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Collège Royal des Médecins de l`agglomération bruxelloise

1. COLLECTIF MEDICAL DES GENERALISTES ET SP CIALISTES Afgiftekantoor TOURNAI Bureau de d p t TOURNAI I Autorisation de fermer B 24A Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise n 982 juin Juillet 2000 Agenda Culturel Vie du Coll ge Voyage en Tunisie Des instruments et des bommes La trousse d Esculape Un Bourdaloue en fa ence de Rouen Le visage de la M decine suite Pages I IT La grande f te de l OPET Pages IV VII Voir notice l gale en page 3 Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Maison des M decins Comit Directeur Pr sident Prof Jacques Marin Pr sident d honneur Prof Jean Claude Demanet ler Vice Pr sident Dr Guy P que 2e Vice Pr sident Dr Alain de Mee s d Argenteuil Secr taire G n ral Dr Albert Jortay Secr taire G n ral Adjoint Prof Monique de Rood Tr sorier Dr Andr Bruyns Tr sorier Adjoint Dr Jean Marie Dalcq Membres Dr Marguerite Cambron Dr Michel Chantraine Dr Philippe Paulet Dr Justin Vanatoru D l gu l Entraide Dr Maurice Anckaert D l gu la Mutuelle Dr Justin Vanatoru Maison des M decins Pr sident honoraire Prof Jean Lederer Pr sident Prof Jean Claude Demanet Administrateur G rant Dr Guy P que Administrateurs Dr Henri Bondue Notice CORVATAR
2. rement original et malicieux Ce dernier au d but du XVII me si cle avait croqu dans de petits espaces grav s une infinit de figures dans des accoutrements ridi cules et aux postures all gres dont cer taines appliqu es la com die italienne comme c est le cas ici Dans une plaquet te d di e la caricature m dicale le doc teur Caban s rendait compte du go t de Jacques Callot pour ce genre de sujet avec une illustration tr s proche fasc 1 fig 13 Pour conclure ce sujet nous introduit cet tonnant dialogue tir d une estampe d Abraham Bosse ayant pour titre Le Clyst re L objet du prochain article Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Le m decin J ai la seringue en main hastez vous donc Madame De prendre pour le mieux ce petit lavement Il vous rafra chira car vous n tes que flamme Et l outil que je tiens entrera doucement La servante Tout beau Monsieur tout beau Madame est trop modeste Pour souffrir votre abord Allez un peu plus loing Donnez moi la seringue et je ferai le reste Car c est un instrument dont je m aide au besoing Madame Vous faites bien du bruit pour un sale myst re Qui me d plait si fort qu regret j y consens Mais vous ne voyez pas qu avec vostre clyst re Vous ne sauriez gu rir la fi vre que je sens La servante Du mal que j ai c ans je suis d j lass e Je veux sor
3. Coll Archives d Architecture Moderne ER T k Fe JH ton J B Dewin vue sch matique en coupe de la fen tre cintr e mise au point par l architecte pour clairer les salles d op ration du Dr Depage Publi e dans l ouvrage La Construction des H pitaux tude critique des docteurs Depage Vandervelde et Cheval 1907 Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise ARCHITECTURE salu par la critique l architecte s est efforc de bannir des salles de malades et des salles de jour la froideur un peu inqui tante des salles d op ration Il a cherch en r chauffer l aspect par l emploi de colorations riantes et de vitraux en plomb discr tement r partis partout nous sommes frapp s par la douce lumi re r pandue dans les salles un bain de blancheur Au confort aux n cessit s du laboratoire s est joint le charme de l orne mentation de la simplicit du bon go t de la richesse qui n a pas d ostentation un luxe m me mais un luxe rationnel qui semble puiser ses raisons dans la science m me Le malade doit se sentir l aise dans ces salles grandes ou petites o les rayons du soleil doucement tamis s semblent apporter avec eux leur rem de De 1922 1935 il labore le vaste programme du nouvel h pital universitaire Saint Pierre minutieuse ment pr par par un voyage d tudes aux tats Unis et en Angleterre Inspir des exemples anglo saxons le b time
4. dire que le m decin mi traitant abandonne son patient puisqu il le reverra au cours du suivi du traite 1 ment ne f t ce que pour prescrire les 1 m dicaments avec lesquels le sp cialiste a lanc un traitement Parfois aussi Cest au psychologue o au psy E chiatre que l on devra faire ss appel ou encore l assistante sociale mer p E Impliquer la famille La t che sera de longue dur e et chaque fois que possible la partici pation de la famille devra tre sol p licit e en veillant ne pas se lais ser manipuler par elle Il ne faudra pas non plus abandonner trop rapidement en se disant que hrs lon n y parviendra pas s M me si le taux de r us Eoi site reste faible et si la emani rechute est toujours pos k SERS sible toute am lioration du patient est appr ciable Elle permet tra ventuellement de rendre le patient la vie sociale et ou de solu tionner les probl mes mat riels En tout cas elle permettra de retarder voire d viter la d gradation mentale et l volution vers la cirrhose du foie C est d j fort appr ciable Dr J Andris D apr s un entretien avec le Dr Chr Geniesse Wanferc e Baulet ARCHITECTURE Le visage de la m decine Un si cle d architecture hospitali re Bruxelles 1820 1940 Une premi re version de ce texte a t publi e par la R gion de Bruxelles Capitale service des Monum
5. du Roi fermeront le convoi Au moment pr cis O HAPOU SENEB s appr te donner l ordre d appareiller AMENHOTEP le Commandant de toute cette petite escadre sur un geste vif de SENMOUT les trompettes et les timbales qui accompagnent les Braves du Roi font retentir Appel du Roi Et Cest la barque royale qui quitte la premi re le quai pour se porter en t te HATCHEP SOUT garde son sourire impassible com me si cela ne la concernait pas Le remplacement de la double couronne par le diad me divin la queue de l o pard l absence de barbe postiche prennent toute leur signification Pour tous ce n est pas HATCHEPSOUT Pharaon qui suit le Dieu AMON mais bien HATCHEP SOUT Fille Divine d AMON qui conduit son P re AMON d un Temple l autre Interloqu le haut clerg de la barque sacr e se tourne vers HAPOU SENEB qui ne laisse rien para tre de ses senti ments HATCHEPSOUT vient de marquer par ce geste fort sa volont de pr minence Il verra plus tard s il y a lieu de r agir De toute mani re c est maintenant impossible les barques manoeuvrent suffisamment difficilement en cette p riode de crue ascendante pour ne pas risquer un accident n faste pour tous Pour les repr sentants de l Administration et de l Arm e c est une satisfaction qui renforce encore leur fid lit au Chef supr me Sage et avis e NEFEROURE dont la barque s est plac e juste derri re celle d AMON d tend l
6. me jour de la remont e des eaux la statue secr te d AMON est sortie de son tabernacle Lav e par PENANOUQI le pr tre du pagne puis habill e de neuf en byssus ce lin fin tiss l in t rieur du sanctuaire l idole est confi e MONTOUEMHAT le v n rable Chef des Pr tres Purs Il lui prodigue selon un rituel aussi immuable que secret des fumigations l encens Enfin pr te la statue est prise en charge par HAPOU SENEB et PETE SIRIS homme la vaste culture repr sentant officiel de la scien ce dans l enceinte du Grand Temple Ensemble avec beaucoup de pr cautions ils la d posent dans lOUSER HAT la petite barque sacr e qui port e par six pr tres purifi s se dirige main tenant vers la sortie du Temple L une escorte de douze offi ciers choisis parmi les plus valeureux de l arm e encadre la barque sacr e jusqu au quai o l attend la barque proces sionnelle Pharaon et tous les plus hauts dignitaires civils et militaires pr sents dans la Capitale les ont pr c d s Chauss e de fines sandales blanches rehauss es de boucles en or HATCHEPSOUT resplendit Sur un sous v te ment long du coton le plus transparent elle porte le pagne blanc pliss tiss or serr la taille par une ceinture en or laquelle pend sur l arri re une queue de l opard et non de taureau comme le voudrait la coutume La poitrine ne r v le qu une f minit discr te derri re un pectoral de quatre rangs de g
7. MUSIQUE peut commencer suivre Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise
8. atmosph re en invitant ses Divines Adoratrices entonner les hymnes aux Dieux Salut toi HAPY Qui sort de terre et vient vivifier le Double Pays Sa suite le chante Lui qui fait vivre les prairies cr es par AMON Pour faire vivre tout le b tail Auteur de l orge producteur de bl Qui met en f te les Temples Toi qui apporte la nourriture riche en vivres Certains passages sont repris par la foule qui s est mas s e sur la berge notamment dans les hymnes AMON Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Barque processionnelle sacr e de AMON chapelle en quartzite rouge de dans le Mus e Lapidaire de KARNAK photo de l auteur CONTE Dee ls a M ent i s Vo EE a PA j P i D z k su k i lu LE 1 H F HATCHEPSOUT Salut toi AMON Seigneur des tr nes du Double Pays Qui r side IPET ISOUT Karnak Taureau de sa m re qui r side devant ses prairies V n rable du ciel a n de la terre Unique en son esp ce parmi les Dieux Qui est la t te de tous les Dieux les chanteuses Qui est la t te de tous les Dieux la foule Mais le peuple n a d yeux que pour HATCHEPSOUT qui s est pratiquement d ifi e de son vivant alors que les Pharaons attendaient leur mort pour y pr tendre et seule ment dans l au del Tous ont rev tu leurs beaux atours Pour les hommes un pagne plus court devant que derri re et un
9. charge ou tout au moins s efforcer de renforcer la motivation du patient Prendre consciences Mais au fil des entretiens qui n ont pas n cessairement le sevrage pour but principal et imm diat il fau dra tenter d valuer de mani re objective jusqu quel point le patient est r ceptif au message d abstinence Lorsqu il en vient peu peu accep ter la notion de sa propre responsa bilit dans l affaire le travail v ritable peut commencer La premi re tape on l a dit consistera l amener prendre conscience de sa situation et des cons quences qu elle engendre pour lui et pour les siens Il s agit l v ritablement d un fruit qui doit m rir C est un travail de longue haleine fait d entretiens successifs Toutefois il est difficile au g n ralis te vu le caract re non contraignant de sa pratique d imposer au patient de revenir des dates d termin es Il faut plut t profiter des occasions de visites domicile ou de retour du patient au cabinet pour une autre plainte S appuyer sur un r seau La notion de r seau de prise en charge du patient alcoolique est capi tale Le g n raliste doit pouvoir faire appel des comp tences sp cifiques par exemple lorsqu une pathologie digestive importante est en cause le recours un gastro ent rologue sen sibilis aux probl mes sp cifiques de l alcoolisme peut s av rer n cessaire Cela ne veut pas P e
