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methodologie de l`entrainement sportif

1. Approche biom canique de la prise du club de golf Proposition le grip verrou LOFI A 1978 92 p 10 p de bibliographie 172 r f rences annexes co t du golf glossaire lexique de Massy 1911 Population d exp rimentation A 1 re exp rimentation 14 sujets de handicap 0 28 2 me exp rimentation 1 sujet de niveau moyen handicap 14 3 me exp rimentation 2 sujets de Haut niveau Garaialde et Pascassio B Concernant les mesures de terrain les pr c dentes ont t r alis es en laboratoire les sujets sont membres d un club de golf ils ont des handicaps de 0 50 d butants confirm s l re exp rimentation 24 sujets tous masculins g s de 13 72 ans de handicap compris entre 0 et 50 2 me exp rimentation 30 sujets tous de sexe masculin g s de 15 72 ans de handicap compris entre 0 et 31 3 me exp rimentation 1 professeur de club handicap 0 l un des meilleurs joueurs professionnels Fran ais C En ce qui concerne l tude lectromyographique un sujet de niveau moyen handicap 14 Protocole exp rimental A Les enregistrements cin matiques et lectromyographiques ont t r alis es en laboratoire une chambre noire de 7 m sur 5 m 5 m de hauteur sous plafond constitue le lieu d enregistrement Sur toute la largeur 1 m du fond est tendu un filet petites mailles et de 4 m de hauteur libre dans le bas de fa on
2. Influence du trait de personnalit sur le traitement de l information au tennis Incidences p dagogiques KELLER J 1982 130 p 7 p de bibliographie 59 r f rences Population d exp rimentation 5 groupes de 5 enfants participent l exp rience Gar ons 5 de 5 ans 5 de 7 ans 5 de 9 ans Filles 5 de 7 ans et 5 de 9 ans Protocole exp rimental 3 preuves sont inscrites au programme des sujets 1 une preuve de tennis Avant le d but de l preuve on explique verbalement et on effectue une d monstration de ce que l enfant aura faire la balle est lanc e par l exp rimentateur qui avant de la lancer la pr sente au sujet afin de s assurer que celui ci est bien attentif Ce geste de pr sentation est assimil au signal pr paratoire de la m thodologie des TR L enfant aura r aliser deux s ries de 20 essais 2 les enfants passent la suite des tests dits de pointage et de pointill s 3 me preuve Concernant la premi re preuve un syst me vid o est plac face au sujet enregistrement des diff rentes phases temporelles et des trajectoires du sujet pour aller la balle Les crit res de diff renciation sont les suivants temps de latence avant la r ponse et efficacit de la r ponse motrice concernant ce dernier point une approche de type thologique permet de pr juger des strat gies qui ont t mises en oeuvre par le joueur trajet
3. bibliographie 198 r f rences annexes dont guide d entretien questionnaire sur la pratique du rugby le profil du joueur de haut niveau et celui du dirigeant Th mes voqu s par le guide d entretien 1er th me Histoire et Pratique personnelle 2 me th me Position face la th orie 3 me th me Position face au cadre institutionnel 4 me th me Le rugby et les autres activit s Le questionnaire sur la pratique du rugby comprend 45 items Les seuls domaines responsables et sur lesquels on pourrait envisager une action r paratrice seraient les diverses populations et les rapports qu elles entretiennent En ce qui concerne la r sistance provenant des caract ristiques du milieu pratiquant nous croyons avoir mis en vidence non pas des attitudes volontairement agressives mais seulement une s rie de comportements plus ou moins hostiles et jamais franchement oppos s l activit th orique dont la seule cause serait la pr dominance d une formation socioculturelle populaire C est ce qui nous fait dire qu il s agissait en fait d une r sistance passive la population pratiquante pr sente un terrain favorable l apparition et l entretien d une r sistance la th orisation par contre l institution domin e par la masse dirigeante nous est apparue comme pr sentant une s rie d attitudes qui rejetteraient au second plan de leurs soucis quand ce n est pas d finitivement
4. 1982 e MODIFICATIONS HEMATOLOGIQUES A L EFFORT EN ALTITUDE PERSPECTIVES POUR UN ENTRAINEMENT ADAPTE FAVORABLE A L ACCLIMATEMENT REPERCUSSIONS AU RETOUR AU NIVEAU DE LA MER TESTS EFFECTUES SUR DES FOOTBALLEURS DE HAUT NIVEAU Corbeau J 1982 102 p 12 p de bibliographie 135 r f rences annexes Population d exp rimentation Venant du centre de formation professionnelle du Racing Club Franc Comtois Besan on 12 sujets se destinant au m tier de footballeur Protocole exp rimental Questionnaire en guise de contr le subjectif des tats psychiques et physiques des Stagiaires pr l vements veineux test de terrain match de football de 8min sur terrain de handball 3 contre 3 temps morts supprim s surveillance du test par enregistrement cardiaque au moyen d un mini Holter Conclusion L auteur observe d s le retour au niveau de la mer les r percussions physiologiques qui r sultent d un stage de 14 jours organis Font Romeu 40 heures de travail r parties sur 23 demi journ es L altitude constitue de fa on tout fait ind niable une charge suppl mentaire impos e l exercice ce type de stage semble valide d s lors qu il s agit de pr parer une quipe une comp tition dont les exigences risquent d tre inhabituelles dans le contexte de matchs tr s rapproch s par exemple D une mani re g n rale les modifications physiologiques intervenus durant le stage
5. Influence du milieu familial institutionnel et r gional sur la performance tennistique des benjamins ISBERIE P 1994 164 p 6 p de bibliographie 74 r f rences annexes extrait du questionnaire et r sultats A l heure o le sport de haut niveau prend une place pr pond rante dans notre soci t s engager dans une carri re sportive devient un objectif pour de nombreux jeunes et le tennis ne d roge pas cette r gle bien au contraire Mais l l vation du niveau des performances tend vers une s lection de plus en plus pr coce des futurs champions l hypersp cialisation est d s lors in vitable Aussi il faut d j tre parmi les meilleurs d s la cat gorie benjamine pour esp rer un jour devenir joueur de tennis professionnel Aux qualit s physiques physiologiques et psychologiques indispensables pour acc der ce niveau de r ussite sportive s ajoutent les conditions environnementales dans lesquels le jeune volue Deux niveaux de cet environnement sont alors susceptibles de peser sur la performance tennistique D un c t un microsyst me concernant l environnement familial et institutionnel du jeune joueur et de l autre un m sosyst me se rapportant aux conditions socio conomiques de la r gion dans laquelle il vit Notre tude a montr que chacun de ces deux syst mes influaient mais des degr s divers sur la performance des benjamins Les ligues forte d mographie et f
6. L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des judokas a pu tre labor Programme et contenu d une formation l usage des dirigeants du judo Fran ais BESSON F 1982 58 p 1 p de bibliographie une dizaine de r f rences annexes Conclusion Apr s un fonctionnement de deux ans le groupe initial plac la fois en position de formation compl mentaire et de recherche a mis sur pied un programme de formation en a affin le contenu a d termin plus pr cis ment es besoins en reconnaissant les urgences et les priorit s L application de ce programme de formation doit permettre au judo fran ais d accro tre son d veloppement et d atteindre les objectifs qu il s est fix pour la fin de l olympiade savoir 500 000 licenci s et plus de dirigeants pour lesquels les t ches seront moins lourdes parce qu ils s y seront mieux pr par s Le maintien de la coh rence entre le programme propos et les demandes de tous niveaux est un l ments suppl mentaire pour la r ussite de l action entreprise Globalement il s agit d une r flexion autour des techniques de communication Enregistrer l utili
7. Pratiquement pr sent dans deux tudes sur trois 1977 constitue une ann e charni re les hypoth ses qui ont pr sid l laboration de recherches dans ce domaine particulier sont l origine tr s ouvertes et souvent originales les faits ont permis de cerner un certain nombre de limites champ v ritable d int r t et d application Les technologies aff rentes ce moyen d investigation se sont quant elles syst matis es et consid rablement vulgaris es 5 Entretiens Interviews Souvent pr sent pour aborder un probl me le d but des ann es 80 est caract ristique de l utilisation tr s fr quente de ce proc d de recherche interrogation devant la complexit n cessit de re caract riser la difficult ou les difficult s aspects sp cifiques des t ches sportives analyse du discours des experts pour recherche d indices n cessit d obtenir leur aval manque de moyens scientifiques pour appr hender les faits tels qu ils se pr sentent ou semblent se pr senter etc 6 Kinesth sie Statique Equilibre 4 Tr s et trop peu d tudes L int r t primordial de ces questions ne m rite pas aussi peu d investissement 7 Logiciels de traitement de saisie en direct T Apparaissent de plus en plus dans les tudes et ce partir de la fin des ann es 80 8 Mesure de la force entra nement et contr le de l entra nement Une constante dans le temps Objec
8. Conclusion L analyse descriptive a permis de mettre en vidence un certain nombre de faits en ce qui concerne le S T et le D S les trajectoires du c d g sont identiques Cependant les dates d apparition des sommets sont diff rentes Le c d g atteint la m me hauteur au S T et au D S avec un retard de 10 1 secondes au S T Ce d callage est acquis au d but de la phase a rienne de pr paration augment au cours de celle ci et conserv avec une valeur moindre jusqu au sommet des trajectoires Les phases a riennes de r sultat d butent la m me date mais le gymnaste effectue 180 de rotation en 5 10 1 seconde au S T pour 4 10 1 seconde au D S Cette diff rence d un dixi me de seconde r sulte de moments d inertie diff rents d un corps tendu et d un corps group Du point de vue de l implication pratique il ressort que la base de l acrobatie r side dans la qualit de l impulsion qui doit tre br ve 04 seconde 08 seconde Les bras doivent s lever la verticale au moment o les pieds percutent le sol le bassin doit monter tr s haut tout en ayant une vitesse de rotation importante Cette l vation est obtenue par un angle d attaque du sol ouvert permettant un angle de d part Take Off compris entre 86 et 90 L auteur ach ve sa r flexion en mettant un certain nombre de propositions concernant l apprentissage des l ments acrobatiques arri re
9. Protocole exp rimental Le C A T S ou Control Aqua training Syst me est un appareil programmable permettant de proc der une musculation dynamique dans l eau contre r sistance et ou en survitesse un moteur est fix l extr mit du couloir le nageur concern est reli l appareil par un c ble et une ceinture Chronom tre fr quence base trois Conclusion Deux groupes de nageurs sont soumis des conditions d entra nement diff rentes l entra nement classique favoriserait essentiellement des gains en fr quence alors que l entra nement au C A T S d velopperait de mani re plus homog ne la fr quence et la propulsion Le nombre de nageurs en progr s est globalement comparable quel que soit le type d entra nement c est surtout la fa on dont ils r ussissent qui les diff rencient La seconde p riode a consist faire pratiquer le m me type d entra nement classique plus C A T S aux deux groupes de nageurs il appara t que le nombre de nageurs ayant progress en vitesse a consid rablement diminu dans le groupe d j entra n au C A T S alors que dans le groupe qui s est mis au C A T S le nombre de nageurs en progr s reste presque quivalent celui de la premi re p riode Le param tre propulsion volue d une fa on spectaculaire lorsqu on introduit l entra nement au C A T S dans l entra nement classique C est ce m me param tre qu il
10. Un rideau noir est tendu derri re le sujet la massue est quip e d un anneau r fl chissant au niveau de son centre de gravit Le sujet lui m me est quip de pastilles r fl chissantes poignet paule cr te iliaque ant rieure genoux L enregistrement est r alis avec un appareil Nikon reflex sur film Ilford HP4 de 400 AS A Le stroboscope utilis est de marque ORTOTRON r gl une fr quence 15 Hertz L nergie de chaque clair d une puissance de 0 08 Joule et d une dur e de 20 micro secondes est fournie par un tube clair de au x non de 40 Watts de puissance plac dans un projecteur focalisable c t de l appareil photo dirig par le sujet L utilisation des n gatifs est r alis e par tirage sur papier ou projection sur cran de telle sorte que la massue de 50 cm de longueur soit restitu e en grandeur r elle 4 Plateau de force 5 Appareil Moreaux 1977 Pour conna tre la trajectoire de la massue celle ci est quip e la base d une ampoule lectrique de 15 volts Pr sence d une cam ra vid o Les donn es en x et y sont enregistr s sur bande magn tique Cet enregistreur est reli une table tra ante qui reproduit la trajectoire la massue 6 Approche lectromyographique les lectrodes de surface type Beckman sont plac es sur les delto des moyen post rieur ant rieurs du bras porteur de l engin Conclusion Concernant la premi re hypoth se de rech
11. Contribution de la biom canique l analyse du geste en gymnastique sportive Les grands tours soleil la barre fixe BOERIO H 1984 70 p 2 p de bibliographie 25 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation Gymnastes de niveau National et International Protocole exp rimental Il a t demand ces gymnastes d effectuer les l ments gymniques suivants grand tour arri re soleil direct soleil d un bras chappement sortie L objectif consiste recueillir des donn es de type cin matique trajectoires vitesses acc l rations modifications angulaires des diff rents segments mobilis s La technique retenue est celle du stroboscope lieu d exp rimentation dans une obscurit semi compl te fond de prise de vue recouvert d un rideau de velours noir poteaux de la barre fixe recouverts de tissu noir mat qui porte un rep re d chelle 50 cm la barre a t recouverte en son milieu d un point de scotch r fl chissant une telle mire rend compte de la fl che de la barre au cours de l volution du gymnaste Le gymnaste dont les rep res articulaires mall ole externe articulation coxo f morale creux axillaire sont marqu s l aide de scotch r fl chissant blanc Scotchlite 3M est clair par la lampe d un stroboscope de marque ORTHOTHRON r gl sur une fr quence de 10 Hertz L nergie de chaque clair d une puissance de 0 80 Joules et d
12. De la lecture l ex cution d un geste pr sent sous forme de s quences d images 1984 182 p 6 p de bibliographie 69 r f rences annexes importantes Voir p 116 gt gt BARRAUDN La natation synchronis e en France de 1973 1988 Histoire technique et culturelle de la chor graphie 1989 140 p 9 p de bibliographie plus de 160 r f rences annexes importantes gt gt BARRIERE S La charge en comp tition de haut niveau en gymnastique rythmique sportive Contribution la mod lisation des situations de comp tition et d entra nement 1990 231 p 7 p de bibliographie 73 r f rences annexes Voir p 55 gt gt BARTHALAIS A La pr paration psychologique de la comp tition Les strat gies mentales du skieur de haut niveau Contribution lam lioration de la pr paration psychologique du jeune skieur 1988 177 p 6 p de bibliographie 70 r f rences annexes Voir p 84 gt gt BELLOC O Contribution la ma trise des facteurs technico tactiques du 400 m tres haies 400 plat 400 haies mod lisation et comparaisons des volutions de foul es 1988 222 p 1 p de bibliographie 10 r f rences annexes importantes Voir p 15 gt gt BENBOUBKER N La croissance et son influence sur les performances de courte dur e chez les filles pub res et non pub res 1991 58 p 7 p de bibliographie 79 r f rences annexes Voir p 122 gt gt BERJ
13. 13 L Institutionnel Politique Encadrement Entourage D veloppement Juridique purement sportif Concernant les PROTOCOLES EXPERIMENTAUX OUTILS DE MESURE L tude qualitative ce niveau para t quasiment impossible nous avons opt pour une estimation du degr d utilisation des outils et pour la mise en vidence de tendances tr s souvent utilis moyennement utilis peu utilis tendance la stagnation T utilisation en hausse utilisation la baisse Un commentaire accompagne cette double caract risation 1 Analyse de contenu Analyse bibliographique Sens des mots A noter que l analyse bibliographique en tant que telle constitue pour le chercheur relativement au domaine qu il veut investir une obligation A ce titre elle est pr sente dans tous les M moires Il peut arriver qu elle constitue l essentiel d une recherche revue de questions 2 Analyse de l image Digitalisation di Domaine qui prend de l importance partir de 1984 Les moyens de capture et de traitement ont contribu cette volution Aujourd hui l homme fil de fer ou le traitement en 3D 3 Anthropom trie Biom trie 4 A constitu durant les ann es 70 d but des ann es 80 un th me d tude assez important En perte de vitesse aujourd hui ne constitue plus aujourd hui qu une simple facette des protocoles de recherche 4 Audio visuel
14. Population d exp rimentation Trois classes athl tisme promotion de 4 me et 3 me ont particip l exp rimentation Ces l ves de 13 15 ans avaient t sensibilis s l athl tisme l ann e pr c dente par une heure d entra nement hebdomadaire et une participation aux comp titions U N S S Apr s avoir pos leur candidature ils ont t admis dans une classe promotionnelle Notre travail a port sur 48 sujets s par s en deux groupes exp rimentaux suivant chacun un entra nement d orientation diff rente Protocole exp rimental 1 Pour le premier groupe la strat gie de pr paration pr voit un entra nement dans lequel les proc d s sp cifiques de d veloppement savoir les courses de vitesse ne constituent pas la trame essentielle entra nement programm multiforme 2 Pour le second groupe le d veloppement sp cifique de la vitesse constitue la ligne directrice de l entra nement entra nement sp cifique sprint Param tres recueillis 1 Mesures anthropom triques ont t retenues des variables du programme d valuation de la population fran aise A CONNAN et des mesures sp cifiques de la course telles que la longueur du pied Le pourcentage de graisse a t calcul en utilisant les quations de r gression de DURIN et RAHAMAN 1967 2 Epreuves sp cifiques une course de vitesse de 50m athl te en position dans les starting blocks le temps partiel p
15. Une analyse approfondie de chacun des param tres cit s est ensuite r alis e le d terminant g ographique s impose davantage que bon nombre de facteurs une r partition par r gion des pilotes nationaux a t labor e le recrutement est plus important dans certaines r gions s impose galement comme crit re le niveau de situation professionnelle deux cat gories se distinguent il s agit des professionnels et des techniciens qualifi s A l inverse le facteur pratique ant rieure de sports a riens ne surgit pas particuli rement quelques uns ont pratiqu du vol voile d autres le parachutisme ces derniers obtiennent une tr s grande r ussite en vol libre Il appara t que la performance co te cher Beaucoup de pilotes interrog s estiment qu ils investissent vingt cinq mille francs et plus dans une saison Concernant les facteurs techniques et plus particuli rement la technique de pilotage le d collage appara t fondamental 90 de nos sujets A la question pensez vous bien d coller 60 r pondent qu ils doivent perfectionner leur d collage Ils admettent que ce perfectionnement ne s arr te jamais car chaque d collage diff re des autres La connaissance de l appareil para t d terminante plus on monte dans la hi rarchie et plus les pilotes ont semble t il le souci de conna tre exactement les performances r elles de leur machine Des diff rences de conception sel
16. dans ce type de test on propose aux sujets d associer des mots stimuli un r pertoire de mots choisi parmi l ensemble des r ponses associatives pouvant tre donn es aux mots initiaux Selon JODELET 1972 les r ponses devront tre la fois pertinentes aux impressions s mantiques que ces mots peuvent commun ment provoquer et chelonnables selon une dimension intensive de telle sorte que la constatation ventuelle de leur diff rence puisse tre traduite en mesure de leur distance Nous avons utilis la m thode de OSGOOD 1953 qui constitue ce r pertoire avec des paires d adjectifs antonymes qui d signent des qualit s sensibles ou abstraites Les sujets doivent choisir dans chacune de ces paires un adjectif en se situant sur une chelle en 7 points qui va de 3 3 ces valeurs tant pr cis es par des qualificatifs extr mement tr s assez ni ni Les r sultats sont repr sent s sur des graphiques qui permettent de d terminer la plus ou moins grande convergence des r ponses associatives deux mots stimuli Ce type de test affirme JODELET 1972 offre un grand int r t lorsque l on veut valuer les attitudes des sujets face certain mots cens s correspondre leurs attitudes vis vis des objets ou concepts r f rents que ces mots repr sentent Pr cision concernant les photos l valuation chiffr e de la valeur expressive de la forme corporelle repr sent e sur chaque photo co
17. gt gt CHAZALON J Contribution au perfectionnement du joueur et de la joueuse de basket ball 1979 175 p 4 p de bibliographie 39 r f rences annexes r parties tout au long de la recherche Voir p 21 gt gt COLMAIRE P Contribution l analyse de la performance des mat riels en archerie 1987 119 p 3 p de bibliographie 20 r f rences annexes Voir p 88 gt gt CONQUET P La pr action en rugby 1979 421 p 1 p de bibliographie 6 r f rences annexes Voir p 79 gt gt COQ J Analyse de la r sistance la th orisation dans le rugby Fran ais 1978 234 p 10 p de bibliographie 198 r f rences annexes gt gt CORBEAU J Modifications h matologiques l effort en altitude Perspectives pour un entra nement adapt favorable l acclimatement R percussions au retour au niveau de la mer tests effectu s sur des footballeurs de haut niveau 1982 102 p 12 p de bibliographie 135 r f rences annexes Voir p 112 gt gt CORMERY P Proposition d un syst me et contenu de formation pour les cadres sportifs de la F d ration Fran aise de voile 1986 155 p 2 p de bibliographie 29 r f rences annexes gt gt COTTIN J La pr paration agir du gardien de but analyse chronom trique des actions de parade en situations de terrain 1989 153 p 6 p de bibliographie 55 r f rences annexe Voir p 58 gt g
18. noncer les noms des couleurs qui ont servi imprimer et non le nom de la couleur crite On rel ve les h sitations et les lapsus comme indicateurs de l motivit de la motivation et enfin du contr le du test sur lui m me Questionnaire de personnalit de Thill 340 questions l auteur a retenu plus particuli rement ce qui est relatif la stabilit motionnelle la r sistance aux malchances critiques et stress et au d sir de faire bonne impression besoin d approbation Questionnaire fabriqu par l auteur 27 items concernant la sensibilit neuro v g tative et le comportement par rapport des l ments ext rieurs Th mes de la partie traitant de la sensibilit neuro v g tative qualit du sommeil difficult s revenir au calme besoin d aller aux toilettes qualit de l app tit sensation de fatigue g n rale d origine nerveuse Conclusion Quinze s ances ont t consacr es une initiation la r gulation psychotonique on observe des volutions b n fiques et hautement significatives essentiellement en ce qui concerne le comportement du groupe exp rimental Celles ci sont apparentes au regard de ce qui a t enregistr lors de la passation des deux tests du Tr mom tre et de Stroop La pratique d une technique de R P T permet en cons quence l athl te d atteindre un niveau de plus grande ma trise de ses r actions motionnelles d sorganisantes
19. voir PREPARATION PHYSIQUE galement gt gt DONNEES ANTHROPOMETRIQUES QUALITES PHYSIQUES VITESSE DE REACTION en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt FORCES ET COUPLES DE FORCE A L IMPACT TEMPS DE MONTEE ET D APPLICATION DES FORCES TEMPS D EXECUTION en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt LES APTITUDES REQUISES APPORT DES SCIENCES BIOLOGIQUES en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt CONTRIBUTION A L ETUDE DES PERFORMANCES A LA COURSE DE DISTANCE ENFANTS DE 12 A 15 ANS avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt L HABILETE DU BASKETTEUR TEMOIGNAGE avec Chazalon J 1979 voir p 21 gt gt PROFIL DU JUDOKA DE HAUT NIVEAU A L AIDE DES TESTS DE VALEUR PHYSIQUE avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt FORCE MAXIMALE ISOMETRIQUE en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt FORCE PROPULSIVE en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt FORCE ISOMETRIQUE DEVELOPPEE A DIFFERENTS ANGLES avec Th paut Mathieu C 1982 voir p 113 gt gt MESURES ANTHROPOMETRIQUES en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt VALEUR PHYSIQUE ET EVALUATION DES APTITUDES PSYCHOMOTRICES en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt CARACTERISTIQUES MORPHOLOGIQUES ET MOTRICES DE JEUNES GYMNASTES avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt FORCE MAXIMALE ISOMETRIQUE sur une population de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983 voir p 115 gt gt RE
20. Protocole exp rimental Utilisation du Questionnaire de Personnalit pour Sportifs Q P S formes jeune et adulte les chelles de ce test semblant permettre l int rieur d une discipline donn e une discrimination des sujets en fonction de leur sp cialisation En compl ment le Test of Attentional and Interpersonal Style T A I S de Nideffer dans sa partie attentionnelle a offert la possibilit de corr ler certaines mesures de la personnalit avec l activit le milieu et l environnement Elaboration enfin par l auteur d un questionnaire natation de nature informative il vise obtenir des informations en rapport avec les situations comp titives v cues Au total 20 questions r parties en 5 domaines et valu es de 0 10 perception par rapport au milieu d volution perception par rapport la sp cialit du nageur perception de l environnement perception du corps Conclusion Les traits qui apparaissent fondamentaux selon les sp cialit s ne constituent qu un premier type d information l utilisation sommative des deux tests et du questionnaire permet de pr ciser de fa on plus approfondie la valeur particuli re de certains traits La diff renciation par sexe parait essentielle au vu des r sultats obtenus s il est vrai qu il existe des points communs entre nageurs et nageuses dans le domaine du contr le et du relationnel les traits particuli rement significatifs ne sont pas les m
21. et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle Consulter cet effet le travail r alis par DONZEL GAYE C 1994 Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent Voir rubrique THEMES GENERAUX 1994 La frappe au tennis influence des propri t s physiques de la raquette sur la r ponse lectrique du muscle l tirement SCRIBOT F 1988 69 p 8 p de bibliographie 85 r f rences annexes dont r sultats Population d exp rimentation 12 sujets 7 femmes et 5 hommes tous en bonne sant sans aucune pathologie neuro musculaire Protocole exp rimental Utilisation d un acc l rom tre pi zo lectrique Kistler 8616 A 500 adapt sur chaque raquette celui permet de d terminer l instant du choc et renseigne sur les vibrations engendr es Electromyographie de surface permettant de recueillir les activit s musculaires du Grand Palmaire et du Rond Pronateur pr sence d un amplificateur Les signaux EMG et acc l rom triques sont enregistr s s
22. metteurs radio portatifs table de relev s mat riel de pr l vements sanguins deux montres et deux metteurs de rechange Passation d une s rie de tests d valuation issus des batteries EUROFIT EV AREG et FLEISMAN Conclusion Cette tude fait suite aux travaux de la Commission Evaluative de la F F V et la recherche pr c demment voqu e de Courty 1989 elle tente de faire une valuation de ce que repr sente sur le plan moteur et sur le plan nerg tique l activit du planchiste de haut niveau et de d terminer quelles sont les qualit s requises pour la pratique de ce sport La moyenne des VO2 max situe les planchistes de l tude dans le groupe des sports dominante technique ou tactique Mais la faible valeur du pourcentage de VO2 max 4 mmol 1 1 traduit un manque certain de pr paration physique fonci re D autant plus que la corr lation entre VO2 max et le niveau de performance indique que la capacit a robie peut tre un des facteurs de la performance en planche voile Les fr quences cardiaques les plus lev es surviennent lors des bords de largue en comp tition Cependant quelques relev s effectu s en marge de cette tude laissent pr voir une sollicitation des m canismes ana robies d s force 4 Beaufort En outre il ressort que les entra nements o il n y a pas d autre consigne que de se centrer sur la conduite de l engin sans contrainte comp titive n ont aucun effet
23. mieux ralentir les balles Le sujet se place 3 50 m du filet et peut frapper les balles sans appr hension Sur une plaque de contreplaqu de 2 m sur 1 20 m est clou un tapis brosse servant de support souple aux pieds du sujet qui peut utiliser des chaussures de golf Etc En ce qui concerne l tude cin matique technique dite de la stroboscopie par clairage intermittent marque ORTHOTRON pr sence d un rideau noir club quip sur la face orient e vers le stroboscope d une pastille r tror fl chissante triangulaire la balle est peinte en noir mat l exclusion d une partie en croix de 3 cm sur 0 3 cm ou subsiste la peinture blanche d origine L enregistrement est r alis avec un appareil NIKON REFLEX 24 x 35 quip d un objectif de 50 mm sur fil ILFORD HP4 de 400 ASA Le dynamom tre utilis pour mesurer la puissance des fl chisseurs des deux mains est elliptique Deux graduations sont indiqu es sur le cadran la graduation 0 160 a t choisie Ce dynamom tre des tablissements DUFOUR Paris 13 me est r pertori e sous la r f rence PZ 3 1 re exp rimentation les sujets r alisent 5 coups de fer 6 avec le m me club en utilisant leur grip classique habituel ils disposent ensuite de 3 balles d essai en grip verrou puis de 5 balles enregistr es vitesse et acc l ration du club avant impact vitesse du club apr s impact vitesse de la balle facteur efficace rapport vitesse club balle
24. origine du coup observ provenance du coup observ zone dans laquelle s effectue la passe type de passe nombre de fixations pendant la construction caract ristiques de l attaque nombre de contreurs cons quence de l attaque Conclusion M me si nous avons observ une relation non significative sur le plan statistique entre le moment du set le rapport de force quilibre dominant domin et les formes d attaque les variables d environnement en g n ral ne modifient pas de fa on significative la phase terminale d attaque Autre sujet de r flexion les formes de jeu identifi es font appara tre quelques distorsions entre ce qui est recherch l entra nement et ce qui est r alis en comp tition C est ainsi que contrairement ce que l on serait en droit d attendre il n y a pas plus de 30 des balles r ception et d fense confondues qui arrivent dans le secteur de la passeuse La majorit des ballons arrivent vers le poste 2 Paradoxalement les balles adress es la passeuse sont plus pr cises lorsque les joueuses sont confront es des contraintes maximales c est dire lorsqu elles se situent en situation de d fense contrairement ce que l on observe lorsqu elles se situent en situation de r ception Les actions les plus efficaces ne sont pas les plus fr quentes ce fait exprimerait il une volont de garder l effet de surprise Enfin et ce point
25. 1981 voir p 82 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 en Athl tisme Vitesse avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en D cathlon avec Krantz N 1992 voir p 18 en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt TOISE ET BALANCE en Natation avec Cazorla 1978 voir p 71 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 en Gymnastique Sportive avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 sur des gar ons de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983 voir p 115 en D cathlon avec Krantz N 1992 sur des enfants et adolescents Ivoiriens avec Dao L 1992 voir p 124 en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt MESURES NOMBREUSES ET DIVERSIFIEES PROGRAMME INTERNATIONAL DE BIOMETRIE en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt DETERMINATION PAR RADIOGRAPHIE DE L AGE OSSEUX en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 84 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt MESURES ISSUES DE LA VALEUR PHYSIQUE DE LA POPULATION FRANCAISE DE CONNAN A en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt LARGEURS BIACROMIALES ET BICRETALES en Gymnastique avec
26. 1990 voir p 40 gt gt EVALUATION DU NIVEAU GLOBAL D EXIGENCE DE CHAQUE TACHE en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt METHODE DU PRIMING DE POSNER TEMPS DE REACTION EN SITUATION DE CHOIX en Pentathlon moderne avec Genard B 1990 voir p 77 gt gt JOY STICK TEMPS DE REACTION EN FACE DE SITUATIONS en Boxe fran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir 32 gt gt QUESTIONNAIRE D ESTIMATION DE LA FORCE ET ECHELLE DE CONFORT AU COURANT avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt QUESTIONNAIRE DETERMINANT LES SENSATIONS avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt MESURE DES TEMPS DE REACTION interactions entre processus physiologiques et cognitifs avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt REPRESENTATION DE L EFFORT EN DECATHLON avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt ECHELLES DE CATEGORIES INCIDENCES DES CONDITIONS ENVIRONNEMENT ALES SUR LE NIVEAU DE DIFFICULTE GLOBALE PERCU en Escalade avec Viens T 1992 voir p 41 gt gt EFFETS D UNE SURCHARGE INFORMATIONNELLE SUR UNE HABILETE TEST DE DRIBBLING EN FOOTBALL AVEC EMETTEUR DE BIPS avec Ouattara O 1993 voir p 46 OBSERVATION METHODES RELEVES GRILLES OUTILS INFORMATIQUES voir LOGICIELS galement gt gt METHODE DES JUGES image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt CODE D OBSERVATION DES SEQUENCES FILMEES LA PRE ACTION EN RUGBY avec Conquet P 1979
27. 2 p de bibliographie 17 r f rences annexes gt gt PETIT D L entra nement au volley ball D fense basse Analyse Implication dans l entra nement 1983 124 p 5 p de bibliographie 36 r f rences annexes importantes Voir p 95 gt gt PETIT G D tente verticale et musculation des volleyeuses de haut niveau approche biom canique 1991 124 p 7 p de bibliographie 110 r f rences Voir p 99 gt gt PFISTER R Agressivit et pratique sportive Etude exp rimentale de la fonction cathartique du sport chez des enfants 1979 233 p 14 p de bibliographie 240 r f rences gt gt PIASENTA J Sp cificit du film d animation dans le film didactique 1977 132 p 2 p de bibliographie 39 r f rences annexes gt gt PIGEASSOU C La section sport tudes fili re d acc s au sport de haut niveau L exemple de la natation 1981 2 Tomes Tome 1 204 p 9 p de bibliographie pr s de 100 r f rences Tome 2 152 p d annexes gt gt PINEAU P Efficacit et relations interindividuelles Etude de cas quipe de France f minine A de handball 1985 1986 203 p 14 p de bibliographie 87 r f rences annexes Voir p 119 gt gt PORTES A Contribution la d tection des talents en natation Approche de la natation par les aptitudes motrices et psychomotrices Fleishman 1989 166 p 9 p de bibliographie 83 r f rences annexes i
28. 70 de son meilleur temps r alis sur 100m la concentration plasmatique de son lactate revient sa valeur de repos en vingt minutes peu pr s alors qu une heure serait n cessaire dans le cas d une r cup ration passive Etude de la consommation maximale d oxyg ne et de la vitesse de d placement des nageurs espoirs fran ais Propositions pour l entra nement MUTI A 1987 141 p 9 p de bibliographie 68 r f rences Population d exp rimentation 201 nageurs Espoirs de Haut niveau r partis en 118 gar ons et 83 filles g s de 11 ans 18 ans et plus Une partie de cette population est issue du centre national de l I N S E P l autre partie issue des diff rents clubs fran ais a t envoy par la F d ration Fran aise de Natation Protocole exp rimental Epreuve par paliers de 200 m tres nag s vitesse progressivement acc l r e suivant une rampe lumineuse situ e au fond du bassin et mont e en liaison avec un modulateur programmateur Villeroy Dal La fr quence cardiaque est contr l e en continu et enregistr e l aide d un lectrocardiogramme les gaz expir s sont recueillis au cours de l preuve gr ce un dispositif tanche qui les conduit vers des sacs de Douglas L ensemble des appareils est transport par un chariot pouss par un manipulateur la m me vitesse que celle du nageur Conclusion L tude d bouche sur
29. La relaxation dans la pr paration sportive 1981 154 p 7 p de bibliographie 77 r f rences annexe Voir p 111 gt gt RUDLOFF R M La dynamique organisationnelle des grandes manifestations sportives les XIX me championnats du Monde de gymnastique Strasbourg 1978 1980 2 Tomes 308 p au total 9 p de bibliographie 71 r f rences annexes S gt gt SAINT PERON J C La classification des clubs comme composante d cisive de la promotion de l athl tisme Fran ais 1978 120 p 3 p de bibliographie 18 r f rences annexes gt gt SALESSE M Contribution l tude d une meilleure relation entraineur entrain e 1989 73 p 3 p de bibliographie 32 r f rences annexe Voir p 120 gt gt SAURIN J F Avenir social des skieurs et des cyclistes de haut niveau Etude des probl mes pos s par le devenir social des skieurs et cyclistes de haut niveau Propositions et suggestions 1978 233 p 17 p de bibliographie 146 r f rences annexes tr s importantes gt gt SCRIBOT F La frappe au tennis influence des propri t s physiques de la raquette sur la r ponse lectrique du muscle l tirement 1988 69 p 8 p de bibliographie 85 r f rences annexes Voir p 86 gt gt SEITZ P Pour un apprentissage de l escrime fond sur la notion de tactique 1984 115 p 9 p de bibliographie 120 r f rences annexe Voir p 42 gt gt SEN
30. aide du Q P S d E THILL 7 Performance en comp tition Les deux entra nements ont t mod lis s le conditionnement cyclique est le mode de pr paration que nous avons choisi pour le groupe 1 alors que le groupe 2 a suivi une pr paration plus classique et qui s apparente un mode lin aire Dans ce dernier cas les proc d s sont quasiment tous de m me nature chauffement assouplissements cole du coureur courses de vitesse de 30 100m avec ou sans starting blocks avec des haies ou sur le plat Pour moduler cet entra nement on agit essentiellement sur la charge de travail volume intensit types de r it ration Les pr tests ont eu lieu avant l exp rimentation les post tests apr s Celle ci s est d roul e entre le 30 septembre et le 29 janvier A noter en ce qui concerne l enregistrement des temps de course l utilisation de cellules photo lectriques qui permet lorsque l athl te coupe le faisceau lectrique d obtenir en centi mes de seconde ses temps de passage Conclusion Le but de l exp rimentation a consist comparer deux modalit s de pr paration en sprint l une fortement charg e de proc d s sp cifiques visant au d veloppement direct de la vitesse l autre g n rale et multiforme ax e sur le d veloppement physique et moteur du jeune sportif dans laquelle les proc d s sp cifiques ne sont pas prioritaires Le temps imparti
31. annexes Voir p 80 gt gt LALO SAYO E Quelques observations sur l volution de la taille du poids du corps des qualit s motrices et du niveau gymnique des gar ons de 7 13 ans pratiquant la gymnastique sportive 1983 142 p 4 p de bibliographie 28 r f rences Voir p 114 gt gt LAMARZELLE P Les param tres biom caniques du geste du kayakiste de course en ligne D pendance de la contrainte nerg tique la cadence et la taille de la pagaie 1989 133 p 10 p de bibliographie 84 r f rences annexes Voir p 35 gt gt LAMBERT C Contribution de l autoscopie aux apprentissages sportifs approche exp rimentale dans le cadre de la gymnastique sportive 1980 162 p 4 p de bibliographie 49 r f rences annexes importantes Voir p 108 gt gt LAMOUCHE C Le jeu d attaque de l quipe f minine de volley ball Analyse de matchs et de s ances d entra nement Evolution du jeu en fonction des conceptions de l entra neur 1986 2 Tomes 407 p 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes importantes Voir p 97 gt gt LEBLEU M C Analyse du jeu d attaque en volley ball f minin 1989 86 p 3 p de bibliographie 21 r f rences annexes Voir p 98 gt gt LE CORVAISIERS Contribution l analyse du r le de l image dans les activit s d expression aspects perceptifs 1977 104 p 4 p de bibliographie 30 r f rences
32. des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des pongistes a pu tre labor Tennis de table Pr paration mentale et comp tition PRAT P 1989 93 p 9 p de bibliographie 103 r f rences Population d exp rimentation Pongistes de 16 28 ans 10 gar ons et 4 filles de niveau National voire International Protocole exp rimental Utilisation d une cam ra tritubes 3 4 de pouce et d une cam ra Sony 8 mm Conclusion Deux groupes de pongistes sont entra n s suivant deux types de pr paration mentale on s attend alors ce que le groupe s tant exerc en relaxation plus imagerie soit plus performant que celui ayant travaill en relaxation plus attention non associ e la t che Trois situations sont propos es en pr puis en post test c est dire la suite de 23 s ances la r p tition mentale d un service devrait permettre d augmenter l efficacit en direction et en placement sur deux zones pr cis es sur la table particuli rement quand cette r p tition mentale pr c de directement la performance r aliser une m me hypoth se est mise en ce qui concerne le retour et ce que l on d signe sous le sch ma de point Les r sultats enregistr s semblent t moigner d une validit plus ou mo
33. efficacit et le rendement semblent moins bons lorsque la vitesse cro t On observe parall lement ce ph nom ne des phases de perte de contact avec le sol qui apparaissent lorsque la vitesse atteint une fourchette de 13 4 14 8 km h 1 les diff rences individuelles sont ce niveau tr s importantes Evolution de la foul e au cours du 800m GAJER B 1995 81 p 3 p de bibliographie 29 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation Observation au cours des comp titions de 22 coureurs des championnats de France 1994 et de 22 coureurs des championnats Interr gionaux du Dauhin Savoie Protocole exp rimental Prise d images l aide de 3 cam ras install es dans le dernier 50m du tour de piste une cam ra permettant de filmer 200 images sec deux autres munies d un shutter au 1 1000 me Les s quences trait es ont t choisies partir de deux crit res 1 la possibilit d avoir dans le champ d tude 3 appuis successifs et visibles de bout en bout non perturb s par la course en peloton 2 la constitution d un groupe du plus haut niveau possible et d un groupe interr gional d un niveau bien plus modeste Apr s visualisation des trois bandes d enregistrement la course de 12 participants sur 44 a pu tre tudi e soit 6 de chaque championnat A la suite de la digitalisation et de la mod lisation des images l aide du logiciel V D LN S
34. en Gymnastique avec Lambert C 1980 voir p 108 en Ski Alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 en Athl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 gt gt DETENTE VERTICALE SARGENT TEST en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 en Ski Alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en G R S avec Staub M 1983 voir p 115 en Gymnatique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 croissance et performances de courte dur e technique d Abalakov avec Benboubker N 1991 voir p 122 en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt TEST DE COOPER en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 sur une population d enfants avec Bar C 1978 voir p 104 en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt DETERMINATION DE L INDICE HYDRODYNAMIQUE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt TESTS DE PISCINE 8 X 50 M ET 4 X 2 X 50 M en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt EPREUVE DE COURSE 400 M PERSONNES AGEES avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt TESTS DE COURSES EN DISTANCE O DE LONGUE DUREE AVEC DES ENFANTS DE 12 A 15 ANS 1200 M A 30 MIN avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt TESTS DE VALEUR PHYSIQUE ISSUS DE LA BATTERIE FLEISHMAN AMENAGEMENT EN SITUA
35. en suit qui ne met pas n cessairement en cause la comp tence des techniciens soit que le test mesurant l aptitude n est pas assez sp cifique de la natation soit que le poids des aptitudes est relatif l aptitude consid r e n est pas sp cifique aux nageurs D une mani re g n rale la valeur physique g n rale des nageurs semble tout fait moyenne lorsqu elle est mesur e par des crit res terriens notions de valeur physique g n rale maximale ou optimale s imposant alors En ce qui concerne les plus jeunes l observation des r sultats semble t moigner de ce fait que les aptitudes sp cifiquement li es la pratique n ont pas encore merg elles n en sont encore qu au stade du devenir La deuxi me hypoth se avait trait la question de la valeur pr dictive de certains tests d aptitude il existe une corr lation significative entre l endurance cardio respiratoire et la performance ainsi qu entre cette derni re et la vitesse de mouvement des membres Natation de haut niveau Evaluation de l efficacit d une technique moderne de renforcement musculaire sur les param tres biom caniques de fr quence et de propulsion MAKA KADIE C 1990 96 p 7 p de bibliographie 58 r f rences annexes fiches des r sultats individuels Population d exp rimentation 20 nageurs du Centre National d Entra nement de l I N S E P 13 sprinters et 7 nageurs de demi fond
36. gt gt TRANSFERT D APPRENTISAGE AJUSTEMENT BALISTIQUE LANCERS DE PRECISION avec Migeon J P 1979 gt gt AGRESSIVITE ET SPORT LA FONCTION CATHARTIQUE DU SPORT CHEZ DES ENFANTS avec Pfister R 1979 gt gt ENSEIGNER LE JUDO AUJOURD HUI ANALYSE SOCIOLOGIQUE avec Pouillart G 1979 gt gt TRENTE CINQ MINUTES D ATHLETISME A L INTENTION DES LYCEENS avec Avramidis K 1980 gt gt METHODES D APPRENTISSAGE COMPORTEMENTS ET MOTIV ATIONS DES ENFANTS en Ski avec Baggioni E 1980 voir p 81 gt gt CONTRIBUTION DE L AUTOSCOPIE AUX APPRENTISSAGES DANS LE CADRE DE LA GYMNASTIQUE SPORTIVE avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt ENTRAINEMENT PHYSIQUE JEUNES PRATIQUANT EN SKI ALPIN avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt EVALUATION DE JEUNES SKIEURS DE FOND avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt APPRENTISSAGE DU TENNIS PRISE EN COMPTE DU PHENOMENE DE PREACTION avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt ELEMENTS POUR UNE PEDAGOGIE DES PRISES DE DECISION en Sports d Opposition avec Stein J F 1981 voir p 76 gt gt INITIATION A LA NAVIGATION A VOILE CHEZ DES ENFANTS ANALYSE DES DIVERS NIVEAUX DE REGULATION DE L ACTION avec Albertini H 1982 voir 92 gt gt LE TRAIT DE PERSONNALITE INFLUENCE SUR LE TRAITEMENT DE L INFORMATION CHEZ DES ENFANTS en Tennis avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt PERSPECTIVES DE FORMATION DES FUTURES GYMNASTES EN G R S avec Feraud C 1983 voir p
37. ma t che elle aura t un peu celle d un pist mologue et beaucoup celle d un analyste qui d compose un corpus en ses l ments Davantage qu une r flexion critique c est l analyse de contenu laquelle il aura fallu proc der lors de la lecture de chaque M moire qui caract rise la v ritable difficult rencontr e Il m aura fallu quasiment 2 ans pour achever cet ouvrage Je remercie une nouvelle fois C Dubois du d partement de la formation de l I N S E P pour son aide ANALYSES QUANTITATIVES ET QUALITATIVES On pourrait dire de fa on sch matique et de fa on globale qu il est du devoir du formateur ou de l entra neur devenu l espace d un instant chercheur de contribuer l am lioration d un MODELE que ce mod le soit en rapport avec le fonctionnement de sa propre discipline ou que celui ci traite d un th me g n ral propre au sport Les caract ristiques quantitatives pures de notre corpus sont les suivantes 308 M moires traitant de domaines vari s sont actuellement disponibles en documentation la biblioth que de l I N S E P plus de 140 ont t dans le cadre de cet ouvrage enti rement trait s population d exp rimentation protocole exp rimental conclusion Les tendances dessin es soulignent 1 une baisse r guli re de la production de M moires et ce depuis 1977 2 une orientation particuli rement marqu e de cette production vis vis des questions relati
38. questionn es 1 Une population de sportives de Haut niveau issues pour la plupart de l I N S E P chelon National et International 2 une population de niveau inf rieur de pratique cat gorie B les athl tes sollicit es appartiennent pour la plupart des clubs de la r gion Nanc ienne et repr sente des sportives l chelon D partemental R gional ou Interr gional Les ges concernant ces deux populations s chelonnent entre 17 et 25 ans Parmi toute la gamme des sp cialit s sportives nous avons essay de choisir celles qui nous semblaient ob ir des contenus d entra nement diff rents ceci afin de faire une distinction assez nette entre les types d effort Ont r pondu au questionnaire des athl tes sp cialistes de Basket ball Volley ball Handball Athl tisme et Natation Une population d entra neurs reconnus pour leur haute qualification technique et exer ant leur activit aupr s des athl tes susmentionn es cat gorie A ont t interview s Protocole exp rimental Le questionnaire labor par l auteur comprend 23 questions dont 22 de type ferm elles sont regroup es suivant 3 grandes cat gories 1 L athl te son ge sa taille son poids 2 La pratique le volume horaire d entra nement le niveau de pratique le type de pratique 3 Les troubles le type de troubles leur date d apparition leur dur e leur ventuelle am lioration 190 questionnaires prove
39. voir p 79 gt gt FICHE D OBSERVATION COMPORTEMENT D ENFANTS SUIVANT DIFFERENTES PEDAGOGIES MISES EN OEUVRE en Ski avec Baggioni E 1980 voir p 81 gt gt OBSERVATION en Basket ball avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 en Gymnastique avec Lambert C 1980 voir p 108 dans le domaine de l arbitrage avec Aubert M 1981 voir p 109 en Tennis avec Ody J 1981 voir p 84 Sports d Opposition Rugby avec Stein J F 1981 voir p 76 Navigation Voile avec Albertini H 1982 voir p 92 Sports Collectifs Rugby avec Bouthier D 1984 voir p 36 en Handball avec Akpa G 1992 voir p 59 gt gt LES OBSERVABLES D UNE SITUATION DE TIR AU BASKET BALL avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt GRILLE DES FAUTES COMMISES EN ACROBATIE ET CHOREGRAPHIE en Gymnastique avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt RELEVE DES FAUTES COMMISES DANS LE JEU ET DECISIONS DE L ARBITRAGE FICHES en Handball avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt FEUILLES DE NOTATION POUR SPECTATEURS en G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt GRILLE D OBSERVATION COMPORTEMENT DEFENSIF DES JOUEURS en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt GRILLE SERVANT AU RELEVE DES CATEGORIES DE COMPORTEMENTS REPONSES avec Barbreau E 1984 voir p 116 gt gt GRILLE D ENREGISTREMENT DE L ACTIVITE DES JOUEURS en Rugby avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt CODAGE DE COMPORTEMENTS en Escrime avec Seitz P 1984 vo
40. 14 gt gt APPUIS PLANTAIRES STABILITE en Judo avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt CINEMATIQUE DE LA COURSE D ELAN SAUTEURS EN LONGUEUR AVEUGLES avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt EQUILIBRE L APPUI TENDU RENVERSE en Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt RESISTANCE A L AVANCEMENT DIFFERENTES PROFONDEURS en Natation Brasse avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ANALYSE CINEMATIQUE en Athl tisme avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt ECONOMIE ROLE DU CYCLE ETIREMENT DETENTE en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt EFFORT DE 3 HEURES A L ALLURE DE COMPETITION SUR L ECONOMIE DE MARCHE APPROCHE CINEMATIQUE en Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt FATIGUE ET EVOLUTION DE LA FOULEE AU COURS D UN 800 M avec Gajer B 1995 voir p 20 CARACTERISER LA DIFFICULTE D UN SPORT SPECIFICITES APPROCHE DE CERTAINS ASPECTS PARTICULIERS gt gt NIVEAUX DE PUISSANCE AEROBIE EN FONCTION DE LA SPECIALITE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt CONTRIBUTION A L ETUDE DE LA PERFORMANCE EN NATATION avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt PRATIQUE EN DOUBLE DE LA VOILE EN DERIVEUR avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt ANALYSE DES FACTEURS DE LA PERFORMANCE EN SKI ALPIN avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt ANALYSE DES DIFFICULTES DE L ARBITRAGE en Handball avec Aubert M 1981 voi
41. 2 me exp rimentation le sujet de niveau moyen utilise 10 clubs Sandwedge Wedge fer 9 fer 8 fer 8 fer 6 fer 5 fer 4 bois 3 bois 1 en grip classique overlapping et en grip verrou 3 me exp rimentation deux sujets de haut niveau utilisent en plus du fer 6 le fer 9 et le bois 1 4 me exp rimentation concernant la mesure de la force au moyen du dynamom tre le sujet debout tient le bras le long du corps paume vers la cuisse Il serre l appareil le plus nerg tiquement possible B Etudes sur le terrain les exp rimentations se sont d roul es sur le practice du golf de Bordeaux Cameyrac Sur le terrain sont trac s la chaux cinq secteurs de 6 d angle num rot s de gauche droite 1 2 3 4 5 Le drapeau plac dans l axe du secteur central constitue l objectif Ce secteur comporte une s rie de piquets plac s tous les 10 m Des arcs de cercle trac s la chaux tous les 5 m permettent d valuer avec une pr cision de 0 50 m la longueur atteinte par chaque balle Deux observateurs l un plac pr s du joueur l autre au milieu du secteur 3 dirigent l exp rimentation et r coltent des r sultats 1 re exp rimentation mesure de la force au dynamom tre deux essais de la main droite et deux essais de la main gauche le sujet effectue ensuite avec son grip habituel 5 coups de fer 7 La consigne est d aller le plus loin possible sans se pr occuper de la pr cision 2 me exp rimentati
42. 67 en Handball avec Anti T 1991 voir p 58 en Handball avec Prat J L 1992 voir p 60 gt gt LOGICIEL POUR REPRESENTATION SUR ECRAN VIDEO DES POSITIONS OBSERVEES AUX POSITIONS REELLES JOUEURS DE BASKET BALL avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt CALCUL INFORMATISE DE L INDICE DE DECELERATION en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt CREATION D UN LOGICIEL SYSTEME EXPERT en Judo avec Calmet M 1991 gt gt LOGICIEL VARIATIONS ANGULAIRES ET ELONGATIONS MUSCULAIRES en Volley ball avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt LOGICIEL DE TRAITEMENT DES IMAGES en D cathlon avec Pauly 0 1991 voir p 18 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 en Athl tisme Course de 800m avec Gajer B 1995 voir p 20 gt gt LOGICIEL D OBSERVATION ET DE TRAITEMENT D PLACEMENTS ET ACTIONS DE JEU en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt LOGICIEL DE SAISIE EN DIRECT DES ACTIONS DE JEU en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt LOGICIEL ETHOLOG en Handball avec Prat J L 1993 MESURE DE LA FORCE ENTRAINEMENT ET CONTROLE DE L ENTRAINEMENT voir KINESTHESIE STATIQUE EQUILIBRE gt gt FORCE DE FRAPPE AU KARATE CIBLE CAPTEUR DE FORCE ET COUPLE A QUARTZ DISPOSITIF D ENREGISTREMENT ULTRAVIOLET avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt ELECTROMY
43. DANSE VIE QUOTIDIENNE ET STRUCTURES AMENAGEES avec Donzel Gaye C 1994 gt gt QUESTIONNAIRE DROITS ET OBLIGATIONS DES SPORTIFS DE HAUT NIVEAU avec Freville P 1994 gt gt QUESTIONNAIRE INFLUENCE DU MILIEU FAMILIAL INSTITUTIONNEL ET REGIONAL en Tennis avec Isb rie P 1994 gt gt QUESTIONNAIRE RESISTANCE AU CHANGEMENT A L INTERIEUR DE LA FEDERATION DE GYMNASTIQUE avec Cayre B 1995 voir p 127 SOCIOMETRIE gt gt QUESTIONNAIRE SOCIOLOGIQUE 52 questions en Triathlon avec Bertrand D 1986 gt gt QUESTIONNAIRE SOCIOMETRIQUE 8 questions en Handball avec Pineau P 1986 voir p 119 TESTS OU EPREUVES DE TERRAIN AMENAGEMENT DE SITUATIONS BATTERIES DE TESTS gt gt TEST POUR DESCENDEURS ET SLALOMEURS en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt TESTS POUR KARATEKA lancer de 10 kg longueur sans lan force endurance temps de suspension une barre fixe bras avant bras 90 d tente verticale en Karat avec Gottsman F 1977 voir p 69 gt gt SAUT EN LONGUEUR SANS ELAN en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 en Ski Alpin avec Alard P 1981 voir p 82 sur une population d enfant et adolescents Ivoiriens avec Dao L 1992 voir p 124 comme t moin du niveau de fatigue musculaire chez des D cathloniens avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt TESTS EFFECTUES AVEC COMME SUPPORT UNE BARRE FIXE en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69
44. E P S 1977 89 p 3 p de bibliographie 15 r f rences gt gt QUINTILLAN G La gestualit de l entra neur Une m thode d analyse de l enseignement sportif 1987 125 p 5 p de bibliographie 27 r f rences Voir p 120 R gt gt RAGNI P Athl tisme Exploits et contre performances lecture psychanalytique 1988 129 p 6 p de bibliographie 65 r f rences annexes importantes Voir p 15 gt gt RAGOT N Les relations sport et entreprise une r alit sociale et commerciale tude des m canismes de parrainage sportifs t l visuels 1993 63 p 3 p de bibliographie 45 r f rences annexes Voir p 125 gt gt RAMBIERR Contribution l analyse technico tactique de l attaque en nage waza judo debout 1987 166 p 4 p de bibliographie 40 r f rences annexes importantes Voir p 64 gt gt RAYBAUT J F Pistolet vitesse olympique Approche historique de la discipline Analyse des rythmes de tir 1992 156 p 5 p de bibliographie 51 r f rences annexes importantes Voir p 89 gt gt RENAULT A La force musculaire et l entra nement sportif Communication et information appliqu es la formation des cadres sportifs 1985 122 p 12 p de bibliographie 110 r f rences Voir p 117 gt gt REVENU D Contribution l essai sur l utilisation des M A V moyens audio visuels dans la formation de l escrimeur 1977 148
45. La m me probl matique se repose pour le renvoi de la balle Etc L importance de cette tude m rite d tre soulign e identifier les ressources de celui auquel s adresse l apprentissage permet en effet de r soudre la question du d calage optimal entre la structure actuelle du sujet et celle de la t che auquel aspire tout formateur A propos du r gime juridique de l enseignant de tennis TIVOLLE M 1982 58 p 1 p de bibliographie 7 r f rences annexe M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage l image du tennis et de l athl tisme le profil des pratiquants du tennis et de l athl tisme M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but
46. absorption de choc ont en effet t faites avec des sujets de niveau technique moyen et insuffisant Ces essais furent stopp s par le risque lev des blessures encourues Ils ne pouvaient assurer une frappe assez pr cise et touchaient directement le mur sur lequel tait fix le capteur Ils ne pouvaient maintenir l alignement des os de l avant bras du carpe et des m tacarpes l impact provoquant ainsi des entorses du poignet Protocole exp rimental Leur adh sion l exp rience afin d obtenir des frappes au maximum de leurs possibilit s a t obtenue par des encouragements verbaux tout au long du passage du test la communication des r sultats apr s chaque score ainsi que l tablissement des meilleures performances dans chaque geste amenant ainsi l esprit de comp tition dans le groupe la pr sence de reporters de la revue Officiel Karat la pr sence du Directeur Technique National s lectionneur de l quipe de France qui adh rait pleinement l exp rience l ignorance de la consistance r elle de la mati re sur laquelle ils frappaient Le capteur leur a t pr sent en tant que caoutchouc tr s dense Il n a jamais t parl de plaque m tallique la prise de conscience d une participation a une exp rience unique tous point de vue Pr alablement des tests ont t effectu s pour contr ler l homog n it des qualit s physiques et pour rendre co
47. annexes importantes Voir p 65 gt gt SURMIN RK Pratique sportive de la voile en d riveur activit tactique et coh sion de l quipage 1978 240 p 16 p de bibliographie 113 r f rences annexes Voir p 91 T gt gt THEPAUT MATHIEU C Renforcement musculaire Etude de la sp cificit angulaire d un entra nement isom trique 1982 96 p 16 p de bibliographie 136 r f rences annexes Voir p 113 gt gt THIRIET P Apport glucidique apr s d pl tion des r serves de glycog ne mobilisation des substrats et performance 1994 55 p 5 p de bibliographie 70 r f rences annexes Voir p 126 gt gt TIVOLLE M A propos du r gime juridique de l enseignant de tennis 1982 58 p 1 p de bibliographie annexe gt gt TROUILLON P Contribution l tude des performances la course de distance chez les enfants de 12 15 ans Capacit de travail 170 et preuves de longueurs ou dur es diff rentes de 1200 m tres 30 minutes 1978 61 p 6 p de bibliographie 67 r f rences annexes Voir p 106 V gt gt VANAGEIS I De l utilisation de l aire de jeu dans la phase d attaque plac e en basket ball 1990 123 p 4 p de bibliographie 43 r f rences annexes Voir p 29 gt gt VAN PRAAGH E La performance motrice des gar ons de 12 16 ans Evolution de la force isom trique maximale en relation avec des ph nom nes
48. attaque les techniques utilis es Chacune de ces actions est d taill e ainsi concernant la saisie on peut observer des saisies hautes basses mixtes sur reprise sur rupture en prise de main simultan e sur ceinture en crois e droite ou gauche Toutes ces variables ont t cod es stock es et trait es gr ce l outil informatique A noter l utilisation d une cam ra vid o Conclusion L objet de cette contribution concerne l aspect technico tactique du syst me d attaque en NAGE WAZA Des observations sur ce th me ont d j t collationn es depuis de nombreuses ann es Elles sont statistiquement int ressantes gr ce au nombre de combats observ s Elles ont permis d une part la mise en place d une hi rarchie des techniques les plus efficaces et d autre part l analyse de la relation technique performance Mais elles sont insuffisantes car elles ne tiennent compte que de la projection finale KAKE sans analyser les moyens techniques et tactiques adapt s pour la r aliser les diff rents types d attaque les appels utilis s Pour rendre toujours plus efficace le judoka de haut niveau il est indispensable de proc der une recherche plus m thodique de ces moyens Evoquer dans le cadre de cet ouvrage le d tail des informations qui r sultent d une analyse aussi complexe s av re une t che impossible seuls quelques aspects de la conclusion g n rale peuvent
49. attirance vers un versant plus physique ou plus cognitif du Volley ball est li e au v cu familial et social de chacune des filles 2 Les entra neurs ne sont pas toujours aussi proches les unes des autres que cela peut para tre dans leurs conversations Le questionnaire adress aux filles se compose de deux parties la premi re partie constitue une tude sociologique de la population 23 questions la seconde partie a trait aux relations qui unissent le joueur de volley ball sa pratique d une part et l entra neur d autre part diff rence ressentie entre un entra neur masculin et f minin qualit s requises pour tre entra neur la communication l int gration du discours de l entra neur la communication directe partition vers un entra nement plus cognitif ou plus physique Concernant les entra neurs en g n ral et les entra neurs Nationaux l investigation s est faite sous forme d entretiens et de questionnaire THEMES GENERAUX RELATIFS AU DOMAINE DE L APPRENTISSAGE ET DE L ENTRAINEMENT SPORTIF Revue des M moires gt AUTEUR mots ou id es clefs ann e Ne sont mentionn s ici que les travaux dont une analyse compl te a t effectu e Demeurent un certain nombre de M moires pour lesquels nous n avons proc d qu un relev d informations AUBERT M arbitrage difficult s 1981 p 109 gt BAR C condition physique enfant 1978 p 104 gt BENBOUBKER N croissance filles pub
50. cart maximum se trouve entre les cat gories des moins de 71 kg et des plus de 95 kg Pour le mouvement de tirage les indices moyens sont semblables pour toutes les cat gories sauf pour les plus de 95 kg qui se distinguent par des r sultats nettement inf rieurs et qui sont statistiquement diff rents de l ensemble des autres judoka mis part les moins de 95 kg Deux raisons peuvent expliquer cette diff rence un rapport au poids qui ne serait plus favorable au plus de 95 kg un type de judo qui solliciterait diff remment les muscles fl chisseurs que celui des autres cat gories Quatri me hypoth se les judoka de haut niveau poss dent des caract ristiques musculaires sp cifiques au judo les performances compar es des judoka et des boxeurs a permis de valider cette affirmation Les r sultats statistiques r v lent que les performances moyennes sont sup rieures chez les judoka pour l ensemble des param tres envisag s quel que soient les mouvements effectu s si ce n est pour la vitesse puissance maximale en d velopper couch o les boxeurs ont des r sultats sup rieurs Ainsi nous pouvons penser que dans le cas des mouvements d extension la force et la puissance n cessaires en boxe et en judo sont identiques mais que ces derni res ne se manifestent pas aux m mes vitesses gestuelles En terme d entra nement cette constatation souligne le fait qu il serait sans doute souhaitable de travailler en muscul
51. cette augmentation doit tre pr c d e d une diminution de temps de r action Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball gt DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir COLLECTIFS SPORTS le r sum La coh sion en Basket ball f minin tude des meilleures quipes Fran aises BINARD J 1982 208 12 p de bibliographie 128 r f rences annexes importantes dont exemplaires des questionnaires distribu s aux joueuses et diff rents tableaux voquant les multiples param tres vocateurs de la coh sion Population d exp rimentation Deux types de population ont t l objet de cette tude 1 L quipe de France Junior 10 12 joueuses elle avait un objectif court terme 9 mois tr s important les championnats d Europe Junior en Hongrie Elle repr sente actuellement le plus Haut niveau Fran ais l quipe Senior tant en plein remaniement et non comp titive momentan ment sur le plan International 2 10 quipes f minines de National 1 suivies durant la phase aller du championnat de France de la saison 81 82 Protocole exp rimental Passation d un questionnaire et entretiens individuels 9 questions adress es au premier type de population ont permis d enregistrer un certain nombre d informations concernant a le Cinq majeur lu par ces joueuses b la hi rarchie des valeurs
52. d un certain nombre de prestations de haut niveau film s lors de comp titions Internationales chaque encha nement devait correspondre un certain nombre de qualificatifs parmi une liste propos e Exemples provoque des effets de surprise est dynamique bondissant plein d nergie de vitesse ou encore est r alis sans aucune faute de maniement etc Concernant les spectateurs inexp riment s une feuille de notation a t distribu e chacun d entre eux il leurs a t demand d attribuer suivant un certain nombre de param tres une note de 0 10 pts motion d clench e expressivit harmonie de l encha nement de gymnastes pr sentes lors du tournoi International de Strasbourg 1982 Conclusion Apr s avoir mis en vidence l volution rapide de la discipline ces huit derni res ann es l auteur sugg re que l on caract rise un certain nombre de directions prendre en compte dans le cade de la formation des futures gymnastes Tout porte croire selon nous que la G R S s oriente r solument vers une forme d expression se rapprochant de plus en plus de la danse Notre tude a permis de faire merger un certain nombre d indices convergeant effectivement dans ce sens 1 tout d abord chez les gymnastes elles m mes qui ont choisi de fa on pr f rentielle la dimension expression pour caract riser l encha nement de G R S 2 chez les juges qui utilisent e
53. dans cette formule un appui son propre d veloppement A travers les m canismes t l visionnels les supports m diatiques favorisent ce mariage e LES JEUNES A HAUTE CHARGE DE TRAVAIL SPORTIFS DE HAUT NIVEAU ET DANSEURS EN FORMATION ET LES STRUCTURES QUI LES ACCUEILLENT Donzel Gaye C 1994 309 p 5 p de bibliographie 75 r f rences annexes importantes dont questionnaires et tableaux de r sultats Th mes des questionnaires le sport et la vie quotidienne la danse et la vie quotidienne les structures am nag es R sum La recherche s articule autour de deux axes essentiels 1 la recherche de l excellence et la formation de l individu sont elles compatibles 2 les sportives de haut niveau et les danseuses en formation ambitions perspectives d insertion et formation Les populations concern es sont essentiellement f minines jeunes filles du Centre de Regroupement Etudes Sports Arts d Annecy l ves du Conservatoire National Sup rieur de Musique et de Danse ainsi que les pratiquants des Centres Nationaux d Entra nement de Basket ball Tennis et Natation synchronis e install s l I N S E P La premi re hypoth se qui supposait une hi rarchie entre les disciplines sportives quant une perspective de professionnalisation des jeunes pratiquants a t globalement v rifi e Avec cependant quelques nuances ce n est pas tant une hi rarchie progressive d une disc
54. efforts Voir p 47 gt gt BUTEAU P Approche bio nerg tique de la pr paration physique au basket ball 1987 120 p 6 p de bibliographie en deux parties 54 r f rences annexes Voir p 24 gt gt BUSSERY M Classes promotionnelles Athl tisme Bilan et perspectives 1987 143 p 3 p de bibliographie 34 r f rences C gt gt CALMET M Judo et formation de formateurs Un syst me expert en judo 1991 169 p 22p de bibliographie 154 r f rences annexes gt gt CANALES C Les volleyeurs masculins du Mondial 1986 Approche sociologique 1987 77 p 2 p de bibliographie 21 r f rences annexes Voir p 97 gt gt CAYRE B Communication et transformation sociale dans l institution sportive Etude r alis e dans la F d ration Fran aise de Gymnastique l occasion de la mise en oeuvre du plan Gym 2000 1995 80 p 3 p de bibliographie 35 r f rences annexes tr s importantes Voir p 127 gt gt CAZORLA G Contribution l tude de la performance en natation Apport des sciences biologiques 1978 161 p 18 p de bibliographie 139 r f rences annexes importantes Voir p 71 gt gt CEZARD J P Contribution l analyse et au suivi de l entra nement la performance de haut niveau par l tude du param tre vitesse en cano kayak 1991 157 p 15 p de bibliographie 211 r f rences annexes importantes Voir p 35
55. et apr s le retour en plaine attestent de la place importante que pourrait constituer dans le cadre d une pr paration sportive un entra nement en altitude Sous r serve cependant de bien en conna tre les effets J 6 semble devoir tre consid r comme un jour particuli rement n faste la performance L auteur met enfin un certain nombre de suggestions concernant l organisation de l entra nement au niveau pratique pendant et apr s un s jour en altitude et l approche notamment d une comp tition A noter l tablissement d un tableau faisant tat des probl mes physiques ph nom ne de d shydratation apparent et psychiques rencontr s par les joueurs durant leur s jour et dans les 30 jours qui ont suivi le stage J 12 euphorie vivacit et somme de travail importante e ACQUISITION D UNE HABILETE D ANTICIPATION COINCIDENCE PAR DES ENFANTS DE 5 7 ANS R flexions sur les proc dures p dagogiques utilis es Fleurance P 1982 61 p 8 p de bibliographie 117 r f rences Dans ce travail en utilisant des concepts issus de la th orie de l information appliqu e l acquisition des habilet s motrices nous tudierons les caract ristiques d une t che courante l cole la saisie au vol d un ballon qui est d finie comme une t che d anticipation co ncidence Nous nous proposerons ensuite d tudier l acquisition de cette habilet par des enfants de 5 et 7 ans s
56. exp rimentation pour faire place la quasi vidence d un impact favorable des strat gies audio visuelles test es Nous nous sommes interrog sur le moteur m me de la facilitation de l apprentissage et nous avons cru remarquer pour les groupes qui b n ficiaient de l apprentissage de l audio visuel une meilleure compr hension du principe des actions qui leur taient propos es Enfin notre int r t s est port bien videmment sur l volution particuli re du groupe qui prenait appui conjointement sur l image mod le et l image autoscopique Tout geste nous l avons vu est l occasion d une comparaison avec une image r f rentielle Dans le cas particulier du groupe II cette comparaison tait possible terme terme en quelque sorte C est ce point qui nous para t int ressant Les r sultats sensiblement diff rents auxquels sont parvenus les groupes I et IV par rapport au groupe IT tendraient montrer que l utilisation d une seule des deux cat gories d images dont il vient d tre fait mention hypoth que peut tre la possibilit de comparaison Parler de la confrontation entre l image d un mod le pr sent e sous forme filmique et le v cu kinesth sique par exemple n est ce pas mettre en pr sence deux termes de nature tr s diff rente et vouloir comparer ce qui n est pas comparable e APPROCHE PHYSIOLOGIQUE DE LA CONDITION PHYSIQUE CHEZ L ENFANT Bar C 1978 96 p 13 p
57. expert comme cadre de r f rence mais il n est que peu d utilit dans la phase d initiation car trop loign de la compr hension du d butant et en particulier de celle de l enfant d butant L tude men e sans montrer une crasante sup riorit d une m thode sur l autre a toutefois laiss appara tre des pistes pour l acquisition des habilet s motrices en Judo 1 Les protagonistes d butants doivent tre plac s tr s rapidement en situation de communication et de contre communication motrice dans cette perspective il est n cessaire de proposer des contenus qui laissent une part importante de r ponses possibles afin que les apprenants sollicitent de fa on continuelle les m canismes d cisionnels t moin d une d marche active comme support de l apprentissage 2 C est partir des r ponses spontan es n es du contexte d opposition que doivent appara tre de nouvelles propositions de travail 3 L enseignant a pour obligation dans les premi res phases d initiation de ne pas n gliger la charge affective importante provoqu e bien souvent par l appr hension de la chute et de proposer un apprentissage de celle ci dont la responsabilit est assum e par celui qui projette Ainsi Tori et Uke deviennent ils partenaires et constituent un ensemble coh rent L avenir r side dans la recherche d une p dagogie de la r ussite o chaque pratiquant peut r pondre efficacement un probl me pos tout
58. haut niveau HANON C 1992 97 p 4 p de bibliographie 75 r f rences annexes r sultats et traitement statistique Population d exp rimentation 10 filles et 12 gar ons de niveau National International Performance moyenne se situant 91 9 ou 3 49 des records du Monde des diff rentes sp cialit s 800m 5000m VO2 max des filles 63 11 ou 4 ml mn kg VMA de 17 19 ou 0 76 km h VO2 max des gar ons 78 41 ou 4 93 ml mn kg VMA de 21 12 ou 0 71 km h Protocole exp rimental 1 Test de d termination du VO2 max et de la VMA sur tapis roulant pente 3 2 Estimation de la DVMA apr s chauffement de l athl te le tapis est r gl sur la VMA d termin e auparavant 3 Test de Mebd apr s chauffement le tapis est r gl une vitesse gale 110 de la VMA Ce test permet de d terminer la capacit ana robie Les trois tests utilis s sont distants de 2 5 jours les athl tes se sont engag s par ailleurs ne faire que des footings lents entre leurs passages sur tapis Conclusion Les limites extr mes de la DVMA se situent 2 36 et 8 33 19 cas sur 22 se trouvent group s entre 5 et 7 18 Le coefficient de variation de 21 3 d montre l h t rog n it des r sultats et ce malgr l homog n it du niveau de performance et des variables a robies La moyenne fille de 5 50 s av re tr s proche de celle des gar o
59. il est relativement surprenant d avoir formuler des conclusions identiques quant aux r sultats obtenus par les footballeurs Eu gard leur sp cialisation sportive on s attendait plut t les voir mieux r ussir dans l observation de la moiti inf rieure du corps N oublions pas cependant qu en football l orientation des paules les positions de bras les mouvements du buste feintes de corps les directions du regard sont autant de prax mes charg s de significations 4 En ce qui concerne la population neutre c est dire la population non sportive elle n accorde pas plus de signification une moiti qu l autre Concernant le dernier th me de r flexion il semble que l on pourrait admettre pour chaque coup une succession d indices r partis dans le temps ils se corr leraient et s affineraient au fur et mesure qu approcherait l instant pr cis de l impact de la balle dans la raquette 1 Les caract ristiques du coup incident 2 La position de l adversaire dans le court 3 Son d placement son placement 4 Position des appuis du bassin 5 Orientation du buste des paules 6 Trajet de la raquette 7 Impact L auteur ach ve sa r flexion en sugg rant la prise en compte au niveau des conceptions de l enseignement du tennis d un type d apprentissage bas sur l existence du ph nom ne de Pr action propositions de situations p dagogiques
60. il existe une grande vari t dans l anciennet des joueurs 3 seuls 5 joueurs sur les 15 sont capitaines de leur quipe ces r sultats nous portent penser que les deux r les sont bien distincts et que la sp cificit de la t che du meneur est clairement tablie dans l esprit des joueurs et entra neurs 4 la plupart des meneurs sont des 1 2 centre qui ne changeront pratiquement pas de poste pour assurer leur r le Concernant le mode de choix du meneur l tude des r ponses cette question permet de remarquer la grande diversit des opinions mises l int rieur d une m me quipe celui ci demeure cependant un collaborateur particuli rement privil gi de l entra neur Le meneur de jeu est celui par qui transitent de fa on prioritaire les consignes du manager en match celui ci les transmet ensuite au cours de l action en s adressant le plus souvent l quipe toute enti re la parole davantage que l action signal commandera souvent le d but de l action quelquefois il indique sans parler par son d placement par exemple le d but de telle ou telle r ponse collective effectuer C est dans les situations les plus difficiles que le meneur de jeu atteint son plus grand niveau d utilit son apport ce niveau est particuli rement admis par la quasi totalit des joueurs On lui reconna t la capacit de prendre des initiatives tout en conservant une ce
61. inclinaison peut varier la t che consiste aller chercher une prise de main cible crochetante avec la main droite en utilisant des prises de profondeur variable pour la main gauche et le pied gauche 2 me exp rience la t che consiste aller chercher une prise de main cible avec la main gauche en partant d une position initiale d finie la prise de main cible est situ e l abscisse du plus haut point que le sujet peut atteindre et une ordonn e telle que la distance s parant la prise de pied de pouss e et cette prise repr sente 14 15 des possibilit s d atteinte du sujet 3 me exp rience en croisant 12 emplacements de la prise de pied de pouss e avec 4 emplacements de prise de pied de d part 48 t ches sont possibles Elles sont propos es dans un ordre al atoire 4 me exp rience l objectif consiste confirmer la validit d une m thode permettant d int grer les r sultats des deux derni res exp riences afin d obtenir une quation unique 5 me exp rience l ordre de pr sentation de 40 t ches exp rimentales est randomis signifie l introduction d un l ment al atoire 6 t ches sont alors propos es titre d essai et sont reprises ult rieurement Conclusion Ce travail constitue un premier l ment de r ponse la demande de production syst matique d exigences qu entra ne l essor du march des structures artificielles d escalade que ce soit sur le plan p dagogique ou sur
62. issue ou tout au long du test de 3 heures on note 1 une augmentation de l conomie de marche semblable celle d crite chez les coureurs de marathon avec une amplitude au niveau des variations individuelles tr s lev e 2 une lactat mie tr s lev e cons cutive l activit du sprint final et des douleurs ressenties imputables l puisement des r serves glycog niques et une perturbation de la commande neuro musculaire 3 des probl mes de thermor gulation chaleur et hygrom trie lev es A l inverse on n observe pas de variation des param tres cin matiques notre population d tude d un niveau de performance et d entra nement lev a d montr sa capacit soutenir sur une dur e de 3 heures le maintien d un geste stable A l issue de l exp rience portant sur l augmentation de la vitesse 1 on observe une phase d activit excentrique du muscle sol aire La fourniture d nergie est principalement excentrique avec un rapport EXC CON qui varie de 2 7 suivant les sujets 2 on enregistre une volution de l activit EMG avec la vitesse Dans notre tude elle ne confirme pas la lin arit observ e par MURRAY et al 1983 L volution est diff renci e et on note apr s un effort favorable aux vitesses basses 10 km h 1 dans notre tude une quasi stabilit de l activit partir de 12 km h 1 Contrairement ce que certains auteurs ont pu observer l
63. l image du champ visuel mise au point par Macworth d s 1958 L appareil port par le cavalier tait un oculom tre de type EYE MARK RECORDER commercialis par la N A C incorporated Tokyo Le dispositif nous a permis de recueillir sur bande vid o et de mani re simultan e l image du champ visuel en m me temps qu un signal lumineux en forme de V mat rialisant la position de l oeil du sujet dans ce champ visuel Conclusion L objet de la recherche a consist pr ciser la mani re dont le cavalier code la distance et contr le son action dans la zone d abord Concernant l effet d une restriction du champ visuel du cavalier dans les r gulations de la foul e du cheval nous enregistrons 1 la pr sence de deux phases distinctes phase stabilis e et phase de r gulation 2 la mise en vidence de l endroit o s actualise la d cision du cavalier entre f 4 et f 3 3 observation d une certaine stabilit temporelle de la foul e 4 enfin l homog n it de la phase de r gulation d un couple l autre f 4 f 1 Concernant la strat gie exploratoire visuelle du cavalier lors d un saut sur obstacle isol nous remarquons un ancrage de l oeil sur la partie haute de l obstacle une coordination oculo c phalique l approche du saut une absence de diff rence significative d une modalit visuelle l autre VN VL Au plan pratique notr
64. mes chez les pratiquants et les pratiquantes d une m me sp cialit Il appara t qu au plan p dagogique des propositions puissent tre faites en fonction des quatre types de leviers que sont l organisation la modulation de la relation p dagogique les contenus d entra nement et l utilisation des strat gies compl mentaires En ce qui concerne l valuation et plus particuli rement l orientation des jeunes il ne semble pas que les profils psychologiques d gag s au plus haut niveau soient utilisables dans leur int gralit pour servir de test support la d tection mais certains ensembles de traits paraissent significatifs d une sp cialit qu ils soient d appr ciation qualitative comme l introversion extraversion ou quantitative comme la capacit de surpassement r Contribution la d tection des talents en natation Approche de la natation par les aptitudes motrices et psychomotrices Fleishman PORTES A 1989 166 p 9 p de bibliographie 83 r f rences annexes importantes recueil d informations exemplaires des batteries de tests r sultats Population d exp rimentation 1er groupe compos de nageurs du Centre National d Entra nement de PI N S E P et de nageurs effectuant leur service militaire au Bataillon de Joinville 23 nageurs et 4 nageuses constituent ce groupe 2 me groupe constitu de 20 tudiants en E P S de 1 re
65. ne chez l homme r alisant un exercice supramaximal Les travaux sur ce th me sont peu nombreux Il int resse pourtant l athl te de haut niveau qui peut tre conduit dans certaines conditions d entra nement ou de comp tition r aliser des exercices en situation de je ne Les r sultats confirment que chez des sportifs de haut niveau r alisant un exercice triangulaire sur ergocycle un je ne de 12 heures apr s une d pl tion s v re des r serves de glycog ne n entra ne pas de diminution de la performance qu un apport glucidique juste avant l exercice soit pr vu ou non Les points suivants sont galement mis en vidence chez ces athl tes dont les r serves de glycog ne ont t d pl t es 1 un apport en glucose avant un exercice d termine une hyperglyc mie qui modifie la mobilisation des substrats n cessaires au maintien de la performance 2 les cin tiques de l oxydation des acides gras semblent diff rentes lors de l augmentation de la puissance de travail ce qui laisse supposer des d pendances nerg tiques conditionn es par l apport glucidique avant l exercice 3 cette hyperglyc mie importante induite avant l exercice conduit une dissociation des rapports adr naline noradr naline cette dissociation des 2 composantes du syst me sympathico adr nergique appara t surtout en solution contenant du glucose Ce ph nom ne pourrait infirmer la th se de Podolin 1991 qui tablit une liaison de
66. propri t s lastiques du muscle 1984 p 117 gt QUINTILLAN G entra neur sa gestualit 1987 p 120 gt RENAULT A force musculaire entra nement sportif 1985 p 117 gt ROY M pr paration sportive relaxation 1981 p 111 SALESSE M relation entra neur entra n e 1989 p 120 gt SIMONET P l image enregistr e apprentissage d un geste sportif 1977 p 102 STAUB M valuation anthropom trique et motrice jeunes gymnastes 1983 p 115 gt THEPAUT MATHIEU C renforcement musculaire entra nement isom trique et sp cificit angulaire 1982 p 113 gt THIRIET P apport glucidique par voies orale et intraveineuse avant exercice supramaximal 1994 p 126 gt TROUILLON P course de distance pr adolescents 1978 p 106 gt VAN PRAAGH E performance motrice et force isom trique croissance pr adolescents 1983 p 115 1977 e CONTRIBUTION A L ANALYSE DU ROLE DE L IMAGE DANS LES ACTIVITES D EXPRESSION ASPECTS PSYCHOLOGIQUES Fablet A 1977 80 p 3 p de bibliographie 57 r f rences L apprentissage bien con u devrait donner l individu la ma trise de ses propres moyens d acquisition et la conscience de ce qu il est dans une situation particuli re Si notre travail en autoscopie n a pas fait progresser les enfants de mani re remarquable cela est du certainement des erreurs mais aussi au contenu m me de la mati re enseig
67. quipes de rang mondial la France a t observ e sur 5 matchs la Yougoslavie et la C E I ou l URSS sur 4 la Roumanie sur 3 la Cor e la Su de la Hongrie et l Islande sur 1 Protocole exp rimental Enregistrement vid o des rencontres dans leur totalit Utilisation d un P C compatible et d un clavier digital l analyse des matchs est r alis e en prenant comme l ments de traitement le nombre la dur e et les cha nes d action de traitement tant assur par le logiciel ARBREGEST Conclusion Les enseignements qui peuvent tre tir s de cette tude se situent diff rents niveaux 1 On observe l importance de la phase de contre attaque dans le jeu moderne 2 Concernant l affrontement entre deux quipes quelle que soit sa forme attaque plac e ou contre attaque celle ci s tablit dans une dur e gale et constante 3 La passe rapide repr sente le signe de l amorce de la phase ultime d attaque 4 Le duel est utilis par les gagnants d une mani re s lective 5 Les s quences d actions de jeu qui pr parent le tir au but sont peu nombreuses et le plus souvent pr c d es d actions r p t es dans une chronologie d termin e 6 La recherche de la victoire se traduit par une optimisation du jeu de contre attaque La recherche entreprise a permis de d gager de nombreux axes m thodologiques pour alimenter une th orie de l expertise du jeu de handball et de faire des propositions s
68. raire suivre pour les entra neurs afin de se d centrer des param tres techniques et physiologiques Faire le d tour de la r flexion sur les diff rentes m thodes de relaxation permettant de r guler les tensions motionnelles et mobiliser l nergie psychique ou apprendre g rer le capital motivationnel en fonction des objectifs de la saison et de la carri re sportives sont des exercices profitables l entra neur Cette sensibilit aux facteurs psychiques de la performance aux effets psychoth rapeutiques de certains proc d s d entra nement favorise la prise en compte d un diagnostic en profondeur des difficult s des athl tes accepter l introspection l auto analyse enrichit l athl te et l entra neur modifie leur position par rapport la pratique sportive et aux r sultats obtenus Contribution l tude chronobiologique de l adaptation d athl tes de haut niveau aux sites de comp tition KOUAKOU KOFFI L 1989 92 p 4 p de bibliographie 28 r f rences annexes r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1989 Population d exp rimentation relais 4 X 400m de la C te d Ivoire pr parant les J O de S oul 1988 Influence de la connaissance de l cart la cible sur la stabilit de la course d lan chez les sauteurs en longueur aveugles MOUREAUX R 1989 51 p 7 p de bibliographie 53 r f rences annexes voir d
69. res et non pub res performances courte dur e 1991 p 122 gt BONNEFOY B arbitrage informations visuelles prise de d cision 1992 p 123 BOULAY B apprentissage feed back par vid o et image d un mod le 1986 p 118 gt BRISSWALTER J interactions physiologique cognitif 1992 p 123 gt CORBEAU J effort en altitude relaxation 1982 p 112 gt DAO L croissance et aptitudes enfants et adolescents Ivoiriens 1992 p 124 DUVERNEY GUICHARD F conomie cycle tirement d tente 1992 p 124 gt ESTRADE P Y exercice d intensit supra maximale pH sanguin induit 1984 p 116 gt FILLIARD J R valeur physique appr ciation 1987 p 119 gt KOUAKOU KOFFI L chronobiologie 1989 p 120 LAMBERT C apprentissages sportifs autoscopie 1980 p 108 gt LALO SAYO E volution anthropom trique et motrice enfants gymnastes 1983 p 114 LENOIR H effets cardio vasculaires personnes g es 1978 p 105 LETOCART M P chec en sport de haut niveau 1983 p 114 MARLARD N sport de haut niveau menstruation 1982 p 112 MISSOUM M athl te f minine psychologie et sp cificit des pratiques 1981 p 110 NERIN J Y discours d avant match 1986 p 119 PINEAU P relations interindividuelles sport collectif 1986 p 119 POUGHEON M courants excito moteurs force musculaire 1990 p 121 gt POUSSON M musculation excentrique
