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OK 1-5_SOMM + EDITO

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1. WWW cnqaos asso fr PRATIOUE SYST ME IMPLANTAIRE Proth se sur implants clarifier la m thodologie appr hender l accastillage Face une multitude de choix le praticien doit ma triser les tapes cliniques de l laboration des diff rents types de proth ses implantaires et en ma triser les notions fondamentales quant aux indications et au plan de traitement En mati re de proth se sur im plants le praticien est confron t multitude de choix Il doit s lectionner l indication la plus adapt e au besoin du patient couronne unitaire bridge ou proth se amovible compl te stabilis e etc Il de vra choisir le proc d de pri ses d empreintes ciel ou vert ou ciel ferm Enfin et surtout il doit galement d terminer quel syst me de connexions implantaires pour rait tre le mieux ma tris pour la r habilitation proth tique envisag e syst me Strau mann connexion de type vis conique syst me Zimmer Dental connexion de type hexagone interne syst me 31 connexion de type hexa gone interne Mais chacun de ces dispositifs faisant ap pel un accastillage proth tique sp cifique comment L valuez vous e Vous arrive t il qu un patient vous demande un traitement implantaire e Avez vous des patients se plaignant de proth ses compl tes amovibles mal stabilis es e Comment traitez vous une dentation bord e de dents parfai
2. pour frais de dossier e entre le 1 janvier et le 1 f vrier 2007 une somme quivalente 30 du montant total du voyage choisi e entre le 1 f vrier et le 25 mars 2007 une somme quivalente 50 du montant total du voyage choisi e apr s le 25 mars 2007 une somme quiva lente 90 du montant total du voyage choisi IMPORTANT e Les taxes sur les billets d avion sont actuellement de 180 elles peuvent tre modifi es au moment du voyage e L attribution des places d avion retour de jour ou nuit ainsi que le type de cham bre se fera en fonction des disponibilit s au moment de l inscription Organisation technique Chaumont Voyages Lic 075950311 9 rue principale du Port 92638 Gennevilliers Cedex T l 01 47 92 22 40 Fax 01 47 99 17 50 a Pr nom a e Pr nom a e Pr nom a e Pr nom AE SO Ce a a ea EE A EEEE BORTE e rer can AE ATR AN AE AES A AEA Adresse e mail Je vous adresse ci joint un acompte de 1 000 par personne ainsi que les droits d inscription soit DROITS D INSCRIPTION et de la FSSOSIF I Accompagnant Si inscription avant le 1 2 2007 Si vol de jour 100 pers SIGNATURE DATE Ll Congressiste non membre Acompte 1 000 x Ll Congressiste membre de la SOP PRET PR IS EOE IETA E SARA TOTAL ee TOTAL TOTAL ates Est JSOP0207 Je d clare avoir pris c
3. A MERCREDI 11 AVRIL D part CDG Maurice apr s midi A DU JEUDI 12 AVRIL AU SAMEDI 21 AVRIL S jour l h tel Le Paradis Participation aux 883 Journ es de ne de chirurgie dentaire l le Maurice 8 SAMEDI 21 AVRIL Retour Maurice CDG d VOLN 1 vol de jour arriv e le 21 avril au soir VOL N 2 vol de nuit arriv e le 22 avril au matin Les droits d inscription obligatoires Minoration inscription pour tous les participants comprennent La remise du dossier et du badge congressiste l acc s aux s ances scientifiques congressiste Les pauses caf congressiste Congressistes 410 Accompagnants et enfants de plus de 15 ans 310 Participants hors voyage avant le 1 2 2007 Les inscriptions au voyage congr s enregistr es avant le 1 f vrier 2007 seront minor es e de 60 pour les congressistes programme scientifique uniquement 405 Congressistes 490 Accompagnants et enfants de plus de 15 ans 390 Participants hors voyage programme scientifique uniquement 485 e de 40 pour les accompagnants Minoration Vol de jour du 21 4 2007 gt 100 Les enfants de moins de 15 ans sont dispens s de droits d inscription mais n ont pas l acc s au programme social Chambre double luxe Prix par adulte Chambre double sup rieure Suppl single Ces prix comprennent e le trajet PARIS
4. e Le quide radiologique et chirurgical facteur du succ s proth tique p 28 e Bridge scell implanto port sans implant ant rieur mode d emploi p 31 Agenda p 34 LISTE DES ANNONCEURS LE CLUB DES PARTENAIRES p 38 3MC CONCEPT p 14 DITIONS CHABASSOL p 33 CNQAOS p 15 I DENTSPLY FRANCE 2 31 FRANCE ACTEON GROUP AIREL AMPLI BISICO FRANCE CDP DITIONS WOLTERS KLUWER CNQAOS CODIMED COLT NE WHALEDENT GC TRANU Bio LABORATOIRES CRINEX DEGR K DENTAID DENTSPLY FRANCE DEXTER GSK SANT GRAND PUBLIC p 22 DISCUS DENTAL FRANCE DMK ELSODENT EMS FRANCE EUROTEC KREUSSLER PHARMA p 7 DENTAL ADEC FABHER FC MEDICAL DEVICE FKG DENTAIRE GABA TE LABORATOIRES GACD GC FRANCE G N RIQUE INTERNATIONAL HENRY La SCHEIN FRANCE IDIM DENTAIRE ITENA CLINICAL IVOCLAR VIVADENT MACSF p 40 FRANCE KAVO DENTAL FRANCE KOMET FRANCE KREUSSLER PHARMA MICRO MEGA p 20 LABOCAST LABORATOIRE PRED uT MEGA DENTAL NICHROMINOX NOBEL BIOCARE FRANCE PROCTER 8 GAMBLE FRANCE PROMODENTAIRE e U SD2 SIRONA FRANCE SLBD STRAUMANN FRANCE SUNSTAR BISICO FRANCE P 33 M DICADENT PHARMADENT VET MICROSCOPIE DENTAIRE ZIMMER DENTAL limi rt ANESTH SIE EMPREINTES RESTAURATION ENDODONTIE CIMENT D SINFECTION ET HYGI NE BLANCHIMENT PR VENTION INSTRUMENTATION CHIRURGIE INNOVE 4 XP
5. incisif chemine au niveau de la sym physe Il peut merger soit au niveau m dian soit au niveau lat ral Une art re une veine et un nerfincisif sont situ s dans ce canal Les art res sublin guale et incisive sont souvent anasto mos es Selon la morphologie de la mandibule il existe un risque non n gligeable de perforation dans la r gion sublinguale et donc un risque h mor ragique grave Le scanner est doncin dispensable dans cette r gion CONCEPTS OCCLUSAUX DEUX PRINCIPES S agissant de la mise en fonction des proth ses dans la plupart des cas les proth ses totales mandibulaires im planto port es peuvent tre mises en fonction imm diatement Mais atten tion Les implants doivent tre imp rativement immobiles le vissage doit se faire 40 newtons De m me les proth ses totales maxillaires r alis es avec la technique Nobelguide peuvent galement tre mises en charge im m diatement Dans cette option on peut aussi envisager des proth ses totales mandibulaires compl ment de r tention Enfin pour terminer nous sortirons de l oubli deux principes portant sur des concepts occlusaux Le premier principe porte sur la protection des dents post rieures Elle est possible gr ce une bonne courbe occlusale en vitant les interf rences en lat ra lit et en r alisant un guidage ant rieur ainsi qu une protection canine La pr sence d implants augmente les forces occlusales
6. 13 Fax 01 42 09 29 08 Tous les tarifs toutes les formations en pages ENI EES TARIF SPECIAL HOTEL ZOO 145 NOM noanoa noa noe noanoa aun da noe oenen oan erm rene crane narra PRONOM rsrrssrssssesseseeseeeeeeeeee Offre r serv e aux participants 145 A E EEEE EE E E la chambre single ou double pour 1 iii E EEOAE E AEAEE EEEO OEE EEEE EEEE ennenen la nuit du 21 au 22 mars 2007 en au Rive Gauche Saint Jacques H tel T l i Adresse e mail d esse sencceusmeuucee nombre de chambres limit Accepteriez vous que vos coordonn es soient communiqu es nos partenaires Contact service R servation Oui C1 Non pr ciser journ e SOP T l 01 40 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Voulez vous recevoir un fichet r duction I SNCF J Air France Tarifs membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 JSOP0207 PARUTION La chronique d sopilante d une vie ordinaire au cabinet dentaire Patrick Allereau r ussit le tour de force de croquer l exercice ordinaire d un chirurgien dentiste en le passant la moulinette d un humour jubilatoire C ONNAISSEZ VOUS le D Pal Le D Pal est un sp cialiste Sp cialiste en omnidentisterie comme il aime se d crire Si son nom ne vous dit rien il ne vous est pas pour autant inconnu Car le D Pal c est vous c est nous Il peut tre chacun ou pres que des 36 000 praticiens
7. Bond Nouvel adh sif monocouche auto actif Simplicit Performance mn g N h sitez plus vous avez tout compris Avec XP Bond le nouvel adh sif de Dentsply ne choisissez plus entre performance simplicit polyvalence et ergonomie Adepte du collage avec mordan age classique vous b n ficiez d une r sistance et d une tanch it prouv es avec une mise en uvre simple une seule application sans frotter Que demander de in plus 2 La polyvalence XP Bond se plie toutes vos exigences que ce 4 soit en technique directe ou indirecte rrrer ral otokih Adha ure Unerar velles Total Hot A TS LL DEL EEE CPCDE CES SENS TPE Bobi dre ei rer da Total bih TA here Airini Univeryal de mardidanaments kal VeGlder db AT TE www dentsply fr DENTSPLY 4 rue Micha l Faraday 78180 Montigny Le Bretonneux 1 T l 01 30 14 47 79 Fax 01 30 14 7 00 N 2 f vrier 2007 p D Philippe SAFAR Les honoraires de la peur Qu il soit m decin ou chirurgien dentiste plus d un praticien h site soumettre Soci t odontologique de Paris son patient un document officiel qui se rapporte au consentement clair 6 rue Jean Hugues et lui demander d y apposer sa signature en bas de page Contre l obligation CNC is mT qui leur est faite de r clamer cette signature avant tout acte invasif certains vont m me Ba 0142 09 29 08 jusqu s insurger et rejettent cette c
8. Placements d Entreprise selon votre souhait de privil gier la s curit ou d oser la carte de la performance Www macsf fr EE Pour tout nous dire
9. VAR N 2 f vrier 2007 J IVVIVILA Derni re minute ACTUALIT S p 6 14 FORMATION A LA 8 Formation initiale formation continue je t aime moi non plus RADIOPROTECTION 6 La SOP l ADF Studieux mais convivial 8 La chronique d sopilante d une vie ordinaire au cabinet dentaire La SOP organise une i I formation validante la 8 FCL un maillage g ographique pour compter dans le paysage radioprotection le 23 de la formation 227 mai 2007 de 8h30 8 L auteur d une th se sur le syndrome de Gorlin recoit le prix de la SOP P 16h au Rive Gauche Saint Jacques H tel 17 Bd Saint Jacques Paris 14 PRATIQUE p 16 18 Cette formation se d roulera la e Proth se sur implants clarifier la m thodologie veille Ri la aar afin r appr hender l accastillage permettre aux conireres QUI le z i z soni as eraut len 8 Facettes de c ramique coll es formations quelle pr paration pour quel cas clinique 7 i d inscription et tarifs 6 Composites post rieurs et ant rieurs en m thode directe ia PAJE a l efficacit des r sines LE DROIT DU PRATICIEN p 21 8 De l acte m dical la vente quand le droit rattrape le marketing dentaire Entretien avec Marc Sabek Les rendez vous de la formation continue odontologique DU PATIENT LA PROTH SE TROIS STRAT GIES POUR TRAITER g L EDENTE TOTAL p 23 e Le traitement proth tique am liore t il la qualit de vie de l dent total 2 p 24
10. aurait obtenu gain de cause sanction disciplinaire ou conventionnelle du praticien condamnation des dommages int r ts par la juridiction civile etc Or Cest le juge p nal qui a t saisi et qui a alors appliqu les r gles du droit de la consommation pour condamner notre cons ur Il y a bien s r l aspect p nal inhabituel mais le probl me central est que en se fondant sur le droit de la consommation le juge a requalifi le contrat m dical en une prestation de services Faut il interpr ter cette qualification de prestation de services comme un virage du droit fran ais On peut esp rer qu il s agit l d un cas d esp ce isol et qu il ne sera pas confirm par d autres d cisions Car notre droit am nage une place particuli re la personne dans toutes les questions relatives sa sant Le contrat m dical qui lie le patient son praticien est le r sultat d un cheminement jurisprudentiel l gislatif et r glementaire qui a mis des d cennies pour aboutir la protection du patient et de son corps C est bien s r un contrat civil mais avec des contours fa onn s par l humanisme m dical qui interdit d assimiler l acte m dical une vente Pour prendre un exemple les juges ont toujours qualifi la proth se pos e par le chirurgien dentiste d e insaisissable m me si le patient n a pas pay les honoraires y aff rents Car il ne s agit pas d un bien mais d