10. d AMON Leur r partition participe l pret du d bat entre ANTEF qui souhaite tout garder et DOUA ENENEH qui veut pr lever le plus possible Parmi les paysans qui se sont mis en route OUNI loa sien et sa fille ISIS cheminent devant un ne charg de cadeaux et de marchandises qu OUNI s appr te vendre au march de la ville Ils sont en route depuis quatre jours et OUNI esp re obtenir de beaux b n fices il sait que tout d pendra de HAPY Si la crue est bonne les acheteurs seront plus nombreux et plus g n reux Trois heures du jour se sont pass es depuis le d but du Conseil Royal Toutes les directives pour les heures venir ont t prises L cueil de Taureau Puissant dans la Titulature classique est vit gr ce son remplacement par le couplet que SENMOUT a pr sent juste avant la s ance Alors que HATCHEPSOUT remercie personnellement cha cun des officiels un envoy venu du Sud est annonc Uni Admis apr s avoir salu Pharaon il informe que MENKH arrivera en retard car il convoie deux beaux petits ob lisques en marbre pr cieux la pointe d or destin s orner la terrasse de la chambre royale HATCHEPSOUT est heu reuse et le montre SENMOUT sourit MENKH a beau offrir pareils cadeaux Pharaon le sien sera d un niveau bien sup rieur Apr s que trois jours se soient pass s en pr paratifs minu tieux l heure des festivit s a enfin sonn T t le matin du qua tri
11. d arbre que la foudre et les orages ont creus et abattu sur le sol Tan dis qu il les enfume d une torche de bois r sineux il ta pe de son gourdin sur l corce on fait mieux depuis Et notre homme ravi d couvre la sonorit r sonnante de ses coups C est d j la timbale et le tambour Autrefois quand nous jouions dans les parcs on se fabriquait des arcs et des fl ches avec des branches de noisetier et des bouts de ficelle Quelle invention Voici donc notre primitif guettant une antilope Quand celle ci s immobilise entre deux fuschias l homme bande son arc L empenne de sa fl che est faite des plumes de geai bleu Il tire Le trait s envole vers la cible et l arc qui se d tend siffle dans l a Et ce bit fut le premier son d un premier ins trument corde pinc e Avec le temps on s aper ut sans doute que des arcs de taille diverses chantaient diff remment Il suffi sait alors de tendre plusieurs cordes sur un m me arc et nous voil avec la har pe de David Quelque pas teur ayant sus pendu son instrument aux branches d un bougainvillier fut s duit par la vibration sonore des cordes dans le vent d couvrant ainsi la harpe olienne Il ne restait plus qu unir la r sonance d une calebasse vide et notre harpe cf le tronc d arbre pour cr er la guitare ou le luth Ce m me arc frottant les cordes de ces instruments vous voil avec vielles et violons La
12. de fibrino g ne constituent d autres facteurs de risque a rap pel J F Belch Dundee UK D autres tudes ont aussi accus le r le favorisant de langor de la d compensation cardiaque de l hypertension et des ant c dents d AVC ou d infarctus Les moyens disponibles pour la d tection des individus atteints sont la port e de tout m decin de famille ce sont l anamn se l examen clinique g n ral et l examen vasculaire notamment la palpa tion des pouls p riph riques et la mesure de la pres sion sanguine Il faut toutefois savoir qu il existe des faux positifs et des faux n gatifs Le risque d accident cardiaque ou d accident vas culaire c r bral devrait tre valu J Caro Concord USA a rapport une tude canadienne 16 440 patients porteurs de troubles art riels p ri ph riques selon laquelle 8 5 des patients ont t victimes d un AVC et 8 3 ont subi un infarctus dans les cinq ans qui ont suivi le diagnostic de leur atteinte art rielle p riph rique La pr sence d un ou de deux facteurs de risque suppl mentaires multi plie le risque d infarctus par 1 7 et celui d AVC par 2 4 Trois facteurs de risque ou plus multiplient ces probabilit s par 7 et 8 respectivement Le r le des plaquettes En fin de compte toutes ces situations sont li es l ath roscl rose pathologie dans laquelle une activation des plaquettes survient fr quemment Cette activation son to
13. la Foi Elles m nent les personnes vertueuses au palais suivant qui est le tribunal de l honneur la r compense supr me des rois Cette tapisserie est la pi ce centrale de la s rie Les personnes sans honneur se pressent en vain au pied du Tribunal de Honor A droi te de ce tribunal entrent d autres figures celles de la Renomm e conquise gr ce aux actes valeureux elles sortent du temple de Fama la Gloire Le dernier groupe repr sente d abord la Justice Justitia vertu par ticuli re du souverain qui est avant tout un Juge supr me La tapisserie qui y fait suite d peint la Noblesse Nobilitas condition de la souverai net obtenue ici travers le sacre et le couronnement de l empereur Sur cette tapisserie figurent notamment les portraits de l empereur Maximilien et de Marguerite d Autriche ainsi que des l gendes propres la maison de Habsbourg La s rie se termine par le Cort ge de l Infamie infamia l oppos de la Renomm e de la Vertu et de la Gloire A l extr me droite est assis d auteur de cette histoire Ce per sonnage est surmont d un long texte moralisateur Il s agit probablement de la s rie de tapisseries la plus impression nantes fabriqu e au d but de la renaissance aux Pays Bas Chaque figure chaque groupe de person nages offre un spectacle fascinant Los Honores Les tapisseries de Charles Quint Du 27 mai au 8 octobre 2000 Du lundi a
14. nasale la rhinorrh e l pistaxis aux algies faciales aux troubles de l odorat et du go t On ne peut cependant aborder le nez sans parler des allergies C est pourquoi un cha pitre entier est consacr aux tests allergologiques Enfin l imagerie de la sph re naso sinusienne est un outil dont il faut se servir avec discerne ment ce qui justifie un autre chapitre du livre Du concret Dans chacun des cha pitres port e clinique l accent a t mis sur les tapes de l anamn se et de examen clinique ainsi que sur les examens compl mentaires Richement illustr et accompagn de nombreux tableaux Le nez en abr g a t con u par les auteurs pour fournir au m decin des infor mations utiles dans sa pratique quo tidienne L ouvrage sera distribu sur simple demande par les d l gu s d UCB Pharma qui en a r alis l di tion Pour information Mme Annick Deblaere UCB Pharma s a Route de Lennik 437 1070 Bruxelles T l 02 559 92 00 Fax 02 559 92 10 e mail Annick Deblaere ucb group com Pages nationales Nationale bladzijden MEDEGINE La d pression aux mille facettes Depuis le temps que la d pression est connue de nombreuses questions persistent son sujet R guli rement la litt rature scientifique projette de petites zones suppl mentaires de lumi re sur cette affection En voici quelques exemples r cents L Organisation
15. semble s tre fait par le Nord selon le pr bistorien canadien Jacques Cinq Mars A l poque une p riode de glaciation avait entra n une chute du niveau des oc ans ce qui cr ait probablement des pas sages entre la Sib rie et l Alaska l actuel d troit de Bering Quand on sait que Vitus Bering Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise eD JFORIAL est mort en 1740 en explorant ces mers glac es pour le service du tsar Pierre le Grand on se de mande ce qui a pu pousser ces peuples primitifs encore l ge de la pierre explorer ces ten dues d sertiques o r gnait un froid si peu pro pice la vie Sans doute l espoir de trouver tou jours plus loin un territoire plus favorable mais ces migrations taient lentes et s tendaient sur de nombreuses g n rations la motivation au fil du temps devait s affaiblir Je tiens entre les mains un livre qui parle de notre futur o des bioastronomes de renom ra content comment ils ont d couvert depuis quelques ann es seulement la pr sence d une vingtaine de plan tes gravitant autour d toiles de notre galaxie comme nous autour du soleil Certains pensent y trouver peut tre la vie et m me des civilisations plus ou moins avanc es que la n tre Notre curiosit maintenant a d pass notre pla n te et ses environs imm diats Nous envoyons non seulement des satellites d observation mais aussi des sondes qui part
16. tales cette expression artistique s inspire largement de la mytho logie grecque soulignant ses racines pa ennes autant que chr tiennes Le style copte se d finit progressivement en s loignant du r alisme du graphisme et en se composant de vastes plages de couleurs juxtapos es sans grand souci d exactitude Sous la p riode musulmane cet art se rassemblera autour du seul sujet religieux La sculpture adoptera alors l arabesque et exploitera autant que possible la boiserie Une influence byzan Un tine d note des uvres de l poque par des th mes apocalyp tiques tout en conservant les traits distinctifs du style local tion vers le copte apparurent Mais la lacune de certaines consonnes dans la langue grecque par rapport la langue gyptienne transparut tra vers des h sitations dans les traduc tions Vers la moiti du M me si cle se stabilisa l alphabet copte compo s des 24 lettres de l alphabet grec compl t es par 7 consonnes issues de l alphabet d motique la version la plus r cente et la plus volu e de l criture gyptienne Certes il ne s agissait dans un premier temps que de traductions qui furent tr s utiles quand l original grec fut perdu mais rapidement apparurent des uvres originales principalement des ser mons et des lettres t moins de la richesse de cette langue nouvelle Naissance d une litt rature De plus en plus surtout apr s la rup ture de l Eg
17. 0 pour la roport de Carthage Arriv e Bruxelles 19h25 CONDITIONS e maximum 30 personnes e prix 42 000 BEF chambre double 45 000 BEF chambre simple comprenant l avion le logement les repas lautocar climatis et les visites de mus e Dr Albert JORTAY organisateur et accompagnateur Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise UJLTUIR Des instruments et des hommes l occasion de l ouverture du nouveau Mus e des Instruments de Musique Jean Claude Lalanne Cassou nous pr sente en plusieurs nu m ros une petite Histoire de la musique par les instruments du silex au Synth tiseur Au commencement du Monde la Musique tait d j pr sente dans le bouillonnement des galaxies dans le froisse ment des com tes chevelues dans la giration folle des pla n tes en formation comme dans le silence des toiles dont parlait Pascal Elle tait aussi en nous d s notre naissance Nos premiers jeux et nos premi res motions furent la d couverte de notre espace sonore On pourrait imaginer une plan te Terre sans les beaut s de la sculpture ou de la statuaire Il n y aurait pas dans les parcs et les jardins publics d importants personnages en bronze pour servir de perchoirs aux pigeons et tourterelles Cin ma et photographie n ont pas toujours exist on vivait tout de m me C est que les arts sont de notre invention Mais la Musique est en nous inscrite da
