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Évaluation du dispositif médico Évaluation du dispositif médico

1. Les interventions aupr s des femmes enceintes Article L 2112 2 du Code de la Sant publique Le service d partemental de PMI doit organiser 1 Des consultations pr nuptiales pr natales et postnatales et des actions de pr vention m dico sociale en faveur des femmes enceintes 4 Des actions m dico sociales pr ventives domicile pour les femmes enceintes notamment des actions d accompagnement si celles ci apparaissent n cessaires lors d un entretien syst matique psychosocial r alis au cours du quatri me mois de grossesse et pour les enfants de moins de six ans requ rant une attention particuli re assur es la demande ou avec l accord des int ress s en liaison avec le m decin traitant et les services hospitaliers concern s 4 bis Des actions m dico sociales pr ventives et de suivi assur es la demande ou avec l accord des int ress es et en liaison avec le m decin traitant ou les services hospitaliers pour les parents en p riode post natale la maternit domicile notamment dans les jours qui suivent le retour domicile ou lors de consultations 8 sages femmes sont charg es d intervenir sur l accompagnement des femmes enceintes travers des interventions en pr natal domicile des consultations pr et post natales la r alisation d entretiens du 4 mois et d actions collectives de pr paration la naissance Malgr un recrutement en 2008 il reste cinq territ
2. Dans le cadre de l accompagnement domicile PUNA a mis en place des s ances destination des personnes g es dans le but de leur apprendre sortir de nouveau hors de leurs domiciles Environ 20 personnes sont aujourd hui accompagn es dans ce cadre sp cifique La plate forme Anjou Domicile a mis en place le Ch que Sortir Plus permettant aux personnes prises en charge de sortir l ext rieur accompagn es par les professionnels de l aide domicile 244 245 IX Le pilotage Pr sentation La r alisation d un sch ma unique est d j un acte fort de changement dans le pilotage des dispositifs Le passage d un mode de r gulation devant composer avec le caract re pars et segment des probl matiques celui d un d cloisonnement pour un accompagnement global participe d une nouvelle gouvernance Celle ci ne met plus seulement l usager au centre du dispositif mais oblige les dispositifs d passer leur fronti re tendre leur cadre d action bouger toutes les lignes La fonction de pilote induit plusieurs conditions et son efficacit se mesure l aune de plusieurs constats Il s agit en premier lieur pour le Conseil g n ral de pouvoir mettre en place des circuits efficaces d information C est le cas notamment pour les informations pr occupantes cadre impos par la loi et qui avait du reste tait largement anticip dans le Maine et Loire D une mani re g n rale la fon
3. alors m me qu il est parfois difficile pour ces derniers d appr hender la m canique des dispositifs Par ailleurs ce circuit complexe de l information ob re la r alisation des missions En effet le service de PMI re oit en g n ral les d clarations de grossesse par la CAF quelques mois apr s le d but de la grossesse et le courrier d information de la possibilit de recourir aux sages femmes pour un entretien du 4 mois arrive chez la femme enceinte lorsque celle ci est g n ralement enceinte de 6 mois ou plus Un entretien r alis au 7 mois de grossesse n aura alors n cessairement pas le m me impact en termes de pr vention 44 Les m decins sages femmes et pu ricultrices au travers des consultations et visites domiciles sont les principaux intervenants sur cette p riode propice toutes les fragilit s susceptibles de compromettre les quilibres m dico psycho sociaux de la m re l enfant et la famille En outre les sorties de maternit tant de plus en plus pr coces 3 voire 2 jours apr s l accouchement le r le d accompagnement des jeunes parents et de suivi des nourrissons jou par la PMI en est devenu d autant plus d cisif Au sein du d partement on constate une augmentation de 60 de r ception des certificats de sant au 8 jour au 9 mois et au 24 mois en raison notamment du travail de sensibilisation r alis par le service en direction des m decins lib raux et hospitaliers
4. travers l accessibilit tous de tout gt l largissement de la notion de handicap et la prise en compte du handicap sur l ensemble de la cha ne de d placement Celle ci qui comprend le cadre b ti la voirie les am nagements des espaces publics les syst mes de transport et leur inter modalit est organis e pour permettre son accessibilit dans sa totalit aux personnes handicap es ou mobilit r duite article 45 La loi fixe ainsi un cadre d action aux collectivit s travers trois obligations la r alisation de diagnostics tablissements recevant du public ERP l laboration de Plans de mise en accessibilit de la Voirie et des am nagements des Espaces publics PAVE et la cr ation de commissions communales et intercommunales En ce qui concerne tout d abord les ERP ceux ci sont contraints une mise en accessibilit avant le 1 janvier 2015 On compte aujourd hui 13 000 ERP sur le d partement et les demandes de mise en accessibilit sont en augmentation les acteurs constatent une appropriation croissante de ce th me par les lus Initiatives d partementales et locales La Chambre de Commerce et d Industrie de Maine et Loire a organis durant le mois de mars 2010 des r unions d information en coop ration avec la Direction des Territoires Une r union par Unit territoriale Angers Segr Cholet Saumur s est ainsi d roul e destination des commer ants Ces
5. On observe en effet une diversit des partenariats possibles quasiment identique dans le secteur des personnes g es L enqu te men e aupr s des EHAPD montrait qu ils avaient recours un certain type de partenaires plut t qu un autre Quels nt lesacteursde votre territoire aveclesquelsvoustravaillez r guli rement L h pital Un IC Lesstructuressp cialis es dansla Lesstructuressanitaires P le emploi La CAF Les coles coll ges lyc es Le OCASou QAS Lesdirectionscentralesdu Conseil g n ral Lesrepr sentationslocalesdu Conseil Lesacteursde la justice Lesstructuressp dialis esdansie handicap Lesbailleurs sociaux Leschantiersd insertion CAPemploi 257 3 Les partenariats autour de la scolarisation des enfants handicap s La loi du 11 f vrier 2005 renforce le droit des l ves handicap s l ducation elle permet l l ve dans la mesure du possible de b n ficier d une scolarisation en milieu ordinaire au plus pr s de son domicile elle associe troitement les parents la d cision d orientation de leur enfant et toutes les tapes de la d finition de son projet personnalis de scolarisation PPS elle garantit la continuit d un parcours scolaire adapt aux comp tences et aux besoins de l l ve gr ce une valuation r guli re depuis la maternelle jusqu son entr e en formation professionnelle ou dans le sup rieur Aujo
6. Par ailleurs le d partement a d velopp dans le cadre du sch ma g rontologique 2008 2010 un Plan d partemental en faveur des personnes atteintes de d sorientation et leur 129 entourage r alis en 2009 Ce plan souligne la n cessit d adapter et de mettre en lumi re des mesures d j existantes au del de la n cessit de d velopper quantitativement le dispositif La prise en charge domicile Plusieurs enjeux sous tendent un accompagnement domicile des personnes souffrant d une maladie neurod g n rative Pr vention si le d partement dispose d un centre m moire de ressource et de recherche il appara t essentiel de d velopper galement un certain nombre d actions permettant de stimuler la personne pr sentant de tels troubles afin d viter une aggravation rapide de la maladie Ainsi des Ateliers m moire ou encore d criture sont d j mis en place au sein du d partement et doivent n cessairement tre d velopp s plus avant Aide aux aidants il s agit ici d un pan de l accompagnement de la maladie Un certain nombre d actions sont d j mises en place au sein du d partement par les CLIC ou les associations comme des groupes de parole sp cifiques organis s sur le territoire ou encore des d bats Initiatives d partementales et locales Cinq CLIC ont sign une convention avec la MSA pour la mise en place de contrats d actions de soutien aux aidants familiaux su
7. dont 100 places Angers et 40 places Saumur ainsi que 70 places Angers et 50 places Cholet 4 Direction d partementale de la coh sion sociale 2010 205 On compte en janvier 2010 326 places en h bergement d urgence pour les demandeurs d asile localis s principalement dans des appartements en cohabitation ce qui repr sente un co t moindre pour le d partement Angers concentre la majeure partie de l offre 80 contre 20 des places localis es Saumur ou Cholet Le nombre de demandeurs d asile domicili s dans le Maine et Loire et ayant d pos un dossier de demande d asile aupr s de l OFPRA est en augmentation tr s importante de 227 dossiers en 2008 on passe 409 dossiers en 2009 soit 80 d volution contre une moyenne r gionale 28 source projet de sch ma d accueil h bergement insertion de l tat Mars 2010 Le Conseil g n ral a de mani re innovante pass un march public en 2009 avec l association l Abri de la Providence afin d accompagner et d h berger des familles trang res en cours de r gularisation ou des primo demandeurs d asile qui ont un enfant jusqu obtention du titre de s jour sup rieur 6 mois 39 familles ont t h berg es avec une dur e moyenne de 5 mois Cet accompagnement se r alise jusqu l obtention d un titre de s jour sup rieur 6 mois l issue duquel les familles b n ficient du dispositif de droit commun 39 familles
8. l augmentation de 25 des d penses sociales du Conseil g n ral de 2004 2008 Ces volutions sont en majeure partie dues au transfert de APA et du RMI qui n ont pas t compens s de mani re suffisante 20 En ce qui concerne les d penses de fonctionnement sur les 396 Millions d Euros de d penses 198 Millions concernent le champ du social BUDGET PRIMITIF 2010 Conseil g n ral de Maine et Loire RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT 42 53M 6 HABITAT 13 53M 289 23 M 44 oO o N 5 L MOYENS DE FONCTIONNEMENT 2 3 144 87 M y 22 ii D PLACEMENTS ET E E INFRASTRUCTUFES v 82 71 M ENVIRONNEMENT ET 12 3 AMENAGEMENT 3 39 01M p 6 E 8 8 8 ENSEGNEMENT CULTURE ET SORT S 51 85 M S 8 SOLIDARTES 8 ES 5 8 Le budget du d partement est scind en sept grandes priorit s deux concernent plus sp cifiquement les politiques sociales La priorit n tout d abord Pour des solidarit s toujours plus actives d velopper un accompagnement tous les ges de la vie d finit le budget pour les politiques mises en uvre au sein de la DGA DSS Un premier axe consacr aux personnes g es et aux personnes handicap es s l ve 131 5 Millions d euros soit 45 de l ensemble des d penses 2 par rapport au budget primitif de 2008 contre 32 4 Millions d euros de recettes De ce fait le reste charge du d partement est rel
9. lhospitalisation compl te Dans ce cadre le CESAME va ouvrir une Maison d accueil sp cialis e de 44 places 40 places en h bergement complet et 4 places en temporaire ayant vocation accueillir 40 des 50 personnes r pertori s comme inad quats Baug et Saumur ne b n ficient pas d actions de sant psychique depuis la disparition de l association Dialogues en juillet 2008 Par ailleurs les territoires de Saumur et Cholet apparaissent moins pourvus en termes de psychiatres lib raux ce qui peut tre de nature poser des difficult s lorsque les services de psychiatrie hospitaliers sont charg s En ce qui concerne la probl matique des 16 25 ans pour lesquels une prise en charge au sein d un tablissement de type FAM ou MAS n appara t pas du tout adapt e il est n cessaire de s interroger sur les solutions alternatives qui pourraient tre mises en uvre Enfin la probl matique des personnes handicap es psychiques vieillissantes doit permettre de se poser la question de la pertinence de la mise en place d unit s g ronto psychiatriques Initiatives d partementales et locales Le CESAME est amen intervenir dans certains tablissements m dico sociaux de type maisons de retraite ou foyers logement dans le cadre de conventions Intervention formalis e depuis 2006 du secteur de psychiatrie adulte du saumurois au projet de Consultation M moire en lien avec le d partement de g riatrie du CH d
10. 213 214 221 222 224 232 233 252 Enfant 14 15 16 17 40 42 44 45 46 47 49 51 52 53 56 57 58 61 62 63 68 70 77 78 81 82 93 94 95 102 103 113 114 115 116 117 119 120 121 122 123 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 154 162 163 164 165 166 167 168 169 285 173 175 176 177 178 179 180 185 186 187 190 191 192 193 194 195 196 197 198 201 202 204 206 220 231 237 245 246 250 251 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 Epci 106 231 236 Errance 50 122 188 216 ESAT 117 125 181 196 197 207 219 220 221 245 Etat 124 186 214 216 269 Evaluation 8 4 6 12 13 14 19 24 40 56 58 59 68 73 76 77 102 122 130 132 144 164 165 187 193 198 206 209 219 226 243 255 261 263 264 265 266 268 269 FAJ 100 101 207 215 216 229 FAM 117 119 122 126 173 181 182 245 Famille 4 13 14 18 21 24 38 43 44 46 47 48 58 61 63 66 68 70 76 77 78 81 82 94 100 102 103 105 107 108 112 113 114 117 119 121 122 129 130 132 134 135 136 137 141 142 149 150 151 152 153 154 162 163 165 166 167 168 169 170 174 175 176 185 186 187 190 191 193 194 195 196 199 200 201 204 230 232 238 240 251 252 261 262 263 266 267 277 Fluidit 4 19 176 177 186 206 247 267 Formation 43 47 58 65 6
11. CONSEIL G N RAL DE MAINE ET LOIRE valuation du dispositif m dico social Sch ma d partemental unique d action sociale et m dico sociale 2011 2015 O Eneis Conseil accompagne les organisations publiques O 39 Rue de Ch teaudun 75009 Paris O 01 42 85 20 53 Propos liminaires Mode d emploi L laboration d un sch ma unique d action sociale et m dico sociale constitue un v ritable d fi Intuitivement il vient bouleverser les pratiques rompre avec les quant soi d cloisonner les actions interroger la technicit cr er des espaces de rencontre modifier les champs d intervention bouger les lignes des dispositifs inciter l innovation garantir une coh rence d ensemble tous les niveaux de l existence et malgr tous les accidents de la vie En un mot il cr e du lien l o les ruptures prot iformes sont nombreuses L valuation de ce premier sch ma unique repr sente une contrainte et une opportunit Une contrainte ne pouvant juger de la mise en uvre d un document directeur qui n existe pas encore elle oblige proposer une photographie de toute l action sociale et m dico sociale du Conseil g n ral et d en mettre en exergue les atouts et les points d am lioration Une opportunit c est un moment unique pour dresser le bilan de la mani re la plus exhaustive qu il soit de l action du D partement dans les domaines qui rel vent de sa comp tence et dans ceux o il intervien
12. Cependant l insertion de l accueil familial dans un syst me coh rent de prise en charge constitue une probl matique cl L offre en accueil relais appara t sous dimensionn e 170 Les volutions statutaires des assistants familiaux du fait de la loi de 2005 n cessitent un d veloppement de famille d accueil relais Avec seulement 42 assistants familiaux sp cialis s dans le relais soit 8 de l effectif total en 2008 l offre d accueil relais demeure insuffisante Le bilan social 2007 2008 des assistants familiaux du Maine et Loire pr cise que les p riodes de vacances scolaires restent tr s tendues Ainsi on peut supposer que les dispositions de la loi de 2005 ne peuvent tre compl tement appliqu es dans le d partement l articulation avec les tablissements doit tre renforc e Les directeurs de MECS sont demandeurs de disposer de familles d accueil proximit et disponibles pour l accueil de jeunes en crise n cessitant une sortie provisoire de la structure collective La possibilit de sp cialiser certains assistants familiaux dans l accueil de ce type de public pourra tre tudi e Comme pour l accueil d urgence en tablissement l accueil familial d urgence est insuffisamment fluide Il apparait en effet que les accueils d urgence et de courte dur e d passent r guli rement le d lai de 4 6 mois pr vu pour ce type d accueil Bilan ASSFAM Ce qui interroge directement l effic
13. L laboration de plans r gionaux a permis de poser la pr vention des conduites risque comme une priorit Le Plan r gional de sant publique 2006 2009 Bien na tre bien grandir bien vivre sa vie d adulte a pr conis le d veloppement des actions de lutte contre les conduites addictives sous quelle que forme que ce soit actions d information et d ducation ou encore d accompagnement Le SROS 2007 2010 comporte galement un volet addictologie permettant de travailler cette question avec l ensemble des partenaires du secteur sanitaire 64 Enfin en 2009 le Sch ma r gional m dico social addictologie 2009 2012 a t adopt Ce sch ma premier en la mati re traduit la volont de faire de cet axe une priorit Il fait cho au Plan national 2007 2011 pour la prise en charge et la pr vention des addictions qui souhaite permettre l apport d une r ponse globale int grant des aspects sanitaires m dico sociaux et sociaux Le conseil g n ral intervient plusieurs titres au b n fice de la mise en place d actions de pr vention Tout d abord il participe financi rement la vie des instances et r seaux d partementaux Ainsi l IREPS Pays de la Loire P le Maine et Loire Instance R gionale d ducation et de Promotion de la Sant qui a remplac le CODES en novembre 2009 propose des activit s de formation d accompagnement de projets ou encore d intervention aupr s des publics
14. Les efforts r alis s depuis le sch ma 2005 2010 dans le sens de la contractualisation des actions ducatives apparaissent encore faibles Le circuit entre AEMO et IED pourrait tre am lior La diversification des mesures administratives Les modalit s de mise en uvre des mesures d IED sont perfectibles Les crit res de recours au DISMO doivent tre formalis s de mani re favoriser la mont e en charge du dispositif Les liens entre les TISF et r f rent ASE doivent tre renforc s 1 Les Interventions ducatives Domicile IED et les Actions ducatives en Milieu Ouvert AEMO Organisation et pilotage du dispositif Le d partement a fait le choix d une gestion interne des IED effectu es par les r f rents ASE pr sents dans les circonscriptions et d un recours des associations pour la mise en uvre des AEMO Les mesures d AEMO sont majoritairement effectu es par le SAEMO service de l association ASEA 49 14 mesures d AEMO taient encore effectu es par la Protection Judiciaire de la Jeunesse PJJ en 2009 mais ont progressivement t prises en 74 charge par le service de l ASE du fait du recentrage de la PJJ sur le volet p nal de la prise en charge des mineurs Les mesures d AEMO ont augment de 21 8 entre 2005 et 2008 alors que sur la m me p riode les IED ont augment seulement de 13 08 urce ns il g n ral de Maine et Loire F vrier 2010 Part des d cisio
15. Nombre de mineurs trangersisol s prisen charge 59 56 44 33 E 2007 23 E 2009 15 r Li AP f PJA Total Le graphique source Conseil g n ral ci dessus comparant les flux aux mois de d cembre 2007 et d cembre 2009 fait appara tre une relative stabilit du nombre de MIE pris en charge par les services d partementaux Au total 59 jeunes taient accompagn s en avril 2009 placement administratif et judiciaires confondues 83 4 Les jeunes majeurs La prise en charge dans le cadre de la protection de l enfance concerne galement les majeurs g s de moins de vingt et un ans L un des impacts majeurs de la r forme de la PJJ concerne le public des jeunes majeurs qui dor navant ne b n ficieront plus des mesures de protection jeune majeur Ce public est d s lors orient de fait vers le dispositif des contrats jeunes majeurs du Conseil G n ral L accompagnement effectu par la PJJ repr sente 55 jeunes majeurs pour un budget de 2 millions d euros Certains tablissements associatifs font le constat que le public jeune majeur suit la tendance g n rale d une complexification des situations individuelles lls ont ainsi besoin d un suivi individuel tant jug s peu autonomes On compte 474 majeurs suivis en 2009 en flux au sein du d partement 84 B Le domicile pour les personnes g es Caract risation de la population accompagn e Le d partement de Maine et Loire se trouve
16. Nombre de s ances E Nombre d actes 1490 a 1492 1543 2006 2007 2008 Entre 2006 et 2008 le nombre de s ances a connu une volution de 4 et 5 en termes d actes On compte entre 6 et 6 5 actes par s ances contre 8 pour la Mayenne et la Sarthe 9 pour la Vend e 10 pour l Indre et Loire et lIlle et Vilaine et 12 pour le Bas Rhin Ainsi le d partement est le territoire qui r alise le moins d actes par s ances Ces chiffres apparaissent en contradiction avec les constats des acteurs rencontr s les consultations sont souvent pleines et apparaissent bien identifi es par la population avec des centres nombreux et maillant l ensemble du territoire Les d sistements peuvent constituer une premi re piste d explications On notera une baisse importante des consultations nourrissons en 2009 notamment en raison de l absence de deux m decins sur les circonscriptions de Saumur et de Segr 207 s ances de consultation en 2008 contre 101 en 2009 sur les deux circonscriptions Par ailleurs avec 0 58 s ances hebdomadaires pour 200 naissances le d partement se situe largement en dessous du ratio l gal et de la moyenne r gionale 0 71 s ances pour 200 naissances source ANDASS 2008 Seul le d partement de la Vend e compte moins de s ances que le Maine et Loire 0 51 pour 200 naissances Une explication peut tre avanc e par le faible nombre de m decins Initiatives d partementales et locales Mise en p
17. atlas d partemental g rontologique d octobre 2009 indique ainsi la n cessit d assurer un travail de communication valorisation aupr s de ces familles travers des actions interg n rationnelles d aides au r pit ou saisonni res Par ailleurs les deux CAF du d partement contribuent au d veloppement local et l animation de la vie sociale permettant d offrir un soutien aux familles pour maintenir r tablir ou d velopper le lien social La CAF de l Anjou a ainsi financ 2 673 502 euros en 2008 soit 6 des d penses globales d action sociale La CAF choletaise quant elle a contribu hauteur de 1 977 013 la m me ann e soit 18 3 des d penses d action sociale L intervention des deux CAF consiste surtout proposer des aides contributions techniques et financi res aux services quipements et actions qui ont pour mission de mettre en place des projets en faveur des familles et de la population dans un objectif de lutte contre l isolement et de maintien du lien social Ainsi les centres sociaux sont aid s permettant d ouvrir un espace de proximit pour l ensemble des habitants d un territoire et de d velopper le partenariat entre l ensemble des acteurs de la politique sociale acteurs institutionnels services de l tat Conseil g n ral CAF collectivit s locales ou encore associations Les centres sociaux participent l animation et la cr ation du lien social entre tous les habitants d un
18. d h bergement de 2 668 places soit 41 places pour 1 000 habitants de 75 ans et plus S il s agit d un taux d quipement sup rieur au reste de la r gion et de la France m me dans une moindre mesure 1 point de plus le d partement conna t une restructuration importante de son offre avec un passage de 3 013 places 2 668 places entre 2009 et 2010 Taux d quipement en foyers logement urce Conseil g n ral mars 2009 Les territoires les mieux pourvus se situent au niveau du territoire du Baugeois de l agglom ration angevine et de Pouanc Cette offre est inexistante dans un grand nombre de territoires du d partement Nord Ouest et Sud du d partement notamment Une corr lation peut tre observ e entre les territoires en ce qui concerne la dotation en structures m dicalis es et non m dicalis es Ainsi les territoires disposant d un fort taux d quipement en EHPAD sont au contraire peu pourvus en termes de Foyers logement EHPA Cette r partition peut ainsi tendre ce que chaque territoire soit dot d au moins un type de structure Ainsi le canton d Angers Nord qui ne dispose pas de places m dicalis es compte deux foyers logements Il en va de m me pour le canton de Baug et Beaufort en vall e dot s de 2 EHPAD mais disposant de 7 Foyers logements l inverse les cantons de Vihiers et Thouarc ne comptent aucune place en Foyers logements sur leurs territoires alors m me qu ils comptent un
19. de fa on plus fine les non admissions pouvant tre cons cutives des refus des personnes ou encore des d c s il permet de r v ler des carences importantes Les plus grosses difficult s se situent au niveau des FAM et des MAS au 31 d cembre 2009 sur les 735 orientations prononc es 438 personnes ont effectivement pu tre accueillies en tablissement Ainsi 40 de l ensemble des personnes qui ont obtenu une orientation CDA PH en ce sens n ont pas b n fici es d un accompagnement Orientationsen ursen Nb de d asions Nb d admisen favorables tablissement Taux d admission 3 La r partition g ographique des tablissements pour personnes g es Un taux d quipement parmi les plus lev s de France En mars 2009 avec 196 tablissements quivalent un total de 12 749 places le d partement de Maine et Loire est un des d partements les mieux quip s de toute la m tropole II comptabilise 197 places pour 1 000 habitants de 75 ans et plus contre 174 en France m tropolitaine Le d partement compte un nombre tr s lev de structures m dicalis es de type EHPAD Elles repr sentent 74 de l offre globale Si l on ajoute cela les USLD 78 de l offre d partementale est ainsi m dicalis e contre 67 au niveau r gional Par ailleurs le rapport entre le nombre de places en structures m dicalis es entre 2007 et 2009 permet d illustrer le mouvement de m dicalisation des structures a
20. de l ensemble de l offre E Accueil temporaire E Internat W amp mi internat urce DDASSMaine et Loire 31 d cembre 2009 Par ailleurs les IME du D partement sont de plus en plus nombreux d velopper les possibilit s d un internat temps partiel au sein duquel l enfant peut tre interne une deux ou trois nuits par semaine En effet les choix des parents se situent de moins en moins en faveur d un internat temps complet mais plut t d un mode la carte Cependant cette volution peut tre de nature engendrer des difficult s la suppression des internats temps complets en IME et en ITEP peut tre de nature entra ner un basculement vers une prise en charge en MECS Enfin les trois Centres d accueil familial sp cialis s du d partement permettent de diversifier les possibilit s d accompagnement le dernier centre ayant ouvert Saumur pour une capacit de 7 places Un d veloppement de l accueil s quentiel insuffisant au sein des structures pour adultes Si l accueil alternatif a t travaill dans le cadre du sch ma et a abouti la cr ation de places en h bergement temporaire accueils de jour travers les Centres d accueil de jour 197 et accueils de nuit respectivement 48 et 149 places la logique de diversification doit aujourd hui prendre une toute autre ampleur Elle doit consister proposer des solutions innovantes permettant de r pondre aux n cess
21. la nature de la situation mais la capacit ou non du Conseil g n ral enclencher des mesures contractuelles Des situations de danger et non plus seulement de risque de danger gt peuvent donc faire l objet d une IED 76 la condition que les parents demandent et ou acceptent la mise en uvre de la mesure Comme pour les AEMO le public des IED est susceptible de changer g n rant potentiellement un durcissement des situations C est pourquoi l absence d IED renforc es sur le mod le des prestations du DISMO para t probl matique au regard des volutions constat es et anticip es La diversification des mesures contractuelles pourrait galement prendre la forme de mesures plus l g res vis e valuative sur les mod les des mesures judiciaires d investigation IOE ES Ceci pour deux raisons le dispositif interne d valuation des situations para t perfectible et gagnerait s appuyer sur des mesures am liorant la qualit des informations recueillies sur les jeunes et les familles certaines situations familiales appellent un accompagnement sans qu il soit n anmoins n cessaire de recourir au cadre juridique de l IED Ces mesures all g es permettraient galement de r gulariser les interventions la charni re de l valuation et de l accompagnement ducatif Les modalit s de mise en uvre des mesures d IED sont perfectibles Deux points d achoppement peuvent tre soulev s
22. le r glement de fonctionnement la charte des droits et libert s le contrat de s jour ou le document contractuel le projet d tablissement ou de service tabli pour cinq ans le conseil de la vie sociale instance de participation des usagers Le renforcement de la coordination entre les acteurs du pilotage et de l valuation des dispositifs Le sch ma d organisation sociale et m dico sociale tabli pour cinq ans doit permettre la mise en coh rence des interventions et l ajustement des dispositifs aux besoins Le texte pr cise les objectifs du sch ma appr cier la nature le niveau et l volution des besoins du secteur dresser le bilan qualitatif et quantitatif de l offre existante d terminer les perspectives et les objectifs de d veloppement de cette offre pr ciser le cadre de la coop ration et de la coordination entre les tablissements et services sociaux et m dico sociaux d finir les crit res d valuation des actions conduites 13 La loi du 2 janvier 2002 comporte galement des dispositions relatives au pilotage des tablissements et services autorisations valuations contr le L valuation de la qualit est particuli rement mise en exergue travers des obligations d valuation interne tous les cinq ans et externe tous les sept ans Les principaux enjeux de la loi prendre en compte dans le cadre de l laboration du sch ma La mise en uvre de
23. un dossier particulier contr le et suivi des Assistants maternels adoption accueils collectifs ou encore p rinatalit Avec 6 75 ETP de sages femmes soit 8 professionnels le d partement r pond au ratio l gal et compte ainsi 1 ETP de sage femme pour 1 500 naissances en 2009 Cependant ce ratio est inf rieur la moyenne m tropolitaine qui s l ve 1 4 ETP et 5 circonscriptions repr sentant 37 des naissances ne comptent pas de sage femme La circonscription des Mauges en fait partie alors m me qu il s agit de la circonscription qui compte le plus grand nombre de naissances 1 enfant du d partement sur 7 na t sur ce territoire Face ce constat l effectivit de la r alisation des missions l gales de pr vention pose question Le rapport de l IGAS permettait de mettre en exergue d j en 2004 le nombre insuffisant de sages femmes dans le Maine et Loire ainsi en 2003 on comptait dans le d partement 0 6 ETP pour 1 500 naissances soit un des taux les plus bas de l ensemble des d partements de France 1 tude sur la Protection maternelle et Infantile en France Inspection G n rale des Affaires Sociales Novembre 2006 Cf infra 42 Avec 59 6 ETP de pu ricultrices le d partement compte 1 47 ETP pour 250 enfants n s vivants en 2009 contre 1 2 pour la moyenne m tropolitaine Il se situe donc au dessus du ratio l gal ces effectifs s ajoutent 10 3 ETP d infirmi res soit 0 25 pour 250 enf
24. 1 Les accueils d urgence mis en place dans le D partement au titre de la protection de l enfance 187 2 L absence d accueil d urgence sp cifique pour le public g et handicap 189 3 L accueil d urgence des personnes en grande difficult sociale 190 C La r alisation de accompagnement sssssssssssessnnusnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn ennn nenna 192 1 Les structures pour enfants pris en charge au titre de l ASE 192 2 L accueil au sein des tablissements pour personnes en situation de handicap 196 D L accompagnement du public en grande difficult 203 1 Les jeunes la lisi re des dispositifs 203 2 Le public en difficult d insertion 205 VII L insertion professionnelle A L insertion professionnelle des b n ficiaires du RSA 209 1 L ing nierie du parcours d insertion 210 2 Le placement et le maintien dans l emploi 213 3 L insertion par l activit conomique 214 4 La formation 216 B L insertion professionnelle des jeunes 217 C L insertion professionnelle des personnes en situation de handicap 219 1 L insertion dans le milieu prot g 221 2 L insertion dans le milieu ordinaire 223 VIII Le lien social A a MODIINR nl dr tatin sr tarete able rss Sc tetes tt ner estate set 230 B L insertion SOCIAlG sssaaa aE eaa andai iadaa tiens 232 1 L accompagnement vers l autonomie des jeunes et des adultes 232 2 Insertion professionnelle et accompagneme
25. 13 0 20 4 pour 1000 jeunes La r partition des accueils une part des accueils en tablissement sup rieure la moyenne r gionale avec n anmoins une mont e en charge sur les derni res ann es des placements en accueil familial Le Maine et Loire est atypique au regard des autres d partements de la r gion c est en effet le territoire o la part des placements en accueil familial est la plus faible 41 59 contre 58 3 au niveau r gional Ce r sultat est mettre en rapport avec le taux d quipement en tablissement sup rieur aux moyennes r gionale et nationale On constate n anmoins une augmentation des placements en famille d accueil dont toutefois la p rennit est incertaine si l offre en famille d accueil demeure constante m Part des placements en familles d accueil m Part des placements en tablissements Part des autres accueils Source Conseil g n ral de Maine et Loire 2010 0 20 40 60 80 100 176 Au niveau infra d partemental on rel ve des carts significatifs selon l origine g ographique des jeunes plus de 57 des jeunes originaires de Cholet Est sont plac s en famille d accueil tandis que 68 des jeunes d Angers Ouest sont accueillis en tablissement xa Moyenne d partementale 9 11 Angers uronne Nord Angers Ouest b AngersCouronne Sid AngersEst L Saumur J E Part des placements en familles d accueil en 2003 Eu m Part des placements en tablissements en 2
26. 177 185 186 187 188 189 202 203 230 245 261 264 265 USLD 182 VAD 44 45 46 104 149 VAE 90 289
27. 190 191 195 201 202 M dico social 1 3 4 5 6 13 25 40 45 56 58 65 68 73 91 96 102 103 111 112 113 118 119 130 132 168 180 192 193 196 201 226 236 244 248 250 262 264 267 268 Mesures d accompagnement social li au logement 107 Mineurs isol s trangers 82 Mobilit 97 98 140 199 202 210 216 227 228 229 230 234 MSA 18 44 99 108 123 140 141 142 150 153 208 209 212 222 228 232 240 Mutualit 147 151 185 198 240 Orientation 5 12 16 18 19 49 73 78 90 95 96 98 103 104 111 114 119 121 122 124 133 136 141 169 176 180 182 185 186 188 189 190 194 196 199 202 208 209 214 219 220 221 226 232 245 249 254 255 257 258 265 Paped 67 70 251 Parcours 6 12 15 18 19 44 62 82 114 122 153 167 177 190 191 206 208 209 210 212 215 223 244 246 247 251 255 259 260 287 Parent 14 15 16 17 18 40 41 42 44 45 46 47 50 51 57 58 62 63 76 77 94 103 122 123 132 133 134 136 137 140 141 142 145 146 147 148 149 150 151 152 167 191 192 195 232 245 255 259 262 266 Parentalit 43 49 58 103 132 148 149 150 151 209 231 233 Pasa 129 PDALPD 98 108 PDI 64 66 107 118 206 210 232 PDITH 113 118 223 224 P rinatalit 42 43 44 48 49 Personne g e 4 21 24 32 33 67 68 69 73 85 86 87 89 90 91 92 97 98 102 104 109 126 128 130 132 1
28. 40 places sur le service ext rieur et 50 places en accueil de jour Un dialogue engag entre le DESPA et le conseil g n ral a permis de tenir compte de la composition des groupes de vie des maisons dans l tude d une nouvelle demande d admission afin de permettre l tablissement et aux ducateurs de pouvoir travailler avec des groupes mixtes Ainsi en 2008 sur 98 demandes d admission 48 jeunes ont finalement int gr le DESPA avec une tranche d ge majoritaire de 13 16 ans Le DESPA a mis en place des lieux d accueil relais occasionnels permettant des s jours de rupture d une dur e moyenne d une dizaine de jours Le projet d tablissement du DESPA se fonde sur la mixit mixit du profil des publics accueillis de leur ge de leurs probl matiques Le DESPA s est engag dans une politique volontariste d accueil de jeunes au probl matiques complexes sociale psychologique psychiatrique scolaire s curitaire Le d veloppement des relais de prises en charge constitue galement un gage de souplesse qui a t travaill dans le cadre du sch ma La r flexion a t engag e travers une triple approche Le d veloppement de relais dans le but de mettre en place des passerelles entre les diff rents modes d accueil Dans ce cadre des familles d accueil assurent sur le d partement un relais pour les enfants entre deux placements en tablissements entre le d part et l admission Le sou
29. Errance 12 coute psychologie bien tre sant 35 Source Conseil g n ral 2009 Les projets autour de l errance l coute la psychologie le bien tre et la sant repr sentent plus d un tiers des financements accord s aux actions collectives Elles sont port es par 6 structures et sont financ es hauteur de 29 400 en 2009 Toutefois le financement des actions de soutien psychologique tend la baisse dans la mesure o il s agit d une comp tence de l Etat L aide l insertion repr sentant presque un tiers galement des financements accord s aux actions collectives est port e par 3 structures dans le d partement Elles sont financ es hauteur de 26 000 en 2009 Elles portent des actions de remobilisation et d aide la r alisation du projet professionnel Les actions de mobilit sont port es par 8 structures financ es hauteur de 19 100 en 2009 soit 22 du financement total accord aux actions collectives Il s agit principalement de points mobilit permettant la location de scooters et de mobylettes La mission locale du Saumurois propose une action de conduite accompagn e solidaire 218 L aide au logement concerne deux structures financ es hauteur de 10 000 en 2009 Cela repr sente 12 du financement accord l ensemble des actions collectives Les actions propos es visent la recherche d un logement et permettre l autonomie dans le logement
30. L administrateur ad hoc joue galement un r le dans l accompagnement des enfants victimes Ainsi lorsque les parents ne sont pas en mesure de repr senter leur enfant victime en justice un magistrat nomme un administrateur ad hoc Celui ci a pour mission la fois de repr senter l enfant mais galement de l accompagner dans l ensemble de la proc dure information de l enfant explication de la proc dure judiciaire Le Conseil g n ral de Maine et Loire a dict un Guide pour la construction du rapport de fin de mesure qui pose un cadre la construction du rapport que l administrateur ad hoc doit transmettre l autorit qui l a d sign et permet d affirmer la n cessit de prendre en compte les deux aspects de l accompagnement juridique et humain lors de la r alisation de la mission Enfin suite l affaire de p dophilie d Angers de nombreuses institutions du d partement Justice Conseil g n ral ducation Nationale DDASS ont souhait voir la r alisation d une tude afin de comprendre le ph nom ne v cu et d interroger les pratiques Cette tude 70 remise en septembre 2007 a t r alis e par l Institut de criminologie et sciences humaines de Rennes ICSH et a permis de poser un certain nombre de pr conisations relatives notamment aux pratiques professionnelles Les pr conisations sont actuellement travaill es au sein de groupes de travail par l ensemble des acteurs concern s du d p
31. Vihiers Champtoceaux Montrevault Beaupr au et dans les circonscriptions d Angers Couronne et Angers Couronne Sud En revanche on remarque que la part des 20 59 ans est plus faible dans le Sud de la circonscription de Dou la Fontaine ainsi que dans le Nord Est du d partement Nombre de 20 59 ans 403 563 habitants Moyenne d partementale 52 6 Durce IN ERGP 2006 Part des20 59 ans dans la population totale des communes en 2006 en M 55251 D 52255 I de50 52 PM de48 50 E De 40 48 31 La part des 60 ans et plus dans la population totale des communes est particuli rement lev e dans le Nord Est du d partement dans les cantons de Baug et de Noyant notamment La population du canton de Pouanc au Nord Ouest du d partement ainsi que celle du canton de Vihiers au Sud sont galement proportionnellement plus g es que sur le reste du territoire mainolig rien l inverse des cantons du Lion d Angers Ch teauneuf sur Sarthe ou encore de la Couronne Nord d Angers Gurce INSERGP 2006 Nombre de 60 ans et plus 159 129 habitants Moyenne d partementale 20 8 totale des communes en 2006 en W 524 D c25250 P de21 25 E de15a21 De9 15 Part des60 ans et dans la population Le profil d mographique des communes met en exergue les caract ristiques propres aux diff rents territoires du d partement l Est du territoi
32. classique port par P le Emploi r side dans le fait que la m thode ne s appuie pas sur un recrutement Sur les savoirs de base Le Conseil g n ral finance 9 actions en compl ment de l Etat permettant de d velopper l apprentissage des savoirs de base et de lutter contre l illettrisme qui concerne environ 260 b n ficiaires du RSA par an 216 Sur la formation Le Conseil g n ral ouvre la possibilit de financer individuellement des formations Le Conseil g n ral dans une logique de subsidiarit des interventions pourrait tre amen baisser son niveau d intervention sur la formation B L insertion professionnelle des jeunes Le Conseil g n ral intervient de mani re volontariste en faveur de l autonomie sociale et professionnelle des jeunes Qui sortent des dispositifs Aide sociale enfance pour viter les ruptures de parcours La Bourse d acc s l autonomie 50 000 euros par an peut tre attribu e tout jeune suivi par ASE pendant au moins 4 ans 469 euro par mois sans limitation de dur e afin de permettre son insertion sociale et professionnelle Ce dispositif qui vise un public tr s cibl et concerne donc un nombre limit de b n ficiaires conna t une mont e en charge 13 jeunes ont t accompagn s en 2007 par le biais de ce dispositif pour un montant total des aides de 22 371 euros 30 sur l ann e 2009 pour pr s de 50 000 euros e Dans une optique de pr vention
33. concernant la mise en uvre des mesures concernant le suivi de ces derni res En premier lieu le d lai de mise en uvre de mesures appara t long Les acteurs ont galement mentionn des difficult s li es la r alisation par un m me professionnel de suivis judiciaires suivi des placements et de suivis administratifs dont le contenu est tr s sp cifique Ainsi la priorit n est actuellement pas donn e ce type d accompagnement avec l accent port sur le suivi des placements Enfin le turn over des r f rents ASE peut tre de nature impacter la qualit du suivi de l enfant En second lieu les professionnels r f rents ASE et ducateurs de pr vention semblent par manque de temps ne pas pouvoir assurer un suivi troit des enfants les visites sont irr guli res et de mani re g n rale n apparaissent pas r alis es assez fr quemment Par ailleurs les objectifs de la mesure ne sont pas pos s de mani re claire ainsi le rapport d valuation de l assistant social va poser un cadre d accompagnement qui sera formalis par la contractualisation entre les parents et l Inspecteur de groupement du d partement et qui peut parfois d j diff rer du rapport d valuation de d partement que le r f rent ASE s approprie par la suite sans respecter n cessairement le cadre de d part De ce fait la r alisation de l valuation de la mesure IED n en est rendue que plus complexe Une r f
34. e par des associations tarif es annuellement par le Conseil g n ral sur la base des conventions d objectifs et de moyens sign es avec ces associations Cinq associations proposant les services de TISF interviennent sur le d partement du Maine et Loire Elles ont suivi au total 324 familles en 2008 dont 151 suivies par l ADMR Les conventions ont permis de fixer un cadre l activit des associations et de travailler pour chacune des axes pr cis d veloppement des actions collectives r flexion sur la compl mentarit et l articulation entre les professionnels et les b n voles de l association notamment Le m tier de TISF a beaucoup volu ces derni res ann es Le d partement a fait le choix de d velopper les visites en pr sence d un tiers encadr es par des TISF Il s agit d une volution importante des missions des TISF 74 familles ont ainsi b n fici es de ces visites encadr es en 2008 Concernant les aides m nag res 25 des interventions se situent sur Angers Couronne Nord et 25 sur Segr Par ailleurs Les Mauges comprennent 17 des interventions Les interventions des TISF sont r parties de mani re plus homog ne sur le territoire avec 14 19 des interventions concernant Dou La Fontaine Baug Saumur et Segr Angers Couronne Nord repr sente 12 des interventions Les CAF participent cet accompagnement social travers une aide mat rielle et ducative domicile dans le cadre d
35. g s de 17 21 ans Par ailleurs le dispositif DESPA scolarit accueille des enfants issus tant du p nal de la p dopsychiatrie d IME et s est engag dans une politique volontariste d accueil de jeunes aux probl matiques complexes sociale psychologique psychiatrique scolaire s curitaire Enfin on peut citer deux MECS qui se voient confier des jeunes relevant de l ASE et b n ficient parall lement d une orientation CDA PH La MECS de l clairci ouverte en avril 2008 dispose de 6 places pour les 14 21 ans et le foyer Les cureuils de 12 places pour l accueil des 6 14 ans Six MECS comptent par ailleurs une trois places r serv es pour l accueil d enfants mobilit r duite Un accueil de jour mis en uvre par le DESPA permet une prise en charge compl te pendant la journ e de jeunes relevant de l aide sociale l enfance et pr sentant des troubles psychiques tels qu ils rendent impossible leur scolarisation en milieu ordinaire ou adapt La mise en uvre d une quipe ressource aupr s des tablissements est une r ponse int ressante la probl matique des jeunes difficiles voqu e de mani re r currente par les professionnels de l enfance Comme voqu pr c demment cette quipe ressource mobilise ASE du Maine et Loire la DDPJJ et la CESAME Elle travaille notamment sur la conception et la mise en uvre de prises en charge pour les jeunes difficiles posant des difficult s aux tablis
36. gr toute probl matique relative au maintien domicile Deux cat gories d aidants doivent tre ici distingu es le conjoint et les enfants Le fondement de cette distinction repose sur la forme de l aide mettre en uvre pour chacune de ces deux cat gories En effet le conjoint est souvent lui m me fragilis tandis que les rapports familiaux s inversent pour les enfants vis vis de leur parent L aide aux aidants naturels a t inscrite comme une priorit au sch ma g rontologique 2008 2010 du d partement de Maine et Loire Dans ce cadre le Conseil g n ral a d velopp de fa on importante les places en h bergement alternatif condition sine qua non du respect du droit au r pit Par ailleurs un certain nombre d actions collectives sont d velopp es par les CLIC Ainsi en 2008 un certain nombre de d bats ont t organis s sur des th mes vari s et anim s par des professionnels psychologues ou m decins par exemple Solitude et isolement ou encore Accompagner le grand ge de m me que des temps d information et ou d changes Des manifestations de grande ampleur ont galement t organis es ainsi une conf rence relative la pr vention des chutes a permis de r unir 120 personnes en 2008 Enfin au sein du d partement des groupes de parole ont t mis en place mais ils restent la marge et ne sont pas g n ralis s l ensemble du territoire La MSA est galement l i
37. it est li e aux sp cificit s du public sur un territoire donn ainsi qu aux pratiques professionnelles 85 Total d partemental 1889 mesures domidle 23 parmi lesquelles 21 d IED soit 1 point de plus en 40 2009 qu en 2007 183 137 29 E Durce Cons il g n ral de Maine et Loire 2009 Nombre total de mesures domicile en 2009 Part des ID dansles mesures domicile Evolution 2007 2009 de la part des IED dansles mesures domiaile enpoints Les interventions ducatives domicile Le travail portant sur l adh sion des familles la mesure d IED est r alis par le service social qui oriente la famille vers cette mesure apr s une valuation Les mesures d IED sont ensuite r alis es par des agents du Conseil G n ral partir du territoire de 13 circonscriptions d action sociale et ont une dur e de 6 mois renouvelable trois fois En 2009 on compte 392 mesures d IED en 2009 soit une volution de 8 par rapport 2008 363 mesures Le d partement a mis en place un document de cadrage sous forme d un Cahier technique permettant de proposer une approche r glementaire technique et m thodologique dans la mise en uvre de la mesure La diversification des mesures administratives pourrait tre renforc e Suite la loi du 5 mars 2007 la ligne de partage entre la protection administrative et la protection judiciaire n est plus sauf danger av r
38. lation deux indices L indice d quipement qui additionne l ensemble des tablissements et services pr sents sur un territoire en termes d accompagnement des personnes handicap es et des personnes g es permet ainsi de rendre compte de l offre sur un territoire les territoires en rouge indiquant ceux qui disposent du taux d quipement le plus important L indice de pr carit va adjoindre un certain nombre d indicateurs socio conomiques li s au revenu la situation familiale au taux d activit et la pr carit du logement afin de mettre en exergue les territoires cumulant le plus de difficult s Plus les territoires apparaissent en fonc plus la pr carit du territoire est estim e importante Indice de pr carit Pia 7 aa Dai San en A P Indice d quipement Un constat peut tre imm diatement r alis Ainsi l Est du d partement qui cumule un nombre important de difficult s socio conomiques est galement le territoire le moins dot en termes d quipement 1 La r partition des tablissements pour enfants en situation de handicap Un taux d quipement tr s lev en IME et en ITEP Au 31 d cembre 2009 le d partement de Maine et Loire compte 1 474 places en tablissements pour enfants en situation de handicap dont 44 places en CAFS pour un total de 40 tablissements 51 de ces places soit 746 sont consacr s aux enfants d ficients intellectuels et troubles associ s Le d
39. n cessitant un savoir sp cifique dont les m decins g n ralistes ne disposaient pas toujours Ainsi les parents prouvaient de nombreuses difficult s coordonner l ensemble des 137 professionnels intervenant et cette absence de prise en charge sp cifique pouvait tre de nature impacter l tablissement du lien parent enfant De part la mise en place d une coop ration troite entre le Conseil g n ral et le CHU les parents et les m decins g n ralistes trouvent au CHU des praticiens dont l intervention est articul e autour de l unit de M decine des Voyages du centre des vaccinations internationales de l unit de consultations de p diatrie et de l unit de p dopsychiatrie du P le enfant susceptibles de faire un bilan m dical des jeunes arrivants dans les tous premiers jours de leur accueil et d assurer une prise en charge globale de l enfant et de la famille consultations de pr paration au voyage pour les familles adoptantes r alisation du bilan de sant de l enfant conseils et orientation pour le suivi de l enfant Ces praticiens hospitaliers servent galement de r f rents au m decin g n raliste et au p diatre choisis par la famille permettant ainsi de faire le lien avec la m decine de ville Par ailleurs un guide a t labor par le Service Adoption du Conseil g n ral et les quipes m dicales du CHU afin de d livrer des conseils aux familles et d indiquer les interlocuteurs du d p
40. qui sont en lien avec des th matiques concernant la nutrition la vie affective et sexuelle les addictions cette instance dispose de trois antennes Cholet Saumur et Segr Par ailleurs des r seaux de sant soutenus par le Conseil g n ral ont t d velopp s sur le territoire en faveur des publics fragiles Le R seau des Acteurs en addictologie du Maine et Loire RESAAD s est ainsi constitu en 2009 par la fusion de trois r seaux pr existants permettant d affirmer la volont d un travail partenarial troit tout en s appuyant sur 3 comit s de pilotage locaux Il a pour mission de d velopper le partenariat et d am liorer les pratiques de collaboration afin de garantir une meilleure prise en charge de l usager Le R seau Souffrance Psychique et Pr carit Angevin RESPPA appara t galement comme un acteur local important de la pr vention des actions de conduite risque aupr s des publics fragilis s Le Conseil g n ral soutient galement financi rement des associations uvrant dans le champ m dico social et qui m nent des actions de pr vention aupr s de l ensemble de la population d partementale par exemple ALIA association lig rienne d addictologie association d anciens malades M decins du monde ORS Le Conseil g n ral a d velopp trois P les sant Ces p les localis s Angers Cholet et Saumur permettent par ailleurs de r unir en un m me lieu les consultations d
41. r alisent ainsi un accompagnement fond sur la pr vention travers une diversit de mesures L accompagnement ducatif la parentalit AEP destin aux parents afin de les aider et de les soutenir dans leur responsabilit ducative Cette mesure prend la forme d un soutien apport par une quipe ducative ducateur de pr vention ASP et pu ricultrice la famille et aux parents en visant r tablir et am liorer les liens entre parents et enfants Toute d cision de prise en charge donne lieu l laboration d un contrat d intervention pr cisant l objectif les modalit s les noms et qualit des personnes charg es de la mesure la dur e d intervention dur e initiale de 6 mois Des actions collectives sont galement men es au sein des circonscriptions de nature m dico sociale socio ducative psychologique et m dicale Des actions individuelles d accueil coute en circonscription qui consistent en une mise disposition de professionnels aupr s du public sur des fonctions d coute d information et d orientation en lien avec une probl matique d ordre ducatif Elles peuvent prendre la forme de permanences ducatives Enfin des actions de pr vention apportent des aides touchant l accompagnement budg taire on trouve ainsi le versement d allocations mensuelles et des secours d urgence 3 454 503 ont ainsi t vers s aux familles en 2009 soit une baisse de 4 par ra
42. r aliser en ce qui concerne les enfants qui ne trouvent pas leur place dans le cadre d un accompagnement classique L existence de familles d accueil rattach es au foyer d partemental de l enfance permet une alternative au placement en tablissement pour les enfants n cessitant un accueil d urgence En dehors du foyer d partemental de l enfance on compte en 2008 31 assistants familiaux sp cialis s dans l accueil d urgence et de courte dur e soit 8 du total des familles d accueil Enfin la Direction Enfance famille m ne une r flexion avec l Etat pour la cr ation de places d internat d accueil d urgence et de r pit au sein d tablissements afin de pr venir les situations de rupture tant dans la sph re familiale qu aupr s des institutions accueillant les enfants et les jeunes Le foyer d partemental de l enfance n accueille les enfants que jusqu 14 ans Ceci peut notamment conduire la s paration de fratrie alors m me que le placement en urgence constitue d j un traumatisme important Le dispositif d accueil d urgence des plus de 14 ans r parti sur plusieurs MECS pourrait tre r tudi dans le cadre du nouveau sch ma En effet des MECS non habilit es ont d clar participer galement l accueil d urgence De plus les partenaires n apparaissent enti rement satisfaits du dispositif actuel Ceci est probl matique dans la mesure o les placements en urgence notamment suite une rupture de placemen
43. s en insertion b n ficient de prestations de P le Emploi En revanche seuls 17 ont b n fici de formations Les modalit s d intervention des diff rents acteurs P le Emploi Conseil g n ral PLIE AFPA manquent encore de lisibilit et de coordination Les structures enregistrent 60 de sorties dynamiques et plus pr cis ment 36 de sorties vers l emploi soit des r sultats satisfaisants au regard des exigences qui vont s appliquer dans le cadre du nouveau conventionnement 215 La r forme des modalit s de conventionnement va dans le sens d une concertation entre l tat et l IAE sur les objectifs d accompagnement et de sorties assigner aux structures Dans le Maine et Loire la mise en place de la r forme prolonge une tradition de travail en commun des partenaires de l IAE l Etat le Conseil g n ral mais aussi les PLIE Particularit du d partement il existe une Conf rence des financeurs qui d finit les interventions de chacun dans le financement des places en chantiers d insertion P le emploi est en attente du positionnement national sur la question pour d finir son intervention dans l accompagnement des salari s en insertion par l activit conomique Initiatives d partementales et locales Une exp rimentation est actuellement mise en uvre entre une association d insertion par l activit conomique les Jardins de Cocagne une association d insertion par le logement Aide Accuei
44. sentant des troubles psychiques L am lioration de l accompagnement et de l orientation des personnes en situation de fragilit et de pr carit dans le cadre de la naissance tout particuli rement en ce qui concerne la sant mentale constitue une priorit affich e au sein des Projets M dicaux de Territoires tablis en 2006 dans le cadre du SROS III pour les villes d Angers Cholet et Saumur La naissance est en effet un moment essentiel pendant lequel une multiplicit d acteurs interviennent sans qu une coordination soit n cessairement travaill e Il s agit pour le d partement de s inscrire pleinement dans cet objectif de pr vention qui passe notamment par l accompagnement la parentalit Ainsi une convention a t mise en place en d cembre 2003 entre le CHU d Angers et le CESAME permettant de mettre en relation l Unit psychiatrique de l enfant et de l adolescent du CHU le service de Gyn cologie obst trique et deux secteurs de psychiatrie infanto juv nile Est et Ouest autour d une Unit de Psychologie P rinatale Par ailleurs un groupe parentalit se r unit r guli rement au CESAME et souhaite y associer les acteurs de la PMI ou encore de ASE Sur le territoire de Saumur la Convention de liaison hospitali re permet de coordonner l action des services hospitaliers tout en incluant la p dopsychiatrie Il s agit d une mise en r seau de l ensemble des professionnels permettant de rendre lisible le di
45. travail 2 Favoriser l acc s l insertion professionnelle durable travers un principe de droits et devoirs r ciproques Le RSA renforce la logique de contrepartie entre les devoirs et les droits li s la perception de l allocation La loi pose le principe du droit un accompagnement social et professionnel adapt ses besoins et organis par un r f rent unique article L 262 27 du Code de l Action Sociale et des Familles pour les b n ficiaires sans emploi ou percevant des revenus inf rieurs la limite fix e par d cret 500 euros et dont les ressources du foyer sont inf rieures au revenu minimum garanti Ce droit se voit toutefois conditionn par l obligation de rechercher un emploi d entreprendre les d marches n cessaires sa propre activit ou d entreprendre les actions n cessaires une meilleure insertion sociale et professionnelle L 262 28 du Code de l Action Sociale et des Familles 3 Consacrer le r le et la pleine responsabilit du D partement dans le pilotage de la politique d insertion Le Conseil G n ral est d sormais investi par la loi d une mission d orientation des b n ficiaires du RSA qu il met en uvre avec ses partenaires institutionnels une orientation vers deux types de parcours l insertion sociale et l insertion professionnelle A ce titre il a sign une convention d orientation avec la CAF la MSA P le emploi et l UNCASS d lib ration du 26 juin 2009
46. ves soit un taux d occupation de 82 35 tout en sachant que le taux d occupation des tablissements priv s se situe aux alentours de 75 Atouts V Le d veloppement d une politique volontariste impliquant la cr ation d un nombre de classes importantes 261 L Inspection Acad mique de Maine et Loire a su mettre en place une politique volontariste permettant d accompagner les volutions induites par la loi de 2005 Ainsi en termes quantitatif le dispositif de classes sp cialis es a connu une mont e en charge significative Marges de progr s Plusieurs points d insatisfaction doivent aujourd hui constituer des priorit s La garantie d un parcours fluide et sans rupture par la cr ation de classes suppl mentaires dans le second degr Ainsi m me si le besoin en termes de places ne doit pas suivre le nombre de classes en 1 degr avec des enfants amen s rentrer en tablissements avant l entr e dans le second degr un trop grand d calage de places induit n cessairement des enfants ne pouvant continuer leur scolarit au sein des classes collectives Par ailleurs les UPI lyc es professionnels sont encore trop peu nombreux et doivent tre cr es afin de pr server la continuit du parcours scolaire Dans certains IME la scolarit est assur e par les ducateurs non par des enseignants de l tablissement Dans le cadre de la mise en place des unit s d enseignement d cret n2009 3
47. 1 000 enfantsde 0 21 ans en 2009 Plateau de en scolarisation M Pusde 5 ntre ducatif et D De2 3 professionnel D Dei 2 9 69 DB Moinsde 1 O Tauxnul La distribution territoriale des placements des carts significatifs entre circonscriptions La circonscription de Baug et de Saumur disposent d un fort taux d quipement ce sont par ailleurs les deux circonscriptions hors Angers qui comptent le plus grand nombre de mesures en 2009 respectivement 436 et 447 en flux Par ailleurs les circonscriptions des Mauges et de Dou la Fontaine caract ris es par la ruralit de leurs territoires et qui comptent un taux d quipement relativement faible en termes d tablissements disposent d un grand nombre d accueillants familiaux 75 pour les Mauges et 62 pour Dou la Fontaine soit 2 96 et 3 56 places pour 1 000 enfants de moins de 21 ans Cette r partition est de nature expliquer les diff rences entre circonscriptions en ce qui concerne le mode d accueil 61 des orientations dans la circonscription des Mauges se font en familles d accueil contre 31 pour Angers Ouest L organisation des accueils des difficult s r currentes voqu es par les professionnels rencontr s g n rant une insuffisante fluidit des accueils 178 On peu t souligner le paradoxe apparent entre d une part les taux d quipements relativement favorables et la difficult voqu e par les acteurs trouver
48. 215 222 223 224 226 227 229 230 231 232 233 237 240 243 244 246 249 251 254 263 266 268 269 270 Conseil r gional 210 Consultations 44 45 51 52 53 56 61 65 104 119 136 137 Contractualisation 19 74 76 77 80 103 106 208 209 Contrat unique d insertion 19 Convention tripartite 50 62 Coordination 6 13 16 18 42 44 47 48 49 60 62 68 80 81 92 108 113 115 118 145 146 190 206 210 213 222 244 247 248 249 250 251 267 CRAM 97 222 224 CREAI 94 196 Cr ches 126 138 140 141 142 147 CRERA 58 120 122 Creton 180 245 Cucs 66 217 229 233 Cui 19 Dalo 108 109 DDASS 69 92 94 113 129 150 229 236 244 246 DDTEFP 90 113 222 224 D ficience intellectuelle 94 169 178 196 D ficience motrice 94 169 197 D ficience sensorielle 94 198 DEFM 222 D mographique 30 32 269 DESpA 191 192 202 DISMO 74 77 78 79 80 Doeth 221 Domicile 41 45 46 57 58 67 69 73 74 76 78 80 81 85 86 87 88 89 90 91 92 93 96 97 99 101 102 104 107 109 123 126 128 132 134 140 144 149 150 151 152 153 170 173 191 194 195 198 202 212 227 239 241 248 249 255 257 258 259 260 Education nationale 114 192 196 244 251 261 262 264 267 EHPAD 68 69 126 129 148 159 173 182 183 184 185 188 198 199 240 Emploi 3 18 19 88 89 90 91 101 104 108 112 113 117 118 140 141 143 163 207 209 210 211 212
49. 251 261 263 264 265 268 269 Pru 233 Psychiatrie 49 57 111 112 113 115 116 117 118 119 120 121 188 191 202 250 263 Psychiatrie infanto juv nile 49 115 116 Psychique 16 41 47 49 65 66 112 113 114 115 116 117 118 119 120 122 159 166 188 196 202 219 237 250 270 PTI 118 210 231 248 Qualit 3 4 5 13 48 51 60 68 69 73 77 78 81 85 88 89 90 91 93 95 97 103 104 105 117 125 126 132 137 153 156 159 160 163 165 172 193 199 201 210 221 265 266 RAM 137 141 144 145 146 R partition 3 87 89 127 132 148 155 157 162 166 172 173 174 176 178 181 182 184 197 233 248 262 RESAAD 65 66 R seau 48 49 58 59 64 65 68 99 112 113 114 115 120 140 141 145 146 150 152 223 227 229 238 240 244 247 248 249 268 270 R sidences sociales 230 Retour vers l emploi 211 RMI 18 20 113 118 208 209 222 229 288 RSA 17 18 23 105 113 141 188 203 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 222 223 227 229 232 Rupture 3 5 6 49 62 95 113 120 122 146 186 187 191 195 211 212 215 223 244 245 246 248 251 259 265 SAEMO 74 77 78 80 81 SAMSAH 93 96 97 117 118 196 Sanitaire 44 58 61 64 65 66 67 91 113 115 116 120 167 192 196 201 248 249 250 267 Sant 14 16 17 42 44 45 48 49 52 58 64 65 66 67 102 103 104 105 112 113 114 116 118 119 121
50. 9 habitants de 20 59 ans Dans l chantillon analys seuls les d partements de Sarthe et de Bas Rhin affichent des taux sup rieurs celui du Maine et Loire avec respectivement 25 4 et 25 2 habitants de 20 59 ans Pays de la Loire 38 799 allocataires RMI soit 21 2 habitants de 20 59 ans Fran 1 027 874 allocataires RMI soit 30 9 habitants de 20 59 ans 23 0 urce STATS 1 janvier 2008 Taux d allocataires AMI o habitants de 20 59 ans M Pusde 25 D Entre 20 et 25 Entre 15 et 20 E Moinsde 15 29 2 Analyse infra d partementale a Le profil d mographique des communes du Maine et Loire Le d partement du Maine et Loire compte 766 655 habitants au 1 janvier 2006 Angers avec 152 337 habitants concentre 20 de la population totale du d partement suivi de Cholet avec 54 632 habitants et Saumur qui compte 28 654 habitants Durce INSERGP 2006 Nombre d habitants par communes en 2006 E Psae 10000 I Entre 5 000 et 10 000 E Entre 2 000 et 5 000 M Entre 500 et 2 000 Entre 50 et 500 Si l volution de la population est faible Cholet et Angers elle est n gative Saumur ainsi que dans les communes la p riph rie de ces trois grandes agglom rations La population d cro t particuli rement Pouanc et dans les communes avoisinantes ainsi que dans l Est du d partement Longu Jumelles le sud du canton de Vihiers La croissa
51. A retenir Atouts L adaptation progressive de la pr vention sp cialis e aux nouveaux publics La qualit et la structuration du partenariat entre les op rateurs de pr vention sp cialis e d une part et le Conseil g n ral Le pilotage du dispositif peut s appuyer sur des donn es d activit relativement fines Points d am lioration L accroissement du nombre de pr adolescents suivis pourrait faire l objet d une r flexion quant aux modalit s et aux contenus des interventions Les modalit s d intervention de la pr vention sp cialis e dans les tablissements scolaires doivent tre clarifi es L application de la loi 2002 2 aux quipes de pr vention sp cialis e est encore en chantier 1 Les actions de pr vention sp cialis e La loi du 5 mars 2007 relative la pr vention de la d linquance Cette loi place le maire au c ur de la pr vention de la d linquance L objectif est de lui permettre d avoir une vue d ensemble des probl matiques que rencontrent ses administr s et d agir le plus en amont possible Le secret professionnel partag doit permettre de r guler les changes d informations entre professionnels Le maire est investi d une nouvelle mission de coordination de l action sociale dans la commune Les donn es scolaires L objectif est d am liorer le suivi de l obligation d assiduit scolaire Les informations peuvent tre transmises par la Caisse d Allocation Familiale l
52. Ainsi 10 des b n ficiaires de APA domicile sont en GIR 1 et 2 en novembre 2008 contre 15 5 en f vrier 2010 avec surtout une augmentation des personnes en GIR 2 Cependant cette augmentation reste inf rieure la moyenne m tropolitaine qui compte 3 de personnes b n ficiaires de APA domicile en GIR 1 contre 2 dans le d partement et 18 de 86 personnes en GIR 2 contre 13 5 Par ailleurs les GIR 3 4 repr sentent pr s de 85 de l ensemble des b n ficiaires contre 81 en 2008 Concernant l APA en tablissement 60 des b n ficiaires sont en GIR 1 et 2 ce qui place le d partement de Maine et Loire dans une structuration identique la moyenne nationale Cependant il appara t qu un nombre plus important de personnes est fortement d pendante GIR 1 avec 7 points de plus pour le d partement 23 contre 16 en France Plusieurs constats peuvent tre pos s La r partition des b n ficiaires de l APA entre domicile et tablissement appara t inverse aux tendances nationales En effet 60 de l ensemble des personnes concern es vont b n ficier de l APA en tablissement contre 40 au niveau national source CNSA 2008 le d partement de Maine et Loire dispose historiquement d une culture de l tablissement tr s forte pouvant clairer ce constat Cette r partition doit galement tre analys e en termes d impacts financiers Si le Conseil g n ral ne
53. CAMSP Polyvalent ouvert en 1985 au sein du CHU dispose d une file active de 506 enfants sur l ann e 2008 avec 1 736 consultations Le CAMSP a d velopp des consultations destination de handicaps sp cifiques Il propose ainsi des consultations en faveur des enfants pr sentant une d ficience visuelle une d ficience auditive ou des troubles envahissants du d veloppement TED L activit du CAMSP en ce qui concerne ces actions de d pistage est en augmentation depuis 2007 9 pour les d ficiences visuelles et 19 en ce qui concerne le d pistage des TED Par ailleurs 76 des enfants vus en 2008 avaient moins de 3 ans le jour de la consultation et taient originaires du d partement principalement moins de 8 de l ensemble des enfants vus au CAMSP en 2008 venaient d un d partement limitrophe Enfin 53 des demandes manaient du CHU d Angers parmi lesquelles 63 taient originaires de la n onatologie Un travail de partenariat a t r alis trois conventions ont ainsi t mises en place avec l Institut Mont clair valuations sensori motrices le Centre r f rent Charlotte Blouin organisation de synth ses une fois par mois pour planifier l accompagnement et la mise en place d implants cochl aires pour les enfants sourds profonds et l association D pist autisme L association ASEA 49 g re trois CAMSP sur le d partement un Angers cr en 1988 et deux autres Centres cr s en 2007 sur l antenn
54. CLIS 1 Les Unit s P dagogiques d int gration Au total 19 UPI et 2 SESS permettent d accueillir les adolescents L aussi le d partement a connu un forte mont e en charge avec un nombre de classes multipli es par deux depuis l ann e scolaire 2004 2005 et contre 16 UPI en 2008 2009 On comptera 24 UPI en 2010 2011 260 20 15 4 10 g 5 amp UPI enseignement priv 0 E UPI enseignement public urce IENMaine et Loire janvier 2010 9 y g S S S V V V Y 9 Y 9 S N O D T O A aS AY Es La carte permet de symboliser les zones non couvertes par les UPI Ainsi les zones en rouge indiquent les territoires sur lesquels les enfants ne disposent pas d une UPI moins de 15 kilom tres de leur domicile On peut constater qu un grand nombre de zones ne sont pas encore couvertes par le dispositif de second degr C est l un des objectifs de l Inspection Acad mique pour les prochaines ann es venir et cette orientation doit en effet devenir une priorit urce IANMaine et Loire janvier 2010 Par ailleurs 10 orientations ont t prononc es en 2008 2009 en faveur d une orientation en UPI lyc e professionnel 7 l ves ont pu effectivement y trouver une place Les dispositifs de l Enseignement g n ral et Professionnel Adapt SEGPA et EREA On compte 12 SEGPA publiques 5 SEGPA priv es et 1 EREA pour un total de 1 320 places contre 1 408 en 2007 2008 accueillant 1 087 l
55. Conseil de gestion Lesautres directionsdu Conseil g n ral Patrimoine et Logistique La CAF laMSA Lesbailleurssociaux La protection maternelle et infantile La direction dioc saine de l enseignement catholique P le emploi Lesresponsablesde drcons iptions L inspection acad mique La MDPH Lesautresdirectionsdu Conseil g n ral Finan s Les structures sp dialis esdansie handicap tablissementset services Lesdirections ntralesdu Conseil g n ral SAE L h pital Les coles coll ges lyc es Lesacteurs de la justice S1P PUmagistrats Lesdirections ntralesdu Cnseil g n ral AS Lesr f rentsAS Lesresponsablesadjointsde drconscriptions CO 7172 252 D gt mr 2 2 Lesstructures sanitaires Les relations semblent moins r guli res avec les acteurs de l insertion sociale et professionnelle tels que les bailleurs sociaux 25 p le emploi 33 ou encore les chantiers d insertion 8 255 Il s agissait de la mise en place d une convention Que visait elle Mise en uvre de places en accueil pr ventif Subvention attribu e dans le cadre de la mise en place d un service de soutien a parentalit Accueil de jeunes enfants Cr ation du r seau Adoption Dispositif d coute dans les SEGPA Agr ment et r ussite ducative PRE Charte partenariale milieu ouvert Pacte territorial d insertion Convention d objectifs Inserti
56. Inspecteur d acad mie le directeur de l tablissement scolaire Les nouvelles mesures Le conseil pour les droits et devoirs des familles Le maire pr side le conseil pour les droits et devoirs des familles CDDF lorsque le conseil municipal d cide de le cr er Le CDDF est 60 une instance compos e l initiative de la commune des diff rents partenaires de l action sociale sanitaire et ducative Il a pour r le d entendre une famille de l informer de ses droits et devoirs envers l enfant et de lui adresser des recommandations destin es pr venir des comportements susceptibles de mettre l enfant en danger ou de causer des troubles pour autrui d examiner avec la famille les mesures d aide l exercice de la fonction parentale susceptibles de lui tre propos es notamment un accompagnement parental L accompagnement parental Cet accompagnement parental est un suivi individualis au travers d actions de conseil et de soutien la fonction ducative II donne lieu une consultation du Pr sident du Conseil G n ral et une information de l Inspecteur d acad mie du chef d tablissement scolaire de la CAF et du pr fet L aide la gestion du budget familial Le maire peut saisir conjointement avec la CAF le juge des enfants en vue de la mise en place d une mesure judiciaire d aide la gestion du budget familial et proposer au magistrat de d signer le coordonnateur pour exercer l
57. Le principe d accessibilit pour tous est galement r affirm avec une red finition des crit res d accessibilit et des d lais de mise en conformit les transports collectifs et les tablissements existants recevant du public ont ainsi dix ans pour se mettre en conformit avec la loi L ensemble des communes et des services de communication publique doivent b n ficier d une mise en accessibilit 3 La scolarit Par ailleurs la principale innovation de la loi est d affirmer que tout enfant tout adolescent pr sentant un handicap ou un trouble invalidant de la sant est inscrit dans l cole de son quartier Il pourra ensuite tre accueilli dans un autre tablissement en fonction du projet personnalis de scolarisation Cette disposition va tre de nature impacter les demandes et attentes des parents et va entra ner des bouleversements importants 4 L emploi La loi impose une sanction plus s v re pour les entreprises qui ne respectent pas l obligation d emploi 6 en augmentant le montant de la contribution l Agefiph Dans la fonction publique elle cr e le Fonds pour l insertion des personnes handicap es qui a une mission similaire l Agefiph Le travail en milieu prot g est galement r form les ateliers prot g s sont renomm s Entreprises adapt es et sortent du milieu prot g les CAT sont renomm s tablissement ou service d aide par le travail 5 Le droit la compensation Un des p