11. chissent une organisation au niveau r gional ou interr gional consistant pouser le d coupage g ographique des comit s interr gionaux de la formation continue odontologique CIRFCO En outre l harmonisation des programmes de formation continue et la mise en commun de moyens mat riels entre les diff ren tes soci t s permettraient d optimiser le d placement des conf renciers dans les r gions et d am liorer encore la qua lit de l offre de formation propos e aux confr res M me si chaque organisme conservera videmment sa personna lit tir e de son histoire propre il s agit au total de mieux r pondre aux attentes des praticiens en organisant un mail lage sur tout le territoire national I Les membres du r seau FCL De gauche droite Philippe Milcent Hubert Ouvrard Pascal Hyvernat Bernard Lapostolle Andr Heck Jean Patrick Druo Le bureau de la FCL Pr sident Pascal Hyvernat ADAFCOS 01 Tr sorier Hubert Ouvrard AEOS Secr taire G n ral Andr Heck SOBHL Membres Jean Patrick Druo SFOP GSSOS Bernard Lapostolle ADFOC Savoie et ADDA Jean Philippe Mallet SFE Philippe Milcent SOP AAP ADAFCOS 01 ADDA Rh ne Alpes ADFOC 25 ADFOC 51 ADFOC de Savoie ADDA A O AEOS AFPP Alpha Omega International Dental Fraternity Rh ne Alpes AOO Normande APCI APDI CAROM CEIOP CEOVDM 94 Cercle odonto stomatologie du Bourbonnais Coll ge hospitalier de recherche et d tud
12. clarifier non seulement la m thodo logie mais aussi un accas tillage dont la diversit peut rebuter l issue de ces manipula tions un change entre les responsables scientifiques et les praticiens permettra de dissiper les derni res ven tuelles zones d ombre W TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en pages JSOP n 2 f vrier 2007 PROTH SE ADH SIVE PRATIQUE Facettes de c ramique coll es quelle pr paration pour quel cas clinique P La pose de facettes de c ramique coll es pr sente de r els avantages Encore faut il adapter sa pr paration au cas clinique tout en respectant les trois r gles essentielles de la r ussite Mylolyse fracture d angle dysplasie abrasion cuspi dienne dysmorphie De puis les ann es 1980 la pose de facettes de c ramique par collage a trouv son indica tion dans le traitement de nombreuses pathologies ga lement prouv e dans le trai tement des d fauts esth tiques de la denture cette technique pr sente deux avantages une absence de risque pour la vi talit pulpaire d une part une r alisation n exigeant qu une pr paration minima le d autre part Tout le probl me tient ce qu il n existe pas de pr para tion type c est le cas clinique et seulement lui qui dicte la forme de la pr paration choi sir avec ou sans retour lin gual
13. e moulage avec silicone transparent apr s wax up coquille avec dent du commerce Se posera vi demment la question du col lage qui constitue une s quen ce essentielle dans la r ussite des restaurations par facette de c ramique L encore le choix de la colle dual auto polym risable ou photopo lym risable d pendra du mat riau c ramique utilis Ici le chirurgien dentiste de vra parfaitement en maitri ser les diff rents protocoles d utilisation Ce n est qu au prix de ces connaissances et de ce savoir faire qu il pour ra int grer cette technique efficace dans sa panoplie th rapeutique El Le praticien doit choisir le proc d de r alisation de dents provisoires adapt TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en pages JSOP n 2 f vrier 2007 17 DENTISTERIE RESTAURATRICE Composites post rieurs et ant rieurs en m thode directe efficacit et innocuit l heure du tout c ramique et pour autant que l on ma trise la technique de stratification les composites ont encore toute leur place Depuis maintenant plusieurs ann es les r sines composi tes photopolym risables ont montr leur capacit se subs tituer aux restaurations tra ditionnelles pour les dents post rieures Avec ces mat riaux plusieurs possibilit s sont offertes en fonction du but recherch L
14. iaio cia re teta tetetotats atetatel sia Code Postal an ere ta arm tie riera Es ATTENTION Date limite d inscription report e au 28 FEVRIER 2007 Forfait 700 Euros retourner d ment compl t et accompagn de votre ch que de r glement de 700 euros et libell l ordre de la SOP SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Renseignements 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 Cochez les trois formations choisies D a J EE NO OO a EEEE aa E AE EEA EE EEE VA ESENES AEN VAINA SEA AAAA EAEE E ESANA EAT VIIe autocar LEC CP EAE AEREE EEEE T l D Adresse e mail esa meeateem a iesaiaeteiteietetele testa cetettiete cele ennen MACSF financement Soci t Financi re S A Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 8 800 000 Adresse postale 10 cours du Triangle de l Arche TSA 40100 92919 LA DEFENSE CEDEX 343 973 822 RCS NANTERRE PEE PRO 2005 Voil pour vous un outil avantageux pour motiver et fid liser vos salari s le PEE un placement exon r d imp ts tant pour vous vos salari s que votre entreprise Le PEE de la MACSF c est de nombreux atouts la prise en charge des formalit s un relev des comptes chaque op ration un r capitulatif en fin d ann e les frais parmi les plus faibles du march et aucun frais d ouverture de dossier et surtout la qualit de gestion financi re de la MACSF avec des supports diff rents pour bien r partir votre pargne 4 Fonds Communs de
15. le marketing dentaire Dans une affaire opposant un praticien une patiente le juge requalifie le contrat m dical en une prestation de services Entretien avec Marc Sabek photo sur les cons quences de ce virage du droit fran ais Une cons ur a t r cemment condamn e en appel pour tromperies sur les qualit s substantielles de la prestation de services Quelle interpr tation donnez vous cet arr t de la cour d appel de Paris H Si cette jurisprudence tait confirm e O l elle aurait des cons quences directes sur la relation m dicale entre le chirurgien dentiste et son patient De quoi s agit il 2 la lecture de l arr t on comprend que la patiente reprochait notre consceur des d passements d honoraires sur des actes opposables une absence de devis ainsi qu une absence de demande d entente pr alable obligatoire l poque des faits La lecture de l arr t laisse galement supposer que la patiente n tait pas satisfaite des soins En somme il appara t que notre cons ur a cumul les manquements aux r gles d ontologiques conventionnelles ainsi qu aux obligations qui d coulent du contrat m dical la liant sa patiente D o vient le probl me si sa condamnation tait justifi e Comme de nombreuses affaires similaires celle ci aurait d tre renvoy e devant les instances comp tentes juridiction disciplinaire instance conventionnelle et ou juridiction civile La patiente y
16. lib raux de France et de Navarre Et ce D Pal il arrive tous les jours des aventures professionnelles tr pidantes pour autant que ce qualificatif puisse tre accol la chronique d une vie professionnelle ordinaire Cest avec un il ac r que le D Pal nous conte compte 2 ses petites mis res quotidiennes Depuis la rombi re qui se prend pour une grande aristocrate la gamine insupportable l image de sa m re du reste en passant par des coups de griffes aux coachs syndicats et autres vendeurs de tout poil qui par quelques arti fices miraculeux pr tendent augmenter notre chiffre d affai Ld pp ms LE dt Pe i Ki G BOND res et transformer notre vie professionnelle en bonheur radieux Bref vous l aurez compris le D Pal se raconte et nous raconte Il croque un exercice fait de petits hauts et de petits bas de ces petits riens qui g chent la vie professionnelle ou au contraire la rendent si passionnante Que du v cu Sauf que et c est l l originalit du D Pal ses chroniques sont narr es avec un talent et une verve qui n ont pas beaucoup envier ceux d un Michel Audiard ou d un Fr d ric Dard Le D Pal en est le fils spirituel Truculence gouaillerie gauloiseries tous les ingr dients sont l pour livrer des anecdotes somme toute banales mais qui deviennent par la force du style v ritablement dr les Ces Chroniques z et cas cliniques crites
17. ne pas foncer Ce sont des interventions qui restent tr s d licates mais en m me temps r alisables si l on fait ce qu il convient de faire Toutes les questions des participants et les r ponses de Fr d ric Chiche peuvent tre consult es sur le site Internet de la SOP WWW sS0p asso fr L APPROCHE DU PATIENT UNE VRAIE NOUVEAUTE Kathy Atrak 39 ans omnipraticienne Courbevoie 92 Cette journ e a parfaitement r pondu mes attentes gr ce aux approches compl mentai res des conf renciers Celle de Sandro Palla qui consiste ne pas imposer au patient un trai tement mais le prendre en consid ration dans sa globalit pour viter Les incoh rences au niveau esth tique ou de la posi tion de la proth se tait pour moi une v ritable nouveaut 32 DES RECETTES APPLICABLES A MA PRATIQUE Marie Claude Jannel 55 ans omnipraticienne Laudun 30 Depuis 15 ans je reviens toujours des formations SOP avec des recettes applicables ma pratique Cette fois je retiens que pour la pose de proth se il faut non seulement appliquer les protocoles valid s mais aus si il convient d installer l ar cade dentaire dans les zones neutres et de bien stabiliser la proth se UNE VISION GLOBALE ET SYNTH TIQUE ric Champleboux 48 ans omnipraticien Arpajon 91 Le sujet est tellement vaste qu il ne pouvait malheureu sement pas tre
18. opaque EE El R sine radio opaque On utilise la r sine radio opaque pour les dents et une r sine transparente pour la base Cette technique est particu li rement recommand e lorsque l on envisage de r aliser une pro th se classique On pourra ainsi po ser les implants dans une situation id ale par rapport la future mer gence proth tique e Assistance informatique Il existe une nouvelle approche recourant l assistance informatique Ici on r a lise un projet proth tique et une planification informatique laquelle sera r alis e en fonction du volume osseux et du projet proth tique DEUX TECHNIQUES CHIRURGICALES Deux techniques pourront tre mises en uvre la technique classique avec lambeau d collement et guide conven tionnel et la technique transmuqueu se Lorsque l on recourt la technique classique au niveau symphysaire man dibulaire il est important de placer les implants de mani re quidistante par rapport au point m dian de la mandi bule El On pointe le point m dian gr ce au guide puis les implants sont plac s de part et d autre de ce point gale distance de celui ci S agissant de la technique transmuqueuse avec planification informatique relevons qu elle est peu invasive et permet la r alisation d une proth se imm diate Contrairement ce qui est commun ment admis la r gion symphysaire JSOP n 2 f vrier 2007 peut pr senter des dangers Le canal
19. par notre confr re Patrick Allereau sont des vrais moments de plaisir lire HH Ariel Sebban DENTAL Chroniques zet cas cliniques Tomes 1 et 2 Patrick Allereau Op ra ditions 3 pages 21 Commande sur Internet WWW omnidentiste com Peu de choses s utilisent aussi simplement e rapidement que le G BOND amp GC FORMATION CONTINUE LIBRE Un maillage g ographique pour compter dans le paysage de la formation Le r seau Formation continue libre FCL auquel la SOP appartient vient d lire son nouveau bureau U N R SEAU D ORGANISMES SCIENTIFIQUES de formation continue ind pendants soucieux d offrir leurs pairs chirurgiens dentistes des formations adapt es leurs besoins libres dans le choix de leurs intervenants pour autant que ces derniers soient reconnus dans le s rieux de leur d marche Voil en quelques mots l tat d esprit qui pr side aujourd hui dans les quelque 70 organismes de formation que compte aujourd hui la Formation conti nue libre FCL Mutualiser les moyens C est anim d une volont de peser en tant qu acteur de la FCO dans le paysage de la formation continue que les membres de la FCL ont lu le 23 novembre dernier le nou veau conseil d administration de la FCL Au del de cette lection a t voqu e la possibilit d une mutualisation des moyens l chelle r gionale Ainsi les soci t s de for mation continue du r seau r fl
