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1. LiVRE I ANNIe Inutile de raisonner outils avant d avoir mis en place sa m thodologie La d marche consiste d abord se demander ce qu il faut valoriser et avec quels inducteurs L outil ne vient qu apr s Difficult s L analyse des co ts n est pas une science exacte c est une technique qui au travers de la d marche ABC permet d approcher le co t de revient des services de fa on tra able et auditable et d apporter des preuves sur les r sultats Dans le moyen et long terme le sens d une d marche d analyse des co ts est de s orienter vers une d marche Activity Based Management en tablissant un budget bas sur les activit s et non plus sur les moyens allou s une organisation L aussi il s agit d une transformation de fond La d marche d analyse des co ts peut susciter des r sistances aupr s d une partie du management qui la vivent comme une mani re de les priver d une partie de leur pouvoir de pilotage budg taire alors qu il ne s agit que de les challenger sur la rationalit budg taire de leurs investissements B n fices La d marche d analyse des co ts a d abord apport une meilleure compr hension de l usage du budget Informatique chez CNP Assurances Elle a rendu possible de pr senter les co ts des services aux m tiers afin de les responsabiliser La facturation des services aux filiales a t mise en place La CNP s engage d sormais dans une analyse de la valeur pour analyser l
2. Messaging Middleware Mini informatique Moniteurs transactionnels LiVRE 1 ANNIe o Mo dome ares re ce 7 E ARE EPA P Moteurs OLAP Windows Linux Unix o o L Nettoyage de o E E N E EEE E ERA E E A ERER Nettoyage des salles informatiques Datacenters i o E B OCR Optical Character Recognition Onduleurs pour salles informatiques Datacenters Open VMS Orchestrateurs de bureau PC Me Ordinateurs portables dans les diff rents form factors ultraportables netbooks etc oS Linux x86 oS Mini informatique propri taires os Unix propri taires os Unix x86 BSD Solaris os Windows Server l OS hyperviseurs Windows Linux Unix x86 Solaris BSD Outils collaboratifs d entreprise Outils d ordonnancement Mainframe o Outils d administration des dupe r seaux KLAN comm tat uts de r niveau u2 et 3 et routeurs d acc s MAN WAN pr sents en salles informatiques datacenters oo P DARED EEA AA N E E E A N Outils Outils ils d automatisation ls de corr lation de logs ils de gestion de conformit PSSI Outi Outi ls de gestion de contenu ls de gestion de versions s de code ils de reporting d cisionnel ils de t l distribution de correctifs exclusivement ils d tests de charge ils de virtualisation Unix propri taires ils d interrogation d cisionnels ils d ordonnancement Unix propri taires ils de mod lisation de processus PABX PA
3. Question Flash C est une question pos e par l un des membres sur un sujet pr cis tel que Qui utilise cette technologie quels sont ses b n fices Les Groupes Flash se r unissent pour trois ou qautre sessions de travail sur des sujets pr cis Ilne s agit pas de d crire Le contenu du projet ce qui pourrait poser des probl mes de confidentialit mais d identifier le contact C est un moyen efficace dans un cercle de confiance d acc l rer le time to market et de prendre en compte les bonnes pratiques d j tudi es par son correspondant Cela permet aussi d viter les erreurs Groupe de Travail Base Prestataire de confiance C est le lieu m me de l change Le Groupe de Cette base regroupe les prestataires sp cialis s Travail r unit des personnes d sirant travailler qui ont t recommand s par au moins un CTO du sur un sujet commun Au fil des r unions le cercle CRiP de confiance se renforce ce qui permet l change d informations et d exp riences de la vraie vie de l entreprise 137 Au service B n ficier d une veille technologique CRiP Review Les experts du CRiP repr sentent l ensemble de l expertise de l association sur les m tiers et technologies de l Infrastructure et de la Production L une de leurs missions consiste publier r guli rement et collectivement des veilles technologiques th matiques IT Innovation Forum LIT Innovation Forum est un v nement s
4. e CT 10 MIN Mini informatique et autres plates formes AS400 DEC VMS etc e CT 11 BDD Bases de donn es e CT 12 EDI ditique e CT 13 SEC S curit e CT 14 ETU Environnement de Travail Utilisateur e CT 15 MID Middlewares applicatifs et changes en mode message EAI ESB Message Queuing e CT 16 FLU Echanges en mode flux e CT 17 PIL Supervision pilotage monitoring e CT 18 DEC D cisionnel BI e CT 19 DTR Environnements logiciels de d veloppement tests et recette e CT 20 OPM Outils de partage mutualis s outils collaboratifs workflows BPM vid oconf rence d entreprise e CT 21 GED GED D mat rialisation int gre archivage l gal La structure des fiches de pr sentation des Centres Technologiques Toutes les fiches de pr sentation des Centres Technologiques figurant en annexe de ce document sont con ues sur le m me mod le 1 Une d finition sommaire du contenu du Centre Technologique 2 Une description d taill e du p rim tre du Centre Technologique trait et en particulier des principales technologies qu il inclut Ce chapitre tente aussi g n ralement de pr ciser ce qui est exclu de chaque Centre Technologique et pourquoi CO La liste des activit s contenues dans le Centre Technologique avec leur description succincte et leur correspondance avec le mod le du CIGREF Lorsque cela semble n cessaire ce chapitre est suivi d un paragraphe qui pr cise les volutions p
5. Ce Centre Technologique assure le fonctionnement des services de t l phonie fixe et mobile ainsi que les op rations de maintenance associ es Le p rim tre de la t l phonie fixe comprend e du mat riel IP PBX et encore parfois PABX e Les liens op rateurs uni ou bi directionnels e Les logiciels correspondants e Le personnel technique d administration de supervision et de pilotage Le p rim tre de la t l phonie mobile comprend e les accords contractuels avec les op rateurs de t l phonie mobile les abonnements GSM 3G 4G tombent dans ce Centre Technologique e Les Logiciels de pilotage de la consommation e Le personnel technique d administration de supervision et de pilotage Attention 1 Les terminaux utilisateurs t l phones de bureau IP phones soft phones t l phones mobiles smartphones tablettes clefs 3G etc n entrent pas dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs 2 La probl matique s curit chiffrement confinement des trafics enregistrement des communications etc est trait e dans le Centre Technologique 13 S curit elle ne fait donc pas partie du p rim tre ici trait 3 Le personnel type op ratrice op rateur charg de l accueil du routage des appels etc n est pas non plus inclus dans ce Centre Technologique 4 Les syst mes de visio audio conf rence m me distincts du poste de travail sont
6. Executives Notes Barom tres IT Essentiels IT CRIP Review Etat de l Art Conf rences Th matiques Convention Se benchmarker Rencontrer et Echanger avec ses pairs CRIP Index e Discussions r seau social Conf rences Th matiques CRiP Benchmarking Tchat vid o et texte Convention Barom tres IT 18 groupes de Travail CRIP Net Pl ni res Diners Cercle CTOs B tir un r seau d changes Rejoindre la communaut des 2800 responsables d infrastructure et de Production CR P Digital Technology amp Contacts Club des Responsables d lnfrastructures et de Production contact crip asso fr www crip asso fr En application de la loi du 11 mars 1957 il est interdit de reproduire sous forme de copie photocopie reproduction traduction ou conversion que ce soit m canique ou lectronique int gralement ou partiellement le pr sent ouvrage sur quelque support que ce soit sans autorisation du CRiP Digital Technology amp l nnovation www crip asso fr 24 rue Erlanger 75016 PARIS
7. consomme de serveurs et de composants middleware et plus il y aura d instances administrer Le nombre d instances en production par service peut tre obtenu depuis une CMDB travers la gestion des configurations par exemple Pr requis et limites La contribution de l activit INFMID chaque service n cessite de conna tre la puissance relative des serveurs et la r partition des services sur les serveurs Par cons quent les pr requis exprim s pour les Centres Technologiques 09 Windows Linux et 08 Unix propri taires s appliquent aussi pour l activit INFMID L inducteur d activit EXPMID requiert une comptabilisation exacte du nombre d instances par service S il n est pas possible d obtenir ais ment et avec exactitude cette information il est possible d utiliser les inducteurs EXPWLI Centre Technologique 09 Windows Linux et EXPUNI Centre Technologique 08 Unix propri taires Dans ce cas on ne consid re plus le nombre de serveurs composants middleware par service mais le nombre de licences OS exploit es inducteur des activit s EXPWLI et EXPUNI par service Inducteurs au prorata du poids des services Apr s d versement de toutes les activit s ayant un inducteur explicite du niveau de consommation de l activit par les services on d verse le co t des activit s de ce Centre Technologique au prorata du poids en des services LIVRE BIMAN Ainsi si une application A vaut 20 du co t total d
8. d di s aux d di s aux environnements de environnements d veloppement et tests de d veloppement et tests LiVRE 1 ANNIe EXPENV Exploitation et T ches li es au MCO des outils MDS GESENV administration des d di s aux environnements de outils d di s aux d veloppement et tests environnements de d veloppement et tests 3 1 Limites et volutions possibles De fa on clarifier les t ches d exploitation et d administration des outils d di es aux environnements de d veloppement et tests il pourrait tre envisag d clater l activit EXPENV en deux e une activit consacr e aux t ches d exploitation et administration technique g n ralement prises en charge par des quipes de Production e une activit consacr e aux t ches d exploitation et administration fonctionnelle g n ralement prises en charge par des quipes Etudes 4 Inducteurs d activit s La d finition des inducteurs d activit s pour ce Centre Technologique est intimement li e la d finition des services techniques de type plate forme de d veloppement et de tests Ce type de services techniques peut tre d clin de diff rentes fa ons e plates formes de d veloppement plates formes de tests plates formes de validation plates formes de pr production etc e plates formes par nature de technologies Mainframe open d cisionnel web etc INFENV Licences des logiciels d di s aux K environnements
9. de r partir ensuite ce co t sur les services facturables Co t complet des ressources informatiques d di es pour la reprise des activit s Ce co t peut tre incorpor aux services refactur s aux clients finaux Co t complet des infrastructures qui permettent de cr er des postes virtuels de type VDI Co t complet des outils n cessaires pour le fonctionnement de la DSI et dont les ressources ne tombent pas dans les Centres Technologiques par ex outil de PPM outils de gestion des temps etc Co t complet des ressources informatiques n cessaires la mise en uvre de services de gestion de flux Co t complet des ressources informatiques n cessaires la mise en uvre de services de Middleware Consomme 100 du Centre Technologique GED et Les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme 100 du Centre Technologique Outils de Partage Mutualis s OPM et Les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s ainsi que les co ts directs li s aux licences pour la virtualisation des postes de travail Consomme les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s en plus des ressources directes affect es au se
10. es inducteurs d activit s Ces inducteurs d activit s sont d finis et valoris s avec Le concours des personnes responsables op rationnellement des activit s associ es Les 4 tages du mod le Le choix d adosser le mod le d analyse des co ts de production du CRIP l approche Activity Based Costing permet de le structurer en 4 tages successifs sch matis s ci dessous Clients Services Activit s Co ts activit s Co ts amort maintenance d administration amp locations et exploitation logiciels mat riels Moyens me echniques Ressources Humains Anne Ai Internes externes lignes t l com forfaits expertise a Ressources Les ressources constituent l ensemble des d penses du p rim tre d analyse Ces d penses peuvent tre de natures vari es qu il est possible de classifier selon 6 grandes cat gories comme le propose le mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF e charges de personnel e prestations externes e mat riels e logiciels e t l coms e frais de structure y compris locaux Chaque d pense correspondant une ressource doit tre affect e une activit ou r partie sur plusieurs activit s b Activit s et Centres Technologiques Le second tage d un mod le ABC est classiquement d nomm activit s Le mod le d analyse des co ts de production du CRIP ne d roge pas cette r gle et s inscrit en coh ren
11. inducteurs Inducteurs La m thode ABC utilise des cl s de r partition que l on nomme inducteurs cost driver L utilisation d inducteurs dans le sens de ce qui induit le co t de pr f rence aux unit s d uvre souligne l importance de la recherche d un lien de cause effet entre les activit s et Les services C est Le choix minutieux des inducteurs qui permet de r duire les distorsions de co ts qui peuvent tre occasionn es par l usage d unit s d uvre sans rapport avec l activit On distingue les inducteurs de ressources et les inducteurs d activit s Inducteur de ressource L inducteur de ressource permet d imputer les ressources entre les activit s dans les cas o une ressource n est pas directement imputable une activit unique par exemple une seule facture de SSII pour une p riode donn e imputable 2 activit s distinctes Il s agit essentiellement des J H ou des K Inducteur d activit Un inducteur d activit permet d affecter le co t d une activit aux services en fonction du niveau de consommation de l activit IL constitue donc un facteur explicatif du niveau de consommation de l activit Reprenons l exemple des baies de stockage et de l activit Stockage le nombre de Go consomm s par chaque service peut constituer un inducteur pertinent pour affecter le co t de l activit car il y a un lien causal entre la consommation en espace disque exprim e en Go et le
12. les moyens financiers qui leur sont allou s La proposition de construction d un mod le conomique pr sent dans ce document on l esp re doit permettre de conna tre la nature les origines et les causes des co ts L efficience de la DSI combine l efficacit et l conomie c est la mesure du rapport entre les objectifs obtenus et les moyens financiers mis en uvre Ainsi le mod le conomique du CRIP incarne l axe conomique compl mentaire des d marches qualit permettant la mesure de l efficience A ce titre l analyse des co ts des activit s peut mettre en vidence une sur qualit Au contraire r duire les couts l aveugle sans en maitriser la cons quence sur les services d livr s peut entrainer une insatisfaction des clients Si une organisation consomme des activit s g n ratrices de co ts il faut que cela soit pour servir un objectif important accroitre la valeur per ue par les clients Le mod le conomique du CRIP poursuit in fine clairement cet objectif Ajoutons cette conclusion un point La r daction de ce document a t l occasion de nombreux d bats illustrant parfois des points de d saccord significatifs et nous sommes bien conscients que ce mod le est perfectible La liste l organisation m me des Centres Technologiques sont d autant plus amen s voluer que de nouvelles technologies feront leur apparition dans les prochaines ann es que nous ne prenons pas en compte ou du
13. quilibre entre demande des M tiers service rendu et co t du service La d marche am liore la compr hension vis vis de l ext rieur car elle permet d expliquer l utilisation des budgets et de rendre les co ts tra ables et justifiables Cela permet aussi aux services informatiques d expliquer qu ils ne sont pas seuls responsables des co ts engag s mais que ceux ci r sultent aussi de choix des M tiers La r partition analytique des co ts IT des fins de contr le r glementaire a t largement am lior e Or le contr le de gestion f d ral propre aux compagnies d assurances ainsi que les r glements internationaux tels Solvency Il imposent cette volution La mise en place du mod le d analyse des co ts contribue une meilleure prise en compte du RUN dans la d termination initiale des co ts des projets Cela se traduit la fois par une tude des impacts en terme de tr sorerie d investissement et de co ts r currents sur 3 ou 4 ans L analyse des co ts permet de d tecter des carts anormaux o des tendances sur certains items afin d en d duire des priorit s d action et d objectiver les prises de d cision Par exemple de d tecter qu une application d j arriv e dans un stade de maturit o elle ne devrait plus demander de modifications fr quentes continue beaucoup consomme en maintenance corrective ce qui doit inciter se demander pourquoi ilen est ainsi et d cider que faire pour y rem d
14. quipements de surveillance i EXPHEB Exploitation et T ches li es l exploitation administration des infrastructures d h bergement gestes de proximit d h bergement des salles et des quipements associ s entretien des salles de la climatisation des quipements lectriques s curisation physique du site t ches li es aux gestes de proximit en salle informatique installation d quipements contr le visuel reboot physique de machine d placement d quipement intervention sur les raccordements etc 3 1 Limites et volutions possibles IL est possible d isoler les gestes de proximit des t ches d administration de salles car tous les sites d h bergement ne proposent pas de gestes de proximit alors que l administration de salles est indispensable On cr era alors une activit GDPHEB LiVRE 1 ANNIe 4 Inducteurs d activit s INFHEB Infrastructures d h bergement M tre carr ou KVA ou KVA m ou nombre de U ou nombre de baies demi baies EXPHEB Administration et exploitation des Nombre d quipements physiques par U infrastructures d h bergement ou par baie gestes de proximit En compl ment la consommation lectrique peut tre dissoci e de l inducteur d activit INFHEB L inducteur causal de EXPHEB est le nombre de serveurs h berg s 02 Fiche du Centre Technologique RDL R seau Data LAN datacenter 1 D finition sommaire Ce Centre Techno
15. rennit au fil du temps Pi ge n 6 Consid rer que le mod le est de la seule responsabilit du contr le de gestion La mise en uvre du mod le d analyse des co ts de production doit tre envisag e comme un projet technico conomique qui va faire travailler de concert les quipes de la production et les quipes du contr le de gestion Pi ge n 7 Penser que le mod le sera parfait du premier coup La mise en uvre du mod le d analyse des co ts de production doit tre consid r e comme une d marche it rative La d finition et une premi re valorisation du mod le doivent permettre d identifier des actions d am lioration et d industrialisation action de fiabilisation de certains inducteurs par exemple Pi ge n 8 Croire que le mod le tournera tout seul Les valorisations successives du mod le sur des budgets des estim s ou des r alis s vont n cessiter une implication conjointe et r currente des quipes production et contr le de gestion au del des travaux initiaux de mise en uvre du mod le Pi ge n 9 Confondre costing et billing Comme son nom l indique le mod le d analyse des co ts de production permet de conna tre le co t des services Selon les contextes le prix auquel un service est refactur n est pas n cessairement align sur son co t Pi ge n 10 Penser outil avant mod le Valoriser le mod le d analyse des co ts de production avec un simple
16. seaux de sauvegarde totalement d di s 5 Les serveurs physiques ou virtuels sur lesquels s ex cutent les logiciels de sauvegarde figurent dans le Centre Technologique 09 Windows Linux ou 08 Unix propri taires 3 Activit s du Centre Technologique Sauvegarde Archivage Restauration sr z A souy Correspondance INFSAU Infrastructure Co ts d acquisition et MDS ACQSTO sauvegarde archivage de maintenance des et restauration mat riels et logiciels d di s aux op rations de sauvegarde restauration et archivage EXPSAU Exploitation et T ches li es MDS Non couverte administration l administration sauvegarde archivage l exploitation et et restauration la maintenance des infrastructures et des op rations de sauvegarde restauration et archivage 3 1 Limites et volutions possibles Les co ts d acquisition mat riels et logiciels seront d pendants des technologies utilis es l int rieur de ce Centre Technologique notamment en termes de politiques de sauvegarde restauration et d archivage et de la nature des supports utilis s et de la localisation des sauvegardes et de l archivage Pour une meilleure identification des co ts il peut tre int ressant de diviser cette activit en 2 sous activit s e INFSAU Infrastructure de sauvegarde e INFARC Infrastructure d archivage 4 Inducteurs d activit s INFSAU Infrastructures mat rielles et logicielles de Go sauvegard ou Go archiv
17. t rog n it li e l adaptation de ces services aux besoins sp cifiques de chaque structure son historique et ses particularit s Par cons quent OUI il est important d laborer un catalogue de services qui va jusqu au bout d une d marche de ma trise des co ts condition d adapter ce travail aux besoins de chaque organisation Le Groupe de travail a donc conclu que la d finition d un tel catalogue de services g n riques ne figurerait pas dans la premi re version de son mod le d analyse des co ts de la Production mais qu il demandait en premier lieu que les entreprises participantes soient plus avanc es dans l analyse de leurs activit s C est dans ce contexte que le groupe de travail du CRIP a d cid de se limiter la description du m canisme de construction d un catalogue de services techniques en laissant le soin au lecteur en fonction de son m tier de ses priorit s ou de sa politique de facturation d laborer et faire vivre un catalogue de services adapt aux besoins de sa relation avec sa ma trise d ouvrage LiVRE LI ANNIe Nous pr cisons seulement les points suivants Chaque service se caract rise par e Le nom et la description br ve du service rendu e La cible utilisateur du service par exemple d veloppeurs de solutions applicatives employ en entrep t membre du service RH etc e Les diff rents crit res de performance du Service lorsqu il y a lieu capacit d bit t
18. v nements de s curit e production de tableaux de bord relatifs la bonne mise en uvre de la politique de s curit e administration et exploitation de l ensemble des quipements et logiciels d di s la s curit e audits de s curit e d finition et contr le de bonne application des proc dures d exploitation de s curit PES e investigation num rique parfois d nomm inforensic pour les recherches de preuves e gestion des identifiants des habilitations et des r vocations des acc dants e activit du RSSI e etc Remarques sur le p rim tre du Centre Technologique S curit Principe g n ral En r gle g n rale les charges des outils de s curit transverses aux autres Centres Technologiques et autres activit s du mod le tombent dans ce Centre Technologique Cependant si une charge li e un outil de s curit est sp cifique donc directe LiVRE LI ANNIe un des autres Centres Technologiques alors il convient de l imputer au Centre Technologique concern Il en est de m me si la charge est sp cifique directe un service on privil gie autant que possible l affectation directe Ainsi par exemple un logiciel de cryptage des donn es sur bande concerne exclusivement la sauvegarde Les charges de cet outil seront donc imput es non pas au Centre Technologique 13 S curit mais au Centre Technologique 06 Sauvegarde Dans le m me esprit RACF l outil de contr le d a
19. Base de Donn es TOTAL Big Data amp Stockage Pilot par Bruno PREVOST Directeur Infrastructures IT SAFRAN Cloud Computing Pilot par Stephane LAFON Application Cloud Services SANOFI et par St phane GEISSEL Manager Technico Financier SI SFR Pilot par Dominique ROCHE Head of Sustainability Standardisation amp Operators ORANGE FRANCE TELECOM et par Andr ELEDJAM Responsable Projet Green IT DataCenters SOCIETE GENERALE Desktop Nouvelle G n ration amp Mobilit Pilot par Vincent PELLETIER Responsable Innovation et Ing nierie Poste de Travail GENERALI et par Loic BERNARDEAU Responsable Strat gie ORANGE FRANCE TELECOM Gouvernance Pilot par Maryse NICLI Responsable D partements Projets Int gration et Correspondants M tiers GENERALI ITIL et Processus de Production Pilot par Eric BOUVET Responsable D partement Op rations amp Service Management ARKEMA et par Lionel ROLLAND Consulting on IT Service Management Process GDF SUEZ Mainframe Pilot par Bernard DIETISHEIM Responsable Syst me RENAULT PRA amp PCA Pilot par Fran ois T TE Pr sident d Honneur CCA et par Luc VRIGNAUD Responsable Infrastructure amp S curit Prod MACIF 139 Pilote en cours S curit Pilot par Thierry MANCIOT RSSI SFR Outsourcing Pilote en cours Open Source Pilote en cours Innovation Pilot par David FAYON Competitive Intelligence and Pros
20. DE A EE E x Fe eue e o a Baies de disques d di es la sauvegarde sur disques x 7 DE E E EE EE E E E SE o Tr PAR Re CRE Baies SAN Baies VTL B de d Boitiers cryptographiques B a E y F PEE AEAEE a a A AE E E E R A S C blage interne des salles informatiques Datacenters hors quipements r seaux LAN et SAN Cartouches de nettoyage pour lecteurs de bandes Cassettes et cartocuhes de sauvegarde Commutateurs de niveau 2 et 3 pr sents en salles informatiques datacenters Compilateurs Compilateurs mini informatique propri taire Compteurs de consommation des fluides associ s aux salles informatiques Datacenters Configuration de vLANs en Datacenter salle informatique Configuration des commutateurs de niveau 2 et 3 pr sents en salles informatiques datacenters Configuration des routeurs d acc s au MAN et au WAN Connectique sp cifique Lecteurs de bande Consommables bandes Content management systems ss A a O M A E z N Le 7 RANA E o 7 re g Fee A _ ee aa a a i E E E E EE E E E E Datamarts Datawarehouses DEC VAX Alph D mat rialisation de documents D placement des quipements en salles informatiques Datacenters EAI c hange de donn es informatis EDI Electricit s curis e dans les salles informatiques Datacenters Enterprise Application Integration Enterprise Service Bus Entrep ts de donn es Entretien des salles info
21. Dans tous les cas il est possible d ajuster les facturations post riori en fonction du niveau de l activit r elle constat e La m me logiques est applicable par exemple pour le dimensionnement d un Cloud priv les charges fixes correspondent alors aux charges annuelles des infrastructures amortissements des fermes de serveurs virtuels maintenance charges diverses d infrastructures et la charge d administration variant en fonction du nombre de VM r ellement exploit es Il faut surtout retenir que l imputation rationnelle des charges fixes permet de garder toute latitude sur Les choix d investissement car cette m thode gomme la variabilit des co ts de revient et ce ind pendamment du caping de l infrastructure D termination du seuil de rentabilit Nous avons d j insist sur le fait que le plus important n est pas tant la dichotomie Capex Opex que l volution relative des charges fixes et variables C est la mesure du poids des charges fixes dans la structure du co t complet qui constitue le crit re d terminant de rentabilit Dans le cas de choix du type faire ou faire faire il faudra se projeter sur l volution possible des charges fixes et variables en fonction d un volume donn d activit pour d terminer le sc nario le plus avantageux Quelques d finitions pour commencer Le seuil de rentabilit c est le volume d activit pour lequel on ne r alise ni perte ni b n fice Le chiffre d affa
22. Infrastructures de Co ts d acquisition ACQMID virtualisation des logiciels et outils d administration sp cifiques la virtualisation LiVRE BIMAN EXPLIN Exploitation et T ches li es au MCO EXPDIS administration des des infrastructures infrastructures Linux Linux EXPVIR Exploitation et T ches li es au MCO M EXPDIS administration des des infrastructures de infrastructures de virtualisation virtualisation 3 1 Limites et volutions possibles EXPWIN Exploitation et T ches li es au MCO MDS EXPDIS administration des des infrastructures infrastructures Windows Windows DS En ce qui concerne INFWLI les co ts des licences logicielles Microsoft en principe plus on reuses que les contrats de support Linux sont dilu s dans les co ts d acquisition des infrastructures serveurs Une volution possible consiste ajouter en fonction de l tat du parc des activit s visant distinguer les co ts logiciels Windows d une part et Linux d autre part e NFWIN Co ts d acquisition des licences Windows e INFLIN Co ts d acquisition des distributions Linux Une volution compl mentaire consiste distinguer les tarifications sp cifiques des OS pour machines physiques et machines virtuelles Par exemple le co t d une licence Windows Enterprise pour une machine physique est inf rieur au co t d une licence Datacenter pour une VM machine virtuelle Il est possible d enrichir le Centre Technologique avec des
23. acquis en m me temps que les serveurs sous forme de stockage en attachement direct DAS ce titre La baie de disques tait d di e un serveur et de ce fait constituait une charge directe Aujourd hui l usage de baies de disques raccord es au travers d un SAN constitue une infrastructure partag e c est donc une charge indirecte car elle concerne tout ou partie des serveurs raccord s LIVRE 1 ANNIe Activity Based Costing ABC La m thode ABC introduit la notion d activit entre Les charges nomm es ressources au sens de ressources financi res dans ABC et les services L activit constitue une interface entre les ressources et les objets de co ts i e les services et apparait comme la cause premi re de consommation des ressources L introduction de la notion d activit permet de mieux suivre la consommation des ressources en affectant directement les charges aux activit s et les activit s aux services Par exemple pour l usage des baies de stockage la cr ation d une activit Stockage permet d imputer les co ts d acquisition et d exploitation des baies directement cette activit puis ensuite de valoriser les applications au prorata des consommations disques La m thode ABC permet ainsi de connaitre d une part Le co t des activit s le co t du stockage par exemple et d autre part en cascade de d terminer les co ts des services en mesurant la consommation des activit s par les services via des
24. applications qui utilisent les solutions de GED d mat rialisation archivage l gal par exemple au prorata de leur poids respectif d faut du nombre de documents INFGED Infrastructures machines et logicielles GED 100 sur le service Application d mat rialisation et archivage l gal g n rique GED d mat rialisation archivage l gal EXPGED Exploitation et administration des outils de 100 sur le service Application GED d mat rialisation et archivage l gal g n rique GED d mat rialisation archivage l gal LIVRE 1 ANNIe ANNEXE 2 TABLEAU DE CORRESPONDANCE CENTRES TECHNOLOGIQUES RESSOURCES Abonnements de t l phonie mobile Acc l rateurs WAN Acquisition des commutateurs de niveau 2 et 3 pr sents en salles informatiques datacenters Acquisition des r seaux LAN au sein des Datacenters salles informatiques hors c blage voir CT 01 Acquisition des routeurs d acc s au MAN et au WAN Analyse de protocole r seau LAN a E a BA A E S E E E E A E EA EA S T f PaE Re Appliances d cisionnelles Application de proc dures d exploitation de S curit PES v rification de la conformit des mots de passe avec les politiques v rification de la conformit des configurations mise en oeuvre des correctifs de s curit etc Armoires de rangement de cartouches de bandes Ateliers de d veloppement logiciel a o a A E E o A Lu i Ee F s Pa m A ee Se ee ne SR
25. budget informatique mieux comprendre les co ts approfondir la consommation des ressources tudier les composantes conomiques des projets L id e g n rale est la fois de donner plus de transparence sur une IT g n ralement per ue comme un p le de co ts important et de pr parer l avenir travers une possible refacturation des services aux m tiers Le Projet Le projet d analyse des co ts d bute en 2011 avec un chef de projet en interne et un consultant externe Le responsable MOE MOA c t informatique est le sponsor du projet afin d impliquer la fois les comp tences financi res et Les op rationnels qui poss dent les l ments n cessaires pour d terminer les bons inducteurs d activit La d marche commence avec la d finition des catalogues de services afin de sp cifier aux m tiers quels sont les services et applications qui portent les co ts IL existait d j quelques contrats de service d velopp s l occasion de la d marche ITIL mais le scope du catalogue de services est largement tendu Cette premi re tape prend un mois Par la suite les quipes op rationnelles Etudes et Op rations sont sollicit es pour la d termination des activit s int grer Cette d marche se fonde sur le mod le d analyse des co ts du CIGREF avec CMMI pour les Etudes et ITIL pour la Production ILappara t que le cadre ITIL ne suffit pas car s ilmet l accent sur les grands processus de qualit de P
26. de consommation de l inducteur uWLI ou licences Prenons l exemple d un service Squi s appuie sur l infrastructure suivante e 1 machine physique A avec 2 c urs et 32 Go de RAM e 1 machine virtuelle B qui utilise 1 c ur et 8 Go de RAM d une machine physique 4 c urs et 64 Go de RAM Nous aurons la r partition suivante Consommationdel activit INFWLlquicomprendlatotalit desco tsd infrastructures mat rielles 2 32 4 1 8 4 2 8 1 2 13 uWLI Montant imput au titre de l activit INFWLI 13uWLI x co t unitaire du uWLI affect au service S1 La logique d imputation est similaire pour les autres activit s Dans l exemple ci dessus le service S1 consommera aussi les activit s e INFVIR machine B pour 1 8 4 3 uWLI e INFWIN ou INFLIN machine A INFWIV ou INFLIV machine B pour un nombre de uWLI gal celui consomm par le service S1 e EXPWIN et ou EXPLIN EXPVIR pour 1 1 2 licences OS Windows physique ou Linux physique pour la machine A Windows virtualis ou Linux virtualis pour la machine B Montants imput s au titre de ces activit s nombre de uWLI x co t unitaire du uWLI affect au service S1 nombre de licences OS exploit es x co t unitaire de la licence OS exploit e affect e au service S1 LiVRE LI ANNIe 10 Fiche du Centre Technologique MIN Mini informatique et autres plates formes serveur 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique r