58. Les activit s sportives sont d velopp es par le biais des associations classiques qui sont implant es sur l ensemble du territoire national Elles ne sont pas exclusivement offertes Angers avec une f d ration Handisport implant e notamment Cholet ou Saumur tout comme le loisir adapt La DDJS a par ailleurs fait une priorit du d veloppement de la pratique sportive des personnes handicap es en 2009 Par ailleurs l Association ESCA L soutenue financi rement par le Conseil g n ral met en place des activit s de sport et de loisir en faveur des personnes pr sentant des troubles intellectuels et ou psychiques Elle pr ne une mixit en ce qui concerne les enfants avec la pr sence de valides et de non valides ce qui permet de mixer les publics et d accueillir des fratries Par ailleurs les infrastructures sont int gr es un groupe scolaire Une tude est actuellement en cours au sein du Conseil g n ral direction du patrimoine de la culture et des sports afin de r aliser un tat des lieux de l offre en mati re de sport pour personnes handicap es 240 Parmi les initiatives locales peut tre cit e la ville de Cholet qui met en place un Forum Vacances et loisirs adapt s r unissant sur un m me lieu les diff rentes offres d activit s sportives et culturelles adapt es afin d aider des personnes en situation de handicap construire un projet de vacances ou de loisirs Ces projets de vaca
59. Mayenne Sarthe et Vend e Deuxi me axe le positionnement du Maine et Loire par rapport des d partements limitrophes Indre et Loire Ille et Vilaine Troisi me axe le positionnement du d partement du Maine et Loire par rapport au d partement de r f rence Bas Rhin Cette m thode pr sente des limites endog nes En substance elle est statique et ne rend pas compte des dynamiques de programmation lanc es dans certains d partements Par ailleurs elle carte tr s sensiblement toute possibilit d accompagner le diagnostic quantitatif d un regard plus qualitatif Enfin les chiffres sont titr s pour la plupart de Statiss base de donn es tr s riche mais qui n est pas toujours en phase avec les donn es d partementales Il s agit donc avant tout de tirer des enseignements la lumi re de comparaisons limit es aux capacit s 25 a Quelques l ments d mographiques Le d partement du Maine et Loire compte la part de jeunes de 0 19 ans la plus lev e de l ensemble des d partements analys s avec 26 6 de la population totale Cependant si le d partement b n ficie d une population jeune il appara t moins dynamique que les volutions constat es au niveau r gional avec 8 d volution des 0 19 ans entre 1999 et 2006 contre 5 d volution pour le Maine et Loire Pays de la Loire 885 803 personnes soit 25 67 de la population totale Franc 15 230 855 personnes soit 24 81 de la p
60. Mont clair et dans la vie sociale pour le Centre Blouin Par ailleurs le Centre r gional basse vision est int gr Mont clair Ces deux tablissements constituent des p les ressources permettant d offrir un accompagnement global la personne de l valuation information jusqu l accompagnement Par ailleurs le d partement d veloppe un grand nombre de Sections pour Enfants avec Handicaps Associ s sections permettant d accompagner des enfants de 3 12 ans pr sentant une d ficience auditive avec handicap s associ s On compte 54 places au 31 d cembre 2009 pour un d veloppement 90 places en 2012 3 L accompagnement au sein des structures pour personnes g es Du fait de sa tr s bonne dotation le d partement de Maine et Loire na pas b n fici de cr ation de places depuis quelques ann es d j Le niveau important de l offre lui a ainsi permis de s inscrire en amont des volutions r alis es aujourd hui l chelle nationale en termes de sp cialisation et de m dicalisation des structures n cessaires pour r pondre aux nouveaux enjeux de Sant publique En effet on observe au niveau national un double mouvement la fois celui d une entr e de plus en plus tardive au sein des structures avec une entr e en structure 5 ans plus tard qu il y a 10 ans sous l effet d une volont de demeurer le plus tard possible au domicile De ce fait les personnes sont plus lourdement d pendant
61. THETIS et a d ploy dans ce 89 cadre en 2008 un premier dispositif permettant aux structures agr es de b n ficier d un accompagnement visant l am lioration de leur organisation des conditions de travail et de la qualit de leurs prestations Le Maine et Loire est fortement impliqu sur le programme THETIS 4 conventions individuelles ou collectives pour 14 structures Le d partement repr sente ainsi 64 des structures engag es dans ce dispositif en Pays de la Loire Initiatives d partementales et locales La mise en place d une charte de coop ration territoriale permettra l ensemble des op rateurs locaux de travailler dans le sens d une offre de service de qualit pour les personnes vuln rables Organisation par la DDTEFP du 1 salon des Services la personne de Maine et Loire en f vrier 2009 avec l association Anjou domicile et en partenariat avec le D partement la R gion la Communaut d agglom ration Angers Loire M tropole et la Maison de l Emploi d Angers Ce salon a permis la mise en uvre de 13 mini conf rences sur des th mes divers ch que sortir plus normes de qualit et au total 43 stands taient constitu s espace grand public espace cr ateurs et professionnel espace emploi et formation La question du personnel intervenant reste pr gnante d terminant de fa on significative la qualit de l intervention Les enjeux se posent ici en termes de formation S il s agi
62. a travaill de mani re partenariale sur la formalisation du PPE mais ce projet n appara t pas encore effectif Dans le cas d une saisine du pouvoir judiciaire les partenaires constatent une r ticence des services sociaux recevoir une situation en Accueil Provisoire Le sch ma 2005 2010 a permis de travailler la mise en place de modalit s d accueil innovantes 192 Tout d abord un travail a t r alis sur la clarification terminologique des expressions usit es Plusieurs dispositifs peuvent en effet tre mis en uvre permettant une diversification des modalit s d accompagnement L accueil s quentiel tout d abord a fait l objet d une clarification terminologique Il s agit de la mise en place d un accompagnement entre un acteur de type tablissement et le domicile des parents Le placement domicile s inscrit dans ce cadre Une r flexion importante s est mise en uvre suite au sch ma notamment avec les partenaires de la Justice mais n a pas pour le moment donn lieu un cadrage ni un pilotage global Les exp riences ont en effet t r alis es par les MECS sur des accompagnements ponctuels au cas par cas Cette question est par ailleurs troitement li e celle du maintien du lien parent enfant pendant le placement L accueil de jour par ailleurs est r alis dans le cadre du DESPA Le DESPA peut accueillir au total 120 jeunes de 6 21 ans r partis en 70 places d internat
63. aig e devra alors s effectuer entre l ensemble des acteurs du champ du m dico social de la sant et des m decins lib raux La coop ration entre les professionnels de l aide et du soin doit tre renforc e sur ce champ un nombre important de CLIC estime ainsi avoir des difficult s pour entrer en contact avec les professionnels lib raux et tablir une intervention compl mentaire Les acteurs ont galement indiqu la pertinence d une cr ation d une cellule d partementale sp cialis e de nature intervenir en appui aux professionnels confront s des situations difficiles comme les CLIC qui par exemple se trouvent parfois d munis face certaines situations Initiatives d partementales et locales Cr ation d une cellule d valuation de la d pendance de la personne g e du CHU en 1997 permettant d effectuer des valuations dg riatriques standardis es avec une quipe pluridisciplinaire Mise en place par les SSIAD d quipes mobiles Alzheimer sur le territoire Convention entre l association Anjou Alzheimer et l ADMR pour l tablissement de fiches conjointes sur le th me de la maladie d Alzheimer permettant ainsi d informer les familles 132 133 IV L aide la famille et aux aidants Pr sentation L action sociale ne se limite plus une prise en charge de la personne b n ficiaire d un accompagnement Une part croissante de ses interventions s adresse d sormais galement sa f
64. ailleurs des r seaux sp cifiques ont t d velopp s notamment dans le secteur g rontologique On compte ainsi plusieurs r seaux de sant g rontologique le R seau g rontologique Sud Saumurois bas e Dou la Fontaine qui dispose d une file active de 200 personnes cr en 1999 compl t par un R seau saumurois de soins palliatifs le R seau g rontologique des Mauges Bocage Choletais et le R seau d Angers Ils ont notamment pour mission de coordonner les diff rents intervenants pour assurer la coh rence des prises en charge et de pr server le maintien domicile des personnes g es d pendantes Parmi les attentes fortes leur gard figure une meilleure articulation entre les secteurs m dical et m dico social Par ailleurs un certain nombre d initiatives existent au niveau local comme Angers par exemple travers l association Pass ge plateforme d accueil de service de suivi et d aide g rontologique support de la plateforme g rontologique cr e sur l agglom ration Angers Loire m tropole dont la finalit est d am liorer la prise en charge sanitaire et m dicosociale des personnes g es en situation tr s complexe et fragile Si les r seaux permettront sans doute de r duire le nombre de ruptures de prise en charge l ensemble du territoire ne pourra b n ficier de ces mises en commun des comp tences Une information gagnerait donc tre organis e afin de diffuser les pratiques qu
65. articulation Am liorer la continuit et pr venir entre dispositifs de lesruptures danslesparcoursdes droit commun et 5 jeunes dispositifs sp cialis s Mise en place d un groupe de travail au niveau r gional Accompagner les jeunes de 16ansdans Qr ation de places de SESSAD vocation professionnelle le dispositif adulte Mise en place d un groupe de travail dans le cadre du PDITH formation mais peu de passerelles existence d un nombre important de insertion personnes en amendement Creton Adapter les tablissements l volution des besoins desjeunes dansle contexte transformation de places d IMEen unit s pour enfantsatteints actuel d orientations d autisme transformation de places IMEen section pour Adapter l offre de service desiME en faveur de enfants atteints de handicaps associ s mise en conformit 6 et IRaux besoins des enfants l int gration scolaire des ITEP dansle cadre du d cret du 6janvier 2005 Qarifier et odifier les articulationsentre dispositif PHet Actions de soutien aux quipes en tablissement pour viter Renforcer lescop rationsentre protection de les ruptures r flexions au sein de la DDASSsur l accueil des 7 DDASS DDSSet DDPJ l enfance enfants confi s l AS 276 10 11 12 13 14 15 Faciliter l acc s aux prestations d aide m nag res D velopper l aide aux aidantsfamiliaux Renforcer la ordination des intervenants domicile Favoriser le soutien domid
66. assistants familiaux particuli rement important peut tre relev sur Angers en particulier dans la circonscription sud qui compte la fois le plus grand nombre d enfants confi s ASE plac s en famille d accueil et dont l autorit parentale est dans la circonscription 112 enfants en 2009 et le plus faible nombre d assistants familiaux 2 Ce constat soul ve des enjeux de maintien du lien parents enfants plac s et de continuit des parcours organisation des visites continuit du lieu de scolarisation du suivi sanitaire 168 Pour autant dans le d partement plus de 84 des accueils sont r alis s moins de 40 km du centre de circonscription de l autorit parentale Des difficult s de recrutement associ es un vieillissement de la moyenne d ge La probl matique du recrutement des assistants familiaux appara t comme une difficult r elle Ainsi si le Conseil g n ral affirmait d j en 2005 souhaiter d velopper l accueil pour les personnes g es et handicap es le nombre de familles d accueil est aujourd hui sensiblement similaire 1 accueillant Le Conseil g n ral a ainsi lanc une campagne de recrutement des ASSFAM en mars 2010 s appuyant sur des supports presse et radio La possibilit de cibler plus particuli rement les zones urbaines o le d ficit de l offre est important est en cours d tude Par ailleurs la moyenne d ge tend s allonger Ainsi 46 des accueillants familiaux
67. ch mage au 3 re trimestre 2009 de la population active c Quelques l ments de prestations sociales 10 458 personnes Pays de la Loire 34 668 personnes couvertes par sont couvertes par la A a a e a la CMP PA tbe DU Der ST ES De 422 par la CMU compl mentaire sit 6 1 de la population compl mentaire soit 4 7 de la population Proportionnellement sa population le Maine et Loire compte donc plus de personnes b n ficiant de la CMU compl mentaire que me Nbre de personnes la moyenne des uvertes par la MU de base 28 EM Abre de personnes uvertes par la OMU compl mentaire urce STATS 1 janvier 2008 Taux de uverture de la OMU compl mentaire de la population totale E Pusde5 D Etre 4et 5 d partements de sa r gion Il n atteint cependant pas la moyenne fran aise s tablissant 6 1 de la population m tropolitaine En nombres absolus et au sein de l chantillon analys le Maine et Loire se positionne au 3 rang des d partements comptant le plus de personnes b n ficiaires de la CMU la fois pour la couverture de base et pour la couverture compl mentaire Par ailleurs 9 520 personnes sont b n ficiaires du revenu minimum d insertion soit 23 5 personnes pour 1000 habitants de 20 59 ans Le ratio du Maine et Loire est sup rieur la moyenne r gionale 21 2 habitants de 20 59 ans mais reste largement inf rieur la moyenne nationale 30
68. chacun et les circuits d information 43 Enfin les volutions r centes qu elles se situent sur le champ soci tal fragilisation des populations ou encore sorties de maternit de plus en plus pr coces ou l gislatif lois relatives aux Assistants familiaux et aux Assistants maternels et loi du 5 mars 2007 ont n cessairement conduit des bouleversements en ce qui concerne les missions relatives la PMI Si certains d partements ont fait le choix de prioriser les misions ou de sp cialiser ces professionnels le Maine et Loire s est appuy fortement sur les partenariats existant afin de faire face l accroissement des missions La protection maternelle Le plan p rinatalit 2005 2007 met l accent sur la dimension humaine de la grossesse et de l accouchement La loi du 5 mars 2007 r formant la Protection de l Enfance insiste galement sur la pr vention pr coce en p riode pr et post natale et notamment sur la n cessit d informer l ensemble de la population sur les dispositifs d aide mis en uvre par le service de PMI Avis de grossesse et avis de naissance Les avis de grossesse et de naissance sont des instruments de rep rage pr coce des situations de vuln rabilit et permettent la PMI de faire conna tre son action aupr s des publics cibles L ensemble des documents li s la p rinatalit avis de grossesse de naissance et certificat de sant du 8 jour sont re us au sein du service c
69. charge sanitaires conduit un transfert vers le m dico social des enfants avec troubles psychiques L tude r gionale sur le devenir des IME des Pays de la Loire r alis par le CREAI en 2007 met ainsi en exergue la part importante d enfants et adolescents d ficients intellectuels et pr sentant des troubles psychiques et de la conduite et du comportement Ainsi l ensemble des I M E DI du d partement ont volu afin d tre en capacit d accueillir aujourd hui les enfants qui pr sentent des troubles associ s On constate galement une augmentation du nombre de familles pr caris es pour lesquelles les difficult s sociales viennent s ajouter aux difficult s de leurs enfants et parfois aggraver sa d ficience ou ses troubles Ces volutions tendent ob rer les orientations la sortie de l IME dans la mesure o moins de jeunes qu auparavant sont capables de travailler en ESAT sans toutefois relever de structures lourdes comme la MAS ou le Foyer de vie On peut noter ce niveau un manque de structure ou de modalit s d accueil interm diaire mi temps notamment Aujourd hui les IME se trouvent donc face une situation nouvelle qui doit les amener se restructurer autour d un double objectif objectif de compl mentarit avec l cole qui se construira en facilitant les passerelles avec l ducation nationale et objectif de prise en charge adapt e des d ficiences les plus lourdes notamment en remobilisant des
70. collectifs maternit sont mis en place par la CAF d Anjou en partenariat avec la CPAM et le Conseil g n ral afin de permettre des changes entre les professionnels et les futurs parents Par ailleurs plusieurs s ances sont organis es par la CAF au cours du 1 semestre 2010 pour des groupes de p res en instance de s paration s par s ou divorc s anim s par un psychoth rapeute conjugal et familial Enfin les CAF proposent un service de soutien la scolarit aide aux devoirs et r alisation d un travail avec les parent dans le but de les impliquer dans la scolarit de leurs enfants Ainsi en 2008 la CAF de Cholet a financ une partie des 16 actions mises en place au titre de l accompagnement la scolarit soit 30 119 euros permettant 215 enfants de b n ficier d une aide la scolarit Un grand nombre d actions sont r alis es dans le cadre du REAAP R seau d coute d Appui et d Accompagnement la Parentalit des initiatives existent dans le Maine et Loire destination des parents prouvant des difficult s ducatives La cr ation de ce type de r seau au sein des d partements a t impuls e par une circulaire de mars 1999 Suite cette circulaire des r unions et un tat des lieux ont t organis s dans le d partement suivis par le Comit d partemental d animation pilot par la DDASS Cette r flexion a abouti en 2001 au d coupage du d partement en cinq r seaux locaux le Seg
71. compte 579 entretiens du 4 mois L envoi syst matique d un courrier semble b n fique avec une augmentation de 22 en un an 705 entretiens r alis s en 2009 Par ailleurs les sages femmes ont toutes re ues une formation relativement cette nouvelle mission Enfin les sages femmes doivent r aliser des cours de pr paration la naissance 250 cours ont t donn s en 2008 Par ailleurs si des actions collectives doivent tre mises en uvre par les sages femmes il appara t qu aucune action n a t r alis e en 2009 Le travail de liaison Les relations et la coordination entre l h pital et la PMI sont aujourd hui plus que jamais un enjeu pr pond rant dans la r flexion sur l accompagnement des familles en situation de vuln rabilit La maternit est en effet le lieu o se retrouvent toutes les femmes enceintes qu elles aient des probl mes sociaux psychiques relationnels ou non L accouchement et ses suites sont un moment charni re avec une temporalit rapide pour la mise en place d un lien m re enfant quilibr Depuis quelques ann es le raccourcissement des dur es de s jour post accouchement en maternit les sorties de maternit se font en moyenne 2 3 jours apr s l accouchement peut s av rer tre un obstacle la construction de ce lien L h pital a donc concentr son action sur l aspect m dical de l accouchement laissant partiellement de c t les probl matiques sociales et
72. d Avrill rencontre d partementale des ACI sur la th matique sant Sur le volet handicap 320 b n ficiaires du RMI fin 2008 soit 3 du public RMI sont reconnus travailleurs handicap s dans le d partement Les acteurs rel vent un d veloppement du travail partenarial favoris par les liens qui s op rent entre le PDITH le PDI PTI et le Service public de l emploi Initiatives d partementales et locales Des services d accompagnement en faveur des personnes pr sentant des troubles psychiques ont t cr s un service d accompagnement en faveur de l insertion professionnelle association API 20 places le SAMSAH Arceau Anjou et Bords de Loire en faveur des personnes handicap es psychiques de 40 places et un SAVS Alpha Des marges de progr s demeurent Des patients dont l tat de sant ne justifie pas ou plus une hospitalisation en psychiatrie mais qui compte tenu d un manque d autonomie n cessitent une entr e en structure m dico sociale sont maintenus en psychiatrie par d faut de places Parmi les personnes accueillies au CESAME on compterait aujourd hui environ 130 personnes dont l hospitalisation compl te ne r pond plus leurs besoins 119 Nombre d inad quations l hospitalisation recens es par le Centre de Sant Mentale Angevin 50 lt 40 40 NI d gt es S 8 8 BA e A J KO A9 T i 0e KO oen Ces constats appellent la n cessit d apporter des alternatives
73. d apr s les l ments recueillis nombre de jeunes accueillis ont pr alablement connu des mesures d accompagnement et ou de prise en charge accueil en famille mesure AEMO AED avant un accueil A titre d exemple le rapport du CAREPS sur les jeunes accueillis dans le Maine et Loire a fait le constat d une surrepr sentation d ant c dents de prise en charge notamment p rinataux deux fois plus importants que dans les d partements de comparaison Ce qui pose directement la question de la continuit des prises en charge et de l adaptation du suivi l histoire de l enfant et de ses accompagnements successifs A cette logique de parcours doivent r pondre des prises en charge coordonn es articul es en synchronie accompagnements concomitant en raison de la pluralit des difficult s et en diachronie accompagnements successifs En troisi me lieu la cat gorie certes prot iforme et souvent n buleuse de jeune difficile doit faire l objet d une r flexion dans le cadre du sch ma Sont particuli rement vis s les jeunes mettant de mani re r currente en difficult voire en chec les diff rentes r ponses d accueil Cette pr occupation doit appara tre comme un axe de travail prioritaire et un rapport a t r alis en avril 2008 pour le compte de l Observatoire Nationale de l Enfance en Danger sur ce th me permettant d afficher l int r t port par l ONED aux mesures de pr ventio
74. d termine les objectifs et financements sur une dur e de 3 ans 17 contrats sur 30 ont t finalis s Le service pr voit la cr ation d une unit pour aider les acteurs locaux mettre en uvre les actions pr vues Les contrats de territoire ont vocation devenir un volet des futurs contrats globaux de territoire qui vont tre mis en place par la Direction D veloppement b Les aides la pierre Une enqu te men e dans le cadre du sch ma aupr s de 209 b n ficiaires d aide la pierre a permis de faire ressortir un certain nombre de constats 106 gt L aide pour efficacit nerg tique Lesaidesdont lesr pondantsont b n fici repr sente l aide majoritairement per ue 42 des cas gt Les personnes ont g n ralement t Aide pour am lioration compl te demon SSSR inform es par le bouche oreille de la d Sta possibilit d aides a la pierre Aide pour maintien domicile CR gt Les d marches sont jug es faciles B i x 3 a i Ne sat pas bi dans l ensemble gr ce la simplicit du formulaire et l accompagnement d organismes travailleur social Pact gt La quasi totalit des r pondants se disent satisfaits des r sultats des travaux gt Pour am liorer le dispositif il para t n cessaire de raccourcir le d lai de versement de l aide c Les aides la personne constituent galement une des missions mises en uvre par le D partement Le d partement a en ch
75. de 18 conventionnement tripartite Maintien de tte r partition r interroger dansle cadre du sch ma unique 12QlCqui maillent le territoire Ne fonctionne plus Existen de 2 IGL mais quid de la pertnience dans le cadre d un sch ma unique Positionnement comme acteur majeur au niveau local refonte du cahier des charges Action en ours partenariat avec CARTA r alisation d un Atlas g rontologique Mise en place de CPOM Mise en place d un plan d partemental des services d aide lapersonne Un nombre plusimportant de places mais un dispositif en tension D veloppement de l h bergement alternatif mise en place de groupes de parole mais dispositif peu lisible et peu structur Haboration d un sch ma accessibilit Actions de formation en cours Baboration d une arte de op ration territoriale de l aide domidle destination des publics vuln rables Exp rimentation d une prise en charge de l AJ par l aide sociale D veloppement effectif territoire bien couvert l exception du Nord Ouest Mise jour r guli re des volutions de capadit Mais pas de travail sp dfique Eh cours 279 3 4 41 42 D velopper les coop rations entre les diff rents actuers du champ g rontologique et mettre en place des actions transversales sur desprob lamtqiues particuli res D velopper une culture de labientraitance Renforcer lalutte contre la maltraitance Mieux int g
76. de Pilotage ou encore la mise en ligne d un grand nombre de documents sur leur site internet 238 Par ailleurs les EPCI ont vocation jouer un r le important dans ce cadre qui doit s articuler avec les communes travers la cr ation de Commissions communales et intercommunales pour l accessibilit aux personnes handicap es En effet le d partement de Maine et Loire poss de la particularit d avoir un territoire enti rement maill par des Communaut s de Communes CC et des Communaut s d Agglom ration CA qui comptent toutes plus de 5 000 habitants et sont donc soumises l obligation l gale Elles vont disposer d un r le d animation de concertation et de bilan avec une obligation par exemple de recenser les logements accessibles aux personnes en situation de handicap au 31 d cembre 2009 Cependant les EPCI ne se sont pas encore pleinement investis de ce r le et la consolidation d l ments de diagnostic n a pas t r alis e __ L accessibilit aux loisirs la culture et au sport Les activit s culturelles et sportives L accessibilit des lieux culturels aux personnes en situation de handicap fait l objet d une prise de conscience r cente notamment par sa r affirmation dans le cadre de la loi de 2005 La direction r gionale des affaires culturelles des Pays de la Loire contribue la mise en accessibilit des quipements culturels en termes d usage et de service Par ailleurs la c
77. de sensibilisation en zone rurale aupr s des lus des entreprises des scolaires des parents ou encore des partenaires associatifs en ce qui concerne l galit des chances hommes femmes et l articulation des temps des tudes et r unions de r flexion men es ce sujet ou encore le d veloppement de projets de type Bien O chO Par ailleurs un travail de sensibilisation la cr ation de lieux uniques d accueil des enfants a t r alis Le d partement se caract rise en outre par l mergence de r seaux d acteurs anim s par exemple par le Point Info Familles d Angers Dans le cadre du RSA la loi a cr l Allocation Personnalis e de retour l emploi APRE qui pr voit la possibilit de financer des modes de garde dans le cadre d un retour l emploi ou la formation Le D partement joue un r le important dans la r flexion et l orientation de l offre d accueil de la petite enfance en particulier gr ce aux subventions accord es sur demande des porteurs de projet et trait es par la direction des subventions du CG Par ailleurs la PMI exerce le contr le et le suivi des structures d accueil et un m decin de PMI est sp cifiquement charg de ce contr le en sus de ses missions exerc es au titre du service de la PMI PPSF Le suivi des modes d accueil individuels et collectifs est une mission propre la PMI mais souvent consid r e par les professionnels de PMI comme une activit annexe leur c
78. des dispositifs sp cialis s et des dispositifs de droit commun au sein duquel l accompagnement peut tre ponctuel visant au moins dans les termes s effacer peu peu Au del du public traditionnel que cible le PDI il est donc opportun d tudier les compl mentarit s ou au contraire l absence de liens entre le dispositif d insertion professionnelle et des usagers cumulant d autres types de besoins que sont les enfants accompagn s par l ASE ou d une mani re encore plus tendue les personnes en situation de handicap Certains termes avec lesquels nous commen ons nous familiariser la lecture de ce sch ma r apparaissent mais de mani re plus t nue En premier lieu la coordination entre le milieu ordinaire et le milieu sp cialis est un axe majeur d valuation et au del de r flexion Elle interroge la pratique des professionnels leur capacit s appuyer sur des comp tences qu ils n ont pas et assurer un suivi sans tre r guli rement pr sents aupr s du b n ficiaire En second lieu la lisibilit et la visibilit des dispositifs est une condition sine qua non la fluidit du parcours La structuration des passerelles d pend aussi de la capacit des acteurs et des personnes concern es identifier les solutions les plus ad quates dans les d lais les plus raccourcis 208 A retenir Atouts Am lioration du pilotage des associations uvrant dans le dispos
79. des personnes handicap es m me si cette activit demeure aujourd hui encore la marge de leurs missions 7 Parole d usagers rencontr s au sein des circonscriptions d action sociale L assistant social repr sente un interlocuteur privil gi au fait de la situation particuli re de chacun Moi elle me conna t a fait longtemps que je viens ici elle m aide toujours quand je ne peux pas payer Les consultations r alis es dans le cadre de la PMI sont tr s appr ci es par les personnes rencontr es Les professionnels sont tr s disponibles et nous donnent des conseils pour le b b On peut vraiment poser des questions c est tr s utile L ensemble des personnes rencontr es ont indiqu tre satisfaites de l accueil en circonscription et ont mis en avant la qualit de l accompagnement qui leur tait propos lls appr cient l coute des professionnels et le temps consacr Par ailleurs 89 des personnes ont estim obtenir les r ponses attendues lors de leur visite Enqu te aupr s des usagers en circonscription Circonscriptions concern es Dou la Fontaine Cholet Est Saumur Angers Centre Angers Est Segr Beaupr au et Angers Ouest Public rencontr 38 entretiens ont t men s avec 15 hommes et 23 femmes 58 de ces personnes avaient entre 18 et 30 ans et 8 plus de 60 ans Motif de la visite 104 37 des personnes sont venues rencontrer un travailleur social
80. des prestations et d imposer des exigences Il s agit d insuffler une culture du r sultat au sein d op rateurs historiques De lavis des associations interrog es cette d marche a pu tre impuls e parfois de mani re unilat rale La mobilisation des partenaires n est en effet pas toujours efficiente Le RSA renouvelle la question de la mobilisation du droit commun En particulier la cr ation au niveau national d un Pacte territorial pour l insertion PTI conclu l initiative des Conseils g n raux avec ses partenaires vise syst matiser la coordination des interventions autour du public en insertion et d finir les engagements r ciproques Le partenariat avec l ANPE puis P le Emploi se trouvait tr s peu formalis Le RSA exige une coordination pouss e entre les deux institutions celle ci a fait l objet d une convention de co traitance largie qui permet P le Emploi de suspendre son suivi au profit de celui mis en place par le Conseil g n ral En pratique le rep rage des personnes ayant le double statut demandeurs d emploi et b n ficiaires du RSA n est pas encore op rationnel Autre exemple celui de la formation Le Conseil g n ral est intervenu en cofinancement des ateliers de savoir de base ainsi qu un chantier cole ou encore en financement individuel de formations de droit commun Dans le cadre du RSA cependant le Conseil g n ral r fl chit un repositionnement sur son c ur de c
81. des r ponses d accueil Deux facteurs explicatifs peuvent tre avanc s En premier lieu l cart entre la structure et le contenu de l offre et le profil et les besoins des jeunes Ce qui interroge directement l ad quation entre l offre et les besoins Plusieurs cat gories de profils ont t mises en avant lors des entretiens principalement les profils difficiles les incasables et les adolescents notamment dans le cadre de l accueil familial En second lieu les modalit s d organisation des placements Ressortent des entretiens l insuffisante clarification des r les quant la recherche de places disponibles et le manque de visibilit quant aux places mobilisables Une rationalisation de la proc dure de placement permettant de rep rer rapidement non seulement les places disponibles mais galement d valuer l ad quation du type de places disponibles avec le profil du jeune serait m me d am liorer l efficience du syst me Un autre enjeu concerne l insuffisante fluidit voqu e de mani re r currente par les professionnels des parcours de placement Sont principalement concern es les modalit s d accueil d urgence les dur es d accueil au sein du FSE par exemple sont trop longues mais galement les sorties du dispositif Le volume de jeunes accueillis une croissance du nombre de placements inf rieure l augmentation du nombre de mesures Entre 2004 et 2009 le nombre d enfants plac s a augmen
82. dispers e A La coordination autour du parcours de la personne il viter les ruptures de parcours Les parcours des personnes accompagn es par les dispositifs m dico sociaux sont sous tendus par les risques de ruptures Si celles ci peuvent tre cons cutives la volont de l usager qui ne souhaite plus tre accompagn au sein du dispositif elles sont g n ralement dues un cloisonnement entre l ensemble des dispositifs Le passage l ge adulte constitue un point d achoppement au sein d un m me dispositif handicap mais galement entre plusieurs dispositifs dont la coordination n a pas fait aujourd hui l objet d une r flexion entre les acteurs Les ruptures de parcours relatives au passage du dispositif enfance handicap e au dispositif adulte 247 Trop peu de liens existent entre le secteur de la prise en charge des enfants et celui de la prise en charge des adultes Les seules passerelles vraiment identifiables sont les fili res qui n induisent pas toujours par ailleurs une pr paration au changement de structure Il en r sulte un effet pervers maintenant la personne en situation de handicap toute sa vie au sein d une seule et m me association voire d un seul et m me site cet tat de fait r pond certes lattente des parents et facilite la gestion des tablissements toutefois beaucoup s interrogent sur le contenu et la r alit du projet de vie qui laisse peu de choix la perso
83. du comportement s v res associ s une d sorientation spatio temporelle s v re 130 Des disparit s territoriales peuvent tre constat es Ainsi ce type de place est inexistant sur un certain nombre de territoires c est le cas des territoires de l Est du d partement du Nord des Mauges les territoires situ s au sud de l agglom ration angevine et Saumur l inverse les cantons de Segr avec 54 places et de Cholet et son agglom ration poss dent le plus fort taux d quipement en UPAD Angers et les cantons de l agglom ration concentrent 44 de l offre totale en UPAD avec 151 places Total d partemental 359 pla s soit 5 55 pla s pour 1 000 habitants de 75 ans et plus g 3 ty Nombre de pla s en UPAD au 31 03 2009 ad 88 g H 51 RE S E gt Taux d quipement nombre de Pla s pour 1000 personnes de 75ans et plus O de 20 40 C de 10 20 E de1 10 H Taux nul Par ailleurs les accueils de type PASA et UHR vont se d velopper dans le D partement les projets sont en cours d tude la DDASS Les efforts consentis pour le d veloppement des h bergements alternatifs sp cifiques doivent tre poursuivis s inscrivant de pair avec une formation des professionnels et la mise en place d actions sp cifiques Il est galement important de s interroger avec les acteurs du dispositif sur l opportunit de la cr ation d unit s type P
84. en scolarisation partag e 262 Le dispositif AVS Des l ves s v rement handicap s n cessitent pour poursuivre leur parcours scolaire d tre accompagn s afin de r aliser certains gestes et certaines t ches de vie quotidienne Les auxiliaires de vie scolaire individuels AVS i ou les auxiliaires de vie scolaire collectifs AVS co assurent cette mission dans les structures de scolarisation collective CLIS ou UPI leur intervention s articulant autour du projet personnalis de scolarisation PPS et s appuie sur quatre types de missions 1 des interventions dans la classe d finies en concertation avec l enseignant aide pour crire ou manipuler le mat riel dont l l ve a besoin ou en dehors des temps d enseignement interclasses repas 2 des participations aux sorties de classes occasionnelles ou r guli res 3 l accomplissement de gestes techniques ne requ rant pas une qualification m dicale ou param dicale 4 une collaboration au suivi des projets personnalis s de scolarisation Les AVS interviennent titre principal pendant le temps scolaire Ils peuvent si n cessaire et apr s la signature de convention intervenir sur le temps p ri scolaire cantine et garderie notamment Toutefois ils ne peuvent pas se rendre au domicile de l l ve Sur l ann e 2009 2010 le d partement compte 234 AVS i soit une volution de pr s du double en deux ans 121 AVS i sur l ann e sc
85. et au traitement de l information et de m thodes qui ont pour but d alimenter un syst me d information et ou de fournir des informations utiles pour la prise de d cisions statistiques et analyse La mise en place d une observation renvoie des enjeux de pilotage elle permet de conna tre les besoins des publics et le niveau d activit des services en particulier un niveau territorialis Elle repr sente donc un outil indispensable au suivi l valuation et l ajustement de l action publique de gouvernance l observation implique la mise en r seau de diff rences sources d information puis l animation du dispositif Par la diffusion d analyse partag e l observation peut contribuer diffuser une culture commune et mieux articuler les interventions Les deux observatoires existants au sein du Conseil g n ral correspondent une obligation l gale L Observatoire de l enfance en danger La loi du 5 mars 2007 vient compl ter le dispositif national d observation de l enfance maltrait e en instaurant le principe d un observatoire de la protection de l enfance dans chaque d partement dont la cr ation et l animation incombent au Conseil g n ral 271 Quatre missions sont pr vues par la loi recueillir et analyser les donn es relatives l enfance en danger dans le d partement tre inform de toute valuation des services et tablissements de la protection de l enfance suivr
86. incidents quelles services structures concern es Quelles proc dures et quelles ressources mobiliser etc alors m me que ces derniers mettent en difficult les structures et les services et tendent emboliser le dispositif La conformit du syst me l ensemble des dispositions de la loi du 5 mars 2007 demeure perfectible a Les modalit s d valuations des situations qui conditionnent fortement l ad quation des orientations donc la pertinence de l entr e dans le dispositif semblent perfectibles En premier lieu la pluridisciplinarit des quipes d valuation des circonscriptions ne semble pas toujours respect e et appara t variable selon les circonscriptions En second lieu les d lais de r alisation des valuations n ont pas t pr cis s Ceci conduit des d lais tr s variables d valuation en fonction des situations pouvant parfois aller jusqu plus de 6 mois L absence de d lais formalis s conduit galement brouiller la fronti re entre valuation et accompagnement les travailleurs sociaux charg s de l valuation pouvant initier une d marche d accompagnement du fait de l absence de d lai pour rendre un rapport d valuation La Charte de protection de l enfance en danger qui a vocation tre sign e en 2010 va fixer le cadre de cette valuation au niveau du d lai tout d abord de 20 jours minimum deux mois maximum et de la m thode de cette valuation Ce
87. la moyenne des autres d partements de France 1 64 dans le Maine et Loire contre 1 47 en France et dans la r gion les dispositifs offerts et tout particuli rement le CESAME permettent de proposer une palette compl te et de qualit en termes d accompagnement Des CMP adultes 14 et des CATTP 12 un accueil familial th rapeutique adulte de 21 familles en 2009 accueil de 30 adultes et 1 famille permettant d accueillir 3 enfants Dans le cadre du dispositif quipe mobile de psychiatrie projet d pos par le CESAME en 2006 une plateforme a t mise en place le Dispositif d appui en sant mentale DIASM port par l association ALPHA Financ e en majeure partie par l tat et le Conseil g n ral elle s adresse toutes personnes en situation de pr carit sur le territoire et l agglom ration angevine ainsi qu aux travailleurs sociaux qui les accompagnent le bilan qui concerne les 3 GEM du d partement Angers Saumur Cholet se r v le positif La question de l insertion sociale est une dimension g n rant de grandes difficult s pour les personnes pr sentant des troubles psychiques Dans ce sens trois Groupes d entraide Mutuelle GEM ont t mis en place sur le territoire S ils souffrent encore d une absence de lisibilit et d ancrage sur le territoire leur bilan est aujourd hui positif Ainsi il appara t n cessaire d approfondir le mouvement enclench travers une extension de louverture des GEM e
88. la ville d Angers sur la mise en place d un guichet unique en ce qui concerne l offre de logements adapt s Enfin le site de la MDPH met disposition des usagers un Guide pour le grand public en mati re d habitat permettant d informer sur la l gislation et les professionnels d partementaux en la mati re S il est difficile de mesure l impact de l ensemble de ces mesures en raison notamment de leur caract re diffus il est en revanche possible d interroger certains b n ficiaires titre d illustration sur les difficult s qu ils rencontrent pour demeurer au sein de leur domicile C est pr cis ment ce qu il a t propos de faire dans le cadre de l enqu te aupr s des b n ficiaires de l APA 99 Cette enqu te a r v l que pr s des 2 3 des personnes interrog es avaient proc d des am nagements de leur logement Ceux ci concernaient Salle de bain E 41 Barre d appui ME 37 NC M 25 Chambre en rez de PE 21 Escalier OO 11 Isolation OO 10 Chaudi re NN 5 Cuisine NN 7 Menuiserie m 7 Lorsque les am nagements n ont pas t rendus possibles les raisons invoqu es taient en premier lieu le co t et tr s en de les impossibilit s techniques raison trois fois moins invoqu e et le manque d interlocuteurs raison deux fois moins invoqu e D Les autres publics 100 1 Les jeunes en insertion Le Fonds d aide aux jeunes FAJ est un dispositif qui vise l
89. le principal frein aux sorties Le manque d accompagnement emp che galement des sorties r guli res dans 19 des cas Le manque d activit adapt e l isolement et le manque de ressources financi res constituent galement des freins aux sorties importants 239 Principaux freinsaux sorties Le manque de ressour sfinand res SSSR 11 Le manque d information sur les l 32 Lesdifficult sd aco sauxservi s MED 7 L isolement C 10 Le manque d activit adapt e SSSR 13 Le manque d accompagnement SSSSSMMMENEE 19 Atre SE 5 Initiatives d partementales et locales Avec le soutien du Conseil g n ral et de la Ville d Angers le Nouveau Th tre d Angers a consacr des moyens l accessibilit des personnes d ficientes sensorielles au th tre gr ce aux proc d s d audio description de sur titrage individualis et de traduction simultan e en langue des signes Mise en place Cholet d une biblioth que sonore l association les Donneurs de voix permet aux personnes malvoyantes non voyantes ou ayant des difficult s de lecture de se faire lire les ouvrages par des b n voles Un certain nombre d actions collectives sont mises en uvre l chelle des circonscriptions contribuant ainsi l acc s la vie culturelle et sportive S jour famille Angers Ouest Les ateliers du jeudi Cholet Est Croix verte Saumur ou encore Les randonn es solidaires Segr
90. les troubles envahissants du d veloppement CRERA a ouvert Angers depuis avril 2007 et permet de favoriser les diagnostics pr coces Il assure l accueil l accompagnement le diagnostic et l valuation de l autisme et des TED de l enfant de l adolescent et de l adulte Par ailleurs cette p riode cl du diagnostic sera am lior e par un renforcement des tablissements de sant en termes de formation du personnel et de moyens pour d velopper un dispositif 58 d annonce pr vu par le plan national autisme La gestion de ce Centre est r alis e par le CHU d Angers en partenariat avec une association de parents d enfants autistes S same Autisme 44 Il a la particularit d tre organis en deux p les compl mentaires coordonn s par un m decin psychiatre une unit sanitaire Angers et une unit m dico sociale St Herblain Centre interr gional d tudes et de ressources sur l autisme CIERA Bretagne Pays de la Loire Le Centre r gional basse vision Angers constitue un lieu de diagnostic et d valuation approfondie des d ficiences et des capacit s visuelles restantes Il peut galement mettre en place un programme de r ducation adapt dans le but de favoriser l autonomisation de la personne dans les actes de la vie quotidienne Ce programme individuel peut tre mis en uvre par les 150 professionnels des Pays de la Loire r unis en r seau 59 C Les actions de pr vention de l exclusion
91. mais en nombre relativement faible Ils sont essentiellement g r s par l Association Croix Marine De fa on plus g n rale il appara t essentiel que l ensemble des acteurs se coordonnent autour de la question du handicap psychique afin d viter les ruptures de prises en charge fr quents pour ces personnes La question du lien entre le secteur sanitaire et social doit tre travaill e Initiatives d partementales et locales Le projet de cr ation d un Centre r gional de ressources sur le handicap psychique La politique de soins intersectorielle du CESAME travers la cr ation d un CMP intersectoriel qui s appuie sur un socle sectoriel coh rent favorisant le travail en r seau et qui d veloppe l aide la r insertion des malades ouverture des horaires largies de 17 heures minuit et le week end et la mise en place d une quipe mobile psychiatrie pr carit au sein du CESAME DIASM port par l association ALPHA API L existence des unit s mobiles de g ronto psychiatrie sur le territoire de recours de Cholet et une pour les territoires permettent de renforcer sensiblement les liens entre le secteur g riatrique et psychiatrique B Les personnes pr sentant des Troubles autistiques ou des Troubles Envahissants du D veloppement TED A retenir 121 Atouts La constitution de r seaux accompagnant le handicap psychique En application du plan national d veloppement des
92. n a pu rem dier au danger par les prestations l gales administratives interventions de pr vention Le recueil et le traitement des informations Le D partement est charg de recueillir traiter et valuer toute information pr occupante concernant un mineur en danger ou risquant de l tre Toute information pr occupante doit tre transmise au Pr sident du Conseil G n ral y compris par la justice lorsque celle ci est saisie directement Une cellule centralise le recueil et le traitement des informations pr occupantes dans le cadre d un protocole partenarial Le partage des informations Au niveau institutionnel l observatoire d partemental de la protection de l enfance analyse les donn es recueillies et les suites donn es Il suit galement la mise en uvre du sch ma d partemental Autour des situations les acteurs de la protection de l enfance soumis au secret professionnel sont autoris s partager les informations couvertes par le secret pour les besoins de la mise en uvre de la protection L accueil et la prise en charge Le texte s inscrit dans une logique d assouplissement des mesures et de d veloppement de la coh rence des parcours La coh rence des parcours Un projet pour l enfant labor avec les parents l ASE et les services d intervention ou d accueil est institu 15 Le texte met l accent sur la n cessit de veiller la continuit et la coh rence de la prise en
93. ne avec la future d localisation de 15 places d ITEP Saumur il fait aussi face des demandes importantes qui ne peuvent tre toutes satisfaites Nb de d cisions Nb d admis en Orientations en ITEP mae AE LETE EC ESON Ainsi sur les 81 Bassin d Angers orientations prononc es au FES ce Cralai 31 d cembre 2009 27 Bassin de Saumur x 3 Bassin de Segr n ont pas pu tre remplies Bassin de Baug Seuls 67 des enfants ont effectivement t admis en tablissements ou services C Regard sur les handicaps une prise en charge h t rog ne La d ficience motrice Le pr c dent sch ma avait mis en exergue l insuffisance de solutions d accueil pour les personnes handicap es motrices situant le d partement en dessous de la moyenne r gionale et nationale On comptait 2 sections IME et IEM totalisant 45 places en 2002 ainsi que 55 places en SESSAD L offre s est diversifi e mais le nombre de places reste globalement identique en 2009 on compte un IEM de 15 places ainsi qu un CAFS de 9 places et 2 SESSAD totalisant 75 places Par ailleurs un IEM de 50 places accompagne des enfants polyhandicap s et handicap s moteurs L ensemble des tablissements est situ Angers et son agglom ration tandis que les SESSAD couvrent l ensemble du d partement Un SAVS accompagnement de 50 personnes et un ESAT permettent d accompagner les 199 adultes pr sentant une d ficience motrice Le d partement semble d
94. ne ma trisent pas Initiatives d partementales et locales La ville d Angers r alise un travail important en mati re de soutien aux personnes pr sentant des troubles psychiques travers la Direction Sant publique 170 personnes accompagn es en 2008 Le R seau de souffrance et de pr carit angevin RESPPA r seau d acteurs institutionnels et associatifs Conseil g n ral CHU CESAME Mission locale Habitat 49 DDASS CPAM intervient dans le cadre de la souffrance psychique sur l agglom ration angevine et r alise aupr s des professionnels des missions de coordination quipe pluri disciplinaire gt d change et de formation Ce r seau permet notamment tout usager qui se met en contact avec un professionnel d acc der l ensemble des ressources de ce r seau En 2006 et 2007 dans le cadre du PDITH la DDTEFP a mis en place une prestation exp rimentale d accompagnement de personnes en souffrance psychique vers les emplois aid s ASECA 14 Freud d crit dans Malaise dans la civilisation la souffrance d origine sociale comme la souffrance du fait de la d ficience des dispositifs qui r glent les relations des hommes entre eux dans la famille l tat et la soci t 114 L ensemble des volutions pr cit es traversent le secteur de l enfance et tendent modifier le profil des jeunes suivis dans le cadre de l ASE Ainsi les entretiens r alis s dans les tablissements ont
95. nombre important de structures m dicalis es Le Segr en est galement dans la m me situation Seul le territoire de Saumur se distingue par un faible quipement en EHPAD et en Foyers logement EHPA Les structures de type Foyers logement sont concern s par des enjeux relatifs leur devenir Un certain nombre de places ont t red ploy es en structures m dicalis es passant de 3 334 places en 2007 3 013 places en 2009 et 2 668 places en 2010 En ce qui concerne les 54 sites encore existants des difficult s peuvent appara tre en termes de remplissage posant ainsi la question de l adaptation de ce type de structure aux besoins des personnes g es Cependant d autres territoires comme Cholet par exemple voient leur 186 population se tourner vers cette forme de prise en charge moins co teuse notamment qu une place en h bergement de type EHPAD Initiatives d partementales et locales La cr ation en 2004 d un P le interg n rationnel comportant un EHPAD et un multi accueil petite enfance sous formes d unit s de vie 6 unit s de 10 personnes dont une unit pour personnes handicap es vieillissantes Mutualit Fran aise Anjou Mayenne B L am lioration des accueils d urgence A retenir Atouts Une alternative au placement en tablissement une offre de familles d accueil pour l accueil d urgence ASE La pr sence d accueil d urgence pour les personnes en grande difficult socia
96. non accessibles et d un autre dont le b timent principal n est pas compl tement accessible Les EHPAD envisagent principalement des travaux devant am liorer le confort donc la qualit de l accueil La s curit et l am lioration de l accessibilit constituent les priorit s suivantes Par ailleurs deux mouvements ont incit les tablissements s engager dans la voie de la professionnalisation de leur personnel la d pendance de plus en plus importante de leurs r sidents et les conventions tripartites Dans le cadre des questionnaires 100 des EHPAD ayant r pondu l enqu te d clarent disposer d un plan de formation continue pour leur personnel Dans ce cadre des actions de formation ont t men es aupr s du personnel de la plupart des EHPAD au moins 80 d entre eux ont mis en place des actions de formation sur 4 th matiques centrales dans la qualit de la prise en charge pr vention de la maltraitance prise en charge de la douleur accueil de la personne en fin de vie et formation sur la maladie d Alzheimer et troubles apparent s Les formations concernant les droits des 201 usagers information confidentialit sont cependant moins r pandues un tiers des r pondants n en a pas mis en place Enfin les tarifs d h bergement constituent un point d achoppement important pour les personnes g es Le tarif moyen sur le d partement des tablissements m dicalis s est de 43 euros avec le Nord du d pa
97. obst trique en f vrier 2010 afin d informer le grand public sur la sexualit et les relations hommes femmes valuation des politiques de pr vention des grossesses non d sir es et de prise en charge des interruptions volontaires de grossesse Rapport de l IGAS novembre 2009 55 2 La pr vention dans le cadre du handicap Le rep rage des troubles d s la petite enfance constitue un enjeu majeur dans la mesure o la pr cocit de la prise en charge permet des progr s souvent plus importants qu un ge plus avanc La pr vention et l accompagnement dans le cadre des Centres d action m dico social pr coce CAMSP Les CAMSP assurent un travail de d pistage et de pr vention destination de la petite enfance La majorit des enfants accueillis au sein des CAMSP sont orient s vers ces structures par les services hospitaliers de n o natalit et de la PMI Le d partement de Maine et Loire compte quatre CAMSP situ s dans les principales agglom rations Angers Cholet Saumur Ces CAMSP se veulent fortement compl mentaires ainsi le CAMSP du CHU d Angers se fonde exclusivement sur des actions de diagnostic tandis que les trois autres Centres appartenant l Association ASEA 49 exercent leurs missions sur le volet th rapeutique S il n existe pas de convention tablie entre ces Centres l ensemble des professionnels concern s soulignent l exemplaire collaboration qu il existe actuellement Le
98. ont d j b n fici de ce dispositif et ont t h berg es Angers et son agglom ration Cholet et Saumur Trois travailleurs sociaux de l association r alisent l accompagnement social qui porte sur les aspects d acc s aux droits de sant et de scolarit Enfin des actions sont mises en place en faveur de la r insertion des personnes majeures plac es sous main de justice incarc r es ou non et de pr venir les effets d socialisant de l incarc ration Pour couvrir ensemble du d partement et la maison d arr t d Angers le service mis en place par le SPIP compte 23 3 ETP de travailleurs sociaux En 2008 2 626 personnes ont t prises en charge par ce service Ce dispositif est int gr financi rement aux politiques de la ville 206 Chapitre VII L insertion professionnelle 207 yiI L insertion professionnelle Pr sentation L insertion professionnelle a connu une r forme majeure l image des autres dispositifs avec la mise en place du RSA L ensemble des acteurs concern s par le champ de l insertion sont donc appel es modifier de pr s ou de loin leurs pratiques et c est le fondement m me de l insertion professionnelle qui sera par nature r interrog Au del de cette modification majeure le sch ma unique appelle ne pas d coupler les accompagnements sociaux d un objectif essentiel qu est l insertion professionnelle Celle ci joue alors le r le de vecteur de lien de passerelle entre
99. outils de la loi 2002 2 est le plus souvent assur e La voix des r sidents est entendue travers le Conseil de la vie sociale mis en place dans 97 des structures r pondantes o ils sont repr sent s mais galement au sien d autres instances et au travers d enqu tes de satisfaction La qualit des EHPAD fait galement cho leur capacit s imposer comme un v ritable lieu de vie Dans cette optique une des orientations du pr c dent sch ma 2003 2007 visait limiter la taille des tablissements dont 15 disposaient d une taille sup rieure 80 places Des am liorations peuvent tre apport es ce niveau puisque actuellement 26 des EHPAD ont une taille sup rieure 80 places Par ailleurs les questionnaires envoy s indiquent que les espaces de vie sont en grande majorit am nag s afin de respecter l intimit des r sidents 96 des chambres sont individuelles et 89 des tablissements pr voient un espace o les r sidents peuvent recevoir leur famille 57 des tablissements ont connu une restructuration depuis leur cr ation Plus de 7 EHPAD r pondants sur 10 ont proc d des travaux d am lioration des chambres portant surtout sur l am lioration du confort et de la s curit de celles ci L ensemble des b timents principaux et des chambres sont accessibles aux personnes mobilit r duite ou en fauteuil roulant l exception d un tablissement qui d clare l existence de 3 chambres
100. participation et la citoyennet des personnes handicap es a initi un mouvement de r forme majeure de la politique du handicap en France La loi du 11 f vrier 2005 sur l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es renouvelle l approche et la d finition du handicap En 1975 est handicap e toute personne reconnue comme telle par les administrations comp tentes En 2005 le handicap est d fini comme la relation entre une incapacit ou une d ficience et un environnement donn Constitue un handicap au sens de la pr sente loi toute limitation d activit ou restriction de participation la vie en soci t subie dans son environnement par une personne en raison d une alt ration substantielle durable ou d finitive d une ou plusieurs fonctions physiques sensorielles mentales cognitives ou psychiques d un polyhandicap ou d un trouble de sant invalidant Cinq points principaux constituent le c ur de la loi 1 L accueil des personnes handicap es 16 Le changement de l approche cognitive du handicap s accompagne d un changement institutionnel de l administration Ainsi sont cr es les Maisons d partementales des personnes handicap es MDPH qui sont con ues comme des guichets uniques d information d orientation des personnes et d allocation des prestations Elles sont officiellement mises en place depuis le 1 janvier 2006 2 La mise en accessibilit
101. personne observer et valuer le secteur des services la personne former et qualifier promouvoir les m tiers moderniser et structurer le secteur Par ailleurs une Convention cadre pluriannuelle de modernisation de l aide domicile dans le d partement du Maine et Loire 2009 2011 a t sign e entre l tat la CNSA et le Conseil g n ral Cette convention fixe quatre priorit s pour les ann es venir contribuer l observation conomique et sociale des besoins du secteur par la mise en place d un observatoire des services la personne d velopper des r ponses adapt es aux besoins du public renforcer la qualit des services rendus d velopper l emploi par la professionnalisation et la formation continue travers notamment l action Alter Ego Par ailleurs afin de r pondre l objectif de meilleure lisibilit du secteur une Charte de coop ration territoriale de l aide domicile destination des publics vuln rables a t adopt e d but 2009 pour une dur e de 6 ans Cette charte pilot e par le Conseil g n ral qui implique la signature d un certain nombre de services du secteur de l aide domicile et de partenaires institutionnels permet ainsi de poser le principe d une coop ration renforc e entre l ensemble des prestataires afin de structurer l offre tout en garantissant sa qualit Cette charte souhaite permettre une quit d acc s au service tout en portant l accent s
102. places d di es l autisme pour les enfants et aux troubles envahissants du d veloppement La mise en place d un CRERA Angers permettant de r pondre l objectif de pr vention pos par le Plan Autisme Points d am lioration Le rep rage et la formation de l autisme repr sentent des enjeux essentiels qui n cessitent d tre travaill s dans le cadre du sch ma La prise de conscience de l ampleur des probl matiques li es l autisme s est surtout concr tis e par le premier plan autisme 2005 2007 cr ation de places en tablissements et services sp cifiquement d di es aux enfants et adultes autistes et par le nouveau plan 2008 2010 tentant d apporter des r ponses non seulement quantitatives 4 100 places suppl mentaires mais aussi qualitatives Ainsi ce dernier plan national comprend 3 axes de d veloppement qui doivent constituer autant de r flexions porter au niveau d partemental Mieux conna tre pour mieux former le but est ainsi de faire disposer l ensemble des professionnels qui gravitent autour de la situation de l enfant enseignants professionnels des ESMS et de sant L Association Autisme indique en 2009 que la formation des MDPH l autisme constitue un enjeu fort les orientations se r v lant le plus souvent inadapt es du fait non seulement de solutions insuffisantes au sein des d partements mais galement de la m connaissance des professionnels de la MDPH Mieux
103. pour 47 tablissements au 31 d cembre 2009 soit 3 42 places pour 1 000 habitants de 20 59 ans Ce taux d quipement situe le d partement de Maine et Loire l g rement au dessus de la moyenne fran aise 3 39 au 1 janvier 2008 L effort le plus sensible a t r alis pour les MAS et les FAM tablissements dont le manque de places avait t soulign dans le cadre du sch ma 2005 2010 Ainsi on compte aujourd hui 14 tablissements FAM et MAS soit 443 places pour une cr ation nette de 196 places depuis 2004 permettant de la m me mani re au d partement de rattraper son retard 1 1 places pour 1 000 habitants de 20 59 ans contre 1 03 pour la moyenne nationale Par ailleurs 117 places ont t cr es en Foyers de vie pour un total de 553 places sur le territoire au sein de 18 tablissements soit un taux d quipement de 1 37 contre 1 17 places pour 1 000 habitants de 20 59 ans au niveau national Enfin le nombre de places en foyers d h bergement a connu une faible augmentation 15 places avec 385 places soit 0 95 places pour 1 000 habitants le d partement se situe en dessous de la moyenne fran aise 1 19 Ce mouvement va se poursuivre avec l ouverture entre 2010 et 2011 de 165 places en FAM et en MAS Le d partement appara t bien maill de mani re relativement homog ne Par ailleurs la localisation des tablissements appara t corr l e avec les Foyer ae vie besoins du territoi
104. pour enfants handicap s au sein du d partement ou b n ficiant d une orientation relevant de l tat 248 Par ailleurs les chiffres de l amendement CRETON en 2008 2006 faisaient tat de 123 BRENT 45 S jeunes accompagn s au titre VASE 123 FE de l amendement CRETON Mayenne 17 S au sein du d partement Sarthe 74 g5 repr sentant ainsi plus d un Vend e 70 tiers de l ensemble des Pays de la Loire 329 Z8 amendements CRETON de la r gion Ces donn es permettent de mettre en exergue le nombre lev de ces jeunes adultes dans le Maina at l nira Ces constats impliquent des situations d enfants maintenus parfois pendant 5 ou 10 ans ce titre au sein d tablissements qui ne sont plus adapt s leurs besoins Par ailleurs l absence de places au sein des dispositifs adultes ob re l ensemble du dispositif ne permettant pas aux enfants cherchant une place d tre toujours accueillis On compte aujourd hui un peu moins de 200 enfants sur liste d attente et si les jeunes accueillis au titre de l amendement CRETON pouvaient tre accompagn s au sein d tablissements adultes il ny aurait plus de liste d attente pour les tablissements enfants au sein du d partement Les difficult s li es au manque de places en tablissements adultes qui ont tent d tre r duites dans le cadre du pr c dent sch ma semblent donc encore se poser Les ruptures de parcours relatives au passage d un dispositif l autr
105. quartier Ils affichent des objectifs interg n rationnels et de mixit sociale Leur mission de prise en charge des besoins locaux par les habitants eux m mes participe largement au dispositif de pr vention Fonctionnant selon les principes de neutralit de proximit et de polyvalence les centres sociaux constituent des lieux de soutien de sensibilisation et d information de proximit Ils ont pour mission principale de d velopper des actions socio ducatives pour les jeunes et les familles afin de lutter contre l exclusion Le d partement compte 34 centres sociaux agr s par la CAF dont 12 agr s par la CAF de l agglom ration choletaise 5 Cholet et 7 en milieu rural Enfin les CAF soutiennent financi rement le r seau associatif qui d veloppe une action sp cifique de proximit au service des habitants notamment dans le cadre de la lutte contre l isolement fort soutien de la F d ration D partementale des Familles Rurales Initiatives d partementales et locales La Mutualit Fran aise Anjou Mayenne a construit en 2004 un tablissement qui comportait un EHPAD et un multi accueil petite enfance sous forme d unit s de vies 6 unit s de 10 personnes une de ces unit s est plus particuli rement destin e aux personnes handicap es vieillissantes permettant ainsi de mettre en place un v ritable p le interg n rationnel 243 L association Ciel Bleu propose des cours de gymnastique de pr vention
106. que la part des professions interm diaires et sup rieures est tr s faible dans tout le reste du d partement 34 Part des professions sup rieures et interm diairesdans la population totale de 15 ans ou plusen 2006 en E soas DM de25a50 DM de19 25 C de13 19 deo 13 La moyenne d partementale concernant le revenu imposable moyen s tablit 21 751 euros par foyer Comme pr c demment l cart entre les populations p riurbaines favoris es et les populations rurales en situation de pr carit financi re est notable autour d Angers de Cholet et dans une moindre mesure de Saumur le revenu imposable moyen des communes se situe au dessus de la moyenne d partementale A l inverse le revenu imposable moyen est inf rieur la moyenne d partementale dans la grande majorit des autres communes du Maine et Loire On remarque l encore que le revenu imposable moyen est plus faible au Nord Est et au Nord Ouest du d partement ainsi que dans le Sud de la circonscription de Dou la Fontaine Moyenne d partementale 21 751 euros Gurce INSERGP 2006 Gurce INSERGP2006 Le revenu imposable moyen en2007 en euros M 2530000 278 560 DM de 25 000 30 000 E de 21000 25 000 _ de 18000 21 000 _ de13091 18 000 35 La part des personnes vivant en HLM est proportionnellement plus forte dans les villes Elle se situe tr s au dessus de la moyenne d partementale
107. quipes en place depuis plusieurs ann es ou en proposant des am nagements dans le temps des prises en charge semi internat Cette volution pourrait n cessiter une r vision des agr ments Par ailleurs la loi de 2005 a induit un mouvement d entr e plus tardive en tablissements Ainsi les enfants vont entrer en IME plut t vers 11 ans ou m me partir de 16 ans 198 lorsqu ils ne peuvent plus demeurer dans le cadre classique de la scolarit Le d partement se trouve donc confront des difficult s au niveau des Sections d initiation et de Premi re Formation Professionnelle SIPFP Sur les 85 orientations prononc es au 31 d cembre 2009 19 enfants n ont pu tre accueillis en I M Pro soit 22 avec des difficult s qui se situent hors de l agglom ration d Angers Nb de d cisions favorables Nb d admis en tablissement Orientations en SPFP L O E UE 01 Bassin d Angers 30 27 90 Bassin de Cholet 12 8 67 Bassin de Saumur 19 17 89 Bassin de Segr 11 4 36 Bassin de Baug 13 10 77 85 66 78 Par ailleurs si le d partement de Maine et Loire fait office d exception avec un taux d quipement en ITEP de pr s du double de la moyenne r gionale 271 places r parties en 5 tablissements soit 1 32 pour 1 000 enfants de moins de 20 ans contre 0 68 et largement sup rieur la moyenne fran aise 0 96 o et une r partition territoriale relativement homog
108. r seau national d coute et de pr vention ALMA constitue en France la principale source d information et de coordination autour de cette probl matique Par ailleurs la pr occupation des pouvoirs publics a t r affirm e dans un plan d action pr sent en mars 2007 Plan de d veloppement de la bientraitance et de renforcement de la lutte contre la maltraitance Ce plan a t mis en place l Agence nationale d valuation sociale et m dico sociale ANESM et a permis de d finir trois priorit s la mise en place d une d marche d auto valuation au sein des tablissements la r alisation d un travail de r flexion aupr s des professionnels soutien psychologique formation renforcement des effectifs et la poursuite de l am lioration du cadre de vie des r sidents dont la r flexion s est engag e suite au plan de modernisation et d humanisation des maisons de retraite et tablissements pour personnes handicap es lanc en 2006 et reconduit en 2007 Dans la continuit de ce plan une circulaire d octobre 2008 a eu pour objet de pr ciser les tablissements cibles et les modes simplifi s d intervention tout en renfor ant les actions de pr vention au sein des structures La d marche d am lioration continue de la qualit est une pr occupation qui a merg il y a un peu plus de dix ans en ce qui concerne les tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes EHPAD Le d cret du 26 a
109. rep rer pour mieux accompagner le Plan pr voit la mise en place d un dispositif d annonce du diagnostic dans le but d am liorer l orientation et l accompagnement des familles Par ailleurs il souhaite soutenir l acc s au milieu ordinaire notamment en renfor ant les partenariats entre les tablissements ordinaires et les tablissements sp cialis s et en ouvrant l acc s des maisons relais ou des r sidences accueil aux adultes autistes Diversifier les approches dans le respect des droits fondamentaux de la personne l augmentation du nombre de places d accueil a t d finie comme une priorit Au total 677 places ont t autoris es entre 2007 et 2009 dont 93 places en IME Autisme Par ailleurs le Plan Autisme souhaite voir se d velopper des formes innovantes d accompagnement des projets exp rimentaux 122 Les difficult s prouv es par les familles sont sensibles d tection trop tardive du trouble approche psychanalytique au d triment de l approche comportementaliste l autisme d pend de l institution psychiatrique au d triment des traitements fond s sur l apprentissage insuffisance de place d accueil dans en milieu scolaire AVS et CLIS dans les IME et SESSAD enfants plac s sur une liste d attente et dont les familles ne b n ficient plus d aucun suivi ni d aucune assistance dans leur d marche dans les tablissements pour adultes Le dernier recours est l h pital psychiatrique
110. s aux tablissements du d partement laissent appara tre que ces tablissements ont mis en uvre les outils et proc dures concernant le premier volet organisation pilotage valuation Ainsi 83 des tablissements ont labor un projet d tablissement la m me proportion a d fini un projet ducatif En revanche c est le cas de la plupart des d partements la dimension information implication des usagers est plus difficile concr tiser 83 des tablissements disposent d un r glement int rieur 91 d un contrat de s jour dans la grande majorit des cas articul avec le projet pour l enfant En revanche seulement 33 des r pondants affirment avoir discut du contenu de ce contrat de s jour avec la famille Et dans seulement 25 des cas l laboration du r glement int rieur a associ les usagers 195 Quellessont les difficult s que vous rencontrez dansla mise en plac des outils de la loi 2002 Participation du personnel Pas de difficult particuli re Aspects m thodologiques de l laboration desdiff rentsoutils Participation des usagers Concernant les difficult s rencontr es par les tablissements la participation des familles est le premier item cit 67 des r ponses L implication des usagers est difficile il s agit n anmoins d un enjeu central pour les tablissements qui ram ne la question du travail du lien parent Manque de moyen et tempstrop long consacr
111. si le dispositif n est plus m me de r pondre aux besoins Enfin le Conseil g n ral g re le financement du secours d urgence caract re alimentaire 191 C La r alisation de l accompagnement A retenir Atouts Un assouplissement des prises en charge dans le secteur de l enfance handicap e Une appropriation relativement homog ne des outils de la loi 2002 2 Points d am lioration Assurer l effectivit du PPE La structure de l offre ASE doit tre interrog e au regard de l ge des jeunes accueillis 1 Les structures pour enfants pris en charge au titre de l ASE Organisation et pilotage du dispositif La direction Enfance Famille pilote le dispositif d partemental d accueil en tablissement L unit accueil territorialis e en tablissement assure le suivi et le contr le des tablissements du Maine et Loire Les MECS transmettent de fa on hebdomadaire leurs disponibilit s la direction enfance famille afin de faciliter l orientation des enfants confi s vers les tablissements Le Projet Pour l Enfant loi du 5 mars 2005 doit tre per u comme un v ritable outil de coordination entre les services notamment entre l ASE et la justice Cet outil permet ainsi une meilleure coh rence des parcours en vitant les p riodes tampon tapes de transition pendant lesquelles les jeunes sont dans une posture d attente de construction de projet de prise en charge Le d partement
112. suite la loi du 10 juillet 1987 en faveur de l emploi des travailleurs handicap s a fix les principes et les r gles applicables aux travailleurs handicap s dans le secteur priv et dans le secteur public Cette loi pr voit une obligation d emploi de 6 de l effectif r el partir de vingt agents temps plein ou quivalent articles L 323 1 et L 323 2 du Code du travail La reconnaissance administrative de la qualit de travailleur handicap qui touche 5 de la population fran aise en ge de travailler 15 64 ans permet notamment de b n ficier du dispositif sp cifique d aides de l AGEFIPH dans le secteur priv et depuis 2005 de son pendant dans le secteur public le Fonds d Insertion des Personnes Handicap es dans la Fonction Publique FIPHFP La loi du 11 f vrier 2005 permet d offrir un cadre r nov la lutte contre les discriminations l emploi en compl tant la d finition du travailleur handicap donn e par la loi de 1957 Par ailleurs la loi tend au secteur public le dispositif applicable depuis la loi de 1987 dans le 219 secteur priv les employeurs publics qui disposent d au moins 20 agents temps plein ou leur quivalent sont soumis l obligation de r server 6 des emplois aux travailleurs handicap s l instar des entreprises de droit priv Une sanction plus s v re pour les entreprises ne respectant pas cette obligation est pr vue par une augmentation du montant de la contri
113. t d pourvus en structures d accueil et sont exclusivement concentr s dans le Sud du d partement les Mauges Le d partement a mis en place un r f rent technique qui accompagne les projets et r alise le suivi des MAM Par ailleurs une vingtaine de projets sont aujourd hui en r flexion surtout sur Angers et la p riph rie Nord la 10 ouverture de MAM est pr vue pour avril 2010 La proposition de loi du S nat souhaite que ces cr ations restent souples et attractives pour un grand nombre de professionnels Initiatives d partementales et locales La circonscription d Angers Sud a vu la mise en place d une r union mensuelle entre Assistantes maternelles les ASSMAT viennent avec les enfants qu elles gardent et des activit s sont organis es pour ces derniers Par ailleurs la pu ricultrice et l assistante sociale sont pr sentes pour donner des conseils aux ASSMAT en ce qui concerne les enfants Cette activit s inscrit ainsi en compl mentarit avec les RAM elle est ax e sur les enfants et permet d instaurer un rapport normalis avec la pu ricultrice Angers Sud est actuellement la seule circonscription proposer ce type d activit La CAMAF Coordination des Assistants Maternels et Familiaux d Angers et sa r gion a t cr e Angers Cette association a permis la mise en place d un r seau angevin des assistants maternels et familiaux et met disposition des renseignements pour les assista
