Aménager votre territoire en haut débit
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1. es accueillir des r seaux doivent tre restitu es la collectivit L ARCEP a d ailleurs dit une convention type de mise disposition des infrastructures en partenariat avec des op rateurs et des collectivit s dont le SIPPEREC Deux barri res au d ploiement de r seaux tr s haut d bit Pour le tr s haut d bit estime l ARCEP il y a aujourd hui deux barri res d entr e que les collectivit s peuvent aider franchir e La premi re horizontale concerne le g nie civil Celui ci repr sente en effet entre 50 et 80 de l investissement pour un op rateur L ARCEP envisage de r guler l acc s aux fourreaux de France T l com une consultation publique vient de se d rouler cet effet Parall lement un audit concernant la disponibilit des fourreaux de l op rateur historique a t men dont les r sultats seront disponibles tr s prochainement De leur c t les collectivit s peuvent faciliter l arriv e des op rateurs en mettant leur disposition des infrastructures existantes Sans oublier d en cr er titre prospectif en cas de travaux II s agit de d terminer comment la fibre optique entrera dans les b timents Une tude est en cours pour d terminer les modalit s de l intervention publique sur le FITH L aussi les r sultats seront rendus publics tr s prochainement e Une seconde barri re verticale est celle de l acc s aux immeubles L ARCEP travaille2. la mutualisation de la partie terminale de la fibre afin d viter la constitution de monopoles locaux Pour l ARCEP cette mutualisation est indispensable Elle limitera la multiplication des travaux dans les immeubles mais aussi sur la voirie pour l acc s aux immeubles et permettra aux habitants de faire jouer la concurrence Parmi les solutions l tude en contrepartie d un acc s l immeuble les op rateurs garantiraient aux copropri t s une mutualisation effective de leur r seau de fibre optique Cette solution pose cependant des difficult s qui pourraient ventuellement tre r solues de mani re l gislative ou r glementaire Une telle mutualisation est indispensable pour une g n ralisation du tr s haut d bit copropri taires et bailleurs sociaux y ont tout int r t On le voit sans l intervention des collectivit s territoriales le d ploiement de r seaux tr s haut d bit sera incomplet in galement r parti sur le territoire sans doute aussi retard voire jamais r alis dans les zones les moins rentables Pour ma triser l am nagement num rique de leur territoire les communes doivent se doter d une politique ambitieuse C est celle que le SIPPEREC propose ses communes adh rentes 1 FITH fiber to the home fibre optique jusqu au domicile de l abonn particuliers FITB fiber to the building fibre optique jusqu au b timent entreprises 2 Article R 311 7
3. du Code de l urbanisme 3 LA d du sous sol et i Le aioin par le SIPPEREC d infrastructures de t l communications diversifi es et compl mentaires offre une opportunit forte aux communes de la petite couronne de devenir des territoires num riques 4 haut potentiel conomique Sans oublier les nouveaux services que les r seaux tr s haut d bit permettront d apporter aux habitants Mais saisir cette opportunit implique que E chaque commune prenne d s pr sent la mesure des enjeux et des opportunit s que rec le son domaine public Mode d emploi Bien conna tre ke r seaux construits chier Chaque commune a son histoire donc des infrastructures qui lui sont propres I lui appartient E _ donc de les recenser afin de les partager Cet inventaire i d taill concerne aussi bien les fourreaux pos s al initiative des communes et des am nageurs que i g ceux d ploy s par les op rateurs au titre de permissions m de voirie octroy es par la commune Dans ce dernier g cas les communes peuvent inciter les op rateurs d mutualiser les fourreaux dans un souci 1 d optimisation du sous sol Identifier A fourrea ux pos s nE le sous sol LT par les op rateurs Les villes ont deux outils E essentiels _ ole d cret du 27 d cembre 2005 es nn de redevance d occupation du domaine pub
