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Actes Unsaf 2015

1. Figure 2 The 3 acoustical paradigms A D Baseline paradigm Each sound level was presented ran domly 300 times per level B E HPR suprathreshold paradigm Each sound level was presented ran domly 300 times excepted HPR level 60 65 and 70 dB SPL which were overrepresented 6000 times C F HPR near threshold paradigm Each sound level was presented randomly 300 times excepted HPR level threshold 5 dB SPL which were overrepresented 6000 times a aU GB SPL TB SPL 4 15 dB SPL TUAE SPL le BoB sel A A qu am SPL hi ANE rh GJB SEL TRS ao dB SPL 4 4G cB SEL UNE a 40 dB SFL TN ie ee se Le 25GB SFL 204 SFL 16 dE SFL 1048 SFL 5 GcBSFL DdB SFL 2 3 L time imal time mai time ms Figure 3 CAP responses for the three paradigms presented in figure 2 and for the same animal A Baseline paradigm B HPR Suprathreshold C HPR Near threshold D F CAP amplitude at 65 dB SPL for baseline D suprathreshold E and near threshold HPR paradigms F POSTER 10 Scientifiques i POSTER 10 An adaptation mechanism to sound level statistic in the cochlea 126 wow PRISES Amplitude N F pW 20 30 40 50 80 70 B Level dB SPL Figure 4 N P CAP amplitude as a function of the sound level for the three acoustic paradigms Black curve baseline paradigm red curve HPR suprathreshold paradigm 60 65 and 70 dB
2. Int r t des algorithmes d abaissement fr quentiel chez l acouph nique mesures subjectives et objectives R SULTATS Compression fr quentielle non lin aire gt S enclenche partir de Fmin Fe choisie et taux de compression d pend de Fmax et saccades dans le signal de sortie amp rs Scientifi ques Transposition fr quentielle et g pagin maire mil Si ee ee ee ent Bd a a nL gt Recouvrement fr quentiel partiel r gion fr quentielle source d pend de Fd part Fd 2Fd Pas de saccades Duplication fr quentielle en entr e IEEE mms aam apa mu ar Less a Let _ m9 2 gt Fonctionne uniquement sur signaux complexes 2 ou 3 duplications se font en entr e Duplication fr quentielle en sortie KE EL J m ars ie LE aa LR Lil k L gt Fonctionne uniquement sur signaux complexes et signal dupliqu en sortie jusque 6000 Hz POSTER 5 Scientifiques POSTER 5 Int r t des algorithmes d abaissement fr quentiel chez l acouph nique mesures subjectives et objectives MESURES SUBJECTIVES M thode Mesure de satisfaction l aide de deux 0 questionnaires qui sont le THI et le BAHIA avec des appareils transposition fr quen 4 tielle pendant 15 jours de port minimum chez 12 patients acouph niques plaintifs dont l ge moyen est de 55 5 ans et dont la perte tonale moyenne selon l
3. oi Fe Fo pe a A S s A a D Figure 3 Use of each program by the cat 2 patients Figure 4 Use of each program by the cat 3 patients POSTER 7 Masking or mixing point the patient s choice CTCHEU LEUR RP SR re ER ae Lire x iques LTR ek DE PLO riers Figure 6 THI improvements for each subcategory before and after three months trial m THI before E THI alter tif len SUMMARY Somatic tinnitus and the modulation of tinnitus by somatosensory inputs has been lar gely described Levine 1994 Shore amp coll 2007 The hypothesis of its origin seemed to be correlated with activity increase in the Dorsal Cochlear Nucleus Kaltenbach 2008 Eggermont 2008 In this study we intend to esta blish the incidence of somatic tinnitus and particularly facial dysesthesis among a group of tinnitus sufferers SC Scientifiques a h Se Poste Hyperactivity of the dorsal cochlear nucleus in absence of auditory stimulation _i METHODS We present the results of more than 70 patients that followed the Tinnitus Retraining Therapy TRT protocol All patients fulfilled the structured interview Jastreboff 2002 and were furthermore questioned on the presence of facial dysesthesis or pain the type of abnormal sensation the possibility to modulate tinnitus by any somatic modi fication the type of modulation obtained We have evalua
4. D UNIVERSIT DE MONTPELLIER gis NOUVIAN ee nm S Neurosciences de Montpellier isinte tar nsameriences monter les du langage Universit de Montpellier INTRODUCTION Les cellules cili es internes CCI transforment les ondes sonores en message nerveux interpr table par le cerveau En r ponse une stimulation acoustique les CCI mettent un potentiel de r cepteur c est dire une variation graduelle du potentiel de mem brane en fonction de l intensit de stimulation En revanche au cours du d veloppement les CCI g n rent des potentiels d action cal ciques spontan s Afin de caract riser le profil et les m canismes l origine de cette acti vit nous avons mesur les variations de calcium intracellulaire des CCI Nos r sultats montrent une forte activit au sein de l organe de Corti au cours du d veloppement MAT RIEL ET M THODE Nous avons r alis de l imagerie calcique chez des souris Swiss g es de 1 13 jours post natal soit P1 P13 Lorgane de Corti tait pr lev l apex ou la base de la coch l e La sonde calcique utilis e tait le Fura 2 Ac toxym thyle AM 350 nm Intensit d mission Actes du Congr s des Audioproth sistes aia Activit des cellules cili es internes au cours du d veloppement Le Fura 2 tait excit avec des longueurs d onde de 350 et 380 nm l aide d un poly chrome TILL photonics La lon
5. A Corr lation interaurale du d masquage D masquage vocal en fonction du d masquage en a d tection p ualue O 0088 paalaus 01 4215 ie 5 ole z 3 k a C masquage QUE en d tection E A i u ii F s 4 Bs 3 LI TF p E i sH aa Demag a vocal D masquage droit dE Figure 5 D masquage tonal et vocal oreille droite VS oreille gauche A et d masquage tonal VS d masquage vocal pour chaque sujet B Par de corr lation en d masquage vocal entre l oreille droite et l oreille gauche ainsi qu entre d masquage tonal et d masquage vocal chez chaque sujet alors qu elles devraient logiquement avoir lieu Ecarts expliqu s par un effet d entrainement fatigue et des signaux mieux adapt s pour l obtention de r sultats pour chaque test pris s par ment que pour la confrontation des donn es inter tests 1 LEVITT H amp RABINER L R 1967 May Binaural Release From Masking for Speech and Gain in Intelligibility The Journal of the Acoustical Society of America 42 3 601 608 2 WILSON R H MONCRIEFF D W TOWNSEND E A amp PILLION A L 2003 Development of a 500 Hz Masking Level Difference Protocol for Clinic Use Journal of the American Academy of Audiology 14 1 1 8 Contact Johann LAHAI tudiant en Master 2 Audiologie et Troubles du Langage jo lahai laposte net POSTER 15 POSTER 16 im Inserm GUILLET
6. 2 J 0 4 F O08 a T o Ot Z ona af 4 z a a oil tars E 2 07 pi 00 ve ER man ve O00 PLP para O00 FIPS para gal dal PONS A 17 40 CO 5 0 030 Pia m Le a 40 ao H 200 400 aoe Taripa js a G20 g 2 020 Tarrigs 5 Gala 0 010 CE ws a 3 J 08 p7 0 000 0 000 7 D FI P3 Po Pe PI P3 PS 0 6 we D iz 12 ar O4 E ii 02 r 02 Lime g go N N oo t E 0 04 4 4 hha 7 4 fal a 7 tH rr AOI ao owo a g C 20 a0 jno Tarps s ERT Annee FRERES Tames 5 Actes du Congr s des Audioproth sistes 114 Activit des cellules cili es internes au cours du d veloppement Figure 3 Activit des CCI au cours du temps et en fonction du gradient baso apical a d Exemples d enregistrement du calcium intracellulaire la base de la cochl e en rouge et l apex en bleu indice du calcium intracellulaire en fonction du temps ratio F350 F380 d une CCI pour des pr parations P2 et P7 b c Histogrammes de l amplitude en unit s arbitraires de la fr quence en Hertz et de la dur e en secondes des pics calciques dans les quatre conditions CONCLUSION Au cours de ce travail nous avons mis en place une nouvelle technique d tude de l ac tivit des CCI immatures Cette technique repose sur la mesure du calcium intracellu laire l aide de la sonde calcique Fura 2 L utilisation de la forme ac toxym thyl e du Fura 2 permet de mesurer s
7. 2 a AE Fibres bas seuil f Z L TBa I kHz met ae Si 7 e at 3 20 j TB 4kHz i a r 800 1000 J 200 400 600 Constante de r cup ration a liS ms Past stimulation ms DISCUSSION Les fibres recrut es avec l EcoG pour des intervalles inter stimulation cours seraient les fibres haute activit spontan e HSR du fait qu elles soient les plus rapides r cup rer apr s une stimulation sonore La constante de temps de r cup ration post stimulation des HSR est plus longue 4kHz qu 1kHz 134ms gt 154ms Il y aurait donc davantage de HSR 4kHz comme chez la gerbille La constante de temps des HSR 4kHz chez l homme est inf rieure la constante de temps Gerbille 160 lt 154 Le nerf auditif d une gerbille est principalement constitu de HSR ce qui serait probable ment li e leur sensibilit pour les signaux d alerte Chez un sujet humain normo entendant on peut supposer que le nerf auditif soit constitu principalement de fibres moyenne et basse activit spon tan e du fait que l homme ait des besoins de discrimination auditive plus importants pour la com pr hension de la parole dans le bruit Ainsi la possibilit d un nombre plus important de fibres basse activit spontan e chez l homme pourrait se traduire par un effet sur son ECoG Ceci expliquerait alors l augmentation plus lente de l amplitude et la diminution plus lente de la latence chez l homme Il y aurait
8. de compr hension d un message verbal Scientifiques Capacit du sujet r p ter correctement les l ments du mat riel vocal test test d in telligibilit Ces caract ristiques invali th ses de Gauss Markov re R sultats lisation du mod le de r gressi F report s sous forme fractionnaire le plus souvent exprim s en pourcentages Po Ste Lintelligibilit peut ainsi tre consid r e comme une variable d finie sur l intervalle 0 1 Elle correspond une forme de donn e proportionnelle Cette structure de donn e est e non lin aire e H t rosc dastique variance non constante 44 v PX 2 E elx 0 y 3 ox k LE THEOREME DE GAUSS MARKOV Ajeovle 6 0 Sous les hypoth ses de Gauss Markov la variable d pendante DV est une combinaison lin aire de variables ind pendantes IV et d un terme erreur 1 l esp rance du terme erreur est nulle pour toutes les observations 2 la variance du terme erreur est une constante homosc dasticit pour toutes les observations 3 absence d autocorr lation du terme erreur 4 Le meilleur estimateur lin aire non biais d une combinaison lin aire des coefficients de r gression est son estimateur par la m thode des moindres carr s PROBL MATIQUE dans le cas des donn es d intelligibilit les hypoth ses de lin arit et d homosc dasticit sont viol es rendant inappropri
9. e Le reste charge 76 des personnes interrog es rappelons que le remboursement moyen de l Assurance Maladie et des compl mentaires en France environ 470 est large ment inf rieur aux remboursements publics des pays limitrophes e Des priorit s plus importantes 58 les r percussions des troubles auditifs non pris en charge ne sont pas encore suffisamment connues des patients e L opinion n gative de l ORL 55 ces informations sont insuffisamment connues y com pris par le corps m dical Et Luis Godinho de conclure Lutter contre les troubles auditifs c est combattre l installation de nombreuses pathologies dont le co t pour la collectivit est sans commune mesure avec le co t de l quipement auditif Eurotrack met en lumi re les qualit s de notre parcours de soin de l audition g n raliste ORL audioproth siste orthophoniste gr ce auquel les personnes malentendantes voient leur qualit de vie sensiblement am lior e Est pos e nouveau la question de l important reste charge li au faible remboursement obligatoire et compl mentaire Pour aller plus loin sur l expertise des audioproth sistes 96 des utilisateurs d clarent que leurs aides auditives am liorent au moins occa sionnellement leur qualit de vie 65 des r pondants notent mieux ou beaucoup mieux l efficacit de leur communication 57 notent mieux ou beaucoup mieux la qualit de
10. par rapport la condi tion avec les aides auditives 25 Temps de maintien en quilibre ms oO Condition non aid e Condition aid e Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects physiopathologiques et donn es r centes IV CONSEQUENCES FONCTIONNELLES A Cons quences perceptives Les troubles neurosensoriels li s l ge ont des cons quences multiples non seulement sur les capacit s perceptives dans la les modalit s d ficitaire s sujet que nous n aborderons pas ici mais galement dans un contexte bisensoriel Une tude r cente a par exemple montr que les sujets g s malentendants taient plus facilement distraits par des stimuli visuel lors d une t che de cat gorisation audi tive sons modul s ascendants ou descendants et r ciproquement par des stimuli auditifs lors d une t che de cat gorisation visuelle points mouvants horizontalement ou verticalement Cette distractibilit intermodale tait absente chez les sujets g s normoentendants et corr l e positivement au niveau de perte auditive B Handicap fonctionnel Outre une d t rioration des fonctions cognitives mise en vidence en cas de troubles auditifs visuels ou olfactifs les troubles neurosensoriels li s l ge peuvent gale ment avoir des r percussions significatives sur l tat nutritionnel par une atteinte de l olfaction et de la gustation sur les activit s physiques du f
11. perte qualitative Actes du Congr s des Audioproth sistes 138 Parmi les modes de compensations mis en place la redondance de l information dans le signal vocal est un l ment prendre en compte Cette redondance peut tre extrin s que si elle s appuie sur les caract ristiques de base de la langue parl e r gles de syn taxe ou s mantiques par exemple ou bien intrins que si elle d pend des caract ris tiques de d codage au niveau du cortex auditif ou des processus cognitifs d analyse transition formantique Ensemble ces deux types de redondances nous apportent bien plus d l ments que n cessaires pour d coder l information et comprendre la parole dans le silence Il a t par ailleurs montr que pour la plupart des gens les redondances intrins ques ou extrins ques peuvent tre alt r es seule seule sans d t riorer le niveau de compr hension dans le bruit Par contre les choses se compli quent nettement lorsque ces deux types de redondances sont alt r s et c est ce qui se passe lorsqu une personne atteinte de presbyacousie essaie de communiquer en envi ronnement bruyant Nous avons tous appris r aliser audiom trie vocale dans le silence et celle ci reste indispensable pour les raisons voqu es au pr alable Elle doit toutefois tre compl t e aujourd hui par une mesure de la compr hension dans le bruit Les technologies ont volu et les attentes de nos patients aussi il est donc imp ratif
12. r Vocalisation dans le silence Vocalisation dans le bruit RSB 0 dB vocalisation dans le bruit RSB 5 dB x ER ceee 66 44 04044 ec z Cnet agin PaA A N pra TAN tie 4 Gerbille o i LS j E o5 10 05 10 O05 1 a i 5 sl oe Pret PAPA 3 A eu 3 4 Cochon dinde i os a anti to i 4 T 0 25 U 0 05 10 05 10 05 10 05 10 05 10 05 1 6125 amp 3 Rat LJ re Eu a ee Te UE AI NAAN 14 ee una pE eae ee Cer Ces Ne g1 l A os 10 05 10 ee 1 0 ss 10 05 10 05 1 35 ah hing nr LT emps s E vi we ri me lp k nl es 02 03 04 050 01 02 03 o4 o5 0 01 02 03 04 O08 Figure 3 R ponse du nerf auditif pour diff rentes profondeurs de modulation chez la gerbille Temps s Temps s Temps s bleu le cobaye rouge et le rat vert En noir le stimulus sonore est une bande de bruit centr e sur 4 kHz pour la gerbille et 8 kHz pour le cochon d Inde et le rat Il est modul en amplitude avec FM 4 Hz et diff rentes PM allant de 0 100 Le niveau de stimulation est de 60 dB SPL cr te L activit spontan e du nerf auditif est en gris a o Figure 5 R ponses du nerf auditif de cochon d Inde une vocalisation dans le silence et dans le bruit La stimulation est en noir son spectrogramme en dessous La r ponse du nerf auditif est repr sen t e en rouge pour le silence A et des Rapports Signal sur Bruit RSB de 0 dB et 5 dB B et C 5 uv Gerbille i syv Cochon d Inde Figure 4 R ponse du nerf p
13. tant ni psychologue ni psychoth rapeute il ne nous appartient pas de pren dre en charge les pathologies psychiatriques lourdes dont la premi re est bien sur la d pression Le travail peut toutefois dans certains cas tre r alis sous contr le m dical en quipe pluridisciplinaire Diff rentes enqu tes Vanmeirhaeghe Lurquin amp Renard 2013 nous ont permis de comprendre l immense capacit de compassion des audioproth sistes mais aussi leur d nuement face une pathologie difficile impliquant beaucoup de notions de neuro physiologie de psychoacoustique ou de neuropsychologie Nos propres exp riences permettront d explorer les inconnues de cette prise en charge particuli re et la fa on d aborder le patient de mani re analytique mais aussi sans cr er de dissociation acous tico motionnelle c est dire en le respectant dans sa globalit BIBLIOGRAPHIE e Croyances et distorsions cognitive des sujets acouph niques T Duval P Lurquin Les Cahiers de l Audition vol 23 n 2 2010 pp 24 38 e Impact de l acouph ne sur le couple C Rampont P Lurquin M Real La Revue de France Acouph ne n 80 pp 6 13 juillet 2013 e Les somato acouph nes P Lurquin M Real Ph Cotton Veille Acouph ne Les Cahiers de l Audition Vol 25 6 2012 Actes du Congr s des Audioproth sistes 134 e Les questionnaires revue de litt rature P Lurquin M Real O Leleu Veille Acouph
14. Journ e Scientifique et des ateliers merci Eric Bizaguet Paul Avan et tous nos intervenants pour les temps forts de formation qu ils nous ont propos s sur ces trois jours Je souligne particu li rement la conf rence du Professeur Ami va qui cette ann e nous a confirm le r le de l appa reillage auditif dans la pr vention du d clin cognitif c est aussi l occasion pour les audioproth sistes de rencontrer ceux qui les repr sentent et qui agissent pour la promotion et la d fense de la profession et d assister l AG du syndicat qui s est tenue vendredi ainsi qu au conseil d administration de samedi matin Je veux maintenant souligner la grande nouveaut de cette dition la tenue d une conf rence de presse vendredi matin consacr e aux r sultats exclusifs de l tude Eurotrack 2015 ces r sultats sont tr s bons puisque le taux d quipement progresse de 12 entre 2012 et 2015 pour atteindre 34 et se situer 74 du taux de l Angleterre La satisfaction progresse aussi passant de 80 84 sans doute la meilleure des 8 pays interrog s Cette ann e est aussi une ann e particuli re pour l UNSAF qui f te ses 30 ans d existence d abord une union de syndicats et depuis 2011 un syndicat unique L action du syndicat n a fait que s ac croitre ces derni res ann es qui ont t riches d actualit s C est aussi le moment de parler de l un des fondateurs de l UNSAF en 1985 M Xavier Renard Cr a
15. L utilisation de logatomes Dodel Lef vre de mots monosyllabiques Fournier pour tester la compr hension diminue la complexit de l analyse du signal par le syst me auditif central Un mauvais score pour ce type de tests met davantage en cause l audi tion p riph rique Mat riel phon tique Sensibilit Logatomes Mots Phrases Suppl ance Figure Mat riel vocal Sensibilit et suppl ance mentale Lorsque l audiom trie vocale est r alis e dans le bruit l utilisation d un syst me multi haut parleurs contr l par un outil logiciel ou lectronique permettant de g rer l inten sit et le positionnement des diff rents signaux est recommand e La norme propose d utiliser au minimum trois haut parleurs mais l utilisation d un syst me cing enceintes est conseill e En effet cela permet une diffusion des signaux qui sera plus repr sentative de la vie r elle en permettant l immersion du patient dans un environ nement de bruit omnidirectionnel 45 135 45 et 45 avec une voix provenant de face 0 Figure Audiom trie vocale dans le bruit Configuration mat rielle classique Configuration mat rielle actuelle Actes du Congr s des Audioproth sistes 140 Cette fois ci la mesure consiste faire varier le rapport signal sur bruit RSB c est dire la diff rence de niveau entre le signal la voix et le bruit Ainsi pour une voix 65 dB SPL et un bruit mesur au
16. Nous constatons que la variabilit intra individuelle des r sultats et l homog n it de notre chantillon constitue un biais emp chant l analyse des r sultats et l apparition des corr lations esp r es Fig 5 CONCLUSION ET PERSPECTIVES La pr sence de corr lation entre d masquage binaural et localisation sonore n a pu tre confirm e ni infirm e La reproductibilit des donn es devrait s am liorer en modifiant le protocole notamment signaux et bruits et dur e des tests et en le soumettant des sujets aux profils diff rents ge pertes auditives diff rents Scientifiques POSTER 15 A RSE masquant d Valeur de d masquage dB D masquage binaural VS localisation sonore recherche d un lien Valeurs movennes de d masquage iL Scientifiques oi 12 fo 3 Poste mn Erreurs de localisation moyennes 0 00 60 00 Intelliginilit 40 008 20 00 0 00 POSTER 15 Erreurs moyennes de localisation Lacalisation ariirkitake SO Silence 3 Actes du Congr s des Audioproth sistes Ci rressomasge lanal SOOM D masguape Lords 4 He Localisation azimutal Ach RSB dB C rressoueaspe worl 7 12 Figure 3 Performances en d masquage tonal et vocal A de localisation sonore B et d intelligibi lit vocale dans le bruit C D masquage tonal meilleur sur les fr
17. Scientifiques POSTER 9 Scientifiques POSTER 9 Tinnitus Retraining Therapy for craniocervical dysesthesis in somatosensory tinnitus patients Miran audiogram of raght rars bilaters tinnitus hiesn audiogram of lefl ears bilateral tinnitus RESULTS Tinnitus Retraining Therapy significantly improved tinnitus and facial dysesthesis in 16 patients 76 according to their self evaluation Wilcoxon p lt 0 05 After three months of TRT the mean THI score decreased from 67 14 to 32 19 and the mean JSIm scores were reduced from 37 38 to 12 38 for facial dysesthesis awareness item 11 and from 3 5 to 1 12 on 10 for facial dysesthesis Comparison of Jim score for facial dysesthesis awareness item 11 before and after TRT annoyance item 12 E 450 f anm IIE Comparison of THI score before and after TRT IMO IA j 2505 eye E 2005 ALI i 5 20 00 LE Th LEE R ire IDT g EEH TE i S000 40 00 odo co Aion ther a anei 1 00 THI bafa Comparison of J5im score for facial dysesthest Comparison of JSim score for tinnitus hearing loss sensitivity annoyance item 12 before and after TRT to molse and facial dysesthes s item 1 before and after TAT f g f a a 335 E a Et Lm E 7 341 E 240 552 A E a a 5 4 35 5 i O36 4 lal 2 Laz L ninas Hearing Sensitivity Facial 7 menti Loss bo nolga dyecsthasts 5 Deron her Tinnitus Retraining Therapy in somatos
18. alis es exclusivement avec la participation directe du sujet ainsi que sur l oreille controlat rale a celle pr sentant l acouph ne Or ceci est r guli rement controvers en raison des ph nom nes de diplacousie ainsi que des tudes ayant d montr qu en choisissant la fr quence de leur acouph ne les sujets taient susceptibles de commettre une erreur d indication une ou deux octaves pr s L objectif de cette tude est donc de proposer une m thode diff rente de mesure des caract ristiques de l acouph ne travers un protocole d utilisation du logiciel prototype programm par Yves Lasry dans ce but Le patient le plus repr sent est un normo entendant ne connaissant pas la cause de son acouph ne qu il d crivait au d part comme tant un son pur bilat ral avec pr do minance marqu e La th orie TinniSweep est bas e sur le principe de l audiogramme masking labor par Feldmann en 1969 la diff rence pr s que la courbe repr sentant le seuil tonal limi naire en son pur est r alis e travers une audiom trie en balayage fr quentiel automa tique de B k sy De m me la courbe repr sentant le niveau minimum masquant l acouph ne MML en bruit filtr bande troite suit le principe des CPAR de Moore r alis e sur le signal acouph ne mesurant ainsi sa s lectivit propre et nous per mettant d obtenir une courbe invers e par rapport au seuil Le graphique type attendu pr sent
19. audioproth se des tests de compr hension avec support visuel 5 25 20 Ex oN 15 10 R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES pis Pichaud Sarah Impact des indices visuels sur les b n fices de la directivit micropho n DONS ASSIGE MINERA Am t nique M moire d audioproth se Universit de Rennes 2012 EE Poepen DER Erber Norman P Effects of distance on the visual reception of speech Journal of Speech J E Avec correction visuelle M Sans correction visuelle 3 and Hearing Research 1971 848 857 College national d audioproth se Pr cis d audioproth se Tome Lappareillage de l adulte Le bilan d orientation proth tique 2008 Coll ge national d audioproth se Distributions des moyennes des pourcentages d erreur selon l environnement et la distance ANALYSE Les r sultats de cette tude montrent travers des tests classiques de l audioproth siste sans support visuel que la compensation visuelle n a pas d impact significatif sur contacts nicolasgeffray live fr Vintelligibilit quel que soit l environnement grangerb essilor fr En revanche en pr sence d indices visuels la correction am liore de fa on significative la compr hension chez tous les sujets En effet les mesures effectu es avec support visuel indiquent que En vison de loin les patients comprennent en moyenne 70 des mots avec correc tion visuelle contre 58 sans la compensation soit une moyenne de 12 de dif f
20. auditives La recommandation 06 13 du BIAP propose une grille de 10 items qui permet de mesu rer objectivement lautonomie d un patient dans la gestion quotidienne de son appa reillage auditif Cette valuation peut tre r alis e tout moment et par tous les pro fessionnels de l quipe pluridisciplinaire intervenant aupr s du patient m decin ORL g riatre g n raliste audioproth siste infirmi re aide soignante Cette recomman dation pr cise que si l valuation r v le un d faut d autonomie sur l un des 10 items de la grille une solution d aide doit tre trouv e et int gr e au plan de suivi individualis Contacter son audioproth siste du patient appareill L Autonome L A besoin d aide Se rendre chez son audioproth sist e e LIA besoin d aide d ee I ese Mettre en place l aide auditive Autonome A besoin d aide L A besoin d aide Retirer l aide auditive JA besoin d aide Mettre en marche et arr ter l aide auditive Changer la pile ou l accumulateur LJ Autonome Autonome besoin d aide Recharger les aides auditives autonome Autonome _ A besoin d aide Nettoyer l aide auditive quotidiennement Comprendre seul les consignes de port de l appareillage retirer l aide auditive la nuit lors de la toilette 10 Percevoir un dysfonctionnement de l aide auditive demander au patient de mettre en place l aide auditive en ayant pr alablement enlev la pile et
21. de compr hension dans le bruit vo ca Condition dichotique Condition dichotique Condition diotique invers e Jk A gor UNIVERSIT F my A TOULOUSE II tif tif ien ien CONTEXTE La binauralit est l coute naturelle avec deux oreille saines S 60 B 60 SO B0 60 B 60 La surdit unilat rale a des cons quences socio comportementales d montr es et Ecran de la t te Effet de sommation Squelch importantes Par exemple elle entra ne des troubles de la localisation des sons dans l espace ainsi que des troubles de discrimination de la parole dans le bruit Chez l enfant SC Sc A l elle engendre une augmentation du taux de redoublement des troubles du comporte R SULTATS ET DISCUSSIONS a ment en classe ainsi que des retards du d veloppement du langage hw Chez l adulte la litt rature mentionne une baisse de qualit de vie g n rale par rapport aux normo entendants et une tendance l isolement social ames Sse 1 isis VA _ int 2 PROBL MATIQUE je emama M enan O En France il ny a pas de prise en charge th rapeutique syst matique de la surdit LES e A unilat rale OTE pa TE OBJECTIFS E Evaluer le handicap perceptif secondaire une surdit unilat rale afin d am liorer la ja ESS prise en charge du sujet sourd unilat ral 5 a a a iji E enciail Objectif principal R sultats multipli s par 1 pour fac
22. e et les liens entre surdit et troubles cognitifs ont t tablis Ces donn es soulignent donc l importance d une prise en charge proth tique adapt e chez les personnes ag es et la situation particuli re des personnes d pendantes et ins titutionnalis es doit tre particuli rement prise en compte Il existe actuellement tr s peu d tudes et peu de publications sur ce sujet sp cifique et les informations qui manent des diff rentes exp riences individuelles sont souvent n gatives Certaines contraintes et difficult s sp cifiques sont ainsi fr quemment retrouv es dans ces t moignages e Probl mes pour l acc s l appareillage li s notamment aux contraintes de d pla cement des patients vers le m decin ORL et l audioproth siste e Suivi proth tique insuffisant en raison galement de ces contraintes de d place ment e Difficult s pour l utilisation de l appareillage au quotidien en raison de l impossi bilit pour certaines personnes de g rer seules les actes n cessaires pour un port efficace de leur appareillage mettre les appareils le matin et les retirer le soir changer les piles utiliser les produits d hygi ne e Evaluation du b n fice de l appareillage difficile avec certains patients notam ment en cas de troubles cognitifs cons quents m me avec son appareillage il ne comprend rien e Mauvaises r actions si un probl me avec l appareillage est rencontr et f
23. e 35 des sujets de plus de 65 ans et la moiti des sujets de plus de 80 ans Les r percussions peuvent tre graves avec notamment une diminution des activit s sociales un passage la d pendance voire le d c s 2 Un processus multifactoriel Sur le plan des m canismes l instabilit posturale du sujet g implique trois princi paux domaines i les facteurs intrins ques pathologies sous jacentes tat de fragilit dont fait par tie le vieillissement neurosensoriel et la presbyvestibulie ou vieillissement du systeme vestibulaire ii le milieu de vie et ou un environnement inadapt s escalier trottoir trop haut tapis mal ajust qui sont autant d obstacles a franchir iii un comportement et ou une activit physique risques pouvant favoriser les chutes inaire pluridiscipl Samedi 11 avril isciplinaire plurid Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects physiopathologiques et donn es r centes 3 Une participation multisensorielle Les alt rations combin es des syst mes neurosensoriels et moteurs entra nent des dif ficult s au maintien de l quilibre en position debout ou presbyastasie avec une aug mentation du risque de chute C Interactions multisensorielles r sultats exp rimentaux 1 tudes pid miologiques Plusieurs tudes de cohortes chez des sujets g s par exemple la Finnish Twin Study on Aging et la N
24. e l utilisation des mod les de r gressions lin aire ordinaire Quelles sont les solutions alternatives POSTER 12 Scientifiques a POSTER 12 Evaluation statistique des donn es d intelligibilite Les modeles alternatifs LES MODELES LINEAIRES GENERALISES GLM GLM g n ralisation du mod le lin aire ordinaire OLM Contrairement l application des OLM qui se limitent aux donn es a distribution normale homosc dastiques lin aires g E Y Bat P xX PB x Aztat Bx Les GLM sont capables de g rer l ensemble des distributions appartenant la famille exponentielle h t rosc dasticit la nonlin arit des donn es La d termination des coefficients de r gression se fait souvent par la m thode du maximum de vraisemblance Dans le cadre des donn es d intelligibilit leur analyse statistique peut tre effectu e de 2 facons e Yi est une variable al atoire appartenant a la famille exponentielle e g est la fonction lien elle permet de lin ariser les donn es N II s agit d une fonction monotone d rivable dont on connait la fonction inverse Y Dans le cas de donn es proportionnelles on utilise souvent la fonction logit comme fonc tion lien e GLM suivant une loi binomiale e GLM suivant une loi Beta logit y In l y REGRESSION LOGISTIQUE BINOMIALE GLM dans lequel la distribution de probabilit utilis e est une loi binomiale
25. eS ay i Inserm rT jf 1 ee bi CE rf INTRODUCTION Les fibres du nerf auditif se distinguent par leurs constantes de temps de r cup ration post stimulation qui est plus longue pour les fibres a basse activit spontan e gt 1s que pour les fibres a haute activit spontan e lt 200 ms L objectif de ce travail a t d tu dier chez l homme l effet de l intervalle inter stimulation IIS sur l amplitude et la latence de l onde en lectrocochl ographie EcoG trans m atique avec des bouff es tonales de fr quence 1kHz et 4kHz RESULTATS Les r sultats montrent une amplitude d croissante et une latence croissante plus PIIS diminue pour des bouff es tonales de 1 et 4 kHz Pour les deux types de stimuli l am plitude N1 P1 et la latence de P1 se stabilisent a partir d IIS entre 100 et 333 ms L analyse de l amplitude de N1 P1 en fonction de l IIS a t d crite par un mod le une composante exponentielle caract ris e par une constante de temps de 134 ms 1 kHz et de 154 ms 4 kHz DISCUSSION La constante de temps de r cup ration post stimulation peut tre associ e la compo sition du nerf et atteste de la pr sence des fibres bas et moyens seuils Ces constantes de temps de r cup ration sont respectivement de 134 ms 4 kHz et 154 ms 1 kHz CONCLUSION Le d veloppement de cette technique pourrait terme fournir un outil de diagnostic des troubles auditifs li s a une p
26. l intelligibilit de la parole dans le bruit Toutefois il existe des diff rences notamment concernant les fr quences utiles graves pour le d masquage et aigu s pour la localisa tion et les effets d une perte auditive neurosensorielle sur les performances relatives a ces deux ph nom nes L objectif de cette tude est donc d valuer la corr lation entre d masquage binaural et la localisation sonore A B Bruit Bruit Bruit q k Signal utile Signal utile m et il RE f Hi A RER TE CEE i n m4 Gui de Chauliac Ps oa O j Ray ee ns Pees sa i RE Figure 1 Paradigme de d masquage binaural Emission unilat rale d un signal audible Adjonction d un bruit ipsilat ral masquant A Adjonction du m me bruit sur l oreille controlat rale perception du signal B Signaux Ripple noise large bande 500Hz et 4000Hz preuve tonale Listes de Bourquin Fournier preuve vocale Bruit Onde vocale globale OVG 2 MAT RIEL ET M THODE Les tests ont t effectu s sur 20 sujets normoentendants jeunes Ils comprenaient un test de d masquage tonal et vocal au casque ainsi qu un test de localisation sonore azi mutale et un test de compr hension dans le bruit en champ libre Fig 2 Nous avons utilis des Ripple Noises filtr s pour les tests tonaux et des listes de Bourquin Fournier pour les tests vocaux Le bruit utilis tait une OVG Onde vocale g
27. la sensibilit ext roceptive qui traite les stimulations provenant de l ext rieur du corps et comprend les syst mes sensoriels avec les cing sens vue ou e et sensibilit vestibulaire odorat et go t et le toucher sensibilit tactile ou cutan e superficielle ii la sensibilit int roceptive qui traite les stimulations provenant de l int rieur du corps et comprend la proprioception sensibilit kinesth sique ou musculaire tendi neuse et articulaire et la visc roception sensibilit des visc res et des vaisseaux iii la sensibilit nociceptive qui traite les stimulations douloureuses qu elles provien nent de l ext rieur ou de l int rieur du corps De mani re compl mentaire on parle de somesth sie en r f rence la sensibilit consciente des tissus et organes du corps regroupant le toucher la proprioception la thermoception sensibilit thermique et la nociception sensibilit algique C Perception sensorielle 1 D finition et caract ristiques Par d finition la perception sensorielle correspond une activit permettant une personne d appr hender son environnement partir des informations recueillies par ses sens Ainsi gr ce aux syst mes sensoriels et la somesth sie il nous est possible de construire une repr sentation humaine du monde r el ainsi qu une repr sentation de notre position et de nos d placements afin d interagi