18. 17 F3 Le mot de la r dactrice 4 5 Agenda 6 M decine Troubles art riels p ri hiques 7 Prise en charge de l alcoolisme 9 Le nez en abr g 12 D pression et infarctus 13 Vie du Coll ge Voyage en Tunisie I5 Culture Artefact 8 Art copte 10 11 Los Honores les tapisseries de Charles Quint 1 4 La grande f te de POPET Dr Andr Bruyns Dr Marguerite Cambron Dr Alain de Mee s d Argenteuil Dr Jean Robert Fagnart Dr Albert Jortay Prof Jacques Marin D l gu aux jeunes m decins Dr Michel Chantraine Editeur responsable amp R dactrice en chef Dr Marguerite Cambron pages locales Av du Pic vert 24 1640 Rhode St Gen se T l Fax 02 358 19 25 R dacteur en chef Dr Jean Andris pages nationales Comit de r daction Prof Jean Claude Demanet Prof Jacques Marin Dr Guy P que Dr Albert Jortay Dr Alain de Mee s Dr P Fransen Dr Justin Vanatoru Directrice administrative Mme Emmanuelle Wagschal La r daction du bulletin n assume aucune responsabilit dans les offres et demandes contenues dans les petites annonces et dans les pages publi citaires en g n ral Les textes des articles publi s n engagent que leurs auteurs Le droit de copie de tous nos articles originaux est r serv Des instruments et des hommes 15 18 La trousse d esculape Un Bourdaloue en fa ence de Rouen 16 17 Le visage de la M decine l I IV VIII Coll ge des M decins et caisse d entraide Cr d
19. B Lewton P Effects of mood and age on quality of life in depressed inpatients J Affect Disord 55 2 107 1999 2 Angst J Sellaro R Merikangas K R Depressive spectrum diagnoses Compr Psychiatry 41 2 Suppl 1 39 2000 3 Ferketich A K Schwartzenbaum J A Frid D J Moeschberger M L Depression as an antecedent to heart disease among women and men in the NAHNES I study National Health and Nutrition Examination Survey Arch Int Med 160 9 1261 2000 CULTURE Los Honores Les tapisseries de Charles Quint Neuf tapisseries bruxelloises de Charles Quint ou un miroir du prince pour tous En 1519 Charles de Habsbourg qui avait 19 ans l poque et tait roi d Espagne depuis 1516 fut sacr empereur du Saint Empire Romain Germanique par les lecteurs alle mands Il succ da sur le tr ne imp rial son grand p re Maximilien Ier Charles fut sacr empereur en octobre 1520 Aix la Chapelle Afin de c l brer son accession au tr ne l entourage de l empereur comman da une importante s rie de neuf tapisseries en guise de miroir du prince la fois all gorie difiante et hommage au jeune souverain La s rie fut tiss e par les ateliers du lissier bruxellois le plus renom m de l poque Pieter van Edingen galement connu sous le nom de Pieter van Aelst Les tapisseries Los honores furent cr es en 1520 lon d couvre cette date ins r e dans le t
20. D 1 DENOMINATION Nom de la sp cialit CORVATARD Principe actif Molsidomine DCI 2 1 TITULAIRE D ENREGISTREMENT THERABEL PHARMA S A rue Egide Van Ophem 110 1180 BRUXELLES 3 COMPOSITION Molsidomin 8 mg Sacchar lact Cellulos microcrist Macrogol 6000 Hydrogen ricin oleum Magnes stearas q s pro tablet compressa una 4 FORMES VOIES D ADMINISTRATION ET CONDITIONNEMENTS Bo tes de 40 et 80 comprim s lib ration prolong e dos s 8 mg de molsidomine Administration par voie orale 5 1 INDI CATIONS Traitement prophylactique et traitement au long cours de l angine de poitrine NB Les comprim s de CORVATARD ne sont pas adapt s au traitement de la crise d angor 5 2 POSOLO GIE ET MODE D EMPLOI La posologie doit tre adapt e la s v rit des sympt mes angineux et l volution de l tat clinique du patient La dose usuelle est de 1 comprim lib ration prolon g e de CORVATARD 2 fois par jour 5 3 CONTRE INDICATIONS L administration de CORVATARD est contre indiqu e en cas de choc cardiog nique ou d hypotension grave ainsi qu en cas d al lergie connue la molsidomine 5 4 EFFETS INDESIRABLES Des c phal es et exceptionnellement des troubles gastro intestinaux des ph nom nes d hypotension orthostatique et des mani festations allergiques peuvent survenir 6 1 DELIVRANCE Sur prescription m dicale 6 2 DERNI RE MISE A JOUR DE LA NOTICE 02 07 1997 6 3 NUMERO D ENREGISTREMENT 152 IS 1
21. Mondiale de la Sant estime qu l aube du nouveau si cle la d pression unipolaire majeure sera l une des causes de morbidit les plus importantes Bien que tiologie de cette affection soit loin d tre compl tement lucid e il devient de plus en plus vident que divers facteurs sont impliqu s qu ils soient de type g n tique ou environ nemental Les strat gies de recherche permettent peu peu d approfondir les connaissances sur les m canismes de la d pression Elles permettent aussi de mettre progressivement en vidence les nombreuses facettes cli niques de la maladie Nous repre nons ici quelques unes d entre elles r cemment publi es dans la litt ratu re scientifique Une qualit de vie alt r e Non seulement cela tombe sous le sens mais encore les recherches avaient elles depuis longtemps d montr le lien entre l alt ration de la qualit de vie et la d pression Mais il n est pas toujours ais de faire la diff rence entre la d t riora tion li e l ge et celle qui r sulte de la maladie en particulier lorsque les deux se superposent Dans une tude qu ils ont conduite chez 90 personnes McCall et al ont confir m que l ge du patient et la gravit de l atteinte d pressive taient les deux pr dicteurs les plus importants de la diminution de la qualit de vie Toutefois le type de d t rioration li e l ge que l on peut mettre en v
22. TCHEPSOUT s impose nouveau par la rapi dit de sa pr sence d esprit C est en tant que Puissante qu elle ordonne que les hymnes AMON MIN soient entonn s Salut toi MIN AMON Seigneur du Temple Viens avance vers les prairies Respire le parfum de ton pays Place le KA du Roi c t de toi Que ton c ur soit dans la f licit pour le Roi Les deux plumes v n rables sont sur ta t te Pendant les chants toujours imperturbable HAPOU SENEB et PANEHESY qui s est ressaisi plantent l le pauvre ANTEF Ensemble ils se chargent du d barquement de la barque sacr e qui lentement entre dans le Harem d AMON Elle y restera dix jours Dans l air flotte une odeur p n trante o se m lent l olibon encens m le le parfum destin AMON MIN et l iber l encens femelle r serv ses pouses Un jeune officier tente de retenir l attention de HAT CHEPSOUT qu il n arrive pas approcher Il lui rappelle quelqu un d autre son neveu THOUTMES qu elle serait bien avis e d envoyer sur le Chemin de Horus au Nord du SINAI sous le pr texte de parfaire son ducation militaire Fendant la foule aussi respectueuse et admirative qu intimid e pas du tout habitu e c toyer Pharaon de si pr s le G n ral NEHESI ram ne le messager Il est porteur d une nouvelle qui remplit daise HATCHEPSOUT son ami MENKH et son pr cieux chargement sont arriv s au Palais Cela tombe bien la partie officie
23. age m di val conserv jus qu nos jours En 1752 les chanoines charg rent l ar chitecte Pisoni de d truire l difice du X me si cle et de reb tir un nouveau sanctuaire Jacques Barth l my Renoz fut charg de la surveillance du chantier Confi e Jean Latour la d coration monumentale du XII me si cle est bien conserv e Parall lement la coll giale abrite de nombreux chefs d uvre de l art baroque issus notamment du talent de Renier Panhay de Rendeux Cornelis van der Werck Bertholet Fl mal Jacques Dartois et Jacques Vivroux Plusieurs pi ces de mobilier montrent galement la permanence du style baroque au XIX me si cle Mercredi 11 octobre 15h00 amp 19h30 Coll giale Saint Jean Place Xavier Neujean 4000 Li ge Guide conf rencier Jean Christophe Hubert 9 Architecture et patrimoine l Eglise orthodoxe grecque du Potay et le temple protestant du Quai G Kurth A deux pas de Hors Ch teau l glise Sainte Barbe au Potay est l ancienne chapelle du couvent aujourd hui disparu des Carm lites d chauss es Edifi e au d but du XVII me si cle elle conserve sa physionomie ext rieu re ses stucs et ses boiseries d poque Depuis trente cinq ans la chapelle est affect e au culte orthodoxe un mobilier sp cifique a t install De l autre c t de la Meuse l angle du quai Godefroid Kurth et de la rue du commandant Marchand se dresse l glise protest
24. ante de la R demption uvre de l architecte anglais H H Stanley D dicac e en 1930 elle constitue un des fleu rons du style art d co marqu par la qualit de lappa reillage de la brique Mercredi 15 novembre 15h00 amp 19h30 Eglise orthodoxe grecque Rue du Potay 5 4000 Li ge Guide conf renci re Isabelle Graulich Art amp Fact Place du 20 Ao t 7 4000 Li ge t l 04 366 56 04 Pages nationales Nationale bladzijden PNEDECINE Le m decin de famille et le r seau de prise en charge de l alcoolique Au mois de mars dernier s est tenu Charleroi une journ e d tude visant pr parer la mise en place d un r seau de soins des probl matiques alcooliques Le Dr Christian Geniesse g n raliste Wanferc e Baulet et pr sident de la Soci t de M decine de Charleroi participait aux d bats En marge de cette r union nous lui avons demand comment se situait le m decin g n raliste dans cette probl matique Certes la prise en charge du patient alcoolique est pluridiscipli naire Mais toute action il y a un commencement Et bien souvent ce commencement Cest le m decin g n raliste qui doit y pourvoir Dans la r alit quotidienne la demande n mane pas toujours du patient lui m me Elle vient parfois de l entou rage qui n en peut plus des frasques et d penses de son membre et qui demande de l aide Motivation d abord Parfois aussi comme on v
25. ation Voici quelques uns des projets de viste qu elle a mis sur pied pour les prochaines semaines Place Saint Lambert et Ilot Saint Michel Tapis de pierre en pente douce bord d es caliers la nouvelle place Saint E Lambert comble EP l espace ind cis que lon avait laiss s installer entre l ancien palais des Princes Ev ques et les grands magasins Son troisi me c t depuis peu reb ti combine la n cessaire circula tion des v hicules priv s et des bus les fonctions pro prement urbaines de commerce services et habitat dense group es sous l appellation Ilot Saint Michel La place v ritablement redevenue lieu public trouve peu peu ses marques dans une ville qui red couvre son centre La visite s attache mettre en vidence les enjeux architecturaux et urbanistiques de ce vaste chan tier en voie d ach vement Mercredi 13 septembre 15h00 amp 19h30 Place Saint Lambert terrasse au dessus de la Maison du TEC 4000 Li ge Guide conf renci re H l ne Ancion Art og pha et n o baroque la coll giale Saint Jean La coll giale Saint Jean l Evang liste fut fond e vers 980 par l v que de Li ge Notger qui y fut inhum L glise fut difi e la fin du X me si cle sur le plan d un dod cagone couvert d une coupole et entour d un d ambulatoire A la fin du XII me si cle on leva une importante tour seul t moign
