plus attentif avec les chaudi res fonctionnant au fuel du fait de l acidit plus importante des condensats qui peuvent appara tre En ce qui concerne le gaz signalons galement que l ARGB recommande que toutes les chaudi res gaz atmosph riques soient coup es lorsqu il n y a plus de besoin de chauffage les l g res condensations des fum es qui r sultent de la remont e en temp rature s vaporent rapidement Une exception cependant cette r gle 1 faut faire attention avec les anciennes chaudi res atmosph riques pour lesquelles de la condensation risque de tomber sur les rampes du br leur et provoquer une mauvaise combustion et l apparition d imbr l s Si le thermostat d ambiance agit sur les vannes m langeuses Si la chaudi re ne peut pas travailler en basse temp rature ce qui est le cas de beaucoup d anciennes chaudi res en acier la coupure doit s effectuer au niveau des vannes m langeuses Au passage l horaire de nuit les vannes se ferment Si la temp rature int rieure descend en dessous de la temp rature de consigne du thermostat les vannes s ouvrent pour maintenir cette consigne Au moment de la relance le r gulateur repasse dans son mode de fonctionnement normal bas sur la courbe de chauffe de jour ou s
20. chauff s en dehors des heures d occupation normale salle de sport ou internat dans une cole salle de r union conciergerie e Certains locaux ne doivent pas tre chauff s en permanence durant la journ e salle de conf rence r fectoire biblioth que 42 65 Document 9 Les diff rentes formes de maintenance gt TP Magnitudes 2011 2011 LES CONCEPTS L analyse des diff rentes formes de maintenance repose sur 4 concepts 1 Les v nements qui sont l origine de l action r f rence un ch ancier relation un type d v nement auto diagnostic information d un capteur mesure d une usure etc l apparition d une d faillance 2 Les m thodes de maintenance qui leur seront respectivement associ es maintenance pr ventive syst matique maintenance pr ventive conditionnelle maintenance corrective 3 Les op rations de maintenance proprement dites inspection contr le d pannage r paration etc 4 Les activit s connexes maintenance d am lioration r novation reconstruction modernisation travaux neufs s curit etc Cette r flexion terminologique et conceptuelle repr sente une base de r f rence pour e L utilisation d un langage commun pour toutes les parties conception production prestataires de services etc e La mise en place de syst mes informatis s de gestion de la maintenance LES M THODES Le choix entre les m thodes de maintenance s effectue d
21. des missions de gaz effet de serre Loi Grenelle 1 article 7 Loi Grenelle 2 article 124 Y Dans les zones urbaines ou urbaniser possibilit d autoriser un d passement des r gles relatives au gabarit et la densit d occupation des sols dans la limite de 30 pour les constructions performantes sur le plan nerg tique ou aliment es partir d quipements de production d nergie renouvelable ou de r cup ration Loi Grenelle 1 article 7 Loi Grenelle 2 article 20 28 65 Y Mise en place de nouveaux moyens afin de faire des sch mas de Coh rence Territoriale SCOT et des Plans Locaux d Urbanisme PLU des outils efficaces pour favoriser la densit de construction ou des objectifs de performance nerg tique et environnementale renforc e dans certains secteurs Loi Grenelle 1 article 7 Loi Grenelle 2 article 17 et article 19 Cr ation des Aires de mise en valeur de l architecture et du patrimoine AMVAP en remplacement des Zones de protection du patrimoine architectural urbain et paysager ZPPAUP et assouplissement des proc dures d autorisation de travaux dans ces zones dans les secteurs sauvegard s ainsi que pour les immeubles adoss s ou situ s dans le champ de visibilit des immeubles class s ou inscrits afin de favoriser le d veloppement des nergies renouvelables Loi Grenelle 2 article 28 article 29 article 30 Obligations de droit commun Y Am lioration de la connaissance de la performance
22. des objectifs interm diaires correspondant chaque sous tape du projet 3 D finition des objectifs fonctionnels li s la Qualit gt Identifions les objectifs lt qualit gt mis par le commanditaire gt Appr hendons la d finition du service ou du produit attendu par le commanditaire et les clients usagers identifi s v rifions que le cahier des charges qualit existe est il complet Suivons l avancement des travaux d laboration V rifions si le produit ou service r alis est conforme au cahier des charges qualit listing des fonctionnalit s les crit res de performances VN 4 D finition des objectifs fonctionnels li s la Communication D finissons des objectifs en communication Identifions la culture communication existant Donnons une identit au projet logo D terminons les grandes r gles d lais fr quences cibles VNNN 5 D finition des objectifs fonctionnels li s aux co ts et aux charges Attitudes pour estimer les ressources l anticipation estimer pour l ensemble du projet le sens de la r alit reconna tre les limites et contraintes budg taires l observation identifier les moyens internes de la collectivit 58 65 a Estimons globalement les co ts ressources Mat rielles et humaines en fonction des charges de travail estim es b Estimons globalement les co ts d achat et de sous traitance c D terminons un budget pr visionnel Ce budget pr vi
23. et ou sur changement d tat travers plusieurs m dias Ethernet RTC ADSL GSM GPRS C ble Radio Les alarmes peuvent tre envoy es par e mail vers une adresse fixe ou mobile 04 par SMS avec le modem GSM en option sur un t l phone portable et ce en fonction du planning d astreinte de chaque utilisateur Pilotez en direct votre installation Selon le niveau d acces de l utilisateur il est possible d agir directement en ligne via un navigateur web en t l commande et t l r glage pour modifier les valeurs des donn es et piloter en direct l installation actions de secours interactivit prise en main rapide Partagez les donn es avec d autres utilisateurs e sy permet la connexion simultan e de plusieurs utilisateurs la gestion de leur annuaire et des droits d acces aux diff rentes fonctions Vous pouvez d finir quatre niveaux d acces aux fonctions et personnaliser l affichage et le pilotage des donn es pour chaque utilisateur ou groupe d utilisateurs Ouvrez votre installation d autr Sa compatibilit au protocole Modbus s rie ou TCP l ouverture de son protocole au monde de la supervision sa liaison avec les syst mes de contr le d acces et les compteurs lectricit eau gaz nergie permettent e sy de s affranchir des barri res de communication et devenir l l ment f d rateur de votre installation pour de Communication 19 65 Disposez d un tableau de bord c
24. et sur l imprimante Pour un bon fonctionnement ceci suppose qu une ligne t l phonique sp cifique soit install e dans la chaufferie et que le PC soit d dicac on line la gestion des installations mais ces deux crit res ne sont pas imp ratifs 9 65 L intelligence reste donc au niveau du r gulateur et la t l gestion n effectue qu un r le de transfert de l information Toutefois ceci n emp che pas la conduite de l installation par le gestionnaire central c est dire la modification des param tres pour s adapter des besoins variables modification des plages horaires ou pour modifier des consignes optimisation des installations En quelque sorte on peut parler d un pilotage automatique avec une intervention corrective du pilote si n cessaire Bi nergie le choix D lestage Taux de ventilation Gestion contrat R gulation locale Igm m R partition de charge Optimisation de l intermittence Temps de fonctionnement Optimisation Figures extraites du Manuel de la R gulation PYC Edition 10 65 Le lecteur aura compris que le souci premier des responsables techniques dont nous avons suivi l tude tait de se d marquer de ne pas se sentir pieds et poings li s un constructeur de pouvoir encore faire jouer la concurrence Cet objectif semble difficile atteindre puisqu actuellement la gestion des r gulateurs classiques
25. ouverture des vannes n est possible que si simultan ment la temp rature des circuits secondaires est trop basse et la temp rature de retour vers les chaudi res est suffisante 36 65 On peut aussi imaginer dans le cas d une installation existante un syst me plus simple o un simple thermostat limiteur court circuite la commande d ouverture de la vanne si la temp rature de retour chute en dessous du minimum requis Cette solution ne permet pas de refermer les vannes en cas de d passement trop important 9 e e ef Thermostat limiteur Thermostat i limiteur Un thermostat limiteur se met en s rie avec la commande d ouverture de la vanne 3 voies La troisi me solution est de d caler dans le temps le moment de la relance de chaque circuit ce qui permet un m lange progressif de l eau froide de l installation l eau chaude La difficult de cette solution tant qu en cas de changement de gestionnaire on oublie le pourquoi du d calage des horloges les unes par rapport aux autres L autre inconv nient est que l on ne contr le pas exactement la temp rature de retour Pr voir dans les circuits primaires en boucle ouverte un circulateur de recyclage sur les chaudi res qui renvoie une partie de l eau chaude vers la chaudi re lorsque la temp rature de retour vers celle ci est trop basse en dessous de 55 C Cette solution n est cependant pas de id ale et ne fonctionne pas pour les installat
26. part de l exploitant en tenant compte des imp ratifs budg taires Si une exploitation directe est possible il peut tre fait le choix manque de moyens en interne complexit de recourir des contrats d exploitation Les enjeux d un contrat d exploitation sont d ordre technique bon fonctionnement de l installation p rennit et financier surco t ventuel mettre en regard d conomies m me si elles sont plus d licates appr hender On peut d composer les fonctions du chauffage comme suit Production de chaleur partir du combustible en g n ral incluse dans le contrat sauf dans le cas du chauffage urbain c est la partie la plus sensible pour les co ts d investissements renouvellement du mat riel et les impacts environnementaux locaux R gulation elle a un impact sur les co ts de combustible le confort des usagers stabilit de la temp rature Elle peut tre accessible ou non aux utilisateurs Distribution Emission Les contrats d exploitation de chauffage sont des march s de services ventuellement de fourniture on peut donc utiliser le cahier des charges administratives g n rales CCAG fournitures courantes et services 11 existe un cahier des charges techniques g n rales CCTG n 2008 qui n est pas obligatoire mais recommand ventuellement avec des modifications Les termes courants consacr s par l usage et le CCTG utilis s pour les march s de c
27. sans surco t financier Installateurs programmeurs et usagers ils ont t s duits par la facilit de mise en ceuvre et la puissance d exploitation Enfin un constructeur J ai commence par recevoir les qui sait mettre les mains dans le cambouis Tout est bien r fl chi pour nous installateurs le passage des c bles les leds de contr le la possibilit de pr cabler la d connexion des produits sous tension alarmes par SMS sur mon portable Je me suis vite rendu compte que le produit m offrait beaucoup plus de possibilit s Aujourd hui je me suis cr des synoptiques de mon tout est interactif Je installation clique directement sur des ic nes pour agir sur mon site et je transmets aux autres intervenants un mail de synth se avec l historique du probl me pour leur faire gagner du temps 22 65 e sy des solutions techniques d di es Profitez d une solution moc arbare e sy est con u pour r pondre globalement aux besoins de r gulation de surveillance et de pilotage de vos b timents de mani re centralis e et distance Gestion des chaudi res Commande et surveillance de la VMC des R gulation des circuits eau Centrales de Traitement d Air et ventilo air avec pilotage des vannes Surveillance convecteurs Planification de la ventilation des fuites Commande de convecteurs lectriques Contr le du chauffage au sol eau lectrique
28. soit p riodique soit continue Avantage la connaissance du comportement se fait en temps r el condition de savoir interpr ter les r sultats A ce niveau l informatique prend une place primordiale Le mat riel n cessaire pour assurer la maintenance pr ventive conditionnelle devra tre fiable pour ne pas perdre sa raison d tre Il est souvent on reux mais pour des cas bien choisis il est rentabilis rapidement Cette m thode de maintenance pour tre efficace doit dans tous cas tre comprise et admise par les responsables de production et avoir l adh sion de tout le personnel Ces m thodes doivent tre dans la mesure du possible standardis es entre les diff rents secteurs production et p riph riques ce qui n exclut pas l adaptation essentielle de la m thode au mat riel Avec l volution actuelle des mat riels et leurs tendances tre de plus en plus fiables la proportion des pannes accidentelles sera mieux maitris e La maintenance pr ventive diminuera quantitativement d une facon syst matique mais s am liorera qualitativement par la maintenance conditionnelle LES OP RATIONS DE MAINTENANCE Ne sont vues ici que les op rations essentielles Pour le reste se r f rer la norme NF X 60 010 Les op rations de maintenance corrective Le d pannage Action sur un bien en panne en vue de le remettre en tat de fonctionnement Compte tenu de l objectif une action de d pannage peut s accommoder
