Spécialité Administrative
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1. SOA 5 2 sed N 9 SOUOZ AL 9 snoa 6 1 sag 90504 9 07 aabuojd 24229 200 FUN ALAN ANN NAN LNO SIMAN 534 02 21 2117225 210 51510 SoN 2 Sl 52005 5405 awn Jnod 2002 np 52 Swop 5 9 12 52140 527 500 22 24210 abod ans 25 00 27 zno 05 4 50 21725 apno 19 4 21 Jnog N 050 05 sasab suog 52 puauddy NAS hl 1 2 50 095034 149 05 91 JOAVHO TAJLSININ AIDANT LA ATV ANG LNANHddO THAT 49010941 5 580 LA TAALSININ VAN V1 4 0 1 TALSININ HAINE ASIV NVAA 2111084 22. uos SIIS ne9 g 5 1 Sep 1 416 19 allez 1 82 12 SUHOU 2 19 39 spiesseiq 294 4 15500 101 5010 2 5 n s un 2 9 2 uos 5 006 0 u nof 5 puenb son 5 01 7 159 2 yuvib 221523 as SON 2214 5 4 so suep 4 5504 2 1911dS81 zonnod soje 1005 5 S IOA SOA Jes0d81 6 sop 116 7 5919 SNOA IS JesInde sed eu nod 581 19 14 9 sed N 9 29 502 VI LNYANAd LNVIIOIA 231534 Soy19ede9 son sed N
3. 19121 non 20 ue nb f snijd 169 00 snon z u nnos 19 onbisAud sed 5 5 2 el sed 2 N 9 SIN09 ne sed zuon eu Sa 2 55 50186 snid 59 5 13 JUOS 65606 s 11918911 8 xneodelp se 5 Sa Sinofno z o ds y 5 2 52 205 SNON 29W JON RE AA TEST LNYAY ANNE sed eu 51 soonoq xneejeq 5 s p s p 2 5 29 5
4. 1106 snoA zainsse uloj ne sabeu ped 6 25 10 p euoz 2 s pe se 2910 1009 E 169 enbsio 2 9 xnesde1p sel 19 s p se 2 2 59102 SO 5 7 9059 snoa SOA 2 4 sed zeuBieq eu enbisAud UOSSIJ 294095591 SNOA IS ZWYW SNON 2004 l 6 6109 19 591590 4 1 S ANS 6 29 5 519 6 2 IN99S s p 5 Se 29109 598 S8 INS 29 101
5. du haut d une digue surplombant une rivi re La responsabilit de la commune tait recherch e pour n avoir pas signal les risques encourus en cas de plongeon depuis cette digue qui sans avoir t am nag e cet effet faisait n anmoins l objet d une fr quentation saisonni re importante Pour carter la responsabilit de la commune le juge constate que outre le fait que la digue ne soit pas sp cialement pr vue pour la pratique du plongeon la p riode de l ann e o est survenu l accident la pr sence de rochers son pied tait visible malgr l importance des remous qui s y forment Cette situation comportait donc pour les baigneurs des dangers manifestes dont l existence devait les inciter la plus grande prudence En outre au moins un des deux accompagnateurs pr sents lors du drame connaissait les lieux et ne pouvait ainsi ignorer les risques auxquels se trouvaient expos s les 7 adolescents plac s sous sa responsabilit dont la victime en plongeant de cet ouvrage 115 ont particuli rement manqu de vigilance pour avoir laiss cette derni re sans surveillance alors que au moment de l accident ils taient en train de regagner la rive avec le reste du groupe Enfin alors que le groupe tait en train de quitter les lieux la victime sans y tre autoris e a plong depuis l ouvrage un endroit dont elle ne pouvait m conna tre la dangerosit pour y avoir pass l apr s midi Le man
6. pas avant de plonger que la profondeur de l eau permettait de le faire sans danger Responsabilit de la commune limit e la moiti des cons quences dommageables Nantes 25 f vrier 2009 commune de l Ile Tudy n 08 00234 Document 4 Site du Minist re la sant et des sports Direction des sports 13 ao t 2009 Les zones de baignades interdites du Conseil d Etat du 19 1980 Commune de Ladignac le Long pr cise commis une faute dans l exercice de ses pouvoirs de nature engager la responsabilit de la commune le maire qui a simplement laiss en place aux abords d un plan d eau am nag des panneaux portant l indication baignade surveill e sans interdire la baignade ni avertir les usagers des dangers que repr sentait le plan d eau Le maire a donc la responsabilit d interdire par arr t municipal les lieux de baignades jug s dangereux Le maire devra ainsi signaler par des affichages tr s visibles les lieux o la baignade est dangereuse et en pr ciser explicitement les raisons Arr ts CE du 26 02 69 arr t Veuve Gravier CE du 05 03 71 arr t Le Fichant CE du 19 05 80 arr t Commune de Ladignac le Long Les zones de baignade non am nag es interdites et non surveill es Toute personne qui se baigne mer dans les cours d eau et autres plans d eau dont l acc s est libre et qui ne fait l objet d aucune organisat
7. L installation d une aire de pique nique sur la berge ou d une promenade ne para t pas suffisante pour qualifier la baignade d am nag e Mais il reste de la comp tence locale d appr cier ces crit res Cons quences La jurisprudence consid re qu il incombe aux communes qui ont am nag sur leur territoire des plans d eau destin s la baignade et aux sports nautiques de prendre les mesures appropri es en vue d assurer la s curit des usagers et plus particuli rement des baigneurs CE 14 octobre 1977 commune de Catus Cette surveillance doit tre assur e par des personnels titulaires d un dipl me Un arr t d limitant les zones et les p riodes de surveillance de la baignade est galement un l ment de s curit juridique pour le maire et la commune Il est en outre un l ment d information et de garantie pour les usagers On ne saurait trop recommander aux maires des communes non littorales pour l ensemble des baignades am nag es d appliquer les dispositions de l article L 2213 23 du CGCT obligatoires pour les communes littorales qui pr cisent que l arr t r glementant les activit s de baignade doit tre accompagn des mesures de publicit appropri es sur les lieux pour garantir la bonne information du public Document 6 Application du droit de baignade dans l espace article du 16 juillet 2013 extrait la revue Nageur sauveteur CLASSEMENT DES BAIGNADES Les lieux de
8. sur la plage Faut il encore qu il soit d tenteur du BNSSA Les volontaires devront habiter Mahina faut respecter des d lais d acheminement donc la priorit sera faite ceux qui sont proximit du centre de secours mais on pourra largir la zone de recrutement Document 12 Baignade les Fran ais favorables la verbalisation POLICE Photo ci dessus Des sauveteurs sur la plage de Carnon PATRICK VALASSERIS source AFP Archives Soixante douze pour cent des Fran ais seraient favorables une verbalisation des baigneurs imprudents selon un sondage Ifop para tre dans Sud Ouest Dimanche en lien avec le r cent d bat survenu apr s une s rie de noyades intervenues hors zone surveill e ou apr s un non respect de l interdiction de baignade Interrog s sur l hypoth se d une verbalisation et d une amende pour les personnes qui se baignent en dehors des zones surveill es ou alors que le drapeau rouge est lev 72 des sond s se disent plut t favorables cette mesure car les comportements de ces vacanciers mettent potentiellement en danger la vie des sauveteurs A l inverse 28 se disent plut t oppos s cette mesure car les policiers auront concr tement beaucoup de difficult s verbaliser ces baigneurs et car les plages doivent rester un espace de libert Le large soutien une verbalisation des baigneurs imprudents se retrouve dans toutes les cat gories de la population sans cl
