Le puceron noir - Bibliothèque Centrale Université de Ouargla
Contents
1. Classification des m thodes de lutte appliqu es contre les insectes nuisibles Les imp ratifs d une agriculture moderne s accommodent mal d accidents tels que ceux qui sont provoqu s par les ravageurs des cultures L intervention de l homme est devenue n cessaire pour maintenir les rendements et la qualit des produits alimentaires un niveau lev permettant une rentabilit accrue 8 Il existe de nombreuses m thodes de lutte pour d truire les insectes et bien qu il soit difficile d tablir une classification rigoureuse de tous les proc d s il est possible toute fois de les grouper suivant leur mode d action et leur origine en un certain nombre de cat gories sans donner cette nomenclature une valeur trop absolue 4 Les diff rentes m thodes sont 6 1 Les m thodes culturales Elles sont tr s vari es et s appliquent chaque fois que l on interviendra dans un mode de culture d une plante cultiv e pour la pr server directement ou indirectement contre les attaques des insectes Parmi les applications les plus courantes et les plus remarquables il convient de citer la s lection g n tique en vue d obtention des vari t s r sistantes Cette s lection peut porter non seulement sur la modification profonde de l esp ce v g tale par hybridation mais aussi sur sa pr cocite et la transformation artificielle de tel ou tel organe v g tatif Depuis que les bio techniciens savent bricoler des tres v2. temp rature et pression constantes Par cons quent pour un tensioactif ionique donn la micelle est influenc e en particulier par L agitation thermique 1 par la nature de la mol cule insecticides La force ionique 9 et la nature du contre ion 34 pour les surfactant elle d pend de la longueur de cha ne et de la nature du contre ions de param tres g om triques li s sa forme et sa taille un nombre d agr gats n gal au nombre de monom res qui contient la micelle un degr d association proportionnel gal au rapport du nombre de contre ions associ s au nombre d agr gats ce param tres sont de termin s exp rimentalement techniques diffusion de la lumi re de neutrons rayons x viscosit etc et permettent d valuer la charge superficielle d une micelle par unit de surface 19 la population de micelle peut tre polydispers e et les agr gats ne sont pas n cessairement sph riques Ils peuvent exister sous forme de cylindres disque tubes ou ellipsoides 60 HOC OW od Surfactant insecticide Micelle M NO i CH CH CH FC N CH CH CH NO Figure 05 Formation de micelle insecticide A Agitation l ger cette partie appel e phase organique r cup r e pour la suite du travail apr s purification On obtient un liquide dont la solidification donne des cristaux blancs La figure 06 montre le spectre infra rouge obtenus apr s la formatio
3. Chapitre I G n ralit s sur les insecticides 1 Introduction historique Insecticides et parfums sont souvent associ s ils taient utilis s depuis antiquit lors des c r monies religieuses et dans le traitement des maladies 57 Pline crivait que pour prot ger les pommiers contre les attaques des vers il tait n cessaire de suspendre leur sommet un l zard vert mais pour les garantir des fourmis le l zard doit tre remplac par un poisson 4 H rodote et Hippocrate les plus grand m decins de l antiquit ont r sum les connaissances de leur temps sous tous les aspects alors accessibles nous apprennent ce que les Grecs connaissaient des produits utilis s contre les insectes Un si cle plus tard vers 300 ans avant Jesus christ th ophraste le devin parleur selon Aristote publie neuf volumes intitul s les recherches sur les plantes suivis de seize volumes sur les causes des plantes 57 2 Lutte contre les insectes Pour lutter contre la vermine qui pullulait dans les habitations les charangons dans les greniers les courtili res les chenill s de pi rides et de noctuelles dans les potages et les jardins les vers blancs dans les cultures l eud mis et la cochylis dans les Vignobles on avait recours il y a peine cent ans des recettes qui tenait la fois de la magie et de la sorcellerie Des formules secr tes conserv es jalousement de famille famille et l gu
4. chauffe jusqu 20 C et on fixe le thermocouple pendant deux heures avec l agitation on ne remarque ni changement ni vaporation on laisse le m lange pendant 24h pour la pr cipitation afin de s parer la phase solide et la phase liquide Filtration On laisse la phase liquide se pr cipiter pour s parer les petites particules ensuite filtre le liquide pour obtenir une solution homog ne au d but le liquide tait vert et apr s les diff rentes op rations de filtration et de pr cipitation le liquide devant marron clair On r p te la m me manipulation aux temp ratures suivantes 1 T 25 C aucun changement couleur marron fonc 2 T 30 C on remarque une petite quantit de vapeur dans le col du ballon est en bas du r frig rant avec un l ger changement de couleur 3 T 35 C condensation de la vapeur et formation de gouttes en bas du r frig rant 4 T 40 C condensation de la vapeur avec formation de gouttes transparentes qui reviennent au ballon 5 T 80 C m me r sultat avec T240 C mais il y une grande diff rence dans la couleur du liquide Extraction avec n hexane On utilisant une ampoule d canter on extrait les produits organiques avec un solvant n hexane le solvant transparent devient marron jaun tre apr s agitation Vaporisation On a vapore le solvant en utilisant un bain d huile formation de cristaux blancs s par s du m lange Chromatographie de couche mince On test
5. e comme un talisman aux proches et aux descendants formaient le fond d une pharmacop e obscure ou l on trouvait presque toujours m lang s le soufre le mercure vif argent le vinaigre le bitume la chaux la poix des huiles et graisses diverses le brou de noix le tabac et les herbes les plus vari es 4 3 Efforts collectifs Lorsque les invasions d insectes prenaient le caract re d un v ritable fl au des mesures collectives intervenaient fr quemment elles taient souvent rendues obligatoires par des dits d cisions ou lois et encourag es parfois sous forme de primes au ramassage la destruction ou par le paiement des journ es de travail 26 A une poque ou nos compagnes vivaient encore presque exclusivement sur leurs ressources locales ou les transport des denr es alimentaires taient tr s limit s d une r gion une autre ou les rendements des ann es normales suffisaient peine nourrir la population l invasion ou la pullulation massive de ravageurs d terminaient des disettes voire de v ritables famines entra nant derri re elles des pid mies provoquant l migration partielle des populations Cet tat de choses se retrouve encore de nos jours apr s les invasions de sauterelles dans les pays loign s d pourvus de voies de communications tels que la chine centrale ou l Afrique tropicale Afin de limiter les d g ts combattre les fl aux toute la population joignait ses efforts da
6. galement liminer le plomb et remettre en solution les compos s ph noliques l aide d acide sulfurique ou de r sines changeuses de cations 48 Dans une certaine mesure il est possible en traitant successivement par l ac tate neutre et l ac tate basique de plomb de s parer certaines impuret s et m me de s parer certains types de poly ph nols par exemple les o diph nols et les monoph nols cependant une telle s paration a perdu la plus grande part de son int r t car la chromatographie permet plus simplement et plus s rement des r sultats bien sup rieurs 51 II LES TANINS On distingue habituellement chez les v g taux sup rieurs deux groupes de tanins diff rents les tanins hydrolysables et les tanins condens s 56 Tanins hydrolysables Ce sont des polyesters d un sucre ou d un polyol apparent et d un nombre variable de mol cules d acide ph nol Le sucre est tr s g n ralement le glucose L acide ph nol est soit l acide gallique dans le cas des tanins gallique soit l acide hexahydroxydiph nique HHDP et ses d riv s d oxydation d hydrohexahydroxydiph nique DHHDP acide ch bulique dans le cas des tanins classiquement mais improprement d nomm s tanins ellagiqucs Tanins condens s Les tanins condens s ou proanthocyanidols sont des polym res flavaniques Ils sont constitu s d unit s de flavan 3 ols li es entre elles par des liaisons carbone carbone le plus souvent 4 gt 8 ou 4
7. lange 15 de la 2 organique produit 5 noir 10 produit 5 marron produit 5 jaune 10 Apr s la filtration et la purification on obtient une seul phase bourbeux Apr s l extraction et les tests d efficacit On constate que l insecticide se trouve dans la phase organique alors c est une mati res qui a des caract res hydrophobes se ph nom ne est interpr comme tensioactif le premier remarque le produit marron est un produit int ressant apr s 05 minute aucun insecte vivant apr s s paration sur colonne l efficacit augmente alors que l effet du produit dans le m lange tait faible ceci est du l encombrement st rique B Agitation forte On obtient une couche paisse de mousse qui devient transparente graisseuse qui disparait apr s l vaporisation du solvant En additionnant NaOH la couche de mousse elle devient un liquide vert de couleur semblable la couleur de la poudre On ne peut pas confirme que c est un saponoside car c est une mati re volatile qui s vapore avant n hexane 1 1 2 Avec l Ether On obtient deux phases organique et aqueuse on s che la phase organique avec le MgSO en suite on la traite avec une plaque de CCM On vapore le solvant pour obtenir une poudre verte claire qui est mesur e en prenant en consid ration toutes les conditions exp rimentale et on obtient 140mg de 10g de la poudre d j utilis e R
