Home

Préparation du congrès d`Avignon

1. Ti YH n 0 EX Le SNPDEN dans les 5 e Reprise des positions du SNPDEN sur Touteduc fr ecrorme p p e 6 mars suite aux annonces minist rielles et ci du coll ge tations de Philippe Tournier secr taire g n ral dans une d p che AFP du 9 mars e D p che AEF du 6 mars consacr e une interview de Philippe Tournier sur les orientations de la r forme expression le 8 mars dans un article du Figaro le 9 mars dans l dition du journal L Alsace le 10 mars interview par La Nouvelle R publique du Centre et le 11 mars par Sud Radio RTL France Culture et novu velles citations dans L Express et le Journal du Dimanche e le 10 mars passage de Michel Richard secr taire g n ral adjoint au journal t l vis de M et interview par l Institut europ en de journalisme le 11 mars passage sur France 3 France Inter et France Info e Citation du SNPDEN dans Le Monde du 11 mars e Intervention de Marc Dufeu secr taire d partemental 72 le 12 mars sur France Bleu Maine au sujet de la r forme du coll ge e Citation du SNPDEN dans une d p che AEF du 16 mars suite un colloque sur la transmission des savoirs e Interview d Eric Krop secr taire national de la commission Education amp P da gogie le 18 mars par les ditions La Martini re pour l actualisation du livre Coll ge mode d emploi e Expression de Claude Carpentier secr taire acad mique de La R union le
2. e syndlicalisme de notre profession fid le ses valeurs et er ohase avec son temps La liste conduite par Philippe Tournier qui se pr sente vos suffrages se place dans la continuit de ce qui a d j t engag la volont d tre fid le ses valeurs fonda trices et la capacit poursuivre l action engag e tout en prenant en compte avec r alisme et pragmatisme les transformations de l environnement de l action syndicale C est ainsi que la mise en uvre des mandats du congr s et des conseils syndicaux nationaux permet une action syndicale que n effraient pas des inno vations et qui reste fid le aux aspirations de la profession dans sa diversit En ce qui concerne son fonctionnement propre la liste pr sent e entend prolon ger les pratiques de loyaut de solidarit de libert de parole de travail d quipe et d laboration coll giale des choix Chaque membre de la liste sait qu il ne lui est pas seulement demand de partici per aux r unions institutionnelles mais de contribuer un tr s important travail de repr sentation de production de veille d coute de synth se et d explication Ainsi le bureau national s investit parti culi rement pour que notre syndicat se donne les moyens de continuer d tre un producteur d id es en vivifiant le d bat syndical interne afin d alimenter la r flexion nationale partir de celle des acad mies et des d partements C est ainsi
3. 3 Michel Hory secr taire g n ral du SNPDLP Syndicat natio nal des personnels de direction des lyc es professionnels est intervenu au d but du congr s pour dire qu il est man dat en ce sens 4 Sur 6916 inscrits seuls 3 174 syndiqu s ont vot et les pour ont obtenu 60 5 5 Optimisme qui se v rifiera bient t la FEN explosera alors que les personnels de direction malgr des crises parvien dront maintenir l unit au sein du SNPDEN 6 Je ne raconte pas les blagues ne souhaitant pas donner de mauvaises id es Et d sormais des crans et des cam ras emp chent l anonymat Rapport d activit La veille de l ouverture du congr s de Lille Fran ois Hollande tait lu pr sident de la R publique Comme cela tait pr vi sible Vincent Peillon tait nomm ministre de l ducation natio nale bien que f t maintenu pour la premi re fois sous un gou vernement de gauche un ministre distinct de l Enseignement sup rieur Vincent Peillon s tait pr par ce moment comme peu de ministres l avaient fait avant lui et b n ficiait d un ni veau d attente extr mement lev M me si le mot tait un peu pr somptueux la Refondation s annoncait sous les meilleurs auspices La m thode mise en avant tait une ac tion rapide mais de long terme dans le cadre d une stabilit minist rielle on eut tout le contraire l action conduite par Vincent Peillon s est progressivement e
4. 42 de la part SNPDEN des actifs d termin e l chelon 1 montant de la pension brute entre 1914 et 2257 49 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 2 montant de la pension brute entre 2258 et 2497 51 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 3 montant de la pension brute entre 2498 et 2778 53 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 4 montant de la pension brute entre 2779 et 3056 56 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 5 montant de la pension brute entre 3057 et 3264 57 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 6 montant de la pension brute entre 3265 et 3 541 58 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 7 montant de la pen sion brute sup rieur 3541 58 de la part SNPDEN des actifs d ter min e l chelon 8 Pour la tranche sup rieure le pourcentage fix pour la cotisation ap plicable en 2015 2016 repr sentera 55 5 de la part des actifs d ter min e l chelon 8 et augmentera chaque an n e de 0 5 point pour atteindre en 2020 2021 58 soit un pourcen tage gal la 7 tranche de cotisation e Pour les stagiaires de 1 ann e Il est appliqu une coti sation forfaitaire unique dont le montant est fix par l ex cutif syndical na tional Article R28 e 1 La part des cotisations syndicales r
5. Article R23 La commission nationale de contr le ne peut tre saisie que de conflits de nature syndicale Article R24 l exclusion d un adh rent cou pable d un acte de nature porter gravement pr judice au syndicat peut tre prononc e par la commission nationale de contr le La saisine peut tre faite par l ex cutif syndical na tional le conseil syndical aca d mique ou le bureau d parte mental La CNC se doit avant de prononcer la sanction de convoquer l adh rent pour en tendre ses explications G LA COMMISSION DE VERIFICATION DE COMPTES Article R25 e La commission de v rifica tion des comptes est lue par le congr s r uni en session ordinaire au scru tin plurinominal parmi les candidatures propos es par les conseils syndicaux aca d miques dans le respect de l article S41 e Chaque conseil syndical acad mique souhaitant proposer des candidats ne pourra le faire que sur la base des candidatures d une seule femme et d un seul homme tous deux pouvant tre lus e Pour tre valables les suf frages devront au plus porter sur 3 noms de femmes et sur 3 noms d hommes e Leur mandat ne peut tre re nouvel qu une fois e La fonction de v rificateur aux comptes est incompa tible avec celle de membre de l ex cutif syndical natio nal ainsi qu avec toute fonc tion de tr sorier ou de tr so rier adjoint acad mique e y a incompatibilit entre l appartenance la co
6. hit a PY TITRE PREMIER PRINCIPES G N RAUX respectueux des personnes de leurs croyances et de leurs convictions veille au respect de la la cit et de la neutralit politique promeut l galit femme homme dans toutes ses instances combat les th ses fon national CSN une or ganisation de retrait s Il peut participer sur d cision du conseil syn dical national CSN d autres organisations Article S4 Le syndicat a le droit d es SECTION d es sur le racisme et la ter en justice apr s d ci BUT ET OBJET x nophobie sion de l ex cutif syndical national ESN Article 1 e l gard de ses adh e est constitu un syndicat rents il a pour objet national des personnels de repr senter et de d SECTION II de direction de l Educa fendre leurs int r ts pro VIE INTERNE tion nationale SNPDEN fessionnels collectifs et UNSA ci apr s d sign individuels mat riels et Article 5 SNPDEN Il est affili la f d ration UNSA Education membre de l UNSA union natio nale des syndicats auto nomes le si ge du syndicat est fix Paris Article S2 Le syndicat d fend une conception lev e du r le des per sonnels de direction dont il affirme la responsabi lit essentielle dans tous les aspects du fonctionne ment des tablissements secondaires et au sein de l encadrement de l du cation nationale affirme son attachement
7. l utilisation des calculatrices lectroniques compter de la session 2018 DIVERS Agents contractuels suite la r union du Comit de suivi de l accord portant sur la s curisation des parcours professionnels des agents contractuels du 16 mars der nier la ministre de la Fonction publique a annonc la prolongation de deux ans du plan d acc s la titulari sation de ces derniers soit jusqu en mars 2018 Fonction publique Marylise Lebranchu a annonc le 5 mars dernier qu elle allait lancer une mission d ob servation sur l application de la r duction du temps de travail chez les fonctionnaires avec pour objectif de formuler pour septembre prochain un diagnostic sur les trois versants de la fonction publique Observatoire national de la s curit l observatoire pro pose dans son 19 rapport annuel 4 guides pour aider les tablissements dans le domaine de la s curit incendie de l valuation des risques professionnels ou des risques majeurs Le document est accessible sur www education gouv fr cid86627 rapportannuel 20 14 ons html L int gralit de cette tude est consultable sur le site du d fen seur des droits Val rie FAURE Documentation www defenseurdesdroits fr sites default files upload 1503 18 ecartremuneration_hf pdf val ere f aure sn P den net 20 Direction 227 mai 2015 Actualit s ig S N w ar w li npe kT i Dik d
8. 26 mars dans le Quotidien de La R union et dans le journal de l le Clicanoo re e Citation d ric Gougeaud secr taire d partemental 23 dans une d p che AEF du 30 mars sur les moyens de favoriser l interdisciplinarit en coll ge Carte scolaire Interview de Michel Richard par BFM TV le et mixit s 6 mars sur les probl mes de mixit s sociale et scolaire Interview de Philippe Tournier par Le Parisien le 20 mars suite au communiqu du SNPDEN sur les responsabilit s de l enseignement priv sur la question des mixit s l cole Citation du SNPDEN dans un article de Touteduc fr du 25 mars Direction 227 mai 2015 Actualit s m dias Et aussi ACCOMPAGNEMENT DUCATIF D BAT PUBLIC PRIV ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL ENSEIGNANTS LA CIT RELATIONS EPLE R GIONS SANT ET S CURIT Citation dans la Lettre de l ducation n 836 du 2 f vrier au sujet de la fin de l accompagnement ducatif hors ZEP Interview de Philippe Tournier dans deux d p ches AEF des 3 et 4 mars consacr es au d bat organis par AEF entre le SNPDEN et le SNCEEL organisation professionnelle de chefs d tablissement d enseignement libre sur l exercice du m tier Interview de Philippe Vincent secr taire national de la commission carri re le 5 mars par le magazine Liaisons sociales sur les stages en entreprises pour les l ves de lyc es professionnels e Interview le 12 mars de Christel Boury
9. e La fonction de secr taire acad mique ne peut se cu muler avec celle de secr taire d partemental ou celle de membre de l ex cutif syn dical national SECTION III LES INSTANCES NATIONALES A LE CONSEIL SYNDICAL NATIONAL CSN Article R13 e Chaque conseil syndical aca d mique est responsable de la d signation de ses d l gu s au conseil syndical national e assure la repr sentation des chefs d tablissement des adjoints et des retrait s en conformit avec les ar ticles R5 et R e d signe en nombre gal les titulaires et les sup pl ants ceux ci si geant en cas de besoin e Outre le secr taire acad mique le nombre des re pr sentants est fond sur l effectif des syndiqu s de la section acad mique au 30 avril de l ann e scolaire pr c dente 5 d l gu s d sign s par chaque acad mie dont 1 retrait auxquels s ajoutent selon le nombre d adh rents de 301 400 adh rents 1 d l gu suppl mentaire de 401 530 adh rents 2 d l gu s suppl mentaires de 531 700 adh rents 3 d l gu s suppl mentaires plus de 700 adh rents 4 d l gu s suppl mentaires e La liste des membres titu laires et suppl ants doit tre communiqu e l ex cutif syndical national au plus tard quinze jours avant la tenue du premier CSN de l ann e scolaire Elle est pu bli e et actualis e chaque ann e sur le site Internet du SNPDEN e En cas
10. quelques r ponses aux personnels de direction pr sents et attentifs La cit et responsabilit s Les v nements tragiques des 7 8 et 9 janvier 2015 mettent en pleine lumi re l un des principes g n raux du droit de la fonc tion publique la la cit Le principe de la cit qui exprime les valeurs de respect de dialogue et de tol rance est au c ur de l identit r publicaine de la France o tous les ci toyens ont vivre ensemble La la cit est la fois un id al politique et le dis positif juridique qui assure et garantit la mise en uvre de ces principes en s parant l tat et les institutions publiques des Eglises et plus g n ralement des associations constitu es pour promou voir des particularismes La distinction juridique du public et du priv est essen tielle car elle permet de concilier sans les confondre le sens de l universel qui vivifie la sph re publique et la l gitime expression individuelle ou collective des particularit s qui se d ploie partir de la sph re priv e La la cit constitue le cadre qui rend possible la manifestation de la diversi t sans morcellement communautariste de l espace civique pr serv la fois comme fondement de paix et comme ho rizon d universalit Attentive l man cipation de la personne humaine et sur les plans intellectuel thique et social la la cit l est par l m me la justice de l organisat
11. voque galement l harmonisation des parcours de carri re via la fixation des taux d avancement de grade dans des d crets statutaires communs aux trois fonctions publiques et une r flexion sur l entretien profes a d arriver un accord cadre sur la politique salariale pour les prochaines ann es mais a pr cis que sans accord majori taire le gouvernement ne pourrait s engager sur des mesures de nature salariale au del de 2017 Elle a par ailleurs indiqu qu elle n avait pour l heure aucun mandat sur la revalorisation du point d indice CARTS DE R MUN RATION ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS LA FONCTION PUBLIQUE Le minist re de la Fonction publique a rendu pu blic en mars 2015 une synth se de travaux de re cherche r alis s dans le cadre de l appel projet commun d fenseur des droits DGAFP Cette tude qui s inscrit dans le protocole d accord du 8 mars 2013 rela tif l galit professionnelle entre les femmes et les hommes montre ainsi la persistance des carts de r mun ration selon le sexe dans la fonction publique Il en ressort que l cart de salaire moyen entre les femmes et les hommes est de 12 dans la fonc tion publique contre 19 dans le priv mais cet cart s l ve 16 dans la fonction publique d Etat 14 dans la FP hospita li re et 8 dans la territo riale Les carts s accrois sent de plus tout au long des carri res Ainsi 25 ans
12. des fins de solidarit Il y a 3 ans le rapport financier invitait tre tr s vigilant Nous constations alors une augmentation significative de nos d penses et une stabilit de nos recettes Ces 3 derni res ann es l augmentation des d penses s est poursuivie malgr les efforts de ma trise Pourquoi La pr sentation des comptes de l exer cice 2012 2014 fait appara tre les l ments qui suivent Recettes Elles proviennent exclusivement des coti sations des adh rents Les adh rents disposent de plusieurs pos sibilit s pour le paiement des cotisations en une ou plusieurs fois par ch que par carte bancaire ou par pr l vement D penses e Les reversements UNSA FGR la part f d rale revers e UNSA est aujourd hui de 42 53 par actif et de 35 90 par retrait Depuis 2010 l augmentation est de 23 Les charges externes elles repr sentent le fonctionnement du syndicat Elles comprennent les frais de r union des instances nationales BN BN largi CAPN stages Au congr s de Lille les frais repr sentaient 24 des charges Aujourd hui ces frais repr sentent 27 Cette augmentation est due d une part une progression sen sible des prix des h bergements et des transports d autre part un nombre plus important de r unions li es la notori t grandissante de notre syndicat les frais de bulletin la revue s inscrit dans une politique de communica
13. e O o 1 NA AAi j _ F E k par 2 e A Pu r Mico national ges ab dd Sommaire 2 LA CAPN La premi re CAPN s est tenue avec les 16 commissaires paritaires lus pour 4 ans lors des lections professionnelles de d cembre 2014 Les nouveaux nous livrent leurs impressions apr s ce bapt me du feu toujours impressionnant PR TS POUR LE CONGR S D AVIGNON Un congr s c est toujours un moment crucial de la vie de notre syndicat Ce dernier num ro de l avant congr s vous pr sente le rap port d activit du bureau national sortant et les candidats de la liste conduite par Philippe TOURNIER ainsi que les projets de nouveaux statuts et r glement int rieur A h Te d gt ION 6 10 12 24 ES PROSTITUTION LE DERNIER 30 A TABOU 31 Y Un entretien avec Brigitte Moltrecht coordon ne natrice du groupe national d information et 63 ES d ducation sexuelle GNIES sur un sujet rare as ment abord mais qui touche aussi les mineurs 71 pe et donc parfois nos l ves WES 75 75 DITO BUREAU NATIONAL ACTUALIT S CARRI RE M TIER PR PARATION DU CONGR S D AVIGNON VIE SYNDICALE CHRONIQUE JURIDIQUE OUVRAGES PARUS NOS PEINES Sommaire Direction 227 mai 2015 3 Philiope TOURNIER Secr taire g n ral philippe tournier snpden net On attendait une stabilit minist rielle conduisant une action la fois rapide et
14. ganisation scolaire S il n est pas ques tion pour nous d emboucher na vement les trompettes de la modernit dat e du new public management c est que l alternative n est pas entre ce dernier et un d clin immobile L volution vers une gouvernance adapt e du syst me du catif r ellement pilot nationalement et laissant toute sa place aux responsabi lit s des tablissements reste un combat syndical Pourtant le d sint r t du pouvoir poli tique pour l encadrement n tait pas celui de l ensemble des d cideurs du mi nist re Certes la p riode est peu pro pice aux grandes avanc es salariales et corporatives et l action syndicale a t plut t tourn e sur ce point vers l op timisation des acquis d j engrang s comme IF2R et une bonne gestion des promotions qui ont atteint des chiffres re cords durant cette p riode Cependant l occasion des 13 groupes m tiers les s ances communes des groupes 9 et 10 ont permis d avancer autour du concept de grand corps de l encadre ment sans conclure cependant Outre que le minist re ne semble pas toujours homog ne dans ses approches une r ponse technique uniquement limit e la fluidit des passerelles ne semble pas la bonne car elle ram ne toutes les questions un conflit latent pour les fonctions les plus attractives entre al log nes et indig nes En revanche cette occasion la r flexion sur la cr
15. l enseignement public fran ais une ducation fac teur de progr s de tous les individus et de la soci t moraux d assurer et de d velopper entre eux des liens de soli darit actifs et durables d assurer leur informa tion de les conseiller et de les assister dans tous les aspects du m tier et de la carri re de contribuer leur for mation de permettre aux per sonnels de direction sta giaires et aux retrait s d avoir chacun leur ni veau un suivi sp cifique Article 3 le syndicat est ind pen dant de tout groupement politique philosophique ou confessionnel Il s in terdit tout pros lytisme de cette nature Il peut adh rer sur d ci sion du conseil syndical Dans le cadre des statuts de l UNSA Education le SNPDEN s administre li brement Au travers de ses instances nationales il d cide de sa politique g n rale et revendicative Article S Au sein du SNPDEN la vie syndicale repose sur la libert de r flexion et d expression de chacun dans le cadre des ins tances syndicales Toute activit de tendance par propagande crite r union particuli re or ganisation parall le est proscrite l int rieur du syndicat Article S7 Le SNPDEN a le devoir de participer tous les niveaux de UNSA du syna els de q ale SNPDEN UNSA ducation membre de UNSA e l le fait sur la base des mandats d finis dans ses propres instances e
16. sailles En poste au minis tere entre 2003 et 2005 il y a suivi le dossier de la diversification des en seignements au coll ge Membre de l quipe natio nale du SE UNSA de 2007 2011 il a travaill sur le socle commun et la r forme du lyc e Devenu personnel de direction en 2011 Julien Maraval a t proviseur ad joint du lyc e Marcelin Ber thelot SaintMaur des Fos s s Il dirige actuellement le coll ge Pierre de Ronsard Tremblay en France LISABETH PAYEN Apr s une formation en droit public europ en et international men e en pa rall le avec des fonctions de surveillante d externat Elisabeth Payen a exerc comme CPE dans plusieurs tablissements de l aca d mie de Versailles avant de devenir personnel de direction en 2010 Elle est actuellement principale ad jointe dans les Yvelines Elle s est investie progressive ment dans les travaux des commissions acad miques et dans des formations syn dicales avant d tre lue secr taire d partementale adjointe des Yvelines 78 ainsi qu au CSA de l acad mie de Versailles en 2014 o elle est responsable de la commission vie syndicale et la cit SYLVIE P NICAUT Sylvie P nicaut a enseign l histoire g ographie en lyc e dans les acad mies d Amiens de Poitiers et de Dijon Devenue person nel de direction en 1999 tout d abord dans l aca d mie de Dijon puis de Nice depuis 2005 Apr s avoir occup deux post
17. taques terroristes qui ont frapp la France et le Da nemark d but 2015 Najat Vallaud Belkacem a orga nis le 17 mars une r union in formelle des ministres europ ens de l ducation pour changer sur les actions entreprendre afin d am liorer la transmission par l Ecole des valeurs fonda mentales au c ur de l Union europ enne Cette r union a donn lieu des changes sur les bonnes pratiques de trans mission des valeurs citoyennes dans les syst mes ducatifs eu rop ens Les ministres ont adop t une d claration commune dans laquelle ils r affirment les principes fondateurs de l duca tion travers l Europe et dont le plan d actions sera discut au conseil europ en des 18 et 19 mai ls se sont notamment en gag s intensifier leurs ac tions afin de conserver l ducation toute sa dimen sion de formation de la personne et du citoyen de garantir tous les jeunes une ducation in clusive qui combatte le racisme ainsi que tout type de discrimination de respecter l tat de 12 Direction 227 mai 2015 Actualit s droit la diversit et l galit des genres et de renforcer les capacit s d esprit critique en particulier face la propa gande sur internet et les r seaux sociaux Les 30 repr sentants pr sents se sont aussi engag s combattre les in galit s ter ritoriales sociales et scolaires ainsi que tous les d term
18. ation d emplois fonctionnels ouverts l ensemble de l encadrement est une approche int ressante d autant que les cons quences de la r forme territoriale sur certains emplois n ont pas encore toutes t explor es En effet la question des incidences de la r forme territoriale est loin d avoir t puis e comme par exemple celle de la carte des rectorats Pourtant en mati re de gouvernance du syst me ducatif un pas potentiellement tr s important a t franchi avec les conventions tripartites D s les ateliers de la Refondation la question des rapports entre EPLE col lectivit s et Etat d concentr tait pos e et l id e d une convention tripartite lar gement port e par le SNPDEN qui en fut un des inventeurs l objet d un large consensus La formule de la loi fut plus restrictive du fait de l hostilit de certains milieux cette approche hostilit qui a d ailleurs travers tout ce dossier ce dont t moigne la publication tardive d une circulaire d application qui est un suc c s pour le SNPDEN sur plusieurs points dont tout particuli rement le fait que la question de l attribution des moyens a sa place dans la convention tripartite ce dont ne voulaient pas entendre parler certains d cideurs de l ducation natio nale qui ne font toujours pas bien la dif f rence entre un rapport contractuel et la sous traitance l actualit s est charg e de relancer en termes dramatiques la qu
19. cart se r duit le SNPDEN ob tient comme chaque lection moins de voix qu il n a d adh rents lecteurs La strat gie auto centr e en place depuis 2008 et dont l efficacit s est accrue avec le vote lectronique est cependant peut tre en train d puiser ses effets m me si une alternative plus efficace n est pas si vidente d gager Ces r sultats t moignent en effet sur tout de l implantation du syndicat dont les adh sions ont globalement progres s Ces lections se pla aient aussi dans une dynamique de notre f d ration l UNSA Education o seconde organi sation nous jouons notre r le et de l af firmation de UNSA dans le paysage interprofessionnel qui est l entr e par la quelle le SNPDEN participe aux d bats sur l volution de la fonction publique ou de l Internationale de l ducation Cette implantation est largement due au maillage du territoire que nous sommes seuls offrir qui permet au SNPDEN d tre pr sent dans tous les d parte ments et m me souvent l chelon des bassins favorisant par l m me une forte proximit au service de ses adh rents dans la perspective du d veloppe ment d un syndicalisme de services Ain si outre le travail d accompagnement des acad mies et des commissaires paritaires un nombre important de for mations ont t mises en place histoire du SNPDEN initiation juridique m dia training la cit prolong es par de
20. est effectu deux mois au plus tard avant la date de l ouverture du congr s aupr s du secr taire de la commission nationale de contr le Les listes et leur profession de foi sont publi es apr s validation de conformit aux statuts dans le bulletin national 3 Pendant la campagne lecto rale les listes disposent des m mes moyens mat riels et financiers pour leurs frais de fonctionnement Elles disposent du m me espace d information dans la commu nication syndicale nationale et d une m me somme fix e par l ex cutif syndical national deux mois au plus tard avant l ouverture du congr s Aucun envoi direct destination de l ensemble des adh rents ne peut tre adress par ou pour une liste en particulier Le contr le des comptes et des d penses engag es par chaque liste est effectu par la commis sion de v rification des comptes 4 Les candidats l ex cutif syndical national doivent tre membres du conseil syndical na tional ou membres titulaires d un conseil syndical acad mique Sur une liste le nombre des membres issus du conseil syndical national ne peut tre inf rieur 14 La liste des membres du conseil syndical national et des conseils syndicaux acad miques pris en compte pour la constitution des listes de candidatures l ex cutif syndical national est arr t e au 15 janvier de l ann e du congr s Les membres de l ex cutif syndical national une fois constitu
21. ge en ZEP 1992 puis proviseur Hazebrouck 1995 Arras 1999 Saint Maur des Foss s 2006 puis au lyc e Victor Duruy Paris depuis 2012 Apr s avoir particip la cr ation du SNPDEN au congr s de Clermont Ferrand Philippe Tournier a t secr taire d partemental du Pas de Calais de 1992 1995 puis secr taire acad mique de Lille de 1996 2001 Secr taire national charg de la commission ducation amp p dagogie 2000 2002 puis secr taire g n ral adjoint 2002 2009 il est secr taire g n ral depuis le congr s de Biarritz LYDIA ADVENIER Lydia Advenier a enseign les lettres modernes dans l acad mie de Cr teil puis est devenue CPE en lyc e en Seine Saint Denis et Clermont Ferrand Person nel de direction depuis 1996 elle a t principale de coll ges en zone rurale dans l Allier puis en zone urbaine Moulins acad mie de Clermont Ferrand ensuite proviseure en LP Nevers acad mie de Dijon et elle exerce main tenant comme proviseure d un LPO Lyon Lydia Advenier a t secr taire d partementale de l Allier pendant 7 ans de 2001 2008 et lue comme com missaire paritaire Cler mont Ferrand Elle est lue au CSN depuis le congr s de Toulouse 2000 Se cr taire acad mique ad jointe Dijon de 2010 2014 elle est lue au CSA de Lyon depuis la rentr e 2014 Membre du BN de puis le congr s de Biarritz en 2009 d abord au
22. l tat de l cole et des forces sociales qui la traversent Le d sint r t et la m connaissance pour les transformations r centes de la soci t l importance de la communication dans la r ussite de transformations l impact des r seaux sociaux l cho de la fragmentation sociale et ethnique dans les tablisse ments l mergence d une culture auto nome de l encadrement les profondes modifications qu a connues le corps en seignant et dont t moignent sa d syndi calisation et son indiff rence lectorale l autonomie des tablissements et le ma nagement du syst me termes bannis de 2012 2014 tout cela tait m con nu m pris et l on s en faisait gloire au nom d une vision quasi mystique et un peu fondamentaliste de l ducation La dure r alit s est rapidement rappel e Vincent Peillon dans une trop longue at tente de la loi puis dans l imbroglio des rythmes et enfin dans une paralysie un peu d pressive de l action M me les modalit s de recrutement des 60000 postes et la recr ation b n fique d une formation des enseignants furent fig es d embl e dans un classicisme acad mique toute preuve LA R FORME DU COLL GE RADICALISATION ET COMPLOTISME C est seulement depuis l arriv e de Najat Vallaud Belkacem qu on ressent le fr mis sement attendu depuis 2012 L adoption par le CSE conseil sup rieur de l Educa tion des programmes de maternelle l unan