9. JLM Le maire d limite une ou zones a Les titulaires du BNSSA peuvent retirer un dossier La D p che Mercredi 29 janvier 2014 la caserne de Mahina Que dit la loi article L2213 23 mair exerc sla dei et d activit s nautiques pratiqu es partir du rivage engins de plage et 465 engins tric l s polices exerce en mer jusqu une 1 limite fi ix e 509 m tres compter de la limite 2 gt des eaux maire r glemiente l utilisation des am nage ments r alis s pour la pratique de ces activit s IE pourvoit d urg nce toutes les mesures d as 50 Sistance et de secours 22 garantie tp pour la s curit T baignades et des activit s mentionn es ci dessus Il d termine _des p riodes de surveillance Hors des 201165 et des p riodes ainsi d finies les baignades et ctiVit s nautiques sont pratiqu es aux risques et des int ress s L m ire est tenu infor le public par une publicit appropri e en mairie et sur les lieux o ell s se pratiquent des conditions dans lesquelles ba ignad s et les activit s nautiques sc sont t r gle 7 ment es veill es dans les parties c littoral pr sentant u une Richard Haupuni Nous cherchon
10. niable progression des enjeux de s curit publique compte tenu d une d linquance croissante sur les plages Et c est l que le b t blesse Tr s appr ci s des maires pour leur double comp tence au titre de sauveteurs et d agents de s curit publique les ma tres nageurs sauveteurs CRS ont une activit de s curit publique qui prend parfois le pas sur la fonction de sauveteur Pourtant aucun texte ne pr voit que leurs missions puissent s tendre la pr vention de la d linquance En effet selon la circulaire du 19 juin 1986 du ministre de l Int rieur les CRS ne sont pas la disposition des maires pour renforcer les effectifs locaux de police ou de gendarmerie afin de maintenir l ordre public pendant la p riode d t Autre dysfonctionnement point par la Cour l in gale affectation de CRS sauveteurs selon les communes L affectation hors littoral de six CRS pour surveiller un plan d eau dans la commune de Meaux ainsi qu une piscine dans celle de Courneuve para t exemplaire de ces dysfonctionnements souligne rue Cambon Inversement l Ile de R ou en Corse du Sud des zones enti res du littoral ne sont pas surveill es magr les demandes insistantes du pr fet Dans son ensemble le dispositif de surveillance des plages est jug irr gulier et in quitable par la Cour qui pr conise la suppression de la mise disposition de sur les plages Dans un contexte de r duction globale d effectifs
11. presqu le de Tahiti Ce jour l la victime g e de 30 ans nageait dans le lagon avec un groupe d amis Ces derniers ont finalement d cid de rentrer et ont regagn 1 rive laissant l homme seul Celui ci a alors d cid de nager afin de se rapprocher de son domicile Quelques minutes apr s deux femmes qui se trouvaient sur la plage l ont d couvert sans vie dans le lagon et ont alert les secours Le m decin du SAMU qui est intervenu n a pas mis d obstacle m dico l gal DOCUMENT 2 Extraits des dispositions du code g n ral des collectivit s territoriales applicables aux communes de la Polyn sie leurs groupements et leurs tablissements publics introduites par l ordonnance n 2007 1434 du 5 octobre 2007 publi e au journal officiel de la Polyn sie fran aise n 43 du 25 octobre 2007 et ratifi e par la loi 2009 594 du 27 2009 dite LODEOM Article L2212 1 Le maire est charg sous le contr le administratif du haut commissaire de la R publique en Polyn sie fran aise de la police municipale de la police rurale et de l ex cution des actes de l Etat qui y sont relatifs Article L2212 2 La police municipale a pour objet d assurer le bon ordre la s ret la s curit et la salubrit publique Elle comprend notamment 1 Tout int resse la s ret la commodit du passage dans les rues quais places et voies publiques qui
12. Patrice Jamet sa premi re adjointe et charg e de la s curit Lorna Oputu et le directeur g n ral des services Gilles Lorphelin ont expliqu pourquoi la mairie lan ait un appel candidatures pour recrutement de 20 sapeurs pornpiers volontaires titulaires notamment du BNSSA Car commune a bien l intention de remettre en service un poste de surveillance de baignade pointe V nus C est une comp tence du maire Une obligation que les maires ne peuvent ignorer Le maire exerce la police des baignades et des activit s nautiques pra tiqu es partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatricul s Cette police s exerce mer jusqu une limite fix e 300 m tres comp ter de la limite des eaux Patrice Jamet ne veut pas se cacher derri re un arr t qui laisserait les populations se bai gner leurs risques et p rils Plus d hommes et plus de pr sence Le tavana Jamet dit vouloir assu mer pleinement ses responsa bilit s Mahina avait d j t la premi re commune mettre en place une surveillance des plages apr s avoir sign une convention avec l association CSP 987 entre f vrier 2012 et 2013 Si le bilan de cette ann e de col laboration tait positif au regard Premi re adjointe et charg e de la s curit veut aussi susciter cette prise de conscience collective Le sujet de la surveillance des plages refait s
13. accident comprend des zones dans lesquelles la baignade est autoris e et d autres dans lesquelles elle est interdite La zone de baignade autoris e tait d limit e par des bou es li es entre elles par un filin dont chacune des extr mit s tait ancr e un ponton La victime a plong de l un de ces deux pontons dans une partie du plan d eau interdite la baignade alors que le r glement d utilisation de ce plan d eau pr cisait que les baignades taient interdites en dehors des zones d limit es par des bou es r glement qui tait affich sur deux panneaux situ s toute proximit L interdiction de baignade impliquait n cessairement l interdiction de plonger depuis ce ponton qui ne pouvait tre regard comme un ouvrage sp cialement am nag pour la pratique du plongeon ne saurait donc tre reproch la commune de ne pas avoir port la connaissance de ces m mes usagers la faible profondeur de l eau TA Limoges 17 septembre 2009 Pradat n 0800974 La victime se dans une zone surveill e et non am nag e d un lac La pr sence dans cette zone d un objet tranchant dont la nature exacte n est pas identifi e de mani re certaine constituait certes un danger mais contre lequel par sa prudence elle pouvait se pr munir L accident ne r sulte donc pas d une carence du maire dans l exercice de ses pouvoirs de police TA Nantes 20 ao t 2009 Ledru n 061047 L acc
14. baignades sont class s en trois grandes cat gories Baignade Baignade ses Baignade dangereuse risques et p rils am nag e BAIGNADE BAIGNADE NON BAIGNADE INTERDITE SURVEILL E SURVEILL E Les emplacements dangereux ou il est interdit de se baigner Les maires devront faire signaler par des pancartes tr s visible les lieux ou la baignade est dangereuse en raison de rochers ou de rochers fleurs d eau de courants violents de tourbillons de sables mouvants ou pour tout autre causes 2 Cependant cette signalisation est n cessaire dans la mesure seulement ou ces dangers exc dent ceux contre lesquels les baigneurs doivent personnellement se pr munir SES Pour les communes recevant r guli rement des estivants de A nationalit trang re 1 pourra tre conseill aux Maires de faire porter dans la langue ces ressortissants les inscriptions signalant le danger particulier et l interdiction des e baigner Certains emplacements peuvent pour des raisons s curitaires soit la suite d une pollution accidentelle soit titre pr ventif faire l objet d une interdiction temporaire Les emplacements ou le public se baigne ses risques et p rils Toute personne qui se baigne sur le littoral de la mer en rivi re dans un lac dans un tang au del des 300 m tres et en g n ral dans tout plan d eau ne fait pas l objet d une organisation particuli re de s curit et dont l ac