8. ne d agr gation se traduit par une concentration dite critique par l apparition d une rupture dans l valuation des propri t s physiques de la solution en fonction de sa concentration globale 56 La micellisation En solution aqueuse les tensioactifs s associent par interactions hydrophobes et polaires pour former des agglom rats appel s micelles cette notion fut introduite par la premi re fois en 1913 par J W MC Bain 10 Il a utilis le mot micelle pour distinguer des agr gats colloidaux obtenus partir de sels d acides gras G S Hartely a confirm cette d couverte et a donn naissance un nouveau champ d tude tr s vaste 20 Les micelles sont sous diverses formes la plus simple est une micelle sph rique uniform ment charg e 1 le coeur de la micelle est form par l association d un chaines carbon es non hydrat es la densit est voisine de celle de l hydrocarbure correspondant a l tat liquide son rayon ne peut exc der la longueur de la chaine carbon e tendu 60 2 la couche de Stern contient les t tes polaires et les contre ions restent hydrat s et peuvent tre assimil s des sph res 3 Ja couche de Gony Chapman ou couche diffuse contient un exc s de 1 oc n contre ions 18 Tailles et formes des micelles D apr s Shinoda 55 les propri t s des solutions de tensioactifs peuvent tre expliqu es en consid rant qu il n existe qu une sorte de micelle en solution
9. vis l environnement Resum L id e nous est parvenue d une simple observation que le puceron noir envahi des arbres alors qu un arbre qui se situe au milieu n a pas t atteint c tait un pistachier Donc pour quelle raison le puceron noir a t il vit cet arbre A cette question il n y a malheureusement pas de r ponses simples Une r ponse assez probable c est que l arbre a labor une mati re active pour loigner cet insecte nuisible Notre strat gie tait d essayer de s parer cette substance et de l appliquer sur le puceron noir pour pouvoir confirmer son effet insecticide Pour cela nous avons adopt un protocole exp rimental en suivant certaines tapes comme la mac ration de la poudre dans de l eau et dans de l alcool m thanol suive d une s paration de phase Mots cl s puceron noir pistachier s paration mac ration extraction Astract The idea reached us of a simple observation that the black aphid invaded of the trees whereas a tree that 15 located at the middle has not been reached it was a pistachier For what reason does the black aphid have therefore avoided this tree To this question there are not any simple answers unfortunately A likely enough answer it is that the tree elaborated an active matter to move away this harmful bug to see the movie Our strategy was to try to separate this substance and to apply it on the black aphid to be able to confirm his her its insecticide effect
10. 1 6 di O galloyl 8 D glucose et ainsi de suite via les d riv s 1 2 6 tri O et 1 2 3 6 t tra 9 galloyl s jusqu au pentagalloyiglucose 53 Tanins hydrolysables monom res Le penta ester i e le 2 3 4 6 penta 0 galloyl B D g ucose est le compos le plus connu 11 occupe une position centrale dans le m tabolisme des tanins En effet la plupart des v g taux sont susceptibles de poursuivre le m tabolisme de cette mol cule Evolution vers une mol cule plus lourde hexa und cagalloyiglucose par formation en 3 4 et ou en 6 du glucose de chaines lat rales constitu es de plusieurs acides galliques li s selon un mode m ta ou para depsidique les deux forme s quilibrant en solution par migration d acyl Ces tanins galliques sont caract ris s par un petit groupe de familles Anacardiaceae Rhus Quercus Ericaceae Geraniaceae Aceraceae etc 11 Chapitre I Mat riel et M thode I Mat riel Agitateur magn tique Les spectres IR ont t obtenus avec les appareils Spectroscopie infra rouge L analyse spectrale par une cellule de chlorure de sodium NaCl pour les produits liquides On utilise le solvant tetra chloro m thane CC14 pour les produits solide Tests Cam shimadzu FT IR 8000 s ries entre 4000 500 cm Balance On utilise une balance lectronique SCALTEC de pr cision pour fix la temp rature on utilise le thermocouple IKA chromatographi
11. colte fin Mars d but Avril chantillon II feuilles vertes et fines les r sultats taient n gatif Pour les deux p riodes seulement en prenant les feuilles On travaill sur des feuilles stock se conserver pendant une ann e c est dire apr s la cueillette le s chage et stockage par un mani re naturel Le sch ma suivant montre les tapes de la pr paration de la poudre Feuilles du pistachier d atlas 1 Broyage au mortier Rin age l ac tone Rin age avec l alcool S chage 2 Broyage lectrique Poudre fine de couleur verte Les feuilles du Pistachier Les feuilles vertes Les feuilles jaunes PE Xm R action de Mac ration R action de Mac ration avec l eau avec M thanol avec l eau test efficacit pas test efficacit extraction test de d efficacit C 0017 l efficacit E BE plaque de CCM analyse a IR trois produits jaune marron noir analyse IR Test de la composition chimique de la poudre de pistachier Puisque la poudre est pr te donc le protocole suivre pour d terminer les compos s est le suivant Le produit Le test Alcaloides N gatif Card nalides N gatif Tanins positif Flavonoides positif Les Terp nes positif Mais avec les Saponosides c est une cas sp cial voir la partie exp rimental I Echantillon I les feuilles jaunes 1 116 solvant
12. de la temp rature Temp rature C R sultats de tests 20 Non 25 efficac 30 Non 35 efficace 40 Faible 45 efficacit 50 Efficacit 80 apparente Forte efficacit Efficacit apparente Tr s Faible efficacit Non efficace R sultats et Discussion T 20 C et T 25 C la mati re active n a pas t s par e T 30 C elle commence se produire et devenir vapeur T 40 C la mati re active et compl tement isol e T 80 C d gradation et d formation de la mati re la couleur de la solution est diff rente T240 C marron fonc T 80 C 9 marron plus fonc Voir les photos suivantes Photo 04 solution homog ne T 80 C Photo 05 solution homog ne T 40 C Extraction liquide liquide L extraction est faite l aide de deux solvants pour obtenir des r sultats diff rents 1 1 1 avec n hexane En utilisant l hexane on a obtenu deux phases diff rentes Savoir l efficacit des deux phase l efficacit est dans la phase organique seulement donc le produit est hydrophobe Cette mol cule poss dant une chaine hydrocarbure insoluble dans l eau et une fonction soluble l augmentation de leur concentration donne ce qu on appelle micelle Figure 04 Etapes successives de la formation de micelle dans l eau a Dispersion faible concentration b Formation d une fine couche l interface c Formation des agr gats Ce ph nom
13. des emballages en plastiques On a travaill sur des feuilles stock se conserver pendant une ann e c est dire apr s la cueillette le s chage et stockage par une mani re naturelle Le sch ma suivant montre les tapes de la pr paration de la poudre Feuilles du pistachier d atlas 1 Broyage au mortier Rin age l ac tone Rin age avec l alcool S chage 2 Broyage lectrique Poudre fine de couleur verte Figure 03 sch ma des tapes de pr paration de la poudre du pistachier Test chimique de la poudre de pistachier 1 Alcaloides Prendre 10g du poudre s che et l extraire avec 50ml de HCI dilue 1 rendre l extrait basique avec NH puis extrait le m lange 3 fois avec du CHCI chaque fois avec 20ml Evaporer la phase organique puis dissoudre le pr cipite dans 2 ml de HCI dilu 196 Ajouter la solution 3 gouttes du r actif de Mayer On Obtient un pr cipite bleu cela indique que le test est n gatif car on doit obtenir un pr cipite blanc 2 Tanins Prendre 10 g de poudre s che l extraire avec une solution aqueuse de CoH5OH 1 filtrer tester le filtrat avec quelque goutte d une solution de FeCl l apparition d une couleur verte indique la pr sence des tanins 3 Flavonoides Mac rer 10 g de poudre s che dans 150 ml de HCI dilu 1 pendant 24 h filtrer au test suivant Prendre 10 ml de filtrat le rendre basique par l ajoute NH4OH l apparition
14. estime que la majorit des gens peuvent tre expos s sans risque Les Permited Exposure Limts PEL de l OSHA US Occupationnel Safety and Health Administration 31 souvent identique aux valeurs pr c dentes pour de nombreuse substances galement bien connue 12 TEPP Ce compos est tr s voisin physiquement et chimiquement du H ET P il est soluble dans l eau l ac tone l alcool l ac tate d thyle la glyc rine le tolu ne etc mais insoluble dans les huiles min rales et le p trole I a t exp riment avec succ s contre les pucerons les t tranyques divers charan ons et la tenthr de du rosier caliroa aethiops F Son pouvoir ovicide est galement faible comme celui du H E T P mais il peut tre consid rablement augment par une action synergique en m lange avec le dinitro orthocyclohexylphenol Le produit pur est tr s toxique pour l homme et les mammif res et il doit tre manipuler avec pr caution Une dose de 1 100 mg plac e sur la peau abdominale ou administr e par voie orale suffit provoquer la mort presque instantan e chez le lapin Le T E P P anhydre attaque a l tat pour plusieurs m taux fer blanc t le galvanis e et tam e d o sa difficult d emballage dans les r cipients m talliques 14 Parathion C2H50 PS O C H4 NO 12g pour 100L d eau Ce compos d couvert galement en Allemagne vers la fin de la derni re guerre C est un des plus int ressants
15. insectes nuisibles Les m thodes culturales 2 Lutte biologique 3 Lutte psychique 4 Lutte physique 5 Lutte chimique Classification des insecticides l insecticide d ingestion 2 insecticide de contact 3 insecticide organique de synth se 4 insecticide respiratoire ou fumigants Mode d action des insecticides 1 pourcentage lev du principe actif 2 stabilit chimique 3 Innocuit pour l homme et les animaux domestiques 4 TEPP Chapitre II Le puceron noir et le pistachier de l Atlas I le puceron noir Introduction 2 Classification 3 Description 4 Le cycle biologique 5 Les d g ts caus es par les pucerons 6 Lutte chimique II Le pistachier de l atlas 1 Introduction 2 Pistacia atlantica Desf Chapitre III Rappel sur l extraction et les tanins Extraction partir du mat riel v g tal 01 02 02 03 04 04 05 06 07 07 08 10 10 11 11 11 12 12 13 13 13 14 15 15 18 18 18 18 18 18 19 20 20 20 21 24 l Principes g n raux 2 Solvants utilis s 3 Purification des extraits Les Tanins Tanins hydrolysables 2 Tanins condenses 3 Structure des Tanins Hydrolysable 4 Tanins hydrolysables monomers Deuxi me partie Exp rimentation Chapitre I Mat riel et m thode Mat riel Les solvants Pr paration de la poudre La cueillette Les graines Le s chage S chage naturel S chage industriel Test chimique de la poudre de pistachier 1 Alcaloid