4. fourreaux pour anticiper les besoins C tait tr s confortable Depuis 1997 la donne a chang Il a fallu s adapter au nouveau contexte concurrentiel On ne souhaitait pas avoir des zones d am nagement au rabais C est ce moment l en 2000 que nous avons lanc la ZAC Jean Rostand Bobigny Trois ans apr s une convention entre la ville et le SIPPEREC a permis l exploitation par IRIS des fourreaux que nous nous appr tions construire Aujourd hui ce r seau repr sente 10 200 m tres lin aires avec 32 chambres de tirage Nous n avons pas nous soucier des conditions d exploitation ni de l galit de traitement entre les op rateurs c est le r le d IRIS avec lequel on est en train de retrouver le niveau de confort d avant 1997 Dans d autres ZAC Saint Denis Saint Ouen commenc es il y a 10 ou 15 ans une phase de mise niveau des infrastructures a t n cessaire Celles ci ont t remises aux collectivit s apr s signatures de conventions avec le SIPPEREC La r ception s est effectu e en vertu des pr conisations techniques d IRIS Ce dernier en assure d sormais l exploitation Pour les t l communications aussi le travail de cl ture d une ZAC est un moment ne surtout pas n gliger Catherine L ger Directrice g n rale de la SIDEC SIDEC Soci t d conomie mixte d am nagement 19 villes de Seine Saint Denis une ville en Yvelines une ville du Val de Marne 28 conv
5. EREC a mis en place un Syst me d Information G ographique concernant l ensemble des r seaux d ploy s son initiative lectricit c ble fibre optique Le SIG du SIPPEREC est accessible aux communes par internet Ce service est gratuit En contrepartie les communes par une convention d di e s engagent a garantir la confidentialit des donn es re ues et permettre un change r ciproque des informations En effet le SIG a vocation s enrichir d autres donn es fourreaux d ploy s par les collectivit s ou les op rateurs Dans ce dernier cas il facilitera un contr le pr cis des redevances acquitter et des possibilit s de mutualisation A Tr s haut d bit retours d exp riences N Catherine L GER Directrice g n rale de la SIDEC Dimensionner les fourreaux pour anticiper les besoins Avec IRIS on retrouve le niveau de confort d avant 1997 On ne peut pas notre niveau chercher quel est le meilleur r seau Ce n est pas notre r le et de toute fa on on risquerait de se tromper Or pr voir les infrastructures de t l communications est une t che majeure pour un am nageur s agit d assurer les futurs acqu reurs qu il s agisse de particuliers ou d entreprises qu ils auront des moyens de t l communications performants et modernes Avant 1997 nous avions un seul interlocuteur France Telecom Nous n avions qu une chose faire bien dimensionner les
6. Petit d jeuner du 23 octobre 2007 Am nager votre territoire en haut d bit h00 v e du tr s haut d bit sur votre Y commune en g rant et valorisant le sous sol ymgds d emploi Faciliter l arri Catherine L GER Xavier HERMESSE Pierre Edouard DE LA RONCI RE Directrice g n rale Directeur g n ral Service collectivit s et haut d bit de la SIDEC d l gu IRISE ARCEP Jean Philippe FOUCHER Directeur des services techniques de POPHLM P 2 de Nanterre Bertrand GEORGES Directeur du d veloppement conomique et de l am nagement de Plaine centrale du Val de Marne Contexte trois niveaux d intervention pour les collectivites G nie civil fourreaux fibre optique le d ploiement de r seaux P 4 tr s haut d bit est l occasion pour les collectivit s de s interroger sur l optimisation de la gestion de leur sous sol tant convoit par les op rateurs L enjeu est de taille lavenir c est la fibre optique au pied du b timent voire directement dans les habitations ou les entreprises Petite couronne comment optimiser gestion du sous sol et am nagement num rique Pour les collectivit s anticiper l mergence de ces r seaux c est d finir une politique ambitieuse de gestion de leur sous sol avec les P 7 infrastructures dont elles disposent ou qu elles souhaitent cr er Tr s haut d bit retours d exp riences Le SIPPEREC accompagne les communes da
7. ale du Val de Marne A En savoir plus Documents SIPPEREC disponibles sur l espace adh rent du site du syndicat www sipperec fr gt Collectivit s et r seaux tr s haut d bit faciliter l arriv e du tr s haut d bit gt La gestion des infrastructures de t l communications au sein des zones d am nagement concert gt Redevance d occupation du domaine public et permissions de voirie circulaire du 13 juin 2007 gt Principe d am nagement pour les ZAC 5 d cembre 2005 gt Proc dure de r ception des ouvrages gt Principe de r alisation d un r seau de fibre optique g nie civil en coordination de travaux 19 juin 2006 gt Cahier des charges technique destination des am nageurs et des promoteurs Document ARCEP disponibles sur le site de l ARCEP www arcep fr gt quipement des zones d activit en infrastructures de t l communications haut et tr s haut d bit 1 d cembre 2006 Questions R ponses Jacques Rivier Chaville Peut on profiter d autres travaux comme par exemple les travaux d enfouissement de r seaux lectriques pour poser des fourreaux en attente Cette solution doit tre examin e avec pr caution dans la mesure o les financements li s aux r seaux d lectricit ne peuvent tre utilis s pour la cr ation d autres r seaux Le financement doit donc tre distinct Emmanuel Gilles de la Londe Vincennes Comment r agir lorsque un op rateur nous s
