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1. respecter des principes de Vorever transparence et diffuser de l information de sant r pondant des crit res de qualit w y g C Adh sion au tarif de 15 euros R glement par ch que bancaire Pordre du CRES PACA adresser par courrier CRES PACA 178 Cours Lieutaud 13006 Marseille Di E A S Signature Une attestation d adh sion vous sera d livr e d s r ception du r glement et de ce bulletin PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 S LECTION BIBLIOGRAPHIQUE Cantine scolaire et qualit nutritionnelle Voici une s lection de quelques uns des ouvrages disponibles au CRES PACA sur cette th matique Promouvoir l quilibre et la qualit nutritionnelle dans l alimentation collective des enfants Programme exp rimental d intervention aupr s de petites communes de Rh ne Alpes BOUCHET Claude GOUDIN S bastien BEAUPOIL Marie Line R f rence CRAES CRIPS Rh ne Alpes ADES du Rh ne ADES de la Dr me 2007 06 18 p Cette tude a t r alis e aupr s d un chantillon repr sentatif de coll ges et de communes de la r gion Rh ne Alpes Elle a analys le niveau d application de diff rentes recommandations en particulier celles manant de la circulaire de juin 2001 sur la nutrition des enfants scola ris s autour de 3 axes besoins nutritionnels ducation au go t et s curit alimentaire Les petits marmitons de Vallauris L histoire d un p
2. sont actuellement propos es aux r sidents Au programme une formation aux gestes de premiers secours par le m decin et l infirmi re de la Permanence d acc s aux soins de sant PASS un atelier sur l hygi ne l qui libre alimentaire les addictions le stress et le sommeil par le CODES ou encore sur l alimentation de la femme enceinte la contraception et la vaccination par les services du Conseil g n ral En r gion France terre d asile n est implant qu Toulon et Gap Contact France terre d asile Gap T l 04 92 20 65 11 www france terre asile org CO R AE provence AD 10 E R GION PROGRAMME R GIONAL D ACC S LA PR VENTION ET AUX SOINS Permanences d acces aux soins de sant PASS un r le renforcer Les permanences d acc s aux soins de sant jouent un r le majeur dans la lutte contre les exclusions Mais pour mieux r pondre aux besoins des publics en situation de pr carit elles doivent red finir leur organisation et am liorer leur visibilit Les permanences d acc s aux soins de sant PASS ont un r le essentiel jouer dans le fonctionnement des tablissements de sant Cr es par la Loi contre les exclusions de 1998 les PASS sont des cellules de prise en charge m dico sociale qui facilitent l acc s des personnes d munies au syst me hospitalier mais aussi aux r seaux de soins et d accompa gnement social La PASS type se situe dans un
3. t es et se relaient pour l animer Le local doit galement constituer un lieu de rencontre entre les jeunes et les professionnels tous tant invit s se l approprier mais aussi un lieu de d couverte de diff rents services propos s par la ville tels que le point information jeunesse la ludoth que la biblioth que Cette initiative est exp rimentale Les respon sables se sont donn s six mois pour faire conna tre ce nouvel espace Pr s de 100 l ves des GRETA Ligue de l enseignement ADREP CFPA de Carmejane et lyc es de Manosque pourraient tre concern s Contacts ASV 04 92 32 61 71 MJC T l 04 92 72 19 70 NUTRITION E ALPES DE HAUTE PROVENCE Ateliers nutrition et activit physique pour les r sidents d un centre d h bergement L association Porte Accueil dans les Alpes de Haute Provence propose des ateliers nutrition et des activit s de randonn e ses r sidents des hommes sans domicile fixe 25 d entre eux y participent effectuant leurs premiers pas vers la r appropriation de leur corps L Association Porte Accueil est n e Manosque il y a 20 ans et depuis ses objectifs restent les m mes combattre lex clusion et la marginalisation des personnes vuln rables En deux d cennies cette association a su construire un r seau de b n voles et de professionnels solides D sormais install e Sainte Tulle au lieu dit Les Charbonni res Porte Accueil g re un ce
4. tablissement hospitalier ayant un service d urgences Constitu e d une assistante sociale et parfois d une infirmi re et ou d un m decin une PASS accueille des personnes en grande difficult sociale pour lesquelles l acc s aux soins est difficile le plus souvent faute de droits ouverts il peut s agir de personnes sans domicile fixe de gens du voyage d tran gers en situation irr guli re mais aussi de femmes victimes de violences Lassistante sociale va donc s attacher ouvrir leurs droits aide m dicale d tat pour les trangers CMUC et permettre un acc s aux soins soit partir des consultations r alis es par le personnel m dical ou infirmier de la PASS soit par un acc s au service appropri de l h pital consultation r ali sation d examens compl mentaires acc s la pharmacie hospitali re Les PASS travaillent en r seau pour orienter les patients en particulier l issue d une hospitalisation vers les partenaires en ville m decins lib raux Lits halte soins sant CHRS Une journ er gionale organis e conjointement par la DRASS et ARH a r cemment r uni l ensemble des PASS de la r gion Marseille Il s agissait de reconna tre l importance de leur r le de r fl chir un nouveau fonctionnement institutionnel qui les soutienne et de pr senter les r sultats de l enqu te r gionale men e dans le cadre du pilotage du PRAPS aupr s des 34 PASS de la r gi
5. d orienter leurs choix vers des produits plus respec tueux pour la sant humaine Cette d marche s inscrit aussi dans le cadre d une harmonisation europ enne dans l valuation des produits de construction Pendant longtemps la qualit de Pair l int rieur des b timents au contraire de la qualit de Pair ext rieur n a pas fait partie des pr occupations sanitaires majeures en France Pourtant chaque individu passe en climat temp r en moyenne 85 de son temps dans des environnements clos dont une majorit de ce temps dans l habitat L environnement int rieur offre une grande diversit de situations de pollution par de nombreux agents physiques et contaminants chimiques ou microbiolo giques li s aux b timents aux quipements Penvi ronnement ext rieur imm diat et au comportement des occupants Ceci confirme l attention croissante port e ce sujet avec la cr ation par les pouvoirs publics d s 2001 de l Observatoire de la Qualit de l Air Int rieur OQAI mis en uvre par le Centre scientifique et technique du b timent CSTB Il s agit de dresser un tat des lieux des expositions aux polluants de Pair observ s dans les lieux de vie et d en identifier les d terminants afin d apporter les informations n cessaires l valua tion et la gestion des risques ventuels L tude pilote de 2001 dans des logements et des coles suivie de la campagne nationale sur les loge ments
6. phab tisation Marseille et dans le Vaucluse et rep r s comme des freins d ordres cultu rels essentiellement ou dus la barri re de la langue Les strat gies des actions de pr vention avec pr dominance de l crit semblent ainsi peu adapt es ces populations L espace social et culturel Croix des oiseaux Avignon a particip cette tude dans le cadre de ses cours d alphab tisation Nous avions un public mixte ce qui est assez rare car il y a g n ralement plus de femmes que d hommes dans ces cours souligne Michel Gazi directeur de la structure Nous avons sensibilis le public ces d marches de d pistages et les destinataires ont t associ s la construction des outils et du discours Ce furent les meilleurs ambassadeurs du message de pr vention Concr tement cette action a t men e dans ce centre social sur deux ans aupr s de deux groupes d une douzaine de personnes f minin en Journ e et mixte en soir e Nous avons d abord men un travail pr alable sur la connaissance du sujet et la sensibihisa tion des personnes t moigne Hassan Moulouch charg de cette animation l espace social et culturel Croix des oiseaux Comment peut on croire que les gens vont parler de ce sujet s il reste tabou Une information sur les diff rentes formes de cancer sur les gu risons possibles sur le d pistage et la pr vention a t r alis e en priorit Nous avons fait le p
7. 2003 2005 ont permis de mesurer les niveaux de pollution de Pair int rieur ainsi qu une liste de substances pour lesquelles l laboration de valeurs guides de qualit d air int rieur a t jug e prioritaire Soit formald hyde monoxyde de carbone benz ne trichloro thyl ne particules de diam tre inf rieur 10 um PM10 naphtal ne t trachloro thyl ne phtalate de di 2 thylhexyle DEHP dioxyde d azote ac tal d hyde ammoniac radon l chelle internationale des valeurs de recommandations sont propos es dans certains pays et par quelques organismes reconnus parmi lesquelles les valeurs guides pour la qualit de l air OMS Air quality guidelines for Europe second edition European series n 91 2000 et plus r cemment celles issues du projet europ en INDEX Critical Appraisal of the Setting and Implementation on Indoor Exposure Limits in Europe Union Des hypoth ses d action Qu en serait il de l installation dans les lieux collectifs de Plantes et verdures Ainsi d s 1973 la suite de la mission SKYLAB II comme l explique le Dr Wolverton la NASA s est impliqu e dans l tude des polluants de Pair int rieur et en particulier le programme BIOHOME Il a s agit d tudier des syst mes de vie cologique assist e en int rieur ferm Les premiers r sultats publi s en 1984 d montrent la capacit des plantes d truire des polluants type compos s chimiques organiques VOC Toutes le
8. 53 36 27 Mail codes 05 wanadoo fr Site www codes05 org Codes 06 61 route de Grenoble 06200 NICE T l 04 93 18 80 78 Fax 04 93 29 81 55 Mail c patuano codes06 wanadoo fr Site www codes06 org Codes 13 8 rue Jules Moulet 13006 MARSEILLE T l 04 91 04 97 30 Fax 04 91 04 97 25 Mail codes bdr wanadoo fr Site www codes13 org Codes 83 Immeuble le Verdon 82 bd L on Bourgeois Saint Jean du Var 83000 TOULON T l 04 94 89 47 98 Fax 04 94 92 80 98 Mail codes var wanadoo fr Codes 84 13 rue de la P pini re quartier Saint Ruf 84000 AVIGNON T l 04 90 81 02 41 Fax 04 90 81 06 89 Mail codes84 wanadoo fr Site www codes84 fr
