Home

PDF - Union Nationale des Mutualités Libres

Contents

1. alit s Pre RTE SM Hubert 1 1150 Bruxelles Heatthlf HER F E a i j e Li C iu 5 A z 0 e ds Xavier B Bienes Uni Ed resp Xavier Brenez denan a Les Mutualit s Libres Faites connaissance avec les Mutualit s Libres Avec plus de 2 000 000 d affili s les Mutualit s Libres constituent le troisi me organisme assureur du pays Les Mutualit s Libres regroupent 6 mutualit s een slimme zet omnimut mutualit libre de wallonie DA Freie Krankenkasse Securex je human capital matters PARTENA D onafhankelijk ziekenfonds PARTENA MUT On vous simplifie la sant OZ Boomsesteenweg 5 2610 Antwerpen www oz be Omnimut Mutualit Libre de Wallonie Rue Natalis 47 B 4020 Li ge www omnimut be Freie Krankenkasse Hauptstrasse 2 4760 B llingen www frele be Mutualit Libre Securex Avenue de Tervueren 43 1040 Bruxelles www securex mutualite be Verenigde Natieslaan 1 9000 Gent Partena Ziekenfonds Sluisweg 2 bus 1 9000 Gent www partena ziekenfonds be Partenamut Boulevard Anspach 1 1000 Bruxelles www partenamut be Une occasion ne pas manquer Notre syst me de sant est bout souffle Depuis plusieurs ann es d j les signes de fin de r gime s ac cumulent et t moignent de la n cessit de lancer des chantiers ambitieux sur plusieurs fronts financement hospitalier soins aux per
2. Tableau 1 Pr valence de la consommation d antid presseur en fonction de l ge et dur e de traitement Impact sur les autres aspects des soins La consommation importante et croissante d antid presseurs dans la population belge est r guli rement m diatis e Les Mutualit s Libres ont analys l utilisation des antid presseurs dans un contexte plus large que le simple nombre de bo tes prescrites Des tendances se d gagent en mati re de premier prescripteur de comorbidit de suivi d une psychoth rapie ou d hospitalisations base de donn es administrative des affili s des Mutualit s Libres sur base du remboursement d au moins un antid presseur classe ATC NO6A en 2011 et du crit re d ge gt 18 ans Les m dicaments concern s peuvent avoir d autres indications que la d pression Pour des raisons de facilit le terme antid presseur a t retenu pour cette tude De m me un antid presseur rembours a t consid r comme ayant t consomm a population de l tude a t s lectionn e dans la 40 59 143 50 Population totale 12 6 La consommation d un antid presseur pendant plus de 120 jours a t consid r e comme proxy du diagnostic de d pression c est dire qu on a d duit que les personnes ayant ce type de consommation sont atteintes de d pression Une partie des analyses a compar les 2 sous populations de consommation de moins de
3. et que ce sont surtout les pathologies chroniques associ es qui font augmenter le co t Hospitalisation psy et autre MRS MRPA 23 00 22 40 3 50 D pression et D pression et hypertension diab te Graphique 2 Co t annuel moyen par personne des soins de sant en fonction de la pr sence d une d pression et d une maladie chronique Antid presseur population totale D pression et diab te D pression et hypertension D pression seule MLOZ totale Donn es 2010 Sans autre maladie chronique Calcul e sur base de la DDD dose journali re par conditionnement recommand e par l OMS pour l indication principale pour un adulte de 70 kg Cf Health Forum Septembre 2013 Ingrid Umbach Service Etudes amp Strat gie Mutualit s Libres CEE 26 M dicaments en maison de repos Optimiser la d livrance de m dicaments L importante et pas toujours ad quate consommation de m dicaments en maison de repos est r guli rement mise l index Dans une tude men e aupr s de leurs affili s les Mutualit s Libres constatent de fortes disparit s entre maisons de repos notamment au niveau de la d livrance d antid presseurs et d antipsychotiques Une r flexion globale sur les pratiques de prescription s impose tude des Mutualit s Libres E principalement pour but d analyser la consommation de m dicaments d livr s par les officines
4. savoir pourquoi Royal Doctors ne divulgue pas ces noms Nous ne souhai tons pas mettre les m decins en avant d clare Joris Vanvinckenroye Une telle communication devient rapidement trop commerciale et la plupart de nos m decins n appr cieralent pas Pour viter un afflux de patients nous pr f rons rester discrets Ph nom ne d entonnoir Philippe Van Wilder n en d plore pas moins le ph no m ne d entonnoir que Royal Doctors suscite selon lui Si 100 m decins sont sp cialis s dans une certaine intervention pourquoi ne renvoyer les patients que vers 1 2 d entre eux demande t il Joris Vanvinc kenroye y r pond en citant l exemple du cardiologue Pedro Brugada Selon nous il vaut toujours mieux frapper la porte de Brugada pour le syndrome de Brugada que chez quelqu un d autre Un patient qui nous contacte ne souhaite pas non plus que nous le renvoyions au petit bonheur la chance vers quelqu un que nous ne connaissons pas Nous fonctionnons donc un peu comme un guide Michelin Philippe Van Wilder a toutefois du mal avec cette comparaison J estime qu on ne peut pas appliquer un tel principe aux soins de sant Les soins de sant sont trop importants pour les faire d pendre d une appr ciation dont nous ne connaissons pas les cri t res Un syst me d toiles n est pas adapt une mati re aussi complexe pour laquelle il faut sans cesse aspirer davantage de qualit Ce mod le est d pass
5. parodontale et a un impact clair sur la sant g n rale Plus d attention pour les personnes besoins particuliers Les seniors g s de plus de 75 ans ont 3 5 fois plus de risques de souffrir de pneumonie La mauvaise hy gi ne dentaire est un des facteurs de risque majeurs a expliqu le Pr Joke Duyck g rodontologue de la KULeuven Un autre probl me soulev par le professeur sont les difficult s masticatoires li es une dentition en mauvais tat et la d nutrition et les retards cognitifs qui peuvent s ensuivre Joke Duyck a aussi voqu le projet pilote sur les soins buccaux pour les personnes besoins particu liers INAM et universit s Ce projet a mis en vidence les besoins criants en soins dentaires chez ces personnes g es ou atteintes d un handicap la plupart du temps d pendantes Parmi elles 9 sur 10 pr sentent une maladie parodontale Seuls 5 des adultes avec un handicap ont une dentition soign e IL faut une meilleure prise de conscience de l impor tance d une bonne sant bucco dentaire au sein des institutions de soins affirme Joke Duyck Cela vaut toujours la peine de soigner ses dents aussi g soit on De plus la pr vention est tr s simple des soins quotidiens suffisent Cr er la fonction de personne de r f rence en mati re de soins dentaires au sein des institutions ou mieux former les dentistes pour soigner ce type de patient sont deux pistes du projet pi
6. La capitale belge a une place part dans le paysage des soins Complexit institutionnelle diversit de la population et offre de soins concentr e en font un kal idoscope parfois difficile appr hender Quelles sont Les particularit s de sant des Bruxellois Quelle est Leur consommation de soins Au lendemain des lections un dossier pour d coder les enjeux bruxellois tel semble tre le portrait de Bruxelles Mais la r alit est plus fragment e Le taux de natalit de la capitale est plus lev que la moyenne belge avec 16 naissances pour 1 000 personnes ce qui explique le rajeunissement de ses habitants La situation est tr s variable d un quartier l autre les habitants les plus g s r sidant Ganshoren Les plus jeunes Saint Josse Ten Noode Comme capitale Bruxelles r unit plusieurs communaut s 28 des habitants n ont pas la nationalit belge avec des habitudes de vie et de soins multiples Un tiers des habitants de la capitale vit sous le seuil de pauvret 28 des Bruxellois ont un statut BIM b n ficiaire de l intervention major e soit un taux 2 fois plus important que celui de la Flandre et 1 5 fois plus important que celui de la Wallonie C t habitudes de vie la d pendance l alcool reste un probl me pr occupant en R gion bruxelloise un homme sur 3 et une femme sur 5 ont une consommation d alcool risque Rayon tabac c est Bruxelles que l on rencontre les plus gro
7. che consiste renvoyer les patients vers le bon m decin Notre syst me d accr ditation sert d s lors principalement d terminer en quoi un m decin est bon quel est son domaine de sp cialit Le CEO de Royal Doctors craint galement que les m decins croulent sous les questions des patients si leurs noms taient publi s Nos clients sont principale ment des assureurs et des entreprises Si toutefois nous rendons notre site commercial et transparent pour le grand public nous recevrons probablement des milliers de demandes par jour Nos m decins et nous m mes ne pourrions pas toutes les traiter Notre site est actuellement construit de mani re ce que nous ne recevions que 5 10 demandes de particuliers par jour De cette mani re les m decins sont ravis de travailler avec nous Philippe Van Wilder marque son tonnement En tant qu entreprise priv e vous n allez quand m me pas volontairement limiter les demandes 5 10 Je souhaiterais voir des chiffres relatifs la mani re dont votre entreprise organise les soins Vous devez quand m me pouvoir prouver que vos services sont de qualit Dans le cas contraire je ne vois pas la plus value Faire progresser l ensemble du secteur des soins En tant que Directeur tudes et Strat gie de l Union Nationale des Mutualit s Libres Philippe Van Wilder d fend une autre vision Nous plaidons pour un mod le au sein duquel nous divulguons un maxi mum d
8. dans la population totale e Le co t annuel de soins de sant par personne dans la population totale consommant un antid pres seur 4 479 est presque le double de celui des personnes atteintes de d pression sans patholo Proportion de patients avec psychoth rapie psychiatre en fonction de l ge et de la dur e de traitement e Le suivi d une psychoth rapie est fort influenc par le premier prescripteur lorsque la pres cription d antid presseur a t initi e par un sp cialiste 55 2 des individus suivent une psychoth rapie alors que chez le g n raliste ce pourcentage tombe 6 7 e Le nombre moyen de s ances de psychoth rapie sur l ann e tudi e est de 6 4 mais 50 des indivi dus ne b n ficient que de 4 s ances sur l ann e e L association d une psychoth rapie au traitement pharmacologique est plus era chez les gie chronique associ e 2 387 et comparable adolescents que chez les adultes un tiers des celui des personnes pr sentant une hypertension adolescents prenant un antid presseur b n ficient a a a ce d un traitement psychoth rapeutique ce qui est i g re que la pr sence de comorbidit s plus que la deux fois plus que les adultes consommation d un antid presseur influence le co t des soins de sant Graphique 1 Hospitalisations et s jours en MRS MRPA en fonction de la pr sence d une d pression et d une maladie chronique 34 30
9. s qui y sont li s Mais ces donn es sont contrebalanc es par le fait que pour ces mamans pratiquer l allaitement est une vidence Le taux d allaitement maternel exclusif la sortie de la maternit 9 mamans sur 10 est en effet nettement plus lev en R gion bruxel loise que dans les deux autres r gions du pays Les Bruxellois de nationalit marocaine pr sentent des taux de mortalit dans l ann e tudi e nettement plus faibles que la population belge Cette plus faible mortalit s explique en grande partie par des habitudes de vie globalement favorables la sant consommation r guli re de fruits de poisson faible consommation d alcool et de tabac Malgr a la sant des femmes marocaines et turques est alt r e par une fr quence lev e d ob sit et de diab te favo ris s par le manque d activit physique et certaines habitudes alimentaires constate t on l Observa toire de la sant et du social de Bruxelles Consommation des soins Si les Bruxellois se distinguent dans certains domaines de sant leur consommation des soins est aussi tr s particuli re La plupart des acteurs constatent un d s quilibre entre la premi re et la deuxi me ligne de soins Ainsi Bruxelles on visite moins le g n ra liste le nombre de contacts annuels moyen est de 3 9 en R gion bruxelloise alors qu il est de 4 7 en R gion flamande et de 4 5 en R gion wallonne Les m decins g n ralistes sont sur