23. la r alit ones des EPLE et Sur C F7 eme le r le essentiel des quipes de direction D r at dans la conduite du changement Le livre blanc que nous avons publi en 2014 le rappelait les personnels de di rection se vivent comme des p dagogues en premier lieu mais aussi des managers et des r formateurs Ils sont les pilotes de leur tablissement et ils demandent la reconnaissance r elle de leur fonction et de leurs missions Le congr s se pr pare 32 J 2 gt D AVIGNON 1990 EN AVIGNON 2015 Patrick FALCONNIER nous ram ne l ann e 1990 date du congr s du SNPDES Avignon et mesure les 25 ann es de chemin syndical parcouru RAPPORT D ACTIVIT Le rapport d activit du bureau national sortant est une obligation statutaire Il est port la connaissance des adh rents au moins deux mois avant l ouverture du congr s article S29 ce qui a t fait par l interm diaire de la Lettre de Direction 496 Plut t qu un catalogue de la totalit du travail effectu par les membres du BN il a t pens comme une mise en perspective des trois ann es coul es depuis le congr s de Lille RAPPORT FINANCIER Lui aussi statutaire le rapport financier nous est pr sent par les tr soriers nationaux Alain Guichon et Patrick Cambier Il faut rappeler ici que notre syndicat ne re oit aucune subvention et vit uniquement des cotisations de ses adh rents et des recettes publicitaires
24. ph nom nes de s gr gation et de dis crimination en particulier d origine eth nique Pour le SNPDEN la la cit n est pas une religion d tat exclusive et vin dicative mais une r gle du vivre en semble dans le respect de la libert de conscience et d expression Pour cela il faut en cr er les conditions au moins l cole et ne pas se contenter qu une so ci t parfaite lui pargne d avoir agir Ce fut la proposition de PALME seule proposition concr te et r aliste sur une gestion politique et technique des mixi t s qui met en avant que cette question ne doit pas tre abord e sur un registre technocratique punitif justicier ou mo ralisateur mais comme un enjeu pour la soci t qui doit s en trouver enrichie de talents que ses injustices lui font man quer Le SNPDEN a galement travaill sur le sens d une p dagogie de la la cit afin que la charte affich e dans nos ta blissements soit porteuse de r alit Cette d marche se double du soutien du SNPDEN aux strat gies inclu sives dans la scolarit obligatoire qui s exprime notamment par le socle commun C est le SNPDEN qui a pro pos le premier lors des ateliers de la Refondation l ajout de culture Nous ne sommes pas des soclistes fondamentalistes si le socle commun sera une avanc e pour tous il devra se mettre en place dans des conditions qui ne seront pas celles d une sorte de guerre civile id ol
25. pouill s sous le contr le de l assembl e g n rale acad mique 5 La commission d organisation des d bats du congr s comprend cinq membres de l ex cutif syndical national sortant le secr taire acad mique de l acad mie du lieu de congr s quatre secr taires acad miques d sign s par les se cr taires acad miques Elle est mise en place deux mois avant le congr s Elle veille au bon d roulement du congr s selon les r gles r gis sant tout d bat d mocratique et sous la responsabilit de la com mission nationale de contr le Elle cesse ses fonctions la fin du congr s 6 Le nombre de mandats attri bu s chaque d l gation aca d mique est gal au nombre des adh rents de l acad mie constat par le tr sorier national au 15 jan vier de l ann e scolaire en cours C LEX CUTIF SYNDICAL NATIONAL ESN Article R18 1 L lection de l ex cutif syn dical national s effectue lors de chaque congr s apr s le vote sur les rapports d activit et financier et apr s l tude des questions mises l ordre du jour du congr s Le vote a lieu bulletin secret sur appel nominal public apr s rap port de la commission nationale de contr le sur les conditions du scrutin 2 Pour tre recevable toute liste doit comporter 24 membres en conformit avec les dispositions des articles R5 et R Le d p t des listes de candidatures accom pagn es de leur profession de foi
26. r gionale Au SNPDEN depuis 2009 elle est lue commissaire paritaire aca d mique depuis 2011 puis devient coordonnatrice de CAPA suite aux derni res lections et responsable de la commission carri re au sein du CSA MICHEL RICHARD Michel Richard est principal d un coll ge de 900 l ves dans l acad mie de Ver sailles Apr s des fonctions de CPE il devient person nel de direction la rentr e 1988 et adh re au SNPDES o il exercera diverses res ponsabilit s d partementales et acad miques Membre du CSA puis du CSN depuis 1997 il int gre le BN lors du congr s de Toulouse en mai 2000 Secr taire nar tional en charge de la com mission m tier de 2002 2009 il est secr taire g n ral adjoint depuis le congr s de Biarritz V RONIQUE ROSAY V ronique ROSAY est person nel de direction depuis 2003 apr s avoir t professeure d conomie gestion en lyc e professionnel Nomm e prin cipale adjointe au coll ge Lucien Herr Altkirch puis proviseure adjointe au lyc e Th odore Deck en 2007 elle est depuis 2011 proviseure de la cit scolaire Lazare de Schwendi Ingersheim dans le Haut Rhin Au SNPDEN d s son entr e dans la fonc tion elle est membre du CSA et du CSN depuis 2005 secr taire acad mique ad jointe de 2008 2010 et commissaire paritaire aca d mique de 2005 2011 Elle est commissaire paritaire nationale sortante FRAN OIS SEGUREL F
27. sans aucune fen tre monsieur Moya directeur de l encadrement ouvre les travaux de la commission paritaire natio nale des personnels de direction en insis tant sur la confidentialit des changes et des d bats Nous nous respecterons strictement cette confidentialit 18h30 fin de la premi re journ e on retourne au si ge pour d briefer Les changes ont t constructifs Nous avons d fendu de nombreux dossiers Les membres de l administration ont t attentifs nos remarques nos de mandes Nos prises de parole et notre expertise ont t respect es et cou t es Nous recalons les interventions du lendemain Nous int grons les mo difications du jour dans les documents que nous publierons Nous pr parons aussi des dossiers pr senter sur les postes qui se sont ouverts pendant la journ e 20h30 ap ritif au si ge avec les per manents l ambiance est coll giale et sympathique Un moment de d tente ap pr ci apr s une journ e sous tension dans les sous sols du minist re On d ne au si ge avant de rentrer l h tel puis s Ceux qui ne sont pas intervenus ce premier jour r visent et v rifient f brilement les dossiers dans leur chambre jusqu tard dans la nuit parfois avec de l aide Ils ne veulent pas manquer leur entr e et souhaitent d fendre au mieux les coll gues Vendredi matin la commission reprend ses travaux un peu plus t t 11h30 monsieur Moya rem
28. sions sur les questions mises l tude par l ex cutif syndical national vote des textes ou mo tions qui sont transmis la section acad mique et le cas ch ant pour information l ex cutif syndical national ESN et acad mique B LA SECTION e Elle lit lors de la rentr e ACADEMIQUE de l ann e scolaire du congr s ordinaire apr s Article 18 appel de candidatures aupr s des adh rents un bureau qui l administre et qui lit en son sein le se cr taire d partemental et le secr taire d partemen tal adjoint e Elle lit ses repr sentants au conseil syndical aca d mique Article S16 e Le secr taire d partemen tal et le bureau ont pour mission d animer la vie syndicale d partementale dans le cadre des mandats r gio naux et nationaux 57 Direction 227 mai 2015 Statuts e Dans chaque acad mie l ensemble des adh rents du syndicat constitue la section acad mique Elle lit conform ment l article S14 lors de la rentr e de l ann e scolaire du congr s or dinaire apr s appel de candidatures aupr s des adh rents ses repr sen tants au conseil syndical acad mique CSA Elle lit conform ment l article S14 les d l gu s au congr s qui viennent compl ter la d l gation acad mique d j consti tu e par les membres de droit titulaires du conseil syndical national CSN Article 19 C La section acad miqu
29. 28 230 00 0 00 210 09 28 019 91 1987 72 0 00 152 844 97 162 291 12 383 868 95 7 623 04 25 426 49 19 Z57 78 4 201 93 11 143 70 4 726 42 8 354 90 50 169 44 6 216 00 1 744 00 0 00 4 472 00 0 00 96 181 70 49 867 58 46 314 12 0 00 28 140 40 0 00 120 49 28 019 91 34 484 09 427 712 87 481 510 00 333 904 87 1031 087 72 AA 194 330 01 56 746 79 7933 27 20 420 23 37 968 29 19 011 68 169 841 02 18 282 00 3 441 00 0 00 14 716 00 125 00 259 768 83 141 518 87 118 249 96 0 00 0 00 84 354 31 0 00 294 58 84 059 73 SNPDEN COMPTE DE R SULTAT CONSOLID DE 2012 A 2014 RECETTES D PENSES REVERSEMENTS CHARGES EXTERNES IMP TS ET TAXES SALAIRES CHARGES FINANCI RES CHARGES DIVERSES 2012 1 913 446 11 2012 303 114 69 1 823 947 26 5 999 00 75 114 64 0 00 27 983 91 2013 1 877 413 07 2013 306 471 25 1 408 483 45 6 067 00 88 472 49 0 00 28 230 00 2014 2 135 840 43 2014 351 259 83 11674657 77 6 216 00 96 181 70 0 00 28 140 40 TOTAL 5 926 699 61 TOTAL 960 845 77 4 907 088 48 18 282 00 259 768 83 0 00 84 354 31 TOTAL D PENSES 2236159 50 1837724 19 2 156 455 70 6 230 339 39 R SULTATS DE LA P RIODE 322 713 39 39 688 88 20 615 27 303 639 78 Dont si ge 113 373 93 58 391 73 136 738 11 191 720 31 Dont acad mies 209 339 86 18 702 85 116 122 84 111 919 87 42 Direction 227 mai 2015 Rapport financier
30. NATIONALE DE CONTR LE CNC Article R21 e Les membres de la commis sion nationale de contr le sont lus par le congr s r uni en session ordinaire au scrutin plurinominal parmi les candidatures propos es par les conseils syndicaux acad miques dans le res pect de l article S39 e Chaque conseil syndical aca d mique souhaitant proposer des candidats ne pourra le faire que sur la base des can didatures d une seule femme et d un seul homme tous deux pouvant tre lus e Pour tre valables les suf frages devront au plus porter sur 3 noms de femmes et sur 3 noms d hommes e Leur mandat ne peut tre re nouvel qu une fois e La fonction de membre de la commission nationale de contr le est incompatible avec celle de membre de l ex cutif syndical national ainsi qu avec celle de secr taire acad mique ou secr taire acad mique adjoint e y a incompatibilit entre l appartenance la commis sion nationale de contr le et l appartenance la com mission de v rification des comptes Article R22 e Sera pr sident de la commis sion nationale de contr le le candidat ayant obtenu le plus de voix lors du scrutin En cas d galit de voix le candidat sera alors d sign par tirage au sort e Le pr sident de la CNC a voix pr pond rante en cas d gali t de voix au sein de la CNC e ll est charg de coordonner d animer les travaux et de faire conna tre les d cisions de la CNC
31. d motivit pourrait n cessiter la pr sence d un accompagnant connu de ce dernier En d finitive il appartient au chef d ta blissement et lui seul ou une per sonne laquelle il a donn d l gation de d cider ou non de la pr sence d un accompagnant La note du DASEN rappelle utilement que de fa on g n rale les membres de la communaut scolaire ne sont pas auto ris s quitter leur poste On ne peut que se f liciter d un tel rappel particu li rement face aux exigences de services du SDIS de disposer d un accompagnant g n ralement d un AED d un l ve in terne g n ralement en milieu de nuit alors que ce dernier a sous sa garde plu sieurs dizaines d autres l ves internes La pr sence constante d un ma tre d inter nat est requise au sein de l internat tant pour assurer la surveillance de nombreux l ves et rep rer tout d sordre toute absence que pour intervenir dans les meilleurs d lais selon les proc dures d finies en cas de maladie subite d un interne et ramener le calme apr s l vacuation de ce dernier l tablissement scolaire n oubliera pas en se r f rant au protocole d urgence ou protocole de prise en charge des l ves ayant besoin de soins arr t par le chef d tablissement et pr sent au Conseil d administration d alerter les repr sen tants l gaux de la nature des v nements de la prise en charge et de l vacuation de leur enfant v
32. d urgence l ex cu tif syndical national peut convoquer le CSN en s ance extraordinaire sans condition de d lai Article R14 e Tout repr sentant au conseil syndical national quittant une acad mie perd sa qua lit de membre du conseil syndical national au titre de cette acad mie Il est rem plac conform ment aux dispositions indiqu es l ar ticle R11 e Toute modification des d l gations en cours de mandat est communiqu e l ex cutif syndical national et publi e sur le site internet 58 Direction 227 mai 2015 R glement int rieur e En cas d emp chement les secr taires acad miques sont suppl s au conseil syndical national par un se cr taire acad mique adjoint nomm ment d sign Article R15 e l ordre du jour du conseil syn dical national est arr t par l ex cutif syndical national e Les th mes d tude sont com muniqu s au moins trois mois avant aux secr taires acad miques avec ventuellement les documents pr paratoires afin de permettre la r flexion dans les instances acad miques et d partementales e les dates dur e et lieu du conseil syndical national sont fix s par l ex cutif syn dical national e Les travaux du conseil syndi cal national sont organis s sous la responsabilit du l ex cutif syndical national Article R16 Le rapport d activit et financier du niveau f d ral est soumis par l ex cutif syndical national au vote des membr
33. de long terme on eut tout le contraire Direction 227 mai 201 5 dito Le congr s d Avignon Le X congr s du SNPDEN a lieu Avignon o s tait tenu en 1990 celui du SNPDES qui d cida de la fusion avec le SNPDLP qui se concr tisa Clermont Ferrand quatre ans plus tard C est donc un lieu historique pour notre organisation qui est issue du choix alors fait par les personnels de direction de ne pas cultiver l outrance les microparticularismes mais de se re grouper pour peser collectivement se faire entendre mais aussi Ynamiser les carri res et largir les horizons Qui regrette au jourd hui ce choix courageux de 19922 Le SNPDEN en avait f t le vingti me anniversaire lors de son dernier congr s Lille en 2012 Celui ci ouvert le lendemain de l lection pr sidentielle tait empreint d un optimisme certain l ducation redevenait une priorit et la Refondation annonc e parais sait avoir t pr par e comme rarement un programme du catif l avait t Trois ans plus tard c est dans une toute autre ambiance que nous nous r unissons Avignon LES OCCASIONS MANQUEES DE LA REFONDATION La Refondation appara t aujourd hui comme une longue suite d occasions manqu es et de ratages On attendait une stabilit minist rielle conduisant une action la fois rapide et de long terme on eut tout le contraire La cause en est simple une erreur d appr ciation sur
34. des enseignants Il n est pas ais de remettre en perspec tive le bref passage de Beno t Hamon d autant que son cr dit fut d embl e alt r par un affichage exag r de sa proximit avec la premi re f d ration syndicale de l ducation qui l avait en quelque sorte adoub N en resteront que les circonstances tragicomiques du report de la rentr e 2014 bien que Be no t Hamon ait aussi plus nettement que son pr d cesseur insist sur le malaise que suscite l cart de ce que dit vouloir faire l cole et ce qu on finit par y faire ou laisser faire Enfin ce fut l arriv e de Najat Vallaud Belkacem premi re femme la t te de notre minist re mais troisi me ministre en deux ans On peut en relever pour l instant une relance tr s significative du travail p dagogique autrement qu en intention peut tre une r flexion plus adapt e sur la conduite du chan gement qui a valu une adoption des programmes de maternelle l una nimit du CSE et la r apparition du mot autonomie dans les discours officiels Le bilan minist riel concret de ces trois ann es qui devaient tre intenses est pour l instant fort maigre C est mi mandature par exemple qu on se penche enfin sur des th mes comme ce lui des mixit s sociale et scolaire ou de la r forme du coll ge c est dire pro bablement trop tard pour changer soli dement les choses Quelle a t l action du Bureau national du SNPDEN
35. dispositions en liaison avec les autorit s administra tives comp tentes pour assurer la s curi t des personnes et des biens l hygi ne et la salubrit de l tablissement le guide aborde pour commencer la trousse de secours en occultant com pletement l armoire pharmacie la trousse de secours doit tre facilement accessible dans un endroit ferm mais pas clef connu de tous les person nels il est n cessaire de la v rifier ou de la renouveler r guli rement Mais quel endroit dans un tablisse ment scolaire peut hors infirmerie et nous rajoutons inaccessible aux l ves correspondre une telle d finition En outre quelle personne est charg e de la v rification et du renouvellement de la trousse de secours Le protocole national sur l organisation des soins BO sp cial n 1 du 6 jan vier 2000 rappelle que l infirmi re Bernard VIFILLEDENT Coordonnateur de la cellule juridique bernard vieilledentBac lyon fr pr pare les mat riels n cessaires aux soins Le pr ambule du protocole indique que l infirmi re est responsable des pro duits pharmaceutiques d tenus dans l infirmerie Les produits qui ne peuvent tre utilis s que par elle m me ou un m decin doivent tre gard s dans une armoire quip e d une fermeture de s curit Le m me texte se contente de mentionner I I Je qu en cas d absence de l infirmier re des consignes p
36. durant cette p riode domi n e par la d ception C est l objet de ce rapport d activit Le moins que l on puisse dire est que l id e d encadrement telle qu elle a merg dans l institution depuis la cr ation du SNPDEN n tait pas spontan ment fa mili re Vincent Peillon ni quoiqu il ait fait montre de plus de pragmatisme Beno t Hamon C est au contraire une vi sion tr s traditionaliste de l organisation scolaire qui a pr valu et l encadrement semblait confondu avec une simple cas cade hi rarchique Du point de vue de la gouvernance du syst me on a assist ce qui ressemble fort une r gression En effet le Livre blanc de 2014 a mis en valeur que les personnels de direction se repr sentaient de plus en plus leur m tier comme celui de v ritables respon sables des unit s qu ils dirigent ce qui s est notamment manifest par la place croissante que prend la gestion des res sources humaines dans les activit s des coll gues Ce livre blanc soulignait aussi les progr s enregistr s dans un rapport au travail plus raisonnable et sainement distanci qu il y a dix ans Mais il r v lait aussi la mont e de conflits avec les autorit s de proximit cons quence de l absence de pilotage minist riel sur la question de la gouvernance locale En effet le SNPDEN met en avant un management ducatif qui peut tre progressiste et prendre en compte les nouvelles r alit s sociologiques de l or
37. et des hommes en se pronon ant pour la pro portionnalit contrainte et la parit des instances de contr le dont le champ de comp tences vise tre renforc Ce rapport d activit ne pr tend pas re tracer la totalit du travail effectu par les membres du Bureau national durant ces trois ans mais simplement en d ga ger les grands axes Il doit tre com pl t par les apports des 28 num ros de Direction qui sont l cho du travail syndical durant cette p riode en parti culier ceux consacr s aux CSN ou les points ici souvent effleur s sont large ment d velopp s L Avignon 2015 UNSA p E o nn S Rapport financier Du 1 janvier 2012 au 51 d cembre 2014 Depuis le Congr s de Dijon et validation par le CSN de no vembre 2006 les comptes financiers couvrent une p riode de trois ans Il est bon de rappeler aux nouveaux responsables acad miques SA SD tr soriers lus en septembre 2014 les dispositions suivantes Domaine r glementaire Dans le strict respect des r gles comp tables en vigueur toute d pense tout remboursement doivent tre justifi s les r glements forfaitaires h tel re pas font l objet d un justificatif dans tous les cas le tr sorier acad mique ouvre avec l autorisation du secr taire g n ral un compte postal ou ban caire Il doit faire appara tre dans le compte financier acad mique les ventuels c
38. fin de coll ge Note d information n 10 Dipl me national du brevet 2014 mars 2015 t l chargeable sur le site du minis t re espace statistiques men final est jug moins juste que le contr le continu Les r sultats publi s confirment par ail leurs les carts so ciaux et sexu s Ain si la quasi totalit 96 des enfants issus dun milieu tr s favoris r us may Bryr 7 P sultads du dipidene national du brevet salon Torigine sociale des candidats Sarson 2014 E deis on da an Cr dns manio a Ha Pi murs Larra har LEH TAPT Mira mam i AA Da i Haima E bam pr eco Sarre MENESA DEPE dr HDA de PARO DCA Aa PE aia a E sissent leur examen compl t par des activit s en pr sentiel dans les tablissements scolaires devrait tre propos tous les l ves choisissant un enseignement optionnel rare hors de leur secteur Phase pilote d s la rentr e 2015 dans quelques acad mies 2 Par ailleurs la carte scolaire sera revue sur la base d un diagnostic par tag r alis avec les conseils d parte mentaux pour avoir des secteurs de recrutement plus larges regroupant plu sieurs coll ges et favorisant ainsi une meilleure mixit sociale dans la proc dure d affectation Pour les lyc es la d finition des districts de recrutement des l ves devra aussi prendre en compte l objectif de mixit sociale Le comit
39. interminist riel a pr cis qu un outil de diagnostic permettant de mesurer la s gr gation sociale entre les coll ges et de faire des simulations d volution de la LA BOURSE AU M RIT R TABLIE En juillet une circulaire du minist re pr voyait la sup pression progressive des bourses au m rite pour les bacheliers m ritants entra nant de vives r actions chez les tudiants et le d p t d une requ te en r f r de l association Touche pas ma bourse je la m rite En octobre le Conseil d Etat avait suspendu la circulaire es timant qu il y avait un doute s rieux sur la l galit de la disposition mais n avait pas encore tranch sur le fond l in certitude demeurait donc quant au versement de cette bourse pour la rentr e scolaire Finalement et sans communica tion particuli re le gouvernement a via une circu laire publi e au bulletin officiel du 26 f vrier r tabli cette bourse pour les ann es uni versitaires 2014 2015 et 2015 2016 Les jeunes bacheliers avec w une mention tr s TOUCHE PAS M bien au bac E CA 2015 toucheront r donc cette aide de 1800 euros annuels pour d buter leurs tudes dans le su p rieur condition d avoir galement droit une bourse sur crit res sociaux Renouvellement au maximum 3 ann es dans le cadre d une licence et de 2 dans le cadre d un master et sup pression en cas de redoublement sauf pour raisons
40. l appr ciation du r dacteur en chef qui d cide ou non de leur parution En cas de refus de parution l auteur de l article en sera inform dans les meil leurs d lais par le r dacteur en chef e Le site national du syndicat est plac sous la responsabilit d un membre de l ex cutif syndical national Article R32 Toutes les modalit s de publication d un bulletin et d un site acad mique ou d un bulletin d partemental doivent tre d finies par le r glement int rieur acad mique ou d partemental TITRE CINQUI ME BIS LE CENTRE DE RECHERCHE ET DE FORMATION Article R33 Le SNPDEN a vocation cr er un centre de recherche et de formation qui com prendra un comit de direction et un comit scientifique Ses missions seront de e cr er des livrets ou des fiches tech niques sur des sujets professionnels li s la formation initiale ou conti nue des personnels de direction e r diger des documents de synth se ou d approfondissement sur des sujets d actualit en d bat dans le syst me ducatif e g rer des publications e organiser des colloques s minaires et autres conf rences destination des personnels de l ducation nationale e organiser des formations en direc tion des personnels de direction e organiser des recherches sur des th mes li s au fonctionnement du syst me ducatif e contribuer au d veloppement d ou tils multim dia destin s diffuser les publications e
41. l importance des appr ciations lit rales et ont fait des efforts de r daction afin de r elle ment valoriser les comp tences d ce l es chez les coll gues En leur nom nous les remercions Et nous regrette rons que cela en ait incit certains r clamer un excellent suppl mentaire dans au moins une acad mie il est regrett que les femmes et les ad joints soient moins excellents que les chefs hommes et surtout ce qui transpara t des re marques mises est le manque d har monisation dans l valuation des coll gues entre les diff rents d partements mais aussi d une acad mie l autre Ainsi la lettre M pourtant associ e une case cocher en cas de situa tion d rogatoire dans une acad mie sera transform e en lettre F ce qui normalement ne devrait pas tre fait et dans une autre le recteur refusera de cocher la case d rogatoire pour e de la CAPN tant justifi e Nous ne pouvons accep ter que des situations identiques soient g r es diff remment sur le territoire dans un mouvement national malgr la pr cision de la note de service et que certains d partements se sentent ainsi mal trait s e nous aimerions qu il y ait aussi une harmonisation des documents pr sen t s en CAPA car nous pr f rerions que certaines donn es ne soient pas communiqu es dans les acad mies Elles rel vent en effet de la vie pro fessionnelle personnelle des coll g
42. la prostitution comme une forme et une forme grave de la violence des hommes contre les femmes Ne pas poser cette norme c est autoriser qu une classe de femmes socia lement et conomiquement marginales soit exclue des droits et de l acc s la justice sociale ainsi que de la protection univer selle inscrite dans les trait s internationaux des droits humains labor s depuis 50 ans C est plus dans un esprit de pr ven tion que de r pression que la norme de la transgression a t pos e emp cher le d lit avant qu il ne soit commis Les peines encourues par les clients sont d un an de prison ou l quivalent par une amende index e sur les revenus de l acheteur LI Le GNIES est compos de repr sentants d organisations syn dicales d associations de f d rations de parents d l ves et de mouvements populaires ANPBSE APBG CNAFAL FCPE Ligue de l enseignement MGEN MFPF SE UNSA SNASEN UNSA SNIES UNSA SNMU UNSA SNPDEN UNSA UNSA ducation UNSA GNOGS Groupe National information et ducation Sexuelle La prostitution est une forme d esclavage Victor Hugo d clarait il y a pr s de 150 ans on dit que l esclavage a disparu de la civilisation euro p enne C est une erreur Il existe tou jours Mais il ne p se plus que sur la femme et il s appelle prostitution C est donc la derni re violence faite aux femmes qui n est pas reconnue comme telle La prostitution n e
43. m dicales A circulaire n 2015 006 du 20 f vrier 2015 carte scolaire serait livr au cours de l ann e 2015 les recteurs tant charg s des premiers constats sur le sujet ensuite partag s avec les conseils g n raux 3 Un comit scientifique a t constitu autour de l cono miste ric Maurin et des sociologues de l ducation Agn s van Zanten et Pierre Merle Dans un communiqu le SNPDEN a d ailleurs approuv les r centes d clarations de ce dernier sur le sujet affirmant que l enseignement catholique ne peut la fois b n ficier d une mission de service public d un financement public et s lection ner ses l ves selon des crit res contraires la la cit et aux lois de la R publique Le syndicat juge en effet que l enseignement priv sous contrat ne peut pas invoquer la libert de l enseigne ment pour luder ses responsabilit s dans la question des mixit s l cole Le secr taire g n ral du SNPDEN a d ores et d j fait part des propositions du syndicat en mati re de carte sco laire et notamment sa proposition de mise en place d un plan d accompagnement local des mixit s l cole PALME visant associer toutes les parties prenantes dont l enseignement priv sous contrat et prendre en compte la diversit des probl ma tiques de mixit sur le territoire suivre NUM RIQUE L COLE ENCORE ET TOUJOURS Au Conseil des ministr
44. pays o l accueil des diff rences se fait dans le respect des valeurs de la R publique Reconna tre les cultures ce n est pas pr ner un quel conque multiculturalisme de soumission la tradition Le culturel ne doit pas tre le paravent du cultuell Rien ne doit interdire de critiquer la religion ou l utilisation qui en est faite par les plus r trogrades C est pourquoi l emploi inconsid r du terme islamophobie est inadapt cela n a rien voir avec toute discrimination anti musulmans d Direction 227 mai 2015 Vie syndicale qui doit tre combattue et condamn e Il a voqu aussi la r affirmation de la libert de conscience et de la liber t d expression qui doivent s exercer dans le cadre de l id al universaliste de la la cit face aux pr tentions com munautaristes des groupes de pression des organisations politico religieuses qui souhaitent pour les unes les sala fistes abattre la R publique et pour les autres l UOIF imposer une vision reli gieuse de l organisation de la soci t Certains l ves influenc s par des orga nisations radicales tentent de contourner la loi en portant des v tements religieux qu ils d signent comme culturels le minist re de l ducation nationale doit aider les personnels de direction avant que ce mouvement concert prenne de l ampleur Ces valeurs de la cit il est 4 TE L E Car y p3 RE Philippe GUITTET urgent d