9. Ces formations ont ensuite permis la mise en route de 50 nouveaux projets ainsi que le red ploiement de 8 projets existants Citons parmi les actions mises en place la cr ation d ateliers cuisine avec laboration de livrets de recettes la modification du mode de distribution des colis int grant les pr f rences des b n ficiaires l am na gement des locaux et la cr ation d espace pour mieux accueillir les b n ficiaires un projet d picerie sociale Ou encore le projet d un jardin solidaire dans les Alpes Maritimes qui comme le pr cise Sandra Bonnet di t ticienne au CoDES 06 pr voit la participation des b n ficiaires et leur implication dans la conception et l entretien du jardin Malgr le turn over des b n voles et la disponibilit r duite des personnes en charge de la distribution de l aide alimentaire de nombreux points forts ont t identifi s l implication des quipes en charge de la distribution par exemple qui ont fortement particip mais aussi le d veloppement de partenariats locaux ou encore la participation des b n ficiaires dans la mise en uvre des projets La collaboration de l quipe univer sitaire de recherche a galement t primordiale Le contenu de la formation propos e s est en effet largement appuy sur les tudes men es par Nicole Darmon de l INSERM ainsi que sur les outils cr s avec la F d ration fran aise des banques alimen
10. comme la cr ation de PASS dans le champ de la psychiatrie de consultations dentaires PASS ou encore la d signation d une PASS r gionale de r f rence qui permettra de g n raliser les bonnes pratiques Comme l a rappel Jean Chappellet Directeur r gional des affaires sanitaires et sociales cette occasion la sant des populations pr caires sera forc ment l une des priorit s des Agences r gionales de sant et les PASS vont devenir encore plus un l ment essentiel du dispositif 1 Programme r gional d acc s la pr vention et aux soins des publics en situation de pr carit PRAPS III 2008 2010 en cours 2 Minist re de la sant Organiser une PASS recommandations et indicateurs R f rence Editions DICOM 2008 05 8 p 3 Organisation des PASS r sultats de l enqu te r gionale 2008 Laurence Cl ment DRASS PACA Dr G rard Coruble DDASS 13 www paca sante gouv fr valuation r gionale des PASS les chiffres cl s 32 PASS de la r gion sur 34 ont particip l enqu te qui s est d roul e durant l t 2008 9 sont rattach es aux urgences 7 un p le administratif de l h pital 16 seulement disposent de locaux bien identifi s Les PASS disposent au total de 32 quivalents temps plein d assistantes sociales de 5 3 ETP d AS mises disposition de 3 6 ETP de m decin de 5 ETP de personnel param dical de 6 8 ETP de personnel administratif et de 0 5 ETP de psychologue 2
11. for t tropicale chaque jour Plus grave encore les bouleversements apport s par l homme au climat d passeront en moins de 100 ans ce qui mettait des mill naires se produire Sans vouloir tre alarmiste ne convient il pas de se poser les bonnes questions tous niveaux tr s locaux autant que globaux Comme l a sugg r le Pr sident Nicolas SARKOZY on peut avoir des pr occupations de civilisation et se fonder sur une recherche de la qualit de vie et du bien tre comme le pr ne le Rapport de la Commission sur la mesure des performances cono miques et du progr s social command par l lys e aux professeurs Joseph E STIGLITZ Amartya SEN et Jean Paul FITOUSSI Les observations de la qualit de Pair int rieur vont dans ce sens et sont ent rin es par l article sur ce sujet dans les textes du Grenelle de l Environnement vot en 2007 et en particulier le Projet de loi de programme relatif la mise en uvre du Grenelle de l environ nement Soit la loi n 2009 967 du 3 ao t 2009 parue au JO n 179 du 5 ao t 2009 conomie et finances fiscalit Environnement Soci t La volont politique du Ministre Jean Louis BORLOO dans son intervention sur le projet de loi portant engagement national pour l environnement dit GRENELLE 2 est nette Cest de rendre aux g n rations futures ce que nous leur empruntons depuis maintenant plusieurs d cennies c est dire des sols fertiles une eau de qual
12. la Sackler school of medi cine Tel Aviv en 1990 par les professeurs GABBAY J BERGERSON O LEVI N BRENNER S ELI I d montre que Pionisation de Pair restreint la pollu tion microbienne de Pair des cliniques dentaires et les risques d infections par hasard des quipes y travaillant Un ouvrage tr s important pr fac par le Professeur Andr MICHEL de la Facult des Sciences d Orsay et directeur de recherche de laboratoire du CNRS et sign du Docteur Herv ROBERT charg de cours la Facult de M decine de Paris XII et m decin sp cialiste en communication m dicale nous informe plus avant sur Pionisation de Pair Ce praticien a toujours t un fervent d fenseur de la pr vention en m decine Apr s de nombreux ouvrages ayant pour th me la nutrition et le sevrage tabagique Pauteur a travaill sur l ionisation n gative dont il a pu v rifier l int r t en client le Ainsi les ions n gatifs pr sents et actifs dans Pair de la mer du grand air ou de la montagne s av rent particuli rement b n fiques sur les sujets sains dans les registres de leur nergie de la sexualit du sport et du contr le du stress Lionisation est utile aussi dans les maladies car notamment sur le sang sur les glandes endoctrines sur les maladies intestinales Citons aussi en Allemagne l Universit de BOCHUM STUTTGART l Institut f r W rme Klima amp Verfahrenstechnik qui r alise des mesures sur des syst me
13. m lent les r sultats d tudes scientifiques montrant que l ge moyen de la premi re cigarette est de 11 3 ans et que la consommation r guli re de cannabis progresse de 1 21 entre 14 et 18 ans Pour r pondre cette demande Paramour a mis en place d s l ann e 2008 2009 un programme d actions sur ce th me aupr s des coll giens et lyc ens de 10 18 ans des tablissements du Var Durant cette p riode explique Ingrid Accardo coordinatrice de l association nous avons rencontr dans ces groupes 2599 jeunes de 109 classes r parties sur 16 tablissements 3 lyc es et 13 coll ges de Fr jus Hy res Brignoles et Draguignan entre autres Dans le protocole d interventions r alis depuis une animatrice sp cialis e en sant pr vention a propos tout au long de l ann e sur deux heures de temps en demi classe des l ments d information sur la loi et la sant en g n ral d bat et jeu L utilisation d affiches montrant la composition du tabac par exemple suscite des questions sur la nocivit des cigarettes Les questions fusent aussi autour du cannabis Les l ves sont souvent surpris d apprendre que cultiver PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 cannabis programme de pr vention de la consom milieu scolaire Pour tenter d inverser courant banalis et pr coce des plants de cannabis chez soi est tout fait ill gal Ils comprennent qu ils peuvent dire no
14. porteur le carac t re r gional de l action etc Deuxi mement une analyse statistique des r sultats est d sormais propos e Elle permet le croisement de nombreuses donn es ainsi que des tris sous le format Excel Enfin derni re nouveaut c est la base de donn es Oscars en acc s national une nouvelle structuration qui permet d autres r gions de France d int grer l outil Pour l instant seule la Martinique y propose les actions de son plan r gional de sant publique Mais terme on peut imaginer qu Oscars recensera les actions de sant de nombreuses r gions permettant des recherches multicrit res sur de nombreux territoires ainsi que des comparaisons d une r gion l autre Une perspective galement int ressante pour les actions relevant de plans nationaux E D mn LOSCARS E www cres paca org onglet oscars www briques sante fr oscars Le site internet du CRES certifi HONcode La Fondation Health On the Net HON est l organisme Az habilit par la Haute autorit de sant pour certifier les po sites Internet de sant en France et garantir la qualit et la fiabilit de l information diffus e Elle attribue un syst me de certification un code de d ontologie utilis dans 118 pays le HONcode 900 sites Web sont ce jour certifi s en France et depuis cet t le site du CRES http www cres paca org CERTIFI La certification traduit l engagement du site
15. s territoriales dans le d veloppement du sch ma r gional de pr vention en identifiant les freins et les leviers au d veloppe ment de projets partenariaux ainsi que les articulations instaurer pour la mise en place d actions de sant publique dans les territoires Les propositions ont t les suivantes gt Mobiliser tous les acteurs qui peuvent contribuer l am lioration de la sant gt Permettre aux collectivit s de d velopper des plans locaux de sant publique gt Faciliter les relations entre acteurs de terrain collectivit s et interlocuteurs de PARS gt Dans les Hautes Alpes en juin 2009 la rencontre avait pour sujet l importance du diagnostic dans l laboration d un projet de sant L occasion d aborder des th mes comme la difficult pour obtenir des donn es locales l importance de l analyse et de la r daction du diagnostic afin de d gager les probl mes prioritaires de la population ou du territoire avec le souhait de tirer des exp riences existantes de diagnostic comme Brian on une m thodologie mod lisable gt Dans le Var la journ e tait consacr e la d marche participative dans les projets d ducation et de promotion de la sant et la place accord e aux b n ficiaires des actions Ce forum a abouti une s rie de recommandations portant la fois sur la formation des acteurs le financement des actions pluriannuel avec reconnaissance du besoin de financement de
16. 333 avenue le Belle gou 83000 Toulon T l 09 53 57 42 68 CANCER Bo E VAUCLUSE Avignon une action de pr vention du cancer chez les migrants Depuis de longues ann es maintenant les chercheurs font tat de r sistances et de freins vis vis des actions de pr vention sant C est le cas notamment des populations migrantes qui montrent parfois de r elles difficult s int grer les campagnes de pr vention et participer aux campagnes de d pistage des cancers par exemple Le comit r gional d ducation pour la sant a r alis ce sujet en 2007 dans le cadre du Plan r gional de sant publique une tude action sur cette probl matique nourrissant l objectif de pouvoir am liorer la pr vention et le d pistage des cancers aupr s des populations migrantes Malgr l absence de chiffres pr cis sur la parti cipation de ces derni res la situation d crite initialement r v lait des taux de participation faibles aux diff rents d pistages des cancers chez les personnes en situation de pr carit Les liens entre la situation socio conomique et l acc s la pr vention et aux soins sont certes connus mais au del de la pr carit cono mique il existe d autres facteurs qui peuvent favoriser ou freiner l acc s au d pistage en particulier et l acc s aux soins en g n ral Ces param tres ont pu tre identifi s en partie dans cette tude men e dans diff rentes cours al
