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         Contents
1.        mm mmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmememmm             Pr  sentation g  n  rale     La chirurgie est le traitement de premi  re intention des cancers cutan  s qui atteignent tr  s majoritairement  la face  A c  t   de l   exigence carcinologique  le choix de la technique optimale de r  paration conditionne la  qualit   du r  sultat fonctionnel et cosm  tique    l issue du traitement  Pour chaque perte de substance  PDS   engendr  e par l   ex  r  se d   une tumeur  plusieurs r  parations sont possibles donnant des r  sultats sensiblement  diff  rents     partir d   une m  me perte de substance  situ  e dans 10 localisations faciales distinctes  trois  op  rateurs vont confronter    tour de r  le des r  parations concurrentes et discuter leurs avantages et leurs  inconv  nients en essayant de d  gager une hi  rarchisation et un algorithme d indications        Objectifs    Les objectifs de cette FMC sont d   une part de rappeler les bonnes pratiques chirurgicales dans la prise en  charges des tumeurs cutan  es malignes  mais au del    d appr  hender et de hi  rarchiser les r  parations pour  garantir    nos patients un bon r  sultat fonctionnel  la moindre ran  on cicatricielle et le meilleur r  sultat  esth  tique     Acquis souhait  s     A la fin de cette FMC le dermatologue doit connaitre non seulement les diff  rentes techniques de r  paration  envisageables en fonction de la taille de la PDS et de la localisation topographique mais aussi appr  hen
2.       les donn  es   pid  miologiques utiles au quotidien dans la prise en charge de plus  en plus multidisciplinaire de nos patients     Acquis souhait  s    Am  lioration de la prise en charge pratique et quotidienne de la maladie psoriasique par le dermatologue aussi  bien lib  ral qu   hospitalier     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les dermites des mains sont fr  quentes avec souvent un fort retentissement sur la vie sociale  familiale et  professionnelle  Le traitement local est le plus souvent efficace et de nouvelles th  rapeutiques sont disponibles  pour les formes les plus s  v  res mais paradoxalement nous assistons encore aujourd   hui    de nombreux   checs  th  rapeutiques li  s    des mesures pr  ventives mal effectu  es et des traitements mal compris par les patients   L   ducation th  rapeutique du patient est fondamentale dans cette pathologie        Objectifs     1   Pr  senter     l   aide de cas cliniques d  monstratifs  les diff  rents aspects cliniques que l   on peut rencontrer  et les   tiologies les plus fr  quentes des dermites des mains et actualiser les connaissances sur les diff  rents  traitements disponibles et leurs indications    2   Pr  senter le contenu d   un programme   ducatif innovant  sp  cifique pour les patients souffrant de dermite  des mains     Acquis souhait  s     Reconna  tre les diff  rentes formes cliniques de dermites de mains et les principaux diagnostics
3.      M  ALEXANDRE  F  PASCAL   C  PROST SQUARCION     Mod  rateur   F  CAUX    He esmore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     L oncodermatologie poursuit en 2013 une mutation rapide d  but  e il y a quelques ann  es  La diversit   et le  nombre des cancers pris en charge par les dermatologues sont en augmentation  Les nouveaux traitements sont  en pleine expansion  A partir d   une douzaine de cas cliniques  diagnostiques et th  rapeutiques concernant le  m  lanome  les carcinomes  les lymphomes  voire des cancers cutan  s plus rares  les orateurs et les participants  seront invit  s    un dialogue interactif et didactique        Objectifs     Les cas cliniques seront choisis pour leur caract  re exemplaire  didactique  ou original  dans le but de d  livrer   pour chaque cas  quelques messages cl   en lien avec les   volutions actuelles  La plupart correspondront    des  situations potentiellement graves dans lesquelles le dermatologue est amen      jouer un r  le central     Acquis souhait  s     A l issue de cette s  ance interactive  le dermatologue hospitalier ou lib  ral aura d  velopp   sa capacit       participer    la prise en charge multidisciplinaire d   une vari  t   significative de pathologies cutan  es tumorales   et    int  grer dans ses connaissances et sa pratique les orientations nouvelles issues des progr  s actuels     S  ance interactive avec digicodes    mm mmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmm
4.      Objectifs     Actualisation des connaissances scientifiques dans le domaine de la phototh  rapie dynamique topique en  dermatologie pour optimiser l information et la prise en charge de nos patients sur la base de la litt  rature  extr  mement riche sur ce sujet     Acquis souhait  s    Savoir informer  pr  parer  traiter et suivre au mieux son patient dans les indications classiques de la phototh  rapie  dynamique topique mais aussi conna  tre les avanc  es scientifiques r  centes dans ce domaine     nm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm   m   n    Le D  veloppement Professionnel Continu  DPC  est un imp  ratif inscrit dans la loi    H  pital Patients Sant   et  Territoires     Son but est d am  liorer le service m  dical rendu    la population  selon des objectifs nationaux ou  r  gionaux     L Organisation du DPC en Dermato V  n  r  ologie  0DPC DV  a   t   constitu   au cours de l   ann  e 2013 de mani  re  paritaire entre les diff  rentes composantes de notre sp  cialit    Son but est d offrir    tous les dermatologues  fran  ais un panel de formations coh  rentes et adapt  es    notre exercice     Dans ce forum interactif  seront abord  s    1  la philosophie du DPC  Dr Philippe Beaulieu   2  l organisation du DPC en France  Dr Jean Luc Rigon   3  l ODPC en Dermatologie V  n  r  ologie  ODPC DV    pr  sentation g  n  rale  Dr Philippe Beaulieu   4  l ODPC DV en pratique pour      les dermatologues hospitaliers  Pr B  atrice Crickx     les dermatologues lib  raux  Dr Eve P  
5.     02 38 87 60 00    Notez la date des JDP 20 4    du 07 au 13 d  cembre 2014       SECRETARIAT SCIENTIFIQUE SECR  TARIAT  INSCRIPTIONS  amp  H  BERGEMENT      Ve   n  s Amies ET EXPOSITION JDP 2013 MCI   JDP 2013    Soci  t   Fran  aise de Dermatologie 24  rue Chauchat   75009 Paris   France    4 e  S  Fojutowski   M J  Dinant m C   T  l     33  01 53 85 82 57  25  rue La Bo  tie   75008 Paris Fax     33  01 53 85 82 83    T  l     33  01 43 27 01 67 ou 56   Fax     33  01 43 27 01 86 E mail JDP 2013   info jdp2013 com   inscription jdp2013 com  E mail   jdp sfdermato com Web JDP 2013   www sfdermato com    Les JDP prot  gent votre environnement  Programme imprim   sur du papier certifi   PEFC       Impression 2013 Printed in France Pharmapost 02 38 87 60 00    
6.     Effets ind  sirables cutan  s  des traitements cibl  s en  canc  rologie    0  DEREURE  A  DU THANH   C  GIRARD    EMC 10    L   observance en  dermatologie    J  SAVARY  P  VABRES   S  BARBAROT    31     Osie     csmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Les traitements dits   cibl  s   se sont consid  rablement d  velopp  s r  cemment en canc  rologie notamment  cutan  e  en particulier dans les formes avanc  es de m  lanome  Toutefois  leurs effets ind  sirables cutan  o   muqueux sont tr  s fr  quents et le dermatologue est alors en premi  re ligne    la fois pour prendre en charge  ces effets secondaires parfois tr  s sp  cifiques et souvent tr  s mal v  cus par les patients mais aussi pour  moduler le traitement inducteur puisqu il en est de plus en plus souvent le prescripteur        Objectifs     Cette FMC abordera    l   aide d exemples concrets les effets ind  sirables cutan  o muqueux les plus fr  quents  et ou g  nants des diff  rents traitements   cibl  s   utilis  s notamment en oncologie cutan  e  afin de permettre  aux praticiens de les reconna  tre et de les prendre en charge tant sur le plan cutan   que dans le cadre de la  strat  gie g  n  rale de traitement     Acquis souhait  s    Conna  tre et savoir reconna  tre les effets ind  sirables cutan  o muqueux des anticanc  reux   cibl  s   utilis  s en  oncologie cutan  e  ou non  et proposer une conduite    tenir concernant le patient et le produit inducteu
7.     P144    P145    P146    1e Se mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre Er ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Enc  phalite limbique chez un patient sous nilotinib pour un m  lanome m  tastatique   iatrog  ne ou  paran  oplasique     A  S  Darrigade     M  Beylot Barry  A  C  Wielaneck  M  Molimard  M  S  Doutre  J  Stokkermans   A  Pham Ledard    Etude des mutations du g  ne c kit de 43 m  lanomes muqueux de la r  gion Rh  ne Alpes  J  Chevallier  E  Cinotti  J  L  Perrot  B  Labeille  L  Thomas  F  Cambazard    M  lanome et anti TNF a   s  rie de 15 cas    C  Chabbert  H  Adamski  G  Guillet  B  Sassolas  L  Misery  A  Perrinaud  L  Machet  G  Qu  reux   E  Est  ve  E  Solau Gervais  A  Saraux  E  Polard  T  Lesimple  F  Le Gall  B  Dreno  A  Dupuy et  BIORDERM    Pseudo cirrhose par m  tastases h  patiques diffuses d   un m  lanome choro  dien  A  Guyot  J  Coelho  M  Ziol  F  Caux  L  Laroche    Myasth  nie paran  oplasique et m  lanome m  tastatique  C  Sin     P Bilan  E  Mah    G  M  liksetyan  L  Joly  A  Marchal  M  L  Sigal    M  lanomes sans primitif connu    tude r  trospective de 58 cas  H  Cazenave  F  Grange  E  Lanoy  S  Roy  E  Routier  A  Eggermont  C  Mateus  C  Robert    M  lanome cutan     facteurs pr  dictifs d atteinte du ganglion sentinelle en m  decine nucl  aire  L  Baudoux     J  Slama  C  Laou  nan  L  Sarda  B  Crickx  F  Mentr    E  Maubec    Evaluation par microscopie confocale in vivo du traitement par imiquimod du m  lano
8.     e Fran  ois HABIB  Avignon  e Pierre Emmanuel STOEBNER  N  mes     e Bruno LABEILLE  Saint Etienne     e Fr  d  ric AUGEY  Pierre B  nite  e Sma  l HADJ RABIA  Paris   e Thierry BOYE  Toulon  e Thomas JOUARY  Bordeaux   e Fr  d  ric CAUX  Bobigny  e Laurent MACHET Pr  sident  Tours   e Olivier DEREURE  Montpellier  e Laurent MORTIER  Lille   e Marie Christine FERRIER LE BOUEDEC e C  cile PAGES  Paris    Clermont Ferrand  e Patricia SENET  Paris     e Caroline GAUDY MARQUESTE  Marseille     8 novembre 2013  Date limite des pr  inscriptions et de r  glement avant augmentation des droits    10 14 d  cembre 2013   PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _                                           Programme G  n  ral   PINOFSIS o E a   page 7   CONGR  S ANNUEL DE RECHERCHE DERMATOLOGIQUE  CARD  aooaa  e Mardi 10 et mercredi 11 d  cembre  page 8   D  BUEAUNTHEMATIQUE   O nn   page 15   S  ANCES PLENI  RES GASSO  Amphith    tre bleu  niveau 2  e Jeudi 12 d  cembre 11h00   12h00  page 20    e Vendredi 13 d  cembre 11h00   12h00  ATFUERS A aao  e Mardi 10 et mercredi 11 d  cembre  page 21   ME o E E a a a  e Du mercredi 11 au vendredi 13 d  cembre  page 27    FORUMS _ _         A E a a aaa  e Du mercredi 11 au vendredi 13 d  cembre  page 70   PR  SENTATION DES COMMUNICATIONS LIBRES ooa  e Du mercredi 11 au vendredi 13 d  cembre  page 891   DISCUSSION DES POSTER a  e Vendredi 13 d  cembre 14h00   15h30  page 108    16h00   17h30  QUOIDE NEUF   a S aan   Grand amphith    tre  ni
9.    CO 094    CO 095    CO 096    CO 097    CO 098    CO 099    16 ha Se mbre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm      Amphith    tre Bleu 14h15   15h45      Pr  sidents   L  Mortier  N  Meyer  H  Benchikhi    Prise en charge du sarcome de Kaposi post transplantation r  nale en   le de France   analyse  r  trospective de 89 patients  C  Rabate  R  Porcher  B  Barou  D  Glotz  E  Rondeau  P  Lang  C  Legendre  C  Frances  C  Lebb      Efficacit   d   une campagne de formation des m  decins g  n  ralistes au diagnostic pr  coce du m  lanome        tude pilote en Champagne Ardenne  F  Grange     A  Woronoff  R  Bera  M  Colomb  B  Lavole  E  Fournier  F  Arnold  C  Barbe    L ob  sit    facteur clinique de m  lanome cutan   primitif   pais  F  Skowron     F  Berard  B  Balme  P  Guigue Rodet  D  Maucort Boulch    L 1231 BZA2  nouveau traceur pour le diagnostic de m  tastases pigment  es de m  lanome   r  sultats et  perspectives d   une   tude clinique de phase III   M  D Incan     F  Cachin  J  M  Chezal  J  L  Perrot  B  Labeille  L  Machet  J  P Lacour  J  L  Schmutz   J  J  Grob  M  T  Leccia  M  C  Ferrier Le Bouedec  J  D  Grange  N  Meyer    Ipilimumab   efficacit   et tol  rance en pratique courante   cohorte de 45 patients trait  s en Autorisation  Temporaire d utilisation  ATU    F  Chasse     C  Pag  s  J  Roux  C  Hurabielle  N  Basset Seguin  M  Viguier  N  
10.    K  Boniface  K  Ezzedine  B  Milpied  D  Mossalayi  A  Taieb  J  Seneschal    Un cas d   ochronose endog  ne r  gressive apr  s greffe r  nale  C  Cluzef   J  Charles  N  Pinel  J  C  Beani  M  T  Leccia    Traitement des ch  lo  des par le ph  nol  M  Msedd       S  Ktari  M  Amouri  H  Chaaben  H  Mesrati  S  Boudaya  H  Turki    La phototh  rapie dynamique n   est pas la r  ponse    tout   Revue des   checs de traitement  A  Debu     D  Bessis  C  Girard  A  Du  Thanh  B  Guillot  0  Dereure    Syndrome de Sweet induit par l   azathioprine  Deux cas  M  Etienne     M  Gu  rin Moreau  J  Sayegh  C  Lavigne  C  Le Clec h    Dissolution de r  cipients en plastic au contact de l   Ascabiol   lors du traitement de la gale   un nouveau    type de pharmacovigilance  J  L  Perrof  E  Cinotti  A  Boukenter  B  Labeille  Y  Ouerdane  F  Cambazard    DRESS syndrome    la sulfasalazine   int  r  t du g  notypage NAT2  M  Levavasseur     V  Florin  E  Pape  E  Delaporte  D  Staumont Sall      DRESS avec insuffisance h  patique s  v  re   une place pour l     puration extra h  patique    F  Brigant     G  Chaby  F  Lombart  F  Dhaille  C  Lok    DRESS syndrome bulleux au vemurafenib  A  Gey     T  Jouary  C  Mateus  C  Robert  G  Perro  B  Milpied    N  crose cutan  e aux sites d injection d   h  parine de bas poids mol  culaire  C  Mazaud   I  Goubin Versini  B  Petitjean  L  Blum  E  Begon    Dermatose bulleuse h  morragique sous fondaparinux  C  Pauwels  M  Eischen  E  Tournier  0
11.    PARIS   Palais des Congr  s    ke             a    Pr  sidents   P Senet  C  Bernier  M  Gilliet    Ob  sit   et psoriasis en France   P Gnossike  M  L  Sigal  A  Beauchet  M  Lahfa  H  Barthelemy  Z  Reguiai  F  Maccari  N  Beneton    E  Est  ve  D  Thomas Beaulieu  T  Le Guyadec  A  Vermersch Langlin  M  Perrussel  L  Mery Brossard   E  Mah   et GEM RESOPSO    Evaluation du parcours de soins avant une premi  re consultation pour un psoriasis   E  Mah       F  Maccari  A  Beauchet  E  Est  ve  Z  Reguiai  T  Le Guyadec  N  Quiles Tsimaratos   M  Averel Audran  T  Boyer  C  Goujon Henry  P  Bravard  D  Bouilly Auvray  M  Bastien    L  Mery Brossard  G  G  ner  C  Pauwels  M  L  Sigal et GEM RESOPSO    L  sions cutan  es neutrophiliques associ  es aux connectivites   spectre d expression clinique et  histologique   E  Hai  J  Bouaziz  M  Vignon  Pennamen  A  Saussine  M  Bergis  M  Cavelier  Balloy  F  Cordoliani   M  Janier  M  Bagot  M  Rybojad    Observance th  rapeutique dans l   urticaire chronique   C  Bernier     E  Amsler  I  Boccon Gibod  A  Grange  M  T  Guinnepain  C  Martinage  N  Raison Peyron   M  Samini  A  Soria  D  Staumont Sall    F  Augey et Groupe Urticaire de la soci  t   Fran  aise de  Dermatologie  GUS     L Interf  ron alpha    l   origine de l   inflammation du vitiligo non segmentaire    A  Bertolotti     K  Ezzedine  B  Vergier  M  Mossalayi  A  Taieb  K  Boniface  J  Seneschal    Dermatite atopique de l adulte   cr  ation et validation d   un que
12.    Palais des Congr  s    Lmm      _             Un cas de glioblastome apr  s 5 ans de traitement continu par bioth  rapies immunomodulatrices   efalizumab puis ustekinumab   S  A  Menguy     L  Boursault  J  Seneschal  B  Milpied  K  Ezzedine  X  Hoarau  S  Eimer  A  Vital  A  Taieb    L int  r  t du laser alexandrite dans le traitement des verrues r  sistantes  M  Pharaon     L  Sillard  F  Le Duff  P  Bahadoran  J  P  Lacour  T  Passeron    Acn   conglobata du visage trait  e par Laser C02 fractionn    M  Naouri  P  Abimelec  A  Duval    Greffe cutan  e de plaies chroniques par ensemencement cellulaire autologue  A  C  Biron     C  Chol  J  L  Perrot  B  Labeille  J  Chevalier  A  Leclercq  E  Besson  F  Cambazard    Th  rapie par pression n  gative des troubles trophiques   sept ans d exp  rience dans un CHU  J  L  Perrof     B  Labeille  C  Elisa  0  Nuiry  J  Dietemann  F  Cambazard    Efficacit   spectaculaire du tacrolimus topique dans le granulome annulaire   lastolytique    cellules  g  antes  F Le Duff  T  Passeron  J  P  Lacour    Traitement des granulomes annulaires   tendus par l association rifampicine  ofloxacine  doxycycline  A  Samain  P Joly  F  Tetart    Granulomes faciaux de Lever trait  s par laser    colorant puls    E  Guign    S  Lafaye  H  Laubach  T  Fusade    Efficacit   de l   alitretino  ne pour le traitement d   un cas de maladie de Darier  D  Anusef   C  Goutorbe  P  Bernard  Z  Reguiai    H  patite toxique sous r  tino  des topiques au cours 
13.    c est dans  la t  te    avant que le diagnostic ne soit pos    L ignorance de    la    cause de la maladie rend la prise en charge  d  licate  Un abord global  multifactoriel  semble   tre actuellement le plus adapt          Objectifs     Des expos  s sur la d  finition de la vulvodynie  ses possibles m  canismes neuropathologiques  et ses traitements  m  dicamenteux seront suivis des t  moignages d   une kin  sith  rapeute  d une psychosexologue  et de la  pr  sidente d   une association de patientes  Le dialogue avec la salle sera encourag       Acquis souhait  s    Reconna  tre une vulvodynie  appr  hender les diff  rentes facettes de la prise en charge    tre inform   e  des  avanc  es neuroscientifiques dans le domaine des douleurs    inexpliqu  es           FORUM 5    Comment am  liorer sa  relation avec les patients  au cours des maladies  chroniques    Cas cliniques comment  s    JM  CHAVIGNY    D  GOETGHEBEUR DUPRE   D  BAUER  C  BERNIER    S  BARBAROT  Mod  rateur   J F  STALDER    Pour le Groupe d Education  Th  rapeutique  GET     FORUM G    Peau et Greffe d   Organe    cas cliniques interactifs    G  HOFBAUER  E  LAFFITTE    S  PIASERICO  V  DEL MARMOL   M  TRAKATELLI   et le Groupe    Peau et Greffe  d Organe      Coordonnateur   S  EUVRARD    72    He e smore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Les maladies chroniques sont    l   origine de situations qui mettent    l   preuve la relation soignant
14.    mauvaise nouvelle      s approprier des techniques de communication 26  pour d  passer les difficult  s et r  ussir une alliance avec son patient  Du m  lanome     la dermatologie de tous les jours    FMC 3 Les d  lires d   infestation 28   FORUM 5 Comment am  liorer sa relation avec les patients au cours des maladies chroniques  72  Cas cliniques comment  s   FORUM 10 Dire non 74   FORUM 18 Prise en charge et suivi dermatologique au sein de missions humanitaires   un d  fi   80   FORUM 19 La peau vue autrement 81    IMAGERIE CUTANEE   HISTOPATHOLOGIE    AT 7 Introduction    la microscopie confocale in vivo en dermatologie 25  AT 8 Auto   valuation en histopathologie cutan  e 26  FMC 4 Dermoscopie  Niveau avanc   28  FMC 17 Quand la clinique   claire la microscopie 35  FMC 48    Quand la microscopie   claire la clinique    5   FMC 72 Actualit  s en dermoscopie 63  FMC 77 Dermoscopie digitalis  e 65  FORUM 16 Imagerie de la peau   apr  s la dermoscopie et la microscopie confocale    what else      78    EDUCATION   SANTE PUBLIQUE    AT 4 Atelier de l   aRED  1    Pubmed et Zotero   Des ressources pour rep  rer  trier  conserver  24  classer  citer les articles de la litt  rature m  dicale  AT 5 Atelier de l   aRED  2    Litt  rature et communication m  dicale   24    info ou intox   Des outils pour faire le tri    DERMATOSES BULLEUSEE T aaa  FMC 23 Quand les bulles ne tournent pas rond    38  FMC 31 Maladies bulleuses auto immunes   probl  mes pratiques de diagnostic et de 
15.    tenir     Acquis souhait  s     Conna  tre les diff  rents aspects cliniques des d  lires d   infestation    Comprendre les m  canismes des d  lires d   infestation    Avoir une conduite    tenir quant    l attitude vis    vis du patient et de son entourage  la prescription d   un  traitement et l   adressage au psychiatre     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmememm             FMC 4   Mercredi 11 d  cembre AMPHI BORDEAUX   09h00   12h00          Dermoscopie  Pr  sentation g  n  rale     Niveau Avanc   Nous recommandons aux participants d   avoir d  j   particip      un atelier niveau d  butant et d   avoir une  exp  rience personnelle en dermoscopie  la s  m  iologie de base ne sera pas enseign  e dans cette FMC     S  DALLE  R P BRAUN  Enseignement sur la classification des naevus dysplasiques  le naevus de Reed Spitz  les formes difficiles des   L  THOMAS  A  PHAN  k  ratoses s  borrh  iques  les l  sions pigment  es ungu  ales  les formes atypiques des l  sions acrales  les    tumeurs achromiques et les patrons vasculaires  la dermoscopie num  rique et la surveillance vid  o  dermoscopique num  rique    L enseignement se fera pour moiti   sous forme d   expos  s th  matiques brefs illustrant notamment les  d  veloppements r  cents de la dermoscopie et pour moiti   au travers de cas cliniques interactifs        TROMME  N  POULALHON    Objectifs    Confirmation des acquis de base par des connaissances plus approfondies et actualis  es   Mise en situa
16.   Bourezane   H  Bourezane    Cryptococcose cutan  e primitive atypique  A  S  Dutkiewicz     C  Dutriaux  K  Ezzedine  B  Milpied  J  Seneschal  A  Ta  eb    Manifestations cutan  es des aspergilloses invasives  C  Bernardeschi  F  Foulet  S  Oro     N  Ortonne  K  Sitbon  0  Lortholary  0  Chosidow  S  Bretagne    132       P333    P334    P335    P336    P337    P338    P339    P340    P342    P343    P344    P345    P346    P347    P348    1e Se mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          D  ficit autosomique r  cessif en CARD9 et maladie dermatophytique   discussion autour du premier cas    gyptien  M  Jachief  F  Lanternier  L  Ibrahim  A  Puel  M  Bagot  M  Rybojad  J  D  Bouaziz    Efficacit   du voriconazole dans le traitement d   une mycose profonde du visage    Paecilomyces lilacinus  chez une patiente immunocomp  tente   W  Saidi     M  Chamli  L  Boussofara  F  Saghrouni  M  Denguezli  C  Belajouza  M  Ben Said  R  Nouira    Candidose cutan  omuqueuse chronique isol  e     tude g  n  tique et immunologique  M  Jribr  W  Saidi  L  Boussofara  M  Denguezli  C  Belajouza  A  Mili  R  Nouira    Myc  tome fongique multifocal avec atteinte c  r  brale  M  Diallo     M  T  Ndiaye  B  A  Diatta  N  B  Seck  S  Diadie  S  Diallo  M  Ndiaye  A  Diop  S  0  Niang   M  T  Dieng  A  Kane    Revue syst  matique Cochrane   interventions contre la p  diculose du cuir chevelu  G  Do Pham   T  Klootwijk  H  Van der Wooden  L  Le 
17.   Bourra    M  D  Brette  M  C  Becq  S  Chauvin  M  Bagot  P Cattan    P212 La D p  nicillamine pourrait induire une auto immunit   anti collag  ne VII  S  Oro     S  Grootenboer Mignot  N  Ortonne  S  Nahon  J  Horvath  C  Bernardeschi  E  Laffitte  C  Andr     P  Wolkenstein  0  Chosidow    P213 Dermatose    lg A lin  aires   sous estimation des formes m  dicamenteuses    C  Pauwels     F  Fortenfant  F  Jouen  C  Martinage  H  Derumeaux Burel  C  Paul  C  Bulai Livideanu    P214 Papules inflammatoires des paumes   une pr  sentation inhabituelle de la dermatite herp  tiforme  B  Turke  E  Laffitte  F  A  Le Gal  X  C  Pham  L  Fontao    P215 R  alisation de s  ances d   ducation th  rapeutique  ETP  chez des malades atteints de dermatoses    bulleuses auto immunes  C  B  cour    S  Duvert Lehembre  P Joly    P216 Atteinte ungu  ale au cours du pemphigus en Tunisie  N  Litaien    I  Zaraa  H  Zribi  S  Mokni  D  El Euch  S  Trojjet  M  I  Azaiez  M  Mokni  A  Ben Osman    P217 Pemphigus profond radio induit  P Lepesanf  E  Pape  A  Brygo  E  Delaporte    123       P218    P219    P220    P221    P222    P223    P224    1e Se mbre 2015    Vendredi 13 d  cembre a ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _             ELISA envoplakine   un nouvel outil pour le diagnostic et le suivi des dermatoses bulleuses autoimmunes  S  Mignof     V  Descamps  S  Oro  S  Ly Ka So  C  Champagnat  C  Taill    C  Fite  C  Picard   S  Chollet Martin    Facteurs de mortalit   au cours du p
18.   C  Ben Signor  S  Perez Martin  C  Fischer  F  Huet  P  Vabres    Efficacit   du propranolol sur des h  mangiomes c  r  braux et spinaux au cours d   une h  mangiomatose  n  onatale diffuse  J  Miquel  B  Bruneau  A  Dupuy    Evolution inhabituelle d   un h  mangiome verruqueux  L  Boussofara   M  Laarif  W  Saidi  B  Sriha  N  Ghariani  M  Denguezli  C  Belajouza  R  Nouira    H  mangiome du scalp ulc  r   d embl  e associ      un syndrome PHACE  C  Nardin     C  Benezech  M  Voidey  P  Humbert  F  Aubin  E  Puzenat    Nodule aseptique du cuir chevelu chez un enfant  C  Th  r  n       H  Mairesse  G  Lemasson  L  Misery  E  Brenaut    125       P233    P234    P235    P236    P237    P238    P239    P240    P241    P242    P243    P244    P245    P246    P247    16 la Se mbre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Vendredi 13 d  cembre Dore    ke       Controverse autour d   un cas   aplasie cutan  e bulleuse ou m  ningoc  le    A  Poulaliou     J  D  Giroux  P  Meriot  L  Misery  C  Abasq Thomas    Une alop  cie de l   enfant peut annoncer un rachitisme  F  Kamoun  R  Zribi  I  Maaloul  H  Mesratf   L  Sfaihi  K  Baklouti  T  Kamoun  I  Chabchoub  H  Turki   M  Hachicha    Acanthosis nigricans de l   enfant   penser au syndrome de Crouzon  M  Barreau     M  Jokic  F  DiRocco  S  Hadj Rabia  A  Dompmartin  L  Verneuil    K  ratodermie palmoplantaire aquag  nique acquise lors d   une histiocytose langerhansienne  A  Bonhomme   A  Barbaud  J  L  Schmutz  A  C  Bursztejn    P
19.   Cicatrisation  Vieillissement  Mod  rateurs   Daniel Aberdam et Selim Aractingi  14h30 Daniel Aberdam  Paris   Cellules souches pluripotentes et physiopathologie cutan  e  14h55 Pierre Cau  Marseille   La progeria  maladie g  n  tique du vieillissement   Cinq ans  de la d  couverte du g  ne    l essai th  rapeutique  15h20 Communications orales C7   C10    C7   Impaired epithelial differentiation of induced pluripotent stem cells from EEC patients is rescued by  APR 246 PRIMA 1MET  l  Petit   E  Aberdam  R  Shalom Feuerstein  D  Aberdam        10    PARIS   Palais des Congr  s    ke          A 10 14 d  cembre 2013  e e  astres HS       C8   Caract  risation des cellules souches initiatrices au sein des naevus cong  nitaux  R  Fontaine     C  Charbel  N  Kadlub  A  Coulomb  A  Picard  S  Aractingi  S  Gu  gan  C9   R  le de XPC dans la protection contre le d  veloppement de cancers cutan  s  S  Rouanet   Y  Gache  E  Warrick  F  Bernerd  F  Larcher  M  Del Rio  T  Magnaldo  C10   Syndrome HELIX   une nouvelle claudine impliqu  e  S  Hadj Rabia   Y  Al Sarraj  M  Kambouris  S  Leclerc  C  Bodemer  H  El Shanti  16h05 Pause  16h20 Communications orales C11   C13  Mod  rateurs   Thierry Magnaldo et Ingrid Masse  C11   Les horloges circadiennes dans la peau humaine   m  canismes  C  Sandu   A  Malan  D  Sambakhe  C  Nizard  S  Schnebert  M  Dumas  E  Challet  P  P  vet   M P  Felder Schmittbuhl  C12   Propri  t  s cicatrisantes du domaine de liaison aux synd  cans dans la lamini
20.   Dahan  C  Paul  C  Livideanu    H  matomes cutan  s induits par les antid  presseurs inhibiteurs s  lectifs de la recapture de la  s  rotonine  V  Negroni   D  Bessis  C  Girard    Une complication rare du syndrome de Lyell  P Lepesan      E  Pape  S  Nseir  E  Delaporte  D  Staumont Sall      Syndrome de Stevens Johnson au docetaxel  V  Seta     C  Zumelzu  A  Levy  F  Caux  L  Laroche    N  crolyse   pidermique toxique au vemurafenib     propos d   un cas  M  Wantz  I  Spanoudi Kitrimi  A  Lasek  D  Lebas  P  Modiano    122       P191    P192    P193    P194    P195    P196    P197    P198    P199    P200    P201    P202    P203    P204     O esce mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre m e    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Eryth  me pigment   fixe bulleux g  n  ralis      la leupror  line  Enantone     C  A  de Salins     M  Ameline  C  Fleuret  P  Plantin  I  Kupfer Bessaguet    Effets secondaires de la corticoth  rapie en inhalation  M  Msedd     H  Ayadi  M  Amouri  E  Bahloul  S  Boudaya  A  Ayoub  H  Turki    Motifs de recours au dermatologue dans un centre anticanc  reux  M  Reigneau     F  Granel Brocard  C  Poreaux  L  Geoffrois  J  Waton  J  L  Schmutz  A  Barbaud    Trois cas de pemphigo  de bulleuse chez des patients trait  s par gliptines  A  Jacobsoon    P Coupe  M  Vonarx  A  Vermersch  A  F  Tronquoy    Scl  rose dermohypodermique des jambes sous p  m  trexed     tude anatomoclinique  A  Hassa  M  C  Ferrier le Bou  dec  H  Janicot  E  R
21.   H  Beltraminelli   N  Ruzza  P  Itin    Inr  r  t d   une consultation dermatologique d urgence en CHR  A  Wakosa   A  Roussel  M  Delaplace  R  Binois  E  Le Bidre  G  Bens  A  Val  ry  E  Est  ve    Lymphomes    115    P100    P101    P102    P103    P104    P105    P106    P107    Mycosis fongo  de palmo plantaire   aspects anatomo cliniques d   une pr  sentation rare et souvent    trompeuse     propos de 10 cas   FE Kebir Seladjr  S  Oro  M  H  Delfau Larue  M  Bagot  J  M  Joujoux  S  Fraitag  N  Ortonne    Localisation secondaire c  r  brale au cours d   un mycosis fongo  de en plaques  stade lb   A  S  Dillies     A  Parcelier  A  Dadban  J  P Arnault  J  P Marolleau  C  Lok  G  Chaby    Mycosis Fongo  de et atteinte du syst  me nerveux central   une localisation rare qui ne doit pas   tre  m  connue  FE Chasse    C  Ram Wolff  J  Roux  M  Bagot    R  misson compl  te rapide d   un mycosis fungo  de transform    stade IV  apr  s une cure de brentuximab  avant allogreffe de moelle osseuse  C  Picard     0  Reman  A  Dompmartin  M  Y  Louis  C  Brugi  re  F  Comoz  L  Verneuil    Efficacit   spectaculaire du brentuximab vedotin dans 2 cas de LCTE en impasse th  rapeutique  G  Quereux   M  Saint Jean  A  Brocard  L  Peuvrel  J  J  Renaut  B  Dr  no    R  mission compl  te sous chlorambucil d   un lymphome T cutan   non classable    diff  renciation TFH  S  Azib   0  Carpentier  C  Delattre  L  Mortier    Int  r  t du TEP scanner  TDM  dans le lymphome T sous cutan      
22.   H  Conte  T  Jouary  A  Fauconneau  H  Begueret  M  Beylot Barry  A  Pham Ledard    117       P121    P122    P123    P124    P125    P126    P127    P128    P129    P130    P131    P132    P133    P134    16 Fa Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre se    PARIS   Palais des Congr  s    ke       M  lanomes m  tastatiques d   volution explosive sous la forme de miliaires c  r  brales apr  s    chappement au v  muraf  nib   J  Charles     B  Busser  0  F  Eker  I  Templier  A  Claeys  G  Gras Combe  J  C  Beani  C  Verry   M  T  Leccia    Pronostic p  joratif des m  tastases c  r  brales apparues sous vemurafenib  L  Peuvre    M  Saint Jean  G  Qu  reux  A  Brocard  B  Dr  no    DRESS sous vemurafenib   une bonne indication du dabrafenib    L  Troin     S  Monestier  E  Archier  M  A  Richard  C  Gaudy Marqueste  A  Levy Bencheton  J  J  Grob    Complications ophtalmologiques sous vemurafenib   trois cas  E  Funck Brentano     C  Longvert  M  Guedj  I  Bourgault  P  Saiag    Patients longs survivants sous inhibiteur de B Raf  J  Roux     P Schneider  C  Pages  N  Basset Seguin  M  Viguier  I  Madelaine  M  Bagot  C  Lebb      Profils des r  ponses et des rechutes des patients trait  s par vemurafenib pour un m  lanome  m  tastatique   R  Viollet Khaya    E  Routier  E  Lanoy  M  Thomas  H  Cazenave  S  Roy  B  Thuillier  C  Mateus   C  Robert    Les effets secondaires des th  rapies anti B Raf et leur impact sur la qualit   de vie   l   tude Skin Target  C  Salle De Chou     C
23.   Hu     M  Benfodda  A  Riffault  V  Descamps  A  Bourillon  N  Basset Seguin  M  Bagot    A  Bensussan  P  Saiag  B  Grandchamp  N  Soufir    Contribution    la caract  risation g  n  tique et immunologique du psoriasis pustuleux g  n  ralis    M  Tauber     E  Bal  C  Le Gall  H  Bachelez  B  Bouajar  H  Sahel  A  Khelil  Y  Hamel  A  Smahi    Syndrome de Netherton s  v  re   penser    un traitement syst  mique  E  Freling     L  Furio  A  Barbaud  J  L  Schmutz  A  Hovnanian  A  C  Bursztejn       10 14 d  cembre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Lymphomes    103    CO 109    CO 110    CO 111    CO 112    CO 113    CO 114    CO 115    CO 116    CO 117    nm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmm   m      Amphith    tre Bleu 16h45   17h45      Pr  sidents   0  Dereure  F  Grange  H  Beltraminelli    Syndrome de S  zary    invisible     A  Henn     C  Fite  L  Deschamps  E  Marinho  N  Ortonne  L  Michel  M  Beylot Barry  L  Laroche  B   Crickx  E  Maubec    Diagnostic diff  rentiel du syndrome de S  zary   tabli par expression g  nique combin  e de la T plastine   Twist  CD158k KIR3DL2 et NKp46 chez les patients   rythrodermiques  L  Michel  F  Jean Louis  C  Ram Wolf  A  Bensussan  M  Bagot    LymphomesT sous cutan  s de type panniculite   exp  rience clinique et anatomo pathologique du  Groupe Fran  ais d Etude des Lymphomes Cutan  s   D  Michonneau     T  Petrella  J  Bruneau  N  Ortonne  S  Barete
24.   La bonne connaissance des plans et des  structures anatomiques profondes en fonction des diff  rentes zones lui permettra d anticiper les difficult  s  de  pr  venir les complications et d expliquer au patient un   ventuel risque de l  sion anatomique pouvant entrainer  une g  ne fonctionnelle     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmememmm             Pr  sentation g  n  rale     Les maladies auto inflammatoires regroupent des affections rares de l   immunit   inn  e li  es    une d  r  gulation  des voies de l   inflammation ou de l   apoptose dont l   origine est le plus souvent une anomalie monog  nique  Les  maladies prototypes sont les fi  vres r  currentes h  r  ditaires dont les manifestations inflammatoires  intermittentes associent fi  vre   lev  e  s  rites et   ruptions cutan  es dont certaines sont tr  s caract  ristiques   L   amylose secondaire est une complication   volutive grave qui peut   tre pr  venue par l   utilisation de traitements  de fond efficaces        Objectifs     1   Comprendre ce qu est une maladie auto inflammatoire    2   A partir de cas cliniques  exposer la d  marche diagnostique et les modalit  s de prise en charge des  principales fi  vres r  currentes h  r  ditaires  fi  vre M  diterran  enne familiale  d  ficit en m  valonate kinase   syndrome TRAPS  syndromes CAPS  urticaire familiale au froid  syndrome de Muckle Wells et syndrome  CINCA   syndrome PAPA    3   Conna  tre les nouvelles maladies auto inflammatoires 
25.   La peau occupe une grande place dans l   art  dans la symbolique  dans la r  flexion philosophique  dans la culture  de fa  on g  n  rale      il est utile pour le dermatologue de s   ouvrir les yeux et l   esprit sur toutes ces r  flexions        Objectifs     Faire appel    des personnes qui  par leur m  tier  conf  renciers  artistes  philosophes  historiens   qu ils soient  dermatologues ou non  ont acquis une exp  rience dans le d  cryptage de ce que nous ne voyons pas au premier  abord si on ne nous a pas ouvert les yeux sur cela     Acquis souhait  s     Augmenter sa culture g  n  rale    Avoir acquis un autre regard sur notre pratique quotidienne et sur ce que la peau repr  sente dans le domaine  symbolique     10 14 d  cembre 2013  PARIS   Palais des Congr  s    Samedi 14 d  cembre Quoi de neuf               LES QUOI DE NEUF         Grand amphith    tre du Palais des Congr  s de Paris  entresol niveau 0 5   Main Amphitheater of the Paris Convention Center  Mezzanine Level 0 5     Quoi de neuf en DERMATOLOGIE CLINIQUE   09h00   09h25    M  JANIER  CHU Saint Louis  Paris     Quoi de neuf en RECHERCHE DERMATOLOGIQUE   09h25   09h45    D  STAUMONT SALLE  CHRU Claude Huriez  Lille     Quoi de neuf en MEDECINE INTERNE   09h45   10h05    M S  DOUTRE  CHU Haut L  v  que  Bordeaux     Quoi de neuf en DERMATOLOGIE PEDIATRIQUE 10h55  11h10    J  Ph  LACOUR  CHU L   Archet 2   Nice     Quoi de neuf en CANCEROLOGIE   11h10   11h30    G  QUEREUX  CHU H  tel Dieu  Nantes     Quoi
26.   M  Battistella  M  Maynadi   pour le  R  seau LYMPHOPATH  C  Bodemer  0  Hermine  N  Brousse  S  Fra  tag et le Groupe Fran  ais d Etude  des Lymphomes Cutan  s    Les lymphocytes T cutan  s CD4 CD160  sont impliqu  s dans la physiopathologie du mycosis fongo  de  T  Bounfour     N  Sako  L  Michel  V  Schiavon  V  Dessirier  A  Marie Cardine  D  Olive  C  Ram Wolff   M  Bagot  A  Bensussan  C  Schmitt    Expression et r  gulation de l expression de PD 1 et ses ligands PD L1 2 dans les cellules n  oplasiques  du syndrome de S  zary et leur environnement   R  Karkouche     N  Martin Garcia  S  Le Gouvello  C  Cousin  A  Henry  P Dechelotte  P  Courville    M  P  Algros  A  de Muret  A  Carlotti  P  Gaulard  N  Ortonne et GFELC  Groupe Fran  ais d Etude des  Lymphomes Cutan  s     Expression de KIR3DL2 dans les lymphomesT p  riph  riques cutan  s  extra cutan  s et ganglionnaires  N  Ortonne     N  Martin  S  Le Gouvello  M  Bagot  A  Bensussan  P  Gaulard et GFELC  groupe Fran  ais  d   tude des lymphomes cutan  s     TWIST 1   un marqueur mol  culaire des cellules de Sezary sous controle de la voie NFkB  B  Baroudjian  C  Ram Wolf  F  Jean Louis  T  Dendele  A  Bensussan  M  Bagot  L  Michel    Recherche de l   expression de s  quences r  trovirales endog  nes dans les lymphomesT cutan  s    pidermotropes par m  tag  nomique fonctionnelle  0  Dereure   J  P  Moles  J  Cheval  A  du Thanh  V  Foulongne  M  Eloit    Lymphome cutan   anaplasique    grandes cellules CD30  et my
27.   M  Huttner et Projet Th  rapie Prot  ique EDA    Dysplasie ectodermique hypo   anhidrotique   20 patients tunisiens  S  Bouchouicha   A  Khaled  M  Jones  N  Ezzine  F  Zeglaoui  B  Fazaa    Syndrome de Werner   6 cas  L  Boussofara     A  Ramadan  A  Aounallah  M  Belkahla  N  Ghariani  W  Saidi  M  Denguezli   C  Belajouza  R  Nouira      chographie cutan  e haute fr  quence  HFUS  des l  sions de pseudoxanthome   lastique  PXE   M  Guerin  G  Leftheriotis  Y  Le Corre  M  Etienne  R  Amode  A  Crou    N  Navasiolava  J  F  Hamel   0  Le Saux  L  Machet  L  Martin    Les manifestations cardiologiques graves sont tr  s rares au cours du pseudoxanthome   lastique  L  Martin  G  Terrien  L  Bi  re  Y  Le Corre  G  Leftheriotis  F  Prunier    Syndrome de Birt Hogg Dub   et scl  rose tub  reuse de Bourneville   un d  fi histopathologique  P Spring     F  Fellmann  S  Giraud  H  Clayton  D  Hohl    Une nouvelle famille atteinte de syndrome ADULT  C  Boulard     S  L  ger  A  Goldenberg  T  Frebourg  P  Joly    Pseudo k  ratodermie aquag  nique chez une patiente h  t  rozygote pour une nouvelle mutation de la  mucoviscidose  M  Nadaf  B  Laudier  E  Est  ve    Identification de la premi  re mutation non sens de la corn  odesmosine avec expression d   une prot  ine  tronqu  e et causant un peeling skin syndrome  type B   A  Mallet  M  Kypriotou  K  George  E  Leclerc  D  Rivero  J  Mazereeuw Hautier  G  Serre  M  Huber    N  Jonca  D  Hohl    Piloleiomyome cutan     un diagnostic
28.   M  Maurer  H  J  Hsieh  J  Canvin  S  Saini  C  Grattan    A  Gim  nez Arnau  A  Kaplan  K  Ros  n    Granulomatose cutan  e g  n  ralis  e r  v  lant un syndrome my  lodysplasique  C  Salzes     K  Ezzedine  B  Milpied  A  Ta  eb  J  Seneschal    Utilit   du vaccin polyosidique contre le pneumocoque chez les patients trait  s par immunosuppresseurs  pour une maladie inflammatoire de la peau  L  Fischer     E  Laffite  S  Lopes  P Francis Gerstel  C  A  Siegrist  J  Seebach  C  Ribi    Vascularite cutan  e cons  cutive au traitement d   une gale profuse  E  Bou Assf  B  Bel  S  Dalac  F  Ferrari  G  Jeudy  M  H  Aubriot Lorton  E  Collet  P  Vabres    Le vitiligo   un nouveau signe d     tat r  actionnel    L  Bonnecarr  re   N  Cordel  I  Fabre    R  mission de 3 patients PASH sous combinaison antibio chirurgicale  0  Join Lambert  H  Coignard  S  Miskinyte  M  Delage  0  Lortholary  X  Nassif  A  Hovnanian   A  S  Nassif    Angiomatose dermique diffuse   une complication rare de l   ath  roscl  rose  A propos de deux    observations  E  Crickx     A  Saussine  M  D  Vignon Pennamen  F  Cordoliani  F  Mouly  M  Bagot  M  Rybojad       129    P290    P291    P292    P293    P294    P295    P296    P297    P298    P299    P300    P301    P302    P303    16 ha S  e mbre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       D  pistage pr  coce de la dysplasie ectodermique anhidrotique li  e    l   X gr  ce    l analyse de    photographies de patients  S  Hadj Rabia     C  Bodemer  K
29.   P277    P278    P279    P280    P281    P282    P283    P284    P285    P286    P287    P288    1e Se mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre Dr    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Dermatose pustuleuse   rosive du cuir chevelu et dermatose pustuleuse   rosive de jambe sur sites de  greffe cutan  e et de prise de greffe  B  Roche Kubler     C  Monnin  S  R  Sun  M  Alao  A  S  Dupond    R  action granulomateuse    l   huile de vaseline  C  P  quier Valette     F  Siberchicot  B  Vergier  F  Plantier  M  S  Doutre  M  Beylot Barry    Corr  lation entre manifestations cutan  es de la grossesse et sexe du foetus  M  Msedd     M  Frikha  D  Abid  K  Chaab  ne  I  Chami  S  Boudaya  H  Amouri  H  Turki    Linea nigra et tumeurs de la prostate  F Ly  0  Benhiba  A  Diop     M  Diallo  L  Niang  M  Ndiaye  E  Daguadou  B  Diao  B  A  Diatta  P  A  Fall   S  M  Gueye  A  Kane    Pelade et d  pression  N  Guerouaz     H  Benhiba  A  Abdou  M  Ait Ourharoui  K  Senouci  B  Hassam    Pelade en   chec th  rapeutique   int  r  t du m  thotrexate seul ou associ      une corticoth  rapie orale  D  Anusef   G  Perceau  P  Bernard  Z  Reguiai    Pityriasis rubra pilaire   16 cas  I  Chami     S  Boudaya  M  Amouri  A  Masmoudi  H  Chaabene  M  Mseddi  H  Turki    Efficacit   et tol  rance de l   omalizumab dans l   urticaire chronique spontan    UCS    r  sultats d   une   tude  de phase 3  randomis  e  en double aveugle  versus placebo   J  P Ortonne   M  Viguier  T  Casale
30.   Robert  E  Routier  C  Mateus  C  Charles  E  Lannoy    Mutation homozygote du g  ne BRAF dans le m  lanome cutan    L  Baudoux      Z  H  lias Rodzewitz  A  Beauchet  J  F  Emile  P  Saiag    Efficacit   spectaculaire d   un inhibiteur de B Raf chez un patient avec m  lanome stade IIIC non op  rable  mut   BRAF L597R  C  Lenormand     R  Heller  B  Cribier  D  Lipsker    D  couverte d   une nouvelle mutation complexe de BRAF V600 K601 gt D associ  e    une r  ponse au  vemurafenib chez un patient avec un m  lanome m  tastatique   B  Busser     M  T  Leccia  G  Gras Combe  I  Bricault  I  Templier  A  Claeys  M  J  Richard  F  de Fraipont   J  Charles    Diab  te insipide sous ipilimumab chez un patient atteint de m  lanome  M  Eusen     M  Dolz  A  L  Dupuy  M  H  rault  P  Schoenlaub    Synergie d   association ipilimumab radioth  rapie  un exemple d effet abscopal    J  Roux     C  Pages  C  Comte  B  Mbarek  P  Schneider  I  Madelaine  M  Battistella  S  Mourah  M  Bagot   C  Lebb      Patients avec m  lanome m  tastatique longs r  pondeurs    l   ipilimumab  M  Fort  P Schneider  C  Pag  s  J  Roux  N  Madjlessi  M  Viguier  N  Basset Seguin  E  De Kerviler   M  Bagot  C  Lebb      Vitiligo induit par traitement anti PD 1   un signe associ      la r  ponse antitumorale    L  Boussemarf   C  Hua  C  Mateus  E  Routier  H  Cazenave  G  Sebille  M  Thomas  R  Viollet  S  Roy   G  Tomasic  C  Robert       P135    P136    P137    P138    P139    P140    P141    P142    P143
31.   S  DEBARBIEUX   J  KANITAKIS  B  LABEILLE   J L  PERROT    Pour le groupe th  matique  Imagerie Cutan  e Non  Invasive de la SFD    Coordonn   par S  DEBARBIEUX    25    1LPea  cmEre 2013    Mardi 10 d  cembre Ateliers    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Nombre de participants limit      30                    Pr  sentation g  n  rale     Les dermatologues sont souvent confront  s    des situations o   des probl  mes psychologiques ou psychiatriques  sont associ  s    des l  sions cutan  es  lls sont alors souvent assez d  sempar  s car ils manquent de formation  en psychologie ou psychiatrie ou bien n   osent pas utiliser leurs connaissances  Pourtant  ils ne peuvent souvent  pas adresser    un    psy    et doivent donc d  finir leur propre conduite    tenir        Objectifs    A partir de cas cliniques illustratifs  l objectif de cet atelier est de faire   merger de la discussion une attitude en  pratique courante  et d   en discuter les avantages et les inconv  nients  sans aucun dogmatisme     Acquis souhait  s    Discuter les interactions psycho dermatologiques et savoir d  finir son propre champ d intervention possible ou  bien les indications de l   adressage au psychiatre ou au psychologue     Nombre de participants limit      40    mn    Pr  sentation g  n  rale     La microscopie confocale in vivo  MCIV  est une technique d   imagerie non invasive qui permet de visualiser en  temps r  el les structures cutan  es superficielles  de la couche corn  e au derme 
32.   S  Scalvino   L  Michel  P  Reygagne  C  Gasnier  Z  Hamidou  S  Bianovici  P  Gasser  E  Lati  M  Hocquaux  P11   D  veloppement et utilisation d   un mod  le d   h  matome induit pour   valuer l effet d   une association contenant un  extrait d   arnica et de l   apig  nine  S  Robin  C  Courderot Masuyer  H  Tauzin  S  Harbon  S  Mac Mary  S  Trompezinski  M  Chavagnac Bonneville   B  Cadars  E  Jourdan  P  Humbert    P12   Possible implication des miR 203 dans la diminution du potentiel des  cellules souches  des k  ratinocytes en  ciblant le niveau d   expression de la Survivine  C  Serre  F  Labarrade  C  Nizard  M  Dumas  I  Imbert    V  Busuttil  J M  Botto  N  Garcia  Schnebert and N  Domloge  P13   Alt  ration de la Lon prot  ase avec le vieillissement de fibroblastes cutan  s  C  Nizard   M  Moreau  O  Jeanneton  S  Schnebert  A L  Bulteau  P14   Impact de la s  nescence sur la respiration mitochondriale de fibroblastes dermiques  C  Nizard  C  Heus  le  M  Moreau  S  Schnebert  A L  Bulteau  P15   Effet d   un extrait de riz sur la modulation de composants CPC et des variants de la survivine  J M  Botto  F  Labarrade   C  Nizard  M  Dumas  N  Garcia  I  Imbert     V  Busuttil  S  Schnebert and N  Domloge    1e esmore 2015    Lmm      _             PARIS   Palais des Congr  s       14h00 14h30   visite comment  e posters 16   28   P16 P19 P20 P21 P22 P23 P24  3  Immunit   Cutan  e  Maladies Autoimmunes P16   P18  P16   R  gulation de l   expression de la MMP 9 pa