45. r forme doit reposer sur une triple volution simultan e celle du socle des programmes et des pratiques p da gogiques Concr tement un accompagnement personnalis sera mis en place rai son de 3 heures par semaine en classe de 6 et d une heure minimum en 5 4 et 3 Un nouveau socle commun de connaissances et de comp tences vis par le conseil sup rieur de l Edu cation CSE le 12 mars dernier et sou mis aux enseignants jusqu au 22 mai et les nouveaux programmes qui en d coulent en fran ais math matiques 16 Direction 227 mai 2015 Actualit s d j labellis s col l ges connect s 50 REP qui mettront en uvre la prochaine rentr e le plan num rique soit un an avant la g n ralisation Parall lement l infor matique et le num rique seront introduits des septembre pro chain dans les pro grammes de l cole du coll ge et du lyc e et int gr s dans la formation initiale et continue des enseignants La ministre a par ailleurs cit les princi paux axes de travail du Gouvernement pour le num rique l cole dans les prochains mois savoir le d velop pement d une offre de ressources num riques vari es et de qualit accessibles dans un cadre s curis sur une nou velle plateforme publique la mise disposition d outils de cr ation et de partage de ressources pour les enseignants un accompa
46. s applique certaines cat gories d tablissements recevant du public sans que ne soit abord e la situation particuli re des internats class s dans l une des quatre premi res cat gories article R 1 C de l arr t du 4 juin 1982 portant appro bation du r glement de s curit dans les tablissements d enseignement Un tel silence pour les locaux som meil t moigne bien une fois de plus du grand oubli dont continue tre victime l internat dans notre minist re Direction 107 avril 2003 portant sur l appellation des personnels permanents susceptibles d alerter les sapeurs pom piers et de mettre en uvre les moyens de lutte contre l incendie l objet de notre article n est pas de rentrer dans le d tail des coordinations entre le m decin r gulateur le trans porteur et la structure hospitalis e mais de souligner l oubli complet des locaux sommeil qui ac cueillent pr s de 170000 l ves dans 1 502 EPLE alors que sont juste titre mentionn es les personnes g es ou handicap es suite au vieillissement de la population et les personnes en si tuation de pr carit Pour conclure sur l tablissement scolaire Le 1 intervenant l internat l assistant d ducation AED et l infirmier e La premi re r ponse apport e la victime est assur e par un surveillant g n rale ment alert par les l ves de la m me chambr e L infirmier e de serv
47. scolaire Hector Berlioz de Vincennes aca d mie de Cr teil Il tait au paravant sur la m me aca d mie proviseur Fresnes 2006 201 1 principal d un coll ge ZEP et zone vio lence en Seine SaintDenis 2002 2006 proviseur ad joint 1999 2002 Il a aussi exerc dans des coll ges et lyc es des acad mies de Rennes Orl ans Tours et Ver sailles Juriste de formation engag depuis pres de 20 ans dans les fonctions de di rection il a d abord fait fonc tion avant de devenir per sonnel de direction 1998 Membre puis responsable de la cellule juridique de puis 2000 membre du CSA et du BN depuis 2002 se cr taire acad mique adjoint de Cr teil de 2008 2014 il est secr taire national en charge de la commission M tier et des questions juri diques depuis le congr s de Biarritz ISABELLE BOURHIS Proviseure de la cit scolaire Montaigne Paris depuis 2012 auparavant provi seure et proviseure adjointe de trois tablissements de l acad mie de Cr teil Isabelle Bourhis est deve nue personnel de direction en 2001 Institutrice CPE elle a fait fonction de prin cipale adjointe d s 1999 Membre du SNPDEN en 2001 secr taire acad mique adjointe de 2003 2005 elle est entr e au Bu reau national en 2006 Elle est secr taire nationale de la commission ducation amp P dagogie depuis 2009 CHRISTEL BOURY Enseignante de 1989 1998 Christel Boury a fait
48. sein de la commission M tier plus particuli rement sur les p les administratifs ponctuellement sur la sant et s curit au travail et sur le dossier des probl mes li s la situation des per sonnels de directions em ployeurs de contrats aid s et les protocoles de s cu risation mis en place dans les acad mies Membre de la commission Vie syn dicale depuis le congr s de Lille en 2012 elle a particip au groupe de travail sur la refonte des RI et Statuts Elle repr sente galement le SNPDEN au GNIES groupe national d information l ducation sexuelle et si ge pour le SNPDEN l Observatoire de la presse lyc enne FRANCOISE ALARD DOLQUES Personnel de direction depuis 1999 Fran oise exerc Alard Dolques a des fonctions d adjointe en cit scolaire et occupe son deuxi me poste de principale en r gion tou lousaine depuis 2005 De formation litt raire elle a d abord exerc dans le priv des fonctions en lien avec la presse et les syn dicats avant de passer le concours de PLP Communi cation en 1991 Adh rente au SNPDEN depuis sa r ussite au concours elle est membre du CSA depuis 2002 Commissaire pari taire acad mique pendant 3 ans SD adjointe de la Haute Garonne de 2009 2013 puis SD depuis la rentr e 2013 elle est SA adjointe de l acad mie de Toulouse depuis 2013 et membre du CSN depuis 2009 PASCAL BOLLOR Pascal Bollor est proviseur de la cit
49. sera poursuivie afin de p renniser une solidit financi re qui est la premi re condition de l ind pendance syndicale Par la repr sentation quilibr e des hommes et des femmes la diversit des fonctions et des parcours la liste qui sol licite vos suffrages refl te la pluralit du SNPDEN La confiance du congr s sera sa pre mi re force pour mener bien la mission que vous lui confierez l affir mation d un syndicalisme la que d mo crate ouvert revendicatif et novateur qui trouve toute sa place au sein de sa f d ration l UNSA ducation Une liste qui refl te la diversit de notre sundicat La liste conduite par Philippe Tournier refl te la diversit des origines et des parcours qui sont une richesse de notre profession comme de notre syndicat Diversit des origines professionnelles tout d abord si un peu moins de la moiti des candidats est issue du corps des certifi s 46 les autres le sont de ceux des CPE 16 des PLP 12 mais aussi des PEGC agr g s CFC ou COP Diversit galement des engagements syndicaux ant rieurs si refl tant l vo lution du syndicalisme enseignant 43 des candidats n taient pas syndiqu s avant de devenir personnel de direction les autres le furent au SNES 32 au SE 11 au SGEN 11 et au SNETAA En ce qui concerne le parcours profes sionnel les candidats ont une ancienne t moyenne de 17 ans comme person nels de dir
50. tabli par le conseil syndical acad mique doit tre adress en m me temps que la convocation tous les adh rents quinze jours au moins avant la date de r union ordinaire Ce d lai peut tre r duit deux jours en cas de convocation d une r union extraordinaire Le compte rendu des s ances est port la connaissance de tous les adh rents de l acad mie Un membre de l ex cutif syn dical national d sign par celui ci et le repr sentant peut participer l assem bl e g n rale acad mique La pr paration du congr s national fait obligatoirement l objet d une assembl e g n rale acad mique LE CONSEIL SYNDICAL ACADEMIQUE CSA Article R11 Le conseil syndical acad mique comprend de 16 36 membres lus parmi les adh rents de l acad mie jour de leur cotisation aux quels s ajoutent les membres de droit mentionn s l ar ticle S20 des statuts Le r glement int rieur acad mique d termine le nombre total des membres lus sa r partition entre les membres lus par les sections d parte mentales et les membres lus par l assembl e g n rale acad mique et les modalit s de mise en uvre des articles R5 et R Il d finit les modali t s de d p t de candidatures L lection des membres du conseil syndical acad mique a lieu la m me an n e que celle des bureaux d partementaux et apr s le renouvellement de ceux ci Les membres lus par les sec ti
51. taire acad mique adjointe Elle est depuis 2009 membre du Bureau national r dac trice en chef de la revue Direction et en charge de la communication et du site JEAN FALLER Historien de formation Jean Faller a adh r au SNPDES en 1982 comme principal du coll ge de Menucourt en ville nouvelle de Cergy Pontoise Il cr e et dirige de 1987 1995 le coll ge du Moulin Vent autre col l ge de zone sensible Cergy Pontoise De 1995 a 1999 il dirige comme proviseur le lyc e Albert Camus de Mourenx dans les Pyr n es Atlantiques puis partir de 1999 le lyc e Fran ois Mauriac de Bordeaux Proviseur du ly c e Pape Cl ment de Pes sac de 2007 2013 il est aujourd hui retrait Militant de toujours il a t secr taire d partemental adjoint dans le Val d Oise puis secr taire acad mique de l acad mie de Bordeaux de 1996 2003 commissaire paritaire et secr taire d partemental de la Gironde jusqu en 201 1 Membre de puis vingt six ans du CSN il est membre du Bureau na tional et de la commission M tier depuis 2009 LYSIANE GERVAIS Juriste de formation et apr s un emploi en entre prise priv e Lysiane Ger vais est devenue CPE en 1993 dans l acad mie de Poitiers Nomm e dans l acad mie de Bordeaux en 1994 elle y a repris des tudes en sciences de l ducation Personnel de direction depuis 2003 elle a t principale adjointe en coll ge en Dordogne
52. tenu de re mettre au syndicat tous les mandats qu il d tient Statuts Direction 227 mai 2015 5 TITRE TROISI ME LES INSTANCES SYNDICALES Article 14 Dans ses instances il assure une repr sentation de tous les syndiqu s chefs d ta blissement chefs d tablisse ment adjoints actifs et retrai t s femmes et hommes selon les dispositions inscrites au r glement int rieur SECTION LES INSTANCES LOCALES A LA SECTION D PARTEMENTALE de participer aux ins tances et activit s de l UNSA Education d par tementale d assurer les intersyndicales mentales d assurer la repr senta tion du syndicat aupr s de l autorit acad mique et des collectivit s territo riales comp tentes ainsi qu aupr s des diverses instances et organismes d partementaux de recevoir les communi cations des adh rents qui s adressent eux pour des affaires personnelles lesquelles sont si pos sible trait es sur place En cas de n cessit ils les transmettent au secr taire acad mique liaisons d parte Article S17 e La section d partementale Article 15 i e Dans chaque d parte ment les membres du syndicat sont group s en une section d parte mentale qui tablit son r glement int rieur dans le respect des principes g n raux de repr sen tativit d finis l article S14 ainsi que des r gle ments int rieurs national peut pr senter ses conclu
53. un peu passer de l autre c t du miroir Conna tre les parcours les souhaits les soucis de ceux qui nous envoient leur dossier et regretter de ne pouvoir tre au courant pour les adh rents qui oublient de nous l envoyer Com prendre que les coll gues sont tous tr s bons et que la concurrence est donc rude Travailler avec quinze autres commissaires paritaires et devenir par UX ONQUX tie en quelques jours intenses de pr paration d une quipe soud e com p tente techniquement performante Et savoir que l on peut faire avancer les si tuations des coll gues dans un cadre contraint o la d cision ne nous revient pas mais dans lequel nous sommes force de proposition DJAMILA LASRI 4715 dossiers class s par acad mie et par ordre alphab tique o chaque candi dature a t minutieusement tudi e J ai t impressionn e par cette organisa tion ainsi que par la pr paration fine du mouvement Le minist re a une grande connaissance de ses personnels de di rection et les situations particuli res sont voqu es avec la plus grande attention Notre travail de commissaire paritaire se doit d tre la hauteur de ces exigences et notre r activit sans faille Je suis tr s fi re d avoir pu contribuer ce travail et galement fi re de la confiance qui m a t accord e par les adh rents du syndi cat le plus imposant de cette CAPN ae AURORE M T NIER Professionnalis
54. une femme occu pant un poste de cat go rieA obtient en moyenne un salaire annuel brut inf Li rieur de 1 281 par prom T du m me ge et ie la m me cat gorie soit 4 8 de moins et cet cart passe 9 130 50 ans 21 9 de moins Les analyses des quipes de recherche montrent galement que tant dans la fonction publique d tat et territoriale que dans le secteur priv plus les niveaux de r mun ration des emplois sont lev s moins les femmes ont une probabilit d y acc der ce qui confirme l existence d un plafond de verre Et cela est galement confirm dans des cat gories de fonctionnaires tr s homog nes comme celle des professeurs des coles Pour les chercheurs c est la s gr gation professionnelle c est dire le fait que les femmes occupent des positions pro fessionnelles moins avantageuses que les hommes qui ex plique plus de 40 de l cart de r mun ration et cela consti tue m me la cause la plus importante des in galit s de salaire selon le sexe pour les agents de la fonction publique d tat La surrepr sentation des femmes au sein de certains minist res ou fili res mal r mun r es explique ainsi une partie non n gli geable de l cart de r mun ration observ Par ailleurs la maternit est consid r e comme une source d in galit s persistantes TEXTES R GLEMENTAIRES Bourse au m rite circulaire n 2015 006 du 20 f vrier 2015 BO 9 du
55. 10 gel du point d indice fonction publique Ce d calage nous a conduits propo ser une augmentation des cotisations valid e et vot e l unanimit au CSN d avril 2014 La pr sentation du bilan financier national incluant les comptes aca d miques la commission de v rifi cation des comptes CVC puis au congr s d Avignon montrera le bilan actif passif du syndicat Par ailleurs les nouvelles dispositions r glementaires nous obligent avoir d sormais un commissaire aux comptes Les donn es financi res des trois der ni res ann es ont t soumises son examen et valid es les tr soriers Alain GUICHON Patrick CAMBIER SNPDEN BILAN CONSOLID AU 31 D CEMBRE 2014 ACTIF BRUT IMMOBILISATIONS MAISON ALFORT 85 898 53 RUE B RANGER 594 627 39 MONTREUIL 160 071 47 MAT RIEL DE BUREAU 32 715 89 AGENCEMENTS B RANGER 258 630 93 AGENCEMENTS MONTREUIL 26 968 38 D P TS DE GARANTIE 7 622 45 TOTAL IMMOBILISATIONS 1 166 535 04 Direction 227 mai 2015 Rapport financier NET AMORTISSEMENTS 31 D CEMBRE 2014 31 D CEMBRE 2014 CAPITAUX PERMANENTS 74 074 95 11 823 58 R SERVES SI GES 1 054 875 51 322 469 39 272 158 00 R SERVES ACAD MIES 543 600 23 40 047 53 120 023 94 32 715 89 0 00 INSUFFISANCE SI GE 2012 2014 191 720 31 258 630 93 0 00 INSUFFISANCE ACAD MIES 2012 2014 111 919 87 26 968 38 0 00 7 622 45 754 907 07 411 627 97 TOTAL CAPITAUX PERMANENTS 1 294 83
56. 14 351 259 83 335 243 83 16 016 00 0 00 0 00 1 674 657 77 35 159 15 4 769 08 0 00 389 528 535 367 388 65 0 00 0 00 26 951 78 8 395 03 157 20 8 720 16 223 99 TOTAL 960 845 77 934 684 50 32 208 30 0 00 6 047 03 4 907 088 48 85 541 28 15969 93 381 20 109522519 721 032 02 22 679 73 0 00 51533453F 24 603 18 2 095 74 17 781 32 22 803 65 Rapport financier Direction 227 mai 2015 4 Documentation Frais de congr s D placements Frais CSN Frais de r unions Solidarit acad mies Affranchissements T l phone Charges Maison Alfort Charges Montreuil Charges B ranger Frais bancaires Divers Acad mies IMP TS ET TAXES Taxes sur les salaires Taxes sur les bureaux Taxes Fonci res Taxes diverses SALAIRES Salaires Charges CHARGES FINANCI RES Int r ts emprunts CHARGES DIVERSES Secours d c s Divers Amortissements TOTAL CHARGES 2 236 159 50 1837 724 19 2 156 455 70 6 230 339 39 19 342 09 412 478 38 183 433 89 62 484 43 334 673 27 0 00 72 290 61 19 901 48 4 289 51 3 765 37 23 770 23 SA2 74 494 00 5 999 00 1 697 00 0 00 4 177 00 125 00 75 114 64 44 174 71 30 939 93 0 00 27 983 91 0 00 36 00 28 019 91 13 154 28 15 234 49 145 231 14 1092112982 312 545 50 24 826 75 96 612 91 17 08733 1 461 85 5511 16 9 471 64 5 230 81 453 177 38 6 067 00 0 00 0 00 6 067 00 0 00 88 472 49 47 476 58 40 995 91 0 00
57. 26 f vrier Enseignants modalit s d valuation du stage et de titulari sation des personnels enseignants et d ducation note de service n 2015 055 du 17 mars BO 13 du 26 mars Internats de la r ussite arr t du 2 mars paru au JO du 11 mars relatif l approbation du cahier des charges consultable sur www gouvernement fr ap pels a projets et manifestations cgi projet n 34 Jeunes sans qualification circulaire n 2015 041 du 20 mars relative au droit au retour en formation initiale pour les sortants du syst me ducatif sans dipl me ou qualification professionnelle BO 13 du 26 mars Lyc ens m ritants parution au JO du 4 mars du d cret n 2015 242 du 2 mars relatif au pourcentage des meilleurs l ves par fili re de chaque lyc e b n ficiant d un droit d acc s dans les formations de l enseigne ment sup rieur public o une s lection peut tre op r e Personnels de direction arr t s du 3 f vrier 2015 rela tifs aux tableaux d avancement la 1 classe et la hors classe pour l ann e 2015 BO 9 du 26 f vrier Note de service n 2015 045 du 11 mars relative la liste d apti tude pour l acc s au corps des IEN BO 12 du 19 mars Socle commun parution du d cret n 2015 372 du 31 mars relatif au socle commun de connaissances de comp tences et de culture JO du 2 avril Examens et concours parution au BO n 14 du 2 avril de la note de service n 2015 056 du 17 mars relative
58. 5 PASCAL CHARPENTIER Physicien Pascal Charpen tier a enseign Reims et dans les Ardennes durant 8 ans ll est nomm 30 ans proviseur adjoint Laon dans l acad mie d Amiens et 6 ans plus tard devient proviseur dans l Oise M ru Il prend en 1998 la direction du lyc e de Ch tillon sur Seine en C te d Or puis en 2006 celle du lyc e international Charles de Gaulle de Dijon Il est depuis 2012 proviseur du lyc e du Parc Lyon Adh rent actif depuis 27 ans il a t plusieurs fois membre de CSA et de bureaux d partementaux Apr s avoir occup pendant 11 ans les fonctions de secr taire d partemental et de secr taire acad mique il est de puis le congr s de Biarritz membre du BN et actuelle ment secr taire national en charge de la commission Vie syndicale ll a particip tous les congr s depuis Toulouse et a organis celui de Dijon en 2006 LAURENCE COLIN Institutrice en Eure et Loir avant de passer le CAPES d anglais Laurence Colin est devenue personnel de direction en 2000 Tout d abord principale ad jointe dans le Loiret puis principale en Indre et Loire elle est actuellement pro viseure de la cit scolaire de Saint Andr de Cubzac en Gironde Adh rente au SNPDEN depuis son entr e dans la fonction elle a en 2004 Toulon t lue au Bureau national o elle est membre de la commission Carri re Depuis 2011 elle est coordonnatrice des commi
59. 5 56 ACTIF R ALISABLE ESPACE M CHARGES CONSTAT ES D AVANCE TR SORERIE SI GE TR SORERIE ACAD MIES CHARGES D AVANCE AVOIRS RECEVOIR PUBLI PRINT TOTAL ACTIF R ALISABLE TOTAL ACTF 2513011 45 ENGAGEMENTS DE D PENSES PLURI ANNUELLES Le SNPDEN prend en charge les co ts du congr s de 2015 qui doit approuver les comptes de 2012 2014 Ce co t d un montant d environ 319 934 n est pas comptabilis mais est couvert par les r serves les co ts du dernier congr s de 2012 pour 427 712 sont comptabilis s dans cette p riode 21 900 12 27 867 05 644 374 85 431 680 36 2 393 00 218 261 03 1 346 476 41 0 00 754 907 07 21 900 12 27 867 05 644 374 85 431 680 36 2 393 00 218 261 03 1 346 476 41 1 758 104 38 DETTES EMPRUNTS FOURNISSEURS CAISSES SOCIALES AVOIRS COMPTABILIS S D AVANCE UNSA REVERSER TOTAL DETTES TOTAL PASSIF CONTRIBUTIONS EN NATURE 606 26 44 849 72 10 294 84 407 518 00 0 00 463 268 82 1 758 104 38 Le SNPDEN a b n fici au cours de la p riode de la mise disposition titre gratuit par le minist re de l Education nationale de trois personnes temps plein personnel de direction 1 classe 4 cat gorie personnel de direction 2 classe 3 cat gorie SAENES classe sup rieure Ces contributions en nature ne sont pas comptabilis es dans les comptes du SNPDEN SNPDEN D TAIL DES RECETTES CONSOLID ES DE JANVIER 2012 D CEM
60. BRE 2014 RECETTES D EXPLOITATION Cotisations actifs Cotisations retrait s Publicit Secours d c s Acad mies solidarit s Encaissements divers si ge Encaissements divers acad mies Produits financiers 2012 1 913 446 11 1 430 060 73 216 161 56 81 724 80 35 468 52 0 00 0022710 36 679 93 31 871 38 2013 1 877 413 07 1 498 549 39 202 906 43 71 527 36 103 68 24 826 75 34 070 54 38 813 65 6 615 27 2014 2 135 840 43 1745 879 54 256 970 69 78 950 16 0 00 7 623 04 6 924 40 34 580 63 AOIS TOTAL 5 926 699 61 4 674 489 66 676 038 68 232 202 32 35 572 20 32 449 79 122 47413 110 074 21 43 398 62 SNPDEN D TAIL DES CHARGES CONSOLID ES DE JANVIER 2012 D CEMBRE 2014 REVERSEMENTS Reversement UNSA Reversement FGR Remboursement CSN Reversement acad mies CHARGES EXTERNES Frais de secr tariat Edf Fournitures d entretien Frais de bulletin Location mat riel de bureau Location immobili re Site Internet Communications acad mies Entretien locaux Entretien mat riel Entretien Informatique Assurances 2012 303 114 69 296 766 69 15 635 00 0 00 9 287 00 1 823 947 26 36 791 01 29209412 0 00 310 115 40 21095951 0 00 0 00 13 898 74 SIDA STA 279 86 896 07 203533923 2013 306 471 25 302 673 98 557 30 0 00 3 23997 1 408 483 45 13 5391 12 567173 381 20 393 581 24 142 683 86 22 679 73 0 00 10 704 07 7 433 18 243 98 8 165 09 2 673 29 20
61. ELLE BOURHIS ERIC KROP Commission vie syndicale PASCAL CHARPENTIER Commission m tier PASCAL BOLLOR Commission carri re PHILIPPE VINCENT Sous commission retrait s PHILIPPE GIRARDY Conception R alisation JOHANNES M LLER Cr dit photographique SNPDEN Publicit ESPACE M TEL 0492381555 Chef de Publicit FABRICE MAURO Impression IMPRIMERIE VOLUPRINT ZA DES BR ANDES 89000 PERRIGNY TEL 0386180600 DIRECTION gt ISSN 1151 2911 COMMISSION PARITAIRE DE PUBLICATIONS ET AGENCE DE PRESSE 0314 S 08103 DIRECTION 227 MIS SOUS PRESSE LE 14 AVRIL 2015 Les articles hormis les textes d orientation vot s par les ins tances syndicales sont de libres contributions au d bat syndical qui ne sont pas n cessairement les positions arr t es par le SNPDEN INDEX DES ANNONCEURS INCB INDEX DUCATION OMT ALISE GMF INCB SCOLA CONCEPT CANOPE ALISE Toute reproduction repr sentation traduction ou adaptation qu elle soit partielle ou int grale quel qu en soit le proc d le support ou le m dia est strictement interdite sans autorisation crite du SNPDEN sauf dans les cas pr vus par l article L 122 5 du Code de la propri t intellectuelle 2 DMI AA 5 Carri re D claration liminair Les d bats et discussions qui ont lieu en CAPN sont confidentiels Rien ne peut tre publi ou envoy destina tion des coll gues avant la fin com pl te de la CAPN Le
62. Il organise une consul tation sur les rapports d activit et financier f d raux Article 8 e Tout mandat syndical pro c de du suffrage des ad h rents e La d signation parmi les responsables lus des repr sentants du syndicat aupr s des pouvoirs pu blics et hi rarchiques est du ressort de l ex cutif de l instance concern e Article S9 e Le SNPDEN pr sente en son nom des candidats aux diverses lections professionnelles e l action de ces candidats une fois lus s inscrit dans le cadre de la po litique d finie et arr t e par le syndicat Il en est de m me pour tous les repr sentants d sign s dans toutes les instances o le syndicat est appel si ger ICat irection TITRE DEUXI ME LES ADH RENTS Article S10 Peuvent adh rer au SNPDEN les personnels en activit en cong en disponibi lit ou en d tachement constituant le corps des personnels de direction les personnels retrait s is sus du m me corps apr s 1988 ou occupant un emploi similaire avant 1988 au moment de leur admission la retraite les personnels stagiaires recrut s par la voie des concours d s lors qu ils ont t d clar s admis les personnels recrut s par voie de d tachement les personnels recrut s par voie de liste d aptitude les personnels faisant fonc tion sous r serve qu ils remplissent les conditions leur permettant soit de se pr senter au concours so
63. PDEN les anciens secr taires g n raux du SNPDES et du SNPDLP 2 des membres lus au ni veau national les membres de l ex cutif syndical national les commissaires pari taires nationaux titulaires et suppl ants les membres du CTM titu laires et suppl ants 3 des membres lus au ni veau acad mique les secr taires miques des d l gu s dont le nombre et le mode de d signation sont fix s par le r glement int rieur RI dans le respect des principes g n raux de repr sentativit d finis l article S14 acad Article 25 e le conseil syndical na tional prend dans l in tervalle des congr s et dans le respect des man dats de congr s toute d cision relative l action syndicale Article S26 e Le conseil syndical natio nal se r unit en s ance ordinaire au moins trois fois entre deux congr s ordinaires I peut se r unir en s ance extraordinaire sur convocation de l ex cu tif syndical national de la conf rence nationale CN ou sur demande de la moiti des conseils syndicaux acad miques repr sentant au moins le tiers des adh rents au plan national B LE CONGR S Article S27 Le congr s se r unit tous les trois ans en session or dinaire Le congr s d finit les orientations qui engagent le syndicat et les actions qu il aura mener Il proc de l lection de l ex cutif syndical natio nal Cette lection
64. PROJETS DE NOUVEAUX STATUTS ET R GLEMENT INT RIEUR Textes fondateurs et fondamentaux souvent remani s ils ont fait l objet d un long travail de refonte afin de les adapter aux volutions des 20 derni res ann es tout en r affirmant nos valeurs Si seul le congr s peut valider les volutions des statuts le r glement int rieur peut tre mis jour lors de chaque CSN L ACAD MIE D AIX MARSEILLE SE PR SENTE Direction 227 mai 2015 Sommaire D Avignon 1990 en Avignon 2015 Avril 1990 le SNPDES tient son congr s Avignon en fait son dernier sous ce sigle le Syndicat national du personnel de direction des tablisse ments secondaires deviendra deux ans plus tard Poitiers le Syndicat na tional des personnels de direction de l ducation nationale Avignon 2015 quelques coll gues de 1990 retrouvent le Palais des Papes avec le congr s du SNPDEN J tais donc en avril 1990 dans la d l gation de la R gionale c est ainsi qu on disait de Strasbourg jeune lau r at du premier concours des person nels de direction concours qui avait suivi le statut de 1988 Nomm prin cipal adjoint au 1 septembre 1989 j tais donc dans ma 1 ann e quand Claude Poggi membre du bureau na tional et responsable de la commission gestion quipement m avait de mand de participer comme invit au congr s d Avignon afin de repr senter les laur ats concours cette cat
65. UNSA Reprise des interventions des SA et des invit s Pr sentation des nouveaux statuts et du nouveau r glement int rieur RI du SNPDEN Vote par mandats des nouveaux statuts du SNPDEN Conseil syndical national extraordinaire pour vote du nouveau RI Fin des travaux du CSN R ception la mairie d Avignon MERCREDI 20 MAI 2015 08h00 08h30 14h00 15h00 18h00 20h00 Jeudi 08h30 13h15 13h30 13h35 13h45 18h45 D but du scrutin pour l lection des membres de la CNC et de la CVC D but des travaux en commission Reprise en commission D pouillement des votes la CNC et la CVC Fin des travaux des commissions D ner de gala 21 mai 2015 R daction des rapports des 4 commissions Photo du congr s Proclamation des r sultats du vote pour l lection des membres de la CNC et de la CVC Ouverture du scrutin pour l lection du bureau national Rapport des commissions Education amp p dagogie M tier Vie syndicale Fin des travaux Vendredi 29 mai 2015 09h00 11h15 12h00 12h15 12h30 Rapport de la commission Carri re Pr sentation des membres du nouveau BN Communication de l acad mie organisatrice du congr s 2018 Discours de cl ture du secr taire g n ral Fin du Congr s CO A O re S C Av O N O N Programme Direction 227 mai 2015 49 r 1 la il Proposition de statuts national des personn de l ducation nation
66. accalaur at n a pas la capacit juridique consentir ou non aux soins On retient toutefois la situation d ro gatoire particuli re et d licate pour le m decin par laquelle le mineur lui de mande express ment de garder le se cret sur son tat de sant vis vis de ses parents alors que l urgence commande l intervention m dicale pour sauvegar der sa sant l article R 4127 36 du Code de la san t publique voque le consentement de la personne examin e qui doit tre recherch dans tous les cas ainsi le consentement est libre et clair Ce consentement est fr quemment mat ria lis par une autorisation crite d op rer laquelle est g n ralement deman d e aux titulaires de l autorit parentale Pourtant la valeur juridique d une telle preuve crite parfois voqu e comme une d charge de responsabilit para t peu fond e La mise en uvre du r f rentiel portant sur l organisation du secours personne et de l aide m dicale d urgence selon l arr t du 24 avril 2009 du minist re de la Sant et des Sports et le r f rentiel commun des structures de m decine d urgence services d incendie et de secours Ce r f rentiel de 64 pages vise l am lioration des coordinations fonc tionnelles entre les missions de secours personne et la prise en charge des ur gences m dicales tous les niveaux et le partage des responsabilit s dans cet exercice Il
67. alit s l entr e par les horaires occulte le fond du dossier Le risque par exemple avec les ensei gnements pratiques interdisciplinaires 10 Direction 227 mai 2015 BN EPI sera de faire appel en r alit des savoirs extra scolaires Cela masque la question centrale du travail person nel des l ves qui continuera dans ce contexte tre fait la maison perp tuant ainsi les in galit s sociales L int r t de ce dispositif r siderait dans le fait que sa mise en uvre soit laiss e l appr ciation de l tablissement en tant le moins fl ch e possible par la centrale Au fond cette r forme est tr s id olo gique et repose essentiellement sur des pr suppos s dont aucune tude ne d montre ce jour r ellement les bienfaits De m me concernant la sectorisation cette r forme nous annonce que les op tions ne devront plus servir affecter les l ves en seconde c est d j le cas ac tuellement Notre proposition du PALME appara t sur cette question comme une v ritable alternative innovante Nous serons re us par le Cabinet de la ministre au titre de l encadrement dont c est le grand retour visiblement et nous ne manquerons pas cette occasion de porter nos mandats sur ces th mes essentiels C dric CARRARO Permanent cedric carraro snpden net Actualit s MOBILISATION EUROP ENNE AUTOUR DE L DUCATION LA CITOYENNET En r ponse aux at