17. 8 PASS proposent de lacc s aux droits 27 de l acc s aux soins 20 des consultations m di cales 6 de l interpr tariat la file active s l ve environ 10 000 personnes par an dont 54 sans logement ou en habitat pr caire 51 des orientations sont intra h pital et 50 vers un r seau social ext rieur Presque toutes les PASS ont nou des partenariats ext rieurs pour assurer la continuit de soins mais ceci reste peu formalis PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 AU MICROSCOPE Le CREAI PACA et Corse Le CREAI PACA et Corse Centre interR gional d tude d Action et d Information en faveur des personnes en situation de handicap et ou d inadaptation est un outil technique un lieu de rencontre de r flexion et d observation Il assure un r le d interface entre les instances publiques le secteur associatif et les usagers dans le champ du handicap et de l inadaptation Dans sa fonction d observation et de centre ressources le CREAT PACA et Corse r alise des tudes colloques et journ es ainsi que des expertises techniques d valuation et d ing nierie de projets aupr s des structures sp cialis es Il propose des formations en lien avec les volutions et probl matiques sp cifiques du secteur Le r pertoire PACA et Corse des tablissements et services sur le handicap et l inadaptation enfants adolescents adultes le document Handidonn es le num ro sp cial
18. BULLETIN D INFORMATION DU COMIT R GIONAL D DUCATION POUR LA SANT PROVENCE ALPES C TE D AZUR Sommaire L v nement Sch ma r gional de pr vention les pr conisations des acteurs de la r gion Trois questions Jo l CANAPA Vice pr sident de la R gion Provence Alpes C te d Azur Rubrique Atelier Sant Ville Alpes de Haute Provence Manosque la MJC invite les jeunes l heure du d jeuner Rubrique Nutrition p 2 p 3 p 4 p 4 Alpes de Haute Provence Ateliers nutrition et activit physique pour les r sidents d un centre d h bergement R gion quilibre nutritionnel les progr s de Paide alimentaire Rubrique Souffrance psychique Alpes Maritimes Maison d arr t de Grasse un atelier de sophrologie pour mineurs incarc r s Rubrique Sant scolaire Var Paramour parle tabac et cannabis Rubrique Cancer Vaucluse Avignon une action de pr vention du cancer chez les migrants R gion Parution d une bo te outils sur les d pistages des cancers Rubrique PRAPS Bouches du Rh ne Contrat local de sant l exp rimentation marseillaise Hautes Alpes France terre d asile solidaire des r fugi s R gion Permanences d acc s aux soins de sant PASS un r le renforcer Au microscope Le CREAI PACA et Corse Espace CRES Actualit s S lection bibliographique Cantine scolaire et qualit nutritionnelle Rubrique Le
19. Ce nouveau dispositif en faveur de la sant pourrait apr s valuation tre Huit th matiques ont t retenues ainsi que des plans d actions et leur valuation sant et habitat sant mentale vieillissement VIH et h patites addic tions acc s aux soins nutrition et vigilance sanitaire Les r sultats attendus en terme de sant publique sont nombreux une r elle territorialisation des politiques de sant laquelle les collectivit s soient pleinement associ es fond e sur un contrat l identification en commun des besoins puis des axes sur lesquels d ve lopper des actions en coh rence avec les orientations r gionales la mobilisation de financement sur les actions prioritaires et la mise en uvre de plans d actions transversaux et intersectoriels qui d cloi sonnent l offre de soins le m dico social la promotion de la sant la sant environnementale mais aussi par exemple les probl matiques li es au logement ajoute Mireille Floch Lavit Les instances ont t mises en place en f vrier 2009 D avril d cembre chaque groupe de travail partir des l ments de diagnostic existants a d termin les probl matiques relevant de sa th matique Marseille r dig le contenu du contrat local de sant et sur certaines th matiques d but la mise en uvre des premi res actions Parall lement un r f rentiel d auto valuation du processus a t labor L valuation d
20. T l CoDES 84 04 90 81 02 41 Contact CRES PACA T l 04 91 36 56 95 R AE provence AD PROGRAMME R GIONAL E BOUCHES DU RH NE Contrat local de sante l exp Un projet pilote de pr figuration d un le d but de l ann e 2009 Marseille sant des habitants d un territoire de mod lis Le plan espoir banlieue de juin 2008 pr voit la mise en uvre de contrats locaux de sant publique prolongement contractuels des ateliers sant ville ASV permettant de d velopper dans les collec tivit s locales ligibles des moyens d observation de mobilisation et de coordination des ressources sanitaires au service de l am lioration de la situation sanitaire de la population des quartiers populaires Par ailleurs la loi du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires loi HPST pr cise que le Directeur de PARS Agence r gionale de sant laborera un projet r gional de sant constitu d un plan strat gique r gional de sant de sch mas r gionaux de mise en uvre de programmes d clinant les moda lit s d application de ces sch mas La program mation pourra prendre la forme de programmes territoriaux de sant pouvant donner lieu des contrats locaux de sant Ceux ci conclus notam ment avec les collectivit s territoriales porteront sur la promotion de la sant la pr vention les politiques de soins et l accompagnement m di
21. annuel th matique sont quelques uns des outils produits par le CREAI PACA et Corse Conseil d Administration Bureau Roland Canovas Pr sidence Jacques Castelli Vice Pr sidence D l gation Corse quipe Technique Expertale ETEC Dr Mireille Tardy Coordination 12 membres d sign s par la DRASS PACA Direction Dr Monique Piteau Delord E E Documentation Conseill res Secr tariat Direction Comptabilit Secr tariat Accueil H l ne Suzan techniques Christiane Chazot lisa Guien Martine Abad Sophie Bourgarel Colette Calandre Conseiller scientifique Philippe Pitaud Personnes ressources Formateurs Consultants CREAI PACA et Corse Association loi 1901 mission de service public arr t du Minist re de la Sant du 22 janvier 1964 6 rue d Arcole 13006 Marseille T l 04 96 10 06 60 Fax 04 96 10 06 69 contact creai pacacorse com www creai pacacorse com PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 S 12 ESPACE CRES Nouveau Les formations du CRES l ducation th rapeutique du patient Un module de formation de 5 jours est propos aux professionnels de sant souhai tant se former l ducation th rapeutique du patient les 7 8 9 28 et 29 juin 2010 de 9h00 17h00 La formation est assur e par Alain Deccache directeur de l unit ducation pour la sant et ducation du patien
22. ari que ces apprenants comme nous les avons appel s quand ils s taient saisis de la probl matique pouvaient en parler avec les autres C est ce qui s est pass Quand ils ont ma tris le sujet ils se sont autoris s en parler autour d eux L information a commenc circuler Et dans un second temps les personnes apprenantes ont construit des outils pour encore mieux informer Ce sont les meilleurs ambassadeurs qui soient assure encore Michel Gazi Nous avons cr des outils avec eux pour faire passer l information Des affiches ont t con ues en utili sant les langues d origine avec des illus trations C est un peu ma frustration observe Hassan Mouloud Nous aurions aim d velopper ces outils de communication Mais au final c est une exp rience tr s enrichis sante tout ce travail de fourmi s est traduit par moins de peur et d incompr hension Cette initiative peut tre reproduite dans le cadre d un travail global sur la sant Aujourd hui il s agit d une action transversale de sant qui se d cline sur des actions sp cifiques commente Michel Gaz On remarque une d gradation de l tat g n ral sur des probl matiques particuli res et visibles comme l ob sit plus ou moins li es la souffrance la transmission la parentalit Alors on sensibilise autour d actions cuisine Pour les intervenants du centre social i faut sans cesse inventer pour sen
23. at accompagnera une politique ambitieuse de substitution conform ment aux exigences fix es par d cision communautaire des substances chimiques les plus pr occupantes pour l environnement et la sant notamment par la recherche et l innovation Il renforcera galement ses moyens de contr le dans ce domaine La France participera l laboration et soutiendra les nouveaux accords internationaux relatifs l enre gistrement l valuation et l autorisation des subs tances chimiques ainsi qu aux restrictions applicables ces substances La r duction de l exposition aux substances pr occu pantes notamment en milieu professionnel n cessite une meilleure information des entreprises et de leurs salari s Un portail internet de diffusion des donn es environ nementales sera mis en place Les fiches de donn es de s curit seront perfectionn es et le suivi de l exposition aux substances pr occu pantes en milieu professionnel sera renforc par une concertation entre les partenaires sociaux avec la contribution des comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail et des m decins du travail Un dispositif visant assurer un meilleur suivi des salari s aux expositions professionnelles des subs tances class es canc rog nes mutag nes ou toxiques ou Dar mail Par mail S Paa cres paca ore pour la reproduction de cat gories 1 et 2 CMR 1 et CMR 2 sera exp riment Cette exp rimenta
24. co social Dans le cadre de la pr figuration des ARS la suite d un appel projets national des projets pilotes r gionaux ont t retenus sur diff rentes th ma tiques dont celle des territoires de sant C est dans ce cadre qu en PACA a t conduit le projet pilote de pr figuration d un contrat local de sant avec la Ville de Marseille Cette initiative a t pr sent e le 3 d cembre dernier lors de la journ e r gionale du CRES et du GRSP voir page 2 de ce num ro par Mireille Floch Lavit inspectrice hors classe la DDASS des Bouches du Rh ne et chef de projet Nous avons fait le pari avec la Ville de Marseille et les autres partenaires du projet d inventer en un an ce que pourrait tre un contrat local de sant en nous appuyant notamment sur les ateliers sant ville qui existent depuis 10 ans dans les Bouches du Rh ne Il y en a 3 sur Marseille et autant de diagnostics disponibles Apr s valuation ces contrats locaux de sant pourraient tre g n ralis s Les priorit s sont d finies d un commun accord entre tous les membres de la future ARS DRASS ARH GRSP URCAM DDASS RSI le Pr fet ACSE la Ville de Marseille la CPAM et le Conseil G n ral dans le cadre d une gouvernance territo riale partag e PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 D ACCES LA PR VENTION ET AUX SOINS Ei rimentation marseillaise contrat local de sant se d roule depuis