114. termes de services repr sente 34 de l offre totale Le d partement du Maine et Loire disposant d une dotation tr s forte en tablissements la cr ation de places de SESSAD s est r alis e essentiellement par red ploiement avec une moyenne d partementale 2 54 contre 2 17 au niveau de la France m tropolitaine Au del d une volution purement quantitative l augmentation du nombre de places en SESSAD s est accompagn e d une r flexion sur le maillage territorial du d partement Ainsi un groupe de travail a t mis en place par la DDASS en 2009 afin de d finir les territoires d intervention du SESSAD et a abouti l adoption d un protocole de coop ration en mai 2009 permettant ainsi de d velopper les coop rations entre les SESSAD intervenant sur un m me territoire De ce fait le dispositif garanti une couverture int grale et homog ne du territoire tout en permettant une polyvalence des interventions aupr s des 0 25 ans Il s agit de garantir la mutualisation des SESSAD intervenant sur un m me territoire et d affirmer un certain nombre de principes guidant l accompagnement temps de transport n exc dant pas 20 30 minutes mutualisation des locaux possibilit d intervenir hors zone a 94 La mise en place d un tel protocole induit une logique diff renci e qu un grand nombre d acteurs souhaite voir d velopp e ainsi c est le territoire qui va fonder l intervention et non plus le type de han
115. travail de formalisation devra tre prolong par la mise en place d un suivi et d une valuation du respect des d lais En troisi me lieu il n existe pas de cadre formalis partag par toutes les circonscriptions pour la r daction des rapports d valuation En outre les partenaires ont soulign que la qualit des rapports d valuation peut tre variable en fonction du professionnel concern D une mani re g n rale la question de la r daction des crits professionnels et de leur qualit est une question r currente qui m riterait d avoir un cadre plus formalis Cette h t rog n it des pratiques cons quence notamment d une insuffisante formalisation des proc dures d valuation est susceptible d expliquer 268 d une part les carts constat s en termes de volume et de nature mesur s d autre part le faible niveau de mesures contractuelles en effet la possibilit de mettre en uvre ou non une mesure contractuelle d pend directement de la qualit et de la nature des valuations Des valuations insuffisamment tay es g n rant une faible visibilit sur la s v rit de la situation et sur le contexte familial pouvant inciter les d cisionnaires classer les dossiers faute d l ments suffisants pour des situations qui n cessiteraient un suivi administratif transmette les dossiers la justice par pr caution alors que la situation pourrait faire l objet d
116. trise des d penses sociales devient une priorit pour l ensemble des d partements La d marche de r alisation d un sch ma unique doit donc n cessairement s inscrire dans ce contexte de contrainte financi re Le Conseil g n ral de Maine et Loire a souhait cr er une nouvelle direction op rationnelle depuis f vrier 2010 la Direction des Finances et de l valuation de l action publique DIFEP r unissant l ensemble des services g rant les d penses publiques afin d avoir une vision globale du cheminement de la d pense et ayant pour vocation de d velopper l aspect valuation 24 Contexte sociod mographique Un premier cadrage peut s av rer une porte d entr e int ressante du sch ma unique posant en quelques sortes le contexte g n ral du d partement Certains l ments pr sent s dans cette courte partie seront par la suite rediscut s la lumi re des dispositifs sociaux et m dico sociaux qu il s agit d valuer 1 Analyse comparative L analyse comparative permet de mettre en perspective le d partement du Maine et Loire par rapport d autres d partements et la moyenne nationale Elle consiste recueillir des indicateurs homog nes et pertinents et positionner une organisation par rapport une autre En l occurrence trois axes ont t ici adopt s Premier axe le positionnement du d partement du Maine et Loire au sein de la r gion Pays de la Loire Loire Atlantique
117. une intervention ponctuelle La CAF prend ainsi en charge une part importante du co t de l intervention assur e par des TISF ou par des AVS En 2008 la CAF de Cholet a vers 629 818 euros pour 28 577 heures d intervention au domicile Aujourd hui les liens entre TISF et r f rent ASE doivent tre renforc s La r ussite de l intervention dans la famille est conditionn e par une troite collaboration entre la TISF et le r f rent ASE des enfants concern s Les instances de partage entre les diff rents intervenants au sein de la famille peuvent tre davantage d velopp es pour faire en commun le point sur la situation et fixer les objectifs de travail prioritaires Plus largement l articulation des interventions domicile tait une priorit fix e par le sch ma 2005 2010 Si cet axe a t travaill avec la g n ralisation de r unions d ouverture et de relais laboration d un protocole d intervention ou la mise en place de rencontres r guli res avec des cadres interm diaires l chelle des circonscriptions il appara t n cessaire de continuer la r flexion sur cette question de la coordination de l ensemble des intervenants domicile comme par exemple la mise en place de formations 81 communes aux TISF et aux travailleurs sociaux sur des th mes sp cifiques maltraitance eo Le cadre des visites encadr es par des TISF doit par ailleurs tre clarifi Le nombre de visites encadr es par des TIS
118. une mesure contractuelle Ces deux facteurs influant sur le volume et la proportion de mesures contractuelles mises en uvre dans le Maine et Loire b L organisation du recueil tout moment des informations pr occupantes par l unit enfance en danger devra faire l objet d une r flexion afin que le D partement se conforme aux principes de la loi du 5 mars 2007 Comme dans les autres d partements ce point devra prendre en compte des probl matiques la fois organisationnelles quelles ressources affecter une ventuelle permanence selon quelles modalit s et financi res cf le transfert de charges de l tat au titre de la mise en uvre de la loi du 5 mars 2007 E L information aupr s des usagers L information constitue une ressource majeure dans l aide dont les usagers d un dispositif ont besoin pour faire face aux difficult s qu ils traversent Elle doit s adresser tant au b n ficiaire direct de l accompagnement qu aux personnes gravitant autour de la personne parents aidants naturels Le d veloppement de dispositifs multi partenariaux et les actions r alis es par les acteurs locaux CCAS Associations dans le secteur de l action sociale tendent ob rer la lisibilit de l information des usagers quant au dispositif et l action du Conseil g n ral en la mati re Le d partement du Maine et Loire a souhait d s 2003 d velopper une politique volontariste de communicati
119. unions ont t tenues en 2008 afin d informer et d changer avec les assistants familiaux notamment sur l organisation des services du d partement et les volutions l gislatives affectant le m tier d assistant familial 166 En outre par la suite le service ASE priorise les demandes de placements en familles d accueil au regard de plusieurs crit res Une Commission de placement r unissant les deux services est ensuite organis e pour tudier l ad quation des demandes avec les disponibilit s existantes en terme g ographique et l ad quation du profil de l enfant et de son projet avec le projet d accueil de l assistant familial A l issue de cette commission une proposition d accueil est formul e qui sera transmise l inspecteur de groupement concern et qui prendra contact avec le r f rent de l enfant afin de s assurer de la faisabilit de l accueil Les dispositions de la loi de 2005 ont dans l ensemble t concr tis es Cette loi vise principalement travers un renforcement de la formation et une revalorisation du statut une am lioration de la qualit de l accueil familial Les dispositions de ce texte ont t concr tis es dans le Maine et Loire A titre d exemple sur le volet de la formation continue toutes les personnes en formation au moment de la mise en application de la loi ont suivi les 240h comme le dispose la loi en deux sessions de 120h Tous les assistants familiaux entr s en formation apr
120. ur de m tier orient sur le suivi m dicosocial de la femme et de l enfant La surcharge actuelle des professionnels ne leur permet pas de r aliser cette mission titre de pr vention leur intervention se limite aux situations de d livrance d agr ment et aux situations d urgence Face ces constats certains d partements ont fait le choix de mettre en place un service d di au contr le et suivi des accueils collectifs afin d tre m me d assurer cette mission Globalement les relations avec les gestionnaires de structures et les partenaires MSA et CAF sont r guli res et constructives Un poste de Conseill re Technique Petite Enfance a t cr avec la participation du Conseil g n ral des 2 CAF du d partement et de la MSA permettant de soutenir les associations et les municipalit s en milieu rural dans la mise en place et l accompagnement p dagogique de structures d accueil collectif de jeunes enfants 250 000 euros sont inscrits au budget provisionnel 2010 du Conseil g n ral au titre du financement des cr ches et autres structures d accueil collectif Initiatives d partementales et locales Le d partement compte un nombre important de modes d accueils innovants Domi M mes services pilot par la MSA et en collaboration avec l ADMR un RAM et l ASSADOM est un service qui s inscrit en compl ment des modes de garde classiques 143 et qui permet de faire intervenir un professionnel d
121. veil des enfants en bas ge R seau Les assistantes maternelles reconnaissent qu elles ont pr sent beaucoup plus de relations les unes avec les autres Plusieurs facteurs ont jou en ce sens les Relais Assistantes Maternelles RAM animent un r seau des assistantes maternelles gr ce l organisation de r unions de formations et d activit s pour les enfants Les r unions en circonscription permettent aussi aux assistantes maternelles de se voir r guli rement Par ailleurs une association a t cr e Angers la CAMAF Coordination des Assistants Maternels et Familiaux d Angers et sa r gion Cette association a permis la mise en place d un r seau angevin des assistants maternels et familiaux et met disposition des renseignements pour les assistantes maternelles concernant la fois les volutions li es la loi de 2005 et des th mes pratiques Ces diff rents r seaux donnent acc s des activit s vari es pour les enfants des s ances de psychomotricit sont organis es par le RAM Angers qui par ailleurs a obtenu des cr neaux horaires sp cifiques pour les assistantes maternelles la biblioth que et la ludoth que L association organise galement r guli rement des activit s avec les enfants 148 ainsi que des r unions de groupe s assimilant des sessions de formation continue pour les assistantes maternelles 3 L accueil des jeunes enfants en situation de handicap Le d
122. veloppement des SESSAD permet en effet aux enfants de vivre au sein de leur famille mais aussi de les accompagner dans leur scolarisation en milieu ordinaire ou sp cialis selon le choix qu ils auront mis avec leurs parents Par ailleurs cette volution a vocation perdurer Selon une enqu te du CREAI sur le devenir des jeunes accueillis en IME et r alis e en 2006 33 des enfants sont susceptibles d tre scolaris s en milieu ordinaire Le d partement semble avoir pris la mesure de cet enjeu avec 28 SESSAD dont deux en faveur des enfants d ficients moteurs un service pour enfants polyhandicap s et deux services pour les enfants d ficients sensoriels le nombre de places en services d accompagnement a ainsi t multipli par plus de deux fois depuis 2003 De 360 places de SESSAD au 31 d cembre 2002 on compte au 31 d cembre 2009 741 places soit 3 6 places pour 1 000 habitants de moins de 20 ans ce qui le situe au dessus de la moyenne r gionale 2 99 466 places concernent exclusivement les enfants et adolescents pr sentant des d ficiences intellectuelles C est ainsi 311 places qui se sont cr es en faveur de ces enfants Par ailleurs 114 places sont programm es d ici 2012 pour l essentiel des SESSAD Polyvalents Avec ces cr ations le d partement remplit tr s largement les objectifs fix s par l ARS qui souhaitait que 20 des places soient constitu es par des places de SESSAD l offre du d partement en
123. 003 Sgr Part des autres accueilsen 2003 AngersCentre Angerssud Dou La Fontaine Gholet Et Cholet Ouest LesMauges n 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 Le niveau de l offre en tablissement des taux d quipements sup rieurs la moyenne Au regard des moyennes r gionale et nationale le D partement de Maine et Loire se situe dans une fourchette haute en ce qui concerne les structures en faveur de l enfance pouponni re Lieux de vie Foyer d partemental et MECS Compos e tr s majoritairement de places en MECS le Maine et Loire pour ce type de structure compte 836 places et dispose d un taux d quipement de 3 67 pour 1000 jeunes de moins de 22 ans contre 2 59 pour le taux national et 2 13 pour le taux national Ainsi le d partement compte 31 structures de MECS permettant d offrir une capacit de 469 places ainsi que 7 centres ducatifs et professionnels et un plateau de scolarisation pour un total de 150 places Par ailleurs 5 lieux de vie permettent d offrir une capacit de 30 places 53 enfants auront t accueillis dans ce type de structure en 2009 Enfin les 5 pouponni res comptent 83 places 177 Total d partemental 836 pla s soit 3 67 pla s pour 1 000 enfants de 0 21 ans urce Conseil g n ral de Maine et Loire 2010 0 34 o MES Lieuxde vie Pouponni res g Srvice de placement familial E v a o Centre maternel Taux d quipement pour
124. 09 avec une pr vision de 13 enseignants en 2010 2011 dont un poste qui serait cr pour le 2 degr car il my en a pas encore Deux enseignants r f rents appartiennent au dispositif de l enseignement priv D Le dispositif des informations pr occupantes Organisation et pilotage du dispositif Le dispositif s articule autour de l Unit enfance en danger instance de recueil des informations pr occupantes Le d partement du Maine et Loire a anticip la loi du 5 mars 2007 avec la mise en place effective d une cellule de recueil des informations pr occupantes depuis 2006 L unit enfance en danger est le lieu de centralisation des informations pr occupantes quelle que soit leur origine le centre national d appel pour l enfance en danger l ducation nationale les m decins les circonscriptions d action sociale et de sant Deux types d informations pr occupantes parviennent l unit enfance en danger des informations non valu es de la part des partenaires des informations d j valu es par les circonscriptions qui sont centralis es l aide d un outil informatique Pour r aliser ce recueil des informations pr occupantes 4 ETP sont affect s l unit enfance en danger L urgence de la situation de l enfant est tudi e par l unit enfance en danger Si le danger potentiel encouru par l enfant n cessite une prise en charge en urgence l unit demande une valuation en urgence la circonsc
125. 127 130 136 188 189 198 201 204 208 216 233 239 244 248 249 261 264 266 SAVS 93 96 97 117 126 196 197 202 Sch ma r gional m dico social addictologie 65 Sensibilisation 4 45 55 67 69 89 140 141 240 Services d aide domicile 85 89 91 93 97 109 SESSAD 58 93 94 95 121 147 178 180 197 198 246 SIPHAD 57 Sros 48 49 64 250 SSIAD 91 92 93 96 97 Strat gie 4 82 97 153 172 249 Suivi 12 14 16 19 30 42 43 45 46 48 49 56 60 61 69 77 78 79 81 84 91 94 105 109 114 115 121 126 133 134 136 137 141 144 145 146 150 162 163 164 165 167 173 177 190 197 206 207 209 210 211 215 228 232 246 248 260 262 265 266 268 269 TED 56 58 120 121 122 179 196 Territoire 3 4 5 6 12 18 19 27 32 33 34 38 42 45 48 49 51 52 56 57 58 61 62 63 64 65 66 76 81 85 86 89 94 95 97 98 102 106 107 108 115 117 119 120 126 127 128 129 130 134 138 140 142 143 144 145 148 149 152 155 156 157 162 164 166 172 174 176 178 179 180 181 183 184 185 187 188 198 208 209 211 213 217 222 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 239 240 244 247 248 249 250 251 257 258 262 264 267 270 TISF 22 73 74 81 82 102 150 151 Transport la demande 227 228 Uhr 129 UPAD 127 128 129 198 UPHV 123 124 Urgence 16 22 70 103 111 115 126 141 142 164 168 169 172
126. 4 Construire un dispositif et une politique d insertion r pondant aux besoins des personnes au regard des sp cificit s locales Le Pacte territorial pour l insertion cadre de coordination de la politique d insertion conclu entre le Conseil G n ral et ses partenaires met en uvre le Programme d partemental d insertion Ce document de r f rence partenarial pourra se d cliner sur les territoires pour permettre un ancrage territorial fort de la politique d insertion 18 La loi pr voit en outre de renforcer la participation des b n ficiaires dans la d finition des politiques d insertion afin que celles ci correspondent au plus pr s des besoins des publics 5 Repenser l articulation entre insertion professionnelle et insertion sociale Une plus grande fluidit des parcours d insertion est recherch e L orientation r alis e l entr e dans le dispositif doit tre r actualis e r guli rement par les quipes pluridisciplinaires pour tenir compte des changements de situation 6 Favoriser l insertion professionnelle des b n ficiaires de contrats aid s gr ce au contrat unique d insertion CUI Les diff rents r gimes de contrats aid s existants se voient refondus dans un cadre unique le CUI Les modalit s de contractualisation et de suivi du contrat sont de nature renforcer l accompagnement des b n ficiaires et leur insertion l issue du contrat 7 Am liorer le pilotage et la modernisation de la politique de
127. 425 506 euros Ce dispositif a t initi suite un appel projet du Conseil g n ral lanc en 2007 dans le cadre des orientations pos es par le sch ma 2005 2010 qui souhaitait renforcer les possibilit s d aide domicile et d velopper la capacit d intervention en milieu ouvert Le service comprend 21 5 ETP dont 16 ETP de professionnels socio ducatifs et 1 ETP de psychologue et sociologue L activit d but e en janvier 2008 a permis le suivi de 172 enfants Par ailleurs 69 des mesures sont conduit l intervention de 2 travailleurs sociaux et 21 ont mobilis plus de 2 travailleurs sociaux 119 familles ont t concern es soit 1 45 enfants par famille La volont du Conseil g n ral tait de faire travailler le DISMO avec des jeunes en grande difficult 45 du public effectivement accompagn aujourd hui pour lesquels les mesures d accompagnement classique ont chou ou comme alternative au placement II s agit d un accompagnement qui se veut diff rent du SAEMO de court terme prescrit majoritairement pour moins d un an avec une moyenne de neuf mois indiqu e dans le rapport d activit 2008 et conduisant l intervention simultan e de plusieurs professionnels compl mentaires dans la famille avec a minima une intervention par semaine Rapport d activit du SAEMO 2009 78 au domicile Par ailleurs si l objectif initialement poursuivi tait l accompagnement d adolescents le dispositif
128. 5 101 102 112 117 118 206 207 215 216 217 221 222 223 224 232 238 246 Insertion sociale 18 19 62 104 117 202 215 219 223 226 227 229 232 233 236 252 Instruction 43 70 143 208 216 IOE 77 81 IP 15 102 243 244 261 262 263 264 266 Jeune 14 26 31 32 45 47 62 65 66 67 73 77 78 79 80 83 84 90 94 95 101 102 104 112 113 114 115 136 137 138 140 141 143 144 147 149 150 151 163 169 173 175 177 186 187 188 190 191 192 194 196 201 202 213 215 216 217 220 224 226 229 230 231 233 240 245 246 250 251 265 269 Jeunes difficiles 114 202 Jeunes majeurs 14 84 Justice 191 244 250 Lien social 62 226 239 240 Lieux de vie 58 115 147 175 191 199 Lisibilit 47 89 93 105 117 145 206 209 213 216 240 247 266 267 Logement 37 38 73 87 97 98 99 100 101 102 104 106 107 108 109 112 119 125 126 178 182 183 184 194 198 203 214 216 217 227 229 230 231 233 236 238 248 266 267 269 Loi du 2 janvier 2002 13 14 60 90 163 172 190 193 199 200 Maillage 4 51 94 112 122 173 227 244 250 Maisons relais 117 119 121 230 MAS 119 173 181 182 196 245 Masp 103 Mdph 16 95 99 114 121 122 180 182 186 188 201 207 208 221 222 223 238 246 260 267 MDPH 16 95 99 114 121 122 180 182 186 188 201 207 208 221 222 223 238 246 260 267 MECS 113 114 169 175 186
129. 53 154 155 157 162 164 167 168 169 173 178 182 185 187 198 199 226 239 240 241 248 254 266 267 269 Personne handicap e 4 16 21 24 68 89 93 96 97 99 102 104 113 118 119 123 124 125 126 132 148 158 164 170 178 182 185 197 221 222 224 228 234 236 237 240 245 266 267 272 Personne handicap es 4 16 21 24 68 89 93 96 97 99 102 104 113 118 119 123 124 125 126 132 148 158 164 170 178 182 185 197 221 222 224 228 234 236 237 240 245 266 267 272 Personnes g es 4 Personnes handicap es 4 Personnes handicap es vieillissantes 123 124 182 185 240 PJJ 15 62 75 79 80 84 187 192 261 264 Plan d partemental de l habitat 106 PMI 14 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 53 56 57 58 81 102 104 105 136 141 144 145 208 Polyhandicap 16 94 169 197 Pr carit 34 35 38 48 49 65 66 101 105 112 113 120 149 178 188 226 262 270 Pr vention 14 15 22 23 40 42 43 44 45 47 48 49 51 54 56 58 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 73 77 79 80 102 103 114 120 127 128 141 146 151 199 209 215 223 233 240 241 251 Pr vention des risques 67 Pr vention sp cialis e 22 60 61 62 64 65 66 251 Priac 92 178 180 Prise en charge partag e 115 192 201 202 Protection 14 15 16 22 23 42 43 44 45 46 51 61 74 76 79 80 82 84 102 103 146 151 163 185 187 194 201 250
130. 6 67 68 69 82 85 89 90 93 97 101 113 114 120 121 122 129 141 143 144 146 147 150 152 162 163 164 165 172 187 192 195 196 199 207 209 210 211 212 213 214 215 216 222 223 224 251 255 Foyer d partemental 57 168 175 185 186 187 238 Foyer logement 248 Foyers 18 119 123 181 182 183 184 198 230 Foyers d h bergement 117 181 182 196 Foyers de vie 181 196 FSL 107 216 229 Gem 117 G rontologie 69 91 98 119 120 127 130 152 172 211 239 240 244 247 248 249 250 270 275 Grossesse 14 41 42 44 45 46 47 48 105 Groupes de parole 69 128 148 150 152 Habitat 4 12 24 93 97 98 99 101 102 106 108 113 126 230 231 233 246 269 270 H bergement alternatif 129 152 153 154 156 H bergement temporaire 126 128 148 154 155 156 157 195 198 203 230 HLM 36 38 106 108 H pital 47 49 57 70 105 121 169 188 250 264 Hors les murs 207 220 IAE 19 212 213 214 IED 74 76 77 80 IME 94 114 121 173 178 187 194 195 196 197 201 202 246 259 Information 3 4 5 6 12 14 15 16 41 43 44 47 48 55 60 61 64 68 77 80 82 83 89 95 99 100 102 103 108 114 122 129 130 132 133 134 135 140 143 149 150 153 156 168 193 198 199 212 223 234 235 236 240 243 244 248 261 8262 263 264 265 266 267 268 269 270 Insalubrit 37 98 108 109 286 Insertion professionnelle 18 19 9
131. 78 du 2 avril 2009 ces tablissements devront revoir les modalit s de fonctionnement de leur p le scolarit Par ailleurs au m me titre qu un cloisonnement entre accompagnement domicile et en tablissement doit tre vit il n appara t pas opportun d enfermer l enfant dans un seul type de scolarit Le temps partag pourrait ainsi tre mis en place avec une demande tr s forte des parents en ce sens Si des tablissements essaient de l instaurer un dispositif encore trop en tension freine ces initiatives L externalisation des classes d ESMS au sein des coles est galement une modalit qui pourrait tre utilement d velopp e Une int gration plus importante doit ainsi s exercer entre la scolarisation en milieu ordinaire et celle au sein des tablissements sp cialis s Ces passerelles sont encore trop peu fr quentes et doivent tre multipli es afin de concr tiser la volont de permettre l enfant de se voir proposer un parcours sur mesure La r flexion doit donc s engager sur le passage d une logique de structure une logique de dispositif noter que le nombre d enfants b n ficiant d une scolarisation en temps partag a baiss entre 2006 et 2008 de 80 67 Initiatives d partementales et locales Partenariat des coll ges Joachin du Bellay et Tremolieres avec l ITEP La Tremblaie Cholet concernant les parcours partag s Sur les 52 enfants accueillis 18 sont
132. 8 81 83 84 87 89 91 93 94 95 96 97 100 101 102 103 104 105 107 109 111 112 113 114 115 116 117 118 119 121 122 123 126 128 132 136 141 147 148 149 150 151 153 154 155 156 157 159 162 164 165 170 172 178 182 186 187 188 190 191 195 196 197 198 201 202 203 204 206 209 210 212 213 214 217 219 222 223 226 228 229 230 231 232 236 289 240 241 243 245 246 259 260 265 266 Accueil de jour 14 16 128 129 154 155 156 157 169 189 191 192 195 202 203 Accueil du jeune enfant 137 140 147 Accueil familial 117 119 162 163 164 165 168 169 170 174 177 186 195 Accueil s quentiel 191 195 Adolescent 17 49 58 96 113 115 122 Adoption 133 136 AED 73 114 AEMO 22 73 74 77 78 79 80 114 AEP 103 149 AFPA 213 214 224 Agr ment 88 90 133 134 135 137 141 143 144 146 162 163 164 165 167 169 196 Aidants 86 123 126 128 132 148 152 153 159 160 188 266 Aide domicile 78 85 87 88 89 90 91 93 97 151 212 242 Aide la pierre 106 107 Aide sociale 48 83 133 152 162 165 172 201 202 215 Aide sociale l enfance 15 16 48 49 74 77 78 81 82 83 103 112 114 115 133 136 152 162 164 165 166 167 172 173 185 186 187 190 201 202 206 208 215 231 246 252 267 Alzheimer 67 127 128 130 153 198 199 Analyse des pratiques 159 165 APA 20 67 86 87 88 91 99 156 Apr
133. 8 4 437 de b n ficiaires de AAH ont entre 40 et 59 ans soit 52 et 624 b n ficiaires ont plus de plus de 60 ans soit 7 donn es CAF et MSA Ainsi pr s de 60 des b n ficiaires sont g s de 40 ans et plus Par ailleurs l enqu te men e aupr s des b n ficiaires de AAH dans le d partement 470 r pondants montre une propension importante de foyers dans lesquels la personne handicap e vit chez des parents g s la moiti des parents h bergeant leur enfant adulte handicap a plus de 60 ans dont 16 plus de 75 ans La probl matique du Sivit au domicile des parents ges des parents du r pondant 2 45 59 ans 124 E 60 74ans 2 75 ans etplus vieillissement des aidants naturels des personnes en situation de handicap et les solutions de r pit ou de relais pour y r pondre doivent ainsi ne pas tre n glig es dans les r flexions du sch ma La probl matique de l accompagnement des personnes handicap es vieillissantes a d j t travaill e dans le cadre de la mise en uvre du pr c dent sch ma 2005 2010 Une fiche action avait t consacr e au th me Adapter l accompagnement des personnes handicap es vieillissantes permettant d impulser une r flexion autour de ce th me Du sch ma pr c dant ont merg les projets relatifs la cr ation d unit s sp cialis es UPHV et UPHA laissant ouvert l accueil de ces personnes au sein des tablissements sp cialis s handicap ou au s
134. ASA ou UHR au moment o la quasi totalit des personnes entrant en institution sont atteintes de d mence La cr ation d unit s de soins aigus pourrait pr senter l avantage de proposer une prise en charge intensifi e au moment le plus dur de la maladie Par ailleurs le D partement l instar du reste de la France manque de structures pour accompagner les personnes de moins de 60 ans qui ont d velopp ces maladies L entr e en EHPAD se fait alors toujours d faut mais comme seule alternative au long s jour en secteur hospitalier Concernant l accueil de jour le manque d information et les appr hensions de la part des familles sont les raisons le plus souvent invoqu es pour expliquer leurs difficult s de remplissage L information pourrait alors passer par le biais des CLIC Il faut par ailleurs tre vigilant la distribution des capacit s sur le territoire afin notamment de ne pas induire de concurrence entre des structures pr sentant une grande proximit 131 L information L information de l ensemble des acteurs concern s autour de cette maladie est essentielle qu il s agisse du patient de la famille ou encore des professionnels intervenants Si des d partements ont mis en place des MAIA Maisons pour l autonomie et l int gration des malades d Alzheimer le Maine et Loire a affich sa volont de conserver les CLIC en tant que porte d entr e de l ensemble du dispositif g rontologique Une articulation
135. En cofinancement avec l tat des places en structures d insertion par l activit conomique dans des chantiers d insertion et un pr chantier sp cifiquement d di s aux jeunes 20 heures chrono exp rimentation 5 places offertes qui vont mobiliser 20 jeunes sur toute l ann e L accompagnement socio professionnel est renforc et adapt Sur le territoire on note un travail en collaboration entre la Mission locale et le PLIE d Angers aupr s du public inscrit dans les dispositifs TRACE et CIVIS pour faciliter l acc s aux structures d insertion Par ailleurs la DDETFP porte le dispositif exp rimental issu du Plan Espoir Banlieue les Contrats d autonomie pour les jeunes habitant en zone CUCS 200 nouveaux contrats ont t sign s en 2009 Les r sultats avec un taux de sorties positives de 45 sont meilleurs qu au niveau national 33 C L insertion professionnelle des personnes en situation de handicap Liminaires e Un dispositif en volution Les l gislations successives ont progressivement pr cis et modifi le statut de travailleur handicap L article L 323 10 du Code du travail issu de la loi de 1957 fixe la d finition du travailleur handicap est consid r comme travailleur handicap toute personne dont les possibilit s d obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement r duites par suite d une insuffisance ou d une diminution de ses capacit s physiques ou mentales Par la
136. En effet la souffrance psychique et les sympt mes qui l accompagnement sentiment de ne plus pouvoir assumer ses responsabilit s absence de capacit de mobilisation autour d un projet d n gation agressivit rendent impossible la mise en place de solutions dans le cadre de dispositifs classiques qu ils soient sociaux ou psychiatriques Les professionnels notent donc pour une partie des publics qu ils accompagnement la r currence des checs par exemple la succession d actions d insertion sans progression de la situation ou des ruptures de trajectoires fin de prise en charge au sein du MECS d un adolescent difficile mettant en difficult le travail des ducateurs Ces publics d faut de prises en charge adapt es font l objet de renvois entre les dispositifs sanitaires m dico sociaux et sociaux ce qui conduit d finir des cat gories de personnes comme la marge des dispositifs entre insertion et handicap par exemple jeunes avec profil difficile personnes en situation de handicap social Ces publics nouveaux posent ainsi des enjeux forts en termes de coordination au sein du secteur social et m dico social mais galement avec le secteur psychiatrique notamment par manque de perspective pr ventive la faible articulation du secteur psychiatrique laisse g n ralement aux professionnels du secteur social et m dico social l impression de devoir assumer seuls le traitement de probl matiques qu ils
137. F appara t h t rog ne selon les circonscriptions Segr r alise le plus grand nombre de visites encadr es 15 en 2008 et on compte une forte augmentation du nombre de visites en un an 40 visites encadr es en 2007 contre 74 en 2008 Les associations de TISF mettent le souhait de discuter avec leur financeurs de la mise en uvre d un r f rentiel commun pour les visites encadr es Ce r f rentiel peut notamment permettre d harmoniser les pratiques entre circonscriptions et de mieux d finir ce qui rel ve du r le du r f rent ASE et ce qui rel ve des missions d une TISF 3 Les mineurs isol s trangers En 2008 la D fenseure des Enfants a publi un rapport comptant 25 recommandations pour contribuer l laboration d une strat gie nationale de prise en charge des mineurs trangers isol s Ces recommandations sont class es en six chapitres intitul s comme suit I Faciliter et personnaliser le droit l information des mineurs trangers isol s arriv s par voie a rienne le mineur doit comprendre la langue dans laquelle il est inform de ses droits droit d tre assist d un interpr te d un m decin d un avocat droit d tre repr sent par un administrateur ad hoc droit de b n ficier d un jour franc droit d asile droit une carte t l phonique droit de recevoir des visites en zone d attente IL Renforcer l assistance la repr sentation et le conseil aux mineurs trangers isol
138. PH en fait un relais important aupr s des familles M me si l accueil t l phonique reste une difficult perte importante des appels 4 ETP ont t affect sp cifiquement cette t che Enfin la MDPH est pr sente sur le territoire avec la mise en place de relais territoriaux permettant de r aliser un accueil de proximit accueil de premier niveau r alis par conventionnement avec 13 CCAS Cependant les usagers ne consid rent pas encore la MDPH comme un guichet unique par lequel ils peuvent obtenir l ensemble des informations dont ils ont besoin lls pr f rent en effet faire appel des acteurs de proximit Par ailleurs les Centres locaux d information et de coordination CLIC ont t cr s par la circulaire du 18 mai 2001 dans la volont d en faire un dispositif de proximit d di en priorit aux usagers Au nombre de 12 sur le territoire ils connaissent une dynamique h t rog ne selon les zones d intervention Les Maisons de l autonomie sont aujourd hui exp riment es dans un certain nombre de d partements visant la convergence des guichets d information existants en faveurs des personnes g es et des personnes handicap es sous la forme d un regroupement de structures simple rapprochement g ographique des quipes ou par la mutualisation d outils r flexion sur les pratiques professionnelles avec la mise en commun d outils m thodes et professionnels Le Maine et Loire a d b
139. SAVS Par ailleurs 4 SAMSAH vont tre cr s d ici 2013 permettant d offrir 86 places en plus et 1 SAVS de 5 places d ici 2011 La structuration de l offre appara t dans son mode de fonctionnement actuel non dans le nombre de places ce jour encore insuffisante au niveau du D partement Ainsi en 2009 99 personnes b n ficiant d une orientation en SAVS SAMSAH n ont pu tre effectivement accompagn es Un fonctionnement en file active pourrait rem dier au moins partiellement l cart entre l offre et la demande Orientationsen ursen Nb de d cisions Nb d admisen 7 a EME ES tablissement pere VS 471 395 84 SA SAMSAH 127 104 82 598 499 83 Le d veloppement d autres types de services d accompagnement appara t en effet n cessaire afin d tre en mesure de r pondre l augmentation de la demande et de pouvoir offrir une palette la plus diversifi e possible Dans ce cadre le d partement a su d velopper des SSIAD PH on compte huit services permettant d offrir une capacit de 55 places et de 96 couvrir l ensemble du territoire Par ailleurs un SSIAD de 10 places va tre cr dans le Choletais d ici 2012 La diversification des modes d accompagnement domicile constitue un enjeu fort qu il est n cessaire de travailler dans le cadre du sch ma Les services d aide domicile nombreux dans le d partement sont aujourd hui essentiellement tourn s vers l accompagnement des personnes g
140. SROS Ill et d clin e par la suite au sein des Projets m dicaux de territoire pour les territoires de Cholet Saumur et Angers En ce qui concerne l offre sur le territoire on compte 1 Centre hospitalier universitaire Angers et 2 centres hospitaliers Cholet et Saumur Le d partement l image de la R gion appara t tr s bien pourvu en termes d h pitaux locaux on en compte 13 sur le territoire ainsi que 8 cliniques qui fonctionnent en lien troits avec les h pitaux avec une localisation g ographique sur le m me site ou la mise en place de conventions Concernant les soins de suite on compte 18 sites sur le d partement ainsi que 2 sites de r ducation et de r adaptation fonctionnelle dont le C3RS d Angers Enfin 2 quipes mobiles en soins palliatifs permettent de compl ter le dispositif Enfin si le d partement poss de une densit de m decins g n ralistes proche de la moyenne m tropolitaine on observe des d s quilibres patents sur le territoire avec une moindre densit dans les zones rurales Le territoire semble disposer d un maillage sanitaire plut t important permettant d offrir un service de proximit Seul le Nord Ouest et l Ouest du d partement Champtoceaux ou Montrevault notamment ne disposent pas de structures de proximit imm diate L enjeu consiste donc en la pr sence d une fili re de prise en charge g riatrique compl te sur chaque territoire ce qui n est pas encore le cas au
141. a t amen prendre en charge un public beaucoup plus large avec 63 des enfants g s de moins de 13 ans Les personnes orient es l ont t majoritairement suite des alternatives de placement ou encore des aggravations de situations Sur l ann e 2009 le DISMO a suivi en moyenne chaque mois 148 enfants urce Fapport d adtivt du DIMO F vrier 2010 urce Rapport d adti vt du DIMO F vrier 2010 cd 4 Nombre de mineurssuivis par le DISMO en 2009 156 158 153 1 59 145 ES 135 150 147 142 142 132 4 Nb de mineurs pr sents Nb de mineurs sortis Suitesdonn esauxmesuresarriv es ch ancesfin 2009 28 29 19 AMO amp Placement amp Main lev e 1 ch ance u Majorit Renouvellement Par ailleurs 166 enfants sont sortis du dispositif 14 pour une mainlev e et 67 dont la mesure arriv e ch ance n a pas t poursuivie 10 ont atteint la majorit et 70 ont trouv une place au sein des autres dispositifs 43 en sein du SAEMO et 27 en placement Enfin 63 mesures ont donn lieu un renouvellement de la mesure administrative renforc e soit 28 La diversification des mesures judiciaires constitue un enjeu cl pour les dispositifs de protection de l enfance est effective dans le Maine et Loire travers le DISMO qui met en uvre des AEMO renforc es Deux facteurs principaux impactent le profil des jeunes suivis en AEMO et n cessitent d
142. a coordination des professionnels familles coordonner l action des professionnels Mettre en place desr seaux d action Prendre en charge les mineurs auteurs de Veiller aux conditions d accueil et d accompagnement maltraitance sexuelle initier une r flexion sur la prise en charge de s mineurs Am liorer le suivi et l accueil des mineurs d linquatnts Compl ter le dispositif de suivi et de prise en charge Am liorer le fil rouge dansle parcours desjeunes Organiser lafluidit du dispositif antidper la sortie et renforcer l accompagnement ducatif apr s un placement en CPI CERou CF Mieux prendre en compte lesp riodes interm diaires entre la sortie d un tablissement et l entr e dansun autre pour viter lesruptures de parcours ou lad mobilsiation du jeune Associer et responsabiliser Impliquer et responsabiliser les parents dansle traitement des les parents desmineurs mineurs d linquants d linquants Renforcer la coordination d partementale Contractualiser avec Piloter ensemble le lesassodations Lancer des appels projet Formaliser un dispositif de protection de syst me d partemental d information Donner de la souplesse l enfance au cadre financier Mettre en place une fonction d observatoire sodal Pasr alis Dynamique endench e avec les partenaires d veloppement d accueils s quentiels au sein des MECS prise en charge partag e quipe ressource Pas r alis Commission n existe plus depui
143. a fonction de d l gu aux prestations familiales Les prestations familiales sont alors vers es une personne physique ou morale Les principaux enjeux de la loi prendre en compte dans le cadre de l laboration du sch ma articulation avec les acteurs de la protection de l enfance quipes de pr vention sp cialis e intervenants aupr s des familles Le r le du maire en mati re de pr vention de l absent isme et de la d scolarisation Organisation et pilotage du dispositif La pr vention sp cialis e est assur e dans le d partement par le service de PASEA 49 depuis 1973 Une convention quadripartite entre l association le conseil g n ral les communes Angers Cholet Saumur Tr laz et les communaut s de communes Angers Loire M tropole Saumur Loire D veloppement et Communaut d agglom ration du Choletais a t sign e en 2009 pour organiser les relations entre les diff rents acteurs Comme convenue dans la convention le service de pr vention sp cialis e intervient sur 13 quartiers dans les communes d Angers de Tr laz de Saumur et de Cholet ainsi que sur l ensemble du territoire d partemental en ce qui concerne les gens du voyage Pour cela le service dispose de 50 47 ETP dont 38 ETP d ducateurs sp cialis s au 31 d cembre 2008 Le service est financ en grande majorit par le Conseil g n ral 88 soit 2 2 Millions d Euros environ en 2008 La capacit du service a augment
144. a qualit de l environnement au sein duquel va voluer la personne accessibilit de son logement existence de transports adapt s ou encore lutte contre l isolement social Plus globalement la r flexion entam e lors du pr c dent sch ma doit tre poursuivie Au niveau d partemental le mouvement enclench appara t en effet encore trop timide aux vues de l importance de la probl matique tant en nombre qu en termes d enjeux de qualit d accompagnement L tude concernant le vieillissement des personnes handicap es met en exergue plusieurs exp rimentations mises en uvre en France et l tranger qui constituent autant de pistes de r flexion dans la recherche d un accompagnement adapt un grand nombre de situations diversifi es Pour les personnes b n ficiant d une certaine ind pendance la mise en place de logements dans des petits pavillons de 10 personnes b n ficiant d un SAVS La construction de lotissements interg n rationnels se d veloppe galement permettant de mettre en lien un ensemble de publics diversifi s Le d partement poss de ce type de structure mais uniquement en ce qui concerne le public des personnes g es et de la petite enfance cr che jouxtant un EHPAD Les Maisons d accueil temporaire proposant un h bergement ponctuel et la carte toute personne r sidant sur le territoire de cette maison De mani re plus g n rale la recherche de modes d accompagnemen
145. acit et l efficience des proc dures d orientations et de placements en accueil familial Le d veloppement de centres d accueil familial sp cialis s Il existe au sein du d partement deux Centres d accueil familial sp cialis s CAFS situ s Angers Le CAFS est agr pour recevoir une population dont l ge varie de 0 20 ans Il peut accueillir des sujets pr sentant des troubles de la conduite et du comportement une d ficience intellectuelle un syndrome autistique un poly handicap Son agr ment est de treize places Il permet une prise en charge physique de fa on souple et individualis e accueil de jour de semaine accueil discontinu ou compl mentaire une prise en charge institutionnelle et s adapte en fonction de l volution de l enfant et de sa famille Le premier compte 28 places pour les enfants pr sentant des TCC le second compte 9 places pour les enfants pr sentant une d ficience motrice et 7 places en faveur des enfants polyhandicap s Il existe par ailleurs un service d accueil familial th rapeutique organis par le CESAME Cependant sur les 22 familles 1 seule accueille des enfants 3 en 2009 Les familles d accueil sont recrut es et r mun r es par l h pital selon un protocole d fini et apr s agr ment d une commission form e de membres de l h pital Une quipe pluridisciplinaire assure l coute le soin et la r solution des conflits La mise en place d un accueil t
146. actions permettent notamment de sensibiliser les petits commerces de cat gorie 5 La D D T a mis en place un forum permanent les matin es accessibles avec la participation de plusieurs partenaires Pr fecture Union Nationale des Syndicats Fran ais d Architectes Repr sentants d associations de personnes handicap es Comit D partemental au Tourisme CAPEB Membres de CCDSA Acc s Cit Chambre de Commerce et d Industrie ayant pour but d tre des espaces d changes et de rencontres Par ailleurs les communes taient astreintes l obligation d approuver des Plans de mise en accessibilit de la Voirie et des Espaces Publics PAVE avant le 20 d cembre 2009 Ce document doit permettre de r aliser un diagnostic de l existant puis de mettre en place des groupes de travail afin d obtenir une vision prospective sur les travaux r aliser pr cision 237 des conditions de r alisation et des d lais la mise en accessibilit de la voirie et des espaces publics n tant pas soumise l ch ance du 1 janvier 2015 La carte ci dessous mise jour au 1 f vrier 2010 permet d indiquer l tat d avancement des communes ce sujet Plan de mise en accessibilit de la voirie et desam nagements desespacespublics M D marcheslanc es E D marchesapprouv es ur Direction d partementale des Territoires de Maine et Loire F vrier 2010 ce jour on compte seulement 11 communes ayant appro
147. age sp cifique ntert plaquette handicap es Organisation de forums et de r unions au sein de la MDPH r er un r seau d partemental familles Territorialisation de la MDPH pour un accueil et une 1 d information en lien aveclaMDPH professionnels distribution de l information en proximit avecles personnes Am liorer le suivi des par urs et la Formalis essentiellement dans la mise en place de la MDPH coordination des Anoterlac ation d outils sp dfiques et individualis s interventions livrets de parcours Aocompagner le D velopper le nombre de placesen d veloppement de la Croissance r guli re du nombre de places positionannt le 2 SESSAD scolarit d partement au dessus desratios nationaux Favoriser la souplesse Accord d une d rogation pour les plus de 20 ans dans l attente des r ponses d un accompagnement par des structures pour adultes D velopper Mieux se coordonner autour de la l int gration sociale et 3 scolarit scolaire action li e lapr c dente D velopper les articulationsentre le secteur m dico social l Education Nationale et les servi s de soin aucune mise en uvre sp dfique identifi e favoriser l int gration en cr che ou halte Am liorer aide domicile et garderie et en Accueil dansles cr ches non sp dalis es mais avec de fortes 4 int gration sociale desenfants structures de loisir difficult s d accompagnement initier un dispositif d aide aux aidants Formation des AVS Favoriser l
148. ailleurs un rapport concernant le vieillissement des personnes handicap es a t r alis fin 2009 et met en exergue des constats et un certain nombre de pistes d orientations Plusieurs constats ont merg tout d abord la concentration des personnes au sein des zones urbaines Angers Cholet Saumur avec une ruralit plus marqu e pour les personnes de plus de 60 ans L tude met en avant des espaces sur lesquels une attention particuli re devra tre port e qui ne sont plus n cessairement les espaces urbains mais des zones interm diaires les cantons de St Georges sur Loire St Quentin le Vieil ou encore Longu Jumelles Par ailleurs l analyse de l ad quation entre l accessibilit des communes et le nombre de b n ficiaires de la CI g s de 40 ans et plus permet de rep rer des communes peu accessibles alors m me qu elles disposent d un nombre important de personnes handicap es g es C est le cas par exemple des communes situ es entre Notre Dame d Allen on et Noyant la Plaine au Sud ou des communes de Soeurdres et Contign au Nord s Territoires favoris s faible rythme de vieillissement et bonne accessibilit 13 communes Angers o Territoires probl matique essentiellement d mographique Soumis w Territoires d favoris s fort vieillissement et score d accessibilit faible 85 communes 4 urce rapport sur les PHV novembre2009 _ Territoires sans b n ficiaire de ca
149. aine et Loire intervient la demande des lus ou des associations sur des actions de sensibilisation et de formation destination des professionnels en ce qui concerne la lutte contre la maltraitance La DDASS de Maine et Loire a organis les Assises de la bientraitance en septembre 2009 r unissant les professionnels du service domicile ainsi que les intervenants en tablissements 5 Enqu te aupr s des EHPAD du d partement 31 de r pondants Mars 2010 69 2 Les mineurs victimes d abus sexuels la maltraitance sexuelle Organisation et pilotage du dispositif En d cembre 2004 une cellule vigilance p dophilie est cr e avec pour objectif de faciliter l change entre les services judiciaires et les travailleurs sociaux Il s agissait d am nager le secret professionnel afin de pr venir les situations risques notamment sur le champ de la d linquance sexuelle En juin 2005 la Permanence d accueil p diatrique de l enfance en danger PAPED a t cr e au sein du CHU d Angers pour permettre l audition des mineurs victimes de violences sexuelles et autres maltraitances Le projet est n de la volont de structurer la prise en charge de la maltraitance au sein du CHU d Angers le soutien de l Association La Voix De l Enfant permettra de financer un lieu d audition permanence d accueil pour les enfants en danger Par la suite un grand nombre d acteurs se sont impliqu s qu il s agisse des services ho
150. aire sport culture parentalit la citoyennet et la pr vention de la d linquance l am lioration de la pr vention et de l acc s la sant Le Conseil g n ral du Maine et Loire a fait le choix lors de la signature des trois CUCS de participer au financement des actions intervenant dans le cadre de trois th matiques la parentalit les jeunes l insertion sociale et le logement Pour l ensemble des CUCS du d partement le conseil g n ral est intervenu en 2009 hauteur de 460 000 pour l ann e 2009 dont 56 652 euros pour le CUCS d Angers 103 740 euros pour Cholet et 102 740 euros pour Saumur S ajoute le financement de 155 668 euros au titre des correspondants de nuit Angers et Tr laz action qui rentre dans le champ de la pr vention de la d linquance Cette subvention des correspondants de nuit est en place depuis 1999 Angers et 2007 Tr laz et permet des professionnels d intervenir sur des quartiers prioritaires la nuit Le budget du Conseil g n ral ce titre a augment 80 entre 1999 et 2007 en ce qui concerne Angers Le D partement souhaite travailler sur la clarification de son intervention aupr s des partenaires avec notamment une confusion autour du financement des correspondants de nuit ainsi que le respect des priorit s fix es pour l octroi des subventions CUCS Par ailleurs le Conseil g n ral participe au financement du dispositif Ville Vie Vacances VVV dont la r par
151. aire doit permettre la mobilisation de logements destin s l h bergement temporaire de personnes en difficult s Il s agit d une aide forfaitaire attribu e en fonction de la taille du logement aux associations ou organismes avec lesquels l tat a pass une convention 60 des m nages h berg s dans des logements en ALT font l objet d un accompagnement financ par le FSL 250 personnes en 2008 115 logements sont conventionn s 49 Angers 34 Saumur et 10 Cholet pour une capacit d accueil de 320 places Environ 250 m nages sont h berg s par an pour la moiti des b n ficiaires de minimas sociaux RSA Enfin 65 des m nages r alisent une sortie vers un logement autonome le plus souvent vers le parc social Initiatives d partementales et locales Un dispositif exp rimental d accueil et d h bergement haut seuil de tol rance gt a ouvert en d cembre 2008 Angers Ce projet consiste en l h bergement et l accompagnement de 20 personnes en situation de grande exclusion qui ont t rep r es par le Samu social l accueil de jour et le SAO Par ailleurs la probl matique de l accompagnement des demandeurs d asile est importante sur le d partement plus sp cifiquement au sein de la ville d Angers Plusieurs dispositifs ont t mis en place Trois Centres d accueil pour demandeurs d asile CADA repr sentent 260 places sur le d partement en janvier 2010 140 places en h bergement clat
152. alette de r ponses offertes aux parents en difficult 46 L entretien m dico psycho social du 4 mois de grossesse est une pr conisation de la loi du 5 mars 2007 r formant la protection de l enfance Il s agit d une action de rep rage pr coce mise en uvre par des professionnels form s l exercice La mise en place d un tel dispositif doit tre accompagn d une r flexion sur les outils mobilisables outils de rep rage bilans r dig s archivage r f rentiel des pratiques protocoles permettant la mobilisation de partenaires en cas de d pistage de certaines pathologies Un travail de partenariat a t entam en 2007 en direction des Centres Hospitaliers priv s et publics d hospitalisation des femmes enceintes mais galement des sages femmes lib rales du d partement afin de r aliser un effort de lisibilit aupr s des jeunes parents Cette d marche s est concr tis e par la mise en place de r unions semestrielles entre les sages femmes de PMI et les sages femmes lib rales Un effort de communication a ainsi t r alis avec l envoi de courriers de mise disposition syst matiquement adress s aux femmes enceintes lors des d clarations de grossesse Cependant la carence de sages femmes dans cinq circonscriptions ob re la r alisation de cette activit et la surcharge des professionnels limite de mani re importante l effectivit de cette mission dans les autres circonscriptions En 2008 on
153. amille m re p re fratrie pouse poux Ce nouvel imp ratif participe du choix de maintenir la personne dans son domicile et son environnement Les fondements de ce pan de l action sociale sont sensiblement les m mes quel que soit le dispositif Il s agira toujours dans la mesure du possible de travailler Le lien entre le b n ficiaire et sa famille Le soutien psychologique p dagogique ducatif qui peut tre apport aux membres de la famille dans l aide qu ils peuvent eux m mes d ployer aupr s du b n ficiaire La qualit de l information qui peut tre fournie L ensemble des actions concourant ce soutien doivent in fine viser faire des membres de la famille des aidants dans la prise en charge sans d t riorer un lien affectif qui se trouve parfois sur la br che ou risque de s y retrouver Dans cette coh rence globale on identifiera plusieurs pans d un sch ma unique au sein duquel les traits d union doivent tre travaill s Il s agit de l adoption de l aide la parentalit de l organisation du lien parent enfant durant le placement de celui ci de l aide aux aidants qui accompagnent des personnes g es et des personnes handicap es La construction et le maintien du lien ainsi que l accompagnement personnalis des membres de la famille sont les deux axes d valuation et de r flexion de l action sociale et m dico sociale L affectif pr dominant tr
154. amille des personnes g es et des personnes handicap es Bien que l action des agents au sein des circonscriptions traversent l ensemble des dispositifs donc l ensemble de ce sch ma l option a t prise de proposer quelques focales a L action en soutien de l Enfance et de la Famille Les interventions dans le cadre de la pr vention et de la protection de l enfance concernent les Interventions ducatives domicile la prise en charge des enfants confi s incluant l accompagnement de la famille visites encadr es TISF entretiens d aide et de soutien ou encore les valuations dans le cadre des Informations pr occupantes Par ailleurs c est au sein des circonscriptions que sont mises en uvre les missions de la Pr vention et de la Promotion de la Sant Familiale et de la Protection Maternelle et Infantile PPSF PMI Il s agit ici de se pencher plus sp cifiquement sur l ensemble des mesures en circonscription s inscrivant dans le champ de la pr vention et de l autonomisation des familles en dehors de toute contractualisation avec le service de l ASE Le Conseil g n ral a souhait 12 Document cadre de la Direction de l action sociale territoriale mars 2009 102 d velopper ces actions avec la cr ation de 13 postes d ducateurs de pr vention dans les circonscriptions depuis 2004 Les professionnels de la circonscription avec un r le important de l ducateur de pr vention sur ce champ
155. amment celle d Angers Ces mouvements concernent pour leur grande part des jeunes couples actifs qui souhaitent b n ficier d un autre cadre de vie suite l arriv e de leur premier enfant Les besoins sont donc importants et l offre en accueil individuel suit cette demande on compte 1 704 ASSMAT sur les circonscriptions d Angers couronne Sud et Nord Enfin les villes d Angers Cholet et Saumur concentrent un nombre important de l offre en accueil collectif de ce fait l accueil individuel sera moins d velopp Ce constat s observe tout particuli rement au sein de la ville d Angers qui totalise 9 de l offre en assistants maternels du d partement 757 ASSMAT L Unit d instruction et de formation des assistants maternels r alise notamment les missions suivantes o Information aux candidats O Saisie et instruction des dossiers d agr ment o Formation des assistants maternels On compte 844 premi res demandes d agr ments en 2009 contre 779 en 2008 Cette augmentation peut tre corr l e la situation conomique actuelle incitant ainsi plus largement des personnes en recherche d emploi demander le statut d assistant maternel Par ailleurs le taux de refus appara t sensiblement identique entre les deux ann es 22 de refus en 2009 20 en 2008 Dans la circonscription des Mauges il est tr s lev en 2008 36 des demandes se sont heurt es un refus d agr ment soit 47 dossiers en majorit pour des motifs d
156. amment par un appui technique autour des situations rencontr es par les circonscriptions les tablissements et les services de milieu ouvert mais cette d marche n a pas t mise en uvre Le constat est le m me en ce qui concerne les accueillants familiaux qui manquent de lieux de partage de leur exp rience ou qui peuvent se trouver parfois d munis face des situations complexes handicap psychique par exemple 167 B Une r partition territoriale h t rog ne 518 Assistants familiaux pour les 98 Accueillants familiaux pour les enfants confi s l ASE personnes g es et handicap es Gurce Conseil g n ral de Maine et Loire 2009 Nombre d assistants familiaux en2009 Taux d quipement pour 1 000 enfants de 0 21 ans en 2009 75 en o E Pusde 3 a 8 E De25 3 2 De 2 5 5 Moinsde 1 Comme dans la plupart des d partements la r partition territoriale des assistants familiaux est in gale et dans l ensemble polaris e sur les zones rurales Ainsi les circonscriptions de Dou la Fontaine et des Mauges comptent un taux d quipement plus important avec 137 ASSFAM soit 26 du total Si ces deux territoires concentrent un taux tr s faible d accueillants familiaux du public g et handicap l offre reste cependant concentr e dans le rural dans le Nord Est du d partement avec 17 familles sur le canton de Longu Jumelles Un d ficit d
157. ance et la pr vention s l ve en 2010 89 6 Milions d euros soit 31 de l ensemble des d penses sociales Ceci correspond une volution de 5 par rapport au budget primitif de 2008 Concernant la protection de l enfance le total des ressources consacr es s l ve en 2009 61 8 Millions d euros Ceci correspond une augmentation de 9 54 entre 2007 et 2009 Les volutions sont diff renci es selon les segments d intervention On peut en effet distinguer trois cat gories d interventions e Les dispositifs dont l augmentation est sup rieure ou proche de la moyenne g n rale d augmentation les secours d urgence 62 taux le plus lev l accueil en tablissement 8 e Les dispositifs dont le budget est relativement stable les AEMO 2 la pr vention sp cialis e 2 e On rel ve enfin la baisse des cr dits allou s aux TISF 4 entre 2007 et 2009 22 L accueil en tablissement compte au total pour pr s de 80 du budget de la pr vention et de la protection de l enfance Budget primitif 2010 d pensesEnfan famille en 150 000 148500 il Li Accueil jeune enfant 1296 000 00 30 000 F 2200 000 13810000 amp D velopper lapr vention travailleuses familiales AHVO pr vention sp cialis e kl Accueil au sein des tablissements familles d accueil t Allocations et frais de transport E Adoption 71954000 E Accompagner la sant publique Surce Di
158. andicap es Enfance Famille ou de la programmation Insertion Habitat D sormais il faut viser une coh rence d ensemble On parlera alors de pilotage en interne de structuration des partenariats de la capacit 4 d cloisonner autant que possible les dispositifs et les services On voquera aussi la fluidit de l information fournie les canaux utilis s entre le si ge et ses territoires entre le d partement et ses grands partenaires institutionnels On s int ressera aux m thodes d observation la capacit objectiver des probl matiques territoriales et des situations individuelles complexes On identifiera les actions communes ou les mutualisations pour g n rer des gains d efficience La coh rence d ensemble interrogera la capacit donner des impulsions viter les ruptures mettre chacun devant ses propres responsabilit s Homog n it quit coh rence le cadre est trac l esprit est insuffl Certains points demeurent pr ciser Ces trois ma tres mots renvoient chacun de mani re diff rente la question de la transversalit Le th me est la mode mais la coquille est souvent vide Elle est m me r guli rement invoqu e comme une solution miracle celle qui permettra lavenir d viter l aporie d une situation embarrassante Au sein d un sch ma unique la notion de transversalit se d cline plusieurs niveaux Il s agit tout d abord d valuer la c
159. ans pass entre les personnes concern es et les services sociaux du d partement et repose donc sur la libre adh sion du b n ficiaire qui s engage suivre des actions ducatives Il s engage mettre en uvre tous les moyens pour lui permettre de retrouver son autonomie Le D partement peut demander une participation financi re du b n ficiaire pour cet accompagnement en fonction 103 de ses ressources Ce n est que si la MASP choue qu interviendra la mesure d accompagnement judiciaire MAJ Au 31 d cembre 2009 27 MASP taient en cours dans le D partement c Les actions d insertion et le logement Les circonscriptions disposent galement d un r le important en ce qui concerne l insertion et le logement Concernant l insertion les professionnels des circonscriptions r alisent un accompagnement vers l insertion sociale professionnelle et de sant travers des entretiens des visites domicile des accompagnements dans des structures ou encore des actions collectives Par ailleurs elles r alisent les ouvertures de droits pour le logement et un accompagnement la fois pour l acc s et le maintien dans l emploi Enfin les jeunes sont tout particuli rement concern s avec un accompagnement la fois financier d coute et d orientations r alis par les professionnels des circonscriptions Les circonscriptions sont m me d accueillir et de r aliser des actions de soutien en faveur des personnes g es et
160. ant Am liorer l acoompagnement des Proposer toutesles familles concern es une intervention du mise en place en 2009 de l espace adoption au 2 parents l arriv e d un service adoption engager lar flexion sur l accompagnement de 4 es sein du CAMSP OMPP d Angers enfant dansle cadre de lacr ation de liens l adoption 3 Consolider et d velopper P renniser et optimiser les r seaux d action autour de la Consolidation du r seau p rinatalit Pass les r seaux d action autour naissance p rinatalit de lanaissance Favoriser les articulations identifier les mandatset missions de Extension de laliaison hospitali re aux h pitaux chacun ext rieurs du d partement A i un groupe de travail s est misen place sur ce Organiser le lien parent s A k net sujet permettant la production d un cadre de 4 enfant danslessituations Renforcer lescordinationsentre lessecteursde p rinatalit de r flexion Mais les modalit s concr tes d actions de placement protection de l enfance de lap dopsychiatrie adulte Travailler n ont pasencore t d finies le lien en amont des placements d velopper une offre de services souples Organiser lesrelaisentre les acteurs de pr vention g n rale et Initiativesisol es drconscriptions notamment 5 Sappuyer sur lesacteurs lesservics sp dialis s Promouvoir une action sociale de mais pas d actions partag es ou de ligne de pr vention g n rale laisison directrice daire Sutenirlesinitiativesdes
161. ants contre 0 4 pour la moyenne de l ensemble des d partements permettant au d partement de se situer au dessus de la moyenne avec 1 73 ETP de pu ricultrices et d infirmi res pour 250 naissances contre 1 6 pour la France m tropolitaine Ainsi de mani re g n rale les effectifs des professionnels de la PMI de Maine et Loire apparaissent relativement faibles eu gard la France m tropolitaine et aux autres d partements de la r gion Avec 90 05 ETP au total on compte 8 9 professionnels pour 1 000 naissances ce qui situe le d partement un peu au dessus de la Vend e 8 4 ETP pour 1 000 et du Bas Rhin 8 7 mais en dessous de la Loire Atlantique et la Sarthe respectivement 10 5 et 12 6 ETP pour 1 000 naissances ou encore de l Indre et Loire 13 7 ETP pour 1 000 source ANDASS 2008 Le service d partemental de Protection Maternelle et Infantile de Maine et Loire est int gr la direction Enfance Famille Le service est dirig par un m decin chef et compte trois Unit s sous sa responsabilit e L Unit de pr contentieux Assistants Maternels et Assistants familiaux e L Unit d instruction et de formation Assistants maternels e Unit modes d accueil p rinatalit et planification familiale Le service de la planification a t r int gr au service de PPSF PMI en octobre 2007 et les 4 centres en gestion directe se placent donc sous la responsabilit hi rarchique du m decin chef de PMI Il a en effet p
162. ap o l effet fili re pr sente de lourds inconv nients mais est en soi structurant la g rontologie n cessite la mise en uvre d actions fortes de coordination et la mise en place d une structure de coordination g rontologique est un enjeu majeur pour l ensemble des acteurs du d partement Ces derni res ont pu notamment passer par la cr ation des CLIC 12 Dans le Maine et Loire comme dans la plupart des d partements ces instances ont souffert d un manque de l gitimit d un manque de visibilit d un manque de lisibilit et d un profond isolement Malgr une couverture du territoire int grale plusieurs difficult s ont t soulev es L incertitude des CLIC quant aux missions qui leur sont assign es La fragilit du r seau avec des CLIC isol s g r par un personnel insuffisant Carte des CLIC du Maine et Loire Avril 2010 CLIC NORD EST ANJOU T2 LS EE LOIRE AUTHION s PAYS SAUMUROIS 250 Initiatives d partementales et locales Travail de coordination entre certains CLIC et les circonscriptions en ce qui concerne la r partition des comp tences sous forme de r unions permettant de formaliser les partenariats et les missions de chacun La Charte de coop ration territoriale des services d aides domicile permettant de structurer le dispositif sur l ensemble du territoire Les CCAS interviennent galement aupr s du public et r alisent une action de coordination Par
163. apacit des acteurs d passer leur cadre traditionnel d intervention pour voluer sur des champs qui ne rel vent ni de leur connaissance technique ni de leur comp tence Ce n est pas la confusion des genres qui est ici recherch e c est la capacit d un acteur quel qu il soit mobiliser les experts des champs connexes pour mieux comprendre et agir sur une situation C est aussi celle qu il doit d velopper d une meilleure connaissance des interventions sociales et m dico sociales qui sont en proximit avec son quotidien La transversalit concerne ensuite l ensemble des passerelles que les institutions sauront mettre en place pour faciliter la coh rence de l Action Publique Rel vent de ce champ de r flexion toutes les initiatives innovantes qui ont vis contourner les contraintes institutionnelles r glementation trop rigide ou pesanteur administrative Cet imp ratif a pour cons quence au sein de la partie valuative que ne seront pas pass es au crible uniquement les actions du Conseil g n ral Bien au contraire il sera plus que n cessaire de s int resser aux interventions de ses partenaires la coh rence et la transversalit s tudiant aussi dans les liens existant entre les institutions Notamment les ponts avec les dispositifs dits de droit commun seront source de richesse en termes de r flexion et d am lioration de la qualit des interventions Enfin la transversalit doit tre d clin e
164. arge la cr ation le financement et la gestion du Fonds de Solidarit pour le Logement FSL qui vise aider les m nages concernant les d penses li es au logement aide aux locataires en difficult et mise en place de l accompagnement social des b n ficiaires En 2008 le fonds a t mobilis par 6 505 m nages avec 9 941 aides individuelles accord es pour plus de 2 13 millions d euros Par ailleurs du 1 janvier au 15 septembre 2009 5 571 dossiers ont t re us soit une volution de 14 par rapport 2008 71 des aides accord es l ont t en faveur d un maintien dans le logement 29 de demandes concernaient l acc s au logement pour un total de 796 982 euros soit une moyenne de 283 euros par m nage Le fonds a vu sa gestion internalis e au 1 janvier 2009 et son r glement d intervention renouvel Les proc dures d attribution ont t harmonis es entre les territoires avec la mise en place d une commission unique r unissant 8 instructeurs 900 m nages b n ficient de mesures d accompagnement social li au logement dont plus de 20 sont en situation d h bergement sans domicile ou en logement pr caire Les personnes seules et les familles monoparentales repr sentent 75 du public accompagn en 2008 Le d partement s illustre par des montants d aide allou e lev s 218 euro par mois mesure contre maximum 110 euro dans les autres d partements de la r gion Par ailleurs le nombre de mesures vo
165. artement Le Conseil g n ral soutient galement financi rement l Association d aide aux victimes d abus sexuels AAVAS Angers 71 72 ll L accompagnement domicile Pr sentation Tous les dispositifs sociaux et m dico sociaux sont travers s depuis quelques ann es par de nouvelles orientations visant maintenir soutenir la personne au sein de son domicile Plusieurs principes pr sident cette action Sans pr tention l exhaustivit on rel vera la volont de respecter le choix de la personne l importance de la maintenir dans l environnement o elle a toujours v cu le souhait de ne pas briser les liens familiaux et sociaux Quelle que soit la situation rencontr e la responsabilit du Conseil g n ral et celle de ses partenaires appelle une vigilance quant la qualit des interventions et interroge de mani re permanente les professionnels qui orientent et encadrent cet accompagnement Puisqu il se fait en pointill gt chacun doit tre s r que les conditions sont par ailleurs requises pour que le maintien domicile ne repr sente ni une solution par d faut ni un risque de d gradation de la situation C est ici toute la question de la limite de l accompagnement domicile qui est pos e Il reviendra au sch ma de poser un cadre commun et coh rent cette interrogation Si certaines actions sont cibl es les actions d AED AEMO le dispositif des TISF l accompagnement domic
166. artement Le service Adoption a su initier des d marches int ressantes de partenariat Il a ainsi rencontr les assistants sociaux des trois maternit s du d partement Angers Cholet Saumur en 2008 dans le but d entamer un travail de r flexion relatif l accompagnement des femmes enceintes souhaitant accoucher dans l anonymat Plusieurs d marches ont permis de mettre en lien le service Adoption avec le service ASE dans le cadre de la r alisation du projet d adoption des enfants confi s En ce qui concerne les b b s 4 enfants pupilles concern s en 2008 un guide technique a t dit en mars 2008 ASE Accueil Adoption Vers un travail en commun gt ainsi qu une fiche de liaison permettant de formaliser un bilan crit de chaque placement aupr s d une assistante familiale dans l attente d tre confi la famille adoptive 4 familles d accueil sont sp cialis es dans l accueil des b b s pupilles Par ailleurs un travail particulier a t mis en uvre dans le cadre d une adoption tardive d un enfant confi VASE 34 enfants concern s en 2008 Des temps de synth se ont t mis en place en 2008 permettant de r unir sous pilotage de l inspecteur de circonscription le r f rent de l enfant l adjoint au responsable l assistante sociale et la pu ricultrice de circonscription la psychologue ASE et le chef du service adoption afin de travailler le projet de l enfant De la m me mani re l
167. articiper activement au travail en r seau entre l ensemble des acteurs du champ de l insertion professionnelle dans le but de favoriser l entr e et le maintien dans un parcours d insertion et de garantir la continuit de ce parcours 220 Par ailleurs l Agence de Gestion du Fonds pour l Insertion Professionnelle des Personnes Handicap es favorise l emploi et le maintien dans l emploi des personnes handicap es b n ficiaires de la loi du 10 juillet 1987 en milieu ordinaire de travail et apporte des r ponses toutes les tapes de l insertion professionnelle des personnes handicap es La complexit du dispositif la tr s grande diversit des acteurs tout autant que l impact de la loi de 2005 sur les syst mes organis s n cessitent une focale sp cifique allant de l insertion dans le milieu prot g au travail en milieu ordinaire 1 L insertion dans le milieu prot g Le travail en milieu prot g comme le travail en milieu ouvert a connu des volutions r glementaires fondamentales r organisant le domaine de l insertion professionnelle des travailleurs handicap s Le travail en milieu prot g est r alis au sein des tablissements et services d aide par le travail ESAT les Entreprises adapt es tant aujourd hui des structures appartenant au milieu ordinaire Le d partement compte actuellement 23 ESAT repr sentant 1 443 places autoris es et 1 391 places install es Avec 3 44 places pour 1 000 habitants d
168. aru plus opportun au Conseil g n ral de r unir en un m me service l ensemble des actions relatives l accompagnement de la parentalit et la pr vention Par ailleurs les activit s de la protection maternelle et infantile sont territorialis es avec 13 circonscriptions d action sociale Au sein de chacune de ces circonscriptions deux cat gories de professionnels se placent sous autorit hi rarchique du m decin chef de PMI il s agit des m decins dont les m decins des centres de planification en gestion directe et des sages femmes Les infirmi res et les pu ricultrices sont pour leur part plac es sous autorit hi rarchique du responsable de circonscription Cette organisation qui diff re d un d partement l autre peut tre de nature impacter la r alisation des missions Des difficult s peuvent ainsi tre constat es lorsque que le service de PMI souhaite mettre l accent sur la r alisation d une mission en particulier par exemple pour diligenter une enqu te par une pu ricultrice dans le cadre du suivi des assistants maternels Cependant le d partement de Maine et Loire a su accompagner ce choix organisationnel par la r alisation d un travail troit sur le lien entre l ensemble des professionnels dont les missions sont fortement imbriqu es Ainsi des travaux de formalisation ont t r alis s ou sont en cours au sein des circonscriptions entre les professionnels afin de clarifier les missions de
169. assin d Angers Bassin de Cholet Bassin de amp umur Bassin de Segr Bassin de Baug Ainsi sur l ann e scolaire 2008 2009 sur les 249 orientations prononc es 96 enfants n ont pas pu b n ficier d accompagnement par manque de places soit 39 Les points de tension semblent concerner les enfants pr sentant des troubles du comportement 51 d admis Par ailleurs 72 des orientations en SESSAD pro sont effectivement accompagn es par la suite et 64 des DI Le territoire de Cholet semble avoir les plus grosses difficult s pour remplir les demandes 41 d admis Il convient galement d tre attentif l ad quation n cessaire entre louverture de classes sp cialis es CLIS ou UPI et la cr ation de SESSAD En effet l ouverture d une nouvelle classe sp cialis e va entra ner des besoins en termes d accompagnement et fr quemment n cessiter la cr ation de places en SESSAD condition sine qua non d un dispositif d partemental de qualit Enfin il appara t n cessaire de travailler la qualit de l accompagnement offert par les SESSAD qui peuvent parfois d ployer leur activit au sein de leur si ge ou uniquement sur les temps scolaires et non pas dans le milieu de vie de l enfant Les acteurs attendent 95 d sormais des SESSAD qu ils tendent leurs modalit s d accompagnement tous les niveaux de la vie sociale de l enfant ou de l adolescent Par ailleurs l articulation avec les services d acco