70. rives physiologiques d rive thermique la temp rature corporelle s l ve mesure que le corps se d shydrate d rive cardiaque FC augmente pour compenser la diminution du volume d jection systolique d rive ventilatoire ventilation et fr quence respiratoire s l vent pour compenser la chute du volume courant d rive nerg tique avec une prise de relais des lipides sur les glucides d rive m canique parasitage du geste A ces d stabilisations s ajoutent un d s quilibre respiratoire la respiration est contrainte par la technique de nage en natation puis demeure en libert surveill e en cyclisme et en course pied et un d s quilibre dynamique li aux variations de position en cours d effort position horizontale en natation assise en cyclisme et rig en course pied De telles contraintes imposent une pr paration sp cifique au long cours l entra nement notamment le recours la simulation d encha nements L auteur pr conise le principe des multi encha nemens au sein d une m me s ance d entra nement sur des distances des registres d intensit et un nombre de r p titions voluant au cours de la saison VOILE ET PLANCHE A VOILE NAVIGATION Pratique sportive de la voile en d riveur activit tactique et coh sion de l quipage SURMIN R 1978 240 p 16 p de bibliographie 113 r f rences annexes dont tude de la fr
71. s image par image avec une pr cision de 40 ms 24 images sec Concernant l exp rience 2 un rideau opaque s l ve 2m20 de hauteur parall lement au but 8m de celui ci la t che du gardien consiste tenter de stopper ou d tourner un tir au but d clench 9m par le tireur qui s l ve en suspension au dessus du rideau Les tirs doivent tre adress s avec une puissance et une pr cision optimales dans un des quatre coins du but selon une distribution pr vue par les conditions exp rimentales Un syst me de 4 cam ras vid o synchronis es permet de mettre en correspondance temporelle les gestes du tireur la trajectoire du ballon et le mouvement de parade du gardien 252 essais ont t pareillement analys s Conclusion Concernant la premi re exp rience en utilisant un signal d ex cution simple une lampe qui s allume la situation a induit des strat gies de r action Les variations constat es des temps d initiations segmentaires des gardiens t moignent d un tat pr paratoire dont l intensit d pend des conditions plus ou moins probables d apparition des v nements La deuxi me exp rience confirme non seulement cette observation mais permet de mettre en vidence un certain nombre de faits a le fait que les comportements posturaux qui pr c dent la parade proprement dite ne sont pas sp cifiques d une parade pr par e et que les temps d initiation des membres sup rieurs et
72. syst matique de pr paration gymnique fond e sur la coh rence d une contribution la pr paration acrobatique Une large part a t attribu e la technique classique car nous sommes convaincue qu elle doit tre la base du travail chor graphique des gymnastes Il serait souhaitable qu cet effet de v ritables sp cialistes soient cependant form s nous avons jug n cessaire de proposer un plan de formation des cadres permettant la mise en application effective de notre syst matique et une structure d organisation plusieurs niveaux dans laquelle chacun des cadres sp cialis s pourrait en fonction de ses comp tences et de ses aspirations participer au d veloppement et l am lioration de la pr paration chor graphique de nos gymnastes G R S Contribution l objectivation des caract ristiques des comportements expressifs et des conduites de communication des gymnastes de haut niveau NAPIAS F 1988 150 p 6 p de bibliographie 96 r f rences annexes importantes fiches de tests et photos encha nements r sultats test d association libre mots encha nements s quences r sultats photos r sultats Population d exp rimentation Gymnastes du plus Haut niveau Quatre groupes de sujets ont t amen exprimer leurs observations 1 5 juges de GRS de niveau R gional National qui sont aussi entra neurs 2 5 danseurs ou chor grap
73. tre la conception de l entra neur son optique de jeu les objectifs qu il se fixe pour l quipe de France sa m thodologie de l entra nement les moyens p dagogiques retenus 2 L observation des entra nements tout au long d une ann e ces entra nements ont t ensuite analys s au moyen d une grille pour conna tre l objectif de chaque situation sa dur e le nombre de joueurs concern s la technique abord e 3 L observation magn toscop e pour tenter de d gager l volution du jeu d attaque Conclusion Notre travail se situe dans le cadre de l analyse de l entra nement Nous avons cherch tudier d une part la coh rence entre les propos de l entra neur et ses contenus d entra nement et d autre part les acquis des joueuses dans le compartiment de l attaque acquis susceptibles ou non d tre utilis s en comp tition L analyse a exig l utilisation d un recueil de donn es tr s lourd entretiens avec l entra neur relev des entra nements observation vid o de 10 matchs Le r sultat que nous retiendrons comme tant le plus important est le suivant le jeu rapide au poste 3 a t d velopp au cours de la p riode pr paratoire au championnat d Europe 1985 Un transfert des habilet s d velopp es l entra nement s est bel et bien op r en comp tition Par contre d s que le niveau de jeu augmente l quipe joue de nouveau un jeu plus classique su
74. trique a calcul du pourcentage de graisse de masse maigre et estimation de la densit partir de la mesure de quatre plis cutan s pince de LANGE quations de DURNIN et RAHAMAN 1967 pour les jeunes gens de 14 17 ans et de DURNIN et WOREMSLEY pour les populations plus g es quation de SIRI 1956 en ce qui concerne la masse volumique b le poids c mesures anthropom triques classiques en dehors des mesures classiques il a t proc d la mesure du p rim tre bidelto dien p rim tre bassin fessier et p rim tre avant bras d valuation de la surface corporelle formule de DUBOIS et DUBOIS cit e par Olivier 1969 qui tient compte du poids et de la taille 2 D termination de l indice hydrodynamique l appareil comprend un moteur lectrique de 320 volts d une puissance de un cheval et demi dont la vitesse de rotation 3500 tours min est d multipli e par un syst me de poulies Transmise un tambour sur lequel s enroule un c ble en acier la rotation permet de remorquer un nageur 1m s 1 20 m s 1 60 m s 2m s quel que soit le poids de ce dernier L talonnage et le contr le de la vitesse men e l aide d un dispositif lectrique r v le une r gularit nettement suffisante compatible avec les exigences de la mesure Le dispositif lectronique comprend un amplificateur du signal un enregistreur magn tique BELL et HOWELL type CPR 4010 14 pistes 2 pistes son une table tra ante RIKEN D
75. une situation habituelle o le milieu est clair normalement Le sujet peut donc utiliser tous les registres sensoriels susceptibles de lui donner des informations concernant le contr le de son quilibre postural en situation acrobatique L2 est une situation inhabituelle o le milieu est clair de fa on intermittente l aide de la lampe stroboscopique Les informations de d tection de mouvement donn es par la r tine p riph rique sont perturb es ou supprim es le potentiel d action musculaire est modifi L3 est galement une situation inhabituelle o le milieu est en obscurit Les informations donn es par les deux fonctions du syst me visuel d tection de mouvement et d tection de position ne peuvent donc tre utilis es Appr ciation de la quantit de d s quilibre m thode dite d estimation des grandeurs Le d s quilibre pouvant tre consid r comme important tr s important en avant en arri re L exactitude de la r ponse tait v rifi e visuellement par l exp rimentateur en L1 et L2 auditivement par l exp rimentateur en L3 lorsque le sujet se r ceptionnait correctement le bruit produit par la p n tration dans la toile tait continu segment lorsque c tait incorrect lectroniquement par le moniteur du micro ordinateur Deuxi me exp rience le sujet choisi doit effectuer des figures en condition lumineuse et en condition obscure port d un masque Pour r alis
76. voir p 123 gt gt INTERACTIONS ENTRE PROCESSUS PHYSIOLOGIQUES ET COGNITIFS avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt REPRESENTATIONS DE L EFFORT CHEZ LES DECATHLONIENS avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt GESTION DES RYTHMES DE TIR AU PISTOLET VITESSE OLYMPIQUE avec Raybaut J F 1992 voir p 89 gt gt EFFICACITE DE LA CONDUITE DE BALLE ET CONTRAINTES COGNITIVES en Football avec Ouattara O 1993 voir p 46 gt gt DETERMINATION ET GESTION TACTICO TECHNIQUE EN CYCLISME A PARTIR DES FREQUENCES CARDIAQUES en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 PREPARATION PHYSIQUE L ENTRAINEMENT DES APTITUDES BIOENERGETIQUE PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE DIETETIQUE RECUPERATION gt gt OBSERVATION D UN FACTEUR PHYSIOLOGIQUE LA PUISSANCE AEROBIE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt LES EPREUVES D EFFORT COMPARAISON DE TESTS en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt APPROCHE PHYSIOLOGIQUE DE LA CONDITION PHYSIQUE CHEZ L ENFANT avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt LA PREPARATION BIOLOGIQUE EN NATATION avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt EFFETS CARDIO VASCULAIRES DE L ACTIVITE PHYSIQUE ET SPORTIVE PERSONNES AGEES avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt PREPARATION A DES EPREUVES D ENDURANCE CHEZ DES ENFANTS DE 12 A 15 ANS avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt LA PREPARATION PHYSIQUE DU BASKETTEUR avec Chazalon J 1979 voir p 21
77. voir p 60 gt gt ANALYSEUR D IMAGES EN DEUX DIMENSIONS en Judo avec Antourel S 1989 voir p 65 gt gt APPAREIL PHOTO MAGNETIQUE NUMERISATION ET TRAITEMENT D IMAGES en Basket ball avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt MESURE DES DEPLACEMENTS SUR ECRAN APRES COPIE EN BETACAM en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ENREGISTREMENT DIGITALISATION ET LOGICIEL DE TRAITEMENT DES IMAGES en D cathlon Courses avec Pauly 0 1991 voir p 18 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 en Athl tisme Course de 800m avec Gajer B 1995 voir p 20 ANTHROPOMETRIE BIOMETRIE gt gt TAILLE ET POIDS en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt MESURES NOMBREUSES EN COMPLEMENT mesure du p rim tre bidelto dien p rim tre bassin fessier et p rim tre avant bras en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt MESURE DE LA MASSE VOLUMIQUE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt CALCUL DE LA SURFACE CORPORELLE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt TAILLE POIDS TAILLE ASSISE avec des enfants de 12 15 ans Courses de longue dur e avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt PINCE A PLIS CUTANES OU PINCE DE LANGE en Natation avec Cazorla 1978 voir p 71 avec des enfants en Courses de longue dur e avec Trouillon P 1978 voir p 106 en Ski alpin avec Alard P
78. voir p 84 gt gt TRAITEMENT DE L INFORMATION INFLUENCE DU TRAIT DE PERSONNALITE en Tennis avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt REVUE BIBLIOGRAPHIQUE LES INFORMATIONS SENSORIELLES en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt INFORMATIONS SENSORIELLES IMPLIQUEES DANS LE CONTROLE DE LA POSTURE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt PRISE D INFORMATION en Volley ball avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 gt gt TRAITEMENT DES INFORMATIONS VISUELLES ET CONTROLE DE LA LOCOMOTION en Equitation de sauts d obstacles avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt STRATEGIES VISUELLES ET MOTRICES en Escalade avec Dupuy C 1985 voir p 40 gt gt COMMUNICATIONS OU RELATIONS INTER INDIVIDUELLES DANS UN JEU COLLECTIF SOCIOMETRIE avec Zanin P 1985 voir p 118 gt gt EFFETS DU FEED BACK PAR VIDEO ET DE L IMAGE D UN MODELE SUR UN APPRENTISSAGE en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt REACTION ET PRECISION EN ESCRIME avec Leseur H 1986 voir p 43 gt gt LE DISCOURS D AVANT MATCH dans quatre Sports Collectifs avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt EFFICACITE ET RELATIONS INTERINDIVIDUELLES DANS UN SPORT COLLECTIF en Handball avec Pineau P 1986 voir p 119 gt gt RUGBY DE MOUVEMENT ET DISPONIBILITE DU JOUEUR en Rugby avec Villepreux P 1987 voir p 81 gt gt PREPARATION PSYCHOLOGIQUE STRATEGIES MENTALES en Ski avec Barthalais A
79. 1979 voir p 108 en A kido avec Guibbert L 1980 voir p 12 en Football avec Crevoisier J 1981 voir p 43 en Handball avec Druais M F 1981 voir p 36 au sujet de l athl te f minine de haut niveau avec Missoum M 1981 voir p 110 en Basket ball avec Binard J 1982 voir p 22 en Vol libre avec Jullien G 1982 voir p 9 au sujet de la menstruation des athl tes avec Marlard N 1982 voir p 112 en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 en G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 en Escrime avec Seitz P 1984 voir p 42 men s aupr s d une population de jeunes sportifs de haut niveau avec Ambal M 1985 voir p 117 dans le domaine de la Force musculaire avec Renault A 1985 voir p 117 en Volley ball avec Lamouche C 1986 voir p 97 en Sports collectifs avec Nerin J Y 1986 voir p 119 dans le Football professionnel avec Dufay A 1988 voir p 44 concernant les strat gies mentales de pr paration en Ski avec Barthalais A 1988 voir p 84 en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 en Athl tisme avec Ragni P 1988 voir p 15 en Volley ball avec Prawerman A 1993 voir p 100 en Aviron avec Chopot E 1995 gt gt CONVERSATIONS D EQUIPAGES MICRO EMETTEURS LARYNGOPHONES EMETTEURS TALKIE WALKIE en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt TRANSCRIRE ET CLASSER LES ECHANGES VERBAUX TABULATION DE BALES en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt INTERVIEWS
80. 1986 voir p 119 en Basket ball avec Buteau P 1987 voir p 24 en Judo avec Rambier R 1987 voir p 64 avec Quintillan G dans le cadre de l tude de la gestualit de l entra neur 1987 voir p 120 en Rugby avec Villepreux P 1987 voir p 81 en Athl tisme Course de 400 m haies avec Belloc O 1988 voir p 15 en Basket ball avec Diop A 1988 voir p 25 en Football avec Kae Oula G 1988 voir p 45 en Hockey sur gazon avec Reynaud B en guise de v rification exp rimentale 1988 voir p 62 en Judo avec Antourel S 1989 voir p 65 en Chor graphie avec Barraud N 1989 en Basket ball avec Desert I 1989 voir p 27 en Athl tisme Sauteurs en longueur aveugles avec Moureaux R 1989 voir p 16 en Tennis de table avec Prat P 1989 voir p 87 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en Boxe fran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir p 32 en Judo avec Roux P 1990 voir p 67 en Basket ball avec Senegal M 1990 voir p 28 en Basket ball avec Vanaghs I 1990 voir p 29 en Handball avec Anti T 1991 voir p 58 en Athl tisme D cathlon avec Pauly O 1991 voir p 18 en Gymnastique avec Hosseini A 1991 voir p 55 en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 en Handball avec Akpa G 1992 voir p 59 en Handball avec Prat J L 1992 voir p 60 en Tir Pistolet Vitesse Olympique avec Raybaut J F 1992 voir p 89 en Handball avec Dubertrand
81. 1992 voir p 124 gt gt PRO TIMER ET CHRONO TIR en Tir au Pistolet avec Raybaut J F 1992 voir p 89 gt gt BAROMETRE en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt COMPTEURS VELO en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt APPAREIL DE TYPE FUTREX LECTURE DIRECTE DU DE MASSE GRASSE en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt MODELE DE DEMPSTER ET AL 1959 LOCALISATION DES REPERES ANATOMIQUES en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt INGESTION PAR VOIE ORALE D UN PLACEBO avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt EQUATION DU COUT ENERGETIQUE DE DI PRAMPERO 1986 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 PHYSIOLOGIE CARDIO VASCULAIRE COUT ENERGETIQUE PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE ELECTROMYOGRAPHIE BIOPSIE gt gt VO2 SUR L APPAREIL DE BECKMANN VECTROCARDIOGRAMME en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt EPREUVE D ASTRAND en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt TEST DE COOPER en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 sur une population d enfants avec Bar C 1978 voir p 104 en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt VO2 SUR BI
82. 20 PROTOCOLES EXPERIMENTAUX INSTRUMENTS DE MESURE ANALYSE DE CONTENU ANALYSE BIBLIOGRAPHIQUE SENS DES MOTS gt gt ANALYSE BIBLIOGRAPHIQUE en Basket ball avec Chazalon J 1979 voir p 21 concernant les informations sensorielles impliqu es dans le contr le de la posture en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 dans le domaine de la Force musculaire avec Renault A 1985 voir p 117 dans le Football professionnel avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt ANALYSE DE CONTENU en Football avec Crevoisier J 1981 voir p 43 en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 avec Joseph R 1984 dans le domaine de la Force musculaire avec Renault A 1985 voir p 117 dans le Football professionnel avec Dufay A 1988 voir p 44 en Natation synchronis e avec Barraud N 1989 gt gt ASSOCIATION LIBRE DE MOTS EVALUER DES COMPORTEMENTS EXPRESSIFS en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt DIFFERENCIATEUR SEMANTIQUE METHODE DE OSGOOD 1953 en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 ANALYSE DE L IMAGE DIGITALISATION gt gt APPAREILLAGE CINEMATOGRAPHIQUE PELLICULE KODAK RELEVE MANUEL DE L IMAGE SUR PAPIER GRAPHIQUE en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt STROBOSCOPE PASTILLES REFLECHISSANTES en Golf avec Lofi A 1978 voir p 47 en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 en Gymnastique Sportive Acrobatie avec Boerio G 1984 voir p 50 e
83. 3 groupes homog nes Ils re oivent dans les 2 heures pr c dant l exercice une des 3 solutions suivantes ler groupe perfusion intraveineuse par cath ter d un litre d une solution contenant 1 3 g de glucose anhydre kg de poids corporel soit environ 400 cal 2 me groupe ingestion r guli re per os de la m me solution 3 me groupe ingestion par voie orale d un placebo une pr paration base d aspartame dont le go t et la pr sentation sont identiques la solution pr c dente mais dont la valeur calorique est d environ 6 cal Le choix de la solution administr e chaque groupe est d termin e au hasard Les solutions sont perfus es ou ing r es un rythme r gulier sous contr le permanent Le d bit de perfusion est r gl de mani re telle qu elle se termine environ 10 minutes avant le d but de l exercice Les mesures A la performance en puissance d velopp e au cours du dernier palier exprim e en Watts B dosage des cat cholamines de la glyc mie de l insuline du glucagon du glyc rol des acides gras libres avant chauffement juste avant l exercice tous les 2 paliers et aux S me et 15 me minutes de r cup ration Les lactat mies sont r alis es chaque palier Pour de plus amples informations concernant les m thodes de dosage et l analyse statistique consulter le M moire Conclusion Nous avons tudi les cons quences d une d pl tion des r serves de glycog
84. 4 sujets 2 filles titulaires de l quipe de France Senior de Basket et 2 gar ons de la section Sport tudes Basket de l I N S E P Ce groupe pratique de fa on quotidienne Groupe exp rimental compos de 8 sujets 4 filles et 4 gar ons de la section Sport tudes Basket de PI N S E P Leur ge varie de 16 18 ans Ce groupe pratique quotidiennement sa sp cialit sportive auquel est ajout un entra nement de musculation pliom trique Protocole exp rimental L entra nement a dur 5 semaines raison de 3 s ances par semaine chaque s ance comprenait de 110 200 rebonds Les tests de terrain s rie de sauts verticaux effectu s en condition SJ 3 sauts en condition CMJ 3 sauts et en condition DJ pour des hauteurs de 30 40 et 50cm 3 sauts La meilleure des 3 performances a t retenue pour chaque condition La mesure de la performance en d tente a t faite l aide de la ceinture ABALAKOV Les tests de laboratoire 1 Concernant le test r flexologique lectrodes de surface BECKMAN pour recueil des signaux myo lectriques plac s sur les jumeaux interne et externe et le sol aire cathode sph rique de tungst ne plac e dans le creux poplit de fa on solliciter la branche interne du nerf sciatique poplit Le sujet est assis confortablement sur un si ge dossier inclinable le pied droit est fix sur une plaque pivotant autour d un axe horizontal correspondant l axe de la rotation de
85. 400 watts La fr quence cardiaque a t obtenue par lectrocardiogramme enregistr sur bande papier Le deuxi me phase visait obtenir la consommation maximale d oxyg ne La puissance et le rythme de p dalage devaient tre dos s pour amener le sujet puisement en 5 minutes environ 2 Estimation de la consommation maximale d oxyg ne par l preuve d ASTRAND sur bicyclette ergom trique Elle dure 6 minutes la puissance constante de 900 kg m mn pour les hommes sur bicyclette ergom trique La fr quence cardiaque est mesur e entre Smin 30 et 6 min L preuve d ASTRAND est alors termin e mais pour permettre une comparaison l exp rience est poursuivie pour obtenir la consommation d oxyg ne par m thode directe En d but d exp rience Le m tronome dont l index a t mis au pr alable sur la position 100 est mis en marche Le top correspond au passage de chaque p dale une position donn e Le nombre de r volutions par minute est de 50 etc 3 C T 170 capacit de travail pour une fr quence cardiaque de 170 C est une preuve sous maximale progressive qui doit la fin du dernier palier lever la fr quence cardiaque proche de 170 Le premier palier doit lever la fr quence cardiaque entre 115 130 le second entre 130 145 le troisi me entre 145 165 Si la fr quence est insuffisante ou excessive la charge pour le palier suivant est augment e ou diminu e de 10 wat
86. 43 gt gt LAMPES S ALLUMANT ET BALLONS CIBLES SUSPENDUS AUX QUATRE COINS D UN BUT POUR MESURE DES TEMPS DE REACTION CHEZ DES GARDIENS DE BUT ANALYSE DES STRATEGIES DE REACTION ET COMPORTEMENTS POSTURAUX en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt LOCALISATION D UNE PLANCHE POUR SAUTER PAR LE SON AVEUGLES en Athl tisme avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt TESTS PSYCHOMOTEURS MESURE DES APTITUDES issus de la batterie Fleishman ou de celle d Eurofit en Natation avec Portes A 1989 voir p 74 en Voile avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt UTILISATION D UN PRISME POUR DEVIATION DU REGARD en situation d A T R Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt TAPPING TEST TACHE DE FITTS tude chronobiologique avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 encore voqu sous la t che de Fitts en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt CLAVIER DE LETTRES A POINTER A SIGNAL SUIVANT CHOIX IMPOSE en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt ECHELLE D EVALUATION DE L INTENSITE DES TACHES d riv e de la RPE scale de Borg en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 en Escalade avec Viens T 1992 voir p 41 gt gt ECHELLE DE COTATION DE LA DIFFICULTE en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt TECHNIQUE D ESTIMATION DES GRANDEURS POUR COMPARAISON DE LA DIFFICULTE DES TACHES en Escalade avec Deligni res D
87. 51 chez les 13 sujets A l issue des tudes de terrain il appara t que 1 la force des mains est un facteur essentiel de la longueur d un coup de golf confirmation du r le important du grip dans la r ussite d un coup 2 le handicap intervient au niveau de la longueur d un coup de golf mais aussi de sa r gularit 3 la comparaison des efficacit s respectives du grip verrou et du grip classique donnent un gain significatif de 4 en longueur et de 22 en pr cision 4 cependant les perturbations occasionn es par l adoption d un nouveau grip semblent plus d cisives L auteur propose cet effet un mod le d volution de la longueur d un coup de golf en fonction du club choisi et du handicap Le protocole utilis pour l tudes des synergies musculaires a d montr ses limites malgr cela il semble bien qu un grip verrou favorise davantage la pr hension de l engin et l ouverture tardive de l angle bras club indispensable une acc l ration finale optimale de la t te du club Le dernier chapitre concerne l enseignement et l entra nement au golf chapitre Perspectives apr s avoir proc d l num ration des fondamentaux de l activit l auteur tablit une grille comportant 6 degr s permettant d envisager les diff rents niveaux d acquisition technique du d butant jusqu au joueur class gt GYMNASTIQUE SPORTIVE G R S GYMNASTIQUE ARTISTIQU
88. AU SUJET DE L UTILISATION DE L AUTOSCOPIE en Gymnastique avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt MAGNETOPHONE POUR ENREGISTREMENT D INTERVIEWS en Voile avec Cormery P 1986 en Sports collectifs avec Nerin J Y 1986 voir p 119 en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 KINESTHESIE STATIQUE EQUILIBRE voir galement TESTS OU EPREUVES DE TERRAIN gt gt APPRECIATION DE LA QUANTITE DE DESEQUILIBRE VISUELLEMENT AUDITIVEMENT ET ELECTRONIQUEMENT en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt STATOKINESIMETRE en Judo avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt PODOMETRE ELECTRONIQUE en Judo avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt STABILOMETRE en situation d A T R Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 LOGICIELS DE TRAITEMENT DE SAISIE EN DIRECT gt gt LOGICIEL DE SAISIE ET DE TRAITEMENT AUTOMATIQUE DES DONNEES D OBSERVATIONS DE MATCHES DE VOLLEY BALL avec Druenne F 1986 voir p 97 gt gt LOGICIEL STATISTIQUE TRI 2 en Basket ball avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt PROGRAMME DE SAISIE D INFORMATIONS en Volley ball f minin avec Lebleu M C 1989 voir p 98 gt gt LOGICIEL CARDLOG en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en Football avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt LOGICIEL ARBREGEST en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en Judo avec Roux P 1990 voir p
89. Conclusion L hypoth se selon laquelle de par sa pratique l A kidoka module ses r actions agressives et singularise ses conduites dans des situations conflictuelles de la vie courante est v rifi e En effet les r sultats recueillis lors des diff rentes approches font appara tre 1 Le haut niveau de contr le de ces pratiquants 2 Le seuil de tol rance lev et la forte r sistance dont ils t moignent lorsqu il sont confront s des v nements stressants 3 Une stabilit motionnelle au dessus de la moyenne 4 Une tendance impunitive significative 5 enfin un Moi fort qui permet ces m mes athl tes de r sister aux pressions ext rieures et de r soudre les difficult s internes auxquelles il sont soumis ATHLETISME Sp cificit du film d animation dans le film didactique PIASENTA J 1977 132 p 2 p de bibliographie 39 r f rences annexes planches tableaux extraits d animation relatifs la discipline Athl tisme M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage La classification des clubs comme composante d cisive de la promotion de l athl tisme Fran ais SAINT PERON J C 1978 120 p 3 p de bibliographie 18 r f rences annexes M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Contribution l tude des performances la course de distance chez les enfants de 12 15 ans Capacit
90. Cooper 1963 Conditions de passation preuves en d but d apr s midi 2 heures minimum apr s le dernier repas pas d activit s physiques importantes pr alablement temp rature lors des tests de laboratoire identique celle ambiante de 20 22 C le temps coul entre chaque test n a jamais pour un m me sujet d pass un mois Concernant l preuve sur cycloergom tre la cadence du p dalage doit toujours tre sup rieure 35 r volutions par minute Le test de capacit de travail 170 C T 170 est administr e partir des normes par ge et par sexe de la Canadian Association For Health Physical Education and Recreation C A H P E R 1968 L preuve exige que le sujet p dale durant 4 minutes trois niveaux de travail progressivement lev s soit au total douze minutes Ces trois paliers s encha nent de fa on continue ils correspondent aux intervalles de fr quence cardiaque suivants ler de 115 130 batt min 2 me de 130 145 3 me de 145 170 Les puissances appliqu es sont successivement de 25 50 75 Watts L preuve sur marche cette preuve n cessite deux marches de bois de 0 25 et 0 30 m de hauteur Elle consiste monter et descendre d une marche en posant successivement un pied puis un autre Le rythme de mont e et de descente a t choisi en fonction des travaux de COTTEN 1971 et WITTEN 1973 Le test dure 11 min 40 sec il comporte quatre s quences de 2 min 40 s
91. DE L I N S E P avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt TIREURS A LA CARABINE DE NIVEAU NATIONAL avec Horvath L 1986 voir p 88 gt gt TIREURS A L ARC DE NIVEAU NATIONAL VOIR INTERNATIONAL avec Colmaire P 1987 voir p 88 gt gt TIREURS AU PISTOLET DE NIVEAUX NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Raybaut J F 1992 voir p 89 TRAMPOLINE gt gt GYMNASTES ACROBATES DE NIVEAU NATIONAL avec R zette D 1983 voir p 89 TRIATHLETES gt gt TRIATHLETES avec Bertrand D 1986 gt gt TRIATHLETES DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Lehenaff D 1993 voir p 91 VOILE gt gt PRATIQUANTS DE LA VOILE EN DERIVEUR DOUBLES DE TOUS NIVEAUX DONT NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt ENFANTS DE CM1 CM2 INITIATION A LA NAVIGATION A VOILE avec Albertini H 1982 voir p 92 gt gt PLANCHE A VOILE COUREURS DE L EQUIPE NATIONALE avec Le Vaillant R 1983 voir p 93 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS NATIONAUX avec Cormery P 1986 gt gt CADRES TECHNIQUES avec Cormery P 1986 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS NATIONAUX avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt COUREURS DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL CADETS ET JUNIORS avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt PLANCHE A VOILE ESPOIRS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX avec Giunti R 1990 voir p 93 VOLLEYEURS gt gt VOLLEYEUSES SECTION SPORT ETUDE DE L I N S E P avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt VOLLEYEU
92. Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt COUREURS JUNIORS DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL avec Demenois J P 1995 voir p 37 DANSEURS gt gt DANSEURS O CHOREGRAPHES en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt DANSEURS avec Donzel Gaye C 1994 ELEVES PROFESSEURS ETUDIANTS EN EPS gt gt ELEVES MAITRES D ARMES FAISANT OFFICE DE JUGES avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt ETUDIANTS D U E R E P S avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt ELEVES PROFESSEURS SPORTIFS DE HAUT NIVEAU DE L IN S E P avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt ELEVES PROFESSEURS SPORTIFS DE HAUT NIVEAU DE L IN S E P avec Stein J F 1981 voir p 111 gt gt ETUDIANTES OPTION G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt ETUDIANTS EN E P S NON SPECIALISTES EN RUGBY avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt ETUDIANTS EN E P S OPTIONNAIRES RUGBY avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt ETUDIANTS EN EPS 1 re ANNEE avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt ETUDIANTS EPS 1 re ANNEE U F R S T A P S NON NAGEURS avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt ETUDIANTS EN EPS avec Ouattara O 1993 voir p 46 ENFANTS ET SCOLAIRES NON SPECIALISES ADOLESCENTS gt gt ENFANTS DE CM 1 et CM2 avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt GARCONS D ETABLISSEMENTS SECONDAIRES ENTRE 13 ET 14 ANS avec Bar C 1978 voir p 104 gt gt ENFANTS DE 5 A 12 ANS avec Barbreau E 1984 voir p 116 gt
93. E P l ordinateur a permis l analyse des trajectoires et la r partition temporelle entre les phases a riennes et les phases d appui Conclusion Les foul es des deux groupes de coureurs subissent des modifications qui vont dans le m me sens Cependant les param tres de la foul e au premier tour sont tr s diff rents Le groupe le plus performant se d marque par des valeurs sup rieures au premier tour en ce qui concerne l amplitude le temps de contact au sol et un degr moindre la fr quence Les valeurs d amplitude et de toucher au sol du groupe National tant tr s proches des chiffres observ s en sprint prolong celles ci semblent attester qu il n y a pas de recherche d conomie de course Le sp cialiste de 800m de haut niveau court la fois comme un coureur de 400m si l on consid re l amplitude et le temps de contact au sol de sa foul e et comme un coureur de demi fond du point de vue de la fr quence de ses foul es C est vraisemblablement ce premier aspect qui engendre le plus de fatigue il permet de comprendre pourquoi le dernier 100m des coureurs Nationaux est parcouru dans des temps proches de ceux r alis s par les coureurs de moindre niveau L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences a
94. ENSU Tous les sujets ont ax leur pr paration pour la saison 1992 sur une pratique comp titive privil giant les courtes distances triathlons Sprints et Olympiques Protocole exp rimental Une mallette Cosmed K2 permettant l enregistrement t l m trique des fr quences cardiaque et respiratoire du d bit expiratoire et de la fraction d oxyg ne de l air expir cette mallette comprend une unit portable miniaturis e fix e sur le triathl te Celle ci transmet les donn es une unit r ceptrice qui effectue le traitement l impression et la mise en m moire de celles ci enfin une unit de recharge des batteries de l unit portable 14 cardio fr quence m tres de type Sport Tester PE 3000 14 compteurs v lo de type Cateye Solar m morisant kilom trage vitesse instantan e vitesse maximale vitesse moyenne et cadence de p dalage Un kit pour pr l vements sanguins et un kit enzymatique Biom rieux Boerhinger Une centrifugeuse h matocrite Heraeus Sepatech Une centrifugeuse pour tubes complexion Un h moglobinom tre Coultronics lecture optique Un cong lateur 80 C Une pince plis graisseux une balance lectronique un thermom tre un barom tre Conclusion L tude poursuivait un double objectif caract riser l effort de triathlon et proposer un nouveau type d entra nement s appuyant sur l encha nement des activit s Le triathlon provoque une cascade de d
95. H 1993 voir p 60 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 en Athl tisme Course de 800m avec Gajer B 1995 voir p 20 gt gt MAGNETOSCOPE POUR PRESENTATION DE SEQUENCES en Tennis avec Ody J 1981 voir p 84 en Volley ball avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 en Boxe fran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir p 32 en Escrime Arbitrage avec Bonnefoy B 1992 voir p 122 gt gt PRESENTATION DE SEQUENCES GRAPHISME AVANT REALISATION D UN GESTE MOTEUR DEFINI avec Barbreau E 1984 voir p 116 gt gt CHRONOMETRAGE VIDEO en Athl tisme avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt PRISES DE VUE VIDEO POUR PRESENTATION A DIFFERENTS PUBLICS en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt GARDIENS DE BUTS FILMES POUR DETERMINATION DES TEMPS STRATEGIES ET COMPORTEMENTS DE REACTION en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt PROJECTEUR POUR PRESENTATION DE SITUATIONS en Boxe fran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir 32 gt gt VIDEO QUESTIONNAIRE pr sentation de s quences de Volley tourn es sous forme de sc narii avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt COMPTEUR D IMAGES en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 ENTRETIENS INTERVIEWS gt gt ENTRETIENS ET GUIDE D ENTRETIEN ENTRETIEN SEMI DIRIGE INTERVIEWS en Rugby avec Coq J 1978 en Basket ball avec Chazalon J 1979 voir p 21 en Rugby avec Conquet 1979 voir p 79 en Basket ball avec Riffiod E
96. I 1989 voir p 27 gt gt COUT ENERGETIQUE FONCTION DE LA CADENCE ET DE LA TAILLE DE LA PAGAIE en Kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 gt gt SAUTER EN LONGUEUR POUR DES AVEUGLES avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt LE CONTROLE DE L APPUI TENDU RENVERSE en Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt CONTRAINTES ENERGETIQUES EN G R S EN FONCTION DES ENGINS DES ENCHAINEMENTS avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt NOTION DE DIFFICULTE DIFFERENTS NIVEAUX D ANALYSE EXIGENCES OBJECTIVES ET PERCEPTION en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt SPECIFICITE DU PENTATHLON MODERNE avec Genard B 1990 voir p 77 gt gt ANALYSE DE L EFFORT VO2 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 gt gt LE PROBLEME DE LA PHASE D ATTAQUE PLACEE en Basket ball avec Vanaghs I 1990 voir p 29 gt gt ANALYSE DE LA TACHE DU DESCENDEUR DE COMPETITION en Can Kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt DIFFICULTE DE LA T CHE DU DECATHLONIEN SUR UN PLAN BIOMECANIQUE LES COURSES avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt DEPLACEMENTS ET ACTIONS DE JEU INDIVIDUELLES A DEUX NIVEAUX DE COMPETITION en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt LES MOMENTS CRUCIAUX DES RENCONTRES en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt CARACTERISTIQUES DE LA TACHE DE L ARBITRE en Escrime avec Bonnefoy B 1992 voir p 123 g
97. J 1979 voir p 21 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX DE GYMNASTIQUE avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS REPUTES DE CLUB PREMIERE DIVISION avec Crevoisier J 1981 voir p 43 gt gt ENTRAINEURS FRANCAIS ET ETRANGERS DE HANDBALL avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt ENTRAINEURS DE HAUTE QUALIFICATION TECHNIQUE avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt ENTRAINEURS DE N 1 MASCULINE OU DE SELECTIONS NATIONALES en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 gt gt ENTRAINEURS DE CLUBS EN G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX DE VOLLEY avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 gt gt ENTRAINEURS SPECIALISTES DE DIFFERENTES DISCIPLINES avec Renault A 1985 voir p 117 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS NATIONAUX EN VOILE avec Cormery P 1986 gt gt ENTRAINEUR DE L EQUIPE DE FRANCE FEMININE DE VOLLEY BALL EN 1984 1985 avec Lamouche C 1986 voir p 97 gt gt ENTRAINEURS D EQUIPES DE SPORTS COLLECTIFS DE HAUT NIVEAU avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt ENTRAINEURS DES EQUIPES DE DIVISION NATIONALE I II IT EN GYMNASTIQUE avec Brasier Y 1986 voir p 52 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS DANS DIFFERENTES DISCIPLINES avec Quintillan G 1987 voir p 120 gt gt ENTRAINEURS DE PREMIERE ET SECONDE DIVISION DE CENTRE DE FORMATION avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt BUTEURS ENTRAINEURS avec Dufay A 1988 voir p 44 g
98. L EQUIPAGE en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt AGRESSIVITE ET SPORT LA FONCTION CATHARTIQUE DU SPORT CHEZ DES ENFANTS avec Pfister R 1979 gt gt PLACE DE LA PSYCHOLOGIE CHEZ LES ENTRAINEURS D ATHLETISME avec Pateffoz B 1980 voir p 12 gt gt L ENTRAINEUR DE FOOTBALL PROFESSIONNEL FACTEURS PSYCHOLOGIQUES DE LA REUSSITE avec Crevoisier J 1981 voir p 43 gt gt RELATIONS MENEURS DE JEU JOUEURS MENEURS DE JEU ENTRAINEURS en Handball et Sports Collectifs avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt ETUDE DU MANAGERAT SES COMPOSANTES en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 gt gt DISCOURS D AVANT MATCH dans quatre Sports Collectifs avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt L ENTRAINEUR SA GESTUALITE avec Quintillan G 1987 voir p 120 gt gt RELATIONS DE L ENTRAINEUR ET DE L ENTOURAGE VIS A VIS DU BUTEUR dans le Football professionnel avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt MANAGER QUELS COMPORTEMENTS D INTIMIDATION OFFENSIFS ENCOURAGER en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt LA RELATION ENTRAINEUR ENTRAINEE REPRESENTATIONS avec Salesse M 1989 voir p 120 SOCIOLOGIE ET PSYCHO SOCIOLOGIE CULTURE GENERALE FACTEURS SOCIO ECONOMIQUES gt gt LA CHAMPIONNE DANS LES QUOTIDIENS D INFORMATION GENERALE MONTREAL 1976 avec Messan Vivoli I 1977 gt gt AVENIR SOCIAL DE SPORTIFS DE HAUT NIVEAU SKI ET CYCLISME PROPOSITIONS ET SUGGESTIONS
99. L entra neur de football professionnel et les facteurs psychologiques de la r ussite sportive CREVOISIER J 1981 254 p 11 p de bibliographie 92 r f rences annexe liste des entra neurs interrog s Population d exp rimentation 14 entra neurs en activit dans un club de 1 re division et 6 anciens entra neurs ou entra neurs Nationaux Arribas J Banide G Batteux A Boulogne G Braun J De Martigny A Destrumelle J P Domergue R Frantz P Fruchart E Guerin H Gress G Hauss R Herbin R Huart G Leduc L Peyroche G Pibarot P Redin A Roux G Protocole exp rimental La m thode utilis e est l entretien semi directif les th mes choisis comportent deux caract ristiques essentielles 1 ils correspondent des pr occupations de l entra neur dans l exercice de son m tier 2 ils font constamment r f rence une dimension psychologique ou relationnelle Les questions ont donc port sur la pr paration d avant match la relation entra neur joueur le m tier d entra neur la r solution des conflits le maintien des motivations les modes de recrutement Le traitement des donn es s est faite sous forme d analyse de contenu pour l analyse nous avons r alis des regroupements par th mes qui correspondent dans l ensemble aux chapitres d finis dans le guide d entretien Conclusion Diff rents constats peuvent tre la suite de cette tude tablis
100. PERFORMANCE en Tir l arc avec Colmaire P 1987 voir p 88 gt gt L OBSERVATION VIDEO INFORMATIQUE ANALYSE DU JEU avec Diop A 1988 voir p 25 gt gt REPONSE DU MUSCLE A L ETIREMENT IMPORTANCE DES PROPRIETES PHYSIQUES DE LA RAQUETTE au Tennis avec Scribot F 1988 voir p 86 ORGANISATION DE L ENTRAINEMENT DANS LE CADRE DE L OPTIMISATION DE LA PERFORMANCE SPORTIVE PLANIFICATION ET PROGRAMMATION PROPOSITIONS DE PREPARATION gt gt MISE EN EVIDENCE SELON LES SPECIALITES DE DIFFERENTS NIVEAUX DE PUISSANCE AEROBIE CONSEQUENCES POUR L ENTRAINEMENT en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt PROPOSITIONS POUR UNE OPTIMISATION DE L ENTRAINEMENT en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt RESISTANCE A LA THEORISATION DANS LE RUGBY FRANCAIS avec Coq J 1978 gt gt PROPOSITIONS PRATIQUES COURSES DE DISTANCE CHEZ LES ENFANTS DE 12 A 15 ANS avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt LE PERFECTIONNEMENT PAR L INDIVIDUALISATION EN BASKET BALL avec Chazalon J 1979 voir p 21 gt gt QUELQUES REGLES METHODOLOGIQUES PLANIFIER L ENTRAINEMENT en Basket ball avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt ENTRAINEMENT PHYSIQUE PROGRAMME JEUNES PRATIQUANTS EN SKI ALPIN avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT AVEC DE JEUNES SKIEURS DE FOND avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt PROGRAMME DE MUSCULATION A SEC PRINCIPES e
101. R gionaux et utilisation plus particuli re d un certain nombre d entre eux course de 50 m tres saut vertical lancer de m decine ball en position assise quintuple saut course navette de 5 X 10 m tres test de Luc L ger Conclusion La passation des tests lus a permis de mettre en vidence des profils de performance diff rents suivant le type de sport collectif de petit terrain envisag les handballeurs gar ons et filles se caract risent ce titre par des performances plus lev es dans les preuves de lancer de quintuple saut et d endurance Un tableau des diff rences significatives positives n gatives ou non significatives a pu sur cette base tre dress il met en vidence les particularit s de d veloppement induites par la pratique sp cifique de tel ou tel autre sport Paradoxalement et prenant comme r f rence le niveau de pratique r gional national international on ne constate pas de diff rences significatives entre les r sultats moyens aux divers tests sauf lors de l preuve de 5x10 m tres chez les filles Sur le plan biom trique les joueurs Fran ais et Fran aises pr sentent l vidence des caract ristiques morphologiques inf rieures celles de leurs homologues trangers L auteur propose en fin de recherche un programme informatique destin en premier lieu aux athl tes afin que ceux ci puissent suivre l volution de leurs performances destin galement aux entra neurs
102. Rugby de mouvement et disponibilit du joueur VILLEPREUX P 1987 210 p 1 p de bibliographie 11 r f rences annexes questionnaires sp cifiques Population d exp rimentation L quipe d Angleterre l quipe de Nouvelle Z lande lors de sa tourn e en France en 1986 l quipe de France lors de son rassemblement avant la rencontre contre la Roumanie et les joueurs de l quipe de Toulouse Protocole exp rimental Choix du collectif de ligne dans un rapport d opposition quatre contre quatre une aire de jeu 35m x 22m en espace large et 2 x 11m en espace troit compos e de 5 zones 3 zones d volution 1 zone d organisation en lancement du jeu 1 zone de r organisation ou relance du jeu Avant chaque parcours soit un aller et retour de l aire de jeu des objectifs sont fix s aux attaquants alors que les d fenseurs ont des t ches pr cises d finies Chaque parcours comportant une phase de placement une phase de lancement du jeu et une phase d volution aller retour donne lieu la r alisation d un enregistrement vid o en vue plongeante cam ra au bout de l aire de jeu Conclusion L auteur met en vidence la n cessit d int grer la libert du joueur un syst me de jeu qui a des exigences collectives Pour cela l accent doit tre mis 1 sur la connaissance des principes de d veloppement tactiques judicieux de l action de jeu tant en attaque qu en d fense que ce so
103. Staub M 1983 voir p 115 gt gt MESURES GENERALES ET MESURES SPECIFIQUES A LA COURSE ADOLESCENTS en Ath tisme Vitesse avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt MESURES en Athl tisme Coureurs de haies hautes avec Aubert F 1986 voir p 14 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt MESURE DE LA FLOTTABILITE taille prise debout sous une toise taille couch en hyper extension position de coul e circonf rence thoracique maxima en inspiration la valeur la plus lev e de la circonf rence thoracique qui se situe en g n ral au niveau des aisselles est retenue circonf rence maxima du bassin jambes serr es diam tres thoraciques maxima en inspiration de face et de profil bras en position de coul e diam tres maxima du bassin de face et de profil debout jambes serr es en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt LECTURE DIRECTE DU DE MASSE GRASSE APPAREIL DE TYPE FUTREX en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 AUDIO VISUEL gt gt APPAREILLAGE CINEMATOGRAPHIQUE PELLICULE KODAK en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt PROJECTEUR 16 MM DE TYPE ANALECTOR image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt UNITE VIDEO PORTABLE image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt REALISATION ET PRESENTATION D UN DOCUMEN
104. Voir p 102 gt gt LEGRAND J D tente et entra nement pliom trique du basketteur Analyse r flexologique et biom canique 1988 78 p 14 p de bibliographie 106 r f rences annexes Voir p 25 gt gt LEHENAFF D De la sp cificit du triathlon Analyse des donn es physiologiques et techniques recueillies sur des triathl tes plac s en situation de comp tition Contribution l laboration d une m thode d entra nement originale fond e sur le principe des encha nements multiples 1993 200 p 14 p de bibliographie 179 r f rences annexes importantes Voir p 91 gt gt LENOIR H Appr ciation des effets cardio vasculaires de l activit physique et sportive chez les personnes g es 1978 89 p 10 p de bibliographie 63 r f rences Voir p 105 gt gt LEROY M La gymnastique rythmique sportive Analyse biom canique du balancer la massue 1984 90 p 2 p de bibliographie 17 r f rences annexes Voir p 51 gt gt LESEUR H Contribution l analyse des facteurs de la performance en escrime par l utilisation d un test de r action visuomotrice 1986 129 p 11 p de bibliographie 94 r f rences annexes importantes Voir p 43 gt gt LETOCART M L chec en sport de haut niveau Approche psychologique et sociologique 1983 183 p 5 p de bibliographie 55 r f rences annexes Voir p 114 gt gt LE VAILLANT R Contrib
105. Volley ball 13 athl tes en Handball 13 athl tes La plupart de ces sportives s entra nent r guli rement l I N S E P les autres ont t test es alors qu elles effectuaient un stage dans l tablissement Protocole exp rimental 1 Le questionnaire de personnalit pour sportif ou QPS Sans entrer dans le d tail d une description rappelons quels traits de personnalit se r f rent les diff rentes chelles d sir de r ussite d ordre intrins que d sir de r ussite d ordre extrins que endurance psychologique vitesse dynamisme comp titivit contr le de l activit prise de risque contr le motionnel r sistance psychologique introversion extraversion dominance agressivit sociabilit coop ration S ajoutent ces facteurs deux chelles de sinc rit acquiescence d sirabilit sociale 2 L inventaire de personnalit d Eysenk ce test porte l accent sur deux dimension particuli res de la personnalit ind pendantes l une de l autre extraversion introversion E et n vrosisme stabilit motionnelle N Il se compose de 57 items dont 2 questions pour chacun des 2 traits et 9 questions pour l chelle de mensonge L 3 Le test projectif de Zuliger ou Z c est un test projectif dont l arri re plan th orique est inspir du Rorschach t ches d encre Face chaque planche le sujet est invit dire ce quoi l image lui fait penser ce
106. aller voir ailleurs et avant pour mieux comprendre ce qui est du ressort du pr sent et de l avenir La culture c est ce qui demeure dans l homme lorsqu il a tout oubli E Henriot Notes et Maximes C est dans une double perspective d une part de contribuer l acquisition d un v ritable niveau de culture sportive et d autre part de t moigner du niveau et des int r ts de la recherche sportive qu a t labor ce travail Sa lecture peut tre faite de fa on partisane chacun cherchant int grer ce qui ressort du domaine de sa sp cialit mais elle peut tre faite de fa on plus universelle J encourage le lecteur ne pas sacrifier au seul point de vue gocentrique s il accepte de s investir dans une qu te plus large au bout du compte il ressortira plus riche C est en se baladant au fil des pages que le cheminement intellectuel se fait confort dans certaines id es ayant acquis une opinion sur certains sujets d couvrant de nouvelles pistes ou tout simplement comprenant le sens de certaines erreurs commises et exprimant le d sir de r ajuster ses interventions Ici il faut accepter de cheminer sans chemin de faire le chemin dans le cheminement ce que disait Machado Caminante no hay camino se hace camino al andar La m thode ne peut se former que pendant la recherche elle ne peut se d gager et se former qu apr s au moment o le terme redevie
107. ans Elle s l ve avec la taille et l ge et semble tre un indicateur assez pertinent de l ge La Force explosive horizontale semble davantage li e l ge qu la croissance L endurance musculaire s am liore avec l ge mais celle ci demeure n gativement influenc e par l augmentation de la taille et du poids Le gain en Force statique sur l ensemble de notre population est de 18 4 kg en moyenne Ce facteur semble tr s li la taille et au poids et constitue un indicateur pertinent de l volution de la croissance De l exp rience men e au sujet de la mesure de la Force isom trique maximale il ressort que celle ci est influenc e par les dimensions corporelles Ceci procure une sup riorit certaine aux gar ons grands et lourds dans toutes les preuves de force absolue les lancers les sports collectifs Le test retenu pour mesurer la Force dynamique du tronc n est pas apparu tr s fiable 4 Les performances r alis es au test de Cooper attestent d une augmentation constante de la performance entre 12 et 14 ans celle ci diminue ensuite pour retrouver sensiblement son niveau initial 16 ans e DE LA LECTURE A L EXECUTION D UN GESTE PRESENTE SOUS FORME DE SEQUENCES D IMAGES Barbreau E 1984 182 p 6 p de bibliographie 69 r f rences annexes importantes Th mes tude de l effet du mode de figuration du mouvement sur la reproduction d un mod le gestuel chez les e
108. ballon et avec ballon Conclusion Notre objectif est d essayer d tablir que les footballeurs de premi re division quand bien m me se trouveraient dans des conditions de jeu plus difficiles cause des enjeux lev s et des sources de motivation plus importantes r ussissent donner des r ponses appropri es et meilleures dans le temps et dans l espace Cela par rapport leurs homologues de deuxi me division Le pr test est venu confirmer un certain nombre de faits concernant les exigences de la premi re division une rapidit d ex cution en rapport avec le niveau technique lev des joueurs une grande disponibilit se mettre au service du collectif quant la cr ation et l exploitation d espaces libres La recherche de caract ristiques propres aux diff rents niveau de comp tition d une part et aux secteurs de jeu d autre part conduit mettre certaines conclusions 1 La dur e totale des arr ts ainsi que leur fr quence d arr ts par rencontre est deux fois plus importante chez les joueurs de niveau inf rieur 11min 05 sec 5 min 35 sec 2 On n observe pas de diff rence significative au niveau de la marche 3 Les temps de course sont sensiblement les m mes aux deux niveaux de comp tition il appara t cependant une diff rence significative au niveau des dur es des s quences de course et au niveau des fr quences de course Dur e des s quences de course P S
109. biom triques Mesures bio m triques taille prise debout sous une toise taille couch en hyper extension le sujet est allong sur le ventre dans le prolongement du corps les pieds en hyper extension en essayant de reproduire la position de coul e circonf rence thoracique maxima en inspiration la valeur la plus lev e de la circonf rence thoracique qui se situe en g n ral au niveau des aisselles est retenue circonf rence maxima du bassin jambes serr es diam tres thoraciques maxima en inspiration de face et de profil bras en position de coul e diam tres maxima du bassin de face et de profil debout jambes serr es A partir de ces indices sont calcul es 1 L indice de Kaup Poids en grammes sur Taille en centim tres au carr semble un bon indicateur de la corpulence des sujets 2 La surface corporelle par la formule de Dubois et Dubois 1916 Nous estimons la surface de la section maximale du thorax en assimilant celle ci un rectangle et en multipliant le diam tre du thorax de face par le diam tre du thorax de profil Un m me raisonnement est appliqu la mesure de la surface de section maximale du bassin Les tests 50 m brasse d part plong et test de flottabilit dans une profondeur gale la hauteur des paules du sujet celui ci s allonge sur le dos en inspiration forc e bras le long du corps un aide lui tenant les pieds la surface de l eau Au signal on d cl
110. cause effet entre l augmentation de la lactat mie et des cat cholamines au cours d un exercice triangulaire Pour appr hender le d tail d une r flexion plus approfondie se r f rer au chapitre Discussion e COMMUNICATION ET TRANSFORMATION SOCIALE DANS L INSTITUTION SPORTIVE Etude r alis e dans la F d ration Fran aise de Gymnastique l occasion de la mise en oeuvre du plan Gym 2000 Cayre B 1995 80 p 3 p de bibliographie 35 r f rences annexes tr s importantes dont questionnaire auteur et r sultats d taill s Les hypoth ses qui ont pr sid l laboration du questionnaire sont les suivantes 1 la p n tration de l information est encore insuffisante compte tenu d une vidente r sistance au changement 2 la culture associative prend insuffisamment en compte la connaissance des adh rents r els et potentiels et leurs besoins Au total 28 questions ayant trait aux th mes suivants votre association le plan f d ral Gym 2000 vos objectifs de management et d organisation vos objectifs sportifs 1996 e HISTOIRE POLITIQUE DU CONFLIT DES DEUX RUGBY EN FRANCE DE L ENTRE DEUX GUERRES A LA GUERRE FROIDE Origines cons quences et perspectives analys es au moyen des logiques internes respectives Ou bien Rugby XV et Rugby XII le dogme et son doute Fassolette R 1996 512 p 9 p de bibliogra
111. celui de l entra nement En dehors de cet aspect pratique il semble que l approche psychophysique dans son essai de quantification de la difficult d une t che sportive complexe pr sente un int r t Cette approche pourrait en effet constituer un moyen performant de validation des descripteurs propos s par les mod les d analyse de la t che elle pourrait d autre part contribuer l valuation du niveau d implication des divers processus dans la r alisation d une t che sportive gt ESCRIME Contribution l essai sur l utilisation des M A V moyens audio visuels dans la formation de l escrimeur REVENU D 1977 148 p 1 p de bibliographie 14 r f rences D autre part nous avons vu que nos jeunes enfants vivaient en particulier notre groupe exp rimental en milieu socioculturel plut t d favoris handicap suppl mentaire pour notre recherche D o la prudence et la clart avec lesquelles l enseignant doit proc der et ce d autant plus que les l ves sont jeunes L on comprend toute la difficult de l entreprise quand comme cela s est trouv avec le groupe scolaire M certains enfants parlent peine le fran ais Une nouvelle observation plus limit e consistera faire travailler avec et sans magn toscope deux groupes de m me niveau culturel pendant une ann e scolaire et comparer leurs performances avec celles de groupes de niveaux intel
112. ci sont capables de pr voir durant les phases de jeu le type de renvoi auquel ils vont tre confront s les tr s bons joueurs sont toujours plac s tr s t t sur la balle tel point qu ils donnent l impression de n tre jamais press s ou bien r ussissent la vol e des interceptions souvent qualifi es de miraculeuses La premi re hypoth se mise par l auteur a pu tre v rifi e nous pouvons dire que le moment de la pose du pied avant par rapport l impact de la balle dans la raquette fortiori par rapport au d clenchement du mouvement de la raquette a valeur d indice pertinent et peut s interpr ter comme un signe annonciateur d une intention de trajectoire crois e ou d crois e Nous voyons l un exemple de Pr action le joueur interpr te un l ment gestuel pr cis un prax me il lui donne un sens et par anticipation pr agit la r ponse la situation pr sente tout en conservant un maximum de possibilit s d adaptations diff rentes jusqu confirmation par d autres indices ou par la trajectoire observable de la balle de la validit de son interpr tation La deuxi me exp rimentation a permis de pr ciser un certain nombre de points 1 Il n y a pas eu apprentissage entre les deux passations de chacune des deux s ries de s quences 2 Pour les joueurs de tennis la moiti sup rieure du corps est plus r v latrice d indices que la moiti inf rieure 3 Par contre
113. comp tition entre le psychologue dont la pr sence est consid r e comme inopportune et l entra neur dont le d sir d duquer demeure tr s puissant Le rejet exprim vis vis de la psychologie en g n ral s av re d autant plus fort que les r sultats obtenus t moignent de l efficacit du syst me mis en place jusqu l heure actuelle Place de la pratique de l athl tisme dans l enseignement de l Education Physique en Gr ce Proposition d une p dagogie d athl tisme au niveau de l cole primaire AVRAMIDIS K 1981 78 p 1 p de bibliographie 9 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage L volution diff renci e des pratiques sportives en France 1960 1980 Contribution l analyse de d terminants de la croissance l exemple du tennis et de l athl tisme PESSIDOUS M 1983 105 p 2 p de bibliographie 17 r f rences annexes dont interviews des tennismen des athl tes enqu tes l image du tennis et de l athl tisme le profil des pratiquants du tennis et de l athl tisme M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Athl tisme entra nement la course de vitesse Comparaison de deux modalit s de pr paration en classe athl tisme tudes 13 15 ans DI GIACOMO G 1984 104 p 7 p de bibliographie 53 r f rences annexes dont test d aisance motrice de Fauch 1981
114. concerne les joueurs fran ais 2 L accession au plus haut niveau n est pas d termin e par la sp cialisation pr coce un quart d entre eux ont m me moins de quatre ans de pratique cette m me accession ne semble pas avoir exclue la pratique de toute autre forme d activit 3 La motivation essentielle qui anime ces joueurs r side plus dans l envie d appartenir une lite sportive que dans l attente pr cise de b n fices conomiques imm diats 4 Enfin les contraintes principales qui les pousseraient abandonner la pratique haut niveau hormis la barri re de l ge sont des contraintes sociales et familiales Approche biom canique de l am lioration de la d tente en volley ball par un entra nement pliom trique BERJAUD S 1988 129 p 7 p de bibliographie 66 r f rences Population d exp rimentation 14 joueuses de l quipe de France Espoirs f minine de volley ball et 12 joueurs 6 gar ons et 6 filles membres des quipes de France Espoirs en basket ball Protocole exp rimental Tests de terrain sargent test triple saut d tente apr s une chute Tests m caniques r alis s gr ce un dispositif ergom trique con u pour la mesure de la compliance musculaire par le laboratoire de physiologie et de biom canique de l I N S E P banquette pour r duire l effet de la pesanteur le sujet est en position allong e son pied droit est attach par des lani re
115. conservation plus ais e que dans les secteurs proches du panier Malgr cela elle repr sente un point de fixation de la d fense adverse qui facilitera la pr paration de Pattaque la Z M est bivalente Dans ses secteurs extr mes elle est l origine de destinations du ballon dans sa partie axiale elle serait plut t un lieu de passage pour les joueurs avec ballon lors de duels et sans ballon afin de b n ficier d crans la Z B est le domaine du jeu sans ballon et des actions finales Un fait tonnant a pu tre mis en vidence les attaques avec ballon se d veloppent plus souvent sur le c t droit du terrain 45 8 que sur le c t gauche 34 4 Quels sont les joueurs qui se trouvent le plus souvent dans ces secteurs la Z H est le domaine de 1 avec une participation importante de 2 la Z M est le domaine de tous les joueurs l exception de 1 m me si on peut le voir ponctuellement dans l un ou l autre secteur de cette zone la Z B est occup e par 5 mais galement par 2 3 et 4 Certaines actions peuvent caract riser tel ou tel secteur dans les diff rents secteurs de la zone basse on retrouvera des actions du type couper tir porte des crans duels dans les secteurs de la zone moyenne passe duels porte des crans enfin dans les secteurs de la zone haute passe le ballon en
116. continue pourtant s appuyer sur la seule prise en compte des crit res physiologiques et techniques pour un b n fice dont on surestime souvent largement l effet on va alors favoriser la multiplication des entra nements voire des entra neurs et la rupture du suivi relationnel L encha nement des comp titions et l augmentation des enjeux met trop vite les meilleurs cadets et juniors en situation de comp tition permanente il s en suit un hyperinvestissement psychologique qui s me la confusion dans l esprit des athl tes et parfois de certains entra neurs Les objectifs imm diats occupent la place des objectifs principaux ce qui est pr judiciable une gestion rationnelle de l nergie motivationnelle N anmoins chacun admet que la performance est 50 psychologique voire plus Ce ph nom ne de d calage entre la pratique et le discours n est pas observable dans tous les pays certains comme les USA ont abord depuis les ann es 50 la question de la pr paration psychologique des athl tes En Su de autre exemple cette pr paration est int gr e la formation des sportifs et ce d s le plus jeune ge Il demeure que du point de vue de l entra neur galement s impose l int r t d une v ritable pr paration psychologique Du point de vue de la formation de ces derniers l auteur crit la compl mentarit des approches psychologique et psychanalytique indiquent peut tre un itin
117. d un appareil photo magn tique RC 701 avantages grand nombre d images par seconde et pr cision de 600 000 pixels par image qui a permis d enregistrer sur disquettes un certain nombre de contre attaques un lecteur enregistreur canon RR 551 permet de lire les disquettes en question Une carte num riser Targa 16 fait correspondre 512 lignes de 512 pixels une image vid o enfin un programme informatique mis au point par B Verez repositionne les joueurs sur un cran vid o repr sentant un terrain de basket partir d un logiciel qui transforme les positions observ es pour retrouver les positions r elles Conclusion L hypoth se de d part est la suivante La vitesse peut elle seule cr er des solutions offensives au moins aussi favorables que celles obtenues par des combinaisons sur attaque plac e Une analyse quantitative souligne l importance de ce type d attaque chez Limoges la vitesse des joueurs de cette quipe appara t comme un facteur particuli rement d terminant de l adoption d une telle strat gie L enregistrement de certaines donn es a permis de pr ciser la r alit des observations 9 8 m s comme vitesse instantan e sans ballon pour un joueur et 7 enregistrements de vitesse sup rieure 9m s Les vitesses maximales en dribble se font en plein centre il y a perte de vitesse lorsqu il y a n cessit de fixer 1m s du point de vue de l habilet il ressort que la difficul
118. de facteurs d terminants parmi lesquels la vitesse la force explosive l impulsivit l extraversion et la domination C est dans cette perspective de d veloppement des proc d s d entra nement la performance basse que doivent tre entrevues certaines propositions favoriser les encha nements d actions en jouant sur les facteurs temps ex succession rapide de lancers de balle dans une zone d fendre et espace ex variation des trajectoires de lancers varier les formes et vitesses de d placement ex circuits am liorer les facteurs d ex cution sp cifiques ex renforcement musculaire pliom trie Essai d analyse de la prise d information visuelle chez le passeur en volley ball COULIBALY Z 1984 89 p 1 p de bibliographie 11 r f rences Population d exp rimentation 8 joueuses de l quipe Nationale de France volley ball 4 attaquantes et 4 passeuses 4 entra neurs Nationaux de volley ball 3 fran ais et 1 africain Protocole exp rimental Utilisation d un mat riel d enregistrement photo oculographique de type Nac Eye Mark Recorder Magn toscope pour pr sentation de s quences Conclusion 15 s quences de jeu sont pr sent es des joueurs et des entra neurs experts pour d terminer l aide d un dispositif permettant de mat rialiser sous la forme d un petit V lumineux la position de l oeil du sujet dans le champ ce syst me
119. de base peut tre nonc e ainsi la situation d am nagement du milieu groupe A se r v le au d but de l apprentissage plus apte provoquer une modification positive du comportement du sujet que la situation p dagogique privil giant les explications verbales et l utilisation de la d monstration groupe B Les tests ils ont t faits sur un slalom Aucun groupe n ayant utilis ce mode d apprentissage la t che tait nouvelle pour les deux Tous les tests ont t syst matiquement enregistr s au magn toscope premier jour test sur un virage deux essais en d but de s ance deux essais en fin de s ance les jours suivants les tests ont t enregistr s en fin de s ance sur deux puis trois virages La notation concernant une situation d encha nement de deux virages a t la suivante 1 virage ex cut skis parall les donne lieu attribution de 4 points 2 virages encha n s en chasse neige ou l aide d une autre technique pas tournant stem donne lieu attribution de 4 points 1 virage en chasse neige ou pas tournant 1 point 2 virages encha n s skis parall les 8 points Un double syst me d observation et d valuation a t mis en place pour recueillir des donn es 1 une observation directe dans laquelle pour chaque groupe deux observateurs taient charg s de faire un relev pr cis sur des fiches fiches d valuation technique et fiches motivations
120. de bibliographie 111 r f rences Population d exp rimentation 30 gar ons l ves venant d tablissements secondaires de Paris et d Ozoir la Ferri re entre 13 et 14 ans Moyenne de leur poids et de leur taille 45 6 kg pour 155 cm Protocole exp rimental Les sujets ont effectu deux preuves d effort en laboratoire une preuve sur cycloergom tre et une preuve sur marches Les param tres physiologiques volume ventilatoire consommation d oxyg ne quotient respiratoire ont t mesur s gr ce un dispositif automatique de mesure des chantillons gazeux en circuit ouvert La mesure de la fr quence cardiaque a t r alis e l aide d un appareil lectrocardiographique L appareil de mesures m taboliques Metabolic Measurement Cart Beckman permet la d termination de param tres ventilatoires soit en mode manuel soit en mode automatique Les mesures de concentration d oxyg ne et de gaz carbonique sont respectivement effectu es gr ce un analyseur d oxyg ne Beckman OM IT et un analyseur de gaz m dical LB2 Beckman Une calculatrice programmable avec imprimante Monroe mod le 1810 r alise les op rations programm es du mode automatique Des capteurs additionnels assurent les mesures de volume pression et temp rature des gaz Deux preuves de terrain ont compl t le programme d investigation une preuve de 9 min de course et une preuve de 12 min de course
121. de bibliographie 39 r f rences Voir p 14 gt gt AUBERT M Handball Analyse des difficult s de l arbitrage Contribution au perfectionnement des arbitres 1981 181 p 7 p de bibliographie 84 r f rences annexe Voir p 109 gt gt AVRAMIDIS K Trente cinq minutes d athl tisme l intention des Lyc ens de Gr ce 1980 92 p 1 p de bibliographie 9 r f rences gt gt AVRAMIDIS K Place de la pratique de l athl tisme dans l enseignement de l Education Physique en Gr ce Proposition d une p dagogie d athl tisme au niveau de l cole primaire 1981 78 p 1 p de bibliographie 9 r f rences gt gt AZIZZOLAH G Evaluation de jeunes skieurs de fond Incidences sur les formes de comp tition et d entra nement 1981 195 p 14 p de bibliographie 125 r f rences Voir p 83 B gt gt BAGGIONI E P dagogie de l enseignement du ski aux enfants comportements et motivations suivant les m thodes d apprentissage 1980 120 p 8 p de bibliographie 83 r f rences annexes Voir p 81 gt gt BALLARINI I Profil psychologique des joueurs de haut niveau et moments cruciaux des rencontres 1992 133p 7 p de bibliographie 83 r f rences annexes Voir p 30 gt gt BARC Approche physiologique de la condition physique chez l enfant 1978 96 p 13 p de bibliographie 111 r f rences Voir p 104 gt gt BARBREAU E
122. de ces aspects tr s concrets demeure la question de la pr sence de la gymnaste cette notion est tr s floue difficile objectiver en termes de comportements observables L opinion la plus commun ment admise est qu elle est plut t inh rente la personnalit de la gymnaste ou du danseur qu elle d pend de son temp rament artistique La gymnaste doit trouver une forme d expression personnelle dans la composition afin de pouvoir s engager totalement lors de la pr sentation de son encha nement Un certain nombre de perspectives sont en fin de M moire dessin es par l auteur Etude du contr le sensori moteur d un quilibre de luxe l appui tendu renvers POZZO T 1989 59 p 11 p de bibliographie 95 r f rences Population d exp rimentation 20 gymnastes confirm s divis s en 2 groupes de 10 sujets les uns tant de niveau R gional et les autres de niveau National ou International Protocole exp rimental Utilisation d une plate forme de force rectangulaire de type Kistler elle est munie chaque coin d un capteur pi zo lectrique qui mesure localement la force verticale exerc e sur la plate forme Ce signal converti en tension est amplifi puis num ris sur un calculateur PDP Minc 23 gr ce un convertisseur analogique num rique Le calcul des d placements du CF partir des signaux chantillonn s est effectu en diff r gr ce un lo
123. de haies hautes avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt PARCOURS COORDINATION MOTRICE GENERALE en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt BATTERIE EVAREG au sujet de la valeur physique d athl tes en Handball avec Filliard J R 1987 voir p 119 en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt TESTS DE TERRAIN POUR MESURE DE LA DETENTE DONT TRIPLE SAUT en Volley ball avec Berjaud S 1988 voir p 98 gt gt TESTS DE TERRAIN POUR MESURE DE LA DETENTE CONDITION SJ CMJ DJ en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt TIRS AU BUT DECLENCHES A 9 M EN SUSPENSION AU DESSUS D UN RIDEAU en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt TESTS MOTEURS ET PSYCHOMOTEURS MESURE DES APTITUDES issus de la batterie Fleishman ou de celle d Eurofit en Voile l g re avec Courty J Th 1989 voir p 93 en Natation avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt TESTS DE TERRAIN AUTRES SPORTS QUE SPORTS COLLECTIFS en Kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 en Cano kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt SITUATION D APPUI TENDU RENVERSE en Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt TACHES DE GRIMPER SUR MUR OU STRUCTURE ARTIFICIELLE avec Deligni res D 1990 voir p 40 avec Viens T 1992 voir p 41 gt gt TAPIS ROULANT AMENAGE MARQUAGE AU SOL METTRE LES PIEDS DANS LES CIBLES en Esca
124. de la main L analyse de la radiographie est faite sur vingt os 3 Mesure de la CT 170 la capacit de travail 170 pulsations par minute est la quantit de travail que peut fournir un individu pour une fr quence cardiaque donn e de 170 pulsations par minute Elle rend compte de la valeur physique des enfants elle met en liaison le travail m canique fourni par Penfant et sa participation cardio vasculaire Bar 1979 Bien que ne rendant pas compte du potentiel a robie cette preuve d effort sous maximal est utilis e de plus en plus souvent principalement avec des enfants Plus qu une preuve maximale elle rend compte de l adaptabilit de l enfant au cours de l effort Gutin et Stewart 1976 Bar 1978 L enfant monte sur la bicyclette et l preuve d bute par la mise en place des lectrodes on demande au sujet de ne pas parler et de se concentrer sur le rythme de p dalage impos 55 60 tours par minute en fixant le cadran du tableau de bord Le test est administr partir des normes par ge et par sexe de la Canadian Association for Health Physical Education and Recreation C A H P E R 1968 Le sujet p dale 12 minutes trois paliers de 4 minutes s encha nant de fa on continue avec des charges de travail allant en croissant de fa on amener le coeur aux fr quences suivantes ler palier F C 115 130 2 me palier F C 130 145 3 me palier 160 180 A la fin de l preuve la fr que
125. de sauts de lapin cran saut en contre bas de 2m minimum et questionn e pass physique des sujets Un test initial concernant les t ches propos es a t galement pratiqu La premi re condition est que la t che soit quantifiable de telle sorte qu on puisse mesurer son volution au fil des s ances Nous pensons tablir x s ances selon un plan minutieux Les le ons seront standardis es Les informations seront aussi claires que possible Les r p titions seront en nombre gal Les groupes seront enregistr s individuellement les l ves se verront seules Le groupe Gna fonctionnera en p dagogie traditionnelle sera film en d but et en fin de s ance sur les deux t ches demand es Le groupe Ga fonctionnera en p dagogie traditionnelle avec utilisation de l autoscopie Au cours de la r p tition des t ches chaque sujet sera film et pourra se voir individuellement apr s chaque essai l aide du dispositif suivant d crit et perfectionn par Simonet P Nous utiliserons la d nomination SARDIS ou Syst me Autonome de restitution Diff r e de l Image et du Son Au niveau du contr le nous soumettrons les performances des sujets un jury de quatre personnes charg es d appr cier et de quantifier certains aspects bien d finis ils auront examiner sans aucun contact direct avec les sujets l enregistrement du test initial et final dans des circons
126. de travail 170 et preuves de longueurs ou dur es diff rentes de 1200 m tres 30 minutes TROUILLON P 1978 61 p 6 p de bibliographie 67 r f rences annexes dont cross contrat Voir rubrique THEMES GENERAUX gt 1978 Trente cinq minutes d athl tisme l intention des Lyc ens de Gr ce AVRAMIDIS K 1980 92 p 1 p de bibliographie 9 r f rences Dans ce m moire sont rapport s les l ments de base qui concernent la technique des preuves d athl tisme ainsi que quelques exercices pour chaque preuve Place de la psychologie dans l athl tisme Etude des concepts et des courants d id es dans la Revue de P Amicale des entra neurs fran ais d athl tisme PATEFFOZ B 1980 168 p 4 p de bibliographie 24 r f rences L auteur part de ce constat que si la psychologie a p n tr tous les domaines de la culture il semble qu en ce qui concerne les activit s sportives et plus particuli rement l athl tisme on observe davantage un ph nom ne de rejet ou de m fiance vis vis des courants actuels qu un ph nom ne d implantation De fait le professeur d ducation physique pour claircir sa pratique sollicite les sciences humaines en g n ral et a psychologie en particulier Ne devrait on pas retrouver la m me demande avec la m me insistance chez l entra neur d athl tisme Deux obst
127. des conclusions de l auteur me semble enfin tout fait int ressante mentionner une tude des judokas cas par cas a permis de d terminer une nouvelle forme d entra nement gr ce la mise en rapport des techniques employ es et des qualit s physiques exprim es par la batterie de Fleishman Cette approche de la conception de l approche de l entra nement est toute nouvelle en judo o jusqu pr sent un entra nement collectif la japonaise a pris le dessus y compris dans l esprit des comp titeurs Or partir des donn es techniques et des donn es physiques le judoka aura un programme personnel suivre Ce programme annuel individualisera le travail de chacun et rendra ce travail efficace au milieu du travail de groupe Cette tude doit tre cependant compl t e par des analyses ayant trait aux domaines physiologiques psychologiques et biom triques Enseigner le judo aujourd hui une analyse sociologique POUILLART G 1979 252 p bibliographie ins r e apr s chaque partie annexes M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Pour le d veloppement des activit s physiques et sportives et en particulier du judo en Centre Afrique les enseignements de l volution et de l organisation de cette discipline au Japon et en France BELEGOE A B 1981 177 p 3 p de bibliographie 31 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage
128. distance gale l amplitude pr c demment d finie 3 Mesurer les forces maximales et les puissances musculaires d velopp es dans diff rentes vitesses gestuelles le sujet effectue dans chaque mouvement une s rie de neuf efforts maximaux La vitesse maximale de d placement de la barre d cro t chaque essai les vitesse impos es en cm s sont les suivantes 250 200 150 100 70 50 32 16 8 cm s Un temps de r cup ration de 2 min est m nag entre chaque essai de telle sorte qu aucun effet de fatigue ne puisse tre rencontr Conclusion Cinq hypoth ses ont t test es L hypoth se selon laquelle les judoka les plus performants aujourd hui en judo sont ceux qui ont obtenu les meilleures performances lors des tests de s lection n est pas v rifi e La diff rence de niveau de performance en judo entre les athl tes de haut niveau et ceux de la population de r f rence ne peut s expliquer au seul regard des qualit s physiques en tout cas pas sur celles qui ont t mesur es dans le cadre de cette recherche Le pr sent travail montre que les performances des judoka de haut niveau dans les cat gories minime et espoir ne sont pas r v latrices de qualit s physiques exceptionnelles puisqu elles se situent autour de la moyenne g n rale de celles enregistr es chez la population de r f rence la d tection doit donc se nourrir d un certain nombre d autres consid rations Encore qu il faill
129. doivent d tre des strat ges C est dire que pour pouvoir remplir cette fonction il faut tre en possession d un champ de connaissances suffisant non seulement au sujet de ce qui a trait au domaine de pr dilection mais galement et ceci n a pas t jusqu pr sent suffisamment soulign au sujet de ce qui a d j t tent et r alis dans d autres disciplines La question de l efficacit de nos actions que celle ci concerne l apprentissage ou que celle ci concerne l entra nement du sportif de plus haut niveau ne peut tre envisag e sans qu il soit fait preuve d une v ritable culture sportive tat des connaissances th oriques issues de la recherche et des proc d s de type op ratoires et technologiques qui accompagnent l volution Un des probl mes de l acquisition d une telle comp tence dans notre domaine comme dans beaucoup d autres d ailleurs est cons cutif l hyper sp cialisation et au morcellement des connaissances qui d coulent de nos formations comme l crit tr s justement A Midol UER STAPS Lyon 1 une seule science ne pouvant elle seule r soudre les probl mes il devient n cessaire de faire appel toutes sans trahir aucune mais au del de cette recherche de connaissances et de production de connaissances nouvelles la pr occupation constante est de les int grer dans une vision dynamique d ensemble et de les construire en mod le th orique d optimisatio
130. du d placement fa on de frapper la balle Concernant les deux autres tests Nous avons cherch des tests aussi simples que possible impliquant les capacit s perceptivo motrices et liminant les aspects intellectuels Le manuel pour l examen psychologique de l enfant de Zazzo 1979 nous a fourni les principales donn es pour la construction de nos t ches motrices Tout d abord nous nous sommes inspir s de l preuve des pointill s o le sujet doit couvrir d un trait de crayon des lignes en zigzag d limit es par des pointill s de 2 mm La pr cision est marqu e par le nombre de tirets couverts par le crayon Pour le deuxi me test nous avons labor une t che o la notion de pointage appara t avec plus de force Il s agit pour le sujet de placer la pointe de son crayon au centre d un petit cercle de 2 mm de diam tre Les cibles sont plac es irr guli rement afin d viter toute automatisation tout r glage du geste qui entra nerait une augmentation de la vitesse Dans les deux cas les enfants sont invit s r aliser le meilleur score possible dans un temps donn 1 min On vite d insister sur l un ou l autre des deux facteurs afin de laisser s exprimer le style d adaptation de l enfant Ces tests ont permis de caract risation des en fonction des tendances plus ou moins impulsif ou plus ou moins r fl chi tous les sujets Conclusion L observation des strat gies de renvoi m
131. e contre un mur Les performances chronom triques ont t enregistr es 3 Nous avons galement demand aux instituteurs de classer les enfants en trois niveaux de compr hension des consignes 4 Pour r soudre le probl me du feed back par vid o et de l observation diff r e de l image nous avons utilis le dispositif qui couple deux magn toscopes bande Sony l un fonctionnant comme enregistreur reli la cam ra l autre utilis comme lecteur reli au moniteur SIMONET 1979 Conclusion Notre r flexion s est enrichie de deux types d informations A Les travaux consacr s l tude de la connaissance des r sultats de l observation d un mod le et du feed back par vid o s appuient dans leur grande majorit sur les performances imm diates cons cutives la s quence d apprentissage acquisition et mentionnent rarement des performances diff r es Les r sultats de notre travail nous inclinent diff rencier les modifications ph m res de comportement de celles qui se caract risent par une permanence L observation d un mod le d action jouerait un r le important lors de la phase d acquisition mais cet effet se diluerait dans le temps alors que la communication d un feed back par vid o modifierait de fa on plus permanente le comportement B Mais ces hypoth ses sont nuancer en fonction de diff rents facteurs comme la nature de la t che la complexi
132. en Athl tisme avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt ANALYSE DES PERFORMANCES EN TIR TECHNIQUES DE PREPARATION la Carabine avec Horvath L 1986 voir p 88 gt gt DISCOURS TECHNIQUE SPORTS COLLECTIS avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt BASES TECHNIQUES DE L ARCHER avec Colmaire P 1987 voir p 88 gt gt ANALYSE TECHNICO TACTIQUE DE L ATTAQUE EN NAGE WAZA JUDO DEBOUT avec Rambier R 1987 voir p 64 gt gt TYPE D IMPULSION A ENCOURAGER VOLLEY BALL avec Berjaud S 1988 voir p 98 gt gt ANALYSE COMPARATIVE DES TECHNIQUES DE NAGE avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt ENTRAINEMENT PHYSICO TECHNIQUE EN FOOTBALL avec Kae Oula G 1988 voir p 45 gt gt ANALYSE D UNE TECHNIQUE DE JUDO UCHI MATA avec Antourel S 1989 voir p 65 gt gt STRATEGIES ET COMPORTEMENTS POSTURAUX EN SITUATION DE TEMPS DE REACTION GARDIENS DE BUT en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt LE TIR A TROIS POINTS EN BASKET BALL avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt LA COURSE D ELAN CHEZ DES SAUTEURS EN LONGUEUR AVEUGLES avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt REALISER UN APPUI TENDU RENVERSE ROLE DES INFORMATIONS en Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt COMPREHENSION DES INFORMATIONS PUREMENT TECHNIQUES DIFFERENCE ENTRE LES SEXES en Escrime avec Salesse M 1989 voir p 120 gt gt FAUSSE TECHNIQUE DESTINEE A LEURRER LE PARTENAIRE LES FEINTES en Boxe f
133. en Handball avec Anti T 1991 voir p 58 gt gt GRILLE D OBSERVATION TRANSITION COMBAT DEBOUT COMBAT AU SOL en Judo avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt CRITERES D OBSERVATION DEPLACEMENTS ET ACTIONS DE JEU en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 OUTILS METHODOLOGIQUES FORMULES MATERIEL DIVERS gt gt METRONOME en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt DATASCOPE 860 C AFFICHAGE INSTANTANEE DE LA FREQUENCE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt CHRONOMETRE ELECTRIQUE en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt PROJECTION D UN FILM EN GUISE DE REFERENCE PERMANENTE image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt FORMULE DE DURNIN ET RAHAMAN 1967 POURCENTAGE DE GRAISSE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 Courses de longue dur e sur une population d enfants de 12 15 ans avec Trouillon P 1978 voir p 106 en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 en Athl tisme Vitesse avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 gt gt FORMULE DE DURNIN ET WOREMSLEY CONCERNANT LE POURCENTAGE DE MASSE GRAISSEUSE POUR POPULATIONS AYANT DEPASSE 17 ANS en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt EQUATION DE SIRI 1956 MASSE VOLUM
134. es dans la cible l cart moyen par rapport la cible Les groupes variabilit al atoire et variabilit progressivit obtiennent de meilleurs r sultats que ceux des groupes progressivit et pratique constante Des tests de r tentions sont ensuite effectu s plus ou moins long terme les r sultats obtenus pr tent discussion m me s il appara t une nouvelle fois que G1 obtient de meilleurs r sultats ceux ci ne sont pas toujours significatifs Une autre exp rience s est d roul e sur le terrain en situation cologique c est dire dans le cadre de l acquisition d habilet s sportives en hockey sur gazon il s agissait de confirmer sur un cycle long l ventuelle supr matie d un enseignement centr sur la variabilit et la progressivit des t ches par rapport un type d enseignement que l on qualifie de traditionnel Lors d une huiti me s ance trois post tests et une preuve de jugement en situation de jeu sont propos s aux diff rents groupes la sup riorit du premier type d apprentissage se r v le de fa on particuli re quand la t che pr sente un haut niveau d incertitude spatiale temporelle et v nementielle Il s agit en fait de diff rences affectant le stade de la prise de d cision Dans le groupe 1 les sujets confront s des situations alternatives dont la complexit est progressivement accrue ont pu construire des strat gies d
135. et culturel Le questionnaire activit s sportives a t mis au point dans un m me cadre il se veut prendre en compte l volution de la carri re sportive du sujet ses go ts et ses attitudes envers le sport ses motivations les facteurs d terminants de la pratique et de l adh sion cette pratique les rapports entra neur entra n 6 L entretien semi directif nous avons abord au cours de l entretien semi dirig diff rents th mes concernant la pratique sportive de haut niveau notamment le choix de la pratique le v cu de la comp tition les rapports du sport de haut niveau et la f minit etc Conclusion Notre hypoth se supposait l existence d un profil g n ral de l athl te f minine de haut niveau Nous avons relev une agressivit de la femme sportive moins d velopp e que celle des hommes Par contre cette agressivit s exprime sous des formes plus nuanc es plus d grad es dans le sens de la spontan it et de l impulsivit Cette impulsivit g ne parfois la ma trise et la stabilit motionnelle de l athl te cette stabilit motionnelle restant moyenne Par contre l impulsivit ne semble pas nuire la r sistance au stress Par ailleurs l anxi t manifest e par les athl tes f minines reste dans la norme et exerce son influence motivante Sur le plan de la motivation nous avons constat l influence d terminante du besoin d act