68. angement que pour le management ordinaire Et le syndicat esp re que la r forme du coll ge pren dra en consid ration les recommanda tions de la Cour des comptes Pour lui la seule question qui ait v ritablement besoin d une r ponse nationale la mise en uvre de laquelle le minist re doit veiller est la certification de ce que savent r ellement les l ves au terme de la scolarit obligatoire communi qu de presse du 4 mars 2015 www ccomptes fr Publications Publications Le suivi individualise des eleves une ambition a concilier avec l organisation du systeme educatif l int gration dans le traitement d une partie des primes en points d indice l abandon des notions d indice brut et de hors chelle affich s uniquement en indices nouveaux major s et une revalorisation des grilles salariales des 2016 tal e sur plusieurs an n es Afin de faciliter les mobilit s des cadres d emplois communs aux trois versants de la fonction publique sont galement en sionnel conduisant ventuellement son volution En mati re de simplifica tion de la gestion statutaire le minist re de la Fonction publique pr conise de relancer les programmes de fusions de corps et le d veloppement des corps interminist riels gestion minist rielle En conclusion Marylise Lebranchu a indiqu qu elle attendait les proposi tions des organisations syndicales afin visag s La ministre
69. ans certaines acad mies De plus beaucoup d entre eux n mettent que des v ux g ographiquement ou cat goriellement restreints et ambitieux Nom breux sont ceux qui obtiennent satisfaction parfois au d triment d autres coll gues dont ils auraient pu prendre eux m mes le poste si les rectorats avaient incit ces pre miers faire une extension de v ux qui n aurait pas t choquante ou les avaient affect s hors v ux Nous regrettons qu il n y ait pas un meilleur accompagnement et suivi de ces situations S il existe une proc dure particuli re pour les tablissements REP elle n est plus d actualit pour les REP Au vu du nombre d tablissements en REP nous souhaiterions pouvoir intervenir quant aux propositions faites pour les tablis sements REP Et nous demandons ferme ment que la proc dure de recrutement pr vue pour les REP soit respect e dans toutes les acad mies et que les en tretiens notamment aient r ellement lieu Nous insisterons cette ann e encore sur la n cessit de geler l affectation de personnels de direction stagiaires La R union afin de favoriser les retours et nous r affirmons notre volont de limiter les affectations par liste d aptitude ou d tachement aux seules acad mies d ficitaires En reste t il Et nous aimerions savoir quelle solution est pr vue pour les coll gues revenant de l AEFE et pour qui aucune solution n est pour l instant propos e Enfin nous t
70. arole Vous tes syndiqu actif ou retrait faites nous partager votre r flexion sur l exercice du m tier sur votre carri re sur les volutions du syst me sur votre vision de la vie syndicale Merci d adresser vos contributions Marianne Viel permanente au SNPDEN marianne viel snpden net et pour nous faciliter la t che de pr f rence en texte Times 12 sans mise en forme ou mise en page Les propos exprim s dans cette tribune libre n engagent que leur auteur Affronter les questions soulev es par les conventions tripartites Catherine Marchi Principale Fontaine Fran aise Acad mie de Dijon Dans la loi de Refondation de l cole du 8 juillet 2013 on trouve un volet consacr la mise en place d une conven tion tripartite entre les autorit s acad miques l tablissement et les collectivit s territoriales Cette convention devrait don ner chacun un r le gal et favoriser une r elle concerta tion C est une revendication que le SNPDEN a propos e depuis des ann es mais il me semble n cessaire de se poser les bonnes questions surtout celle ci o veut on nous me ner avec ces conventions La loi reconna t d sormais aux collectivit s territoriales un r le directeur dans les tablisse ments alors qu elles taient seu lement dans un r le de finan ceur Cette volution t moigne de l importance croissante de la place des collectivit s terri t
71. as d volution natio nale de l organisation des collectivit s et ou des services d concentr s de l tat regroupant plu sieurs chelons syndicaux une instance de concerta tion est obligatoirement constitu e Ses modalit s de d signation et de fonc tionnement seront fix s par le RI SECTION II PRESTATIONS ET SERVICES Article 51 Des prestations cono miques culturelles ou so ciales peuvent tre mises disposition des adh rents selon les modalit s fix es par le r glement int rieur SECTION III MODIFICATION DES STATUTS Article S52 e Les pr sents statuts ne peuvent tre modifi s que par un vote du congr s acquis la majorit ab solue des suffrages expri m s e Pour tre recevable toute proposition de modifica tion l initiative de l ex cutif syndical national ou d une acad mie doit r sulter d un vote majori taire du conseil syndical national e Cette proposition de mo dification adopt e par le CSN doit tre port e la connaissance de tous les adh rents par l ex cutif syndical national au moins trois mois avant la tenue du congr s par la presse syndicale ou par circulaire e Toute modification des statuts doit tre port e la connaissance des ad h rents par l ex cutif syn dical national avant la fin du mois qui suit le vote du congr s SECTION IV DISSOLUTION DU SYNDICAT Article 53 e La dissolution du syndicat avec ses cons quenc
72. as de litige il appartient au professionnel ou l tablissement de sant d apporter la preuve que l informa tion a t d livr e l int ress Aucun acte m dical ni aucun traitement ne peut tre pratiqu sans le consente ment libre et clair de la personne et ce consentement peut tre retir tout moment Lorsque la personne est hors d tat d exprimer sa volont aucune in tervention ou investigation ne peut tre r alis e sauf urgence ou impossibilit sans que la personne de confiance pr vue l article L 1 1 1 6 ou la famille ou d faut un de ses proches ait t consul t voir galement le Recueil juridique Direction 121 septembre 2004 Il ressort des textes que le m decin de la structure hospitali re d accueil qui donne les soins l l ve mineur doit recueillir le consentement de ses res ponsables l gaux apr s les avoir infor m s sur la maladie les actes et traite ments propos s leurs avantages et risques les alternatives th rapeutiques les cons quences d une abstention Lorsque les parents sont absents ou s ils ne peuvent tre pr venus et que la si tuation est grave et urgente le m decin prend les mesures n cessaires et donne les soins sous sa responsabilit Chronique juridique Direction 227 mai 2015 23 Le patient mineur ce qui est le cas de la quasi totalit de nos l ves internes l exception des l ves des formations postb
73. blic d ducation l enseignement moral et civique venir ne peut se fonder sur une telle confusion de tels non dits la mise en uvre sur le terrain au quotidien des valeurs r publicaines doit pouvoir s appuyer sur des pr cisions r glementaires concr tes Certes il ne sera pas facile de remonter le courant et viter que les n cessaires mesures de d fense de la la cit ne soient une nouvelle fois v cues notam ment par ces l ves citoyens fran ais l identit musulmane comme discrimina Bernard VIEILLEDENT Coordonnateur de la cellule juridique bernard vieillendentBac lyon fr toires et injustes G rard Courtois Le Monde Mais les choses taient elles plus faciles en 1905 pour la loi de s paration des glises et de l tat La fa on de transmettre les valeurs de la R publique est galement d impor tance il ne s agit pas de r amorcer des dispositifs existants inscrits dans les programmes depuis une quinzaine d ann es notamment l enseignement civique juridique et social soit 15 20 heures au lyc e chaque ann e sauf entretenir le sentiment dubitatif de la communaut ducative Col loque du 11 juillet 2013 Fonction pu blique d ontologie Trois d cennies d injonctions contradic toires ont abouti ce que les h ros de la la cit soient fatigu s lesquels ont chaque jour se d brouiller entre les principes et les accommodements charge po
74. ck Queyranne de recevoir en audience une d l gation de chefs d tablis sement est devenu un point de fixation En tant que cadres nous sa vons bien que la reconnais sance que nous accordons nos personnels est un vecteur important du management Or cette reconnaissance de notre statut de cadres est au jourd hui une exigence 70 Direction 227 mai 2015 Vie syndicale Le coup de col re du SNPDEN UNSA s explique donc dans ce contexte de d gradation continue des relations UNE ACTION FORTE Une fois encore nous consta tons que la rencontre an nuelle du 11 mars 2015 entre le conseil r gional et les personnels de direction exercant en lyc e ne laisse pas de place au dialogue ni a la prise en compte de nos remarques les deux sections acad miques du SNPDEN UNSA Lyon et Grenoble ainsi que celles d A amp I UNSAlyon ont alors d cid de montrer leur m contentement Cette d marche a pu se faire dans un cadre partiellement intersyndical C est au cours du CSA du mercredi 4 mars que se d cide alors la n cessit d une action ainsi que sa mise en tribune libre place La dynamique est lan c e autour des deux sections SNPDEN UNSA de Gre noble et de Lyon Nous pou vons galement compter to talement sur nos camarades d A amp I UNSA COURRIER AU PR SIDENT DE R GION Un courrier a t envoy au pr sident de r gion afin d ex primer ses revendications En fin d apr
75. d ter mine la d signation du secr taire g n ral Tous les adh rents jour de leur cotisation peuvent assister en qualit d au diteur et leurs frais aux travaux du congr s Article S28 Le congr s est form de la r union des membres du conseil syndical na tional et de d l gu s suppl mentaires lus par les sections acad miques dont le nombre et le mode de d signation sont fix s par le r glement in t rieur dans le respect des principes g n raux de repr sentativit d finis l article S14 Article S29 Sur proposition de l ex cutif syndical national le congr s arr te son ordre du jour et le d roulement de ses travaux au d but de sa premi re s ance Lors du congr s les d l gu s travaillent en commis sions dont les rapporteurs sont d sign s par l ex cu tif syndical national Article S30 Le congr s enregistre les votes des syndiqu s sur le rapport d activit de l ex cutif syndical na tional sur le rapport financier de l ex cutif syndical national Ces rapports doivent tre port s la connais sance des adh rents au moins deux mois avant le congr s Article 31 Pour chaque congr s il est constitu une commis sion d organisation des d bats dans le respect du S14 Article 32 Le congr s peut tre r uni en session extraordinaire sur un ordre du jour pr cis sur d cision du conseil syndical national prise la majori
76. des rares bribes de l autre r forme port e par les adversaires de celle en cours DES MANDATS CLAIRS ET PRAGMATIQUES QUI SERVIRONT DE BOUSSOLE Pendant que les d bats sur la r forme du coll ge t moignent d une pens e duca tive largement st rilis e qui ne sait jouer qu une pi ce reproduction inlassable de ce qui n a pas march d un c t exal tation du mod le bureaucratique et tay loris de l autre les nu es s accumulent Lors du congr s de l UNSA Montpellier en avril dernier Luc B rille son secr taire g n ral est revenu sur l actualit poli tique La position continue de l UNSA est que le monde syndical n a pas inter f rer avec le monde politique mais il est bien difficile d en ignorer les implications d autant que rappelait il la mont e du FN n est pas neutre car il ne s agit pas d une force politique comme une autre Certes les sulfureuses imprudences tactiques ins pir es par Patrick Buisson l occasion de l lection pr sidentielle de 2012 ont transform l extr me droite en extr mit de la droite certes les dirigeants actuels du FN le couvrent d un vernis nationaliste et populiste qui n est pas un d lit mais tout cela ne doit pas faire oublier un subs trat toujours pr sent et jamais reni qui re monte de temps autre la surface Luc B rille a ainsi repris les positions de ce groupe politique en mati re de dialogue social qui font effectivement plus pense
77. dmiration Acces Secretarial econ E des Technologia A kopioi Wie LE Glam ka liso eakon Reidoman te moin uvre du projet d tablisse ment des exp rimentations men es par l tablissement et des objectifs du contrat La collectivit peut intervenir dans certains domaines du catifs ou p dagogiques et elle valuera au m me chelon que l autorit acad mique Ce contrat tripartite peut donc permettre aux collectivit s d imposer aux tablissements leurs objectifs propres mais aussi leurs crit res d valua tion de l tablissement du chef d tablissement Le contrat d objectifs tri partite n est pas un contrat de moyens et il n a pas non plus vocation int grer les modifications de la carte des formations Toutefois les m canismes d attribution de res sources l EPLE par l tat et la collectivit de rattachement ainsi que les proc dures de r vision de ces m canismes y sont pr cis s L esprit de cette contractualisa tion est qu il appartient l EPLE de mobiliser tous les moyens dont il dispose afin d atteindre les objectifs du contrat tripar tite Ce principe implique ce pendant que l tablissement ait effectivement la possibilit de faire des choix dans l uti lisation de ces moyens sur la base de dotations globalis es qui lui laissent une marge de man uvre fondement de l autonomie de l tablis sement Ainsi l attribution de moyens s
78. du syndicat els de direction ale SNPDEN UNSA tre une pr occupation de chaque instance du syndicat Les retrait s ont une repr sentation sp cifique LES FEMMES ET LES HOMMES ET LEUR REPR SENTATION Article R Dans les instances syndi cales et les repr sentations syndicales lues d parte mentales acad miques et nationales il est pr vu une participation homme femme au plus pr s proportionnelle leur nombre au niveau consid r RESPECT DE LA REPR SENTATION Article R7 La d l gation acad mique aux instances nationales qui ne remplirait pas ces condi tions de repr sentativit ver ra sur d cision de la CNC et apr s alerte son nombre de d l gu s r duit jusqu revenir une repr sentation conforme aux articles R5 et R Article R8 La CNC pr sentera annuel lement devant la conf rence nationale et le CSN un bilan de la repr sentation dans les instances SECTION II LES INSTANCES LOCALES A LA SECTION D PARTEMENTALE Article R9 Le r glement int rieur de chaque section d partemen tale fixe en conformit avec les articles R5 et R le nombre de membres composant le bu reau d partemental Au moment de l lection toutes les cat gories et dans la mesure du possible tous les emplois d finis l article R5 doivent tre repr sent s L lection du bureau d par temental s effectue au scrutin plurinominal un tour En cas de d part ou d
79. e on peut lire sur le site Educa tion et territoires que le d par tement s est appuy sur des outils op rationnels comme la fiche d identit du coll ge partir de ratios et d indicateurs permettant de le situer de ma ni re quantitative et objective y compris par rapport des moyennes d partementales Des questions se posent e l tablissement convention n doit il entrer en comp tition avec d autres sur la base des crit res d valua tion du d partement ou de la r gion e un droit de regard sur les enseignements ou les acti vit s scolaires est il accor d au d partement e la libert p dagogique ou les choix p dagogiques des quipes et du chef sont ils respect s et pr serv s e les financements orientent ils les projets p dago giques ou ducatifs 2 e la plupart des objectifs et des indicateurs de perfor mances concern s par les comp tences propres de l tat risquentils de pas ser progressivement aux collectivit s La circulaire 2015 004 peut sembler rassurante en parlant d un cadrage mais que dit exactement ce texte Un document de cadrage pr alable aux contrats tripartites En amont de la signature des contrats tripartites les autorit s acad miques et les collectivi t s territoriales sont invit es expliciter dans un document de cadrage les domaines sur lesquels elles interviendront conviendra en effet de d ter miner quell
80. e us Direction 227 mai 2015 75 Nos peines Nous avons appris avec peine le d c s de Jean Jacques LOCHKOMOIEFF principal honoraire du coll ge Descartes Tremblay en France acad mie de Cr teil Lucien PONSOT principal honoraire du coll ge Marcel Aym CHAUSSIN acad mie de Besan on ric TROQUET proviseur du lyc e Masaryk VOUZIERS acad mie de Reims Nous nous associons au deuil des familles
81. e d mission d un membre du bureau il est proc d son renouvellement selon les modalit s fix es par le r gle ment int rieur d partemental Le bureau d partemental se r unit une fr quence fix e par les r glements int rieurs La section d partementale tient des assembl es g n rales d partementales sur convocation du secr taire d partemental ou d une ma jorit des membres du bu reau d partemental L ordre du jour tabli par le bureau d partemental doit tre adress en m me temps que la convocation tous les adh rents quinze jours au moins avant la date de r union ordinaire Ce d lai peut tre r duit deux jours en cas de convocation d une r union extraordinaire Le compte rendu des s ances est port la connaissance de tous les adh rents du d partement Les textes ou motions vot s peuvent tre repris par le conseil syndical acad mique CSA et transmis au conseil syndical national CSN ou pr sent s et mis en d bat l assembl e g n rale acad mique qui les transmettra en vue du congr s ou du CSN sous forme de synth se des r flexions de plusieurs sec tions d partementales d une m me acad mie LA SECTION ACAD MIQUE Article R10 La section acad mique adopte son r glement int rieur en assembl e g n rale acad mique AGA Le r glement int rieur orga nise les modalit s de fonc tionnement de ses instances L ordre du jour
82. e devoirs ayant pour finalit l int r t de l enfant Elle appartient aux parents jusqu la majorit ou l manci pation de l enfant pour le prot ger dans sa s curit sa sant et sa moralit pour assurer son ducation et permettre son d veloppement dans le respect d sa personne Les parents associent l enfant aux d cisions qui le concernent selon son ge et son degr de maturit Le guide ajoute il ressort de ce qui pr c de que ce sont d abord les parents qui doivent tre inform s afin de se rendre ventuellement aux urgences Si la responsabilit des repr sentants l gaux est r glementairement d finie celle du chef d tablissement l est d une toute autre fa on Qu il soit rig comme responsable de la s curit des personnes dans son tablissement ne souffre aucun doute En revanche la formulation suivante du guide est abusive cependant les l ves internes sont sous la responsabili t du chef d tablissement pendant toute la dur e du s jour dans l tablissement c est donc lui que revient la respon sabilit de s assurer qu un adulte qu il aura missionn cet effet accompagne l l ve en cas de besoin notamment si les services d urgence et ou l tablisse ment d hospitalisation le demandent de d signer la personne qui devra r cu p rer le jeune la sortie de la structure de soins afin de garantir au mieux la s curit de tous dans l tablisse
83. e est r unie en assembl e g n rale acad mique AGA qui a pour mission d informer les adh rents sur la vie du syndicat ses actions en cours ou venir de d finir les mandats du conseil syndical acad mique CSA et d en ap pr cier les r sultats de proposer des textes ou motions des conclusions aux questions mises l tude par l ex cutif syn dical national ESN afin qu ils soient repris et tu di s par le congr s ou le conseil syndical national CSN l assembl e g n rale aca d mique vote le r glement int rieur organisant la vie syndicale dans l acad mie lequel doit tre en conformit avec les statuts du SNPDEN et le r gle ment int rieur national LE CONSEIL SYNDICAL ACADEMIQUE CSA Article S20 Le conseil syndical aca d mique comprend dans le respect des principes g n raux de repr sen tativit d finis l article S14 les membres de droit secr taires d partemen taux membres de l ex cutif syndical national commissaires paritaires nationaux exer ant dans l acad mie membres de droit du CSN com missaires paritaires aca d miques membres du CTA les membres lus par les sections d partemen tales les membres lus par la section acad mique Article 21 Le CSA lit notamment en son sein le secr taire acad mique et son ou ses adjoint s le tr sorier acad mique et ventuellement son ad joint les d l gu s titula
84. e et une connaissance fine des demandes de mutation la frustration de n avoir pu trouver une solution aux demandes non abouties 26 Direction 227 mai 2015 Carri re VALENTINE CONRAUX Tout dans la CAPN est impressionnant Une grande salle rectangulaire est pr par e au minist re Deux tr s longues tables se font face Tous les dossiers des demandes des coll gues class s rigoureusement attendent d tre sortis et consult s Les quarante acteurs de ce moment se font face D un c t le mi nist re avec en son centre le directeur de l encadrement des recteurs des DASEN ou SG et derri re les techni ciens qui ont travaill sur le mouvement De l autre les repr sentants syndicaux Enorme poids du SNPDEN Les seize repr sentants dont je suis s alignent Voil nous y sommes Grosse pression D fendre les coll gues Ne pas flancher Ce sont des carri res des tournants de vie dont il s agit La CAPN commence et progressivement l ambiance se d tend tout en restant extr mement cod e et formelle Agr able constatation les services de la centrale ont un extr me souci des personnels et connaissent les cas particuliers et des hommes et des tablissements en question Une fois la CAPN termin e les r sultats v rifi s encore une derni re fois sont envoy s La pression retombe Premi re CAPN termin e D attaque pour la deuxi me SUSANNA DEUTSCH Pr parer une premi re CAPN c est
85. e femmes chefs d tablissement de 4 cat gorie contre 24 d hommes alors qu elles sont 34 sur des 2 cat gories contre 29 d hommes Le dernier bilan social de l enseignement scolaire est t l chargeable sur le site du minist re dans l espace statistiques puis rubrique publications Celui concernant sp cifiquement les personnels de direction pour 2014 n a pas encore t publi DES MESURES POUR VITER LE CONTOURNEMENT DE LA CARTE SCOLAIRE l issue du comit interminist riel sur l galit et la citoyennet du 6 mars dernier la ministre de l ducation nationale a annonc des mesures pour limiter le contourne ment de la carte scolaire et favoriser la mixit sociale dans les tablissements 1 Pour viter notamment le stratag me bien connu du choix d un enseigne ment optionnel rare non dispens dans l tablissement de secteur le minist re va d velopper avec le centre national d enseignement distance CNED des enseignements optionnels accessibles en ligne via une plateforme de ressources p dagogiques et une application mo bile Ce service gratuit qui pourra tre 14 Direction 227 mai 2015 Actualit s ZOOM SUR LA SESSION 2014 DU BREVET DES COLLEGES La note d information de la DEPP de mars 2015 qui fait un bilan de cette session confirme les mauvaises performances en math matiques des l ves fran ais d j soulign es par l enqu te PISA 2013 25 pos
86. e la grande table de France Culture sur le nouveau socle Michel Lussault pr sident du Conseil sup rieur des programmes CSP Et en voil une bonne question qui rap pelle aux hommes politiques aux cadres du minist re la terrible question de la mise en uvre Car enfin c est peut tre cela le probl me de la gouvernance du syst me ducatif fran ais aujourd hui penser des lois et des r formes sans d crire en parall le la faisa bilit et les modalit s de la mise en uvre Le minist re a choisi d apr s Michel Lus sault de refonder l cole partir d une r flexion sur les contenus pour engager un mouvement de changements de pratiques et permettre tous de s approprier cette vaste question que doivent savoir les l ves l issue de la scolarit obligatoire Formidable cela tombe bien le SNPDEN syndicat r formiste et producteur d id es partage cette vision et propose depuis plu sieurs ann es travers diff rentes motions des architectures des organisations des volutions qui permettraient d atteindre cet objectif le nouveau socle s articule autour de 5 grands domaines transversaux il serait le programme des programmes Mais alors m me que les nouveaux programmes ne sont pas publi s la r forme du coll ge s an nonce avec des contenus qui affichent des intentions sans d cliner de mise en uvre Et pourtant l exp rience acquise les vo lutions autour de l val
87. e les faire conna tre aux en fants gar s de la R publique Le r le de l cole est primordial fournir aux citoyens en devenir les savoirs qui leur permettront de surmonter les pr jug s et faux semblants de l opinion imm diate L cole ne doit pas renoncer couvrir tous les champs du savoir du question nement scientifique et p dagogique mais aucun l ve ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester un enseignant le droit de traiter une question du programme Il faut promouvoir de mani re contrai gnante la mixit scolaire et sociale dans les tablissements publics et priv s sous contrat Nous le savons les coles ghet tos cr ent des dynamiques n gatives d apprentissage La la cit est plus que jamais un combat prioritaire Alain Seksig ancien membre du Haut Conseil l int gration a abord l apr s midi les questions de la la cit l cole revenant sur l histoire contempo raine et les probl mes survenus dans les ann es 1980 partir d exemples tr s pr cis il est revenu sur les moments cl s de ces tapes qui ont conduit la n cessit d une loi rappelant que dans les ann es 1970 on ne parlait pas de la cit dans les coles car le principe al lait de soi m me si quelques reculs des ann es 1960 laissaient un go t amer Les d bats en fin de demi journ es furent fructueux les questions pr cises et per tinentes Nous esp rons avoir apport
88. e sera la part d ini tiatives de la collectivit territo riale sur le contenu des contrats tribune d objectifs et sur leur actualisa tion Ce document contribuera galement fixer les modalit s d valuation du contrat par les autorit s acad miques et les collectivit s territoriales Avec ce texte de cadrage pr alable pr voyant les do maines d intervention abor d s par la convention il n y aura pas le m me traitement de ces conventions selon les endroits selon les forces en pr sence et donc in galit de nos tablissements sur le territoire national Plus loin dans la circulaire toujours sur l valuation Il est recommand que le contrat soit conclu pour une p riode de 4 ans et qu il puisse tre actualis mi parcours si n cessaire Des indicateurs permettant d appr cier la r alisation des objectifs seront mentionn s dans le contrat ils pourront tre extraits par exemple de l outil APAE aide au pi lotage et l auto valuation des tablissements ou encore des bases de donn es de la collectivit Le rapport annuel sur le fonc tionnement p dagogique de l tablissement art L 421 4 contribue mesurer annuel lement les r sultats obtenus et les objectifs atteints ou qui restent atteindre au regard du projet d tablissement contribue ainsi l actualisa tion du contrat d objectifs En effet ce rapport rend compte notamment de la mise en E a
89. ection depuis 1999 Il exerce dans l acad mie de lyon comme principal ad joint d un coll ge ZEP puis principal d un coll ge de centre ville avec une classe relais Depuis 2008 il est proviseur du LPO Arbez Carme Bellignat Ain ly c e des m tiers et campus des m tiers et des qualifica tions des outillages et de la plasturgie qui comprend un LGT une SEP une MLDS des UFA et un GRETA ll a exerc des fonctions syndicales au SNPDEN comme membre du Bureau d partemental de l Ain du CSA de l acad mie de Lyon et du CSN Commis saire paritaire acad mique 5 mandat il a t commis saire paritaire national de 2005 2008 Il est membre du BN depuis 2009 au sein de la commission Education amp p dagogie JO L LAMOISE Ancien professeur de ma th matiques Jo l Lamoise apr s avoir d but dans la carri re en 2001 comme proviseur adjoint d un lyc e g n ral et technologique devient en 2007 proviseur d un lyc e professionnel Nancy Il est depuis 2011 proviseur d un lyc e poly valent Epinal Adh rent au SNPDEN d s son entr e dans la fonction membre du CSA et du bureau aca d mique il est depuis le congr s de Toulon en 2004 membre du bureau national s investissant plus particuli rement dans les travaux de la commission M tier JULIEN MARAVAL Journaliste et historien de formation Julien Maraval a enseign dans l acad mie de Paris puis de Ver
90. ection et 89 d entre eux sont ou ont t chefs d tablissement adjoints durant 8 ans en moyenne D autre part 96 des candidats ont une exp rience du coll ge o ils ont exerc presque 12 ans en moyenne 89 en lyc e o ils ont exerc 11 ans en moyenne 67 des candidats ont galement une exp rience de l enseignement professionnel 60 de la formation continue 67 du post baccalaur at 71 de l ensei gnement adapt Cette diversification des exp riences individuelles refl te l aussi l enrichissement de nos parcours professionnels La liste pr sent e est majoritairement issue 21 candidats sur les 28 de celle laquelle vous aviez accord votre confiance au congr s de Lille mais se caract rise aussi par un tr s fort ancrage dans le militantisme local En effet la plupart des candidats ont une importante exp rience des res ponsabilit s syndicales acad miques ou d partementales 67 ont t ou sont membres du bureau d partemental depuis 9 ans en moyenne 54 sont ou ont t SD 100 du CSA depuis 11 ans en moyenne 16 ont t SA et 67 ont exerc un mandat de com missaire paritaire acad mique durant 6 ans en moyenne Une liste qui retl te a diversit de notre syndicat PHILIPPE TOURNIER Historien de formation Philippe Tournier a enseign dans les acad mies de Cr teil puis de Lille Personnel de direction depuis 1988 il a t proviseur adjoint principal d un coll