170. assistants familiaux et de renforcer l attractivit du m tier d am liorer la qualit de l accueil travers le renforcement de la formation des accueillants Les principales dispositions Le texte d finit le r le et la fonction des assistants familiaux et d termine les conditions d octroi de l agr ment pour exercer la profession d assistant familial Des p riodes de formation obligatoires sont d finies ainsi que les modalit s de financement de ces formations La formation est d sormais organis e en deux temps une formation de 240 heures pour les assistants familiaux en emploi un stage pr alable l accueil d enfants de 60 heures pour les assistants familiaux nouvellement agr s La loi pr cise enfin les droits des assistants familiaux en mati re de r mun ration de temps de travail de cong s et de garanties en cas de licenciement Les principaux enjeux de la loi prendre en compte dans le cadre de l laboration du sch ma Le d veloppement quantitatif de l accueil familial doit aller de pair avec un renforcement de la qualit de l accueil Des objectifs de formation sont assign s aux employeurs des assistants familiaux La d livrance d un agr ment pr alable l exercice de l activit L activit de l accueil familial est soumise l agr ment pr alable du Conseil g n ral 165 L unit assistants familiaux du Conseil g n ral qui appartient au service ASE Accue
171. atif 99 15 Millions d euros La moiti de ce budget est consacr e au financement de l accompagnement des personnes en structures d accueil tablissements et familles d accueil soit 66 1 Millions d euros dont 91 restent la charge du d partement 60 4 Millions d euros On constate une volution de 1 08 entre 2008 et 2010 Le premier poste budg taire concerne les frais d h bergement des personnes handicap es 45 Millions d Euros contre 18 5 Millions pour les personnes g es 21 Concernant les allocations accord es ADAPA absorbe la grande majorit du budget consacr 49 5 Millions d euros en 2010 29 2 Millions charge La Prestation de compensation du handicap PCH apparait comme la deuxi me allocation avec 8 5 Millions d euros soit 86 d volution entre 2008 et 2010 Budget primitif 2010 d pensesPA PH en M E Accueil au sin des 1999 000 tablissements familles d accueil 62 615 000 E Le maintien domicile aides m nag res 1 Allocations PCH ACTP 7 ADAPA Autresdallocations 66 086 000 ji 820 000 Li Information MDPH CLIC Gurce Direction desfinances Conseil g n ral de Maine et Loire F vrier 2010 Le contexte budg taire et financier une augmentation g n rale du budget de la pr vention et de la protection de l enfance allant de pair avec des volutions diff renci es selon les dispositifs Le total des ressources consacr es la protection de l enf
172. ation dans le cadre de l agr ment assistant maternel permettant de poser des rep res aux professionnels mais galement d harmoniser les pratiques au niveau d partemental Le d partement appara t bien pourvu en termes de Relais Assistantes Maternelles on en compte 44 sur l ensemble du d partement Au 1 janvier 2010 10 RAM se situent dans le choletais 9 dans le Saumurois Layon 12 dans le territoire Angers Loire M tropole et le Baugeois et enfin 16 dans le Segr en et Angers Loire m tropole Sud Par ailleurs le Maine et Loire a exp riment comme 8 autres d partements la cr ation de Maisons d assistants maternels Ainsi 4 d partements de la R gion ont mis en place ces MAM avant la g n ralisation de d cembre 2009 Il s agit de nouveaux lieux d accueil pour les jeunes enfants au sein desquelles plusieurs assistants maternels font le choix d exercer ensemble leur m tier dans un local commun hors de leur domicile personnel L autorisation leur est donn e par le service de PPSF PMI Dans ce type de structure innovante les assistants maternels restent employ s par les parents 146 Cette forme d accueil jug tr s positive par le rapport du S nat de d cembre 2009 est en voie de g n ralisation sur l ensemble du territoire m tropolitain Aujourd hui on compte 9 MAM dans le d partement dont la derni re a ouvert en janvier 2010 Les projets ont initialement merg dans les territoires ruraux plut
173. ation de handicap psychique La loi de 2005 a permis de reconna tre que les manifestations de troubles psychiques dans la vie quotidienne constituent un handicap d sign par les termes de handicap psychique Suite cette disposition l tat s est empar de cette probl matique travers notamment le plan Psychiatrie et sant mentale qui permet de poser la n cessit d une approche globale de la personne et de la prise en compte de ces besoins multiples sanitaires et soci taux lors de l accompagnement Le handicap psychique constitue une probl matique que les pouvoirs publics s approprient et une r elle prise de conscience et des r flexions ont merg depuis 2005 Cependant on compte encore en France un d ficit important en termes de mise en place d accompagnement adapt quel qu il soit Le d partement de Maine et Loire n chappe pas la r gle et doit ainsi construire sa r flexion sur les modes d accompagnement qu il souhaite d velopper Selon l UNAFAM en partant sur la base du taux de pr valence de 1 de la population le d partement compte aujourd hui 7 500 personnes pr sentant des troubles psychiques Le partenariat en la mati re est tr s d velopp sur le d partement et le CESAME et largement identifi par l ensemble des partenaires 117 En termes d quipement on notera en psychiatrie g n rale le d partement appara t au 1 janvier 2008 mieux dot que la r gion ainsi que
174. au sein de 16 bassins de transports d finis selon des logiques intercommunales au sein desquels 231 les personnes pourront se d placer Le TAD sera alors ouvert toute la semaine pour toute sorte de motifs La mise en place du TAD a associ dans la r flexion l ensemble des acteurs associatifs institutionnels et devrait permettre de d velopper une offre adapt e l chelle de l ensemble du territoire Le Conseil g n ral favorise la mobilit des b n ficiaires du RSA pr alable leur insertion sociale comme professionnelle Sur les transports collectifs on note qu une tarification sociale existe depuis 1999 sur le r seau Anjou Bus prix unitaire du voyage 0 50 et b n ficie 15 du public RMI du d partement Pour favoriser la mobilit individuelle le Conseil g n ral le Service Insertion et le Service jeunes finance le passage du permis de conduire 130 00 euro par an Angers et Cholet il soutient galement une action de pr paration l examen du permis En outre il finance 8 points mobilit mettant disposition des deux roues 80 personnes majoritairement des jeunes ont recours ce service B L insertion sociale 1e L accompagnement vers l autonomie des jeunes et des adultes Un certain nombre d actions sont mises en place au sein du d partement permettant de favoriser l autonomie des jeunes et des adultes Tout d abord les actions tudi es pr c demment y concoure
175. au sein m me du Conseil g n ral La culture de chacune des directions est tr s largement irrigu e par les sp cificit s de leur dispositif Pour autant si les champs s mantiques diff rent les publics et les probl matiques auxquels elles sont confront es sont souvent les identiques In fine s il est trop t t pour dessiner les orientations de ce premier sch ma unique il est possible de poser un cadre de r flexion ce document directeur sera aussi un document strat gique dont l un des axes principaux sera de viser autant que possible la transversalit de l action d partementale Pr alablement la d finition des actions du futur sch ma l valuation doit tre pass e en revue La m thodologie utilis e r pond une logique classique de recueil de donn es Pr s de 200 acteurs ont t rencontr s sur l ensemble du territoire interrog s sur les atouts et les points d am lioration des dispositifs qui les concernaient Les passerelles initier avec d autres secteurs d intervention taient galement voqu es Par ailleurs une centaine d usagers tout dispositif confondu a galement t interview e afin d tudier leur parcours et les ventuelles ruptures dont ils avaient ventuellement pu souffrir notamment en raison du manque de coordination des acteurs Ces deux types de travaux constituent l essentiel du recueil de donn es qualitatives Ils ont pu permettre d identifier parfois et de mettre en exe
176. bilisation importante des structures du d partement une r flexion et une formation sur la bientraitance Une anticipation de la loi du 5 mars 2007 par la mise en place de la PAPED Une prise en charge compl te et centralis e des mineurs en cas de suspicion d abus sexuel Points d am lioration 67 L absence de r unions mutualis es Pas de message fort de la part du Conseil g n ral l gard des tablissements et services toute structure confondue La n cessit de mieux informer les partenaires sur les proc dures suivre en cas de r v lation de suspicion d abus sexuel sur mineur Les exigences en termes de qualit de vie constituent la cl de vo te du dispositif de lutte contre la maltraitance et de promotion de la bientraitance La prise de conscience du probl me de la maltraitance a d abord concern les violences exerc es l encontre des enfants des femmes et plus r cemment des publics handicap s et g s Ce n est qu en novembre 1987 au Conseil de l Europe qu une commission a r fl chi sur les violences au sein de la famille 1 Les publics handicap s et g s Des r flexions ont t conduites dans le cadre de l accompagnement des personnes g es et handicap es qu il s agisse dune maltraitance subie lors de l accompagnement au sein d un tablissement ou d actes r alis s par l entourage familial Les formes de maltraitance peuvent tre diverses Le
177. blissements et services DESPA accueil de jour pratiques d accueil s quentiel au sein des MECS D velopper les approches familiales dans le cadre des visites R flexion avec les associations de TISF sur la encadr es mise en uvre groupe ponctuel de r flexion Mise en uvre d un Protocole de prise en chat partag e d veloppement du relai dans D velopper les passerelles entre les diff rents modes d accueil ebrtaines familles d accueil d veloppement d accompagnement des enfants r flexion sur le parrainage Valoriser les plateaux techniques des tablissements et services as r alis pour une offre de service de proximit Soutenir la cr ation de lieux de vie Un seul lieu de vie a t cr depuis 2004 Cr ation d un dispositif d accueil en urgence et dispositif d accueil immediat en cours d appropriation par les acteurs Apporter des am liorations ce dispositif 282 19 21 24 25 27 28 Garantir une meilleure 2 i Fr icak D velopper des outils pour veiller garantir la continuit et la coh rence dansle parcours m moire des parcours des enfants desenfants Dansles situations plus chaotiques mettre en place des moyens de tuilage ou de relais Aocro tre lescoop rations D velopper la souplesse n cessaire l accueil desjeunes en dansle situations de grande difficult jeunes en grande difficult D velopper les missions de lacommission Mineurs diffidles et lois de protectio
178. bution l AGEFIPH Le travail en milieu prot g est galement r form les ateliers prot g s sont renomm s entreprises adapt es et n appartiennent plus au milieu prot g Il s agit d entreprises du milieu ordinaire mais ayant vocation employer en priorit des personnes handicap es Par ailleurs les CAT deviennent des tablissement ou service d aide par le travail La loi de 2005 permet ainsi de r affirmer l importance du volet emploi avec la n cessit de mobiliser le plus largement possible les dispositifs de droit commun et non de d velopper une offre de services sp cifiques sauf en cas de besoin Ainsi l acc s aux droits communs des personnes doit tre garantit De ce fait les partenaires de droit commun se trouvent dans l obligation d adapter leurs services et de d velopper des comp tences dans le champ du handicap avec le besoin de disposer de professionnels experts dans ce champ Par ailleurs l obligation d tude de la Reconnaissance de la qualit de travailleur handicap pour toute demande d AAH impose la MDPH de travailler l opportunit d une orientation professionnelle chaque demande d AAH Cette m me logique se retrouve travers l largissement de la liste des b n ficiaires de la BOE aux b n ficiaires de AAH et des cartes d invalidit e Une inscription du Conseil g n ral en compl mentarit et en partenariat avec l tat pilote du dispositif d emploi Le pilotage de la poli
179. c r bral qui entra ne la perte progressive et irr versible des fonctions mentales et notamment de la m moire Il existe plusieurs stades qui impliquent autant d accompagnements sp cifiques le stade pr symptomatique le stade pr d mentiel le stade d mentiel Le d partement se trouve confront de la m me mani re que l ensemble des d partements de France une volution importante quantitativement du nombre de personnes pr sentant des troubles Alzheimer ou des pathologies apparent es Cette probl matique a t appr hend e assez t t par le d partement qui ciblait d j l adaptation de la prise en charge de ces publics comme une priorit dans le cadre du sch ma 2008 2008 Repris en 2008 le d partement a souhait laborer un sch ma sur ce th me affichant ainsi sa pr occupation Dans ce cadre une tude a t r alis e par l Observatoire r gional de la Sant en janvier 2009 concernant l pid miologie des d mences et besoins d aide en Maine et Loire Elle estime ainsi le nombre de personnes atteintes de d mences dans le Maine et Loire 10 819 personnes dont 72 de femmes Par ailleurs les projections r alis es indiquent une augmentation de 15 du nombre de personnes d mentes entre 2010 et 2015 soit plus de 17 500 personnes concern es en 2015 avec 3 200 cas annuels environ 43 de ces personnes sont porteuses d une affection s v re d t riorant leur autonomie sociale et corporelle
180. ce d un tr s grand puzzle Sommaire Introduction l ments de m thodologie la d marche d laboration du sch ma d partemental 12 A Un contexte l gislatif renouvel 13 1 La loi du 2 janvier 2002 r novant l action sociale et m dico sociale 13 2 La loi du 5 mars 2007 14 3 La loi du 11 f vrier 2005 16 4 La loi du 1 d cembre 2008 g n ralisant le Revenu de solidarit active et r formant les politiques d insertion 17 B Des territoires interroger 19 C Un contexte budg taire contraint 20 Contexte sociod mographique I La pr vention A Les actions pr et post natales sssssessnnnssnnnnnrnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn nnen nnnn nnmnnn 41 1 Le r le du service d partemental de la Protection maternelle et infantile dans la pr vention 42 2 La pr vention autour de la p rinatalit en faveur des personnes pr sentant des troubles psychiques 49 B Les actions de pr vention en faveur de l enfant et de ses parents 51 1 Les actions de pr vention r alis es dans le cadre de la PMI 51 2 La pr vention dans le cadre du handicap 56 C Les actions de pr vention de exclusion sssssssssnnnnsennnnnnnnrnnnnnnnnnnnnnn ennnen 60 1 Les actions de pr vention sp cialis e 60 2 L accompagnement social 63 D La pr vention des actions de conduite risque s ssssssssnessnnrrunnrennnnnnnnnna 64 E Les actions de bientraitance a
181. charge Le Pr sident du Conseil G n ral est charg de coordonner les services d partementaux et les institutions agissant sur mandat judiciaire en lien le cas ch ant avec la PJJ Le Pr sident du Conseil G n ral doit veiller au suivi et la continuit des interventions au titre de la protection de l enfance Le service ASE doit veiller ce que les liens d attachement nou s par l enfant avec d autres personnes que ses parents soient maintenus voire d velopp s dans son int r t sup rieur L assouplissement des mesures La loi d finit des formules d accueil temps partiel s quentiel et d accueil sp cialis Le juge des enfants peut prendre une d cision d accueil sur une dur e sup rieure 2 ans en cas de difficult s graves et chroniques des parents En cas d urgence ou de danger imm diat un recueil 72 heures peut tre r alis par ASE Le juge des enfants a la possibilit de diversifier les modalit s des accueils ordonn s accueil de jour et formules s quentielles Les principaux enjeux de la loi prendre en compte dans le cadre de l laboration du sch ma La diversification des r ponses Le suivi la continuit et la coh rence des prises en charge La coordination entre les partenaires institutionnels et le D partement chef de file de la protection de l enfance 3 La loi du 11 f vrier 2005 La loi du 11 f vrier 2005 sur l galit des droits et des chances la
182. confront de la m me mani re que l ensemble du territoire m tropolitain un vieillissement acc l r de sa population Nombre d habitants de 60 ans et plus Nombre d habitants de 75 ans et plus dans le Maine et Loire dans le Maine et Loire 256686 110512 amp 218094 2 78516 S 159126 64701 x 9 Q 8 3 Co Q V y O D P o S D 85 Les projections de l INSEE pour les ann es 2020 et 2030 laissent percevoir un vieillissement tr s important de la population du d partement Ainsi si les 60 ans et plus repr sentent 20 8 de la population totale en 2006 une personne sur trois au sein du d partement en 2030 aura plus de 60 ans 33 1 soit une augmentation de 13 points En ce qui concerne les plus de 75 ans ils repr senteront 14 2 de la population totale en 2030 contre 8 4 en 2006 Ce vieillissement de la population va n cessairement impacter le potentiel d aidants c est dire le nombre de personnes en capacit de venir en soutien au public g Par ailleurs le d partement ne conna tra pas une volution homog ne du vieillissement de sa population selon les territoires On observe dans la partie Ouest du d partement une croissance du public g plus forte que dans le reste du d partement volution de 10 des 75 ans et plus en moyenne A contrario l Est du d partement va subir un vieillissement moindre avec une volution de 6 environ Part des75 anset plusdans Part
183. ction d observation et les outils qu elle appelle de mettre en place ou de structurer doivent tre interrog s En deuxi me lieu le pilote doit composer ici avec une multiplicit de co pilotes certains agissant dans plusieurs champs d intervention communs La construction du partenariat aura donc des degr s variables d intensit et n cessitera la mise en place d l ments plus ou moins tay s de structuration Dialoguer changer initier avec l ducation nationale ou la future ARS n a pas les m mes implications que de travailler avec un CCAS ce dernier ne saurait pourtant tre un acteur n glig il ne l est pas en effet et appelle des ajustements dans le type de r ponses qui peuvent tre apport es les conventions n tant pas toujours l instrument le plus adapt En troisi me lieu il est n cessaire que le pilote puisse travailler avec lui m me sans souffrir de schizophr nie Si c est toujours le propre de n importe quelle organisation de devoir proc der des arbitrages en raison d une confrontation des points de vue la sensibilit du sujet accompagner des individus qui sont en demande et le caract re souvent urgent des situations les oppositions et illogisme de dispositifs de modes de financement de cloisonnement des services de segmentation des champs d intervention peuvent rapidement mener une action contraire celle qui tait souhaitable et attendue Ce type de craintes ne saurait tre que margi
184. ction des territoires d cembre 2009 1396 476 488 E Nombre de DETH au 31 d cembre 2009 168 170 f a T T T Li T i 5 X V ON g X N A RSi S ON A amp Sa e Un dispositif complexe maill par l intervention de multiples acteurs Un grand nombre d acteurs se mobilisent en faveur de l insertion professionnelle des personnes handicap es DDTEFP Conseil g n ral la MDPH par le biais notamment de sa mission insertion professionnelle P le Emploi Cap Emploi l AGEFIPH le SAMETH 49 Certains de ces acteurs coop rent dans le cadre de conventions bilat rales mais une coordination globale n est pas assur e et les entreprises comme les usagers doivent faire face une multiplicit d interlocuteurs Par ailleurs l accompagnement diff rera en fonction de la situation de la personne _ L usager avec un emploi va relever des services sociaux de la CRAM ou de la MSA Une partie des demandeurs d emploi vont tre accompagn s par CAP Emploi qui exerce ses missions dans le cadre d une cotraitance avec P le Emploi 815 accompagnements en 2008 Aujourd hui seuls 34 des DETH du d partement de Maine et Loire sont accompagn s par CAP Emploi il apparait de ce fait n cessaire 224 de mener une r flexion sur les modalit s permettant un plus grand nombre de b n ficier de l expertise de CAP Emploi Par ailleurs un soutien l action de CAP emploi pour leur apporter la connaissance des dispositifs d acc
185. ctions collectives Ainsi les ducateurs sont aujourd hui pr sents dans les animations collectives de quartier de type f tes de quartier Par ailleurs sont privil gi s les temps partag s autour du sport et des loisirs culturels plus de 60 sorties en 2008 ou lors des temps de vacances scolaires 10 s jours en 2008 L ensemble de ces actions est r alis en troit partenariat avec les acteurs des territoires circonscriptions d actions sociales CAF ou encore structures d animation Enfin six chantiers ducatifs ont t organis s destination des jeunes en 2008 La convention tripartite de 2009 a permis de cr er des espaces de concertation et de coordination avec les partenaires tous les chelons Les groupes locaux de territoire GLT sont pilot s par les responsables de circonscriptions et r unissent les chefs de service de la pr vention sp cialis e les villes la CAF l ducation nationale et les autres partenaires qui peuvent tre les bailleurs sociaux les missions locales ou encore la PJJ Ces groupes permettent de r aliser un diagnostic partag du territoire d intervention de la pr vention sp cialis e partir duquel doit tre labor un plan d action territorialis pour les deux ans venir Plan d Action de Territoire En plus des villes couvertes par l intervention des services de la pr vention sp cialis e un diagnostic a t r alis fin de l ann e 2008 sur le territoire les
186. cueil reste toutefois tr s mal connu du grand public et des acteurs du secteur La demande existe pourtant qui demeure insatisfaite en raison de l loignement de l offre ou encore parce que les personnes g es int ress es par l accueil se trouvent dans une d pendance trop lourde pour pouvoir b n ficier de ce type d accueil Le D partement souhaite par ailleurs exp rimenter un nouveau mode d accueil familial du public g et handicap s appuyant sur des tablissements m dico sociaux C La n cessit d approfondir la diversit des formes de l accueil familial Un certain nombre de modalit s ont t d velopp es au sein du d partement en ce qui concerne l accueil familial Les modalit s d accueil des enfants plac s chez des assistants familiaux Le d partement dispose d une offre diversifi e avec 31 assistants familiaux habilit s pour l accueil d urgence et de courte dur e p riode d accueil courte qui permet aux professionnels d valuer la situation de l enfant et 42 familles d accueil sp cialis es dans la prise en charge des relais accueil ponctuel et pour une courte dur e en relais de l assistant familial habituel Le rapport d activit du service constate la tension du dispositif de relais pendant les vacances scolaires Le dispositif d accueil d urgence peut mobiliser des placements en accueil familial Ceci permet de disposer d une alternative au placement au foyer d partemental de l enfance
187. cueils alternatifs Cr ation de 3 GM Autorisation d livr e l association Esca l Mise en place de l Appui projet par la MDPH et l AGEFIPH Actions men es dansle cadre du PDITH v rifier Pas de passerelles formalis es Cr ation de SAMSAH travail des EMSavecle C SAME cr ation des GEM cr ation d tablissements sp dfiques souplesse d acompagnements par la Oroix Marine P dlisation d une tude parue en 2009 277 16 17 Adapter l offre en tablissement Travailler en r seau et renforcer la coordination partir desterritoires D velopper les actions de formation pour faire face aux nouveaux enjeux Cr ation d unit sp cifiques Peu d actions sp cifiques Peu d actions sp cifiques 278 2 Le sch ma g rontologique Num ro de l action Titre de l action ro de lafiche Objectif s titre de lafiche action Synth se de l valuation 1 1 1 2 31 32 33 Poursuivre la territorialisation g ographique de l action g rontologique Fnaliser l architecture institutionnelle de l action g rontologique Mettre en pla les moyens d un pilotage d partemental de l observation g rontologique S doter d un dispositif de partage de l information Poursuivre laqualit du soutien domiadle nforter les EMSet les h pitaux locaux comme des acteurs part enti re du soutien domidle Poursuivre le d veloppement et la modernisati
188. cult appara t donc comme pleinement adapt e aux volutions Les crit res de recours au DISMO doivent tre formalis s de mani re favoriser la mont e en charge du dispositif et positionner le DISMO comme composante d une palette globale de r ponses Comme tous les dispositifs innovants le DISMO doit progressivement trouver sa place dans le syst me de pr vention et de protection de l enfance Il s agit notamment de mieux formaliser avec les partenaires en particulier la justice partir du cahier des charges de l appel d offre les situations dans lesquelles il appara t opportun de recourir au DISMO lui permettant ainsi d tre identifi par l ensemble des institutions L objectif tant de positionner le DISMO comme composante d une palette de r ponses activ es laune des profils et des probl matiques des jeunes Coordination du dispositif Les efforts r alis s depuis le sch ma 2005 2010 dans le sens de la contractualisation des actions ducatives apparaissent encore faibles Il appara t galement qu une partie des actions ducatives judiciaires mises en uvre pourrait passer par le circuit administratif Les acteurs d partementaux identifient ce titre deux facteurs de r sistance En premier lieu il semble que l quipement d partemental ne soit pas suffisant pour admettre l ensemble des mesures n cessitant une action ducative administrative Ainsi un certain nombre d IED sont en atten
189. currence l enqu te men e aupr s des b n ficiaires de APA a montr que seuls 27 connaissaient l existence des h bergements temporaires 158 Part des r pondants qui connaissent ui emo D temporaire Accueil de nuit En termes de r partition on notera que l offre d accompagnement en h bergement temporaire pour les personnes g es et pour les personnes g es d sorient es est relativement parse sur le territoire mainolig rien h bergement temporaire soit 1 36 pla pour 1000 habitants de 75 ans et plus et 53 pla s en h bergement temporaire pour les personnes Nombre de places en HT Personnes d sorient es E 10 S d sorient es soit 0 82 pla s pour 1 000 5 habitants de 75 ans et plus soit un total de 2 18 pla s pour 1000 habitants de 75 ans et plus i 3 Nombre de places en HT EH gt 8 E 2 8 8 3 2 Mars2009 Taux d quipement pour 1000 personnes de 75 ans et plus en M sai P de2 5 lt 2 _ Tauxnui On remarque en effet que le d partement ne dispose que de tr s peu de places dans le nord et dans l est du d partement tandis qu Angers ses couronnes nord et sud et le sud ouest du d partement sont plus favorablement dot s Concernant l accueil de jour Le d partement de Maine et Loire compte 213 places en accueil de jour soit 3 29 places pour 1000 habitants de 75 ans et plus L Est du d partement apparait comme d favorablement dot en plac
190. d partement de la m me tranche d ge Par ailleurs 5 9 occupent un emploi en milieu prot g 118 Au niveau du d partement des services d accompagnement se sont d velopp s tourn s vers l insertion professionnelle Des ESAT ont galement mis en place des conventions avec le CESAME Cependant si les liens se d veloppent progressivement on observe encore des r elles difficult s dans la coordination qu il s agit de travailler Par ailleurs la sant mentale inscrite comme priorit du PDI repr sente la probl matique plus fr quemment cit e par les professionnels comme obstacle l insertion Le Service Insertion soutient des actions ayant vocation amener les b n ficiaires vers le droit commun plut t que des actions qui s y substituent Ainsi des infirmiers et des psychologues r alisent des permanences chez diff rents partenaires circonscriptions du Conseil g n ral CCAS Mission locale afin d accueillir et d orienter le public Le PDI finance Angers le Dispositif d Appui en Sant Mentale DIiASM quipe pluri professionnelle dans le domaine de la sant psychique Insister sur le financement et le fort soutien du CG par rapport au DIASM Autres exemples des temps d change ont t organis s entre professionnels afin d apporter un clairage pluridisciplinaire sur des situations probl matiques des op rations ponctuelles de promotion de la sant sont galement soutenues forum Sant Bien tre
191. d penses nettes de fonctionnement s l vent en f vrier 2010 396 Millions d Euros Les d penses de fonctionnement ont augment de 3 48 entre 2009 et 2010 on constate un ralentissement de cette augmentation qui s levait 4 4 entre 2008 et 2009 Par ailleurs la marge de man uvre du d partement ce sujet appara t limit e en effet les d penses de fonctionnement par habitant sont plus faibles que la moyenne nationale et ce de mani re significative 895 euros par habitant pour la France m tropolitaine contre 669 euros par habitant dans le d partement du Maine et Loire Source Direction des finances du Conseil g n ral 2010 constat prospective 600 oO a 5 o 494 soo rec ettes 3 an 43 g 2 400 4 434 407 z T 381 3 300 4 339 P 317 d pen s 6 an 5 277 290 5 266 200 R 8 g 77 19 g 100 61 46 65 04 67 67 46 88 51 03 J4 K 19 44 8 0 2 17 16 74 36 76 Z F T T T T T T T T CA 2004 CA 2005 CA 2006 CA 2007 CA 2008 BP 2009 2010 2011 2013 4 z 100 z 2 8 200 d penses nettes de fonctionnement ressources globalis es de fonctionnement pargne brute EB pargne nette EB dette en capital Le budget consacr aux politiques sociales s l ve 289 230 000 Euros soit 44 de l ensemble du Budget primitif 2010 Le transfert d un certain nombre de comp tences et de prestations a abouti
192. d action de l Agence fran aise de l adoption depuis la r forme de 2005 elle accompagne les candidats l adoption internationale aux c t s des Organismes autoris s d adoption OAA L agence pourra d sormais financer des projets de coop ration humanitaire dans le domaine de l aide l enfance Organisation du dispositif Tout candidat l adoption souhaitant accueillir en vue de son adoption un pupille de l tat ou un enfant tranger doit pr alablement obtenir un agr ment d livr par le Pr sident du Conseil g n ral La r ception du dossier de candidature se fait au Service adoption du D partement qui organise une r union d information collective de 12 14 personnes en moyenne Par la suite des entretiens sont r alis s par les 5 assistantes sociales 4 80 ETP et les 6 psychologues 3 70 ETP du service au sein des locaux de la DGA DSS et au domicile des postulants permettant aux professionnels de r diger un rapport social et un rapport psychologique La d cision d accorder l agr ment aux parents est prise dans le cadre de la Commission d agr ment laquelle participe notamment le Pr sident du Conseil g n ral En 2008 33 commissions se sont tenues au sein desquelles 160 dossiers ont t examin s Les demandes d agr ment ont connu une forte diminution dans le d partement 24 Ainsi 198 personnes ont fait une demande d agr ment en 2006 contre 174 personnes en 2007 et 133 en 2008 Par ailleur
193. dans le cadre d un suivi r gulier La majorit d entre elles venait la fois pour demander des renseignements sur les prestations auxquelles elles pouvaient pr tendre et pour obtenir une aide administrative dans la constitution des dossiers n cessaires l obtention de ces prestations L assistant social repr sente un interlocuteur privil gi au fait de la situation particuli re de chacun Moi elle me conna t a fait longtemps que je viens ici elle m aide toujours quand je ne peux pas payer La plupart des personnes qui rencontrent un travailleur social dans le cadre d un suivi r gulier sont b n ficiaires du RSA n anmoins leur visite n tait pas en lien direct avec cette prestation constitution de dossiers de surendettement inscription l cole liquidation de biens demande de renseignements sur les droits face un ex mari 31 des personnes sont venues pour rencontrer ponctuellement un travailleur social Cinq personnes sur les 12 concern es demandent une aide financi re ponctuelle pour faire face un cas particulier facture impay e Sept personnes souhaitent obtenir des renseignements sur les prestations dont ils peuvent pr tendre suite un changement de situation divorce passage au statut d tudiant Ces visites ponctuelles sont pour le travailleur social l occasion de faire le point sur la situation globale de personnes ou familles en grande pr carit et ventuellement d initier un
194. de financi re a pour objectif le r glement des 2 J Ne sait pas CEA d penses de loyer de factures d alimentation ou Autre SN 13 d habillement Finan rla pr parationau code de laroute SSI 13 L aide peut avoir A gt i i C 13 galement pour objectif hechercher nemplol l insertion professionnelle Ac der une formation CMEEEE 9 via la recherche d un S R gler desd pensesd alimentation C 21 emploi 13 l acc s une formation 19 ou P gerdesd pensesde loyer oude factures S gt encore le financement de la pr paration du permis de conduire respectivement 13 L accompagnement de ces jeunes domicile s entend aussi en termes de logement En effet les jeunes sont un public tr s touch par les difficult s aff rentes au logement Le Plan d partemental de l Habitat en a fait une priorit soulignant la diversit des situations La Direction de l quipement a lanc une tude sur le logement des jeunes en lien avec le Conseil g n ral et les 3 agglom rations qui devrait permettre de d gager un plan d action 101 Initiatives d partementales et locales L Association Logement et Habitat qui intervient sur la Communaut de Communes de Baug du Pays des Vall es d Anjou et de la Communaut de Communes du Loir a mis en place une action sp cifique en 2008 destination des jeunes de 15 30 ans H bergement des Jeunes chez l Habitant Elle consiste en l h bergement
195. de 11 entre 2007 et 2008 au 31 d cembre 2008 le public accompagn s l ve 2 724 personnes sur les quartiers 1 534 accompagnements ducatifs et 1 180 contacts et 1 828 gens du voyage 11 Cette augmentation est significative sur les territoires de Cholet et de Saumur 61 respectivement 52 et 34 de par l extension des territoires d intervention Tr laz et Angers connaissent une volution plus mod r e 12 et 4 Si avant 2005 la majorit des jeunes accompagn s avaient entre 19 et 25 ans on constate depuis lors un renversement de cette tendance avec une pr dominance des 12 18 ans Le profil des personnes accompagn es va n cessairement impacter les missions le service doit aujourd hui adapter les actions propos es au public sp cifique des adolescents L intervention de la pr vention sp cialis e s articule autour de cinq axes le soutien aux jeunes en difficult dans leur parcours scolaire aux jeunes en rupture ou en voie de rupture avec l cole le soutien aux parents en difficult dans la prise en charge ducative de leur s enfant s l aide l insertion sociale et professionnelle des jeunes la pr vention des conduites risques et le soutien aux initiatives visant renforcer le lien social et pr venir l isolement Dans le cadre de ces missions le service de pr vention sp cialis e a souhait renforcer la pr sence sociale des ducateurs travers la participation des a
196. de Tr laz anim s respectivement par la Direction Sant publique de la ville d Angers et par le CCAS de Tr laz afin de constituer des instances de r flexion entre les acteurs du champ de la sant et du social Le bilan du CUCS 2007 2009 souligne la n cessit d engager un travail de priorisation des objectifs en mati re de sant publique En effet on constate un miettement des actions de sant sur le territoire entre l ensemble des intervenants Initiatives d partementales et locales La ville d Angers a mis en place une Direction Sant publique en 2005 qui met en uvre quatre missions pr vention ducation et promotion de la Sant souffrance psychique et pr carit risques sanitaires handicap En 2009 la demande de l infirmi re d un lyc e d Angers et en partenariat avec une ducatrice de l ASEA l infirmi re de REVIH 49 et l infirmi re de la direction Sant Publique des ateliers sur la r duction des risques li s la sexualit ont t propos pour 3 classes de seconde dans le cadre d une semaine engagement citoyen 66 Le Groupe Cocktail constitu de professionnels du secteur sanitaire et social de malades alcooliques stabilis s et d habitants de Belle Beille r alise des actions de pr vention du risque alcool au sein du quartier Mise en place d une quipe mobile de pr vention et de r duction des risques lors des soir es dans le centre ville d Angers fin de l a
197. de jeunes apprentis salari s ou stagiaires chez des familles qui le souhaitent en contribuant aux charges pour 5 euros par jour Du 1 Septembre 2008 au 31 Ao t 2009 10 bin mes ont pu tre cr s concernant majoritairement les 16 22 ans 90 Ce mod le permet aux personnes seules de b n ficier d une pr sence rassurante parmi les 23 familles 65 sont des retrait s Du c t des jeunes l h bergement chez l habitant leur permet d tre log s proximit de leur lieu d apprentissage ou de travail donc de faciliter leur insertion professionnelle Des actions d information aupr s des partenaires ont t mises en place pour assurer une meilleure visibilit distribution de plaquettes en 2009 dans chaque mairie du territoire d intervention CLIC centres sociaux ou encore Circonscriptions d action sociale 2 L accompagnement m dico social en circonscription Une circonscription d action sociale peut tre d finie comme un espace d partemental de solidarit qui met en uvre les missions du Conseil g n ral sur un territoire de r f rence De ce fait les 13 circonscriptions du Conseil g n ral concourent la d clinaison op rationnelle des missions d volues au Conseil g n ral et r alisent un accompagnement m dico social de proximit en direction des usagers Les circonscriptions sont les acteurs de la mise en uvre de la politique de pr vention et de protection en direction de l enfant et de sa f
198. de travail en commun sont peu nombreuses et d pendent d initiatives individuelles beaucoup plus que d une strat gie globale Ce constat sur la forme un peu s v re est sur le fond relativement in luctable Il ne signifie pas que le D partement ne sait traiter de probl matiques dans leur globalit l action des circonscriptions dans les territoires serait un parfait contre exemple En revanche les r flexions communes les s mantiques partag es constituent le principal enjeu de ce sch ma unique Par ailleurs les liens avec les autres services du Conseil g n ral patrimoine transport coll ge sont construire dans leur int gralit C La coordination avec les partenaires Le d partement de Maine et Loire b n ficie d une culture partenariale tr s riche Cependant il n chappe pas aux difficult s qui se posent dans un grand nombre de d partements fran ais savoir la coordination de ces changes et la mise en place d un r seau entre l ensemble des acteurs intervenants 1 Le secteur sanitaire Le Conseil g n ral a affich comme nette priorit lors du pr c dent sch ma g rontologique 2008 2010 la n cessit de mettre en place une offre g riatrique d imm diate proximit et des fili res g riatriques qui soient ainsi un v ritable soutien au maintien domicile Cette orientation avait d j t souhait e par le Sch ma r gional d organisation sanitaire 2006 252 2010
199. dent diff rents types de besoins partir d un projet social adapt au public accueilli La r sidence sociale doit s inscrire dans le cadre du plan local de l habitat du plan d partemental d h bergement d urgence et du PDAL PD Les r sidences sociales sont compos es d un ensemble de logements conventionn s destin s constituer une solution de logement transitoire pour des m nages aux ressources limit es qui souhaitent disposer d un logement meubl et d un minimum de services collectifs Foyers de jeunes travailleurs ou encore Foyers de jeunes migrants Le terme de r sidence sociale englobe notamment les structures pour jeunes en mobilit Foyers de jeunes travailleurs gt Cette offre s adresse des personnes autonomes mais qui peuvent avoir besoin d un accompagnement social Le d partement compte 1 499 places de foyer de jeunes travailleurs et l offre est principalement concentr e sur les p les urbains 1 238 places Angers 136 places Cholet et 125 places Saumur Le taux d quipement r gional calcul partir de la population des 16 25 ans montre un taux important dans le Maine et Loire 14 59 en 2009 contre 9 86 pour la r gion Des conventions sont pass es entre le Conseil g n ral et les FJT depuis 1996 afin de favoriser l accompagnement socio ducatif des jeunes dans le but de leur permettre l acc s un logement autonome le plus rapidement possible Le Conseil g n ral a su d velopper
200. des75 anset plusdans la population en 2006 la population en 2030 S A E di n pi E de 10 13 E de 16 19 2 D ds 10 D i1416 E de7 8 D det1 14 O de5 7 O de9 11 Le d partement de Maine et Loire a d faire face la mont e en charge du dispositif de PAPA Au 1 f vrier 2010 12 157 personnes sont b n ficiaires de lAllocation d partementale d autonomie des personnes g es APADA Ainsi on observe 6 d volution depuis 2008 Avec 188 allocataires pour 1 000 personnes de 75 ans et plus le d partement se situe de ce fait tr s en de de la moyenne nationale qui compte 220 b n ficiaires pour 1 000 habitants au 30 juin 2009 Il appara t ainsi la 88 place en ce qui concerne le taux de b n ficiaires pour 1 000 habitants de 75 ans et plus Sur l ensemble des b n ficiaires 39 per oivent APA domicile soit 4 632 contre 7 525 b n ficiaires de l APA en tablissement 890 hors dotation globale et 6 635 sous dotation globale Le d partement a ainsi d g rer la forte mont e en charge du dispositif notamment en termes financiers d un peu moins de 29 millions d euros en 2003 le budget d partemental de APADA s l ve 48 millions en 2008 Par ailleurs les tudes men es par l INSEE et PORS projettent un nombre de personnes b n ficiaires s levant 14 200 personnes dans 5 ans dans le Maine et Loire La proportion de personnes fortement d pendantes domicile a augment
201. dicap Le d veloppement de SESSAD Polyvalents va dans ce sens Le d partement a galement d velopp des SESSAD professionnels permettant d offrir un accompagnement alors m me que le passage du dispositif enfant au dispositif adulte est souvent synonyme de ruptures Ces SESSAD sont au nombre de trois au 31 d cembre 2009 avec 50 places Deux tablissements doivent tre cr s en 2010 pour un total de 44 places Cette offre a t d velopp e suite au constat d un d s quilibre pr gnant entre l offre en termes d tablissements et services pour enfants et l offre pour les adultes Le d partement se caract rise en effet par une dotation tr s satisfaisante en ce qui concerne l accompagnement des enfants mais est au contraire relativement faible pour les adultes Ce d s quilibre entra ne n cessairement une absence de solutions pour un certain nombre de jeunes adultes La mise en place des SESSAD pro doit n cessairement s accompagner d un travail l attention de partenaires permettant de conforter le dispositif dans le paysage d partemental Ainsi ce travail d information doit tre men aupr s notamment de l quipe pluri disciplinaire de la MDPH mais galement des structures d insertion professionnelle Malgr les cr ations r alis es le dispositif ne permet pas de r pondre aux besoins Nb de d asions favorables Nb d admisen tablissement Orientationsen SSSAD Taux d admission B
202. du d partement L indice de pr carit a t calcul partir des indicateurs suivants Part des familles monoparentales Taux de ch mage Part des r sidences principales sans douche ni baignoire Part des logements HLM Revenu m dian par unit de consommation Part des m nages fiscaux impos s Il est pr ciser que l indice de pr carit tel que pr sent ici est construit en r f rence la moyenne d partementale et non la moyenne nationale l objectif tant de comparer les diff rents territoires du Maine et Loire entre eux Le niveau 1 indique un niveau de pr carit lev urce INSERGP 2006 Indice de pr carit E niveau M iveau2 E niveaus E Niveau4 _ Niveaus 38 39 I La pr vention Pr sentation Les actions de pr vention se situent la lisi re du sch ma unique elles visent viter une personne d entrer dans un dispositif d accompagnement m dico social de mani re temporaire ou permanente et sont en m me temps partie int grante de ce dispositif Leur succ s se devine lorsque la bascule ne s effectue pas et que la m canique complexe du social m dico social ne n cessite ni mise en route ni entr e dans un nouveau dispositif ni accompagnements compl mentaires Plusieurs conditions garantissent cette r ussite Si certaines d entre elles ne sont pas remplies un pan de ce pr accompagnement est alors d fectueux D s lors la combinai
203. du passage au RSA Le Fond d aide aux jeunes FAJ repr sente un budget de 780 000 euros en 2009 Insertion par FAJ l activit conomique 13 Actions collectives 11 Aides individuelles Source Conseil g n ral 2009 76 Il permet l octroi d aides individuelles 575 100 ont t distribu s 3 100 jeunes en 2009 repr sentant les trois quart des financements accord s par le FAJ Ces aides individuelles peuvent prendre la forme d une aide financi re au permis de conduire conditionn e un 217 financement boucl et un projet d insertion professionnelle Il s agit en outre d aides financi res la cr ation d entreprise la formation et au logement pour les demandes non prises en compte par le FSL Le montant moyen accord aux jeunes s l ve 190 Depuis 2005 l instruction est d l gu e aux 5 Missions locales et PAIO du d partement partir de juillet 2010 le dispositif sera internalis dans les services d partementaux pour une meilleure lisibilit et galit territoriale d une part et pour un meilleur pilotage des aides d autre part Le FAJ finance galement des actions collectives par l interm diaire de structures associatives hauteur de 84 500 en 2009 30 postes en chantiers d insertion sont financ s destination des 18 25 ans pour 240 jeunes mais seulement 30 places subventionn es 200 dans le pr chantier Financement des actions collectives Logement
204. e Il n existe pas non plus de liens troits au sein du Conseil g n ral entre ASE et le secteur handicap adulte Par ailleurs si la Bourse l autonomie des jeunes dispositif de la Direction insertion habitat permet d apporter une aide aux jeunes du dispositif de l ASE les passerelles doivent tre n cessairement travaill es plus avant La sortie du dispositif d enfants qui pourraient n cessiter soit un accompagnement en structures soit un suivi par des services devrait s organiser partir d outils et de protocoles structur s Initiatives d partementales et locales La mise en place d une quipe pluridisciplinaire sp cifique pour les 16 25 ans au sein de la MDPH permettant ainsi de travailler la question de la pr insertion et de l insertion professionnelle Le mouvement impuls par le pr c dent sch ma travers la cr ation de SESSAD professionnels SESSAD Pro ITEP le Colombier et IME les Sables permettant gr ce une d rogation de la DDASS d accompagner les jeunes de 16 25 ans La cr ation d un nombre important de places pour adultes handicap s en cinq ans plus de 300 places cr es dans le cadre du sch ma d partemental 2005 2010 249 2 La coordination autour des structures locales Les structures locales jouent un r le pr gnant dans le parcours de l usager Elles vont ainsi permettre de travailler la fluidit et la coh rence du parcours Plus encore que dans le secteur du handic
205. e 141 ARS 19 94 150 243 Assistants familiaux 115 162 163 164 165 166 167 168 169 186 Assistants maternels 42 43 138 143 144 145 146 Ateliers d insertion 207 Avs 81 121 255 260 Bientraitance 40 67 68 69 CAF 18 44 61 62 81 105 108 109 123 141 142 149 150 208 209 232 240 CAMSP 50 51 56 57 58 122 136 147 CCAS 66 88 105 118 150 152 189 207 208 228 243 248 266 267 C r bro l s s 219 CESAME 49 50 58 113 115 116 117 118 119 120 169 187 202 Chantiers d insertion 66 212 213 214 217 252 CHU 48 49 50 56 58 70 113 115 116 130 135 136 151 284 Circonscription31 34 35 41 42 43 44 45 47 48 52 57 58 62 63 74 76 78 80 81 82 100 102 103 104 105 106 118 134 136 142 143 145 146 149 150 151 165 166 167 176 208 209 233 248 249 261 262 263 264 265 270 CLIC 102 128 129 130 152 153 228 244 247 248 249 267 CMP 58 112 115 117 120 122 CMPP 57 58 136 Communaut s de communes 61 89 228 Communication 47 106 152 153 165 197 228 235 240 266 Conseil g n ral 3 4 5 6 12 19 20 24 40 42 48 44 52 53 57 60 61 62 64 65 66 67 68 69 70 73 76 77 78 79 81 83 87 88 89 91 93 97 98 102 103 106 108 109 111 113 118 133 134 135 136 140 141 144 145 146 149 150 151 152 156 162 163 164 165 167 172 187 189 191 199 203 207 208 209 210 211 212 213 214
206. e 20 59 ans le Maine et Loire se situe l g rement au dessus de la moyenne r gionale et nationale respectivement 3 35 o et 3 27 o Total d partemental 1 443 pla s agr es Le soit 3 57 places pour 1000 habitants de 20 176 places ont ainsi t 59 ans cr es entre 2005 et g 3 Nombre de places agr es en 2009 ESAT en 2009 m 3 L Est du d partement S gt B k AOUN apparait le moins dot T sn 00 qu il s agisse du territoire E S E ss de Saumur ou du canton E de5 15 de Longu Jumelles de1 5 L Taux nul Par ailleurs un accompagnement sp cifique est mis en place au niveau du d partement de Maine et Loire pour des personnes traumatis es cr niennes Ainsi une Unit d valuation r entra nement et d orientation socio professionnelle value les s quelles physiques et psychiques de la personne en vue de son insertion sociale scolaire ou professionnelle 221 ult rieure Enfin un ESAT a t cr au sein du d partement pour les personnes c r bro l s es favorables tablissement 1741 1452 83 orient es en ESAT n ont pu y travailler 0 faute de places Node d dsons Nbd admisen i g admisson Au 31 d cembre 2009 289 personnes Malgr un effort r alis en termes de cr ation la pression de la demande reste tr s forte En effet on compte un tr s grand nombre de jeunes sortant d IMPRO qui b n ficient d une orientati
207. e 2002 Le budget d partemental consacr au SAEMO s l ve 3 010 905 euros en 2009 soit une baisse de 15 en un an mais avec l ajout d un budget consacr au DISMO Un audit est actuellement en cours suite au constat d un diff rentiel de co t important des mesures entre le SAEMO d partemental et les services r alisant des AEMO dans d autres d partements avec un prix de journ e moyen de 10 53 euros contre 8 31 pour la Loire Atlantique par exemple Enfin la qualit de l intervention du SAEMO a t travaill e dans plusieurs cadres La Convention d objectif sign e pour trois ans avec le Conseil g n ral en 2007 a permis de d finir quatre types d intervention les rencontres domicile au service dans un lieu neutre ou par t l phone Le contenu du rapport circonstanci obligation pos e par la loi du 5 mars 2007 est actuellement travaill entre le SAEMO le service de l ASE et trois circonscriptions du d partement Segr les Mauges et Angers Sud Enfin depuis septembre 2009 le d lai entre la prise de d cision et la date de mise en uvre de la mesure n exc de pas un mois gr ce la mise en place du DISMO et un travail r alis avec le juge Par ailleurs le d partement a mis en place un dispositif innovant permettant la r alisation de mesures d AEMO renforc es le dispositif sp cifique en milieu ouvert DISMO disposant d une capacit de 150 mesures et dont le budget d partemental s l ve 1
208. e Saumur Plus g n ralement il appara t n cessaire de mener une r flexion sur les nouvelles formes d accompagnement d velopper dans le cadre de l accompagnement des personnes en souffrance psychique On peut par exemple citer le d veloppement de la notion de psychiatrie citoyenne consistant dans le d veloppement de structures l g res non m dicalis es permettant la r habilitation psychosociales de ces personnes travers un accompagnement sp cifique Il 120 existe galement des maisons relais au sein desquelles deux types de publics vivent ensemble les personnes pr sentant des troubles psychiques avec des personnes n en pr sentant pas Le d partement compte actuellement peu de structures d accompagnement innovant Ainsi l accueil familial th rapeutique peut appara tre comme une mesure d accompagnement sp cifique permettant de favoriser et faciliter la r adaptation du malade et lorsque cela est possible sa r insertion Il peut constituer ainsi une transition avant une orientation sociale ou m dico sociale Sur le d partement le service de l accueil familial a t cr au sein du CESAME en 1990 pour les adultes et 1993 pour les enfants Il compte aujourd hui 22 familles dont une pour les enfants permettant d accueillir ainsi 33 personnes en 2007 Un accueil familial th rapeutique existe galement Cholet Concernant les appartements th rapeutiques plusieurs existent sur le territoire
209. e a t d velopp pour accueillir des personnes fragilis es faibles ressources et qui prouvent des difficult s acc der un logement d cent ou s y maintenir Il s agit de maisons relais qui ne sont alors plus de l h bergement temporaire L objectif recherch est de loger durablement les personnes anciennes pensions de famille Concernant les maisons relais quatre structures sont ouvertes ce jour dont 3 sur Angers pour une capacit totale d h bergement de ces structures de 55 places Deux structures ont ouvert apr s la fin de l ann e 2008 Le taux d quipement r gional rapport la population 233 des 20 74 ans est pass de 0 13 1000 en 2008 0 17 en 2009 Le Maine et Loire se situe en dessous de cette moyenne il est pass de 0 08 0 11 Le Conseil g n ral soutient ces maisons dans le cadre de l accompagnement social li au logement dont b n ficient les personnes Le Conseil g n ral participe au fonctionnement d une maison relais implant e en milieu rural Brin d Espoir Vern d Anjou en assurant une prestation d accompagnement g r e par l Association l Abri de la providence qui peut accueillir 13 personnes en logement individuel faibles ressources et n tant pas en mesure de vivre de fa on autonome dans un logement tout en ne relevant pas d une prise en charge sp cialis e Par ailleurs les r sidents de la maison sont amen s r aliser des accuei
210. e conditions d accueil 70 Le nombre de refus appara t ainsi en forte hausse par rapport l ann e pr c dente o 27 des dossiers avaient t refus s 145 Agr mentsrefus sen 2009 en sur le nombre total d agr mentsdemand s 36 pus 28 27 zas 22 22 g 18 17 15 15 j iay 15 11 amp 8 4 S 8 F T T T T T T T T T T T 5 S S S LE y amp g g 5 S r9 9 Kz lt lt S O L A S Kz g s 5 lt S E E amp E c amp Ni A S N S gt S S Se OX E S g x De la m me mani re que pour le suivi des modes d accueils collectifs le suivi et le contr le des ASSMAT n est pas privil gi par les professionnels de la PMI et appara t souvent r alis minima Une psychologue mi temps assiste toutes les commissions d agr ment des assistantes maternelles sur l ensemble du d partement Le service de PMI a des obligations de formation des assistants maternels travers des modules de 60 heures lors de l accord de l agr ment suivis d une formation compl mentaire d approfondissement de 60 heures En 2008 1 118 ASSMAT ayant obtenu leur agr ment avant le 01 01 2007 ont b n fici d une action de formation de base et 325 agr es apr s le 01 01 2007 ont particip au module d approfondissement Initiatives d partementales et locales La diffusion par le Conseil g n ral en Juin 2009 d un Guide pratique concernant l valu
211. e de Saumur et en octobre 2009 sur Cholet L activit du CAMSP d Angers est significative avec 2 050 s ances r alis es en 2008 pour une file active de 209 enfants Saumur compte 312 s ances en 2008 et 99 s ances depuis trois mois en ce qui concerne Cholet La cr ation de deux CAMSP depuis 2007 rel ve du constat d un besoin tr s fort au sein du territoire et d une concentration de l offre Angers Concernant la demande celle ci est importante l attente moyenne entre la demande et le premier suivi est de cinq mois Face la demande croissante le CAMSP 56 d Angers a fait le choix d accompagner les situations les plus lourdes et les plus pr occupantes les p dopsychiatres lib raux tant en mesure de prendre le relais sur le territoire angevin Il en va cependant diff remment sur les autres territoires o l offre de p dopsychiatres lib raux est peu d velopp e Une prise en compte de la demande tr s forte par la cr ation de deux CAMSP au sein du d partement depuis 2007 Initiatives d partementales et locales Une exp rience de partenariat travers des interventions conjointes a t mise en place entre les m decins PMI de trois circonscriptions Dou La Fontaine Angers Couronne Nord Les Mauges et les professionnels du CAMSP de l ASEA p dopsychiatres et psychologues Cette action s est particuli rement d velopp e dans des secteurs ne disposant pas de Centre proximit Le CAMSP d Angers
212. e disposent d aucune place en h bergement interm diaire de type temporaire ou accueil de jour nuit On constate ainsi une carence sur l ensemble de l Est et du Nord Est du d partement Par ailleurs si l on compare la dotation des trois agglom rations du d partement Saumur et les cantons associ s apparaissent particuli rement d pourvus Ainsi la ville de Saumur ne dispose que de 10 places d accueil de jour et d aucune place en h bergement temporaire Le canton de Saumur Nord poss de pour sa part une seule place d h bergement temporaire H bergement alternatif urce Conseil g n ral mars 2009 Une r flexion doit par ailleurs tre conduite sur le type d accueil de jour que le d partement souhaite privil gier entre des structures de quelques places situ es de fa on homog ne sur l ensemble du territoire ayant pour avantage de mailler les zones tr s rurales ou la mise en place d accueils de jour de 10 12 places permettant de d velopper un projet d accompagnement de qualit ce que des structures de 3 ou 4 places ne permettent pas toujours Par ailleurs les taux d occupation des h bergements alternatifs sont tr s variables d une structure l autre On notera comme facteurs de r ussite la sp cificit du projet de service la r solution de la question des transports mais aussi l int gration dans l environnement de la structure laquelle passe par des actions continues d information En l oc
213. e la mise en uvre du sch ma d partemental et mettre des propositions sur la mise en uvre de la politique dans le d partement L observatoire a t mis en place dans le Maine et Loire en octobre 2008 l unit Enfance en danger en constituant la cellule op rationnelle Il recueille et exploite les donn es relatives l enfance en danger plus pr cis ment relatives au contexte d partemental d mographie l enfance en danger notamment via les donn es remont es par la cellule de recueil de l information et aux dispositifs protection administrative judiciaire de la jeunesse Une charte de protection de l enfance a t sign e en f vrier 2010 qui permet de formaliser le partenariat permettant d alimenter et de faire vivre l observatoire L Observatoire de l Habitat La loi Libert s et responsabilit s locales d ao t 2004 rend obligatoire la cr ation d un observatoire de l habitat dans le cadre de l laboration et du suivi des Plans locaux et d partementaux de l habitat Le Conseil g n ral a choisi de mettre en place un observatoire en commun avec l Etat op rationnel en 2008 Cette configuration permet une mutualisation des moyens des postes se voient cofinanc s et une plus grande centralisation des donn es En pratique il est port par l Agence d partementale d information sur le logement Les donn es agr g es par l observatoire concernent le contexte d mographique et socio con
214. e lien a t travaill avec le service de PMI en janvier 2009 une rencontre a t organis e avec les m decins de PMI et les pu ricultrices des 3 secteurs des familles d accueil concern es afin de clarifier la place et le r le de chacun Cependant il appara t plus compliqu de mobiliser les professionnels sur des situations tr s la marge 4 b b s pupilles concern s en 2008 Un Espace adoption a t mis en place en 2009 au sein du CAMSP CMPP de ASEA 49 Cet espace a t cr suite la r flexion engag e par le sch ma 2005 2010 Accompagner les parents l arriv e d un enfant dans le cadre de l adoption gt et en lien avec le Service Adoption du Conseil g n ral Cet espace s inscrit par ailleurs dans la 138 proposition 27 du Rapport Colombani Accompagner les familles apr s l adoption par la mise en place de lieux d accueil et de dialogue et propose des temps de consultation un samedi par mois avec un m decin p diatre psychanalyste ou une psychologue mais galement des temps de paroles entre parents accompagn s par un professionnel du service adoption et le m decin p diatre psychanalyste du CAMSP CMPP Le Conseil g n ral a ainsi particip hauteur de 9 000 euros en 2009 et le premier bilan de cet espace de parole appara t positif et semble r pondre une r elle demande des parents Aujourd hui les d lais de traitement de la demande d agr ment sont sup rieurs aux disp
215. e passage de l information le soutien technique l apport d expertise et d autres encore qui seront voqu s au sein de ce document Chaque fois les agents devront faire montre d adaptation et de fermet C est l toute l alternative laquelle oblige le devoir d homog n it On tudiera donc davantage la mani re de faire c est dire le positionnement sur le curseur que les r sultats visibles sur le terrain car le D partement ne peut tre tenu comptable de la fa on dont les op rateurs s approprient la ligne directrice qu il a trac e quit Longtemps les sch mas n ont eu de vis e que programmative Cette n cessit faisait loi et constituait l essence m me d un document qui devait structurer une action publique parfois soumise des enjeux tr s locaux L appropriation par les Ex cutifs et par les Assembl es des implications de la d centralisation a sans doute permis de voir merger une priorisation des probl mes et des r ponses apporter Un travail important a d s lors t men visant financer des nouveaux tablissements et services Mais les territoires du d partement sont travers s par une multiplicit et une diversit d enjeux Le Conseil g n ral est alors le garant de l adaptation de l offre la demande Il devient indispensable de mieux identifier la seconde pour mieux calibrer la premi re Comme question valuative on pr f rera donc l quit l galit Cette der
216. e secteur du Handicap l enqu te men e aupr s des structures tablissements et services pour adultes montre que des temps d change et d analyse des pratiques sont mis en place dans 92 des tablissements et services r pondants t moignant d une large diffusion de cette pratique Dans 80 des cas ces r unions sont encadr es et guid es par un psychologue soit syst matiquement soit occasionnellement L intervention d un psychologue dans un cadre individuel entretien est possible dans 54 des tablissements et services cette modalit est donc moins r pandue Cela peut s expliquer par la contrainte de temps pesant sur l intervention des psychologues dans les tablissements 161 Lesmembresde l quipe ont ils la possibilit de B ste t il destemps d change et d analyse des rencontrer un psychologue lorsd un entretien pratiquesentre professionnels individuel N ve 3 Lestemps d change et d analyse des pratiques entre professionnelss font ilsen pr sence d un psychologue Ce constat peut sans doute tre r it r dans chacun des secteurs concern s par le sch ma unique Mais celui ci pourrait poser comme principe le d veloppement des actions d aide aux aidants professionnels comme garantie suppl mentaire de la qualit des prestations 162 163 V L accueil familial Pr sentation L accueil familial qui a t d velopp de mani re tr s diff rente selon qu il concerne le d
217. e un nombre d enfants suivis par le dispositif de PASE relativement faible Ainsi les derni res donn es disponibles de l Observatoire de l enfance en danger situent le d partement dans la deuxi me moiti de la moyenne nationale avec de 7 4 9 1 enfants confi s pour 1 000 jeunes de moins de 18 ans Ce ratio appara t encore plus faible en ce qui concerne les enfants b n ficiant d une action domicile 4 3 8 3 enfants pour 1 000 de moins de 18 ans situant le Maine et Loire dans les 26 d partements disposant de la part d enfants suivis la moins lev e 175 Taux de prise en charge des mineurs en protection de l enfance au 31 d cembre 2005 Accueil de l enfant Action domicile Nombre d enfants plac s en protection de l enfance confi s l ASE plac s Estimation du nombre d enfants b n ficiant d une mesure en milieu ouvert directement par le juge ou plac s en secteur public PJJ au 31 d cembre AED ou AEMO au 31 d cembre 2005 pour 1000 enfants de moins de 18 2005 pour 1000 enfants de moins de 18 ans par d partement ans par d partement urce Observatoire National de l enfance en danger Rapport d activit 2007 n L gende quartiles L gende quartiles COT De 3 3 7 4 pour 1000 jeunes ET De 4 3 8 3 pour 1000 jeunes De 7 1 9 1 pour 1000 jounes CE De 8 3 104 pour 1000 jeunes CS D 9 1 10 7 pour 1000 jeunes De 10 4 13 0 pour 1000 jeunes RS D 10 7 149 pour 1000 jeunes PR D
218. ectricit d fidente fissures dansleplancher probl mes d vacuation des WG nuisancessonores Au snsdel IN E un logement m diocre cumul au moinstroisd fautsmajeurs w N E HE 2 bS de Si S 1688 E 10 ER Nombre de Part des E 7 10 85 l r sidences g ogements 844 incipal B D5 7 CE inconfortables Pope e 42 inconfortables lt 5 Au sein du D partement 1 500 5 000 logements apparaissent comme potentiellement indignes en 2005 Depuis le fonctionnement de la cellule 118 signalements ont t transmis l op rateur du dispositif principalement dans l Est du D partement et affectant en majorit les locataires personnes g es 31 de personnes g es de plus de 60 ans et petits m nages du milieu rural Pourcentage de logements potentetement indignes en 2005 ARE SR RES au 16 novembre RES E renium p einan As Sera uao Tratement DCE A selon Apr s examen la liste des logements du secteur priv non vacants et aux dysfonctionnements majeurs est transmise l quipe de la MOUS d partementale insalubrit charg e d valuer le niveau de d gradation de pr coniser les travaux n cessaires d inciter et accompagner la sortie d insalubrit La cellule envisage de prendre l attache avec l ensemble des professionnels intervenant domicile infirmi res professionnels des SAD afin d assurer une efficacit accrue du dispositif Initiatives d
219. eil g n ral a souhait que les usagers soient pleinement associ s la d marche Ainsi 139 usagers ont t rencontr s afin d changer autour de leur parcours au sein du dispositif et des questionnaires ont t envoy s 4 784 personnes parmi lesquelles 44 ont r pondu La seconde phase vise r unir des ateliers pluri partenariaux autour de diff rentes probl matiques mises en exergue dans la premi re phase Ces ateliers permettront de faire merger des orientations strat giques qui composeront l ossature du volet prospectif du sch ma d partemental 12 A Un contexte l gislatif renouvel Certaines grandes lois comme celle de 2002 traversent l ensemble des champs d intervention mais d autres sont venues donner une impulsion sp cifique aux volutions d un secteur 1 La loi du 2 janvier 2002 r novant l action sociale et m dico sociale Cette loi concerne l ensemble des politiques sociales et m dico sociales Elle s articule autour de deux axes principaux _L affirmation de la place des usagers et de leurs familles dans les dispositifs Le renforcement de la coop ration et de la coordination entre les acteurs et du pilotage des dispositifs L affirmation de la place des usagers et de leurs familles Elle passe par la d finition des droits fondamentaux des personnes prises en charge Le texte met fortement l accent sur les outils visant concr tiser ces droits le livret d accueil
220. ein de maisons de retraite Le d veloppement de ces unit s est pr vu dans les ann es venir 39 places en UPHV d ici 2012 et 12 places en UPHA permettant ainsi au d partement de compter au total 79 places en UPHV et 52 places en UPHA Carte d implantation des Unit s pour personne handicap es vieillissantes Total d partemental 40 pla s en 2010 et Cr ation de 9 places __79 pla s en 2012 d ici 2011 g 3 aS S Nombre de places en 9 3 UPHV en 2010 GR Cr ation de 13 places d ici 2012 Une r flexion avait t entam e et a donn lieu dans un premier temps la cr ation de deux types de structures des Unit s pour personnes handicap es vieillissantes UPHV int gr es au sein d tablissements et destin es accueillir des personnes de 40 59 ans ce jour quatre structures sont ouvertes pour 40 places au total 39 places ont vocation tre cr es d ici d but 2012 Par ailleurs des Unit s pour personnes handicap es g es plus de 60 ans int gr es des maisons de retraite et destin es aux plus de 60 ans ont galement t mises en place 2 de 40 places et 1 en 2011 pour 12 places On compte 125 ainsi 52 places de cette nature Actuellement seul le Baugeois et Angers disposent de telles structures Orientationsen ursen Nb de d cisions Nb d admisen Taux d admission EMS EME ES tablissement UPHV 27 27 100 EHPAD PH gt 60 ans 244 104 43 Par
221. emporaire pour les personnes g es et handicap es Le dispositif d accueil familial en faveur du public g et handicap est dot d un accueil temporaire alors m me que de nombreux d partements n en comptent pas en raison du caract re peu attractif car moins r mun rateur pour les accueillants Le d partement disposait de 4 accueillants temporaires en janvier 2003 et affichait son souhait de d velopper ce dispositif Cette orientation a t mise en uvre On compte aujourd hui 17 familles 7 pour les personnes g es et 10 pour les personnes handicap es permettant ainsi d accueillir une personne pour trois mois cons cutifs maximum 171 Ainsi des projets mergent en faveur d un rapprochement accueillants familiaux personnes handicap es et g es tablissement m dico social travers par exemple la cr ation d une petite structure d accueil regroupant deux ou trois familles d accueil sur le terrain d un tablissement ou encore la possibilit de b n ficier du plateau technique des tablissements Par ailleurs la n cessit de mettre en place des accueils de r pit ou des actions de balluchonnage professionnel qui se rend au domicile de la personne afin de soulager la famille a t r affirm e laune des d veloppements pr c dents ainsi que des points voqu s ci dessus il appara t que le d veloppement de l accueil familial constitue un enjeu important Face la complexificat
222. en effet sup rieur aux moyennes nationale 1 2 et r gionale 0 92 Le Maine et Loire pr sente ainsi le taux d quipement le plus lev de la r gion Pays de la Loire et le second du panel consid r Seul le Bas Rhin avec 1 81 places install es pour 1000 personnes de 75 ans et plus est proportionnellement mieux quip que le Maine et Loire 1 56 Le 1 81 0 1 70 urce STATS 1 janvier 2008 1 16 0 Taux d quipement pour 1000 habitantsde 75 ans et plus E Pusae 1 2 D tre 0 5 et 1 2 E Moinsde 0 5 Concernant l h bergement temporaire classique il ne semble pas y avoir eu de r elle cr ation de places depuis 2002 En effet cette date le d partement disposait de 94 places en h bergement temporaire celles ci tant aujourd hui au nombre de 99 Cependant un effort de r partition territoriale semble avoir eu lieu Si 70 des places taient situ es sur 157 Angers en 2002 seules 41 des places d h bergement temporaire le sont aujourd hui Par ailleurs le d partement a su s adapter aux volutions en cr ant 55 places d h bergement temporaire pour personnes d sorient es Par ailleurs l accueil de jour a galement fait l objet d un effort soutenu du Conseil g n ral portant l offre au sein du d partement un total de 213 places en accueil de jour Par ailleurs 4 accueils de nuit ont galement t cr s depuis 2007 La carte permet de signaler en rouge les cantons qui n
223. enfants ont t admis en tablissement soit 77 Les difficult s semblent concerner tout particuli rement le bassin de Cholet et Segr territoires au sein desquels 59 des enfants ont trouv une place en tablissement Nb de d asions favorables Nb d admisen tablissement Orientationsen EMS Taux d admission Bassin d Angers Bassin de Cholet Bassin de Saumur Bassin de Segr Bassin de Baug L ensemble des orientations prononc es par la MDPH sur l ann e 2008 2009 qu il s agisse d orientations en scolarisation collective en SESSAD ou encore en tablissements s l ve 818 De ce fait la liste d attente en ce qui concerne les enfants du d partement s l ve environ 200 enfants et adolescents Ce constat va dans le sens de ce qui a pu tre soulign dans le cadre d une tude men e en 2008 si l ensemble des enfants accueillis au titre de l amendement Creton 163 en 2010 pouvaient tre h berg s au sein des tablissements pour adultes il ny aurait plus de listes d attente au sein des tablissements pour enfants 2 chos des statistiques DRESS 2008 PRIAC 2009 2013 182 2 La r partition g ographique des tablissements pour adultes en situation de handicap Un effort important en termes de cr ation a t r alis dans le cadre du sch ma 2005 2010 328 places ont t cr es depuis le 1 mars 2004 portant la capacit totale du D partement 1 381 places
224. ent d accueillir les enfants dans le 1 degr Avec 24 classes en 2004 2005 et 33 en 2008 2009 le d partement conna t une volution rapide qui permet de r pondre la tr s forte demande L ann e 2010 2011 portera le nombre de CLIS 39 dont 31 dans le public Aujourd hui 385 l ves sont scolaris s en CLIS contre 258 en 2004 259 35 4 30 25 7 20 15 10 E Senseignement priv 5 1 M ISenseignement public urce IENMaine et Loire janvier 2010 9 y g S S S A V Y v S v g S N DY Y Q S N 2 g Sur la base d une tude r alis e par l Inpection Acad mique de Maine et Loire la carte permet de symboliser les zones non couvertes par les CLIS Ainsi les zones en rouge indiquent les territoires sur lesquels les enfants ne disposent pas d une CLIS moins de 15 kilom tres de leur domicile Dans ce cadre le d partement est ainsi en mesure de concentrer son effort sur les zones non pourvues du territoire La carte montre un bon taux de couverture du d partement et confirme l effort entrepris en ce sens Dee C DE ser RER SR AV FAN Z urce IENMaine et Loire janvier 2010 Par ailleurs sur l ann e scolaire 2008 2009 sur les 119 orientations prononc es 19 personnes n ont pas pu trouver de places soit 16 des enfants orient s comme tels Ces difficult s ne se rencontrent qu en ce qui concerne les
225. ent dans le rural Deux axes du Plan d partemental de l Insertion 2010 2012 du Maine et Loire sont consacr s cette th matique sant Ainsi le Conseil g n ral souhaite favoriser une meilleure prise en compte des probl matiques de sant pour les personnes en Chantier d Insertion Dans ce cadre une journ e d change sur le th me de l alimentation a t propos e aux professionnels des chantiers d insertion en mai 2009 en collaboration avec l IREPS afin de d velopper des modalit s d intervention nouvelles aupr s des salari s en insertion Une formation doit tre propos e en 2010 sur le th me de l hygi ne corporelle Par ailleurs le PDI met en avant la volont du Conseil g n ral de d velopper les liens avec le RESAAD et de participer partir des comit s locaux aux actions r alis es sur le territoire Un certain nombre d actions vont tre d velopp es par la politique de la ville notamment par le biais du Contrat urbain de coh sion sociale CUCS dont le Conseil g n ral est un des financeurs Ainsi les trois CUCS comportent un axe sant permettant de financer des actions de pr vention sur les territoires concern s Dans ce cadre le dispositif Atelier Sant ville a t mis en place dont l objectif est de mieux conna tre et identifier les besoins de la population r sidant sur un territoire prioritaire Des collectifs sant ont galement t d velopp s sur les territoires d Angers et