8. entions d am nagement en cours CA 23 millions d euros Environ 250 000 m de bureaux 150 000 m de logements F L OPHLM de Nanterre et le r seau Opalys Notre seule obligation est d int grer des fourreaux suppl mentaires L OPHLM de Nanterre comprend 10 000 logements repartis dans une cinquantaine de r sidences Nous avons sign une convention avec Opalys T l com concessionnaire du r seau public Opalys l initiative du SIPPEREC pour le raccordement en fibre optique de ces b timents Dans la mesure o l acc s ce r seau ainsi que son entretien est gratuit il n y a pas h siter Notre seule obligation est d int grer dans les futures constructions des fourreaux suppl mentaires ce qui ne repr sente pas une grande d pense dans des projets de cette ampleur Jean Philippe Foucher Directeur des services techniques de l OPHLM de Nanterre Jean Philippe Foucher Directeur des services techniques de l OPHLM de Nanterre La Communaut d Agglom ration Plaine centrale du Val de Marne et le r seau SEQUANTIC Les entreprises commen aient trouver que notre zone d activit devenait peu attractive Pour Plaine centrale du Val de Marne le niveau de qualit de la desserte en tr s haut d bit s est vite av r un facteur d terminant sinon discriminant C est ce que nous ont fait comprendre des entreprises comme Valeo 30 000 m Cr teil r partis sur 5 sites et Epson u
9. eurs ce jour 5 usagers empruntent les infrastructures confi es IRIS France Telecom Telcit la SNCF COLT et IRIS a IRIS Valid s par la chambre r gionale des comptes d le de France les tarifs d IRIS sont bas s sur les co ts r els La redevance 1 90 par m tre et par an couvre les frais engag s par la collectivit pour la r alisation de ces infrastructures Des frais de maintenance sont galement pay s par l op rateur IRIS Les tarifs pr voient des clauses de d gressivit en fonction de la dur e de la location et du nombre de fourreaux occup s Elle diff re en cela de la redevance d occupation du domaine public Ce service constitue un service annexe la d l gation de service public que lui a confi le SIPPEREC et IRIS Chaque commune adh rente la comp tence t l communication peut donc confier cette prestation IRIS sans mise en concurrence pr alable Pour cela une convention de mise disposition des infrastructures doit tre conclue avec le SIPPEREC La proc dure publique de mise en concurrence des r seaux est une obligation pour les villes souligne Etienne Andreux directeur g n ral du SIPPEREC L avantage de recourir aux services d IRIS c est que cette proc dure a d j eu lieu via une d l gation de service public Outre les comp tences techniques d IRIS c est donc un transfert absolument s curis sur le plan juridique Pour renforcer l eff
10. icacit de ce dispositif le SIPPEREC aide les communes appliquer une proc dure rigoureuse de r ception des ouvrages il s agit de disposer de toutes les informations techniques indispensables leur exploitation future plans de r colement documentation technique Pour une efficacit maximale ce travail men conjointement avec les villes et les am nageurs doit tre effectu au moment de la recette Pour les fourreaux d j existants pos s l initiative des collectivit s un recensement doit tre entrepris Le SIPPEREC propose aux communes d en effectuer l inventaire d taill afin de mieux les int grer dans le service public confi IRIS dans la perspective ene geton opua des capacit s Un Collectivit s et r seaux tr s haut d bit Ce dispositif peut concerner l ensemble du territoire d une collectivit ou bien seulement certaines zones sp cifiques Bien s r tout op rateur qui le souhaite peut faire valoir des droits de passage ind pendamment du service propos par IRIS s u Petite couronne qu sous sol et am Anticiper les r seaux de demain II s agit ici d anticiper au maximum Toute opportunit doit tre mise profit pour faciliter l arriv e et le passage des op rateurs dans un avenir plus ou moins proche La r alisation de travaux importants doit tre signal e au SIPPEREC comme aux op rateurs et autres gestionnaires de r seaux Les travaux de voirie sont aussi