91. emps de d charge comme le plaident cer 4 A tains syndicats d enseignants V Q e Car enfin il est toujours plus facile d ob tenir des consensus sur des textes p da gogiques qui d clinent des objectifs du catifs larges affichent les valeurs de la R publique proposent une ouverture sur le monde Et pourtant les personnels de direction qui organisent le programme annuel de travail au sein des tablissements les r unions de concertation les emplois du temps des l ves des enseignants qui changent avec les parents et les collec tivit s territoriales savent bien que toutes ces r formes n cessitent du temps com mun de travail des red finitions de mis sions l mergence de nouveaux m tiers du courage politique Les v nements du 7 janvier nous rap pellent l urgence de la mise en uvre de ces volutions les derni res lections nous disent quel point l exclusion so ciale et scolaire fragilise la R publique Le vivre ensemble redevient un ob jectif premier ainsi que la ma trise de la langue fran aise la compr hension du monde qui nous entoure la pr vention des risques le d bat la co ducation Le sursaut r publicain du 11 janvier et la prise de conscience collective de l ur gence ne suffiront pas pour mobiliser les quipes et enclencher des changements A DS LD significatifs de pratiques p dagogiques NS di et il semble que le minist re m connaisse l th A
92. ensuite fonction de principale adjointe dans deux coll ges des Hauts de Seine Personnel de di rection depuis 2000 elle a t proviseure adjointe de lyc e professionnel principale adjointe de col l ge puis proviseure de LP dans l acad mie de Paris et proviseure du LGT Colbert dans le 10 arrondissement avant de devenir proviseure du coll ge lyc e Voltaire dans le 11 arrondissement la rentr e 2014 Adh rente du SNPDEN depuis 2002 membre du CSA de puis 2005 elle a exerc les fonctions de commissaire paritaire acad mique et a t lue au Bureau national en 2009 PATRICK CAMBIER Historien de formation sur veillant d externat profes seur 1974 1983 conseiller en formation continue au GRETA Roubaix Tourcoing puis la DAFCO de Lille 1983 1991 Patrick Cam bier exerce les fonctions de personnel de direction de puis septembre 1991 Il a t successivement principal adjoint et principal Rou baix Hem coll ges class s ZEP Villeneuve d Ascq col l ge d int gration de handi cap s moteur puis proviseur de l unit p dagogique r gionale lyc e p nitentiaire de Lille puis de Marseille Pa trick Cambier a t pendant 13 ans membre du CSA de Lille et du CSN commission p dagogie puis vie syndi cale ll a exerc la fonction de secr taire permanent au si ge du SNPDEN de 2009 2012 Il a t lu au Bureau national en 2012 congr s de Lille assuran
93. entralisa tion seraient des innovateurs soucieux d accorder une part plus grande au dialogue et aux r alit s locales Certes tout centralis tout le temps n est pas ce que nous souhai tons pour le bien de l cole Mais on peut tre attach l laboration de choix p dagogiques et ducatifs conformes aux besoins et in t r ts de nos tablissements avec leurs particularit s et particularismes tout en vou lant pr server la place fonda mentale et centrale de l tat rassembleur et garant des valeurs r publicaines O Lyon mise au point avec le conseil r gional Rh ne Alpes Dans un contexte continue de d gradation des relations entre personnels de direction et services du conseil r gional le SNPDEN UNSA Lyon et le SNPDEN UNSA Grenoble ont exprim leur m contentement l occasion de la journ e annuelle des proviseurs de lyc e DES RELATIONS DIFFICILES La grogne montait depuis un certain temps parmi nos coll gues proviseures et pro viseurs Les relations parfois difficiles avec des services qui pouvaient se montrer particuli rement hautains et suffisants ont principalement cristallis ce m contentement l absence de dialogue concret et r gulier notamment sur les questions li es la gestion des ressources humaines n a fait qu accentuer le ressenti en berne des coll gues Le dialogue social c est aussi du symbole Le refus poli du pr sident du conseil r gio nal Jean Ja
94. ercie l ensemble des membres et cl t la com mission Les vapoteurs peuvent faire sortir la fum e blanche et apr s une derni re v rification minutieuse nous envoyons le r capitulatif du mouvement par acad mie sur le site Le t l phone commence sonner Je fais le point avec les coordonnateurs de CAPA puis avec les secr taires aca d miques de mes acad mies Le conclave est termin Il va maintenant falloir expliquer rassurer parfois r con forter les coll gues d us l gitimement Nous rentrons alors au si ge pour le dernier d briefing et finaliser les diff rents documents J adresse un petit mot aux coll gues qui ont obtenu leur mutation C est un mo ment plaisant Puis avant de se quitter on anticipe le calendrier les commissions disci plinaires venir le congr s et la pro chaine CAPN fin mai Les prochaines semaines seront charg es Apr s jours ensemble nous retour nons chacun dans notre acad mie puis s par cette semaine intense mais riches de cette exp rience collective et satisfaits du travail accompli C tait ma premi re CAPN et obser vant la campagne qui d file la vitesse du TGV je prends la mesure de cette belle responsabilit LI Carri re Direction 227 mai 2015 29 30 Direction 227 mai 2015 M tier Mais comment cela se traduit dans es emplois du temps Telle tait une question d Antoine Mercier journaliste lors d
95. erminerons par deux ques tions diverses e qu en est il du r gime indemnitaire des personnels de direction en REP et REP e une date est elle pr vue pour une r union classement des tablisse ments avant une descente dans les acad mies puis lors des remont es le calendrier tant d j tr s contraint Au nom du SNPDEN UNSA et de tous les coll gues je vous remercie pour votre coute et je nous souhaite des changes constructifs Carri re Direction 227 mai 2015 25 lt la premi re des nouvea commissaires paritaires nati Laurent Bouillin Valentine Conraux Susanna Deutsch Djamila Lasri Aurore M t nier J r me Naime et Val rie Neumann participent en cette fin mars 2015 leur premi re commission admi nistrative paritaire nationale CAPN qui statue sur le mouvement des chefs d tablissement Ils ont accept de nous livrer leurs premi res impressions LAURENT BOUILLIN En quelques mots et chaud deux heures apr s la fin de la CAPN l accompagnement bienveillant et la tr s grande disponibilit des commis saires chevronn s vis vis des NOUVEAUX le souhait permanent de tous les com missaires de comprendre et tenter de trouver une solution aux attentes des adh rents le grand professionnalisme et la grande connaissance des dossiers par tous les membres de la CAPN la tr s forte repr sentativit du SNPDEN qui permet un mail lage important du territoir
96. ers la structure de soins appropri e Les coordonn es de chacun des repr sentants l gaux des l ves internes sont retrac es pour chacun d entre eux dans le registre de l internat ou selon tout autre document consultable l internat La prise en charge par la structure hospitali re d accueil Le Code de la sant publique R 4127 42 pr cise Un m decin appel donner des soins un majeur prot g doit s efforcer de pr venir ses parents ou son repr sentant l gal et d obtenir leur consente ment En cas d urgence m me si ceux ci ne peuvent tre joints le m decin doit donner les soins n cessaires Si l avis de l int ress peut tre recueilli le m decin doit en tenir compte dans toute la me sure du possible La loi du 4 mars 2002 pour l information des usagers du syst me de sant et expression de leur volont Toute personne a le droit d tre infor m e sur son tat de sant Cette informa tion porte sur diff rentes investigations traitements ou actions de pr vention qui sont propos s leurs cons quences les risques pr visibles qu ils comportent Cette information incombe tout pro fessionnel de sant dans le cadre de ses comp tences et dans le respect des r gles professionnelles qui lui sont applicables Seules l urgence ou l impossibilit d infor mer peuvent l en dispenser Cette informa tion est d livr e au cours d un entretien individuel En c
97. es l assem bl e g n rale acad mique e Par d rogation aux articles S20 S23 des statuts le bu reau d partemental assure les fonctions d volues au conseil syndical acad mique Par d rogation l article S24 des statuts la repr sen tation au conseil syndical national est assur e par le secr taire acad mique e Par d rogation l article S28 des statuts la d l ga tion au congr s comprend le secr taire acad mique le secr taire acad mique adjoint un d l gu actif ou retrait un d l gu suppl mentaire partir de 51 adh rents et par tranche de 50 de 51 100 1 d l gu de 101 150 1 d l gu etc e Par d rogation l article R11 du r glement int rieur le bureau d partemental as sure le r le d volu au secr tariat acad mique C DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTIONS DANS LES COMMUNAUT S D OUTREMER ET AUTRES COLLECTIVIT S Article R38 Dispositions applicables aux sections d outre mer e les responsables des sec tions d outre mer assurent la repr sentation du syndicat aupr s des autorit s hi rar chiques et des autorit s lo cales dans les m mes condi tions que les secr taires d partementaux e le r glement int rieur de chaque section d termi nera les conditions dans lesquelles les adh rents peuvent participer au d bat et l tude des questions propos es par l ex cutif syn dical national e ll ap
98. es de principale adjointe elle a t proviseure ad jointe Cannes puis prin cipale Grasse Membre du SNPDEN depuis 2002 Membre du CSA depuis six ans elle est membre du BN depuis le congr s de Lille dans la commission Educa tion amp p dagogie 5 E gt sil a a 3 i i 1 4 m s JEAN MARC PHILIPPE Jean Marc Philippe a enseign les lettres clas siques dans les acad mies d Amiens de Cr teil et d Aix Marseille avant de passer le concours de personnel de direction en 2001 Principal adjoint Marignane puis proviseur adjoint au lyc e Jean Per rin Marseille il est provi seur du lyc e professionnel Blaise Pascal depuis 2009 Marseille Adh rent du SNPDEN depuis 2001 membre du CSA depuis 2003 et du CSN il a t secr taire d partemental des Bouches du Rh ne de 2003 2008 et commis saire acad mique Il est membre du BN la com mission Carri re depuis le congr s de Biarritz VAL RIE QU RIC Actuellement proviseure ad jointe d un lyc e de l Oise apr s un poste de princi pale adjointe dans l aca d mie d Amiens suite au concours obtenu en 2009 Val rie Qu ric a d abord t professeure certifi e d histoire g ographie pen dant 15 ans Durant cette p riode elle s engage dans le militantisme syndical au sein du SE UNSA en quali t de commissaire paritaire acad mique et nationale ainsi que de l UNSA Educa tion en tant que secr taire
99. es ne pourra tre pronon c e que par un congr s extraordinaire convoqu sur ce seul ordre du jour la majorit des deux tiers des suffrages expri m s e le vote sur une propo sition de dissolution ne pourra intervenir que si cette proposition a t pr sent e conform ment a l article S32 SECTION V DISPOSITION TRANSITOIRE ET FINALE Article 54 e Les pr sents statuts s ap pliquent dans leur tota lit d s la fin du vote du congr s ordinaire de 2015 Le bureau national lu devient Ex cutif Syn dical National ESN O Statuts Direction 227 mai 2015 55 Proposition de r gleme national des personn de l ducation nation TITRE PREMIER PRINCIPES G N RAUX Article R1 e Le si ge du SNPDEN est fix Paris 21 rue B ranger 750083 e peut tre d plac sur pro position de l ex cutif natio nal par d cision du conseil syndical national TITRE DEUXI ME DES ADH RENTS Article R2 e Les dates d ouverture et de fermeture des campagnes d adh sion sont fix es res pectivement au 1 mai et au 30 avril e Du 1 mai au 31 ao t l ad h sion prend effet imm dia tement et est valable pour toute l ann e scolaire sui vante e A compter du 1 septembre l adh sion est valable pour l ann e scolaire en cours e Les droits et services atta ch s cette adh sion sont interrompus au plus tard 3 mois apr s la rentr e sco laire suivante La radiat
100. es du 19 mars dernier Najat Vallaud Belkacem a rappel la d cision du gouvernement d engager partir de la rentr e 2016 la g n ralisa tion du num rique et de ses usages p dagogiques dans l ducation avec une priorit accord e au niveau du coll ge Cette g n ralisation s appuie sur un grand plan num rique annonc de puis plusieurs mois par le pr sident de la R publique et dont les orientations d finitives devraient enfin tre connues ce mois ci Elles prendront notamment en compte la synth se de la concerta tion nationale qui a permis d associer du 20 janvier au 9 mars 2015 tous les acteurs concern s D ores et d j un appel projets a t lanc pour s lectionner 300 coles et 300 coll ges dont de droit les 72 LA R FORME DU COLL GE ENFIN SUR LES RAILS 2 On peut en douter car depuis vingt cinq ans les tentatives de le r former ont t nombreuses sans parvenir donner les r sultats escompt s et les valuations nationales et internationales sont sans appel le coll ge aggrave la difficul t scolaire Il ne garantit toujours pas l acquisition des connaissances de base il est trop uniforme pas adapt la diversit des l ves et inadapt leur volution et celle de la soci t souligne le dossier de presse du minist re pr sentant les grands axes de r forme qui doivent entrer en vigueur la rentr e scolaire 2016 La
101. es du CSN l ex cutif syndical national en fixera les modalit s B LE CONGR S Article R17 1 Les dates la dur e et le lieu du congr s sont fix s par l ex cutif syndical national 2 Le nombre des d l gu s sup pl mentaires lus par chaque section acad mique est de 1 d l gu par fraction de 100 ad h rents au 30 avril de l ann e scolaire pr c dente Pour les acad mies de Corse Guyane Guadeloupe Marti nique La R union et le d par tement de Mayotte la repr sen tation est conforme aux articles R36 et R37 L lection a lieu bulletin secret d pos pendant l assembl e g n rale acad mique ou envoy par correspondance par les ad h rents emp ch s Elle est organis e au scrutin plu rinominal un tour Les votes sont d pouill s sous le contr le de l assembl e g n rale acad mique La composition de la d l gation est conforme aux articles R5 et R 3 Les th mes d tude du congr s sont arr t s par le conseil syndical national sur proposition de l ex cutif syndical national Ces th mes sont approfondis par des commissions d tude qui correspondent aux secteurs d activit du syndicat Chaque commission d signe son pr sident en son sein 4 Les votes sur le rapport d ac tivit et le rapport financier sont organis s par correspondance Les pr sents l assembl e g n rale acad mique peuvent voter en d but de s ance Les votes sont d
102. es images la d l gation de Strasbourg avec ce coll gue qui avait oubli sa valise chez lui et qui cha cun donna ou pr ta quelques affaires le magnifique ensemble architectural et cette salle du conclave troite tout en longueur dans laquelle assis on voit les coll gues en face mais pas la tribune ni les orateurs sauf attraper un torticolis et profitant de n tre pas sous les regards des responsables ces tentations de faire des blagues ceux d en face surtout les endormis l Mais aussi et surtout un congr s en noir et blanc le num ro 188 d avril mai 1990 n est pas en couleurs avec tr s peu de femmes et beaucoup de barbus Une autre poque quoi D butant dans les fonctions et simple invit ce congr s je mesure au jourd hui 25 ans apr s ce que je dois aux coll gues qui m ont alors form par leur professionnalisme leur militan tisme et que sans pouvoir tous les nom mer je remercie collectivement Revenir Avignon en pensant tous ces coll gues dont beaucoup aujourd hui sont retir s ou nous ont quitt s sera donc un plaisant v nement bon congr s 2015 toutes et tous L Patrick FALCONNIER 1 Toutes les citations sont tir es des rapports du congr s 2 Lib ration titrait Les outils mortels de l apprentissage m canique les 21 et 22 avril 1990 l occasion du pas sage devant le tribunal de l Eure d un coll gue de lyc e professionnel
103. es profondes trans formations des conditions de travail des personnels de direction et leur tr s net alourdissement et fort logiquement que toute t che suppl mentaire exa mens jurys divers ait une r mun ration sp cifique Sont galement deman d s une am lioration du classement des tablissements et que la gestion du sta ARE ee 20h Daa erro tut promotion cr ation d un bar me notation clause de mobilit soit une priorit pour l obtention d une chelle unique de r mun rations Pourtant au del des constantes syndi cales les temps ne sont pas simples et apr s des actions qui avaient abouti au statut de 1988 et ses r elles avan c es certaines r gionales manifestent des doutes et des m contentements d autres regrettent le d ficit d infor mation du bureau national une majo rit approuvant au final le rapport d ac tivit s du bureau national Et quand il conclut le congr s Edmond Benayoun peut dire Apr s la temp te le calme Comme dans la nature Comme dans la vie La temp te ce fut l action ses r sultats leur appr ciation controver s e Le calme c est la s ance de travail d aujourd hui c est la s r nit retrouv e le s rieux et la gravit des d cisions des r flexions qui engagent l avenir Y Alors au del du s rieux des d bats que retient de ce congr s sans por tables sans internet un jeune col l gue D
104. estion de la la cit bien que le SNPDEN ait tou jours t pr sent sur ce dossier depuis 2004 en ne le r duisant pas en par ticulier depuis les mandats du congr s de Biarritz en 2009 aux seules ques tions aujourd hui sans solution poli tique pr visible de l Alsace Moselle ou de l existence d un enseignement priv sous contrat Les tentatives quotidiennes d atteinte la la cit dans les tablisse ments publics sont devenues une r alit que l emballement autour des incidents au sujet de la minute de silence a mis ji E en avant le GOVAL groupe d obser vation de vigilance et d action au sujet de la la cit s est ainsi r uni pour faire un bilan de ces attaques r p t es Ces difficult s nous n avons jamais cess de le dire sont d abord celle de la poli tique h sitante de l tat qui se comporte trop souvent comme un la c honteux C est typiquement le cas quant au port des signes religieux par les accompa gnateurs o les r centes d clarations minist rielles ajoutent de la confusion une attitude d j paradoxale ou encore quand le minist re lui m me susurre que la loi de 2004 ne devrait pas s appli quer aux l ves sur leurs lieux de stage La multiplication des revendications plus identitaires que religieuses prend racine dans le lourd probl me qui est devenu de d rive en d rive l indiff rence des d cideurs politiques sauf quand il s agit de l instrumentaliser aux
105. ex cutif syndical natio nal met en uvre tous les moyens de communica tion et d changes pour une information rapide efficace et r ciproque entre les instances et avec les adh rents Article 48 e Dans le m me esprit de communication et d changes chaque ins tance syndicale locale or ganise son niveau l infor mation de ses adh rents TITRE SIXI ME DISPOSITIONS DIVERSES SECTION I DISPOSITIONS PARTICULI RES Article 49 e les dispositions particu li res d rogatoires aux pr sents statuts y com pris le mode de repr sentation au CSN et au congr s applicables la Corse aux d partements et r gion d outre mer Guadeloupe Guyane Martinique Mayotte et La R union aux autres collectivit s Nouvelle Ca l donie Polyn sie Fran aise et aux adh rents d tach s et ou en poste l tranger sont fix es par le r glement int rieur national Article S50 e Dans les r gions regrou pant plusieurs acad mies une instance de concertation est obliga toirement constitu e e Elle assure la repr senta tion du syndicat aupr s des collectivit s territo riales et des diverses ins tances et organismes r gionaux en lieu et place des conseils syndicaux acad miques concern s e Chaque secr taire aca d mique rend compte devant son conseil syn dical acad mique des d cisions que l instance de concertation a t ventuellement amen e prendre e En c
106. f du bulletin le SG peut apr s consulta tion de l ex cutif syndical national d signer d autres charg s de missions Article 38 Sur proposition du secr taire g n ral l ex cutif syndical national peut associer des membres adh rents ses ac tivit s sans voix d lib rative E LA COMMISSION NATIONALE DE CONTR LE CNC Article 39 54 La commission nationale de contr le comprend six membres lus sur la base de la parit femme homme par le congr s r uni en session ordi naire selon le mode de d signation fix par le RI La fonction de membre de la CNC est incom patible avec toute fonc tion ex cutive nationale ou acad mique tel que pr vu par le r glement int rieur Les membres de la CNC ne participent aux tra vaux du CSN et du congr s qu ce titre et sans droit de vote Article 40 a b Direction 227 mai 2015 Statuts La commission nationale de contr le est charg e son initiative du contr le et de la bonne application des statuts et du r glement in t rieur nationaux de la v rification de la conformit du r glement int rieur de chaque sec tion acad mique et de chaque section d parte mentale par rapport aux statuts et r glement int rieur nationaux de l alerte de l ex cutif syndical national sur tout sujet concernant les statuts et r glements int rieurs na tionaux et acad miques de l alerte de tout conseil syndica
107. fuser toute demande du service d urgence de fournir un accompagnant de l l ve malade Le r le du chef d tablissement ou de son repr sentant responsable de la s curit des l ves internes n est pas d ex cuter l ordre du service mobile d urgence mais d appr cier la situation dans son ensemble et de veiller au meil leur encadrement de l ensemble des l ves pr sents l internat dont il a la pleine responsabilit LI Ouvrages parus 20 SITUATIONS R ELLES DE VIE SCOLAIRE ANALYS ES ET COMMENT ES Hachette ducation Jean Pierre Obin et Chantal Daux Garcia d cembre 2014 270 pages Rare dra Mic jour AA A 20 situations vie scolaire Eenriganata purzmmnte etosa n 1 Be Prez lies IPRC dd prep OEE EL CHENE Nouvelle dition mise jour de ce livre la fois manuel d au toformation du droit de la vie scolaire ressource pour les for mateurs et outil de pr paration aux concours de recrutement des enseignants des CPE et des per sonnels de direction Les auteurs analysent et commentent 20 si tuations professionnelles r elles illustrant les th mes majeurs de la vie scolaire de la conduite de la classe aux relations avec les partenaires de l tablisse ment conflits entre professeurs et l ves relations avec les pa rents utilisation des images et des r seaux sociaux affaires de m urs absent isme des l ves atteintes la la cit actes de vio lence rac
108. gnement l ing nierie et l valua tion de projets au service des tablissements et la mise en uvre d un grand plan de formation initiale et continue des cadres et des enseignants De plus une mission natio nale de d finition et d im pulsion de cette nouvelle politique num rique de l ducation na tionale a t confi e l ancien rec teur Jean Marc Monteil suivre histoire seront ap pliqu s Une volu tion du DNB est ga lement pr vue pour qu il corresponde aux attendus du socle Une deuxi me langue vivante sera enseign e obligatoi rement tous les col l giens d s la classe de 5 Des enseigne ments pratiques interdisciplinaires sont galement pr vus en 5 4 et 3 pour des projets collectifs concrets et d cloi sonner les apprentissages Objectif vis d velopper l expression orale l esprit cr atif le travail en quipe et la participation des coll giens Une uti lisation r guli re de l informatique est galement pr vue et les l ves devront conna tre les principes de base du co dage et ma triser les outils num riques l emploi du temps des coll giens sera construit autour d une pause m ridienne d une heure et demie Il est aussi ques tion de donner de plus grandes marges d initiative aux enseignants avec 20 de leur temps consacr ces nouvelles modalit s d enseignement et organis selon les besoins des l ves et dont la r pa
109. gorie nouvelle qui t moignait du d cloisonne ment des fonctions de direction Et de fait peine tais je arriv qu une journaliste du Monde de l Education m interrogeait sur les laur ats concours surtout pr occup e des relations que pouvait entretenir un adjoint dipl m avec son chef qui l tait moins c tait mon cas certifi pour moi PEGC pour le principal Et son article s intitulera le mois suivant Chef adjoint le couple infernal D j une pr occupation Les pr occupations des coll gues sont souvent les m mes qu aujourd hui et les d bats en t moignent la commis sion fin de carri re et retraite Robert Bourgeois estime que l avenir de nos retraites est menac ll et qu il faudra les d fendre avec la derni re nergie Dans un tr s long rapport la commission gestion quipement an c tre de la commission m tier tudie la gestion des foyers socio ducatifs s inqui te de la d l gation de cr dits des collectivit s aux tablissements pour des travaux se pr occupe d une informatique de gestion d j d pass e et toujours pointilleuse rappelle l Etat et aux collectivit s leur devoir de res pecter les r gles en mati re d hygi ne et de s curit oui d j et conclut sur une analyse juridique de la respon sabilit des personnels de direction la commission p dagogie Marcel Peytavi part de l affaire du foulard is lamique de Creil pour ra
110. ice mais seulement 3 nuits par semaine apporte une estimation du degr de gravit av r e ou potentielle de l atteinte de la per sonne et d cide d alerter le centre de r ception et de r gulation des appels CRRA au 15 l organisation du service arr t e par le chef d tablissement d signe pour chaque nuit e un personnel de service log par n cessit de service lequel est galement alert Le chef d tablisse ment est g n ralement saisi en cas de difficult particuli re d tat critique de la victime l ve 74 Direction 227 mai 2015 Chronique juridique Il appara t souhaitable de sensibiliser les personnels de surveillance et de service sur les modalit s de mise en uvre de la proc dure d vacuation de l l ve et sur la r ponse secouriste de vigilance la plus adapt e sans pour autant d passer le cadre des gestes de premier secours Chacun mesure l cart abyssal qui s pare les pr conisations r glementaires celles qui devraient tre prises celles du guide acad mique et la r alit du terrain ge et inexp rience des sur veillants multiplicit des t ches ac complir bien que d crites dans le pro tocole d urgence stress important sans oublier l inqui tude des autres l ves internes r veill s par surprise et qu il est n cessaire d encadrer de rassurer puis desquels il faut veiller au r endormisse ment Une raison de plus s il le fallait pour re
111. iffre n int grant pas les personnes victimes de la traite des fins d exploitation sexuelle pr sen teraient de tels ant c dents Lydia ADVENIER Bureau national Commission Vie syndicale Membre du GNIES Les psychiatres voquent de graves troubles engendr s par la prostitution et notamment une dissociation psychique et physique 85 des prostitu es auraient t victimes d abus sexuels dans l enfance LA propos de dissociation psychique et physique on parle aussi de processus de d corporalisation pouvez vous nous donner quelques d tails BM On appelle processus de d corpora lisation le processus qui entra ne une mo dification physique et psychique corres pondant au d veloppement de troubles sensitifs affectant le sch ma corporel et engendrant simultan ment un clivage de l image corporelle dont le r sultat final est la perte de l investissement plein et entier de son propre corps par une per sonne Cela a pour cons quence la perte du soin de son corps et de sa sant Ce processus est provoqu par la n cessit de s adapter un contexte d effractions corporelles r p t es et r guli res ou im posant un v cu d instrumentalisation ex tr me du corps de l individu La prostitution est un acte marchand au cours duquel la personne prostitu e subit un acte sexuel non d sir contre de l argent La r p tition de ces actes non d sir s engendre des troubles au niveau corpore
112. imit puis celle du socle commun de connaissances de comp tences et de culture une large majorit et avec l abstention de la FSU laissaient augurer d une phase consensuelle l approche de possibles secousses d une autre am pleur H las sans doute en proie des difficult s de positionnement depuis son revers des lections professionnelles une chute de 7 points passant de 51 44 de 40 de votants le SNES a choisi sciemment une strat gie de la dramatisation l occasion de la r forme du coll ge qu il n avait pas n gative ment accueillie dans un premier temps Peut tre emport e par l ambiance de radicalisation et de complotisme cette r forme bien des gards fort prudente et modeste est caricatur e comme une mise mort du service public Et titre de d monstration tous les fantasmes sont convoqu s et nul argument de rai son n a d espoir d tre entendu Ce qui glace le plus est le profond pessimisme sur le monde ducatif qui ressort des ar guments avanc s non seulement les per sonnels de direction sont n cessairement des chefaillons psychopathes et caporali sateurs mais les enseignants eux m mes sont d crits comme des irresponsables qui ne sauront que se d chirer sur le partage des heures et les communaut s ducatives incapables de se gouverner C est l trange id al d un corps ensei gnant infantilis par un statut perp tuel d l ve sous surveillance qui ressort