226. ent se poursuivre pour les adultes sous peine d engendrer des ruptures dans l accompagnement Le Centre r gional d tudes et de ressources pour l autisme et les troubles envahissants du d veloppement CRERA ouvert Angers depuis avril 2007 permet d aboutir des diagnostics pr coces Il assure l accueil l accompagnement le diagnostic et l valuation de l autisme et des TED de l enfant de l adolescent et de l adulte Il assure galement des missions d information de conseil d orientation de formation et de recherche Malgr ces volutions tr s positives des difficult s demeurent Le p diatre de famille peut tre une premi re cl d entr e vers le diagnostic Cependant sa formation initiale ne semble pas toujours tre m me de permettre la d tection des premiers signes six mois Les parents sont alors amen s r aliser eux m me des recherches Les modalit s d accompagnement sont d couvertes sur internet psychologues psychomotriciens et les parents consultent sans construire un parcours coh rent de prise en charge Par ailleurs des difficult s sont perceptibles dans le cadre d une prise en charge en CMP au sein duquel l autisme est consid r comme une maladie De ce fait le d p t de dossiers en MDPH est tr s tardif et plusieurs ann es de prise en charge sont perdues ce jour le CAMSP semble constituer la meilleure cl d entr e permettant un diagnostic rapide et tant de natu
227. ent vers la prise en charge en tablissement vient se substituer le souhait croissant des personnes g es de demeurer le plus longtemps possible au domicile Ainsi une tude r alis e par la DREES en novembre 2009 indique que 76 des b n ficiaires per oivent APA domicile contre 60 au 1 janvier 2008 Par ailleurs la mise en place de l APA et de nombreuses volutions l gislatives sont venues impacter durablement le fonctionnement du secteur de l aide domicile 7 tude semestrielle de la DRESS septembre 2009 Cf note 6 tude DREES Donn es individuelles de APA 2006 2007 87 Organisation et pilotage du dispositif L accompagnement r alis par les services la personne Le secteur des services la personne dont les activit s ont t largies dans le cadre du plan de coh sion sociale plan Borloo en 2005 a connu un d veloppement important Le Maine et Loire a ainsi connu depuis quelques ann es une croissance significative du dispositif de soutien domicile une progression importante du nombre d heures travaill es 10 3 entre 2006 et 2007 et un fort d veloppement du nombre de structures prestataires 111 entreprises repr sentant d sormais 47 du nombre des op rateurs en 2006 contre 23 en 2004 en parall le d une stabilisation du nombre de structures associatives d j en nombre peuvent ainsi tre soulign s 124 en 2006 avec pr s de 3 M d heures travaill es repr s
228. entant 94 67 du nombre d heures travaill es en mode prestataire contre 97 87 en 2004 En ce qui concerne l emploi direct on observe de la m me mani re une volution de 5 05 de salari s entre 2004 et 2005 contre 3 78 au niveau national Le dispositif d aide domicile du d partement compte un nombre tr s lev de services en 2010 15 services autoris s et tarifi s par le Pr sident du Conseil g n ral dont une f d ration des associations ADMR repr sentant 67 associations locales 110 services agr s qualit par le Pr fet et 4 services g r s par des CCAS Par ailleurs 328 services disposent d un agr ment simple L ensemble des acteurs sont aujourd hui tr s satisfaits d un dispositif qu ils consid rent comme performant tant sur un plan qualitatif que quantitatif Des efforts ont t r alis s en ce sens ainsi l ensemble des services autoris s ont fait l objet d un audit en 2004 par un organisme ext rieur par ailleurs un grand nombre de documents cadre ont t adopt s On constate une forte augmentation du nombre de structures agr es entre 2008 et 2009 100 nouveaux agr ments soit 31 46 mais qui concernent presque exclusivement des structures b n ficiant d un agr ment simple 97 nouveaux agr ments soit 44 9 94 des structures concern es sur les 97 sont des entreprises Le dispositif de l aide domicile devra galement g rer l afflux de nouveaux prestataires trave
229. entral qui envoie syst matiquement un carnet de maternit aux m res et une information sur les interlocuteurs vers lesquels peuvent se retourner les parents Le service central envoie par la suite ces documents au sein des circonscriptions qui vont ainsi proc der l enregistrement Les avis de grossesse sont transmis aux sages femmes ou d faut aux m decins Des temps d change sont organis s avec les pu ricultrices autour de situations connues ou complexes Il en va de m me pour les avis de naissance transmis aux m decins de PMI et trait s en lien avec les autres professionnels La proc dure de d claration de grossesse qui fait intervenir une multiplicit d acteurs et la d claration fait actuellement l objet d une quadruple saisie m decin CAF MSA et Conseil g n ral Des r flexions ont t engag es sur ce th me au niveau r gional afin de simplifier le circuit de d claration notamment par une d mat rialisation des changes entre les CAF CPAM et les Conseils g n raux La Sarthe a exp riment ce dispositif en 2008 qui a pour vocation s appliquer progressivement aux avis de naissance et aux certificats de sant de l enfant source plate forme de coordination de l observation sociale et sanitaire des Pays de la Loire 2008 Cette d marche vise disposer d une vision globale des professionnels amen s intervenir autour d une naissance et garantir aux futurs parents un Parcours de maternit
230. ents et les solutions de transport la demande en milieu rural le d partement peut s appuyer sur un r seau ferroviaire performant pour les trajets domicile travail organis en croix centralis sur Angers et qui se caract rise par des fr quences de passage lev es et des dessertes rapides Le r seau d partemental dessert pr s de 90 de la population d partementale mais affiche des fr quences de passage in gales et reste majoritairement tourn vers le 230 public scolaire Limite soulign e par les acteurs la communication destination du public ou encore des professionnels du social reste lacunaire et complexe Deux agglom rations Angers et Saumur et cinq collectivit s locales disposent d un service de transport la demande qui monte en charge m me si le niveau de service rendu reste in gal entre les territoires et les services Par ailleurs de nombreuses initiatives se sont d velopp es dans les territoires plus ruraux transports solidaires r alis s par des b n voles par exemple coordonn s par le Centre social Malgr la diversit des actions mises en place des difficult s persistent A titre d illustration les personnes handicap es interrog es via l enqu te AAH identifient un certain nombre de freins leur mobilit qui contribuent leur isolement le manque de ressources financi res constitue le principal obstacle aux d placements pour les r pondants 43 suivi du manque d accompa
231. er la d marche enfant 67 Participation desfamilles L implication des usagers mais surtout des familles dans les tablissements constitue un objet prioritaire De mani re g n rale la sortie de dispositif pose le probl me du logement Des solutions d accueil sont envisageables en F J T dans le cas o les jeunes disposent de ressources suffisantes Ces lieux offrent sur pr sentation d un projet professionnel en cours de r alisation des loyers mod r s D autre part tous les enfants sortant du dispositif de protection ne disposent pas des capacit s d autonomie financi re n cessaires pour vivre en FJT 2 L accueil au sein des tablissements pour personnes en situation de handicap A Une volution vers un n cessaire assouplissement des prises en charge en tablissement Une d marche d assouplissement en cours au sein des structures pour enfants Depuis quelques ann es la tendance est l assouplissement des prises en charge l ouverture des plateaux techniques vers le domicile l internat am nag sont autant de nouvelles modalit s de prise en charge pens es comme mieux adapt es aux besoins des enfants et que les tablissements tentent dans la mesure du possible de concr tiser Toutefois beaucoup regrettent la lenteur de cette volution et le repli sur soi de certaines structures 196 Les orientations de la loi de 2005 entra nent une modification substantielle de la prise en charge des e
232. ergement alternatif pour personnes g es est relativement bien d velopp au sein du d partement bien qu il faille tablir une distinction entre l h bergement temporaire et l accueil de jour En ce qui concerne l h bergement temporaire tout d abord le d partement a d velopp la fois des places en h bergement temporaire classique et sp cifiques pour les personnes g es d sorient es En comparaison des autres d partements retenus pour l chantillon le d partement de Maine et Loire dispose de 2 1 places install es pour 1000 habitants de 75 ans et plus Il se place ainsi entre la moyenne nationale 1 56 et la moyenne r gionale 2 28 Le d partement pr sente le quatri me taux le moins important du panel constitu est ainsi relativement moins bien quip que l Ille et Vilaine la Mayenne la Vend e et la Sarthe Au sein de la r gion Pays de la Loire seule la Loire Atlantique affiche un ratio plus faible que celui du Maine et Loire avec 1 87 places install es pour 1000 personnes de 75 ans et plus 156 3 01 Durce STATS 1 janvier 2008 1 65 1 99 Taux d quipement pour 1000 PARA habitantsde 75 ans et plus M Ausde 3 E Atre 2et 3 E Moinsde 2 En mati re d accueil de jour pour les personnes g es l offre d accompagnement appara t bien d velopp e sur le territoire maino lig rien Le ratio d quipement d partemental de 1 7 places pour 1000 habitants de 75 ans et plus est
233. ervices 3 L adaptation du logement pour les personnes mobilit r duite Un dispositif de maintien domicile efficace et de qualit doit naturellement mettre l accent sur l environnement de la personne Le sch ma doit ainsi se concentrer sur un des l ments majeurs de cet environnement le logement L am lioration de l habitat et l adaptation du logement pour les personnes mobilit r duite concerne tant les personnes handicap es que les personnes g es Deux cas de figure peuvent se poser celui des personnes qui souhaitent demeurer le plus longtemps possible au sein de leur logement pour rappel 70 des personnes g es sont propri taires de leur logement ce qui n cessite de r aliser des travaux d adaptation celui des personnes qui cherchent s installer dans un logement qui aura t pr alablement adapt Le D partement a fait montre d une politique volontariste en mati re de l habitat La cr ation d une direction Insertion Habitat au sein de la DGA DSS permet d int grer pleinement la politique de l Habitat au sein des politiques Solidarit s du Conseil g n ral 97 Par ailleurs le Maine et Loire est le premier d partement fran ais avoir sign son plan d partemental de l habitat fin 2007 L orientation Favoriser le renouvellement du parc locatif social porte notamment sur la r habilitation du parc locatif social existant avec pour objectif d adapter ce parc aux besoins de pe
234. es Une enqu te r alis e par la CRAM en 2008 indiquait cependant que 79 des services du Maine et Loire souhaitaient d velopper leur secteur d intervention ce public contre 55 au niveau r gional L effet concurrence et nouveau march n est pas n cessairement tranger cette volont de diversification Une volution est aujourd hui perceptible avec le d veloppement de la PCH qu il s agit d encourager tout en veillant la qualit de l accompagnement Car actuellement l ensemble des prestations en aide humaine se voit confront des probl matiques de qualit de l accompagnement celle ci est tr s h t rog ne en fonction des services et les salari s des services d aide domicile manquent tr s souvent de formation sur l accompagnement de ce public Plus largement afin de favoriser le maintien domicile et l int gration dans la vie sociale et professionnelle il est n cessaire de coordonner l action des services d accompagnement domicile tels que les SAVS et SAMSAH sur le territoire services qui peuvent tre polyvalents ou d di s un handicap particulier L ensemble des services existants SAVS SAMSAH SSIAD PH et SAAD doivent n cessairement tre articul s afin d offrir une r elle compl mentarit Il s agira en amont de s accorder sur les r les et missions exactes de ces services et sur leur strat gie de d veloppement en termes de couverture du territoire et de sp cialisation de certains s
235. es CPEF planification familiale les centres de lutte antituberculeuse et de vaccination et des consultations de tabaccologie Angers seulement Le service de pr vention sp cialis e conduit des actions en mati re de pr vention des conduites risque Les jeunes vont d velopper des comportements dits risque notamment lors de l adolescence Ces comportements sont pluriels et vont toucher la sexualit la consommation de produits addictifs les conduites dangereuses sur les routes Les professionnels de la pr vention sp cialis e sont alors des acteurs privil gi s par le travail de proximit qu ils effectuent aupr s des jeunes Ils peuvent ainsi intervenir tant lors de leur travail de rue que lors de leur participation des manifestations caract re festif Des actions collectives sont galement organis es sur des th mes divers 65 Le r le de la pr vention sp cialis e dans le cadre de ces actions de pr vention des conduites risque travers notamment l acc s aux soins des jeunes en grande difficult a t renforc et formalis dans la convention entre l ASEA et ses financeurs Ce renforcement s est r alis suite la priorit affich e du Conseil g n ral de faire de la pr vention des actions de conduite un axe du sch ma enfance famille 2005 2010 Dans ce cadre le d partement a d velopp l am lioration de l offre de soins pour adolescents la fois en milieu urbain mais galem
236. es d accueil de jour ainsi que le canton de Pouanc les territoires situ s au nord d Angers et le nord des Mauges 159 Concernant l est du d partement la situation est particuli rement d savantageuse dans la mesure o ce territoire est vieillissant Concernant l h bergement alternatif pour personnes handicap es il existe ce jour encore peu de places disponibles sur le d partement Au 31 d cembre 2009 on compte ainsi 32 places en h bergement temporaire 1 5 places au sein d tablissements pour adultes handicap s in galement r parties sur le territoire avec aucune place par exemple sur le Total d partemental 158 pla s soit 2 44 pla s pour 1000 habitants de 75 ans et plus 4pla s en aoueil de nuit urce n il g n ral de Maine et Loire Mars2009 Nombre de pla s en acueil de jour au 31 03 2009 H Taux d quipement nombre de pla s pour 1000 personnes de 75 ans et plus Pays Layon Lys Aubance Les places en accueil de jour sont plus nombreuses avec 5 Centres d accueil de jour pour 74 places et 9 Foyers de vie qui disposent d un accueil de jour Si le r pondant souhaite vivre en tablissement quelle fr quence 14 14 1 Enpemmnence Seslemert de tempsen temps Uniquement pow kha m Uniquement pow lka semane mais remerke yreck end En ce qui concerne les personnes handicap es on notera qu une part importante des perso
237. es insuffisamment couvertes le Segr en ou couvertes par des structures peu dynamiques En territoire les quipes de travailleurs sociaux montent galement des actions collectives de l ordre de 5 6 par an destination des b n ficiaires du RSA Sur l ensemble du territoire 180 Assistants sociaux polyvalents et 15 assistants sociaux sp cialis s insertion mettent en uvre l accompagnement social li l insertion 235 L accompagnement des b n ficiaires mono parents b n ficiaires du RSA major ex APl va faire l objet d une offre de service des CAF et de la MSA 3 La politique de la ville Le Conseil g n ral participe au financement de la Politique de la Ville trois titres les Contrats urbains de coh sion sociale CUCS le dispositif Ville Vie Vacances de l ACSE et les Programmes de renouvellement urbain PRU Les CUCS ont fait suite aux Contrats de ville achev s en d cembre 2006 et permettent de r unir une pluralit d acteurs On compte trois CUCS au niveau du d partement Angers agglom ration Cholet et Saumur sur la dur e 2007 2009 renouvel s jusqu en d cembre 2010 Constatant les difficult s sociales auxquelles sont confront s les habitants des territoires prioritaires le CUCS a group au sein de 5 th matiques les axes d intervention l acc s l emploi et le d veloppement conomique l am lioration de l habitat et du cadre de vie l action ducative r ussite scol
238. es lors de leur entr e en structures impliquant un n cessaire mouvement de m dicalisation Ainsi le GMP moyen des tablissements s value 575 en 2009 soit une volution de 17 depuis 2003 200 Par ailleurs la probl matique des personnes pr sentant des troubles Alzheimer est de plus en plus sensible et impacte durablement les besoins en termes de structures existantes il est apparu n cessaire de sp cialiser l offre au sein du territoire Le d partement a su pleinement s emparer de ces volutions avec une forte m dicalisation et une sp cialisation des tablissements travers le red ploiement de places de Foyers logements de type EHPA en EHPAD et la cr ation d UPAD et de places d h bergement temporaire pour personnes d sorient es 39 de places d UPAD en 2 ans et 53 de places en h bergement temporaire Par ailleurs la signature des conventions tripartites entre les EHPAD le Conseil g n ral et la DDAS a permis l inscription d une exigence de qualit Les questionnaires envoy s aux structures laissent appara tre une bonne appropriation des outils de la loi de 2002 2 une tr s forte majorit des EHPAD ayant r pondu l enqu te disposent de l ensemble des outils projet institutionnel 71 contrat de s jour 100 livret d accueil 84 et r glement int rieur 92 Par ailleurs la participation des quipes et des usagers l laboration des outils structurant la vie de l tablissement
239. es moins de 25 ans sans ressources et ne disposant pas d un appui familial ou en difficult d insertion professionnelle Les demandes d aides individuelles dans le cadre du FAJ sont en constante augmentation depuis 2008 575 000 ont t distribu s pour 3 100 jeunes en 2009 contre 462 000 pour 2 500 jeunes en 2008 En 2010 le FAJ pourrait ne pas tre en mesure de r pondre toutes les demandes qui lui seront adress es Cette tendance t moigne de la pr carisation croissante que subissent les jeunes dans le Maine et Loire fortement touch s par les effets de la crise conomique En outre 60 des aides sont allou es mission locale Angers et 20 Cholet En effet les situations de pr carit sont souvent accentu es en zone urbaine par une moindre solidarit familiale Une enqu te a t men e aupr s des b n ficiaires du fonds Certains constats peuvent tre mentionn s 71 soit quasiment un 3 b n ficiaires sur 4 n exercent aucune activit professionnelle La majorit des r pondants constatent que les objectifs fix s l attribution de l aide ont t remplis Selon 12 des r pondants l objectif de la demande d aide n a pas t atteint apr s le versement de l aide Dans la majorit de ces cas il est reproch l insuffisance du montant de l aide ce qui emp cher la r alisation de l objectif fix Dans plus de 40 des cas la demande d aide i ee Objectifs de l ai
240. escents en famille d accueil Cette r duction de l offre est probl matique au regard des volutions constat es En premier lieu on a rappel que le nombre de placements en famille d accueil augmente en proportion et en valeur absolue entre 2008 et 2009 alors m me que le nombre d enfants plac s baisse sur la m me p riode Le placement en accueil familial s inscrit donc dans une dynamique de mont e en charge tandis que l offre se situe au contraire dans une logique de repli baisse du nombre de places par assistant familial pyramide des ges d favorable 169 En second lieu l augmentation de l ge moyen des enfants plac s avec une part significative d adolescents implique l organisation d une offre susceptible de r pondre aux besoins de ce public La structure de l offre en accueil familial polaris e sur l accueil des enfants doit donc tre r interrog e Les probl mes li s l offre se posent en d autres termes pour les accueillants familiaux En effet ce dispositif n appara t pas en tension proprement parler les demandes n tant pas n cessairement plus nombreuses que la capacit offerte par le D partement Il s agit plut t d un mode d accueil que les acteurs ne se sont pas n cessairement appropri s Une action d information sur l accueil familial des personnes g es et handicap es a t men e aupr s des lus du d partement pour faire conna tre l accueil familial Ce mode d ac
241. essairement baiss suite la chute du nombre de demandes Ainsi 29 r unions taient organis es en 2007 en direction de 311 personnes contre 20 en 2008 pour 188 personnes On compte par ailleurs 24 associations interm diaires agr es en France dont 4 ont leur si ge social dans le Maine et Loire une association Emmanuel France service de placement familial en vue d une adoption concerne les enfants particularit pr sentant un handicap enfants trisomiques et une autre les enfants de 15 ans Initiatives d partementales et locales Le Conseil g n ral a souhait cr er un dispositif de pr ts sans int r ts activit extra l gale afin de venir en soutien aux familles adoptantes le co t d une adoption internationale se situant entre 8 000 et 16 000 euros 6 personnes ont fait une demande de pr ts en 2008 contre 14 en 2007 pour une somme s levant en moyenne 2 000 euros Signature d une Convention entre le Conseil g n ral et le CHU d Angers en octobre 2008 avec les services de p diatrie et parasitologie et maladies tropicales La convention a t sign e dans le but d am liorer l accueil et la prise en charge m dicale des enfants adopt s l tranger et permet d officialiser un partenariat existant entre les quipes du CHU et le Conseil g n ral Dans le d partement du Maine et Loire 70 des enfants adopt s sont originaires d Afrique et pr sentent des pathologies tropicales
242. et le Foyer d partemental de l enfance ont formalis un partenariat relatif l accompagnement des enfants accueillis au sein du Village Saint Exup ry Le Conseil g n ral de Maine et Loire a d velopp une politique de soutien aux CAMSP la fois financi rement soutien important des extensions mais galement par la mise en place d actions conjointes Le Service d Intervention pr coce l h pital et domicile SIPHAD Ce service fait partie du Centre hospitalier de Cholet et a t cr en 2004 Il compte en 2007 un p dopsychiatre un psychologue deux psychomotriciennes et une infirmi re psychiatrique Il exerce une mission de prise en compte pr coce des enfants de la conception leurs trois ans et de leurs parents Cette unit est en lien avec un grand nombre de partenaires en sus des services hospitaliers professionnels de la PMI et du lib ral L accompagnement dans le cadre des Centres M dico Psycho P dagogiques CMPP Les CMPP assurent le diagnostic ou le bilan compl mentaire des enfants et adolescents qui souffrent de troubles neuropsychologiques ou du comportement Les enfants ayant des probl mes du langage sont de plus en plus orient s vers ce type de structures On compte quatre CMPP dans le d partement un CMPP g r par l AAPEI situ Angers deux antennes pour une ouverture en 2005 et trois CMPP g r s par PASEA et situ s respectivement Angers Cholet et Saumur Le CMPP de
243. et plus est la plus lev e La carte ci contre permet ainsi de mettre en exergue la moindre Distance aux capacit s accessibilit des EHPAD pour la d accueil des ERRAD frange Est du d partement ainsi que pour le Sud Ouest Une corr lation peut tre r alis e avec le fort taux de personnes de 80 ans et plus vivant seules dans ces territoires S il peut tout fait s agir d un choix l absence de structures proximit peut galement tre de nature freiner la personne et son entourage pour le lt placement en maison de retraite urce Rude sur les OHV OG novembre 2009 Faune de ces constats on peut d ores et d j indiquer que si le d partement de Maine et Loire est en termes d quipement un des d partements les plus denses de France des disparit s g ographiques importantes peuvent tre constat es avec un taux d quipement jusqu 5 fois sup rieur d un territoire l autre 185 Ces in galit s territoriales peuvent galement tre illustr es par l tude de la couverture territoriale par rapport aux capacit s d accueil des EHPAD Une offre de proximit en termes de structures m dicalis es n appara t alors pas garantie sur l ensemble du territoire Par ailleurs le d partement compte 251 places en Unit s de Soins longue dur e en avril 2010 contre 488 en 2009 Une offre de foyers logement restructur e Le d partement compte 54 logements foyers EHPA pour une capacit
244. eux phases de travail s inscrivent notamment dans la d marche ANJOU 2014 priorit 2 Pour aider chacun bien se loger proposer une politique de l Habitat volontaire et ambitieuse pour tous et priorit 4 Pour des solidarit s toujours plus actives d velopper un accompagnement tous les ges de la vie La mise en place d un r f rent par le Conseil g n ral a permis de garantir le suivi de la mission et la construction d un dialogue avec les directions du Conseil g n ral La premi re phase doit permettre de r aliser une valuation visant mettre en exergue les atouts et marges de progr s de l ensemble des pans du dispositif d partemental pour lesquels le d partement en tant que chef de file de l action sociale et pilote sur ce champ met en place une action sp cifique L tat des lieux a repos sur une collecte d informations la fois quantitatives et qualitatives des documents d activit bases de donn es nationales et locales rapports collect s aupr s du Conseil g n ral et des partenaires permettant de qualifier avec pr cision l offre et les besoins sur le territoire Par ailleurs des entretiens ont t men s au sein avec des partenaires institutionnels et associatifs 175 personnes ont t rencontr es dans ce cadre Des questionnaires ont t adress s aux tablissements et services du d partement 159 structures ont particip soit 43 de l ensemble des envois Enfin le Cons
245. fait ressortir un certain nombre de probl matiques et d enjeux qui interrogent directement la configuration de l offre et les modalit s d organisation des r ponses En premier lieu les professionnels soulignent la multiplicit des probl matiques en jeu difficult s familiales mais galement scolaires psychiques sociales que les r ponses d accueil doivent prendre en compte de mani re globale et articul e A titre d exemple le rapport du CAREPS a mis en vidence un certain nombre de caract ristiques quant au profil des jeunes pris en charge dans le d partement qui soulignent la n cessit d une approche plurielle En premier lieu la pr gnance des difficult s sociales dans les familles des enfants confi s avec notamment une proportion importante de familles monoparentales appara t pr gnante 50 des jeunes de 7 17ans En second lieu l acuit des probl matiques d addictions alcoolisme toxicomanie et de sant psychique 56 des jeunes de 7 17 ans b n ficie d un suivi psychologique psychique ce titre l enjeu de la formation et de l information des professionnels appara t primordial Ces derniers en effet doivent tre en capacit de rep rer et d objectiver des difficult s et surtout d activer les r seaux et ressources m me de favoriser l efficacit des r ponses exemple articulation avec l ducation nationale recours aux professionnels de la p dopsychiatrie En second lieu
246. fant par un personnel qualifi Un ch quier permet de faire r aliser 30 heures de garde ponctuelle par des associations conventionn es l Association Aide aux familles domicile l Association Aide familiale populaire l Association Entraide familiale et sociale l Association familiale d aide domicile et l ADMR Plus g n ralement il appara t essentiel de d velopper des accompagnements sp cifiques la parentalit pour ces familles On peut galement citer l exemple du Pays segr en qui met en place une r union d un groupe de parents extraordinaires tous les deux mois entre parents d enfants porteurs de handicap Initiatives d partementales et locales Mise en place du service KOALA une premi re en France par la Mutualit Anjou Mayenne en partenariat avec le CHU d Angers le Conseil g n ral les sages femmes lib rales les p diatres et les obst triciens afin de d livrer des conseils aux jeunes parents Il s agit d une plateforme t l phonique gratuite ouverte du lundi au vendredi et tenue par une pu ricultrice et la responsable du p le enfance de la Mutualit du d partement La question du lien parent enfant pendant le placement La loi du 5 mars 2007 portant r forme de la protection de l enfance a reconnu l importance du maintien du lien parent enfant dans la mise en uvre des mesures de pr vention et de protection Les travaux pr paratoires au projet de loi et le texte lui m me souligne
247. ffet l analyse de l offre nombre de places et des classes d ges accueillis nombre d enfants plac s met en vidence o un d ficit pour les 3 14 ans les places pour cette cat gorie repr sentent 40 87 du total tandis que les enfants de 3 14 ans plac s comptent pour 50 70 du total o un exc dent pour les adolescents et dans une moindre mesure pour les jeunes enfants Les places l attention des plus de 14 ans repr sentent 48 15 du total les adolescents 42 12 des jeunes plac s L cart est plus limit concernant les 0 3 ans 10 98 des places 7 18 des placements 194 Part des 14 ans et plus Partdes3 14ans m Enfants plac s m Placesen tablissements Partdes0 3ans P T T T T T 1 0 10 20 30 40 50 60 La mise en uvre de la loi du 2 janvier 2002 dans les tablissements demeure partielle notamment sur le volet implication information des usagers La loi du 2 janvier 2002 vise am liorer la qualit de l accueil et de la prise en charge dans les tablissements sociaux et m dico sociaux et pour ce faire pr conise l laboration d outils et de proc dures sp cifiques Deux principaux volets sont mis en exergue o L organisation le pilotage et l valuation des structures projets d tablissement valuation interne externe o L information et l implication des usagers livret d accueil contrat de s jour Conseil de la Vie Sociale Les questionnaires envoy
248. g n rale des affaires sociales Juillet 2009 91 capacit totale s levant 1 103 places install es en 2010 soit 18 le dispositif des services de soins appara t cependant en tension 20 30 des besoins n auraient pas t satisfaits en 2007 au niveau de la r gion selon une tude 19 13 1862 17 21 0 17 75 0 urce STATISS 1 janvier 2008 17 234 Taux d quipement pour 1000 19 67 o habitantsde 75 ans et plus E Pusde 18 D Entre 17 et 18 E Moinsde 17 Entre 2003 et 2007 271 places nouvelles ont t autoris es 262 financ es par la DDASS au 1 janvier 2008 on comptait sur le d partement 15 4 places pour 1 000 habitants de 75 ans et plus contre 17 4 places en France m tropolitaine Le d partement compte ainsi le taux le plus faible de la r gion Par ailleurs si l ensemble du d partement est couvert par les SSIAD l offre appara t h t rog ne Ces difficult s s av rent d autant plus pr gnantes dans le contexte d une prise en charge de personnes g es de plus en plus d pendantes Cependant le d partement appara t prioritaire et b n ficie du plus grand nombre de places cr es telles que pr vu au PRIAC apr s la Loire Atlantique lui permettant en 2013 de b n ficier d un taux d quipement similaire la moyenne r gionale La garantie d un maintien domicile passe galement par le d veloppement d offres de services m dicalis s de type Hospitalisation Domic
249. ge souvent dans ces cas recourir au salariat de gr gr pour des raisons de co t Ainsi ces difficult s relatives au co t impactent n cessairement la qualit du service Le rapport r affirme par ailleurs le r le pr gnant du Conseil g n ral dans le suivi de la qualit et de l effectivit du plan d aide notamment par l interm diaire de ces quipes de contr leurs APA Enfin l enqu te men e aupr s des b n ficiaires de l APA a pu montrer que la part des personnes recourant au gr gr tait la plus importante chez les plus g es qui sont aussi potentiellement ceux qui ont le plus besoin d une prise en charge de qualit Part des r pondants b n ficiaires de l APA ayant recours un emploi direct selon la classe d ge Plus de 90 ans RSR NN 16 80 83 ans RSR 10 75 79ans DE 0 60 74 ans Kee 13 L accompagnement r alis par les services de soins infirmiers Par ailleurs la r ussite d un dispositif de maintien domicile d pend aussi largement des possibilit s de la prise en charge par des services infirmiers pendant sanitaires de l accompagnement m dico social Si le nombre de places en SSIAD a connu une volution de pr s de 68 entre 2000 et 2010 et 39 entre 2000 et 2006 soit plus de 10 points que la moyenne r gionale avec une 1 sat ag SES Ses AE r 9 Enqu te sur les conditions de la qualit des services d aide domicile pour les personnes g es Inspection
250. gnement humain 22 Motifs du non d placement du r pondant Par manque de transport mm 14 adapt Par manque de resources EE 45 financi res Par mangue C gt d accompagnement humain Par choix A 15 Dufait de l impossibilit de 6 sortir de votre logement i C est ici toute la limite des transports adapt s s ils ne sont pas assortis d un accompagnement sp cifique qui vient toutefois alourdir encore le co t globale Initiatives d partementales et locales Initiative sur la Communaut de communes de Segr tendue depuis le 1 mars 2009 aux Communaut s de communes d Est Anjou et de Cand depuis le 1 mars 2009 Voitur ge service solidaire assur par des b n voles qui se rendent disponibles pour transporter des personnes mobilit r duite Soutien des travailleurs sociaux de la MSA le CLIC de Cand Ouest Anjou et des repr sentants de 6 CCAS Mise en place en septembre 2009 d un transport solidaire dans la Communaut de communes du canton de Montrevault en lien avec la MSA Ce transport est bas sur le b n volat et l change Le sch ma des d placements qui sera adopt pour les ann es 2011 2021 permet de structurer l offre d partementale travers la mise en place d un Transport la demande l chelle du d partement Ce TAD ne sera pas r serv un public sp cifique contrairement aux services d j d velopp s dans le d partement et fonctionnera
251. gnements financiers ou sociaux qu ils soient individuels ou collectifs Ces missions s apparentent pleinement un travail de pr vention aupr s de l ensemble des publics 63 D La pr vention des actions de conduite risque A retenir Atouts La diversit des r seaux b n ficiant du soutien du Conseil g n ral Un r le moteur du CG dans la constitution de certains r seaux Le d veloppement de deux p les Sant L implication de la pr vention sp cialis e Un d veloppement sp cifique au sein du PDI Points d am lioration Une dispersion des actions et des financements sur le territoire La notion m me de conduites risque doit tre interrog e il semble s agir la fois d une conduite qui pr sente des risques pour le bien tre physique et ou mental mais galement d un tat conscient des cons quences n gatives que son comportement est de nature induire Si l tat reste le pilote de la mise en uvre des actions de pr vention en mati re de conduites risque au niveau de la R gion le Conseil g n ral contribue plusieurs chefs au soutien des actions de sant Les actions de conduite risque recouvrent pour une grande part les addictions qu il s agisse de tabac drogue ou encore alcool mais galement les addictions comportementales troubles de conduites alimentaires vitesse excessive sur les routes prises de risque en ce qui concerne la sexualit
252. i de la politique du Conseil g n ral Segr AVOS 2 structures ASB 1 structure Point mobilit 1 structure Sant 1 structure Pre i a Nb de b n ficiaires des actions Agglom ratior d insertion sociale et de sant angevine lt gt ANOS 3 structures Point mobilit 1 structure CO b n ficiaires actions b n ficiaire AVQS Atelier de vie quotidienne et sociale ASB Apprentissage des savoirs de base Saumur 7 AVOS 1 structure 704 AVOS 2 structures o ASB 2 structures ASB 3 structures Point mobilit 4 structures Point mobilit 1 structure Sant 1 structure urce Conseil g n ral de Maine et Loire PDI2010 2012 Le Conseil g n ral finance 25 ateliers de vie quotidienne et sociale sur le d partement qui concentrent la moiti du budget d di l insertion sociale Ils concernent annuellement 740 b n ficiaires Ces ateliers ont pour but de d velopper l autonomie sociale des b n ficiaires tr s en difficult par la socialisation la confiance en soi 17 des personnes ayant suivi ces ateliers ont retrouv un emploi Les ateliers sont pr sents sur les territoires qui sont peu couverts par des centres sociaux Le d partement compte 24 centres sociaux agr s CAF r unis dans une f d ration d partementale et 2 centres sociaux familles rurales qui repr sentent des partenaires pr cieux pour mettre en uvre des actions d insertion sociale On rel ve des zon
253. i pourraient d couler de cette nouvelle modalit de collaboration Dans le cadre de l insertion l laboration des PTI impact important de la nouvelle r glementation devrait permettre terme d affiner la coordination sur les territoires Initiatives d partementales et locales Cr ation d un nouvel espace Angers en septembre 2008 r unissant un foyer logement le CLIC l association Pass ge et le R seau g rontologique Angevin notamment Mise en place d une plate forme g rontologique associant le CLIC d Angers et le R seau g rontologique avec la cr ation d un num ro vert 202 personnes ont t prises en charge entre sa cr ation et fin 2009 et 953 personnes ont appel le num ro vert de janvier novembre 2009 251 Projet d un P le pluridisciplinaire de sant dans le saumurois avec une collaboration troite entre le r seau g rontologique le r seau de soins palliatifs l HAD les CLIC et le regroupement des professionnels de sant lib raux B La coordination entre l ensemble des Directions du Conseil g n ral L ensemble de ce sch ma vise faciliter le partage de connaissance entre les diff rentes directions vocation sociale du Conseil g n ral Il appara t tr s clairement qu aujourd hui la transversalit n est pas structurante en soi au sein du d partement Les liens sont entre les directions sont pars diss min s identifiables en fonction des interlocuteurs Les habitudes
254. ification et d ducation familiale CPEF 4 p les sont g r s directement par le Conseil g n ral Angers Cholet Saumur et Segr et quatre centres sont conventionn s le CH de Cholet Saumur et Angers et le SUMPPS m decine pr ventive universitaire 5 850 consultations et entretiens ont t effectu s par les m decins et les sages femmes en 2008 pendant les s ances Si on observe une hausse du nombre d examens relatifs la contraception le nombre de consultants vus en une ann e baisse tr s sensiblement 35 entre 2006 et 2008 53 Activit du CPEF 6352 OQ 5907 g R 4150 g ad 3054 g 2377 2550 3 3 1850 866 A 2006 2007 2008 Nombre total de consultants E Nombre de nouveaux consultants Nombre d examens relatifs la contraception Plusieurs actions collectives de pr vention sont galement mises en place avec un total de 772 heures d intervention en 2008 soit une baisse de 49 depuis 2006 et de 37 entre 2007 et 2008 Cependant dans le m me temps on compte un nombre de participants en hausse depuis 2007 avec 7 000 participants en 2008 Actionscollectivesde pr vention n 9551 Ki T 6265 7 000 8 a a S g 3 ee 1 509 1225 772 2006 2007 2008 Heuresd intervention E Nombre de participants 54 Le Centre de planification r alise des informations au sein des tablissements scolaires mais diversifie galement ses lieux d interventio
255. il 19 ETP a pour mission de coordonner l action des assistants familiaux employ s par le d partement et de centraliser les disponibilit s ainsi que leur projet d accueil Le service Actions m dicosociales et vie associative r alise cette mission en ce qui concerne l accueil familial des personnes g es et handicap es Un certain nombre de r gles sont communes aux deux types d accueil familial la dur e de l agr ment est de 5 ans renouvelables Par ailleurs toute demande d agr ment va entra ner la r alisation d une valuation Une commission d agr ment met un avis Au sein du d partement on compte 518 ASSFAM au 31 d cembre 2009 au sein du d partement soit une volution de 13 depuis 2003 Ce chiffre est par ailleurs en constante volution 52 personnes ont souhait obtenir un agr ment cette m me ann e et 42 ont t recrut s 899 enfants peuvent y tre accueillis 98 accueillis familiaux accompagnent des personnes g es et des personnes handicap es sur le territoire et ce chiffre est stable depuis quelques ann es 97 accueillants familiaux depuis 2005 107 personnes sont accueillies dans ce cadre 29 personnes g es et 78 personnes handicap es Par ailleurs en 2008 le d partement a donn 12 agr ments contre 4 en 2009 Le nombre de refus est identique les deux ann es avec 7 refus Les actions de formation La d livrance de l agr ment est conditionn e une r alisation de formation for
256. il convient aujourd hui de d finir travers un plan d actions concret Enfin le d partement a mis en place en 2004 un dispositif d accueil imm diat fond sur un partenariat entre ASE la PJJ et le CESAME Ce dispositif tait initialement pr vu pour l accueil des situations non connues par le service de la protection de l enfance puis a t largi face l augmentation des situations de rupture de jeunes d j entr s dans le dispositif L accueil imm diat a fait l objet d un travail approfondi dans le cadre du sch ma 2005 2010 et cette expression recouvre aujourd hui plusieurs r alit s L accueil en urgence r alis pour les jeunes non connus par l ASE dans les mois de 24 heures associant les magistrats La cellule d valuation mise en place en 2005 entre l ASE la PJJ et le CESAME L quipe ressource cr e en juin 2007 et compos e d une quipe pluri professionnelle ducatrices psychologues et psychiatres dans le but de venir en soutien aux professionnels confront s une situation de rupture avec un enfant confi de plus de 14 ans Cette intervention tend anticiper les ruptures de placement Le Conseil g n ral de Maine et Loire a ainsi fait le choix de s appuyer sur les tablissements existants afin de mailler le territoire d accueils d urgence Ainsi pour les plus de 14 ans cinq tablissements disposent de places identifi es pour l accueil imm diat l tablissement de placement d
257. ile HAD Avec un service d HAD au sein du d partement pour un total de 45 places situ Angers le d partement appara t sous dot Un autre service doit ainsi tre cr en 2010 Saumur afin de pallier ces carences Enfin la multiplicit des intervenants autour d une situation ainsi que la volont de chercher des solutions interm diaires entre le domicile et l tablissement implique la mise en place d une r flexion autour de la coordination troite de l ensemble des partenaires 11 Les services de soins infirmiers domicile Moyens humains et financiers valuation et perspective de fonctionnement URCAM des Pays de la Loire Janvier 2007 92 C Le domicile pour les personnes handicap es 93 1 L accompagnement en milieu ordinaire des enfants en situation de handicap Organisation et pilotage du dispositif La loi de 2005 va dans le sens d une forte int gration des enfants handicap s en milieu ordinaire En mettant l accent sur la personnalisation et l adaptation de la prise en charge elle fait du d veloppement du suivi ambulatoire un enjeu essentiel Ainsi l augmentation cons quente du nombre d enfants suivant une scolarit en milieu ordinaire entra ne n cessairement un besoin accru en mati re de soutien et d accompagnement Il s agit donc de mener des r flexions communes sur le r le des SESSAD tendant s affirmer comme l un des l ments prioritaires de la prise en charge Le d
258. ile des personnes g es l accompagnement domicile des personnes en situation de handicap d autres en revanche sont plus diffuses le travail aupr s du public en insertion le travail aupr s des jeunes via le dispositif FAJE d autres encore pourraient participer autant de la pr vention que de l accompagnement Toutefois par leur caract re souvent ponctuel mais continu elles doivent toutes viser Faciliter le d veloppement de la personne dans un environnement prot g dans et hors son logement et subvenir ses besoins pour demeurer dans un domicile S assurer de l existence et de la compl mentarit des services concourant ce maintien S assurer de la qualification des professionnels intervenant Organiser la continuit de la prise en charge y compris par des allers retours en structures si n cessaire L valuation de l accompagnement domicile se fera donc d une part laune de l ad quation des r ponses aux besoins d autre part celle de la qualit des prestations 73 A Les actions domicile dans le cadre de la protection de l enfance A retenir Atouts La mise en place d un dispositif innovant permettant la r alisation de mesures d AEMO renforc es le DISMO Le d veloppement des visites en pr sence d un tiers TISF La mise en place d un cadre commun lors de la signature des conventions d objectifs et de moyens avec les TISF Points d am lioration
259. ion des profils et l inad quation des modes d accueil collectifs pour certaines personnes l accueil familial reste une solution appr ciable IlI s agit de le mettre en lien avec l ensemble du dispositif m dicosocial d accompagnement tant l tablissement que le domicile 172 173 VI La diversit de l accompagnement en tablissement Pr sentation Si longtemps les sch mas n avaient qu une vocation programmatrice s attachant avant tout identifier les besoins en quipement la fois par type de structures et sur le territoire le d partement de Maine et Loire a su introduire des axes de r flexion qualitatifs d s l laboration des premiers sch mas m dico sociaux Les documents directeurs de troisi me g n ration continuent d orienter leurs r flexions et leur strat gie vers la qualit de l accompagnement propos dans les structures qu elles rel vent du champ du handicap de la g rontologie ou de l aide sociale l enfance Dans le cadre d un sch ma unique il est videmment difficile d viter l cueil de l inventaire La structuration d un dispositif dans sa partie tablissement d pend tr s souvent de l histoire du d partement notamment de sa culture d accueil de personnes issues d autres territoires du type de relations qu entretiennent les op rateurs et les autorit s de tarification les modes de r gulation impactant la richesse des projets et de la pr sence d acteurs porte
260. irecteurs Ces axes ne sont pas intuitifs Ils sont constitutifs de ce qui fait la l gitimit m me du Conseil g n ral savoir l obligation qui est faite une puissance publique de garantir sur le territoire qu il doit gouverner l homog n it dans la qualit des prises en charge l quit dans la r partition des structures la coh rence d ensemble du dispositif Homog n it quit coh rence tels sont les trois ma tres mots qui structureront l ensemble de ce document Homog n it Elle est la condition sine qua non d un dispositif d accompagnement de qualit mais elle est aussi la plus difficile remplir Les dispositifs sociaux et m dico sociaux se caract risent par une myriade de structures associatives priv es publiques Les modes d accompagnement d pendront de la taille de ces tablissements et services de leur anciennet et de leur histoire des modes de management en interne de l environnement dans lequel elles peuvent se mouvoir des projets des personnels des b n voles des soutiens locaux ou nationaux Pour autant il est bien n cessaire de proposer un mode de r gulation Le Conseil g n ral sera toujours contraint d placer le curseur entre incitation et coercition De l une l autre de ces deux extr mit s plusieurs points de rencontre entre chaque op rateur et le D partement peuvent tre identifi s la tarification le contr le le dialogue la sensibilisation l
261. ises l unit enfance en danger de la part de ces acteurs bien que la charte ait t sign e par le pr sident du conseil d partemental de l ordre des m decins Il appara t n cessaire de travailler dans le cadre du prochain sch ma sur la probl matique du secret partag en particulier en ce qui concerne les informations m dicales afin que l unit enfance en danger dispose de toutes les informations n cessaires l valuation d une situation 267 Les partenaires de la protection de l enfance apr s avoir effectu une transmission ont voqu ponctuellement des difficult s avoir des retours d information de la part de l unit enfance en danger Le rep rage des incidents de placements doit tre renforc Se pose en effet la question du suivi des signalements infra dispositif c est dire des situations de risque et de danger concernant les jeunes d j pris en charge Sont principalement concern es les ruptures de placement mais galement les diff rents incidents difficult s crises etc qui se posent lors d un placement ou d une prise en charge et qui peuvent d boucher sur une rupture de placement et sur un accueil d urgence L enjeu tant de pouvoir rep rer en temps r el ces difficult s puis d organiser des r ponses ad quates Or le Maine et Loire certes comme la plupart des d partements ne dispose d un syst me de suivi et donc de pilotage des incident de placements combien d
262. ispositif de l Aide sociale l enfance ou le dispositif en direction des personnes g es et handicap es est sous tendu par des principes communs relatifs son fonctionnement formation probl matiques rencontr es suivi et contr le par le Conseil g n ral notamment Cependant si le m tier de famille d accueil des enfants confi s existe depuis plusieurs si cles les familles d accueil pour personnes g es et handicap es constituent un mode d accompagnement qui s est d velopp tardivement d cret de 1989 Par ailleurs la terminologie employ e diff re on parle d assistants familiaux ASSFAM pour l accueil familial entendu au titre de ASE et d accueillants familiaux en ce qui concerne l accueil des personnes g es et handicap es Enfin le Conseil g n ral va proc der au recrutement dans le cadre de l accueil familial des enfants confi s ASE alors que les personnes accueillies sont elles m mes employeurs de la famille qui les accueille en ce qui concerne le public des personnes g es et handicap es Une politique de recrutement exigeante est mise en place par les services du Conseil g n ral allant au del du cadre l gal Ceci explique la diff rence significative entre le nombre d assistants familiaux agr s dans le d partement et le nombre d entre eux salari s par le Conseil g n ral Cependant des volutions similaires traversent les deux secteurs Le dispositif sera valu lau
263. isses d allocations familiales du d partement contribuent de fa on importante au soutien aux familles travers le travail social qu elles r alisent aupr s de leurs allocataires La CAF de l Anjou qui compte 45 travailleurs sociaux et de l agglom ration choletaise qui en compte 3 r alisent du soutien aux familles Ces professionnels AS et CESF d veloppent des interventions sociales afin d accompagner les parents dans les moments cl s de la vie de la famille La CAF Choletaise a ainsi mis en place en 2008 des s ances d information collectives sur le th me du cong parental 129 personnes y ont particip Les CAF proposent galement un soutien la scolarit travers notamment des actions collectives centr es sur l aide aux devoirs et visant mieux impliquer les parents dans la scolarit de leurs enfants En 2008 le CAF de Cholet a contribu au financement de 16 actions agr es par le Comit d partemental de l accompagnement la scolarit hauteur de 30 199 euros Ces actions ont t principalement d velopp es par les centres sociaux et ont permis 215 enfants de b n ficier d une aide la scolarit Les CAF pilotent les lieux d accueil enfants parents LAEP espaces con us pour recevoir les jeunes enfants jusqu 6 ans accompagn s de leurs parents Ils doivent permettre aux adultes de se c toyer d changer et aux enfants de se rencontrer pour jouer ensemble 151 Des ateliers
264. it s d adaptation de l offre de services aux volutions des pathologies de la personne tout en respectant son projet de vie ainsi qu aux volutions de la loi de 2005 Dans cette perspective il est n cessaire d engager une r flexion dans le cadre du sch ma sur le d veloppement de l accueil innovant tels que la constitution de petits pavillons ou appartements collectifs permettraient une solution d h bergement entre le foyer de vie foyer d h bergement traditionnel et le SAVS SAMSAH Les personnes pourraient b n ficier d une certaine autonomie tout en tant accompagn es au gr de leurs besoins B La complexification des profils des enfants accueillis au sein des tablissements n cessitant une r flexion sur l adaptation de l accompagnement Le d veloppement des troubles psychiques est une probl matique qui a d j t voqu e plusieurs reprises et qui traverse le champ de l enfance handicap e Ainsi les professionnels des IME font part de leurs difficult s face l volution du public qu ils accompagnent D une part la tendance g n rale maintenir les enfants en milieu ordinaire avec une prise en charge ambulatoire produit une concentration des d ficiences les plus lourdes en institution d s lors que les enfants d ficients l gers sont orient s en milieu ouvert D autre part les troubles envahissants du d veloppement et les troubles autistiques sont en augmentation et la diminution des prises en
265. it des guides communs d autres personnels soit des guides sp cifiques l existence d une personne ressources ayant pour les personnels de l ducation nationale un r le de r gulation et de maintien des liens interinstitutionnels Cette fonction est remplie par une conseill re technique Les partenariats avec l ducation Nationale ont t travaill s aussi bien en ce qui concerne l enseignement public que l enseignement priv Ainsi la Direction dioc saine du d partement de Maine et Loire est associ e aux travaux de la Direction et a sign la Charte de protection de l enfance en danger Une collaboration de proximit est donc mise en uvre ainsi que des travaux de r flexion sur des th mes sp cifiques la d scolarisation par exemple Cependant des difficult s peuvent tre soulign es relativement au fonctionnement du service social celui ci ne couvre pas le primaire ni le secteur priv dans un d partement o le taux de scolarisation dans le secteur priv est lev De ce fait l aspect pr vention peut ne pas tre toujours effectif Par ailleurs le service de pr vention sp cialis e de ASEA a une mission essentielle de soutien aux jeunes en difficult s en voie de rupture ou en rupture dans le parcours scolaire Leur action s effectue sur les tablissements scolaires de leur territoire d intervention qui disposent d un niveau plus faible que les autres tablissements du d partement 53 7 de r ussi
266. ite ce rapport des mesures ont t annonc es en mars 2010 par le Minist re de la Sant dont la mise en place d une organisation permettant un acc s gratuit et anonyme la contraception pour les mineurs vivant dans des zones priv es de centres de planification notamment en milieu rural ou encore l am lioration de l ducation sexuelle au sein des tablissements scolaires avec la n cessaire compl mentarit des missions des conseill res conjugales avec le service scolaire Le Conseil g n ral a d velopp des actions dans le sens d une plus grande accessibilit ces services en milieu rural Ainsi deux conventions de partenariat ont t adopt es entre le Conseil g n ral et le planning familial et ont pour but de permettre aux jeunes habitant en milieu rural et ne disposant pas de Centres de planification proximit de b n ficier de ces services Ces conventions conclues en 2009 et en mai 2010 d finissent la mise disposition d une conseill re conjugales du planning familial une fois par semaine le mercredi dans les communes de La Pommeraye et du Lion d Angers au sein de locaux pr t s par le Conseil g n ral et par la mairie Le Conseil g n ral prend financi rement en charge les examens ou les consultations m dicales cons cutifs ces permanences Initiatives d partementales et locales Cr ation d un site internet d di au Centre de planification Flora Tristan du P le de gyn cologie
267. itif Insertion Cr ation d outils sp cifiques dans le champ de l insertion professionnelle et du retour l emploi Une bonne couverture en chantiers et ateliers d insertion D veloppement progressif des actions d insertion professionnelle en faveur des jeunes La construction de passerelles entre les structures pour l enfance handicap e et les ESAT La mise en place d ESAT hors les murs Une transversalit organis e par le Conseil g n ral autour de l insertion des travailleurs handicap s Un soutien constant la formation des publics cibles Points d am lioration L absence de lien avec la MDPH Une sous dotation en ESAT dans l Est du d partement A L insertion professionnelle des b n ficiaires du RSA L enqu te men e aupr s des b n ficiaires du RSA permet d tayer un certain nombre de ces constats gt L loignement l emploi est tr s variable un tiers dit occuper un emploi actuellement tandis qu un quart n a pas travaill depuis plus de 10 ans gt Environ 8 b n ficiaires sur 10 sont suivis par un r f rent et un contrat d insertion gt Le suivi est plus resserr lorsqu il est fait par un CCAS que par le Conseil g n ral et les circonscriptions Il joue davantage un r le de motivation du b n ficiaire Le b n ficiaire cite plus souvent le r f rent comme jouant un r le de motivation en CCAS qu en Conseil g n ral Repr ciser comment on arrive cette conclusion
268. jourd hui Par ailleurs la question du partenariat avec le secteur sanitaire appara t pr gnante l aune des d veloppements pr c dents Ainsi la complexification des profils des jeunes et des adultes accompagn s au sein des dispositifs en faveur d une augmentation de la souffrance psychique rend n cessaire le d veloppement de ce partenariat Celui ci appara t encore insuffisamment d velopp et la question de la coordination entre le secteur sanitaire et le secteur m dico social reste d actualit et devra n cessairement tre travaill e dans le cadre du sch ma Initiatives d partementales et locales La mise en place d quipes mobiles de g riatrie et de g ronto psychiatrie sur le d partement 2 Les partenariats avec la Justice et l ducation Nationale dans le cadre de la protection de l enfance La Justice Le d partement du Maine et Loire est divis en deux juridictions ayant chacun leur ressort territorial le Tribunal de Grande Instance d Angers et celui de Saumur Les Pr sidents de TGI laissent une grande marge de man uvre aux Pr sidents des Tribunaux pour Enfants 253 Le d cret 2008 107 d ao t 2008 instaure l existence d un magistrat coordonnateur lorsque le Tribunal Pour Enfants comporte plus d un magistrat L absence de hi rarchie d un magistrat sur ses pairs rend n anmoins la mesure difficile appliquer Il en ressort la difficult de faire merger une politique homog n is e d
269. l 209 gt Les actions paraissent ad quates dans la majorit des cas seuls 9 des r pondants disent avoir d j refus des actions d insertion propos es par leur r f rent gt Les deux tiers des r pondants disent se sentir suffisamment accompagn s dans leur parcours d insertion gt Les liens avec les autres services du Conseil g n ral concernent une part relativement faible des b n ficiaires du RSA 16 avec la MDPH 8 avec l ASE 5 avec la PMI 1 L ing nierie du parcours d insertion On compte en d cembre 2009 16 218 b n ficiaires du RSA dont 62 du RSA Socle revenu minimum garanti pour des personnes sans revenu soit 10 066 b n ficiaires 1 758 personnes sont b n ficiaires du RSA d Activit et 4 394 du RSA mixte Le RSA conna t au niveau du d partement et selon le m me mouvement qui s op re au niveau national une volution de 23 en quelques mois depuis juin 2009 Cette mont e en charge concerne plus particuli rement le RSA mixte avec 45 6 d augmentation Par ailleurs 52 des b n ficiaires sont situ s sur le territoire de l agglom ration angevine contre 19 et 16 respectivement pour les territoires de Cholet et Saumur Nombre de b n fidairesdu RSAen d mbre 2009 Da urce nseil g n ral de Maine et Loire Plan d partemental d insertion 2010 2012 Mars 2010 j a 8 y 00 f T4 g Concernant le syst me d orientation et de contractualisati
270. l Insertion par l activit conomique IAE Les structures d insertion par l activit conomique connaissent des volutions importantes Les modalit s de conventionnement et de financement avec les op rateurs ont t modifi es afin notamment de mieux prendre en compte le r le jou par ces structures en terme de d veloppement conomique et social Il s agit en effet d acteurs essentiels des politiques publiques d insertion de l emploi et du d veloppement local B Des territoires interroger Si les questions organisationnelles propres au Conseil g n ral ne rel vent pas du champ du sch ma unique le travail r alis notamment l accent donn l ad quation des besoins et de leurs r ponses d une part et la transversalit d autre part permet de r interroger le d coupage des territoires d action sociale aujourd hui retenus La mise en place des ARS concomitamment l laboration de la phase d valuation repr sente de ce fait une opportunit pour garantir la coh rence des d coupages des deux principales institutions de financement 19 C Un contexte budg taire contraint Les d penses nettes de fonctionnement du d partement sont en constante augmentation depuis 2004 Ainsi d s 2013 les prospectives r alis es indiquent que les d penses de fonctionnement seront sup rieures aux ressources globalis es de fonctionnement De ce fait l pargne du d partement risque de devenir n gative Les
271. l et un bailleur social ESH Val de Loire Les trois acteurs interviennent ainsi tout au long de la journ e de la personne 12 personnes travaillent en effet au sein de l association log es par Aide Accueil et b n ficient d un accompagnement social li au logement Le Conseil g n ral participe cette exp rimentation qui permet de traiter de la probl matique de l insertion dans sa globalit 4 La formation Les Conseillers Emplois Formation ont notamment pour mission de faciliter l acc s la formation aux b n ficiaires du RSA 68 orientations ont t r alis es en 2008 Sur l orientation et la construction du projet professionnel Le dispositif R ussir de AFPA concerne fortement les b n ficiaires du RSA et pourrait tre davantage mobilis par les Conseillers Emploi Formation A noter par ailleurs que le PLIE d Angers a mis en place des projets avec l AFPA partenariat innovant en France sur la th matique de la formation et de la qualification identifi e comme un axe cl A l avenir l AFPA se d sengagera du domaine de l orientation qui basculera sur P le Emploi Ce dernier travaille avec le Conseil g n ral la mise en place d une plateforme de vocation professionnelle destination des b n ficiaires du RSA L objectif est de d tecter les habilit s afin d objectiver la recherche d emploi et d aider aux entretiens d embauche L originalit de la d marche par rapport au dispositif
272. l ASEA situ Angers cr en 1962 a permis de prendre en charge 679 enfants file active Le rapport d activit souligne l importance de la demande et la surcharge de l quipe professionnelle Le CMPP de Cholet qui a ouvert le 1 d cembre 2008 tait fortement attendu sur un territoire disposant de tr s peu de p dopsychiatres de villes Il y a actuellement d j 50 nouveaux dossiers en attente pour le CMPP de Saumur alors m me 57 qu il n a ouvert qu en 2007 La m me situation pourrait donc tre constat e sur le territoire de Cholet Par ailleurs les acteurs indiquent l importance du partenariat sur l ensemble de ces trois territoires avec des relations fortes et r guli res entre les CMP le CHU d Angers ou encore le CESAME Enfin un Service d aide sp cialis domicile Cancer et Enfance a t cr Angers depuis le 1 septembre 1990 Il a d abord t cr sous la forme d un SESSAD puis transform sous forme d un CMPP Ce Service intervient au sein du CHU dans les locaux mais galement domicile et sur les lieux de vie de l enfant lieux de garde ou cole Initiatives d partementales et locales Le CMPP CAMSP de l ASEA d veloppe des activit s cliniques en extension ACE depuis 2003 s articulant autour de trois axes Soutien technique aux professionnels de l enfance et de la petite enfance travail avec une Association Petite Enfance Angers un SESSAD deux lie
273. lace dans les circonscriptions d but 2000 de l intervention de psychomotricienne Aujourd hui 9 circonscriptions sur 13 en b n ficient et le Conseil g n ral r fl chit l extension de ces activit s dans le Baugeois Cette action a t initialement d velopp e au sein des salles d attente des circonscriptions consid r s comme espaces propices d intervention des professionnels 3 Article R 1221 6 du Code de la sant une demi journ e de consultation par semaine pour 200 enfants n s vivants 52 Les visites au sein des tablissements scolaires Le service de PMI est galement tenu d effectuer des visites dans les tablissements scolaires afin de r aliser des bilans infirmiers puis m dicaux si un probl me est d pist destination des enfants g s de 3 et 4 ans Cette action organis e sur une ann e civile et qui d bute au mois de janvier est r alis e dans les tablissements scolaires publics et priv s En 2008 4 167 enfants ont t vus lors d un bilan infirmier soit 19 96 de la population totale des 3 4 ans contre 50 pour la Mayenne ou encore 64 pour la Loire Atlantique source ANDASS 2008 Nombre de consultations dans les tablissements scolaires 4874 g 4167 N J 217 Blansinfirmiers E Bilans m dicaux a Le De S 8 D 617 484 e a 577 ET a 2006 2007 2008 Les Centres de planification et d ducation familiale CPEF La PMI compte huit Centres de plan
274. le Adapter les dispositifs de droit commun et permetter un accompagnement de la cellule familiale au D velopper le soutien desparents del des6 ans de en situation de handicap l enfant D velopper les articulationsentre Favoriser l animation domidile et institution territoriale D velopper les approches interm diaires Soutenir l acc s la vie sociale Renforcer la participation aux activit s de loisirs Proposer une approche globale en d passant les sp dficit sli es chaque handicap Mieux pr parer et accompagner les travailleurs en situation de handicap Favoriser l int gration sociale Favoriser les parcours volutifs D velopper une perm abilit entre les dispositifs D velopper l immersion en entreprise destravailleurs handicap s Faire voluer le regard de l entreprise D velopper les pratiques de travail en milieu ordinaire Favoriser la mise au travail et adapter l accompagnement des personnes D velopper les collaborations entre pr sentant un les secteurs de la psychiatrie et kes handicap psychique structures de travail prot g ou c r bro l s es Adapter l accompagnement des personnes handicap es vieillissantes Am liorer leur connaissance D velopper un accompagnement renforc leur domicile Q ation de places de SAMSAH et de places de SSAD PH Mont e de la PCH travail sp cifique men avecles SAAD voir le sch ma Enfance D veloppement insuffisant des ac
275. le Points d am lioration Le dispositif d accueil d urgence des plus de 14 ans doit tre reconfigur Un d lai d orientation vers un lieu d accueil p renne trop long Le Foyer d partemental doit adapter sa prise en charge aux nouveaux profils des enfants accueillis L absence d accueil d urgence sp cifique pour le public g et handicap 1 Les accueils d urgence mis en place dans le D partement au titre de la protection de l enfance Organisation et pilotage du dispositif Le d partement dispose d un foyer d partemental de l enfance le Village Saint Exup ry d une capacit de 107 places pour les enfants g s de 0 14 ans r parties entre 66 places en internat 20 places en familles d accueil 9 places en unit d accueil familial pour les 0 3 ans et 12 places en maisons d accueil externalis es 187 Le nombre d enfants accueillis est en baisse depuis 2006 de 199 141 enfants en 2008 soit un taux d occupation de 79 75 due notamment au service de famille d accueil pour les 6 14 ans 9 placements en moyenne sur 20 places en 2008 La structure est confront e des difficult s de recrutement et aux d parts des professionnels Les professionnels du Village Saint Exup ry ont pu constater une hausse importante de placements qui interviennent suite une rupture de prise en charge ant rieure souvent dans les familles d accueil ce qui corrobore la n cessit d un travail sp cifique
276. lectif r gulier familial Aructyres d acae 56 824 50 745 10 collectif occasionnel Garderies p riscolaires 370 402 S amp ructures multi accueil 0 0 42 1 120 Total hors p riscolaire 469 2169 140 3 344 54 Si le d partement est couvert de mani re h t rog ne par les structures d accueil leur territoire d implantation semble cependant correspondre aux besoins Ainsi les communes qui comptent le plus grand nombre d enfants de O 6 ans disposent d une structure d accueil Cependant l extr me Ouest du d partement tant le Nord que le Sud appara t peu pourvu de la m me mani re que l Est ou le Sud du territoire Ainsi la tr s grande majorit de l offre est concentr e autour des villes et de leur agglom ration Angers Cholet et Saumur Ces constats expliquent l offre tr s importante en termes d accueil individuel chez les assistants maternels en milieu rural par exemple dans les Mauges Source Conseil g n ralde Maine et Loire 2010 140 A Les haltes garderies dont multi accueil L accueil r gulier familial L accueil collectif r gulier dont multi accueil R partition des 0 6 ans en2006 en urce INSERGP 2006 Conseil g n ral de Maine et Loire 2010 M oa66 M s i M d05 3 a deo2 05 De 0 01 0 2 Par ailleurs la carte ci dessous permet de confronter les structures offertes avec la part des enfants potentiellement demandeurs de garde
277. les ESAT ne sont pas suffisamment identifi s par les entreprises celles ci ne peuvent recevoir des aides d adaptation du poste pour l accueil de travailleurs ESAT en d tachement les ESAT ne peuvent r aliser d embauches sur la place rendue disponible enfin il n y a pas de personnel d di l insertion professionnelle au sein des ESAT EA Ainsi il apparait n cessaire de poursuivre les efforts engag s en termes de passerelles entre les deux secteurs professionnels 2 L insertion dans le milieu ordinaire L int gration en milieu ordinaire de travail est un des axes prioritaires de la politique nationale en faveur des personnes handicap es Renfor ant les mesures incitatives la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es affirme le principe de non discrimination l embauche Elle renforce les sanctions financi res pour les employeurs qui ne respectent pas l obligation d emploi de travailleurs handicap s fix e 6 de l effectif Par ailleurs comme indiqu pr c demment la loi du 2005 souhaite garantir aux personnes handicap es l acc s aux dispositifs de droit commun e Quelques chiffres d partementaux En 2008 la MDPH a reconnu la qualit de travailleur handicap 3 954 personnes soit une augmentation de 9 par rapport 2007 avec une d cision d orientation en r insertion professionnelle pour 2 751 personnes soit
278. les entre professionnels ou d actions de formation Mais ils ne sont que 41 avoir mis en place un dispositif d alerte des situations de risque de maltraitance Si les tablissements pour adultes handicap s ne se sont pas saisis de cette question avec la m me intensit 71 des structures r pondantes ont cependant mis en place de telles actions l gard des professionnels des structures Par ailleurs les instances participatives tel le Conseil de la Vie sociale peuvent tre des gages de suivi de contr le de la qualit La grande majorit des tablissements du d partement en dispose 100 des EHPAD interrog s et 82 des tablissements pour adultes handicap s Ce travail a t soutenu par le Conseil g n ral qui a mis l accent sur la pr vention de la bientraitance dans le cadre du pr c dent sch ma g rontologique 2008 2010 Enfin un protocole sp cifique au d partement est entr en application au 15 f vrier 2009 Ce dispositif conjoint la DDASS et la DGA DSS formalise la proc dure de gestion des plaintes l gard d un tablissement ou service sanitaire social ou m dico social adress s la DDASS et a pour triple objet de garantir un traitement exhaustif et harmonis des plaintes d en assurer la tra abilit et enfin d tre en mesure d tablir un bilan quantitatif et qualitatif des plaintes re ues et de leur traitement Initiatives d partementales et locales L association ALMA de M
279. les prioritaires Cet accord collectif d partemental a t prolong afin de pouvoir reloger une trentaine de familles non ligibles au dispositif DALO d Interventions transversales aides la pierre et aides la personne exemple de la cellule d partementale de l habitat indigne L Observatoire de l habitat indigne pr vu par la loi se voit dans le d partement port en commun avec l tat Action innovante du Conseil g n ral une cellule de rep rage de l habitat indigne a t cr e en lien avec les territoires et avec les services de l tat 75 logements ont t signal s en 2008 Depuis avril dernier est mis en place un plan de lutte contre l habitat indigne financ 80 par l tat Focus sur la cellule d partementale de l habitat indigne La cellule de l habitat indigne a t cr e en 2008 afin de faciliter le rep rage des situations d habitat indigne sur le D partement par un travail partenarial Elle recueille les signalements de logements pr sentant des signes d insalubrit et est activ e par les travailleurs sociaux du Conseil g n ral des 2 CAF ou de la MSA Dans ce cadre un dispositif de traitement de ces situations a t mis en place en 2009 pour une dur e de 4 ans 108 Nombre de logementsinconfortables en 2007 logement de qualit m diocre umulant plugeurs d fauts majeurs Logement exigu absence de salle de bain humidit mauvaise islation l
280. lexion sur la r alisation des IED est actuellement en cours au sein du Conseil g n ral et doit n cessairement tre int gr e dans le cadre du sch ma Les actions ducatives en milieu ouvert Le Service d AEMO SAEMO qui dispose d une capacit de 864 mesures a connu une mont e en charge tr s forte capacit de 500 mesures en 2005 Il a suivi au total 1 358 jeunes sur l ann e 2008 on comptait 834 pr sents au 31 d cembre 2008 et 524 sorties dans l ann e La mise en place du DISMO a permis au SAEMO de faire baisser son activit 878 pr sents au 1 janvier contre 834 au 31 d cembre et 1 473 jeunes suivis sur l ann e 2007 contre 1 358 en 2008 soit une diminution de 8 permettant ainsi de faire 77 correspondre la capacit install e 848 mesures par an avec l activit r alis e 855 mesures en moyenne Le service a galement connu une forte diminution du nombre de mesures en attente 110 mesures en moyenne sur l ann e 2008 contre 34 en moyenne au 1 trimestre 2009 Enfin on observe depuis 2007 une diminution de la dur e des mesures avec 75 1 de mesures comprises entre 1 jour et 2 ans en 2008 contre 63 5 en 2007 Avec 30 ETP de personnel d ducation on compte 28 dossiers suivis en moyenne par ces professionnels soit environ 3 dossiers de plus que la moyenne nationale n existe pas aujourd hui de m diateur au sein du service alors m me que cette modalit est pr vue par la loi d
281. lissant de la r gion Ille et Vilaine Loire Atlantique Bas Rhin Maine et Loire France R gion Pays de la Loire Mayenne Sarthe Indre et Loire Vend e b Quelques l ments conomiques Les donn es socio conomiques tudi es situent le Maine et Loire en dessous des moyennes Menestra PIBpar habitant r gionales et nationales Vendee Mayenne Le PIB par habitant du Sie Maine et Loire est le plus EEEN bas de l chantillon ue analys avec 22 946 ne euros annuels Il se situe aique en dessous des moyennes ns nationale et r gionales a respectivement de 25 946 et 27 811 euros Ce constat appelle un premier point de vigilance sur les disparit s socio conomiques au sein du des territoire s 27 Au 3 trimestre 2009 le taux de ch mage du Maine et Loire s tablit 8 30 de la population active s agit du second taux le plus lev de l chantillon analys le taux de ch mage sarthois atteignant les 9 20 Le Maine et Loire se place entre la moyenne r gionale 8 10 et la moyenne nationale 9 10 Dans la r gion Pays de la Loire la Mayenne se d marque en affichant le seul taux de l chantillon inf rieur 7 avec 6 40 Pays de la Loire 8 1 de la population active Fran 9 1 de la population active urce INSE2010 Taux de ch mage au 3 re trimestre 2009 de la population active M Pusde9 D fntre 8e 9 E fntre 7e 8 E Moinsde 7 Taux de