15. distribution des secours n cessaires les accidents et les fl aux calamiteux ainsi que les pollutions de toute nature tels que les incendies les inondations les ruptures de digues les boulements de terre ou de rochers les avalanches ou autres accidents naturels les maladies pid miques ou contagieuses les pizooties de pourvoir d urgence toutes les mesures d assistance et de secours et s il y a lieu de provoquer l intervention de l administration sup rieure 6 Le soin de prendre provisoirement les mesures n cessaires contre les personnes atteintes de troubles mentaux dont l tat pourrait compromettre la morale publique la s curit des personnes ou la conservation des propri t s 7 Le soin d obvier ou de rem dier aux v nements f cheux qui pourraient tre occasionn s par la divagation des animaux malfaisants ou f roces Article L2213 23 Le maire exerce la police des baignades et des activit s nautiques pratiqu es partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatricul s Cette police s exerce en mer jusqu une limite fix e 300 m tres compter de limite des eaux Le maire r glemente l utilisation des am nagements r alis s pour la pratique de ces activit s Il pourvoit d urgence toutes les mesures d assistance et de secours Le maire d limite une ou plusieurs zones surveill es dans les parties du littoral pr sentant une garantie suffisante pour la s curit des b
16. du 15 avril 1991 la surveillance des baignades ouvertes gratuitement au public am nag es et r glementairement autoris es doit tre assur e par des personnes titulaires de dipl mes Ainsi tout am nagement physique r alis sur un site de baignade publique constitue ce qu il est convenu d appeler une incitation la baignade Cette qualification d aire de baignade am nag e d clenche une s rie de mesures de s curit par le responsable des lieux en l occurrence le maire extr mement contraignantes 11 doit d une part s assurer de la mise oeuvre de tous les moyens li s cette s curit surveillance par une personne qualifi e d limitation des lieux mise en place d un poste de s curit et d autre part prendre un arr t municipal suffisamment explicite pr cisant en particulier les dates et horaires d ouverture de la baignade surveill e d faut la responsabilit du maire peut tre engag e en cas d accident Rappelons que les textes applicables en mati re de surveillance des lieux de baignade d acc s non payant identifient 3 types de baignade les emplacements dangereux o 1l est interdit de se baigner cat gorie 1 les emplacements o le public peut se baigner ses risques et p rils cat gorie 2 les emplacements am nag s usage de baignade font l objet de dispositions particuli res destin es assurer la s curit des baigneurs cat gorie 3 La qualification de baignades am nag
17. et de moyens les renforts saisonniers de CRS pr lev s chaque t sur les compagnies de CRS cr ent une tension pour le bon accomplissement de 1 mission premi re du corps qui est le maintien et le r tablissement de l ordre public Enfin la Cour recommande de contribuer l effort de formation des sauveteurs civils et de mettre en place une proc dure transparente et objective de s lection des communes littorales qui b n ficient de renforts durant l t Afin der remettre en service un poste de surveillance de la plage de la pointe V nus la mairie recrute une vingtaine de nageurs sauveteurs Les recrues seront int gr es comme sapeurs pompiers volontaires au centre de secours de Mahina 15 seront r mun r s et recevront des formations professionnelles La surveillance des plages est de la responsa bilit des maires Patrice Jamet veut assumer sa charge en renfor ant les effectifs des sapeurs pompiers volontaires de la commune ous tes titulaire du Bre W vet national de s curit y et de sauvetage aqua tique BNSSA vous voulez donner de votre temps comme sapeur pompier volontaire r mun r et b n ficier des for mations d quipier et de nageur sauveteur aquatique Sav le centre de secours de Mahina vous attend Hier matin lors d une conf rence de presse organis e chez les gt Interviews Lorna Oputu pompiers de la commune le maire
18. la police elle aurait fait une crise d pilepsie La DEPECHE Un gar on de 15 ans est mort d une noyade Publi le jeudi 16 mai 2013 17H36 Ce jeudi 16 mai un peu avant 13 heures un adolescent qui se baignait au 10 300 Orohiti sur la commune de a t victime d une noyade L adolescent de 15 ans effectuait des apn es pendant que ses copains plongeaient depuis l un des trois pontons Les enfants jouaient sur le ponton central Les quatre plongeurs apr s tre remont s sur le ponton n ont pas revus leur copain Ils l ont d couvert flottant au bord du ponton Deux gar ons ont plong pour r cup rer la malheureuse victime tandis que deux autres sont rest s sur le ponton pour aider le remonter Ils ont alert les secours Un touriste am ricain qui assistait la sc ne a prodigu les premiers gestes de secours a c d sa place aux professionnels Les pompiers et le SMUR sont rest s sur place pendant plus d une heure et sont parvenus r animer le gar on tr s difficilement mais n ont pas pu le stabiliser Au cours de son transport sur le CHPF du Taaone le jeune homme est d c d dans l ambulance 14h15 Une autopsie a t sollicit e par le Procureur de la R publique L enqu te est diligent e par la Brigade de Punaauia TAHITI News jeudi 22 ao t 2013 vers midi un homme a t victime d un malaise alors qu il nageait dans le lagon Vairao
19. maire souhaite alors que notamment des mesures pr ventives d informations et aussi de r glementation soient prises pour viter qu un tel accident se reproduise que sa responsabilit ne puisse tre mise en cause La DGS demande que vous engagiez sur cette question une r flexion transversale avec les services de la commune les partenaires locaux et toutes personnes que vous jugerez utiles d associer en tenant compte de la nature des baignades Dans ce cadre elle vous demande de r diger son attention une note sur la r glementation applicable en Polyn sie fran aise en mati re de baignades et d activit s nautiques baignade interdite baignade non am nag e et baignade am nag e et en d gageant galement des solutions op rationnelles appropri es r pondant aux objectifs indiqu s ci dessus Vous r digerez cette note l aide des l ments du dossier et en mobilisant aussi vos connaissances Document 1 Document 2 Document 3 Document 4 Document 5 Document 6 Document 7 Document 8 Document 9 Document 10 Document 11 Document 12 Document 13 SOMMAIRE DU DOSSIER Dossier de 27 pages Noyades en Polyn sie Fait divers sources la D p che Polyn sie 1 Tahiti News 2 pages Pouvoir de police g n rale et de police sp ciale en mer du maire 2 pages Code g n ral des collectivit s territoriales applicables aux communes de Polyn si