136. eux pr sentent des courbes de progression en dents de scie Concernant les t moignages 1 cas d un lanceur de niveau Mondial responsable d un accident lors d un entra nement 2 t moignage d un entra neur d athl tisme r put J O de 1968 Mexico 3 t moignage de T Smith champion Olympique en 1968 sur 200m auteur d un chrono historique 4 extraits d interviews de B Beamon champion Olympique de la longueur en 1968 avec 8m90 5 t moignage d un entra neur non expert qui obtient cependant de bons r sultats 6 t moignage d une carri re en dents de scie par un excellent coureur de 400m Fran ais 7 observation de la carri re de J M recordman de France du 800m 8 t moignage d un coureur de 400m qui promettait entre tudes blessures et ruptures affectives 9 cas d une sprinteuse probl mes d identification 10 un exemple de relation entrafneur entrafn e demande affective transfert 11 un exemple de transformation li e la r solution d un probl me psychologique chez une coureuse 12 histoire d un junior prometteur 800m Protocole exp rimental Technique du questionnaire pour une analyse ph nom nologique 16 questions Entretiens dans une perspective d appr hension clinique nous nous sommes donc entretenus avec diff rents sujets sportifs A partir d une question ouverte ils ont racont librement l histoire de leur vie sportive Il s agit de rep rer l
137. gamme de poids 63 85 kg Enfin repr sentant le groupe t moin un 3 me chantillon constitu de 7 sujets qui n ont jamais pratiqu cette discipline 67 82 kg Protocole exp rimental Mat riel utilis 1 un statokin sim tre celui ci pr cise la projection du centre de gravit sur le plan horizontal de pose des pieds lorsque le sujet se trouve debout gr ce un syst me lectronique 2 une table tra ante permettant d enregistrer les variations de signaux lectroniques selon deux axes 3 un podom tre lectronique de type PEL 38 P3 Les forces exercer devant tre les m mes pour les trois classes d chantillon les gammes de r sistances s lectionn s ont t de 20 d caNewton dans le plan sagittal et de 10 d caNewton dans le plan frontal des angles de r f rence ont t d termin s pour les segments sup rieurs du corps en fonction de l attitude du judoka en garde fondamentale Deux situations quant au positionnement des pieds ont t test es pieds 45 talons rapproch s et pieds parall les cart s d environ 20 cm Compte tenu des r sultats la premi re position a t adopt e Conclusion L auteur a cherch d finir et quantifier les zones de pression podales caract riser les zones d hyperpressions pour des configurations analogues sous les pieds des judokas de haut niveau enfin comparer les empreintes podales des judokas et des non judokas p
138. gories Population d exp rimentation 1 re exp rimentation population constitu e par l ensemble des judoka de sexe masculin qui ont postul l entr e des CPEF de 1986 1989 Pour chacune des cat gories d ge nous avons distingu les judoka qui sont aujourd hui au plus Haut niveau National voire International et les judoka dont la progression n a pu malheureusement atteindre ce niveau Ainsi le premier groupe sera appel population de Haut niveau et le second population de r f rence Le crit re minimum d appartenance au premier groupe est celui d une participation au championnat de France excellence Senior qui regroupe les 16 meilleurs judoka de la cat gorie au niveau National 2 me exp rimentation la population tudi e est constitu e par les judoka de PI N S E P Nous avons ainsi test 56 judoka masculins r partis en sept groupes qui correspondent aux cat gories de poids de la FFJDA Ces judoka font partie des 26 meilleurs judoka Fran ais dans leur cat gorie de poids puisqu ils disputent le championnat de France excellence L tude a galement concern 12 boxeurs qui sont les boxeurs du groupe Elite de l I N S E P Protocole exp rimental 1 re exp rimentation trois tests issus de la batterie EVAREG c est dire valuation des athl tes dans les centres r gionaux ont t retenus il s agit du test de Luc L ger du saut Abalakov et des tractions la barre f
139. gt gt PHYSIOLOGIE DU SKI DE FOND avec Azizzollah G 1981 voir p 83 gt gt TRAVAIL A SEC PROPOSITIONS en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt PREPARATION SPORTIVE LA RELAXATION avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt ACCLIMATEMENT EN ALTITUDE PERSPECTIVES POUR UN ENTRAINEMENT ADAPTE en Football avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt EFFORT EN ALTITUDE ET RETOUR AU NIVEAU DE LA MER MODIFICATIONS HEMATOLOGIQUES en Football avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt MENSTRUATION ET PRATIQUE DE HAUT NIVEAU avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt RENFORCEMENT MUSCULAIRE A DIFFERENTS ANGLES INFLUENCE DE LA SPECIFICITE ANGULAIRE LORS D UN ENTRAINEMENT ISOMETRIQUE avec Th paut Mathieu C 1982 voir p 113 gt gt INFLUENCE DE LA RECUPERATION ACTIVE EFFETS DE DIFFERENTES MODALITES DE RECUPERATION SUR LA CONCENTRATION PLASMATIQUE DU LACTATE en Natation avec Dufort C 1983 voir p 72 gt gt INFLUENCE DE L AUGMENTATION INDUITE DU PH SANGUIN SUR LE METABOLISME ANAEROBIE LACTIQUE EXERCICE D INTENSITE SUPRAMAXIMALE avec Estrade P Y 1984 voir p 116 gt gt CONTRAINTES PHYSIOLOGIQUES PAR POSTE EN RUGBY avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt EFFETS DE LA MUSCULATION EXCENTRIQUE SUR LES PROPRIETES ELASTIQUES DU MUSCLE avec Pousson M 1984 voir p 117 gt gt ENTRAINEMENT DE LA FORCE MUSCULAIRE USAGES DANS DIFFERENTS SPORTS CONCEPTION avec Renault A 1985 voir p 117 gt gt APPR
140. gymnaste et une note relative la difficult des exercices pr sent s L chelle de notation propos e va de 1 4 sans note moyenne afin d amener les observateurs se situer nettement par rapport la m diane Pour les notes d expressivit et de difficult 3 gradations sont assorties de qualificatifs 1 peu 2 assez 4 tr s 3 n en comporte pas Concernant l association libre de mots il a t demand aux sujets d associer librement l encha nement ou la s quence observ e 3 mots et de les transcrire dans l ordre o ils leurs taient venus l esprit Il a d abord t tabli un classement de ces mots en fonction des cat gories grammaticales Une 2 me cat gorisation a t effectu e permettant de distinguer les mots pouvant tre rapport s la gymnaste les mots pouvant tre rapport s la prestation les mots pouvant tre rapport s indiff remment la prestation ou la gymnaste les mots se rapportant un r f rent ext rieur caract re m taphorique ou m tonymique Enfin un 3 me niveau de classification a t propos fa on de faire qui concerne plut t l ex cution fa on d tre ce qui rel ve de jugements de valeur les caract ristiques caract re de la gymnaste composition de l encha nement ce qui a trait l effet produit sur les spectateurs etc Utilisation du diff renciateur s mantique
141. inf rieurs sont quasi ind pendants de la localisation du tir b le fait que le gardien de but a d j d cid et lanc les programmes moteurs correspondants aux mouvements particuliers de la parade qu il va produire avant la vision du geste terminal du tireur Il r alisera sa parade d autant plus vite et avec une pr cision optimale qu il s y sera sp cifiquement pr par e Contribution l analyse du jeu en in galit num rique ANTI T 1991 135 p 4 p de bibliographie 28 r f rences annexes encodage et crit res des matchs Population d exp rimentation 11 clubs du championnat de France de N1A masculin 1990 91 et plus particuli rement les clubs class s aux huit premi res places La contrainte f d rale impos e aux clubs d lite d enregistrer sur bande vid o et en continu leurs rencontres domicile a permis de s int resser 27 rencontres choisies selon les crit res suivants rapport de force quilibr entre les quipes nombre d exclusions qualit des bandes enregistr es facilit de se procurer et de copier les bandes Protocole exp rimental Sur chaque bande vid o a t incrust un chronom trage au 1 10 me de seconde permettant une bonne pr cision temporelle dans l observation Utilisation parall lement d un P C quip du logiciel ARBREGEST la proc dure d acquisition se faisant l aide d une table digitalisante Conclusion Si certains da
142. l auteur les aspects affectifs relationnels ne sont pas facilement perceptibles ils peuvent cependant affecter l efficacit motrice Les ignorer serait amputer les individus d une part de leur personnalit Le tissu relationnel qui se noue entre les individus appara t d autant plus important quand on consid re non plus l efficacit individuelle mais l efficacit des interactions motrices A ce titre la force d un managerat consiste favoriser tous les moments et toutes les phases d un match l efficacit des interactions qui conduiront la victoire e APPRECIATION DE LA VALEUR PHYSIQUE DES FUTURS ATHLETES DE HAUT NIVEAU Un exemple le handball Mise au point d un programme informatique de traitement des donn es en temps r el Filliard J R 1987 96 p 5 p de bibliographie 45 r f rences annexes descriptif des batteries de tests et r sultats Population d exp rimentation Sujets adultes d sign s par les techniciens pour se pr senter comme candidats l acc s dans les centres de Haut niveau et donc une carri re Internationale 48 handballeurs 21 ans et 8 mois 27 volleyeurs 17 ans 15 basketteurs 17 ans et 1 mois 10 hockeyeurs 17 ans 39 handballeuses 21 ans 19 volleyeuses 19 ans 5 basketteuses 16 ans et 1 mois 4 hockeyeuses 17 ans Protocole exp rimental R f rence la batterie de tests EVAREG valuation des athl tes dans les centres
143. la cheville il permet un d placement du pied dans le sens post ro ant rieur Une cha ne de mesure est mise en place parall lement depuis les lectrodes de surface plac es sur le sol aire jusqu l oscilloscope en passant par un goniom tre un acc l rom tre mesure de l acc l ration angulaire une jauge de force force isom trique d extension de la cheville d velopp e des amplificateurs diff rentiels un magn tophone et un enregistreur papier Conclusion L enregistrement des performances r alis es apr s entra nement pliom trique corrobore globalement ce que d autres tudes ont pu d montrer celles ci TADJORE BERJAUD et BOSCO font ressortir une am lioration de la d tente plus importante en condition CMJ Countermouvement Jump qu en condition SJ Squat Jump et en condition DJ Drop Jump qu en condition CMJ D un point de vue scientifique l ensemble de cette recherche pr sente l originalit d allier une analyse de type r flexologique et une analyse biom canique La conjonction de ces 2 analyses a permis d avoir une vue plus ample sur les modifications des m canismes et surtout de mettre en vidence les interrelations existant entre ce qui est d ordre structurel myotypologie d ordre neurologique modification de la r activit des fuseaux neuro musculaires et de l excitabilit des motoneurones a au niveau spinal et d ordre m canique transmission des forces et prop
144. la proposition de normes tablies en fonction de l ge et du sexe celles ci permettent de situer les sujets valu s par rapport aux r sultats obtenus au plan national int r t du point de vue de la d tection de la s lection et de l orientation de l entra nement Cette recherche a galement permis de mettre en vidence un certain nombre de connaissances tout fait fondamentales pour exercer les m tiers de formateur et d entra neur ou encore concernant la pr diction de performance volution de la VO2 max en fonction d un certain nombre de crit res tels que l ge le sexe l entra nement et la sp cialit vitesses atteintes diff rentes VO2 max et fr quences cardiaques correspondantes enfin mise en vidence de la cin tique VO2 Fr quence cardiaque Vitesse La deuxi me partie de l tude a permis d estimer l impact qu occasionne le port de l appareil pour des nageurs La fin du M moire a vocation pratique puisqu elle se veut sugg rer les vitesses de nage interm diaires partir de la vitesse atteinte au VO2 max Sp cialit en natation et traits de personnalit DUBOIS C 1988 174 p 3 p de bibliographie 34 f rences annexes dont exemplaire des questionnaires utilis s et feuilles de profil Population d exp rimentation Les dix sections Sport tudes de la France m tropolitaine et le Centre National d Entra nement implant l I N S E P
145. la suivante par un minimum de deux jours et l ordre dans lequel elles se d roul rent n tait pas pr alablement connu des nageurs 3 L enregistrement des donn es mesures directes des VO2 max dans l eau recueil des gaz contr le de la vitesse de d placement par modulateur programmable les sujets nagent au dessus des lampes contr le de la fr quence cardiaque un lectrocardiographe permit gr ce ses lectrodes rendues tanches d enregistrer la F C la lactat mie un pr l vement de 100 microlitres de sang fut effectu au lobe de l oreille pr alablement vaso dilat par une pommade r pulsive apr s le repos initial entre chaque 100m et d une mani re s quentielle l issue du dernier 100m au cours des diff rentes modalit s de r cup ration Conclusion Cette tude a permis de mettre en vidence quatre points principaux 1 La r cup ration active des intensit s variant de 55 72 de VO2 max fut plus efficace que la r cup ration passive pour liminer le lactate du plasma 2 Les nageurs sont apparus capables de choisir librement la vitesse optimale de r cup ration la mieux adapt e apr s un exercice supra maximal 3 La vitesse de d croissance du lactate pendant la nage semble plus lev e que celles observ es sur cyclo ergom tre et sur tapis roulant 4 Il appara t que si apr s une comp tition entra nant une forte acidose un sujet continue de nager une vitesse correspondant
146. le d crit pour l analyse cin matique par WINTER 1979 Deux rep res anatomiques p14 et p15 positionn s la pointe des talons droit et gauche sont ajout s ce mod le dans le but de comparer les r sultats avec certaines tudes ant rieures MORGAN et al 1990 WILLIAMS et CAV ANAGH 1987 Technique de calibrage des donn es chaque image est captur e puis digitalis e manuellement La proc dure qui conduit de la prise de vue la digitalisation des images puis l analyse des param tres cin matiques comporte le passage dans des domaines de repr sentation diff rents On passe de la r alit rep re m trique l image vid o nombre de lignes et points puis son quivalent num ris par la carte SECAD mesure en pixels ou points cran 512 x 512 puis la repr sentation informatique sur un cran en pixels et enfin la production de valeurs exprim es selon un rep rage m trique Finalement peuvent tre obtenus le d placement du CG selon plusieurs points remarquables la pose du talon au quitt de la pointe de pied etc le trac des poulaines du pied la position des angles Protocoles deux types d preuves d crites par BRISSWALTER et al 1994 sont propos s au sujet dans le m me ordre La premi re preuve est toujours un test triangulaire court de d termination de VO2 max qui permet la mesure et le calcul des caract ristiques max
147. les probl mes et l organisation de l activit th orique ce qui nous a autoris parler de r sistance active L abandon par la population dirigeante des responsabilit s sportives pourrait permettre de r soudre bien des probl mes L acceptation par ces m mes dirigeants d opinions qui divergeraient des leurs serait galement source de progr s un comportement apolitique est ce titre souhaitable La prise en compte par l institution des travaux et recherches traitant de probl mes th oriques pourrait tre encourag e La r conciliation des dirigeants et des enseignants pour une vision saine de la formation rugbystique doit tre enfin suscit e La pr action en rugby CONQUET P 1979 421 p 1 p de bibliographie 6 r f rences annexes dont code d observation des s quences film es Population d exp rimentation Joueurs Internationaux en ce qui concerne les interviews Le questionnaire a t rempli par 69 joueurs dont 45 Cadets 6 joueurs de 3 me division et 18 joueurs de 1 re division Protocole exp rimental M thodologie retenue proc d du questionnaire sur 400 distribu s 69 on r pondu interviews analyse de films Le questionnaire rev t deux formes une forme commune situer le joueur aux plans g ographique social scolaire questions relatives l apprentissage questions relatives la conception th orique que le joueur a du jeu questions re
148. marche 1994 128 p 8 p de bibliographie 85 r f rences annexes Voir p 19 gt gt FREVILLE P Le sportif de haut niveau face ses droits et obligations au plan l gislatif et r glementaire Etude r alis e par une analyse de contenu des textes et une enqu te aupr s des sportifs de l INSEP 1994 140 p 7 p de bibliographie 89 r f rences annexes importantes G gt gt GAJER B Evolution de la foul e au cours du 800m 1995 81 p 3 p de bibliographie 29 r f rences annexes Voir p 20 gt gt GENARD B Contribution l am lioration de l entrainement en Pentathlon Moderne Effets de cinq entrainements caract ristiques du Pentathlon Moderne sur la r alisation d une t che de Temps de R action de Choix 1990 129 p 6 p de bibliographie 59 r f rences annexes importantes Voir p 77 gt gt GIALLURACHIS D Les tests physiques en judo Incidences sur la d tection et l entra nement du judoka de haut niveau 1993 137 p 7 p de bibliographie 50 r f rences annexes Voir p 68 gt gt GIUNTI R Analyse de l effort en planche voile olympique 1990 159 p 11 p de bibliographie 65 r f rences annexe Voir p 93 gt gt GOTTSMANNF Etude technique de la frappe au karat en vue d applications p dagogiques 1977 62 r f rences 1 p de bibliographie 7 r f rences annexes Voir p 69 gt gt GROSGEORGES B Anal
149. mesures anthropom triques les mensurations utilis es sont celles du Programme Internationnal de biom trie compl t es par certaines investigations d Olivier 1960 Trop nombreuses pour tre dans ce cadre restreint d taill es elles comprennent le poids les diff rentes mesures de taille debout et assis de longueur jambe bras etc de largeur biacromiale bicr tale de p rim tre thoracique en inspiration puis en expiration de la cuisse du mollet etc l envergure et le pourcentage de graisse Au total 21 relev s Concernant les tests de valeur physique ont t retenus 30m 5 foul es bondissantes d tente verticale tractions la barre fixe lancer de balle de 500g 5 sauts pieds joints dynamom tre Par la suite quatre tests suppl mentaires ont t rajout s 40m longueur sans lan navette Cooper Conclusion Actuellement la France ne figure plus sur l chiquier mondial que par quelques l ments de son quipe f minine Cette recherche n a pas pour but d analyser les raisons d une crise mais d tudier certains aspects de l entra nement et plus particuli rement de la pr paration physique chez les jeunes de 12 16 ans qui peuvent expliquer partiellement certains checs Aussi cette recherche a t elle pour but d tudier la mise en place en fonction des diff rents facteurs d un programme de pr paration physique rationnel pour les jeunes du premier groupe 13 16 ans afin de
150. ne suis pas comme je voudrais tre et les autres me per oivent encore mieux que je ne le fais 2 rejet total je ne suis pas comme je voudrais tre et les autres me per oivent encore moins bien que je ne le fais 3 ouverture je ne suis pas comme je voudrais tre mais les autres me per oivent comme je suis 4 accusation des autres je suis tel que j aimerais tre mais les autres me voient diff remment 5 harmonie je suis tel que j aimerais tre et les autres me voient tel que je suis concernant les facteurs psycho motionnels test du S T A I de Spielberger test de Gordon chelle de Rathus Concernant le S T A I ou State trait Anxiety Inventory ce test a l avantage de nettement distinguer le trait d anxi t composante de la personnalit des tats d anxi t en rapport avec certaines situations r elles ou imaginaires Concernant le test de Gordon il s agit d un questionnaire destin mesurer la personnalit dans son fonctionnement normal et quotidien Il value neuf traits principaux 1 l assurance 2 la t nacit 3 la stabilit motionnelle 4 la sociabilit 5 l estime de soi 6 la circonspection 7 la pens e originale 8 la tol rance 9 le dynamisme L chelle de Rathus a t utilis e de fa on compl mentaire celle ci permet de d terminer le degr d affirmation de soi dans les relations interpersonnelles les scores n g
151. p 1 p de bibliographie 14 r f rences gt gt REYNAUD B Acquisitions des habilet s sportives en hockey sur gazon 1988 169 p 15 p de bibliographie 140 r f rences Voir p 62 gt gt REZETTE D Acrobatie sportive Contribution l tude des informations sensorielles impliqu es dans le contr le de la posture en situation acrobatique chez les athl tes de haut niveau 1983 93 p 3 p de bibliographie 43 r f rences annexe Voir p 89 gt gt RIA B Analyse biom canique de la force propulsive du nageur 1981 144 p 8 p de bibliographie 81 r f rences Voir p 72 gt gt RIFFIOD E Contribution l tude du sport f minin de haut niveau l exemple de la condition des basketteuses fran aises 1979 353 p 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes Voir p 108 gt gt ROBERT LACAZE M Profession ducateur sportif candidats employeurs formateurs leurs repr sentations leurs attentes l exemple de la gymnastique 1994 149 p 3 p de bibliographie 51 r f rences annexes gt gt ROUCA C A Les reflets de l eau Approche sociologique des pratiques aquatiques Un exemple urbain les piscines de Paris 1985 152 p d annexes gt gt ROUX P Judo Contribution l analyse de la transition combat debout combat au sol 1990 151 p 2 p de bibliographie 13 r f rences annexes importantes Voir p 67 gt gt ROY M
152. par les athl tes que les entra neurs ce facteur de la performance ne pourrait donc tre que b n fique La concentration d pend en partie de la personnalit de chaque athl te cette hypoth se est confirm e En ce qui concerne l hypoth se d une influence de la sp cificit de l preuve sur le proc d utilis un certain nombre de caract ristiques ont pu tre mises en vidence des tableaux labor s ce niveau t moignent de l observation non seulement de crit res dominants mais galement de tendances ou singularit s propres chaque sp cialit D une mani re g n rale s impose une r flexion g n rale quant l efficacit r elle des proc d s de pr paration mentale utilis s par les athl tes Quel r le joue dans ce contexte l entra neur et quelle d marche pourrait tre propos e pour initier et former ce niveau les diff rents protagonistes Etude comparative de la foul e du sprinter et du hurdler et cons quences pour le d cathlonien Propositions relatives l entra nement PAULY O 1991 123 p 5 p de bibliographie 38 r f rences annexes r sultats d taill s Population d exp rimentation Sprinters hurdlers et d cathloniens de niveau National International Sangouma Queneherv Richard Clarico Aubert Vallayes Plaziat Levicq Gellens etc Protocole exp rimental Utilisation d une cam ra vid o transform e
153. passage sur la deuxi me cible se fait entre 0 58 et 0 60 seconde pour encha ner r guli rement les trois cibles suivantes en 0 54 seconde chacune C est dans cette vitesse la plus difficile g rer temporellement et techniquement que les meilleurs tireurs font la diff rence en exploitant le temps r glementaire 3 92 secondes en moyenne Ils r alisent ainsi les meilleures performances en cibles TRAMPOLINE Acrobatie sportive Contribution l tude des informations sensorielles impliqu es dans le contr le de la posture en situation acrobatique chez les athl tes de haut niveau REZETTE D 1983 93 p 3 p de bibliographie 43 r f rences annexe r sultats et analyses statistiques Population d exp rimentation 13 gymnastes de sexe masculin g s de 14 24 ans participant aux comp titions de la cat gorie Nationale Quatre d entre eux sont membres de l quipe de France Jeunesse et Junior Pour la deuxi me exp rience un seul gymnaste g de 18 ans dont la valeur comp titive est de niveau National a t retenu Protocole exp rimental Le support sur lequel le sujet doit r aliser les figures acrobatiques est un trampoline Il est constitu d une toile lastique situ l int rieur d une fosse garnie de mousse Afin d enregistrer les temps d appui et de suspension des diff rents sauts un catadiope est situ face une cellule
154. pendre essentiellement de la fatigue due au voyage 3 L entra nement pendant la phase de d synchronisation n est il pas nuisible la synchronisation 4 Comment accorder dans ces conditions entra nement et d synchronisation 5 Huit jours ne semblent pas suffisants pour se rendre compte du temps de synchronisation apr s un d calage de 9 heures e CONTRIBUTION A L ETUDE D UNE MEILLEURE RELATION ENTRAINEUR ENTRAINEE Salesse M 1989 73 p 3 p de bibliographie annexe questionnaire M I P G d A Abraham Population d exp rimentation Fleurettistes f minines et masculins de niveaux R gional National et International Ma tres d armes et entra neurs Nationaux Protocole exp rimental Passation d un questionnaire le M I P G Matrix of Intra and inter Individual Process in Group d Ada Abraham Seuls les huit derniers items consacr s aux traits caract ristiques de la relation tablie entre le sujet et le moniteur du groupe auquel il appartient ont t pr sent s Le questionnaire est reproduit en fin de M moire Conclusion Nous avons montr que contrairement bien des id es re ues il n y avait pas de diff rences fondamentales entre les attentes des fleurettistes f minines et masculins tout autant que les hommes elles exigent une certaine forme d autorit plus ou moins conformiste que les entra neurs ont aussi les m mes id aux et que le probl me se
155. placements de la balle en temps r el Les coordonn es des diff rents possesseurs de la balle sont donc disponibles tout moment cet outil nous permet d assimiler la balle ou un joueur un point La pr cision des informations recueillies est fiable 0 50m pr s Ce qui nous suffit actuellement pour tudier des actions tactiques Conclusion Le couplage vid o informatique repr sente une avanc e certaine il permet de caract riser automatiquement le jeu int rieur l action du joueur porteur de balle pr c dant sa passe en zone int rieure les zones spatiales correspondantes de tous les tirs r alis s par chaque joueur et par quipe le nombre exact de passes effectu es par le meneur de jeu qui il les a transmises et les zones correspondantes les dribbles effectu s dans quelles zones les actions pr c dant les tentatives de tir passe ou dribble les zones correspondantes et leurs r sultats l volution du score dans le programme visual regrouper uniquement toutes les actions de tir et l action pr c dente par quipe regrouper toutes les actions positives interception bloc shot passes d cisives etc et n gatives violation mauvaises passes maladresse finale etc pr ciser le statut du joueur dans les programmes rebond et joueur int rieur le regroupement des r sultats d analyse sur l ensemble du match et non par mi temps les r sultats demand s sans tre oblig s de retourner
156. pr cis sugg re bien des r flexions les combinaisons d attaques diversifi es apparaissent le plus souvent dans des situations initialement d favorables les situations favorables sont exploit es avec peu de prise de risque de la part de la passeuse L auteur en conclue que quelles que soient les conditions de jeu chaque joueur doit apprendre mobiliser ses ressources et ne pas attendre les situations critiques pour le faire Les repr sentations sociales du volley ball contribution l entra nement du jeune joueur DURET P 1991 187 p 7 p de bibliographie 117 r f rences annexes questionnaires destin s aux jeunes de moins de 13 ans aux entra neurs d enfants de 8 13 ans vid o questionnaires Population d exp rimentation 263 enfants s entra nant dans des clubs 125 gar ons et 138 filles dont 48 8 9 ans 94 10 11ans et 121 12 13 ans 117 enfants 67 filles et 50 gar ons adh rents de clubs de la r gion Parisienne de niveau infra national ou national Entra neurs de tous niveaux d ges et d exp riences tr s diff rents Protocole exp rimental Deux questionnaires 1 Un questionnaire enfants construit autour des th mes Matches et preuves sportives Le volley ball et Relations entre les joueurs 2 Un questionnaire adulte il repose sur l id e d un appariement entre les enfants et leurs entra neurs respe
157. pr coce provoquera un blocage de la rotation globale tr s peu apr s l horizontale et une ouverture prononc e au niveau de la poitrine Afin de pallier ces difficult s la p dagogie d s l initiation devra tre fond e sur le renforcement des fouets lors du travail des balanc s la barre fixe Ce travail devra tre associ un renforcement musculaire indispensable L tape suivante sera consacr e au travail de l encha nement fouet blocage des pointes l vation des paules suivant diff rentes intentions La gymnastique rythmique sportive Analyse biom canique du balancer la massue LEROY M 1984 90 p 2 p de bibliographie 17 r f rences annexes Population d exp rimentation 9 gymnastes de niveau National ge moyen de 13 5 ans Le temps hebdomadaire consacr l entra nement est de 17 heures en moyenne et le nombre d ann es de pratique varie de 3 7 ans En ce qui concerne l approche lectromyographique 10 sujets class s Internationales et Nationales Protocole exp rimental Plusieurs protocoles r pondant diff rentes hypoth ses ont t mis en place 1 Approche psychologique le Pattenoire du Docteur Louis Corman le P N est une preuve de personnalit fond e sur le m canisme de la projection et le test de Kohs test de mesure de l intelligence ont t retenus Tests artistiques ils ont t con us pour mesurer louverture mus
158. preuve Seuls les d cathloniens seront capables de t moigner d une r elle capacit d adaptabilit Mais au del des divergences et ceci est constitutif d un deuxi me niveau d analyse apparaissent n anmoins un certain nombre de crit res de r alisation semblables la prise en compte de ces crit res semble devoir constituer une piste int ressante pour aider le d cathlonien dans son approche technique des preuves L attention de l entra neur d preuves combin es est ainsi attir e par l existence de fonctionnements communs davantage que par la mise en vidence de conflits toujours difficiles g rer A noter des propositions relatives l entra nement chauffement ducatifs de course et exercices sp cifiques du d cathlonien ainsi qu en annexe l ensemble des relev s chiffr s concernant l analyse biom canique et cin matique des foul es de chacun des athl tes test s Les th oriciens de l athl tisme sp cialit courses ne manqueront pas d tre int ress s par cette tude extr mement pointue Le r le du cycle tirement d tente dans l conomie de la course pieds DUVERNEY GUICHARD E 1992 34 p 9 p de bibliographie 110 r f rences annexes tableaux des r sultats enregistr s Voir rubrique THEMES GENERAUX 1992 Aptitudes durer la V M A Vitesse Maximale A robie chez les coureurs ses de demi fond de
159. qu elle pourrait bien repr senter ce qu elle voque Ce test requiert de la part du sujet une attitude imageante et permet ainsi d appr cier la qualit du contr le des r ponses donn es l auteur pr cise qu il a t utilis dans le cadre de cette recherche essentiellement dans le but de faire appara tre la structure profonde de la personnalit et les l ments motivationnels chappant la conscience du sujet Le Z permet d appr hender un grand nombre de facteurs le contr le des r actions anxieuses l expression des besoins affectifs l identification le contr le du milieu ext rieur le conformisme le formalisme l imagination cr atrice la sociabilisation l inhibition le dynamisme le d sir d affirmation l instabilit affective la spontan it le contr le formel l introversion l extraversion l aspect m ticulosit D s que la planche est pr sent e au sujet on note toutes les r ponses ainsi que les commentaires le comportement le temps de latence qui s coule entre la pr sentation de la planche et la premi re r ponse affective ainsi que la dur e totale comprenant le temps de latence et le temps durant lequel le sujet commente cette planche 4 Le test de stress de Stroop ce test a pour but de pr dire l aptitude d un sujet maintenir un niveau de performance satisfaisant dans une situation qualifi e de stress Le mat riel de ce test qui constitue
160. que la rigidit art rielle estim e est grande 2 de l importance de la relation entre compliance art rielle et FC plus la compliance art rielle est petite plus la FC et A FC pour un exercice d intensit donn e sont importantes 3 du niveau de corr lation observ e entre V et A VO2 plus la compliance art rielle diminue plus VO2 est important pour un exercice donn 4 enfin de l influence de la compliance art rielle sur la performance r alis e au cours d un exercice d intensit non impos e ici un 400m ce fait souligne le r le jou par V dans l adaptation l exercice chez le sujet g Chacune des ces informations est comment par l auteur qui ach ve sa r flexion en sugg rant quelques perspectives p dagogiques e AVENIR SOCIAL DES SKIEURS ET DES CYCLISTES DE HAUT NIVEAU Etude des probl mes pos s par le devenir social des skieurs et cyclistes de haut niveau Propositions et suggestions Saurin J F 1978 233 p 17 p de bibliographie 146 r f rences annexes tr s importantes dont mod le du questionnaire ayant servi l enqu te e CONTRIBUTION A L ETUDE DES PERFORMANCES A LA COURSE DE DISTANCE CHEZ LES ENFANTS DE 12 A 15 ANS Capacit de travail 170 et preuves de longueurs ou dur es diff rentes de 1200 m tres 30 minutes Trouillon P 1978 61 p 6 p de bibliographie 67 r f rences annexes dont cross contrat Population d exp rimentation E
161. quelle que soit l allure sur l am lioration de la capacit a robie Seuls des exercices faisant intervenir l aspect comp titif ou le pumping ont un impact physiologique proche de celui de la r gate L analyse des r sultats aux tests physiques d valuation montre sur la population tudi e l existence de corr lations significatives entre cinq tests VO2 max Ruffier Dickson dur e de la suspension la barre fixe et le test de suspension au dynamom tre selon deux modalit s et le niveau de performance en voile Les pi tres r sultats des coureurs les moins bien class s au test de suspension la barre fixe illustrent le fait qu une pr paration physique terre peut contribuer am liorer la performance Ils indiquent galement une sollicitation plut t isom trique des membres sup rieurs et du tronc et surtout dynamique des membres inf rieurs Enfin les r sultats aux tests de suspension en position de navigation montrent bien que des param tres biom triques interviennent dans la performance L ensemble de ces r sultats permet galement de conclure qu un syst me de d tection en voile peut fonctionner et tre retenu si l on prend soin d utiliser pour chaque support une d marche bas e sur l analyse de l activit et pour peu que l on s en donne les moyens gt VOL LIBRE Contribution l identification des facteurs de la performance en vol libre JULLIEN G 1982
162. quence cardiaque par t l m trie et questionnaire voile Population d exp rimentation R gatiers de tout niveau dans deux s ries internationales de grande diffusion le 420 bateau tr s populaire parmi les jeunes et le 470 d riveur olympique L analyse porte sur 168 r ponses repr sentant 84 quipages fran ais et trangers Pr sence d quipages de niveaux National et International Protocole exp rimental Le questionnaire d enqu te a permis de relever un certain nombre d informations concernant les th mes suivants 1 L int r t accord la tactique et aux relations interpersonnelles par rapport aux facteurs tels que la technique le mat riel la condition physique etc 2 La nature des relations bord 3 La r partition des fonctions sur le bateau 4 Les crit res de choix du partenaire et les qualit s souhait es 5 La possible compl mentarit d autres sports 6 Le degr de motivation des individus 7 La connaissance des points forts et des points faibles 8 Le nombre d ann es de comp tition et de pratique commune d un quipage suivant le niveau de performance 9 Le rapport entre le niveau des tudes et les performances en voile 10 La profession des parents Des conversations d quipages en r gate ont t parall lement enregistr es elles ont concern es un chantillon de 10 quipages nationaux et internationaux de 470 Deux syst mes d enregistrement furent succ
163. r f rences annexe gt gt MISSOUM M L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes Voir p 110 gt gt MOREAUX A Utilisation des techniques vid o pour l acquisition et le traitement de donn es n cessaires l analyse du mouvement 1977 138 p 4 p de bibliographie 31 r f rences gt gt MOUREAUX R Influence de la connaissance de l cart la cible sur la stabilit de la course d lan chez les sauteurs en longueur aveugles 1989 51 p 7 p de bibliographie 53 r f rences annexes Voir p 16 gt gt MUTI A Etude de la consommation maximale d oxyg ne et de la vitesse de d placement des nageurs espoirs fran ais Propositions pour entra nement 1987 141 p 9 p de bibliographie 68 r f rences Voir p 73 N gt gt NAPIAS F G R S Contribution l objectivation des caract ristiques des comportements expressifs et des conduites de communication des gymnastes de haut niveau 1988 150 p 6 p de bibliographie 96 r f rences annexes importantes Voir p 52 gt gt NERIN J Y Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes
164. re Conclusion La batterie des tests de Fleishman a permis de mettre en vidence que la motricit des judokas de haut niveau se caract risait par quatre points forts et des performances quelconques dans d autres domaines 1 le judoka de haut niveau dispose tout d abord d une force quasi exceptionnelle au niveau de la partie ant rieure du tronc 2 le judoka dispose aussi d une souplesse remarquable au niveau de la flexion avant du tronc 3 le judoka de haut niveau r alise d excellentes performances dans le test de tractions la barre fixe 4 enfin le judoka de haut niveau r alise de bonnes performances dans le test de course de navette A ces quatre caract ristiques sur le plan des qualit s physiques il faut ajouter une autre caract ristique l ge Cet ge moyen est variable en fonction des cat gories et s l ve avec le passage une cat gorie plus lourde L int r t de l tude repose en grande partie sur la d termination d un mod le de r ussite en judo chacun peut d s lors confronter son propre profil celui qu encourage la pratique du plus haut niveau Certaines diff rences peu nombreuses ont t cependant d cel es entre les cat gories de poids tant t l avantage des poids lourds ce qui est attest par le test de dynamom trie manuelle tant t celui des poids l gers ce que d montre le test d l vation des jambes L une
165. res sont n cessaires pour l analyse du mouvement ce rep rage permet le calcul des variations de longueurs musculaires l aide du mod le de GRIEVE 1987 et du mod le de HAWKINS et HULL 1990 Ces m mes images permettront ult rieurement de calculer le travail interne de d placement des segments gr ce au mod le de WINTER 1974 Conclusion Pour 6 sujets sur 9 l hypoth se selon laquelle le cycle tirement d tente joue un r le dans l optimisation de l conomie de course est confirm e Pour les sujets dont les muscles ne respectent pas cette loi plusieurs hypoth ses se d gagent L une concerne les variations de rendement des fibres lentes et rapides basses et hautes fr quences L augmentation de travail externe et interne correspondant respectivement aux basses fr quences et aux sur fr quences de foul es est une seconde hypoth se De plus l analyse cin matique combin e une analyse s par e de l activit lectromyographique excentrique et concentrique devrait permettre de renforcer l hypoth se de d part selon laquelle l optimisation de l conomie de course est tributaire de l optimisation du cycle tirement d tente En effet plus les param tres de la foul e optimisent les conditions d expression du cycle tirement d tente et plus la part relative du signal EMG excentrique ramen au signal EMG total d une foul e augmente alors que la part relative du signal EMG concentrique
166. riodiques La participation corporelle lors d un balancer ant ro post rieur donne un gain d amplitude de 85 72 cm en y et de 4 34 cm en x L conomie du syst me est galement am lior e puisque l on observe sur un plan lectromyographique une amplitude de trac s nettement moins importante La chor graphie en gymnastique artistique f minine proposition d une syst matique BRASIER Y 1986 90 p 2 p 11 r f rences annexes dont questionnaire auteur Population d exp rimentation 22 entra neurs des quipes de division Nationale I II II Protocole exp rimental Deux questionnaires ont t labor s le premier a pour objectif de dresser un tableau r sumant la fa on dont se con oit et s organise en France en 1986 la pr paration gymnique des athl tes Fran aises le second a trait aux raisons qui peuvent justifier dans certains clubs l absence d une formation chor graphique Conclusion Les questionnaires adress s aux entra neurs ont permis de mettre en vidence deux grands axes de pr occupations d une part le temps limit dont disposent ces entra neurs pour amener les athl tes leur meilleur niveau d autre part le manque de cadres sp cialis s ayant la fois des connaissances gymniques et acrobatiques permettant une efficacit maximum de la pr paration chor graphique Dans cette perspective l auteur tente d laborer une
167. sire mais ces outils se voient conf r s une limite celle de l humain qui ne peut enregistrer qu un certain nombre de donn es dans un temps tr s court 11 Outils m thodologiques formules mat riel divers Beaucoup d outils ou de formules manant de domaines annexes au n tre ou issus de l imagination des chercheurs 12 Physiologie cardio vasculaire co t nerg tique Physiologie musculaire lectromyographie Biopsie gt Repr sente le domaine d outils le plus utilis un grand nombre de protocoles tournant autour de l laboration de tests d effort ont t labor s et test s Dans ce domaine galement l objectif consiste d sormais se rapprocher du contexte des situations de terrain l laboration d un syst me portable d enregistrement des gaz particuli rement l ger K2 Cosmed contribue cette volution Un th me d int r t tr s actuel les interactions processus nerg tiques processus cognitifs 13 Psychologie des traits Clinique Un int r t permanent que l utilisation fr quente d but des ann es 80 du Q P S de E Thill r v le Une assez grande diversit dans les protocoles utilis s caract rise aujourd hui la recherche dans ce domaine particulier tendance cibler davantage certains param tres 14 Questionnaires auteurs r f rence des sp cialit s r f rence des th mes g n raux Repr sente une consta
168. situ e dans la p riode pr paratoire aux championnats Les comp titions pr paratoires ont permis de tester les capacit s d annonce les annonces ont t r alis es sur des agrandissements de cibles l emplacement du r sultat attendu par le tireur tant enregistr l aide d une pastille autocollante Les tests sp ciaux se sont d roul s au stand de tir de l I N S E P Les tests d butaient par un r glage du mat riel de comp tition personnel fixation de l metteur du rayon laser sous le canon orientation du cable liaison entre l metteur et l ordinateur master unit r glage du rayon laser jusqu superposition des deux impacts Le mat riel utilis est le Noptel ST 1000 de fabrication finlandaise cet appareillage permet l enregistrement d un rayon laser une distance identique celle de la cible r elle r glementaire Conclusion Le r sultat le plus important est la mise en valeur de l influence n gative des techniques de comptage par s ries de 10 coups L tude montre galement l tonnante capacit des grands tireurs pr dire le r sultat de leur tir Cependant les f minines deviennent de plus en plus optimistes au fur et mesure des matchs leur qualit d annonce par rapport au r sultat s en trouve affaiblie Au cours des tudes de bougers les fautes sont en majorit pr c d es par une stabilisation rythm e rapide et une superposition excellente des r
169. sormais plus intervenir sur le plan de la relation p dagogique de la m me fa on qu auparavant Ski alpin Entra nement physique programm pour de jeunes pratiquants ALARD P 1981 102 p 4 p de bibliographie 56 r f rences annexes importantes dont r sultats Population d exp rimentation Deux groupes de skieurs de 12 16 ans Le premier groupe est constitu de 25 skieurs de la section Ski tudes du Coll ge d Enseignement Secondaire de Chamonix Ces jeunes skieurs sont recrut dans le Comit du Mont Blanc et sont de niveau R gional pour les plus jeunes et de niveau National pour certain Cadets Le second groupe ou groupe exp rimental est constitu par 8 skieurs de la section ski alpin du Club des Sports de Villard de Lans de niveau comparable par ses cat gories d ge celui de Chamonix Protocole exp rimental Pour valuer les potentialit s de ces groupes trois contr les ont t effectu s et ont t r partis sur une p riode de onze mois Les diff rentes mesures ont port sur la d termination de l ge squelettique les mesures anthropom triques les mesures nerg tiques le questionnaire de la personnalit du sportif et un test de psychomotricit r alis l aide du Tr mom tre en V de Pieron et les tests de la valeur physique Pour diff rentes raisons les tests de mesure nerg tique et le test de psychomotricit ont t abandonn s Concernant les
170. sous forme pratique une telle ducation il demeure qu une action de sensibilisation m riterait d tre galement men e aupr s des entra neurs eux m mes Appr ciation de la valeur physique des futurs athl tes de haut niveau Un exemple le handball Mise au point d un programme informatique de traitement de donn es en temps r el FILLIARD J R 1987 96 p 5 p de bibliographie 45 r f rences annexes descriptif des batteries de tests r sultats enregistr s Voir rubrique THEMES GENERAUX 1987 La pr paration agir du gardien de but analyse chronom trique des actions de parade en situations de terrain COTTIN J 1989 153 p 6 p de bibliographie 44 r f rences annexe r sultats Population d exp rimentation 3 gardiens de but et 5 tireurs arri res de l quipe de France Protocole exp rimental Appareillage utilis concernant l exp rience 1 quatre ballons cibles suspendus dans les quatre coins d un but un tableau lumineux pilot par l exp rimentateur T che le gardien de but doit toucher le ballon indiqu par la lampe rouge correspondante le plus t t possible apr s l allumage de celle ci Une cam ra vid o VHS plac face au but enregistre en m me temps que les mouvements de parade des gardiens l allumage des lampes du tableau lumineux gr ce un miroir dispos derri re le but Les 252 essais sont analys
171. sultats Elle a pour objets la caract risation des registres de fonctionnement cognitif par la nature des traits observ s le rep rage du passage d un registre au suivant au travers des propri t s de l action qui interpellent n cessairement une nouvelle classe d outil cognitif Pour ce faire nous exploiterons notre grille de lecture et pourrons implicitement comparer nos r sultats nos attentes grille proph tique 5 Exploitation de ces donn es En l absence de fondations exp rimentales rigoureuses elle se bornera pr senter les l ments esquiss es d une didactique ceci titre d hypoth ses d duites de notre corpus d observations Il est vident que notre conclusion dans ce domaine ne soit que la pr face d une innovation p dagogique exp rimentale Trois semaines d observation effectu es pendant la premi re semaine de navigation sur trois populations enfantines quivalentes ont permis de r aliser 36 heures de prises de vue sur un corpus de population de 22 l ves Conclusion Conscient du trouble de l instituteur confront dans le cadre des classes transplant es ou de l application du tiers temps p dagogique une pratique sp cialis e nous avons privil gi une recherche documentaire de premi re n cessit susceptible d apporter une habilitation et de favoriser un r investissement de l instituteur dans sa classe A ce titre notre document s es
172. sur ergom tre 500m allure maximale pr c d d une pause de 15 min Une centrale embarqu e a permis de calculer partir de la vitesse la cadence l indice de glisse la distance parcourue Conclusion L valuation et le contr le d entra nement en Cano Kayak n cessitent notamment la conception de mat riels de mesure sp cifiques Ce travail de recherche s inscrit dans le cadre de la mise au point d une centrale d acquisition embarqu e avec affichage permanent des donn es et de son utilisation dans le suivi d un groupe d athl tes de haut niveau en pr paration Diff rents indices simples sont propos s et tudi s comme les relations entre Cadence Vitesse VO2 Fr quence cardiaque ainsi que des param tres utiles tels que la Vitesse Maximale A robie la distance parcourue par coup le co t nerg tique La m thode mise au point et les r sultats obtenus permettent de mettre en vidence certaines volutions durant la p riode concern e par l tude pr paration hivernale ainsi que la difficult de prendre en compte les effets du vent Des indications sur certaines caract ristiques m caniques et nerg tiques propres au Cano de descente CA et C2 sont galement relev es Certains de ces r sultats concordent avec ceux d autres auteurs ayant g n ralement travaill avec des kayakistes de haut niveau et les compl tent Les principales conclusions de ce travail laissent appara tre en dominan
173. telle que celle ci est per ue par les joueuses c les statuts sociom triques des deux sous groupes I N S E P Ext rieur d les indices sociom triques combien de choix ou de rejets un individu doit recevoir pour que l on puisse dire qu il a un statut significatif e l valuation et la mesure de la coh sion affective collective f sur les correspondances l int rieur de cette quipe entre la hi rarchie fonctionnelle et les donn es affectives mis jour La deuxi me exp rimentation repose sur 35 questions deux types d interrogations sont venus compl ter les interrogations pr c dentes l un concerne la vie commune l autre la t che le basket proprement dit En d finitive neuf crit res ont t retenus pour appr hender le probl me de la coh sion de l quipe indice de pass commun mergence de normes de groupes indice de satisfaction personnelle indice de coh sion affective et le graphe de choix et des rejets sociom triques indice de niveau homog ne indice de coh sion fonctionnelle indice de stabilit indice d actions collectives indice de non coh sion Ces crit res seront respectivement compar s avec le degr d efficacit de l quipe classement la fin de la phase aller Conclusion Un tableau r capitulatif permet de visualiser les corr lations entre toutes les dimensions de la coh sion Aucune d entre elles n est r ellement signi
174. trajectoire de l attaque Le codage de la grille d pend du type d observation pour les actions de jeu jug es correcte ou incorrecte 2 signes conventionnels ont t retenus ou pour la nature de l intervention sur la balle M signifie manchette R roulade et P plongeon la qualit de l intervention est not e de 0 4 l attaque quant elle a t cod e pour le lieu en num ros de postes pour la nature de la passe en H comme haute D comme demie T comme tendue C comme courte pour la dur e de la trajectoire en dixi me de seconde 2 Analyse et valuation des d terminants de la performance elle a t r alis e gr ce des mesures anthropom triques gr ce des tests de valeur physique et d valuation des aptitudes psychomotrices gr ce enfin l valuation des caract ristiques psychologiques Q P S de Thill Concernant les mesures anthropom triques les variables retenues ont t celles du programme d valuation de la valeur physique de la population fran aise CONNAN A Annales ENSEPS juin 1975 ge chronologique en mois poids taille debout taille assise longueur des jambes largeur biacromiale largeur bicr tale p rim tre des cuisse p rim tre des mollets envergure pourcentage de graisse et masse maigre quations de DURNIN et RAHAMAN 1967 Concernant les tests de valeur physique et l valuation des aptitudes psychomotr
175. travaillent aux limites biom caniques possibles l int rieur de leur programme d lan Ils doivent donc faire preuve d une grande vigilance dans l ex cution de la t che quand celle ci est situ e dans des conditions perturb es L effet de bruit dans le syst me les obligerait r duire la variabilit de leurs courses en revenant une conduite plus gocentr e Au standard les faibles dispersions annonc es ajout es la stabilit informationnelle de la situation pourraient les inciter moins de rigueur et surtout attendre les derniers appuis pour capter la source sonore et moduler leurs trois derni res foul es La concentration en athl tisme Concepts et supports DEBOIS N 1990 243 p 6 p de bibliographie 70 r f rences annexes importantes dont exemplaires du Q P S de Thill du T A LS de Nideffer et du questionnaire Concentration labor par l auteur Population d exp rimentation Athl tes hommes et femmes de niveau National parmi les meilleurs performers Fran ais durant la saison 1988 et 1989 en activit et ayant une bonne exp rience de la comp tition Les disciplines suivantes sont repr sent es 100 et 110m h 200m 800m Hauteur Longueur Poids Javelot Epreuves Combin es 61 des athl tes observ s s entra nent en Ile de France pour 39 issus de la province Protocole exp rimental Utilisation du Q P S de E Thill et du T A LS de Ni
176. une adaptation simplifi e du test de Stroop version 1935 se compose d une planche comportant 10 colonnes dont 5 de 25 et 5 de 23 mots On y retrouve les 7 noms de couleurs plac s au hasard vert bleu rouge jaune marron violet noir chaque nom de couleur tant inscrit avec chacune des 6 autres couleurs Le nombre de stimuli inscrits sur la planche est de 240 La passation de l preuve pr voit trois parties courtes dans le temps La dur e totale est de 5 minutes Les indices de performance au test sont les suivantes nombre total d erreurs rel chement du contr le nombre de lapsus ou d erreurs rattrap es le score d finitif aux 3 preuves le total cumul aux premi re et troisi me preuves Cotation une erreur 0 point un lapsus ou une demi erreur 1 2 point une bonne r ponse 1 point 5 Deux questionnaires ont t utilis es un questionnaire biographique et un questionnaire activit s sportives Le questionnaire biographique dont l auteur n a conserv qu un certain nombre de questions a t mis au point et utilis dans le cadre d une recherche men e aupr s des athl tes masculins de l E LS Ecole Inter arm e des Sports de Fontainebleau contrat DRME 1974 75 Fichier MEDSPO abord psychologique par Guy Missoum cet outil permet de relever un certain nombre d l ments importants de l histoire du sujet anamn se appartenant plusieurs registres familial scolaire et professionnel social
177. voir p 108 gt gt ELEVES DEBUTANTS AGES DE 7 A 11 ANS avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt POPULATION FEMININE DE CLUB 10 A 13 ANS avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt SUJETS FEMININS DE LA SECTION SPORT ETUDES DE L I N S E P avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt ELEVES D ECOLE PRIMAIRE BENEFICIANT D UN ENTRAINEMENT INTENSIF TIERS TEMPS PEDAGOGIQUE avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt GYMNASTES FEMMES SECTION SPORT ETUDE DE L I N S E P avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU INTERNATIONAL G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt ENTRAINEURS DE CLUBS EN G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt SPECTATEURS INEXPERIMENTES SPECTACLE G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt JEUNES GYMNASTES DE 7 A 13 ANS D UN CLUB DEPARTEMENTAL avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt TRAMPOLINE GYMNASTES ACROBATES DE NIVEAU NATIONAL avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Boerio G 1984 voir p 50 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Boerio H 1984 voir p 50 gt gt GYMNASTES DE G R S DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt ENTRAINEURS DES EQUIPES DE DIVISION NATIONALE I IL IT EN GYMNASTIQUE avec Brasier Y 1986 voir p 52 gt gt GYMN
178. voir p 17 gt gt QUESTIONNAIRE LE M I P G D ABRAHAM au sujet de la relation entra neur entra n e avec Salesse M 1989 voir p 120 en Basbet ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt QUESTIONNAIRE DE PERSONNALITE POUR ENFANTS LE C P Q en Judo avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt TEST DU D M I DE GLESER ET IHILEVITCH en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt QUESTIONNAIRE D ATTRIBUTION DE COTTRAUX en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt TEST S T A I DE SPIELBERGER en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt TEST DE GORDON en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt ECHELLE DE RATHUS en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt ECHELLE DE BORTNER en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt QUESTIONNAIRE T D 9 DE FOURCADE ET BREMOND en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 QUESTIONNAIRES AUTEURS REFERENCE A DES SPECIALITES REFERENCE A DES THEMES GENERAUX gt gt QUESTIONNAIRE TRAITS DU KAYAKISTE SUIVANT LA SPECIALITE DE PREDILECTION labor par Dransart G 1977 voir p 33 gt gt QUESTIONNAIRE LA PRATIQUE DU RUGBY RESISTANCE A LA THEORISATION avec Coq J 1978 gt gt QUESTIONNAIRE TACTIQUE ET RELATIONS INTERPERSONNELLES EN VOILE avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt QUESTIONNAIRE SEMIOTRICITE DU JOUEUR en Rugby avec Conquet P 1979 voir p 79 gt
179. voir p 60 gt gt ENTRAINEURS DE DIFFERENTS NIVEAUX DONT NIVEAU NATIONAL EN VOLLEY BALL avec Prawerman A 1993 voir p 100 ESCRIMEURS gt gt ENFANTS DE CM1 ET CM2 EN SITUATION D APPRENTISSAGE avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt FAISANT OFFICE DE JUGES ELEVES MAITRES D ARMES ET ESCRIMEUSES DE HAUT NIVEAU avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt ESCRIMEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt ESCRIMEURS DE L IN S E P CADETS JUNIORS ET SENIORS HAUT NIVEAU avec Leseur 1986 voir p 43 gt gt MAITRES D ARMES ET ENTRAINEURS NATIONAUX D ESCRIME avec Salesse M 1989 voir p 120 gt gt ESCRIMEURS DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Salesse M 1989 voir p 120 gt gt ENTRAINEURS DE HAUT NIVEAU EN ESCRIME OU RESPONSABLES DE FORMATION DES MAITRES D ARMES avec Bonnefoy B 1992 voir p 123 gt gt ESCRIMEURS DE NIVEAU NATIONAL avec Brisswalter J 1992 voir p 123 FOOTBALLEURS gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS REPUTES DE CLUB PREMIERE DIVISION avec Crevoisier J 1981 voir p 43 gt gt ETUDIANTS D U E R E P S OPTION FOOTBALL avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt FOOTBALLEURS D UN CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt BUTEURS DE PREMIERE ET SECONDE DIVISION avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt ENTRAINEURS DE PREMIERE ET SECONDE DIVISION DE CENTRE DE FORMATION avec Dufay
180. voir p 68 gt gt MESURE DE LA PUISSANCE FORCE ET VITESSE en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt MESURE DE LA PUISSANCE FORCE ET VITESSE en Boxe avec Giallurachis D 1993 voir p 68 FORMATION DE CADRES FORMATEURS ENTRAINEURS PROBLEMES DE COMMUNICATION gt gt ENSEIGNEMENT DE L ANATOMIE FONCTIONNELLE avec Qui vre J 1977 gt gt FORMATION DES CADRES ETUDE COMPAREE ENTRE LA FRANCE ET LA R D A avec Hurtebize C 1981 gt gt PROGRAMME ET CONTENU D UNE FORMATION DIRIGEANTS DU JUDO FRANCAIS avec Besson F 1982 voir p 63 gt gt FORMATION DES CADRES SPORTIFS PROJET DE FORMATION DECENTRALISEE avec Garassino R 1982 gt gt FORMATION DES CADRES SPORTIFS COMMUNICATION CONCERNANT L ENTRAINEMENT A LA FORCE MUSCULAIRE avec Renault A 1985 voir p 117 gt gt FORMATION ENTRAINEURS VOILE avec Cormery P 1986 gt gt FORMATION DES ENTRAINEURS A LA PSYCHOLOGIE PROPOSITIONS en Athl tisme avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt FORMATION DE FORMATEURS UTILISATION D UN SYSTEME EXPERT en Judo avec Calmet M 1991 gt gt REPRESENTATIONS ET ATTENTES CANDIDATS EMPLOYEURS ET FORMATEURS en Gymnastique avec Robert Lacaze M 1994 gt gt FORMATION ET PRATIQUE SPORTIVE DE HAUT NIVEAU en Danse avec Donzel Gaye C 1994 gt gt TRANSFORMATION COMMUNICATION SOCIALE A L INTERIEUR D UNE FEDERATION en Gymnastique avec Cayre B 1995 voir p 127 INSTITUTIONNEL POLIT
181. volont de s informer d changer accepter de se remettre en question quand cela est n cessaire le seul fait d entra ner ne suffit pas assurer la formation d un entra neur L op ration d anticipation sur les faits et de rem diation au quotidien ne pouvant que s inscrire dans notre champ d intervention entre art et science il est du ressort de la recherche et de la r flexion de contribuer ce que la part du subjectif soit minimis Le savoir doit int grer l action il ne s arr te pas la porte de l action A Midol Colloque Quelles sciences pour le sport Toulouse III 1996 L acte d entra ner est avant tout un acte pratique cette affirmation n occulte cependant pas la n cessit de proc der une r flexion pr alable m me si celle ci conduit comme c est le cas tr s souvent davantage de complexit dans l appr hension des ph nom nes g rer que de clart Cette tape primordiale de l laboration d un projet d apprentissage d un processus d entra nement d une s ance ou d un exercice est constitutive d un ensemble de t ches auquel tout formateur ou tout entra neur doit sacrifier c est l objet de la planification et de la programmation Ces op rations s imposent d autant plus que l optimisation de la performance sportive est devenue aujourd hui un ph nom ne particuli rement difficile g rer Le formateur et l entra neur se
182. 00g course navette de 20m avec paliers d 1 min Un indice de r sistance est calcul en faisant le rapport entre la performance r alis e dans l preuve de 300m et une performance virtuelle qui serait gale 6 fois le temps mis pour parcourir 50m Conclusion Le niveau du sprint Ivoirien a toujours de tr s haut niveau l inverse de ce que l on observe en ce qui concerne les courses de moyenne et de longue dur e en comparant les records de C te d Ivoire de 1982 dans les courses athl tiques aux records d Afrique et du Monde nous constatons que les carts en pourcentage sont importants partir du 800m Dans cette perspective peut tre envisag e une tude qui se nourrirait de l hypoth se que les aptitudes ou la croissance physique des enfants Ivoiriens ne sont peut tre pas semblables celles des enfants d autres pays L observation de la croissance des enfants et adolescents Ivoiriens permet de mettre en vidence un certain nombre de communaut s mais galement de diff rences la PMA des filles Ivoiriennes est dans chaque tranche d ge de 11 17 ans significativement moins lev e que chez les Canadiennes Toutefois notre analyse sugg re que ce ne sont pas les aptitudes de base l effort de longue dur e qui sont la cause du faible niveau de performance des athl tes voiriens dans les courses de demi fond court et prolong C est donc au plan des facteurs structurels sociocult
183. 1 Afin d amener chaque joueur jusqu au point extr me de ce qu il peut donner chaque entra neur adopte une proc dure qui lui est propre Cela va d un maniement velout une direction guerri re expression d une psychologie muscl e 2 Les valeurs auxquels il est fait le plus souvent r f rence sont le r alisme et le professionnalisme r f rence au spectacle et aux droits des spectateurs de m me que la solidarit sans pour autant qu elle condamne l initiative individuelle 3 Les relations entra neur joueur comportent parfois un aspect artificiel o les arri re pens es ne sont pas absentes C est souvent un pseudo dialogue qui est instaur avec des simulacres de concertation D apr s l auteur il semble cependant peu probable qu un style d mocrate puisse dans un tel milieu professionnel s imposer Toute volution passe d abord par un changement des mentalit s celle des joueurs qu il faut rendre suffisamment m rs sur le plan psychologique celle des entra neurs dont il faut compl ter la formation initiale afin de mieux pr parer ces responsables d quipes aux difficult s qui les attendent dans les clubs Il faut les convaincre de l int r t de se nourrir d un certain nombre d informations issues des sciences humaines comme l exprime J Crevoisier le r alisme cher aux techniciens de choc ne doit pas amputer la dimension humaine L implicat
184. 114 gt gt QUESTIONNAIRE QUALIFICATIFS POUR ANALYSER UNE PRESTATION en G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt QUESTIONNAIRE POST SEQUENCE D APPRENTISSAGE en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt QUESTIONNAIRE TENDANCES EN MATIERE DE FORMATION DES ENTRAINEURS en Voile avec Cormery P 1986 gt gt QUESTIONNAIRE CONCEPTION ET ORGANISATION DE LA PREPARATION GYMNIQUE labor par Brasier Y 1986 voir p 52 gt gt QUESTIONNAIRE LES CARENCES DE LA PREPARATION GYMNIQUE en Gymnastique artistique f minine avec Brasier Y 1986 voir p 52 gt gt QUESTIONNAIRE CLASSES PROMOTIONNELLES 78 QUESTIONS ADRESSEES AUX RESPONSABLES en Athl tisme avec Bussery M 1987 gt gt QUESTIONNAIRE ENQUETE SOCIOLOGIQUE SUR LES VOLLEYEURS DE HAUT NIVEAU avec Canales C 1987 voir p 97 gt gt QUESTIONNAIRE NATATION en Natation avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt QUESTIONNAIRE LA MENACE en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt QUESTIONNAIRE AUTOUR DU THEME DES CONTRE PERFORMANCES en Athl tisme avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt QUESTIONNAIRE LE TIR A TROIS POINTS en Basket ball avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt QUESTIONNAIRE APTITUDES REQUISES partir du r pertoire labor par Fleishman en Natation avec Portes A 1989 voir p 74 en Voile l g re avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt AUTO EVALUATION E
185. 125 p 4 p de bibliographie 45 r f rences annexes dont fiche de renseignements Population d exp rimentation 40 pilotes ou lib ristes ayant particip aux finales du championnat de France 1980 et 1981 Cette population repr sente bien notre vis le Haut niveau en France puisque pour acc der ces finales les pilotes ont d se s lectionner auparavant et que c est leur issue qu ont t d sign s les membres des quipes de France qui ont particip l American Cup en 1980 et aux championnats du monde Beppu Japon en 1981 Notre population peut se diviser en deux groupes distincts le premier groupe se compose de 15 pilotes Internationaux 5 pilotes champions du Monde par quipe Grenoble 2 pilotes class 3 me et 6 me titre individuel 4 champions de France etc le deuxi me groupe comprend aussi 15 pilotes pilotes chevronn s n ayant jamais atteint le niveau International mais se classant toujours bien dans les preuves Nationales bons pilotes mais venus la comp tition tr s r cemment ou n ayant pas de palmar s suivi Protocole exp rimental 1 Questionnaire d identification 20 questions ferm es destin es identifier la population et v rifier l hypoth se selon laquelle il existerait entre les individus composant la population de r f rence un certains nombre de traits communs en rapport avec la performance 2 Questionnaire de personnalit pour sportifs
186. 1985 77 p 8 p de bibliographie 67 r f rences annexes dont extrait d un entretien accord par l entra neur national Population d exp rimentation 5 cavaliers masculins de niveau National ces sujets taient g s de 23 35 ans et avaient entre 10 et 19 ans de pratique Les chevaux 4 g s de 9 ans et 1 de 13 ans Ils taient tous dress s et avaient particip des comp titions de classe A Concernant l exp rience n 2 2 cavaliers de niveau National seulement Protocole exp rimental Exp rience n 1 la t che consiste en 18 sauts d un obstacle droit celui ci variant selon trois hauteurs 1m30 1m40 1m50 Les cavaliers abordent ces obstacles suivant deux modalit s de vision en vision normale en vision limit e port de lunettes pr sentant des fen tres circulaires d un diam tre de 2 mm et permettant un champ visuel de 20 Des mesures de la longueur des sept derni res foul es du cheval sont effectu es partir des empreintes laiss es sur la piste pr cision ou 5cm Les sujets ont t film de profil sur vid o un chronom tre au 1 100 me de seconde incrust sur l image a permis l enregistrement de donn es temporelles Exp rience n 2 la t che consiste dans le franchissement de trois obstacles de profils diff rents DROIT OXER SPA Nous avons utilis la technique d analyse de l activit oculomotrice par enregistrement du reflet corn en superpos
187. 1988 voir p 84 gt gt ANALYSE PSYCHO SOCIOLOGIQUE DES REPRESENTATIONS ET DES ACTIONS DU BUTEUR DANS LE FOOTBALL PROFESSIONNEL avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt ANALYSE DES COMPORTEMENTS D INTIMIDATION OFFENSIFS en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt INFORMATION ET PRISE DE DECISION LA PREPARATION A AGIR DU GARDIEN DE BUT en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt PRISE D INFORMATION CHEZ DES AVEUGLES PAR LE SON en Athl tisme Saut en longueur avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt CONTROLE SENSORI MOTEUR VISION ET KINESTHESIQUE en situation d A T R Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt LA PREPARATION MENTALE en Tennis de Table avec Prat P 1989 voir p 87 gt gt CONCENTRATION MODALITES DE MISE EN OEUVRE EN FONCTION DE LA SPECIFICITE DES EPREUVES en Athl tisme avec Debois N 1990 voir p 17 gt gt ENTRAINEMENT EFFETS DE DIFFERENTS PROTOCOLES SUR LE TEMPS DE REACTION DE CHOIX en Pentahlon moderne avec Genard B 1990 voir p 77 gt gt TRAITEMENT DES INFORMATIONS VISUELLES STRATEGIE ET PRISE DE DECISION en Boxe Fran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir 32 gt gt LES MOMENTS CRUCIAUX DES RENCONTRES REPRESENTATIONS DES ENTRAINEURS ET CONFRONTATION A LA REALITE OBJECTIVE en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt TRAITEMENT DES INFORMATIONS VISUELLES ARBITRAGE ET PRISE DE DECISION en Escrime Fleuret avec Bonnefoy B 1992
188. 2 un enregistrement vid o a permis trois experts d valuer post riori les performances des enfants Crit res d observation des comportements 1 Chute souriant rire crisp 2 Expression du visage pendant les exercices rire sourire crisp 3 Fin d exercice attente remonte faire l exercice discute avec ses camarades 4 S asseoit dans la neige oui non 5 Fatigue tr s apparente normale pas de manifestations 6 Paroles avec ses camarades avec l enseignant Le programme de la semaine ler jour familiarisation commune test ler virage entra nement test 1 virage 2 me jour entra nement deux virages test 2 virages 3 me jour entra nement 3 virages test 3 virages 4 me jour entra nement 4 virages test 4 virages slaloms parall les Conclusion Au regard des r sultats de l ensemble de nos exp riences il appara t quelle que soit la tranche d ge entre 4 et 12 ans que l am nagement du milieu est en d but d apprentissage plus efficace que les instructions verbales associ es des d monstrations Ce que nous entendons par efficacit se rapporte une modification positive du comportement dans la perspective de l acquisition d un savoir faire Concernant les cons quences motivationnelles d une p dagogie par am nagement du milieu les r sultats de nos observations syst matiques apparaissent nettement l avantage d une p dagogie utilisant u
189. 2 p 4 p de bibliographie 28 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation 6 athl tes qualifi s aux Jeux Olympiques de S oul sp cialistes du 400m et membres du relais 4 x 400m de la C te d Ivoire Protocole exp rimental Trois tests principaux et trois tests d auto valuation de la subjectivit Le tapping test il sert principalement mesurer la vitesse de r p tition et indirectement le niveau de vigilance d un individu observation grossi re des relations existant entre la vitesse et la pr cision Il s agit de pointer avec un stylo des cercles plus ou moins grands dessin s sur une feuille de papier en 10 sec et alternativement de la main pr f rentielle puis de l autre une comptabilisation en points est effectu e la suite Utilisation d un dynamom tre Collin Gentile pour mesurer la force des fl chisseurs de la main Prise de temp rature orale Fiches journali res servant au recueil d un certain nombre d indices fr quence cardiaque au r veil qualit du sommeil appr ciation subjective de la fatigue et de l humeur Conclusion Certains faits certaines r flexions voire certaines interrogations s imposent 1 La d synchronisation et la synchronisation sont des processus dont le d roulement demeure individuel 2 Un d calage horaire de deux heures ne perturbe pas le rythme biologique et les modifications quantitatives de certains param tres semblent d
190. 276 p 4 p de bibliographie plus de 70 r f rences Objet de la recherche l intensit et la qualit de la communication motrice caract ris e par la passe du ballon effective et intention de passe Extrait de la conclusion Nous allons proposer ici un mod le celui ci sera obligatoirement tr s grossier et n a aucune pr tention que celle d illustrer une m thode que nous voudrions d velopper Si nous r sumons les crit res que nous avons d velopp s nous obtenons la liste suivante 1 Crit res inter individuels socio affectivit 3 mesures Popularit Valence de la dyade Distance affective entre deux joueurs 2 Crit res individuels Psychologique sur les 9 chelles de Gordon nous en retiendrons 4 A ascendance S sociabilit C circonscription et V nergie Physique nous retiendrons la taille et la hauteur de saut Technique nous retiendrons la moyenne au test 1 contre 1 Environnement scolaire familiale Nous excluons ces facteurs pour notre exercice Nous pouvons d autre part pr voir deux types de mod les un tr s g n ral qui s appliquerait tous les joueurs un particulier chaque joueur qui caract riserait ce joueur Nous pensons que notre seconde hypoth se est plus plausible Nous retiendrons donc l essai de mod lisation de la communication motrice d un individu par rapport au groupe caract ris e par la passe Le mod le g n ral que nous proposons es
191. 49 gt gt INFLUENCE DE LA PRATIQUE D UNE ACTIVITE GYMNIQUE en Gymnastique avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 gt gt TAILLE ET POIDS DE CORPS DES GARCONS DE 7 A 13 ANS EVOLUTION en Gymnastique avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 gt gt CARACTERISTIQUES MORPHOLOGIQUES ET MOTRICES DES JEUNES GYMNASTES DETECTION avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt PERFORMANCE MOTRICE DES GARCONS DE 12 16 ANS avec Van Praagh E 1983 voir p 115 gt gt APPRENTISSAGE D ELEMENTS GYMNIQUES DE BASE PRESENTATION PREALABLE SOUS FORME DE SEQUENCES D IMAGES avec Barbreau E 1984 voir p 116 gt gt PROPOSITION DE DEMARCHE TECHNIQUE ET PEDAGOGIQUE ELEMENTS ACROBATIQUES ARRIERE en Gymnastique Sportive avec Boerio G 1984 voir p 50 gt gt FORMATION TACTIQUE en Sports collectifs avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt PLANIFICATION ET PROGRAMMATION DES CHARGES CHEZ DES JEUNES DEUX MODALITES DE PREPARATION en Ath tisme Vitesse avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt APPRENTISSAGE DE L ESCRIME FONDE SUR LA NOTION DE TACTIQUE avec Seitz P 1984 voir p 42 gt gt APPRENTISSAGES PERCEPTIFS EN EQUITATION DE SAUT D OBSTACLES avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt EFFETS DU FEED BACK PAR VIDEO ET DE L IMAGE D UN MODELE SUR L APPRENTISSAGE D UNE HABILETE SPORTIVE en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt PERSPECTIVES PEDAGOGIQUES EN ESCRIME sujet d un chapitre important du travail de Les
192. 5 l inverse les athl tes des cat gories socioprofessionnelles plus favoris es font preuve d une motivation dans l ensemble plus lev e e GYMNASTIQUE CONTRIBUTION A L EVALUATION DE QUELQUES CARACTERISTIQUES MORPHOLOGIQUES ET MOTRICES DE GYMNASTES DE 12 A 14 ANS Staub M 1983 134 p 10 p de bibliographie 87 r f rences annexes r sultats aux mesures Population d exp rimentation Concernant le ler temps de l tude 38 gymnastes d un bon niveau R gional composent la population de r f rence la moyenne d ge se situe 12 2 ans 14 jeunes filles de la section Sport Etudes interr gionale de Colmar les 24 meilleurs gymnastes Haut Rhinoises Le temps hebdomadaire consacr l entra nement est de 10 heures en moyenne Le nombre d ann es de pratique varie de 3 6 ans Concernant le 2 me temps 3 niveaux de pratique vont tre repr sent s 1 25 jeunes filles de moyenne d ge 12 7 ans qu on peut consid rer comme les meilleures gymnastes Fran aises du moment dans cette tranche d ge Elles pratiquent la gymnastique depuis 4 8 ans et de fa on intensive Les mesures ont t prises lors d un regroupement en stage National Ao t 1982 2 des gymnastes de niveau R gional 3 enfin une population de r f rence compos e de 45 jeunes filles de 4 me et 3 me d un C E S 13 3 ans de moyenne d ge Elles n exercent que tr s peu d activit s physiques en
193. 5 gt gt JUDOKA DEBUTANTS ENFANTS avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt ENSEIGNANTS DEBUTANTS avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt MEILLEURS JUDOKA MONDIAUX LORS DE CHAMPIONNATS avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt JUDOKA DE C P E F avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt MEILLEURS JUDOKA PAR CATEGORIE D AGE ET CATEGORIE DE POIDS avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt MEILLEURS MONDIAUX PAR CATEGORIE DE POIDS ENTRAINES A L IN S E P avec Giallurachis D 1993 voir p 68 KARATEKA gt gt MEMBRES DE L EQUIPE DE FRANCE DONT UN CHAMPION DU MONDE ET UN CHAMPION D EUROPE avec Gottsmann F 1977 voir p 69 KAYAKISTES gt gt KAYAKISTES DE TOUS NIVEAUX ET DE TOUTES SPECIALITES avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt TECHNICIENS DONT ENTRAINEURS NATIONAUX CONSEILLERS TECHNIQUES REGIONAUX ETC avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt KAYAKISTES FEMMES NIVEAU NATIONAL avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt KAY AKISTES DU CENTRE NATIONAL D ENTRAINEMENT DE PARIS avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 gt gt KAYAKISTES DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Cezard J P 1991 voir p 35 LIBERISTES VOL LIBRE gt gt LIBERISTES DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Jullien G 1982 voir p 94 LUTTEURS gt gt LUTTEURS DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec L tocart M 1983 voir p 114 NAGEURS gt gt NAGEURS ET NAGEUSES DE HAUT NIVEAU MEMBRES DU CENTRE NA
194. 55 gt gt TEMPERATURE ORALE tude chronobiologique avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 gt gt VO2 MAX V M A ET D V M A DETERMINES SUR TAPIS ROULANT PENTE 3 en 1 2 Fond avec Hanon C 1992 voir p 18 gt gt TEST DE MEBD en 2 Fond avec Hanon C 1992 voir p 18 gt gt TEST CONTINU SELON PROTOCOLE DE BRUE ET TEST INTERMITTENT en Handball avec Dubertrand H 1993 voir p 60 gt gt COUT ENERGETIQUE MESURE AU MOYEN D UNE UNITE PORTABLE MINIATURISE en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt THERMOMETRE en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt TAPIS ROULANT CONTROLE PAR CELLULE PHOTOELECTRIQUE en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt ANALYSE DES PARAMETRES RESPIRATOIRES VO2 ET QUOTIENT RESPIRATOIRE en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt ANALYSEUR DE LACTATE SONDE ENZYMATIQUE en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt PROTOCOLE DE BRISSWALTER TEST COURT DE DETERMINATION DU VO2 ET TESTS SUMAXIMAUX en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt PROTOCOLE D AUGMENTATION DE LA VITESSE SUR TAPIS ROULANT en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt TRAVAIL JUSQU A EPUISEMENT TRAVAUX DE GOLLNICK ET AL 1974 apport glucidique avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt ALIMENTATION
195. 69 p 6 p de bibliographie 90 r f rences annexes recueil de diff rentes informations Population d exp rimentation 1 re exp rimentation 6 joueurs voluant diff rents niveaux de pratique sportive 2 joueurs de l quipe de France A 2 joueurs de l quipe de France B 2 joueurs de Nationale II de la F F B B Chaque couple de joueurs voluant au m me niveau tait compos d un joueur de champ et d un joueur habitu voluer pr s du panier 2 me exp rimentation 3 joueurs de niveau International et Mondial observ s lors de deux matchs Internationaux France A contre France B et France A contre U S A 4 joueurs NIII et NIV observ s lors de rencontres universitaires Protocole exp rimental 1 re exp rimentation tude des variations al atoires de la performance d un tireur dans une situation standardis e tirs de champ sur r ception de balle apr s d placement tirs de champ apr s des dribbles tirs du bord de la zone r serv e sur r ception de balle apr s un d placement dos au panier Chaque joueur a effectu dans chacune de ces situations exp rimentales six tirs Pour analyser les mouvements de tir nous avons utilis l enregistrement magn toscopique Un compteur de temps au 1 100 me sec coupl notre cam ra nous a permis une tude tr s fine de l organisation temporelle du tir Nous avons valu le temps coul entre l attraper contact des deux mains s
196. 984 Brasier Y 1986 Napias F 1988 Pozzo T 1989 Barriere S 1990 Hosseini A 1991 gt HANDBALL p 57 Bleou Tokou J L F 1987 Cottin J 1989 Anti T 1991 Berger S C 1991 Akpa G 1992 Prat J L 1992 Dubertrand H 1993 gt HOCKEY SUR GAZON p 62 Reynaud B 1988 JUDO p 62 Donzel J 1979 Rambier R 1987 Soler C 1987 Antourel S 1989 Sudre P 1989 Roux P 1990 Giallurachis D 1993 gt KARATE p 69 Gottsmann F 1977 gt NATATION p 70 Cazorla G 1978 Ria B 1981 Dufort C 1983 Muti A 1987 Dubois C 1988 Portes A 1989 Maka Kadie C 1990 Bouchet D 1991 NATATION SYNCHRONISEE p 76 OPPOSITION SPORTS D p 76 Stein J F 1981 gt PENTATHLON MODERNE p 77 Seyfried D 1987 Genard B 1990 PLONGEON p 78 RUGBY p 78 Conquet P 1979 Ladauge P 1984 Villepreux P 1987 gt SKI DE FOND ALPIN p 81 Baggioni E 1980 Alard P 1981 Azizollah G 1981 Barthalais A 1988 TENNIS p 84 Ody J 1981 Keller J 1982 Scribot F 1988 gt TENNIS DE TABLE p 87 Prat P 1989 gt TIR A LA CARABINE A L ARC AU PISTOLET p 88 Horvath L 1986 Colmaire P 1987 Raybaut J F 1992 gt TRAMPOLINE p 89 Rezette D 1983 gt TRIATHLON p 90 Lehenaff D 1993 gt VOILE ET PLANCHE A VOILE NAVIGATION p 91 Surmin R 1978 Albertini H 1982 Le Vaillant R 1983 Courty J T 1989 Giunti R 1990 gt VOL LIB
197. 984 voir p 50 gt gt LES GRANDS TOURS SOLEIL A LA BARRE FIXE en Gymnastique Sportive avec Boerio H 1984 voir p 50 gt gt TESTS DE VITESSE en Athl tisme avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt EPREUVES DE FORCE SPECIFIQUE OPTIQUE COURSE DE VITESSE en Ath tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 gt gt EVALUATION DE LA VALEUR PHYSIQUE GENERALE force statique au dynamom tre manuel tractions temps de suspension la barre fixe lancer sans lan balle 500g test de L L ger en Athl tisme avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt PARCOURS D ENTRAINEMENT EN GUISE DE TESTS en Rugby avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt TESTS PHYSIQUES CLASSIQUES COUPLES A DES TESTS PLUS SPECIFIQUES preuve de souplesse le toe touching sargent test levers de jambes agilit parcours chronom tr encha ner le burpee test capacit d un gymnaste soutenir un effort pendant 1min 30 sec souplesse des paules situation de pont saut rebond d tente mesur e apr s un pas de prise d lan en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt TESTS ARTISTIQUES voir PSYCHO MOTRICITE en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt 18 SAUTS D UN OBSTACLE DROIT en Equitation avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt PARCOURS D ESCALADE EN NATURE avec Dupuy C 1985 voir p 40 gt gt TESTS DE VALEUR PHYSIQUE en Athl tisme Coureurs
198. A 1988 voir p 44 gt gt BUTEURS ENTRAINEURS avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt SELECTIONNEUR DE L EQUIPE DE FRANCE avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt DIRECTEUR SPORTIF avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt FOOTBALLEURS EVOLUANT EN DIVISION NATIONALE III avec Kae Oula G 1988 voir p 45 gt gt FOOTBALLEURS DU P S GERMAIN ET DE L U S CRETEIL DONT VUJOVIC ET SUSIC en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt FOOTBALLEURS D UNE SECTION SPORTS ETUDES DU VAL DE MARNE avec Ouattara O 1993 voir p 46 gt gt FOOTBALLEURS STAGIAIRES 3 me ANNEE AU CENTRE TECHNIQUE NATIONAL DE CLAIREFONTAINE OU ISSUS DU CENTRE DE FORMATION DU P S G avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt FOOTBALLEURS DU R C P ET DU P S G avec Broche D 1994 voir p 47 GOLFEURS gt gt GOLFEURS DEBUTANTS A CONFIRMES avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt GOLFEUR DE HAUT NIVEAU avec Lofi A 1978 voir p 47 GRIMPEURS gt gt GRIMPEURS DE HAUT NIVEAU avec Dupuy C 1985 voir p 40 gt gt GRIMPEURS DE HAUT NIVEAU avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt LYCEENS GRIMPEURS avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt COLLEGIENS GRIMPEURS avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt GRIMPEURS ENSEIGNANTS avec Viens T 1992 voir p 41 GYMNASTES gt gt GYMNASTES DE HAUT NIVEAU avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX avec Lambert C 1980
199. APPORT GLUCOSE AVANT EFFORT SUPRAMAXIMAL apport glucidique avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt DETERMINATION DE LA P M A VELO DE COMPETITION EQUIPE DU SYSTEME SRM ET FIXE SUR UN HOME TRAINER en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt BICYCLETTE DE COURSE EQUIPE DU SYSTEME SRM en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt SYSTEME PORTABLE D ENREGISTREMENT DES GAZ 800g en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 PSYCHOLOGIE DES TRAITS CLINIQUE gt gt QUESTIONNAIRE TRAITS DU KAYAKISTE SUIVANT LA SPECIALITE DE PREDILECTION labor par Dransart G 1977 voir p 33 gt gt 16 PF DE CATELL en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt TEST DE FRUSTRATION DE ROSENZWEIG P F TEST en A kido avec Guibbert L 1980 voir p 12 gt gt QUESTIONNAIRE DE PERSONNALITE DU SPORTIF DE THILL en A kido avec Guibbert L 1980 voir p 12 en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 au sujet de l athl te f minine de haut niveau avec Missoum M 1981 voir p 110 propos de relaxation avec Roy M 1981 voir p 111 en Vol libre avec Jullien G 1982 voir p 94 en Athl tisme Vitesse avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en Handball avec Bl ou Tokou J L F 1987 voir p 57 en Natation avec Dubois C 1988 voir p 73 en Athl tisme avec Debois N 1990 voir p 17 gt gt QUESTIONNAIRE REDUIT D EXTRAVERSION ET DE NEVROSISME EYSENK contribution de l auto
200. ASSOLETTE R Histoire politique du conflit des deux rugby en France de l entre deux guerres la guerre froide Origines cons quences et perspectives analys es au moyen des logiques internes respectives Ou bien Rugby XV et Rugby XIII le dogme et son doute 1996 512 p 9 p de bibliographie 150 r f rences bibliographie presse et revues gt gt FAUCHE S La notion d adresse en ducation physique Etude de la pr cision chez l enfant de six onze ans 1978 138 p 4 p de bibliographie 77 r f rences annexes Voir p 105 gt gt FERAUD C Gymnastique rythmique sportive Analyse des caract ristiques du haut niveau et comparaison avec le niveau fran ais 1983 274 p 22 p de bibliographie 262 r f rences annexes importantes Voir p 49 gt gt FILLIARD J R Appr ciation de la valeur physique des futurs athl tes de haut niveau Un exemple le handball Mise au point d un programme informatique de traitement des donn es en temps r el 1987 96 p 5 p de bibliographie 45 r f rences annexes Voir p 119 gt gt FLEURANCE P Acquisition d une habilet d anticipation co ncidence par des enfants de 5 7 ans R flexions sur les proc dures p dagogiques utilis es 1982 61 p 8 p de bibliographie 117 r f rences gt gt FOUGERON B Marche athl tique Cons quences d un effort de 3 heures l allure de comp tition sur l conomie de
201. ASTES DE G R S MEILLEURES MONDIALES EN 1983 avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt JUGES DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL EN G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt DANSEURS O CHOREGRAPHES en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt HOMMES ET FEMMES SANS CONNAISSANCE PARTICULIERE en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt GYMNASTES DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL en G R S avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt GYMNASTES EQUIPE DE FRANCE ESPOIR avec Hosseini A 1991 voir p 56 gt gt PROFESSION EDUCATEUR SPORTIF CANDIDATS EMPLOYEURS FORMATEURS avec Robert Lacaze M 1994 HANDBALLEURS gt gt HANDBALLEURS FINALE DU CHAMPIONNAT DE FRANCE N1 1980 avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt ENTRAINEURS FRANCAIS ET ETRANGERS avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt HANBALLEURS DU CHAMPIONNAT DE DIVISION N avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt JOUEUSES DE HANDBALL EQUIPE DE FRANCE SENIOR ET P U C avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt HANDBALLEURS DE CLUBS S ENTRAINANT A L IN S E P avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt HANDBALLEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt EQUIPE DE FRANCE A SENIOR FEMININE AU TOURNOI INTERNATIONAL DE VARA avec Pineau P 1986 voir p 119 gt gt HANDBALLEURS DE CLUBS DE NATIONALE 1 N2 N3 ave
202. AUD S Approche biom canique de l am lioration de la d tente en volley ball par un entra nement pliom trique 1988 129 p 7 p de bibliographie 66 r f rences Voir p 98 gt gt BESSON F Programme et contenu d une formation l usage des dirigeants du judo Fran ais 1982 58 p 1 p de bibliographie une dizaine de r f rences annexes Voir p 63 gt gt BINARD J La coh sion en Basket ball f minin tude des meilleures quipes Fran aises 1982 208 p 12 p de bibliographie 128 r f rences annexes importantes Voir p 22 gt gt BLAIS F Les femmes de la r gion Parisienne et les course pied de longue distance Tradition ou innovation 1987 224 p 11 p de bibliographie 112 r f rences annexes gt gt BLEOU TOKOU J L F Contribution l valuation des caract ristiques psychologiques du handballeur 1987 147 p 5 p de bibliographie 50 r f rences annexes Voir p 57 gt gt BOERIO G Acrobatie au sol en gymnastique sportive Etude biom canique du salto tendu et du double salto arri re group 1984 80 p 3 p de bibliographie 23 r f rences annexes Voir p 50 gt gt BOERIO H Contribution de la biom canique l analyse du geste en gymnastique sportive Les grands tours soleil la barre fixe 1984 70 p 2 p de bibliographie 25 r f rences annexes Voir p 50 gt gt BONNEFOY B Traitement des inf