282. lles missions d volues la PMI lui permettent en effet d assurer ce r le Ainsi la loi du 5 mars 2007 pr voit la proposition syst matique d un entretien pr natal au cours du 4 me mois de grossesse et le d veloppement du suivi PMI postnatal en particulier travers de la syst matisation du bilan de 3 4 ans en cole maternelle Art R 2112 7 du Code de la Sant Publique Le service d partemental doit disposer D une sage femme temps plein ou son quivalent pour 1500 enfants n s vivants au cours de l ann e civile pr c dente de parents r sidant dans le d partement D une pu ricultrice temps plein ou son quivalent pour 250 enfants n s vivants au cours de l ann e civile pr c dente de parents r sidant dans le d partement En cas d impossibilit de recruter des pu ricultrices le service peut faire appel des infirmiers ou des infirmi res ayant acquis une exp rience appropri e Au 31 juillet 2009 le service de PPSF PMI compte 13 4 ETP de m decins soit 1 30 ETP pour 1000 naissances contre 3 74 ETP en France m tropolitaine 15 m decins exercent l ensemble des missions au sein du d partement dont un m decin positionn plus particuli rement sur les actions de planification Par ailleurs deux circonscriptions comptent 2 m decins la circonscription d Angers Centre et d Angers couronne Nord Le Conseil g n ral a fait le choix de sp cialiser chaque m decin sur le suivi d
283. longs Boyaux Le groupe technique d partemental r unit des repr sentants techniciens des quatre villes et agglom rations concern es du Conseil g n ral du service de pr vention sp cialis e et de l Inspection d acad mie Il valide techniquement les plans d action territorialis s et met en place des outils facilitant la r alisation des diagnostics de territoire La commission d partementale de pr vention sp cialis e est l instance de d cision et de coordination entre les diff rents signataires de la convention Elle value l action de la pr vention sp cialis e et valide les plans d action territorialis s 62 Initiatives d partementales et locales Mise en place d un atelier au sein d un quartier dans le but de f d rer les habitants autour de l apprentissage du bricolage Exp rimentation de la mise en place d un camion itin rant dans un quartier d Angers en faveur des gens du voyage afin de favoriser la socialisation des moins de six ans Cette action a t tendue en 2009 trois autres territoires d intervention Cholet Saumur Vall e 2 L accompagnement social Le travail de pr vention est galement r alis par les professionnels au sein des circonscriptions d action sociale Ceux ci sont amen s intervenir la fois aupr s des familles enfants et parents mais galement aupr s des personnes isol es Cette action de pr vention peut ainsi tre r alis e travers des accompa
284. loyeurs de mobiliser des candidats parmi le public RSA et de suivre les personnes en emploi Ce dispositif permet de limiter le taux de rupture des contrats 16 en moyenne Le Conseil g n ral a mis en place un suivi post contrats aid s 22 des b n ficiaires ont trouv un emploi durable au moins 6 mois l issue de leur contrat aid La situation varie cependant fortement selon le secteur marchand 55 de sorties positives ou non marchand 7 L ann e 2009 a enregistr un fort infl chissement des contrats dans le secteur marchand 31 du fait de la contraction de la conjoncture conomique Initiatives d partementales et locales En 2009 l unit Emploi Formation a conclu 1191 contrats de travail dont 1138 contrats aid s du Conseil g n ral Les conseillers ont effectu des visites de prospection dans plus de 200 nouvelles entreprises L unit a galement men une op ration de promotion de l quipe et des contrats aid s aupr s de chefs d tablissements de g rontologie des services handicap et services m dico sociaux 213 des informations collectives sur les m tiers de l aide domicile avec Anjou domicile destination des b n ficiaires du RSA A travers la Direction D veloppement le Conseil g n ral se positionne galement en amont de l insertion en pr venant les ruptures de parcours professionnel et en soutenant la cr ation d emploi II finance 90 le comit d expansi
285. ls de groupes enfants des CLSH adultes ou enfants handicap s Enfin un Relais familial situ Saumur permet de prendre en charge des femmes qui ont des enfants en bas ge ou qui sont enceintes Le Conseil g n ral participe au titre de l accompagnement social li au logement mais galement dans le cadre du soutien la parentalit Ces actions sont r alis es en lien troit avec l ASE Si ces structures sont localis es pour le moment essentiellement dans les agglom rations les contrats de territoire constituent un levier r el du d veloppement de projet au sein des EPCI situ es en milieu plus rural Ainsi le Conseil g n ral a propos le financement d tudes sur le logement des jeunes dans le cadre de ces contrats afin de r aliser une tude des besoins sur le territoire de l EPCI et permettant par la suite de soutenir des projets 9 communes au 31 novembre 2009 ont souhait r aliser une telle tude Des actions exp rimentales sont d j men es en ce sens Ainsi L association Logement et Habitat en Loire situ e dans le Baugeois propose des logements interg n rationnels et cette action innovante est soutenue financi rement par le Conseil g n ral Le PTI 2010 2012 souhaite favoriser la mise en place d une plateforme partenariale en mati re de logement et d h bergement associant le Direction d partementale de la coh sion sociale et le service habitat et permettant ainsi de centraliser l offre exi
286. lsion r ciproque c est dire d une tendance de la soci t rejeter ces personnes et d une tendance de ces personnes s exclure de la soci t Le maintien ou la cr ation de ce lien social passent par plusieurs vecteurs dont le Conseil g n ral et ses partenaires sont les garants Il s agit notamment De l accessibilit qui rev t plusieurs formes l adaptation des transports des commerces des lieux publics des loisirs sportifs et culturels De la coh rence de la politique de la cit politique de la ville qui doit viser l inclusion d une diversit des publics au sein d espaces communs Les publics qui seront ici cibl s sont constitu s des jeunes et des adultes connaissant des difficult s d insertion sociale et professionnelle les personnes en situation de handicap et les publics vuln rables dont les personnes g es et les personnes en forte pr carit qui pr sentent un fort risque d isolement progressif L valuation de cet item ne concerne pas que le Conseil g n ral m me si ce document repr sentant son sch ma il a s agit d identifier les actions qu il finance ou soutient toutefois d une mani re plus g n rale l aspect transversal recherch s tend ici la compl mentarit des interventions du D partement avec les autres financeurs Qu elle s organise de mani re ponctuelle ou travers des dispositifs complexes cette transversalit exige un minimum de structuration pour garanti
287. luation n est pas syst matiquement toujours respect e 264 Public et donn es d activit s Le nombre d informations pr occupantes appara t en constante augmentation avec 33 d volution entre 2008 et 2009 contre 22 entre 2007 et 2008 2 152 IP en 2009 Toutes les informations pr occupantes connues de la cellule sont enregistr es sur fichier informatique ainsi que leur provenance et les principaux l ments de danger concernant l enfant Concernant le profil des enfants concern s par des informations pr occupantes ceux ci sont en majorit g s de 6 10 ans De plus 40 des enfants concern s par une information pr occupante vivent en famille monoparentale dont 35 vivent avec leur m re seule Au 31 d cembre 2008 18 des enfants dans le Maine et Loire sont pris en charge par un seul des deux parents 34 des enfants concern s par une IP vivent avec leurs deux parents Les services sociaux de d partement sont le plus grand pourvoyeur d informations pr occupantes 33 6 suivis par l ducation nationale 16 7 et la justice 12 9 On peut noter entre 2007 et 2008 une forte augmentation des informations pr occupantes en provenance des tablissements sociaux et m dico sociaux de 7 4 11 2 Total d partemental 2 152 IP soit 9 44 IP pour 1000 enfants de moins de 21 ans Nombre d informations pr occupantes en 2009 Nombre d IP pour 1000 enfants de moins de 21 ans en 2009 6 75 I
288. luent de 8 8 en moyenne chaque ann e avec une diversification hors Angers Segr couronne Sud d Angers 107 Aide pour efficacit nerg tique nn 42 En outre de nouveaux outils ont t d velopp s dans ce cadre l aide la sous location de logements 50 logements priv s permettent de reloger des m nages temporairement m me si les relogements restent ensuite difficiles Ce dispositif se voit cependant mis en p ril par le montant des impay s les actions pr ventives en mati re de ma trise de l nergie des pr mesures dont l objectif est d obtenir l adh sion de la famille pour une mesure d accompagnement Le PDI finance une prestation d accompagnement social et professionnel de publics h berg s Pr s de 150 personnes en ont b n fici en 2008 Dans le champ de l insertion par le logement le d partement poss de un tissu associatif riche mais qui manque de coordination et de stabilit Les accompagnements restent encore cloisonn s entre l insertion par l emploi et l insertion par le logement Dans le cadre du dispositif Droit au logement opposable qui s inscrit dans le cadre du Plan d partemental d actions pour le logement des personnes d favoris es PDALPD une commission interbailleurs 12 organismes HLM a t instaur e pour croiser les informations Ce dispositif pr existait dans le d partement les bailleurs s engageaient trouver des logements un certain nombre de famil
289. mation r glementaire en ce qui concerne les assistants familiaux Concernant l accueil familial social seul le renouvellement est conditionn par la fourniture d une attestation de formation Par la suite des formations doivent tre organis es par le Conseil g n ral En 2008 284 jours de formation ont t organis s en faveur des ASSFAM soit pr s du double qu en 2007 148 jours Le nombre de personnes concern es reste globalement stable 630 personnes Le suivi Le Conseil g n ral est tenu d assurer le contr le et le suivi des accueillants familiaux Une politique volontariste de formation et d accompagnement des assistants familiaux a t mise en place par le Conseil g n ral De plus 15 groupes d analyse de la pratique ont r uni des assistants familiaux sur le territoire d partemental durant l ann e 2008 Par ailleurs au sein de l unit d di e deux ducateurs sont positionn s sur l accompagnement des assistants Outre les valuations de recrutement et de changement de sp cialit ces ressources ont t orient es en priorit vers le suivi des assistants familiaux sp cialis s accueil d urgence et de courte dur e accueil relais accueil en vue d adoption et les assistants familiaux exer ant en couple Depuis fin 2008 les ducateurs organisent en plus une rencontre syst matique avec les assistants familiaux apr s le d part d un enfant Enfin des r unions de service sont organis es deux r
290. me mois de grossesse o d veloppement du suivi PMI postnatal Un renforcement des dispositions de la loi du 6 mars 2000 qui pr cisait que les visites m dicales ont notamment pour objet de pr venir et d tecter les cas d enfants maltrait s Tous les enfants doivent aujourd hui tre soumis une visite obligatoire bilan de sant physique et psychologique au cours de leurs 6 me 9 me 12 me et 15 me ann es 14 De nouvelles prestations l attention des parents et des jeunes rencontrant des difficult s ducatives sont institu es o la prestation d accompagnement en conomie sociale et familiale o la mesure d accueil de jour L valuation des situations doit tre r alis e o avant toute prestation o de mani re pluridisciplinaire et sur une base annuelle elle est communiqu e aux parents dont l enfant b n ficie d une mesure ducative ou d un accueil Le rep rage et le traitement du danger Les nouvelles cat gories d analyse La loi supprime le terme maltraitance au profit du terme danger une distinction est op r e entre l information pr occupante avisant le D partement du danger et le signalement l autorit judiciaire La loi consacre le principe de subsidiarit de l intervention judiciaire le Pr sident du Conseil G n ral n a le devoir de saisir l autorit judiciaire de la situation d un enfant en danger que s il est tabli que le service d partemental
291. ment compte 8 030 Assistantes maternelles ASSMAT soit 17 ASSMAT pour 100 enfants de 0 3 ans permettant d accueillir entre 20 000 et 21 000 enfants Le ratio d ASSMAT est identique la moyenne r gionale et l ensemble des d partements de la R gion des Pays de la Loire disposent d un nombre d ASSMAT relativement similaires de 16 ASSMAT pour la Mayenne 19 ASSMAT pour 100 enfants de 0 3 ans en Vend e Dans le Maine et Loire le plus grand nombre d ASSMAT se situe dans la circonscription des Mauges qui concentre 18 du nombre total d Assistantes maternelles avec 1 481 professionnelles Cette forte pr sence de l accueil individuel dans le Sud ouest du d partement est mettre en relation avec les besoins tr s lev s sur ce territoire forte part des actifs et le nombre peu important de structures d accueil collectif 144 urce Ons il g n ral 2010 l aune de ces chiffres il appara t que l offre en accueil individuel sur les territoires se trouve impact e par trois ph nom nes distincts Tout d abord l offre d accueil collectif tant moins importante dans le milieu rural les circonscriptions de Segr les Mauges Dou la Fontaine et Baug sont des territoires ruraux qui comptent plus de 750 ASSMAT et qui concentrent au total 49 de l offre total d accueil individuel Par ailleurs on observe l image du territoire fran ais un d placement des populations en p riph rie des villes not
292. mpagnement pour adultes SAVS SAMSAH mais galement SSIAD PH et services domicile doit tre travaill e plus avant 2 L accompagnement domicile des adultes en situation de handicap Organisation et pilotage du dispositif La prise en charge domicile constitue un des enjeux majeurs des nouveaux dispositifs d accompagnement des personnes handicap es Les services d accompagnement la vie sociale SAVS et les services d accompagnement m dico social pour adultes handicap s SAMSAH ont ainsi t cr s dans la mouvance de la loi de 2005 avec pour principale ambition d offrir un accompagnement individuel adapt et cordonn aux personnes en situation de handicap souhaitant vivre leur domicile afin que celles ci puissent parvenir au plein exercice de leur citoyennet et de leur capacit d autonomie Le d veloppement de ces services permet galement de travailler de fa on pr ventive avec la personne et d viter une entr e en tablissement d h bergement Il existe au sein du d partement 20 SAVS et 3 SAMSAH repr sentant respectivement une capacit de 407 et de 107 places En ce qui concerne les SAVS 36 places ont ce jour t autoris es mais ne sont pas install es L offre a ainsi augment depuis 2005 avec la cr ation de 94 places suppl mentaires en SAVS et de 107 places en SAMSAH L ensemble de l offre en termes de SAMSAH est implant e Angers et son agglom ration qui concentre galement 51 des
293. n Aujourd hui les mesures d aides financi res sont pr sentes conform ment aux priorit s nonc es par le Conseil g n ral dans son programme d action territoriale qui permet une mise en uvre locale volontariste des cr dits d l gu s par l ANAH en moyenne 235 subventions vers es annuellement par PANAH dont 225 pour des propri taires occupants Ce niveau de d l gation est un choix sp cifique du Conseil g n ral de Maine et Loire Le Pact Anjou Habitat et D veloppement est le premier relai des subventions Cependant l Atlas g rontologique d partemental de 2009 posait l hypoth se de la corr lation n gative qu il existe entre le ratio de personnes aid es par des subventions et la repr sentativit des m nages de plus de 65 ans ne disposant pas de douches et ou habitant des logements construits avant 1949 Il semble ainsi que les demandes et les offres de subventions ne soient pas toujours adapt es aux besoins on constate ainsi un ratio de m nages aid s plus lev au sein de territoire o les conditions d habitation sont plus favorables L Atlas avance l explication d une localisation des antennes Pact Anjou de nature influer sur les demandes d aides il n existe aucune antenne dans le Nord Est du d partement par exemple La mobilisation de certains lus sur des territoires constitue galement un facteur explicatif des diversit s d partementales Enfin une convention a t sign e entre Pact Anjou et le C
294. n Ainsi en 2008 le CPEF a r alis des actions de sensibilisation sur la sexualit des publics handicap s aupr s des professionnels d tablissements d accueil Aucune donn e statistique n est ce jour disponible en ce qui concerne ces actions collectives Par ailleurs le r le des centres de planification et d ducation familiale est r affirm par un rapport de l IGAS concernant l valuation des politiques de pr vention des grossesses non d sir es qui met en exergue les difficult s encore pr gnante concernant ce champ de pr vention Le rapport r v le notamment un grand nombre d IVG chez les mineures et les femmes sous contraception des in galit s territoriales importantes dans la prise en charge de l IVG et un manque d information des mineures sur le sujet Ce rapport remis en f vrier 2010 indique la n cessit de garantir un acc s ais aux centres de planification Cet acc s apparait encore contraint par une information insuffisante sur l existence de ces centres qui doit pouvoir tre r alis e plus avant par les s ances d ducation la sexualit dans les tablissements scolaires ou les autres structures fr quent es par les jeunes ou les personnes en difficult sociale Par ailleurs les centres sont encore aujourd hui difficilement accessibles la fois au vu des diversit s territoriales accessibilit moindre au milieu rural mais galement des modes de fonctionnement horaire d ouverture Su
295. n coordination avec la CAF ou via un cabinet de conseil La CODAJE La PPSF PMI le Service Adoption Quel en tait le sujet Accueil d enfants porteurs de handicap au sein des structures d accueil Coanimation du REAAP Commission D partementale de l Accueil des Jeunes Enfants CODAJE 2 4 ans L accueil des enfants dans le cadre du Pacte Territorial pour l Insertion les freins l insertion professionnelle Accompagnement la parentalit dans le cadre de l adoption ou dans un autre domaine Contrat jeunes majeurs Etude des th mes de r flexion et pr paration des journ es annuelles faisant suite l tude ICSH concernant le Les modes et relations partenariaux sont d une grande diversit Le champ d intervention des acteurs sollicit s est extr mement tendu et les r currences sont assez difficiles identifier Par ailleurs les occasions de travailler avec d autres partenaires au sein d instances de r flexions sont multiples et concernent toujours de sujets visant interroger des volutions nouvelles ou des changements rendus n cessaires suite des dysfonctionnements observ s Il pourrait revenir chacune des directions de r aliser ce travail de fa on encore plus approfondie notamment pour arr ter une ligne directrice qui marque la position du Conseil g n ral Il s agirait ensuite de s emparer des sujets communs plusieurs directions pour d terminer des orientations homog nes
296. n de l enfance en mettant en place une cellule de veille et d valuation destin e valuer les parcours des jeunes Assouplir les modes de prise en charge administratifs et finanders pour r pondre aux situationsindividuelles desjeunes en grande difficult Favoriser le d veloppement et l change d informations Mettre en place des mesures d investigation ex cutoires d s que le service est inform Am liorer laqualit de la collecte d informations puisleur retransmission crite Am liorer les coop rations Renforcer les coop rations au b n fice desenfants lafronti re entre le secteur m dico desdispositifs d ducation sp ciale et de laprotection de swial etlaprotectionde l enfan l enfance D velopper les prisesen Cr er des modalit s d accueil et d accompagnement pour les charge partag e jeunes lafronti re du dispositif relayer ou initier des actions de pr vention de la maltraitance Toucher le grand public par des campagnes de sensibilisation Sensibiliser l ensemble des lieux d accueil s questions Communiquer sur le drcuit du signalement Mieux prendre en compte lesenfants victimeset Soutenir le projet d un lieu d accueil desenfants victimes leursfamilles Mieux accompagner les enfants victimes et leursfamilles Offrir la possibilit d un accompagnement soutenant en liaison dansles circonscriptions et les acteurs de p dopsychiatrie Mineurs victime de maltraitance et leurs Am liorer l
297. n des publics accueillis et des probl matiques qui sont traiter A titre d illustration les entretiens avec les responsables de circonscription ont permis d identifier une mont e en charge des accompagnements de travailleurs au seuil de la pr carit et de publics pr sentant des souffrances d ordre psychique On notera toutefois que ces remont es ne se font pas toujours de mani re centralis e et qu elles ne donnent pas encore lieu un traitement global et probl matis l chelle du d partement Projet d Observatoire g rontologique Le Conseil g n ral identifie la n cessit de disposer d un observatoire g rontologique d partemental d s le sch ma de 2003 2007 Ainsi il a souhait que l IDGL devienne un Observatoire d partemental de l action g rontologique s appuyant sur un r seau d IGL dispositifs d observation social au niveau du territoire La m me notion a t reprise en 2008 et la r flexion a ainsi t engag e autour de la mise en place d un tel observatoire Dans ce cadre un Atlas g rontologique d partemental a t r alis rapport rendu en octobre 2009 posant un tat des lieux pr cis et constituant une premi re base de travail Les acteurs mentionnent des besoins forts en observation recueil et traitement analyse diffusion sur les pans des politiques sociales non couvertes par un observatoire obligatoire r glementairement l enfance en danger et l habitat La questi
298. n des structures collectives de garde ou l accueil en centres de 18 Rapport sur l adoption Mission confi e Jean Marc Colombani 2008 139 loisirs absence de personnel sp cifiquement form au sein du d partement au handicap dans les structures d accueil il L accueil collectif du jeune enfant Au 31 d cembre 2009 le D partement du Maine et Loire appara t bien dot en structures d accueil collectif pour jeunes enfants Ainsi on compte 54 d volution en termes de places entre 2006 et 2009 Le D partement a connu des volutions similaires l ensemble du territoire fran ais Les structures de type multi accueil se sont tr s fortement d velopp es avec 42 cr ations en 3 ans l inverse des haltes garderies et des cr ches familiales 10 pendant cette m me p riode Par ailleurs suite au d cret du 20 f vrier 2007 le D partement a cr 3 micro cr ches en 2009 permettant d accueillir 27 enfants On compte ainsi 3 344 places d accueil collectif dans le Maine et Loire au 31 d cembre 2009 soit 6 11 places pour 100 enfants de 0 3 ans contre 4 6 places pour la moyenne r gionale Seul le d partement de la Loire Atlantique appara t mieux quip que le Maine et Loire avec 7 66 places Source ANDASS 2008 2006 2009 Nombre de Nombrede Nombrede Nombre de Evolution structures places structures places 2006 2009 sel 22 672 26 844 26 collectif r gulier SH damua 21 663 18 598 10 col
299. n mouvement de formalisation s est r alis depuis deux ans Ainsi les situations sont mieux rep r es et prises en charge de mani re plus adapt e La ville de Cholet a en effet r alis un effort de soutien en direction des quipes travers des actions de formations et de soutien Par ailleurs le Projet d Accueil Individualis PAI est aujourd hui syst matiquement r dig avec les parents Enfin la ville met en place actuellement des groupes de travail en vue d adopter une charte fin 2010 pour l accueil des enfants en situation de handicap Les demandes d accueil proviennent la fois des parents mais galement des SESSAD et un travail en lien avec ces services et les CAMSP est r alis lors de la prise en charge de l enfant Lors d une demande des parents la mairie se rapproche des m decins et de l quipe de la cr che afin d aborder de la meilleure mani re possible une int gration On ne compte pas de centres de loisirs sp cifiques pour les enfants en situation de handicap Quatre centres peuvent tre cit s dans la R gion deux localis s au Mans et deux Nantes qui permettent d accueillir des enfants handicap s et des enfants valides pendant les vacances et le mercredi deux de la F d ration Loisirs pluriels Initiatives d partementales et locales 149 La DDJS 49 a organis en 2009 une formation sur le handicap destination des directeurs et animateurs ayant d j accueilli des enfants porte
300. n place par l agglom ration d Angers 3 L insertion par l activit conomique Avec 63 structures d insertion par l activit conomique le Maine et Loire recense la moiti de l offre r gionale L IAE repr sente donc des enjeux particuli rement forts pour le dispositif d partemental d insertion et plus g n ralement pour le d veloppement social local Ainsi le Plan d partemental d insertion 2010 2012 r affirme la priorit accord e l insertion par l activit conomique avec la volont de recentrer sa comp tence sur le volet accompagnement vers l insertion Les cr dits du Conseil g n ral sont ainsi fortement mobilis s en faveur des ateliers et chantiers d insertion Les chantiers d insertion 577 places dont 385 financ es par le Conseil g n ral ont d j fait l objet d un document commun tous les financeurs 214 ba 3 e E Baug angevine gt Al 5 structures ACI 3 structures Al 1 structure N ACI 12 structures B 9 structures Saumur AN sendian T Cholet Al 2 structures ACI 7 structures El 8 structures Al 3 structures Al Association interm diaire ACI 6 structures k r El 4 structures ACI Ateliers et chantiers d insertion El Entreprise d insertion Nb de b n ficiaires IAE b n ficiaires IAE b n ficiaires RSA L IAE conventionn e par le Conseil g n ral compte 12 associations interm diaires 30 ateliers et chantiers d inse
301. nal Pourtant les passerelles entre les directions vocation sociale sont encore peu nombreuses Celles avec les autres directions du Conseil g n ral sont aussi exemplaires que rares Comme le posait l introduction cette valuation le principal objectif du sch ma unique r side sans doute dans la capacit de ce diagnostic poser l action de tous Conseil g n ral et partenaires pour mieux identifier les responsabilit s que chacun doit tre capable de prendre mais aussi pour identifier des nouveaux instruments de pilotage un nouveau mode de gouvernance 246 A retenir Atouts Le maillage du territoire par les CLIC L existence des r seaux sp cialis s g rontologiques de sant permettant de prendre en charge une diversit des probl matiques Un partenariat solide et structur dans le temps avec les principales institutions des dispositifs Justice Education nationale DDASS Un dispositif d IP efficace que doivent encore s approprier les acteurs La mise en place de deux observatoires sp cialis s Points d am lioration Le manque de liens entre les secteurs Enfance et Adultes Handicap s dont l ASE Une transversalit interne au Conseil g n ral qui demeure construire Une information l attention des usagers encore diffuse et dispers e Une transversalit interne au Conseil g n ral qui demeure construire Une information l attention des usagers encore diffuse et
302. nce de la population est la plus forte dans les communes autour de Tierc et Seiches sur le Loir ainsi que dans les communes du Nord Gurce INSERGP 2006 Est du canton de Thouarc Nombre d habitants 766 655 habitants Moyenne d partementale 5 Evolution de la population entre 1999 et 2006 en M 2056 M 10220 P de5 10 E do s N gative Concernant la part des 0 19 ans dans les communes on peut observer trois grandes zones dans le d partement elle est importante dans les communes du Nord Ouest elle est 30 moyenne dans le Sud Ouest et faible dans les communes situ es l Est du Maine et Loire I ne s agit l que de tendances g n rales une minorit de communes l Est Saint Martin d Arc Les Ulmes Artannes ayant une population jeune De m me une partie des communes l Ouest pr sentent une part moins importante de 0 19 ans dans leur population Pouanc Challain la Potherie Noellet au nord le Fuilet et Chaudron en Mauges au sud Nombre de 0 19 ans 203952 habitants Moyenne d partementale 26 6 de la population totale urce INSERGP2006 Part des0 19 ans dans la population totale des communes en 2006 en D 22a D 222 P de26 28 E de24 26 L De 16 24 La part des 20 59 des communes est importante dans le Sud Ouest du d partement notamment dans les cantons de Cholet 1 2 et 3 ainsi qu Montfaucon Montign
303. nces doivent pouvoir inclure l entourage Plus largement les acteurs souhaitent qu une r flexion puisse aborder la question de la pertinence de la mise en place d un R seau visant conduire des actions sp cifiques dans le champ de la vie sociale et structurer les initiatives existantes Par ailleurs les r flexions transversales sont ce jour insuffisantes entre la DGA DSS et la Direction du patrimoine de la culture et des sports Les liens se cr ent autour de projet ponctuels Ainsi des collaborations sont en place avec le secteur de l enfance famille au niveau du sport entre par exemple un club de hockey professionnel et le foyer d partemental des places peuvent tre r serv es au public en insertion professionnelle dans le cadre du festival d Anjou par exemple La formalisation et l organisation de ces relations ne pourraient tre que b n fiques offrant la possibilit de d velopper une ligne de d veloppement et une politique coh rente en mati re d accessibilit au public en difficult ou en perte d autonomie Le nouveau cadre offert par le sch ma unique peut tre l occasion d instaurer un change structur entre les deux Directions DGA DSS et Direction du patrimoine de la culture et des sports permettant de conduire une r flexion prioris e en termes de public et d action Initiatives d partementales et locales La mise en place par la MDPH d un guide Anjou l accessible permettant d i
304. nche il est possible de recenser les actions allant dans le sens de la pr vention qu elles rel vent d un cadre l gal ou pas il est int ressant d identifier leurs pistes d am lioration pour faire en sorte qu lavenir ce sch ma unique concerne le moins de mainolig riens possible 40 A Les actions pr et post natales A retenir Atouts Un effort d information avec l envoi de courriers de mise disposition syst matiquement adress s aux femmes enceintes lors des d clarations de grossesse La signature de convention entre le service PMI et les centres hospitaliers pour l organisation des liaisons hospitali res L organisation de l accompagnement des parents pr sentant un trouble psychique Points d am lioration Des effectifs en de de la moyenne m tropolitaine Une organisation d partementale du service de PMI de nature engendrer des difficult s dans la r alisation des missions Un circuit complexe de proc dure de d claration de grossesse Des actions pr natales domicile diffuser On compte dans le d partement 10 112 naissances en 2009 soit une volution de 3 depuis 2002 Si le nombre de naissances est en baisse r guli re depuis 2006 10 493 naissances cette date le d partement conna t un taux de natalit l g rement sup rieur la moyenne nationale 13 3 naissances pour 1 000 habitants au 1 janvier 2006 dans le d partement contre 12 9 naissances
305. ndeur leurs pratiques D autres dynamiques sont l uvre plus lentes plus dispers es elles mergent souvent par impression se confirment par diffusion et apparaissent aux yeux de tous souvent dans l alerte et dans l urgence Il s agit des nouveaux publics que les dispositifs sociaux doivent d sormais accompagner Cette nouveaut doit tre relativis e Car ces publics ont toujours t pr sents Mais D une part la soci t a toujours su les stigmatiser voire les cacher loin des centres urbains et dans des centres psychiatriques D autre part la science que l on r sumera par souci de facilit par la m decine a su d velopper des techniques qui permettent de mieux d pister les difficult s L offre cr e alors sa propre demande et des publics que l on ignorait sont d sormais l or e du bois Un sch ma unique doit tre en mesure d identifier et d accompagner ces nouveaux publics Il ne s agit ni de stigmatiser des difficult s par rapport d autres ni de les favoriser En revanche l action d partementale s inscrit dans un contexte o des orientations nationales viennent aussi irriguer les circuits de financement et appellent le Conseil g n ral participer aux volutions de prise en charge D s lors l accompagnement des nouveaux publics se mesurera l aune de l adaptabilit des dispositifs de la force d innovation des acteurs de terrain et de la capacit des
306. ndice de pr carit Niveau 1 D Niveau 2 E Niveau 3 Grille de lecture E Niveau 4 Le niveau 1 correspond aux communes dont la pr carit est la plus importante Concernant la r partition des informations pr occupantes sur le territoire elles sont nombreuses dans les circonscriptions de Segr et de Saumur qui sont par ailleurs les territoires dont la pr carit est consid r e comme la plus importante plus de 11 IP pour 1 000 enfants de moins de 21 ans 265 Par ailleurs en 2008 le nombre d enfants en risque avait augment plus rapidement que la croissance des IP il en va autrement en 2009 Ainsi les enfants en risque repr sentent 70 du total des enfants en risque et en danger contre 75 en 2008 Ainsi les hypoth ses indiqu es dans la lettre de l observatoire en 2008 en faveur d un rep rage plus important du nombre d enfants ne se v rifie pas sur l activit de 2009 avec cependant un taux plus important d enfants en risque qu en 2007 63 Les constats en 2008 d une sollicitation de l Unit enfance en danger tr s moindre dans trois circonscriptions se v rifie galement en 2009 Cholet Est Ouest et Angers couronne Sud En ce qui concerne les facteurs de risque les trois facteurs en t te sont identiques les trois ann es tudi es de 2007 2009 inclus carences ducatives immaturit s paration divorce litige conflit de couple Une augmentation des facteurs li s aux probl mes d ordre ps
307. ndiquer les 75 quipements touristiques adapt s aux personnes en situation de handicap activit s de loisirs parcs et jardins expositions Enfin des instances ont t mises en place au niveau du d partement permettant de favoriser l appropriation par l usager de son statut de citoyen Ainsi un mode de participation directe a t cr Angers en 2002 travers le Comit des usagers qui fait figure de mod le tr s peu de collectivit s ont mis en place ce type d instance Il regroupe 50 personnes de 25 70 ans permettant une entr e autre que par type de publics Des groupes de travail sont mis en place et des exp rimentations ont t r alis es par les usagers pouvant aboutir des validations de projets cr ation de chantiers de r novation de logements sociaux en mauvais tat Le Comit permet en effet de tester de la pertinence des projets afin d apporter des solutions plus ancr es sur la r alit du terrain Par la suite un Conseil local du handicap a t cr en 2006 avec les lus et les associations permettant de donner un avis sur des projets ou d en conduire Une r flexion a ainsi t r alis e sur le Guide Vivre Ensemble dans la ville d Angers 241 La loi de 2002 2 a permis d insuffler au sein des tablissements et services une culture de participation qui volue encore aujourd hui relativement lentement eu gard aux difficult s allier cette culture avec les pratiq
308. ne de la r partition de ces accueils sur le territoire de leur ad quation aux profils des personnes accueillies et du mode de pilotage privil gi pour le recrutement l agr ment et le suivi A retenir Atouts Un dispositif tay de suivi et de soutien Une structuration des modes de placement pour s assurer de l ad quation entre l offre et la demande seulement pour ASE Une diversification et une souplesse des offres existantes pour un accueil familial adapt CESAM CAFS Points d am lioration Un sentiment d isolement qui demeure important Une r partition in gale sur le territoire Une diminution de l offre et des difficult s de recrutement importantes 164 Des publics difficiles peu accompagn s par les ASSFAM A L agr ment le suivi et le contr le de l accueil familial par le Conseil g n ral L activit de l accueil familial s est traduite par une structuration importante sous l impulsion des l gislations Qu il s agisse de la loi 2002 2 ou la loi du 27 mars 2005 les contr les ont t renforc s et les accueillants disposent aujourd hui d un statut professionnalisant Focus sur la loi du 27 juin 2005 relative aux assistants familiaux La loi concerne la fois l accueil des jeunes enfants et l accueil des jeunes s par s de leur famille au titre de la protection de l enfance Les principaux objectifs du texte sont de clarifier le statut des
309. nes de moins de 25 ans par un r f rent en partenariat avec la mission locale angevine Enfin le SAAS r alise un accompagnement en faveur de l insertion dans le cadre du RSA Les territoires de Cholet et Saumur disposent galement de dispositifs d aides Ainsi si le Samu social n intervient qu Angers une veille est r alis e respectivement par la police municipale et la croix rouge Des permanences sont galement r alis es travers le Centre 190 d Accueil et d Orientation de Saumur et une permanence est assur e par l Association Les Cordelier Ces trois dispositifs sont g r s par l Abri de la Providence association conventionn e par le Conseil g n ral Un accueil de jour est g r par le CCAS de la Ville d Angers le Point d Accueil Sant Solidarit PASS permettant d offrir des prestations de base Celui ci conna t une demande en constante volution et a connu une fermeture en Mars 2010 face l afflux de personnes le dispositif n tait plus m me de r pondre aux demandes On compte galement des places d urgence en Centre d h bergement 41 places en Centre d h bergement et de r insertion sociale d urgence en 2010 ainsi que 10 places en dispositif d h bergement d urgence Par ailleurs 326 places sont r serv es aux demandeurs d asile pour la plupart dans des appartements en cohabitation avec 80 des places Angers Environ 10 20 places d h tels peuvent galement tre mobilis es
310. nfants favorisant l int gration dans le milieu ordinaire donc au domicile au d triment des IME Cela implique deux volutions principales Les tablissements accueillant des enfants aux d ficiences l g res devront d velopper leurs possibilit s de semi internat d une part d accompagnement domicile d autre part La prise en charge de certains IME devra d sormais r pondre aux besoins des enfants les plus lourdement handicap s en pr voyant les formations et transformations n cessaires Au del de la loi de 2005 la diversification implique une certaine souplesse dans l offre d accueil des structures Cette souplesse permet non seulement des temps de r pit aux parents mais aussi un mode de prise en charge adapt aux volutions des besoins de l enfant et favorisant l implication des familles L accueil temporaire et l accueil s quentiel constituent ainsi des modalit s alternatives de prise en charge de plus en plus demand es et qui de l avis des acteurs r pondent de mani re bien adapt e aux besoins des enfants La diversification de l offre doit tre travaill e dans le cadre du sch ma travers le d veloppement de s jours de rupture ou de places d accueil temporaires formes encore tr s peu d velopp es sur le d partement Les tablissements du d partement ont t impact s par ces volutions et comptent aujourd hui un grand nombre de places en semi internat 901 places en semi internat soit 61
311. nfants apr s leur arriv e en France jusqu au prononc de l adoption pl ni re ou la transcription du jugement tranger voire plus la demande des adoptants Le d veloppement de l adoption nationale partant du constat que des enfants pourtant d laiss s par leurs parents et plac s l aide sociale l enfance ne peuvent tre d clar s judiciairement abandonn s au sens de l article 350 du Code civil le texte propose d assouplir les crit res auxquels se r f re le juge pour le prononc de cette d cision en supprimant l item sauf cas de grande d tresse des parents Par ailleurs le projet de loi relatif l adoption pr sent le 1 avril 2009 vient compl ter ces dispositions avec trois objectifs Acc l rer la r solution des situations de d laissement parental le Parquet pourra saisir directement le Tribunal de Grande Instance s il a connaissance d une situation de d laissement Le service de l ASE devra lors de l examen annuel de situation de chaque enfant qui lui est confi se prononcer sur l ventualit d une situation de d sint r t manifeste des parents Il s agit ainsi de faciliter l adoption des enfants plac s l ASE 135 Renforcer le suivi des agr ments le texte fait mention de l obligation annuelle du projet d adoption pour les titulaires de l agr ment et pr voit les conditions de caducit de celui ci en cas de non confirmation largir les capacit s
312. ni re aurait impliqu de s assurer que chaque territoire est pourvu du m me taux d quipement quel que soit le dispositif L quit oblige un calcul plus savant qui consiste bien saisir les probl matiques les plus pr gnantes pour favoriser la mise en place de r ponses au d triment d autres territoires qui en auraient moins besoin On abandonne alors les notions de couverture et de maillage au profit de celle d ad quation et de proximit Coh rence Dans ce mot r side sans doute le principal d fi du sch ma unique Il appelle une nouvelle culture de l intervention et une redistribution des cartes Il serait faux et malvenu m me en introduction d une valuation d insinuer que l action du Conseil g n ral dans le domaine social m dico social manque de coh rence L n est pas le propos le d partement s est vu confier des missions qui n taient pas les siennes des responsabilit s qui sont lourdes et difficiles assumer des moyens limit s le tout dans un environnement qui lui pr existait et sur lequel il allait devoir interagir La structuration de son action s est donc faite par coup au gr des r formes mais aussi des ajustements qu il a d mettre en uvre Aujourd hui les dispositifs sont ma tris s la r gulation de chaque politique r pond une strat gie bien identifi e dans un d partement qui avait d j int gr une importante culture du sch ma Personnes g es Personnes h
313. nitiative d un grand nombre d actions collectives en faveur des aidants naturels 154 Le Conseil g n ral en lien avec la CNSA soutient un projet d ampleur de soutien aux aidants port par l association Anjou domicile service Ce projet baptis Alter Ego verra le jour courant 2010 et vise mettre en place six grandes actions de soutien aux aidants qui seront exp riment es sur le territoire d Angers agglom ration avant d tre g n ralis es sur le territoire d partemental Les actions d velopp es seront les suivantes organisation de forums conf rences actions de communication mise en place d une dynamique de r seau du service soutien individuel et collectif groupes de parole entretiens mise en place de formations innovation et exp rimentation de la Maison des aidants organisation d animations et de sorties Ces actions ont vocation tre r alis es en lien avec les services domicile membre de la plate forme d partementale et a une vis e pluri partenariale CCAS CLIC Le Conseil g n ral participe hauteur de 242 000 euros ce projet sur 2010 2011 soit 26 du budget total Enfin l aide aux aidants naturels n cessiterait la centralisation des informations dans un lieu unique ais ment identifiable par tous les usagers Si les CLIC peuvent jouer ce r le ils ne sont pas encore suffisamment lisibles aupr s de la population L absence de strat gie de communication commune de
314. nn e 2008 La notion de pr vention des risques comprend par ailleurs l ensemble des probl matiques aff rentes la pr vention du vieillissement et la perte d autonomie Ainsi la pr vention des chutes chez les personnes g es est de nature retarder la d pendance Le Conseil g n ral n a d velopp directement qu une seule action en ce sens Il cofinance une action avec le Centre Hospitalier Universitaire d Angers dans le but de r aliser une tude sur la pr vention des chutes pour les personnes pr sentant des troubles Alzheimer et apparent s Plus largement les actions de pr vention des chutes ont t formalis es par la mise en place des conventions tripartites dans le cadre de Protocoles chutes Initiatives d partementales et locales Le groupe associatif Siel Bleu propose des programmes utilisant l Activit Physique Adapt e APA comme outil de pr vention sant ayant pour but de pr venir les effets n fastes du vieillissement tels que la d pendance et l isolement Les diff rents p les de Siel Bleu ont d velopp des programmes destin s diff rents publics comme les jeunes retrait s les personnes g es domicile ou en tablissement les personnes handicap s et les personnes atteintes de maladies chroniques ou de pathologies lourdes E Les actions de bientraitance A retenir Atouts La pr sence de l association ALMA Anjou financ e par le Conseil g n ral La sensi
315. nn nnmnnn 121 C Les personnes handicap es vieillissantes nennen 124 D Les personnes pr sentant des troubles Alzheimer ou apparent s 129 IV L aide la famille et aux aidants A To Lo oiko n DAON E E P A E E E but notion 135 B L accueil d jeune enfant siessiisiiairinssresinnndinnssaiaesasassannnai aiias re nessen sinni ir iaa 139 1 L accueil collectif du jeune enfant 140 2 Les Assistants maternelles 144 3 L accueil des jeunes enfants en situation de handicap 149 C L accompagnement la parentalit et le soutien aux aidants naturels 150 1 Le d veloppement d actions collectives 151 2 Le d veloppement de l h bergement alternatif 155 D Le soutien aux aidants professionnels 161 V L accueil familial A L agr ment le suivi et le contr le de l accueil familial par le Conseil g n ral165 B Une r partition territoriale h t rog ne 168 C La n cessit d approfondir la diversit des formes de l accueil familial 170 VI La diversit de l accompagnement en tablissement A Le dispositif d accueil cadrage g n ral et r partition territoriale 175 1 La structuration de l offre pour les enfants confi s au titre de l ASE 175 2 La structuration de l offre en faveur du public g et handicap 180 B L am lioration des accueils d urgence s sssssssusssnssennrennnnnnnnnnnunnnnnnnnnn nnne 187
316. nne handicap e des ruptures de trajectoire le jeune sortant du dispositif il arrive tr s souvent qu il revienne en urgence dans le dispositif quelques ann es apr s des difficult s de prise en charge dans les structures adultes des situations d amendement Creton justifi s par un manque de place mais aussi par le manque d accompagnement adapt certains handicaps dans les structures 20 En f vrier 2010 le d partement de Maine et ut Loire compte 168 jeunes mt accueillis au titre de F l amendement CRETON urce MDPH janvier 2010 1 12 adultes Sur les 168 jeunes 57 attendent une place en ESAT Les difficult s semblent ainsi se concentrer sur cette orientation Par ailleurs les places en tablissements de type FAM ou MAS sont galement tr s concern es repr sentant 32 des attentes Enfin il appara t important de souligner l volution du nombre de jeunes accueillis au titre de l amendement CRETON entre fin 2006 et le 1 janvier 2010 Alors m me que l effort du d partement en termes de cr ation de places est important le nombre d amendements CRETON a augment d un peu moins de 37 Cependant ce constat doit tre nuanc En effet sur l ensemble des amendements Creton seuls 27 jeunes rel vent d une prise en charge du Conseil g n ral de Maine et Loire les autres provenant de d partements limitrophes ce constat s explique par le grand nombre d tablissements
317. nnes interrog es dans le cadre de l enqu te en destination des b n ficiaires de l AAH est pr te utiliser des structures de type s quentiel des fr quences variables 160 Initiatives d partementales et locales Deux projets relatifs l exp rimentation d un accueil de jour itin rant domicile ont t d pos s en 2010 D Le soutien aux aidants professionnels L aide apporter aux aidants professionnels n a pas encore fait l objet d axes strat giques au sein des diff rents sch mas Pourtant plusieurs dynamiques qui sont aujourd hui l uvre pourraient inciter d velopper des actions sp cifiques Il s agit De la pr sence de publics de plus en plus difficile accompagner pour des raisons de d pendance accrue ou de troubles psychiques aigus Des exigences de qualit qui sont partag es aussi bien par les tarificateurs que par les op rateurs Or il est toujours difficile d effectuer une prestation de qualit quand le travail est synonyme de souffrance quelle qu en soit la forme Le soutien aux aidants professionnels rel ve encore de la bonne volont des directrices et directeurs de structure A titre d illustration l enqu te men e aupr s des EHPAD du d partement montrait que 8 tablissements sur 10 pr voyaient des temps d analyse de pratique mais que seulement 6 sur 10 organisaient ces moments avec un accompagnement professionnalis ex psychologue Dans l
318. nnnm anenai 67 1 Les publics handicap s et g s 68 2 Les mineurs victimes d abus sexuels la maltraitance sexuelle 70 I L accompagnement domicile A Les actions domicile dans le cadre de la protection de l enfance 74 1 Les Interventions ducatives Domicile IED et les Actions ducatives en Milieu Ouvert AEMO 74 2 Le dispositif des TISF 81 3 Les mineurs isol s trangers 82 4 Les jeunes majeurs 84 B Le domicile pour les personnes g es ssssssssssssessuneennnunnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn nnen 85 C Le domicile pour les personnes handicap es 93 1 L accompagnement en milieu ordinaire des enfants en situation de handicap 94 2 L accompagnement domicile des adultes en situation de handicap 96 3 L adaptation du logement pour les personnes mobilit r duite 97 D Les autres pUbIICS rsrssssccsssossssissntessaresescrafaseresposeretasanere esereresstenees 100 1 Les jeunes en insertion 101 2 L accompagnement m dico social en circonscription 102 5 Les aides au logement en faveur des m nages en difficult 106 lll L volution des publics accompagn s A La complexification des profils vers la souffrance et le handicap PSYChIQUES 55ns aaaea aa aaa Aaaa aaaea aiara nn ad then psd names n es as 113 B Les personnes pr sentant des Troubles autistiques ou des Troubles Envahissants du D veloppement TED ssssssssssnnernnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
319. nomique des communes du Maine et Loire Le taux de ch mage est sensiblement plus important dans l Est du d partement et notamment dans le Nord Est o il peut atteindre jusqu 22 de la population active d une commune A quelques rares exceptions dont Angers le taux de ch mage est inf rieur 12 E de ch mage d partemental 9 4 Durce INSERGP 2006 Taux de ch mage en 2006 en W i622 M dia 16 sur tout le reste pe du territoire d partemental desass d2 6 Cette 33 observation indique une pr carit certaine des populations l Est du d partement La part des ouvriers dans la population totale des communes est relativement faible Angers et dans les communes environnantes Elle est en revanche plus lev e dans des communes du nord du d partement ainsi que dans les circonscriptions de Cholet des Mauges et de Dou la Fontaine plus industrielles que le reste du territoire Moyenne d partementale 17 D Part desouvriers dans la population totale de 15 ans ou plus en 2006 en E 2025 I ce25a 50 M de17 25 E deisat7 _ deoats A l inverse la part des professions sup rieures et interm diaires dans la population des communes est plus importante dans les communes d Angers Couronne Nord et Angers Couronne Sud indiquant une g n ralisation de la pr sence des cadres dans la banlieue angevine Gurce INSERGP 2006 Par ailleurs on observe
320. ns disposition de chaque partenaire Dans ce cadre le Conseil g n ral d veloppe son action en lien troit avec les partenaires Un travail particulier a t r alis dans le cadre du PDITH 2009 en lien avec le Conseil g n ral campagne d information aupr s des travailleurs sociaux du d partement formation des charg s de mission de Cap emploi au dispositif d insertion du Conseil g n ral Par ailleurs conscient de cette transversalit le Conseil g n ral a d velopp une exp rimentation avec la mise en place d un Charg de mission pour l insertion socioprofessionnelle des personnes en situation de handicap permettant ainsi de favoriser le travail en r seau Cette mission a pour objectif de structurer et d animer la contribution du Conseil g n ral l accompagnement des trajectoires socioprofessionnelles des personnes en situation de handicap et montre ainsi la politique volontariste du Conseil g n ral en la mati re Enfin le Pacte territorial pour l insertion 2010 2012 a permis de travail cette question avec la mise en place d un groupe d di la th matique du handicap Ce groupe a mis en exergue les difficult s d identification des acteurs du champ du handicap par les professionnels de l insertion non sp cialis s dans ce domaine Un travail sp cifique va tre r alis dans ce cadre pilot par la MDPH visant la cr ation d un Guide d entretien en tant qu outil d aide au diagnostic de
321. ns de d pistage et de prise en charge qui concernent la 15 Rapport r alis par le CAREPS tude sur les enfants confi s l ASE de Maine et Loire d cembre 2009 16 Enfants et jeunes en difficult s multiples ONED avril 2008 115 population des mineurs dits incasables Par ailleurs l ensemble des professionnels fait tat de l augmentation de l accueil en MECS d enfants b n ficiant d une orientation MDPH et qui sont amen s se tourner vers ce type d accompagnement suite aux fermetures des internats dans les IME et les ITEP Un questionnement de fond doit tre men et il ne se limite pas l accueil d urgence Le D partement souhaite t il laborer une offre ad hoc sur le mod le des lieux de vie et ou de structures mobilisant la fois des comp tences ducatives et sanitaires Ou alors plut t privil gier une organisation en r seau fond e sur l adaptabilit et la souplesse mais supposant une coordination optimale afin d individualiser des r ponses pour ces jeunes pour qui l offre existante semble inad quate c est l id e de la prise en charge partag e institu e dans le Maine et Loire mais qui ne concerne encore qu un nombre limit de situations Bien entendu ces enjeux concernent la fois l accueil en tablissement et les assistants familiaux Le dispositif en faveur des enfants en situation de handicap psychique En termes de taux d quipement global en
322. ns judiciaires parmi l ensemble des mesures en cours au 31 d cembre Enfants et jeunes majeurs en protection de l enfance Source Observatoire Nationale de l Enfance en danger 2007 c O 000114 EALA C N E En 2009 les IED repr sentaient 20 75 de l ensemble des mesures contre une moyenne nationale de 24 45 au 31 12 2006 On constate ainsi une faible part de l administratif en ce qui concerne les mesures domicile malgr une augmentation de 2 points par rapport 2008 18 84 des mesures sont administratives Nombre de mesures ID Nombre de mesures AMO 373 363 392 2005 2009 2008 2007 2006 2005 2007 2008 2009 Le d partement se caract rise par une faible judiciarisation qu il s agisse des mesures g n ratrices de placement tout comme des mesures administratives Ainsi au 31 d cembre 2005 les mesures judiciaires repr sentent entre 82 et 93 de l ensemble des mesures du Maine et Loire qui se situe dans le quart des d partements pr sentant le taux de contractualisation le moins lev E Part des IED sur le total desmesures domicile E Part des AEMO sur le total desmesures domicile 75 Au total 1 889 mesures domicile ont t r alis es en 2009 On constate de fortes disparit s entre les territoires la part de contractualisation des mesures varie ainsi de 13 40 selon les circonscriptions d action sociale concern es Cette h t rog n
323. nsertion ainsi que par la CAF monoparents et par la MSA travailleurs agricoles et enfin par des associations conventionn es Abri des cordeliers Abri de la Providence CEFR et le foyer des 4 saisons Les contrats emploi sont g r s par les conseillers emploi formation du Conseil g n ral et les 4 PLIE du d partement Le suivi du parcours Sept quipes pluridisciplinaires locales seront charg es de r examiner les situations et de proc der aux r orientations Une quipe d partementale examinera les dossiers probl matiques fraudes suspensions Conform ment la loi les quipes incluront des repr sentants du RSA Le choix op r dans le Maine et Loire est de faire d signer par les r f rents un repr sentant nomm pour 6 mois A noter qu en 2009 la CAF d Angers a fait b n ficier d une formation sur la prestation et le logiciel de gestion tous les travailleurs sociaux du Conseil g n ral Les associations constatent aupr s du public qu ils accompagnent un manque de lisibilit sur les montants d allocation vers s Il n existe l heure actuelle pas de r flexion sur les indus de RSA li s au passage P AAH Un raccourcissement des d lais d ouverture de droit AAH permettrait de r duire le risque d indus li s au versement du RSA Le pilotage de l offre d insertion Les coordonnateurs en territoire r alisent un conseil individuel aux r f rents une analyse des besoins et des actions e
324. nt aides accord es au titre de la Bourse de l autonomie du FAJ ou encore du FSL Les circonscriptions d action sociale r alisent galement un accompagnement ce titre travers tant un accompagnement individuel qu une intervention sociale collective Il peut s agir d aides financi res et d accompagnement budg taire ou encore d acc s au logement ou la vie sociale Les comit s locaux pour le logement autonome des jeunes ont t cr s en 1994 l initiative de la DDASS avec pour mission de favoriser l acc s au logement autonome des jeunes de 16 30 ans d j engag s dans une d marche d insertion sociale et professionnelle intervention dans le Pays Baugeois pour permettre l accompagnement de 150 personnes La DDETFP porte le dispositif exp rimental issu du Plan Espoir Banlieue les Contrats d autonomie pour les jeunes habitant en zone CUCS 200 nouveaux contrats ont t sign s en 2009 Les r sultats avec un taux de sorties positives de 45 sont meilleurs qu au niveau national 33 Par ailleurs l tat d veloppe un certain nombre de structures d h bergement qui organisent un accompagnement social dans le but de conduire terme l autonomie des personnes h berg es Ces structures b n ficient du soutien du Conseil g n ral dans la mise en uvre de l accompagnement social 232 Les r sidences sociales se sont d velopp es en France Cr es par trois d crets du 23 d cembre 1994 elles r pon
325. nt l importance d un accompagnement la responsabilisation des parents La question du lien parent enfant pendant le placement appara t pr gnante tant dans les situations de placement en tablissement qu en famille d accueil afin de faciliter le retour en famille des enfants plac s chaque fois que possible mais galement de maintenir les relations entre membres d une m me fratrie et investir dans la dur e le champ de la parentalit La question du maintien ou de la restauration du lien parent enfant renvoie au travail qui doit tre r alis au sein des tablissements de placement lors de l accueil de l enfant et tout au long de l accompagnement droits de visite association des parents dans la prise de d cisions partage de moments de vie Cette question du lien se pose de mani re sp cifique en ce qui concerne les pouponni res avec non plus une probl matique de maintien mais de cr ation du lien On compte 5 pouponni res dans le d partement avec 83 places au total soit un taux d quipement sup rieur la moyenne nationale 0 43 pour 1 000 enfants de 0 3 ans contre 0 25 au niveau national 153 Le Centre maternel du d partement 44 places constitue galement un lieu privil gi pour travailler la cr ation du lien entre une m re et son enfant Par ailleurs les visites m diatis es ont fait l objet d un travail avec les associations de TISF sur la mise en uvre de visites par leurs services Un ser
326. nt compte un certain nombre d actions d j mises en uvre on peut ainsi citer Favortith Phare Longu et Cholet et 226 Eclip s Angers et Cholet permettant de regrouper 12 14 b n ficiaires pour chaque action avec des jeunes reconnus travailleurs handicap s et des jeunes non reconnus 227 228 VIII Le lien social Pr sentation Le lien social d signe l ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d un m me groupe social et ou qui tablissent des r gles sociales entre individus ou groupes sociaux diff rents L importance du lien social r side surtout dans la possibilit qui est offerte un public en difficult quel qu il soit de pouvoir s extraire des modes d accompagnement dont il b n ficie quasi quotidiennement En outre il est le garant d une appartenance une cit une soci t un environnement dans lequel son individualit doit pouvoir voluer se d velopper s panouir Les actions relatives au lien social sont par nature diffuses Deux orientations fondent cependant l intervention du Conseil g n ral et de ses partenaires celle de maintenir les liens qu une personne a pu se constituer et qu elle risque de perdre en raison de difficult s nouvelles d ordre social et ou m dico social celle de cr er du lien pour des personnes qui se sentent naturellement ou non subitement ou non exclues d une cit souffrant ainsi d un sympt me de r pu
327. nt cr un Espace Accueil situ Angers et dont la gestion a t confi e l Abri de la Providence L augmentation croissante du flux de 3 mineurs en 2003 19 en 2006 a abouti la signature d une convention avec les partenaires pr cit s afin de mettre en place une proc dure d accueil l Espace accueil prend en charge 5 jours le mineur par la suite le service de l Aide sociale l enfance accompagne le jeune au sein du dispositif ASE si la minorit peut tre prouv e Par la suite les interventions ont t clarifi es le cahier technique concernant l accompagnement des MIE diffus en d cembre 2007 permet de formaliser et de coordonner l intervention des diff rents acteurs autour du mineur En effet si le mineur est ensuite accompagn par le dispositif de l ASE travers l accueil et l h bergement l Espace Accueil reste un P le ressource il fait la demande d asile du mineur et r alise un soutien psychologique Par ailleurs le r f rent ASE dispose d un r le sp cifique il coordonne les partenaires et centralise les informations doit rechercher un lieu d accueil stable suit le jeune et l informe sur les d marches et l accompagne dans la r alisation des d marches courantes Le rapport d activit de l Abri de la Providence fait tat d un partenariat optimis qui s est ainsi fortement structur gr ce au travail r alis en commune par les diff rents partenaires concern s
328. nt social 235 3 La politique de la ville 236 4 L accessibilit la vie citoyenne 237 C La lutte contre l isolement des publics vuln rables dont le maintien des liens sociaux existants 25252550 ddntrstaresssnn tous trie susdnanae aradan ainada Pauair 242 IX Le pilotage A La coordination autour du parcours de la personne assssssssusssnsnnnnnnnnnnnnnnn 247 1 viter les ruptures de parcours 247 2 La coordination autour des structures locales 250 B La coordination entre l ensemble des Directions du Conseil g n ral 252 C La coordination avec les partenaires 252 1 Le secteur sanitaire 252 2 Les partenariats avec la Justice et l ducation Nationale dans le cadre de la protection de l enfance 253 3 Les partenariats autour de la scolarisation des enfants handicap s 258 Le dispositif des informations pr occupantes 264 L information aupr s des usagers si eennte 269 L information aupr s des partenaires 271 L observation sssnnnennnnennennnneneennnnnenennnnnnnnnss 271 11 Introduction l ments de m thodologie la d marche d laboration du sch ma d partemental Deux phases borneront la d marche d laboration du sch ma d partemental La premi re phase vise laborer un diagnostic complet de l tat du dispositif d action sociale du d partement La deuxi me phase consiste en la d finition d orientations strat giques partag es Ces d
329. ntes maternelles concernant la fois les volutions li es la loi de 2005 et des th mes pratiques Le site internet du Conseil g n ral a pour projet le recensement des disponibilit s des assistantes maternelles permettant ainsi une meilleure lisibilit et coordination de l offre pour les parents Entretiens avec des assistantes maternelles Circonscriptions concern es Angers Sud dans le cadre de la r union mensuelle entre assistantes maternelles Coordination avec le Conseil g n ral Les relations entre les assistantes maternelles et la circonscription sont bonnes les assistantes maternelles viennent r guli rement aux r unions qui sont organis es et peuvent cette occasion poser leurs questions la pu ricultrice et l assistante sociale La disponibilit des interlocuteurs de la circonscription est reconnue Quand je ne peux Rapport fait au nom de la Commission des affaires sociales relatives la cr ation des Maisons d assistants maternels 22 d cembre 2009 147 pas venir si j ai des questions je sais que je peux t l phoner et j ai tout de suite une r ponse Les assistantes maternelles vues en entretien estiment que l encadrement dont elles b n ficient la circonscription est ad quat Les r unions organis es par la circonscription sont tr s valoris es Par ailleurs ces r unions permettent la pu ricultrice et aux assistantes sociales de voir les enfants et de mettre en
330. nvironnement conomique et social le profil des usagers se complexifie un nombre croissant de personnes rencontrent un cumul de probl matiques sociales lourdes vis vis de l emploi mais aussi du logement de la sant de la vie sociale et familiale Depuis les ann es 1990 les professionnels de l action sociale et m dico sociale se font le relais de ces difficult s la fois sociales et psychologiques parmi les usagers qu ils re oivent et accompagnent Aussi une r flexion merge t elle autour du ph nom ne de souffrance psychique qu on peut d finir par une souffrance subjectivement ressentie d origine sociale elle est distinguer de la maladie mentale ou psychique Les conduites 13 Rapport pour la D l gation interminist rielle la ville et au d veloppement social urbain Une souffrance qu on ne peut plus cacher Antoine Lazarus f vrier 1995 113 addictives et notamment la multi consommation qui selon les acteurs de terrain touchent un public plus large d sormais les femmes et plus pr coce sont un reflet un sympt me et un facteur aggravant de la souffrance psychique Ces difficult s psychosociales interrogent les modalit s m mes de l accompagnement social ou m dico social propos aux usagers qu il s agisse de l insertion des b n ficiaires du RMI et maintenant du RSA du travail ducatif aupr s des enfants et des jeunes de l accompagnement des personnes handicap es
331. oires qui ne b n ficient d aucune de ces actions Cholet Ouest Les Mauges Angers Couronne Sud Angers Est et Angers Sud Ainsi les femmes domicili es au sein de ces territoires ne peuvent pas b n ficier des missions l gales de pr vention ayant vocation tre mises en place dans le cadre de la Protection maternelle et infantile Les consultations pr natales tout comme les visites domicile VAD ont pour objectif de r aliser un d pistage pr coce des femmes en situation vuln rable et visent mettre en place un suivi pr coce et r gulier de la naissance afin de pr venir toute difficult Les consultations pr natales sont r alis es au sein des 8 circonscriptions 45 En 2008 1 475 visites domicile ont t effectu es sur le territoire 1 312 pr natales et 163 post natales On constate une baisse de 28 du nombre de visites depuis 2006 avec un mouvement invers entre les VAD pr et post natales 31 de VAD pr natales et 28 de VAD postnatales entre 2006 et 2008 Cette baisse est constat e alors m me qu une sage femme a t recrut e en 2008 et se confirme en 2009 avec 1 402 VAD On compte ainsi 14 6 VAD pour 100 naissances soit un chiffre presque identique la Loire Atlantique 14 pour 100 mais inf rieur la Mayenne 17 pour 100 et au Bas Rhin 35 pour 100 source ANDASS 2008 Nombre de Visites domicile effectu es par lessages femmes 1912 1490 tate VADpr natales ADpo
332. olaire 2007 2008 L inspection acad mique s est donc empar e de cette probl matique 55 AVS co contre 46 en 2007 2008 Au 31 d cembre 2009 697 droits sont ouverts au titre de AVS la MDPH Le besoin en termes d accompagnement appara t comme un enjeu fort du dispositif Ainsi en 2009 2010 30 5 des l ves handicap s scolaris s dans le 1 degr sont scolaris s sans besoin d accompagnement soit 307 l ves Cette proportion est en forte augmentation puisque deux ans auparavant il s agissait de 40 des l ves soit 10 points de moins La demande et le besoin d accompagnement est donc de plus en plus fort Le m me mouvement est perceptible de mani re encore plus nette en ce qui concerne le 2 degr Si 80 des l ves du 2 degr n avaient pas besoin d accompagnement en 2007 2008 ils sont 58 aujourd hui soit 337 l ves Les enseignants r f rents La loi de 2005 a contribu une augmentation significative de la scolarisation des enfants De ce fait les enseignants r f rents se retrouvent en difficult face une telle mont e en charge Le d partement de Maine et Loire n chappe pas cette tendance et le dispositif est actuellement en tension Cependant l Inspection Acad mique du d partement a fourni un effort afin de palier ces volutions en augmentant le nombre de r f rents Ils sont au 263 nombre de 11 enseignants r f rents pour l ann e 2009 2010 passage de 9 11 en septembre 20
333. omique du d partement vieillissement talement urbain les diff rents publics personnes g es jeunes les tendances du march du logement la demande sociale locative Il donne lieu des publications r guli res lettres semestrielles tudes annuelles par exemple sur l accession la propri t des conf rences Outre ces observatoires correspondant une disposition r glementaire des d marches volontaristes du Conseil g n ral permettent ou permettront de renforcer l observation des politiques sociales Indicateurs d activit au niveau de la Direction g n rale D veloppement social et solidarit 272 Un rapport d activit est produit annuellement au niveau de la Direction g n rale Il est construit partir des principaux indicateurs relatifs aux publics concern s et l activit de tous les services de la Direction Une synth se a permis de mesurer les volutions sur la p riode 2000 2004 Si ce niveau d observation permet une consolidation int ressante de donn es concernant l ensemble des politiques sociales le syst me para t encore trop limit pour correspondre une v ritable observation du fait du caract re limit des donn es r col es et en l absence de mise en perspective et d analyse partag e des donn es recueillies Le travail d observation dans les circonscriptions Les circonscriptions d action sociale sont un lieu privil gi d observation en raiso
334. omp tence Ainsi il souhaite ne plus intervenir sur la formation comp tence du Conseil r gional et de l tat La question du droit commun doit galement s envisager en interne au Conseil g n ral On peut noter que le PTI a t l occasion d associer la Direction des transports sur la lev e des freins la mobilit On notera du reste que l enqu te destination des b n ficiaires du RSA faisait cho de ces difficult s puisque la mobilit constituait le frein l insertion le plus fr quemment cit un quart des personnes estime qu un moyen de transport leur permettrait de r aliser leur parcours d insertion une proportion similaire cite galement accompagnement vers l emploi 212 De quoi auriez vousle plusbesoin pour r aliser votre parcours d insertion D un moyen detransport 26 D un accompagnement versl emploi RE 24 D une formation ou d une qualification 9 D activit s ou d ateliers pour sortir de la SN 13 D une exp rience professionnelle 12 D une aide pour la gestion de votre MEE 6 D un moyen defaire garder vosenfants 2 2 Le placement et le maintien dans l emploi Le Conseil g n ral a une intervention volontariste au titre du RSA pour amener les b n ficiaires vers la formation et l emploi Il a ainsi choisi de mettre en place une cellule de neuf conseillers d di s l unit Emploi Formation en territoire charg s de promouvoir les contrats aid s aupr s des emp
335. ompagnement social permettrait de rendre effectif la mutualisation des moyens et des comp tences dans l int r t des travailleurs handicap s En effet Un des enjeux majeurs de l insertion professionnelle r side dans la s curisation des parcours et la n cessit d laborer un travail sp cifique sur les risques de rupture Le dispositif d insertion professionnelle doit ainsi tre travaill en coh rence avec la question de l insertion sociale Le b n ficiaire du dispositif RSA sera accompagn par un r f rent Cependant les relations ne sont pas encore r ellement d velopp es entre notamment le CAP Emploi et les r f rents du dispositif RSA avec parfois une m connaissance r ciproque des champs d intervention de chaque acteur Dans ce cas pr cis ces deux acteurs ne font pas jouer une compl mentarit qui est pourtant r elle Cependant une exp rimentation a t mise en place entre CAP Emploi et le dispositif RSA consistant en un partenariat sur des dossiers communs travers des rencontres notamment concernant un peu moins d une dizaine de situations Ainsi le champ de l insertion professionnelle des personnes handicap es touche un nombre important de dispositifs et l enjeu se situe dans la coordination de tous ces acteurs Le travail en r seau apparait donc pr gnant dans ce champ avec la n cessit d agir plus fortement sur le d cloisonnement la mutualisation et l optimisation des comp tences et des moye
336. on professionnelle durable des femmes en difficult Convention de partenariat en travail social Partenariat ASE p dipsychi atrie Formations conjointes Cesame PMI AS E RMI exploitants en difficult Il s agissait d une prise de contact sur une ou plusieurs situations individuelle Quelle tait la situation la plus fr quemment rencontr e Consultations enfants ASE Demande de prise en charge en th rapie familiale Echanges entre travailleurs sociaux de UDAF et du Conseil G n ral Contrat d accueil occasionnel r gulier Exercice d un droit de visite en lieu neutre Familles allocataires d j connues par les travailleurs sociaux du conseil g n ral Intervention dans le cadre de l aide domicile de la famille maladie grossesse famille nombreuses d pendance etc La participation l valuation de situations o l enfant tait pris en charge dans une structure d accueil Travail en partenariat autour de l accueil d enfant au sein d une structure d accueil petite enfance Retrait ou restriction d agr ment d une assistante familiale pour raisons diverses Situations de personnes qui ont t victimes d abus sexuels r cents ou Il s agissait de la participation un groupe de travail ou de r flexion en lien ou non avec le sch ma Enfance Famille Qui organisait La Direction Enfance Famille du Conseil g n ral La CAF Le Conseil g n ral seul e
337. on concernant les missions r alis es dans le champ du social Ainsi des brochures concernant quatre th matiques sp cifiques sant enfance et famille personnes g es et personnes handicap es insertion et logement ont t diffus es aupr s du public 269 Par ailleurs des volutions nationales ont permis de structurer l information relay e et d am liorer la lisibilit des dispositifs par la cr ation de trois guichets d information sp cifiques Tout d abord la loi de f vrier 2005 a mis en place les Maisons d partementale des personnes handicap es MDPH L acc s une information riche et centralis e pouvait tre consid r comme l un des enjeux de la cr ation des MDPH Si elle est bien dispens e par les tablissements plaquettes livrets de pr sentation elle circule peu d un syst me l autre et plus encore d un dispositif l autre ducation nationale sanitaire ASE La MDPH ne joue pas encore ce r le centralisateur de l information et les acteurs attendent qu elle devienne un v ritable centre ressource Cependant la MDPH du Maine et Loire a su d velopper des outils d information le site internet de la MDPH met en ligne une documentation fournie l gard des familles et des usagers l gislation rapports guides pratiques sur le logement ou encore les espaces touristiques adapt s Par ailleurs la mise en place d une Permanence des Associations au sein de la MD