28. op tions et de param tres de r glages sans possibilit de visualiser en temps r el les modi fications de comportement de l aide auditive ao 125 250 50 Ok 24 4 k M figure repr sentation d un phon me amplifi Le sound ou speech map permet rapidement et facilement de valider et de d montrer la r duction num rique du bruit la suppression du Larsen l efficacit de la directionna lit microphonique la transposition fr quentielle et bien d autres caract ristiques ATELIER 1 R ponse dB SPL Gauche R ponse dB SPL Droite Be ee SF BB Bs Pa Lun Len J 250 500 tk Fk 4k k Hz figure d tection du larsen dans freefit 125 250 500 ik 2k 4k ak Hz figure repr sentation de la dynamique de la voix corrig e 3 Mueller 2006 4 Consumer reports 2009 Kochkin 2010 Hougaard and ruf 2011 5 Bentler amp Mueller 2006 Actes du Congr s des Audioproth sistes 126 10 points essentiels de la mesure in vivo 10 Permet didactiquement d apporter des conseils d expliquer les limites d l appareillage 9 Permet d apporter un a masquage pr cis des acouphenes 8 Permet d appliquer da fa on rigoureuse Les 10 points clefs apporter les m thodologies par les techniques in vivo populaires 7 permet de s manciper d un r flexion en gain 6 permet de verifier le fonctionnement des appareils OUVERTS permet d analyser la morpholopie les
29. riser le trouble de l quilibre les signes associ s et de rechercher des signes vestibulaires spontan s neurologiques ainsi qu une pathologie g narale associ e En cas de traumatisme cr nien une imagerie est discuter la recherche d une complication h morragique intra cr nienne inaire pluridiscipl Samedi 11 avril inaire pluridiscipl Samedi 11 avril Rep rage et valuation des troubles sensoriels et cognitifs Prise en charge des troubles de l quilibre en g riatrie Quatre tests de l quilibre en consultation Avant de d cider d investigations cibl es quatre tests permettent de d pister le risque de chutes leur r alisation est simple 1 Timed up and go test La personne doit se lever d un si ge banal faire environ 3 m tres tourner et revenir s as seoir sans l aide d une autre personne avec ou sans aide de type canne Il existe un d ficit de mobilit partir de 20 secondes et il est important au del de 30 secondes 2 Test unipodal Anormal si la personne ne tient pas debout sur un pied moins de 5 secondes 3 Walking and talking test Anormal si arr t de la marche lors d une sollicitation de l attention 4 Pouss e sternale Anormal si d s quilibre lors d une pouss e sternale Explorations compl mentaires Les donn es cliniques permettent de d terminer l indication d explorations fonction nelles preuves vestibulaires si symptomatologie ver
30. s des Audioproth sistes 46 Rep rage et valuation des troubles sensoriels et cognitifs Prise en charge des troubles de l quilibre en g riatrie Investigators Amy Horowitz DSW PhD Principal Investigator Eleanor E Faye MD Co Investigator Robin McInerney Leonard MA Research Associate 3 Rep rage troubles quilibre et risque de chute recherche ant c dents de chute et Appui unipodal Le test simple de station unipodale Hurvitz et al 2000 Ce test galement tr s simple est un bon indicateur du risque de chutes Il s agit de demander au sujet de tenir le plus longtemps possible en station unipodale sur le membre inf rieur de son choix Les auteurs pr cisaient qu un temps sup rieur 30 secondes r v lait un risque tr s faible de chutes Un temps inf rieur 5 secondes au contraire exprime un tr s haut risque de chutes Hurvitz E A Richardson J K Werner R A Ruhl AM Dixon M R Unipedal Stance Testing as an Indicator of Fall Risk Among Older Outpatients Arch Phys Med Rehabil 2000 81 587 591 4 Evaluation Cognition Codex Codex an ultra rapid test for the detection of dementia in the elderly Jo l BELMIN Christel OASI Philippe FOLIO Sylvie PARIEL MADJLESSI La Revue de G riatrie Tome 32 N 8 OCTOBRE 2007 627 630630 Belmin J Pariel Madjlessi S Surun P et al The cognitive disorders examination Codex is a reliable 3 minute test for detection of dementia in the elderly validation stu
31. sistes 48 magerie et psychiatrie 1 ORGANISATION DES CARTES CORTICALES a Aspect g n tique Le d veloppement c r bral est g n tiquement programm Les diff rentes aires c r brales sont interconnect es Ce maillage de centres et de fibres constitue un r seau per mettant l individu d interagir avec son environnement Toute atteinte de ce r seau conduit des dysfonctions plus ou moins importantes Par exemple dans une patholo gie comme l autisme une dysfonction subtile dans les aires temporales induit chez le sujet des troubles de communications proportionnels l atteinte Boddaert 2006 Le traitement de l information sonore va d pendre directement d un d veloppement c r bral correct de l individu b Aspect pig n tique Les interactions que l individu sain noue avec son environnement sonore impactent directement l organisation des cartes c r brales Ainsi un enfant chinois apprendra les caract ristiques acoustiques du mandarin que ne d veloppera pas un enfant anglais qui ne serait pas expos au mandarin A l ge adulte ces deux enfants n utilisent pas les m mes aires c r brales l coute de la langue chinoise Klein 2001 De la m me fa on un nourrisson entendant de parents sourds qui utilisent la langue des signes acquiert tr s rapidement la capacit de faire des signes dans un cadre st r otaxique correspon dant la langue des signes que ne d veloppe pas un enf
32. ul Fy ar A Pipi Hs g is Ao 18 Bonne Mauvaeise situation situation Figure 2 Situation proth tique des patients appareill s en EHPAD Actes du Congr s des Audioproth sistes 58 L appareillage auditif de personnes g es d pendantes et institutionnalis es Lors de ce constat la raison principale voqu e par les quipes des tablissements pour expliquer le non port de l appareillage tait que les patients ne savaient plus assurer seuls la gestion quotidienne de leur appareillage auditif ce qui leur en avait fait aban donner le port Une valuation a donc t r alis e aupr s des patients appareill s r sidant en EHPAD pour analyser leur niveau d autonomie pour les actes n cessaires la gestion quoti dienne de l appareillage reconna tre le droit et le gauche mettre les appareils le matin les retirer le soir mettre en marche et teindre les appareils utiliser les produits d hy gi ne et pour le suivi proth tique contacter l audioproth siste aller chez l audiopro th siste Cette valuation a montr que 81 de ces patients institutionnalis s n taient pas autonomes pour ces diff rents actes et qu ils avaient donc besoin d tre aid s au quo tidien pour porter leur appareillage auditif dans de bonnes conditions Un programme de formation a alors t mis en place s appuyant sur un Kit de Formation incluant une formation th orique et une application pratiqu
33. y Zul Cj ARTE _ AUDIOPROTHESISTES 2 sy a IO Il et le Avril 201s Cnit Paris la D fense www unsaf org St phane Claude Isabelle William Cheres Amies Chers Amis Cheres Clientes Chers Clients Je suis heureux de vous pr senter une partie de l quipe Biotone qui depuis 20 ans vous accompagne au quotidien pour vous offrir un service de qualit Merci d tre nos c t s depuis tant d ann es et je l esp re pour longtemps encore Bien vous 0 0 Luc MITEAUX Retrouvez nous aux adresses suivantes www biotone fr www shop biotone fr ditorial Luis GODIN te caaesteccbnesestsecctaa 03 Discours lors de la remise des prix Lu GODINAO 2 04 ditorial de Christine DAGAIN Charg e de l organisation du Congr s ssssssssccccsscccssssesssen 05 Vendredi 10 avril 2015 e Conf rence de presse r sultats pour la France de l enqu te Eurotrack 2015 08 Tables rondes professionnelles de FUNSAP 10 e Actualit s du Coll ge National d Audioproth se et Conf rences des candidats au titre de laur at du Coll ge National dAudioproth se 11 e Utilisation conjointe de laudiom trie automatique de BEKESY et des CPAR dans la d termination des caract ristiques de l acouph ne mn 14 Le test a voix chuchotee CIM DIT ea a in 16 e Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD impact
34. 10 ans 0 3 dB 10 ans 1 5 dB 10 ans 0 0 Age Ann es Age Ann es J 25 50 75 100 0 25 50 15 100 2000 Hz 4000 Hz Be 0 3 dB 10 ans 2 7 dB 10 ans se ba wo de TD Vote 7 of ante T een eo t a e S e Sa s 9 9 10 05 7 Ne 7 n RAC a of lt eee 10 10 b s 0 3dB 10ans 16 dB 10 ans 0 i 0 Figure 2 Rapport signal bruit critique des 106 sujets en fonction de leur ge pour les 4 sons purs test s 500 rouge 1000 violet 2000 bleu 4000 Hz vert Dans chaque graphique la courbe continue repr sente le mod le d ajustement a deux segments obliques La valeur num rique de la pente de chaque segment est affich e en dB 10 ans La droite pointill e verticale repr sente la position de la rupture de pente Actes du Congr s des Audioproth sistes D tection dans le bruit et vieillissement Age Ann es 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 5 T 40 Figure 3 Seuil auditif tonal moyen a de Co dans le silence en fonction de l ge are obtenu pour les fr quences 500 1000 20 a i Os 2000 et 4000 Hz 2 ON a7 dB 10 ans Chaque point repr sente un sujet La 30 DS Ne courbe continue noire repr sente le TT l a ja mod le d ajustement a deux pentes z 40 a ca on So Age Ann es 0 25 60 75 100 LE m Figure 4 Mod lisation chez Phomme 0 9 oe de la perte daudition dans le silence i DE courbe n
35. 100 des m decins g n ralistes interrog s ne pensent pas pouvoir s occuper des probl mes auditifs sans les envoyer vers un de leur confr re O R L dAudioprothese f iona Nat a ge UO d Audioproth se eo a 6 4 o g Natic ge U e Pharmacie de Montpellier Introduction Le RECD Real Ear to Coupler Difference est une fonction de transfert pour passer des seuils en dB HL aux seuils en dB SPL Pour cela le RECD fait la soustraction entre la r ponse au coupleur 2cc et la r ponse de l oreille r elle du patient Cette mesure est galement prise en compte pour calculer les valeurs cibles d amplification pr dite par les formules de pr r glage Lobjectif du m moire est de comparer quatre configurations de mesure du RECD afin de voir quelle tait la configuration la plus fiable et quelles sont leurs impacts sur le SPLoGramme et sur les valeurs cibles DSL i o V5 Mat riel et M thode Nous avons eu la collaboration de vingt sujets adultes appareill s par un contour d oreille classique muni d un embout acrylique personnalis A l aide du module in vivo de la cha ne de mesure Affinity nous r alisons pour chaque patient quatre configura tions de mesure du RECD Les quatre configurations changent selon le couplage endoauriculaire embout mousse et selon l adaptateur du coupleur 2cc HA1 HA2 Nous o
36. 45 14077 85 PMID 19906956 7 Lin et al 2011 J Assoc Res Otolaryngol 12 5 605 616 Actes du Congr s des Audioproth sistes 28 Perte auditive cach e bruit et vieillissement 8 Furman et al 2013 J Neurophysiology 110 577 86 9 Sergeyenko et al 2013 J Neurosci 33 34 13686 13694 10 Fernandez et al 2015 J Neurosci May 13 35 19 7509 20 doi 10 1523 JNEU ROSCI 5138 14 2015 PMID 25972177 11 Kujawa et al 2015 Hear Res Mar 11 pii S0378 5955 15 00057 X doi 10 1016 j heares 2015 02 009 PMID 25769437 12 Bharadwaj et al 2014 Front Syst Neurosci 8 26 1 18 13 Bourien et al 2014 J Neurophysiol 112 1025 1039 14 Puel et al 2002 Adv Otorhinolaryngol 59 124 130 inaire ipl ISC _plurid Journ inaire pluridiscipl Samedi 11 avril ratoire d Ototoxicit et de NEurotoxicit Vandoeuvre les Nancy France La surdit professionnelle r gie par le Tableau 42 des maladies professionnelles est d finie par une hypoacousie de perception due des l sions cochl aires irr versibles Lhypoacousie est caract ris e par un d ficit audiom trique bilat ral qui le plus sou vent est sym trique La mesure de l tendue spectrale et de la profondeur de la surdit scotome se fait l aide d une audiom trie tonale liminaire ATL compl t e par une audiom trie vocale l ensemble de ces examens audiom triques est r alis en cabine acoustique insonoris e apr s ce
37. 5 1 2 kHz correspond cet l ment e Le 2 me l ment utilise les voyelles e et y comme phon me utile la zone 2 3 kHz correspond a cet l ment e Le 3 me l ment utilise la seule voyelle i comme phon me utile la zone 3 4 kHz correspond a cet l ment e Le 4 me l ment utilise les consonnes f et s comme phon me utile la zone au dela de 4 kHz correspond a cet l ment Dans les trois premiers l ments le recrutement est certain lorsque le nombre d erreurs phon tiques est sup rieur ou gal 3 Dans le quatri me l ment condition que la perte 8 000 Hz soit inf rieure 80 dB HL le recrutement est certain lorsque le nom bre d erreurs phon tiques est sup rieur ou gal 5 Lorsqu un l ment montre l existence d un recrutement il est conseill d viter d ampli fier la zone correspondante sous peine d augmenter les distorsions informationnelles qui sont g n r es naturellement par la cochl e ce que le Professeur LAFON appelle le bruit cochl aire Ainsi on donne plus de nettet aux autres signaux qui ne sont pas sur cette zone On ne peut pas s emp cher ici de faire un parall le avec le but poursuivi par le TEN TEST de Brian MOORE LISTE D INT GRATION Quant la quatri me liste la liste d int gration nous ne pouvons que r p ter ce que nous avons dit dans les remarques du paragraphe concernant la liste de balayage Nous n effectuons pas la liste d
38. ATELIER 5 L AUDIT Le contr le du respect des engagements est r alis lors d un audit sur site C est la qualit de l accueil et le professionnalisme de l audioproth siste qui sont audite s l audit est r alis par un organisme ind pendant AFNOR Laudioproth siste est audit environ 2h sur ses m mos m thodes de travail gestion du mat riel Lassistante est audit e environ 1 5h sur la qualit des informations donn es aux patients l entretien des locaux la tracabilit des changes avec les clients la connais sance des accessoires Le technicien SAV est audit environ 1h sur l tablissement des devis la qualit des informations donn es aux patients la connaissance des accessoires La direction ou le service des ressources humaines est audit environ 1h sur le suivi des formations la tenue des dossiers du personnel Pour obtenir la certification il faut au pr alable d poser AFNOR un dossier de certifi cation Ce dossier d admission ou dossier de demande de certification comprend e Lettre de demande de certification e Fiche de renseignement e Dossier technique e Documents r glementaires et administratifs e Documents contractuels et commerciaux e Documents d organisation e Documents d information g n rale e Dipl mes des audioproth sistes e Fiche d activit de service e Information sur les modalit s de mise en uvre de la NF e Dossier de suivi et de modificat
39. Bien que les seuils des r ponses retournent la ligne de base avant exposition les ampli tudes supraliminaires des r ponses des cellules cili es et des neurones montrent un pro fil int ressant de r cup ration apr s l exposition 32 kHz l o les d calages de seuil en aigu taient grands les amplitudes supraliminaires de l onde 1 des ABR la r ponse en champ lointain du nerf cochl aire r cup raient seulement 40 des valeurs pr exposi tion fig 1d Au contraire les fonctions amplitudes intensit des DPOAE fig 1c qui ne mettent en jeu que des processus pr synaptiques pour leur g n ration r cup raient compl tement Cette diminution permanente des r ponses neurales associ e une r cu p ration totale des amplitudes de DPOAE sugg re une perte neuronale dans les r gions hautes fr quences malgr la r cup ration des CCE apr s exposition Ce r sultat tait confirm par l examen des tissus des oreilles expos es par comparaison aux non expo s es comme indiqu plus loin Cette exposition qui produit des TTS produit une perte imm diate de synapses cochl aires Nous avons quantifi l histopathologie de la cochl e chez les m mes animaux avec de limmunohistochimie confocale des pith liums sensoriels color s avec des marqueurs synaptiques et neuraux et avec des sections cochl aires s ri es ou en microscopie optique de tissus inclus et marqu s l osmium En combinaison ces techniques perme
40. Directeur G n ral de Carte Blanche Partenaires Actes du Congr s des Audioproth sistes 10 p TA N rg La premi re partie de l apr s midi du Coll ge National d Audioproth se a permis d in former les auditeurs sur les avanc es concernant les diff rents dossiers en cours en les int grant dans un rappel des missions du CNA Les missions du Coll ge National d Audioproth se sont 1 de regrouper les Audioproth sistes ayant particip ou aptes participer a l Enseignement pr paratoire au Dipl me d Etat d Audioproth siste permettant ainsi aux Directeurs des enseignements pr paratoires au dipl me d tat d Audioproth siste de disposer d un corps professionnel comp tent Les membres du CNA participent actuellement de facon tr s active aux cours magis traux et travaux pratiques des 7 coles habilit es pr parer au Dipl me d Etat d Audioproth siste L utilisation moyen terme des capacit s de t l transmission des conf rences par Internet pourrait tre envisag e afin de cr er une meilleure homog n it des formations grace la pr sentation simultan e de cours magistraux l en semble des tudiants Cette d marche aurait l avantage d une harmonisation des for mations mais aussi pourrait permettre d affecter les conomies r alis es pour la cr a tion de deux nouvelles ann es de formation initiale Le passage de 3 5 ans du dipl me ne pourra en effet se faire qu p rim tre fina
41. QO Time ms is oP eg mis ee ee al un a ow Vector strengh Rate spikesis 5 0 20 40 GO ag 20 40 60 an Level dB SPL Level dB SPL Figure 4 Sound coding in noisy background Fibers are the same than in figure 3 A and C Stimulation was the same than in figure 3 but here in presence of a 60 dB SPL background noise B and D Vector strengh color and discharge rate light grey of fibers shown in A and C respectively as a function of the sound level Rate vs level functions were fitted with an amplitude additive model Heil amp Irvine J of Neuroscience 2011 iques Scientif POSTER 11 Scientifiques POSTER 11 Cochlear sound encoding in background noise Low CF fibers High CF fibers wo QE ne 2 n 115 partion _ n 105 7 200 gaat 200 E i ae E a 150 D 2 D re E E m 100 E t ki i co a a w w 6 41 un T Lik g g 2 P a in D 20 40 Bo Level dB SPL Figure 5 Sound coding of low or high frequency sounds in quiet or noisy background Vector strengh left axes and spike rate right axes as a function of the tone burst level Note that in noisy background low frequency sound coding using phase locking mechanism appears to be very robust Data are expressed as mean sem Actes du Congr s des Audioproth sistes 96 INTRODUCTION LES DONNEES DITES PROPORTIONNELLES Intelligibilit degr
42. SPL bleu curve HPR threshold paradigm 25 30 and 35 dB SPL Data are expressed by mean standard deviation n 10 gerbils REFERENCES Dean N S Harper and D McAlpine Neural population coding of sound level adapts to stimulus statistics Nat Neurosci vol 8 pp 1684 9 Dec 2005 B Wen G I Wang I Dean and B Delgutte Dynamic range adaptation to sound level statistics in the auditory nerve J Neurosci vol 29 pp 13797 808 Nov 4 2009 This Research was supported by the ANR French organization A H the cochlear implant company Cochlear C B and the French audiologists group Entendre SAS F H C D A H C B F H J L P J B are with the Institute for Neurosciences of Montpellier INM Inserm U1051 and the University of Montpellier H pital Saint Eloi B timent INM 80 rue Augustin Fliche BP 74103 34091 Montpellier cedex 5 France correspon ding author phone 33 499 636 061 e mail jerome bourien inserm fr Actes du Congr s des Audioproth sistes 92 ss DESMADRYL N i inserm l Luc PUEL A a i me BOURIEN UNIVERSIT bo DE MONTPELLIER aaa tH Se Le US j SS ieee es pes 4 7 i i Fl 5 of Montpellier University of Montpellier LPS ot ee ee Mien SEL Rates 0 BACKGROUND The mechano transduction of sound into train of action potentials is achieved by the inner hair cells IHCs located within the cochlear epithelium Figure 1 Low frequency sound
43. UMC Sint Pieter Figure 1 Global severity on a Visual Analog Scale between 0 and 5 of tinni tus deafness and hyperacusis before and after therapy 3 months Scientifiques hyperacusis Cwatness Figure 2 Evolution of VAS for tinnitus The three subscales Intensity Impact m Before on life and Annoyance were rated m Aller before and after a three months trial D u w hw M y wm 4 intensity Annoyance Impact IMPROVEMENT 2eriterias gt 40 3 criterias gt 40 Patients percentage a d a Percentage of patients that experienced improvements equal or better than 40 in function of criterias subscales intensity awareness annoyance and impact on life Basic pillar of the TRT protocol are sound enrichment and directive counselling Different types of patient can be treated with this approach including type tinnitus suf ferer without hearing loss type I tinnitus sufferer with significant hearing loss type Il or hyperacusic patient type Ill l 3 g POSTER 6 Scientifiques Poster 7 POSTER 6 Success rate of Tinnitus Retraining Therapy We present the results of more than 200 patients that fulfilled the TRT protocol and analyse the success rate for each category and the whole sample METHODS We addressed two questionnaires the Structured Interview Jastreboff 2002 and the TH self administered ques
44. ais est donc lev eu gard au contexte national de faible remboursement obli gatoire et compl mentaire gt gt Personnes quip es 84 de patients satisfaits en France La France passe de 80 en 2012 84 en 2015 de satisfaction globale des individus qui p s En 2012 la France se pla ait derri re la Suisse Cette derni re est cette fois ci en 2 posi tion avec un taux de satisfaction de 81 En 2012 tous les autres pays europ ens se situaient entre 70 et 72 Pour Luis Godinho pr sident du Syndicat National des Audioproth sistes UNSAF 57 des personnes appareill es interrog es estiment que les aides auditives fonctionnent comme esp r 20 vont encore plus foin et d clarent qu elles fonctionnent mieux qu esp r Aujourd hui l efficacit des solutions que nous proposons et la qualit de leur mise en uvre par les audioproth sistes ne peuvent plus tre discut es gt gt Freins l appareillage le reste charge et une insuffisance d informations point s du doigt Les malentendants non quip s mettent en exergue les motivations suivantes t Comparaison des taux d quipement op r e sur 2012 les r sultats Eurotrack 2015 disponibles en exclusivit concernent date la France et la Suisse Les r sultats des 6 autres pays seront d voil s dans les semaines a venir Actes du Congr s des Audioproth sistes 8 R sultats pour la France de l enqu te Eurotrack 2015
45. alis s une premi re fois avant appareillage pour les patients nouvellement appareill s puis nouveau un mois plus tard dans les m mes conditions Pour nos patients nouvellement appareill s nous avons bien retrouv apr s un mois d appareillage une am lioration des scores de compr hension sur la liste filtr e passe haut cependant nous observons une am lioration inf rieure de moiti sur la m me liste pour notre groupe contr le Il semblerait donc qu il y ait un effet d apprentissage pour notre test bien que l on ait utilis des listes de logatomes En revanche en augmen tant la difficult du test et en ciblant d avantage les hautes fr quences listes filtr es passe haut 1500 Hz nous observons une augmentation plus importante des scores sur les listes filtr es passe haut mais pas d am lioration pour notre groupe contr le La zone fr quentielle de l am lioration des scores correspond bien la zone fr quentielle sur laquelle nous avons rapport le plus d informations acoustiques les hautes fr quences zone fr quentielle sur laquelle la perte auditive est la plus importante Bien que l on ait un effet d apprentissage du test il semblerait que nos r sultats d pendent galement d un effet d acclimatation auditive suite l appareillage L analyse des confu sions phon tiques sur la liste filtr e passe haut 1000 Hz semble indiquer une am lio d Audioproth se u ele u Coll Q
46. audio de terrain sou cieux ne plus tomber sur la premi re chausse trappe rencontr e Quelles sont les erreurs les pi ges qui se pr senteront l audioproth siste d butant en th rapie acoustique de l acouph ne T R T Nous avons repris 10 principes majeurs autant d id es garder en m moire autant de concepts basiques ne jamais oublier fig 1 Nous effectuerons un bref descriptif de chaque id es maitresses de facon d crire au final un garde fou qui permettra l audioproth siste d butant de ne pas se fourvoyer Crit re d inclusion THI gt 40 S int resser au bon probl me BAHIA Si audiogramme normal vigilance Normaliser l acouph ne Prendre en charge un scolome avec un AA Baser son counselling sur les connaissances actuelles S occuper des id esfausses du patent Ne pas oublier l autre membre du couple Prendre en compte l hyperacousie Ne pas rentrer dans les probl mes personnels du Fig 1 les 10 r gles d or respecter pour bien commencer en TRT R gle 1 Un des premiers examens ex cuter en compl ment du bilan d orientation proth tique et des diff rentes preuves audiom triques est le questionnaire THI Celui ci est compos de 25 questions uniquement centr es sur l acouph ne II fut d ve lopp par Newman en 1996 et traduit en fran ais par l quipe de M Paolino Actes du Congr s des Audioproth sistes 130 La r ponse chaque question doit tre f
47. coces et long terme de cette exposi tion sur la structure et la fonction avec ceux de notre exposition standard 100 dB dans les exp riences d crites plus loin Figure 3 Les comptages synaptiques diminuent graduellement avec l ge symboles ouverts A B et soudainement apr s un bruit synaptopa thique 100 dB 2 h 35 de perte dans les 10 4 10 B 100l E 11 3 KHZ op sue 32 kHz 90 90 80 60 Synaptic Survival 70 70 r gions cochl aires e pe basales B rouge sans C Control Ai perte dans les r gions de pae piag 50 7 TTS minimum A rouge a a Au fur et mesure que 8 Fates sts et l ge progresse les pertes s tendent en direction apicale d passant celles des contr les de m me ge Il n y a pas de perte synaptique aigue pour l exposition de 91 dB 2h A B bleu et pas d interaction vidente entre bruit et ge Les moyennes SE sont normalis es 16 semaines valeurs non expos es Modifi d apr s Fernandez et al 2015 Post Exposure Time Une exposition synaptopathique acc l re le vieillissement cochl aire A la fois dans le vieillissement et l exposition au bruit les synapses des CCI avec les neu rones cochl aires sont tr s vuln rables Les pertes avec l ge sont progressives diffuses tout au long de la cochl e et atteignent environ 40 la fin de la vie de la souris CBA Cal Elles sont suivies en parall le par des pertes proportionnelles de cellu
48. compos de 9 m decins g n ra listes 1 O R L audiophonologiste 1 orthophoniste 5 audioproth sistes et 1 tudiant en audioproth se En consid rant les personnes pouvant tre appareill es des deux oreilles nous trouvons une sensibilit de 85 et une sp cificit de 81 6 pour le test a voix chuchot e simpli fi alors que la question directe a une sensibilit de 56 et une sp cificit de 65 et les questions sur la g ne ont une sensibilit de 72 et une sp cificit de 77 Selon les testeurs ayant particip cette tude ce test est simple utile et rapide S ils ne devaient choisir qu un seul adjectif parmi ces 3 pour d crire ce test 53 des per sonnes interrog es r pondent rapide Actes du Congr s des Audioproth sistes 16 Le test voix chuchot e simplifi Pour 78 des m decins g n ralistes interrog s ce test est un bon outil et pour 100 d entre eux il s int gre facilement dans une consultation Pour 67 des m decins inter rog s ce test permet une prise en charge des troubles auditifs sans pour autant permet tre de poser un diagnostic pour 55 d entre eux Si l tude met en vidence la fiabilit du test 100 des m decins g n ralistes pensent r utiliser ce test et 67 d entre eux envisagent m me de le pratiquer de mani re sys t matique 89 des m decins g n ralistes pensent que ce test leur permet d adresser leurs patients plus vite vers un OR L Enfin
49. cons quent fondamental de r fl chir aux axes de pr vention de celles ci La piste sensorielle est un de ces axes et en particulier la perte auditive Retentissant sur les relations sociales et ou professionnelles comme sur les activit s les plus courantes de la vie quotidienne t l phoner regarder la t l vision la presbya cousie influe sur le sentiment de s curit favorise le repli sur soi et augmente le risque de d pression Par l incapacit se concentrer m moriser suivre une conversation dans le bruit ou plusieurs communiquer avec autrui devient tr s vite source d embar ras autant de situations inconfortables vecteurs d anxi t qui participent peu a peu un isolement social et plus encore celui de personnes plus g es souvent fragilis es par d autres pathologies d ordre physique ou psychologique isciplinaire plurid it 2 Samedi 11 avril inaire pluridiscipl D i af AT he d D Samedi 11 avril Rep rage et valuation des troubles sensoriels et cognitifs Prise en charge des troubles de l quilibre en g riatrie Mieux vieillir suppose le maintien des capacit s sensorielles et cognitives Les d mences sont l une des causes majeures de la perte d autonomie et le principal motif d institutionnalisation des personnes g es Avec le vieillissement de la popula tion et l augmentation de l esp rance de vie sans incapacit a
50. d une vingtaine d ann e d observer la r ponse des aides auditives mesur e au niveau du tympan par rapport aux SPL O GRAM estim s Par extension certaines cha nes de mesures REM permettaient de visualiser le gain d insertion r el Cette tech nique tait pratique pour r gler finement les aides auditives en fonction des m thodo logies c l bres NAL RP NAL NL1 Fig 6 DSL i o De plus l usage du REM permettait de s absoudre des cibles m thodologiques modifi es par le logiciel et des m thodes pro pri taires des fournisseurs d aides auditives A ce sujet de r centes tudes ont d mon tr que la prescription de l amplification par les algorithmes de pr r glages fournisseurs tait inad quate et provoquait une sous correction dans les hautes fr quences allant jusqu 20 dB manque de puissance d une m thodologie fournisseur par rapport nal nl2 Fig 1 Repr sentation REM statique AURICAL fig 2 Manque de puissance av r e par les PMM L volution des algorithmes embarqu s dans les aides auditives suite la r volution num rique a permis l usage de logiciels puissants favorisant la r duction des bruits sta tionnaires l ouverture du conduit auditif le r glage pr cis en fr quences des compres sions efficaces des microphones directionnels automatis s etc Ces progr s formida bles ont provoqu deux retentissements majeurs usage des signaux de tests sons pur
51. d hygi ne e Garantie d une formation professionnelle exigeante de son audioproth siste identification des comp tences requises affichage du num ro d enregistrement du dipl me obligation de formation continue e Garantie d un acc s ais au centre tablissements signal s et faciles contacter personnel ais ment identifiable conversation facilit e avec le personnel Nous allons maintenant d tailler les obligations du candidat L accessibilit e Acc s physique t l phonique signal tique ext rieure l tablissement doit tre facilement rep rable et accessible Les horaires doivent tre visibles de l ext rieur avec adresse internet et mail Possibilit de laisser message sur un r pondeur t l phonique qui indique la raison sociale et les heures de permanence L accueil e Accueil physique t l phonique locaux Empathie et disponibilit du personnel accueil personnalis temps d attente Propret et rangement des locaux e Compr hension et information Documentations m tier et tarifaire disponibles Mise a disposition de plaquettes d informations sur le d roulement de l appareil lage le suivi les prix les remboursements les accessoires F ATELIER 5 Actes du Congr s des Audioproth sistes 154 e Identification des interlocuteurs Badges chevalets plaque professionnelle liste des audioproth sistes affich e avec N ADELI Installations et mesures
52. de la r serve cognitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique patients t l phone portable ordinateur t l vision L acc s ces technologies est d autant plus ais que l appareillage est d but bien avant le repli sur soi de la personne et la perte d autonomie qui s en suivra 6 SAVOIR RECONNA TRE LES INDICATIONS ET LES LIMITES DE LAPPAREILLAGE CONVENTIONNEL a Rep rage D pistage Limportance du d pistage pr coce des surdit s de l enfant et leur prise en charge pr coce n est plus a d montrer Sharma 2003 Le rep rage des surdit s de l adulte pour une prise en charge pr coce devient un enjeu majeur de Sant Publique pour permet tre au sujet ag de bien vieillir et de faire reculer la perte de socialisation qui conduira rapidement la perte d autonomie On peut s interroger sur un examen obligatoire ORL lors de la cessation d activit des salari s d une audiom trie syst matique lors de la visite de m decine du travail d une mise en place d un examen audiom trique et d un appareillage pour les plus de 70 ans qui souhaiteraient pouvoir continuer de conduire comme dans certains pays europ ens d une plus grande sensibilisation des m decins g n ralistes b Implant cochl aire Laudioproth siste est confront une population qui vit de plus en plus g e avec sta tistiquement plu
53. de la surdit unilat rale par une approche psychoacoustique et qualit de vie Avant chirurgie Apres chirurge 5 12 1r 1a Mieux i 10 Non ale a o Ta j A te at significatif g A ogy ee E 3 ct F ade 5 ey a oo a 4 o Mons r 14920 pe 0008 6 r 0 0140 p 0664 15 10 5 o 10 16 ERT Biens Moine bien ll existe une corr lation significative avant chirurgie Apres chirurgie Les scores aux SRT sont proches de la normes et les scores aux 550 sont galement proches de la normes c est pourquoi on ne retrouve pas de corr lation significatives Plus la compr hension de la parole dans le bruit se d grade plus la qualit de vie est alt r e CONCLUSION e La perte de la binauralit provoqu e par une surdit unilat rale engendre des cons quences comportementales importantes et d montr es qui sont r versibles apr s restauration de la binauralit e Il existe une corr lation significative entre l alt ration de la compr hension de la parole dans le bruit et la qualit de vie e Nos r sultats sont en faveur de la restauration de l audition binaurale e La binauralit peut tre restaur e soit par chirurgie soit avec un implant cochl aire ou bien avec une proth se auditive Pour toute information suppl mentaire nicolasvannson cerco ups tlse fr Eini dei m tt Frapan QU Tinie n Skeet badina pea tt mi ere Petia mn rt Seena au Jo ann hiak ee
54. et la fonc tion lien choisie est une fonction logit Yi est une vanable al atoire suivant une loi binomiale Ce type de r gression permet de mod liser les donn es d intelligibilit lorsque le nom bre total de r ponses est connu Dans ce cas l intelligibilit correspond une donn e proportionnelle discr te et suit approximativement une loi binomiale En effet un test d intelligibilit peut tre consid r comme la r p tition ind pendante d preuves de Bernoulli Actes du Congr s des Audioproth sistes 98 Evaluation statistique des donn es d intelligibilit REGRESSION LOGISTIQUE BETA GLM dans lequel la distribution de probabilit utilis e est une loi Beta et la fonction lien choisie est une fonction logit Cette r gression peut tre utilis e lorsque le nombre d l ments test s est inconnu Les donn es d intelligibilit correspondent des donn es proportionnelles dite continues et suivent approximativement une distribution Beta La loi Beta est d finie sur un support born 0 1 en fonction de deux param tres de formes a f La variance V d pend de la moyenne de la distribution E et permet de tenir compte de l h t rosc dasticit des donn es proportionnelles f x a B l ata x Avec x 0 1 B a B i B une constante de normalisation P y2 F x Efx cs a fp et a Ba B CAS PRATIQUE Dans cet exemple il s agit d valuer l e