20. sur les lieux o elles se pratiquent des conditions dans lesquelles les baignades et les activit s nautiques sont r glement es et peuvent tre pratiqu es Une jurisprudence toujours abondante intervient en ce domaine rappelant chaque fois que si les estivants ont leur charge les risques auxquels ils s exposent en se baignant les jours o la mer est mauvaise dans les endroits particuli rement dangereux le maire doit signaler les dangers anormaux exc dant ceux que le public peut normalement s attendre rencontrer Noyade d un enfant survenue dans un plan d eau artificiel dont la profondeur est constante La zone de baignade surveill e est d limit e par des balises et pr sente une d clivit progressive pour atteindre une profondeur maximale de 2 m tres environ 60 m tres du bord de l tang L accroissement progressif m me rapide la profondeur du plan d eau pas les dangers auxquels un baigneur doit s attendre et par suite ne n cessitait pas la mise en place d une signalisation particuli re de plus la zone de baignade tait surveill e par un ma tre nageur La commune n a commis aucune faute et l accident est imputable au seul fait que la jeune victime est partie se baigner sans savoir nager d pourvue de flotteurs et a avanc dans l eau accompagn e de sa seule jeune parente Bordeaux 26 juin 2008 Salem n 06BX01705 Le plan d eau o s est produit l
21. 42411 18 J AUIVLINVS 41113A 10111581 NOILYIVN SIXA109 9 20h zeneu yed ug 3NOSIY 3511 3 3 4104
22. 9 Il Faute de la victime exon rant enti rement la responsabilit de la commune Le effectuait un plongeon depuis une digue install e sur une promenade un endroit am nag pour la baignade des handicap s supposer m me que la signalisation ait t insuffisante la victime d sormais t trapl gique utilisait un quipement non pr vu cet effet et aurait d s assurer de la profondeur de l eau l endroit o elle plongeait elle est seule responsable de l accident CE 26 f vrier 2010 Konstantinow n 306031 L accident est survenu un qui s est gri vement bless en plongeant d une plate forme flottante install e sur la plage alors que les horaires des mar es taient affich s Si l utilisation de cette installation ne pr sentait aucun risque mar e haute elle devenait dangereuse mar e basse ce qui imposait une signalisation particuli re Mais la victime qui venait r guli rement sur les lieux apr s avoir plong deux reprises alors que la mar e tait montante a effectu un troisi me saut sans se prot ger avec les bras en cherchant plonger le plus profond ment possible Elle ainsi fait preuve d une grave imprudence de nature exon rer totalement la commune de sa responsabilit Nantes 2 octobre 2008 Le Ray n 07 1219 L accident tait survenu un adolescent faisant partie d un groupe alors
23. Centre de Gestion et de Formation de Polyn sie fran aise Jeudi 20 f vrier 2014 CONCOURS EXTERNE DE CONSEILLERS cat gorie A Sp cialit Administrative SESSION 2013 NOTE ADMISTRATIVE partir d un dossier portant sur la sp cialit administrative faisant appel l esprit d analyse et de synth se du candidat son aptitude situer le sujet trait dans son contexte g n ral et ses capacit s r dactionnelles afin de d gager des solutions op rationnelles appropri es elle galement pour objet de v rifier les capacit s du candidat piloter des projets portant sur la sp cialit choisie Dur e 4h00 Coefficient 3 SUJET Vous tes conseiller re communal charg e des affaires juridiques aupr s de Directrice g n rale des services DGS de la commune de X situ e en Polyn sie fran aise La commune compte plusieurs plages sur son territoire d o une fr quentation importante de baigneurs et d activit s nautiques notamment le week end et durant les p riodes de vacances scolaires Certaines zones de plages de baignades ont t am nag es et d autres ne sont pas am nag es R cemment un accident est intervenu un touriste a t emport par un rouleau sur une plage dont la fr quentation est r guli re et importante La victime f t gravement bless e L affaire est port e devant le tribunal l encontre de commune pour une mise en cause de sa responsabilit Le
24. aignades et des activit s mentionn es ci dessus IT d termine des p riodes de surveillance Hors des zones et des p riodes ainsi d finies les baignades et activit s nautiques sont pratiqu es aux risques et p rils des int ress s Le maire est tenu d informer le public par une publicit appropri e en mairie et sur les lieux o elles se pratiquent des conditions dans lesquelles les baignades et les activit s nautiques sont r glement es Toutefois le haut commissaire peut par un arr t motiv sur demande du maire dispenser celui ci de tout ou partie des obligations de r glementation de d limitation et d information mises sa charge par les dispositions du pr sent article lorsque la situation g ographique de la commune ou les circonstances rendent le respect de ces obligations impossible ou inutile Article L2216 2 Sans pr judice des dispositions de l article L 2216 1 les communes sont civilement responsables des dommages r sultent de l exercice des attributions de police municipale quel que soit le statut des agents y concourent Toutefois au cas o le dommage r sulte en tout ou partie de la faute d un agent ou du mauvais fonctionnement d un service ne relevant pas de la commune la responsabilit de 1 est att nu e due concurrence La responsabilit de la personne morale autre que la commune dont rel ve l agent ou le service concern ne peut tre engag e que 81 cette personne m
25. amment par l installation proximit de ce type de baignade d un moyen d alerter un centre de secours du 13 05 83 Veuve Lefebvre et CE du 10 mai 1989 Rince DOCUMENT 5 Source la vie communale et d partementale mise jour le 16 avril 2013 La s curit des baignades am nag es Quand une baignade est qualifi e d am nag e le doit prendre toutes les mesures vue d assurer la s curit des usagers parmi lesquelles une surveillance par des personnels qualifi s La notion d am nagement d une baignade D finition Une baignade am nag e comprend d une part une ou plusieurs zones d eau douce ou d eau de mer dans lesquelles les activit s de bain ou de natation sont express ment autoris es d autre part une portion de terrain contigu cette zone sur laquelle des travaux ont t r alis s afin de d velopper ces activit s La caract risation d une baignade am nag e se fait l aide d un faisceau d indices Seuls les l ments d am nagement de la zone donnant imm diatement acc s au bain couramment appel e plage sont pris en compte Un lieu est donc consid r comme am nag lorsque des travaux ont t r alis s Ces travaux doivent avoir pour but de d velopper de faciliter d encourager l acc s au bain et aux activit s de natation La mise en place d une plage de sable de douches ou plongeoirs par exemple est caract ristique d une baignade am nag e
26. aram tres affluence existence ou non d quipements particuliers CAA de Nancy 16 novembre 1995 poux Broggia c commune d Oselle Responsabilit s Le maire peut engager la responsabilit administrative de la commune art L 2216 2 du CGCT mais il peut galement engager sa responsabilit p nale en cas de comportement fautif dans l exercice de son pouvoir de police Le maire pourrait ventuellement engager sa responsabilit p nale si la violation d un texte sur la sant et la s curit des baigneurs devait entra ner des atteintes involontaires leur int grit corporelle art 221 6 222 19 et 222 20 du code p nal ou leur mise en danger d lib r e art 223 1 du code p nal Article L 2213 23 Modifi par Loi n 2006 1772 du 30 d cembre 2006 art 42 JORF 31 d cembre 2006 Le maire exerce la police des baignades et des activit s nautiques pratiqu es partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatricul s Cette police s exerce en mer jusqu une limite fix e 300 m tres compter de la limite des eaux Le maire r glemente l utilisation des am nagements r alis s pour la pratique de ces activit s II pourvoit d urgence toutes les mesures d assistance et de secours Le maire d limite une ou plusieurs zones surveill es dans les parties du littoral pr sentant une garantie suffisante pour la s curit des baignades et des activit s mentionn es ci dessus Il d termine des p riodes d