16. l oxydation et l hydrolyse Les dosages d emploi des produits instables devront tenir du compte du pourcentage de perte in vitable de principe actif avec le temps de m me les fabrications devront garantir sur les emballages la dur e maxima de la stabilit d un insecticide en indiquant la date limite au del de le quelle ils n assurent plus son efficacit 28 8 3 Innocuit pour l homme et les animaux domestiques Cette innocuit a une grande importance et elle est r glement e par une l gislation qui varie suivant les pays Certains insecticides de haute valeur toxique vis vis des insectes sont galement toxiques pour l homme et leur manipulation comme leur emploi doivent tre interdits ou s v rement contr l s 29 En phase vapeur de nombreux produits pr sentent un risque toxicologique qui oblige prendre les pr cautions ad quates La question se pose alors de savoir quelles sont exactement les proc dures souhaitables respecter pour une substance donn e Il existe un indice calcul pour de nombreux produits gazeux ou liquide pour cette valeur On se r f re la valeur limite de seuil Threshold Limit Value TLV donn e par l American conf rence of gouvernemental industriel hygi nistes publi e en grande Bretagne sous forme d une note guide par le health and safety executive 21 D une mani re simplifi e il s agit de l concentration d une vapeur dans l atmosph re d un lieu de travail la quelle on
17. pour lutter contre les insectes l immersion l utilisation du courant lectrique les ondes courantes l eau chaude aux environs de 90 C peut galement servir d sinfecter de petites quantit s des terres destin es la pr paration des mie en cagettes La thermoth rapie consiste maintenir une culture une temp rature donn e pendant un temps pr cis de fa on que la chaleur en d truise le virus TS Etc Les applications sont assez nombreuses 8 6 5 Lutte chimique De tous les proc d s de lutte appliqu s contre les insectes la lutte chimique occupe indiscutablement aujourd hui la place la plus importante tant par l efficacit que par le nombre de ses applications Chaque ann e ce sont des milliers de tonnes d insecticides qui sont utilis s dans le monde pour lutter contre les insectes nuisibles l homme aux animaux domestiques et aux plantes cultiv es Des milliers d appareils de pulv risation de poudreuses m caniques ou moteur sont livr s annuellement par l industrie pour lutter contre les insectes et nous voyons m me appara tre ces derni res ann es l avion et l h licopt re pandeurs d insecticides 39 7 Classification des insecticides I existe plusieurs classifications des insecticides mais aucune n est r ellement satisfaisante tant donn le mode d action tr s vari e des diff rents produits et la diversit de leur nature chimique En tenant compte d une part du princip
18. qui est le principe de certains insecticides qu on trouve sur le marche Cette mati re r cup re n a pas t utilis pour voir son efficacit on expose cette solution IR Echantillon II On utilise dans cette tape les feuilles vertes R action de mac ration dans l eau On a fait la r actions de mac ration dans les m mes condition pr c dentes et le m me mani re T 40 C et T2 80 C pour obtenir des solution diff rentes que les solutions des feuilles jaunes et nous avons eu des couleurs tr s diff rentes Les tests d efficacit en utilisant ces produits n ont rien donn Discussion La formation des produits pendant la croissance des feuilles vertes n est pas termin ce qui fait que la mati re active n a pas t form e Ce qui donne r fl chir c est la comparaison entre les chantillon jaunes verts et dans les degr s de temp rature T 40 C T 80 C T 40 C feuilles vertes une couche de champignon et changement de couleur On peu isoler cette couche Sa structure de cristallisation La remarque c est que les chantillons ont t mit dans les m mes conditions exp rimentales La bact rie se trouvait uniquement dans l chantillon A cela implique que ce milieu a aid e la bact rie vive et se d velopper la constitution de cet chantillon est diff rente des autres chantillons B Cet D l la nature des feuilles Jaune et verte 2 la temp rature T 8
19. rouge du produit jaune D apr s le spectre nous pouvons conclure que les fonctions apparaitre CH aliphatique 2837 1 cm et groupement carbonyle C O 1651 0 cm et C H 1024 1 cm Jrou 17100101 np NI 3110305 0 314 w9 T 00002 00052 0000 0005 0005 00 00001 0 0001 00 1 81 1 01991 uat 0005 0054 00001 901107 110118111 17110010 np MI 3112305 80 11 00521 0001 0081 00002 00062 0 000 0 005 00 6286 002 00 009 001 008 1 0001 ounef 3mpoad np MI 31100305 60 307 w 1 0005 oost 0001 00521 00051 01 00002 00052 0000 0009 6 Low 00 9 266 ls 1 N N 8 0 S IT k 0191 1 1 91 00 f f dott As M I f SR pes l v OL J est V f 9041 J J oor W J 1 7 M 1 66652 99292 009 81 i 1 0 M J WA l om Nest J SEI 901 Mu V UL 008 1 000 R sultats et discussions Les r sultats obtenus des tests de l efficacit sont Tableau 03 les tests de l efficacit en fonction de temps Temp Produit S utilise ior utilis pour l exp rience min m lange 15 initial O org aqueuse m lange 15 jus de la 2 qua aqueuse 20 m
20. utilis l eau Nous avons utilis une m thode classique simple lors du traitement biologique 60 individus dans chaque boite puis nous injectons quelques gouttes jusqu 2cm Apr s s paration des produits on a pris 03 boites et on a refait la m me exp rience Pour chaque manipulation on teste l efficacit des solutions sur les insectes si les pucerons meurent ou non Temp rature C R sultats de tests 20 Non efficace 23 Non efficace 30 Faible efficacit 35 Efficacit apparente 40 Forte efficacit 45 Efficacit apparente 50 Tr s Faible efficacit 80 Non efficace T 20 C et T 25 C la mati re active n a pas t s par e T 30 C elle commence se produire et devenir vapeur T 40 C la mati re active et compl tement isol e T 80 C d gradation et d formation de la mati re la couleur de la solution est diff rente Extraction liquide liquide L extraction est faite l aide de deux solvants pour obtenir des r sultats diff rents Avec n hexane En utilisant l hexane on a obtenu deux phases diff rentes Savoir l efficacit des deux phase l efficacit est dans la phase organique seulement Agitation l ger cette partie appel e phase organique r cup r e pour la suite du travail apr s purification On obtient un liquide dont la solidification donne des cristaux blancs Montre le spectre infra rouge obtenus apr s la formation des cri
21. 0 C est suffisante pour d grader les produits R sultats Au terme de ce travail nous avons pu d montr la pr sence d une mati re active dans les feuilles jaunes feuille fin du cycle La r action de mac ration est une op ration qui consiste tremper la poudre dans l eau ou l alcool notre exemple pour extrait les produits solubles Avec le m thanol nous avons obtenue une colle voir le filme L application du produit marron a donn de bon r sultat Conclusion L ensemble des travaux effectu s a permis de pouvoir extrapoler la r action de mac ration en milieux aqueuse et organique de la poudre des feuilles de pistachier Pour cela il a t n cessaire d tudie l influence de la temp rature sur le quantit prises pour faire une bon extraction Cette derni re a pu tre d termin e par la m thode de soxclet le seul inconv nient pour cette c tait technique le rendement L tude de la r action permit de donner plusieurs produits voir la synth se et d f rente conclure Les quantit s trouv s obtenu ont t suffisantes pour permette la r alisation des tests sur le puceron et de voir leur comportement Les r sultats des tests ont t encourageants et le produit marron fonc a pu donn e un r sultat tr s int ressante Enfin une tude pouvait tre effectu e notamment en ce qui concerne la nature du produit et son comportement vis vis l environnement
22. 1 4 la temp rature de fusion du produit majoritaire est calcul e Dans cette tape l efficacit n est pas test e pour deux raisons 3 dans la phase organique l ther tant toxique 4 Apr s l vaporation du solvant on a obtenu une petite quantit de poudre qu on n a pas pu isoler On expos e produit majoritaire RMN de carbone et RMN de proton et IR pour obtenu les spectres suivantes oarejrrofeur jmpo d op 1200 0 IP NINA 30 3110005 QF INSHA LE JA 11 41 ocoooo 2 oo gt v o b o Oh N O tn mo 9 ON eo Q no G N De o O o gt mo N j3mpo d op nod H 9p NWA 30 3110005 TI 12611 10 go OW SM LE PG 262 PEAU ma v6 8V 6 24 TS ZS ES at 1 5710 600 3mpo rd o Inod MI op 31123015 ut 0005 oost 00001 01 00051 01 00002 0002 0000 0005E lolll222224d 2222 5 2 2 1 J 2 L 00 01 96 Num L 00 19062 1 oor 1 1 1 Sell X 1 am 01 LEEI y ct 62591 1 009 qat 008 1 0001 Mais on est oblig de choisir deux solvant polarit diff rente n hexane est un produit apolaire qui peut extraire tous les produits organiques Ether est un produit polaire qui peut extraire les produit de forte polarit La ma
23. 4 1 les progr s de l entomologie Au milieu de XIX si cle l entomologie tait rest e presque exclusivement une science abstraite que d aucuns consid raient l poque comme un divertissement inoffensif et futile r serv quelques originaux ou le passe temps de chasseurs de papillons dont Jules Verne nous a laiss quelques portraits particuli rement symboliques 33 Ces entomologistes par go t et par vocation ont cependant inscrit leur actif une ceuvre scientifique gigantesque dont seuls quelques initient peuvent mesurer aujourd hui l immense tendue en demeurant confondus devant cette prodigieuse et magnifique activit ont r ussi non seulement tablir les grands syst mes de la nomenclature entomologique moderne mais aussi d crire classer identifier avec une incomparable pr cision pr s de trois cent mille esp ces d insectes que l exploration m thodique des nouveaux continents d versait dans d innombrables collections nationales et priv es Des myriades de col opt re dipt res l pidopt res hym nopt res h mipt res insectes de tous ordres provenant de cinq continents ont pu ainsi tre baptis s recevoir un tat civil r gulier faire d sormais partie d une famille d une tribu d une lign es Oeuvre admirable de patience et de pers v rance d effort soutenu de t nacit de toute une vie de longues recherches d observations de minutie de soins de travaux inachev s par les uns rep