10. tences transf r es C est Bruxelles que cette n cessaire coh rence des structures et des politiques de sant est particuli re ment aigu Parce que toujours pas garantie l heure de boucler ces lignes Ville de contrastes riche de ses sp cificit s Bruxelles n a fait l objet d aucune clarifica tion officielle quant la gestion future des comp tences transf r es et aux m canismes de coordination de ces politiques Pour les Mutualit s Libres il est grand temps que soient octroy s la capitale les moyens d impl menter les politiques de sant adapt es sa population Maintenant que la fi vre lecto rale est tomb e esp rons que nos responsables politiques vont pouvoir enfin s atteler l essentiel administrer au syst me de soins belges dans son ensemble les rem des qui assureront sa p rennit tout en pr servant la solidarit l accessibilit et la qualit des soins L encore cela implique d imaginer des solutions qui placent l int r t du citoyen lecteur au centre des pr occupations et ce aussi en p riode post lectorale Xavier Brenez Directeur G n ral de l Union Nationale des Mutualit s Libres R dactrice n chef eeeeececcececceecesc Health Forum Karima Amrous karima amrous dmloz be T 02 778 94 33 Coordination St phanie Brisson stephanie brisson mloz be T 02 778 95 11 Comit de r daction Karima Amrous St phanie Brisson Ann Ceuppens An
11. 120 jours et de plus de 120 jours Les r sultats marquants 198 783 personnes de 18 ans et plus 12 6 ont consomm un antid presseur en 2011 avec des diff rences importantes entre les groupes d ge moins de 4 entre 18 et 24 ans alors qu apr s 75 ans plus d une personne sur 5 est trait e avec un antid presseur Dur e de consommation e Pour l ensemble de la population la dur e moyenne de traitement sur l ann e 2011 est de 282 jours La dur e m diane nettement plus basse 175 jours traduit la grande disparit des dur es de traitement e Globalement 15 des individus n ont eu qu un seul conditionnement d antid presseur rembours e Chez les 18 24 ans une personne sur quatre n a t trait e que pendant moins d un mois Dans ce groupe d ge la dur e de traitement est ga lement plus courte et 70 sont trait s pendant moins de 6 mois alors que les diff rentes guide lines recommandent de poursuivre le traitement m dicamenteux pendant au moins 6 mois apr s la r solution de l pisode aigu e 1 personne sur 2 a pris l antid presseur pendant plus de 6 mois En consid rant que cette dur e de traitement signe un diagnostic de d pression cela signifie qu environ 6 ont pr sent une d pression ce qui correspond aux donn es pid miologiques belges pr valence de la d pression 5 8 Par contre la pr valence plus lev e au del de 75 ans surprend vu que des tudes sugg r
12. 18 90 16 10 3 20 Population MLOZ Population totale avec D pression sans globale gt 18 ans antid presseur maladie chronique Conclusions Au cours de l ann e 2011 12 6 des personnes ont consomm un antid presseur dont la moiti pendant plus de 6 mois Si l on consid re que cette dur e de traitement correspond un diagnostic de d pression cela signifie qu environ 6 des personnes ont pr sent une d pression ce qui est coh rent avec les donn es pid miologiques belges Chez les personnes g es la pr valence de d pression nettement plus lev e 12 interpelle on peut se demander si toutes les prescriptions d antid presseur sont appropri es Le recours la psychoth rapie est limit 15 alors qu elle est principalement pratiqu e par des psychiatres et donc rembours e Les pr jug s par rapport la psychiatrie pourraient l expliquer en partie Plus de la moiti des personnes consommant des antid presseurs pr sente aussi une patho logie chronique associ e Les donn es dont nous disposons ne permettent toutefois pas de pr ciser la relation entre la d pression et la maladie chro nique relation causale ou non effet de l ge etc Le co t moyen de soins de sant d une personne consommant un antid presseur est deux fois plus lev que le co t moyen par personne L analyse plus d taill e des co ts montre toutefois que la d pression seule ne constitue qu un facteur limit
13. Affaires Internationales christian horemans mloz be F lix Vanderstricht en compagnie d Ernest alias Papa Mutuelle collaborateur de Louvain Coop ration qui soutient les mutuelles sur le terrain m Consultation chez le gyn cologue Les mutualistes de Cobly avec F lix Vanderstricht Directeur de Louvain Coop ration et Christian Horemans et Xavier Brenez des Mutualit s Libres PETITS es Ce ms Ex li oh EE Le ere Nr ph mm d z Le HI dE ON DS Livret de micro cr dit mm R becca pr sidente de la mutualit N Dahonta Les Mutualites Libres renforcent encore leur soutien Depuis 2013 le r le des mutualit s belges dans la collaboration au d veloppe ment est reconnu Les autorit s souhaitent ainsi soutenir financi rement les projets de cr ation de mutualit s Les Mutualit s Libres se sont associ es aux Mutualit s Chr tiennes et Socialistes pour introduire un projet destin l aide au d veloppement des projets mutualistes dans 7 pays africains dont le B nin et le Togo Ce projet devrait se d rouler de mi 2014 2016 Les Mutualit s Libres renforcent ainsi leur engagement vis vis de ces jeunes mutualit s a i T a DA H 3 A Ri De Ridder particuliers ont ainsi t au c ur des actions de l INA MI dans le domaine de la sant dentaire Il faut passer d une approche passive repr sent e par les
14. am liorer la qualit et la s curit en faisant la promotion de l am lioration continue La plateforme na pas pour mission d inciter les h pitaux francophones utiliser tel ou tel organisme accr diteur mais elle va s efforcer de convaincre les h Un souhait continu d am liorer la qualit des soins J Quelles sont les premi res r actions des h pitaux par rapport l accr di tation Les h pitaux qui ont d j obtenu une accr ditation indiquent clairement que accr ditation a r ellement motiv l institution Impl menter la politique de qualit et de s curit des patients de mani re durable Une grande prise de conscience existe Ce niveau ainsi qu un souhait continu de poursuivre l optimisa tion de la qualit des soins Quels sont les frais directs li s l accr ditation que les h pitaux doivent prendre en charge Les frais directs li s l accr ditation sont unique ment les frais pay s par les h pitaux aux Instances d accr ditation Il est important de souligner que ce ne sont pas les seuls frais mais uniquement le sommet de l iceberg Les h pitaux investissent galement dans de nombreux autres l ments qui sont tout aussi essentiels et contribuent l obten tion d un label d accr ditation Nous pouvons par exemple penser un EPD un syst me de gestion des documents ou encore un manager pour diriger le processus pitaux de l atout de l accr ditation en termes
15. antipsy chotiques 53 des r sidents de MR consomment des antid pres seurs 36 des antipsychotiques contre respectivement 21 et 7 de l ensemble des affili s du m me ge c est dire en MR et domicile Ce constat confirme ce que nous trouvons dans la litt ra ture propos de la consommation d antid presseurs et d antipsycho tiques en MR et les d penses AMI en 2011 G n riques Originaux 0 20 De fortes variabilites On observe une grande variabilit entre les diff rentes institutions en mati re de consommation d antid presseurs et d antipsy chotiques En effet dans certains tablissements 90 des patients consomment des antid presseurs et 75 des antipsychotiques alors que ce taux est de respec tivement 29 et 5 dans d autres institutions Nous avons aussi examin dans quelle mesure les m dicaments prescrits pourraient tre consi d r s comme potentiellement inappropri s chez les personnes g es notamment en raison d ef fets ind sirables accrus L analyse a t r alis e sur base des crit res D penses AMI Prescriptions 40 60 80 28 Graphique 2 g es de 60 ans et plus concern es 60 50 40 30 20 10 0 de Beers et des crit res START STOPP m me s il faut noter que l utilisation de ces crit res ne fait pas l objet d un consensus ainsi que sur base du Formulaire MRS Farmaka Selon la list
16. continuer d fendre les int r ts de leurs membres La visite des Mutualit s Libres a permis d accentuer ce message Cette visite signait en outre le prochain chapitre de l histoire des mutualit s africaines la cr ation d une union nationale l instar des unions belges Lors d un s minaire Dapaong Togo Xavier Brenez Directeur G n ral de l Union Nationale des Mutuali t s Libres a fait une pr sentation sur le r le et l organisation d une union nationale en Belgique La pr sentation fut suivie par un d bat anim et de nombreuses questions des repr sentants des mutualit s et ONG locales Gr ce leur savoir faire les Mutualit s Libres esp rent pouvoir contribuer la cr ation et au fonctionnement de ces nouvelles unions nationales dans les prochaines ann es La mutualit un maillon socio conomique Dans ces r gions les mutualit s constituent un maillon important du r seau socio conomique des villages et communes La mutua lit permet en effet aux familles une certaine stabilit financi re gr ce laquelle les membres peuvent plus rapidement obtenir un micro cr dit pour acheter du mat riel agricole ou lancer un petit commerce Les t moignages sont nombreux celui d un apicul teur qui a pu acheter des ruches modernes ou encore celui d une femme qui peut subvenir aux besoins de sa famille gr ce son nouveau commerce d arachides Christian Horemans Expert
17. d penses AMI s explique par la nature m me de ces m dicaments g n ralement meilleur march Les m dicaments les plus chers pour l AMI sont ceux qui sont utilis s dans le traitement d une maladie rare o d un cancer Les m dicaments les plus pres crits en MR sont ceux qui agissent sur le syst me nerveux central le syst me cardio vasculaire et les anti infectieux Les premiers antid presseurs antipsycho tiques et analg siques opiac s principalement repr sentent 28 des m dicaments prescrits aux r sidents en MR les seconds diur tiques de l anse et b tablo quants principalement 23 et les derniers antibact riens et vaccins principalement 7 Chacun de ces 3 groupes de m dicaments a t prescrit plus de 80 des r sidents en MR Les m dicaments agissant sur le syst me nerveux central et le syst me cardio vas culaire repr sentent eux seuls pr s de 60 des d penses AMI et Quelques caract ristiques des affili s g s de plus de 70 ans en 2011 Non MRPA MRS MRPA MRS MRPA MRS RE O Graphique 1 Part des diff rents types de m dicaments parmi les prescriptions des tickets mod rateurs pour les m dicaments Le graphique 2 pr sente les m di caments les plus fr quemment d livr s en MR aux personnes g es de 60 ans et plus en com paraison l ensemble des affili s du m me ge Les carts sont particuli rement importants pour les antid presseurs et les
18. est l que l id e de Royal Doctors a germ savoir un r seau de bons sp cialistes dans diff rents sec teurs qui nous pouvons envoyer des patients Nous contr lons cette base de donn es en permanence et nous y avons li un mod le business Nous travaillons pour des assureurs et des entreprises mais le march des particuliers a galement marqu son int r t pour ces services Mod le sans transparence Philippe Van Wilder met des r ticences face ce mod le surtout face son manque de transparence J entends beaucoup d affirmations mais sans aucun fait ou chiffre pour les tayer Les soins de sant sont r Philippe Van Wilder Union Nationale des Mutualit s Libres Joris Vanvinckenroye Royal Doctors une mati re tr s complexe et la transparence est n cessaire pour garantir la qualit Pensons des projets comme l accr ditation et les indicateurs de qualit des h pitaux le Conseil National de Promotion de la Qualit etc Je ne suis donc pas du tout enclin simplement accepter des affirmations d acteurs non issus de la sant comme Royal Doctors surtout si les chiffres ne sont pas divulgu s d clare t il Joris Vanvinckenroye estime quant lui que les assureurs compl mentaires belges copieraient le syst me d accr ditation de Royal Doctors si leurs normes taient rendues publiques Il n y a pas que la qualit en elle m me qui compte Notre principale t
19. et manipulation ue faire quand on est victime ou t moin de harc lement moral au travail Comment se prot ger Comment se d fendre Avec une double approche psychologique et juridique ce livre apporte un ensemble de r ponses pratiques illustr es par des t moignages de vic times et des exemples d affaires jug es Rep rer le harc lement moral d s qu il sur vient ne pas se laisser isoler de ses coll gues contrer la manipula tion ou encore appor ANINE FRAMCCNSE CHAPERCN BENEDICTE LITZLER MARIE BDITH ALOUF HARC LEMENT MORAL AU TRAVAIL COMPRENDRE ET SE D FENDRE ter des preuves devant les tribunaux autant O piede PATRICK L GERON d exemples parmi les nombreuses strat gies 0 de d fense d velop odite 1 lsesb p es dans cet ouvrage Destin aux salari s aux employeurs aux professionnels de la sant cet ouvrage entend contribuer une meilleure compr hension du ph nom ne et par l m me une meil leure pr vention Harc lement moral au travail par Anne Fran coise Chaperon B n dicte Litzer et Marie Edith Alouf aux Editions Odile Jacob Des chiffres des chiffres des chiffres des donn es financi res et statistiques de la protection sociale en Belgique but d accro tre le bien tre des citoyens tandis que d autres visent avant tout la p rennit financi re du r gime Il s ensuit une volution rapide qui peut tre examin e sous diff r