20. scientifique Pascal Zyman FORMULE St phane Simon PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES H TEL 17 BD SAINT JACQUES 14e TER i F SPEC AL HOT EL retourner accompagn de votre r glement la SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 155 Offre r serv e aux participants 155 euros NOI PPS SP TEE EEE ER E RER A 12 D 10 12 De ensarrar errr NRR la chambre single ou double pour la nuit IN a SA E E E EE EE EAEE AE A E E E E E E O AE du 23 au 24 mai 2007 au Rive Gauche Saint Jacques H tel arpa na E EE a a a a a Eaa nombre de chambres limit T l Adresse e mail aaaaanannnnnnnnnannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn ennnen Contact service R servation A Lali d n ee 9 pr ciser journ e SOP ccepteriez vous que vos coordonnees soient communiquees a nos partenaires T l 01 40 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Ll Oui Ll Non VAR 074 Voulez vous recevoir un fichet r duction 2 Tous les tarifs toutes I SNCF C Air France les formations en pages Inscription avant le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 ms Inscription apr s le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 330 autres 390 JSOP0207 a a aa a aa a aa aa m ee NOUVEAU L automate qui respecte la chaine de st rilisation de vos pi ces main contre angles et turbines e Suivan
21. un dispositif m dical int gr au corps humain Or dans cette affaire en assimilant le traitement r alis par notre cons ur une prestation de service le juge ignore la philosophie qui sous tend le droit m dical et d forme les r gles sp cifiques de ce droit instaur es dans l int r t du patient En somme si l on admet la confusion entre la prestation de service et l intervention sur le corps humain ce dernier deviendrait alors un bien de consommation et un objet d changes commerciaux Selon vous peut on expliquer cette approche consum riste des juges par capillarit avec un certain environnement professionnel qui met en avant une d marche marketing Les juges ne sont pas coup s du monde l approche commerciale de la dentisterie v hicul e par une certaine presse dentaire trouve un cho chez les avocats qui l utilisent pour alimenter leurs dossiers et les juges ne peuvent d s lors la m conna tre Si nous m mes en tant que professionnels adoptons cette approche pourquoi les juges l ignoreraient ils 2 Bien s r l volution de notre exercice nous incite une gestion plus pragmatique plus efficace mais celle ci doit se traduire par des solutions centr es sur le patient Faire croire que les techniques mercantiles labellis es manageuriales r gleront les soucis du chirurgien dentiste avec la s curit sociale la convention les rendez vous manqu s les impay s etc e
22. venus au club tr s ferm rar ire 3000 membres de la de la SOP I SOP b n ficiant de tarifs pr f rentiels ont assist aux formations de la SOP con ues par des praticiens pour des praticiens et anim es par des conf renciers reconnus Le pr t gratuit des cassettes vid o de la SOP Et vous comment Un service d assistance t l phonique actualiserez vous votre Une remise de 6O pour chaque journ e de formation de la SOP Pour Une journ e de formation par an pour la somme de 120 devenez membre 3 formations 700 de la SOP Des promotions exclusives de nos partenaires et b n ficiez de L abonnement la Revue d odonto stomatologie ROS 7 offres exclusives Remise applicable galement pour les formations de la F d ration des soci t s pratique en 2007 2 scientifiques odonto stomatologiques de l lle de France FSSOSIF aa a a um mu mm ou a EE CO OGG OO Mal ee at ia ea aa De ee La ee ee AIR KO AIN a ds i Bulletin A retourner d ment compl t et accompagn de votre ch que de r glement de 84 euros et libell l ordre de la SOP d adh sion SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Renseignements 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 I Nom en css ee mans besnen en an ens A PROMOS eee ns ses e se sse rss Adresse a eres de Dee de ae Lee ta Dans da eee LE Die a a EE EE a ae Vile a Pais Dei iaia taaet arena De eta
23. Au cours du TP de la SOP consacr aux composi tes post rieurs et ant rieurs en m thode directe ces diff rentes techniques seront in t gr es lors d une s ance de mise en uvre des compo sites manipulation strati fication techniques simpli fi es visant compenser la contraction de polym risa tion des mat riaux et obte nir des r sultats esth tiques fonctionnels et de p rennit satisfaisants S agissant de la restauration esth tique des dents ant rieures le praticien doit ga lement ma triser les princi pes de pr paration et leurs sp cificit s l opportunit de l utilisation des automor dan ants et la s lection des diff rents composites dispo nibles Ces l ments seront trait s selon une approche sp cifique au cours du TP Par ailleurs les propri t s optiques des diff rents ma t riaux seront discut es et les principes de stratifica tion feront galement l ob jet d une analyse approfon die partir de situations cliniques diverses l heure du tout c rami que on verra que les r si nes composites ont encore toute leur place I W TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en pages JSOP n 2 f vrier 2007 PASSEZ DE LA THEORIE AUX TRAVAUX PRATIQUES PARTENAIRE v Q V WWE 24 MAI 2007 14 travaux pratiques la carte pour vous perfectionner Au sei
24. Lundi 5 mars Lyon de 9 h 17 h 30 e Les dysfonctions cranio mandibulo posturales chez l enfant ANTONIO PATTI Lundi 19 mars 2007 Marseille de 9 h 17 h 30 e Journ e ORL ANDR CHAYS ORL MARTINE OSTORERO BRUN ORL J L FORCIOLLI ORL FRAN OIS CHEYNET RICHARD NICOLLAS ORL JO L DENIAUD SOBHL Soci t odontologique du Bassin houiller lorrain 17 rue du Schlossberg 57600 Forbach T l 03 87 85 15 46 D Andr Heck Vendredi 9 mars 2007 Saint Avold 19 h e Diagnostic et traitement des kystes maxillaires D JEAN CLAUDE HARNET SOSBN Soci t odonto stomatologique de Basse Normandie 83 rue Saint Pierre 14000 Caen Jeudi 8 mars 2007 Techniques de collage en pratique quotidienne applications la dentisterie restauratrice et la proth se P MICHEL DEGRANGE SOSNE Soci t odonto stomatologique du Nord Est 25 29 rue de Saurupt 54000 Nancy T l 03 83 56 00 33 Jeudi 29 mars de 8 h 30 17 h 30 Pont Mousson e Traitement de l dentement unitaire aujourd hui JEAN PIERRE ATTAL et GIL TIRLET 37 CLUB DES PARTENAIRES DEXTER esment r ESTHETIC D Lo Clearfil Esthetic Cement Ar DESCRIPTIF Composite de collage vis e esth tique mM primer automordan ant ee il i Sri ETC MST res QU TT AIT E DENTAIRE n chappe pas la croissance g n rale du domaine Bien s r Kuraray s est appuy de l est
25. MAURICE PARIS sur vol r gu lier direct classe vacances e le transfert a ro port h tel a roport le s jour l h tel Le Paradis dans la cat gorie de chambres confir m es les petits d jeuners buffet les diners sans boissons e les taxes d a roport les taxes et services e l acc s tous les sports gratuits Enfants Les conditions pour les s jours des enfants vous seront adress es sur demande Possibilit de prolongation de s jour nous interroger Ces prix ne comprennent pas les droits d inscription au congr s les excur a a a a a a ua mu mu a a a a a a a a mu a a a a mm mm a a RETOURNER CHAUMONT VOYAGES M PERRAULT Qi M inscris aux 88s JOURN ES DE CHIRURGIE DENTAIRE l ile Maurice Je d sire r sider En chambre Je d sire participer au tournoi de LI Tennis LI Golf Je d sire effectuer le retour en vol I Jour QI Nuit Je soussign e Nom mnn ree ua dua mee Olea E A E EEE ET Accompagne e dez NOM 24 te te Le Nom e EE ee De NO ee EE ae ee ES en chambre double Ll en chambre single LI Sup rieure LI Luxe Ll Junior Suite Suppl single Chambre double junior suite Suppl single sions facultatives les d penses d ordre per sonnel les boissons les repas non mention n s au programme Annulation En cas d annulation il sera retenu e avant le 1 janvier 2007 une somme forfai taire de 100
26. MO E i hos LI SOCIETE ODONJ OGIQUE DE PARIS X k its j 5 i pee Big f F si i j gt a A h A pu 1 1 L 1 i L ms j i I 1 nn Ha Le nu an en ee P a m OU el TE 1 j L 1 I i i h a F d 1 1 i i _ si j F j j I I i LA FORMATION CONTINUE M DE L OMNIPRATICIEN 22 mars J 50 s D P 0 La Un programme scientifique complet Module PIVOMATICS Sterikit ACGLELVEZDIRECTEMENT sumen A LA COULEUR ET TAILLE DE VOTRE CHOIX Quick Post La composition ergonomique de chaque Module permet l acc s direct la couleur et taille du Pivomatic choisi L Al soir Driller blanc 1 20 mm pointe travaillante pr sent dans chaque Module permet la d sobturation et l al sage cylindro conique en un seul temps L Al soir couleur pointe mousse r alise ensuite le logement d finitif du Pivomatic choisi 1 20 mm 1 foret de pr paration Gates g 0 70 violet 2 al soirs driller 1 20 mm bagues blanches 3a PN 10 inox 9 40 mm Pivomatic Evolution 10 inox XL 11 45 mm Pivomatic Evolution a Dr En El RO MS NR 20 calcinables 2 clavettes gratuits 1 30 mm 1 foret de pr paration Gates g 0 70 violet 1 al soir driller 1 20 mm bagues blanches 1 al soir cylindro conique jaune 10 inox 9 50 mm Pivomatic Evolution 10 inox XL 11 55 mm Pivomatic Evolutio
27. S reamesasomsamesaa Rai Adresse esesesseesssssssrserrereeenesrsesn Mail ce LI TP 8 e Urgence r animation Responsable scientifique Th r se Arvis LL TP9 e Plan de traitement pluridisciplinaire Responsables scientifiques ric Hazan ric Serfaty LI TP 10 e Orth ses mandibulaires dans les ronflements et SAOS Responsable scientifique Fr d ric Chabolle Li TP 1 e Occlusodontie Responsables scientifiques Bernard Fleiter Dominique Estrade TP 12 e Proth ses fix es Responsables scientifiques Herv Choukroun Alain Tr velo L TP 13 e Instruments ultrasonores Responsable scientifique Gilles Gagnot TP 14 e L aide microscopique au quotidien Responsables scientifiques Franck Decup St phane Simon D nia tanta Code Postal Accepteriez vous que vos coordonn es soient communiqu es nos partenaires 2 Q Oui g Non Voulez vous recevoir un fichet r duction 2 g SNCF g Air France Inscription avant le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 Inscription apr s le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 330 autres 390 JSOP0207 JSOP n 2 f vrier 2007 retourner accompagn s de votre r glement SOP 6 RUE JEAN HUGUES 75116 PARIS RENSEIGNEMENTS T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 WWW S0p asso fr gal ia en TE ira Ta i JEUDI 22 MARS 2007 J80P0807 GAGNER DU TEMPS i SANS COMPROMIS I Rive Gau
28. TINUE ODONTOLOGIQUE 7 II Formation initiale formation continue je taime moi non plus l heure o la date de p remption des connaissances est de plus en plus proche de leur acquisition la formation initiale et la formation continue forment un couple uni pour la vie professionnelle mais o chacun s observe de loin Co SE FAIT IL que seulement quelques ann es apr s leur dipl me de jeunes praticiens s inscrivent des formations payantes alors qu ils auraient pu en b n ficier gratuitement au cours de leurs tudes 2 x Nombre d enseignants se sont souvent pos la question devant un amphith tre de quatri me ann e o clairsem e aux premiers rangs si ge la seule repr sentation officielle des tudiants responsables de la 4 ron o et ventuel 4 fan club de l enseignant alors que dans le m me temps se pressent 600 1 200 confr res dans une salle de la SOP par exemple pour suivre la conf rence du m me enseignant cette fois dans le cadre de la forma tion continue FC Les protagonistes sont les m mes les contenus souvent identiques Mais un tudiant de sixi me ann e peut il r ellement tre compar un praticien m me jeune dipl m 2 Premier l ment de r ponse l objectif de l tu diant consiste cumuler des validations de TP ou d exa mens les unes apr s les autres Obnubil par ces objectifs il n a pas de vision r aliste et globale de ce que sera