25. de jeunes qui ont t accompagn s en 2008 par les missions locales en France soit plus qu en 2007 452 000 PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 Priorites Sante Bulletin d information du Comit R gional d ducation pour la Sant Provence Alpes C te d Azur 178 Cours Lieutaud 13006 Marseille Directeur de la publication Professeur Jean Marc GARNIER Pr sident R dacteur en chef Zeina MANSOUR Directrice R daction Lisbeth FLEUR Charg e de communication H l ne FOXONET Conception graphique Studio CARGO Toulon 83 Impression Imprimerie ZIMMERMANN Villeneuve Loubet 06 Tirage 10 000 exemplaires Composition du comit de r daction Repr sentants du GRSP de la DRASS de PURCAM de PORS des DDASS des Rectorats du Laboratoire de sant publique des CoDES Merci de leur collaboration aux pilotes des programmes du PRSP et aux correspondants des DDASS de la r gion N 26 Septembre Octobre Novembre D cembre 2009 N ISSN 1628 2884 Date du d p t l gal 28 juin 2004 CRES Paca 178 Cours Lieutaud 13006 MARSEILLE T l 04 91 36 56 95 Fax 04 91 36 56 99 Mail cres paca cres paca org Site WWW cres paca org Codes 04 42 bd Victor Hugo 04000 DIGNE LES BAINS T l 04 92 32 61 69 Fax 04 92 32 61 72 Mail codes ahp wanadoo fr Site www codes04 org Codes 05 1 place du Champsaur Les lavandes 05000 GAP T l 04 92 53 58 72 Fax 04 92
26. des organismes de la Mutualit Sociale Agricole de la r gion PACA AROMSA PACA et le Groupement r gio nal de sant publique PACA Lieu LEGTA Agricampus Amphith tre 32 chemin St Lazare 83400 Hy res Renseignements Laurent Legroux T l 04 91 29 69 06 GRSP PACA sante gouv fr WWW grsp paca sante fr 25 et 26 f vrier 2010 Marseille 5 colloque annuel du Canc rop le PACA La premi re Journ e est consacr e au can c rop le PACA la deuxi me a pour th me Facteurs de risque environnementaux et cancer de l pid miologie la biologie Lieu H tel de R gion place Jules Guesde Marseille Inscription www atoutcom com Mars 2010 Sophia Antipolis AGENDA s e 9 mars 2009 Montr al Qu bec Journ es annuelles de sant publique Des r seaux et des gens Grand rendez vous annuel de formation continue de la sant publique qu b coise les journ es regroupent plus de 250 conf ren ciers et attirent annuellement quelque 2 000 participants Renseignements mgagnon aspq org www inspq qc ca 17 mars 2010 Marseille Colloque sur les risques psychosociaux au palais des congr s organis par la DIRECCTE PACA la CRAM SE et ACT M DITERRAN E Renseignements 04 91 15 12 93 e 10 et 11 juin 2010 Paris Journ es internationales des professionnels de l enfance Ces journ es auront pour th me L enfant de 0 3 ans je sens donc je suis Renseignements ht
27. e fr quence respiratoire de 12 cycles par minutes la ventilation pulmonaire est de 6l d air entrant dans les poumons ou en sortant chaque minute L air que l on respire dehors et celui des endroits clos diff rent comme suit Diazote Dioxyg ne Dioxyde de Carbone environnant 79 21 0 03 espace clos 79 6 5 45 Ainsi Pair comme nombre d l ments sur terre se r duit peu des tats mais consiste en dynamiques d nergies d o la vigilance accrue qui s impose tous et la circonspec tion de plus en plus grande l gard des cha nes de causalit s qui peuvent se mettre en uvre Si Pon se r f re au calendrier des pollens des Alpes Maritimes par exemple on constate que de janvier septembre des influences polliniques vont se manifester D o un air en quelque sorte alourdi et diff remment actif La multiplication des allergies peut r sulter de la sant fragile chez certains mais aussi dans le milieu naturel on peut enqu ter sur les effets du d ficit en insectes butineurs et moissonneurs de tous types Qui d saturent Pair de pollens en les traitant Il y a dix mille ans vivaient environ 6 7 millions d tres humains contre 6 7 milliards aujourd hui soit mille fois plus cette poque recul e les hommes taient chasseurs cueilleurs et leur action se situait au niveau de la feuille tout au plus de l arbre l heure actuelle les humains d frichent environ 300 Km de
28. es substances dans l air ambiant un tiquetage obligatoire partir du ler janvier 2012 notamment sur leurs missions et contenus en polluants volatils et d interdire dans ces produits les substances class es canc rog nes mutag nes ou toxiques pour la reproduction de cat gories 1 et 2 CMR 1 et CMR 2 au sens de la r glementation europ enne Dans un d lai d un an compter de la publication de la pr sente loi l Etat publiera une tude sur la n cessit d tendre ces mesures d autres cat gories de produits de grande consommation susceptibles de polluer l air int rieur dans les domiciles ou les lieux publics clos tels que les produits d entretien ou ayant pour fonction d mettre des substances volatiles dans l air ambiant Des syst mes de mesure et d information sur la qualit de l air int rieur seront mis en place dans les tablissements recevant des populations vuln rables ou du public Enfin la pr sence simultan e de polluants et d al lerg nes pouvant induire des effets synergiques la cr ation dans chaque d partement de postes de conseillers en environnement int rieur charg s d identifier les diverses sources d allerg nes et de polluants au domicile de personnes affect es sera mise l tude o E PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 16 25 f vrier 2010 Hy res Colloque Agriculture et sant publique Ce colloque est propos par l association r gionale
29. fiques et pid miologiques sur les cancers et les d pistages il est propos en deux versions complet ou all g adaptable au profil de l animateur la dur e ou au contenu de l intervention gt Les r ponses aux 50 questions les plus fr quemment pos es sur le cancer et les d pistages gt Le mode d emploi de deux techniques d animation particuli rement adapt es pour faciliter l expression d un groupe et faire merger repr sentations et connaissances des participants le focus groupe et le photoexpression gt Des planches anatomiques coupe d un sein d un intestin du col de l ut rus gt Des questionnaires d valuation pour les intervenants gt Des ressources documentaires gt Et un livret de l utilisateur mode d em ploi de l outil R alis e par le CRES l ensemble des structures de gestion de la r gion Apremas ADOC 05 Arcades ISIS 83 ADCA 84 et PURCAM la bo te outils a t financ e par l Assurance Maladie Elle est disponible aupr s des structures de gestion des CoDES de la r gion et du CRES Des ateliers de formation son utilisation sont propos s tout au long de l ann e 2010 par les CoDES le 4 mars Gap T l CODES 05 04 92 53 58 72 le 17 juin Marseille T l CoDES 13 04 96 11 16 63 le 25 mai Toulon T l CoDES 83 04 94 89 47 98 le 30 septembre Digne les Bains T l CoDES 04 04 92 32 61 69 le 16 d cembre Avignon
30. g e depuis la rentr e 2009 Effectivement nous avons rendu visite avec Michel Vauzelle aux IFSI de la r gion Les tudiants et les quipes rencontr s ont t ravis d avoir des interlocuteurs proximit La r forme des IFSI a de bons c t s la formation des infirmiers a d sormais une dimension universitaire avec reconnaissance Bac 3 des infirmiers dipl m s d tat ce que la R gion soutient depuis 10 ans Mais elle comporte aussi des interrogations et il existe des limites qu en tant que financeur nous ne franchirons pas Aujourd hui la r gion dispose d un r seau de 23 IFSI correspondant un maillage territorial de qualit Il est important de trouver des instituts de formation aussi bien dans les grandes villes qu en milieu rural c est d terminant pour le fonctionnement des h pitaux locaux pour l conomie des bassins de vie ou encore pour l acc s ce type d tudes Nous resterons tr s vigilants quant la pr servation de ce maillage territorial Par ailleurs le fait que la formation soit dispens e par des professionnels de sant nous para t primordial L Universit doit cr er les conditions pour que l enseignement ne devienne pas seulement la transmission d un savoir th orique mais qu il conserve la transmission d un savoir faire que seul les professionnels de sant sont en mesure de proposer Enfin la force des tudes d infirmiers c est l alternance Les t
31. is l id e les tente de d velopper un atelier sp cifiquement pour les mineurs L objectif tait de leur montrer qu on peut canaliser son nergie et son impulsivit autrement Le groupe permet en outre des interactions la fois entre eux et avec l adulte r f rent qui peuvent s av rer extr mement int ressantes au niveau du respect et de la confiance que lon peut avoir dans lautre L association des deux sp cialit s ouvre en effet des perspectives d analyse pour ces jeunes en recherche de rep res et de distanciation par rapport la violence Nous avions aussi comme but de tenter de faire voluer ces mineurs incarc r s dans leur rapport leur corps par la m diation de la sophrologie leur permettre de pr ciser leurs limites corporelles par la d couverte de leurs perceptions propres d activer leur capacit de concentration et leur faire prendre conscience de leurs capacit s de rel chement Il est tr s important de les encourager une prise de distance une analyse de soi et sur soi afin de mettre en place un autre mode de r solution des conflits que le passage lacte L atelier proprement dit se d roule sur 4 demi journ es en stage intensif deux ou trois fois dans l ann e pour des groupes de 5 ou 6 jeunes sur la base du volontariat Parmi les motivations qui les conduisent int grer l atelier les participants expriment le besoin et le plaisir de se retrouver et d changer en g
32. is sur la restauration scolaire r visant les avis ant rieurs du CNA BELLOT Claude LAGRANGE Louis MONTICELLI Christine R f rence CNA 2004 05 26 29 p Afin d valuer la restauration scolaire sous l angle de pr occupations de qualit nutrition nelle six points ont t abord s am lioration de la qualit nutritionnelle des repas am lioration de l environnement des repas r le ducatif de la restauration scolaire diff rents types et condi tions d approvisionnement information fournie aux convives Contacts Ces ouvrages et articles sont disponibles aupr s des documentalistes du CRES PACA Nathalie Cornec Ga lle Lhours St phanie Marchais T l 04 91 36 56 95 mail cres paca cres paca org Accueil du public du lundi au vendredi de 13h00 17h00 PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 i _W LES CRITS m La qualit de l air int rieur n cessit enjeux b n fices pour tous l tat du discours Un article de Sylvia Cornet auteur scientifique cr ateur de projets d conomie cr ative et environnementaux Artiste conceptuelle Les d placements et brassages de populations vari es dans des sites collectifs posent le probl me de la respi ration humaine en ces lieux Comme par ailleurs les alertes climatologiques signalent d autres probl mes li s aussi Pair et l atmosph re Rappel anatomique Pour un volume courant moyen de 500 ml et un