27. c s est libre le fait ses risques et p rils Une baignade libre mais fr quent e r guli rement doit faire l objet d une signalisation municipale indiquant qu elle n est pas surveill e et donner les limites ventuelles de son utilisation Ces baignades peuvent tre s curis es par l installation de bornes d appels ou de cabines t l phoniques Les emplacements am nag s l usage de baignade Toute baignade en eau courante ou dormante accessible au public peut tre install e 81 son emplacement est autoris par arr t municipal pr cisant l organisation de la s curit et son fonctionnement Cet emplacement fait l objet de dispositions particuli res En outre l installation des baignades sur les rivi res domaniales doit faire l objet des autorisations pr vues par le code du domaine public fluvial Tout am nagement sp cial constitue une incitation la baignade imposant par voie de cons quence la collectivit locale comp tente de mettre en uvre les moyens de surveillance n cessaire la s curit du public Une baignade une fois class e dans cette troisi me cat gorie ne peut tre d class e sans un motif grave qu il appartient au Commissaire de la R publique de contr ler Ce dernier devra ventuellement se substituer l autorit municipale pour faire rouvrir une baignade ind ment interdite LE DOMAINE PUBLIC MARITIME Les baignades s exercent sur le domaine publ
28. comprend le nettoiement l clairage l enl vement des encombrements la d molition ou la r paration des difices mena ant ruine l interdiction de ne rien exposer aux fen tres ou autres parties des difices puisse nuire par sa chute ou celle de ne rien Jeter puisse endommager les passants ou causer des exhalaisons nuisibles ainsi que le soin de r primer les d p ts d versements d jections projections de toute mati re ou objet de nature nuire en quelque mani re que ce soit la s ret ou la commodit du passage ou la propret des voies susmentionn es 2 Le soin de r primer les atteintes la tranquillit publique telles que les rixes et disputes accompagn es d ameutement dans les rues le tumulte excit dans les lieux d assembl e publique les attroupements les bruits les troubles de voisinage les rassemblements nocturnes troublent le repos des habitants et tous actes de nature compromettre la tranquillit publique 3 Le maintien du bon ordre dans les endroits o 1l se fait de grands rassemblements d hommes tels que les foires march s r jouissances et c r monies publiques spectacles jeux caf s glises et autres lieux publics 4 L inspection sur la fid lit du d bit des denr es se vendent au poids ou la mesure et sur la salubrit des comestibles expos s en vue vente 5 Le soin de pr venir par des pr cautions convenables et de faire cesser par la
29. e initiales ou paraphe 5 Aucune r f rence nom de collectivit nom de personne autre que celle figurant le cas ch ant sur le sujet ou dans le dossier ne doit appara tre dans votre copie Seul l usage d un stylo noir ou bleu est autoris bille plume ou feutre L utilisation d une autre couleur pour crire ou souligner sera consid r e comme un signe distinctif de m me que l utilisation d un surligneur L preuve a une dur e limit e La gestion du temps fait partie int grante de l preuve Le non respect des r gles ci dessus peut entra ner l annulation de la copie par le jury Les feuilles de brouillon ne seront en aucun cas prises en compte Document 1 Polyn sie 1 Noyade sur la plage du une quadrag naire d c de Pierre Emmanuel Garot e Publi le 24 08 2013 17 13 mis le 24 08 2013 17 47 Un peu apr s midi une femme d une quarantaine d ann es s est noy e sur la plage du Taaone La mer tait pourtant calme et de nombreux baigneurs pr sents sur ce site pris des familles le week end Ce sont d ailleurs des enfants qui ont donn l alerte en d couvrant le corps inanim D R Photo non contractuelle Des t moins avaient aper u la victime un peu avant en train de pratiquer une s ance d aquagym en solitaire Mais c est un corps flottant que les pompiers ont ramen la berge 15 n ont pu que constater le d c s Selon
30. e fran aise et leurs tablissements publics articles L 2212 1 L 2212 2 L 2213 23 L 2216 2 L 2122 27 11 2122 31 Accidents de baignades et responsabilit s jurisprudences source la vie communale et d partementale mise jour 21 juin 2013 4 pages R sum de jurisprudence sur les zones de baignades interdites et autres baignades site du minist re de la sant et des sports 13 ao t 2009 1 page S curit des baignades am nag es source la vie communale et d partementale mise jour 16 avril 2013 1 page Classement des baignades extrait de la revue nageur et sauveteur du 16 juillet 2013 2 pages Question crite parlementaire n 20412 du 17 11 2005 et r ponses du 15 03 2007 2 pages R ponse parlementaire n 68641 du 08 11 2005 extrait 1 page R ponse parlementaire n 97283 du 31 05 2011 extrait 1 page La Cour des comptes pointent les d faillances de la surveillance des plages l Express du 05 08 2013 1 page Mahina la mairie recrute des nageurs sauveteurs D p che du 29 janvier 2014 1 page Baignade les fran ais favorables verbalisation source AFP 1 page Mode d emploi de la baignade source INPES 8 pages Ce document comprend un sujet de 2 pages et un dossier de 27 pages soit 29 pages Vous ne devez faire appara tre aucun signe distinctif dans votre copie votre nom ou un nom fictif ni pr noms signatur
31. e pour les volontaires Le taux horaire est 800 Fcfp C est une d lib ration de l semaine derni re Mais l attractivit peut tre dans le fait que les sapeurs pompiers volontaires qui seront recrut s par le centre de secours vont b n ficier des formations aujourd hui r serv es aux sapeurs pompiers professionnels WU La mise en place du poste de surveillance pourrait intervenir quand D s que nous aurons les effectifs suffisants pour pouvoir nouveau assurer la surveillance de cette zone Donc tous vos dossiers on vous attend Mahina 115 doivent se pr senter au centre d incendie et de secours de Mahina pour retirer un dossier d enga gement en tant que sapeur pompier volontaire 0 10 5 sont les crit res de recrutement Nous cherchons des titulaires du BNSSA mais bien entendu ils auront des tests physiques comme le test Cooper qui consiste courir une distance minimum en un temps donn et de la natation aussi une visite m dicale sp cifique aux sapeurs pompiers Comment s organise la permanence d un volontaire 2 C est en fonction des disponibilit s des volontaires 115 figurent ensuite sur un planning au mois avec des plages horaires de 12 ou 24 heures On aura un besoin particulier pour la mise en place de la surveillance de plage mais aussi pour les activit s quotidiennes du centre Ceux qui seront disponibles le week end seront mis en priorit