203. CADETTES JUNIORS ET SENIORS DE NIVEAU NATIONAL avec Riffiod E 1978 voir p 108 gt gt BASKETTEURS DE NIVEAU INTERNATIONAL ET MONDIAL avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt BASKETTEURS DE NIVEAU N 2 N 3 N 4 avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt BASKETTEUSES EQUIPE DE FRANCE JUNIOR avec Binard J 1982 voir p 22 gt gt BASKETTEUSES EQUIPES DE N 1 avec Binard J 1982 voir p 22 gt gt BASKETTEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt LES DIRIGEANTS SPORTIFS avec Passemard M M 1982 voir p 23 gt gt ENTRAINEURS DE N 1 MASCULINE OU DE SELECTIONS NATIONALES avec Weisz A 1982 voir p 23 gt gt BASKETTEURS CADETS ET CADETTES DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL INTERNES A L IN S E P avec Buteau P 1987 voir p 24 gt gt BASKETTEURS HOMMES ET FEMMES EQUIPE DE FRANCE ESPOIRS avec Berjaud S 1988 voir p 98 gt gt MEILLEURS JUNIORS MONDIAUX EN TOURNOI avec Diop A 1988 voir p 25 gt gt BASKETTEURS EQUIPE DE FRANCE ET DE LA SECTION SPORT ETUDES DE L INSEP avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS DE LA NI1A ET N1B avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt BASKETTEURS INTERNATIONAUX ET DE NIA avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt JOURNALISTES SPECIALISTES DU BASKET PRESSE ECRITE PARLEE ET DE TELEVISION avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt ENTRAINEURS DU PLUS HAUT NIVEAU avec Desert I 1989 v
204. CYCLETTE ERGOMETRIQUE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 sur des personnes g es avec Lenoir H 1978 voir p 105 apport glucidique avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt EFFORT DE MANIVELLAGE DE BRAS en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 sur des personnes g es et maladives avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt EPREUVE SUR MARCHES MONTER ET DESCENDRE ALTERNATIVEMENT au sujet de la condition physique chez l enfant avec Bar C 1978 voir p 104 gt gt MESURE DE LA CAPACITE DE TRAVAIL OU CT 170 SUR BICYCLETTE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 sur une population d enfants avec Bar C 1978 voir p 104 sur une population d enfants de 12 15 ans Courses de longue dur e avec Trouillon P 1978 voir p 106 en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt LACTATEMIE D EFFORT EN SITUATION DE TERRAIN SUITE A UN EFFORT AEROBIE ET SUITE A UN EFFORT TYPE GLYCOLYSE ANAEROBIE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt ELECTROCARDIOGRAMME en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 relev lors d un test d effort sur tapis roulant Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 sur des personnes g es avec Lenoir H 1978 voir p 105 relev sur des Nageurs en continu avec Dufort C 1983 voir p 72 relev en continu sur des Rugbymen avec Ladauge P 1984 voir p 80 en Natation avec Muti A 1987 voir p 73 en
205. E Contribution de l autoscopie aux apprentissages sportifs approche exp rimentale dans le cadre de la gymnastique sportive LAMBERT C 1980 162 p 4 p de bibliographie 49 r f rences annexes importantes dont fiche d observation grille des fautes mod le de l interview men e aupr s de gymnastes de haut niveau questionnaire d enqu te utilisation de l image de soi dans la pratique de la mnastique sportive questionnaire r duit d extraversion et de n vrosisme Voir rubrique THEMES GENERAUX 1980 L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des gymnastes a pu tre labor Gymnastique rythmique sportive Analyse des caract ristiques du haut niveau et comparaison avec le niveau fran ais FERAUD C 1983 274 p 22 p de bibliographie 262 r f rences annexes importantes 35 tableaux ou graphiques r sultats championnats Internationaux questionnaire gymnastes et r sultats questionnaires entra neurs espace volume espace au sol Population d exp rimentation 46 gymnastes de 12 pays ont r pondu un questionnaire distribu lors des ch
206. EAUX DONT NIVEAU NATIONAL avec Prawerman A 1993 AUTEURS PAR ORDRE ALPHABETIQUE A gt gt AKPA G Les syst mes de d fense en handball Formalisation th orie et r alit 1992 107 p 4 p de bibliographie 31 r f rences annexes Voir p 59 gt gt ALARD P Ski alpin Entra nement physique programm pour de jeunes pratiquants 1981 102 p 4 p de bibliographie 56 r f rences annexes importantes Voir p 82 gt gt ALBERTINI H Initiation la navigation voile Analyse des divers niveaux de r gulation de l action 1982 241 p 3 p de bibliographie 30 r f rences Voir p 92 gt gt AMBAL M Le jeune stagiaire et son environnement dans un tablissement national Analyse du milieu de vie pour la r ussite d un jeune sportif scolaire de haut niveau 1985 180 p 3 p de bibliographie 42 r f rences annexes Voir p 117 gt gt ANTIT Contribution l analyse du jeu en in galit num rique 1991 135 p 4 p de bibliographie 28 r f rences annexes Voir p 58 gt gt ANTOUREL S Analyse d une technique de judo uchi mata Aspects d veloppementaux 1989 171 p 6 p de bibliographie 69 r f rences Voir p 65 gt gt AUBERT F Athl tisme course de haies hautes Contribution l tude des relations entre la vitesse de course sur le plat et la vitesse de course sur le parcours de haies hautes 1986 129 p 4 p
207. ECTS PSYCHOLOGIQUES avec Fablet A 1977 voir p 102 gt gt COHESION DE L EQUIPAGE COMPLEMENTARITE DES PERSONNALITES en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt PLACE ET ROLE DES CROYANCES MAGIQUES SPORTS DE COMPETITION AU CAMEROUN avec Younde Meyou F 1978 gt gt AGRESSIVITE ET SPORT LA FONCTION CATHARTIQUE DU SPORT CHEZ LES ENFANTS avec Pfister R 1979 gt gt LA PERSONNALITE DES PRATIQUANTS D A KIDO avec Guibbert L 1980 voir p 12 gt gt PLACE DE LA PSYCHOLOGIE DANS L ATHLETISME avec Pateffoz B 1980 voir p 12 gt gt LE PROFIL DES MENEURS DE JEU TEL QU IL EST PERCU en Handball et Sports Collectifs avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt CARACTERISTIQUES DE L ATHLETE FEMININE DE HAUT NIVEAU EN FONCTION DE LA SPECIFICITE DES PRATIQUES avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt EFFETS DE LA PRATIQUE D UNE TECHNIQUE DE REGULATION PSYCHOTONIQUE avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt LA COHESION A L INTERIEUR D UNE EQUIPE EN BASKET avec Binard J 1982 voir p 22 gt gt TRAITS DE PERSONNALITE VOL LIBRE avec Jullien G 1982 voir p 94 gt gt LE TRAIT DE PERSONNALITE SON INFLUENCE SUR LE TRAITEMENT DE L INFORMATION en Tennis avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt L ECHEC EN SPORT avec L tocart M 1983 voir p 114 gt gt CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES DE VOLLEYEURS avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES DES GYMNASTES DE
208. EGAL M Basket ball Contribution l analyse de la contre attaque 1990 127 p 4 p de bibliographie 61 r f rences annexes Voir p 28 gt gt SEYFRIED D Pentathlon moderne Contribution l approche nerg tique et nutritionnelle de l preuve d escrime 1987 55 p 9 p de bibliographie 97 r f rences Voir p 77 gt gt SIMONET P Contribution l tude du r le de la valeur et des limites de l image enregistr e dans l apprentissage sportif 1977 129 p 4 p de bibliographie 42 r f rences Voir p 102 gt gt SOLER C Etude des appuis plantaires et de la stabilit d athl tes pour les actions contr l es Application au judo 1987 117 p 2 p de bibliographie 26 r f rences annexes importantes Voir p 65 gt gt STAUB M Gymnastique Contribution l valuation de quelques caract ristiques morphologiques et motrices de gymnastes de 12 14 ans 1983 134 p 10 p de bibliographie 87 r f rences annexes Voir p 115 gt gt STEIN J F Sports d opposition El ments d analyse pour une p dagogie des prises de d cision 1981 105 p 10 p de bibliographie 111 r f rences Voir p 76 gt gt SUDRE P Acquisition des habilet s motrices en Judo Analyse comparative des deux styles p dagogiques et de leurs incidences sur la transmission des contenus d enseignement 1989 185 p 6 p de bibliographie 76 r f rences
209. EMES GENERAUX 1986 Contribution l valuation des caract ristiques psychologiques du handballeur BLEOU TOKOU J L F 1987 147 p 5 p de bibliographie 50 r f rences annexes r capitulatifs sous forme graphique des comparaisons suivantes handballeurs population sportive en fonction des niveaux de pratique et des postes de jeu Population d exp rimentation 127 sujets gar ons uniquement g s de 14 33 ans Diff rents niveaux de pratique joueurs de Nationale 1 membres de l quipe de France 2 clubs de N2 1 club de N3 1 quipe Espoir 2 sections Sport tudes 2 s lections de Cadets de ligue Protocole exp rimental Application du questionnaire de personnalit Q P S de E Thill Conclusion Le handballeur se distingue du sportif en g n ral par une aptitude la vitesse intensit l extraversion l agressivit la sociabilit et la coop ration Apparaissent cependant certaines insuffisances l endurance psychologique la comp titivit le contr le motionnel la dominance il est du ressort des intervenants formateurs comme entra neurs de r soudre ces inaptitudes relatives en int grant dans le cadre de la formation et de l entra nement du sportif une v ritable ducation psychologique Son but serait alors de former et de perfectionner les qualit s mentales du handballeur L auteur propose ce titre quelques exemples mettant en jeu
210. ENSHI XY1 Y2 Y3 type D 73 C et un oscilloscope TELEQUIPMENT DM 64 qui enregistrent les r sistances 3 Tests physiologiques a d termination de la consommation maximale d oxyg ne par preuve sur tapis roulant d termination directe volume et analyse des gaz d riv e du protocole de TAYLOR l preuve consiste augmenter de deux en deux km h par paliers successifs de trois minutes la vitesse de d roulement du tapis arriv 16 km h une nouvelle augmentation de la charge peut tre d termin e par une plus forte inclinaison de la pente du tapis recueil de la fr quence cardiaque en continu lactat mie de fin d preuve b lactat mie suivant deux situations l issue d un test de nage dont l hypoth se de d part tait la sollicitation pr pond rante du processus a robie au cours et l issue d un autre test de nage dont l impact suppos tait la sollicitation de la glycolyse ana robie 4 Tests de piscine nous avons labor deux types de tests dont l objectif tait la fois de constater l incidence de l effort et de la r cup ration sur la lactat mie et d obtenir une performance chronom trique dans des conditions homog nes ler test 8 x 50m nag vitesse maximale et entrecoup entre chaque 50m d une pause de 10 sec deux pr l vements ont eu lieu l un imm diatement la fin du test l autre trois minutes apr s 2 me test 4 x 2 x 50m nag lu
211. ES MOTRICES ET DU NIVEAU GYMNIQUE DES GARCONS DE 7 A 13 ANS PRATIQUANT LA GYMNASTIQUE SPORTIVE Lalo Sayo E 1983 142 p 4 p de bibliographie 28 r f rences Population d exp rimentation 13 gymnastes g s de 7 13 ans d un club D partemental l Union Sportive d Ivry Protocole exp rimental Mesure de la taille et du poids utilisation d un certain nombre d preuves physiques du Brevet d Aptitude Physique BAP 1980 saut en longueur sans lan course de vitesse sur 30m lancer de ballon de football course de 9 min ou 12 min selon l ge mesure de la souplesse par flexion du tronc avant Tests gymniques sur la base des impos s A B C du programme national de la F d ration Fran aise de Gymnastique 1981 84 mais avec cotation sp ciale Prise en compte de tous les agr s Conclusion Il est permis de penser que les quatre heures de cours dispens es chaque semaine pendant une p riode de six mois n ont pas eu d influence n gative sur le d veloppement morphologique Elles ont l inverse permis d avoir une influence positive sur la valeur physique g n ralis e et sur la valeur sp cifique des enfants soumis la formation e L ECHEC EN SPORT DE HAUT NIVEAU Approche psychologique et sociologique L tocart M 1983 183 p 5 p de bibliographie 55 r f rences annexes dont exemplaire du questionnaire pour l entra neur et questionnaire pour l athl te Population d
212. Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 en Cano kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 interactions entre processus physiologiques et cognitifs avec Brisswalter J 1992 voir p 123 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt PRELEVEMENT ET ANALYSE DES GAZ EXPIRES DONNEES RESPIRATOIRES relev lors d un test d effort sur tapis roulant Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 relev sur des Nageurs en continu avec Dufort C 1983 voir p 72 en relev sur des Rugbymen T l m trie avec Ladauge P 1984 voir p 80 en Natation avec Muti A 1987 voir p 73 en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 en Cano kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 interactions entre processus physiologiques et cognitifs avec Brisswalter J 1992 voir p 123 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt COMPLIANCE ARTERIELLE METHODE DE NIELSEN sur des personnes g es avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt PRESSION ARTERIELLE sur des personnes g es avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt ELECTROMYOGRAPHIE en Golf avec Lofi A 1978 voir p 47 la performance motrice d enfants de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983 voir p 115 en G R S avec Leroy M 1984 voir p 51 effets de la mus
213. France d hiver et d t qui constituent les deux objectifs importants de leur pr paration Protocole exp rimental Mesure des plis cutan s appareil de mesure de la force isom trique r alis la mission recherche de l I N S E P capteurs ampli oscilloscope table tra ante celui ci constitue une adaptation du mod le de Vassiliev chariot potence dont la vitesse est rigoureusement assujettie celle du nageur Conclusion Sur un plan th orique la r flexion de l entra neur est attir e par les faits suivants il parait difficile d isoler des param tres biologiques v ritablement significatifs de la force musculaire maximale isom trique ou propulsive la corr lation s av re statistiquement tr s faible en ce qui concerne la force maximale isom trique et la force maximale propulsive relative aucun rapport troit n a pu tre enregistr entre un test de force maximale propulsive qui se d roule sur 10 15m et des performances de 25 et 50m Seul un gain de force correspondant une pratique mixte entra nement effectu sec et entra nement v cu de fa on intensive dans l eau a permis une am lioration nette de la performance en sprint Sous r serve que comme l voque l auteur un certain nombre de principes ayant trait l laboration d un programme de musculation sec soient respect s Influence de la r cup ration active chez le nageur Effets de diff rentes
214. G 9sec 58 U S C 12 sec 85 fr quence de course P S G 220 86 U S C 165 85 3 Une diff rence non significative est apparue au niveau de la fr quence des sprints elle est sup rieure dans le cas des joueurs voluant au plus haut niveau 4 On perd deux fois plus de ballons au niveau inf rieur 26 65 qu au niveau sup rieur 11 38 5 Au sujet des attaquants les attaquants ont les fr quences de sprint les plus lev es par rencontre Aussi leur temps total de course est le plus lev Les attaquants sont ceux dont les dur es de duels sans ballon sont les plus longues 6 Au sujet des milieux de terrain la dur e de leur s quence de marche et de leur s quence de course est la plus lev e La dur e totale de leurs arr ts ainsi que la fr quence de celles ci sont les plus importantes Les milieux de terrain sont ceux dont les temps de duel avec ballon sont les plus longs par rencontre Le plus grand nombre de touches de balle par ballon re u est effectu par les milieux de terrain Le milieu de terrain est celui qui re oit le plus grand nombre de ballons Les remarques ci dessus cit es sont constat es aussi bien au niveau sup rieur qu au niveau inf rieur Contraintes cognitives et efficacit de la conduite de balle en football gt OUATTARA O 1993 84 p 6p de bibliographie 46 r f rences annexe Population d exp rimentation 14 sujets g s de 16 20 ans dont 7 tudiants en E P
215. G R S avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt COMMUNICATIONS OU RELATIONS INTER INDIVIDUELLES DANS UN JEU COLLECTIF SOCIOMETRIE avec Zanin P 1985 voir p 118 gt gt LE DISCOURS D AVANT MATCH dans quatre Sports Collectifs avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt EFFICACITE ET RELATIONS INTERINDIVIDUELLES DANS UN SPORT COLLECTIF en Handball avec Pineau P 1986 voir p 119 gt gt CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES DES HANBALLEURS avec Bl ou Tokou J L F 1987 voir p 57 gt gt MOTIVATIONS PSYCHO SOCIOLOGIQUES en Volley ball avec Canales C 1987 voir p 97 gt gt TRAITS DE PERSONNALITE SPECIALITE EN NATATION avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt ANALYSE PSYCHO SOCIOLOGIQUE DES REPRESENTATIONS ET DES ACTIONS DU BUTEUR DANS LE FOOTBALL PROFESSIONNEL avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt ANALYSE DES COMPORTEMENTS D INTIMIDATION OFFENSIFS en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt EXPLOITS ET CONTRE PERFORMANCES LECTURE PSYCHANALYTIQUE en Athl tisme avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt CONCENTRATION ET PERSONNALITE en Athl tisme avec Debois N 1990 voir p 17 gt gt PROFIL PSYCHOLOGIQUE DES MEILLEURS JOUEURS LORS DES MOMENTS CRUCIAUX D UNE RENCONTRE en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt APPROCHE PSYCHOSOCIALE des Volleyeuses de C P E F avec Prawerman A 1993 voir p 100 LE RELATIONNEL LES ENTRAINEURS EN SITUATION DE COMMUNICATION gt gt COHESION DE
216. INTIMIDATION OFFENSIFS en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt STRATEGIES ET COMPORTEMENTS POSTURAUX EN SITUATION DE TEMPS DE REACTION GARDIENS DE BUT en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt LE TIR A TROIS POINTS EN BASKET BALL avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt ANALYSE DU JEU VOLLEY BALL FEMININ avec Lebleu M C 1989 voir p 98 gt gt ANALYSE TRANSITION COMBAT DEBOUT COMBAT AU SOL en Judo avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt LA CONTRE ATTAQUE VITESSES en Basket avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt LA PHASE D ATTAQUE PLACEE UTILISATION DE L AIRE DE JEU en Basket ball avec Vanaghs I 1990 voir p 29 gt gt ANALYSE DU JEU EN INEGALITE NUMERIQUE HANDBALL avec Anti T 1991 voir p 58 gt gt DEPLACEMENTS ET ACTIONS DE JEU INDIVIDUELLES A DEUX NIVEAUX DE COMPETITION en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt LES SYST MES DE DEFENSE HANDBALL avec Akpa G 1992 voir p 59 gt gt MOMENTS CRUCIAUX D UNE RENCONTRE PROFIL PSYCHOLOGIQUE DES JOUEURS en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt JEU D ATTAQUE COMPOSANTES TEMPORELLES en Handball avec Prat J L 1992 voir p 60 gt gt GESTION DES RYTHMES DE TIR AU PISTOLET OLYMPIQUE avec Raybaut J F 1992 voir p 89 gt gt STRATEGIE D UTILISATION DES ATTAQUANTS ET DES DEFENSEURS SPECIFIQUES HANDBALL avec Dubertrand H 1993 voir p 60 gt gt GESTION TACTICO TECHNIQ
217. IONS VISUELLES ET PRISE DE DECISION EN ARBITRAGE D ESCRIME AU FLEURET Bonnefoy B 1992 127 p 4 p de bibliographie 51 r f rences annexes comparaisons des r sultats des trois groupes d arbitres Population d exp rimentation 1 5 experts entra neurs de Haut niveau ou responsables de formation des ma tres d armes ont t test s sur 151 situations de coups doubles et ont d fini pour chacune un coefficient de difficult d arbitrage sur une chelle allant de 1 5 1 tant le plus facile arbitrer 2 La population d exp rimentation a t celle des meilleurs arbitres de fleuret Internationaux de cat gorie A et B Nationaux Protocole exp rimental Utilisation d une m thode par simulation utilisant un support visuel montage vid o dont le but est principalement li la possibilit de reproduire plusieurs fois la m me situation Toutes les situations sont issues du m me tournage et permettent une standardisation des 151 situations de coups double retenues Les situations sont class es selon quatre crit res difficult ambiguit sexe angle Pour discriminer les situations un joystik est connect l ordinateur Conclusion Il appara t que l expertise en arbitrage n est pas une question de sensibilit perceptive les arbitres experts ne lisent pas mieux les situations que les arbitres moins exp riment s Le profil psychologique met en valeur la personnalit de l arbitre
218. IQUE ENCADREMENT ENTOURAGE DEVELOPPEMENT REGIME JURIDIQUE gt gt LA CLASSIFICATION DES CLUBS COMPOSANTE DECISIVE DE LA PROMOTION DE L ATHLETISME FRANCAIS avec Saint Peron J C 1978 gt gt LA DYNAMIQUE ORGANISATIONNELLE DE GRANDES MANIFESTATIONS SPORTIVES avec Rudloff R M 1980 gt gt SECTION SPORT ETUDES FILIERE D ACCES AU SPORT DE HAUT NIVEAU avec Pigeassou C 1981 R 1982 gt gt ETUDE DES DIRIGEANTS SPORTIFS CAS DU BASKET avec Passemard M M 1982 voir p 23 gt gt LE REGIME JURIDIQUE DE L ENSEIGNANT DE TENNIS avec Tivolle M 1982 gt gt UN MODE D ORGANISATION L OFFICE MUNICIPAL DES SPORTS avec Clergue C 1983 gt gt MILIEU DE VIE ET REUSSITE DU STAGIAIRE avec Ambal M 1985 voir p 117 gt gt CLASSES PROMOTIONNELLES BILAN ET PERSPECTIVES en Athl tisme avec Bussery M 1987 gt gt APPROCHE PSYCHOSOCIALE VOLLEYEUSES DE C P EF avec Prawerman A 1993 voir p 100 gt gt RELATIONS SPORT ENTREPRISE MECANISMES DE PARRAINAGE avec Ragot N 1993 voir p 125 gt gt FORMATION ET PRATIQUE SPORTIVE DE HAUT NIVEAU RELATIONS AUX STRUCTURES D ACCUEIL en Danse avec Donzel Gaye C 1994 gt gt DROITS ET OBLIGATIONS AU PLAN LEGISLATIF ET REGLEMENTAIRE DU SPORTIF DE HAUT NIVEAU avec Freville P 1994 gt gt INFLUENCE DU MILIEU FAMILIAL INSTITUTIONNEL ET REGIONAL SUR DES TRES JEUNES en Tennis avec Isb rie P 1994 gt gt TRANSFORMATION COMMUNICATION SOCIA
219. IQUE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt FORMULE DE DUBOIS ET DUBOIS 1916 EVALUATION DE LA SURFACE CORPORELLE A PARTIR DE LA TAILLE ET DU POIDS en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt TABULATION DE BALES TRANSCRIRE ET CLASSER LES ECHANGES VERBAUX en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt METHODE TANNER WHITEHOUSE ET HEALY 1975 CALCUL DE L AGE OSSEUX en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt RAMPE LUMINEUSE AVEC UN MODULATEUR PROGRAMMABLE au fond du bassin pour contr ler et augmenter la vitesse d un nageur avec Dufort C 1983 voir p 72 avec Muti A 1987 voir p 73 gt gt VEDETTE METEO LABO en Voile avec Le Vaillant R 1983 voir p 93 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 gt gt CALCULS TRANSLATION ROTATIONS AXES ET ANGLES VITESSES ANGULAIRES RACCORDEMENT ET LISSAGE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt ACROBATIE SOUS DIFFERENTES CONDITIONS LUMINEUSES en Trampoline avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt METHODE DE CONSTRUCTION DU CENTRE DE GRAVITE DU CORPS ET DES SEGMENTS CLAUSER et al en Gymnastique Sportive Acrobatie au sol avec Boerio G 1984 voir p 50 en Gymnastique Sportive Barre fixe avec Boerio H 1984 voir p 50 gt gt CELLULES PHOTOELECTRIQUES CHRONOMETRIE en At
220. ISTIQUES DE LA DIFFICULTE EN G R S avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt ANALYSE DE LA TACHE EQUITATION DE SAUT D OBSTACLES avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt ANALYSE DE LA TACHE DE GRIMPER EN FALAISE avec Dupuy C 1985 voir p 40 gt gt DIFFICULTE DE LA T CHE DU COUREUR DE 110 M HAIES avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt PROBLEMES POSES PAR L EPREUVE DE TIR CARABINE avec Horvath L 1986 voir p 88 gt gt LA TACHE GENERALE DE L ESCRIMEUR avec Leseur H 1986 voir p 43 gt gt DISCOURS ET SPECIFICITE DE L ADVERSAIRE DISCOURS ET SPECIFICITE DE LA DISCIPLINE avec Nerin J Y 1986 voir p 119 gt gt APPROCHE BIOENERGETIQUE DE LA TACHE DU BASKETTEUR avec Buteau P 1987 voir p 24 gt gt CONSOMMATION MAXIMALE D OXYGENE en rapport avec la vitesse de d placement du Nageur avec Muti A 1987 voir p 73 gt gt APPROCHE ENERGETIQUE ET NUTRITIONNELLE en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 gt gt CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES DU SKI ALPIN EN COMPETITION avec Barthalais A 1988 voir p 84 gt gt DIFFICULTE DE LA TACHE DU COUREUR DE 400 M HAIES FACTEURS TECHNICO TACTIQUES LEUR MAITRISE avec Belloc O 1988 voir p 15 gt gt SPECIFICITE DE L ACTIVITE NATATION avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt DIFFICULTE DES ENCHAINEMENTS EN G R S NOTE ATTRIBUEE PAR DIFFERENTS PUBLICS avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt LE TIR A TROIS POINTS EN BASKET BALL avec Desert
221. Influence du milieu familial institutionnel et r gional sur la performance tennistique des benjamins 1994 164 p 6 p de bibliographie 74 r f rences annexes J gt gt JULLIEN G Contribution l identification des facteurs de la performance en vol libre 1982 125 p 4 p de bibliographie 45 r f rences annexes Voir p 94 K gt gt KAE OULA G Football Entra nement physico technique Les principes d organisation 1988 172 p 7 p de bibliographie 58 r f rences annexes Voir p 45 gt gt KELLER J Influence du trait de personnalit sur le traitement de l information au tennis Incidences p dagogiques 1982 130 p 7 p de bibliographie 59 r f rences Voir p 85 gt gt KERLIRZIN Y Traitement des informations visuelles et prise de d cision en boxe Fran aise 1990 82 p 8 p de bibliographie 73 r f rences annexes Voir p 32 gt gt KOUAKOU KOFFI L Contribution l tude chronobiologique de l adaptation d athl tes de haut niveau aux sites de comp tition 1989 92 p 4 p 28 r f rences annexes Voir p 120 gt gt KRANTZN Ph nom nes de fatigue et de r cup ration chez le d cathlonien Aspect musculaire 1992 156 p 4 p de bibliographie 37 r f rences annexe Voir p 18 L gt gt LADAUGE P Contraintes physiologiques par poste en rugby 1984 77 p 4 p de bibliographie 74 r f rences
222. LE A L INTERIEUR D UNE FEDERATION en Gymnastique avec Cayre B 1995 voir p 127 LES JEUNES ET LE SPORT CONDITION PHYSIQUE ET CROISSANCE APPRENTISSAGE ET PEDAGOGIE DETECTION gt gt DANS UNE PERSPECTIVE PEDAGOGIQUE ELEMENTS INTERESSANTS A PRENDRE EN COMPTE DANS L ENSEIGNEMENT DU KARATE avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt ROLE DE L IMAGE DANS LES ACTIVITES D EXPRESSION avec Fablet A 1977 voir p 102 avec Le Corvaisier S 1977 voir p 102 gt gt SPECIFICITE DU FILM D ANIMATION DANS LE FILM DIDACTIQUE avec Piasenta J 1977 gt gt FORMATION DE L ESCRIMEUR UTILISATION DES MOYENS AUDIO VISUELS avec Revenu D 1977 gt gt ETUDE DU ROLE DE LA VALEUR ET DES LIMITES DE L IMAGE ENREGISTREE DANS L APPRENTISSAGE SPORTIF avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt LA CONDITION PHYSIQUE CHEZ L ENFANT APPROCHE PHYSIOLOGIQUE avec Bar C 1978 voir p 104 gt gt LA DETECTION en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 gt gt APPRENTISSAGE DU GOLF avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt APPRENTISSAGE DE LA VOILE EN DERIVEUR CONSEILS PEDAGOGIQUES avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt CONTRIBUTION A L ETUDE DES PERFORMANCES A LA COURSE DE DISTANCE ENFANTS DE 12 A 15 ANS avec Trouillon P 1978 voir p 106 gt gt LA FORMATION DU BASKETTEUR avec Chazalon J 1979 voir p 21 gt gt INTERET D UN APPRENTISSAGE CENTRE SUR LA PRE ACTION en Rugby avec Conquet P 1979 voir p 79
223. Le sujet est tendu sur le dossier le bassin appuy contre le si ge les cuisses verticales la jambe test e horizontale Le pied est fix l trier afin que son axe de rotation co ncide avec l axe bi mall olaire de la cheville Un jeu de semelles et de cales en bois de diff rentes paisseurs est utilis dans ce but en fonction des caract ristiques morphologiques individuelles Ces derni res n cessitent galement de r gler la position du fauteuil sur une graduation de la cr maill re et d installer des cales d paisseur sous le dossier Le pied est fermement maintenu l aide de courroies et un coussinet de tissu qui milite la perturbation du retour veineux La jambe libre repose par le mollet sur un tabouret La mesure porte sur la force isom trique de flexion dorsale d velopp e par le jambier ant rieur 2 Concernant le dispositif ergom trique du bras le sujet est assis sur le si ge tronc droit cuisses horizontales Les pieds sont pos s plat sur l embase la main libre repose sur la cuisse ipsilat rale Le bras solidaire de l ergom tre est 90 d abduction L avant bras repose dans la goutti re Le coude fl chi 80 est plac de telle sorte que son axe co ncide avec celui du syst me m canique Le contr le de cette position dans l ergom tre est assur par le calage du sujet au niveau de la ceinture scapulaire l aide du baudrier du coude par deux but es ant ro post rieures
224. METHODOLOGIE DE L ENTRAINEMENT SPORTIF 20 ANS DE RECHERCHES APPLIQUEES KRANTZ Norbert 1997 Norbert KRANTZ est professeur Agr g d E P S Dipl m de P I N S E P titulaire d un D E A S T A P S et du B Etat 3 me degr Nomm en 1994 l ILN S E P il a enseign aux tudiants et aux cadres plac s en formation la M thodologie de l Entra nement sportif Editions I N S E P SOMMAIRE PREFACE INTRODUCTION DISCIPLINES SPORTIVES suivant un classement alphab tique des disciplines THEMES GENERAUX RELATIFS AU DOMAINE DE L APPRENTISSAGE ET DE L ENTRAINEMENT SPORTIF suivant un classement alphab tique des auteurs RECLASSEMENT EN THEMES ET MOTS OU IDE ES CLEFS PROTOCOLES EXPERIMENTAUX INSTRUMENTS DE MESURE POPULATIONS D EXPERIMENTATION AUTEURS PAR ORDRE ALPHABETIQUE Page 3 Page 4 12 Page 13 103 Page 100 126 Page 127 137 Page 137 149 Page 149 155 Page 155 165 PREFACE L auteur du pr sent ouvrage Norbert KRANTZ a r alis un travail d analyse d une grande envergure sur les recherches entreprises depuis une vingtaine d ann es dans le domaine de l entra nement sportif Il a utilis pour mener bien cette t che les M moire produits par les Sessionnaires pr parant de Dipl me de l LNS E P Il a cependant limit son corpus d tude aux probl matiques li es l entra nement dans une perspective d optimisation de la perf
225. N D UNE METHODE D ENTRAINEMENT BASEE SUR UNE NOUVELLE DEFINITION DE LA DIFFICULTE LES ENCHAINEMENTS en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt MUSCULATION DES JUDOKA CONSIDERATIONS A PRENDRE EN COMPTE avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt TEMPS HEBDOMADAIRES D ENTRAINEMENT DANS DIFFERENTS SPORTS ET SELON LES NIVEAUX DE PRATIQUE SUIVANT DIFFERENTES STRUCTURES EGALEMENT objet d un chapitre avec Donzel Gaye C 1994 gt gt LONGEVITE DE L APPRENTISSAGE DEBUT ET AGE DE MATURITE INTENSITE DES EXIGENCES objet d un chapitre dans diff rents sports et plus particuli rement en Danse avec Donzel Gaye C 1994 PERCEPTION ET COGNITION TEMPS DE REACTION ET DE REPONSE TRAITEMENT DE L INFORMATION REPRESENTATIONS CROYANCES PREPARATION MENTALE gt gt VITESSE DE REACTION TEMPS D EXECUTION en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt ROLE DE L IMAGE DANS LES ACTIVITES D EXPRESSION ASPECTS PERCEPTIFS avec Le Corvaisier S 1977 voir p 102 gt gt UTILISATION DES MOYENS AUDIO VISUELS ENFANTS D AGE SCOLAIRE en Escrime avec Revenu D 1977 gt gt LA PRE ACTION EN RUGBY avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt CONTRIBUTION DE L AUTOSCOPIE AUX APPRENTISSAGES en Gymnastique Sportive avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt ANALYSE DES DIFFICULTES DE L ARBITRAGE en Handball avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt LA PREACTION DU JOUEUR en Tennis avec Ody J 1981
226. N DU TYPE DE FORMATION ROLE DE LA PREACTION en Rugby avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt COMPORTEMENTS TACTIQUES ANALYSE en Basket ball avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt LES MENEURS DE JEU EN SPORTS COLLECTIFS PROPOSITIONS DE FORMATION en Handball et Sports Collectifs avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt COMPORTEMENTS TACTIQUES ROLE DE LA PREACTION en Tennis avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt PEDAGOGIE DES DECISIONS TACTIQUES SPORTS D OPPOSITION application au Rugby avec Stein J F 1981 voir p 76 gt gt ETUDE DU MANAGERAT CHOIX TACTIQUES en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 gt gt ELEMENTS POUR UNE FORMATION TACTIQUE ESSENTIELLE SPORTS COLLECTIFS ET RUGBY avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt APPRENTISSAGE DE L ESCRIME FONDE SUR LA NOTION DE TACTIQUE avec Seitz P 1984 voir p 42 gt gt JEU D ATTAQUE ANALYSE DE MATCHS ET DE SEANCES D ENTRAINEMENT EVOLUTION en Volley ball avec Lamouche C 1986 voir p 97 gt gt ANALYSE TECHNICO TACTIQUE DE L ATTAQUE EN NAGE WAZA JUDO DEBOUT avec Rambier R 1987 voir p 64 gt gt RUGBY DE MOUVEMENT ET DISPONIBILITE DU JOUEUR en Rugby avec Villepreux P 1987 voir p 81 gt gt TACTIQUE DE COURSE AU 400 M HAIES en Athl tisme avec Belloc O 1988 voir p 15 gt gt STATEGIES DE COMMUNICATION LE CHOIX DES ENCHAINEMENTS en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt ANALYSE DES COMPORTEMENTS D
227. NERAUX Certains sujets enfin dont l int r t paraissait plus lointain ont donn lieu une sorte de mini traitement RECLASSEMENT EN RUBRIQUES Chaque tude trait e a t reclass e en THEMES ET MOTS OU IDEES CLEEFS PROTOCOLES EXPERIMENTAUX INSTRUMENTS DE MESURE POPULATIONS D EXPERIMENTATION Ce triple traitement a vocation pratique il est destin tous ceux qui confront s une question concr te d sirent trouver assez rapidement le mode d entr e En cliquant par exemple sur Populations d exp rimentation chacun pourra en fonction de sa discipline retrouver les traces de recherches appliqu es Cette appr hension rev t un autre int r t elle autorise une analyse quantitative et surtout qualitative de certains ph nom nes l pist mologue ne pourra qu tre qu int ress par une telle vision synth tique CARACTERISTIQUES SCIENTIFIQUES DE CETTE ETUDE Avant tout c est une Bibliographie on peut y trouver un v ritable r pertoire p riodique d ouvrages r cemment parus Elle se pr sente sous la forme d une tude de type Arch ologique tude d une institution gr ce aux mouvements et objets qui en subsistent Elle rev t tr s souvent mais pas n cessairement la forme d une Anthologie recueil de morceaux choisis dans les oeuvres Enfin elle est une Taxonomie puisqu elle t moigne d un effort de classification Quant
228. NES STAGIAIRES EN ETABLISSEMENT NATIONAL avec Ambal M 1985 voir p 117 gt gt SPORTIFS CANDIDATS A L ACCES DANS LES CENTRES DE HAUT NIVEAU avec Filliard J R 1987 voir p 119 gt gt HOMMES ET FEMMES SANS CONNAISSANCE PARTICULIERE en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt JOURNALISTES SPECIALISTES DU BASKET PRESSE ECRITE PARLEE ET DE TELEVISION avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt SUJETS HOMMES ET FEMMES EN BONNE SANTE avec Scribot F 1988 voir p 86 gt gt AVEUGLES CANDIDATS AU BACCALAUREAT SAUTEURS EN LONGUEUR avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt ADOLESCENTS SUFFISAMMENT ENTRAINES valuation d un effort per u avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt SUJETS AGE MOYEN 34 ANS avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt PERSONNES ACTIVES avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt NAGEURS ADULTES DEBUTANTS en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ETUDIANTS SEDENTAIRES avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt SPORTIFS NON SPECIALISES avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt GRAND PUBLIC avec Ragot N 1993 voir p 125 gt gt SPORTIFS CAMEROUNAIS DE HAUT NIVEAU ET DE DIFFERENTES DISCIPLINES apport glucidique avec Thiriet P 1994 voir p 126 BASKETTEURS gt gt ENTRAINEURS DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL DONT ENTRAINEUR SELECTION NATIONALE JEUNE en Basket ball avec Chazalon J 1979 voir p 21 gt gt BASKETTEUSES
229. NTRAINEMENT PHYSICO TECHNIQUE PRINCIPES D ORGANISATION en Football avec Kae Oula G 1988 voir p 45 gt gt G R S STRATEGIES DE COMMUNICATION EN CE QUI CONCERNE LE CHOIX DES ENCHAINEMENTS avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt PROGRAMME DE FORMATION INDIVIDUEL ET COLLECTIF A LA MENACE en Basket ball avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt PROPOSITIONS POUR L ENTRAINEMENT SPECIFIQUE AU TIR A TROIS POINTS en Basket ball avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt LA CHARGE EN G R S avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt PROGRAMMATION EN G R S PROPOSITIONS MODELISATIONS DE SITUATIONS avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt PREPARATION A LA TRANSITION COMBAT DEBOUT COMBAT AU SOL en Judo avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt PROPOSITIONS PEDAGOGIQUES CONCERNANT LA VISUALISATION MENTALE en Handball avec Berger S C 1991 voir p 59 gt gt ANALYSE ET SUIVI DE L ENTRAINEMENT OUTILS DE PROGRAMMATION en Cano Kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt PROPOSITIONS RELATIVES A L ENTRAINEMENT DU COUREUR A L ATTENTION DES DECATHLONIENS en Athl tisme avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt PLANIFICATION ET PROGRAMMATION DE LA PREPARATION ATHLETIQUE DE VOLLEYEUSES sujet d un chapitre important du travail de Petit G 1991 voir p 99 gt gt PROPOSITIONS D ENTRAINEMENT PORTANT SUR DES ENCHAINEMENTS D ACTIONS en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt ELABORATIO
230. OCHE BIOENERGETIQUE DE LA PREPARATION PHYSIQUE DU BASKETTEUR avec Buteau P 1987 voir p 24 gt gt APPROCHE ENERGETIQUE ET NUTRITIONNELLE en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 gt gt PREPARATION PHYSICO TECHNIQUE DU FOOTBALLEUR avec Kae Oula G 1988 voir p 45 gt gt DEVELOPPEMENT DE LA DETENTE L ENTRAINEMENT PLIOMETRIQUE en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt DETENTE ET PLIOMETRIE ANALYSE REFLEXOLOGIQUE ET BIOMECANIQUE en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt REPONSE DU MUSCLE A L ETIREMENT IMPORTANCE DES PROPRIETES PHYSIQUES DE LA RAQUETTE au Tennis avec Scribot F 1988 voir p 86 gt gt CHRONOBIOLOGIE ADAPTATION D ATHLETES AUX CHANGEMENTS DE FUSEAU HORAIRE ET AUX LONGS VOYAGES en Athl tisme avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 gt gt CONTRAINTES PHYSIOLOGIQUES EN G R S SITUATIONS D ENTRAINEMENT ET SITUATIONS DE COMPETITION avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt AMELIORATION DE LA DETENTE EFFETS D UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE PLIOMETRIQUE en Gymnastique avec Hosseini A 1991 voir p 56 gt gt AMELIORATION DE LA DETENTE EFFETS D UN ENTRAINEMENT PLIOMETRIQUE en Volley ball avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt PROPOSITION D ENCHAINEMENTS D ACTIONS EN FONCTION DE CONTRAINTES PHYSIOLOGIQUES OBSERVEES en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt INTERACTIONS ENTRE PROCESSUS PHYSIOLOGIQUES ET COGNITIF
231. OGRAPHIE en Golf avec Lofi A 1978 voir p 47 la performance motrice d enfants de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983 voir p 115 en G R S avec Leroy M 1984 voir p 51 effets de la musculation excentrique avec Pousson M 1984 voir p 117 en Volley ball avec Berjaud S 1988 voir p 98 en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 en Tennis avec Scribot F 1988 voir p 86 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt MESURE DE LA FORCE PAR DYNAMOMETRE en Judo force manuelle et force dorsale avec Donzel J 1979 voir p 62 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt APPAREIL DE MESURE DE LA FORCE ISOMETRIQUE EN SALLE en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt CHARIOT A POTENCE MOBILE POUR MESURE DE LA FORCE MAXIMALE PROPULSIVE en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt DISPOSITIF ERGOMETRIQUE PERMETTANT L ENREGISTREMENT DES DIFFERENTS NIVEAUX DE FORCE EXERCEES PAR LES FLECHISSEURS DU COUDE A DIFFERENTES ANGULATIONS avec Th paut Mathieu C 1982 voir p 113 gt gt EPREUVES D EVALUATION DE L UTILISATION DE L ENERGIE ELASTIQUE en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt DYNAMOMETRE POUR MESURE DE LA FORCE ISOMETRIQUE MAXIMALE TEST DE TRACTION CHEZ DES 12 16 ANS au sujet de la performance motrice des gar ons de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983
232. OUR DEVIATION DU REGARD en situation d A T R Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 gt gt CANOE KAYAK AMENAGE POUR RECUEIL D UN GRAND NOMBRE D INFORMATIONS avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt MUR D ESCALADE AMENAGEABLE SUIVANT DIFFERENTES MODALITES avec Deligni res D 1990 voir p 40 avec Viens T 1992 voir p 41 gt gt APPAREIL DE STIMULATION ELECTRIQUE avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt TAPIS ROULANT AMENAGE MARQUAGE AU SOL METTRE LES PIEDS DANS LES CIBLES en Escalade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt REFERENCE AU TABLEAU DE SELIGER 1979 COUT ENERGETIQUE D UN CERTAIN NOMBRE D ACTIVITES PHYSIQUES en Escalade Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt TABLE LEPAGE DE CONVERSION VITESSES ET TEMPS DE NAGE PAR DISTANCE en Pentathlon moderne avec Genard B 1990 voir p 77 gt gt DECOUPAGE D UN TERRAIN DE BASKET SURFACE D ATTAQUE EN ZONES ET SECTEURS avec Vanaghs I 1990 voir p 29 gt gt INDICE DE KAUP INDICE DE LA CORPULENCE DE SUJETS en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ESTIMATION DE LA SURFACE DE LA SECTION MAXIMALE DU THORAX ET DU BASSIN en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt TEST DE FLOTTABILITE DE CAZORLA en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ACCELEROMETRE FIXE SUR LA CHAUSSURE APPAREIL PORTABLE en Athl tisme Course pieds avec Duverney Guichard E
233. Q P S d E THILL 3 Entretien semi directif l laboration de cet entretien a n cessit l utilisation d une grille destin e orienter les questions suivant deux axes principaux 1er axe consacr la mise en vidence des facteurs techniques 2 me axe consacr l explicitation des facteurs psychologiques mis en vidence l aide du Q P S Conclusion Une image des facteurs de la performance tels que se les repr sentent les pratiquants a pu tre tablie quatre groupes ont ainsi pu tre isol s 1 Les facteurs techniques ont t voqu s comme d terminants raison de 40 technique de pilotage connaissances a rologiques m t orologiques topographiques choix de l appareil instrumentation quipement connaissance du site exp rience de vol exp rience de comp tition 2 Les facteurs socio conomiques ont t cit s pour 31 de toutes les r ponses proximit g ographique milieu ou pratique ant rieure d un sport a ronautique comme le vol voile par exemple situation financi re ou professionnelle entra nement 3 Les facteurs biologiques 19 capacit s physiques telles que la force des bras l endurance la r sistance sens de l air quilibre sch ma corporel organis dons 4 Enfin les facteurs psychologiques 10 endurance pers v rance t nacit risque comp tition danger motivation agressivit sang froid
234. R en Volley ball avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt CROISSANCE ET APTITUDE A L EFFORT DE COURTE ET DE LONGUE DUREE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS IVOIRIENS avec Dao L 1992 voir p 124 gt gt QUALITES PHYSIQUES DE JEUNES JUDOKA C P E F ET HAUT NIVEAU avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt LA DETECTION EN JUDO LES TESTS EFFECTUES CONSTATS ET REFLEXIONS avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt LA CHARGE DE TRAVAIL DES JEUNES SPORTIFS DE HAUT NIVEAU TEMPS HEBDOMADAIRES D ENTRAINEMENT DANS DIFFERENTS SPORTS ET PLUS PARTICULIEREMENT EN DANSE SELON LES NIVEAUX DE PRATIQUE SUIVANT DIFFERENTES STRUCTURES objet d un chapitre avec Donzel Gaye C 1994 gt gt LONGEVITE DE L APPRENTISSAGE DEBUT ET AGE DE MATURITE INTENSITE DES EXIGENCES objet d un chapitre dans diff rents sports et plus particuli rement en Danse avec Donzel Gaye C 1994 gt gt DETECTION SELECTION ENTRAINEMENT INFLUENCE DU MILIEU FAMILIAL INSTITUTIONNEL ET REGIONAL en Tennis avec Isb rie P 1994 LE MATERIEL LES OUTILS LES TECHNOLOGIES gt gt EFFETS DE DIFFERENTS CLUBS EN GOLF avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt MISE EN PLACE D UN MUR ESCALADE avec Gsegner G 1982 voir p 39 gt gt CREATION D UN OUTIL INFORMATIQUE DE SAISIE ET DE TRAITEMENT AUTOMATIQUE DES DONNEES D OBSERVATIONS DE MATCHES DE VOLLEY BALL avec Druenne F 1986 voir p 97 gt gt MATERIEL DE L ARCHER OPTIMISATION DE LA
235. RE p 94 Jullien G 1982 gt VOLLEY BALL p 95 Petit D 1983 Coulibaly Z 1984 Druenne F 1986 Lamouche C 1986 Canales C 1987 Berjaud S 1988 Lebleu M C 1990 Duret P 1991 Petit G 1991 gt A KIDO Etude de la personnalit des pratiquants d arts martiaux Nature place et r le de l agressivit le pratiquant d A KIDO GUIBBERT L 1980 187 p 6 p de bibliographie 60 r f rences annexes dont tableau r capitulatif de la vie de ma tre Morihei UESHIBA tableau synoptique du d veloppement de l a kido en France id ogrammes sur l tude de l a kido par ma tre TAMURA Population d exp rimentation 24 hommes et 8 femmes issus de la tranche d ge 21 35 ans tous sont issus de la r gion Provence C te d azur Ces aikidoka ont un minimum de pratique de cinq ans la m thode d enseignement qu ils ont suivie est celle de Ma tre TAMURA M thode Nationale d A kido Protocole exp rimental Les outils d investigations retenus ont t les suivants 1 l entretien semi dirig 2 le questionnaire de personnalit pour sportifs Q P S d E THILL 3 le test de frustration de ROSENZWEIG P F test L entretien semi dirig la grille a t labor e la suite de l interview guid e de Ma tres et de pratiquants anciens plus de 15 ans de pratique Celle ci propose trois grands domaines d investigations les motifs l a kido i
236. S avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt ECONOMIE ROLE DU CYCLE ETIREMENT DETENTE en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt APTITUDE A DURER A VITESSE MAXIMALE AEROBIE REFLEXIONS en 1 2 Fond avec Hanon C 1992 voir p 18 gt gt PREPARATION BIOENERGETIQUE DU DECATHLONIEN PHENOMENES DE FATIGUE ET DE RECUPERATION CONSEILS en D cathlon avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt ASPECT MUSCULAIRE DE LA FATIGUE L ENZYME C P K chez les D cathloniens avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt CONSIDERATIONS SUR LA PREPARATION MUSCULAIRE DES JUDOKA avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt PREPARATION PHYSIQUE APPROCHE BIOENERGETIQUE en Football avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt L EFFORT DU MARCHEUR DE 50 KILOMETRES PHYSIOLOGIE ENERGETIQUE ET MUSCULAIRE avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt APPORT GLUCIDIQUE APRES DEPLETION DES RESERVES DE GLYCOGENE AVANT EFFORT SUPRAMAXIMAL avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt PREPARATION PHYSIOLOGIQUE DES CYCLISTES DIFFERENTS TYPES DE COURSE ET D EFFORT GESTION DES FREQUENCES CARDIAQUES CRITIQUES avec Demenois J P 1995 voir p 37 PSYCHOLOGIE DE LA PERSONNALITE MAITRISE DES FACTEURS EMOTIONNELS DYNAMIQUE DE GROUPE SURNATUREL gt gt OBSERVATION DE TRAITS CARACTERISTIQUES PAR SPECIALITE en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt ROLE DE L IMAGE DANS LES ACTIVITES D EXPRESSION ASP
237. S et 7 joueurs d une section Sports tudes de football du Val de Marne Protocole exp rimental Parcours de tests de dribbling inspir du test f d ral propos dans les stages interdistricts auquel s ajoute une t che auditive et verbale qui repose sur le dialogue du joueur avec un metteur de bips sonores le joueur tient un metteur dans l une de ses mains la taille de l appareil ne perturbant pas son quilibre g n ral Le signal correspondant des alternances de signaux courts et longs espac s de silences est mis par le p dagogue il est du ressort du joueur test de r pondre au signal suivant deux conditions le parcours est d abord effectu sans ballon seule la t che de r ponse aux bips est demand e puis les deux difficult s sont associ es conduite du ballon et t che sonore La m thodologie utilis e tente d appr hender de plus pr s les processus attentionnels impliqu s en situation de jeu et simultan ment les niveaux de contr le sollicit s en fonction de l expertise des joueurs ou de la difficult des t ches r soudre Conclusion L incertitude de la r ponse manipul e par le p dagogue est un proc d p dagogique qui permet d viter qu une certaine lassitude s installe dans l exercice et au cours des r p titions ce titre il peut se r v ler comme un facteur d optimisation de l apprentissage L utilisation des proc dures verbales et visuelle
238. S pr cision d ensemble pour un cart type maximum de 0 19m et ou 0 12m pour PER SYS erreur moyenne pour un cart type maximum de 0 32m Ces r sultats sont tout fait comparables ceux obtenus par des voyants L ER SYS qui repr sente l erreur moyenne du pointage est souvent positive sauf pour SS RAP Ceci pourrait signifier qu en dehors de cette derni re condition les sujets semblent surestimer la position de la planche Les r sultats statistiques quant eux sembleraient montrer qu un d placement de la S S en avant ou en arri re de la planche d appel ne modifie pas de mani re significative la pr cision d ensemble ou les erreurs de pointage des sauteurs aveugles quand on consid re les r sultats globaux en tant qu observateur L hypoth se selon laquelle la prise en compte d une information sonore de niveau constant vers laquelle un sujet aveugle se dirige vitesse maximum ne peut tre que directionnelle est valid e Une seconde hypoth se pr sidait cette recherche l cart la cible qui est communiqu e verbalement influence la strat gie locomotrice du sauteur en longueur aveugle Contrairement ce qui a t observ dans d autres conditions la situation standard met en vidence une variabilit des lans plus grande et une diminution tr s nette de la stabilit des trois derni res foul es avant saut nous interpr tons ce ph nom ne par le fait que les sujets
239. S COMPOSANT LA FEDERATION DE GYMNASTIQUE avec Cayre B 1995 voir p 127 RUGBYMEN gt gt JOUEURS ET DIRIGEANTS RESISTANCE A LA THEORISATION avec Coq J 1978 gt gt JOUEURS INTERNATIONAUX PERIODE ANTERIEURE A 1964 avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt CADETS ET JOUEURS DE DIVISION II avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt JOUEURS DE DIVISION I avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt RUGBYMEN DU P U C ACCEDANT A LA 1 re DIVISION DU GROUPE A avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt RUGBYMEN EQUIPE DE FRANCE MILITAIRE avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt RUGBYMEN DE TRES HAUT NIVEAU avec Villepreux P 1987 voir p 81 SKIEURS gt gt ENFANTS AGES DE 10 A 13 ANS EN COURS D APPRENTISSAGE avec Baggioni E 1980 voir p 81 gt gt JEUNES SKIEURS ALPINS NIVEAU REGIONAL A NATIONAL avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt JEUNES SKIEURS DE FOND DE 8 A 12 ANS avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt SKIEURS ALPINS ESPOIRS ET SENIORS DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Barthalais A 1988 voir p 84 TENNISMEN gt gt ETUDIANTS D U E R E P S OPTION TENNIS avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt JEUNES JOUEURS DU SPORT ETUDE NATIONAL DE L IN S E P avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt ENFANTS DE 5 7 et 9 ANS avec Keller J 1983 voir p 85 gt gt SUJETS HOMMES ET FEMMES EN BONNE SANTE avec Scribot F 1988 voir p 86 TIREURS gt gt TIR A L ARC ATHLETES FEMMES
240. SES ESPOIRS DE L IN S E P avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt VOLLEYEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt VOLLEYEUSES DU CHAMPIONNAT DE FRANCE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL PRESENCE D ESPOIRS avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt VOLLEYEUSES PASSEUSES ET ATTAQUANTES DE L EQUIPE DE FRANCE avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX DE VOLLEY avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 gt gt VOLLEYEURS ET VOLLEYEUSES DE SPORT ETUDES avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt EQUIPES FEMININES DE FRANCE ET D URSS EN VOLLEY BALL 1984 1985 avec Lamouche C 1986 voir p 97 gt gt ENTRAINEUR DE L EQUIPE DE FRANCE FEMININE DE VOLLEY BALL EN 1984 1985 avec Lamouche C 1986 voir p 97 gt gt VOLLEYEURS ELITE DU MONDIAL 1986 avec Canales C 1987 voir p 97 gt gt VOLLEYEUSES FRANCE ESPOIRS ET N1A avec Berjaud S 1988 voir p 98 gt gt PLUS HAUT NIVEAU MONDIAL EN VOLLEY FEMININ avec Lebleu M C 1989 voir p 98 gt gt JEUNES VOLLEYEURS ET VOLLEYEUSES avec Duret 1991 voir p 99 gt gt ENTRAINEURS DE VOLLEY DE TOUS NIVEAUX avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt VOLLEYEUSES FRANCE ESPOIRS JOUANT EN N1A OU N1B avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt VOLLEYEUSES CADETTES S ENTRAINANT ASSIDUMENT avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt VOLLEYEUSES DE C P EF avec Prawerman A 1993 voir p 100 gt gt ENTRAINEURS DE DIFFERENTS NIV
241. STES DE DISCIPLINES DIFFERENTES DE NIVEAU NATIONAL avec Debois N 1990 voir p 17 gt gt ATHLETES D EPREUVES COMBINEES avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt SPRINTERS HURDLERS DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt DECATHLONIENS DE NIVEAU INTERNATIONAL NATIONAL ET INTERREGIONAL avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt COUREURS DE MOYENNES DISTANCES DE NIVEAU NATIONAL avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt COUREURS ENTRAINES avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt COUREURS DE 2 FOND DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Hanon C 1992 voir p 18 gt gt DECATHLONIENS DE NIVEAU INTERNATIONAL NATIONAL ET INTERREGIONAL avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt MARCHEURS DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt COUREURS DE 800 M DE NIVEAU INTERREGIONAL ET NATIONAL avec Gajer B 1995 voir p 20 AUTRES TYPES DE POPULATIONS SEDENTAIRES gt gt PERSONNES AGEES avec Lenoir H 1978 voir p 105 gt gt COLLEGUES ENSEIGNANTS DE DISCIPLINES INTELLECTUELLES avec Ody J 1981 voir p 84 gt gt SPORTIVES DE NIVEAU DEPARTEMENTAL A INTERREGIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt SUJETS ADULTES NON ENTRAINES avec Th paut Mathieu C 1982 voir p 113 gt gt SPECTATEURS INEXPERIMENTES SPECTACLE DE G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt SUJETS avec Pousson M 1984 voir p 117 gt gt JEU
242. SULTATS A DES TESTS PHYSIQUES en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt FORCE MUSCULAIRE RECAPITULATIF DE DIFFERENTS TESTS avec Renault A 1985 voir p 117 gt gt TEMPS DE REPONSE ET PRECISION en Escrime avec Leseur H 1986 voir p 43 gt gt VALEUR PHYSIQUE APPRECIATION dans diff rents Sports Collectifs de petit terrain avec Filliard J R 1987 voir p 119 gt gt PROGRAMME INFORMATIQUE POUR MESURE DE LA VALEUR PHYSIQUE MISE AU POINT avec Filliard JR 1987 voir p 119 gt gt APTITUDES MOTRICES ET PSYCHOMOTRICES LEUR MESURE en Natation avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt DETECTION ET PREDICTION DE LA PERFORMANCE EN VOILE APTITUDES PHYSIQUES PSYCHOMOTRICES ET COGNITIVES avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt EFFICACITE PROPULSIVE en Natation avec Maka Kadi C 1990 voir p 74 gt gt LA FATIGUE SOUS ELECTROSTIMULATION avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt FORCE MUSCULAIRE EFFETS DE DIFFERENTS COURANTS EXCITO MOTEURS avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt MESURE DE LA DETENTE en Gymnastique avec Hosseini A 1991 voir p 56 gt gt MESURE DE LA DETENTE en Volley ball avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt APTITUDE A DURER A VITESSE MAXIMALE AEROBIE en 1 2 Fond avec Hanon C 1992 voir p 18 gt gt MESURE DES APTITUDES AEROBIE FORCE EXPLOSIVE DU TRAIN PORTEUR FORCE ENDURANCE DES FLECHISSEURS DU BRAS en Judo avec Giallurachis D 1993
243. SVHS la p riode minimale entre deux images successives est de 20 msec ordinateur de type compatible PC 386 Cet ordinateur est quip d une carte de num risation de marque SECAD comportant l option arr t sur image moniteur de contr le logiciel d analyse du mouvement VD G Dietrich 1991 1992 1993 qui permet de saisir les images de les digitaliser et de calculer les param tres cin matiques Le co t nerg tique de la marche athl tique est calcul partir de l quation d finie par di PRAMPERO 1986 CE VO2 VO2 repos Vitesse x 60 en mlO2 kg 1 km 1 Parall lement on a proc d la mesure des param tres anthropom triques poids des sujets valuation de la composition corporelle le de masse grasse est mesur au biceps l aide d un appareil de type FUTREX permettant une lecture directe taille mesur e en position debout contre un plan vertical Concernant la mesure des param tres cin matiques il est n cessaire de calibrer l espace les rep res m triques sont plac s en permanence dans le champ de la cam ra Trois rep res sont fix s sur le tapis roulant de fa on former deux axes orthogonaux vertical et horizontal Lors des preuves le sujet r alise le test sans maillot et en short court La localisation des rep res anatomiques a t r alis selon le mod le de DEMPSTER et al 1959 Treize rep res anatomiques dont le positionnement du CG sont d finis selon le mod
244. T APPRECIATIONS SUBJECTIVES DE LA FATIGUE ET DE L HUMEUR LORSQU IL Y A CHANGEMENT DE FUSEAU HORAIRE avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 gt gt QUESTIONNAIRE E ERBANI INFLUENCE DE L EXPERIENCE SPORTIVE SUR L ENSEIGNEMENT en Judo avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt QUESTIONNAIRE CONCENTRATION SPECIFIQUE A L ATHLETISME avec Debois N 1990 voir p 17 gt gt QUESTIONNAIRE IMPRESSIONS SUBJECTIVES DES SUJETS CONCERNANT LES TESTS ET ENTRAINEMENTS en Pentathlon moderne avec G nard B 1990 voir p 77 gt gt QUESTIONNAIRE INTERET ET CONDITIONS D UTILISATION DE LA CONTRE ATTAQUE en Basket ball avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt QUESTIONNAIRE REPRESENTATIONS SOCIALES D ENFANTS VOLLEYEURS ET DE LEURS ENTRAINEURS avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt QUESTIONNAIRE MOMENTS CRUCIAUX D UNE RENCONTRE en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt QUESTIONNAIRE LA FATIGUE ET LA RECUPERATION SUR UN MODE VECU ET PERCEPTIF en D cathlon avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt QUESTIONNAIRE UTILISATION DES JOUEURS EUSES PRINCIPALEMENT EN ATTAQUE OU EN DEFENSE en Handball avec Dubertrand H 1993 voir p 60 gt gt QUESTIONNAIRE PSYCHOSOCIOLOGIQUE POPULATION VOLLEYEUSES DE C P E F avec Prawerman A 1993 voir p 100 gt gt QUESTIONNAIRE PSYCHOSOCIOLOGIQUE ENTRAINEURS DE VOLLEY avec Prawerman A 1993 voir p 100 gt gt QUESTIONNAIRE
245. T FILME DE REFERENCE image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt ANALYSE DE SEQUENCES FILMEES en Rugby avec Conquet P 1979 voir p 79 gt gt FEED BACK PAR VIDEO METHODE SIMONET 1979 LE S A R D LS en Gymnastique avec Lambert C 1980 voir p 108 en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt UTILISATION D UN MATERIEL AUDIO VISUEL CAMESCOPE MAGNETOSCOPE VIDEO TIMER en Ski avec Baggioni 1980 voir p 81 en Basket ball avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 dans le domaine de l arbitrage avec Aubert M 1981 voir p 109 en Tennis avec Ody J 1981 voir p 84 en Planche voile avec Le Vaillant R 1983 voir p 93 en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Athl tisme Course de vitesse avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en Rugby avec Bouthier D 1984 voir p 36 en Rugby avec Ladauge P 1984 voir p 80 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 en Escrime avec Seitz P 1984 voir p 42 en Equitation de sauts d obstacles avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 en Escalade avec Dupuy C 1985 voir p 40 dans le cadre de la sociom trie avec Zanin P 1985 voir p 118 en Athl tisme Course de haies hautes avec Aubert F 1986 voir p 14 en Volley ball avec Lamouche C 1986 voir p 97 avec Pineau P dans le cadre de la sociom trie
246. TIONAL D ENTRAINEMENT DE L IN S E P CRAWLEURS ET DOSSISTES avec Cazorla 1978 voir p 71 gt gt NAGEUSES DE TRES HAUT NIVEAU ESPOIRS avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt SECTION DES NAGEURS DE L I N S E P OU CENTRE NATIONAL D ENTRAINEMENT avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt NAGEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt NAGEURS NIVEAU REGIONAL ET NATIONAL avec Dufort C 1983 voir p 72 gt gt NAGEURS DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec L tocart M 1983 voir p 114 gt gt SECTION DES NAGEURS DE L I N S E P MEILLEURS NAGEURS FRANCAIS EN CLUBS avec Muti A 1987 voir p 73 gt gt SECTION DES NAGEURS DE L I N S E P NAGEURS DES DIX SPORTS ETUDES DE FRANCE METROPOLITAINE avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt SECTION DES NAGEURS DE L I N S E P avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt ENFANTS NAGEURS DE 11 12 ANS INSCRITS DANS UNE ECOLE DE NATATION avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt NAGEURS EFFECTUANT LEUR SERVICE MILITAIRE AU BATAILLON DE JOINVILLE avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS DE NATATION avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt SECTION DES NAGEURS DE L I N S E P avec Maka Kadi C 1990 voir p 74 gt gt NAGEURS DE NIVEAU REGIONAL A NIVEAU ELITE avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt NAGEURS ADULTES DEBUTANTS ET ENSEIGNANTS D E P S NON SPECIALISTES en Natation avec Bouchet D 1991 v
247. TIONS DE TERRAIN certains tests sont originaux et ais ment applicables en Judo avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt TACHE D EQUILIBRE MARCHE SUR LE REBORD D UNE ARETE en Judo avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt SITUATION DE TERRAIN PRACTICE DECOUPE EN SECTEURS en Golf avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt TEST DE SLALOM ADAPTE A DES ENFANTS EN COURS D APPRENTISSAGE en Ski avec Baggioni E 1980 voir p 81 gt gt SITUATIONS EXPERIMENTALES DE TIR EN BASKET BALL avec Grosgeorges B 1980 voir p 22 gt gt TESTS PHYSIQUES SPECIFIQUES GYMNASTIQUE tractions souplesse du bassin et des jambes d tente coordination cran avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt TESTS DE VALEUR PHYSIQUE JEUNES PRATIQUANTS EN SKI ALPIN 30m 40m 5 foul es bondissantes d tente verticale longueur sans lan tractions la barre fixe lancer de balle 500g 5 sauts pieds joints dynamom tre navette Cooper avec Alard P 1981 voir p 82 gt gt TEST DE 30m en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt TEST DE SKI DE FOND DE 12 min en Ski de fond avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt COURSE DE SKI DE FOND avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt TESTS DE TERRAIN SPORTS COLLECTIFS 1 contre 1 en Sports d Opposition Rugby avec Stein J F 1981 voir p 76 match de Football de 8 min sur terrain de handball 3 contre 3 temps morts supprim s propos par Corbeau J 1982 voir p 112
248. UE LORS DE COURSES CYCLISTES avec Demenois J P 1995 voir p 37 TECHNIQUE gt gt LES TECHNIQUES DE FRAPPE AU KARATE CARACTERISTIQUES avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt LES TECHNIQUES RECONNUES EN GOLF LE GRIP VERROU avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt LIAISON QUALITES PHYSIQUES TECHNIQUES UTILISEES EN COMPETITION en Judo avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt FORMATION TECHNIQUE DU MENEUR DE JEU en Sports collectifs Handball avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt LES FACTEURS TECHNIQUES EN VOL LIBRE avec Jullien G 1982 voir p 94 gt gt G R S ENCHAINEMENTS DE HAUT NIVEAU ASPECT TECHNIQUE avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt ANALYSE DE LA TECHNIQUE TECHNIQUES DU RENDEMENT PLANCHE A VOILE avec Le Vaillant R 1983 voir p 93 gt gt ROLE DES INFORMATIONS SENSORIELLES POSITIONNEMENT DE LA TETE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt RELATIONS ENTRE LA TECHNIQUE AUX ENGINS ET LA MORPHOLOGIE GYMNASTES DE 12 A 14 ANS avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt TECHNIQUE ACROBATIE avec Boerio G 1984 voir p 50 gt gt ANALYSE DU GESTE GRANDS TOURS SOLEILS A LA BARRE FIXE avec Boerio H 1984 voir p 50 gt gt TECHNIQUE DU LANCER DE MASSUE en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt NOTION DE DIFFICULTE TECHNIQUE ESCALADE avec Dupuy C 1985 voir p 40 gt gt ANALYSE TECHNIQUE DE LA COURSE DE 110 M HAIES
249. Voir p 119 O gt gt ODY J Tennis La pr action du joueur Incidences p dagogiques 1981 140 p 1 p de bibliographie 10 r f rences Voir p 84 gt gt OSTRIC A La menace dans le basket ball Analyse des comportements d intimidation offensifs dans le 1 x 1 1988 97 p 1 p de bibliographie 12 r f rences annexes Voir p 26 gt gt OUATTARA O Contraintes cognitives et efficacit de la conduite de balle en football 1993 84 p 6 p de bibliographie 46 r f rences annexe Voir p 46 P gt gt PASSEMARD M M Contribution l tude des dirigeants sportifs le cas des dirigeants de Basket dans la r gion Parisienne 1982 188 p 3 p 24 r f rences annexes Voir p 23 gt gt PATTEFOZ B Place de la psychologie dans l athl tisme Etude des concepts et des courants d id es dans la Revue de 1 Amicale des entra neurs fran ais d athl tisme 1980 168 p 4 p de bibliographie 24 r f rences Voir p 12 gt gt PAULY O Etude comparative de la foul e du sprinter et du hurdler et cons quences pour le d cathlonien Propositions relatives l entra nement 1991 123 p 5 p de bibliographie 38 r f rences annexes Voir p 18 gt gt PESSIDOUS M L volution diff renci e des pratiques en France 1960 1980 Contribution l analyse des d terminants de la croissance exemple du tennis et de l athl tisme 1983 105 p
250. X me championnats du Monde de gymnastique Strasbourg 1978 Rudloff R M 1980 2 Tomes 308 p au total 9 p de bibliographie 71 r f rences annexes M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e HANDBALL ANALYSE DES DIFFICULTES DE L ARBITRAGE CONTRIBUTION AU PERFECTIONNEMENT DES ARBITRES Aubert M 1981 181 p 7 p de bibliographie 84 r f rences annexe les arbitres le secr taire le chronom treur Population d exp rimentation Sur bande vid o a t enregistr la finale du championnat de France Nationale I masculine 1980 Stella St Maur contre U S M Gagny repr sentative du Haut niveau et de l volution actuelle du handball Fran ais Protocole exp rimental Observation concernant les infractions la bande vid o a t minut indication chrono sur la bande afin d en faciliter l exploitation utilisation du ralenti et arr t sur image Toutes les infractions contre la r gle 6 ce qui est permis et ce qui est interdit pour contrer l adversaire ont t relev es et cod es faute de l attaquant porteur du ballon faute de l attaquant non porteur du ballon faute de d fense sur le ballon faute de d fense sur le bras faute de d fense sur le corps accrochages et retenus faute de d fense sur le corps les pouss es faute de d fense ceinturage fautes violentes dangereuses m chantes et grossi res L observation concernant la loi de l avantage elle a t
251. a fl che ne se r v lent pas des facteurs de pr cision A l inverse ont pu tre d montr s les effets de la variation de tel ou tel l ment de l quipement tube de la fl che spine longueur masse pointe de la fl che masse puissance de l arc corde mati re band brins tension Le tableau synth tique propos par l auteur en fin de M moire s av re un outil exploitable par les archers en vue de les aider dans leur choix mat riel Pistolet vitesse olympique Approche historique de la discipline Analyse des rythmes de tir RAYBAUT J F 1992 156 p 5 p de bibliographie 51 r f rences annexes importantes dont r sultats et enregistrements divers nombreux graphiques Population d exp rimentation Meilleurs tireurs Mondiaux les 12 premiers tireurs des matchs Internationaux de l ann e 1991 et tireurs des quipes de France en comp tition Internationale les 12 meilleurs tireurs Seniors et Juniors du classement National 1991 Protocole exp rimental Utilisation d un Pro timer il s agit d un appareil de fabrication am ricaine con u pour tre directement reli par un c ble la bo te de commande de la ciblerie Ainsi il enregistre le signal lectrique qui donne l ordre d ouverture des cibles et peut d terminer le temps z ro de la s quence de tir Parall lement utilisation d un Chrono Tir cet outil de mesure con u pour la circons
252. a possibilit de repasser l image aussi souvent qu il le veut car les enfants n ont pas toujours la m me capacit d assimilation Etc e CONTRIBUTION A L ANALYSE DU MOUVEMENT PAR LES MOYENS AUDIO VISUELS Apport de la stroboscopie et de la photogramm trie Menant G 1977 177 p 4 p de bibliographie 37 r f rences annexes importantes figures et photos M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e LA CHAMPIONNE DANS LES QUOTIDIENS D INFORMATION GENERALE LORS DES JEUX OLYMPIQUES DE MONTREAL 1976 Messan Vivoli I 1977 243 p 3 p de bibliographie 26 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e UTILISATION DES TECHNIQUES VIDEO POUR L ACQUISITION ET LE TRAITEMENT DE DONNEES NECESSAIRES A L ANALYSE DU MOUVEMENT Moreaux A 1977 138 p 4 p de bibliographie 31 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e SPECIFICITE DU FILM D ANIMATION DANS LE FILM DIDACTIQUE Piasenta J 1977 132 p 2 p de bibliographie 39 r f rences annexes planches tableaux extraits d animation M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e MISE EN EVIDENCE DE DONNEES BIO MECANIQUES COMMUNES A CERTAINES CONDUITES MOTRICES PAR L ENREGISTREMENT VIDEO Essai d utilisation dans l enseignement de l anatomie fonctionnelle aux tudiants des U E R E P S Qui vre J 1977 89 p 3 p de bibliographie 15 r f rences M
253. a pour objectif de caract riser les strat gies de prospection visuelle des diff rentes populations test es Les r sultats montrent que les entra neurs devinent mieux que les autres passeurs et attaquants la r ponse du passeur r v l e par l image De m me concernant les comportements exploratoires la strat gie utilis e par cette derni re population se r v le fondamentalement diff rente de celle qu utilisent notamment les attaquants d une pr dominance accord e une strat gie structur e organis e programm e et s lective des entra neurs et un degr moindre des passeurs une strat gie ponctuelle centr e sur la balle et le passeur seuls l ments informatifs des attaquants L exp rience nous a d autre part permis de v rifier que le r le jou au sein de l quipe influen ait la strat gie du sujet celle des passeurs ayant plus tendance se rapprocher de celle des entra neurs Les r ponses motrices se faisant en accord avec l analyse des informations visuelles pr sentes deux prolongements p dagogiques de ces r sultats ont t propos s A noter la pr sence dans ce M moire de tableaux synoptiques repr sentant les diff rentes strat gies visuelles observ es Etude des effets du feed back par vid o et de l image d un mod le sur l apprentissage d une habilet sportive application au volley ball BOULAY B 1986 160 p 17 p de biblio
254. acles sont apparents 1 les entra neurs confront s des probl mes de ce genre les r solvent en rejetant tout apport scientifique et en privil giant la connaissance non structur e prot iforme issue de la pratique 2 le deuxi me obstacle t moigne de cette croyance que ce qui d termine toute action est en fait ext rieur l individu Et une science recherchant les mobiles du comportement dans la constitution de l individu est d avance rejet e parce que fausse L apport de la psychanalyse est faible parce que la conception que v hicule cette th se est diam tralement oppos e celle du courant naturaliste L apport de la psychop dagogie est notable elle semble cr er une rupture avec les conceptions traditionnelles des entra neurs La convergence avec le courant naturaliste est double m me terminologie et surtout l orientation positive de la nature humaine renvoie la notion d une nature bonne par principe La m decine sportive est un vecteur important pour l introduction de notions et attitudes qui ressortissent au champ des sciences humaines et de la psychologie Elle veut assurer la prise en charge exhaustive de l athl te tant au point de vue m dical bien s r que du point de vue psychique et moral La psychologie sportive est rejet e par le courant naturaliste et ce quelque soit la forme sous laquelle elle se pr sente exp rimentaliste ou clinique On observe par ailleurs une relation de
255. afin que ceux ci puissent adapter leur programme de travail e LA GESTUALITE DE L ENTRAINEUR UNE METHODE D ANALYSE DE L ENSEIGNEMENT SPORTIF Quintillan G 1987 125 p 5 p de bibliographie 27 r f rences Population d exp rimentation 12 entra neurs Experts de diff rentes disciplines athl tisme basket ball G R S handball natation synchronis e tennis volley ball Protocole exp rimental Enregistrement magn toscop de l activit d entra neurs plac s en situation de perfectionnement individuel d un seul pratiquant dur e de 20 30 min Ces derniers sont soit des sp cialistes de haut niveau soit des d butants Conclusion L tude des s quences magn toscop es a permis l auteur d laborer une m thode d analyse de la gestualit de l entra neur L analyse des interventions fonctionnelles observ lors de situations d entra nement a permis de diff rencier deux grandes cat gories d intervention les verbales et les non verbales A l int rieur de ces derni res l auteur distingue les gestes reproduction les gestes vocation les gestes indication les gestes substitution et les gestes manipulation Deux tableaux r sument l ensemble des crit res retenus l int rieur de chacune de ces familles e CONTRIBUTION A L ETUDE CHRONOBIOLOGIQUE DE L ADAPTATION D ATHLETES DE HAUT NIVEAU AUX SITES DE COMPETITION Kouakou Koffi L 1989 9
256. age P dagogie de l enseignement du ski aux enfants comportements et motivations suivant les m thodes d apprentissage BAGGIONI E 1980 120 p 8 p de bibliographie 83 r f rences annexes dont exemplaires des questionnaires et fiches d observations Population d exp rimentation 2 groupes d enfants g s de 10 13 ans Le groupe A Am nag est compos de 12 gar ons et 4 filles le groupe B Non am nag est compos de 10 gar ons et 6 filles Les enfants ont t group s par paire deux filles de m me taille m me poids m me habilet formaient une paire L une d elles tait affect e au groupe A et l autre au groupe B L aisance motrice de chaque enfant avait t valu e par le professeur d ducation physique une v rification de l aisance motrice en ski a t men e pour v rifier si celle ci correspondait bien au niveau d habilet gestuelle conf r e par le professeur d ducation physique Protocole exp rimental Le temps des observations pr alables a permis de tester la fid lit et la validit des fiches d observations mises au point gr ce l aide de sp cialistes du comportement des enfants Dr AZEMAR M M RAMANANTSOA L objet de cette recherche se propose de comparer sur deux groupes quivalents deux m thodes d enseignement du ski du point de vue de l aspect technique de l aspect des motivations L hypoth se
257. agne abonn aux 4 premi res places des Championnats d Europe la Gr ce champion d Europe 87 l Italie champion d Europe 85 l U R S S champion du Monde la Yougoslavie champion Olympique Deux quipes de club ont t ajout es cet chantillon le Jugoplastika de Split Yougoslavie et le CSP de Limoges France Protocole exp rimental L observation a port sur une phase de jeu que l on appelle phase d attaque plac e Pour d terminer le d but d une phase d attaque plac e deux conditions devaient tre remplies 1 la mise en place effective de l quipe en situation de d fense quel que soit le type de d fense utilis 2 la mise en place effective de l quipe en situation d attaque Elle se traduit par la pr sence des cinq attaquants en zone d attaque une prise de position qui peut tre passag re des quatre non porteurs une prise de position du porteur bien que pour ce dernier il n est pas toujours possible de parler de prise de position surtout dans le cas o la pression d fensive est importante L observation d une attaque plac e se termine au moment de la premi re action de tir que ce dernier soit r ussi ou non Le protocole A D coupage du terrain en secteurs utiliser les trac s existants sur le terrain afin de permettre une observation la plus fiable possible sur les prises de vue vid o Un d coupage horizontal a permis de d finir trois espaces de jeu paral
258. ampionnats du Monde de Munich Novembre 1981 et lors du tournoi International de Strasbourg Avril 1982 10 juges Fran aises parmi les plus expertes et reconnues comme telles celles ci poss dent le Brevet International ont t interview es Parall lement 140 entra neurs ont t questionn s 1 un chantillon de 55 entra neurs de club ne pratiquant pas eux m mes ou plus 2 un chantillon de 52 tudiantes option G R S ayant des responsabilit s d entra nement en club et pratiquant elles m mes soit pour le concours soit galement en championnat 3 un chantillon de 33 tudiantes option G R S n ayant pas de responsabilit s d entra nement en club mais pratiquant elles m mes Enfin une population de 40 sujets spectateurs inexp riment s a t sond e Protocole exp rimental Le questionnaire a t labor autour des th mes suivants 1 Identification des gymnastes 2 Pass dans l activit Q 1 2 3 3 Go ts pr f rences dans le cadre de la pratique de la G R S Q 4 6 7 8 31 4 Opinions sur l activit Q 5 20 21 24 25 29 30 32 5 L entra nement en g n ral Q 22 23 6 La composition des exercices Q 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 26 7 La pr paration psychologique Q 27 28 Les interviews avaient pour support un guide d entretien trame labor e partir de 4 questions En ce qui concerne les entra neurs de clubs ceux ci avaient se prononcer sur la qualit
259. ann e de l UFR STAPS de Caen non nageurs 3 me groupe constitu de 20 enfants de 11 12 ans inscrits dans une cole de natation de Paris s entra nant depuis 1 ou 2 ans au sein d un club 4 me groupe form de 20 jeunes de 11 12 ans ne pratiquant pas la natation Ils sont inscrits dans une cole de tennis de table et s entra nent une ou deux fois par semaine sur table 23 experts entra neurs et techniciens ont galement particip la recherche Protocole exp rimental Tests moteurs et psychomoteurs issus soit de la batterie labor e par Fleishman soit de la batterie Eurofit pr sentant tous les crit res de fid lit de validit et d accessibilit Parrall lement 23 experts ont eu r pondre un questionnaire concernant les aptitudes requises pour r ussir en natation Conclusion Deux hypoth ses ont t test es la premi re avait pour objectif de valider ou d infirmer sur le plan exp rimental le profil d aptitudes requises esquiss par les experts Si les mesures effectu es sur la population des nageurs comparativement celle des non nageurs ont confirm l importance d un certain nombre d aptitudes souplesses statique et dynamique elles n ont cependant pas permis de mettre en vidence le r le jou par la force dynamique des membres sup rieurs En ce qui concerne les autres aptitudes aucune diff rence significative ne permet de diff rencier les populations Une discussion s
260. ans ce dernier bloc exp rimental la mise en oeuvre conjointe des deux aides p dagogiques pr c dentes Sur un total de 10 s ances consacr es l exp rimentation 8 l ont t au titre de l initiation la premi re et la derni re tant r serv es au test initial et au test final Chaque le on a t strictement standardis e Conditions mat rielles 1 Aire de sport couverte 2 Projecteur 16 mm de type analector offrant des possibilit s de variation de vitesse jusqu l arr t sur l image Cet appareil tait utilis dans la salle m me o les l ves voluaient par projection sur cran translucide plein jour de fa on faciliter au maximum la souplesse d emploi et viter les pertes de temps de la projection filmique ordinaire 3 L unit vid o portable utilis e tait elle aussi tr s op rationnelle dans le sens o elle a parfaitement convenu nos besoins particuliers Elle se composait d un magn toscope 1 2 pouce noir et blanc cassettes dot du ralenti et de l arr t sur image d une cam ra focale variable 12 5 75 mm et enfin d un moniteur grand cran 66cm Le mat riel de visionnement install m me le sol permettait aux enfants une lecture ais e en position assise ou accroupie 4 La r alisation du document film de r f rence s est faite sur la base d une estimation pr alable de la quantit d informations que nous pourrions
261. ans l incapacit de r aliser la pirouette de fa on m me approximative quelque soit L en cours d exp rimentation L auteur propose son analyse des incidents De fa on plus globale on observe que les informations proprioceptives et labyrinthiques elles seules permettent une quilibration satisfaisante la r ception de la pirouette et du salto arri re vrill mais sont insuffisantes en situation de salto arri re Ces r sultats sont surprenants nous redoutions avant nos exp rimentations les chutes accidentelles au cours de l ex cution du salto arri re vrill en L3 Et nous constatons qu en l absence d informations visuelles les sujets semblent red terminer de fa on satisfaisante l axe symbolisant la pesanteur en ex cutant l habilet motrice la plus complexe ce qui ne semble pas le cas au cours de la r alisation la plus simple Pour tenter de comprendre ce fait nous avons avec deux sujets au cours de la r alisation du salto arri re modifi de fa on d sordonn e la nature du milieu lumineux Nous avons constat que l quilibre postural la r ception d pendait de la nature du milieu lumineux Les sujets se r ceptionnaient tr s correctement lorsqu il d butaient leur saut en L3 et le terminaient en L1 tombaient sur le dos lorsqu ils d butaient leur saut en L1 et le terminaient en L3 Les sujets ne semblent donc pas pr programmer les actions motrices de fa on rigide Concernant la deu
262. ant de ce principe un syst me de d tection pourrait tre mis en place A contrario certaines diff rences notoires sont apparentes force statique et explosive des membres inf rieurs souplesse statique dext rit manuelle pr cision des mouvements programm s et pr cision du contr le Des tests de terrain et de laboratoire sont mis en place une fois de plus se pose la question de la validit de la sp cificit et finalement de la signification r elle des tests choix dans les batteries Eurofit Evareg et dans ceux propos s par E A Fleishman ceux ci n ont en effet pas permis de confirmer les propos d entra neurs Analyse de l effort en planche voile olympique GIUNTI R 1990 159 p 11 p de bibliographie 65 r f rences annexes descriptif des tests d valuation retenus Population d exp rimentation 23 planchistes athl tes de Haut niveau Espoirs Nationaux et Internationaux Protocole exp rimental Mesure de la consommation maximale d oxyg ne r alis e en laboratoire sur cycloergom tre et ergom tre bras les gaz expir s sont recueillis et analys s par un analyseur JAEGER EOS SPRINT Relev s physiologiques de type fr quences cardiaques Sport tester PE 3000 et lactates effectu s sur l eau l entra nement et en comp tition avec ou sans pumping Vedettes de suivi de l exp rimentation an mom tres thermom tre chronom tre compas de rel vement girouette
263. ante que la pr paration dans les autres secteurs de la performance mais le foot ball professionnel n a malheureusement pas investi dans la formation psychologique de ses cadres et c est bien souvent dans la r alit le kin sith rapeute qui fait encore office de v ritable confident L intuition et l exp rience des entra neurs n ont pas dans ce domaine particulier tre remis en question mais il serait souhaitable qu une formation parall le soit assur e sous une forme quelconque pour initier cette population particuli re diverses techniques de pr paration mentale Il s agit de favoriser la r ussite du buteur si l on se place dans une perspective de l imm diat il s agit de contribuer la formation de futurs talents ce poste si l on veut bien se placer dans une perspective plus long terme Football Entra nement physico technique Les principes d organisation KAE OULA G 1988 172 p 5 p de bibliographie 42 r f rences annexes dont mesures de laboratoire Population d exp rimentation 4 joueurs voluant en Division III Nationale US Cr teil Protocole exp rimental VO2 sur tapis roulant Sport tester PE 3000 mesure de l acide lactique analyse vid o des actions l aide d un magn toscope cam ra VHS de type Sony ayant t utilis e pr alablement pour filmer une table digitalisante Summagraphics de type A3 avec un s
264. ants d escrime a t interrog e Une deuxi me population compos e de 23 enfants de CM 1 et de 23 enfants de 6 me a t l objet d une exp rimentation p dagogique et didactique Protocole exp rimental L entretien a tourn autour des questions suivantes 1 Que signifie pour vous le mot tactique que signifie pour vous le mot esprit tactique 2 Quelle place et quelle forme cela occupe t il dans l entra nement 3 Existe t il un programme ou une programmation de la tactique par rapport aux quipes ou tireurs que l on va rencontrer 4 Quelle place doit avoir la tactique dans un enseignement Concernant l exp rimentation m me les enfants ont t test s l issue de leur temps d apprentissage 4 s ances de 45 min 1 consacr e l preuve sous forme d une rencontre assaut en 3 touches Des sp cialistes d escrime ont ensuite analys et not les films qui avaient t enregistr s Les comportements ont pu tre ainsi cod s en fonction de trois types A Comportements de type r flexe r p titif n ayant pas un r sultat positif observable tel que la touche B Comportements non pr m dit s ayant un r sultat positif observable court terme c est dire dans les quelques secondes qui suivent C Comportements ayant pour but de provoquer une r action adverse afin d en tirer parti et d avoir un r sultat positif Conclusion Partant du constat qu en escrime le
265. ar des disques de fonte afin d viter tout d placement involontaire des appuis au sol Le maintien de la stabilit du tronc est assur par un syst me de but es r glables qui immobilisent les paules du sujet L avant bras ainsi que le bras est maintenu en position horizontale La main est maintenue en semi pronation Le poignet ainsi que tout l avant bras sont immobilis s par une att le de pl tre Des sangles rendent solidaires l avant bras l att le et la goutti re m tallique Cette goutti re est fix e sur le bras m canique de l ergom tre L axe de rotation de ce dispositif co ncide avec celui de l articulation du coude Goniom tre et acc l rom tre vont permettre de mesurer le d placement et l acc l ration angulaire La force d velopp e est mesur e par un dynamom tre Un lectromyogramme permet enfin de mettre en vidence l activit lectrique des muscles biceps et triceps Conclusion Seuls 4 enregistrements de donn es furent exploitables l volution apr s entra nement de la compliance pour ces 4 sujets tend vers plus de raideur L analyse des caract ristiques enregistr es pour un seul individu montre que l entra nement de type excentrique induit une volution des propri t s lastiques s rie du muscle dans le sens de la raideur Les r sultats exprim s sous la forme de courbes tension extension mettent en vidence une volution du stockage de l nergie po
266. ar fraction de 10m et le temps total sont enregistr s au 1 100 me de seconde une course de vitesse de 150m des preuves de force sp cifique sargent test d tente horizontale encha nement de 5 sauts en longueur pieds joints 5 foul es bondissantes nombre de foul es bondissantes n cessaires pour parcourir une distance de 50m course navette de 90m sur un trajet de 18m 3 Evaluation de la valeur physique g n rale force statique mesur e au dynamom tre manuel nombre maximum de tractions la barre fixe en prise promotion temps de suspension la barre fixe lancer sans lan d une balle lest e de 500g d termination de la puissance maximale a robie par le test progressif de course navette de 20m de LUC LEGER 4 Mesures du temps de r action auditif et visuel le sujet r pond le plus rapidement possible un signal auditif ou visuel en appuyant sur un contacteur avec sa main pr f rentielle chronoscope 5 Test d aisance motrice de FAUCHE 1981 sur un parcours de 28 5 m tres on place intervalles r guliers des lattes 10 et des haies de diff rentes hauteurs 30 40 50 70 cm L objectif du sujet est d aller le plus vite possible sans se tromper dans les divers d placements impos s sauts pieds joints sauts cloche pied foul es sans toucher aucun obstacle Le temps est relev au 1 10 me de seconde chaque faute est p nalis e d une seconde 6 Evaluation des caract ristiques psychologiques l
267. argent test saut rebond sauts apr s chute de diff rentes hauteurs Enfin prise en compte des notes de comp tition sur les impos s de la F F G Conclusion Par l interm diaire de cette tude nous avons voulu mettre en vidence l importance des facteurs morphologiques et de valeur physique tout en sachant bien que d autres composantes psychologiques sociologiques et de coordination tiennent une plus grande place dans la performance gymnique de haut niveau Certains enseignements et certaines r flexions peuvent tre d gag s 1 Concernant la petite taille et le faible poids des gymnastes ce retard statural et pond ral est peut tre d une croissance plus lente cause des facteurs h r ditaires ou provoqu par un entra nement sportif pr coce intense Or comme une maturation sexuelle venant plus tard chez les filles est un fait favorisant la progression des facteurs de valeur physique il serait souhaitable de tenir compte notamment de l ge osseux dans un programme de d tection 2 En comparaison de la population de r f rence les gymnastes se caract risent au plan des qualit s physiques g n rales par une plus grande d tente verticale une plus grande souplesse et par une plus grande capacit de production de force au niveau des membres sup rieurs 3 Autant la progression en 8 mois de ces qualit s ne semble pas vidente autant en ce qui concerne les qualit s physiques sp cifiques l am liora
268. atifs sont la marque des sujets peu affirm s les scores positifs celle des personnes affirm es Toutefois les notes tr s lev es associ es une note basse l indicateur tol rance du GPPI permettent de d tecter les sujets particuli rement agressifs concernant la mesure des facteurs relatifs la gestion du stress chelle de Bortner test de Stroop L chelle de Bortner permet de mesurer le caract re dynamique du comportement d un sujet plus la note est lev e plus le sujet manifeste un niveau lev d activation qui refl te une attitude dynamique On utilise aussi trois indicateurs partiels calcul s partir des r ponses certains items le sentiment d urgence du temps qui est lev quand le niveau g n ral de stress est important le besoin de reconnaissance sociale renseigne sur le besoin qu a le sujet d tre appr ci et reconnu par les autres on a ainsi des indications sur la motivation plus la note est lev e plus le sujet a besoin d tre reconnu l ambition la note est lev e quand l ambition et surtout le degr d investissement du sujet dans ce qu il fait est important Le test de Stroop ou test mot couleur permet d appr cier la capacit r sister une interf rence perceptive concernant les facteurs relatifs la prise de d cision questionnaire T D 9 de Fourcade et Bremond Ce test donne des indic