29. suivantes mesures comptage avec t l relev s des consommations archivage alarmes r gulation et optimisation Une Unit Locale peut g rer plusieurs b timents L acquisition des donn es s effectue au niveau des Unit s Locales et concerne la VMC une alarme une alarme panne une alarme personne bloqu e un interrupteur v rification passage entretien le chauffage r gulation des circuits cascade chaudi res mesure de temp rature ambiante alarmes et tats de fonctionnement ZI du Puy Nardon S 85290 MORTAGNE SUR SEVRE Energie Systeme T l 02 51 64 27 27 m Fax 02 51 65 19 76 www energie systeme com ouest energie systeme com 6 65 Une exploitation d centralis e R f rences r sidentiels collectifs Le service aux locataires c est aussi la proximit pour un contact direct avec les r sidents C est pourquoi gt OPAC 76 Nantes Habitat a cr 7 agences r parties dans les diff rents quartiers de la ville gt OPDHLM 93 Chacune des agences est quip e d un modem et d une imprimante elles sont donc directement inform es des probl mes li s aux quipements pilot s gt OPAC DE L AIN parla GTB sp cifiques leur quartier Elles peuvent ainsi r pondre aux diff rentes r clamations des locataires gt OPAC DU RHONE A chaque agence sont affect s deux exploitants pour l entretien et la bonne gestion du chauffage Chaque OPAC 75 exploitant est quip d un
30. thermiques etc La maintenance pr ventive conditionnelle Maintenance pr ventive subordonn e un type d v nement pr d termin auto diagnostic information d un capteur mesure d une usure etc Remarque la maintenance conditionnelle est donc une maintenance d pendante de l exp rience et faisant intervenir des informations recueillies en temps r el On l appelle aussi maintenance pr dictive terme non normalis La maintenance pr ventive conditionnelle se caract rise par la mise en vidence des points faibles Suivant le cas il est souhaitable de les mettre sous surveillance et partir de l de d cider d une intervention lorsqu un certain seuil est atteint Mais les contr les demeurent syst matiques et font partie des moyens de contr le non destructifs Tous les mat riels sont concern s Cette maintenance pr ventive conditionnelle se fait par des mesures pertinentes sur le mat riel en fonctionnement Les param tres mesur s peuvent porter sur o Le niveau et la qualit de l huile o Les temp ratures et les pressions o La tension et l intensit des mat riels lectriques o Les vibrations et les jeux m canique o Etc Certaines m thodes comme l analyse vibratoire l analyse d huile sont tr s riches quant aux informations recueillies Leur compr hension autorise la prise bon escient de d cisions qui sont la base d une maintenance pr ventive conditionnelle La surveillance est
31. v Analysons la r alit faire des tats des lieux quotidiens Collectons les informations pour laborer des reportings r unions ou rencontres br ves Comparons cette r alit par rapport au pr visionnel mesurons les carts R ajustons ou d l guons les r ajustements voire modifions les objectifs la planification pour les d rapages importants Mettons jour la documentation li e au projet petits rapports Communiquons les r ajustements Manageons les ressources et l quipe projet M thodes de suivi Y Y Pour un petit projet dont on maitrise les moyens on g rera par les t ches en utilisant les possibilit s offertes par notre planning et notamment la re planification des t ches apr s estimation du Reste faire Pour un grand projet dans lequel beaucoup de travaux sont sous trait s on g rera davantage par les dates dates de fournitures de livrables sous forme de mat riel ou de documents Dans ce cas chaque sous traitant qui g re son planning D marche de pilotage 62 65 Suivi du projet Mesure des carts Mise en uvre Analyse des Objectif carts Causes Maitriser le projet pendant la r alisation Information communication aux partenaires ai omes Diagramme de Gantt avec r alis Nom de la t che 03 Mar 03 10 Mar 03 17 Mar 03 24 Mar 03 31 Mar 03 07 Avr 03 14 Avr 03 21 Avr 03 28 Avr 03 0303 1
32. 0 sss m 760 Eve 606 909 8 266 Y39837 3SVNWAS 00609 68 10 ee 079 SEZ 401208 1760 Lv8 vc 091 760 000 971 Z OL 91976 S o O o LL 6c0 NIN 69 978 S 90S LE S LIST Si818 7 TvdlOINOIN 3N0DINH931 34 1N39 0Z 8vt 6L L 688 xneeung TvdlOINOIN 3NDOINH931 31 N32 24 1900 108 XNvI1S38 NOILVLIISVH O NOSIVIN 0S 606 c 009 34v9 IHav 98 810 v 817 27900 39V41v193 1 30 13 XNV3 SJA 39IAH3S 9 8iv 8 ves 1714 3G 3X3NNY OZ LOZ 9L 17000 SIHIVW 9 206 966 SOHS nueje4 5 65 Document 3 La GTB gt Gestion Technique des B timents Energie Syst me Site internet energie systeme fr 2012 NANTES HABITAT 54 Rue F lix Faure 44036 NANTES Le site Nantes Habitat est l un des plus anciens et des plus importants Office Public HLM en France Il g re un parc de 24000 logements dans lesquels r side plus du quart de la population nantaise Engag dans une politique d am lioration et de modernisation l Office nantais a d cid l implantation d un syst me de GTB afin d assurer la t l gestion des chaufferies desservant 18500 logements L op ration GTB a t r alis e pour ces logements r partis en plusieurs sites dans Nantes et sa banlieue La mise en place du syst me d marr e en 1990 s est effectu e en 3 phases
33. 003 1703 2403 3103 0704 1404 2104 2804 travaux pr liminaires installation du chantier terrassement i f i i E gros uvre 60 fondations ma onnerie coulage dalle charpente couverture E installation lectricit tv pose fen tresiportes chauffage et sanitaires agencement cuisine E finitions peinture int et tapisseries rev tement facade am nagements ext rieurs nettoyage 4 Choix des indicateurs Un indicateur est un instrument de mesure Exemples d indicateurs Taux de satisfaction Taux de r alisation Moyenne un examen Nombre de participants D lais de traitement de la demande Nombre de dossiers trait s Nombre de r clamations Il r pond lt A quoi verra t on que l on a atteint notre objectif 2 63 65 5 Crit res de choix des indicateurs Repr sentatifs Significatifs Fiables R alistes Simples Visuels Phase N 5 BILANS Y NS UN SC Y Faire valider les r sultats du projet en v rifiant que les diff rents objectifs sont effectivement atteints et que le contrat avec le commanditaire est respect Cr er et faire valider les supports de communication v rifions qu ils soient adapt s aux cibles Mettre jour l ensemble de la documentation Pr parer et animer la r union de fin de projet Se projeter dans l avenir nouveau projet D gager les points forts et les points faire progresser valuer ETca
34. 1344433 sa qpuAl sap UOSIDIAI o 1340550 anod Jas pau 0 sadp a sap a quiasua aipud NOLL2v 0 NYT 31 M S SM ETES ELT NOI19341Q L3f Oud 8401136 ueld Jed e Jnof e SIN Guruueld uonoe p ueld 65 65
35. 65 v rification des caract ristiques et ventuellement r paration des pi ces et sous ensembles d faillants conservation des pi ces bonnes La r novation appara t donc comme l une des suites possibles d une r vision g n rale au sens strict de sa d finition La reconstruction Remise en l tat d fini par le cahier des charges initial qui impose le remplacement de pi ces vitales par des pi ces d origine ou des pi ces neuves quivalentes La reconstruction peut tre assortie d une modernisation ou de modifications Les modifications apport es peuvent concerner en plus de la maintenance et de la durabilit la capacit de production l efficacit la s curit etc Remarque Actuellement entre la r novation et la reconstruction se d veloppe une forme interm diaire la cannibalisation Elle consiste r cup rer sur du mat riel rebut des l ments en bon tat de dur e de vie connue si possible et les utiliser en rechanges ou en l ments de r novation La modernisation Remplacement d quipements accessoires et appareils ou ventuellement de logiciel apportant gr ce des perfectionnements techniques n existant pas sur le bien d origine une am lioration de l aptitude l emploi du bien Cette op ration peut aussi bien tre ex cut e dans le cas d une r novation que dans celui d une reconstruction La r novation ou la reconstruction d un bien durable peut donner lieu pour cer
36. En effet la plage de compensation est volontairement r duite pour viter l influence de comportements inad quats des occupants du local t moin ouverture des fen tres occultation du thermostat Placer des vannes thermostatiques ll f l J 5 Vanne thermostatique Attention les vannes thermostatiques ne sont pas la panac e universelle et ne permettent pas de r soudre toutes les situations de confort et de surconsommation Il est important d en comprendre le fonctionnement pour en cerner l utilit En r sum une vanne thermostatique permet de limiter la puissance d un corps de chauffe dans des locaux 04 les apports de chaleur ensoleillement occupation importante bureautique clairage sont sup rieurs aux autres variables et conduisent des probl mes de surchauffe locale Exemple 39 65 Par exemple il faut pr parer de l eau pour l ensemble des radiateurs de classes Si dans un local 8 l ves sont pr sents il doit faire bon Si dans le local voisin 25 l ves sont pr sents la temp rature risque de s lever rapidement 25 l ves x 100 Watts l ve 2 500 Watts soit l quivalent d un radiateur moyen chauff 80 Il est imp ratif de couper le chauffage dans ce local On arriverait aux m mes conclusions avec l apport solaire par de larges baies vitr es Et c est l qu intervient la vanne thermostatique comme r gulatrice finale des apports Attention elle ne peut agi
37. IHd 31093 06911 9c 760 I Sv IOOIN LS 3HIVNI d 31023 AU 3TII3IA V1 3G 3I VL N3IA3T13 31093 L9 6LZ SL 60 609 0c z 3l 3TII3IA v1 30 3HIVININ 313 31093 371 3TIISIA V1 3G 3IVINSIAGT3 371093 LE 986 L 60 66 8 S394039 LS 3HIVLN3WN313 31093 760 16 v6 Hd3SOf 1S 3TI3NH3JIVIN 31023 vtOt 169 ZIZ 13H9301SQ18 J3TI3JNH3IVIN 31023 NVSNN 341V109 S 3dnO9 Z8 8SE vl 8 004 469 181900 vto 906 OEZ 496 AOHH39Z13N 31093 3SnOHN3XMWVIN 3TI3NH3IVIN 31023 99616 8L vcot 440 09S 829 3ONVAJN3 1 3G NOSIVIN 760 20 476 60 NVIAQY HOS 13803 SNOILVIOOSSV 3OVdS3 91626 12 I SLO 4179 604000 760 949 669 897400 341V3H1 371 3TII3lA v13G 3003H1VIQ3IN 66 190 9 760 S44 00 620 N319vS1v 014 SNOILVHOdHON S3Q 3TIVS 86 200 v 60 664 6L 464 eo SNO T18UOH Xv 3TIVH Hd3sofr 1S S 3H 102 OI9OS Xnv90o1 907021 Zl EZ EYL 8l 760 99 S8 969 1760 169 79 16989 1760 20 LL E 3nOolHOlSIH 33SnlN 3SNvG 30 13 3n0ISnW 30 31093 06667 LL teo 8 090 SNId 537 H3lLsvno 33 NOSIVIN 18 8991 ZL 760 vit ANvVNOQ ANN3IONVY S3QVvIONONNY S3Q 31134vVH9 vcot 1207 0 688 HIHOVHONNN 3TT3NH3IVMW 371093 sz vcot 197 067 Suisseg NI3 Id 3NIOSId 8 cO 79 sjueuineg Iv NI3 d 3NIOSId zebjejuy SLHOdS 530 94vd 27666 Sl 8 Lv9 vl
38. PC Les exploitants Sur leur PC les exploitants recoivent les alarmes sp cifiques aux sites qu ils exploitent via le r seau d Unit s Centrales de Nantes Habitat Ils ont pour mission d intervenir dans les 2 heures qui suivent l alarme Is ont galement un acc s direct aux Unit s Locales pour tout ce qui concerne les r glages et l exploitation du chauffage r gulation des circuits cascade i chaudi re r glage des coefficients temp ratures Architecture La VMC La soci t d entretien de la VMC re oit sur Minitel les alarmes de la VMC Elle doit intervenir rapidement apr s l information pour la remise en marche de la VMC Bilan financier Le syst me de GTB repr sente un investissement global de 2 286 735 1 tranche T l surveillance 1 524 490 27 tranche T l gestion 304 898 3 7 tranche T l surveillance VMC 457 3476 L amortissement s est r alis par des conomies directes sur les consommations d nergies et la r duction des contrats P2 La GTB ayant permis de supprimer les rondes les locataires b n ficient directement des conomies par une r percussion sur leur quittance Cette valuation ne tient pas compte des conomies induites par l outil de diagnostic performant qui se traduisent en particulier par une augmentation de la qualit des prestations par une r duction importante des plaintes 7 65 Document 4 La t l gestion des pet
39. SUJET POUR L ENSEMBLE DES CENTRES DE GESTION ORGANISATEURS CONCOURS INTERNE D INGENIEUR TERRITORIAL SP CIALIT INGENIERIE GESTION TECHNIQUE ET ARCHITECTURE SESSION 2013 Dur e 8 heures Coefficient 7 Etablissement d un projet ou d une tude portant sur l une des options choisie par le candidat lors de son inscription au sein de la sp cialit dans laquelle il concourt LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET e Vous ne devez faire appara tre aucun signe distinctif dans votre copie ni votre nom ou un nom fictif ni signature ou paraphe ni num ro de convocation e Aucune r f rence nom de collectivit nom de personne autre que celles figurant le cas ch ant sur le sujet ou dans le dossier ne doit apparaitre dans votre copie e Pour la r daction seul l usage d un stylo soit noir soit bleu est autoris bille plume ou feutre e L utilisation d une autre couleur crayon de couleurs feutres crayon gris est autoris e pour les dessins sch mas et cartes le cas ch ant e L utilisation d un surligneur est proscrite et sera consid r e comme un signe distinctif e L utilisation d une calculatrice en mode autonome et sans imprimante est autoris e e Le non respect des r gles ci dessus peut entra ner l annulation de la copie par le jury e Les feuilles de brouillon ne seront en aucun cas prises en compte Ce document comprend un sujet de 2 pages un dossier de 65 pages
40. a pr paration et de la validation du projet ainsi que sa planification Un plan d actions sera propos sur le mod le du document 13 7 points Documents joints Document 1 Document 2 Document 3 Document 4 Document 5 Document 6 Document 7 Document 8 Document 9 Document 10 Document 11 Document 12 Document 13 lt Description de la RT 2012 Site internet aneo energie fr 2012 4 pages Base de donn es des consommations en 2010 Ville d INGEVILLE 2013 1 page La GTB gt Gestion Technique des B timents Energie Syst me Site internet energiesysteme fr 2012 2 pages La t l gestion des petites chaufferies centralis es Site internet energie wallonie be 2011 9 pages La t l gestion Ateliers de C blage du Centre 2012 2 pages lt e 2sy un automate de t l gestion gt WIT janvier 2008 9 pages Le Grenelle de l environnement M mento Maires 2011 2 pages Am liorer la r gulation Site internet energieplus lesite be 2011 13 pages Les diff rentes formes de maintenance TP Magnitudes 2011 7 pages Les contrats d exploitation Site internet raee org 2011 2 pages Le DJU gt Degr s Jour Unifi s Site internet xpair com 2011 1 page Conduite et management de projet Alliance C 2012