33.   Z  Reguiai et GEM RESOPSO    127       P263    P264    P265    P266    P267    P268    P269    P270    P271    P272    P273    P274    10 14 d  cembre 2013    Vendredi 13 d  cembre Dore    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Survenue d   une p  riart  rite noueuse sous adalimumab  F Dabouz     H  Brixi  P  Brochot  P  Bernard  Z  Reguiai    Evaluation de l int  r  t de l   ustekinumab dans le rhumatisme psoriasique pour les patients  en multi   checs th  rapeutiques en pratique courante  M  Michel  P  Brochot  J  P Eschard  P  Bernard  Z  Reguia      Infections survenues au cours du programme d     tudes cliniques sur le traitement du psoriasis par  l   ustekinumab   rapport final portant sur un suivi de 5 ans  B  Strober     P D  Ghislain  M  Lebwohl  P 0  Szapary    Eruptions cutan  es psoriasiformes sous abatacept  K  Bagny     F  Renou  J  L  Yvin    Comment d  pister un rhumatisme psoriasique   revue syst  matique et m  ta analyse des questionnaires  A  P Villan    M  Rouzaud  M  Sevrain  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  M  Beylot Barry  L  Misery   P Joly  M  Le Ma  tre  S  Aractingi  F  Aubin  A  Cantagrel  J  P Ortonne  D  Jullien    Echographie des enth  ses dans le psoriasis avec ou sans manifestations rhumatologiques     tude  prospective sur 34 patients   C  Albert Sabonnadi  re  H  Montaudi       E  Acquacalda  E  Fontas  A  Danr    C  Roux  J  P Lacour   T  Passeron  L  Euller Ziegler    Un cas de pyoderma gangrenosum   ruptif secondaire    l   abus d
34.   cine  J  Hardy  N  Bibas   E  Bon  C  Paul  J  Nougu      Lentiginose   ruptive   une cause rare et m  connue de lentiginose cutan  e diffuse  M  Lerisson     E  Frouin  B  Guillot    Facteurs de gravit   li  s    lhirsutisme     tude cas t  moins    propos de 84 cas  H  Hammami Ghorbel   R  Benmously  S  Mokni  M  S  Kassar  T  Badri  B  Zouari  I  Mokhtar   S  Fenniche       FORUM 13    10 14 d  cembre 2013    Jeudi 12 d  cembre    Forum de   Association des Dermatologistes Francophones    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmn    Salle 251 16h15   17h45      Coordonnateur   J  VULLIET    CAS CLINIQUES ADF   1   partie    F1    F2    F3    F4    F5    F6    F7    Pr  sidents de s  ances   N  ISMAILI  A  SAHI  P  YOHOUE YAO  C  DEL FORNO  Eruption cutan  e pityriasis rubra pilaire like induite par l insuline  A  Zaouak  T  Badri  S  Fenniche  H  Hammami  W  Koubaa  A  Debbiche  R  Benmously  I  Mokhtar    Angiosarcome cutan   compliquant une scl  rodermie syst  mique  M  Diallo  F  Ly   S  Diallo  N B  Seck  N D  Diack  S  Diadie  M T  Diop  B A  Diatta  M  Ndiaye  A  Diop   S 0  Niang  M T  Dieng  A  Kane    Dermatose neutrophilique multifocale  F  Toukal  F  Ait Belkacem  S  Zobiri  Aid Belarbi  I  Benkaidali    Une forme atypique de nodule de soeur Marie Joseph    S  Norotiana Andriamiharisoa  I  Ranaivo  V  Andriananja  L  Soavina Ramarozatovo  Rapelanoro  Rabenja    Le fardeau de deux fami
35.   decin    A l issue de cet atelier  les participants auront acquis diff  rents outils ou techniques pour optimiser la  communication dans leur pratique quotidienne avec les patients et ou leurs proches     1LS    ecsmEre 2015    PARIS   Palais des Congr  s    ke          EMCI re       Ne plus subir les plaies Pr  sentation g  n  rale     Les ulc  res de jambe repr  sentent un v  ritable probl  me de sant   publique et le vieillissement de la population  H  MAILLARD  G  CHABY promet une augmentation in  luctable de la pr  valence  Le Dermatologue  en tant qu    expert de la cicatrisation  C  BARA PASSOT est souvent sollicit   pour optimiser la prise en charge     Pour le Groupe  d   Angiodermatologie  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    Objectifs       Savoir d  gager un organigramme de prise en charge avec une m  thode diagnostique qui int  gre les  recommandations actuelles  indice de pression systolique  indications de l   chographie Doppler   Conna  tre la  place des autres techniques d exploration  TCPO2         Une fois le diagnostic d   ulc  re vasculaire confirm    savoir traiter en fonction de la cause   l   ulc  re veineux  n  cessite de bien maitriser la compression  nouvelles recommandations HAS   et les   pansements modernes     Une revue actualis  e des   tudes publi  es sur les pansements sera r  alis  e      Savoir mettre en place un projet th  rapeutique   prise en charge de la d  nutrition   ventuelle    booster   la plaie   d  terger rapidement p
36.   es    chaque cas  Elles seront rapidement pr  sent  es  ainsi que les r  sultats esp  r  s  et les inconv  nients possibles    Ces propositions seront ensuite discut  es par les orateurs et les participants au Forum        Objectifs     Savoir analyser un visage  dans sa globalit   et ses d  tails  au repos et surtout    l     tat dynamique  En accord avec  le patient  d  terminer les d  fauts pr  dominants et les objectifs d   une correction esth  tique personnalis  e   Conna  tre et savoir hi  rarchiser les techniques de corrections possibles  les r  sultats esp  r  s et les effets  secondaires possibles     Acquis souhait  s     Devant un patient ou plus souvent une patiente consultant pour une correction esth  tique du visage  adopter  une d  marche logique et pr  cise bas  e sur un examen attentif  Savoir d  gager des objectifs raisonnables   Conna  tre les techniques de correction  leurs avantages et leurs inconv  nients     mm mmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale     La vulvodynie est un inconfort vulvaire chronique    type de br  lure sans l  sion visible pertinente  L   inconfort est  spontan   ou provoqu    par le contact   circonscrit ou diffus  La vestibulodynie provoqu  e  ex vestibulites  est la  principale cause de dyspareunie chez la jeune femme  Pourtant  la vulvodynie est une entit   mal connue des  m  decins et les patientes effectuent souvent un long parcours jalonn   de    vous n avez rien    ou 
37.   hender les modes de transmission et la prise en charge aujourd   hui  essentiellement symptomatique   douleur    d  me  retentissement orthop  dique et esth  tique  complications  h  morragiques et thrombotiques  infectieuses        Objectifs        partir de cas cliniques interactifs  nous aimerions aborder les points qui permettront de mieux cerner    1  le diagnostic et les m  canismes des complications des AV  et les traitements propos  s    2  les m  canismes expliquant leur survenue et les perspectives th  rapeutiques qu ils offrent     Acquis souhait  s    Savoir reconnaitre les diff  rents types d anomalies vasculaires  leurs complications potentielles et les   l  ments  n  cessaires    recueillir pour d  pister une forme familiale de la maladie     S  ance interactive avec digicodes       EMC 15    Les maladies rares   de la peau    d  but  p  diatrique en un coup  d   il   J  MAZEREEUW HAUTIER   E  BOURRAT  C  CHIAVERINI    EMC 16    Cas cliniques de  dermatologie et m  decine  interne    M S  DOUTRE   E  KOSTRZEWA  S  LY    34    PARIS   Palais des Congr  s    He e smore 201S    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Reconna  tre une maladie rare de la peau  maladie le plus souvent d   origine g  n  tique et d  butant habituellement  dans l   enfance  se pr  sentant sous la forme d   un trouble de la pigmentation  anomalie de la k  ratinisation   bulles  l  sion vasculaire etc     est consid  r  e par les dermatologues comme une t  che diffici
38.   l  e multi doses versus placebo   C  L  aut   Labr  ze   J  Mazereeuw Hautier  L  Guibaud  S  Barbarot  A  Maruani  0  Boccara   F Cambazard  C  Chiaverini  E  Bourrat  P  Vabres  P  Souteyrand  J  J  Voisard    Prise en charge du psoriasis pustuleux palmoplantaire  PPPP    analyse syst  matique de la litt  rature  M  Sevrain   A  Villani  M  Rouzaud  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  M  Beylot Barry  D  Jullien   S  Aractingi  F  Aubin  P  Joly  M  Le Maitre  A  Cantagrel  J  P  Ortonne  L  Misery    Traitement du rhumatisme psoriasique  hors bioth  rapie      valuation de la qualit   m  thodologique des  recommandations internationales   M  Sevrain   A  Villani  M  Rouzaud  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  M  Beylot Barry  D  Jullien   S  Aractingi  F  Aubin  P  Joly  M  Le Maitre  A  Cantagrel  J  P  Ortonne  L  Misery    16 Pa   e mbre 2013    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    Bulles et Affections muqueuses    nm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmmmmm       PARIS   Palais des Congr  s    ke          Pr  sidents   0  Dereure  S  Oro  L  Borradori    CO 046 D  finition des seuils de s  v  rit   du pemphigus    partir des scores ABSIS et PDAI  C  Boulard     A  C  Bouyeure  E  Houivet  L  Borradori  C  Huenefeld  E  Schmidt  B  Marinovic   G  Zambruno  C  Feliciani  C  Prost  C  Picard Dahan  S  Duvert Lehembre  B  Labeille  C  Paul   M  A  Richard  S  Dalac  P  Bernard  A  Dupuy  F  Caux  J  D  Bouaziz  S  Oro  M  Avenel Audran   L 
39.   par  S  LAGRANGE etA  LY    21     Osie sesmoe 2013    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     A partir de cas cliniques et vid  os des interventions les plus courantes  nous passerons en revue les bases de  la dermatologie chirurgicale  La plus grande partie de l atelier  3 heures  sera pratique avec apprentissage sur  pieds de porc encadr   par les moniteurs   tenue des instruments   orientation des lignes d   incision   incisions  fusiformes   points et techniques de suture     correction des exc  s tissulaires  Au long de la session  des expos  s  th  oriques de 5    10 minutes feront le point sur   organisation du cabinet    quipement  mat  riel et gestion des  d  chets     anesth  sie locale     marges d   ex  r  se   dessin et r  alisation de l   incision     correction des exc  s  tissulaires     h  mostase   choix du fil et suture     pansement et suivi post op  ratoire    Un fascicule d  taill    disponible en ligne  compl  tera ces expos  s volontairement concis pour privil  gier les  travaux pratiques        Objectifs    Donner les bases techniques et th  oriques indispensables    la pratique quotidienne de la partie chirurgicale de  notre sp  cialit       Acquis souhait  s     Les participants auront acquis les techniques d   incision et d ex  r  se  de suture  de correction des exc  s  tissulaires et de pansement indispensables    la prise en charge chirurgicale des l  sions dermatologiques  courantes avec un 
40.   un ulc  re vasculaire   Conna  tre les examens compl  mentaires utiles et le r  sultat attendu    Conna  tre la prise en charge des ulc  rations de jambe pr  sent  es en cas cliniques    S  ance interactive avec digicodes          EMC 54    Testez vous en  dermatologie buccale      L  VAILLANT  B  HUTTENBERGER   M  SAMIMI    EMC 55    Quoi de neuf sur le  m  lanome      Ph  SAIAG  B  DRENO  J J  GROB    54     Ose esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     La dermatologie buccale recouvre des aspects cliniques bien particuliers  que ce soit des dermatoses  sp  cifiquement buccales  parfois peu connues du dermatologue  ou l expression en bouche de maladies  g  n  rales dermatologiques ou non  Parfois un simple coup d   il suffit au diagnostic  pourvu qu   on ait d  j     t    confront      la pathologie    Cette FMC propose aux dermatologues de tester leurs performances diagnostiques en dermatologie buccale        Objectifs     Tester ses performances diagnostiques en dermatologie buccale sous forme de quizz rapides  L objectif est  d aborder tout un panel iconographique d   affections buccales ainsi que l   expression en bouche de maladies  g  n  rales     vis  e essentiellement diagnostique  On s   int  ressera entre autres aux affections sp  cifiquement  buccales parfois peu connues des dermatologues  dont le diagnostic se fait parfois    au coup d   il     Pour  certaines affections sp  cifiques  la prise en c
41.   une nouvelle approche th  rapeutique  Pr Nicole Basset Seguin  Pr Bernard Guillot    87    He esmore 2013    Lmm      _   _          PARIS   Palais des Congr  s             REMISE DES PRIX          Programme indicatif et modifiable    Mercredi 11 d  cembre Salle Maillot    17h45 e Prix CEDEF   JDP des deux meilleurs cas cliniques des juniors    e Prix Malpighi du CEDEF  La Roche Posay     Jeudi 12 d  cembre Amphi Bleu    11h00 e Prix Robert Degos  Galderma     e Bourses de recherche ROCHE sur le m  lanome et les autres tumeurs cutan  es  hors lymphome     Roche en partenariat avec le Groupe de Canc  rologie Cutan  e de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie     12h00 e Remise de l   ILDS Award par le Professeur J H  Saurat  Past Pr  sident de l   ILDS   Vendredi 13 d  cembre Amphi Bleu   11h00 e Prix Fondation Bioderma   16h00 e Prix des 3 meilleures Communications Orales des Journ  es Dermatologiques de Paris     Comit   de s  lection des JDP     SedM  s  cembre E elenina  10h05   10h55 e Prix de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  e Bourses de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie et des Journ  es Dermatologiques de Paris  e Prix des Annales de Dermatologie  Laboratoires Pierre Fabre Dermatologie   e Prix du meilleur poster des Journ  es Dermatologiques de Paris  Comit   de s  lection des JDP   e Prix Charles Grupper  Laboratoires L  o Pharma     e Prix international Jean Civatte de Dermatopathologie  Laboratoires Pierre Fabre Dermo cosm  tique     e Prix de reche
42.  2013  TP     Acquis souhait  s    Au d  cours de la session  les participants seront en mesure de mieux conna  tre les potentialit  s des lasers    tudi  s        FORUM 18    Prise en charge et suivi  dermatologique au sein de  missions humanitaires    un d  fi      H  DARIE  B  LAUNAIS   J P  GAITZ  S  LEDERLE   M  CHEMIDLING  Y  FARCET    He esmore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     L implication de dermatologues est indispensable dans le cadre de missions humanitaires    Il est important que ces missions de courte dur  e soient multidisciplinaires       Afin de d  pister des dermatoses qui n auraient pas forc  ment motiv   le patient    consulter     Pour une prise en charge globale des patients        Le dermatologue pourra       Traiter m  dicalement ou chirurgicalement des probl  mes ponctuels      Diriger vers les centres de sant   les porteurs de maladies prises en charge par le gouvernement  l  pre   tuberculose  VIH          Instaurer un suivi pour les pathologies dermatologiques chroniques  biopsie    l appui  chromomycoses  ulc  re  phag  d  niques  myc  tomes           Par la r  p  tition des passages      Ou et par la formation de personnel m  dical et param  dical sur place     Probl  me r  current      P  rennisation de l   action dans la cadre administratif et r  glementaire de chaque pays     Financement     Objectifs     Montrer l importance d   une action dermatologique  au sein de missions mu
43.  Attal  C  Paul    Cutis laxa acquise r  v  lant une gammapathie monoclonale    IgG compliqu  e d   une n  phropathie  E  Combes     C  Gaudy Marqueste  E  Archier  S  Mallet  S  Monestier  J  J  Grob  M  A  Richard    Dermatoses neutrophiliques et gammapathies monoclonales   26 cas et revue de la litt  rature  G  Monsef  R  Szalat  M  Battistella  M  D  Vignon Pennamen  M  Bagot  J  P  Fermand  B  Asli   M  Rybojad    Fasciite de Shulman et aplasie m  dullaire idiopathique   description de 4 cas et revue de 19 cas de la  litt  rature   A  De Masson     J  D  Bouaziz  R  Peffault de Latour  Y  Benhamou  C  Molu  on Chabrot  J  0  Bay    A  Laquerri  re  J  M  Picquenot  D  Michonneau  V  Leguy Seguin  B  Bonnotte  F  Jardin  H  L  vesque   G  Soci    M  Bagot  M  Rybojad    Un syndrome hyper  osinophilique avec mutation JAK2  C  Becquar    E  Pape  M  Wemeau  L  Terriou  0  Nibourel  G  Lef  vre  E  Delaporte  D  Staumont Sall      Syndrome d   hyper  osinophilie essentielle associ      une pachydermatoglyphie ou    tripe palms     C  Barrachin   C  Fabre  P Stoebner  L  Meunier  M  Dandurand    Lupus   ryth  mateux satellite d   une leuc  mie lympho  de chronique     Ebers    C  Pernet  E  Frouin  B  Guillot  C  Girard    Atteinte cutan  e de la maladie d   Erdheim Chester   4 cas  A  Bertolotti   L  Raffray  F  Liferman  M  S  Doutre  M  Longy Boursier  M  Beylot Barry    V  g  tations p  ri anales pseudocondylomateuses au cours d   une amylose chez un h  modialys    chroni
44.  B  Balme  F  Plantier  B  Cavelier Balloy  U  Zimmermann  T  Clerici   N  Ortonne  I  Moulonguet  A  Carlotti  P  Moguelet  L  Pinquier  J  Andr    U  Sass  M  Grossin  B  Cribier  et Section d   Histopathologie cutan  e de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie    C0 018 Allogreffes de tissus composites chez l   homme  suivi dermatologique de 9 cas  6 mains 3 visages   J  Kanitakis     P  Petruzzo  A  Gazarian  S  Testelin  B  Devauchelle  L  Badet  E  Morelon   J  M  Dubernard    91       92    CO 019    CO 020    CO 021    CO 022    CO 023    CO 024    CO 025    CO 026    CO 027    1e Se mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    Lmm      _   _          mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm      Amphith    tre Bleu 11h00   12h30 j       Pr  sidents   L  Machet  F  Truchetet  F  Ly    Surveillance mol  culaire de la r  sistance aux pyr  thrino  des de Sarcoptes scabiei  R  Durand     V  Andriantsoanirina  F  Botterel  F  Foulet  A  Izri  0  Chosidow    Dermatoses rampantes chez 78 patients   diversit   des diagnostics   tiologiques  C  Vanhaecke  A  Perignon  S  R  gnier G  Monsel  L  Paris  E  Caumes     Leishmaniose cutan  e   efficacit   de la clarithromycine chez l enfant  Z  Quadi   0  Hocar  N  Akhdari  S  Amal       R  duction majeure de la fr  quence des condylomes ano g  nitaux en situation r  elle dans la population  cible de la vaccination anti PVH quadrivalente   premiers r  sultats Fran  ais 
45.  Derancour    H  Lucron  W  C  cile  D  Vidaud  E  Sarrazin    Porok  ratose  craniost  nose et anomalie anale   2 nouveaux cas dans une m  me famille  A  Ghanen    J  Korkomaz  R  Tomb    Maladies infectieuses    130    P309    P310    P311    P312    P313    P314    P315    P316    P317    Pustulose aseptique et spondylarthrite r  v  lant une infection    Mycobacterium bovis  M  Tardieu     A  Saussine  J  D  Bouaziz  F  Guibal  M  Rybojad  M  Bagot    Tuberculose cutan  e induite par le t  lapr  vir   un cas de syndrome inflammatoire de reconstitution  immune    C  Hurabielle     C  Fite  L  Deschamps  T  Asselah  B  Crickx  V  Descamps    Tuberculose cutan  e     tude r  trospective monocentrique de 13 cas en France m  tropolitaine  P Bilar      C  Sin  A  Marchal  W  Abdoul Rahim  M  Grossin  E  Mah    M  L  Sigal    Premiers cas d infection cutan  e diffuse    Mycobacterium chelonae apr  s allogreffe de cellules souches  h  matopo    tiques  A  Saussine  C  Ferry  F  Guibal  M  D  Vignon Pennamen  M  Bagot  J  D  Bouaziz    La l  pre dans la ville de Conakry     tude r  trospective de 423 cas  M  Keita     M  M  Soumah  A  Doumbouya  B  Dian    T  M  Tounkara  A  D  Camara  A  Camara  H  Bald     M  S  Kaba  M  Ciss      Toxicit   pancr  atique de l   antimoniate de m  glumine dans le traitement de la leishmaniose cutan  e  W  Kaab       K  Jaber  N  Litaiem  J  El Khalifa  M  R  Dhaoui  S  Youssef  N  Doss    Leishmaniose cutan  omuqueuse    Leishmania infantum mimant 
46.  Dotto  Lausanne  Suisse    Tumorig  n  se et expansion des tumeurs   pith  liales      l   origine  la perte de la voie de signalisation NOTCH CSL   m  senchymateuse   Communications orales C30   C33   C30   Carcinome   pidermoide cutan   associ      des cellules tumorales p53 positives mut  es d  rivant de cellules    pith  liales du rein transplant    L Verneuil   M Varna  P  Ratajczak  C  Leboeuf  F  Plassa  M  Elbouchtaoui  P  Schneider  C  Lebb    M N  Peraldi   F  Sigaux  H  de Th    A  Janin   C31   La mutation NRAS est la seule mutation r  currente au sein des naevus cong  nitaux  C  Charbel  R  Fontaine  G  Malouf  A  Picard  N  Kadlub  A  How Kit  A  Coulomb  J  Tost  S  Mourah  S  Aractingi   S  Gu  gan    C32   Inhibition de CDK4 dans des lign  es de m  lanome avec amplification de Cycline D1 ou de CDK4  A  Finet Benyair   M  Bagot  A  Bensussan  N  Dumaz   C33   CDH1   un r  le dans la pr  disposition au m  lanome    M  Benfodda   H  H HU  A  Riffault  V  Descamps  M  Bagot  Bensussan  B  Grandchamp  N  Soufir   Pause    17h10   18h30 Recherche clinique et translationnelle       Mod  rateurs   C  leste Lebb   et Florent Grange    17h10    17h35    18h15    18h30    Laurence Zitvogel  Paris   Un nouveau mode d action de l   Ipilimumab dans le m  lanome    Communications orales C34   C37   C34   Potentiel anti tumoral des cellules Natural Killer circulantes et infiltrant les m  tastases ganglionnaires  des patients atteints de m  lanome    diff  rents stades   vol
47.  E mail   info jdp2013 com ou inscription jdp2013 com  Ou venez nous voir aux banques d accueil du congr  s     Le secr  tariat du congr  s  accueil  retrait des dossiers et inscriptions sur place  est situ   au NIVEAU 3   Hall Havane  c  t   Neuilly  du Palais des Congr  s  voir plan  et est ouvert        du MARDI 10 DECEMBRE au VENDREDI 13 DECEMBRE 2013 de 8H00    18H00    le SAMEDI 14 DECEMBRE 2013 de 8H00    12H00  accueil entresol niveau 01 2    Les personnes d  sirant s inscrire sur place pourront aussi le faire aux bornes    auto inscriptions        Le secr  tariat est joignable sur site au 01 40 68 65 56     Le port du badge qui vous sera remis est obligatoire pour acc  der aux s  ances de travail et    toutes les  manifestations organis  es dans le cadre des Journ  es Dermatologiques de Paris     Il s   agit d   une carte    code barre contenant tous vos choix  donc indispensable pour acc  der aux sessions ou    v  nements     Les cartes perdues  oubli  es ne seront pas remplac  es     Les s  ances de communications  de discussions de posters et les conf  rences en s  ances pl  ni  res sont  d   acc  s libre une fois les droits au congr  s acquitt  s     Les sessions de FMC  ateliers  forums sont soumises    une pr   r  servation  voir programme  sauf pour le  samedi 14 d  cembre matin o   il n   est pas n  cessaire de se pr  inscrire   toute personne inscrite aux JDP 2013  aura acc  s le samedi matin aux s  ances des QUOI DE NEUF sur pr  sentation de son badge     1
48.  Fran  ois  C  Poreaux  J  L  Schmutz  A  Barbaud      Dermite des T  phras     nouvelle maladie    caract  re professionnel  M  C  Ferrier Le Bou  dec     A  Gaillard  J  Cayrol  G  Vernet  M  D   Incan    D  monstration in vitro par ELISpot d   une r  action d   hypersensibilit   retard  e    Argas reflexus  Tique du  Pigeon  se pr  sentant comme une cellulite de Wells  C  Martin     S  Debarbieux  A  Rozi  res  C  Hilger  F  B  rard    Analyse   pid  miologique d   une cohorte de patients atteints de dermatite atopique  J  L  Bourrain   N  Raison Peyron  A  Du Thanh  0  Dereure    Lurticaire pigmentaire  mode de r  v  lation des mastocytoses syst  miques en Dermatologie  F Locatelli     F  Pelletier  E  Daguindau  F  Aubin  P  Humbert    Carcinomes et autres tumeurs    109    P023    P024    P025    P026    P027    Fibrok  ratome ungu  al atypique  A  Abdou     H  Bourra  N  El Moussaoui  F  Z  Lamchahab  M  Ait Ourhroui  K  Senouci  B  Hassam    Un doigt    l honneur  Diagnostic difficile d   une tumeur rare   la pseudotumeur fibro osseuse  B  Sassolas     D  Cornec  D  Le Nen  A  Saraux    H  mangioendotheliome pseudo myog  nique cutan   de la verge  C  Therene   C  Fletcher  A  Karam  L  Misery    Le carcinome   pidermo  de de la verge en population afro carib  enne   donn  es guadeloup  ennes  2000 2012  N  Corde    M  Fofana  M  Trival  B  Tressi  res    Carcinome   pidermo  de vulvaire sous vemurafenib  C  Gaudy Marqueste     A  Levy Bencheton  S  Monestier  S  Malle
49.  Ils se  voient souvent sans leurs femmes    Pour mieux en parler  Et puis un soir  tout bascule     Leur amiti   va   tre soumise    rude   preuve          Les tarifs   70     pour les congressistes   90     pour les accompagnants    Une importante exposition scientifique aura lieu pendant les JDP 2013 au Niveau 2 du Palais des Congr  s dans  le Hall Maillot  du mercredi 11 au vendredi 13 d  cembre 2013    Pour tout renseignement  veuillez vous adresser au Secr  tariat Scientifique et Exposition     SFD   Sylvie FOJUTOWSKI   Marie Jo DINANT   25  rue La Bo  tie   75008 Paris   T  l     33  01 43 27 01 67 ou 56   Fax     33  01 43 27 01 86    Le plan de l exposition avec les noms et la situation des laboratoires pharmaceutiques  des soci  t  s  exposantes  de la Maison de la Dermatologie et de l   espace internet  est fourni sur place dans la sacoche du  congr  s     l   int  rieur du guide de l exposition comportant toutes les informations sur les exposants     Le Palais des Congr  s de Paris est un lieu non fumeur  Nous vous rappelons que conform  ment    la loi  il est  interdit de fumer dans TOUTE l   enceinte du Palais des Congr  s     Par   gard pour les orateurs et participants  il est rappel   que les t  l  phones portables doivent   tre   teints  dans les salles de r  union  Nous vous remercions de votre compr  hension     La SFD et MCI ne peuvent pas   tre tenus pour responsables de l interruption ou de l   annulation du congr  s  survenant par suite d   v  nements 
50.  Misery  B  Sassolas  M  Alexandre  M  D   Incan  E  Delaporte  C  Bedane  G  Quereux  L  Machet   P  Vabre  0  Dereure  F  Skowron  N  Franck  M  Beylot Barry  N  Beneton Benhard  S  Debarbieux   D  Jullien  J  Benichou  V  Ferranti D  Murrell  M  Hertl  P  Joly    et Pemphigus European Network FP7   Groupe Bulle de la SFD    CO 047 Les caract  ristiques de l   atteinte ungu  ale au cours du pemphigus      propos de 34 patients  N  El Moussaoui   H  Bourra  A  Abdou  S  Zarkik  K  Senouci  B  Hassam    CO 048 Pemphigo  de des muqueuses  PM  avec atteinte   sophagienne   s  rie de 26 cas  0  Zehou     M  Alexandre  J  J  Raynaud  R  Benamouzig  L  Laroche  C  Prost    CO 049 L ELISA  collag  ne 7  C7  sur la prot  ine enti  re  ELISA C7 total  est plus sensible que celui sur les  domaines NC1 et NC2  ELISA C7 NC1 NC2  pour le diagnostic d   pidermolyse bulleuse acquise  EBA   V  Seta     F  Aucouturier  J  Bonnefoy  C  Le Roux  S  Mignot  V  Pendaries  M  Alexandre  M  Heller   F  Caux  N  Li  vre  M  Titeux  A  Hovnanian  C  Prost Squarcioni    C0 050 Le statut de la vitamine D chez les patients atteints de pemphigus  M  Bouadd       I  Bouaddi  K  Jouid  H  Benzzi  R  Abouqal  F  Allali  N  Hajjaj Hassouni  B  Hassam    CO 051 Facteurs cliniques et immunologiques associ  s aux rechutes de pemphigo  de bulleuse dans la premi  re  ann  e de traitement     tude multicentrique et prospective  P  Bernard     F  Fichel  C  Barbe  P  Joly  C  Bedane  P  Vabres  F  Truchetet  F  Au
51.  P  Lacour  T  Passeron    Evolution du taux de 25 0H  D sous phototh  rapie UVB TLO1  PUVAth  rapie  bioth  rapie  m  thotrexate     ciclosporine dans le psoriasis  L  Law Ping Man     P L  Nguyen Thi  F  Granel Brocard  C  Poreaux  F  Granel Brocard  F  Chastel   A  Barbaud  J  L  Schmutz    Sommes nous prot  g  s par les cr  mes solaires    M  Zghaf  A  Bhouri  A  E  Jelloul    S  Triki  B  Fazaa    La protoporphyrie   rythropo    tique   enqu  te nationale et influence de l exposition solaire  S  Causse  H  Dutartre  J  C  Deybach  J  M  Nguyen  E  Raffray  M  Pithon  J  F  Stalder  S  Barbarot    Th  rapeutique    119    P153    P154    P155    P156    P157    P158    P159    Pourquoi les patients souffrant de psoriasis refusent de se faire traiter    B  Halioua   A  Motrunich  A  Maury Le Breton  A  De Fontaubert  F  Maunoury  M  E  Roussel   F Dogniaux  J  F  Stalder    Lustekinumab am  liore les capacit  s physiques  la qualit   de vie globale et celle li  e aux probl  mes  articulaires et cutan  s ainsi que la productivit   au travail chez des patients pr  sentant une arthrite  psoriasique active   P  Rahman     L  Puig  A  B  Gottlieb  A  Kavanaugh  I  B  Mcinnes  C  Ritchlin  A  Mendelsohn  C  Han et  PSUMMIT 1 amp 2    Une r  duction du PASI  gt  90   est associ  e    une am  lioration de la qualit   de vie et du prurit   r  sultats  d   une   tude de phase 2 chez des patients atteints de psoriasis en plaque mod  r      s  v  re  trait  s par  ixekizumab   E  Edso
52.  P007    P008    P009    P010    P011    P012    P013    Evaluation de la fiche d   information sur les tests   picutan  s   tablie par le groupe dermato allergologie  de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie   B  Milpied     F  Giordano Labadie  A  Barbaud  J  L  Bourrain  N  Raison Perron  M  Avenel Audran    F  Truchetet  F  Truchetet  H  Assier et le Groupe de travail Dermatoallergologie de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    Patch tests m  dicamenteux   que testons nous exactement    D  Brajon   S  Menetre  A  Barbaud    Int  r  t des explorations allergologiques aux h  parines  C  Phan  A  Vial Dupuy  J  E  Autegarden  E  Amsler  H  Gaouar  C  Pecquet  C  Franc  s  A  Soria    Ecz  ma induit par le golimumab  C  Nizery Guermeur   C  Abasq Thomas  N  Coquart  V  Devauchelle  G  Lemasson  L  Misery    Toxidermie    l   hydroxyzine   un pi  ge    M  Benhayoun     Leroy  A  Spreux  T  Passeron  J  P Lacour  E  Castela       Pseudolymphome post vaccinal tardif   y penser devant des nodules prurigineux des bras  I  Benkemouche   0  laouar    Pustulose exanth  matique aigu   localis  e induite par le contact avec une plante  Thapsia Garganica  et  confirm  e par des tests   picutan  s   1  cas rapport    Y  Soua  M  Mohamed     F  Hammedi  M  Youssef  H  Belhajali  J  Zili    Un DRESS syndrome atypique r  v  lant un ecz  ma allergique de contact    la Cocamide DEA  A  Badaoui   A  Soria  N  Raison Peyron  C  Pecquet  C  Frances    Eryth  me polymoprphe de contact    
53.  P372    P373    P374    P375    P376    P377    1B ee  mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre Er de    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          P  riart  rite noueuse cutan  e avec p  riostite sous jacente trait  e par m  thotrexate  A  Danr     C  Albert  E  Acquacalda  A  Florent  H  Montaudi    J  P Lacour  T  Passeron    Pseudo tumeur inflammatoire cutan  e au cours d   un syndrome hyper IgG4   une observation  exceptionnelle  A  Saussine     M  Rybojad  M  Battistella  C  Zumelzu  M  Grossin  M  Lequintrec  M  Bagot    Nodules du dos des mains  polyarthrite  syndrome de Raynaud et fasciite   le rhumatisme fibroblastique  E  Hau  J  D  Bouaziz  M  Battistella  E  Pertuiset  F  Liot    M  Bagot  M  Rybojad    Manifestations cutan  es isol  es d   une maladie    IgG4  N  Malissen   V  Costes  0  Dereure    Une variante du syndrome polyfibromatosique ou une entit   distincte    E  Cinott     G  Ferrero  F  Paparo  E  Di Maria  F  Faravelli  A  Parodi  F  Rongioletti    Echec des anti IL1  anakinra  dans un syndrome de Schnitzler variant IgG  E  Ha      B  Asli  J  Rivet  A  Saussine  R  Szalat  B  Arnulf  M  Bagot  J  P  Fermand  M  Rybojad   J  D  Bouaziz    Angi  d  mes bradykiniques  AOBK  par d  ficit constitutionnel en aminopeptidase P  APP      tude  r  trospective de 34 patients  A  Marchand     H  Maillard  F  Pelletier  H  Humeau  F  Defendi  C  Drouet  L  Martin et CREAK    Lymph  d  me du sein induit par la rapamycine et disparaissant apr  s son arr  t 
54.  R  Schmidt Guerre  I  Mermet Ginet  F  Pelletier    Devons nous faire un examen anuscopique    toutes nos patientes consultant pour condylomes  anog  nitaux    D  Kottler     0  Aynaud  C  Bergeron  F  Rozenberg  N  Dupin    Infections    VIH2 et VIH Dual dans deux centres de prise en charge de la ville de Conakry  B  Dian       F  Keita  M  A  Bangoura  M  Keita  T  M  Tounkara  M  M  Soumah  H  Bald    A  D  Camara   A  Doumbouya  C  Mohamed    La maladie de Kaposi en hospitalisation   reflet de accessibilit   aux antir  troviraux en pays tropical    Cas du service de dermatologie du CHU de Treichville  Abidjan RCI   E  J  Ecra   S  H  Kourouma  Y  I  Kouassi  A  Sangar    I  Gbery    Efficacit   du cidofovir en intraveineux dans le traitement du molluscum contagiosum g  ant  1  M  Ranaivo   F  Goehringer  M  Foissac  M  Weinborn  J  F  Cuny  A  Barbaud  J  L  Schmutz    Herp  s lingual chronique au cours de la grossesse  M  Sevrain   A  Foret  L  Misery  C  Abasq Thomas    Virome cutan       tude syst  matique par s  quencage haut d  bit  V  Foulongne  V  Sauvage  C  Hebert  0  Dereure   M  Eloit    Purpura isol   des grands plis r  v  lant une primo infection    parvovirus B19  A  Kogge     C  Durant  H  Aubert  S  Barbarot  C  Bernier    Une   ruption    dormir debout  V  Descamps     N  Dournon  L  Deschamps  E  Palazzo  Y  Yazdanpanah  S  Lariven    Int  r  t de la trichoscopie dans le diagnostic et le suivi des teignes du cuir chevelu   une s  rie de  12 patients   Y
55.  S  Bourdu  C  Barbet  M  Burgot  V  Tauveron  F  Desmidt  A  P  Jonville Bera  L  Vaillant  L  Machet     Eryth  me n  crolytique acral  C  Pernef   0  Dereure  E  Frouin  B  Guillot  D  Bessis    Dermatoses inflammatoires et auto immunes associ  es aux h  patopathies auto immunes   une s  rie de    13 cas  A  El Ouni   T  larbi  F  Abbess  M  Abdallah  K  Bouslama  S  Hamzaoui  S  M   rad    Maladie de Whipple et purpura vasculaire  J  Daguze   H  Aubert  C  Durant  E  Soltner  S  Barbarot  J  F  Stalder    Pseudoxanthome   lastique d  velopp   apr  s greffe h  patique  J  Charles     N  Pinel  I  Templier  J  C  Beani  V  Leroy  M  T  Leccia    Calcinose cutan  e des grands plis apr  s greffe h  patique  C  Moulinas     M  Mohr  A  C  Saouli  B  Ellero  M  L  Woehl  B  Cribier    Syndrome de Barraquer Simons  N  Bellon   F  Liot    M  Bagot  E  Bourrat  A  Petit    Transformation blastique d   un syndrome my  lodysplasique r  v  l  e par un infiltrat cutan   langerhansien    r  ponse partielle    l   azacitidine   A  Osio     F  Elfatoiki  E  Raffoux  M  D  Vignon Pennamen  F  Cordoliani  T  Petrella  M  Bagot  A  Janin   M  Battistella  J  D  Bouaziz    135       P379    P380    P381    P382    P383    P384    P385    P386    P387    P388    P389    P390    P391    P392     Oste scemoe 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Vendredi 13 d  cembre re    ke       GvH chronique cutan  o muqueuse d apparition tardive  C  Bulai Livideanu   C  Aquilina  E  Tournier  A  Huynh  M 
56.  S  Fou  r       D  Vexiau Robert  C  P  trequin  M  Bagot  M  Janier     Les comportements    risque d   IST et d infection    VIH au cours du troisi  me   ge  W  Tosin     R  Lefran  ois  C  Pizzocolo  F  Castano  I  Faure  G  Pahlavan  C  Walfard  P  Charbonneau   P  Sednaoui  J  M  Bohbot  B  Halioua    Etude descriptive de la population des patients mineurs de la consultation de d  pistage anonyme et  gratuit de l institut Alfred Fournier   W  Tosin     R  Lefran  ois  C  Pizzocolo  F  Castano  I  Faure  G  Pahlavan  C  Walfard  P  Charbonneau   P  Sednaoui  J  M  Bohbot  B  Halioua    GVH cutan  es chroniques ulc  r  es   spectre clinique et   volutif sur une cohorte r  trospective   de 25 patients   M  Jachie    A  de Masson  R  Peffault de Latour  J  H  Bourhis  M  Robin  M  Rybojad  A  Xhaard   F  Sicre de Fontbrune  F  Suarez  S  Barete  S  Wittnebel  M  Bagot  G  Soci    J  D  Bouaziz    Plaies chroniques et toxicomanie     tude multicentrique nationale  A  Schoeffler   F  Truchetet  G  Perceau  S  Blaise  E  Mah    P  Modiano  C  Debure  A  Llanos   L  LawPingMan  B  Villemur  C  Lok  P  Senet pour le Groupe d   Angio Dermatologie  GAD  de la SFD    Incidence du pyoderma gangrenosum en Martinique  Antilles Fran  aises   E  Amazan  E  Baubion  S  Thimon  N  Ekindi  M  Dieye  D  Quist C  Derancourt       93    CO 028    CO 029    CO 030    CO 031    CO 032    CO 033    CO 034    CO 035    CO 036    16 Pa   e mbre 2013    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales 
57.  Zehou  A  Le Thuaut  0  Chosidow  P  Wolkenstein  P  Espinoza    co 012 Alop  cie circonscrite temporaire apr  s intervention de neuroradiologie interventionnelle   une s  rie de  18 cas  M  Freysz     D  Lipsker  L  Mertz    C0 013 TELEDERMATO   exp  rience pr  liminaire avant d  veloppement du r  seau francilien unissant 2 centres  experts    15 centres p  nitentiaires  E  Mah       C  B  atrice  0  De Bailleux  J  Liber  S  Gasc  C  Sin  M  L  Sigal  F  Moreau    CO 014 L   chographie cutan  e haute fr  quence permet une mesure in vivo fiable et reproductible de l     paisseur  des tumeurs m  lanocytaires  R  sultats de l     tude CAMM4D  N  Meyer     V  Cances Lauwers     Lourari J  Laurent  M  P  Konstantinou  L  Lamant  J  M  Lagarde   B  Krief  H  Batatia  C  Paul    CO 015 Evaluation prospective de la pr  cision diagnostique de l   imagerie multi modale in vivo des l  sions  pigment  es  R  sultats de l   tude CAMM4D  N  Meyer     V  lauwers Cances     Lourari  J  Laurent  M  P  Konstantinou  L  Lamant  J  M  Lagarde   B  Krief  H  Batatia  C  Paul    C0 016 Evaluation de l impact morphologique de la prise en charge chirurgicale des carcinomes basocellulaires  du visage  J  Ofaiche     R  Lopez  T  Meresse  A  Decotte  L  Mortier  J  L  Grolleau  C PN  Meyer    CO 017 Etude anatomo clinique de 30 cas de carcinomes eccrines scl  rosants  carcinome annexiel  microkystique  carcinome syringomateux  carcinome eccrine ductal squamo  de   E  Frouin   M  D  Vignon Pennamen 
58.  cliniques du REV        R  flexions en Vulvologie     M  MOYAL BARRACO    B  CAVELIER  S  LY    Pour le groupe th  matique     Vulve    de la Soci  t      Fran  aise de Dermatologie    ECOC Ol    Urticaire chronique   que dit  le nouveau consensus  international de 2013      P  MATHELIER FUSADE   A  SORIA  E  AMSLER    57    10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale    L un des objectifs du REV est la transmission du savoir en mati  re de pathologie vulvaire  Les membres du REV  ont une exp  rience qu ils souhaitent faire partager    leurs coll  gues        Objectifs    Les cas cliniques  qu   il s agisse de maladies rares ou fr  quentes  seront s  lectionn  s en fonction de leur int  r  t  p  dagogique  Une place importante sera consacr  e aux l  sions pigment  es     Acquis souhait  s     Familiariser les participants avec la pathologie vulvaire    Etendre leurs connaissances dans ce domaine  de mani  re interactive  particuli  rement dans le domaine des  l  sions pigment  es     S  ance interactive avec digicodes    mm mmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Trois ans apr  s la derni  re conf  rence de consensus internationale sur l   urticaire chronique et presque 10 ans  apr  s le consensus fran  ais valid   par l   ANAES  l   urticaire chronique reste un sujet d actualit    Si la classification  s est simplifi  e et si le bilan   tiologique a connu peu de mo
59.  de chirurgie niveau confirm   in vivo en dermatologie    Mardi 10 d  cembre 2013  1 2 journ  e de 4h00  Mardi 10 d  cembre 2013  1 2 journ  e   14h00    18h00 09h00    13h00                                                                               2A ou 2B                   Atelier 8   Auto   valuation en histopathologie cutan  e 100      Mercredi 11 d  cembre 2013  journ  e                 Atelier 3   Atelier de photo dermatologie  Mardi 10 d  cembre 2013  journ  e  09h00    17h30  09h00   17h30 sr                   Atelier 4   Atelier de l    aRED    Pubmed et Zotero     i E  Des ressources pour rep  rer  trier  conserver  classer  Atelier 9   Annoncer une sma ee  nouvelle  S approprier des  Eiteries articles de la litt  rature Medi iS techniques de communication pour d  passer les difficult  s et  Mardi 10 d  cembre 2013  journ  e  r  ussir une alliance avec son patient  Du m  lanome    la   09h00    17h00 dermatologie de tous les jours   r Mercredi 11 d  cembre 2013  1 2 journ  e    O Atelier 5   Atelier de l   aRED    Litt  rature et communication 09h00    12h00   m  dicale   info ou intox   Des outils pour faire le tri 100       Mardi 10 d  cembre 2013  journ  e    09h00    17h00                   Nous vous rappelons que seules les personnes ayant acquitt   les droits d inscription aux JDP 2013 peuvent  s inscrire aux ateliers  FMC et forums   Le prix d inscription aux sessions de FMC est de 25     TTC  sauf FMC 4   40     TTC      Modifications de nom    Les chang
60.  de neuf en THERAPEUTIQUE DERMATOLOGIQUE   11h30   12h00    B  GUILLOT  CHU Saint Eloi   Montpellier     82       16 le S  e mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    SYMPOSIUMS  Satellites    ke                SYMPOSIUMS SATELLITES          Les programmes  tels que publi  s  ont   t   r  dig  s sous la seule et enti  re responsabilit   des laboratoires et soci  t  s organisateurs des symposiums     Mercredi 11 d  cembre    12h45    13h45 LABORATOIRES GLAXOSMITHKLINE   Salle 242 AB Tafinlar    dabrafenib    apport d   un nouvel inhibiteur de BRAF dans le m  lanome m  tastatique   d  s la 1   ligne  Pr  sidents mod  rateurs   Pr  Marie Th  r  se Leccia  CHU Grenoble   Pr Philippe Saiag  H  pital Ambroise  Par   Boulogne     e La voie des MAP kinases   de la science    la pratique  Pr C  leste Lebb    H  pital Saint Louis  Paris     e Tafinlar    dabrafenib    Efficacit   d   une nouvelle option th  rapeutique dans le m  lanome m  tastatique porteur d   une  mutation BRAF V600  Pr Jean Jacques Grob  H  pital La Timone  Marseille     e Gestion en pratique de la tol  rance des inhibiteurs de BRAF  Dr Caroline Robert  Institut Gustave Roussy  Villejuif     12h45    13h45 LABORATOIRES DERMATOLOGIQUES LA ROCHE POSAY   Salle Maillot Microbiome cutan     un nouveau champ d investigation dans l   atopie  Chairman   Pr Christine Bodemer  Chef de Service Dermatologie   H  pital Necker   Enfants Malades  Paris  Intervenants      e Microbiome cutan    Pr Thomas Bieber  Directeur du D  pa
61.  dermatologique qui n   est pas anecdotique    C  Munsch  L  Mourey  L  Lamant  V  Sibaud    Syndrome PENS   la    ligne d   horizon    est elle un signe histologique constant    C  Pernef   J  Munoz  E  Frouin  0  Dereure  D  Bessis    Syndrome H   premier cas fran  ais  A  C  Bursztejn   L  Jonard  B  Cribier  A  Barbaud  D  Martin Coignard  J  L  Schmutz    Syndrome de Woodhouse Sakati   des signes dermatologiques m  connus    A  C  Bursztejn   D  Bonneau  N  Soufir  B  Leheup  L  Martin    Ossifications et ost  omes associ  s au g  ne GNAS1   des maladies complexes  A  C  Bursztejn   M  L  Kottler  D  Hamel Teillac  B  Leheup    Ainhum et k  ratodermie palmoplantaire africaine   3 cas  A  Peti    E  Bourrat       P304    P305    P306    P307    P308    1 lee mbre 2015    Vendredi 13 d  cembre ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Un cas de syndrome de    chevauchement    Schimmelpenning  SSP  et Sturge Weber  SSW   M  Ferneiny     0  Boccara  F  Brunelle  C  Bodemer  S  Hadj Rabia    Pancr  atite chronique et syndrome de Netherton   une nouvelle association  A  Fougerous    A  Ta  eb  K  Ezzedine  B  Milpied  J  Seneschal    Manifestations vasculaires et r  nales inhabituelles du syndrome des hamartomes et tumeurs li  s     PTEN   B  Bel  M  Funes de la Vega  G  Mac Grogan  J  M  Courtois  E  Mourey  J  B  Rivi  re  L  Faivre    M  Longy  P  Vabres    Premi  re observation de syndrome de Legius associ      une malformation cardiaque cong  nitale  C 
62.  diff  rentiels   Savoir aborder le probl  me de la dermite des mains avec le patient     l   aide d un programme sp  cifique  d   ducation th  rapeutique  afin qu   il apprenne      viter les principaux   cueils et sache se traiter de fa  on  optimale        EMC 44    Et vous devant cette  toxidermie  qu   auriez vous  fait      A  BARBAUD  B  BENSAID   B  MILPIED    Coordinateur   L  VALEYRIE   ALLANORE    Pour le Groupe Toxidermie  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    EMC 45    Actualit  s sur la  prescription de  l isotr  tinoine en pratique  quotidienne   aspects  m  dicaux et r  glementaires  et d  tection et prise en  charge des effets  secondaires    C  JUILLARD  F  GUIBAL   D  LEHUCHER CEYRAC    49    ID Pa  csmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Cette session organis  e par les membres du groupe    Toxidermie    de la SFD a  gr  ce    des cas cliniques  pour  objectif de mettre    jour les connaissances sur       des aspects cliniques m  connus      le diagnostic diff  rentiel      de nouvelles classes th  rapeutiques mises en cause      l am  lioration de la prise en charge en phase aig  e des toxidermies     En 2013  le groupe propose d insister sur la valeur voire la n  cessit   ou la non sp  cificit   de certains examens  compl  mentaires dans la prise en charge des toxidermies en clinique courante        Objectifs    Mise    jour des connaissances indispensables pour la prise en charge actualis  e des
63.  fin de ce forum  le participant saura prendre en compte les diff  rents param  tres m  dicaux  institutionnels   soci  taux  d  ontologiques  conduisant    un refus raisonn          bon escient    dans une d  marche   thique        FORUM 77    Phototh  rapie  dynamique topique      tat des lieux et  perspectives    C  BEDANE  S  BOUVRESSE   S  DAHAN  S  MORDON   D  SALOMON    Coordonnateur    A  LE PILLOUER PROST    Pour les Groupes Laser et  Phototh  rapie de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie   Soci  t   Francophone des  Lasers M  dicaux    EUM DPC       DPC   mode d emploi       B  CRICKX  E  PEPIN   Ph  BEAULIEU  J L  RIGON    Pour le Conseil  d Administration de PODPC  en Dermatologie   V  n  r  ologie    75    1LS  ecmEre 2015    PARIS   Palais des Congr  s    ke                     Pr  sentation g  n  rale     Forum complet sur les concepts actuels en phototh  rapie dynamique  PDT        Photosensibilisants topiques   Quoi de neuf       Etat de l   art sur les sources de lumi  re en PDT      Mesures de fluorescence   contr  ler pour mieux traiter et g  rer la douleur      Indications carcinologiques  champs de canc  risation  cas particulier des greff  s d organe     Indications dermatologiques non carcinologiques  acn    verrues r  sistantes  autres       Photor  juv  nation photodynamique  mythe ou r  alit         Prop  n  tration topique par laser fractionn   ou microneedling     tat des lieux      Utilisation de la lumi  re du jour   Int  r  ts et limites   