269. ation sp cifique des vitesses proches de celles dans lesquels se d roule le geste technique Il existe par contre pour le tirage des diff rences significatives entre les vitesses maximales les vitesses puissance maximale et entre les indices de force des judoka et des boxeurs L action de tirage semble tre une action que le judoka d veloppe de mani re plus importante que le boxeur et traduit donc une des sp cificit s musculaires du judo Cette derni re constatation concernant l importance des mouvements de type traction impose qu une attention particuli re soit d sormais accord e cet aspect tout fait sp cifique lors de la constitution des programmes de musculation Enfin s agissant de la derni re hypoth se il est apparu que l acc s d un niveau national voire international au niveau mondial n tait pas d pendant de l obtention de qualit s musculaires particuli res Il semble qu un niveau optimum de qualit musculaire soit n cessaire sans que cette condition s av re n anmoins suffisante gt KARATE Etude technique de la frappe au karat en vue d applications p dagogiques GOTTSMANN F 1977 62 r f rences 1 p de bibliographie 7 r f rences annexes Population d exp rimentation 6 karat ka membres de l quipe France parmi eux 1 champion du Monde et 1 champion d Europe Des essais de frappe sur le capteur qui est une substance dure sans capacit d
270. ationaux de la saison 78 79 France Nouvelle Z lande France Irlande La premi re met en vidence le jeu en communication entre partenaires et en contre communication entre antagonistes dans une situation de surnombre lat ral potentiel Le jeu qui pr c de l instant de d cision est long Il y a donc une conversation s miotrice simultan e tr s int ressante aussi bien aux plans interindividuels qu au plan collectif La seconde nous a permis de centrer l observation sur le jeu des appuis au sol dans un rapport interindividuel en contre communication mettant en vidence le changement de pied La troisi me est une situation identique la seconde Elle a t choisie pour entamer une analyse de ce genre d action Des photographies ont t r alis s images de l cran pour fixer l observation un code d analyse en 42 facteurs a t labor pour d crypter le comportement technico tactique de chaque joueur Conclusion Notre t che a donc consist construire d abord un outil de recherche et l prouver puis au fur et mesure de cette mise l preuve notre t che a consist recueillir le mat riau tel qu il se pr sentait Quelle est l incidence de la formation rugbystique sur la capacit pr agir Telle tait la question centrale que nous nous posions Si l analyse des s quences film es n a pu fournir sur ce point pr cis que peu d informations celle des i
271. ations sur les diverses composantes de la prise de d cision le choix l action la distance de l individu vis vis de son environnement Le choix chelle de rapidit de d cision chelle de go t du risque chelle de go t pour les jeux de hasard L action chelle de dynamisme chelle d impulsivit chelle de haut niveau d aspiration La distance de l individu vis vis de son environnement chelle de projection interpr tative chelle de sinc rit chelle de tol rance au non contr le de l environnement 2 L observation des performances en situation de match l observation de la performance effectu e par les entra neurs imm diatement apr s une rencontre ne s av rant correcte que dans 12 des cas un logiciel de saisie en direct des actions de jeu a t utilis afin de pr ciser la r alit des actions effectu es Les informations concernant l action ex entre sur le terrain fait une passe d cisive r ussit un tir int rieur etc le num ro du joueur le moment de cette action ont donc t enregistr es sur micro ordinateur IBM par le statisticien officiel de l quipe et stock es dans un fichier cette saisie informatis e permet de r aliser un grand nombre de tris statistiques en temps r el ce qui tait impossible il y a peu de temps encore 3 L valuation de la performance r alis e par l quipe et l valuation de la prestation des joueurs qui ont particip aux diver
272. attaquant Umpierrez milieu de terrain et Leprovost d fenseur Protocole exp rimental Pr test cam ra VHS de type SONY pour observation des d placements et des actions de jeu du joueur suivi individuellement vid o timer magn toscope syst me crayon de papier pour le d pouillement Concernant l exp rimentation principale le m me protocole audiovisuel est repris mais la saisie des observations et leur traitement deviennent plus sophistiqu es keyboard 128 touches quadrill es et num rot es compteur d images qui capte le signal de synchro et constitue un chronom tre donnant les temps avec une pr cision de 40 Ms ordinateur de type PC AT imprimante Compl ments d information concernant le mode de tournage chaque footballeur est suivi par le m me cameraman avec l aide de la m me cam ra pendant toutes les rencontres observ es les observations ont lieu depuis les tribunes partir de loges sp cialement am nag es pour les retransmissions radiot l vis es Le logiciel d observation de football a t cr par A Brossier unit de formation informatique de l I N S E P La saisie par touche concerne un certain nombre de faits contr les de balle conduites passes dribbles pertes de balle coups de pied arr t s combinaisons ou progressions du type contr le conduite passe ou autres les marches les courses lentes et moyennes les sprints les arr ts les duels sans
273. au point de m thodes permettant l valuation quantitative des ph nom nes qualitatifs La pr paration technico tactique en particulier de l attaque est le plus souvent valu qualitativement et qualifi de haute technicit de hors pair stable faible Un indice d activit a pu dans cette perspective tre mis au point Ia nombre d attaques nombre de combat il n a cependant pas satisfait l auteur L observations par fiche a port sur trois s quences distinctes temporellement s quence sans contact s quence o la situation de saisie n est pas accept e par un adversaire s quence o la saisie de chaque combattant est accept e nous observons alors des tentatives r ciproques de projections Les donn es v nementielles ont ensuite t class es par rubriques o lieu de l attaque quand opportunit s comment saisies appels attaques techniques score Question n 1 o Deux zones ont t prises en consid ration zone 1 correspondant la surface interne du tapis en g n ral de couleur verte zone 2 correspondant la surface p riph rique en g n ral de couleur rouge Question n 2 quand Ont t not s les d placements de UKE essentiellement avant arri re lat ral droit lat ral gauche mais aussi l immobilit Question n 3 comment Elle correspond aux actions mises en oeuvre pour obtenir un r sultat et comprend la saisie l appel l
274. aub M 1983 voir p 115 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt EPREUVES DE VALEUR PHYSIQUE GENERALE 20m Cooper lancer de m decine ball de 2 kg preuve de souplesse aptitude toucher les pieds toe touching sargent test en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt TESTS DE VALEUR PHYSIQUE SPECIFIQUE POUR UNE DETECTION EN GYMNASTIQUE RYTHMIQUE ET SPORTIVE levers de jambes pour mesurer la force dynamique des abdominaux agilit parcours propos par DENISIUK 1969 et utilis par SZCZEPANSKA 1973 pour une d tection en G R S burpee test debout position group e au sol extension des paules nouveau group debout ex cuter un maximum de cycles pendant 1 min 30 sec souplesse des paules mesur e partir d une position assise tractions amener par flexion des bras le menton au dessus de la barre saut rebond d tente verticale apr s un pas de prise d lan avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt EPREUVES D EVALUATION DE L UTILISATION DE L ENERGIE ELASTIQUE SARGENT TEST SAUT REBOND SAUTS APRES CHUTE DE DIFFERENTES HAUTEURS en Gymnastique avec Staub M 1983 voir p 115 gt gt BATTERIE DE TESTS SIMONS ET COLL 1970 ET KEMPER ET COLL 1980 au sujet de la performance motrice des gar ons de 12 16 ans avec Van Praagh E 1983 voir p 115 gt gt SALTO TENDU ET DOUBLE SALTO ARRIERE GROUPE en Gymnastique Sportive avec Boerio G 1
275. aut niveau Basket ball quipe de France Espoirs Handball quipe de France f minine Rugby quipe de France Juniors 2 et quipe championne de France Toulouse Volley ball quipe de France f minine Protocole exp rimental 1 Entretiens semi directifs portant essentiellement sur trois th mes Pourquoi un discours Quels en sont les d terminants les l ments L effet du discours sur les joueurs et sur la performance 2 Enregistrement en situation r elle selon 3 enjeux diff rents match amical de championnat enjeu maximal soit au total 15 discours pour l ensemble des quipes Conclusion Le discours d avant match est l oppos de ce qui est v hicul par les m dias ou par l imagerie populaire Le discours d avant match a pour but de persuader et de convaincre Il s appuie sur les d terminants qui ont conduit l entra neur analyser les caract ristiques du jeu de l adversaire et vise renforcer la motivation des joueurs dans les dimensions technico tactiques du jeu et dans l engagement physique et mental maximal L auteur met en vidence le soin extr me apport cette intervention d avant match il remarque galement que ce discours a une incidence sur la performance et que les joueurs l attendent avec int r t S curiser les joueurs tout en les stimulant voil les vertus du discours e EFFICACITE ET RELATIONS INTERINDIVIDUELLES Etud
276. avec Saurin J F 1978 gt gt PLACE ET ROLE DES CROYANCES MAGIQUES SPORTS DE COMPETITION AU CAMEROUN avec Younde Meyou F 1978 gt gt AGRESSIVITE ET SPORT LA FONCTION CATHARTIQUE DU SPORT CHEZ LES ENFANTS avec Pfister R 1979 gt gt ENSEIGNER LE JUDO AUJOURD HUI ANALYSE SOCIOLOGIQUE avec Pouillart G 1979 gt gt ETUDE DE LA CONDITION DES SPORTIVES DE HAUT NIVEAU avec Riffiod E 1979 voir p 108 gt gt MILIEU DE VIE ET REUSSITE DU STAGIAIRE avec Ambal M 1985 voir p 117 gt gt DETERMINANTS SOCIOLOGIQUES DU TRIATHLON avec Bertrand D 1986 gt gt COURSES A PIED LES FEMMES EN REGION PARISIENNE avec Blais F 1987 gt gt MOTIVATIONS DE TYPE SOCIOLOGIQUE VOLLEYEURS avec Canales C 1987 voir p 97 gt gt LE BUTEUR SOUMIS AUX PRESSIONS DU MILIEU FOOTBALL PROFESSIONNEL avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt HISTOIRE TECHNIQUE ET CULTURELLE DE LA CHOREGRAPHIE en Natation Synchronis e avec Barraud N 1989 gt gt REPRESENTATIONS SOCIALES ENTRAINEMENT DU JEUNE JOUEUR en Volley ball avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt APPROCHE PSYCHOSOCIALE DES VOLLEYEUSES DE C P E F avec Prawerman A 1993 voir p 100 gt gt INFLUENCE DU MILIEU FAMILIAL INSTITUTIONNEL ET REGIONAL en Tennis avec Isb rie P 1994 TACTIQUE ET STRATEGIES gt gt ACTIVITE TACTIQUE ET COHESION DE L EQUIPAGE en Voile avec Surmin R 1978 voir p 91 gt gt STRATEGIES UTILISEES PAR LES JOUEURS FONCTIO
277. c 16 Plate taping 17 Marche sur le rebord d une ar te 18 Equilibre les yeux ferm s 19 Ecart lat ral des jambes 20 Flexion avant du tronc 21 Amplitude de la souplesse Certains tests m ritent d tre d crits ainsi concernant le test du deuxi me dynamom tre manuel l appareillage est constitu d un bloc de fonte lourd pos sur une table Une tige verticale est fix e sur cette plaque Une poign e mobile est reli e une aiguille qui se d place devant un cadran Le sujet place la partie charnue de sa main situ e entre le pouce et l index contre la premi re tige verticale et la 2 me ou la 3 me articulation des doigts sur la poign e Le but consiste rapprocher la poign e de la tige en une seule fois vigoureusement et fermement aussi fort qu il le peut Concernant le test de dynamom trie dorsale Le sujet pose ses pieds sur la plaque penche son corps 15 vers l avant Il a les jambes tendues le dos droit les bras tendus Les poign es dans les mains on ajuste la cha ne pour qu elle s attache juste au crochet de la plaque Le sujet dans cette position essaie d allonger le dynamom tre en cherchant relever le dos Concernant le test d l vation de jambes Le sujet est couch sur le dos les doigts crois s derri re la nuque On dit au sujet de soulever jambes jusqu la verticale en les gardant tendues puis de les ramener au sol Il doit soulever les jambes aussi v
278. c Bl ou Tokou J L F 1987 voir p 57 gt gt EQUIPES ESPOIRS SPORT ETUDES ET CADETS DE LIGUE avec Bl ou Tokou J L F 1987 voir p 57 gt gt HANDBALL GARDIENS DE BUT ET ARRIERES DE L EQUIPE DE FRANCE avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt HANDBALLEURS MASCULINS DE NIA avec Anti T 1991 voir p 58 gt gt EQUIPES DE LA N1A MASCULINE avec Akpa G 1992 voir p 59 gt gt HANDBALLEURS DU PLUS HAUT NIVEAU MONDIAL avec Prat J L 1992 voir p 60 gt gt HANDBALLEURS DE NIVEAU INTERNATIONAL DE N1A ET N1B avec Dubertrand H 1993 voir p 60 gt gt ENTRAINEURS DE N1A MASCULINE ET FEMININE ET DE N1B MASCULINE EN HANDBALL avec Dubertrand H 1993 voir p 60 JUDOKA gt gt HUIT MEILLEURS FRANCAIS MASCULINS DANS CHAQUE CATEGORIE DE POIDS avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt JUDOKA FEMMES CERTAINES DE TRES HAUT NIVEAU MONDIAL avec Missoum M 1981 voir p 110 gt gt MEILLEURS JUDOKA MONDIAUX avec Rambier R 1987 voir p 64 gt gt JUDOKA NEOPHITES avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt JUDOKA CEINTURE NOIRE EXPERIMENTES avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt JUDOKA DE HAUT NIVEAU avec Soler C 1987 voir p 65 gt gt JUDOKA ENFANTS 9 ANS A 12 ANS EN FORMATION CEINTURE ORANGE A BLEUE avec Antourel S 1989 voir p 65 gt gt JUDOKA SENIORS CEINTURE VERTE avec Antourel S 1989 voir p 65 gt gt JUDOKA CEINTURE NOIRE EXPERIMENTES avec Antourel S 1989 voir p 6
279. can um par l incapacit de maintenir la rectitude de la tibio tarsienne elle c de aux environs d une application de force de 200 kg Concernant la radio carpienne elle ne c de que lorsque l enfoncement se poursuit et de ce fait l accident de trac appara t dans la partie descendante au moment o la surface de contact passe sur les t tes M4 MS Cette r sistance suppl mentaire tient au fait qu l impact l avant bras est quasi horizontal alors que la jambe l aborde avec un angle de 40 sous l horizontale Le bilan des couples de forces obtenues l impact met en vidence 1 pour les frappes de mains l existence d une rotation sur l axe z de la droite vers la gauche suppination pronation Le fait d avoir pratiquement toujours un couple de force de m me sens pour ce type de frappes traduit une plus grande pr cision la cible pouvant tre ajust e de mani re pr cise et selon une trajectoire r guli rement d crite 2 pour les frappes de pied un manque de ma trise dans la pr cision il faut monter le genou avant de d clencher l extension de la jambe l adaptation forc e de la trajectoire en cours de frappe d clenche un d s quilibre d appui sur la gauche ou sur la droite l impact Le m me probl me s est pos pour le coup de pied de c t Yoko Geri et a encore t accentu pour le coup de pied de dos Ushiro Geri Cela peut expliquer la non significativit du
280. ce a robie Observation d un facteur psychologique recherche de traits caract ristiques par discipline 1977 178 p 2 p de bibliographie 11 r f rences annexe Voir p 33 gt gt DRUAIS M F Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir p 36 gt gt DRUENNE F D finition d un outil informatique de saisie et de traitement automatique des donn es d observations de matches de volley ball Objectifs Evaluation de la performance d une quipe de volley ball par la mesure de l efficacit des joueurs en match 1986 59 p annexes importantes La disquette de traitement des observations est jointe au M moire Voir p 97 gt gt DUBERTRAND H Descriptions anlyses et perspectives li es aux changements syst matiques de joueurs en handball 1993 155 p 6 p de bibliographie 46 r f rences annexes Voir p 60 gt gt DUBOIS C Sp cialit en natation et traits de personnalit 1988 174 p 3 p 34 r f rences annexes Voir p 73 gt gt DUFAY A Le buteur dans le football professionnel Analyse psycho sociologique de ses repr sentations et de ses actions 1988 255 p 7 p de bibliographie 127 r f rences annexes tr s importantes Voir p 44 gt gt DUFORT C Influence de la r cup ration active chez le nageur Effets de diff rentes modalit s de r cup ration sur la con
281. ce sur l cran d autres enfants a pu galement d tourner l attention des int ress s nous avons en effet constat que les enfants cherchaient surtout se reconna tre et reconna tre leurs camarades Il leur fallait donc op rer un tri entre tout ce qu ils voyaient sur l cran Peut tre n arrivaient ils pas choisir l enfant dont il tait n cessaire de suivre les mouvements et que la cam ra avait tent de filmer L enfant lui d couvrait une r alit qu il avait v cue Donc il lui fallait accepter l image comme tant la repr sentation de ce qu il avait v cu ce qui est difficile et ensuite voir dans l image des gestes dont on lui disait qu ils avaient une certaine signification Peut tre ces t ches taient elles trop nombreuses de m me on ne sait pas vraiment comment le langage est compris par l autre parce que le langage comme l image refl te le milieu socioculturel Nous avons vu par ailleurs que la perception d pend de facteurs psychologiques elle d pend du degr d attention de l individu de sa personnalit L image n a pas une signification universelle Ceci justifie la pr sence du commentaire qui joue un double r le par rapport l image 1 un r le d ancrage en donnant l image sa signification ad quate un r le de relais pour signifier ce que l image ne peut signifier Peut tre vaut il mieux laisser l enfant face son image seul et avec l
282. centration plasmatique du lactate 1983 79 p 5 p de bibliographie 34 r f rences annexes importantes Voir p 72 gt gt DUPUY C Analyse des strat gies visuelles et motrices d une population de grimpeurs de haut niveau 1985 224 p 8 p de bibliographie 97 r f rences annexes importantes Voir p 40 gt gt DURAND M Apprentissages moteurs et p dagogie des A P S Etude de l effet des processus cognitifs mis en jeu dans des situations probl mes chez l enfant de 5 12 ans 1983 199 p 20 p de bibliographie 287 r f rences annexes Voir p 114 gt gt DURET P Les repr sentations sociales du volley ball contribution l entra nement du jeune joueur 1991 187 p 7 p de bibliographie 117 r f rences annexes Voir p 99 gt gt DUVERNEY GUICHARD E Le r le du cycle tirement d tente dans l conomie de la course pieds 1992 34 p 9 p de bibliographie 110 r f rences annexes Voir p 124 E gt gt ESTRADE P Y Influence de l augmentation induite du pH sanguin sur le m tabolisme ana robie lactique l exercice d intensit supramaximale 1984 51 p 9 p de bibliographie 70 r f rences annexes Voir p 116 F gt gt FABLET A Contribution l analyse du r le de l image dans les activit s d expression aspects psychologiques 1977 80 p 3 p de bibliographie 57 r f rences Voir p 102 gt gt F
283. ces en Judo ou des habilet s sportives si la notion de technique devenait obsol te La place occup par cette derni re ne rev t pas la m me importance lorsqu il s agit d un d butant ou d un expert Ce qui nous para t fondamental pour le futur combattant est le fait que celui ci acquiert au cours de sa formation sportive les principes d action n cessaires la r alisation d une action tout en sachant que ceux ci vont se prolonger dans des formes de corps classifiables Par ailleurs ces techniques de combat reconnues dans les assauts dans les randori et les shia ne peuvent tre que les r sultats d un apprentissage st r otyp automatis au point de ne plus fonctionner que dans un contexte identique la situation d apprentissage C est accepter l id e que les l ves puissent se former progressivement la d couverte d indices sp cifiques d une situation particuli re de combat dont l identification sera la base d une formation de l action n cessaire une r ponse motrice juste Le choix de situations d opposition caract ristiques de l activit est la r f rence pour cette formation cependant l expert poss de en lui l exp rience et l efficacit il induit ce qui est juste et n cessaire l accomplissement d une t che motrice Plus qu un mod le pour l apprenant il est une r f rence pour l activit qu il mod lise Il n y a donc pas de contradiction utiliser l
284. cet effet le travail r alis par DONZEL GAYE C 1994 Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent Voir rubrique THEMES GENERAUX 1994 gt OPPOSITION SPORTS D Sports d opposition El ments d analyse pour une p dagogie des prises de d cision STEIN J F 1981 105 p 10 p de bibliographie 111 r f rences Population d exp rimentation Dans le cadre de l exp rience 1 8 sujets dont 6 sont tudiants en E P S et sportifs de haut niveau l I N S E P 3 joueurs de handball dont 1 gardien de but 1 joueuse de basket ball 1 tireur l arc 1 judoka Les 2 sujets restants sont sessionnaires et joueurs de tennis Dans le cadre de l exp rience 2 64 jeunes enfants de 11 13 ans n ayant jamais particip un entra nement de type rugby ni pratiqu ce sport Protocole exp rimental Exp rience 1 la situation retenue est commune un certain nombre de sports C est une situation d opposition 1 contre 1 o un d fenseur doit intercepter le plus t t possible la course d un attaquant se d pla ant le plus vite possible pour viter D Au d part l attaquant A est orient de face 2m du d fenseur Celui ci est au centre d un demi cercle mat rialis au sol sur lequel va se d placer A Les appuis de D sont orient s 30 vers la
285. cialistes de descente dont les objectifs essentiels sont les championnats de France 1991 et les s lections pour les championnats du Monde 4 en cano biplace 3 en cano monoplace 2 en en kayak monoplace 3 sont class sur la liste Elite 3 sur la liste A et 4 sont des Espoirs Internationaux Protocole exp rimental 1 Epreuves de laboratoire protocole dont l objectif est de d finir les relations FC VO2 individuelles 4 6 paliers de 4min chacun Les cadences impos es ont t d finies partir d observations r alis es en bateau Ergom tre sp cifique d origine Danoise mod le de la 3 me g n ration 1986 Mesures des cadences m tronomes quartz Seiko soit signal sonore soit signal visuel de la fr quence cardiaque lectrocardiogramme relev en continu contr l par un physiographe MK IT de la consommation d oxyg ne par analyses quantitative et qualitative des gaz expir s en utilisant une cha ne d analyse de type Oxycon 4 de la lactat mie gr ce un analyseur de L Lactate MICROZIM L poss dant une sonde enzymatique 2 Epreuves de terrain sur bassin nautique avec prise en compte du vent apr s essais en soufflerie protocole combin au cours d une s ance de 60 70 min compos e de quatre parties distinctes chauffement libre et progressif de 15 min environ 2 sprints de 30m espac s de 2 min 4 paliers de 1000m avec virage au milieu 500m espac s de 2 min similaires au test
286. cisionnelles adapt es l v nement occurrent ce qui n a pas t le cas pour les sujets du groupe 2 en permanence confront s lors du cycle une faible incertitude v nementielle Contribution l tude d un profil de judoka de haut niveau l aide des tests de valeur physique de Fleishman DONZEL J 1979 132 p 17 p de bibliographie 146 r f rences Population d exp rimentation Les 8 premiers Fran ais masculins Seniors de chaque cat gorie de poids Protocole exp rimental Les tests d aptitudes physiques de Fleishman ont t retenus souplesse souplesse dynamique force explosive au niveau des bras force explosive au niveau des jambes force statique force dynamique ou fonctionnelle force ant rieure du tronc coordination globale du corps quilibre corporel g n ral Certains am nagements se sont impos s compte tenu de l volution des recherches qui ont suivi Les conditions de passation ont t les suivantes 1 Age du judoka au moment de la passation 2 Age du judoka au d but de sa pratique 3 Age du judoka lors de sa premi re comp tition 4 Taille 5 Poids 6 Longueur de l entre jambes 7 Serrage du premier dynamom tre manuel 8 Serrage du deuxi me dynamom tre manuel 9 Tractions la barre fixe 10 Lancer de balle lest e 11 Test de saut en hauteur sans lan 12 Test de dynamom trie dorsale 13 El vation de jambes 14 Course de navette 15 30 m d part lan
287. conduite sous langle du r glement d une part et sous celui de la r alisation d intentions tactiques d autre part Les fiches de relev s mentionnent les caract ristiques de l action fautive description des faits observ s temps le fautif la faute le joueur l s les cons quences des irr gularit s sur le joueur perte du ballon ma trise du ballon ma trise de l quilibre sur le porteur sur le r ceptionneur etc le jugement de l avantage avantage obtenu avantage nul d savantage les sanctions sanctions diff r es par les arbitres sanctions justifi es par le code commentaires Conclusion Les r sultats obtenus nous am nent dire que les arbitres portent une lourde responsabilit et qu ils facilitent inconsciemment les conduites antir glementaires en ne consid rant pas comme importantes certaines irr gularit s ou en ne les percevant pas par exemple les infractions sur le non porteur les infractions des attaquants les pouss es et les accrochages Nous souscrivons enti rement aux propositions de D Spate et G Wilke il faut am liorer les facult s de perception et d analyse des arbitres et r partir de mani re plus pr cise les t ches des deux arbitres en donnant une orientation plus s lective leur surveillance respective L tude que nous avons faite sur les interventions des arbitres en fonction de leur position sur le terrain a donn les r sultats suivants sur 114 coups de sif
288. ctifs Utilisation enfin d un support visuel pour propositions de sc narii permettant d envisager les diff rentes r actions des enfants confront s des injustices Celles ci portent sur le rapport joueur arbitre quelles r actions quand l arbitre se trompe et recommence ses erreurs le rapport entra neur joueur quelles r actions quand le managerat d favorise un joueur irr prochable quelles r actions quand l entra neur veut faire jouer un bless Conclusion Sous sa forme la plus g n rale la probl matique initiale peut s exprimer ainsi Comment se d finissent le volley ball l preuve sportive et le champion pour les enfants et pour les entra neurs De quels ingr dients se nourrissent leurs pratiques Si les repr sentations des enfants instaurent une rupture par rapport aux repr sentations des adultes comment y rem dier Comment remod le t on d un point de vue pratique une repr sentation De quelles ressources les entra neurs doivent ils disposer pour assurer sans heurt la transformation des repr sentations des enfants Les r sultats de l investigation se trouvent r sum s sous formes de tableaux d un c t se trouvent pr sent es les conceptions des enfants de l autre celles des entra neurs Les disparit s nombreuses ne peuvent tre dans le cadre de ce r sum cit es un exemple concernant l entra nement illustre n anmoins l importance des contradictions observ es a
289. ctuel Une nouvelle formule devrait tre mise en place en 1997 98 qui comporterait trois options largissant ainsi le champ d investigation et de recherche dans le domaine du sport que ce soit l entra nement de haut niveau la formation des cadres sportifs et celle des managers de structures et d organismes sportifs Avant de conclure je tiens remercier personnellement Norbert KRANTZ qui je porte une tr s grande estime et qui je souhaite la plus large r ussite compte tenu de sa comp tence sa foi et sa d termination en tant persuad qu il a pos les fondations d un difice qui pourrait lever tous ceux pour qui le sport est une de leurs raisons de vivre Claude FLEURIDAS ex responsable du Dipl me de l IN S E P INTRODUCTION POUR UNE REFLEXION CRITIQUE Le sp cialiste est un homme qui sait de plus en plus de choses sur un terrain de plus en plus troit si bien qu il en arrive savoir tout sur rien B Shaw 1856 1950 Cet ouvrage s inscrit dans le cadre de la M thodologie de l apprentissage et de l entra nement sportif La m thodologie se d finit comme partie de la logique qui tudie a posteriori les m thodes des diff rentes sciences appliqu es un domaine particulier et leurs types de connaissances Se comporter comme un m thodologue de l entra nement sportif c est faire preuve de sens et de r flexion critique Nul comportement ne peut tre en effet plus craint que ce
290. culation excentrique avec Pousson M 1984 voir p 117 en Volley ball avec Berjaud S 1988 voir p 98 en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 en Tennis avec Scribot F 1988 voir p 86 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 en Athl tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt PRELEVEMENTS SANGUINS altitude et football avec Corbeau J 1982 voir p 112 en Natation Lactate avec Dufort C 1983 voir p 72 influence de l augmentation induite du pH sanguin avec Estrade P Y 1984 voir p 116 en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 en Kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en D cathlon Cr atine Phospho Kinase et Ur e sanguine avec Krantz N 1992 voir p 18 en Football avec Broche D 1994 voir p 47 Lactate Glyc mie Insuline Glucagon Acides gras libres Glyc rol Cat cholamines avec Thiriet P 1994 voir p 126 Lactate en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt BIOPSIE MUSCULAIRE influence de l augmentation induite du pH sanguin avec Estrade P Y 1984 voir p 116 gt gt VO2 ET LACTATE en Natation avec Cazorla G 1978 voir p 71 en Rugby avec Ladauge P 1984 voir p 80 en Basket ball avec Buteau P 1987 voir p 24 en Football avec Kae Oula G 1988 voir p 45 en Kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 e
291. d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle Consulter cet effet le travail r alis par DONZEL GAYE C 1994 Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent Voir rubrique THEMES GENERAUX 1994 Profession ducateur sportif candidats employeurs formateurs leurs repr sentations leurs attentes l exemple de la gymnastique gt ROBERT LACAZE M 1994 149 p 3 p de bibliographie 51 r f rences annexes questionnaires adress s aux responsables de structure aux personnels qui encadrent aux personnes en formation M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Communication et transformation sociale dans l institution sportive Etude r alis e dans la F d ration Fran aise de Gymnastique l occasion de la mise en oeuvre du plan Gym 2000 CAYRE B 1995 80 3 p de bibliographie 35 r f rences annexes tr s importantes dont questionnaire auteur et r sultats d taill s M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage HANDBALL Handball Analyse des difficult s de l arbitrage Contribution au perfectionnement des a
292. d licate de marquer des buts et tenu pour responsable du succ s ou de l insucc s de son quipe le buteur s apparente un funambule sur sa corde raide Il sait que bien jouer ne suffit pas Que sa r putation ne tient qu son efficacit Il finit par int grer son propre compte les exigences de son milieu En les faisant siennes il augmente la pesanteur psychologique de son m tier que les m dias amplifieront au gr de leur plume Tirer un penalty constitue ce niveau une lourde t che particuli rement r v latrice des processus impliqu s et de leur interaction Entre le penalty le coup franc et le tir en jeu c est le penalty jug facile qui r unit les conditions les plus stressantes V ritable duel psychologique avant d tre technico strat gique il est bien le moment de paroxysme motionnel de foot ball pour peu qu il d cide du r sultat Le risque en est une rosion de l estime de soi La mise en vidence de ces diff rents aspects permet de sugg rer un certain nombre de solutions resituer et relativiser un v nement per u comme tragique lui redonner des proportions acceptables les cons quences financi res de la d faite doivent incomber aux dirigeants repartager les responsabilit s au sein de l quipe tout enti re Les techniciens affirment d sormais haut et fort que la pr paration psychologique des joueurs et du buteur en particulier est au moins aussi import
293. dans le fichier historique comme nous l avons fait maintes reprises Actuellement l exploitation de nos r sultats est tr s en retrait par rapport la richesse des informations recueillies les programmes d analyse actuellement labor s ne sont encore que des outils interm diaires dans la mesure ou ils n cessitent encore un important travail informatique et math matique Quelques limites suppl mentaires doivent tre mentionn es on observe 1 un probl me de d calage entre les op rations de saisie et le cours r el du jeu 2 une certaine difficult encoder ce qui rel ve des comportements tactiques l environnement Un autre type de saisie doit tre envisag e pour tenter d tablir un lien entre les actions et leurs d terminismes pour expliquer certains comportements il est en effet n cessaire d identifier leurs causes et leurs cons quences L laboration de grilles d observation de type papier crayon s av re donc encore utile L outil informatique utilis est loin d avoir puis le probl me de la description des v nements et encore moins leur explication D tente et entra nement pliom trique du basketteur Analyse r flexologique et biom canique LEGRAND J 1988 78 p 14 p de bibliographie 106 r f rences annexes dont informations sur le contenu de l entra nement et lexique Population d exp rimentation Groupe t moin compos de
294. de stabilisation initiale puis terminale de la t te Le sujet se r ceptionnant incorrectement sur le dos la suppl ance des autres informations est donc insuffisante l ex cution correcte de la figure et il est donc envisageable que la vision soit n cessaire la bonne orientation du sujet et probablement essentiellement dans la phase initiale o elle semble caler les informations issues des autres syst mes sensoriels Etc TRIATHLON De la sp cificit du triathlon Analyse de donn es physiologiques et techniques recueillies sur des triathl tes plac s en situation de comp tition Contribution l laboration d une m thode d entra nement originale fond e sur le principe des encha nements multiples LEHENAFF D 1993 200 p 14 p de bibliographie 179 r f rences annexes importantes fiches types d identification d valuation d entra nement caract ristiques des triathl tes exemples de fiches d observation donn es physiologiques techniques et d entra nement Population d exp rimentation 14 sujets de sexe masculin g s de 18 25 ans tous triathl tes de niveau R gional ou National appartenant plusieurs clubs de triathlon de la r gion Parisienne Au moment de l exp rimentation les sujets pratiquaient le triathlon depuis deux ans en moyenne et avaient suivi une trajectoire comp titive similaire passant le plus souvent par la fili re UNSS
295. de 31 8 ans 67 4 kg pour 173 3 cm Protocole exp rimental Chaque sujet effectue des coul es en surface et en profondeur partir d une pouss e des jambes sur le mur en conservant autant que possible une position horizontale en hyper extension sans aucun mouvement entre l instant o le bout des pieds perd le contact du mur et l instant o le rep re marquant la cheville droite d passe l extr mit de la r gle quatre m tres plus loin La mesure des distances parcourues toutes les 0 2 sec pendant ce d placement nous permet de calculer l indice de d c l ration de Miyashita 1982 Consignes donn es aux nageurs ex cuter des gliss es et des coul es en poussant le plus fort possible sur le mur en conservant la position la plus hydrodynamique possible et l horizontalit du d placement jusqu ce que les pieds d passent l extr mit de la r gle 4 m du mur Trois essais pour chaque sujet quatre profondeurs ont t effectu s condition de surface condition 30 cm c est dire en essayant de demeurer juste au dessous de la surface une r gle est pos e 60 cm sous la surface condition 60 cm condition 90 cm la r gle tant suspendue 60 cm le sujet doit passer en dessous Une fois le mat riel install r gle immerg e cam ra dispos e derri re le hublot et projecteurs install s le circuit de l eau arr t pour viter les effets de courant les sujets sont soumis des mesures
296. de fonctionnement que l on acquiert v ritablement ce que P Val ry exprimait sous la capacit de pouvoir se situer La plus ou moins grande aptitude dont t moignent les intervenants pouvoir justifier de leurs choix m thodologiques est g n ralement assez r v latrice des modes intimes de raisonnement elle t moigne assez fid lement du niveau de r flexion et d expertise th orique acquis Bien concevoir l entra nement constitue aujourd hui une des caract ristiques essentielles de l entra nement moderne parcequ une simple quantification des proc d s ne suffit d sormais plus et parce que s impose chaque jour davantage la n cessit de penser juste L int r t qui d coule de l adoption de m thodes dont le caract re qualitatif se voit reconnu n chappe d sormais plus personne POUR L ACQUISITION D UN CERTAIN NIVEAU DE CULTURE Toutes choses tant caus es et causantes aid es et aidantes m diates et imm diates et tout s entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les plus loign es et les plus diff rentes je tiens impossible de conna tre les parties sans conna tre le tout non plus que de conna tre le tout sans conna tre particuli rement les parties Pascal Pens es Pour atteindre un tel niveau de r flexion il faut avoir non seulement v cu les activit s les avoir exp riment mais galement faire preuve de curiosit Il faut avoir la
297. de l avant bras maintenu dans la goutti re au moyen d une coquille individuelle pl tr e maintenue dans la goutti re et de courroies en cuir Les doigts sont laiss s libres Des rep res de position sont pris pour chaque sujet L emplacement du si ge des but es de la goutti re sont identiques chaque s ance La mesure porte sur la force isom trique d extension du coude d velopp e par le triceps brachial 3 La technique de stimulation lectrique elle consiste soumettre le muscle un courant excito moteur produit par un g n rateur d impulsions le muscle est plac en s rie dans un circuit lectrique le courant est appliqu au moyen de deux lectrodes de surface Le g n rateur d impulsions cet appareil d architecture modulaire est fabriqu et commercialis par la soci t ETM l ELECTROTECHNIE MEDICALE Il produit plusieurs types de courants Il d livre une puissance importante L ouverture et la fermeture du circuit sont command s manuellement ou au pied par un interrupteur pression Ces deux manoeuvres sont assur s par le sujet lui m me Les courants excito moteurs se caract risent par des param tres de direction monophas e biphas e de fr quence 2 fr quences ont t retenues 30 Hz et 80 Hz et de r gularit r gulier ou irr gulier Les lectrodes de stimulation la technique de stimulation bipolaire a t choisie elle consiste installer en deux points pr cis
298. de m me qu il pourrait contribuer l atteinte d une meilleure individualisation de la pr paration Marche athl tique Cons quences d un effort de 3 heures l allure de comp tition sur l conomie de marche FOUGERON B 1994 128 p 8 p de bibliographie 85 r f rences annexes param tres enregistr s lors du test de fatigue graphique de l volution de l angle de flexion plantaire avec la vitesse volution des angles de la cheville du genou et de la hanche 3 vitesses exemplaire d un questionnaire distribu organisation du pas activit EMG Population d exp rimentation 1 Marcheurs de diff rents niveaux sur 50 kilom tres R gional National et International Douze preuves diff rant par le lieu et le niveau de leur r alisation les conditions atmosph riques la difficult du parcours ont t trait es en retenant pour chacune d elles les 16 premiers 2 7 marcheurs hommes g s en moyenne de 28 3 ans et pratiquant depuis au minimum six ann es ont particip cette exp rience 5 sont de niveau International et 4 figuraient dans l quipe de France 1993 qui se classa 4 me la Coupe du Monde Monterrey Mexique Tous les sujets ont une exp rience r guli re des protocoles de marche sur tapis roulant 3 7 sujets d un niveau identique la population pr c dente Protocole exp rimental 1 re exp rimentation Relev de temps pour calcul de la vitess
299. de pratique commune ainsi que la qualit des rapports interpersonnels Il est observer que l id e d une pratique compl mentaire n a pas re u un accueil tr s favorable ce qui fait dire l auteur qu un long travail sera n cessaire aux enseignants de voile pour convaincre la masse des r gatiers de l int r t de diversifier leurs proc d s d entra nement Concernant l investigation psychologique enfin il est apparu l issue des premiers traitements une corr lation troite entre les compl mentarit s des traits de caract re des partenaires et le niveau de performance atteint par les quipages Mais ces faits m riteraient d tre confirm s S impose d sormais du point de vue de la formation une conception qui d passe le seul cadre de l apprentissage technique Initiation la navigation voile Analyse des divers niveaux de r gulation de l action ALBERTINI H 1982 241 p 3 p de bibliographie 30 r f rences Population d exp rimentation Trois collectifs mixtes d enfants novices de 10 12 ans Cette tranche d ge correspond aux classes de CM1 CM2 habituellement pressenties pour une pratique de la voile scolaire Protocole exp rimental Ci apr s les diff rents temps de la recherche 1 Observation triviale 2 Instruction du proc s d apprentissage 3 D marche pr exp rimentale 4 Interpr tation raisonn e des r
300. deffer tude qualitative et quantitative de la capacit d attention qui mane d un individu Elaboration par l auteur d un questionnaire sp cifique l athl tisme afin de permettre au sportif de t moigner de sa pratique et de d crire les principales composantes de sa concentration Ce questionnaire Concentration a t construit autour de deux domaines le domaine comportemental modalit s g n rales de mise en place de la concentration la relation sujet environnement pendant la concentration concentration et attention externe concentration et attention interne contr le motionnel et le domaine op rationnel activation psychophysiologique r f rence la technique visualisation soit au total une vingtaine de questions Conclusion L auteur met cette hypoth se que si certaines caract ristiques de la concentration sont fonction de la personnalit de l athl te d autres sont induites par la sp cificit de l preuve qu il dispute Un tat des lieux a permis de mettre en vidence pr alablement cette hypoth se une certaine anarchie dans les proc d s utilis s la difficult s exprimer prouve que la notion de concentration n est pas bien ma tris e par ceux m me qui l utilisent Tout se passe comme si en athl tisme la concentration tait instinctive elle tente simplement de r pondre aux circonstances du moment Une plus grande attention port e tant
301. dehors du cadre scolaire l exception de 7 d entre elles qui pratiquent la natation en club environ 6 heures par semaine Protocole exp rimental Mesures biom triques taille poids largeurs biacromiales et bicr tales Pour mettre en vidence le pourcentage de graisse nous avons mesur les plis cutan s en 4 endroits diff rents comme le recommandaient DURIN et RAHAMAN 1967 Le calcul de l ge osseux celle ci se fait partir d une radiographie du poignet gauche Nous avons utilis la m thode TANNER WHITEHOUSE et HEALY 1975 Epreuves de valeur physique course de vitesse de 20m test de Cooper lancer de m decine ball de 2 kg preuve de souplesse aptitude toucher les pieds toe touching sargent test Les tests de valeur physique sp cifique retenus sont les suivants levers de jambes pour mesurer la force dynamique des abdominaux agilit parcours propos par DENISIUK 1969 et utilis e par SZCZEPANSKA 1973 pour une d tection en gymnastique rythmique sportive burpee test debout position group e au sol extension des jambes nouveau group debout ex cuter un maximum de cycles pendant 1min 30 secondes souplesse des paule mesur e partir d une position assise tractions amener par flexion des bras menton au dessus de la barre saut rebond d tente verticale apr s un pas de prise d lan Epreuves d valuation de l utilisation de l nergie lastique s
302. des juges et du public Un seul point n a pu tre valid la pr sence d un nombre lev de difficult s dans un encha nement ou une s quence n a pas eu l impact motionnel attendu elle n a pas conf r du point de vue des observateurs une valeur expressive aux productions L efficacit de la communication repose d abord sur la coh rence des productions celle ci d pend elle m me de plusieurs l ments l unit de th me et ou de style la correspondance entre le style le caract re expressif de la musique et ceux de l encha nement l int gration des difficult s dans le d veloppement du message de telle sorte que ne se produise pas de rupture de signification En second lieu l efficacit de la communication demande une certaine redondance dans les signaux qui sont mis afin qu un style se d finisse ou qu un th me puisse tre identifi cet aspect des choses n occulte cependant pas la n cessit qui s impose de sacrifier une exigence d originalit l analyse des productions et des r sultats des diff rents tests ont confirm que les gymnastes les meilleures sont celles qui ma trisent judicieusement la dialectique du banal et de l original en prenant en compte les r f rences culturelles des juges et du public Leurs productions sont la fois en continuit et en rupture avec celles qui ont t appr ci es favorablement lors de comp titions pr c dentes Au del
303. des sujets concernant les tests et les entra nements les donn es recueillies par les questionnaires ont permis de calculer les indices de 5 th mes diff rents tat g n ral subjectif avant l entra nement jugement subjectif de l entra nement tat g n ral subjectif apr s entra nement jugement subjectif du pr test jugement subjectif du post test Les questionnaires ont t construits de telle sorte qu ils puissent tre chaque fois vite remplis pas plus de 30 sec ou 1 min L preuve de laboratoire propos s inspire de la m thode du priming de Posner 1978 1980 l objectif de cette preuve est de mesurer chez des sujets leurs temps de r action en situation de choix avec orientation volontaire de l attention une complexification de la t che ayant t pr alablement op r e Description succinte doigts plac s sur des pr celles de claviers dispos s en miroir 4 diodes s allumant apparition dans une fen tre centrale du panneau de chiffres de 0 4 ce sont des signaux pr paratoires ils indiquent qu une diode doit en principe s allumer cet allumage tant le stimulus imp ratif Le chiffre 0 correspond la condition neutre aucune information quant la localisation d apparition d une lampe les chiffres 1 2 3 4 correspondent une information sur la localisation spatiale du S I venir qui peut s av rer vrai ou non Objectif r pondre le plus vite poss
304. devant un r f rentiel de mesure panneau de couleur noire Une pastille de couleur blanche est fix e au sommet de la cr te iliaque du sujet sa projection sur le r f rentiel de mesure permet d estimer la hauteur des l ments 1 et 2 cam ra vid o BETACAM reli e un magn toscope muni d un dispositif de lecture au ralenti 50 images seconde l ensemble cam ra vid o projecteurs est dispos 1 44 m du sol au centre par rapport au r f rentiel une distance de 9 60 m Conclusion Cette tude a permis de montrer qu un programme de renforcement musculaire pliom trique peut contribuer optimiser les qualit s de d tente des gymnastes de 9 5 pour le Squat Jump de 5 4 pour le Contre Mouvement Jump et de 14 4 pour le Drop jump Ce programme s est galement traduit par la r duction de 13 de la diff rence de hauteur d l vation entre les deux l ments de la figure et l am lioration de 37 8 de la hauteur d l vation du salto avant Nous avons pu ainsi constater que le renforcement musculaire con u en fonction de la sp cificit d une technique gymnique participe tr s efficacement l am lioration de la performance Certains enseignements caract re encore plus concret m ritent d tre mentionn s des exercices de sauts en contrebas plac s au d but d une s ance technique ou avant une comp tition en gymnastique ont des cons quences n gatives sur la performance sportiv
305. diminue Pour une vitesse de course donn e la combinaison fr quence amplitude pour laquelle l activit lectrique excentrique est maximum et l activit concentrique minimum correspond aux conditions d optimisation du cycle tirement d tente Cette recherche est le point d ancrage d une r flexion relativement complexe men e par l auteur elle devrait aboutir un travail de Th se 1993 e LES RELATIONS SPORT ET ENTREPRISE UNE REALITE SOCIALE ET COMMERCIALE ETUDE DES MECANISMES DE PARRAINAGE SPORTIFS TELEVISUELS Ragot N 1993 63 p 3 p de bibliographie 45 r f rences annexes Deux questionnaires ont t labor par l auteur 1 enqu te sur les ressources les r alit s t l visuelles et le partenariat 2 enqu te sur les attentes du t l spectateur l gard du sport ceux ci figurent dans le texte du M moire Trois populations de t l spectateurs ont t test un groupe d tudiants de l Ecole Sup rieure de Commerce de Paris deux groupes d l ves de 14 16 ans l un de Montreuil sous Bois l autre de N mes une enqu te trottoir t men e Paris et Bordeaux Parall lement dix f d rations fran aises olympiques ont t interrog es sept ont r pondu Conclusion les grandes entreprises sponsors puisent dans le mod le de la comp tition sportive une identit nouvelle et le sport la recherche d un souffle financier a trouv
306. dre des s ances d ducation physique et du tiers temps p dagogique D un point de vue qualitatif chaque enfant pratique 2 heures d ducation physique 2 heures de ski de alpin 2 heures de ski de fond ce qui repr sente 6 heures d activit physique par semaine durant quatre mois D autre part deux tiers des l ves pratiquent en plus le mercredi 3 heures et le samedi 3 heures une activit sportive au sein du club l Union Sportive Autranaise et pour la plupart le ski de fond et le ski alpin Ce groupe que nous appellerons le groupe entra n b n ficie donc de 6 heures de pratique sportive suppl mentaire au cours de l automne et de l hiver Protocole exp rimental 1 Mesures biom triques taille et poids et pourcentage de graisse m thode des 4 plis cutan s 2 Calcul de l ge osseux m thode de tanner et Whitehouse 1975 La radiographie du poignet et de la main gauches est prise de fa on pr cise Le bras est horizontal le poignet et la main dans l axe du bras la paume de la main est le poignet gauches sont pos s plat les doigts l g rement cart s le m dius dans le prolongement direct de l axe de l avant bras le pouce est plac en rotation naturelle bien d gag de l index l enfant appuie l g rement sur toutes les zones de contact Le faisceau de rayons X est parfaitement vertical et centr sur la t te du troisi me m tacarpien de mani re p n trer la totalit
307. droite ou vers la gauche par rapport au rayon DA selon la condition exp rimentale et A s lance soit vers la droite soit vers la gauche de D sur le demi cercle Consigne donn e A au signal d marrez le plus rapidement possible sans feinte avec un retard variable de 1 4 sec du c t indiqu par l exp rimentateur Courrez le plus vite possible sur le pourtour du quart de cercle indiqu pour tenter d atteindre le diam tre droite gauche avant d tre touch par D Observez la position la plus neutre possible jusqu au signal de d part Chaque plante de pied de A repose sur un contacteur reli un chronoscope lectronique mesurant le T R Idem en ce qui concerne D pour qui la mesure du T M sera galement relev e Chaque main de D porte un micro contacteur SWITCH reli au chronom tre lectronique mesurant le T M lorsqu il touche A avec l un des deux micro contacteurs de main il ferme le circuit qui arr te le C T M mesure du T M La pr sence d une lampe de contr le permet de v rifier soit un mauvais positionnement sur les contacteurs plantaires soit une r ponse anticip e de D Exp rience 2 sur un tapis de judo un m me type de situation 1 contre 1 est propos des enfants Le but consiste ramasser un ballon lest et aller le d poser derri re une ligne blanche de marque en pr sence d une opposition Chaque attaquant a d
308. du muscle des lectrodes rectangulaires Les lectrodes de composition caoutchouc carbone sont introduites dans une pochette de tissu spongieux humidifi et maintenues par une l g re pression sur le corps charnu du muscle au moyen de bandes de latex La position des lectrodes est invariable pour toutes les s ances et not e pour chaque sujet Une d tection du point moteur est faite au pr alable le point moteur est en fait une zone sur laquelle un stimulus de faible intensit provoque une r ponse optimale 4 Protocole des s ances tests l exp rience s est tendu sur six semaines raison d une s ance de 60 minutes par semaine durant laquelle les tests pratiqu s sur la jambe ont toujours pr c d s ceux du bras Ces tests effectu s chaque s ance avant et apr s les essais d lectrostimulation permettent de d terminer le couple maximal de flexion isom trique CMVI du jambier ant rieur pour une cheville plac 10 de flexion plantaire et du triceps brachial mesur pour un coude se situant en position de 80 de flexion Les mesures pr c d es d un chauffement sont r p t es deux fois Une pause d une minute est m nag e entre les essais L effort maximal est maintenu 3 secondes Le meilleur des 2 essais est retenu Le sujet est constamment encourag et aucune communication des performances ne lui est faite Protocole d tablissement des relations CMVI CEE le couple voqu lectri
309. du syst me SRM permettant l enregistrement toutes les 15 secondes de la puissance d velopp e de la cadence de p dalage de la vitesse et de la fr quence cardiaque tous les am nagements sont possibles pour installer le cycliste dans ses cotes personnelles unit de r ception des donn es transmises par l unit mettrice du K2 permettant de suivre au bord de la piste l volution de la F C de la fr quence respiratoire du volume expiratoire et de la consommation d oxyg ne appareil de dosage des lactates ANALOX pour les pr l vements de lactate en d but et en fin d preuves voire en cours d preuve niveau du lobule de l oreille ordinateurs P C et Apple permettant en fin d preuve le transfert des donn es enregistr es par le SRM et le K2 et leur alignement sur un m me tableur Les preuves ont eu lieu sur une piste avec virages inclin s 2 me exp rimentation fr quence cardiaque critique inf rieure et amplitude a robie Les mesures de terrain enregistrements l aide de cardiofr quencem tres Les mesures exp rimentales le choix du kilom tre vise refl ter l quivalent de l effet d une attaque sur un peloton quelque peu inactif Ceux qui voudront bien r pondre celle ci devront fournir brutalement une importante d pense nerg tique g n ralement sup rieure la PMA Les enregistrements ont port sur l volution en cours d preuv
310. e d fense 2 de classer chaque joueur chaque quipe dans chacun des compartiments de jeu 3 d tablir les classements partiels l issue de chaque journ e puis le classement final du tournoi 4 enfin et surtout de pouvoir diffuser imm diatement le contenu de ces informations aupr s des journalistes du public des participants et bien entendu des entra neurs Ceux ci particuli rement int ress s par l outil lui ont attribu deux avantages suppl mentaires le gain de temps et le gain d nergie Le jeu d attaque de l quipe f minine de volley ball Analyse de matches et de s ances d entra nement Evolution du jeu en fonction des conceptions de l entra neur LAMOUCHE C 1986 2 Tomes Tome 1 407 p 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes importantes dont position de la passeuse et techniques de passe types d attaques observ s distribution des attaques selon leur nature et par p riode efficacit des attaques selon leur nature efficacit en attaque selon leur nature et les qualit s de la r ception et de la d fense efficacit individuelle l attaque etc Population d exp rimentation Equipe de France f minine lors de la saison 1984 1985 et notamment lors du Championnat d Europe Parall lement observation du fonctionnement de l quipe Sovi tique f minine Protocole exp rimental Trois types d outils ont t utilis s 1 Les entretiens afin de conna
311. e remarquer qu d faut d tre exceptionnelles les performances des athl tes de haut niveau se situent globalement autour de la moyenne de celles des autres judoka il y aurait un donc un seuil en dessous duquel un niveau insuffisant hypoth querait vraisemblablement toute probabilit de parvenir au plus haut niveau Concernant l existence d un profil caract ristique par cat gorie de poids des qualit s physiques mises en jeu de ce point de vue nous assistons la mise en place d un profil caract ris par les cat gories de poids Ce profil est d autant mieux marqu que l ge des judoka volue Nous pouvons dire que seuls les tests de Luc L ger et tractions barre fixe semblent marquer ces diff rences Le test de saut Abalakov n apportant pas de discrimination si ce n est pour les seniors La troisi me hypoth se les judoka de haut niveau pr sentent des caract ristiques musculaires sp cifiques leur cat gorie de poids pr te de nombreuses interpr tations il existe effectivement une augmentation en force maximale et en puissance maximale des cat gories les plus l g res vers les plus lourdes Rapport es au poids des sujets test s nous nous apercevons qu en force maximale pour le d velopper couch 1 Les moyennes des indices sont sensiblement identiques quelle que soit la cat gorie de poids 2 Le rapport de force poids le plus bas est observ pour la cat gorie des plus de 95 kg 3 L
312. e Seconde Division Calderado Pecout etc C 11 entra neurs en fonction de Premi re Division Herbin Houiller Jacquet Roux Suaudeau Wenger etc D 2 entra neurs en fonction de Seconde Division E 1 entra neur en fonction de Centre de Formation F 7 buteurs entra neurs en fonction Lacombe Onnis etc G 1 Directeur Sportif Hidalgo H 1 s lectionneur entra neur de l Equipe de France Michel I 2 entra neurs hors activit Fontaine Kovacs Protocole exp rimental Apr s avoir proc d une importante revue bibliographique les regards singuliers des scientifiques des litt raires des techniciens des journalistes port s sur notre th me ont offert notre r flexion un champ tr s large de perceptions et d interpr tations l auteur labore un guide d entretien Quatre th mes sont voqu s l entra nement repr sentations et conduites profil du buteur pr paration psychologique soit au total 25 questions adress es aux entra neurs et 28 aux buteurs Une analyse de contenu permet alors de d pouiller les r ponses Conclusion Le buteur doit affronter les exigences de la pratique intensive mais de surcro t celles que sa fonction g n re Le buteur est expos corporellement et psychologiquement le syst me d valuation fond sur la course aux r sultats les comparaisons les hi rarchies la concurrence favorisent un ensemble de d viances psycho
313. e de cas quipe de France f minine A de handball 1985 Pineau P 1986 203 p 14 p de bibliographie 87 r f rences annexes dont uestionnaire sociom trique recueil des donn es de matchs et extraits d entretiens Population d exp rimentation Equipe de France A Senior f minine 12 joueuses de champ et deux gardiennes de but observ e lors du tournoi International de Varna 5 matchs Protocole exp rimental Enqu te sociom trique mesure des relations socio affectives appliqu e sous la forme d un questionnaire et sous celle d entretiens semi directifs men s avec chaque membre de l quipe Premi re passation l arriv e deuxi me la fin du tournoi soit 6 jours apr s Utilisation parall lement d un magn toscope portatif pour comptabiliser le nombre de passes r ussies et rat es et observer ainsi le jeu des interactions ou interrelations entre diff rentes joueuses Conclusion En ce qui concerne les interactions motrices voisines ou proches il appara t de fa on globale que plus les relations socio affectives sont positives et plus la r ussite des communications motrices passes est lev e Ce n est apparemment pas le cas en ce qui concerne les interactions motrices distantes ou peu fr quentes parceque la logique comp titive prend le pas sur les sympathies D une mani re g n rale les relations socio affectives de l quipe demeurent stables M me si du point de vue de
314. e du VO de la fr quence cardiaque et de leurs rapports mutuels Conclusion L hypoth se de travail est la suivante Pour chaque coureur il existe sur le terrain une fr quence cardiaque remarquable qu il doit conna tre et pour laquelle il ne peut soutenir son effort plus de trois minutes lors des comp titions La gestion optimale des efforts passe par la connaissance de cette fr quence cardiaque car la zone rouge repr sente une fr quence d alarme utilis e intuitivement par les coureurs Notre tude porte sur l analyse des enregistrements cardiaques recueillis en comp titions o les v nements tactiques de la course se refl tent sur la fr quence cardiaque L exp rimentation a permis de situer cette zone rouge elles correspondrait 97 de la F C Max L exp rimentation a galement permis de cerner le niveau de fr quence cardiaque minimale partir de laquelle un sujet est capable de mobiliser tr s rapidement 90 de sa VO2 Max l amplitude a robie correspond dans cette perspective la capacit d acc l ration cardiaque maximale possible en 30 secondes dont t moigne un athl te Un coureur se trouvera en situation difficile lorsque les temps morts de la course l am neront dans une phase de r cup ration inf rieure une certaine valeur correspondant ce que l auteur voque sous la fr quence cardiaque minimale active La formule d application propos e pour identifier ce seuil est la su
315. e force sur cran cathodique assure le contr le par l exp rimentateur du recueil des donn es Techniques d enregistrement Les diff rents niveaux de force sont enregistr s par l interm diaire d un appareil photo sensible VISICORDER Une marque verticale diff renci e partir d une lampe flash fournit sur toute la longueur de l enregistrement une base de temps qui peut tre gale 1 sec 1 10 sec ou 1 100 sec selon la vitesse de d roulement du papier Conclusion L tude de la sp cificit angulaire d un entra nement isom trique men e au niveau des fl chisseurs de l avant bras permet de mettre en vidence une am lioration de la performance plus importante l angle d entra nement Cette augmentation se trouve surtout localis e la position d entra nement quand le renforcement se pratique sous une longueur raccourcie du muscle c est dire inf rieure Lo Le gain est mieux partag si l entra nement est effectu dans une position angulaire correspondant la longueur du muscle voisine de Lo Du point de vue des cons quences pratiques il ressort que si la copie stricte des conditions angulaires du geste de comp tition reste justifi e dans le cas de contractions soutenues sous grande longueur musculaire il appara t cependant plus judicieux pour des efforts faible longueur musculaire de retenir comme position d entra nement celle o le muscle travaille longueur m
316. e imm diate le renforcement musculaire caract re pliom trique par le haut degr de sollicitation qu il induit est la fois un puissant facteur de progression mais galement un redoutable facteur de fragilisation des structures ost o musculo tendineuses du sportif enfin l tude de nos enregistrements nous donne penser que cette gamme de figures acrobatiques peut tre optimis e par au moins deux autres voies l utilisation des bras en tant que segments libres et une augmentation maximale des capacit s de gainage du corps lors de la phase de r ception impulsion A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir
317. e les filles En ce qui concerne les gar ons il semble que l ge de 14 ans puisse tre consid r comme un seuil partir duquel la capacit de travail volue significativement en ce qui concerne les filles le seuil serait de 13 ans Il a t observ au niveau de cette population un ph nom ne de dispersion des valeurs qui va en s accentuant augmentation de l cart type Peut tre faudrait il envisager compte tenu de l enregistrement d une telle diff rence li e au sexe une nouvelle diff renciation en ce qui concerne l ge de passage de la cat gorie benjamin la cat gorie minime observation adress e la F F d Athl tisme 2 Les gar ons de 12 14 et 15 ans ont des valeurs significativement sup rieures celles des filles Par contre aucune diff rence n appara t 13 ans ce qui semble tre le t moin de l apparition de la pubert un an plus t t chez les filles que chez les gar ons 3 Concernant l incidence de la r gion son influence peut tre consid r e comme nulle L observation des performances r alis es sur le terrain atteste que d autres facteurs que l efficience cardio vasculaire interviennent dans la r alisation d une performance en demi fond le fait que les gar ons de 13 ans r alisent des performances sup rieures que les filles du m me ge est ce propos tout fait r v lateur L enregistrement de performances sup rieures lors des t
318. e les r les soient rapidement invers s ce n est lus lui le demandeur le donneur de consignes et le correcteur en chef ceux l taient les ex cuteurs au contraire une tude de plus en plus judicieuse va amener ces derniers mieux exprimer leurs besoins leurs manques d finir avec plus de pr cision leurs aspirations Et le respect de ce cheminement ne pourra qu tre b n fique leur progression Etc Contribution l tude du r le de la valeur et des limites de l image enregistr e dans l apprentissage sportif SIMONET P 1977 129 p 4 p de bibliographie 42 r f rences Voir rubrique THEMES GENERAUX 1977 Il est fait r f rence l escrime L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des escrimeuses a pu tre labor Pour un apprentissage de l escrime fond sur la notion de tactique SEITZ P 1984 115 p 9 p de bibliographie 120 r f rences annexe Population d exp rimentation Une premi re population compos e d entra neurs Nationaux de cadres enseignants ou ayant enseign dans une cole de formation de futurs enseign
319. e par tranches de 5 kilom tres en fonction du niveau de comp tition 2 me exp rimentation 1 Tapis roulant de marque Laufergotest L ergom tre est quip d un syst me de mesure de la vitesse de d roulement de la bande partir des impulsions enregistr es par une cellule photo lectrique Laboratoire de mesures I N S E P 2 Analyseur des param tres respiratoires de type CPX Medical Graphics consommation d oxyg ne et quotient respiratoire 3 Mesure de la fr quence cardiaque partir du signal provenant de trois lectrodes plac es sur le sujet Celles ci sont reli s un physiograph MK2 qui permet de suivre en continu l lectrocardiogramme 4 Contr le de la fr quence cardiaque pendant l preuve sur le terrain par un cardiofr quencem tre de type PE 3000 compos d un capteur metteur maintenu par des lectrodes sur la poitrine des sujets et d un r cepteur contr leur leur poignet 5 Analyseur de lactate de marque MICROZYM L reposant sur l emploi d une sonde enzymatique compos e de deux lectrodes La valeur mesur e est celle d un flux lectronique proportionnel la quantit de lactate ayant diffus Les pr l vements sanguins sont r alis s au niveau du lobe de l oreille 6 Mat riel de prise de vue cam ra vid o positionn e perpendiculairement au tapis sur un pied dont la hauteur et la distance par rapport au tapis sont fixes 7 Banc de mesure pour l analyse du mouvement magn toscope
320. e travail pourrait aboutir une r flexion sur les apprentissages perceptifs vision kinesth sie en quitation ESCALADE Structures d escalade prises variables et adaptables D une analyse des pratiques d escalade la mise en place d un mur et son tude exp rimentale GSEGNER G 1982 40 p 4 p de bibliographie 51 r f rences annexes Conclusion L intention de G GSEGNER se r sume cet extrait de lettre que l auteur adresse l Ing nieur en Chef de la Direction des Services de l Equipement Minist re du Temps libre Jeunesse et Sports J ai l honneur de vous faire parvenir un projet d am nagement d un mur pour l Escalade au C R E P S de VOIRON L am nagement de l Escalodrome nous semble pr senter un grand int r t par l innovation qu il apporte dans l enseignement de l escalade par l exp rimentation p dagogique qu il permet et par la solution enfin trouv e d une utilisation presque tous temps et sans d placement Un tournant historique dans l volution de la discipline s amorce Analyse des strat gies visuelles et motrices d une population de grimpeurs de haut niveau DUPUY C 1985 224 p 8 p de bibliographie 97 r f rences annexes importantes Population d exp rimentation 9 grimpeurs de Haut niveau g s de 18 24 ans Protocole exp rimental Les mouvements des ye
321. ec chacune deux s quences utilisant la marche de 0 25 m deux s quences utilisant la marche de 0 30 m Pendant 2 min 40 sec le sujet monte et descend de la marche la fr quence est de 24 cycles par minute soit 96 appuis en 1 min Cette dur e a t choisie apr s plusieurs essais les sujets ayant rencontr une difficult encha ner ce mouvement au del de 3 min Concernant enfin le test de course marche de Cooper ce test a t fr quemment utilis pour rendre compte de la capacit a robie il s agit de parcourir la plus grande distance possible Certains auteurs ayant estim que 9 minutes de course pouvaient suffire les r sultats ont t exprim s en nombre de 50 m entiers effectu par chaque sujet soit en 9 min soit en 12 min Conclusion L auteur part de ce constat que l on confond trop souvent valeur physique et condition physique la condition physique est une variable dynamique qui refl te la capacit adaptative de l enfant aux sollicitations de l environnement quelle que soit sa valeur physique initiale La condition physique peut tre assimil e comme l indique BORTZ 1959 la capacit de r pondre aux sollicitations la fois physiologiques psychologiques et sociales de la vie Parmi les facteurs qui la d terminent certains se placent hors d un contr le direct comme l influence de l h r dit et de l int grit anatomique et fonct
322. en ayant le choix d une solution personnelle Judo Contribution l analyse de la transition combat debout combat au sol ROUX P 1990 151 p 2 p de bibliographie 13 r f rences annexes importantes dont analyse d un syst me d attaque en nage waza Population d exp rimentation 28 combattants de niveau Mondial ont permis le recueil de 219 s quences de liaisons debout sol 10 Japonais 7 Fran ais 3 Cor ens 3 Russes 2 Anglais 1 Autrichien 1 Br silien 1 Allemand Les combats ont t film s au cours des comp titions suivantes Coupe Jigoro Kano 1982 Tokyo Jeux Olympiques 1984 Los Angeles Championnats du Monde 1985 S oul Championnats du Japon 1987 Championnats d Europe 1987 Paris Championnats du Monde 1987 Essen Jeux Olympiques 1988 S oul Protocole exp rimental Mat riel audiovisuel table digitalisante SUMMAGRAPHICS de type A3 128 reli e un clavier 127 cases sur sa partie sup rieure et un moniteur d ordinateur Le programme informatique Arbregest nous restitue les actions motrices collationn es sur nos feuilles d observation sous forme de cha nes d actions Il permet une analyse qualitative des donn es l tude des variables sur plusieurs niveaux la mise en arborescence de ces variables et par cons quent la lecture usuelle d encha nements apr s questionnement des fichiers r ponses La grille d observation nous avons
323. en e aupr s des sportives de Haut niveau 34 questions La pratique du basket de haut niveau s ins re dans un mode de vie qui fait de la plupart de ces joueuses des tres part organisation des tudes examens rapport au travail rapport aux loisirs vie de famille m me si une int gration au groupe social persiste dans certains cas club famille Durant toute cette p riode les sportives de haut niveau m nent une existence plus ou moins marginale Les structures d accueil leurs permettant de vivre le mieux possible leur marginalit ont t largement d crites elles semblent satisfaire les jeunes qui en b n ficient mais partir d un certain ge le syst me d internat ne convient plus aux joueuses confirm es qui souhaitent un meilleur standing et d autres conditions en ce qui concerne leur vie affective notamment Leur avenir de femme et professionnel pr occupe la majorit des basketteuses de haut niveau et m me les obs de alors que les termes de statut de l athl te ne semblent pas leur voquer quelque chose de pr cis En effet on parle de statut depuis tr s longtemps les premiers documents retrouv s datant de 1964 mais cette id e est revenue dans l actualit depuis trois ou quatre ann es seulement Il est de pratique courante maintenant que l Etat lance une id e la laisse diffuser sans donner de solutions la fasse prendre en compte par quelques int ress es e
324. en Rugby gymnase am nag en aire de jeu pour passation d un test de 2 contre 2 avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt SITUATION DE TERRAIN EN TENNIS AVEC DES ENFANTS avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt EPREUVES DE TERRAIN EN NATATION POUR PRODUCTION IMPORTANTE D ACIDE LACTIQUE OBSERVER RECUPERATION avec Dufort C 1983 voir p 72 gt gt BREVET D APTITUDE PHYSIQUE en Gymnastique avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 gt gt TESTS GYMNIQUES REFERENCE PROGRAMME NATIONAL DE LA F F G 1981 84 en Gymnastique avec Lalo Sayo E 1983 voir p 114 gt gt TESTS DE VALEUR PHYSIQUE ET EVALUATION DES APTITUDES PSYCHOMOTRICES FLEISHMAN en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt TEST D AISANCE OU D HABILETE MOTRICE DE FAUCHE 1981 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Athl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 gt gt TRAMPOLINE SAUTS ACROBATIQUES ACCOMPLIS SOUS DIFFERENTES CONDITIONS LUMINEUSES avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt COURSE DE NAVETTE 5 X 18 M EN ALLER RETOUR en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Athl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 gt gt TEST DE LUC LEGER en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Athl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt TEST D AGILITE O DE MOBILITE DE DENISIUK 1969 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 en Gymnastique avec St
325. en aller retour sur sol plat vitesses croissantes allant de 7 5 km h 14 km h avec augmentation de 0 5 km h toutes les 2 minutes L allure est indiqu e par un signal auditif qui indique au sujet la fin de chaque trajet de 20m Le test s arr te lorsque le sujet n est plus capable de suivre l allure Le dext rim tre l ex cutant doit faire transiter un anneau reli un dispositif lectrique de sonnerie autour d un fil de m tal tendu horizontalement L anneau ne doit pas toucher le fil sinon la sonnerie retentit Les mesures portent sur le nombre d erreurs chacun des transits Le chronoscope le sujet est assis devant un appareil mettant des signaux lumineux Il doit r pondre le plus rapidement possible d s l apparition du signal en appuyant sur un contacteur avec sa main pr f rentielle Diff rentes conditions d exercice sont propos es aux sujets Conclusion L analyse de la performance des joueuses en situation de comp tition et l aide de l observation diff r e et arm e a permis de confirmer la faiblesse constat e par les entra neurs Leurs manques apparaissent plus particuli rement au niveau des temps et lieu de placement pr d fensifs et de la flexion des membres inf rieurs au moment de l attaque Le traitement statistique des donn es sugg re que dans une perspective de r ussite l attention des entra neurs soit tout particuli rement attir e par un certain nombre
326. en attaque ou uniquement en d fense ces derniers s tant r v l s plus aptes que les joueurs normaux relancer leur syst me a robie Il y aurait donc bien un processus adaptatif d conomie de la d pense g n r par la sp cialisation des joueurs gt HOCKEY SUR GAZON Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir rubrique DISCIPLINES SPORTIVES COLLECTIFS SPORTS Acquisition des habilet s sportives en hockey sur gazon REYNAUD B 1988 169 p 15 p de bibliographie 140 r f rences Population d exp rimentation Enfants d coles de niveau cours moyen Protocole exp rimental Utilisation d une machine lance balles de type JUGS permettant diff rentes distributions de balles Utilisation d un cam scope en guise de v rification exp rimentale 3 me proc dure Conclusion L auteur soumet diff rentes conditions d apprentissage des groupes d enfants et rel ve la suite d une p riode de trois semaines leurs performances dans une t che crit re d anticipation co ncidence Il s agit de frapper avec une crosse de hockey une balle de tennis soit immobile soit lanc e avec ou sans rebond des vitesses diff rentes trois scores sont relev s la fr quence des balles non frapp es la fr quence de balles frapp
327. enant la tranche d ge 10 13 ans Concernant la troisi me exp rimentation 10 sujets f minins 10 13 ans issus de la Section Sports Etudes Gymnastique de l I N S E P ces gymnastes pratiquent de 25 30 heures par semaine Concernant la quatri me exp rience une population d l ves d cole primaire g es de 6 9 ans Dans cette cole l organisation du tiers temps p dagogique a permis d offrir aux l ves un certain nombre d activit s physiques dont la gymnastique sportive raison d 1h 30 par jour Ce groupe b n ficie apr s le tiers temps d 1h 30 d entra nement dans le cadre du club US Cr teil ce qui porte l entra nement 3 h par jour et environ 20h par semaine On peut donc parler ici d entra nement intensif Protocole exp rimental Lors des investigations pr liminaires interviews des gymnastes de haut niveau et d entra neurs internationaux et nationaux qui ont pratiqu l autoscopie et observation d l ves d butants Domaine des exp rimentations d marche g n rale cas de la premi re exp rimentation men e avec des d butants La population d enfants est pr alablement valu e 5 tests r v lateurs des qualit s sp cifiques des gymnastes tractions souplesse du bassin et des jambes d tente debout sur un plinth sauter jambes raides pieds plat dans le trampolino bras lat raux et rebondir en avant jambes raides r ception souple coordination s ries
328. enche le chronom tre et l aide l che les pieds du sujet On mesure le temps mis par les pieds pour atteindre le fond du bassin la verticale des paules lorsque le centre de gravit et le centre de pouss e du sujet sont sur la m me verticale Ce test illustre la valeur du couple de basculement du nageur principe utilis par Cazorla 1978 Concernant le mat riel audiovisuel les bandes vid o prises avec la cam ra B tacam sont copi es en format 4 de pouce pour tre lues sur un banc de montage la mesure des d placements est effectu e directement sur l cran du moniteur Les distances mesur es sur l cran permettent le calcul informatis de l indice de d c l ration Le traitement statistique des donn es est r alis sur PC MACINTOSH l aide des programmes Stats View 512 Cricket graph et Excel Conclusion Faut il nager en surface ou sous l eau Une profondeur de coul e en virage de brasse est elle plus favorable que les autres Telles sont les questions qui sont l origine de cette tude un certain nombre de r ponses ont pu tre apport es 1 La d c l ration du nageur pendant la coul e diverses profondeurs est bien gouvern e par l quation tablie par Miyashita 1982 2 La valeur moyenne de cette d c l ration indice de 0 267 contre 0 33 pour Miyashita et 0 37 pour Karpovich varie en sens inverse du niveau d expertise des sujets sauf en surface Pour les sujets experts cet ind
329. enregistrement de la force exerc e l impact a t fait avec du mat riel Kistler comprenant un capteur de force et couple quartz type 9271 associ 2 amplificateurs de charge 5001 et un dispositif d enregistrement ultraviolet comprenant un enregistreur type 45001 2 amplificateurs de puissance 5211 A et deux galvanom tres SMI 2 de 1650 Hz La lecture des trac s se fait suivant deux axes de r f rence lecture optique 1 un lignage longitudinal tous les 2 mm avec renforcement tous les cm indiquant la quantit de force enregistr e L chelle utilis e dans notre test tait de 100 Kgf pour 1 cm F2 et de 0 5 mKg cm pour 1 cm M2 2 Perpendiculairement au lignage de force des lignes de rep res de temps sont imprim es sur toute la largeur du papier Chaque dixi me de ligne est accentu e dans notre tude nous fonctionnons avec une base temps de 0 01 seconde La vitesse de d filement du papier a t choisie 50 cm sec ce qui fait qu un rep re de 1 mm correspond 0 01 sec Les prises de vue cin matographiques taient assur es par une cam ra type GV 16 Pellicule Kodak 4 x Reversal type 7277 un claire d appoint tait fait par 3 projecteurs alimentant des lampes Quartz double enveloppe de 2000 W en 230 V Positionnement parall le l axe de d placement du karat ka Utilisation d un chronom tre lectrique Quelques facteurs d erreurs sont mentionn s par l auteur de cette
330. ent pas beaucoup plus rapides mais ils sont plus pr cis et traitent surtout mieux l incertitude C est donc principalement sous l clairage du traitement de l information que nous placerons nos perspectives p dagogiques Il para t aujourd hui particuli rement n cessaire de reconsid rer l enseignement de l escrime ou tout au moins de le r nover en accordant davantage de place ce qui n cessite ma trise de la relation d opposition Nous pensons que l on peut proposer le sch ma suivant pour mieux comprendre et coordonner notre r le d enseignant ou d entra neur La cat gorie ma trise gestuelle comprend tous les exercices qui ont pour but d am liorer le rapport corps arme La cat gorie traitement des incertitudes comprend toutes les situations qui ont pour but de mieux appr hender ce qui correspond l adversaire Contribution l tude d une meilleure relation entra neur entra n e SALESSE M 1989 73 p 3 de bibliographie annexe questionnaire M I P G d A Abraham Voir rubrique THEMES GENERAUX 1989 Traitement des informations visuelles et prise de d cision en arbitrage d escrime au fleuret BONNEFOY B 1992 127 p 4 p de bibliographie 51 r f rences annexes comparaison des r sultats des trois groupes d arbitres Voir rubrique THEMES GENERAUX 1992 gt FOOTBALL
331. ent sur des indices externes comportements observables L enregistrement des donn es in situ montre que contrairement aux id es re ues la charge en comp tition de G R S ce niveau de pratique sollicite intens ment l organisme les gymnastes test es ont atteint voire d pass leur puissance maximale a robie et ce malgr des qualit s a robies ind niables Le bon niveau atteint par les gymnastes dans ce compartiment des qualit s physiques s explique par le simple fait que suivre un entra nement en G R S pendant plusieurs ann es depuis l ge de 7 8 ans ce niveau l aboutit l augmentation de ce potentiel a robie Un potentiel qui devrait et pourrait tre d ailleurs largement augment l enregistrement des donn es a permis de conclure ce fait que l entra nement en p riode pr comp titive n tait pas suffisamment sollicitant les fr quences cardiaques maximales relev es lors de situations d entra nement sont toujours rest es inf rieures celles constat es en comp tition 183 comme F C Maximale moyenne sur le terrain contre 193 dans des conditions exp rimentales La forme d entra nement la plus sollicitante constat e cette p riode est la partie consacr e aux r p titions des exercices complets Or ce travail ne se fait que tardivement dans le programme annuel puisque la chor graphie n est pas ma tris e suffisamment t t Il est alors trop tard pour esp rer des
332. ente ou cach e peu per ue par les spectateurs connue de peu d entra neurs la menace vue au travers de sa charge motionnelle est un des l ments essentiels des confrontations sportives dans le Basket ball de haut niveau Cet aspect particulier de l optimisation de la performance sportive particuli rement important dans le domaine des sports collectifs et dans celui des sports de combat ou plus g n ralement dans toutes les activit s pr sentant un rapport duel n a cependant et tr s curieusement donn lieu aucune recherche les comportements psychologiques individuels dans les rapports attaquants d fenseurs n ont jamais t trait s en tant que tels A la question quel est selon vous le joueur fran ais le plus mena ant de tous les temps les questionn s ont r pondu GILLES 18 fois cit DUBUISSON 9 fois cit CACHEMIRE 6 fois CHAZALON obtient 4 citations Les joueurs cit s sont des joueurs adroits distance et mi distance ils semblent marquer davantage les m moires que les obscurs d fenseurs Malgr une certaine difficult pouvoir comparer les poques le cas de GILLES ressort ce joueur tait en effet sp cialiste du tir lors des derniers instants du match tir qui tait r ussi avec un pourcentage tr s important de 60 Le contexte psychologique peut bien se cerner les conditions d ex cution galement il reste tr s peu de temps pour gagner le match et l
333. ep res Mais pendant la 2 seconde qui pr c de le l cher cette parfaite superposition est perdue on dirait que cette perte pr cipite le l cher un moment d favorable Contribution l analyse de la performance des mat riels en archerie COLMAIRE P 1987 119 p 3 p de bibliographie 20 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation 1 tireur f minin ayant remport le titre National de tir en salle 5 tireurs de niveau National voir International et 6 de niveau tr s inf rieur puisqu aucun n atteint les planchers impos s pour participer au championnat R gional Protocole exp rimental Le dispositif mis au point permet de maintenir horizontalement une feuille de papier entre le corps de l arc et la corde pr s de celle ci Cette feuille se fixe sur un assemblage m canique solidaire du corps de l arc Lors de la phase de d tente la corde dans sa fin de course p n tre dans la feuille de papier et laisse une trace suffisamment nette pour tre analys e A noter le tournage d un film haute vitesse 4000 images par seconde pour relever des vues de profil Conclusion A l issue d un certain nombre d exp riences men es autour du retour de corde l auteur enregistre ce fait qu il n existe pas de lieu privil gi de la propulsion Quel que soit le niveau de l archer les diff rents emplacements de corde l instant de la propulsion de l
334. er une analyse cin matographique de la trajectoire et des mouvements de la t te des pastilles sont coll es sur un casque lastique de disposition spatiale particuli re ins r sur la t te du sujet Des r f rentiels de temps et d espace sont constitu s et plac s dans le champ optique de deux cam ras dispos es perpendiculairement au trampoline Les r alisations motrices sont enregistr es cin matographiquement un rythme de 100 images par seconde A l aide du film d velopp les images sont projet es une par une sur une table d analyse et les coordonn es de dix neuf pastilles sont relev es et somm es sur un ordinateur 4 points fixes du cadre donnent la stabilit de l image sur l cran 2 points diam tralement oppos s donnent la position th orique du centre de gravit de la t te 13 points mobiles permettent de calculer les diff rentes rotations du segment c phalique tous les instants Conclusion Quelques incidents tout fait r v lateurs sont apparus au cours de certaines s ances exp rimentales un sujet refusa d effectuer le salto arri re vrill en L3 un sujet inversa le sens de rotation longitudinale qu il avait adapt initialement pour la r alisation de la pirouette un sujet attribua ses performances des estimations erron es il affirmait tre tomb sur le ventre apr s une r ception sur le dos deux sujets furent victimes de troubles neurov g tatifs un sujet se trouva d
335. erche certaines caract ristiques ont pu tre mises en vidence la gymnaste montre une aptitude d adaptation travail m thodique et sens aigu de l observation et une bonne coute musicale globale avec quelques progr s effectuer au niveau de la perception du d tail de m me en ce qui concerne la r alisation de diff rentes t ches simultan ment mais pr sente un d ficit au niveau de la d tente Concernant l analyse m canique du geste il appara t que le balancer de la massue r sulte de la combinaison de tous les mouvements du corps et d une cin tique particuli re des articulations de l paule et du bassin Si on admet que le centre de rotation du balanc est l paule anim e d un mouvement elliptique inclin d environ 15 degr s le geste technique est r alis lorsqu il y a combinaison de ces actions avec le balancement du syst me bras massue La mise en vidence gr ce l analyse des trac s obtenus sur plateau de force d un point mort avant haut et arri re haut est fondamentale En effet c est cet instant pr cis que la gymnaste pourra agir pour encha ner une autre action dans le cas o la nouvelle impulsion corporelle est donn e avant que le syst me corps engin n ait atteint ce point mort de nombreuses perturbations vont appara tre Les balancements de la massue se reproduisent identiques eux m mes intervalles de temps r guliers 1 sec 3 10 ce sont donc des ph nom nes p
336. erie d amplificateurs de type KISTLER d une cha ne d acquisition convertisseur analogique num rique KONTRON et d un micro ordinateur compatible PC AT HP VECTRA Un logiciel calcule les variations angulaires du genou et de la cheville et d duit les variations d longations musculaires partir des quations de Grieve Un logiciel dite les donn es pour les jumeaux et pour le sol aire sous forme de courbes L analyse statistique des r sultats est faite l aide du test de WILKOXON Conclusion L approche biom canique de la pr paration physique des volleyeuses de haut niveau pr sente un double int r t 1 scientifique l analyse de sauts sur plate forme de force contribue d finir en terme de raideur l volution des caract ristiques m caniques des muscles extenseurs au cours du saut vertical 2 sportif la simplicit du protocole des tests propos s permet l entra neur d int grer un outil original pour qualifier avec plus de pr cision les modes d impulsion privil gi s par les joueuses et individualiser les contenus d entra nement la d tente verticale L approche biom canique ne saurait dire quelle est la meilleure solution technique pour smasher ou contrer Par contre elle explicite les processus qui fondent la d tente verticale Notre tude montre que la musculation de type concentrique pliom trique chez un groupe de volleyeuses l ve la raideur des muscles de l impuls