20. pas li une accr ditation de l h pital Mais c est une tape int ressante L volution des mentalit s et les transferts de comp tences d une partie du syst me des soins de sant ont renforc l int r t pour l accr ditation et g n r de nou velles attentes Tant de la part du public et des organisations de consommateurs qui demandent une transparence des informa tions sur la s curit et la qualit des soins que de la part des mu tualit s des h pitaux ou des professionnels eux m mes qui d sirent am liorer leurs pratiques La Flandre pionni re La Flandre s est lanc e la premi re dans la qu te d une valuation objective de la qualit des soins dans ses h pitaux Elle a mis en place le projet Quality Indicators pour les patients et les professionnels du secteur hospi talier Cela consiste en un set de base de 34 indicateurs de qualit dans 5 domaines les soins de la m re et de l enfant l orthop die la cardiologie l oncologie et des l ments comme l hygi ne des mains et enfin les r admissions Espace prestataires Ces indicateurs doivent permettre aux h pitaux flamands d analyser leurs r sultats en mati re de qualit et de lancer des mesures d am lioration si n cessaire Un des objectifs explicites de l initiative est d am liorer la transparence des informations vis vis des patients afin de per mettre ces derniers d appr cier l implication des h
21. personnes g es pr f rent s jour ner en maison de repos Ajoutez cela les frais de logement lev s Bruxelles et Le choix est vite fait pour de nombreuses personnes En cons quence nous constatons que de nombreuses personnes non d pendantes s journent dans les maisons de repos en comparai son avec les deux autres r gions Celles ci pourraient tr s bien tre soign es domicile Il y a donc moins de place pour les seniors d pendants Pour offrir des solu tions aux personnes d pendantes nous devrons op rer des trans ferts structurels et d velopper des places en maisons de repos et de soins pour se concentrer sur les soins les plus lourds La 6 r forme de l tat confie notamment les soins aux per sonnes g es le support aux soins de premi re ligne et cer tains aspects de la politique hos pitali re aux entit s f d r es Vu les structures institutionnelles Bruxelles cela ne va pas tre simple d accueillir les nouvelles comp tences X B Bruxelles est d j un vrai casse t te institutionnel que personne ne comprend Demain d faut de simplifier les choses Photo Reporters www atomit mies cela risque d tre ing rable En mati re de sant les nouvelles comp tences seront partag es dans trois r gimes COCOF francophone VGC flamand et COCOM bicommunautaire Alors qu une approche r gionale et homog ne sera mise en place en Flandre et en Wallonie Br
22. publiques ou hospitali res leurs affili s r sidant en maison de repos MR en 2011 et de formu ler des recommandations pour une meilleure utilisation et gestion de ces m dicaments Les personnes ayant r sid moins de 3 mois en MR en 2011 et les m dicaments d livr s par l h pital des patients hospita lis s sont exclus de ces analyses Caract ristiques des La Belgique compte plus de 130 000 lits en maison de repos 22 000 r sidents de ces institutions sont affili s aux Mutualit s Libres soit pr s de 17 du nombre total de places en MR Plus de la moiti de ces personnes 56 r sident en maison de repos pour personnes g es MRPA les autres 44 en maison de repos et de soins MRS Pour les plus de 70 ans le tableau 1 pr sente quelques caract ristiques qui distinguent les affili s r sidant en MR des affili s non institution nalis s Quelques constats e Ind pendamment du type de MR les personnes institution nalis es sont en moyenne plus g es de 7 ans et majoritaire ment des femmes En outre les MR accueillent proportionnel lement plus de r sidents avec un statut social pr caire statut BIM et plus de veuf ve s e Le taux de mortalit des affili s en MR durant l ann e tudi e 2011 est particuli rement important compar celui des affili s non institutionnalis s 21 vs 5 Ce taux augmente avec le degr de d pendance 39 des r sidents qui pr sentent
23. selon moi propos recueillis par Steven Vervaet steven vervaet mloz be Maladie g n tique rare d crite par les fr res Pedro et Josep Brugada a i Espace prestataires Coupidetioudre la maison de repos Les liaisons amoureuses et La sexualit sont encore des sujets tabous en maison de repos Dans des structures m dicalis es rythm es par les soins et marqu es par la d pendance de nombreux pensionnaires la notion d intimit ne va pas de soi n y a pas d ge pour tomber amoureux Germaine et Andr se sont rencontr s en maison de repos 76 et 85 ans ils ont d cid de se marier Deux r sidents qui unissent leurs solitudes Pas uniquement ils s aiment Le ph nom ne des amours tardives reste pourtant tabou poids des conventions sociales g ne des enfants pudeur sur la question de la sexualit Et sp cifiquement en maison de repos Ces derni res n accordent en effet que peu ou pas de place aux relations amoureuses Plus particuli rement encore pour les nouveaux couples qui se forment au sein de l tablissement La quasi absence de formation des profession nels ainsi que le poids de leurs propres tabous Entretien avec une infirmi re en chef ous avons tous besoin de tendresse am nent de nombreux soignants adopter des comportements limitant l autonomie et la libert des personnes g es s paration des couples accepta tion des couples limit e aux
24. soins cu Xavier Brenez SYMPOSIUM 18 03 2014 Dents soign es sant pr serv e Quel est le lien entre hygi ne buccale et sant globale Comment les maladies parodontales influencent elles d autres affections comme le diab te ou les maladies cardio vasculaires Comment atteindre certains publics Ces questions taient au c ur du dernier symposium organise par les Mutualit s Libres la mi mars 2014 Cet apr s midi de d bat et d changes sur Le th me de la sant dentaire a rassembl une centaine de dentistes m decins g n ra listes repr sentants d institutions de soins et d universit s le dentiste tandis que 25 n y vont que rare ment ou Jamais Avec ces chiffres Xavier Brenez Directeur G n ral des Mutualit s Libres a introduit l apr s midi en rappelant que malgr les avanc es des soins de sant et Les protections financi res il y avait encore des progr s faire en mati re d accessibilit aux soins Notamment en investissant encore plus dans la pr vention sur tout aupr s de certains publics Xavier Brenez a aussi insist sur l impor tance de d cloisonner les soins pr ventifs et cura tifs mais aussi les soins dentaires et la sant globale IL faut une approche int gr e des soins et notamment une vision globale et multidisciplinaire des maladies chroniques S euls 30 des Belges vont une fois par an chez Le dentiste un prestataire de premi re ligne Ri De Ri
25. a non seulement am liorer la qualit de vie des personnes g es mais peut aussi allonger le temps de vie Parce que comme le dit Germaine Aimer a permet de se sentir vivant Pascale Janssens pascale janssens dmloz be Espace prestataires G rontologue l asbl Le Bien Vieillir Sensibiliser et former 99 La sexualit en maison de repos est ce vraiment encore un sujet tabou En effet c est encore toujours quelque chose d impen sable pour les quipes soignantes en g n ral mais galement pour certains r sidents De nombreuses personnes pensent encore que la sexualit s teint avec la vieillesse Mais les mentalit s commencent tout doucement changer On peut le remarquer l augmentation de la participation nos formations Vous donnez des formations sp cifiques sur la sexualit des personnes g es Depuis 2 ans la participation est en constante aug mentation Des directeurs de maisons de repos nous demandent r guli rement des formations en institu tion pour le personnel soignant car ils sont form s pour r pondre aux besoins de base comme les soins et qu il est difficile pour eux d imaginer que ces corps vieux et malades puissent encore tre des objets de d sir Pour les personnes atteintes d Alzheimer ou de d mence le probl me de la sexualit n est il pas plus aigu Les probl mes sont vidents Ces personnes souffrent souvent de d sinhibitions li es la malad
26. a sant d une partie des politique avec des ministres qui habitants de Bruxelles On com es doivent tre les maillons forts de prend donc ais ment pourquoi cette gouvernance pr cise t elle ces domaines doivent tre appr Cela ne se passe pas comme a hend s ensemble Bruxelles parce que les ministres de la sant ont une casquette sant tr s minime L enjeu avec le transfert La sant dans toutes les politiques de comp tences est de faire remonter la sant au niveau r gional Le saupoudrage entre commissions La sant doit tre au centre de toutes les politiques communautaires emp che la coh rence Comment publiques Une recommandation majeure lanc e par esp rer int grer la sant dans toutes les politiques si l Organisation mondiale de la Sant en 2010 et reprise on n a d j pas une politique de sant s interroge par l Union europ enne Cela signifie que la sant et le professeur de sant publique M me son de cloche le bien tre des citoyens doivent tre des l ments chez Luc Detavernier expert mati res r gionales aux cl s dans l laboration des politiques conomie et Mutualit s Libres Aujourd hui les comp tences emploi logement alimentation agriculture duca de sant Bruxelles sont morcel es entre plusieurs tion o encore transports sont autant de domaines ministres ce qui rend la coh rence difficile et emp che concern s par la sant une attention suffisante pou
27. ali res leur volu tion n cessaire l inspection ou encore la question des indicateurs et leur publicit Un budget a t octroy pour concr tiser ce projet et dont une partie a t confi e aux f d ra tions hospitali res afin d op rationnaliser un des axes du plan Bruxelles un budget de 65 000 euros a t consacr en grande partie une tude interuniversitaire afin de savoir quel syst me installer Bruxelles afin d arti culer l inspection les normes d agr ment et l accr ditation Quelles sont les difficult s rencontr es dans le fonctionnement de la plateforme La premi re difficult r side dans la vari t des acteurs au sein de la plateforme il faut pouvoir g rer la multitude d int r ts parfois divergents de r seaux ou de profils Mettre tout le monde d accord sur une s rie de choses prend beaucoup de temps et d nergie La deuxi me difficult provient du fait que la th matique de la qualit et de la s curit et en particulier de l accr ditation est relativement peu connue dans le secteur Cela engendre une s rie de craintes d interrogations ou de fausses id es Il y a donc un gros travail de communication et d information livrer Enfin la plateforme doit assurer l inventaire et la coordination de toutes les initiatives existantes Il faut donc articuler tout a pour que les h pitaux puissent profiter d une offre claire et coh rente en fonction des besoins As
28. ance de nombreux pensionnaires la notion d intimit ne va pas de sol e e e e e G e e e e e e e e e CF M La consommation importante et croissante d antid presseurs est r guli rement m dia tis e Les Mutualit s Libres ont analys l utilisation des antid presseurs dans un contexte plus large premier prescripteur co morbidit s suivi d une psychoth rapie ou hospitalisations quelles sont les tendances Le saviez vous Face au cancer la solidarit avant tout Grau exclure de la s curit social ou ne plus rembourser le traitement de leur cancer du poumon Dans cette logique d exclu sion on pourrait aussi viser tous ceux qui ont des kilos superflus 30 50 de la population adulte Ajoutons y tous ceux qui boivent plus d un verre de boisson contenant de l alcool par jour Sans oublier i tous les adeptes du bronzage Bref une s curit sociale b tie sur de tels principes ne concernerait plus grand monde La solidarit est indispensable face aux cancers solidarit du grand public pour nous aider financer la recherche solidarit des pouvoirs publics pour rembourser des traitements impayables pour les particuliers solidarit des soignants pour travailler en quipes pluridisci plinaires solidarit des familles et des proches autour des malades solidarit des patients entre EUX La Fondatio