27. de la s curit EXPSEC T ches li es l administration Au prorata du poids constat des services l exploitation et la maintenance des solutions de s curit LiVRE LI ANNIe Affectation du co t des activit s du Centre Technologique sur un service ad hoc Ici la logique est similaire mais s effectue en 2 temps e Dans un premier temps comme l ensemble des services MDS utilise des services de s curit nous cr ons un service g n rique S curisation du Sl qui consomme en direct 100 des co ts des activit s du Centre Technologique e Dans un second temps le service S curisation du Sl est d vers sur les services qui en b n ficient suivant le principe de la r partition au prorata expliqu ci dessus INFSEC Acquisition de mat riels et logiciels de 100 des co ts sur le service s curit S curisation du SI EXPSEC Exploitation et administration des 100 des co ts sur le service logiciels et mat riels de s curit S curisation du SI Cette m thode est privil gi e car elle permet de mat rialiser les consommations d activit du Centre Technologique mais galement de tous les autres Centres Technologiques Il est par exemple possible d imputer les consommations de stockage de serveurs etc au service S curisation du SI serveurs stockages li s aux annuaires d entreprise par exemple et d obtenir ainsi son co t complet avant r partition sur les services factur s aux
28. des de quoi En termes de communication financi re il faut rester vigilant bien poser les modalit s d interpr tation des montants Par exemple il est fr quent de communiquer implicitement sur le budget total Build et Run d une DSI en vue P amp L mais d exprimer la partie portefeuille de projet en vue Cash out Or en agissant ainsi le total du Build et du Run ne sont pas gaux au montant total du budget En effet on comptabilise les actifs immobilis s y compris les projets en vision Cash Out et les amortissements de ces actifs en vision P amp L Ces d tails prennent toute leur importance au regard de certaines tudes de ROI qui m langent sans discernement les diff rentes visions financi res LiVRE LI ANNIe Coh rence avec l approche ABC Particuli rement dans le p rim tre de la Production informatique la mesure et le pilotage des co ts constituent un exercice rendu difficile par la quote part tr s importante des co ts indirects Les services rendus s appuient en effet sur des infrastructures que les volutions technologiques et les contraintes conomiques conduisent mutualiser et consolider Les t ches d exploitation et d administration de ces infrastructures se trouvent donc elles m mes mutualis es entre les services Les charges financi res correspondantes constituent ce titre des co ts mutualis s qu il est difficile voire impossible d affecter directement des services A titre d exemp
29. disparu l tage des activit s Aussi nous pr conisons de passer syst matiquement par une activit m me dans le cas d affectation de charges directes afin de disposer du m me montant total entre les ressources les activit s et les services L affectation des charges directes s appuie sur l activit ACQPRO Acquisition progiciel du mod le CIGREF Ainsi pour reprendre l exemple d un progiciel m tier les charges seront imput es l activit ACQPRO puis au service utilisant le progiciel L inducteur de l activit tant en K par service il convient de pr ciser le service concern en plus de l activit lors de l analyse de la d pense Interdiction de consommation d une activit par d autres activit s Conceptuellement ilest correct d affirmer que les activit s d un Centre Technologique consomment des activit s d autres Centres Technologiques Par exemple les bases de donn es consomment des serveurs et du stockage Pour repr senter ce comportement il semble a priori logique de faire des imputations de co ts d activit sur d autres activit s LiVRE LI ANNIe Cependant il est pr conis d viter autant que possible les consommations d activit s par d autres activit s pour am liorer la lisibilit et la compr hension du mod le En effet si ces consommations sont autoris es le mod le conomique peut comporter des consommations crois es et r cursives entres activit s Par exemple la s
30. donn es et des consommations serveur des autres composants de chaque service IHM traitement etc Le m me raisonnement peut tre conduit pour le stockage la sauvegarde etc Ce m canisme permet d obtenir le co t complet des prestations sans pour autant mettre en uvre de transferts crois s entre activit s IL faut bien comprendre que les consommations d activit activit sont prises en compte cependant elles transitent via l activit consommatrice et tombent directement sur le service L avantage de cette m thode est d viter les consommations crois es Sa limite est de ne pas afficher un co t complet au niveau de l activit dans notre exemple nous n avons pas les co ts serveur consomm s par l activit SGBD mais uniquement au niveau du service Voici ci dessous un exemple illustrant la consommation serveur stockage et espace disque d un SGBD affect en direct un service nation Serveur per SGBD Onducteur Gr ur Inducteurs SGBO affect s directement au tervice Comommationstoctage pa le y serae omommationsavegar de par Ind cteurs consomm es par le service Figure 1 Consommation de Centres Technologiques Centre Technologique via Le service Inducteurs d activit s INFBDD Infrastructures de syst mes de gestion Nombre de moteurs de bases de donn es de bases de donn es EXPBDD Exploitation et administration des bases Nombre de moteurs de bases de donn es de donn es L
31. e outils d analyse de code e outils de tests de charge e etc Ce Centre Technologique regroupe les logiciels sp cifiques aux environnements de d veloppement de tests et de recette ainsi que les charges de personnel li es la gestion de ces logiciels La mise disposition d un environnement de d veloppement et tests constitue un service technique mis disposition des quipes en charge des d veloppements et des tests Un tel service technique PFDT Plate Forme de D veloppement et Tests consomme de ce fait les activit s du pr sent Centre Technologique mais aussi une quote part des Centres Technologiques relatifs aux technologies utilis es par les plates formes de d veloppement et tests Le sch ma ci dessous pr sente ce principe de consommation Activit s du centre Technologique Windows Linux Activit s du centre Technologique m D AA a Projets m tiers Activit s du centre R partitio Technologique i entre projets R seau Data Service et technique maintenance PFOT H corrective Activit s du centre Technologique Secccccccccco Applications Bases de donn es Centre technologique Environnements de d veloppement et tests 3 Activit s du Centre Technologique Logiciels de d veloppement tests et recette ty r Sois Correspondance INFENV Licences Co ts d acquisition et de MDS GESENV des logiciels maintenance des logiciels
32. infrastructures Outils antivirus install s sur les postes de travail Les ressources qui concernent les outils de s curit install s sur les postes de travail tombent dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs Equipements pour le plan de secours informatique Les ressources et quipements d di s au plan de continuit d entreprise PRA ou PSI plan de secours informatique tombent dans les Centres Technologiques concern s serveurs Unix dans le Centre Technologique 08 Unix propri taires robotiques de bandes dans le Centre Technologique 05 Stockage etc Le PRA ou PSI selon la d signation n est pas une activit mais un service particulier cr au catalogue de services qui permet d imputer les co ts de ces quipements via les consommations d inducteurs des activit s Ceci permet de valoriser le service Plan de secours et de le reventiler sur les services qui en b n ficient si n cessaire H bergement La s curit des b timents d h bergement services de gardiennage surveillance vid o surveillance syst mes de contr le d acc s etc rel ve du Centre Technologique 01 H bergement Fonctions RSSI Par d faut nous proposons d inclure les fonctions de s curit du syst me d information avec les fonctions de s curit des syst mes informatiques car elles partagent les m mes r gles de r partition et de ce fait cela r duit le nombre d activit s du mod le Cependan
33. la bureautique le poste de travail les smartphones etc La mise disposition de services MDS se comprend comme la part des services accessibles distance travers un r seau alors que la partie bureautique BUR se compose de l ensemble des ressources proximit imm diate de l utilisateur L existence de ces 2 familles de processus a pour objectif de diff rencier la nature des co ts selon une double vision variable r current Les co ts de Run sont dit r currents car difficilement arbitrables si l on veut assurer la continuit des services tandis que les co ts de Build sont par nature arbitrables en d cidant de faire ou ne pas faire certains projets Mise Bureautique disposition des service Projets Projets Techniques M tiers Figure 2 Mod le de processus du Cigref LiVRE 1 ANNIe L ind pendance du mod le d activit s vis vis de l organisation prend ici toute son importance En effet on a souvent tendance assimiler les co ts de Run aux co ts de la Production informatique et Les co ts de Build aux co ts des d partements tudes Ce d coupage s av re inexact car certaines activit s pouvant tre de la responsabilit de la Production sont troitement li es aux projets et l inverse d autres activit s relevant typiquement de la responsabilit des tudes se trouvent incluses dans les co ts Run Co t Production lt gt Co t Run Co t Etude lt gt Co t Build
34. le mod le d analyse des co ts du CRIP se distingue de celui du CIGREF en proposant non seulement des services pouvant tre destin s des clients m tiers comme dans le cas du mod le CIGREF mais aussi des services destin s des clients DSI lorsqu il s agit de services techniques La d finition pr cise de ce catalogue de services benchmarkables entre eux demandera une poursuite des travaux du CRIP sur ce sujet Une DSI ayant d j adopt le mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF pourra ainsi b n ficier des apports du mod le CRIP en termes d analyse et de r partition des co ts li s ses activit s de production 1 http www cigref fr cigref_publications RapportsContainer Parus2009 Analyse_et_benchmarking_des_co ts_informatiques_Cl GREF_2009 pdf PRINCIPES FONDATEURS DU MOD LE P rim tre couvert par Le mod le d analyse des co ts de La Production informatique Le mod le d analyse des co ts de la Production informatique du CRIP enrichit le mod le d activit s du CIGREF et l adapte aux sp cificit s des activit s de Production Pour rappel le mod le du Cigref identifie deux familles de processus e Les processus li s l volution la transformation du SI dits Build e Les processus li s l ex cution des services dits Run Le Build regroupe les projets m tiers et techniques Le Run regroupe la mise disposition des applications et de
35. naturel de raisonner en termes de flux d caiss s l image de ce qui sort d un porte monnaie Dans cette optique le montant du projet sera gal la somme des JH valoris s en K auxquels s ajoutent si n cessaire les acquisitions mat rielles et logicielles sp cifiques au projet Cette vision ne correspond pas forc ment la vision comptable des choses En effet l application fruit du projet X peut tre assimilable un actif immobilis et amorti sur plusieurs ann es Dans ce cas le principe d exactitude de la comptabilit nous contraint extourner les charges du projet en production immobilis e Concr tement iln y a plus de charges li es ce projet car tout est bascul en actif En vue compte de r sultat P amp L Le projet n est pas valoris Au mieux aura t on des amortissements de cet actif qui seront imput s sur l application donc sur le RUN Dans cette situation en examinant les co ts dans une vue compte de r sultat il peut devenir compliqu d expliquer que le projet X n a rien co t Et pourtant Voici en r sum les 3 valorisations possibles retenues dans le mod le d analyse des co ts de la Production LiVRE LI ANNIe Vue Opex Les co ts Opex Operating expenses par opposition au Capex capital expenses investissement repr sentent les co ts de fonctionnement La valorisation des activit s et des services s effectue en ne prenant en compte que les charges li es au
36. ne sont pas mobilis es elles ne consomment pas de ressources pas de prise d appels pas de diagnostic etc IL convient donc dans la mesure du possible d exclure de SUPNIT tous les tickets pris en charge directement par le pilotage et d inclure dans le Centre Technologique 17 Supervision et pilotage le co t des t ches de r solution d incident ou de contournement de l incident assur par le pilotage Attention La supervisionet le pilotage des l ments sp cifiques et d di s aux autres Centres Technologiques 04 T l phonie 02 R seau Data LAN datacenter 07 Mainframe etc sont port s par ces Centres Technologiques et sont donc hors du p rim tre du Centre Technologique 17 Supervision et pilotage 3 Activit s du Centre Technologique Supervision et pilotage Air A saai Correspondance INFPIL Infrastructures de Co ts d acquisition et EXPDIS et EXPMAI surveillance et pilotage de maintenance des mat riels et logiciels de supervision et de pilotage EXPPIL Supervision et pilotage Activit s des quipes EXPDIS et assurant la supervision EXPMAI et Le pilotage du SI LiVRE LI ANNIe 4 Inducteurs d activit s INFPIL Co ts d acquisition et de maintenance des Nombre de traitements ordonnanc s mat riels et logiciels de supervision et de ou nombre de jobs de surveillance pilotage ou nombre de traitements nombre de jobs de surveillance EXPPIL Activit s des quipes assurant la Nombre de traitements o
37. que ce document se focalise essentiellement sur les Centres Technologiques donc les centres principaux il ne faut pas perdre de vue qu ils ne composent pas la totalit des co ts Le mod le conomique qui a pour objectif de d terminer le co t complet des prestations prend en compte tout Le p rim tre de charges imputable au RUN m me si l origine en est ext rieure la Production informatique cas de la maintenance corrective ou encore des amortissements de projets Pour une description exhaustive des activit s d une DSI il conviendra donc de compl ter le p rim tre du r f rentiel d activit s CRIP et ses Centres Technologiques par p rim tre du mod le du CIGREF qui d taille plus largement les activit s compl mentaires celles des centres technologiques Liste des Centres Technologiques Nous avons d fini 21 Centres Technologiques dans lesquels il est possible de ventiler les activit s de Production informatique sachant qu il existe aussi des activit s transverses le support par exemple que nous n avons pas inclus ici Chaque centre technologique porte un num ro d attribution arbitraire et un trigramme e CT 01 HEB H bergement e CT 02 RDL R seau Data LAN e CT 03 RDM R seau Data MAN et WAN e CT 04 TEL T l phonie e CT 05 STO Stockage SAN et NAS e CT 06 SAU Sauvegarde et Archivage e CT 07 MAI Mainframe e CT 08 UNI Unix propri taires e CT 09 WLI Windows Linux Virtualisation x64
38. retenue les pertes peuvent tre plus au moins importantes par exemple en RAID 5 7 1 la perte est de 1 8 Mais fort de ces pr cautions nous obtenons un co t de revient du Go utile qui tient compte des options de s curisation choisies LiVRE I ANNIe 06 FicheduCentre Technologique SAU Sauvegarde Archivage Restauration 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des infrastructures mat rielles et logicielles et des ressources humaines li es l acquisition et l exploitation des solutions de gestion des sauvegardes restaurations et de l archivage des donn es informatiques hors archivage l gal 2 P rim tre du Centre Technologique Sauvegarde Archivage Restauration Ce Centre Technologique inclut les charges li es la mise en place des politiques de sauvegarde restauration backup des donn es et d archivage Ce Centre Technologique inclut donc Pour les mat riels e Les lecteurs de bandes e La robotique et extensions associ es e Les consommables bandes cartouches K7 etc e Les cartouches de nettoyage e La connectique lecteurs de bandes e Les baies de disques d di es la sauvegarde sur disque e La technologie VTL e Les tag res de rangement des cartouches Pour les logiciels e Les logiciels de sauvegarde archivage serveur e Les Logiciels de gestion du VTL e Les logiciels pour la gestion des robotiques exemple partage de lecte
39. s curit n A o ne nn ae no ee ee Sn nt ne o OCR HR a M m e men m m P Tables a R a EE A a S aE T l phones fixes e et t mobiles smartphones a o ne A T l phones PC POTS E S E A T E AE Terminaux clients l gers Terminaux sp cialis s terminaux industriels amp d entrep ts caisses sous l diff rents OS Windows Mac Linux oS sp cialis s pour les terminaux industriels Traitement des incidents de s curit forensic enqu te de recherche dep preuves identification de l attaque et mise en uvre des mesures de protection ad quates identification des dommages et remise en tat des syst mes Unix propri taires Unio x86 Solaris BSD a i Vid o surveillance de salles informatiques 1 Datacenters o Virtualisation du stockage logique et physique p Teen P AEAEE E A E A Visualisation de donn es o er o Wan A Windows Server z 0S ANNEXE 3 IMPUTATION RATIONNELLE DES CHARGES Contexte de nombreuses reprises durant les r unions du Groupe de Travail Analyse des Co ts les m mes remarques et interrogations sont apparues Comment justifier nos investissements face des fournisseurs qui proposent une facturation la consommation Comment refacturer les premiers clients quitablement sans leur faire subir les co ts des investissements Comment dimensionner correctement mon infrastructure par exemple Cloud pour absorber l accroissement de capacit mais sans faire exploser ma st
40. trait s dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs 5 Le r seau LAN Campus est trait par l activit INFBUR dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs 3 Activit s du Centre Technologique T l phonie nr R R Correspondance INFTEF Infrastructure Co ts d acquisition et de t l phonie fixe maintenance des services de t l phonie fixe liens quipements et logiciels de supervision administration et facturation correspondants ACGRVO INFTEM Infrastructure Co ts d acquisition et de ACQRVO t l phonie mobile maintenance des services de t l phonie mobile abonnements et logiciels de supervision administration et facturation correspondants EXPTEF Exploitation de la Op rations humaines entrant ACQRVO t l phonie fixe dans le cadre de la supervision administration facturation de la t l phonie fixe EXPTEM Exploitation de la Op rations humaines entrant ACQRVO t l phonie mobile dans le cadre de la supervision administration facturation de la t l phonie mobile 3 1 Limites et volutions possibles En t l phonie fixe traditionnelle le poste t l phonique est ind pendant du r seau LAN du b timent concern En t l phonie fixe sur IP g n ralement le poste de travail de l utilisateur sera connect derri re son poste t l phonique Au niveau de la r partition des co ts LAN Campus il va l avenir tre de plus en plus difficile de dissocier p
41. tre ici trait 3 Les infrastructures LAN ext rieures au datacenter en particulier celles qu on trouve dans les agences ou celles qui connectent les postes bureautiques sont trait es dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs LiVRE BIMAN 3 Activit s du Centre Technologique R seau Data LAN datacenter Oea r P Correspondance INFLDC Infrastructures Co ts d acquisition et MDS ACQRWA r seau LAN de maintenance des Datacenter quipements r seau et des logiciels associ s dont les outils de management des quipements s ils g rent uniquement les quipements concern s par le Centre Technologique permettant la mise en r seau des serveurs dans les salles informatiques datacenters EXPLDC Exploitation T ches li es MDS ACQRWA r seau LAN l administration et la Datacenter maintenance des r seaux locaux dans les salles informatiques datacenters incluant l alimentation des tableaux de bord de pilotage 3 1 Limites et volutions possibles Plusieurs g n rations de technologies Ethernet cohabitent parfois au sein des m mes salles informatiques pour servir des besoins de c ur de r seau backbone interne et de bordure par exemple ou pour mieux prendre en charge les besoins des plates formes de virtualisation forte densit de VMs Pour les entreprises administrations qui poss dent dans leur s datacenters s la fois de l Ethernet Gbit et du 10 Gbits il est possi
42. une volum trie de disques hautes performances redond e e des sauvegardes r guli res et l acc s autant d op rations de restauration que d sir avec des retours arri re s tendant sur un mois e l inclusion dans un PRA avec des exercices de bascule programm s trimestriellement Si nous comparons ce service avec une offre Cloud alternative disposons nous des m mes fonctionnalit s Si non quel est le co t marginal des fonctionnalit s manquantes LiVRE I ANNIe La distinction Capex Opex n est pas essentielle dans la m thode d analyse des co ts du CRIP car elle n est que la mat rialisation comptable d un d caissement soit en charge soit en actif Nous consid rons qu il est plus important de mesurer l impact de la prise en compte des dotations aux amortissements des actifs et plus globalement des charges fixes dans la structure de co ts En effet dans une optique de performance conomique il convient de surveiller le niveau des charges fixes sachant que la rentabilit conomique est plus vite atteinte des lorsque les charges fixes sont couvertes Ceci peut se traduire par un mode de financement diff rent par exemple un leasing ou une ren gociation des contrats pour adopter une facturation plus modulaire tout en gardant la propri t de ses infrastructures Le d caissement en Capex ou en Opex impacte la tr sorerie et c est ce point qui est Le plus souvent sensible caril touche la viabilit de l ent
43. vid o surveillance syst mes de contr le d acc s etc Ce Centre Technologique inclut aussi les gestes de proximit Il s agit d op rations r alis es sur site lors de la pr paration de la mise en production des quipements informatiques ou dans le cadre de leur MCO maintien en condition op rationnelle e r ception des quipements e d placement et installation des quipements e raccordement r seaux et t l coms brassages fibres et cuivre e raccordement SAN stockage et sauvegarde brassage fibres e raccordement lectrique des quipements extension de capacit s lectriques rajout de PDU e entretien et nettoyage Les gestes de proximit comprennent galement les op rations de contr le visuel des quipements sous pilotage des exploitants distance ainsi que les arr ts lectriques des quipements reboot lectrique Le personnel est pr sent sur site selon des plages horaires et des modalit s variables 5 6 ou 7 jours par semaine en heures ouvr es seulement en horaires tendus par exemple 7h 22h ou 24h 24 avec ou sans astreintes de 30 minutes du site d h bergement 3 Activit s du Centre Technologique H bergement mae Correspondance INFHEB Infrastructures d h bergement Co ts d acquisition ou de location et de maintenance des salles informatiques et des quipements contribuant l h bergement b timents force climatisation c blage sondes GTC
44. volume total disponible l cart correspondant une r serve de capacit e IL est alors pertinent de d finir un service technique r serve de capacit stockage auquel sera affect Le volume de stockage disponible Cela permet ainsi de conna tre le co t des r serves de capacit e Ce service r serve de capacit stockage pourra ensuite est r parti sur les services applicatifs par exemple au prorata des volumes de stockage utilis s par les diff rents services applicatifs Services g n riques L utilisation de l activit ACQPRO cf paragraphe Imputation des charges d di es un service ci avant est utile pour affecter des ressources qui concernent certains services g n riques au sens o ils sont communs la plupart des entreprises Ainsi en est il des services de e La messagerie d entreprise e des applications et partages bureautiques e des serveurs d impressions e etc L ajout de ces services au catalogue permet leur valorisation travers la consommation d inducteurs des activit s des Centres Technologiques les serveurs le stockage les sauvegardes etc et par l utilisation de l activit ACQPRO pour y imputer les charges directes co ts des licences du serveur de messagerie par exemple Nous obtenons un co t complet de ces services qu il est possible ensuite de r int grer dans le co t du poste de travail si on souhaite calculer un TCO incluant ces services Un mod le d
45. 064 297 2 881 231 000 00 E 6291456 037 2324000 2162000 93 03 1074931 2910017 000 00 Les charges variables sont valu es au regard du nombre d ETP n cessaire pour un taux d occupation donn Ainsi pour 2 Po sur les 10 maximum soit 20 d occupation on exploite approximativement 4 000 LUNs pour lesquelles il faut donc 2 ETPSs soit la somme de 4 500 x 2 9 000 x 2 27 000 etc Constats 1 Pour 2Po vendus au prix de 0 37 le Go on n atteint pas le CAC le montant du CA 774 k reste inf rieur au CAC 1 036 112 IL faut facturer 2 67 Po pour atteindre l quilibre 2 Le taux de marge sur co t variable fluctue passant de 96 5 93 Ceci montre que les charges variables ont en r alit un comportement semi variable d au fait que dans cet exemple les volutions du nombre d ETP se font par saut d une unit on compte 1 2 3 ETP Dans la r alit une charge n est pas compl tement fixe ou variable Tout du moins son seuil de variabilit d pend du niveau d observation choisi Le tableau nous donne les chiffres d affaire et les marges envisageable CA CAC en fonction des volum tries factur es Point mort On appelle point mort est la date laquelle le seuil de rentabilit est atteint IL s exprime en jour o en mois Le point mort se calcule ainsi Point mort annuel CAC CA 365 Dans notre exemple le point mort en nombre de jour est respectivement de Vol en Po Marg
46. 7 Fiche du Centre Technologique PIL Supervision et pilotage 100 18 Fiche du Centre Technologique DEC D cisionnel BI 103 19 Fiche du Centre Technologique DTR Logiciels de d veloppement tests et recette 108 20 Fiche du Centre Technologique OPM Outils de partage mutualis s 110 21 Fiche Centre Technologique GED GED d mat rialisation archivage l gal 112 Annexe 2 Index Activit s Ressources Centres Technologiques 116 Annexe 3 Imputation rationnelle des charges 123 Contexte 123 Co t de revient du Go sans imputation rationnelle 126 Co t de revient avec imputation rationnelle 127 D termination du seuil de rentabilit 129 Conclusion 132 A propos du CRiP 134 Synthese LiVRE BIIAN Ce livre blanc a pour objectif d aider les entreprises et administrations am liorer la ma trise des co ts des Infrastructures et de la Production informatique Les syst mes de production ont jusque l rarement fait l objet d analyses fines des co ts pour de multiples raisons la plus vidente tant la complexit d gager des couts analytiques de services bas s sur des ressources de plus en plus mutualis es Ce livre blanc propose donc un mod le d analyse des co ts de la Production compos d un descriptif g n ral du mod le qui en est aussi le mode d emploi et d une annexe sp cifiant Les 21 Centres Technologiques propos s pour sa mise en uvre Ce Document s adresse aux responsables de production directeurs techniques CT
47. A GDF SUEZ CASINO INFORMATION TECHNOLOGY GROUPAMA SUPPORT ET SERVICES COFACE BOUYGUES TELECOM STIME LES MOUSQUETAIRES INFORMATIQUE CDC Coordination et assistance ditoriale Renaud Bonnet CRIP INTRODUCTION Objectif du mod le Dans un contexte conomique difficile marqu par des budgets en r duction ou constants pour un p rim tre en extension exemple augmentation du patrimoine applicatif les directions informatiques doivent plus que jamais justifier les moyens financiers qui leurs sont allou s Cette pression sur les budgets se l gitime en partie par un fait il reste souvent difficile d appr hender correctement l usage qu une DSI fait des moyens financiers qui lui sont allou s En cons quence elle est g n ralement per ue comme un centre de co t on identifie bien son budget total mais on comprend plus difficilement l utilisation de ce budget Le paradoxe de Solow perdure il n a rien perdu de son actualit Face des m tiers qui n ont pas de scrupules challenger la DSI voire la court circuiter via les offres Cloud par exemple il devient urgent de l gitimer de fa on d taill e ses moyens financiers D un centre de co t les DSI ont amorc leur transformation en un centre de services Le mod le d analyse des co ts du CRIP contribue cette transformation sur une approche partag e Il permet e de comprendre l allocation des ressources vers les diff rentes technologies et process
48. BX IP Param trage de logiciels de s curit dans le cadre de l exploitation courante volution des r gles sur les pare feu affinage de listes anti spam mise jour de listes sur filtrage web etc Pare feu P riph riq es directement d p ndants de la fonction b reauti oi ou di p ste de travail concern hors imprimantes amp scanners Pilotage PIL Plates formes des supervision n WAN MAN Prestations t l coms WAN MAN Production de tableaux de bord relatifs La bonne r mise en uvre e de la politique de s curit Profiling de donn es Raccordement SAN en sall inforimatig e Datacenter B FO me a ER NRTA E E E E E Raccordements ERDF des salles informatiques Datacenters 7 o ERDF a oo l o ERE E ERE E E A EEE Ra rdements r seaux et t l s en salles itormatigues Datac nt rs Reboot en salle informatique Datacenters R d lles inf R plication du stockage Requ teurs R seaux de stockage SAN R seaux s socia ux d l entreprise o Reva i TER Mai 2 z EEEE EEE E E E EEE E EAE E EAEE Rob tiques de band s Robots de disques optiques pour archivage l gal Routeurs d acc s au MAN et au WAN Salles de visioconf rence nie d acquisition de masse sde des Scanners bureautiques partag s Scanners de volume pour GED A S curisation physique et logique des b timents informatiques Datacenters Serveurs de pr sentation Se
49. CTO Vice Pr sident du CRIP Patrick DURIEZ GROUPE CASINO CTO Vice Pr sident R mi GAS SOCIETE G N RALE CTO Vice Pr sident ex cutif Olivier HEITZ BOUYGUES TELECOM CTO Vice Pr sident Marc LIMODIN LA BANQUE POSTALE CTO Directeur de la Production Informatique Vice Pr sident Philippe LOPEZ THALES CTO Vice Pr sident Herv MAGNIER AEROPORTS DE PARIS CTO Vice Pr sident Philippe MICHON ALLIANZ CTO Vice Pr sident ric PARMELAND MINIST RE DE L DUCATION NATIONALE CTO Vice Pr sident Bruno PREVOST SAFRAN CTO Vice Pr sident ex cutif Thierry THOURON DANONE CTO Vice Pr sident ex cutif Lionel VERLAINE ORANGE CTO Vice Pr sident ex cutif Les Conseil d Administration est constitu de CTOs et de DSI Directeurs Infrastructures et Production Informatique de grandes entreprises et administrations fran aises lus pour un an lors de l Assembl e G n rale du CRiP La mission du Conseil d Administration est de fixer l orientation strat gique du CRiP et de valider le budget 135 service Livres Blancs amp Fiches Pratiques Chaque groupe de travail apporte une contri bution importante dans l laboration de do cuments de r f rence L analyse des enqu tes renseign es par les membres du CRiP permet de mesurer et d observer l volution des enjeux des CTOs et de leurs infrastructures En outre elle met en relief Les grandes ten dances li es aux principau
50. Cas des activit s de recette int gration Les activit s qui concourent in fine garantir l aptitude fonctionnelle et technique d une application qualification recette int gration et qui se trouvent souvent dans le p rim tre de responsabilit de la Production informatique sont en fait des activit s li es un projet IL n y a pas d int gration ni de recettes s il n y a pas de projet Par cons quent m me si l activit dite de Qualification Recette est assur e par des ressources de la Production il convient d associer cette activit un projet Un projet est une succession d activit s avant projet d veloppement pilotage etc et l activit recette int gration constitue bien une tape du projet C est donc bien une activit du Build Cas des activit s Run tudes A contrario certaines activit s assur es par des ressources venues des d partements tudes sont positionn es dans le RUN ce titre toutes Les activit s qui concourent au maintien en conditions op rationnelles MCO des applications et se trouvent assur es par des d partements tudes ou MOA AMOA ne sont pas des co ts de Build mais bien des co ts de Run On y trouve pour l essentiel la maintenance corrective mais aussi les activit s de soutien fonctionnel aux utilisateurs les travaux de suivi d exploitation de diagnostics et d analyse des incidents applicatifs TP et batchs Les activit s de MCO assur es par les d par
51. Club des Responsables P CR d Infrastructures et de Production Digital Technology amp nnovation L OBSERVATOIRE des Directeurs d Infrastructures et de Production Gouvernance Mod le d analyse des co ts de la Production EE EEE Groupe de travail Analyse des co ts du CRiP Juin 2013 CRiP Digital Technology amp nnovation LiVRERS1FANNS Sommaire Synth se executive summary 5 Remerciements 6 1 Introduction 7 Objectif du mod le 7 Origine du mod le la m thode ABC Activity Based Costing 8 Le mod le ABC de la production informatique 11 Positionnement et compl mentarit avec le mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF 12 2 Principes fondateurs du mod le 13 P rim tre couvert par le mod le d analyse des co ts de la production informatique 13 Cas des activit s de recette int gration 14 Cas des activit s run tudes 14 Cas du build production 14 Prise en compte des fonctions support 15 Vues financi res applicables au mod le 15 Des oui mais des de quoi 17 Coh rence avec l approche ABC 18 Les 4 tages du mod le 19 Allocation des co ts 22 Interdiction de consommation d une activit par d autres activit s 23 Un mod le de r f rence adapter 27 3 Les centres technologiques 28 Pr sentation des centres technologiques 28 Les activit s hors centres technologiques 29 Liste des centres technologiques 30 La structure des fiches de pr sentation d
52. E MUTEX NATIXIS NUMERICABLE OCDE OGF ORANGE FRANCE TELECOM PARROT PETROCI PIERRE FABRE PLASTIC OMNIUM PMU 140 POLE EMPLOI PREVOIR PRO BTP PSA PEUGEOT CITROEN PUBLICIS RATP RENAULT RESEAU CLUBS BOUYGUES TELECOM RESEAU FERRE DE FRANCE REZOPOLE RHODIA RIO TINTO RSI RTE SACEM SAFRAN SAINT GOBAIN SANOFI AVENTIS SCHLUMBERGER SCOR SERVIER SESAM VITALE SFR SI2M MALAKOFF MEDERIC SIMPLY MARKET SNCF SOCIETE GENERALE SODEXO SOMFY SPIE STADE DE FRANCE STEF STIME SUEZ ENVIRONNEMENT SUPERMARCHES MATCH SYNCHROTRON SOLEIL SYSTALIANS SYSTEM U TARKETT TECHNIP THALES THALES ALENIA SPACE TOTAL UNEO UNIBAIL RODAMCO UNION BANCAIRE PRIVEE UNIPREVOYANCE UNIVERSCIENCE U V NIVERSITE DE BORDEAUX ALLOUREC ENTE PRIVEE EOLIA ENVIRONNEMENT NCI AUTOROUTES NCI CONSTRUCTION VOLVO WABCO WOLTERS KLUWER FRANCE YVES ROCHER V V V V Rejoignez le R seau Social priv au service des m du CRiP Disponible sur O App Store TE Www crip asso fr Mutations de UIT pou lEn e Digitale 18819 ui uin 2013 CONFERENCES C TOLOIOLOLOLOLOLO LOOR T Profiter de l exp rience de ses pairs Discussions r seau social Base Projets 18 groupes de Travail R unions Flash Base prestataires de confiance Acc der une information de la vraie vie et veille technologique Livres Blancs Fiches Pratiques