337. ermet de simuler une des t ches laquelle est confront tout enseignant observer les individus qui voluent devant lui conna tre leurs capacit s les valuer les situer dans une classification proposer des situations p dagogiques pour faire progresser ces individus L objet de ce syst me expert n est pas l utilisation en temps r el sur le terrain mais plut t une utilisation en amont c est dire en formation pour pr parer les enseignants observer et modifier certains param tres de leur situation p dagogique tout en pr cisant un cadre de r f rence les onze classes d observation En formation il peut tre utilis de deux mani res 1 comparaison post riori des observations sur le terrain 2 tude et s lection des comportements qui permettront de d finir priori un niveau pr vu Ce S E est pr vu pour fonctionner sur un ordinateur poss dant un lecteur de disquette 360 KO A noter au sein des annexes une compilation des articles ou produits informatique ayant donn lieu communication depuis 1985 lors de colloques dans la revue Science et motricit dans la revue UNSS dans la revue EPS Les tests physiques en judo Incidences sur la d tection et l entra nement du judoka de haut niveau GIALLURACHIS D 1993 137 p 7 p de bibliographie 50 r f rences annexes r sultats des tests effectu s en d velopper couch et en tirage pour diff rentes cat
338. erminant de l volution des performances Une tude ult rieure n cessiterait une cat gorisation partir des traits de personnalit et en fonction du degr d accoutumance des sujets dans la t che d effort Deux tendances sont mises en vidence d une part la diff rence significative qui existe entre la variation des temps de r action simples toujours caract ris e par une d gradation et celle des temps de r action de choix qui se d gradent ou s am liorent d autre part la diff rence de performances entre les sujets experts et non experts Nous retiendrons concernant la premi re tendance cette hypoth se nonc e ainsi par l auteur l effet de l l vation du niveau d activation li l adaptation de l organisme l effort se traduit dans un premier temps par une am lioration des performances puis partir d un point optimal par une d gradation Dans ce cadre l augmentation conjointe l exercice du taux de cat cholamines partir d une intensit de 40 de P Max repr sente certainement un des facteurs d terminants de la r ponse Concernant la deuxi me tendance l hypoth se selon laquelle les experts alloueraient plus de ressources la r alisation de la t che est confort e par les scores de difficult per ue Il semble que plus la t che est complexe et plus le niveau d effort est lev plus les sujets experts investissent de ressources Cette hypot
339. erni re r flexion demeure elle est exprim e en ces termes par l auteur La CT 170 ne serait pas un test suffisamment sollicitant pour l organisme des enfants les fr quences cardiaques sont vraisemblablement tr s lev es pendant les courses sans rapport avec la fr quence 170 min du test La diff rence avec la fr quence cardiaque maximale th orique est beaucoup plus lev e que chez les adultes la CT 170 pratiqu e chez les enfants est donc beaucoup plus sous maximale que chez les adultes et constitue un test moins valide chez les premiers que chez les seconds L auteur ach ve son travail de r flexion en sugg rant un certain nombre de propositions pratiques e LE TRANSFERT D APPRENTISSAGE DANS LES T CHES PERCEPTIVO MOTRICES D AJUSTEMENT BALISTIQUE lancers de pr cision Migeon J P 1979 208 p 13 p de bibliographie 217 r f rences annexe tableaux synoptiques des exp riences Principe de l exp rimentation La v rification exp rimentale a consist faire varier le facteur de transfert suppos dans chacune des hypoth ses 1 D une part la similitude des mouvements dans deux t ches successives de lancers de pr cision une t che pr alable d entra nement et une seconde t che dite de transfert 2 d autre part le nombre de changements de distance de la cible au cours de l entra nement 3 et observer l effet produit par ces variations sur les r sultats obtenus dan
340. errain ou dans les secteurs axiaux 2 Si les secteurs d volution prioritaire des joueurs sont proches voire sur l axe longitudinal du terrain ceux dans lesquels on retrouve le plus souvent le ballon se situent essentiellement la p riph rie A partir de l il est int ressant de constater que dans l exploitation de la surface de jeu en attaque les quipes cherchent cr er deux p les de fixation de la d fense l un par la pr sence de joueurs proches du panier qui repr sentent un danger parce qu ils sont des porteurs de balle potentiels et donc des marqueurs en puissance et l autre par le ballon que l on trouve souvent la p riph rie et qui est l l ment le plus convoit du jeu puisque lui seul permet de marquer des points et avec l adresse des joueurs qui ne cesse de s am liorer le ballon m me loin du panier au plus haut niveau repr sente un deuxi me p le de fixation de la d fense L avantage de l attaque est de pouvoir voluer sur une grande surface ce qui rend la t che d fensive plus d licate alors qu au contraire la d fense a int r t chercher r duire la surface d volution des attaquants C est ainsi que les attaques proc dent le plus souvent par alternance de jeu pr s du panier et de jeu loin du panier 3 Les trois zones ne sont pas utilis es de mani re identique la Z H est essentiellement le domaine du ballon sa circulation y est moins dangereuse et sa
341. ertain nombre de propositions concernant la formation la menace Analyse du tir trois points en basket ball DESERT I 1989 168 p 4 p de bibliographie 34 r f rences annexes Population d exp rimentation 1 Population masculine et f minine d entra neurs de Haut niveau Fran ais et trangers au total 15 entra neurs ont t sollicit s Nous nous sommes galement int ress s trois parutions am ricaines ou nous avons relev des id es similaires ou compl mentaires de celles d velopp es au cours des entretiens 2 Nous avons choisi d analyser le plus Haut niveau International Senior f minin et masculin 795 tirs ont t observ s 460 masculins 355 f minins Concernant les Hommes 18 rencontres du tournoi pr olympique pour la zone Europ enne de Rotterdam juillet 1988 concernant les Femmes championnat d Europe de Cadiz 1987 tournoi pr olympique de Kuela Lumpur 1988 tournoi International d Orl ans 1987 Coupe d Europe des clubs champions 1987 1988 Stade Fran ais Versailles Protocole exp rimental 1 Questionnaire de type semi directif 5 questions ont t pos es aux entra neurs A Que pensez vous de l introduction du tir trois points Pourquoi B Comment le tir trois points est il utilis dans votre quipe C Y a t il des conditions particuli res de match dans lesquelles vous recherchez ou au contraire vous vitez le tir trois
342. es par la d fense Ce progr s est important non seulement pour la r ussite des actions individuelles mais galement pour favoriser la coop ration entre partenaires 3 La p dagogie de l ex cution oriente l action du sujet sur la base incompl te de r f rences empiriques Du point de vue de l efficacit des actions nous avons constat la faillite de cette p dagogie gt PENTATHLON MODERNE Pentathlon moderne Contribution l approche nerg tique et nutritionnelle de l preuve d escrime SEYFRIED D 1987 55 p 9 p de bibliographie 97 r f rences Population d exp rimentation 8 jeunes escrimeurs en reprise d entra nement de niveau National et International 6 pentathl tes Internationaux tr s entra n s Protocole exp rimental Mesure de la consommation d oxyg ne sur tapis roulant Sport Tester PE 3000 Lors d une seconde exp rimentation VO2 pr l vements veineux mesure du QR param tre respiratoire Conclusion S inscrivant dans le contexte particulier du pentathlon cette tude se veut d une part contribuer approfondir les connaissances relatives l aspect bio nerg tique de l preuve d escrime et d autre part appr hender l influence de situations nutritionnelles connues sur des param tres m taboliques choisis Concernant le deuxi me th me de recherche la question se pose ainsi est il plus int ressant d ing rer de p
343. es raisons invoqu es pour justifier les checs et les contre performances afin de tenter de d gager des actes manqu s un sens qui chappe au sujet Dans les entretiens dans la correspondance entra neur entra n dans les carnets d entra nement o les athl tes commentent leur pratique les sujets se racontent s impliquent peuvent d voiler des aspects d eux m mes qui seraient masqu s inconscients Les cas expos s ont t analys s dans un groupe de type BALINT auquel j ai particip en tant qu entra neur en 1984 dans des s ances de supervision avec un psychanalyste en 1985 au cours d un s jour aux USA chez le psychologue Bruce OGILVIE en 1987 Conclusion Nous avons essay dans cette tude partir de nos exp riences personnelles et de celles d un certain nombre d athl tes de haut niveau de mettre en avant la dimension de l inconscient dans les pratiques sportives dans les productions des athl tes Cet aspect de la performance ne fait toujours pas partie des priorit s de la recherche dans notre discipline la date de Mars 88 et ce contrairement ce que l on observe dans beaucoup d autres domaines Un certain nombre de contre performances comme de r ussites n apparaissent pourtant pas imputables des ph nom nes rationnels les raisons invoqu es par les athl tes indiquent que les causes psychiques sont avec les blessures principalement responsables des checs La d tection
344. essivement adopt s un micro metteur ou un laryngophone metteur ou encore un talkie walkie est plac sur le barreur et ou l quipier L exp rimentateur enregistre la conversation de l quipage bord d un bateau suiveur Un magn tophone est plac sur le barreur et ou l quipier et enregistre directement en l absence de l exp rimentateur Le travail consiste ensuite transcrire les changes verbaux et classer les interventions selon la tabulation de Bales cette m thode permet de caract riser chaque unit d intervention l aide de douze cat gories de signaler de qui elle provient de compter le nombre d l ments d intervention par cat gorie Nous pouvons donc recenser par unit de temps la fois le volume d intervention du barreur et de l quipier sa nature informations questions tensions motionnelles et l origine d mocratique ou autocratiques des prises de d cisions en particulier sur le plan tactique Test psychologique le 16 PF de Catell Conclusion Il para t int ressant de mentionner les hypoth ses qui ont pr sid l laboration de cette recherche La voile en double au plus haut niveau de comp tition est un sport dominantes tactique et relationnelle Le succ s ou l chec provient essentiellement de deux facteurs ind pendants la relation intra quipage ou coh sion consid r e sur le plan psychoaffectif et dans son acceptation fonctionnel
345. estionnaire n tait pas ferm et des traits qui auraient pu tre omis pouvaient tre ajout s Liste des traits obstination hostilit l effort physique go sme partisan de l effort gratuit domination efficacit recherche de l aventure entraide ruse attrait du risque insoumission aux r gles ind pendance attrait du jeu r flexion adaptation au travail manuel sensibilit acceptation de la souffrance physique connaissance de soi hostilit la confrontation recherche du contr le de son motivit Conclusion La comparaison des m thodes pouvant tre utilis es pour d terminer le VO2 a montr des diff rences importantes dans les r sultats Il semble que seule la m thode directe soit susceptible de d terminer la puissance a robique maximale avec rigueur Par contre la corr lation entre les classements des cano istes par m thode directe et indirecte est ind niable Ceci nous a donc permis de retenir une preuve indirecte sur bicyclette ergom trique en utilisant successivement plusieurs puissances et en classant les sujets partir de l estimation faite avec le nomogramme d ASTRAND RYHMING La comparaison de ce classement avec celui des Championnats de France de descente montre un rapport troit entre l estimation de la consommation maximale d oxyg ne en l mn et le r sultat dans cette discipline Par contre il ne semble pas que ce param tre soit d terminant dans les preuves de slalo
346. ests de terrain Grenoble par rapport Tremblay les Gonesse met en vidence les limites de pr diction de performance de la CT 170 ce ph nom ne souligne par contre l importance de la qualit de l encadrement p dagogique de l activit qui permet d obtenir suivant le milieu ducatif dont on dispose et que l on met en place un meilleur engagement de la part de l l ve A ce titre et comme l auteur le souligne il faut bien comprendre que la CT 170 est une preuve sous maximale alors que les comp titions de course sont des preuves maximales Distance ou dur e les variables ne sont pas affect es par le choix de l une ou l autre variable D une mani re g n rale il y a corr lation entre les donn es anthropom triques et les performances et un m me point de vue peut tre avanc concernant les relations de la CT 170 la performance avec une certitude de 95 en ce qui concerne la pr diction inversement on peut consid rer que la r alisation d une performance sur 1200m ou 3000m permet de d terminer avec une bonne approximation la capacit de travail des enfants des 2 sexes de 12 15 ans et par l m me l efficience de leur syst me cardio vasculaire Diviser par contre la CT 170 par kg pour comparer des sujets d ge diff rent quivaut p naliser les plus avanc s qui sont plus grands et plus lourds La CT 170 kg ne peut tre significative que pour des adultes Enfin une d
347. et ce avec diff rents partenaires et adversaires dans la classe de situation travaill e que lorsqu elle consiste en une d monstration des solutions les plus efficaces r p t es maintes fois avec des commentaires de l ducateur portant sur le rythme de l action et la pr cision de l ex cution La communication interindividuelle dans un jeu collectif Essai de traitement automatique de l information activit s de r f rence le basket ball le para basket ball le non basket ball la asse dix ZANIN P 1985 276 p 4 p de bibliographie plus de 70 r f rences Voir rubrique THEMES GENERAUX 1985 Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby NERIN J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Voir rubrique THEMES GENERAUX 1986 gt CYCLISME Avenir social des skieurs et des cyclistes de haut niveau Etude des probl mes pos s par le devenir social des skieurs et cyclistes de haut niveau Propositions et suggestions SAURIN J F 1978 233 p 17 de bibliographie 146 r f rences annexes tr s importantes dont mod le du questionnaire ayant servi l enqu te M moire
348. etites doses de sucres rapides r guli rement au cours des assauts ou plut t une prise unique de riz avant le d but d une comp tition cet effet trois types de traitement sont tudi s au cours d une comp tition simul e d escrime Les r sultats de ces travaux l gitiment une alimentation liquide avec un apport r gulier de sucres assimilables et de faibles concentrations tout au long de l preuve d escrime Contribution l am lioration de l entra nement en pentathlon moderne Effets de cinq entra nements caract ristiques du pentathlon Moderne sur la r alisation d une t che de Temps de r action de Choix GENARD B 1990 129 p 6 p de bibliographie 59 r f rences annexes importantes questionnaires impressions subjectives protocoles de passation des diff rentes exp rimentations et r sultats divers Population d exp rimentation Athl tes Junior de l quipe de France de Pentathlon Moderne ainsi que deux athl tes Senior tous d un niveau d expertise lev dans cette sp cialit Protocole exp rimental Utilisation de la table de conversion Lepage 1981 qui permet de convertir en m s des vitesses et des temps de nage par distance et utilisation parall lement d un cardio fr quencem tre de type Sport tester P 3000 4 questionnaires ont d autre part t labor s pour essayer de cerner les impressions subjectives
349. eur H 1986 voir p 43 gt gt NORMES DE DETECTION EN NATATION FONCTION DE L AGE ET DU SEXE avec Muti A 1987 voir p 73 gt gt PERSPECTIVES DE FORMATION EN RUGBY DANS L OPTIQUE DU JEU MODERNE avec Villepreux P 1987 voir p 81 gt gt DETECTION EN NATATION SPECIALITES ET TRAITS DE PERSONNALITE avec Dubois C 1988 voir p 73 gt gt LES JEUNES ET LA PLIOMETRIE en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt HABILETES SPORTIVES ACQUISITION en Hochey sur gazon avec Reynaud B 1988 voir p 62 gt gt HIERARCHIE D APPRENTISSAGE MISE EN EVIDENCE PAR UNE ANALYSE TECHNIQUE en Judo avec Antourel S 1989 voir p 65 gt gt DETECTION EN VOILE LEGERE avec Courty J T 1989 voir p 93 gt gt APPRENDRE A DES AVEUGLES A SAUTER EN LONGUEUR LE PROBLEME DE LA COURSE D ELAN avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt DETECTION DES TALENTS EN NATATION PAR LA DETERMINATION DES APTITUDES MOTRICES ET PSYCHOMOTRICES avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt ACQUISITION DES HABILETES MOTRICES EN JUDO COMPARAISON DE DEUX STYLES PEDAGOGIQUES INCIDENCES SUR LA TRANSMISSION DES CONTENUS avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt ENSEIGNEMENT DU JUDO TRANSITION COMBAT DEBOUT COMBAT AU SOL avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt INFLUENCE DE LA CROISSANCE dans le domaine des performances de Courte dur e avec Benboubker N 1991 voir p 122 gt gt REPRESENTATIONS SOCIALES ENTRAINEMENT DU JEUNE JOUEU
350. evue Cin siologie en 1987 et adapt la GRS Adapt car les gymnastes test es sont inexp riment es vis vis de ce type d preuves elles sont tr s jeunes compar es aux athl tes g n ralement test s et de plus peu habitu es courir longtemps r alisation pr alable d un lectrocardiogramme tapis roulant avec 3 de pente chauffement pr alable de cinq minutes 7 km h trois minutes pour chaque palier progression de la puissance par augmentation de la vitesse de 2 en 2 km h arr t de 1 min en moyenne pour pr lever le sang art riel au lobe de l oreille Epreuves de terrain les mesures ont t effectu es au cours d une comp tition simul e 10 jours avant le d part aux chpts du Monde le programme des prestations est celui des championnats Cette comp tition simul e est not e par les entra neurs et pr sente un enjeu s lectif une gymnaste devant tre encore d sign e comme r serve et les gymnastes d ensemble devant confirmer la s lection d j op r e Un enregistrement vid o est op r gr ce deux cam ras une fixe en plan large permet de visualiser les actions des gymnastes entre les passages sur le praticable et de pouvoir analyser la nature des pauses une mobile l ext rieur du praticable en plan moyen enregistrant les prestations qui seront d cortiqu es pour l analyse ult rieure des contenus Mesures effectu es fr quence cardiaque spor
351. exp rimentation Athl tes s entra nant l I N S E P tous ces athl tes sont des Internationaux ou sont cens s le devenir ce qui garantit un niveau de pratique lev Composition de l chantillon 1 89 athl tes repr sentant quasiment toutes les disciplines de l athl tisme ces athl tes pr paraient les Championnats d Europe qui devaient se d rouler Ath nes dans les deux mois qui suivaient 2 27 nageurs et nageuses pr parant les Championnats de France et la qualification aux Championnats du Monde 3 16 lutteurs pr parant les Championnats du Monde de Lutte Sambo qui devaient se d rouler Paris dans le mois qui suivait Protocole exp rimental Apr s passation d un pr questionnaire l auteur propose que soit construit autour de six grandes cat gories d items le questionnaire d finitif 1 les renseignements individuels 2 les caract ristiques de la famille 3 la sportivit de la famille 4 les r sultats sportifs de l athl te 5 le niveau d aspiration 6 aspects de la personnalit de l athl te 7 la situation sociale Au total 30 interrogations Conclusion La notion d chec conduit un sentiment de flou d s lors que l on veut d finir le terme Il peut selon les situations et les individus prendre tant d acceptations diff rentes que nous avons pr f r nous orienter vers le sentiment d chec impression toute personnelle que chaque individu est susceptib
352. faire passer l objectif tait de pr senter aux sujets de l exp rimentation dans le cas des images r f rentielles tout ce qui a trait aux attitudes et actions fondamentales telles que positions de base d placements etc dans une grande vari t de plans d angles bref selon tout l ventail des codes techniques de composition des actions mais avec le souci de toujours resserrer en gros plan sur le point essentiel pour faire perdre un peu de sa polys mie l image pour en pr ciser le niveau de lecture Chacun des documents faisait un usage assez large de la redondance de fa on pr ciser le signifi Dans le cas des images caract re explicatif qui se rapportaient essentiellement aux situations offensives nous avons r alis des s quences en cam ra subjective en filmant au dessus de l paule de l un des deux acteurs deux ma tres d armes de l I N SE P Pour d autres images explicatives se rapportant la situation d assaut dans sa totalit son unit son aspect relationnel il a t utile de recourir une prise de vue en plong e et de trois quarts arri re par rapport aux deux protagonistes ce qui est apparu apr s visionnement comme tant tr s parlant Evaluation des performances et recueil des donn es une sorte de tournoi a t organis e les enfants ont t film s lors de leurs assauts respectifs les enregistrements ont t communiqu s un jury char
353. ficative quelques r flexions doivent cependant tre soulign es 1 A propos du score des quipes ce sont les indices reli s la t che qui sont les plus signifiants ceci resitue bien l importance relative de la coh sion affective dans les r sultats si elle exerce une influence sur le score elle n est pas principale Or par ailleurs nous remarquons que les succ s d une quipe semblent capitaux pour cimenter la coh sion affective 2 A propos de la satisfaction du groupe l ordre des corr lations pourrait montrer que dans les succ s et les checs enregistr s par une quipe la mani re dont ils ont t acquis et dont ils ont t v cus est un l ment important de satisfaction 3 A propos de la coh sion affective c est avec la stabilit dans la r partition des points marqu s que la corr lation est la plus lev e un rapprochement de niveaux semble devoir tre un l ment de coh sion dans une quipe 4 A propos de la coh sion fonctionnelle l aussi il semblerait que pouvoir compter sur la stabilit du rendement de chacune soit un l ment important de la coh sion dans le basket Etc Contribution l tude des dirigeants sportifs le cas des dirigeants de Basket dans la r gion Parisienne PASSEMARD M M 1982 188 p 3 p de bibliographie 24 r f rences annexes extraits de lois L tude historique a fait appara tre des pro
354. fils de dirigeants appartenant l aristocratie pour le plus grand nombre L tude actuelle a r v l une grande proportion de dirigeants notables qui succ dent leurs pr d cesseurs avec le m me esprit et une m me appartenance des cat gories sociales lev es Une minorit de dirigeants militants et de femmes pr tend se faire entendre de plus en plus tous les niveaux de l institution sportive La caract ristique essentielle du dirigeant actuel reste l attachement une notion qui est de plus en plus contest e l amateurisme Il appara t nettement tout au long de cette tude que le b n volat du dirigeant a toujours t li au sport amateur l athl te donnait de son temps de loisir au sport ou le joueur et le dirigeant en compl ment avec le m me esprit donnait de son temps de loisir la direction et la gestion de l association L volution conomique et sociale a beaucoup modifi les conditions de la pratique sportive amateur Les exigences de la comp tition de haut niveau ont oblig les sportifs oublier certains principes de la charte olympique L amateurisme n est plus ce qu il tait et dans la m me direction le b n volat un peu en retard va subir le contrecoup de cette volution C est ainsi qu on peut affirmer que le sport est un point de rupture actuellement les dirigeants actuels sont souvent g s Ils ont v cu une exp rience de pratiquants sportifs sans aucun rapp
355. fique 3 distances diff rentes en garde 20 essais sans d placement de l arme en garde 20 essais distance d allongement de bras en garde 20 essais distance de fente La s quence 2 propose une incertitude spatiale elle a t utilis e distance de fente 20 essais La s quence 3 n a pas t utilis e La s quence 4 repr sentant l incertitude spatiale et v nementielle a t utilis e 2 distances fente et marche et fente 20 essais pour chacune de ces situations Conclusion L int r t principal de ces tudes r side dans le fait qu elles ont t effectu es partir de gestes techniques sp cifiques avec les armes personnelles par une population motiv e du plus haut niveau fran ais dans son arme et sa cat gorie d ge Le prototype doit tre am lior au del de cet aspect m thodologique et technologique s imposent un certain nombre de faits 1 on peut d sormais envisager de mieux cerner l tat de forme d un tireur 2 il y a toutes les chances qu un jeune poss dant un temps de r action simple de qualit dans les conditions sp cifiques o celui ci a t mesur soit un sujet d avenir D une mani re g n rale les plus jeunes privil gient la vitesse sur la pr cision 3 si la diff rence entre les cadets et leurs a n s est si marqu e c est que ceux ci ont bien s r plus de maturit et de pratique Ils ne se montr
356. flet 71 proviennent de l arbitre en position centrale sur le champ de jeu 43 de celui en position de but derri re la zone Cet cart peut para tre logique puisque le r glement donne plus d initiatives l arbitre central En fait la localisation des infractions nous indiquant un grand nombre de celles ci proximit de la zone et surtout sur les non porteurs cet cart ne se justifie pas L hypoth se qui peut tre avanc e ce propos c est que si les arbitres n interviennent pas c est parcequ ils pr f rent privil gier le jeu et la r gle de l avantage Il demeure que du point de vue de son application la loi pr sente des difficult s elle laisse trop de place aux interpr tations Cette m me application est d autre part conditionn e par une trop grande tol rance Les r sultats obtenus pr cisent que les arbitres n ont pas t assez s v res les sanctions techniques et les sanctions disciplinaires sont jug es comme insuffisantes par rapport au nombre des infractions leurs r p titions et leurs qualit s Partant de ce constat l auteur sugg re qu une meilleure pr paration des arbitres soit dor navant assur e connaissance approfondie de tous leurs droits et devoirs donn s par le code information des donn es de la psychologie qui leurs permettront de pr voir et d celer dans les matchs et leur environnement les causes probables de conflits s lectio
357. g d appr cier et de quantifier certains aspects de la conduite comparaison test final test initial M thode des juges 5 juges 3 l ves ma tres d armes et 2 escrimeuses de Haut niveau ont ainsi valu la combativit la coh rence du comportement l aisance motrice la mobilit et l occupation de l espace Chacun des aspects devait tre not de 1 5 en suivant les observations qu une grille d observation fournissait Par exemple la note 5 de l aspect combativit correspondait le libell tr s combatif cherche s imposer avance sur l adversaire essaye de toujours s assurer l initiative la note 1 tant quant elle affect au comportement ainsi d fini timor passif subit le combat Conclusion Le fait majeur concerne la fa on dont les groupes ont sembl voluer au fil des interventions dans un premier temps que nous pouvons valuer quatre s ances environ les groupes avec lesquels les moyens audio visuels taient utilis s affichaient un certain retard en ce qui concerne les acquisitions ce qui peut sans doute s expliquer par la diff rence de pratique effective par rapport au groupe t moin Ce dernier tait en fait assez nettement favoris sous cet angle Les doutes qui commen aient s installer dans notre esprit par rapport aux hypoth ses formul es furent progressivement lev s partir du milieu de l
358. gage les duels Les actions de tir ont lieu dans des secteurs prioritaires 72 des tirs sont d clench s dans des secteurs proches du panier Malgr une grande vari t des structures d initiation de l attaque deux ressortent pour le 1 4 45 fois sur 327 attaques observ es et 26 fois en ce qui concerne le 1 2 Etc Profil psychologique des joueurs de haut niveau et moments cruciaux des rencontres BALLARINI I 1992 133 p 7 p de bibliographie 83 r f rences annexes Population d exp rimentation Dans le cadre de la premi re hypoth se 1 Population dite Haut niveau compos e de 15 joueurs de N1 B de 10 joueurs de N1 A et de 8 Internationaux tous sont des joueurs professionnels 2 Population dite loisir compos e de 11 joueurs voluant au niveau D partemental et de 19 joueurs de niveau Interr gional tous ces joueurs voluent dans des quipes de la r gion Parisienne leur principale source de revenus provient d une activit professionnelle autre que le basket ball Dans le cadre de la deuxi me hypoth se l enregistrement des donn es s est effectu au cours de toutes les rencontres officielles du championnat de France de Basket ball 1990 1991 division Nationale 1B disput es par l quipe premi re du club de Levallois Des entra neurs Nationaux au nombre de 8 et d autres intervenant dans la plus haute division nationale 9 en N1A et 10 en N1B ont
359. gby 1981 La comparaison des contraintes physiologiques de chaque poste mesur es l aide de param tres tels que la fr quence cardiaque et la lactat mie permet de classer les postes en terme d intensit de l effort et donc de jeter les bases d une approche plus scientifique de l entra nement Les diff rences de contraintes physiologiques observ es entre les postes montrent qu il n est pas possible d entra ner les 15 joueurs de la m me fa on comme c est encore le cas dans trop de clubs Si les deux groupes avants P1 et P2 et trois quart P3 et P4 peuvent tre diff renci s au niveau technique la pr paration physique doit s appuyer sur les diff rences d ordre physiologique observ es qui opposent par contre P1 P4 P2 P3 De plus les 4 postes sont diff rents quant leur temps d effort et leur rapport Effort Pause Ainsi l organisation de l entra nement physique en 4 groupes semble tre une n cessit L auteur ach ve son travail en proposant un certain nombre de principes d entra nement Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby NERIN J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Voir rubrique THEMES GENERAUX 1986
360. ge Ko Uchi Gari Sasae Tsuri Komi Ashi O Uchi Gari O Soto Gari Tai Otoshi Tomoe Nage Uchi Mata Seoi Nage Kami Basami Harai Goshi Toutes ont t au moins observ es 5 fois dans l tude Un des grands int r ts de cette tude r side dans les perspectives qu elle dessine tant en ce qui concerne l enseignement qu en ce qui concerne l entra nement doit tre d sormais envisag l aspect continuit tactique et surtout strat gique des actions que l on conduit ma trise de sch mas d encha nements comme ma trise et gestion du combat des encha nements L auteur propose ces fins une m thode de pr paration Judo et formation de formateurs Un syst me expert en judo CALMET M 1991 169 p 22 p de bibliographie 154 r f rences annexes Apr s avoir appr hend la m thodologie des syst mes experts et apr s en avoir tabli l historique l auteur envisage de l utiliser dans les APS et plus particuli rement pour la formation des enseignants Un S E permet de cr er une base de connaissances dans un domaine pr cis mais relativement restreint puis d en tirer des conseils diagnostics une aide la planification la conception Dans le cadre de la formation ou de la recherche le cheminement du raisonnement ou la justification de la solution sont accessibles l utilisateur Ces deux options sont tr s int ressantes sur le plan m thodologique Le syst me p
361. giciel tabli par un chercheur du LPN Condition exp rimentale les sujets doivent tenir l A T R sur 2 porte mains plac s sur la plate forme de force Les oscillations du corps vont tre alors quantifi es en terme de d placements du centre de force CF au niveau de la surface d appui Parall lement on proc de la mesure de l activit lectromyographique EMG par lectrodes de surface de 2 muscles antagonistes de l avant bras extensor carpi radialis longus et extensor carpi ulnaris chois pour leur action dans le plan sagittal lors de l A T R Enfin une troisi me exp rimentation est mise en place pour tenter de cerner l importance de la contribution du regard au contr le de l A T R une r glette gradu e est plac e sur la plate forme selon l axe ant ro post rieur on demande aux sujets d indiquer vers quelle graduation de la r gle leurs yeux se portent le plus souvent pendant l A T R L un des protocoles d exp rimentation a consist troubler la prise d information visuelle en vision prismatique lorsque les sujets ouvrent les yeux la marque visuelle les porte mains ainsi que les avant bras sont d plac s en avant ou en arri re selon l orientation de la base des prismes Conclusion Concernant l tude stabilom trique et lectromyographique de l A T R l enregistrement simultan de l activit musculaire et des d placements du centre de gravit du corp
362. gmentation induite du pH sanguin Par contre KATZ et coll 1984 observent une acc l ration de la diffusion au cours de la p riode de r cup ration Tous se passe comme s il fallait un certain d lai pour que l efflux s acc l re Ceci explique pourquoi il peut appara tre un efflux plus important pendant les exercices plus longs environ cinq minutes SUTTON et coll 1981 et pourquoi la performance peut tre am lior e dans ce type d efforts en situation d alcalose Le fait que l efflux des lactates soit am lior e dans la phase de r cup ration des efforts tr s brefs laisse supposer que le retour de l quilibre acido basique musculaire son niveau de base soit plus rapide Cette meilleure r cup ration musculaire pourrait favoriser la performance dans les efforts intermittents tr s intenses e CONTRIBUTION A L ETUDE DES EFFETS DE LA MUSCULATION EXCENTRIQUE SUR LES PROPRIETES ELASTIQUES DU MUSCLE Pousson M 1984 48 p 12 p de bibliographie 82 r f rences Population d exp rimentation 10 sujets dont 3 femmes Protocole exp rimental Apr s entra nement de six semaines des efforts musculaires excentriques muscles fl chisseurs du coude une valuation de la compliance est r alis e gr ce la technique du Quick Release Ce dispositif ergom trique s inspire du mod le d crit par Pertuzon 1972 Le sujet est assis sur un si ge soud une plate forme m tallique alourdie p
363. graphie 125 r f rences annexes importantes dont questionnaire r duit d extraversion et de nevrosisme inventaire de personnalit d butants gar ons et filles questionnaire post s quence d apprentissage liste de consignes Voir rubrique THEMES GENERAUX 1986 D finition d un outil informatique de saisie et de traitement automatique des donn es d observations de matches de volley ball Objectifs Evaluation de la performance d une quipe de volley ball par la mesure de l efficacit des joueurs en match DRUENNE F 1986 59 p annexes importantes dont tableaux d enresistrement des donn es La disquette de traitement des observations est jointe au M moire Conclusion L objectif r side dans l laboration d un outil destin l observation Tous ceux qui s int ressent la performance cherchent d gager du match un bilan qu ils soient techniciens joueurs spectateurs m mes ou journalistes Mais que reste t il pr cis ment des centaines d actions qui ont d cid de la victoire ou de la d faite Notre m moire est trop souvent impressionn e par les derni res actions du match sans doute les plus d terminantes cependant peut on tablir partir d elles seules un bilan objectif Cet outil permet 1 de quantifier la performance par joueur par quipe et ce dans toutes les phases de jeu service r ception attaqu
364. graphie 75 r f rences annexes importantes dont questionnaires et tableaux de r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX gt 1994 A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle EQUITATION Traitement des informations visuelles et contr le de la locomotion du couple cavalier cheval en quitation de saut d obstacles DINH PHUNG R
365. gt ENFANTS DE CM 1 ET DE 6 me avec Seitz P 1984 voir p 42 gt gt ENFANTS DE CM 2 avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt ENFANTS D ECOLES DE COURS MOYEN avec Reynaud B 1988 voir p 62 gt gt ENFANTS DE CM2 en Judo avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt FILLES DE COLLEGE AGEES DE 11 A 17 ANS avec Benboubker N 1991 voir p 122 gt gt ENFANTS ET ADOLESCENTS IVOIRIENS avec Dao L 1992 voir p 124 ENSEIGNANTS gt gt ENSEIGNANTS EN E P S ENCORE PRATIQUANTS SPORTIFS avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt ENSEIGNANTS EN E P S SPECIALISTES RUGBY avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt ENSEIGNANTS DEBUTANTS en Judo avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt ENSEIGNANTS E P S avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt ENSEIGNANTS E P S NON SPECIALISTES en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ENSEIGNANTS D E P S AU NIGER avec Arouna D T 1993 gt gt ENSEIGNANTS D E P S AU NIGER avec Djaffarou L M 1993 ENTRAINEURS TECHNICIENS CONSEILLERS gt gt TECHNICIENS DONT ENTRAINEURS NATIONAUX CONSEILLERS TECHNIQUES REGIONAUX ETC en Cano kayak avec Dransart G 1977 voir p 33 gt gt ELEVES MAITRES D ARMES FAISANT OFFICE DE JUGES image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 gt gt ENTRAINEURS DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL DONT ENTRAINEUR SELECTION NATIONALE JEUNE en Basket ball avec Chazalon
366. gt QUESTIONNAIRE ENQUETE AUPRES DES SPORTIVES DE HAUT NIVEAU EXEMPLE DU BASKET BALL avec Riffiod E 1979 voir p 108 gt gt QUESTIONNAIRE APRES PREMIERES LECONS DE SKI avec Baggioni E 1980 voir p 81 gt gt QUESTIONNAIRE ENQUETE SUR LES PRATIQUANTS DE SPORTS DE COMBAT avec Cl ment J P 1980 gt gt QUESTIONNAIRE UTILISATION DE L IMAGE DE SOI DANS LA PRATIQUE DE LA GYMNASTIQUE SPORTIVE avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt QUESTIONNAIRE MENEURS DE JEU labor dans le cadre du Handball avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt QUESTIONNAIRE REACTIONS DU SPORTIF sensibilit neuro v g tative et comportement vis vis d l ments ext rieurs avant et apr s une comp tition au sujet de la relaxation avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt QUESTIONNAIRES 2 TYPE ENQUETE SOCIOMETRIQUE BASKET labor s par Binard J 1982 voir p 22 gt gt QUESTIONNAIRE ORAL DEREGLEMENTS OCCASIONNES PAR UN STAGE EN ALTITUDE EFFETS ET DUREE en Football avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt QUESTIONNAIRE MENSTRUATION avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt QUESTIONNAIRE G R S ADRESSE AUX GYMNASTES labor par Feraud C 1983 voir p 49 gt gt QUESTIONNAIRE ADRESSE A L ATHLETE ECHEC EN SPORT avec L tocart M 1983 voir p 114 gt gt QUESTIONNAIRE ADRESSE A L ENTRAINEUR ECHEC EN SPORT avec L tocart M 1983 voir p
367. gt SYSTEME ERGOMETRIQUE ARIEL 5000 DE L IN S E P en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 NEURO ET PSYCHO MOTRICITE COGNITIF VISION VITESSE PRECISION CONTROLE EMOTIONNEL ET MOTEUR REPRESENTATIONS gt gt CHRONOSCOPE D ARSONV AL OU CHRONOSCOPE ELECTRONIQUE VITESSE DE REACTION DE CHOIX SIMPLE A UN SIGNAL VISUEL en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 image enregistr e dans l apprentissage sportif avec Simonet P 1977 voir p 102 en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt TEMPS D EXECUTION INTERVALLE DE TEMPS ENTRE IMAGES en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt PLATE TAPING en Judo avec Donzel J 1979 voir p 62 gt gt TEST DU TREMOMETRE en Ski alpin avec Alard P 1981 voir p 82 dans le domaine de la relaxation avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt TEST DE STRESS DE STROOP l athl te f minine de haut niveau avec Missoum M 1981 voir p 110 dans le domaine de la relaxation avec Roy M 1981 voir p 111 en Basket ball avec Ballarini I 1992 voir p 30 en Escrime Arbitrage avec Bonnefoy B 1992 voir p 123 gt gt CONTACTEURS SITUES SOUS PLANTES DE PIEDS ET RELIES A UN CHRONOSCOPE ELECTRONIQUE MESURE DU T R en Sports d Opposition avec Stein J F 1981 voir p 76 gt gt MICRO CONTACTEURS PLACES DANS MAINS ET RELIES A UN CHRONOMETRE ELECTRIQUE MESURE DU T M en Sports d Opposition avec Stein J F 1981 voir p 76 g
368. h 8 La relation avec les joueurs 9 Les difficult s du managerat 10 La relativit de la strat gie A chaque th me correspond une s rie de questions Une analyse de contenu a permis de proc der une tude qualitative du managerat en relevant les aspects privil gi s par les coachs et ceux qui paraissent ignor s ou sacrifi s Conclusion L analyse th me par th me ne peut tre voqu e dans le cadre de cet ouvrage la quantit des informations et la qualit de la r flexion qui en r sulte font de ce m moire une v ritable r f rence en mati re de managerat Seuls les constats et propositions mises par l auteur peuvent tre ici voqu s 1 L ensemble des managers n utilisent pas de moyens objectifs d observation pr f rant se fier essentiellement leur intuition et leur exp rience pour prendre des d cisions Nous souhaiterions pour rester dans une optique p dagogique qui nous int resse au premier chef que les entra neurs exp riment s puissent confronter leur pratique afin de mettre en place des outils de managerat qui pourraient tre par exemple une grille d observation d utilisation imm diate au cours du match Celle ci ne saurait exclure tout autre type d observation et en particulier celle permise par les moyens audiovisuels 2 A l instar de ce qui se pratique aux Etats Unis il semble que la solution actuelle cette solitude pr judiciable s oriente vers une direction bic
369. h se permettrait d interpr ter l am lioration o la moindre d gradation des performances observ es chez les sujets experts particuli rement partir d une intensit de 40 de PMA e VARIABILITE ET RELATION ENTRE LA CROISSANCE ET L APTITUDE A L EFFORT DE COURTE ET DE LONGUE DUREE DES ENFANTS ET DES ADOLESCENTS TES IVOIRIENS AGES DE 11 A 18 ANS APPROCHE TRANSVERSALE Dao L 1992 72 p 4 p de bibliographie 57 r f rences annexes importantes dont protocole de passation des tests recueil des r sultats enregistr s Population d exp rimentation 1580 gar ons 673 filles dont l ge se situe entre 11 et 18 ans provenant de toutes les r gions du pays Des tranches d ge ont t constitu es en fonction de l ge civil des sujets calcul en mois de la date de naissance au jour de l enqu te Protocole exp rimental Concernant les mesures biom triques stature avec une toise murale la distance entre le vertex ou sommet du cr ne et le sol exprime la taille de l individu poids le sujet peu v tu pieds nus monte sur une balance m dicale L application d une formule Sheldon 1950 permet d obtenir un indicateur de la corpulence ou de la longilignit des individus Concernant le d veloppement moteur celui ci est inf r partir des performances r alis es aux preuves athl tiques suivantes course de 50m de 300m de 2000m saut en longueur sans lan lancer de balle 5
370. haque palier seuil tabli partir de la courbe lactate puissance relev du niveau de puissance correspondant 4 millimoles Etape 2 puisement des r serves de glycog ne Les r serves de glycog ne musculaire sont puis es suivant le protocole inspir des travaux de Gollnick et al 1974 le dernier repas du soir est pris 3 heures avant la s ance Les sujets r alisent ensuite un exercice d une dur e de 90 minutes une puissance constante inf rieure de 30 watts au seuil ana robie Apr s un repos de 2 minutes ils r alisent une s rie de 6 exercices de 2 minutes avec une charge sup rieure de 0 5 kg celle correspondant au seuil ana robie 120 de la puissance d velopp e par le sujet lorsqu il atteint le seuil ana robie Ces exercices sont s par s par une r cup ration passive d une minute Apr s cette s ance les sujets ne sont pas autoris s se r alimenter et restent sous surveillance constante jusqu la fin de l tape 3 de mani re ce qu aucun apport nerg tique soit possible Etape 3 alimentation et r alisation d un exercice triangulaire Le lendemain matin soit apr s un je ne de 12 heures un cath ter est plac chez tous les sujets 1 heure avant la s ance dans la veine antecubitale Les cath ters ont t plac s dans des conditions identiques sujets au repos allong s dans une pi ce calme climatis e du b timent o est situ le laboratoire Les sujets sont divis s en
371. hes qui se produisent eux m mes sur sc ne ou composent des chor graphies et qui en outre enseignent la danse dans divers milieux cole associations 3 5 femmes connaissant peu ou pas du tout la GRS et la danse ne pratiquant aucune de ces deux activit s et qui n assistent ni des spectacles de danse ni des comp titions de GRS 4 5 hommes pr sentant les m mes caract ristiques que les femmes du groupe pr c dent Protocole exp rimental La proc dure s est d roul e en deux phases successives ayant pour but l tablissement d une taxonomie des comportements expressifs et des strat gies de communication et la validation de ces taxonomies La premi re phase a consist en l observation et l analyse de 16 productions de gymnastes de tr s haut niveau r alis es partir de bandes vid o film es lors d un championnat du Monde de la sp cialit La proc dure employ e lors de la deuxi me phase comporte la pr sentation de montages vid o de s quences et d encha nements complets caract ristiques des taxonomies pr c demment tablies des publics divers juges de GRS danseurs chor graphes spectateurs na fs non sp cialistes de l activit hommes et femmes Il a t demand ces sujets d valuer les prestations propos es Parall lement il a t proc d une estimation de la r sonance affective de ces m mes prestations l aide d un test d association libre de mots et de la
372. hl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en Athl tisme avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt AMPOULE ELECTRIQUE SUR MASSUE en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt GONIOMETRE ACCELEROMETRE avec Pousson M 1984 voir p 117 gt gt EMPREINTES LAISSEES SUR UNE PISTE en Equitation avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt MACHINE A TIRER A L ARC avec Colmaire P 1987 voir p 88 gt gt CEINTURE ABALAKOV en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt MARTEAU A COMMANDE ELECTROMAGNETIQUE REFLEXOLOGIE en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt DIFFERENCIATEUR SEMANTIQUE METHODE DE OSGOOD 1953 en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt MACHINE LANCE BALLES DE TYPE JUGS PERMETTANT DIFFERENTS TYPES DE DISTRIBUTION en Hockey sur gazon avec Reynaud B 1988 voir p 62 gt gt ACCELEROMETRE MESUREUR DE VITESSE en Tennis avec Scribot F 1988 voir p 86 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt RIDEAU OPAQUE EMPECHANT OU RETARDANT LA PRISE D INFORMATIONS en Handball avec Cottin J 1989 voir p 58 gt gt BACHE DEROULEE SUR UNE PISTE D ELAN DE SAUT EN LONGUEUR en Athl tisme Sauteurs en longueur aveugles avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt SOURCE SONORE HAUTEUR DE PLANCHE SAUTEURS EN LONGUEUR AVEUGLES en Athl tisme avec Moureaux R 1989 voir p 16 gt gt UTILISATION D UN PRISME P
373. i aussi vitesse maximale les quatre s ries ont t entrecoup es de deux minutes de repos complet hors du bassin Un micropr l vement sanguin a t r alis lors de chaque arr t deux nouveaux micropr l vements ont eu lieu l un imm diatement apr s la fin de l exercice l autre trois minutes apr s Un seul des deux tests tait propos le m me jour un nageur Conclusion L objet de la recherche consiste mettre en vidence la d pense nerg tique sp cifique de comp tition et de l entra nement en natation Apr s avoir proc d l tude d un certain nombre d interactions l auteur souligne l importance de trois aspects particuliers 1 La pr pond rance du poids et de la longueur des membres inf rieurs dans la flottabilit et de celle des membres sup rieurs dans la propulsion 2 Les faibles corr lations entre les tests de nage et le test d valuation de la VO2 Max sur tapis roulant 3 Le taux d acide lactique moyennement lev et sa rapide d croissance l issue des deux tests de nage Ces particularit s soulignent ce que nous avons appel la SPECIFICITE NATATION La partie qui suit la conclusion est consacr des perspectives et des propositions concernant d une part l orientation du nageur et d autre part la rationalisation de son plan d entra nement Compte tenu de notre approche biom canique et physiologique il est possible de dire que les principau
374. ible des bips sonores informent le sujet sur les erreurs commises par celui ci anticipation oubli de r ponse erreur de r ponse r ponse trop tardive Conclusion Deux hypoth ses pr sident cette recherche 1 La r alisation d entrafnements caract ristiques du Pentathlon Moderne dominante a robie entra ne une am lioration des performances une t che de temps de r action de Choix quelles que soient les activit s sportives pratiqu es Natation ou Course pied 2 La r alisation d entra nements caract ristiques du Pentathlon Moderne dominante a robie lactique entra ne une d gradation des performances une t che de T R C quelles que soient les activit s sportives pratiqu es Natation ou Course pied La question fondamentale qui se pose aujourd hui l entra neur s inscrit ainsi doit on privil gier un ordre des activit s d entra nement dans une journ e qui reproduise l encha nement des disciplines en comp tition ou doit on trouver un ordre qui viterait toute influence n gative d une activit sur une autre permettant ainsi l athl te un plus grand confort de travail au maximum de ses possibilit s Nos conclusions indiquent que contrairement ce que nous envisagions les pentathl tes ne sont pas toujours dans les meilleures dispositions d un point de vue mental pour pratiquer une activit de nature informationnelle Tir ou Escrime cons cutivement des entra nemen
375. icale des gymnastes reconnaissance de sons divers mais familiers qu il s agit d identifier m me demande en ce qui concerne le son issu de diff rents instruments dont percussions d placements assurer au rythme d une percussion enregistr e sur bande magn tique et autres exercices 2 Tests physiques l objectif consiste comparer le niveau des gymnastes de G R S avec celui des gymnastes de gymnastique sportive de r v ler leurs diff rences et peut tre leurs faiblesses Les preuves propos es aux gymnastes sont les suivantes course de vitesse de 20m lancer de m decine ball de 2 kg preuve de souplesse le toe touching sargent test levers de jambes agilit parcours chronom tr encha ner du type roulade tourner autour d un fanion aller jusqu un autre fanion revenir marcher 4 pattes tourner autour d un fanion roulade nouveau et franchir la ligne d arriv e burpee test ce test sp cifiquement orient vers la gymnastique est cens donner une id e de la capacit d une gymnaste soutenir un effort intense pendant 1 min 30 souplesse des paules situation de pont enfin saut rebond la d tente verticale est mesur e apr s un pas de prise d lan 3 L approche m canique du geste de balancer a t permise gr ce la stroboscopie cette technique permet par l clairage intermittent du sujet en mouvement l enregistrement photographique de l ex cution
376. ice diminue avec la profondeur Il r sulte de ces travaux que les nageurs et les non nageurs ont int r t effectuer leurs coul es en surface car en deux secondes ils gagnent respectivement nageurs 8 cm non nageurs 15 cm par rapport un d placement 90 cm Le groupe lite a int r t effectuer ses coul es 90 cm de profondeur car il gagne 37 cm par rapport la surface Pour un 200m brasse nag en bassin de 25m c est dire comprenant 7 coul es le gain enregistr peut donc s av rer consid rable Certains faits m ritent parall lement d tre enregistr s d une part nous constatons que les vitesses initiales de l lite sont sup rieures celles des autres groupes toutes les profondeurs qu elles restent relativement constantes d autre part la matrice des corr lations montre essentiellement que les indices de d c l ration sont corr l s avec la circonf rence thoracique A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique se
377. ices d tente verticale courses de vitesse de 30m et de 40m tractions la barre fixe test d habilet motrice de Fauch 1981 5 foul es bondissantes lancer sans lan d une balle lest e de 500 gr course de navette test de Cooper dynamom tre test de Denisiuk test de Luc L ger dext rim tre chronoscope Pr cisions le test de Fauch 1981 s value sur un parcours de 28 5m o sont dispos e intervalles irr guliers 10 lattes et 5 haies de 30 cm 40 cm 50 cm et 70 cm Ce test mesure les capacit s d adaptation du sujet la mesure de la performance se fait au chronom tre avec ajout de p nalit s quand les consignes n ont pas t ex cut es comme demand es ou quand le sujet touche une latte ou une haie Le test de Denisiuk se d roule sur un parcours de 15m plat banalis de la fa on suivante 5m du d part se trouve un poteau saut en hauteur par exemple puis 5m de celui ci un tapis est pos au sol enfin en bout de parcours un 2 me poteau est plac Au signal le sujet debout derri re la ligne de d part s lance vers le ler poteau en fait le tour court jusqu au tapis encha ne une roulade avant se rel ve court vers le 2 me poteau en fait le tour encha ne une marche 4 pattes vers le tapis effectue une roulade avant se rel ve pour aller contourner le ler poteau et termine son parcours la ligne de d part La performance est chronom tr e Le test de Luc L ger est un parcours de 20m
378. ifie pas la production gestuelle ni les s quences de d placement Il r v le par contre un remodelage de l organisation gestuelle qui traduit un comportement anticipatoire Nous avons pu constater une r duction importante du temps de pr paration soit respectivement le temps d analyse et le temps d organisation gestuelle Concernant le facteur grimper en t te le comportement gestuel des grimpeurs de haut niveau n est pas modifi par ce facteur On observe toutefois un recentrage de l attention des grimpeurs plus particuli rement sur les actions gestuelles podales La difficult en escalade Exigences objectives et perception des exigences des t ches motrices DELIGNIERES D 1990 272 p 10 p de bibliographie 208 r f rences annexes importantes rotocoles exp rimentaux et r sultats des diff rentes exp riences men es par l auteur Population d exp rimentation Exp 1 35 l ves de Lyc e test s durant un cycle d E P S Exp 2 et 3 50 l ves de 6 me d un Coll ge 56 l ves de seconde d un Lyc e et 40 enseignants en E P S de la r gion Parisienne Exp 4 8 sujets de sexe masculin g s de 17 ans en moyenne et suffisamment entra n s ils pratiquent tous une activit sportive de comp tition et suivent un entra nement optionnel de 3 heures par semaine dans le cadre de leurs tudes Exp 5 et 6 15 sujets masculins et f minins d ge
379. imales des sujets La seconde preuve est compos e de 2 paliers submaximaux dont l intensit est d termin e en fonction de la vitesse que l athl te a pour objectif de maintenir au cours d une preuve de 50 kilom tres Cette vitesse est appel e vitesse cible Apr s palier d chauffement 10 minutes 40 de V max un premier palier de 6 min est propos au marcheur suivant une intensit correspondant 70 80 de V max Les fr quences des foul es sont enregistr es d s la seconde minute de travail Les prises de vue sont r alis es entre la seconde et la troisi me minute d effort A la suite de ce premier palier le marcheur poursuit son effort pendant une dur e de 3 heures sur un circuit routier l issue de ce travail il revient subir un palier 3 me exp rimentation l exp rience est men e sur tapis roulant de marque Gymrol l augmentation de la charge est obtenue uniquement par l accroissement de la vitesse la pente tant nulle Le recueil et le traitement des signaux EMG concerne les 4 muscles suivants jambier ant rieur sol aire vaste interne et demi membraneux Protocole apr s palier d chauffement la vitesse est augment e de 1 km h toutes les minutes jusqu 11 km h puis de 0 5 km h jusqu la fin de l exercice Le dernier palier est atteint avec l puisement de l athl te qui commande l arr t de l exercice en appuyant sur un bouton poussoir Conclusion A l
380. imultan ment en modulation de fr quence sur bande magn tique gr ce un magn tophone Enertec Euromag 1 ils sont ensuite num ris s par un convertisseur analogique digital Kontron ANDS 5400 s ries et ind pendamment stock s sur disquette et ou moyenn s par un micro ordinateur H P VECTRA Le lanceur utilis est de type Lobster mod le 102 le mesureur de vitesse utilis a t pr t par la f d ration Fran aise de Tir WEINLICH VM 25 Conclusion Les r sultats de cette tude montrent que les variables ind pendantes choisies la rigidit statique de la raquette la vitesse de balle l impact et l amortissement du choc sont per ues diff remment par le capteur physiologique qu est le fuseau neuro musculaire et par le capteur m canique qu est l acc l rom tre fix sur le manche de la raquette Ce dernier est sensible la variable amortissement et non la rigidit et la vitesse utilis es selon les donn es fr quentielles obtenues Le capteur physiologique quant lui est sensible la variable vitesse par contre il n est pas influenc par l amortissement et les rigidit s choisies compte tenu des donn es lectromyographiques recueillies Si les gradients de vitesse sont en terme de contraintes perceptibles au niveau du joueur et de son mat riel la pr sence ou l absence d un antivibrateur et les caract ristiques rigidit flexibilit ne sont donc pas ici discriminantes
381. inale mont e des jambes leg lifts endurance a robie course de 12 minutes Cooper et course navette de L ger Une seconde exp rience a port sur la mesure de la force isom trique maximale en flexion utilisation d un dynamom tre pr cisant le niveau de force atteint dans une preuve de traction et enregistrement myographique de l activit du biceps brachii durant chaque maintien de charge Condition d exp rimentation le sujet est debout et en appui contre un plan vertical avec talons fesses dos t te Sa posture est stable et son paule du bras de traction est sangl e Il effectue des efforts isom triques de traction de haut en bas de 5 niveaux de force diff rents Entre chaque maintien de charge d une dur e de 5 secondes un temps de repos suffisant est m nag afin d viter l apparition d une fatigue musculaire Des mesures anthropom triques simples du type mesure de la taille et relev de poids ont t pr alablement enregistr es Conclusion La premi re exp rimentation a permis de mettre en vidence un certain nombre d informations voire de confirmer certaines donn es 1 la Vitesse est d pendante de la taille ge 2 la Souplesse de la colonne lombaire et des muscles ischio jambiers montre une l g re tendance ascendante de la courbe jusqu 15 ans puis retrouve pratiquement les m mes valeurs d origine 16 ans 3 la Force explosive verticale augmente de 9 7 cm entre 12 et 16
382. inimum des segments B T J avec les pics de vitesse angulaire des rep res anatomiques 2 importance et la rapidit de la phase situ e entre louverture et la fermeture maximum de l angle Tronc Jambes L tude biom canique par l interm diaire de l analyse des vitesse angulaires des segments corporels montre l importance de la phase situ e entre l extension compl te de l angle de hanche et la fermeture maximum de celui ci Cette modification angulaire permet de donner aux chevilles la plus grande vitesse cette vitesse sera transmise aux hanches dans un secteur autour de la jonction des quadrants 2 et 3 Dans l entra nement de tous les jours la barre fixe c est d ailleurs le point qui pose le plus de probl mes l entra neur et au gymnaste Souvent cette action de fouet est d clench e trop t t imm diatement apr s la verticale basse du fait d une extension de hanche trop pr coce dans la phase de chute du corps En cons quence le gymnaste n arrive pas ou tr s p niblement effectuer un soleil complet Lorsqu il y parvient c est avec un deuxi me cambr tr s prononc Si la figure qu il ex cute est une sortie en chappement celle ci l am nera 5 ou 6 m tres de la barre sans que les paules et le corps tout entier aient pu s lever Si cette figure est un changement de face direct l l vation des paules sera insuffisante Le d clenchement de la 2 rotation longitudinale trop
383. ins op rationnelle de la technique d imagerie mentale son influence s impose essentiellement lorsque la t che implique une activit visuo motrice quand la cible et le joueur qui r pondent cette cible sont tous les deux en mouvement cas de la 3 me exp rience Ce constat renforce selon nous l id e exprim e par bon nombre de chercheurs c est avant tout sur les facteurs cognitifs de la t che que l imagerie peut produire un effet TIR A LA CARABINE A L ARC AU PISTOLET L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 G n portrait type des athl tes de tir l arc a pu tre labor Analyse des performances des tireurs carabiniers de haut niveau HORVATH L 1986 105 p Population d exp rimentation 18 meilleurs tireurs masculins au plan National et 19 meilleurs tireurs f minins au plan National Protocole exp rimental Trois cat gories de mesures ont t r alis es analyse des r sultats des championnats de France 1986 analyse des r sultats et des annonces d une s rie de matchs pr paratoires aux championnats de France analyse des r sultats des annonces et des bougers d une s rie de tests
384. ion Cette volution d termine des modifications de strat gie d impulsion de la volleyeuse L l vation de raideur participe l accroissement des gains en d tente verticale et fonde les conditions d une vitesse accrue de r alisation des techniques de smash et de contre L auteur ach ve son tude en sugg rant un certain nombre de propositions concernant la planification de la pr paration physique des volleyeuses cette planification est envisag e plus ou moins long terme dans le cadre de s ances force maximale force sp cifique ou PPG dans celui d un cycle exemple de semaine d entra nement avec quatre s ances de musculation dans celui d un bloc priorit accord e au d veloppement d un facteur de la performance sur une dur e suffisamment longue pour obtenir un r sultat satisfaisant dans celui de p riodes enfin dans le cadre de plusieurs ann es Etude des C P E F f minins de volley ball approche psychosociale et sp cifique PRA WERMAN A 1993 157 p 5 p de bibliographie 56 r f rences annexes questionnaire adress aux filles questionnaire adress aux entra neurs entretiens L objet est de r aliser une tude sociologique de la population des Centres Nationaux en dehors des athl tes les entra neurs en g n ral et les entra neurs Nationaux en particulier ont t consult s Deux hypoth ses l origine de cette recherche 1 L
385. ion r elle de tous est seule facteur de progr s dans un acte authentique de solidarit indispensable au bon fonctionnement de l quipe Pour obtenir le maximum du joueur il convient d abord et avant tout de s adresser l homme Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir COLLECTIFS SPORTS le r sum Modifications h matologiques l effort en altitude Perspectives pour un entra nement adapt favorable l acclimatement R percussions au retour au niveau de la mer tests effectu s sur des footballeurs de haut niveau CORBEAU J 1982 102 p 12 p de bibliographie 135 r f rences annexes Voir rubrique THEMES GENERAUX 1982 Le buteur dans le football professionnel Analyse psycho sociolosique de ses repr sentations et de ses actions DUFAY A 1988 255 p 7 p de bibliographie 127 r f rences annexes tr s importantes ersonnes interview es questions du guide d entretien pour les entra neurs et les buteurs interview d un buteur interview d un entra neur Population d exp rimentation 40 personnes ont t interview es elles ont t class es suivant neuf cat gories A 11 buteurs en activit de Premi re Division Milla Papin Rocheteau Stopyra etc B 4 buteurs en activit d
386. ionnelle du sujet D autres facteurs peuvent exister le d veloppement et le maintien d une bonne condition physique reste soumis la pratique de l activit physique La conclusion est la suivante L efficacit du syst me de transport de l oxyg ne constitue un l ment important de la condition physique les principales modifications physiologiques facilement observables sont la diminution de la fr quence cardiaque et de la ventilation pulmonaire au repos et l effort elles sont le reflet de l adaptation cardio respiratoire et de l utilisation de l oxyg ne par le muscle Dans le domaine scolaire la mise en oeuvre d un programme ducatif utilisant l ventail le plus large des activit s physiques et sportives doit permettre le d veloppement continu de la condition physique Cette condition physique peut tre valu e partir d une sollicitation sous maximale de l organisme CT 170 au cours d une preuve ergom trique simple comme le montre la pr sente exp rimentation Sa mesure prend une dimension particuli re selon l objectif poursuivi et le champ d application La r p tition d activit s physiques soutenues de l enfance jusqu au troisi me ge soit dans des domaines aussi diversifi es que le golf LOFT 1978 ou la course athl tique par intervalles TROUILLON 1978 dont les pratiques doivent tre adapt es l ge LENOIR 1978 soit dans le cadre d une sp cialit sporti
387. ipline une autre qui est apparue qu une s paration entre les jeunes tenniswomen et les pratiquantes des autres disciplines Le distinguo que nous avons fait entre intention de capitalisation et intention de rentabilisation rend compte de cette divergence La deuxi me pr cision apporter est que c est une notion de culture disciplinaire et non la seule pratique sportive sp cifique qui est en cause dans cette diff renciation des attitudes des jeunes filles face la perspective de capitalisation rentabilisation Entre en ligne de compte l origine familiale qui participe en amont au choix de la discipline avant d influencer les choix d orientation professionnelle De m me les moeurs et usages tant institutionnels qu individuels qui ont cours dans chacune des disciplines concourent en constituer une v ritable culture dont sont impr gn es les jeunes filles et qui influence sans aucun doute leurs choix A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un
388. iques Les s quences observables du montage commencent par l image d un joueur en position d attente au fond du court et se terminent l instant pr cis de l impact de la balle dans sa raquette Ainsi les informations relatives la trajectoire de la balle sont occult es Deux s ries de s quences ont t r alis es l une premi re s rie dans laquelle la moiti sup rieure du corps a t occult e l autre deuxi me s rie dans laquelle on a cach la moiti inf rieure Chacune de ces deux s ries compte 40 s quences qui concernent 10 revers crois s 10 revers d crois s 10 coups droits crois s 10 coups droits d crois s r partis dans le d sordre l int rieur de chaque s rie Une dizaine de secondes s pare les s quences une minute environ s pare les deux s ries Chacune des s quences dans chacune des s ries peut tre identifi e par un num rotage de 1 40 qui correspond au num rotage des feuilles de r ponse Apr s pr sentation de cinq s quences de familiarisation les sujets sont invit s se prononcer sur le type de coup qui va caract riser le renvoi revers crois revers d crois coup droit crois coup droit d crois Enfin une derni re exp rimentation men e avec 12 tudiantes en E P S a tent d identifier les indices d terminants de ce processus d anticipation Conclusion L observation des joueurs de tennis de tr s haut niveau montre que ceux
389. ir p 42 gt gt ELABORATION D UN OUTIL INFORMATIQUE DE SAISIE ET DE TRAITEMENT AUTOMATIQUE DES DONNEES D OBSERV ATIONS DE MATCHES DE VOLLEY BALL avec Druenne F 1986 voir p 97 gt gt GRILLE DE RELEVES D ENTRAINEMENT en Volley ball avec Lamouche C 1986 voir p 97 gt gt FICHE D OBSERVATION DE COMBATS ASPECTS TECHNICO TACTIQUES en Judo debout avec Rambier R 1987 voir p 64 gt gt SAISIE D OBSERVATIONS A PARTIR D UN CLAVIER CONCEPT KEYBOARD OU CLAVIER DIGITAL en Basket ball avec Diop A 1988 voir p 25 en Basket ball avec Desert I 1989 voir p 27 en Volley ball avec Lebleu M C 1989 voir p 98 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en Basket ball avec Vanaghs I 1990 voir p 29 en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 en Handball avec Prat J L 1992 voir p 60 gt gt EVALUATION DE PRESTATIONS EN G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt FICHES D OBSERVATION EN JUDO avec Sudre P 1989 voir p 65 gt gt GRILLE D OBSERVATION EN G R S avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt FACTEURS D OBSERVATION D UNE ATTAQUE PLACEE IDENTIFICATION DES ACTIONS DECOUPAGE EN SECTEURS ET ZONES D UNE AIRE DE JEU en Basket ball avec Vanaghs I 1990 voir p 29 gt gt TABLE DIGITALISANTE SUMMAGRAPHICS en Basket ball avec Diop A 1988 voir p 25 en Football avec Kae Oula 1988 voir p 45 en Judo avec Roux P 1990 voir p 67
390. ises en oeuvre par de tr s jeunes joueurs a permis d envisager l influence des facteurs de personnalit sur l efficacit du traitement de l information Dans une t che dite intellectuelle la non inhibition de la premi re r ponse peut tre n faste si c est une erreur Le r fl chi qui prend son temps peut liminer la mauvaise r ponse et trouver la bonne Dans une t che perceptivo motrice dur e libre l impulsif a une plus grande probabilit de donner de bonnes r ponses bien qu il risque aussi de produire de nombreuses r ponses fausses Dans une t che perceptivo motrice contrainte temporelle de l ordre de la demi seconde ce sont les sujets qui adoptent une attitude interm diaire entre les deux situations pr c dentes Cette fois ci les r sultats ne sont pas d termin s par une fonction croissante du temps ou de la vitesse mais par une fonction exponentielle du temps de traitement de l information C est ainsi que doivent tre envisag s dans le cadre de l apprentissage les changements de strat gie qui r sultent de la maturation de l enfant 5 ans les temps de r action sont les plus longs ceci peut tre d aux faibles capacit s de traitement de l information des trajectoires de balle Les trajectoires de d placement la balle sont directes par manque d int gration visuelle pendant la course Ce d faut d information entra ne un arr t brutal au niveau de la balle
391. issement Les syst mes de d fense en handball Formalisation th orie et r alit AKPA G 1992 107 p 4 p de bibliographie 31 r f rences annexes Population d exp rimentation Joueurs du championnat de France premi re division des quipes masculines N1A saison 1991 92 Au total 14 rencontres matches aller concernant les clubs de N mes Cr teil V nissieux et Vitrolles Protocole exp rimental Observation partir de cassettes enregistr es l quipe qui re oit se voit d sormais contraint de renvoyer dans les quarante huit qui suivent une rencontre une copie de la cassette vid o du match r glement de la F F H Les crit res externes observables constitutifs de la grille d observation sont les suivants moment de jeu dur e score dispositif de d part zone ou homme homme demi centre avant centre avant centre deux pivots flottement pressing stricte changement glissement interception marquage d fense combin e Trois rubriques permettent de classer les actions terminales caract ristiques du rendement de la phase d fensive 1 La vuln rabilit qui caract rise l chec de la d fense dans son objectif de protection du but actions cr dit es l attaque adverse tir de loin tir de pr s tir sur jet franc etc actions mettre au passif de la d fense faute de marquage manquement dans l agressivit faute de flottement etc 2 La reconqu te du bal
392. it dans le plein jeu en priorit comme dans les phases de fixation mais aussi dans les phases statiques 2 sur la capacit des joueurs suppl er dans n importe quel r le provisoire ce que le jeu exige acceptant en fonction du contexte situationnel de prendre tout moment l initiative qui s impose Deux aspects apparaissent comme particuli rement significatifs d une part concernant l attaque la capacit produire des mouvements complexes efficaces d autre part la capacit exploiter de mani re justifi e les r cup rations de balle Histoire politique du conflit des deux rugby en France de l entre deux guerres la guerre froide Origines cons quences et perspectives analys es au moyen des logiques internes respectives Ou bien Rugby XV et Rugby XIII le dogme et son doute FASSOLETTE R 1996 512 p 9 p de bibliographie 150 r f rences bibliographie presse et revues M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage gt SKI DE FOND ALPIN Avenir social des skieurs et des cyclistes de haut niveau Etude des probl mes pos s par le devenir social des skieurs et cyclistes de haut niveau Propositions et suggestions SAURIN J F 1978 233 p 17 de bibliographie 146 r f rences annexes tr s importantes dont mod le du questionnaire ayant servi l enqu te M moire non r sum dans le cadre de cet ouvr
393. itantes la Natation sprint C et L l Athl tisme 1 2 fond Long et Court Quelques pistes auraient m rit davantage d investigations parmi celles ci les effets hormonaux l impact du stress l influence des biorythmes etc e RENFORCEMENT MUSCULAIRE ETUDE DE LA SPECIFICITE ANGULAIRE D UN ENTRAINEMENT ISOMETRIQUE Th paut Mathieu C 1982 96 p 16 p de bibliographie 136 r f rences annexes dont r sultats enregistr s diff rents angles de mesure Population d exp rimentation Trois groupes de 8 sujets masculins sont entra n s un angle donn de l articulation du coude Un quatri me groupe qui ne subit aucun traitement sert de contr le Aucun des sujets n a suivi dans les cinq derni res ann es un entra nement de musculation Pendant l exp rimentation aucun ne poursuit par ailleurs un entra nement physique particulier Protocole exp rimental L entra nement consiste en une r p tition d efforts isom triques des fl chisseurs du coude respectivement aux angles de 25 groupe O comme ouvert 80 groupe M ou 120 groupe F partir de l extension compl te L entra nement se d roule sur 5 semaines raison de 3 s ances par semaine Une s ance comporte 5 s ries de 5 efforts Chaque efforts correspond une contraction isom trique ex cut e 80 des possibilit s maximales du jour mesur e apr s chauffement dans la position d entra nement Les efforts se s
394. ite qu il peut et le faire autant de fois que possible en 30 secondes Concernant le Plate taping Le sujet doit alternativement toucher la plaque m tallique et la plaque de bois La force de l impact n entre pas en ligne de compte Le sujet s assied le bras au milieu entre les deux plaques Sans prendre appui avec son autre main il saisit le stylet et d place sa main alternativement de droite gauche le plus vite possible pour toucher chaque plaque Concernant le test de marche sur le rebord d une ar te le sujet doit marcher 40 m sur la bordure d une piste d athl tisme de 5 cm sa base et de 5 cm de haut avec un arc de cercle son sommet Concernant le test d quilibre les yeux ferm s le sujet doit rester en quilibre le plus longtemps maximum 90 sec sur le pied qu il pr f re tout en conservant ses mains sur les hanches Concernant la flexion avant du tronc Le sujet est plac debout sur un le banc au moins 40 cm de haut ses jambes tendues les pieds arrivant au bord du banc On lui demande de descendre le corps le plus bas possible et en ayant les bras tendus de chercher aller le plus bas possible avec ses mains Concernant enfin le test d amplitude de la souplesse Le sujet garde les pieds en place et tend le bras droit sur le c t hauteur d paule Sa paume est face en avant les doigts allong s et r unis A partir de cette position il se tourne vers Parri
395. ivant les deux m thodes susmentionn es Exp 10 idem l exp rience 8 mais le sujet est soumis une pression temporelle Exp 11 structure artificielle d escalade am nageable selon diff rentes modalit s trois niveaux d inclinaison du mur trois profondeurs possibles pour la prise variable de pied et la prise variable de main Au total 27 t ches peuvent tre propos es aux grimpeurs on demande chaque sujet d valuer le niveau global d exigence de chaque t che suivant diff rentes modalit s avant de tenter une t che apr s travail et r ussite de la t che suivant l chelle classique apr s travail et r ussite selon la m thode d estimation des grandeurs Un m me travail de r flexion est propos en ce qui concerne l valuation de l effort requis et au sujet de la difficult informationnelle m thode d estimation des grandeurs Conclusion Le d veloppement actuel des structures artificielles pose un probl me celui de l adaptation permanente des exigences de t ches aux ressources des sujets L approche psychophysique semble dans cette optique permettre de cerner plus pr cis ment le concept d exigence objective en rendre possible la quantification et par l l utilisation syst matique dans une vis e didactique ou comp titive C est en tout cas ce que semblent attester les diff rentes investigations men es dans des t ches de grimper L ambition pourrait aboutir un jour u
396. ivante F C M A F C Max Terrain x 0 9 Amplitude a robie Connaissant ses limites personnalis es le coureur devrait alors provoquer des situations tactico techniques respectant la physiologie tout en manoeuvrant ses adversaires pour les emmener hors de leurs capacit s Cependant la zone rouge ne semble pas tre un crit re de d termination de la valeur sportive alors que l amplitude a robie diff rencie significativement les niveaux de pratique La d tection des jeunes talents et le perfectionnement de l lite pourraient tre int ress s par cette approche Une approche qui souligne l importance de la gestion des facteurs informationnels ou tactico techniques dans la r solution de t ches de type nerg tique DANSE EXPRESSION Contribution l analyse du r le de l image dans les activit s d expression aspects psychologiques FABLET A 1977 80 p 3 p de bibliographie 57 r f rences Voir rubrique THEMES GENERAUX 1977 Contribution l analyse du r le de l image dans les activit s d expression aspects perceptifs LE CORVAISIER S 1977 104 p 4 p de bibliographie 30 r f rences Voir rubrique THEMES GENERAUX 1977 Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures ui les accueillent DONZEL GAYE C 1994 309 p 5 p de biblio
397. ives et nous avons compl t nos informations par des discussions avec des joueurs et joueuses et une analyse bibliographique Les informations ont t regroup es autour de quatre th mes principaux 1 Place de l individualisation dans l entra nement 2 L habilet du joueur 3 D veloppement des qualit s physiques g n rales et sp cifiques 4 Intelligence et autonomie du joueur Conclusion La pr sentation de la recherche sans sommaire et sans v ritable conclusion ne permet pas de rendre compte sous forme r sum du haut niveau de r flexion dont t moigne l auteur Au del de la forme nous retenons avec int r t la qualit des suggestions exprim es par l ancienne championne sur la question de l individualisation de l entra nement Notre propre exp rience de joueuse et notre tude de l volution du jeu et de l entra nement nous am ne penser qu il y a une relation troite et positive entre le niveau de pratique atteint par un pays et l importance accord e l individualisation de l entra nement du perfectionnement du joueur au sein des quipes Les grandes quipes poss dent toujours de grands joueurs qu elles ont pour une grande part fa onn s Concernant les diff rences de conceptions il semble que les joueurs Fran ais par rapport leurs homologues trangers en guise de r f rence les meilleures nations ne b n ficient pas de suffisamment de temps d entra nement pour
398. ivit s physiques la femme manifeste galement son besoin de rivaliser mais celui ci vise davantage la recherche de son propre d passement Son comportement vis vis des autres est marqu par le sens de la sociabilit Elle est coop rante mais sans pr senter pour autant de tendances accentu es ni la soumission ni la dominance Concernant la deuxi me hypoth se la v rification nous permet de confirmer l existence d une sp cificit des caract ristiques psychologiques de l athl te en fonction des sports pratiqu s C est ainsi que nous avons pu constater l extr me diff rence des profils psychologiques des judokas et tireuses l arc par exemple L auteur se propose la suite de brosser un rapide portrait type des pratiquantes dans les diff rents sports tudi s en guise d exemple consid rons le cas de trois sports sur lesquels peu de recherches ont pu tre enregistr es dans le cadre de cet ouvrage les Rameuses se distinguent des autres athl tes par un d sir de surpassement et une dominance marqu e associ s une forte agressivit caract ris e par des d charges impulsives Peu anxieuses elles pr sentent par ailleurs une bonne stabilit motionnelle ainsi qu une r sistance au stress satisfaisante Plut t extraverties elles sont port es vers autrui et se montrent coop ratives les Plongeuses font preuve d une excellente r sistance au stress Ce sont des sportives an
399. ixe 2 me exp rimentation le syst me ergom trique ARIEL 5000 de l LN S E P a permis de cerner les niveaux de force d ploy s par les judokas et les boxeurs dans les deux mouvements que sont le d velopper couch et le tirage Les tests pratiqu s avec cet ergom tre permettent notamment d valuer les capacit s de force et de puissance musculaire du judoka diff rentes vitesses gestuelles Proc dure le sujet est en position standardis allong quel que soit le test sur le dos ses jambes sont semi fl chies et reposent sur le support pied ses mains sont plac es en pronation sur la barre l cartement correspond la largeur des paules Dans la cas du d velopper couch la barre est situ e la hauteur de sa poitrine au niveau des mamelons et le sujet doit pousser sur la barre le lus vite possible pour arriver l extension compl te des bras dans le cas du tirage le sujet a les bras tendus en position verticale et doit amener la barre le plus vite possible la hauteur de sa poitrine Une ceinture de fixation au niveau du tronc maintient le sujet plaqu sur le banc pendant l ex cution du mouvement La proc dure du test comprend trois phases 1 D terminer l amplitude du mouvement le sujet effectue une fois l exercice vide 2 Mesurer la vitesse maximale l athl te ex cute une fois l exercice vitesse maximale La r sistance oppos e au mouvement est de deux kilo la vitesse est calcul e sur une
400. l exp rience n a malheureusement pas permis de souligner l effet particuli rement favorable d un mode de pr paration par rapport l autre la pr paration fonci re dont le principe organisateur est le d veloppement long terme des qualit s physiques ne permet pas que l on appr hende son int r t autrement que d un point de vue diff r dans le temps Cette d marche parait n anmoins tre la seule susceptible de conduire les jeunes sportifs sur une dynamique d accession au haut niveau Nous retiendrons tout particuli rement l effort important d analyse et de quantification des charges dont t moigne cette recherche peu d auteurs en effet ont os s attaquer au probl me de la planification et de la programmation long terme Athl tisme course de haies hautes Contribution l tude des relations entre la vitesse de course sur le plat et la vitesse de course sur le parcours de haies hautes AUBERT F 1986 129 p 4 p de bibliographie 39 r f rences Population d exp rimentation 39 gar ons sp cialistes du 110 m tres haies g s de 17 29 ans dont le degr d expertise se situe entre les niveaux R gional et International Protocole exp rimental Apr s l laboration de 6 parcours tests vitesse haies enregistrement de mesures sp cifiques par le chronom trage vid o des performances sur chacun des 6 parcours des mesures anthropom triques e
401. l les la ligne de fond un espace bas zone basse un espace moyen zone moyenne et un espace haut repr sentant la zone la plus loign e du panier Le d coupage vertical nous donnera des indications quant la concentration lat rale des joueurs ce d coupage est diff rent selon l espace horizontal dans lequel il se situe Il nous semble en effet que plus nous nous rapprochons du panier plus les positions des joueurs doivent tre d finies avec pr cision parce qu ils voluent dans un espace de plus en plus r duit B L identification du statut des joueurs Le Meneur 1 le Deuxi me arri re 2 l Ailier tireur 3 l A lier rebondeur 4 le Pivot 5 C L identification des actions les actions du Porteur 9 cas ont t pr vus l action commune au Porteur et aux non porteurs Le processus de saisie un couple t l vision magn toscope VHS avec une t l commande infra rouge qui permet l avance image par image un clavier concept keyboard distribu par la firme SOLUTION Bruxelles reli un micro ordinateur du type PC AT Le keyboard a une configuration en deux parties la premi re est une reproduction sch matique de la moiti d un terrain de basket ball d coup en 14 secteurs cette partie est r serv e la localisation sur le terrain des cinq joueurs attaquants et du ballon la deuxi me partie r pertorie 19 actions diff rentes r parties en 9 actions qui co
402. la cheville passant par les mall oles interne et externe L angle du genou est fix 120 par r glage du si ge dans le sens ant ro post rieur celui de la cheville 110 en fixant la plaque l inclinaison d sir e Impulsion lectrique de 1 milliseconde de dur e d livr e par un stimulateur isol DISA raison de 1 toutes les 3 secondes La perturbation m canique elle se fait l aide d un marteau commande lectromagn tique d clench partir du DISA Ce marteau est fix sur la plaque sur laquelle repose le pied Sa hauteur est r gl e de fa on obtenir la r ponse T de plus grande amplitude De m me que pour les lectrodes de recueil un rep rage de la hauteur du marteau par rapport la plaque est effectu Celui ci percute le tendon d Achille avec une intensit constante et raison d une frappe toutes les 3 secondes 2 Concernant le test biom canique il a consist en une estimation de la valeur de la compliance de la composante lastique s rie du triceps sural droit par la m thode du quick release Description banquette pour r duire l effet de la pesanteur le sujet est en position allong e son pied droit est attach par des lani res une plaque m tallique qui est mobile elle tourne autour d un axe vertical de rotation sur lequel est plac un potentiom tre mesure du d placement angulaire du pied cet axe co ncide avec celui de l articulation de
403. lade avec Deligni res D 1990 voir p 40 gt gt COMPETITION SIMULEE EN G R S avec Barri re S 1990 voir p 55 gt gt TESTS DE BATTERIES issus des batteries EUROFIT EVAREG et FLEISHMAN en Voile Olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 gt gt TESTS DE TERRAIN POUR MESURE DE LA DETENTE DONT SAUT VERTICAL SELON LA TECHNIQUE D ABALAKOV croissance et performances de courte dur e avec Benboubker N 1991 voir p 122 gt gt TEST DE 50 M BRASSE en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt DEPARTS EN COULEE SURFACE ET PROFONDEUR en Natation avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt TESTS DE TERRAIN POUR MESURE DU DEVELOPPEMENT DES APTITUDES courses de 50m 300m de 2000m saut en longueur sans lan lancer de balle 500g course navette de 20m avec paliers d 1 min sur une population d enfants et d adolescents Ivoiriens avec Dao L 1992 voir p 124 gt gt TEST DE TERRAIN LE SAUT EN LONGUEUR SANS ELAN COMME TEMOIN DU NIVEAU DE FATIGUE MUSCULAIRE en D cathlon avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt TEST DE SAUT ABALAKOV ET TEST DE TRACTIONS BARRE FIXE en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt TEST DE DRIBBLING EN FOOTBALL AVEC EMETTEUR DE BIPS SITUATION DE DOUBLE OU TRIPLE TACHE MOTRICE AUDITIVE ET VERBALE avec Ouattara O 1993 voir p 46 gt gt TEST DE 3 HEURES DE MARCHE ATHLETIQUE avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt LE KILOMETRE EN CYCLISME avec Demen
404. latives la pr action questions relatives la s miotricit et une forme plus sp cifique puisque li e au poste occup par le joueur pr action sp cifique au poste questions relatives la s miotricit celle des autres joueurs la sienne propre Les interviews il s agit de joueurs internationaux ayant jou ou effectu leur apprentissage avant 1964 1964 est une date importante en fait c est une date charni re parce que c est la fin des g n rations de joueurs qui ont appris jouer spontan ment dans les cours d cole sur les places de village et qui ont t peu soumis aux directives d un technicien Par contre les g n rations qui d s cette date p n trent sur les stades ont re u une formation tout fait diff rente fortement marqu e par un directivisme s employant de surcro t dispenser un enseignement analytique Telle est notre premi re raison de penser que ce sont essentiellement des conditions d apprentissage diff rentes qui peuvent expliquer les diff rences de jeu entre les g n rations de joueurs ant rieures et post rieures 1964 Une autre raison est li e la quantit de jeu pratiqu durant l apprentissage De dix quinze heures hebdomadaires de jeu libre ou spontan on est pass deux ou quatre heures d exercices analytiques et de jeu dirig Analyse de s quences film es il s agit de trois s quences de jeu d ploy s extraites de deux matchs intern
405. le la priorit donn e la r partition des fonctions et une co activit tactique Deux sous hypoth ses au caract re original m ritent galement d tre voqu es 1 la pratique des sports collectifs et des sports de plein air constitue une activit compl mentaire au d riveur en double et peut am liorer les performances en r gate 2 l analyse et la corr lation de r sultats des r gatiers des tests psychologiques et psychosociologiques peuvent favoriser la formation d quipages Les conclusions sont les suivantes la recherche exp rimentale a mis en valeur l int r t prioritaire accord par les coureurs de haut niveau aux aspects tactiques et relationnels et la r partition des fonctions de l quipage en particulier dans le domaine tactique Il appara t que la tactique presque exclusivement labor e par le barreur dans un premier temps ne reste pas avec l l vation du niveau la sp cialit d un individu mais concentre l attention de l quipage dans sa totalit Une diff rence est notamment apparue concernant cet aspect particulier entre quipages de niveau national et quipages de niveau international pour les premiers l laboration tactique s op re presque exclusivement par le barreur Pour les seconds elle devient la coactivit prioritaire de l quipage Parmi les facteurs d terminants de la performance se d gagent galement le temps de pratique et notamment