33. it un air pur une biodiversit riche un climat soutenable des ressources nerg tiques Les progr s par la veille et la surveillance Sur le plan concret retra ons rebours l historique de l AFSSET L Agence Fran aise de S curit Sanitaire de l Environnement et du Travail a lanc du 25 ao t au 18 septembre 2009 un appel candidatures d experts scientifiques pour le renouvellement du groupe de travail Valeurs Guides de qualit d Air Int rieur Il soit VGAI II L AFSSET a propos une m thode d laboration de VGAI fond e sur des crit res sanitaires ainsi que des VGAI pour un certain nombre de polluants pr ala blement s lectionn s formald hyde monoxyde de carbone benz ne naphtal ne t trachloro thyl ne trichlor thyl ne et particules Les VGAI telles que propos es par l Agence visent garantir l absence d effet pour la population g n rale incluant des popu lations vuln rables comme les enfants Cette expertise collective a t instruite par un groupe de travail pendant la p riode 2005 2009 Le nouveau groupe de travail VGAI I poursuivra l expertise initi e Les travaux de 2006 ont abouti la mise en place d un tiquetage des produits jug prioritaire par le Plan National Sant Environnement PNSE qui envisage l horizon 2010 un taux de 50 de produits mis sur le march tiquet s et devrait permettre aux utilisa teurs ma tre d ouvrage ma tre d uvre architecte
34. jeunesse famille conomie gt Travailler au plus pr s de la population partir davantage de ses besoins et de ses attentes consacrer en particulier du temps et des moyens des phases de diagnostic local et participatif gt Concevoir des approches de sant plus globales qui ne se focalisent pas seulement sur la sant mais aussi sur les d terminants revenus habitat ducation gt Ne pas inscrire les actions de pr vention uniquement dans des registres de modifi cation des comportements mais plut t de renforcement des capacit s des personnes La rencontre r gionale organis e en d cembre dernier Marseille a quant elle permis de restituer toute une s rie de pr conisations issues de s minaires r gionaux qui ont r uni au CRES pilotes des programmes du PRSP et membres du GRSP de juillet octobre 2009 Le groupe s tait notamment pench sur ar chitecture du futur sch ma r gional de pr ven tion pr vu par PARS et sa place dans le projet r gional de sant La premi re recommandation pr conise que les trois futurs sch mas pr vention soin et m dico social fonctionnent dans la coh rence et la compl mentarit Pour assurer l articulation entre les trois sch mas il serait int ressant de disposer de r f rents et d animateurs territoriaux ayant les trois comp tences et partageant une culture commune transversale Il conviendrait gale ment d assurer au niveau de PARS des fo
35. marche d conomies d chelles L am nagement du territoire se fait avec du service public un h pital une cole d infirmiers une Poste et de la d pense publique CO ATELIER SANT VILLE E ALPES DE HAUTE PROVENCE Manosque la MJC invite les jeunes l heure du Au d part il y a des dizaines de jeunes issus des centres de formation de Manosque qui squattent les bancs publics l heure du d jeuner ce que les commer ants et habitants ne voient pas toujours d un tr s bon il Il y a la MJC qui peine attirer ce public et ne demande qu les accueillir Il y a aussi le point information jeunesse aupr s de qui les jeunes de la ligue de l enseignement font une demande de local pour le repas du midi Et le CoDES qui anime des ateliers alimentation aupr s de ces Jeunes sans pouvoir mettre en pratique Et puis il y a l atelier sant ville qui au vu de tous ces constats va r unir les protagonistes et susciter la cr ation d un lieu d di Paccueil des jeunes dans les locaux de la MJC le temps de la pause d jeuner Sans oublier la forte implication de la Politique de la ville et du service jeunesse de la mairie de Manosque Ouvert de 11h30 13h30 le lundi mardi jeudi et vendredi cet office baptis Kass Krout Libre le 11 janvier dernier met la disposition des adolescents des tables des chaises un micro ondes une cafeti re un point d eau Deux personnes ont t recru
36. me partenariat en m riterait autant Zeina Mansour Directrice du CRES PACA La R gion S VILLE D El R l E d Azur MARSEILLE PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 NO L V NEMENT Sch ma r gional de pr vention les pr conisations des acteurs de la r gion Retour sur 8 mois de rencontres territoriales organis es en r gion par les comit s d ducation pour la sant et le GRSP afin de produire des recommandations pour la future Agence r gionale de sant En d cembre dernier s est tenue Marseille une journ e intitul e Du Plan r gional de sant publique au Sch ma r gional de pr vention quelles pr conisations des acteurs de la r gion PACA Cette rencontre organis e conjointement par le CRES et le GRSP a cl tur une s rie de s minaires territoriaux qui ont eu lieu courant 2009 dans chacun des d partements de la r gion et qui ont r uni les acteurs de terrain autour d changes de pratiques et d laboration de recommandations pour la future Agence r gionale de sant ARS Voici ci dessous pr sent es de fa on synth tique les pr conisations qui ont merg de chacun de ces forums d partementaux gt Dans les Alpes de Haute Provence c est le th me Actions de sant publique partenariat et place des collectivit s territoriales qui a t retenu ou comment optimiser le partenariat et la place des collectivit
37. mercure trichloro thyl ne perturbateurs endocri niens perchloro thyl ne b Des mesures destin es am liorer l anticipation des risques li s aux substances les plus pr occupantes c Un plan de r duction des particules dans l air d Des mesures relatives l am lioration de la qualit de l air int rieur e Des mesures concernant les relations entre la sant et les transports f Un programme de biosurveillance permettant de mettre en relation la sant de la population et l tat de son environnement g Des mesures destin es renforcer l quit face aux impacts sanitaires des atteintes l environnement et portant notamment sur des consultations en sant environnementale h La cr ation de p les de recherche pluridisciplinaires en sant environnementale Conform ment la r glementation communautaire la pr servation de l environnement et de la sant impose titre pr ventif de restreindre ou d encadrer strictement l emploi des substances class es comme extr mement pr occupantes pour la sant notam ment dans les lieux publics L interdiction de l utilisation des produits phytophar maceutiques et biocides contenant de telles substances est pr vue pour les usages non professionnels ainsi que dans les lieux publics sauf d rogation excep tionnelle Cette interdiction sera effective dans les six mois suivant la publication de la pr sente loi pour les produits phytosanitaires L t
38. n au tabac sans se voir marginalis s Les jeunes coll giens posent aussi beaucoup de questions sur l alcool Il n est plus rare de voir des jeunes s alcooliser entre midi et deux en attendant le repas ou de voir un jeune faire un coma thylique apr s un week end tr s arros Apr s le d bat l animation s organise autour du jeu de la ligne avec un choix concret r aliser en tant d accord ou pas avec telle ou telle affirmation Cela permet de faire le point sur ses connaissances poursuit Ingrid Accardo Un questionnaire a ensuite permis d tablir autour de 1082 t moignages recueillis essentiellement des 10 15 ans un bilan de cette action Dans le profil qui se d gage de ce questionnaire 82 des jeunes n avaient jamais fum 16 ont d j essay ou fument r guli rement L animation a t globalement bien accueillie par les l ves cela correspond aux pr occupations de leur ge alors qu au lyc e on est d j pass d autres drogues plus dures si pr occupation il y a Beaucoup de questions concernent les effets des produits les cons quences ou le tabagisme passif Paramour reconduit l action cette ann e Tout en continuant ses animations sp ciales sur le Sida aupr s des tudiants la facult de Toulon ou sur les plages du Var tout l t sans oublier des forums tout au long de l ann e avec des d bats sur la sexualit Contact Association Paramour Le Pelican
39. n et un cuisi nier form s la di t tique et qui travaillent aussi avec le CODES du d partement Sur la base du volontariat les personnes peuvent y es 3 L J i 1 iF g ie apprendre cuisiner et respecter certaines r gles l mentaires d quilibre alimentaire Cet atelier permet aussi de lutter contre les conduites additives l alcool tant absent de toutes les pr parations culinaires Un quart des r sidents du centre participe aux ateliers et retrouve le go t le plaisir de manger mais aussi la convivialit et l envie de partager et de cuisiner pour les autres Cette initiative fait partie dun accompagnement global pour un retour vers lautonomie et une r insertion r ussie Un ducateur sportif a mis en place en parall le une activit randonn e et course pied pour compl ter le travail men sur le physique et la r appropriation de son corps Bernard Flefterakis insiste sur l importance de la prise en charge du psychisme et du physique C est indispensable de travailler sur les deux registres psychisme et physique en m me temps Ces personnes ont besoin de red couvrir l enveloppe qui les constitue pour r apprendre le go t ressentir des motions et prendre conscience de leur personne dans son entier B n ficiant de financement p renne las sociation r ussit maintenir cette activit et d velopper encore son action dans le domaine de la sant Quatre places en Lit
40. nces 16 sur 32 seulement disposent de locaux sp cifiques bien identifi s de d velopper et de structurer leurs partenariats que ce soit dans le cadre d un r seau local sant et pr carit ou pas et de les doter d une quipe pluridisciplinaire avec un temps de m decin significatif Il est galement pr conis d harmoniser les crit res d inclusion des patients S inspirant de l exp rience de la r gion Picardie les crit res suivants sont propos s Est b n ficiaire des PASS toute personne pr sentant un probl me de sant d finition OMS et au minimum un des probl mes suivants rupture de lien social absence de logement stable probl me de couverture sociale difficult d acc s aux soins Sans oublier harmo nisation du recueil des donn es la fois pour pouvoir rendre compte de l activit des PASS et am liorer le suivi des patients Le rapport recommande enfin la sensibili sation formation des personnels hospitaliers l accueil et la prise en charge des publics pr caires et de ses sp cificit s Chaque tablissement concern de la r gion a ainsi t invit par l ARH PACA red finir pour fin 2009 le projet de sa PASS Des r unions r gionales des PASS devraient donc se tenir r guli rement afin de d finir des outils un suivi annuel et un processus d valuation Par ailleurs la journ e a permis de pr ciser les perspectives offertes par l appel projet 2010 de la DHOS