41. alogique sortie de t l commande 1 commande de vanne etc Les fonctions effectuent un traitement math matique et combinatoire sur les ressources inverseur porte logique multiplexeur valuateur math matique trace etc La construction de ces blocs fonctionnels s effectue par un simple glisser d poser Chaque bloc ainsi cr peut tre enregistr comme mod le pour tre r utilis dans d autres param trages G rez des automatismes de site s e sy est compatible avec tous les produits de la gamme WIT Ce qui permet de rendre interactives vos installations d automatiser des actions pr d finies entre sites distants et de transf rer des donn es sans ajout de param trage de Process z K di pour wir 21 65 Plusieurs m tiers plusieurs probl matiques 1 seule solution En tant que d cideurs ils ont pr f r e sy pour son ouverture la p rennit de la solution et l assurance d une s curit toute preuve Quand on investit dans une solution technique le choix n est pas simplement li au co t du produit mais sa p rennit et son ouverture e amp sy est une solution f d ratrice qui integre des protocoles standards et reconnus Je suis certain de pouvoir faire voluer mon installation et lui raccorder d autres quipements comme du contr le d acc s des cam ras Sans tre li une marque Quand j ai d cid de moderniser mon in
42. ance et les conomies d nergie r alis es Le Fonds des b timents scolaires de la Communaut Fran aise g re ainsi avec satisfaction ses b timents scolaires des provinces de Namur et de Li ge depuis plus de 20 ans La commune de La Louvi re tend progressivement son r seau aux diff rents b timents communaux Pour tre concret donnons la parole Monsieur Michel De Smet responsable de l lectrom canique de la ville de Mons Nous g rons pr s de 160 b timents c est dire environ 120 chaufferies sur l ensemble du territoire communal soit 18 sections Le service chauffage occupe 6 chauffagistes et 1 contremaitre Nous disposons d un syst me de t l gestion couvrant actuellement 35 b timents de la Ville de Mons et nous en sommes tr s satisfaits D autres raccordements sont pr vus Nous avons t favoris s par l existence de plusieurs r gulateurs d une m me marque d j en place dans les chaufferies ce qui nous a permis de n investir que dans le c blage des contacts d alarme le placement de l interface le placement de la ligne t l phonique interventions r alis es par nos services internes Nous avons raccord prioritairement les chaufferies facilement adaptables r gulateur compatible importantes en volume de b timent chauff les plus loign es du centre de Mons parfois 15 20 km Nous avons d marr avec une installation pilote pour tester le logic
43. ances Etre inform m cas de probl me Diff rents sites Avoir un outil pour analyser les temp ratures et les alarmes ed H Q9 TELEGESTION TELEMESURE TELECOMPTAGE La t l gestion g re La t l mesure g re des temp ratures acquisition et enregistrement La mise l chelle des d fauts techniques Les seuils d alerte des d fauts de service Batterie et pr sence secteur Les relev s Min Max Relev s de donn es des seuils de temp rature Les calculs de moyenne des reports d alarme Les relev s de courbes Le t l comptage s occupe lui de Archivages horodat s La gestion des seuils P riodiques La r partition des seuils Sur variations Bilans automatiques LES BUTS DE LA TELEGESTION Optimiser le fonctionnement de vos quipements 24h 24 la t l gestion surveille votre r seau et vous aide en permanence en s contr ler le bon fonctionnement eee 9 Fd MP MP Pg P en cas de panne ou de d faut l alerte est automatiquement et imm diatement transmise au personnel de maintenance a d centralisation des donn es archivage local au niveau des postes locaux offre un atout suppl mentaire pour faire face d ventuels incidents de sauvegarde Des gains d exploitation sur apparition d une panne le personnel de maintenance intervient sur l installation en connaissant l origine de l incident et pr voit ventue
44. ans le cadre de la politique de la maintenance et doit s op rer en accord avec la direction de l entreprise Pour choisir il faut donc tre inform des objectifs de la direction des directions politiques de maintenance mais il faut connaitre le fonctionnement et les caract ristiques des mat riels le comportement du mat riel en exploitation les conditions d application de chaque m thode les co ts de maintenance et les co ts de perte de production Le diagramme suivant synth tise selon la norme NF X 60 000 les m thodes de maintenance MAINTENANCE 8 E c m Maintenance Maintenance pr ventive corrective D TT Maintenance Maintenance DEFAILLANCE syst matique conditionnelle zm ur E D faillance E ECHEANCIER ETAT DU BIEN partielle Panne E oje c ajc D pannage 4 R paration HE O La maintenance corrective 43 65 D finitions extraits normes NF X 60 010 D faillance alt ration ou cessation de l aptitude d un bien accomplir la fonction requise I existe 2 formes de d faillance D faillance partielle alt ration ou d gradation de l aptitude d un bien accomplir la fonction requise D faillance compl te cessation de l aptitude d un bien accomplir la fonction requise La maintenance corrective appel e parfois curative terme non normalis a pour objet de redonner au mat riel des qualit s perdues n
45. artielle peut toujours avoir lieu dans ce cadre C estune solution choisie dans certaines grandes villes du pays Quel que soit le choix r alis il est essentiel d avoir en t te que le co tle plus lev sera celui accord au software Tout programme sp cifique mise au point d une communication entre deux r gulateurs de protocole diff rents par exemple sera hors de prix par rapport l acquisition d un hardware compatible 11 65 Pr alablement la consultation des diff rents constructeurs il est utile de r fl chir aux techniques que l on souhaite surveiller dans chaque b timent chauffage clairage eau incendie aux informations qu il sera n cessaire de renvoyer vers le poste de contr le pour chacune de ces techniques etdoncaux nombres d entr es et de sorties pr voir pour chaque application Ce seront ces points qui d finiront la taille du syst me et donc son co t A titre d exemple on reprend la page suivante une liste indicative des points envisageables dans une chaufferie pour sa t l gestion On prendra conscience ce moment que tous les r gulateurs de chaufferie ne peuvent pas lire des informations compl mentaires venant d un compteur fuel par exemple ou agir sur un relais ext rieur clairage par exemple parce qu ils ne disposent pas d entr es sorties suffisante Chez certains constructeurs l interface dispose d entr es sorties compl mentaires
46. as utiliser des automates programmables industriels Ces r gulateurs sont souples robustes adaptables toutes sortes de probl matiques telles que l on en rencontre en automation industrielle De plus ils sont meilleur march capacit d entr es sorties gale gr ce leur fabrication en grande s rie Et leur protocole de communication a t standardis si bien qu il est possible de connecter des marques diff rentes C esteffectivement une possibilit r elle mais elle poss de sa propre limite tant ouverte de multiples applications elle n est pas pr programm e pour la gestion d une chaufferie avec 2 chaudi res en cascade et 5 d parts de circuit optimiser par exemple Si des modules PID existent ils ne contiendront pas de valeurs pr tablies d usine pour les bandes proportionnelles ou les constantes d int gration par exemple Cela supposera donc une connaissance du langage de programmation de l automate et une recherche par essais successifs pour la mise au point du programme semble que ce type de travail soit r serv des quipes techniques importantes disposant de comp tences sp cifiques en r gulation et ou automation C est le cas de certaines soci t s de maintenance par exemple Pour les parcs de b timents importants une solution peut consister se limiter 2 marques diff rentes et mettre en place 2 syst mes de gestion technique centralis e en parall le Une concurrence p
47. atteindre le niveau de confort souhait limitation simultan e du besoin en nergie pour les composantes li es au b ti chauffage refroidissement et clairage Il sert orienter d s le d part le concepteur vers un b timent performant r pondant la RT 2012 Source ADEME 1 conception bioclimatique 2 isolation performante 1 65 Il est exprim en nombre de points et doit tre inf rieur une valeur limite Bbiomax dont la valeur est d termin e selon l expression suivante Bbiomax BbiomaxXmoyen Mbg o Mbax Mbsurt Les coefficients Mb servent moduler le coefficient Bbiomax selon la localisation g ographique l altitude et la surface Exemple Pour 120 m lt SHON lt 140 m Montpellier on obtient la valeur suivante Bbiomax 60 x 0 7 0 0 42 points D finition du Cepmax La RT 2012 prend en compte 5 usages pour le calcul de la consommation nerg tique Cep RT 2012 e parc existant e e chauffage temp rature int rieure prise en compte 19 C e l eau chaude sanitaire e le refroidissement e l clairage e les auxiliaires pompes ventilateurs La consommation en nergie primaire doit tre inf rieure Cepmax dont la valeur est fix e 50 kWhep m an modulable Cepmax 50 x Mc Moss Mer MCsurt MCces Les coefficients Mc servent moduler le coefficient Cepmax selon le type la localisation g ographique l altitude la surface et selon l
48. cessaires son utilisation Les d fauts pannes ou avaries diverses exigeant une maintenance corrective entrainent une indisponibilit imm diate ou tr s br ve ch ance des mat riels affect s et ou une d pr ciation en quantit et ou qualit des Services rendus La maintenance pr ventive Maintenance effectu e selon des crit res pr d termin s dont l objectif est de r duire la probabilit de d faillance d un bien ou la d gradation d un service rendu Elle doit permettre d viter les d faillances des mat riels en cours d utilisation L analyse des co ts doit mettre en vidence un gain par rapport aux d faillances qu elle permet d viter But de la maintenance pr ventive Augmenter la dur e de vie des mat riels Diminuer la probabilit des d faillances en service Diminuer les temps d arr t en cas de r vision ou de panne Pr venir et aussi pr voir les interventions co teuses de maintenance corrective Permettre de d cider la maintenance corrective dans de bonnes conditions viter les consommations anormales d nergie de lubrifiant de pi ces d tach es etc Am liorer les conditions de travail du personnel de production Diminuer le budget de maintenance Supprimer les causes d accidents graves O O O O O O O O O O O O O La maintenance pr ventive syst matique Maintenance pr ventive effectu e selon un ch ancier tabli selon le temps ou le nombre d unit s d usage produites
49. de r sultats provisoires maintenance palliative avec des conditions de r alisation hors r gles de proc dures de co ts et de qualit et dans ce cas sera suivie de la r paration Le d pannage n a pas de conditions d applications particuli res La connaissance du comportement du mat riel et des modes de d gradation sont la base d un bon diagnostic et permettent souvent de gagner du temps Souvent les op rations de d pannage sont de courtes dur es mais peuvent tre nombreuses De ce fait les services de maintenance soucieux d abaisser leurs d penses tentent d organiser les actions de d pannage Certains indicateurs de maintenance pour en mesurer son efficacit prennent en compte le probl me du d pannage Ainsi le d pannage peut tre appliqu par exemple sur des quipements fonctionnant en continu dont les imp ratifs de production interdisent toute visite ou intervention l arr t La r paration Intervention d finitive et limit e de maintenance corrective apr s panne ou d faillance 45 65 L application de la r paration peut tre d cid e soit imm diatement la suite d un incident ou d une d faillance soit apr s un d pannage soit apr s une visite de maintenance pr ventive conditionnelle ou syst matique Remarque la r paration correspond une action d finitive L quipement r par doit assurer les performances pour lesquelles il a t concu Tous les quipements sont concern s Le
50. e Organisez la maintenance de Vous pouvez organiser le t l diagnostic de vos quipements en param trant des alarmes pr ventives surveillance des nombres de d fauts des temps de fonctionnement en prenant la main tr s rapidement distance sans logiciel sp cifique et ainsi viter des co ts d arr t d exploitation De plus e sy offre une aide la maintenance gr ce sa possibilit d int grer dans son serveur FTP les fichiers de documentation des diff rents quipements de l installation pour de Gestion 20 65 Automatisez votre installation simplement et en ligne D veloppez ais ment vos propres automatismes e sy partir de l option int gre un g n rateur de scripts qui vous permet de programmer vos propres automatismes en langage volu Sans compilation en ligne et avec un simple navigateur vous pouvez param trer de puissantes fonctions d automatisme et faire voluer votre installation automatisme de r action et de s curit interactivit entre les donn es personnalisation d actions en chaine Construisez simplement votre param trage E OM e sy met votre disposition un atelier de param trage graphique et convivial compos d une librairie de blocs fonctionnels adapt s pour l automatisation d actions locales Les ressources effectuent un traitement complexe et s quentiel sur les entr es sorties chronom tre compteur conversion d entr e an