24. For it we adopted an experimental protocol while following some stages as the steeping of the powder in water and in the alcohol methanol follows a separation of phase Key words black aphid pistachio separation steeping extraction
25. National de la Protection des V g taux en 1996 en vue d actualiser l tat des stocks et de statuer sur leur devenir a r v l l existence travers le territoire national d une quantit de 2 360 472 tonnes de produits phytosanitaire usage agricole consid r s p rimes Ces quantit recens es au niveau de 500 site r partis sur 42 wilayate sont distribu es g ographiquement comme suit 40 476 l Ouest et au Sud Ouest du pays 34 1 dans les wilayate du Centre et 25 4 l Est et au Sud Est du pays L enqu te a r v l par ailleurs que 1 958 989 tonnes repr sentant 83 du tonnage global des stocks recens s sont soit d un age sup rieur ou gal 10 ans 44 4 96 Soit conditionn es dans des emballages ne comportant pas d tiquette 38 6 96 En outre 1 356 292 tonnes soit 57 4 des m me stocks se trouvent dans un tat de d gradation avance en raison des conditions pr caires de conservation La classification toxicologique de ces stocks a montr que 638 825 tonnes soit 27 1 du tonnage global sont consid r s selon la classification des Organisations Internationales OMS FAO comme hautement toxiques Eu gard toutes ces consid rations la mise en oeuvre d un plan d assainissement articul de quatre 04 op rations principales le reconditionnement le regroupement le contr le de le conformit et enfin la mise en d charge contr l e ou l incin ration s av re plus que n cessaire 8 6
26. UNIVERSITE DE KASDI MERBAH OUARGLA FACULTE DES SCIENCES N d ordre ET SCIENCES DE L INGENIEUR N de s rie M moire Pour l Obtention du Dipl me de Magister Option Chimie Analytique et Contr le de l Environnement Pr sent par M ALLOUI Lamia extrait des feuilles Devant le jury le P 2005 Mr TOUHAMI Lanez Professeur U Ouargla Pr sident Mr MOKHTAR Lahrech Maitre de conf rences C U Djelfa Examinateur Mr LAKHDER Sakhri Maitre de conf rences U Ouargla Examinateur Mr ALI Choukri Maitre de conf rences C U Djelfa Promoteur Mr ABDELKADER Bacha Charg de cours C U Djelfa Co Promoteur Ann e Universitaire 2004 2005 REMERCIEMENT Je remercie dieux qui m a offert la chance de r aliser ce travail et de le mener son terme Que mon professeur Mr CHOUKRI trouve ici l expression de mes sinc res remerciements et de ma profonde gratitude pour son aide pr cieuse tant scientifique qu administrative et pour les facilit s qu il m a prodigu dans le travail l h bergement et les d placements Je tiens aussi pr senter mes remerciements mon enseignant Mr BACHA pour l encadrement et l orientation du pr sent travail et pour avoir assum la responsabilit malgr toutes les difficult s qui ont jonch es le chemin Je remercie profond ment Mr LANEZ pour avoir accepter de pr sider le jury et pour son aide importante Mes remerciements sont aussi Mr SAKHRI et Mr LAHRECHE pour avo
27. age semble m me d autant plus serr qu il se d veloppe dans des stations au plus faible indice d vapotrans pirations cette plasticit exceptionnelle vis vis de la s cheresse pourrait tre son carat re principale il peut occuper la situation la plus extr me tant qu on le laisse faire dans les terrains malmen s et y joue un r le de liaison entre les divers types de for t 15 En Alg rie si la r g n ration de l esp ce dans certains massifs forestiers pouvait tre prot g e longtemps elle se traduirait certainement par la constitution de boisements tr s semblable ceux donne le ch ne li ge et le ch ne vert l age adulte Les arbres de pistachier de l atlas Desf sont de grande taille Ils peuvent atteindre 25m de hauteur de long vit d passant 1000ans 6 ils sont caduques comme les autres esp ces du pistachier Les feuilles poss dent 3 a5 paires de folioles lat rales et une terminale 7 Les folioles sont pointeuses et pubescentes les bouquets de fleurs males sont rassembl s alors que les bouquets de fleurs femelles sont parpill s les fruits passedent la m me structure que p verra L mais de plus petite dimension de 5 7 mm de diam tre 25 Photo 03 l arbre de pistachier de l Atlas Chapitre III Rappel sur l extraction et les tanins I Extraction partir du mat riel v g tal 1 Principes g n raux L extraction des compos s ph noliques partir d
28. al mode d actions des diff rents compos s insecticides et d autre part de leur origine chimique ou physico chimique Shepard 54 les classes peu diff remment au syst me tabli en 1935 5 7 1 insecticide d ingestion 22 compos s arsenicaux Exemple Calcium arsenate Copper acetoarsenite Potassium arsenite Sodium arsenite compos s fluor s Exemple barium hexafluorosilicate cryolite sodium flurosilicate sodium hexafluorosilicate sulfuramide 7 2 insecticide de contact 22 Chimie min rale polysulfure calcium polysufide compos s chlor s inorganiques mercurous chloride Compos s v g taux alcaloide Glucosides et extraits v g taux divers Huile et carbures P trole et ses d riv s Huile de houille Huile v g tales d arachides d olives 7 3 insecticide organique de synth se 22 I 1 CI CH CI Agissant la fois par contact et ingestion D D T dichlorodiphenytrichloro thane DDT CI CI GI CI Ci H C H hexachlorocyclohexane CI S P S sulfure de polychlorocyclane H C 0 C CH o CH Ester phospherique P d 0 CH HisC 0 C O Malathion 7 4 insecticide respiratoire ou fumigants tr s dangereux 22 Acide cyanhydrique HCN Sulfure de carbone Brome de m thyle CH Br Oxyde d thyl ne C H4O T tra chlorure de carbone CCI 31 8 Mode d action des insecticides Comme il r
29. at identique la dose normale en principe actif son pouvoir ovicide t d montr sur les oeufs du psylle du poirier psyllapyricola forst et des doses l g rement inf rieures 11 d truit non seulement les adultes mais galement les oeufs d araign e rouge notamment ceux de matatetranychus pilosus kosh si r sistant aux autres insecticides La temp rature joue un r le important dans l efficacit de son action c est ainsi qu la dose 0 3 on obtient 92 de mortalit parmi les ufs de t tranyques 27 C et seulement 24 3 19 C et 14 8 15 3 C Le parathion agit galement sur une tr s grande gamme d insectes C est ainsi que les chenilles de l pidopt res sont tr s sensibles celles de la tordeuse orientale du p cher laspeyresia molesta busk sont tu es des doses moindres que celles du D D T et des chenilles robustes comme celles des noctuelles prodenia eridania sont galement facilement d truites En fin son efficacit t constat e sur des col opt res adultes notamment la coccinelle du haricot Epilachna varivestis muls 14 Les tests n ont jamais signal d accident de v g tation comme se fut par contre le cas pour le H E T P il est galement un insecticide cytotrope qui est absorb et v hicul dans les tissus v g taux qu il immunise contre les attaques d insectes Le Parathion constitue donc dans l tat actuel du march des insecticides un des compos s les plus tox
30. c ration I 2 Le solvant utilis m thanol On a fait la r action de mac ration dans les m mes conditions pr c dentes en remplagant l eau par le m thanol on obtient un produit de couleur vert fonc compl tement diff rente de l autre le volume diminu du produit et ceci est due a la polarit ona fait l exp rience T 40 C et on a remarque que la r action de mac ration tait plus rapide la vapeur apparaitra en moins de temps a vaporisation du solvant est spontan on obtient une colle semblable que celle donn e par les feuilles de l arbre et qui est le principe de certains insecticides qu on trouve sur le marche Cette mati re r cup re n a pas t utilis pour voir son efficacit on expose cette solution IR 0084 oueu39u af suep uopnios EI ap MI 0112005 ET 330 00001 19201 0005 000 0 00062 00002 1 00 00051 01 mmt 1 00 ESSEE 00y 16 2 009 58292 008 1 000 II Echantillon II On utilise dans cette tape les feuilles vertes La mac ration dans l eau On a fait la r actions de mac ration dans les m mes condition pr c dentes et la m me mani re T 40 C et T 80 C pour obtenir des solution diff rentes que les solutions des feuilles jaunes et nous avons eu des couleurs tr s diff rentes Les tests d efficacit en utilisant ces produits n ont rien donn Discussion La formation des produits pendant la
31. croissance des feuilles vertes n est pas termin ce qui fait que la matiere active n a pas t form e Photo 12 Comparaison entre les quatre produits Conclusion Au terme de ce travail nous avons pu d montr la pr sence d une matiere active dans les feuilles jaunes feuille fin du cycle Les tapes de mac ration constituent une op ration qui consiste tremper la poudre dans l eau ou l alcool afin d extraire les produits solubles Avec le m thanol nous avons pu obtenir une colle voir le film L application du produit marron a donn de bons r sultats Conclusion L ensemble des travaux effectu s a permis de pouvoir extrapoler la mac ration en milieux aqueux et organique de la poudre des feuilles de pistachier Pour cela il a t n cessaire tudier l influence de la temp rature sur la quantit prise pour faire une bonne extraction le seul inconv nient pour cette technique c tait le faible rendement L tude de la r action permis de donner plusieurs produits voir la synth se et diff rente conclusion Les quantit s trouv s obtenu ont t suffisantes pour permette la r alisation des tests sur le puceron et de voir leur comportement Les r sultats des tests ont t encourageants et le produit marron fonc a donn un r sultat tr s int ressant Enfin une tude pouvait tre effectu e notamment en ce qui concerne la nature du produit et son comportement vis