29. ants r partis par moiti au niveau des secteurs post rieurs JSOP n 2 f vrier 2007 niveau des premi res et deuxi mes molaires Une reconstruction compl te peut galement s envisager sur huit im plants sans extensions distales en respectant une esth tique ais e et reproductible On ne place pas d im plant dans le secteur incisif maxil laire pour faciliter la gestion de la phon tique Les implants sont pla c s au niveau canine pr molaire molaire de sorte qu ils soient le plus parall les possible entre eux Les dent s bimaxillaires totaux po sent toutefois un gros probl me car la r sorption osseuse est centrifuge la mandibule et centrip te au maxil laire La difficult est donc de position ner les implants de fa on sortir les mergences maxillaires et rentrer les mergences mandibulaires Les reconstructions sont monoblocs mais on pourrait les concevoir en trois parties une partie ant rieure et deux parties lat rales On utilise des piliers en or de type UCLA surcoul s qui per mettent des rattrapages d axe impor tants jusqu 30 Dans les secteurs post rieurs on fait tr s souvent appel aux techniques de comblement sinusien avec divers types de mat riaux os autog ne substituts osseux qui donnent d excel lents r sultats citons par exemple 31 Les rendez vous de la formation continue odontologique eso le Bio oss Selon Dennis Tarnow le place
30. ce qui peut consti tuer un facteur aggravant du fait d une plus grande sollicitation masticatoire Second principe c est toujours la pro th se la moins stable qui guide le concept proth tique Si une proth se compl te fait face une proth se implanto port e ce sont les concepts occlusaux de la proth se adjointe totale qui seront appliqu s MH D FR D RIC CHICHE Attach de consultation la facult de Paris VII Bridge scell implanto port sans implant ant rieur mode d emploi Lorsqu il y a n cessit esth tique la r alisation d un bridge implanto port sans implant dans le secteur ant rieur s impose Synth se de la d monstration de Fr d ric Chiche CE QU IL FAUT RETENIR e Lors de la r alisation d un bridge I L N EXISTE AUCUN SYST ME PROTH TIQUE qui ne comporterait que des avan tages Pour les bridges de type Bra nemark avec extensions distales se posent deux probl mes la stabilisa tion de l occlusion lorsque l on utilise de la r sine pour les faces triturantes d une part et la question de la frac ture lorsqu on utilise de la c ramique d autre part Au maxillaire afin d viter les exten sions distales on pourra faire appel aux implants tub rositaires L autre solu tion consistera placer des implants au implanto port il est possible de s affranchir de la pose d implant dans le secteur ant rieur si l esth tique l exige par la pose de huit impl
31. che Saint Jacques H tel l Paris 14 DE 9 HEURES A 18 HEURES ENOM ER eiuiiai D PR NOM Li g Adresse euuamuunnmanananannmnmnmmnananaas COS IPOS ca E E E E A E E E E A i Accepteriez vous que vos coordonn es I soient communiqu es nos partenaires 2 a Oui g Non Voulez vous recevoir un fichet r duction 2 I Qi SNCF g Air France I Tarifs membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 he ae ea sea ai F DS mm E E mm E OS mm OS f DS DS ON A 7 i MERCREDI 23 MAI 2007 JSOP0207 l l RADIOPROTECTION Rive Gauche Saint Jacques H tel I Paris 14 DE 8H30 A 18 HEURES I l l eNO are atedoeites iatemdit ment I EPSON duc I E E EET E l I Gais iaia SO Dis i de ie De i ao ea ase dames dens de Des deessa t gent I EN EIEN I T TA I i Code Postal nssssssssssssoossssnssssoerrsnnrssn i I T l E r a r a T l EEES ooe T I Accepteriez vous que vos coordonn es l soient communiqu es nos partenaires s g Oui g Non I y Voulez vous recevoir un fichet r duction I y RU SNCF Air France I I Inscription avant le 15 mars membres SOP I I et FSSOSIF 255 autres 350 I I Inscription apr s le 15 mars membres SOP I I et FSSOSIF 295 autres 350 I me a Es EE a Es DE Ensemble encore mieux 0l et Fluocaril Le mariage de deux grandes marques de sant bucco dentaire vous apporte plus Oral B et Fluocaril sont maintenant une seule et m me q
32. ciens nous devons savoir ce que nous pouvons traiter El Que se passe t il en l absence de traitement 2 Le plus important cest l hygi ne buccale puis la surveillance Apr s Troisi me l ment l occlusion doit tre stable il est important d obte nir un parall lisme entre les faces oc clusales et l orientation de la base osseuse Quatri me l ment une empreinte fonctionnelle de la zone neutre peut tre r alis e avec une r sine prise retard Cette zone aura une influence sur le choix des dents Enfin c est l ensemble du visage qui doit tre pris en compte car le sourire est rare L objectif consiste obte nir un aspect naturel d termin par la position de la l vre sup rieure la po sition des dents la DVO et l orienta tion de l arcade dentaire El El L un des probl mes de la proth se compl te vient du fait que la taille des dents du commerce est trop troite par rap port la taille moyenne des dents na turelles Ceci provient du fait que les montages se font habituellement dans des zones trop post rieures Il conviendra dans tous les cas de res pecter la classe d Angle du patient MH des avulsions dentaires s il doit y avoir des versions ou des gressions elles auront lieu tout de suite et non au bout de dix ans Quelle technique et quel mat riau pr conisez vous pour enregistrer la zone neutre Au stade de l essayage du montage des dents sur cire on diminu
33. conseil d administration de la SOP et conf renciers taient au rendez vous pour r pondre aux interrogations des praticiens Les contraintes administra tives l obligation de formation continue le texte de la nou velle convention etc la plupart des questions des visi teurs portaient sur l avenir de la profession et les difficult s quotidiennes de l exercice Au total le stand aura consti tu un riche lieu d changes et de d bats autour des grands th mes de la profession Invitation un voyage congr s Le stand aura videmment permis aux adh rents de la SOP de renouveler leur inscription et aux nouveaux venus de rejoindre notre association Par ailleurs un tirage au sort tait organis pour les soci taires Le laur at est invit participer au prochain voyage congr s de la SOP lire len cadr ci dessous W 1 prix Paulo Torr s gagne une invitation pour le prochain voyage congr s organis par la SOP 2 prix les membres de la SOP ayant emport le deuxi me prix se verront invit s participer gracieusement la journ e scientifique de leur choix au cours de l ann e 2007 Carole DEMARTY COADIC Annie BENZENO Emmanuelle BERA Estelle GAILLARDET Xavier DOMENACH Alain HUGUENIN Paul DENTZ ric BENARD Jean Philippe TIEU Henri COURTADE Carol PETIT Christian SORAIS 8 JSOP n 2 f vrier 2007 ET VOUS FAITES VOUS DES MERVEILLES LORSQUE LE TEMPS VOUS ECHAPPE 2 d OS Cin
34. dent total Pour Sandro Palla tudes l appui une approche exclusivement technique et ne tenant pas compte des r elles attentes du patient dent total n am liore pas m caniquement sa qualit de vie Synth se de son intervention 24 L E SUCC S DU TRAITEMENT de l dent total doit tre consid r en ter mes d am lioration de la sant et de la qualit de vie du patient La qualit technique de la reconstruction pro th tique ne garantit en aucun cas la satisfaction du patient L am lioration de la mastication l ment certes im portant ne suffira pas assurer le suc c s de nos traitements L efficacit de la mastication d pend d une part de l importance des sur faces occlusales en opposition car 1 Enregistrement incorrect de la surface d appui signal en noir 2 Bascule de la proth se elles permettent la r duction du bol alimentaire et d autre part des joues et des l vres qui doivent pouvoir maintenir ce bol alimentaire entre les faces occlusales Le plus souvent si la dimension verticale d occlu sion n est pas modifi e la r alisa tion d une nouvelle proth se am lio re la capacit masticatrice En effet une proth se stable et r tentive permet aux organes p riph riques joues et langue de remplir leur r le sans avoir maintenir en place la proth se COMPENSER TOUTES LES PERTES DE DENTS La force maximale de mastication diminue avec la pert
35. e l extension de la base proth tique en cire avec pour objectif la stabilit Lorsque vous laissez le patient parler compter lorsqu il ouvre la bouche JSOP n 2 f vrier 2007 CE QU IL FAUT RETENIR e Le choix du type de proth se que le patient souhaite est bas sur un ventail de crit res beaucoup plus large que ce que l on peut imaginer de prime abord e Le th rapeute se doit d tre le plus objectif possible dans ses explications et percevoir chez son patient ses attentes v ritables e Un certain nombre de facteurs psychologiques sont probablement plus importants que les facteurs proth tiques e Lors de l animation du bloc incisivo canin en proth se adjointe totale si la recherche du beau est subordonn e notre bagage culturel la recherche du naturel est universelle la proth se ne doit pas bouger Si on ne r ussit pas obtenir cela on enl ve une partie de la cire et on place une r sine prise retard e qui sera model e lors de la fonction Toutes les questions des participants et les r ponses de Sandro Palla peuvent tre consult es sur le site Internet de la SOP WWW S0p asso fr 27 Les rendez vous de la formation continue odontologique Pour Paul Mariani la proth se provisoire constitue un outil indispensable de validation de la proth se sous la forme d un quide radiologique et chirurgical condition d y mat rialiser des rep res r pondant des beso
36. e buccale l thique l anatomie pathologique la pathologie de la muqueuse buccale la chirurgie parodon tale Stop I Bien s r en passant le difficile obstacle du PCEM 1 l tu diant semble m me d int grer la somme de connaissan ces que supposent de tels programmes Mais apr s les exa mens et une fois pass e au tamis du temps il ne reste que peu de chose de cette masse de savoir fondamental ou th o rique on ne retient que ce que l on utilise r guli rement et que ce que l on comprend Et pourtant cette formation ini tiale FI est fondamentale et indispensable car c est le socle sur lequel sera difi e une carri re de chirurgien dentiste F m Li me La pratique comme pr occupation imm diate La formation continue ne peut en aucun cas pallier les insuffisances ou les lacunes de la formation initiale cri vaient Alain Tr velo et Patrick Missika dans un ditorial du JSOP en septembre 2003 Ils y rapportaient une chose qui avait caus grand moi le sentiment subjectif du fai ble niveau des jeunes dipl m s Il faut dire la d charge de notre tudiant que l Univer sit ne dispose que de 7 000 euros en moyenne par tudiant et par an l o 10 000 seraient n cessaires Outre limpo sante masse de connaissances que notre tudiant doit assi miler il est d embl e confront un univers 4 pratique qui pr figure ce que sera son exercice professionnel et qui consiste en la r a
37. e des dents Cependant une fonction normale peut tre assur e avec 20 de ce maximum C est le nombre et la dis tribution des dents restantes qui d termineront la n cessit ou non d un traitement proth tique II n y a pas toujours un int r t th rapeu tique compenser toutes les per tes de dents On pourrait penser que la perte de dents entraine des probl mes de digestion des probl mes gastro intestinaux ou encore des probl mes de choix de nourri ture Qu en est il vraiment 2 JSOP n 2 f vrier 2007 e Il n existe pas de probl me de di gestion chez les patients jeunes e La corr lation entre les probl mes gastro intestinaux et la perte de dents concerne principalement les patients g s e Bien que d autres variables soient en jeu milieu socio conomique etc il existe probablement une cor r lation entre le choix de la nour riture et la perte de dents car le patient dent aura tendance privil gier une nourriture moins dure et moins riche en fibres ce qui augmentera ses probl mes gastro intestinaux ll existe une diff rence importante entre la capacit triturer le bol ali mentaire efficacit objective et la sensation du patient pouvoir mas tiquer efficacit subjective Mais il est impossible d tablir une corr la tion entre ces deux notions Au cours de l volution du sujet de l tat dent vers l tat dent on constate une vo lution d