51. e 190 Y Augmentation du taux minimum d incorporation du bois dans les constructions neuves Loi Grenelle 1 article 34 Leviers de mobilisation des acteurs du territoire v Possibilit pour les collectivit s territoriales de prendre des d lib rations pour accorder un avantage sp cifique en mati re de taxe fonci re sur les propri t s b ties pour les logements neufs en avance sur la r glementation thermique Loi Grenelle 1 article 7 Loi de finances 2009 article 107 Y Sollicitation des collectivit s locales afin de concr tiser l objectif de r novation de l ensemble du parc de logements sociaux Pour commencer d s avant 2020 des travaux seront effectu s sur les 800 000 logements sociaux dont la consommation annuelle d nergie est sup rieure 230 kilowatts heures d nergie primaire par m tre carr Loi Grenelle 1 article 5 Il Y Possibilit d tendre le champ de la r glementation et surtout des actuels labels de performance nerg tique des b timents des crit res environnementaux Loi Grenelle 2 article 1 29 65 Document 8 lt Am liorer la r gulation gt Site internet energieplus lesite be 2011 Tout simplement r guler les installations qui ne le sont pas Am liorer le ralenti nocturne Am liorer le r glage des courbes de chauffe Placer des vannes thermostatiques R guler l installation par zones homog nes En bref Tout simplement r guler les installations qui ne l
52. e sont pas Le placement d une r gulation correcte sur une installation non r gul e c est dire sans ralenti nocturne et sans contr le pr cis de la temp rature int rieure permet 30 d conomie sur la facture annuelle de combustible Am liorer le ralenti nocturne Diff rents ralentis nocturnes peuvent tre envisag s savoir pendant les heures creuses e Un ralenti par abaissement de temp rature souvent rencontr mais pas tr s efficace e la coupure du syst me de chauffage en combinant une horloge et un thermostat d ambiance e la coupure du chauffage avec relance optimis e en combinant un optimiseur avec le m me thermostat d ambiance La r duction des pertes se situant dans la fourchette 10 37 96 ces am liorations sont rentables N anmoins lors de l int gration du ralenti nocturne il sera n cessaire de prendre des pr cautions par rapport au choc thermique que pourrait rencontrer la chaudi re lors de la relance par exemple rencontre d eau chaude et froide au sein de la chaudi re Am liorer le r glage des courbes de chauffe Le r glage de la courbe de chauffe est n cessaire si le confort n est pas atteint de mani re g n rale dans le b timent trop froid entraine un inconfort trop chaud la fois un inconfort et une surconsommation La courbe de chauffe est propre chaque b timent et d pend des caract ristiques des metteurs de la temp rature int rieure souhait e et des caract ristiq
53. e surconsommation Pr cautions Le placement de vannes thermostatiques dans un b timent demande certaines pr cautions Placement d une soupape diff rentielle Lorsqu une vanne thermostatique se ferme le d bit d eau est arr t dans la branche qui va vers le radiateur C est comme lorsqu un enfant bouche de son pouce l embouchure du jet d une fontaine les autres jets sortent plus fort En fait c est la pression qui monte dans le r seau et tous les autres radiateurs voient leur d bit augmenter Toutes les autres vannes vont se fermer un peu plus Imaginons que vers midi quelques vannes soient encore ouvertes elles re oivent toute la pression de la pompe elles ne s ouvrent que d une fraction de millim tre et se mettent siffler Une vanne thermostatique ne doit pas sentir si sa voisine vient de se fermer 11 est donc utile de stabiliser la pression du r seau C est le r le de la soupape pression diff rentielle Plac e apr s le circulateur elle l che la pression lorsque les vannes se ferment En quelque sorte elle d verse le trop plein vers le retour 40 65 Placement d une soupape diff rentielle sur le d part du circuit pour compenser la fermeture des vannes thermostatiques Encore faut il pouvoir calibrer le niveau de pression maintenu entre le d part et le retour Si l installation est nouvelle le bureau d tudes connait la pression nominale n cessaire Si l installation est ancienne on ne
54. em Base T en facade Module e sy pro WAN avec Modem RTC 1 Alimentation 12V DC 24 V AC DC 1 Chargeur batterie si e alimentation en 24V Chaque MODULE Unit Centrale int gre sa propre carte d entr es sorties Fonction Process Module eesy IO Embase e Chaque module possede e sa propre embase 9 e fixer sur rail DIN Elle est amp connect e aux capteurs actionneurs ou autres p riph riques Bus ExtenBUS Ce bus permet de connecter des Extensions au format MODULE ou PLUG ee MODULE Extensions Autres Extensions Les MODULE Extension se raccordent un D autres types de modules connect s MODULE Unit Centrale via l ExtenBUS Ils sur l ExtenBUS permettent de faire permettent d tendre la capacit de voluer l installation en rajoutant l installation en termes 1 port GSM d entr es sorties MODULE choisir dans 1 afficheur une large gamme d entr es sorties TOR et des syst mes de contr le d acc s WIT analogiques des interfaces de communication vers de ports de communication RS232 422 485 des compteurs lectriques Les modules d extensions sont communs aux gammes CLIP et e amp sy et peuvent se raccorder indiff remment une UC au format MODULE ou au format PLUG 26 65 Le format PLUG Les PLUG sont des composants d automatisme UC Alimentation Entr es Sorties Interface de communication pr sent s sous forme de bo tiers bleus pr
55. ergie ainsi que les notions d environnement et de d veloppement durable de citoyennet et d usager du service public 2 points Question 2 Dans une note d une page maximum l attention de votre directeur vous commenterez la pertinence des diff rentes colonnes du document 2 et indiquerez si d autres informations seraient utiles Puis vous indiquerez quels sont les b timents dont l isolation thermique devrait tre trait e en priorit et pour quels motifs 5 points Question 3 Quels sont les int r ts et les inconv nients des diff rents types de gestion technique centralis e de ces b timents Vous justifierez vos r ponses en expliquant les cons quences d une r gulation du chauffage mieux maitris e 2 points Question 4 Comparez les modes d exploitation possibles avec une r gie directe ou des partenaires externes 2 points Question 5 Pour une prestation en r gie directe vous indiquerez quels sont les march s compl mentaires n cessaires et l nt r t que pr sente l ouverture des march s de fourniture d nergie vous d terminerez les l ments compl mentaires suivants un profil de poste d un technicien chauffagiste recruter un plan de maintenance et de suivi de donn es un tableau de bord pour le rapport annuel pr senter au Maire 2 points Question 6 Expliquez l int r t du mode projet et pr cisez les cueils viter Puis d finissez les acteurs les tapes de l
56. es missions de gaz effet de serre Pour l arc m diterran en on obtient une valeur de Cepmax 40 kWhep m snonrt an Auxiliaires 5 Edairage 5 kWhep m an kWhep m an R partition sch matique des consommations moyennes pour la RT2012 sur la base 50 kWhep m suougr an Cas particulier lors de la production d lectricit 2 65 La consommation en nergie primaire avant d duction de la production d lectricit doit tre inf rieure Cepmax 12 kW hep m an Le confort d t La RT 2012 impose que la temp rature la plus chaude atteinte dans le logement au cours d une s quence de 5 jours tr s chauds d t n exc de pas un seuil 110 Tic lt Tic Tic temp rature int rieure conventionnelle But Assurer un bon niveau de confort en t sans avoir recourir un syst me actif de refroidissement distribution des baies vitr es surfaces orientations protections solaires mobiles possibilit d a ration des espaces inertie thermique Ae D La m thode de calcul TIE 0 Zones climatiques en France Les diff rents param tres sont d termin s selon s les modalit s d finies par la m thode de calcul Th BCE 2012 L utilisateur saisit les diff rentes e 112 donn es d entr e correspondant aux param tres E ub du b timent et de ses quipements Il faut Hic caract riser les ph nom nes physiques r els de ies H chaque composant du b timent par l interm diaire d
57. es activit s r aliser le manager le charg de communication de la documentation du suivi du budget des ressources de la planification constituer un organigramme v Validons l organisation avec l quipe projet 13 Pr paration du plan de communication v laboration d un plan d actions en communication Y Donnons une identit au projet Y ldentifions les cibles v Pr parons les messages 14 Vendre le projet construire un argumentaire Identifier les b n fices que peuvent apporter le projet v Attentes besoins insatisfaits des interlocuteurs v B n fices r ponses qu apportent le projet ces besoins v Caract ristiques preuves que le projet peut satisfaire les besoins Formaliser les argumentaires Y Identifier les objections formaliser les contre objections v Plaquette de pr sentation mettant en avant les b n fices du projet Phase N 3 LA PLANIFICATION 1 Cr er un planning d taill a Imaginer la repr sentation du planning et le codage v A Rep rons les pics d activit de la collectivit Y dentifions les horaires collectifs ou particuliers Y dentifions les jours de cong 60 65 v D finissons des unit s de calcul pour chaque charge ex en jour homme dur e ex en jours sont elles persistantes Y Choisir le r seau de repr sentation Choisir Gantt de pr f rence Le planning doit tre facile lire et tre compr hensible par tous Calend
58. et rampe chauffante M Chauffage et Climatisation a Ventilation Ei Surveillance Technique Surveillance des Eau Chaude d fauts techniques pr sence Sanitaire et disjonction tension Basculement automatique R gulation de la sur circuit de secours production par changeur plaque et pour ballon sur chaudi re planifica tion et optimisa T h ug tion de la pro duction par W i gh i cumulus LL 8 lectrique C n i LA le e D Froid UE n industriel Contr le des groupes frigorifiques T l rel ve des temp ratures en temps r el Contr le de la pression et Arrosage Programmation de l arrosage des de l ambiance r frig r e espaces verts Gestion des consommations d eau Contr le d Acces a Eclairage Contr le des entr es Y Planification des sorties par identification clairages par et planification dans des zones et zones Gestion par des parkings comptage des acc s Lumendar D lestage en contr le de ronde fonction de la p riode tarifaire 23 65 la gestion technique des b timents munie de fonctions m tiers sp cialis es Contr le d Acc s Contact ou Proximit ITTI Identification de personnes gr ce un num ro unique pour 25 chaque badge Fer Tracabilit des actions autoris es inconnues ou interdites Validation et param trage des badges distance Asservissement de la consigne de r gulatio
59. eurs sur site sy pra Jm Nul l il Pd d acces lectrique No Extensions format MODULE U C U C eesy 0 eesy pro o sur un UC e format MODULE format MODULE U C eesy pro o U C eesy pro format PLUG mont sur Connect DIN I format PLuG 4 mont sur Connect BOX Communication Lev e de avec les automates doute et exploitation MODBUS TCP vid o Int gration au r seau Ethernet existant Communication distante par RTC GSM GPRS c ble radio Visualisation des donn es sur le web sous forme de Consultation des journaux et des tats par PDA multi utilisateurs aux donn es d exploitation synoptiques et d historiques graphiques 2 Niveaux d Options Logicielles mm Entr es Tout ou Rien JB Sorties Tout ou Rien e Entr es Analogiques ip Sorties Analogiques Ports s ries LI ExtenBUS mw Communication distante R seau Ethernet local 25 65 J Le format MODULE Le MODULE 6051 se pr sente sous la forme d un boitier compact monter sur rail DIN ou visser en fond de tableau Chaque Unit Centrale int gre MODULE Unit Centrale m TT E ue is Il existe 2 familles d Unit Centrale qui sont es Sor A 1 port Extenbus pour la d termin es par la fonction finale du produit LIUM I Fonctions T l gestion Process 1 port Ethernet 10 100 Module e sy pro LAN sans Mod
60. hauffage sont P1 Energie consommation P2 Conduite et petit entretien P3 Gros entretien et renouvellement On peut trouver aussi le terme P4 financement a priori interdit dans le cadre du code des march s publics Le terme P2 est la prestation de base tous les contrats ont un terme P2 Il peut tre seul ou associ au P1 ou au P3 ou aux deux Ce terme recouvre diverses situations Entretien courant ne n cessite pas l intervention de sp cialistes de travaux Conduite ne recouvre pas la m me r alit selon qu il y a ou non un int ressement Les types de march s d finis par le CCTG sont les suivants 50 65 MF march forfait P1 P2 P1 forfaitaire MT march temp rature P1 P2 P1 annuel corrig temp rature MC march comptage P1 P2 P1 unitaire chaleur et quantit s r elles CP combustible prestations P1 P2 P1 unitaire combustible et quantit s r elles PF prestations forfait P2 Dans tous les cas P2 est forfaitaire Dans tous les cas il est possible de pr voir un int ressement MFI MTI MCI CPI PFI Dans tous les cas il est possible de pr voir un poste P3 L int ressement permet comme son nom l indique d int resser l exploitant aux r sultats de l exploitation Il prend sa charge une partie des surconsommations par rapport un objectif et recoit une partie des conomies engendr es La mise en place d un int ressement n cessite une bonne conna
61. iel et nous tester En fait c est la mise en service d un r gulateur qui demande du temps car nous analysons son fonctionnement sur base d historiques et nous ajustons les param tres Nous avons ainsi pu d tecter bon nombre d anomalies de sondes qui ne fonctionnaient pas correctement de sondes dont le raccordement tait invers sonde 1 sur circuit 2 et inversement La plus grande conomie provient de ce qu on a pu supprimer beaucoup de d rogations locales l utilisateur mettait l installation en fonctionnement continu et oubliait de la reprogrammer A pr sent il doit nous t l phoner pour que nous puissions programmer le chauffage en vue d une r union le soir ou d une f te le samedi Cette adaptation a suscit quelques r actions il n est pas facile de passer de 23 C 21 C mais le pli est pris Nous d couvrons galement des probl mes hydrauliques d s quilibrages d installation insuffisance de certains circulateurs maintenant que notre gestion est plus fine Une sauvegarde des param tres de r glage est possible si bien qu apr s le test d une nouvelle solution jug e inad quate nous pouvons toujours revenir aux anciens param tres Apr s cette phase de mise en service les interventions sont rares Siles personnes se plaignent c est que tr s souvent il yaeuune modification physique locale nouveau percolateur plac sous une sonde affiche coll e sur une sonde La suppressi