32. d une couleur jaune clair dans la partie sup rieur de tube a essai indique la pr sence des flavonoides 4 Saponosides Prendre 2g de poudre la mettre l bullition avec 80ml d eau distill e filtrer et refroidir la solution ensuit agiter le filtrat L apparition d une mousse qui dure quelques instants indique le pr sence des saponosides voir le chapitre III deuxi me partie 5 Card nalides Mac rer 1 g de poudre s che dans 20 ml d eau distill e et filtrer pr lever 10 ml de filtrat l extraire avec un m lange de 10 ml de CHCl et de C H5OH evaporer la phase organique et dissoudre le pr cipite dans 3ml de CHCOOH glacial ajouter quelques gouttes de FeCl suivi de 1 ml de H5SO concentre sur les parois du tube essai L apparition d une couleur vert bleu pour avoir les car nalides on n a pas obtenu le pr cipite 6 les Terp nes Prendre 5 g de poudre s che la dissoudre dans 20 ml d ther de p trole filtrer vaporer le r sidu est dissous dans 0 5 ml d acide ac tique et ensuite dans 0 5 ml de CHC1 Les solution sont transf r es dans un tube essai puis on ajoute 1 ml de H5SO concentre Dans la zone de contact entre les deux liquides un cercle violet ou marron est forme puis devient gris ceci indique la pr sence des terp nes IV Les M thodes Echantillon I 1 La mac ration avec l eau On met dans un ballon 10 g de poudre avec 50 cm d eau distill e On met le tout dans un bain marie on les
33. devait sauver la s riciculture il ne peut disperser ses efforts 45 Le cycle complexe du phylloxera fut pr cis des traitements chimiques bien que tr s imparfaits encore furent n anmoins appliqu s en tenant compte des m urs du parasite L empirisme le hasard la superstition avaient disparu la science p n trait peu peu dans un domaine qui lui avait t pratiquement ferm jusqu alors La crise phyllox rique se solda par un demi chec ni l inondation des vignes par le sulfure de carbone ni le badigeonnage des ceps par des insecticides caustiques divers n apport rent la solution d sir e Le mal fut vaincu par le greffage des c pages europ ens de vitis vinifera sur des port greffes am ricain Cependant toutes les recherches et applications modernes de la lutte contre les insectes nuisibles contribua pour une large part la cr ation des premi res centres et laboratoires phytosanitaires 4 5 les insecticides p rim s en Alg rie L accumulation des stocks de pesticides p rim s en Alg rie a de tout temps constitu une menace pour l environnement et la sant des populations Les diff rentes op rations de recensement initi es par les pouvoirs publics 1980 1987 avaient montr chaque fois que la situation tait critique sans que des solutions efficaces aient pu tre trouv es pour la r sorption de ces produits potentiellement dangereux l op ration de recensement initi sous l gide de l Institut
34. e couche mince CCM pour l apparition vapeur de l iode la lampe ultraviolet UV Stahler KW Rota vapeur de type Buchi R 200 broyeur lectrique A10 R frig rant L 25cm R 2cm colonne de chromatographie la langueur L 30 cm II Les solvants Dans ce travail on utilise les solvants suivants Tableau 01 Les caract ristique des solvants Solvant d Diss Temp ratur Temp ratur Solubilit Polari Taux de 7 ed e de dans t Puret k bullition fusion l eau partiel le M thanol 32 04 0 79 64 4 98 M 0 762 99 5 Ether 74 12 0 71 34 6 116 3 7 5 0 177 99 8 Aceton 58 08 0 79 56 2 94 3 M 0 355 lt 99 Hexane 86 18 068 69 95 0 014 0 009 lt 05 III Pr paration de la poudre La cueillette propice et surtout qu elle succ de l t la saison s che p riodes diff rentes pour montrer la date de formation de la mati re active 1 La premi re r colte au d but Novembre chantillon I la fin du cycle annuel de l arbre La cueillette se fait au moment du repos v g tatif L automne est alors la saison la plus Dans notre travail nous avons cueilli des feuilles sur le m me arbre mais en deux feuilles jaunes 2 La deuxi me r colte la fin Mars et d but Avril chantillon II feuilles vertes et fines dire la fin du cycle annuel de l arbre pas en tat d tre r colt s e Premi re p r
35. e le m lange restant avec les plaque de CCM En utilisant 1 la phase stationnaire gel de silice 2 la phase mobile 60 m thanol 40 n hexane et 1 goutte de acide ac tique Il faut savoir que le m lange se compos des trois produits 7 03 7 3 78 09 Chromatographie sur colonne S paration par la chromatographie sur colonne longueur 25cm diam tre 2 cm en utilisant la m me phase stationnaire et 11 est pr par avec n hexane L extraction avec l ther extraction est faite avec l ther en utilisant le MgSO la poudre est compos e de trois produits La phase mobile 6796 ther et 3396 ther de p trole Le produit majoritaire Rf 0 4 Les deux autres sont des traces ind tectables Apr s ce la on vapore le solvant pour avoir une poudre verte jaun tre En prenant en consid ration les conditions exp rimentales la perte de masse On trouve que m 140mg de 10g de la poudre Ce qui fait que le rendement est 1 4 et c est un rendement important dans l extraction v g tale Les produits n ont pas t s par s La temp rature de fusion a t calcul en n gligeant les traces T 240 C le produit majoritaire Le PM est expos RMN H et RMN C 2 La mac ration avec le m thanol On met dans le ballon 10 g de poudre avec 50 cm de M thanol on r p te la m me manipulation T 40 C Remarques La vitesse de l agitation avec le M thanol et
36. er sur le puceron noir pour pouvoir confirmer son effet insecticide Pour cela nous avons adopt un protocole exp rimental en suivant certaines tapes comme la mac ration de la poudre dans de l eau et dans de l alcool m thanol suive d une s paration de phase Plan de travail Introduction g n ral Exp rimentation I Pr paration de la poudre 2 Le test chimique de la plante 3 R sultats et discussion On expose un film Conclusion g n ral Introduction g n ral L id e nous y parvenue d une nature observation tel que le puceron noir a envahi des arbres alors qu un arbre que si situe au milieu n a pas t atteint c tait un arbre de pistachier Donc pour quelle raison le puceron noir viter cet arbre A cette question il n y a malheureusement pas de r ponses simples Une r ponse assez probable c est que l arbre a c d une mati re active pour loigner cet insecte nuisible voir le film De cet effet notre strat gie tait d essayer d arriver cette matiere de l isoler et de l appliquer comme insecticide sur le puceron noir Dans notre travail nous avons cueilli des feuilles d arbres en deux p riodes diff rentes pour montrer la date de formation de la mati re active 1 La premier r colte d but Novembre chantillon I feuilles jaunes la fin du cycle annuel de l arbre Nous avons obtenus de bon r sultat avec cette groupes des feuilles 2 La deuxi me r
37. es 2 Tanins 3 Flavonoides 4 Saponosides 5 Card nalides 6 les Terp nes M thode 1 La mac ration 2 Filtration 3 Extraction avec n hexane 4 Vaporisation 5 Chromatographie de couche mince 6 Chromatographie sur colonne 7 L extraction avec l ther La mac ration Avec le m thanol Remarque Chapitre II R sultats et Discussion Le solvant utilis l eau Extraction liquide liquide avec n hexan la micellisation 24 25 26 24 21 24 27 28 29 30 30 30 31 31 32 32 33 34 34 34 34 34 35 35 53 36 36 36 36 37 37 37 39 41 41 42 Taille et forme de micelles Agitation l ger Agitation fort Avec l ther Le solvant utilis m thanol La mac ratio n dans l eau Conclusion Conclusion g n ral Liste des Figures Figure 01 Cycle biologique de puceron noir Figure 02 formes des feuilles des diff rentes esp ce de pistachier 42 44 53 53 57 59 60 61 Figure 03 Figure 04 Figure 05 Figure 06 Figure 07 Figure 08 Figure 09 Figure 10 Figure 11 Figure 12 Figure 13 Photo 01 Photo 02 Photo 03 sch ma des tapes des pr paration de la poudre de pistachier tapes successives de la formation de micelle dans l eau mani re de la formation de micelle insecticide spectre IR des cristaux blancs spectre IR du produit noir spectre IR du produit marron fonc spectre IR du produit jaune spectre de RMN de C P pou
38. essort de cette classification les insecticides sont susceptible d agir sur les insectes de trois mani re diff rentes par ingestion par contact et par voie respiratoire mais chacun de ces modes d action comprend de nombreuses variantes qui sont en rapport avec la nature chimique ou physico chimique de chaque insecticide consid r Cependant les ph nom nes intimes de l intoxication des insectes restent encore pr ciser dans la plupart des cas et ces recherches sont dans leur ensemble moins avanc es que celles de la toxicologie m dicale et v t rinaire Ces ph nom nes sont plus difficiles mettre en lumi re chez les insectes en raison de leur multiplicit presque illimit e de forme et de structure 29 Ces insecticides doivent r pondre certaines qualit s l mentaires valables dans tous les cas et qui sont les suivantes 8 1 pourcentage lev du principe actif il y a avantage fabriquer ou utiliser un insecticide tr s concentr en principe actif r alisant le maximum d efficacit dans un minimum de volume 5 22 8 2 stabilitk chimique la valeur toxique d un insecticide doit se conserver aussi longtemps que possible dans les emballage et ne pas tre alt r e par les agents physique ou chimiques oxydation hydrolyse carbonations chaleur lumi re fermentation diverses etc le principe actif doit rester intact pendant une longue dur e et sa stabilit chimique constitue la qualit essentielle de t
39. esters phosphoriques actuellement existants Il se pr sente l tat pur sous forme d un liquide brun fonc l g rement visqueux Contrairement au H E T P et au T H P P il est peu soluble dans l eau il se solubilis dans la plupart des solvants organique alcool ac tone cyclohexanone huile v g tale et animale etc il s emploie surtout en mulsion additionn e d un produit mouillant ou en poudrage Son pouvoir insecticide est comparable celle du HETP et TEPP mais elle est beaucoup plus durable du fait qu il ne s hydrolyse pas et persiste sur les plantes Le r sidu toxique compromet son emploi sur les fruits l gumes et autres substances v g tales rapidement consommables le parathion est tr s toxique pour l homme et les mammif res cette toxicit est de 70 100 fois sup rieure celle du D D T et ce danger est augment e du fait qu il p n tre travers la peau C est la raison pour la quelle il est n cessaire de manipuler la Parathion avec pr caution l emploie de cet insecticide est interdit dans certain pays comme le Canada alors qu il esl autoris dans d autres comme Allemagne Alg rie U S etc Sa toxicit vis vis des insectes est tr s lev e et plus accus e dans son ensemble que celle des autres esters phosphoriques il agit sur le puceron du chrysanth me Rhopalosiphum rufomaculatum kalt des doses extr mement faible mais en plein air la concentration est doubl e pour l obtention d un r sult