26. au une p riode particuli rement faste se poursuivant encore actuellement Langelez Olivier D apr s le dossier de presse de l exposition Exposition L art copte en Egypte 2000 ans de Christianisme accessible jusqu au 3 septembre 2000 Institut du Monde Arabe Rue des Foss s Saint Bernard 1 F 75236 Paris Cedex 05 Tel 0033 1 40 51 38 38 Fax 0033 1 43 54 76 45 http www imarabe org Tarifs d exposition 45 FF 35 FF IMA Pass exposition mus e 60 FF 50 FF PUBLICATION Le nez en abr g Les services universitaires belges FORL publient avec le soutien d UCB un petit livre pratique sur la sph re naso sinusienne Le nez est un organe quelque peu n glig Bien souvent on ne en pr occupe que lorsqu il est le si ge de symp t mes d sa gr ables pour le patient En dehors de cela les com mentaires qu il sus cite sont confin s au domaine esth tique Et pourtant faut il le rappeler il est impliqu dans des fonctions aussi diverses que complexes A c t de son r le vident dans l odorat il ne faut pas perdre de vue qu il per oit des informations sensorielles qui entrent dans ce sens tr s labor que nous appelons le go t Il joue aussi un r le de v ritable appareil condi tionner l air Ses relations anato miques et fonctionnelles avec les voies respiratoires inf rieures sont aussi videntes qu troites Enfi
27. contribua encore lessor des manufactures de Rouen dont la qualit tait d j recon nue Rouen utilisait une terre fa en ce un peu paisse favorable la cr ation d objets solides et francs alors que ses concur rents recherchaient la l g ret Elle a imagin une infinie vari t de formes qui a satisfait la client le tant aristocratique que bourgeoise et contribu rem plir leurs demeures d ornements admir s Actuellement on connait bien entendu l important engouement des amateurs fran ais pour cette production mais celui des collection neurs trangers est tout aussi r el l gal de la passion qui existe par exemple pour les pi ces faites Delft ou Moustiers Dans bien des cas les d cors tout en gardant leur quilibre se caract risent par une richesse une l gan ce une puissance in gal es Quelques oeuvres sont ex ceptionnelles tels les globes c lestes ou les bustes des saisons qu on trouve au Mus e du Louvre Plus pro saiques les objets utilis s table sont les plus connus soupi res plats plateaux saupoudreuses assiettes On est galement s duit par d autres objets utilitaires ou d coratifs certains inclassables et parfois d sign s comme pi ces de forme garde robes et bourdaloues encriers et porte montres fontaines pendules et torch res Cette curieuse fa ence coll part photo Paul Louis Coll ge Royal des M dec
28. donner des soins dentaires com plets aux enfants d favoris s Selon le souhait de son cr ateur la beaut et le caract re engageant de l difice situ dans le cadre s duisant du parc L opold devait inciter les parents s informer sur les conditions de soins L int rieur combine les installations techniques les plus avanc es une attention particuli re aux condi tions d accueil des enfants La partie centrale de l tage est consacr e une vaste salle de traitement destin e contenir quelque cinquante postes d examen abondam Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise ment clair s par les verri res lat rales et un lanterneau de verre opalin La salle d attente d cor e d une frise repr sentant les fables de La Fontaine et agr ment e d une grande voli re aux oiseaux multicolores compor te un mobilier sp cial allant jusqu la taille des patients de quatre ans M Polak Institut dentaire G Eastman 1934 1935 vue de la salle d attente et sa voli re Photo Coll Archives d Architecture Moderne La naissance du modernisme Le milieu des ann es 1930 marque l introduction d finitive de l architecture moderniste dans le domaine hospitalier En 1934 Maxime Brunfaut entame aux portes de Bruxelles la r alisation du vaste sanatorium de Tombeek Overijse pour le compte de la Pr voyance Sociale 1934 1937 Le jeune architecte de 25 ans y exploite avec brio toutes les r
29. e parmi la population A l int rieur du Grand Temple dans le sein des saints HAPOU SENEB Premier Grand Pontife d AMON et Grand Initi de SEKHMET est en proie aux m mes appr hensions Car depuis deux mill naires c est la premi re fois que le Roi n est pas un Taureau Puissant dont la f condit garantit la p rennit de l Egypte enti re Toutes les R gles ancestrales ont t scrupuleusement observ es MENKH le Ministre de l Int rieur d ment mandat par Pharaon est parti depuis trois semaines pour SOUANIT Il porte au clerg de KHOUM le dieu t te de b lier les cadeaux rituels pour bien le disposer dans son r le d clusier ouvreur de la Caverne la premi re Cataracte permettant l eau du Nil d entrer en Egypte Et Pharaon a t particuli rement g n reux Lui m me HAPOU SENEB a interrog SEKHMET la d esse lionne qui sait interpr ter la pens e des Dieux H las il lui faut attendre Arriv la crique sacr e OUPNEFERE ne peut r fr ner DA E E i Docteur Marguerite Cambron SEKHMET photo de l auteur prise dans le Petit Temple de PTAH dans l enceinte du Grand Temple CAMON IPET ISOUT KARNAK un cri de joie Merveille parmi les merveilles Gloire AMON le niveau a mont Fr n tiquement il agite son dra peau battant l air pour tre vu des gardes en service sur la haute tour du porche entr e du Grand Temple HAPY crient en ch ur les
30. e chemise avec ou sans manches courtes Les femmes sont rev tues d une simple chemise bretelles qui descend jusqu aux chevilles Les caprices de la mode se jouent uniquement dans le d cor des bretelles tant t droites tant t crois es ou brod es Les couleurs sont le blanc le rouge et l ocre jaune Tous sont rigoureusement propres et parfum s Les hommes portent des pectoraux qui sont le reflet de leur niveau social et les femmes arborent un ou deux rangs de perles cylindriques selon leur aisance mat rielle A IPET RESIT Louxor le Temple du Harem d AMON tout est pr t pour accueillir Auguste Visiteur et sa suite ANTEF entour de quelques pr tres purs et PANEHESY le Sup rieur du culte de MIN devisent en guettant l arriv e de la barque pro cessionnelle d AMON L ampleur croissante de la liesse popu laire leur para t de bonne augure L arriv e en t te du cort ge d HATCHEPSOUT portant le NEFERHAT divin les d concerte CONTE Dee D stabilis ANTEF ne peut cacher sa r pro bation ce qui lui co tera ses chances de succ der un jour HAPOU SENEB De son c t PANEHESY avait pr par un discours d accueil en tant que repr sentant du Dieu MIN un Dieu m le AMON et le voil face une femme Il enrage de n avoir pas t pr venu et cherchant du regard le responsable il se heurte SEN MOUT qui son habitude joue les indiff rents Souriante charmeuse le sentant dans l embarras HA
31. eligions symbole de la croix similaire au symbole de vie gyptien Marie m re nourrici re son implantation fut particu li rement favoris e Le terme de copte ou cophte est mentionn pour la premi re fois dans des r cits de voyageurs occi dentaux durant le bas Moyen Age pour qualifier les Chr tiens d Egypte de souche autochtone Le d veloppement Tr s rapidement l Eglise copte a pris une grande importance D s la fin du second si cle une oasis 00 ans de Christianisme D s sa naissance la religion chr tienne se r pandit autant qu elle tait r prim e et ses adeptes devaient se cacher du pouvoir romain voire m me fuir C est ainsi que tr s t t des provinces romaines visiblement lointaines de Rome Surtout au vu des moyens de transport de l poque furent christianis es Ce fut le cas de l Egypte Fayoum ainsi que la Haute Egypte furent vang lis es Dans un m me temps une cole de cat ch se fut cr e en 180 Alexandrie Cette cole sera celle o enseigneront ensuite des ma tres comme Pant ne Cl ment Orig ne et Saint Denys Cette suractivit attira d ailleurs les foudres du pouvoir romain en place qui lan a une s rie de pers cutions sans pour autant parve nir en endiguer la progression A cette m me p riode apparut le ph nom ne de l r mitisme De nombreux adeptes du Christianisme fuirent dans le d sert face la r p
32. ent tr s loin dans l es pace et nous sommes l coute permanente d ventuels signaux extra terrestres Ce d sir de connaissance qui fait partie de la nature humaine fut certainement lun des mo teurs de notre volution Et s il existe un g ne de la curiosit qui nous pousse au voyage il nous vient peut tre de l Homo Erectus Dans ce cas impossible d y chapper aussi je vous souhaite ch res lectrices et chers lecteurs de merveilleuses vacances Docteur Marguerite Cambron A N O T E R Nos PRR Dans notre dition pr c dente nous avons entam vocation des jubilaires Journ es d automne 2000 f t s en Pan 2000 Dans notre prochain num ro nous poursuivrons en voquant les confr res qui viennent de f ter leurs 50 ans de dipl me Exposition d artistes m decins et conjoints de m decins Cher e Coll gue Visite du Mus e Instrumental Nous avons le plaisir de vous annoncer que le Col Novembre 2000 voir article page 15 18 l ge des M decins organise nouveau cette an n e d loccasion de ses Journ es d Automne une exposition d uvres d artistes m decins peintres et sculpteurs galement ouverte leur conjoint Nous serions tr s heureux de vous retrouver ou de vous d couvrir aussi nombreux que les autres ann es Cesjourn es se d rouleront aumois de novembre mais nous attendons auJpluswitevla confirmation de votre intention de participer en nous renyoyant l formula
33. ents et Sites l occasion des journ es du Patrimoine de 1999 dans l ouvrage Architecture et Art Public mm m J B Dewin Clinique du docteur Antoine Depage Ixelles 1903 Vue de la fa a de place Brugmann peine termin e Photo Coll Archives d Architecture Moderne Fonds Dewin A c t de Horta l architecture m dicale de la pre mi re moiti du XXe si cle Bruxelles est domin e par la forte personnalit de Jean Baptiste Dewin 1873 1948 Charg de son premier tablissement hospitalier lors d un stage chez Georges Hob Dewin rencon tre l minent chirurgien Antoine Depage 1862 1925 qui lui confie en 1903 la construction de is k sa propre clinique pri 1 v e place Brugmann Ixelles actuelle Croix Rouge C est le d but d une carri re de sp cia liste de l architecture hospitali re alors en plein essor En 1907 Dewin participe l ou vrage La construction des H pitaux tude cri tique r dig par les suite COLMED n 981 Avril mai Docteurs Antoine Depage Paul Vandervelde et Victor Cheval dans le cadre de la pol mique sur la r alisation de l h pital Brugmann Il y pr sente les divers aspects de la nouvelle clinique notamment la fen tre cintr e pour les salles d op ration du dernier tage qu il reprendra dans diverses r alisations ult rieures L essor des cliniques sp cialis es Jusqu la seconde guer
34. es r alisations mar quantes du premier modernisme il faut encore citer l extension de la clinique Longchamps ex cut e en 1936 par Louis Herman De Koninck sous la forme d une aile arri re cubique en voile de b ton arm Eric Hennaut et Marie Demanei Orientation bibliographique A UYTTERHOEVEN Notice sur l h pital Saint Jean tude sur la meilleure mani re de construire et d organiser un h pital de malades Bruxelles 1 852 E et F P UTZEYS Description de l H pital Militaire de Bruxelles Li ge 1889 DEPAGE P VANDERVELDE V CHEVAL La construction des h pitaux tude cri tique Misch amp Thron Bruxelles 1 907 V HORTA Administration des hospices amp secours de la Ville de Bruxelles H pital Brugmann Jette Saint Pierre Description du plan g n ral et des services Bruxelles 1909 H pital Brugmann Compte rendu de la c r monie d inauguration le 18 juin 1923 Pr c d d une notice historique Administration des hospices et secours Bruxelles 1924 B tir Bruxelles n 18 15 mai 1934 n 35 octobre 1935 num ros consacr s l architecture m dicale D COEKELBERGHS et P LOZE direction Le Grand Hospice et le quartier du B guinage Bruxelles Bruxelles 983 Mus e des Archives d Architecture Moderne Collections AAM Bruxelles vol 1 1986 vol 2 1999 A BRAUMAN M DEMANET Le parc L opold 1850 1950 AAM Bruxelles 985 CONTE Dee La grande f