29. aquelle le patient doit se rendre l tranger pour ces soins La proc dure en bref Lorsqu un accord pr alable est requis le m decin conseil value la demande Un accord pour des soins ambulatoires n est possible que si le paquet assur belge reprend la prestation et que le traitement ne peut pas tre r a lis dans un d lai raisonnable en Belgique En cas d hospitalisation un accord peut tre donn si ces conditions sont remplies ou si le traitement figure dans le paquet assur et peut tre r alis dans de meilleures conditions m dicales l tranger Si le patient n obtient pas l accord et se fait quand m me soigner l tranger aucun remboursement charge de l assurance maladie invalidit belge n est possible Formulaire ou pas Les proc dures sont diff rentes lorsque le m decin conseil donne un accord Concr tement e S il s agit d un h pital public un formulaire europ en S2 est d livr Le patient ne paye que le ticket mod rateur et le reste de la facture est directe ment transmis la mutualit belge selon les tarifs du pays de traitement e S il s agit d un h pital ou d un prestataire priv aucun for mulaire europ en n est d livr et le patient doit payer l int gralit du montant lui m me pour ensuite en demander le remboursement sa mutualit belge selon les tarifs belges R gles particuli res dans les r gions frontali res Les r
30. athologies chroniques les plus fr quem longue et ce dans toutes les tranches d ge ment associ es la prise d antid presseurs sont e Par ailleurs quelle que soit la dur e de traitement l hypertension 39 4 et le diab te 11 2 Pour la part d individus suivant une psychoth rapie ces deux pathologies chroniques une analyse des diminue fortement avec l ge Au del de 75 ans hospitalisations des s jours en MRS MRPA et des la psychoth rapie devient anecdotique 2 co ts des soins de sant a t r alis e pour les personnes pr sentant une d pression dur e de consommation d antid presseurs de plus de 120 jours e Le taux d hospitalisation a doubl 34 3 vs 16 1 dans la population des individus consommant un antid presseur par rapport la population globale 24 1 et le nombre de s jours en MRS MRPA est 40 RU PR e La depression seule sans maladie chronique est 17 4 associ e une augmentation des hospitalisations 7 8 18 9 vs 16 1 et une diminution de plus de la 2 0 moiti des s jours en MRS MRPA 1 3 vs 3 2 e Lorsque la d pression est associ e une hypertension ou du diab te on observe une aug mentation des hospitalisations et des s jours en MRPA MRS Ceci peut s expliquer par le fait que ces pathologies chroniques concernent surtout les sujets plus g s e La d pression sans comorbidit engendre un co t moyen 30 plus lev que le co t annuel moyen des soins de sant
31. ative de l OMS L objectif tier Le suivi du projet ville sant est assur par est de permettre aux citadins de participer l am l Observatoire de la sant et du social de Bruxelles lioration de leur sant afin de r duire les in galit s L objectif est de travailler au niveau institutionnel de sociales en sant de favoriser la coop ration trans d gager des leviers pour permettre des initiatives versale entre organismes et institutions transport d tre tendues l ensemble des quartiers Avec le emploi environnement etc ou encore d uvrer but final d agir sur les d terminants de sant et ce que les diff rentes politiques men es sur le terri d appliquer le principe de la sant dans toutes les toire r gional soient respectueuses de la sant pu politiques blique Quelques projets locaux ont vu le jour O Bruxelles comme la r ouverture d une piscine Observatoire de la sant et du social de Bruxelles Miguel Rwubu mrwubufdccc irisnet be pa m ER Ta F aY a at l D Tr a 3 Les classements internationaux placent le syst me de sant belge de fa on avantageuse par rapport aux autres pays europ ens Pourtant jusqu r cemment aucune valuation objective ne venait tayer cette id e de la qualit des soins dispens s l h pital Un fait relev par le KCE en 2008 Depuis Lors Les choses ont volu favorablement tant au nord qu au sud du pays ette lacune
32. be Dossier q TE llhn od l hour E Diele Parler de soins de sant bruxellois est compliqu Notre capitale est tr s complexe et diff rents syst mes de sant y cohabitent avec des budgets in gaux et insuffisants La 6 r forme de l tat vient compliquer la donne et soul ve la question du mod le bruxellois Chiffres l appui Xavier Brenez Directeur G n ral de l Union Nationale des Mutualit s Libres tente de d tricoter l cheveau bruxellois quoi ressemble le paysage des soins bruxellois actuel Xavier Brenez C est un paysage tr s particulier La pr carit y est importante Un tiers des habitants vivent sous le seuil de pauvret soit 2 fois plus que dans les autres r gions Tant en ce qui concerne les affections chro niques que psychiques Bruxelles est en t te Alors que les chiffres de LINAMI indiquent une forte sous consommation des soins de premi re ligne plus de la moiti des Bruxellois n ont par exemple pas de m decin g n raliste et les soins domicile sont peu utilis s en comparaison avec le reste de la Belgique En cas de probl mes de sant la population bruxelloise a plus tendance se rendre direc tement chez un sp cialiste ou l h pital en raison notamment de l importante offre d h pitaux et de soins sp cialis s Bruxelles et du fait que certaines populations ne recourent pas au m decin g n raliste Les soins sont ils plus chers Bruxe
33. couples mari s refus de couples homosexuels Tabou Le probl me ne vient pas uniquement des membres du personnel mais galement des regards d sap probateurs des autres r sidents et souvent de la famille Il est difficile pour une famille d imaginer que leur m re leur p re ou leur grand m re puisse redevenir une femme un homme par une nouvelle 29 Fran oise est infirmi re en chef dans une maison de repos Elle est confront e r guli rement des cas de rapprochements affectifs au sein de son tablissement La Direction de votre tablissement est elle sen sible aux amiti s amoureuses ou la sexualit Non pas du tout Tout rapprochement ou toute amiti amoureuse sont r prim s Nous avons eu quelques cas mais pour certains de gros probl mes de Jalousies entre pensionnaires sont apparus et pour d autres la famille tait tout fait oppos e La Direction a donc d cid de bannir tout comporte ment quivoque dans la maison de repos Je trouve cela dommage Vous avez une longue carri re Les autres tablis sements adoptaient ils le m me comportement J ai travaill dans un tablissement priv o les relations amoureuses et m me la sexualit taient tol r es Les infirmi res avaient t sensibilis es par la psychologue l assistante sociale et moi m me afin de respecter l intimit de chacun en frappant par exemple la porte et en patientant quelques instants avant d entrer L
34. d d adh rer aux initiatives f d rales notamment le contrat coordination de la qualit et de la s curit des soins et du patient du SPF Sant publique n ayant recu aucune directive en mati re de processus d accr ditation de la part des au torit s wallonnes Pour alimenter la r flexion la f d ration Wallo nie Bruxelles a commandit en 2013 une recherche cibl e sur la pr paration des h pitaux l accr ditation qui a abouti la r daction d un guide en la mati re Sur le terrain individuellement certains h pitaux ont pris contact avec des organismes d accr dita tion reconnus D autres projets et initiatives ont t d velopp s par les diff rents acteurs du monde des soins de sant mais aucune coordination entre les diverses initiatives n avait lieu jusqu pr sent Une plateforme francophone Fin 2012 les mutualit s les organisations repr sentatives des h pitaux francophones les coles de sant publique de 3 grandes universit s UCL ULB et ULg ainsi que les autorit s r gionales et l association francophone des m decins chefs ont d cid de mettre en place une plateforme de concertation pour l accr dita tion des h pitaux francophones de Belgique Plateforme Am liora tion continue Qualit des soins et S curit des patients PAQS La vision de cette plateforme franco phone est tr s claire apporter un soutien aux h pitaux et h pitaux psychiatriques en vue d
35. dans les centres m di caux depuis que le co t n est plus un obstacle Ils prennent ainsi davantage leur sant en mains Les femmes jouent un r le par ticuli rement important car ce sont souvent elles qui prennent la d cision d affilier la famille une mutualit Elles sont galement bien repr sent es l assembl e g n rale des mutualit s l organe qui d cide de la couverture m di cale et du montant de la cotisation Malgr tout les d fis sont encore nombreux Pour convaincre de nouveaux membres de s affilier la mutuelle trois visites ou plus sont en effet souvent n cessaires Une sensibilisation continue est indispensable pour persuader les membres affili s de continuer payer leur cotisation Cette cotisa tion s l ve environ 2 euros par personne soit un effort financier cons quent pour la population locale m me si une r duction de cotisation est pr vue lorsque toute la famille s affilie Les affiliations se d roulent de janvier mai les familles disposant de plus de moyens cette p riode suite aux r coltes Une union nationale comme prochaine tape Tant au B nin qu au Togo plusieurs programmes de d veloppement officiels et projets de financement publics se sont r cemment cl tu r s La population locale s est donc demand si les mutualit s locales allaient subir le m me sort Les mutualit s locales ont bien insist sur leur p rennit et leur souhait de
36. dder Directeur g n ral soins de sant UINAMI a poursuivi sur la m me lanc e en reve nant sur les grandes priorit s de l INAMI publi es l occasion des 50 ans de l assurance maladie invalidit Pour lorga nisme public l assurance maladie doit tre un des moyens pour r aliser de vrais objectifs de sant globaux Des actions de sensibilisation l enre gistrement des donn es et l attention aux soins des personnes besoins rateurs une d marche proactive via la pr vention a annonc Ri De Ridder Apr s avoir rappel les pro gr s remarquables observ s dans les soins dentaires pour les moins de 18 ans Ri De Ridder a soulev les in galit s sociales en termes d acc s aux soins et le report de la visite chez le dentiste en cas de difficult s financi res Ce qui l a amen poser la question de la place de l accord de convention au sein de la pro fession dentaire et du manque de transparence des tarifs Il sugg re donc quelques pistes pour avancer dans ce domaine donner plus de poids l accord de convention se concentrer sur certains publics cibles positionner le dentiste en premi re ligne soutenir les m tiers d assistants et hygi nistes dentaires et investir dans MyCareNet Maladies parodontales un facteur de risque majeur Mich le Reners parodontologue et pr sidente de la F d ration europ enne de Parodontologie a ensuite clair l auditoire sur l influence des maladies paro
37. de recherche permanente de la qualit et de la s curit La plateforme a rencontr les 3 organismes accr diteurs les plus impor tants du march Accr ditation Canada International ACI Haute autorit de Sant HAS et Joint Commission Inter national JCI Afin de sensibiliser les d cideurs hospitaliers les m de cins le personnel soignant mais aussi les autres acteurs hospitaliers la plateforme de concertation sur l accr di tation a planifi des activit s scientifiques principalement des formations pour 2013 et 2014 Le but est de sensibili ser les intervenants l utilit du processus d accr ditation non seulement pour l h pital mais aussi pour la collectivit De l action Si au niveau des h pitaux on est en phase d veil au niveau politique wallon la probl matique de la qualit des soins l h pital a enfin d pass le stade de la d claration d inten tion puisque un budget sp cifique sera octroy pour une dur e de trois ans 190 000 euros par an sur 3 ans La qualit des soins est entr e dans les faits via d abord le plan qualit des soins en ao t 2013 et dans la feuille de route du plan Marshall 2022 Soutenir l innovation et la qualit dans les h pitaux notamment au travers d une d marche d accr ditation Cela d coule de la 6 r forme de l Etat qui pr voit que la r glementation du contr le de la qualit et l valuation de la qualit des soins deviennent u