64.  haute d  finition dans l imagerie du m  lanome   premier  cas  A  Picard     K  Tsilika  E  Long Mira  T  Passeron  J  P Lacour  P  Bahadoran    Une prise en charge originale dans le syndrome de Morel Lavall  e  C  Vicentini     A  Dumont  B  Damarey  B  Maetz  I  Sutter  M  Bertrand  S  Vercambre    Existe t il des examens d   imagerie utiles au dermatologue pour le diagnostic de rhumatisme  psoriasique   Analyse syst  matique de la litt  rature   M  Sevrain   A  Villani  M  Rouzaud  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  M  Beylot Barry  D  Jullien   S  Aractingi  F  Aubin  P  Joly  M  Le Maitre  A  Cantagrel  J  P Ortonne  L  Misery    Dermatopathologie    113    P072    P073    P074    P075    P076    P077    P078    P079    P080    Papules fibreuses du visage   une   tude anatomo clinique r  trospective de 283 cas  G  De Cambourg   B  Cribier    Une   tonnante panniculite v  g  tale  C  Merklen Djafri  M  Mitcov  A  Abou Bacar  D  Mutter  B  Cribier    Caract  ristiques cliniques et   volutives du lichen plan ungu  al     tude prospective de 20 patients  H  Haim   S  Chiheb  H  Benchikhi    Premi  re   tude rapportant les aspects histologiques du Syndrome de Netherton      une s  rie de 63 patients  S  Leclerc Mercier   C  Bodemer  L  Furio  S  Hadj Rabia  L  Weibel  A  C  Bursztejn  E  Bourrat   N  Ortonne  A  Hovnanian  S  Fraitag    Cellules de Langerhans et Histiocytofibrome    tude immunohistochimique    propos de 53 cas  E  Deveza   F  Vitte  A  S  Dupond  C  Lassa
65.  in cutaneous homeostasis       12h00   13h00      Inflammation et Vieillissement     Remise du Prix de Recherche Lierac 2013    Mod  rateurs   Philippe Humbert et Vice Pr  sident de Lierac   Jean Marc Lemaitre  Montpellier    Reversibility of the Cellular Aging Physiology   Jean Christophe Choulot  Paris    Les prot  ines Multi Drug Resistant et vieillissement   Remise du prix au Laur  at   Ulf Meyer Hoffert  Kiel  Allemagne    From Desquamation to epidermal inflammation  Proteolytic regulation of the Skin Barrier          10 1 Pod  cemore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    bmm   m   m         _          13h00   14h30   Visite des Posters  niveau 3  Poster Walk   Michel Simon et Manuelle Viguier et Fr  d  ric Caux  S  lection Prix posters   Laurent Misery  J  r  me Lamartine  Pierre Emmanuel Stoebner        13h30 14h00   visite comment  e posters 1   15   P1 P2 P8 P9 P10       1  Hom  ostasie Cutan  e  P1    P8    P1   Implication de la T plastine dans la migration des k  ratinocytes via l   activation de la voie NFAT Calcineurine   C  Brun  A  Demeaux  F  Guaddachi  F  Jean Louis  T  Oddos  M  Bagot  A  Bensussan  S  Jauliac  L  Michel    P2   R  gulation in vivo de la composition du s  bum de sujets acn  iques permettant de retrouver un s  bum proche  d   une peau saine  M  Chavagnac Bonneville  A  Lhoste   M  Sayag  C C  Zouboulis  M  Picardo  E  Jourdan   P3   Etude d absorption ex vivo du promestriene dans la peau de pr  puce de nouveau n      partir d   une   mulsi
66.  infiltrats lymphocytaires r  actionnels peuvent poser un probl  me de diagnostic diff  rentiel avec un  lymphome cutan    notamment vis    vis d   un mycosis fongo  de  un syndrome de S  zary  un lymphome B de  bas grade ou une lymphoprolif  ration T CD30         Objectifs     Pr  sentation de la d  marche diagnostique et des   tiologies des principaux infiltrats cutan  s r  actionnels pseudo   lymphomateux au travers d observations d  taill  es  illustrant 3 situations diagnostiques   plaques  eryth  mateuses    rythrodermie  papulo nodules   ryth  mateux     Acquis souhait  s     Au terme de la FMC  le dermatologue doit ma  triser     1  la d  marche diagnostique devant une dermatose suspecte de lymphome cliniquement et ou histologiquement    2  les diff  rentes   tiologies d   infiltrats lymphocytaires pseudo lymphomateux    3  l approche critique des r  sultats des investigations compl  mentaires  en particulier de l histopathologie et des    tudes de clonalit       mm mmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmememm             Pr  sentation g  n  rale     La chirurgie est le traitement recommand   en premi  re intention des cancers cutan  s  Toutefois  pour les  l  sions pr  canc  reuses et pour les formes superficielles des carcinomes cutan  s  des alternatives peuvent   tre  discut  es  telles que la cryoth  rapie  les traitements topiques notamment immunomodulateurs ou encore la  phototh  rapie dynamique  La plupart de ces alternatives font partie des recomma
67.  la cr  che d   un h  pital  S  Mallet  S  Ranque  F  Amatore  E  Archier  C  Gaudy  S  Monestier  S  Hesse  J  J  Grob  M  A  Richard    Epid  miologie des SAMR dans un service de dermatologie de 2005    2011    propos de 266 malades  J  L  Perro    N  Menant  B  Labeille  C  Elisa  F  Cambazard  A  Ros    Profil   pid  miologique de la r  sistance du Staphylocoque aureus en milieu hospitalier dermatologique  M  Laarif  A  Aounallah     L  Boussofara  M  Limam  A  Ferjani  W  Saidi  M  Denguezli  N  Ghariani   C  Belajouza  R  Nouira    Validation de la version fran  aise du Female Sexual Function Index aupr  s d   un   chantillon de la  population f  minine fran  aise  S  Wylomansk    R  Bouquin  H  J  Philippe  R  Rouzier  B  Dr  no  G  Quereux    Etude de la qualit   de vie et bien   tre sexuel des patientes atteintes de pathologies vulvaires  S  Wylomanskf   R  Bouquin  H  J  Philippe  B  Dr  no  G  Quereux    Etude   pid  miologique r  trospective descriptive de la maladie de Kaposi dans le Doubs sur la p  riode  1977    2009   C  Laresche     E  Fournier  A  S  Dupond  A  S  Woronoff  M  C  Drobacheff Thi  baut  F  Pelletier    P  Humbert  F  Aubin    Peau et psychosomatique  N  Zdanowicz     A  Struye  C  Reynaert  D  Jacques    Les dermatoses auto provoqu  es  H  Mesrati   H  Chaabane  M  Amouri  A  Masmoudi  S  Boudaya  M  Mseddi  H  Turki    Facteurs de satisfaction des patients en consultation de dermatologie  C  A  De Salins     A  Le Lay  L  Misery  A  M  Roqued
68.  la dermoscopie s   est   tendu et fait l   objet de nombreuses publications annuelles    Le mat  riel dermoscopique a beaucoup   volu   et de nombreux syst  mes informatis  s sont apparus avec des  usages sp  cifiques        Objectifs     Faire le point sur les derni  res parutions bibliographiques en dermoscopie et en d  gager les applications  pratiques       Crit  res diagnostiques de tumeurs jusqu      pr  sent non analys  es en dermoscopie      Algorithme de d  cision pour les tumeurs non pigment  es      Confrontation clinique dermoscopie pour le d  pistage du m  lanome    Les crit  res de choix du mat  riel de dermoscopie et l incidence du type de dermoscope sur les images  dermoscopiques   couleur  l  sions sp  cifiques en fonction de la polarisation de la lumi  re  Place des syst  mes  informatis  s dans la pratique quotidienne    L illustration pratique des deux premiers points au travers des cas cliniques     Acquis souhait  s     A l issue de cette s  ance  le dermatologue aura actualis   ses connaissances en dermoscopie  acquis des    l  ments de choix pertinents et des crit  res diff  rentiels du mat  riel de dermoscopie  visualis   ces divers    l  ments     mmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les syndromes cliniques sont le point d ancrage de la r  flexion diagnostique en m  decine interne et en  dermatologie  La place de ces syndromes a progressivement   volu   au sein des tableaux 
69.  logiciel de gestion bibliographique  et apprendre    utiliser le logiciel gratuit Zotero   Acquis souhait  s     Familiarisation avec Pubmed et Zotero permettant une utilisation courante    l issue de cette journ  e de formation        NB   Pour faciliter la recherche bibliographique individuelle  les participants sont invit  s    apporter  dans la mesure du possible  leur  ordinateur personnel tout en sachant qu une couverture wifi sera disponible sur les JDP     d  faut  ils disposeront d   un   quipement  informatique sur place     Nombre de participants limit      30    mm mmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale      Les articles scientifiques  et plus g  n  ralement toute forme de communication m  dicale  v  hiculent    la fois des  informations et des interpr  tations  Il est important de pouvoir faire le tri entre les faits et les commentaires  entre  ce qui est valide et ce qui ne l   est pas  pour finalement parvenir    identifier l information r  elle  en appr  cier la  valeur  et former son propre jugement     Plusieurs points m  ritent d     tre connus et compris pour permettre une r  ception critique  Chaque point sera  abord      partir d   un exemple prototype issu d   un article scientifique  ou    l   occasion  d   un autre type de  document  Les documents seront fournis aux participants qui travailleront par groupe de 5 ou 6  L ensemble de  ces points sera r  sum   dans une grille d analyse destin  e     
70.  plus de 6 semaines qui  classiquement  peut r  v  ler des maladies syst  miques   telles que le lupus   ryth  mateux syst  mique  la maladie de Still  le syndrome de Schnitzler ou encore divers  syndromes auto inflammatoires  Dans certains cas  l   ruption ressemble cliniquement    de l   urticaire alors qu il  existe sur le plan histologique une vasculite  Dans d   autres observations  les manifestations cutan  es   tiquet  es     urticaire    n   en ont pas les caract  ristiques cliniques et la biopsie montre une dermatose neutrophilique        Objectifs       partir de cas cliniques  seront discut  s les arguments cliniques  biologiques et histologiques permettant de  distinguer les urticaires communes  les vasculites urticariennes et les dermatoses neutrophiliques urticariennes     Acquis souhait  s      Savoir diff  rencier les urticaires communes des   ruptions pseudo urticariennes     conna  tre les explorations compl  mentaires    demander en fonction des diff  rents types d     ruptions     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmemmmmmemmm             Pr  sentation g  n  rale    La dermatologie interventionnelle n  cessite une bonne organisation des soins afin de pr  venir les risques et  complications inh  rents    cette activit          Objectifs     Exposer les conditions n  cessaires et ad  quates    la r  alisation des diverses activit  s de dermatologie  interventionnelle  Rappeler les normes et labels des mat  riels utilis  s  les r  glementation
71.  principales causes d arr  t du  traitement anticanc  reux        Objectifs     Les diff  rentes familles de th  rapies cibl  es anticanc  reuses seront d  taill  es  ainsi que leurs principales  manifestations dermatologiques  Seront notamment abord  es les petites mol  cules inhibitrices de kinase  les  anticorps monoclonaux ou l immunoth  rapie    cibl  e     Une place privil  gi  e sera faite aux th  rapies cibl  es  d utilisation plus r  cente  incluant celles d  velopp  es dans le m  lanome m  tastatique     Acquis souhait  s     Le participant devra avoir compris les m  canismes physiopathologiques des diff  rentes classes de th  rapies  cibl  es anticanc  reuses et devra savoir reconna  tre les principaux effets ind  sirables dermatologiques de ces  mol  cules et les traiter  Il devra enfin avoir int  gr   la place du dermatologue dans le parcours de soins des  patients trait  s par ces mol  cules et l int  r  t fondamental de la prise en charge dermatologique dans ce contexte     mm mmmmmmm mm ms mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmnm             Pr  sentation g  n  rale     Les ulc  rations de jambe sont une probl  matique clinique qui n   est pas rare  Les causes vasculaires  insuffisance  veineuse en particulier  sont les plus fr  quentes  et entrainent parfois des diagnostics erron  s d   ulc  rations  vasculaires avec une prise en charge insuffisante ou inadapt  e    Dans un premier temps  cette FMC a pour objectif de reprendre succinctement  par des photos c
72.  soign     Selon la personnalit   des patients  leur r  ticence voire leur opposition au changement pour une meilleure  observance  le praticien peut   tre d  muni        Objectifs     Appr  hender diff  rentes facettes de la relation m  decin malade    partir de cas cliniques comment  s de maladies  chroniques  ecz  ma  psoriasis  pelade     propos  s par une   quipe de m  decins et psychologues rod  s    la  prise en charge des maladies cutan  es chroniques    Proposer une approche et des techniques adapt  es pour motiver le patient    changer   gestion du stress   entretien motivationnel  th  rapies comportementales  m  taphore th  rapeutique          Acquis souhait  s       Etre en mesure de motiver un patient    un changement dans sa vie  ses habitudes ou son traitement     Savoir proposer des techniques adapt  es au stress      Am  liorer la qualit   de relation avec ses patients     mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmemmmmememm             Pr  sentation g  n  rale     Cette session proposera dix cas cliniques de diagnostic ou de traitement difficile sous forme de QUIZZ  lls seront  pr  sent  s par les participants au groupe    Peau et greffe d Organe et les membres francophones du groupe  europ  en SCOPE  Skin Care for Organ Patients Europe www scopenetwork org  correspondant aux centres  particuli  rement impliqu  s dans le suivi de ces patients non seulement en France  mais aussi en Belgique   Gr  ce  Italie et Suisse        Objectifs     Les 
73.  toxidermies par tout  dermatologue et conna  tre l int  r  t pratique des examens compl  mentaires in vitro dans les toxidermies     Acquis souhait  s     A la fin de la FMC  le dermatologue doit conna  tre et reconna  tre les aspects cliniques inhabituels des toxidermies   l int  r  t  mais aussi les limites de certains examens compl  mentaires nouveaux propos  s dans la d  tection  d   un agent causal d   une toxidermie  ou de pr  diction de la gravit   d   une toxidermie     mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     L exp  rience acquise au cours des 30 derni  res ann  es a modifi   les modalit  s de prescription de l   isotr  tino  ne  et permit de d  tecter de nouveaux effets secondaires  En parall  le  les contraintes r  glementaires ont   t    r  guli  rement renforc  es  et ce encore r  cemment au premier trimestre 2013    L utilisation de l   isotr  tino  ine a en cons  quence baiss   de 30  au cours des 5 derni  res ann  es  alors que le  nombre de patients qui pourraient en b  n  ficier n   a  lui  pas diminu          Objectifs    Am  liorer la connaissance      des indications de l   isotr  tino  ne et de ses modalit  s de prescription     de la pr  vention et de la d  tection de ses effets secondaires     des informations    donner aux patients et    leur entourage     e quelle place pour le nettoyage de peau     e quelles doses utiliser     e quelle est la dur  e du traitement     e que sait 
74.  tre conserv  e pour la pratique ult  rieure     L atelier se d  roule sur une journ  e  Sa section introductive sera commune avec celle de l   atelier de l   aRED  1      Pubmed et Zotero     Des ressources pour rep  rer  trier  conserver  classer  citer les articles de la litt  rature  m  dicale      mais ces 2 ateliers sont ind  pendants et il n   est pas n  cessaire d   avoir fait l   un pr  alablement pour  acc  der    l   autre  L inscription    cet atelier est financ  e par l   aRED pour les titulaires d une bourse aRED de  l   ann  e en cours        Objectifs    Eprouver et am  liorer     partir d exemples r  els  sa capacit      interpr  ter la litt  rature    d  tecter les principaux  probl  mes de fond et de forme de la communication m  dicale     Acquis souhait  s    Utiliser une grille d analyse permettant une r  ception critique de la litt  rature m  dicale     NB   Pour faciliter la recherche bibliographique individuelle  les participants sont invit  s    apporter  dans la mesure du possible  leur  ordinateur personnel tout en sachant qu une couverture wifi sera disponible sur les JDP     d  faut  ils disposeront d   un   quipement  informatique sur place        ATELIER 6    Cas cliniques de psycho   dermatologie    M  CHASTAING  S  CONSOLI   M  SCHOLLHAMMER    Pour le Groupe  Psycho Dermatologie  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    ATELIER 7    Introduction    la  microscopie confocale in  vivo en dermatologie    Ph  BAHADORAN  R  BRAUN   E  CINOTTI
75.  un shunt droite gauche en plong  e   9 observations  S  Abed     P Louge  E  Gempp  E  Marmottant  B  Fournier  T  Boy    B  Guennoc  J  J  Morand    Livedo et angiopathie c  r  brale de type moyamoya   une association exceptionnelle  A  Saussine     F  Woimant  P  Morel  M  Bagot  F  Cordoliani    Cryofibrinog  n  mie responsable de n  croses cutan  es thrombotiques catastrophiques associ  e    une  leuc  mie lymphoide chronique   J  D  Bouaziz   M  Jachiet  P  Schneider  B  Arnulf  F  Acouturier  A  Saussine  G  Hickman  A  Petit    M  Rybojad  M  Bagot    Papulose atrophiante  maladie de Degos  avec aspect histologique de lupus   ryth  mateux   une nouvelle  observation  A  Peti    C  Enescu  L  Dubertret  B  Cavelier Balloy    Trois observations exceptionnelles de syndrome de Blau diagnostiqu      l     ge adulte  C  Le Pendu     A  Saussine  M  D  Vignon Pennamen  F  Cordoliani  M  Bagot  M  Rybojad    Papulose atrophiante maligne ou Maladie de Degos Kohlmeier   r  v  lation par une perforation  intestinale  C  Chalumeau  C  Gandon  M  H  Bizollon  J  Friede      N  croses cutan  es extensives li  es    un syndrome des antiphospholipides  SaPL  et r  sistant aux AVK  C  Morice  A  Tesni  re  F  Comoz  M  Barreau  L  Verneuil       Cellulite    de la face   une pr  sentation trompeuse de p  riart  rite noueuse  M  Samimi     E  Ducourau  D  Mulleman  M  C  Machet  L  Bouilleau  L  Machet    134       P363    P364    P365    P366    P367    P368    P369    P370    P371   
76. 12h30   12h45   D  couverte d   une cytokine auto inflammatoire   un exemple de m  decine translationnelle  Pr Pierre Miossec    e 12h45   13h00   Concept actuel de la physiopathologie du psoriasis  Pr Selim Aractingi    e 13h00   13h15   L immunomodulation dans les maladies inflammatoires a t elle un impact sur leurs comorbidit  s    Pr Denis Jullien    e 13h15   13h30   Quelles perspectives d avenir pour l   valuation de l   efficacit   des traitements    Pr Marie Aleth Richard    12h30    13h30 LABORATOIRES EXPANSCIENCE  Salle 341 Les modifications de la CCAM technique depuis le 1  Juillet 2013  pr  sent et futur des codifications    Docteur Claire Geoffray et Docteur Marc Perrussel    12h30    13h30 VIVACTIS MEDICAL EDUCATION Avec le soutien institutionnel de Bristol Myers Squibb  Salle 351 L immunoth  rapie dans le traitement du m  lanome m  tastatique   quelles avanc  es      Mod  rateur   Pr Brigitte Dr  no  Nantes    e Diff  rentes approches de l   immunoth  rapie dans la prise en charge du m  lanome  Dr J  r  me Galon  Paris    e Les anti CTLAA   des r  sultats qui se confirment  Dr Nicolas Meyer  Toulouse    e Une nouvelle voie th  rapeutique   PD1  PDL1  Pr C  leste Lebb    Paris    12h30    13h30 ROCHE SAS  Salle 252 AB Carcinome baso cellulaire avanc     de l innovation    la pratique    Mod  rateurs   Pr Laurent Mortier et Pr Marie Beylot Barry    e Chirurgie du CBCa  jusqu o     D  finitions du CBCa  Dr Jean Michel Amici    e Les inhibiteurs de la voie Hedgehog
77. 6 he scemo 2013    ke       PARIS   Palais des Congr  s    Miermauons  G  n  rales       Vous pouvez vous inscrire en ligne    partir du site www sfdermato com pendant toute la dur  e du congr  s     INSCRIPTIONS Inscription et r  glement Inscription et r  glement   tarifs indiqu  s en TTC  JUSQU    AU 08 11 2013 APRES LE 08 11 2013     gt  Membre de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  SFD  190    C 240       gt  Non membre de la SFD  CCA en exercice non membre SFD 380    L 420       gt  CCA en exercice membre de la SFD 70    O 80    LI   gt  DES  Internes   AFS  AFSA  R  sidents  justificatif de la carte d   tudiant    fournir  Gratuit   gt  Infirmi  res Infirmiers individuels 16                                                                       gt  Infirmi  res Infirmiers pris en charge au titre de la formation continue 31               gt  Chercheurs non m  decin  justificatif    fournir par le directeur  du laboratoire de recherches                     gt  Pharmaciens hospitaliters  justificatif    fournir par le directeur du laboratoire    gt  Pharmaciens lib  raux                      O Atelier 1   Atelier de chirurgie niveau d  butant O Atelier 6   Cas cliniques de psycho dermatologie   Initiation    la dermatologie chirurgicale  Mardi 10 d  cembre 2013  1 2 journ  e   Mardi 10 d  cembre 2013  1 2 journ  e de 4h00  09h00    12h00  09h00    13h00 ou 14h00    18h00    1A ou  11B ou  1C ou Atelier 7   Introduction    la microscopie confocale    Atelier 2   Atelier
78. C  Delattre   P  Dechelotte  P  Courville  A  Carlotti  A  De Muret  S  Fraitag  T  Petrella    Carcinomes   pidermo  des m  tastatiques apr  s greffe d   organe  S  Euvrard     M  Kachko  J  Kanitakis  C  Guenne  E  Ducroux  F  Disant  M  Faure    Dysgueusie et perte de poids sous vismodegib   int  r  t d   une prise en charge nutritionnelle sp  cifique  M  Le Moigne     M  Saint Jean  A  Jirka  G  Qu  reux  L  Peuvrel  A  Brocard  A  Khammari  D  Darmaun   B  Dr  no    Efficacit   et tol  rance    long terme du vismodegib chez des patients pr  sentant un carcinome  basocellulaire avanc    CBCa    mise    jour    18 mois de l     tude pivot ERIVANCE CBC   A  Sekulic  M  R  Migden  N  Basset Seguin  C  Garbe  A  Gesierich  C  Lao  C  Miller  L  Mortier   D  F  Murrell  H  Omid  J  F  Quevedo  J  Hou  H  Yue  D  Schadendorf    Possible r  le des anti hypertenseurs inhibiteurs du syst  me r  nine angiotensine dans le d  veloppement  de la maladie de Kaposi classique    E  Regnier     M  F  Avril  N  Dupin    Efficacit   du c  tuximab en situation n  oadjuvante dans le traitement des carcinomes   pidermo  des  cutan  s localement avanc  s inop  rables  M  Reigneau     E  Routier  G  Mamelle  A  Moya Plana  G  Tomasic  C  Robert C  Mateus    Vismodegib  V   un inhibiteur de la voie Hedgehog  HPI   dans le carcinome basocellulaire avanc    CBCa     analyse interm  diaire de l     tude STEVIE   J  J  Grob     R  Kunstfeld  T  Jouary  L  Mortier  P  Ascierto  N  Basset Seguin  J  Ha
79. C6  C1   L absence de Dermokine    et y chez la souris provoque une alt  ration transitoire de la cornification  E A  Leclerc  A  Huchenq Champagne  G  Serre et N  Jonca   C2   L   inhibition de l expression de la filaggrine dans un mod  le tridimensionnel d     piderme humain reconstruit  in vitro  perturbe le programme de diff  renciation k  ratinocytaire  V  Pendaries   J  Malaisse  M  Le Lamer  R  Nachat  Y  Poumay  G  Serre  M  Simon  C3   L   hornerine  une nouvelle cible de la calpa  ne 1  M  C  M  chin   C  Y  Hsu   A  A  Raymond  J  Henry  O  Burlet Schiltz  H  Takahara  A  M  Schmitt  G  Serre   M  Simon  C4   Caract  risation in vitro des zones de contact entre fibres nerveuses intra   pidermiques et k  ratinocytes  en microscopie   lectronique    balayage  M  Talagas   N  Lebonvallet  R  Leschiera  G  Sinquin  P  Marcorelles  L  Misery  C5   D  veloppement et   valuation d un substitut   pidermique humain sur matrice de plasma  M  Alexaline   E  Bey  C  Doucet  M  Trouillas  J J  Lataillade  C6   La m  moire du stratum corneum   une visite du pass    M  Haftek   R  Abdayem  V  Oji  S  Hadj Rabia  H  Traupe  E  Colomb  F  Pirot  10h40 Laurent Gagnoux Palacios  Nice   R  le cl   des jonctions intercellulaires dans l   organisation de la membrane basale cutan  e   implication  physiopathologique  11h05 Pause    11h20 Keynote lecture   Teruaki Nakatsuji  Lab  Richard Gallo  San Diego  USA     Mod  ratrices   Audrey Gu  niche et Martine Bagot  Involvement of Microbiome
80. Cleach  R  Vander Stichele  0  Chosidow    Une   ruption cutan  e inhabituelle chez des patientes immunod  prim  es  E  G  rard     J  Stokkermans  A  Schmitt  A  Lascaux  R  Tabrizi  J  F  Goussot  M  Beylot Barry    Syndrome de larva migrans cutan  e acquis    Lille  Nord de la France  M  Wantz  A  Lasek  I  Spanoudi Kitrimi  D  Lebas  P  Modiano    Myiase furonculo  de plurifocale du cuir chevelu    Dermatobia hominis   efficacit   de l   ivermectine  topique  A  Bertolotti     S  Milley  G  Vesin  S  Edouard  E  Mosnier  D  Sainte Marie  P  Couppie    Ver migrant buccal autochtone   ce n   est pas forc  ment un d  lire d   infestation  C  Battistelli Lux   H  Steinmetz  C  Hersant  B  Pesson  E  Candolfi    Myiase opportuniste d   une plaie tumorale ayant r  pondu spectaculairement    l   ivermectine  S  Banea     M  Studer  C  Jaegle  F  Balliet  A  Mah      Shewanella spp  en Martinique  des bact  ries responsables d infections cutan  es  N  Vignier  M  Barreau     C  Olive  E  Baubion  R  Th  odose  P  Hochedez  A  Cabi      Dermohypodermites bact  riennes et facteurs de risque    Dakar     tude cas t  moins multicentrique  B  A  Diatta     F  Ly  M  Diallo  M  Ndiaye  A  Diop  S  0  Niang  M  T  Dieng  A  Kane    Dermohypodermite nodulaire    Corynebacterium tuberculostearicum  M  Acquitter     M  Perrot  F  Javauge  G  Lemasson  A  Karam  L  Misery    Une septic  mie atypique    point de d  part cutan    F AI Saif  E  Andrieu  N  Litrowski  P  Carvalho  P  Joly    Pa
81. DALLE  O  DEREURE   S  BARETE    39     Osie     ecsmEore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Les dermatites des mains d origine professionnelle repr  sentent un probl  me majeur par leur fr  quence  la  diversit   des causes et des nouveaux proc  d  s industriels et les cons  quences socio   conomiques qu   elles  engendrent  Les diagnostics positifs et diff  rentiels restent un d  fi majeur pour le clinicien  L   anamn  se et  l   examen clinique associ  s    la r  alisation de tests permettent dans de nombreux cas une approche essentielle  pour la qualit   de vie du patient  Dans certains cas  l   origine suppos  e professionnelle peut et doit   tre   cart  e   Des mesures de pr  vention accompagn  es d   un traitement id  alement   tiologique doivent   tre prises en toute  connaissance de cause        Objectifs       Savoir d  pister les dermatites des mains d   origine professionnelle  les prendre en charge et conna  tre les  points forts de la pr  vention      Reconna  tre    l   aide de cas cliniques interactifs les principales affections cutan  es des mains qui  soit n   entrent  pas dans le cadre professionnel  soit ne sont qu aggrav  es par celui ci      Savoir utiliser les outils de l INRS notamment les fiches de dermato allergologie professionnelle  l   atlas de  dermatologie professionnelle  les logiciels d   aide au choix des gants  le guide des maladies professionnelles     Acquis souhait  s       Conna  tre les pr
82. E  MAUBEC  N  SOUFIR    Au nom du R  seau  G  n  tique du M  lanome  de l   INCa repr  sentant la  SFD  l   ARED  la SFDP et le  Groupe g  n  tique et  Cancer de la FNCLCC    70    He e smore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     La fr  quence des cancers cutan  s est en constante augmentation  L utilisation des cabines    bronzer est  incrimin  e dans la carcinogen  se cutan  e  Les donn  es europ  ennes et am  ricaines montrent une augmentation  de la fr  quentation des cabines de bronzage  Si la France   tait en retard sur le    march      des centres de  bronzage  ce retard se rattrape avec des chiffres montrant que plus des 10  des fran  ais ont utilis   des cabines     bronzage en 2010        Objectifs     Le but de ce forum est de faire le point  en 2013  sur les cabines de bronzage  b  n  fice risque    pid  miologie   en France et profil des consommateurs  Seront abord  s       les risques sanitaires av  r  s pour les expositions aux cabines UV     but cosm  tique   principalement cancer   vieillissement cutan   pr  matur   et autres effets  immunosuppression etc          l int  r  t des cabines de bronzage pour la synth  se de la vitamine D   mythes et r  alit  s      la r  glementation et ses   volutions      l     pid  miologie des utilisateurs des cabines de bronzage      le profil des utilisateurs    addicts    des cabines de bronzage     Acquis souhait  s     A la fin de cette s  ance  le dermatologue 
83. MC 59    Du cas clinique    la  th  rapeutique    P  WOLKENSTEIN  P  JOLY   0  CHOSIDOW    He esmore 20138    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Les LGBT  lesbiennes  gays  bisexuels  transsexuels  pr  sentent des pathologies plus fr  quentes  ou qui se  d  clarent diff  remment  du fait de leur orientation sexuelle  Leur prise en charge au quotidien implique une  connaissance de leurs modes de vies  de leurs pratiques sexuelles  de leurs   ventuelles consommations de  produits psycho actifs      Le rapport m  decin patient est diff  rent et peut   tre plus difficile du fait d   une appr  hension du patient     divulguer son orientation sexuelle ou de parler de sa sexualit          Objectifs     Le but de cette FMC est de partager une exp  rience de dermatologues recevant r  guli  rement et en grand  nombre des personnes LGBT  A partir de cas et d   iconographies  la pr  sentation permettra de d  tailler les  pathologies qui les touchent  quelles sont leurs sp  cificit  s   ventuelles  notamment du fait de modes de vie  diff  rents  et ce qu   une prise en charge adapt  e peut leur apporter     Acquis souhait  s     A l issue de cette FMC  le dermatologue aura       des connaissances plus approfondies sur des modes de vie et pathologies de personnes LGBT      des moyens d appr  hender un patient diff  remment du fait de son orientation sexuelle et ou de sa sexualit       des outils permettant d inclure dans sa pratique qu
84. MEDECINE    L orientation sexuelle des patient e  s en dermatologie   quelles questions en pratique   56    Dans la peau du d  vot   Regards dermatologiques sur la Religion 76  Histoire de la dermatologie      Le soleil et la peau    78  Anthropologie m  dico l  gale et cas arch  ologiques   apports mutuels 20  Tribune libre 14  DPC   mode d emploi 15  Forum de l Association des Dermatologistes Francophones 76       PROGRAMME  OCIENTIFIQUE 2013    1e esmore 2013    Lmm      _   _         es  D  ex  ER   I      Si     D  es  D      ED      3     ar     cD                Jeudi 12 d  cembre    Amphith    tre Bleu  niveau 2  11h00   12h00       Pourquoi y a t il un sur risque de lymphome dans les maladies auto immunes    Xavier Mariette  Le Kremlin Bic  tre     Why is there an over risk for lymphoma in autoimmune diseases   Xavier Mariette    Mythes et r  alit  s des traitements de la femme enceinte atteinte d   acn   ou de  psoriasis  Elisabeth Elefant  Paris     Myths and facts about treating acne or psoriasis in pregnant women  Elisabeth Elefant    Vendredi 13 d  cembre       Anthropologie m  dico l  gale et cas arch  ologiques   apports mutuels  Philippe Charlier  Garches     Forensic anthropology and archeological cases  mutual contributions  Philippe Charlier    20       ATELIER 1    Atelier de chirurgie 1    niveau d  butant   Initiation    la dermatologie  chirurgicale   Sous l     gide du Groupe  Dermatochirurgical de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    Coordonn 
85. Madjlessi Ezra    I  Madeleine  P  Schneider  M  Bagot  C  Lebb      Analyse   pid  miologique et clinique des carcinomes   pidermo  des et k  ratoacanthomes sous    vemurafenib  N  Kramkimef  E  Regnier  A  Carlotti  S  Aractingi  N  Dupin  M  F  Avril    M  lanome m  tastatique BRAFV600E  et CKIT    prise en charge th  rapeutique guid  e par  l   exp  rimentation animale  C  Scalbert  A  Qassemyar  C  Descarpentries  P  Guerreschi  P  Marchetti  L  Mortier    Utilit   d   une fiche de conseils pour la photoprotection et le d  pistage des patients et de leur famille    apr  s un diagnostic de m  lanome  M  Berton   A  Perrinaud  M  Samimi  M  Delaplace  L  Vaillant  L  Machet    S  quen  age syst  matique d   un panel de g  nes fr  quemment mut  s dans le m  lanome   vers une  m  decine personnalis  e    M  Reigneau     L  Boussemart  L  Lacroix  V  Kouby Pick  G  Tomasic  E  Lanoy  S  Roy  C  Robert       102    CO 100    CO 101    CO 102    CO 103    CO 104    CO 105    CO 106    CO 107    CO 108    1e Se mbre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Havane 14h15   15h45 j       Pr  sidents   F  Caux  N  Soufir  B  Bouadjar    Etude des m  canismes inflammatoires impliqu  s au cours des   pidermolyses bulleuses simples de type  Dowling Meara   E  Castela     C  Chiaverini  J  F  Nicolas  J  Kanitakis  P  Vabres  E  Bourrat  D  B
86. Mahieu  M  Thomas  G  Tomasic  H  Oskar   L  Lacroix  C  Robert  S  Vagner    Traitement combin   par transfert adoptif de TIL et des injections intra l  sionnelles de TG1042   Ad  novirus exprimant l   interf  ron y  chez des patients au stade de m  lanome m  tastatique   A  Khammarf  J  M  Limacher  J  M  Nguyen  M  Saint Jean  G  Quereux  A  Brocard  L  Peuvrel   A  C  Knol  S  Saiagh  V  Bataille  B  Dr  no    Evaluation des taux s  riques de MICA soluble et d   anti MICA sous immunoth  rapie par anti CTLA 4 dans  le cadre du m  lanome   J  F  lix     R  Porcher  C  Pag  s  I  Sidina  D  Vissal Kheav  G  Maki  M  Viguier  N  Basset Seguin    M  Bagot  A  Toubert  C  Lebb    H  Moins Tessereinc    Int  r  t de la FISH couleurs   9p21 et de l   immunomarquage p16 dans le diagnostic des tumeurs de Spitz  atypiques     tude bicentrique  Lyon Bordeaux  de 130 cas   B  Vergier  L  Dufrenot  A  De La Fouchardi  re  C  Morli  re  E  Laharanne  D  Pissaloux  A  Bertolotti    T  Jouary  J  P  Merlio    Prise en charge personnalis  e du m  lanome m  tastatique    l   aide de x  nogreffes d  riv  es de tumeurs  de patients   concept  mise en place et perspectives  A  Qassemyar     C  Scalbert  P  Marchetti  L  Mortier  P  Guerreschi    Photosensibilit   sous vemurafenib   implication d   un m  tabolite  C  Brugi  re   C  Morice  A  Stefan  E  Cornet  A  Moreau  S  De Raucourt  S  Allouche  L  Verneuil    Tumeurs k  ratinocytaires induites par activation paradoxale de la voie MAPK sou
87. R  gression spontan  e de multiples carcinomes spinocellulaires    l arr  t d   un traitement par  adalimumab  P Nicof  P Bernard  Z  Reguia      Int  r  t de la tomographie par   mission de positrons  TEP  dans l     valuation des carcinomes    pidermo  des  CE  au cours de l     pidermolyse bulleuse dystrophique r  cessive  EBDR    r  sultats  interm  diaires   E  Bourraf     L  Vercellino  M  Battistella  D  Lussato  M  Bagot  C  Lebb      Int  r  t du PET scanner dans la prise en charge du carcinome   pidermo  de cutan    A  Guyof     E  Poirier  A  L  vy  N  Naggara  S  Winterman  F  Caux  L  Laroche    Efficacit   spectaculaire du vismodegib dans la prise en charge de carcinomes annexiels inop  rables  P Lepesant  C  Maire  E  Martin de Lassalle  S  Vercambre Darras  E  Desmedt  L  Mortier  B  Cribier    Histiocytofibromes g  ants associ  s    une capillarite purpurique et    une my  lodysplasie avec fibrose  m  dullaire  E  Crickx  J  D  Bouaziz     A  Saussine  M  D  Vignon Pennamen  M  Bagot  M  Ryboajd    Tumeurs myofibroblastiques inflammatoires  TMI    une entit   difficile    diagnostiquer et    traiter  C  Hurabielle     C  Pag  s  C  Demongeot  A  Petit  C  Vilmer  P  Schneider  C  le Maignan  B  Mbarek   M  Battistella  M  Bagot  C  Lebb      Sarcome granulocytaire et ph  nom  ne de K  ebner  r  le du TGF b  ta  C  Nizery Guermeur   E  Brenaut  M  Perrot  C  Le Gall  G  Lemasson  A  Moreau  J  C  lanotto   G  Guillerm  L  Misery  A  Karam    N  oplasme    cell
88. SYNODSIS                                                                         oo  6L WNXO  ee   L    ZL WNO4 ee L 9 WNYO4   62 ZZ ON   ae Lane  nn 8 92 WA 8 oS ON S p ESS   Spyz   pyg  s    jeJo s    jeJo  oyns  g 1818   g y odnouf   suopeojunwwog suopeojunwwog       PAIE   Re ts SZ OWA LL    OL    6 Le ON LUE  SISJSOd S  p ne ue Anyos   67e rONA S PNNNO   LC op  a o sdnouf    seugs   sus  UOISSNISIQ         4 181181 no 004p   tL WNHO   sa  ees swn  sodw  s sayIe1es swn  sodw  s sey ees swn  sodw  s OSUSL   OSUZL  elelu91d   Le8 DNA oou  t no  ayns eJelua d ours   sr  ens  v  WNHO4 souees elusl   S EWNYOJ   fayns     owd L g c p g   OEUZE   00uL   S2 210 ae SIN  suopeojunwwog GRECE  av adno     ee AU E SIRE R 8 WNNOA4   Or     0    OWA c   LNNHO1 Le L  NA ARE 0610110036  SUONPIIUNLUUOT  WNHO4 e 09 ON SUONP2IUNUUUOT     i no o  ug8  349N393a 349N2393a 349293 349N393a 349293  YL IGANvS    L IG3UON3A z anar LL IGN OL IQuvVN                            10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _                CONGRES ANNUEL DE RECHERCHE DERMATOLOGIQUE CARD    10 ET 11 DECEMBRE 2013  PROGRAMME D  TAILL      MARDI 10 D  CEMBRE 2013 SALLE 241    9h00 Accueil   Laurence Michel    9h05   11h00 Hom  ostasie Cutan  e  Mod  rateurs   Nathalie Jonca et J  r  me Lamartine       9h05 Laurent Lecam  Montpellier   La prot  ine multifonctionnelle E4F1   un lien entre m  tabolisme   nerg  tique et maintien de l hom  ostasie cutan  e  9h30 Communications orales C1   
89. aires avec un autre esprit    Il s   agit de rappeler l importance du rapport   motionnel entre dermatologue et patient     Acquis souhait  s     A la fin de cette s  ance  les participants seront en mesure d   am  liorer leurs performances diagnostiques et  th  rapeutiques vis    vis des cas difficiles  inhabituels ou surprenants  Ils auront aussi acquis des   l  ments de  r  flexion pour comprendre l importance de ne pas consid  rer    ce patient    seulement comme un    cas  inoubliable    mais surtout comme une    personne inoubliable           FMC 36    Vascularites syst  miques    de l   enfant    l   adulte    C  FRANCES  A  MAHR  M  PIRAM    E CO o7    Lymphomes cutan  s   cas cliniques interactifs  pratiques    M  BEYLOT BARRY  S  DALAC   F GRANGE    Sous l     gide   du Groupe Fran  ais  d   Etude des Lymphomes  Cutan  s    45    ID Pa  csmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Les vascularites syst  miques touchent de multiples tissus et organes et sont d  finies par une inflammation des  vaisseaux sanguins caract  ris  e par un infiltrat inflammatoire et parfois une n  crose de la paroi vasculaire  responsables de st  noses  d   occlusions et d   an  vrysmes  Elles sont class  es selon le type et le calibre des  vaisseaux atteints et selon le m  canisme physiopathologique impliqu    Leurs fr  quences et manifestations  diff  rent selon l     ge de d  but  Les crit  res de classification des vascularites syst  miques 
90. anniculite histiocytaire cytophagique rentrant dans le cadre d   un syndrome d   activation macrophagique  chez un nourrisson     propos d   un cas   N  Berkane  F  Ait belkacem  R  Ramdani  S  Zobiri  I  Benkaidali    Syndrome scl  rodermiforme de l   enfant   penser    la progeria  N  Bellon     F  Cordoliani  A  De Sandre Giovannoli  E  Bourrat  M  Bagot  K  Despontin  M  Rybojad    Cutis marmorata telangiectatica congenita r  v  lant un lupus n  onatal  K  Baline     I  Farh  H  Baha  K  Khadir  H  Benchikhi    Mucinose folliculaire de l   enfant   une s  rie de 12 cas  C  Velter     0  Boccara  A  Frassati Biaggi  N  Franck  Y  de Prost  S  Fraitag  C  Bodemer    Pityriasis lich  no  de chronique et efficacit   du m  thotrexate  0  Boccara     S  Oro  P  Delanoe  R  Levet  N  Ortonne  S  Fraitag  C  Bodemer    K  ratose lich  no  de chronique   six cas chez une fratrie  R  Sekouane  F  Ait Belkacem     S  Zoubiri  I  Benkaidali    Mastocytose cutan  e segmentaire      propos de deux cas p  diatrique  H  Mesrat    M  Amouri  A  Masmoudi  H  Chaabane  M  Mseddi  H  Turki    Cytost  aton  crose du nouveau n   apr  s hypothermie th  rapeutique contr  l  e   deux cas  J  Martins     A  Maxaud  A  G  Bah  B  Prophette  P  Celerier  N  Beneton    Atrophodermie lin  aire de Moulin      propos de trois cas  C  Fleure    I  Kupfer Bessaguet  F  Staroz  P  Plantin    Nodules rhumato  des de l   enfant  V  Sobocinskr  E  Andrieu  M  Grall Lerosey  P  Joly  X  Balguerie    Syndrome d
91. as Contios    Reproductibilit   inter investigateur du score de vieillissement cutan   SCINEXA  E  Cinotti  J  L  Perrot  B  Labeille  A  Biron  F  Cambazard et EA SNA Epis    Nodule douloureux de l oreille     tude   pid  miologique    partir de 99 cas  C  Wettl       F  Keller  F  Will  F  Lefebvre  B  Cribier     Pathologie dermatologique chez des skippers avant et apr  s une transatlantique de haut niveau  C  Mah    L  Jacolot  B  Lodd    T  lonescu  L  Misery          P095    P096    P097    P098    P099    16 ha Se mbre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Vendredi 13 d  cembre ee    ke       Pr  valence des rhumatismes psoriasiques non diagnostiqu  s chez les patients atteints de psoriasis  cutan  s   A  P Villan    M  Rouzaud  M  Sevrain  T  Barnetche  C  Paul  L  Misery  M  A  Richard  M  Beylot Barry   P Joly  M  Le Ma  tre  S  Aractingi  F  Aubin  A  Cantagrel  J  P  Ortonne  D  Jullien    Le psoriasis ungu  al   une   tude prospective  H  Mesrat    M  Amouri  I  Chaari  E  Bahloul  H  Chaabane  A  Masmoudi  S  Marrekchi  T  J  Meziou   S  Boudaya  M  Mseddi  H  Turki    Evaluation et gestion de la douleur en consultation de Dermatologie     tude prospective au CHU  d Amiens  L  Meziane  C  Lok  L  Bekel  A  Lorriaux  F  Dhaille  A  Dadban  L  Douay  G  Chaby    Consultations en urgence dans le D  partement de Dermatologie de PH    pital Universitaire de B  le   Suisse  Caract  risation des patients et des consultations   Une analyse de 12 mois avec 2222 patients
92. as cliniques choisis pour leur caract  re didactique permettra d illustrer de fa  on interactive   tant des situations classiques de gravit   variable  que certaines entit  s de description plus r  centes  Les outils  du diagnostic et du bilan  anatomopathologie  immunohistochimie  analyses mol  culaires  imagerie  seront  abord  s  de m  me que les moyens th  rapeutiques classiques ou innovants     Acquis souhait  s     A l issue de cette s  ance  l auditeur saura     1  reconna  tre les   l  ments cliniques orientant vers tel ou tel lymphome cutan      2  proposer les examens paracliniques ad  quats et en interpr  ter les r  sultats    3  expliquer au patient l   volution pr  visible de sa maladie et les diff  rentes strat  gies th  rapeutiques possibles     S  ance interactive avec digicodes       FMC 38    Approche th  rapeutique    du vitiligo    L  BENZEKRI  G  LEONE     Y  GAUTHIER    FMC 39    Prise en charge  des malformations  capillaires  angiomes plans     A  DOMPMARTIN  L  BOON     M  VIKKULA    46    1e esmore 20138    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     En raison du pr  judice esth  tique occasionn    les patients porteurs de vitiligo sont tr  s demandeurs de  traitements  Il n existe pas malheureusement    l heure actuelle de solution d  finitive  Cependant  une bonne  repigmentation peut   tre obtenue dans un bon nombre de cas de vitiligos vus pr  cocement gr  ce    une utilisation  rationnelle et judicieu
93. aste iod  s  B  A  Lerondeau     P  Trechot  J  Waton  C  Poreaux  J  L  Schmutz  A  Barbaud    CO 123 Etude de la pigmentation induite par la lumi  re visible  L  Duteil  C  Queille Roussel  N  Cardot Leccia  Y  Maubert  Y  Harmelin  F  Boukari  J  P Lacour   T  Passeron   CO 124 Effets secondaires cutan  s du voriconazole   connaissances  attitudes et comportements chez les    patients atteints de mucoviscidose  S  Ronceray  H  Adamski  C  Belleguic  B  Desrues  G  Rault  A  Haloun  S  Quetant  M  T  Leccia   A  Dupuy    C0 125 Toxidermies s  v  res   patients ou victimes   De l enqu  te aux donn  es de l office d indemnisation   ONIAM   A  Isvy  S  Oro     S  Le Pallec  R  Vincent  C  Haddad  D  Maillard  L  Valeyrie Allanore  0  Chosidow   J  M  Race  P Wolkenstein    CO 126 Analyses des caract  ristiques clinico pathologiques du DRESS     partir de 47 cas  F  Skowron     B  Bensaid  L  Depaepe  B  Balme  J  Kanitakis  J  F  Nicolas    104        OS la Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       M  lanomes lll    105    CO 127    CO 128    CO 129    CO 130    CO 131    CO 132    CO 133    CO 134    CO 135    nm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmm mm      Amphith    tre Bleu 9h00   10h30      Pr  sidents   T  Jouary  C  Lebb    R  Tomb    Traduction CAP d  pendante   une nouvelle cible th  rapeutique dans le m  lanome r  sistant au  vemurafenib   L  Boussemarf  I  Girault  N  Kamsu Kom  H  Malka 
94. atologique    tre capable d expliquer clairement au patient les possibilit  s th  rapeutiques  et de le  mettre en rapport avec des   quipes sp  cialis  es  M  me s   il ne traite pas directement la pathologie  il aura re  u  l information compl  te    orientation vasculaire        VIRE    Nouvelles approches  th  rapeutiques dans le  m  lanome  nouvelles prises  en charge des malades    B  DRENO  M T  LECCIA   B  GUILLOT    EMC 83    Alop  cies cicatricielles    en peu de mots et  beaucoup d images    Ph  ASSOULY B  MATARD   P REYGAGNE    He e smore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Le traitement du m  lanome b  n  ficie de progr  s tr  s importants ces derni  res ann  es  L immunoth  rapie  modifie la survie mais aussi notre mode d   valuation de la tumeur  Les th  rapies cibl  es permettent des survies  prolong  es et un nombre important de r  pondeurs mais n  cessitent une remise en cause de nos circuits  classiques  Les associations de th  rapeutique prennent un nouvel int  r  t  Une nouvelle gestion des pr  l  vements  tumoraux  banques de tumeurs  et des kits de d  tection de mutations  plateformes de g  n  tiques  s imposent   De nouveaux arbres d  cisionnels de traitement se mettent en place pour chaque stade de la maladie  Une  nouvelle organisation du suivi des patients sous chimioth  rapies orales souligne l int  r  t des r  seaux ville   h  pital  Enfin  la prise en charge de nouveaux effets secondai
95. au cours de la dermatite atopique  DA  29  FMC 15 Les maladies rares de la peau    d  but p  diatrique en un coup d   il 34  FMC 22 Cas cliniques de pathologie ungu  ale p  diatrique 37  FMC 34 Cas cliniques de dermatologie p  diatrique vus en 2013 44  FMC 39 Prise en charge des malformations capillaires  angiomes plans  46  FMC 46 H  mangiome infantile   mise au point 2013 50  FMC 51 Les g  nodermatoses en pratique courante   cas cliniques interactifs 52  FMC 56 Dermoscopie p  diatrique   un jeu d enfant   55  FMC 63 Dermatologie p  diatrique pratique 58    COSMETIQUE ESTHETIQUE    FMC 49 Du Cosmos    la Science  de la Science    la Cosm  tique 51  FMC 65 Produits cosm  tiques  dispositifs m  dicaux  biocides   quelle s  curit     59  FORUM 3 Que feriez vous pour am  liorer l esth  tique de ces visages    Discussion de cas cliniques  71    15    He   esmore 2015    Lmm      _   _          PARIS   Palais des Congr  s       FMC 9 Effets ind  sirables cutan  s des traitements cibl  s en canc  rologie 31  FMC 26 Lymphomes cutan  s  nouveaut  s cliniques 39  FMC 37 Lymphomes cutan  s  cas cliniques interactifs pratiques 45  FMC 40 Peau et gammapathie monoclonale   cas cliniques interactifs 47  FMC 52 Toxicit   dermatologique des th  rapeutiques cibl  es anticanc  reuses   53  un enjeu majeur pour les patients    FMC 55 Quoi de neuf sur le m  lanome   54  FMC 66 Cas cliniques interactifs de canc  rologie cutan  e 60  FMC 70 Simulateurs de lymphomes cutan  s 62  FMC 82 Nouvelles ap