40. eux phases organique et aqueuse on s che la phase organique avec le MgSO en suite on la traite avec une plaque de CCM On vapore le solvant pour obtenir une poudre verte claire qui est mesur e en prenant en consid ration toutes les conditions exp rimentale et on obtient 140mg de 10g de la poudre d j utilis e R 1 4 la temp rature de fusion du produit majoritaire est calcul e Dans cette tape l efficacit n est pas test e pour deux raisons 1 dans la phase organique l ther de p trole c est un drogue toxique 2 Apr s l vaporation du solvant on a obtenu une petite quantit de poudre qu on n a pas pu isol Mais on est oblig de choisir deux solvant polarit diff rente n hexane est un produit apolaire qui peut extraire tous les produits organiques Ether de p trole est un produit polaire qui peut extraire les produit de forte polarit Le solvant utilis m thanol On a fait la r action de mac ration dans les m mes conditions pr c dentes en remplagant l eau par le m thanol on obtient un produit de couleur vert fonc compl tement diff rente de l autre le volume diminu du produit et ceci est due a la polarit ona fait l exp rience T 40 C et on a remarque que la r action de mac ration tait plus rapide la vapeur apparaitra en moins de temps a vaporisation du solvant est spontan on obtient une colle semblable que celle donn e par les feuilles de l arbre et
41. gt 6 r sultante du couplage entre le C 4 lectrophile d un flavanyle issu d un flavan 4 ol ou d un flavan 3 4 diol et une position nucl ophile C 8 plus rarement C 6 d une autre unit g n ralement un flavan 3 ol Les proanthocyanidols ont t isol s ou identifi s dans tous les groupes v g taux Gymnospermae et Pterydophyta compris 56 Structure des Tanins Hydrolysables En r gle g n rale les tanins galliques sont des esters de l acide gallique et du glucose Il faut cependant remarquer que les mono et les digalloylglucoses ne pr sentent pas les propri t s classiques des tanins leur masse mol culaire tant trop faible Ces propri t s en particulier l aptitude pr cipiter les prot ines sont le fait des triesters et de leurs homologues sup rieurs Biog n tiquement l acide gallique acide 3 4 5 trihydroxybenzoique est issu du m tabolisme de l acide shikimique On admet qu il est habituellement form par d shydrog nation directe de l acide 3 d hydroshikimique ou dans certains cas particuliers par oxydation de l acide prolocat chique lui m me d riv d un acide en C6 C3 l acide caf ique La glucosylation de l acide gallique fait intervenir l uridine diphosphoglucose UDP glucose et lon admet sur la base d exp rimentations in vitro que le monogalloyiglucose form la f glucogauine peut ensuite en fonctionnant aussi bien comme donneur que comme accepteur de glucose conduire un diester le
42. iode d but novembre les feuilles jaunes et les fruits sont murs c est e Deuxi me p riode fin Mars d but Avril les feuilles vertes et fines et fruit ne sont Les graines On coupe les sommets fructifies puis on les met dans des sacs en papier Apr s la maturit compl te les graines tombent dans le sac puis on les r cup re choix des plantes Les principes de choix des plantes La plante spontan e doit toujours l emporter sur la plante cultiv e On doit choisir les plantes et toutes les parties du v g tal qui croissent loign es les unes des autres parce qu ils sont mieux nourris plus gros On choisit les plantes qui ont plus d odeur de saveur et de couleur Le s chage Le s chage des plantes m dicinales ou ses parties doit se faire dans un endroit a r ombrag sec et chaud Un s chage convenable ne doit changer ni la couleur ni la forme du mat riel v g tal 49 Le s chage des plantes aromatiques ne doit pas exc der la temp rature de 30 C dans les autres cas la temp rature est entre 15 et 70 C 30 Pour les racines et l corce on les lave aussit t apr s les avoir arrach es Pour acc l rer la dessiccation on peut les exposer quelques heures au soleil enfin il est pr conis de couper ces racines en morceaux avant le s chage 56 Selon Chahat 1986 apr s le nettoyage et le traitement du produit v g tal il faut qu il subisse diff rentes tapes pour se d barrasse
43. iques pour les insectes et dont la polyvalence est la plus accus e Seule sa grande toxicit sur l homme est les animaux domestiques restreint actuellement son emploi 14 Chapitre II Le puceron noir et le pistachier de l Atlas I Le puceron noir 1 Introduction Dans le champs et les jardins les pucerons noir sont des ravageurs tr s r pandus on les trouve sur les plantes fleurs et parfois sur les mousses et les foug res Donc on d finit cette insecte 2 Classification R gne animale Embronchement arthropodes Classe insecta Ordre homopt re Famille aphidides Genre aphis Esp ce aphis fabae Photo 02 Puceron noir sur le feuille Adulte peut atteindre environ 2 mm de long noir mat verd tre fonc Les ail s sont plus 3 Description allong s la t te et le thorax sont noir brillant Les antennes ne d passent pas 2 3 de la langueur du corps Les femelles ovipares ont des tibias post rieurs renfl s caract ristique 4 Le cycle biologique Le cycle biologique des pucerons noir est complexe on peut r sumer ce cycle complexe ainsi oeuf d hiver f cond subit une closion au printemps qui donne dans femelle fondatrices donnant par parth nogen se une 1 g n ration et aussi des jeunes pucerons appel s virginipares par viviparit voluant en apt res ou ail s plusieurs g n ration en t individus sexu s sexupares en automne dont les femel
44. ir accepter de d battre ma th se et pour l aide apport la r alisation du c te exp rimental Je n oublierai pas de pr senter mes remerciements au professeur Mr AZOULZI Mr SAIDAT Mr YOUCFI de l universit de Laghouat Mr CHEBCHEB de l universit de BOUMREDES et Mr SIGNI de l universit de Ouargla pour leurs aides et orientations Je tiens aussi remercier beaucoup les enseignants les assistants de laboratoire et les agents de la biblioth que au niveau du centre universitaire de Djelfa pour leur esprit d aide et de leur coop ration c est bien gr ce eux que j ai pass l ann e de pratique dans de meilleures conditions Je ne manquerai pas de pr senter mes grands remerciements pour le photographe du Centre Universitaire SARAI BOUBAKER pour sa pers v rance dans le travail Je remercie les assistants du laboratoire de l universit de Ouargla et tout ceux qui ont uvr ou contribu de pr s ou de loin pour que ce travail soit enfin concr tis entre autres la section chimie Analytique et contr le de l environnement LAMIA Sommaire Introduction g n rale Premi re partie Rappel bibliographie Chapitre I G n ralit s sur les insecticides Introduction historique Lutte contre les insectes Efforts collectifs la marche vers le progr s Les progr s de l entomologie 2 Les premi res applications les insecticides p rim s en Alg rie Classification des m thodes de lutte appliqu es contre les
45. ivants plantes ou animaux pour mieux les adapter nos besoins et depuis que les grands industriels habitu s prot ger leurs d couvertes par des brevets ont rachet les s lectionneurs traditionnels des semences certaines plantes sont devenues propri t s priv es 37 On peut galement pr venir ou arr ter une invasion d insecte en ayant recours d autres proc d s culturaux tel que la modification de l assolement l inversion des cultures la plantation des plantes pi ges on plantes abris le greffage etc Nul n aura bient t le droit de les reproduire sans autorisation le probl me qui se pose s rieusement depuis l apparition et la multiplication des plantes transg niques c est dire des v g taux dont le patrimoine g n tique a t enrichi par l introduction d un g ne nouveau leur conf rant par exemple une r sistance particuli re un herbicide un parasite la s cheresse ou les rendant aptes produire soit un acide amin R _CH COOH NH soit une mol cule pharmaceutique recherch exp B myrc ne etc 9 6 2 Lutte Biologique Elle connait de nombreuses et remarquables applications et consiste d truire les insectes nuisibles par l utilisation d insectes entomophages pr dateurs ou parasites de maladies microbiennes ou cryptogamiques Les r alisations de ces deux derni res applications sont encore restreintes 4 alors que l utilisation des plantes d enzyme m
46. le apr s accouplement donnent les oeufs d hiver avec ou non changement d h te au cours de ce cycle L uf d hiver Femelle fondatrice Virginipare Apt re individu sexu figure 01 Cycle biologique de puceron noir 5 Les d g ts caus es par les pucerons Les pucerons se trouvent g n ralement au niveau des jeunes pousses et ou toute autre partie tendre des plantes et d en sucer la s ve plusieurs types de d g ts en d coulent Pr l vement de s ve qui provoque l affaiblissement de la plante Aux Production de miellat sur lequel s installent des champignons appel s fumagine fruits et plantes collants et d pr ci s Transmission de virus nombreuses maladies jaunisses et mosaique D formation des plantes par injection de toxines Plants collants et d pr ci s 6 Lutte chimique La Lutte chimique se fait par l utilisation de certain produits chimiques I ACTARA 2 SHERPA 25 EC 3 MOSPILAN 20 SP II Le pistachier de l atlas 1 Introduction Le pistachier de L atlas en Alg rie plus particuli rement dans les zones Steppiques est un arbre spontan L homme de la r gion intervient que r coltes anarchiques chaque ann e m me L tat surtout les services des for ts ne mettent plus en vidence des projets concernant la lutte contre d gradation intense des superficies occup es par ces essences l exception de ces derni res ann es 43 Un carac