113. inismes moteurs de la d sesp rance et terreau des extr mismes encourager le dialogue et la coop ration entre tous les acteurs de l ducation ou encore former et accom pagner les enseignants afin de les rendre mieux m me de prendre position contre toutes les formes de discrimination et de racisme L int gralit de leur d claration est t l char geable sur le site du minist re www education gouv fr cid87001 declaration sur la promotion de l education a la citoyennete et aux valeurs communes de liberte de tolerance et de non discrimination html LATIN W OPE ENNE Po UR VENT A AUX PLACE DES FEMMES DANS L ENCADREMENT L DUCATION NATIONALE l occasion de la journ e internationale des droits des femmes le 6 mars dernier le mi nist re a publi un dossier de presse sur la place des femmes dans l encadrement dans lequel il pr sente sa feuille de route pour 2015 Si dans ce dossier le minist re se f licite notamment du fait que sur les neuf nominations de recteurs et de directeurs d administration centrale intervenues en 2014 quatre ont concern des femmes soit un taux de 44 largement sup rieur l objectif de 20 fix par la loi le dernier bilan social du minist re 201 3 2014 montre cependant que les femmes ne repr sentent que 34 des corps d administration centrale 39 femmes sur 114 membres 26 des recteurs et secr taires g n
114. ion de l adh rent est prononc e dans les m mes d lais Article R3 e La d mission est effective le jour de la r ception de la lettre de d mission par le se cr tariat national Article R4 e La r int gration d un membre exclu ne peut tre d cid e que par la commis sion nationale de contr le sur demande de l int ress et apr s avis de l instance qui avait propos l exclu sion TITRE TROISI ME DES INSTANCES SYNDICALES SECTIONI LES PRINCIPES G N RAUX A LES CAT GORIES DE PERSONNELS ET LEUR REPR SENTATION Article R5 e Les trois cat gories repr sen t es en tant que telles dans les instances syndicales sont les suivantes 1 Chefs d tablissement proviseur de lyc e proviseur de lyc e profes sionnel principal de coll ge directeur d tablissement r gio nal d enseignement adapt 2 Chefs d tablissement adjoints proviseur adjoint de lyc e proviseur adjoint de lyc e professionnel principal adjoint de coll ge directeur adjoint charg de SEGPA 3 Les retrait s issus des em plois ci dessus e Dans l objectif d assurer une repr sentation proportion nelle au niveau consid r entre les chefs d tablisse ment et les chefs d tablisse ment adjoints dans toutes les instances du syndicat la re pr sentation des adjoints doit tre effective et significative e la repr sentation des em plois d sign s 8 1 et 8 2 doit nt int rieur
115. ion politique comme fon dement d un monde commun tous par del les diff rences Henri Pe na Ruiz Guide r publicain juin 2004 Loin du concept la r alit du terrain est voqu e par Le Monde du 28 janvier Pour la premi re fois dans notre pays la question religieuse se superpose au moins en partie la question sociale et la question nationale Il s agit aujourd hui d une identit de substitution se diffusant parmi les jeunes Une des formes de cette nouvelle iden tit s est port e sur le terrain de la la cit le fer a t engag au sein de nos coles avec de multiples formes de contournement de la loi du 14 mars 2004 coll giennes et lyc ennes qui se recouvrent du cou aux pieds au niveau des mains de v tements superpos s port de tenues dites faussement culturelles port de foulards par les stagiaires de la formation continue au sein des EPLE si tuations de radicalit inqui tantes mi nistre de l ducation nationale parents m res voil es accompagnant les sorties scolaires non soumis es au principe de neutralit religieuse Ce dernier exemple d montre l ambigu t dans laquelle nous nous situons Quel r gime juridique sur le fondement de la responsabilit leur se rait applicable toujours selon le Conseil d tat en cas d accident d un l ve li une n gligence de leur fait Ces parents ne sont ils pas des collaborateurs occa sionnels du service pu
116. ique du Sud Am rique du Nord e les responsables de zone assurent la liaison avec les instances syndicales e La repr sentation au congr s est assur e par le responsable de la section le responsable adjoint les commissaires paritaires SECTION III PRESTATIONS ET SECOURS Article R41 e l ex cutif syndical national peut mettre sur sa propo sition disposition des syndiqu s des prestations conomiques culturelles ou sociales gratuites ou on reuses Article R42 e La caisse de secours d c s est ouverte tout nou vel adh rent du SNPDEN au moment de son adh sion et s il est g de moins de cin quante ans Toutefois au de l de cette limite le rachat de cotisation est possible raison d une cotisation par ann e d ge suppl mentaire e Elle est galement ouverte aux adh rents ou an ciens adh rents appel s d autres fonctions sous r serve qu ils aient satisfait aux dispositions ci dessus et qu ils continuent acquitter la cotisation sp ciale e En cas de d c s d un adh rent le montant de secours est envoy d urgence son conjoint ou ses enfants ou d faut toute personne qu il aura d sign e SECTION IV MODIFICATION DU R GLEMENT INT RIEUR Article R43 e le pr sent r glement int rieur ne peut tre modifi que par un vote du conseil syndical national acquis la majorit absolue des suf frages exprim s e Pou
117. iques non souhait es pour que leur co pain n aille pas voir les prostitu es La prostitution renforce l in galit des sexes dans le domaine de la sexualit en cr ant une souffrance sp cifique chez les jeunes femmes du d partement et un sentiment de puissance chez les jeunes hommes appara t que la prostitution en tretient un clivage et une hi rarchie entre les hommes et les femmes BM Il ne s agit pas d interdire l exercice de la prostitution aux personnes qui consi d rent qu elles disposent librement de leur corps en en faisant une source de revenu mais plut t d ass cher la demande de prostitution pour faire refluer radicalement cette violence faite tr s majoritairement aux femmes Comment tol rer que l on puisse acheter le corps des femmes exploiter leur situation de pr carit sociale pour leur im poser un acte sexuel sans d sir La violence primordiale est celle de l acte sexuel non d sir qui s apparente une violence sexuelle compens e par de l argent BM La r glementation augmente la de mande et l gitimise la domination masculine Les Pays Bas comme l Allemagne d ail leurs envisagent de revenir sur leur po litique r glementariste les lois actuelles ne prot gent pas les femmes de l exploi tation mais leur accordent simplement la libert de se laisser exploiter nous dit T Walker pr sidente de l organisation des Verts de Stuttgart la Su de elle consid re
118. ires paritaires nationaux laurence colin ac bordeaux fr cler en urgence afin de pouvoir les transporter Malgr tous ces documents il manque encore pr s de la moiti des proc s verbaux des CAPA qui pourtant ont bien eu lieu en d cembre 2014 Les d lais postaux ne suffisent pas expliquer ce retard important et pr judiciable La lecture de ceux en notre possession conduit n anmoins aux remarques suivantes e certains sont beaucoup trop suc cincts dans la r daction des d bats dont nous ne connaissons pas la te neur comme en Guadeloupe e la plupart des contestations trait es en CAPA concernent l attribution d un item excellent suppl men taire Il est regrettable que l va luation prospective des personnels de direction se limite cela lors d une demande de mutation et sans doute est il grand temps d envisager de faire voluer le syst me Nous sommes dispos s faire des propo sitions sur ce point et le serons en core plus l issue de notre congr s certains recteurs avaient avant la CAPA d j atteint leur quota ne laissant aucune place possible la discussion et d autres ont affich en pr ambule le nombre d items excellent qu il tait encore pos sible d attribuer Les deux syst mes en cas de non mutation figent va luation Un recteur a m me annonc qu il conomisait les excellents certaines acad mies ont bien compris dans ce cadre contraint
119. ires et suppl ants au conseil syn dical national Article S22 Sous r serve des disposi tions de l article S49 le conseil syndical acad mique a pour mission de mettre en uvre les mandats d finis au plan national et au plan aca d mique d animer la vie syndicale acad mique de coordonner l action des sections d partementales de participer aux ins tances et l activit de l UNSA Education d assurer les liaisons intersyndicales acad miques d assurer la repr senta tion du syndicat aupr s du recteur et de la col lectivit territoriale com p tente ainsi qu aupr s des diverses instances et organismes r gionaux d tablir la liste des candidats aux lections professionnelles acad miques de faire face aux mesures d urgence que peut impo ser une situation grave Article 23 Le secr taire acad mique re oit et tudie les com munications des adh rents qui s adressent lui pour des affaires per sonnelles et en assure le SUIVI SECTION II LES INSTANCES NATIONALES A LE CONSEIL SYNDICAL NATIONAL CSN Article 24 e A l chelon national le SNPDEN est administr par le conseil syndical national instance d la boration des mandats entre deux congr s e Le conseil syndical natio nal comprend 1 des membres de droit sous r serve d une ad h sion continue au SNP DEN depuis la fin de leur mandat les anciens secr taires g n raux du SN
120. is et 66 Direction 227 mai 2015 Vie syndicale Entretien avec Brigitte Moltrecht m decin de l ducation nationale conseill re technique du DASEN dans l acad mie d Orl ans Tours coordonnatrice du groupe national d infor mation et d ducation sexuelle GNIES sur le th me de r flexion retenu cette ann e par le GNIES et qui a donn lieu une conf rence lors du dernier salon de l ducation une des formes d oppression humaine les plus inadmissibles dans ce syst me organis on parle de clients d in dustrie du sexe de services Les clients passent par un rapport marchand dans un acte ou la personne face eux n existe pas comme une personne d sirante elle est ramen e au rang d objet Le terme de syst me prostitueur n inclut que les acteurs de cette double domination patriarcale et marchande que sont les prox n tes les clients prostitueurs et les tats lors qu ils en sont complices Le terme de syst me prostitutionnel inclut les prox n tes les clients prostitueurs les personnes prostitu es LA A t on r ussi tablir un lien direct entre la prostitution et la maltraitance sexuelle BM Oui Le lien entre ant c dents de violences sexuelles inceste p dophi lie viols quel que soit l ge de la vic time et entr e en prostitution est tr s fort Selon diff rentes sources entre 80 et 95 des personnes prostitu es de souche fran aise ch
121. isme et antis mitisme diff rends entre personnels ma nagement de l tablissement LA MIXIT SOCIALE L COLE TENSIONS ENJEUX PERSPECTIVES Armand Colin Coll Soci tales Choukri Ben Ayed 2015 224 pages CHOUENI SUN ATED LA MIXIT SOCIALE L COLE On observe un d calage consid rable entre les discours politiques qui louent les vertus de la mixit sociale et les actions effectives sur fond de d rive des in galit s scolaires Cette situation est d autant plus pr occupante au regard des pr judices li s l accroissement des s gr gations in galit s accrues sentiments de discrimination tensions interethniques mont e du racisme et du rejet de l autre Pourquoi un tel d calage notam ment depuis les mesures d assouplissement de la carte scolaire En quoi ces volutions ont elles concouru l aggravation des s gr gations et des in galit s de r ussite scolaire en France Dans ce contexte comment d finir la mixit sociale l cole ses usages ses fonctions L auteur ana lyse ces questions et montre que des perspectives d actions en mati re de r duction des s gr ga tions scolaires passent par un d passement de l opposition entre tatisme et localisme et par des modalit s de r duction tr s significative des in galit s de conditions de scolarisation dans les territoires les plus en difficult Marianne VIEL Permanente marianne viel snpden net Derniers ouvrages r
122. it d envisager d acc der au corps des person nels de direction par la voie de la liste d aptitude l adh sion de toute autre cat gorie de personnel est subordonn e une d cision du congr s l appartenance au SNP DEN exclut toute apparte nance un autre syndicat ou groupement de forme syndicale Article S11 La qualit de membre du SNPDEN est acquise tout personnel de direc tion au sens de l article S10 ayant rempli et sign un bulle tin d adh sion qui vaut acceptation des pr sents statuts acquitt sa cotisation an nuelle Chaque adh rent actif et retrait re oit la carte f d rale et les publications du SNPDEN et de l UNSA ducation Article 12 En adh rant au syndicat chacun s engage participer ses travaux en assistant aux assem bl es et r unions soutenir solidairement et effectivement toutes les revendications for mul es et toutes les ac tions d cid es la ma jorit par les instances responsables transmettre toute infor mation utile aux respon sables lus du syndicat Article 13 La qualit de membre du SNPDEN se perd par d mission radiation ou exclusion La d mission doit tre adress e par crit au se cr taire acad mique La radiation r sulte du non paiement de la coti sation annuelle l exclusion r sulte d une proc dure disciplinaire interne En cas de d mission de radiation ou d exclusion l adh rent est
123. ition en maths sur les 34 pays de l OCDE tudi s Ainsi pr s de deux tiers des candidats ont une note inf rieure la moyenne l preuve de math matiques La DEPP souligne par ailleurs que huit candidats sur dix obtiennent de meil leurs r sultats au contr le continu de math matiques qu l examen final ce qui est aussi le cas en fran ais pour plus de la moiti des candidats La di rection statistique pr cise que ces carts restent tributaires des preuves finales et de leurs r sultats variables selon les ann es et les s ries laissant penser que l exa pour seulement 76 des candidats issus d un milieu d favoris Et la pro portion des mentions tr s bien et bien varie galement fortement se lon l origine sociale puisque 1 candidat sur 2 issu d un milieu favoris d croche l une de ces mentions contre 1 sur 4 pour ceux d origine sociale moyenne et 1 sur 7 pour ceux issus d un milieu d fa voris Comme chaque ann e aussi les filles r ussissent mieux que les gar ons quelle que soit la s rie et sont aussi plus nombreuses d crocher une mention Malgr ces r sultats la note statistique indique que cette session enregistre un taux de r ussite global en progres sion de 0 7 point par rapport 2013 85 4 de r ussite et que toutes s ries confondues neuf candidats sur dix se pr sentant au DNB 92 2 ma trisent les comp tences du socle exi gibles en
124. l la personne se coupe de son ressenti corporel pour se prot ger de ce v cu dont elle ne veut pas C est une violence faite au corps de la per sonne prostitu e un d ni de sa personnali t elle n existe plus qu en tant qu objet mar chand sexuel On aboutit de v ritables clivages avec des anesth sies corporelles importantes du fait de la perte de son soi corporel La prostitution d truit peu peu l image que la personne prostitu e a d elle m me et galement son corps La prostitution engendre une forme d anesth sie d abord au niveau de la sph re g nitale sexuelle la plus expos e Plus l activit prostitutionnelle se prolonge moins ce processus d anesth sie est ma tris plus il devient r flexe peu peu il gagne l ensemble du corps et les moments o la personne d sirerait avoir des motions des affects BM est pr pond rant de m me que la pornographie Deux sociologues nous disent qu aux alentours de La Jonquera ville Catalane o la prostitution est l gale et d velopp e les coll giens entre 12 et 15 ans ont d j une connaissance tr s pr cise des clubs et en parlent librement Ils n ont ni vu ni exp riment ce qui se passe dans les clubs de l autre c t de la fronti re mais ils fantasment sur ceux ci La connaissance de la prostitution nourrit ainsi leur construc tion des rapports hommes femmes et de leur sexualit Des filles acceptent alors des prat
125. l acad mique sur son r glement int rieur et sur ses repr sentations son initiative ou sur saisine d une des parties concern es du r glement des conflits entre les instances sta tutaires ou entre ces ins tances et les adh rents de se prononcer sur l ex clusion d un adh rent ou sur la r int gration d un membre exclu Elle est garante de l or ganisation et du d rou lement de l ensemble des scrutins intervenant au sein des instances syndi cales r gies par les pr sents statuts Elle rend compte obliga toirement de ses travaux devant le congr s ven tuellement et en cas de besoin devant le conseil syndical national F LA COMMISSION DE V RIFICATION DES COMPTES CVC Article 41 La commission de v rification des comptes comprend six membres sur la base de la parit femme homme lus par le congr s r uni en ses sion ordinaire selon le mode de d signation fix par le RI La fonction de membre de la CVC est incompa tible avec toute fonction nationale ou acad mique tel que pr vu par le r gle ment int rieur Les membres de la CVC ne participent aux tra vaux du CSN et du congr s qu ce titre et sans droit de vote Article S42 La commission de v rifi cation des comptes est charg e de v rifier chaque ann e civile en pr sence du com missaire aux comptes les documents comptables de rendre compte de cette mission devant le congr s et une foi
126. l est sympa Jo lle C dric et Marianne les permanents du si ge prennent soin de nous On boit un caf on change sur nos m thodes de travail nos rencontres nos entretiens nos strat gies ou les chemises frois s es par les dossiers Boa y E E 6 E ig Ea ra Puis on ferme la porte Le conclave com mence Pendant 4 jours on ne verra plus le soleil De toute fa on Paris il pleut On se r unit au si ge on travaille au si ge on mange au si ge on d ne au si ge on dort l h tel quand m me Les coll gues exp riment s accom pagnent les petits nouveaux Les r gles sont claires et cadr es Le travail collec tif est bien organis rigoureux pr cis Laurence m ne le groupe d une main de ma tre Fernande prodigue ses conseils clair s Philippe nous fait rire avec ses nombreuses anecdotes On fait une r p tition g n rale On discute des stra t gies mettre en place Un dernier modificatif tombe mardi apr s midi On r ajuste nos strat gies Mercredi soir 18h30 La filante est ter min e Les interventions sont cal es les dossiers tri s On est pr t Dominique peut d tendre l atmosph re avec ses blagues de chimpanz s Jeudi 6h45 on se retrouve pour le petit d jeuner Tout le monde est concentr 7h30 notre caravane de taxis charg e de valises pleines de dossiers traverse Paris direction la DRH du minist re 9h00 dans une grande salle ferm e
127. l syndical acad mique lorsqu ils le souhaitent et lorsqu ils ne peuvent participer une lection partielle e Les modifications dans la com position du CSA ou de la d l gation acad mique au CSN sont communiqu es sans d lai au secr tariat national par le secr taire acad mique e le CSA peut pr voir dans son r glement int rieur d as socier ses travaux des membres invit s D LE SECR TARIAT ACAD MIQUE SA Article R12 e le secr tariat acad mique est constitu par le secr taire acad mique le s secr taire s acad miquel s adjoint s le tr sorier acad mique ventuellement le tr sorier acad mique adjoint les secr taires d partementaux le responsable de la commu nication e le secr tariat acad mique est une instance adminis trative de liaison et d orga nisation de la vie syndicale acad mique e rend compte des d cisions qu il a t amen ventuel lement prendre devant le conseil syndical acad mique e Le secr taire acad mique est garant et responsable des mandats et demandes du CSA et de la section aca d mique de la transmission des in formations acad miques au secr tariat national de la diffusion aux adh rents des informations transmises par le secr tariat national de la communication au se cr tariat national de la com position des instances aca d miques et des d l gations au CSN et au congr s
128. la cit fille des Lumi res et de la R volu tion comme l a rappel Marie Ange Henry dans sa pr sentation Chaque tape de ce combat est contextua lis Condorcet et son discours sur l Instruction publique la R volution le magnifique discours de Victor Hugo prononc contre la loi Falloux Tous ces combats pour aboutir apr s les lois Jules Ferry la loi de 1905 qui n a pas pris une ride ll a fallu parler aussi des reculs loi Debr loi Guermeur puis plus pr s de nous les reculades de 1984 de 1989 avec la recomman dation du Conseil d Etat qui marque le d but d un probl me qui touchera directement les personnels de direction dans l exercice de leur m tier la loi de 2004 voulue par le SNPDEN est vot e malgr les oppositions de toute part et appliqu e d s la rentr e Depuis nous avons d plorer les coups encore por t s cette loi pour la contourner en constatant le peu d empressement de l observatoire de la la cit de rester ferme sur ce principe d res Marie Ange Henry Proviseure honoraire Membre du GOVAL Vie syndicale Direction 227 mai 2015 1 Philippe Guittet a d velopp le concept de la cit comme synonyme de coh sion sociale avec cet objectif ambi tieux de mettre en uvre de mani re indissociable la libert de conscience l galit de chacun ind pendamment de toute croyance de genre ou d ori gine la volont de construire un avenir commun dans un
129. m mission de v rification des comptes et la commission nationale de contr le e Sera secr taire de la CVC le candidat ayant obtenu le plus de voix lors du scrutin En cas d galit de voix le candidat sera alors d sign par tirage au sort Le secr taire de la CVC a voix pr pond rante en cas d galit de voix au sein de la CVC Il est charg de coordonner d animer les travaux et de faire conna tre les d cisions de la CVC TITRE QUATRI ME DES AFFAIRES FINANCI RES Article R26 e La cotisation syndicale est annuelle e Elle est vers e en une fois ou par pr l vements auto matiques la demande de l int ress e Elle doit tre acquitt e d s le d but de chaque ann e scolaire et au plus tard le 30 avril de l ann e en cours Article R27 e Conform ment aux articles S44 et S45 des statuts et sur la base du budget pr vision nel pr vu par l article S45 le montant de la cotisation est fix e comme suit e Pour les actifs Premi re composante elle est gale au montant de la cotisation due par adh rent l UNSA Education et fix e annuellement par les instances f d rales Deuxi me composante une cotisation d termin e selon une grille de coefficients multiplicateurs de la valeur du point de base appliqu e au revenu mensuel indiciaire de l adh rent int grant le grade la Bl et ventuelle ment la NBI Cette grille est calcul e sur la base du budget pr vision
130. mbourb e d abord dans une trop longue attente de la loi puis dans l imbroglio des rythmes De plus des choix d cal s et anachroniques en mati re de gouver nance et de management ont amplifi une impression de paralysie L excom munication de tout vocabulaire tran ger la tradition acad mique n tait pas qu une strat gie de calinoth ra pie mais une erreur d appr ciation sur l tat de l cole et des forces sociales qui la traversent On pouvait par mo ment se croire replong l ge o la cogestion au sommet entre le ministre et une f d ration syndicale suffisait la sa tisfaction des ducateurs les m saven tures des rythmes ou de la r forme du statut des chaires sup rieures ont d montr que ce temps tait pass Un d sint r t et une m connaissance non seulement profonds mais revendiqu s pour les transformations r centes de la soci t l importance de la communica tion l impact des r seaux sociaux l au tonomie des tablissements terme ban ni de 2012 2014 ou l existence d un encadrement ont scell ce qui appara t r trospectivement comme un chec Il est d autant plus d plorer qu il s agis sait peut tre d une sorte de derni re chance de montrer que l cole pou vait se r former hardiment d elle m me quand elle est une priorit qui s est concr tement traduite par la cr ation de postes et surtout la recr ation d une formation
131. me de la part de tous les membres participant la CAPN quali t et s r nit des changes une quipe de 16 commissaires paritaires soud s le travail fut long laborieux mais pas sionnant C est une grande satisfaction de pouvoir soutenir les dossiers de nos adh rents de leur apporter des r ponses et de faire le maximum pour que nos pro positions soient retenues Suite au pro chain pisode VAL RIE NEUMANN Lorsque je suis entr e pour la premi re fois dans la salle r serv e la CAPN j ai t impressionn e la fois par l alignement interminable des dossiers soigneusement tri s par acad mie et par ordre alphab tique et aussi par la longueur des tables ou si gent les com missaires paritaires du SNPDEN UNSA face la table des repr sentants de la centrale 4715 dossiers consti tu s en octobre mais qui depuis la prise de d cision de muter ont t le fruit de discussions de r flexions personnelles familiales professionnelles parfois beaucoup plus anciennes Entrer pour la premi re fois dans cette salle du mi nist re c est tre conscient de ce qui joue pour chacun des coll gues qui a envoy son dossier c est une lourde responsabilit Les d bats sont cadr s courtois vifs parfois mais surtout tr s profession nels Tr s vite je me rends compte que toutes les situations ont t tudi es les dossiers sont maf tris s aussi bien par les petites mains des
132. membre du bureau natio nal par la cha ne D8 au sujet de la formation des enseignants e Interview de Michel Richard par BFM TV le 30 avril sur les ensei gnants p dophiles cho et citations dans une d p che AEF du 18 f vrier de l audition de Lysiane Gervais membre du bureau national par la commission des affaires culturelles et de l ducation de l Assembl e nationale sur le plan de mobilisation de l cole pour les valeurs de la R publique Expression de G rard Heinz secr taire acad mique du SNPDEN Lyon dans un article du Progr s du 11 mars et dans une d p che AEF du 13 mars d non ant la d gradation des relations entre la col lectivit territoriale et les lyc es e Interview de Philippe Vincent par le journal La Croix le 27 f vrier au sujet du plan vigipirate dans les EPLE e Interview de Michel Richard le 9 mars par le groupe Ebra Presse groupe de presse r gionale de l Est de la France au sujet des cons quences d une surexposition des l ves aux crans PALMARES Expression de Philippe Tournier dans Le Figaro du 31 mars DES LYCEES Val rie FAURE Documentation valerie faureOsnpden net Actualit s Direction 227 mai 2015 SNPDEN 21 RUE B RANGER 75003 PARIS T L 0149966666 FAX 0149966669 MEL siege snpden net Directeur de la Publication PHILIPPE TOURNIER R dactrice en chef FLORENCE DELANNOY R dactrice en chef adjointe MARIANNE VIEL Commission p dagogie ISAB
133. ment per Arnorke 2 Direction 227 mai 2015 Chronique juridique Le guide ne fait aucune distinction entre externe et interne l obligation abusive ment mise charge du chef d tablis sement par les auteurs du guide serait donc permanente 24 heures sur 24 Elle s exercerait galement toujours selon le guide tout au long des tapes de la prise en charge de l l ve Seuls les parents peuvent faire sortir leur en fant mineur de la structure de soins Ce pendant les l ves internes sont sous la responsabilit du chef d tablissement pendant toute la dur e du s jour DANS l tablissement Nous entendons DANS l EPLE mais pas DANS l tablissement de soins Il chappe aux auteurs du guide que d s la prise en charge de l l ve mineur par le service de transport de l l ve vers la structure hospitali re d accueil s op re un transfert de responsabilit ceux ci La pr cision DANS l tablisse ment abusive correspond une m connaissance de la situation D limitation de la responsabilit du chef d tablissement selon une autre acad mie Une autre acad mie proche sous la signature du directeur acad mique DASEN apporte des pr cisions sur les conditions de prise en charge des l ves mineurs dans les tablissements publics ou priv s par le SDIS dans le cadre du secours la personne Manifestement cette autorit acad mique dispose d une meille
134. ne re pr sentent ni leur acad mie ni leur emploi mais portent le mandat g n ral du congr s qui les a lus En cas de d faillance d un membre de l ex cutif syndical national le secr taire g n ral proc de son remplacement qui est soumis validation par la conf rence national CN 5 l ex cutif syndical national adopte son r glement int rieur et le communique au CSN 6 ll se r unit au moins quatre fois dans l ann e sur convoca tion du secr taire g n ral D LA CONF RENCE NATIONALE CN Article R19 1 La conf rence nationale est constitu e de l ex cutif syndical national lu par le congr s et de l ensemble des secr taires aca d miques 2 Elle se r unit au moins quatre fois dans l ann e sur convocation du secr taire g n ral notamment l occasion du conseil syndical national et pendant le congr s 3 l ex cutif syndical national adjoindra pour information for mation et consultation au moins une fois par an la CN les se cr taires d partementaux E LE SECR TAIRE G N RAL SG Article R20 e Le secr taire g n ral est ga rant des mandats d finis par le congr s et pr cis s par les CSN ou les CN ainsi que de l activit de l ex cutif syndi cal national e En cas de d faillance du se cr taire g n ral en cours de mandat l ex cutif syndical national proc de l lection en son sein d un nouveau se cr taire g n ral FE LA COMMISSION