55. gt gt TE ese A Nat gt U dAudioproth ional ge Etude longitudinale de l intelligibilit dans les hautes fr quences lors d une r habilitation auditive ration de la d tection du voisement ainsi que de la nasalisation Nous pouvons penser que cette am lioration est li e un meilleur traitement de l information temporelle sur les hautes fr quences Enfin nous retrouvons chez les patients de Beno t Delemps retest s un an plus tard la m me am lioration sur les hautes fr quences observ e un an plus t t En revanche pour les patients que l on a retest avec un an d intervalle et qui taient d j appareil l s lors du premier test nous n avons observ aucune volution des scores de compr hension Ces r sultats sembleraient indiquer que l am lioration des scores de compr hension correspond bien a un ph nom ne d acclimatation auditive t moin d une r versibilit de la plasticit auditive Nous retrouvons donc bien une am lioration des scores de compr hension sur les hautes fr quences oreilles nues suite l appareillage pour l ensemble de nos patients qui semble tre li e un effet d acclimatation auditive Pour carter totalement l effet d apprentissage de notre test il serait int ressant de r aliser une premi re session d en trainement Actes du Congr s des Audioproth sistes 20 Jioproth se de Foug res Les innov
56. le groupe de r f rence n est plus significative En r sum cette tude confirme que le d clin cognitif est plus important chez les per sonnes ayant un trouble de l audition Cette tude sugg re galement et pour la pre mi re fois qu il n existerait pas de lien direct entre trouble auditif et d clin cognitif dans la mesure o avec une prise en charge audio proth tique le d clin cognitif chez les Sujets ayant une perte auditive n est plus major comparativement aux sujets sans perte auditive Ces r sultats plaident en faveur d un d pistage et d une prise en charge des troubles de l audition chez les personnes g es isciplinaire plurid it 2 Samedi 11 avril inaire ipl ISC lt Q ier PERROT gt Conf rences des Universit s Praticien Hospitalier sit Claude Bernard Lyon 1 Hospices Civils de Lyon Recherche en Neurosciences de Lyon U1028 CNRS UMR5292 Le vieillissement est un processus biologique ubiquitaire qui touche l ensemble de l organisme Dans cette communication nous pr senterons une vue g n rale des diff rents m ca nismes physiopathologiques impliqu s dans le vieillissement neurosensoriel en nous appuyant sur des donn es r centes de la litt rature m dico scientifique Nous nous int resserons galement l influence du vieillissement sur les interactions multisensorielles notamment dans le cadre de l instabilit posturale du s
57. level from a uniform distribution spanning from 0 to 80 dB SPL sound pressure level ref 20 Pa in 5 dB increments In the second and third paradigms a high probability region HPR was introduced in the probability distribu tion for lower or higher sound levels respectively Figure 2 RESULTS The experiments were performed on 10 adult gerbils The relationship between CAP amplitude and level intensity was plotted for the three experimental paradigms Figure 3 When the lower levels of stimulation were statistically overexpressed the CAP amplitude intensity function shifts systematically toward the lower levels of stimula tion In the same way the CAP amplitude intensity function moves toward higher levels when they were overrepresented in the probability distribution Figure 4 CONCLUSION These results demonstrated that the cochlear adaptation mechanisms to sound level statistics can be investigated with the CAP of the auditory nerve This technique which is less invasive than single fiber recording and potentially applicable to humans pro vides a promising tool to track the mechanism underlying the wide sound coding dyna mic of our auditory system Scientifiques I I pe g i POSTER 10 Un An adaptation mechanism to sound level statistic VU in the cochlea o c A anz Sound stimulation mmm 1OUV kd Sms eu al N 80 dB SPL U ES 70 dB SPL Nm LJ 60 dB SPL 50 dB SPL_A
58. lui demander si elle fonctionne correctement C Autonome C A besoin d aide Figure 1 Grille extraite de la Recommandation 06 13 du BIAP Evaluation de l autonomie dans l utilisation d un appareillage auditif isciplinaire plurid Samedi 11 avril inaire pluridiscipl Samedi 11 avril L appareillage auditif de personnes g es d pendantes et institutionnalis es La recommandation 06 14 du BIAP rappelle l importance d une bonne identification des patients d pendants cette identification devant pr ciser le niveau de d pendance les difficult s rencontr es les mesures prises et les aides existantes pour tous les actes de la vie quotidienne Cette recommandation souligne galement que les conditions de la prise en charge proth tique anamn se bilans proth tiques tests audiom triques choix proth tique strat gie proth tique ducation proth tique contr le d efficacit interpr tation des r sultats et de son suivi doivent s int grer dans le cadre d une prise en charge multidisciplinaire adapt e aux sp cificit s physiques cognitives et environ nementales de chaque patient Les modalit s d changes entre l audioproth siste et ces quipes doivent tre adapt es afin d assurer une bonne transmission des informations concernant le patient Une formation de l ensemble des personnes concern es doit tre mise en place par lau dioproth siste La recommandation 06 15 du BIAP d taill
59. mission en r ponse aux longueurs d ondes d excitation de 350 et 380 nm b F350 et F380 et indice du calcium intracellulaire correspondant c ratio F350 F380 d une CCI pour une pr paration P7 d f Histogrammes de l amplitude en unit s arbitraires d de la fr quence en Hertz e et de la dur e en secondes f des pics calciques _ 9 04 E NE 3 5 002 3 Zoo rs 9 00 f l 12 8 a Dur e fs Scientifiques POSTER 16 Scientifiques oi Poste POSTER 16 Activit des cellules cili es internes au cours du d veloppement 200 400 600 800 Temps 5 al Se Re Se RSR of a 0 14 DS 0 1 H 4 i H i 0 200 400 600 800 Temps fs 0 3 ar 0 2 0 1 Organe de Kolliker DO Cellule cii e proche 0 1 4 Cellule ciliee loign e 0 200 400 00 800 Temps fs Figure 2 Pics calciques dans l organe de K lliker et dans les CCI a Image obtenue lors de l acquisition de la fluorescence du Fura 2 Les zones marqu es correspon dent celles tudi es en b b Indice du calcium intracellulaire f350 f380 en fonction du temps pour une zone de l organe de K lliker en rouge pour une cellule cili e proche en vert et pour une cellule cili e loign e en bleu Les ast risques repr sentent la synchronisation des pics calciques entre ces trois zones 0 12 08 nn 3 0 8 Hi Di
60. ne Les Cahiers de l Audition Vol 26 2 pp 76 79 2013 e BAHIA un nouveau questionnaire poly paradigmatique P Lurquin M Real O Leleu Veille Acouph ne Les Cahiers de l Audition Vol 26 3 pp 40 43 2013 e Le traitement de la triade classique acouph ne surdit hyperacousie P Lurquin M Real MP Thill Veille Acouph ne Les Cahiers de l Audition vol 26 5 pp 42 45 2013 e Les somato acouph nes revue une cons quence de la plasticit et de l int gra tion bimodale dans le noyau cochl aire dorsal Thill MP Lurquin P Cotton P Debaty M Real M Horoi M Rev Laryngol Otol Rhinol Vol 133 3 pp 115 118 2012 e Impact de l acouph ne sur le couple C Rampont P Lurquin M Real La Revue de France Acouph ne n 80 pp 6 13 juillet 2013 e R sultat de l enqu te sur la prise en charge des patients acouph niques par les audioproth sistes de France A Vanmeirhaeghe P Lurquin C Renard 4 me Colloque AFREPA Lille 13 14 septembre 2013 Ateliers ATELIER 2 De l audiom trie vocale dans le silence l audiom trie vocale dans le bruit Ateliers Ateliers Matthieu DEL RIO Audioproth sistes D E Membres du Coll ge National d Audioprothese Bordeaux Yves LASRY Audioproth sistes D E Membres du College National d Audioprothese Nantes E Nombre de jours 3 E Nombre de sessions 4 E Nombre de participants 78 i ATELIER 3 ATEL
61. niveau de la t te du patient de 55 dB SPL le RSB sera de 10 dB Ceci nous laisse donc deux possibilit s pour la r alisation de cet examen et la norme nous le confirme en indiquant que si c est la voix qui varie en niveau le bruit est fix 60 dB SPL tandis que si le bruit est variable la voix est quant elle fix e un niveau moyen 65 dB SPL Ces deux fa ons de proc der sont donc acceptables l impor tant tant de r aliser l audiom trie vocale dans le bruit avec et sans corrections audi tives dans les m mes conditions d examen Concernant le signal perturbant il est recommand d utiliser l OVG onde vocale glo bale de Dodel signal constitu d un mixage d au moins quatre locuteurs lisant de fa on simultan e un texte diff rent L ensemble donne un signal d amplitude quasi ment stable et non compr hensible La mesure consiste noter sur un graphique le pourcentage d items qui ont t r p t s avec exactitude diff rents RSB afin d tablir une courbe de compr hension dans le bruit Celle ci permettra d objectiver l apport de l aide auditive et de positionner le patient par rapport la r f rence normo entendant tablie dans des conditions d exa mens identiques Le discours en sera alors adapt afin de pr parer le patient aux envi ronnements bruyants qu il sera amen c toyer Les param tres de traitements du signal et notamment la gestion des microphones pourront aussi tre a
62. passer le chiffre de 3 erreurs sur cinquante pour 95 des sujets D apr s le Professeur LAFON l intensit pour un bruit Actes du Congr s des Audioproth sistes 14 blanc se situe environ 70 dB Nous trouvons alors un nombre d erreurs phon tiques compris entre 0 aucune erreur et 51 17 mots de 3 phon mes Lorsque nous calculons la diff rence en valeur absolue entre A et B nous recherchons si la difficult est cochl aire et ou int grative siA oet a B lt 3 ou 5 chez la personne g e de 70 ans et plus surdit sans distorsion fort niveau audition normale surdit de transmission ou encore surdit l g re de perception SiA gt 3et A B lt 3 ou 5 chez la personne g e de 70 ans et plus il ne peut pas s agir d une atteinte r tro cochl aire il s agit seulement d une atteinte coch l aire la liste cochl aire pass e diff rents niveaux d intensit est utiliser siA lt 3et a B 23 ou 5 chez la personne g e de 70 ans et plus il s agit d une atteinte r tro cochl aire la liste d int gration serait donc indiqu e pour trouver le si ge de la l sion SiA gt 3et A B 23 ou 5 chez la personne g e de 70 ans et plus il s agit d une atteinte cochl aire associ e une atteinte r tro cochl aire la liste coch l aire est utiliser la liste d int gration serait aussi indiqu e pour trouver le si ge de la l sion Lorsque la distorsion en A est suppreure 5
63. physiologiques de cet examen obligent aborder la probl matique de la phonophobie ainsi que de la fatigue auditive acouph ne bilat ral tant par ailleurs tr s fr quent et parfois difficile a maquer bien que faisable dans la plupart des cas nous pouvons nous poser la question d une r ali sation de l examen en bilat ral dans le cas d une perte audiom trique sym trique pr sentant un acouph ne unique toujours dans le but d viter le ph nom ne de dipla cousie Malgr un loignement de l obtention syst matique du graphique type attendu les connaissances accumul es ces derni res d cennies permettent d exploiter les r sultats et d en proposer une interpr tation rationnelle ce qui n exclue pas la n cessit d ajus ter les param tres logiciels et protocolaires pour une tude plus approfondie de l acou ph ne En l tat la m thode TinniSweep a pour objectif de repr senter une piste pour la recherche audiologique ainsi que la prise en charge acouph nique en se dirigeant vers une objectivation de l acouph nometrie et ce de par sa r alisation en ipsilat rale avec participation indirecte du sujet R f rence bibliographiques Les mesures subjectives La masquabilit de l acouph ne 05 Juillet 2011 en ligne http acouphenes hautetfort com tag masking W I Shak F Zhao D Stephens J Culling Z Bai et C Meyer Bisch Test retest reliability and validity of Audioscan an
64. que nos protocoles de mesure suivent ces volutions et que la compr hension dans le bruit soit mesur e de fa on standardis e en utilisant un bruit perturbant qui sera lui aussi standardis La r alisation de l audiom trie vocale avec correction auditive n cessite toutefois cer tains pr requis audiom trie tonale liminaire et au niveau de confort validation du gain in vivo optimisation de l audition binaurale Dans le cadre proth tique l audiom trie vocale dans le silence se r alise en champ libre sur un haut parleur unique car pour refl ter les conditions r elles d coute la source de la voix doit tre unique La mesure consiste a noter sur un graphique le pourcentage d items qui ont t r p t s avec exactitude a diff rentes intensit s pour rappel voix faible 50 dB SPL voix moyenne 65 dB SPL voix forte 80 dB SPL Nous obtenons ainsi une mesure de la compr hension dans des conditions optimales d coute mesure r a lis e dans le silence en cabine insonoris e l aide d une voix claire et distincte Il en res sort diff rents indicateurs tels que le seuil d intelligibilit Intensit pour laquelle la compr hension est de 50 ou bien le niveau par exemple Cette mesure initiale qui doit tre concordante avec l audiom trie tonale r alis e dans les m mes conditions est compar e au score obtenu sans correction auditive pour estimer l am lioration atten due dans le cadre d une co
65. rence Ce r sultat est statistiquement significatif au test de Wilcoxon p 0 00868 En vision de pr s ils comprennent en moyenne 71 des mots contre 55 sans la compensation visuelle soit une moyenne de 16 de diff rence Ce r sultat est sta tistiquement significatif au test de Wilcoxon p 0 00039 L il POSTER 18 POSTER 18 Actes du Congr s des Audioproth sistes Actes du Congr s des Audioproth sistes 122 Bien interpreter les resultats des mesures in vivo Ateliers call S bastien GENY Audioproth siste D E Master Ing nierie de la sant Illis E Nombre de jours 3 E Nombre de sessions 4 E Nombre de participants 90 ATELIER 1 Ateliers 4 i I j ae d ATELIER 1 audioproth siste dans sa pratique quotidienne doit s approprier de nouvelles m thodes pr cises de validation des aides auditives Plus performantes volu es et complexes celles ci n cessitent de nouveaux outils pr r glages in vivo speech et sound map Lors de cet atelier au travers de 10 points essentiels nous avons voqu les bases et l int r t des mesures in vivo les mesures de derni res g n rations percentiles pics de la parole la v rification des param tres volu s des aides auditives les corr la tions entre mesures traditionnelles et mesures in vivo Pour rappel la mesure in vivo traditionnelle sur AURICAL par exemple permettait depuis plus
66. the three sound enrichment methods RESULTS Results show that in each category mixing point setting was the most used Particularly very few tested subjects preferred amplification alone n 5 50 Patient s choice was based essentially on comfort Effciency was measured through the THI ques tionnaire THI significant improvements were obtained in each subcategory Statistical differences were obtained that confirms the basic statement of Jastreboff and Hazell Patients sometimes can prefer for a short duration a louder setting because of tinnitus increase cat or II or to decrease contrast for external loud noises cat III Total masking was only used by 4 of the 85 patients 4 7 in this sample CONCLUSION Tinnitus Retraining Therapy requires sound enrichment The easier way to reach this objective is the use of white noise generator combined or not with amplification Comfort and efficiency can be obtained by using a white noise level equally loud than the tinnitus one Technology improvement allows various programs for different situations Actes du Congr s des Audioproth sistes 82 Masking or mixing point the patient s choice Catl Cit Il at Ill Figure 1 Average audiograms for each subgroups Cat 1 Tinnitus alone n 13 Cat 2 Tinnitus deafness n 55 Cat 3 Hyoeracusis n 17 Scientifiques Figure 2 Use of each program by the cat 1 patients F
67. 05 a 50 n 25 n 10 T Score n J00 0 20 50 37 63 51 52 re ISAS SRE SBSASRESSSSSEISR SSASRLESLPSSSASRESRESSS 12 14 16 14 20 22 24 26 28 30 32 H 36 38 40 42 4 46 48 50 52 54 56 58 60 62 64 66 68 70 72 74 76 78 80 2 H BG 58 90 o2 of B 95 100 g 92 100 80 100 TURF IF score is less thon Hf find Score 100 observed score and subtract each critical difference limit from 100 Tableau issu de l article Speech discrimination scores modeled as a binomial variable publi par Thornton A R amp Raffin M J M en 1978 Prenons un exemple pour comprendre l utilisation du tableau le score sans appareil avec les listes cochl aires est de 74 lire dans la premi re colonne nomm e Score et le score avec appareil est de 85 En recherchant dans la colonne n 50 car ce sont des listes de 50 phon mes on s aper oit que l intervalle critique 95 est compris entre 56 et 88 Ce qui veut dire que tout r sultat avec appareil 85 compris dans cet intervalle n est pas significativement diff rent du premier 74 Pour cet exemple l am lioration obtenue oreille appareill e est non significative Ateliers ATELIER 4 La certification de service audioproth siste par la norme AFNOR NF 518 Ateliers Ateliers Jean Jacques BLANCHET Herv BISCHOFF Audioproth sistes D E Membres du Coll ge National d Audioprothese E N
68. 13 646 653 Kraus N Strait D Parbery Clark A 2012 Cognitive factors shape brain networks for auditory skills spotlight on auditory working memory Annals of the New York Academy of Sciences The Neurosciences and Music IV 1252 100 107 Lee J S Lee D S Oh S H Kim C S Kim J W Hwang C H Koo J Kang E Chung J K Lee M C 2003 PET evidence of neuroplasticity in adult auditory cortex of postlingual deafness J Nucl Med 44 1435 1439 Lin FR Ferrucci L Metter EJ An Y Zonderman AB Resnick SM 2011a Hearing loss and cognition in the Baltimore Longitudinal Study of Aging Neuropsychology 25 763 70 Lin FR Metter EJ O Brien RJ Resnick SM Zonderman AB Ferrucci L 2011b Hearing loss and incident dementia Arch Neurol 68 214 20 MacSweeney M Campbell R Woll B Giampietro V David A S McGuire P K Calvert G A Brammer M J 2004 Dissociating linguistic and nonlinguistic gestural communi cation in the brain Neuroimage 22 1605 1618 Parbery Clark A Strait DL Anderson S Hittner E Kraus N 2011 Musical experience and the aging auditory system implications for cognitive abilities and hearing speech in noise PLoS One 6 e18082 Petitto L A Holowka S Sergio L E Ostry D 2001 Language rhythms in baby hand movements Nature 413 35 36 Ross B Fujioka T Tremblay KL Picton TW 2007 Aging in binaural hearing begins in mid life evidence from cortical auditory evoked responses to ch
69. 2 121 Fig 1 Moyenne des scores en vocale Fig 2 Intensit pour 50 de compr hension QUESTIONNAIRES APHAB pour les items traitant les r verb rations les scores sont significativement inf rieurs avec le BAP2 J21 p lt 0 05 cf Fig 3 GBI pas de diff rences significatives entre BAP1 et BAP2 J21 SS Tendance a avoir un effet significative pour le groupe d items traitant l audition de la parole p 0 06 avec des meilleurs scores avec le BAP2 cf Fig 4 m m 100 a 0 T Fig 3 Moyenne des scores APHAB e 60 E g 5 em E A 40 20 ECBAF1 ECBAP2 BNBAP1 BN BAP2 RVBAP1 RVBAP 2 AVBAP I AW BAP 2 ad OF iM to BLA oh Bo Lo Fig 4 Moyenne des scores 550 _ Score 550 BAP 1 BAP 2 BAP 1 BAP 3 AUDITION SPATIALE QUALITE DE L AU OIT ON POSTER 17 iques tif len SC a Poste POSTER 17 Actes du Congr s des Audioproth sistes 118 Evaluation des b n fices d un nouveau processeur de son d un syst me d implant semi implantable actif AUDIOM TRIE TONALE Pas de diff rences significatives en audiom trie tonale entre BAP1 et BAP2 J21 CONLUSION Le nouveau processeur apporterait un b n fice suppl mentaire aux patients tant donn les scores obtenus aux tests audiom triques Certains patients ont par ailleurs rapport une perception de sons plus claire et naturelle avec le nouvea
70. 3 pas Bea Bo Be Taux de d charge du neurone potentiels d actions e 1 2 Hz fi 125 250 375 50 Temps ms Figure 1 R ponse unitaire d une fibre du nerf auditif a un signal modul en amplitude Les mesures sont acquises a l aide d une micropipette plac e dans le nerf auditif de gerbille Le sti mulus est ici une bande de bruit 1 3 d octave centr e sur la fr quence caract ristique de la fibre 1498 Hz modul e en amplitude la fr quence de modulation FM avec une profondeur de modu lation PM de 100 Le stimulus sonore est en noir et le taux de d charge de la fibre en bleu Figure 2 Protocole d enregistrement de la r ponse du nerf auditif Les mesures sont acquises l aide d une lectrode implant e en chronique dans la niche de la fen tre ronde Le stimulus est ici une bande de bruit 1 3 d octave modul e en amplitude FP fr quence porteuse PM profondeur de modulation FM fr quence de modula tion Le stimulus sonore est en noir les potentiels lectrophysiologiques en bleu cechles fai ay cy Stimulus sonore DDD PM 1 FM Activit cochl aire recueillie la fen tre ronde R ponse du nerf auditif filtrage 300 1200 Hz redressage et moyennage Para Scientifiques POSTER 2 Codage de l enveloppe temporelle Codage de l enveloppe temporelle Un dans le nerf auditif dans le nerf auditif U 20 100
71. BE be Plorei Maure z zem AS aa fae t Pierre Bruxelles Belgium h T a CS lt ie L p ee So ee sd Era ges FU Reticular formation Limbic system Pons Via medial lamnisGus Medulla pathway Sensory 4 s inputs of th i neck via C2 l i i d Spinal cord ble specific treatment for somatic tinnitus patients METHODS In this retrospective study 21 patients who had a primary complaint of tinni tus associated with facial pain or dys esthesis were enrolled The severity of tinnitus was evaluated by the Tinnitus Handicap Inventory THI and both tinnitus and facial dysesthesis were evaluated by a modified question naire based on Jastreboff Structured Interview JSIm in which we include two questions relative to facial dyses thesis awareness and annoyance before and after a period of three months of acoustic stimulation Modified questionnaire based on Jastreboff Structured Interview JSlm 1 Indicate the importance of each problem in your daily life Mo problem Vers important problem Tinnitus it 1 3 4 5 Hearing loss i 2 3 4 5 Sensitivity to noise ft 1 3 4 5 Facial dysesthesis 1 3 4 3 11 Which is the percentage of time during the day you are disturbed by your facial dysesthesis Fa 10e 206 A0 AN S08 Sh Te RO 00 10m4 12 Which impact has your facial dysesihesis an your daily life l 2 a 4 5 6 T7 a F E Mo impact Unbearable
72. Homme AKH7 5 Gerbille 4kHz Hamme 1kHz Amplitude 95 Z fertile 1GKHz Sm Mod lisalion chez l homme y 100 1 expi 0154 Aga 20 L Mod lisation chez la gerbille 65 1 W exp 143 435 A20 o 0 100 200 300 400 KO 600 foo 800 900 1000 IS ms 3 8 E B KHz 3 5 3 6 TB 4KHz 3 Homme 3 4 Log TE 1KHz Gerbille oe g Log TE 4KHz Bes 8 g 528 5 0 173In x 3 804 R 0 9812 E 2 26 y 0 167In x 3 3903 Sy 9403 15 22 SRE z 1 T T 1 o 200 400 600 800 1000 Q 200 400 600 800 1000 IS ms IIS ms Actes du Congr s des Audioproth sistes 74 chez l homme R SULTATS A Effet de l intervalle inter stimulation sur l amplitude relative de N1 P1 de l EcoG trans m atique a 1 et 4 kHz chez l homme bleu fonc 4 kHz et vert 1 kHz et chez l animal rouge a 4k Hz et violet 16 kHz galement les mod lisations exponentielles obtenues 4 kHz chez l homme en bleu clair et chez l animal marron B Effet de l intervalle inter stimulation sur la latence de N1 P1 1kHz courbe bleue et 4kHz en rouge avec les mod lisations logarithmiques correspondantes et C chez l homme en bleu et la gerbille en rouge TB 4kHz _ 110 i 4100 50 2 8 70 22 60 i oa 40 2 r a 30 a 1 Constante de r cup ration G Si Sp es Ar au Post stimulation Temps ms 120 ZE i0 ze p
73. IER 3 Actes du Congr s des Audioproth sistes 136 137 Ateliers ATELIER 3 Les aides auditives que nous adaptons ont avant tout un r le social Le principal objec tif atteindre pour tout appareillage est en effet d apporter nos patients une compr hension confortable des diff rents interlocuteurs qu ils seront amen s rencontrer au quotidien C est par ailleurs la demande premi re qu ils expriment le plus souvent ainsi Je vous entends mais je ne vous comprends pas Laudiom trie tonale ne suf fit donc pas car si elle permet d objectiver et de diagnostiquer la perte auditive de la cat goriser et de la quantifier elle ne nous donne que peu d l ments sur la capacit a comprendre Laudiom trie vocale au sens large c est dire dans le silence et dans le bruit est l outil compl mentaire id al qui nous permettra de mieux estimer la r elle g ne sociale ressentie par nos patients De nombreux articles depuis les ann es soixante dix sugg rent de r aliser en plus de l audiom trie tonale et vocale dans le silence un test standardis de la compr hension dans le bruit afin de mesurer le degr de handicap engendr par I hypoacousie En effet la capacit comprendre dans le bruit d pend du syst me auditif dans sa globalit et c est donc ce que nous testons lorsque nous r alisons une audiom trie vocale plus par ticuli rement dans le bruit Cela signifie que chaque hypoacousie est unique
74. La stimulation d une oreille avec deux sons purs appel s pri maires f1 et f2 provoque des oto missions la fr quence 2f1 f2 que l on appelle pro duits de distorsion acoustique cubiques En variant les fr quences des couples de pri maires f1 f2 f1 f2 1 2 il est possible de tester le fonctionnement des cellules cili es externes sur une gamme de fr quences lev es et m diums Shaffer et al 2003 Mais la fatigue auditive p riph rique ne se limite pas uniquement au fonctionnement des cellules cili es externes En associant une stimulation controlat rale la mesure des produits de distorsion acoustique cubiques il devient possible de mesurer l impact des r flexes stap dien et olivocochl aire que l on appellera r flexe acoustique LEchoScan est un outil qui per met de rechercher le seuil de d clenchement du r flexe acoustique figure 2 II permet des mesures objectives puisque la participation active du sujet n est pas requise et minimise l intervention du noyau cochl aire dorsal En optimisant les intensit s et les fr quences appropri es des primaires par une approche de type entre sortie l EchoScan permet de mesurer un produit de distorsion sensible l activit du r flexe acoustique La mesure d un seuil de r flexe avant et apr s exposition matin et soir permet d valuer la fatigue auditive p riph rique tant donn que la mesure se fait avec une stimulation acoustique dans chaque
75. MEDI HANSATON m AUDITION CONSEIL AUDITION FRANCE INNOVATION AUDITION MUTUALISTE AUDITIONSANTE AUDITIONSOLIDARITE m AUDYX BIOTONE TECHNOLOGIE CENTRALE DES AUDIOPROTHESISTES CDA m COCHLEAR FRANCE m COLLEGE NATIONAL D AUDIOPROTHESE COSIUM m ENTENDRE SAS m FNEA GAMMADIS GN HEARING SAS GN OTOMETRICS m GROUPE EUROSSUR m IAC ACOUSTICS Actes du Congr s des Audioproth sistes 158 INTERSON PROTAC m IPA TECHNOLOGIES m IPRO m KRYS AUDITION L OU E MAGAZINE LES CAHIERS DE L AUDITION m LSFA ALAIN AFFLELOU ACOUSTICIEN m LUZ AUDIO MARK ASSUR DEURONA SARL NEWSON OPTICAL CENTER m PLUGGERZ PRODITION m RAYOVAC FRANCE SCR ELECTRONIQUES m SENSATION AUDITIVE SIEMENS AUDIOLOGIE SMS AUDIO ELECTRONIQUE m SOLUSONS m SONANCE AUDITION m SONOVA SPB AFFINTY m STARKEY FRANCE m UNSAF VARTA MICROBATTERY GMBH m VIBRANT MED EL HEARING TECHNOLOGY m WIDEX m XAVIER CARRIOU INNOVATION e ANNUAIRE FRANCAIS D AUDIOPHONOLOGIE AUDITION TV Annuaire professionnel dit par OCEP EDITIONS e ASSOCIATION FRANCE ACOUPHENES Association pour l information des personnes affect es par les acouph nes e AUDIO INFOS Revue professionnelle destin e aux audioproth sistes et a toute la fili re e AUDITIONSOLIDARITE ORG Association ceuvrant pour le bien tre auditif aupr s des populations sensibles ou d f
76. R 1 f rents niveaux d entr es L analyse par percentile speech map est cet gard d une efficacit redoutable R ponse dB SPL Gauchi En plus d tre un nouveau standard haute valeur ajout e en terme de processus d ap pareillage la mesure in vivo est un outil de motivation puissant Les tudes ont mis en vidence que la satisfaction est induite par l efficacit de la prise en charge d une part 100 et par la p dagogie de l audioproth siste A ce titre les mesures in vivo de la voix par percentile apportent des informations visuelles pertinentes et rapidement compr hen sible par le patient Ateliers Ateliers Validation du confort et des caract ristiques avanc es des aides auditives 548 8 5 283 8 Les nouveaux tests in vivo peuvent tre utilis s d une fa on rigoureuse en particulier pour le ciblage du gain par rapport une m thodologie mais aussi d une fa on moins formelle Les mesures permettent de valider les caract ristiques avanc es de cer tains appareils par exemple les compressions fr quentielles les r ducteurs de bruit les g n rateurs de bruits composites pour r duire la sonie des acouph nes l am lioration technique continue des aides auditives peut d sormais tre valid e Il est n cessaire de s assurer de l impact de ces algorithmes sur le signal arrivant au tympan du porteur Il est noter que les logiciels fournisseurs proposent de plus en plus d
77. SB augmentait Figures 1C Le RSB critique tait ensuite calcul en moyennant les RSB correspondant aux 8 derniers renversements Scientifiques aS C5 Bs Moyenne sur beg 8 ra 4 erreur demiers renversemants g 1 renversement Li 16 5 dB E 20 N il J E A pee fe RR AO B a b c d e 15 It ae ts a P Se ta qa iad La ba i keer i m 10 paii i 12 renversement Arr t du test i i on 3 5 i g s 5 l Pas de 4 dB Pas de 2 dB 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Temps 5 Nombre d essais Figure 1 valuation du RSB critique l aide d une m thode 2 up 1 down d apr s Levitt 1971 Viemeister 1979 A Repr sentation temporelle d une s quence de trois sons de 500 ms s par s par 500 ms de silence B Spectrogramme de la s quence a et c bruit blanc seul b et d silence e bruit blanc son pur de fr quence 4000 Hz RSB 6 dB C Evolution du score d un sujet test en fonction du nombre d essais Entre l essai 1 et 13 le sujet d tecte facilement le son cible Apr s le 14 me essai le sujet commence commettre des erreurs points rouges Le seuil de d tection correspond la moyenne des 8 derniers renverse ments 16 5 dB POSTER 1 iques tif len FS Te Poste ae eS Le POSTER 1 D tection dans le bruit et vieillissement Age Ann es Age Ann es 0 25 50 75 100 0 25 50 75 100 0 3 dB 10 ans 1 5 dB
78. a d marche qui se veut celle de l ensemble de la profession Le par ticipation conjointe a cette affiche du Synam du Syn a de l Unsaf et du CNA tait la d monstration de la recherche en cours d alliance et de consensus Actes du Congr s des Audioproth sistes 2 l apr s midi du Coll ge National d Audioproth se s est poursuivi par la session o de jeunes audioproth sistes postulent au titre de laur at du Coll ge National dAudioproth se en pr sentant leurs m moires de fin d tudes Ces m moires sont une synth se de travaux r cents et leur qualit renforce la n cessit d int grer dans notre cursus une formation concernant la conduite des recherches cliniques et bibliogra phiques Leur pr sentation orale sous tenue par un Power point a permis au jury de d partager les candidats des 5 facult s Monsieur S bastien BERGERE Facult de M decine de Paris Conservatoire National des Arts et M tiers Le test voix chuchot e simplifi Mademoiselle Anne Laure KRETZ Facult de Pharmacie de Nancy Utilisation conjointe de l audiom trie automatique de BEKESY et des CPAR dans la d termination des caract ristiques de l acouph ne Mademoiselle Manon CHATEAU Facult de Pharmacie de Montpellier Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD impact sur le SPLoGramme et sur les valeurs cibles de la formule de pr r glage DSL i o v5 Mademoiselle Camille GRANIER Facult de Pharm
79. acie de Lyon Etude longitudinale de l intelligibilit dans les hautes fr quences lors de la r habili tation auditive Monsieur Franck LECLERE Facult de Rennes Ecole dAudioproth se de Foug res Estimation du rapport signal sur bruit en sortie d aide auditive mise en uvre application Les m moires ont t difficilement d partag s en raison de l excellence des travaux C est S bastien Berg re qui a t nomm Laur at du Prix du Coll ge National d Audioproth se pour l ann e 2015 pour son travail sur un test voix chuchot e simpli fi qui pourrait ouvrir la voie un rep rage tr s simple des troubles de l audition chez le g n raliste Manon Chateau a recu le prix de la meilleure pr sentation orale au regard de l excel lence de sa pr sentation Rappelons pour conclure qu une pr sentation de ces m moires est faite comme chaque ann e dans les Cahiers de Audition Eric BIZAGUET Pr sident du Coll ge National d Audioproth se d Audioproth se N S ES i hu X i File ie Nat ge UO Ea 7 TE on Le Nat UO d Audioproth se Le ge acult de Pharmacie de Nancy Toutes les m thodes actuelles de mesure fr quentielle de l acouph ne m me avec des protocoles d utilisation diff rents convergent finalement vers une seule et m me m thode le Pitch Match Frequency PFM c est dire r
80. adie ou une bonne image de soi La restructuration cognitive lorsque l id e fausse ne concerne pas la personnalit du patient par exemple je suis n sous une mauvaise toile mais plut t ses connais sances en mati re d audition ou de fonctionnement du syst me nerveux central mon acouph ne va me rendre sourd est un travail pour l audioproth siste Ces id es peuvent tre list es puis reformul es et rectifi es Pensez vous que WV votre acouph ne est d une maladie WicQu i n y a pas de solution Wlvous entendezbien 2 i Votre acouph ne vas empirer W Vous ne supporterez plus votre acouph ne Votre acouph ne va vous rendre psychiquement malade Votre acouphene captera toute votre attention L acouph ne est d au stress Votre acouph ne vous emp che de dormir Vol acouph ne peut vous rendre sourd eVous n aurez plus jamais de silence eVous devez viter le bruit pour prot ger mes oreilles L acouphene est signe avant coureur de probl me de Vous serez moins capable faire face l avenir Fig 3 liste des principales distorsions cognitives rencontr es chez l acouph nique R gle 8 Avoir un acouph ne n est pas seulement la perception d un bruit quelques d cibels au dessus du seuil Ateliers ATELIER 2 Ateliers A 1 ATELIER 2 D une part parce que nos chelles visuo analogiques nous montrent qu une major
81. ait des troubles de l qui libre et ou sur l tat psychologique cf Figure 3 Figure 3 Cons quences fonctionnelles des d ficits neurosensoriels Le vieillissement par son action sur les syst mes neu rosensoriels a des r percus sions multiples directes et indirectes sur l organisme Quelle que ce soit la modalit sensorielle consid r e la d gradation neurosensorielle teintes D apr s Rumalla et al li e l ge induit donc un tat de fragilit avec un retentissement potentiel sur la qua Laryngoscope 2015 lit de vie le niveau de d pendance et la morbi mortalit Enfin il faut garder l esprit que les d ficits neurosensoriels combin s relativement fr quent chez les personnes g es ont des effets cumulatifs et peuvent donc majorer isciplinaire plurid le handicap fonctionnel induit Actes du Congr s des Audioproth sistes 42 43 Samedi 11 avril Samedi 11 avril isciplinaire plurid Samedi 11 avril Troubles neurosensoriels li s a l ge Aspects physiopathologiques et donn es r centes V CONCLUSION ET PERSPECTIVES Pour conclure cette communication sur les troubles neurosensoriels li s l ge nous insisterons sur trois points essentiels i Le vieillissement est un processus physiologique progressif ubiquitaire et in lucta ble qui peut avoir des cons quences pathologiques ii Chez une personne g e la recherche d un d ficit n