47. lente de la plupart des 15 O org O aqueuse insectes m lange La majorit des insectes 15 jus qu a 20 de la 2 aqueuse sont vivants m lange mort lente de la plupart des 15 de la organique insectes mort de touts les insectes produit noir 5 10 mais lente produit marron 5 mort rapide des insectes produit jaune 5 10 mort de toute les insectes Mais lente Tableau les tests de l efficacit en fonction de temps Apr s la filtration et la purification on obtient une seul phase bourbeux Apr s l extraction et les tests d efficacit On constate que l insecticide se trouve dans la phase organique alors c est une mati res qui a des caract res hydrophobes se ph nom ne est interpr comme tensioactif le premier remarque le produit marron est un produit int ressant apr s 05 minute aucun insecte vivant apr s s paration sur colonne on trouve que est l efficacit augment alors que l effet du produit dans le m lange tait faible ceci est du l encombrement st rique Agitation fort On obtient une couche paisse de mousse qui devient transparente graisseuse qui disparait apr s l vaporisation du solvant En additionnant NaOH la couche de mousse elle devient un liquide vert de couleur semblable la couleur de la poudre On ne peut pas confirme que c est un saponoside car c est une mati re volatile qui s vapore avant n hexane Avec l Ether de p trole On obtient d
48. n des cristaux blancs D apr s le spectre nous pouvons conclure que touts les fonctions caract ristiques aromatique n existent pas En effet on note la disparition de la bande 650 800 cm Caract ristique de groupement d azote N des fonction amines n existe pas Une bande large 1110 9 cm du groupement C O w3 l 0005 SvLV soue q 21715112 SIP MI 23112005 90 11111 oos 00001 0 00051 0 1 00002 00052 0000 0005 961vt 002 00 002 oor 009 La CCM nous a indique la pr sence de trois produits La chromatographie sur colonne doit servir s parer les produites Nous constatons que le premier produit tait de couleur noir Deuxi me produit est de couleur marrons fonc poss dant une odeur de th Dernier produit est de couleur jaune Photo 07 apparition des trois produits Photo 08 la plaque de CCM pour bonne s paration Photo 10 le dernier produit couleur jaune Une autre exp rience avec CCM nous confirm que le produit de couleur marron fonc nous indique que celui ci est compos de deux produits Photo 11 le produit marron compos deux produits On a fait des tests d efficacit sur les trois produits La figure 07 montre que le spectre infra rouge Pour le produit noir N 2358 8 et 2090 7 cm OH 3411 8 cm C O 1635 5 cm C H aromatique 1016 4 cm La figure 09 montre que le spectre infra
49. ns 56 Le m thanol et l thanol poss dent l avantage d tre plus facilement limin s dans le cas ou l on veut concentrer l extrait sous vide cependant au cours de cette concentration il ne faut pas aller jusqu au r sidu sec qui serait difficile redissoudre L utilisation de l eau est int ressante si l on veut fractionner la solution obtenue en faisant une nouvelle extraction liquide liquide par exemple par l ac tate d thyle ou l ther avant ou apr s hydrolyse 51 3 Purification des extraits Nous envisageons ici le probl me de l obtention d une solution contenant les compos s ph noliques d un mat riel v g tal en vue de leur tude par chromatographie Souvent l extrait direct par un solvant aqueux ou alcoolique est suffisant ventuellement apr s concentration ou nouvelle extraction avec l ac tate d thyle par exemple Cependant on extrait ainsi de nombreux constituants des tissus v g taux glucides acides sels min raux qui peuvent perturber les s parations chromatographiques dans ce cas une purification devient n cessaire 40 On a beaucoup utilis mais on l utilise moins aujourd hui la propri t des compos s ph noliques de donner des pr cipit s insolubles quand ils sont trait s par l ac tate de plomb en milieu alcalin Apr s centrifugation et lavage du pr cipit il est mis en suspension dans de l alcool ou dans de l eau et d compos par un courant d hydrog ne sulfur On peut
50. ns une lutte souvent d sesp r e car toutes ces mesures n intervenaient g n ralement que lorsque le mal devenait dramatiquement spectaculaire c est dire beaucoup trop tard pour avoir une efficacit quelconque Des nombreuses publications s chelonnent jusqu au d but de notre si cle rapportent ces efforts collectifs heureux ou malheureux mais qui constituaient cependant d j un r el progr s sur l ignorance 42 27 Les invasions d acridiens avaient autrefois des cons quences conomiques et sociales catastrophiques comme en t moignent les nombreux rapport notes circulaires recueillis par Kunchel d Herculais au cours de son enqu te sur les invasions de sauterelles en Alg rie 26 L ann e mille huit cent soixante sept resta l ann e du mal l Alg rie connut en effet la plus consid rable invasion de sauterelles qu on ait vu de m moire d homme 36 elle d termina une famine suivie d pid mie de chol ra et de typhus entra nant la mort de 245 494 indig nes en quelque mois 28 un rapport officiel signale que l exc s de mis re a amen quelques organisation lutte contre les vagues de sauterelles cet effet et malgr de densit exceptionnelle de l invasion n ont pas d pass en 1947 et 1948 la zone saharienne et dans l ensemble leurs ravageurs dans les cultures firent n gligeables la population total de l Alg rie d passait peine en 1867 1 million d habitant 4 la marche vers le progr s
51. odifi est devenue la question subsidiaire 23 pr sente une importance consid rable dans l industrie de la parfumerie La plupart des d sherbants chimiques tuent toutes les plantes en agissant sur une enzyme clef de leur m tabolisme commun ce sont les herbicides totaux Ils ne peuvent servir qu a faire le d sert Heureux on a trouv des d sherbants s lectifs qui ne tuent que les mauvaises herbes tout en respectant th oriquement la plante cultiv e mais ils ont l inconv nient d pargner aussi les plantes de la m me famille que la plante cultiv e et qui sont elle aussi de mauvaises herbes les g n ticiens ont donc d cid de prendre le probl me l envers plut t que de chercher grands frais la mol cule s lective qui prot ge la carotte et tue le chardon ils vont introduire dans la plante cultiv e la propri t de r sister l herbicide total Ils ont obtenu des colzas des tomates des sojas des cotons des betteraves sucre qui tol rent son herbicide base de glyphosate gr ce un gene qui fait surproduire l enzyme cible 37 En 1985 Plant Genitic System P G S Belgique introduit chez le tabac la r sistance un insecte gr ce un g ne de la bact rie Bacillus thuringiensis Ce g ne produit un cristal prot ique qui provoque des l sions dans l pith lium intestinal de l insecte et paralyse des mandibules et son tube digestif Depuis cette innovation des tomates des choux des c
52. otons des pommes de terre ayant int gr le g ne du Bt ont vu le jour La plupart des souches de Bt sont actives contre les chenilles de l pidopt re pyrale du mais du riz ver du cotons pi ride des choux Le Centre g n tique d agriculture en Belgique a extrait d une plante de zone s che le ni b le g ne d un inhibiteur d une enzyme digestive la trypsine Ce g ne introduit dans les plantes pourrait les rendre r sistantes un plus grand nombre d esp ce d insectes que le g ne Bt Les pommes de terre sauvages exsudent ainsi une substance claire et liquide d s qu elle sort elle se transforme en un sirop brun pais qui pi ge les insectes et leur donne des pattes en ciment le g ne responsable de cette colle est activement recherch l universit Am ricaine de Cornell 23 6 3 Lutte psychique On classe dans ces proc d s de lutte toutes les applications des tropismes ou taxies c est dire de l attraction ou de la r pulsion de diverses substances de sources aux radiations lumineuses de courants diverses etc dont l action psychique se manifeste sur les centres nerveux des insectes par l interm diaire de terminaisons nerveuses r ceptrices situ es sur diverses parties du corps antennes palpes pattes yeux cuticule ventrale ou dorsale etc 42 Photo 01 puceron noir La chaleur le froid la d shydratation ou l hydratation sont des moyens physiques 6 4 Lutte physique
53. out insecticide agissant par ingestion arsenicaux compos s fluor s D D T H C H etc dont la valeur est en rapport direct avec la dur e d action Cette stabilit ne doit pas seulement tre garantie durant la conservation du produit dans les emballages mais aussi une fois r pandu sur les v g taux ou elle subit l action destructive plus ou moins rapide des diff rents agents ext rieurs La dur e de la toxicit diminue avec le temps elle n est jamais illimit Car il n existe aucun insecticide ind finiment stable aussi variera t elle avec la nature chimique du compos sa concentration son mode de fabrication et les conditions du traitement Les insecticides base d extraits v g taux tels que la rot none sa formule brute C23H2206 est un principe actif contenu dans les racines de diverses l gumineuses exotiques 13 et le pyr thrines sont des ol o r sines contenues dans les fleurs d un chrysanth me pyrethrum cinerariafolium L spontan dans le Caucase et les Balkans dont les propri t me insecticides sont connues depuis XVII si cle ils sont cultiv aujourd hui au Kenya et en Egypte 52 sont souvent instables aussi leurs conservation comme leur mode d emploi posent de nombreux probl me que chimistes industriels se sont efforc es de r soudre dans toute le mesure du possible Les insecticides volatils seront conserv s dans les emballages tanches comme tous ceux qui sont sensible
54. r de l humidit y compris atteignant des limites bien d termin es feuilles 4 6 graines 6 14 fleurs 3 4 fruits 6 8 30 Le but de s chage est toujours de conserver les principes actifs pendant leur stockage car 1ls seront influenc s par les facteurs climatiques et ceux du stockage mal effectu ou par les facteurs internes tels que l activit enzymatique dans les tissus contamination par les insectes ou le d veloppement des champignons cause de l humidit lev e Cependant le s chage nous facilite plusieurs t ches telles que le transport l exportation diminution du poids ainsi que l op ration de broyage et l extraction des principes actifs de ces causes pr cit es il y a plusieurs types de s chages dont on cite S chage naturel consiste exposer l organe v g tal m ture aux rayons du soleil directement ou de le mettre l ombre jusqu au dess chement total apr s quelques jours La dur e du s chage est variable de 1 3 semaines selon l organe s cher et c est le proc d applicable dans notre r gion d tude Conservation et stockage Apr s le s chage on proc dera au stockage ou la conservation qui se fait l abri de l air et l humidit soit dans des sacs de papier soit dans des boites de fer blanc ou dans des bocaux de fer blanc ferm s par des bouchons de li ge ou un morceau de toile 16 Signale qu il ne faut jamais conserver les plantes fra ches ou s ches dans