41. ntre d h bergement pour hommes en errance essentiellement un magasin et un chantier de r insertion autour de la r novation et du recyclage d objets de r cup ration L association fonctionne aujourd hui en accueillant plus de 100 personnes en difficult s C est une quipe toujours plus nombreuse de 13 salari s qui g re le centre d h bergement avec pour seul but la r in sertion des personnes accueillies Plusieurs actions sont men es dans cette optique Une des derni res initiatives mises en place dans ce centre concerne l hygi ne de vie et la nutrition Nous recevons des hommes seuls qui ont connu l errance la marginalisation et de grandes difficult s explique Bernard Elefterakis directeur du centre Fragilis es ces personnes ne pren nent plus soin d elles et surtout de leur tat physique Nous avons donc d cid de proposer une action d hygi ne compl te d s leur arriv e avec la distribution d un kit sant hygi ne un petit sac dos qu ils conser vent avec le n cessaire toilette des serviettes des pr servatifs tout ce qui rel ve du besoin l mentaire Il s agit d une premi re tape dans la prise de conscience de son corps que les ducateurs jugent imp rative Quand ils se sentent un peu mieux nous leur proposons aussi de participer des ateliers de nutrition ajoute Bernard Elefterakis Nous avons la chance de faire notre cuisine nous m mes avec une ma tresse de maiso
42. on Cette journ e de rencontre et d changes de pratiques a galement permis de d couvrir les exp riences int ressantes des PASS des centres hospitaliers de Gap d Antibes ou de Toulon de mieux comprendre le travail effectu sur le terrain par les assistant e s sociales infirmi r e s et m decins mais aussi d voquer les difficult s rencontr es l heure de la cr ation des agences r gionales de sant ARS leur r le est r affirm Mais leur mod le d organisation doit tre red fini en fonction d une part des recommandations nationales dit es par la DHOS et d autre part en fonction de celles formul es l issue de l enqu te r gionale notamment en terme d organisation Les conclusions de l valuation ont en effet r v l quelques points pr occupants leur fonc tionnement n est pas optimal elles souffrent d un probl me de visibilit la composition des quipes est variable nombre de m decins et surtout faute d indicateurs et d outils il est impossible de rendre compte de leur activit et de les comparer entre elles En outre malgr l important travail r alis par le personnel des PASS et leur exp rience sp cifique de l accueil et de l coute des publics pr caires la file active des personnes re ues appara t propor tionnellement assez faible compar e au taux de pr carit enregistr en PACA Les r sultats de l enqu te montrent la n cessit de rendre visibles les permane
43. on Roi Baudoin 2008 06 58 p Ce guide synth tise la d marche mise en uvre par la Fondation Roi Baudoin dans les neuf exp riences men es dans les coles afin d am liorer l offre alimentaire Apr s avoir expos le fonctionnement et l organisation de l offre alimentaire rappel les objectifs d une alimen tation saine et dress un tat des lieux dans les coles le guide aborde les diff rents param tres qui apparaissent comme des points cl s le go t le co t le personnel la logistique l environ nement du repas etc Il est compos des fiches projets qui pr sentent les points forts et les points faibles accompagn s de trucs et astuces Allergies alimentaires et restauration scolaire Guide pour l accueil en restauration collective des enfants porteurs d allergies ou d intol rances alimentaires ZALAY Zoltan BOLOH Yanne MORICE Caroline R f rence Association fran aise pour la pr vention des allergies 2007 01 16 p Ce guide fournit des informations valid es par le Conseil national de l alimentation CNA et l Agence fran aise de s curit sanitaire des aliments AFSSA pour organiser l accueil en toute s curit des enfants ayant des allergies ou des intol rances alimentaires Il propose un tableau de lignes directrices pour l accueil Cantines scolaires enqu te aupr s des l ves R f rence Consommation logement et cadre de vie CLCV Minist re de l alimentation de l agriculture e
44. p tences de la R gion Provence Alpes C te d Azur en mati re de formations du sanitaire et du social La loi de d centralisation du 13 ao t 2004 a confi aux R gions une responsabilit majeure en termes de structuration de programmation et de financement de ces formations Au del de la gestion classique du fonction nement de ces formations la R gion est d sormais tenue d avoir une vision prospec tive de l volution des besoins de sant de la population On sait justement que dans 5 ans 50 des infirmi res du public seront la retraite Or l outil de formation actuel ne permettra pas d assurer leur renouvellement et donc le bon fonctionnement du service public On touche l l am nagement du territoire Nous avons obtenu avec difficult cette ann e du Minist re de la sant 115 places suppl mentaires d infirmiers faisant passer le quota de 2000 2115 Mais ce sont 750 tudiants suppl mentaires qu il faudrait former chaque ann e pour tenir compte non seulement des d parts en retraite pr visibles mais du manque de personnel chronique des h pitaux de l augmentation de la population de la r gion et de son vieillissement PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 Question n 2 Vous venez de terminer avec Michel Vauzelle la visite des Instituts de Formations en Soins Infirmiers IFSI de la r gion Comment se d roule la r forme de la formation des infirmiers enga
45. rma tions communes et d cloisonn es de pr voir une programmation glissante pour un dialogue permanent entre la strat gie r gionale et les remont es locales de promouvoir et soutenir les r seaux et la d marche communautaire ou encore d assurer la formation continue des acteurs Une s rie de recommandations a par ailleurs merg sur les niveaux de territoire et les sp ci ficit s de la transparence une d marche fond e sur les changes des quipes pluridisci plinaires une animation territoriale transver sale des formations crois es La proposition du groupe serait d aller vers un sch ma r gional de pr vention dont les portes d entr e seraient populationnelles enfants adolescents jeunes personnes g es pr caires et ou vuln rables grands pr caires malades chroniques professionnels risque population g n rale Avec chaque fois la prise en compte de publics prioritaires ou particuli rement risques L valuation de tous les aspects de cette organi sation est pr vue et la r duction des in galit s de sant constituant bien le fil conducteur de ce dispositif Pour en savoir plus une synth se des recomman dations est en ligne sur le site internet du CRES www cres paca org PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 dm 8 QUESTIONS Jo l CANAPA Vice pr sident de la R gion Provence Alpes C te d Azur Question n 1 Quelles sont les nouvelles com
46. rogramme d ducation nutritionnelle en coles maternelles DURAND Pascaline RIMBERT Dominique THIBERT DAGUET Armelle R f rence CoDES des Alpes Maritimes URCAM Provence Alpes C te d Azur 2006 35 p Pr sentation des projets d ducation nutrition nelle r alis s pendant 5 ans dans les coles maternelles de la ZEP de Vallauris dans le cadre du Programme r gional sant des enfants et des jeunes PRS Jeunes et qui a obtenu le logo du PNNS Illustr par les dessins des enfants concern s le document est diffus aupr s des professionnels du secteur sanitaire et social et des d cideurs des collectivit s locales d sireux de d velopper ce type de programme Changer le restaurant de l cole pourquoi et comment Guide des familles pour une restauration scolaire de qualit R f rence UNAE 63 p Ce guide sur la restauration scolaire des enfants de 3 8 ans propose une information sur le fonctionnement des cantines scolaires et sur la qualit des aliments servis Il propose des pistes d action et de r flexion pour am liorer la qualit des repas servis et faire de ce temps un moment privil gi d ducation au go t l qui libre alimentaire la convivialit Pour cela de nombreux outils sont cit s en r f rences Am liorer l offre en mati re d alimentation saine dans les coles et les collectivit s exp riences et pistes pour relever le d fi GUGGENBUHL Nicolas R f rence Fondati
47. roupe Ils d couvrent en outre au fil de l atelier un r el int r t pour la sophrologie l issue de ces s ances les jeunes mineurs sont invit s exprimer leur ressenti sur le plan corporel bien s r mais pas seulement Ils sont d j surpris de voir qu il peut se passer des trucs au sein de leur corps Ils sont aussi souvent tonn s de voir qu ils peuvent se d tendre et ressentir un bien tre li cette d tente On sent une volution en fin d atelier assez perceptible dans la plupart des cas Cet change permet de d couvrir plusieurs qu on peut vacuer les tensions de mani re non violente Ces jeunes sont pass s la verbalisation sans trop de retenue Et ont montr qu ils pouvaient atteindre des niveaux de ressenti de plus en plus fins En plus d une r elle sensibilit leur corps ajoute Sandra Rougier dans son bilan nous avons pu constater une facilit au niveau de la mise en mots Les mineurs n ont eu besoin que de peu de stimulations pour parvenir exprimer le constat de ressentis corporels positifs et valoriser leurs propres capacit s De nombreux ressentis douloureux ont t exprim s et ont t mis en lien avec la lev e des tensions Surpris de d couvrir des ressources des manifestations corporelles jamais soup onn es jusqu alors les mineurs ont tr s vite saisi que l atelier leur offrait un lieu d changes de libert d expression de recentrage sur eu
48. s crits p 5 p 6 p 6 7 p 7 p 8 p 8 9 p 9 p 10 p 11 p 12 p 13 p 14 15 La qualit de lair int rieur n cessit enjeux b n fices pour tous l tat du discours Agenda et Chiffres Rep res p 16 PROVENCE ALPES C TE D AZUR Septembre Octobre Novembre D cembre 2009 ditorial Le partenariat ans le cadre du programme europ en ALCOTRA la r gion Pi mont Italie a labor le projet O P S A Observatoire transalpin pour la Promotion de la SAnt le CRES PACA en est partenaire aux c t s de PORS du GRSP du Conseil r gional de notre r gion mais galement de PERSP Rh ne Alpes de la r gion Ligurie et de la Conf d ration italienne pour la promotion de la sant et de l ducation sanitaire Pi mont CIPES ASL 1 Imperia Au del du projet lui m me qui r v le chaque jour sa pertinence et son int r t c est surtout le partenariat que je souhaiterais ici souligner Souvent galvaud ce terme trouve ici tout son sens l engagement dans le partage d un projet Voici un bel exemple de partenariat r el o confront un enjeu commun chaque membre est contraint de r interroger ses acquis de prendre du recul de confronter ses pratiques et d aller vers des consensus Le partenariat est d autant plus consolid que ses membres sont diff rents structurellement et g ographiquement Un effort a t fait pour d finir le terme r seau le ter