38. en proth se fix e traitera du recours au tout c ramique en mettant l accent sur la biom cani que et son application clinique Il traitera galement du blanchiment des dents pulp es en faisant le point sur les techniques et les pr cautions e Dominique Martin en endodontie traitera du compac tage vertical technique efficace qui ne m rite plus sa r putation de difficile et r serv e une suppos e lite Il fera ensuite le point sur le retraitement en endodontie e Patrick Missika fera un point complet sur les bonnes pratiques en implantologie qui passent par une d mar che respectant neuf imp ratifs Il traitera ensuite de la mise en place imm diate d implants apr s extraction e Bernard Schweitz dressera un tat de l volution des concepts dans le traitement parodontal non chirurgical et fera le point sur leur efficacit en fonction des cas cli niques Il traitera galement des diff rentes strat gies th rapeutiques possibles et leurs indications lorsque le patient pr sente un parodonte fin e Corinne Touboul interviendra sur les empreintes en proth se sur implants notamment avec deux techni ques compl mentaires dont la ma trise est indispensa ble la pratique de cette discipline Elle dressera ensuite un tat des nouveaux concepts implantaires en rapport avec la stabilit des r sultats esth tiques afin de d m ler les r elles avanc es th rapeutiques des innovations marketing ll
39. es composi tes microhybrides peuvent tre utilis s en technique di recte pour l obturation de mi cro ou minicavit s en blocs combin s ou non avec un composite fluide pour cer tains composites sp cifiques Mais ils sont surtout destin s tre mis en uvre par une technique de stratification r pondant aux exigences d un r sultat esth tique imm diat et plus long terme Les principes de pr para tion des cavit s l utilisation des substituts dentinaires et les techniques de condition nement am lo dentinaire pr paration de la couche hybride c est dire le mor dan age total les adh sifs de cinqui me g n ration ou L valuez vous e Le biseau am laire p riph rique est il indispensable pour les restaurations esth tiques ant rieures e Les composites fluides peuvent ils tre utilis s pour des restaurations post rieures e La cr te marginale doit elle tre conserv e pour des restaurations proximales de moyenne tendue e La stratification en r sine composite des dents ant rieures fait elle appel des masses d opacit diff rentes 2 16 Inscrivez vous PRATIOUE E Les composites actuels associ s une technique de stratification rigoureuse permettent d obtenir des r sultats fonctionnels et esth tiques remarquables cas clinique Ariel Sebban les adh sifs automordan ants doivent tre parfaite ment ma tris s par le prati cien
40. es en implantologie COSS COVAL 95 IP FOC 62 FOC 88 GEAVOSS ADFOC 67 GSSOS Journ es dentaires de Nice ODFOC 42 ONFOC 36 ONFOC 77 SBRicketts SFE SFEROO SFG SFOP Soci t fran aise d odontologie p dodontique Soci t fran aise d odontologie psychosomatique SFPIO Paris SOB SOBHL SOP Soci t odonto stomatologique d Angers SOSBN Basse Normandie SOSNE SSFBSI JSOP n 2 f vrier 2007 11 VOYAGE CONGR S MAURICE gt 8 85 Journ es de chirurgie dentaire Un programme scientifique complet et ambitieux Six conf renciers interviendront lors du voyage congr s de la SOP l le Maurice L ambition Actualiser nos connaissances dans des domaines cl s de notre exercice OUS LE HAUT PATRONAGE du ministre de la Sant et de la Qualit de la vie de la r publique de Maurice M Satish Faugoo et de l ambassadeur de France en r pu blique de Maurice M Dominique Renaux les 85S Jour n es de chirurgie dentaire se d rouleront sous la pr si dence du D Dhaneshuvar Beeharry pr sident de l Ordre des chirurgiens dentistes de la r publique de Maurice Six conf renciers interviendront lors de cette semaine de formation e Herv Choukroun traitera des reconstitutions corono radiculaires et en particulier des crit res de choix entre les reconstitutions coul es et foul es Il fera ensuite le point sur les diff rentes tapes cliniques et les protoco les de r alisation e ric Hazan
41. h tique l coute de leurs sur le Panavia pour d velopper le Clearfil patients les chirurgiens dentistes posent Esthetic Cement 20 ann es d exp rience DEXTER de plus en plus de proth ses c ramiques de fiabilit et d adh sion sur le long terme 111 rue Henri Barbusse incluant les tout c ramique en oxyde Le praticien en retirera aujourd hui 95100 Argenteuil de zirconium ou d alumine Les restaurations tout le b n fice le Panavia F2 est reconnu T l Ol 34 34 38 10 sont de plus en plus invisibles Aujourd hui pour sa force d adh sion tr s importante l esth tique fiable existe le Clearfil Esthetic Cement pour Le Clearfil Esthetic Cement a t con u son choix fin de teintes Force d adh sion pour r pondre aux exigences ou teinte le choix se fera en fonction de cette esth tique de haut niveau de ce que requiert le travail du praticien Pas de rin age apr s application inlays onlays facettes proth ses Le contenu des trois diff rents kits des primers automordan ants tout c ramique Les teintes conviennent est con u pour ceux qui pratiquent un collage s r d un point de vue tous les types de c ramiques peu ou ceux qui pratiquent beaucoup esth tique une seringue permettant mais aussi aux composites de laboratoire ce type d esth tique une application ais e de ce collage dual Comme 3 OOO confr res Non La SOP nest pas h A un cercle litiste a e re Z En 2006 4 600 omnipraticiens
42. ification des composites sur les secteurs ant rieurs et post rieurs NICOLAS LEHMANN CEIOP Cercle d tude d implantologie orale et de parodontologie 16 rue du Bocage 33200 Bordeaux T l 06 26 80 46 43 www ceiop com Jeudi 1 mars 2007 Bordeaux de 9 h 17h e volution du concept implantaire Aspect m dico l gal de la pratique de l implantologie D PATRICK MISSIKA Vendredi 30 et samedi 31 mars 2007 Bordeaux de 9 h 17 h e Formation approfondie en implantologie 3 et 4 sessions C IOP FOC 62 58 rue du 4 Juillet 62300 Lens T l 03 21 28 09 14 Jeudi 22mars de9h 18h Lille e Quels exercices pour demain 2 Les solutions D SHERMAN un avocat fiscaliste et un expert comptable ODFOC 42 23 cours Victor Hugo 42000 Saint tienne www odfoc42 fr Mercredi 14 mars 2007 e Urgences au cabinet dentaire SDIS 42 ONFOC 36 Ch teauroux T l 02 54 84 15 15 Jacqueline Bourgeois Jeudi 15 f vrier 2007 Apr s midi Relais Saint Jacques Ch teauroux e Risques anatomiques dans les gestes odontologiques quotidiens D MARIE H L NE LAUJAC Jeudi 29 mars 2007 Journ e Relais Saint Jacques Ch teauroux e Empreintes en proth se conjointe TP l apr s midi D PASCAL AUROY JSOP n 2 f vrier 2007 Les formations du r seau Formation continue libre FCL SBR Soci t bioprogressive Ricketts 18 avenue des Champs Elys es 75008 Paris T l 01 40 47 36 00
43. implants Est elle possible galement avec des boules ind pendantes Ce qui est valid c est le stabilisateur externe Notre artifice proth tique m tallique est un stabilisateur externe qui rejoint tous les implants JSOP n 2 f vrier 2007 EE LLET pti RLU s b E la mandibule certains semble t il ont une exp rimentation avec des boules Personnellement je nai pas d exp rience et de toute fa on sur le plan scientifique cela n est pas valid aujourd hui El Que doit on faire lorsque l on ne peut pas placer deux implants sym triques par rapport au milieu pour des raisons de configuration osseuse Deux boules Toutes les questions des participants et les r ponses de Paul Mariani peuvent tre consult es sur le site Internet de la SOP WWW S0p asso fr 29 CE QU IL FAUT RETENIR e Il est imp ratif de r aliser un projet proth tique et de le valider avant toute ex cution de proth se d usage Il permettra l obtention d un duplicata en r sine transparente servant de quide radiologique et chirurgical e Il est prudent de mat rialiser sur ce guide un point central et la localisation id ale des implants par des rep res radio opaques transmissibles sur la radio et dans la phase chirurgicale 30 position des cr tes par rapport la proth se On localise sur le guide la place des futurs implants que l on mat rialise sur un mat riau radio
44. ins pr cis 28 N 2002 le consensus de Mc Gill a tabli que la stabilisation d une pro th se totale mandibulaire par deux im plants est un standard th rapeutique minimal 2 Mais quels objectifs doit se fixer le praticien quels sont ses moyens d y parvenir et enfin quelles sont les techniques ll est fondamental de se fixer des objectifs th rapeutiques avec le pa tient On peut diviser ces objectifs en trois classes Premier objectif r tablir la fonction la surface d occlusion et la dimension verticale Deuxi me ob jectif r tablir l esth tique Citons Jean Claude Harter Les dents ne ser vent pas qu manger mais vivre en soci t Enfin troisi me objectif pr server l anatomie r siduelle chez le patient En effet d s qu une pro th se est stabilis e par des racines 1 et 2 Des plombs de chasse ont t utilis s comme mat riaux radio opaques JSOP n 2 f vrier 2007 artificielles on pr serve le volume os seux r siduel Quels sont les moyens th rapeutiques et quels sont leur in dication S agissant de la proth se ost o ancr e de type classique ce sont les racines artificielles qui supportent des bridges CHI Pour la proth se sur support osseux r duit on r alisera soit une recons truction osseuse avant implantation et proth se classique soit une pro th se ost o ancr e de type Brane mark avec fausse gencive distance des implants Dans ce de
45. it bi Ve ICO Disponible en teintes Opaque et Translucide En pour toutes les indications 22 mars 2007 23 mai 2007 Du 11 au 22 avril 2007 VOYAGE CONGR S MAURICE Minoration pour toute GAGNER DU I El PS IR ATION A LA inscription avant le 1 2 2007 D PHILIPPE DE JAEGHER Formation validante Organisation des soins D NICOLAS LEHMANN Dentisterie restauratrice D JACOB AMOR Endodontie D BERNARD SCHWEITZ Parodontologie D RIC HAZAN Proth se fix e Nombre de places limit es E q p J N TARIFS DES FORMATIONS hors TP TARIFS TRAVAUX PRATIQUES 24 MAI 2007 D jeuners et dona caf pes D jeuners et pauses caf inclus INSCRIPTION 2 MOIS OU du LI ANT LA FORMATION INSCRIPTION AVANT LE 16 MARS 2007 date mentionn e dans cha que je w in d inscription e Membres de la SOP enbe de la SOP et de la FSSOSIF 290 et de la FSSOSIF 250 e Autres 350 e Autres bb 310 INSCRIPTION APR S LE 16 MARS 2007 a I SL N Es DE 2 MOIS AVANT LA FORMATION De de as SOP date mentionn e dans chaque bulletin d inscription et de la FSSOSIF 330 e Membres de E SOP Autres 390 et de la FSSOSIF 290 l e Autres 350 e TARIF SPECIAL 120 En vous inscrivant l avance b n ficiez de l offre sp ciale annuelle r serv e tout membre de la SOP jour de ses cotisations 2006 et 2007 et assistez en 2007 une for
46. lageant MEDICAL OU CHIRURGICAL S Nardot pp 8 11 notre conscience et en amputant RAMEN UN ACTE DE GRANDE TRIVIALIT Fotolia pp 3 6 34 notre capital confiance Il est loin alors Ariel Sebban p 18 l objectif princeps qui est d viter DR ppo le O2 25 DOS DOUE et Internet WWW SOp asso r que la tentation de l argent ou du pouvoir ne rendent confus ou ambigu le jugement du praticien Comme si les praticiens n taient pas capables d valuer le sens et la port e de leurs actes Cette d rive du consentement Secr tariat clair au nom du devoir d information des patients qui oblige comme dans les contrats secr tariat sop asso r d assurance automobile faire accepter toutes les clauses restrictives en bas de page denega a P et en caract res minuscules d imprimerie ce que personne ne prend la peine de lire El Re ou de se faire expliquer nous fait craindre une d valorisation de plus en plus nette De CS de tout acte m dical ou chirurgical ramen un acte de grande trivialit Philippe Chalanset Le consentement vu sous l angle que nous d peignons ne nous para t plus alors EA ee que l expression de la peur du juge ou de la peur du risque Et si la soci t insiste ngampis six sop asso fr dans cette voie ces peurs deviendront vite paralysantes et scl rosantes Impression ACTIS car elles n auront pas de limites JSOP n 2 f vrier 2007 5 ACTUALIT S O VA LA FORMATION CON