53. INFUNI Infrastructures Co ts d acquisition ACQUNI mat rielles et logicielles location et de acquisition Unix Unix propri taires maintenance des machines physiques OS et logiciels sp cifiques la plate forme EXPUNI Exploitation et Moyens humains li s au MDS EXPDIS administration des MCO de la plateforme machines logiciels et mat rielle des OS et OS Unix propri taires des logiciels sp cifiques la plate forme 3 1 Limites et volutions possibles Par d faut ce Centre Technologique agr ge les co ts de fonctionnement Unix sans distinction des familles de serveur Les serveurs Unix peuvent tre class s selon 3 cat gories bas es sur le co t d acquisition des serveurs mat riels selon le principe des price bands e entry level ER moins de 25 000 dollars US e midrange MR 25 000 250 000 dollars US e high end HR plus de 250 000 dollars US Sans cette distinction le co t unitaire d acquisition et d exploitation des serveurs Unix peut recouvrir de larges disparit s entre un serveur entr e de gamme et un serveur haut de gamme plus le serveur est haut de gamme et plus le co t unitaire de l inducteur risque d tre lev IL est donc possible selon son degr de maturit de classer les serveurs Unix selon ces 3 familles et donc de cr er 3 activit s d acquisition distinctes en remplacement de l activit unique INFUNI e INFUNIa Serveurs Unix propri taires entry level entr e
54. IT AGRICOLE CIB CREDIT AGRICOLE S A CREDIT AGRICOLE SILCA CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE CREDIT MUTUEL ARKEA DAHER DAMART DANONE DARTY DARVA DASSAULT SYST MES DCNS DECATHLON EKRA EXIA GDDI GSI ETAT DE GENEVE LA RECTION DE L AVIATION CIVILE SIC SNEYLAND DNSCE EAU DE PARIS EDF EIFFAGE ELIOR ERAMET ERDF ESSILOR ETAM EUROMASTER EUROPCAR FDJ FNAC FONDS DE GARANTIE FRANCE TELEVISIONS GALEC LECLERC GCS D SISIF GDF SUEZ EMALTO ENDARMERIE NATIONALE ENERALI EODIS E PROD PS VAUDAN MF ASSURANCES RAS SAVOYE ROUPAMA SUPPORT amp ERVICES ROUPE CHARLES ANDRE CATRANS RT GAZ HEINEKEN I BP D D D D D D D D OO OOGOQOGONOOGOG IFPEN IMPRIMERIE NATIONALE INA INRA INRIA INSERM INSTITUT NATIONAL DU CANCER INTER MUTUELLES ASSISTANCE INVIVO IRSN ISS KEOLIS KIABI KPMG LUXEMBOURG LA BANQUE POSTALE LA POSTE DIRECTION DU COURRIER LA POSTE DSI CENTRALE LACTALIS LAFARGE LATECOERE LOMBARD ODIER L OREAL LVMH MAAF MACIF MACSF MAF ASSURANCES MAIF MANE amp FILS MANPOWER MATMUT MEETIC METEO FRANCE MICHELIN MINISTERE DE LA DEFENSE MINISTERE DE LA JUSTICE MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE MINISTERE DE L INTERIEUR MINISTERE DU DEVELOPPEMENT DURABLE MIPIH Midi Picardie informatique Hospital re MONDIAL ASSISTANCE MSA AGORA MUREX MUSEE NATIONALE D HISTOIRE NATURELL
55. Itanium et Solaris sur SPARC ce Centre Technologique regroupe galement les co ts li s l acquisition et l exploitation des logiciels sp cifiques ces plateformes 2 P rim tre du Centre Technologique Unix propri taires Ce Centre Technologique regroupe les serveurs mat riels exploit s sous Unix propri taires pour plateformes IBM HP Sun et autres Unix propri taires de fa on pouvoir disposer d un prix de revient complet Il int gre galement les logiciels suivants dans la mesure o ils sont exclusivement d di s Unix e Les OS AIX HP UX Solaris autres Unix propri taires e Les outils de virtualisation Unix propri taires e Les logiciels d administration supervision monitoring si non sp cifiques Unix rapporter en Centre Technologique 17 Supervision et pilotage e Les outils d ordonnancement si non sp cifiques Unix rapporter en Centre Technologique 17 Supervision et pilotage e Les couches logicielles r seaux si non sp cifiques Unix rapporter en Centre Technologique 02 R seau Data LAN datacenter e les mat riels requis pour l exploitation des serveurs Unix tels que les commutateurs d cran clavier les racks non standards etc Attention Les distributions Linux ne sont pas comptabilis es dans ce Centre Technologique Elles le sont dans le Centre Technologique 09 Windows Linux 3 Activit s du Centre Technologique Unix propri taires Correspondance
56. LU Exploitation et T ches li es MDS EXPDIS administration des l administration technologies flux la maintenance et l exploitation des solutions d change en mode flux 3 1 Limites et volutions possibles Pour plus de facilit il peut tre souhaitable de fusionner ce Centre Technologique avec le Centre Technologique 15 Middlewares applicatifs lorsque ces deux activit s sont difficilement diff rentiables ou lorsque la quantit d changes en mode flux reste limit e Une distinction entre les changes internes ou externes peut tre envisag e si les outils utilis s et les niveaux de s curit souhait s sont diff rents et si les co ts inh rents chaque type d change sont identifiables Dans le cas d utilisation de plusieurs protocoles avec diff rents diteurs il peut tre envisag de cr er des sous activit s par technologie d change d s lors que les co ts propres chaque sous activit sont facilement isolables 4 Inducteurs d activit s De par les diff rentes technologies qui peuvent tre impl ment es dans ce Centre Technologique il convient comme pour le Centre Technologique 15 Middlewares applicatifs de trouver le meilleur compromis entre simplicit et pr cision des co ts de revient des services Le fait de disposer d une solution centralis e distribu e ou autonome peut engendrer des co ts de services bien diff rents Les diff rentes solutions existantes peuvent mettre en uvr
57. Os managers technico financiers contr leurs de gestion travaillant dans des services de Production et int ressera aussi les personnes qui travaillent sur les catalogues de services ou les probl mes de refacturation IL a t labor par une quarantaine de professionnels des Infrastructures et de la Production repr sentant autant d entreprises adh rentes au CRIP Ces entreprises sont souvent aussi adh rentes au CIGREF qui en 2009 a produit un mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques que ce livre blanc approfondit sur le p rim tre des m tiers et activit s du CRIP Cette premi re version se veut perfectible Elle r sulte d une approche agnostique et a vocation s enrichir des retours d exp riences des entreprises qui se lanceront dans le d ploiement de ce mod le dans les ann es venir ce qui permettra d ajuster certains choix et d adapter ce travail l volution des mod les conomiques impos e par un environnement en mouvement rapide En esp rant que cette lecture sera b n fique vos organisations Remerciements Le Groupe de Travail Analyse des co ts du CRiP a t pilot et anim par SAUGY Sasun MINISTERE DE L CONOMIE ET DES FINANCES ARCHAMBAULT Thierry CNP ASSURANCES TREYER Joachim Thierry ARCHAMBAULT et Joachim TREYER ont crit l essentiel du document de r f rence Joachim nous a aussi apport l expertise du mod le CIGREF pour assurer la coh rence entre les travaux des
58. SPEC cf Le site www spec org uWLl pour plus d explications cf Centre Technologique 09 Windows Linux Explication sur l unit de puissance uWLI Limites et volutions Pour faire au plus simple il est possible d affecter lin airement les unit s de puissance des serveurs sur les services h berg s Ainsi pour une machine de puissance 100 si 2 services sont h berg s chacune est affect e de 50 unit s Dans ce cas on ne tient pas compte de la consommation CPU par service sur la p riode de facturation Ceci est justifi par le fait que le co t d acquisition d un serveur Unix n est pas corr l l intensit de son usage e Qu un serveur soit utilis 0 ou 100 sur la p riode de facturation les co ts Unix ne changent pas ils ne sont pas index s sur la consommation du serveur e Les co ts d acquisition du serveur sont fixes vis vis de son usage Cependant le prix d un serveur tant d pendant du nombre de cores et de la taille m moire il est aussi possible de variabiliser la facturation des serveurs en fonction de la puissance du serveur et de l intensit de La consommation par exemple CPU du serveur par chaque service h berg Ce principe de facturation prend en compte l allocation de ressources maximum r serv es par service lors du sizing du serveur en nombre de cores et taille m moire principe d autant plus vrai avec l usage des VMs o on r serve des capacit s de traitement un serv
59. VMs on aura 25 unit s de puissance par VM LiVRE LI ANNIe 4 Inducteurs d activit s INFUNI Infrastructures mat rielles Nombre de TPMC ou SPECint ou SMIPS logicielles et OS Omnivision Systar ou uWLI cf Centre Technologique 09 Windows Linux EXPUNI Exploitation des infrastructures Nombre d OS mat rielles logicielles et OS Explication sur l unit de puissance Il est propos de r partir les co ts d acquisition INFUNI au prorata de la puissance des serveurs L id e est d utiliser une unit de mesure de la puissance des serveurs et de calculer le poids relatif des serveurs en du total des unit s de puissance du parc install Propositions d unit de puissance TPMC cette unit de puissance transactionnelle d finie par le Transactional Performance Council mesure les ressources serveur consomm es par les services m tiers ou logiciels d exploitation Chaque machine a ses caract ristiques permettant de convertir la puissance CPU en TPMC cf Le site www tpc org SMIPS unit de mesure de puissance d finie par Systar et mesur e par ses outils Omnivision La m thode de calcul de cette unit reste la seule propri t de Systar qui ne la rend pas publique SPECint le SPECint est une unit informatique de mesure de performance de calcul sur des entiers d finie et maintenue au sein du Standard Performance Evaluation Corporation SPEC Le SPECint est un des composants d une batterie de tests du
60. a ressource est sp cifique une technologie il convient alors de l imputer en totalit sur le Centre Technologique en question Par exemple dans le cas d un produit de supervision de serveurs Unix seul le Centre Technologique Unix UPR sera concern sinon il convient de l affecter au Centre Technologique Pilotage PIL Dans le cas d un logiciel de chiffrement de disques durs pour les postes de travail les co ts seront imput s en direct sur le Centre Technologique Environnement de Travail Utilisateur ETU Dans le cas de co ts logiciels portant sur la s curisation du S I comme par exemple des annuaires d entreprise cross technologies le Centre Technologique S curit SEC est concern Imputation des charges d di es un service Certaines ressources ne concernent aucune activit associ e un Centre Technologique tel est Le cas par exemple d un progiciel choisi par un m tier et dont les co ts sont support s par la DSI L ensemble des charges de ce progiciel est direct l application qui l utilise La solution de simplicit consiste affecter directement Les montants l application en court circuitant les activit s Ce principe est valide dans une approche acad mique de la m thode ABC elle a cependant un d faut le montant des ressources est gal aux montants des services mais pas aux montants des activit s ce qui ne facilite pas la compr hension du mod le car cela donne l impression que des euros ont
61. activit et les centres technologiques ne sont videmment pas dogmatiquement fix s et chacun pourra loisir Les simplifier ou au contraire les affiner mais il se veut un point de r f rence un mod le pivot facilitant les d marches ABC les analyses et Les comparaisons LiVRE I ANNIe Ce mod le propose galement quelques r flexions sur la mise en place d un catalogue de services qui reste un objet sp cifique chaque organisation Positionnement et compl mentarit avec le mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF Le mod le d analyse des co ts de Production du CRIP s inscrit en parfaite coh rence avec le mod le d analyse et benchmarking des co ts informatiques du CIGREF cf fig ci dessus dont il reprend les principes et la structure g n rale L ambition du mod le d analyse des co ts de Production du CRIP consiste approfondir le mod le du CIGREF sur le p rim tre sp cifique la Production IT selon deux axes principaux e Un raffinement du mod le d activit s concernant le volet Run afin de traiter efficacement la structuration de la Production en diff rentes technologies Ce raffinement se fait via le concept de Centres Technologiques qui sera d velopp dans ce Livre blanc e L esquisse d un mod le de catalogue de services techniques g n riques visant permettre diff rentes Directions de la Production de se comparer entre elles ce titre
62. activit s permettant d allouer les ressources directement sur les bonnes activit s et distinguant ainsi les co ts des logiciels pour machines physiques de ceux pour machines virtuelles Le prix des licences tant diff rent nous pouvons imputer les ressources Datacenter sur une activit Windows virtualis et les licences Enterprise sur une activit Windows physique Ce principe s applique l identique pour Linux Le mod le se voit dans ce cas enrichi de 2 activit s suppl mentaires e INFWIN Co ts d acquisition des licences Windows pour machines physiques e INFWIV Co ts d acquisition des licences Windows pour machines virtuelles e INFLIN Co ts d acquisition des distributions Linux pour machines physiques e INFLIV Co ts d acquisition des distributions Linux pour machines virtuelles Cet clatement des activit s est bien s r li l tat du parc et aux enjeux financiers d pendant de la connaissance des co ts ce niveau d analyse fin Le d coupage en 5 activit s tel que propos ci dessus est suffisant pour une premi re mesure des co ts Le niveau plus fin permet une meilleure connaissance analytique des co ts en fonction des enjeux DSI 4 Inducteurs d activit s Ces inducteurs ne sont pas fig s dans le temps Ils doivent voluer r guli rement pour rendre compte en amont de l volution des technologies la virtualisation x86 n existait pas il y a 10 ans pas plus que l offre de serveurs Linux et e
63. ana lyste de renomm e mondiale et Pierre Audoin Consultants partenaires strat giques du CRiP ont pour ambition de fournir les cl s de compr hension des technologies et solutions des fournisseurs pr senter e leurs business cases e Les grandes tendances e le panorama des offres e et leurs traductions op rationnelles dans la vraie vie de l entreprise et des administrations Dans le cadre agnostique qui r git le CRiP ind pendance vis vis des fournisseurs l objectif est de permettre chacun de se forger une opinion en toute ind pendance valuer le business case les b n fices et effets de bords des mises en oeuvre travers les retours d exp rience pr sent s rencontrer ses pairs rencontrer les fournisseurs majeurs interroger les analystes de Forrester Research sur la maturit les grandes tendances et le panorama des offres Essentiels amp Executive Notes Depuis fin 2011 les CRiP Th matiques sont suivies par la publication de leurs synth ses les Essentiels distribu es l ensemble de la communaut du CRiP Enfin le CRiP publie r guli rement depuis d but 2012 des Executive Notes qui sont des synth ses de vulgarisation destination des dirigeants Elles ont pour objectif de pr senter de fa on synth tique et strat gique certains des grands th mes qui animent le domaine des Technologies de l information Au service des adherents 2 Se benc
64. ant plus probl matique pour les GIE qui ont l obligation de rester l quilibre facturation l euro l euro La m thode d imputation rationnelle consiste ne faire supporter au co t du service qu une partie des frais fixes proportionnelle une activit consid r e comme normale Pour illustrer la probl matique de l imputation des charges fixes sur le co t de revient prenons de nouveau l exemple d une infrastructure de stockage Supposons que nous avons pour une ann e d exploitation des baies de disques d une capacit maximum de 10 Po Les co ts suivants INFSTO 1 million d euros qui se composent 33 des co ts d amortissement de l investissement pour un amortissement lin aire sur 3 ans des contrats de maintenance et des acquisitions diverses C est bien un montant P L qui est pris en compte car nous sommes dans une vue compte d exploitation En lissant cette charge sur 12 mois nous aboutissons donc un montant mensuel de 83 333 Pour simplifier nous consid rons que les baies sont fournies avec les 10 Po de disques Dans la r alit l augmentation des charges du stockage varierait plus certainement par saut au fur et mesure de l acquisition de disques suppl mentaires EXPSTO consid rons que les ressources d exploitation varient en fonction du nombre de LUN exploiter et qu un ETP poste charg 4 500 mois prenne en charge 2 500 LUN Dans cet exemple nous avons 1 million d eur
65. architecture existante sous une journ e d lai de mise en place d un nouvel quipement etc Pour les mat riels Les logiciels et Les contrats de support constructeur l inducteur d activit traditionnel est Le nombre de ports En r gle g n rale selon qu il s agit de ports physiques ou virtuels de ports 1 Gbit ou 10 Gbits Le co t du port varie L impact du Cloud sera analys au cas par cas Le pr requis la mise en uvre d un tel inducteur consiste disposer d un outil permettant de recenser de mani re quotidienne les ports actifs LiVRE I ANNIe 03 Fiche du Centre Technologique RDM R seau Data MAN WAN 1 D finition sommaire CeCentre Technologique regroupelesressources mat rielles logicielles ethumaines li es l acquisition et l exploitation des r seaux MAN m tropolitains et WAN r seaux tendus permettant d interconnecter b timents utilisateurs campus immeubles agences d p ts usines magasins etc et salles informatiques ou datacenters et de donner acc s au r seau global 2 P rim tre du Centre Technologique R seau Data MAN WAN Ce Centre Technologique permet le fonctionnement des r seaux MAN et WAN et leur pilotage de rares exceptions pr s la mise en uvre de ces r seaux n cessite la souscription de liens num riques aupr s d un op rateur de t l communications national ou international Ceci est vrai m me dans le cas de location ou d achat de fibre noir
66. artitions x nombre de mat rielle et des OS produits EXPMSW T ches li es au MCO des composants Nombre de partitions x nombre de logiciels sp cifiques Mainframe produits Explication sur l unit de puissance MSU Million Service Units Cette unit de puissance traduit les ressources serveur consomm es par les services m tiers ou logiciels d exploitation Une part variable de la facturation du fournisseur est par ailleurs assise sur cette consommation IL est propos de r partir le co t des moyens techniques au prorata des MSU consomm s par les services Inducteur des activit s humaines L inducteur de base retenu pour les activit s humaines EXPMxx est le nombre de partitions En effet le nombre de partitions actives semble un inducteur pertinent pour mesurer le niveau de consommation de l activit Exploitation et administration Cet inducteur peut tre pond r par le nombre de produits logiciels mis en uvre En effet l exploitation de chaque produit n cessite des comp tences sp cifiques ne permettant pas une mutualisation via des ressources polyvalentes LiVRE BIMAN 08 Fiche du Centre Technologique UPR Unix propri taires 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des serveurs Unix propri taires Outre les co ts li s l acquisition et l exploitation des OS Unix propri taires AIX sur Power HP UX sur
67. ations en ressources humaines li es la gestion et l exploitation au quotidien de la technologie par exemple l administration des serveurs Windows Il s agit donc de la mesure du capital humain Il est justifi de cr er un Centre Technologique lorsque e Plusieurs natures de ressources contribuent une m me technologie au niveau des infrastructures plusieurs fournisseurs plusieurs produits etc Par exemple le Centre Technologique D cisionnel et BI DEC embrasse des technologies de type Master Data Management Data Warehouse OLAP Reporting etc d o potentiellement de nombreuses lignes de ressources e IL existe des comp tences clairement identifi s et d di s exclusivement pour l exploitation de la technologie par exemple les DBA pour Les SGBD les ing nieurs syst me Z 0S les administrateurs r seaux etc e Les ressources affect es la technologie constituent des moyens communs mutualis s mis disposition de tous les m tiers de l entreprise c est un choix d architecture du SI d fini par exemple travers une roadmap technologique Ce n est donc pas un choix m tier sp cifique un service m tier particulier Dans ce dernier cas on utilisera une activit d di e l affectation des charges directes sur les services ACQPRO Les extrants composent le catalogue des services d livr s par la Production et consomm s par les clients Il peut s agir de clients m tiers un commercial consomme u
68. autres Centres Technologiques qui sont focalis s sur une fili re technique d infrastructure ce Centre Technologique est focalis sur les services et regroupe les moyens techniques et humains qui garantissent que les applications op rent dans les conditions attendues de qualit de service CMDB Par convention les outils d inventaire et de d tection des CI Configuration Items ainsi que la CMDB Configuration Management DataBase sont compris dans ce Centre Technologique car ils contribuent la cartographie et l identification des l ments de configuration n cessaires au MCO des services Concernant les outils de gestion des incidents changements et probl mes lorsque leur destinationn est pas identifiable ilstombent dans ce Centre Technologique Dans le cas o leur destination est identifiable ils rel vent des Centres Technologiques concern s Pilotage et support niveau 1 Les incidents trait s et r solus par le pilotage sont inclus dans ce Centre Technologique s ils ne donnent lieu aucune action au niveau du centre d appels Il arrive en effet que les outils de surveillance d clenchent une alerte en cr ant automatiquement un ticket d incident au niveau du centre d appels mais que la prise en compte du ticket d incident soit automatiquement affect e au pilotage N ayant dans ce cas aucune t che effectuer les quipes du centre d appels en charge du support de 1er niveau activit SUPNIT du mod le du CIGREF
69. auvegarde consomme du stockage cas du VTL du serveur et des bases de donn es par exemple le logiciel de sauvegarde peut avoir besoin de fonctionner avec une base de donn es les serveurs consomment du stockage les bases de donn es consomment du stockage et de la sauvegarde le stockage consomme du serveur et des bases de donn es etc Cet exemple illustre les difficult s de mise en uvre et de compr hension dans la lecture du mod le de co ts une activit consomme une activit B qui consomment l activit etc La difficult de ces transferts crois s est qu ils conduisent des retours en arri re qui remettent en cause le montant d une activit d j calcul Un tel sc nario peut vite devenir illisible incompr hensible Afin de garder un mod le compr hensible et lisible nous recommandons d viter les imputations d activit activit Chaque activit est consomm e par un ou plusieurs services et uniquement par des services N anmoins il reste int ressant de valoriser ces consommations bien r elles Pour cela nous pr conisons de mat rialiser les consommations des activit s de certains Centres Technologiques en ajoutant des services techniques au catalogue C est un principe utilis dans la description de certains Centres Technologiques comme par exemple le Centre Technologique D cisionnel DEC e L ensemble des moyens humains et techniques sont valoris s dans le Centre Technologique D cisionne
70. avec les diff rentes Business Units et de leur en expliquer les r gles Un document interne est r dig pour faciliter la communication autour de ce mod le Les quipes sont sensibilis es au fait de bien qualifier Les temps pass s par Centre Technologique et les business units et quipes applicatives le sont sur l inventaire de leurs parcs mat riels et logiciels Une nouvelle version du catalogue de services voit Le jour La r flexion s engage sur la mise en place de marges sur les services Les ressources L quipe projet consacr e la mise en place du mod le d analyse des co ts de la Production se compose d un manager d di de l quipe de Production et d un contr leur de gestion d di la Production 7 managers de production des quipes techniques contribuent qualifier Les co ts Le directeur de Production et un directeur financier d di la Production informatique sponsorisent le projet Situation actuelle L outil n cessaire la mesure des activit s sur la base du mod le CIGREF est en place Il est port par les quipes Projets afin de conna tre Le co t r el des projets par Syst me d Information et Business Unit concern s Cet outil est en cours d adaptation la fonction de Production par l utilisation de Centres Technologiques Mais cette lecture est perfectible du fait du manque d inducteurs Unit s d Oeuvre IL y a donc actuellement volution vers la mise en place d un mod le ABC ABM ave
71. ble de cr er deux activit s pour mieux segmenter INFLDC et ce afin de diff rencier Les deux types de ports dont Le prix l achat reste tr s diff rent e INFLDC Gbit Infrastructures r seau LAN Datacenter Gbit e INFLDC 106 Infrastructures r seau LAN Datacenter 10 Gbits En revanche la segmentation des activit s humaines EXPLDC ne semble pas n cessaire Certaines salles informatiques disposent d un LAN de Production et d un LAN d di l administration physiquement distincts et avec des caract ristiques tr s diff rentes Selon les usages il est aussi possible de s parer ces deux activit s e INFLDP Infrastructures r seau LAN Datacenter de Production e INFLDA Infrastructures r seau LAN Datacenter d administration Une segmentation plus pouss e donne une vue plus juste des co ts mais induit une complexit suppl mentaire Par cons quent la maturit et les exigences internes de chaque entreprise d cideront de la pertinence de segmenter ou pas 4 Inducteurs d activit s INFLDC Acquisition et maintenance des Nombre de ports par serveur logique infrastructures LAN dans les salles ou physique informatiques datacenters EXPLDC Administration et maintenance Nombre de ports consomm s des r seaux locaux dans les salles r partition au prorata du nombre de informatiques datacenters serveurs logiques Cet inducteur peut d pendre du niveau de r activit attendu mise disposition d un VLAN sur une
72. c installation d un nouvel outil du march Dans le m me temps la d marche d adoption des r f rentiels ITIL et COBIT a t acc l r e L objectif final est de parvenir une comparaison entre les services internes et les offres du march p rim tre identique c est dire mettant en vidence la fois la richesse de l offre interne et la valeur ajout e apport e Points de vigilance La mise en place d un mod le d analyse des co ts est un projet part enti re et doit tre conduit avec les m mes r gles que tout autre projet IL ne faut surtout pas sous estimer la charge li e cette activit La mise en uvre du projet demande de s appuyer sur un sponsor DG ou DSI et de bien r fl chir en amont aux r gles de facturations ou de refacturation internes DSI et externes vers les clients et business units qui seront appliqu es Il para t n cessaire de se faire accompagner par un consultant pour cr er un catalogue de services et mettre en place la d marche de facturation Une telle d marche ne pourra pas faire l conomie de la mise en place d un contr leur de gestion d di la production c est une n cessit Les clients m tiers business Unit doivent tre tenus inform s de la d marche qu il s agisse de la phase d approbation du mod le initial ou de l information sur l tat d avancement du projet IL faut bien respecter Les tapes n cessaires La mise en uvre du mod le d analyse des co
73. cc s sur Mainframe est imput au Centre Technologique 07 Mainframe A contrario un pare feu filtrant les acc s sur potentiellement tout type d infrastructures Unix Windows Mainframe etc tombe de ce fait dans le Centre Technologique 13 S curit Outils transverses de s curit ex R partition du cout des activit s du centre sur les services Build amp Run via les inducteurs Services Build amp Run Figure 1 Exemple d imputation au Centre Technologique 13 SEC S curit IL est de m me pour une charge relative un service du catalogue de services Par exemple un logiciel de s curisation de la messagerie d entreprise anti spam antivirus etc qui est sp cifique ce service sera donc imput au service Messagerie d entreprise Pour rappel les charges directes aux services transitent par une activit d di e du mod le du CIGREF l activit ACQPRO Charges Soft de ACOPRO 100 du cout du soft sur le service Messagerie d entreprise Messagerie d entreprise Figure 2 Exemple d imputation d une charge directe de s curit un service Fronti re avec le Centre Technologique 02 R seau Data LAN datacenter Il peut tre parfois d licat de tracer une fronti re claire entre le Centre Technologique 13 S curit et le Centre Technologique 02 R seau Data LAN datacenter Certains quipements informatiques embarquent la fois des fonctions de routage de flux et de s c
74. ce avec les l ments d finis au sein du mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF IL introduit toutefois un principe nouveau via la notion de Centre Technologique LiVRE LIRNNIe Un Centre Technologique regroupe ainsi l ensemble des co ts relatifs une technologie au sein de deux activit s distinctes et compl mentaires e Une activit d infrastructure portant l ensemble des co ts mat riels logiciels ou t l com li s la technologie concern e e Une activit d exploitation portant l ensemble des co ts humains li s l exploitation de ces infrastructures Le choix de s parer les co ts d infrastructures de ceux de l exploitation est motiv par le fait qu un service peut consommer une quantit importante d infrastructures sans n cessiter beaucoup d exploitation et inversement IL est donc primordial de chercher d finir des inducteurs sp cifiques pour chacune des activit s d un centre technologique Chaque activit dispose de son propre inducteur ce qui n exclut pas d avoir le m me inducteur pour toutes les activit s d un m me centre technologique La notion de Centre Technologique qui sera d finie plus largement dans un chapitre d di renforce le principe expos ci dessus en structurant les activit s li es aux diff rentes technologies Centres Technologiques un principe extensible Le catalogue de Centres Technologiques est un mod le qui a pour vocat
75. chnologique D cisionnel BI EE 5 z ee Correspondance INFDEC Infrastructures Co ts d acquisition et de MDS ACQMID d cisionnelles maintenance des logiciels et mat rielles et outils utilis s pour le service logicielles de d cisionnel co ts des appliances d cisionnelles lorsqu elles sont utilis es co ts des logiciels de sauvegarde monitoring et administration d di s DS EXPDEC Exploitation et T ches li es au MCO des M ACQMID administration des infrastructures d cisionnelles infrastructures d cisionnelles 3 1 Limites et volutions possibles D cisionnel BI Centre Technologique et service Ce Centre Technologique se singularise par deux caract ristiques essentielles 1 C est en g n ral un choix une solution d entreprise Les choix technologiques sont communs et partag s au b n fice de tous producteurs et consommateurs Plusieurs zones fonctionnelles de l entreprise alimentent des entrep ts de donn es pour in fine alimenter d autres zones fonctionnelles par exemple les informations des m tiers op rationnels vers la fonction marketing Le d cisionnel et Le BI sont donc en g n ral des socles communs et transverses et sont potentiellement utilis s par tous les utilisateurs de l entreprise A ce titre Utilisable par tous signifie donc que le d cisionnel incarne aussi un service Dans le mod le conomique ces technologies sont donc repr sent es en tant qu activit s d un Centre Technologiq
76. clients Apr s r partition nous obtenons un co t complet exhaustif incluant les co ts de la s curit 14 Fiche du Centre Technologique ETU Environnement de travail utilisateurs 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et la gestion des postes de travail utilisateurs Ce Centre Technologique regroupe aussi les nouveaux postes de travail du type tablettes et terminaux clients l gers IL comprend la fois les mat riels et les licences OS associ es Ce Centre Technologique comprend les terminaux de t l phonie fixe et mobile y compris les smartphones 2 P rim tre du Centre Technologique Environnement de travail utilisateurs Ce Centre Technologique regroupe e l ensemble des mat riels de type PC au sens large machines fixes desktop PC et Mac stations de travail techniques ordinateurs portables dans les diff rents form factors e tablettes e t l phones fixes et mobiles smartphones e terminaux sp cialis s terminaux industriels d entrep t de caisse sous les diff rents OS envisageables Windows Mac Linux mais aussi OS sp cialis s pour les terminaux industriels e Les LAN Campus quipements de proximit d tage hubs switches baies de brassage etc dans les locaux techniques En mati re de virtualisation des postes de travail le poste de travail lui m me appartient ce Centre Technologique mais l infrastructu
77. co t de l activit e plus un service consomme de Go plus il se voit affecter de co t du stockage e plus les diff rents services consomment de stockage et plus le co t de l activit stockage augmente puisqu il faut plus de ressources de disques en l occurrence La m thode ABC repose sur le principe suivant Les activit s consomment des ressources et les services consomment des activit s Inducteurs d activit Inducteurs de ressources Nous y avons adjoint deux autres principes La somme des charges des ressources la somme des activit s la somme des services Une activit ne consomme que des ressources et ne fait pas appel d autres activit s Le mod le d analyse des co ts de la production du CRIP propose donc e un mod le d activit de la production informatique tabli en d terminant des activit s financi rement significatives e un r f rentiel d inducteurs qui peut tre utilis pour mesurer le niveau de consommation des activit s Le mod le ABC de la production informatique La construction du mod le d activit s est motiv e par l objectif de d terminer les co ts complets des technologies les plus couramment exploit es Unix Windows z OS Stockage R seaux etc C est ce que nous avons nomm les Centres Technologiques qui sont Le regroupement des ressources consomm es pour acqu rir et exploiter une technologie ou une famille de technologies Le mod le d
78. d s le d but de sa mise en uvre alors que le d caissement est lui r alis Par exemple l acquisition d une baie de disque d une capacit de 10 Po voyons grand pr voit l absorption de cette capacit au terme de son utilisation Mais au d but de sa mise en uvre cette baie peut n tre utilis e qu 10 de son potentiel alors que 100 du financement a eu lieu En toute logique il convient de facturer les clients au prorata de leur consommation mais ily a 2 fa ons de faire 1 Soit on facture la totalit des co ts du Centre Technologique Stockage sur la totalit des Go utilis s par les clients alors plus il y aura de consommateurs et plus le co t du Go baissera Les premiers clients verront au cours du temps le prix unitaire du Go baisser et il sera d licat d expliquer pourquoi ils ont surpay les premiers Go Les derniers clients b n ficieront d un prix plus bas et seront ainsi subventionn s par les premiers Dans ce sc nario l ensemble des co ts est factur et La DSI ne supporte pas de co ts li s aux surfaces non utilis es 2 Soit on facture la totalit des co ts du Centre Technologique Stockage sur la totalit des Go disponibles L avantage estalors d aboutiraunprixdu Go constant et donc de facturer au m me prix l ensemble des clients L inconv nient est que ce sc nario fait supporter un co t de non utilisation la DSI ce qui peut freiner les vell it s d investissement Cette situation est d aut