35. essources du vocabulaire de l avant garde pour r pondre aux exigences sp ci fiques du sanatorium construction sur pilotis qui trans forme le rez de chauss e en promenoirs et en espace de cures communiquant avec les jardins vastes baies vitr es horizontales et verticales ch ssis m talliques qui inondent l int rieur de lumi re grandes terrasses couvertes tubes de verre Pyrex et dalles marines pour les rampes d escalier les garde corps les t tes de lits etc La m me ann e Sta Jasinski et Gaston Brunfaut sont charg s de la construction des instituts de traitement des Fernand et Maxime Brunfaut Sanatorium Joseph Lemaire Tombeek 1934 1935 Dessin perspective Coll Archives d Architecture Moderne Fonds M Brunfaut Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise ARCHITECTURE ta Jasinski et Gaston Brunfaut Instituts Jules Bordet Paul H ger Bruxelles 1934 1939 Photographie Coll Archives d Architecture Moderne H ger jouxtant l h pital Saint Pierre 1934 1939 L exigu t du terrain impose un difice en hauteur form de deux ailes perpendiculaires hospitalisation et traitements aux fa ades enti rement recouvertes de carreaux de gr s maill s L image de la salle d op ration blanche lisse aseptique immacul e s tend d sormais l ensemble du b timent d o sont limin s les mat riaux organiques et tous l ments d coratifs irrationnels Parmi l
36. gardes HAPY r pondent en cho les officiers et le cri se transforme en une clameur qui se r pand partout Habill e du pagne pliss le torse nu largement recouvert par un collier magnifique coiff e du n mes royal Pharaon en revient paisiblement contente de ses performances au cours de son entra nement militaire matinal A peine rentr e dans ses appartements du Palais Royal HATCHEPSOUT s en remet aux soins attentifs de SATNEM sa servante pr f r e Elle na pas le temps d tre pomponn e et parfum e que HAPOU SENEB hors d haleine triboule ses pieds tout Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise d bordant de joie Cet ancien ami de son p re qui est aussi son parrain parvient grand peine dire HAPY Majest Et MENKH Est il rentr demande aussit t HATCHEPSOUT Une horrible br lure poigne HAPOU SENEB lui qui esp rait tant tre remerci par un gracieux sourire de Sa Majest pour l annonce tant attendue Son visage refl te ce point son d sappointement que HATCHEPSOUT clate de son c l bre rire et devant la consternation du Grand Pontife elle lui met la main l paule Idiot dit elle affectueusement si MENKH n est pas encore l c est que la crue va plus vite que lui et que KHNOUM a largement ouvert les vannes HAPOU SENEB est confondu il a beau tre un Sage un Grand Pr tre exp riment un politique habile le voil mouch co
37. idence est d pendant mode d va luation Par contre la diminution de la qualit de vie avec l aggravation de la d pression est constante m me apr s ajustement pour l ge Un spectre continu Les diff rents sous types princi paux de d pression d pression majeure dysthymie d pression br ve r currente d pression mineu re ne restent pas stables au cours de l volution d une d pression chronique A travers une tude qui a Pages nationales Nationale bladzijden dur 15 ans Angst et al ont montr que 51 des patients atteints de d pression majeure et 44 de ceux qui souffraient de la forme br ve f curr nc finissaient par r pondre aux crit res dia gnostiques d un deuxi me sous type Plus encore dans les cas rest s stables il y avait souvent association avec une seconde forme Et chez les patients affect s par une forme unique de d pression Cest en cas de dysthymie que la gravit tait la plus importante m me si globale ment la situation des personnes tou ch es par des formes associ es tait plus grave que celles qui montraient une variante pure Cette notion pourrait rev tit lavenir une grande importance car elle sugg re que la d pression est un spectre continu plut t qu un ensemble de formes morbides simplement juxtapos es Gare l infarctus Il est bien connu que la d pres sion peut constituer un pr dic
38. ient de le dire la demande est le fait de lal coolique lui m me Mais elle n est pas toujours explicitement formul e Il peut s agir de plaintes somatiques souvent digestives moins que ce ne soit la demande de prise en char ge d un tat anxieux ou d une d pression Dans un cas comme dans l autre le m decin g n raliste sait que rien n est possible si son patient n est pas vraiment motiv Il va donc s effor cer en premier lieu de le responsa biliser face aux plaintes qu il expri me Il ne s agit pas de le culpabiliser mais plut t de tenter de l amener comprendre quelle catastrophe il g n re pour lui m me et pour ses proches Pour cela on peut lui expliquer qu il existe une relation entre la prise d alcool et les maux qu il ressent Dans d autres cas c est encore par le biais de la m decine du travail que le patient alcoolique aboutit au cabi net de son m decin de famille A loc casion d un contr le un avertisse ment lui a t donn ou bien ce sont ses coll gues qui se sont plaints des risques qu il leur faisait courir au point de vue s curit quand ce n est pas la baisse marqu e de rendement Pages nationales Nationale bladzijden professionnel qui a d clench l affai re Quoi qu il en soit le m decin du travail a renvoy la personne son m decin g n raliste Ce mode de d but constitue parfois un bon point d appui pour commencer la prise en
39. ins de l agglom ration Bruxelloise fait partie des pi ces dites de grand feu au d cor poly chrome ou des cinq couleurs p riode col r e favoris e par l arriv e de d cors floraux et de repr sentation d oiseaux De plus une certaine fantaisie apparait ici dans le d cor dit chinois et l humour clate dans le m dicastre ricanant et brandissant cet norme clyst re Le bourdalou ou bourdaloue est un pc de chambre ovale et de petite dimension 1 semblant une sauci re et qu on disait avc invent pour les dames oblig es d tre but motif tout personnel de la caricature du s des interminables sermons du j suite Louis Bourdaloue 1632 1704 pr dicateur ordinaire de Louis XIV Ora teur d exception il eut un succ s clatant en pronon ant des pr ches tout en rigueur et d une tr s grande logique L impression si vive qu il produi sait sur ses auditeurs avait pour cause outre son grand talent la curieuse habitu de de pr cher les yeux ferm s Au fond de ces petits vases de nuit un oeil narquois tait quelquefois peint en tour ou non de l gendes grivoises Quant au bourdaloue illustr ici il est tout fait unique par cette repr sentation cari caturale d un physicien dardant avec au dace son instrument m dical Peut tre l artiste en a t il trouv l inspiration dans une des innombrables gravures de Jacques Callot graveur lorrain particuli
40. ins de l agglom ration bruxelloise Le premier grand migrateur semble bien tre l Homo Erectus grand athl tique au cr ne long et bas aux fortes m choires Il y a un mil lion et demi d ann es environ il a commenc quitter son Afrique natale pour se r pandre en Asie puis en Europe sans doute la recherche de nouveaux territoires de chasse et de cueillet te selon l id e g n ralement admise Pourtant cet tre fruste l outillage rudimentaire peu arm pour se d fendre des grands pr dateurs devait vaincre bien des frayeurs et des p rils en partant vers des horizons qui lui taient totale ment inconnus IT est tout de m me surprenant que l Australie qui fut toujours un continent isol se soit ainsi peupl e il y a 50 000 ans Que l Homo Erectus en pr curseur de Christophe Colomb se soit aventur en mer Sur des barques tr s rudimen taires allant d le en le l aveugle travers vents et mar es nous prouve non seulement qu il inventa la navigation mais que sa curiosi t l emporta sur ses craintes Au cours d une tr s longue p riode il se trans forma peu peu pour devenir l Homo Sapiens semblable nous par sa biologie mais qui continua voluer par sa technique et sa cultu ne IT y a 25 000 ans nous trouvons des traces d oc cupation bumaine en Sib rie r gion pourtant bien peu hospitali re Il y a 15 000 ans enfin que le peuplement des Etats Unis
41. ire ci dessous No s attendons le plaisir d Pouvoir ddmirer vos uvres AVIS IMPORTANT le Coll ge des M decins a obtenu l garde m dicale la Soci t Philarmonique delBruxelles et du th atre Le public M decins int ress s mani Z 4 97 00 e OE A n z decins int ress s manifestez vous au 374 97 00 Visite du Mus e instrumental qui s ouvrira en juin 2000 la Place Pour toutes les activit s du Coll ge R servations uniquement par inscription t l phonique au Roy ale com a ent e par Monsieur Jean Cl aude Lalanne Cassou 2149700 par communication de vore numero de caiie Minent musicologue et auteur de nombreux articles dans notre re VISA et de sa date d expiration vue Visite pr vue pour novembre 2000 int ress Inscrivez vous aupr s du secr tariat du Coll ge au 02 3 74 97 00 Tableau de Mme DAMSEAUX Formulaire de participation Le la soussign e a l intention de participer l exposition des Journ es d automne du Coll ge des M decins dates non encore pr cis es NO PR Adresse oeseseseseseseseseesesesesesesesesounesesesoeoeseseseeseneseueeseseneeoeneseseeseesouteseeseuoeseseseeseueneseuueseseuosueseneunenenene A E EENE EE E EEE N ETT P e AAA Pour les conjoints exposants nom du conjoint m decin Signature renvoyer au Coll ge des M decins 138 avenue Circulaire I 180 Bruxelles l attention de Madame Wagschal 6 En g i l Coll ge Roya
42. issage de la premi re pi ce de la s rie Le travail fut termin en 1525 Les documents de l poque d signaient la s rie comme Les tapisseries de la Fortune fortune signifiant chance d apr s le motif de la Roue de la Fortune dominant la premi re pi ce L une des tapisse ries le num ro 5 repr sentant une all gorie de l Honneur Honor d o le nom de la s rie Los honores fut envoy e en Espagne en tant qu chantillon Charles Quint acheta la s rie lors de son s jour S ville entre mars et mai 1526 l occasion de son mariage avec Isabelle de Portugal Le miroir du prince Chacune des neuf tapisseries d peint la repr sentation all gorique d un ou de plusieurs principes moraux appartenant la morale la que gouvernant l ducation d un jeune souverain Los Honores 10 Patrimonio National Madrid Laurette Blondel Par ordre de lecture le sujet des neuf tapisseries peut tre r sum comme suit Le premier groupe de trois pi ces repr sente cons cutive ment la Fortune capricieuse et sa roue tournant sans arr t les vertus rassembl es sous la houlette de Prudentia la Sagesse la Fortune capricieuse musel e par deux vertus principales la constance ou la Force morale Fortutido et la Temp rance Temperentia Le deuxi me groupe de trois tapisseries commence par les sept vertus principales r unies au temple dirig es par