47. lisation d actes dans un temps donn 6 JSOP n 2 f vrier 2007 eeo Les travaux pratiques sont obligatoires Le topo fini il reste deux heures et demie pour rendre l enseignant une pre mi re molaire mandibulaire droite mont e en cire selon la technique de Peter K Thomas Deux heures et demie de travail manuel au cours desquelles il faut parvenir ma triser l coulement le long de l instrument ponyme chauff sur un bec Bunsen de gouttes de cires de diff ren tes couleurs pour qu elles se figent dans la forme deman d e de c ne ou de bulbe D j le stress et la gestion du stress Cette preuve pratique est le passage oblig de l tu diant afin qu il s approprie le contenu d un cours th ori que et qu au del d une description toujours insuffisam ment vocatrice merge sa conscience la visualisation de l objectif La forme est comprise le fond est appris Lors de la formation initiale c est la partie pratique qui consti tue la pr occupation imm diate de l tudiant Il en ira ainsi tout au long des tudes et au del car l acquisition des savoirs se fait par d incessants allers retours des cours th o riques la pratique clinique Dipl me n gale pas comp tence d finitive tel point que la formation prodigu e apr s le dipl me qui fut longtemps postuniversitaire est devenue formation continue puis formation continue obligatoire FCO La s mantique a toute son imp
48. mation au choix pour 120 seulement QUESTIONS D IMPLANTOLOGIE du 14 6 2007 inscription avant le 30 avril 2007 et PLAN DE TRAITEMENT du 11 10 2007 inscription avant le 31 juillet 2007 e TARIF SPECIAL 3 FORMATIONS 700 e Les nouveaux adh rents de la SOP ainsi que les membres de la SOP jour de leur este 2007 peuvent va d un forfait de 700 pour 3 journ es scientifiques de leur choix TP compris au cours de cette ann e Les droits d inscription sont susceptibles d tre pris en charge par le FIF PL sur la base de 100 34 JSOP n 2 f vrier 2007 i 1 ra 1 i A i coup d il A ee i 24 mai 2007 BULLETINS D INSCRIPTION TRAVAUX PRATIQUES LA CARTE Rive Gauche Saint Jacques H tel Paris 14 de 9 heures 16 heures COCHEZ LE TP CHOISI ITP1 e Syst me ProTaper Responsables scientifiques Pierre Machtou Dominique Martin ITP2 e Blanchiment et pose de digue Responsables scientifiques Jean Jacques Louis Richard Kaleka LITP3 e Parodontie Responsable scientifique Bernard Schvveitz TP 4 Composites post rieurs et ant rieurs en m thode directe Responsable scientifique Gr goire Kuhn LITP5 eo Facettes de c ramique coll es Responsable scientifique Claude Launois LITP 6 e Proth se sur implants Responsable scientifique Corinne Touboul dl TP7 Composites post rieurs en m thode indirecte Responsable scientifique Pascal Zyman P MO
49. ment d une membrane permet une meilleure vitalit de la greffe l utilisation d implants surface rugueuse permet d augmenter en core les taux de succ s Il existe des limites aux comblements sinusiens notamment quand on doit non seu lement r aliser un comblement si nusien mais galement une aug mentation de volume au niveau de la cr te par une greffe autog ne d apposition Ces chirurgies s av rent parfois compli qu es on combine un abord sinusien par voie lat rale et une technique de Summers dite technique des ost totomes ce qui peut poser pro bl me caril est impossible de contr ler une ventuelle d chirure de la membrane sinusienne KB El m Vos questions les r ponses de Fr d ric Chiche Une formation d implantologie suffit elle pour r aliser des comblements de sinus ou faut il une formation particuli re Il faut une formation avanc e Des soci t s scientifiques proposent des stages pour s initier l implantologie mais souvent il y a un stage ou une formation n 2 pour des techniques plus avanc es de haute pr cision qui demandent une formation rigoureuse Une formation pour les comblements de sinus consiste apprendre lors de conf rences de stages puis voir au bloc op ratoire CE QUE VOUS EN AVEZ PENS en cabinet des praticiens qui r alisent ces comblements Ensuite pour les premi res interventions il faut se faire quider et surtout
50. n 20 calcinables 2 clavettes gratuits Lomme F do docti RE ae CI 0 a men SE 1 40 mm 1 foret de pr paration Gates g 0 70 violet 1 al soir driller 1 20 mm bagues blanches 1 al soir cylindro conique rouge 10 inox 11 50 mm Pivomatic Evolution 10 inox XL 13 55 mm Pivomatic Evolution 20 calcinables 2 clavettes gratuits mnt JR a 1 50 mm 1 foret de pr paration Gates g 0 70 violet 1 al soir driller 1 20 mm bagues blanches 1 al soir cylindro conique bleu 20 inox 13 50 mm Pivomatic Evolution eee JE JR nd Me Mn pau PL ed Na 20 calcinables 2 clavettes gratuits Une couleur Une taille Un Module ergonomique OFFRE DE LANCEMENT 3 achet s GRATUIT ques COMMANDE Votre cachet Prix unitaire de conseill PIVOMATIC 79 30 ans de recul Prix unitaire de lancement conseill clinique 4 achet s 3 factur s Couleurs au choix o Blanc Inox Qt Titane Qt 5O 25 Ne e Jaune Inox Qt Titane Qt Soit par 4 Tone eRouge Inox Qt Titane Qt Contact Informations e Bleu Inox Qt Titane Qt T l 04 92 12 82 88 Autoclave 135 K a _ CANNES DENTAIRE E Votre distributeur Votre distributeur Foupinol i 100 1 All e des Imprimeurs Dans la limite des stocks disponibles ZI Secteur A2 Brevets et marques d pos s Docteur Pierre MALEK 60 MILLIONS DE PIVOMATIC VENDUS 06700 ST LAURENT DU
51. n de chaque TP des groupes de 5 10 praticiens anim s par une quipe d enseignants Une formation compl te pour vous conduire au geste juste PER EURE CPU BULLETIN D INSCRIPTION S TRAVAUX PRATIQUES A TP 8 e Urgence r animation LI TP1 e Syst me ProTaper Responsable scientifique Th r se Arvis Responsables scientifiques Pierre Machtou LI TP 9 e Plan de traitement pluridisciplinaire gt Dominique Martin Responsables scientifiques ric Hazan 1 TP 2 e Blanchiment et pose de digue ric Serfaty Responsables scientifiques Jean Jacques Louis C1 TP 10 Orth ses mandibulaires GENE Richard Kaleka dans les ronflements et SAOS LI TP3 e Parodontie Responsable scientifique Fr d ric Chabolle ns Responsable scientifique Bernard Schweitz C1 TP 11 e Occlusodontie dl TP 4 e Composites post rieurs et ant rieurs Responsables scientifiques Bernard Fleiter m thode directe NOUVELLE Dominique Estrade Responsable scientifique Gr goire Kuhn FORMULE Ci TP 12 e Proth ses fix es Ll TP5 e Facettes de c ramique coll es Responsables scientifiques Herv Choukroun Va Responsable scientifique Claude Launois Alain Tr velo LI TP 6 e Proth se sur implants L TP 13 e Instruments ultrasonores Responsable scientifique Corinne Touboul Responsable scientifique Gilles Gagnot Va dl TP 7 Composites post rieurs dl TP 14 L aide microscopique au quotidien en m thode indirecte Responsables scientifiques Franck Decup Responsable
52. onnaissance des conditions g n rales d annulation TT 3MC Concept Lunettes loupes smt sur monture ADIDAS disponible en x2 5 et x2 3 Qualit Pe 3MC Concept 1 Place Paul Verlaine 92100 BOULOGNE T l Fax 01 47 09 60 18 Portable 06 64 26 11 93 Email 3mcconcept wanadoo fr ociorseyes Macrophotographie Dentaire simple conomique gt Qualit lumi re du jour Set compact doctorseyes gt Adaptable sur menn G n rateur et contr leur de lu appareils photos NU MR eEG QUES doctorseyes lumi re annulaire 72 lentille gros plan 4 Adaptateur et anneau Diffuseur Set professionnel doctorseyes G n rateur et contr leur de lumi re professionnel de doctorseyes Winglights 3MC Concept T l Fax 01 47 09 60 18 Mob 06 64 26 11 93 Re Email mcconcept wanadoo fr MEU ACAD MIE NATIONALE DE CHIRURGIE DENTAIRE L auteur d une th se sur le syndrome de Gorlin re oit le prix de la SOP Le D Pierre Alexandre Viguier s est vu remettre le prix de la SOP par le P Louis Verch re lors de la s ance de l ANCD au S nat ORS DE LA S ANCE SOLENNELLE de l Acad mie nationale de chirurgie dentaire ANCD au palais du Luxem bourg le lundi 20 novembre 2006 le prix de la SOP a t d cern au D Pierre Alexandre Viguier pour sa th se inti tul e 4 Syndrome de Gorlin tude prospective d une s rie de 15 patients D Ce prix lui a t remis par le P Louis Verch re ancien
53. ontrainte D autres au contraire ne s embarrassent pas Tirage et diffusion de tant de scrupules et appliquent la r gle lai o qe Que faut il en penser 7 10 num ros 10 euros n en pas douter il y a une volution de la soci t Celle ci s emploie gommer Prix au num ro 1 55 euro A Ed les conflits en promulguant de nombreuses lois alors m me qu il suffirait bien souvent a En d appliquer celles en vigueur Elle encadre le pouvoir que repr sente la science m dicale Directeur de la publicaron par des normes et des r gles qui compliquent les relations praticiens patients Philippe Chalanset et aboutissent d responsabiliser les acteurs de la sant Les praticiens sont contraints Comit ditorial malgr eux se plier aux groupes de pression en qu te de s curit et ce d autant plus erm er que les administr s en redemandent pour prot ger leur sant Tant et si bien que notre d mocratie ne se contente plus R dacteurs en chef Philippe Safar Bernard Schweitz de savoir si le malade a bien t averti Conception r alisation Elle ne se satisfait plus du principe Texto ditions 4 4 i Mac de pr vention Elle en arrive all grement LA D RIVE DU CONSENTEMENT CLAIR a appliquer le principe de pr caution NOUS FAIT CRAINDRE Photos Et elle ne s offusque pas alors UNE D VALORISATION DE TOUT ACTE raai pal du renversement des perspectives i oi P ee qui s offrent nous en sou
54. ortance puisqu elle traduit un Dynexan 2 cr me buccale k PHARMA Chlorhydrate de lidocaine Anedth oique de a lotion eur reia da ag seu kpeusslen PHARMA PLACIS 0 825 887 885 Dyneine te glissement vers un concept qui refl te la n cessit de se for mer tout au long d une carri re et non plus d exploiter un dipl me qui serait cens d livrer une comp tence d fini tive Une formation ne doit pas pr senter de rupture Alors pourquoi ce continuum s impose t il tous 2 Parce que de nouvelles proc dures cliniques sont mises en place tandis que des consensus se d gagent d tudes scien tifiques dans un monde o l information circule de mieux en mieux Parce que les techniques progressent de plus en plus vite faisant que la date de p remption des connais sances est de plus en plus proche de leur acquisition Parce que notre environnement professionnel a chang avec de nouvelles contraintes et obligations qui prennent en compte l environnement traitement des d chets r cup ration de l amalgame la s curit hygi ne asepsie tra abilit radio protection pr vention ainsi que la demande des patients consum risme esth tique etc De la m me fa on les car ri res professionnelles s allongent avec le recul de l ge de la retraite des chirurgiens dentistes Enfin la FC s impose pour que l on n entende plus un jeune praticien r pondre la question qui lui tait pos e su