406. le de ressentir Effectivement dans la plupart des esprits victoire signifie indiff remment succ s r ussite la d faite par contre c est l chec Nous avons pourtant vu que la victoire en sport est exceptionnelle En fait elle ne peut qualifier que le premier La d faite avec plus ou moins de fr quence est le lot de tous les sportifs En relativisant ces deux notions victoire et d faite nous aboutissons au sentiment de r ussite et celui d chec Ind pendants de la victoire ou de la d faite ces sentiments traduisent ce que les sportifs ressentent lorsqu ils confrontent leurs r sultats au but qu ils s taient fix s Certains constats ont pu n anmoins tre tablis 1 les athl tes qui s entra nent quotidiennement manifestent de la r ticence avouer un sentiment d chec 2 leur position vis vis de l institution I N S E P exclut qu ils se per oivent ou soient per us en situation d chec r p t 3 nous avons rencontr une cat gorie de sportifs qui ne ressentaient ni sentiment de r ussite ni sentiment d chec Cet tat d quilibre peut tre consid r comme provisoire parfois le sportif n a pas encore acquis une conscience nette du rapport qu il doit instaurer entre r sultats et attentes 4 P hypoth se selon laquelle les athl tes issus des C S P les moins favoris s seraient plus enclins que les autres prouver un sentiment d chec n a pas t confirm e
407. lectuels diff rents ayant suivi le m me apprentissage S il est un autre facteur qui conditionne bien l exploitation du document vid o c est l tat d esprit du sujet et du groupe lors de la visualisation Les diff rentes situations dans lesquelles nous nous sommes successivement trouv nous ont amen estimer autour de 4 ou 5 le nombre optimum de spectateurs autour de l cran TV Ce nombre permet une plus grande richesse dans les remarques faites pendant l observation et il vite les nuisances occasionn es par un groupe plus volumineux bruit remarques hors sujet concentration moindre etc Or avec nos jeunes scolaires nous tions toujours entre 12 et 15 que de sources de distraction Nous sommes convaincu que c est la m me attitude mentale vers laquelle il faut tendre face l cran vid o demander au spectateur de faire comme si c tait lui qui tait la place de celui qu il regarde la limite le persuader qu il est vraiment sur la piste en train de se perfectionner ou de tirer Cet effort ne va pas sans une transformation de la relation p dagogique Nous en avons d j parl si c est la simple ob issance ou la politesse l mentaire qui am ne le pratiquant utiliser le magn toscope cela ne sert rien L enseignant ou l entra neur doit amener ses prot g s soup onner d abord en tre convaincu ensuite la valeur de ce moyen technologique de mani re ce qu
408. les de saisie de matchs Population d exp rimentation Basketteurs pr sents au tournoi International Junior de Mannheim avril 1987 Ce tournoi regroupe dans cette cat gorie d ge les meilleurs quipes Mondiales au total 16 quipes r parties suivant 4 poules Protocole exp rimental Cam ra et magn toscope possibilit d incruster le temps sur l image vid o au 1 100 me 22 rencontres ont t enregistr es 10 se sont r v l es exploitables L observation proprement dite s est d roul e en deux phases vid o informatique l aide des outils propos s par l Universit Libre de Bruxelles observation lectronique observation au papier crayon pour les types de d fense afin de compl ter l observation de fa on optimale observation manuelle Concernant l observation lectronique ou vid o informatique un ensemble moniteur magn toscope pour la lecture des cassettes le clavier sp cialis de Basket avec ses touches configur es en actions clavier concept Keyboard membrane sp cialis e la table digitaliser pour la spatialisation ou le suivi du ballon un micro ordinateur compatible IBM PC AT de marque CANON une imprimante de marque EPSON FIX 100 pour sortir les r sultats Concernant la table digitalisante c est une table summagraphics de type A3 sur laquelle est dispos e un terrain de Basket ball Il comporte un stylo magn tique permettant de suivre les d
409. leur permettre d aborder les tapes suivantes dans les meilleures conditions L auteur proc de ensuite l laboration d une v ritable programmation adapt e l objectif qu il s est assign pr parer de jeunes skieurs dans de meilleures conditions pour leur avenir sportif Sur un plan concret il est apparu que de grandes diff rences pouvaient exister entre des sujets d un m me ge de ce fait il est indispensable que la programmation prenne en consid ration les caract ristiques de chacun et soit donc parfaitement individualis Il n y a pas de mod le applicable tous L id e d un sch ma conducteur doit tre conserv pour mettre en place ce qui para t primordial au niveau des jeunes la n cessit d un travail foncier cons quent en d but de saison d entra nement physique Evaluation de jeunes skieurs de fond Incidences sur les formes de comp tition et d entra nement AZIZOLLAH G 1981 195 p 14 p de bibliographie 125 r f rences Population d exp rimentation Deux classe de l cole l mentaire d Autrans Is re regroupant des l ves de CE2 CM1 et CM2 se sont pr t es aux exp rimentations ge de 8 1 ans Cette population se compose de 29 filles et de 24 gar ons pour la premi re exp rimentation de 27 filles et de 30 gar ons pour la seconde Tous pratiquent le ski alpin et le ski de fond pendant la p riode hivernale dans le ca
410. llon Etude compar e de d placements et d actions de jeu individuelles deux niveaux de comp tition VASSOULEYMANE T 1991 78 p 3 p de bibliographie 38 r f rences annexes performances du pr test performances physiques performances techniques graphiques Population d exp rimentation Pr test Safet Susic et Umpierrez sont deux meneurs de jeu qui semblent avoir les m mes r les dans leurs quipes respectives Moins sollicit s tactiquement sur le plan d fensif ils sont dot s d une grande vision de jeu et d une technique remarquable qui font d eux d excellents distributeurs de balle lors de la phase offensive et partant de grands meneurs de jeu dans leurs clubs respectifs Tous deux sont des Internationaux dans leur pays Ils ont particip des rencontres de Coupe du monde Susic avec la Yougoslavie en 1990 et Umpierrez avec l Uruguay en 1978 Exp rimentation 11 rencontres de football de l re et 2 me division ont t film es avec comme protagonistes permanents soit l quipe du P S G soit celle de l US Cr teil Pour le choix des athl tes retenus le nombre de matches jou s a t pr pond rant Nous avons s lectionn ceux qui ont livr le maximum de rencontres nous avons port notre choix sur Zlatko Vujovic attaquant Safet Susic milieu de terrain et Franck Tanasi d fenseur A PU S Cr teil les sujets observ s sont Faucher
411. lon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle Consulter cet effet le travail r alis par DONZEL GAYE C 1994 Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent Voir rubrique THEMES GENERAUX 1994 gt NATATION SYNCHRONISEE La natation synchronis e en France de 1973 1988 Histoire technique et culturelle de la chor graphie gt BARRAUD N 1989 140 p 9 p de bibliographie plus de 160 r f rences annexes volution du r glement chronologie des principaux v nements les femmes dans la vie sportive olympique analyse de contenu du journal Natation 1973 1988 analyse de contenu des entretiens de juges internationaux analyse d images magn toscop es de chor graphies de haut niveau Ci apr s le d tail de ce qui est pr sen
412. lon qui se traduit par une tentative d exploitation imm diate en contre attaque 3 La reprise d initiative qui voit l quipe venant de r cup rer le ballon passer dans le camp oppos sans se soucier de prendre de vitesse le repli d fensif adverse Conclusion L objet de la recherche consiste isoler les crit res observables de l ext rieur qui permettent de distinguer les diff rents syst mes de jeu en d fense La classification des syst mes de d fense en homog nes et en h t rog nes constitue l un des int r ts de cette tude qui pose bien le probl me de la caract risation des conduites collectives Et ce d autant plus que l observation descriptive nous montre que fleurissent de plus en plus dans la pratique du haut niveau des d fenses que tous les auteurs regroupent en d fenses mixtes ou combin es Un fait m rite cependant d tre mentionn on peut affirmer que les syst mes de d fense de Zone reprennent l initiative reconqu te de la balle de mani re plus positive que les d fenses Homme Homme puisque statistiquement la reprise d initiative se conclut tr s souvent par une contre attaque Analyse des composantes temporelles du jeu d attaque en handball PRAT J L 1992 128 p 5 p de bibliographie 31 r f rences annexe r sultats Population d exp rimentation Observation de 10 rencontres int ressant les 10 premi res
413. ls sont galement dynamiques et tenaces Une tude se r f rant un chantillon beaucoup plus large de basketteurs de haut niveau s imposerait pour v rifier la validit des donn es concernant les aspects relationnels Anoter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle Consulter cet effet le travail r alis par DONZEL GAYE C 1994 Les jeunes haute charge de
414. lui du formateur ou de l entra neur qui agit sans avoir pr alablement proc d une analyse des moyens qu il utilise Nul comportement ne peut tre plus craint que celui du formateur ou de l entra neur qui reproduit ses exp riences ou reprend son compte des proc d s venus d ailleurs sans s tre v ritablement souci de l ad quation des solutions propos es aux probl mes qu il rencontre Dans ce contexte l affirmation de P Karli selon laquelle une notion th orique ou pratique c est nous qui rajoutons ce terme peut tre f conde d s lors qu on en use avec discernement mais elle cesse de l tre d s lors qu on en abuse en la sacralisant L homme agressif 1987 rev t une valeur tout fait particuli re Il faut apprendre aux hommes m me aux sp cialistes situer leurs connaissances dans un ensemble plus large H Laborit Le m tier v cu au quotidien et de fa on passionn e impose son lot d interrogations le poids des certitudes lorsque l on d sire exercer comme un v ritable professionnel conscient de ses responsabilit s pr sente le risque quand il devient trop important de rendre aveugle Aucune v rit n est pourtant ternelle C est bien souvent par l acquisition d un niveau de culture g n rale que l on devient m me de r soudre la plupart de ses probl mes quotidiens c est en s ouvrant de fa on concr te la connaissance d autres modes
415. lus importants que d autres ces m mes entra neurs ont class par ordre de priorit 1 les derni res minutes du match 27 sur 27 2 le d but de la deuxi me mi temps 23 sur 27 3 le milieu de la deuxi me mi temps 19 sur 27 le d but du match 16 sur 27 la fin de la premi re mi temps 15 sur 27 L enqu te aupr s des entra neurs experts ainsi que l analyse empirique semblent confirmer le fait que la deuxi me mi temps d une rencontre surtout lorsque l cart au score est r duit prend d autant plus de valeur que le temps s coule Diff rents tableaux sont pr sent s l un d eux met en corr lation l aspect stressant de diff rentes situations rapport de l cart au score par rapport aux minutes restant jouer en deuxi me mi temps un autre met en vidence les pourcentages de chances de victoires que s attribuent les entra neurs quand leur quipe rencontre une quipe class e la m me place dans certaines conditions de match Statistiquement des courbes ont pu tre tablies pour infirmer ou confirmer les propos des entra neurs carts au score observ s 20 minutes 30 minutes et 35 minutes et pourcentage de victoires Il ressort que les entra neurs apr s 20 minutes de jeu font une valuation plut t pessimiste de leurs quipes pour les carts au score positifs ils pensent avoir moins de chances de gagner que ne le prouve la r alit En revanche ils so
416. m La course en ligne est la sp cialit qui exige la plus forte consommation d oxyg ne 62 6 ml mn kg 61 3 ml mn kg pour la descente et 55 6 ml mn kg pour le slalom La comparaison de la consommation maximale d oxyg ne mesur e au cours d une preuve sur bicyclette ergom trique et sur simulateur kayak montre qu elle a toujours t plus lev e lors du travail de jambes A partir de droites de r gression calcul es par l auteur il serait possible d estimer le VO2 dans le geste du kayakiste partir soit d une preuve sur bicyclette ergom trique soit du test de COOPER sur 12 sujets observ s l erreur sur la pr diction n a pas d pass 10 sauf pour 2 sujets L tude de type psychologique a montr l existence d aspects communs aux trois disciplines l obstination l efficacit la domination la connaissance de soi Mais les r ponses ont galement permis de mettre en vidence la sp cificit de certains traits en fonction des disciplines pratiqu es ainsi la course en ligne est li e l acceptation de la souffrance et un niveau lev d obstination La descente correspond l attrait du risque et la recherche de l aventure Le slalom para t faire appel la r flexion l attrait du jeu et la ruse Il semble que de ce point de vue des similitudes puissent tre tablies entre les repr sentations qui manent des ducateurs et les r sultats qui ont t e
417. managerat se caract rise essentiellement par une adaptation des consignes donn es aux conditions mouvantes du jeu N est on pas en droit alors de penser que l entra nement doit permettre aux joueurs d acqu rir une connaissance strat gique et tactique du jeu qui leur permettent de r aliser eux m mes leur adaptation lorsque le besoin s en fait sentir Mais il ne nous semble pas que cette liaison entra nement managerat soir r alis e Les joueurs d couvrent bien des probl mes en jeu pour lesquels ils ne poss dent pas forc ment de r ponse Peut tre conviendrait il d envisager la formation et le perfectionnement des joueurs m me de haut niveau en troite liaison avec l acquisition de connaissances strat giques et tactiques qui semblent aujourd hui leur faire d faut Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby NERIN J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Voir rubrique THEMES GENERAUX 1986 Approche bio nerg tique de la pr paration physique au basket ball BUTEAU P 1987 120 p 6 p de bibliographie en deux parties 54 r f rences annexes dont r sultats et suggestions concernant l am lioration de l endurance sp cifique du basketteur Popula
418. mantes recherchent soit un tir pr s du cercle soit un tir trois points 2 Le tir trois points tend tre d clench dans les m mes conditions que le tir deux points ext rieur ce qui accro t l incertitude pour les d fenseurs 3 Modalit s d exploitation secteurs de terrain coulement de l attaque diff rencient quipes et joueurs Si le nombre de tirs trois points tent s semble se stabiliser autour de 20 de l ensemble des tentatives par quipe et par match l enregistrement des pourcentages d efficacit montre une tr s nette volution des r ussites pour la Yougoslavie l URSS et l Italie plus de 45 6 quipes sur 8 ont une plus grande adresse trois points qu deux points hors zone L avenir devrait nous amener enregistrer de nouveaux gains d efficacit car il est fort probable que nous sommes encore dans une p riode d adaptation Enfin la comparaison des joueurs masculins et des f minines met en vidence des comportements diff rents la rapidit de d clenchement la plus grande r ussite le plus grand nombre de fautes personnelles ainsi que la pers v rance pour la d fense homme homme chez les masculins se retrouvent dans l environnement du tir trois points La tendance amorc e au rapprochement ne s affirme pas encore dans le secteur du tir trois points La moins grande puissance physique des femmes serait elle responsable d une utilisation plus c
419. masculin ont t s lectionn s pour ce protocole parmi 48 athl tes volontaires Tous sont sportifs de Haut niveau et entra n s Volley ball Handball Athl tisme Ils constituent un groupe homog ne 23 5 ans 1m77 74 3 kg VO2 max de 58 6 ou 1 4 ml mn kg Ils ont subi 4 6 s ances d entra nement pr liminaire dont le but tait de les accoutumer l ergocycle et de les pr parer la r alisation d un exercice supramaximal Au terme de ces s ances et apr s avoir t avertis des risques que comportait cette tude ils ont sign un consentement crit L tude tait approuv e par l Institut National de la Jeunesse et des Sports et le Comit d Ethique National du Cameroun Afin de contr ler tout au long du protocole leur alimentation et leur activit physique les sujets ont t h berg s et restaur s l Institut National de la Jeunesse et des Sports de Yaound Protocole exp rimental Le protocole s est d roul dans des conditions de temp rature et d humidit constantes respectivement 22 3 ou 0 6 C et 53 ou 7 le laboratoire de l INJS tant climatis Il comprend 3 tests sur bicyclette ergom trique Ergom ca France s par s par des p riodes de 1 3 jours Etape 1 d termination du seuil ana robie 8 10 heures apr s le dernier repas du soir et apr s un petit d jeuner normal exercice triangulaire jusqu puisement lactat mies de repos et la fin de c
420. mble tre davantage le fait de la technique acquise et de la motivation que de la capacit r elle de l athl te les filles non entra n es ont en effet d velopp les m mes puissances pour la fr quence cardiaque donn e de 170 batt min preuve sur bicyclette que leurs camarades entra n es l inverse elles n ont pas d montr une motivation gale en ce qui concerne les exercices fatiguants et de longue dur e De ce point de vue la CT 170 ne s av re pas un test pr dictif de la performance Le test de Cooper ne s est pas av r tre un test discriminant les gar ons comme les filles parcourent une distance significativement non diff rente quel que soit leur ge chronologique et osseux ou quel que soit leur degr d entra nement Cependant ce sont des distances sup rieures celles r alis es par les enfants du B A P la population est donc sp cifique Le test de vitesse de 30 m tres est r v lateur chez les filles du degr de leur motivation Il est corr l avec la CT 170 le ski de fond et le test de Cooper il rend compte de leur aptitude physique Le test de ski de fond de 12 minutes s est r v l fortement corr l avec la CT 170 l exp rimentation test retest montre que cette preuve est un test valide reproductible et consistant Il pr sente d autre part l avantage d tre un test de terrain L auteur ach ve sa r flexion en voquant ce qui doit selon lui pr sider l labo
421. mble bien jouer un r le de pivot visuel autour duquel l ensemble de la prise d information visuelle s organise Cette zone semble constituer un point d ancrage informationnel d terminant d limitant ce champ utile de vision partir duquel s organise de la fa on la plus efficace possible le recueil des informations 2 Les moins experts se caract risent l inverse par une strat gie d clatement visuel Tout se passe en fait comme si le d butant privil giait la zone basse les poings 3 La vision p riph rique jouerait parall lement un r le tout fait particulier chez les internationaux l alertant de la survenue d un v nement ceci s explique vraisemblablement par le fait qu il a pu tre d montr que les sujets experts consultent en moyenne trois fois moins qu un sujet d butant A noter en fin de M moire des illustrations tout fait signifiantes de ce qui a t pr alablement mis en vidence par cet auteur CANOE KAYAK Contribution la connaissance du cano kayak Observation d un facteur physiologique la puissance a robie Observation d un facteur psychologique recherche de traits caract ristiques par discipline DRANSART G 1977 178 p 2 p de bibliographie 11 r f rences annexe r ponses Population d exp rimentation 119 cano istes et kayakistes ont t observ s 33 pratiquent soit la course en ligne soit la descente ou le
422. mod le p dagogique bas sur une relation 1 ma tre 1 l ve est difficilement applicable dans le cadre de l enseignement ce mod le s est malheureusement tabli au d triment d une pratique du plus grand nombre s impose une nouvelle conception de l approche de l activit Nous avons donc t amen s analyser l activit puis proposer deux types de p dagogie une traditionnelle et une fond e sur la d couverte et l utilisation rationnelle des solutions aux probl mes pos s Nous avons fait en sorte que ce soit le sujet en situation qui se construise ses propres strat gies Au del de l analyse extr mement r v latrice du discours des experts s imposent l issue de la recherche un certain nombre d interrogations les r sultats ne sont en effet pas venus confirmer les hypoth ses Quelques espoirs et quelques contradictions conduisent l auteur sugg rer qu une nouvelle r flexion s tablisse Contribution l analyse des facteurs de la performance en escrime par l utilisation d un test de r action visuomotrice LESEUR H 1986 129 p 11 p de bibliographie 94 r f rences annexes importantes exemple de r sultat d une fiche personnalis e l attention de l escrimeur et de son entra neur r sultats des tests de pr cision en fonction de l arme du sexe et de l ge tableaux r capitulatifs avant et apr s e
423. modalit s de r cup ration sur la concentration plasmatique du lactate DUFORT C 1983 79 p 5 p de bibliographie 34 r f rences annexes importantes comparaison des formes de r cup ration en pourcentage et r sultats individuels des nageurs Population d exp rimentation 7 nageurs du Bataillon de Joinville effectuant leur service national dans le cadre de l Ecole Inter arm es des Sports de Fontainebleau particip rent cette exp rience Le crit re d acc s au Bataillon de Joinville est la qualification en finale lors des derniers championnats de France Entr s l Ecole en octobre 1981 ces militaires b n ficient sous la direction d un entra neur National d un entra nement biquotidien et sont soumis aux m mes exigences de la vie militaire et sportive Moyenne d ge 19 6 ans Taille moyenne 1m79 pour un Poids de 71 9 kg Pourcentage de graisse 11 1 F C Max 180 batt min 1 VO2 Max 60 90 ml kg 1 min 1 Q R 1 01 Leur meilleure performance enregistr e les situe en moyenne 91 6 du Record du Monde au 31 12 81 Noter ce fait qu une pr exp rimentation a t men e sur des nageuses de niveau R gional et qu une partie du protocole a repos sur la participation de deux pentathl tes Protocole exp rimental A La pr exp rimentation 1 D termination des vitesse de nage au cours d un entra nement de club avec sept nageurs et nageuses de niveau R gional nous avon
424. moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e CONTRIBUTION A L ETUDE DU ROLE DE LA VALEUR ET DES LIMITES DE L IMAGE ENREGISTREE DANS L APPRENTISSAGE SPORTIF Simonet P 1977 129 p 4 p de bibliographie 42 r f rences Population d exp rimentation Pr exp rience classe de cours moyen 1 re ann e en situation d initiation au fleuret Exp rimentation principale deux classes de cours moyen 2 me ann e 27 l ves dans chaque classe de niveau scolaire sensiblement gal 5 juges 3 l ves ma tres d armes et 2 escrimeuses de Haut niveau ont constitu un jury charg d analyser les prestations des enfants Protocole exp rimental Concernant le choix de l activit support On peut consid rer qu une partie au moins de l initiation l escrime se fonde sur diff rents aspects fondamentaux de la motricit En premier lieu on recherche une certaine invariance des patterns moteurs de base L obtention de cette invariance trouve sa justification sur le plan de l conomie de la charge mn sique elle exerce un effet lib rateur ou de soulagement op rationnel Nous pouvons enfin mais avec prudence parler de cr ativit dans la motricit dans la mesure o on est amen parfois ex cuter des gestes qu on n a jamais fait auparavant m me au cours d une situation habituelle L appareillage des groupes s est fait sur la base de trois crit res la vitesse de r actio
425. morphologiques et biologiques de croissance 1983 155 p 14 p de bibliographie 127 r f rences annexes Voir p 115 gt gt VASSOULEYMANET Etude compar e de d placements et d actions de jeu individuelles deux niveaux de comp tition 1991 78 p 3 p de bibliographie 38 r f rences annexes Voir p 45 gt gt VIENS T La difficult en escalade Incidence de la localisation des prises 1992 112 p 8 p de bibliographie 73 r f rences Voir p 41 gt gt VILLEPREUX P Rugby de mouvement et disponibilit du joueur 1987 210 p 1 p de bibliographie 11 r f rences annexes Voir p 81 W gt gt WEISZ A Contribution l tude du managerat en basket ball Analyse des composantes 1982 150 p 3 p de bibliographie 45 r f rences annexe Voir p 23 Y gt gt YOUNDE MEYOUF Place et r le des croyances magiques dans les sports de comp tition au Cameroun 1978 122 p 7 p de bibliographie 62 r f rences annexes Z gt gt ZANIN P La communication inter individuelle dans un jeu collectif Essai de traitement automatique de l information 1985 276 p 4 p de bibliographie plus de 70 r f rences Voir p 118
426. moyen 34 ans Exp 7 14 grimpeurs de Haut niveau et 14 sujets constitutifs d un groupe t moin Exp 8 9 et 10 15 sujets masculins et f minins d ge moyen 34 ans Exp 11 18 grimpeurs de Haut niveau d ge moyen 27 ans et 5 mois Leur niveau m dian est en falaise de 7b vue et 7c apr s travail et en bloc de 6b vue et 7b apr s travail Protocole exp rimental Exp 1 pr sentation d une chelle de cotation de la difficult relative au grimper d une voie trac e au pr alable d extr mement facile extr mement difficile Exp 2 les sujets doivent situer sur une chelle de cat gorie en sept points d riv e de la RPE scale de Borg 14 activit s physiques en fonction de l intensit pr sum e de la d pense d nergie qu elles occasionnent Exp 3 chaque sujet se voit pr senter un questionnaire d crivant 27 t ches motrices et re oit pour consigne d estimer sur une chelle en 7 points chacune d elles r f rence une recherche de Seliger 1979 qui a mesur le co t nerg tique de ces t ches de type marche en fonction de la dur e de la vitesse de d placement et un ventuel temps de repos Exp 4 utilisation d une chelle de cotation pour valuation de l effort per u d extr mement l ger extr mement facile la suite d une t che de course sur tapis roulant les variables manipul es sont la vitesse de course et la difficult de la t che course libre c
427. mparaison des volutions de foul es BELLOC O 1988 222 p 1 p de bibliographie 10 r f rences annexes importantes relev s d taill s de courses Population d exp rimentation Sp cialistes Mondiaux du 400 m tres plat et du 400 m tres haies Comp titions de r f rence J O de Los Angeles 84 championnats d Europe de Stuttgart 86 championnats du Monde de Rome 87 Protocole exp rimental Lecture de cassettes par magn toscope pourvu de 4 t tes de lecture tr s performant dans les ralentis Utilisation parall lement d un moniteur de couleur de type professionnel d finissant une image de grande qualit Conclusion Cette tude extr mement fouill e pr sente de nombreux int r ts mise en vidence de mod les d volution des composantes de la vitesse pour le 400 plat et pour le 400 haies comparaison de l un l autre de ces mod les implications pratiques laboration de tables de correspondances Concernant l preuve de 400 plat l auteur exprime en ces termes le bilan de ses observations On retiendra principalement que les coureurs de 400 plat ne privil gient pas sp cialement une composante de la vitesse plus que l autre dans les 200 premiers m tres Par la suite ils semblent r partir de fa on sensiblement quitable entre l amplitude et la fr quence leur perte progressive de vitesse Par ailleurs il semble que pour l essentiel pr s de 75 cette m me perte de vites
428. mportantes Voir p 37 gt gt DESERT I Analyse du tir trois points en basket ball 1989 168 p 4 p de bibliographie 34 r f rences annexes Voir p 27 gt gt DI GIACOMO G Athl tisme entra nement la course de vitesse Comparaison de deux modalit s de pr paration en classe athl tisme tudes 13 15 ans 1984 104 p 7 p de bibliographie 53 r f rences annexes Voir p 13 gt gt DINH PHUNG R Traitement des informations visuelles et contr le de la locomotion du couple cavalier cheval en quitation de saut d obstacles 1985 77 p 8 p de bibliographie 67 r f rences annexes Voir p 39 gt gt DIOP A Contribution l analyse du jeu en basket ball L observation l aide du couplage vid o informatique 1988 135 r f rences 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes importantes Voir p 25 gt gt DONZEL J Contribution l tude d un profil de judoka de haut niveau l aide des tests de valeur physique de Fleishman 1979 132 p 17 p de bibliographie 146 r f rences Voir p 62 gt gt DONZEL GAYE C Les jeunes haute charge de travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent 1994 309 p 5 p de bibliographie 75 r f rences annexes importantes gt gt DRANSART G Contribution la connaissance du cano kayak Observation d un facteur physiologique la puissan
429. mportantes Voir p 74 gt gt POUGHEON M Effets de diff rents param tres de courant excito moteurs sur la force musculaire 1990 179 p 12 p de bibliographie 127 r f rences Voir p 121 gt gt POUILLART G Enseigner le judo aujourd hui une analyse sociologique 1979 252 p bibliographie ins r e apr s chaque partie annexes gt gt POUSSON M Contribution l tude des effets de la musculation excentrique sur les propri t s lastiques du muscle 1984 48 p 12 p de bibliographie 82 r f rences Voir p 117 gt gt POZZOT Etude du contr le sensori moteur d un quilibre de luxe l appui tendu renvers 1989 59 p 11 p de bibliographie 95 r f rences Voir p 54 gt gt PRAT J L Analyse des composantes temporelles du jeu d attaque en handball 1992 128 p 5 p 31 r f rences annexe Voir p 60 gt gt PRAT P Tennis de table Pr paration mentale et comp tition 1989 93 p 9 p de bibliographie Voir p 87 gt gt PRAWERMAN A Etude des C P E F f minins de volley ball approche psychosociale et sp cifique 1993 157 p 5 p de bibliographie 56 r f rences annexes Voir p 100 Q gt gt QUIEVRE J Mise en vidence de donn es bio m caniques communes certaines conduites motrices par l enregistrement vid o Essai d utilisation dans l enseignement de l anatomie fonctionnelle aux tudiants des U E R
430. mpte du niveau d entra nement taille poids vitesse de r action de choix simple au chronoscope d Arsonval lancer de face 3 mains sans lan et partir de la poitrine d une gueuse de 10 kg saut en longueur sans lan le test de force endurance qui est le temps de suspension une barre fixe r alis e bras avant bras 90 la d tente verticale mesure de la VO2 sur l appareil de Beckmann et la magnitude spatiale d apr s le vectrocardiogramme sachant qu avec un r sultat compris entre 2 et 3 le sujet est entra n selon un quilibre entre les qualit s d endurance et de r sistance Les performances r alis es aux tests sont r capitul es sous forme d un tableau il serait int ressant de r actualiser ces donn es Le test de frappe cible fixe de 12 5 cm de diam tre situ 1m du sol la plaque m tallique est elle m me recouverte d un caoutchouc dense de 1 5 cm d paisseur maintenu sa surface par un sac de tissu une mousse de 30 cm de c t et de 5 cm d paisseur tait d coup e autour du capteur l tude porte seulement sur des d placements segmentaires s effectuant dans le seul plan sagittal les mouvements de frappe lan circulaire ont t limin s la karat ka se situe toujours en en position debout le capteur de force n enregistre que les forces produites dans ce plan limitant ainsi notre analyse des frappes de balle d enfoncement Equipement L
431. n La question primordiale devient alors celle de l assimilation op ratoire c est dire celle de la prise en compte des diff rentes donn es dans une perspective d adaptation application un champ pratique Sous r serve cependant que ces connaissances satisfassent au double principe que tout ce qui est propos puisse attester d une part de l acquisition d un certain savoir avec les armes de la science et qu il puisse garantir d autre part de son efficacit au niveau de l optimisation des performances avec les armes du terrain Cette approche pr alable que nous qualifierons de type syst mique devient alors un v ritable tableau de bord panach de r flexion et diagramme d aide la d cision Nous voulons mieux comprendre comment au fil des ans les savoir faire se sont constitu s Nous cherchons identifier les trajectoires de ces techniques les logiques d innovation les voies de progr s choisies les l ments sur quoi porte la nouveaut les transformations des logiques d action des athl tes Nous cherchons d busquer les ruptures dans l volution v ritables recompositions mat rielles et symboliques des situations techniques P Goirand Techniques sportives et culture scolaire 1996 Jamais aucun ouvrage de mon point de vue n a trait ou abord sous un aspect aussi longitudinal et aussi transversal le probl me des connaissances acquises en mati re s
432. n Gymnastique sportive Barre fixe avec Boerio H 1984 voir p 50 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt FILME DEVANT UN REFERENTIEL DE MESURE en Karat avec Gottsmann F 1977 voir p 69 en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 en Gymnastique sportive Acrobatie avec Boerio G 1984 voir p 50 en Gymnastique Sportive Barre fixe avec Boerio H 1984 voir p 50 en Gymnastique avec Hosseini A 1991 voir p 55 en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt APPAREIL PHOTO en Golf avec Lofi A 1978 voir p 47 en Rugby avec Conquet P 1979 voir p 79 en Gymnastique Sportive Acrobatie avec Boerio G 1984 voir p 50 en Gymnastique Sportive Barre fixe avec Boerio H 1984 voir p 50 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 en G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt DIGITALIS ATION MANUELLE TABLE D ANALYSE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt CELLULES PHOTOELECTRIQUES CHRONOMETRIE en Athl tisme avec Di Giacomo G 1984 voir p 13 en Athl tisme avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt CHRONOMETRAGE VIDEO en Athl tisme avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt TABLE DIGITALISANTE en Basket ball avec Diop A 1988 voir p 25 en Football avec Kae Oula G 1988 voir p 45 en Handball avec Anti T 1991 voir p 58 en Handball avec Prat J L 1992
433. n e Celle ci tait trop impliquante et faisait intervenir la personnalit en premier plan La vid oscopie a un r le jouer dans l apprentissage elle doit tre un instrument d aide la construction de soi e CONTRIBUTION A L ANALYSE DU ROLE DE L IMAGE DANS LES ACTIVITES D EXPRESSION ASPECTS PERCEPTIFS Le Corvaisier S 1977 104 p 4 p de bibliographie 30 r f rences L exp rience nous a confirm dans l id e que le magn toscope n est pas un instrument miracle Nous avons constat que l apprentissage tait moins important avec le groupe exp rimental qu avec le groupe t moin On peut se demander en relation avec les th ories de l apprentissage moteur et de la m moire si le nombre de r p titions moindre pour le groupe exp rimental n a pas eu un r le dans l insucc s de l apprentissage En effet pendant que les enfant regardaient leur image ils ne s entra naient pas alors que pour le groupe t moin ce temps de visionnement tait consacr l apprentissage moteur Le probl me se poserait peut tre en termes diff rents si l exp rience avait t men e sur un nombre plus lev de s ances Il se peut que les l ves aient besoin de s accoutumer l image d eux m mes et cette nouvelle forme de travail avant que celle ci soit efficace L image comporte en r alit un certain nombre de signes et demande un important travail de d codage La pr sen
434. n la taille les r sultats scolaires une r partition en cinq classes a t effectu e et chaque classe une note a t affect e La vitesse de r action a justifi l emploi d un chronoscope lectronique avec r action un signal visuel Le sujet assis en lieu calme il est important qu aucun l ment perturbateur ne survienne dans le champ perceptif tenait la main une poign e munie d un bouton poussoir avec lequel il devait teindre le plus vite possible une lampe qui s allumait sur le chronoscope un rythme discontinu Chaque test consistait en la r p tition de 22 tentatives mesur es en centi mes de seconde par affichage digital Concernant la capacit d adaptation aux diff rentes situations que la vie scolaire impose terrain proche de l intelligence les ma tres ont volontiers accept de classer leurs l ves selon une chelle en cinq points D autres crit res auraient pu tre retenus le sexe la lat ralit Diff rentes strat gies p dagogiques ont t propos es groupe t moin son existence tait li e la n cessit de lui comparer en fin d apprentissage les volutions respectives des autres groupes groupes exp rimentaux groupe IV gr ce au concours de la vid o elle associait au contenu p dagogique commun une large pratique de l autoscopie groupe I l image cin matographique intervenait ici en tant que mod le d action groupe II d
435. n 1977 celui de l I N S E P Paris Ce changement institutionnel nous a permis de limiter nos investigations aux 20 derni res ann es 1997 constitue dans cette perspective le vingti me anniversaire d une formation qui nous l esp rons ne dispara tra pas LIMITATION DE NOTRE CORPUS A LA PROBLEMATIQUE DE L APPRENTISSAGE ET DE L ENTRAINEMENT SPORTIF Bon nombre de ces m moires ont t consacr s au domaine de l E P S ce ph nom ne est particuli rement perceptible lors de la fin des ann es 70 et lors du d but des ann es 80 Le lecteur int ress par l inventaire des tr s nombreuses recherches men es autour de ce champ d investigation pourra consulter en biblioth que un document r capitulatif de ces travaux sans pouvoir b n ficier cependant de l analyse qui aurait pu en d couler Seules les recherches ayant trait au domaine sportif et tr s pr cis ment au probl me de l apprentissage et de l entra nement sportif dans une perspective d optimisation de la performance ont retenu notre attention d analyste le traitement particulier dont elles ont t l objet est pr cis plus loin Il n a pas toujours t facile de cat goriser ces tudes de fa on syst matique toutes celles qui mentionnaient le nom d une DISCIPLINE SPORTIVE ont t retenues D autres traitant de questions sportives ont t reclass es dans une rubrique que nous avons voqu e sous l expression THEMES GE
436. n Natation avec Ria B 1981 voir p 72 gt gt PROPOSITIONS POUR L ORGANISATION DE L ENTRAINEMENT PENDANT ET APRES UN SEJOUR EN ALTITUDE en Football avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt CARACTERISTIQUES DU HAUT NIVEAU EN G R S PROSPECTIVE avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt PLANIFICATION DE L ENTRAINEMENT AU VOLLEY BALL EQUIPE FEMININE avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt PROGRESSION TECHNIQUE ET PEDAGOGIQUE EN ACROBATIE AU SOL PROPOSITIONS avec Boerio G 1984 voir p 50 gt gt OBJECTIFS DE L ENTRAINEMENT A LA BARRE FIXE avec Boerio H 1984 voir p 50 gt gt ESSAI DE PLANIFICATION ET DE PROGRAMMATION CHARGES APPLIQUEES A DES ADOLESCENTS en Athl tisme Vitesse avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt PROPOSITIONS CONCERNANT LA PREPARATION PHYSIQUE DU RUGBYMAN PAR POSTE avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt PROGRAMMATION DE LA TACTIQUE PAR RAPPORT AUX ADVERSAIRES QUE L ON VA RENCONTRER en Escrime avec Seitz P 1984 voir p 42 gt gt ENTRAINEMENT PROGRAMMATION PROPOSITION D UNE SYSTEMATIQUE Chor graphie et Gymnastique avec Brasier Y 1986 voir p 52 gt gt PROPOSITIONS D ENTRAINEMENT EN RUGBY LE JEU MODERNE avec Villepreux P 1987 voir p 81 gt gt PLACE DE LA PLIOMETRIE DANS L ENTRAINEMENT en Volley ball avec Berjaud S 1988 voir p 98 gt gt ORGANISATION DE L ENTRAINEMENT PLIOMETRIQUE en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt E
437. n Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 en Cano kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 interactions entre processus physiologiques et cognitifs avec Brisswalter J 1992 voir p 123 en Football avec Broche D 1994 voir p 47 apport glucidique avec Thiriet P 1994 voir p 126 gt gt FREQUENCE CARDIAQUE SPORT TESTER CARDIOFREQUENCEMETRE en Rugby avec Ladauge P 1984 voir p 80 en Basket ball avec Buteau P 1987 voir p 24 en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 en Football avec Kae Oula G 1988 voir p 45 en Cano kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p 55 en Pentahlon moderne avec Genard B 1990 voir p 77 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 en Handball avec Dubertrand H 1993 voir p 60 en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 en Football avec Broche D 1994 voir p 47 en Ath tisme Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 en Cyclisme avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt VO2 SUR TAPIS ROULANT PENTE DE 3 en Basket ball avec Buteau P 1987 voir p 24 gt gt VO2 FREQUENCE CARDIAQUE ET PARAMETRES RESPIRATOIRES en Pentathlon avec Seyfried D 1987 voir p 77 en Football avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt VO2 MAX SUR TAPIS ROULANT PENTE 3 en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Barri re S 1990 voir p
438. n apprentissage auto adaptatif Des observations compl mentaires par des questionnaires et des textes libres montrent l importance que l enfant attache sa r ussite C est sans doute ce facteur qui l encourage poursuivre plus intens ment l activit Un autre avantage m rit d tre voqu c est celui qui r sulte d une conception de l apprentissage dont la vis e consiste essentiellement ne pas figer l enfant dans une st r otypie et ne pas limiter ses possibilit s d adaptation et de cr ation un enseignement auto adaptatif dans la mesure o il laisse l enfant d terminer plus librement les op rations effectuer ne lui permet il pas de d velopper ses capacit s de cr ativit et d adaptabilit N anmoins certaines interrogations demeurent elles pourraient donner lieu des recherches ult rieures l laboration des am nagements de milieu d pend nous l avons vu de l analyse que fait le p dagogue du geste qu il veut voir r aliser par l l ve Il faut ensuite tester des situations probl me qui facilitent la d couverte et le choix par l l ve d un mod le personnel d action et qui lui donnent des informations permettant de modifier d adapter lui m me sa r ponse en cours d ex cution Il demeure que du point de vue de l enseignant certaines r sistances persistent celles ci sont principalement dues au fait que celui ci ne peut d
439. n d arbitres poss dant beaucoup de ma trise et d exp rience pour la direction de certaines rencontres L utilisation des moyens audiovisuels au service de la formation semble pouvoir et devoir s imposer e LA FORMATION DES CADRES POUR LE SPORT ET POUR L EDUCATION PHYSIQUE Etude compar e entre la France et la R publique D mocratique Allemande Hurtebize C 1981 278 p 10 p de bibliographie 121 r f rences d ouvrages dont certains ont t traduits de l allemand M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e L ATHLETE FEMININE DE HAUT NIVEAU Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques Missoum M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Population d exp rimentation Elle est constitu e exclusivement d athl tes f minines 143 sportives de haut niveau pratiquant diff rentes disciplines Sont repr sent s des sports individuels des sports de petits groupes des sports de combat des sports collectifs Ces athl tes ont au minimum atteint le niveau National beaucoup d entre elles sont de niveau International Ont particip cette recherche en Natation 14 athl tes en Plongeon 11 athl tes en Aviron 10 athl tes en Kayak 13 athl tes en Tir l arc 10 athl tes en Gymnastique 10 athl tes en Judo 15 athl tes en Escrime 8 athl tes en Tennis de table 11 athl tes en
440. nant de la cat gorie A ont pu tre trait s contre 140 pour la cat gorie B La conduite de l entretien aupr s des entra neurs s est faite sous forme semi directive c est ainsi que nos questions ont port la plupart du temps sur les parties suivantes temps de r cup ration quantit de travail qualit du travail intensit des exercices De plus les entra neurs connaissant bien leurs l ves nous avons cherch obtenir quelques renseignements sur la personnalit des athl tes la mani re dont elles vivaient leur entra nement les diff rents probl mes qu elles pouvaient rencontrer Conclusion Un certain nombre d enseignements ont pu tre d gag s La comparaison des r sultats entre les cat gories A et B a permis de mettre en vidence l importance des troubles ressenties par les sportives de haut niveau plus grand nombre de troubles existence d am norrh es et davantage de fr quences anormales Trois constats peuvent tre tablis 1 le premier concerne le volume horaire d entra nement qui est multipli par 3 chez les athl tes de cat gorie A 2 le deuxi me constat concerne le niveau de poids de ces athl tes qui se trouve situ pour un certain nombre d entre elles sous la normale 3 enfin doit tre envisag l impact des sp cialit s ou plus exactement de la sp cificit des pratiques Certaines activit s sportives semblent de ce point de vue particuli rement sollic
441. nce cardiaque est relev e apr s trente secondes et une minute de repos Le principe de calcul de la CT 170 repose sur le fait que la fr quence cardiaque est en relation lin aire avec la charge de travail 4 Test de Cooper Le test de course marche de Cooper 1968 est un test de terrain qui rend compte du potentiel a robie Les distances parcourues pendant ces douze minutes requi rent l nergie essentiellement puis e dans le m tabolisme a robie 5 Test de vitesse 30 m tres 6 Test de ski de fond 12 minutes A une altitude de 1050 m un parcours de 680 m tres grande partie de plat une mont e l g re et une descente double rail est trac par un engin m canique de type Ratrac permettant ainsi aux enfants d voluer en toute s curit et dans de bonnes conditions Un exp rimentateur muni d une fiche individuelle chaque coureur est adjoint chaque enfant Au signal de l preuve celui ci rel ve la fr quence cardiaque l arriv e et une minute apr s l arr t pendant 15 secondes et mesure la distance parcourue par l enfant 7 Course de ski de fond interfoyers Dans le cadre des qualifications des meilleurs jeunes fondeurs pour repr senter leur foyer de ski de fond presque tous les enfants des deux exp rimentations ont particip la course de s lection organis e par le Foyer d Antrans Les enfants sont r partis par groupe d ge Les temps r alis s pa
442. nce d un ph nom ne de souffrance cellulaire sans complication cependant L importante activit musculaire et notamment impulsionnelle dont t moigne les d cathloniens tout au long de leurs preuves est tr s vraisemblablement l origine de l existence d un tel impact on peut en effet estimer quelques 1500 impulsions la totalit des impulsions produites pour r aliser une performance en d cathlon 1500m compris La prise en consid ration des phases d chauffement multiplie par trois ce chiffre Parall lement une alt ration de la qualit de d tente est observ e sur un test simple de type saut en longueur sans lan J 4 une reprise de l entra nement normal semble possible A l inverse de ce que l on observe concernant la cin tique de r cup ration des ph nom nes nerveux et mentaux la fatigue de type psychologique appara t plus tard mais semble durer plus longtemps que la fatigue de type bio nerg tique Mais au del des faits concrets se r v le tout un r seau de Repr sentations cet objet de recherche peu int gr l heure actuelle dans le cadre de l entra nement et de l optimisation de l entra nement sportif pr sente un int r t certain d s lors que l on d sire estimer le co t tant nerg tique qu informationnel des t ches Il pourrait permettre de diff rencier tout au long des preuves les diff rents types de fatigue qui r sultent de leur ex cution
443. ncernait soit des actions isol es soit des d buts d encha nements Conclusion La m thodologie utilis e a donn enti re satisfaction on peut d abord relever que les r sultats des diff rents tests conduisent globalement aux m mes types de conclusions La plupart des hypoth ses nonc es par l auteur se sont vues confirmer nous reproduisons ici les quatre pr dictions formul es 1 L efficacit des strat gies de communication tient une coh rence tr s grande dans l utilisation coordonn e de diff rents moyens 2 L int gration d l ments de difficult du code de pointage et de comportements expressifs dans une m me unit comportementale ou dans des unit s tr s voisines contribue cette coh rence 3 Les gymnastes les plus appr ci es sont celles dont les prestations respectent des principes d finis dans le domaine de la s miologie et de l esth tique exp rimentale qui rendent la communication efficace et qui en m me temps pr sentent une originalit dans la forme du message Une coordination fine entre les composantes s mantique et esth tique une dialectique du banal et de l original prenant en compte les r f rents culturels des r cepteurs semblent caract riser ces productions 4 Bien que la pr sence d un type de comportement expressif particulier ne soit pas le garant de la valeur expressive d une composition certains d entre eux rencontrent plus que d autres les faveurs
444. ncernent le porteur de balle 9 actions qui se rapportent aux non porteurs et 1 action commune aux deux situations Une fr quence de deux relev s par seconde nous donne une description significative et fid le de la phase observ e Un programme de saisie a t labor la demande de l auteur par A Brossier du service informatique de l I N S E P Les fichiers ont t am nag s pour tre trait s par le logiciel statistique TRI2 Ce logiciel permet l analyse factorielle de correspondance Conclusion Sur un plan g n ral et pour r pondre notre premi re hypoth se nous pouvons affirmer qu il existe des liens entre les modalit s de certains facteurs non li s l adversit comme le statut des joueurs la position occup e par le joueur sur le terrain et les actions du joueur La variation d un de ces facteurs entra ne des modifications parmi les autres facteurs En effet selon le statut pris en consid ration les positions occup es sur le terrain et la nature des actions seront diff rentes et cela quelles que soient les modalit s de la d fense Des constantes sont apparues 1 Toutes quipes confondues et donc tous styles de jeu confondus les secteurs de terrain le plus souvent occup s par les joueurs sont les m mes dans tous les cas les joueurs se positionnent en voluent le plus souvent dans les secteurs qui se trouvent autour de la zone restrictive c est dire proches de l axe du t
445. ndballeur mythe ou r alit BERGER S C 1991 52 p 4 p de bibliographie 72 r f rences annexe exemplaire du questionnaire la visualisation mentale du handballeur Population d exp rimentation 250 joueurs de Nationale 1A et 1B Protocole exp rimental Le questionnaire au total 22 items Nature des questions 1 Aspects g n raux de la pratique de la visualisation Les questions traitent des moments pendant lesquels le joueur entre dans la pr paration mentale de la comp tition et des proc dures dans lesquelles pourraient s inclure la visualisation mentale 2 Le contenu des images visualis es Quels sont les aspects de la pratique sportive qui retiennent l attention du handballeur et reviennent le plus souvent dans sa visualisation 3 Exp rience des athl tes concernant la visualisation rapport que l athl te a avec la visualisation le temps qu il peut y consacrer ainsi que les raisons de son utilisation ventuelle A ces occasions le sujet est sollicit pour pr senter de fa on tr s personnelle un point pr cis de sa visualisation Conclusion Notre objectif est de montrer 1 que l imagerie mentale est un outil utilis par les handballeurs des fins de renforcement des gestes techniques individuels et de coh sion du jeu collectif de l quipe 2 que cette imagerie s appuie sur des l ments connus ou non dont la mise en vidence permettrait de l inclure dans le d
446. ne conception informatis e de voies d escalade Sur un plan plus fondamental l int r t d une telle recherche r side dans ce fait qu elle constitue un pr alable fondamental th orique et m thodologique la compr hension du comportement du sportif en situation et l exp rimentation en ce domaine Dans l tat nos r sultats demeurent de toute vidence un niveau trop th orique pour soutenir des prescriptions appliqu es Ils ouvrent n anmoins la voie des recherches plus op rationnelles d ordre didactique ou psychop dagogique permettant aux enseignants ou entra neurs de g rer rationnellement la structure et le niveau des exigences des t ches qu ils proposent ainsi que leur coh rence avec les objectifs qu ils se sont fix s La difficult en escalade Incidence de la localisation des prises VIENS T 1992 112 p 8 p de bibliographie 73 r f rences Population d exp rimentation Quel que soit l exp rience une dizaine de sujets chaque fois tous grimpeurs enseignants de niveau 5 6a 6c en bloc Protocole exp rimental Pour quantifier l incidence des conditions environnementales sur le niveau de difficult globale que per oit le sujet l auteur propose d utiliser des chelles de cat gories 1 re exp rience sur une structure artificielle constitu e par une plaque de contre plaqu de 4m de haut sur 3m de large dont l
447. ne perte momentan e de finesse motrice S il s av rait possible de stimuler un muscle et d obtenir terme des gains de force sans avoir recours l intensit maximale supportable cette technique pour beaucoup d athl tes aux articulations fragiles offrirait des perspectives int ressantes condition d un usage contr l e LA CROISSANCE ET SON INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES DE COURTE DUREE CHEZ LES FILLES PUBERES ET NON PUBERES Benboubker N 1991 58 p 7 p de bibliographie 79 r f rences annexes Population d exp rimentation 170 filles de Coll ge g es de 11 17 ans seules sont prises en compte les cat gories les plus nombreuses 12 13 et 14 ans Protocole exp rimental 4 preuves athl tiques coures de 40m quintuple saut saut en longueur sans lan saut vertical selon la technique d Alabakov Conclusion Les r sultats montrent que les performances des filles pub res sont toujours plus lev es que celles des non pub res dans des tests qui sollicitent essentiellement la fili re ana robie alactique Cette sup riorit tant sur le plan morphologique que sur le plan de l efficience motrice semble pouvoir tre expliqu e par l influence des hormones sexuelles La connaissance du d veloppement pubertaire devrait tre prise en compte chaque fois qu il s agit de comparer les performances r alis es par des jeunes 1992 e TRAITEMENT DES INFORMAT
448. nement P dagogique de la FFJDA les caract ristiques prises en compte pour t moigner du niveau de pratique correspondent aux diff rents secteurs contenus dans l activit Judo Quatre niveaux ont t d termin s 1 le premier niveau correspond une pratique de lib ration spontan it p riode o le sujet agit en r f rence des sch mes acquis ant rieurement 2 la seconde tape ou tape de structuration appel e encore par Gentile tape de fixation diversification met en avnt les influences des conditions environnementales sur l activit du sujet Ce stade correspond au stade de l automatisation dont le but est la diminution du co t nerg tique et l conomie de la charge informationnelle 3 Enfin l tape finale ou phase de lib ration ma trise met en vidence le fait que l habilet motrice se trouve tre de moins en moins d pendante du contr le cognitif et l attention est moins sollicit e Pour notre grille d observation nous utilisons et respectons les trois niveaux d acquisition propos s ci dessus en y associant pour des raisons d affinement de l observateur deux tapes interm diaires constituant deux niveaux suppl mentaires Exemple avec les saisies contr les refus du contact niveau 1 contr le d finitif bras tendu niveau 2 contr le 1 partie niveau 3 impose sa saisie niveau 4 construit sa saisie niveau 5 Utilisation d un ques
449. nfants de 12 15 ans r sidant dans deux r gions diff rentes Tremblay les Gonesse Seine St Denis et Grenoble Is re Tremblay les Gonesse 183 gar ons et 209 filles appartenant trois tablissement scolaires ont particip aux diff rentes courses Grenoble 101 gar ons Protocole exp rimental Les preuves de terrain Un des aspects de notre travail est de r aliser l exp rimentation dans les conditions r elles de l enseignement de l Education Physique en respectant l organisation p dagogique des tablissements d apr s l horaire imparti l ensemble des activit s physiques programm es 2 heures Selon les tablissements diff rents programmes travail en continu travail sous forme de course discontinue sports collectifs ont t propos s aux l ves pour les pr parer progressivement des tests aussi divers que le 30 min le 20 min sans s arr ter le 20 min avec contrat minimum le 12 min le 5000m le 3000m le 1500m le 1200m Des mesures anthropom triques et un test de laboratoire la CT 170 vont ensuite tre propos un certain nombre de sujets Concernant ces derni res poids taille taille assise masse maigre mesure des 4 plis cutan s Le test de capacit de travail 170 est un test d terminant la puissance de travail d un individu pour une fr quence cardiaque de 170 pulsations min Pour des puissances de travail d terminant des valeurs sup rieures 170 pulsatio
450. nfants de 5 12 ans et tude de l influence du nombre d images dans les s quences sur la reproduction d un mod le gestuel L analyse conduit voquer diff rents points l effet du nombre d images dans les s quences l effet de l ge en fonction du type de s quence l tude de l interaction des effets de la nature du geste en fonction du type de s quence l interaction des effets de l ge et de la nature du geste en fonction du type de s quence e INFLUENCE DE L AUGMENTATION INDUITE DU PH SANGUIN SUR LE METABOLISME ANAEROBIE LACTIQUE A L EXERCICE D INTENSITE SUPRAMAXIMALE Estrade P Y 1984 51 p 9 p de bibliographie 70 r f rences annexes tableaux Population d exp rimentation 4 sujets masculins g s de 20 29 ans ces sujets taient des coureurs de 400m de niveau R gional Leur consommation maximale d oxyg ne avait t pr alablement valu e partir du test de Luc LEGER 1982 Protocole exp rimental Les sujets ont t soumis 2 efforts supramaximaux jusqu puisement sur bicyclette ergom trique MIJNHARDT KEM2 La puissance de travail a t tablie de telle sorte qu elle puisse tre maintenue pendant environ une minute Les deux preuves ont t r alis es jeun le matin onze jours d intervalle Durant cette p riode les sujets n ont pas modifi leur entra nement Chaque sujet r alisait l preuve type deux f
451. nflit s appuie sur l information proprioceptive recalibrante qui dans le cas de l A T R est principalement fournie par l extenseur de l avant bras Chez les meilleurs sujets cette modalit sensorielle sans doute plus finement utilis e est probablement l origine de strat gies de compensation permettant au syst me de contr le postural de s adapter en temps r el en pr sence d un conflit entre les messages aff rents Par contre les moins bons sujets plus d pendants de l information visuelle car plus sensibles au d placement de leur r f rence visuelle ne peuvent r soudre le conflit qu apr s une p riode d adaptation ou d apprentissage en temps diff r faisant intervenir des processus de niveau sup rieur O La charge en comp tition de haut niveau en gymnastique rythmique sportive Contribution la mod lisation des situations de comp tition et d entra nement BARRIERE S 1990 231 p 7 p de bibliographie 73 r f rences annexes Population d exp rimentation Gymnastes des quipes de France individuelle et ensemble lors de la pr paration des championnats du Monde de Sarajevo 1989 Soit 4 gymnastes 2 Seniors et 2 Juniors en individuel et 9 gymnastes en ensemble Protocole exp rimental Epreuve de laboratoire preuve triangulaire discontinue l effort suivant le protocole exp rimental tabli par le d partement m dical de l I N S E P d crit dans la r
452. ng time c est dire que le temps de latence entre la phase excentrique et la phase concentrique doit tre le plus r duit pour permettre une restitution d nergie Le principe de l impulsion de type percut s en trouve valid L auteur ach ve son travail par quelques r flexions mises au sujet de la place de la pliom trie dans l entra nement ses relations la technique vers quel type d impulsion son incidence sur la technique le jeune joueur les diff rences entre hommes et femmes Analyse du jeu d attaque en volley ball f minin LEBLEU M C 1990 86 p 3 p de bibliographie 1 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation Le plus haut niveau f minin observ lors des quatre plus grandes comp titions entre 1986 et 1989 quipes de la D D R du P rou de l U R S S de la Chine de la C S S R du Japon de Cuba et de la Bulgarie Protocole exp rimental Mise au point d un programme de saisie des param tres La proc dure d acquisition s est faite sur un micro ordinateur de type P C AT partir d un clavier concept keyboard distribu par la firme Solution Bruxelles 15 param tres retenus issue du set pr c dant le set observ pays set observ moment du set o se situe l action observ e cart au score au moment de l action issue de l action pr c dant le coup observ issue du coup observ
453. nnexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des rameuses a pu tre labor BASKET BALL Contribution au perfectionnement du joueur et de la joueuse de basket ball CHAZALON J 1979 175 p 4 p de bibliographie 39 r f rences annexes r parties tout au long de la recherche guide d entretien exemples d exercices cherchant d velopper l habilet en basket ball exemple une s ance d entra nement de basket ball caract re ana robie travail par ateliers le renforcement musculaire du basketteur les assouplissements du basketteur Population d exp rimentation 6 entra neurs choisis au hasard parmi ceux qui dirigent une quipe de Nationale 1 ou 2 filles ou gar ons ou qui s occupent de jeunes joueurs et joueuses se pr parant au Haut niveau Protocole exp rimental Entretiens semi dirig s partir d un guide d entretien l objectif a consist orienter les r ponses sur les diff rents aspects de l entra nement et plus particuli rement sur la place faite l individualisation du perfectionnement du joueur Analyse bibliographique de tous les livres de basket depuis 10 ann es d un certain nombre de revues et p riodiques En ce qui concerne l tranger nous avons fait r f rence des entretiens recueillis lors de rencontres internationales aupr s des entra neurs des quipes les plus repr sentat
454. non r sum dans le cadre de cet ouvrage D termination et gestion tactico technique des fr quences cardiaques critiques en cyclisme de comp tition DEMENOIS J P 1995 71 p 3 p de bibliographie 42 r f rences annexes importantes divers recueils et traitements Population d exp rimentation 40 coureurs cyclistes masculins licenci s la F d ration Fran aise de Cyclisme ont particip aux mesures de terrain de la premi re exp rimentation voir hypoth se trait ci apr s 13 coureurs de niveau National et 27 coureurs de niveau R gional Concernant les mesures exp rimentales quipe de France du 100 km contre la montre quipe du Comit d Ile de France quipe de l US Cr teil voluant en 1 re division enfin cyclistes amateurs de toutes cat gories et de tous niveaux Une deuxi me exp rimentation a eu lieu avec 40 coureurs cyclistes juniors masculins 13 coureurs de niveau National et 27 coureurs de niveau R gional Protocole exp rimental 1 re exp rimentation fr quence cardiaque critique sup rieure ou zone rouge Les mesures de terrain les enregistrements cardiaques ont t recueillis l aide de cardiofr quencem tres POLAR 4000 programm s pour une m morisation toutes les 15 secondes Seuls les enregistrements de F C correspondant une place dans les dix premiers furent tudi s elles sont le garant d une gestion optimale des efforts L analyse sta
455. nregistr s en consommation d oxyg ne par exemple la course en ligne qui r pond des notions d obstination d efficacit et de souffrance exige bien la plus forte consommation d oxyg ne par contre le slalom pour lequel nous n avons pas trouv de corr lation avec la consommation d oxyg ne est li dans la perception que se font les ducateurs des notions de r flexion de jeu et de ruse peut tre parce que cette discipline est plus exigeante sur le plan du d codage et du pr l vement d informations L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la p cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des kayakistes a pu tre labor Les param tres biom caniques du geste du kayakiste de course de ligne D pendance de la contrainte nerg tique la cadence et la taille de la pagaie LAMARZELLE P 1989 133 p 10 p de bibliographie 84 r f rences annexes r sultats Population d exp rimentation 6 athl tes g s de 20 24 ans 3 Seniors femmes et 3 Seniors hommes du Centre National d entra nement de Paris Protocole exp rimental Epreuve d effort en laboratoire sur ergom tre sp cifique manivellage de bras en position assise ada
456. ns 6 Les r sultats du temps limite VMA ont t mis en relation avec VO2 max VMA vitesse au seuil 4 mmol I la performance en points et la capacit ana robie Aucune relation entre ce temps limite et la performance n a pu tre mise en vidence Ces enseignement m riteraient cependant d tre confirm s en prenant en consid ration des distances plus longues Seule la mise en relation entre VMA et le temps limite VMA r 0 67 p 05 semble indiquer que des VMA tr s lev es et tr s proches des vitesses sp cifiques de comp tition sont plus difficiles maintenir Il reste d montrer qu il peut tre pr f rable en 1 2 fond court de pr senter une VMA tr s lev e quitte ne pas pouvoir maintenir celle ci tr s longtemps Ph nom nes de fatigue et de r cup ration chez le d cathlonien Aspect musculaire KRANTZ N 1992 156 p 4 p de bibliographie 37 r f rences annexe questionnaire Repr sentations labor par l auteur Population d exp rimentation Suivant le protocole exp rimental diff rents niveaux de d cathloniens d un niveau Interr gional un niveau International 7 d cathloniens ayant pr alablement particip aux championnats du Monde Tokyo Protocole exp rimental Le questionnaire construit par l auteur et adress aux athl tes concerne les ph nom nes de fatigue et de r cup ration appr hend s sous le jour des repr sen
457. ns le jeu ont pour r le de juger le comportement des joueurs partir du code d arbitrage d autres en fonction de ce m me code et des jugements port s font jouer L analyse r alis e permet de faire des propositions qui int ressent l arbitrage d une part et am nent une obligation de r flexion d autre part Les constats sont les suivants 1 Il est n cessaire pour influer sur le jeu de s appuyer sur des donn es pr cises et quantifi es 2 Il ne faut pas seulement surveiller l quipe qui perd mais galement celle qui m ne par un petit score 3 L avertissement ne jouerait pas son r le dissuasif la sanction progressive ne faisant que retarder la mont e du nombre d exclusions 4 Les quipes voluant un joueur de plus 6 contre 5 font preuve d une certaine inefficacit et plus particuli rement celles voluant domicile 5 Le 1 contre 1 est le plus souvent favorable l attaquant 6 Le temps de jeu est nettement inf rieur aux 2 min r glementaires lors d une exclusion 7 L efficacit du jeu en surnombre est li e au nombre de situations de tir Quant la formation du joueur si jadis la dominante tait port e sur le jeu collectif depuis quelques ann es la primaut du jeu 1 contre 1 am ne le joueur un comportement trop individuel La formation semble devoir s inscrire entre ces deux propositions extr mes La visualisation mentale chez le ha
458. ns min l augmentation n est plus lin aire Ce test a pour objectif de juger la condition du sujet plus particuli rement de v rifier l tat fonctionnel de l appareil cardio vasculaire en l absence des moyens de mesure de la consommation maximale d oxyg ne Exprim e en kg de poids corporel la CT 170 permet d estimer la capacit de d placer le corps un rythme lev D importants groupes musculaires doivent tre mis en jeu pour que l preuve de travail permette d obtenir une appr ciation du fonctionnement cardio vasculaire Les trois formes habituelles de travail sont 1 La course sur tapis roulant pente variable 2 le p dalage la bicyclette ergom trique 3 La mont e et descente d une marche de hauteur variable step test C est ce deuxi me test qu a retenu l auteur Trois paliers de 4 minutes chacun sont propos s intensit s diff rentes selon l ge et le sexe il est tenu compte d autre part de l adaptation cardiaque des sujets pour que ceux ci demeurent l int rieur des fourchettes pr conis es en ce qui concerne les battements min un lectrocardiogramme est enregistr au repos puis toutes les minutes pendant l exercice Conclusion Les r sultats de l exp rimentation mettent en vidence l absence ou l importance de certaines corr lations 1 Incidence de l ge la CT 170 augmente entre 12 et 15 ans tant en ce qui concerne les gar ons qu en ce qui concern
459. nt de 70 100 coups par min l utilisation de 3 longueurs de pagaie diff rentes a un retentissement sur chacun des sujets au niveau de la d pense nerg tique comme celui de la vitesse maximale atteinte Pour chaque sujet il existe une pagaie de co t nerg tique moindre mais il existe galement pour la plupart une pagaie d efficacit la plus grande celle ci demeure cependant tributaire de la cadence adopt e Les relations co t nerg tique par m tre parcouru et efficacit rapport de la vitesse sur le pourcentage de V02 Max utilis permettent de caract riser les deux groupes Le premier profil serait d fini par l utilisation de la m me pagaie pour obtenir avec un co t nerg tique moindre l efficacit la plus grande et ce quelle que soit la cadence Les sujets qui pr sentent le second profil doivent pour atteindre la performance la meilleure c est dire l efficacit la plus grande adapter la taille de la pagaie en fonction de la cadence pour obtenir le co t nerg tique le plus faible Contribution l analyse et au suivi de l entra nement la performance de haut niveau par l tude du aram tre vitesse en cano kayak CEZARD J P 1991 157 p 15 p de bibliographie 211 r f rences annexes importantes divers outils et tableaux concernant le recueil d informations en mati re d entra nement Population d exp rimentation 9 athl tes confirm s sp
460. nt mieux que les tireurs non experts leur rythme de tir dans les diff rentes vitesses d ex cution de leur performance 2 La gestion du temps de tir et son r sultat en cible d pendent du niveau d expertise du tireur Globalement le niveau d expertise a t confirm Les tireurs experts pr sentent une meilleure r gularit dans la gestion de leur temps de tir avec des scores significativement plus lev s que les tireurs non experts Plus les scores augmentent meilleure est la gestion temporelle de la s rie Concernant les diff rentes gestions du temps de tir il semble qu une structure temporelle g n rale puisse tre identifi e la premi re cible l attaque pr sente toujours un temps plus important que les autres C est le d but du mouvement la mont e du bras de sa position d attente jusqu l horizontale Le passage sur la seconde cible qui correspond l encha nement du mouvement vertical du bras au mouvement horizontal du haut du corps est galement toujours privil gi temporellement par rapport aux cibles suivantes Les trois cibles suivantes sont tir es avec r gularit A partir de cette ossature g n rale on peut d gager des tendances sp cifiques en fonction de la vitesse de tir A titre d exemple voil ce qui est rapport par l auteur concernant la situation 4 secondes Le temps de la premi re balle est r alis entre 1 65 et 1 70 seconde Le
461. nt plut t optimistes quant l issue de la rencontre lorsque leur quipe est men e au score pour des carts n gatifs ils s attribuent des chances de victoire qui ne correspondent pas la r alit plus le temps s coulera dans la partie plus l appr ciation des entra neurs semble tre proche de la r alit L incertitude maximale quant aux chances de victoire se situe toujours quelque soit le temps de jeu lorsque l cart entre les scores des deux quipes va de 5 pts 5 pts Des pond rations se sont impos es la place occup e par les joueurs la dur e de leur temps de jeu l enjeu d une rencontre la notion de moment cl Sont d finis comme moments cl s les p riodes d une rencontre pendant lesquelles les athl tes doivent supporter dans un m me laps de temps des pressions d origines diff rentes et d intensit maximale pression physique de la part de l adversaire motionnelle de la part des spectateurs psychologique du fait de l enjeu excitation nerveuse fatigue bruit etc ainsi que les exigences physiques techniques tactiques li es la r ussite de leurs actions Les trois joueurs fran ais qui se sont r v l s les plus efficaces pr sentent une certaine stabilit motionnelle ils se caract risent par une faible anxi t et une faible sensibilit l urgence du temps Sociables et tol rants ils ont une certaine tendance l attribution externe i
462. nt que quelques joueurs dans certaines parties du terrain c un rapport de force individuel 2 me partie ce sont les qualit s de l quipe et des joueurs qui d terminent la fa on de manager plut t qu un mod le th orique de composition d quipe ou de permutation de joueurs 3 me partie le test intermittent s av re plus fiable lorsqu il s agit d explorer la relation F C Puissance chez des joueurs de sports collectifs qu un test progressif continu Conclusion g n rale A travers la d finition de l activit des attaquants et des d fenseurs sp cifiques l tude a tent de cerner d une part la dimension strat gique et tactique de leur utilisation puis d autre part de d celer les manifestations d une adaptation ventuelle de ces joueurs au niveau physiologique que n cessiterait un entra nement sp cifique dont les formes et les contenus restent d finir Dans les quipes de tr s haut niveau o l une des tendances du jeu moderne semble se caract riser par une augmentation du rythme de jeu la r cup ration est plus courte pour les d fenseurs que pour les attaquants Les qualit s propres des joueurs ne sont donc que des instruments tactiques des strat gies d clar es des entra neurs Au cours de la derni re partie de la recherche appara t une diff renciation entre le profil physiologique des joueurs utilis s de fa on normale et celui des joueurs utilis s de fa on sp cifique uniquement
463. nt un nouveau point de d part cette fois dot de m thode E Morin La nature de la nature UN TEMOIN LE DIPLOME INS E P Pour proc der une tude aussi longitudinale et transversale que celle ci il me fallait un t moin fiable Mon choix s est tr s vite port sur les M moires de Dipl me I N S E P la proximit de ces recherches et la garantie de pouvoir appr hender la quasi totalit de la production contrairement ce que le corpus des M moires de BE3 me permettait ont t deux facteurs d cisifs L importance de la production et sa continuit dans le temps ont constitu deux autres facteurs particuli rement d terminants pr pond rants lorsque l on veut appr hender l importance d un ph nom ne Bien que la qualit des recherches puisse tre consid r e comme tr s in gale volume pertinence le niveau du Dipl me I N S E P peut tre apparent celui d un D E A S T A P S Depuis un grand nombre d ann es des cadres des entra neurs des formateurs des enseignants d E P S voire des sp cialistes d une question pr cise ont t d tach s cette seule fin tous ont suivi une formation de deux ans au cours de laquelle un travail de recherche devait tre entrepris et donner lieu d livrance du Dipl me Plusieurs centaines de M moires ont ainsi t produits depuis la date de cr ation du Dipl me de l E N S E P S de Ch tenay Malabry jusqu ce que le Dipl me devienne e
464. nte permet d investir en amont ou en raison de l absence de protocoles susceptibles d apporter des r ponses ou encore pour obtenir des r ponses sur certains points particuliers 15 Sociom trie 4 Finalement tr s peu utilis malgr le fait que ce th me fut tr s la mode 16 Tests ou preuves de terrain am nagement de situations batteries de tests Enorm ment de protocoles ce niveau les premiers tests se sont inscrits dans une perspective de d tection ou dans celle d une valuation de la valeur physique batterie de tests Aujourd hui le souci des chercheurs se caract rise par la volont une nouvelle fois exprim e d exp rimenter dans les conditions les plus proches des situations de r alisation voire de comp tition MODE D EMPLOI L objectif premier de cet ouvrage l usage des formateurs entra neurs et chercheurs dans le domaine de l entra nement sportif est la facilit d utilisation Vous pourrez acc der aux informations disponibles suivant diff rentes entr es voir Sommaire Il me reste une derni re chose faire elle consiste remercier tous ceux qui par leur travail ont contribu la constitution d une telle richesse Ils ont crit quelques unes des plus belles pages de la Recherche sportive DISCIPLINES SPORTIVES Revue des M moires gt DISCIPLINE SPORTIVE Auteur ann e de r f rence Ne sont mentionn s ici que les travaux dont une analyse com
465. nterviews est tout fait r v latrice des strat gies utilis es par les joueurs de l ancienne poque M CELAY A voque l observation de d tails tr s fins qu il int gre une perception plus large du champ de jeu Sur m l e il organise m me son observation en collaboration avec un partenaire de troisi me ligne Il s attache observer les aspects diff rents dans la disposition des joueurs entre l instant o il se place en m l e et celui o il s en d gage Dans une autre interview F CAZENAVE dont la myopie aurait constitu selon lui un handicap pour son jeu nous dit comment il int grait gr ce la r flexion sur le jeu les informations visuelles du jeu de son adversaire direct vision centrale et les informations visuelles du jeu d un adversaire lointain vision p riph rique L importance d un v cu psychosociomoteur et une r flexion cons quente sur la pratique semblent en cons quence d terminer la perception visuelle du jeu et en retour celle ci augmente les acquisitions de ce v cu ainsi que la r flexion sur la pratique Concernant les aspects moteurs de la pr action et notamment le jeu des attitudes l analyse des s quences film es s est r v l e sur cet aspects des choses tout fait significative nous avons pu observer que les joueurs construisaient leur jeu sur des d tails parfois tr s fins un regard une orientation de la t te une orientation du
466. ntra nement Population d exp rimentation Le groupe d entra nement de l I N S E P au fleuret masculin 10 athl tes test s quatre fois dans l ann e Les Haut niveau Juniors test s en Septembre 1984 lors du stage National Juniors de Reims 10 Les Haut niveau Cadets test s en Mars 1985 lors du stage National Cadets de Vichy 10 Protocole exp rimental Le laboratoire de mesures de l I N S E P a construit un appareil permettant la mesure du temps de r ponse des escrimeurs METERES Constitu de trois l ments il comporte un panneau carr de 60 cm de c t sur lequel sont dessin es 4 cibles compos es de 3 cercles concentriques un signal lumineux vert situ au centre du panneau sert de signal pr paratoire avant que n apparaisse au centre de l une des cibles le signal d ex cution Le signal pr paratoire s allume de 3 7 sec avant le signal d ex cution un ordinateur pilote quatre programmes appel s s quences une imprimante sert visualiser les r ponses donn es par l escrimeur pour chaque essai le temps de r ponse la cible touch e par rapport la cible demand e la pr cision par rapport la cible atteindre La sp cificit de l appareil r side dans sa capacit pouvoir mesurer des temps de r ponse tout en respectant l aspect sp cifique de la gestuelle de l escrimeur La s quence 1 a t utilis e pour mesurer les temps de r ponse sp ci
467. ntra dojo l a kido extra dojo le contenu des entretiens analys selon des directions diff rentes nous a permis de d gager les grandes lignes constituant les diverses approches de la personnalit du pratiquant d A kido Le test de frustration de ROSENZWEIG forme adulte il s agit d un proc d projectif restreint destin r v ler les types de r actions au stress de la vie courante Le P F T ne constate pas l effet de privations la faim mais permet de noter la r action d un individu face un v nement ou un obstacle c est le cas de la frustration secondaire Le test projectif de Rosenzweig propose au sujet vingt quatre situations figur es par des dessins Chacun d eux repr sente un personnage qui s adresse un autre La bulle r ponse du deuxi me personnage est vide On demande l individu test de fournir une r ponse celle ci fournit une indication de la mani re individuelle d assumer une frustration d orienter l attitude r actionnelle de mettre un terme la tension normalement suscit e Chaque r ponse est cot e selon la direction de l agression exprim e et suivant le type de r action qu elle traduit extrapunitif agressivit dirig e vers l ext rieur intropunitif agressivit dirig e vers le sujet lui m me impunitif agressivit vit e Le type de r action traduit une pr dominance de l obstacle ou des d fenses du MOI ou une persistance du besoin
468. observation ce relev nous a permis d obtenir un tat des rapports d opposition tous les 25 100 me de seconde L enregistrement des changes verbaux a t int gralement d crypt 2 me exp rience quelques modifications ont t apport es L aire d exp rimentation devient un terrain de rugby Les d fenseurs partent toujours ensemble du fond du terrain diff remment d une d fense d cal e Le positionnement des cam ras est am nag de mani re avoir des informations m me d form es sur les effets de largeur et de profondeur des mouvements Conclusion Nous formulons donc l hypoth se que la formation l action sportive collective donne de meilleurs r sultats tant au niveau de l orientation tactique du jeu que de la synchronisation spatio temporelle des op rations d ex cution lorsqu elle repose sur une pr sentation pr alable des informations n cessaires l laboration d une B O R C c est dire d une Base d Orientation Rationnelle en sports Collectifs sur une verbalisation syst matique entre partenaires sur le choix des op rations effectu es par rapport la d fense qu ils ont caract ris e et leur coordination en fonction de leurs propres caract ristiques personnelles vitesse de course longueur de passe etc sur un nombre de passages en situation assez r duit mais ou chaque sujet occupe successivement tous les r les en attaque et en d fense
469. oir p 27 gt gt JOUEURS ET JOUEUSES DU PLUS HAUT NIVEAU FRANCAIS ET EUROPEEN avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt BASKETTEURS HOMMES EQUIPE DE 1 re DIVISION EQUIPE DE LIMOGES EN COUPE D EUROPE avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt ENTRAINEURS CHAMPIONNAT DE FRANCE 1 re DIVISION EN BASKET avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt EQUIPES NATIONALES DE HAUT NIVEAU ET DEUX TRES GRANDES EQUIPES DE CLUB avec Vanaghs I 1990 voir p 29 gt gt BASKETTEURS DE N1B N1A ET INTERNATIONAUX JOUEURS PROFESSIONNELS avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt BASKETTEURS DE NIVEAU DEPARTEMENTAL REGIONAL ET INTERREGIONAL avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS DE N1A ET N1B avec Ballarini I 1992 voir p 30 BOXEURS FRANCAISE gt gt BOXEURS NOVICES A INTERNATIONAUX avec Kerlirzin Y 1990 voir 32 BOXEURS ANGLAISE gt gt BOXEURS DE HAUT NIVEAU avec Giallurachis D 1993 voir p 68 CAVALIERS gt gt CAVALIERS DE NIVEAU NATIONAL avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 CYCLISTES gt gt COUREURS DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt EQUIPE DE FRANCE DU 100 KM CONTRE LA MONTRE avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt EQUIPE DU COMITE D ILE DE FRANCE avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt EQUIPE DE L US CRETEIL 1 re DIVISION avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt AMATEURS DE TOUTES CATEGORIES avec
470. oir p 75 PENTATHLETES gt gt PENTATHLETES avec Dufort C 1983 voir p 72 gt gt PENTATHLETES DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Seyfried D 1987 voir p 77 gt gt PENTATHLETES JUNIORS ET SENIORS DE NIVEAU NATIONAL avec Genard B 1990 voir p 77 PLONGEON gt gt PLONGEUSES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Aubert M 1981 voir p 109 PONGISTES gt gt PONGISTES DE L I N S E P avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt JEUNES DE 11 12 ANS PRATIQUANT LE TENNIS DE TABLE EN CLUB avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt PONGISTES DE NIVEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL avec Prat P 1989 voir p 87 PEPARATEURS DANS LE DOMAINE DE LA PSYCHOLOGIE gt gt EN ATHLETISME POINT DE VUE CLINIQUE avec Ragni P 1988 voir p 15 RAMEURS AVIRON gt gt RAMEUSES PREPARATION OLYMPIQUE avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt PRATIQUANTS DE L AVIRON avec Chopot E 1995 RESPONSABLES gt gt DIRIGEANTS RESISTANCE A LA THEORISATION en Rugby avec Coq J 1978 gt gt LES DIRIGEANTS SPORTIFS EN BASKET avec Passemard M M 1982 voir p 23 gt gt CADRES TECHNIQUES EN VOILE avec Cormery P 1986 gt gt RESPONSABLES DES CLASSES PROMOTIONNELLES ATHLETISME avec Bussery M 1987 gt gt ADHERENTS ET RESPONSABLES D ASSOCIATIONS avec Peccard A 1992 gt gt PROFESSION EDUCATEUR SPORTIF CANDIDATS EMPLOYEURS FORMATEURS avec Robert Lacaze M 1994 gt gt DIFFERENTES INSTANCE
471. ois une fois en situation d alcalose m tabolique une fois en situation contr le L alcalose m tabolique tait obtenue par l absorption 90 minutes avant l effort d une dose de 0 3 g par kilo de poids de corps de bicarbonate de sodium NAHCO3 En situation contr le le sujet int grait un placebo constitu de lactose Les deux situations exp rimentales ont t pr sent es de fa on al atoire et aveugle au sujet Des chantillons de sang veineux ont t pr lev s l abri de l air au niveau de la veine art cubitale avant absorption apr s absorption et l issue de l effort Ces pr l vements ana robies permettaient l analyse des gaz de sang Avant l effort une incision du vaste externe tait effectu e sous anesth sie locale cette incision pr alable permettant de r aliser une biopsie musculaire rapide imm diatement apr s l effort selon la technique de Bergstrom Imm diatement apr s le pr l vement l chantillon musculaire tait congel dans l azote liquide 180 et conserv 20 jusqu l homog n isation La dur e de l efort sur bicyclette par chacun des sujets repr sentait la performance Conclusion En d finitive il appara t peu probable que la performance d un exercice de tr s courte dur e soit am lior e par l ingestion de bicarbonate de sodium Nous n avons pas pu mettre en vidence l accroissement de l efflux des ions H par une au
472. ois J P 1995 voir p 37 POPULATIONS D EXPERIMENTATION A KIDOKA gt gt A KIDOKA POSSEDANT UN NIVEAU D EXPERTISE DE 5 ANS avec Guibbert L 1980 voir p 12 ARBITRES JUGES gt gt JUGES FRANCAIS EXPERTS EN G R S avec Feraud C 1983 voir p 49 gt gt JUGES DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL EN G R S avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt ARBITRES DE FLEURET DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Bonnefoy B 1992 voir p 123 ATHLETES gt gt PERCHISTES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Roy M 1981 voir p 111 gt gt ATHLETES NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt ATHLETES TOUTES SPECIALITES DE NIVEAU NATIONAL A INTERNATIONAL avec L tocart M 1983 voir p 114 gt gt ADOLESCENTS EN CLASSE ATHLETISME ETUDES avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt COUREURS DE 400 M DE NIVEAU REGIONAL avec Estrade P Y 1984 voir p 116 gt gt HURDLERS DE NIVEAU REGIONAL A INTERNATIONAL avec Aubert F 1986 voir p 14 gt gt SPECIALISTES MONDIAUX DU 400 M ET DU 400 M HAIES ENTRE 1984 ET 1987 avec Belloc O 1988 voir p 15 gt gt ATHLETES FRANCAIS INTERNATIONAUX avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt SOMMITES DE L ATHLETISME MONDIAL ATHLETES ENTRAINEURS PREPARATEURS PSYCHOLOGIQUES avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt SPECIALISTES DU 400 M IVOIRIENS QUALIFIES AUX J O DE SEOUL avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 gt gt ATHLETES SPECIALI
473. ojecteur Sony VPH 600 QJ Q QM syst me de projection directe 3 tubes images monochromes 3 objectifs ce projecteur adressait un cran 2m x 1m70 une image pr sentant les diff rentes s ries image fournie par un magn toscope VHS JVC HRD 250 Un magn toscope 3 4 de pouce SONY 7630 compatible NTSC reli la centrale de contr le des cam ras du NAC et enregistrant l image finale provenant de ces 3 cam ras Conclusion L hypoth se centrale se nourrit de l tude du comportement exploratoire visuel et du temps de r action de boxeurs soumis des effets de bruit le signal est pr sent parmi d autres v nements dans des t ches de d tection identification et dans des t ches de d cision Plusieurs situations sont propos es aux sujets des situations ne comportant que des techniques des situations ne comportant que des ouvertures des situations comportant des techniques des ouvertures et des feintes Confront au visionnement d une bande vid o les sujets sont invit s prendre une d cision la plus pertinente et la plus rapide possible Il appara t une corr lation vidente et ce quel que soit le niveau d expertise du sujet entre l augmentation de la complexit de la t che et une augmentation des temps de r action Les v nements constitutifs de l activit propos s la lecture des sujets ne poss dent pas tous le m me statut Ainsi les ouvertures apparaissent beaucoup plus difficiles d tecte
474. omaine de la pr paration psychologique Trois conclusions semblent s imposer 1 Il est fort probable que la pratique sp cialis e d un poste de jeu influence le mode de recherche d informations En effet nous pensons comme Rioux et Chappuis 1967 que les imp ratifs op rationnels organisent de mani re diversifi e la perception des joueurs en fonction des r les et des places occup es sur le terrain La visualisation mentale qui utilise la d tection anticip e d images d j vues joue d s lors un r le instigateur de l action motrice venir 2 L utilisation de la visualisation mentale semble se diff rencier selon que le joueur est en situation de match ou d entra nement Concernant les situations d apprentissage ou d entra nement trois aspects particuli rement positifs m ritent d tre mentionn s l imagerie mentale permet de pr parer l action cette technique permet d autre part de revivre une action pass e en la r ussissant vis e de correction des erreurs commises enfin elle contribue la reconnaissance des actions adverses En situation de comp tition la visualisation mentale est modifi e par des l ments ext rieurs c est pourquoi selon certains auteurs tels que Fernandez et Lev que 1986 la visualisation mentale peut tre compl t e par la prise de conscience des bonnes sensations corporelles et sublim es par un sentiment int rieur de jouissance lor