43. it Communal 068 2171659 50 Union professionelle reconnue sous le n 709 Moniteur Belge du 31 12 1903 acte n 5675 R gie publicitaire MEDIAL Mr Alain Mathieu Rue du Prieur 32 1360 Mal ves Sainte Marie Tel 010 88 94 48 Fax 010 88 03 18 Mutuelle du Coll ge des m decins T l 02 344 41 10 Bureaux Av Circulaire 138 1180 Bruxelles Ouvert lundi au jeudi de 9 12h00 lundi au jeudi de 13 17h30 vendredi permanence t l phonique T l 02 374 97 00 Fax 02 375 85 82 E mail colmed skynet be Abonnement Membres gratuit Non membres 2000 FEB an SD JFORIAL Le mot de la R dactrice en chef Quand vient le temps des vacances Nous as sistons une migration de voyageurs plus nombreux chaque an n e qui nous laisse bantois el g n re par fois un certain malaise trains internationaux bond s surcharge dans les avions surbooking dans les b tels inter minables files de voi tures et de cars sur les autoroutes Ob issant au consensus g n ral j ai pris l avion pour un petit trajet en classe bien nomm e conomique tout y tant en effet mesur l extr me l espace la largeur du si ge la qualit du repas et m me le sourire de l h tesse D la issant le hors d uvre un peu fan je m arrache les ongles sur le cou vercle obstacle inamovible du plat de gou lasch et p tes collantes Apr s avoir d gust la petite masse chocolat e et lastique du de
44. l des M decins de l agglom ration bruxelloise MEDEGINE Les troubles art riels p riph riques pr lude linfarctus et 1 AVC Les moyens pr ventifs dont on dispose aujourd hui justifient une attitude plus active dans la d tection des patients atteints de vasculopathie p riph rique Dans la cadre du 19 Congress of the International Union of Angiology qui s est tenu Gand au d but du mois de mai Sanofi Synthelabo et Bristol Myers Squibb organisaient conjointement un symposium satellite consacr aux troubles art riels p riph riques et aux risques qu ils peuvent entra ner La fr quence de ces troubles est largement sous estim e a soulign le Pr Hiatt Denver USA et ils repr sentent une pathologie sous diagnostiqu e Le programme PARTNERS destin valuer l impact des facteurs de risque et fournir une information ad quate aux m decins traitants et aux patients a permis de d montrer la possibilit d une d tection effica ce de ces troubles en pratique quotidienne Or on sait aujourd hui que le recours un traitement anti plaquettaire peut limiter les risques isch miques li s aux troubles art riels p riph riques ce qui devrait justifier une modification des strat gies de d tection des patients porteurs Des facteurs connus Parmi les personnes les plus concern es figurent bien entendu les fumeurs et les diab tiques L ge avanc le sexe masculin un taux lev
45. lise copte avec Byzance se d veloppa une litt rature copte domin e par l hagiogra phie Princ ipalement d inspiration religieuse ces textes permet tent une des cription tr s pr cise de la vie quotidien ne et de la toponymie de l poque L invasion arabe mettra CULTURE fin cette croissance Les musulmans laiss rent une grande libert de culte mais au fil du temps la pression va s intensifier pour liminer l usage de la langue copte Ainsi sous les Omeyyades 660 750 seul un dit de 707 vint prohiber l usage du copte dans les documents publics Sous les Abbassides des tensions surgirent pro voquant des insurrections assouplissement des r gles sous la dynastie tou lounide am liora le statut des Coptes qui firent leur retour dans les fonctions de l Etat pour conna tre une p riode faste sous les Fatimides Mais la disparition de la dynastie des Fatimides co ncidant avec les croisades les Coptes furent vinc s de toute fonction tatique et furent vic times de repr sailles A partir de ce moment la position copte allait s alt rer de plus en plus C est ainsi que face la d perdition de la langue copte une cole de sauvegarde fut fond e au XII me si cle pour la pr servation des structures crites de la langue Ce ne fut qu en 1805 que les Coptes regagn rent leur place dans la soci t avec le soutien du pape Cyrille IV pour conna tre nouve
46. lle de la F te de l OPET est finie et le bon peuple ne pourra r ellement s amuser qu apr s le d part de tous les Grands Personnages Prenant cong de tous distribuant des sourires enj leurs et quelques mots affectueux HATCHEPSOUT monte dans le char qui lat tend Entour e de l escorte des Braves du Roi elle file vive allure vers le Palais Fille divine d AMON Pharaon elle n en reste pas moins femme et le cadeau de MENKH la comble autant que les savantes man uvres politiques de SENMOUT Elle est heureuse d avoir su garder ses anciens compagnons de jeux qui se compl tent si bien Dans toute la ville le peuple rassur donne libre cours sa joie Sc ne de la vie courante prise par l auteur dans le tombe de MENNA rive gauche Vall e des Nobles AMON Pharaon et HAPY ont veill sur eux Certes beaucoup de travail les attend mais l ann e qui d bute s annonce bonne Un peu partout sur des tr teaux de fortune ou m me le sol des lutteurs exerc s ex cutent des combats savants ailleurs ce sont des escrimeurs qui se battent avec des b tons Entre ces groupes des jongleurs et des joueuses de balles donnent la f te un caract re moins martial Plus nombreux sont les espaces o la danse se m le l rotisme aux sons m lodieux des harpes et des fl tes Souvent des acc l rations du rythme sont command es par les tambou rins auxquels se joignent les battements de mains du public de plus e
47. mme un simple novice par Sa Reine En un clair il la revoit gamine espi gle se pr parant la c r monie du SETEP SA qui fit del le la Fille d AMON Tout la fois mu admiratif et penaud il sourit doucement Ils sont interrompus par l arriv e beaucoup plus proto colaire de PENNEKHEB le Grand Argentier suivi par le G n ral NEHESI le Chef des Braves du Roi la formation d lite qui est charg e de veiller sur les Pharaons La plupart de ses proches collaborateurs tant pr s d elle HATCHEPSOUT appelle un des officiers de sa suite et lui mande de lui ramener imm diatement le Premier de ses Ministres SENMOUT Celui ci jamais bien loin de Pharaon entre aussit t et f licite Celle qui embrasse AMON La premi re des Nobles Puissante en Force de Vie Verdoyante d ann e Divine d Apparition V rit et Justice est l me du Soleil Roi du Double Pays de Droit Divin Le couplet r jouit son auditoire qui se transforme en Conseil Royal car il y a urgence de pr parer et r ussir la pre mi re Grande F te de l OPET du R gne PANEHESY pr tre Sem rev tu de la peau de panth re entre alors que la s an ce royale est commenc e Il a un r le important tenir en tant que Serviteur du Dieu MIN le taureau de sa m re lau teur de la fertilit celui qui f conde la terre Au Grand Temple tout se met en place Depuis des lustres chacun sait exactement ce qu on attend de lui Toujou
48. n le nez intervient dans plusieurs m ca nismes de d fense Des troubles vari s Chacune de ces fonctions peut tre mise en cause dans l une ou l autre pathologie Par cons quent les troubles du nez des fosses nasales et de leurs annexes par exemple les sinus sont extr mement vari s eux aussi Plus encore linci dence des affections li es au nez et aux cavit s sinusales notamment les allergies conna t depuis quelques ann es une augmentation sensible en Belgique comme dans de nom breux autres pays Les sp cialistes belges ont large ment contribu l largissement des connaissances sur les r actions immunitaires et inflammatoires sur venant au niveau de la r gion nasa le Ils taient donc bien plac s pour diter l intention du corps m dical de notre pays un ouvrage consacr au nez R dig par les services d oto rhino laryngologie des universit s belges ce livre a pour objectif de pr senter aux m decins g n ralistes aux ORL aux p diatres et aux pneu mologues une approche syst mati s e de l appareil naso sinusien Sympt mes d abord Pour atteindre cet objectif les auteurs ont choisi de parler du nez partir des sympt mes qui y sont li s plut t que d en aborder les unes apr s les autres les diff rentes pathologies C est ainsi qu apr s un rappel anatomique et physiologique les dif f rents chapitres sont consacr s l obstruction
49. n du feu n est pas priori un art d intellectuels Si selon elle cet art n voque aucu ne consid ration philosophique et ne rel ve d aucun principe essentiel de l humanit il est indissolublement li ce qui a toujours constitu l un des enrichissements cul turels les plus efficaces de l homme le voyage La c ramique r alisant des pi ces relativement petites et toutes transportables a toujours fait l objet d changes depuis les amphores antiques servant au transport du vin de l huile ou du grain jusqu aux porcelaines de Chi ne si nombreuses en Europe Les c ramistes ont toujours pu conna tre avec plus ou moins de retard ce qui se faisait au loin Comme tous les cr ateurs les fa enciers de Rouen ont t in fluenc s par des courants artistiques tr s loign s et ils ont inspir d autres c ramistes L objet de cet article tra duit bien cette double remarque car il se situe dans la p riode si riche d changes et de cr ativit qui voit l apog e de la fa ence fran aise vers 1730 1740 Lors de la fin du r gne de Louis XIV l industrie c ramique fran aise se vit favoris e par la n ces sit pour les cours et les familles nobles de sou tenir le d sastreux train de l tat forc es qu elles sont de vendre souvent de mauvaise gr ce vaisselle d or et d argent Toutes ces vaisselles fondues sont alors remplac es par la fa ence ou la porcelaine ce qui
50. n plus enfi vr Aux tals de nourriture font face ceux charg s de vins et de bi res v ritables tables d of frandes pour le peuple Rapidement AMON s efface il c de la place HATHOR la d esse de l amour de la danse et de l alcool KADESH la d esse de la vie sexuelle import e d Orient et BASTET la chatte mais aussi au viril MIN La f te se poursuivra pendant plusieurs jours et chaque matin les pr tres m decins soignent des indigestions et des migraines Dans neuf mois les scribes pourront recenser un accroissement subit des naissances En fin d apr s midi quand AMON MIN se repose OUNI l oasien et sa fille arrivent en vue du Nil en crue Emerveill e par toute cette eau qu elle voit pour la premi re fois car quillant ses yeux la petite ISIS lance le mot qu elle a tant de fois murmur pendant les longues journ es de marche dans le d sert HAPY Rapport par THOTHEMHAT scribe de SESHAT Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise CULTURE L art copte en Egypte Traditionnellement on fait remonter l introduction du Christianisme en Egypte vers l an 40 du premier si cle par l vang liste Saint Marc qui aurait pr ch Alexandrie avant son martyre en 68 C est sur un canevas de religions et divinit s gyptiennes grecques et romaines que s tablit cette nouvelle religion Par la similitude de diff rents l ments et aspects de son culte avec ces r