55. ou bien de son entourage A il un probl me d esth tique ou de mastication On peut d ailleurs en fonction de ses r ponses dissuader un patient de refaire ses proth ses JSOP n 2 f vrier 2007 tra ne pas forc ment une am liora tion de la nutrition II faut donc infor mer son patient quant cette ven tuelle am lioration S agissant du choix du traitement par le patient il a un rap port avec la r tention et la stabilit offerte mais surtout avec la possibi lit de nettoyer correctement la pro th se et les implants C est ce qui expli que que 50 des choix portent sur la proth se adjointe sur implants et 50 sur la proth se fixe sur implants LES CINQ CRIT RES DU SUCCES THERAPEUTIQUE Quelle que soit la m thode utilis e pour la r alisation de la proth se compl te on compte 80 85 de patients satisfaits Cinq crit res de succ s du traitement peuvent tre identifi s l adaptation parfaite de la base l os sous jacent l occlusion avec une dimension verticale d oc clusion DVO correcte en relation centr e la stabilit des secteurs cus pid s pendant la mastication le po El Pour les dentements post rieurs non compens s vous dites que la capacit masticatoire n est pas affect e Mais les ATM ne risquent elles pas d tre affect es par l absence des dents post rieures 2 Il n existe pas de corr lation entre les probl mes d ATM et l absence des dents pos
56. pr sident de l ANCD et directeur de publication de la Revue d odonto stomatologie ROS Cette th se met en exergue le r le que doit jouer le chirurgien dentiste dans le d pis tage de cette maladie rare Rappelons que le syndrome de Gorlin est un syndrome malformatif complexe d crit en 1954 par M Papillon L age et Psaume Il s observe peu pr s exclusivement chez la femme et est caract ris essen tiellement par une hyperplasie des freins buccaux qui divisent la langue en plusieurs lobes La th se montre que par la syst matisation de la radiographie panoramique le chirurgien dentiste peut mettre en vidence les k ratocy tes et les d labrements importants qui y sont associ s sur des temps extr mement courts Il existe galement le plus souvent une fissure palatine une fente v lo palatine et des anomalies dentaires ainsi que des malformations du frontal et du malaire et une ouverture anormale de l angle sph noidal La SOP est particuli rement heureuse du choix qui r compense ce candidat et lui adresse ses f licitations pour cette bril lante promotion W 1 Th se pour le dipl me d tat de docteur en chirurgie dentaire Bordeaux 2 2005 L ASSISTANTE DENTAIRE JOUE UN R AU SEIN DE VOTRE CABINET CNQAOS Centre National de Formation des Assistants en Odonto stomatologie 98 100 Chemin des Bourdons 93221 GAGNY CEDEX T l 01 41 53 53 53 Fax 01 41 53 89 93 infos cnqaaos wanadoo fr
57. puis Jai particuli rement appr ci la pr sentation de Fr d ric Chiche d un syst me clini que reposant sur la pose de huit implants dans les sec teurs post rieurs La vision globale et synth tique du th me a pour moi fait la riches se de cette journ e JSOP n 2 f vrier 2007 LES IMPLICATIONS EN MATIERE D ASSURANCE Guy Vibert 50 ans omnipraticien Lyon 69 C est la deuxi me formation de la SOP laquelle je parti cipe j appr cie la d marche p dagogique appuy e par la comp tence des mod rateurs La salle peut vraiment chan ger avec les conf renciers Et lorsque l on vous indique comment r aliser une greffe osseuse on vous alerte ga lement sur les implications en mati re d assurance L Annuaire professionnel du monde dentaire 1450 adresses de fournisseurs TRE 2500 marques de produits 3500 produits r f renc s sue NEA 5380 adresses de laboratoires de proth se 36500 coordonn es de chirurgiens dentistes ou stomatologues D NTA IR E 600 associations syndicats organismes officiels PRATICDIE NME LABORATOIRES DE PROTM SE DENTAIRE MATERIEL PRODUITS CT SERVICES ORGANISMES PROFESSIONNELS Les produits et services r pertoire alphab tique des fabricants distributeurs et soci t s de services classement par rubriques fournitures pour cabinets dentaires mat riels et quipements pour cabinets dentaires fourniture
58. q conf rences cinq domaines cl s 22 M RS 2007 de notre pratique o il est possible de r duire son temps de travail tout en maintenant une qualit des soins optimale GAG N R i I T EM P c Une urgence int grer des actes complexes r aliser un cahier de rendez vous honorer le praticien est quotidiennement M confront une lutte contre le temps Quelle organisation S AN S C 0 M P R 0 S rationnelle des soins mettre en uvre pour optimiser son temps de travail Quelles techniques op ratoires quel outillage quel produit faut il privil gier pour faire plus vite et mieux Quels sont Le jeudi 22 mars 2007 les domaines d cisifs o il faut savoir consacrer du temps afin d en F perdre le moins possible au final participez la journ e SOP et mettez D Philippe De Jaegher Organisation des soins en application Dr Nicolas Lehmann Dentisterie restauratrice i Dr Jacob Amor Endodontie votre formation i D Bernard Schweitz Parodontologie d s le lendemain Dr ric Hazan Proth se fix e dans votre cabinet T1 e S D gt e Va U EN SAVOIR PLUS SUR LA GESTION DU TEMPS LIRE NOTRE DOSSIER DANS LE JSOP N 1 2007 SEE BULLETIN D INSCRIPTION Lee GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMIS PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES H TEL 17 BD SAINT JACQUES 14 retourner accompagn de votre r glement la SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29
59. quantit am lo denti Evaluez vous naire retirer etc Afin d ob tenir un r sultat probant le praticien doit donc prendre en consid ration plusieurs facteurs Premi rement il doit identi fier les sp cificit s de chaque cas retour lingual exten sion proximale esth tique respect et conservation du point d occlusion etc S agis sant du retour lingual pr ci sons que en tant qu l ment stabilisant pour viter la d coh sion de la c ramique il constitue une obligation pour les facettes r alis es sur les dents mandibulaires Deuxi mement le praticien doit videmment conna tre les indications des diff rents mat riaux disponibles sur le march Ces derni res an n es la facette en c ramique e Quels sont les risques de fracture de la c ramique et comment les limiter e Comment r aliser et fixer les facettes provisoires 2 e Quels mat riaux de fixation utiliser e Comment r aliser la protection dentinaire 2 Inscrivez vous est pass e d une forme pelli cul e une facette couronne partielle suivant en cela l vo lution de ces mat riaux Le praticien sera d autant plus vigilant cette question du mat riau c ramique privi l gier que des interactions r ciproques existent entre ces nouveaux mat riaux Enfin le praticien devra choi sir le proc d de r alisation des dents provisoires adapt son traitement goutti re thermoform
60. r la fa on dont travaillait le praticien en partance pour la retraite auquel il succ dait par Il travaillait comme il a appris W Marc Roch Tube de 19 Q ANA AAA JSOP n 2 f vrier 2007 La SOP l ADF studieux mais convivial Cette ann e le stand de la SOP m ritait la mention vaut le d tour gr ce au service d une masseuse qui aura pu relaxer de nombreux congressistes Un ilot de s r nit U N LOT DE S R NIT dans l effervescence du congr s dans l agitation Jamais le stand de la SOP au congr s de l Associa du congr s gr ce tion dentaire fran aise ADF n aura connu une telle aux services d une popularit La pr sence d une masseuse y tait certaine masseuse charg e ment pour quelque chose Les visiteurs du stand ont de d tendre pu v rifier que celui ci tait l image de notre associa les congressistes tion studieux mais convivial Quel avenir pour la profession Les congressistes prouv s par une journ e dans les tra v es du Palais des congr s pouvaient en effet b n ficier des services d une masseuse aguerrie aux techniques de naturopathie de r flexologie plantaire et de shiatsu Cette ann e les nouvelles dispositions a en mati re de formation continue obligatoire taient au c ur des discussions Les gagnants de la tombola D tente et repos au programme donc mais pas seule ment Membres du
61. rnier cas on peut envisager des extensions distales pouvant aller jusqu 18 mm Restent les proth ses sur overden tures qui pr sentent les avantages suivants e Un nombre d implants n cessaires moins important e Une chirurgie facilit e e Un co t moindre de la proth se e Une hygi ne simplifi e e Une esth tique plus facile g rer e Une absence de probl me de pho n tique S agissant de ce type de proth se le minimum d implants est de deux soli daris s ou non la mandibule et de Les rendez vous de la formation continue odontologique quatre implants solidaris s au maxil laire Mais cette derni re solution a tendance tre abandonn e car avec quatre implants on peut envisager une proth se fixe LE PROJET PROTH TIQUE ET LES OBJECTIFS DU GUIDE Venons en au projet proth tique qui passe par la r alisation d un guide Quels sont les objectifs d un guide Il s agit de tester la coh rence entre le souhait proth tique du patient et les possibilit s anatomiques Ici le projet proth tique permet la validation des futures proth ses Deuxi me fonction du guide le trans fert radiologique avec marqueurs ra dio opaques qui permet d tablir la coh rence avec l anatomie osseu se ainsi que l orientation des futurs implants Enfin il s agit de guider la chirurgie Les objectifs sont fix s quels sont pr sent les moyens la disposition du praticien 2 Il en e
62. s implant chez les patients qui ne sol licitaient pas de solution implantaire A contrario les traitements des pa tients porteurs d une simple proth se adjointe et qui r clament des im plants donnent les r sultats les moins bons Les traitements combinant pro th se adjointe et implants chez les patients qui taient demandeurs de ces solutions donnent des r sultats interm diaires JSOP n 2 f vrier 2007 Va LU ma 25 Cette derni re tude montre quel point l effet placebo est d terminant Il r side dans la communication avec le patient dans l information qui lui est donn e Cet effet placebo permet de stimuler les parties du cerveau qui luttent contre la douleur Cela mon tre qu il convient d expliquer ce que nous faisons au patient et ce qu il doit attendre de la proth se puisque l ducation du patient a des cons quences sur l analg sie In fine le but du traitement consiste en premier lieu am liorer la nutri tion Malheureusement l am liora tion de l efficacit masticatrice n en Vos questions les r ponses de Sandro Palla E Faut il anticiper les dol ances du patient en proposant de refaire les proth ses avant que des difficult s plus importantes ne surviennent 2 Le traitement doit tre adapt chaque patient Il faut demander au patient la raison pour laquelle il souhaite refaire ses proth ses Cette demande mane t elle de lui m me
63. s pour laboratoires de proth ses mat riels et quipements pour laboratoires de proth ses services distribution et service apr s vente Les laboratoires de proth se sp cialit s en proth ses dentaires r pertoire g ographique classement par d partement La documentation officielle organisation de la profession dentaire r pertoire alphab tique des praticiens Les chirurgiens dentistes r pertoire g ographique par d partement les sp cialistes qualifi s en orthop die dento faciale Les stomatologistes et chirurgiens maxillo faciaux r pertoire g ographique par d partement stomatologistes qualifi s ODMF La couleur www annuairedentaire com L Annuaire Dentaire Les Editions de Chabassol 16 18 bd de Lagny Bussy Saint Georges 77604 MARNE LA VALL E Cedex 3 T l 01 64 76 64 90 FAX 0164 76 64 99 Email chabassol wanadoo fr www annuairedentaire com Nouveau ciment de scellement auto adh sif et auto mordan ant Ciment de scellement universel auto adh sif Dual auto photo pour couronnes bridges inlays onlays tenons m talliques ou fibr s BP 60 L Op ra Propos en seringue auto m langeuse BisCem ne n cessite ni 13680 Lan on de Provence mordan age ni primer ni adh sif sur les surfaces de collage T l 04 90 42 92 92 Fax 04 90 42 92 61 Radio opaque Biscem relargue du fluor et permet un scellement efficace sur la plupart des mat riaux dentaires en toute simplic