49. s halte soins sant LHSS viennent d tre cr es au centre Contact Porte Accueil T l 04 92 87 27 85 PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 i E R GION NUTRITION quilibre nutritionnel les progr s de l aide alimentaire Pour am liorer l quilibre nutritionnel de l aide alimentaire dont b n ficient les plus pr caires le CRES et les CoDES de la r gion m nent depuis plusieurs ann es un programme de formation des personnels en charge de la distribution Plus de 2 millions de personnes b n ficient aujourd hui de l aide alimentaire en France L enqu te ABENA a r v l il y a quelques ann es que la situation nutritionnelle des personnes recourant l aide alimentaire tait d t rior e associant des apports alimentaires insuffisants des carences multiples et des taux lev s de pathologies telles que l hypertension ou l ob sit Sans oublier que cette aide est souvent pour les b n ficiaires leur source unique d approvisionnement En 2003 pour am liorer l quilibre alimentaire des personnes en situation de pr carit le Programme alimentation insertion a t mis en place par le secr tariat d tat la lutte contre l exclusion en coh rence avec le Plan national nutrition sant PNNS C est dans ce cadre que le CRES et les CoDES de la r gion ont propos pour la premi re fois de former les personnels des structures d aide alimen
50. s mesures qui furent effectu es y compris sur le biosys t me plante et microbes associ s dans les racines ont t favorables et ont permis de confirmer l apport b n fique indubitable des plantes Au Japon dans les h pitaux on rel ve aussi l utilisation des plantes pour leurs propri t s d assainissement de Pair ambiant ainsi que de r duction du taux de microbes pr sents dans l air ambiant On y voque aussi les bienfaits psychologiques de la proximit des plantes sur les humains la suite du d sastre du 11 septembre 2011 le Dr Wolverton d clare encore que les industries du b timent doivent prendre la mesure des risques de bio terrorisme par infectation biologique ou chimique des airs dans les PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 ventilations et l urgence de produire un air int rieur purifi revitalis et recycl Plus r cemment les professeurs Jennifer S doxey et Tina Marie WALICZER Dept Agriculture de l Univer sit du TEXAS ont publi dans HortScience in Science Daily du 6 septembre 2009 les r sultats d une tude d impact de l insertion de plantes vertes dans les classes universitaires On constate que les plantes au del de leur valeur esth tique en int rieur promeuvent un climat positif et agr able aupr s des tudiants dont aussi la disposition apprendre l enthousiasme et l organisation g n rale Syst mes d ionisation de Pair Une tude men e en Isra l
51. s d clairages et ou d ionisation de l air int rieur Leurs tudes d montrent l am lioration de ces dispositifs Ce qui les rend pr conisables aux citadins sans probl mes respiratoires particuliers type asthme et allergies On peut donc s interroger sur la mise en place selon les lieux et les cas de dispositifs naturels base de combinaisons de plantes d vorant la pollution poussi res tabacs microbes voire pollu tions lectroniques ambiantes par machines qui ionisent l air le purifient et le rendent de nouveau actif Lattitude mentale de pr caution et de respect typique de certains scientifiques est confirm e par le sondage Ipsos 2009 qui place en premi re place des tenants du d veloppement durable la NASA le CNRS le CNES Afin de clore cet humble tat du discours regardons ce qu en disent les textes des l gislateurs afin d an ticiper sur ce qui sera possible et n cessaire dans les meilleurs d lais LES EXTRAITS DE TEXTE DE LOI Un deuxi me plan national sant environnement a t labor de mani re concert e en 2009 Il porte sur la connaissance l anticipation la pr vention et la r duction des risques sanitaires li s l environnement Pour la p riode 2009 2012 il comportera notamment ainsi que d taill dans les articles 22 et 38 42 de la pr sente loi a Un plan destin r duire les rejets des substances les plus pr occupantes dans l environnement benz ne
52. s diagnos tics et l organisation de la politique de sant par territoire gt Dans les Bouches du Rh ne le forum tait intitul Emergence d une dynamique locale liens entre les plans locaux et le programme r gional de sant Au travers d exemples de r seaux mis en place comme les r seaux p rinatalit de Salon et d Aix en Provence l acc s aux soins des plus d munis Salon le r seau sant pr carit de La Ciotat du quartier Kallist Marseille la journ e a permis d illustrer la richesse et la diversit des dynamiques partenariales locales Une pr conisation a notamment merg les contrats locaux de sant peuvent repr senter l articulation entre les niveaux local et r gional venir gt Dans les Alpes Maritimes le forum a t d di la place de la formation dans les actions d ducation et de promotion de la sant Il a permis une prise de conscience du manque de formation au sein de certaines structures a incit la r flexion sur l am lioration des actions par la formation qui est apparue comme une n cessit un outil au service du projet gt Dans le Vaucluse la rencontre territoriale a invit ses participants r fl chir sur la pr vention et les in galit s sociales de sant Les recommandations ont converg autour de 4 priorit s gt Inscrire la sant comme une pr occupa tion transversale des politiques publiques habitat sport ducation
53. sibiliser davantage et mieux Contact Centre social et culturel Croix des oiseaux place Tambour d Arcole 84000 Avignon T l 04 90 13 41 41 Fax 04 90 87 33 79 PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 1 8 CANCER E E R GION Parution d une boite outils sur les d pistages des cancers Une bo te outils sur les d pistages des cancers du sein du c lon et du col de l ut rus vient d tre r alis e dans notre r gion Elle propose tous les professionnels susceptibles d intervenir sur ces th matiques des supports cl s en main diaporama de formation photoexpression jeu de cartes de questions r ponses planches anatomiques etc Cette bo te outils a pour objectif prin cipal de fournir aux professionnels des outils d intervention cl s en main pour faciliter l information et l ducation des populations cibl es par les d pistages des cancers du sein colorectal et du col de l ut rus Elle est n e d un besoin ressenti par les structures de gestion des d pistages de la r gion de disposer d un outil d intervention adapt la diversit des publics qu elles touchent Plus largement elle s adresse tous les professionnels du sanitaire ou du social m dicaux param dicaux b n voles associatifs d sireux d intervenir sur ces th matiques Elle comprend gt Un diaporama de formation qui permet de mettre jour ses connais sances m dicales scienti
54. solutions sont plus pr caires Les r fu gi s trouvent des emplois de travailleurs saisonniers dans l h tellerie restauration les sports d hiver le b timent ou le ramas sage des pommes Pour ceux qui sont d bout s de ce droit l association tente de les r gulariser comme des trangers classiques Elle accueille galement les trangers du d partement en particulier pour tout ce qui concerne le regroupe ment familial le retour volontaire les titres de s jour L quipe de France terre d asile propose galement un accompagnement vers l acc s aux droits et aux soins ouverture des droits la CMU PAME orientation et suivi de pathologies lourdes Nombre d entre eux souffrent de probl mes pulmonaires Financ es dans le cadre du PRAPS Pas sociation d veloppe des actions compl mentaires depuis plusieurs ann es des ateliers mis en place pour r pondre aux besoins de r sidents Outre l am lioration de l acc s aux droits et aux soins qui se traduit galement par de l accom pagnement physique en consul tation m dicale ou des aides au transport 68 b n ficiaires cette ann e un atelier concerne la restauration de l estime de soi Il comprend des abonnements un club de fitness et de musculation ainsi que des ateliers cr atifs et d expression artistique ou encore un volet bien tre avec hammam et soins du corps Enfin des actions de promotion et d ducation la sant
55. t l Universit catholique de Louvain en Belgique Co t 450 C est la troisi me session que propose le CRES cette ann e les deux premi res coanim es par le CRES Languedoc Roussillon ayant affich complet Rappelons que le comit a galement organis ces derniers mois la demande de l ARH 9 modules de formation inter hospitali res pour les personnels d une quarantaine d tablissements hospitaliers publics et priv s de la r gion Le Centre de r ducation fonctionnelle Paul C zanne Mimet a galement sollicit le CRES pour sensibiliser son personnel l ETP Deux modules de 3 jours sont en cours de r alisation Contact CRES PACA T l 04 91 36 56 95 www cres paca org gt rubrique Programmes de sant gt rubrique ducation APCE du patient CO titre individuel Organisme Adresse O p BULLETIN D ADH SION au CRES PACA C Au titre de votre organisme ACTUALIT S OSCARS de nouvelles fonctionnalit s Une nouvelle version de l outil de suivi cartographique des actions r gionales de sant plus connu sous le nom d OSCARS est d sormais en ligne sur les sites du CRES et du GRSP PACA Elle propose essentiellement trois nouveaut s La premi re est la possibilit d une recherche multicrit res plus fine dans la base des actions 2700 r pertori es ce jour gr ce de nouveaux crit res comme le territoire de lac tion le financeur le nom du
56. t de la p che 2009 12 03 11 p Cette synth se pr sente les r sultats d une enqu te men e aupr s de 1400 l ves et de 255 parents afin de cerner leurs avis et leurs attentes La qualit gustative le bruit dans le restaurant scolaire et le temps consacr aux repas sont quelques uns des principaux aspects am liorer Nutrition l cole Alimentation et activit physique Dossier national d information destination des quipes ducatives R f rence Minist re de l ducation nationale et de la recherche 2009 02 37 p Ce dossier a pour objectif d informer et de sensibiliser les enseignants des tablissements scolaires aux enjeux ducatifs et sanitaires de l ducation nutritionnelle de l alimentation et de l activit physique Il propose 7 fiches th matiques destin es les aider d velopper des projets ducatifs en lien avec les enseigne ments Ces fiches abordent successivement la politique nutritionnelle en France la politique nutritionnelle l cole la nutrition dans les programmes d enseignement l offre alimentaire en milieu scolaire l du cation nutritionnelle au go t et la consommation la pratique de l activit physique et le d pistage des probl mes de surpoids d ob sit d anorexie de troubles du comportement alimentaire Les acteurs institutionnels associatifs et professionnels qui peuvent participer aux actions et projets sont galement mentionn s Av