51. ns nos g nes Elle est aussi autour de nous dans le hurlement des loups aboyant apr s la lune dans le hululent sourd et feutr de la hulotte Ah Le cor de Vigny ou le d but de la Symphonie fantastique dans la fl te plaintive du bouvreuil ou les im provisations du rouge gorge l aube naissante de ses brumes L homme de la Pr histoire peignait la fresque et puisque qu il dessinait de fa on si belle cfr Lascaux et qu il devait aussi se faire musicien comment a t il invent des instruments dont certains modifi s et perfectionn s par suite page 18 LA TROUSSE D ESCULAPE Un Bourdaloue en faience de Rouen Les grandes traditions religieuses retiennent l origine sacr e de la c ramique dans quasi toutes les religions le premier homme fut fa on n dans la glaise par un Dieu qui aurait cr un monde pour lui et ses descendants Et reconnaissant cet homme adore Dieu son image La l gende retient que seul parmi les tres vivants l homme fut un jour capable de mouiller la terre d al lumer un four et d y faire cuire les moulages en forme de pot qu il fait s cher au vent Dans la r alit historique la c ramique traditionnelle semble tre appa rue au VIil me Vill me mill nai re durant le n olithique Comme le soulignait r cem Fa Hall conservateur du mus e national ment Antoinette de S vres l art de la terre ayant subi l actio
52. nt central pr sente une structure compacte de six niveaux en peigne couronn s par un solarium Soucieux de conserver une chelle famili re Dewin dessine une entr e particuli rement soign e mais de dimensions modestes d pourvue de tout effet monumental Pour les longs b ti ments bordant la rue Haute il adopte l ton nante formule de rez de chauss e com merciaux des tin s aug menter le ca ract re d h pi tal d attirance C est dans cet essor de cli niques priv es sp cialis es que s inscrit l un des b ti ments les plus int ressants r alis s Bruxelles la Ta bar EE Pre eau Aribine vs Clinique ue du docteur Van Neck Saint veille de la Gilles 1910 fa ade rue Wafelaerts Photographie Coll Archives premi re guer re mondiale la clinique orthop dique du Dr Maurice Van Neck construite par Antoine Pompe rue H Wafelaerts Saint Gilles 1910 Fervent adepte de la gymnastique Pompe trouve dans la nouveaut du programme et la confian ce du commanditaire l occasion de r aliser une premi re uvre personnelle totalement originale La fa ade d Architecture Moderne aux formes et aux couleurs insolites l poque briques gris clair ferronneries bleues et ch ssis blancs s efforce d incarner l id e d une hygi ne moderne Le porche en retrait clairage nocturne la grande salle de gymnastique du premier tage ferm e par des brique
53. nt un dialogue o chaque mot chaque pen s e cache bien des calculs Ils sont concurrents pour la suc cession dans le futur de HAPOU SENEB et chacun esp re prendre l autre en d faut Mais pour l heure ils sont condam n s unir leurs efforts pour la r ussite de la F te car pour le peuple AMON est infaillible et doit le rester Le Commandant d escadre AMENHOTEP est lui aussi pr occup les bateaux du cort ge vont devoir affronter une navigation difficile la remont e sur 7000 coud es du fleuve en crue constante et contre le vent soufflant du Sud La bon ne ordonnance du d fil d pend de lhabilit des rameurs et des pr pos s aux gouvernails D cid habitu commander et tre ob i AMENHOTEP rassemble les quipages et sans m nagement promet le fouet et l exil tout malheureux qui faillirait la t che HATCHEPSOUT dont le shenou cartouche a t usurp par THOUTMES 3 Mus e de Louxor photo de l auteur CONTE Dee COMMANDANT d ESCADRE AMENHOTEP ici en scribe Mus e de Louxor photo de l auteur Cela lui para t stimulant et en tout cas le soulage d au tant plus qu il vient d tre inform par un envoy secret qu il ne pourra laisser partir la procession que sur ordre de SENMOUT et non de HAPOU SENEB comme le veut la tra dition A l oppos de cette agitation le bon peuple se ras semble chacun s appr te porter de belles offrandes au Temple du Harem
54. re mondiale Dewin met au point de tr s nombreux programmes tant pour des cli niques priv es de dimensions limit es comme les insti tuts ophtalmologiques du Dr Fr re rue des V t rinaires Anderlecht 1912 et du Dr Coppez avenue de Tervueren Etterbeek 1912 et la clinique dentaire du Dr Rosenthal chauss e d Etterbeek Bruxelles 1913 que pour des tablissements plus importants tels l co le belge d infirmi res et ses diverses extensions rues E Cavell et M Depage Uccle 1913 1937 la clinique du Longchamp Uccle 1914 le home pour enfants tuber culeux Bredene 1925 la maternit d Ixelles 1930 l agrandissement de l h pital d Ixelles A une parfaite ma trise de nouvelles exigences du monde m dical en mati re d hygi ne d clairage d a ration de distribution des espaces Dewin allie l laboration d un cadre accueillant et confortable La conception d corative appara t comme un v ritable syst me psychologique qui met le patient dans les conditions les plus favorables La qualit des mat riaux et de la mise en uvre l orne mentation sobre et raffin e agr ment e de motifs ani maliers qui retiennent l attention le soin dans le traite ment de la lumi re r chauff e par de petits vitraux conf rent aux b timents un luxe discret et rassurant J B Dewin Vue int rieure d une salle d op ration avec la fen tre cintr e clinique Edith Cavell 1925 Photo Duquenne
55. ression ensuite volontairement dans le but de retrouver la solitude et l unit int rieure Ces ermites peu vent tre qualifi s de premiers moines Ce mouvement de mona chisme apport essentiel de l Egypte au Christianisme sera galement source de diversit au sein de ce dernier allant de l anachor te radi cal aux c nobites organis s par quelques r gles de vie simple ob issance puret du c ur et du corps pauvret individuelle dans une relative prosp rit collective alternance du travail et de la pri re Le p re du monachisme Consid r comme le p re du monachisme Saint Antoine n en 251 dans le village de Qimn al Arous l ancienne H racl e a d abord v cu comme un ermite avant de se retirer dans une grotte du W di Arabah De o nombreux disciples estim s une soixantaine se rassembl rent aupr s de lui pour former ce que lon peut consid rer comme l un des premiers monast res chr tiens de histoire Mais m me si cette mani re de se ras sembler en une collectivit religieuse lui est due c est Saint Pac me qui en instaura les r gles par ailleurs reprises pour la plupart par Saint Beno t pour ses B n dictins au VI me si cle Essor du Christianisme Le quatri me si cle sera celui d une expansion rapide pour la reli Pages nationales Nationale bladzijden gion chr tienne Ainsi c est en 313 que l empereur Constantin d cr
56. rmi les bruits v g taux qu anime la brise et les derniers roucoulements de la colombe rieuse un Homo sapiens apr s une rude jour n e de chasse attendant sa compagne fit du feu Apr s avoir entass ses brindilles et plac sa b che en bois de br sil qu on nomme ainsi parce qu il est rouge comme la braise ainsi que l affirme Marco Polo il ramassa sur les bords de la rivi re deux petites pierres de celles qu on ap pelle silex pour allumer son feu en cherchant bien on peut en trouver dans nos for ts d Ardenne Quand on les frappe l une contre l autre cela fait une tincelle Et peut tre que notre primitif c est dire qu il est venu avant nous en premier qui avait l me musica le da musique est en nous fut troubl par le tintement cristallin des cailloux s harmonisant aux douceurs roucou lantes de la tourterelle des bois Il accorda le rythme de ses percussions au chant de l oiseau et il trouva que c tait beau Peut tre m me fut il mu L Anc tre venait d inven ter presque l instrument qu utilise Berlioz dans le scherzo de son Rom o et Juliette les cymbales antiques On peut aussi imaginer qu un autre primitif de ceux que les savants grosses lunettes nomment cueilleurs parce qu ils vivaient plus du ramassage des baies et des fruits que de la chasse et de la p che est la poursuite d un essaim d abeilles appel es autrefois du joli nom d avettes r fugi dans un vieux tronc
57. rosses perles maintenues par des fils en argent avec des cha nons d or sertissant des turquoises des saphirs et des me raudes Ses yeux allong s et fard s montrent une intense expression de joie ses oreilles sont orn es de deux boucles en or rehauss es d meraudes Autre innovation la place de la double couronne traditionnelle HATCHEPSPOUT est coiff e d un diad me divin le NEFERHAT toffe pr cieuse en forme de bourse qui retient ses cheveux surmont e de deux plumes d autruche l instar d AMON Si la clef de vie en or dans la main gauche rappelle la fertilit la pr sence dans l autre du HEQAT le sceptre en ivoire en forme de crosse informe cha cun qu il se trouve devant Pharaon Grand ordonnateur de la c r monie HAPOU SENEB invite tout le monde embarquer selon son rang En t te la barque processionnelle d AMON o prennent place les quatre principaux Proph tes puis la barque royale o SEN MOUT PENNEKHEB et le g n ral NEHESI se placent der ri re HATCHEPSOUT La troisi me barque est r serv e la Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Divine Adoratrice d AMON NEFEROURE CELLIER entour e de ses meilleures chanteuses et ls de quelques musiciens Puis c est la barque du Clerg et des Grands Pr tres d autres cultes invit s pour la c r monie Enfin le cort ge comprend encore les barques des Grands Dignitaires de l Administration et de l Arm e Les Braves
58. rs agit NEBOUAY 4e Proph te d AMON part inspecter toutes les barques la sacr e et les procession nelles de navigation Elles doivent tre en parfait tat depuis des mois elles ont t repeintes les br ches col mat es les rames sont neuves et les voiles v rifi es HORUS femelle surnom affectueux donn par les arti Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise CONTE Dee sans leur Reine sera contente Mais NEBOUAY reste prudent car il sait que le plus petit accroc sera s v re ment critiqu et sanctionn De son c t TJANEFER le 3e Proph te musicien ses heures se rend aupr s de NEFE ROURE la fille pr f r e de HATCHEP SOUT qui bien que souffrante veut rem plir les devoirs qui incombent la Divine Adoratrice d AMON Ensemble ils passent en revue les chants et s assu rent qu aucun hym ne ne manque et qu aucune louange AMON et aux Dieux invit s ne soit oubli e Enfin l nergique DOUA ENENFH le second Proph te d AMON se rend par l all e des sphinx les SHESEP ANKH directement IPET RESIT le Temple fr re celui qui abrite le harem d AMON Pour la circonstance ce temple va sortir de la l thargie o il est plong le reste de l ann e DOUA ENE NEH rencontre ANTEF qui a galement rang de second Proph te dans la hi rarchie religieuse d AMON Sous le cou vert de sourires et de mutuelles f licitations les deux hommes engage