135. nel pr vu l article S45 et valid e par l ex cutif syndical national e Echelon 1 2 23 fois la va leur du point de base pour les INM inf rieurs 551 e Echelon 2 2 73 fois la va leur du point de base pour les INM entre 551 et 650 e Echelon 3 3 28 fois la va leur du point de base pour les INM entre 651 et 719 e Echelon 4 3 63 fois la va leur du point de base pour les INM entre 720 et 800 e Echelon 5 3 90 fois la va leur du point de base pour les INM entre 801 et 880 e Echelon 6 4 25 fois la va leur du point de base pour les INM entre 881 et 940 e Echelon 7 4 60 fois la va leur du point de base pour les INM entre 941 et 1 020 e Echelon 8 5 05 fois la va leur du point de base pour les INM sup rieurs 1 020 La grille des coefficients mul R glement int rieur Direction 227 mai 2015 59 00 tiplicateurs relative la cotisation syndicale peut tre modifi e sur proposi tion du secr taire g n ral par un vote du CSN Pour les retrait s Premi re composante elle est gale au montant de la cotisation due par adh rent UNSA du cation et fix e annuelle ment par les instances f d rales ainsi qu au montant de la cotisation due la FGR et fix e an nuellement par cette f d ration Deuxi me composante elle est fix e selon un pourcentage du montant de la part SNPDEN fix e pour les actifs soit montant de la pension brute inf rieur 1913
136. nt a exerc comme professeur dans l acad mie de Rouen Personnel de direction depuis 1993 il a t dans l aca d mie de Rennes principal adjoint Lannion 22 prin cipal de coll ge Planco t 22 puis proviseur d une cit scolaire lyc e coll ge Combourg 35 Il est depuis 2009 proviseur d un lyc e polyvalent Saint Brieuc 22 Membre du SNPDEN depuis son entr e dans la fonction Philippe Vincent a t secr taire d partemental des C tes d Armor et com missaire paritaire acad mique Entr au BN en 2002 au congr s de Nantes il est secr taire national en charge de la commission Carri re depuis 2006 et commissaire paritaire national hors classe depuis 2011 O UNSA Avignon 2015 Programme duXl congr s Avignon snp den UNSA du lundi 18 mai au vendredi 22 mai 2015 Lundi 18 mai 2015 13h15 14h00 14h30 17h00 17h30 18h00 Accueil des congressistes Ouverture du congr s par le secr taire acad mique d Aix Marseille Intervention des personnalit s et du secr taire g n ral du SNPDEN Rapport financier par Alain Guichon tr sorier national Rapport de la CNC et de la CVC et pr sentation des candidats ces commissions Fin des travaux Mardi 19 mai 2015 08h30 10h30 14h00 16h30 17h00 17h45 18h30 18h45 Intervention des secr taires acad miques SA Intervention des invit s SG de l UNSA Education SG du SE
137. ogique fracturant l cole qu on veut justement inclusive De la clart dans les objectifs mais du pragmatisme dans la mise en uvre c est h las plut t l inverse qu on nous donne souvent voir comme ne le montre que trop la persistance d un DNB inutilement boursoufl Mais la logique de l inclusivit n est sans doute pas sans fin un moment de la scolarit les destin es scolaires bifurquent C est le nier qui donne tant de place au non dit social C est pour cela que le SNPDEN avait mis en avant l id e d une validation du socle en fin de 4 distincte des proc dures d orienta tion lesquelles en revanche devraient il se faire sur des bases plus explicites qu aujourd hui C est l objet du bac 3 bac 3 qui posera un jour ou l autre la question du baccalaur at comme l a fait le SNPDEN au sujet de son co t r el d faut il en pose pour l instant deux les conventions EPSCP EPLE et les poursuites d tudes des baccalau r ats professionnels le SNPDEN est favorable la priorit donn e aux bac calaur ats professionnels en STS mais outre qu on s interroge sur les obliga tions faites aux IUT on ne peut renvoyer aux seuls tablissements la question de l incoh rence des programmes D autre part ces poursuites d tudes n ont pas tre que l affaire des lyc es et les universit s comme chefs de file de l en seignement sup rieur sont aussi concer n es Pour ce qui est des convention
138. omptes financiers d partementaux la pr sentation des comptes finan ciers devient annuelle et par an n e civile Le tr sorier acad mique adresse au tr sorier national son compte financier annuel en utilisant le document national type fourni le compte financier national int gre obligatoirement les comptes finan ciers acad miques Domaine Versements aux acad mies Les sommes sont d l gu es aux acad mies pour assurer le fonctionnement et le financement de la vie syndicale locale Elles sont r parties en tenant compte des crit res suivants 50 selon le nombre d adh rents de l acad mie 50 selon le nombre de d parte ments de l acad mie Cette nouvelle r partition apporte plus d quit entre les acad mies Le transfert aux acad mies de la gestion des d placements et h bergements lors des CSN et congr s Les sommes sont vers es aux acad mies un mois avant ces r unions Les rem boursements sont effectu s par les tr soriers acad miques selon les modalit s arr t es par le Bureau national La cr ation de fonds de r serves Les sommes exc dentaires constat es au compte financier arr t au 31 d cembre permettent la cr ation CO a O re S C Av O N O N Rapport financier Direction 227 mai 2015 39 d une part d un fonds de r serve acad mique qui correspond une ann e de fonctionnement d autre part d un fonds de r serve national constitu
139. ons d partementales sont d sign s au scrutin plurino minal un tour Les membres lus par la sec tion acad mique sont d si gn s au scrutin plurinominal un tour bulletins secrets d pos s pendant l assem bl e g n rale acad mique ou envoy s par correspon dance par les adh rents emp ch s les votes tant d pouill s sous le contr le de l assembl e g n rale l assembl e g n rale aca d mique valide d autre part les r sultats des lections effectu es dans les sections d partementales Le conseil syndical acad mique se r unit au moins une fois par trimestre En cours de mandat les membres du Conseil Syndical Acad mique qui perdent cette qualit en cas de mutation hors de l acad mie de perte de la qualit d adh rent de fin de mandat d terminant la qualit de membre de droit ou de d mission peuvent tre remplac s R glement int rieur Le r glement int rieur acad mique d termine les conditions dans lesquelles peuvent tre Direction 22 7 mai 2015 Sy pourvus par lection par tielle en cours de mandat les si ges demeur s ou de venus vacants pr voit les modalit s de rem placement des membres du secr tariat acad mique et des d l gu s au CSN dans les m mes circonstances pr cise les conditions dans lesquelles les membres de droit ayant perdu cette qualit en cours de mandat demeurent associ s aux tra vaux du Consei
140. oriales dans le financement de l ducation mais aussi de l importance du r le qu elles veulent jouer en contrepartie Pour Bernard Toulemonde an cien directeur g n ral de l en seignement scolaire DGESCO et ancien recteur le d cret sur 08 Direction 227 mai 2015 Vie syndicale la signature d accords tripar tites est dans la continuit de la politique de d centralisation de l ducation Il vient ent riner la participation croissante des collectivit s locales la gestion des affaires ducatives Apr s les charges financi res puis les missions de service public les collectivit s fournissent des quipements p dagogiques mat riels documentaires spor tifs num riques qui leur conf rent un r le dans les choix ducatifs En tudiant certaines ex p rimentations r centes de conventions tripartites on constate que des collectivit s poussent cette logique plus loin et revendiquent le trans fert pur et simple de l du cation vers elles donnant comme argument qu elles fe raient certainement mieux que l tat Sans aller jusque l les collectivit s territoriales pour ront d sormais intervenir plus facilement dans le domaine p dagogique et ducatif et entrer parfois en discordance avec les chefs d tablisse ment en ce qui concerne par exemple les priorit s ou les strat gies L o ont t men es des ex p rimentations comme par exemple en 2013 en Girond
141. p cifiques aux EPLE au titre de la contractualisa tion que ce soit par le fl chage d une partie de la do tation ou par l attribution de moyens compl mentaires doit demeurer une exception Peut on vraiment penser que cette exception le restera Et qu en cas d application de cette possibilit la lisibilit sur l attribution de moyens compl mentaires sera une r alit Le fait m me que soit voqu e la possibilit d un fl chage de la dotation par l intervention de la collectivit est contraire nos principes d ind pendance et d quit Nous vivons l heure actuelle des modifications fortes de la composition des assembl es d lib rantes des collectivit s territoriales Cette actualit rend mon sens cruciale en core plus aujourd hui l ind pendance des tablissements par rapport toute doctrine politique ou toute id ologie Il me semble que les conven tions tripartites repr sentent un risque de nous mettre en situation difficile et d inverser les rapports de force particu li rement l o la collectivit sera pressante et intervention niste avec m me parfois des carts importants avec nos valeurs et nos principes On entend r guli rement que dans le syst me ducatif fran ais deux logiques s af frontent la culture centrali s e voudrait que l EPLE soit pilot voire g r selon un processus uniquement des cendant et l inverse les partisans de la d c
142. partient au secr taire de section de transmettre tout texte ou motion l ex cutif syndical national Article R39 La repr sentation au conseil syn dical national et au congr s des adh rents en poste dans une col lectivit d outre mer COM une collectivit territoriale extra m tropolitaine d tach s ou diss min s est assur e de mani re g n rale par un des commis saires paritaires nationaux Toutefois lorsque le nombre d adh rents dans une COM est sup rieur 30 il est pro c d l lection d un d l gu au congr s et d un d l gu suppl mentaire au del de 50 adh rents D DISPOSITIONS APPLICABLES AUX ADHERENTS EN POSTE A L ETRANGER Article R40 Dispositions applicables aux adh rents en poste l tranger e les adh rents en poste l tranger sont r unis au sein de la section tranger e Ils proc dent lors de la rentr e de l ann e scolaire du congr s l lection du responsable de la section et de son adjoint parmi les candidats en poste dans un pays d Europe ou d Afrique du Nord apr s appel de candidature par l ex cutif syndical national e Le vote a lieu par correspon dance au scrutin majoritaire un tour e Le responsable de la section et son adjoint assurent la re pr sentation des syndiqu s au conseil syndical national e Les syndiqu s lisent un res ponsable par zone de r si dence Europe Afrique du Nord Afrique Asie Am r
143. ppeler que la la cit est ouverture tol rance man cipation qu te des moyens de la liber t et de l galit respect et acceptation des valeurs nouvelles dont peuvent tre porteurs les autres les jeunes Puis cette commission fait part de son in qui tude concernant les volutions de la formation continue et se penche sur l am lioration du fonctionnement des Greta tout en s interrogeant sur l ave nir de supports juridiques du type groupement d int r t public ou GIP Nous sommes bien en 1990 La commission vie syndicale Christiane Singevin s interroge sur la place dans le syndicat des laur ats concours quel moment faut il les syndicaliser propose quelques modifications sta tutaires un seul congr s s est il tenu sans que l on modifie les statuts 2 mais surtout pose la question d un syndicat unique des personnels de direction au sein de la FEN c est dire concr te ment l opportunit de la fusion avec le SNPDLP 6 Le congr s prudent pense qu il est urgent d engager la r flexion sur ce probl me mais pense qu il est moins urgent d aboutir c est dire qu il faut viter toute pr cipitation Bref on propose la mise en place au niveau national d un groupe de r flexion mixte SNPDES SNPDLP Deux ans plus tard la fusion sera r alis e La commission corporative Pierre Bousquet qui deviendra plus tard la carri re constate l
144. puis proviseure adjointe en ly c e en Gironde et depuis la rentr e 2011 principale de coll ge Bordeaux Ad h rente au SNPDEN d s 2003 elle a t lue au CSA et commissaire pa ritaire acad mique Elue au Bureau national lors du congr s de Biarritz en 2009 elle travaille au sein de la commission Education amp P dagogie PHILIPPE GIRARDY Entr dans l ducation natio nale 18 ans comme ma tre d internat MI il poursuit ses tudes tout en faisant fonction de CPE surveillant g n ral l poque puis en tant que ma tre auxiliaire puis certifi d anglais DES en 1967 il enseigne au Ly c e B hanzin de Porto No vo B nin puis Montargis 45 Envoy faire fonction de proviseur adjoint cen seur des tudes au Lyc e A Thierry de Blois 41 il y est titularis apr s liste d aptitu de Nomm principal d un college de 1000 l ves en 1974 Amilly 45 il y res tera assez longtemps pour y assurer aussi deux mandats de maire Apr s 4 ann es au coll ge de Rangiroa Tua motu Polyn sie fran aise il termine sa carri re Gien 45 Adh rent au SNPDES puis au SNPDEN depuis 1973 il a t SD du Loiret 8 ans et commissaire paritaire acad mique Il est membre du BN depuis le congr s de Biarritz et a particip presque tous les congr s de puis son adh sion ES o SERGE GUINOT Historien de formation Serge Guinot est personnel de dir
145. que notre syndicat sera un acteur respect du d bat sur l cole l articulation entre le travail des struc tures syndicales locales et nationales est un enjeu pour l efficacit de notre action syndicale D une fa on g n rale une vie interne d mocratique continue stable et ouverte passe par un bon fonctionnement des instances mais se nourrit aussi de l in t gration des formes nouvelles de partici pation des adh rents la vie syndicale Une politique de communication diversi fi e est un vecteur n cessaire qui doit se prolonger par la poursuite de l investisse ment des nouveaux modes d changes la visibilit de notre syndicat et de notre profession l attention port e aux occa sions d tre influents pour faire valoir le point de vue du SNPDEN Pour traduire en r alit s les attentes d une profession que nous avons lar gement construite il est n cessaire que notre syndicat sache galement assurer la rel ve des cadres syndicaux valo riser les comp tences des syndiqu s transmettre l exp rience et l expertise acquises C est pourquoi l action de formation des adh rents des responsables du syndicat et des lus aux commissions paritaires tait est et reste une priorit le d ve loppement de nouveaux espaces et de nouveaux outils sera poursuivi l attention port e aux conditions mat rielles de fonctionnement de notre orga nisation l ad quation de sa logistique son cadre budg taire
146. qui restent et demeurent propri t du syndicat e l ensemble de ces obliga tions conditionne les verse Direction 227 mai 2015 R glement int rieur ments du tr sorier national au tr sorier acad mique Article R30 1 Les remboursements des frais engag s pour les acti vit s des membres de l ex cutif syndical national de la conf rence nationale des commissions administratives paritaires nationales CAPN de la commission nationale de contr le de la commission de v rification des comptes et de la cellule juridique sont pris en charge par le tr sorier national Quand une acad mie ac cueille un membre du BN ou un commissaire paritaire national les frais de d pla cement sont la charge du tr sorier national sauf si le d placement a lieu la de mande de l acad mie 2 Les remboursements des d placements et h bergements collectifs au conseil syndical national CSN et au congr s sont pris en charge par les tr soriers acad miques ils re oivent pour ces d penses de la part du tr sorier national une compensation forfaitaire pour chaque CSN et pour le congr s selon des modalit s arr t es par l ex cutif syndi cal national TITRE CINQUI ME DE LA COMMUNICATION Article R31 e Le bulletin du syndicat est publi par l ex cutif syndical national sous la responsabilit du r dacteur en chef membre de celui ci e Tous les articles para tre sont soumis
147. r la chambre de corporations qu la d mocratie sociale M me si l arriv e de cette force au pouvoir reste improbable d faut qu elle ne soit plus impossible il ne s agit pas d agiter cet pouvantail tout propos mais de s inqui ter des termes de la profonde recomposition id ologique dont son ind niable cho t moigne Ce sont donc vers des eaux troubles que notre pays se dirige et dont les cons quences pour l Ecole peuvent tre aussi diverses qu impr visibles Ce sera le travail du congr s d Avignon de doter le SNPDEN de mandats clairs et pragmatiques qui serviront de boussole aux personnels de direction L U trange id al d un corps enseignant infantilis par un statut perp tuel d l ve sous surveillance Reproduction inlassable de ce qui na pas march d un c t exaltation du mod le bureaucratique et tayloris de l autre dito Direction 227 mai 2015 Bureau national Compte rendu du 17 et 18 mars 2015 l actualit de l ducation est domin e par les annonces p dagogiques Le CSE a en effet vot l unanimit les programmes de la maternelle ainsi que le socle commun de connaissances de comp tences et de culture Dans ce contexte le minist re annonce la r forme du coll ge Notre position c est que cette r forme est un ravalement de celle de 2002 mais qui ne r pond pas v ritablement aux en jeux notamment celui de la r duction des in g
148. r tre recevable toute proposition de modifica tion doit tre pr sent e par l ex cutif syndical national ou r sulter d une demande formul e par une acad mie e Toute proposition de modifi cation doit tre port e la connaissance de l ensemble des adh rents 3 mois au moins avant la tenue du conseil syndical national e Toute modification du r glement int rieur doit tre port e la connaissance des adh rents par l ex cutif syndical national avant la fin du mois qui suit le conseil syndical national O R glement int rieur Direction 227 mai 2015 6 C est la section acad mique d Aix Marseille qui accueille ce 11 congr s du SNPDEN dans la cit des papes chaque t capi tale mondiale du th tre Ce congr s se d roulera dans la salle du conclave du palais papal Nulle fum e blanche n en sortira mais plut t des motions r solument tourn es vers l am lioration du service public d ducation et des conditions de travail des person nels de direction l acad mie d Aix Marseille est une terre de contrastes o pr s de 540 chefs d tablissement et adjoints dirigent 320 coll ges lyc es et lyc es professionnels publics dans des territoires urbains et ruraux Dans les quatre d partements qui composent notre acad mie ce sont les Bouches du Rh ne qui ac cueillent l essentiel des 260000 l ves dans plus de 200 EPLE dont un nombre cons quent en duca tion prioritai
149. r cises sur la conduite tenir en cas d urgence doivent tre af fich es dans l tablissement l armoire pharmacie doit tre ferm e clef Chronique juridique Direction 227 mai 2015 A Quant la circulaire n 2002 167 du 2 ao t 2002 relative au service des in firmier e s dans un EPLE comportant un internat elle pr cise les pr sentes dispositions ne sauraient transf rer sur d autres personnels de l tablissement l ex cution des t ches sp cifiques li es la fonction et la comp tence de l infirmier e Comme le soulignait dans la revue Direction 107 d avril 2003 Jean Daniel Roque nous ne pouvons que saluer l affirmation du principe d absence de transfert sur d autres corps mais cela ne nous dit toujours pas qui va ouvrir l armoire pharmacie Douze ann es apr s ce constat rest sans pr cision d ordre r glementaire le myst re s paissit apr s l armoire pharmacie la trousse de secours D limitation de la responsabilit du chef d tablissement selon le guide acad mique Pass ce premier cueil le guide aborde la d finition et la d limitation du r le et des responsabilit s respectives des pa rents repr sentants l gaux du chef d tablissement des services d urgence Regardons de plus pr s Le guide sou AR MOIRE A PHARMA CIE ligne les dispositions r glementaires principales l autorit parentale est un ensemble de droits et d
150. ran ois Segurel a t ensei gnant dans le premier degr il int gre ensuite le corps des COP avant de faire fonction de personnel de direction Titulaire il a exerc comme proviseur adjoint du lyc e Rascol Albi puis comme principal du coll ge Jules Val l s N mes tablissement d ducation prioritaire situ en zone urbaine sensible Il est actuellement principal du college Pierre Moreto a Thuir dans les Pyr n es Orientales tablissement de plus de 1000 l ves avec SEGPA et ULIS Adh rent depuis 1999 membre du bureau d partemental d s 2001 commissaire paritaire de 2012 2015 Il est SD membre du CSA et du SA de puis 2012 GW NA L SUREL Scientifique de formation Gw na l Surel a enseign principalement dans le pre mier degr dans le d par tement de Loire Atlantique Directeur d cole de 1995 2002 puis personnel de di rection depuis 2002 il a t principal adjoint en ZEP de 2002 2005 puis principal de 2005 2011 Il exerce actuellement en LPO en tant que proviseur Ancenis en Loire Atlantique Membre de l UNSA Education depuis 1995 il a t secr taire ad joint du SNPDEN de la Sar the de 2006 2008 et est membre du CSA de l acad mie de Nantes depuis 2003 Il est membre du BN depuis 2009 et est en charge du dossier la cit au sein de la commission Vie syndicale FF PHILIPPE VINCENT Enseignant d histoire et g o graphie Philippe Vince
151. rat gique affirm e Elle se caract rise par un empilement h t roclite et un fourmillement de dispo sitifs la terminologie vari e et qui voluent sans cesse avec une place pr minente accord e aux dispositifs ext rieurs la classe et en marge du temps scolaire La d marche d indivi dualisation du suivi des l ves appara t ainsi en d calage avec l organisation actuelle de l enseignement scolaire La Cour des comptes regrette d ailleurs l absence d accompagnement person nalis au coll ge en dehors de la 6 ou pour les l ves en CAP Et si elle constate que l individualisation de l enseignement constitue une priorit dans les textes ce n est pas le cas dans le fonctionnement interne du minist re qui n assure en effet qu un suivi dis pers et lacunaire par l administration centrale et une valuation des effets des dispositifs quasi inexistante AVENIR DE LA FONCTION PUBLIQUE La ministre de la fonction pu blique a pr sid le 10 mars dernier la r union de bilan mi parcours des n gociations sur l avenir de la fonction publique par cours professionnels carri res et r mu n rations dont la s ance de cl ture est pr vue le 2 juin prochain Elle a ainsi annonc ses premi res orientations de r forme sur les principes et les l ments structurant la fonction publique de car ri re Ne bougeront pas le classement hi rarchique en cat gorie
152. raux 16 femmes sur un effectif total de 61 et moins de 30 des inspecteurs g n raux 39 femmes contre 92 hommes De plus sur les 35 nouveaux DASEN nomm s depuis janvier 2014 seuls 9 sont des femmes et en 2013 2014 le minist re ne comptait que 30 de femmes parmi les DASEN et DAASEN 42 femmes contre 97 hommes Ces derni res sont en revanche plus nombreuses chez les CASU 40 7 de l effectif administrateurs de l ducation nationale 44 7 et IEN 46 Concernant pr cis ment les personnels de direction si le minist re mentionne dans son dernier bilan social sp cifique au corps davantage de femmes depuis 2009 47 2 du corps en 2013 2014 elles ne repr sentent en 2013 2014 que 30 6 des proviseurs de lyc e 474 femmes contre 1 073 hommes et 38 9 des proviseurs de LP mais 45 chez les principaux de coll ge 2208 femmes contre 2694 hommes Chez les ad joints en revanche la part des femmes est beaucoup plus importante on a ainsi 56 4 de femmes chez les principaux adjoints 1977 femmes contre 1531 hommes 52 1 chez les proviseurs adjoints 1195 femmes contre 1099 hommes cela s ajoutent des diff rences au niveau des cat gories d ta blissement que relevait le bilan social des personnels de direction 2013 savoir que plus la cat gorie de l tablissement est lev e moins les femmes sont repr sent es chez les chefs d tablissement Ainsi par exemple on d nombre 19 d
153. re Les trois autres d partements que sont les Alpes de Haute Provence les Hautes Alpes et le Vaucluse sont des territoires dont le caract re rural nuance les difficult s Le SNPDEN est depuis longtemps tr s pr sent sur Aix Marseille puisqu il syndique plus de 70 des coll gues personnels de direc 62 Diecion 227 mal 2Ol5 Benvengudo en Avignoun Valr as F annan Arles Marseille Pertuis L 1 Li Brian on Gap e Sisteron 20 Digne les Bains Aix en Provence a tion et recueille l essentiel des voix aux lections professionnelles avec 5 si ges sur 6 en CAPA Alors comme l on dit en lengo nostro en proven al benven gudo en Avignoun bienvenue tous Avignon L Gilles AUTEROCHE proviseur Secr taire acad mique Formation nationale la cit Cette formation se situait cette ann e dans un contexte particu lier proche dans le temps de la semaine du 7 au 11 janvier et proche dans la g ographie car le lyc e Maurice Ravel est situ pr s de la Porte de Vincennes Le 9 janvier dernier l ves et personnels y furent confin s pendant de longues heures France Bessis a accueilli les stagiaires en rappelant ces circonstances terribles et souhaitant que les personnels de di rection soient form s sur ce principe es sentiel qui est celui de la la cit La matin e de travail a commenc par un rappel historique de la
154. rtition sera confi e au conseil p dagogique Pour le SNPDEN les annonces proposent souvent sous un autre nom gt a COLL GE des dispositifs d j d ploy s sans vrai ment s interroger sur les raisons de leur chec ant rieur et cette r forme s annonce finalement plut t comme un rafra chissement d ailleurs bienvenu et positif sur plusieurs de ses aspects comme l intention de mettre une partie significative de la dotation la dis position de l autonomie des tablisse ments Mais le syndicat interroge une fois de plus la d marche de change ment qui semble se r sumer pour l instant des d bats sur les horaires alors que le programme de ce que de vront apprendre les l ves n est pas encore connu et il n a pas trouv ce qui permettrait notamment de r sorber les in galit s cf Lettre de di rection n 495 du 13 mars 2015 www education gouv fr cid8683 1 college mieux ap prendre pour mieux reussir html LE SUIVI INDIVIDUALIS DES sx Y ELEVES FORTEMENT CRITIQUE Dans son rapport sur le suivi individualis des l ves ren du public le 4 mars dernier la Cour des comptes dresse un constat plut t n gatif des dispositifs mis en place qui rel vent d une politique encore h sitante de la part du mi nist re L examen des dispositifs existant jusqu en 2013 fait ainsi appara tre que cette d marche est minoritaire faute de vision st
155. s EPSCP EPLE il faut d abord rappeler que le SNPDEN a souhait en tendre l obligation aux BTS afin de r gler la question de l acc s de ces derniers aux ECTS Mais aujourd hui ce qui tait un projet ducatif int grateur se noie dans la question des droits d inscription que doivent verser les pr parationnaires contraints de s inscrire l universit Notre position est simple cette obliga tion nouvelle doit tre compens e par des prestations nouvelles faute de quoi ce ne serait qu une dime universitaire Les EPLE n ont assurer mat riellement la gestion de cette inscription que dans un cadre conventionnel qui les d dom mage des charges nouvelles qu ils choi siraient de supporter Enfin le SNPDEN a clairement indiqu que les lyc es n ont prendre aucune initiative en ce qui concernerait des pr parationnaires non inscrits l universit c est au minist re de r gler ce point de droit D une fa on g n rale le SNPDEN a jou son r le dans les instances de l enseignement su p rieur que ce soit pour l am lioration d APB ou la simplification des intitul s des formations Une grande partie de l activit de l or ganisation syndicale a t domin e par les lections professionnelles de 2014 En obtenant 67 des voix de 84 de votants le SNPDEN confirme sa repr sentativit en totalisant 56 des ins crits chiffre en hausse r guli re 52 en 2008 54 en 2011 Cependant m me si l
156. s A B et C les corps grades et chelons et le re crutement sans concours pour le bas de la cat gorie C En revanche le gouvernement souhaite instaurer une nouvelle amplitude indi ciaire et un allongement des carri res 18 Direction 227 mai 2015 Actualit s Afin de donner la pleine efficacit ces dispositifs la Cour des comptes for mule ainsi une s rie de recommandar tions qui visent principalement g n raliser la d marche d indivi dualisation au coll ge et pour les l ves en CAP mettre en place des outils d valua tion des dispositifs de suivi indivi dualis des l ves chiffrer annuellement pour le Parle ment le co t de ces dispositifs revoir la d finition du temps de service des enseignants du second degr et annualiser au moins pour partie leur temps de service donner la possibilit aux chefs d tablissement de moduler la r partition du temps de service des enseignants et des emplois du temps des l ves en fonction de leurs besoins syst matiser la formation des ensei gnants la d marche d individuali sation valuer les enseignants sur leur pratique de suivi individualis des l ves Pour le SNPDEN ce rapport de la Cour des comptes rel ve une nou velle fois les graves d faillances de la gouvernance du syst me ducatif et le d sint r t persistant du minist re de l Education nationale tant pour la d marche de ch