82. ale la fatigue auditive Une comparaison des mesures r alis es avec EchoScan et une ATL a t faite avec des salari s issus de diff rents secteurs professionnels batiment production imprimerie dont l exposition journali re yenne tait de 85 dB A Une fatigue de 9 dB a t constat e avec l EchoScan figure 3 tandis que l ATL ne d celait que 3 dB figure 4 Venet et al 2013 Binu Mes Figure 3 Variations de seuils de D d cenchement du r flexe acous tique 1000 2000 et 4000 Hz Les produits de distorsion acoustique ont t mesur s dans l oreille ipsi lat rale tandis que le bruit sup presseur a t mis dans l oreille controlat rale Les diff rences ont t calcul es avec des mesures r a lis es avant apr s une journ e de travail Les barres d erreur repr sentent des intervalles de confiance 95 Bonferroni p 0 05 p 0 01 p 0 001 Variations de seuils de d clenchement du r flexe eff rent dB Actes du Congr s des Audioproth sistes 34 Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique ae PAR Figure 4 Variations des E Sujets exposes T moins i an seuils ordonn es mesur s par ATL en fonctions des fr quences test es abscisses Pour les sujets expos s au bruit ou t moins les varia tions de seuils taient calcu l es en faisant la diff rence avant apr s Les barres d erreur repr sentent d
83. ance grise se modifient les profils m taboliques changent Les techniques d imagerie c r brale permettent d observer ces modifications en fonction de l ge de l individu Des marqueurs de certaines pathologies li es au vieillissement sont d velopp s pour rep rer certaines maladies avant que n apparaisse la symptomatologie clinique Brainproject neurospin En r sum le cerveau d un nourrisson n est pas un mod le r duit de celui de l adulte jeune celui de l adulte sain g n est plus celui d un adulte jeune De plus ces tudes en imagerie c r brale permettent de prendre conscience de la variabilit interindividuelle du cerveau humain un ge donn au cours du vieillissement et au cours de patholo gies intercurrentes Le clinicien ne peut pas faire abstraction de cette variabilit dans la prise en charge du patient 3 EFFET DE LAGE SUR LAUDITION A la naissance le syst me auditif est immature La bande passante audible s tend dans l enfance jusqu 20kHz La perte d audition mesur e par une audiom trie tonale com mence avant l ge de 20 ans Elle ne fait que s aggraver en moyenne en fonction de l ge r duisant la bande passante audible Ces courbes ne sont que des donn es statis tiques indiquant la valeur m diane d audition d une classe d ge Elles ne rendent pas compte de la perte de qualit induite de cet organe d audition et des distorsions qui ont pu appara tre De plus des exp rienc
84. anges in interaural phase J Neurosci 27 11172 8 Actes du Congr s des Audioproth sistes 54 Effets de l ge et de la r serve cognitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique Sharma A Dorman M F Spahr A J 2002 A sensitive period for the development of the central auditory system in children with cochlear implants implications for age of implantation Ear Hear 23 532 539 Song JH Skoe E Banai K Kraus N 2011 Training to Improve Hearing Speech in Noise Biological Mechanisms Cereb Cortex 22 1180 1190 Thai Van H Micheyl C Norena A Veuillet E Gabriel D Collet L Enhanced frequency dis crimination in hearing impaired individuals a review of perceptual correlates of central neural plasticity induced by cochlear damage Hear Res 2007 233 14 22 Tremblay K Ross B 2007 Effects of age and age related hearing loss on the brain J Commun Disord 40 305 12 Samedi 11 avril inaire pluridiscipl A Samedi 11 avril stian RENARD yproth siste D E Les conditions d adaptation de port et de suivi des appareillages auditifs chez les per sonnes ag es d pendantes et institutionnalis es constituent un enjeu majeur de sant publique De nombreuses tudes ont en effet d montr les effets n gatifs d une d ficience audi tive non prise ou mal prise en charge chez une personne ag
85. ans de fa on int grer les nouvelles technologies l implant cochl aire l appareillage des tr s jeunes enfants la sp cificit de la prise en charge de personnes tr s g es troubles cognitifs mais aussi d int grer dans le cursus des connaissances n cessaires la pr vention sur les risques de traumatismes sonores au rep rage des troubles de l audition la prise en charge des acouph niques l int gra tion des audioproth sistes dans le cadre pluridisciplinaire des quipes et structures pre nant en charge les personnes g es la formation sur l audiom trie objective permet tant une d l gation de t che pour le d pistage de la surdit et sa prise en charge Le nombre des ORL doit passer en effet de 2900 moins de 2000 en 2020 ce qui doit faire r fl chir certaines d l gations concernant le renouvellement proth tique et l audio m trie clinique 7 de participer toute action au service des malentendants Le Coll ge a d cid cette ann e de participer un partenariat financier avec les organisateurs de la Semaine du Son dont c tait la douzi me dition La d marche est de pouvoir dans l avenir utiliser la synergie entre la Semaine du Son et le plus grand nombre d audioproth sistes pour une information concernant la surdit mais aussi la r habilitation proth tique et l appareil lage La r union de nombreux partenaires sur l affiche de la Semaine du Son permet de mieux comprendre l
86. ant entendant dans un milieu entendant Pettito 2001 Ces deux enfants l ge adulte n activent pas les m mes aires c r brales la vue de la langue des signes MacSweeney 2004 Par ailleurs des p riodes critiques existent au del de laquelle le processus engag devient difficile ment r versible Sharma 2002 Un adulte qui d veloppe une perte d audition pr sente une diminution du m tabolisme dans des aires temporales proportionnelle la dur e de privation sensorielle Lee 2003 Par ailleurs des pathologies neurologiques des acci dents c r braux peuvent venir alt rer la fonction auditive L organisation des cartes corticales l ge adulte d pend d une organisation de base g n tiquement d termin e et d une influence pi g n tique d s le plus jeune ge qui conditionne son fonctionnement Ces deux aspects combin s rendent chaque individu unique une personne part enti re au fonctionnement particulier inaire _ pluridiscipl Samedi 11 avril i Samedi 11 avril Effets de l ge et de la r serve cognitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique 2 EFFETS DE LAGE SUR ORGANISATION DES CARTES CORTICALES Au cours du d veloppement c r bral de la naissance la mort le volume du cerveau change des plissements apparaissent les rapports de substance blanche et de subs t
87. asion de r v ler en exclusivit les r sultats 2015 pour la France de l enqu te internationale Eurotrack Ces derniers ont mis en lumi re la satisfaction des patients fran ais quip s Les deux tables rondes Prise en charge des patients souffrant de troubles de l audition les oubli s de la solidarit nationale et Audioproth ses quel r le des organismes compl mentaires d Assurance Maladie dans la r gulation de l offre ont r uni des per sonnalit s et permis d changer sur les enjeux qui pr occupent professionnels et patients Des enjeux qui changent d chelle tandis que le vieillissement de la population francaise se poursuit On sait d sormais que l absence de prise en charge des troubles auditifs aggrave s rieusement les risques de d pendance chez les personnes g es Une question galement abord e sous l angle scientifique lors de la journ e pluridisciplinaire par le Professeur de psychog rontologie H l ne Amieva galement chercheur l INSERM de Bordeaux Sur cette question comme sur celle de l acc s pour tous un appareillage et a un suivi de qualit l UNSAF maintient sans rel che ses actions aupr s des instances nationales d ci sionnaires et confirme sa volont de n gocier avec tous les acteurs du secteur de l audition et notamment avec les Ocam Outre son int r t professionnel exceptionnel le congr s est aussi un lieu de convivialit notamment au moment du cocktail o
88. ational Health and Nutritional Examination Survey se sont int ress es aux relations potentielles entre les troubles neurosensoriels les difficult s la marche et le risque de chute Par une approche prospective ou transversale portant sur quelques centaines plus de 2000 participants plusieurs r sultats int ressants ont t obtenus i Pour une perte auditive de 25 dB HL le ralentissement de la vitesse de marche qui vaut celui observ pour un vieillissement de 12 ann es ii Toujours pour une perte auditive l g re 25 dB HL le risque annuel de chute est mul tipli par trois iii La majoration du risque de chute cro t avec le nombre de modalit s sensorielles d ficitaires et est beaucoup plus importante en cas de troubles combin s visuels audi tifs et de l quilibre qu en cas de troubles visuels isol s 2 tude exp rimentale Une tude r cente r alis e chez 14 patients presbyacousiques appareill s non chu teurs a montr qu en pr sence d un bruit mis frontalement l appareillage auditif am liore la stabilit posturale les yeux ferm s debout sur un matelas de mousse cf Figure 2 Figure 2 B n fice de l appareillage auditif sur la stabilit posturale Chez les sujets presbyacou siques appareill s la mise en route des aides auditives condition aid e permet un gain moyen de 8 6 secondes de la dur e de maintien en quili bre fl che multicolore ascen dante
89. ations technologiques provenant des fabricants d aides auditives sont nom breuses Notamment celles dont le but est d am liorer la compr hension et le confort dans le bruit Cependant il est difficile de quantifier les b n fices de ces syst mes pour le patient Un des l ments pouvant nous donner une indication sur la performance d une aide auditive est l am lioration de la perception de la parole en milieu bruyant qu elle pro cure Une quantification objective et pratique de l mergence d un message utile au milieu d un bruit est l utilisation du rapport signal sur bruit RSB ou SNR en anglais pour Signal to Noise Ratio Une m thode originale de s paration des signaux mix s en sortie d aide auditive a t propos e en 2004 par les su dois Hagerman et Olofsson 1 Ce m moire propose le mode d emploi de la technique d inversion de phase et un exemple d application de cette m thode sur six aides auditives haut de gamme Nous avons d velopp une mesure automatique et valid un algorithme d alignement des signaux en incluant un crit re de qualit Les r sultats ont montr sur trois aides auditives l apport de ces nouvelles technologies Tandis que les trois autres pr sentent des r sultats contrast s Ces essais ont t men s sous certaines conditions de laboratoire nous aurions eu des r sultats probablement diff rents avec d autres conditions de tests et dans la vie de tous les jours Nous comprenon
90. audiom trie vocale les listes dissyllabiques de Fournier ont t uti lis es Intensit s test es 40 50 60 amp 70 dB Implant d oreille moyenne MET avec son processeur BAP2 iin Microphone le controle du volume eo Porte de pile 3 ic i Connecteur de cordon de s curit LP Aimant B Antenne du r cepteur SF Partie lectronique de Vimplant B Systeme de fixation is ee Actuateur Eu Pointe de l actuatenur Evaluation des b n fices d un nouveau processeur de son d un syst me d implant semi implantable actif AUDIOMETRIE VOCALE Les scores sont sup rieurs avec un BAP2 pour 3 des 4 intensit s test es p lt 0 05 pour chaque test a partir de 50 dB Nous retrouvons des r sultats tr s similaires a J21 p lt 0 05 pour les 50 amp 60 dB et p 0 05 pour le 70 dB Une analyse descriptive mon tre que les pourcentages sont plus lev s avec un BAP2 a JO et J21 pour les 4 inten sit s test es cf Fig 1 Intensit laquelle la compr hension atteint 50 Pas de diff rence significative entre BAP1 et BAP2 ni JO ni J21 N anmoins dans l ensemble les intensit s sont l g rement inf rieures avec un BAP2 aussi bien JO qu J21 cf Fig 2 BAPL Vs BAPS J21 Score Fournier o HBRe amp 4e sease amp ESAPI Scientifiques agarz A d QE ie ee PEA id d RE BAP 1BAP 2 JO BAP 1 BAP
91. avoris es a travers le monde e COLLEGE NATIONAL D AUDIOPROTHESE e L OUIE MAGAZINE Magazine de la fil re audition destin aux audioproth sistes e LES CAHIERS DE L AUDITION La revue du Coll ge National d Audioproth se distribu e sans abonnement l ensemble des audioproth sistes fran ais e AUDIOFILS Fournit une gamme d accessoires et de solutions d accessibilit auditive pour les lieux publics Partenaires Fo PARTENAIRES unsar SYNDICAT NATIONAL DES AUDIOPROTHESISTES Contacts UNSAF UNSAF Luis GODINHO Christine DAGAIN Pr sident de l UNSAF Charg e de l organisation du Congr s _godinho unsaf org christine dagain wanadoo fr SIEGE DE L UNSAF UNSAF 11 rue de Fleurus Karen GINISTY 75006 PARIS Adjointe de l organisation du Congr s contact unsaf org laudition wanadoo fr Retrouvez toutes les informations sur le Congr s sur le site de l Unsaf www unsaf org OO Organisation RS D veloppement 5 Ez Service Technique et et Commercialisation 4 a 4 Logistique Administration des ventes NE Beno t HUBERT Fanny HUBERT e mail bhubert spat fr Responsable Congr s SP NT Assistante e mail fhubert spat fr Eden GAMBOA M lanie SIMON Responsable Exposition Relations Presse e mail msimon spat fr GROUPE SPAT SAS aoe Sine Nomine Dors Erika NARDEUX Gestion des Conf rences T l 01 44 26 26 26 e mail Aurore MORVAN Fax 01 45 54 23 86 erika nardeux sinenomine fr e mai
92. btenons donc quatre configurations de mesure du RECD RECD HALEMBOUT RECD HA1 MOUSSE RECD HA2 EMBOUT RECD HA2 MOUSSE R sultat et discussion Deux variables se d marquent dans le protocole de mesure du RECD le couplage endoauriculaire Mousse diminue les fuites acoustiques sur les basses fr quences le coupleur 2cc de type HA1 r duit les risques d erreurs en liminant l effet acoustique du couplage endoauriculaire Nos valeurs avec celles des RECD statistiques DSL i o V5 montrent que la configuration HA1 Mousse est la plus reproductible On peut donc dire que la configuration HA1 Mousse semble tre la configuration la plus fiable et la plus reproductible En revanche nos quatre configurations modifient les valeurs individuelles sur le SPLoGramme et sur les valeurs cibles d amplification DSL i o v5 Ainsi il est donc impor tant de prendre en compte la configuration dans la mesure individuelle du RECD Conclusion Nous pouvons donc conclure que le protocole HA1 Mousse semble tre la meilleure configuration pour tous nos patients et donc apporter une meilleure pr cision sur le SPLoGramme et sur les cibles DSL i o V5 Actes du Congr s des Audioproth sistes 18 En appareillant un patient on souhaite que son audition et plus particuli rement sa compr hension s am liore lorsqu il porte ses appareils Mais cette am lioration ne se limiterait pas l instant o
93. cants Pour toute information compl mentaire site grand public www presbyacousie fr et site d di aux professionnels de sant www francepresbyacousie org de Presse F Vendredi 10 Avril Rondes UNSAF a ie PS il Vendredi 10 Avril TABLE RONDE 1 Prise en charge des patients souffrant de troubles de l audition oubli s de la solidarit nationale Animateur Jean Luc VUILLEMENOT Intervenants e Luis GODINHO Pr sident du syndicat national des audioproth sistes UNSAF e Kulmie SAMANTAR D l gu G n ral du Syndicat National des Centres d Audition Mutualistes SYNAM e Andr TANTI Vice Pr sident en charge des dispositifs m dicaux du Comit Economique des Produits de Sant CEPS e Dominique DUFOURNET Vice Pr sident de l Union des associations de personnes malentendantes et devenues sourdes BucodesSurdiFrance TABLE RONDE 2 Audioproth se quel r le des Organismes Compl mentaires d Assurance Maladie dans la r gulation de l offre Animateur Jean Luc VUILLEMENOT Intervenants e Eric BIZAGUET Pr sident du Coll ge National d Audioproth se CNA e Guillaume FLAHAULT Pr sident du Syndicat National des Entreprises de l Audition SYNEA e Evelyne GUILLET Directeur Sant et Modernisation des d clarations sociales du Centre Technique des Institutions de Pr voyance CTIP e Christophe LAFOND D l gu National de la MGEN e Jean Francois TRIPODI
94. chl e pour des souris expos es 16 semaines et mesur es 24 h ou 8 semaines apr s exposition en comparaison des animaux contr les appari s en ge mais non expos s Les r sultats montrent des pertes synaptiques permanentes tout au long de la moiti basale de la cochl e Modifi d apr s Kujawa et Liberman 2009 et Fernandez et al 2015 Actes du Congr s des Audioproth sistes 26 Perte auditive cach e bruit et vieillissement En utilisant ces techniques nous avons montr que les expositions au bruit produisant de grands TTS mesur s 24 h apr s exposition mais pas de PTS mesur 2 semaines apr s exposition figures 1a b causent cependant une perte tendue de synapses la base des CCI dans la r gion cochl aire de TTS maximum fig 2c Ceci survient malgr l absence de perte de CCE ou de CCI et malgr une r cup ration compl te des seuils des DPOAE et des ABR Ceci est montr ici 24h mais nous savons maintenant que la perte est galement pr sente d s quelques minutes apr s l arr t de l exposition au bruit Toutes les expositions donnant des TTS ne produisent pas de synaptopathie aigue En titrant les niveaux d exposition tout en gardant le contenu en fr quences et la dur e du bruit constants nous avons identifi une exposition 8 16 kHz 2 h 91 dB SPL qui ne pro duit pas de perte synaptique aigue et n a aucun effet permanent sur l amplitude des r ponses neurales Nous comparons les effets pr
95. cons quences majeures de ces dommages sur l oreille et l audition Nous utilisons deux tech niques compl mentaires la mesure des oto missions en produits de distorsion acous tiques DPOAE engendr es par les CCE et la recherche des r ponses neurales voqu es du tronc c r bral ABR pour valuer la fonction cochl aire En combinaison ces m thodes permettent un diagnostic diff rentiel entre les dysfonctionnements des CCE et des CCl neurones tout du long de la cochl e de son tour apical sensible aux basses fr quences l extr mit basale sensibles aux hautes fr quences Des pr parations enti res de cochl es marqu es par immunochimie et des sections incluses dans du plastique sont tudi es en microscopie optique conventionnelle et confocale afin de quantifier les cel lules cili es les cellules ganglionnaires et les structures synaptiques c est dire les rubans synaptiques les zones de r cepteurs au glutamate et les terminaisons des neu rones cochl aires dans les m mes r gions cochl aires El vations r versibles de seuil et baisses permanentes d amplitude des r ponses neurales Dans les tudes montr es titre d exemple ici nous avons ajust le niveau et la dur e d une exposition sonore unique pour produire une l vation de seuil robuste court terme environ 40 dB mais qui r cup rait aux niveaux initiaux dans les premi res semaines suivant l exposition Les figures 1a et b montrent les d calage
96. d B k sy compared with pure tone audiometry Audiological Medicine vol 9 n 11 2011 p 40 46 H Fastl et E Zwicker Psychoacoustics Facts and Models Springer Series in Information sciences vol 22 2007 M Sereda D Hall D Bosnyak M Edmondson Jones L Roberts P Adjamian et A Palmer Re examining the relationship between audiometric profile and tinnitus pitch International Journal of Audiology vol 50 2011 p303 312 B Moore Audiometer Implementation of the TEN HL Test for Diagnosing Cochlear Dead Regions White Paper Interacoustics 2000 P Lurquin A Debarge M Germain E Markessis et M Thill Contribution l tablisse ment d un lien entre zone cochl aire morte et acouph ne Les Cahiers de Audition vol 15 n 16 novembre d cembre 2002 d Audioproth se Nat u oTo U Coll d Audioproth se lt I oO m Zz U oQ YU LU ien BERG RE re National des Arts et M tiers n decine Lariboisi re L objectif de cette tude est de pouvoir fournir aux m decins g n ralistes un test de d pistage de la presbyacousie sensible et sp cifique sinon il ne serait d aucune utilit mais surtout simple et rapide afin que ce test puisse tre pratiqu le plus souvent possible La sensibilit est la capacit d un test donner un r sultat positif lorsque l hypoth se est v rifi e La sp cificit e
97. de 5 20 de la population dans les pays industria lis s Il conviendra face un patient d pass par l tendue de son probl me de d montrer la l sion de mesurer l acouph ne par un acouph nom trie et de lui rappeler l impact d une sous stimulation sur un syst me sensoriel blouissement par sous stimulation etc Ateliers er ATELIER 2 Ateliers ATELIER 2 R gle 5 Quid des patients avec un scotome isol n affectant pas les fr quences conversation nelles Il conviendra de se tourner vers les EVA chelles visuo analogiques r alis es initiale ment et d adapter le choix proth tique l importance de la plainte surdit Nos tudes ont montr que la plainte de mauvaise compr hension dans le bruit est troite ment corr l la perte sur les fr quences 3 et 4 kHz Lurquin amp Puffet Si PEVA perte auditive PA est plus importante que celle de l acouph ne Ac on pourra s orienter vers l adaptation d un ACA conventionnel Il reste sage et de bon ton de pr voir muni en option d un producteur de bruit blanc enclencher apr s un essai infructueux sur une longue p riode trois mois ACOUPHENE AVEC PERTE AUDITIVE C ib ve ig THI lt ou gt 40 f EVA G ne Ac lt EVA G ne PA Essai avec correction auditive seule Counselling Association d un BB si pas d am lioration apr s 3 Omar BWA G ne Ac EVA G ne PA Correction auditive GBB Counselli
98. dep ce Neri alten AEE ne then Sr vinta a aga iate ns nl 4 tae Es FRE ca athe gun Mai Hd ne Se Pana Ta Re Raa Sme Ces LE a PUR MATE Adrian Pray y EL b tans ml z Baii n ellil r POSTERS Scientifiques POSTER 1 ve TOURNEUX N Mm tite For euro denca nobel iii Inserm UNIVERSIT DE MONTPELLIER Montpellier in Fliche 34090 Montpellier www inmfrance com e et Trouble du Langage et Prix du Meilleur Poster 2015 INTRODUCTION De r cents travaux exp rimentaux chez l animal Sergeyenko et al 2013 ont Adapt de Sergeyenko ef al J Neurosci 2013 d montr que 100 anon i le nombre de cellules cill es internes on CCI reste quasi stable au cours de la o vie S 298 Z 60 CCE 60 ii le nombre de cellules cill es externes 3 F Maurones T x e e x Cc CCE ne commence diminuer qu p A Produits distorsion 0 6 demi vie 80 semaines chez la souris 2 m as D D iii le nombre de neurones ganglionnaire TT diminue lin airement tout au long de la vie 0 20 40 60 80 100 120 140 Dans la mesure o des tests liminaires Age semaines seuils en PEA ou en produits de distor sion acoustiques ne permettent pas de mettre en vidence ce vieillissement cochl aire pr coce nous avons souhait d velopper une m thode supraliminaire test psychoa coustique dans l
99. dit sur la d tection de la transition de formants Plus la perte d audition est quantitativement importante plus la d tection des transi tions de formants est en moyenne rendue difficile pour le sujet malentendant Alors qu un sujet entendant est capable de d tecter des transitions de formants courtes 40 ms et longues 200ms le sujet malentendant a syst matiquement plus de difficult s d tecter les transitions courtes par rapport aux longues Coez et al 2010 ce qui a un impact fort sur l intelligibilit de la parole pour un grand nombre de patients Adda 2008 iii Effet du vieillissement sur la transition de formants Des tudes men es en lectrophysiologie Tremblay 2007 montrent que le complexe d onde P1 N1 P2 l coute des transitions de formant se modifie avec l ge du sujet Le fait de ralentir la vitesse de la transition de formant permet de r tablir dans le groupe de sujets g s le m me profil du complexe P1 N1 P2 que dans le groupe de sujets plus jeunes Une perte d audition dans le groupe de sujets g s aggrave la modification du complexe P1 N1 P2 En r sum la surdit est un facteur aggravant du vieillissement sur la vitesse de la conduction neurale de l information sonore b Exemple de la compr hension dans le bruit i D tection de la fr quence fondamentale et compr hension dans le bruit l tude comparative en lectrophysiologie Anderson 2011 de personnes de plus de 60 ans aya
100. donc davantage de LSR chez l homme que chez la gerbille Prospective clinique Quelle serait l volution des constantes de temps chez des sujets ayant subit un traumatisme sonore POSTER 4 iques tif len J UN x a ON a POSTER 5 LE J AY 3 a i D vinci arc ool la me Pere DUC TAMEN ET Ai Institut Libre a pee a CRE x Sreo aa e Der i U ane os a k Tr SE INTRODUCTION Vint r t de cette tude est double e D une part de r aliser des mesures objectives de l effiicacit des diff rentes manipula tions fr quentielles existantes sur le march Bernafon Hansaton Phonak Siemens Starkey Widex e D autre part d effectuer des mesures de satisfaction sur une population acouph nique plaintive avant et apr s l emploi d un algorithme d abaissement fr quentiel d fini MESURES OBJECTIVES M thode Enregistrement sur cha ne de mesure d velopp e pour cette tude de la r ponse en fr quence des appareils de diff rentes marques lorsque l abaissement fr quentiel est activ Signal utilis Axelander Test Signal d velopp par le Pr Joshua M Alexander qui est un signal de 10 secondes qui a la particularit d tre modul en fr quence et en amplitude et dont le d cours temporel fait varier la fr quence de ce dernier La fr quence du signal augmente de 100 Hz toutes les 100 millisecondes Actes du Congr s des Audioproth sistes 76
101. dy on 323 subjects Presse Med2007 36 1183 90 Nous avons valid la faisabilit du test AVEC aupr s de patients hospitalis s en m de cine g riatrique aigu et en consultation le temps moyen pour l ensemble du test est de 10 minutes 30 L ensemble des soignants peuvent s impliquer dans ce rep rage des fragilit s soignants r ducateurs m decins Chutes et troubles de l quilibre Les chutes des personnes g es sont l origine de complications parfois vitales Leur pr vention repose sur une valuation globale en particulier sensorielle Lors de la consultation ORL il est possible d valuer le risque de chutes par des tests cliniques assez simples Cette consultation permet aussi d identifier des pathologies vestibu laires sp cifiques vertige positionnel paroxystique b nin maladie de Meni re dont la prise en charge th rapeutique sera adapt e l ge du patient Facteurs de risque de chute Les principaux facteurs de risque de chutes sont le fait d avoir chut un ge sup rieur a 80 ans la pr sence d atteintes ost o articulaires neurologiques ORL et de troubles visuels Il faut aussi y ajouter la consommation d alcool la s dentarit les conditions de vie au domicile et dans certains cas les associations de certains m dicaments Il est utile de pr ciser les traitements en cours prescrits ou en autom dication Donn es de l interrogatoire et de l examen Elles permettent de caract
102. e iv tre rapide pour permettre une r ponse en temps r el v tre s lectif et pouvoir filtrer pour s lectionner les informations pertinentes et sup primer le bruit B Vieillissement neurosensoriel Parmi les facteurs susceptibles de r duire les capacit s neurosensorielles l ge et le vieillissement jouent un r le important Le vieillissement neurosensoriel agit de mani re directe ou indirecte et concerne toutes les modalit s sensorielles avec par exemple la presbytie pour la vision et la presbya cousie pour l audition De m me il touche toutes les structures neurosensorielles les r cepteurs p riph riques avec par exemple l accumulation de granules de lipofuscine dans les cellules cili es cochl aires les voies nerveuses aff rentes avec un allongement de la p riode r fractaire des neurones un ralentissement de la transmission neuronale et une dimi nution de la neurotransmission GABAergique inhibitrice et les aires corticales avec une atrophie c r brale diffuse predominant dans les r gions pr frontales et pari to temporales Actes du Congr s des Audioproth sistes 40 Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects physiopathologiques et donn es r centes C R sultats exp rimentaux donn es perceptives Le vieillissement neurosensoriel agit sur trois variables perceptives principales et entra ne i une diminution de la sensibilit avec une augmentation des seu
103. e Des actions de sensibilisation et de formation par le SAMID Service d Aide aux Malentendants Institutionnalis s et D pendants ont eu lieu dans 41 EHPAD de la r gion Nord Pas de Calais a partir de Janvier 2010 Des plans de suivi proth tique personnalis ont t mis en place pour les patients appareill s r sidant dans ces 41 EHPAD ii ot race auditif Figure 3 Kit de Formation des et TE E a a Laboratoires dAudiologie z RENARD L enqu te ERMAI 2 men e en f vrier 2015 a consist analyser la situation proth tique de patients appareill s et r sidant dans 84 EHPAD dans la r gion Nord Pas de Calais Parmi ces EHPAD 41 avaient b n fici de ce programme de formation et 43 n en avaient pas b n fici ces programmes de formation ayant t propos s dans tous les EHPAD La diff rence au niveau de la situation proth tique des r sidents entre ces deux types d tablissement avec ou sans programme de formation mise en place est flagrante inaire pluridiscipl Samedi 11 avril Samedi 11 avril L appareillage auditif de personnes g es d pendantes et institutionnalis es gt Dans les tablissements o la formation n a pas t mise en place 21 des patients appareill s portent leur appareillage dans de bonnes conditions ce qui signifie que 79 des patients ne portent pas leur appareillage ou dans de mauvaises conditions gt Dansles tablissements o la format
104. e BIAP est de 49 dB HA Senil di HL 02 0 l 3 3 4 ad he z i RESULTATS 45 At su 30 20 20 15 E Diff rence des scores au THI E Diff rence des scores au BAHIA combin 15 5 cn r E 3 10 Patients gt L activation de l algorithme permet une diminution des scores aux deux questionnaires l est important toutefois de souligner qu il existe de grandes disparit s avec une tude tablie pr c demment qui relevait une disparition permanente de l acouph ne chez 81 des patients que le pallier de signification pour le THT a t tabli cpu 1 ane 5 E E 3 Sue ee R par Newman ct coll 20 et qu une simple amplification all e des conseils dirig s peut entrainer une diminution du score au THI de 25 9 Forti et coll 2010 CONCLUSION GENERALE D une mani re g n rale une bonne concordance des mesures objectives a t observ e entre la promesse fabricant et les r sultats obtenus Bien qu une diff rence mod r e mais statistiquement significative a t mise en vi dence il convient de rester prudent quant une interpr tation h tive de ces r sultats qui eux seuls ne t moignent pas d une ventuelle influence de l amplification dans l am lioration des scores Actes du Congr s des Audioproth sistes 78 Tirita 5 j td CHU Saint Pierre W
105. e S paration et quipements des diff rentes zones de services accueil audiom trie r glages sav e M trologie et cabine V rification annuelle et calibrage tous les 5 ans des instruments de mesure L hygi ne e Proc dure de bonnes pratiques concernant le rangement et la propret des locaux d sinfection des mains et instruments nettoyage et transport des appareils et des embouts Tracabilit des prestations e Dossier patient administratif et m tier e Tra abilit des appareils et embouts Lappareillage e D termination du profil auditif anamn se e Otoscopie e Audiom trie e Choix des appareils devis normalis e Prise d empreinte e R glages e Contr le d efficacit proth tique e Bilan d adaptation e ducation proth tique e Compte rendu m dical e Suivi proth tique e Maintenance et SAV Accessoires et prestations autour de l appareillage Produits de d monstration piles et accessoires adapt s Les engagements qualit e Gestion des sous traitants e Gestion du personnel recrutements fiches de poste formation continue obligatoire e Gestion documentaire administrative reglementaire dipl6mes e Indicateurs de performance enqu te de satisfaction exploitation et suivi des r sultats e Gestion des r clamations clients analyse des dysfonctionnements et mise en place d actions correctives Ateliers ATELIER5 Ateliers a
106. e adaptation plasticit du syst me auditif central permet de retarder les effets li s aux pertes naturelles de cel lules cili es de cellules ganglionnaires aux st noses dans la strie vasculaire enfin tous les effets du vieillissement connus sous le concept de presbyacousie Chez certains sujets une presbyacousie dite pr coce pourrait ne pas refl ter uniquement une variabi lit g n tique mais marquer davantage l puisement des m canismes compensatoires d ploy s pour pallier les d faillances engendr es par les conditions environnementales agressives En cas d v nements brutaux et d l t res pour la cochl e une mal adaptation de ces processus de r gulation la hausse et ou la baisse up regulation et ou down regu lation pourrait induire une augmentation anormalement rapide des potentiels uni taires ce qui se traduirait par des ph nom nes de recrutement d hyperacousie d acou ph nes fant mes ou d une perte du pouvoir masquant du syst me nerveux central entra nant des difficult s de compr hension de la parole dans le bruit En pr vention l utilisation d outils permettant d valuer le fonctionnement de l oreille p riph rique tout en cartant l influence du syst me nerveux central serait un pro gr s Les oto missions acoustiques le permettent Elles peuvent tre facilement mesu r es dans le conduit auditif externe aussi longtemps que les cellules cili es externes vibrent Bonfils 1989
107. e bruit Figure 1 capable de d tecter cette perte de neurone chez l homme R SULTATS Contrairement au seuil liminaire tonal qui reste normal jusqu 50 ans Figure 3 le score de d tection dans le bruit se d grade progressivement au cours de la vie avec une acc l ration au del de 50 ans Figure 2 Ces r sultats pourraient donc s expliquer par une perte progressive des neurones auditifs Figure 4 PERSPECTIVES Une am lioration de ce test est actuellement en cours de d veloppement l INM Inserm 1051 d tection de logatomes noy s dans le bruit Le but est de proposer un test de d tection dans le bruit simple et rapide Ce test devrait permettre de mieux va luer la g ne dans le bruit occasionn e par des pathologies cochl aires impliquant notamment les neurones du nerf auditif Zeng et al 2005 Actes du Congr s des Audioproth sistes 62 D tection dans le bruit et vieillissement APPROCHE EXP RIMENTALE La m thode utilis e consiste pr senter une s quence de trois bruits blancs dont l un des trois contient un son pur Figures 1A B Le niveau acoustique du bruit tait fixe 70 dB SPL ainsi le niveau du son pur pouvait tre au dessus du bruit rapport signal bruit RSB positif ou au dessous du bruit RSB n gatif A chaque fois que deux r ponses positives taient donn es cons cutivement 2 up le RSB diminuait mais chaque fois qu une r ponse fausse est donn e 1 down le R