38. dontales sur la sant g n rale et sur les mala dies syst miques La parodontoloque a expliqu en d tail le m canisme qui conduit dune maladie parodontale l infection d autres parties du corps Mich le Reners a d fini la maladie parodontale comme une maladie bac t rienne inflammatoire et multifactorielle qui d sorganise l quilibre buccal principalement caus e par la plaque den taire De nombreuses tudes d montrent l influence d une maladie parodontale sur le reste du corps IL faut avoir conscience que les maladies parodontales sont fr quentes a expliqu Mich le Reners 95 de la population en souffre ou va en souffrir cela peut tre une simple gingivite mais aussi une maladie parodontale plus s rieuse L impact est significatif sur les co ts de soins de sant D o l importance l ENEL SORTE k ET TE i i Mn m aj Mich le Reners _ d un bon d pistage par le dentiste Le DPSI Indice de Sant Gingivale et Parodontale est cet gard un tr s bel outil encore trop peu utilis cet examen syst matique de la gencive et du parodonte permet de d tecter si une maladie parodontale est pr sente et d valuer sa gravit Il est important aussi pour la parodontologue d investir dans une ducation du pa tient approfondie pour l aider et l accompagner dans ses soins dentaires Il faut donc penser d pistage et ducation un traitement correctement effectu am liore la sant
39. e chiffres La Belgique compte environ 30 000 m decins Nous souhaitons travailler avec l ensemble de ce corps m dical et pas seulement avec un petit pourcentage Lafflux des malades chroniques ne fait que compliquer les soins de sant il est d s lors essentiel de faire progresser l ensemble du secteur Pensons par exemple au Dossier M dical Global et aux indicateurs de qualit des h pitaux tablir un tel indicateur est tr s difficile et surtout d licat C est pourquoi il faut mesurer et suivre avec des instru ments valid s pour ne pas se tromper Si n cessaire diff rentes parties doivent galement contr ler le syst me En un mot un mod le plus complexe que ce que je peux lire sur le site de Royal Doctors Une position avec laquelle Joris Vanvinckenroye n est pas d accord Vous d peignez un cadre plus large Si seulement les soins dans notre pays taient totale ment transparents et chaque patient suffisamment inform pour savoir ce qu il doit faire La r alit est toute autre et c est l que nous intervenons En Bel gique le patient dispose d une grande libert et s il estime qu il n est pas bien aid il peut nous contacter afin d tre renvoy vers les bons soins C est ce que nous faisons et a fonctionne De cette mani re Royal Doctors fait galement des conomies selon Joris Vanvinckenroye Un patient qui consulte le bon sp cialiste arr te de chercher Il y a galement d autres avantages Un d
40. e de Beers au moins 1 r sident sur 5 re oit un antid presseur consid r comme inappropri et seulement 1 r sident sur 10 re oit un anti d presseur s lectionn par le Formulaire MRS D apr s la liste START STOPP un antid presseur tricyclique est prescrit dans une situation inappropri e chez au moins 4 r sidents sur 10 M dicaments plus fr quents en MR en 2011 en de personnes linstitutionnalisation sur la consommation de m dicaments L entr e en MR accro t la probabilit de consommer au moins un m dicament la part des r sidents en MR prenant au moins un m dicament au cours des 6 premiers mois suivant linstitutionnalisation s l ve 99 alors qu elle tait de 93 au cours des 6 mois avant l entr e en MR Bient t la tarification l unit 46 MR gt 60 L Tous les affili s gt 60 e En outre l institutionnalisation ne diminue pas la polym di cation qui est d j importante avant l entr e en MR Les patients institutionnalis s ont tendance prendre une plus large gamme de m dicaments appartenant diff rentes classes th rapeutiques e Par ailleurs l entr e en MR a un impact tr s significatif sur la part de la population trait e par antipsychotique 81 et antid presseur 34 et sur leur consommation journali re moyenne mesur e en doses Ces derniers mois plusieurs initiatives visant augmenter la qualit des soins dans les maison
41. ellois Les affections et maladies sont multiples Les principales dif f rences par rapport aux autres r gions sont surtout li es aux conditions de vie d une partie des habitants de la capitale e Un quart des Bruxellois souffre de maladie chronique une proportion plus lev e que dans les deux autres r gions mais semblable Anvers et Gand e Les maladies cardiovasculaires sont respon sables d un tiers des d c s dans la popula tion mais la R gion bruxelloise est parmi les r gions qui enregistrent un taux de mortalit cardiovasculaire le plus faible d Europe e Le cancer est la cause d un quart des d c s Bruxelles e La tuberculose tue 28 habitants sur 100 000 Bruxelles et y est 3 4 fois plus lev e qu en Wallonie et en Flandre Ceci s explique en partie par la pr sence de populations originaires de pays haute pr valence de tuberculose e En mati re de sant mentale la situation est plus d favorable en R gion bruxelloise 34 des personnes sont en difficult psycho logique contre 29 en R gion wallonne et 23 en Flandre e Les troubles d pressifs sont aussi proportion nellement plus fr quents en R gion bruxel loise 14 que dans les deux autres r gions 8 en R gion flamande 11 en Wallonie e En 2007 on a enregistr 154 d c s par sui cide Pour les femmes le taux de suicide en R gion bruxelloise est parmi Les taux Les plus lev s d Europe WWwW observatbru
42. en mati re de C mesure de la qualit restait tonnante puisque des outils d audit externe de la qualit dans les h pitaux taient disponibles certification ISO mod le EFQM accr ditation Depuis quelques ann es la situation a volu favo rablement diff remment selon les niveaux de comp tence et les r gions Le f d ral a mis en place plusieurs dispositifs qui contri buent la qualit des soins Les coll ges de m decins les contrats coordination de la qualit et de la s curit des soins et du patient l enregistrement obligatoire des infections nosocomiales Qualit et s curit Les contrats coordination de la qualit et de la s curit des soins et du patient constituent une ap proche structurelle de la qualit et de la s curit du patient l h pital Ils ne sont pas obligatoires mais actuellement 91 des h pitaux belges ont sign un contrat avec le SPF Sant publique afin d utili ser et d valuer les indicateurs de qualit et de s curit L utilisation effective de ces indicateurs et le respect du contrat sont v rifi s annuellement Cette initiative jouit d un budget global de 7 2 millions d euros qui est r parti entre les h pitaux signataires via le Budget des Moyens Financiers Un second plan tal de 2013 2017 met l accent sur l auto valuation l am lioration des processus et une valuation externe du fonc tionnement hospitalier Ce contrat n est
43. ent plut t une diminution de l incidence de la d pression chez les plus g s e Les femmes sont trait es plus souvent que les hommes ce qui correspond l pid miologie Elles sont aussi trait es plus longtemps Classes d antid presseur prescrites Sans surprise ce sont les inhibiteurs s lectifs du recaptage de la s rotonine ISRS qui sont consom m s le plus souvent et Le plus longtemps Premier prescripteur Le premier prescripteur est identifi par le premier remboursement d un antid presseur pour l ann e 2011 Les qualifications des prestataires ont t z rA Premier prescripteur d antid presseurs en fonction des tranches d ge regroup es g n ralistes psychiatres neurologues m decine interne et divers Pour les hospitalisations le prescripteur n est pas repris syst matiquement dans nos donn es e 75 des traitements avec un antid presseur sont initi s par un g n raliste La proportion des pre mi res prescriptions par un g n raliste augmente avec l ge des patients 80 des traitements ini ti s partir de 75 ans tandis que le ph nom ne inverse est observ pour la prescription par un psychiatre 21 des traitements initi s entre 18 et 24 ans e La classe d antid presseur prescrite varie en fonction du prescripteur les g n ralistes et les internistes prescrivent avant tout des ISRS alors qu l h pital c est principalement la classe autres antid
44. ents angles Mais comment la montrer mieux que par des chiffres Les recettes les d penses le nombre de personnes coti santes ou b n ficiaires constituent une mesure de la dimension des dispositifs de protection sociale mis en place et donc en quelque sorte une image de ceux ci L objectif de cette publication est de refl ter le paysage social belge de fa on constituer un Vade Mecum de la protection sociale en Belgique Il est destin non seulement aux sph res politiques du pays mais aussi toute personne int ress e par le sujet et en qu te d informations sur le secteur a s curit sociale subit sans cesse des modifications Certaines ont pour http www socialsecurity fgov be taper vade mecum par Pascale Janssens pascale janssens mloz be ars d bats qui ter len e dossiers th matiques d tudes b uitement ou abonnez vos coll c E T D Am liorez votre quilibre vie priv e et professionnelle tout en gardant le contact avec les patients M decin conseil Votre profil Vous tes m decin Vous avez le contact facile et les probl mes m dicaux et sociaux des patients vous int ressent Vous poss dez les comp tences de mana gement n cessaires pour pouvoir collaborer facilement avec le personnel administratif et param dical Vous disposez d une certaine exp rience cli nique Une formation en m decine d assurance ou une aut
45. gions frontali res sont un cas part Le m decin conseil peut en effet donner un accord sans devoir motiver sa d cision aux assur s qui n habitent pas plus loin qu 15 km de la fronti re pour une admission dans un tablissement de soins qui se situe dans le pays voisin moins de 25 km de la fronti re d avec la r gion transfrontali re o le patient est domicili Attention ce n est possible que sil n y a pas d tablissement belge similaire proximit Les habitants de la communaut germanophone b n ficient galement de ce r gime particulier Les projets transfronta liers existants ne changent pas Christian Horemans et Chris Van Hul Experts Mutualit s Libres Fonds sp cial de Solidarit et soins l tranger nouveaut s Jusqu pr sent le Fonds sp cial de Solidarit FSS en cas de traitement l tranger ne pouvait intervenir que pour les co ts du transport et du s jour et pas pour des soins m dicaux Depuis mars 2014 le Coll ge des M decins Directeurs INAMI peut aussi accepter une intervention pour des prestations m dicales pour lesquelles aucun remboursement n est encore pr vu dans la r glementation belge La condition est que la prestation doit tre digne d int r t et cumuler les crit res suivants tre on reuse avoir une efficacit et une valeur scientifique reconnue ne plus tre en phase exp rimentale viser traiter une maladie qui menace les fonct
46. ie et pour raient tre alors victimes d autres patients comme par exemple certains attouchements Dans ce cas on recommande en g n ral aux quipes soignantes d observer et de voir si la personne souffrant d Alzhei mer prouve du plaisir ou pas et si c est le cas la laisser profiter de ce rapprochement Par contre si c est l inverse il faut bien s r ne pas laisser faire Pour plus d information concernant les formations www lebienvieillir be 20 Espace prestataires Soins transfrontaliers mode d emploi La directive europ enne relative aux soins transfrontaliers est entr e en vigueur le 25 octobre 2013 Mais dans la pratique cette nouvelle r glementation a amen de La confusion encore plus dans les r gions frontali res Pour s y retrouver voici Les principales r gles Accord pr alable ou non En cas de soins ambulatoires courants au sein d un autre tat membre le patient n a pas besoin de l accord pr alable de la mutua lit Il avance les frais m dicaux et en demande ensuite le rembour sement sa mutualit belge selon les tarifs et conditions belges En cas d hospitalisation ou de soins ambulatoires on reux o qui requi rent des appareils de haute technologie le patient doit obtenir l accord de sa mutualit avant le d but du traitement La demande crite doit toujours tre accompa gn e d un rapport m dical dans lequel un sp cialiste pr cise la rai son pour l