96. aussent  M  Carneiro  L  Meunier  B  Guillot  L  Pinson  D  Bessis    Ph  nom  ne de Kasabach Merritt   une s  rie de 24 cas  0  Boccara     S  Fraitag  J  Fontaine  D  Hamel  F  Brunelle  D  Lasne  D  Orbach  Y  de Prost   S  Hadj Rabia  C  Bodemer    Mastocytose cutan  e   analyse longitudinale d   une cohorte p  diatrique au statut mutationnel KIT connu  C  M  n       L  Le Sach   de Peufeilhoux  S  Georgin Lavialle  J  Bruneau  A  Maruani  B  Sans  B  Catteau   A  Phan  F  Skowron  G  Kanny  I  Kupfer  N  Beneton  J  F  Stalder  0  Hermine  C  Bodemer    Proportion relative des diff  rents types d   angio oed  mes bradykiniques dans une population p  diatrique  consultant en centre de r  f  rence  M  E  Sarre     P  Dessart  H  Humeau  B  Nicolie  D  Ponard  C  Drouet  L  Martin    Mastocytose p  diatrique   clinique et   volution  une analyse de la litt  rature de 1597 cas  C  M  n    J  Bruneau  S  Georgin Lavialle  L  Le Sach   de Peufeilhoux  0  Hermine  C  Bodemer    Caract  ristiques et prise en charge des malformations veineuses chez les enfants  C  Boulard     Y  Surlemont  E  Clavier  P  Joly  X  Balguerie       1e Se mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre m e    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Discussions des Posters   session 1    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm      Amphith    tre Bleu 14h15   15h45      Pr  sidents   T  Jouary  C  Gaudy Marqueste    Allergologie    108    P001    P002    P003    P004    P005    P006   
97. auxquels ils  appartenaient  du fait d   une meilleure connaissance de m  canismes immunologiques  infectieux  h  matologiques  ou enzymatiques  Que sont ainsi devenus le syndrome hyperlgD  le MAGIC syndrome  le syndrome de Mac  Duffie  le syndrome de Rowell  la fasciite    tryptophane  le syndrome de Weber Christian  la lymphad  nite angio   immunoblastique  l   ulc  re de Lipschutz  le syndrome de Job Buckley  le syndrome de M  ckle Wells  la cellulite       osinophiles de Wells        Rappels cliniques  puis nosologiques et enfin nouvelle d  finition ou classification  voici chacun de ces syndromes  remis    leur    juste place        Objectifs    Proposer une actualisation de la signification de quelques tableaux cliniques dont la s  miologie sera rappel  e   Comprendre les m  canismes physiopathologiques actuels     Acquis souhait  s    Reconna  tre les syndromes classiques dont la pertinence clinique demeure   Expliciter leur place nosologique  et l int  r  t de leur connaissance par le dermatologue        EMC 74       Nos plus beaux   checs       La Saison 2    J N  SCRIVENER  M  MOKNI   M  RYBOJAD    EMC 75    Traitements d   aujourd   hui  et de demain dans les  pathologies inflammatoires  cutan  es   une approche  transdisciplinaire    M  VIGUIER  M  ALLEZ   F LIOT      Mod  rateur   H  BACHELEZ    64    He esmore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Dans cette session seront pr  sent  s des cas cliniques 
98. ayant consult   en ville  nous illustrerons les difficult  s et les d  fis rencontr  s  par le dermatologue dans sa pratique quotidienne    A l exclusion des tumeurs cutan  es  ces cas cliniques interactifs  nous permettront de faire un point  bibliographique et th  rapeutique sur les pathologies peu ordinaires ou de prise en charge difficile les plus  fr  quemment rencontr  es en ville  toxidermie  psoriasis r  calcitrant  effets secondaires d   un traitement   dermatoses inflammatoires ou infectieuses       Nous examinerons le parcours  la prise en charge ambulatoire  des patients et les situations o   le dermatologue sollicite son coll  gue hospitalier  Certaines de ces observations  souligneront l int  r  t des r  seaux de soins lib  raux et hospitaliers ainsi que l   utilisation de la t  l  dermatologie  afin de lever l isolement des praticiens  par de nouveaux moyens de communication ou de formation     Acquis souhait  s     Au cours de cette s  ance avec digicodes  le dermatologue sera confront   aux d  fis de la dermatologie de ville   en   changeant avec ses coll  gues    Le profil des patients transf  r  s    l   h  pital ou pris en charge par un r  seau lib  ral et hospitalier sera pr  cis     Mise au point bibliographique sur la prise en charge des pathologies fr  quemment rencontr  es en ville        S  ance interactive avec digicodes    mm mmmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les maladies fibrosant
99. be  J  Raffoul  T  Petrella  C  Monnin      art  rite maculeuse lymphocytaire  une nouvelle vasculite cutan  e  A  L  V  die     A  Fauconneau  B  Vergier  E  Imbert  0  Demay  G  De La Valussi  re  M  S  Doutre    La xanthomatose p  rifolliculaire   un aspect histologique caract  ristique de la maladie de Fox Fordyce  plus fr  quent que d  crit dans la litt  rature  M  Jones     A  Khaled  S  Rammeh  A  Souissi  F  Zeglaoui  R  Zermani  B  Fazaa    Naevus bleu cellulaire atypique temporal de l enfant   un diagnostic rare  C  Lesage     B  Vergier  M  D  Diebold  A  de la Fouchardi  re  S  Fraitag  J  C  M  rol  F  Grange    Nodules de prolif  ration versus M  lanome survenant sur naevus cong  nital g  ant   apport de la FISH    4 couleurs    S  Fraitag   B  Vergier  E  Laharanne  M  Carlotti  F  Boralevi  M  F  Avril  C  Bodemer       114    Epid  miologie    P083    P084    P085    P086    P087    P088    P089    P090    P091    P092    P093    P094    olo    1e Se mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Vendredi 13 d  cembre a e    Lmm      _             Finasteride 0 25  solution topique   un nouveau traitement de l   alop  cie androg  n  tique  M  Genet  F  Mailland  M  lorizzo  R  Palmieri    Les folliculites    Malassezia     tude clinique et typage mol  culaire des souches  R  Guidara  F  Cheikhrouhou  S  Neji  S  Boudaya   H  Trabelsi  H  Sellami  S  Marrekchi  A  Masmoudli   H  Turki  F  Makni  A  Ayadi    Investigation et gestion d   une   pid  mie de teigne   
100. bin  C  Michel  J  Jegou   F Grange  F  Antonicelli    CO 052 Int  r  t des tests ELISA anti desmogl  ines 1 et 3 dans le suivi immunologique du pemphigus   r  sultats  pr  liminaires  N  Bellon   C  Andr    E  Sbidian  P  Wolkenstein  0  Chosidow  S  Oro    CO 053 Qualit   de vie chez les patients atteints de pemphigus   corr  lation avec le type et la s  v  rit   du  pemphigus  C  Boulard     A  C  Bouyeure  E  Houivet  L  Borradori  C  Huenefeld  E  Schmidt  B  Marinovic   G  Zambruno  C  Feliciani  C  Prost  C  Picard Dahan  S  Duvert Lehembre  B  Labeille  C  Paul   M  A  Richard  S  Dalac  P  Bernard  A  Dupuy  F  Caux  J  D  Bouaziz  S  Oro  M  Avenel Audran   L  Misery  B  Sassolas  M  Alexandre  M  D   Incan  E  Delaporte  C  Bedane  G  Quereux  L  Machet   P  Vabre  0  Dereure  F  Skowron  N  Franck  M  Beylot Barry  N  Beneton Benhard  S  Debarbieux   D  Jullien  J  Benichou  V  Ferranti D  Murrell  M  Herti  P  Joly  et Pemphigus European Network FP7   Groupe Bulle de la SFD    co 054 Morbidit      un an de la pemphigo  de cicatricielle     tude r  trospective sur 60 cas  M  Alexandre  C  Le Roux  S  Doan  I  Soued  F  Pascal  M  Heller  N  Li  vre  F  Caux  L  Laroche  C  Prost   et Centre de r  f  rence NET DBAI Ile de France    95       CO 055    CO 056    CO 057    CO 058    CO 059    CO 060    CO 061    CO 062    CO 063    1e Se mbre 2015    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mm mm mm mm mm m
101. biopsies  Au cours de cette session  une dizaine de diagnostics seront ainsi d  couverts progressivement  avec  la participation de la salle  en reproduisant les   tapes de la d  marche anatomoclinique telle qu   elle s   est d  roul  e  dans la r  alit          Objectifs     Les participants    cette FMC seront invit  s    r  fl  chir aux conditions d   une confrontation anatomoclinique  efficace    partir d observations de dermatoses banales ou parfois rares  inflammatoires ou tumorales   rencontr  es en pratique lib  rale ou hospitali  re  Dans tous les cas  le diagnostic n   a pu   tre port   qu apr  s une  r  interpr  tation des lames histologiques    la lumi  re d informations cliniques nouvelles ou plus pr  cises     Acquis souhait  s     Une sensibilisation    la qualit   des renseignements cliniques transmis au pathologiste et    leur actualisation      la n  cessit   de v  rifier la coh  rence entre conclusions histologique et clinique  et    l utilit   de recourir largement  au dialogue direct avec le pathologiste     mm mmmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Diverses substances sont employ  es comme colorants dans les aliments  les cosm  tiques  les v  tements ou les  m  dicaments  Ces colorants sont tr  s souvent suspect  s d     tre    l origine de r  actions allergiques mais souvent  sans raison  Nous proposons ici de pr  senter les substances et les aspects cliniques des allergies    certains  colo
102. blant la sous unit   p40 de l   IL 12 et de l   IL 23   A  Rozi  res     C  Lambert  C  Paul  K  Reich  M  Brunori  F  Lavie  P  Bergmans  E  Martens  E  Rizova   J  F  Nicolas    Effet du secukinumab sur l atteinte palmo plantaire du psoriasis mod  r      s  v  re   r  sultats d   une   tude  de phase 2  recherche de sch  ma posologique   M  Lahfa   C  Paul  J  P Ortonne  A  Khemis  U  Mrowietz  L  Martin  C  Papavassilis  P  Pinton    Am  lioration de la qualit   de vie et de l     tat de sant   chez des patients soufrant de psoriasis mod  r       s  v  re   r  sultats d   une   tude clinique de phase 2  recherche de sch  ma posologique   J  P Ortonne   A  Khemis  M  Lahfa  C  Paul  D  Wilsmann Theis  L  Martin  C  Papavassilis  P  Pinton    R  ponse prolong  e    l   infliximab     tude r  trospective multicentrique   Q  Magis     C  Gaudy Marqueste C  Baumstark  E  Delaporte  E  Karimova  H  Montaudi    F  Aubin    M  Beylot Barry  C  Pete Bonneton  D  Jullien  T  Boye  M  A  Richard pour le Groupe de recherche sur  le Psoriasis de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie    R  sultats    16 semaines d   une   tude de Phase IIl randomis  e  contr  l  e de l   apremilast  inhibiteur oral  de la Phosphodiesterase 4  chez des patients pr  sentant un Psoriasis mod  r   a s  v  re  ESTEEM 1    G  Trape H  Bachelez     C  Reich  K  Papp  C  Leonardi  L  Kircik  S  Chementi  R  Steven  R  M  Day   C  E  Griffiths  C  C  Hu       M  lanomes ll    101    CO 091    CO 092    CO 093 
103. bon r  sultat cicatriciel   kystes  lipomes  l  sions m  lanocytaires et carcinomes basocellulaires     Responsable de l   atelier Moniteurs    Mardi 10 d  cembre 09h00  13h00       ATELIER 1 A Arnaud Ly Thierry Le Guyadec  SALLE 342A Jacques Lulin  Delphine Saada    Nicole Cochelin  Albane Bienaim    Sophie Maradeix    ATELIER 1 B Sylvie Lagrange Isabelle Egasse   SALLE 342B Alexandre Ostojic  Charlotte Fite  Bertille Bonniaud  Vincent Cante  Vincent Orlandini    Mardi 10 d  cembre 14h00     18h00       ATELIER 1 C Nathalie Gral Pierre Brecheteau   SALLE 342A Caroline Thuny  Philippe Launay  Jean Loic Michel  Cristina Livideanu    Christian Frick  ATELIER 1 D Franck Delesalle Alice Barrel  SALLE 342B Philippe Tranchand    Isabelle Vivard Vall  e  Gauthier Haberstroh  Serge Goldberg   Val  rie Doffoel Hantz    Cet atelier b  n  ficie du soutien de LABODERM       ATELIER 2    Atelier de chirurgie 2 niveau    confirm    Sous l     gide du Groupe    Dermatochirurgical de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    Coordonn   par    S  LAGRANGE et A  LY    Participation au niveau 1  souhait  e au pr  alable ou  niveau de technicit      suffisant    22    He esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Nous aborderons la greffe de peau totale  les variantes du fuseau classique et la correction des exc  s tissulaires  pour passer ensuite aux principes des mouvements tissulaires et    la r  alisation des lambeaux d avanceme
104. cas sont s  lectionn  s pour leur valeur didactique et couvriront diff  rents aspects de la pathologie tumorale   infectieuse ou iatrog  ne  Ils illustreront  aussi  quand et comment une r  vision du traitement immunosuppresseur  doit   tre discut  e     Acquis souhait  s    Am  liorer la connaissance des aspects sp  cifiques de la prise en charge des patients greff  s d organe     S  ance interactive avec digicodes       FORUM 7    Prise en charge des  ch  lo  des sur peau noire    C  DERANCOURT  0  FAYE    J  MENARD  J J  MORAND    A  MAHE   Coordonnateur   A  PETIT   Pour le Groupe Peau Noire    de la Soci  t   Fran  aise de  Dermatologie    E RUMS    Une acn    des acn  s   des  traitements  des   checs    Que faire en 2013      J  REVUZ  N  AUFFRET   C  BEYLOT  B  DRENO  F  POLI    73     Osie sesmoe 2015    Mercredi 11 d  cembre et FORUMS  Jeudi 12 d  cembre    mn    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Pr  sentation g  n  rale     La fr  quence et la s  v  rit   des ch  lo  des sont consid  rablement plus   lev  es sur les peaux richement  pigment  es  notamment chez les sujets d ascendance africaine  Elles sont    l   origine de difficult  s  th  rapeutiques n  cessitant des strat  gies de prise en charge m  dicales ou m  dicochirurgicales particuli  res   que les diff  rents orateurs contribueront    pr  ciser    partir de la litt  rature m  dicale et de leur exp  rience        Objectifs     La premi  re partie proposera une synth  se pratique et critique des obje
105. cellules de  m  lanome  M  Domingues   F  Rambow  B  Job  L  Papon  L  Larue  J  Bonaventure   C25   R  gulation de la voie PI3K AKT dans les m  lanocytes  F  Laugier   A  Bensussan  N  Dumaz   C26   Les monocytes inflammatoires jouent un r  le important dans la r  ponse anti tumorale  et sont contr  l  s  par les lymphocytes T CD4  r  gulateurs  A  Pommier  R  Lengagne  A  Audemard  L  Douguet  M F  Avril  B  Lucas  A  Pr  vost Blondel    C27   Le TGFBI dans les m  lanomes   une signature d   un fort potentiel m  tastatique  L  Lauden   J  Siewiera  W  Boukouaci  K  Ramgolam  S  Mourah  C  Lebbe  D  Charron  F  Aoudjit   N  Jabrane Ferrat  R  Al Daccak   C28   Identification des r  gulateurs transcriptionnels de la T  traspanine 8 dans l invasion pr  coce du m  lanome  cutan    G  Aga  sse   L  Barbollat Boutrand  E  Sulpice  St  phanie Combe  Patricia Obeid  Manale El Kharbili  J  Lamartine   X  Gidrol  O  Berthier Vergnes     Masse   C29   Le pesticide trans nonachlore r  prime plusieurs microARN du m  lanocyte humain normal   r  le potentiel  dans la transformation maligne d  pendante de l environnement  P  Verrando   G  DeSouza  L  Peyre  R  Rahmani     12       15h35    1Le  csmEore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Thierry Passeron  Nice   M  canismes de r  gulation de EZH2 et induction de la s  nescence dans les cellules de m  lanomes    16h00   16h55 Oncologie       Mod  rateurs   Nicole Basset Seguin et Nicolas Dumaz    16h00    16h25    16h55    Paolo
106. cosis fongo  de transform   CD30      tude  comparative de 81 cas en collaboration avec le GFELC   A  Fauconneau     A  Pham Ledard  B  Vergier  M  Parrens  E  Frison  M  Carlotti  J  P  Merlio    M  Beylot Barry    1e Se mbre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communications  Orales    Allergologie Photodermatologie Toxidermies    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm      Amphith    tre Havane 16h15   17h45 j    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _                   Pr  sidents   M  C  Ferrier le Bou  dec  M  Avenel Audran  D  Tennstedt    CO 118 Impact du vieillissement et du photo vieillissement sur la capacit   de r  paration de l ADN et l   effet  protecteur du s  l  nium  W  Rachidi     M  T  Leccia  I  Hininger  E  Blouin  A  M  Roussel    C0 119 Sensibilisation de contact aux pansements modernes     tude 354 patients avec ulc  res chroniques de  jambe  A  Valois     M  Avenel Audran  F  Truchetet  N  Raison Peyron  E  Collet  J  Waton  J  F  Cuny   J  L  Schmutz  A  Barbaud    C0 120 Patch tests dans les explorations des toxidermies   valeur des pr  parations extemporan  es  H  Assier  G  Gener  L  Allanore  0  Chosidow  P  Wolkenstein    CO 121 Syndrome de Stevens Johnson  N  crolyse   pidermique toxique   caract  ristiques des atteintes ORL  E  Bequignon  T  A  Duong     E  Sbidian  L  Valeyrie Allanore  V  Chatelin  A  Coste  P  Wolkenstein   0  Chosidow  J  F  Papon    CO 122 Analyse des r  actions crois  es dans les toxidermies aux produits de contr
107. ctifs th  rapeutiques  des techniques  chirurgicales  ex  r  ses intra  et extral  sionnelles  modes de fermeture      des traitements intral  sionnels   produits et techniques d injections       des proc  d  s de destruction physique  cryoth  rapies   de la place et  des modalit  s de la radioth  rapie  de la compression et des autres traitements disponibles ou    l   tude pour les  ch  lo  des  La deuxi  me partie sera consacr  e    la discussion de cas concrets entre tous les participants en  interaction avec l assistance  La s  ance se terminera avec une proposition d   algorithme de prise en charge     Acquis souhait  s     Le dermatologue ayant particip      la session doit pouvoir proposer une strat  gie de prise en charge adapt  e  pour diff  rents types de situations ch  lo  diennes  en coordonner les moyens th  rapeutiques m  dicaux   chirurgicaux et physiques et mettre en   uvre lui m  me les injections intral  sionnelles g  n  ralement  n  cessaires     mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmmmmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     La maladie la plus fr  quente de nos consultations est aussi celle qui peut nous cr  er les difficult  s les plus   grandes     e Des probl  mes diagnostiques   Certains de nos   checs th  rapeutiques correspondent    des erreurs  d orientation    e Des probl  mes th  rapeutiques   Les sch  mas bien rod  s avec des m  dicaments bien connus se heurtent     des situations vari  es   adulte enfant   ancien 
108. d   une maladie de Darier  M  Lerisson   G  P  Pageaux  D  Larrey  B  Guillot    Mucinose papuleuse d   volution favorable sous Soriatane    S  Charles     V  Cante  P  Levillain  G  Guillet    Efficacit   des compresses de lidoca  ne    lib  ration prolong  e  Versatis    sur le prurit de l     pidermolyse  bulleuse h  r  ditaire dystrophique  J  Brun     C  Chiaverini   M  C  Alberge  J  P  Lacour      ducation th  rapeutique du patient et dermatoses chroniques en m  decine g  n  rale  C  Roussel  P  Carissimo  S  Azib  D  Staumont Sall    E  Delaporte    Patch de Capsa  cine    forte dose  8     un traitement innovant pour le prurit cervico brachial  N  Erfan     E  Castela  M  Lant  ri Minet  P  Bahadoran  J  P  Lacour  T  Passeron    Etude de l   effet de l   IL2 recombinante    faible dose sur les T r  gulateurs dans la pelade  E  Castela     F  Leduff  C  Butori  M  Ticchioni  P  Hofman  P  Bahadoran  J  P  Lacou   T  Passeron    Efficacit   du sild  nafil sur le ph  nom  ne de Raynaud et les ulc  rations digitales au cours de la  scl  rodermie syst  mique  I  Elmansour  S  Chiheb  H  Benchikhi       Toxidermies    121    P176    P177    P178    P179    P180    P181    P182    P183    P184    P185    P186    P187    P188    P189    P190    16 ha Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre ne    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Surexpression de l   interleukine 1 dans une pustulose aseptique des plis associ  e au lupus avec r  ponse  compl  te sous anakinra  C  Corbaux
109. d on des risques   en utilisant des    cr  mes  solaires    ou en prenant  des pilules antioxydantes    Que dire    nos patients    Le point sur la vitamine D    J C  BEANI  C  BEDANE   M T  LECCIA    E CO 22    Cas cliniques de pathologie  ungu  ale p  diatrique    J  ANDRE  S  GOETTMANN   B  RICHERT    Mod  rateur   R  BARAN    37     Osie sesmoe 2018    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     Quels sont les moyens aujourd   hui disponibles pour photo prot  ger au mieux enfants et adultes   Efficacit   et  limites    l   utilisation des produits de protection solaires   les antioxydants par voie orale doivent ils   tre  recommand  s   Existe t il d   autres strat  gies de photoprotection         Objectifs     Savoir r  pondre aux nombreuses questions des patients sur les risques solaires  sur les risques suppos  s ou  r  els des produits de protection solaire et sur ce qui peut   tre attendu des diff  rents moyens de photoprotection     partir des donn  es scientifiques disponibles    ce jour    Savoir conseiller et choisir une photoprotection adapt  e aux caract  ristiques de l individu    ge  phototype  d  sir  de protection  et au type d   ensoleillement    Pour cela  des cas cliniques pratiques illustreront les expos  s th  oriques     Acquis souhait  s       conna  tre les effets secondaires  les b  n  fices attendus et les limites  vis    vis des d  g  ts solaires aigus et  chroniques  des diff  rents moyens de protec
110. der  leurs avantages et inconv  nients  Il devra   tre capable de hi  rarchiser ces diff  rentes techniques de  reconstructions en fonction de chaque situation afin de proposer le traitement le mieux adapt   au cas par cas        EMC 13       Ce que nous avons appris  de nos cas cliniques       D  LEBAS  A  LASEK DURIEZ   Ph  MODIANO    EMC 14    Tumeurs et malformations  vasculaires   cas cliniques  interactifs    0  BOCCARA  S  HADJ RABIA   A  MARUANI    33     Osie     csmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke                     Pr  sentation g  n  rale    Certains cas cliniques modifient notre fa  on de    voir    et de    faire     Il est important de les rapporter de mani  re  interactive pour am  liorer sa pratique de la dermatologie        Objectifs    Dans cette session seront pr  sent  s des cas cliniques exemplaires pour leurs pi  ges diagnostiques  l illustration  de nouveaux concepts et de nouvelles prises en charge qui ont modifi   notre pratique     Acquis souhait  s     Mise en   veil du sens clinique de chacun   R  flexion anatomo clinique en dermatologie   Modification de certaines pratiques     mm mmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Le diagnostic et le traitement des anomalies vasculaires de l   enfant  dans des formes familiales ou non  restent  complexes  Les avanc  es scientifiques r  centes impliquent de nombreux g  nes et voies de signalisation dont  la compr  hension permet d appr
111. dermiques  Communications orales C20   C23  C20   L effet synergique de cytokines proinflammatoires mime le psoriasis en inhibant la diff  renciation des  k  ratinocytes  H  Rabeony  I  Paris  J  Garnier  C  Barrault  N  Pedretti  K  Guilloteau  G  Guillet  V  Huguier  F X  Bernard   J C  Lecron  F  Morel   C21   Nouveaux vecteurs pour le diagnostic immunobiologique de l allergie aux parfums  A  Cortial   M  Vocanson  A  Rozi  res  C  Goujon  S  Brian  on  J F  Nicolas  C22   L IL 18 induit un ph  notype de dermatite atopique dans des   pidermes reconstruits humains  M  Bernard   B  Guiraud  M  Vocanson  S  Bessou Touya  C  Goujon  H  Duplan  J F  Nicolas  M F  Galliano  C23   TNFR1 signaling in NF kB deficient keratinocytes triggers IL 24 dependent psoriasis like skin inflammation  in mice  M C  Bonnet   S  Kumari    M H  Ulvmar  K  Wolk  N  Karagianni  E  Witte  C  Uthoff Hachenberg  J C  Renauld   G  Kollias  R  Toftgard  R  Sabat  M  Pasparakis     Haase    Bertrand Dubois  Lyon   Cellules de Langerhans et contr  le de la r  activit   cutan  e aux allerg  nes de contact    13h00   14h00   Visite libre POSTERS et STANDS JDP    14h00   15h30 Pigmentation   M  lanome       Mod  rateurs   Romain Fontaine et Lionel Larue    14h00    14h25    Gra  a Raposo  Orsay    Les m  lanosomes   des v  sicules intracellulaires majeures dans la peau   Communications orales C24   C29   C24   ICAT  inhibitor of B catenin and TCF4   un nouveau r  gulateur de la motilit   et de l invasion des 
112. des costalleros S  villans  allergies de contact aux tefillins chez les juifs et au bindi chez  les hindous     Cette partie fera le point sur ces curiosit  s dermatologiques    culturelles       Stigmatis  s et mystiques   Depuis St Fran  ois d Assise  plus de 300 stigmatis  s ont   t   recens  s  mais seul un petit nombre a   t    canonis    Parmi les plus connus  St Fran  ois d Assise  Ste Catherine de Sienne  Ste Rita et plus pr  s de nous  St Padre Pio   Objets de doute et d   incr  dulit    les stigmatis  s gardent encore une grande part de myst  re  Depuis plusieurs  d  cennies  certain e s sont en voie de b  atification et les expertises sont longues et difficiles  Une r  flexion  sur le profil des stigmatis   e s sera tent  e    Pour ou contre la circoncision    En juin 2012  une d  cision du tribunal de grande instance de Cologne  Nord Ouest  a assimil   la circoncision  religieuse    un acte passible de poursuites p  nales  au nom du droit de l   enfant au respect de son int  grit    physique  Cette d  cision a cr     une vive   motion  mais aussi une pol  mique entre les partisans et les  opposants    la circoncision non justifi  e m  dicalement  Et pourtant des donn  es m  dicales convaincantes   publi  es surtout au cours des 20 derni  res ann  es  ont d  montr   que la circoncision prot  geait contre de  nombreux probl  mes de sant    Les opposants ass  nent des contre arguments m  dicaux  Que faut il en  penser   Telle est la question que nos patients nous pos
113. devra conna  tre le rapport b  n  fice risque de l   utilisation des cabines     bronzage et la r  glementation  Il conna  tra mieux l   pid  miologie et comprendra mieux le profil des  consommateurs de cabines de bronzage        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmemmmmmemmemmnmmnmm       Pr  sentation g  n  rale     La g  n  tique du m  lanome a fait d importants progr  s ces derni  res ann  es  avec l identification de g  nes de  pr  disposition    p  n  trance forte ou interm  diaire  CDKN2A  CDK4  BAP1  MITF  ou    faible p  n  trance comme  MCIR  Ces d  couvertes ont modifi   la prise en charge des formes h  r  ditaires de m  lanome et ont justifi    l     laboration de recommandations pour la pratique des tests g  n  tiques et la prise en charge        Objectifs       Faire une mise au point sur les principes cliniques et fondamentaux de l   oncog  n  tique et un rappel des  connaissances en   pid  miologie g  n  tique du m  lanome      D  crire les g  nes impliqu  s dans la pr  disposition au m  lanome et la fonction des prot  ines qu ils codent  l     tat  des connaissances et les incertitudes sur les diff  rents risques      D  tailler les tests g  n  tiques pouvant   tre propos  s  leurs indications  leur cadre r  glementaire  l   organisation  du conseil g  n  tique chez les apparent  s et l int  r  t des techniques sp  ciales d examen anatomopathologique      Diffuser les recommandations d   un groupe d   experts pour la prise en charge et le 
114. difications  c   est surtout la prise en charge  th  rapeutique qui a  au fil des ann  es  le plus   volu    Le dernier consensus international  auquel le groupe  urticaire de la SFD a particip   a permis de revisiter tout    la fois la classification  la prise en charge diagnostique  et le traitement de cette pathologie        Objectifs     Cette FMC a pour but d informer les dermatologues sur les derni  res recommandations internationales dans  la prise en charge et le diagnostic de l   urticaire chronique  Nous   voquerons ce qui a chang   par rapport au  consensus international de 2009 et fran  ais de 2003  Nous discuterons aussi du positionnement du groupe  urticaire par rapport    ces nouvelles recommandations et    leur champ d   application en France     Acquis souhait  s    A l issue de cette FMC  les dermatologues conna  itront les derni  res recommandations internationales en mati  re  de diagnostic et de th  rapeutique dans l   urticaire chronique        EMC 62    10 cas cliniques de  chirurgie ungu  ale    R  BARAN  J  POUAHA   B  RICHERT  Coordonnateur   0  COGREL    ELC OS    Dermatologie P  diatrique  Pratique    F CAMBAZARD  J Ph  LACOUR   D  HAMEL TEILLAC    He e smore 20138    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     La maitrise de techniques simples de chirurgie est cruciale pour la prise en charge de nombreuses affections  de l   ongle  Ces techniques seront abord  es dans cette session qui utilisera largem
115. dre   F  Caux  M  D   Incan  E  Delaporte  C  Bedane  G  Quereux  L  Machet  P  Vabres  0  Dereure  F  Skowron   N  Franck  M  Beylot Barry  H  Maillard  S  Debardieux  D  Jullien  L  Misery  V  Ferranti  P  Joly et   le Groupe bulle de la SFD    Allongement de la dur  e d efficacit   des injections de toxine botulique A  Dysport    dans l   hyperhidrose  primaire axillaire et palmaire     tude chez respectivement 83 et 28 patients  M  Lecoufle    C  Leux  M  Fenot  P  C  lerier  H  Maillard    Efficacit   et tol  rance de l   alemtuzumab dans les Iymphomes T   pidermotropes de stade avanc       tude  r  trospective de 39 cas en pratique clinique   A  De Masson     P  Guitera  L  Michel  J  D  Bouaziz  P  Brice  I  Moulonguet  F  Mouly  J  Roux    C  Ram Wolff  K  Beldjord  J  M  Cayuela  H  Bachelez  A  Bensussan  M  Bagot    Allogreffe de cellules souches h  matopo    tiques dans 37 cas de mycosis fongo  de transform   et autres  lymphomesT cutan  s primitifs de stade avanc     A  De Masson     M  Beylot Barry  J  D  Bouaziz  F  Aubin  S  Garciaz  M  d   Incan  0  Dereure  S  Dalle    A  Dompmartin  F  Suarez  H  Adamski  M  Battistella  J  Rivet  M  D  Vignon Pennamen  P  Brice    S  Fran  ois  S  Lissandre  P  Turlure  E  Hainaut  E  Brissot  R  Dulery  A  Ravinet  S  Servais    S  Ingen Housz 0ro  P  Joly  G  Soci    M  Bagot et le Groupe Fran  ais d Etude des Lymphomes Cutan  s    Induction par le brentuximab vedotin  BV   anticorps monoclonal anti CD30  d   une r  miss
116. du diagnostic  initial  de l     volution m  tastatique  proposition de participation    un essai clinique   le dermatologue est confront       la difficult   de faire passer une information    son patient et ou    ses proches  Ces derniers ne sont pas  forc  ment en   tat d entendre ou de recevoir    En raison de la charge   motionnelle d   une telle annonce  le  m  decin peut   prouver des difficult  s pour informer et soutenir au mieux le patient    Surprise  d  ni  effondrement    nervement peuvent alors   tre les modes de r  action  selon l     tat   motionnel et  la situation de vie de chacun        Objectifs     Echanger et confronter les exp  riences des participants en r  agissant    partir de vid  os  extraits de consultation  d annonce de diagnostic    diff  rents stades de la maladie    Etudier la communication verbale et non verbale du m  decin et du patient et ou proche    Identifier les enjeux relationnels et apprendre des techniques permettant d y r  pondre au mieux    D  crypter les attitudes des uns et des autres pour r  ussir    communiquer avec nos patients    Identifier les enjeux relationnels et apprendre des techniques permettant d y r  pondre au mieux    Mettre en pratique les outils de communication pr  sent  s  par l interm  diaire de jeux de r  le     Acquis souhait  s     Cette probl  matique de l annonce d   une mauvaise nouvelle n   est pas r  serv  e au seul domaine de la  canc  rologie  Elle est quotidienne dans la relation professionnelle du m
117. e Lyell au parac  tamol chez une fillette  A  Abdou     N  El Moussaoui  N  Guerouaz  F  Z  Lamchahab  B  Hassam  N  Ismaili    Hypom  lanose maculeuse progressive de l   adolescent  A  Lasek  D  Lebas  P  Modiano    Intoxication au mercure par procuration   une nouvelle complication de la d  pigmentation volontaire  E  Bourra    A  Petit  A  Villa  A  Perry       P248    P249    P250    P251    P252    P253    P254    P255    P256    P257    1e Se mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre a ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _             Miliaire rouge dans le pseudohypoaldost  ronisme type Ib  J  Korkomaz  A  Ghanem  I  Maatouk  M  Habre  D  Maalouf  A  M  Fayad  R  Haber  R  Tomb    Un cas spectaculaire de pityriasis lich  no  de aigu et varioliforme  C  Velter     L  Le Sach   de Peufeilhoux  G  Monsel  L  Ronjat  E  Sbidian  S  Fraitag  C  Bodemer    Plasmocytose cutan  e primitive isol  e b  nigne de l   enfant  K  Tsilika   E  Castela  N  Cardot Leccia  T  Passeron  J  P  Lacour    Syndrome du    b  b   Michelin        propos de deux cas  M  H  Commin   A  Goldenberg  C  Boulard  P  Courville  A  Labarre  C  Dumesnil  X  Balguerie    Dyschromatose h  r  ditaire universelle   vari  t   originale chez trois familles tunisiennes  L  Boussofara     M  Chourabi  D  Hmida  B  Sriha  R  Nouira  A  Saad  M  Denguezli    Un visage rose bonbon  C  Chiaverinf   A  L  H  riss    T  Passeron  J  P  Lacour    Syndrome DITRA n  onatal avec microc  phalie  r  tr  cissement aortiq
118. e coca  ne  F  Stephan  D  Maalouf  A  M  Fayad  G  Obeid  I  Maatouk   A  Ghanem  J  Korkomaz  M  Habre  R  Haber    Pyoderma gangrenosum r  v  lant un lymphome T anaplasique ganglionnnaire  H  Boudhir     I  Ramli  M  Mael Ainin  K  Senouci  B  Hassam    Pyoderma gangrenosum diss  min   associ      une polyarthrite rhumato  de     volution favorable sous  certolizumab  B  Labeille   E  Cinotti  J  L  Perrot  C  Douchet  F  Cambazard    Pyoderma gangrenosum de la paupi  re   chercher le lymphome    C  Ram Wolff  B  Flageul  M  D  Vignon Pennamen  M  Battistella  A  L  Goeldel Brichet  F  Grange   M  Bagot    Hidrad  nite suppur  e   int  r  t d   un r  gime pauvre en levure de bi  re  V  Descamps     C  Fite  C  Cannistra  K  Ezzedine  G  Chaby  H  Maillard  G  Gabison et GEM Resopso    Maladie de Verneuil apr  s transplantation r  nale   r  mission compl  te apr  s remplacement de la  ciclosporine par le tacrolimus  E  Ducroux     M  A  Ocampo  J  Kanitakis  E  Morelon  D  Jullien  M  Faure  S  Euvrard    Acn   nodulaire  pyoderma gangrenosum et hidrosad  nite suppur  e  syndrome PASH  satellites d   une  maladie de Crohn  F  Chasse    C  Demongeot  R  Jonathan  M  Bagot  C  Baudry  H  Bachelez  A  Petit    R  mission d   une cellulite diss  quante du cuir chevelu associ  e    une hidrosad  nite suppur  e sous  antibioth  rapie combin  e   M  Delage  0  Join Lambert  S  Miskinyte  H  Coignard  0  Lortholary  X  Nassif  A  Hovnanian   A  S  Nassif    128       P275    P276  
119. ements de nom ne sont pas accept  s mais consid  r  s comme des nouvelles inscriptions pour  lesquelles un r  glement sera demand       Des frais de dossier d   un montant de 30     TTC seront factur  s pour toute modification d inscription ou  de r  servation   Les droits d inscription comprennent      l acc  s aux s  ances et    la zone d exposition     un badge   lectronique nominatif     la sacoche du congr  s avec tous les documents correspondants  programme  livre d   abstracts       la possibilit   de participer    la soir  e des JDP moyennant le r  glement des droits correspondants     141       Conditions d annulation    Certificat de pr  sence    142    He   esmore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Informations  G  n  rales    Lmm      _   _          Le montant de la TVA inclus dans les droits est d   par tous les participants quel que soit leur pays d   origine   Il en va de m  me pour les tarifs de la soir  e du congr  s ou pour l h  bergement  Ces montants de TVA  19 60   et 7  pour l h  bergement  sont r  cup  rables aupr  s de l     tat fran  ais selon certaines conditions  Renseignez   vous aupr  s de votre expert comptable ou bien contactez le secr  tariat des JDP 2013     Les annulations doivent   tre notifi  es par   crit  lettre  e mail ou fax     MCI JDP2013 selon les conditions  suivantes     e Inscriptions       Jusqu au 08 octobre 2013   remboursement de 50  des sommes vers  es moins 80     TTC de frais de dossier     Apr  s le 08 octobre 2013   a
120. emphigus paran  oplasique   revue de la litt  rature     propos d   un  cas  C  Fleure    K  Talour  F  Staroz  I  Kupfer Bessaguet  P  Plantin    N  gativit   des immunofluorescences directe et indirecte dans un cas de pemphigus paran  oplasique  pseudo Lyell   L  Pra    A  Saussine  J  D  Bouaziz  S  Mignot  C  Fieschi  E  Oksenhendler  M  D  Vignon Pennamen   M  Bagot  M  Rybojad    Prise en charge bucco dentaire des patients atteints de maladies bulleuses auto immunes avec atteinte    muqueuse  V  Sobocinsk    S  M  Dridi  S  Oro  F  Pascal  C  Prost  P  Joly  S  Duvert Lehembre    Le signe de Grey Turner ou comment le dermatologue peut pr  dire une   volution d  favorable de la  pancr  atite  M  S  Faffa     M  Lefevre  L  Misery  P  Crenn  A  M  Roguedas    Etude de la part de douleur neuropathique dans les vulvodynies  A  C  Tersiguel  M  Schollhammer  E  Postec  P  Tand  o  C  Bod  r    B  Quinio  L  Misery    Macroch  ilite granulomateuse s  v  re d   aggravation progressive sous infliximab puis adalimumab  au  cours d   une maladie de Crohn  M  Samimi   L  Picon  A  de Muret  L  Vaillant    Dermatologie p  diatrique    124    P225    P226    P227    P228    P229    P230    H  mangiomes cong  nitaux   le PICH  chainon manquant entre le RICH et le NICH    C  Guriolf  K  Ezzedine  T  Hubiche  A  Ta  eb  F  Boralevi  C  L  aut   Labr  ze    Fr  quence et prise en charge de l   hypothyro  die biologique durant la phase pr  coce des h  mangiomes  du nourrisson  G  Triquef
121. en een      n   ee           im               INFORMATIONS  G  N  RALES   amp  CONDITIONS       He   esmore 2015    Lmm      _   _          PARIS   Palais des Congr  s    Informations  G  n  rales    Les JDP 2013  communications scientifiques  exposition des posters  s  ances de FMC  exposition  pharmaceutique et de mat  riel m  dical  se d  rouleront du 10 au 14 d  cembre 2013 au      PALAIS des CONGRES de PARIS  2 place de la Porte Maillot   75017 Paris   Voir plan d   acc  s et des salles en fin de programme     Acc  s   m  tro ligne 1  RER ligne C  Bus et taxi  En voiture priv  e  le parking du Palais des Congr  s est    votre  disposition  acc  s par la place de la Porte Maillot      Secr  tariat scientifique et exposition JDP 2013    Tous les renseignements d ordre scientifique  communications  posters      et concernant l   exposition peuvent    tre obtenus aupr  s du Secr  tariat de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie et des Journ  es Dermatologiques  de Paris      Sylvie FOJUTOWSKI  Marie Jo DINANT   SFD  25  rue La Bo  tie   75008 Paris   T  l     33  01 43 27 01 67 ou 56  Fax     33  01 43 27 01 86   E mail   jdp sfdermato fr    Secr  tariat g  n  ral et inscriptions    Accueil sur place au congr  s    Acc  s au congr  s    D  jeuners    140    Pour l   organisation g  n  rale et logistique ainsi que pour les inscriptions  adressez vous         JDP 2013   MCI   24  rue Chauchat   75009 Paris   France   T  l     33  01 53 85 82 57     Fax     33  01 53 85 82 83 
122. ent et    laquelle nous tenterons de r  pondre    Gu  rison par la pri  re   mythe ou r  alit      En France  la partie spirituelle de l     tre humain est ni  e au profit de la psychologie et nombre de praticiens  n   admettent pas que psychologie et spiritualit   soient diff  rentes  La dimension physique  psychique  sociale  et spirituelle de l   tre humain n est pas mentionn  e en m  decine  Cette pr  sentation cherchera    montrer      l   aide d exemples  la tr  s abondante litt  rature qui existe sur ce sujet et que tr  s peu de Fran  ais  connaissent     Acquis souhait  s       Enrichir sa culture g  n  rale sur la peau      Mieux comprendre la place de la peau dans la religion et les repr  sentations de la peau par les patients qui  en d  coulent     mn    Pr  sentation de cas cliniques provenant des pays francophones de divers continents  La s  lection des  observations sera faite en raison de leur originalit    de l importance des probl  mes diagnostiques ou  th  rapeutiques qu   elles soul  vent ou en raison d   un int  r  t de sant   publique  Ils sont suivis de discussions  permettant des   changes fructueux et enrichissants entre dermatologues ayant des exp  riences professionnelles  vari  es     L Assembl  e G  n  rale se d  roule durant le Forum        FORUM 14    Journ  e des Infirmi  res  et des Infirmiers  Coordination   H  ADAMSKI    77     Osie sesmoe 2015    PARIS   Palais des Congr  s    ke          e    neneeennennenennnnennnnnenenennennannnnnnnnnnnen
123. ent le support vid  o et prendra  en compte des situations cliniques fr  quentes  Nous d  taillerons les diff  rentes options chirurgicales en fonction  du diagnostic retenu et livrerons nos    trucs et astuces    pour optimiser la prise en charge et le r  sultat  fonctionnel        Objectifs     Faire b  n  ficier les participants de l exp  rience chirurgicale de praticiens r  alisant des actes de chirurgie  ungu  ale au quotidien  Elle sera   tay  e par une revue de la litt  rature dans les situations suivantes   biopsie  diagnostique  m  lanonychie  tumeur matricielle  tumeur du lit de l   ongle  carcinomes   pidermo  des  tumeurs  glomiques  pseudokyste muco  de  verrues p  ri ungu  ales  ongle incarn       Acquis souhait  s    Apr  s cette formation  les diff  rentes   tapes chirurgicales devront   tre maitris  es pour ces 10 situations cliniques  de pathologie ungu  ale o   la chirurgie est indispensable        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     De nombreuses affections dermatologiques de l enfant posent des probl  mes diagnostiques ou th  rapeutiques  en raison de la vari  t   des pathologies impliqu  es  C   est dire l int  r  t d   une pr  sentation de cas cliniques  originaux  associ  e    une discussion avec l   ensemble des participants  sur des observations impliquant des  prises en charge sp  cifiques        Objectifs     Etablir une interactivit    voire soulever des controverses  avec 
124. entionnelle et imagerie    P049 Traitement par laser C02 des hyperplasies cutan  es lymphoides sur tatouages  T  Fusade   H  J  Laubach  E  Guigne  S  Lafaye    P050 Traitement des xanthelasmas     tude comparative intra individuelle laser C02 vs TCA 30   S  Fourcade Roch  A  M  Collet Villette    P051 Efficacit   du Laser    colorant puls   sur l   angiohistiocytome    cellules pluri nucl    es  T  Fusade   S  Lafaye  E  Guigne  H  J  Laubach    P052 Uv  ite cons  cutive    un traitement par laser Alexandrite 755 nm d   un hamartome pileux facial  T  Fusade   H  J  Laubach  E  Guigne  S  Lafaye    P053 Influence de la dur  e d impulsion dans l interaction laser   crayon blanc  M  Naouri  J  M  Mazer    P054 Epilation laser par d  l  gation du dermatologue    une assistante non m  dicale     tude r  trospective  monocentrique de 332 traitements chez 134 patients  M  Naouri    et le Groupe Laser de la SFD    111    112       P055    P056    P057    P058    P059    P060    P061    P062    P063    P064    P065    P066    P067     O ee  mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre Dot    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Diagnostic par microscopie confocale de m  lanomes du bord libre des paupi  res   premi  re s  rie  rapport  e   J  L  Perrof   B  Labeille  E  Cinotti  D  Grivet  M  Espinasse  C  Douchet  G  Thuret  P  Gain  F  Cambazard  et le R  seau Lig  rien du M  lanome    Int  r  t diagnostic de l examen en microscopie confocale in vivo des tumeurs des paupi  r
125. er sur les avantages de devenir  membre de la SFD  d  couvrir ou mieux conna  tre la SFD d   aujourd   hui et de demain  retirer  gratuitement le num  ro sp  cial consacr         l Histoire des JDP      dit      l   occasion des JDP 2013   et enfin peut   tre gagner une inscription aux JDP 2014  Vous pourrez aussi y rencontrer et   changer  avec le Docteur Brigitte Roy Geffroy  Directeur ex  cutif de la SFD     Comme chaque ann  e  vous pourrez retrouver d  s le d  but de l   ann  e 2014 sur le site de la SFD   www sfdermato com  les vid  os de l int  gralit   des Quoi de Neuf     Enfin  au moment de vous inscrire  si vous n   tes pas encore membre de la SFD  profitez en pour  le devenir  vous pourrez ainsi disposer du tarif pr  f  rentiel d inscription aux JDP      Je vous souhaite d excellentes JDP 2013     Pr Olivier Chosidow  Pr  sident de la SFD          ke       10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  ESPACE DE LA MAISON DE LA DERMATOLOGIE  Trois jours pour tout savoir sur la SFD et les JDP    mercredi 11 d  cembre au vendredi 13 d  cembre    L HISTOIRE DES JDP  LA SFD EN 2013  LA SFD  PERSPECTIVES    Venez   changer et d  couvrir    L actualit   de la SFD  Adh  rez    la SFD et b  n  ficiez des nombreux avantages de l adh  sion      Le num  ro sp  cial    Histoire des JDP       Informations  vid  os  interviews  de 9 heures    17 heures    Gagnez une inscription gratuite aux JDP 2014      Th    Caf      disposition t
126. es    propos de  53 malades  54 tumeurs   J  L  Perrof  B  Labeille  E  Cinotti  M  Espinasse  D  Grivet  N  Campolmi  G  Thuret  F  Cambazard et  Le R  seau Lig  rien du M  lanome    Diagnostic non invasif en microscopie confocale in vivo de formes maculeuses de m  lanomes muqueux  S  Debarbieux     S  Ronger Savl    E  Cinotti  P  Bahadoran  L  Depaepe  E  Long Mira  J  L  Perrot   B  Labeille  L  Thomas et Imagerie Cutan  e Non Invasive    Rep  rage des marges du lentigo malin au moyen d   un microscope confocal in vivo pour l optimisation  du traitement chirurgical   J  L  Perrot  E  Cinottf  B  Labeille  J  Champin  A  Thomas  C  Douchet  G  Parrau  C  Chol    F  Cambazard et le Groupe fran  ais d imagerie cutan  e non invasive    Examen en microscopie confocale ex vivo de tumeurs   pith  liales de l appareil ungu  al    A propos de 7 cas   R  Gaspar Taylor   S  Debarbieux pour le groupe Imagerie Cutan  e Non Invasive  L  Depaepe     Dalle   B  Balme  L  Thomas    Essai de validation de la cam  ra Vivascope 3000 pour le diagnostic des carcinomes baso cellulaires  J  L  Perrot     E  Cinotti  B  Labeille  C  Douchet  F  Cambazard et le R  seau Lig  rien du M  lanome    Efficacit   des Ultrasons Focalis  s Haute Intensit   Ulthera   dans la remise en tension de l   ovale du  visage  M  Naouri     V  Arigon  Z  Thoux  J  M  Mazer    Evaluation de la r  paration par cicatrisation dirig  e apr  s chirurgie des ailes narinaires  J  Chanaf   A  Jafari  A  Kalampokas  Z  Batchva