79. d activit s compl mentaires ext rieures et transverses celles des Centres Technologiques LiVRE LI ANNIe A titre d illustration c est le cas par exemple de l activit de gestion des incidents Il s agit bien d une activit n cessaire une Production Informatique et transverse aux Centres Technologiques principaux ex z OS Unix Stockage Sauvegarde R seau Plus largement les activit s humaines indispensables et compl mentaires aux Centres Technologiques sont dans une large mesure des activit s identifi es dans le mod le d activit ITIL Sans vouloir toutes les nommer il est probable que les activit s les plus structurantes d ITIL soient pr sentes dans le mod le conomique Le choix de ces activit s d pendra de leurs poids financiers mais il est courant de retrouver e La gestion des incidents e La gestion des probl mes e La gestion des changements D autres activit s peuvent tre repr sent es comme par exemple les t ches d architecture technique d urbanisation de qualit et m thodes d audit interne etc Toutes ces activit s contribuent in fine la mise disposition des services et donc consomment des ressources financi res C est bien la valorisation de l ensemble des activit s y compris celles ext rieures aux Centres Technologiques avec la part des charges de structure de la direction informatique Achats RH etc quifont le co tcomplet d une Productioninformatique Bien
80. d analyse des co ts de la Production sa mise en uvre pratique est un exercice qui peut se r v ler plus ou moins d licat ou complexe en fonction du contexte de chaque entreprise Sans donner de recette magique pour une telle mise en uvre nous indiquons ci dessous quelques pi ges viter Pi ge n 1 Oublier le client Avant de r fl chir aux activit s r gissant le mod le il est important de d finir clairement qui seront les clients du mod le et quels types de services ces derniers vont utiliser Pi ge n 2 Partir sur un p rim tre flou Le mod le comme son nom l indique s applique aux co ts de la Production Il est toutefois important de clarifier d s le d part le p rim tre de co ts exact int grer au mod le Pi ge n 3 M langer les diff rentes vues financi res Une valorisation du mod le ne doit surtout pas m langer des investissements avec des amortissements par exemple Ces deux types de charges doivent tre int gr s dans des valorisations distinctes r pondant des objectifs diff rents Pi ge n 4 Se noyer dans le d tail Le costing n est pas une science exacte et vouloir aller trop dans le d tail nuit la pr cision et la pertinence du mod le Pi ge n 5 Lier le mod le l organisation Le mod le d analyse des co ts de production s appuie sur un mod le d activit s qui doit tre totalement d cor l de l organisation de l entreprise pour en garantir la p
81. de d veloppement et tests affectation directe d une d pense pour un outil La o aux plates formes qui l utilisent EXPENV Exploitation et administration des jours hommes outils d di s aux environnements de n cessite que les quipes en charge des d veloppement et tests outils de d veloppement et tests puissent saisir leurs relev s d activit en pr cisant sur quelles plates formes elles sont intervenues 20 Fiche du Centre Technologique OPM Outils de partage mutualis s 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources mat rielles logicielles et humaines li es l acquisition et l exploitation d outils transverses d entreprise permettant de mettre disposition des services de partage d information en mode structur gestion de workflows business process management ou non messagerie instantan e r seaux sociaux Ce Centre Technologique inclut aussi les outils de visioconf rence mutualis s 2 P rim tre du Centre Technologique Outils de partage mutualis s Ce Centre Technologique agr ge deux familles d outils qui concourent au partage et la gestion de la circulation de l information au sein de l entreprise D une part les moteurs de gestion et de partage des informations e moteurs de workflow e outils de mod lisation de processus outils BPM Business Process Management e outils de gestion de contenu CMS Content Management System D autre part
82. de gamme e INFUNID Serveurs Unix propri taires midrange moyenne gamme e INFUNIc Serveurs Unix propri taires high end haut de gamme Plus le serveur est haut de gamme et plus le co t unitaire de l inducteur sera lev Ces 3 activit s permettent d affecter les ressources afin de calculer un co t d inducteur diff renci par typologie de serveur Unix et de facturer en fonction du type de serveur sur lequel fonctionne le service N B La segmentation des serveurs Unix ne concerne que l activit d acquisition INFUNIx mais pas celle d exploitation EXPUNI En effet m me si dans les faits il peut y avoir un surco t th orique exploiter des serveurs high end dans sa globalit le Centre Technologique Unix propri taires consid re les comp tences identiques quels que soient les serveurs Prise en compte des serveurs virtuels La puissance des serveurs physiques sera r partie sur les VMs selon le nombre de coeurs et la quantit de RAM allou s chaque VM Il est possible de faire un calcul similaire aux uWLI cf Centre Technologique 09 Windows Linux en tablissant une correspondance entre c ur core et quantit de RAM par exemple 1 core 8 Go de RAM Au plus simple s il n est pas possible de d terminer avec exactitude les caract ristiques des VMs il est possible de r partir lin airement la puissance du serveur physique sur le nombre de VMs Ainsi pour un serveur de 100 unit s de puissance avec 4
83. deux groupes Qu ils soient tous trois sp cialement remerci s De nombreux membres du CRIP ont particip aux r unions de ce GT crit des fiches de Centres Technologiques d battu relu Les documents t moign de leur exp rience Qu ils en soient tous remerci s ARNOUX Eric BARBASSO Michel BARDET V ronique BERNARD Jean Claude BICARI Caroline BOMBARDE Edith CAO Antoine CAVALIERE Noel CARBONELL Francois Xavier CARRE Michel DANAN Ruth DEFORGE Fran ois DELANNOY Tanguy DESGOUTTE Sylvain DESROUSSEAUX Marc FOUCAULT Serge FRANCOIS Bruno GONNET Bernard GUIGNY Gilles HEITZ Olivier HENRY Christophe HERITIER Philippe HUY Henri IMBERT Andr LAMBERT Olivier LE FLOC H Ronan LINGAT Jean Yves MEYER Fran ois MOREAU Christophe MOREAU Valery PARENT Ludovic PASCAL Pierre PIERRE Jean Yves RAT Philippe ROUQUETTE Thierry SELLAM David SENS Patrice TOURLOURAT Lo c TREBOUTA Xavier VENTURI Patrick LA FRANCAISE DES JEUX KIABI LA BANQUE POSTALE SCHLUMBERGER AMUNDI MANPOWER DISIC SERVICE DU PREMIER MINISTRE PSA GROUPAMA SUPPORT ET SERVICES GROUPE ADEO PSA PEUGEOT CITROEN CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE MACIF CREDIT AGRICOLE CIB ADEO SERVICES LA FRANCAISE DES JEUX CREDIT AGRICOLE SA CASINO CREDIT AGRICOLE CIB BOUYGUES TELECOM LA POSTE DOUANES EDF LA FRANCAISE DES JEUX CHOREGIE LA FRANCAISE DES JEUX BOUYGUES CONSTRUCTION CREDIT AGRICOLE SA LA POSTE NATIXIS ADEO SERVICES GIE PROD DEXI
84. di s aux changes de donn es exemple certificats SSL int gr s l outil de gestion des changes Ce Centre Technologique prend donc aussi en charge les op rations de gestion des flux e configuration des outils cr ation suppression et modification de flux e mise jour de la cartographie e exploitation et supervision des logiciels e etc Les services techniques de gestion des flux consomment les activit s du pr sent Centre Technologique mais aussi une quote part des activit s des Centres Technologiques suivants 09 Windows Linux 08 Unix propri taires 05 Stockage 02 R seau Data LAN datacenter 03 R seau Data MAN WAN 13 S curit Attention 1 Par convention toutes les technologies exclusivement Mainframe ou Mini informatique propri taire exemple AS 400 ne figurent pas dans ce Centre Technologique mais dans les Centres Technologiques 07 Mainframe ou 10 Mini informatique 2 Les outils de supervision des technologies de ce Centre Technologique sondes technologies BAM etc ne sont pas inclus dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 17 Supervision et pilotage LiVRE 1 ANNIe 3 Activit s du Centre Technologique Echanges en mode flux TOE R j P Correspondance INFFLU Infrastructures des Co ts d acquisition MDS ACQMID technologies d change et de maintenance en mode flux des mat riels et logiciels d di es aux technologies d change en mode flux EXPF
85. e INFWAN Acquisition et maintenance des liens MAN A la bande passante consomm e pour les WAN et quipements mat riels et logiciels usages identifiables et ou au prorata du incluant les solutions d acc l ration et de nombre de sites connect s ou de l espace compression occup dans le datacenter 1 EXPWAN Administration maintenance et supervision Nombre de liens des r seaux MAN et WAN 1 en cas d impossibilit r partition dire d experts et ou au prorata du poids des services LiVRE 1 ANNIe L volution possible pour ces inducteurs para t videmment une meilleure capacit mesurer les flux et savoir affecter pr cis ment la consommation de bande passante aux diff rentes applications et services La limite m me de cette volution r side dans le co t de mise en uvre d un tel dispositif de mesure L activit humaine d pend principalement des volumes nombre de liens mais peut galement tre impact e par le nombre d op rateurs et si Le r seau WAN est national ou international 04 Fiche du Centre Technologique TEL T l phonie LiVRE 1 ANNIe 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources mat rielles logicielles et humaines li es l acquisition et l exploitation des quipements ainsi que les prestations n cessaires pour d livrer des services de t l phonie fixe et mobile 2 P rim tre du Centre Technologique T l phonie
86. e Centre Technologique GED GED D mat rialisation Archivage l gal 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources mat rielles et logicielles et des ressources humaines li es l acquisition et l exploitation des solutions de GED Gestion Electronique de Documents de d mat rialisation et des solutions d archivage l gal associ es 2 P rim tre du Centre Technologique GED D mat rialisation Archivage l gal La gestion lectronique des documents d signe un ensemble de proc dures informatiques destin es acqu rir et traiter des informations et documents lectroniques La d mat rialisation qui transforme des documents papier en documents num riques par exemple en les scannant permet d alimenter les solutions de GED La GED comporte quatre grands pans d activit e acquisition des documents par num risation de documents papier ouint gration de documents lectroniques e classement et indexation des documents par ajout de m tadonn es e stockage des documents e restitution et acc s aux documents La GED constitue le plus souvent une fonction transverse l entreprise en ce qu une seule plate forme se trouve partag e entre diff rents services m tier La GED se trouve aussi souvent associ e des syst mes d archivage dit l gal ou r glement qui sont des syst mes de conservation de donn es moyen ou long terme en r ponse des obligations
87. e Point Mort enj 494 169 245 18 Conclusion Pour tre comp titif il faut absolument savoir garder sous contr le ses charges fixes car plus elles sont faibles plus rapidement est atteint le Chiffre d Affaires Critique Les offres Cloud b tissent leur force sur le caract re variable de leur offre Il faut rester vigilant sur l appr hension des co ts et faire des sc narios la hausse comme la baisse pour s assurer que ces offres Cloud sont r ellement moins ch res IL s agit donc d appr hender l ensemble des postes de co ts qui entre dans le service pour tre en mesure de mesurer des choses comparables les sauvegardes mais aussi la capacit faire des restaurations le PRA les d lais de restauration les SLAs etc C est donc un travail d analyse de la valeur et de mise en relief des co ts qu il convient de proc der 9 N Y g 4 M uolpnpold e p S4903 s p s eue p 812PON JINYNYIANO9 EL 19Vd H bidii dito du President Les valeurs du CRiP Ind pendance par rapport aux fournisseurs partage d exp riences op rationnelles La mission du CRiP Rendre nos membres plus performants dans leur m tier et valoriser les activit s de l Infrastructure et de la Production Informatique au sein des entreprises et administrations Le CRiP en seulement 6 ans d existence compte plus de 230 adh rents grands comptes entreprises et administrations rassemble plus de 2 800 membres dans le
88. e des m canismes de facturation tr s divers en fonction de la puissance des serveurs metteurs du nombre de flux envoy s de la parall lisation ou non des envois du nombre de destinataires ou du volume taille par flux S il peut para tre int ressant de mesurer l activit de chacune des diff rentes solutions pour bien en mesurer le co t il semble plus opportun de disposer d un inducteur ou d une famille d inducteurs unique quelles que soient les solutions en place Pr requis et limites L activit INFFLU n cessite de bien conna tre les diff rents composants qui constituent les infrastructures d changes de flux IL convient notamment de disposer de l outillage n cessaire de cartographie qui permet de comptabiliser le nombre de flux en place INFFLU Infrastructures des technologies d change en mode flux Nombre de flux EXPFLU Exploitation des technologies d change en mode flux Nombre de flux LiVRE LI ANNIe 17 Fiche du Centre Technologique PIL Supervision et pilotage 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources mat rielles logicielles et humaines permettant la supervision et le pilotage des applications Nous entendons par supervision la d tection et la remont e d v nements incidents alertes sur seuil etc et par pilotage le bon d roulement des traitements requis pour le bon fonctionnement des applications 2 P rim tre du Centre Technologique Supervi
89. e dimensionnement de l activit humaine d exploitation et d administration quipe DBA peut tre corr l auxnombre de moteurs actifs un moteur tant un syst me de gestion de bases de donn es fonctionnant sur un OS et qui g re les acc s et l int grit des donn es d une ou plusieurs bases de donn es On suppose ici que le principal facteur de dimensionnement de l quipe DBA est proportionnel au nombre de moteurs exploiter le moteur tant la principale unit g n ratrice de charge de travail car le dimensionnement et le tuning et plus globalement l administration s effectuent avant tout au niveau du moteur plus qu au niveau des bases Le nombre de moteurs serait donc l inducteur d activit retenu Il est possible d affiner l inducteur en prenant en compte le niveau de consommation des bases de donn es par exemple nombre de requ tes et ou volum trie de chaque base Ainsi iLest possible d exprimer une complexit d administration qui est corr l e l intensit et ou la taille de la base de donn es On peut penser qu outre le nombre de moteurs une base connaissant beaucoup de requ tes beaucoup d acc s simultan s doit n cessiter plus de tuning et d administration Dans ce cas l inducteur d activit serait donc un inducteur composite du nombre de moteurs de bases de donn es pond r si les donn es sont disponibles par le nombre de requ tes et par la volum trie avec un facteur de pond ration de respective
90. e illumin e par l utilisateur lui m me Ce Centre Technologique inclut donc e les prestations acquises aupr s des op rateurs lignes lou es lignes sp cialis es acc s Internet services de commutation de circuits obsol te de commutation de paquets X25 obsol te relais de trames ATM et Les VPN MAN et WAN e le mat riel d di et son exploitation routeurs et commutateurs WAN MAN travaillant usuellement au niveau 2 et 2 5 MPLS e Les solutions d acc l ration et de compression WAN qui reposent soit sur des services d op rateurs soit sur des mat riels et logiciels d di s op r s par le client e des plates formes de supervision sp cifiques visant qualifier et contr ler le service rendu par l op rateur t l coms Attention La probl matique s curit acquisition de mat riels et logiciels Firewalls IPS et quipements de chiffrement les maintenances logiciels et mat riels l administration et le support est trait e dans le Centre Technologique 13 S curit elle ne fait donc pas partie du p rim tre ici trait 3 Activit s du Centre Technologique R seau Data MAN WAN ur x F ass Correspondance INFWAN Infrastructures et liens Co ts d acquisition et MDS ACQRWA MAN WAN solutions de maintenance des d acc l ration et de liens d op rateurs des compression comprises mat riels et des logiciels associ s incluant les outils de management des quipements les solutions d acc
91. e non sp cifiques font donc partie du Centre Technologique 05 Stockage et sont consomm s par le service correspondant 3 Si la gestion du cycle de vie du document est g r e par la GED mais que les op rations de sauvegarde archivage sont op r es d l gu es des quipements communs de sauvegarde silos VTL etc seul le support tant sp cifique type disque ou bande WORM alors e le logiciel de gestion du cycle de vie tombe dans le Centre Technologique 21 GED e les mat riels et logiciels de sauvegarde restent dans le Centre Technologique 06 Sauvegarde car non d di s la GED 4 Les op rations d archivage des fins non l gales ne figurent pas dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 06 Sauvegarde 3 Activit s du Centre Technologique GED D mat rialisation Archivage l gal z T Correspondance INFGED Infrastructures Co ts d acquisition et de MDS ACQDIS de GED maintenance des mat riels d mat rialisation et logiciels d di s la GED et archivage l gal d mat rialisation et archivage l gal EXPGED Exploitation et T ches li es l exploitation MDS ACQDIS administration des l administration et la solutions de GED maintenance des solutions d mat rialisation de GED d mat rialisation et archivage l gal archivage l gal et si concern les activit s li es la d mat rialisation A l image des autres Centres Technologiques les activit s d acquisition d une
92. e r f rence adapter La m thode ABC estsouventcritiqu e dufait de la difficult inh rente la construction d un mod le d activit s En effet il est courant que l on se heurte la probl matique du choix des activit s de leur nombre et de leur granularit ainsi qu aux l ments de mesure inducteurs permettant de r partir correctement le co t de celles ci sur les objets de co ts Le mod le d analyse des co ts de Production du CRIP se propose d tre un mod le de r f rence pour construire une d marche d analyse des co ts En s inspirant du d coupage en Centres Technologiques du mod le du CRIP compl t par les autres activit s externes la production du mod le du CIGREF il est possible de conduire une d marche d analyse des co ts plus rapidement en s appuyant sur des standards de la profession Bien videmment ce mod le ne doit pas tre vu comme une r f rence p remptoire et dogmatique mais bien comme une sorte de mod le cible chacun adaptant la vitesse de convergence vers ce mod le en fonction de son contexte Le mod le du CRIP a tent de balayer et de structurer les technologies exploitables sur le march De ce mod le il convient de ne retenir que les technologies financi rement significatives dans son contexte En fonction du niveau de maturit de chaque entreprise le mod le peut tre simplifi en r duisant le nombre de Centres Technologiques d activit d inducteurs Au contrario ceux q
93. e tous les services du catalogue de services et une application B 30 alors l application A recevra 20 des co ts des activit s INF et EXP de ce Centre Technologique et l application B en recevra quant elle 30 L usage de cette r gle a l avantage d tre simple et permet de ne pas introduire d effet de subventionnement entre services INFMID Infrastructures de middleware applicatif de INFMID consomm EXPMID Exploitation et administration des Nombre d instances middleware middlewares applicatifs d ploy es en production ou nombre de licences OS exploit es 1 Effet de subventionnement effet produit lorsqu un service se voit imputer plus de co t qu un autre service L augmentation artificielle du co t de revient d un service qui attire lui trop de co t d activit subventionne un autre service qui voit de ce fait son co t de revient artificiel lement plus bas 16 Fiche du Centre Technologique FLU Echanges en mode flux 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des activit s d acquisition et d exploitation des technologies de gestion des changes de donn es en mode flux 2 P rim tre du Centre Technologique Echanges en mode flux Ce Centre Technologique prend en charge toutes les technologies qui servent mettre en place des services d change en mode flux e outils de gestion des changes de donn es et fichiers exemple CFT solutions internes e outils de s curit d
94. echniques mis disposition par une Direction de la production e Les clients m tiers qui utilisent typiquement des services m tiers sans connaissance particuli re des technologies sous jacentes Allocation des co ts Les principes d allocation des co ts entre les 4 tages du mod le sont les suivants lex nombre de boites mit Principes de consommation Clients x nombre de Go manag s Services techniques Ex nombre de baies administr es inducteurs de co ts Services m tiers Affectation directe E Ex nombre de Go surface disque Activit s support et op rationnelles hors centres technologiques L allocation des co ts entre les diff rents tages du mod le s appuie sur un principe de consommation inh rent l approche ABC Activity Based Costing Les co ts d un objet un tage du mod le s expliquent ainsi par la consommation d une certaine quantit d objets l tage pr c dent comme illustr ci dessous e Cas d un client DSI Un client DSI consomme des services techniques Cette consommation se mesure l aide d unit s d uvre o UOs inducteurs de co ts d finies dans le mod le pour les services techniques Un service technique consomme des Centres Technologiques et des activit s activit s et centres technologiques se situant au m me tage du mod le La mesure de cette consommation se fait l aide d inducteurs d act
95. egroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des serveurs de type mini informatique et des autres serveurs non couverts par les Centres Technologiques 07 Mainframe 08 Unix propri taires 09 Windows Linux Virtualisation Ce Centre Technologique incorpore galement les co ts d acquisition et d exploitation des logiciels hors applicatifs m tiers sp cifiques cette plate forme 2 P rim tre du Centre Technologique Mini informatique et autres plates formes serveurs Ce Centre Technologique a d abord vocation prendre en compte les co ts sp cifiques aux environnements IBM i d IBM ex AS 400 iSeries et System i5 derniers mod les encore commercialis s de serveurs de type mini informatique Ces machines se caract risent aujourd hui par les points suivants e une base d ex cution mat rielle devenue commune avec les System p serveurs RISC Unix propri taire AIX d IBM et baptis e Power Systems e une tr s forte int gration des couches OS et middleware fournies sous forme d un package global IBM i comportant en particulier une base de donn es de type DB2 un serveur Web Apache un serveur DNS de tr s nombreux langages de d veloppement et leurs compilateurs certains propres l AS 400 et d autres plus universels comme Java PHP XML WebSphere un outil de sauvegarde un ordonnanceur basique etc e une facturation variable suivant la puissance de la plate forme calcul e par processe
96. eloppement tests et recette et in fine au service de mise disposition des environnements de d veloppement Par cons quent et dans la mesure du possible il convient de sortir les co ts des licences de d veloppement et autres environnements distincts de la production de ce Centre Technologique pour ne garder que les co ts relatifs La production Les licences utilis es par les environnements hors production tombent dans le Centre Technologique 19 Logiciels de d veloppement tests et recette 4 Inducteurs d activit s INFDEC Infrastructures d cisionnelles mat rielles K 100 sur le service D cisionnel et logicielles EXPDEC Exploitation des infrastructures K 100 sur le service D cisionnel d cisionnelles LiVRE I ANNIe 19 Fiche du Centre Technologique DTR Logiciels de d veloppement tests et recette 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources logicielles exclusivement d di es aux environnements de d veloppement et de tests 2 P rim tre du Centre Technologique Logiciels de d veloppement tests et recette Un environnement de d veloppement et tests est constitu non seulement de plates formes mat rielles et logicielles du m me type que les plates formes utilis es en production mais aussi de logiciels d di s aux environnements de tests et de recette e ateliers de d veloppement compilateurs L4G etc e outils de gestion de versions
97. ement dans les serveurs et postes de travail ou les disques en attachement direct DAS 2 P rim tre du Centre Technologique Stockage SAN NAS Les infrastructures de gestion de donn es prises en compte dans ce Centre Technologique comprennent les quipements utilis s pour stocker les donn es baies de disques ainsi que Les quipements permettant l acc s aux donn es depuis les serveurs informatiques dans la mesure o les charges directes sont simplement isolables On y trouvera donc e Les baies de stockage SAN et NAS de tout type avec leurs logiciels sp cifiques e Les quipements Fibre Channel directeurs commutateurs etc e Les cartes d interface HBA lorsque le co t de celles ci peut tre isol de celui des serveurs e Les r seaux IP utilis s uniquement pour le stockage ou la fraction des r seaux IP en place utilis e pour le stockage si celle ci est facilement isolable e Les logiciels et ou mat riels de virtualisation du stockage e Les logiciels et ou mat riels de r plication des donn es synchrone asynchrone FCIP e les suites d administration sp cifiques au stockage SRM et autres zoning suites propri taires d administration des baies e Les disques S ATA SAS FC Flash s ils quipent des baies ou des quipements de stockage Attention 1 Les r seaux converg s FCoE convergence LAN et SAN font partie de ce Centre Technologique uniquement s ils sont d di s au SAN 2 La vi
98. emps de r ponse etc e Le ou les niveaux de service du service que ces SLAs soient standards ou optionnels degr de s curisation taux de disponibilit temps de r tablissement en cas de panne ou d incident degr de garantie de l int grit des donn es etc Ce niveau de service a un impact direct sur les co ts du service e Les conditions sp cifiques de mise en uvre et de fonctionnement du service e Les options attach es au service lorsqu il y a lieu e Le co t du service e Dans le cas d un service de type technique destination de la DSI ou pour certains services m tiers le contenu du Service par r f rence aux Centres Technologiques utilis s stockage serveurs r seau etc Le groupe de travail a aussi d termin quelques familles de services utilisables pour structurer un catalogue H bergement nu et ou avec gestes de proximit Mise disposition de serveurs avec OS et ou avec piles d ex cution hors applications Services T l coms et r seaux Acc s Internet entrant sortant services de donn es acc s s curis en mobilit T l phonie fixe mobile visio conf rence vid o conf rence services de t l phonie pour centres d appel Poste de travail fixe station de travail CAO CFAO PC Portable smartphone et tablette terminaux d atelier d entrep t de magasin VDI Environnement de travail utilisateur Portail Collaboratif Intranet messagerie diti
99. ennes tout en tant de plus en plus ouvert sur notre co syst me et les entit s m tiers des entreprises et organisations et permettra chacun d appr cier le bien fond de notre association Nous sommes convaincus que vous serez nombreux nous rejoindre Philippe SERSOT Pr sident du CRiP CTO Cr dit Agricole CIB 134 Savoir plus sur le CRaP Digital Technology amp nnovation Le CRiP Association Loi de 1901 compte plus de 230 adh rents grands comptes entreprises et administrations qui utilisent des technologies de l information Le CRiP rassemble une communaut de plus de 2 800 membres tous Responsables d Infrastructures et ou de Production Le CRiP est un cercle de confiance un lieu d changes de partage et de discussions en toute confidentialit entre ses membres confront s aux m mes d fis financiers technologiques et organisationnels Objectifs Rendre nos membres plus performants dans leurs m tiers travers l actualisation de connaissances l change de bonnes pratiques le partage de veille technologique l laboration de prospectives la promotion des m tiers de l Infrastructure et de la Production au sein d un cercle de confiance ind pendant des fournisseurs Partager les visions et les retours d exp rience Echanger et travailler sur les technologies les ressources humaines les organisations et processus les approches financi res des projets les relations avec les offreurs S a
100. es centres technologiques 31 Le catalogue de services de la production 32 4 Les 10 commandements du mod le d analyse des co ts de la production 35 5 Les pi ges viter Lors de la mise en uvre du mod le 36 6 Retours d exp rience 38 Retour d exp rience CNP Assurances 38 Retour d exp rience Groupe ADEO 41 7 Conclusion et volutivit du mod le 45 PAGE 3 Annexe 1 Fiches des Centres Technologiques 46 01 Fiche du Centre Technologique HEB H bergement 46 02 Fiche du Centre Technologique RDL R seau Data LAN datacenter 49 03 Fiche du Centre Technologique RDM R seau Data MAN WAN 52 04 Fiche du Centre Technologique TEL T l phonie 55 05 Fiche du Centre Technologique STO Stockage SAN NAS 57 06 Fiche du Centre Technologique SAU Sauvegarde Archivage Restauration 60 07 Fiche du Centre Technologique MAI Mainframe 63 08 Fiche du Centre Technologique UPR Unix propri taires 66 09 Fiche du Centre Technologique WLI Windows Linux Virtualisation 70 10 Fiche du Centre Technologique MIN Mini informatique et autres plates formes serveur 74 11 Fiche du Centre Technologique BDD Bases de donn es relationnelles 76 12 Fiche du Centre Technologique EDI Editique 81 13 Fiche du Centre Technologique SEC S curit 83 14 Fiche du Centre Technologique ETU Environnement de travail utilisateurs 89 15 Fiche du Centre Technologique MID Middlewares applicatifs 92 16 Fiche du Centre Technologique FLU Echanges en mode flux 97 1
101. es infrastructures machines et des OS des frais concernant les logiciels techniques et d exploitation Elles utiliseront alors les activit s suivantes INFMHD Infrastructures machines et operating Co ts d acquisition location et system z OS maintenance des machines physiques et de l OS INFMSW Logiciels techniques et d exploitation Co ts d acquisition location et d di s maintenance des logiciels sp cifiques Mainframe EXPMHD Exploitation et administration des T ches li es au MCO de la plateforme machines et OS mat rielle et des OS EXPMSW Exploitation et administration des logiciels T ches li es au MCO des composants techniques et d exploitation logiciels sp cifiques Mainframe 4 Inducteurs d activit s INFMAI Acquisition et maintenance des Nombre de MIPS ou nombre de MSU infrastructures mat rielles OS et logiciels sp cifiques l environnement EXPMAI Exploitation des infrastructures Nombre de partitions x nombre de mat rielles OS et logiciels sp cifiques produits Pour les entreprises qui choisissent de mettre en place un mod le plus d taill cf 3 1 nous recommandons les inducteurs suivants INFMHD Co ts d acquisition location et Nombre de MIPS ou nombre de MSU maintenance des machines physiques et de l OS INFMSW Co ts d acquisition location et Nombre de sec CPU ou nombre de MIPS maintenance des logiciels sp cifiques Mainframe EXPMHD T ches li es au MCO de la plateforme Nombre de p
102. es par service EXPEDI Exploitation et administration des Nombre de documents par service de infrastructures ditique type envoi ou mailing ou nombre de pages par service selon les technologies adopt es 13 Fiche du Centre Technologique SEC S curit 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des charges mat rielles et logicielles relatives la s curit du syst me d information Ce Centre Technologique int gre galement les charges d exploitation de la s curit 2 P rim tre du Centre Technologique S curit Les charges de mat riels et logiciels imputer dans ce Centre Technologique sont titre d exemple e pare feux sondes de d tection d intrusion de scan de vuln rabilit etc e syst mes de filtrages des acc s internet Radius etc e anti spams e syst mes de supervision de s curit logiciels d identification de failles de s curit e outils de gestion de corr lation de logs e outils de gestion de conformit PSSI e bo tiers cryptographiques e solutions d infrastructure de gestion de cl s IGC ou PKI e solutions de gestion des identit s amp des habilitations IAM e outils de provisioning de comptes e proxies et reverse proxies e m canismes de translation d adresses de ports d URLS e etc De m me concernant les charges d exploitation li es la s curit nous pouvons citer les t ches suivantes e supervision des
103. et Le seuil de rentabilit en unit pour un prix du Go valu au niveau de l activit standard est donc de Co t unitaire SR 0 1847 x 1 162 000 6 291 456 Go soit 6 Po qui est Le seuil de l activit normale d fini pour l imputation rationnelle des charges fixes Raisonnement avec marge Imaginons d sormais la situation d une business unit qui propose un service laaS incluant du stockage factur au Go Le mod le inclut la r alisation d une marge de 50 sur le co t de revient soit un co t unitaire du Go 0 37 Pour mesurer correctement l volution des charges variables posons l hypoth se suivante pour l volution du nombre de LUN exploit es en fonction du taux de remplissage des baies 3 3 Mois de LUN ETP ETP EXPSTD C V n O mier oo 06 1 eooo 20 D cemer 200 os 1 ww 7e Cas ow ue 2 vw vo D a om 1 2 ww gt Cm 0m 70 SO ND IN ND D om eo 24 sw sw C oue o AE e A A ET UNE UN D Out oo 22 4 ww son C smem o0 se 4 mm sw onore oo a lt ww ww C noveme moo fee 0m sw Deceme 1200 e s zmo sw GR IE TER Low 12 d occupation des baies il faut 2 ETP 3 ETP 38 et 5 ETP 60 Vol en Po Vol en Go Ct unit du CA en 0 MCV ONONES SR en Go ere Somme de EXPSTO LiVRE SI ANNIe 5 5 242 880 0 37 1936 667 117 1819667 93 96 1
104. eurs 550 Gestion des masters t l distribution mises jour etc relatifs a aux postes de travail os et autres logiciels install s en standard p riph riques associ s incluant imprimantes amp scanners Gestion des tables de routage Gestion lectronique de documents Gestion technique centralis e de salles informatiques l Datacenters Groupes lectrog nes pour salles informatiques Datacenters Groupes no break pour salles informatiques Datacenters Hyperviseurs x86 Vmware KVM Xen etc IBMi i Imprimantes bu bureautiques personnelles et workgroup a Imprimantes centrales syst mes d impression de masse et sien machines d di es pour rl ditique mise sous pli routage affranchissement J Imprimantes de caisse Installation des quipements en salles informatiques Datacenters Installation et param trage de nouveaux mat riels de s curit pare feu sondes de d tection d intrusion passerelles antivirales etc Int gration d applications d entreprise Interfaces HBA pour stockage Intergiciels IP PBX IP Phones Fe ne Langages et outils de programmation 2 05 Lecteurs de bande E o Librairies de bandes Liens op rateurs t l phonie iels d d els d identif ication de failles de s curit Lagici els d admini stration amp tuning d di s aux SGBDR Windows Linux Unix x86 sauvegarde ordonnancement supervision monitoring iciels d administratio