59. s de verre qui servent d isolant thermique acoustique et lumineux le balcon en fer forg amovible pour permettre le passage d objets encombrants les gaines de ventilation en saillie qui structurent la fa ade apparaissent comme autant de solutions rationnelles et inventives annonciatrices d une architecture nouvelle qui d passe la fois l clectisme et l Art Nouveau Apr s la premi re guerre mondiale Pompe con oit dans un esprit plus expressionniste l agrandissement de l Institut chirurgical de Bruxelles 12 rue Boduognat 1925 La fa ade tr s sobre qui joue essentiellement sur un traite ment raffin des mati res soubassement de pierre bleue taill en facettes granito vert b ton bouchard brique belv d re violac e forme au dessus du trottoir des encorbellements successifs couronn s par les grandes baies des salles d op ration E z Sd CARRE TA ER QE TRES Dk _ ELA n r EF TEE E EE E C E Bep LS Michel Polak Institut dentaire George Eastman Vue de la grande salle du premier tage Photo Coll Archives d Architecture Moderne L institut dentaire Eastman construit en 1934 1935 par Michel Polak pr sente dans des formes plus acad miques un esprit proche de celui des b timents de Dewin Financ e par le philanthrope am ricain Georges Eastman qui fonde des tablissements similaires Rochester Londres Rome Stockholm et Paris la cli nique est destin e
60. ssert je touille avec r signation un peu de lait dans mon Nescaf dilu au go t bizarre car la peti te cuill re en plastique est tomb e dans la gou lasch A ce moment je me suis demand e d o vient chez l homme ce go t incoercible du voyage au m pris parfois de son confort ou m me de sa s curit Sans aucun doute d un d sir de faire une coupure dans sa vie quotidienne de se d payser de d couvrir d autres horizons d autres modes de vie et de culture Ce d sir d aventure me semble li deux facteurs d abord une in satisfaction plus ou moins consciente de notre genre d existence ensuite une persistance de la curiosit qui de tout temps a habit l homme le poussant r aliser des exploits parfois surpre nants nos yeux Je r ve quelques instants nos lointaines ori gines la fa on dont l homme a envahi peu peu notre plan te Le peuplement de la Terre semble bien S tre accompli partir de l Afrique par vagues de migrations successives qui se sont r pandues travers l Ancien Mon de en se m langeant aux populations plus ar cha ques d j en place Les anthropologues ne sont pas tous d accord sur ce sujet Certains d fendent lid e d une origine polycentrique mais la g n tique mol culaire par la d cou verte de l Eve africaine a renforc cette by poth se d un point de d part unique Out of Africa Coll ge Royal des M dec
61. ta la libert de culte son successeur Th odose imposant par la suite le christianisme comme religion d Etat Gr ce ces faveurs des monast res purent tre fond s Ces der niers donn rent lieu l ap parition d un art nouveau bien que fort influenc par limagerie paienne Toutes ces circonstances ainsi que la presque compl te christia nisation de la population gyptienne au V me si cle concourent une identit propre aux Coptes face aux si ges de l piscopat de Constantinople et de l empire de Rome Mais d s le V me si cle les perspectives s assombrirent quelque peu avec l apparition et la mont e en puissance de l Islam C est en 639 qu eut lieu la conqu te musulmane men e par le g n ral Amr ibn al As Celui ci meut presque pas combattre les Coptes se sentant plus proches des Musulmans que des Byzantins qui les crasaient sous les imp ts Une nouvelle criture La langue copte est n e de la n cessit de traduire pour tous les nouveaux adeptes du christianisme les Saintes Ecritures L criture pharaonique s culaire s tant extr mement complexifi e et le grec s tant impos depuis la conqu te d Alexandre le Grand 332 avant J C les premiers essais de transcrip Pages nationales Nationale bladzijden L art copte S exprimant dans un premier temps dans larchitecture des glises et autres monast res ainsi que leurs peintures ornemen
62. te de lOPET Dans l gypte pharaonique au Nouvel Empire le mois de THOTH cl ture l ann e agricole Le Nouvel An d bute avec l arriv e de la crue du Nil devant le Grand Temple CAMON KAR NAK appel alors IPET ISOUT Cela se passe la mi juillet Rompant avec la r alit bisto rique le docteur Guy Roland P que vous propose ici un Conte d t o tous les personnages ont exist mais leur bistoire bien que dans un contexte r el rel ve de la fiction Depuis deux jours que ANTEFANKH le pr tre astrono me a annonc la fin du mois de THOTH le dernier de l an n e agricole tous les habitants de la Capitale du plus humble au plus puissant sont dans l attente Le nouvel an l OUP RENEPET d butera aussit t que le cri joyeux HAPY aura retenti Trotte menu OUPNEFERE pr tre lecteur du Grand Temple d AMON malgr l heure matinale est d j en nage tant il se h te C est qu il est en charge d une mission de confiance importante Il doit se rendre au bord du fleuve et lire dans la crique sacr e le niveau du Nil Il Pa d j fait hier et encore avant hier sans pouvoir annoncer la plus petite remont e des eaux Serait ce pour ce matin OUPNEFERE a conscience que cette ann e ci la premi re du R gne Officiel de Pharaon Vie Sant Force qui purifie NIOUT et satisfait AMON gt l attente de la crue du Nil est angoissante et qu el le suscite bien des commentaires tant dans les clerg s qu
63. teur de la morbidit et de la mortalit des patients atteints de maladie corona rienne Mais il existe de plus en plus de preuves que la d pression peut aussi constituer un ant c dent de troubles coronaires Il se pourrait m me selon une tude r alis e par Ferketich et al que la situation ne soit pas exactement la m me pour les deux sexes Les auteurs ont en effet analys les donn es de 5007 femmes et 2886 hommes enr l s dans la fameuse tude NAHNES I National Health And Nutrition Examination Survey Ces personnes taient indemnes de maladie coro naire au moment de l interview qu elles ont subi entre 1982 et 1984 Au m me moment elles ont r pon du un questionnaire sur la d pres sion Dans ce groupe les femmes ont encouru au cours du follow up 187 accidents coronaires non fatals et 137 accidents fatals Chez les hommes ces chiffres taient respec tivement de 187 et 129 Le risque relatif de maladie coronaire chez les femmes en d pression tait de 1 73 apr s ajustement par rapport celles qui n taient pas d prim es Parmi les hommes le risque relatif tait de 1 73 Le groupe des hommes se caract risait galement par une augmentation du risque de mortalit coronarienne chez les d pressifs par rapport aux non d pressifs Par contre chez les femmes la d pres sion n aurait pas d effets sur la mor talit Dr J Andris R ferences 1 McCall W V Cohen W Reboussin
64. tir d ici malgr les m decins Qui condamnent madame la chaise perc e Et me font tous les jours nettoyer cent bassins Dr Alain de Mee s d Argenteuil suite de la page 15 l Antiquit et les si cles qui suivirent sont encore jou s de nos jours Avant la parution de l ordinateur et des jeux vid os nos a euls nos parents ou nous m mes avions d autres plaisirs enfantins Je me souviens pour ma part avoir pratiqu la main chaude Les grecs l appelaient collabis mos le soufflet Et les romains aussi selon l vangile Devine qui t a frapp demandent les soldats au Christ lors de la Passion Nos grand m res faisaient des rondes en tapant des mains et leurs poux lors des f tes chantaient en frap pant leurs paumes Le PREMIER instrument d couvert par l Homme ce furent ses mains et sa voix Et ensuite C est plus difficile deviner Il y a des d couvertes qui semblent aller d elles m mes il suffisait l Homme ou la Femme de bien observer On peut penser par exemple qu une pierre roulant sur une pen te herbeuse amena la d couverte de la roue Ou qu un arbre frapp par la foudre donna le feu l Humanit D autres d couvertes furent le r sultat de l intelligence ou du HASARD le roquefort et son berger Il en est de m me pour les instruments de musique Pr s d un torrent la tomb e du jour quand le cr puscule se fait d ombre et de velours pa
65. u dimanche de 10h00 18h00 le mardi de 10h00 22h00 Centre Culturel A Spinoy Malines Minderbroedersgang 5 2800 Malines Tel 015 29 40 00 Fax 015 29 40 29 Email ccspinoy pandora be Pages nationales Nationale bladzijden Voyage en Tunisie 23 au 30 septembre 2000 Le Docteur Albert JORTAY se propose de vous em mener pour une exploration du nord de la Tunisie dans ses aspects les plus prestigieux correspondant aux p riodes punique et romaine LP AL PT PS in FTP TC KAIROUAN Zouia de ZIDI SAHAB Mausol e du barbier Photo M Jortay PROGRAMME J1 BXL TUNIS arriv e le samedi 22h l a roport de Car thage Installation l h tel de SIDI BOU SAID J2 CARTHAGE visite des ruines et du mus e de Cartha ge J3 UTIQUE visite des ruines Retour TUNIS mus e du Bardo mosa ques visite de KERKOUANE punique retour par NABEUL c ra miques J5 SIDI BOU SA D visite du palais Erlanger architectu re andalouse J4 CAP BON excursion dans la p ninsule L apr s midi est libre J6 KAIROUAN visite de la Grande Mosqu e antique aux 125 colonnes romaines et de la zaouia de Sidi Sa hab dite mausol e du barbier Tour dans les ateliers de confection de tapis tr s renomm s J7 DOUGGA visite des ruines romaines Retour par THUBURBO MAJUS capitole thermes d t L apr s midi est libre J8 TUNIS BXL d part le samedi apr s midi 15h4
66. ur peut jouer un r le dans la formation d un thrombus C est sur cette base que repose lutilisation d anti agr gants plaquet taires dans la pr vention des accidents cardio vas culaires aigus Une rm ta analyse des tudes concernant ce probl me a permis de conclure que ce type de pr vention am ne une r duction de 25 du risque d accident isch mique par rapport des sujets contr les C est aussi ce qui ressort de l tude CAPRIE Clopidogrel versus Aspirin in Patients at Risk of Ischaemic Events mais avec un avantage suppl mentaire de 8 7 du clopidogrel sur l aspirine ainsi que la rapport Agnelli Perugia Italie Dr J Andris Ballades comment es en Cit Ardente Conna tre une ville m me celle o l on habite depuis longtemps tient lieu de gageure impos sible Des lors pourquoi ne pas red couvrir nos cit s avec l il privil gi d un guide averti C est ce que nous vous proposons de faire Li ge gr ce une A S B L sp cialis e en la mati re Fond e en 1981 l A S B L Art amp Fact regroupe les histo riens de l art arch ologues musicologues et orientalistes de l Universit de Li ge L association dite une revue et des livres scientifiques Elle propose galement un large public les activit s suivantes visites guid es excursions et voyages culturels stages pour enfants et pour adultes expositions festivals du film sur l art et ouvrages de vul garis

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