55. r le produit majoritaire spectre de RMN de H pour le produit majoritaire spectre de IR du produit majoritaire spectre de IR de la solution dans le m thanol Liste des photos puceron noir Puceron noir sur le feuille l arbre de pistachier de l atlas Photo 04 solution homog ne T 80 C Photo 05 solution homog ne T 40 C Photo 06 la plaque de CCM pour mauvaise s paration Photo 07 apparition des trois produits Photo 08 la plaque de CCM pour bonne s paration Photo 09 le premier produit r cup r couleur noir Photo 10 le derni re produit couleur jaune Photo 11 le produit marron compos deux produits Photo 12 comparaison entre les quatre produits Liste des tableaux Tableau 01 Les caract ristique des solvants Tableau 02 tests d efficacit en fonction de temp rature Tableau 03 les tests de l efficacit en fonction de temps Introduction L id e nous est parvenue d une simple observation que le puceron noir envahi des arbres alors qu un arbre qui se situe au milieu n a pas t atteint c tait un pistachier Donc pour quelle raison le puceron noir a t il vit cet arbre A cette question il n y a malheureusement pas de r ponses simples Une r ponse assez probable c est que l arbre a labor une mati re active pour loigner cet insecte nuisible voir le film Notre strat gie tait d essayer de s parer cette substance et de l appliqu
56. riel v g tal aussit t apr s sa collection le mat riel s ch peut tre conserv pendent un certain temps sans modification importante On utilise aussi souvent la conservation du mat riel frais par cong lation 20 C ou 30 C la encore les activit s enzymatiques sont compl tement inhib es mais elles peuvent r appara tre d s que la mat riel est d gel en vue de son extraction On trouvera dans la litt rature diff rents exemples d applications des proc d s d extraction des mat riels v g taux particuliers 40 2 Solvants utilis s II est souvent recommand de faire une premi re extraction du mat riel v g tal par un solvant non polaire tel que l ther de p trole qui permet d liminer tout au moins en partie les graisses les cires les chlorophylles et les carot noides Dans la mesure ou l extraction n est pas trop pouss e les flavonoides ne sont pas extraits par ce solvant cependant certains tissus comme les bois de coeur contiennent des flavonoides non glucosidiques facilement extraits par l ther de p trole 35 L extraction proprement dite est effectu e ensuite apr s broyage organes v g taux dans un mixer en utilisant comme solvant le m thanol l thanol ou m me l eau il faut puiser plusieurs reprises le tissu pour avoir une extraction satisfaisante C est un solvant aqueux qui nous a donn les meilleurs r sultats pour l extraction quantitative des anthocyanes des raisi
57. ris et compl t s par les autres 47 4 2 Les premi res applications me A partir de la seconde moiti du XIX si cle avec l panouissement de l re pasteurienne les applications de la science dans tous les domaines ont transform de fond en comble la vie de hommes et des choses Si les m thodes de lutte anti parasitaire se perfectionn rent rapidement les insectes nuisibles devinrent eux aussi chaque jour plus nombreux et plus virulents Dans toutes les r gions du globe les cultures sont ravag es par des parasites inconnus jusqu alors fruits amers d un progr s trop rapide d un d s quilibre brutal entre la nature et la civilisation L apparition brutale de phylloxera phylloxera vitifolii Fitch en Europe et en M diterran e suivi par des maladies cryptogamiques redoutables failli porter un coup fatal la culture de la vigne La crise phyllox rique pour ses cons quences catastrophiques attire l attention de tout le monde savant de l poque qui pour la premi re fois mesurait toute l importance de la parasitologie v g tale et d une science dont les buts avaient paru jusqu alors de plus abstraits aux yeux du grand public En Europe en Am rique et en Afrique de nombreux entomologistes et agronomes se consacr rent f brilement au probl me phyllox rique la participation de Pasteur fut galement sollicit e mais enti rement pr occup l poque par ses travaux sur la p brine du ver soie qui
58. staux blancs D apr s le spectre nous pouvons conclure que touts les fonctions caract ristiques aromatique n existent pas En effet on note la disparition de la bande 650 800 cm Caract ristique de groupement d azote N des fonction amines n existe pas Une bande large 1110 9 cm du groupement C O La CCM nous a indique la pr sence de trois produits La chromatographie sur colonne doit servir s parer les produites Nous constatons que le premier produit tait de couleur noir Deuxi me produit est de couleur marrons fonc poss dant une odeur de th Dernier produit est de couleur jaune Une autre exp rience avec CCM nous confirm que le produit de couleur marron fonc nous indique que celui ci est compos de deux produits On a fait des tests d efficacit sur les trois produits Montre que le spectre infra rouge Pour le produit noir N 2358 8 et 2090 7 cm OH 3411 8 cm C O 1635 5 cm C H aromatique 1016 4 cm Montre que le spectre infra rouge du produit jaune D apr s le spectre nous pouvons conclure que les fonctions appara tre CH aliphatique 2837 1 cm et groupement carbonyle C2O 1651 0 cm et C H 1024 1 cm R sultats et discussions Les r sultats obtenus des tests de l efficacit sont Temps utilis pour Produit utilise 7 R sultats obtenus l exp rience min m lange initial mort
59. sup rieure celle de l eau Le temps n cessaire la condensation et la formation des gouttes tait inf rieure celui de l eau Le volume de solution obtenue avec le M thanol est inf rieur celui avec l eau La couleur est vert fonc e avec le M thanol alors que avec l eau est vert claire La solution est endothermique dans le m thanol Les feuilles du Pistachier Mac ration 2 pas test efficacit meele avec ther avec l eau extraction avec n hexane phase organique phase organique test d efficacit test d efficacit des cristaux blancs plaque de CCM analyse a IR trois produits test de l efficacit phase aqueuse test de l efficacit Pas test une poudre trois produits P P produit majoritaire 0 analyse IR Tr analyse de RMN et IR I Echantillon I les feuilles jaunes 1 116 solvant utilis l eau Nous avons utilis une m thode classique simple lors du traitement biologique 60 individus dans chaque boite puis nous injectons quelques gouttes jusqu 2cm Apr s s paration des produits on a pris 03 boites et on a refait la m me exp rience tableau 03 Pour chaque manipulation on teste l efficacit des solutions sur les insectes si les pucerons meurent ou non Voir le tableau ci dessous Tableau 02 tests d efficacit en fonction
60. t re d homog n it des pistachiers et plus particuli rement des Batoum tient la production de r sine par leur core cette r sine peut tre distill e elle exsude naturellement par temps chaud c est une r sine mastic en quelque sorte un anc tre T m diterran en des chewing gum dont les populations locales faisaient autre fois quelques usages et dont la pharmacie s est longtemps servie pour la fabrication d onguents on l appelait mastic de chio 50 En tout cas le mastic du Betoum fut exploit jadis par les pays des dayats au sud de Laghouat 38 D apr s les enqu tes r alis es sur le terrain on constate que l utilisation du pistachier n est pas tr s importante elle concerne surtout les fruits Il sont utilis s pour la consommation humaine et animale les fruits sont concass s et m langes avec des dattes et du beurre les feuilles sont utilis es en m decine traditionnelle et aussi pour l alimentation du b tail ovin mais l utilisation du pistachier reste encore insuffisante Les dayats des pistachier offrent un microclimat particulier assurent le d veloppement d une v g tation annuelle et saisonni re permettant l levage des ovins cynodon dactylon hordeum murinum et diff rentes esp ces 44 2 Pistacia atlantica Desf Le Betoum est le plus ubiquiste des arbres du nord Africain et du proche orient l tat adulte sa silhouette est impressionnante son feuill
61. un tissu v g tal ne pr sente pas en g n ral de difficult s particuli res Il peut tre n cessaire dans certaines cas d effectuer une purification de l extrait initial obtenue nous pouvons sur cette question donner quelques consid rations g n rales mais il est bien vident que chaque cas particulier n cessit une application propre des notions de base 51 L extraction quantitative des compos s ph noliques d un tissu v g tal est toujours un probl me difficile et il ne semble pas qu il existe actuellement de m thode tout fait satisfaisante pour cela L extractions est effectu e en puisant plusieurs reprises par une solutions aqueuse 1 d acide chlorhydrique concentr du commerce solvant qui nous a donn les meilleurs r sultats 48 Un autre aspect important du probl me de l extraction des compos s ph nolique concerne les modification ventuelles des substances pr sentes dans la plante au cours des op rations d extractions Les cellules v g tales contiennent diff rents types d enzymes susceptible de provoquer des modifications des compos s ph nolique en particulier des poly ph nols oxydases et des glycosidases Sous l action des glycosidases des h t rosides complexes peuvent tre transform s en h t rosides plus simples ou m me en aglycones que apparaissent sur les chromatogrammes provoquant des art facts En g n ral on peut liminer cet inconv nient par un s chage rapide du mat
Download Pdf Manuals
Related Search