108. e effects of age on sensory thresholds and temporal gap detection in hearing vision and touch Atten Percept Psychophys 2009 Kulmala J Viljanen A Sipila S Pajala S Parssinen O Kauppinen M et al Poor vision accompanied with other sensory impairments as a predictor of falls in older women Age Ageing 2009 38 162 167 Li L Simonsick EM Ferrucci L Lin FR Hearing loss and gait speed among older adults in the United States Gait Posture 2013 38 25 29 Lin FR Ferrucci L Hearing loss and falls among older adults in the United States Arch Intern Med 2012 172 369 371 Puschmann S Sandmann P Bendixen A Thiel CM Age related hearing loss increases cross modal distractibility Hearing Research 2014 316 28 36 Rumalla K Karim AM Hullar TE The effect of hearing aids on postural stability Laryngoscope 2015 125 720 723 Actes du Congr s des Audioproth sistes 4 Outil de rep rage des fragilit s Sensori Cognitives AVEC Audition Vision Equilibre Cognition Les maladies neurod g n ratives et neurosensorielles augmentent de mani re expo nentielle avec le vieillissement Le changement des mentalit s et la recherche perma nente de l am lioration de l autonomie et de la qualit de vie nous orientent vers des moyens de pr vention pertinents et des techniques fiables et valid es de rep rage et de d pistage de ces probl matiques Il faut rappeler qu en 2000 la population francaise comptait environ un million de person
109. e est fondamentale pour valider les zones fr quentielles corrig es par l aide auditive en cas de voix faible 50 dB SPL mod r e 65 dB SPL ou forte 75 80 dB SPL L objectif dans le cadre d une surdit moyenne est de restaurer la pr sence des pics de la parole mod r e 99 percentile dans la dynamique r si duelle du patient On peut galement s assurer qu il n y est pas de sur amplification face la voix cri e en v rifiant le placement graphique de la voix par rapport au seuil de confort par exemple d une possibilit de tester le MPO de l appareil en temps r el A ce jour il n existe aucune technique comparable pour valider la sortie maximum de l aide auditive moins de faire aveugl ment confiance au logiciel fournisseur AR afl SFA Lieve r ee a _ P a ini ae ae en atl rh 7 f JE ar ns hy fig 4 Cible NAL NL2 pour un signal STS fig 3 Repr sentation de la voix corrig e Les repr sentations en percentiles permettent d accompagner Il acceptation de l aide auditive par le patient La recherche d un compromis entre l intelligibilit de la parole et l acceptation est facilit e par une meilleure connaissance de la compensation apport e La somme de ces am liorations permet d ajuster de fa on pr cise les param tres tels que le nombre de canaux les vitesses de compression les seuils de compression dif Ji d Ateliers 1 ATELIE
110. e les l ments th oriques et pratiques abor der dans le cadre de cette formation L tude AUTONOMIA L objet de cette tude AUTONOMIA r alis e par les Laboratoires d Audiologie RENARD dans le Nord de la France entre septembre 2009 et f vrier 2015 a t d analyser la situa tion des patients g s d ficients auditifs r sidant en EHPAD Etablissement d H bergement pour Personnes Ag es D pendantes et l effet d actions de sensibilisa tion et de formation r alis es aupr s des personnels soignants 27 professionnels et 1 572 patients ont t impliqu s dans cette tude qui int gre une enqu te initiale ERMAI 1 2009 une valuation des besoins et une action de forma tion SAMID et une enqu te finale ERMAI 2 2015 l enqu te ERMAI1 Enqu te R gionale sur les Malentendants Appareill s Institutionnalis s men e en 2009 a permis d analy ser la situation proth tique de patients appareill s et r sidant dans 78 EHPAD dans la r gion Nord Pas de Calais Il s est av r que seulement 18 des patients portaient leur appareillage dans de bonnes conditions 82 des 40 patients ne portaient donc pas leur appareillage ou dans de mau vaises conditions F F E pe CPL MIT E AAA MA a ee ee ee ir ar eT Te j H 4 4 fino h Cial OES ELK Miila f KVAL I ZUU UJ ee ee EiT LU RTL LR PR nm l GVU a patients appareill s vivant en EHPAD R Ta rary pi ISo ent eu to SU sr Td E nir JE zn
111. e liste comprend 20 l ments de liste de 17 mots Chaque l ment est donc com pos de 17 mots de 3 phon mes donc 51 possibilit s d erreurs phon tiques En arron dissant 51 50 cela permet d obtenir facilement un pourcentage Le nombre d erreurs phon tiques de distorsions augmente avec la diminution du niveau d intensit Tr s souvent des erreurs phon tiques persistent fort niveau 90 dB Ateliers W ar ATELIER 4 Ateliers 1 f 8 ATELIER 4 SPL par exemple cela signe ce que le Professeur LAFON appelle une distorsion spa tiale Quelques fois galement le nombre d erreurs phon tiques est plus important fort niveau 90 dB SPL par exemple qu des niveaux plus faibles 80 ou 70 dB SPL par exemple cela signe ce que le Professeur LAFON appelle une distorsion spatiale aggrav e En plus de l analyse des distorsions de la cochl e les listes cochl aires peuvent tre uti lis es pour diff rentes preuves d audiom trie vocale comme l tude de l intelligibilit diff rentes intensit s ou la mesure du gain proth tique vocal Plusieurs tudes ont montr le b n fice d utiliser comme unit d erreur le phon me plut t que le mot Thornton et Raffin 1978 Carney et Schlauch 2007 Boothroyd 2008 L utilisation comme unit d erreur du phon me a plusieurs avantages augmenter le nombre d items sans augmenter la dur e du test augmenter la pr cision des r sultat
112. e pas d exag ration des pertes dues l ge au moins jusqu 1 an Figs 3A B L onde 1 des ABR est la fois sensible et sp cifique cette perte de synapses et neurones au moins jusqu ce que les pertes de CCE d butent Bien que les seuils r cup rent apr s TTS et donc restent silencieux vis vis de ces pertes diffuses les amplitudes des ABR sont r duites de mani re permanente et proportionnelle dans les intervalles cochl aires pertinents De plus lorsque les synapses et les neurones ne sont pas perdus apr s l expo sition les amplitudes d ABR reviennent la normale Donc des tests d ABR non invasifs peuvent donner un reflet pr cis de la sant des synapses aussi bien que de leurs l sions un r sultat qui a des implications cliniques importantes R sum A la fois l exposition au bruit et le vieillissement auditif normal peuvent conduire des pertes de sensibilit des r cepteurs sensoriels mais on en sait moins sur les changements qui peuvent impacter la fonction sans affecter la sensibilit Nos travaux r cents ont mon tr que la perte synaptique cochl aire est une cons quence importante et progressive la fois du bruit et du vieillissement Kujawa et al 2015 pour une revue Ces pertes synaptiques n entrainent pas n cessairement d l vations de seuils Cependant une fonction auditive normale exige plus qu une simple sensibilit normale au seuil Une fois une synapse d truite le neurone ne v hic
113. e une encoche audiom trique ainsi qu une remon t e du MML le tout pointant directement la fr quence centrale de l acouph ne Cependant la diversit des r sultats graphiques am ne pr ciser des crit res d inter pr tation ainsi qu proposer des crit res d am liorations futures du protocole En effet si certains pr conisent l utilisation d un son pur puls pour la r alisation du seuil tonal il parait int ressant de se rapprocher du concept de confusion volontaire en proposant galement l utilisation d un bruit filtr a bande troite ainsi qu bande large selon le type d acouph ne ressenti par le sujet Courbes Psychoacoustiques d Accord Rapides Actes du Congr s des Audioproth sistes 14 Utilisation conjointe de audiom trie automatique de BEKESY et des CPAR dans la d termination des caract ristiques de lacouph ne Avant l tape de la courbe marquante le marquage de la fr quence suppos e de l acou ph ne a d tre tabli en suivant diff rents types d anomalie que nous appelons frac tures audiom triques La lecture du rapport diff rentiel entre les deux courbes affich en dB SL a permis de conclure une totale corr lation entre les pics de perception observ s et la fr quence centrale ajust e par le sujet la molette Cependant cet affichage n a que peu d int r t d s lors que les CPAR n avait pu aboutir et ce pour diff rences raisons Les autres limites
114. ensory tinnitus patients significantly improved tinnitus and accompanying facial dysesthesis by 76 of the subjects and could be suita ble for the specific treatment of somatic tinnitus entity T PR LE imn ia r Bete L N M i es inalitebe for f roce Ki Mi m Tns 2 Teo ited i os L L UNIVERSIT a ECM Si SES DE MONTPELLIER Janua E A rtea Ben EPS A ea Re 5 it E F i a JE ff An ces of Montpellier University of Montpellier sae Le nn pee ES amp Se To Sr er INTRODUCTION The auditory system operates over a vast range of sound pressure levels 100 120 dB and is nearly constant in accurate 1 dB across almost the entire range To explain this sound coding dynamic recent works have shown that auditory nerve fibers could adapt their dynamic to the sound level statistics Dean et al Nat Neurosci 2005 Wen et al J Neurosciences 2009 The aim of this study was to find out if this adaptation mecha nism initially discovered using single fiber recordings can be observed with compound action potential CAP of the auditory nerve MATERIALS AND METHODS The CAP of the auditory nerve was recorded using an electrode implanted into the round window niche on gerbil cochlea Figure 1 The CAP amplitude was measured from the first negative wave N1 to the following positive wave P1 The CAP was recorded in 3 conditions In the baseline paradigm the sound levels are randomly drawn 300 presentations per
115. erte s lective des fibres du nerf auditif M THODE Sh ma page suivante Le placement des lectrodes est repr sent de la mani re suivante le fil noir repr sente l lectrode de masse pos e au niveau du nez le fil orange repr sente l lectrode de r f rence sur le front le fil rouge repr sente l lectrode n gative donc le tip trode positionn dans l oreille test e et enfin le fil bleu repr sente l lectrode positive positionn e sur la masto de de l oreille gauche Apr s insertion du tip trode insert entour e d une feuille de cuivre dans l oreille droite une s rie de bouff e tonale TB de 1 et 4kHz dont ont fait varier l intervalle inter stimulation IIS est envoy e On recueille alors l onde et on mesure son amplitude A et sa latence L Scientifiques POSTER 4 iques tif len SC Y ON POSTER 4 Effet des variations de l intervalle inter stimulation sur l amplitude et la latence du potentiel d action Effet des variations de l intervalle inter stimulation sur l amplitude et la latence du potentiel d action chez l homme Etape 1 insertion d un tip trode Etape 2 envoie d un TB 1 et 4kHz Etape 4 Recueil des donn es et analyse de l amplitude A et de la latence L Pi Etape 3 variation de MIIS 20 40 100 167 333 500 et 1000 ms a tn Grand intervalle Petit intervalle 5 La 2 Ters ms
116. es intervalles de confiance 95 Bonferroni p 0 05 p 0 01 Variations des seulls mesur s par audiom trie tonale dB 500 1000 2000 3000 4000 6000 8000 Fr quences Hz R f rences Gannouni N Lenoir M Ben Rhouma K El May M et al 2015 Cochlear neurophathy in the rat exposed for a long period to moderate intensity noises J Neuroscience Res DOI 10 1002 jnr 23567 1 11 Kujawa SG Liberman MCJ 2006 Acceleration of age related hearing loss by early noise exposure evidence of a misspent youth Neurosci Feb 15 26 7 2115 23 Campo P Venet T Rumeau C Thomas A Rieger B et al 2011 Impact of noise or styrene exposure on the kinetics of presbycusis Hear Res 280 1 2 122 32 Nordman AS Bohne B Harding G 2000 Histopathological differences between tem porary and permanent threshold shift Hear Res 139 13 30 Liberman M Mulroy M 1982 Acute and chronic effects of acoustic trauma cochlear pathology and auditory nerve pathophysiology New perspective on noise induced hea ring loss Ed Hamernik Henderson Salvi Raven Press New York pp 105 135 Henderson D Bielefeld E Harris K Hu B 2006 The role of oxidative stress in noise indu ced hearing loss Ear Hear 27 1 19 Eggermont JJ 2008 The role of sound in adult and developmental auditory cortical plasticity Ear Hear 29 6 819 29 Salvi R Henderson D Eddins A 1995 Effects of noise exposure on the auditory system Handbook of neuro
117. es chez l animal Tha Van 2007 et de neuro ima gerie chez l homme Bilecen 1998 montrent qu une perte d audition induit des r or ganisations des cartes tonotopiques centrales Le clinicien ne peut plus raisonner dans la prise en charge de son patient simplement au regard de l audiom trie tonale compte tenu de l extr me variabilit interindividuelle du cerveau au cours des ges et de sa r organisation en fonction de la qualit de ses aff rences auditives 4 IMPACTS SUR LE TRAITEMENT DE L INFORMATION SONORE La perte quantitative d audition s accompagne d une perte qualitative de l audition par des distorsions en intensit recrutement en hauteur diplacousie et en temps distor sions temporelles a Impact de la distorsion en temps sur la perception de la transition de formants i La transition de formants Les transitions de formants refl tent les changements du tractus vocal pour passer d une consonne a une voyelle Les transitions de formants sont des indices acoustiques tr s efficaces pour percevoir le lieu d articulation de la consonne Il est possible de recon Actes du Congr s des Audioproth sistes Eal Effets de l ge et de la r serve cognitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique na tre une consonne partir de la seule perception auditive des transitions de formant ii Effet de la sur
118. es tests cliniques mesurent la synchro nisation PEA ECoG C est pourquoi nous d veloppons une m thode capable de mesu rer l aptitude de la cochl e a coder l enveloppe temporelle MAT RIEL ET M THODES Les exp riences ont t men es chez 3 mod les animaux savoir gerbille cochon d Inde et rat L activit du nerf auditif a t enregistr e a l aide d enregistrements uni taires Figure 1 micro lectrode plac e dans le nerf auditif ou globaux Figures 2 5 lectrode boule plac e dans la niche de la fen tre ronde de la cochl e Le stimulus sonore est une bande de bruit modul e en amplitude ou une vocalisation de rongeur R SULTATS Les enregistrements unitaires Figure 1 comme globaux Figures 2 4 montrent que les indices de l enveloppe temporelle profondeur de modulation fr quence de modu lation sont fid lement transmis par les fibres du nerf auditif Notre m thode permet galement d observer la r ponse du nerf auditif une vocalisation ce qui repr sente une avanc e diagnostique significative CONCLUSION Cette m thode applicable l homme l aide d enregistrements trans tympaniques par exemple pourrait permettre de mieux comprendre certaines surdit s cochl aires qui affectent pr f rentiellement le codage de l enveloppe temporelle Actes du Congr s des Audioproth sistes 66 Codage de l enveloppe temporelle dans le nerf auditif Stimulus sonore J fe
119. est valable jusqu au 23 d cembre 2016 sous r serve des r sultats des contr les effectu s par AFNOR Certification qui peut prendre toute d cision conform ment aux conditions qu elle a fix es Ce certificat annule toute version ant rieure cofrac Florence MEAUX Directrice G n rale d AFNOR Certification AnA T Ha x il h 11 rue Franch de Present 93571 La Plaine Saint Denis Codex France T 44 6001 A1 62 p000 F 7 VE 49 17 30 00 a f mm or air BAS au capital de 18 ET O00 470 076 DE ACI Bobigny Weal CERTIFICATION et MSSE Dee Ateliers ATELIER 5 e Qualit des tests audiom triques e Qualit du choix et de l adaptation proth tique e Installations et quipements e Information et conseil du client e Contr le d efficacit et suivi e Coordination avec le m decin prescripteur e Service apr s vente et fourniture des accessoires piles Des b n fices pour le patient et son m decin prescripteur Ateliers e Garantie d une prise en charge thique et d ontologique coute des besoins et attentes des patients souffrant de troubles de l audition Tact et discr tion e Garantie de service Protocoles d accueil d coute et d appareillage Echanges avec les m decins prescripteurs et obligation d envoi des comptes rendus e Garantie d un mat riel conforme v rification et talonnage p riodique du mat riel respect de r gles
120. et qu il est par cons quent difficile de pr dire la capacit a comprendre de nos patients notam ment dans le bruit sans r aliser des examens sp cifiques Cette capacit d pend effec tivement de nombreux facteurs que nous devons analyser lors de l anamn se afin d es timer la part de distorsions engendr es par I hypoacousie exposition au bruit prise de m dicaments ototoxiques facteur h r ditaire ainsi que les modes de compensation mis en place anciennet de la g ne lecture labiale r organisation des cartes tonoto piques au niveau du cortex Prenons pour exemple la presbyacousie qui se d finit selon MILLER et PLOMB comme tant une d t rioration tous les niveaux du syst me auditif et pouvant se d crire selon deux facteurs l att nuation et la distorsion Latt nuation se mesure simplement en r alisant une audiom trie tonale tandis que la distorsion est bien plus difficile appr hender car le signal est d t rior diff rents niveaux du syst me auditif Une perte d audition de type presbyacousie s accompagne de distorsions endocochl aires qui contribuent alt rer le signal vocal particuli rement en environnement bruyant Il est videmment pr f rable pour nous que la composante distorsion soit la moindre possible car il nous suffit simplement d amplifier le signal ATTENUATION PERTE AUDITIVE DISTORSIONS Figure La surdit de perception Perte quantitative
121. eurosensoriel simple ou combin grace des outils de d pistage et d valuation adapt s doit tre syst matique et doit faire partie du bilan de rep rage d une fragilit iii II faut favoriser une prise en charge neurosensorielle pr coce et polymodale a vis e symptomatique et pr ventive en s appuyant sur un traitement palliatif du d ficit neurosensoriel lorsque cela est possible mais galement sur un entra nement et ou une stimulation cognitivo sensoriel le sans oublier le soutien psycho social REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Behrman S Chouliaras L Ebmeier KP Considering the senses in the diagnosis and management of dementia Maturitas 2014 77 305 10 Blain H Bloch F Borel L Dargent Molina P Gauvain J B Hewson D Joel M E Kemoun G Mourey F Puisieux F Rolland Y Stephan Y Coordination P le d expertise collective de INSERM Institut multi organismes Sant publique Activit physique et pr vention des chutes chez les personnes ag es Expertise collective Synth se et recommanda tions Paris INSERM Novembre 2014 114 pages Chia E M Mitchell P Rochtchina E Foran S Golding M Wang JJ Association between vision and hearing impairments and their combined effects on quality of life Arch Ophthalmol 2006 124 1465 1470 Clegg A Young J Iliffe S Rikkert MO Rockwood K Frailty in elderly people Lancet 2013 381 752 62 Humes LE Busey TA Craig JC Kewley Port D Th
122. fficacit d un nouveau traitement du signal sens am liorer l intelligibilit Le syst me peut tre param tr sur 5 niveaux On d cide d valuer l efficacit de l algorithme en mesurant l intelligibilit du sujet obtenu pour chaque degr d activation Les donn es sont analys es selon diff rents mod les de r gression LI CL i si B n b i a H a t is A H i E 8 I j a GAL T n x x r L r i 2 3 Niveau d activation es I 1 I 1 i Intelligibilite Valeurs mod lis es o 1 z a 4 5 Niveau dacivalion e R sidus non centr s sur 0 e R sidus avec un pattern non al atoire e R sidus h t rosc dastiques e Nonlin arit des donn es ignor e e Valeurs pr dites gt 1 R gression lin aire ordinaire Scientifiques POSTER 12 Evaluation statistique des donn es d intelligibilit I OO E g Py H H a a i a 2 2 a z i H 4 Ed i a nlf 3 r M P C Ute Ai y 0 1 2 a a 5 a A Hiveaux d activation T LE ae sno ne Valeurs mod lis es Intelligibilit Q 1 ee eae ee 4 5 INTRODUCTION Le RECD est une tape essentielle dans l laboration d un SPLoGramme ce dernier per met une mesure In Vivo pr cise de l amplification d livr e par les aides auditives Scientifiques DR des HOU Sete RUE eee Le RECD est la diff rence en dB entre le niveau de pression aco
123. ffrant la possibilit de rencontres et d changes infor mels entre confr res ou partenaires Comme chaque ann e c est aussi l occasion de remet tre les prix du meilleur stand et du meilleur poster scientifique Je tiens souligner que cet v nement annuel devenu incontournable pour la profession depuis tant d ann es c est vous que nous le devons congressistes intervenants visiteurs et exposants ce congr s est le v tre Nous vous donnons tous rendez vous l ann e prochaine du 18 au 20 mars au Palais des Congr s de la Porte Maillot Paris Luis GODINHO Pr sident du Syndicat National des Audioproth sistes UNSAF Editorial A Fo Luis GODINHO IX Luis GODINHO Mesdames Messieurs chers amis Je suis tr s heureux de vous accueillir ce cocktail et de pouvoir cette occa sion vous remercier toutes et tous pour votre participation la r ussite de notre congr s Ce congr s qui se renouvelle chaque ann e depuis 1979 est en effet une formidable occasion permettant tous les professionnels du par cours T soins s de l audition de b n ficier d un lieu unique de pr sentation des derni res innovations en mati re de technologies auditives merci aux expo sants pour la qualit de leur apport professionnel au congr s dans un d cor alliant toujours convivialit et esth tique la formation professionnelle y tient une grande place gr ce la qualit du programme de la
124. gnitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique Bellis TJ Nicol T Kraus N 2000 Aging affects hemispheric asymmetry in the neural representation of speech sounds J Neurosci 20 791 7 Bertaux A 2013 qualit d coute du patient appareill donn es recueillies par l audio proth siste et data log des appareils auditifs M moire universit Claude Bernard Lyon 1 Boddaert N1 Zilbovicius M Philipe A Robel L Bourgeois M Barth lemy C Seidenwurm D Meresse Laurier L Desguerre Bahi Buisson N Brunelle F Munnich A Samson Y Mouren MC Chabane N MRI findings in 77 children with non syndromic autistic disor der PLoS One 2009 4 2 e4415 Bilecen D Scheffler K Schmid N Tschopp K Seelig J 1998 Tonotopic organization of the human auditory cortex as detected by BOLDFMRI Hear Res 126 19 27 Coez A Belin P Bizaguet E Ferrary E Zilbovicius M Samson Y 2010 Hearing loss seve rity impaired processing of formant transition duration Neuropsychologia 48 3057 61 Fu Q J Nogaki G Galvin J J 3rd 2005 Auditory training with spectrally shifted speech implications for cochlear implant patient auditory rehabilitation J Assoc Res Otolaryngol 6 180 189 Klein D Zatorre R J Milner B Zhao V 2001 A cross linguistic PET study of tone per ception in Mandarin Chinese and English speakers Neurolmage
125. gueur d onde d mission 505 nm tait recueillie grace une cam ra CDD binning de 4x4 temps d exposition de 100 ms fr quence d acquisi tion de 1Hz Lauto fluorescence acquise avant l incubation de la sonde Fura 2 AM tait soustraite des fluorescences f350 et f380 La mesure du calcium intracellulaire Ca2 i tait refl t e par le ratio f350 f380 Les pics calciques taient d tect s lorsque l augmentation de calcium tait sup rieure a 4 fois l cart type du ratio basal f350 f380 a b C apog LE 5 al a _ z cl A F350 F380 u a ma Cr in e I eee l q 200 400 ani Temps sl Augrescengces Lc W 5 a eo a TOt E organe de Corti intact P a He 00 amps 3000 DE nn Y 5 ly 007 M F380 il ne iYi a ane a z p 15004 _ Te en F330 C UML kar g Fluorescences f F350 F380 fua DA Tr FTF Te CS a es ee es Q 200 AN 600 O 200 400 600 Temps s Temps ts m CClaccessibles P d Figure 1 Accumulation de Fura 2 AM bad ge a Images obtenues lors de l acquisition de la fluorescence du 80 Fura 2 en pr sence des CCE organe de Corti intact et en lab 80 sence des CCE CCI accessibles bE b c Exemples d enregistrement du calcium intracellulaire en a pr sence des CCE en rouge et en l absence des CCE en e Amplitude fu orange fluorescences d
126. h sistes 102 Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD RECD K Munro et N Hatton 2000 K Munro et J Davis 2003 K Munro et S Toal 2005 K Munro et K Millward 2006 Ainsi nous remarquons que paradoxalement l image de bricolage que peut donner la jonction d une mousse ou d un embout a la pate fixe sur l adaptateur HA1 celui ci se r vele le plus fiable L impact du couplage endoauriculaire embout mousse sur le RECD Les RECD avec embout personnalis ont des valeurs n gatives dans les basses fr quences Nous supposons que l embout personnel induit plus de fuites acoustiques sur les fr quences graves que la mousse lors de la mesure de la r ponse de l oreille Cependant ces fuites ont moins d influence lorsqu on utilise le coupleur HA1 dans la mesure du RECD Le RECD HA2 Embout est inf rieur au RECD HA2 Mousse Nous supposons que la lon gueur du tube acoustique de l embout personnel rend le RECD plus faible sur les fr quences aigu s Une insertion insuffisante de la sonde peut galement diminuer le RECD K Munro 2004 H Dillon 2012 G H Saunders et D E Morgan 2003 Il nous est permis de conclure que l embout en mousse est le couplage endoauriculaire le plus fiable pour la mesure du RECD Comparaison des quatre RECD moyens mesur s avec les RECD statistiques DSL i o V5 RECD HAL Embout mesure H Lua un RECO HAL S000 Emb
127. il faut corriger la valeur donn e comme limite normale de l cart A B I en ajoutant 1 l cart pour toute fraction de 5 du chiffre obtenu en A si A inf rieur 5 cart gt 3 ou 5 chez la personne g e de 70 ans et plus si A compris entre 5 et 10 cart gt 4 ou 6 chez la personne g e de 70 ans et plus si A compris entre 10 et 15 cart gt 5 ou 7 chez la personne g e de 70 ans et plus Remarques e Nous n utilisons pas la liste d int gration dans notre travail quotidien En effet il nous suffit de savoir que l int gration est d ficiente pour en tirer une indication sur le choix proth tique et la difficult de l appareillage Au del de cette prise de conscience nous ne pouvons influer que tr s peu sur une cause fonctionnelle et aucunement sur une cause l sionnelle e D apr s le Professeur LAFON On peut arriver conna tre par le Test Phon tique la qualit de l identification auditive Pour cette mesure faite vers 5 6 ans il est n cessaire d utiliser la liste de balayage Elle contient en effet une meilleure image du langage par la vari t des transitions phon tiques tout en donnant un aper u du niveau d int gration par l cart du chiffre des deux l ments LISTE COCHL AIRE La suite habituelle la liste de balayage lorsqu il n y a pas de trouble d int gration est la liste cochl aire o la nettet est modifi e par variation du niveau d mission Cett
128. iliter la lecture R sultats apr s chirurgie apres chirurgie Corr ler le niveau de perte auditive avec le niveau de qualit de vie e Objectif secondaire Corr ler le niveau de r cup ration de la perte auditive avec la qualit de vie sits 3 Resultats apres chirurgie A MATERIEL ET METHODES Mieux t aia Eh dl dt Ti of l f ar Ti 1 Groupe Patients ayant perdu la binauralit Modus operandi Ee i tr 4 z i ili fi Sujets ayant une surcite unilat rale a i 1 amp cal ls il 99 32F 27H Evaluations psychophysiques i TE He T i p Patients EAU re 8 Ti i JS neurnomes Audiom tries tonale et vocale i 3 z 31 otospongioses Test d valuation binaurale z test Matrix 13 s quelles d otites chroniques Moins t ne Groupe Il Patients du groupe r habilit s sbonnaires qualit de vie standardise bien D aM oS i Sujets ayant b n fici d une chirurgie TA a CC pr R sultats aor s chirurgie PF Fonctionnement physique NT Vitalit N 13 otospongioses SSQ koriente perception auditive p RP Limitations physiques SF Vie sociale 5F36 g n raliste BP Douleurs physiques RE Limitations motionnelle Groupe t moins N 11 18F 3H 40 ans 10 GH Sant g n rale MH Sant psychologique POSTER 3 POSTER 3 Actes du Congr s des Audioproth sistes 70 Scientifiques POSTER 3 Etude des cons quences
129. illissement R sum Bruit et vieillissement sont deux grandes causes de perte auditive acquise qui affectent des millions d individus a travers le monde Des travaux pr c dents se sont concentr s sur les pertes de cellules sensorielles et les l vations de seuils auditifs r sultantes Cependant nos tudes r centes montrent que ce sont les communications synapses entre cellules cili es et neurones plus que les cellules cili es elles m mes qui sont les plus vuln rables Dans nos mod les de perte auditive li e l ge et au bruit nous avons suivi le destin apr s exposition des cellules cili es des neurones cochl aires et de leurs synapses au cours de leur vie Nous avons compar les changements ceux dans des oreilles qui ont vieilli sans exposition intentionnelle au bruit Ce travail montre que la perte de synapses entre cellules cili es internes et neurones est fr quente et survient comme l ment d clenchant avant que les l vations de seuil et les pertes cellulaires cili es ne compromettent la fonction en r duisant l audibilit des signaux sonores les pertes synaptiques compromettent cette fonction en interrompant la communication neurosensorielle pour des sous groupes de neurones L audiogramme tonal liminaire est remarquablement insensible cette perte et ce n est pas une perte facile identifier en microscopie optique de routine Elle a ainsi pu passer inapercue pendant de nombreuses ann es Le bu
130. ils de d tection les diff rences tant plus marqu es pour les stimulations de ou hautes fr quences ind pendamment de la modalit sensorielle ii une diminution des capacit s discriminatives avec une augmentation des seuils de discrimination et une uniformisation perceptive iii l apparition de distorsions avec des d t riorations qualitatives supraliminaires Ill INTERACTIONS MULTISENSORIELLES ET INSTABILITE POSTURALE A Physiologie de l quilibration L quilibration est un processus plurisensoriel au cours duquel interagissent trois sys t mes ou entr es sensoriel le s le syst me visuel le syst me vestibulaire notam ment otolithique et le syst me somesth sique ext roception plantaire et propriocep tion En conditions normales de fonctionnement il existe une hi rarchisation de l int gration sensorielle on dit que l quilibration part de la t te et descend vers les pieds L quilibration est galement un processus plurimodal impliquant les aff rences neu rosensorielles le syst me nerveux central et les effecteurs moteurs Enfin il faut souligner que le contr le ou l adaptation posturale par les boucles sen sori motrices est un processus la fois statique et dynamique B Instabilit posturale du sujet g et risque de chutes 1 Un probl me de sant publique Selon un rapport r cent de l INSERM les chutes de la personne g e concerneraient chaque ann
131. imultan ment les variations calciques d une dizaine de CCI ainsi que des cellules de soutien de l organe de K lliker Nos r sultats sugg rent que les pics calciques pourraient repr senter les trains de potentiels d action des CCI et que l activit des cellules cili es peut tre corr l e avec celle des cellules de soutien iques tif len Sc POSTER 16 Scientifiques POSTER 17 Actes du Congr s des Audioproth sistes 116 Cochlear BUT amp PARTICIPANTS Evaluer le b n fice apport par la nouvelle g n ration de processeur BAP2 Cochlear Boulder Quinze patients g s de 35 85 ans ge moyen 60 ans ayant b n fici d un implant d oreille moyenne MET Middle Ear Tranducer et quip s d un processeur de son BAP1 Otologics Boulder LLC sont inclus dans une tude pilote monocentrique MAT RIEL ET M THODE Un essai avec un BAP2 a t propos chaque patient sur une p riode de 3 semaines Le b n fice apport par chaque processeur a t valu l aide de questionnaires et de tests audiom triques Les questionnaires APHAB SSO amp GBI ont t distribu s avant le d but de l essai JO pour l valuation du BAP1 et apr s la fin de l essai J21 pour l valuation du BAP2 Les audiom tries tonale et vocale ont t r alis es dans le silence oreilles s par es et 2 reprises AJO avec le BAP1 et le BAP2 et J21 uniquement avec le BAP2 Pour l
132. int gration dans notre travail quotidien En effet il nous suffit de savoir que l int gration est d ficiente pour en tirer une indication sur le choix proth tique et la difficult de l appareillage Au del de cette prise de conscience nous ne pouvons influer que tr s peu sur une cause fonctionnelle et aucunement sur une cause l sionnelle Pour tre tout fait complet nous devons signaler ce qu crit le Professeur LAFON la liste d int gration chez un enfant r duqu nous donnera des renseignements int res sants sur la maturation de l identification les ph nom nes de langage et de connais sance de la langue s annulant dans l preuve EN CONCLUSION Le Test Phon tique est facile d utilisation En un peu plus de 20 minutes seulement 15 minutes si nous n avons pas utiliser la liste de recrutement nous obtenons une id e globale de l audition de notre patient La liste de balayage permet de savoir si la difficult est uniquement cochl aire ou si une difficult d int gration identification est venue s ajouter Dans ce cas la compr hension ps F ATELIER 4 Ateliers 1 Ateliers ATELIER 4 dans le bruit sera toujours d licate et l appareillage difficile La liste cochl aire permet de calculer la valeur sociale de la cochl e et quantifier un gain proth tique vocal La liste de recrutement permet de conna tre les zones fr quentielles ne pas amplifier sous peine de
133. ion a t mise en place 86 des patients appa reill s portent leur appareillage dans de bonnes conditions Bk r ae A Let rd eh 14 0 Mauvaise situation Bonne Mauvalsi Bonne situation situation situation EHPAD sans action Figure 4 Situation proth tique des patients appareill s en EHPAD Les r sultats de cette tude AUTONOMIA soulignent l int r t et l efficacit d actions sp cifiques au sein des tablissements d h bergement pour personnes g es d pen dantes Ces d marches de sensibilisation et de formation permettent une prise de conscience des quipes favorisant une implication tr s favorable au service de leurs r sidents appareill s Chaque audioproth siste ayant en charge une personne g e d pendante doit donc s assurer de la capacit de l quipe soignante lui apporter une aide adapt e Il doit galement veiller aux conditions d un suivi proth tique de qualit prenant en compte la situation individuelle du patient et de l tablissement L engagement de l audiopro th siste doit ainsi contribuer la qualit des changes et de l action interdisciplinaire de tous les professionnels concern s aupr s de la personne g e d pendante en lien per manent avec son entourage Fr RS i aes _ 0i Wire a San sa S Hruna faa e are a a q SS LT TRS i Fre capes ee o m ey L Sa pr a RE ET s 1 tnt Sal ck Inserm r CT meni ines Pa
134. ion qui comprend la mise jour des diff rents documents Pour les adh rents de l UNSAF nous proposerons des outils pour le d ploiement de la NF Service e Trame de dossier client informatique e Exemple de documents de communication e Contenu type d une anamn se et d un m mo e Mod le de courrier ORL e Questions type d une enqu te de satisfaction e Trame du Guide de la Qualit de Service e Trame des documents qualit demand s Un tarif pr f rentiel sur les droits d inscription a t n goci pour les adh rents de l UNSAF Actes du Congr s des Audioproth sistes 156 e AMPLI MUTUELLE Une mutuelle ind pendante pour la Sant Collective Pr voyance RC Pro Epargne Retraite e AUDYX Plateforme d examens auditifs en ligne destin e aux professionnels de l audition e GAMMADIS Distributeur de si ges ergonomiques e SENSATION AUDITIVE R seau groupement d Audioproth sistes e SOLUSONS Piles et accessoires pour l audition e SONANCE AUDITION Groupement dAudioproth sistes e XAVIER CARRIOU INNOVATION Soci t sp cialis e dans les logiciels de tests acoustiques Exposants EXPOSANTS UN ad UN O Q x lt LLJ m 3SHAPE 3D PRO m AMPLI MUTUELLE AMPLIFON m ANNUAIRE FRAN AIS D AUDIO PHONOLOGIE AUDITION TV AREMA m ASSOCIATION FRANCE ACOUPHENES m AUDIKA AUDILAB AUDIO 2000 AUDIOFILS AUDIO INFOS AUDIO