32. e surveillance Hors des zones et des p riodes ainsi d finies les baignades et activit s nautiques sont pratiqu es aux risques et p rils des int ress s Le maire est tenu d informer le public par une publicit appropri e en mairie et sur les lieux o elles se pratiquent des conditions dans lesquelles les baignades et les activit s nautiques sont r glement es Document 9 R ponse parlementaire n 97283 publi es au journal officiel de l Assembl e Nationale du 31 05 2011 p 5778 La responsabilit du maire s agissant de sites naturels ouverts au public sera engag e s il a n glig de prendre une mesure dont l intervention s imposait au regard d un risque dont il ne pouvait ignorer l existence En effet l article L 2123 34 du CGCT dicte que le maire pourrait tre condamn pour des faits non intentionnels assum s dans l exercice de ces comp tences s il est tabli qu il n a pas accompli les diligences normales compte tenu le cas ch ant de la nature de ses missions et de ses moyens d s lors qu il a viol de fa on manifestement d lib r e une obligation particuli re de prudence ou de s curit pr vue par la loi ou le r glement ou commis une faute caract ris e et qui exposait autrui un risque d une particuli re gravit qu il ne pouvait ignorer D une mani re g n rale le maire n est pas tenu de prendre des mesures de surveillance ou d installer un dispositif de signalisation d un lieu situ en dehor
33. es d coulant des am nagements r alis s celle ci d clenche tout un processus de mesures nouvelles n est pas anodin en termes de r percussion sur la gestion locale notamment au niveau des petites communes En effet elle entra ne une charge suppl mentaire pour les collectivit s s av re trop importante pour certaines et d autre part en termes de logistique est difficilement applicable du fait du nombre insuffisant de personnels qualifi s lesquels de surcro t privil gient les sites baln aires C est pourquoi un assouplissement des crit res de qualification des sites de baignade am nag serait souhaitable pour le maintien de fr quentation de certains sites Ainsi doit on consid rer que de simples am nagements tels que des tables de pique nique soient incitatifs l activit de baignade justifiant la requalification du site en baignade am nag e 2 Le lien est 1l aussi vident que pour des plongeoirs ou des lignes d eau r ellement incitatifs Compte tenu de ces contraintes 11 lui demande quelles mesures 1l entend prendre R ponse du Minist re de l int rieur et de l am nagement du territoire Publi e dans le JO S nat du 15 03 2007 page 596 L honorable parlementaire appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l int rieur et l am nagement du territoire sur la r glementation des baignades am nag es et la n cessit de leur surveillance des r percussions sur le budget des c
34. es services de l Etat d importantes in galit s entre les communes et le mauvais usage des deniers publics en la mati re Vigilance in gale de l Etat persistance de zones de baignades non surveill es mauvaise coordination entre pr fectures et mairies vide juridique quant la mise disposition de CRS pour renforcer la surveillance des 8 une enqu te rendue publique en novembre 2012 Cour des Comptes s alarme des dysfonctionnements de 1 surveillance du littoral fran ais m tropolitains et outre mer et ce malgr d importants enjeux de sant publique En effet la simple baignade en mer tue plus que le cyclisme 162 morts en 2009 En saison de juin septembre on enregistre une moyenne de 6 7 noyades accidentelles par jour avec des pics plus 20 par jour Une sur quatre est suivie d un d c s rel ve la Cour en pr ambule Une mortalit accrue par des comportements risques et de nouvelles pratiques sportives des activit s telles que le surf le kite surf et le jet ski provoquent des accidents autrefois inconnus et parfois graves surfeurs bless s par leur planche collisions entre embarcations l g res et baigneurs etc Pr vention de la d linquance ou sauvetage en mer Or les ma tres nageurs sauveteurs des CRS sont de moins moins nombreux sur les plages 115 taient 722 en 2002 pour 99 communes Dix ans plus tard 118 ne sont plus que 471 La Cour note pourtant une ind
35. ic ou priv des collectivit s territoriales sur la propri t priv e des particuliers sur des terrains publics conc d s aux communes ou m me des personnes de droit priv Le domaine public maritime comprend e les rivages de la mer les lais et relais de la mer e les sols et sous sols de la mer territoriale e les autres d pendances La notion de baignade publique La notion de baignade public peut se confondre avec celle du domaine public dont les caract ristiques essentielles sont que son acc s est libre gratuit que normalement il est insaisissable L acc s des pi tons aux plages est libre sauf si des motifs 151166 par des raisons de s curit de d fense nationale ou de protection de l environnement n cessitent des dispositions particuli res Il y a donc baignade publique chaque fois que celle c1 s exerce sur le domaine public maritime mais aussi fluvial Document 7 R glementation des sites baignades 12 l sislature Question crite n 20412 de M Pierre Bordier Yonne UMP Publi e dans le JO S nat du 17 11 2005 page 2948 M Pierre Bordier appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l int rieur et l am nagement du territoire sur le probl me 1 r glementation des baignades En vertu des dispositions du d cret n 77 1177 du 20 octobre 1977 relatif la surveillance et l enseignement des activit s de natation modifi par le d cret n 91 365
36. ident a pour origine le non respect par la victime de l interdiction de plonger sur le c t gauche du ponton le long duquel une plage en faible pente avait t am nag e l usage normal de l quipement permettant en revanche de plonger dans dudit ponton et sur son c t droit L interdiction de plonger tait clairement mat rialis e Un arr t municipal clairement affich sur le chemin d acc s la base de loisirs et sur trois panneaux dispos s sur le p rim tre du plan d eau interdisait formellement la baignade en dehors des heures de surveillance Nantes 26 juin 2008 Auffret n 08 00271 La victime t emport e par un rouleau sur une plage dont la fr quentation est r guli re et importante Elle f t gravement bless e Le danger r sultait de la pr sence habituelle de forts rouleaux sur la plage bien connu des autorit s municipales et n tait pas signal C est ainsi que la responsabilit de la commune a t reconnue engag e par sa connaissance des dangers particuliers notamment lorsque la mer pr sente de forts rouleaux sur le bord de l eau Or ce danger n tait pas signal et ce d faut de signalisation t jug constitutif d une faute qui en l absence de toute imprudence de la victime a t de nature engager l enti re responsabilit de la commune envers la victime Responsabilit enti re de la commune CE 25 juin 2008 commune de Deshaies n 29584
37. ion ou installation particuli re le fait ses risques et p rils article L 2213 23 du code des collectivit s territoriales Ainsi le maire n est pas tenu en l absence de dangers particuliers de faire proc der une surveillance o une signalisation Cependant en cas de dangers non apparents le maire doit en informer le public CE du 11 juin 1969 Commune de Cournon d Auvergne et du 26 f vrier 1969 veuve Gravier L arr t Le Fichant du 05 03 71 fixe cependant les limites de cette obligation de signalisation aux dangers exc dant ceux contre lesquels les int ress s doivent personnellement par leur prudence se pr munir Les communes sont donc dispens es d informer le public sur les dangers visibles courants est cependant important de noter le cas des plages notoirement fr quent es mais non am nag es En effet le Conseil d Etat consid re qu il incombe aux maires des communes sur le territoire desquelles sont situ s des lieux de baignade qui sans am nagement quelconque font l objet d une fr quentation r guli re et importante m me saisonni re de prendre les mesures appropri es en vue d assurer la s curit des baigneurs du 05 03 71 Le Fichant Le Conseil d Etat n impose pas pour autant un poste de surveillance obligatoire pour ce type de zone de baignade il exige uniquement prendre les mesures n cessaires l intervention rapide des secours en cas d accident not