127. es  Brigitte DRENO    e R  le du biofilm dans les m  canismes de r  sistance de P  acnes   Efficacit   de la myrtacine    Christine ROQUES  e Int  r  t de Keracnyl PP Nouvelle G  n  ration dans la prise en charge de l   acn    Didier COUSTOU  Jeudi 12 d  cembre PSSS a  12h30    13h30 ROCHE SAS  Salle 252 AB M  lanome m  tastatique   aujourd   hui que faites vous      Mod  rateurs   Pr Jean Jacques Grob et Dr Caroline Robert    e Recherche de la mutation BRAF   que faire en pratique    Pr Jean Fran  ois Emile    e M  lanome BRAF mut     quelle s  strat  gie s  th  rapeutiques s     Pr C  leste Lebb      e Les inhibiteurs de BRAF en pratique clinique  Pr Florent Grange    84    16 le Se mbre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke          SYMPOSIUMS  Satellites   12h30    13h30 LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE  division Stiefel   Salle 243    Ecz  ma chronique des mains   approche pratique de cette dermatose inflammatoire       Mod  rateur   Dr Morad Lahfa    e Que sait on aujourd   hui des dermatoses inflammatoires chroniques    Dr Morad Lahfa  Toulouse     e Handicaps et retentissements dans la vie de nos patients   Dr Fran  ois Maccari  Saint Mand       e Quelle strat  gie th  rapeutique adopter    Dr Brigitte Milpied  Bordeaux     e Traitement de l   ecz  ma chronique des mains   quelle approche en pratique lib  rale    Dr Gilles Rostand  Nice     12h30    13h30 BIODERMA   Salle 253 De l   ecz  ma    l asthme   l     piderme est cl         Comment pr  venir l   apparition ou 
128. es cutan  es acquises sont multiples  Certaines sont purement cutan  es comme les  diff  rentes morph  es  d   autres sont cutan  o  syst  miques  la scl  rodermie syst  mique  la GHV chronique   d   autres plus rares comme  par exemple  le POEMS syndrome  la fibrose n  phrog  nique  le syndrome IgG4 et  les fibroses paran  oplasiques     Les donn  es scientifiques et th  rapeutiques concernant ces maladies fibrosantes  notamment par l effet des  mol  cules d  fibrosantes  ont progress   ces derni  res ann  es avec des perspectives int  ressantes pour les  patients        Objectifs     L objectif de cette FMC est d apporter aux dermatologues une information actualis  e    fort potentiel pratique  concernant les m  thodes diagnostiques et la prise en charge th  rapeutique des principales maladies fibrosantes  cutan  es acquises que le dermatologue devra reconna  tre et traiter  Certains aspects physiopathologiques  r  cents qui ouvrent la voie    de nouveaux traitements seront   galement discut  s     Acquis souhait  s    Apr  s cette FMC  le dermatologue devra avoir acquis des connaissances actualis  es et utilisables en pratique  concernant la prise en charge diagnostique et th  rapeutique pour les maladies fibrosantes cutan  es        FORUM 1    Addiction solaire et cabines  de bronzage    M  BONIOL  Ay  PETIT  E  MAHE    e FUM 2    G  n  tique du m  lanome    actualisation et  recommandations    M F  AVRIL  B  BRESSAC DE  PAILLERETS  F  DEMENAIS   A  de la FOUCHARDIERE    
129. es h  mangiomes infantiles        Objectifs     Savoir r  pondre aux points suivants       Quels sont les h  mangiomes    risque   Quels h  mangiomes traiter      Comment et quand introduire le traitement   Quel bilan pr  alable       Quelle surveillance et quel suivi   Quelle   volution sous traitement      Acquis souhait  s     Conna  tre les h  mangiomes    risque et d  terminer quand adresser un enfant    un centre sp  cialis      Savoir quand proposer un traitement g  n  ral ou local  comment le mettre en place et faire le suivi  surveillance   dur  e optimale de traitement  gestion des effets secondaires et d   ventuelles rechutes    l arr  t      mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Cette FMC concerne la pratique courante de la dermatologie chirurgicale et compl  tera l   enseignement de 2011  et 2012 en apportant des   l  ments nouveaux et ou suppl  mentaires    Le dermatologue op  re le plus souvent sans aide et au cabinet  II doit pouvoir tout g  rer    2 mains  et ceci en  toute s  curit    pour le patient  que ce soit sur le plan de la st  rilit    du mat  riel  de l h  mostase  des sutures   des pansements  etc        Objectifs     De nouveaux    trucs et astuces    seront propos  s  illustr  s de vid  os  Ces attitudes doivent aider    anticiper les  complications     simplifier le geste chirurgical ainsi que le suivi postop  ratoire  et ceci en toute s  curit   pour le  patient et l op  ra
130. es p  diatriques et adultes issus de nos Centres de R  f  rence  une  actualisation des avanc  es physiopathologiques et th  rapeutiques sera   galement propos  e     Acquis souhait  s     A l issue de cette FMC  le dermatologue saura faire le diagnostic de certaines g  nodermatoses  Il pourra orienter  le patient selon sa pathologie et conna  tra l importance du conseil g  n  tique et de la prise en charge  pluridisciplinaire  II sera inform   des avanc  es th  rapeutiques et des futurs essais cliniques dans ces maladies     S  ance interactive avec digicodes       EMC 52    Toxicit   dermatologique des  th  rapeutiques cibl  es  anticanc  reuses   un enjeu  majeur pour les patients      C  ROBERT  B  MILPIED   V SIBAUD    EMC 53    Diagnostic et prise en  charge des ulc  rations de  jambe non vasculaires    G  PERCEAU  S  MEAUME       JOUBERT    53    IL Pa  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Le traitement des cancers solides m  tastatiques repose aujourd   hui fr  quemment sur l   utilisation de  th  rapeutiques cibl  es  en association ou non    la chimioth  rapie  Si ces nouvelles mol  cules pr  sentent une  activit   plus sp  cifique au niveau mol  culaire  permettant une am  lioration de la survie globale des patients  trait  s  elles ne sont pas d  nu  es d effets ind  sirables  Dans ce cadre  la toxicit   dermatologique est souvent  au premier plan  parfois de fa  on tr  s caract  ristique  et repr  sente une des
131. es volumes du visage  Dr Fr  d  rique Olivier Masveyraud    e Efficacit   et tol  rance  de nouveaux consensus    Dans la restauration des volumes  indications esth  tiques  Dr Yann Grangier  Dans le traitement des lipoatrophies faciales des patients VIH trait  s par antir  troviraux  Dr Martin Duracinsky    12h30    13h30 LABORATOIRES EXPANSCIENCE   MUSTELA DERMO PEDIATRIE  Salle 341 La peau saine du nouveau n   et de l   enfant   Mise au point et d  couvertes  Pr  sident de s  ance   Pr Pierre Wolkenstein  Dermatologue   H  pital Henri Mondor  Cr  teil     1  Les donn  es dermatologiques  Dr Michel Rybojad  Dermatologue  p  diatre  H  pital Saint Louis  Paris     2  Recherche et Innovation sur la fonction barri  re   le programme EVE I L S  Pr Joachim Fluhr  D  partement de Dermatologie et Allergologie  H  pital Charit    Berlin     3  Les cellules souches   concepts et nouvelles donn  es sur la peau de l enfant  Pr Olivier Dereure  Dermatologue  CHU  Montpellier     4  Prot  ger aujourd   hui pour demain   le Pers  ose d   Avocat  Dr Clarence de Belilovsky  Dermatologue  Institut Alfred Fournier  Paris     12h30    13h30 LABORATOIRE LA ROCHE POSAY  Salle 241 Prise en charge dermo cosm  tique des patients sous traitements anti canc  reux    e Revue de la litt  rature et recommandations pratiques du Board FRESKIMO  French Skin Management in Oncology   Pr Marie Beylot Barry  PU PH Service Dermatologie  CHU de Bordeaux    e D  veloppement des relations dermatologues     oncolo
132. essis  J  Mazereeuw    F Picard Morice  C  L  aut   Labreze  F  Berard  J  P  Lacour    Le risque cumul   de cancers est   lev   dans la maladie de Cowden   V  Bubien  F  Bonnet  V  Brouste  S  Hoppe  E  Barouk Simonet  A  David  P  Edery  A  Bottani  V  Layet   0  Caron  B  Gilbert Dussardier  C  Delnatte  C  Dugast  J  P Fricker  D  Bonneau  N  Sevenet  M  Longy   F  Caux    et le R  seau Fran  ais Maladie de Cowden    Modifications ph  notypiques et fonctionnelles des fibroblastes dermiques primaires li  es    l     ge  C  Brun  F  Jean Louis  T  Oddos  M  Bagot  A  Bensussan  L  Michel    Dualit   des modalit  s de disparition des m  lanocytes de l     piderme du vitiligo non segmentaire     tude  anatomopathologique de 50 cas  L  Benzekri  Y  Gauthier    TEP TDM   nouvelles techniques pr  dictives de transformations sarcomateuses chez les patients  atteints de Neurofibromatose 1   E  Sbidian   S  Djelbani  0  Zehou  J  Chalaye  M  Sasanelli  A  Rahmouni  P  Wolkenstein  E  Itti   L  Valeyrie Allanore    Maladie de Parkinson et m  lanome   une piste g  n  tique commune li  e    inactivation du g  ne PARK2  H  H  Hu     N  Dumaz  S  Lesage  V  Descamps  S  Mourah  C  Lebb    N  Basset Seguin  M  Bagot    A  Bensussan  L  Deschamps  M  T  Leccia  A  Tsalamlal  S  Klebe  C  Kannengiesser  A  Couvelard    B  Grandchamp  L  Thomas  A  Brice  N  Soufir    R  le des diff  rents groupes de variants MC1R sur le risque de m  lanome   une grande   tude cas t  moin  fran  aise   H  H
133. eunes  voire toujours jeunes   Sensibilisation    la dermatologie factuelle  EBM  indiff  rente        Objectifs    Assurer un d  roulement interactif avec les participants autour des probl  mes pr  sent  s     Acquis souhait  s    G  n  rer des concepts simples et applicables    la pratique    partir de situations complexes     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Ecoute  patience  empathie  tol  rance sont quelques unes des qualit  s que les patients attendent de leurs  m  decins  Ce sont aussi celles de la recherche de l   action bonne pour le patient  base du raisonnement   thique   Cela peut conduire    dire non  Dire non    son patient     un confr  re ou aux autorit  s de tutelle  Cet exercice de  la libert   dans un but   thique sera illustr   par des cas cliniques  puis d  battu avec les participants  Une synth  se  sera faite par Eric Fiat  philosophe        Objectifs     Les situations sont nombreuses o   la demande du malade entre en collision avec son int  r  t  ou les int  r  ts de  la soci  t    Notre devoir est de ne pas c  der    la facilit   en acceptant d embl  e les demandes mais de r  fl  chir     chacune d   entre elles et de savoir refuser  dans le cadre de la r  flexion sur l   action bonne  Les expos  s de cas  cliniques seront suivis d   une discussion avec la salle  Eric Fiat placera le d  bat dans une perspective  philosophique et   thique autour du refus     Acquis souhait  s    A la
134. eus  DERMATOILOGIQUES   DT         10 14 D  CEMBRE  LPALA S DES CONGR  S   FORTE MAILLOT  PARIS      coute nep se ROAN TAON  LECCIA   M  VIGUIER    A ENTIFIQUE    CN N SE OJUTOWSE   270    Ta  O1 4  Fax    O1 ia  27 01 8e       Programme    D  finitif       IL Pa    ecemore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _                Message du Pr  sident de la SFD    Cher e s coll  gues  cher e s ami e s    Voici le programme d  finitif des JDP 2013  Il est le r  sultat de la collaboration et du travail une fois  de plus exceptionnels du Comit   d Organisation  du Comit   de FMC et du Comit   de S  lection   dont les membres issus d   horizon divers repr  sentent bien les composantes de la Dermatologie  fran  aise  Il est   galement le fruit de l   efficacit   de Sylvie Fojutowski charg  e d organisation des JDP   aid  e de Marie Jo Dinant et Florence Dumont  nouvelle secr  taire de la SFD     Le r  sultat est un congr  s que nous attendons tous avec impatience avec le succ  s et la convivialit    qu   on connait  Les JDP sont la seule manifestation capable d associer dans un m  me lieu un  dosage    magique    de sessions de FMC  ateliers  forums  dont celui informant sur le DPC    communications scientifiques orales et affich  es  s  ances pl  ni  res avec orateurs prestigieux  Quoi  de Neuf du samedi matin     Ainsi  les JDP attirent chaque ann  e davantage de dermatologues francophones et sont devenues  un rendez vous incontournable de fin d ann  e  Nos coll  gues eu
135. ext  rieurs de types politiques  sociaux    conomiques ou de sant   publique  ou d   autres   v  nements ind  pendants de leur volont    force majeure   En cas d annulation  les conditions  d annulation du congr  s s   appliqueront  L inscription au congr  s implique l acceptation pleine et enti  re de ses  conditions d annulation     Il est recommand   aux participants d obtenir la couverture assurance ad  quate pour leur voyage  sant     accident  rapatriement  annulation  avant de partir  La SFD en tant qu organisateur et MCI ne portent aucune  responsabilit   en cas d accident du ou provoqu   par ou pour les participants et personnes accompagnantes  pendant ou    la suite du congr  s ni pendant aucun des   v  nements organis  s autour du congr  s     V    SIMPLIFIEZ VOUS LA VIE   pe pourrez aussi  POUR VOTRE INSCRIPTION AUX JDP 2013  TAPEZ   lent  t retrouver le  programme sur  wuww sfdermato com l application JDP 2013  ET INSCRIVEZ VOUS EN LIGNE   Pour Smartphone  et tablettes             Plan niveau 2   Palais des Congr  s                               Salle  Maillot       10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Plan niveau 1   Palais des Congr  s           T    REULT    GRAND  AMPHITH    TRE    Plan niveau 3   Palais des Congr  s    SALLE  ORATEURS    C  T    NEUILLY       ZONE  ACCUEIL ET  POSTERS  NIVEAU 3      Amonith    tr  i h    il Havane 1 if  i  AE   ZONE    POSTERS Ji    Impression 2012 Printed in France Pharmapost       Amphi  Bordeaux
136. ffets secondaires des phototh  rapies J L  Schmutz  12   Phototh  rapie dynamique C  B  dane    Objectifs    L   auto  valuation des participants sur leurs connaissances en photodermatologie  photoprotection et les grands  principes des phototh  rapies     Acquis souhait  s    Connaissances du risque solaire  savoir prescrire une photoprotection adapt  e   Connaissances des principes et de la r  alisation pratique des phototh  rapies     S  ance interactive avec digicodes       ATELIER 4    Atelier de l   aRED    Pubmed  et Zotero   Des ressources  pour rep  rer  trier   conserver  classer  citer   les articles de la litt  rature  m  dicale    A  DUPUY  S  BASTUJI GARIN   Ph  CANET  K  EZZEDINE    G  FANELLI  L  FARDET    B  GUILLOT  L  LE CLEACH    G  LORETTE  A  RAPHAEL   MARUANI  E  SBIDIAN      aRED   Association pour  les Recommandations en  Dermatologie    ATELIER 5    Atelier de l    aRED     Litt  rature et  communication m  dicale    info ou intox     Des outils pour faire le tri    A  DUPUY  S  BASTUYI GARIN   Ph  CANET  K  EZZEDINE    G  FANELLI  L  FARDET    B  GUILLOT  L  LE CLEACH    G  LORETTE  A  RAPHAEL   MARUANI  E  SBIDIAN      aRED   Association pour  les Recommandations en  Dermatologie    24    He esmore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Mardi 10 d  cembre Ateliers    Lmm      _   _          Nombre de participants limit      30    mn    Pr  sentation g  n  rale     Vous vous posez une question m  dicale   Comment y r  pondre s  rieusement sans ma  t
137. gastroenterologiques  maladie de Crohn  rectocolite h  morragique  ont    t   suivies par le d  veloppement clinique de nombreuses nouvelles mol  cules    usage th  rapeutique  inhibiteurs  du TNF  de l   1L12 23  de l IL17  inhibiteurs de Jak            Objectifs     Pr  senter sur un mode transdisciplinaire les succ  s et les   checs des d  veloppements th  rapeutiques r  cents   et proposer des algorithmes simples permettant d optimiser les choix th  rapeutiques chez les malades  pr  sentant une atteinte inflammatoire cutan  e et extracutan  e     Acquis souhait  s    Ma  triser les choix th  rapeutiques chez les malades atteints en particulier de psoriasis et d   hidrad  nite suppur  e   et de maladies inflammatoires intestinales ou rnumatologiques        EMC 76    Les pathologies g  nitales  masculines et f  minines  en pratique de ville    comment les reconna  tre    et les traiter     Mise au point 2013  B  HALIOUA  C  DE BELILOVSKY    ENT    Dermoscopie digitalis  e     TROMME  P  RICHEZ     L  THOMAS    65    PARIS   Palais des Congr  s     Osie sesmoe 2013    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     En pratique de ville  les patients consultent le plus souvent pour un prurit ou des br  lures douleurs g  nitales et  l   examen clinique retrouve    des degr  s divers   rougeurs  troubles de la pigmentation  fissures  modifications  anatomiques  parfois associ  s    des   coulements ou des pertes  Ces sympt  mes correspondent le plus souvent     un l
138. giques et enjeux en 2013 en  France   M  Touvier  M  Deschasaux  M  Montourcy  A  Sutton  N  Charnaux  E  Kesse Guyot  L  Fezeu    P  Latino Martel  N  Druesne Pecollo  C  Guinot  D  Malvy  J  Latreille  P  Galan  S  Hercberg    J  Souberbielle  K  Ezzedine       Le sport m   a tu       valuation transversale des comportements de photoprotection chez 254 sportifs de  haut niveau  C  Conort     0  Galera  D  Gangloff  N  Bouscaren  N  Meyer    Les patients fran  ais souffrant de psoriasis sont ils satisfaits de leur dermatologue    B  Halioua   M  Lahfa  A  Motrunich  A  Maury Le Breton  A  De Fontaubert  F  Maunoury  H  Bachelez   C  Paul    Importance des id  es fausses  des pr  jug  s n  gatifs et des comportements discriminatoires    l     gard  des patients souffrant de psoriasis en France  B  Halioua   A  Motrunich  D  Sid Mohand  A  De Fontaubert  A  Maury Le Breton  F  Dogniaux    Peut on d  finir un ph  notype cutan   du psoriasis    risque de rhumatisme psoriasique    M  Rouzaud     M  Sevrain  A  Villani  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  D  Jullien  L  Misery   S  Aractingi  F  Aubin  P  Joly  M  Le Maitre  A  Cantagrel  J  P  Ortonne  M  Beylot Barry    Impact   conomique des bioth  rapies dans le psoriasis en comparaison aux traitements syst  miques  classiques   analyse des donn  es de l   Assurance Maladie  M  Le Moigne  A  Sommet  M  Lapeyre Mestre  R  Bourrel  L  Molinier  J  L  Montastruc  C  Paul    Identification de deux ph  notypes de vitiligo   analy
139. granulomateuse interstitielle avec arthrites   association    in  dite de deux affections rares et trompeuses  V  Pallure     E  Chauvet  K  Costa  0  Dereure    R  action urticarienne induite par le rituximab au cours d   un lymphome B centro folliculaire   aspects  histologiques  signification physiopathologique  S  Oro     N  Ortonne  0  Chosidow    D  termination cutan  e in  dite d   un lymphome primitif des s  reuses HHV8  chez un patient VIH   M  Lerisson     E  Frouin  R  Benjamin  L  Galicier  V  Costes  0  Dereure    R  mission spectaculaire sous imiquimod 5  cr  me d   un lymphome leuc  mie T li      HTLV1 dans une  forme    smoldering    de pr  sentation tumorale  N  Corder    Syndrome HELIX   une nouvelle claudine impliqu  e  S  Hadj Rabia     Y  AI Sarraj  M  Kambouris  S  Leclerc  C  Bodemer  H  El Shanti    Efficacit   du vemurafenib chez 2 patients atteints de m  lanome m  tastatique BRAF discordant  M  Saint Jean  A  Brocard   G  Quereux  J  M  Nguyen  L  Peuvrel  A  C  Knol  A  Khammari  M  Denis   B  Dr  no    Alop  cie secondaire    une hypothyro  die survenue sous vemurafeib  J  Fahmy Gravel  C  Fite  J  Bertherat  C  Picard Dahan  E  Bouhanna  B  Crickx  E  Maubec    Protocole de d  sensibilisation rapide au vemurafenib lors de r  actions cutan  es s  v  res   2 cas  A  llanos     J  L  Bourrain  0  Dereure  B  Guillot  C  Girard    3 cas de panniculite induite par le vemurafenib   une nouvelle toxicit   cutan  e des inhibiteurs de BRAF  A  Chaminade   
140. gues   les besoins et attentes des oncologues et des patients  Pr Thierry Andr    Chef de Service Oncologie M  dicale  H  pital Saint Antoine  Paris    e Quelle place pour le dermatologue lib  ral    Dr Jean Paul Claudel  Dermatologue lib  ral  Tours    Vendredi 13 d  cembre    12h30    13h30 LABORATOIRES AVENE  Salle 241 l modulia   une avanc  e biotechnologique dans la prise en charge de la dermatite atopique  Sous la pr  sidence du Pr Alain Ta  eb et du Pr Christine Bodemer    e De la x  rose au prurit  Pr ALAIN TAIEB    e Prise en charge de la dermatite atopique s  v  re de l enfant  Pr CHRISTINE BODEMER    e   modulia   approche pharmacologique  Dr DIDIER GUERRERO    e Evaluation clinique d   une nouvelle gamme   molliente formul  e avec l modulia  Dr VICTOR GEORGESCU    10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    SYMPOSIUMS  Satellites    ke          12h30    13h30 GALDERMA  Salle Maillot Nouveau traitement de l     ryth  me de la rosac  e    e Pr Bernard Cribier  Chef du service de dermatologie des H  pitaux Universitaires de Strasbourg    Donn  es cliniques de phase III du tartrate de brimonidine    Etude de tol  rance sur 52 semaines    e Dr Firas Hougeir  Dermatologue  Atlanta     USA    Exp  rience pratique du tartrate de brimonidine dans le traitement de l     ryth  me de la rosac  e  pr  sentation en    fran  ais   12h30    13h30 NOVARTIS  Salle 242 AB Psoriasis   les nouvelles voies de signalisation    Pr  sident de s  ance   Pr Vincent Descamps    e 
141. harge th  rapeutique sera abord  e rapidement     Acquis souhait  s    Am  liorer ses performances diagnostiques    au coup d   il    en dermatologie buccale     S  ance interactive avec digicodes    mm mmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmmn             Pr  sentation g  n  rale     Le champ du m  lanome bouge actuellement tr  s rapidement  Cette formation a pour but de pr  senter les  nouveaut  s apparues dans l   ann  e sur le m  lanome  principale cause de d  c  s dans notre discipline  Nous  insisterons sur les nouveaut  s devant   tre int  gr  es    br  ve   ch  ance dans la prise en charge des malades et  dans la pr  vention de la maladie        Objectifs    Am  liorer les prises en charge et la pr  vention du m  lanome en dermatologie lib  rale et hospitali  re non  sp  cialis  e en oncodermatologie     Acquis souhait  s    Etre    jour des connaissances utiles pour le m  lanome  savoir utiliser et g  rer les m  dicaments et proc  dures  utiles en 2014    la prise en charge des malades atteints        FMC 56    Dermoscopie p  diatrique    un jeu d enfant      C  CHIAVERINI  Ph  BAHADORAN   P VABRES    Sous l     gide de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie  P  diatrique et du Groupe  Imagerie Cutan  e Non  Invasive de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    EC S7    Maladie de Verneuil    nouvelles perspectives  th  rapeutiques    M  DELAGE  M  ATLAN   A  NASSIF    Coordonnateur   M  NAOURI    En partenariat avec le  Groupe Laser   de la Soc
142. i  t   Fran  aise  de Dermatologie    55    IL Pa  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     La dermoscopie est elle utile chez l enfant   Dans cette tranche d   ge  l aspect et les modalit  s   volutives des  tumeurs pigmentaires sont parfois d  routants  A c  t   des n  vus  la dermoscopie trouve d   autres applications  sp  cifiques    l   enfant   pathologie tumorale  infectieuse  inflammatoire  angiomes  examen des cheveux et des       Objectifs     Cette FMC pr  sentera un panorama abondamment illustr   des principales situations courantes en dermoscopie  p  diatrique   n  vus cong  nitaux  n  vus des extr  mit  s  n  vus de Spitz et de Reed  tumeurs b  nignes  fr  quentes  anomalies pilaires  ectoparasitoses  Elle d  taillera la d  marche diagnostique    partir de situations  cliniques concr  tes     Acquis souhait  s     Conna  tre les diff  rents patterns des n  vus cong  nitaux et des extr  mit  s  Comprendre l     volution naturelle des  n  vus du nourrisson    l   adolescent  leurs diff  rences par rapport    l adulte  et les particularit  s des n  vus de  Spitz et de Reed  Conna  tre l aspect des principales tumeurs b  nignes  xanthogranulomes  molluscum  contagiosum   des dermatoses inflammatoires  lichen plan  psoriasis  des affections du cheveu et du cuir chevelu   pelade  teigne  dystrophies de la tige pilaire  et les divers patterns vasculaires  angiomes ou tumeurs   Savoir  reconna  tre en dermoscopie diff  re
143. i de l     pig  n  tique avec toutes les  r  serves que cela impose quant aux promesses excessives    De m  me que la r  alit   du monde est harmonieuse  Cosmos   la cosm  tologie doit rendre l   harmonie entre  l     tre et le para  tre     Acquis souhait  s     La conviction que la cosm  tologie en dermatologie peut aussi   clairer la science par sa recherche incessante  du mythe faustien et surtout qu   elle reprenne sa place initiale au sein de la m  decine de laquelle elle n     tait pas  dissoci  e dans le premier Trait   de Dermatologie publi   par Girolamo Mercuriale en 1572     Venise  suivi du De  Decoratione Liber en 1585        FMC 50    Cas cliniques  th  rapeutiques en  pathologie g  nito anale  inflammatoire et tumorale    M  BERGIS   J N  DAUENDORFFER   C  RENAUD VILMER    Coordinatrice    B  CAVELIER BALLOY    EMC 51    Les g  nodermatoses  en pratique courante    cas cliniques interactifs    F  CAUX  L  VALEYRIE ALLANORE   C  BODEMER    52     Ose esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale    La prise en charge des dermatoses g  nito anales inflammatoires et tumorales peut faire appel aux traitements  m  dicamenteux  chirurgicaux et de fa  on plus r  cente  aux lasers et    la phototh  rapie dynamique        Objectifs     A partir de cas cliniques  cette FMC permettra une actualisation des connaissances dans le traitement des  dermatoses g  nito anales inflammatoires et tumorales  Seront abord  s   le
144. ications  des intervalles conseill  s entre deux examens et des crit  res  pour interpr  ter les changements en dermoscopie digitalis  e  de nombreux cas seront pr  sent  s et discut  s avec  les participants     Acquis souhait  s    A la fin de cette FMC  le dermatologue doit avoir acquis les connaissances th  oriques n  cessaires    la pratique  de la dermoscopie digitalis  e  Les cas cliniques discut  s devront l   aider dans sa pratique quotidienne        EMC 78    Pyoderma gangrenosum    D  WALLACH  M D  VIGNON  PENNAMEN  D  LIPSKER    EMC 79    Comment ne pas passer     c  t   de diagnostics  importants   impr  gnation  iconographique    F  GUIBAL  E  BOURRAT  A  PETIT    He esmore 20138    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Depuis sa description clinique en 1908 et son individualisation en 1930  le pyoderma gangrenosum est rest    une    dermatose vedette      tableau clinique spectaculaire  difficult  s diagnostiques  lien intrigant avec la  m  decine interne  appartenance au groupe des dermatoses neutrophiliques  mise en jeu des m  canismes de  l   auto inflammation        Objectifs     Exposer les aspects classiques et moins classiques du pyoderma gangrenosum et sa place au sein des  dermatoses neutrophiliques    Insister sur la conduite diagnostique  l importance de l analyse clinique  l   apport de l   histopathologie    Indiquer les donn  es r  centes sur la physiopathologie de l   auto inflammation    Fourni
145. ichen scl  reux  un psoriasis  une candidose  des l  sions HPV induites  etc    En pratique  l   aspect clinique  est souvent remani    surinfection  grattage             Objectifs     Cette FMC  pr  sent  e en duo  proposera des crit  res d aide au diagnostic simples  Son objectif primaire est de  faciliter la prise en charge diagnostique chez l homme et chez la femme des pathologies g  nitales les plus  fr  quentes  Leurs principaux diagnostics diff  rentiels seront illustr  s par une large iconographie  Ses objectifs  secondaires sont de pr  senter les bilans et les traitements r  cents    partir de recommandations internationales  et d essais th  rapeutiques publi  s  Un r  sum   bibliographique sera pr  sent   pour chaque pathologie     Acquis souhait  s     A la fin de cette s  ance  les participants pourront mieux interpr  ter la symptomatologie g  nitale masculine et  f  minine  avoir des clefs diagnostiques pour   viter les pi  ges  hi  rarchiser les examens et les traitements et  prescrire les th  rapeutiques les plus r  centes     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     La dermoscopie digitalis  e ou vid  odermoscopie permet d enregistrer les images dermoscopiques et de les  comparer dans le temps  Sa pratique exige non seulement une bonne connaissance de la dermoscopie classique  mais aussi des acquis th  oriques et pratiques sp  cifiques        Objectifs     Apr  s une br  ve revue th  orique des ind
146. ichesse de la dermatologie   Aucune notion d histopathologie cutan  e n   est n  cessaire  mais ce forum est destin      marquer l importance  de la microscopie dans la pratique de la dermatologie     Acquis souhait  s    A la fin de cette s  ance  les participants auront rapport   avec eux quelques messages forts sur des maladies  simples ou difficiles  s   entra  nant ainsi au diagnostic diff  rentiel     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmmm             Pr  sentation g  n  rale     De la recherche  avec les derni  res avanc  es dans la compr  hension des m  canismes biologiques du  vieillissement qui a permis de d  velopper des strat  gies de    R  versibilit   du Vieillissement Cellulaire     aux  moyens d   investigations modernes qui apportent les preuves de l   efficacit   des actifs propos  s sur les nouvelles  cibles que sont les inflammasomes  les prot  asomes  les mitochondries      en passant par le lien que l   on peut    tablir entre science et cosm  tique via les facteurs de croissance   l  ments cl  s des cellules souches  les auteurs  vont nous apporter un nouvel   clairage sur le vieillissement et la cicatrisation        Objectifs     D  montrer une nouvelle fois que la cosm  tique du soin et de la beaut   repose inexorablement sur des bases  scientifiques et que l   on pourra  par des nouvelles approches  reculer les aiguilles de l horloge biologique  dont  on sait d  j    qu   elles ne d  pendent pas seulement des g  nes mais auss
147. ier e   C  Coulon  S  Thomas   IDE   CHU Limoges     Photoprotection  Pr J C  B  ani   CHU Grenoble     Discussion    12h30  14h00 Pause d  jeuner    14h00  16h00    Indications et protocoles de phototh  rapie  Dr M  Jeanmougin   H  pital St Louis  Paris     Accidents et effets secondaires de la phototh  rapie  Dr C  Boulitrop   CHU Dijon     Phototh  rapies   place de l   infirmier e   J  Servais  IDE   H  pital St Louis  Paris     Conclusion et discussion       FORUM 15    Histoire de la dermatologie       Le soleil et la peau       L  COIFFARD  P  JEAMBRUN   J  CHEVALLIER  Pour la Soci  t   Fran  aise    d Histoire de la  Dermatologie    EORUM 16    Imagerie de la peau   apr  s  la dermoscopie et la  microscopie confocale      what else         B  LABEILLE  E  CINOTTI    S  DEBARBIEUX  E  TANCREDE  BOHIN  Ph  BAHADORAN    J L  PERROT    Pour le Groupe Imagerie  Cutan  e Non Invasive   ICNI  de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    78    He e smore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _             mn    Pr  sentation g  n  rale       Le teint    travers les   ges  par Jacques Chevallier     Histoire de la protection solaire  par Laurence Coiffard     Donn  es historiques et ethnographiques sur l   albinisme  par Pascale Jeambrun       La peau a toujours eu la tentation du soleil  source de vie   Et  pourtant  les soci  t  s    peau claire ont toujours  cherch      s   en prot  ger pour des raisons sanitaires   videntes  mais surtout pour des raisons symbol
148. if et m  tastases d  termin  es par  immunohistochimie et biologie mol  culaire  L  Boursaul    V  Haddad  B  Vergier  D  Cappellen  J  P  Bellocq  T  Jouary  J  P  Merlio    Suivi prospectif par dermoscopie digitale des patients sous v  muraf  nib pour m  lanome m  tastatique  M  Perier Muzet   L  Thomas  N  Poulalhon  S  Debarbieux  G  Duru  L  Depaepe  B  Balme  S  Dalle    R  introduction du vemurafenib apr  s un rash maculopapuleux   observation de 11 cas  C  Michaud Vinez     A  B  Duval Modeste  P  Musette  P  Joly  I  Kupfer    Prise en charge th  rapeutique personnalis  e du m  lanome m  tastatique    laide de x  nogreffes  tumorales d  riv  es du patient  PTDX   C  Scalber    P  Guerreschi  A  Qassemyar  P  Marchetti  L  Mortier    Effet du v  muraf  nib sur le stress oxydant dans les cellules de m  lanome m  tastatique sensibles puis  r  sistantes et perspectives th  rapeutiques  C  Scalber    P  Corazao Tartar  F  Andr    P  Marchetti  L  Mortier    Dosages s  riques de v  muraf  nib   impact sur la r  ponse et sur la toxicit    E  Funck Brentano     J  C  Alvarez  A  Beauchet  C  Longvert  C  Funck Brentano  P Saiag    Radiochirurgie st  r  otaxique et B RAF inhibiteurs dans les m  tastases c  r  brales de m  lanome  C  Gaudy Marqueste     R  Carron  E  Archier  S  Mallet  S  Monestier  M  A  Richard  J  J  Grob       100    CO 082    CO 083    CO 084    CO 085    CO 086    CO 087    CO 088    CO 089    CO 090    1e Se mbre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communicatio
149. igal  M  D   Incan    Ongles incarn  s multiples   effet secondaire inhabituel de la clomipramine  L  F  El Amran    J  Bouhllab  K  El Morabite  W  Raffas  B  Hassam    Pustulose exanth  matique aigu   g  n  ralis  e au tamoxif  ne  E  Andrieu  F  AI Saif  N  Litrowski  P  Carvalho  P  Joly    Folliculite amicrobienne et photosensibilit   li  es    un nouvel inhibiteur de Jak   le ruxolitinib  M  Bezier     A  L  Andreoli  M  Jeanmougin  M  Battistella  M  Bagot  J  J  Kiladjian  C  Lebbe    Pouss  es cycliques de folliculite n  crosante infundibulaire cristalline induites par des th  rapeutiques  anticanc  reuses  D  Collet Benzaquen  C  Castillo  F  Desseigne  A  M  Provencal  P  Combemale  A  De La Fouchardiere     Toxicit   cutan  e grave au doc  taxel  Taxot  re    au cours d   une infection VIH   r  le des interactions  m  dicamenteuses   C  Bernigaud     E  Collet  G  Jeudy  A  Hervieu  R  Bruy  re  H  Djerad  B  Couderc  S  Combret  L  Allanore   M  H  Aubriot  P  Vabres    Dermatose perforante sous soraf  nib  M  Severino     V  Sibaud  E  Tournier  C  Pauwels  C  Christol  J  Mazereeuw Hautier  C  Paul   C  Bulai Livideanu    Dermatose perforante acquise induite par le telaprevir  C  Perne    G  P  Pageaux  L  Durand  0  Dereure  D  Bessis    Eruption acn  iforme des membres induite par l   erlotinib   une entit   clinique sp  cifique  V  Sibaud  T  Hubiche  H  Roch    J  P Delord  L  Lamant  P Del Giudice    Maladie de Grover sous ipilimumab   premi  re descriptio
150. incipaux diagnostics diff  rentiels des dermatites des mains      Conna  tre les allerg  nes   mergents et   r     mergents        Conna  tre les examens compl  mentaires pouvant aider au diagnostic      Conna  tre les m  thodes de recherche et d   information sur le site de l   INRS  recherche par mots cl  s   allerg  nes  ou profession    risque  tests    effectuer  moyens de pr  vention  d  claration en maladies professionnelles         mmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     La caract  risation clinique des lymphomes cutan  s est en constante   volution  Plusieurs nouvelles entit  s  cliniques et biologiques ont   t   identifi  es au cours des derni  res ann  es    Apr  s un bref rappel sur les m  thodes de diagnostic biologique  nous allons expliquer en quoi ces m  thodes  renseignent aujourd hui efficacement le clinicien  Il s agira par la suite de cas cliniques associ  s    des rappels  concernant les cl  s diagnostiques et ou la prise en charge th  rapeutique des lymphomes cutan  s  Au sein de  ces lymphomes nous insisterons en particulier sur les formes importantes    conna  tre pour le clinicien car  agressives et demandant une prise en charge rapide        Objectifs    Confirmation des acquis de base par des connaissances plus approfondies et actualis  es   Mise en situation    partir de cas cliniques     Acquis souhait  s    Actualisation des donn  es sur les lymphomes cutan  s et notamment su
151. ion clinique  compl  te  RC  ou quasi compl  te permettant une allogreffe de moelle dans des mycosis fongo  des  transform  s  MFT  chimior  sistants   4 observations   C  Ram Wolff  P  Brice  I  Moulonguet  M  D  Vignon Pennamen  M  Battistella  J  Rivet  M  Bagot    Efficacit   et tol  rance    long terme de la cladribine  2 CdA  dans les mastocytoses de l adulte   une    tude fran  aise multicentrique de 68 patients  S  Barete     0  Lortholary  I  Hirsch  M  Hamidou  I  Durieu  C  Elie  0  Hermine    Facteurs pronostiques des greffes de peau totale sur les membres inf  rieurs  L  Coralie     J  Chanal  A  Kalampokas  A  Jafari  P  Roman  Z  Batchvarova  C  Ermisch  P  Bui Quy Minh   N  Dupin  M  F  Avril    1L le Se mbre 2018    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    Dermatologie interventionnelle et imagerie    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmm   m      Amphith    tre Havane 9h00  10h30      PARIS   Palais des Congr  s    ke          Pr  sidents   L  Machet  F  Guibal  M  Denguezli    co 010 Carcinomes   pidermo  des apr  s traitement par phototh  rapie dynamique de maladies de Bowen  cutan  es      propos de 14 cas  C  Ratour     M  Chemidling  G  Abirached  N  Madijlessi  M  Battistella  M  Bagot  C  Lebbe   N  Basset Seguin    CO 011 Evaluation d   une application internet de t  l  expertise en onco dermatologie     tude TELDERM1  T  A  Duong     S  Boudjemil  F  Canoui Poitrine  E  Begon  A  Carlotti  J  Fontaine  I  Kosseian Bal   0 
152. ique d   une dermatose bulleuse auto immune     Utiliser    bon escient les techniques anatomopathologiques et immunologiques et savoir les interpr  ter     S  ance interactive avec digicodes    mm mm mmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmememm             Pr  sentation g  n  rale     La prise en charge de l acn   repose sur le traitement des l  sions aigues ainsi que sur la pr  vention et la  correction des l  sions s  quellaires  Peelings chimiques  lasers et phototh  rapie dynamique peuvent repr  senter  une alternative th  rapeutique lorsque les traitements usuels sont d  pass  s ou contre indiqu  s        Objectifs    Faire partager la connaissance  comparer les possibilit  s d utilisation  et appr  cier les r  sultats des diff  rentes  techniques     Pr  vention et traitement des l  sions aigues d   acn   par    Peelings  Lumi  re  Phototh  rapie dynamique et lasers     Traitement des l  sions cicatricielles d   acn   par    Peelings  Lasers  L argumentaire s appuiera sur une revue cibl  e et critique de la litt  rature et fera appel    l exp  rience des  auteurs     Acquis souhait  s    Au d  cours de la session  les participants seront en mesure de mieux connaitre les techniques et r  sultats  attendus de ces diff  rentes possibilit  s alternatives th  rapeutiques        EMC 25    Dermatites des mains  d   origine professionnelle    pi  ges et difficult  s    D  TENNSTEDT  M N  CREPY  M  BAECK    11626    Lymphomes cutan  s   nouveaut  s cliniques    S  
153. iques    L    invention du bronzage    est r  cent  tandis que les populations    peau noire sont s  duites par    la  d  pigmentation volontaire        le teint est  et restera  un t  moin de nos soci  t  s     Les albinos ont toujours   t   une   nigme   ils ont tant  t   t   consid  r  s comme des idoles aux pouvoirs  respectables  tant  t comme des   tres mal  fiques qu   il   tait n  cessaire d   liminer   Malheureusement  cette  derni  re attitude perdure aujourd   hui      L intervention d   un m  decin anthropologue nous   clairera    ce sujet     mn    Pr  sentation g  n  rale     La dermoscopie a chang   la pratique du dermatologue et la microscopie confocale est en train de modifier son  regard en le rapprochant de l   histopathologie  Ces techniques continuent      voluer en m  me temps  qu apparaissent d   autres m  thodes d imagerie plus performantes morphologiquement ou permettant une   tude  m  tabolique ou l analyse math  matique du signal    l instar de la pratique des radiologues et des m  decins  nucl  aires        Objectifs    Nous pr  senterons au cours de ce forum       Nouveaut  s en microscopie confocale in vivo et ex vivo      Les nouvelles techniques d   imageries de la peau   HD OCT  microscopie biphotonique spectrom  trie   Raman    Les outils d analyse d images obtenues par ces techniques  colorisation  reconstitution 3D microscopique et  macroscopique  comparaison d image        Une illustration abondante sera apport  e permettant aux participan
154. is   quelle mol  cule pour quel patient     e De la difficult   d   valuer la qualit   de vie au cours du psoriasis   exp  riences v  cues    Acquis souhait  s    Optimiser la prise en charge du psoriasis en ville et souligner l importance de la collaboration   troite entre les  dermatologues lib  raux et hospitaliers     FMC 8   Mercredi 11 d  cembre SALLE MAILLOT   11h00   12h30            Peau et lasers   Pr  sentation g  n  rale    les questions r  ponses Pour cette nouvelle session  dans le prolongement des ann  es pr  c  dentes  nous tenterons cette ann  e encore  d apporter des r  ponses    de nouvelles questions auxquelles le dermatologue peut se trouver confront   dans  T  FUSADE  B  PUSEL  sa pratique quotidienne   H  CARTIER Nous essaierons durant cette s  ance d   clairer une dizaine de sujets comme    Faut il traiter le pemphigus b  nin de Hailey Hailey par laser   Qu   apportent les normes CE et CE M  dical    Sous l     gide Est  il raisonnable de traiter les carcinomes baso cellulaires par laser   Laser et onychomycose   comment   a  du Groupe Laser marche    de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie Objectifs    A l   aide d   un argumentaire scientifique   tay    des r  ponses claires seront apport  es aux diff  rentes questions  abord  es     Acquis souhait  s    Au d  cours de la session  les participants seront en mesure d apporter des arguments pertinents aux questions  auxquelles les patients les confrontent durant les consultations     30       EMC 9
155. is  de la maladie en cause conditionne le mode de surveillance et le traitement de ces patients     S  ance interactive avec digicodes       EMC OS    Les ulc  res chroniques  de jambe en Afrique Noire    M  THIERNO DIENG  F  LY   M  DIALLO    EVE 69    L allergologie de contact  pratique pour le  dermatologue    P  GIRARDIN   N  RAISON PEYRON  M  VIGAN    61     Osie sesmoe 2013    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     Pr  sentation des caract  ristiques   pid  miologiques  cliniques  pronostiques des ulc  res chroniques de jambe  dans les pays d Afrique Francophones  On assiste    une modification de leur   tiologie  Le classique et historique  ulc  re tropical est en net recul alors qu   mergent les causes vasculaires et la dr  panocytose    Ils ont un retentissement socio   conomique n  faste et mettent le pronostic vital en jeu par la survenue de  carcinome  possible dans toutes les causes    Leur prise en charge doit   tre pr  coce et multidisciplinaire        Objectifs    Rappeler l     pid  miologie  les causes actuelles  la clinique et les possibilit  s th  rapeutiques des ulc  res  chroniques de jambe en Afrique noire     Acquis souhait  s     Evoquer  sur la base de la clinique  les causes actuelles des ulc  res chroniques de jambe en Afrique Noire   Mettre en oeuvre les explorations n  cessaires pour identifier les causes actuelles    Formuler un pronostic    Proposer une prise en charge th  rapeutique     mm mm
156. ivants      Type de 3 Petit  Taxe    EX Hyatt Regency Paris Etoile    RC RS EU EU ES  Ce fever  one  anne  moe fie  ae  Ce pama  nes faune  rune fu  ras  DE pa en free Pme ree  an    fe nm  none fans  rue f ra  free some  none   aooe  re  es    Ce  pven sa caren   ones   esene   oroe  mue  ns    o foncer f sraa   eene  orowe  man f reas  o poms f sraa   eene   soe   re f re  sens an   ree  oe   re ns       Palais des Congr  s  de Paris    Liste des H  tels    1   HYATT REGENCY PARIS ETOILE       2   MERIDIEN ETOILE        3   BEST WESTERN PREMIER REGENT S GARDEN       4   WARWICK CHAMPS ELYS  ES        5   FERTEL MAILLOT       6   MAGELLAN       7   R  SIDENCE IMP  RIALE       8   BEST WESTERN STAR CHAMPS ELYS  ES       9   H  TEL CHARLEMAGNE       10   H  TEL DES PAVILLONS      11   R  SIDENCE VILLIERS       143          ra           AbT Ta         da 5 en      S     n  r    re I RL ere    R  glement g  n  ral    Assurance et responsabilit  s    144       1e Se mbre 2013    Lmm      _   _          PARIS   Palais des Congr  s    Informations  G  n  rales    La soir  e des JDP 2013 se d  roulera au Th    tre de Paris o   vous pourrez assister    une pi  ce de Eric Assous   mise en sc  ne par Richard Berry      Nos Femmes        Il s   agit d   une com  die qui verra pour la premi  re fois  ensemble sur les planches  Daniel AUTEUIL  Richard  BERRY et Didier FLAMAND       Ils sont trois amis  Max  Paul et Simon  Trois temp  raments  trois caract  res  trois parcours diff  rents 
157. l   aggravation de la Dermatite Atopique     Mod  rateur   Pr Fr  d  ric Cambazard  Service de Dermatologie H  pital Nord  St Etienne    e Pr Alain Taieb  Service de Dermatologie et de Dermatologie P  diatrique  CHU Bordeaux  e Pr Jean Fran  ois Nicolas  Service d   Allergologie et Immunologie Clinique  CHU Lyon Sud    e Dr Eric Jourdan  Directeur des Affaires Scientifiques  amp  de Recherches  Laboratoire Bioderma  Lyon    12h30    13h30 NOVARTIS  Salle 242 AB Prise en charge conventionnelle du psoriasis mod  r      s  v  re    Pr  sident de s  ance   Pr Carle Paul    e 12h30   12h50   Comprendre le patient et ses besoins  Pr Carle Paul  Toulouse     e 12h50   13h10   Choisir et commencer un traitement syst  mique  Pr Laurent Misery  Brest     e 13h10   13h30   Continuer avec le patient  Dr Hugues Barth  l  my  Auxerre     12h30    13h30 LEO PHARMA  Salle 351    K  ratoses Actiniques   un nouveau regard           Mod  rateur   Pr Brigitte DRENO  Nantes    e Un focus microscopique  Pr Bernard CRIBIER  Strasbourg    e K  ratoses Actiniques   la face cach  e de l iceberg  Pr Marie Aleth RICHARD  Marseille    e Quelle place    l innovation th  rapeutique    Pr Nicole BASSET SEGUIN  Paris    85    1e Se mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _                SYMPOSIUMS  Satellites   12h30    13h30 SINCLAIR PHARMA FRANCE   Salle 251 Sculptra     New Fill  produit volumateur pour une prise en charge globale du visage     Mod  rateur   Dr Martine Baspeyras  e Analyse d