105. f la section Interdiction de consommation d une activit par d autres activit s dans la description du mod le page 23 Aussi pour obtenir un co t complet sans passer par des imputations crois es entre activit s il est recommand de faire supporter directement par le s service s les consommations d activit des Centres Technologiques annexes Dans le cas des bases de donn es les consommations serveur et stockage n cessaires au fonctionnement des bases de donn es consommations calcul es via les inducteurs seront imput es non pas aux bases de donn es mais aux services qui consomment ces bases Prenons l exemple d un serveur qui a une puissance de 10 au sein d un parc total de puissance 100 Ce serveur h berge 5 bases de donn es chaque base appartenant un service distinct A B C D E La consommation en serveur de chaque base sera donc de 1 5 de 10 du parc serveur soit une valeur d inducteur de 2 en ce qui concerne l infrastructure serveur par exemple activit INFUNI s il s agit d un serveur Unix Comme chaque base de donn es est consomm e par un service il est possible d affecter la consommation serveur des SGBD directement au service Dans notre exemple chaque service embarquera donc un inducteur serveur de 2 repr sentant la part de la consommation du SGBD propre ce service La consommation en inducteur serveur de chaque service sera donc la somme des consommations serveur de leurs bases de
106. fonctionnement et en excluant toutes les cons quences des investissements notamment les dotations aux amortissements Cette vision est int ressante pour benchmarker les activit s humaines car elle donne une image de la performance op rationnelle de la DSI notamment en ramenant la quantit produite sur le co t Opex de l activit par exemple co t Opex d exploitation Unix nombre d OS Unix exploit s Vue P amp L Profits amp Losses Cette vue reprend les l ments du compte de r sultat et notamment les charges et produits d exploitation Elle tient compte de l ensemble de charges issues du compte de r sultat incorporables aux objets de co ts sur la p riode consid r e La valorisation en P amp L englobe donc les flux externes et internes comme les provisions ou les amortissements Cette vue prend en compte les cons quences des choix de financement les amortissements dans le cas d une immobilisation ou des charges de cr dit bail Dans le cas d un projet immobilis les amortissements constituant des charges pluriannuelles selon les r gles d amortissement adopt es au sein de l entreprise il convient de les affecter sur lels application s fruit s du projet car au moment de l activation des amortissements il est probable que le projet n existe plus et c est bien l application qui constitue l actif le projet n tant que le moyen de le produire Il est important de comprendre cette m canique car les services du RUN peu
107. gistrement des flux circulant entre l entreprise et son environnement mais pas de la performance conomique des fonctions et des produits services d une entreprise Pour juger de cette performance conomique il convient donc de changer de perspective et de passer d un enregistrement par nature un enregistrement par destination ce que permet la comptabilit analytique Les destinations comptables doivent tre comprises comme des axes de r partition utiles la d marche d analyse par exemple la classification des charges se rattachant l acquisition des solutions de sauvegardes Le plan comptable g n ral d finit la comptabilit analytique comme un mode de traitement des donn es comptables dont les objectifs essentiels sont e de connaitre les co ts des diff rentes fonctions de l entreprise organis e en processus et activit s e d expliquer les r sultats en calculant Les co ts des produits biens et services pour les comparer aux prix de ventes correspondants e d une mani re g n rale de fournir les l ments de nature clairer les prises de d cision partir du reclassement des charges de la comptabilit g n rale les m thodes de La comptabilit analytique cherchent d terminer le co t de revient d un objet dont la nature et la granularit varient en fonction du contexte d analyse co t d une activit d un d partement d un service d une famille de services IL convient de bien distingue
108. hmarker CRiP Index amp Benchmarking Un outil de benchmarking Les enqu tes r guli res aupr s des 230 adh rents Le CRiP publie r guli rement des index permettant permettent de dresser une cartographie de de mesurer les degr s d adaptation de maturit et l existant d identifier les grandes tendances et aux d volution des grandes mutations IT Mobilit adh rents de se benchmarker Big Data Cloud computing S curit Data center efficacit nerg tique QUESTION 5 Si vous avez mis en place une solution de messagerie en mode Cloud votre niveau de satisfaction est il Mauvais 73 votes cliquez les barres pour voir qui a vot Pointill s votre situation Moyen Bon Tr s bon Pas de messagerie en mode Cloud Profiter de l exp rience de mes pairs Bases Projets Groupe Flash C est une base de donn es r pertoriant les 3 o 4 r unions pour faire le tour d un sujet pr cis projets d Infrastructures et de Production des soci t s membres du CRiP ainsi que leur niveau d avancement Tous les membres ont un libre acc s cette base Au travers de cette base un Groupe Spot membre qui souhaite d marrer un nouveau projet peut se mettre en relation avec d autres membres qui se trouvent engag s dans des projets de m me nature qu ils se trouvent en phase de r flexion de d veloppement ou de production Une seule r union pour apporter des r ponses innovantes un probl me d actualit
109. ice travers une machine virtuelle Inducteur des activit s humaines IL est propos d utiliser le nombre d OS pour r partir les co ts de ressources humaines car la puissance de traitement affect e un OS n est pas un indicateur pertinent de l effort fournir pour le maintenir Un coefficient de pond ration sur l activit d Exploitation peut tre ajout en fonction du niveau de service rendu Par exemple le service Gold aura un coefficient de 3 Silver de 2 Bronze de 1 En effet l exploitation co te forc ment plus cher sur un serveur Gold que sur un serveur Bronze LiVRE LI ANNIe 09 Fiche du Centre Technologique WLI Windows Linux Virtualisation 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des machines base de processeurs x86 x64 Intel ou AMD ainsi que des technologies de virtualisation compatibles avec cette famille de machines Ce Centre Technologique regroupe aussi les co ts li s l acquisition et l exploitation des OS Windows et Linux 2 P rim tre du Centre Technologique Windows Linux Virtualisation Ce Centre Technologique regroupe les serveurs mat riels exploit s sous Windows ou Linux sans diff renciation car ces types de machine peuvent recevoir l un ou l autre de ces OS souvent achet s en m me temps que la machine M me si au moment de l acquisition on sait pour quel OS une machine est acquise suiv
110. ier remplacer l application la faire voluer restructurer le code etc La mise en place du mod le d analyse des co ts pr pare la mise en place d outils de managements financiers ABC constitue un pr requis pour la cr ation de tableaux de bord capables de faire le lien entre strat gie d entreprise et activit s Retour d exp rience Groupe ADEO L entreprise Le Groupe ADEO est le troisi me groupe mondial de vente de biens de consommation pour le bricolage et la d coration et occupe le premier rang europ en de ce secteur Les diff rentes entreprises de Groupe ADEO ont r alis en 2012 un chiffre d affaire de 15 2 milliards d euros pour un effectif de plus de 66 000 personnes au travers de 27 entreprises implant es dans 13 pays Le Groupe ADEO rassemble les enseignes Leroy Merlin 335 magasins AKI Bricocenter Weldom Bricoman Dompro Zodio KBANE ainsi que plusieurs sites de vente en ligne delamaison fr decoclico fr lightonline fr deco mart com homes up com Historique de la d marche d analyse des co ts Jusqu en 2007 l entreprise disposait d un mod le unique de refacturation des co ts de la Production bas sur une r partition des co ts r els mat riels logiciels et services temps pass via la nature des co ts et leurs imputations Section Analytique Production Il existait alors 4 grandes familles de co ts de production e Production Mutualis e fourniture d un service identique toutes les B
111. ines entreprises souhaiteront diff rencier les ressources de stockage SAN et NAS voire les ressources FCoE des ressources FC pour les plus avanc es Les services de r plication pourront pareillement tre isol s lorsqu ils ne profitent qu certains services sp cifiques On pourra donc envisager la d clinaison suivante en activit s plus fines e INFSAN Infrastructures de stockage en mode SAN e INENAS Infrastructures de stockage en mode NAS e EXPSAN Exploitation du stockage en mode SAN e EXPNAS Exploitation du stockage en mode NAS On pourrait encore aller plus loin et diff rencier les technologies de stockage utilis es selon le principe des tiers classes de stockage 4 Inducteurs d activit s INFSTO Acquisition et maintenance des Nombre de Go allou s quipements de stockage et des logiciels associ s EXPSTO T ches d administration et de maintenance Nombre de LUN ou nombre de points de des quipements et logiciels permettant la montage fourniture de services de stockage Pour l activit INESTO il est propos de retenir le Go allou ou le To allou en comptant 1024 Go par To comme inducteur ce qui permet de valoriser et donc de refacturer l espace demand ind pendamment du taux d utilisation r el de la ressource espace utilis En effet un inducteur de type espace utilis peut faire supporter la DSI un co t de non utilisation Le choix d un inducteur de type Go allou met en lumi re la p
112. int gre l ensemble des charges n cessaires la fourniture de ce service Or certaines fonctions support propres une direction informatique concernent toutes les activit s Build et Run Par exemple certaines DSI poss dent des d partements RH de Comptabilit et Contr le de gestion ou encore des cellules transverses d Architecture de M thodes Qualit S curit etc Lorsqu il existe une direction des SI interne une entreprise il est classique de r cup rer des co ts li s des charges de structure les Locaux la logistique etc Par cons quent m me si ce document se focalise sur un mod le d analyse des co ts de la Production il convient d int grer une part des charges de structure au co t complet des services La Production informatique n est que rarement une direction autonome et elle d pend de certaines autres activit s transverses au Run et au Build La seule prise en compte des ressources consomm es par le RUN peut suffire dans une premi re approche mais dans cette hypoth se il faut bien tre conscient que l on obtient un co t partiel et non un co t complet Vues financi res applicables au mod le Combien co te le projet X cette ann e Combien co te l application Y Ces questions semblent univoques Pourtant d un point de vue financier le montant peut varier selon les crit res retenus La r ponse sera donc immanquablement Ca d pend Pour un co t de projet il est souvent plus
113. ion de regrouper et structurer en centres homog nes les technologies que toute DSI est amen exploiter Cependant il convient de l adapter chaque contexte et en ne retenant que les seuls Centres ayants un poids financier significatif contrario et selon les niveaux de maturit il est possible d affiner le mod le lorsque cela est pertinent suivant Les choix technologiques et le degr de pr cision souhait au sein de chaque organisation A titre d exemple le Centre Technologique Unix Propri taire peut tre divis en un Centre Unix high range et un Centre Unix mid range si les infrastructures Unix concern es ne constituent pas un ensemble homog ne et qu il est pr f rable de s parer les gros serveurs des petits dans la mesure o les co ts unitaires de ces serveurs ne sont pas comparables c Services Techniques et Services M tiers Le troisi me tage du mod le d analyse des co ts de production du CRIP est celui des Services Les Services tels que d finis dans ce mod le correspondent aux objets dont on souhaite conna tre le co t Les services peuvent tre d clin s en deux cat gories principales selon les clients ou utilisateurs de ces services Notion de services techniques Lorsqu une Direction de la Production IT a pour client une ou plusieurs DSI elle peut mettre leur disposition des services techniques d infrastructure dans une logique de type laaS ou PaaS par exemple De fa
114. ire critique c est le montant de chiffre d affaire qui doit tre r alis pour atteindre une exploitation rentable c est dire le chiffre d affaire minimum pour couvrir les charges fixes Le seuil de rentabilit s appuie sur la connaissance des charges variables et des charges fixes travers les formules suivantes CA Chiffre d affaire CV charges variables CF charges fixes MCV marge sur co t variable CAC chiffre d affaire critique R R sultat CA CV MCV MCV CF R Donc pour R 0 on a MCV CF et R 0 quand on atteint le CAC De ces galit s on d duit que le CAC quivaut CF sur le taux de MCV MCV avec MVC CA MCV CAC CF MVC Raisonnement sans marge Reprenons notre exemple des baies de disques pour d terminer la marge sur co t variable MCV Les charges variables correspondent aux ETP n cessaires pour administrer les LUNs et s l vent 162 000 par an La marge sur co t variable MCV est de 1 162 000 162 000 1 000 000 et le MCV est de 1 000 1 162 000 86 06 LiVRE 1 ANNIe Dans cet exemple simpliste MCV CF car nous avons CA Co t de revient soit un mod le sans marge Connaissant le taux de MCV il faut d terminer le chiffre d affaire critique qui couvre les charges fixes donc CAC 1 000 000 86 06 1 162 000 Sans surprise le CAC est gal au montant du co t complet car le chiffre d affaire est gal au co t compl
115. it shumaines d exploitationetadministration de ces solutions Si des activit s d assistance utilisateurs ou de demande de travaux ad hoc cr ation de rapports ou de requ tes sur mesure par exemple existent et que le mod le d activit ne permet pas d isoler les jours hommes relatifs ces travaux alors il est concevable de d verser les charges en jours hommes relatives sur l activit d exploitation et administration de ce Centre Technologique Autrement il est conseill de les d verser sur l activit de support utilisateurs support niveau 2 ou 3 activit transverse du mod le et donc externe aux Centres Technologiques LiVRE LI ANNIe Le Centre Technologique peut se r sumer une activit d acquisition si l organisation ou le suivi de temps ne permet pas d isoler les moyens humains qui y sont affect s Attention Les ressources utilis es par ce Centre Technologique mais communes et utilisables par d autres services ne doivent pas tre imput es ce Centre Technologique D cisionnel Par exemple si la solution d cisionnelle s appuie sur des bases de donn es relationnelles standards m me si dot es de particularit s SQL pour le d cisionnel les co ts d acquisition de ces bases tombent dans le Centre Technologique 11 Bases de donn es relationnelles l exception des cas o il est possible d isoler les co ts propres de ces modules sp cifiques cas d un module ROLAP par exemple 3 Activit s du Centre Te
116. iveau de consommation de s curit d une application ou d un projet A d faut de trouver un inducteur explicite qui ne soit sujet aucune ambigu t nous proposons au choix 2 m thodes de r partition qui d faut d tre exemplaires n introduisent pas de distorsion dans la d termination des co ts Affectation du co t des activit s du Centre Technologique au prorata des services En l absence d inducteur nous proposons de r partir les co ts des activit s du Centre Technologique au prorata des co ts constat s des services La r partition au prorata s effectue apr s les r partitions avec inducteurs techniques A ce stade Les services poss dent un co t partiel car l ensemble des activit s ne sont pas d vers es Nous prenons le poids respectif de chaque service comme cl de r partition des activit s S curit Ainsi si un service p se 5 de l ensemble des co ts des services il se verra imputer 5 des co ts de s curit Ce m canisme a pour avantage de neutraliser les effets de distorsion engendr s par l utilisation des cl s arbitraires les co ts de s curit sont proportionnels aux co ts d j constat s Voil le principe que nous privil gions On peut cependant lui reprocher de voir les services les plus on reux supporter plus de co ts INFSEC Co t d acquisition et de maintenance des Au prorata du poids constat des services syst mes mat riels et logiciels d di s la gestion
117. ivit activit s autonomes ou activit s au sein des centres technologiques e Cas d un client m tier Un client m tier consomme des services m tiers La mesure de la consommation se fait l aide d unit s d uvre UOs de facturation ayant un sens du point de vue m tier Un service m tier consomme des Centres Technologiques et des activit s La mesure de cette consommation se fait l aide d inducteurs d activit activit s autonomes ou activit s au sein des Centres Technologiques IL est important de pr ciser qu un inducteur ne s applique pas globalement un Centre Technologique mais bien une activit au sein d un Centre Technologique cela permet de bien diff rencier la consommation d infrastructure et de celle de l exploitation associ e Chaque activit est associ e un et un seul inducteur m me si un m me inducteur peut tre partag par plusieurs activit s Imputation directe des charges sur les activit s Dans la continuit de la finalit du d coupage en Centres Technologiques il convient de pr ciser qu il faut imputer les ressources au maximum en direct sur les activit s des Centres Technologiques Lorsqu on doit affecter une charge qui concerne potentiellement plusieurs Centres Technologiques comme par exemple un logiciel de supervision ou un produit qui assure des fonctions de s curit il faut en priorit se poser la question du p rim tre fonctionnel du produit en question Si l
118. l ration et de compression permettant les interconnexions MAN et WAN EXPWAN Exploitation des r seaux T ches li es MDS ACQRWA et services MAN et WAN l administration la maintenance et la supervision des r seaux MAN et WAN 3 1 Limites et volutions possibles Le MAN r plication synchrone peut tre int gr dans le co t d h bergement cf Centre Technologique 01 H bergement si son r le est celui de relier les salles informatiques datacenters entre elles eux 4 Inducteurs d activit s La formalisation d un inducteur pour l activit INFWAN pr sente une grande complexit car la consommation par chaque service est tr s difficile mesurer Le CIGREF qui a rencontr le m me probl me lors de ses travaux a adopt une solution hybride dont nous proposons de nous inspirer IL est possible d identifier les consommations de bande passante de certaines applications ou ensembles d applications lorsqu il s agit de flux ou de protocoles sp cifiques par exemple les flux de voix de vid o conf rence ou encore de messagerie Dans ce cas l inducteur est la bande passante consomm e par l application ou le service Pour le reste de la consommation la solution retenue consiste d finir un service Mise disposition du MAN WAN et lui attribuer une Unit d Oeuvre UO de facturation bas e sur le nombre de sites connect s l espace occup dans le datacenter ou tout autre indicateur acceptabl
119. l DEC mais celui ci n inclut pas Les co ts des serveurs du stockage etc Service R le Activit s concern es S curisation du SI Co t complet de la s curit Consomme 100 du Centre Consomme les autres logique du SI Le co t de ce Technologique S curit SEC Centres Technologiques service peut tre r parti uniquement si les activit s du Centre serveurs stockage via ensuite sur les services Technologique S curit SEC ne sont les inducteurs d activit s Mise disposition du d cisionnel Mise disposition des environnements hors production Mise disposition de l ditique de masse refactur s Co t complet des outils d cisionnels Peut tre factur en direct ou r parti sur les services refactur s Co t complet de tous les environnements autres que production Il est possible de d cliner ce service par environnement d veloppement recette int gration Co t complet de l ditique Il est possible de r partir ensuite ce co t sur les services consommateurs pas r parties par un inducteur Consomme 100 du Centre Technologique D cisionnel DEC et les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme 100 du Centre Technologique D veloppement Tests Recette DTR et les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme 100 du Centre Technologique Editique EDI et les activit s des aut
120. l convient d associer les co ts des licences de d veloppement l activit INFENV acquisition incluse dans le Centre Technologique 19 Logiciels de d veloppement tests et recette Cependant s il n est pas possible d en isoler les co ts alors il est concevable d associer le co t global des licences des logiciels de ce Centre Technologique l activit INFGED Distinction des activit s GED D mat rialisation et Archivage l gal Pour une plus grande finesse d analyse et en fonction de leurs activit s et m tiers internes des organisations pourront souhaiter segmenter plus finement les co ts de ce Centre Technologique en isolant la GED proprement dite des op rations de d mat rialisation et de celles d archivage l gal Dans ce cas on utilisera les activit s suivantes e INFDEM Co ts d acquisition et de maintenance des logiciels et mat riels d di s la d mat rialisation des documents e INFARL Co ts d acquisition et de maintenance des logiciels et mat riels d di s l archivage l gal e EXPDEM T ches li es l exploitation l administration et la maintenance des solutions de d mat rialisation e EXPARL T ches li es l exploitation l administration et la maintenance des solutions d archivage l gal 4 Inducteurs d activit s Deux solutions sont propos es pour imputer les co ts des activit s de ce Centre Technologique sur les services e La premi re est li e aux volumes de docume
121. le Cette m thode consiste ne faire supporter au co t du service qu une fraction des frais fixes proportionn e un niveau d activit consid r comme normal pour l entreprise Le coefficient d imputation rationnelle CIR permet de mesurer l cart entre l activit r elle et l activit normale Coefficient d imputation rationnelle activit r elle ou constat e activit normale ou standard Ce coefficient permet d liminer l influence des variations des volumes d activit sur les co ts des services Si Le CIR est inf rieur 1 alors l activit r elle est inf rieure l activit standard Les frais fixes imput s sont inf rieurs aux frais r els On a alors une perte de sous utilisation Si au contraire l activit r elle est sup rieure l activit normale on a un gain de suractivit LiVRE 1 ANNIe Occupation 7 Ct unitaire 2 3 Baies Po Go allou CIR Co t Total Co Constant Gain Perte Perte Gain activite activite 1847 1847 J Activit standard 8 388 608 1 549 333 387 333 Gain de suractivit 9 437 184 1 743 000 581 000 Gain de suractivit 10 485 760 1936 667 0 1847 774 667 Gain de suractivit Pour des baies pouvant recevoir au maximum 10 Po de disques on consid re que sur la dur e de vie comptable de l investissement les baies seront occup es hauteur de 6 Po Ce niveau d finit ce qui est consid r comme la capacit normale ou standard et par cons quen
122. le m me lorsqu un serveur a t acquis dans le cadre d un projet pr cis pour faire fonctionner une application particuli re il n est pas possible d affecter pr alablement de fa on fiable Les co ts r currents venir de ce serveur amortissements maintenance location etc ladite application car ce serveur pourra tre par la suite r affect d autres usages ou encore il se peut que d autres applications soient install es sur ce serveur au fil du temps On voit donc que m me dans un cas simple d achat d un serveur pour un projet conduisant la mise en production d une application l affectation directe des co ts pose probl me On imagine ais ment que cette affectation devient impossible dans un cadre de serveurs mutualis s ou virtualis s L analyse des co ts des services mis disposition n cessite de ce fait une approche diff rente permettant justement de mieux traiter les co ts indirects Comme nous l avons d j voqu l approche Activity Based Costing ABC r pond cette probl matique en introduisant deux l ments cl s dans la m thode d affectation ou de r partition des co ts sur les services e Les d pensessontaffect es desactivit srepr sentantuner alit op rationnelle Cette attribution des activit s r sout le probl me d affectation voqu ci dessus e Ces activit s sont elles m mes r parties sur les services gr ce des unit s d uvre techniques d nomm
123. les outils de communication transverse et de r seaux sociaux e outils collaboratifs d entreprise e r seaux sociaux d entreprise On associe aussi ce Centre Technologique les plates formes de visioconf rence hors quipements int gr s au poste de travail qui entrent dans le Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs qui sont aussi des outils de communication transverse Le Centre Technologique OPM permet a minima de valoriser les co ts d acquisition des solutions cit es ci dessus au cas o les co ts d exploitation ne seraient pas suivis par ailleurs Il faut bien garder l esprit que e si on acquiert un logiciel pour une utilisation m tier pr cise alors on est dans le cas de l allocation d une charge directe un service de MDS ce qui se traduit par une op ration ACQPRO nom du MDS associ e si on acquiert un logiciel pour des besoins transverses par exemple une solution de workflow d entreprise qui permet d instancier autant de workflows que n cessaire dans l entreprise alors on est dans le cas d une ressource qui entre dans le Centre Technologique 20 Outils de partage mutualis s et qui pourra tre ensuite r partie au prorata sur diff rents services si n cessaire Attention LiVRE SI ANNIe Ce Centre Technologique n inclut pas la messagerie qui est un service et non pas un Centre Technologique cf p 26 du document de r f rence Mod le d analyse des co ts de Produc
124. les rapports avec les technologies de l information b timents force froid gardiennage etc On retrouve donc dans ce Centre Technologique e Les charges immobili res amortissements des installations BTP e l lectricit s curis e les raccordements ERDF simples ou multiples les onduleurs les groupes lectrog nes les groupes no break et autres technologies e La climatisation traditionnelle par eau free cooling a ror frig rants etc e Les racks armoires informatiques de format standardis destin es recevoir les quipements e Les adductions t l coms et les dispositifs de s curisation associ s e Le c blage interne des salles mais pas les quipements r seau LAN qui sont trait s dans le Centre Technologique 02 R seau Data LAN datacenter ni les quipements r seau SAN qui sont trait s dans le Centre Technologique 05 Stockage ainsi que le c blage MAN lorsque celui ci a pour seul r le d interconnecter des salles entre elles e la Gestion Technique Centralis e GTC DCIM DataCenter Infrastructure Management remont e d alarmes depuis des capteurs install s sur le site et sur les installations techniques e Les sondes d environnement e Les compteurs de consommation des fluides e La maintenance des quipements lectriques et de climatisation e La gestion de la s curit incendie et la s curisation physique et logique des b timents services de gardiennage surveillance
125. lisateurs 2 P rim tre du Centre Technologique D cisionnel Bl La fonction d cisionnelle se construit autour de un ou plusieurs datawarehouses ou entrep ts de donn es aliment s partir de traitements d extraction de transformation et de chargement de donn es Ces donn es sont ensuite accessibles aux utilisateurs soit directement travers des outils d interrogation et de reporting soit indirectement travers des bases locales datamart magasin de donn es ou des cubes multidimensionnels par exemple les cubes OLAP Ce Centre Technologique couvre donc toutes les technologies logicielles et mat rielles qui r pondent sp cifiquement une des fonctions ci dessous Sont donc candidats ce Centre Technologique e Les outils de manipulation de donn es en masse de type ETL e Les outils de requ tage de visualisation des donn es e Les outils de reporting ou d automatisation de celui ci e Les cubes multidimensionnels et les outils de requ tage associ s e Les outils de gestion de la qualit des donn es profiling cleaning matching etc e les logiciels de gestion de donn es de r f rence MDM Master Data Management e Les solutions de sauvegarde monitoring administration d di es Le Centre Technologique int gre aussi les solutions mat rielles exemple type Teradata lorsque celles ci sont sp cialis es et d di es pour le d cisionnel BI Le p rim tre couvre galementlesactiv
126. logique regroupe l ensemble des infrastructures mat rielles et logicielles et des ressources humaines li es l acquisition et l exploitation des r seaux LAN au sein des datacenters 2 P rim tre du Centre Technologique R seau Data LAN datacenter La fonction LAN Datacenter vise assurer l acc s des serveurs informatiques install s dans les salles informatiques au r seau le plus souvent au moyen d une technologie Ethernet Ce Centre Technologique inclut donc e Les commutateurs switches de niveau 2 et 3 e Les outils d administration des quipements e Les supports constructeurs g n ralement sous forme de forfait annuel Il inclut aussi toutes les op rations de configuration et de maintenance r seau qui concernent ces quipements e attribution d adresses IP e configuration de VLANSs e gestion de r seaux et sous r seaux e analyse de trafic et de protocoles e gestion des tables de routage e etc Attention 1 Le c blage n entre pas dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 01 H bergement 2 La probl matique s curit acquisition de mat riels et logiciels Firewalls et IPS appliances de load balancing quipements de NAT et translation d adresses au niveau URL reverse proxy les co ts de maintenance de ces logiciels et mat riels leur administration et leur support est trait e dans le Centre Technologique 13 S curit et ne fait donc pas partie du p rim
127. ment 3 2 1 par exemple L inducteur d activit propos est valable pour les 2 activit s de ce Centre Technologique LiVRE 1 ANNIe 08 39Vd 12 Fiche du Centre Technologique EDI Editique 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des machines destin es l ditique c est dire l impression de masse le fa onnage la mise sous pli le pr routage et l affranchissement 2 P rim tre du Centre Technologique Editique L ditique repr sente l ensemble des moyens mis en uvre pour la production et la diffusion de documents en masse A ce titre la cha ne ditique couvre les tapes suivantes e extraction de donn es du syst me d information e tri fusion clatement et composition de documents e impression de masse e fa onnage pliage e mise sous pli e routage e affranchissement Le Centre Technologique Editique prend en compte l ensemble des mat riels et logiciels permettant la conception la composition la g n ration physique du document conception clatement tri regroupement routage impression des contenus de spooler fa onnage pliage mise sous pli etc Par simplification ce Centre Technologique comprend galement les logiciels de conception de document ou de fond de page m me si par d finition ils se positionnent en amont de la production des documents en phase de concepti
128. mesure dans le cas des Services Techniques le catalogue de services vise masquer les Centres Technologiques qui n ont pas vocation tre vus par les utilisateurs finals pour ne leur pr senter que des services compr hensibles par eux aussi bien en termes d usage que de mode de facturation Unit s d uvre Pour illustrer ces propos prenons l exemple du service messagerie d entreprise Le service messagerie consomme des serveurs des infrastructures logicielles de l espace de stockage du r seau etc ainsi que des prestations humaines d exploitation et d administration toutes n cessaires pour rendre le service op rationnel Cependant l objet ayant une valeur d usage pour un client est bien la messagerie d entreprise et non pas l ensemble des Centres Technologiques n cessaires son exploitation r currente Dans ce cas le service Messagerie d entreprise masque la complexit technique sous jacente l unit d uvre pouvant tre le prix unitaire de la bo te mail Messagerie Exemple d un service lus Unit d uvre de facturation ex Boite aux lettres re Messageire Services d entreprise Nbre d alertes w P va Go Go rorata poids pond r es KVA du service Centres Technologiques Moyens humains amp techniques Ressources Ainsi tout service se d finit comme un panachage de Centres Technologiques qui contribue la fourniture de ce service Il arrive que des Centres Technologique
129. ministration des l exploitation des imprimantes centrales infrastructures ditique et des machines de mise sous pli routage machines affranchir etc 3 1 Limites et volutions possibles Selon lescas ilpeut tre envisag de d tailler les activit s du Centre Technologique Editique en les sp cialisant selon les t ches de la cha ne ditique couvertes par le Centre Technologique e impression de masse e fa onnage pliage e mise sous pli e routage e affranchissement S il n est pas possible de suivre les consommations jours hommes d exploitation de l ditique trop marginal ou charges dilu es parmi d autres t ches d administration alors il est envisageable de garder le Centre Technologique avec la seule activit INFEDI IL est par ailleurs pr conis de cr er un ou plusieurs service s applicatif s ditique pour mettre en vidence les consommations de serveurs de stockage et ventuellement de sauvegarde de l ditique logiciels ditique espace disque des spoolers d impression etc 4 Inducteurs d activit s La d finition des inducteurs d activit pour ce Centre Technologique est li e la d finition des services de type ditique qui peuvent typiquement tre d clin s par mailings ou envois Si un unique service ditique est cr alors il convient de lui affecter 100 des co ts du Centre Technologique Editique INFEDI Infrastructures ditique Nombre de pages imprim