38. ivage politique sur la question puisque 76 des sympathisants socialistes et 76 de ceux de l UMP y seraient favorables rel ve l Ifop Toutefois le sondeur rel ve une r ticence un peu plus forte des cadres sup rieurs et professions lib rales favorables 62 une verbalisation que des milieux populaires 76 La r ticence est encore plus marqu e avec seulement 56 de favorables une verbalisation parmi la tranche d ge 18 24 ans sans doute plus adepte de ce type de baignades risque note encore l institut Le sondage a t r alis du 6 au 8 ao t 2013 en ligne sur un chantillon de 1 001 personnes repr sentatif de la population fran aise de 18 ans et plus selon la m thode des quotas 0 W4 10 n 9 0 TAMI 27 s p SJUEINO9 s p s p gj 2 9 16 UOS 5 IS Inod s uoz se 1015 2 4 INS 9116 159 UOZ E IS SJUBJUS SOA 7 159 9 epidei 159 s noo s sedinbe s p 59102 59 z ss s oyo
39. ommunes La d finition de notion d am nagement d une baignade qui reste n cessairement g n rale pour couvrir la grande vari t des l ments d am nagement qui peuvent se pr senter Une baignade am nag e comprend d une part une ou plusieurs zones d eau douce ou d eau de mer dans lesquelles les activit s de bain ou de natation sont express ment autoris es d autre part une portion de terrain contigu cette zone sur laquelle des travaux ont t r alis s afin de d velopper ces activit s La caract risation d une baignade am nag e se fait l aide d un faisceau d indices d un ensemble d l ments concourant faciliter l acc s la baignade Seuls les l ments d am nagement de la zone donnant imm diatement acc s au bain couramment appel e plage sont pris en compte Un lieu est donc consid r comme am nag lorsque des travaux ont t r alis s Ces travaux doivent avoir pour but de d velopper de faciliter d encourager l acc s au bain et aux activit s de natation La mise en place d une plage de sable de douches ou de plongeoirs par exemple sont caract ristiques d une baignade am nag e L installation d une aire de pique nique sur la berge ou d une promenade ne para t pas suffisante pour qualifier la baignade d am nag e Mais 1l reste de la comp tence locale d appr cier ces crit res Si la baignade am nag e est r put e tre constitu e de fait elle n cessite en cons
40. orale t mise en cause soit par la commune soit par la victime du dommage S il n en a pas t ainsi la commune demeure seule et d finitivement responsable du dommage Article L2122 27 Le maire est charg sous l autorit du haut commissaire de la R publique en Polyn sie fran aise 19 De la publication et de l ex cution des lois et r glements 2 De l ex cution des mesures de s ret g n rale 3 Des fonctions sp ciales qui lui sont attribu es par les lois Article L2122 31 Conform ment au 1 de l article 16 du code de proc dure p nale le maire et les adjoints ont 1 qualit d officier de police judiciaire DOCUMENT 3 Source la vie communale et d partementale mise le 21 juin 2013 Accidents de baignade Jurisprudences Les accidents survenus sur les plages ou de baignade peuvent mettre en jeu la responsabilit de la commune La commune sera responsable soit si le maire a n glig d exercer ses pouvoirs de police pour Signaler un danger que les usagers ne devaient pas s attendre rencontrer soit en cas de d faut d entretien normal de l ouvrage public Mais dans les deux cas la faute de la victime peut la commune tout partie de sa responsabilit supposer que celle ci ait t engag e Absence de faute de la commune pr cautions prendre inutiles ou suffisantes Le maire est tenu d informer le public par une publicit appropri e en mairie et
41. que de prudence de la victime et le d faut de vigilance des accompagnateurs sont les causes exclusives de l accident Lyon 8 avril 2010 n 081 00275 9 f vrier 2011 n 340296 Un panneau visible de toutes les personnes qui acc dent au ponton par la voie normale signalait l interdiction de se baigner ainsi que de sauter et de plonger du ponton il n incombait pas au maire de prendre des mesures particuli res pour signaler aux baigneurs acc dant ponton par le lac l interdiction de baignade et de plongeon ni la faible profondeur de l eau CAA Bordeaux 29 mai 2008 commune de Biscarosse n 06BX02397 Faute de la victime exon rant partiellement la responsabilit de la commune 1 Responsabilit limit e la moiti L accident est comparable au pr c dent le s est gri vement bless en plongeant d une plate forme flottante install e sur la plage et quip e d un plongeoir L installation ne pr sentait aucun risque mar e haute mais devenait dangereuse mar e descendante L absence de toute signalisation sur la plage pourtant dot e d un poste de secours ainsi que sur la plate forme du danger potentiel li la variation de la profondeur de l eau est fautive Mais la victime commis une imprudence moins grave certes que dans le cas pr c dent 5 pas avant de plonger que la profondeur de l eau permettait de le faire
42. quence que le maire prenne toutes mesures appropri es en vue d assurer la s curit des usagers parmi lesquelles une surveillance par des personnels qualifi s La jurisprudence consid re traditionnellement 1 incombe aux communes qui ont am nag sur leur territoire des plans d eau destin s baignade et aux sports nautiques de prendre les mesures appropri es en vue d assurer la s curit des usagers et plus particuli rement des baigneurs 14 octobre 1977 Commune de Catus Pour l application de l obligation de surveillance pr c demment rappel e l article 2 du d cret n 77 1177 du 20 octobre 1977 modifi relatif la surveillance et l enseignement des activit s de natation et l arr t du 26 juin 1991 relatif la surveillance des activit s aquatiques de baignade ou de natation pr cisent que cette surveillance doit tre assur e par des personnels titulaires soit des dipl mes conf rant le titre de ma tre nageur sauveteur soit du dipl me national de s curit et de sauvetage aquatique Cette surveillance peut galement tre assur e par des sapeurs pompiers volontaires Les dispositions r glementaires codifi es au code de la sant publique rappellent galement l obligation de disposer d un poste de secours situ proximit directe des plages des baignades am nag es art D 1332 9 de ce code Un arr t d limitant les zones et les p riodes de surveillance de la baignade e
43. res la s curit du public Que la baignade soit surveill e non il appartient au maire ind pendamment des mesures pr ventives d organisation des secours pr vues par l article 2212 2 5 du CGCT qui pr cise que la police municipale comprend notamment le soin de pr venir par des pr cautions convenables et de faire cesser par la distribution des secours n cessaires les accidents de pourvoir d urgence toutes les mesures d assistance et de secours d une part de remplir l obligation de signalisation et d autre part d uvrer activement la pr vention des dangers Baignade surveill e L instauration d une zone o la baignade est surveill e emporte quant elle des obligations sp cifiques la jurisprudence impose dans ce cas plus que le signalement la suppression du danger lorsqu elle est techniquement possible notamment CAA de Lyon 8 juillet 1993 commune du Pradet Cette jurisprudence pr cise par ailleurs que la surveillance doit se faire en tenant compte de l utilisation du lieu de Bordeaux 19 mai 1993 Neis responsabilit d une commune engag e car elle avait fix le d but de la p riode de surveillance au 17 juillet alors que le 20 juin jour d un d but de nombreux baigneurs taient pr sents En outre la surveillance fait na tre des obligations qui lui sont propres telles que le recrutement en nombre suffisant des surveillants en prenant en compte diff rents p