158. l   ensemble des participants  lors de mise en  situations pratiques de dermatologie p  diatrique    Actualiser les progr  s th  rapeutiques r  cents de fa  on ludique     Acquis souhait  s       Optimiser la prise en charge des dermatoses de l   enfant      Diagnostiquer plus facilement certaines pathologies inhabituelles      Savoir s  lectionner d   ventuels examens compl  mentaires      Am  liorer la connaissance des traitements efficaces en limitant le risque d effets secondaires chez l   enfant     S  ance interactive avec digicodes       EMC 64      il et peau    J L  MICHEL  D  TENNSTEDT   N  CAMPOLMI    E COC OS    Produits cosm  tiques   dispositifs m  dicaux   biocides   quelle s  curit      C  ARTIGOU  M  VIGAN    C  PECQUET    1DAPa  cmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Sous formes de cas cliniques interactifs     1   Pathologie oculo cutan  e g  n  rale vue en cabinet de dermatologie   pathologie inflammatoire  tumorale  b  nigne et courante en dermatologie    2   Allergologie oculo cutan  e  maladies de syst  me    3   Risques oculaires des lasers dermatologiques        Objectifs     Le but de cette FMC est de r  fl  chir    partir de cas cliniques interactifs sur la d  marche clinique   diagnostique  et th  rapeutique  et d   en faire une synth  se  et d   insister sur certains aspects th  rapeutiques   conduite    tenir  devant un   il rouge  un   d  me monoculaire ou bilat  ral en dermatologie     Acquis so
159. l   huile de nigelle  I  Spanoudi Kitrimi     A  Lasek Duriez  P  Modiano    Eryth  me polymorphe apr  s exposition aux r  sines   poxy  A  C  Tersigue    A  M  Roguedas Contios  L  Misery  N  Coquart    Le lauryl glucoside   nouvel allerg  ne des pansements modernes    M  T  Le Cam     M  Wiser    Stick    l  vres Dermophil     ce n   est pas le P  rou    M  E  Sarre     M  Guerin Moreau  J  P Lepoittevin  L  Martin  M  Avenel Audran    M  thylisothiazolinone   une   pid  mie de sensibilisation de contact  Exp  rience fran  aise  S  Hosteing     N  Meyer  F  Giordano Labadie et REVIDAL GERDA       P015    P016    P017    P018    P019    P020    P021    P022     Os le Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre re    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Ecz  ma g  n  ralis   s  v  re    la M  thylisothiazolinone  L  Dousse    J  Seneschal  K  Ezzedine  A  Ta  eb  B  Milpied    Ecz  mas de contact atypiques ou s  v  res    l huile essentielle de cannelle  M  C  Ferrier Le Bou  dec   C  Texier  A  M  Gilard  S  Coupelon  M  D Incan    Dermite professionnelle aux prot  ines issues des produits de la mer  qui est le plus touch     le p  cheur  ou le cuisinier    B  Lodd     A  M  Roguedas Contios  D  Jegaden  R  Pougnet  J  D  Dewitte  L  Misery    Caract  ristiques des dermatites de contact aux prot  ines d   origine professionnelle  C  Poreaux      J  Waton  F  Fran  ois  C  Paris  A  Barbaud    Ecz  ma de contact professionnel li   aux jeux de grattage  E  Freling   A  Valois  F 
160. ladies  inflammatoires du tube digestif  MICI  maladie c  liaque      Acquis souhait  s    A l issue de cette s  ance  le dermatologue saura identifier les principales situations pour lesquelles un avis  nous est demand   par le gastro ent  rologue ou pour lesquelles nos coll  gues doivent   tre sollicit  s     mm mmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmemmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Le prurit  et particuli  rement le prurit chronique  repr  sente un probl  me majeur dans beaucoup de dermatoses  et de maladies chroniques  Dans les derni  res ann  es  des   tudes ont apport   des connaissances nouvelles sur  la pathophysiologie du prurit  De ces connaissances qui r  volutionnent compl  tement la compr  hension du  prurit  sont issues de nouvelles modalit  s d exploration et de nouveaux traitements        Objectifs     Le but de cette FMC est de pr  senter de mani  re didactique les nouveaut  s de la recherche fondamentale et  clinique dans la pathophysiologie  le diagnostic et les diff  rentes options th  rapeutiques    Dans cette FMC  l implication de ces donn  es pour les soins pratiques et le travail quotidien du dermatologue  confront   au prurit seront discut  s     Acquis souhait  s      Savoir distinguer et diagnostiquer les diff  rents types du prurit et leurs causes   tiologiques     Conna  tre les nouveaux traitements du prurit et ses nouvelles modalit  s de prise en charge        EMC 21    Pol  miques sur   la protection solaire    pren
161. le voire impossible   Pourtant  un grand nombre de ces maladies sont caract  ris  es par des signes cliniques particuliers  voire  parfois pathognomoniques  faciles    reconna  tre    condition de les avoir d  j   vus au pr  alable   Ces l  sions  cutan  es sont souvent les premiers signes de la maladie  Leur reconnaissance permet de guider le bilan     r  aliser afin de confirmer le diagnostic et   ventuellement d  pister des complications potentiellement graves  associ  es    Au travers de cas cliniques interactifs  nous proposons d aborder les maladies rares de la peau pour lesquelles  le diagnostic peut   tre   voqu   en un coup d   il gr  ce    la s  m  iologie clinique        Objectifs    Apprendre    reconna  tre les signes cliniques propres aux maladies rares de la peau    d  but p  diatrique     Acquis souhait  s    A la fin de cette s  ance  le m  decin sera en mesure d am  liorer sa performance diagnostique vis    vis des  maladies rares de la peau    d  but p  diatrique     mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmemmmmememm             Pr  sentation g  n  rale     De nombreuses maladies syst  miques peuvent   tre r  v  l  es ou s accompagner de manifestations cutan  o   muqueuses  Certaines d   entre elles sont fr  quentes et caract  ristiques permettant de diagnostiquer facilement  la pathologie sous jacente mais il faut aussi reconna  tre celles qui sont plus rares et ou plus atypiques        Objectifs        partir de cas cliniques  les objec
162. les maladies auto immunes   20  FMC 7 Prise en charge du psoriasis en pratique de ville   dix questions que nous 30  nous posons le plus souvent  FMC 28 Maladies auto inflammatoires 40  FMC 32 Urticaire      vous avez dit urticaire   43  FMC 42 Actualit  s 2013 dans le psoriasis 48  FMC 61 Urticaire chronique   que dit le nouveau consensus international de 2013   57  FMC 78 Pyoderma Gangrenosum 66  FMC 85 Les maladies fibrosantes cutan  es acquises   de la clinique    la th  rapeutique 69    16    1DAPe  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke          MUQUEUSES PHANERES    FMC 6 Les ch  ilites en pratique courante 29  FMC 11 Muqueuses en souffrance   quand conclure    une cause non organique 32  et quelle prise en charge proposer    FMC 30 QUIZZ interactifs MST 41  FMC 50 Cas cliniques th  rapeutiques en pathologie g  nito anale inflammatoire et tumorale 52  FMC 54 Testez vous en dermatologie buccale   54  FMC 60 Pathologie vulvaire   Cas cliniques du REV      R  flexions en Vulvologie  57  FMC 64   il et peau 59  FMC 76 Les pathologies g  nitales masculines et f  minines en pratique de ville   65  comment les reconna  tre et les traiter  Mise au point 2013  FMC 83 Alop  cies cicatricielles   en peu de mots et beaucoup d images 68  FORUM 4 Vulvodynies   l   union fait la force  Pour une approche multidisciplinaire 71    d   une maladie encore inexpliqu  e    APPROCHE PSYCHO SOCIALE DE LA DERMATOLOGIE    AT 6 Cas cliniques de psycho dermatologie 25  AT9 Annoncer une 
163. liniques et  histologiques  les causes exhaustives d   ulc  rations de jambe non vasculaires    Dans un deuxi  me temps  nous proposerons des cas d   ulc  rations de jambe atypiques ou pi  geant afin de  d  velopper la capacit   de r  flexion clinique du Dermatologue  Ces cas am  neront    discuter les examens  compl  mentaires pertinents et le r  sultat attendu    Enfin  une prise en charge sera propos  e suivant le diagnostic final retenu    La possibilit   de faire cette pr  sentation de cas avec un power vote pour les hypoth  ses diagnostiques  les  examens compl  mentaires utiles et la prise en charge th  rapeutique rendront interactive et motivante cette FMC     Objectifs     Revoir les causes d   ulc  rations de jambe non vasculaires de fa  on exhaustive sur la pr  sentation de photos  cliniques essentiellement    D  velopper la capacit   de r  flexion clinique devant des ulc  rations de jambe atypiques et montrer au  dermatologue que toutes les ulc  rations de jambe ne sont pas vasculaires m  me si il existe une insuffisance  veineuse ou art  rielle associ  e    Argumenter la  les  demande s  d examens para cliniques et le r  sultat attendu    Pr  senter des photos d   histologies pour les ulc  rations qui le n  cessitent    Compl  ter la d  marche clinique par la d  marche th  rapeutique     Acquis souhait  s     Conna  tre les   tiologies de toutes les ulc  rations de jambe non vasculaires    Savoir d  jouer les pi  ges diagnostiques et ne pas conclure h  tivement  
164. llant  P  Joly  P  Musette  C15   L   Interf  ron Alpha    l   origine de l   inflammation du Vitiligo Non Segmentaire    A  Bertolotti    K  Ezzedine  B  Vergier  M D  Mossalayi  A  Taieb   K  Boniface  J  Seneschal  C16   La faisabilit   d   une immunoth  rapie adoptive par administration de cellules nTreg chez l   homme doit  consid  rer la plasticit   fonctionnelle de ces cellules  H  Le Buanec   S  Duchez  A  Bensussan  M  Bagot  J D  Bouaziz  D  Zagury  C17   IL 17 et r  ponse inflammatoire associ  e    la pemphigoide bulleuse  F  Antonicelli   S  Le Jan  J  Pl  e  D  Vallerand  A  Dupont  E  Delanez  P  Bernard  C18   Caract  risation des lymphocytes T cytotoxiques dans les toxidermies  M  Tardieu   A  Rozi  res  B  Bensaid  T  Baysal  M  Vocanson  J F  Nicolas    11       10h35    He e smor 2015    Lmm      _   _          PARIS   Palais des Congr  s    C19   Les prot  ines de la famille CCN sont elles impliqu  es dans la r  gulation de la pigmentation    Exemple de la scl  rodermie syst  mique  M  Brassie  C  Pain  M E  Truchetet  A  Taieb  M  Cario Andr       Carlo Chizzolini  Gen  ve  Suisse   Immuno pathogen  se de la fibrose cutan  e dans la scl  rodermie syst  mique    11h00 Pause    11h15   13h00 Inflammation  Allergies cutan  es    Mod  rateurs   Jean Fran  ois Nicolas et Audrey Gu  niche    11h15    11h40    12h30    Alain Hovnanian  Paris   Du syndrome de Netherton    la dermatite atopique   inflammation et allergie par perte d inhibition des prot  ases    pi
165. lles d   ichtyose dans un pays pauvre   N  Korsaga Som    F  Barro Traor    F  Traor    M  Ou  draogo  P  Tapsoba  L  Ilboudo  P  Yadieu    Y  Nagallo  P  Niamba  A  Traor     Syndrome de gardner diamond   une association inhabituelle avec le syndrome de gougerot sj  gren  et le syndrome de jaccoud   H  Atarguine  0  Hocar  N  Akhdari   S Amal    Les effets secondaires cutan  s li  s au port du masque anti apn  es  J M  Lachapelle  E Grosshans  D  Tennstedt  A A  Ramelet    CAS CLINIQUES ADF   2   partie    137    F8    F9    F10    F11    F12    F13    F14    F15    Pr  sidents de s  ances   I  MOKHTAR  M  THIERNO DIENG  C  BEDANE  D  TENNSTEDT    Identification de I   V   braziliensis g  n  tiquement diff  rentes chez co infecte par le vih avec mani   festation d iris   S  Sales Martins  L  Araujo Lobato  D  Graziani  B  Dolabella  M  Vicente Cesetti  C  Martins Gomes   R N  Ribeiro Sampaio   Syndrome pelvis sacral u pelvis associ   a des brides amniotiques des jambes   A  Salhi  0  Enjolras  M  Wassef  A  Bisdorf  B  Bouadjar  D  Bouharati  F  Aitbelkacem    A  Ammarkhodja  I  Benjkaidali  M  Lebyed  A  Laraba  M  Boukari  A  AitBenamar    Anetodermie primitive r  v  lant un syndrome des anti phospholipides avec tox  mie gravidique  AC  Koudoupko  J D  Bouaziz  M  Battistella  A  Saussine  H  Ad  gbidi  F  Atadokp  d    D  Bosset   H  Y  domon  M  Bagot  M  Rybojad    Carcinome ad  no  de kystique cutan   g  neralis     un cas au service de dermatologie   venerologie du ce
166. ltidisciplinaires ponctuelles   Faire connaitre des associations humanitaires qui comportent de la dermatologie    Pr  senter les pathologies dermatologiques rencontr  es  et la mani  re dont elles sont g  r  es    Susciter l enthousiasme des participants afin de motiver certains d   entre eux    participer    ces missions   Leur montrer qu   en apportant ses connaissances et sa bonne volont    on peut       Apporter une aide    certains patients qui en ont vraiment besoin      En retirer un enrichissement personnel     Acquis souhait  s     D  couvrir que certaines missions humanitaires de courte dur  e comportent de la dermatologie    Prendre connaissance des pathologies dermatologiques rencontr  es au cours de ces missions et savoir comment  elles sont g  r  es pour le traitement ponctuel et le suivi    Possibilit   de prise de contact avec les diff  rentes associations repr  sent  es en fonction de l int  r  t personnel  de chacun        FORUM 19    La peau vue autrement    G  LORETTE  G  GUILLET   J  VUILLET  J  CHEVALLIER    81    PARIS   Palais des Congr  s     Osie sesmoe 2015    bm                      mn    Jacques Chevallier    Quelques  avaries  de la Belle   poque  Les IST    travers les cartes postales  les  photographies et autres objets publicitaires       G  rard Lorette    L homme qui n avait plus de peau   de la mythologie    la religion    G  rard Guillet    Croyances  signes et rites   le regard des civilisations sur la peau     Pr  sentation g  n  rale  
167. m  decins dermatologues et  h  matologues  est de savoir quand rechercher une gammapathie monoclonale devant des manifestations  cutan  es et de conna  tre les principales dermatoses associ  es    une gammapathie     Acquis souhait  s     A la fin de cette s  ance  le dermatologue doit conna  tre les associations classiques entre gammapathie  monoclonale et manifestations cutan  es et les m  canismes immunologiques simples qui associent ces deux  entit  s        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les lasers ont r  volutionn   notre prise en charge de nombreuses pathologies dermatologiques et conditions  esth  tiques    Cette FMC s adresse    tous ceux qui souhaitent se familiariser avec ce type de traitement  hospitaliers ou  lib  raux  las  ristes et non las  ristes  d  butants ou confirm  s d  sirant r  aliser une mise    jour de leurs  connaissances    Seront trait  s     Les diff  rents lasers et leurs caract  ristiques    Les indications m  dicales   indications valid  es et d exception    Les utilisations esth  tiques   effets r  els ou suppos  s des principales techniques    Comment choisir son laser et organiser son activit       Des conseils pratiques et param  trages   tayeront les diff  rentes pr  sentations  Les non indications seront  abord  es        Objectifs    Offrir un panorama des diff  rentes possibilit  s des lasers dermatologiques     Acquis souhait  s    Au terme de la FMC  le pa
168. m mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Bleu 16h15   17h45      Pr  sidents   P Senet  J D  Bouaziz  V  Pitche    Int  r  t de l     tude du m  tabolisme de la bradykinine  BK  pour la prise en charge des angioed  mes  F  Defendi  D  Charignon  A  Ghannam  D  Ponard  B  Nicolie  O  Fain  L  Martin  C  Drouet    Proportion relative des diff  rents types d   angio oedemes bradykiniques  AOBK  dans une population  consultant en centre de r  f  rence  P D  Dessar    H  Humeau  B  Nicolie  D  Ponard  C  Drouet  L  Martin    Pr  valence et caract  ristiques cliniques de la mastocytose t  langiectasique   analyse d   une cohorte de  mastocytoses   C  Bulai Livideanu     M  0  Chandesris  C  Laurent  S  Barete  B  Sans  P A  Apoil  L  Lamant  S  Fraitag   0  Hermine  E  Tournier  C  Paul    Localisations cutan  es non blastiques des syndromes my  lodysplasiques   concept de myelodysplasia  cutis  A  Osio     M  Battistella  W  Cuccuini  T  Petrella  E  Raffoux  A  Janin  M  D  Vignon Pennamen    Atteinte cutan  e de l   histiocytose langerhansienne de l   adulte   spectre s  miologique et   volutif  sur 21 cas  E  Crickx   J  D  Bouaziz  G  Lorillon  M  Bagot  M  Rybojad  A  Tazi    Manifestations cutan  es associ  es    la Maladie de Wilson     tude prospective de 153 patients adultes  M  Bezier     N  Tinant  M  A  Bertail  J  D  Bouaziz  J  M  Trocello  M  D  Vignon Pennamen  M  Polivka   M  Bagot  M  Rybojad  F  Woimant    Pr  valence et facteurs pr  dictifs de la 
169. me de Dubreuilh  A  Picard  F  Le Duff  N  Erfan  J  P  Lacour  P  Bahadoran    Cellules tumorales circulantes et m  lanomes m  tastatiques     tude contr  l  e chez 15 malades  C  Garcia  L  Cayrefourcq  P E  Stoebner  M  Marque  M  Dandurand  L  Meunier  C  Alix Panabieres    Le m  lanome in situ de l appareil ungu  al   caract  ristiques antomo cliniques et th  rapeutiques     propos de 57 cas  S  Goettmann  I  Moulonguet  I  Zaraa     Suivi moyen en mois sur 336 patients op  r  s d   un m  lanome entre 1998 et 2009  C  Chof  J  L  Perrot  A  C  Biron Schneider  B  Labei  lle  E  Cinotti  F  Cambazard    Tumeur spitzo  de avec perte d expression de BAP 1   signification en l   absence de n  oplasie associ  e    J  P Arnault  T  Petit  A  De La Fouchardi  re  G  Chaby  A  Dadban  E  Mardyla  C  Lok    Photodermatologie    118    P147    P148    Etude pr  clinique sur les applications cutan  es des plasmas physiques   effets cellulaires et tissulaires  d   un plasma froid nanoseconde  A  Duva  I  Marinov  S  M  Starikovskaia  A  Rousseau  A  Janin    Lupus tuberculeux m  connu trait   par phototh  rapie dynamique   application du principe de la lampe de Finsen  G  Jeudy     C  Gandon  M  H  Aubriot Lorton  E  Collet  S  Dalac Rat  P  Vabres       P149    P150    P151    P152    16 le   e mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre re    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Urticaire solaire    la lumi  re visible r  v  l  e par un traitement par LED  H  Montaudi     G  Rostain  J 
170. mmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmm             Pr  sentation g  n  rale     L   allergologie de contact est une partie importante de la consultation dermatologique que nous d  l  guons  souvent  Une mise    jour r  guli  re de nos connaissances dans ce domaine est n  cessaire    la prise en charge  de nos patients et doit nous permettre de d  brouiller quelques situations simples        Objectifs        partir de cas cliniques  nous vous proposons       de savoir reconna  tre quelques tableaux cliniques   vocateurs      de mettre    jour vos connaissances quant aux nouveaux allerg  nes et aux nouvelles sources d exposition      de r  aliser une prise en charge initiale d   une dermite de contact allergique  notamment en milieu professionnel   avec r  alisation   ventuelle de tests cutan  s simples     Acquis souhait  s       conna  tre les particularit  s li  es    certains allerg  nes      conna  tre les allerg  nes qui ont fait parler d   eux au cours de l   ann  e   coul  e      proposer une alternative aux patients et am  liorer les d  marches diagnostiques et m  dicosociales  notamment  en pathologie professionnelle        EMC 70    Simulateurs de lymphomes  cutan  s    N  ORTONNE  M  BATTISTELLA   M  BAGOT    EMAC 77    Carcinomes cutan  s  superficiels et pr  curseurs    quelle prise en charge      J M  AMICI  M  BEYLOT BARRY    62    He esmore 2018    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Certains
171. mmmmmmmmmemmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les maladies bulleuses auto immunes de la jonction dermo   pidermique peuvent toucher la peau et ou les  muqueuses  Elles sont caract  ris  es par des d  p  ts d   immunoglobulines sur la membrane basale et constituent  un groupe h  t  rog  ne comportant plusieurs maladies   pemphigo  de bulleuse  pemphigo  de cicatricielle     pidermolyse bulleuse acquise  dermatose    IgA lin  aire et dermatite herp  tiforme  Si la pemphigo  de bulleuse  est ais  ment diagnostiqu  e  les autres maladies sont souvent m  connues et leur diagnostic est tardif  ignor    ou suspect   uniquement en cas de r  sistance th  rapeutique    la corticoth  rapie  Ces erreurs diagnostiques  sont pr  judiciables au malade car la prise en charge clinique et th  rapeutique est propre    chacune de ces  maladies        Objectifs     Le but de cette FMC est de montrer     partir d observations de notre Centre de R  f  rence  pourquoi le diagnostic  ad  quat n   a pas   t   port   et expliquer sur quels arguments cliniques la maladie clinique aurait pu   tre   voqu  e   Les manifestations de chacune de ces maladies  ainsi que les diff  rentes m  thodes diagnostiques et leurs  limites seront rappel  es     Acquis souhait  s     Apr  s cette s  ance  le dermatologue saura d  jouer les pi  ges cliniques et paracliniques des maladies bulleuses  auto immunes  Il aura assimil   la d  marche diagnostique    adopter et aura compris en quoi un diagnostic pr  c
172. n  J  Munoz     A  Du Thanh  C  Girard  E  Frouin  B  Guillot    1B la Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre re    PARIS   Palais des Congr  s    ke          Discussions des Posters   session 2    mm mm mm mm mm mm mm nm mm mm mm mmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm   m   n    Pr  sidents   F Caux  C  Pag  s  Bulles et Affections muqueuses    P205 Rituximab   une alternative th  rapeutique pour le lichen plan   rosif multi r  sistant    A  K  Lapointe       P206 Traitement par rituximab d   une pemphigo  de anti P200 chez un transplant   cardiaque  N  Ropars     J  Miquel  H  Adamski  B  Lelong  S  Pessel  A  Dupuy    P207 Pemphigo  de bulleuse au cours du traitement par gliptines   trois cas  L  Troin     E  Archier  C  Gaudy  Y  Bruneu  J  J  Grob  M  A  Richard    P208 Pemphigo  de bulleuse apr  s greffe allog  nique de moelle osseuse  M  Maciejewski     M  Avenel Audran  S  Francois  A  Schmidt  F  Jouen  L  Martin  Y  LeCorre    P209 Pemphigo  de gravidique n  onatale   y a t il une relation avec la gravit   de la dermatose chez la m  re    I  Chamf  M  Amouri  H  Chaabene  H  Turki    P210 Une dermatose jonctionnelle avec d  p  ts lin  aires d   IgM  C  B  court  V  Sobocinski  S  Duvert Lehembre  P  Courville  P  Joly  D  Picard    P211 Remplacement oesophagien par coloplastie apr  s perforation oesophagienne spontan  e au cours d   une    pidermolyse bulleuse h  r  ditaire   efficacit   d   une prise en charge multidisplinaire au sein d   un centre  de r  f  rence  E
173. n Heredia  B  Zhu  S  Banerjee  T  Maeda Chubachi  G  Cameron  W  Shen  K  Gordon  Y  Dutronc   B  Augendre Ferrante     C  Leonardi    Tol  rance de l   ustekinumab au cours des p  riodes contr  l  es par placebo dans le cadre des    programmes de d  veloppement clinique sur l   arthrite psoriasique et le psoriasis  1  B  Mcinnes     K  A  Papp  L  Puig  K  Reich  C  Ritchlin  B  Strober  P  Rahman  A  Kavanaugh   A  Mendelsohn  A  B  Gottlieb    Tol  rance cardiovasculaire   valu  e dans le cadre du programme de d  veloppement clinique portant sur  le traitement du psoriasis par l   ustekinumab   rapport final portant sur un suivi de 5 ans  K  Reich     M  Lebwohl  C  E  Griffiths  P 0  Szapary    Impact des traitements syst  miques du psoriasis sur diff  rents param  tres cardiovasculaires   r  sultats  d   une   tude prospective longitudinale et observationnelle   H  Montaudi     C  Albert Sabonnadi  re  E  Acquacalda  E  Fontas  A  Danr    C  Roux  J  P Ortonne   J  P Lacour  L  Euller Ziegler  T  Passeron    Concentrations r  siduelles d   infliximab chez les patients trait  s par infliximab pour un psoriasis cutan      relation avec l   activit   de la maladie et int  r  t pour l   adaptation posologique  C  Dannepond  D  Ternant  A  Maruani  L  Machet  G  Paintaud  M  Samimi    120       P160    P161    P162    P163    P164    P165    P166    P167    P168    P169    P170    P171    P172    P173    P174    P175    1 lee mbre 2015    Vendredi 13 d  cembre Er ne    PARIS
174. nce de la PDT avec Metvix   et lumi  re du jour dans le traitement des k  ratoses  actiniques   une   tude de phase III randomis  e  control  e  en simple aveugle  J  A  See     D  M  Rubel  L  Spelman  D  F  Murrell  D  Hewit  P  Foley  H  C  Wulf  D  Kerob  S  Shumack    Evaluation au long cours de la qualit   de vie et de l efficacit   des injections de toxine botulique dans les  vestibulodynies provoqu  es  M  Girardin   B  Parratte  M  Puyraveau  F  Aubin  P  Humbert  F  Pelletier    Essai multicentrique de phase 2   valuant le quisinostat oral  inhibiteur d   histone d  ac  tylase  iHDAC   chez des patients atteints de lymphome T cutan    LTC  au stade IB IVA d  j   trait     M  Bagof     F  Child  P Ortiz Romero  R  Alvarez  R  Stadler  M  Weichenthal  R  Alves  M  G  Bernengo   M  Beylot Barry  R  Cowan  L  J  Geskin  A  F  P  rez  P  Hellemans  Y  Elsayed  C  Phelps  A  Forslund   M  Kamida  P L  Zinzani    Etude r  trospective   valuant l efficacit   de l     lectrostimulation sur la douleur dans la prise en charge  des ulc  res de jambe  P  Leloup     P  Toussaint  J  P Lembelembe  H  Maillard    Traitement des angiomes plans de l   enfant par laser    colorant puls   et timolol gel  T  Passeron  A  Maza  E  Fontas  G  Toubel  P  Vabres  J  M  Mazer  B  Rossi  F  Boukari  Y  Harmelin   I  Dreyfus  J  Mazereeuw Hautier  J  P  Lacour    Le propranolol dans les h  mangiomes infantiles   r  sultats de l   tude adaptative de phase 2 3  internationale  randomis  e  contr
175. ndations de bonne pratique  mais pas toujours avec une hi  rarchisation pr  cise  Certaines situations particuli  res par la taille  la localisation  de la l  sion  le contexte g  n  ral  am  nent    discuter au cas par cas les limites des alternatives    la chirurgie  mais aussi celles de la chirurgie        Objectifs     Les buts de cette FMC sont de rappeler les bonnes pratiques de prise en charge des l  sions cutan  es  pr  canc  reuses et des carcinomes cutan  s superficiels  de discuter    travers des situations cliniques leur  application au quotidien et d appr  hender les meilleures strat  gies th  rapeutiques afin de mieux cibler les  indications  les capacit  s et les limites des diff  rents traitements     Acquis souhait  s    A la fin de cette FMC  le dermatologue doit avoir acquis la connaissance des r  f  rentiels de bonne pratique  savoir  les appliquer ou les adapter selon le contexte et am  liorer sa strat  gie de prise en charge th  rapeutique        Le 77    Actualit  s en dermoscopie  J  SAVARY  J F  SEI  J  CLAVEAU    AS    Syndromes revisit  s    que sont ils devenus      Ph  HUMBERT  F  CARSUZAA   J P  DE JAUREGUIBERRY    63     osese smoe 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke              mn    Pr  sentation g  n  rale     La dermoscopie est une technique d imagerie utilis  e actuellement de fa  on syst  matique par une majorit   de  dermatologues pour l examen des tumeurs cutan  es m  lanocytaires ou non m  lanocytaires  Le champ  d application de
176. ne 332  P  Rousselle   D  Pin  H  Chajra  B  Herbage  C13   R  le majeur des cytokines Th17 dans le retard de cicatrisation des plaies infect  es     Paris  S  Charreau  J F  Jegou  E  Guignouard  M  Garnier  C  Burucoa  L  Favot Laforge  V  Huguier   F X  Bernard  B  Ryffel  F  Morel  J C  Lecron   C suppl  mentaire      LIF mediates pro invasive fibroblast activation in cancer      J  Albrengues  I  Bourget  C  Pons  V  Butet  S  Tartare Deckert  C  Feral  G  Meneguzzi and C  Gaggioli   17h05 Chlo   Feral  Nice   La r  gulation de l hom  ostasie cutan  e via CD98hc  un modulateur des int  grines  diminue avec l   ge  17h30 Gerry Melino  Rome  Italie   S  nescence et vieillissement   r  le majeur de la famille p53    18h00   18h30 Assembl  e G  n  rale SRD  Pr  sident   Laurent Misery  Secr  taire   Frank Antonicelli  Tr  sorier   Pierre Emmanuel Stoebner       Soir  e CARD 2013    Salons de l   A  ro club de France  Paris 16   e lt      MERCREDI 11 D  CEMBRE 2013 SALLE 241    9h00   11h00 Immunit   Cutan  e  Maladies Autoimmunes  Mod  rateurs   Julien Seneschal  Frank Antonicelli et Armand Bensussan    9h00  Jean David Bouaziz  Paris   Les lymphocytes B r  gulateurs     tat des connaissances et possible implication dans les dermatoses inflammatoires  9h25 Communications orales C14   C19  C14   R  le des lymphocytes B r  gulateurs dans le traitement par Rituximab de patients atteints de formes  s  v  res de pemphigus  N  Colliou   D  Picard  F  Caillot  S  Calbo  M  Maho Vai
177. nniculite multinodulaire locor  gionale    Pseudomonas aeruginosa   s  rie de trois cas et description  des facteurs pr  disposants  M  Roriz     E  Le Bidre  A  Maruani  L  Machet  M  C  Machet  M  Samimi       P349    P350    P351    P352    M  decine    133    P353    P354    P355    P356    P357    P358    P359    P360    P361    P362    16 Ha Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre Dore    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Profil   pid  mio clinique de l     rysip  le des membres inf  rieurs  EMI      tude de 500 cas  M  Korbi  A  Aounallah   M  Belkahla  L  Boussofara  W  Saidi  M  Denguezli  N  Ghariani  C  Belajouza   R  Nouira    Endocardite    Propionibacterium acnes  C  Garny de La Rivi  re     A  Dadban  G  Chaby  C  Lok    Dipht  rie cutan  e toxinique au retour d   un voyage en zone tropicale  M  Studer     S  Banea  M  Martinot  A  Martin  D  De Briel  A  Mah      Int  r  t de l     tude en microscopie confocale ex vivo pour le diagnostic de sycosis de la barbe  Premi  re    observation  J  L  Perrof  E  Cinotti  B  Labeille  H  Raberin  P  Flori  C  Douchet  F  Cambazard    interne    Etude r  trospective des cas d   isch  mie digitale aigu   ou subaigu   en dermatologie   8 observations  A  Marchal  E  Mah    P  Bilan  C  Sin  P Bagan  J  C  Couffinhal  M  L  Sigal    L intoxication au cannabis   cause ou facteur de risque dans la survenue de la maladie de L  o Buerger    A  Taghy  H  Lamsyah  B  Hassam    Accidents de d  compression cutan  s associ  s   
178. nnnnnnnnnnnn       PHOTODERMATOLOGIE       Introduction     La photodermatologie est une discipline dynamique en constante   volution comportant un champ d action tr  s  vaste  Cette sp  cialit   concerne tout d   abord les pathologies cutan  es induites par l exposition solaire n  cessitant  pour certaines une exploration photobiologique pour diagnostic  Sur le versant th  rapeutique  l utilisation en  phototh  rapie des UV  PUVA  UVB TL01      et la lumi  re visible  phototh  rapie dynamique topique  apporte un  appoint suppl  mentaire dans la prise en charge de nombreuses maladies dermatologiques  En  photodermatologie  la place de l   infirmier e  est importante  Au cours de ce forum  le r  le de l   infirmier e  sera  pr  cis   lors d   une exploration photobiologique et la pratique d une phototh  rapie  Une mise au point sera    galement faite en mati  re de photoprotection     PROGRAMME PRELIMINAIRE  09h00   10h40    Introduction  Dr H  Adamski   CHU Rennes     Exploration photobiologique   mat  riels et m  thodes  Dr H  Adamski   CHU Rennes     Int  r  t de l exploration d   une photosensibilisation exog  ne  Dr M  Avenel Audran   CHU Angers     Elaboration et pose des photopath tests      Labb   IDE   CHU Rennes     Exploration d   une lucite idiopathique  Dr H  Adamski   CHU Rennes     Discussion    10h40  11h00 Pause    11h00  12h30    Phototh  rapie dynamique   mat  riel et indications  Pr C  B  dane   CHU Limoges     Phototh  rapie dynamique   r  le de l   infirm
179. ns  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Havane 9h00   10h30         Pr  sidents   T  Boy    H  Bachelez  Y  Poulin    La s  v  rit   du psoriasis lors d une premi  re consultation en dermatologie est elle corr  l  e au statut socio     conomique du patient     E  Mah    F  Maccari  N  Quiles Tsimaratos  Z  Reguiai  T  Le Guyadec  E  Est  ve    M  Ruer Mulard  G  Chaby  H  Barth  l  my  H  Maillard  J  Parier  H  G  Steiner    J  L  Schmutz  C  Girard  E  B  gon  A  Beauchet  M  L  Sigal et GEM RESOPSO    Importance des sentiments de stigmatisation et des strat  gies de    coping    chez les patients souffrant  de psoriasis   B  Halioua   A  Motrunich  D  Sid Mohand  A  De Fontaubert  M  Lahfa  A  Maury Le Breton    F  Maunoury  H  Bachelez  C  Paul    Quels sont les facteurs de risque du rhumatisme psoriasique   Analyse syst  matique de la litt  rature  M  Rouzaud     M  Sevrain  A  Villani  T  Barnetche  C  Paul  M  A  Richard  D  Jullien  L  Misery   S  Aractingi  F  Aubin  P  Joly  M  Le Maitre  A  Cantagrel  J  P  Ortonne  M  Beylot Barry    Pr  valence de l ADN des papillomavirus humains dans les sourcils de patients psoriasiques trait  s par  anti TNF  G  Bellaud     T  Gheit  A  Pugin  J  L  Pr  tet  M  Tommasino  C  Mougin  F  Aubin    Suivi immunologique au cours de la premi  re ann  e de traitement du psoriasis par l   ustekinumab   anticorps monoclonal ci
180. nsson  L  Thomas   B  Guillot  C  Robert  P  Saiag  P  Vabres  N  Meyer  L  Mitchell  M  Starnawski  A  Hauschild  B  Dreno    La r  ponse diff  rente des carcinomes basocellulaires et   pidermo  des cutan  s aux inhibiteurs de mTOR   rapamycine    v  rolimus  chez les patients greff  s est li  e    lexpression diff  rentielle de p mTOR  G  Karayannopoulou  S  Euvrard  J  Kanitakis     1e Se mbre 2013    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    TOP 12 DES JUNIORS    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _                   Pr  sidents   C  B  dane  M T  Leccia  L  Machet  M  Viguier    Ti Ulc  ration cutan  e    type de pyoderma  E  Andrieu  A  B  Duval Modeste  P  Carvahlo  P  Bohu  P  Joly    T2 Deux cas de n  croses cutan  es abdominales  F Lombart  F  Dhaille  G  Chaby  C  Lok    T3 Liv  do et n  crose cutan  e de cause inhabituelle  J  Zaragoza  M  Delaplace  M  Benamara  E  Est  ve    T4 D impressionnantes l  sions v  g  tantes des grands plis  A  Fougerouse  A  Pham Ledard  A  Fauconneau  M  S  Doutre  M  Beylot Barry    T5 La petite fille h  risson  F  Boukari  T  Passeron  F  Le Duff  J  Ph  Lacour    T6 Quand la dermatologie vient au secours de la r  animation  L  Puig  G  Perceau  F  Grange  Ph  Bernard    T7 Une grosse t  te rouge aigu    C  Sachs  M  Mohr  C  Lenormand  B  Cribier  D  Lipsker    T8 Une nouvelle raison de ne pas faire de r  gime  C  Faivre  E  Ducroux  J  Kanitakis  D  Jullien  M  Faure    T9 Int  r  t de l   histologie devant une   r
181. nt  et de rotation et leurs indications principales  La gestion de l   h  mostase et un rappel de certains points de  suture seront   galement trait  s  Chaque geste sera pr  sent   par un expos   th  orique concis avec vid  o    l appui  puis effectu    avec l   aide des moniteurs  sur t  te et pieds de porc   greffe de peau totale  plasties en M et VY   lambeaux en L  T et rotation avancement simple et double  Cet atelier se veut essentiellement pratique et illustr    par des vid  os  La partie th  orique volontairement concise sera compl  t  e par un fascicule d  taill    disponible  en ligne        Objectifs     Partir du fuseau simple pour expliquer ses variantes plus   labor  es  oblique  en S     et la correction des exc  s  tissulaires  Aborder ensuite les plasties d avancement et de rotation  plus complexes  Apprendre    r  aliser une  greffe de peau totale     Acquis souhait  s     Avoir compris l int  r  t de s   loigner du sch  ma du fuseau simple et d adapter la r  paration    la r  gion  anatomique pour une cicatrice la plus esth  tique et la plus discr  te possible Ma  triser la technique de la greffe  de peau totale  technique de r  paration simple qui permet de r  soudre les situations o   une r  paration plus  complexe n   est pas envisageable  en respectant les r  gles de bonne pratique     Responsable de l atelier Moniteurs    Mardi 10 d  cembre 14h00  18h00       ATELIER 2 A Fran  ois Habib Myrto Trakatelli  SALLE 352A Thierry Secchi  Thierry Wiart    Lau
182. ntre national hospitalier universitaire de bangui  r  publique centrafricaine   IL  Kobangu    S C  Djabanga  B  Koffi  P  Gu  r  ndo  F  L  ngu  banga  A  Gaudeuille   Association actinomycetome cervico brachial et h  patite B   difficult  s th  rapeutiques d une rare  localisation    H  Benhiba  L  Benzekri  H  Bounnyit  A  Moustachi  M  Rimani  K  Senouci  M  Ait Ourhroui   N  Ismaili  B  Hassam    Un cas de granulome palissadiques du p  nis chez un adulte r  pondant    la th  rapie   anti tuberculeuse   E  Cozzani  F  Rongioletti  G  Ciccarese  A  Parodi   Syndrome kid chez un enfant togolais n   d   un mariage consanguin   K  Kombat    B  Saka  A  Mouhari Toure  S  Akakpo  E  B  lei  M  Djibril  K  Tchanga   Walla  P  Pitch      Dermatomyosite sine dermatitis r  vel  e par une macroglossie  S  Asmahen  A  Faida  B  Najeh  L  Metoui  l Gharsallah  N  Ben Abdelhafidh B  Louzir  S  Othmani    Lmm      _             lee mbre 2015    PARIS   Palais des Congr  s       Notes    La Soci  t   Fran  aise de Dermatologie remercie    BIODERMA  Pour l atelier d   histopathologie  La r  alisation des sacoches  Les fiches d   valuation des sessions    LABODERM  Pour les ateliers chirurgicaux    PIERRE FABRE  Pour la r  alisation de l   affiche    NOVARTIS  Pour les cordons de badge    LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE  Pour la fourniture des blocs    LABORATOIRE LA ROCHE POSAY  Pour la fourniture des stylos    138    10 14 d  cembre 2013  PARIS   Palais des Congr  s    mm ee mn me me leu   m
183. nts arthropodes  sarcopte  poux             mmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmmemmmmmemmmmm             Pr  sentation g  n  rale    La maladie de Verneuil est une pathologie fr  quente avec un retentissement non n  gligeable sur la qualit   de  vie des patients  Des avanc  es th  rapeutiques importantes ont   t   r  alis  es permettant d optimiser la prise en  charge de cette maladie        Objectifs    Le but de cette FMC sera de faire le point sur les diff  rentes modalit  s de traitement de la maladie de Verneuil   en insistant sur les innovations th  rapeutiques     Seront abord  s les th  mes suivants      actualisation des connaissances sur la maladie     revue critique des traitements    classiques        apport des antibioth  rapies cibl  es     qu   en est il des bioth  rapies et des r  tinoides      quand faire appel au chirurgien et quelles sont les limites de la chirurgie      les traitements lasers   une option majeure    ne pas n  gliger     L argumentaire fera appel    l exp  rience des auteurs et s   appuiera sur une revue cibl  e et critique de la  litt  rature     Acquis souhait  s    A la fin de la s  ance  le dermatologue aura actualis   ses connaissances sur les traitements disponibles dans la  maladie de Verneuil et sera    m  me d   optimiser la prise en charge de ses patients        FMC 58    L orientation sexuelle des  patient e s en  dermatologie   quelles  questions en pratique      N  FOUREUR  Ph  BONHOMME   T  SECCHI    E
184. on  huile dans eau   D  Salmon     L  Roussel  B  Kassa    P  Mouriquand  P  Kirilov  J P  Salvi  R  Boulieu  M  Haftek  F  Pirot    P4   Mesure  analyse et pr  diction de l   absorption des filtres UV chimiques dans le Stratum Corneum  L  Roussel   E  Gilbert  D  Salmon  B  Gabar  M  Haftek  H  Maibach  F  Pirot    P5   Visualisation de neurones sensoriels par microscopie de fluorescence    deux photons  V  Buh     D  Sevrain  N  Lebonvallet  Y  Le Grand  L  Misery    P6   Quantification de l   effet activateur de la Glucose 6P Deshydrog  nase par une formule cosm  tique appliqu  e de  fa  on topique sur une peau maintenue en survie  J  Franchi   M  Dumas and S Schnebert   P7   Elaboration et caract  risation physico chimique d   organogels pour applications cosm  tiques et dermo   cosm  tiques    P  Kirilov   E  Gilbert  D  Salmon  L  Roussel  R  Abdayem  C  Serre  J P  Salvi  R  Boulieu  F  Falson  M  Haftek   F  Pirot    2  Cellules Souches  Cicatrisation  Vieillissement P8   P15    P8   microRNA 184 triggers epithelial stem cell differentiation by repressing the stem cell marker cytokeratin 15  Camargo Livia   Serror Laura  Shalom Feuerstein Ruby  Aberdam Daniel  P 9   Contribution des fibroblastes dermiques de patients XP C dans l invasion tumorale  S  Al qaraghuli   Y  Gache  C  Girard  G  Gendronneau  M  Ohanna  C  Bertolotto  R  Ballotti  T  Magnaldo  P10   Modifications immunohistochimiques associ  es    l   alop  cie androg  n  tique et    la canitie chez l   homme
185. on des effets secondaires psychiatriques   Comment les pr  venir  les d  tecter et les prendre   en charge     Les orateurs feront part pour l   une de son exp  rience pratique en tant que prescriptrice exp  riment  e  d isotr  tinoine en pratique de ville et pour l   autre de sa connaissance des effets secondaires et de leur prise en  charge en tant qu   organisateur d   un protocole d   valuation de la tol  rance de l   isotr  tino  ne en pratique de ville  et d expert aupr  s des tribunaux    Acquis souhait  s    Ma  triser la prescription d   isotr  tino  ne dans toutes ses dimensions  et savoir pr  venir  d  tecter et prendre en  charge l   ensemble de ses effets secondaires potentiels        EMC 46    H  mangiome infantile    mise au point 2013    C  LEAUTE LABREZE   J  MAZEREEUW HAUTIER      DREYFUS    EMC 47       Trucs et astuces      pour une pratique de la  dermatologie chirurgicale  sans stress pour le patient  et l op  rateur  Suite    V CHAUSSADE  coordonnatrice       HELIOT HOSTEN   E  WETTERWALD    Dans le cadre du Groupe  Chirurgical de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    He esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     De nombreuses avanc  es ont   t   faites ces derni  res ann  es dans le domaine des h  mangiomes infantiles  Ces  avanc  es concernent en particulier le traitement et l efficacit   ainsi que le maniement du propranolol    Nous proposons une FMC pratique sur la prise en charge d
186. ont r  cemment   t    revus chez l enfant et la nomenclature et terminologie internationale des vascularites vient d     tre mise    jour   L actualit   est   galement riche en mati  re de nouvelles approches diagnostiques et th  rapeutiques        Objectifs     1   Analyser    partir de cas cliniques  les signes dermatologiques   vocateurs de vascularites syst  miques et  discuter de la d  marche clinique  du choix des examens compl  mentaires et de la prise en charge  th  rapeutique    2   Conna  tre les diff  rences de pr  sentation et d   volution des vascularites de l   enfant et de l   adulte    3   Conna  tre les nouvelles nomenclatures     Acquis souhait  s     A l issue de cette s  ance  le dermatologue devra pouvoir identifier les   l  ments cliniques orientant vers une  vascularite syst  mique chez l enfant et chez l adulte  savoir demander les examens compl  mentaires ad  quats  et conna  tre les principales strat  gies th  rapeutiques     mm mmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmemmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les lymphomes cutan  s T et B comportent des entit  s vari  es dans leur pr  sentation clinique comme dans leur  gravit    Leur fronti  re peut   tre t  nue avec des dermatoses b  nignes d   un c  t    avec des entit  s syst  miques  ou h  matologiques graves de l   autre  Le dermatologue occupe souvent une place centrale    la phase du  diagnostic  mais   galement du traitement ou du suivi        Objectifs     Une douzaine de c
187. oses abord  es    Les pathologies abord  es seront tr  s vari  es   maladies de syst  me  lymphomes cutan  s  maladies infectieuses   dermatoses inflammatoires inhabituelles  g  nodermatoses  etc       Acquis souhait  s    Savoir   voquer    au premier regard    des diagnostics rarement rencontr  s en pratique courante ou    pr  sentation  clinique tr  s polymorphe        FMC 80    Ces plantes qui veulent  notre peau      M  AVENEL AUDRAN   J L  PEYRON  J C  RZEZNIK    FMC 81    Nouveaut  s th  rapeutiques  en angiodermatologie    C  DEBURE  S  BLAISE    67     Osie sesmoe 2013    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     Avec la vague du bio et du retour    la nature  les plantes sont de plus en plus pr  sentes dans notre  environnement  Nombre d   entre elles provoquent des l  sions cutan  es lorsqu elles sont en contact avec la peau   que ce soit directement ou lorsqu elles sont utilis  es sous formes d extraits    vis  e th  rapeutique ou cosm  tique   Quelles sont ces plantes qui agressent notre peau   Comment les identifier   Comment agissent elles   Quelles  sont les l  sions cutan  es qu   elles provoquent   Cette FMC sera l   occasion d   avoir des r  ponses    ces questions  et aussi de revoir ou d apprendre quelques notions de botanique        Objectifs       Attirer l attention des dermatologues    l   aide de cas cliniques sur les aspects cliniques et les circonstances  amenant      voquer une phytodermatose      A
188. otidienne la sexualit   de ses patients        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmmmemmmmememm             Pr  sentation g  n  rale     Le dermatologue est souvent confront      des impasses ou des craintes th  rapeutiques  Au cours de cette FMC      partir d   une douzaine de cas cliniques  seront abord  es des solutions    ces impasses    partir des donn  es  scientifiques actualis  es  en abordant le b  n  fice et le risque pour le patient et l aspect m  dico juridique de la  prescription  Des domaines aussi divers que la prescription de la pilule dans l   acn   et son risque thrombog  ne  que le traitement de la pelade  des sarco  doses r  fractaires  des folliculites d  calvantes    pourront   tre choisis   Les sujets trait  s seront inspir  s    la fois par la nouveaut   de l approche que par leur m  diatisation    A partir du cas clinique  le contexte sera rappel    les donn  es de la science fournies et un arbre  d  cisionnel conduite    tenir strat  gie de surveillance fourni        Objectifs    Actualiser les connaissances des dermatologues dans des situations th  rapeutiques complexes et dans une  pratique o   le recours    un staff d  cisionnel ou une RCP n   est pas imm  diatement possible     Acquis souhait  s    A la fin de cette s  ance  le dermatologue devra   tre capable de prescrire plus justement et avec plus de s  curit    en dermatologie dans le contexte d   une impasse r  elle ou ressentie        FMC 60    Pathologie vulvaire    Cas