62. iers des rapports de visite de l inspecteur du Travail du contr leur de la S curit sociale etc e D autre part celles qui tout en s inspirant des premi res les appliquent dans un contexte pr cis 48 65 Conclusion M me si les activit s connexes sortent du cadre direct de la maintenance maintenir en tat elles s int grent bien dans le champ de comp tence des techniciens et des professionnels de maintenance En p riode de crise conomique certains industriels peuvent se montrer prudents l gard des investissements et trouvent des possibilit s d am lioration par l interm diaire de ces formes de maintenance 49 65 Document 10 Les contrats d exploitation gt Site internet raee org 2011 Les contrats d exploitation Principes On pourrait r sumer les obligations d une personne publique mais galement de tout maitre d ouvrage en mati re d nergie sur son patrimoine comme suit Pour les b timents fournir aux utilisateurs un confort thermique et d autres services ECS optimaux conformes aux demandes des usagers et la r glementation Pour l clairage public garantir la performance et la continuit du service Les contraintes impos es par cette obligation concernent la qualit et la continuit du service ainsi que le respect de la r glementation probl matique s par e de l exploitation m me si des liens existent en particulier au niveau de l obligation de conseil de la
63. ilisant l ensemble de la documentation n cessaire la maintenance du bien ainsi que les pi ces approvisionn es par le magasin 4 me Niveau Tous les travaux importants de maintenance corrective ou pr ventive l exception de la r novation et de la reconstruction Ce niveau comprend aussi le r glage des appareils de mesure utilis s pour la maintenance et ventuellement la v rification des talons de travail par les organismes sp cialis s Commentaire Ce type d intervention peut tre effectu par une quipe comprenant un encadrement technique tr s sp cialis dans un atelier sp cialis dot d un outillage g n ral moyens m caniques de c blage de nettoyage etc et ventuellement des bancs de mesure et des talons de travail n cessaires l aide de toutes documentations g n rales ou particuli res 5 me Niveau R novation reconstruction ou ex cution des r parations importantes confi es un atelier central ou une unit ext rieure Commentaire par d finition ce type de travail est donc effectu par le constructeur ou par le reconstructeur avec des moyens d finis par le constructeur et donc proches de la fabrication LES ACTIVIT S CONNEXES Ces activit s compl tent les actions de maintenance cit es pr c demment et participent pour une part non n gligeable l optimisation des co ts d exploitation La maintenance d am lioration L am lioration des biens d quipements con
64. in de phases il est repr sentatif des principaux int ress s Profil id al d un chef de projet connaitre l environnement tre capable d anticiper et de se projeter dans l avenir tre cr atif tre pers v rant dynamique il impulse tre capable de prendre des initiatives tre rigoureux organis sans tre rigide tre capable de mobiliser motiver tre enthousiaste avoir de bonnes capacit s relationnelles et de communication n gocier g rer les conflits tre honn te et transparent tre p dagogue tre capable de changer d habitudes de travail et d accepter un changement dans son management tre capable de ma triser les diff rentes m thodes GRP m thodologie de projet les outils les d l gations Articulations D cisionnaires Chef de projet quipe projet 54 65 Comit de pilotage DECIDE OPERATIONNALIS quipe projet largie MF Membres fondateurs MP Membres pemanents LP intervenants ponctuels R sistances et difficult s 98 des projets ne respectent les conditions pr vues initialement Y Les co ts Y Les d lais Y La qualit 85 des checs sont dus un manque d accompagnement des projets e Projet insuffisamment pr par ou absence de pr paration e manque de comp tence du chef de projet ou manque de disponibilit engagement e manque de soutien de la direction g n rale Manque de vision et de ges
65. iner avec le fabricant du r gulateur ou l installateur la possibilit d adjoindre un thermostat d ambiance de nuit dans le programme existant On peut galement envisager une deuxi me facon de travailler l g rement moins performante Il s agit de placer une deuxi me sonde ext rieure associ e une horloge Si la temp rature ext rieure de nuit ne descend pas en dessous d une certaine valeur r gler par exemple 5 C l installation est compl tement coup e Si la temp rature ext rieure descend en dessous de cette valeur le ralenti se fait par abaissement de la courbe de chauffe comme auparavant Une troisi me possibilit qui ne demande aucun investissement est d abaisser au maximum la courbe de chauffe de nuit Ainsi durant la majeure partie de la saison de chauffe la temp rature d eau demand e la nuit est inf rieure 20 C ce qui quivaut forcer la fermeture compl te des vannes L inconv nient de ces deux derni res solutions est l absence de contr le de la temp rature ambiante nocturne Le gain Il est difficile de chiffrer pr cis ment l conomie r alisable en modifiant le mode de ralenti nocturne Cela d pend d une s rie de param tres qui influencent le bilan thermique 32 65 Isolation Grande Inertie du b timent Longues M Petites p riodes p riodes d inutilisation d inutilisation Utilisation A action instantan e syst me de chauffage 8 E 8 D E 2 E 5 E D
66. ions d j quip es d une pompe de recyclage En effet il faut recycler un d bit quivalent au d bit de l ensemble des circuits secondaires si l on veut obtenir une temp rature de 55 C en m langeant de l eau 20 C avec de l eau 90 C Or les pompes de recyclage sont couramment dimensionn es pour recycler 1 3 du d bit nominal de la chaudi re 37 65 Attention cependant ajouter des sondes et des r gulateurs sur une ancienne installation complexifie cette derni re Cela implique d une part une information de l exploitant sur le nouveau fonctionnement de l installation et d autre part de consigner par crit le mode d emploi de celle ci Ce dernier point est important car les ann es passant ou si le personnel change on ne saura plus quoi servent les r gulateurs et les sondes et l installation ne sera plus g r e Tenant compte de cela il vaut parfois mieux remplacer l enti ret des anciens r gulateurs par un quipement moderne permettant les diff rentes fonctions d crites ci dessus Placement d un optimiseur sur une installation existante La technique de ralenti la plus performante d un point de vue nerg tique est l optimiseur I faut cependant tre prudent lorsque l on d sire am liorer sa r gulation en pla ant un tel quipement En effet celui ci ne sera performant que s il quipe une installation ne pr sentant pas de d sordre hydraulique Exemples Lorsque l on dispose de pompes vitesse va
67. issance pr alable des consommations et la conduite est obligatoire dans le contrat Celle ci peut tre difficile mettre en uvre mat riel non adapt mais aussi sensibilit des utilisateurs qui n ont plus acc s aux r glages et n cessite une bonne r activit de l exploitant d o l importance du mat riel de gestion technique centralis e GTC 11 demande galement des proc dures de contr le des prestations par exemple carts de temp ratures admissibles et un sous comptage si l eau chaude sanitaire est produite avec la chaudi re Le P1 n est pas obligatoire En ce qui concerne le P3 on distingue une garantie totale obligation pour l exploitant de maintenir en permanence le bon tat de marche et le maintien des performances d un gros entretien limit une garantie de moyens et d intervention rapide Il est pr f rable d opter pour la premi re solution en pr voyant la justification de l ensemble des d penses un d ficit la charge de l exploitant et un partage des b n fices possibles Le P3 permet de forfaitiser les d penses annuelles et d tre r actif mais en contrepartie impose la n cessit d un contr le pr cis Quel que soit le type de contrat choisi un suivi de l exploitation est indispensable n cessit d un compte rendu annuel avec le d tail des interventions les incidents les travaux pr voir un inventaire avec tat des lieux du mat riel et le cas ch ant gros entretien consomma
68. ites chaufferies centralis es Site internet energie wallonie be 2011 La motivation para t double organisationnelle avant tout il s agit d am liorer l efficacit de la gestion des hommes charg s de la maintenance de r duire les d placements inutiles de mieux pr parer le mat riel n cessaire pour l intervention voire de mieux suivre le travail effectif de chaque ouvrier L am lioration du confort dans les b timents s ensuivra par une gestion tr s rapide des alarmes une anomalie sera corrig e avant m me que l occupant ne s en aper oive donc pas de plaintes Ce type de gain est difficilement chiffrable nerg tique ensuite l intelligence restant au niveau de la chaufferie la t l gestion n assure qu un transfert de l information A premi re vue l am lioration semble nulle par rapport une r gulation locale correcte les contacts pris montrent que ce poste est plus important qu on pourrait le penser a priori En effet il apparait que dansles6 mois qui suivent l installation de nombreuses mises au point sont effectu es gr ce aux historiques transmis par la t l gestion comportement du syst me la nuit le WE A titre d exemple on peut citer l adaptation de la courbe de chauffe d un b timent ou le rep rage d un d faut sur une sonde actions tr s facilit es par la pr sence d une t l gestion les installations sont mises en d rogation manuelle plus souvent qu on ne le croit
69. llement le mat riel de rechange ad quat la possibilit d envoyer des alarmes sur t l phone portable est mieux v cue par le personnel d astreinte car il reste libre de tout mouvement pendant son service 17 65 LII Voici sch matiquement le principe de la t l gestion X A R seau interne Par radio AUTRES SITES d entreprise ft h N N T 4 i 7 T l T T l t l phone Pour obtenir plus d informations sur cette activit contactez nous SECTEURS D ACTIVITE Route de Gu ret BP412 L industrie le tertiaire 03107 Montlucon Cedex et l agroalimentaire AC T l 04 70 29 19 44 Fax 04 70 05 88 95 Contact d fauconnier acc03 fr http www acc03 com 18 65 Document 6 lt e sy un automate de t l gestion gt WIT janvier 2008 e Communiquez avec votre installation en local et distance wiT Acc dez votre site o que vous soyez e sy est muni d un serveur web int gr qui permet d acc der via un simple navigateur web toutes vos informations L exploitation mais aussi le param trage s effectuent en ligne en local ou distance partir de simples pages HTML sans t l chargement d un logiciel d exploitation sur votre poste informatique L acc s aux Journaux et aux Etats peut galement se faire via le navigateur de votre PDA Soyez averti imm diatement des alarmes La diffusion des alarmes s effectue p riodiquement
70. loppement et la diffusion de nouvelles technologies dans la construction neuve et la mise en oeuvre d un programme de r novation acc l r e du parc existant Pour atteindre cet objectif cinq grands axes sont d finis gt Renforcer la r glementation thermique applicable aux constructions neuves afin de r duire les consommations d nergie et les missions de gaz effet de serre gt R duire les consommations d nergie du parc des b timents existants d au moins 38 d ici 2020 cette fin l tat se fixe comme objectif la r novation compl te de 400 000 logements chaque ann e compter de 2013 gt Promouvoir le bois co mat riau dans la construction et adapter les normes de construction au mat riau bois gt Am liorer la gestion des d chets du BTP en imposant les diagnostics pr alables aux chantiers de d molition et les plans de gestion d partementaux gt Am liorer la qualit de l air int rieur des b timents notamment dans les tablissements recevant un public nombreux ou vuln rable et dans tous les tablissements publics recevant du public Obligations concernant en propre la commune ou l EPCI Y nopposabilit des dispositions d urbanisme toute demande d autorisation d occupation ou d utilisation du sol concernant l installation d un dispositif domestique de production d nergie renouvelable ou de r cup ration des eaux pluviales ainsi que de tout mat riau renouvelable permettant d viter
71. n s jusqu ce que la bonne courbe soit trouv e On l aura compris il ne s agit de tourner les manettes au hasard d s qu une plainte apparait sans prendre note de ce que l on a fait Ce n est pas non plus au chauffagiste r gler cette courbe mais bien une personne vivant dans le b timent et pouvant collationner les r actions des occupants chaque modification du r glage Or bien souvent on entend c est le chauffagiste qui a r gl le r gulateur et nous interdit d y toucher 38 65 R gulateur climatique analogique avec possibilit de correction par sonde de compensation Sur certains r gulateurs climatiques il est possible de raccorder un thermostat d ambiance de compensation Celui ci mesurant la temp rature int rieure dans un local t moin ajuste automatiquement la temp rature d eau de d part par rapport la courbe de chauffe r gl e Ce thermostat peut galement servir de thermostat de coupure en r gime de nuit Cette compensation permet de r soudre le probl me du r glage fin de la courbe de chauffe Elle pose cependant certains probl mes e Son efficacit est li e au choix correct du local t moin pour peu qu il soit possible C est pourquoi une sonde de compensation ne peut pas tre plac e si le circuit dessert des locaux d orientation diff rente ou avec des gains internes diff rents e Elle ne fonctionne correctement que si la courbe de chauffe est d j presque bien r gl e