135. iph rique ne poserait pas de soucis en soi si la plasticit auditive centrale n tait pas en mesure d influencer les per formances des r cepteurs auditifs p riph riques inaire pluridiscipl Samedi 11 avril inaire pluridiscipl F1 i Samedi 11 avril Plasticit centrale et fatigue auditive periph rique Depuis une vingtaine d ann es la compr hension des m canismes centraux impliqu s dans la plasticit auditive centrale a fait des progr s consid rables On ne parlera pas ici des r organisations neuronales inh rentes aux changements de cartographies fr quentielles tant au niveau du tronc c r bral que du cortex Eggermont 2008 mais plu tot des rapides adaptations de la physiologie nerveuse dans les deux noyaux majeurs des voies auditives le noyau cochl aire dorsal NCD et les tubercules quadrijumeaux colliculus inf rieurs Salvi et al 1995 2000 Kaltenbach and Zhang 2007 Mulders and Robertson 2011 L adaptation et parfois m me la mal adaptation des ph no m nes physiologiques rapides qui s expriment au niveau de deux noyaux impliqu s dans les voies auditives aff rentes illustre parfaitement l intervention du syst me ner veux central pour compenser des d faillances du r cepteur auditif p riph rique Mulders amp Robertson 2013 En 2007 Kaltenbach amp Zhang ont montr chez le rat que le NCD est capable de modi fier son activit neuronale spontan e apr s une expo
136. iquement localis au niveau du NCD Elle a t galement d crite dans les colliculus inf rieurs Cl Vogler et al 2014 Salvi et al 2000 Les auteurs ont montr qu une r duction de la fr quence des trains de potentiels coch l aires pouvait augmenter l activit neuronale du Cl et que cette hyperactivit se situait plut t dans les couches codant les fr quences inf rieures aux fr quences cochl aires endommag es Ils ont montr que l hyperactivit constat e dans ce noyau tait essen tiellement situ e aux marges des fr quences cochl aires les plus endommag es Le lien existant entre traumatisme et ph nom nes de plasticit est donc bien tabli Dans le Cl la plasticit centrale se traduit essentiellement par une moindre inhibition de certaines cellules nerveuses gabaergique menant in fine l augmentation du nombre de potentiels unitaires dirig s vers le cortex auditif Ces ph nom nes qui cor respondent une r gulation la hausse up regulation ou la baisse down regula Actes du Congr s des Audioproth sistes ga Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique tion des trains de potentiels unitaires provenant de la cochl e permettraient de com penser les d faillances du r cepteur p riph rique Salvi et al 2000 Une cons quence de ces ajustements centraux est que l on peut avoir un audiogramme normal en d pit de l g res d ficiences p riph riques Cett
137. ire score The evaluation was done at first day and after three months tif E Refore BAlker len Ecloe Alber o 5c Figure 5 Evolution in three months of Tinnitus Handicap Inventory Subscales E Belure E After Poste Emotional max 44 Functional max Catastrophic max 6 THI SUBSCALES POSTER 6 POSTER 7 b 4 CHU Saint Pierre UMC Sint Pieter ab H pitaux de Toulouse m m br Sound enrichment is one of the basic pillars of tinnitus retrai ning therapy T R T This can be obtained by a the use of amplification or b white noise set at mixing point noise intensity is similar to the tinnitus level or c at the masking point noise is set at a sufficient intensity to provide tinnitus masking Modern hearing instruments allow to measure precisely the patient use and preference thanks to datalogging and to furnish different programs at different settings according to three above mentioned concepts In order to know which of those concepts is the most preferred we provide different programs MATERIAL AND METHODS 85 patients datalogging were collected and analysed in function of T R T category Category tinnitus alone n 15 Category II tinnitus and deafness n 50 Type III hyperacusis with tinnitus n 20 Each of them received three or four programs in function of complaints and a one hour counselling session in which the goals and justification of each of
138. it de patients l valuent comme un bruit quivalent plus de 7 10 10 10 tant l quivalent d un moteur d avion D autre part la perte des facult s attentionnelles et ou d endormissement rapide sont la source de beaucoup de probl me d aptitude au travail ou la vie de famille En particulier il n est pas rare de rencontrer des couples impact s par cette souffrance l ad quation ou non du coping ou de la strat gie d ajustement la perception fan t me permettra au couple de d passer l preuve Face cette donne l audioproth siste aura un r le majeur dans la compr hension puis l acceptation des modifications com portementales du patient en souffrance Rampont amp coll 2013 R gle 9 Un des principaux comportements d chec rencontr est l attitude qui concerne ne pas consid rer les sympt mes associ s l acouph ne Pr s de 40 des acouph niques pr sentent une hyperacousie associ e Cette modification de la perception est due l augmentation du gain central en r ponse une sous stimulation p riph rique Afin d viter de proposer une amplification sur une oreille d j hypersensible on veillera d sensibiliser d abord puis soigner l acouph ne et enfin la surdit en dernier lieu R gle 10 Enfin rappelons que malgr toute la compr hension l amabilit et empathie de quelqu un un certain nombre de patients rel vent clairement d un autre type de pro bl me N
139. itive irr versible Gannouni et al 2015 ou en presbyacousie pr coce il a t d montr qu une exposition sonore pr alable peut se solder par une presbyacousie pr coce bien apr s la fin de l exposition Kujawa amp Liberman 2006 Campo et al 2011 Difficile alors d tablir une relation causes effets entre l histoire acoustique ou th rapeutique m dicaments ototoxiques et les d ficits auditifs constat s Il est donc essentiel de s accorder des p riodes de silence des p riodes de r cup ration m tabolique afin de donner l organe de Corti la possibilit de se ressourcer de r tablir les quilibres ioniques hydriques de regonfler ses r serves d ATP de neurotransmet teurs d liminer les radicaux libres bref d viter que la fatigue auditive p riph rique ne se p rennise 1 Une r cup ration de 14 15 heures p riode s parant la fin d une journ e de travail et le d but de la suivante doit permettre au salari de recouvrer une acuit auditive intacte Actes du Congr s des Audioproth sistes 30 Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique Les m canismes de la fatigue auditive p riph rique sont d crits dans la litt rature Ils se d clinent en trois m canismes principaux Un raccourcissement des racines des st r ocils ancr es dans le plateau cuticulaire apex des cellules cili es Par ce raccourcissement une plus grande flexibilit est accor d e au
140. just s A ce pro pos si l on s en r f re une tude de Killion l utilisation de microphone omnidirection nel reste pr f rable dans le cas d une faible d gradation de la compr hension dans le bruit sat i 2 5 Ze E 50 7 Logatormes de Docdel D FA Mots monosyllabiques de Fournier Mots dissyllabiques de Fournher Phrases de Combescure 0 8 7 6 5 A4 3 2 l OF 2 39 4 5 6 7 868 9 10 Rapport Signal Bruit RSB Figure Courbes de r f rence normo entendant pour l audiom trie vocale dans le bruit La dur e n cessaire la r alisation de ce test est d environ cinq minutes C est peu par rapport la dur e n cessaire pour l appareillage et cela para t tout fait indispensable compte tenu de l investissement financier que peut repr senter pour le patient l acqui sition d une solution auditive Il faut se rappeler que la raison premi re de l appareillage est le souhait d une am lioration de la compr hension y compris en environnement bruyant Laudiom trie vocale y compris dans le bruit est donc incontournable pour mettre en vidence ces difficult s ainsi que les progr s r alis s Elle est aussi un outil d accompa Ateliers ATELIER 3 Ateliers ATELIER 3 gnement obligatoire pour apporter la meilleure guidance et le meilleur conseil nos patients Il s agit donc d un outil qui am lio
141. l amorvan spat fr Web www spat fr Commissaire G n ral Benoit HUBERT Salon autoris Pr fecture des Hauts de Seine Chef de Projet Technique Charlotte DESMYTTERE CONTACTS sajou SYNDICAT NATIONAL DES AUDIOPROTHESISTES 2016 Unsat SYNDICAT NATIONAL DES AUDIOPROTHESISTES Si ge social votre coute Le Congr s des Audioproth sistes Fran ais 2016 11 rue de Fleurus gt se d roulera du vendredi 18 au dimanche 20 mars 75006 PARIS France E au Palais des Congr s de Paris 5 E mail contact unsaf org Plus de 2 500 congressistes et visiteurs francais et trangers attendus Une www unsaf org centaine d exposants pr senteront leurs produits et services dans un hall d exposition de 5 000 m Renseignements et inscription aupr s du Groupe SPAT SAS T l 33 0 1 44 26 26 28 pera Charg e de l organisation e mail administration spat fr du Congr s DANS Christine DAGAIN Luis GODINHO Secr taire G n ral Adjoint Adjointe de l organisation Vice Pr sidents Anne DUCROCO du Congr s Patrick ARTHAUD Tr sorier Karen GINISTY eee el Herv PICOLLET Christine DAGAIN Charg e des relations avec Tr sorier adjoint les adh rents Unsaf Alain ROSETTE St phanie PASI Pr sident Actes du Congr s des Audioproth sistes 164
142. les DSL i o V5 Le protocole de mesure du RECD HA1 mousse nous semble donc tre la meilleure configuration pour tous nos patients Actes du Congr s des Audioproth sistes 104 Marion Souchal ae W Inserm i Universite d Auvergne Scientifiques INTRODUCTION e La surdit neurosensorielle est classiquement caract ris e par une l vation des seuils auditifs et une absence de produits de distorsion acoustiques DPOAE suite la perte des cellules cili es externes CCE L tablissement des courbes d accord de masquage MTC montre une absence de pointe correspondant une perte de la s lectivit fr quentielle de la cochl e LL m audition normale Courbe D or A dose r ponse QO DPOAE ae a audition normale 3 Limite de seuil z a se Limite de seuil 3 wi a A E surdit 10 15 20 25 32 40 50 60 70 80 fr quences kHz intensit dB SPL 3 7S 2 nm a 5 2e audition s normale a 6 Fr quence ae cible Fr quence du son masquant kHz Zone de la cochl e d pourvue de CCE POSTER 14 Scientifiques A POSTER 14 Un nouveau profil auditif pathologique trouble de la perception fr quentielle audiogramme normal OBJECTIF e Caract riser l volution de profils auditifs de souris de souches communes en labora toire C57 et CD1 d une audition normale une surdit MAT RIEL ET M THODE e Evaluation de l audition des souris 19 21 30 e
143. les ganglionnaires spirales dans les m mes r gions de la cochl e et se traduisent par des pertes proportion nelles des amplitudes de l onde 1 des ABR Apr s bruit le m me degr de perte synap tique peut apparaitre en quelques minutes Comme les pertes auditives li es au bruit et l ge coexistent souvent chez les m mes patients il est instructif de savoir comment un tel bruit synaptopathique influence les changements li s l ge qui se poursuivent Pour r pondre cette question nous avons expos des groupes de souris des bruits synaptopathiques ou non synaptopathiques 16 semaines puis les avons gard s sans exposition additionnelle pour tests des temps post exposition compris entre 1 h et 20 mois en parall le avec des groupes contr les non expos s et d ges appari s La figure 3B compare les pertes de synapses graduelles li es l ge celles subites li es au bruit inaire pluridiscipl Samedi 11 avril inaire ipl ISC i Samedi 11 avril plurid Se y A VU G Perte auditive cach e bruit et vieillissement dans la r gion de TTS maximum 32 kHz Tandis que les oreilles vieillissent apr s le bruit les r gions cochl aires qui semblaient originellement non impliqu es dans les d g ts dus au bruit 11 3 kHz fig 3A montrent une perte acc l r e de synapses par rapport aux contr les appari s non expos s L exposition aigue non synaptopathique n entrain
144. leur vie sociale leur capa cit participer des activit s de groupe 50 valorisent une am lioration de leurs relations au sein de leur foyer M thodologie r sum Echantillons France 2015 chantillon repr sentatif panel 1 14 824 personnes malenten dants panel 2 1 320 personnes malentendants non appareill s 819 personnes utili sateurs Appareils Auditifs 501 personnes Eurotrack France 2015 a t concue et ex cut e par Anovum Zurich sous l gide de l Association Europ enne des Fabricants d Aides Auditives EHIMA Eurotrack 2015 est conduite dans 8 pays Allemagne France Danemark Italie Suisse Grande Bretagne Norv ge Japon Des l ments plus d taill s de l tude Eurotrack France 2015 sont disponibles sur simple demande propos de France Presbyacousie Cr e en 2003 l association France Presbyacousie est une association a but non lucratif pr sid e par le Professeur Bruno Frachet France Presbyacousie s est donn pour but de faire du vieillissement naturel de l audition une cause d int r t national de favoriser par tous moyens l information et la prise de conscience par la population fran aise de l importance de l audition et des traitements possibles et n cessaires de la presbyacousie Elle organise des actions d information et de d pistage et constitue un lieu d changes Elle regroupe des m decins des audioproth sistes des orthophonistes et des fabri
145. liers ATELIER 4 Nous aimerions pr ciser que cet atelier s appuie sur le livre Le Test Phon tique et la mesure de l audition et les travaux du Professeur LAFON Pour ceux qui ne connai traient pas son parcours le Professeur LAFON tait Professeur de M decine Docteur en Phon tique et Docteur en Sciences Il est d c d en 1998 Les 4 listes du Test Phon tique Le Test Phon tique comprend 4 listes chacune ayant sa sp cificit e La liste de balayage permet de savoir si l on est face une atteinte de la cochl e ou une perturbation de l int gration auditive r tro cochl aire e Avec la liste cochl aire on teste la cochl e e Avec la liste de recrutement on teste la cochl e e Avec la liste d int gration on teste l int gration identification r tro cochl aire LISTE DE BALAYAGE C est donc par la liste de balayage que nous commencons toujours lors d un premier rendez vous d appareillage Elle nous permet de savoir s il existe un trouble d int gration fonctionnel par exemple retard dans la symbolisation chez l enfant ou d conditionnement par manque d atten tion chez l adulte ou l sionnel par exemple l sion situ e sur les voies auditives Si un trouble d int gration est pr sent la compr hension sera toujours d licate am liorer m me avec le plus perfectionn des appareils auditifs Si un trouble d int gration n est pas pr sent la difficult vient de la cochl e il s agit seu leme
146. lll 40 dB ee oped 30 dB SPL UN O 20 dB SPL B A be A 10 dB SPL 0 dB SPL Pre tril rer es Er rn Figure 1 Recording of the compound action potential CAP of the auditory nerve A Anatomy of the cochlea from Lily et al Nature Reviews Endocrinology 9 296 307 2013 The hair cells transduce sound waves to trains of action potentials in the auditory nerve B Close field acoustic stimulation and CAP recording using a round window electrode chronically implanted C CAP responses to a 8 kHz tone burst for a sound level varying from 0 to 80 dB SPL in 10 dB steps trapezoid envelope 0 5 ms rise fall 5 ms duration 30 bursts s 300 presentations level alternating polarity The CAP reflects the synchronization of auditory nerve fibers at the beginning of the stimulation POSTER 10 Actes du Congr s des Audioproth sistes 90 An adaptation mechanism to sound level statistic in the cochlea _ 60 mue sem ar mer rem _ 60 g F s F 5 F D 5 Tan a 40 s si 44 s ss p m aa Ea ee Me earen 64 4 E a a En o emama am m w mm nn ns 20 1a 20 a ns 56 BrO 5 3 g 4000 4000 E 4000 c SD c 000 E E a D 200 x 2000 5 2000 Scientifiques GOO GO j 6000 5000 4000 2000 1000 1900 1000 i eae el eee i al titittiinttl tt att ttc AD Di Dei A o 20 40 40 ft a 20 ai Bt g0 il 20 40 BO Bo j Level dB SPL Level dB SPL Lowa iB SPL
147. lobale Le signal tait mis une intensit constante de 55dB SPL au casque et de 65dB SPL en champ libre Le bruit tait mis une intensit variable Actes du Congr s des Audioproth sistes 108 D masquage binaural VS localisation sonore recherche d un lien Figure 2 Disposition des haut parleurs en champ libre Epreuve de localisation sur 15 haut parleurs 8 r els 7 simul s dissimul s au sujet test Signaux Ripple noises mis 65dB SPL pour 3 RSB Silence OdB 5dB Calcul de l angle d erreur moyen Epreuve d intelligibilit vocale dans le bruit sur 5 haut parleurs Signal Bourquin Fournier mis 65dB SPL sur HP8 Bruit OVG mis sur les HP3 5 11 et 13 68dB SPL puis d gressivement par pas de 3dB jusqu chute d intelligibilit en dessous de 50 Calcul du RSB procurant 50 de com pr hension R SULTATS Les tests montrent un d masquage tonal plus important sur les fr quences graves que sur les fr quences aigu s et un d masquage vocal d environ 6dB La localisation est meilleure sur les sons aigus La compr hension dans le bru t correspond aux standards Les donn es recueillies pour chaque test sont coh rentes avec la litt rature Fig 3 Toutefois on ne trouve aucune corr lation entre les tests La confrontation de donn es similaires d masquage droit VS gauche et d masquage tonal VS vocal ne donne pas non plus de corr lation Fig 4
148. lus elle retarde l apparition clinique de maladies neuro d g n ratives Amieva 2014 Bien entendre participe la possibilit de la poursuite des activit s socio culturelles d une personne Des tudes valuent l effet aggravant de la surdit sur l aggravation de ces pathologies Lin 2011a 2011b iii Nouvelles technologies Les appareils auditifs sont de plus en plus performants et permettent aux personnes appareill es de conserver leurs aides auditives dans toutes les situations Les appareils peuvent tre tanches pour ceux qui ont des activit s de plein air leur permettant de les conserver durant ces activit s La m diane de temps de port des appareils enregis tr par les appareils est de plus de 9h Berteaux 2013 50 des patients passent plus de 50 de leur temps dans un environnement bruyant et 50 donne une note sup rieure 15 20 de l am lioration de leur audition Alors que seulement 25 des m nages poss dait un ordinateur en 2004 75 en poss de un en 2014 insee 2014 et le rattrapage se fait aujourd hui par les plus de 75 ans qui ont pour motivation de ne pas tre coup s du monde si leur p rim tre de sortie de leur domicile venait diminuer Les audioproth sistes voient leur activit se modifier Les appareils auditifs doivent de plus en plus tre connect s par liaison sans fils avec les appareils high tech de leurs Actes du Congr s des Audioproth sistes Ea Effets de l ge et
149. mplificateurs biologiques qui amplifient la r ponse m canique cochl aire des signaux de faible niveau La perte de CCE induite par le bruit compromet cette amplification et l ve les seuils Les cellules cili es internes CCI agissent comme des transducteurs m ca no lectriques qui larguent un neurom diateur chimique pour exciter les neurones du nerf cochl aire Environ 95 des neurones entrent en contact avec les CCI seulement donc dans les r gions de la cochl e o des CCI manquent ou sont devenues non fonction Actes du Congr s des Audioproth sistes 24 nelles cette communication disparait La perte li e au bruit de cellules cili es peut tre tr s rapide et des pertes tardives de neurones cochl aires et de leurs corps cellulaires dans le ganglion spiral peuvent survenir en cons quence secondaire de la perte de CCI Le bruit cible aussi directement les neurones cochl aires La communication synapse entre les CCI et les neurones cochl aires est glutamatergique et un type d excitotoxicit au glutamate est une cons quence commune de la surstimulation produite par l exposi tion au bruit Le dommage se manifeste par un gonflement g n ralis des terminaisons du nerf cochl aire la base des CCI et peut tre visible que l exposition ait produit un sim ple TTS ou se soit accompagn e de composantes permanentes et temporaires Dans une s rie de recherches men es depuis 6 ans nous avons tudi des
150. n acouph ne peut se produire malgr l apparente normalit de l audiogramme Avant de conclure celle ci nos recommandons fortement de r aliser une audiom trie continue de type Von Bekesy Si audiogramme reste dans les strictes normes la r alisation par l ORL de d oto mis sion par produit de distorsions acoustiques DPOAE permettra de mettre en vidence le dysfonctionnement ciliaire ou la disparition des oto missions La r alisation toujours par l ORL d un potentiel voqu du tronc avec des oto missions acoustiques normales est un pr alable l tablissement du diagnostic de neuropathies Kujawa S 2015 Toutefois un autre cas de figure peut se pr senter nous celui d un patient avec un acouph ne limbique li une maladie psychiatrique souvent la d pression ou un stress intense Le renvoi un professionnel de Sant comp tent psychologue ou psychiatre est alors indispensable car ce patient d passe nos comp tences R gle 4 Une des r gles philosophiques des plus importantes est de sortir de l esprit du patient qu il a une maladie incurable ou qui pr sente un signe physique d un exc s que lui adresse son corps r ponse un exc s de stress burn out etc Lacouphe ne est le r sultat dun m canisme neurophysiologique en r ponse une l sion auditive mesurable ou non Ce sympt me est tellement fr quent qu il affecte selon les tudes pid miologiques
151. n du d clin cognitif et perte d autonomie chez les g s baisse de l employabilit chez les actifs C est un enjeu de sant publique qui ne fait d sormais plus d bat gt gt Une enqu te d une ampleur in dite pr s de 1S 000 personnes interrog es en France Les r sultats Eurotrack 2015 pour la France ont t pr sent s ce matin en exclusivit au Congr s des Audioproth sistes C est la 3 me dition apr s 2009 et 2012 de cette enqu te internationale r alis e dans 7 pays europ ens et au Japon Par son envergure Eurotrack est le premier outil comparatif international sur l appareillage auditif nombre de malenten dants quipement ou non de ces personnes freins Avec pr s de 15 000 personnes interro g es par pays c est une source d information incontournable pour nourrir une r flexion document e sur l appareillage auditif et son efficience gt gt Taux d quipement d excellents r sultats en France malgr un remboursement m diocre 34 1 des personnes d clarant pr senter des troubles auditifs sont quip es contre 30 4 en 2012 Un r sultat particuli rement positif Rappelons qu en 2012 en Grande Bretagne ou en Norv ge pays dans lesquels le reste charge pour le patient est nul les taux d quipe ment taient de 41 1 et 42 5 Le taux d quipement de la France repr sentait donc res pectivement 71 5 et 74 de ceux de la Norv ge et de la Grande Bretagne le taux d qui pement fran
152. ncier constant comme cela a t demand aux orthophonistes 2 de mettre en uvre toute action ou s associer toute action le cas ch ant juridic tionnelle judiciaire ou administrative tendant assurer la d fense des int r ts ainsi d finis de la profession ou de l un de ses membres Le CNA a d cid de pr senter un recours au Conseil d Etat concernant l arr t du 13 ao t 2014 autorisant la vente d as sistant d coute par les pharmaciens Ce n est pas seulement contre le produit que ce recours a t introduit mais du fait de louverture des non audioproth sistes de la vente et de l adaptation d un amplificateur utilisable par des d ficients auditifs sans respect des r gles de diagnostic m dical et du choix proth tique Ka a J D ese D ge ae Le i dAudioproth Nation y ne U UN VU Le me O Vus Q D lt oO 3 d tudier les programmes d enseignement et ses modalit s d exercice Le Coll ge tudie de fa on r guli re les possibilit s d int grer de nouvelles connaissances dans le programme de formation initiale afin de suivre les volutions techniques et m thodo logiques mais aussi en pr parant notre profession la mise en place de d l gations de t ches dans un partenariat avec le corps ORL La formation continue n est par ailleurs pas en reste avec le choix des th mes des EPU et la poursuite de la formation des mai t
153. nement r gulier une activit auditive permettent aux musiciens g s de mieux comprendre dans le bruit Parbery Clark 2011 que les non musiciens du m me ge Cette capacit cognitive am lior e est limit e l attention auditive b Apprentissage nouvelle activit i Musique sport L exp rience musicien non musicien rend tentant de d velopper des techniques d en trainement auditif sp cifiques dans l espoir d am liorer les capacit s auditives d un sujet Fu 2005 Certains logiciels permettent d entrainer des sujets am liorer leurs capacit s de d tection de la fr quence fondamentale de la voix ou des transitions de formants et certaines quipes sont capables d valuer les effets de cet entrainement sur la compr hension dans le bruit des sujets par des tests psycho acoustiques et lectro physiologiques Song 2011 D autres tudes montrent que d autres activit s que la musique tels que la pratique d un sport d une activit culturelle permettrait au sujet de bien vieillir et de conserver ses capacit s d audition car ces activit s sont de fabuleux moteurs de socialisation qui engagent le sujet s entrainer sans contraintes et avec plaisir dans son cadre de vie ii Niveau d activit s socio culturelles et retard d apparition de pathologies neurologiques li es au vieillissement Les tudes se multiplient pour montrer que plus une personne est engag e dans des activit s socio culturelles p
154. nes g es de plus de 85 ans alors qu en 2040 le nombre attendu sera de 4 millions Parall lement l augmentation de l esp rance de vie il existe une am lioration de la qualit de vie un ge plus avanc Le Vieillissement est un ph nom ne naturel dans lequel la perte d une fonction n est pas une maladie Cependant il existe une plus grande vuln rabilit la maladie Lage a prendre en compte n est pas l ge chronolo gique mais l ge physiologique car c est lui qui va influencer l tat de sant qui sch ma tiquement est r parti en quatre situations vieillissement r ussi vieillissement usuel fragilit et vieillissement pathologique L objectif principal de la prise en charge g ria trique va donc tre de rep rer les fragilit s et d pister tous les l ments qui risqueraient de faire passer de l tat de vieillissement usuel ou fragile vers celui de vieillissement pathologique Il faut changer notre regard car dans les faits les personnes g es sont de plus en plus nombreuses et vivent de mieux en mieux Il faut avoir chacun cette r flexion sur le vieillir le non vieillir le bien vieillir ou plut t le mieux vivre tout simplement II faut vi ter les pr jug s et faire voluer nos id es pr concues qui nous sont impos es incons ciemment par notre environnement et notre soci t Le nombre de pathologies neurod g n ratives cro t de mani re exponentielle avec l avanc e en age Il est par
155. ng Fig 2 Diagramme d cisionnel permettant d orienter le patient vers un type ou un autre de correction auditive R gle 6 Le discours us du type personne ne peux rien contre un acouph ne vous devez vous habituer vous avez une forme de probl me psychologique ne sont plus de mise aujourd hui M me la notion d acouph ne idiopathique est en soi certes d un grand confort pour le monde m dical mais n est que rarement accept e par le patient en souffrance Les connaissances actuelles font tat de facon quasi syst matique d un processus central d une hyper activit des relais sous corticaux collicullus inf rieur et surtout noyaux cochl aires Actes du Congr s des Audioproth sistes 132 d une modification du code neural par augmentation des d charges spontan es et de la synchronie neurale d une lev e d inhibition la base de ces d charges spontan es elle m me g n r e par la diminution des aff rences cochl aires Laudioproth siste aura c ur de donner des explications coh rentes en rapport avec la neurophysiologie auditive tout en vitant soigneusement le counselling n gatif on ne peut rien faire R gle 7 l limination des id es fausses des croyances erron es ou selon l expression plus fr quemment utilis e en psychologie des distorsions cognitives est un processus pr ala ble indispensable une bonne acceptation de sa mal
156. nitus a 80 of our patients considered that the subjective intensity of tinnitus was directly cormelated to the importance of facial dysesthesis CONCLUSION Somatic tinnitus is a much more fre quent condition than earlier believed There are two types of somatic tinni tus 1 Tinnitus that can be modula ted in intensity and or frequency by manipulating some regions of the head and neck and 2 tinnitus which is associated with facial pain or dys esthesis Therefore we suggest a modification of the initial interview questionnaire or the Structured Interview that includes specific ques tions on somatic tinnitus e LURQUIN SUMMARY Somatic tinnitus is defined as a tinnitus which can be modulated somatically by head and neck movements or which is associated with facial dysesthesis It can be explained by inhibition release and thus increased activity of the dorsal cochlear nucleus It is known that tinnitus and the activity of the dor sal cochlear nucleus activity can also be restored through auditory stimulation and thus improves tin nitus complaints Therefore we suggest that sound enrichment and retraining further may decrease facial dysesthesis The purpose of this study is to investigate if Tinnitus Retraining Therapy can decrease somatic symptoms of tinnitus patients and thus may be considered as a possi UBIYEESTE Lirt GE ELEC DE RES Pres eee mu Sy CHU amp c Farre U
157. notre profession professionnels de sant institutionnels repr sentants des universi t s Coll ge National d audioproth se repr sentants des audioproth sistes SNITEM associations de consommateurs et de malentendants Cette marque NF d finit les exigences minimales pour assurer un service de qualit C est une d marche volontaire qui concerne tous les audioproth sistes enseignes mutualistes et ind pendants qui souhaitent valoriser et d montrer la qualit de leurs services aupr s des acteurs du m tier patients prescripteurs pouvoirs publics OCAM Le professionnel qui s engage dans une telle d marche se doit de respecter un certain nombre d engagements de services Pour chacun de ses crit res un moyen associ a t d termin et des l ments de preuve doivent tre d montr s DES ENGAGEMENTS POUR AM LIORER LES CONDITIONS DE PRISE EN CHARGE DES MALENTENDANTS e Garantir l identification la formation et la qualification du personnel ainsi que la for mation continue e D terminer le profil auditif du patient l aide d un bilan et de tests audiom triques aux normes pour garantir des diagnostiques fiables afin de lui proposer un choix de syst mes auditifs adapt s e Accueillir de fa on personnalis e dans des locaux insonoris s et parfaitement quip s pour des consultations discr tes et efficaces e R aliser des essais e D livrer des instructions claires pour l utilisati
158. nouveaux et outre les visiteurs venus de toute la France de nombreux pro fessionnels sont venus d Europe et notamment de Belgique du Maghreb des Etats Unis et du Canada Comme chaque ann e au moment du Cocktail ont t remis les prix du meilleur stand Biotone 1 prix Siemens 2 prix Widex 3 prix La Mention Sp ciale du Jury a t donn e a Audition Sant et son Coup de coeur a Entendre Les laur ats du Prix Exposition Poster ont t Lucie Billet D tection dans le bruit et le vieillissement 1 prix Florian Hasselman Codage de l enveloppe temporelle dans le nerf auditif 2 prix Comme nous vous l avons annonc ce fut notre dernier Congr s sur le site du Cnit qui ferme Le choix de ce lieu avait permis de r pondre au d veloppement de notre profes sion et de notre Congr s et notre souhait d offrir aux visiteurs la gratuit de l ac c s l exposition Les prochains congr s se tiendront dans un centre de congr s lui aussi de noto ri t internationale et qui b n ficie d un emplacement privil gi puisqu au cen tre de Paris le Palais des Congr s Nous vous y donnons rendez vous l ann e prochaine du 18 au 20 mars Christine DAGAIN Charg e de l organisation du Congr s Chez Phonak chacun d entre nous est Passionn Nous nous engageons comprendre les d fis auxquels font face les personnes souffrant d une perte auditive et am lio
159. nsation par les basses fr quences qui peut tre r v l dans un contexte de masquage MTC e Qu en est il chez l homme Audiogramme Test d intelligibilit CR Potentiels voqu s auditifs 2 F a Hij control 4 H 2a 2 E j al h y atient AUS j e ri A F ee EEE E i Silence Bruit Tna i Fr quences Hz Patient Sujets normo entendants Oto missions acoustiques par click MTC l nisani i Cible 4 kHz bleu clair Cible 7 kHz gris iles AF hh bi HH MA x OR eae eg PHB Nous remercions le groupe ENTENDRE pour son soutien a cette tude POSTER 14 Ni s POSTER 15 TE ess ae rm Ta a Sat ny GENTIL LPauaion Inse charles CECCATO imie i m PENNEY tient og a ES mm LT lan aig ESR Dr LUE nur ta at ee SSS SERRE ne cu a UNIVERSIT Sere x DE MONTPELLIER ee ee ve 90 Montpellier tite For eurent monter INTRODUCTION Le d masquage binaural consiste en l am lioration du seuil de d tection d un signal masqu par un bruit ipsilat ral lors de l adjonction du m me bruit dans l oreille contro lat rale Fig 1 Ce ph nom ne pr sente de nombreuses similarit s avec la localisation sonore notamment concernant l utilisation d indices binauraux comme les diff rences interaurales de temps ITD et d intensit ILD ou IID ou bien les liens pressentis avec
160. nt d une difficult d audibilit Pour tester l int gration auditive le Professeur LAFON utilise la variation de nettet du message qui d pend de la quantit d information transmise par rapport la quantit th orique contenue dans le message Cette modification de nettet par adjonction de bruit permet de conna tre la valeur de l identification en diminuant la quantit d infor mation A l int rieur de la liste de balayage nous trouvons e Une premi re liste not e A comprenant 17 mots de 3 phon mes chacun Une seconde liste not e B comprenant galement 17 mots de 3 phon mes chacun 85 de ces 34 mots se retrouvent dans la liste cochl aire Ce sont ceux qui provoquent lorsqu ils sont mis fort niveau le plus d erreurs phon tiques distorsions cochl aires chez les sujets sourds La liste A doit tre mise en binaural au casque au niveau maximal de l audiom tre ne donnant aucune distorsion g n r e par le casque TDH 39 ou autre Nous mettons sou vent pour notre part cette liste 90 dB On trouve alors un nombre d erreurs phon tiques compris entre O aucune erreur et 51 si les 17 mots de 3 phon mes sont tous non per us qui montre le niveau de l atteinte cochl aire La liste B doit tre mise dans les m mes conditions mais en ajoutant un bruit Le niveau de ce bruit doit donner statistiquement pour le normo entendant avec la liste d int gration mise a 90 GB environ une erreur sans d
161. nt moins de 25 dB de perte moyenne l audiom trie tonale a permis de mon trer que le groupe de patients qui comprend le mieux dans le bruit est celui dont le sys t me auditif est capable de d tecter la fr quence fondamentale du locuteur ii Vieillissement et perte localisation spatiale La compr hension dans le bruit est largement conditionn e par la localisation des sons dans l espace mais d s 50 ans la capacit de localisation par diff rence interaurale de phase diminue Ross 2007 En r sum la capacit du syst me auditif analyser un message dans le bruit d pend de sa capacit d tecter la fr quence fondamentale et des diff rences inter aurales qui sont diminu s par le vieillissement et la surdit du sujet 5 EFFETS DE LENTRAINEMENT COGNITIF ET AUDITIF a Effets de la pratique de la musique De nombreuses tudes comparent les capacit s des personnes qui pratiquent d un ins trument de musique celles qui n en jouent pas Les musiciens g s semblent d velop inaire ipl ISC pluridi pi A i Samedi 11 avril i Samedi 11 avril Effets de l ge et de la r serve cognitive sur le traitement central de l information sonore de la personne g e cons quences en mati re d appareillage audioproth tique per des capacit s d attention auditive que les non musiciens du m me age ne poss dent pas Ces capacit s cognitives accrues acquises par un entra