130. moins pas la place qui sera la leur dans deux trois ou cinq ans La r flexion sur Le catalogue de services a vocation tre renforc e afin de faciliter les comparaisons entre les services offerts par les Productions des diff rentes entreprises Bref ce document est une version 1 0 de notre travail qui a vocation devenir une version 1 1 puis une version 2 0 LiVRE LI ANNIe ANNEXE 1 FICHES DES CENTRES TECHNOLOGIQUES 01 Fiche du Centre Technologique HEB H bergement 1 D finition sommaire CeCentre Technologiqueregroupel ensemble desressourcesrelatives l acquisition location des salles informatiques et leur exploitation en fonctionnement normal Ce Centre Technologique prend donc aussi bien en compte la construction des b timents que leur surveillance l nergie et la climatisation ou encore les charges de personnel relatives aux gestes de proximit 2 P rim tre du Centre Technologique H bergement Ce Centre Technologique comporte plusieurs blocs de ressources n cessaires assurer l h bergement des quipements informatiques serveurs stockage quipements r seau Cet h bergement est r alis dans des salles ou des b timents pr sentant le niveau de s curisation parfois exprim en termes de Tier Il III ou IV au sens de l Uptime Institute et de services voulus Ce Centre Technologique agr ge donc des composants fortement h t rog nes et qui n entretiennent pour la plupart que de faib
131. n aval pour prendre compte de l volution des demandes pourquoi pas un inducteur BSD dans les organisations qui en ont l usage INFWLI Infrastructures mat rielles et licences Nombre d uWLlI OS si pas de INFWIx ni de INFLIx INR Infrastructures de virtualisation Nombre d uWLI RTS Exploitation des infrastructures Windows Nombre de licences OS exploit es EXPUN Exploitation des infrastructures Linux Nombre de licences OS exploit es EXPVIR Exploitation des infrastructures de Nombre de licences OS exploit es nee Explication sur l unit de puissance uWLI Uneunit sp cifique est propos e pour mesurer les ressources sur les infrastructures Windows et Linux Par convention nous la nommerons uWLI pour unit Windows Linux Le principe est de d finir une puissance de r f rence en int grant 2 variables qui dimensionnent la puissance des serveurs e Le nombre de c urs e la taille de la m moire RAM et d tablir une relation de puissance entre les c urs et La RAM Par exemple prenons pour postulat de base que 1 uWLI correspond 1 c ur ou 4Go de RAM En partant de ce principe e 1 serveur biprocesseur 6 c urs avec 48 Go de RAM totalise 2 x 6 48 4 24 uWLI e 1 serveur biprocesseur 4 c urs avec 16 Go de RAM totalise 2 x 4 16 4 12 uWLI En connaissant la puissance des machines physiques et virtuelles d un parc il est ainsi possible de r partir la puissance install e sur les services e
132. n de la virtualisation des serveurs Linux x86 iciels d administration de la virtualisation des serveurs Unix x86 iciels d administratio on n de la virtualisation des serveurs Windows i iels d admini strati on Supervision monitoring sp cifiques aux Unix propri taires iciels d archivage iciels de d veloppement tests et recettes iciels de GED a s i fux a o Ta NESA anA ENESA Ea gie iels de gestion de robotique de bandes Fe o si E i 3 n a NEE T EN E A E AA el iels d gestion des stockages et sauvegardes Mainframe T o o on ue 7 o telp o a E s a rs un a Re A Y ONE E S i iels de sauvegarde restauration client et serveur i iels de sauvegarde restauration sp cifique r mini informatique propri taire iciels de s curit Mainframe els r seaux sp cifiques aux Unix propri taires i iels techniques et middleware Mini informatique propri taire i ciels VTL client ets serveur Maintenance des commutateurs de niveau 2 et 3 pr sents en salles informatiques datacenters Maintenance des a lectriques et de climatisation des dalles informatiques Datacenters Master data management a S E E EES ve A g _ ne Te nn Mat riels de de s visioconf rence o Mat riels et logiciels d acc l ration WAN MCO des gestes IMAC sur postes de travail os et autres logiciels install s en standard p riph riques associ s incluant imprimantes amp scanners
133. n fonction du nombre de licences exploit es OS par service et de la puissance attribu e chaque OS exprim e en uWLI Ce principe permet de r partir le co t de INFWLI ou niveau de maille plus fin comme expos plus haut sur les services qu ils soient exploit s sur une machine physique ou virtuelle Un service exploit sur une machine virtuelle supportera en plus des co ts de serveurs physiques des co ts INFVIR au prorata du nombre des uWLI consomm es par le service Inducteur des activit s humaines L inducteur retenu pour les activit s humaines EXPxxx est le nombre de licences OS exploit es En effet le nombre de licences OS actives qui sont en fonctionnement semble un inducteur pertinent pour mesurer le niveau de consommation de l activit Exploitation et administration Il semble donc bien qu il existe un lien de causalit entre le nombre de licences OS exploiter et le nombre de jours hommes Pr requis pour l imputation des activit s Pour faire l imputation des activit s sur les services il est indispensable de conna tre e Le nombre de machines physiques la configuration en nombre de c urs et taille de RAM de chaque machine e l association entre machine physique et machine virtuelle et la configuration nombre de c urs et taille de RAM des machines virtuelles e l affectation des services sur les machines physiques et virtuelles Les activit s sont r parties sur les services au prorata du niveau
134. n service Acc s distant au SI par exemple ou de clients DSI un projet consomme un service Plate forme de d veloppement par exemple La valorisation des activit s permet de valoriser les services Les niveaux de consommation des inducteurs de ressources et des inducteurs d activit s tablissent le co t complet des services ce dernier permettant de mesurer si les ressources consomm es pour la d livrance du service au niveau de qualit attendu sont en ad quation avec la valeur d livr e Ainsi le mod le se positionne comme un moyen de mesurer la capacit de la DSI d utiliser ses entrants de mani re offrir des services de qualit r pondant aux attentes des clients La somme des co ts des activit s d termine le co t complet d un Centre Technologique pour la p riode analys e Au sein d une organisation cette d marche permet de mesurer et d valuer le poids respectif des activit s d en suivre l volution dans le temps Pour les entreprises adoptant un m me mod le de Centres Technologiques et d activit s cette d marche facilite les comparaisons tant donn que les p rim tres d activit s et de charges sont plus clairement d finis Les activit s hors centres technologiques Les Centres Technologiques qui incarnent des centres op rationnels les plus clairement identifiables ne sont pas suffisants Au sein d une Production informatique ils ne peuvent pas devenir pleinement op rationnels sans la pr sence
135. nnaissance des deux fiches correspondantes Pour l activit INFMID les co ts des logiciels tant souvent bas s sur le nombre de serveurs et ou sur le nombre de c urs install s sur les serveurs on peut en d duire que les co ts de logiciels imputables un service sont proportionnels aux co ts des infrastructures machines On utilisera donc les inducteurs INFWLI et INFUNI comme inducteur pour l activit INFMID Si Les inducteurs sont distincts pour Windows Linux et Les Unix propri taires il faut alors mesurer le poids relatif de chaque serveur dans chaque Centre Technologique et imputer le total des poids des serveurs qui h bergent les serveurs composants middleware de chaque service Par exemple prenons le cas d un service S1 architectur autour d un serveur Web sous Windows avec un serveur de traitement sous Unix e Le serveur Windows vaut 4 uWLI soit 5 du total des inducteurs uWLI et est d di au service S1 e Le serveur Unix vaut 200 SPECint soit 20 du total des SPECint Unix propri taires et h berge 4 services L activit INFMID contribue au service S1 hauteur de 10 5 5 du total des co ts INFMID e 100 des 5 Windows e 25 200 4 des 20 Unix soit 5 Pour l activit d exploitation EXPMID l image des Centres Technologiques 09 Windows Linux et 08 Unix propri taires l inducteur le plus exact est le nombre d instances de composants serveurs middleware par service Plus un service
136. ns physiques sur les postes Nombre d quipements manag s p riph riques etc installation mouvement ajout changement exploitation et administration des postes de travail p riph riques et logiciels postes de travail interventions dans les locaux techniques L inducteur K par service signifie qu on identifie au niveau de la ressource le service concern et donc le montant ne fait que transiter par l activit avant d tre d vers sur le service en question En mati re de services un service valoris comme les PCs fixes par exemple correspond l ensemble des quipements d une cat gorie tous les PCs fixes LiVRE 1 ANNIe 15 Fiche du Centre Technologique MID Middlewares applicatifs 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des activit s d acquisition et d exploitation des technologies logicielles de middleware applicatif qu il s agisse de serveurs de traitement serveurs d applications de serveurs Web de serveurs transactionnels ou de technologies de gestion des changes en mode message 2 P rim tre du Centre Technologique Middlewares applicatifs Ce Centre Technologique prend en charge l ensemble des middlewares et serveurs applicatifs qui assurent des fonctions de traitement de requ tes synchrones et asynchrones Les technologies adress es couvrent tous les fournisseurs proposant des solutions exploit es dans le monde ouvert Windows Linux Unix e serve
137. ntre Technologique rassemble des quipements tr s divers qu il s agisse des plates formes des syst mes des usages Selon les besoins des organisations leur degr de ma trise de leur parc de tr s nombreuses sous cat gories d activit s peuvent faire sens ici dans le but de e suivre les co ts de leur flotte de terminaux mobiles ou de tablettes e comparer les co ts des machines Apple et ceux des machines PC e isoler les co ts sp cifiques aux terminaux sp cialis s terminaux d entrep t caisses enregistreuses etc Les co ts peuvent tre dissoci s par grandes sous familles d quipements dont on souhaite suivre les co ts imprimantes bureautiques MFP ordinateurs de bureau portables tablettes etc Les activit s de ce Centre Technologique ne sont pas sujettes voluer ce qui volue ce sont les services du catalogue En effet l activit INFETU consolide les co ts de tous les quipements qui sont ensuite affect s l euro l euro cf les inducteurs d activit s ci dessous sur les services 4 Inducteurs d activit s INFETU Infrastructures machines licences OS K par service affectation directe des p riph riques et logiciels pour postes de d penses aux services concern s travail INFBUR Infrastructures depuis la prise r seau Nombre d quipements actifs connect s murale poste de travail jusqu aux l infrastructure quipements dans les locaux techniques EXPETU Interventio
138. nts g r s en GED e La seconde est plus g n rique en l absence de m triques Inducteur volumique Les co ts des activit s de ce Centre Technologique sont imput s aux services au prorata des volumes g r s en GED Le volume de documents par service est propos comme inducteur pour les 2 activit s S il y a plusieurs instances de GED dans l organisation une instance par application ou pour un groupe d applications en fonction des choix d architecture volum trie disponibilit etc il convient de consolider le nombre total de documents de toutes les instances et de sommer le nombre de documents par service INFGED Infrastructures machines et logicielles GED Nombre de documents g r s en GED d mat rialisation et archivage l gal par service EXPGED Exploitation et administration des outils de Nombre de documents g r s en GED GED d mat rialisation et archivage l gal par service R partition au prorata des poids des services Si la mesure du nombre de documents n est pas ais ment disponible alors il est possible d associer les activit s de ce Centre Technologique un service g n rique par exemple Application g n rique GED d mat rialisation archivage l gal et d imputer 100 des co ts des activit s de ce Centre Technologique ce service Ceci permet de valoriser la totalit des co ts des activit s travers un service et si n cessaire de redistribuer le co t du service g n rique sur les
139. od le Recommandations IL faut id alement disposer sur ce genre de projet d un sponsor de niveau appropri et en mesure d activer la fois le contr le de gestion et les op rationnels qui seuls poss dent les bonnes informations pour la d termination des inducteurs Il faut impliquer les op rationnels aussi bien en les sollicitant pour l tape de d termination des activit s que pour leur faire des restitutions sur l avancement de la d marche afin de leur faire valider les l ments qui les touchent et pour qu ils s approprient le mod le IL faut sans cesse valider et confronter les chiffres avec les responsables op rationnels Une fois la valorisation r alis e et le co t des services et des activit s tabli il faut les pr senter aux responsables pour recueillir leurs r actions et leur expliquer la fa on dont ces co ts ont t tablis Avancer progressivement en commencant par une mesure de la maturit en interne Quels l ments d analyse des co ts existent Quelles informations poss de le contr le de gestion Quels outils sont d j en place IL vaut mieux une m thode empirique et critiquable qu une boite noire Le ou les chefs de projets seront plus en mesure de conduire la d marche s ils connaissant la fois les m thodes financi res les questions de costing et ABC ainsi que le terrain technique La d termination d inducteurs p rennes dans le temps demande une connaissance de l IT en place
140. ologiques incarnent des activit s pratiqu es au sein d une Production informatique ainsi que leurs co ts L valuation en co t complet des Centres Technologiques permet de valoriser les services d livr s Chaque Centre Technologique centre de co t unitaire contribue ainsi objectiver les niveaux de consommation des services et facilite de ce fait La transformation de la Production informatique en un centre de services voire en un centre de profit Par analogie avec les techniques conomiques le d coupage en Centres Technologiques permet de mesurer les intrants consomm s pour la d livrance des extrants Dans ce cadre les intrants composent les facteurs de production et recouvrent e tous les capitaux techniques les mat riels et logiciels les produits interm diaires comme l nergie et plus globalement toutes les fournitures mat rielles ou immat rielles achet es l ext rieur e Le capital humain En reprenant les 2 types de capitaux utiles pour la production des services le mod le du CRIP propose de s appuyer sur une construction des Centres Technologiques s articulant autour de 2 activit s e une activit d acquisition elle regroupe toutes les ressources financi res consomm es pour l acquisition de la technologie achat maintenance location amortissement etc Il s agit donc de la mesure du capital technique e une activit d exploitation administration elle regroupe les consomm
141. ompagnera d une volution de l outil de gestion des temps des activit s En 2011 une tude est lanc e Le mod le en place doit voluer pour tenir compte la fois de l organisation interne et des technologies en place Une premi re base d inventaire est construite pour recenser mat riels logiciels et maintenances associ es Il s ensuit un travail sur la mise jour des bases d assets techniques et financi res Une quarantaine de Centres Technologiques sont identifi s En 2012 une premi re version de catalogue de services est publi e Une premi re simulation en version 0 des co ts de production par Centre Technologique est produite des fins de validation Les activit s humaines sont cr es et param tr es selon les Centres Technologiques dans l outil de gestion des temps d activit La mesure de chaque Activit et de chaque Service se fait travers cet outil Les infrastructures associ es chaque centre technologique sont identifi es ainsi que les activit s ressources et inducteurs En 2013 la version 1 de la simulation des co ts de production par Service rendu est disponible et s accompagne de la construction d un outillage de consolidation et de simulation des co ts par Centre Technologique Tout cela permet de mettre en correspondance le nouveau mod le de co ts et le budget de Production pour comparaison de la refacturation et validation du nouveau mod le Il est d sormais temps de partager ce mod le
142. on Etant donn que l ditique s appuie galement sur les activit s des Centres Technologiques comme 08 Unix propri taires 07 Mainframe 05 Stockage 06 Sauvegarde etc et que l on s interdit dans le mod le d analyse CRIP des consommationsentreactivit s ilconvient de cr er galement au catalogue deservices un service Mise disposition de l ditique de masse cf p25 du mod le d analyse afin que ce service puisse consommer 100 des co ts du Centre Technologique ainsi qu une quote part de ceux des activit s des autres Centres Technologiques concern s Unix propri taires Mainframe Stockage Sauvegarde etc Par ailleurs le Centre Technologique Editique embarque l ensemble des co ts d infrastructure li s l ditique l exclusion notable des consommables papier en particulier et des co ts d affranchissement Le mat riel pour l affranchissement des documents et l exploitation de ce mat riel font ainsi partie du Centre Technologique Editique En revanche les co ts d affranchissement vers s l op rateur postal n en font pas partie LiVRE 1 ANNIe 3 Activit s du Centre Technologique Editique AN z po Correspondance INFEDI Infrastructures Co ts d acquisition Hors p rim tre ditique imprimantes location et maintenance centrales machines de des infrastructures mise sous pli routage ditique machines affranchir etc EXPEDI Exploitation et T ches li es Hors p rim tre ad
143. on permettre un benchmark du co t des services techniques une prochaine tape de notre travail consistera d finir un catalogue de services techniques normalis LIVRE BIMAN Les services techniques s appuient naturellement sur les diff rentes activit s du mod le et en particulier sur les Centres Technologiques Par exemple un service technique Applications d cisionnelles s appuiera naturellement sur le Centre Technologique BI D cisionnel mais aussi sur les Centres Technologiques correspondant aux serveurs et au stockage utilis s par ce service Notion de services m tiers La d finition d un catalogue de services techniques normalis vient en compl ment de la notion de catalogue de services m tiers propos e par le Mod le d analyse et de benchmarking des co ts informatiques du CIGREF Un catalogue de services m tiers ne peut pas tre normalis au del de sa structure dans la mesure o les services correspondent par d finition aux m tiers qui diff rent d une entreprise une autre Un service m tier correspond typiquement un service applicatif r pondant une fonctionnalit m tier ou quelques services transverses de type Environnement de travail utilisateur d Clients M tiers et Clients DSI Le quatri me et dernier tage du mod le repr sente les utilisateurs des services qui comme ces derniers se d clinent en deux cat gories e Les clients DSI qui utilisent les services t
144. onnel en tant que service permet de montrer les consommations des ressources indirectes l acquisition de serveurs Unix ou de licences de bases de donn es ou de stockage n est pas directe ce service Ce sont des infrastructures communes plusieurs services et c est bien le dimensionnement capacitaire de ces infrastructures vis vis du volume global de service exploiter qui en cons quence dimensionne le niveau de consommation des ressources De ce fait et titre d exemple les ressources des serveurs Unix tombent sur l activit INFUNI du Centre Technologique 08 Unix propri taires les ressources SGBD tombent sur l activit INFSGB du Centre Technologique 11 Bases de donn es relationnelles et ainsi de suite le service D cisionnel tant valoris travers les consommations d inducteur des activit s des autres Centres Technologiques LiVRE I ANNIe En tant que solution d entreprise la valorisation du service D cisionnel Bl repr sente le co t global du d cisionnel et BI dans son ensemble Ceci permet e de dimensionner le co t complet annuel du d cisionnel y compris avec les consommations manant des activit s des autres Centres Technologiques e de pouvoir d verser ce co t complet sur d autres objets de co ts autres services Directions m tier filiales etc afin d obtenir un co t environn de ces solutions Il est par exemple possible de d verser les co ts du service D cisionnel BI sur les au
145. onome des co ts li s des logiciels d ESB ou de passerelle vers des moniteurs transactionnels mainframe Dans le cas pr sent pour imputer au plus juste les r els co ts logiciels de ce Centre Technologique il faudrait clater le Centre Technologique en autant de Centres Technologiques qu il existe de natures de logiciels serveurs web serveurs de traitement moniteurs transactionnels ESB etc afin de calculer le co t unitaire des inducteurs de chacun de ces Centres Technologiques et d imputer chaque service ce qu il utilise r ellement comme technologie Mais une telle d marche induirait une complexit du mod le conomique qui rendrait difficile son maintien et obligerait le faire voluer chaque apparition d une nouvelle technologie Ce centre a donc volontairement une maille large pour des raisons de simplification et de stabilit La recherche d un inducteur commun tous les fournisseurs potentiels de ces technologies s en trouve d autant plus compliqu e Inducteurs bas s sur ceux des Centres Technologiques 09 Windows Linux et 08 Unix propri taires L id e est de proratiser La consommation des technologies middleware la puissance des serveurs qui h bergent les services Pour ce faire nous nous appuyons sur les inducteurs d crits dans les Centres Technologiques 09 Windows Linux et 08 Unix propri taires qui servent de base au calcul qui suit Pour plus de d tails sur ces inducteurs vous devez prendre co
146. ons locales gestion des acc s et des identit s Traitement du document ditions centralis es applications de GED Stockage sauvegarde archivage mise disposition d espaces de stockage diff rents services de sauvegarde services d archivage standard et ou l gal L une des missions du Groupe de Travail suite La livraison de ce mod le sera justement de travailler la cr ation d un catalogue de services g n riques afin de rendre les co ts des services fournis par diff rentes Productions comparables qualit de service quivalente LES 10 COMMANDEMENTS DU MOD LE D ANALYSE DES COUTS DE LA PRODUCTION LiVRE I ANNIe Les pr c dents chapitres ont permis de pr senter dans le d tail le mod le d analyse des co ts de la Production Nous en rappelons ici Les principes fondamentaux sous la forme de 10 commandements 1 Chaque tage du mod le ressources activit s services techniques ou m tiers clients repr sente 100 des co ts 2 Les ressources qui repr sentent les diff rents postes de d penses sont consomm es exclusivement par les activit s 3 Les activit s repr sentent d une part les infrastructures mat rielles logicielles r seau etc et d autre part les t ches d exploitation associ es ces infrastructures 4 Les activit s sont regroup es par paires une activit d infrastructure et une activit d exploitation au sein de Centres Technologiques q
147. opres chaque Centre Technologique est id alement d finie lors de l laboration du catalogue technologique de la DSI Ainsi les choix arr t s pour le Centre Technologique 21 GED D mat rialisation Archivage l gal d finissent les solutions communes mettre en uvre pour toutes les applications qui doivent offrir des fonctionnalit s de d mat rialisation ou de gestion lectronique de documents S il existe une solution de GED d mat rialisation sp cifique une application et non conforme aux choix technologiques de la DSI tels que d finis dans son catalogue de technologies alors ilconvient d associer ces ressources directement l application concern e en utilisant l activit ACQPRO acquisition progiciel m tier du mod le CIGREF et le nom du service qui utilise cette solution Cette activit permet ainsi d associer directement une ressource un service c est dire d en faire une charge directe au service Dans tous les autres cas les ressources sont imput es l activit d acquisition de ce Centre Technologique m me si ces ressources peuvent tre consid r es comme sp cifiques la premi re application utilisant ces technologies car justement en tant la premi re elle consomme 100 des co ts du Centre Technologique Ceci n est plus le cas lors de la mise en production d autres applications cf Annexe 3 Imputation rationnelle des charges Licences de production et hors production Id alement i
148. os de charges fixes et une charge variable pour l exploitation li e au nombre de LUN administrer on consid re donc que la charge d administration est d pendante du nombre de LUN administrer et ce titre peut constituer un inducteur d activit pour EXPSTO On remarquera que LiVRE LI ANNIe dans le tableau ci dessous la variation du nombre d ETP s effectue par ETP entier En prenant comme exemple p dagogiques 1 ETP 2 500 LUNs on s aper oit que la charge est fixe entre 0 et 2 500 LUNSss puis volue d 1 ETP entre 2500 et 5000 LUNs Ceci illustre que toutes charges poss dent un comportement semi fixe semi variable selon la maille d analyse Les ETP sont consid r s comme variable la vue des autres charges prises en comptes sur le p rim tre d analyse charges des infrastructures baies Cette remarque est aussi valable si on prend en compte l acquisition de disques suppl mentaires au fur et mesure du remplissage des baies Co t de revient du Go sans imputation rationnelle La structure de co t du centre technologique est donc la suivante RC NT SN DR RTE Gew wf e AE NT NT AE RE ej a AE AE NT ET EE A MC A NE RE MN ET CR e PE D KT NT ET ES A a AE NE A NT ET w RE AE AE ENT TE RE EE AE ES HS Le calcul du co t de revient du Go varie en fonction du taux d occupation des baies Le co t unitaire varie la baisse lorsque les baies se remplissent et atteint son minimum 100 d utilisation de
149. ossibles du Centre Technologique trait pour les utilisateurs du mod le qui souhaiteraient analyser plus finement la r partition de leurs co ts A Enfin un chapitre sur les inducteurs d activit applicables au Centre Technologique trait Pour chaque activit nous avons essay de positionner les inducteurs correspondants Lorsque n cessaire nous avons comment la nature et le mode de calcul de ces inducteurs Comment se rep rer Dans le document t l chargeable qui d crit les 21 Centres Technologiques figure un index qui associe les plates formes les logiciels et les activit s class s par ordre alphab tique aux centres technologiques dans lesquels le mod le d analyse des co ts les affecte Cette matrice permet de savoir quelle fiche de Centre Technologique se r f rer LiVRE 1 ANNIe Le catalogue de services de la Production Le catalogue de services constitue dans le mod le d analyse des co ts de la Production la d clinaison en services l usage des utilisateurs des ressources techniques fournies par les Centres Technologiques d crits ci dessus Ce catalogue pr sente sous formes de services m tiers l intention des m tiers de l entreprise et ou de services techniques l intention des DSI clientes de la Production les services construits par la Production partir des consommations d activit s des diff rents Centres Technologique Dans le cas de Services M tiers et dans une moindre
150. oste de travail et t l phonie fixe Quant la t l phonie mobile dans certains cas les collaborateurs peuvent utiliser leur propre mat riel et abonnement alors seules les consommations seront prises en compte 4 Inducteurs d activit s La facturation op rateur est directement corr l e la volum trie en termes de nombre de postes mais aussi de consommation INFTEF Acquisition et maintenance des services de Nombre de postes et consommation t l phonie fixe INFTEM Acquisition et maintenance des services de Nombre de terminaux et consommation t l phonie mobile EXPTEF Exploitation des services de t l phonie fixe Nombre de postes EXPTEM Exploitation des services de t l phonie mobile Le nombre de postes sans distinction entre les types de postes constitue un inducteur suffisant en premi re approche Pour les entreprises qui le souhaitent ilest possible de mettre en place un inducteur qui diff renciera plusieurs types de postes poste basique poste de centre d appels ou tout autre type de poste n cessaire 05 Fiche du Centre Technologique STO Stockage SAN NAS 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des infrastructures de stockage de donn es en mode bloc SAN et en mode fichier NAS Ce Centre Technologique vise fournir des ressources de stockage non locales ilne prend pas en charge les disques embarqu s direct
151. ous les actes de maintenance applicables ces terminaux et quipements y compris les activit s centralis es de t l distribution 3 Activit s du Centre Technologique Environnement de travail utilisateurs ne 5 a Correspondance BUR BUR UR Infrastructures machines licences OS p riph riques et logiciels pour postes de travail INFETU INFBUR Infrastructures depuis la prise r seau murale poste de travail jusqu aux quipements dans les locaux techniques EXPETU Interventions physiques sur les postes p riph riques etc installation mouvement ajout changement exploitation et administration des postes de travail p riph riques et logiciels postes de travail interventions dans les locaux techniques ACQUIS INFBUR DEPLOI MASTER Co ts d acquisition et de maintenance des machines physiques et de leurs OS des imprimantes scanners et autres p riph riques associ s aux postes de travail des logiciels d ploy s sur les postes de travail hors logiciels m tier Co ts d acquisition des quipements dans les locaux techniques hubs switches baies de brassage cordons etc T ches li es au MCO des postes de travail des p riph riques postes de travail des logiciels postes de travail et qui demandent d intervenir physiquement sur le poste gestion des masters t l distribution mises jour etc 3 1 Limites et volutions possibles Ce Ce
152. outils de tuning et d administration sauvegarde ordonnancement supervision monitoring etc sp cifiquement d di s ces bases Afin de garder le contr le sur l optimisation globale de cette activit il est pr conis de ne pas tenter de r percuter en direct sur les services et donc sur les clients les diff rentes modalit s de facturation des bases de donn es au volume au nombre de c urs la licence nomm e etc l exception si possible des licences de d veloppement L optimisation des co ts d acquisition et la rationalisation de leur utilisation restent ainsi de la responsabilit de la DSI et ne d pendent pas de choix clients dans la mesure du politiquement possible Attention 1 Ce Centre Technologique n inclut aucune version de base de donn es relationnelle qui fonctionne en environnement Mainframe ces SGBDR sont inclus dans le Centre Technologique 07 Mainframe ou mini informatique ces SGBDR sont inclus dans le Centre Technologique 10 Mini informatique 2 Dans le cas d outils d di s aux d veloppements logiciels g n rateurs de requ tes SQL tuning de requ tes librairies d acc s aux bases bases de d veloppement etc si le co t des licences propres ces environnements peut tre isol alors il convient de les affecter au Centre Technologique 19 Logiciels de d veloppement tests et recette et plus sp cifiquement l activit INFENV Dans les autres cas ces co ts resteront dans le pr
153. ows Linux et 08 Unix propri taires qui consommeront les activit s d exploitation et administration de ce Centre Technologique En effet on consid re alors que les travaux d exploitation et d administration des serveurs Windows Linux et Unix propri taires qui h bergent les technologies de ce Centre Technologique int grent galement les t ches d exploitation li es aux technologies de ce Centre Technologique Pour plus de pr cision il est recommand de suivre s par ment les temps d exploitation des OS d une part et les temps d exploitation des technologies de middleware qui s ex cutent sur ces OS d autre part 4 Inducteurs d activit s Notre mod le d analyse des co ts cherche trouver un compromis entre simplicit du mod le ce qui conduit r duire l h t rog n it technologique en proposant un nombre limit de Centres Technologiques et la pr cision des co ts de revient des services qui incite de son c t d multiplier les inducteurs d activit pour rendre les plus directs possibles les co ts consomm s par les services Le Centre Technologique 15 Middlewares applicatifs illustre parfaitement cette recherche de compromis d licats En effet comment imputer les co ts des activit s de ce Centre Technologique qui regroupe de multiples logiciels diff rents chacun ayant certainement des r gles de tarification diff rentes Pourquoi faire supporter une application construite sur un serveur web aut
154. part et d exploitation d autre part composent le Centre Technologique Cependant et selon les contextes l activit d acquisition peut tre unique s il n est pas possible de quantifier Les charges inh rentes aux t ches op rationnelles de d mat rialisation ou aux t ches d exploitation et administration des outils associ s On entend par t ches op rationnelles les collaborateurs qui travaillent notamment la saisie des m tadonn es li es aux documents dont les champs ne sont pas automatiquement reconnus si et seulement si ces collaborateurs sont dans le p rim tre de charges de la DSI LiVRE I ANNIe 3 1 Limites et volutions possibles Ressources li es la constitution de document Les mat riels et logiciels permettant la constitution des documents num riques ne figurent pas dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 12 Editique En particulier les logiciels et mat riels permettant de construire un document finalis partir de maquettes et de fonds de pages dans un but d impression sont class s dans le Centre Technologique 12 Editique et cela m me si le document produit n est pas destin tre imprim par les moyens d ditique mais tre mis disposition dans un format type PDF format permettant la consultation ou l dition depuis un poste de travail Charges directes relatives un service et activit GED D mat rialisation Archivage l gal La liste des solutions pr
155. pas inclus dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 17 Supervision et pilotage 3 Les outils d int gration de donn es exemples ETL MDM ne sont pas inclus dans ce Centre Technologique mais dans le Centre Technologique 18 D cisionnel BI 3 Activit s du centre technologique Middlewares applicatifs Nr 5 A as Correspondance INFMID Infrastructures de Co ts d acquisition et MDS ACQMID middleware de maintenance des mat riels et logiciels d di s aux technologies de middleware applicatif EXPMID Exploitation et T ches li es MDS EXPDIS administration des l administration middlewares la maintenance et l exploitation des solutions de middleware applicatif 3 1 Limites et volutions possibles Il peut tre difficile de mesurer les ressources consomm es en exploitation et administration sur les technologies de middleware et transactionnelles Si la mesure des activit s humaines et donc leur valorisation s av re trop complexe suivi trop fin par exemple il est possible de r duire ce Centre Technologique une unique activit d acquisition INFMID Dans ce cas ce Centre Technologique aura pour vocation de mesurer le co t complet d acquisition des technologies middleware et de suivre son volution dans le temps Si les activit s humaines ne sont pas valoris es dans ce Centre Technologique alors ce sont principalement les activit s d exploitation des Centres Technologiques 09 Wind