44. s ce recrutement Responsable du centre de secours de Mahina des titulaires du BNSSA Que doivent faire les personnes int ress es par C est un sujet qui a d j t abord en 2011 d s l installation de la nouvelle quipe municipale Et l nous nous Anscrivons sur la continuit de cette surveillance avec comme zone de pr dilection la pointe V nus en esp rant pouvoir ensuite tendre et g n raliser cette surveillance lout s les plages de Mahina 2 Patrice Jamet n a pas oubli que cette surveillance tait de sa responsabilit C est effectivement une responsabilit l gale du maire qui est avant tout d ordre p nal Au travers de cette sur veillance des plages on veut aussi susciter cette prise de conscience collective aussi bien au niveau de l tat que du Pays mais aussi au niveau des communes ne faut pas oublier que nous sommes dans un territoire constitu 118 les et il est surprenant de constater qu il n y pas de surveillance des plages Mahina va montrer l exemple mais cela un 7 Montrer l exemple ce n est pas nouveau mais effectivement taires font objet d une ligne budg taire 10 millions de paf an Donc avec ce nouveau recrutement nous allons augmenter cette ligne budg taire 11 en va de la s curit de la population Mahina sur la plage la pointe V nus La r mun ration est attractiv
45. s de la baignade am nag e et qui ne pr sente pas des dangers exc dant ceux rencontr s habituellement dans les cours d eau 11 juin 1969 commune de Cournon d Auvergne Toutefois les baignades non am nag es mais qui font l objet d une fr quentation importante doivent tre dot es par la commune de moyens permettant l intervention rapide des secours CE 13 mai 1983 Lefebvre Les m mes crit res d appr ciation pr valent en mati re d activit s de montagne Si la fr quentation r guli re et importante d un site peut amener le maire envisager les mesures de pr vention ventuellement n cessaires dues par exemple la configuration des lieux il appartient galement aux personnes qui fr quentent de tels sites de se pr munir de fa on normale CE 26 f vrier 1969 pr cit contre les risques auxquels elles sont susceptibles d tre confront es En effet l imprudence des victimes peut tre de nature att nuer ou exon rer en fonction des circonstances la responsabilit du maire CAA Nantes 21 mars 1990 consorts Dubouloz c commune de Saint Jean Trolimon JO AN 31 05 2011 question n 97283 p 5778 Document 10 Noyades la Cour des comptes pointe les d faillances de la surveillance des plages Par LEXPRESS fr publi le 05 08 2013 Les 14 noyades du week end interrogent les dispositifs de surveillance des plages Un rapport de la Cour des comptes d nonce la mauvaise coordination d
46. sans danger La responsabilit de la commune est en cons quence limit e la moiti des cons quences dommageables de l accident Nantes 26 juin 2008 Bastien n 080700234 Les deux moniteurs qui accompagnaient un groupe 5 les ont laiss s se baigner dans bassin vaste et profond non surveill et o la baignade tait interdite alors que cette interdiction tait rappel e par 18 panneaux Certes le d c s de l enfant a t caus par une anomalie cardiaque mais il ne se serait pas produit si la baignade avait eu lieu dans l un des bassins surveill s et autoris s dans lesquels les baigneurs avaient pied ce qui aurait vit la victime de d passer ses limites physiques Le comportement des accompagnateurs est constitutif d une faute de service de nature engager la responsabilit de la commune Mais la victime g e de 14 ans au moment de son d c s a commis une imprudence en ignorant d lib r ment l interdiction de se baigner signal e de nombreux panneaux et dont elle avait connaissance pour y tre venue auparavant Cette faute exon re la commune de la moiti de sa responsabilit Nantes 10 novembre 2009 n OONTO0598 L accident est survenu un gri vement bless la moelle pini re en plongeant d une plate forme qui devenait dangereuse mar e basse Mais la victime a commis une grave imprudence en
47. st galement un l ment de s curit juridique pour le maire et la commune Il est en outre un l ment d information et de garantie pour les usagers para t donc souhaitable l adopter ne saurait trop recommander aux maires des communes non littorales pour l ensemble des baignades am nag es d appliquer les dispositions de l article L 2213 23 du code g n ral des collectivit s territoriales obligatoires pour les communes littorales pr cise que l arr t r glementant les activit s de baignade doit tre accompagn des mesures de publicit appropri es sur les lieux pour garantir la bonne information du public Document 8 R ponse parlementaire n 68641 publi es au journal officiel de l Assembl e Nationale du 08 11 2005 5778 Les r gles de s curit en mati re de surveillance des baignades r sultent pour le maire la fois de son pouvoir de police g n rale art L 2212 2 CGCT du pouvoir de police sp ciale le tenant responsable de la s curit des baignades art L 2213 23 du CGCT et du code du sport dans sa partie relative la surveillance des activit s de natation articles D322 11 et suivants Am nagement sp cifique Il appartient au maire d am nager ou non des lieux de baignade mais tout am nagement sp cial constitue une incitation la baignade et impose par voie de cons quence la collectivit locale comp tente de mettre en uvre les moyens de surveillance n cessai
48. urface Mahina ce recrutement un co t Les sapeurs pompiers volon Document 11 de la satisfaction des baigneurs de pointe V nus le manque de b n voles ne permettait mal heureusement pas d assurer une continuit du service tous les week ends et notamment durant les vacances scolaires L quipe communale donc d cid de recruter ses propres nageurs sauveteurs En r alit la mairie va faire monter en puis sance son centre de secours qui compte d j 10 pompiers pro fessionnels 5 op rateurs de trai tement d appels et 24 pompiers volontaires L objectif est de com pl ter l effectif afin d tteindre 40 pompiers volontaires Le co t financier de ce renfort a t estim 10 millions de Fcfp par an afin de r mun rer les nou velles recrues volontaires pav s 800 Fcfp de l heure Avec des hommes en plus la caserne va pouvoir garantir deux interventions simultan es ce qui n est pas le cas aujourd hui et accorder du temps la surveil lance de la plage D abord la pointe V nus mais sur une zone plus large que par le pass Les dossiers d inscription sont retirer partir d aujourd hui la caserne de Mahina en bas de la route de Mahinarama l issue d preuves physiques et d un examen m dical les recrues int greront le corps des sapeurs pompiers de la commune dirig par Richard Haupuni et recevront les formations n ces saires
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