47. ions vitales du patient ne pas avoir d alternative acceptable et tre prescrite par un m decin sp cialiste Le FSS continuera aussi intervenir pour les co ts de transport et de s jour mais uniquement pour les cas identifi s comme digne d int r t et pour Les d placements de plus de 350 km vol d oiseau depuis Bruxelles quel que soit le lieu de r si dence sauf pour le transport m dicalis Enfin il est important de noter que toutes les demandes doivent tre approuv es par le Coll ge avant le traitement Nos tudes en un coup d oeil 1 1 des affili s des Mutualit s Libres qui consomment le plus en soins de sant concentrent eux seuls plus de 27 des d penses rembours es Concentration des d penses en soins de sant Compte tenu des avantages de la prise en charge domicile tant financiers qu en termes de confort pour le patient les Mutualit s Libres demandent que les montants conomis s par l assurance maladie suite notamment la modification des modalit s de rem boursement des m dicaments sp cifiques 5 2 millions d euros par an soient consacr s au soutien des aidants proches Ces aidants permettent en effet Le maintien domicile des patients et favorisent Le bon suivi du traitement lt Maladie d Alzheimer Impact des mesures de limitation de remboursement des m dicaments Par Pascale Janssens pascale janssens dmloz be 22
48. liste avant de se rendre aux urgences contre 2 en Wallonie et 1 en Flandre Enfin selon la F d ration des Maisons m dicales 1 Bruxellois sur 10 se fait soigner en maison m dicale Il existe dans la capitale presque 50 maisons m dicales qui doivent parfois refuser des patients ou faire face une p nurie de prestataires de soins de premi re ligne Un manque de professionnels qui est aussi mis en avant par d autre intervenants Dans son plan strat gique 2011 2075 Huis voor Gezondheid un organisme qui sert de point de contact pour les prestataires de soins bruxellois n erlandophones rappelle les probl mes de recrutement auxquels doivent faire face certaines institutions de soins il manquerait 1 841 temps plein en personnel infirmier d ici 2015 Bruxelles Toutes ces donn es clairent bien la difficult de cerner le secteur de la sant dans la capitale belge Un paysage tr s contrast et multidimensionnel qu il est difficile de couler dans un mod le fig cela s ajoutent par une fragmentation des institutions poli tiques et des interrogations face aux cons quences de la 6 r forme de l Etat Tant pour les professionnels de soins que pour les patients travailler et se soigner Bruxelles n est pas toujours un long fleuve tranquille St phanie Brisson stephanie brisson dmloz be L Observatoire de la sant compile r guli rement un impressionnant nombre de donn es sur l tat de La sant des Brux
49. lles que dans le reste de la Belgique X B Un probl me d accessibi lit n est pas toujours financier Bruxelles ce sont les suppl ments de soins qui sont plus lev s Une chambre priv e dans un h pital bruxellois revient beaucoup plus cher qu en Flandre ou en Wallonie Mais le manque d accessibilit d coule de plusieurs facteurs Les Bruxellois ne sont pas toujours au courant des avantages auxquels ils ont droit comme le statut BIM Les barri res culturelles et psychosociales emp chent galement certains Bruxellois de consulter un m decin g n raliste Ce sont des aspects auxquels nous devons travailler via une approche m dico sociale savoir renforcer les soins de premi re ligne quar tier par quartier Les Bruxellois g s sont nom breux vivre en maisons de re pos et tablissements de soins et payent parfois plus de 1 500 euros par mois pour une place Comment l expliquer X B Bruxelles compte 154 mai sons de repos avec plus de 15 000 lits La majorit sont des tablis sements priv s ce qui explique les prix lev s Le recours important aux maisons de repos d coule de diff rents facteurs Premi re ment les alternatives ne sont pas nombreuses les soins domicile habitations group es serviceflats sont des initiatives qui ne sont pas encore suffisamment soutenues Le ph nom ne de l isolement dans les grandes villes joue ga lement un r le et explique que les
50. lote oke Duyck De nouvelles tendances en soins dentaires Via les demandes de remboursement adress es Dentalia Plus Danny De Bock directeur op ration nel de la SMA en charge de l assurance Dentalia Plus a pu constater une volution dans les habi tudes de soins dentaires Ce qui tait consid r hier comme un luxe s av re tre une n cessit m dicale ou un soin de confort devenu courant en regard des volutions de la soci t Cela d montre l attention accrue port e la sant dentaire Pour le directeur de Dentalia Plus le succ s de son produit prouve qu il y a une attente pour une meilleure accessibilit financi re certains soins dentaires Mieux responsabiliser le patient Enfin pour cl turer la journ e la parole a t donn e deux associations profes sionnelles de dentistes Stefaan Hanson du Verbond van de Vlaamse Tandartsen a rappel les 3 piliers d une bonne sant dentaire bien se nettoyer les dents quo tidiennement une alimentation quilibr e et une visite par an chez son dentiste Il est aussi n cessaire de mieux sensibiliser et surtout responsabiliser le patient Michel Devriese pr sident de la Soci t de M decine Dentaire a soulign que la politique de sant est un travail col lectif IL est n cessaire de d cloisonner les secteurs de sant et de croiser plus les disciplines galement en mati re de pr vention Michel Devriese a aussi ef
51. maison de repos 130 797 443 1 240 34 90 317 418 735 81 Enfin continuent leur traitement anti antid presseur et antipsycho tique et leur consommation de ces m dicaments mesur e en nombre de DDD ne varie pas travers le temps Entre 2007 et 2011 plus de 80 et 70 des r sidents START Screening Tool to Alert Doctors to Right Treatment STOPP Screening Tool of Older Persons potentially inappropriate Prescriptions O L d presseur et antipsychotique respectivement G ng r Karakaya Claire Huyghebaert et Evelyn Macken Service Etudes amp Strat gie Mutualit s Libres 30 Visi te Papa Mutuelle Observer la mani re dont Les mutualit s locales ont chang la vie de la population locale au B nin et au Togo Tel tait l objectif du voyage d une d l gation des Mutualit s Libres et de l ONG Louvain Coop ration d but 2014 La cr ation et l action des mutualit s ont am lior les indicateurs de sant a d clar un responsable de la zone sanitaire du B nin du Nord Un r cit de voyage sur l espoir et le changement n bon acc s aux soins de 5 sant n cessaires voil la principale mission des mutualit s locales au B nin et au Togo Et les r sultats s av rent plu t t concluants Cobly et N Dahonta les deux mutualit s du B nin du Nord soutenues par les Mutualit s Libres comptent d j plus de 6 000 membres Ceux ci se rendent plus facilement
52. n contre le Cancer a r agi suite 29 aux r sultats de l tude Vos soins de sant Votre avis compte pr sent e par l INAMI au printemps 2014 De l art urbain contre le eda e les fumeurs www cancer be 9 22 C est Le poids moyen de pommes fra ches mang es par un Belge en une ann e D apr s une enqu te de GfK Panel Services Belgium de personnes seraient concern es par un diagnostic erron aux Etats Unis Selon une tude publi e dans Le British Medical Journal Une norme fresque urbaine a t r a lis e au c ur du quartier des Marolles Bruxelles 290 rue Haute Peinte par les artistes Denis Meyers et Arnaud Kool cette uvre entend rappeler les ques tions essentielles li es la lutte contre le sida utilisation du pr servatif d pistage et int gration des personnes s roposi tives dans la soci t Une initiative de la Plate Forme Pr vention Sida avec le soutien de la ville de Bruxelles du CPAS de Bruxelles et de l H pital Saint Pierre Une vid o retra ant le travail artistique et les th matiques abord es est disponible sur www preventionsida org En couverture Soins de sant Bruxelles un tableau contrast Interview Xavier Brenez Communautaire ou multiculturel quel mod le pour Bruxelles Politique de sant agir sur tous les fronts Soins de sant Bruxelles un tableau contrast
53. ne comp tence des R gions et Communaut s Et Bruxelles Bruxelles les autorit s r gionales commencent bouger doucement Mais il n y a ni d claration d intention ni budget sur la table pour s occuper de la probl matique de la qua lit et de la s curit du patient l h pital et encore moins pour l accr ditation des h pitaux bruxellois La complexit institutionnelle bruxelloise est vraisemblablement respon sable de cette situation Les Mutualit s Libres s investissent dans la probl matique de l accr ditation des h pitaux notamment par une parti cipation active dans la PAQS L objectif est de garantir une s curit optimale aux affili s lors de s jours hospitaliers ainsi que la meilleure qualit des soins possible En outre l accr ditation devrait aussi permettre de r duire les co ts pour la soci t g n r s par la non qualit Nous allons suivre de pr s l volution de cet important dossier dans son impl mentation sur le terrain Rudy Van Tielen Service Etudes amp Strat gie Espace prestataires Assurer une coh rence Coordinateur de la PAQS et directeur Etudes et Qualit Santhea La R gion wallonne soutient depuis 2013 les travaux en lien avec l accr ditation qu en est il Bruxelles En ao t 2013 la R gion wallonne a approuv un plan wallon pour la qualit des soins hos pitaliers afin de r fl chir globalement l tat actuel des normes hospit
54. nemie Co me Regina De Paepe Luc Detavernier Christian Horemans Pascale Janssens G ng r Karakaya Nathalie Renna Hellen Smeets Ingrid Umbach Piet Van enooghe Christiaan Van Hul Emilie Vanderstichelen Philippe Van Wilder Steven Vervaet Vous voulez recevoir le magazine r guli rement ou abonner vos coll gues Ecrivez nous Union Nationale des Mutualit s Libres Health Forum Lay out Tr Leen Verstraete layout dmloz be T e 19 jee T 02 778 92 11 Reporters ne Traduction Ou envoyez nous un mail Annemie Mathues Emilie Van Isterdael Barbara Van Ransbeeck health forumfdamloz be Editeur responsable Suivez nous sur Twitter Xavier Brenez xavier brenez dmloz be HealthForumFR Sommaire N 18 Juin 2014 2 4 Le e e 3 eoooccoooooo ooo 000000000000000 0000000000000000 000ooN e e e e e La capitale belge a une place part dans le paysage des soins Complexit institutionnelle diversit de la population et offre de soins concentr e en font un kal idoscope parfois difficile appr hender Quelles sont Les particularit s de sant des habitants bruxel lois Quelle est leur consommation de soins Au lendemain des lections un dossier pour d coder les enjeux bruxellois Les liaisons amoureuses et la sexualit sont encore des sujets tabous en maison de repos Dans des structures m dicalis es rythm es par les soins et marqu es par la d pend
55. ns diff rentes structures institu tionnelles ce qui emp che cette flexibilit Mais de mani re plus fondamentale les R gions pos s dent un levier fiscal qui peut tre actionn pour lever des moyens suppl mentaires Ce n est pas le cas pour la COCOF la COCOM et la VGC qui d pendent de dota tions En r sum se rajoutent au sous financement de Bruxelles un probl me de flexibilit budg taire et un probl me de levier fiscal La garantie de soins pour tous est elle en danger Bruxelles X B terme les risques ne sont pas n gliger Pour viter qu ils se mat rialisent il faut travailler sur de nombreux axes le paysage institutionnel les d ficits financiers les barri res culturelles et psychosociales une m decine psycho sociale adapt e chaque quartier une vision claire sur les soins aux personnes g es et de premi re ligne une refonte du secteur hospitalier Bruxelles pour plus de synergies Bref un v ritable chantier pour les d cideurs poli tiques de demain Sans compter que si ceux ci veulent vraiment faire de la sant une priorit ils devront galement travailler sur les d terminants de la sant au travers de comp tences qu ils poss dent d j comme l emploi l environnement le logement l enseignement La politique des soins de demain doit int grer ces facteurs qui constituent parfois un levier plus important pour am liorer la sant g n rale des Bruxelloi
56. orsque deux pensionnaires se rapprochalent nous en parlions en r union avec la famille car il est vrai que pour certains enfants il n est pas facile d imaginer son p re o sa m re prouver des sentiments amoureux et encore moins de passer l acte Mais c tait une petite structure et nous pouvions malgr tout prendre le temps de g rer cela tout en veillant bien s r la qualit des soins Pour vous les relations affectives m me au sein d une maison de repos sont donc importantes Oui J ai remarqu que les pensionnaires amoureux sont plus souriants font attention leur apparence physique les femmes se maquillent les hommes sortent leurs beaux costumes Ils participaient plus volontiers aux activit s organis es par la maison Nous avons tous besoin d affection et de tendresse Et nos pensionnaires a les aide vivre tout simplement rencontre Les parents sont souvent asexu s pour leurs enfants Si les personnes g es autonomes ont la chance de pouvoir conserver leur libert sexuelle en insti tution par contre on consid re la plupart du temps qu elles doivent renoncer cet aspect de leur vie Les maisons de repos adoptent des attitudes tr s diff rentes par rapport la sexualit de leurs r si dents De la permissivit l interdiction totale Une charte Il existe pourtant une charte relative la qualit des tablissements pour personnes g es centr e sur les besoins les atten