64. son futur m tier D autant que faire la synth se de l enseigne ment qu il re oit ne lui est pas facilit par son clatement en un puzzle de modules de sp cialit s Il ne prendra conscience de ses ventuelles insuffisances que lorsque devenu praticien il sera sanctionn par des checs m me relatifs ou qu il ne ma trisera pas certains param tres de son activit ou encore dans le meilleur des cas lorsqu il voudra redynamiser son exercice La formation initiale c est cinq sept ann es d tudes apr s le concours du PCEM selon que l on opte pour un troisi me cycle court ou long l internat Hors PCEM cela correspond environ 3 600 heures de cours th oriques d enseignement dirig et de travaux pratiques couvrant des domaines tr s divers Nous avons dit l informatique les mat riaux la gestuelle et l instrumentation la physio logie l anatomie l embryologie l immunologie la pro th se fix e la s miologie l implantologie l endodontie la virologie la bact riologie la biochimie l ergonomie l asepsie la pharmacologie l ODE l odontologie restaura trice l cosyst me buccal les proth ses partielles amovi bles et totales les biomat riaux la pathologie m dicale Paradoxe d un c t des amphis d sert s pour cause de bachotage de l autre les m mes conf rences en formation continue devant des salles remplies de jeunes praticiens dipl m s h lt la chirurgi
65. st un leurre Cette affaire montre surtout la nuisance des m thodes propres au commerce que les promoteurs du marketing dentaire ont import es dans notre profession et qui ont bluff plus d un chirurgien dentiste I JSOP n 2 f vrier 2007 21 r CE D Er at F 6 Polident activ fresh Maintenant vos patients vont aimer brosser leurs proth ses Polident activ fresh La seule mousse nettoyante sp cialement con ue pour le brossage des proth ses amovibles gt limine 96 de la plaque dentaire gt limine 99 9 des bact ries responsables gt Respecte les mat riaux proth tiques abscence d agent abrasif gt Assure vos patients jusqu 5 heures d haleine fra che Mousse nettoyante eA _anti bact rienne pou proth ses dentaires nettoyage micro actif jusqu 5h de fra cheur g P j A Tg 2 LES FORMATIONS SOP EN 2007 gt GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMIS 22 Mars 2007 gt RADIOPROTECTION 23 Mai 2007 gt TRAVAUX PRATIQUES 24 mai 2007 gt QUESTIONS D IMPLANTOLOGIE 14 juin 2007 gt PLAN DE TRAITEMENT 11 octobre 2007 VOYAGE CONGRES gt LE MAURICE 8es JOURN ES DE CHIRURGIE DENTAIRE 11 22 avril 2007 ET AUSSI gt LES FORMATIONS DU R SEAU FCL Toutes les informations tous les comptes rendus in extenso sont consultables sur WWW S0p asso fr Du patient la proth se trois strat gies pour traiter l edent to
66. t rieures Il y a 20 ans les tudes effectu es sur cr nes secs avaient montr des atteintes d arthrose Mais rien ne dit que cette arthrose serait davantage due aux dentements post rieurs qu l ge Les rendez vous de la formation continue odontologique sitionnement des arcades dentaires dans la zone neutre l illusion parfai te des dents naturelles donn es par les dents proth tiques En premier lieu une erreur lors de la prise d empreinte peut conduire un d faut d application de la mu queuse sur la base osseuse et provo quer ainsi une bascule pendant la mastication S El Cela montre l importance du marginage des bords du porte empreinte Le patient ne doit pas bouger pendant ces tapes On insistera sur l importance du joint paratub rositaire et sur la n cessit de comprimer le palais mou En deuxi me lieu il convient de d terminer une relation centr e cor recte Les bases doivent tre parfai tement stabilis es sur les arcades ce titre la technique d enregistre ment de la relation intermaxillaire avec un point d appui central semble plus fiable que celle s appuyant sur des bourrelets d occlusion El Quel est le temps d adaptation n cessaire pour retrouver une fonction masticatrice normale 2 Au moins six mois Il convient de dire au patient ce qu il peut et ce qu il doit attendre J insiste le patient doit savoir ce qu il peut attendre du traitement et nous prati
67. t circulaire minist rielle N DGS 5C DHOS E2 2001 138 Suivant guide des infections li es aux soins r alis s en chirurgie dentaire et en stomatologie Minist re de la Sant juillet 2006 Lubrification p Pr d sinfection 45s e Rin age 2 min 30 T n nilale te Nettoyage Pr d sinfection nettoyage rin age Aucun d montage pr alable de s chage et lubrification en rotation de votre votre instrumentation Les structures instrumentation dynamique en moins de 30 minutes internes de vos pi ces sont en mouvement avec un d tergent d sinfectant le X Cidol constant et en contact permanent avec les Economique gr ce la gestion individuelle de diff rents produits utilis s chaque phase chaque es tenir et externe ainsi du cycle brevet MICRO MEGA que la lubrification se font poste par poste Prolonge la dur e de vie de votre Adaptable dans tout cabinet instrumentation dynamique absence dentaire pos ou fix au mur de mati res organiques pouvant durcir au cours de la st rilisation et endommager par la suite le fonctionnement de votre instrumentation MICRO MEGA France Distribution BP 1353 5 12 rue du Tunnel MN dl F 25006 BESAN ON cedex CA Nous inventons T l 33 0 3 81 54 42 36 Fax 33 0 3 81 54 42 39 r commercial micro mega com www micro mega com MEGA vous reussIssez ke FURLICIS KOUFRA INTERVIEW De l acte m dical la vente quand le droit rattrape
68. tal LS TI 700 ONT ASSIST la journ e de formation de la SOP consacr e l dent total Nous en proposons un r sum synth tique dans les pages suivantes En ouver ture de cette journ e Sandro Palla aura bouscul voire heurt l appro che classique qui a cours dans nos cabinets consistant donner une r ponse de sp cialiste la plus efficace possible en termes techniques mais pas n cessairement la plus efficiente en termes d augmentation de la qualit de vie du patient Paul Mariani a quant lui insist entre autres sur la n cessit de r aliser selon un protocole pr cis un guide JSOP n 2 f vrier 2007 radiologique et chirurgical avant toute r alisation proth tique Pour clore cette journ e Fr d ric Chiche a confirm le consensus consistant lorsqu un enjeu esth tique est en cause r aliser un bridge implanto port sans implant dans le secteur ant rieur afin de respecter esth ti que et phon tique W Ce compte rendu de la formation SOP consacr e l dent total coordonn par Jo l Dubreuil a t r alis avec le concours des D Herv Choukroun Corinne Touboul et Marc Roch 23 Les rendez vous de la formation continue odontologique L essentiel de la formation SOP L dent total 19 octobre 2006 P SANDRO PALLA Universit de Zurich Le traitement proth tique am liore t il vraiment la qualit de vie de l
69. tement saines Avez vous d j pratiqu une empreinte implantaire de type direct ou indirect e Pilier implantaire pilier de cicatrisation transfert d empreinte sont ils des termes familiers pour vous 2 Quel syst me implantaire choisiriez vous 2 16 gt Inscrivez vous Objectif du TP initier le praticien aux diff rentes tapes cliniques de l laboration des proth ses implantaires choisir celui qui conviendra le mieux la proth se po ser Comment appr hender au mieux le processus de r habilitation proth tique sur implant Pour r pondre ces inter rogations et ainsi pouvoir d cider avec le confr re im plantologiste le praticien doit se familiariser avec les tapes cliniques de l labo ration des diff rents types de proth ses implantaires mais galement ma triser toutes les notions fondamentales quant aux indications et au plan de traitement Tel est l enjeu de la journ e de travaux pratiques organi s e par la SOP sur le th me Apr s un rappel des notions essentielles pour laborer et mener bien un traitement implantaire les participants pourront manipuler les pi ces proth tiques prendre une empreinte implantaire et se familiariser avec deux grands syst mes sur les trois propo s s par les conf renciers De l dentation unitaire la proth se amovible stabilis e par des implants les prati ciens seront en mesure d appr hender et de
70. u type de nourriture consom m e Or cette volution ne s inverse pas quand le patient est ensuite ap pareill Cela pose la question de l uti lit du traitement pour le patient le traitement proth tique am liore t il la qualit de vie du patient C est bien la raison pour laquelle il convient de ne pas se focaliser sur notre sp cialit c est l volution de l environ nement de nos patients qui joue un r le d terminant dans leur qualit de vie Trois tudes nous le montrent 9 RCE AY TR A NII X El i A OUA Une premi re tude indique que la qualit de vie est ind pendante du sexe ou du lieu de r sidence des pa tients mais elle est en relation avec l dentement Cela s accompagne de facto de probl mes caus s par le vieil lissement L ge est tr s important I I a C a Va Fa f s de 1G i 3 et 4 Pour Sandro Palla le plan d occlusion doit tre parall le la surface d appui dans la variation de la qualit de vie Une deuxi me tude porte sur la dif f rence de qualit de vie l issue d un traitement proth tique Il n y a pas de diff rence significative pour les traitements de proth se conjoin te ou de proth se adjointe partielle Pour la proth se compl te l am lioration est beaucoup plus signi ficative apr s la pose de nouvelles proth ses Enfin dans une troisi me tude les meilleurs r sultats sont obtenus dans les cas de proth se adjointe san
71. uipe attach e vous offrir ainsi qu vos patients une gamme de produits de renomm e internationale et des solutions innovantes pour la sant bucco dentaire de vos patients Oral B et Fluocaril Maintenant PG Professional Oral Health ollk Fluocaril Parogencyl Fixodent de ation Continue lihre ADFOC de Savoie T l 04 79 62 42 67 Jeudi 22 mars 2007 Aix les Bains deg h 18h e Carte blanche Eric Van Dooren Anvers AEO Association de l cole odontologique Formation AITEC anatomie imagerie t te et cou 5 rue Garanci re 75006 Paris T l 01 43 29 37 65 Fax 01 40 46 96 67 Jeudi 22 mars 2007 de 9 h 17 h e Anat chirurgicale maxillaire anesth sies intraorales I Sinus maxillaire Dissection cavit s nasales sinus nerf maxillaire Vendredi 23 mars 2007 de 9 h 17 h e Anat chirurgicale mandibule anesth sies intraorales II Dissection cou larynx pharynx voile du palais AEOS Association denseignement d odontologie et de stomatologie 179 rue Saint Honor 75001 Paris T l 01 42 61 71 30 AFOS wanadoo fr Jeudi 15 mars 2007 19 h 30 e Les parodontites des maladies pour le patient JEAN MEYER ALPHA OMEGA 13 rue de l H tel de Ville 26400 Crest T l 04 75 25 07 78 Jeudi 1 f vrier 20 h Sofitel Lyon e Nouveaux concepts de traitement en parodontie FRANCIS MORA Jeudi 8 mars 20 h Sofitel Lyon e Strat
72. xiste trois recou rant la r sine transparente la r sine radio opaque et l assistance informatique e R sine transparente Il s agit de r a liser un duplicata en r sine transpa rente de l ancienne proth se ou du montage de la future proth se Ce duplicata doit tre positionn sur la cr te ce qui permet d observer la se Vos questions les r ponses de Paul Mariani El Quand vous r alisez une proth se avec quatre implants la mandibule quelle est la position id ale des implants Si l on met quatre implants c est en avant des canines qu il faut les placer le dernier implant au ras du foramen mentonnier E Pourquoi faudrait il placer un implant m dian dans la symphyse alors que la nature a toujours pargn cette zone Ce sont les concepts de Branemark certains diront les dogmes C est vrai je place tr s souvent un implant central A priori cette zone est fixe et ind formable alors qu il y a une d formation de l arc mandibulaire dans les zones post rieures la propulsion et l ouverture buccale les zones post rieures s cartent S il existe un endroit dangereux il se situe dans ces secteurs post rieurs Le point fixe qui ne varie pas est le milieu de la symphyse En revanche il ne faut jamais placer d implant m dian au maxillaire M La mise en charge imm diate que vous proposez avec la barre de conjonction est elle permise au motif qu elle immobilise les

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