11. l occasion de poser des fourreaux et des chambres en attente Attention ces infrastructures doivent tre dimensionn es pour permettre l arriv e ult rieure de plusieurs op rateurs En anticipant la collectivit accro t son attractivit en r duisant les co ts de d ploiement pour les op rateurs ce qui permettra alors une meilleure couverture de son territoire En vitant des travaux ult rieurs elle limite galement les nuisances pour ses habitants et contribue pr server l environnement Compte tenu de la sp cificit des attentes des op rateurs le SIPPEREC donne ses communes adh rentes les outils pour optimiser la gestion de leur sous sol cf en savoir plus v 6 om nmen optimiser gestion nagement num rique principes techniques pour pr parer le d ploiement d un r seau de fibre optique dans le cadre de travaux de coordination e pr conisations techniques pour aider les am nageurs dimensionner leurs infrastructures e cahier des charges techniques pour le passage de r seaux c bl s destin aux promoteurs Consultez l espace adh rent sur le site du syndicat www sipperec fr pour obtenir un mod le de convention pour la mise en gestion des infrastructures de communication lectronique Contact Vincent Fouchard vfouchard sipperec fr 01 44 74 32 05 Vincent Fouchard Charg de mission T l communications SIPPEREC loa d information g ographique SIG Le SIPP
12. lic offre les moyens de parfaire sa connaissance du sous sol en distingua nt fourreaux vides et fourreaux occup s e Concernant les permissions de voirie l arr t du 26 mars 2007 d finit le contenu du dossier fourni par le demandeur lequel est tenu de produire les plans de r colement et les donn es techniques permettant d valuer l opportunit d un ventuel partage des infrastructures le tout sous format lectronique Le SIPPEREC met disposition des communes un mod le de permission de voirie conforme cet arr t comment optimiser gestion am nagement num rique G rer les r seaux aujourd hui Depuis le 1 janvier 1997 l acc s aux infrastructures de t l communications doit tre accord de mani re neutre et non discriminatoire tous les op rateurs dans des conditions tarifaires objectives c est dire reposant sur les co ts constat s Cette mission qui suppose des connaissances techniques pointues a tout int r t tre d l gu e par les collectivit s Celles ci n ont souvent pas les moyens de g rer en interne les demandes complexes et multiples cf t moignages des op rateurs Le SIPPEREC propose aux communes de la Petite couronne de recourir aux services de la soci t IRIS concessionnaire du r seau de fibre optique du m me nom qui peut en toute transparence maintenir et louer de telles infrastructures Le concessionnaire a en effet le professionnalisme et l exp rie
13. n site Cr teil l autre Levallois En outre on s est vite rendu compte qu avec une p pini re d entreprises Citec 17 Bertrand Georges Directeur du d veloppement conomique et de l am nagement de Plaine centrale du Val de Marne sur la ZAC Europarc et de nombreuses PME les besoins taient largement sous estim s C est ce moment l que nous avons d couvert le r seau public en fibre optique Sequantic Nous ne connaissions pas le SIPPEREC mais nous avons rapidement commenc travailler ensemble et le d l gataire ID Reso sur 4 zones conomiques tertiaires ou technologiques Dans un premier temps nous avons sensibilis les entreprises qui il n est pas forc ment simple d expliquer les m canismes d une d l gation de service public Ensuite il a fallu recenser les r seaux un travail important men avec la ville de Cr teil Europarc l am nageur avait d ja la pleine et enti re propri t de ses fourreaux lls devraient pouvoir tre transf r s IRIS qui les mettra disposition du d l gataire charg de d ployer le r seau SEQUANTIC d s que la ville de Cr teil aura sign la convention de gestion avec le SIPPEREC Ce soutien est d autant plus important qu il a maintenant urgence les entreprises commen aient trouver que notre zone d activit devenait peu attractive Bertrand Georges Directeur du d veloppement conomique et de l am nagement de Plaine centr
14. nce requis pour assurer cette mission Aucun financement n est demand la commune IRIS se r mun re via les recettes per ues aupr s des op rateurs Mieux IRIS reverse la commune la redevance d usage que lui versent les op rateurs pour ces infrastructures IRIS gestionnaire d infrastructures dans les zones d am nagement Dans le cadre d un avenant la concession IRIS s est vu confier par le SIPP REC une nouvelle mission de service public g rer de mani re neutre les infrastructures de t l communications des collectivit s au profit de tous les op rateurs Fin octobre 2007 une vingtaine de villes Soit une vingtaine de ZAC en gestion ont d j contract avec le SIPPEREC et IRIS pour lui remettre leurs fourreaux et lui permettre d exercer cette mission Ce service clefs en mains comprend trois tapes e Des pr conisations techniques pr alables IRIS n est pas un bureau d tudes mais peut assurer une pr validation technique des plans qui lui sont adress s IRIS peut aussi accompagner des am nageurs leur demande durant les travaux e La r ception des infrastructures de mani re conjointe avec le SIPPEREC IRIS r cup re les infrastructures en l tat sans tre responsable de leur conformit ainsi que les plans d taill s Il en assure d s lors la maintenance e La location de ces infrastructures et leur maintenance Les tarifs sont identiques pour tous les op rat