156. pective Manager at IS Department LA POSTE DSI COURRIER et par Fran ois STEPHAN Directeur Programme SYSTEMX Nord Pas de Calais Pilot par David DECOVEMACKER Directeur Op ration et Infrastructure AUCHAN Toulouse Pilot par Marc BEGUE Sous Directeur Exploitation Production CNES et par Cathy LACOMME VERBIGUI Sous Directrice Adjointe Exploitation Architecture CNES de 230 adh rents Grands Comptes Entreprises et Administrations ACCOR ADEO SERVICES ADP GSI AELIA AEROLIA AEROPORTS DE PARIS AFP AGENCE FRANCE PRESSE AG2R LA MONDIALE AGIRC ARRCO AIR FRANCE AIR LIQUIDE AIRBUS S A S ALBIANT IT ALGECO ALLIANCE BOOTS ALLIANZ GLOBAL INVESTMENT ALLIANZ INFORMATIQUE AMUNDI APHP APRIA AREVA ARGUS DE LA PRESSE ARKEMA ARTELIA ARVAL AUCHAN AVIVA AXA IM PARIS AXA LUXEMBOUG AXA TECHNOLOGY SERVICES BANQUE DE FRANCE BANQUE PALATINE BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE BIC BIOMERIEUX BNP PARIBAS BNP PARIBAS CIB BONDUELLE BOULANGER BOUYGUES CONSTRUCTION STRUCTIS BOUYGUES IMMOBILIER BOUYGUES TELECOM BP CE BRINK S CAISSE DES DEPOTS CANAL CANTON DE VAUD CARREFOUR CASINO DISCOUNT EA HANEL HOREGIE HU VAUDOIS NAV NES NP ASSURANCES COFACE COFELY INEO COFIDIS COFINOGA O D0OOQG O Q CONFORAMA CONGES INTEMPERIES BTP CONSEIL GENERAL 44 CONSEIL GENERAL 78 CONSEIL GENERAL 94 CONSEIL REGIONAL IDF CONSEIL CONTITUTIONNEL CRED
157. ppuyer sur les travaux du CRiP pour promouvoir un projet au sein de son entreprise Promouvoir leur fonction au sein des Entreprises Cr er un r seau de communication rapide et efficace entre dirigeants Conseil Administration du CRiP Le bureau est constitu de CTOs et de DSI Directeurs Infrastructures et Production Informatique de grandes entreprises et administrations fran aises lus lors de l Assembl e G n rale Philippe Sersot CTO de Cr dit Agricole CIB en est le Pr sident Philippe SERSOT CREDIT AGRICOLE CIB CTO Pr sident du CRIP Jean Paul AMOROS GDF SUEZ CTO Directeur des Infrastructures Groupe Vice Pr sident ex cutif et secr taire Daniel JONDET GENERALI CTO Vice Pr sident ex cutif et tr sorier Jean Michel ALCARAS STIME CTO Vice Pr sident Pierre AUGUSTE SFR CTO Vice Pr sident Philippe BARAT SPIE CTO Vice Pr sident Marc BEGUE CNES CTO Vice Pr sident du CRIP Gery BONTE ST GOBAIN CTO Vice Pr sident Jean Marc CERLES VEOLIA CTO Vice Pr sident David DECOVEMACKER AUCHAN CTO Vice Pr sident ex cutif Brigitte DECLERCK AGIRC ARCO Responsable de La Strat gie de la Production et de la S curite Vice Pr sidente Olivier DERSCH L OREAL CTO Vice Pr sident Thierry DESVIGNES CNP DSI Vice Pr sident Fr d ric DIDIER ARVAL DSI Directeur Infrastructures et Production Vice Pr sident du CRIP Jean Pierre DUMOULIN PSA PEUGEOT CITROEN
158. pratiques discussions d bats laboration d enqu tes et de questionnaires production de livrables pr paration de conf rences Les Groupes de Travail sont le creuset o se r alisent les ambitions de notre association devenir plus performants dans les m tiers de l Infrastructure et de la Production IT partager nos bonnes pratiques confronter nos exp riences valuer la maturit des technologies et des m thodes pour prendre de meilleures d cisions plus rapidement avec une meilleure information Les Groupes Spot visent apporter en une seule r union de trois heures des r ponses imm diates un probl me urgent et ou d actualit Les Groupes Flash font le tour en trois ou quatre r unions maximum d un sujet ponctuel et clairement identifi ToiP VoiP et visioconf rence Analyse des co ts de la Production Datacenters amp Efficacit Energ tique Pilot par Thierry ARCHAMBAULT Architecte Technique CNP ASSURANCES et par Sasun SAUGY Charg de Mission MINISTERE DES FINANCES Architecture Technique d Entreprise Pilot par S bastien PONS Head of Infrastructure Architecture Norms amp Standards CREDIT AGRICOLE CIB Automatisation amp Orchestration Pilot par Hugues FONDEUX Charg de Mission Evolution de l Infrastructure PSA PEUGEOT CITROEN Bases de donn es Pilot par Laurent BENGUIGUI Responsable d Equipe Bases de donn es CREDIT AGRICOLE SILCA et par Romaric MION Chef de Projet
159. premiers pays le Royaume Uni et l Allemagne afin de cr er des changes avec nos pairs Europ ens constituer un observatoire compos d indicateurs partag s entre membres sur l adoption et la maturit des usages et des technologies promouvoir Les m tiers de l infrastructure et de La Production d velopper des partenariats avec d autres associations et animer le Comit d Orientation et de D veloppement du CRiP destin s nous repr senter aupr s des acteurs externes et notamment des pouvoirs publics et encore et toujours continuer tre la r f rence en termes de r flexion et de retours d exp riences sur les grandes tendances de nos m tiers Powered by ERA PENA Ti forms Pourquoi le CRiP demande une cotisation si modeste ses membres WMOVATION Notre prestataire exclusif ITIFORUMS prend en charge tous les co ts de production du CRiP organisation des v nements production des livrables mise jour du site Internet en s autofinancant gr ce des subventions de sponsors soigneusement s lectionn es Ainsi le CRiP est en mesure d offrir des services de tr s haute qualit pour un taux modeste de cotisation tout en pr servant son ind pendance essentielle l gard des fournisseurs J esp re que l esprit d quipe et de confiance construit tout au long de ces six premi res ann es nous conduira d velopper encore davantage ce lieu d changes constructifs orient sur nos pr occupations quotidi
160. r glementaires ou l gales qui p sent sur l entreprise du fait de son activit Un environnement de GED se compose de e Logiciels de GED e scanners et autres mat riels d acquisition sp cialis s LAD lecture automatique RAD reconnaissance automatique OCR etc e Logiciels d acquisition et d injection en masse en sortie de la d mat rialisation et en entr e de la GED e Logiciels d archivage e syst mes de stockage e mat riels d archivage ces derniers pouvant tre d di s syst mes de stockage objet disques optiques etc Les diff rents logiciels s ex cutent sur des mat riels banalis s serveurs et stations de travail Ces derniers tomberont donc dans les Centres Technologiques correspondants 07 Mainframe 08 Unix propri taires 09 Windows Linux 10 Mini informatique et ne figurent donc pas dans le Centre Technologique 21 GED mais sont consomm s au niveau du service Attention 1 Dans la mesure du possible il convient d isoler les co ts des scanners utilis s pour la d mat rialisation de documents en masse des mat riels plus basiques utilis s dans un cadre bureautique ces derniers tant rattach s au Centre Technologique 14 Environnement de travail utilisateurs 2 En ce qui concerne les syst mes de stockage ne sont pris en compte dans ce Centre Technologique que les quipements mat riels d di s exclusivement aux fonctions de GED et archivage l gal Les mat riels de stockag
161. r les notions de co t de prix et de marge En voici une d finition e Un co t c est le total des charges incorpor es un objet commun ment appel objet de co t selon des modalit s express ment d finies e Un prix c est l expression mon taire de la valeur d une transaction e Une marge c est la diff rence entre le prix et Le co t Selon le contexte la marge peut tre positive nulle cas d un GIE par exemple qui refacture en ad quation compl te avec ses co ts ou n gative certains services vendus avec une marge positive pouvant alors subventionner ceux qui d gagent une marge n gative Plusieurs m thodes de recherche du co t de revient coexistent selon les objectifs Les m thodes de co ts complets Les m thodes de co ts complets cherchent d terminer le co t de revient des services en prenant en compte la totalit des charges incorporables ces services Ces m thodes s appuient sur une dichotomie entre les charges directes et les charges indirectes On distingue e la m thode des centres d analyse ou m thode des sections homog nes e la m thode des co ts base d activit ou Activity Based Costing ABC Les m thodes de co ts partiels Les m thodes de co ts partiels cherchent d terminer des co ts constitu s un stade d analyse interm diaire Elles se basent pour l essentiel sur la dichotomie entre charges fixes et charges variables On distingue e La m thode des co t
162. rdonnanc s supervision et le pilotage du SI ou nombre de jobs de surveillance ou nombre de traitements nombre de jobs de surveillance ou nombre de restaurations de service assur es par le pilotage On peut facilement imaginer que les services les plus critiques sont ceux qui sont le plus surveill s et qu il y a un lien causal entre le niveau de service et le nombre de jobs de surveillance plus une application est critique et plus il y aura de jobs de surveillance Le choix d un inducteur li au nombre de jobs permet d imputer des co ts de pilotage en proportion du niveau de qualit de service Il est cependant possible d introduire des coefficients de pond ration dans le choix des inducteurs pour diff rencier les services en fonction des familles de niveaux de service 18 Fiche du Centre Technologique DEC D cisionnel BI 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des solutions assurant des services de d cisionnel et business intelligence depuis l acquisition des donn es au sein des diff rentes sources d information jusqu la restitution finale aux utilisateurs L informatique d cisionnelle est un ensemble d outils de techniques et de m thodes qui visent r colter agr ger organiser et restituer des donn es collect es en priorit dans l entreprise pour fournir des informations d aide la d cision diff rents types d uti
163. re dans le temps l affectation d une machine Linux ou Windows s av re plus compliqu une machine Intel peut tr s bien commencer sa vie sous Windows puis se trouver reconfigur e ult rieurement pour une exploitation sous Linux Ce constat conduit donc regrouper dans un m me Centre Technologique les ressources mat rielles et logicielles pour Windows et Linux L optimisation de l utilisation des capacit s des machines Intel conduit g n raliser l utilisation d outils de virtualisation Ces outils sont le plus souvent communs Windows et Linux ce qui constitue un autre facteur justifiant Le regroupement dans un m me Centre Technologique de ces deux environnements Cependant au del du socle mat riel ce Centre Technologique distingue des co ts d exploitation sp cifiques la fili re Windows la fili re Linux et aux outils de virtualisation car au niveau des OS comme des hyperviseurs des comp tences sp cifiques et distinctes sont bien n cessaires Attention Les serveurs sous Solaris sur x86 ou sous les diff rents BSD sur x86 ont aussi vocation entrer dans ce Centre Technologique 3 Activit s du Centre Technologique Windows Linux Virtualisation os A Pe Correspondance INFWLI Infrastructures Co ts d acquisition des MDS ACQWIN ACQUNI machines et licences machines physiques Windows Linux exploit es directement hyperviseur avec Linux Windows ou indirectement travers un hyperviseur INFVIR
164. re de virtualisation g r e au sein du Centre Technologique 09 Windows Linux Virtualisation doit tre affect e un service Virtualisation du poste de travail Ce Centre Technologique inclut aussi la fourniture de toute la suite logicielle standard qui accompagne le poste de travail de l entreprise d s lors qu il ne s agit pas de logiciels m tier sp cifiques install s sur une partie des postes seulement A ce titre ce Centre Technologique incorpore les suites bureautiques install es en local sur les postes de travail Ce Centre Technologique incorpore aussi tous les p riph riques directement d pendants de la fonction bureautique ou du poste de travail concern Les imprimantes bureautiques personnelles et workgroup font aussi partie de ce Centre Technologique de m me que les quipements multi fonctions bureautiques les imprimantes de caisse mais pas les syst mes d impression de masse cf Centre Technologique 12 Editique ni les imprimantes d entrep t qui ne servent qu imprimer des bons de livraison partir d une application centrale et n ont donc qu une utilisation m tier Il en est de m me pour les scanners un scanner de type bureautique partag entre dans ce Centre Technologique mais pas un scanner d acquisition de masse de documents qui est exclusivement utilis pour alimenter une GED cf Centre Technologique 21 GED LiVRE LI ANNIe En termes d activit s humaines ce Centre Technologique inclut t
165. reprise La cons quence du d caissement consacr l acquisition d une infrastructure technologique est comme vu plus haut l apparition d une charge fixe Le plus souvent li e aux dotations aux amortissements d un investissement L imputation des charges fixes pose un probl me dans la refacturation des services En effet le co t de revient unitaire d un service d pend d une part des charges variables qui lui sont imput es et d autre part d une partie des charges fixes partie qui varie en fonction du volume d activit et du nombre de services produits ou vendus Ainsi pour une structure de Production donn e le prix de revient unitaire diminue lorsque l activit augmente et s accroit lorsque l activit baisse Afin de supprimer les cons quences de la variation de l activit sur le co t de revient il est possible d utiliser l imputation rationnelle des charges fixes Cette m thode permet de garder un niveau constant de facturation quel que soit le niveau d utilisation de l infrastructure L imputation rationnelle des charges fixes Dans le domaine de la production informatique les Centres Technologiques affichent souvent les caract ristiques suivantes e des infrastructures de plus en plus mutualis es e un d caissement important li des sauts capacitifs de ces infrastructures baies de stockage silos de sauvegarde Mainframe etc Or la capacit acquise n est que tr s rarement utilis e au maximum de son potentiel
166. res Centres Technologiques via les inducteurs d activit s e En cr ant un service de type Mise disposition du d cisionnel ilest possible d imputer 100 du co t du Centre Technologique D cisionnel DEC ce service mais galement la proportion de serveurs de stockage de r seaux etc qu il consomme e Cela permet de disposer du co t complet du d cisionnel LiVRE I ANNIe En privil giant l ajout de services techniques plut t que les imputations crois es entre activit s nous b n ficions d une plus grande simplicit du mod le mais galement d un co t complet des services lisible en lecture directe dans le mod le A ce stade il devient plus facile de rebasculer le co t de ces services sur les services visibles par les clients finaux Voici une liste non exhaustive de services techniques qu il est possible d ajouter au catalogue de services Mise disposition de la GED D mat rialisation Mise disposition des outils collaboratifs Mise disposition d un centre de secours informatique Mise disposition de poste de travail virtuel SI du SI Mise disposition de services techniques de gestion de flux Mise disposition de services Middleware Co t complet des plates formes de GED D mat rialisation Il est possible de r partir ensuite ce co t sur les services qui utilisent des fonctions de GED D mat rialisation Co t complet des outils collaboratifs Il est possible
167. res techniques Pour mieux rendre compte de l tat de leur parc certaines entreprises pr f reront donc d cliner ce Centre Technologique par fili res techniques Soit en multipliant les activit s du Centre Technologique e INFBDO Acquisition des licences de bases de donn es Oracle et logiciels associ s e INFBDD Acquisition des licences de bases de donn es DB2 UDB et logiciels associ s e etc Soit en cr ant plusieurs Centres Technologiques d riv s de celui ci e Centre Technologique 11 a Bases de donn es Oracle activit s INFBDO EXPBDO e Centre Technologique 11 b Bases de donn es SQL Server activit s INFSQL EXPSQL e etc Ce niveau d analyse peut sans doute se justifier par les enjeux financiers sp cifiques de certaines organisations Cependant conserver un maillage plus grossier permet d avoir une vision globale sur l activit Bases de donn es et de se benchmarker d une organisation l autre sans se focaliser sur les choix technologiques des uns et des autres 4 Inducteurs d activit s Les syst mes de gestion de bases de donn es SGBD consomment galement des ressources serveur du stockage etc Conceptuellement il est correct d affirmer que les activit s du Centre Technologique consomment des activit s d autres Centres Technologiques Cependant il est pr conis d viter autant que possible les consommations d activit activit pour am liorer la compr hension du mod le c
168. ring e Les langages et outils de programmation e Les SGBD et gestionnaires associ s e Les outils d ordonnancement e Les moniteurs transactionnels e Les Logiciels de gestion des stockages et sauvegardes e Les logiciels de gestion de flux e Les logiciels de production des ditions e Les couches logicielles r seaux e Les logiciels de s curit Ces diff rents logiciels ne sont donc pas r partis dans les Centres Technologiques o on les trouve habituellement pour les autres types de serveurs 11 Bases de donn es 12 ditique 13 S curit 15 Middlewares applicatifs 16 Echanges en mode flux 17 Supervision et pilotage 3 Activit s du Centre Technologique Mainframe 5 hi z M Correspondance INFMAI Infrastructures Co ts d acquisition MDS ACQMAI machines operating location et maintenance system z OS et des machines logiciels techniques et physiques OS et d exploitation d di s logiciels sp cifiques Mainframe EXPMAI Exploitation et T ches li es au MCO MDS EXPMAI administration des de la plateforme machines OS et mat rielle des OS logiciels techniques et et des composants d exploitation logiciels sp cifiques Mainframe LiVRE LI ANNIe 3 1 Limites et volutions possibles Selon leur taille celle de leur parc Mainframe et leur niveau de maturit certaines organisations choisiront de mettre en place un mod le d activit s plus pr cis qui leur permettra d isoler les frais relevant d
169. rmatiques Datacenters Equipements Fibre Channel EE i Je A e o E ENEE EEEE A UNa REESE Exploitation des r seaux LAN au sein des Datacenters salles informatiques Exploitation des serveurs Linux x86 Exploitation des serveurs Unix x86 Exploitation des serveurs Windows LIVRE BIMAN Exploitation administration de l ensemble des quipements et logiciels d di s la s curit Exploitation administration de l infrastructure de virtualisation des serveurs Linux x86 Exploitation administration de l infrastructure de virtualisation des serveurs Unix x86 Exploitation administration de t infrastructure de virtualisation des serveurs Windows o Exploitation administration des imprimantes centrales amp autres machines d di es pour PU ditique o Exploitation administration d des serveurs Mini informatique propri taires Explalation aaministraton ds S0EDR Windows Linw Unx a S Extension de capacit lectrique en salle informatique Datacenters o 4 o a o ERE IE AEE BE AE E E A Fire da ER ee a ee Gardiennage des datacenters d fi ts SSL ass i Gestion de flux Gestion de la qualit de des donn es o Gestion de la s curit incendie des salles inf informatiques Datacenters n Gestion de r seaux et de sous r seaux en datacenter salle informatique o Gestion des donn es de r f rence i Gestion des habilitations des utilisateurs o Gestion des identifiants d acc s des utilisat
170. rme mat rielle OS et des logiciels techniques d exploitation 1 le code activit variera en fonction des plates formes concern es 4 Inducteurs d activit s INFMIN Infrastructures mat rielles OS logiciels Unit de puissance sp cifique la plate sp cifiques forme exemple CPW E EXPMIN Exploitation des infrastructures Nombre de partitions mat rielles OS logiciels sp cifiques Il est propos d utiliser la partition administr e pour la r partition des moyens humains EXPMIN sur les serveurs IBM i car l effort de maintenance d pend moins de la taille de chaque partition que de leur nombre LiVRE I ANNIe 11 Fiche du Centre Technologique BDD Bases de donn es relationnelles 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources relatives l acquisition et l exploitation des bases de donn es relationnelles SGBDR fonctionnant en environnement Windows Linux et Unix 2 P rim tre du Centre Technologique Bases de donn es relationnelles Ce Centre Technologique prend essentiellement en charge les grands SGBDR d entreprise sur plates formes distribu es Windows Linux Unix e Oracle MySQL Oracle e SQL Server Microsoft e DB2 Informix IBM e PostgreSQL e Sybase IQ Sybase SAP e Ingres e MariaDB e etc Ce Centre Technologique inclut les co ts d acquisition et de maintenance des bases de donn es mais galement tous les
171. robl matique du co t du stockage non allou le service se voit imputer fort justement la seule part du stockage consomm e Or pour une capacit donn e disponible dans les baies de disques nous disposons d une r serve de capacit qui n tant consomm e par aucune application n est pas imput e Il s agit alors d un co t non affect support par la DSI Ceci peut tre probl matique dans certains cas notamment pour les GIE qui ont une obligation de refacturation l euro Une fa on de traiter le co t de la sous utilisation dit aussi co t de sous capacit est de d finir par consensus un niveau standard d activit pour lequel on estime qu on utilise pleinement l infrastructure et d imputer les co ts en fonction de ce niveau standard d activit En dessous de ce niveau standard on supporte un co t de sous utilisation au dessus on b n ficie d un bonus de sur utilisation Cette fa on de faire pr sente galement l avantage de figer la part des charges fixes dans le mod le de co t pour ne pas p naliser les premiers clients Cette technique est d taill e en annexe 3 du Livre Blanc Imputation rationnelle des charges L activit INFSTO int gre les montants d acquisition des espaces disques bruts Dans l optique de comparaison de co t au Go allou il convient de prendre les pr cautions d interpr tation qui s imposent quant aux choix de configuration des volumes en RAID En effet suivant la politique
172. roduction il ne pr cise pas comment prendre en charge l exploitation des diff rentes fili res technologiques Pour tablir les activit s de ces fili res CNP Assurances repart de l outil de gestion des temps Par la suite le mod le d activit s s enrichit au travers de la mise en place des Centres Technologiques tels que d crits dans le mod le CRIP d Analyse des co ts de la Production pour la d termination des activit s par fili res techniques Cette d marche prend environ un trimestre jusqu validation Enfin pour la mod lisation de l tage ressources les donn es pr sentes dans les outils comptables sont interrog es Les demandes d achat par exemple fournissent une source pertinente l id al tant que les demandeurs renseignent les l ments la source avec les bons codes d activit y compris lorsqu il s agit de charges directes en pr cisant le service concern Le mod le atteint une premi re phase de validation en avril 2012 Il a donc d j fonctionn sur des exercices comptables 2011 et 2012 Des ajustements la marge ont t effectu s sur le mod le mais sans transformations majeures le but tant de conserver des activit s p rennes dans le temps afin de ne pas modifier sans cesse l outil de mesure Certaines volutions techniques imposent cependant des r visions par exemple la fusion du Stockage Mainframe et du Stockage distribu a impos une modification des activit s correspondantes dans le m
173. rtualisation du stockage fait partie du p rim tre de ce Centre Technologique contr leurs de virtualisation logiciels d di s de virtualisation du stockage au niveau des h tes toujours dans la mesure o elle est isolable 3 En ce qui concerne le chiffrement s il s agit d une technologie sp cifique au stockage ou d une charge directe au stockage elle reste dans ce Centre Technologique 4 La protection des donn es sauvegarde et l archivage font partie du p rim tre du Centre Technologique 06 Sauvegarde Archivage l archivage l gal entre dans le Centre Technologique 21 GED D mat rialisation Archivage l gal LiVRE LI ANNIe 3 Activit s du Centre Technologique Stockage SAN NAS dues Re Correspondance INFSTO Infrastructures de Co ts d acquisition et MDS ACQSTO stockage de maintenance des quipements de stockage baies et quipements r seau d di s et des logiciels associ s permettant la fourniture de services de stockage en mode SAN et NAS EXPSTO Exploitation du T ches li es MDS EXPDIS stockage l administration et la maintenance des quipements et logiciels permettant la fourniture de services de stockage en mode SAN et NAS 3 1 Limites et volutions possibles En fonction de la taille de l entreprise de la volum trie stock e et des moyens d acc s utilis s le type et ou la technologie utilis s seront diff rents tout comme les co ts associ s Pour une analyse plus fine certa
174. ructure de co ts Les offres de type Cloud viennent challenger les DSI qui sont encore souvent per ues comme un centre de co ts monolithique et de plus en plus budg tivore L apparition d un mod le de facturation l usage les branle elles se voient mise en concurrence par les m tiers et ne sont plus de ce fait les seules garantes de la bonne marche du SI Afin de lutter armes gales les directions informatiques doivent investir dans les techniques d valuation de co ts Ces techniques permettent de diss quer la d pense globale pour d terminer le co t unitaire de chaque Centre Technologique Une telle d marche facilite l exposition des diff rents services inclus dans une prestation ce qui permet de comparer plus ais ment une offre interne une offre Cloud Dans la m thode d analyse des co ts du CRIP le co t de revient d une application est gal la somme des co ts de consommation des Centres Technologiques impliqu s dans la mise disposition de cette application De ce fait lors d op rations de comparaison il devient possible d inventorier les activit s incluses dans les centres technologies et Leur co t respectif et de v rifier que nous sommes bien sur des p rim tres d activit s similaires avec les m mes niveaux de performance et de fonctionnalit s Un exemple Le co t complet d une application valoris par le mod le du CRIP peut se d composer comme suit e un serveur redond avec un OS e
175. rveurs Mini informatique propri taires IBM i i DEC VAX Alpha HP 3000 Open VMS Serveurs Unix A ie Serveurs Web Serveurs Web Mini infi rmatigie propri taire Mai Services de gardiennage de salles informatiques A Datacenters SGBD z 0S et gestionnaires associ s SGBDR Linux SGBDR Unix SGBDR Windows SGBDR Windows Linux Unix x86 Smartphones Softphones Solutions d IAM Solutions d IGC ou PKI Solutions d acc l ration WAN LiVRE 1 ANNIe Sondes de d tection d intrusion Sondes d environnement dans les salles informatiques Datacenters Stations de travail techniques Suite lo icielle standard install e sur les postes de travail suites b reautiqu s autres logiciels incluant les logiciels m tier sp cifiques si ceux ci font partie de la suite logicielle standard install e sur les postes de travail S pervisi n des Eee de s curit remont g d s alertes traitement des incidents de une analyse statistique etc Supervision transversale des sercices d infrastucture o a T mass us nn nn nd ele Surveillance des installations techniques de Syst mes de contr le d acc s aux salles informatiques Datacenters o de de a _ Za A EE AA EEA AAEN d Lecture Automati Syst mes de reconnaissance automatique de documents Syst mes de stockage d di s la GED Syst mes de stockage d di s l archivage l gal o Syst mes de s p rision de
176. rvice Consomme les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Consomme les activit s des autres Centres Technologiques via les inducteurs d activit s Le catalogue de services se voit donc enrichi de ces services un peu particuliers Cela permet d en connaitre le co t et d int grer ce co t si on le d sire aux co ts des services visibles et factur s aux clients finaux Il est ainsi possible par exemple d afficher le co t d une application avec ou sans la part du co t du plan de secours informatique ou la part des outils de s curisation du SI R partition de certains services techniques sur d autres services techniques ou m tiers Une activit ne peut tre consomm e que par des services et pas par d autres activit s En revanche certains services peuvent eux tre consomm s par d autres services Le co t final d un service technique ou m tier peut ainsi s appuyer sur la consommation d autres services interm diaires et ou directement d activit s Pour illustrer le cas de la consommation d un service par un autre nous pouvons nous appuyer sur l exemple des r serves de capacit e Dans le cas de services m tier l activit INFSTO correspondant aux infrastructures de stockage est classiquement consomm e par des services correspondant aux applications en production e Toutefois le volume de stockage consomm par les applications est en g n ral inf rieur au
177. s La mise en uvre du mod le d analyse des co ts a permis une meilleure connaissance des infrastructures mat rielles et logicielles et une cartographie des applications Une premi re vague de r ductions de co ts a t obtenue du fait de la suppression de certaines immobilisations de l optimisation des co ts de maintenance de la r duction des charges de support et d administration et de l optimisation du parc de licences logicielles La mise en place d outillages plus performants s est traduite par une lib ration des charges sans valeurs ajout es L op ration s est aussi traduite par une meilleure connaissance des services rendus et par une meilleure visibilit des activit s par centre technologique CONCLUSION ET VOLUTIVIT DU MOD LE Le pilotage de la DSI est un exercice complexe mais on sait qu on ne pilote que ce que l on mesure Encore faut il s entendre clairement sur ce qu il s agit de mesurer Une organisation est performante si elle atteint les objectifs qu elle se fixe Ainsi piloter la performance revient mesurer la combinaison efficacit efficience conomie L efficacit se mesure vis vis des r sultats escompt s notamment sur un axe qualit les d marches ITIL IS027K en autres dans le domaine de la Production ont permis d accroitre cette efficacit L conomie consiste calculer et minimiser les couts IL convient que les DSI en assurent la ma trise en utilisant un juste niveau
178. s ilimporte de prendre en consid ration notamment pour la tr sorerie la somme d caiss e Et c est justement la raison d tre de la vue Cash out elle mesure les sommes d caiss es abstraction faite de Leur comptabilisation actif ou charge Par contre le mod le conomique prend en compte les cons quences des choix comptables du d caissement e Si c est un investissement alors la vue P amp L incorpore les amortissements de l exercice en cours mais pas la vue Opex e Sic estune charge la vue P amp L et la vue Opex prennent en compte le d caissement Dans des cas de choix entre make ou buy comme avec les solutions Cloud il serait plus judicieux de comparer les business models avec une vision P amp L pluriannuelle qu avec une vision Capex versus Opex en particulier en mesurant la part des charges fixes Make au regard des charges variables Buy Il faudrait regarder par exemple pour quel volume d affaires les charges variables deviennent sup rieures aux charges fixes notamment du fait que les charges fixes p sent de moins en moins au fur et mesure de l augmentation des volumes En effet le seuil de rentabilit est atteint lorsque les charges fixes sont couvertes Assimiler Capex charge fixe et Opex charge variable est un brin simplificateur et peut conduire des erreurs lourdes de cons quences notamment lorsqu une charge variable ne s av re variable qu la hausse Des oui mais
179. s capacit s Ceci est d l imputation d un montant fixe sur une part variable d unit de consommation Le Go Voici l volution du prix du Go en fonction du taux d utilisation des baies Co t Total Ts Go en 1 162 000 00 2 097 152 1 162 000 00 3 145 728 1 162 000 00 4 194 304 1 162 000 00 5 242 880 1 162 000 00 1162000 00 7 1 162 000 00 1 162 000 00 1162000 00 10 10485760 Lorsque les baies sont utilis es pleine capacit on atteint l optimum de rendement conomique pour une capacit donn e 0 11 Go toute augmentation de la volum trie contraint ensuite r investir pour faire un saut capacitif acquisition de nouvelles baies donc augmenter les charges fixes Le co t unitaire du Go baisse au fur et mesure du remplissage des baies En appliquant ce principe les premiers clients seront p nalis s vis vis des derniers arriv s Les clients arriv s lorsque le taux de remplissage n atteignait que 2 Po se verront appliquer un co t unitaire du Go de 0 55 Une fois le taux de remplissage pass 6 Po Le Go ne co tera plus que 0 18 L imputation rationnelle permet de supprimer la variation du prix de revient et donc de facturer le service un prix constant quel que soit le niveau d utilisation de l infrastructure Ce principe est d taill ci dessous avec quelques commentaires sur ses avantages et limites Co t de revient avec imputation rationnel
180. s domaines de l Infrastructure et de la Production Informatique a produit 22 Livres Blancs et Fiches Pratiques t l charg s par plus de 22 530 lecteurs a organis 27 mini conf rences CRiP Th matiques avec plus de 4 050 auditeurs a organis 3 Conventions annuelles dont la derni re a attir plus de 2 000 visiteurs a effectu plus de 65 pr sentations lors d v nements partenaires a produit 2 Barom tres IT CRiP Index amp Benchmarking Je souhaite remercier les membres du Conseil d Administration pour leu engagement les permanents du CRIP ainsi que l quipe d itiForums notre e CRiP partenaire strat gique qui nous a permis d acqu rir la notori t qui est la n tre aujourd hui un cercle La production de contenus de qualit la libert d changes au sein d un cercle de confiance notre ind pendance l gard des fournisseurs tels sont les fondements de confiance de notre succ s Notre plan strat gique 2013 2014 s est donn les objectifs suivants Proposer nos adh rents de se benchmarker par rapport au panel CRIP et au CTO Alliance se d velopper au niveau national afin de rassembler plus de 300 adh rents grands comptes entreprises et administrations fin 2013 se d velopper au niveau r gional pour int grer les grandes PME fran aises et les Collectivit s Locales et Territoriales notre communaut se d velopper l international avec comme
181. s portent le m me nom que des services par exemple le Centre Technologique D cisionnel et BI DEC peut d boucher sur la fourniture d un service D cisionnel Mais ce service se compose en r alit de plusieurs Centres Technologiques Serveur Stockage etc IL ne faut donc pas confondre un service avec un Centre Technologique m me s ils portent le m me nom Pour un d cideur d entreprise le mod le d analyse des co ts d crit dans ce document prendra toute sa valeur lorsque sa DSI aura mis en uvre une approche services affich e dans un catalogue suffisamment d taill avec des co ts associ s chaque service qualifi par un ou des niveaux de performance De plus pour des raisons de benchmarking il serait souhaitable de disposer d un catalogue de services standardis s et comparables La r alit actuelle en est bien loin Le terme de catalogue de services a lui m me une signification tr s diff rente suivant les interlocuteurs De plus sur l ensemble du p rim tre des services m me pour des composants d infrastructure l exercice de cr ation d un tel catalogue est vite apparu difficile envisager pour au moins 2 raisons 1 Les possibilit s de combinatoire des Centres Technologiques pour la r alisation de services d infrastructure attendus par diff rentes cibles d utilisateurs sont tr s nombreuses 2 Le constat de la tr s grande h t rog n it des catalogues existant dans les entreprises des participants h