57. t sa libert le demandeur d asile a t contraint de quitter son pays Le statut de r fugi lui offre une protection internationale parti culi re qui s est concr tis e en France par une l gislation sp cifique Dans les Hautes Alpes ils sont en ce moment 91 originaires de Tch tch nie Arm nie Sri Lanka ou Afrique L antenne de Gap de l association France terre d asile les prend en charge dans son Centre d accueil de demandeurs d asile CADA de 50 place ou dans le cadre de l h bergement d urgence Comme l explique Alain Deliot respon sable de la structure il s agit d une popu lation sp cifique dont l tat de sant est affect par de multiples facteurs de vuln rabilit et des difficult s d acc s aux soins Ily a la barri re de la langue la m con naissance du syst me de soins et des d marches ainsi que les traumatismes subis dans le pays d origine le stress et la d tresse psychologique Les deman deurs d asile ont tous un parcours difficile Certains arrivent en familles d autres sont isol s Les six salari s de France terre d accueil g rent les dossiers de demandes d asile La proc dure pour obtenir le statut de r fugi dure de 6 mois plusieurs ann es Si lasile est accord nous poursuivons l aide l insertion par un soutien au logement et l emploi Nous parvenons g n ralement r gler le probl me du loge ment mais en ce qui concerne l emploi les
58. taire afin de renforcer leurs connaissances sur le th me de l alimentation et de la pr carit d am liorer la composition des colis alimentaires remis aux b n ficiaires mais aussi d aider au d veloppement de projets d actions d ducation nutritionnelle Cette initiative a pris de l ampleur depuis 2007 gr ce aux financements du GRSP et de l INPES qui ont permis de r pondre la demande Elle est devenue un programme r gional d clin dans les six d partements de PACA par le r seau des comit s d ducation pour la sant en partenariat avec l unit INSERM de recherche en nutrition humaine de la Timone Pour Zeina Mansour directrice du CRES PACA qui a coordonn le programme et en a fait l valuation L objectif g n ral consiste faire en sorte que les populations les plus d favoris es puissent acc der aux messages de pr vention sur l alimentation et l activit physique favorables la sant 58 structures de tous les d partements de la r gion se sont ainsi port es volontaires pour suivre ces deux derni res ann es une formation de trois jours Soit 74 personnes professionnels et b n voles de structures comme les Restos du c ur la Croix rouge le Secours catholique le Secours populaire qui ont pu am liorer leurs connaissances des r gles de l quilibre alimentaire travailler sur leurs repr sentations de la pr carit ou encore tre form s la m thodologie de projet
59. taires sur la composition optimale des colis Reconduit cette ann e le programme pourrait bient t b n ficier du label PNNS qui garantit quun projet r pond aux objectifs du Plan national nutrition sant Contacts CRES et CoDES de la r gion PACA 1 tude Abena 2004 2005 Rapport de l tude pid miologique InVS 2007 11 103 p 2 5 r gions ont t financ es par l INPES dans ce cadre PACA Poitou Charente Aquitaine Rh ne Alpes Haute Normandie PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 SOUFFRANCE PSYCHIQUE ALPES MARITIMES Maison d arr t de Grasse un atelier de sophrologie pour mineurs incarc r s Propos depuis 6 ans cet atelier th rapeutique apporte de nombreux b n fices aux jeunes participants Il les aide notamment par la concentration acc der la maitrise de soi dans le cadre de la resolution des conflits Sandra Rougier est psychologue temps plein la maison d arr t de Grasse qui accueille des adultes essentiellement mais aussi un quartier mineurs Outre des entretiens individuels cette psychologue propose des ateliers au contenu divers et vari pour essayer de faire avancer diff remment ces personnes en difficult C est ainsi quil y a 6 ans elle d marre avec une sophrologue Muriel Van Campenhoudt une co th rapie en atelier sp cifique de sophrologie Cette sophrologue travaillait d j sur une animation de groupe pour adultes Ma
60. tion dont le bilan devra tre fait avant le ler janvier 2012 a pour objet de permettre l Etat et aux partenaires sociaux de d finir des moda lit s de g n ralisation d un dispositif confidentiel de tra abilit des expositions professionnelles Ce dispo sitif devra tre g n ralis avant le ler janvier 2013 La lutte contre la pollution de l air int rieur et ext rieur sera renforc e sur la base des polluants vis s par l Organisation mondiale de la sant En ce qui concerne l air ext rieur le plan de r duction des particules appliquera la directive 2008 50 CE du Parlement europ en et du Conseil du 21 mai 2008 concernant la qualit de l air ambiant et un air pur pour l Europe et visera si possible un objectif de 10 microgrammes par m tre cube de particules fines inf rieures 2 5 microm tres Il pourrait retenir 15 microgrammes par m tre cube comme valeur cible en 2010 et comme valeur limite partir de 2015 Dans les zones urbaines et dans certains sites en dehors de celles ci o ces seuils ne sont pas atteignables ces ch ances une d rogation pourrait permettre d appliquer les seuils respec tivement de 20 et 25 microgrammes par m tre cube En ce qui concerne l air int rieur il est pr vu de soumettre les produits de construction et d ameublement ainsi que les rev tements muraux et de sol les peintures et vernis et l ensemble des produits ayant pour objet ou pour effet d mettre d
61. tp www jdpe fr evenement html 2 dition du salon professionnel du d veloppement durable et de l innovation dans la sant Enjeux et volutions actuels des m tiers de la sant et de la gestion des b timents hos pitaliers Sont propos s des conf rences des ateliers concrets des animations La Ligue contre le cancer des Alpes Maritimes est le parrain d honneur de ce salon Inscription www sante agora com Chiffres CERTES 226 C est le nombre d acteurs de l ducation th rapeutique du patient recens s en r gion PACA en tablissements hospitaliers structures ambulatoires ou r seaux de sant Leurs coordonn es figurent dans un r pertoire disponible sur le site internet du CRES PACA www cres paca ors rubrique ducation th rapeutique du patient 100 C est le nombre de d c s qui chaque ann e en France sont caus s par les intoxications au monoxyde de carbone lesquelles entrament galement 1000 hospitalisations Quelques mesures simples mettre en uvre permettent pourtant de pr venir ces drames 55 253 Cest le nombre de mammographies qui ont t r alis es l an dernier dans les Bouches du Rh ne par l association Arcades Le taux de cancers d pist s est de 4 5 pour mille Parmi les cancers d pist s 12 8 ont t d cel s par la deuxi me lecture Le taux de participation annuel a t de 41 contre 52 5 en France 467 000 Cest le nombre
62. u projet par PIGAS devrait se d rouler de d cembre 2009 f vrier 2010 en vue de la mod lisation sur le territoire national La d mocratie sanitaire s est exerc e au travers du pilotage conjoint du projet avec l lue la sant de la Ville de Marseille Le Conseil G n ral a particip galement aux travaux D autre part les diagnostics partir desquels a t d fini le plan d actions ont associ en amont du projet professionnels sanitaires et sociaux et habitants dans le cadre des Plans locaux en sant publique PLSP du PRSP plan r gional en sant publique du Conseil d orientation en sant mentale de la Ville de Marseille etc Le projet ayant vocation s inscrire dans le temps le COPIL a demand aux groupes de travail d indiquer les modalit s d une inscription progressive et dans la dur e de la d mocratie sanitaire En termes d am liorations attendues l chelle du territoire citons le d veloppement du travail en r seau par les acteurs de terrain et une meilleure articulation entre les priorit s r gionales et territo riales PRIORIT S SANT n 26 Sept Oct Nov D c 2009 E HAUTES ALPES France terre d asile solidaire des r fugi s L association France terre d asile agit depuis pres de 40 ans pour le respect du droit d asile Gap 91 demandeurs d asile b n ficient actuellement de son soutien tranger la recherche d une protection craignant pour sa vie e
63. udiants passent autant de temps en cours qu en stages ce qui en fait des professionnels employables quasi imm diatement et cela nous ne voulons pas le perdre Une r forme nest pas toujours synonyme de modernit parfois l existant fonctionne tr s bien Nous avons aussi pr sent les aides r gionales pour am liorer les conditions de vie des tudiants La R gion verse chaque ann e plus de 12 millions d euros d aides aux l ves et tudiants inscrits dans une formation sanitaire et sociale Et elle pr conise la gratuite totale des formations d infirmiers certains instituts priv s tant payants Par ailleurs ces d placements dans les IFSI ont t l occasion de nous rendre compte de l tat de d labrement de certains tablissements Le fonctionnement des organismes est d sormais d centralis mais pas les investissements qui restent du ressort de l tat e Question n 3 Quels sont les grands axes du sch ma r gional des formations sanitaires et sociales qu a vot la R gion l an dernier Le sch ma met l accent sur la n cessaire volution du dispositif structuration de l offre de formation am lioration des conditions de vie des jeunes gouvernance r gionale Il pr voit le d veloppement de m tiers en lien avec lhospitalisation afin de faire face aux d parts la retrait massifs de conserver le maillage territorial sur toute la r gion Nous napprouverons jamais une d
64. x et de mise distance de lunivers carc ral comme une pause dans leur parcours de d tention Du coup cette activit soutenue la fois par le GRSP et l administration p nitentiaire doit se poursuivre dans les prochains mois Contact UCSA Sandra Rougier Association APSUG maison d arr t de Grasse T l 04 93 40 36 92 SANT SCOLAIRE VAR Paramour parle tabac et L association toulonnaise m ne un mation de produits psychoactifs en la tendance d un usage de plus en plus La vocation premi re de las sociation Paramour cible plus pr cis ment l infor mation et la sensibilisation des jeunes sur les modes de contamination du VIH des h patites et autres maladies sexuellement transmissibles l utilisation des outils de pr vention et limportance du d pistage Elle propose aussi dans un cadre plus large le d veloppement des actions de pr vention et de promotion de la sant De fait la demande a pris une autre tournure ces derni res ann es au fil des interventions men es dans les coll ges et lyc es du d partement du Var sur la sexualit C est ainsi que Paramour a t sollicit e par les infirmi res scolaires et les professeurs sur des probl matiques tabac cannabis et toxicomanies Les enseignants constatent r guli rement que la consommation de tabac malgr les nouvelles lois reste importante et que celle du cannabis est en augmentation chaque ann e ces constats se

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