157. s commissaires paritaires du SNPDEN UNSA ont re grett en s ance que cette r gle ne soit pas respect e par tous et qu une d claration liminaire ait t publi e d s le 26 mars 13 heures et en voy e sur les bo tes professionnelles de nombreux coll gues Monsieur le directeur monsieur le sous directeur mesdames et monsieur les recteurs mesdames et messieurs les membres de la CAPN Je souhaiterais tout d abord au nom du SNPDEN UNSA saluer tous les membres nouveaux ou anciens de la CAPN et remarquer que les lections auront amen moins de renouvelle ment parmi les repr sentants de l ad ministration que dans les d l gations syndicales C est avec plaisir que nous si geons toujours aussi nombreux et si cela tait possible j aimerais vous pr senter nos lus dont pr s de la moiti si gent aujourd hui pour la 1 fois Les repr sentants du SNPDEN souhai teraient tout d abord remercier les ser vices pour la qualit du travail et des documents fournis ainsi que pour leur disponibilit t l phonique et lectro nique Nous appr cions encore plus cette ann e en raison de ce renou vellement d avoir eu deux week ends pour traiter les fichiers mais nous nous permettrons n anmoins de regretter le format sous lequel ils nous parviennent encore nous contraignant nous mus 26 et 2 mars E 7 E mu 0 Li P E 3 laurence COLIN Coordinatrice des commissa
158. s initiatives acad miques ce sont des centaines de coll gues qui ont b n fici de cette politique syndicale de formation qui se substitue souvent une formation professionnelle continue durablement d vast e comme en t moigne le d velop pement du job training d origine syn dicale Dans le cadre de cette politique le SNPDEN a ainsi contribu des offres de grande qualit en partenariat avec d autres organismes reconnus comme ducation amp Territoires ou l AFAE et apport son soutien au d veloppement de MADOS Cette action a t facilit e par une nouvelle organisation du travail logistique du BN et du si ge autour des P les organisation finances communication et r seaux d aide qui permettent d associer de fa on infor melle les ressources d origines diverses n cessaires un bon fonctionnement Cela a permis la mise en place du r seau d aide professionnelle d abord au si ge puis aujourd hui dans les acad mies Souvent anim par des coll gues retrait s ce r seau permet de donner un espace leur action syndicale et d ap 38 Direction 227 mai 2015 Rapport d activit porter un soutien dans une profession toujours tr s marqu e par la solitude Cela a aussi permis le travail d cisif sur les finances du syndicat lourdement p nalis es par le blocage du point d indice sur lequel les cotisations taient bas es Comme cela avait t annonc lors de l lec
159. s midi est arri v e la r ponse du pr sident du conseil r gional Cette r ponse n a fait que renfor cer le m contentement des personnels de direction mais aussi celui des gestionnaires BOYCOTT DE LA JOURN E ANNUELLE DES PROVISEURS DE LYC E Une consigne de ne pas se rendre la journ e annuelle des proviseures proviseurs a donc t d cid e avec communication syndicale la presse et information la rectrice de Lyon et au recteur de Grenoble Cela a t re lay par un article dans la presse locale lyonnaise Le Progr s une d p che AEF et des Lettres de Direction acad miques EN GUISE DE CONCLUSION Il est dommage que les per sonnels exercant en lyc e soient oblig s de passer par de telles actions pour se faire entendre Les en jeux actuels et futurs tant consid rables nous avons donc toutes et tous int r t travailler ensemble et aller dans le m me sens dans le respect des fonctions et pr rogatives de chacun et pour le bon fonctionnement de nos tablissements Nous sommes dans notre r le de syndicat syndicat qui doit parfois cr er un rapport de forces ponctuel permettant ensuite de cr er les conditions d un dialogue constructif G rard Heinz SA Lyon Nathalie Kerbeci SA adjointe Lyon charg e des lyc es Jean Marie lasserre SA Grenoble Cellule juridique Organisation des soins et des urgences dans les EPLE protocole d urgence et respon
160. s par an devant la conf rence nationale d alerter si n cessaire le secr taire g n ral et la conf rence nationale TITRE QUATRI ME LES AFFAIRES FINANCI RES Article S43 Les ressources du SNPDEN sont constitu es par les cotisations les subventions les recettes publicitaires et des produits d riv s les dons et legs Article S44 La cotisation pour une ann e scolaire donn e est fix e par r f rence au traitement de base de la fonction publique au 1 juin pr c dant la ren tr e scolaire et la cotisa tion due au titre f d ral Une part de la cotisation est revers e aux sections acad miques Article 45 Chaque ann e l ex cutif syndical national adopte un budget pr visionnel Le tr sorier national rend compte chaque ann e devant la conf rence na tionale de l ex cution du budget Le tr sorier national g re sur mandat de l ex cu tif syndical national les biens meubles et im meubles utilis s par le syndicat Article S46 Le congr s se prononce sur le quitus donner au tr sorier national apr s rapport de la commis sion de v rification des comptes TITRE CINQUI ME LA COMMUNICATION SYNDICALE Article 47 e le syndicat au niveau national publie un bulle tin destin l information de ses adh rents A l int rieur de chaque num ro ordinaire une place est r serv e une tribune ou verte tous les adh rents e l
161. sabilit s des diff rents acteurs Sous le titre organiser les secours et les urgences dans un tablissement scolaire un guide d une acad mie du centre de la France est initi par un groupe d infirmiers de l acad mie actualis par les conseillers techniques infirmiers et valid par les m decins de l ducation nationale des SAMU des services d partementaux d incendie et de secours SDIS en collaboration avec le service juridique du rectorat appa remment il n apparaissait pas judicieux d y associer des chefs d tablissement Sous la signature du recteur de l acad mie le document est adress de fa on tr s injonctive aux personnels de direc tion il pourrait devenir une certaine r f rence en cas d accident et de recours l intention de vouloir donner un fil conducteur dans le d dale des circulaires et des notes de service plus de 20 notre connaissance afin d clairer les zones d ombre portant sur les missions et obligations respectives des personnels de l ducation nationale et de ses parte naires m rite d tre salu e Pour autant la lecture du guide acad mique laisse appara tre quasi exclusivement un seul acteur responsable de tout savoir sans surprise le chef d tablissement Les obligations de ce dernier tir es de l article R 421 10 du Code de l duca tion sont soulign es deux reprises et copieusement d taill es le chef d ta blissement prend toutes
162. serv e au fonctionnement des sec tions acad miques par le tr sorier national est gale au cinqui me des cotisations re ues le reversement aux tr soriers acad miques s effectue pour moiti proportionnellement au nombre des adh rents et pour moiti sur le crit re g ographique avec des modulations qui tiennent compte de la configura tion et de la situation de certaines acad mies Cette part est calcul e sur la base des cotisations constat es au 2 mai de l ann e coul e e 2 Les sommes exc dentaires constat es au compte financier arr t au 31 d cembre sont r par ties comme suit un fonds de r serve aca d mique hauteur d une ann e de fonctionnement un fonds de r serve na tional constitu des fins de solidarit et pour des actions d envergure natio nale Article R29 e Le tr sorier acad mique transmet tous les ans au tr sorier national le compte financier tabli au 31 d cembre approuv par le conseil syndical acad mique dans les r gles fix es par le r glement int rieur acad mique e l ouvre un compte ban caire lui permettant de g rer les sommes qui lui sont confi es Ce compte ne peut tre ouvert qu avec l autorisation du secr taire g n ral qui en sera obligatoirement le pre mier mandataire e En m me temps qu il transmet le compte rendu financier il adresse un tat r capitulatif des biens existants dans l acad mie biens
163. services que par les principaux hauts respon sables pr sents dans la salle Un un tous les postes sont soumis un avis on v rifie qu untel n a pas t oubli que les valuations ont bien t prises en compte que les v ux sont respec t s que les situations particuli res sont examin es La responsabilit de cha cun est grande dans ce qui va devenir l avenir d un coll gue La d cision est prise elle reste le choix du minist re on sait qu il y aura forc ment des d cus 1216 mutations ont t pronon c es lors de cette CAPN je me suis sentie tr s fi re d avoir particip ce mouvement d avoir contribu ce que chacun puisse tre trait de fa on quitable Et l an prochain je serai l avec les autres commissaires paritaires du SNPDEN UNSA pour ac compagner conseiller les coll gues et les d fendre dans ce long processus qu est la mutation Carri re Direction 227 mai 2015 27 Une semaine de conclave J r me Naime Commissaire paritaire national Mardi 24 mars 8h36 j arrive Paris pour une semaine de conclave en CAPN C est l aboutissement du travail commen c fin ao t avec toute l quipe des com missaires paritaires autour de Laurence Colin D s octobre j ai rencontr les coll gues pour les conseiller sur leur strat gie les aider constituer leur dossier les in former sur le calendrier la proc dure tenter aussi parfois de les raisonner s
164. ssaires paritaires nationaux en charge des acad mies ultra marines et de AEFE FABIEN DECQ Fabien Decq est personnel de direction depuis 2003 Apr s avoir exerc des fonc tions d adjoint en coll ge puis en LEGT pendant 7 ans il a t principal du coll ge Charles P guy d Arras situ en zone urbaine et class en RRS Aujourd hui proviseur du lyc e Condorcet de Lens il a t auparavant syndi qu au SNES quand il tait professeur certifi en mar th matiques ll est adh rent au SNPDEN depuis 2003 Commissaire paritaire aca d mique depuis 2005 membre depuis cette date des bureaux d partemen taux du SNPDEN du Nord ou du Pas de Calais il a t secr taire d partemental du Pas de Calais entre 2010 et 2014 Commissaire pa ritaire national de 2008 2011 pour suivre les acad mies d Amiens et de Lille il est membre du CSN depuis 2008 et coordonne la CAPA pour l acad mie de Lille Il est membre de la commission Carri re du BN depuis 2012 FLORENCE DELANNOY Apr s avoir enseign l his toire et la g ographie en coll ge Florence Delannoy est devenue personnel de direction en 1998 Pro viseure adjointe Arras elle est nomm e proviseure Roubaix en 2004 puis Lille en 2007 Elle est depuis la rentr e 2014 proviseure Genech Syn diqu e depuis 1999 elle a t correspondante de secteur pour Arras et Rou baix commissaire paritaire acad mique et secr
165. st pas une profes sion c est une violence faite la personne le syst me prostitution nel s attaque aux plus vuln rables femmes comme hommes ce n est pas un choix mais une situation su bie dans l immense majorit des cas Selon plusieurs tudes r centes dans diff rents pays 98 des personnes prostitu es quitteraient la prostitution si elles le pouvaient La prostitution est la soci t ce que l inceste est la famille D Jorge Barudy psychiatre R sultats en Su de diminution de la prostitution de rue moins 50 en deux ans diminution des clients pas d augmentation significative des offres sur Internet contrairement ce qui est v hicul par les m dias non su dois la population est de plus en plus favorable la p nalisation des clients plus de 70 alors que 33 en 1998 POUR EN SAVOIR PLUS e Rapport Olivier www assem blee nationale fr 14 rapports r1558 asp Th se de Judith Trinquart sur le processus de d corporalisation hito ecvf online fr IMG paf Tringuart pdf Mouvement du Nid http www mouvementdunid org 30 arguments en faveur de l httb femmes gouv fr abolition de la prostitution dis cours de najat vallaud belka cem devantlassemblee natio nale Vie syndicale Direction 227 mai 2015 07 Tribune iore YO Ue ESPACE DID NES ON l actualit vous interpelle 2 Un article vous donne envie de r agir Direction vous donne la p
166. t qualifi e des deux tiers l initiative de la moiti des conseils syndicaux acad miques repr sen tant le tiers des adh rents au plan national sur proposition de l ex cutif syndical national LA CONF RENCE NATIONALE CN Article 33 La conf rence nationale est compos e de l ex cutif syn dical national et des secr taires acad miques Article 34 La conf rence nationale est une instance charg e du suivi de la mise en application des d cisions du congr s et du conseil syndical national Elle est consult e d lib re sur l actualit syndicale et labore en particulier les propositions g n rales en mati re d action syndicale et assure le suivi de leur application Elle doit tre le relais d informations entre les instances nationales et les instances acad miques L EX CUTIF SYNDICAL NATIONAL ESN Article 35 l ex cutif syndical natio nal est lu au scrutin de liste majoritaire un tour par liste enti re sans pa nachage par le congr s r uni en s ance ordinaire dans le respect des prin cipes g n raux de la repr sentativit d finis l article S14 La repr sentation des listes se fait conform ment au r glement int rieur Le secr taire g n ral est d sign par le vote ma joritaire du congr s en faveur de la liste qu il conduisait En cas de d faillance du secr taire g n ral il est proc d son rempla cement conform ment a
167. t alors les rela tions avec l UNSA Education la fonction de tr sorier ad joint et la mise en uvre du p le assistance coute et conseils C DRIC CARRARO Historien de formation C dric Carraro est devenu CPE dans l acad mie de Cr teil en 2001 Principal adjoint faisantfonction d s 2004 il rejoint le Bureau d partemental du SNPDEN de Seine et Marne la m me ann e Re u au concours de personnel de direction en 2007 il devient pro viseur adjoint de LP en Seine et Marne Nomm principal en 2010 il est lu au CSA et au secr tariat acad mique du SNPDEN Cr teil Il est mis dispo sition du si ge parisien du SNPDEN en tant que secr taire permanent depuis sep tembre 2012 NATHALIE CHAPIER Tout en poursuivant ses tudes de psychologie elle est entr e dans l Educa tion nationale en tant que surveillante d externat en 1990 Conseill re princi pale d ducation partir de 1996 dans l acad mie de Reims elle passe et obtient le concours de personnel de direction en 2007 De 2007 2010 elle est principale adjointe la cit scolaire de S zanne De 2010 2012 proviseure adjointe au LPO E Oehmichen de Ch lons en Champagne Elle est actuellement principale du coll ge Paul Eluard Verzy 51 Adh rente du SNPDEN des 2007 elle est lue se cr taire d partementale de la Marne depuis 2012 et si ge au CTA de l acad mie de Reims au titre de l UNSA depuis 201
168. t travaux de celui ci Ces d veloppements sont r alis s au sein de la cellule Information et Communication de l ex cutif syndi cal national TITRE SIXI ME DISPOSITIONS DIVERSES SECTION LES COMMISSIONS PARITAIRES Article R34 e Les candidats aux commis sions administratives pari taires acad miques seront choisis conform ment aux articles R5 et R majoritaire ment parmi les membres du conseil syndical acad mique Article R35 e l ex cutif syndical national tablit la liste des candidats aux lections profession nelles nationales conform ment aux articles R5 et R SECTION II DISPOSITIONS PARTICULI RES A DISPOSITIONS APPLICABLES A L ACADEMIE DE CORSE Article R36 e Par d rogation l article S24 des statuts la repr sen tation au conseil syndical national est assur e par le secr taire acad mique et un d l gu lu conform ment l article S21 des statuts e Par d rogation l article S28 des statuts la d l ga tion au congr s comprend le secr taire acad mique les deux secr taires d parte mentaux un retrait B DISPOSITIONS APPLICABLES AUX DEPARTEMENTS ET REGIONS D OUTRE MER Article R37 Dispositions applicables aux acad mies de Guyane de Guadeloupe de la Martinique de La R union et du d partement de Mayotte e Par d rogation aux articles S18 et S19 des statuts la sec tion d partementale assure les fonctions d volu
169. tion de ce BN au congr s de Lille le syndicat est d sormais dot d un bud get pr visionnel et la situation financi re est court terme redress e par une aug mentation des cotisations qui avaient en r alit en euros constants baiss de puis 2009 ce qui fait que l augmenta tion du nombre de syndiqu s de 8568 en 2011 9051 en 2014 ne s tait ainsi pas traduite dans la tr sorerie l adaptation du syndicat des environ nements nouveaux est une n cessit c est le sens du travail fait autour des nouveaux statuts Quelle que soit la d cision du congr s c est un travail exem plaire en termes de proc dure qui a t conduit et qui vise donner notre syndicat la structure la plus efficace pos sible dans un contexte marqu par un agencement diff rent des lieux de d ci sion au sein de l ducation nationale La plupart des d cisions qui vont peser sur nos coll gues sont d initiative acad mique m me si elles sont elles m mes la cons quence d orientations nationales Ceci a conduit imaginer un syst me qui associe troitement le national et le local l un ayant besoin de l autre pour agir La matrice de cette nouvelle orga nisation a t le BN largi aux SA dont la cr ation il y a plus de dix ans a profond ment et positivement d j transform notre fonctionnement Paral l lement ce projet de nouveaux statuts prolonge l engagement du SNPDEN autour de la place des femmes
170. tion dynamique et de grande qua lit Les frais repr sentent notre 2 poste de d penses les frais mat riels de bureau ils ont augment du fait de l volution du parc informatique et des photo copieurs les frais bancaires ils sont ren go ci s r guli rement avec la banque et restent stables Mais les rejets de pr l vement de cotisations entra nent des frais dus la n gligence de coll gues malgr les nombreux rappels les imp ts et taxes l augmentation concerne en particulier les taxes fon ci res de nos biens immobiliers le secours d c s la Caisse Natio nale de Pr voyance g re ce fonds depuis de nombreuses ann es Le syndicat collecte les cotisations et les reverse la CNP Lors de l exercice 2012 2014 nous avons compt juin 2012 8 571 adh rents 7 096 actifs et 1 475 retrait s juin 2013 8 751 adh rents 7 278 actifs et 1 473 retrait s juin 2014 9 055 adh rents 7 625 actifs et 1 430 retrait s Ces donn es traduisent une augmen tation des adh sions des actifs et une rosion des adh sions des retrait s la gestion saine et rigoureuse de nos finances permet de soutenir notre poli tique ambitieuse Mais le contexte co nomique ne s est pas am lior Les co ts et les frais dans un certain nombre de secteurs ont beaucoup augment alors que la cotisation des adh rents qui constitue l essentiel de nos ressources tait gel e depuis 20
171. u r glement int rieur Article 36 Statuts l ex cutif syndical natio nal est charg de la mise en applica tion des d cisions du congr s et du conseil syndical national de pr parer les congr s les r unions du conseil syndical national de pr parer les travaux de la conf rence nationale de diffuser l information de participer aux ins tances et l activit de l UNSA Education d assurer les liaisons in tersyndicales nationales de repr senter le syndicat au plan national et inter national de d signer ses repr sentants aupr s des dif f rentes organisations ou instances nationales ou internationales Direction 227 mai 2015 53 d tablir les listes des can didats aux lections pro fessionnelles nationales de g rer les biens meubles et immeubles utilis s par le syndicat l acquisition ou la cession des biens immobiliers du syndicat est propos e par l ex cutif syndical natio nal au conseil syndical na tional qui en d cide apr s avoir entendu le rapport du tr sorier national Article 37 Sur proposition du Secr taire g n ral qui le dirige l ex cu tif syndical national d signe notamment en son sein le ou les secr taires g n raux adjoints les secr taires nationaux en charge des commis sions le tr sorier le tr sorier adjoint le coordonnateur des commissaires paritaires le charg de communica tion le r dacteur en che
172. uation gr ce au tra vail sur le premier socle commun et il y en Dominique FAURE Bureau national Commission M tier a prouvent la n cessit dans la mise en uvre de ces nouvelles pratiques p dago giques de d velopper le travail en quipe tous les niveaux La r forme du statut des enseignants pour rait r pondre cette question puisqu elle rappelle que le travail en quipe discipli naire p dagogique et ducative est une des missions des enseignants Mais en choisissant de ne pas communi quer sur cette r forme de ne pas d cliner sa mise en uvre de ne pas l expliquer ses agents que sont les enseignants ce texte qui pouvait ouvrir le d bat d une or ganisation de travail diff rente au sein des tablissements se recentre sur un d bat st rile et triqu autour des indemnit s pour missions particuli res IMP en donnant le sentiment une nouvelle fois d une d con sid ration du travail des enseignants et d une complication inutile de gestion Pire en refusant d entrer dans un d bat technique probablement moins noble mais certainement plus compliqu de la mise en uvre le minist re laisse aux quipes de direction le soin de deviner les intentions de la loi d interpr ter le texte de n gocier lo X calement C est le cas par exemple sur la bonification horaire de 1 1 dans les REP dont personne ne sait s il s agit de temps de concertation d au sein des EPLE ou de t
173. ues Et que dire des informations qui circulent quant aux d cisions qui ne seront prises qu aujourd hui ou de main ou de personnels de direction qui se vantent de faire le mouvement comme en Martinique Syndiqu s certes mais pas au SNPDEN UNSA Le mouvement est tr s contraint cette ann e en raison de la poursuite de la baisse du nombre de d parts la retraite ll permet tra n anmoins dans sa 1 phase 433 adjoints de devenir chef Dans ce contexte compliqu il eut certainement t judicieux de favoriser les cha nes les plus longues possible afin de permettre un plus grand nombre de coll gues de muter Cela a par fois t fait dans certaines acad mies mais n a malheureusement pas toujours t la r gle Et si le mouvement est souvent tech niquement bien fait dans les acad mies il pourrait parfois tre am lior ou du moins plus ouvert si on n avait pas syst matique ment fig les int rims dans certaines acad mies comme Caen Certes les coll gues ont rendu service mais s ils n taient pas confirm s sur ce poste mais positionn s sur un autre cela donnerait moins l impression d opportunit s pas toujours quitables Dans le m me ordre d id e nous appr cions beaucoup que l administration soit vi gilante avec les mutations des coll gues en poste depuis 7 8 9 10 et jusqu 11 ans Mais proportionnellement au nombre de mutations prononc es ces coll gues sont tr s nombreux d
174. une ind pendance qui fait sa force gr ce un nombre d adh rents toujours plus lev LA LISTE PROPOS E AU VOTE DES CONGRESSISTES Philippe Tournier secr taire g n ral propose sa profession de foi et pr sente les 28 candidats qui composent sa liste C est la fin du congr s que l on proc de au vote et la proclamation des r sultats se fera le vendredi 22 mai Le secr taire g n ral est d sign par le vote majoritaire du congr s en faveur de la liste qu il conduit C est seulement ensuite que l on proc de la d signation du ou des secr taires g n raux adjoints des secr taires nationaux en charge des commissions du tr sorier et tr sorier adjoint du coordonnateur des commissaires paritaires du charg de communication du r dacteur en chef du bulletin Direction Si les nouveaux statuts sont adopt s par le congr s le bureau national deviendra ex cutif national LE PROGRAMME DU CONGR S Des journ es bien charg es pour les congressistes avec le renouvellement outre du bureau national de la com mission nationale de contr le CNC et de la commission de v rification des comptes CVC et bien s r les inter ventions des secr taires acad miques et des invit s institutionnels et le travail dans les quatre commissions Vie syndicale M tier Education amp p dagogie et Carri re partir des remont es des acad mies C est la commission d organisation des d bats qui orchestre le tout LES
175. ur certains v ux pour leur donner un maximum de chance de muter En d cembre et janvier nous avons fait le lien avec l quipe pr c dente ainsi que les coordonnateurs de CAPA D but janvier les dossiers des coll gues commencent nous arriver envoy s du si ge qui les recense un par un avant de les ventiler par acad mie demand e Je les consulte je v rifie les v ux les appr ciations je prends connaissance des situations particuli res elles sont toutes particuli res Je peste contre ce coll gue qui m envoie 35 pages de 28 Direction 227 mai 2015 Carri re documents et qui oublie de mettre ses v ux ou son valuation Je contacte les adh rents qui n ont toujours rien en voy J mets des espoirs pour des col l gues qui patientent depuis quelques ann es en imaginant quelques cha nes de mutation qui pourraient les satisfaire Mais le mouvement est r alis par le mi nist re les recteurs et directeurs acad miques DASEN et il faut attendre qu ils rendent leurs copies En f vrier la pression monte des bruits commencent courir Certains coll gues s inqui tent Ils appellent J essaie de les rassurer Dans le microcosme des per sonnels d encadrement on parle beau coup Paroles et paroles et paroles Les promesses n engagent que ceux qui les coutent Pendant ce temps la le travail continue au lyc e conseils de classe pr para tion de rentr e APB accompagnement des l
176. ur les responsables du terrain de bricoler une r plique un faux qui libre on ne peut avancer ainsi Le Premier ministre a d taill le plan de mobilisation de l cole pour les va leurs de le R publique d une r elle mixi t sociale l cole d une cole qui doit veiller sans faille Il s agit d ex pliquer et de faire partager les valeurs de la cit qui doivent retrouver toute leur force l adh sion ces actions ne peut qu tre enti re mais quelles en seront les d clinaisons concr tes Le diable se cache toujours dans les d tails Vie syndicale Direction 227 mai 2015 65 Prostitutions le dernier tabou SEXUALIT PROSTITUTIONS Y LE DERNIERTABOU un Lydia Advenier Pour commencer merci de nous donner quelques rep res combien estime t on le nombre de mineur e s prostitu e s en France ce qui peu ou prou correspond nos l ves Brigitte Moltrecht Les personnes prosti tu es seraient en France 20000 offi ciellement mais probablement 40000 dont 10000 mineur e s et 10000 sur Internet 85 sont des femmes En revanche 99 des clients sont des hommes La prostitution est un ph no m ne sexu LA La prostitution est elle dans notre soci t un ph nom ne marginal BM Non on constate m me une hausse consid rable des r seaux de traite 20 d trangers en 1990 90 en 2000 La prostitution est de venue un ph nom ne tr s organ
177. ure connais sance de la r alit d un tablissement scolaire et des obligations respectives du m decin r gulateur du chef d agr s pompier responsable de l quipe d va cuation du service d urgence et celles du chef d tablissement On ne peut que se r jouir du regrou pement de ces deux acad mies en une seule entit suite la r forme de l tat r gional loi du 16 janvier 2015 qui leur permettra de s clairer mutuelle ment au plus grand b n fice des EPLE et de leurs chefs d tablissement La note du DASEN d finit les modalit s de prise en charge classique d un l ve l op rateur ou m decin r gulateur du SAMU engage les moyens des sapeurs pompiers le chef d agr s avise le personnel de l Education nationale du lieu de transport l information des parents de l va cuation rel ve de la responsabilit du chef d tablissement l arriv e aux urgences le chef d agr s confie l l ve au service hospitalier La note pr cise les moyens sapeurs pompiers n ont pas juridiquement be soin d un accompagnant pour assurer le transport d une personne mineure parents repr sentant de l Education nationale forces de l ordre Elle ajoute qu il peut appara tre que le chef d agr s demande la pr sence d un accompagnant s il juge que cette pr sence est indispensable titre ex ceptionnel pr cise le DASEN et pour des situations particuli res l ve dont l tat
178. ves en difficult projets culturels Les journ es sont charg es Les vacances de f vrier arrivent point Mais la deuxi me semaine sera consa cr e enti rement la pr paration de la CAPN tude et tri des dossiers partici pation AGA de Grenoble pour ren contrer les coll gues et faire le point sur les dossiers d licats Mi mars la pression monte d un cran Le projet de mouvement va arriver C est le sprint final il faut anticiper la semaine Paris Le projet de mouvement vient d arriver par courriel J en prends connaissance je l analyse J essaye de comprendre ses lo giques parfois je ne comprends pas On interrogera Le travail pr cis commence v rifier les v ux de chacun essayer de les am liorer r fl chir des cha nes plus longues prendre en compte les situations personnelles Les deux week ends qui pr c dent la CAPN y sont consacr s Les rumeurs s amplifient certaines sont justes d autres compl tement erron es Les coll gues s inqui tent ils ont enten du dire certains bluffent d autres s y voient d j La pression monte encore et encore Ne rien dire ne rien laisser para tre tant que la CAPN n est pas pass e tout peut changer Dernier week end je suis d j concen tr Je regroupe tous les dossiers tri s Je v rifie que je n ai rien oubli Ma va lise est pleine craquer Mardi 9h00 j arrive au si ge content de retrouver toute l quipe l accuei

Préparation du congrès d`Avignon

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Pr&eacute;paration du congr&egrave;s d`Avignon

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Préparation du congrès d`Avignon