338. on des structures d h bergement permanent Conforter la pertinence du 1 d coupage par Pays Promouvoir et accompagner la r alisation d un maillage complet et homog ne du territoire 2 d partement par les IC Ped finir la composition les missions et les modalit s de 3 fonctionnement de l IDOG Ped finir la composition les missions et les modalit s de 4 fonctionnement desICL 5 Mieux int grer le IC Mettre en place un comit 6 op rationnel de pilotage D finir et rendre op rationnelsles 7 diff rents niveaux de formation Am liorer l information d livr e aux d cideurs aux professionnels 8 et lapopulation Poursuivre la d marche qualitr 9 engag e aveclesprestataires Poursuivre le d veloppement de l offre de services m dicalis s 10 domiale Promouvoir et soutenir les actions 11 d aide aux aidants Mieux adapter l environnement 12 aux handicaps Promouvoir l accueil familial et l adapter aux volutions du 13 paysage g rontologique Pr voir des modalit s d aides finand res adapt es au soutien domiale des personneslesplus 14 d munies D velopper les accueils 15 s quentiels Alien avecle SROSSIII favoriser lamise en place d une offre g riatrique d imm diate proximit 16 et desfili res g riatriques R aliser dansles meilleurs d lais un bilan objectif et prospectif des besoins en places d h bergement permanent pour lad cennie 17 venir Poursuivre la d marche
339. on des b n ficiaires le Conseil g n ral a choisi de minimiser les volutions entre le dispositif RMI et le dispositif RSA Fin 2009 il avait d fini les principes d organisation des nouvelles instances pr vues par la loi Le service Insertion et la Direction de l action sociale territoriale ont mis conjointement au point le cadre d intervention Les circonscriptions d action sociale et de sant ont t inform es des principes de mise en uvre du RSA via les coordonateurs territoriaux L instruction et l orientation Si une r partition claire des publics entre les diff rents organismes instructeurs a t d finie il a n anmoins t d cid que pour viter les renvois 210 du public entre ces organismes instructeurs circonscriptions d actions sociale partenaires MSA CAF CCAS qui le souhaitent ou associations conventionn es tous les instructeurs re oivent et instruisent les demandes qui leur sont adress es L orientation est assur e directement par les organismes instructeurs plut t par exemple que par une plateforme partenariale avec l appui du logiciel national RSA La contractualisation et l accompagnement La loi dispose que le r f rent unique devient th matique emploi ou social et non plus global De m me que dans le cadre du pr c dent dispositif RMI la signature et la mise en uvre des contrats sociaux sont r alis es en interne par des assistants sociaux polyvalents ou d di s l i
340. on du d partement qui soutient les collectivit s locales dans leurs initiatives de d veloppement et propose une aide aux entreprises pr ts d honneur immobilier Il a soutenu l laboration d une charte de l emploi saisonnier sign e en d cembre 2008 notamment avec la MSA qui vise mettre en relation les entreprises ayant des besoins de recrutement et la main d uvre L emploi saisonnier concerne 20000 personnes dans le d partement La Direction D veloppement soutient galement des op rateurs de la cr ation d entreprise par exemple l ADIE Elle a mis en place en 2009 une plateforme de revitalisation port e par P le Emploi Ce dispositif sp cifique au d partement a pris appui sur une exp rimentation dans le secteur de l industrie de la mode sur le Choltais suite des plans de licenciement importants La plateforme fait le lien entre les cellules de reclassement priv es actuellement 8 cellules et l offre de P le Emploi afin de leur simplifier les d marches surtout pour l acc s l offre de formation Cette initiative est toutefois port e sans lien avec les dispositifs d insertion galement port s par le Conseil g n ral Initiatives d partementales et locales Le Conseil g n ral souhaite cr er un fond de revitalisation qui permet de financer les cr ations d emploi en fonction de l int r t strat gique de ces cr ations rep r par le comit d expansion Ce dispositif est d j mis e
341. on en ESAT 660 au niveau R gional entre 2007 et 2012 En outre les ESAT doivent voluer sur des march s de plus en plus concurrentiels ce qui remet fortement en question leur rentabilit et les contraint proc der des recrutements de travailleurs handicap s pr sentant des d ficiences l g res La circulaire du 1 ao t r affirme la vocation d un ESAT tre largement ouvert tout type de handicap et proposent des activit s accessibles aux personnes ayant une capacit tr s r duite de travail Face ces constats il pourrait tre envisag de permettre l accompagnement de ces publics disposant d une orientation ESAT mais ne pouvant y acc der par des SAVS ayant une comp tence professionnelle Au sein du d partement de Maine et Loire plusieurs enjeux et volutions des besoins doivent tre pris en compte par les ESAT Concernant tout d abord la probl matique de l insertion professionnelle lors du passage du secteur enfant au secteur adulte De nombreux ESAT tentent aujourd hui de rem dier aux difficult s rencontr es par les jeunes qui sortent du dispositif enfant Ainsi des passerelles ont t d velopp es entre structures notamment entre les IMPRO et les ESAT permettant de proposer des stages au sein des ESAT pratique du conventionnement Concernant le travail temps partiel qui permet d am nager le temps de travail des personnes handicap es ne pouvant plus assumer les
342. on par l ensemble des acteurs La loi du 5 mars 2007 dans une logique de diversification des prises en charge a mis en exergue l accueil de jour qui doit constituer un des l ments de l offre l attention des jeunes Cette disposition de la loi est effective dans le Maine et Loire travers l offre du DESPA disposant de 50 places d di es ce type d accueil afin d accompagner des jeunes ne pouvant tre int gr s dans le circuit scolaire habituel n cessit de soins d scolarisation vers la formation scolaire et professionnel Pour cet accueil de jour le DESPA dispose d un poste de l ducation nationale qui lui a t d tach Cet accueil de jour se fait dans une majorit des cas autour de situations n cessitant une prise en charge partag e avec d autres institutions m dico sociales ou sanitaire Par ailleurs le Village Saint Exup ry a mis en place en partenariat avec l ducation Nationale un accueil de jour pour les enfants qui ne peuvent pas tre scolaris s temps plein Trois places permettent ainsi des enfants de 3 12 ans d tre accueillis ils ne rel vent pas du foyer de l enfance Enfin le dispositif de la PJJ met galement en uvre ce type d accueil travers un centre de jour PJJ accueil 15 adolescents dans le cadre de 2 ateliers et une mesure d activit p nale de jour Aujourd hui la structure de l offre doit tre interrog e au regard de l ge des jeunes accueillis En e
343. on se pose donc d un syst me d observation centralis au sein de la Direction qui permettrait une meilleure circulation des informations et une mutualisation des moyens techniques et humains 273 274 A valuation synth tique des pr c dents sch mas Cette annexe vise faire un tat des lieux rapide des fiches actions des pr c dents sch mas qui ont donn lieu ou non une mise en uvre L analyse ne vise aucunement l exhaustivit les arguments ayant t d velopp s dans le corps du document Par ailleurs le code couleur utilis vert pour mis en place rouge pour non mis en place gt est aussi discr tionnaire qu exp dlitif Il tait entendu d s le lancement de la d marche que la phase diagnostic du sch ma unique visait proposer une photographie des actions du d partement plus que d identifier ce qui dans les pr c dents documents directeurs avait t mis en uvre ou pas Cette option est d autant plus l gitime que de nombreuses volutions r glementaires ou l gislatives sont venues percuter tr s fortement les dispositifs Mais il n tait pas inint ressant de faire mention de ce qui avait t d j voqu il y a 5 ans 275 1 Le sch ma en faveur des personnes handicap es Num ro de Fiche Titre de lafiche Objectif s Synth se de l valuation Organiser faire drculer et rendre accessible l information sur le handicap personnes D veloppement d un outill
344. onc une reconfiguration du contenu des mesures En premier lieu la mise en uvre de la loi du 5 mars 2007 en rationalisant les syst mes de recueil et de traitement et en favorisant les mesures contractuelles tend reculer le moment du basculement des situations vers le circuit judiciaire La logique de la loi tant en effet de recourir aux mesures judiciaires une fois que les accompagnements contractuels ont fait montre de leur insuffisance Ceci explique partiellement l impression de durcissement des jeunes pris en charge dans un cadre judiciaire travers une AEMO par exemple ressentie par les professionnels de l enfance En second lieu le recentrage de la PJJ sur l aide la d cision judiciaire et sur les mesures p nales induit une volution majeure du dispositif Les AEMO au civil c est le cas dans le Maine et Loire autrefois prises en charge par la PJJ il s agissait souvent de profils difficiles la charni re de dispositifs de pr vention de la 79 d linquance sont d sormais mises en uvre par les associations conventionn es par le Conseil g n ral Ces deux facteurs appellent donc court et moyen terme une diversification de l offre de mesures domicile de mani re proposer des contenus adapt s aux profils et aux probl matiques des jeunes La mise en place d AEMO renforc es telles que mises en uvre dans le Maine et Loire par le DISMO l attention de jeunes en grande diffi
345. onc compter un nombre peu lev de places qu il s agisse des enfants ou des adultes Le polyhandicap Le polyhandicap ventuellement aggrav d autres d ficiences ou troubles n cessite le recours des techniques sp cialis es pour le suivi m dical l apprentissage des moyens de relation et de communication le d veloppement des capacit s d veil sensorimoteur et intellectuelles concourant l exercice d une autonomie optimale Les solutions d accueil apparaissent satisfaisantes sur le territoire avec 189 places en tablissements maillant les trois agglom rations du territoire 7 places en CAFS et 30 places en SESSAD situant l offre d partementale au dessus de la moyenne nationale Les d ficiences sensorielles Le d partement appara t fortement dot en termes d tablissements pour enfants et adultes d ficients sensoriels Deux centres accompagnent les personnes au sein du d partement l Institut Mont clair d ficience visuelle et le centre Charlotte Blouin d ficience auditive qui constituent les seuls tablissements de la r gion avec l Institut d ducation Sensorielle en Loire Atlantique Les deux centres g r s par la Mutualit Anjou Mayenne ont d velopp une offre compl te en faveur des enfants de 0 20 ans tant dans l accompagnement en tablissement que le soutien domicile ainsi que des adultes accompagnement dans la vie professionnelle en milieu ordinaire en ce qui concerne l Institut
346. onscription L analyse de l activit met en vidence des carts entre territoires concernant la proportion d IP ce qui interroge la coh rence du dispositif Concernant l volution du nombre d IP on constate des carts tr s importants entre circonscriptions Les territoires de Saumur et Segr connaissent ainsi une augmentation de plus de 62 entre 2008 et 2009 tandis que le nombre d IP sur Dou la Fontaine n a cru que de 4 Le taux d IP au regard de la population et des difficult s sociales anticiper Atlas de l action sociale et m dico sociale n est pas toujours corr l l intensit des besoins sociaux On rel ve particuli rement la proportion d IP pour 1000 mineurs sur Angers Est 3 37 niveau le plus lev du d partement alors sur ses indicateurs de fragilit sociale se situent dans une fourchette basse La tr s faible proportion d IP Dou la Fontaine 0 97 soit un niveau inf rieur la moyenne du d partement est galement difficile interpr ter au regard de sa position m diane en termes de fragilit sociale Les partenariats sont effectifs mais n cessitent un approfondissement Si l ducation nationale transmet de mani re quasi syst matique les informations pr occupantes il semble que les acteurs de sant h pitaux et m decins lib raux transmettent encore beaucoup de signalements directs au parquet Ainsi on note un faible nombre d informations pr occupantes transm
347. onseil g n ral 98 Cl Sur repr sentation locataires et m nages ais s isol s confort moyen Sur repr sentation propri taires inconfort domicile ancien oO Sur repr sentation domicile jeune confort propri taire moyen oO Repr sentation moyenne propri taire inconfort sup rieur C Sur repr sentation propri taires Confort moyen sur repr sentation superficie moyenne domicile urce Atlas g rontologique 2009 O Sur repr sentation propri taires Confort moyen superficie moyenne domicile l g rement sup rieure Par ailleurs un certain nombre d initiatives ont t mises en place au sein du d partement dans le but de favoriser la mise en relation entre l offre et la demande et l information des personnes concern es La MSA a mis en place au sein du Pays des Vall es d Anjou un r seau de personnes ressources en termes d adaptation du logement permettant d assurer une information exhaustive en faveur du public mais galement des professionnels La Ville d Angers a mis en place depuis quelques mois en partenariat avec le Comit de Liaison des Handicap s un Accueil Logement Adapt et en lien avec Angers Loire M tropole la MDPH et les Bailleurs sociaux Ce dispositif doit permettre de r aliser une tude personnalis e des demandes de logements d pos es par les personnes handicap es afin de les mettre en lien avec les bailleurs sociaux Par ailleurs une r flexion est actuellement men e par
348. ont 60 ans ou plus La moyenne d ge des ASSFAM est de 51 ans et 30 ont 55 ans ou plus ce qui fait craindre des d parts la retraite en nombre qui ne pourront tre compens s par des recrutements Le niveau de l offre appara t d ficitaire et semble inad quat au regard de l volution des besoins Le bilan social 2007 2008 des assistants familiaux du Maine et Loire pr cise Globalement la demande reste largement sup rieure l offre Ainsi un d lai moyen de placement en famille d accueil de 7 28 mois est symptomatique de ce d ficit contre 5 36 mois l ann e pr c dente Ce constat est la r sultante de plusieurs facteurs En premier lieu il faut noter que si le nombre d assistants familiaux augmente le nombre de places continue de diminuer En effet des assistants familiaux exp riment s disposant souvent d un agr ment pour plusieurs enfants prennent leur retraite et les nouveaux arrivants commencent la plupart du temps leur parcours avec un agr ment pour l accueil d un seul enfant En second lieu il appara t que peu d assistants familiaux se sont positionn s sur l accueil des adolescents public consid r comme plus compliqu g rer N anmoins un groupe de travail sur cette th matique a t mis en place au sein du service ASE Accueil regroupant des professionnels du Conseil g n ral et des assistants familiaux afin d identifier et de lever les freins l accueil d adol
349. onvention cadre culture handicap sign e chaque ann e entre les DDASS DRASS et DRAC incite les tablissements m dico sociaux accueillant des personnes handicap es d velopper des actions culturelles pour et avec ces personnes Les possibilit s offertes apparaissent cependant plus r duites en dehors des tablissements mais elles tendent se d velopper notamment par l interm diaire des associations de personnes handicap es La ville d Angers d veloppe ainsi dans ses services municipaux mus es biblioth ques des espaces accessibles pour les personnes handicap es ainsi que des v nements et projets d veloppement d un Agenda 21 culturel La pr sence de groupes de r f rents techniques au sein des services permet d int grer la question de l accessibilit d s le d marrage des r flexions autour d un projet Le public en insertion va se heurter une offre culturelle et sportive qui ne lui sera pas toujours accessible en termes essentiellement de co t Des aides sont mises en place au niveau des d partements tarifs sp cifiques notamment Le public b n ficiaire de AAH la crois e d une multiplicit de probl matiques sociales souvent cumul es permet d identifier en partie les difficult s li es l insertion sociale par les activit s de loisirs ou culturelles Interrog es sur les principaux obstacles leurs sorties les personnes identifient le manque d information constitue
350. opulation totale 139 651 26 10 321 628 26 60 Durce INSERGP 2006 Part des 0 19 ans dans la population E Ausde 26 50 E tre 26 et 26 50 Entre 25 et 26 El Moinsde25 141 938 PET 205 956 Le taux de mortalit du Maine et Loire est de 8 d c s pour 1000 habitants Apr s la Loire Atlantique le Maine et Loire poss de donc le second taux le plus bas de la r gion Pays de la Loire et se place l g rement en de des moyennes r gionale et nationale Le Maine et Loire poss de aussi avec 13 8 naissances pour 1000 habitants le second taux de natalit de la r gion Au vu de ces deux indicateurs le Maine et Loire est apr s la Loire Atlantique le d partement le plus dynamique de l chantillon consid r 26 Taux de mortalit Taux de natalit nombre de d c s pour 1000 habitants nombre de naissances pour 1000 habitants Bas fhin Indre et Loire 10 Bashin 121 122 127 Ille et Vilaine Loire Atlantique Srthe Maine et Loire France R gion Pays de la Loire Vend e France Mayenne Indre et Loire Pays de la Loire Mayenne Ille et Vilaine Srthe Maine et Loire Vend e Loire Atlantique Indice de vieillissement nombre de personnes de 65 anset plus pour 100 personnes de moins de 20 ans Par ailleurs avec 61 4 personnes g es de 65 ou plus pour 1 000 personnes g es de moins de 20 ans le Maine et Loire se classe comme le second d partement le moins vieil
351. ositions l gales La loi pose en effet un d lai de 9 mois entre la demande d agr ment par les parents et la d cision de la Commission Ce d lai a t respect jusqu en 2004 puis s est accru sous la charge de travail en augmentation Ainsi un peu moins de 55 des dossiers connaissaient un d lai sup rieur 15 mois en 2008 et seuls 3 des dossiers respectaient le d lai l gal de 9 mois Au total 17 des dossiers sont trait s dans une dur e inf rieure un an cette m me ann e Afin de r duire ce d lai le Service a entam une r flexion dans le sens d une r duction du nombre d entretiens avec les candidats l agr ment au minimum l gal soit deux entretiens avec chaque professionnel tout en pr servant la qualit du travail r alis Si le D partement semble actuellement rattraper son retard avec un d lai qui serait port moins d un an pour 41 des dossiers en 2010 un travail sp cifique sur les proc dures doit tre r alis afin de permettre au Service adoption de respecter les obligations l gales B L accueil du jeune enfant A retenir Atouts Une r ponse adapt e en termes d accueil de la petite enfance Un quipement important en RAM L existence d une structure d accueil pour jeunes enfants handicap s Points d am lioration Un suivi des ASSMAT approfondir Pour les jeunes enfants handicap s absence de protocole d accueil formalis en ce qui concerne l accueil au sei
352. ouve des permanences Angers et Cholet au sein desquelles les personnes viennent volontairement ou sont aiguill es par le Juge des affaires familiales Cette association cr e en 1992 conna t aujourd hui une forte mont e en charge de son activit 270 entretiens d information pr alable ont t men s en 2009 contre 194 en 2008 Par ailleurs un travail important est r alis en lien avec les travailleurs sociaux des circonscriptions concern es par les familles les services domicile de type TISF et les deux CAF du d partement La mise en partenariat avec les CCAS de la couronne Angevine est actuellement en cours Trois Points rencontres sont mis en place Angers Cholet en 1993 et Saumur en 2007 afin de faciliter l acc s de l enfant ses deux parents dans des situations de s parations conjugales coniflictuelles 152 L ensemble de ces activit s s exercent en partenariat avec les principaux acteurs du d partement savoir la CAF la MSA le Conseil g n ral de Maine et Loire ou encore ARS Par ailleurs la CAF met galement en place des actions de m diation familiale via son m diateur familial Enfin le Conseil g n ral finance des actions de soutien la parentalit conduites dans le cadre du Contrat urbain de coh sion sociale La CAF de l Anjou pilote une exp rimentation destination des parents d enfants en situation de handicap permettant d offrir une aide financi re pour faire garder son en
353. pacit du SAMO judidaire Le DIMO met en uvre des AEMOrenforc es Mettre en place des mesures d AEMOrenfor es Dansl ensemble le partenariat ducation i s i A ffectif pr l 10 Renforcer les partenariats Fenforcer les partenariats nationale A est effectif protocole de autour de lasodarit Solariser l ensemble desenfants et prendre en compte les l vesen difficult signalement dispositifs sp cifiques au niveau central En revanche la coordination locale niveau circonscription reste probl matique Le DESPA dispose de 50 places d di es type d accueil 281 11 12 13 14 15 16 17 18 Permettre aux enfants de b n ficier d aides aux devoirs et d activit s p riscolaires D velopper la pr vention en mati re de sant et de conduites risque Renforcer les liaisons avec les services de psychiatrie Am liorer et enrichir les r ponses psychiatriques notamment e pour enfants et adolescents Anticiper l accompagnement ducatif des jeunes vers l autonomie Faciliter l acc s des jeunes au logement et l emploi Imaginer de nouvelles approches D velopper les relais de prise en charge Consolider le dispositif d accueil imm diat Dans le cadre du bassin segr en travail r alis par les chefs d tablissements sur des protocol d accompagnement de ces situations pour mettre en place un suivi individualis actions de re m diations soutien individuali
354. partement appara t comme tr s bien dot en places en tablissement pour enfants Pour comparaison le taux d quipement de Maine et Loire est sup rieur de plus d un point et demi avec un taux d quipement global en tablissements de 8 au 1 janvier 2008 la fois en ce qui concerne la moyenne r gionale 6 41 mais galement la moyenne nationale 6 73 0 Ainsi les cr ations de places concernent essentiellement les services de type SESSAD et sont r alis es par red ploiement de places en IME Le d partement ne b n ficie en effet pas de cr ation de places un des objectifs du PRIAC 2009 2013 consistant en un r quilibrage interd partemental de l offre Par ailleurs un mouvement s op re le d partement accueille un certain nombre d enfants qui ne sont pas originaires du Maine et Loire mais qui par d faut de structures doivent se rendre dans un d partement limitrophe 180 avant de trouver une structure d accompagnement Une enqu te ES en 2006 a ainsi indiqu que 18 des enfants accueillis dans des ITEP du Maine et Loire proviennent de Loire Atlantique 9 en ce qui concerne les IME On comptera 1 404 places en 2012 soit 70 suppressions nettes de places Le d partement va ainsi red ployer des places en faveur des tablissements pour enfants autistes ou pr sentant des troubles envahissant du d veloppement 68 entre 2009 et 2012 et les Section d ducation pour enfants avec handicaps associ s SEHA 67 en
355. partement de Maine et Loire compte une structure sp cialis e dans l accueil du jeune enfant pr sentant un handicap un Jardin d enfants adapt s est g r par l AAPEI et permet d accueillir des enfants de moins de 6 ans qui inqui tent leur entourage par leur comportement et leurs difficult s relationnelles susceptibles de compromettre leur int gration collective Les enfants sont accueillis deux demi journ es par semaine par un accompagnement qui se r alise en compl ment de leur lieu de vie habituel cr che halte garderie cole Deux sites Angers permettent l accueil de 24 enfants Depuis 2007 les cr ches non sp cialis es doivent accueillir les enfants sans distinction du handicap Toutefois cette prise en charge s av re souvent tr s difficile Cependant la structure d accueil peut demander l ouverture d un poste sp cialis lorsqu un enfant handicap est accueilli en cr che Il n existe pas au sein du d partement de cr ches sp cialis es et les situations sont aujourd hui r gul es de mani re individuelle par les Services des mairies Les trois villes du d partement connaissent aujourd hui des volutions notables et travaillent un accompagnement adapt au sein de leurs structures d accueil Ainsi la ville de Cholet accueille chaque ann e environ 10 jeunes enfants en situation de handicap S il n existe pas de structures proprement parler sp cialis es ni de personnel suppl mentaire u
356. partementales et locales Le Pacte territorial pour l insertion pr voit la cr ation d une allocation qui viendrait s ajouter aux aides de la CAF afin d individualiser davantage la charge du loyer selon les ressources des m nages pr conise galement la cr ation d un suivi post action pour les b n ficiaires de mesures ASLL ALT ou d une sous location 109 Le Conseil g n ral a initi une tude sur le d veloppement d une offre de logements pour le public prioritairement relevant de la DALO Une exp rimentation a t engag e entre une association d insertion par le logement Aide Accueil une association d insertion par l activit conomique Les Jardins de Cocagne et un bailleur social ESH Val de Loire afin d ins rer des personnes d favoris es par un accompagnement global 12 personnes sont ainsi log es par Aide Accueil et b n ficient d un accompagnement social li au logement tout en travaillant au Jardin de Cocagne L ensemble des partenaires sont amen s intervenir en coordonnant leurs interventions autour de la personne et dans le but d une insertion globale 110 111 II L volution des publics accompagn s Pr sentation Les dispositifs sociaux et m dico sociaux sont r guli rement travers s par des dynamiques nouvelles Celles ci sont la plupart du temps impuls es par la l gislation qui contraint incite les professionnels et les institutions modifier parfois en profo
357. place un suivi les missions de pr vention et de protection en sont d autant mieux assur es Aucun dysfonctionnement n est signaler en ce qui concerne le renouvellement des agr ments les assistantes maternelles appr cient la mani re dont la proc dure est mise en place On est pr venu trois quatre mois l avance a nous laisse le temps de monter le dossier En ce qui concerne la formation obligatoire dispens e par le Conseil g n ral depuis la loi de 2005 elle est pr sent mise en place dans l ensemble du d partement Le rattrapage pr vu pour les assistantes maternelles agr es avant le changement r glementaire est peu peu effectu Relations avec le public Les assistantes maternelles vues en entretien rapportent une volution notable concernant leurs rapports avec les parents des enfants dont elles s occupent La loi de 2005 joue pour beaucoup dans cette volution Avec la loi on peut s imposer face aux parents pour les tarifs les vacances ou les ruptures de contrats On peut aussi plus facilement dire non pour les d pannages trop fr quents Le cadre l gislatif mis en place l organisation des assistantes maternelles en r seau et l augmentation des activit s en ext rieur biblioth que ludoth que favorisent la professionnalisation du m tier les assistantes maternelles s loignent de la figure de la nounou pour se rapprocher de professionnelles sp cialis es dans l
358. poss de pas de donn es permettant d objectiver le montant moyen sa charge concernant le versement de APA domicile ou en tablissement on peut en revanche faire mention des tudes nationales r alis es La DREES indique en effet au 30 septembre 2009 un montant moyen par GIR la charge du d partement en ce qui concerne le versement de l APA domicile et de l APA en tablissement En se fondant sur ces tudes et en tenant compte de la r partition par GIR des b n ficiaires du d partement on peut en d duire un montant mensuel moyen la charge du d partement s levant 392 euros par b n ficiaire en ce qui concerne l APA domicile contre 322 euros par b n ficiaire de l APA en tablissement Par ailleurs la dur e de perception de l APA est plus longue domicile qu en tablissement 46 mois domicile contre 40 mois en tablissement au niveau national Les d penses APA connaissent une forte volution 10 entre 2006 2007 autant entre 2007 et 2008 Elles s levaient 40 156 760 euros en 2006 et le Budget pr visionnel 2010 pr voit une d pense de 49 500 000 li e ADAPA soit 23 en 4 ans L enjeu majeur pour le d partement se pose en termes d accompagnement et de soutien du maintien domicile dans un contexte o les personnes g es souhaitent demeurer le plus longtemps possible leur logement et retarder une entr e en institution En effet une logique tourn e essentiellem
359. pour 1 000 habitants pour la France m tropolitaine La circonscription des Mauges compte le plus grand nombre de naissances avec 14 de l ensemble du d partement et 27 depuis 2002 l inverse Angers Sud et Angers Est ne comptent que 4 du total des naissances enregistr es en 2009 Nombre de naissan s 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 Errn Lens Angers Sud 465 421 452 460 432 406 413 404 13 2 23 Angers Ouest 473 485 423 439 549 566 542 508 7 6 69 Angers Est 343 313 356 348 342 340 343 3 92 Angers Centre 777 759 809 810 629 575 564 1 23 Les Mauges 1129 1188 1244 1 299 1 403 1 361 1 398 2 71 Sygr 868 930 949 979 1074 988 1096 8 30 Baug 925 891 925 938 921 1064 950 1 66 Saumur 725 727 800 734 822 755 741 2 63 Dou la Fontaine 782 794 824 871 866 845 851 7 10 Cholet Ouest 690 750 738 712 773 803 731 1 35 Cholet Est 625 671 659 679 706 645 679 7 44 Angers Couronne Sud 915 769 793 795 804 800 850 817 11 4 04 Angers Couronne Nord 1079 1 048 1 099 1134 1172 1 046 1 050 029 5 2 04 TOTAL 9796 9 746 10071 10 198 10 493 10 194 10 208 Con 3 0 95 41 1 Le r le du service d partemental de la Protection maternelle et infantile dans la pr vention Organisation et pilotage du dispositif La Protection Maternelle et Infantile PMI a un r le central dans le dispositif de d pistage et de coordination autour de la p rinatalit Les nouve
360. pour les villes d Angers Saumur Segr Ch teauneuf sur Sarthe et dans une moindre mesure pour la ville de Cholet 17 5 Moyenne d partementale 17 Part des personnes vivant dans un HLM lou vide dans le nombre total de personnes ayant une r siden prindpale en 2006 en E 22255 M 1722 E deoa 17 L de5 19 _ deoas Gurce INSERGP2006 Les communes situ es au Nord Est du d partement dans lesquelles la part des plus de 75 ans dans la population est particuli reme nt lev e sont 36 galement concern es par l insalubrit des logements Moyenne d partementale 64 700 habitants de 75 ans et plus soit 8 4 de la population totale et 0 68 de r siden s sans douche ni baignoire S k M i527 H Part des75 ans et dans El de9 15 la population totale des m de3 6 Part desr ddencs 2006 O de6 9 PAPER en C de2 3 sansdouches ni eo baignoire en 2006 en _ de2 6 W 2 deo 1 Synth se Les cartes pr c dentes ont permis de montrer lh t rog n it des territoires entre notamment un secteur Est fortement d favoris des difficult s cumul es autour des p les 37 urbains avec une acuit particuli re Angers et Saumur et une tr s forte diversit de situation dans l Ouest et le Nord quoique dans une moindre mesure du d partement La carte ci dessous permet de pr senter le niveau de pr carisation des communes
361. pport 2008 472 907 concernent les secours d urgence confortant la hausse significative depuis 2005 104 depuis 2005 et 21 depuis 2008 Le rapport d activit de l enfance famille expliquait cette hausse par la pr carisation des revenus et de la population Les aides vers es au titre des allocations mensuelles sont elles en baisse 7 depuis 2008 Par ailleurs les motifs de l octroi de ces aides restent l alimentaire pour 40 en 2008 et l h bergement 24 soit une progression de 15 points depuis 2007 b Focus sur une modalit d accompagnement financier des familles la MASP La loi du 5 mars 2007 a mis fin depuis le 1er janvier 2009 la mesure de tutelle aux prestations sociales adulte et a instaur une nouvelle mesure administrative d accompagnement social et budg taire personnalis MASP mise en uvre par les D partements Cette nouvelle mesure se situe en amont du dispositif judiciaire pour viter le placement sous protection judiciaire des personnes dont les int r ts peuvent tre pr serv s par le recours moins stigmatisant un accompagnement social adapt La MASP concerne toute personne majeure dont la sant ou la s curit est menac e du fait de ses difficult s g rer seule ses ressources Cette mesure comporte une aide la gestion de ses prestations et un accompagnement social individualis Elle prend la forme d un contrat de 6 mois 2 ans renouvelable avec une dur e maximum de 4
362. professionnels modifier leurs pratiques 112 A La complexification des profils vers la souffrance et le handicap psychiques A retenir Atouts La constitution de r seaux accompagnant le handicap psychique Un maillage int ressant en CMP mais qui reste renforcer Un partenariat d velopp en mati re de handicap psychique sur le d partement Des r ponses diversifi es pour l accompagnement du handicap psychique La r alisation d actions autour de l insertion professionnelle des personnes pr sentant un handicap psychique Points d am lioration L accompagnement des jeunes difficiles par les structures de ASE Le maintien en secteur psychiatrique d faut de solution m dico sociale La Soci t est travers e par une remise en cause de deux institutions sociales le travail et la famille D une part le d litement de la soci t salariale et plus pr cis ment la pr carit de l emploi contrats dur e d termin e temps partiel subi d autre part l clatement de la cellule familiale et la diffusion de la monoparentalit conduisent une volution des formes de d socialisation parmi la population Les personnes bas revenus sont soumises des contraintes fortes l acc s un march de l emploi d grad et aux exigences de qualification de plus en plus lev es la difficult d obtenir un logement adapt la gestion d un budget restreint Cons quence de cet e
363. psychiatrie infanto juv nile le d partement appara t sous dot au regard des rapports nationaux 0 74 contre 0 92 en moyenne nationale Le CESAME est un acteur essentiel sur le territoire angevin il assure la psychiatrie de liaison avec l ensemble des services du CHU n o p diatrie r animation p diatrique chirurgie p diatrique et oncologie p diatrique Il travaille de fa on troite avec l ensemble des partenaires dans le cadre du d pistage ou de l accompagnement de l enfant et l adolescent En ce qui concerne le territoire de Cholet le projet m dical de territoire pointait en 2006 des difficult s importantes en termes d hospitalisation compl te des adolescents amenant des hospitalisations r guli res au sein du secteur adulte L offre en ambulatoire 4 CMP sont rattach s au CESAME 1 au CH de Cholet et 1 Saumur Le dispositif permet de mailler le territoire de fa on efficace ainsi si par exemple le territoire de Saumur ne compte qu un CMP Saumur plusieurs antennes ont t ouvertes avec en moyenne une ouverture 1 jour par semaine Dou la Fontaine Beaufort en Vall e Baug Cependant des difficult s peuvent tre soulev es Cholet avec d importantes in galit s territoriales absence de CMP Beaupr Chemill et Saint Macaires en Mauges ou encore Mortagne et Chemill pour les CMP adultes Par ailleurs le r le des CMP sur le territoire n est pas encore r ellement iden
364. r la fois la coh rence d ensemble mais aussi l efficience des interventions 229 A retenir Atouts Un travail important r alis au profit de la mobilit Le d veloppement de solutions de transport domicile L existence de structures d h bergement visant viter l exclusion et l isolement FJT maisons relais L utilisation des contrats de territoire pour d velopper les solutions d h bergement La participation du Conseil g n ral aux diff rents dispositifs de la politique de la ville Une mise en accessibilit des voiries et des espaces publics progressive Un maillage en centres sociaux Une action sociale d partementale territorialis e 13 circonscriptions d action sociale 17 antennes 145 lieux de permanence Points d am lioration Un partenariat tayer entre les acteurs du logement et ceux de l insertion sociale Des difficult s financi res rencontr es par les b n ficiaires du RSA pour acc der des activit s de loisirs Une accessibilit aux loisirs et la culture pour les personnes en situation de handicap limit e essentiellement aux centres urbains Un dialogue interne au Conseil g n ral encore limit sur la question de l accessibilit aux loisirs et aux sports A La mobilit Le territoire t moigne d une r elle dynamique sur le plan des transports collectifs ou semi collectifs Comme le rel ve l tude r alis e en septembre 2009 sur les d placem
365. r Atouts Un nombre important de consultations nourrissons Un maillage de qualit en CAMSP sur les principaux p les du territoire et une collaboration efficace de ces centres L existence de centres ressources pour les parents d enfants handicap s Points d am lioration Faiblesse du nombre d actes par s ances de consultation nourrisson 1 Les actions de pr vention r alis es dans le cadre de la PMI La protection infantile En mati re de protection infantile la PMI intervient de mani re largie Ses missions de r alisation de bilans m dicaux pour l ensemble d une classe d ge les 3 4 ans et de tenue de permanences ont pour vocation lui conf rer un r le de pr vention et de d pistage Les consultations nourrissons tout d abord sont destin es aux enfants de 0 6 ans et mises en place au sein du d partement dans 60 lieux de consultation 8 centres Angers 4 Cholet et 5 Saumur Le nombre important de ces centres de consultation permet d assurer la PMI une pr sence dans le milieu rural Ces consultations sont r alis es dans une logique de pr vention destination d un public le plus largi possible La consultation est l occasion d un examen clinique de l enfant mais aussi d une veille s agissant du lien parents enfants des conditions d veil de l enfant de l apprentissage 51 Nombre de consultationsnourrissons g amp 9669 x 9147 9617 g 2 amp
366. r en le Baugeois Vall e le Sud Saumurois Layon les Mauges Choletais Angers Tr laz Un tel d coupage a t pens pour assurer une animation de proximit et de mettre en place des activit s sp cifiques L objectif du REAAP est avant tout de rendre lisible l existence d un r seau local compos d acteurs venant en soutien la fonction parentale Le REEAP est soutenu par le Conseil g n ral la CAF et la MSA Les porteurs des actions propos es peuvent tre ainsi tant les circonscriptions d action sociale la CAF ou encore des associations Les activit s d velopp es sont de diff rentes natures organisation de manifestations sur des th mes li s la fonction parentale accompagnement autour de la scolarit groupes de parole de l accueil des jeunes enfants Ateliers Passerelles ou encore Nounous lib rales des formations On ne na t pas parents on le devient Par ailleurs le REAAP a contribu la mise en place de points info accueil Au 31 d cembre 2009 on compte 6 points d accueil info familles Angers en 2005 Cand Beaufort Chemill Dou la Fontaine en 2006 et Montreuil Bellay en 2007 Enfin la commune des Rosiers sur Loire offre depuis 2009 la possibilit aux parents d acc der l information pour leurs d marches administratives ou associatives Des actions de soutien sont galement conduites dans le cadre d une Association de m diation familiale M diation 49 On retr
367. r ponses psychiatriques pour les adolescents anvisager des approches sp cifiques pour les Pas de d veloppement de r ponses sp cifiqui jeunes de 16 21 ans Pr parer en amont l acc s l autonomie des jeunes par des exp rimentations encadr es impliquer les parents dans l laboration des projets d autonomie et d insertion des jeunes Fiche travaill e dans le cadre de la fiche n15 Adapter les r ponses ducatives la pr sence des adolescents dans les familles R flexion d partementale sur le th me du Elaborer un dispositif sp cifique en vitant le morcellement des logement et les jeunes int gr e aux contrats r ponses territoire mais pas de mise en place d un dispositif de r ponse globale R fl chir aux modalit s de l accompagnement pour ce public deso financement de postes dans des chantiers 18 25 ans hors champ de l ASE d insertion pour les jeunes de 18 25 ans Pr voir les modalit s d organisation des rencontres afin de maintenir le lien parent enfant Politique volontariste de formation et d accompagnement des assistants familiaux a Mieux soutenir les familles d accueil t mise en place 15 groupes d analyse de la pratique deux ducateurs positionn s sur l accompagnement des assistants familiaux Pas de cadre formalis de l accueil s quentiel D passer le stade exp rimental de l accueil s quentiel et de le D partement Existence de dispositifs type recours l expertise des ta
368. r leur territoire de vie Un certain nombre d actions ont t mises en place par les CLIC un d bat Mieux comprendre la maladie d Alzheimer organis en 2008 et anim par un m decin a permis de r unir 200 personnes un temps d information concernant la nutrition chez le sujet g et dans le cadre de la maladie d Alzheimer L accueil en tablissement Devant l augmentation significative du nombre de personnes concern es l enjeu appara t majeur et doit se traduire en termes d quipement On compte aujourd hui dans le Maine et Loire 388 places en h bergement permanent pour les personnes d sorient es UPAD 60 places en h bergement temporaire ainsi que 213 places en accueil de jour L ensemble de ces structures ont connu une augmentation importante en deux ans Ainsi le nombre de places en UPAD a augment de 39 entre 2007 et 2009 250 places en novembre 2007 Le m me mouvement s est op r en ce qui concerne l h bergement temporaire sp cifique 19 places ont ainsi t cr es soit une augmentation de 53 en deux ans Cependant 3 des places sont d di es sp cifiquement la prise en charge des personnes pr sentant des troubles Alzheimer contre 5 au niveau r gional alors m me que selon l enqu te EHPA 2007 Enqu te de la DREES aupr s des tablissements h bergeant des personnes g es au 31 12 07 25 des personnes accueillies en tablissement dans la R gion pr senteraient des troubles
369. re diminuer les ph nom nes d errance des parents L importance 123 d un maillage territorial homog ne doit tre r affirm e dans un contexte de d veloppement des troubles psychiques et autistiques Enfin un point d accroche en relation avec la formation des professionnels concerne les m thodes d accompagnement Il existe en effet une pluralit de m thodes d accompagnement m thode ABA m thode TEACCH m thode PECS dont l enjeu principal r side dans la mise en place d un socle commun d accompagnement entre les diff rentes structures De mani re plus globale une r flexion doit tre men e dans le cadre du sch ma sur le d veloppement la fois de l accompagnement au sein de structures classiques mais adapt es ce public un certain nombre de d partements cr ent par exemple des FAM Autisme sur l accompagnement en milieu ordinaire impliquant le d veloppement de services domicile sp cialis s mais galement sur l accompagnement au sein de structures innovantes C Les personnes handicap es vieillissantes A retenir Atouts La cr ation d unit s sp cifiques pour personnes handicap es vieillissantes Points d am lioration Un travail r aliser sur les travailleurs handicap s retrait s Organisation du dispositif L esp rance de vie des personnes handicap es s accro t du fait des progr s m dicaux et d une prise en charge plus adapt e Au 31 d cembre 200
370. re dispose d une part importante de personnes g es contre une population relativement jeune dans les cantons situ s autour de la ville d Angers Par ailleurs c est dans le Sud Ouest du d partement Cholet et dans les communes environnantes que se Durce INSERG 2006 E Communes dont la part des personnes g eses forte E Communes dont la part desjeunes et des personnes g esest relativement lev e C Communes dont la part desjeunes est lev e Communes dont la part des20 59 ans est lev e 32 trouvent proportionnellement le plus de personnes g es de 20 59 ans L indice de vieillissement permet de mettre en rapport le nombre de personnes g es de plus de 65 ans et le nombre de personnes de moins de 20 ans Dans le Maine et Loire ce ratio confirme les observations pr c dentes la population du Nord Est du d partement ainsi que celle de Pouanc et de plusieurs autres communes rurales r parties de mani re h t rog nes sur le territoire peuvent tre consid r es comme plus g es Moyenne d partementale 62 Rire a EE Pius de 100 ET Moins de 100 Gurce INSERGP2006 Indi de vieillissement en 2006 M 100225 EM 202100 EM c60a80 EM de45 60 NB L indice de vieillissement correspond au nombre de 65 ans et plus pour 100 jeunes de de 15 45 moins de 20 ans Au del de 100 la population est consid r e comme vieille b Le profil socio co
371. re GB Fover relativement aux ae b n ficiaires de AAH i Seul l extr me est du Bus d partement pr sente un manque identifiable de structures Part des b n ficiaires AAH sur la population totale de 20 59 ans BE 2540 P 20225 I 14220 _ deosaia urce Conseil g n ral de Maine et Loire CAF de l agglom ration angevine CAFde l agglom rationcholetaise 2010 Sont comptabilis s ici les tablissements de types Foyers d h bergement foyers de vie foyers d accueil m dicalis FAM et Maisons d accueil sp cialis MAS 183 L ad quation entre la localisation des Foyers d h bergement et des ESAT doit tre soulign e Ainsi les cantons qui comptent un ESAT disposent d un Foyer d h bergement proximit hormis Pouanc et Saint Florent le vieil Par ailleurs un foyer d h bergement de 25 places va tre cr dans la ville de Saumur Enfin deux Unit s pour personnes handicap es vieillissantes de 27 places ont t cr es Des capacit s encore insuffisantes au sein du d partement Malgr l effort r alis depuis 2005 et qui va tre poursuivi jusqu en 2011 le d partement conna t des difficult s importantes en termes de places et l ensemble de son quipement n appara t pas m me de r pondre la demande Ainsi 536 personnes qui ont t orient es en FH FV MAS ou FAM n ont finalement pas t admises en tablissements source MDPH 2010 Si ce chiffre doit tre tudi
372. rection desfinances Conseil g n ral de Maine et Loire F vrier 2010 t PMI et planification Concernant l insertion le total des d penses s l ve 68 1 Millions d euros soit 23 de l ensemble des d penses Une volution de 10 peut tre constat e par rapport au budget primitif 2008 Cette volution s explique essentiellement par la mise en place du RSA en juillet 2009 14 en ce qui concerne les d penses d allocations Budget primitif 2010 d pensesinsertion en lt 1843 000 503350 ta Aides RMI RMA et RSA E Actionsd insertion Li Autres secours d urgence FAJ CUCS 61 250 000 urce Direction desfinances Gons il g n ral de Maine et Loire F vrier 2010 23 Une diff rence importante s op re en ce qui concerne le reste charge du d partement Ainsi la politique financ e au titre de l enfance famille est celle pour laquelle le d partement per oit le moins de recettes 98 de l ensemble du budget reste sa charge 1 1 Millions d euros de recettes contre 75 pour les personnes g es personnes handicap es et 23 pour la politique de l insertion Enfin la priorit 2 Pour aider chacun bien se loger proposer une politique de l habitat volontaire et ambitieuse pour tous compte son budget primitif 2010 13 5 Millions euros soit 22 d augmentation par rapport au budget primitif de 2009 5 8 Millions d euros restent la charge du Conseil g n ral Aujourd hui la ma
373. relationnelles rencontr es par la jeune m re et l enfant C est pourquoi il est devenu essentiel que la PMI puisse faire de l h pital un lieu de rep rage pr coce privil gi et constitue l interface technique indispensable et compl mentaire ses activit s de pr vention m dicosociale 47 Aujourd hui les liens sont assur s par les sages femmes de PMI et les pu ricultrices travers la rencontre des quipes de maternit et des visites d informations r alis es aupr s des femmes afin de pr senter la PMI Ce partenariat est assur au travers des conventions Actuellement le service de PMI a pass une convention avec les trois Centres hospitaliers des agglom rations que sont Angers convention sign e le 19 f vrier 2001 avec l intervention de sages femmes et d une pu ricultrice Saumur convention sign e le 18 janvier 2005 et Cholet convention qui sera sign e en mai 2010 mais avec une liaison hospitali re assur e d s 2004 par un ETP de pu ricultrice et 2 heures de sage femme Par ailleurs les liaisons hospitali res ont t fortement d velopp es sur l ensemble du territoire d partemental et sont r alis es avec les deux cliniques disposant d un plateau d accouchement Polyclinique de Cholet et clinique de l Anjou Des rapprochements ont galement t effectu s en ce qui concerne les d partements limitrophes Ancenis La Fl che Au total 862 femmes ont t rencontr es en 2008 dont 488 en pr na
374. rer les tablissements non convetionn s dansle dispositif global d offre de services 19 et de places d h bergements D diner un plan d partemental en faveur des personnes atteintes de d sorientation etde leur 20 entourage R alis Promouvoir les outils d une 21 cullture g rontolohique commune R alisation de fiches de liaison Favoriser la mise en uvre d une d marche qulit dynamique au sein des tablissements et 22 services pour personnes g es P le des conventionstripartites Sensibiliser et former l ensemble desintervenants aupr s des Intervention d Alma Mais pas de 23 personnes g es structuration d ensemble Favoriser la connaissance des dispositifs d appelst l phoniques 24 par le public A t on des chiffres Renforcer lacollaboration Bat Mise en place de proc dures de 25 D partement contr les conjoints 280 3 Le sch ma Enfance famille Num ro de Fiche Titre de lafiche Objectif s Synth se de l valuation Offrir touslesparentsla si A PR HU Proposer une visite domidle touslesnouveaux parents dans r possibilit de b n fider nas 2 ie ai Protocole d accompagnement mis en place avec a s PE lesdeux jours offrir a tte occasion une possibilit d acc s aux de visites domicile post le HU soins natales Mettre en place des possibilit s d accueil de familles pour offrir un cadre d tayage et d observation de la cr ation du lien parent pasr alis enf
375. rgue des actions innovantes la partie valuative du sch ma aura alors aussi une vertu p dagogique visant informer son lecteur des initiatives originales qui existent sur son territoire et qu il pourra essayer de dupliquer Les l ments quantitatifs ont t constitu s au travers de questionnaires 13 enqu tes men es en tout sur l ensemble du d partement et d un Atlas de l action sociale et m dico sociale dans le Maine et Loire lequel est constitu de plus de 250 cartes tr s diversifi es Quelques l ments de ces deux travaux ont t conserv s ici afin d illustrer un certain nombre de points Ce document repr sente une masse cons quente d informations Deux principes en constituent les deux piliers valuer l action d partementale au regard des trois exigences pr cit es homog n it quit coh rence et fournir chacun une grille de lecture In fine la photographie d un dispositif compte ici autant qu une appr ciation que pourrait apporter un valuateur C est avant tout une nouvelle fa on de concevoir la politique sociale dont ce document voulu par le Conseil g n ral pose la premi re pierre Chaque professionnel doit pouvoir s en saisir Certains seront concern s par une carte une page un paragraphe mais il faut que ce paragraphe cette page cette carte lui fournissent une information qui s int gre dans un contexte g n ral dont il saura prendre la mesure Tout ici est une pi
376. rincipes fondamentaux de la loi est relatif au droit compensation ainsi la personne handicap e a droit la compensation des cons quences de son handicap quels que soient l origine et la nature de sa d ficience son ge ou son mode de vie Un plan la compensation va ainsi tre labor et concr tis par la Prestation de compensation du handicap et qui permet tant de couvrir les besoins en aides humaines ou techniques l am nagement du logement du v hicule les aides sp cifiques ou exceptionnelles ou encore les aides animali res 4 La loi du 1 d cembre 2008 g n ralisant le Revenu de solidarit active et r formant les politiques d insertion Les nouvelles dispositions pr vues par la loi du 1 d cembre 2008 g n ralisant le revenu de solidarit active RSA et r formant les politiques d insertion entr es en vigueur depuis le 1 17 juin 2009 ont sensiblement modifi la gouvernance l organisation du dispositif ainsi que les modalit s d intervention des diff rents acteurs de l insertion Les grandes lignes de la loi peuvent tre pr sent es autour des sept points suivants 1 Lutter contre la pauvret et les exclusions Le RSA Revenu de Solidarit Active alors que le RMI tait un Revenu Minimum d Insertion s adresse un public largi aux b n ficiaires du ex RMI et de l ex API Allocation parent isol ainsi qu aux foyers dont les membres ne tirent que des ressources limit es de leur
377. ription dont d pend la famille et transmet le dossier au parquet la suite de cette valuation si cela s av re n cessaire Lorsqu une valuation en urgence n est pas n cessaire l unit transmet le dossier l inspecteur de groupement dont d pend la famille qui demande son tour une valuation la circonscription concern e Suite l valuation la d cision de la suite donner au dossier est prise par l inspecteur de groupement concern au regard des l ments du rapport d valuation Ce traitement des informations pr occupantes a fait l objet d une formalisation avec les partenaires soit la justice parquet et si ge la pr fecture la gendarmerie la police la PJJ et l ducation nationale Ce protocole d nomm Charte pour la protection de l enfance en danger en Maine et Loire a t sign avant le vote de la loi du 5 mars 2007 Il est donc actuellement en cours de r vision et une nouvelle version devrait tre prochainement ratifi e La charte identifie les acteurs pouvant tre associ s la proc dure de signalement expose la proc dure suivre en cas de suspicion d enfant en danger et explique le circuit des informations pr occupantes La charte d partementale pour la protection de l enfance en danger pr cise que l valuation doit se faire par au moins deux professionnels ou au moins deux institutions N anmoins les inspecteurs de l enfance soulignent que la pluridisciplinarit de l va
378. rs l impact de l apparition de services du secteur priv but lucratif dont la qualit de l offre sera plus difficile contr ler En effet le nombre lev de services la personne sur le d partement induit n cessairement une diversit des services propos s en termes de qualit notamment L aide domicile s est consid rablement d velopp e dans le Maine et Loire et appara t aujourd hui m me de r pondre la mont e en charge cons cutive la mise en place de l Allocation personnalis e d autonomie Initiatives d partementales et locales 88 Le Conseil g n ral compte 11 secteurs de contr leurs valuateurs de APA Toutes les situations sont examin es de fa on coll giales entre 3 ou 4 contr leurs valuateurs et un m decin ce qui garantit une homog n it des d cisions au sein du d partement La qualit du service rendu en ce qui concerne les services d aide domicile constitue un enjeu majeur Dans ce cadre le d partement a d velopp un certain nombre d outils permettant de s en saisir Un Plan d partemental des services d aides la personne pluriannuel 2006 2010 a ainsi t adopt entre l tat le Conseil g n ral la R gion et l ANPE prenant en compte l ensemble des services du champ de l aide domicile secteur non marchand secteur marchand et emploi direct Le plan a souhait d velopper cinq axes sp cifiques assurer une information sur les services la
379. rsonnes mobilit r duite Par ailleurs l orientation Requalifier et adapter le parc priv souhaite inscrire comme priorit l adaptation du logement au vieillissement de la population Enfin Une offre de logement pour tous constitue galement une orientation du Plan qui vise d velopper et diversifier l offre de logements et de services la personne aux besoins des populations sp cifiques Cette orientation a vocation s articuler avec le Plan d partemental d actions pour le logement des personnes d favoris es PDALPD 2008 2012 le sch ma d accueil pour les gens du voyage et le sch ma g rontologique et handicap Le PDALPD fait l objet d un co pilotage entre le Conseil g n ral et l tat particuli rement int gr dans le d partement Il donne lieu au financement d un poste de coordonateur L adaptation des logements sociaux constitue un enjeu fort de l volution du dispositif et les bailleurs sociaux sont de plus en plus sensibilis s la probl matique du logement des personnes g es et handicap es Si la loi oblige les bailleurs y pourvoir deux probl mes subsistent l organisation de la rencontre entre l offre et la demande et dans une moindre mesure l inscription des programmes dans des territoires o la personne g e peut effectivement se mouvoir pr sence de commerce pr sence de transport Enfin l insalubrit touche non seulement le milieu rural mais aussi le milieu urbai
380. rsonnes d posant une demande de RQTH ou d ORP et permettant aux personnes d envisager rapidement la question de leur insertion professionnelle en lien avec l offre d emploi locale Ce dispositif accompagne 300 personnes depuis Novembre 2009 Un certain nombre de partenaires participent r guli rement aux quipes pluridisciplinaires d valuation de la MDPH Cap Emploi P le Emploi AFPA ou encore missions locales coordinateur d partemental de l apprentissage adapt et ADAPEI Formation lorsqu il s agit de 16 25 ans du SAMETH et de la CRAM lorsqu il s agit de maintien dans l emploi Par ailleurs une proc dure sp cifique en mati re d insertion professionnelle a t labor e et inscrite dans le Protocole d partemental du maintien dans l emploi multi partenarial en 2008 Enfin des actions ont t d velopp es concernant la remobilisation des jeunes en situation de handicap vers l emploi Une exp rimentation dans le cadre du PDITH 2009 d un SAS Jeunes permet de proposer aux jeunes en situation de handicap un espace de resocialisation et de remobilisation vers l emploi avant d int grer les dispositifs d di s la formation et ou l emploi Cette action exp rimentale de remobilisation des jeunes travailleurs handicap s a permis d accompagner 12 jeunes L axe de la formation a t travaill au sein du PDITH avec le souhait de p renniser les actions sp cifiques existantes En effet le d parteme
381. rtant d actions diversifi s l gard de la personne et de sa famille Consid r es comme pilotes dans le parcours de la personne en situation de handicap ou de la personne g e mais aussi partenaires de l accompagnement aux c t s des diff rents intervenants les familles doivent tre associ es et soutenues tout au long de la trajectoire de vie de l usager du dispositif En tablissement l accompagnement et le soutien des familles est un corollaire la prise en charge de l enfant et ou de l adulte Les familles peuvent intervenir par le biais des Conseils de Vie sociale et lors de la constitution du projet individualis de la personne En revanche un probl me important se pose au niveau des familles en attente d une place en structure dont l enfant ou l adulte ne b n ficie d aucune prise en charge et qui sont laiss es sans accompagnement psychologique Ces besoins sont d autant plus importants chez les familles des personnes en attente de place qui sont les plus d munies en l absence de perspective de prise en charge Initiatives d partementales et locales Le Village r pit famille La Salamandre g r par AFM pour accueillir les familles et leurs proches atteints de maladies neuromusculaires a ouvert ses portes en septembre 2009 Sainte Gemmes sur Loire pour permettre aux familles et leurs proches de venir s y ressourcer au sein des 4 premiers appartements projet d extension 11 maisons L h b
382. rte d invalidit 4 communes B Apparition du ph nom ne 6 communes Plusieurs points de vigilance peuvent tre soulev s Le passage la retraite des travailleurs en ESAT apr s avoir t actifs pendant de nombreuses ann es est une tape difficile pour les personnes concern es Une transition en douceur doit pouvoir tre envisag e 17 Les personnes handicap es vieillissantes et g es en Maine et Loire Etat des connaissances Rapport d tude R dig par S bastien Fleuret Charg de recherche CNRS Novembre 2009 126 a Territoires probl matique d accessibilit sans pression d mographique faible rythme de vieillissement mauvaise accessibilit 240 communes fort rythme de vieillissement bon score d accessibilit 91 communes Face au sentiment de d racinement que peut ressentir une personne qui changera de structure pass un certain ge une r flexion pourrait tre engag e sur l adaptation de l existant permettant ainsi aux personnes de vieillir dans le lieu qu elles souhaitent qu il s agisse d un tablissement diff rent ou de la m me structure Si cette adaptation faisait l objet du pr c dent sch ma ce mouvement doit tre continuellement impuls au sein des tablissements existants L adaptation de l existant passe aussi par l adaptation des professionnels aux situations nouvelles auxquelles ils sont confront s Enfin la n cessit de garantir l
383. rtement qui poss de des tarifs plus lev s jusqu 53 euros D Une appropriation satisfaisante des outils de la loi de 2002 2 Les diff rentes enqu tes men es aupr s des tablissements et services dans le d partement ont pu montrer que les structures s taient tr s largement appropri es les outils de la loi 2002 2 D une mani re g n rale quelques difficult s ont pu tre identifi es dans la mise en place de ces outils outre le manque de temps et de moyens on mettra en exergue la difficult d appropriation par les usagers et les familles Si la participation du personnel leur laboration na pas sembl probl matique la mani re dont ils se saisissent des diff rents documents est remont e durant les entretiens de terrain comme une pratique qu il faudrait parfois faire voluer Et plus pr cis ment titre d illustration dans le secteur du handicap Quellessont les difficult s que vous rencontrez dansla miseen place des outils de la loi 2002 J autre E5 Participation du personne E5 Pasde difficult particuli re SSSR 16 Aspects m thodologiques de l laboration desdiff rents p 19 outils Partidpation desfamiles SSSR 19 O Partidpation desusmgers GAM 41 Manque de moyen et tempstroplong consacrer la GED 57 d marche 202 D L accompagnement du public en grande difficult A retenir Atouts Un nombre important d initiatives mises en place po
384. rtion et 21 entreprises d insertion avec une offre moins importante sur la CLI de Segr Si ce territoire recouvre moins de structures il permet cependant d offrir une action d IAE 82 personnes soit 8 des b n ficiaires du RSA Gurce Conseil g n ral du Maine et Loire PDI 2010 2012 Le territoire affiche une bonne couverture particuli rement sur le Choletais et les structures accueillent un public important notamment dans les CLI de Saumur 318 Cholet 265 et Angers 221 L Est du d partement accompagne galement un nombre important de b n ficiaires Cependant certains publics ont des difficult s d acc s l offre d IAE les places destin es aux jeunes de moins de 26 ans ne couvrent pas les besoins les ateliers et chantiers d insertion peuvent avoir des niveaux de s lectivit lev s alors qu il s agit de structures ayant vocation accueillir des personnes tr s en difficult En outre les activit s des structures sont peu diversifi es tourn es majoritairement vers le secteur traditionnel d intervention de l IAR les espaces verts L IAE a pu b n ficier d op rations de grande envergure chantiers du tramway Terra Botanica notamment via l activation des clauses d insertion dans les march s publics En 2008 le Conseil g n ral a conclu 17 op rations incluant une clause qui ont permis la mise en emploi de 130 personnes En termes d accompagnement on rel ve qu actuellement 40 des salari
385. s les conclusions de ce travail vont tre communiqu es aux autres bassins D velopper et diversifier la construction de parcours scolaires individualis s Garantir sur un territoire d fini une dynamique de pr vention deDispositifs de soutien scolaire sur le l chec soclaire d partement cellules de veille ducative Modification des objectifs de la fiche suite aux volutions du secteur CUCS PRE r uni de r flexion sur le th me Favoriser l inscription des enfants des activit s p ri scolaires Encourager la mise en place d activit s et d aides aux devoirs promouvoir le dialogue entre enseignant et b n vole Offre de soins d velopp e Angers axe de travail de la pr vention sp cialis e dans le cad de la convention ASEA financeurs D velopper la pr vention aupr s des adolescents et de leurs familles Dans les conduites addictives des adolescents travailler sur les ie j pas r alis relations entre enfants et parents Equipe ressource ambulatoire PJJ soins p dopsy ASE CG activ e par la cellule d accueil imm diat autour de situations difficile Reste assurer la mont e en charge du dispositif Convention de prise en charge partag e ASE p dopsy labor e lors du dernier sch ma formalisation de plusieurs protocoles cas d urgence D finir les modalit s de collaboration entre le services de la protection de l enfance et la p dopsychiatrie Am liorer et enrichir les
386. s Ill Mettre en place des plateformes d partementales ou r gionales pour assurer une prise en charge globale des mineurs trangers isol s coordonn e entre l tat la justice et les conseils g n raux IV Valider la minorit dans le respect de principes juridiques thiques et d ontologiques V Favoriser l acc s la scolarit et la formation professionnelle de tous les mineurs trangers isol s quel que soit leur ge VI Soutenir la construction d un projet de vie personnalis pr conis par le Conseil de l Europe 2007 Ce projet de vie permet au MEI de garantir son acc s une formation scolaire ou professionnelle de recevoir des soins d tablir des contacts avec sa famille et de pr voir les tapes de son parcours et de son int gration en France Le terme de Mineurs Isol s trangers MIE recouvre deux statuts juridiques distincts Celui de mineur qui renvoie une incapacit juridique au besoin d une repr sentation l gale et l assurance de la prise en charge sans aucune condition par l Aide Sociale l Enfance en l absence de repr sentant l gal ou si ce repr sentant l gal n est pas en mesure d assurer la protection de l enfance 82 Celui d tranger qui renvoie l extran it au droit des trangers et soumet le jeune aux lois sur l immigration En 2002 l tat le Conseil g n ral de Maine et Loire la ville et le Centre Communal d action sociale d Angers o
387. s 2005 Baboration de tableaux de bord groupes de r flexion Marges de progr s importantes Travail en cours sur le recueil et le traitement des IP probl mes de d lais de formalisation desrapports d valuation Q ation de la MECSl Edaird mais articulations avecla MDPH travailler Dynamique endench e Protocole de prise en charge partag e Par r alis En urs via notamment l loboration de la Charte de la protection de l enfance Mise en place en 2005 au sein de la permanence d accueil p diatrique de l enfance en danger PAPED partenariat entre le CHU le conseil g n ral la justice et l AFH Travail important avecles partenaire r alis Travail r aliser dans le cadre de la PAPED Pasde r alisation Pasde r alisation Pasde r alisation Procotoles partenariaux Les articulations avec la sortie n ont pas t travaill es Le travail d accompagnement n a pas encore fait l objet d une r flexion Observatoire de l enfance en danger effectif Sur le Milieu ouvert groupe qui se r unit tous lestrimestres OG PJ les diff rents services milieu ouvert travail sur desobjectifs communs et changes sur lespratiques tableau de bord pour le milieu ouvert 283 B Index AAH 123 158 181 209 228 236 Accessibilit 91 125 199 226 227 234 235 236 237 238 Accompagnement 4 12 14 18 19 21 40 41 43 45 46 47 49 56 57 58 61 63 64 65 68 70 73 77 7
388. s cette baisse se confirme dans des proportions moindres avec 131 demandes en 2009 La baisse est observ e de mani re h t rog ne entre les circonscriptions Ainsi Angers Ouest Dou la Fontaine et Cholet Est sont les trois seuls territoires qui connaissent une hausse de 29 67 8 circonscriptions voient le nombre de demandes baisser dans une proportion importante avec une moyenne de 42 d volution On compte ainsi une baisse de 51 des demandes entre 2006 et 2009 Cette baisse du nombre de demandes a t expliqu e par les acteurs par les r percussions de l affaire de l Arche de Zo ou encore le d couragement de certaines familles face aux difficult s auxquelles elles pourront tre confront s avec une m diatisation importante du rapport Colombani relativement ces difficult s en 2008 et se constate galement dans les autres d partements de France 136 Demandesd agr ment urce nseil g n ral du Maine et Loire 2009 Le nombre d agr ments refus s appara t relativement stable avec 18 refus en 2008 contre 14 refus en 2009 et 98 agr ments d livr s cette m me ann e Au total 66 enfants auront t adopt s en 2009 dont 36 originaires d Afrique 27 d thiopie et 21 d Ha ti Ainsi le d partement se situe dans les 15 d partements au sein desquels plus de 50 adoptions ont eu lieu en 2008 Le service adoption met galement en place des r unions d information qui ont n c
389. s s en CLIS 1 258 E olarisation exclusive dans une 9 classe ordinaire A 5 E amp olarisation dans une classe ordinaire avec appui d un enseignant sp cialis bi olarisation en CLISet dans une classe ordinaire ur IENMaine et Loire janvier 2010 E Golarisation exclusive en CLIS Les modalit s de scolarisation dans le 2 degr En 2009 2010 sur 573 l ves handicap s scolaris s dans le 2 degr 312 l ves sont exclusivement scolaris s en classe ordinaire soit 54 On peut constater une volution depuis 2007 o 47 des l ves taient dans ce cas Une volution significative a eu lieu entre l ann e scolaire 2007 2008 et 2008 2009 avec un passage de 244 l ves 337 l ves scolaris s exclusivement dans une classe ordinaire soit 60 Par ailleurs 149 l ves sont scolaris s au sein d une CLIS et dans une classe ordinaire soit 26 Il y a donc moins d l ves en scolarisation partag e dans l enseignement secondaire que dans l enseignement primaire au profit d une scolarisation exclusive en UPI E Solarisation exclusive dans une 12 classe ordinaire 26 54 amp olarisation dans une classe ordinaire avec appui d un enseignant sp cialis bi Solarisation en UPI et dans une classe ordinaire 8 E Solarisation exclusive en UPI Source IENMaine et Loire janvier 2010 Les Classes d int gration scolaire Au total ce sont 36 CLIS et 1 SEES qui permett
390. s 4 heures du matin et jusqu minuit le soir pour les parents r sidant sur la Communaut de Communes Les portes de l Anjou Bien O ChO pilot par la MSA sur la Communaut de Communes du canton de Segr permet l intervention d un b n vole en cas de maladie de l enfant de 3 mois 12 ans qui ne peut alors se rendre l cole de 7 heures 20 heures du lundi au vendredi tous les jours de l ann e Ce service d urgence a t ouvert en octobre 2007 Familles en Jeu mis en place par l Association petite enfance d Angers permet un temps de rencontre entre les parents et les professionnels des structures qui accueillent des enfants de 2 mois 12 ans La cr che mutualiste Les Bambins est ouverte du lundi au vendredi 24 heures sur 24 afin de s adapter aux nouveaux rythmes de vie de certaines familles Ouverte titre exp rimental en 2002 elle a t p rennis e en d cembre 2006 et a t mont e en partenariat avec la CAF et la Ville d Angers Sept cr ches ont par la suite t d velopp es sur le m me mod le dont une ouverte le samedi Au sein de la cr che Le Nid du Vallon Angers un lieu passerelle accueille les enfants de 2 4 ans pour une transition en douceur avec l cole maternelle La cr che Le Nid du Loir Villev que est int gr e dans un village des g n rations comprenant une maison de retraite mutualiste 2 Les Assistants maternelles Le d parte
391. s besoins des personnes en situation de handicap en d marche d insertion professionnelle 225 e Les enjeux relatifs l entr e et au maintien des travailleurs handicap s dans le champ de l insertion professionnelle La d tection pr coce des situations complexes des personnes handicap es apparait comme une probl matique pr gnante Cette pr vention doit ainsi pouvoir se r aliser au sein des dispositifs de droit commun dans l optique de mobiliser en amont les dispositifs sp cifiques et adapt s Dans ce cadre des actions ont t mises en place l chelle du d partement afin de favoriser l entr e et le maintien des travailleurs handicap s Des actions de sensibilisation l gard des employeurs Trois r unions d information ont t organis es d but 2009 r unissant une centaine de personnes afin de sensibiliser l obligation d emploi des travailleurs handicap s Le Conseil g n ral l AGEFIPH et la DDTEFP ont organis en novembre 2009 un Salon Employeur et Handicap permettant aux employeurs publics et priv s de trouver dans un m me lieu tous les partenaires de l emploi et du maintien dans l emploi des personnes handicap es 80 visiteurs se sont rendus au forum au sein et sur les 23 stands pr sents Des mises en lien entre partenaires dans le but de favoriser une insertion rapide dans l emploi La MDPH et l AGEFIPH ont ainsi collabor la mise en place du service Appui Projet destin aux pe
392. s cette date ont galement r alis ces 240h Des actions relevant la fois de l accompagnement et de la formation ont galement t mises en uvre Par exemple le D partement a organis des modules d analyse des pratiques concernant 150 assistants familiaux par an qui participe une s ance toutes les 6 semaines avec un cabinet de psychosociologues Initiatives d partementales et locales La diffusion par le Conseil g n ral en 2009 d un Guide pratique concernant l valuation dans le cadre de l agr ment assistant familial permettant de poser des rep res aux professionnels mais galement d harmoniser les pratiques au niveau d partemental L accompagnement des assistants accueillants familiaux un chantier prioritaire Malgr la politique volontariste du service central accueil ASE et la participation des assistants familiaux aux r visions annuelles de situation les partenaires ressentent toujours l isolement des assistants familiaux dans leur m tier La communication sur les possibilit s d accompagnement des assistants familiaux notamment par les psychologues de l aide sociale l enfance pourrait tre renforc e En outre les r f rents ASE pourraient tre sensibilis s aux besoins sp cifiques d accompagnement des assistants familiaux dans le cadre du placement d un enfant en famille d accueil Le sch ma enfance famille 2005 2010 souhaitait d velopper le soutien aux familles d accueil not
393. s financeurs nuit la lecture du dispositif d aide aux aidants naturels Initiatives d partementales et locales En partenariat avec l ASSADOM et l ADMR la Communaut de Communes Loire et Sarthe a souhait exp rimenter une action d aide aux aidants par le remplacement de l aidant son domicile Cette action s est inscrite en partenariat avec les CLIC qui se sont pos s en tant que vecteurs des demandes des familles L action Entr Aidants soutenue par la MSA a permis la rencontre d aidants autour de la maladie d Alzheimer en novembre 2009 dans le cadre d un forum au Lion d Angers La cr ation de services d accompagnement en nombre ne suffit pas garantir un dispositif de soutien domicile de qualit au sein d un d partement Ainsi il est n cessaire de d velopper un dispositif proposant un nombre important d actions diversifi es l gard de la personne et de sa famille En effet si les r ponses se montrent diversifi es et compl mentaires l entr e en tablissement sera alors retard e pour la personne qui pourra demeurer dans le mode d h bergement qu elle aura choisi 2 Le d veloppement de l h bergement alternatif Organisation et pilotage du dispositif 155 La cr ation de services d accompagnement en nombre ne suffit pas garantir un dispositif de soutien domicile de qualit au sein d un d partement Ainsi il est n cessaire de d velopper un dispositif proposant un nombre impo