15. ns cette d marche avec une palette d outils allant des recommandations techniques pour une bonne gestion jusqu au service clef en main P 8 Jacques Poulet Questions r ponses Pr sident du SIPPEREC Maire de Villetaneuse Syndicat Intercommunal de la P riph rie de Paris pour l lectricit et les R seaux de Communication te trois pour les Depdis l adoption de l article L 1425 1 du Code g n ral des collectivit s territoriales l Autorit de r gulation des communications lectroniques et des postes ARCEP a comp tence pour r guler les activit s des collectivit s en ce domaine Pour l ARCEP les collectivit s territoriales sont fond es intervenir trois niveaux diff rents G rer leur domaine public avec les permissions de voirie Ici s appliquent les r gles du droit de la E gt concurrence transparence et neutralit Aucune i A discrimination entre les op rateurs n est admise o Am nagement num rique du territoire _ L Autorit distingue i ici les modalit s de mutualisation des infrastructures de A coordination de travaux de recensement p o et de gestion des infrastructures disponibles la mise en place de guichets uniques gt Projets d initiative publique Is agit de r seaux _ cr s dans le cadre de l article E 1425 1 du _ CGCT comme ceux L initiative du SIPPEREC E trois r niveaux d intervention sont compl mentaires Is sont d termina
16. nts pour favoriser la cr ation de r seaux tr s haut d bit FITH et FTTB que ig _aujourd hui essentiellement des op rateurs priv s E France T l com Neuf Cegetel Num ricable et Free o des collectivit s comme le SIPPEREC Pour l ARCEP _en effet la mise disposition de fourreaux par g une collectivit facilite le d ploiement de r seaux haut et tr s haut d bits Le g nie civil est un facteur d terminant explique Pierre douard de la Ronci re du service collectivit s et haut d bit de l ARCEP La collectivit peut aussi impulser une p r quation g ographique entre zones rentables et zones moins denses par exemple ARCEP Autorit de R gulation des Communications Electroniques et de la Poste Pierre Edouard DE LA RONCI RE j Service collectivit s et haut d bit ARCEP 12 ne niveaux d intervention collectivit s Parce que le monde conomique est un moteur essentiel d acc l ration des d bits consomm s les collectivit s doivent particuli rement veiller l am nagement num rique des zones d activit Elles disposent pour cela d infrastructures dont elles doivent si ce n est encore fait revendiquer l enti re propri t Elle peuvent faire figurer les fourreaux et les chambres de tirage au rang des quipements publics Depuis le 1 janvier 1997 les infrastructures destin
17. ollicite pour c bler en 15 mois toute la ville Est il possible de refuser ou bien faut il se r signer un nouveau plan c ble avec des tranch es dans toutes les rues France T l com est en train de proposer une offre d acc s ses fourreaux que l ARCEP doit examiner d ici fin 2007 En attendant une ville a toute l gitimit pour favoriser la mutualisation des infrastructures disponibles Pour une ville d j c bl e elle est fond e demander les plans au c blo op rateur dans l optique d un partage plus forte raison si le r seau c bl est exploit en d l gation de service public car dans ce cas le r seau appartient la vile comme cela a t confirm par l ARCEP en juillet 2007 Autant de pistes pour viter la g n ralisation de tranch es Laurence Falgayrettes Colombes Si l on souhaite pr parer le terrain aux demandes des op rateurs comment mesurer leurs attentes techniques Faut il poser des fourreaux De la fibre Comment les dimensionner Il est toujours utile de d ployer des fourreaux dans le cas de travaux entrepris par la ville Dans les zones d am nagement il est aussi possible de poser de la fibre en attente Les prescriptions techniques labor es avec l aide d IRIS que le SIPPEREC met disposition des villes ont pr cis ment pour objectif de donner des points de rep res aux collectivit s et aux am nageurs pour dimensionner correctement ces infrastructu
18. res en fonction des travaux entreprendre travaux de voirie en coordination am nagement de nouvelles voies dans le cadre de ZAC C est un gage pour l avenir Dans les deux cas fourreaux et fibre peuvent tre remis IRIS qui saura les g rer et les valoriser au service de l am nagement num rique du territoire des collectivit s SIPPEREC Tour Gamma B 193 197 rue de Bercy 75582 Paris cedex 12 T l 01 44 74 32 00 Fax 01 44 74 31 90 E mail cdumas sipperec fr internet www sipperec fr
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