72. n des facilitants et des freins Identification et gestion des risques 10 Organisation a Choisissons une m thode pour aborder le sujet D crivons notre plan d actions pour d marrer le projet Comment b laborons des sc narios 59 65 Sc nario optimiste Chaque tape et d lais sont respect s Sc nario avec quelques difficult s Des ajustements seront pr voir Sc nario pessimiste nous int grons toutes les difficult s connues freins contraintes 11 Construction de l quipe projet Y L quipe micro 2 3 personnes Y L quipe restreinte Environ 10 personnes Y L quipe largie inclut les autres prestataires fournisseurs services associ s Caract ristiques Y Les membres doivent tre compl mentaires expertise comp tences motivation personnalit L quipe devra int grer certains profils cr atifs r actifs Les membres de l quipe devront avoir une exp rience du travail d quipe Chaque membre devra tre volontaire motiv Chaque membre doit avoir le sens des responsabilit s tre responsable de ses actes aptitude prendre initiatives Chaque membre doit inspirer la confiance Chaque personne doit tre en mesure de se rendre disponible SASS SS 12 Organisation de l quipe projet Y D finissons les r gles du jeu Y D finissons les r les les responsabilit s de chacun en ce qui concerne la gestion de projet en fonction des comp tences des d l gations d
73. n en fonction de chaque badge Lancement d actions personnalis es ouverture de portes mise sous alarme d une zone commande de l clairage etc Planification des 80065 ou des asservissements en fonction de tranches horaires Fonctions Anti PassBack Gestion de la dur e de validit d un badge et du nombre maximum d utilisation R gulation HVAC Contr le de la cascade chaudi res avec gestion de priorit et permutation R gulation des r seaux secondaires en fonction de la temp rature ext rieure et de l influence de l ambiance Gestion des consignes confort r duit hors gel en fonction d un planning horaire Recherche permanente du point de relance optimal des chaudieres R gulation d une CTA en fonction de la temp rature de soufflage et de reprise en tout air neuf ou en recyclage R gulation de ventilo convecteur chaud froid et gestion de change over Anticipation de la production en amont en fonction de la demande Gestion Energ tique T l rel ve des compteurs lectriques et gestion des index tarifaires D lestage permettant de diminuer la puissance souscrite dans le poste tarifaire en fonction des tarifs EDF Bleu Jaune Vert Pour d information sur les avantages de la solution e sy m tier par m tier n h sitez pas vous reporter nos fiches WIT Solutions sur www wit fr 24 65 Acquisition des donn es et commande Capteurs amp Actionneurs Automates amp R gulat
74. n nombre d unit s d usage donn Il faut distinguer suivant l tendue des op rations effectuer les r visions partielles et les r visions g n rales Dans les 2 cas cette op ration n cessite la d pose de diff rents sous ensembles Le terme r vision ne doit en aucun cas tre confondu avec les termes visites contr les inspections Les 2 types d op rations d finis r vision g n rale ou partielle rel vent du 4 me niveau de maintenance Les changes standards Reprise d une pi ce ou d un organe ou d un sous ensemble usag et vente au m me client d une pi ce ou d un organe ou d un sous ensemble identique neuf ou remis en tat conform ment aux sp cification du constructeur moyennant le paiement d une soulte dont le montant est d termin d apr s le co t de remise en tat Soulte somme d argent qui dans un change ou dans un partage compense l in galit de valeur des biens chang s LES 5 NIVEAUX DE MAINTENANCE 1er Niveau R glages simples pr vus par le constructeur au moyen d l ments accessibles sans aucun d montage ou ouverture de l quipement ou changes d l ments consommables accessibles en toute s curit tels que voyants ou certains fusibles etc Commentaire Ce type d intervention peut tre effectu par l exploitant du bien sur place sans outillage et l aide des instructions d utilisation Le stock de pi ces consommables n cessaires est tr s faible 2 me Niveau
75. nerg tique des b timents neufs et existants Loi Grenelle 1 article 5 Loi Grenelle 2 article 1 Y R alisation de travaux d am lioration de la performance nerg tique dans un d lai de huit ans compter du 1 janvier 2012 dans les b timents existants et amener les b timents neufs au niveau des exigences du label b timents basse consommation BBC l horizon 2012 et par anticipation compter de la fin 2010 pour les b timents publics et les b timents affect s au secteur tertiaire Loi Grenelle 1 article 4 et article 5 1 Loi Grenelle 2 article 1 et article 3 Y Syst matisation de la prise en compte de l objectif d accessibilit aux personnes handicap es lors de la r novation thermique acc l r e du parc tertiaire existant et de l ensemble des b timents publics y compris ceux des collectivit s Loi Grenelle 1 article 3 v Am lioration de la performance acoustique des b timents neufs Loi Grenelle 2 article 1 Y Mise en place de syst mes de mesure et d information sur la qualit de l air int rieur dans les tablissements recevant des populations vuln rables ou du public Loi Grenelle 1 article 40 Loi Grenelle 2 articles 179 et 180 Plan national sant environnement II action 9 Y Obligation de r aliser avant d molition ou travaux de r habilitation de certains b timents un diagnostic relatif la gestion des d chets r sultant de ces op rations Loi Grenelle 1 article 4 Loi Grenelle 2 articl
76. ns l informatique des PC Tout au long de leur fonctionnement ils stockent des informations dans leur m moire interne informations provenant des diff rents quipements temp rature d ambiance ouverture de vanne Une fois leur m moire satur e 60 ou 70 ils d cident de transf rer cette information vers le PC qui dispose d une m moire plus importante L interface va alors g rer l appel t l phonique vers le PC etle transfert On peut galement imaginer que ce soit l op rateur la centrale de supervision qui chaque matin appelle et vide les m moires des r gulateurs Un diagramme d volution tabli sur les derni res 24 h ou sur un temps plus long permettra de visualiser rapidement si tout est correct Temp rature ambiante de locaux t moins Calcul etcumul des DJ Temp rature et teneur en CO des fum es Dur ede fonctionnement de l installation Temp rature ext rieure et temp rature de l eau au d part Consommation des auxiliaires Consommation de combustible par fen tres de temps kWh Intervention J t t gt Ambiance Rendement Auxiliaire Eclairage h t gt Ext rieur D part Consommation D jour Temps de fonctionnement L appel peut galement tre lanc de fa on imp rative par le r gulateur si un seuil d alarme est d pass ou si un quipement tombe en panne Un message s affichera sur l cran du superviseur
77. omplet Les valeurs instantan es de votre installation sont consultables tout moment et vous pouvez agir distance en t l commande ou t l r glage sur ces donn es Pour cela e amp sy met votre disposition Les Etats qui affichent les valeurs courantes sous forme de liste et de symboles anim s les Sprites Les Synoptiques construits facilement partir de vos propres images ou de la biblioth que d objets fournie 115 vous permettent de visualiser l ensemble de votre installation d un seul coup d oeil Tracez les donn es de votr Gr ce son importante capacit de stockage e sy met votre disposition plusieurs types d historiques Les alarmes et les venements horodat s sont archiv s et accessibles partir du Journal des v nements Le Journal des en cours affiche les alarmes toujours pr sentes sur votre installation Les donn es sont enregistr es et restitu es sous forme de courbes visualisables partir des Graphiques exportables sous forme de fichier texte pour une exploitation par tableur G n rez des rapports et bile Chaque cran est imprimable et peut tre archiv sous diff rents formats e sy vous permet galement d exporter les donn es brutes au format Excel pour effectuer des traitements math matiques plus labor s R gulierement vous pouvez diter un bilan complet de l exploitation de votre site ou le recevoir par e mail de mani re automatis
78. on progressive des conciergeries nous posait probl me pr sent l alarme antigel automatique nous prot ge de tout risque L interpr tation correcte d une alarme demande une connaissance physique de l hydraulique de l installation Ici au bureau nous connaissons nos b timents 14 65 Un gros b timent sous contrat avec une soci t de maintenance a t galement raccord sous t l gestion cela nous a permis de mieux contr ler leur travail Nous connaissons l emploi du temps de nos ouvriers entre le temps de d clenchement de l alarme et de remise en ordre de l installation Et plus question de mettre l installation en d rogation d faut d avoir trouv la panne Notre charge au bureau a augment puisque nous reprenons une part de la r solution du probl me mais globalement le travail est beaucoup plus efficace Nous n avons pas de contrat de maintenance avec la soci t de r gulation mais elle r pond nos questions si n cessaire Nous constatons une chute assez significative des consommations Un bilan pr cis a t tabli en fonction des degr jours l aide d un tableur Excel dont voici ci dessous deux extraits L ann e de la mise en service du nouveau syst me de r gulation et de t l gestion appara t au premier coup d il Consommation de gaz par degr jour 1990 1991 1992 1993 1994 1995 Ecolecommunale ruedu Rossignol 2 Mons Consommation ga
79. onduite d un projet A l issue de cette phase l quipe d cisionnelle sera en capacit d accepter de reporter de modifier ou de refuser le projet Cette phase doit permettre de s assurer de la compr hension mutuelle de l objet du projet et non des objectifs op rationnels de clarifier la commande Rencontre du commanditaire Qui Le Directeur et ou le futur chef de projet un responsable hi rarchique Sa Mission Y Aider le commanditaire reformuler son projet Y Tester le d sir d agir du commanditaire de r aliser le projet Y Identifier les premi res ressources n cessaires Y Officialiser la demande de projet Examen de la demande du commanditaire Cette tape est r alis e avec les instances strat giques directeurs le directeur chef de projet L objectif est v d tudier et de s approprier la demande du commanditaire v de d cider de la suite donner la demande du commanditaire Y d examiner la coh rence et l articulation des projets en cours en fonction de la strat gie de la collectivit 1 Le contrat Lors de cette phase le chef de projet est officiellement nomm 57 65 il prend le management la conduite et la gestion du projet Dans ce cadre un contrat est co sign entre le commanditaire le directeur de projet le chef de projet voire le responsable hi rarchique de ce dernier Ce contrat doit comporter L objectif les tapes les moyens les d lais de r alisation les r gle
80. pitaliser qu a t on appris Passer le relais organiser le transfert du r alis dispositif de maintenance Contractualiser le d sengagement du chef de projet et de son quipe sur la fiche projet par exemple Fin le Archiver les documents Sur quoi porte le bilan UNE DIMENSION OBJECTIVE Y l analyse du projet valuer les carts entre les pr visions et les r alisations Analyser ces carts v analyse du fonctionnement du projet les outils utilis s les modes de communication et de collaboration Y valuation strat gique les risques sous estim s les contraintes mal valu es UNE DIMENSION SUBJECTIVE v Comment le projet a t il t v cu Y Quels ont t les moments forts Les moments difficiles Pourquoi 64 65 Document 13 lt Plan d action gt Alliance C 2012 cc it CLO OZO U suas 201135 ap SLAY sna 341 Papa aJAN20 ua as up juo 113444139 40 qpulojur 3 uot porun uuo sp sajippoui Sa d12 ua 3005500 sa LISHI saso pusod sauisiuob4o sap 23002 uot Jp J420052 D 1531 ap sajjarjuassa sadb a sap juauiup jou anb s a4 sajgosa sap quauaro dap ro pucnb a api p irb sajqoaal sap uot popoa ap sajippouixro ja foud np juawanossp a popuad uo poiunuuco afbud ap ajimnpuco saja juassa sado xro Spas suoppf sap aua qui TI 143 030 sagsag sap asana ua asium 4340550 afbud aj ans sarbiunwwco ap as 1
81. pourra y aller que par essai successif en diminuant progressivement la pression La pression manom trique du milieu de la courbe du circulateur voir catalogue du fournisseur est galement une indication 41 65 Une solution d aujourd hui le circulateur vitesse variable Courbes caract ristiques d un circulateur 3 vitesses 15 20 Q mih Force est de constater que la solution de la vanne pression diff rentielle n est pas tr s l gante Cr er une pression la pompe et la l cher juste apr s sur le plan nerg tique c est un peu pousser sur l acc l rateur et le frein en m me temps Actuellement il est possible d installer un circulateur vitesse variable la vitesse est r gul e de telle facon que la pression du r seau reste constante Si seulement quelques vannes sont ouvertes il tournera vitesse r duite L achat d un circulateur avec r gulateur de vitesse int gr est rapidement amorti durant l exploitation car la consommation volue en fonction du cube de la vitesse une vitesse r duite de moiti c est une consommation lectrique divis e par 8 R guler l installation par zones homog nes Situation fr quente les besoins des locaux ne coincident pas avec le d coupage du r seau hydraulique Disposer de circuits hydrauliques distincts est indiqu lorsque e Certains locaux profitent de beaucoup d apports de chaleur gratuits ensoleillement e Certains locaux doivent tre