57. ossier m dical d une per sonne en incapacit de travail peut tre revu par nos services et donc permettre la personne concern e d tre ventuellement r ins r e sur le march du travail Ca en vaut la peine Qui est le bon prestataire de soins Philippe Van Wilder et Joris Vanvinckenro e s ac cordent toutefois sur un point savoir le r le cl du m decin g n raliste La mission du m decin g n raliste doit tre rapidement renforc e d clare avec conviction le CEO de Royal Doctors Les m de cins g n ralistes peuvent d ailleurs galement nous contacter pour obtenir des conseils S ils ne savent pas chez qui ils doivent envoyer leurs patients nous leur faisons rapidement une suggestion gratuite Pour Philippe Van Wilder le m decin g n raliste est galement incontournable mais il se demande comment Royal Doctors s lectionne ses m decins Pourquoi Royal Doctors travaille t il avec un certain sp cialiste et pas un autre demande t il Nous passons par plusieurs phases r pond Vanvincken roye D abord une phase de test suivie entre autres par l accr ditation et une post valuation Nous avons donc des crit res de s lection tr s stricts sur la base desquels nous tentons de choisir les bons m decins dans un certain contexte C est un exercice complexe mais nous nous en sortons visiblement pas trop mal car nos patients sont g n ralement tr s satisfaits de nos propositions Reste
58. pitaux dans l am lioration de la qualit des soins Un autre objectif est que les h pitaux publient volontairement les r sultats sur leurs sites web Les premiers r sultats ont t publi s fin 2013 En effet une trentaine d h pitaux ont publi sur leur site Internet les r sultats de 3 indicateurs Pour la premi re fois les citoyens peuvent obtenir des informations sur le traitement du cancer du sein l hygi ne des mains et la satis faction des autres patients Ces premiers chiffres montrent que la qualit des soins est tr s variable d un h pital l autre D autre part l initiative des autorit s publiques flamandes et en contrepartie d une inspection all g e des normes d agr ment 28 h pitaux se sont engag s dans un processus d accr ditation sur base volontaire septembre 2013 mais avec l appui des f d rations hospitali res flamandes regrou p es au sein d une plateforme qui favorise les changes d exp rience entre les h pitaux En Flandre l accr ditation n est pas seulement explicitement indiqu e dans l accord de gouvernement flamand mais constitue aussi une partie importante de l initiative Flanders Care La Wallonie initiatives non coordonn es Dans la partie francophone du pays la r flexion autour de la pro bl matique de l accr ditation s est intensifi e la suite de l initiative du pouvoir politique flamand Les acteurs hospitaliers francophones ont d abord d ci
59. plus son avantage ce qui cr era un climat malsain Bruxelles Tout ceci pourrait tre vit en optant pour plus de simplification institutionnelle Bruxelles et en concentrant toutes les mati res au niveau de la R gion bruxelloise avec un r gime unique Le financement constitue un autre probl me Bruxelles X B Le probl me global du fi nancement de Bruxelles n est pas nouveau et il risque d tre accen tu par le transfert des nouvelles comp tences Premi rement le plus gros morceau des nouvelles comp tences concerne les soins Le gaming implique qu une maison de repos priv e pourra choisir le syst me de soins le plus son avantage ce qui cr era un climat malsain Bruxelles aux personnes g es Les moyens transf r s seront inf rieurs aux besoins ce qui a t d cid consciemment pour faire porter une partie du poids du vieillisse ment sur les entit s f d r es Ce qui signifie qu il faudra trouver des moyens suppl mentaires Ceci pose un probl me de fond pour les finances bruxelloises Se pose aussi la question de savoir comment ces moyens ventuels pourraient tre mobilis s et dis tribu s En Flandre et en Wallonie ces mati res seront g r es par la R gion dans le cadre d un budget global On pourra donc faire des transferts entre les diff rentes politiques soins de sant emploi sport logement etc Bruxelles les budgets sont morcel s da
60. presseurs qui est prescrite Les psychiatres prescrivent indiff remment ces 2 classes Hospitalisation psychiatrique e Les s jours psychiatriques ont t identifi s par le prix de journ e dans un h pital psychiatrique un service psychiatrique d un h pital g n ral un habi tat prot g ou une maison de soins psychiatriques e Seule une minorit 3 8 des personnes trait es avec un antid presseur sont hospitalis es en psy chiatrie 75 de ces hospitalisations concernent des individus suivant un traitement pour une dur e sup rieure 120 jours e Le taux d hospitalisation psychiatrique volue invers ment l ge passant de 8 4 chez les 18 24 ans moins de 1 chez les plus de 75 ans e 95 des s jours psychiatriques ont lieu dans le service psychiatrique d un h pital g n ral 1 _ 1 4 GA Sy i Taux d hospitalisation en fonction de l ge Pas d hospitalisation psy 91 6 94 1 79 540 97 8 99 2 96 2 Psychoth rapie Comorbidit s e Seules 15 des personnes trait es avec un anti Dans la population consommant des antid presseurs d presseur suivent aussi une psychoth rapie et la moiti pr sente une pathologie chronique associ e ce principalement chez un psychiatre Plus de la moiti de ces personnes prend cet antid e La psychoth rapie est plus fr quente lorsque la presseur pendant plus de 6 mois dur e du traitement par antid presseur est plus Les p
61. r certaines mati res Ne Le lien entre ces politiques et la sant est vident serait il pas plus efficace de r unir tous les aspects lorsque que l on sait que les conditions de vie co de sant au sein d un seul minist re Innover par une communaut de personnes pour agir sur NOTES les d terminants de sa sant Cela peut se mettre Myriam De Spiegelaere rel ve la pr sence tr s en place gr ce des r seaux informels d habitants marqu e du secteur associatif Bruxelles Les asso mais aussi par les structures implant es dans les ciations jouent un r le essentiel qui r pond clairement quartiers C est par exemple toute la philosophie des aux manques politiques Elles permettent de com maisons m dicales bler des besoins certains niveaux Cela ne r gle pas L action communautaire implique de soutenir la tous les probl mes mais a aide affirme Myriam De participation des personnes Les usagers citoyens ou Spiegelaere Le secteur associatif joue aussi un r le habitants d un quartier organisent des activit s favori d innovation et de cr ativit il imagine des r ponses sant leur sant explique Isabelle Heymans secr taire nouvelles par exemple face aux in galit s de sant g n rale de la F d ration des Maisons m dicales En C est aussi Le lieu de r percussion du v cu des gens maison m dicale nous avons cette pr occupation L Observatoire de la sant et du social Bruxelles es
62. re sp cialisation compl mentaire est consid r e comme un atout Votre fonction Le contact avec les patients est essentiel en tant que M decin conseil Votre fonction impliquera entre autres e L valuation de l incapacit de travail analy ser les possibilit s de r insertion profession nelle en concertation avec les partenaires concern s comme les m decins g n ralistes les m decins du travail ACTRIS le Forem le VDAB e L information et le conseil aux patients par rapport la l gislation sociale aux rembour sements m dicaux et aux probl mes d assu rance e Le traitement des demandes de soins de sant Notre offre e Nous vous offrons un statut d employ temps plein assorti d un package salarial attrayant un temps partiel peut tre pris en consid ration e Vous voluez dans un cadre de travail tendu et agr able la culture d entreprise dynamique Le respect de l quilibre entre le travail et la vie priv e est primordial Le t l travail est possible e Vous travaillez au sein d une quipe motiv e permettant un panouissement personnel Int ress e Envoyez votre candidature Union Nationale des Mutualit s Libres Recruitment Rue Saint Hubert 19 1150 Bruxelles recruitment mloz be Mutualit Libres www mloz be
63. s Propos recueillis par Hellen Smeets hellen smeets mloz be Agir sur tous les fronts loisirs Des domaines qui a priori ne sont pas impact direct sur la sant Les maladies chroniques sirs logement ducation environnement nomiques mat rielles et environnementales ont un associ s la sant Et en tout cas pas ou peu l absent isme professionnel un habitat de faible coordonn s au niveau politique Un logement insa qualit ou un environnement nocif s agencent dans lubre a des cons quences ind niables sur l tat i un cercle vicieux qui ne peut tre bris que par des sant Le stress ronge eta une influence nocive sur l politiques coh rentes et interd pendantes physique et le mental Une situa Bruxelles c est une mission tion professionnelle peut mener rat e pour le moment Myriam De au burn out mais l absence de Lo Spiegelaere professeur l Ecole travail aussi Une Jeune femme de Sant Publique de ULB ny enceinte qui na pas d informa va pas par quatre chemins Il tion ad quate peut vivre des s agit d un des grands d fis pour complications lors de sa gros la sant Bruxelles ajoute t elle sesse Avec l alcool et le tabac IL faut arriver une gouvernance qui viennent parfois alourdir les Intersectorielle comme cela s est situations cit es ci dessus voil fait pour la pauvret Mais il faut un floril ge de facteurs n fastes porter cela au plus haut niveau pour l
64. s de repos et rationaliser l utilisation des m dicaments ont t prises C est ainsi que l INAMI a commandit une tude dont le but est de formuler des recommandations sur la concertation multidisciplinaire autour du traitement des patients l utilisation du formulaire de m dicaments la prescription de m dicaments etc Diff rentes maisons de repos r parties sur toute la Belgique participent cette tude A partir du 1 janvier 2015 la tarification l unit sera aussi introduite dans les maisons de repos pour les m dicaments rembours s ayant une forme pharmaceutique orale solide En limitant la tarification aux quantit s effectivement d livr es un gaspillage peut tre vit et l utilisation de la pr paration de m dication individuelle est encourag e Nombre d affili s trait s par antid presseur ou antipsychotique au cours des 6 mois avant et des 6 mois apr s leur institutionnalisation en 2011 sur un total de 2 529 affili s Avant A Du Arr tent institutionnalisation 1 Libres des Mutualit s avis Antid presseur AD a Antipsychotique AP aa journali res d finies ou DDD d antid presseurs 32 et d antipsychotiques 55 La hausse de la proportion d affi li s trait s par antid presseur et antipsychotique s explique par tableau 2 Continuent D butent n Variation suite l entr e institutionnalisation i 2 1 2 3 1 21 3 en
65. s fumeurs ils sont 9 4 fumer plus de 20 cigarettes par jour contre 6 6 en Flandre et 7 4 en R gion wallonne J eune multiculturelle d prim e et pr caire Champions du report des soins Le pourcentage de m nages d clarant avoir d post poser des soins de sant est plus lev en R gion bruxelloise 26 qu en R gion wallonne 14 et fla mande 11 Selon l enqu te de sant les m nages bruxellois postposent plus souvent des soins pour des raisons financi res que les m nages des deux autres r gions et ceci malgr une offre en services de sant tr s diversifi e et riche Bruxelles La sant bruxel loise serait premi re vue li e la pr carit de ses habitants La situation est cependant plus nuanc e et m rite d abattre quelques clich s Les in galit s de sant sont en outre fortement li es de multiples facteurs d passant le cadre de la sant voir article p 11 D un quartier l autre d une communaut l autre d un statut social l autre les tendances se renforcent ou s inversent Multiculturalit Ainsi une partie de la population bruxelloise d ori gine trang re doit faire face un statut pr caire qui explique un moins bon acc s aux soins mais a des habitudes de vie qui pr munissent d autres p pins Un nouveau n sur deux a une maman trang re ce qui entra ne parfois un suivi moins strict de la sant p rinatale avec les risques de d c s pr matur