189. our faire bourgeonner et recouvrir   en s   aidant de techniques comme la th  rapie par  pression n  gative  la larvoth  rapie et surtout les greffes cutan  es  On pourra aussi s   aider d   une technique  toute r  cente et qui semble prometteuse  l   lectrostimulation     Acquis souhait  s    Savoir prendre en charge les ulc  res de jambe   Conna  tre les techniques innovantes et les recommandations pour favoriser la cicatrisation     EMC2 pe       Urgences en dermatologie   Pr  sentation g  n  rale         Conduite    tenir La dermatologie est une sp  cialit      l   origine de multiples consultations en urgences   manifestations allergiques   r  actions m  dicamenteuses  infections bact  riennes  mycologique ou virales  dermatoses inflammatoires   S  ORO  G  DO  E SBIDIAN dermatoses bulleuses  La connaissance des pathologies dermatologiques mena  antes pour le pronostic vital ou    fonctionnel est un outil indispensable afin d en limiter les complications et les s  quelles     Mod  rateur   T A  DUONG    Objectifs        partir de cas cliniques interactifs relatifs    une activit   hospitali  re d urgences en dermatologie  nous  discuterons les modalit  s de prise en charge diagnostique et th  rapeutique des principales urgences  dermatologiques    Vos comp  tences d   allergologue  d infectiologue  de p  diatre ou d   interniste seront mises    l   preuve par la  pr  sentation de cas didactiques    Nous vous exposerons quelques pi  ges diagnostiques rencontr  s au d  cour
190. ous  montrerons les diff  rentes caract  ristiques des alop  cies cicatricielles permettant de les   voquer du premier  coup d   il        Objectifs     Permettre un diagnostic de   coup d   il   des principales causes d   alop  cies cicatricielles sans jamais en oublier  les pi  ges  ce qui suppose toujours  comme nous le montrerons  de rester critique apr  s un diagnostic de   coup  d   il        Acquis souhait  s    Savoir diagnostiquer d   un coup d   il les formes typiques d   alop  cies cicatricielles mais ouvrir l   il  et le bon   pour   viter les pi  ges        EMC 84    De la ville    l   h  pital    qu   auriez vous fait    notre  place      TA  DUONG  M  KEMULA   E  SBIDIAN    Coordonnateur    J N  DAUENDORFFER    FMC 85    Les maladies fibrosantes  cutan  es acquises   de la  clinique    la th  rapeutique    S  BARETE  M  RYBOJAD   J D  BOUAZIZ    1LAPad  cmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Deux tiers des dermatologues exercent une activit   en ville o   ils se transforment tour    tour en interniste   p  diatre  allergologue  oncologue ou chirurgien  Avec la diminution du nombre de praticiens  l   augmentation  des patients pr  sentant un suivi altern   avec l h  pital et l   irruption de nouvelles th  rapeutiques  les  dermatologues souvent seuls dans leur cabinet  sont confront  s    des patients de plus en plus complexes ou  de prise en charge difficile     Objectifs     A partir d observations de patients 
191. out au long des JDP  Les horaires des   v  nements sp  ciaux seront pr  cis  s pendant les JDP  Rendez vous dans la zone d exposition au niveau 2 c  t   Salle Maillot    Suivez la SFD sur Twitter  sfdermato       1e Se mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _             En janvier 2014  retrouvez sur le site de la SFD      www sfdermato com les vid  os de l int  gralit   des Quoi de Neuf    e Quoi de neuf en dermatologie clinique     e Quoi de neuf en recherche dermatologique    e Quoi de neuf en m  decine interne     e Quoi de neuf en dermatologie p  diatrique    e Quoi de neuf en canc  rologie      e Quoi de neuf en th  rapeutique dermatologique         10  l   d  cembre 2013       Ads Palais des Congr  s    Enmmmm   m                Programme g  n  ral Page 4  Synopsis Page 7  Congr  s annuel de recherche dermatologique  CARD  Page 8  Tableau Th  matique Page 15  Programme scientifique Page 19  S  ances pl  ni  res Page 20  Ateliers Page 21  Formation M  dicale Continue Page 27  Forums Page 70  Quoi de neuf   Page 82  Symposiums satellites Page 83  Remise des prix Page 88  Communications orales Page 89  Discussions des Posters Page 108  Informations g  n  rales Page 139  e Christophe BEDANE  Limoges  e Manuelle VIGUIER  Paris     e Marie Th  r  se LECCIA  Grenoble        e Philippe CELERIER Pr  sident  Le Mans  e Fabienne LEONARD  Reims    e Christelle COMTE  Paris  e Fran  ois SKOWRON  Valence    e Anne DOMPMARTIN  Caen  e Jean Fran  ois STALDER  Nantes
192. papillaire  avec un niveau de  r  solution cellulaire  Cette technique est valid  e pour le diagnostic des tumeurs cutan  es superficielles  en  particulier des l  sions pigment  es  o   elle fait le lien entre la dermoscopie et l   histologie  Au cours des derni  res  ann  es  de nombreuses publications ont montr   un potentiel diagnostique dans les pathologies inflammatoires   et d   autres champs se d  veloppent actuellement  infections  dermo cosm  tique            Objectifs     Le but de cet atelier est d expliquer aux participants la technique elle m  me  puis de pr  senter les grandes  lignes de la s  miologie et les correspondances avec l   histologie standard dans le domaine des l  sions  pigment  es  des tumeurs   pith  liales et des pathologies inflammatoires    Une d  monstration pratique permettra aux participants de se rendre compte de la manipulation de la machine  et des modalit  s d acquisition des images  Enfin  l int  r  t de cette technique dans la pratique quotidienne sera  illustr   par des cas cliniques     Acquis souhait  s     A la fin de la s  ance  le participant devra conna  tre les principes de la MCIV  en avoir compris les possibilit  s et  limites techniques  les bases s  miologiques  et   tre capable d envisager le potentiel de cette technique dans  sa propre pratique        ATELIER 8    Auto   valuation en  histopathologie cutan  e    B  CRIBIER  avec l   aide technique de M  MITCOV    ATELIER 9    Annoncer une    mauvaise  nouvelle      s app
193. pin      A l issue de ce forum  les participants auront re  u les r  ponses aux questions qu ils se posent sur le DPC et  sauront mieux organiser leur parcours de DPC  L ODPC DV  et notamment l offre de formation qu il apporte   n   auront plus de secret pour eux        E EUM12    Dans la peau du d  vot    regards dermatologiques  sur la Religion    B  CRIBIER  B  HALIOUA   N  KLUGER  J  MARTEL  Pour la Soci  t   Fran  aise    des Sciences Humaines  sur la Peau    FORUM 3    Forum de l Association  des Dermatologistes  Francophones    Coordonnateur   J  VULLIET    76     Ose esmore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _             mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmnmmmmmmmmmmnn    Pr  sentation g  n  rale     Que l   on soit ath  e  agnostique ou croyant  nous savons que la religion continue d occuper une place  fondamentale dans la soci  t    C   est pourquoi  cette ann  e  la Soci  t   Fran  aise des Sciences Humaines sur la  peau a choisi de poser un regard dermatologique sur la Religion  Les liens entre peau et religion seront revus  successivement d   un point de vue culturel  historique  spirituel et m  dical        Objectifs     Quatre aspects seront abord  s     Les dermatoses d  votionnelles   La pratique d   une religion ou d   un culte s accompagne habituellement de la r  alisation de diff  rents rituels   rites  c  r  monies et p  lerinages dont la fr  quence et la dur  e sont variables  Nodules de pri  res des  musulmans  costals 
194. plasma genitalium    Connaitre les donn  es   pid  miologiques les plus r  centes     S  ance interactive avec digicodes       EMC 31    Maladies bulleuses  auto immunes     probl  mes pratiques de  diagnostic et de traitement    P JOLY  C  BEDANE   Ph  BERNARD    42     Ose esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Les m  thodes de diagnostic et les traitements des maladies bulleuses auto immunes ont beaucoup   volu   ces  derni  res ann  es  Des recommandations de diagnostic et de traitement ont r  cemment   t   r  dig  es par les  centres de r  f  rence consacr  s    ces maladies    Cette FMC sera centr  e sur une douzaine de situations pratiques posant des probl  mes de diagnostic ou de  traitement         Pemphigo  de Bulleuse  PB      Faut il faire d   autres examens qu   une histologie et une IFD pour en faire le diagnostic       Corticoth  rapie locale dans la PB   quelle dose initiale et comment d  cro  tre le traitement      Quand peut on arr  ter le traitement au cours d   une PB       Quels malades avec PB peut on traiter en ville      Pemphigo  de de la Grossesse  PG     L IFD est il un examen obligatoire pour distinguer une PUPPP EPG d   une pemphigo  de de la grossesse      Quels risques maternels et f  taux   Quels traitements      Dermatite Herp  tiforme    La biopsie du gr  le est elle r  ellement indispensable      Faut il proposer un r  gime sans gluten    tous les malades      Pemphigus    Peu
195. posant des probl  mes diagnostics ou th  rapeutiques     Prendre en compte les particularit  s de la dermatologie chez le nourrisson  l enfant et l adolescent     S  ance interactive avec digicodes    mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Nous gardons  tous  dans notre m  moire  des patients qui nous ont marqu  s de fa  on ind  l  bile  Dans ce  contexte  nous n   avons pas besoin d   un ordinateur avec un fichier informatis    Il suffit d   un nom  d   un pr  nom   d   un petit d  tail qui a conduit    un diagnostic   tonnant ou qui a nous rappel   la d  faite d   un cas non r  solu  et  notre m  moire va facilement retrouver    ce cas inoubliable           Objectifs     Le but de cette FMC est de fournir     l   aide de cas clinico histologiques soigneusement s  lectionn  s  des    l  ments de r  flexion g  n  rale  bas  s non seulement sur la corr  lation anatomo clinique mais aussi sur  l   tablissement d   un rapport plus   motionnel et    humain    entre le m  decin et ses patients     Les orateurs exposeront une s  rie de cas inoubliables  en expliquant pourquoi ces patients sont et resteront     inoubliables      ce peut   tre en raison d   un diagnostic difficile  longuement m  dit   dans la souffrance  d   une    volution impr  visible  d   une r  ponse th  rapeutique inattendue  Ce peut aussi   tre en raison d   une erreur de  diagnostic qui a permis ensuite de faire face    des situations simil
196. ppr  hender les diff  rents m  canismes en cause et les substances  irritants ou allerg  nes responsables      S aider d   un outil internet pour l identification botanique     Acquis souhait  s     Savoir   voquer une phytodermatose    Conna  tre les diff  rents m  canismes    l   origine de ces dermatoses et en particulier faire la part des choses  entre allergie et irritation    Conna  tre les grandes familles de plantes en cause     mm mmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Le but de cette FMC est d informer les dermatologues sur les nouveaut  s th  rapeutiques de m  decine vasculaire  ayant trait aux pathologies fronti  res qui d  finissent l   angiodermatologie   la prise en charge des varices en  endoluminal  l   ducation aux nouveaux anti thrombotiques  les progr  s des revascularisations art  rielles  endoluminales pour les ulc  res mena  ants  les alternatives pour 2 ulc  res capricieux  angiodermite n  crotique  et calciphylaxie   l   valuation m  dico   conomique des dispositifs m  dicaux nouveaux        Objectifs     Pour chaque pathologie   voqu  e  nous proposerons une synth  se claire de la litt  rature  les r  sultats des  exp  riences personnelles en insistant sur les risques  les b  n  fices et les co  ts pour le patient  les soignants  et la communaut       Acquis souhait  s     Au terme de la s  ance  le dermatologue peut  dans des situations complexes en rapport avec une pathologie  angio derm
197. proches th  rapeutiques dans le m  lanome  nouvelles prises en charge 68  des malades  FORUM 2 G  n  tique du m  lanome   actualisation et recommandations 70    MEDECINE INTERNE   ANGIOLOGIE    FMC 1 Ne plus subir les plaies 27  FMC 2 Urgences en dermatologie   conduite    tenir 27  FMC 13 Ce que nous avons appris de nos cas cliniques 33  FMC 14 Tumeurs et malformations vasculaires   cas cliniques interactifs 33  FMC 16 Cas cliniques de dermatologie et m  decine interne 34  FMC 19 Peau et appareil digestif 36  FMC 20 Prurit en dermatologie   Quoi de neuf   approche pratique 36  FMC 29 Testez Vos connaissances et votre imagination sur nos plus beaux cas cliniques 41  de l   ann  e 2013  FMC 35 Des cas inoubliables 44  FMC 36 Vascularites syst  miques   de l enfant    l   adulte 45  FMC 44 Et vous devant cette toxidermie  qu   auriez vous fait   49  FMC 53 Diagnostic et prise en charge des ulc  rations de jambe non vasculaires 53  FMC 59 Du cas clinique    la th  rapeutique 56  FMC 68 Les ulc  res chroniques de jambe en Afrique Noire 61  FMC 73 Syndromes revisit  s   que sont ils devenus   63  FMC 74    Nos plus beaux   checs      La saison 2 64  FMC 79 Comment ne pas passer    c  t   de diagnostics importants   impr  gnation iconographique 66  FMC 81 Nouveaut  s th  rapeutiques en angiodermatologie 67  FMC 84 De la ville    l h  pital   qu   auriez vous fait    notre place   69    DERMATOSES INFLAMMATOIRES PSORIASIS    PLENIERE Pourquoi y a t il un sur risque de lymphome dans 
198. pullulation microbienne du gr  le dans la scl  rodermie syst  mique  M  Tauber     J  Avouac  A  Benahmed  L  Barbot  B  Coustet  A  Kahan  Y  Allanore    P  riart  rite noueuse cutan  e   suivi    long terme d   une cohorte r  trospective de 49 patients  A  Buffiere Morgado   M  Battistella  M  D  Vignon Pennamen  M  Rybojad  A  Petit  F  Cordoliani   B  Flageul  M  Bagot  J  D  Bouaziz    Manifestations cliniques associ  es aux cryoglobulin  mies mixtes de faible taux  hors H  patite C   Etude  r  trospective au CHU de Rennes de 2007    2011  M  Le Merlouette   C  Droitcourt  A  Dupuy       16 la S  e mbre 2013    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Carcinomes et autres tumeurs    97    CO 064    CO 065    CO 066    CO 067    CO 068    CO 069    CO 070    CO 071    CO 072    nm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmmmmm         Amphith    tre Havane 16h15   17h45      Pr  sidents   C  Pag  s  P Combemale  S  Oumou Niang    Devenir des MF   rythrodermiques  MFE      tude r  trospective sur 24 patients  C  Hurabielle     C  Ram Wolff  I  Moulonguet  F  Mouly  P Brice  H  Moins  M  D  Vignon Pennamen   J  Rivet  M  Battistella  L  Michel  A  Marie Cardine  A  Bensussan  M  Bagot    Tumeurs    cellules dendritiques plasmacytoides blastiques   corr  lation clinico immunohistochimique  dans une s  rie de 91 patients   F Julia     S  Dalle  G  Duru  B  Balme  B  Verger  N  Ortonne  V  Costes  L  Lamant  S  Dalac  
199. que   W  Raffas     F Z  Hajji El Quafi  K  El Morabite  S  El Housni  R  Bayahia  L  Benamar  B  Hassam   K  Senouci    Sarco  dose induite par les inhibiteurs de l   interleukine 1 en traitement d   un TRAPS  TNF Receptor   Associated Periodic Syndrome   V  Descamps     E  Marinho  E  Pasqualoni  L  Choudat  M  P  Debray  T  Papo  K  Sacre    La maladie de Beh  et en dermatologie   diff  rences cliniques selon le sexe    travers une   tude  de 72 cas  H  Hain     S  Chiheb  H  Benchikhi    Nodules aseptiques du cuir chevelu   trois cas  A  L  Liegeon   B  Lerondeau  A  Schoeffler  P  Meyer  F  Truchetet    Sarco  dose syst  mique compliquant des siliconomes  M  Lerisson   V  Pallure  E  Frouin  D  Bessis    M  tallose avec atteinte cutan  e   tendue   un cas  M  Steff  M  Souied  T  B  gu    D  Alioua  A  Dallot    Le laser C02 am  liore louverture buccale des patients atteints de scl  rodermie syst  mique  C  Bulai Livideanu   S  Thebault  F  Boutault  D  Chauveau  C  Paul    136       P393    P394    P395    P396    P397     Osie esmore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Vendredi 13 d  cembre Er e    Lmm      _   _          Histiocytofibromes multiples et   ruptifs au cours de la grossesse  C  Pernet     0  Dereure  B  Guillot  D  Bessis    Un nouveau signe cutan   de cavernomatose familiale  N  Bellon     F  Cordoliani  E  Tournier Lasserve  F  Riant  M  Bagot  F  Guibal    Prurit brachioradial en rapport avec un astrocytome pilocytique et trait   par patchs de capsa
200. quis souhait  s       Augmenter l exp  rience clinique de la prise en charge de dermatoses inhabituelles  en s   aidant   ventuellement  des erreurs commises ant  rieurement      Diagnostiquer plus facilement certaines pathologies complexes      Savoir s  lectionner d   ventuels examens compl  mentaires      Am  liorer la connaissance des possibilit  s th  rapeutiques  parfois originales     S  ance interactive avec digicodes    mm mmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale    La v  n  r  ologie est un domaine majeur de la dermatologie et n  cessite une actualisation permanente des  connaissances concernant en particulier les donn  es   pid  miologiques et les r  sistances microbiologiques        Objectifs     Actualiser son expertise clinique  diagnostique et th  rapeutique en mati  re de MST et de pathologie des  muqueuses g  nitales    partir de cas cliniques r  els s  lectionn  s pour leur int  r  t p  dagogique  et pr  sent  s sous  forme de quiz interactifs     Acquis souhait  s     Connaitre les diff  rentes causes d   ur  trites  de cervicites  d   ulc  rations g  nitales et de dermatoses des organes  g  nitaux    Savoir prescrire les examens compl  mentaires devant les grands syndromes  ulc  ration g  nitale  ur  trite   leucorrh  es  anorectite  et dans la syphilis  Savoir en interpr  ter les r  sultats    Savoir traiter un herp  s g  nital  une syphilis  des condylomes  une infection    chlamydia  gonocoque   Myco
201. r     mm mmmmmmmmmmm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmm             Pr  sentation g  n  rale     La mauvaise observance aux traitements est un r  el probl  me de sant   publique  La mauvaise observance est  une cause importante d   chec th  rapeutique  La dermatologie est particuli  rement concern  e avec des maladies  comme le psoriasis  la dermatite atopique  l   acn    la rosac  e  La corticophobie est une cause fr  quente de  mauvaise observance en dermatologie  II s   agit d   un ph  nom  ne multifactoriel complexe qui touche les patients  mais aussi les soignants  m  decins  pharmaciens   Les facteurs li  s    la mauvaise observance sont multiples  mais peuvent se situer    trois niveaux   le patient  le m  decin  le traitement        Objectifs     Faire prendre conscience des cons  quences de la mauvaise observance et de son impact   Conna  tre les m  canismes impliqu  s dans l   observance    Mettre en   uvre des solutions pratiques pour favoriser l   observance au traitement    D  pister et lutter contre la corticophobie sont des moyens d am  liorer l   observance th  rapeutique     Acquis souhait  s     A l issue de cette session  le dermatologue doit pouvoir       appr  hender les attitudes des patients    risque de mauvaise observance      d  velopper des strat  gies d   coute  d   information du patient et de prescription permettant une meilleure  observance      diminuer la part de l     chec th  rapeutique due    l   observance        EMC 71    Muq
202. r  cemment d  crites  DIRA  DITRA  CANDLE         Acquis souhait  s    Reconna  tre les   l  ments cliniques orientant vers une maladie auto inflammatoires  proposer les examens  cliniques ad  quats et conna  tre les principales strat  gies th  rapeutiques        EMC 29    Testez vos connaissances  et votre imagination sur nos  plus beaux cas cliniques de  l   ann  e 2013    E  CINOTTI  B  LABEILLE   J L  PERROT    Coordonnateur   F CAMBAZARD    101 SO    QUIZZ interactifs MST    D  VEXIAU ROBERT  S  FOUERE   PL  DION    Mod  rateur   M  JANIER    41     Osie sesmoe 2018    Mercredi 11 d  cembre et FMC  Jeudi 12 d  cembre    mn    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Pr  sentation g  n  rale     Les affections dermatologiques posent parfois des probl  mes diagnostiques ou th  rapeutiques en raison de la  vari  t   des pathologies impliqu  es  C   est dire l int  r  t d une pr  sentation de cas cliniques originaux  par des  cliniciens ayant une forte activit   clinique dans un environnement privil  gi    Une discussion sera encourag  e  avec l   ensemble des participants  sur des observations particuli  rement int  ressantes du point de vue  diagnostique ou justifiant une prise en charge originale        Objectifs    Etablir une interactivit    voire soulever des controverses  avec l   ensemble des participants  lors de mise en  situations pratiques de cas cliniques de pr  sentations inhabituelles     Actualiser les progr  s th  rapeutiques r  cents de fa  on ludique     Ac
203. r  cent   visage dos    e Ensoleillement  contraception  tol  rance  risques dus au m  dicament ou au patient    Des cas cliniques r  els seront le point de d  part des r  flexions        Objectifs     Mettre en garde les dermatologues envers les apparentes facilit  s du diagnostic    Proposer des conduites dans divers situations       probl  me    en les   tayant sur l exp  rience et les derni  res  donn  es de la litt  rature     Acquis souhait  s    Acquisition de comp  tences nouvelles pour r  soudre les situations diagnostiques et th  rapeutiques  probl  matiques de l   acn   et connaissance des actualit  s th  rapeutiques et physiopathologiques        FORUM 9    Tribune libre    J H  SAURAT  D  LIPSKER   L  THOMAS  J M  LACHAPELLE    FORUM 10    S  CONSOLI  L  MARTIN   Ph  ASSOULY E  MAHE   D  PENSO ASSATHIANY    Pour le Groupe Ethique  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    74    PARIS   Palais des Congr  s    He esmore 2018    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     But   renouer avec les discussions ouvertes personnalis  es que les internes n   ont pas connu et que certains  seniors regrettent sans oser le dire    Format   une s  ance interactive o   la discussion libre et contradictoire sera privil  gi  e  suscit  e voire provoqu  e   dans le contexte de pr  sentation de cas cliniques  de travaux cliniques ou th  rapeutiques  de questions courtes   QROC     Public cible   Lib  raux et hospitaliers cadres et en formation  jeunes et encore j
204. r  dictif de la r  ponse au vemurafenib dans le m  lanome  C  Lebb    A  Howkit  M  Battistella  J  Delyon  C  Pages  J  Roux  R  Porcher  J  Tost  S  Mourah   P24   Increased levels of circulating microparticles are associated with increased procoagulant activity in  patients with cutaneous malignant melanoma  C  Laresche  F  Pelletier   F  Garnache Ottou  T  Lihoreau  S  Biichl    G  Mourey  P  Saas  P Humbert   E  Seilles  F  Aubin  P25   Mod  les d   valuation in vitro du transfert de m  lanine adapt  s    l   objectivation d ingr  dients  d  pigmentants  E  Leblanc Noblesse   J  Franchi  M  Juan  V  Jeronimo  O  Jeanneton  R  Kurfurst and S  Schnebert  6  Oncologie P26  P26   Anticorps dirig  s contre l   antig  ne T du polyomavirus    cellules de Merkel  MCV  chez les patients avec un  carcinome de Merkel  M  Samimi   A  Touz    H  Laude  C  Gardair  A  Carlotti  N  Dupin  E  Maubec  F  Aubin  M F  Avril  N  Beneton   E  Est  ve  E  Wierzbiecka  F  Rozenberg  S  Guyetant  G  Lorette  P  Coursaget  7  Recherche Clinique et translationnelle  P27   P28  P27   Premi  res images de biofilms bact  riens dans la partie sous infundibulaire des cheveux     tude  comparative dans la folliculite d  calvante   B  Matard   T  Meylheuc  R  Briandet  I  Casin  P  Assouly  B  Cavelier Balloy  P  Reygagne  P28   Maladies dermatologiques en Alg  rie   A  Tiar   L  Romdhane  O  Messaoud  M  Ben Rekaya  S  Ben Brik  N  Laroussi  M  Bchetnia  S  Abdelhak       14h30   18h00 Cellules souches
205. r CXCL10 dans la pemphigoide bulleuse  M  Riani   J  Plee  S  Le Jan  A  Durlach  P  Bernard  F  Antonicelli  P17   Diff  rentes souches de Propionibacterium acnes modulent diff  remment l   inflammation cutan  e induite par  lImmunit   Inn  e  F  Jasson     I  Nagy  A  Khammari  B  Dr  no  P18   Exploration in vitro du profil s  cr  toire de neurones sensoriels en pr  sence de mol  cules impliqu  es dans  l   inflammation neurog  ne cutan  e  K  L h  rondelle  L  Misery  L  Lefeuvre  N  Lebonvallet  4  Inflammation  Allergies Cutan  es P19  P19   Le glucosylc  ramide  qui est absent du stratum corneum de chien normal  reste pr  sent sous forme d   une  seule esp  ce mol  culaire chez le chien atopique  I  Popa   M  Haftek  D  Pin  H  Gatto  J  Portoukalian  5  Pigmentation  M  lanome P20   P25  P20   EMMPRIN inhibe l adh  sion m  di  e par l   int  grine B1 dans les cellules de m  lanome via un nouveau  partenaire  la kindline 3  J  Delyon   F  khayati  I  Djaafri  S  Menashi  C  Lebb    S  Mourah  P21   D  veloppement d   un mod  le de coculture k  ratinocytes m  lanocytes  aide    la connaissance de la  r  gulation de la m  lanogen  se dans diff  rentes populations  J  Franchi   C  Marteau  M  Dumas  R  Kurfurst  F  Joly and S  Schnebert  P22   Validation de mod  les pr  cliniques de m  lanomes   Outils d   valuation th  rapeutique  J  Delyon  S  Yahiaoui  A  Sadoux  M P  Podgorniak  G  Leclert  M  Varna  A  Janin  S  Mourah  C  Lebb    P23   Le taux de mutation BRAF est p
206. r les formes graves justifiant d   un  diagnostic clinique et histologique rapide        Le 27       Comment aborder et g  rer  sereinement les diff  rents  plans sous cutan  s     Suite    V CHAUSSADE  D  EGASSE     P  GUILLOT    Pour le Groupe Chirurgical  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    EAC 28    Maladies auto   inflammatoires       KONE PAUT  M  PIRAM     L  ROSSI    40    He e smore 201S    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Les ex  r  ses tumorales font partie de la pratique courante de la dermatologie  L abord chirurgical sous cutan    peut   tre    stressant    et de ce fait source d   ex  r  se carcinologique incompl  te ou de complications  Ces  ex  r  ses doivent   tre r  alis  es en s   adaptant    l   anatomie et en   vitant les pi  ges de chaque r  gion        Objectifs     En partant de l anatomie    chirurgicale     seront comment  s les risques anatomiques  puis recommand  s les  plans de dissection pr  f  rentiels en profondeur  De nouvelles zones seront abord  es pour compl  ter  l   enseignement de 2012  Chaque expos   se terminera par des recommandations d ex  r  se tenant compte des  particularit  s anatomiques de la r  gion et des marges oncologiques profondes si elles sont n  cessaires     Acquis souhait  s     Le dermatologue devra pouvoir trouver les plans de dissection en profondeur et pratiquer si n  cessaire des  marges oncologiques profondes adapt  es  sans aucune appr  hension
207. r un guide pratique pour la conduite du traitement     Acquis souhait  s     Apr  s avoir assist      cette FMC  le dermatologue conna  tra les aspects classiques et la conception actuelle du  pyoderma gangrenosum  saura affirmer le diagnostic en   liminant les autres causes d   ulc  rations cutan  es   conna  tra le bilan indiqu    et pourra mener le traitement local et g  n  ral de cette dermatose rare     mm mmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmmn             Pr  sentation g  n  rale     La reconnaissance holistique d   une dermatose pr  c  de souvent l examen analytique des l  sions  Dans ce  contexte  les maladies rares ou    pr  sentation tr  s variable  si elles ne sont pas   voqu  es    au premier coup  d   il     risquent de ne pas faire partie des hypoth  ses qui seront examin  es lors d   une d  marche diagnostique  analytique plus compl  te  Pour   viter de    passer    c  t      de ces diagnostics  nous proposons une impr  gnation  visuelle par une riche iconographie au lieu d   un enseignement classique        Objectifs     Pour chaque maladie  il sera montr   aux participants un tr  s large   chantillon de photos cliniques  accompagn  es  d   un minimum de commentaires  sous une forme tenant compte des commentaires faits par les 360 participants  de la session de l   ann  e pr  c  dente    Gr  ce au grand nombre d images  les participants se constitueront un catalogue visuel et deviendront capables  d   une reconnaissance inductive des dermat
208. r une mauvaise adh  sion aux soins et ses origines    Etre en mesure de g  rer en cabinet un patient atopique s  v  re au long cours     EMC 6 Ve          Les ch  ilites en pratique Pr  sentation g  n  rale    courante Les ch  ilites sont des inflammations superficielles des l  vres  Cette zone fragile est sollicit  e au quotidien par  des agressions externes  climatique  traumatique  allergique  irritation  qui constituent les causes principales des  G  JEUDY S  DALAC RAT  ch  ilites  Elles pourront aussi   tre le reflet de pathologies internes  carences  infections  maladie de syst  me   EODLLET m  dicaments   Les macroch  ilites restent difficiles    prendre en charge   Objectifs      La discussion de dossiers cliniques illustr  s permettra de mettre    jour les connaissances et proposer un  algorithme d  cisionnel devant une ch  ilite inflammatoire     Acquis souhait  s       reconna  tre les diff  rents types de ch  ilites      Savoir   voquer une ch  ilite allergique et demander une exploration en patch tests     reconna  tre une ch  ilite carentielle et prescrire les examens biologiques utiles      poser l indication d   une biopsie et savoir prendre en charge une macroch  ilite     29    He esmore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _             TMC 7    Mercredi 11 d  cembre 2013 SALLE 352AB   69h00   10h30      Prise en charge du psoriasis Pr  sentation g  n  rale    en pratique de ville   Le psoriasis est une dermatose fr  quemment rencontr  e en p
209. rants  teintures capillaires et tatouages exclus         Objectifs       pr  senter les mol  cules et les allergies aux colorants des cosm  tiques  aliments  m  dicaments et produits  diagnostiques      pr  senter les aspects cliniques souvent trompeurs et les principaux allerg  nes des textiles     Acquis souhait  s       Savoir reconna  tre une allergie    un colorant alimentaire  m  dicamenteux et autre      Savoir quand demander une exploration allergologique      Savoir rassurer les patients et ou les informer en cas d allergie    une de ces substances        EMC 19    Peau et appareil digestif  E  DELAPORTE  S  BUCHE    EMC 20    Prurit en dermatologie    Quoi de neuf   approche  pratique    J  FLUHR  L  MISERY   C  LE GALL IANOTTO    36    PARIS   Palais des Congr  s    He e smore 201S    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Les manifestations cutan  o muqueuses observ  es au cours des affections h  pato gastro ent  rologiques  peuvent   tre induites par les traitements ou li  es    la maladie  Ces derni  res sont nombreuses  souvent  trompeuses et parfois pr  cessives ce qui place le dermatologue en premi  re ligne        Objectifs     A travers la pr  sentation de cas cliniques illustratifs  seront pr  sent  es  dans un premier temps  les  manifestations dermatologiques qui doivent conduire    la r  alisation d   explorations h  patiques et dans un  deuxi  me temps les l  sions n  cessitant des explorations compl  mentaires    la recherche de ma
210. ratique de ville  Ne devrait on pas  d   ailleurs     parler    des    psoriasis plut  t que    du    psoriasis  tant cette affection recouvre une multiplicit   de       dix questions que probl  matiques li  es aux sites affect  s     l     ge de survenue     la s  v  rit   de la dermatose et aux traitements  nous nous posons le plus entrepris pour la soigner  Cette session se donne pour objectif d aborder dix probl  matiques habituellement  souvent rencontr  es par le praticien sous la forme de pr  sentations courtes et concises  didactiques et pratiques  Une  large place sera laiss  e    la discussion avec l   ensemble des participants   M  KEMULA  J L  SCHMUTZ   E  MATICHARD Objectifs  i  Les r  ponses    ces dix probl  matiques fr  quemment rencontr  es seront l   occasion d approfondir sur un mode  Coordonnateur   E  BEGON ludique les connaissances dans le domaine du psoriasis      e Comment reconna  tre et traiter un psoriasis palmoplantaire     e Ces sept dermatoses    pi  ge    qui miment un psoriasis   saurez vous les reconna  tre    e Comment traiter un psoriasis de l   ongle     e Quelle est la juste surveillance paraclinique des traitements syst  miques du psoriasis    e Comment traiter un psoriasis de l   enfant     e Comment surveiller la tol  rance h  patique    court et long terme du methotrexate     e Le psoriasis est il un facteur de risque cardiovasculaire     e Que dire    un patient sur l     volution future de son psoriasis     e Bioth  rapies du psorias
211. rche en dermatologie des Laboratoires Expanscience       1 Pa  cmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke       PROGRAMME  DES COMMUNICATIONS      Communications orales     Posters     Cas Cliniques de l Association   des Dermatologistes Francophones               ATION DANS LA ZONE PO    us des panneaux sur lesquels les p  vous pourrez aussi retrouver tous  sur des   crans informatiques  s  s dans la zone Posters affich  de la Maison de la Dermatologie                 1e Se mbre 2015    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Th  rapeutique      CO 001    CO 002    CO 003    CO 004    CO 005    CO 006    CO 007    CO 008    CO 009    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Bleu 09h00   10h30         Pr  sidents   F  Caux  K  Ezzedine  N  Ismaili    1L17  une nouvelle voie th  rapeutique pour la pemphigo  de bulleuse    P  Bernard     S  Le Jan  J  Plee  A  Durlach  F  Antonicelli    Evaluation de l   observance de la corticoth  rapie locale et des traitements syst  miques dans la  pemphigo  de bulleuse  V  Sobocinskf  S  Duvert Lehembre  C  Lesage  P  Bernard  P  Joly    Analyse interm  diaire de l efficacit   du rituximab comme traitement de premi  re intention du  pemphigus   M H  Commin  C  Prost  C  Picard Dahan  S  Duvert Lehembre  B  Labeille  C  Paul  M A  Richard    S  Dalac  P  Bernard  A  Dupuy  J D  Bouaziz  S  Ingen Housz Oro  M  Avenel  B  Sassolas  M  Alexan
212. rent Parmentier  Dominique Egasse  Isabelle Heliot Hosten    ATELIER 2 B Eric Wetterwald Jean Pouaha   SALLE 352B V  ronique Pistorius  Jacques Legroux  Pierre Allard    Damien Bacconnier  Damien Lebas    Cet atelier b  n  ficie du soutien de LABODERM       ATELIER 3    Atelier de photo   dermatologie    L  MEUNIER  F AUBIN    J C  BEANI  M C  MARGUERY   H  ADAMSKI  P  THOMAS    M  AVENEL AUDRAN    C  BOULITROP M  JEANMOUGIN   J L  SCHMUTZ  C  BEDANE    Coordonn   par C  BEDANE    23     Osie sesmoe 2013    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     L atelier se d  roulera sur une journ  e  Il comprend des mises au point en Photodermatologie  photo climatologie  et les moyens diagnostiques des principales photos dermatoses et leur prise en charge    Les principes  l actualit   en photo protection seront abord  s ainsi que les bases de la phototh  rapie    partir de  cas cliniques repr  sentatifs        PROGRAMME  1   Photoclimatologie et photoprotection naturelle C  B  dane  2   Effets biologiques des UV L  Meunier  3   UV et cancers F  Aubin  4   Photoprotection du sujet sain J C  B  ani  5   Exploration photobiologique M C  Marguery  6   Lucites idiopathiques en cas cliniques H  Adamski  7   Porphyries en cas cliniques P  Thomas  8   Photosensibilisations exog  nes M  Avenel  Audran  9   Phototh  rapies   Mat  riel  m  thodes et modes d action C  Boulitrop  10   Indications et protocoles de phototh  rapie M  Jeanmougin  11   E
213. res n  cessite la mise en place d   une   ducation  th  rapeutique sp  cifique responsabilisant les malades et n  cessitant une bonne collaboration entre patient et  m  decins        Objectifs     Conna  tre la gestion des pr  l  vements  tumeurs primitives  biopsies  pour mieux utiliser les th  rapies cibl  es   Conna  tre les nouveaux arbres d  cisionnels en situation adjuvante et curative    discuter selon les malades     partir de cas cliniques  Conna  tre la gestion des nouveaux traitements du m  lanome et de leurs effets secondaires  et l importance de l     ducation th  rapeutique     Acquis souhait  s     Conna  tre les nouveaux traitements du m  lanome  les nouveaux arbres d  cisionnels    discuter  savoir g  rer les  pr  l  vements tumoraux en vue des traitements par th  rapie cibl  e  conna  tre les effets secondaires des  nouveaux traitements  leur gestion et l   ducation th  rapeutique qu ils n  cessitent     mm mmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmmn             Pr  sentation g  n  rale     L expertise en m  decine passe par l   examen de tr  s nombreux malades dans le domaine concern    La  photographie permet en dermatologie un partage p  dagogique de l expertise clinique fond  e sur la  reconnaissance visuelle permettant des diagnostics de   coups d   il    particuli  rement difficiles et trompeurs  en dermatologie de cuir chevelu    Gr  ce    une iconographie tr  s riche et    la r  p  tition des images dans les diff  rentes pathologies  n
214. rge de mani  re ad  quate  Il devra   galement pouvoir sugg  rer une maladie plus grave et  orienter le suivi        EMC 23    Quand les bulles ne  tournent pas rond       S  ORO  E  SBIDIAN  N  ORTONNE    EMC 24    Traitements alternatifs de  lacn   et de ses s  quelles    M  BASPEYRAS  H  LAUBACH   S  LAFAYE    Pour le Groupe Laser  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    38    He e smore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     La pr  sentation clinique  histologique et immunologique des dermatoses bulleuses auto immunes est en g  n  ral  concordante et permet de poser un diagnostic nosologique sans trop de difficult  s  Parfois  le tableau est  beaucoup plus atypique  justifiant des examens paracliniques plus complexes et n  cessitant une discussion  anatomoclinique parfois difficile        Objectifs       Exposer au travers de cas cliniques concrets et interactifs des pr  sentations atypiques ou trompeuses de  dermatoses bulleuses auto immunes      Guider le dermatologue dans sa r  flexion et porter    sa connaissance les explorations anatomopathologiques  et immunologiques qui peuvent   tre propos  es pour progresser dans la d  marche diagnostique  Rappeler  l int  r  t et la place de ces examens      Cet enseignement reposera sur des cas cliniques concrets  v  cus   l   aide de digicodes rendra la r  flexion  interactive avec le public     Acquis souhait  s      Savoir progresser dans la d  marche diagnost
215. riser les outils vous  permettant de rechercher l information au sein de bases de donn  es bibliographiques   Medline  avec son  interface Pubmed  est la plus utilis  e  mais d   autres  Cochrane  Google Scholar  etc   peuvent aussi vous   tre  utiles  Les possibilit  s de Pubmed seront pr  sent  es en d  tail avec de nombreux exercices pratiques     Que faire des articles ou des r  sum  s issus de votre recherche bibliographique   Les logiciels dits de gestion  bibliographique vous offrent la possibilit    avec le plus souvent une simplicit   d utilisation d  concertante  de  conserver  classer et citer ces r  f  rences  Les possibilit  s du logiciel gratuit Zotero seront d  taill  es    partir  d exercices pratiques encadr  s par des documentalistes professionnels et des m  decins utilisateurs     L atelier se d  roule sur une journ  e  Sa section introductive sera commune avec celle de l atelier de  l   aRED  2       Litt  rature et communication m  dicale   info ou intox   Des outils pour faire le tri     mais ces  2 ateliers sont ind  pendants et il n   est pas n  cessaire d   avoir fait l   un pr  alablement pour acc  der    l   autre   L inscription    cet atelier est financ  e par l   aRED pour les titulaires d   une bourse aRED de l   ann  e en cours   Objectifs     Conna  tre les possibilit  s de Medline et de son interface Pubmed  et savoir les utiliser    Conna  tre les principales bases de donn  es bibliographiques et leur utilit      Comprendre l utilit   d   un
216. rop  ens et internationaux crois  s  dans d   autres congr  s nous envient tr  s sinc  rement les JDP  C est la raison pour laquelle une  traduction simultan  e en anglais  et bient  t j esp  re  en espagnol  sera test  e dans certaines  sessions  Une r  flexion est d   ailleurs en cours pour mieux anticiper les JDP d   apr  s demain     Mais revenons    ce qui est presque demain  je veux parler des JDP 2013  Faites y le plein de FMC   assistez    et faites vivre les s  ances de communications orales et de discussion de posters   Impr  gnez vous des derniers r  sultats de la Recherche avec le Congres Annuel de Recherche  Dermatologique  CARD  qui se tient en simultan   le mardi et le mercredi  Observez et   changez  dans les all  es entre les posters ou si vous le pr  f  rez  consultez ou revoyez les communications  affich  es sur les bornes   lectroniques des e posters    votre disposition sur l Espace de la Maison  de la Dermatologie  Venez assister nombreux au    Top 12 des juniors    dont la premi  re   dition a    t   un succ  s en 2011  N h  sitez pas    rendre visite    nos partenaires commerciaux sans qui les  JDP ne seraient pas ce qu   elles sont  mais n   oubliez surtout pas d assister aux s  ances pl  ni  res  au cours desquelles des orateurs particuli  rement prestigieux nous feront l   honneur de leur  pr  sence  Enfin  prenez quelques instants pour visiter l Espace de la Maison de la Dermatologie    outre un accueil et caf   permanents  vous pourrez vous inform
217. roprier  des techniques de  communication pour  d  passer les difficult  s et  r  ussir une alliance avec  son patient  Du m  lanome     la dermatologie de tous  les jours     B  SASSOLAS  C  ROBERT   P  ROUBY  C  CHARLES    26    1e Se mbre 2015    Mercredi 11 d  cembre Ateliers    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _             Nombre de participants limit      80    mn    Pr  sentation g  n  rale     L atelier se d  roule en deux parties       Pendant toute la journ  e de 9h00    15h30  50 cas difficiles  remarquables ou int  ressants sont disponibles pour  une lecture au microscope  Il s   agit de 50 nouveaux cas de l   ann  e 2013 et il n   y aura aucun doublon par  rapport aux ateliers des ann  es pr  c  dentes         partir de 15h30  projection des cas et discussion des diagnostics        Objectifs    Le but de cet atelier est une auto   valuation mais aussi la confrontation avec des pi  ges et des diagnostics rares  en dermatopathologie     Acquis souhait  s    A la fin de la s  ance  chaque participant doit emporter avec lui une ou deux id  es fortes sur des l  sions qu   il ne  connaissait ou des situations d  licates en dermatopathologie     Cet atelier b  n  ficie du soutien du LABORATOIRE BIODERMA       NOUVEAUTE 2013 Nombre de participants limit      30    Em mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmnm       Pr  sentation g  n  rale     Lors de l   annonce d   un diagnostic de m  lanome  aux diff  rents stades de la maladie  annonce 
218. rova  P  Roman  P  Bui Quy Minh  C  Ermisch  N  Dupin   M  F  Avril    Efficacit   et devenir des greffes cutan  es dans les angiodermites n  crotiques      propos de 39  angiodermites n  crotiques  S  Azib     M  Segard  V  Florin  E  Pape  D  Staumont  E  Delaporte    Prise en charge chirurgicale en un temps du m  lanome ungu  al in situ ou de faible   paisseur gr  ce au  diagnostic per op  ratoire en microscopie confocale   S  Debarbieux    et le Groupe Imagerie Cutan  e Non Invasive  L  Depaepe  S  Dalle  B  Balme    N  Poulalhon  L  Thomas    Alop  cie circonscrite apr  s radio neurochirurgie interventionnelle  A  S L  Dussoui    C  Gaudy  E  Archier  E  Bigand  J  M  Regis  J  J  Grob  M  A  Richard    Apport de la dermoscopie dans la s  miologie de la pelade      propos de 40 cas  N  Guerouaz     B  Guerrouj  H  Benhiba  M  Ait Ourharoui  K  Senouci  B  Hassam    Analyse quantitative des images r  alis  es avec un dermatoscope HD     tude r  alis  e chez 79 femmes    g  es de 77    78 ans  J  L  Perrof  E  Cinotti  B  Labeille  J  George  J  M  Lagarde  A  C  Biron  F  Cambazard et SNA epis       P068    P069    P070    P071    16 ha Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre se    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Int  r  t de la dermosopie dans le diagnostic de la leishmaniose cutan  e en Tunisie   14 observations  H  Hammami Ghorbe    R  Benmously  T  Badri  A  Zauak  K  Aoun  S  Fenniche  I  Mokhtar  P Bahadoran    Int  r  t de la tomographie    coh  rence optique
219. rsit   ph  notypique et g  notypique des malformations capillaires ainsi que les  nouvelles approches th  rapeutiques        EMC 40    Peau et gammapathie  monoclonale   cas cliniques  interactifs        SAUSSINE  J D  BOUAZIZ  B  ASLI    Mod  rateur   M  RYBOJAD    EMC 41    Lasers et techniques  apparent  es   ce qu   il faut  au moins savoir    A M  COLLET VILETTE   M  NAOURI    Pour le Groupe Laser  de la Soci  t   Fran  ais  de Dermatologie    47    IL Pa  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Les gammapathies monoclonales sont le r  sultat de l expansion monoclonale de cellules B matures   plasmocytes  s  cr  tant une immunoglobuline  Cette prolif  ration lymphoplasmocytaire entra  ne parfois des  manifestations cutan  es qui peuvent en   tre r  v  latrices  Certains signes cutan  s  purpura  scl  roed  me   urticaire  t  langiectasies profuses       en l absence d   une autre cause   vidente  imposent la recherche d   une  gammapathie  Les dermatoses fr  quemment associ  es    une gammapathie sont nombreuses  soit li  es aux  modifications immunitaires induites par le cl  ne plasmocytaire  soit li  es aux propri  t  s physico chimiques de  l   immunoglobuline qui entraine des dermatoses inflammatoires ou de surcharge  Une classification  anatomoclinique et pathog  nique de ces l  sions cutan  es est actuellement admise        Objectifs     Le but de cette FMC     travers des cas cliniques interactifs  anim  s par des 
220. rtement de Dermatologie et Allergologie   Universit   de Bonn  Allemagne    e Avanc  es scientifiques dans l   atopie  Dr Luc Aguilar  Directeur du D  partement Biotechnologies  L Or  al Recherche et Innovation  Recherche Avanc  e    e Les bact  ries cutan  es   nos amies de demain    Pr Thomas Bieber  Directeur du D  partement de Dermatologie et Allergologie   Universit   de Bonn  Allemagne    12h45    13h45 MSD France   Salle 253    Comment optimiser la prise en charge du psoriasis et rnumatisme psoriasique   Exp  riences crois  es du  Dermatologue et du Rhumatologue     Mod  rateur   Pr Denis Jullien  Lyon   D  bat autour de cas pratiques    e Approche du Dermatologue   Pr Marie Aleth Richard  Marseille   e Approche du Rhumatologue   Pr Pascal Claudepierre  Cr  teil     83     Os ee mbre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    SYMPOSIUMS  Satellites    Lmm      _                12h45    13h45 MSD France  Salle 343 La gale toujours d actualit   en 2013  Mod  rateur   Pr Denis Jullien  Lyon     e Introduction  Professeur Chosidow    e Diagnostic et prise en charge de la gale chez l   adulte  Docteur Perrot    e Caract  ristiques de la gale en p  diatrie    Professeur Boralevi  e Discussion  12h45    13h45 LABORATOIRES DERMATOLOGIQUES DUCRAY  Salle 351 Cibler le biofilm    P  acnes     KERACNYL PP  une innovation dans la prise en charge th  rapeutique de l   acn      e Le biofilm de P  acnes   de la physiopathologie    la prise en charge th  rapeutique de nos patients acn  iqu