82. que quand le pr d cesseur a termin v D D le successeur ne peut commencer qu partir du moment o le pr d cesseur a commenc Y 0 16 pr d cesseur poursuit tant que le successeur n a pas commenc Privil gier les liens F D 61 65 6 Affecter des ressources v v v v Recenser les ressources humaines et mat rielles V rifier la disponibilit des ressources cong s Evaluer le co t de chaque ressource attention aux sous et surestimation Affecter ces ressources chaque t che 2 Optimisons validons et communiquons le planning v v R solvons les dysfonctionnements et contraintes d lais charge Communiquons et ou validons le planning Commanditaire Comit de pilotage La Direction de projet L quipe projet Les experts de l quipe largie Phase N 4 PILOTAGE REALISATION 1 Lancerle projet v v v Organisons une r union de lancement Mobilisons les acteurs concern s en fonction des objectifs de chacun Fournissons chacun les documents n cessaires pour les reportings l avancement des t ches les probl mes les solutions 2 Mettre en oeuvre le plan de communication Y v v v Mettons jour le plan de communication Int grons les ventuelles nouvelles actions de communication Pr parons les diff rents supports de communication Lan ons les premi res actions 3 Piloter la r alisation actions en boucle v v v v v v
83. r atteindre l objectif du projet qu il doit tre en capacit de choisir Manage une quipe projet et une quipe projet largie N a pas d autorit statutaire il ne parait pas sur l organigramme Pilote le projet Anime l quipe projet quipe ressource Assure l interface avec l quipe projet et le comit de direction pour chaque tape rend compte Analyse soul ve les ventuelles probl matiques analyse les points am liorer Propose des am liorations en concertation d termine des solutions Congoit et r dige les proc dures en lien avec les personnes ressources 53 65 Organise la diffusion des contenus communication Organise le retour d exp rience et la prise en compte des modifications Pr sente son projet et claire le groupe de revue en r union d quipe du lundi sur les points obscurs il se fait ventuellement assister de membres de son quipe quipe ressource Le maitre d ouvrage personne physique ou moral propri taire de l ouvrage il d termine les objectifs le budget et les d lais de r alisation Le maitre d ceuvre personne physique ou morale qui re oit une mission du maitre d ouvrage assure la conception et la r alisation de l ouvrage Le comit de pilotage donneur d ordre du projet d cision finale sur la solution propos e par le chef de projet valide la solution au niveau strat gique et budg taire prend les d cisions de f
84. r que dans le sens de la r duction Aussi il sera utile d ajuster la r gulation centrale sur les locaux les plus exigeants locaux de coin locaux sous la toiture Il existe sur le march des vannes qui peuvent s adapter la plupart des publics e locaux o les occupants sont capables de g rer eux m mes le r glage des vannes bureaux individuels de 2 3 personnes e locaux o les occupants ne se sentent pas responsable du r glage classes e locaux o les vannes peuvent subir des d t riorations salles de sport lieux publics Il ne faut donc pas syst matiquement rejeter cette solution sous pr texte que le public ne saura pas la g rer Si un doute subsiste quant la r sistance m canique par rapport au public vis un essai peut tre men avec une ou deux vannes avant de se lancer dans l installation compl te Il est clair que si on opte pour les vannes les plus simples dont le r glage est laiss l occupant une information de ce dernier sera n cessaire pour que le r sultat escompt soit atteint Le gain lci aussi il est impossible de chiffrer pr cis ment le gain nerg tique que l on peut escompter du placement de vannes thermostatiques ne fut ce que parce qu il est impossible de chiffrer pr cis ment la situation de d part On peut cependant par un rapide calcul estimer l int r t de cette am lioration Exemple Ordre de grandeur un degr de trop dans un local 7 8 d
85. riable il est conseill de r trograder de vitesse durant la nuit Cependant si l optimiseur ne g re pas lui m me le changement de vitesse il ne pourra jamais calculer correctement le moment de la relance puisque les caract ristiques du syst me ne sont pas constantes Ceci peut conduire une anticipation de la relance telle qu il n existe plus de ralenti de nuit bien que le responsable du b timent le croit effectif La pr sence d incompatibilit s hydrauliques entre les circuits peut emp cher certaines parties de b timent ou le b timent tout entier d atteindre sa temp rature de consigne de jour Ici aussi l optimiseur va anticiper la relance croyant erron ment le moment de la relance en cause jusqu ce que le ralenti disparaisse Dans ces deux exemples on aura tendance incriminer l optimiseur alors que la cause du d sordre est hydraulique Am liorer le r glage des courbes de chauffe Un mauvais r glage de courbe de chauffe sera source soit d un manque de chaleur soit d une surchauffe donc d une surconsommation Chaque b timent doit avoir une courbe de chauffe unique fonction e des caract ristiques des metteurs e de la temp rature int rieure souhait e e des caract ristiques thermiques du b timent Trouver cette courbe n est pas vident 11 faut proc der en hiver et en mi saison des ajustements en fonction des plaintes des occupants Ces ajustements et leur r sultat doivent tre consig
86. rier du projet Horaires journaliers Jours de cong s ponts jours f ri s Saisonnalit flux d activit s de l entreprise voire par service Pr sentation des plannings Repr sentation Diagramme de Gantt Normes codages couleurs caract res Types de t che Jalons Clignotants Police de caract re choisie Unit s D lais ex en jours Dur es ex en jours Charges T ches ex en heures Ressources ex en heures Organigramme des t ches b Ordonner la liste des t ches pour chaque tape Y Listons toutes les t ches Y ldentifions les t ches et lot de t ches Y Ordonnons tous les lots et les t ches de fa on chronologique Y nscrivons les t ches sur le planning avec les diff rents jalons et les clignotants v Validons ces l ments par les experts C Estimer affecter une dur e chaque t che ou des charges Identifions les d buts et fins de t ches en estimant les dur es pour r aliser ces derni res Rep rons les contraintes pour les d buts et fins de t ches Faisons valider ces dur es sur estimation ou sous estimation Rep rons les d lais n cessaires entre deux t ches Validons ces dur es par des experts S lt lt d D finir les liens entre les t ches en rep rant les diff rentes situations Les 4 types de lien v F D le successeur peut d marrer quand le pr d cesseur a termin v F F le successeur ne peut terminer
87. s du jeu Cette nomination doit tre communiqu aux acteurs concern s Ce contrat sera compl t lors de la nomination de l quipe projet 2 Analyse approfondie du contexte et du projet v S approprier les informations collect es lors de la phase pr c dente et rencontrer nouveau le commanditaire pour collecter des informations compl mentaires Y Tenter de voir si le projet est li ou imbriqu avec d autres projets v Recenser et tudier les traces gt en relation avec le projet tudes audits v Rep rer et tudier des tentatives de projets similaires benchmarking et identifier les causes des checs d calage culturel r sistance au changement travaux men s sur ce sujet Phase N 2 LA PREPARATION 1 D finition des objectifs globaux et interm diaires et des indicateurs Rappel des caract ristiques d un objectif Sp cifique clair pr cis compr hensible Mesurable observable cart entre pr vu et r alis Ambitieux R aliste raisonnable et atteignable Temporel 2 Quels r sultats attendus Comment savoir s ils sont atteints Les buts g n raux sont reformul s et d clin s en objectifs compl mentaires D finissons l objectif final avec les r sultats quantitatifs et qualitatifs attendus les indicateurs 116 vont nous permettre de savoir quand nous aurons atteint notre objectif pour cl turer le projet ou ses sous tapes et valuer le projet D clinons
88. s op rations de maintenance pr ventive Les inspections activit s de surveillance consistant relever p riodiquement des anomalies et ex cuter des r glages simples ne n cessitant pas d outillage sp cifique ni d arr t de l outil de production ou des quipements Les visites op rations de surveillance qui dans le cadre de la maintenance pr ventive syst matique s op rent selon une p riodicit d termin e Ces interventions correspondent une liste d op rations d finies pr alablement qui peuvent entra ner des d montages d organes et une immobilisation du mat riel Une visite peut entrainer une action de maintenance corrective Les contr les v rifications de conformit par rapport des donn es pr tablies suivies d un jugement Le contr le peut o Comporter une activit d information o Inclure une d cision acceptation rejet ajournement o D boucher comme les visites sur des op rations de maintenance corrective Les op rations de surveillance contr les visites inspections sont n cessaires pour ma triser l volution de l tat r el du bien Elles sont effectu es de mani re continue ou des intervalles pr d termin s ou non calcul s sur le temps ou le nombre d unit s d usage Autres op rations R vision Ensemble des actions d examens de contr les et des interventions effectu es en vue d assurer le bien contre toute d faillance majeure ou critique pendant un temps ou pour u
89. sionnel sera revu l issue de la phase de planification 6 D finition des objectifs fonctionnels li s au temps I s agit de d couper le projet pour faciliter sa compr hension sa manipulation en d terminant des sous ensembles d activit s gt Lister les t ches n cessaires pour l laboration et la gestion du projet gt Estimerles d lais gt Identifions les dates cl s du projet Quels en sont les jalons livrables Ce planning pr visionnel sera revu au moment de la phase de planification 7 Examiner la coh rence de l ensemble des sous objectifs fonctionnels 8 Identifier les acteurs concern s par le projet p rim tre Il faut s appuyer sur l organigramme de la collectivit pour r aliser cette phase cela permet de visualiser l impact du projet sur la collectivit a Les acteurs strat giques les instances de d cision les instances consultatives les d fenseurs du projet b Les acteurs op rationnels L quipe projet Les experts associ s Les fournisseurs internes et externes Les clients internes et externes Les services concern s ov c Autres acteurs impliqu s Les alli s identifi s ou potentiels Les opposants identifi s et potentiels Les repr sentants du personnel Les services qui vont aider au projet en proposant des moyens t ou 9 Identifier les risques et les facilitants du projet Identification et exploitatio
90. siste proc der des modifications des changements des transformations sur un mat riel Dans ce domaine beaucoup de choses restent faire 11 suffit de se r f rer l adage suivant on peut toujours am liorer C est un tat d esprit qui n cessite une attitude cr ative Cependant pour toute maintenance d am lioration une tude conomique s rieuse s impose pour s assurer de la rentabilit du projet Les am liorations apporter peuvent avoir comme objectif l augmentation des performances de production du mat riel l augmentation de la fiabilit diminuer les fr quences d interventions l am lioration de la maintenabilit am lioration de l accessibilit des sous syst mes et des l ments haut risque de d faillance la standardisation de certains l ments pour avoir une politique plus coh rente et am liorer les actions de maintenance l augmentation de la s curit du personnel et des conditions de travail l augmentation de la qualit des prestations ou produits finis Tous les mat riels sont concern s condition que la rentabilit soit v rifi e cependant une petite restriction pour les mat riels renouveler dont l tat est proche de la r forme pour usure g n ralis e ou par obsolescence technique La r novation extrait de la norme NF X 50 501 f vrier 1982 Inspection compl te de tous les organes reprise dimensionnelle compl te ou remplacement des pi ces d form es 471
91. ssion thermique U ne peut exc der 0 36 W m K en valeur moyenne Le ratio de transmission thermique lin ique moyen global des ponts thermiques du b timent n exc de pas 0 28 W m suounr K Un recours obligatoire aux nergies renouvelables pour la maison individuelle 2 4 Utilisation des nergies renouvelables Le ma tre d ouvrage doit opter pour l une des solutions en nergie renouvelable suivantes Utiliser un syst me de production d eau chaude sanitaire solaire thermique dot de capteurs solaires disposant d une certification technique surface minimum de 2 m de capteurs solaires d orientation sud et d inclinaison entre 20 et 60 Etre raccord un r seau de chaleur aliment plus de 50 par une nergie renouvelable ou de r cup ration D montrer que la contribution des nergies renouvelables est 5 kWhep m an Autres alternatives Ballon thermodynamique chaudi res micro cog n ration de rendement thermique gt 90 sur le PCI et de rendement lectrique 10 96 sur le PCI 4 65 2013 INGEVILLE Ile d 2010 V 10115 en Document 2 ses des consommat ees Base de donn 9 98 S 3OOMW 7 3Q aTTI3NH3LVIN 310 66780 vl 60 S99 267 un N TVHAIN3IHVIN 341V109S 34NO0H9 T3SS3O1H9S 3TI3NH3IVMW 31023 89 v4 9 OL vtot 3id3duvo 3171vVH SV IOOIN LNIVS 31023 o N 89 984 Z 1760 11 SYIO9IN LS 38IVN
92. stallation en utilisant entre autres le r seau Ethernet mon quipe informatique tait tr s r ticente en raison de la s curit Ils ont t difficiles convaincre mais eesy a r ussi tout simplement car les technologies de protection utilis es sont celles du milieu qu ils connaissent et que WIT maitrise parfaitement Gestionnaires et responsables d exploitation eux ont choisi e sy pour ses capacit s leur fournir un v ritable tableau de bord et optimiser leurs d penses Moi ce que je souhaite c est contr ler le rendement nerg tique de mon b timent pouvoir comparer pour pouvoir agir Avec e amp sy je me suis cr mon propre tableau de bord que je consulte tous les matins o que je sois Je contr le en temps r el sur mon PC ou depuis mon PDA toutes mes consommations les d rives du chauffage ou des allumages superflus Je connais toutes les pannes techniques j arrive m me les anticiper D un seul coup d oeil je fais la chasse aux gaspillages et je peux agir tr s vite Ce qui m a s duit dans la solution e amp sy c est l conomie financi re r alis e imm diatement Je n ai pas eu me limiter un nombre d utilisateurs car il n y a pas besoin de licences logicielles pour l utiliser Je g re mes droits d acc s et chaque personne d clar e peut alors se connecter depuis chez elle avec un simple navigateur web J ai multipli mes possibilit s de maintenance et d astreinte