394. s outils institu s par la loi du 2 janvier 2002 L appropriation de ces derniers par les usagers d une part par les services et les tablissements d autre part 2 La loi du 5 mars 2007 Le contexte l gislatif le dispositif s inscrit dans un cadre profond ment renouvel par la loi du 5 mars 2007 relative la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 consacre le D partement comme chef de file de la protection de l enfance Trois objectifs sont assign s par le texte Le d veloppement de la pr vention L am lioration du rep rage et du traitement des informations relatives aux situations de danger La diversification et l individualisation des modes de prise en charge des enfants prot g s Le d veloppement de la pr vention La loi proc de une nouvelle d finition de la protection de l enfance qui d signe les interventions de pr vention d accompagnement et de prise en charge des familles en difficult s ducatives des jeunes majeurs en difficult s graves et des mineurs priv s de la protection de leur famille Elle introduit galement dans le CASF une r f rence nouvelle aux droits et l int r t de l enfant Les principales dispositions relatives au d veloppement de la pr vention Un accent est plac sur la pr vention p rinatale o organisation d un bilan PMI syst matique pour les enfants de 3 4 ans o mise en uvre de l entretien syst matique pr natal au cours du 4
395. s sensiblement toute intervention sur le lien familial celle ci devra savoir tenir compte sans doute plus que jamais de la sp cificit de chaque situation On sera par ailleurs attentif la r partition des accueils alternatifs 134 A L adoption A retenir Atouts Le d veloppement d une d marche de coop ration entre le service Adoption et les partenaires d partementaux La mise en place de solutions souples de soutien pour les parents adoptifs Points d am lioration Un d lai de demande d agr ment trop long La loi du 4 juillet 2005 r formant l adoption porte sur trois orientations majeures La simplification et l harmonisation des proc dures d agr ment d s la premi re demande des candidats le service adoption du Conseil g n ral a obligation de leur apporter l information d finie par les textes dans un d lai de deux mois lls doivent ensuite confirmer leur demande la date de cette confirmation acte le d part du d lai de 9 mois au bout duquel doit intervenir la d livrance de l agr ment La forme et le contenu de l arr t sont fix s par d cret et il est accompagn d une notice qui d crit le projet d adoption Pendant cette p riode les d partements doivent proposer aux candidats des r unions d information Le renforcement de l aide aux candidats l adoption internationale la loi cr e l Agence Fran aise de l Adoption AFA et met en place un suivi renforc des e
396. selon les cantons Un fort besoin appara t dans le Sud ouest du d partement avec une part tr s importante d actifs A Leshaltes garderies dont multi accueil L accueil r gulier familial L accueil collectif r gulier dont multi accueil Part desenfants potentiellement demandeursde garde E 5257 P a48 s52 M de43 48 de36 43 de25 36 Gurce CAF de l agglom ration angevine CAFcholetaise 31 12 2008 141 Enfin les garderies p riscolaires ainsi que les Centres de Loisirs sans h bergement CLSH sont pr sents sur l ensemble du territoire malgr une plus faible couverture des deux extr mit s Nord du d partement Les garderiesp riscolaires Lesc ntresde loisirs urce Conseil g n ral Mars2010 urce Conseil g n ral Mars2010 Initiatives d partementales et locales Le site internet Accueil des jeunes enfants dans le Maine et Loire qui r pertorie l ensemble des modes de garde du d partement a t cr en 2006 Le Conseil g n ral est actuellement en train de travailler la refonte de ce site et souhaite pouvoir indiquer les disponibilit s des Assistantes maternelles afin que les parents disposent d une information compl te Ce site conna t un nombre de visites de plus en plus lev et compte 5 313 visites au mois de janvier 2010 La garde d enfants fait partie des freins au retour l emploi fr quemment cit s par les acteurs Dans le Maine e
397. sements Ce dispositif doit toutefois gagner en visibilit quant ses objectifs et ses missions et accro tre le nombre situations concern es 204 2 Le public en difficult d insertion Le Conseil g n ral finance un dispositif de sous locations qui permet de proposer un relogement temporaire Des centres d h bergement sont mis en place au sein du d partement dans le cadre du dispositif d Accueil H bergement et Insertion pilot par l tat Les Centres d H bergement et de R insertion Sociale tout d abord assurent l accueil l h bergement l accompagnement et l insertion sociale L Accompagnement va diff rer selon qu il s agit dun CHRS Urgence 41 places un CHRS Stabilisation 42 places ou un CHRS Insertion 244 places Cholet Angers et Saumur sont dot s de ces trois types de centres Avec 0 81 places pour 1 000 personnes de 20 59 ans le d partement se situe en dessous des moyennes r gionales et nationales 0 90 et 0 94 pour 1 000 Le service insertion du Conseil g n ral participe des instances partenariales sur la prise en charge de ces publics sp cifiques Les CHRS peuvent organiser des Ateliers d adaptation la Vie Active CAVA 47 places Angers et 25 places Saumur qui mettent en place des activit s d adaptation la vie active par l apprentissage ou le r apprentissage des r gles n cessaires l exercice d une activit professionnelle __ L Allocation de Logement Tempor
398. si son conjoint ou l aidant naturel a par 23 Rapport concernant L accueil temporaire des personnes handicap es La documentation fran aise 2003 189 exemple une difficult de sant Dans ce cas les personnes g es et handicap es se retrouvent bien souvent par d faut l h pital Les difficult s aff rentes la mise en place d un tel accueil sont relatives aux lourdeurs de gestion du dispositif co t financier moindre notamment Cependant le D partement soutient louverture d une place d accueil d urgence exp rimentale au sein d un EHPAD qui doit tre prochainement cr Champign Par ailleurs les solutions existantes relatives l h bergement alternatif notamment l accueil s quentiel de nuit et de jour ainsi que l accueil temporaire constituent une forme d accueil d urgence en faveur des personnes g es et handicap es du d partement Les personnes qui n cessitent d tre accueillies en urgence peuvent galement en faire la demande aupr s d une institution le directeur pouvant alors prendre la d cision d accueil et en informer par la suite la MDPH Ainsi l accueil temporaire peut avoir vocation jouer ce r le Cependant un dispositif en tension ne sera pas m me de r pondre aux demandes si urgentes soient elles Dans ce cadre un travail de r flexion peut tre entam dans le cadre du sch ma sur la mise en place d un dispositif d urgence qui soit efficient en fave
399. soit transmis en 2008 contre 205 en 2008 Un protocole entre la cellule la justice et l tat a t sign suite la mise en place de la cellule Cette charte de la protection de l enfance est ant rieure la loi du 5 mars 2007 et est en cours de r actualisation pour un objectif de signature de la nouvelle charte en avril 2010 La structuration des partenariats facteur cl d efficacit du syst me de signalement est effective 266 Le partenariat avec le milieu scolaire est effectif reposant sur le service social de l ducation nationale second degr Les informations pr occupantes relev es par les professionnels professeurs directeurs d cole assistantes sociales sont centralis es l inspection d acad mie puis transmises l unit enfance en danger Le syst me peut s appuyer sur le protocole sign par les principaux partenaires la charte pour la protection de l enfance en danger Cosign e par le pr sident du conseil g n ral les repr sentants de l Etat de la justice le PJJ l ducation nationale Le dispositif de signalement pr voit la possibilit de r aliser des valuations en urgence Le syst me mis en place dans le d partement du Maine et Loire permet l unit enfance en danger de demander une valuation en urgence de la situation de l enfant lorsqu elle estime cela n cessaire Dans ce cas l valuation peut tre r alis e dans les 48 heures par les professionnels de circ
400. son de facteurs sociaux pathologiques psychologiques ou environnementaux entra ne cette bascule avec un retour en arri re souvent difficile Ces conditions sont pour l essentiel les suivantes Cibler une population __ Identifier les risques et difficult s qu elle est susceptible de rencontrer Mettre en place des syst mes d alerte Construire une r ponse appropri e suffisamment vaste pour correspondre une feuille de route que tout professionnel concern doit tre en capacit de suivre mais suffisamment individualis pour s adapter la sp cificit de chaque situation Ces actions de pr vention ont par nature lieu tout ge de la vie A la lisi re de dispositifs qui s adressent tous et de dispositifs sp cialis s elles impliquent une multiplicit d acteurs et ne rel vent pas toutes de la seule intervention du Conseil g n ral Toutefois certaines d entre elles sont de sa comp tence propre ou b n ficient de ses financements Il s agit des actions pr et post natales des actions de pr vention en faveur de l enfant et de ses parents des actions de pr vention de l exclusion de la pr vention des conduites risque et des actions de bientraitance L valuation de la pr vention est complexe puisqu elle vise identifier les publics qui n ont pas b n fici d un accompagnement plus tay Or il est tautologique de vouloir comptabiliser des publics qui n existent pas En reva
401. souvent inadapt La probl matique de l autisme et des TED a fait l objet d une prise de conscience et du d veloppement de solutions dans le d partement quatre SESSAD sp cialis s et six SESSAD polyvalents sont en mesure d accompagner des enfants pr sentant des troubles autistiques ainsi que sept I M E ou sections au sein d I M E On compte ainsi 93 places en tablissement au sein du d partement de Maine et Loire pour les enfants pr sentant des troubles envahissants du d veloppement soit 0 45 places pour 1 000 personnes de moins de 20 ans contre 0 08 pour la moyenne r gionale Le d partement appara t donc comme un bien dot apr s avoir pris la mesure de cette probl matique Par ailleurs l effort engag par le Maine et Loire va se poursuivre avec la pr vision de 157 places au total en 2012 permettant ainsi une cr ation de places Saumur alors m me qu il s agissait jusqu alors de la seule agglom ration qui n en disposait pas Le d partement ne compte pas de FAM Autistes ni de structures sp cifiquement d di es aux adultes sur ce th me Ils sont donc accompagn s au sein des structures classiques ou ne sont pas du tout pris en charge par le dispositif Un FAM va cependant ouvrir ses portes en 2011 Brissac permettant d accompagner sp cifiquement les adultes pr sentant des troubles autistiques L effort mis en uvre par le D partement au niveau des structures pour enfants et adolescents doit n cessairem
402. spitaliers mais galement des acteurs externes parquet du TGI brigade des mineurs gendarmerie Conseil g n ral CPAM DDASS ARH Une convention de cr ation et un protocole de fonctionnement ont t sign s en 2005 entre l ensemble des partenaires Cette salle est mise disposition de la gendarmerie et de la police En 2008 318 mineurs ont t auditionn s la PAPED du CHU d Angers dont les deux tiers par la brigade de pr vention de la d linquance juv nile de la gendarmerie du Maine et Loire En outre une salle d examen du service des urgences p diatriques est mise disposition de la m decine l gale lorsque cela s av re n cessaire La localisation de cette salle d audition au CHU d Angers permet chaque intervenant de se concentrer sur sa mission les enqu teurs recueillent la parole de l enfant le personnel du CHU prend en charge l accompagnement m dical et le service social de l h pital en lien avec les services du Conseil g n ral qui pr pare l accompagnement social de la famille si n cessaire Par ailleurs la premi re Salle d Audition Prot g e en France a t mise en place en 2009 au Tribunal de Grande Instance d Angers Cette initiative qui a pour objectif de toujours mieux recueillir la parole de l enfant permet aux magistrats notamment les juges d instruction de disposer au sein du tribunal d un espace sp cialement am nag pour organiser auditions et confrontations impliquant des enfants
403. spositif et galement d viter les ruptures de prise en charge Par ailleurs Cholet des p do psychiatres et des psychologues interviennent r guli rement au sein du service de maternit du CH Cependant le travail de pr vention appara t encore insuffisant sur le territoire de Cholet avec la n cessit de renforcer les comp tences et moyens en p dopsychiatrie de liaisons l h pital 49 Initiatives d partementales et locales Cr ation d but 2003 du R seau de suivi des enfants vuln rables Grandir ensemble Son objectif est de suivre les enfants hospitalis s la naissance et pr sentant un risque de handicap pour d pister pr cocement les d ficiences Le R seau Grandir ensemble permet ainsi d am liorer l acc s une prise en charge pr coce des incapacit s pour en diminuer les cons quences afin d viter ou limiter le handicap secondaire Par ailleurs il vite l errance m dicale et le sentiment d abandon dont sont parfois victimes les parents d enfants par un encadrement et une aide Ce r seau associe les m decins lib raux qui le souhaitent les m decins hospitaliers et lib raux exer ant en n onatalogie les m decins de PMI des 5 d partements les m decins des CAMSP et les psychologues Signature d une convention tripartite entre le CHU d Angers le CESAME et la PMI en juillet 2009 50 B Les actions de pr vention en faveur de l enfant et de ses parents A reteni
404. ssait d une orientation affich e par le plan d partemental cette question doit tre d velopp e plus avant La professionnalisation des salari s doit dans le m me temps tre amplifi e Si le secteur reposait pour une part importante sur le b n volat dans les associations et s appuyait sur des personnels peu ou pas form s les exigences r glementaires qui ont accompagn la mise en place de la loi 2002 2 ont largement incit l ensemble des organisations amender cet tat de fait Par ailleurs le D partement a montr sa volont de faire voluer l organisation et les prises en charge domicile vers une professionnalisation d s 2001 avec le travail conjoint r alis avec les partenaires sur le premier plan de d veloppement des services la personne Sur ce th me une diff renciation importante s op re entre le milieu urbain et le milieu rural ce dernier tant caract ris par un fort taux de personnes b n voles Par ailleurs le maintien domicile se caract rise souvent par une succession d intervenants au domicile de la personne g e ob rant alors la facult d effectuer des contr les sur la qualit des prestations propos es et souvent facteur de d stabilisation pour la personne aid e Enfin la dichotomie proc dure d agr ment versus proc dure d autorisation est venue remettre en question les d buts de structuration du secteur Si le Conseil G n ral rend bien un avis dans le premier cas il est par na
405. st natales urce nseil g n ral 2009 127 145 163 2006 2007 2008 Par ailleurs des permanences sont galement organis es elles s levaient au nombre de 611 sur l ann e 2008 560 permanences pr natales et 51 postnatales Enfin un des objectifs affich s par le sch ma Enfance Famille 2005 2010 visait Offrir tous les parents la possibilit de b n ficier de visites domicile post natales Il s agissait ainsi de proposer une VAD tous les nouveaux parents d s la sortie de la maternit et une intervention lorsque n cessaire dans un d lai de deux jours apr s le retour au domicile Si un dispositif d accompagnement a t mis en place en 2008 en ce qui concerne les femmes sortant de la maternit du Centre Hospitalier Universitaire d Angers permettant ainsi de r aliser un suivi des sorties pr coces de maternit les professionnels hospitaliers indiquent la difficult de faire intervenir les professionnels de PMI dans un d lai de 48 heures apr s sortie d hospitalisation Par ailleurs il avait t propos dans ce cadre de mettre en place des accueils de familles des parents avec leur enfant la sortie de la maternit afin d offrir un accompagnement troit et de limiter les situations de placement d s la naissance Cet axe de r flexion qui n a pas abouti la mise en uvre d actions concr tes doit pouvoir tre retravaill dans le cadre du sch ma unique Il permet en effet d enrichir la p
406. stante Par ailleurs une commission locale multi partenariale doit galement voir le jour Si le PTI 2010 2013 permet d afficher la n cessit d un partenariat entre la Direction d partementale de la coh sion sociale et le service habitat du Conseil g n ral travers la mise en place d une plateforme partenariale en mati re de logement et d h bergement et d une commission locale pluri partenariale un spectre plus large d acteurs doit tre associ ce dispositif sp cifique d accompagnement vers l autonomie en logement adapt Ainsi le partenariat avec lASE dans le cadre de la Maison relais de Saumur en constitue un bon exemple Initiatives d partementales et locales Angers Loire M tropole a ouvert un service depuis Novembre 2009 comprenant 2 5 ETP de travailleurs sociaux ayant pour objet d accompagner vers le logement et le maintien en logement les personnes sortant de dispositifs d h bergement celles en sortie d incarc ration celles en voie d expulsion ou reconnues prioritaires pour l acc s un logement 234 La Direction de l quipement a lanc une tude sur le logement des jeunes en lien avec le Conseil g n ral et les 3 agglom rations qui devraient permettre de d gager un plan d action 2 Insertion professionnelle et accompagnement social L insertion sociale repr sente 29 des cr dits inscrits au PDI Cette structure de financement correspond l orientation tourn e vers l emplo
407. suivi L j ai senti une grosse probl matique familiale je vais essayer de la revoir bient t Enfin 32 des personnes sont venues dans le cadre d un suivi m dical Parmi elles 3 se sont pr sent es pour un suivi de grossesse par la sage femme de la circonscription suite la r ception du courrier de disponibilit envoy par la sage femme Les usagers rencontr s ont appr ci l entretien de 45 minutes pendant lequel elles ont pu poser toutes leur question Elles ont ensuite choisi de venir la circonscription pour le suivi m dical r gulier de la grossesse Les 9 autres personnes rencontrent la pu ricultrice et ou le m decin de PMI La disponibilit des pu ricultrices et des m decins est l encore tr s appr ci e Visibilit de la circonscription Plus d un tiers des personnes interrog es ont appris l existence des circonscriptions d action sociale et de sant tardivement par le bouche oreille Certaines d entre elles ont exprim des regrets cet gard si j avais su je serais venu je ne serais pas rest dans les probl mes L h pital figure en bonne place parmi les administrations qui orientent le public vers les circonscriptions les femmes y sont orient es d s l accouchement ce qui semble confirmer le bon fonctionnement des liaisons hospitali res sur le d partement La CAF et le CCAS sont deux autres administrations qui orientent le public vers les assistants sociaux de la circonscrip
408. t concernent principalement les adolescents Par ailleurs 55 des enfants pr sents au foyer d partemental de l enfance au 31 d cembre 2008 y sont h berg s depuis 1 an ou plus l instar des autres tablissements ASE alors que la fonction d un tablissement d accueil d urgence est pr cis ment d organiser un accueil provisoire puis des orientations si besoin vers des r ponses d accueil plus long Plus largement la dur e des accueils d urgence rejoint la question de la fluidit des placements qui concerne l ensemble du dispositif d accueil l image des autres tablissements du d partement le Foyer de l enfance constate une volution du public accueilli de nature complexifier la r orientation Ainsi un certain nombre d enfants pr sentent des troubles du comportement importants avec parfois une orientation MDPH Cette volution pose la question de l adaptation de l accompagnement et de la r orientation Ainsi les modes d accueil tels qu ils sont r alis s actuellement ne peuvent correspondre aux besoins et l accompagnement dont n cessiteraient ces enfants Par ailleurs ceux ci sont accueillis durant des p riodes longues la difficult de trouver un tablissement par la suite tant fr quente Le Village Saint Exup ry a d j entam une 188 r flexion sur les moyens de cette adaptation formation des professionnels liens cr er avec les IME et ITEP mise en place d activit s sp cifiques qu
409. t de 8 22 ce qui est inf rieur l augmentation du nombre de mesures de placements 10 93 et au nombre d enfants suivis 17 89 L cart entre le nombre de mesures et le nombre d enfants plac s souligne une croissance du nombre de mesures par enfant symptomatique d un allongement des dur es de placements travers notamment des mesures successives L cart est encore plus marqu sur les derni res ann es entre 2008 et 2009 le nombre de mesures de placement augmente de 1 53 tandis que le nombre d enfants plac s est en baisse 1 56 La dur e des accueils des placements relativement longs La dur e moyenne de placement dans un tablissement du Maine et Loire en 2009 est de 23 moi placem s Pr s de 31 des accueils c est dire un accueil sur trois concernent des ents de deux ans et plus Le nombre d accueil de plus de 4 ans a quasiment doubl entre 2005 et 2009 ge moyen l entr e dansl tablissement Par ailleurs le public accueilli est ge moyen l entr e dans l tablissement galement plus jeune l entr e 14 13 L enqu te men e aupr s des tablissements a permis de faire ressortir une nette diminution de l ge des enfants entrant en tablissement de 14 ans 12 5 ans entre 2004 et 2009 2004 2005 2006 2007 2008 2009 179 2 La structuration de l offre en faveur du public g et handicap Les deux cartes ci dessous permettent de mettre en corr
410. t ches qui leur taient confi es Les solutions de travail temps partiel ne sont pas d velopp es au sein du D partement notamment du fait des difficult s rencontr es en termes de gestion Cependant le PRIAC 2009 2013 souhaite voir son d veloppement au sein des tablissements de la R gion Pays de la Loire Concernant les liens avec le milieu ordinaire de travail 75 Enqu te ES 2006 222 La possibilit pour les travailleurs handicap s en ESAT d tre mis disposition d une entreprise d une collectivit publique ou de tout autre organisme afin d exercer une activit l ext rieur de ESAT est confirm e par la loi du 11 f vrier 2005 La cr ation d ESAT hors les murs permet de s inscrire dans un d cloisonnement entre travail prot g et milieu ordinaire de travail et est de nature favoriser une embauche ult rieure en milieu ordinaire de travail Au 31 d cembre 2008 129 travailleurs taient mis disposition l ext rieur de leur ESAT de rattachement au sein du d partement soit 9 Le pr c dent sch ma en faveur des personnes en situation de handicap pr voyait un axe important relatif au rapprochement entre le milieu de l entreprise et le milieu prot g S agissant de l insertion des travailleurs handicap s du milieu prot g en milieu ordinaire de travail la pratique des mises disposition commence merger Cependant plusieurs freins ob rent la mise en place de passerelles
411. t Loire la Commission d partementale d accueil du jeune enfant a t mise en place fin 2008 et a pour mission d analyser les besoins et de pr voir la mise en place de solutions Au niveau r gional le Programme Marguerite Mutualiser et associer nos ressources afin de g rer de fa on utile l emploi un r seau d initiatives pour des temps quilibr s r unit onze partenaires du Grand ouest sur le th me de l acc s aux modes de garde l articulation des temps familiaux et professionnels et l galit des chances MARGUERITE s inscrit dans le programme Equal cofinanc par le Fonds social europ en qui soutient des projets exp rimentaux et innovants pour lutter contre les discriminations et les in galit s sur le march du travail De cette dynamique est n le collectif tre parent et travailler au sein du d partement dont les quatre partenaires ont sign une Charte le 14 f vrier 2008 MSA 49 Anjou domicile Association petite enfance Inter CA DACC Deux exp rimentations ont cours dans ce cadre dans le Maine et Loire la cr che Partenariat Op ration Mobilit permettant des demandeurs d emploi majoritairement des femmes de se positionner sur un travail saisonnier g r e par l Association petite 142 enfance Angers Par ailleurs la MSA 49 a mis en place avec la Communaut de Communes du canton de Segr une exp rimentation autour de la probl matique de la garde des enfants En ont r sult des actions
412. t au sein d habitats diversifi s constitue une piste de r flexion approfondir Dans le cadre du maintien domicile la mise en place dans certaines communes d un ensemble de services int gr s L tude de la mise en place d un service de pr paration de transition et de suivi au sein d une r sidence FAM et EHPAD afin d accompagner les personnes domicile en attente d une place dans la r sidence 127 Le respite care service multi forme de soutien aux aidants qui peut galement tre utilis comme service d urgence Initiatives d partementales et locales La mise en place d une unit de vie exp rimentale Valanjou permettant d accueillir sept r sidents temps complet de plus de 40 ans Une place d h bergement temporaire est galement pr vue Cette structure g r e par un couple n est pas m dicalis e et constitue ainsi une alternative originale 128 D Les personnes pr sentant des troubles Alzheimer ou apparent s A retenir Atouts Une prise en compte rapide des difficult s augur es par ces maladies et des implications dans l adaptation des structures Le d veloppement d actions de pr vention dans le cadre des maladies neurod g n ratives Points d am lioration De fortes disparit s entre les territoires quant la r partition des UPAD Organisation et pilotage du dispositif La maladie d Alzheimer est une maladie neurod g n rative du tissu
413. t sans qu un cadre l gal s impose lui Deux enjeux principaux traversent donc l ensemble de cette partie valuative du sch ma Reconstituer partir de la multiplicit des interventions l action sociale d partementale C est ici le m me mouvement qu un jeu de patience il faut rassembler une une toutes les pi ces pour reconstituer le puzzle Puisque le sch ma doit tre un outil d aide la d cision il est n cessaire qu il offre une connaissance approfondie de l existant Toutefois cet exercice est contraint la fois par la disponibilit de l information celle ci tant pr cis ment un enjeu du dispositif et par la n cessit d op rer une s lection par le haut c est dire en se concentrant sur les interventions soit les plus co teuses soit les plus innovantes Ce sera donc un parti pris de ce document d analyser une palette large mais cibl e des actions du Conseil g n ral Proposer une valuation de ces interventions il serait fastidieux de mener un travail d valuation qui identifierait pour chaque action son efficacit son efficience et son impact Assur ment l exercice pour int ressant qu il aurait t n aurait sans doute qu apporter confusion et cloisonnement Cette approche de l valuation aurait rapidement men un travail d inventaire Il est aujourd hui c est dire dans le cadre d un premier sch ma unique plus opportun de proposer une valuation partir d axes d
414. t une participation plus active des usagers Par ailleurs d autres modalit s d accompagnement dans l insertion sociale doivent tre explor es Un certain nombre d tablissements et services ont t cr s pour prendre en charge ce public sp cifique 1 SAMSAH et 2 SAVS pour un total de 60 places 1 FH et 2 ESAT pour 124 places au total 1 FAM de 25 places Par ailleurs d autres projets ont t d pos s ou sont en cours de cr ation Des possibilit s plus souples d accompagnement existent c est le cas par exemple des appartements associatifs g r s par la Croix Marine permettant d accueillir 30 40 personnes Par ailleurs des associations ont d pos des projets en ce qui concerne le d veloppement de maisons relais et de r sidences d accueil La question de l insertion professionnelle est galement prise en compte au sein du d partement travers l existence de plusieurs dispositifs Le sch ma pr c dent avait fait l objet d un axe sp cifique au sujet de linsertion professionnelle des personnes pr sentant des troubles psychiques Ainsi le d partement souhaite voir se d velopper des passerelles entre le milieu de la psychiatrie et le milieu professionnel La difficult relative l insertion professionnelle peut tre illustr e par les chiffres du rapport d activit 2008 du CESAME Sur leurs patients g s de 15 24 31 5 occupent un emploi en milieu ordinaire contre 81 pour la population du
415. tal et 374 en postnatal Initiatives d partementales et locales Mise en place en 2005 d une r union mensuelle entre le service de gyn cologie obst trique et de maternit de Saumur les professionnels de la circonscription et le service de PMI Mise en place de l Unit m dico psycho sociale p rinatale UMPSP au sein du CHU d Angers permettant d organiser tous les lundis matin une r union o sont vus les dossiers pour lesquels des d cisions sont prendre en rapport avec le service de l Aide sociale l enfance Une sage femme du CHU g re l UMPSP au sein de laquelle est notamment d cid e la prise d une Information Pr occupante Unit Kangourou au sein du CHU d Angers pour des situations familiales difficiles permettant d entamer en parall le un travail avec la famille L ensemble de ces actions pr et post natales s effectuent en troit partenariat avec le R seau r gional de p rinatalit S curit naissance Na tre ensemble Au niveau r gional a t cr en 1998 le R seau r gional de p rinatalit S curit Naissance Na tre ensemble qui regroupe les 24 maternit s publiques et priv es des Pays de la Loire Le SROS III des Pays de la Loire souligne la structuration de qualit et son incidence positive sur la coop ration inter tablissement Dans ce cadre plusieurs actions ont t men es laboration d un certain nombre de r f rentiels relativement aux pra
416. te au Dipl me national du Brevet contre 81 pour la moyenne du d partement Par ailleurs les difficult s concernent les enfants du voyage dont le taux de scolarisation reste faible Des actions de m diation de proximit sont donc r alis es aux abords des tablissements scolaires et parfois au sein de ces tablissements sur certains territoires 254 seulement de mani re ponctuelle pr sentation des ducateurs pr sence au foyer socio ducatif Le service de pr vention sp cialis e souligne cependant la n cessit d un renforcement des liens avec les quipes de l ducation Nationale L tude de la direction Enfance Famille comme service au centre d un ensemble de partenariats constitutifs d un syst me de pilotage d velopper est en soi illustrative L exploitation de l enqu te Transversalit men e aupr s des tablissements ASE titre d exemple approfondi r v le bien la densit et la diversit des partenariats qui peuvent tre nou s L tude axait les interrogations autour de trois champs la diversit des partenariats les conventions mises en place Le travail au sein de groupes organis s par d autres partenaires les prises de contact sur des situations individuelles Gur les partenaires mobilis s Quelssont les acteursde votre territoire avec lesquels voustravaillez r guli rement Leschantiers d insertion CAP emploi Lesautresdirectionsdu Conseil g n ral
417. te du fait de l impossibilit pour les professionnels d assurer les mesures Il est donc indispensable de d velopper les mesures de pr vention en repensant les modalit s pratiques de mises en uvre En second lieu l organisation d partementale est de nature engendrer des difficult s dans la transition entre AEMO et IED avec un dispositif conduit d un c t par une association et de l autre en interne au niveau du D partement Initiatives d partementales et locales Mise en place d une Instance de coordination en milieu ouvert r unissant la DGA DSS la PJJ le SAEMO ASEA 49 et le DISMO Sauvegarde 72 instance d change d informations et de d bat Dans ce cadre plusieurs actions ont t r alis es tableau de bord d activit mensuel commun cahier des charges relatif la cr ation du DISMO journ es de rencontre l gard des cadres du d partement appartenant au champ de la protection de l enfance Par ailleurs cette Instance a servi de cadre la mise en place d une r flexion avec trois circonscriptions afin d laborer une charte de partenariat avec les acteurs partenaires PJJ 80 DISMO SAEMO SIOE PMI ASE Cet espace de r flexion permet notamment de travailler actuellement la qualit des passages de relais lors des fins de mesure 2 Le dispositif des TISF Organisation et pilotage du dispositif L intervention des Techniciennes d intervention sociale et familiale TISF est assur
418. tien de la cr ation de lieux de vie permettant d accueillir des enfants ou des adolescents lors de leurs temps de rupture ou pour des accueils de plus long terme Un cahier des charges a vocation tre labor afin de cr er les deux types de lieux La mise en place d un parcours individualis travers des relais facilit s Le Conseil g n ral souhaite d velopper le parrainage travers la mise en place d un cahier des charges Un dispositif de prise en charge partag e a t cr 193 Le protocole d accueil partag est aujourd hui d fini Exp riment l origine dans le cadre exclusif de l accueil imm diat il est aujourd hui mobilisable pour l ensemble des situations et concerne les jeunes qui sont pris en charge par plusieurs lieux d accueil ou de services prise en charge sociale et m dico sociale et sanitaire Le pr c dent sch ma d finissait ainsi cette notion comme faisant r f rence un projet commun construit entre les parents et des professionnels des diff rents services Une convention personnalis e d accueil partag est ainsi crite et sign e par les acteurs qui souhaitent mettre en place ce type d accueil Il s agit ici pour le d partement de s appuyer sur les dispositifs existants qui apparaissent nombreux et de les mettre en lien Cependant il appara t n cessaire de communiquer autour de cet outil qui reste aujourd hui utilis la marge afin de favoriser une appropriati
419. tifi par les m decins lib raux en termes de gestion de crise ou d urgence A titre d illustration l enqu te men e aupr s des tablissements ASE du d partement permet de faire ressortir un certain nombre de constats on rel ve en effet un cart entre le nombre de jeunes disposant d un suivi et le nombre de jeunes n cessitant un suivi psychologique et psychiatrique qui permet de mesurer le niveau de besoin de prise en charge psy On remarque que l cart est sensiblement quivalent qu il s agisse d un suivi 116 psychologique ou psychiatrique En revanche le nombre de jeunes en attente d un suivi psychiatrique est plus important que le nombre de jeunes en attente d un suivi psychologique Suivi psychologique et psychiatrique des jeunesen 2009 m Suivi psychologique mt Givi psychiatrique 4 Nombre de jeunesen attente d un suivi 4 10 73 Nombre Ae punas disposantiqiun suli SE gt 1 1 Nombre de jeunes n cessitant un suivi 120 Initiatives d partementales et locales La relocalisation de la psychiatrie infanto juv nile sur le plateau des Capucins assurant ainsi une proximit accrue entre le CHU le CESAME et le C3RF La mise en place d une convention entre le CESAME et l Inspection Acad mique de Maine et Loire pour la mise disposition de six enseignants sp cialis s assurant la prise en charge des enfants d scolaris s et la liaison avec les coles Le dispositif en faveur des adultes en situ
420. tion Atouts l ensemble des personnes rencontr es ont indiqu tre satisfaites de l accueil en circonscription et ont mis en avant la qualit de l accompagnement qui leur tait propos Ils appr cient l coute des professionnels et le temps consacr Par ailleurs 89 des personnes ont estim obtenir les r ponses attendues lors de leur visite Points d am lioration le point d accroche principal se situe au niveau de la visibilit des circonscriptions Ainsi les entretiens ont permis de mettre en exergue la difficult que peuvent avoir les personnes en situation de pr carit trouver l aide qui leur est n cessaire Si les partenariats d velopp s au sein du d partement permettent de travailler cette lisibilit 105 il appara t encore compliqu pour les personnes de conna tre les dispositifs m me de leur venir en aide 5 Les aides au logement en faveur des m nages en difficult Le Conseil g n ral a mis en uvre une politique ambitieuse d aides la pierre et exerce des comp tences en mati re d aides la pierre par d l gation totale des aides l tat Il a choisi de g rer concomitamment dans un m me service les aides la personne registre du social et les aides la pierre registre du d veloppement Le d partement est bien dot en logements sociaux HLM et autres logements conventionn s ceux ci repr sentent 21 des r sidences principales Le parc social affiche un taux d occ
421. tique d emploi rel ve de la comp tence de l tat Les Directions d partementales du travail de l emploi et de la formation professionnelle DDTEFP pilotent et animent ce titre la politique d emploi des travailleurs handicap s Par ailleurs la d termination et la mise en uvre d une politique globale au niveau du d partement se fait un sein d un document directeur PDITH r gionalis depuis janvier 2010 Ainsi si le niveau d partemental reste le niveau op rationnel la r vision g n rale des politiques publiques renforce le niveau r gional en tant que niveau strat gique et politique de fixation des orientations Le Plan R gional d insertion des travailleurs handicap s permet de coordonner les actions de l ensemble des partenaires ayant vocation intervenir concernant l insertion le maintien dans l emploi et la formation des travailleurs handicap s Le Conseil g n ral intervient dans le champ de l insertion professionnelle des personnes handicap es plusieurs titres en tant que pilote des politiques sociales il est charg de favoriser l entr e et la maintien au sein d un dispositif d insertion et m ne les politiques d insertion et de pr vention des exclusions le Conseil g n ral assure la Pr sidence de la MDPH qui d livre l attestation de RQTH et d termine les orientations professionnelles enfin en tant qu employeur il est soumis l obligation d emploi Le Conseil g n ral est ainsi amen p
422. tiques professionnelles par exemple sur l entretien pr natal pr coce mise en r seau des centres pluridisciplinaires de diagnostic ant natal ou encore mise en place de staffs inter maternit s consacr s l tude de dossiers difficiles Le r seau souhaite voluer en r seau de sant d ici quelques ann es afin de r pondre la volont du l gislateur en 1999 de d velopper ce mode innovant d organisation des soins dans le but de placer le patient au centre du syst me de sant et d assurer une meilleure coordination des professionnels autour du patient 48 Enfin le Plan r gional de Sant publique 2006 2009 prolong d un an jusqu au 31 d cembre 2010 a permis d impulser le cadrage des actions de coordinations entre professionnels autour de la p rinatalit II met ainsi en exergue des actions telles la mise en uvre du suivi des femmes enceintes en situation de pr carit ou la pr vention des conduites addictives au cours de la grossesse et prise en charge des femmes et des nouveau n s Initiatives d partementales et locales Participation des sages femmes de PMI aux r unions organis es dans le cadre du R seau r gional de p rinatalit D veloppement de la Permanence d acc s aux soins PASS p rinatalit dans les tablissements d accouchement Le PASS p rinatalit est mis en place Angers clinique Anjou et CHU 2 La pr vention autour de la p rinatalit en faveur des personnes pr
423. tition des subventions allou es est examin e lors des instances CUCS De ce fait le technicien du Conseil g n ral charg de la politique de la ville s est galement vu confier la gestion des cr dits VVV des agglom rations b n ficiaires d un CUCS Ce dispositif permet des pr adolescents en difficult de b n ficier d un acc s des activit s de loisirs et d une prise en charge ducative durant les diff rentes p riodes de vacances scolaires Le Conseil g n ral intervient galement au titre du Programme de R ussite ducation Si les responsables de circonscription ont t amen s participer aux instances de r flexion relatives au PRU ce n est plus le cas aujourd hui sauf lorsqu ils ont pr senter des situations qui les concernent 236 4 L accessibilit la vie citoyenne La notion d accessibilit la vie citoyenne s entend la fois comme la participation l exercice des droits civiques et aux instances de concertation publique mais recouvre plus largement la participation la vie de la Cit sous tous ses aspects L accessibilit la Cit locaux La loi du 11 f vrier 2005 relative l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es vise permettre une insertion des personnes handicap es dans la Cit avec une mise en accessibilit de tous les lieux publics Deux concepts sont d velopp s dans le cadre de cette loi
424. tre 2009 et 2012 E 2009 E 2012 45 45 45 45 urce DDASSMaine et Loire 31 d cembre 2009 IM E DI TCC TED Poly IEM SEHA DA DV Total handicap Une offre territoriale contrast e On observe n anmoins un d s quilibre entre les territoires du d partement Il existe dans le Sud du d partement Vihiers Thouarc tr s peu de structures en faveur des enfants en situation de handicap Le constat est identique dans le Nord Ch teauneuf Thierc Durtal Les disparit s sont plus ou moins accentu es en fonction du type de structures les ITEP ou tablissement pour enfants pr sentant des TED sont concentr s Angers ou dans le Sud du territoire Par ailleurs la cr ation de places en 2012 va dans le sens d une diversification des types d tablissements il en va ainsi pour le Nord Ouest qui verra la cr ation d un Institut SEHA mais ne permet pas de r sorber les in galit s territoriales 2 Echo des statistiques DRESS 2008 181 E cc EH E eo H sEna D ev mc E Polyhandicap D ficience sensorielle Part desb n fidaires de l AEEH sur la population totale de 0 19ans E oas M 0809 E sosios dosaos urce nseil g n ral de Maine et Loire CAF del aggdam ration angevine GCAFdel agglam rationchdetaise MSA 2010 Pour l ann e scolaire 2008 2009 274 d cisions ont t prononc es en faveur d une orientation en tablissement m dico social pour enfants 211
425. ts dits de proximit et aux quipements de sant est un enjeu social tr s important L accompagnement des personnes g es dans le maintien d une vie sociale se doit d tre une priorit Si aucun acteur du champ g rontologique n est sp cialis sur ce champ de nombreuses initiatives mergent au niveau local principalement 242 r alisation d un indice portant sur un panel de 36 d gagent les trois agglom rations ainsi que le secteur des Mauges Gassement des mms disposent d une offre de En effet la participation et l acc s aux activit s sociales culturelles associatives s exercent le plus souvent une chelle locale de proximit Ainsi trois maisons d animation Cholet concernent le public de plus de 50 ans par exemple La MSA a mis en place dans le canton de Saumur Sud une enqu te en 2007 sur la vie sociale dans le cadre du Contrat de d veloppement social sur les territoires Cette enqu te a permis de r v ler notamment l isolement des personnes g es en milieu rural impliquant des besoins pour les jeunes retrait s notamment de portage de repas dans certaines communes Cependant sur ces th mes une multitude d acteurs sont amen s intervenir ob rant la lisibilit des actions propos es et par l m me la structuration de l accompagnement social sur le territoire La question du maintien du lien social pose celle de la famille et de la place qu il s agit de lui donner dans ce cadre L
426. ture difficile la DDTEFP d exercer un strict contr le sur les services ayant opt pour l agr ment Les acteurs ont galement fait part de leurs difficult s recruter tout particuli rement des jeunes et les personnes qualifi es C est toute la question de l attractivit du secteur de l aide domicile qui est alors pos e Initiatives d partementales et locales 90 La r gion des Pays de la Loire participe en 2010 la mise en place d un dispositif exp rimental permettant l encadrement et l assistance des candidats la VAE dans le secteur des services la personne convention de partenariat entre P le emploi et l Agence nationale des services la personne La capacit financi re des personnes g es doit tre prise en compte et pose la question de l accessibilit terme de ces services La question financi re appara t pr gnante face un public faible solvabilit Le Conseil g n ral a souhait dans son sch ma g rontologique 2008 2010 mettre en place une action sp cifique ce sujet mais qui n a pu aboutir De mani re plus g n rale le rapport de PIGAS de juillet 2009 souligne le paradoxe inh rent au secteur plus les personnes ont besoin d un nombre d heures d aide domicile du fait de leur tat de d pendance plus elles auraient aussi besoin que ces heures soient encadr es et donc effectu es par des op rateurs prestataires Mais la quantit d heures n cessaires obli
427. u si ge comme du parquet L existence d une Cour d Appel sur le territoire du Maine et Loire permet une coordination de la justice dans la mise en uvre sur les deux ressorts territoriaux Le Conseil g n ral travers plus particuli rement la Direction Enfance Famille dispose aujourd hui de relations tr s fortes avec le secteur de la justice En effet un travail en commun important a t r alis et une association a su se mobiliser dans les instants cl s d volution du dispositif mise en commun de la charte de signalement r daction de la Charte enfance en danger lors de la cr ation de l Unit enfance en danger la PAPED Ce partenariat a toujours t historiquement tr s fort et la collaboration appara t aujourd hui tr s bien ancr e avec des habitudes de concertation d velopp es Par ailleurs l association des partenaires de la justice la r flexion autour des deux sch mas pr c dents 2002 2005 et 2005 2010 a contribu resserrer les liens L ducation Nationale L action de l ducation nationale se d veloppe autour de quatre grands axes le rep rage et la pr vention qui supposent la formation des personnels la clarification des proc dures qui a conduit la construction au sein de l ducation nationale de protocoles destination des personnels de 1er et 2 degr s la mise en place d outils m thodologiques destin s aux personnels de l cole qui peuvent tre so
428. ucatif PJJ l APAECH la Pierre Blanche au foyer Tournemine et l Aiglon Par ailleurs les familles d accueil g r es par le D partement disposent de places d accueil d urgence et d accueil relais Le sch ma doit tre l occasion de r fl chir autour du mod le propos aujourd hui L alternative principale tant soit la sp cialisation d un tablissement sur l accueil d urgence qui imposera une refondation du VSE et un recentrage sur ses missions ainsi qu une ouverture l accueil des plus de 14 ans soit l organisation d un syst me diffus impliquant l ensemble des tablissements et les assistantes familiaux en r servant par exemple des contingents de places en urgence Cette deuxi me possibilit imposera notamment un accompagnement des quipes et un pilotage structur du dispositif d urgence 2 L absence d accueil d urgence sp cifique pour le public g et handicap Est dit accueil d urgence un accueil temporaire permettant de faire face une situation ou un v nement exigeant une r ponse imm diate ou dans des d lais tr s courts dans l attente d une solution appropri e Le d partement de Maine et Loire ne dispose pas l instar d un grand nombre de d partements de dispositif d urgence mis en place destination des personnes g es ou des personnes en situation de handicap Cet tat de fait appara t dommageable l usager peut en effet se trouver tr s rapidement d muni
429. ues professionnelles traditionnelles Aujourd hui la place de la parole de l usager reste plus que jamais d actualit C La lutte contre l isolement des publics vuln rables dont le maintien des liens sociaux existants La lutte contre l isolement concerne l ensemble des publics en situation de vuln rabilit et pose la question du lien social travers la cr ation du lien ou le maintien de ce lien notamment pour le public g Si le degr d isolement n est pas n cessairement corr l au lieu d habitation avec un fort d veloppement des solidarit s familiales en milieu rural l inaccessibilit des services de premi re n cessit apparait comme un facteur important Ainsi la carte permet de 16 Accessibilit des communes mesurer l accessibilit typologie sur la base de 36 services de r f rence source INSEE des communes par services de r f rence Deux typologies Ba LE wo services tendus D 212 E G l inverse les trois secteurs th ruraux de Segr Baug et Dou la Fontaine Par ailleurs il s agit des territoires qui compte une part de 75 ans et plus lev e que dans le reste du d partement ce qui pose ainsi la question de l isolement des personnes g es Pour une personne g e le choix du maintien domicile est troitement li au degr d autonomie dont elle peut b n ficier dans sa vie quotidienne Pouvoir acc der relativement facilement aux quipemen
430. une augmentation de 26 par rapport 2007 Le d lai pour ces deux demandes s l ve en moyenne 5 mois Fin 2006 en Maine et Loire sur les 1 907 tablissements d au moins 20 salari s du secteur priv 1 333 taient assujettis la DOETH D claration Obligatoire l Emploi de Travailleurs Handicap s Ainsi 70 des entreprises assujetties emploient au moins un b n ficiaire 223 de l obligation d emploi BOE 3 152 personnes handicap es taient embauch es dans ces tablissements soit 2 6 des salari s en quivalent temps plein 2 2 en France m tropolitaine Par ailleurs au 30 d cembre 2008 7 des demandeurs d emploi sont des personnes en situation de handicap sup rieur la moyenne r gionale de 6 6 Ainsi on compte 2 696 demandeurs d Emploi Travailleurs Handicap s DETH en d cembre 2009 contre 2 283 en d cembre 2008 soit 18 1 en un an augmentation plus forte que le niveau r gional situ 17 dont pr s de 54 sans qualification professionnelle Ils repr sentent 7 des DEFM tous publics confondus Le d partement repr sente 24 4 des DETH de la r gion de Pays de la Loire 11 063 demandeurs Concernant le profil de ces allocataires on compte 45 6 de femmes et 33 6 ont plus de 50 ans 47 5 ont une formation initiale de type BEP ou CAP avec une proportion plus lev e sur le territoire de Segr 52 4 Enfin 15 2 sont b n ficiaires du RSA ou du RMI source P le emploi et dire
431. une politique volontariste ce sujet et finance aujourd hui de mani re importante les FJT Trois Foyers de travailleurs migrants sont situ s sur le territoire comptant respectivement 319 logements Angers et 140 Cholet et ayant permis un h bergement de 394 m nages entre le 1 janvier et le 31 juin 2009 G r es par l ADOMA les FTM permettent l intervention de trois travailleurs sociaux financ s par le Conseil g n ral l tat et les agglom rations Un accompagnement global est r alis aupr s d un public fragilis et confront des probl matiques lourdes probl mes de comportement absence de soins addiction 156 personnes ont t accompagn es pendant les six premiers mois de 2009 Sur 17 m nages accompagn s et sortis de l une de ces structures sur la p riode du 1 au 30 juin 2009 10 sont sortis vers le logement autonome Les deux r sidences sociales situ es sur l agglom ration d Angers R sidence Gate et R sidence Guy Mocquet ont pour fonction l accueil temporaire de familles ou de personnes isol es dans un processus de recherche de logement demande de logement r alis e en amont et comptent 35 logements La dur e moyenne de s jour qui tait de 9 mois l ouverture est aujourd hui de 1 an et 1 mois Pour ces cinq r sidences le Conseil g n ral via le service Habitat et coh sion sociale participe l accompagnement des m nages Par ailleurs un type de logement durabl
432. upation lev en raison notamment d efforts de r habilitation du parc ancien Il reste moins d velopp sur les agglom rations d Angers Saumur et Cholet la part du logement tr s social dans les logements locatifs y est inf rieure 2 42 des m nages vivant dans le parc locatif priv est ligible au logement tr s social source PDH 2007 En outre le taux de rotation en logement social est trop faible et la demande trop cibl e sur les agglom rations celles ci concentrent 60 des demandes sociales locatives Les logements inconfortables sont sur repr sent s dans l est du d partement qui se signale par un niveau de revenu moindre de sa population Les propri taires sont deux fois plus nombreux occuper un logement inconfortable a Les aides aux collectivit s locales Le Conseil g n ral a sign une convention avec la Caisse des d p ts qui vise financer l acquisition de r serve fonci re par les communes dans le cadre des contrats de territoire avec un objectif de 25 de la SHON en logement locatif social Depuis 2009 le service Habitat du Conseil g n ral a initi une d marche de contractualisation avec les EPCI afin d accorder des financements dans un cadre coh rent et de moduler les aides apport es l importance des besoins Apr s un diagnostic qui mobilise notamment les circonscriptions et les autres directions fonctionnelles et un travail de communication aux lus locaux le contrat de territoire
433. uquel s est contraint le d partement Il s est ainsi dot de 6 de places en EHPAD suppl mentaires en 2 ans Ces transformations se sont r alis es par le red ploiement de places en Foyers logement dont la capacit a diminu dans le m me temps de 10 184 Un d partement tr s quip en structures m dicalis es mais in galement maill La densit la plus forte sur le territoire concerne les tablissements m dicalis s on compte ainsi 131 EHPAD maisons de retraite et logements foyers confondus pour un total de 9 830 places soit un taux d quipement de 151 places pour 1 000 habitants de 75 ans et plus contre 121 au niveau r gional et alors m me que ce ratio est d j lev 2 de France Part des plus de 75 ans et plus Taux d quipement en EHPAD dans la population totale urce Conseil g n ral mars 2009 urce INSE RGP 2006 Ce fort taux d quipement b n ficie surtout au canton de Vihiers de Ch teauneuf sur Sarthe et de l agglom ration du sud d Angers qui disposent d un taux d quipement sup rieur 250 places pour 1 000 habitants de plus de 75 ans Enfin seul le canton d Angers Nord ne dispose d aucune structure EHPAD sur son territoire Par ailleurs la carte ci dessous met l accent sur le territoire Est du d partement qui dispose de faibles taux d quipement moins de 120 places pour 1 000 habitants de plus de 75 ans alors m me qu il s agit du territoire o la part des 75 ans
434. ur de ce public 3 L accueil d urgence des personnes en grande difficult sociale Un certain nombre de dispositifs existent au sein du d partement relevant d un pilotage tatique Au sein du Maine et Loire le Plan d partemental Accueil H bergement et Insertion de la Direction d partementale de coh sion sociale est en cours d laboration pour une adoption pr vue courant 2010 permet ainsi de coordonner le dispositif d h bergement au sein du D partement et fait notamment r f rence au dispositif de veille sociale Les dispositifs nationaux tels le 115 et le Samu social angevin au niveau du d partement jouent un r le essentiel aupr s des personnes en grande pr carit Dans ce cadre un infirmier psychiatrique a t mis disposition de l quipe du Samu social dans le cadre du DIASM et un protocole d intervention aupr s des personnes la rue est en cours les probl matiques de souffrances psychiques tant pr gnantes Par ailleurs le Service d Accueil et d Accompagnement Sp cifique SAAS a t cr en 1995 sur la ville d Angers Il s agit d un service social sp cialis pour la prise en compte de la grande errance sur l agglom ration angevine permettant ainsi l accompagnement et l orientation des publics qui ne disposent pas d un lieu d h bergement stable ainsi qu un accompagnement sp cifique destination des jeunes en errance action permettant un accompagnement individualis des jeu
435. ur la diversification et la r partition territoriale de l offre conjugu e l adaptation des prestations aux besoins des personnes g es La diversification de l offre n cessite en effet d tre travaill e avec aujourd hui 11 communaut s de communes sur 27 disposant d une offre diversifi e en ce qui concerne les personnes g es contre 5 pour les personnes handicap es L existence d une plate forme d partementale des services la personne est un autre gage de la structuration de l offre sur le territoire Elle permet de mettre en lien l offre et la demande et exerce des fonctions d ing nierie d accompagnement de portage de projets et de sensibilisation la professionnalisation Elle regroupe principalement des f d rations d associations et d autres acteurs de l conomie sociale en partenariat avec les pouvoirs publics territoriaux Cette plate forme pilot e par l Association Anjou domicile s adresse tant aux particuliers n de t l phone unique leur dis position qu aux professionnels lieu de r flexion mise en place d outils communs ou encore soutien de projets Enfin conform ment aux objectifs fix s par la feuille de route de la professionnalisation et le contrat d objectifs et de moyens sign avec l tat l Agence nationale des services la personne engage par l interm diaire de ses d l gu s territoriaux un programme de soutien la modernisation des structures agr es d nomm
436. ur les aidants naturels encore peu nombreux Une r partition in gale des places d h bergement temporaire en EHPAD 150 Des difficult s de fonctionnement des accueils s quentiels Un nombre de places peu lev en mati re d h bergement s quentiel en faveur des personnes handicap es 1 Le d veloppement d actions collectives Le soutien la parentalit Organisation et pilotage du dispositif Le soutien la parentalit consiste en l accompagnement des parents dans leurs t ches ducatives et s av re essentiel dans le cadre des changements qui ont travers la Soci t depuis 50 ans Ainsi le contexte de fortes pr carit s alli es un cadre familial en mouvement avec une forte augmentation du nombre de familles monoparentales notamment sont l origine d une accentuation de la fragilit des parents de nature peser sur leurs capacit s ducatives Dans ce cadre les actions de soutien la parentalit sous toutes les formes doivent constituer une priorit Ces actions de soutien s exercent tout d abord dans les diff rentes circonscriptions du Conseil g n ral et travers le travail r alis par les pu ricultrices lors des visites domicile ou encore dans le cadre des actions ducatives De mani re plus g n rale l ensemble des actions r alis es aupr s des familles par les professionnels des territoires contribuent au soutien la parentalit des familles Les deux Ca
437. ur les enfants la lisi re des dispositifs handicap et ASE Une diversit d accueils pour les publics en difficult d insertion Points d am lioration Les prises en charge partag es formalis es par le protocole doivent tre d velopp es puis valu es Les missions de l quipe ressource aupr s des tablissements doivent tre ajust es 1 Les jeunes la lisi re des dispositifs La question des enfants accueillis au sein du dispositif handicap et relevant de l Aide sociale l enfance a t notamment soulign e dans l tude r gionale sur le devenir des IME de 2007 Plus sp cifiquement au sein du d partement les diminutions de places en ITEP sont de nature favoriser un basculement des enfants en MECS alors m me que ce dispositif appara t d j en tension La prise en charge des jeunes la charni re de plusieurs dispositifs protection de l enfance handicap sant mentale mettent souvent en difficult et ou en chec les professionnels la recherche de r ponses ad hoc sans forc ment conna tre l ensemble des ressources et relais disponibles Quand les ressources sont rep r es les partenariats que le profil du jeune rend n cessaires sont souvent faiblement structur s faisant reposer l efficacit des interventions sur la qualit de relations interpersonnelles A ce titre l laboration et la signature d un protocole de prise en charge partag e dans le Maine et Loire qui
438. urd hui en France on estime environ 170 000 enfants scolaris s au sein des tablissements scolaires publics ou priv s durant l ann e 2008 2009 soit 80 de plus qu en 2002 En janvier 2010 1 580 l ves sont scolaris s en milieu ordinaire dans le d partement contre 1 544 la rentr e scolaire 2008 Parmi ceux ci 960 l ves accueillis en scolarisation individuelle dont 405 l ves accompagn s par des AVS 620 l ves accueillis en scolarisation collective dont 405 en CLIS et 215 en UPI Par ailleurs on observe une l g re diminution de la part des enfants en situation de handicap scolaris s dans l enseignement priv de 32 en 2008 contre 28 en 2009 2010 Enfin si les effectifs ont baiss de 2 en deux ans en ce qui concerne le 1 degr de 1 031 1 007 enfants on constate 12 d augmentation pour le 2 degr de 513 573 enfants ce qui laisse pr juger des besoins venir Les modalit s de scolarisation dans le 1 degr En 2009 2010 sur 1 007 l ves handicap s scolaris s dans le 1 degr 553 l ves sont exclusivement scolaris s en classe ordinaire soit 55 Ce pourcentage reste globalement le m me depuis 2007 Par ailleurs 314 l ves sont scolaris s au sein d une CLIS et dans une classe ordinaire soit 31 De la m me mani re cette proportion reste relativement similaire l ann e scolaire 2007 2008 Il s agit exclusivement d l ves scolari
439. urs de handicaps ou souhaitant d velopper cet accueil dans leur structure La Mutualit Anjou Mayenne a cr en 1992 la premi re cr che au sein d un Institut pour enfants d ficients visuels et aujourd hui dispose de places r serv es pour enfants en situation de handicap au sein d une cr che qu elle g re La mise en place d une exp rimentation Segr en 2009 10 enfants handicap s ont t accueillis dans trois Centres de loisirs qui ont form le personnel et recrut un animateur sp cialis C L accompagnement la parentalit et le soutien aux aidants naturels A retenir Atouts Une couverture du d partement en REAAP Le d veloppement de nombreuses initiatives au sein des territoires du d partement sous des formes diverses groupes de parole jeux d bats visant accompagner les parents prouvant des difficult s ducatives ou souhaitant d velopper leurs comp tences parentales La mise en place d actions collectives dans le cadre du soutien aux aidants naturels Un d veloppement continu de l accueil alternatif Points d am lioration Des actions qui ne sont pas encore facilement accessibles aux personnes des zones rurales La r duction des interventions de l tat dans le cadre du REAAP qui impose une r flexion sur les participations financi res des diff rents prescripteurs Un lien parent enfant plac qui demeure travailler Des groupes de parole po
440. urs et innovants qui draineront avec eux un ensemble de pratiques qui peuvent tre essaim es La transversalit trouve ses limites quand les sp cificit s techniques des secteurs ne peuvent tre fondues dans un cadre commun sans friser la grossi ret du trait Plus qu ailleurs mais sans exag ration les scansions entre les diff rents dispositifs seront un peu plus marqu es Toutefois quelques principes structurants peuvent constituer les fronti res d un cadre homog ne La diversit de l accompagnement en tablissement s valuera alors et quel que soit le dispositif l aune De la r partition des tablissements sur le territoire et au regard des besoins identifi s De la capacit des structures g rer l urgence de certaines situations De la qualit de l accompagnement formation et qualification des personnels mise en place des outils de la loi 2002 2 De la capacit des tablissements accompagner certains publics sp cifiques In fine il s agira de traiter de l quit territoriale des volutions dans la qualit des prises en charge dont le Conseil g n ral peut tre le moteur et de l adaptabilit des structures au profil des personnes qu elles accueillent et accompagnent 174 A Le dispositif d accueil cadrage g n ral et r partition territoriale 1 La structuration de l offre pour les enfants confi s au titre de l ASE Le d partement de Maine et Loire compt
441. ut une r flexion sur ce th me afin d tudier la pertinence de la cr ation d une MDA Enfin on peut citer l Agence d partementale d information sur le logement ADIL service qui assure une information l gard de tous les publics sur tous les aspects des questions de logement avec une activit essentiellement tourn e en faveur du logement des d munis Deux enjeux se d gagent La fluidit et le contenu de l information des dispositifs m dico sociaux L information aupr s des publics non captifs c est dire des personnes qui se situent en dehors du dispositif m dico social et qui ne vont pas forc ment avoir connaissance des droits auxquels ils peuvent pr tendre Il en va ainsi pour les personnes en attente de prise en charge 270 F L information aupr s des partenaires En 2003 le Conseil g n ral a r alis une information en faveur des usagers mais galement des partenaires institutionnels Il s agissait de r affirmer son statut de chef de file de l action sociale aupr s des partenaires Une plaquette tir e 10 000 exemplaires a t diffus e l ensemble des acteurs sociaux et m dico sociaux du d partement Par ailleurs le D partement a su cr er une forte culture de coop ration avec les partenaires De ce fait la diffusion de l information est tr s d velopp e G L observation Un observatoire d signe un ensemble de moyens humains personnel affect la collecte
442. utenir lesinitiatives des parents et enourager les actions Activit importante du REAP travail restant 6 parentset enourager les llectives favorsiser la mise en place de groupes de parole ou r aliser en qui con rne le public vuln rable actions collectives d actions llectives passerelle avecle handicap notamment mise en place d un cadre pour le parrainage ri D velopper des relais dans D velopper des outils nouveaux permettant desrelais dans mise en place d actionsisol es Une r flexion l exercice delaparentalit sn 22 A l exercice de laparentalit globale doit tre r alis e irs rii Haboration d un contrat d intervention entre Articuler lesinterventions Am liorer lacoordination entre lesintervenantset inventer des g A Ae J 8 ii k e l usager et l association pas d outils de liaison domidle outilsde liaison k r ellement mis en place d s 5 PN te M rogr s im tes encore peu Renforcer les possibilit s D velopper lacapadt d intervention en milieu ouvert en APS dep be portan se P H 9 LP A pA i d interventions ducatives domidle au titre de d aide domicile particulier au titre de la pr vention 4 lamoyenne nationale Existen d AEMOrenforc es mais pas Diversifier les modalit s d intervention d quivalent admi nistrati nede meses n contractuelles alleg es exemple mesures vis e valuative Envisager l augmentation de la capadt d intervention en O Augmentation de la ca
443. uv le PAVE 312 d marches ont t lanc es c est dire lorsque le conseil municipal a pris une d lib ration ce sujet et qu une communication au public a t faie Quelques communes n ont ce jour pas men de r flexion pas de d lib ration de lancement en Conseil municipal Ainsi peu de communes ont pris en compte cette obligation pour le moment m me si les d marches sont lanc es peu peu Cependant si le D partement est en retard en ce qui concerne le respect du d lai l gislatif il apparait comme un d partement pilote en comparaison aux autres d partements de France la Direction des Territoires a en effet men e un large travail d information ce sujet et les d partements voisins Vend e Charente ou encore Charente Maritime ne comptent encore aucune commune ayant lanc une d marche de PAVE Ainsi avec 89 des Communes ayant approuv ou lanc la d marche le d partement apparait avanc dans la d marche de mise en accessibilit Par ailleurs une deux communes des quatre unit s territoriales ont vu la mise en place d un PAVE d s 2007 communes pilotes Noyant Briollay ou encore Saint Laurent de la Plaine et Allones notamment Initiatives d partementales et locales Les actions de communication r alis es par la Direction des Territoires d s d cembre 2008 en direction des lus et des partenaires travers des r unions d information la mise en place d un Comit
444. ux d accueil parents enfants Dans ce cadre une psychologue du CAMSP intervient par exemple aupr s de trois psychologues de l APIJ qui animent des groupes d analyse de la pratique dans les structures d accueil petite enfance de la mairie d Angers deux psychologues du CAMSP interviennent aupr s des quipes de 2 maisons Perce Neige Bagneux et Barac sur des questions de parentalit et de pr vention Travail de liaison exp rience de micro r seaux avec les professionnels lib raux rencontrant les difficult s psychoaffectives des enfants et de leurs familles m decins ortho psy Par ailleurs une exp rience de partenariat autour de situations d enfants en grande difficult fond e sur une relation troite entre des m decins et des psychologues du CAMSP CMPP m decins de PMI et quipes de circonscriptions a t mis en place R alisation d exp riences de partenariat avec les professionnels autour de l accompagnement des adolescents ouverture d un espace ados au CMPP d Angers en compl mentarit de l accompagnement des classes relais et du dispositif d coute pr sent sur le lieu des SEGPA D autres dispositifs jouent un r le de pr vention important en mati re de handicap Les Centres ressources Ces Centres de ressources permettent d assurer aux familles une expertise dans le d pistage d un handicap sp cifique Le Centre r gional d tudes et de ressources pour l autisme et
445. vice exp rimental de rencontres m diatis es a t mis en place en lien avec les circonscriptions Enfin la question du placement domicile na pas fait pour l instant l objet d un d veloppement construit Le Village Saint Exup ry envisage l exp rimentation d un dispositif de placement ducatif domicile qui devrait voir le jour courant 2010 L organisation du lien parent enfant dans les situations de placement a fait l objet d une priorisation dans le cadre du sch ma 2005 2010 et la r flexion a ainsi t engag e sur la place des parents et la n cessit de les associer pleinement Un travail de cadrage th orique a t men sur la d finition du lien son contenu ou encore le cadre juridique de l autorit parentale Cependant le travail de lien entre les parents et les enfants est conforter notamment en ce qui concerne les pratiques des professionnels L tude sur les enfants confi s l Aide sociale l enfance de 2009 identifie la question du lien parent enfant comme une priorit de travail L enqu te r alis e indique ainsi que 42 7 des parents se per oivent comme participants aux d cisions prises 50 4 en tablissements contre 35 7 en familles d accueil Par ailleurs 22 3 des parents jugent difficile le maintien du lien familial les moyens et temps de d placement constituant des freins Les actions collectives de soutien aux aidants naturels Le soutien aux aidants naturels doit tre int
446. vise pr ciser les objectifs et les modalit s d une prise en charge conjointe de jeunes la 203 charni re de plusieurs dispositifs constitue un atout important dans un contexte de complexification des besoins et des profils Au niveau du d partement cette probl matique a t travaill e dans le cadre des sch mas enfance famille et handicap 2005 2010 par le biais d une action commune Am liorer la coop ration entre le secteur m dico social et la protection de l enfance Des groupes de travail se sont notamment r unis sur la th matique des jeunes relevant simultan ment d une prise en charge sociale et m dico sociale et ou sanitaire afin de repenser et construire les relations ASE MDPH et tablissement La tenue de ces groupes de travail entre 2008 et 2009 a permis de mettre en exergue la r alit du partenariat existant Ainsi un certain nombre de dispositifs ont d j t cr s mais restent difficiles mettre en uvre eu gard aux difficult s d ordre mat riel notamment transport prise en charge financi re Par ailleurs il appara t n cessaire de favoriser les prises en charge partag es tout en vitant l cueil du morcellement des prises en charge Des dispositifs sp cifiques ont t cr s en 2007 l Association Familiale d Aide Domicile a mis en place un SAVS dont le si ge est situ Cholet qui permet d accompagner huit jeunes relevant du dispositif de ASE et
447. vril 1999 r formant la tarification des EHPAD a introduit une exigence de qualit avec la formalisation syst matique des d marches d valuation dans le cadre de conventions tripartites tablies entre l tablissement l autorit comp tente pour l Assurance maladie et le Conseil g n ral du d partement auquel l tablissement appartient Cette d marche vise impulser une dynamique de contr le et d am lioration continue de la qualit centr e sur la personne g e 68 et r pondant ses attentes et besoins Ainsi la fin de la convention des professionnels de la DDASS et du Conseil g n ral se rendent au sein de EHPAD pour contr ler la qualit de l tablissement Le travail des quipes se fonde notamment sur les Initiatives d partementales et locales et recommandations d velopp es par l ANESM qui permettent ainsi de poser un cadre l ensemble des professionnels Par ailleurs la loi de 2002 2 a conduit une r flexion globale concernant la qualit de vie en tablissement notamment L enqu te r alis e aupr s des tablissements pour personnes g es et handicap es du d partement de Maine et Loire confirme le travail r alis en faveur de la bientraitance Ainsi 92 des EHPAD du d partement de Maine et Loire ayant r pondu l enqu te dans le cadre du sch ma ont indiqu avoir organis des actions de sensibilisation aux probl matiques de la maltraitance sous forme de r unions de groupes de paro
448. xistantes ou d velopper sur son territoire une valuation qualitative quantitative et financi re des actions financ es par le Conseil g n ral l appui technique aux porteurs de projets et l animation partenariale du dispositif local d insertion Ils assument le r le de correspondant d fini par la loi g n ralisant le RSA Le Conseil g n ral a r alis une d marche int ressante et de long terme sur la structuration et le pilotage de l offre d insertion Comme dans de nombreux d partements et comme c est le cas dans d autres secteurs par exemple pour la pr vention et le soutien la parentalit le dispositif d partemental d insertion s appuie sur une multitude de petites associations 140 environ plus ou moins professionnalis es tr s d pendantes des subventions du Conseil g n ral 211 Cependant le service Insertion a men au cours des trois derni res ann es une d marche d am lioration du pilotage de l offre Un guide des proc dures de demande de financements a t labor en septembre 2009 Les bilans demand s aux op rateurs ont t harmonis s le Conseil g n ral tant aujourd hui en capacit d avoir une visibilit sur les volum tries de public accompagn et les types de sorties pour chacune des actions financ es au titre du PDI Des cahiers des charges sont en cours de mise en uvre et vont permettre au Conseil g n ral de normer progressivement le contenu et la qualit
449. ychologique ou psychiatrique dans la famille doit galement tre soulign e Les d cisions suite la r ception de l information pr occupante concernent le plus largement des demandes d valuation 35 Par ailleurs le nombre de non renseign s baisse consid rablement de 36 17 laissant appara tre une bonne appropriation de l outil informatique par les agents Points forts Un dispositif dont les objectifs et le fonctionnement anticipaient la loi du 5 mars 2007 r formant la protection de l enfance L unit enfance en danger peut s appuyer sur l ant riorit de la cellule de recueil des informations pr occupantes mise en place par le Conseil g n ral en 2006 Ainsi l entr e en vigueur de la loi du 5 mars 2007 r formant la protection de l enfance n a n cessit que quelques adaptations d un dispositif d j existant La centralisation du recueil des informations pr occupantes au niveau de l unit enfance en danger est effective les informations provenant des partenaires du parquet et des circonscriptions sont toutes stock es dans un outil informatique Le parquet qui filtre jusqu pr sent les signalements qui lui parviennent avant de les transmettre l unit enfance en danger mais souhaite aller vers une transmission de plus en plus syst matique des signalements vers la cellule Ceci devrait donc vraisemblablement conduire une augmentation des soit transmis vers l unit enfance en danger 273

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