162. nts dans chaque domaine a pour objectif de maintenir les capacit s restantes et de retarder les cons quences de ces pertes sensorielles et cognitives Un outil simple a t mis en place pour cel baptis AVEC Audition Vision Equilibre Cognition qui permet le rep rage de difficult s dans chacun des 4 domaines gr ce 4 tests qui une fois termin e doivent tre analys s avec le m decin ou le professionnel form sa passation Les r sultats doivent tre transmis au m decin traitant afin d orienter si cela est n cessaire vers les sp cialistes concern s dans chaque domaine ORL OPH g riatre Les 4 tests valid s chacun s par ment sont 1 Questionnaire Audition Autoquestionnaire Valid et mis en place par H l ne Caron M O A audiologiste Institut Raymond Dewar et mention de la validation scientifique faite par Michel Picard Ph D professeur titu laire Universit de Montr al et mention de la Fondation Surdit et Communication de l institut Raymond Dewar 2 Questionnaire Vision Autoquestionnaire Horowitz A Teresi J amp Cassels L A 1991 Development of a vision screening ques tionnaire for older people Journal of Gerontological Social Work 17 3 4 37 56 Horowitz A 1998 Validation of a functional vision screening questionnaire for older people In Vision 96 Proceedings of the International Low Vision Conference pp 492 494 ONCE Madrid Spain Actes du Congr
163. nuire l identification du message Toutes les listes sont disponibles en PDF sur le site du Coll ge National d Audioproth se http www college nat audio fr listes cd audiometrie vocale html et en format audio sur les CDs dit s par le Coll ge National d Audioproth se Jean Yves Michel participe galement la r daction d articles sur le Blog audioproth siste fr sur les tests phon tiques du Professeur LAFON R f rences 1 Jean Claude LAFON 1964 Le test phon tique et la mesure de l audition Editions CENTREX Eindhoven 2 Thornton A R amp Raffin M J M 1978 Speech discrimination scores modeled as a binomial variable J Speech Hear Res 21 507 518 3 Edward Carney and Robert S Schlauch 2007 Critical Difference Table for Word Recognition Testing Derived Using Computer Simulation Journal of Speech Language and Hearing Research Vol 50 1203 1209 4 Boothroyd A 2008 The performance intensity function an underused resource Ear Hear 29 4 479 491 5 Moore B C J 2001 Dead regions in the cochlea Diagnosis perceptual conse quences and implications for the fitting of hearing aids Trends Amplification 5 1 34 Actes du Congr s des Audioproth sistes 148 ANNEXE TABLE 4 Lower and uw limits of the 95 critical differences for percentage scores Values within the range shown are not significantly different from the value shown in the percentage Score columns p gt 0
164. nversation deux au calme Compar e aux courbes de r f rence du normo entendant elle nous indiquera le d ficit vocal r siduel R f rence normo entendant F ECM FH x OO suung F PAARE H HATE COMTE HH OA TAT HEHEH 7 t ih r emer hee Fit Horme sanberetans Fournior Disayllabiqins DANS OG avec AA i Or OD avec AA Bi pratit OG avec AA 180412010 OG sare AA 15042010 OD sans AA AUDOMETRIE VOCALE DANS LE SILENCE d Sn 60 F0 BD D 4100 4110 dB SPL Ra 000008 Pa Figures Courbes de r f rence normo entendant et bilan proth tique vocal dans le silence Ateliers j ATELIER 3 Ateliers ATELIER 3 Concernant le mat riel vocal utiliser que ce soit dans le silence ou dans le bruit luti lisation de phrases Combescure Fournier ou de mots dissyllabiques Lafon Fournier est plus repr sentative des difficult s que nos patients ressentent au quotidien Le r sultat mesur dans ces conditions tient compte de la perception des redondances intrins ques et extrins ques et l utilisation de ce type de mat riel vocal donne une bonne notion du niveau de compr hension ressenti par le patient en environnement bruyant en testant le syst me auditif dans son ensemble Il est noter qu en cas de troubles cognitifs mauvaise capacit d analyse trouble de la m moire imm diate ce test peut donner un mauvais score sans pour autant incriminer l audition p riph rique
165. oire axe de gauche et dans le aS 5 4 0 3dB 10ans 1 7 dB 10 ans 3 5 bruit courbe verte axe de droite en 5 aw fonction de l ge og 10 5 2 Les valeurs num riques repr sentent cE 1 OD a la pente de chaque segment oblique ee 15 2 0 Ned G sS La courbe verte a t obtenue en T E 20 D regroupant les donn es obtenues U g a W pour les fr quences 500 1000 2000 et 29 D 4000 Hz dans le bruit Figure 2 i r dB10 ans a Le o BIBLIOGRAPHIE Sergeyenko Y Lall K Liberman MC and Kujawa SG Age related cochlear synaptopathy an early onset contributor to auditory functional decline J Neurosci 33 13686 13694 2013 Levitt H Transformed up down methods in psychoacoustics J Acoust Soc Am 49 Suppl 2 467 1971 Viemeister NF Temporal modulation transfer functions based upon modulation thres holds J Acoust Soc Am 66 1364 1380 1979 Zeng FG Kong YY Michalewski HJ and Starr A Perceptual consequences of disrupted auditory nerve activity J Neurophysiol 93 3050 3063 2005 CONTACTS luciebillet wanadoo fr anais etourneux dizet gmail com Scientifiques POSTER 1 POSTER 2 Dem lit be For renin erect noblest i Inserm INTRODUCTION L information contenue dans l enveloppe temporelle d un signal de parole est primor diale pour reconnaitre de la parole Cependant les anomalies de codage de l enveloppe sont difficilement d tectables actuellement car l
166. oise exposed workers Int J Audiol 1 8 Actes du Congr s des Audioproth sistes 36 Il est bien connu que le vieillissement s accompagne d une diminution des capacit s neurosensorielles notamment auditives ce qui tend souvent banaliser ces troubles chez les personnes g es Lin et al 2013 Pourtant de par leur pr valence 2 3 des 70 ans et plus Chien amp Lin 2012 et leurs cons quences sur le plan thymique et fonction nel la prise en charge des troubles auditifs chez le sujet est un v ritable enjeu de sant publique Diverses tudes en effet sugg rent leur implication dans le fonctionnement cognitif la d pression les activit s fonctionnelles et sociales et les comorbidit s Kiely et al 2013 Dans une tude r cente un lien a t rapport entre la s v rit de la perte auditive et le d clin cognitif sur 6 ans Lin et al 2013 N anmoins peu de donn es exis tent sur le d clin long terme et sur l effet d une prise en charge Gr ce au suivi longi tudinal de la cohorte pid miologique bordelaise PAQUID il nous a t possible d ana lyser l effet des troubles auditifs avec ou sans appareillage sur l volution des perfor mances cognitives dans une cohorte suivie pendant 25 ans PAQUID est une tude pid miologique sur 3777 personnes de 65 ans et plus en Gironde et Dordogne Dans le cadre de cette tude les sujets sont valu s domicile tous les deux ans au moyen de diff rents q
167. ombre de jours 3 E Nombre de sessions 4 E Nombre de participants 33 j ATELIER 5 ATELIER 5 Actes du Congr s des Audioproth sistes 150 151 Ateliers ATELIER 5 Depuis le 27 juin 2013 les audioproth sistes fran ais peuvent b n ficier de la marque NF service audioproth siste preuve de r els engagements pris vis vis de leurs patients Cette certification a t labor e l initiative de l UNSAF et avec le soutien du Coll ge National d audioproth se Le r f rentiel fran ais reprend la norme europ enne NF EN 15927 sur les services offerts par les audioproth sistes qui a t adopt e en novembre 2010 C est un outil qui permet d harmoniser les pratiques dans les 27 pays europ ens mem bres du CEN Comit Europ en de Normalisation Sa r alisation est le fruit d un consensus qui d finit en Europe une base commune d exercice de notre profession C est le moyen de valoriser notre profession d offrir des garanties sur la qualit et la r gularit de nos prestations La norme europ enne NF EN 15927 pr sente des dispositions de moyens pour r aliser la prestation mais pas d engagements de services en tant que tels moyens humains mat riels La NF 518 va la compl ter plusieurs niveaux en r int grant l ensemble des exigences du comit francais qui n avaient pu obtenir un consensus europ en Pour rappel le comit fran ais tait compos de l ensemble des parties prenantes de
168. on des appareils et conseiller selon le besoin exprim e Contr ler l efficacit du dispositif et s assurer du suivi du patient ainsi que de la coor dination avec le m decin prescripteur Actes du Congr s des Audioproth sistes 152 e Assurer un service apr s vente de qualit et fournir des accessoires adapt s e Mesurer la satisfaction du patient pour v rifier s il utilise l appareil auditif et si l appa reil est adapt ses besoins Un certificat clair pour changer avec les clients Certificat Certificate Audioproth siste Admission n 58145 1 du 23 d cembre 2013 AFNOR Certification certifie que l activit de service de a t valu e et jug e conforme aux exigences des r gles de certification NF518 Audioproth siste version du 27 06 2013 et la norme NF EN 15927 En cons quence l organisme est autoris utiliser la marque NF Service en application des r gles hi g n rales de la marque NF Service et des r gles de certification NF Service Audioproth siste GENE 192 ou Les caract ristiques certifi es essentielles sont les suivantes Qualit des tests audiom triques Qualit du choix et de l adaptation proth tique Installations et quipements Information et conseil du client Contr le d efficacit et suivi Coordination avec le m decin prescripteur Service apr s vente et fourniture des accessoires piles Ce certifical NF Service incluant ses annexes
169. oreille la recherche du seuil peut se faire dans une pi ce calme une infirmerie par exemple un silence absolu n est pas requis inaire pluridiscipl W gt Samedi 11 avril inaire ipl ISC plurid Journ e Samedi 11 avril Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique Figure 2 L EchoScan mesure des amplitudes doto mis sions provoqu es appel es produits de distorsion acous tique cubiques 2f1 f2 modul es par le d clenche ment du r flexe acoustique induit par une stimulation controlat rale En r ponse a 2 sons purs mis f1 amp f2 les 2f1 f2 sont enregistr s tout en leur associant une stimu lation controlat rale d clen chant le r flexe acoustique stap dien et olivococh l aire Ce proc d permet de tester le fonctionnement des oreilles interne moyenne Sch ma INRS ONE Principe de fonctionnement La diff rence des seuils calcul e par EchoScan value une fatigue auditive p riph rique qui regroupe les performances cochl aires la fatigue m tabolique des voies aff rentes eff rentes la fatigue m tabolique des noyaux centraux noyaux cochl aire ventral olivococh l aire facial et enfin la fatigue des muscles de l oreille moyenne Toutes ces modifications obtenues avec une influence minimale du syst me nerveux central rendent la mesure EchoScan plus sensible que l audiom trie ton
170. orte pro babilit que les appareils finissent dans le tiroir Le constat est ainsi malheureusement souvent le m me concernant les personnes g es d pendantes et institutionnalis es un nombre de personnes appareill es tr s faible et de mauvaises conditions de port d appareillage pour celles qui ont t appa reill es Il est d ailleurs int ressant de noter que la plupart de ces personnes appareil l es lont t avant leur arriv e dans l tablissement d h bergement pour personnes g es Actes du Congr s des Audioproth sistes Ba L appareillage auditif de personnes g es d pendantes et institutionnalis es Les diff rents professionnels concern s m decins quipes des tablissements d h ber gement pour personnes g es audioproth sistes orthophonistes ont pris conscience de cette situation et diff rentes initiatives ont t entreprises pour l am liorer LES RECOMMANDATIONS DU BIAP Le BIAP Bureau International d Audiophonologie a ainsi pr sent 3 recommandations particuli res sur ce sujet en 2013 2014 et 2015 gt Recommandation 06 13 du BIAP Evaluation de l autonomie dans l utilisation d un appareillage auditif gt Recommandation 06 14 du BIAP Appareillage auditif de personnes g es d pendantes gt Recommandation 06 15 du BIAP Formation destin e aux quipes d h berge ment et de service domicile pour personnes d pendantes utilisant des aides
171. our REMERCIEMENTS Vis diff rentes fr quences de 128 Hz MMM Ann Le groupe Entendre SAS th se de FH l agence nationale pour la nt modulation chez la gerbille R Ton rendre Ze amz WMA bleu le cochon d Inde rouge recherche th se de A H et la soci t Cochlear th se de C B engra EEE WAAAAAAAAAAAAAAAAMAAAMAAM gaz WAMMAAAANAANANAAAMANMANAANA et le rat vert Boris Gour vitch de l Institut de Neuroscience Paris Saclay UMR 9197 Universit Paris 4 Waal vere es MAA AAA JA AMAR AAA Les bandes de bruit sont cen Sud tr es sur 4 kHz pour la gerbille ANS UTC CT TT pour le cochon d Inde Contact florian hasselmann insermfr Mes d bits Mie Mie A Lion patine prete vi aa et le rat La profondeur de modulation est de 100 La ne em AHN 2 Hz bn mat leur de la fr quence de i a i modulation est indiqu e dans Temps 2 UV Rat FM ps 8 la marge Le niveau de stimu 128 Hz lation est de 60 dB SPL cr te MAMAN s Hz MAMAMAAAMMAMMAAMAWAMAAAAKAA 32 Hz Dakha a a 16 Hz AAAS a Hz M sin te All 4 Hz in A 2 Hz 4 R ponse du nerf auditif 0 5 Temps s POSTER 2 POSTER 2 Actes du Congr s des Audioproth sistes Etude des cons quences de la surdit unilat rale par une approche psychoacoustique et qualit de vie Test Matrix iques iques Test de compr hension de la parole dans le bruit Score SRT pour 50
172. ournie sous forme de oui 4 points parfois 2 points ou non 0 points Sa r alisation et l attribution du score dure donc moins de cing minutes l ensemble des 25 questions est subdivis en trois sous chelles fonc tionnelle motionnelle et catastrophique qui permettent d orienter l entretien vers l un ou l autre de ces aspects Il est fortement recommand de ne pas d marrer avec un probl me mineur et d adres ser la TRT th rapie plus lourde qu une simple adaptation aux seuls patients dont le THI s tablit une valeur sup rieure 40 R gle 2 Le second questionnaire que l audioproth siste averti utilisera syst matiquement est le questionnaire BAHIA Biphasique Acouph ne Hyperacousie Insensibilit de la face et Autres sensations Celui ci est une traduction de l interview structur e de PJastreboff auquel nous avons rajout diff rentes questions respectant la structure initiale mais largissant la probl matique de l acouph nique aux sympt mes associ s surdit hyperacousie dysesth sie faciale Ce questionnaire permet la cat gorisation de l acouph nique et son inscription dans un protocole de soin d termin II permet galement de quantifier l acouph ne au moyen de quatre chelles visuo analogiques intensit g ne conscience impact sur la vie R gle 3 En cas d audiogramme normal il conviendra de rester vigilant Les sonn es r centes de la litt rature nous montrent qu u
173. out statistique DSL RECO MOYEN dB Fr quence Hz REC HAL Mousse mesure RECO MOYEN dB A Mousse statistique DSL Fr quence Hz Scientifiques AA 1 Vo E i E Ta p POSTER 13 POSTER 13 Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD RECD HA Embout Mesure RECG HAZ Embout soc Statistique DSL RECD MOYEN dB 1000 2000 4000 Fr quence Hz H La m in m H un RECD MOYEN dB statistique i DSL Fr quence Hz CONCLUSION Nos r sultats montrent que la mousse diminue les fuites acoustiques sur les basses fr quences Il en ressort une meilleure fiabilit avec le couplage endoauriculaire Mousse Le coupleur 2cc HA1 limine l effet du conduit acoustique de l embout ce qui r sulte en un RECD plus lev que le RECD avec HA2 Ce dernier augmente les risques d erreurs car il contient un simulateur d embout standard l adaptateur HA1 du coupleur 2cc apporte une meilleure fiabilit que le coupleur HA2 La comparaison de nos mesures avec celles des RECD statistiques DSL i o V5 montre galement que la configuration HA1 Mousse est la plus reproductible Le protocole HA1 Mousse r duit l influence des variables tudi es nous pouvons donc conclure qu il apporte une meilleure pr cision sur le SPLoGramme et sur les cib
174. physiol 1969 was plotted as a function of the fiber characteristic fre quency VS was measured 20 dB above the fiber threshold The phase locking cut off frequency defined at 50 of the maximum VS was around 2 kHz The solid curve is a sigmoidal fit of data Actes du Congr s des Audioproth sistes 94 Cochlear sound encoding in background noise Low CF fiber High CF fiber TITI Te CF 0 53 kH CF 6 7 kHz nr i C OINA BOdBSPL fC He on rehash ee ee 48 dB SPL 40 dB SPL 32 46 SPL 24 dB SPL B4dBSPL Tite nur aasre To re 0 dB SPL o 50 100 D 50 Rate spikes s TI Time rns PR mt liste rs ot eos b b 100 Vector sirengh 4 20 40 60 50 4a Level dB SPL Laval dB SPL Figure 3 Response of ANFs in quiet background A C Single fiber responses dot raster plots were recorded for low A red CF 0 53 kHz and high frequency fibers C purple CF 6 7 kHz B D Vector strengh color and discharge rate of fibers shown in A and C respectively as a function of sound level Rate level function were fitted with an amplitude additive model Heil amp Irvine J of Neuroscience 2011 Low CF fiber High CF fiber CF 0 53 kHz CF 5 7 kHz AMEN amanan QE aa _ e wee LE ar M LE RTE PETITE PE ECTS BOdBSPL AFTER ei F r Taa J 64 dB SPL 56 dB SPL 48 dB SPL 40 dB SPL 32 dB SPL 24 dB SPL 16 dB SPL 8 dB SPL 0 dB SPL Ta ow o 3
175. propri tes du CAE 2 permet de mesurer l impact de la fermeture du CAE 3 permer de valider ou non les simulations logiciels des fabricants 4 permet enfin de r gler les param tres volu s des appareils auditifs de derni res g n rations 5 assure d avoir maximiser la pr sence de la voix dans la dynamique r siduelle du patient Client ATELIER 1 Extension du domaine de l audioproth se Th rapie acoustique de l acouph ne Ateliers Ateliers Philippe LURQUIN Audioproth siste Membre du Coll ge National d Audioprothese Charg de cours Bruxelles Nancy Charlotte REMPP Audioproth siste Charg e de cours Nancy E Nombre de jours 3 E Nombre de sessions 4 E Nombre de participants 77 ATELIER 2 _ ATELIER 2 Actes du Congr s des Audioproth sistes 128 129 Ateliers ATELIER 2 La comp titivit de nos labos passe t elle par un largissement des comp tences audio proth tiques Face un march resserr la tentation d ouvrir une consultation acouph ne et de la cr er froid sur base d une s rie de convictions d id es ou de parti pris peut ame ner de cruelles d sillusions Cet atelier est destin a ceux qui sont sur le point de s ouvrir au monde de l acouph ne ceux qui ont connu l chec lors de leurs premi res tentatives et souhaitent compren dre leurs erreurs Il concernera tant les chefs d entreprises que l
176. quences graves 9dB que sur les fr quences aigu s 4 5dB et d masquage vocal 6dB coh rents avec la litt rature moyen nes X 2 Diminution significa tive de l angle d erreur en localisation sonore azimutale mesure que la fr quence du signal augmente B Performances des sujets l g rement inf rieures aux stan dards cause de la modification de la nature du bruit mas quant OVG au lieu de cocktail party C D masquage binaural VS localisation sonore recherche d un lien iques A D masquage en fonction des performances en localisation Localisation et d masquage vocal en fonction de AVE Iz 12 La pevalue 0 7082 p value CHA paml 11 0754 pevalue DVR P LL i F 5 ye z 5 ra co Z m C masquage s l pa E en d t cten 3 ry m Bg ip r a a E B a 5 E m a E E C masquage F M 3 2 rat a youl E a E a oa 4 J E 22 L il Sa T T T T T T 1 oO 1 z 1 4 3 5 F B 3 19 11 1 4 Erreur moyenne de localisation par tache Perfcmances an AWI dl Figure 4 A D masquage tonal VS localisation B D masquage vocal VS Vocale dans le buit AVB Aucune corr lation entre d masquage tonal et vocal et localisation A et entre d masquage vocal et localisation par rapport l intelligibilit dans le bruit p gt 0 05 Sc
177. r avec notre environne ment et de communiquer avec nos semblables 2 Organisation anatomo fonctionnelle Pour une modalit sensorielle donn e la transformation d une stimulation en une per ception sensorielle est r alis e par une chaine de mesure complexe comprenant les tapes suivantes la transduction par le r cepteur sensoriel p riph rique l encodage et la transmission de l information par les voies nerveuses aff rentes p riph riques et ou centrales et le traitement de cette information par le cerveau aires corticales senso rielles et associatives Enfin des processus cognitifs polymodaux tels que la m moire et l attention concourent la perception et l int gration sensorielle D Vieillissement 1 D finition Le vieillissement est un processus biologique et psychophysiologique de d gradation anatomo fonctionnelle li l ge Il a trois principales caract ristiques i il est lent et progressif aboutissant la s nescence ii il est global et ubiquitaire touchant l ensemble de l organisme syst me nerveux organes sensoriels visc res organes profonds vaisseaux appareil locomoteur iii il est in luctable entra nant du fait d un allongement de la dur e de vie un vieillis sement de la population g n rale isciplinaire plurid Samedi 11 avril inaire pluridiscipl Samedi 11 avril Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects phy
178. rale par une approche psychoacoustique i 0 0 ELLES SCA CPR IE E ee ee eee ee 70 e Effet des variations de l intervalle inter simulation sur l amplitude et la latence du potentiel d action chez AGIR eters eter eran arene nena rer ent re te er erem err 73 e Int r t des algorithmes d abaissement fr quentiel chez l acouph nique mesures subjectives et ODICCIIVES an ane Ei Ea a Ea a R 76 e Success rate of Tinnitus Retraining Therapy Eee aan on 79 Masking or mixing point the patient s ChO CE dent 82 e Incidence of somatic tinnitus in current ENT practice 8eme 85 Sommaire SOMMAIRE Sommaire SOMMAIRE e Tinnitus Retraining Therapy for craniocervical dysesthesis in somatosensory tinnitus By FS cs a eis es ee eres 87 e An adaptation mechanism to sound level statistic in the cochlea on es sesssescsseceneeeesees 89 e Cochlear sound encoding in background NOISE nn 93 e Evaluation Statistique des donn es d iInt lligibilt 2 2 97 e Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD 0 sesssescsscsseesseesssesseenseerseecnees 101 Un nouveau profil auditif pathologique ee 105 D masquage binaural vs localisation sonore recherche d un lien sssssssssssssssssssesssssssssssessssssssssseees 108 e Activit des cellules cili es internes au cours du d veloppement sessseecseeecseeeceeeeenecestees 112 e Evaluation des b n fices d un nouveau processeur de son d un syst me d implant
179. re sensiblement la prise en charge et il est donc dommage et dommageable de s en priver Les fabricants nous proposent aujourd hui des moyens d am liorer le RSB nous devons pouvoir mesurer leur efficacit in fine avec nos patients en r alisant l audiom trie vocale dans le bruit de fa on standardis e Pour finir on peut se r f rer l tude r alis e dans le cadre du GDR Proth ses audi tives dirig par le Professeur Collet qui montre que le port r gulier d aides auditives induit une am lioration de la discrimination fr quentielle et d intensit mais gale ment de la sonie Ainsi nous ne pouvons valider nos modifications de r glage que dans le temps du fait de la plasticit c r brale de r habilitation La compr hension dans le bruit est l attente premi re dans le cas de la presbyacousie et il n y a pas de lien entre cette difficult et les autres donn es audiologiques que nous r coltons de fa on standardis e Il est donc imp ratif de quantifier le niveau de compr hension dans le bruit et de consid rer cette donn e tout au long du processus de r habilitation Actes du Congr s des Audioproth sistes 142 Test phon tique d couverte des listes de mots du professeur Jean Claude Lafon Jean Yves MICHEL Xavier BASCLE Audioproth sistes D E Nimes E Nombre de jours 3 E Nombre de sessions 4 E Nombre de participants 46 Ateliers ATELIER 4 Ate
180. rer leur qualit de vie CK Engage L ecoute de ceux qui nous entourent nous est essentielle Pionnier Nous d sirons jouer un r le d terminant dans le domaine de l audition PHONAK www phonakpro fr life is on Conf rence de Presse Tables rondes professionnelles de l UNSAF E Prise en charge des patients souffrant de troubles de l audition oubli s de la solida rit nationale E Audioproth se quel r le des Organismes Compl mentaires d Assurance Maladie dans la r gulation de l offre Actualit s et Prix du Coll ge National d Audioprothese Conf rences des Candidats au titre de laur at du College National d Audioprothese E T FEI ri i EF Vendredi 10 avril de Presse Vendredi 10 Avril La France championne de la satisfaction des patients quip s Les r sultats pour la France de la 3 me dition d Eurotrack ont t d voil s ce jour Cette enqu te internationale dresse un tat des lieux actualis de l acc s l appareillage des per sonnes souffrant de troubles auditifs Dans l Hexagone malgr un contexte sp cifique de fai ble remboursement public et compl mentaire le taux d quipement est lev et la satisfaction des patients excellente Retour sur les grands enseignements de cette enqu te Paris le 10 avril 2015 les troubles auditifs ont des r percussions bien connues aujourd hui acc l ratio
181. res de stage dans un tour de France des coles et des r gions 4 de publier les textes articles document tudes et communications concernant l en seignement et l exercice de la profession d Audioproth siste Les Cahiers de l Audition CD Audiom trie Vocale Pr cis d Audioproth se la Cible Distorsions Cette ann e a t particuli rement riche avec la mise disposition sur cl USB du cours de Monique Delaroche sur l audiom trie subjective de l enfant et du b b 5 de promouvoir et de r compenser la recherche en Audioproth se et de faciliter aux audioproth sistes l acquisition et le d veloppement de la culture scientifique fonda mentale et appliqu e dans le domaine de l audioproth se Prix du Laur at du CNA St phane Gall go a pr sent lors de cette session les bases initiales de l organisation au d part des coles de travaux de grande chelle utilisant l ensemble des tudiants en audioproth se La d marche est lanc e et nous attendons avec impatience les premiers protocoles de mise en place d tudes multicentriques 6 d organiser la formation professionnelle post universitaire et d y participer D veloppement professionnel continue Formation continue obligatoire Les progr s concernant la mise en place du DPC se font avec une grande lenteur et les d cisions d utilisation ne sont toujours pas actives La volont du Coll ge et des syndicats est d al ler vers une formation en 5
182. rofesseur LAFON a observ un parall le entre la pr sence d un recrutement mesur en audiom trie supraliminaire et l augmentation des erreurs portant sur les voyelles Le Professeur LAFON explique dans son livre pourquoi il a appel cette liste ainsi Le mot recrutement pour d finir cette liste est impropre Nous ne mesurons pas le rat trapage d intensit subjective d une oreille sourde Nous l employons d faut d un autre terme mieux adapt ces distorsions La liste donne un apercu analytique de dis torsions pathologiques de la cochl e celle o le ph nom ne de recrutement appara t galement Par une tude comparative des surdit s avec et sans recrutement une s rie de mots pr f rentiellement d form s a t choisie cette s rie de mots est appel e liste de recrutement Actes du Congr s des Audioproth sistes 146 La liste de recrutement se compose de 4 l ments o l on rel ve uniquement les erreurs phon tiques faites sur le phon me utile du mot une voyelle pour les 3 premiers l ments une consonne pour le quatri me Elle peut tre pass e en monaural ou en binaural au casque Nous utilisons tr s majoritairement le monaural dans notre pra tique quotidienne Le niveau d mission est celui trouv en calculant la moyenne arith m tique des pertes tonales 500 et 4 000 Hz laquelle nous ajoutons 30 dB e Le 1er l ment utilise les voyelles a et o comme phon me utile la zone 0
183. s D autre part pour la mesure du gain proth tique vocal un tableau statistique permet tant de comparer des scores obtenus dans deux conditions diff rentes par exemple oreille nue et oreille appareill e peut tre utilis pour d terminer si une diff rence est significative Un tel tableau est disponible depuis pr s de 40 ans Thornton et Raffin 19787 et un nouveau tableau dont l objectif est de fournir des estimations plus pr cises a t publi en 2008 par d Edward Carney et Robert S Schlauch dans leur article Critical Difference Table for Word Recognition Testing Derived Using Computer Simulation Ce tableau ou celui de 1978 devrait tre syst matiquement utilis pour interpr ter les r sultats du gain proth tique vocal voir annexe Remarques e 5 10 l ments peuvent tre mis un fort niveau 90 ou 100 dB SPL en binau ral nous trouverons ainsi ce que le Professeur LAFON appelle la valeur sociale r elle de la cochl e qu une proth se auditive ne modifie gu re donc au pr judice v ritable subi par le sujet dans l identification de la parole e L Orthophoniste peut s appuyer sur les erreurs phon tiques restantes apr s appa reillage pour orienter chez l adulte et l enfant son travail LISTE DE RECRUTEMENT Dans le cas o l on rencontre une distorsion spatiale ou spatiale aggrav e ou que la per sonne souffre de vertiges il est n cessaire d utiliser la liste de recrutement Le P
184. s ICRA dans le cadre d une mesure REM tra ditionnel taient d col r s du fonctionnement quotidien de l aide auditive et ceux ci taient consid r s comme du bruit par les aides auditives Laudioproth siste munit des seuls outils audiom triques que sont l audiom trie tonale et vocale ne peut valider avec certitude la justesse du r glage 1 Certains logiciels fabricants modifiaient les m thodologies comme NAL NL1 pour permettre un pr r glage plus doux 2 Aarts N Caffe C 2004 Aazh H Moore BC 2007 Bentler R 2004 Hawkins amp Cook 2003 Actes du Congr s des Audioproth sistes 124 V rification de l efficacit Les nouvelles mesures in vivo r pondent la pratique moderne de l audioproth se Reposant sur un ensemble d innovations ces mesures volu es profitent des derni res m thodologies issues de la recherche NAL NL2 amp DSL v5 du signal ISTS qui permet de tester l aide auditive avec du mat riel vocal et non des signaux composites noter un renforcement du signal dans les basses fr quences pour mimer l effort vocal lorsque la voix est cri e 65 70 dB SPL d un algorithme open qui permet de mesurer la courbe de r ponse d un micro contour ouvert pr sent sur plusieurs cha nes de mesure d une repr sentation en percentile de la r ponse de l aide auditive en pr sence d une voix voix f minine D nomm Speech Map sound map ou Dynamic REM cette techniqu
185. s bien la difficult des quipes de recherche dans le d veloppement et la validation de ces dispositifs m dicaux complexes Nous avons voulu montrer par cette tude qu avec un peu de temps et un budget co nomique il est possible l audioproth siste d tablir son propre jugement sur l effet des derni res technologies d bruiteurs modes microphoniques Enfin une simulation d un protocole d essai clinique permettant la corr lation entre le RSB mesur objectivement par la m thode de s paration et un test subjectif d ANL sug g re le nombre de sujets n cessaire Et si un jour la m thode Hagerman amp Olofsson extraction par inversion de phase s ap pliquait dans la d marche d appareillage l audioproth siste pourrait alors choisir parmi les diff rentes combinaisons de traitements lesquelles seraient les plus appropri es aux attentes des patients Bibliographie 1 B Hagerman and A Olofsson A Method to Measure the Effect of Noise Reduction Algorithms Using Simultaneous Speech and Noise Acta Acust vol 90 pp 356 361 2004 d Audioproth se ional A Nat ge U JOURN E PLURIDISCIPLINAIRE E Bien entendre pour pr venir le d clin cognitif bien entendre pour mieux vieillir Samedi 11 avril Samedi 11 avril Actes du Congr s des Audioproth sistes a inaire Samedi 11 avril Perte auditive cach e bruit et vie
186. s de mal chance de rencontrer une limite des appareils convention nels pour corriger des pertes d audition dont les distorsions sont devenues trop impor tantes pour pouvoir esp rer plus de 50 d intelligibilit un niveau de voix moyen avec des listes dissyllabiques de Fournier Il est de son devoir d orienter ces patients vers des centres hospitaliers r f rents en implantologie cochl aire m me si l on peut regretter ce jour que l on ne puisse envisager un suivi post rieur de ces patients en ville La ques tion nest pas de savoir s il faut le proposer mais d avantage quand le proposer Le signe le plus vident au del de l intelligibilit de la parole est bien d agir bien avant le renon cement aux activit s culturelles poursuivies jusque l par le patient R F RENCES Adda C 2008 Intelligibilit de la parole et d tection des transitions de formants Les cahiers de l audition 4 34 40 Amieva H1 Mokri H Le Goff M Meillon C Jacqmin Gadda H Foubert Samier A Orgogozo JM Stern Y Dartigues JF 2014 Compensatory mechanisms in higher educa ted subjects with Alzheimer s disease a study of 20 years of cognitive decline Brain 137 1167 75 Anderson S Parbery Clark A Yi HG Kraus N 2011 A neural basis of speech in noise per ception in older adults Ear Hear 32 750 7 inaire ipl ISC pluridi pa E Samedi 11 avril it Samedi 11 avril Effets de l ge et de la r serve co
187. s de seuil en aigu pour les DPOAE et l onde 1 des ABR 24h la r cup ration de la sensibilit apr s 2 semaines post exposition et sa stabilit 8 semaines Figure 1 Une exposition au bruit de 2 h 8 16 kHz 100 dB SPL produi sait des l vations de seuil maxi males d environ 40 dB mesur es 24 h apr s l exposition qui r cup raient au bout de 2 semaines et restaient stables 8 semaines comme le montrent les DPOAE a et les ABR b Les seuils sont exprim s en r f rence des contr les de m me age mais non expos s Malgr la r cup ration des seuils l amplitude de l onde 1 des ABR montrait une r cu p ration incompl te d dans les r gions de TTS maximal Au contraire l amplitude des DPOAE c revenait des valeurs similaires celles des contr les ce qui indique une r cup ration de la fonction des CCE Ces donn es d ensemble sugge rent une perte primitive d innerva tion aff rente dans la r gion des 32 kHz Moyennes SE n 7 21 groupe modifi d apr s Kujawa et Liberman 2009 DPOAEs ABRs Threshold Shift dB Threshold Shift dB T4 6 810 30 50 4s 6 810 30 S Frequency KHz Frequency KHz Emission Amplitude dB SPL Wave 1 Amplitude UV p p 30 60 w F Level dB SPL Level dB SPL inaire pluridiscipl Samedi 11 avril inaire pluridiscipl Samedi 11 avril Perte auditive cach e bruit et vieillissement
188. s much stronger with the addition of background noise than the rate coding Scientifiques POSTER 11 iques Scientif p POSTER 11 Cochlear sound encoding in background noise Inner hair cells Auditory nerve fibers receptor potential C discharge from Palmer amp Russel 1986 from Huet amp al unpublish all NIN NN i i MH s AALAMIN nm s0 a LE Eau 00 se ne iii AE F mpanant i eh DE Conporen goad Bissau 2118 12 5 laa S000 nana or anac niii Li A T NM ape S l y H ane action potential a garea SD al 2 47a Figure 1 Phase locking in the cochlear nerve and its relation to the receptor potential of inner hair cells A Schematic view of an inner hair cell IHC Sound stimulation induces a stereo cilia motion an IHC depolarization a release of glutamate in the synaptic cleft which triggers action potential firings in auditory nerve fibers B Intracellular receptor potentials recorded from an IHC in response to 80 dB SPL tones at frequencies indicated in Hertz by the side of each trace C Discharge patterns recorded from ANFs in response to the same stimulus than in B Low CF fibers High CF fibers CF 4 8 kHz No meant GF 0 3 kHz a 600 60006 Oo Bpe ee o a 0 25 0 5 1 2 4 Characteristic frequency KHz Figure 2 Phase locking in gerbil ANFs The vector strength VS as a proxy of the phase locking Goldberg and Brown J Neuro