93. t La s curit est l ensemble des m thodes ayant pour objet sinon de supprimer du moins de minimiser les cons quences des d faillances ou des incidents dont un dispositif ou une installation peuvent tre l objet cons quences qui ont un effet destructif sur le personnel le mat riel ou l environnement de l un et de l autre Sachant qu un incident m canique une panne peuvent provoquer un accident sachant aussi que la maintenance doit maintenir en tat le mat riel de protection ou m me que certaines op rations de maintenance sont elles m mes dangereuses il appar t que la relation entre la maintenance et la s curit est particuli rement troite Pour toutes ces raisons ainsi que pour sa connaissance du mat riel le responsable de la maintenance peut participer aux r unions du Comit d Hygi ne de S curit et des Conditions de Travail CHSCT en qualit de membre ou titre d invit et d velopper sa collaboration avec le Responsable s curit lorsque l entreprise en poss de un Dans une entreprise moyenne 04 la s curit n a pas de service propre on trouve normal de faire appel au service maintenance pour les interventions concernant la s curit Celles ci sont de deux ordres e D une part celles que l on peut classer dans la s curit lt officielle gt C est la tenue des registres concernant les chaudi res les visites d appareils pression le contr le des installations lectriques etc la tenue des doss
94. tains de ses sous ensembles ou organes la pratique d un change standard Les travaux neufs L adjonction la fonction maintenance de la responsabilit des travaux neufs est tr s r pandue en particulier dans les entreprises de taille moyenne Elle part du principe que lors de tout investissement additionnel de remplacement ou d extension il est logique de consulter les sp cialistes de la maintenance qui d une part connaissent bien le mat riel anciennement en place et d autre part auront maintenir en tat de marche le mat riel nouveau A partir de l on prend souvent la d cision de leur confier l ensemble des responsabilit s de mise en place des nouvelles installations On cr e alors un service appel maintenance travaux neufs L tendue des responsabilit s en mati re de travaux neufs est tr s variable d une entreprise l autre 11 peut s agir de la construction d un quai ou d un b timent de la mise en place d une machine achet e l ext rieur raccordement la source d nergie etc ou m me de la r alisation int grale de la machine elle m me Dans certains cas les travaux neufs auront recours la fabrication de l entreprise qui r alisera les commandes pass es par eux m mes Notons que m me si la fonction maintenance ne se voit pas adjoindre la fonction travaux neufs gt le service s occupera des installations succinctes du type modifications r fection d un bureau etc La s curi
95. tallation est quip e d un r gulateur analogique ne pouvant tre compens par une sonde de temp rature int rieure le sch ma de principe de la nouvelle r gulation peut tre semblable Sonde ext rieure Thermostat Horloge d ambiance R gulateur climatique Au passage l horaire de nuit le thermostat d ambiance mesurera une temp rature int rieure sup rieure sa consigne son contact s ouvrira d connectant la sonde ext rieure Pour le r gulateur cela quivaut une mesure par la sonde ext rieure d une temp rature infinie Donc soit la chaudi re va se couper soit les vannes m langeuses vont se fermer Si durant la coupure la temp rature int rieure descend en dessous de la temp rature de consigne du thermostat d ambiance par exemple 16 C le contact du thermostat se ferme reconnectant la sonde ext rieure Le r gulateur central se remet alors fonctionner comme auparavant en principe sur sa courbe de chauffe de nuit Au passage l horaire de jour la sonde ext rieure se reconnecte et le r gulateur central reprend sa fonction Si d origine le r gulateur peut tre compens par sonde int rieure la sonde de compensation peut aussi bien servir au r glage de la courbe de chauffe de jour qu la coupure de nuit Ce sera galement le cas si l installation est quip e d un r gulateur digital Toutes ces fonctions sont vraisemblablement d j int gr es dans le r gulateur Il faut exam
96. tion globale des diff rents projets men s dans la structure gestion des priorit s compatibilit s des diff rents projets e Objectifs flous non op rationnels non r alisables ou trop ambitieux e Sous valuation des charges de travail et des co ts e Style de management adopt peu adapt Non prise en compte et non traitement des r sistances aux changements Manque de professionnalisme des acteurs e Manque de cr dibilit des chefs de projet Peur pour certains cadres de perdre le pouvoir e Manque de travail en quipe e Manque de m thode e Manque de communication e Manque de ressources e Planification trop rigide ou manque de rigueur dans l organisation Absence de compensation la prise de risque et manque de reconnaissance e Des projets non achev s e Absence de valorisation des r sultats 55 65 Les r sistances au changement li es au management par projets e R sistances individuelles la perte de rep res e R sistances culturelles pouvoirs m thodes territoires CYCLE DE VIE D UN LE PROJET de l expression des besoins la satisfaction des besoins Humains Mat riels Services Expression des besoins Satisfaction Expression des besoins Evolution de d une Probl la probi matique Planification Ex cution Contraintes Financi res _ 56 65 LES GRANDES ETAPES D UN PROJET 1 Initialisation analyse de la demande
97. tions et tat des stocks Mise en ceuvre La mise en uvre d un tel contrat n cessite une bonne connaissance de son parc ce qui peut faire l objet d un diagnostic sp cifique On peut galement pr alablement faire le point sur son contrat d exploitation actuel 51 65 Document 11 Le DJU Degr s Jour Unifi s Site internet xpair com 2011 Abr viation de degr s jour unifi s Unit de calcul thermique Pour chaque jour le nombre de degr s jours est gal la diff rence de la temp rature int rieure du local 18 C et la moyenne des temp ratures minimale et maximale du jour consid r La valeur de 18 C correspond la temp rature de confort conventionnelle de 19 C en tenant compte de 1 C de free heat chaleur par apport gratuit ensoleillement Les DJU sont obtenus partir des temp ratures moyennes quotidiennes et prennent en compte une p riode conventionnelle de chauffage de 232 jours du 1er octobre au 20 mai A noter que si les DJU sont bas s sur une temp rature de r f rence de 18 C la notion de d gr s jours DJ peut se r f rer d autres temp ratures de confort Les degr s jours sont disponibles aupr s des services m t os de chaque d partement 52 65 Document 12 Conduite et management de projet gt Alliance C 2012 Les diff rents types de projet 1 Les projets d organisation ou de r organisation es processus et activit s es proc dures 2
98. ues thermiques du b timent Si un de ces param tres change il est n cessaire de revoir le r glage de la courbe de chauffe Une mani re d optimiser la courbe de chauffe est d associer au r gulateur un thermostat d ambiance qui assure le r glage fin mais limit de cette courbe par glissement Cependant ce syst me ne doit tre envisag que seulement si on trouve un local repr sentatif du b timent pour placer le thermostat Placer des vannes thermostatiques Les vannes thermostatiques permettent de limiter la puissance d un corps de chauffe dans des locaux o les apports de chaleur ensoleillement occupation importante bureautique clairage sont sup rieurs aux autres variables et conduisent des probl mes de surchauffe locale La gamme de vannes est tr s large de la plus simple la plus sophistiqu e Le choix doit s op rer en fonction de la sensibilit des occupants la bonne gestion Le gain est r el mais difficile valuer tout comme la rentabilit de l investissement Enfin le placement de vannes thermostatiques n cessite de prendre certaines pr cautions pour qu elles soient efficaces comme par exemple l adjonction de soupapes diff rentielles en t te de chaque circuit ou d un circulateur vitesse variable sur le collecteur R guler l installation par zones homog nes 30 65 Il est important de ma triser le b timent r guler par le recensement des zones b n ficiant d apports externes
99. ur dans un premier temps sur une temp rature d eau sup rieure si le r gulateur poss de un mode acc l r Il faudra cependant tre attentif ne pas cr er de choc thermique dans la chaudi re au moment de la relance En effet si les vannes restent ferm es toute la nuit la temp rature de l eau dans les corps de chauffe et les conduites va chuter aux environs de 20 C Lorsque les vannes s ouvrent en grand c est le volume d eau des circuits qui d boule une temp rature de 20 C vers la chaudi re qui elle est rest e chaude En p riode de coupure les vannes m langeuses sont ferm es et la chaudi re est maintenue en temp rature A l ouverture des vannes un train d eau froide est envoy vers la chaudi re chaude 35 65 Le risque encouru est double e Tout d abord pour les chaudi res en fonte l arriv e de l eau froide en contact avec la fonte chaude risque de provoquer un choc thermique une fatigue de la fonte et terme une rupture de la chaudi re e Ensuite la chaudi re va se remplir d eau froide qu elle devra remonter en temp rature Pendant une courte p riode la chaudi re fonctionnera une temp rature d eau risquant de provoquer une importante condensation des fum es et donc de la corrosion dans la chaudi re surtout pour les anciennes chaudi res en acier fonctionnant au fuel les condensats issus de la combustion de ce dernier sont plus acides Deux solutions sont possibles pour pr
100. ure de porte de coffret Extrait de la revue Promoclim Cette liste des points est indicative Il ne s agit pas de tous les points pr voir sur une chaufferie m me tr s quip e mais d une liste Comptage d implusions TA D bits fuel 002 vapeur eau Energie lectrique thermique consomm e thermique produite COMPTAGE HORAIRES TCH pompes br leurs ventilateurs Surpresseurs Temp rature eau d part chauffage retour chauffage cart d part retour boucle ECS ballons ECS Temp ratures air ext rieur locaux t moins Autres temp ratures fum es fuel lourd Pressions eau vapeur gaz Niveaux cuve fuel eau puisard Marche arr t pompes br leurs ventilateurs ralenti chauffage boucle ECS Ouverture fermeture vanne exhaustive qui peut tre utile pour aider s lectionner les points pour une installation donn e Consignes de r gulation temp rature de d part chauffage temp rature ECS Position vanne 13 65 Dans les pages qui pr c dent nous avons volontairement soulev les probl mes li s l installation d une t l gestion au risque de donner une image globalement pessimiste ce projet Il n en est rien Toutes les personnes que nous avons rencontr es ayant fait ce choix en sont satisfaites et refaire referaient le m me investissement vu la facilit de la mainten
101. ure r gnant r ellement dans les diff rentes zones du b timent et du degr de finesse de la nouvelle r gulation Voici cependant un chiffre r aliste que l on rencontre couramment dans la litt rature et qui se base sur des situations v cues Le placement d une r gulation correcte sur une installation non r gul e c est dire sans ralenti nocturne et sans contr le pr cis de la temp rature int rieure permet gt gt 30 d conomie sur la facture annuelle de combustible Am liorer le ralenti nocturne La pratique d un ralenti nocturne par abaissement de la temp rature d eau est la technique de ralenti la moins efficace et pourtant la plus couramment utilis e Il est int ressant de modifier le ralenti existant en adjoignant au r gulateur existant un thermostat d ambiance compl mentaire plac dans un local t moin et associ une horloge Le syst me Lorsque l horloge passe en horaire de nuit l installation est compl tement coup e par action directe e Soit sur la chaudi re Dans ce cas la chaudi re redescend en temp rature e Soit sur les vannes m langeuses Celles ci se ferment et la chaudi re est maintenue sur sa consigne Si la temp rature int rieure mesur e par le thermostat d ambiance passe sous la consigne de nuit par exemple 16 en semaine et 14 le week end soit la chaudi re se remet en marche soit les vannes s ouvrent pour maintenir cette consigne 31 65 Exemple Si l ins
102. z par degr jour 1991 1992 1994 1995 GroupescolaireLimoge Festinov r sidence des Tours 7011 Ghlin 15 65 L int r t d une t l gestion ressort clairement de l ensemble des contacts avec les gestionnaires techniques de patrimoine tant au niveau de l organisation du travail qu au niveau nerg tique Le co t suppl mentaire par rapport une simple r gulation locale y trouve sa justification Nous sommes dans une poque transitoire en mati re de communication entre r gulateur et superviseur Des standards sont propos s mais aucun ne s impose totalement l heure actuelle On peut penser cependant que cette tape verra le jour l image de ce qui se passe dans le monde informatique Actuellement investir dans une t l gestion de petites chaufferies sous entend pratiquement le choix d une marque sp cifique avec les risques li s cette situation de monopole Pour les petites et moyennes chaufferies deux situations particuli res peuvent apparaitre soit une marque s impose par elle m me par sa pr sence majoritaire dans le parc immobilier et le cahier des charges des investissements futurs pourra imposer une compatibilit avec ce type de mat riel soit un renouvellement d une part importante du mat riel de r gulation est n cessaire court terme et le choix d un mat riel num rique avec possibilit de communication pourra se faire en tenant compte des crit res d velopp s au chapitre 5

sujet national pour l`ensemble des centres de gestion

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