66. s les quar fragilis s C est le cas par exemple de l association tiers et concernent principalement leurs habitants Buurtsport qui a initi un projet pour inciter les jeunes un projet de grande envergure li la sant mentale femmes issues de l immigration faire du sport et illustre tr s bien le principe de r seau en sant et adopter un mode de vie quilibr Pour cela l associa d interactions entre divers domaines de la vie d un tion a propos des services adapt s ces trentenaires patient Le projet 107 vise int grer les soins de avec travail et vie de famille Accompagn es par sant mentale dans une vision globale Il favorise le Buurtsport toutes les femmes participant au projet travail en r seau en partenariat avec la famille et le ont opt pour un abonnement dans une salle de fit milieu de vie du patient Il d passe donc le cadre de ness et ont suivi des ateliers sur l alimentation et la la sant et les murs de l institution Une belle source sant avec une di t ticienne d une maison m dicale d inspiration pour sortir des limites et am liorer la sant Bruxelles Agir localement 08 00000000000000000e Ce type de projet s inscrit dans l action en sant com St phanie Brisson munautaire une d marche entreprise collectivement stephanie brissont mloz be D but des ann es 2000 Bruxelles a ralli le r seau Schaerbeek sur impulsion des habitants du quar des villes sant une initi
67. sonnes g es et d pendantes soins int gr s pour les malades chroniques sant mentale Ces d fis sont connus et appellent des changements fondamentaux dans la pratique m dicale la responsabilisation des acteurs le remboursement des soins la r partition des r les entre presta taires Ils demandent surtout une capacit d anticipation permet tant de g rer ces tendances de fond dans une vision moyen et long terme Jusqu pr sent cette capacit d anticipation a cruellement fait d faut dans l exercice du pouvoir et trop souvent elle a laiss la place des mesures court terme sans grande coh rence Mais il n est pas trop tard Install e pour 5 ans tous les niveaux de pouvoir la prochaine l gislature est une occasion ne pas manquer Si comme nous l esp rons cette l gislature se n gocie dans la s r nit et avec un sens du devoir qui place les int r ts des citoyens au centre des pr occupations alors nous devrions tre en mesure de mener les r formes n cessaires dans les secteurs o les besoins sont les plus criants Compte tenu du surcro t de complexit h rit de la 6 r forme de l Etat les politiques de sant devront en outre tre d clin es aux diff rents niveaux de pouvoir dans une perspective coh rente et coordonn e Ville de contrastes riche de ses sp cificit s Bruxelles n a fait l objet d aucune clarification officielle quant la gestion future des comp
68. sorti un chiffre spectacu laire pour illustrer le budget triqu consacr aux soins dentaires on disposerait de 72 euros par Belge par an pour les soins bucco den taires Pour lui il est donc non seulement important de renforcer la politique de sant mais aussi la pro fession Le tout accompagn d un meilleur coaching du patient St phanie Brisson stephanie brisson mloz be O D couvrez le film de notre symposium ainsi que les interviews des orateurs sur notre site www mloz be Danny De Bock Stefaan Hanson 34 Livres La mort choisie n Belgique l euthanasie a t d p nalis e en 2002 Elle est dor navant consid r e comme un acte de soins pratiqu exclusivement par un m decin condition que le malade en fasse la demande expresse et r p t e Concr tement comment cela se passe t il Quelles sont les d marches effectuer Quel est le r le du m decin de la famille Et les soins palliatifs Cet ouvrage crit par un m decin qui pra tique l euthanasie depuis 10 ans expli que avec une grande humanit comment se g re ce genre de situation C est aussi travers des exem ples de cas concrets que cet Int ressant ouvrage aborde cette d licate question Un livre o il est beaucoup question de dialoque de par tage et d humanit Comprendre l euthanasie et ses enjeux par Fran ois Damas aux Editions Mardaga Site Internet Harc lement
69. surer cette coh rence engendre une charge de travail importante Plateforme Am lioration continue Qualit des soins et S curit des patients PAQS www paqs be Q amp I ICURO http icuro be 29 a w Le D lai Un guide Michelin des soins de sant Pour 365 euros par an la soci t belge Royal Doctors renvoie les patients vers le bon sp cialiste n importe o dans le monde L objectif est d informer les patients la recherche d un prestataire de soins sp cialis et de limiter le gaspillage Une entreprise priv e peut elle assumer le r le de guide pour les patients Un th me sensible au c ur d un change anim entre Philippe Van Wilder Directeur Etudes et Strat gie de l Union Nationale des Mutualit s Libres et Joris Vanvinckenroye CEO de Royal Doctors RN a e bon m decin pour seulement 1 euro par jour Voil la promesse faite aux patients par Royal Doctors Les personnes qui cherchent le bon m decin pour leur pathologie ou celles qui sou haitent un deuxi me avis ont parfois l impression d tre d pass es par l offre du monde m dical Elles peuvent alors s adresser cette soci t belge qui dispose d un r seau mondial de plus de 750 m decins au sein de 250 h pitaux J ai travaill chez Medtronic et j ai pu voir la m me op ration dans des centaines de blocs op ratoires J ai rapidement constat d importantes diff rences de qualit d clare Joris Vanvinckenroye C
70. t constante et notre vision inclut l ducation sant et la ce niveau tr s utile pour jouer l interm diaire et faire pr vention en les int grant au moment de la consul le lien entre ces deux th matiques tation ou lors de campagnes sp cifiques comme le vaccin contre la grippe Ily a aussi des v nements Rapprocher le citoyen de sa sant plus collectifs groupes de parole et d changes acti vit s organis es sur le tabac l alimentation le sport Les conditions socio conomiques et le milieu de vie explique Isabelle Heymans Le m decin de formation les d terminants de sant ducation milieu de vie r sume l action communautaire comme un moyen difficult s financi res etc sont clairement identi de soutenir l mancipation citoyenne l int rieur des fi s comme la source des in galit s Et ce sont ces quartiers afin de permettre aux gens de voir quelles d s quilibres qu il faut g rer pour pouvoir am liorer sont leurs conditions de vie de d cider qu ils peuvent la sant globale de la population bruxelloise am liorer leurs conditions de vie et de chercher des C est pourquoi quelques acteurs se mobilisent pour mani res de le faire agir sur les in galit s de sant en les abordant par d autres biais Une s rie de projets bruxellois ont 5 i i ainsi t soutenus par la Fondation Roi Baudouin avec a a EN AE AC l objectif de rapprocher de la sant les publics dits Si beaucoup d initiatives sont ancr es dan
71. tes et Le respect des r sidents afin d am liorer leur qualit de vie Les tablissements qui s engagent la respecter doivent int grer le principe suivant Respecter la dignit humaine c est dire la reconnaissance de l identit de chaque personne le respect de l histoire individuelle de chacun de son intimit et de son espace personnel de l organisation de sa vie spirituelle Cela implique entre autres le droit la vie priv e le droit la vie affective le droit une vie sexuelle entre adultes consentants noter galement que le d cret du 30 avril 2009 relatif l h bergement et l accueil des personnes g es impose tous les tablissements le respect des droits individuels des r sidents et la garantie du respect de leur vie priv e affective et sexuelle Quelques chiffres l activit sexuelle diminue avec l ge mais ne s arr te pas m me apr s 75 ans Le New England Journal of Medecine a publi une tude men e aupr s des 57 85 ans Parmi les 75 85 ans 26 reconnaissent avoir eu une relation sexuelle dans l ann e Ce pourcentage double chez les 65 74 ans Une autre tude fran aise celle ci nous apprend que 63 des hommes entre 80 et 102 ans ont des relations sexuelles au moins 1 fois par mois Mais les statistiques en maison de repos tombent 8 IL existe galement de nombreuses tudes qui d montrent que privil gier des moments affectifs relationnels et sexuels v
72. tout situ s dans les communes du Sud de Bruxelles et Berchem Sainte Agathe Les soins domicile sont aussi peu utilis s dans les foyers bruxellois seuls 2 4 des Bruxellois ont fait appel une infirmi re domicile dans les 12 mois pr c dant l enqu te de sant publique pour 5 6 en Flandre et 5 1 en Wallonie O vont donc les habitants bruxellois pour se faire soigner l h pital ou chez un sp cialiste Plu sieurs raisons expliquent cette sp cificit bruxelloise Bruxelles compte 24 h pitaux sur son territoire dont 3 h pitaux universitaires qui attirent aussi de nom breux non Bruxellois Une offre tr s importante donc qui incite les habitants se rendre directement la consultation d une sp cialiste Avec une contra diction marquante les r sultats de l enqu te de sant publique montrent que c est Bruxelles que l on se rend le plus chez le sp cialiste en moyenne 3 contacts par an Et pourtant IL appara t que 11 des Bruxellois qui auraient d se rendre chez un m decin sp cialiste au cours des 12 derniers mois ne l ont pas fait pour des raisons financi res contre 6 en R gion wallonne et 5 en Flandre 200000000000 000000000e La pr sence des nombreux h pitaux facilite aussi le recours aux urgences Bruxelles On compte 40 contacts annuels pour 100 personnes par an Bruxelles pour 25 en Wallonie et 15 en Flandre 4 des Bruxellois n ont pas consult de m decin g n ra
73. une forte d pendance physique et psychique d c dent dans l ann e d entr e en mai son de repos contre 9 chez les r sidents non d pendants e La mortalit est particuli rement importante l entr e en maison de repos puisque pr s de 90 des d c s ayant lieu dans le courant de l ann e d institutionnalisation se pro duisent pendant les 6 premiers mois d institutionnalisation e Enfin les personnes en MR consultent plus souvent le m decin g n raliste et plus rarement le sp cialiste que les non r sidents M dicaments En un an un r sident d une MR re oit en moyenne 10 m dica ments mol cules diff rent e s En 2011 les m dicaments consomm s par les affili s des Mutualit s Libres en MR ont co t 20 5 millions d euros l Assurance maladie invalidit AMI soit 950 euros par b n ficiaire Les tickets mod rateurs repr sentent 3 6 mil Age moyenne Femme BIM Veuf ve D c s Consultation g n raliste moyenne Consultation sp cialiste moyenne lions d euros soit 169 euros par personne Les m dicaments en MR d livr s par les officines pu bliques constituent la majorit des d penses AMI en m dicaments 92 et ceux provenant d officines hospitali res 8 Les m dicaments originaux re pr sentent 76 des prescriptions en MR et 87 des d penses AMI en m dicaments graphique 1 Le faible poids des g n riques et des copies dans les
74. uxelles risque d voluer vers une structure fragment e Selon quel mod le allons nous mener la politique de sant Un mod le multiculturel au sein duquel chaque Bruxel lois est gal qu il parle fran ais n erlandais anglais ou arabe Ou un mod le communautaire au sein duquel un habitant jouit d une certaine protection sociale en fonction de sa langue Le premier syst me serait le plus logique avec les m mes r gles pour tout le monde et en ligne avec la r alit socio cultu relle de Bruxelles C est un v ritable choix de soci t pour Bruxelles qui va bien au del des soins de sant Si nous ne tranchons pas cette question nous resterons dans un mo d le flou et peu lisible qui sera d favorable aux Bruxellois avec la cl des probl mes d inefficience d accessibilit de financement Sans oublier les risques de gaming Qu est ce que le gaming X B Dans la mesure o trois syst mes de soins cohabitent Bruxelles pour les maisons de repos les acteurs priv s pour ront choisir celui avec lequel ils souhaitent travailler Les normes pourront diff rer d un syst me l autre en mati re d encadre ment infirmier par exemple ce qui induira une structure de co ts diff rente si vous travaillez dans le r gime francophone n erlan dophone ou bicommunautaire Un risque de gaming existe qui implique qu une maison de repos priv e pourra choisir le syst me de soins le

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Kuppersbusch USA Kitchen Hoods User's Manual  Muratec MFX-1500 User's Manual  Frigidaire FFTR2131QE Product Specifications Sheet  hi-Fun hi-Ear lana  Magnese MA-301057  OKM - User Manual  161AM002  Kambrook KFH520 User's Manual  JS430 シャワピタ 取扱説明書 注意  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file