189. s renouvellent chaque ann e leur confiance par leur adh sion au syndicat bienvenue ceux qui nous ont rejoint ces derniers jours Plus nous aurons d adh rents plus notre l gitimit dans les d bats sera grande Je remercie St phanie Pasi notre responsable de la vie syndicale Elisabeth Juillard notre juriste Je vais passer maintenant la parole Christine Dagain pour les remises des prix du Congr s et j en profite pour la remercier pour tout son travail de coordination du congr s merci galement Karen Ginisty et l quipe SPAT Un dernier mot nous nous donnons d s maintenant rendez vous au Palais des Congr s de la Porte Maillot du 18 au 20 mars 2016 Luis GODINHO Pr sident du Syndicat National des Audioproth sistes UNSAF Actes du Congr s des Audioproth sistes la ae Chers congressistes Nous venons de tourner la page de cette dition anniver saire du Congr s les 30 ans de UNSAF Vous trouverez dans ces Actes toutes les informations communications et retours sur les v nements de ce Congr s Les objectifs en mati re de formation continue des audioproth sistes ont t atteints gr ce la participation de scientifiques de renom lors de la journ e scientifique mais aussi des professionnels reconnus qui ont transmis leur savoir faire lors des cing ateliers et de l exposition Posters LExposition sans laquelle le Congr s ne saurait exister a reuni 58 exposants dont huit
190. s trigger phase locked action potentials in auditory nerve fibers ANFs For high frequency stimulation ANFs cannot respond in phase with sound because of the low pass filtering of the a c component operated by the IHC membrane Figure 1 B and C Here we investigated the phase locking mechanism in quiet or noisy background MATERIAL AND METHOD Single fiber recordings were performed from gerbil auditory nerves Each fiber was sti mulated by tone bursts 1 ms rise fall 50 ms duration 10 presentations sec presen ted at the characteristic frequency of the fiber for different levels 0 to 80 dB SPL with 4 dB steps 50 presentations level This experiment was performed in quiet background and retested with the addition of background pink noise presented at 60 dB SPL RESULTS In quiet background the phase locking mechanism begins to decline at about 600 Hz and is no longer detectable above 3 5 kHz Figure 2 The low frequency fibers lt 2 kHz encode sounds using both the phase locking and the rate coding mechanisms Figure 3 and 5 Above 2 kHz sounds were coded exclusively through the firing rate With the addition of 60 dB background noise the rate coding mechanism failed to encode sound whereas the phase locking mechanism remains very robust Figures 4 and 5 CONCLUSION In quiet background noise the phase locking coding shows a lower threshold and a higher dynamic than the rate coding Furthermore this type of sound encoding i
191. semi IMPIAREA DIS aC RS RS ne ne nadia 116 e Impact du flou visuel naturel sur la r ception du message oral uu escsescsecsecsesesseenseerseessees 119 Les Ateliers e Atelier 1 Bien interpr ter les r sultats des mesures in VIVO sssssssssssssssseseeesssssssssssssssrseereesesss 123 e Atelier 2 Extension du domaine de l audioproth se Th rapie acoustique de l acouph ne sem 129 Atelier 3 De audiom trie vocale dans le silence l audiom trie vocale dans le bruit 137 e Atelier 4 Test phon tique d couverte des listes de mots du professeur Jean Claude Lafon 143 e Atelier 5 La certification de service des audioproth sistes par la norme AFNOR NF 518 151 E Nouveaux exposants 2018 testeur ut 157 E Exposant 2 OS aaa esterase eee 158 PAR ZOEN seerne S 159 M CONOC caca nee ec eee ere EE tee 160 ERE a A teams manon soin 164 E Album DOCS a ee ct ut 165 E UNSAF votre coute need nniRee 3 Couv Actes du Congr s des Audioproth sistes E L dition 2015 du Congr s des Audioproth sistes qui s est tenue au CNIT la D fense du 10 au 12 avril a t cette ann e encore extr mement riche en temps forts d information de formation et d changes pour les pro fessionnels de l audition gr ce la tr s grande qualit des intervenants de igs journ e scientifique et des ateliers ainsi qu au grand professionnalisme de nos parte naires industriels Autre fait marquant le Congres a t l occ
192. siopathologiques et donn es r centes 2 Cons quences Bien que physiologique le vieillissement peut avoir des cons quences n fastes et aboutir des situations pathologiques Par une diminution des capacit s et des r serves fonctionnelles de l organisme il entra ne une r duction des capacit s d adap tation et de r gulation physiologique Cette fragilit ou syndrome de d sadapta tion environnementale rend le sujet g plus vuln rable avec un risque de d stabi lisation d compensation en cas d agression aigu effort stress maladie aigu pou vant aboutir un tat de d pendance fonctionnelle Il PHYSIOPATHOLOGIE DU VIEILLISSEMENT NEUROSENSORIEL Avant d aborder les aspects physiopathologiques nous allons d crire les principales caract ristiques d un syst me neurosensoriel normal A Fonctionnement normal d un syst me neurosensoriel Pour tre efficace et pouvoir fonctionner de mani re optimale un syst me neurosenso riel doit pr senter les cinq propri t s suivantes i pouvoir distinguer les diff rentes formes d nergie gr ce des r cepteurs distincts propres chaque modalit sensorielle ii tre sensible aux variations du stimulus aussi bien quantitatives intensit que qualitatives spectre ou spatiales localisation iii tre fiable c est dire que pour une stimulation donn e le syst me produit tou jours une r ponse identiqu
193. sition un bruit traumatisant Ils ont mis en vidence une hyperactivit ou hyperexcitabilit des cellules corticales du NCD Certains ont vu dans cette augmentation de la fr quence des potentiels unitaires une origine possible des acouph nes post traumatiques Ce dernier point fait encore d bat aujourd hui Quoi qu il en soit l hyperactivit ou I hyperexcitabilit du NCD serait le r sultat d une modification de sensibilit des neuror cepteurs cholinergiques des couches de cellules nerveuses corticales en r ponse a une fonction cochl aire endom mag e Preuve en est donc que le syst me nerveux central est capable de moduler son activit suite a des dysfonctionnements p riph riques La modulation peut tre pro gressive et lente pour retarder les effets du vieillissement ou brutale et rapide en cas d agressions sonores du r cepteur p riph rique Quel que soit le d lai n cessaire a l ac tivation des ph nom nes de plasticit ces derniers d pendent essentiellement des potentiels aff rents provenant de la cochl e En cas de mal adaptation de ce ph no m ne en raison d un traumatisme s v re par exemple on a pu constater une augmen tation de l excitabilit des cellules nerveuses corticales du NCD m me en l absence de potentiels d action cochl aires On aurait alors des acouph nes fant mes Lhyperactivit des cellules nerveuses provoqu e la suite d un dommage cochl aire n est pas un fait un
194. ssation de l exposition au bruit l sionnel d une dur e d au moins trois jours Pour tre reconnue par le coll ge d experts la surdit profession nelle doit faire appara tre un d ficit dau moins 35 dB sur la meilleure oreille Ce d ficit correspond la moyenne des d ficits audiom triques mesur s aux fr quences 500 1000 2000 et 4 000 Hz Un tel d ficit ouvre droit alors r paration mais l audition est irr m diablement atteinte En pr vention le d pistage de la fatigue auditive p riph rique est fondamental pour les salari s En d celant les d ficits auditifs temporaires certains accidents li s une mauvaise perception des signaux acoustiques les alarmes par exemple ou des consignes manant de l entourage du salari pourraient tre vit s Par ailleurs il est pr f rable de d celer une fatigue auditive r versible par d finition plut t que de constater un d ficit auditif permanent n cessitant la mise en service d une aide audi tive Une surdit professionnelle est toujours le constat de l chec d une politique de pr vention contre les risques encourus par les salari s expos s aux bruits Le d pistage permet galement d viter le cumul journalier d une fatigue auditive r si duelle qui peut se transformer plus ou moins long terme en perte auditive En effet la r p tition d un tat de fatigue auditive p riph rique peut tout au moins en partie se transformer en perte aud
195. st la capacit d un test donner un r sultat n gatif lorsque l hypoth se n est pas v rifi e Des tests de d pistage de l audition existent d j des tests voix chuchot e gale ment mais certaines contraintes li es au mat riel ou aux conditions de passation dis tances placement derri re le patient etc les rendent complexes et chronophages pour des m decins g n ralistes qui ont d j beaucoup faire Nous avons donc concu un test voix chuchot e simplifi sans contrainte importante pour que les m decins g n ralistes aient leur disposition un test de d pistage de l au dition Il s agit de faire r p ter 10 mots voix chuchot e en masquant sa bouche l aide de la feuille o est imprim e la liste en tant face au patient une distance de bureau Ce m moire tudie la sensibilit et la sp cificit de ce test son temps de passation son int gration dans une consultation de m decine g n rale et le compare deux autres moyens simples de d pistage une question simple et directe avez vous une perte auditive et une s rie de 4 questions sur la g ne ressentie Au total 199 patients et 17 testeurs ont particip cette tude 109 ont pass le test voix chuchot e simplifi et ont pass un audiogramme tonal dont 89 ont r pondu aux questions question simple et questions sur la g ne 90 patients ont pass le test chez leur m decin g n raliste Le groupe des testeurs tait
196. stique beta POSTER 12 POSTER 13 Actes du Congr s des Audioproth sistes Scientifiques if POSTER 13 Comparaison de quatre configurations de mesure du RECD RECD HA1 Mousse Rai Ear Analyser micraphes RESULTATS Comparaison des quatre configurations de mesure du RECD HAL Embout l La z HA1 Mousse S i Ee HAZ Embout HAZ Mousse 10 250 500 1000 2000 4000 BOO Fr quence Hz L impact de l adaptateur au coupleur 2cc sur la mesure du RECD Le coupleur HA2 prend en compte l effet acoustique de l embout car ce dernier n est uti lis que pour la mesure de l oreille r elle En revanche le coupleur HA1 permet d limi ner cet effet car le couplage endoauriculaire est utilis la fois pour la mesure de l oreille r elle et pour celle du coupleur 2cc K Munro 2004 H Dillon 2012 Nous pouvons supposer que le coupleur HA1 r duit consid rablement l effet acous tique du couplage endoauriculaire En effet l embout ou la mousse sont utilis s la fois pour la r ponse de l oreille et pour celle du coupleur Nous pr cisons galement que le simulateur d embout est une source potentielle d erreurs entre les deux r ponses de mesure du RECD K Munro 2004 Les r sultats montrent que le coupleur HA1 diminue l influence du transducteur ou de l embout embout personnel ou mousse le coupleur HA1 am liore donc la pr cision du Actes du Congr s des Audioprot
197. sur le SPLoGramme et sur les valeurs cibles de la formule de pr r glage DSL i o V5 u eesssssssscsssseccsseeccsnecseees 18 e Etude longitudinale de l intelligibilit dans les hautes fr quences lors de la r habilitation ORIVE a a a aTre rw eT 19 e Estimation du rapport signal sur bruit en sortie d aide auditive mise en uvre DAC OM te ene ar eee ee eer ee ee ee ae er eee 21 Samedi 11 avril 2015 Journ e Pluridisciplinaire e Perte auditive cach e bruit et vieillissement rennes 24 e Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique een 30 e Perte d audition et d clin cognitif chez le sujet g approche pid miologique 37 Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects Physiopathologiques et donn es r centes 38 e Rep rage et valuation des troubles sensoriels et cognitifs chez les personnes g es Prise en charge des troubles de l quilibre en G riatrie oc essssescsseesessesecsseecsseecsseeesseeessees 45 e Effets de l ge et de la r serve cognitive sur le traitement central de l information SOMONE de la DENSON ING JEEE a de ed en 49 e Lappareillage auditif de personnes g es d pendantes et institutionnalis es 56 Posters Scientifiques e D tection dans le bruit et vieillissement 1 prix du Meilleur Poster 2015 62 e Codage de l enveloppe temporelle dans le nerf auditif 2 prix du Meilleur Poster 2015 66 e Etude des cons quences de la surdit unilat
198. t tent de compter les cellules cili es les neurones cochl aires et les synapses qui les relient tout au long de la spirale cochl aire Comme sch matis sur la figure 2a et quantifi sur la figure 2b les synapses peuvent tre rendues visibles par immunomarquage pour des composantes cl s des parties pr et post synaptiques une composante du ruban pr sy naptique CtBP2 rouge une structure impliqu e dans la d livrance de v sicules dans la zone active et GluA2 un anticorps des r cepteurs post synaptiques au glutamate de type AMPA qui sont abondamment exprim s dans les terminaisons du nerf auditif Synapes per IHC Q ee 4 6 8 10 30 50 70 Cochlear Frequency kHz Figure 2 Le sch ma a montre une seule CCI et 3 des environ 20 30 neurones par CCI tels qu ils appa raissent dans un tissu immunomarqu pour les rubans pr synaptiques CtBP2 rouge les groupes de r cepteurs au glutamate postsynaptiques GluA2 vert et les CCI Myosine Vlla bleu L angle de vue pour les projections xy est not b Pour faciliter le comptage des synapses la r gion synaptique encart blanc en a est analys e en utilisant des logiciels adapt s qui repr sentent les rubans synap tiques et zones de r cepteurs au glutamate appari es comme projections x y de l espace 1 um de chaque ruban c Comptages correspondants de synapses ruban zone de r cepteurs appari e moyennes SE dans la r gion des CCI 6 endroits de la co
199. t 45 jours N Mesure des seuils auditifs Y Mesure des produits de distorsion otoacoustiques DPOAE N Etablissement des courbes d accord de masquage MTC e Observation de l aspect des st r ocils au microscope lectronique balayage MEB R SULTATS e Mise en vidence d un profil caract ris par un trouble de la perception fr quentielle transitoire 21 jours chez les CD1 et 45 jours chez les C57 Exemple du suivi longitudinal chez les souris CD1 Pertes auditives l g res seuils auditifs dB SPL 120 eS T 10 15 20 32 Fr quences KHz Absence de DPOAE CD 19 n 7 jijin 21 2 n 5 Bir diner bruit de fond ampliude des OPOAE idB SPL gt T oy Li 1 4 amplitudes de LS dB SPL Actes du Congr s des Audioproth sistes 106 Un nouveau profil auditif pathologique trouble de la perception fr quentielle audiogramme normal Conformation anormale des st r ocils MTC d cal es T T T T T 6 a 16 21 31 45 Scientifiques DISCUSSION CONCLUSION e Notre tude a mis en vidence l existence d un nouveau profil de d sorganisation coch l otopique interm diaire entre une audition normale et une surdit neurosensorielle e Ce profil est caract ris par une perte au niveau des hautes fr quences non d tecta ble par un simple audiogramme En effet il existe un m canisme de compe
200. t de cette communication est de donner une br ve revue du sujet de la perte auditive cach e dans le cadre du bruit et du vieillissement et de la mettre en contexte par rapport des l sions produisant des pertes auditives permanentes qui jusqu ici ont t l objet d efforts en termes de r glementation de diagnostic et de traitement El vations temporaires et permanentes de seuil auditif dues au bruit et l sions cochl aires Apr s une exposition au bruit les seuils auditifs sont imm diatement lev s mais s am liorent rapidement en fonction du temps qui suit l exposition Pour certaines oreilles et conditions d exposition les seuils auditifs r cup rent int gralement dans ces cas les changements de sensibilit dus au bruit sont dits temporaires acronyme TTS pour tem porary threshold shift en anglais Si la r cup ration demeure incompl te apr s plusieurs semaines les d calages de seuil ont dits permanents acronyme PTS pour permanent threshold shift Bien que de nombreux types cellulaires dans la cochl e puissent tre l s s par le bruit ce sont les cellules cili es cochl aires qui sont les cibles fr quentes Kujawa 2014 pour une revue Les pertes en cellules cili es ou les d g ts leurs st r ocils forment des contribu teurs importants au PTS provoqu par le bruit Les cellules cili es externes CCE semblent particuli rement vuln rables dans l oreille normale les CCE se comportent comme des a
201. tamment en vision de pr s et la moiti d entre eux presbyacousiques Inclusion des sujets 1 RDV Test d valuation cognitive test de Folstein Recherche de la r fraction de vision de loin et vision de pr s Examen auditif tonale et vocale au casque Mesures exp rimentales 2 RDV Vocale en champ libre avec et sans correction visuelle VF VH silence RSB 10 dB RSB 5 dB Test de lecture labiale avec et sans correction visuelle en vision de loin 4 m tres et vision de pr s 1 m tre test avec le logiciel de lecture labiale de l orthopho niste madame Carbonni re POSTER 18 Impact du flou visuel naturel Impact du flou visuel naturel sur la r ception du message oral sur la r ception du message oral RESULTATS CONCLUSION Dans la pratique quotidienne Dans la vie courante du Patient Sans support visuel Avec support visuel Listes cochl aires de Lafon en champ libre Logiciel de lecture labiale Le port de la compensation visuelle min Le port de la compensation visuelle am Scientifiques Scientifiques N 22 variation significative fluence pas les r sultats des tests audio liore la compr hension lorsque la lecture m triques habituels de l audioproth siste labiale est possible quel que soit le niveau o 50 de surdit et principalement 1 m tre 45 5 5 se Il serait donc int ressant de voir appara tre dans les laboratoires 30 L d
202. ted the facial dysesthesis complaint by means of a visual analogic scale Mean audiogram of right ears Mean audiogram of left ears bilateral tinnitus bilateral tinnitus 125 260 SO 1000 2000 4000 GOOD BOIC 135 250 300 1900 2000 4000 6001 00 POSTER 7 POSTER 8 Actes du Congr s des Audioproth sistes 84 Scientifiques POSTER 8 Incidence of somatic tinnitus in current ENT practice RESULTS Population with somatic tinnitus within the whole tinnitus patient sample Non somatic tinnitus Somatic tinnitus Population with somatic tinnitus within the whole tinnitus patient sample which had a complaint of facial dysesthesis 30 of all tinnitus patients were complaining of their somatic tinnitus Effect of trigeminal stimulation on tinnitus perception Number of patients Increase In Decrease in Varlation in Increase in intensitiy intensity frequency intensity and variation in frequency Somato sensory stimulation led in 95 of cases to an increase of tinnitus perception or tinnitus frequency Actes du Congr s des Audioproth sistes Composition of somatic tinnitus population M Population able to modulate tinnitus by head and neck movements m Population with associated facial dysesthesis E Population with associated facial dysesthesis and able to modulate tinnitus by head and neck movements Association between facial dysesthesis and tin
203. teur de l EPU du Coll ge en 1996 artisan du passage 3 ans de notre dipl me en 2001 Il a t promu la L gion d Honneur dimanche 5 avril Une des missions du syndicat est de veiller la bonne tenue du m tier et d agir contre les d rives pour garantir aux malentendants la qualit de la prestation d appareillage Nous sommes tr s vigilants face aux nouvelles politiques commerciales qui pr sentent un danger pour les malentendants Et cela en collaboration avec le Coll ge National d Audioproth se le SYNAM et le SYNEA Les deux communiqu s de presse diffus s ces derniers jours l ont rappel au sujet de l appel d of fre de Kalivia Nous continuerons prendre position chaque fois qu il le faudra Nous faisons aussi entendre la voix de la profession dans les d bats publiques trop faibles rem boursements des audioproth ses risques de d clin cognitifs pour les malentendants g s et sommes consult s plus syst matiquement L UNSAF se veut tre force de proposition pour am liorer la prise en charge des malentendants Nous nous f licitons d ailleurs de l aboutissement en 2014 d une de nos fortes revendications avec la tr s nette am lioration de la prise en charge de l appareillage pour les b n ficiaires de la CMU C qui ont d sormais acc s un appareillage en st r o et de qualit Tout ce travail que nous menons nous ne pouvons le faire sans le soutien de nos adh rents Merci tous ceux qui nou
204. tigineuse associ e aux chutes posturographie examen ophtalmologique tout comme une valuation de l audition Principes g n raux de la pr vention du risque de chutes En cas d atteinte vestibulaire d montr e VPPB n vrite le traitement sp cifique est propos La pr vention est bas e sur l intervention de diff rents professionnels kin sith ra peute ergoth rapeute m decins g n ralistes et sp cialistes et aidants Un certain nombre de mesures permettent de r duire le risque de chutes en relation avec le m decin traitant et le g riatre Maintenir un certain niveau d activit s physiques exercices d assouplissement et de renforcement musculaire de conservation de r ducation de la marche et apprentis sage du relever du sol Exercices d entretien de la fonction d quilibration soit individuellement soit collectivement Correction des carences apport en vitamine D r duction de la consommation d alcool Correction des d ficits sensoriels audition vision Adaptation du chaussage Adaptation des traitements en cours l tat actuel pour limiter les effets ind sirables possibles Conclusions Les troubles de l quilibre constituent un risque important chez les personnes g es Le d pistage de ce risque est possible gr ce des tests cliniques relativement faciles r a liser avant de d cider d investigations ORL sp cifiques Actes du Congr s des Audioproth
205. tionnaire Newman amp coll 1996 before treatment and after 3 months The S I questionnaire includes four subscales Awareness Intensity of tinnitus Impact on Life and Annoyance Each patient received a therapeutic plan that includes for type and III white noise generator fitting and for type II combiinstrument white noise generator amplifica tion on one or both ears Each patient received during the firsts three months four counselling sessions explaining the Jastreboff model functioning of auditory cortex the role of the limbic system and the goal of white noise stimulation in order to decrease misconceptions and cognitive distortions RESULTS Benefits analysis shows improvements of more than 40 for 2 subscales by 75 of the patients and for 3 subscales by 40 of the patients On the other hand the reduction of the handicap THI global score on the whole sam ple reached 36 Fine analysis shows that each subscale presents an improvement as well for the S l than for the THI CONCLUSION The TRT protocol provides a good method for every tinnitus patient s category Awareness RT O Figure 3 Evolution of VAS for tinnitus in percentage The subscale Awareness was rated before and after a three mtefore months trial E After Actes du Congr s des Audioproth sistes 80 Success rate of Tinnitus Retraining Therapy iques THI 63 18 Figure 4 Evolution of THI questionna
206. toxicology Ed Chang Dyer Dekker New York pp 907 961 inaire ipl ISC gt Q j Samedi 11 avril inaire pluridiscipl Ma ea N y TE bot ia a iv 2 Samedi 11 avril Plasticit centrale et fatigue auditive p riph rique Salvi R Wang J Ding D 2000 Auditory plasticity and hyperactivity following cochlear damage Hear Res 147 261 274 Kaltenbach JA Zhang J 2007 Intense sound induced plasticity in the dorsal cochlear nucleus of rats evidence for cholinergic receptor upregulation Hear Res 226 1 2 232 43 Mulders W Robertson D 2011 Progressive centralization of midbrain hyperactivity after acoustic trauma Neuroscience 192 752 760 Mulders W Robertson D 2013 Development of hyperactivity after acoustic trauma in the guinea pig inferior colliculus Hear Res 298 104 108 Vogler DP Robertson D Mulders WH 2014 Hyperactivity following unilateral hearing loss in characterized cells in the inferior colliculus Neuroscience 265 28 36 Bonfils P 1989 Les oto missions acoustiques provoqu es Le concours m dical 111 07 pp 539 541 Schaffer L Withnell R Dhar S Lilly D et al 2003 Sources and mechanisms of DPOAE generation implications for the prediction of Auditory sensitivity Ear amp Hearing 24 379 379 Venet T Campo P Rumeau C Thomas A Parietti Winkler C 2014 One day measure ment to assess the auditory risks encountered by n
207. u le patient porte ses aides auditives elle pourrait galement tre observ e bien qu tant de faible amplitude en testant le patient oreilles nues C est ce ph nom ne d acclimatation auditive que nous avons voulu tudier en ciblant les hautes fr quences puisque c est sur cette zone fr quentielle que la perte auditive est la plus importante dans le cas d une perte neurosensorielle bilat rale Cette tude s inscrit dans la continuit des travaux r alis s par Benoit Delemps en 2013 qui observait une am lioration de la compr hension oreilles nues apr s un mois d ap pareillage pour des patients appareill s pour la premi re fois et uniquement sur une liste vocale filtr e passe haut Nous avons repris un protocole similaire en y ajoutant un groupe contr le de patients d j appareill s depuis au moins un an pour nous assurer que l am lioration observ e n est pas due un effet d apprentissage du test De plus nous avons retest un an plus tard les patients de Benoit Delemps primo appareill s ainsi qu un groupe de patients test s une premi re fois par Benoit Delemps d j appa reill s lors du premier test Le mat riel phon tique comprend des listes de logatomes de type voyelle consonne voyelle ou la voyelle ne varie pas a Les listes sont prononc es par une voix de femme intensit confortable selon 3 conditions non filtr e filtr e passe bas 1000 Hz et filtr e passe haut 1000 Hz Les tests sont r
208. u processeur Le SSO mettrait en vidence une meilleure audition de la parole avec le processeur de son BAP2 et l APHAB d montrerait un b n fice suppl mentaire avec le BAP2 dans un environnement r verb rant Ces premiers r sultats bien que prometteurs d autres tudes sont n cessaires pour confirmer ces donn es pr liminaires Impa st FFRAY ENT reception Gas ture I 14 A oA RANGER ESSILOR 3 LEUR DT un k pa N LT PR Lannie Lin eh Ae SE i caa INTRODUCTION Selon le retour d exp rience d un certain nombre d audioproth sistes et d opticiens leurs patients vieillissants ont la sensation que leur correction visuelle a un impact sur leur audition Quand je mets mes lunettes j entends mieux Parall lement des tudes scientifiques ont mis en vidence le b n fice de la pr sence d indices visuels sur l intelligibilit Pichaud S 2012 et l impact d un flou visuel induit sur la compr hension Erber Norman P 1971 Toutefois qu en est il de l impact du flou visuel naturel sur l audition Scientifiques OBJECTIF Le but de cette tude est d valuer l impact d une correction visuelle sur l audition chez le sujet senior M THODOLOGIE Cette tude a t r alis e sur un chantillon de 22 volontaires g s de 48 88 ans Tous les sujets sont presbytes r duction de la capacit de focalisation de l il avec l ge no
209. uestionnaires portant sur leur sant et leur vie quotidienne des tests cognitifs et chelles psychologiques L chantillon analys pour cette tude comprenait 3772 sujets Les troubles auditifs ont t auto d clar s la visite d inclusion 2443 sujets ne rapportaient pas de trouble 1178 rapportaient une g ne suivre une conversation plusieurs ou dans le bruit et 151 rapportaient une g ne majeure Parmi les sujets rapportant une g ne mod r e majeure N 1329 150 sujets taient appareill s et 1179 n taient pas appareill s Ces groupes ont t compa r s au groupe consid r comme groupe de r f rence le groupe sans trouble auditif Le d clin au test de MMSE un test valuant les fonctions cognitives globales a t mod lis par une r gression lin aire mixte ajust e sur le sexe l ge l ducation puis sur diverses variables de confusion la symptomatologie d pressive les comorbidit s le niveau de d pendance le statut marital Les r sultats ont montr que les personnes ayant un trouble auditif sans appareillage avaient un d clin au test de MMSE significativement plus important que les personnes sans trouble auditif p 0 0062 Ce d clin en revanche ne diff rait pas entre le groupe de sujets appareill s et le groupe de r f rence savoir les sujets sans trouble auditif Apr s ajustement sur les diverses variables de confusion la diff rence de d clin entre les sujets non appareill s et
210. ujet g malentendant I DONNEES GENERALES A R le du syst me nerveux Dans le monde qui nous entoure nous sommes constamment soumis une grande vari t d nergies de forces physiques et de substances chimiques qui stimulent nos sens Gr ce au syst me nerveux il nous est possible de recevoir ces informations de les int grer et d y r pondre de mani re adapt e Le syst me nerveux somatique fonc tionne donc sur la base de boucles de traitement de l information sensorielle permet tant de g n rer une r action comportementale avec r ponse motrice ou d induire une r ponse cognitive sans activit motrice directe cf Figure 1 Figure 1 Traitement de l information sensorielle CENTRE INTEGRATEUR 2 Int grer La boucle sensori motrice 1 2 3a aboutit une r ponse com portementale avec possibilit de r troaction sur le stimulus 3b La boucle sensori cognitive 1 2 3c active des processus cognitifs sans induire de r ponse motrice directe D apr s Lavigne Rebillard http schwann free fr Aires c r brales associatives Voices aff rentes Voies eff rentes 3c R pondre EFFECTEUR 3a R pondre Actes du Congr s des Audioproth sistes 38 Troubles neurosensoriels li s l ge Aspects physiopathologiques et donn es r centes B Sensibilit humaine Sur le versant r ceptif on d crit trois grandes cat gories de sensibilit humaine i
211. ule plus d information donc une synaptopathie devrait avoir des cons quences perceptives importantes La synaptopathie induite par le bruit a maintenant t mise en vidence dans plusieurs mod les de mammif res et pour une large gamme d expositions Il n y a pas de raison de suspecter que l tre humain serait une exception ce ph nom ne g n ral Nos buts long terme sont de mieux comprendre les m canismes et les manifestations de la d g n rescence cochl aire synaptique et neurale due au bruit en d terminant dans quelle mesure une exposition pr alable continue influencer les changements de structure et de fonction au fur et mesure que les oreilles et l audition vieillissent apr s l exposition Cette connaissance guidera les efforts pour am liorer le diagnostic de ses cons quences fonctionnelles chez l homme et facilitera les efforts pour d velopper de nouvelles th rapies ciblant ces m canismes et pour valuer de mani re sensible leurs r sultats Remerciements Recherche soutenue par RO1 DC 008577 R f rences 1 Miller et al 1963 Acta Oto Laryngol Suppl 176 1 91 2 Kujawa 2014 Noise Induced Hearing Loss In PA Wackym J B Snow Jr Eds Ballenger s Otorhinolaryngology Head and Neck Surgery 18th Edition 3 Spoendlin 1972 Acta Otolaryngol 73 235 248 4 Robertson 1983 Hear Res 9 263 278 5 Kujawa et al 2006 J Neurosci 26 7 2115 2123 6 Kujawa et al 2009 J Neurosci Nov 11 29
212. ustique en dB SPL mesur e Valeurs pr dites comprises en 0 1 e R sidus avec un pattern al atoire R sidus homosc dastiques au tympan et le niveau de pression acoustique en dB SPL mesur au coupleur 2cc mesur dans les m mes conditions m me transducteur m me signal d entr e Scientifiques To R gression logistique binomiale RECD R ponse de l oreille r elle dB SPL R ponse au coupleur 2cc dB SPL Cependant il existe plusieurs m thodes de mesure du RECD qui diff rent en fonction de la configuration Lobjectif de ce poster est de comparer le RECD en fonction de deux variables l adaptateur au coupleur 2cc de type HA1 ou HA2 J UN O an i p le couplage entre le transducteur et le conduit auditif de type embout personnalis ou ge i i embout en mousse Ce dernier sera nomm le couplage endoauriculaire 7 i i i i i MAT RIELS ET M THODES si i A x Durant cette tude nous avons eu la collaboration de vingt sujets ayant une moyenne f 7 d ge de 65 ans et un tat otologique sain Nous avons mesur pour chacun d entre eux 0 1 eee 5 1 quatre configurations diff rentes de RECD Valeurs mod is es Intellighbilite s Niveau Taviano j F e Nonlin arit des donn es accept e e R sidus centr s sur 0 e Valeurs pr dites comprises en 0 1 e R sidus avec un pattern al atoire e R sidus homosc dastiques R gression logi
213. ux ges avanc s les id es de d pistage pr coce des pathologies pouvant tre potentiellement handicapantes et les id es de pr vention de celles ci doivent faire leur chemin pour favoriser le mieux vieillir En conservant le plus de capacit s possibles avec le plus d autonomie et la meil leure qualit de vie imaginable pour chaque personne La prise en compte s rieuse et professionnelle de la plainte mn sique fait partie int grante de ce concept pour les ann es venir Mais le rep rage des troubles cognitifs et sensoriels doit tre effectu plus large ment en impliquant l ensemble des professionnels de sant les aidants et les patients et bien entendu aussi les audioproth sistes et pas seulement les m decins Ceci en raison de la pr valence de ces probl matiques et de leurs cons quences C est en tenant compte de toutes ces donn es pid miologiques cliniques environne mentales que nous avons d velopp et tudi la mise en place d un outil simple rapide facile utiliser et d j valid pour le rep rage des fragilit s sensori cognitives L id e tait de favoriser le rep rage le plus simple mais en m me temps le plus large possible l association des pathologies cognitives et sensorielles et les probl mes d quilibre l origine de chutes favorisent la perte d autonomie et l entr e en d pendance Rep rer le plus t t possible et orienter vers les professionnels comp te
214. x st r ocils lors des mouvements de cisaillement engendr s par le bruit Nordman et al 2000 une vacuolisation des terminaisons synaptiques sous les cellules cili es internes comme illustr dans la figure 1 Cette vacuolisation condamne la gen se de potentiels d action unitaires sous ces m mes cellules Liberman and Mulroy 1982 Gannouni et al 2015 et impose le silence lectrique et la g n ration de radicaux libres au sein m me de l organe de Corti Henderson et al 2006 St r ocils Figure 1 A Organe de Corti de rat Vacuolisations sous les cellules cili es internes apr s une expo sition sonore de 4 semaines 6 heures jour 5 jours semaine d une intensit de 80 dB SPL B Raccourcissement des racines des st r ocils dans le plateau cuticulaire pour en augmenter la sou plesse CCE Cellules cili es externes CCI Cellule cili e interne Photo INRS ONE En m decine du travail l outil de r f rence pour d pister des d ficits auditifs p riph riques qu ils soient temporaires ou permanents est l ATL conduction a rienne et osseuse c est dire une mesure de perception auditive subjective qui requiert la par ticipation du sujet test et d excellentes conditions d isolement acoustique une cabine audiom trique en l occurrence Rappelons que l ATL mesure les seuils de perception des signaux acoustiques dans le silence L utilisation de ATL pour mesurer la fatigue auditive p r

Actes Unsaf 2015

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