182. s variables Direct Costing qui n int gre pas les charges fixes e la m thode des co ts sp cifiques Direct Costing volu qui elle n int gre pas les charges fixes indirectes Etant b ti sur la m thode des co ts complets ABC le mod le d analyse des co ts de la Production propos dans ce recueil int gre donc l ensemble des charges incorporables au p rim tre d analyse et s appuie sur la distinction entre les charges directes et indirectes De nos jours dans l informatique comme dans la plupart des autres secteurs de l entreprise les charges indirectes repr sentent l essentiel des charges par le fait de la mutualisation croissante des moyens de production Aussi est il important d introduire une d finition sommaire de ces typologies de charges Charges directes indirectes Charge directe Une charge directe ne concerne qu un seul objet de co t Son affectation est claire Par exemple les charges d acquisition d un progiciel comptable sont directes l application de comptabilit qui l utilise Charge indirecte Une charge indirecte concerne plusieurs services et donc plusieurs co ts de revient d o la question l gitime de la quote part des diverses charges indirectes faire supporter aux objets de co ts Dans un centre informatique la mutualisation des infrastructures et des technologies augmente consid rablement la part des charges indirectes Par exemple il y a encore quelques ann es le stockage tait
183. sauvegarde archivage et restauration EXPSAU Exploitation et administration de la Nombre de strat gies de sauvegarde sauvegarde restauration et de l archivage La volum trie sauvegard e archiv e constitue un inducteur vident pour la r partition des co ts d infrastructure Pour l exploitation c est moins le volume des sauvegardes qui entra ne une variation de l activit que Le nombre des politiques mises en place Cet l ment semble donc constituer un inducteur possible On peut facturer la restauration l acte 07 Fiche du Centre Technologique MAI Mainframe 1 D finition sommaire Ce Centre Technologique regroupe l ensemble des ressources li es l acquisition et l exploitation des serveurs mainframe z OS Outre les co ts li s l acquisition et l exploitation du syst me d exploitation z OS ce Centre Technologique regroupe galement les co ts li s l acquisition et l exploitation des logiciels sp cifiques cette plateforme 2 P rim tre du Centre Technologique Mainframe Ce Centre Technologique regroupe les serveurs mat riels exploit s sous z OS Compte tenu du caract re propri taire de ce Centre Technologique il regroupe aussi les diff rents logiciels techniques et d exploitation sp cifiques ces plateformes de fa on pouvoir disposer d un prix de revient complet Il s agit principalement des logiciels d di s suivants e Les Logiciels d administration supervision monito
184. sent Centre Technologique 3 Dans le cas de technologies autres que relationnelles notamment pour des bases de type OLAP s il est possible d isoler les co ts des licences propres ces bases OLAP alors il faut les int grer dans les co ts d infrastructure de ce Centre Technologique Dans le cas contraire il faut recenser l ensemble des co ts OLAP dans le Centre Technologique 18 D cisionnel BI IL faut l aussi dans la mesure du possible isoler les co ts des licences de d veloppement dans le Centre Technologique 19 Logiciels de d veloppement tests et recette 3 Activit s du Centre Technologique Bases de donn esrelationnelles sur z F nes Correspondance INFBDD Acquisition des licences Co ts d acquisition MDS ACQMID de bases de donn es et et de maintenance outils logiciels associ s des licences de bases de donn es et des outils directement associ s tels logiciels de sauvegarde d ordonnancement de supervision de monitoring exclusivement destin s aux bases de donn es LiVRE I ANNIe EXPBDD Exploitation et T ches li es au MCO MDS EXPDIS administration des des bases de donn es bases de donn es 3 1 Limites et volutions possibles Les mod les de licences des bases de donn es sont tr s variables les tarifs fluctuent aussi pour un m me SGBD en fonction de nombreux param tres type de processeur nombre de c urs OS h te etc De m me le co t des administrateurs varie selon les fili
185. sion et pilotage Le p rim tre de ce Centre Technologique comprend e les infrastructures mat rielles et logicielles en lien avec le pilotage et la supervision des applications e Les t ches humaines en lien avec le pilotage et la supervision des applications Les infrastructures de ce Centre Technologique sont par exemple e Les outils de supervision et de pilotage applications sp cifiques et ou logiciels mat riels sp cifiques d veloppements sp cifiques ou acquisition int gration installation maintenance diteur ou constructeur e les ordonnanceurset les outils de construction des logigrammes de d roulement des traitements e Les automates les sondes et les outils associ s aux services surveiller Les activit s humaines qu il est possible de citer sont titre indicatif e Les t ches li es la mise en place de l infrastructure permettant la supervision et Le pilotage des applications outils de supervision et de pilotage et dispositifs mat riels sp cifiques type crans de contr le e Les t ches qui garantissent le MCO maintien en condition op rationnelle de cette infrastructure e Les t ches des quipes assurant la supervision et Le pilotage des applications Le pilotage des applications comprend notamment le suivi du d roulement des traitements en mode batch depuis les ordonnanceurs parfois appel s plan de production o gestion des op rations A la diff rence de la majorit des
186. t si l on souhaite distinguer les co ts relatifs ces 2 types de fonctions il est possible de cr er une activit ind pendante propre aux fonctions RSSI Processus impact s par le Centre Technologique 13 S curit Les activit s de ce Centre Technologique b n ficient tous les acteurs de l organisation Elle est donc consomm e autant par les services RUN que par les services BUILD En effet Les projets b n ficient aussi de la s curit du SI De ce fait une partie seulement des co ts de la s curit se retrouve sur les co ts des services du RUN Le mod le d analyse des co ts du CRIP valorise la totalit des activit s de ce Centre Technologique mais seule la partie qui se d verse sur le RUN est visible dans ce mod le tant donn qu il est centr sur la production informatique 3 Activit s du Centre Technologique S curit er z pu Corres pondance INFSEC Infrastructures Co t d acquisition et MDS BUR SECURI mat rielles et de maintenance des PRM PRT logicielles de gestion syst mes mat riels de la s curit et logiciels d di s la gestion de la s curit EXPSEC Exploitation et T ches li es MDS BUR SECURI administration de la l administration PRM PRT s curit l exploitation et La maintenance des solutions de s curit 4 Inducteurs d activit s Voici par excellence le type d activit s pour lesquelles la d finition d un inducteur n est pas triviale Comment en effet mesurer le n
187. t le co t standard On a donc un CIR de 1 pour 6 Po Le co t du Go pour 6 Po est de 0 18 c est le co t de revient retenu pour la facturation Tant que le niveau de remplissage des baies se situe en dessous de 6 Po nous aurons un CIR lt 1 donc nous subirons une perte de sous activit Au del de 6 Po le CIR devient gt 1 donc nous aurons un gain de suractivit i amp 6291456 100 1162000 0 1847 Oe 0 EEE o Cette technique procure les avantages suivants e garantir un prix de revient constant et donc ne pas favoriser certains clients qui profitent d un meilleur rendement conomique e mesurer avec pr cision les gains ou pertes financi res selon les sc narios envisag s La quantification exacte de gain gain de suractivit ou de perte perte de sous utilisation permet d ajuster sa politique tarifaire selon les contextes Par exemple pour un GIE qui a l obligation de facturer l euro l euro il est ainsi possible d anticiper et de rectifier les facturations en fonction de l activit r elle constat e e Si l activit r elle constate une utilisation de 4 Po alors on connait exactement le manque gagner savoir 387 333 soit 1 162 000 1 162 000 x 0 67 avec CIR 0 67 e Si l activit r elle d passe les 6 Po alors le gain de suractivit sera lui aussi pr cis ment quantifiable Par exemple pour une activit r elle de 8 Po le bonus de la suractivit est de 581 000
188. tableur est peu r aliste En revanche commencer par choisir un progiciel de costing du march avant d avoir con u son mod le pr sente le double risque de choisir le mauvais outil et de se concentrer sur ce dernier plut t que sur le mod le et les besoins de ses utilisateurs LIVRE 1 ANNIe RETOURS D EXP RIENCE Retour d exp rience CNP Assurances L entreprise CNP Assurances 1er assureur de personnes en France 27 millions d assur s en pr voyance et protection 14 millions en Epargne retraite Effectifs groupe 4842 dont 3119 pour CNP et 1723 pour les filiales CA 2012 19 5 milliards d euros 292 milliard d euros d encours moyens Informatique centralis e techniquement et g ographiquement L origine du projet d Analyse des co ts A la fin des ann es 2000 le contr le de gestion des activit s informatiques est principalement centr chez CNP Assurances sur les activit s du service achats Fin 2009 l entreprise s engage dans une certification ISO 20 000 qui induit la capacit facturer ses services informatiques ce qui conduit aux premiers travaux sur un mod le Activity Based Costing Cette certification n est pas conduite son terme mais une cellule de contr le de gestion interne aux services informatiques voit le jour sous l impulsion du responsable MOA MOE afin de mener bien la mise en uvre d une d marche ABC dans le but de disposer d une meilleure visibilit sur l utilisation du
189. tation statistique de la productivit vous pouvez voir de l informatique partout sauf dans les statistiques de productivit LiVRE 1 ANNIe Origine du mod le la m thode ABC Notre mod le de co ts est adoss une m thode de contr le de gestion de co ts complets la m thode ABC Activity Based Costing Il s agit d une technique de mod lisation des co ts b tie sur un mod le d activit s Parmi les techniques de d termination des co ts de revient la m thode ABC constitue la m thode la plus aboutie En effet elle privil gie une vision m tier bas e sur les activit s pr f rable une vision organisationnelle De plus elle repose sur des cl s appel es inducteurs qui mettent en exergue un lien causalentre le niveau des activit s et le volume d activit consomm par le service par exemple les Go consomm s par une application Le mod le d analyse des co ts du CRIP h rite galement des travaux du CIGREF qui propose un mod le d activit s de la profession Informatique dans son ensemble bas lui aussi sur la m thode ABC Le mod le d analyse des co ts de la Production du CRIP poursuit et affine ce mod le d activit s de la profession du CIGREF et propose un d coupage plus en ligne avec les activit s des Productions informatiques Les m thodes de d termination des co ts appartiennent au domaine de la comptabilit analytique Rappelons que la comptabilit g n rale se pr occupe de l enre
190. tements tudes sont comprises dans les co ts r currents du RUN Pour obtenir le co t complet d une application il convient donc de ne pas oublier les charges li es ces activit s charges pourtant externes la Production informatique Cas du Build Production Pour ne pas consid rer les co ts de Production comme un ensemble monolithique difficilement compressible il est recommand d isoler les projets techniques installations d infrastructures mont es de versions etc On introduit ainsi un levier d arbitrage dans les co ts de Production en isolant et en priorisant Les projets techniques en fonction de l urgence et des contraintes budg taires Un seuil de significativit financi re sera d fini en K et ou en JH et laiss la discr tion de chaque organisation pour distinguer ce qui rel ve de l exploitation courante de ce qui constitue un projet 1 QUAREC dans le mod le du Cigref Les projets techniques de la production informatique appartiennent bien au Build Cesquelques exemples montrent pr cis ment queles fronti res entre Build et Runnesontpas calqu es toujours et forc ment sur les organisations ni sur les p rim tres de responsabilit des tudes et de la Production Le point de vue adopt pour le mod le conomique n est pas toujours exactement superposable au mod le organisationnel d une DSI Prise en compte des fonctions support La d termination du co t complet d un service
191. tion Cependant lorsque les fonctionnalit s de collaboration et de partage d information ne sont pas discernables de la messagerie d entreprise cas par exemple des applications de visioconf rence personnelle des IRC etc alors il faut les laisser dans le service Messagerie d entreprise aliment par les diff rents Centres Technologiques 3 Activit s du Centre Technologique Outils de partage mutualis s Ru P maps Correspondance INFOPM Infrastructures Co ts d acquisition et de MDS INFBUR relatives aux maintenance des mat riels et outils de partage logiciels d di s aux outils de mutualis s partage mutualis s EXPOPM Exploitation et T ches li es l exploitation MDS EXPDIS administration des l administration et la outils de partage maintenance des outils de mutualis s partage mutualis s 3 1 Limites et volutions possibles La messagerie d entreprise n appara t pas dans ce Centre Technologique dans la mesure o le co t de ce service est directement identifi par l activit ACQPRO Solution de messagerie du mod le CIGREF 4 Inducteurs d activit s INFOPM Infrastructures relatives aux outils de Nombre d acc s utilisateurs partage mutualis s EXPOPM Exploitation et administration des outils de Nombre d utilisateurs partage mutualis s le cas ch ant par produit permettant d affiner le calcul des co ts ou nombre de serveurs d di s ou volume de stockage utilis 21 Fich
192. tres services MDS du catalogue de services au prorata des co ts unitaires ou de le r partir par Direction au nombre d univers Granularit des technologies du Centre Technologique Le mod le pr conise de construire un seul Centre Technologique Il est videmment possible de distinguer plusieurs Centres Technologiques si on souhaite valoriser distinctement certaines technologies par exemple les outils de MDM Cependant il convient de rester vigilant face la complexit du mod le inh rente la multiplicit des Centres Technologiques et la capacit de bien distinguer les ressources aff rentes chaque Centre Technologique Si la maille d analyse des outils de gestion des temps ne permet pas de distinguer les activit s humaines propres chaque technologie valoris e par l activit d exploitation alors il est possible de cr er un seul Centre Technologique avec une seule activit humaine d exploitation et administration et une activit d acquisition par technologie que l on souhaite suivre Centre Technologique DEC 81 Activit Activit Activit Acquisition Acquisition Acquisition Techno 1 Techno 2 Techno 3 Activit Exploitation Figure 2 Centre Technologique D cisionnel BI distinguant plusieurs technologies Co ts des outils de d veloppement Le mod le conomique pr conise d isoler les co ts des outils de d veloppement et de les affecter ensuite au Centre Technologique 19 Logiciels de d v
193. ts ce n est pas une op ration instantan e Lors de la conception du mod le th orique il faut s assurer des moyens n cessaires pour le mettre en place et le faire vivre IL est n cessaire de bien identifier et mesurer les activit s avant d tablir un catalogue de services En ce qui concerne la mesure de l activit humaine il faut commencer par cartographier toutes les activit s r alis es et effectuer les regroupements n cessaires pour viter d entrer trop dans le d tail Par la suite la formation et l accompagnement permettront de garantir la bonne saisie des temps avec les affectations pertinentes La qualit de la saisie est essentielle pour le bon fonctionnement du dispositif IL para t n cessaire de disposer d une phase de test sur un exercice complet qui prenne en compte la totalit du cycle objectif pr vision atterrissage cl ture Un minimum d outillage estindispensable le Tableau Excelne suffit pas dans la dur e l outillage contribue la p rennit de la d marche et facilite son automatisation Les r gles de calcul doivent tre crites pour que chacun puisse les comprendre Il faut aussi savoir simuler la totalit du p rim tre pour mettre en vidence les axes de projets travers une photo globale Enfin on s assurera que le mod le d analyse des co ts d ploy c t Production s int gre bien dans le mod le g n ral des autres entit s de la DSI LiVRE 1 ANNIe Les b n fice
194. ue et en tant que service dans le catalogue de services Les ressources d acquisition des solutions d cisionnelles et BI valorisent le Centre Technologique D cisionnel Bl et le co t complet de ce Centre Technologique acquisition exploitation est par la suite imput en totalit au service D cisionnel BI 2 Le d cisionnel en tant que service n est pas pleinement op rationnel sans l adjonction de ressources mat rielles et logicielles provenant d autres Centres Technologiques Les entrep ts de donn es consomment des serveurs Unix Windows Mainframe etc des SGBDR du stockage du r seau etc Aussi pour obtenir le co t complet du service D cisionnel BI il convient de valoriser le service en ajoutant les consommations d inducteur des activit s des autres Centres Technologiques Ces co ts compl mentaires viennent s ajouter au co t du Centre Technologique D cisionnel Bl affect 100 au service le tout formant Le co t complet du service bo Lo tu Lots Centre Techno Stockage Centre Techno Dec Bl Centre Techno Unix Propri taire Activit Activit Activit Activit Activit Exploitation Acquisition Exploitation Acquisition Exploitation Le service DEC BI consomme Nomb 100 des couts du C T DEC BI Nombre d inducteur x Ct unitaire re d inducteur x Ct unitaire Service D c BI Figure 1 Principe de consommation du service Decisionnel Bl La mat rialisation du d cisi
195. ui ont un niveau de maturit plus lev peuvent loisir affiner le mod le L adoption du mod le par un nombre croissant d entreprises facilitera le benchmarking des co ts Un tel benchmark sera facilit car les p rim tres fonctionnels des diff rents Centres Technologiques sont pos s formellement ainsi que les r gles d affectation des charges LiVRE I ANNIe LES CENTRES TECHNOLOGIQUES Pr sentation des centres technologiques Les centres technologiques propos s dans le mod le d analyse des co ts de la Production doivent permettre de mesurer et d valuer les principaux postes de d penses d une organisation de type Production informatique Les noms de ces entit s varient dans les entreprises mais leurs activit s restent relativement constantes assurer le bon fonctionnement et la s curit des traitements et l int grit des donn es g rer les mat riels infrastructures et environnements plac s sous leur responsabilit assurer l int gration des logiciels et applications sur les plates formes de production superviser l volution des infrastructures etc Un Centre Technologique repr sente l association d un ensemble d infrastructures homog nes au plan technologique et des activit s humaines d exploitation et d administration de ces infrastructures Les Centres Technologiques permettent de subdiviser un centre de co t monolithique la Production informatique en centres plus fins Les Centres Techn
196. ui permettent de disposer d une vision des co ts complets d une technologie 5 Une activit est consomm e par un ensemble de services techniques ou m tiers et non pas par d autres activit s 6 La consommation d une activit est mesur e l aide d un inducteur qui doit repr senter une r alit technique coh rente avec l activit concern e ex nombre de Giga octets pour l activit Infrastructure stockage 7 Aune activit est associ un et un seul inducteur Un inducteur peut cependant tre associ plusieurs activit s 8 Des services peuvent tre r allou s sur d autres services de facon calculer le co t complet des services techniques ou m tiers fournis aux clients 9 Les clients qui consomment ou utilisent des services techniques sont typiquement des DSI Les clients qui utilisent des services m tiers sont par d finition des directions ou des entit s m tiers 10 Le mod le peut tre valoris selon diff rentes vues financi res a Vue compte de r sultats ou P amp L pour une vision des co ts liss s dans le temps via le m canisme d amortissement et adapt e une refacturation des services b Vue co ts d caiss s ou Cashout pour une vision des co ts de type tr sorerie adapt e au pilotage des investissements LES PI GES VITER LORS DE LA MISE EN UVRE DU MOD LE Au del des principes th oriques qui r gissent ce mod le
197. ur l Innovation qui pr sente 50 nouvelles solutions innovantes s lectionn es par un comit technique form de membres du groupe de travail Innovation du CRiP Ce Forum a pour ambition de pr senter des ruptures d usages et de technologies dans les domaines de la Mobilit du Cloud du Big Data de la S curit et des R seaux Sociaux Suite au succ s de l Innovation forum du 11 avril 2013 le CRiP a d cid de planifier une 2 saison occasion pour les responsables de l innovation et de la production IT de d couvrir et d identifier les grandes tendances Information Technology European Summit 1 s minaire en France consacr aux ruptures d usages et de technologies la 1 re dition de l Information Technology European Summit du CRiP s est tenue du 21 au 23 mars 2013 L occasion pour une trentaine de CTOs et CIOs issus de grands groupes europ ens de rencontrer et d couvrir les travaux de Gourous et Venture Capitalist sp cialis s en R amp D et Innovation au sein de grands fournisseurs IT Objectifs de ce s minaire anticiper l avenir visualiser les technologies du futur et les volutions majeures qui se d velopperont demain au sein des entreprises Fort de ce succ s le CRiP pr voit une 2 dition au printemps 2014 Rencontrer et changer avec ses pairs GCRIiP FE Le r seau collaboratif et social priv du CRiP facilite l intelligence collective avec des changes de type r seau social
198. urit Par exemple Les serveurs proxy ou reverse proxy peuvent assurer des fonctions de filtrage d adresses de ports ou de contenus De m me un bo tier acc l rateur de flux peut assurer le support du cryptage d cryptage de flux SSL que l on peut consid rer comme li autant au routage qu la s curit Pour plus de simplicit on consid rera comme appartenant au Centre Technologique 13 S curit toutes les solutions mat rielles ou logicielles qui peuvent assurer entre autres des fonctions li es la s curit N appartiendront donc au Centre Technologique 02 R seau Data LAN datacenter que les quipements de connexion de type routeur commutateur quipement de terminaison de liaison Les quipements MAN et WAN tant couverts par le Centre Technologique 03 R seau Data MAN WAN nous consid rerons de fa on arbitraire les quipements qui assurent les fonctions MPLS et VPN comme relevant de ce m me Centre Technologique LIVRE BIMAN Annuaires d entreprise Les annuaires LDAP les Active Directory et les outils d administration associ s qui constituent des moyens de gestion des identit s et habilitations entrent dans le p rim tre du pr sent Centre Technologique Par exception la r gle g n rale les annuaires Active Directory bien que sp cifiques Microsoft sont inclus dans ce Centre Technologique pour des raisons d homog n it avec le positionnement des annuaires LDAP ces derniers concernant toutes les
199. urs e Les logiciels de sauvegarde archivage client Pour les activit s d exploitation e La configuration des sauvegardes e La supervision des sauvegardes e Les restaurations e Les tests de relecture des bandes e La gestion des cartouches Attention LiVRE SI ANNIe 1 Ce Centre Technologique exclut les op rations d archivage l gal qui tombent dans le Centre Technologique 21 GED D mat rialisation Archivage l gal 2 Dans les cas de sauvegarde sur disques deux situations se pr sentent Si les disques font partie d un quipement d di la sauvegarde type baie VTL int gr e ils tombent dans ce Centre Technologique Sauvegarde Archivage Restauration Si les disques utilis s se trouvent sur une baie de stockage polyvalente ils ne sont pas pris en compte dans ce Centre Technologique ma s dans le Centre Technologique 05 Stockage auquel cas il faut cr er un service Sauvegarde sur disque qui consomme une partie de service Stockage 3 Ce Centre Technologique inclut les outils de chiffrement s ils sont sp cifiques l activit Sauvegarde Archivage Restauration 4 En ce qui concerne les r seaux utilis s pour les op rations de sauvegarde restauration qu il s agisse de r seaux IP ou Fibre Channel ils n ont pas vocation figurer dans ce Centre Technologique mais sont inclus par d faut dans les Centres Technologiques 02 R seau LAN datacenter et 05 Stockage SAN NAS sauf dans le cas de r
200. urs c urs activ s mais sans notion de nombre d utilisateurs sauf sur certaines configurations d entr e de gamme Compte tenu du caract re propri taire de ces plates formes ce Centre Technologique regroupe aussi les diff rents logiciels techniques et d exploitation sp cifiques afin de pouvoir tablir un co t de revient complet Il s agit principalement dans le cas des System i des logiciels d di s de r plication et de mirroring et de certains outils de sauvegarde sp cifiques copie syst me Flash Ces diff rents logiciels ne sont donc pas r partis dans les Centres Technologiques o on les trouve habituellement pour les autres types de serveurs N B IL est possible de d cliner ce Centre Technologique pour d autres plates formes comparables DEC VAX Alpha HP 3000 Open VMS 3 Activit s du Centre Technologique Mini informatique et autres plates formes serveur ur z poa Correspondance EXPMIN 1 Infrastructures machines environnements d exploitation IBM i amp autres plates formes mini et logiciels techniques et d exploitation d di s IBM i amp autres plates formes mini Exploitation et administration des machines et OS et des logiciels techniques d exploitation Co ts d acquisition location et maintenance des machines physiques et de l OS IBM i amp autres plates formes mini et des logiciels sp cifiques IBM i amp autres plates formes mini T ches li es au MCO de la platefo
201. urs Web e serveurs de pr sentation e serveurs d applications e moniteurs transactionnels e etc Ce Centre Technologique rassemble aussi les technologies asynchrones bas es sur des changes en mode message e EAI Enterprise Application Integration e ESB Enterprise Service Bus e MOM Message Oriented Middleware et Message Queuing e etc Par extension toutes technologies qui contribuent une activit transactionnelle figurent dans ce Centre Technologique par exemple les technologies e de revamping d cran mainframe ex cut en environnement distribu e de passerelle d acc s synchrone aux moniteurs transactionnels de syst me propri taire exemple CICS z OS ex cut s en environnement distribu e etc Les services Middleware applicatif et transactionnel consomment les activit s du pr sent Centre Technologique mais aussi une quote part des activit s des Centres Technologiques suivants 09 Windows Linux 08 Unix 07 Mainframe 05 Stockage 02 R seau Data LAN datacenter 03 R seau Data MAN WAN 13 S curit Attention LiVRE BIIAN 1 Par convention toutes les technologies exclusivement Mainframe ou Mini informatique propri taire exemple AS 400 ne figurent pas dans ce Centre Technologique mais dans les Centres Technologiques 07 Mainframe ou 10 Mini informatique 2 Les outils de supervision des technologies de ce Centre Technologique sondes technologies BAM etc ne sont
202. us de la DSI e de comprendre la consommation des moyens techniques par les services e d expliquer la construction des co ts et en cons quence d am liorer sa politique d acquisition acheter au bon prix et surtout sa politique d utilisation d tecter et corriger les sur consommations e de d gager des leviers d optimisation des processus am lioration de l efficience des processus e de responsabiliser les clients vis vis des cons quences financi res pour la DSI de certains choix on parlera alors de co ts externes en ce qu ils sont g n r s l ext rieur de la DSI mais ont des cons quences qui p sent sur d autres entit s de la chaine de valeur ici La DSI e de motiver des investissements sur des hypoth ses de Rol bas es sur des co ts de production ma tris s Le r f rentiel d analyse des co ts de la Production du CRIP propos dans ce document d crit un mod le conomique qui valorise les activit s de l organisation prise en compte et d termine les co ts de revient des services tape pr alable l tablissement d une facturation ou de la d termination d un prix de cession interne Le mod le conomique du CRIP vise donc bien aider la DSI se positionner comme un fournisseur de services d livrant de la valeur aux m tiers 1 L conomiste Robert Solow fit remarquer en 1987 que l introduction massive des ordinateurs dans l conomie ne se traduisait contrai rement aux attentes par aucune augmen
203. usiness Units sur le principe du socle unique quelle que soit la famille de logiciels e Production Sp cifique par BU environnement d di une Business Unit Application Sp cifique e Prestations Sp cifiques la demande services sp cifiques d accompagnement e R seaux refacturation aux co ts r els venant de l op rateur A partir de 2010 l entreprise s engage dans une r flexion sur ce mod le d affectation des co ts De tr s nombreux param tres contribuent cette volution Les contraintes fiscales qui p sent sur le groupe se modifient Le Groupe souhaite am liorer l quit des co ts entre ses Business Units La r duction des co ts constitue un imp ratif permanent pour les Business Units et pour sa communaut IT ce qui les incite vouloir disposer d un mod le de co ts adapt Les m tiers demandent pour leur part une lecture plus fine de la performance de la Production Il semble donc n cessaire d am liorer les connaissances en mati re d analyse des co ts d une part pour envisager la mise en uvre d un catalogue de services tarif s prix ma tris d autre part pour tre en mesure de se positionner face aux offres du march offres Cloud en particulier LiVRE 1 ANNIe La mise en place du mod le d analyse des co ts L op ration d bute en 2010 par une r flexion sur le mod le CIGREF avec la volont de se concentrer sur la partie co ts de la Production Cette d marche s acc
204. vent h riter de charges qui ont leur origine dans le Build La valorisation des services en P amp L incarne la vue conomique en phase avec le compte d exploitation Vue Cash Out C est la plus proche des vues couramment utilis es pour la construction des budgets notamment pour la partie portefeuille de projets PPM On comptabilise ici tous les flux mon taires entrants et sortants On ne tient pas compte des choix d immobilisation C est une vue tr sorerie Dans certains contextes la tr sorerie tant la variable d ajustement entre fonds de roulement et besoin en fonds de roulement on apportera une attention toute particuli re cette vue car elle est li e directement la solvabilit de l entit Capex Opex Cette opposition est souvent retenue comme crit re de choix dans des question de type Make ou Buy Pourtant la vue Capex n existe pas dans le mod le d analyse des co ts de la Production tout simplement parce qu elle n a pas d int r t en soi pour la d termination des co ts Il faut bien comprendre que la notion de Capex est li e La mani re de comptabiliser une acquisition e l acquisition est consid r e comme un actif Capex et par cons quent n apparait pas dans le compte de r sultat donc pas dans les charges imputables aux services e l acquisition est consid r e comme une charge cas du cr dit bail par exemple et dans ce cas elle apparait dans le compte de r sultat Dans les 2 ca
205. virtuel IL permet d acc der tous les services du cercle de confiance du CRiP et aussi de rencontrer et discuter avec ses pairs et d changer sur ses propres enjeux et exp riences de mani re informelle D ner Cercle CTOs Une rencontre mensuelle dans un cercle de confiance exclusif Au sein de cet espace d changes ouverts et en toute confidentialit les CTOs traitent des sujets strat giques de leur activit et partagent en direct Leur exp riences CRiP NET Le CRiP Net est un rendez vous mensuel d changes informels entre les membres du CRiP dans un lieu convivial et facile d acc s le St James Club Paris Ces rencontres se tiennent dans le Cercle de Confiance du CRiP sans fournisseur sous la forme d un ap ritif de 18 20 heures et permet de mieux se conna tre et d changer sur ses propres enjeux et exp riences de mani re informelle L quipe des permanents du CRiP Sylvie Pierre Pierre Yves Renaud se tient votre disposition pour vous pr senter vous et vos quipes Les services et activit s de l association lors de vos Comit s de Direction internes Ainsi vous pouvez mieux conna tre Le CRiP et faire partager vos collaborateurs Les b n fices et les initiatives du CRiP 138 pe e Travail du CRiP Dans les Groupes de Travail se d roulent les activit s fondamentales du CRiP partage de connaissances t moignages mise en commun d informations laboration de bonnes
206. x challenges des productions informatiques Tous ces ouvrages deviennent in luctable ment une r f rence importante pour les CTOs et leurs quipes ils constituent des outils reconnus pour l am lioration de la per formance op rationnelle et strat gique Pl ni res et Cerclei Les pl ni res organis es deux fois par an sont un moment d changes privil gi s notamment sur des th mes d passant le domaine de l Infrastructure et de la Produc tion informatique A leur issue les membres du CRiP se retrouvent lors d un Networking cocktail avec les dirigeants des fournisseurs Un trombinoscope et un syst me de prise de rendez vous online permettent aux membres du Cercle i CRiP et fournisseurs de se ren contrer Convention annuelle du CRiP Pendant deux jours en juin la Convention rassemble plus de 1 500 responsables utilisateurs IT membres du CRiP ou non met en avant plus de 100 retours d exp rience vraie vie illustrant les d ploiements op ra tionnels au sein des adh rents du CRiP en lien avec les Groupes de travail 136 gt Acc der une information vraie vie Conf rences Th matiques Les cl s de La compr hension et de la traduc tion op rationnelle des services et technolo gies dans la vraie vie de l Entreprise Bas es sur les travaux des groupes de tra vail du CRiP et v ritables think tanks les conf rences CRiP Th matiques en association avec Forrester Research

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