221. rticipant disposera d   un socle de connaissances de base en lasers et techniques  apparent  es  indispensable    la pratique de la dermatologie moderne        EMC 42    Actualit  s 2013 dans le  psoriasis    M  BEYLOT BARRY D  JULLIEN   M A  RICHARD    Pour le Groupe   de Recherche sur le  Psoriasis de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    FMC 43    Comment am  liorer la prise  en charge des dermites  des mains    C  BERNIER  M  AVENEL   AUDRAN  M N  CREPY    48    He esmore 20138    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     L   abondante litt  rature dans le psoriasis  plus de 3000 r  f  rences PUBMED sur ce sujet en 2012  illustre l int  r  t  de la communaut   m  dicale et scientifique pour cette affection dans ses multiples facettes     pid  miologique   physiopathologique  th  rapeutique mais aussi soci  tale        Objectifs     Trois auteurs tr  s impliqu  s dans le domaine du psoriasis pr  senteront aux participants de cette FMC  sur la base  d   une s  lection d articles  une synth  se comment  e des publications majeures parues en 2013 sur le psoriasis  en ciblant celles utiles au dermatologue dans sa pratique quotidienne  Seront abord  s prioritairement les  nouveaut  s dans la physiopathologie et l   individualisation des diff  rents ph  notypes de la maladie psoriasique   les avanc  es th  rapeutiques  actualit  s des traitements syst  miques conventionnels  petites mol  cules  anti  IL17  inhibiteurs de Jak 
222. s d   une consultation hospitali  re  d urgences dermatologiques     Acquis souhait  s     Au cours de cette s  ance avec digicode  le dermatologue testera ses r  flexes de prise en charge diagnostique  et th  rapeutique face aux diff  rentes urgences dermatologiques    Mises au point sur la prise en charge sp  cifique des principales urgences     S  ance interactive avec digicodes    27    He e smore 2015    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _             EMOS y mercredi 11 d  cembre SALLE 242AB   69h00   10h30         Les d  lires d   infestation Pr  sentation g  n  rale    Les d  lires d   infestation sont une situation difficile pour les dermatologues  qui se trouvent confront  s    un  L  MISERY M  CHASTAING  trouble psychotique pour lequel ils sont le seul interlocuteur du patient  au moins dans un premier temps  Ils ne  N  FETON DANOU se limitent pas au classique syndrome d Ekbom  appel      tort parasitophobie  mais peuvent prendre des aspects  tr  s vari  s  Le plus r  cent d   entre eux est le syndrome des Morgellons  d  lire focalis   sur des    fibres   qui est  Pour le Groupe d autant plus difficile    g  rer qu il fait l   objet d   un militantisme propag   par internet     Psychodermatologie  de la Soci  t   Fran  aise    Objectifs    de Dermatologie    ll s   agit d envisager les diff  rentes manifestations cliniques des d  lires d   infestation  avoir des   l  ments de  compr  hension sur la nature de ces troubles psychotiques et avoir une conduite 
223. s et recommandations  de bonnes pratiques concernant la dermatologie chirurgicale  les traitements par laser et l   exercice de la  dermatologie esth  tique et correctrice  Insister sur la pr  vention des risques et les vigilances indispensables     ce type d activit       Acquis souhait  s    Am  lioration des connaissances  des pratiques et pr  vention des risques en dermatologie interventionnelle        EMC 34    Cas cliniques de  dermatologie p  diatrique  vus en 2013    G  LORETTE  N  BENETON   A  MARUANI    EMC 35    F  RONGIOLETTI  L  BORRADORI   H  BELTRAMINELLI    44    He esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Il s   agit d observations de dermatologie p  diatrique recueillies en 2013    Tours et au Mans  Il peut s agir  d   affections fr  quentes pour lesquelles existent des probl  mes th  rapeutiques   de cas qui   clairent un aspect  physiopathologique particulier  il peut s   agir aussi de cas plus rares    situer dans un ensemble plus vaste  La  pr  sentation sera interactive  Les participants seront invit  s    poser des questions et    commenter chacune des  observations        Objectifs     1  R  fl  chir    la compr  hension et    la prise en charge des affections rencontr  es en dermatologie p  diatrique   2  Mieux conna  tre la dermatologie p  diatrique    3  Elargir la r  flexion    partir de cas cliniques d  monstratifs     Acquis souhait  s      Am  liorer les connaissances d   entit  s 
224. s inhibiteur de BRAF      Etude histologique  g  n  tique  et virologique de 57 tumeurs secondaires   L  Boussemar    I  Girault  C  Mateus  M  Thomas  E  Routier  G  Tomasic  J  Wechsler  N  Kamsu Kom   S  Roy  M  Favre  L  Lacroix  C  Robert    Sous   valuation par la biopsie du caract  re invasif du m  lanome de Dubreuilh      partir de 92 patients  trait  s chirurgie micrographique  Slow Mohs  en collerette   I  Aou  dad     E  Funck Brentano  J  F  Sei  T  Clerici  U  Zimmermann  A  Tchakerian  V  Chaussade    P  Saiag    Validation d   une fen  tre d   valuation initiale de la cin  tique m  tastatique dans le m  lanome  m  tastatique  E  Archier   C  Gaudy Marqueste  E  Archier  A  Grob  0  Durieux  A  Loundou  M  A  Richard  J  J  Grob       106    CO 136    CO 137    CO 138    CO 139    CO 140    CO 141    CO 142    CO 143    CO 144    IEP Se mbre 2015    Vendredi 13 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Havane 9h00   10h30      Pr  sidents   T  Boy    A  Dupuy  I  Benkaidali    Impact de la publication du STROBE  Strengthening the Reporting of Observational Studies in  Epidemiology  sur la qualit   des articles rapportant des   tudes observationnelles en dermatologie  S  Bastuji Garin  E  Sbidian  C  Gaudy  E  Ferrat  J  C  Roujeau  M  A  Richard  F  Canoui Poitrine    D  terminants du taux de vitamine D plasmatique   donn  es   pid  miolo
225. s traitements m  dicamenteux     l heure de l   Evidence Based Medicine  les traitements chirurgicaux  quelles sont les limites du dermatologue    quand recourir au chirurgien     les indications des traitements par laser et phototh  rapie dynamique     Acquis souhait  s    A la fin de cette s  ance  le dermatologue doit pouvoir hi  rarchiser les modalit  s th  rapeutiques des dermatoses  g  nito anales  en fonction de leur efficacit   et de leurs risques     mm mmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmemmmmn             Pr  sentation g  n  rale     Les g  nodermatoses constituent un ensemble h  t  rog  ne d   affections h  r  ditaires dont la gravit   est variable   allant d une faible morbidit      la mise en jeu du pronostic vital  Leur traitement est difficile en raison de leur  nature g  n  tique et le plus souvent se limite    des th  rapeutiques symptomatiques  Le dermatologue doit savoir  reconna  tre ces maladies afin de permettre une prise en charge adapt  e  notamment    la lumi  re des r  cents  progr  s th  rapeutiques  Dans ce contexte  il joue un r  le essentiel dans le d  pistage  le diagnostic  l orientation  sp  cifique et le suivi clinique des patients porteurs de ces maladies        Objectifs     Le but de cette FMC est d exposer la d  marche diagnostique et les modalit  s de prise en charge de certaines  g  nodermatoses comme les neurofibromatoses  la maladie de Cowden  la scl  rose tub  reuse de Bourneville et  les ichtyoses  A partir de cas cliniqu
226. se des traitements actuels        Objectifs     Les diff  rentes th  rapeutiques m  dicales et chirurgicales disponibles actuellement seront pass  es en revue  dans un esprit consensuel  en soulignant pour chacune d   elles   les bonnes indications  les contre indications  et les inconv  nients     Acquis souhait  s    Pour faciliter leur bon usage en pratique quotidienne  les diff  rentes th  rapeutiques seront regroup  es en trois  groupes   traitements de premi  re intention  traitements de seconde intention  et associations th  rapeutiques     mm mmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmmn             Pr  sentation g  n  rale     Les malformations capillaires sont un motif fr  quent de consultation en dermatologie  Leur pr  sentation clinique  est parfois difficile   pi  ges diagnostiques  association    d autres anomalies vasculaires  mutations g  n  tiques   D un diagnostic pr  cis d  pend une bonne prise en charge        Objectifs     Savoir reconna  tre une malformation capillaire et   liminer d   autres pathologies    Savoir diff  rentier les diff  rents ph  notypes de malformations capillaires et rechercher une histoire familiale   Savoir prendre en charge ces malformations capillaires   examens compl  mentaires cibl  s en fonction du tableau  clinique  recherche g  n  tique      Savoir traiter ces malformations capillaires   laser  m  dicaments antiangiog  niques  phototh  rapie  dynamique         Acquis souhait  s    Les participants connaitront la dive
227. se en classes latentes d   une s  rie de 697 patients  K  Ezzedine     A  Le Thuaut  T  Jouary  F  Ballanger  A  Taieb  S  Bastuji Garin      Insu est il possible dans les essais contr  l  s randomis  s utilisant des m  dicaments avec effets  secondaires cutan  s syst  matiques    G  Do Pham   L  Le Cleach  P  Ravaud  0  Chosidow       12 lee  tmbre 2018    Vendredi 13 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Dermatologie p  diatrique    107    CO 145    CO 146    CO 147    CO 148    CO 149    CO 150    CO 151    CO 152    CO 153    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm    4 Amphith    tre Havane 14h15   15h45      Pr  sidents   S  Hadj Rabia  S  Mallet  F  Rapelanoro Rabenja    R  cidives tardives d   h  mangiomes infantiles    distance de l   arr  t d   un traitement par propranolol  I  Dreyfus     C  Frisch  A  Maza  C  Pauwel s J  Mazereeuw Hautier    Influence d   un s  jour en r  animation n  onatale  RN  sur la survenue et la localisation des h  mangiomes  infantiles  A  Gey     S  Prey  K  Ezzedine  J  Mazereeuw Hautier  A  Maza  A  Ta  eb  C  L  aut   Labr  ze      valuation des pratiques sur l   utilisation d   antalgiques lors du traitement par laser    colorant puls   des  angiomes plans de l   enfant  L  Lagier  G  Georgescou  M  Berton  M  Naouri  G  Lorette  A  Maruan      Hamartome an  mique au cours de la neurofibromatose de type 1   un potentiel nouveau crit  re  diagnostique    M  Marque  A  Roubertie  A  J
228. stionnaire fardeau  A  Taieb  F  Boralevi  K  Ezzedine     S  Merhand  C  Taieb    S  v  rit   de la dermatite atopique et taux de vitamine D     tude transversale  S  Ronceray  L  Benkalfate  C  Saillard  K  Ezzedine  H  Adamski  A  Dupuy  C  Droitcourt    Surexpression de l    IL 31 dans une forme sporadique de lichen amylo  de   un lien avec le prurit    L  Doussef  J  Seneschal  K  Boniface  K  Ezzedine  B  Milpied  J  McGrath  J  L  Lecron  A  Ta  eb    Etude r  trospective multicentrique de l efficacit   et de la tol  rance de l   imatinib m  sylate dans 39 cas  de GVH chronique scl  rodermiforme corticor  sistante   A  De Masson     J  D  Bouaziz  R  Peffault de Latour  S  Wittnebel  P  Ribaud  M  T  Rubio  J  B  Micol   F  Suarez  S  Nguyen  J  H  Dalle  K  Yakouben  M  Robin  A  Xhaard  L  Ad  s  J  H  Bourhis    M  Rybojad G  Soci    M  Bagot       1e Se mbre 2015    Mercredi 11 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Th  rapeutique ll    94    CO 037    CO 038    CO 039    CO 040    CO 041    CO 042    CO 043    CO 044    CO 045    mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mn      Amphith    tre Bleu 14h15   15h45      Pr  sidents   S  Hadj Rabia  T  Passeron  I  Mokhtar    Etude comparative du laser Dual Yellow versus trio d  pigmentant de Kligman dans le traitement du  m  lasma  H  Hammam     F  Boukari  E  Fontas  K  Tsilika  E  Castela  H  Montaudi    J  P  Lacour  T  Passeron    Efficacit   et tol  ra
229. suivi des patients     Acquis souhait  s       Savoir quels malades adresser    la consultation d   oncog  n  tique  pourquoi et comment      Conna  tre les cons  quences des r  sultats du test g  n  tique sur la prise en charge et le suivi  et les r  centes  recommandations   labor  es dans le cadre du groupe de travail de l   INCa        FORUM S    Que feriez vous pour  am  liorer l   esth  tique de  ces visages     Discussion de cas  cliniques     D  BOINEAU  A  EHLINGER   C  RAIMBAULT GERARD   J M  MAZER  T  MICHAUD    Coordonnateur   C  BEYLOT    Pour le Groupe de  Dermatologie Esth  tique  et Correctrice de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie   gDEC     FORUM 4    Vulvodynies   l   Union   fait la Force    Pour une approche  multidisciplinaire d   une  maladie encore inexpliqu  e    M  MOYAL BARRACCO    D  BOUHASSIRA  F PELLETIER   L  BELTRAN  A  DUMARTINEIX   A  BOTTE    71     Osie sesmoe 2015    PARIS   Palais des Congr  s    bm                      mn    Pr  sentation g  n  rale     Sur une dizaine de cas cliniques  vieillissement surtout  cicatrices       les propositions de correction seront  envisag  es  La d  marche repose d   abord sur l analyse du visage  au repos et de fa  on dynamique  la recherche  du ou des d  fauts dominants  Les d  sirs du patient et ses possibilit  s financi  res doivent aussi   tre prises en  compte  Chaque visage est particulier et ne ressemble    aucun autre et les techniques ne doivent pas   tre trop  standardis  es  mais adapt
230. surprenants  pour lesquels le diagnostic   tait inattendu   parfois    l oppos   du postulat de d  part  en raison d   un aspect clinique inhabituel  mais parfois aussi  par simple  omission d   une hypoth  se  pourtant   vidente     Seront aussi pr  sent  es des observations dont la d  marche diagnostique ou th  rapeutique a   t   rendue difficile  du fait de r  sultats impr  vus aux examens compl  mentaires demand  s  d   effets ind  sirables exceptionnels  ou  m  me  du fait d   une personnalit   complexe du malade    Les cas seront n  cessairement analys  s    pas    pas     de mani  re interactive  afin de pouvoir poser les bases  de la r  flexion anatomo clinique et th  rapeutique dans une pratique quotidienne de la dermatologie        Objectifs     e Les   checs des uns peuvent servir aux autres     e Se confronter  de mani  re interactive  avec les orateurs     des cas cliniques inhabituels pour am  liorer sa  pratique de la dermatologie  au quotidien     Acquis souhait  s    e Mise en   uvre des bases du raisonnement anatomo clinique en dermatologie   e Mise en   veil du sens diagnostique de chacun        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmmmemmmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les avanc  es spectaculaires r  centes dans la compr  hension des m  canismes des maladies inflammatoires  chroniques cutan  es  psoriasis  hidrad  nite suppur  e   rhumatologiques  polyarthrite rhumato  de  rnumatisme  psoriasique  spondylarthropathies  et 
231. t  E  Archier  L  Ouafik  M  A  Richard   J  J  Grob    110       P028    P029    P030    P031    P032    P033    P034    P035    P036    P037    P038    P039    P040    P041    1e e mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre ne    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Microscopie confocale in vivo et ex vivo   application    la chirurgie micrographique de Mohs des  tumeurs palp  brales    propos de 6 carcinomes basocellulaires   J  L  Perrof  B  Labeille  E  Cinotti  D  Grivet  N  Campolmi  G  Thuret  C  Douchet  F  Forest    F  Cambazard et le R  seau Lig  rien du M  lanome    Place de la cryochirurgie dans la prise en charge des carcinomes basocellulaires oculo nasaux  C  Longueville     V  Hantz  S  Leobon  C  Bedane    Motifs d envoi    propos de 1455 carcinomes basocellulaires cons  cutifs pris en charge en 2005 dans le  d  partement de la Loire  J  L  Perrof   B  Labeille  E  Cinotti  F  Cambazard et le R  seau Lig  rien du M  lanome    Nouvelle r  ponse d   un carcinome basocellulaire au vismodegib   C  Gaudy Marqueste     E  Archier  S  Monestier  S  Mallet  J  J  Grob  M  A  Richard    R  gression histologique compl  te d   un carcinome basocellulaire rendu op  rable apr  s traitement par  vismodegib  S  Azib     C  Maire  E  Martin De Lassalle  E  Desmedt     Vercambre  L  Mortier    Evolution m  tastatique d   un carcinome spinocellulaire  chez un patient trait   par vismodegib  C  Gaudy Marqueste     S  Monestier  S  Mallet  M  A  Richard  J  J  Grob    
232. t on all  ger la classique corticoth  rapie g  n  rale    fortes doses      Pemphigo  de Cicatricielle    Quels sont les nouveaux traitements      Quel est l int  r  t du blot et de l   Elisa dans le diagnostic et le suivi des maladies bulleuses auto immunes      La plupart de ces questions seront illustr  es par une observation clinique  Les donn  es de la litt  rature seront  analys  es  Une conduite    tenir sera propos  e     Objectifs    Actualiser les connaissances des dermatologues dans des situations pouvant poser des probl  mes de diagnostic  ou de th  rapeutique dans une pratique clinique     Acquis souhait  s    A la fin de cette s  ance  le dermatologue devra   tre capable de prescrire plus justement les examens  compl  mentaires    vis  e diagnostique et conna  tre les grandes indications th  rapeutiques dans ces maladies        EMC 32    Urticaire      vous avez dit urticaire      M S  DOUTRE  C  BERNIER   E  AMSLER    EMC 33    Quelle organisation et quels  mat  riels pour quelle  activit   en dermatologie  interventionnelle      S  LAGRANGE  G  TOUBEL   D  BOINEAU    Coordonnateur   J M  AMICI    Pour les Groupes  Chirurgical  Laser   Dermatologie Esth  tique et  Correctrice de la Soci  t    Fran  aise de Dermatologie    43    IL Pa  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     L urticaire chronique est une dermatose fr  quente  d  finie par des l  sions   ryth  mateuses  papuleuses   prurigineuses et fugaces durant
233. teur  Ils compl  teront les th  mes des ann  es ant  rieures et concerneront   galement de  nouveaux th  mes qui n avaient pas   t   abord  s     Acquis souhait  s    Le dermatologue sera capable de mettre en pratique ces propositions pour une pratique de la dermatologie  chirurgicale sur son lieu de travail  en toute s  r  nit   et s  curit   pour le patient et lui m  me        EMC 48       Quand la microscopie    claire la clinique       B  CRIBIER  M  MOKNI    F RONGIOLETTI  P  DONATI    I  MASOUYE  M  BATTISTELLA   E  FROUIN  D  VIGNON  PENNAMEN  A  THEUNIS    U  SASS    FMC 49    Du Cosmos    la Science  de  la Science    la Cosm  tique    J M  LEMAITRE  B  DRENO   Ph  HUMBERT    Coordonnateur    A  COHEN LETESSIER    Pour le Groupe de  Dermatologie Esth  tique  et Correctrice  gDEC    de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    51    IL Pa  csmEre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     Cette s  ance est destin  e    tous ceux qui aiment la dermatologie clinique   Elle pr  sentera des cas illustratifs     tonnants  remarquables ou instructifs selon le principe suivant   pr  sentation en cinq minutes d   un cas dont la  clinique est exceptionnelle  intrigante  peu sp  cifique ou impossible    d  brouiller  La microscopie vient apporter  une solution rare  inattendue ou totalement    l   oppos   des hypoth  ses cliniques        Objectifs     Le but de cette FMC est un entra  nement    la d  marche anatomoclinique qui fait la r
234. tifs de cette FMC sont       analyser les arguments cliniques qui permettent d   voquer une affection g  n  rale sous jacente devant diverses  manifestations dermatologiques      pr  ciser les examens compl  mentaires utiles pour confirmer le diagnostic      discuter les traitements  anciens et nouveaux  pouvant   tre propos  s dans ces affections     Acquis souhait  s     Savoir   voquer une maladie syst  mique devant des signes cutan  s parfois banals   Savoir prescrire des examens compl  mentaires pertinents et bien les interpr  ter   Savoir proposer une prise en charge th  rapeutique adapt  e        EMC 77    Quand la clinique   claire  la microscopie    M  BATTISTELLA  M  VIGUIER   B  CAVELIER BALLOY    Coordonnateur   A  PETIT    EMC 18    Colorants et allergies   alimentaire  cosm  tique   m  dicamenteuse et  vestimentaire    quand   y penser      A  VIAL DUPUY A  SORIA   C  PECQUET    35     Osie sesmoe 2018    PARIS   Palais des Congr  s    bm               _       mn    Pr  sentation g  n  rale     La r  ception d   un compte rendu histologique de biopsie ou d   ex  r  se cutan  e ne doit pas faire clore le dossier  du patient mais au contraire le rouvrir  afin de v  rifier la coh  rence des aspects cliniques et histologiques de  l   observation  Nous l   illustrons par des cas r  els  o   la transmission secondaire d informations cliniques pr  cises     l   anatomopathologiste a permis de redresser un diagnostic  gr  ce    une r   interpr  tation histologique des  
235. tion    partir de cas cliniques     Acquis souhait  s    Principaux   l  ments de la s  m  iologie dermoscopique dans des domaines plus sp  cifiques   Lecture conseill     R P  Braun et al     Atlas de dermoscopie    Masson Paris 2007    28     Osie     csmEre 2018    PARIS   Palais des Congr  s    ke          EMC5 aaau Eae aii ii    G  rer l   chec th  rapeutique ue A T EN n i   Poat  P      chec th  rapeutique est une situation fr  quente au cours de l   ecz  ma atopique qu   il s agisse d un enfant ou  au cours de la dermatite peung q pique qu   il s ag    d   un adulte  Parfois en rapport avec la s  v  rit   intrins  que de la maladie  souvent li  e    une faible adh  sion des       atopique  DA  patients    leur traitement  ce constat oblige    une prise en charge personnalis  e  La recherche des   l  ments     l   origine de cette situation est abord  e au cours de tables rondes  Des propositions concr  tes adapt  es    chaque  C  BERNIER  H  AUBER l  situation seront envisag  es et partag  es avec les participants   J M  CHAVIGNY  4 jectifs    Mod  rateur   J F STALDER Objectifs      D  finir un   chec th  rapeutique au cours de la DA    Pr  ciser les explorations    envisager    Conna  tre les traitements syst  miques et leur usage dans l   ecz  ma   Evaluer la r  sistance aux traitements    D  finir un plan d   action personnalis   pour le patient et sa famille     Acquis souhait  s     Conna  tre les strat  gies de prise en charge des DA s  v  res    Savoir d  tecte
236. tion solaire      bien diff  rencier la photoprotection des enfants et des adolescents de celle des adultes      pouvoir conseiller chaque patient selon ses caract  ristiques personnelles  son environnement et ses attentes  en termes de protection solaire     mm mmmmmmmmm mm mm mm mm mmmmmmmmmmmmmmemmemmmmmmmmmmmemmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Quelques dystrophies ungu  ales de l enfant doivent   tre reconnues par le dermatologue  Certaines sont  physiologiques et s estompent avec le temps  d   autres traduisent une maladie cong  nitale  volontiers associ  e     des alt  rations capillaires et cutan  es  Quelques rares pathologies ungu  ales sont sp  cifiques de l enfant   D   autres sont similaires    celle de l adulte  mais leur pr  sentation clinique et ou leur prise en charge n  cessitent  une approche th  rapeutique sp  cifique        Objectifs     Le but de cette FMC est d   clairer le praticien sur la pathologie ungu  ale p  diatrique  Les cas pr  sent  s  aborderont les diff  rents aspects de la s  miologie ungu  ale p  diatrique qu elle soit cong  nitale  inflammatoire  ou tumorale  Ils insisteront sur les diagnostics    ne pas manquer  les onychopathies purement p  diatriques et  leurs prises en charge respectives  L apprentissage par iconographie sera un point essentiel de la session     Acquis souhait  s     Apr  s cette formation  le clinicien devra pouvoir reconnaitre des pathologies ungu  ales sp  cifiques de l enfant  et les prendre en cha
237. traitement 42  FMC 67 Comment   viter les pi  ges diagnostiques des maladies bulleuses auto immunes   60    17       AT 3  FMC 8  FMC 21    FMC 38  FMC 41  FORUM 1  FORUM 11  FORUM 14  FORUM 17    THERAPEUTIQUE    PLENIERE  FMC 10  FMC 71  FMC 75    FORUM 6  FORUM 7    FMC 58  FORUM 12  FORUM 15    DIVERS    PLENIERE  FORUM 9  FORUM DPC  FORUM 13    18    He   esmore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Atelier de photodermatologie 23  Peau et lasers   les questions r  ponses 30  Pol  miques sur la protection solaire   prend on des risques en utilisant 37  des    cr  mes solaires    ou en prenant des pilules antioxydantes   Que dire    nos patients     Approche th  rapeutique du vitiligo 46  Lasers et techniques apparent  es   ce qu il faut au moins savoir 47  Addiction solaire et cabines de bronzage 70  Phototh  rapie dynamique topique     tats des lieux et perspectives 75  Journ  e des Infirmi  res et des Infimiers      Photodermatologie    T7  Usages inhabituels des lasers 79    Mythes et r  alit  s des traitements de la femme enceinte atteinte d   acn   ou de psoriasis 20    L   observance en dermatologie 31  Carcinomes cutan  s superficiels et pr  curseurs   quelle prise en charge   62  Traitements d   aujourd   hui et de demain dans les pathologies inflammatoires cutan  es   64  une approche transdisciplinaire   Peau et Greffe d Organe   cas cliniques interactifs T2  Prise en charge des ch  lo  des sur peau noire 13    ETHIQUE   HISTOIRE DE LA 
238. ts d   valuer par eux m  me l int  r  t de ces  technologies pour leur pratique dermatologique     Acquis souhait  s     A l issue de ce forum  les participants auront acquis des notions simples  pratiques et n  anmoins pr  cises leur  permettant de d  mystifier ces nouvelles techniques d imagerie qui vont progressivement modifier le m  tier de  dermatologue        SEM T7    Usages inhabituels  des lasers    S  DAHAN  A  KOLBE  S  LAFAYE   J M  MAZER  T  PASSERON    Coordonnateur   M  NAOURI    Pour le Groupe Laser  de la Soci  t   Fran  aise  de Dermatologie    79    10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       mn    Pr  sentation g  n  rale     La pratique clinique  la d  couverte  parfois fortuite  de chromophores inattendus  ou la n  cessit   de traiter  certaines maladies rares ont permis au dermatologue d   tendre le champ d application des lasers au del   des  indications pour lesquelles ils avaient initialement   t   cantonn  s dans leur d  veloppement industriel        Objectifs     Faire partager la connaissance d utilisations possibles des lasers  en dehors de leurs indications les plus  fr  quentes    L argumentaire s appuiera sur une revue cibl  e et critique de la litt  rature et fera appel    l exp  rience des  auteurs    Seront trait  s les usages inhabituels des lasers suivants       Laser Alexandrite  MN      Laser    Colorant Puls    JMM      Lasers Fractionn  s  SL      Laser Nd  Yag  AK      Phototh  rapie dynamique  SD    Cas Cliniques
239. ts modes de communication pour r  ussir  l alliance avec leur patient dans ce contexte particulier de l annonce d une mauvaise nouvelle     FORUM   D  VELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU  DPC    MODE D EMPLOI    JEUDI 12 D  CEMBRE 2013 14h15 15h45    Ce forum r  pondra aux questions que les dermatologues lib  raux et hospitaliers se posent sur le DPC et pr  sentera  l Organisation du DPC en Dermatologie V  n  r  ologie  ODPC DV   organisme cr     sous l     gide des diff  rentes instances  de la dermatologie pour r  pondre aux besoins de formation des dermatologues     FORUM DE DERMATOLOGIE HUMANITAIRE    VENDREDI 13 D  CEMBRE 2013 14h15  15h45    Ce forum vise  pour la 2  e   ann  e cons  cutive     faire conna  tre les actions humanitaires et hors fronti  re en dermatologie      en rassembler les acteurs  et    susciter un   change enrichissant d exp  riences  Ouvert    tous     E POSTERS    Pour la deuxi  me ann  e  les posters affich  s seront   galement disponibles en ligne  sur   crans dans diff  rentes zones de  l exposition et ils seront visualisables    partir du site Web des JDP pendant le congr  s     et    toujours un grand choix de FMC  largement renouvel  es         He   e smore 2013    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _             Devenez membre de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie    Si vous n   tes pas membre de la Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  faites votre  demande d adh  sion d  s maintenant  vous b  n  ficierez ainsi d un tarif r  d
240. type de panniculite  LTSP     pr  sentation d   un cas et revue de la litt  rature  C  Ram Wolff  M  D  Vignon Pennamen  A  Slama  M  Bagot    Deux cas d   un lymphome tr  s rare  le lymphome T cutan   agressif   pidermotrope  LCAE  CD8   P  Schneider  C  Hurabielle  C  Ram Wolff  M  Battistella  M  Viguier  M  Bagot       P108    P109    P110    P111    P112    P113    P114    P115    P116    M  lanomes    P117    P118  P119    P120    116     O lee  mbre 2013    Vendredi 13 d  cembre Er e    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          Un cas p  diatrique de lymphome anaplasique    grandes cellules  ALK   avec localisations cutan  e     musculaire et ganglionnaire trait   par vinblastine  M  Barreau     0  Minckes  C  Bazille  S  Fra  tag  D  Le Houezec  F  Sanz  L  Verneuil  A  Dompmartin    Pseudo lymphome cutan      l   altizide mimant un lymphome cutan   B de haut grade  P  Leloup  N  Beneton  H  Maillard  C  Bara  B  Prophette  T  Petrella  P C  l  rier    Infiltrat lymphocytaire T pilotrope associ      une lymphoprolif  ration B   mycosis fongo  de ou infiltrat  r  actionnel   6 cas   S  Oro     N  Franck  N  B  n  ton  A  Fauconneau  A  Carlotti  T  Petit  I  Liolios  C  Bara  J  P  Farcet    B  Vergier  0  Chosidow  M  Beylot Barry  N  Ortonne    Lymphomes B cutan  s pr  c  dant une maladie de Hodgkin ganglionnaire   3 cas  M  For    C  Ram Wolff  I  Moulonguet  P Brice  J  Rivet  M  D  Vignon Pennamen  M  Bagot    Lymphome B intra vasculaire et dermatite 
241. ucun remboursement    Les   ventuels remboursements interviendront APR  S le Congr  s et aucune demande ne sera prise en  consid  ration apr  s le 31 janvier 2014    e H  bergement       Jusqu au 08 octobre 2013   remboursement de l    acompte vers   except   les frais de r  servation h  teli  re         partir du 08 octobre 2013   aucun remboursement    Conditions sp  ciales groupes   veuillez contacter le Secr  tariat des JDP 2013     L   attestation de points pour la Formation M  dicale Continue sera disponible apr  s le congr  s  en ligne  sur le  site du congr  s   Vous pourrez l obtenir en tapant votre nom de famille et votre num  ro d inscription au congr  s     Nous vous rappelons que ces points de formation sont obtenus lorsque vous assistez    une session et que  votre badge est scann      l   entr  e des salles de conf  rence     La Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  N   TVA intracommunautaire FR613 531 393 48 00034   25 rue La Bo  tie   75008 Paris  a mandat   la Soci  t   MCI France pour percevoir les droits d inscription aux  r  unions g  n  rales et aux r  unions de la Formation M  dicale Continue  D  claration d activit   de formation    enregistr  e sous le num  ro 11 75 49282 75 aupr  s du Pr  fet de r  gion d Ile de France  dans le cadre des  Journ  es Dermatologiques de Paris           10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Des chambres d h  tel ont   t   r  serv  es pour les participants    tarifs n  goci  s dans les h  tels su
242. ue et retard de croissance  staturopond  ral   N  Guerouaz     B  Isidor  R  Carapito  L  Ott  N  Paul  S  Bahram  E  Launay  C  Frenard  H  Aubert   S  Barbarot    Complexe de Carney  CNC  r  v  l   devant un accident vasculaire c  r  belleux    6 ans  M  Acquitter     S  Peudenier  V  Laparra  P  Vouhe  L  Misery  C  Abasq Thomas    Mutation DOCK 8   une nouvelle cause du syndrome hyper IgE  J  Moreau  E  Puzenat  P  S  Rohrlich  S  Beaussant Cohen  F  Aubin  P  Humbert    Syndrome d   ichtyose du pr  matur    A  Le Moing     M  E  Renard  S  Fra  tag  A  Hovnanian  B  Catteau  E  Delaporte  S  Buche    Dermatoses inflammatoires    126    P258    P259    P260    Psoriasis et comorbidit   dans la population tunisienne      propos d   une   tude cas t  moin  M  Belkahla   L  Boussofara  A  Aounallah  I  Bougmiza  M  Ben Moussa  0  Achour  N  Ghariani   M  Denguezli  C  Belajouza  R  Nouira    Facteurs associ  s    une efficacit   du remplacement de l   adalimumab par une deuxi  me bioth  rapie  pour le traitement du psoriasis   F Dabouz     E  Esteve  E  Mah    E  Begon  C  Pauwels  A  Khemis  M  Lahfa  F  Maccari  G  Chaby    N  Beneton  T  Boy    C  Barbe  P  Bernard  Z  Reguiai et GEM resopso    Facteurs associ  s    une efficacit   du remplacement de l   etanercept par une deuxi  me bioth  rapie pour  le traitement du psoriasis   F Dabouz   F  Maccari  G  Chaby  N  Benetton  A  Khemis  M  Lahfa  E  Est  ve  T  Boy    E  Mah      E  B  gon  C  Pauwels  C  Barbe  P  Bernard
243. ueuses en souffrance    quand conclure    une cause  non organique et quelle  prise en charge proposer      G  LORETTE  M  SAMIMI   G  GAILLIARD    EMC 12    Traitement chirurgical des  cancers cutan  s de la face    Choisir la meilleure  r  paration      J Y  BAILLY O  COGREL   A  SKARIA    Coordonnateur   J M  AMICI    32    He e smore 201S    PARIS   Palais des Congr  s    Lmm      _   _          mn    Pr  sentation g  n  rale     Une douleur  un prurit  des br  lures centr  es sur les muqueuses  vulvodynies  stomatodynies  glossodynies   prurit anal  sont un motif non rare de consultation en Dermatologie  Lorsque l   examen ne retrouve pas de  dermatose   vidente  le praticien doit conna  tre quelles autres   tiologies organiques rechercher  et dans quelles  circonstances il doit   voquer une atteinte non organique  La prise en charge de ces atteintes non organiques   souvent difficile  sera   galement pr  sent  e        Objectifs     1  Quelles explorations proposer devant des douleurs des muqueuses  sans orientation clinique   vidente     2  Dans quelles circonstances conclure    une non organicit       3  Comment aborder la prise en charge globale de cette affection  souvent invalidante  avec fort retentissement  sur la qualit   de vie du patient      Acquis souhait  s     Conna  tre la d  marche diagnostique devant des douleurs des muqueuses   Reconna  tre une situation de douleur    psychog  ne       Prendre en charge de mani  re globale cette douleur    psychog  ne 
244. uhait  s     A la fin de cette s  ance  le dermatologue doit savoir la conduite    tenir devant un   il rouge  un   d  me  monoculaire ou bioculaire en dermatologie  les bases de s  curit   ophtalmologique dans l   utilisation des lasers  dermatologiques        mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mm mm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmemmmm             Pr  sentation g  n  rale     Les dermatologues sont amen  s    prescrire  injecter  faire appliquer des cosm  tiques  des biocides  des  dispositifs m  dicaux et des m  dicaments    A l heure actuelle  tous les dermatologues peuvent se poser la question de la suret   des   valuations de s  curit    de tous ces produits        Objectifs     Le but de cette FMC est de donner les grandes lignes des d  marches actuelles d   valuation de la s  curit   des  cosm  tiques  biocides  dispositifs m  dicaux    avec leurs limites    avec la mise en place de l ANSM et l     volution  au niveau europ  en     Acquis souhait  s     A la fin de cette s  ance  les dermatologues doivent pouvoir         tre capable d appr  cier la s  curit   des produits qui leur sont pr  sent  s      pouvoir demander les informations compl  mentaires ad  quates si n  cessaire     Savoir comment et o   d  clarer les effets ind  sirables      et pouvoir en suivre les cons  quences        FMC 66    Cas cliniques interactifs  de canc  rologie cutan  e    F GRANGE  L  MORTIER   V DESCAMPS    EMC G7    Comment   viter les pi  ges  diagnostiques des maladies  bulleuses auto immunes 
245. uit pour votre  inscription aux JDP 2013     La Soci  t   Fran  aise de Dermatologie et de Pathologie Sexuellement transmissible a  pour missions de promouvoir la recherche  favoriser le d  veloppement professionnel  continu et   laborer des recommandations pour la pratique     Adh  rer    la SFD  c est participer activement    la vie de notre Soci  t    Le statut de  membre donne   galement droit         l acc  s    la version papier et en ligne des Annales de Dermatologie et V  n  r  ologie   organe d expression scientifique de la SFD    l acc  s en ligne au JAMA Dermatol  l acc  s aux s  ances trimestrielles des Quatre Saisons de la Dermatologie    l inscription aux Journ  es de Dermatologie Interventionnelle de Paris et aux  manifestations des groupes th  matiques de la SFD    un tarif pr  f  rentiel    l information en continu sur la vie de la SFD et de ses groupes th  matiques par la  Newsletter de la SFD et le site web de la SFD www sfdermato com       Cette adh  sion peut se faire en ligne sur la page d accueil du site de la SFD ou par  courrier en envoyant le dossier suivant      e Une lettre ou un courrier   lectronique de motivation   e Un C V  r  sum   d une page     e Une photocopie du dipl  me attestant de votre qualit   de dermatologue    Soci  t   Fran  aise de Dermatologie  25 rue la Bo  tie  75008 PARIS  secretariat sfdermato com            Palais des Congr  s    mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmm om demmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm       16 la S  e mbre 2018       
246. ules dendritiques plasmocyto  des de localisation cutan  e exclusive  V  Sobocinsk    C  B  court  A  B  Duval Modeste  P  Courville  N  Contentin  P  Joly    16 ha Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre Dar    PARIS   Palais des Congr  s    ke          P042 R  gression compl  te d   un carcinome de Merkel   corr  lation des donn  es cliniques  histologiques et  virologiques  M  Fondain  V  Pallure  A  du Thanh  V  Foulogne  0  Dereure     B  Guillot    P043 Cancers survenus dans le programme de d  veloppement clinique sur le traitement du psoriasis par  l   ustekinumab  rapport final portant sur un suivi de 5 ans  K  A  Papp  K  B  Gordon  V  Ho  P 0  Szapary    P044 Pr  vention des cancers cutan  s au cours du xeroderma pigmentosum  M  Zgha    C  Mbarek  M  Mokni  S  Abdelhak  B  Fazaa et le Groupe de recherche sur le xeroderma  pigmentosum   P045 N  oplasies primitives associ  es aux Iymphomes T cutan  s    N  Guerouaz     H  Benhiba  A  Abdou  M  Ait Ourharoui  K  Senouci  B  Hassam    P046 Tumeur virilisante de l ovaire   une cause rare d   alop  cie androg  n  tique  E  Bahloul   M  Amouri  H  Chaabane  I  Chaari  H  Mesrati  A  Masmoudli  H  Turki    P047 Tum  faction palp  brale bilat  rale s  v  re r  v  lant une infiltration cutan  e de leuc  mie lympho  de  chronique  M  Samimf  S  Salah  A  Maruani  M  Ochmann  L  Machet    P048 Efficacit   de l   imiquimod sur des m  tastases cutan  es et visc  rales d   un m  lanome  D  Legoupi    L  Misery    Dermatologie interv
247. un pseudolymphome T  M  Reigneau     L  Law Ping Man  J  Pouaha  P  Muller  F  Truchetet    Une forme atypique de leishmaniose cutan  e   la paronychie     propos de 7 cas   I  Chami     A  Masmoudi  M  Amouri  M  Mseddi  H  Turki    La leishmaniose cutan  e au Maroc   exp  rience du service de dermatologie de l   H  pital Militaire  d Instruction Mohammed V de Rabat    travers une s  rie hospitali  re de 157 cas  M  Boui   N  Hjira    131       P318    P319    P320    P321    P322    P323    P324    P325    P326    P327    P328    P329    P330    P331    P332    1B la Se mbre 2018    Vendredi 13 d  cembre se    PARIS   Palais des Congr  s    ke       Syphilis pustuleuse et uv  ite syphilitique chez un adulte s  ropositif pour le VIH    un stade avanc    d   immunod  pression  C  Le Treu    P  Muller  F  Truchetet  A  Schoeffler  P  Grange  N  Dupin    Evaluation de la biologie mol  culaire dans le LCR pour le diagnostic de neurosyphilis  C  Vanhaecke  P  Grange  N  Benhaddou  N  Dupin et le Groupe Neurosyphilis    Premi  re description de l identification sp  cifique d HSV1 au cours d   une infection cutan  e au moyen  d   un microscope confocal ex vivo en fluorescence   J  L  Perrof  N  Na  geon  B  Labeille  E  Cinotti  G  Thuret  N  Campolmi  T  Bourlet  C  Douchet    F  Cambazard    Pr  valence et facteurs de risque des infections asymptomatiques    Chlamydia trachomatis chez les    femmes de 15    30 ans consultant au CDAG CIDDIST de Besan  on  M  Gehin  C  Courtieu  A 
248. utifs  M  Messaoudene   E  Fourmentraux Neves  G  Fregni  J  Chanal  M F  Avril  A  Caignard   C35   Les lymphomes B diffus    grandes cellules de type jambe  LBDGC TJ  sont porteurs de multiples  anomalies g  n  tiques en faveur d   une lymphomagen  se commune avec les lymphomes B diffus     grandes cellules de type ABC    Activated B Cell     LBDGC ABC       Pham Ledard   M  Prochazkova Carlotti  L  Andrique  D  Cappellen  B  Vergier  F  Martinez  F  Grange   T  Petrella  M  Beylot Barry  J P  Merlio   C36   D  l  tion large de 15 9 kb du g  ne ABHD5 par recombinaison non homologue entre des s  quences  LINE 1 et Alu responsable d   un syndrome de Dorfman Chanarin  B  Roussel  C  Prost Squarcioni  F  Nery  L  Laroche  PO  Schischmanoff  F  Caux   C37   Maladie de Parkinson et m  lanome   une piste g  n  tique commune li  e    l   inactivation de PARK2  H  Hu     N  Dumaz  S  Lesage  L  Michel  V  Descamps  S  Mourah  N  Basset Seguin  L  Deschamps   M  T  Leccia  A  Tsalamlal  S  Klebe  A  Couvelard  T  Luc  A  Brice  N  Soufir    Paul Hofman  Nice   Int  r  t de l   immunocytochimie pour la d  tection de la mutation BRAF  V600E  dans les cellules tumorales circulantes  de patients atteints de m  lanomes m  tastatiques    Cl  ture du CARD     13       JOURNEES  DERMATOLOGIQUES  DE PARIS    10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke          TABLEAU THEMATIQUE   ERGOLOGIE SASSOON aa   FMC 18 Colorants et allergies  alimentaire  cosm  tique  m  dicamenteuse et 
249. veau 0      e Samedi 14 d  cembre 09h00      12h00  page 82   2I MEOSIUMS SATELLITE aaa  e Du mercredi 11 au vendredi 13 d  cembre  page 83    REMISE DES PRIX MSS n  e Du jeudi 12 au samedi 14 d  cembre  page 88        10 14 d  cembre 2013    PARIS   Palais des Congr  s    ke          CONGRES ANNUEL DE RECHERCHE DERMATOLOGIQUE  CARD     MARDI 10 ET MERCREDI 11 D  CEMBRE 2013 09h00 18h00    Cette ann  e  les JDP accueillent le Congr  s annuel de Recherche Dermatologique  CARD   A c  t   de communications  originales scientifiques  se tiendront plusieurs conf  rences pl  ni  res sur les diff  rentes facettes de la recherche en  dermatologie  L acc  s est gratuit pour les participants aux JDP  dans la limite des places disponibles     ATELIER DE PHOTODERMATOLOGIE    MARDI 10 D  CEMBRE 2013 09h00 17h30    Pour la deuxi  me ann  e cons  cutive  ce nouvel atelier sera destin   aux dermatologues et aux internes en formation  d  sireux de parfaire leurs connaissances sur le risque solaire  en photoprotection  photodermatologie et phototh  rapie     ATELIER   ANNONCER UNE MAUVAISE NOUVELLE   LES CLES POUR REUSSIR    MERCREDI 11 D  CEMBRE 2013 09h00 12h00    Cet atelier  bas   notamment sur des jeux de r  le et sur une grande interactivit   avec les formateurs  permettra aux  participants de savoir reconna  tre et s adapter aux diff  rents modes de r  action du patient  Ils apprendront    surmonter  les difficult  s pour transmettre une information et sauront s approprier les diff  ren
250. vestimentaire    35   quand y penser     FMC 25 Dermatites des mains d   origine professionnelle   pi  ges et difficult  s 39  FMC 43 Comment am  liorer la prise en charge des dermites des mains 48  FMC 69 L   allergologie de contact pratique pour le dermatologue 61  FMC 80 Ces plantes qui veulent notre peau   67   ES  FMC 24 Traitements alternatifs de l   acn   et de ses s  quelles 38  FMC 45 Actualit  s sur la prescription de l   isotr  tinoine en pratique quotidienne   49    aspects m  dicaux et r  glementaires et d  tection et prise en charge  des effets secondaires    FMC 57 Maladie de Verneuil   nouvelles perspectives th  rapeutiques 55  FORUM 8 Une acn    des acn  s   des traitements  des   checs   que faire en 2013   73  CHIRURGIE ESS O   AT1 Atelier de chirurgie 1 niveau d  butant   21  initiation    la dermatologie chirurgicale  AT 1A   1B   1C   1D    AT 2 Atelier de chirurgie 2 niveau confirm    AT 2A   2B  22   FMC 12 Traitement chirurgical des cancers cutan  s de la face   choisir la meilleure r  paration   32   FMC 27 Comment aborder et g  rer sereinement les diff  rents plans sous cutan  s   Suite  40   FMC 33 Quelle organisation et quels mat  riels pour quelle activit   en dermatologie 43  interventionnelle     FMC 47    Trucs et astuces    pour une pratique de la dermatologie chirurgicale sans stress 50  pour le patient et l op  rateur   Suite    FMC 62 10 cas cliniques de chirurgie ungu  ale 58    PEDIATRIE GENETIQUE    FMC 5 G  rer l   chec th  rapeutique 
251. ythrodermie faisant suite    une greffe de moelle  C  Jaffelin  C  Douchet  E  Besson  F  Cambazard    T10 Purpura en r  animation chez un patient VIH    F Chasset  C  Demongeot  A  Petit  E  Lhuillier  L  Zafrani  A  Osio  M  D  Vignon Pennamen  M  Bagot    T11 Felis Silvestris  J  Gottlieb  L  Deforges  L  Allanore  0  Zehou  N  Ortonne  E S  Zafrani  0  Chosidow  P  Wolkenstein    T12 Une peur bleue  A  Hamelin  A  Vial Dupuy  C  Frances  B  Lebrun Vignes  S  Barete       M  lanomes l    CO 073    CO 074    CO 075    CO 076    CO 077    CO 078    CO 079    CO 080    CO 081    rd  LA       Amphith    tre Bleu 9h00   10h30      16 la Se mbre 2013    Jeudi 12 d  cembre Communications  Orales    PARIS   Palais des Congr  s    ke       nm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mm mmmmmmmmmm    Pr  sidents   C  Gaudy Marqueste  C  Mateus  F Z  Mernissi    Etude mol  culaire de l  sions   pith  liales cutan  es induites par vemurafenib chez des patients atteints  de m  lanome m  tastatique   une activation de la voie des MAP Kinases  E  Frouin     B  Guillot  M  Larrieux  A  Tempier  N  Boulle  C  Girard  V  Costes  J  Solassol    Etude comparative de la pr  sence d   une mutation BRAF  NRAS et c Kit entre le tissu tumoral et la lign  e  autologue obtenus    partir de 59 m  lanomes   A  C  Kno    M  C  Pandolfino  A  Vall  e  V  Lella  G  Qu  reux  S  Saiagh  A  Khammari  M  Denis    A  L  Puaux  B  Dr  no    Homog  n  it   et conservation du statut BRAF entre m  lanome primit
    
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