475. on 5 coups de fer 7 un des explorateurs explique et d montre la technique du grip verrou Le sujet exp rimente ensuite la technique La consigne donn e est de r aliser les balles les plus longues possibles et les plus pr cises 3 me exp rimentation un expert frappe les fers 9 7 5 3 et les bois 3 et 1 5 balles par club en grip classique La m me s rie est imm diatement effectu e en grip verrou C En ce qui concerne l tude des synergies musculaires l activit lectromyographique globale est recueillie pour 14 muscles enregistrements r alis s en 2 s ries de sept muscles intervalle de 11 jours 1 re s rie grand dorsal droit triceps gauche triceps droit cubital ant rieur droit cubital ant rieur gauche pronator teres gauche pronator teres droit 2 me s rie palmaires gauches palmaires droits fl chisseur commun superficiel des doigts droit pectoral droit chefsternal pectoral droit chef claviculaire cubital post rieur gauche delto de moyen gauche Conclusion Un certain nombre d informations ressortent des diff rentes tudes men es A l issue de l tude cin matique et lectromyographique 1 La premi re exp rimentation permet de conclure une efficacit sup rieure du grip verrou compte tenu que les sujets taient inadapt s cette nouvelle forme de prise 2 Si les gains observ s 6 environ sur Vb G et R sont significatifs il faut tenir compte du fait que le s
476. on du niveau National exclusivement Protocole exp rimental 1 Un questionnaire a t labor pour tenter d identifier tous les d terminants de la menace qu ils soient physiques techniques tactiques ou psychologiques au total 21 questions 2 Afin d affiner les r ponses au questionnaire nous avons interview quelques joueurs nous avons utilis la technique de l entretien semi directif partir d un guide d entretien Ce protocole a t appliqu une population de joueurs consid r s comme extr mement mena ants en attaque les interviews ont t enregistr s sur magn tophone et retranscrits int gralement Contenu du guide d entretien A Les d terminants de la menace Le tir la passe la tenue du ballon La direction de l action le dribble les appuis Le collectif et l initiative individuelle L exp rience comment l acqu rir La cr ativit B Comment prendre l ascendant sur le d fenseur Le regard La parole Le contact physique C La pr paration psychologique Les m thodes personnelles L action des entra neurs D La menace et l ext rieur L enjeu l environnement les trois derni res minutes Conclusion L hypoth se de d part s inscrit ainsi La menace que repr sente un joueur est g n ralement valu e en termes de comportement physique technique ou tactique La charge motionnelle donne un aspect particulier ces comportements Appar
477. on le type de sp cialit vol local ou vol de distance sont apparues tout ce que tu peux rencontrer en vol tu le rencontres dans le vol de distance Ceci signifierait qu il n est pas indispensable de s entra ner tape par tape mais que la pratique du vol de distance suffit passer tous les l ments du vol en revue Concernant les facteurs psychologiques suppos s intervenir lors de la situation de performance les r sultats issus du questionnaire soulignent l existence d un certain nombre de caract ristiques la prise de risque et le caract re dominant ou l aptitude au commandement constituent les deux pointes les plus remarquables La comparaison inter groupale met en vidence quelques traits tout fait significatifs de ce qui diff rencie le plus haut niveau du niveau inf rieur l endurance pers v rance la motivation la vitesse spontan it nergie la prise de risque l agressivit VOLLEY BALL Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir COLLECTIFS SPORTS le r sum L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un por
478. onclusion L un des objectifs de l auteur a t d valuer les exigences cardiaques du joueur de football en fonction du poste qu il occupe puis d en tirer les enseignements susceptibles d aider l entra neur dans l laboration d une pr paration physique personnalis e En mettant en place des situations d entra nement reproduisant les contraintes d un match le travail entrepris met en vidence une am lioration du potentiel nerg tique des joueurs dans des modalit s qui leurs permettent de l utiliser imm diatement sur le terrain cette pr paration structur e se r v le sup rieure un entra nement classique collectif Il semble fondamental de d velopper des habilet s sp cifiques dans des secteurs de jeu identifi s en contextualisant dans un rapport d opposition le travail technique partir de choix tactiques Le travail individualis offre aux joueurs la possibilit d exprimer leur potentiel l auteur montre que c est la r p tition des stimuli sp cifiques l intensit la dur e la forme des s quences d exercice les temps de repos interm diaires qui d terminent les effets entra nement A noter en fin de M moire la pr sense d tudes et d analyses ayant trait aux entra nements et matchs l aide du logiciel CARDLOG efforts repos temps pass s dans les zones Une recherche que tous les entra neurs et pr parateurs physiques auraient grand int r t consulter
479. onome voire plus rationnelle de ce tir Auquel cas le renforcement des qualit s physiques et des gabarits apparition des premi res joueuses capables de tirer trois points en suspension va t il avoir pour cons quence une augmentation du nombre des tentatives dans le jeu f minin notamment sur contre attaque ou sur crans de joueurs int rieurs Un certain nombre de propositions concernant l entra nement sp cifique au tir trois points sont en fin de M moire sugg r es Basket ball Contribution l analyse de la contre attaque SENEGAL M 1990 127 p 4 p de bibliographie 61 r f rences annexes dont questionnaire aupr s des entra neurs et feuilles d observation de la N B A Population d exp rimentation 31 entra neurs du Championnat de France de 1 re division masculin Suivi de l quipe de Limoges en Coupe d Europe contre Milan Split Tel Aviv Den Helder Barcelone Salonique soit 14 rencontres 6 domicile et 4 l ext rieur Protocole exp rimental Utilisation d un questionnaire labor par l auteur apr s entretien avec trois entra neurs nationaux et le directeur technique national 31 questions ayant trait globalement l int r t et aux conditions d utilisation de la contre attaque tels que les entra neurs sont cens s les percevoir Mat riel audiovisuel pour enregistrement d images lors des matchs Utilisation parall lement
480. ormance Ses qualit s d enseignant l IN S E P d entra neur et de pratiquant sportif lui ont permis d analyser avec beaucoup de comp tence et d objectivit le contenu de ces M moires qui sont le fruit d un travail de deux ann es de recherche d enseignants d E P S de cadres sportifs d entra neurs de haut niveau de formateurs Si la qualit de ces productions est in gale celles ci r v lent n anmoins un certain nombre de pr occupations d ordre scientifique m thodologique technique technologique r glementaire ou institutionnelle relatives l optimisation de la performance sportive L auteur pr cise par ailleurs que cet ouvrage est davantage une analyse de contenu qu une analyse critique Il est incontestable que la somme des recherches entreprises repr sente une grande richesse et un apport ind niable dans le domaine du sport L ensemble des M moires r pertori s et analys s peuvent tre consult s la biblioth que de l IN S E P ou en pr ts inter biblioth ques pour ceux qui ont t publi s malheureusement trop peu nombreux Le dipl me de l E N S E P S a vu le jour en 1970 et fut transform en 1977 en dipl me de l IN S E P ce sont donc les m moires r alis s partir de cette date qui ont t pris en compte par la pr sente tude En 1995 le recrutement des sessionnaires a t interrompu dans le but de r nover le dipl me et de le rendre plus op rationnel dans le contexte sportif a
481. ormations visuelles et prise de d cision en arbitrage d escrime au fleuret 1992 127 p 4 p de bibliographie 51 r f rences annexes Voir p 123 gt gt BOUCHET D Etude du coefficient de d c l ration du nageur au cours de la coul e 1991 60 p 5 p de bibliographie 82 r f rences annexes Voir p 75 gt gt BOULAY B Etude des effets du feed back par vid o et de l image d un mod le sur l apprentissage d une habilet sportive application au volley ball 1986 160 p 17 p de bibliographie 125 r f rences annexes importantes Voir p 118 gt gt BOUTHIER D Sports collectifs contribution l analyse de l activit et l ments pour une formation tactique essentielle L exemple du rugby 1984 210 p 13 p de bibliographie 113 r f rences annexes Voir p 36 gt gt BRISSWALTER J Interactions entre les processus physiologiques et cognitifs effet des facteurs d expertise dans la t che cognitive et de condition physique 143 p 17 p de bibliographie 168 r f rences Voir p 123 gt gt BRASIER Y La chor graphie en gymnastique artistique f minine proposition d une syst matique 1986 90 p 2 p de bibliographie 11 r f rences annexes Voir p 52 gt gt BROCHE D Approche bio nerg tique de la pr paration physique du footballeur 1994 183 p 8 p de bibliographie 118 r f rences annexes tudes et analyses d
482. ort avec l poque actuelle Contribution l tude du managerat en basket ball Analyse des composantes WEISZ A 1982 150 p 3 p de bibliographie 45 r f rences annexe noms des entra neurs et joueurs interview s Population d exp rimentation Population de coaches entra nant ou ayant entra n une quipe de division Nationale I masculine ou une s lection Nationale Si nous avons op r ce choix ce n est pas par rapport une conception litiste de notre part mais simplement parce que nous consid rons que le haut niveau d un sport constitue un mod le pour l ensemble des pratiquants qui tendent s en inspirer jusqu l imiter Il est signaler que l ensemble des entra neurs que nous avons rencontr s ont tous une pratique relativement longue du basket de haut niveau en tant que coach mais aussi souvent de joueur Si certains au moment de l entretien n op raient pas au sein d une quipe de Nationale I leur prestige et leur notori t nationales ne pouvaient nous autoriser ne pas prendre leurs propos en consid ration Protocole exp rimental Un entretien semi directif a permis de recueillir des informations concernant les th mes suivants 1 La pr paration sp cifique 2 La pr paration d avant match 3 L chauffement 4 La relation avec les arbitres 5 L utilisation de la mi temps 6 L action du manager pendant le match 7 L apr s matc
483. ort niveau de vie conomique obtenant bien videmment les meilleurs r sultats Par ailleurs nous avons vu que c est dans les milieux sociaux favoris s que le jeune est le plus incit pratiquer le tennis en comp tition Ce sont galement dans ces classes sociales que les parents qui sont davantage sportifs s investissent le plus dans la carri re sportive de leur enfant Or les milieux sociaux favoris s sont aussi ceux qui poss dent les revenus les plus lev s Malgr une organisation f d rale qui veut unifier sa politique sportive sur l ensemble du territoire national on peut penser que la ligue participe diff rencier le niveau de r ussite des benjamins dans la mesure o elle dispose d une relative autonomie de fonctionnement En effet les d tections les s lections et les entra nements sont tout d abord organis s au niveau r gional avant que la f d ration ne prenne le relais A nsi la ligue qui d tecterait s lectionnerait plus t t et qui mettrait en place un programme d entra nement plus important que les autres verrait augmenter ses chances d accro tre le niveau de performance des benjamins Il serait instructif de proc der une analyse de cet aspect qui appara t au regard de notre tude susceptible de peser sur la performance des jeunes TENNIS DE TABLE L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit
484. otocole exp rimental Analyse d ouvrages sportifs sp cialis s et entretiens Au cours de ces entretiens trois questions principales ont t abord es 1 Quel est le mod le d athl te id al du point de vue des qualit s physiques du point de vue des principaux groupes musculaires sollicit s 2 Quelles sont les diff rentes p riodes dans l ann e pour l entra nement de musculation 3 Quels sont les principaux moyens utilis s et quels sont les types de s ance Conclusion L auteur ayant constat d importantes disparit s dans la compr hension et l utilisation des m thodes de musculation se donne pour mission de contribuer l claircissement des discours et usages voir cet gard le rapport tabli dans chaque discipline L objectif est double il faut dans un premier temps se fonder autant que possible sur une approche objective de type scientifique et ce titre faire le point des connaissances qui ont pu tre mises jour dans un second temps s impose la prise en consid ration des connaissances plus empiriques qui manent des entra neurs des athl tes ainsi que des m decins et kin sith rapeutes sportifs Cela permettrait d envisager des protocoles exp rimentaux pour chaque sp cialit afin d objectiver les r sultats des m thodes de musculation e LA COMMUNICATION INTER INDIVIDUELLE DANS UN JEU COLLECTIF Essai de traitement automatique de l information Zanin P 1985
485. our valuer une influence ventuelle de la pratique du judo Il n appara t pas de diff rence significative entre les zones de pressions plantaires des judokas et des non judokas lorsque les sujets sont en attitude standard Les mesures effectu es r v lent que 1 les r sultats obtenus relatifs aux projections des centres de gravit se recoupent avec les mesures de r partition des pressions exerc es sur le sol par les pieds lorsque les sujets produisent des efforts contr l s dans les plans frontal et sagittal 2 lors des actions st r otyp es une pr dominance des r partitions de pressions sur le pied droit 3 au cours des actions de pressions et de tractions les athl tes de haut niveau sont les plus sym triques par l intensit de leurs efforts Analyse d une technique de judo uchi mata Aspects d veloppementaux ANTOUREL S 1989 171 p 6 p de bibliographie 69 r f rences Population d exp rimentation Un groupe de 14 enfants de 9 12 ans ceintures orange bleue un groupe de 4 adultes ceinture verte un groupe de 4 athl tes de Haut niveau qualifi d experts adultes ceinture noir Protocole exp rimental Deux cam ras sur pied analyseur d images vid o deux dimensions celui ci permet de sortir les courbes d volution des diff rents segments du corps ainsi que les variations d angles durant la r alisation des mouvements Conclu
486. ourse avec marquage au sol Un lectrocardiogramme est enregistr en continu Exp 5 la t che consiste pointer alternativement avec un crayon deux cibles le plus pr cis ment et le plus rapidement possible r f rence au_ protocole de Fitts 1954 durant cinq secondes 2 s ries de t ches sont propos es aux sujets les variables en sont la largeur des cibles et la distance s parant les centres des deux cibles Deux types d chelle d valuation de la difficult sont la suite soumises l estimation des sujets Exp 6 le sujet est amen construire suivant un premier temps une chelle de rapport suivant la technique d estimation des grandeurs la t che la plus facile parmi 7 t ches de pointage retenues est affect e de la cotation 10 une t che cot e 20 est consid r e comme deux fois plus difficile que le modulus t che talon dans un second temps on utilise la m thode d estimation des rapports les t ches sont pr sent es par paires Exp 7 m me t che pr sent e des grimpeurs de haut niveau Exp 8 sur un clavier de micro ordinateur le sujet doit frapper sans erreur et le plus rapidement la touche affich e al atoirement au centre de l cran d une des lettres du clavier Une valuation de la difficult ressentie leur est demand e la suite d une s rie de dix essais dans chacune des cinq t ches exp rimentales Exp 9 m me exp rience que pr c demment mais valuation su
487. oute un peu moins lourde la mesure du bond de franchissement de chaque obstacle pour tudier plus finement les diff rences de temps observ s 2 R aliser une tude similaire sur le parcours de haies hautes de chaque cat gorie d ge pour les gar ons et pour les filles 3 G n raliser l utilisation la pratique courante de ces batteries de tests pour guider adapter et optimiser l entra nement individuel des coureurs de haies et parall lement mettre en place un syst me qui contribuera dans l tude longitudinale indispensable donner ces preuves leurs v ritable caract re op rationnel pour l entra neur Les femmes de la r gion Parisienne et les courses pied de longue distance Tradition ou innovation BLAIS F 1987 224 p 11 p de bibliographie 112 r f rences annexes dont uestionnaire auteur guide d entretien et r sultats de l enqu te M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Classes promotionnelles Athl tisme Bilan et perspectives BUSSERY M 1987 143 p 3 p de bibliographie 34 r f rences annexes dont questionnaire auteur et r sultats de l enqu te Intitul du questionnaire auteur Classes promotionnelles Athl tisme 78 questions adress es aux responsables Contribution la ma trise des facteurs technico tactiques du 400 m tres haies 400 plat 400 haies mod lisation et co
488. oyenne Ainsi le choix des exercices de renforcement musculaire doit prendre en compte la fois les caract ristiques techniques d ex cution du geste et les modalit s fonctionnelles du muscle e A PROPOS DU REGIME JURIDIQUE DE L ENSEIGNANT DE TENNIS Tivolle M 1982 58 p 1 de bibliographie annexe M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e APPRENTISSAGES MOTEURS ET PEDAGOGIE DES A P S Etude de l effet des processus cognitifs mis en jeu dans des situations probl mes chez l enfant de 5 12 ans Durand M 1983 199 p 20 p de bibliographie 287 r f rences annexes Tous les mouvements ne sont pas identiques il en est de tr s simples et de fort complexes Ces mouvements peuvent tre acquis par imitation d un mod le ou bien d couverts par l enfant dans une situation p dagogique am nag e A la diversit des mouvements et des situations d apprentissage s ajoute la multiplicit des termes et des concepts d signant les op rations psychologiques invoqu es les auteurs parlent de repr sentations d image du corps de prise de conscience d entra nement ou de pratique mentale pour d signer des conduites plus ou moins analogues Il convient de d limiter pr cis ment les types de mouvements et de situations ainsi que de pr ciser les termes qui feront l objet de cette tude e QUELQUES OBSERVATIONS SUR L EVOLUTION DE LA TAILLE DU POIDS DU CORPS DES UALIT
489. p 13 p de bibliographie 113 r f rences annexes dont fiches d observation correspondant aux deux exp rimentations Voir rubrique DISCIPLINES SPORTIVES COLLECTIFS SPORTS ET JEUX Contraintes physiologiques par poste en rugby LADAUGE P 1984 77 p 4 p de bibliographie 74 r f rences annexes dont tableau r capitulatif par poste Population d exp rimentation Joueurs de l quipe de France militaire soit 32 sujets de sexe masculin g s de 22 ans La r partition par poste est la suivante Poste 1 1 re ligne 3 piliers et 2 talonneurs 2 me ligne 5 joueurs Poste 2 3 me ligne 8 joueurs Poste 3 2 demis d ouverture 5 3 4 centres et 2 1 2 de m l e Poste 4 3 4 aile 3 ailiers et 2 arri res Protocole exp rimental Tapis roulant pour mesurer la FC lectrocardiographe et la VO2 recueil des gaz expir s Les mesures sont effectu es en ATPS condition athmosph rique de temp rature pression et humidit La calculatrice permet de les convertir en BTPS temp rature du corps pression ambiante satur e en P H20 47 mm Hg vapeur d eau et en STPD temp rature et pression standard air sec O C 760 mmHg La FC est galement enregistr e sur le terrain par monitorage ambulatoire et la lactat mie est mesur e de la m me fa on en laboratoire et sur le terrain La t l m trie d j u
490. pal responsable de la performance On a pu montrer que la d tente verticale dans cette condition est li e au pourcentage de fibres FT contenues dans les muscles extenseurs VIITASALO 1982 BOSCO 1979 La menace dans le basket ball Analyse des comportements d intimidation offensifs dans le 1 x 1 OSTRIC A 1988 97 p 1 p de bibliographie 12 r f rences annexes questionnaire la menace extrait d interview exemples de dod cagone Population d exp rimentation Trois populations diff rentes ont t retenues A Des entra neurs de Haut niveau qui doivent avoir men une r flexion personnelle sur la menace dans leurs analyses de matches et leurs pr parations d entra nement B Des joueurs de Haut niveau qui sont les acteurs des interactions tudi es et donc doivent en conna tre les diff rentes composantes C Des journalistes rapportant le basket ball de Haut niveau pour avoir un avis ext rieur compte tenu du r le qu ils jouent dans la transmission des id es en g n ral qui incluent la notion de menace Les entra neurs sont des entra neurs Nationaux de la F F B B et des entra neurs de la N1A et N1B Les joueurs et les joueuses consult s op rent tous et toutes dans un contexte de forte pression matches Internationaux ou matches entre les meilleures quipes de la division N1A Les journalistes sont de la presse crite parl e et des cha nes de t l visi
491. par les ing nieurs de la soci t Swiss Timing afin de pouvoir servir de chronom trage officiel pour des comp titions d athl tisme celle ci reli e un magn toscope 3 4 de pouce et passant par l interm diaire d un bloc chronom trage classique enregistre 50 images la seconde Sur chaque clich les deux trames vid o tant s par es on obtient ainsi deux images espac es d un centi me de seconde soit par cons quent 100 images en une seconde Le bloc chronom trage est reli un r partiteur auquel arrive galement le c ble d un chronom tre avec imprimante le c ble du pistolet avec lequel sont donn s les d parts et le c ble des cellules photo lectriques qui permettent d arr ter le chronom tre au passage des athl tes Un moniteur compl te l quipement et permet de visionner ce qui est film par la cam ra L auteur proc de ensuite par digitalisation bonhomme fil de fer et capture l aide d un ordinateur l image choisie un logiciel permettra par la suite d obtenir des donn es d angulation de vitesse et d acc l ration Conclusion Sprinters hurdlers et d cathloniens de haut niveau ont t film s sur une preuve de sprint court puis sur une preuve de haies hautes L auteur met en vidence lors d une premi re analyse ce fait que la r alisation technique de l une des deux courses n est pas forc ment en accord avec la demande sp cifique de l autre
492. permet l obtention de renseignements d une relative pr cision sur les vitesses acc l rations et trajectoires des diff rents segments du corps ainsi que les variations angulaires entre ces segments au cours du mouvement Les exp rimentations sont r alis es dans une obscurit semi compl te un rideau de velours noir recouvre le fond de prise de vue Le long de l aire d volution se situe un rep re d chelle 20 cm servant aux d pouillements des enregistrements Les rep res articulaires gauches du gymnaste mall ole externe articulation coxo f morale creux axillaire t te poignet sont marqu s l aide de scotch r fl chissant blanc L nergie de chaque clair d une puissance de 0 80 Joules et d une dur e de 40 micro secondes est fournie par un tube clair au XENON de 40 watts de puissance plac dans un projecteur focalisable au dessus de l objectif de l appareil photo L enregistrement des exercices est r alis avec un appareil 24x36 de type Canon F1 muni d un objectif de 50 mm et d un d clencheur souple Les gymnastes ont effectuer tour tour les l ments gymniques suivants Salto Arri re Tendu et Double Salto Arri re Group Ces l ments sont pr c d s de course d lan Rondade Flic Flac La construction graphique du centre de Gravit Cdg est r alis e selon les indications de CLAUSER et al Weight volume and Center of Mass of segments of the human body 1969
493. phale voire tric phale des quipes sans que celle ci ne s accompagne pour autant d une suppression de la hi rarchie entre les hommes Des r les bien d finis pourraient permettre ces entra neurs une collaboration g n ratrice d une plus grande efficacit 3 La politique d ascension court terme pratiqu e par de nombreux dirigeants de club contraint les entra neurs une certaine prudence dans leur managerat Ces derniers ont le sentiment que leur avenir professionnel est intimement li l obtention de victoires Ce qui a pour cons quence que les entra neurs sont avant tout conservateurs dans leur fonction limitant ainsi les initiatives qu ils pourraient prendre dans un autre contexte Dans un basket ball pouvant tre assimil un sport professionnel il semble indispensable de donner aux entra neurs des assurances concernant leur avenir professionnel en cr ant un statut officiel d entra neur de basket ball 4 Le manque de s r nit des entra neurs dont nous parlions plus haut a des cons quences en ce qui concerne les relations qui pourraient s tablir entre lui et l quipe Il n est pas dans notre intention de nier l importance du charisme qui mane de tout meneur d hommes Mais peut tre qu avec plus de s r nit les entra neurs pourraient tablir une communication plus profonde avec les joueurs susceptibles selon nous de r soudre bien des conflits 5 Le
494. phie 150 r f rences bibliographie presse et revues M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage RECLASSEMENT EN THEMES ET MOTS OU IDEES CLEFS APPROCHE BIOMECANIQUE CINETIQUE ET CINEMATIQUE STATIQUE ET DYNAMIQUE RESISTANCE DES MILIEUX gt gt ETUDE TECHNIQUE DE LA FRAPPE AU KARATE DONT VITESSES ET ACCELERATIONS avec Gottsmann F 1977 voir p 69 gt gt APPORT DE LA STROBOSCOPIE ET DE LA PHOTOGRAMMETRIE A L ANALYSE DU MOUVEMENT avec Menant G 1977 gt gt TECHNIQUES VIDEO POUR ACQUISITION DE DONNEES NECESSAIRES A L ANALYSE DU MOUVEMENT avec Moreaux A 1977 gt gt MISE EN EVIDENCE DE DONNEES BIO MECANIQUES COMMUNES A CERTAINES CONDUITES MOTRICES PAR L ENREGISTREMENT VIDEO avec Qui vre J 1977 gt gt APPROCHE BIOMECANIQUE PRISE DU CLUB DE GOLF avec Lofi A 1978 voir p 47 gt gt ANALYSE BIOMECANIQUE en Natation avec Ria B 1981 voir p 72 en Athl tisme avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt ANALYSE CINEMATIQUE TRAJECTOIRE DES MOUVEMENTS DE LA TETE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt ETUDE BIOMECANIQUE ACROBATIE AU SOL avec Boerio G 1984 voir p 50 gt gt ANALYSE BIOMECANIQUE ET CINETIQUE LORS DU LANCER DE MASSUE FORCES EXERCEES AU SOL en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt RELATIONS ENTRE VITESSE DE COURSE SUR LE PLAT ET VITESSE DE COURSE SUR HAIES HAUTES avec Aubert F 1986 voir p
495. photo lectrique syst me plac perpandiculairement et environ 10 cm sous l engin La cellule est reli e un micro ordinateur qui lui m me est reli un cran de contr le qui nous permet de visualiser et de recopier des valeurs affich es La lampe d un stroboscope est mont e sur un tr pied situ gauche de 4 arri re 1m50 et dirig vers le sujet Il comprend une lampe de 250 watts Les clairs ont une dur e de 90 u sec une nergie la source de 5 J et une fr quence de 12 Hz 12 clairs par seconde Le champ visuel offert au sujet est peu contr l Il est constitu par un mur de couleur grise situ environ dix m tres La consigne partir de sation debout au centre du trampoline chaque sujet effectue 90 figures compos es de trois habilet s motrices pirouette salto arri re salto arri re vrill r aliser dix fois en 3 conditions lumineuses L espace de temps s parant l ex cution de deux figures est approximativement de 60 sec Premi re exp rience le sujet dispose de deux sauts pr paratoires le premier a comme objectif l acquisition d une certaine quantit de mouvement lors du second saut la nature du milieu lumineux appara t et nous donnons verbalement la nature du saut r aliser Le gymnaste dispose d environ 120 150 centi mes de seconde pour s adapter l environnement et pr programmer son habilet motrice Les conditions lumineuses L1 correspond
496. pied d appui une orientation du pied de la jambe libre Un seul d tail qui dans un ensemble d autres d terminait une nouvelle orientation du jeu Il semble d apr s le r sultat des interviews que les joueurs actuels soient moins int ress s par les questions relatives ce sujet comparativement aux anciens internationaux Au sujet des placements et des d placements en pr action dans ce domaine nous avons recueilli une masse d informations qui de notre point de vue pr sentent un int r t capital pour le rugby actuel tant en ce qui concerne la connaissance th orique du jeu qu en ce qui concerne la pratique aussi bien celle du joueur confirm que celle du d butant les placements et les d placements portent en eux tous les germes r novateurs de la th orie et de la p dagogie du Rugby Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball gt DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir COLLECTIFS SPORTS le r sum Sports d opposition El ments d analyse pour une p dagogie des prises de d cision STEIN J F 1981 105 p 10 p de bibliographie 111 r f rences Voir rubrique DISCIPLINES SPORTIVES OPPOSITION SPORTS D Sports collectifs contribution l analyse de l activit et l ments pour une formation tactique essentielle L exemple du rugby BOUTHIER D 1984 210
497. pl te a t effectu e Demeurent un certain nombre de M moires pour lesquels nous n avons proc d qu un relev d informations gt A KIDO p 12 Guibbert L 1980 gt ATHLETISME p 12 Di Giacomo G 1984 Aubert F 1986 Belloc O 1988 Ragni P 1988 Moureaux R 1989 Debois N 1990 Pauly O 1991 Hanon C 1992 Krantz N 1992 Fougeron B 1994 Gajer B 1995 gt AVIRON p 21 gt BASKET BALL p 21 Chazalon J 1979 Grosgeorges B 1980 Binard J 1982 Weisz A 1982 Buteau P 1987 Diop A 1988 Legrand J 1988 Ostric A 1988 Desert I 1989 Senegal M 1990 Vanaghs I 1990 Ballarini I 1992 gt BOXE ANGLAISE p 32 gt BOXE FRANCAISE p 32 Kerlirzin Y 1990 gt CANOE KAYAK p 33 Dransart G 1977 Lamarzelle P 1989 Cezard J P 1991 gt COLLECTIFS SPORTS ET JEUX p 36 Druais M F 1981 Bouthier D 1984 gt CYCLISME p 37 Demenois J P 1995 gt DANSE EXPRESSION p 38 EQUITATION p 39 Dinh Phung R 1985 gt ESCALADE p 39 Gsegner G 1982 Dupuy C 1985 Deligni res D 1990 Viens T 1992 gt ESCRIME p 41 Seitz P 1984 Leseur H 1986 gt FOOTBALL p 43 Crevoisier J 1981 Dufay A 1988 Kae Oula G 1988 Vassouleymane T 1991 Ouattara O 1993 Broche D 1994 gt GOLF p 47 Lofi A 1978 GYMNASTIQUE SPORTIVE G R S GYMNASTIQUE ARTISTIQUE p 48 Feraud C 1983 Boerio G 1984 Boerio H 1984 Leroy M 1
498. points Lesquelles D Quelles sont les solutions d fensives que vous pr conisez face une quipe qui poss de 1 tireur efficace trois points 2 tireurs plus de 2 tireurs E Avez vous d autres remarques formuler concernant le tir trois points 2 Les rencontres Hommes ont t directement film es avec un magn toscope de type VHS les rencontres Femmes ont t analys es partir de rencontres conserv es sur bandes vid o Les outils d observation 7 th mes regroupant 15 param tres soit 82 modalit s ont t retenus Identification des quipes pays et des joueurs Identification du coup dans l espace Identification des caract ristiques du coup Identification des cons quences de l action Identification du coup dans le temps Identification du coup dans le rapport d opposition Identification du r sultat du match La proc dure d acquisition s est faite sur un micro ordinateur de type PC AT partir d un clavier concept keyboard Nos fichiers ont t am nag s pour tre trait s par le logiciel statistique TRI2 ce logiciel est une m thode qui permet l analyse factorielle de correspondance Conclusion L exploitation du tir longue distance diff re d un pays l autre C est un indicateur de style de jeu qui diff rencie les quipes dans leurs strat gie d attaque Certaines tendances ont pu tre mises jour 1 Les nations masculines les plus perfor
499. portive C est comme si l on avait ignor pendant toutes ces ann es l aspect universel de certains probl mes li s la r alisation d une performance sportive Jamais aucun ouvrage ma connaissance n a os attaquer le probl me des diff rentes m thodologies utilis es par les chercheurs dans le domaine de l apprentissage et de l entra nement sportif Cette tude est pourtant riche d enseignements tant elle r v le de questions de positions de red finitions et de mutations cet gard nous pourrions la qualifier d thno m thodologie les th mes et mots ou id es clefs n existent que par rapport des buts ils sont porteurs de sens et de signification quant leur condition de production L ouvrage aurait d ailleurs bien pu s intituler 20 ans de Dipl me I N S E P Histoire d une institution Cette tude permettra galement d alimenter la r flexion en mati re de technologie culturelle celle ci tente d tablir des relations entre les outils les proc d s et les m thodes et les contextes socio conomiques et culturels qui les ont produites Je dois dire que loin de m avoir dispers cette recherche m aura v ritablement enrichi et transform m me si la nature de certaines informations m est devenue aujourd hui inconsciente je sais qu un travail en profondeur a t accompli Dans cette optique notre objectif aura bel et bien t d
500. premi re division groupe A Tous avaient derri re eux au moins 8 ans de pratique 3 les d fenseurs oppos s aux joueurs d butants taient des tudiants en E P S optionnaires rugby ou des enseignant E P S sp cialistes rugby encore pratiquants Les d fenseurs oppos s aux joueurs du P U C taient des joueurs d un club de 2 me division r trograd cette ann e l en 3 me division 2 me exp rience promotion d tudiants en E P S de premi re ann e r partis suivant deux groupes en fonction des caract ristiques suivantes 1 sujets ayant d j jou au rugby 2 sujets sp cialistes d autres sports collectifs 3 sujets de gabarits comparables Protocole exp rimental 1 re exp rience afin d obtenir une situation de jeu la plus proche possible de la r alit en match nous avons utilis les lois de l exercice pr conis es par Deleplace 1979 L aire de jeu se situe dans un gymnaste et est couverte par deux cam ras l une au plafond couvre sans distorsion la zone centrale recouverte de tapis l autre est fix e dans l axe horizontal du terrain derri re les attaquants Pour faciliter les relev s la zone centrale a t gradu e sa p riph rie par des marques tous les 50 cm Sur chaque enregistrement les injonctions du starter sont audibles coup de sifflet et un chronom tre au 1 100 me de seconde est incrust sur l image Pour pr lever les informations nous avons utilis une fiche d
501. prise des mains et leur cartement correspond exactement la tenue d une pagaie Ce manche de pagaie est reli aux p dales de la bicyclette MONARK par l interm diaire de deux tubes en alliage l ger La p dale de la bicyclette pivote normalement autour de son axe Le mouvement sp cifique du kayakiste est respect L estimation de la puissance s effectue strictement de la m me fa on que lors de l utilisation classique de la bicyclette avec les jambes Les deux preuves de jambes puis de bras ont t pass es le m me jour 6 heures d intervalle La seule diff rence est la charge En effet la charge de 900 kgm mn utilis e pour les jambes est beaucoup trop lev e pour les bras et aucun des athl tes n a t capable de faire tourner l appareil une telle charge La concordance para t tre atteinte avec 450 kg m mn c est dire la moiti Cette diff rence peut s expliquer par le moindre volume de la masse musculaire mis en jeu et par le rendement m canique du stimulateur Psychologie un questionnaire a t tabli avec l aide des entra neurs Nationaux de la F d ration Fran aise de Cano Kayak Parmi 20 propositions 5 taient retenir et classer par ordre de fr quence d croissante pour chacune des 4 disciplines course en ligne descente slalom tourisme Une interpr tation avait t donn e pour chaque trait Enfin le qu
502. progr s de la part des gymnastes sur ce plan De plus ce travail co teux en ensemble pour des adolescentes 2min 30sec d effort et 2min 30sec 3min de pause peut aboutir des effets inverses et provoquer le surmenage s il n a pas fait l objet d un travail pr paratoire progressif La fr quence cardiaque demeure ce titre et pour peu qu elle soit rapport e la F C Max un moyen de contr le significatif de l importance de la charge L analyse de contenu a montr que les exercices des gymnastes fran aises taient en g n ral moins riches au plan corporel que les exercices des meilleures mondiales densit difficult s combinaisons On assiste d ailleurs aujourd hui un renforcement tr s net des difficult s corporelles au plan des pivots et des quilibres comme pour les sauts nos gymnastes ne peuvent peut tre pas pr tendre r aliser ces exigences parce qu elles n ont pas les moyens physiques requis pour cela les choix effectu s devant tenir compte de cette limite Les indices internes de mesure du co t nerg tique permettent de classer les engins en fonction d un ordre croissant de sollicitation ballon ruban cerceau corde notre tude met en vidence que la corde un des deux engins d j le plus co teux pour les fran aises est celui o les gymnastes internationales effectuent encore plus d l ments et de difficult s corporelles L auteur ach ve sa r flexion pa
503. ptation de la bicyclette Monark application de la charge par serrage Exploration sur site en situation au moyen d un syst me d acquisition et de traitement des donn es ensemble capteur une centrale d acquisition une unit de traitement Bateau de type Orion Spidom tre de type Pen Lann Deux paires de jauges d extensom trie coll es sur la pagaie dans le plan normal des pales mesurent la d formation des manches Pagaies de type Wing Sport tester PE 3000 Cadencem tre lectronique sonore de marque Seiko Pr l vements sanguins Conclusion Compte tenu de l importance de la corr lation qui unit consommation d oxyg ne et F C il semble possible d estimer le co t nerg tique du pagayage partir des valeurs de fr quence cardiaque Celle ci augmente r guli rement avec l augmentation de la cadence les valeurs s tendent de 142 batts min 1 187 batts min 1 La F C est maximale pour les cadences ma tris es les plus lev es Il y a d importantes variations individuelles pour le groupe de filles la fr quence cardiaque atteint un plateau entre 90 et 100 coups de pagaie minute alors qu elle continue d augmenter dans le groupe de gar ons La relation cadence VO2 montre pour 3 sujets une volution lin aire tandis que pour les 3 autres la VO2 s tablit en plateau au voisinage de 90 coups de pagaie minute La lactat mie croit comme la cadence et ce pour tous les sujets pour des valeurs alla
504. qu une partie de celui ci puisse tre consacr l individualisation du perfectionnement Aux Etats Unis par exemple l obtention d un haut niveau d habilet est particuli rement encourag e par les entra neurs et ce d s le plus jeune ge l effet qui en r sulte d passe la simple acquisition de savoir faire puisqu elle concerne l auto responsabilit Le comportement dont t moigne les joueurs am ricains est ce propos radicalement oppos ce que l on observe en France ainsi en France les joueurs ne paraissent atteindre leur maturit que vers l ge de 25 ans et encore ont ils de la difficult ne pas prendre l habitude d attendre une prise en charge totale de l entra neur A l tranger par contre il est courant de rencontrer des joueurs de 19 20 ans qui se comportent avec calme et s r nit avec suffisamment de ma trise pour analyser eux m mes les situations et trouver des r ponses adapt es des r ponses non dict es Contribution l tude du sport f minin de haut niveau l exemple de la condition des basketteuses fran aises RIFFIOD E 1979 353 p 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes dont uestionnaire et guides d entretien Jeunes et Seniors Voir rubrique THEMES GENERAUX gt 1979 Analyse de comportements tactiques en basbet ball gt GROSGEORGES B 1980 1
505. quement est mesur dans les conditions des tests volontaires en r ponse au courant excito moteur Trois stimulations sont r alis es toutes les 90 secondes pour chaque courant sous le contr le du sujet Au signal le sujet ouvre l interrupteur augmente progressivement le niveau d excitation jusqu la limite du supportable et le ferme ce moment L exp rimentateur note le niveau de CEE chaque stimulation la dur e de la stimulation n exc de pas 5 secondes Le sujet est encourag chaque essai Les r sultats ne sont pas divulgu s 5 Protocole du questionnaire d valuation Une valuation du courant est propos e au sujet au cours des 2 minutes de pause 1 l aide d un questionnaire d estimation de la force estimation du CEE exprim e en de la force volontaire maximale et d une chelle de confort au courant not e au 1 2 point pr s de 1 10 2 l aide d un questionnaire d terminant les sensations une grille contenant une liste de sensations est propos e aux trois derni res s ances Cette grille est une version am nag e du questionnaire de douleur de MELZACK MCPQ partir duquel nous avons retenu les diff rentes cat gories de sensations et les motions provoqu es par l lectro stimulation Les r ponses ces questionnaires sont enregistr es dans les domaines sensitif et affectif 6 Protocole portant sur les effets de la fatigue sur le couple voqu lect
506. quipe n est en retard que de 1 ou 2 pts les spectateurs sont hostiles ou d bordent d enthousiasme les managers dont l attitude est souvent minemment d cisive les co quipiers les adversaires etc Plus globalement l analyse des r ponses au questionnaire a permis de s lectionner un ensemble de d terminants tout fait caract ristiques de la menace effectivement exerc e par le Joueur attaquant l adresse la ma trise technique la posture les appuis la position du ballon la vivacit de l action la cr ativit l exp rience les contacts physiques la ma trise de soi Certains parmi ces d terminants m riteraient d tre approfondis la parole le regard l enjeu et l environnement d autres peuvent tre cart s La synth se des interviews a permis d infirmer ou de confirmer l importance des facteurs voqu s les contacts physiques ne sont pas consid r s comme une menace particuli re ils font partie du jeu et doivent tre accept s l inverse de ce que l on enregistre concernant le regard la parole l exp rience la cr ativit et le degr de motivation Certains de ces secteurs n ont pas encore t explor s Enfin nous avons mis en vidence un effet inverse qui est important car il met des limites Que ce soit au niveau de la parole du regard de l environnement ou au niveau d une strat gie boite sur tireur l action entreprendre doit tre me
507. r balle haute au poste 4 Ceci s est concr tis au moment du championnat d Europe Les joueuses ont sans doute besoin de se rassurer en optant pour un style de jeu o la prise de risque est r duite Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby NERIN J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Voir rubrique THEMES GENERAUX 1986 Les volleyeurs masculins du Mondial 1986 Approche sociologique CANALES C 1987 77 p 2 p de bibliographie 21 r f rences annexes questionnaire auteur et r sultats Population d exp rimentation 77 volleyeurs du plus Haut niveau ces joueurs composent les rangs de quelques unes parmi les meilleurs quipes pr sentes au Mondial 86 Protocole exp rimental Elaboration et passation d un questionnaire de type sociologique Soit 21 questions ayant trait globalement la motivation des joueurs Conclusion Certaines hypoth ses m ritaient d tre infirm es ou confirm es 1 Le milieu social d origine des volleyeurs pr sents ce Mondial est de type milieu favoris socialement et intellectuellement lev activit professionnelle du p re et niveau d tudes et ceci est particuli rement vrai en ce qui
508. r s labor A compter de saisies diverses il est capable sur toutes les opportunit s de proposer un large ventail d appels suivi d encha nement de feintes et d attaques directes tr s diversifi es dans diff rentes directions qui se concluent par un nombre assez restreint de techniques Cette disponibilit en quelque sorte ne permet pas l adversaire de mettre en place uns strat gie de d fense L auteur souligne en fin de M moire l int r t que rev t l observation de la strat gie utilis e par l adversaire lorsque l on sait qu on a toutes les chances de le rencontrer de m me que s impose dans le cadre d une pr paration personnalis e l analyse qui r sulte de l observation de sa propre fa on de pratiquer notions de points forts et de points faibles C Etude des appuis plantaires et de la stabilit d athl tes pour les actions contr l es Application au judo SOLER C 1987 117 p 2 p de bibliographie 26 r f rences annexes importantes dont courbes tableaux empreintes podales anthropom trie r alisation du bidynamom tre d effort Population d exp rimentation Trois chantillons de sexe masculin 93 des sujets sont droitiers 1er chantillon constitu de 19 athl tes de Haut niveau en judo ou assimil s dont le poids varie entre 60 et 88 kg 2 me chantillon r unissant 8 ceintures noires de judo ayant au minimum 10 ann es de pratique choisis dans la m me
509. r des propositions d entra nement D tente et performance sportive en gymnastique au sol Approche biom canique HOSSEINI A 1991 69 p 7 p de bibliographie 59 r f rences Population d exp rimentation 6 gymnastes de l quipe Nationale Espoir s entra nant l I N S E P et constituant la rel ve de l quipe de France Elles c toient leurs a n es dans toutes les s ances d entra nement Protocole exp rimental Deux s ries d preuves les unes classiquement utilis s pour mesurer en laboratoire la d tente musculaire l autre sp cifique de l activit gymnique au sol encha nement salto arri re salto avant sont pass es avant et apr s une tape d entra nement de renforcement musculaire caract re pliom trique Premi re s rie de mesures r alis es l aide d une plate forme de force dont les coins sont quip s d un capteur pi zo lectrique KISTLER sensibilit tridimensionnelle utilisation du protocole d ASMUSSEN et de BONDE PETERSEN SJ CMJ DJ pour valuer les caract ristiques sp cifiques de la d tente verticale Deuxi me s rie ayant pour objet la mesure de la d tente verticale dans une figure gymnique Pour mesurer les param tres spatiaux nous avons utilis en l adaptant le protocole exp rimental cin matographique de SMITH 1983 Il consiste filmer les gymnastes qui r alisent la figure exp rimentale
510. r les enfants sont compar s au test de ski de fond de 12 minutes Conclusion L exp rimentation men e montre pour tous les tests une diff rence significative entre les gar ons et les filles de m me qu entre les plus jeunes ou moins avanc s dans leur d veloppement biologique et les plus g s La connaissance de l ge osseux indice de maturation biologique permet surtout chez les filles de rendre compte des r sultats obtenus au cours des diff rents tests les mesures de la taille et du poids puis l ge chronologique peuvent de fa on cependant moins pr cise tre consid r s comme facteurs pr dictifs de la performance aux tests de ski de fond de vitesse et de CT 170 Le pourcentage de graisse est constant chez les gar ons s l ve l g rement chez les filles au cours de la croissance sans incidence sur les performances Par contre la masse maigre s accroissant au fur et mesure du d veloppement biologique influence les performances L importance du niveau d activit sur les r sultats aux tests est variable 5 6 heures par semaine d entra nement ski sont insuffisants pour avoir des r percussions sur le d veloppement physique mais peuvent intervenir au niveau de l adaptation physiologique l effort incidence chez les gar ons sur la capacit de travail 170 Une diff rence est apparue entre les filles entra n es et non entra n es lors de l preuve de ski de fond qui se
511. r p 109 gt gt SPECIFICITE DU SKI DE FOND avec Azizollah G 1981 voir p 83 gt gt SPECIFICITE DU MENEUR DE JEU en Sports collectifs avec Druais M F 1981 voir p 36 gt gt SPECIFICITES DES PRATIQUES ET CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES avec Missoum M 1981 voir p 110 gt gt L EFFORT DU FOOTBALLEUR avec Corbeau J 1982 voir p 112 gt gt LOGIQUE INTERNE DE L ESCALADE avec Gsegner G 1982 voir p 39 gt gt IDENTIFICATION DES FACTEURS DE PERFORMANCE EN VOL LIBRE avec Jullien G 1982 voir p 94 gt gt INDEX DE DIFFICULTE MECANISME EFFECTEUR DU MOUVEMENT en Tennis avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt SPECIFICITES DES PRATIQUES ET MENSTRUATION avec Marlard N 1982 voir p 112 gt gt LES DIFFICULTES DU MANAGERAT en Basket ball avec Weisz A 1982 voir p 23 gt gt ANALYSE DE L ACTIVITE VOILE avec Le Vaillant R 1983 voir p 93 gt gt DETERMINANTS DE LA PERFORMANCE EN DEFENSE BASSE en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt REVUE BIBLIOGRAPHIQUE CONTRIBUTION DES INFORMATIONS SENSORIELLES A LA PERFORMANCE en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt CONTRIBUTION A L ANALYSE DE L ACTIVITE SPORTS COLLECTIFS ET RUBGY avec Bouthier D 1984 voir p 36 gt gt FACTEURS DETERMINANTS DE LA COURSE DE VITESSE avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt CONTRAINTES PHYSIOLOGIQUES PAR POSTE EN RUGBY avec Ladauge P 1984 voir p 80 gt gt CARACTER
512. r que les techniques et ce de fa on marqu e en situation complexe ou en pr sence de bruit On observe que contrairement ce que nous avions imagin les experts ont r pondu de nombreuses fois aux feintes surtout en situation de d cision comme si le fait d avoir d cider interdisait de ne pas prendre en compte cette fausse technique destin e leurrer le partenaire Mais la prise en compte de la validit de la r ponse fait appara tre dans le groupe des internationaux une sup riorit manifeste dans la pertinence de la r ponse Cependant les TR observ s r v lent pour ce groupe une attitude plus conservatrice Les athl tes experts n ont pas de meilleure performance que les novices lorsque les facteurs manipul s affectent les tapes pr coces de traitement La sensibilit perceptive des experts plus basse que celle des non experts sugg re que les diff rences entre les deux groupes d athl tes s expliquent mieux par des effets sur les tapes de s lection et ou de programmation que sur le stade d identification du signal Concernant la question du comportement exploratoire visuel certains faits sont tout fait r v lateurs 1 Les patrons de prospection visuelle sont d autant plus clat s que le niveau des boxeurs est faible L essentiel des fixations visuelles concerne chez les experts les trois l ments suivants la t te les membres sup rieurs et le buste Ici la t te se
513. ran aise avec Kerlirzin Y 1990 voir 32 gt gt ANALYSE TRANSITION COMBAT DEBOUT COMBAT AU SOL en Judo avec Roux P 1990 voir p 67 gt gt FAUTES DE TECHNIQUE INDIVIDUELLE PERTES DE BALLE en Handball avec Anti T 1991 voir p 58 gt gt LA PROFONDEUR DE COULEE EN VIRAGE DE BRASSE avec Bouchet D 1991 voir p 75 gt gt ELEMENTS TECHNIQUES GENERAUX VITESSE EN CANOE avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt TECHNIQUE DE COURSE SPRINT HAIES DECATHONIENS SPRINTERS ET HURDLERS avec Pauly O 1991 voir p 18 gt gt DEPLACEMENTS ET ACTIONS DE JEU INDIVIDUELLES A DEUX NIVEAUX DE COMPETITION en Football avec Vassouleymane T 1991 voir p 45 gt gt ECONOMIE ROLE DU CYCLE ETIREMENT DETENTE en Course pieds avec Duverney Guichard E 1992 voir p 124 gt gt PRESENTATION TECHNIQUE DU TIR EN COMPETITION en Pistolet Vitesse Olympique avec Raybaut J F 1992 voir p 89 gt gt DONNEES TECHNIQUES EN TRIATHLON RECUEILLIES EN SITUATION DE COMPETITION avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt TRAITS GENERAUX DES HABILETES ET DE LA TECHNIQUE EN FOOTBALL CONTRAINTES COGNITIVES SUPPLEMENTAIRES avec Ouattara O 1993 voir p 46 gt gt LE TRAVAIL TECHNIQUE A PARTIR DE CHOIX TACTIQUES en Football avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt LA TECHNIQUE DU MARCHEUR DE 50 KILOMETRES avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt FATIGUE ET EVOLUTION DE LA FOULEE AU COURS D UN 800 M avec Gajer B 1995 voir p
514. ration de principes g n raux d entra nement avec de jeunes skieurs La pr paration psychologique de la comp tition Les strat gies mentales du skieur de haut niveau Contribution am lioration de la pr paration psychologique du jeune skieur BARTHALAIS A 1988 177 p 6 p de bibliographie 70 r f rences annexes comp titions observ es et extraits des entretiens Population d exp rimentation Skieurs Juniors et Seniors participant aux comp titions Internationales niveau courses F LS pour les premiers niveau Coupe du Monde pour les seconds Toutes les sp cialit s ont t observ es Parmi les membres des groupes Nationaux de la F F de Ski ont t interrog s ceux qui se sont distingu s lors des grandes comp titions telles que les Jeux Olympiques les Championnats du Monde ou les preuves de Coupe du Monde et quelques Espoirs dont les r sultats semblent prometteurs Protocole exp rimental Observation des coureurs fran ais et trangers le jour de la comp tition d roulement de la journ e de comp tition observation de certains moments privil gi s l chauffement la reconnaissance les minutes qui pr c dent le d part ou qui suivent l arriv e Les entretiens il s agit d entretiens semi directifs les techniques employ es tant celles de la reformulation et de la relance Conclusion Le skieur d lite s lectionne rapidement les informa
515. rbitres AUBERT M 1981 181 p 7 p de bibliographie 84 r f rences annexe x les arbitres le secr taire le chronom treur Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Voir COLLECTIFS SPORTS le r sum L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des joueuses de handball a pu tre labor Efficacit et relations interindividuelles Etude de cas quipe de France f minine A de handball 1985 PINEAU P 1986 203 p 14 p 87 r f rences annexes dont questionnaire sociom trique recueil des donn es de matchs extraits d entretiens Voir rubrique THEMES GENERAUX gt 1986 gt Le discours d avant match en sports collectifs d terminants et contenu L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby NERIN J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Voir rubrique TH
516. recherche concernant la hauteur fixe du capteur le plus grand tait contraint des flexions de jambes plus importants afin d tre au bon niveau de frappe concernant l exploitation du film il aurait t pr f rable de marquer avec des mouches les rep res anatomiques sur les sujets plut t que de d terminer ces rep res sur l image concernant le r f rentiel d espace il n tait pas plac exactement dans l axe du capteur il tait d cal de 20 cm cr ant ainsi un l ger effet de perspective Conclusion L objectif de cette tude est de d terminer d une part le rendement de la frappe c est dire la quantit de force exprim e l impact de diff rents gestes de frappe en Karat d autre part les crit res techniques qui d terminent ce rendement en vue d applications p dagogiques Il appara t que les frappes de pied sont nettement sup rieures aux frappes de mains et que viennent en t te les frappes appliqu es avec le talon atteignant le record de 1240 Kgf et le coude les moyennes de frappes obtenues par les diff rentes techniques sont par ordre d importance Yoko Geri Ushiro Geri et Empi Mae Geri Mawashi Geri Tsuki sur place Gyaku avec d placement Oi Tsuki Il est visible la lecture des trac s d enregistrement de forces et de couples que les accidents de trac s t moignent d une rupture de contact des t tes de m tatarses au profit du cal
517. rences annexes importantes dont lexique de judo programme d enseignement exemplaire du C P Q ce que vous faites et ce que vous pensez extrait du questionnaire d E Erbani r sultats et traitement Population d exp rimentation Les l ves enfants trois groupes ont t constitu s Les deux premiers issus des coles de Montry sont des classes de CM2 pratiquant le judo dans le cadre scolaire Parall lement ils participent la formation des enseignants de judo en suivant de fa on r guli re les s ances propos s par ces derniers La troisi me classe appartient un groupe scolaire de Champigny sur Marne et le niveau de classe est celui du CM1 Pour les trois groupes le judo est une nouvelle pratique except pour 6 l ves pratiquant d j en club mais ne pouvant pas tre consid r s comme des judoka confirm s puisque ceinture jaune ou orange Les enseignants l enseignement du judo avec les scolaires est assur pour ce qui concerne les enfants de Montry par des enseignants d butants et par un enseignant expert pour les enfants de Champigny sur Marne Protocole exp rimental Une unit vid o VHS des fiches d observation ou fiches servant au bila de la s ance l usage des stagiaires non enseignants une grille d observation comportementale permettant de pr ciser les niveaux de pratique Cette derni re grille est issue des diff rents travaux de la Direction d Enseig
518. retenu dans la s quence liaison debout sol la chronologie des trois phases nous effectuerons le choix de nos variables et les classerons en trois grandes rubriques qui peuvent se r sumer en trois interrogations O Quand Comment Les variables retenues lors de la phase 1 combat debout sont les suivantes les saisies les diff rents types d attaque les diff rentes formes d attaque la nomenclature des techniques debout les diff rentes d fenses le r sultat de la projection score etc Concernant la phase 2 imm diatement apr s la chute le lieu d arriv e au sol les opportunit s au sol les changements de saisie le rapport dominant domin Concernant la phase 3 d orientation du combat au sol lorsque le rapport de force sera favorable pour le combattant observ nous pr ciserons s il exploite l opportunit s il ne l exploite pas Dans le premier cas nous pr ciserons vers quelle forme de techniques au sol il s oriente cl de bras immobilisation tranglement Conclusion Un certain nombre d informations sont apparues 1 Il a t possible de mettre en vidence l arriv e au sol des positions favorables genoux sur le c t cheval en appui sur l adversaire une jambe prise genoux du c t de la t te debout sur le c t l adversaire est quatre pattes debout de face d autres toujours d favorables 4 pattes plat ventre 2 geno
519. ri t s m caniques du muscle L interpr tation des r sultats de terrain et de laboratoire permet de conf rer un contenu aux expressions force r active et force explosive Concernant la force r active les modifications de la compliance de la CES en permettant une meilleure mobilisation des fuseaux neuro musculaires pourrait accro tre l amplitude du stretch r flex et donc de la force produite au moment de la phase d tirement L intervention plus prononc e du stretch r flex entra nerait son tour un certain nombre de ph nom nes 1 un accroissement de la raideur r flexe au moment de l tirement qui combin e avec l augmentation de la raideur tendineuse permettrait de r duire pour une force donn e l allongement du triceps sural meilleure r sistance l crasement 2 une r duction du temps de couplage entre la phase excentrique et la phase concentrique possible augmentation des capacit s de stockage de l nergie lastique au niveau des ponts d actine myosine suppl mentaires ainsi form s une augmentation de l activit myo lectrique en phase concentrique en particulier dans les sauts r alis s dans la condition CMJ Concernant la force explosive l accroissement du nombre de fibres FT qu induirait l entra nement pliom trique peut expliquer le gain de d tente en condition SJ expression de la force explosive dans laquelle le m canisme contractile est le princi
520. rielles impliqu es dans le contr le de la posture en situation acrobatique chez les athl tes de haut niveau REZETTE D 1983 93 p 3 p de bibliographie 43 r f rences annexe r sultats et analyses statistiques Voir DISCIPLINES SPORTIVES TRAMPOLINE Les informations qui ressortent de cette tude int ressent la Gymnastique Gymnastique Contribution l valuation de quelques caract ristiques morphologiques et motrices de gymnastes de 12 14 ans STAUB M 1983 134 p 10 p de bibliographie 87 r f rences annexes r sultats aux mesures Voir rubrique THEMES GENERAUX 1983 De la lecture l ex cution d un geste pr sent sous forme de s quences d images BARBREAU E 1984 182 p 6 p de bibliographie 69 r f rences annexes importantes Voir rubrique THEMES GENERAUX 1984 concerne l apprentissage d l ments gymniques de base Acrobatie au sol en gymnastique sportive Etude biom canique du salto tendu et du double salto arri re group BOERIO G 1984 80 p 3 p de bibliographie 23 r f rences annexes r sultats et diverses illustrations Population d exp rimentation 5 gymnastes de niveau National et International s entra nant l I N S E P Age se situant entre 18 et 22 ans Protocole exp rimental Utilisation d un stroboscope cette technique
521. riquement nous avons entrepris d tudier les effets de diff rents param tres de stimulation sur la fatigue d un muscle lent le jambier ant rieur et rapide le triceps brachial Cette tude prend place 4 minutes apr s les derniers tests de l exp rience d crite auparavant La variable d pendante s exprime travers l volution de la relation entre le niveau de CEE initial et final l preuve de fatigue pour chaque courant Conclusion L un des aspects les plus int ressants de cette tude concerne la revue de litt rature expos e de fa on claire elle permet de comprendre ce qui l gitime aujourd hui l int r t port l lectrostimulation comme m thode de d veloppement de la force Elle permet galement d en cerner les limites ou tout au moins les zones d ombre A cet gard l tude du ph nom ne de fatigue sous lectro stimulation est extr mement r v latrice de la difficult d exp rimenter et d interpr ter dans un tel domaine l auteur parvient n anmoins tirer un certain nombre de conclusions concernant les m thodologies les plus appropri es dur e d application des courants en fonction de la r gularit variabilit et de la fr quence des courants appliqu s Nous retiendrons issus de la conclusion g n rale ces quelques enseignements 1 Une augmentation du niveau de CEE a lieu au cours des 6 s ances quel que soit le param tre de courant Une adaptation plu
522. rnes suivantes e fourchette sternale emplacement du capteur f moral Ff en m e fourchette sternale emplacement du capteur carotidien Fc en m Dans certaines preuves la fr quence cardiaque a t mesur e par auscultation pendant 30 secondes Dans tous les autres cas la moyenne en cs 1 de 5 intervalles successifs mesur s sur l ECG a t utilis e pour calculer FC Les pressions art rielles ont toujours t mesur es au brassard en tenant les phases 2 et 4 de KOROTKOPFF respectivement pour la pression systolique et la pression diastolique Concernant le groupe A le VO a t calcul la suite d une preuve sur bicyclette frein lectromagn tique trois exercices successifs d intensit croissante 25 50 et 75 Watts durant 4 minutes chacun Une derni re preuve a consist courir 400 m tres Concernant le groupe B seule une preuve de manivellage du bras droit a t propos e 2 exercices successifs d intensit croissante de 10 puis 20 Watts Conclusion L auteur souligne en pr ambule la validit de la m thode d estimation de V vitesse de propagation de l onde de pouls ici retenue sans aucune intervention sanglante gr ce au seul enregistrement externe des courbes de pouls carotidien et f moral L analyse des diff rents rapports atteste 1 de l existence de tensions tr s lev es pour des charges relativement modestes ces tensions sont d autant plus lev es
523. roit 6 tentatives chaque sujet tant en attaque qu en d fense est confront 6 probl mes diff rents variantes d une m me situation vitesses orientation des courses positions des adversaires au moment de l vitement distances s parant les adversaires et qualit s respectives de ceux ci Les performances sont ensuite appr ci es par un m me observateur Conclusion L auteur s attaque ici la question primordiale des strat gies anticipatrices dans les sports d opposition entra neurs et athl tes sont d accord pour dire que pr paration et anticipation sont indissociables de l efficacit d une action tactique adapt e o la composante temporelle joue un r le pr pond rant Partant de l s impose du point de vue de la r flexion m thodologique une interrogation sur l effet de la r p tition de mod les de r ponses ne tenant pas compte des degr s d incertitude de choix qui sont li s au jeu A ce titre diff rentes p dagogies ont t test es 1 L absence de pratique sans intervention particuli re les scores ne s am liorent pas en six semaines il n y a pas d effet des pratiques annexes ni de facilitation due une deuxi me pr sentation du m me type de situation 2 La p dagogie des choix permet au bout de six semaines une meilleure ma trise des choix tactiques et notamment une plus grande adaptation des r ponses la variabilit des situations cr
524. rotocole exp rimental R pertoire d aptitudes labor par Fleishman laboration th orique d un mod le en ce qui concerne les entra neurs confrontation aux tests en ce qui concerne les coureurs Conclusion Dans un premier temps un profil d aptitudes physiques cognitives et psychomotrices est labor suivant diff rentes conditions de navigation et diff rents supports dans du petit temps force 1 3 mer calme et dans du gros temps force 4 et plus mer agit e sans harnais et avec harnais Il ressort que quel que soit le support la navigation dans le petit temps sollicite moins d aptitudes que la pratique dans le gros temps toutefois certaines aptitudes comme la coordination globale du corps les souplesses statique et dynamique semblent tr s peu influenc es par l existence de conditions difficiles de navigation de m me que la configuration g n rale des aptitudes cognitives et psychophysiques Une comparaison de support support met en vidence un certain nombre de points communs c est dire un certain nombre d aptitudes requises un niveau identique ou tr s proche force explosive des membres sup rieurs endurance cardio respiratoire force statique des membres sup rieurs orientation spatiale partage de l attention dext rit digitale l observation de la carri re sportive de certains athl tes de haut niveau changeant de support avec r ussite devient de ce fait compr hensible Part
525. rtaine ma trise de soi nous remarquons l importance accord e par les joueurs interrog s la facult de leur meneur de jeu de percevoir les situations de jeu rapidement Sa comp tence est galement admise en ce qui concerne le sens de l volution d un match et l influence qu il exerce sur le rythme du jeu on lui attribue enfin un caract re d vou et un esprit collectif Etc Relativement peu de critiques ont t formul es l encontre du meneur L auteur ach ve sa r flexion en mettant certaines propositions quant la formation des meneurs de jeu Sports collectifs contribution l analyse de l activit et l ments pour une formation tactique essentielle L exemple du rugby BOUTHIER D 1984 210 p 13 p de bibliographie 113 r f rences annexes dont fiches d observation correspondant aux deux exp rimentations Population d exp rimentation 1 re exp rience 1 les sujets d butants taient tous tudiants ou enseignants en E P S encore pratiquants sportifs donc pr par s athl tiquement mais non sp cialistes en rugby Pour que l activit rugby et la situation aient n anmoins un certain sens pour eux ils avaient tous v cu un cycle de formation initiale en rugby mais sans avoir jamais travaill sp cifiquement le deux contre deux 2 les sujets confirm s taient issus des quipes de rugby du P U C quipe I acc dant la
526. rviennent une table digitaliser KEY BOARD A3 128 sur laquelle est pos e la grille d observation Le logiciel ARBREGEST cr par A Brossier du d partement de la Formation de l I N S E P service informatique g rant la grille permet de comptabiliser et d indiquer les pourcentages de chaque l ment r alis de chaque famille pour chaque gymnaste observ mais aussi pour chaque engin ou chaque groupe observ Fran aises et meilleures Mondiales Les familles corporelles principales sont plac es sur la partie gauche La partie droite est r serv e aux mouvements additifs s ils ont lieu Le bas droit de la table est concern par les manoeuvres d ordre technique Conclusion Les mesures enregistr es ont permis de mieux juger l effet de la charge sur le terrain celles dont les scores en laboratoire sont les plus lev es consommation maximale d oxyg ne puissance maximale a robie valeurs lev es en pourcentage de PMA enregistr es aux seuils physiologiques semblent mieux supporter la contrainte nerg tique impos e par la comp tition Il s av re que les gymnastes dont le taux de lactates produits et les fr quences cardiaques atteintes sont sup rieures g n ralement aux autres ont des qualit s a robies moins d velopp es que les autres et se sont vues d signer comme rempla antes l indice interne vient justifier posteriori le choix de l entra neur qui lui a fond son jugem
527. s une plaque m tallique qui est mobile elle tourne autour d un axe vertical de rotation sur lequel est plac un potentiom tre mesure du d placement angulaire du pied cet axe co ncide avec celui de l articulation de la cheville il permet un d placement du pied dans le sens post ro ant rieur Une cha ne de mesure est mise en place parall lement depuis les lectrodes de surface plac es sur le sol aire jusqu l oscilloscope en passant par un goniom tre un acc l rom tre mesure de l acc l ration angulaire une jauge de force force isom trique d extension de la cheville d velopp e des amplificateurs diff rentiels un magn tophone et un enregistreur papier Conclusion Les sujets qui ont suivi l entra nement pliom trique ont progress de mani re significative dans tous les tests de terrain sauf dans celui de la d tente apr s chute hauteur de 75 cm globalement volleyeuses et basketteurs atteignent en post test des hauteurs de rebond sup rieures Parall lement on observe une augmentation de la raideur cette possibilit acquise de pouvoir modifier le comportement lastique du muscle souligne l int r t d une pr paration physique sp cifique Celle ci parait particuli rement judicieuse mettre en place lorsque comme c est le cas lors d une attaque de volley la performance nerg tique du joueur sauteur s av re extr mement tributaire de ce que l on voque sous le coupli
528. s valu la suite d une prise de temps sur 100m crawl la vitesse moyenne optimale d une r cup ration active nag e en crawl d une dur e de 15 min la consigne tait de r cup rer au mieux 2 D termination des pourcentages de vitesse max susceptibles d intervenir sur la d croissance du lactate plasmatique l issue d une preuve trois fois 100m vitesse maximale espac s chacun par 5 min de repos assis cinq conditions de r cup ration furent retenues r cup ration passive durant 1 heure r cup rations actives durant trente min 65 70 et 75 de la vitesse du meilleur 100m vitesse max ainsi qu une allure libre valu e selon la vitesse moyenne B L exp rimentation 1 L preuve 3 x 100m d part dans l eau nag s chaque fois au maximum des possibilit s individuelles et s par es par 5 min de repos assis sur une chaise Cette alternance de travail supramaximal de courte dur e et de repos passif devrait th oriquement entra ner des concentrations de plus en plus lev es du lactacte plasmatique 2 Les conditions de r cup ration dans le cas de la r cup ration passive le sujet reste assis sur une chaise c t du bassin durant 60 min dans le cas d une r cup ration active le sujet nage durant 20 min apr s l arriv e du troisi me 100m 60 75 de la vitesse max et une vitesse librement choisie par lui Chacune des quatre s ances fut s par e de
529. s adress es par l exp rimentateur aux enfants n ont pu tre parfaitement identiques Concernant l preuve de shooting mesure de la pr cision d une trajectoire imprim e l objet par la m diation du pied la pr gnance du st r otype culturel frapper fort a pu fausser les r sultats en d favorisant les gar ons en g n ral et les grands en particulier Le choix de l objet shooter n est pas indiff rent dans l induction d un tel st r otype Concernant l preuve de dext rim tre la critique concerne ici le choix des mesures effectuer il semble plus ad quat de consid rer le nombre d erreurs plut t que de consid rer le temps requis pour r aliser l preuve Concernant enfin l preuve d aisance motrice quilibre la globalit de l preuve il s agit d un parcours effectuer dans le moins de temps ne permet pas de restituer objectivement les probl matiques composantes e APPRECIATION DES EFFETS CARDIO VASCULAIRES DE L ACTIVITE PHYSIQUE ET SPORTIVE CHEZ LES PERSONNES AGEES Lenoir H 1978 89 p 10 p de bibliographie 63 r f rences Population d exp rimentation Le groupe A comporte 13 femmes g es recrut es dans le groupe du 3 me ge de l I N S E P L ge moyen de ce groupe est de 67 ans 59 73 ans Une partie d entre elles 7 pratiquent des activit s physiques r guli res depuis plus d un an et d clarent avoir to
530. s comme variables didactiques va l encontre de l utilisation de situations syst matiquement all g es et permet de se rapprocher des contraintes impos es par le jeu La situation de double t che augmente la charge informationnelle et transforme positivement l habilet du joueur en l obligeant recoordonner son activit d vitement et de r cup ration de la balle partir de nouveaux processus de d clenchement et de contr le Approche bio nerg tique de la pr paration physique du footballeur BROCHE D 1994 183 p 8 p de bibliographie 118 r f rences annexes tudes et analyses d efforts Population d exp rimentation 8 joueurs stagiaires 3 me ann e au Centre Technique National de football de Clairefontaine ou issus du Centre de formation du P S G voluant dans le championnat de Nationale 4 Protocole exp rimental Utilisation du sport tester PE 3000 et du logiciel CARDLOG afin d analyser la charge a robie du cycle hebdomadaire d entra nement Mesure directe du VO2 max en laboratoire au cours d une preuve triangulaire sur tapis roulant Concernant la mesure et le suivi de la P M A ou du VO2 max estimation et contr le de la zone transitionnelle par pr l vements de lactate sanguin sur le terrain m me Evaluation des param tres cardio vasculaires et nerg tiques l effort cardiofr quencem tre pr l vement sanguin et technique ventilatoire C
531. s la t che de transfert Populations test es enfant de 11 12 ans d butants enfants de 11 5 12 5 ans initi s enfants de 12 5 13 5 ans bien entra n s Les conclusions Tous les faits d montrent que les performances d un lancer de pr cision peuvent tre am lior es par l entra nement pr alable dans une t che de lancer similaire condition que la similitude gestuelle soit tr s forte entre les lancers De nombreuses observations t moignent par ailleurs de la possibilit d am liorer davantage ces performances par des r ajustements fr quents du m me lancer ou d un lancer similaire en fonction de la diversification des conditions d ex cution au cours de l entra nement Un des faits les plus saillants de ces exp riences a t sans nul doute la mise en vidence d un degr bien plus lev que pr vu d un seuil de forte similitude gestuelle n cessaire pour que l effet de la similitude des lancers puisse se traduire par un transfert positif d apprentissage Si le transfert positif n a t possible entre deux modalit s d ajustement d un m me lancer des distances diff rentes de la cible que pour un cart minime entre ces distances il faut de toute vidence en chercher la raison dans l uniformit des conditions d ex cution Par contre les r ajustements fr quents du mouvement sollicit s par la variation de ces conditions d ex cution augmentant la marge de flexibili
532. s ou moins longue des sujets sera n cessaire avant que ceux ci osent recevoir une intensit de courant suffisante pour accro tre le niveau de contraction sans d passer le seuil de la douleur 2 Les niveaux de CEE plus grands sur JA que le TB sont tr s inf rieurs au couple maximal volontaire isom trique CMVT La stimulation d un muscle est plus ou moins commode en fonction de crit res anatomiques et la pr sence de muscles synergiques ou antagonistes sont des obstacles une stimulation s lective 3 La fr quence est le principal agent qui conditionne le niveau de CEE les courants sont t tanisants l g rement au dessus de 30 Hz les sensations sont plus d sagr ables basse fr quence Le changement de direction ne modifie pas la r ponse m canique sur le plan des sensations le biphas lui est pr f r Les forces maximales induites par le courant variable sont quivalentes celles du courant r gulier bien qu un mode de recrutement diff rentiel des unit s motrices semble maner du courant r gulier Finalement l optimisation des param tres de courant enfin r alis e nous devons reconna tre que les techniques d lectrostimulation des fins d entra nement ne peuvent satisfaire compl tement le pratiquant quand sont connues les difficult s d acc s la musculature les illusions de force d velopp es et le prix de la souffrance payer pour un r sultat jamais garanti et sans doute u
533. s permet de mettre en vidence les strat gies motrices acquises au cours de l apprentissage de l A T R En particulier la stabilit de l A T R est accrue lors de la projection du centre de gravit en avant de la verticale du point d quilibre et lors de la mobilisation s lective du muscle adducteur du poignet Cette strat gie d quilibration r pond au besoin du gymnaste de contr ler pr cis ment les d placements de son centre de gravit et d conomiser son travail musculaire pendant l interruption momentan e de l encha nement d l ments gymniques Ainsi l inclinaison du corps en avant permettrait une utilisation optimale des r cepteurs cutan s de la main pr sents en plus grand nombre dans la partie ant rieure de la paume Westling et Johansson 1984 Certaines caract ristiques permettent de diff rencier le contr le postural en position d A T R de celui que l on observe lors des postures debout 1 Une r duction de la longueur du polygone de sustentation selon l axe ant ro post rieur compens en partie par une saisie manuelle du support 2 Une augmentation de la distance entre les appuis et l extr mit sup rieure du corps Malgr l cartement plus grand des appuis qui facilite l quilibre de cette posture dans le plan frontal l A T R reste instable selon 2 axes pour les sujets moyens La r duction du param tre surface rend compte de l am lioration de la stabilit du s
534. sation d un test perdus sur la lune l exercice consiste classer 15 objets par ordre de n cessit La recherche peut tre individuelle ou collective les points d erreur sont calcul s en total mesurant l cart entre le classement NASA et le classement individuel ou du groupe Contribution l analyse technico tactique de l attaque en nage waza judo debout RAMBIER R 1987 166 p 4 p de bibliographie 40 r f rences annexes importantes fiches d observations Population d exp rimentation Notre tude ne peut tre cr dible que si deux crit res sont r unis un grand nombre de combattants doivent tre observ s pour permettre de d gager des conclusions statistiques les combats analys s doivent relever du Haut niveau Nous avons par cons quent choisi d une part des champions de trois nations qui dominent actuellement le judo Mondial Japon Union Sovi tique et France d autre part des combattants de grande renomm e qui n appartiennent pas aux pays pr cit s mais qui ont inscrits leur nom aux palmar s des grands rendez vous Europ ens 1983 84 85 86 Mondiaux 1983 85 et Olympiques 1984 Ont t galement donn lieu recueil d informations les championnats du Monde Juniors 1986 et le Tournoi de Paris 1985 86 102 combattants du plus Haut niveau ont finalement t observ s Protocole exp rimental La qualim trie a pour objet la mise
535. scopie avec Lambert C 1980 voir p 108 gt gt INVENTAIRE DE PERSONNALITE DE EYSENK au sujet de l athl te f minine de haut niveau avec Missoum M 1981 voir p 110 version all g e propos e par Lemaine 1966 en Volley ball avec Boulay B 1986 voir p 118 gt gt TEST PROJECTIF DE ZULIGER au sujet de l athl te f minine de haut niveau avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt QUESTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE MIS AU POINT A L E LS par G Missoum au sujet de l athl te f minine de haut niveau avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt QUESTIONNAIRE ACTIVITES SPORTIVES MIS AU POINT A L E LS par G Missoum avec Aubert M 1981 voir p 109 gt gt PERDUS SUR LA LUNE formation l usage des dirigeants du Judo avec Besson F 1982 voir p 63 gt gt TESTS DE POINTAGE ET DES POINTILLES DE ZAZZO 1979 DETERMINATION DE TENDANCES PLUS OU MOINS IMPULSIF PLUS OU MOINS REFLECHI en Tennis sur une population d enfants avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt PATTENOIRE DU DOCTEUR L CORMAN en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt TEST DE KOHS en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt ENTRETIEN DE TYPE CLINIQUE en Athl tisme avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt LE TEST OF ATTENTIONAL AND INTERPERSONAL STYLE T A I S DE NIDEFFER en Natation avec Dubois C 1988 voir p 73 en Athl tisme avec Debois N 1990
536. se soit concentr e dans les 100 derniers m tres de l preuve Concernant l preuve de 400 haies l observation du nombre de foul es atteste que le 3 me 100 m tres est particuli rement fatidique ce carrefour des intervalles compris entre la 5 me et la 8 me haie est le lieu d expression privil gi de l intelligence technico tactique du sp cialiste de 400 haies Un nombre tr s important de tactiques concernant la fa on de courir une telle course a t recens par l auteur cependant les tudes men es propos de l volution de chacun des param tres de la vitesse attestent que l amplitude est une variable minemment discriminatoire sur 400 haies et donc qu une partie des diff rences de performance pourrait tre la cons quence d une plus ou moins bonne gestion des potentiels d amplitude Athl tisme Exploits et contre performances lecture psychanalytique RAGNI P 1988 129 p 6 p de bibliographie 65 r f rences annexes importantes dont exemplaire du questionnaire et tableau des r ponses taux de consommation d entra neurs des 33 athl tes de l chantillon notation des entra neurs extraits d interviews Pourquoi Lendl n a plus peur Fignon vainqueur de Milan San Remo avec un moral sur grand braquet Population d exp rimentation 33 athl tes Fran ais Internationaux ont r pondu un questionnaire 26 d entre
537. semble logique d attribuer la progression en fr quence galement observ e Etude du coefficient de d c l ration du nageur au cours de la coul e BOUCHET D 1991 60 p 5 p de bibliographie 82 r f rences annexes dont nomogramme de Cureton types morphologiques Joubert profils biom triques de nageurs de haut niveau d apr s Boulgakova r sultats des tests mesures et indices divers Population d exp rimentation La population totale de 26 sujets est divis e en trois groupes en fonction des temps r alis s aux tests de 50 m brasse effectu s au cours de l exp rimentation Groupe Elite 3 femmes et 5 hommes il est compos de 7 nageurs sp cialistes de brasse et s entra nant l I N S E P au Centre National d Entra nement et d un 8 me brasseur d tenteur de la meilleure performance fran aise sur 100m brasse en bassin de 25 m au jour de l exp rimentation moyenne d ge de 20 ans 70 6 kg de poids pour 177 5 cm Groupe Nageurs 4 femmes et 4 hommes il est compos de nageurs adultes en activit au club sportif de Cr teil de niveau R gional ou National et d une ballerine actuellement en quipe de France de natation synchronis e moyenne de 26 6 ans 68 3 kg pour 177 7 cm Groupe Non nageurs 4 femmes et 3 hommes compos de nageurs adultes d butants du club sportif de Cr teil et d enseignants en E P S de l I N S E P non sp cialistes en natation moyenne d ge
538. sens du couple Concernant la question des temps de mont e et des temps d application le temps de mont e des forces est en moyenne de 0 01 sec pour les frappes de main et Mae Gei de 0 02 sec pour Yoko Geri et Empi de 0 03 sec pour Ushiro Geri Le temps d application des forces est en moyenne de 0 05 sec pour les frappes de main 0 12 sec pour les coups de pied Concernant les temps d ex cution on d finit le temps d ex cution d un mouvement par l intervalle de temps entre l image qui correspond au d collement d un appui pied avant ou arri re et l image de l impact Les moyennes obtenues selon les techniques utilis es vont de 0 27 sec pour Gyaku Tsuki jusqu 0 87 sec pour Oi Tsuki Gyaku Tsuki sur place est le mouvement le plus rapide Ce n est pas un mouvement d attaque mais un contre tr s vif lorsqu il est fait sur place ou avec un petit d placement vers lavant Oi Tsuki pose le probl me de son efficacit Son rendement est le plus faible obtenu et son temps d ex cution le plus long Il semble qu il ne faille pas rechercher dans cette technique une efficacit en combat mais un moyen p dagogique d aborder les d placements sur l appui avant d une mani re quilibr e afin de pouvoir proc der l encha nement d autres appuis Concernant enfin les vitesses les valeurs enregistr es s chelonnent de 2 42 m s pour Oi Tsuki 3 41 m s pour Gyaku T
539. ses rencontres a pu tre r alis e gr ce la m thode du questionnaire en posant des questions soit ferm es soit semi ouvertes aux entra neurs de fa on mettre en place un traitement statistique le plus ais possible et ne pas rencontrer trop de probl mes d interpr tation La nature des r sultats enregistr s et la mise en forme originale qui en d coule contribue cerner le syst me de repr sentations qui manent de ces entra neurs concernant les moments importants d une rencontre Conclusion Des profils ont t d gag s concernant le groupe loisir et concernant la population dite de haut niveau Le premier groupe se r v le assez h t rog ne aucune tendance comportementale bien diff renci e n est apparue jouer au Basket ball pour le plaisir constitue le seul point commun de cette population En revanche l analyse de la population haut niveau permet de d gager quatre facteurs intelligibles qui repr sentent les tendances comportementales les plus caract ristiques de ce groupe savoir stabilit motionnelle et comportementale capacit tre l aise dans les relations sociales soi et les autres bonne estime de soi accusation des autres et dynamisme comportemental Les informations recueillies aupr s des entra neurs se sont r v l es tr s signifiantes la question 4 A votre avis y a t il au cours d une rencontre des moments p
540. seur de lactate Microzym L La mesure des temps de r action se fait partir de l enregistrement des impulsions enregistr es par deux poign es poss dant quatre degr s de libert fix es sur le guidon de l ergom tre Ces poign es sont reli es un ordinateur de type Amstrad CPC 464 Les mesures des temps de r action sont relev s partir d un micro ordinateur Amstrad logiciel Hick2 D Deligni res 1990 Les calculs sont effectu s sur micro ordinateur de type IBM PS2 et Macintosh l aide des tableurs multipliants Excel et Lotus 123 Les traitements statistiques sont r alis s avec les logiciels statistiques PCSM2 pour IBM et Statview pour Macintosh Conclusion Compte tenu de la diversit des r sultats dont atteste l tude des recherches ant rieures selon les cas les performances s am liorent se d gradent o ne varient pas s imposait la d termination d une m thodologie extr mement standardis e seule en effet la d termination exacte de la nature des t ches physiques et cognitives ainsi que la cat gorisation des sujets en fonction de crit res pertinents permet une interpr tation des r sultats Dans notre tude la diff renciation des groupes selon le niveau de condition physique ne para t pertinente que dans le cadre de la d termination de niveaux d efforts identiques pour tous les sujets Le niveau d expertise dans la t che cognitive appara t quant lui tre un facteur d t
541. sid r s comme non sp cialistes de tennis 3 Une population neutre elle est compos e de 12 coll gues enseignants de disciplines intellectuelles hommes et femmes entre 30 et 40 ans d ge r put s non sp cialistes de tennis et non sportifs titre compl mentaire une population de 12 tudiants et tudiantes en E P S sp cialistes de tennis Protocole exp rimental Nous avons utilis plusieurs techniques d observation tant pour noncer nos hypoth ses que pour les v rifier a Observation sur magn toscope au ralenti puis avec arr t sur image de joueurs de tennis de tr s haut niveau B BORG CONNORS PECCI MAC ENROE pendant les comp titions officielles b laboration d un montage audio visuel ex cut partir de prises de vue enregistr es Roland Garros pendant les Internationaux de France 1980 c utilisation d une grille d observation con ue pour permettre d analyser le comportement tactique des joueurs sur le terrain cinq rencontres ont t ainsi observ es Concernant le montage audiovisuel nous sommes parti d un film demi pouce noir et blanc enregistr Roland Garros sur le court central pendant les Internationaux de France de tennis 1980 Les prises de vue concernent deux matchs de 1 32 me de finale BORG contre GOMEZ et BEDEL contre SCANLON Ces quatre joueurs sont de styles diff rents de nationalit s diff rentes deux d entre eux sont gauchers Les caract rist
542. sion Le but intime de l tude est d tablir une analyse hi rarchique des t ches motrices en judo est il possible de d terminer des buts et sous buts atteindre suivant le niveau de d veloppement des diff rents processus de traitement de l information en fonction de l ge Apr s analyse des diff rentes courbes de r alisation du mouvement nous est apparue au travers du mod le de traitement de l information que face aux diff rents exercices propos s la facult d anticipation de l expert s appuyant sur un stockage important de plans d action lui permet de choisir rapidement la r ponse idoine et donc de r agir chaque fois comme s il se trouvait en face d habilet s ferm es Les enfants et les adultes non experts se caract risent par un tout autre comportement ils r agissent chaque occasion comme dans le cadre d une habilet ouverte Tout se passe comme si la charge d informations tait trop importante La ma trise d un certain nombre de pr requis semblant s imposer aux stades initiaux l auteur sugg re qu un travail soit entrepris pour d terminer les habilet s l mentaires n cessaires la bonne r alisation d une technique Acquisition des habilet s motrices en Judo Analyse comparative des deux styles p dagogiques et de leurs incidences sur la transmission des contenus d enseignement SUDRE P 1989 185 p 6 p de bibliographie 76 r f
543. sit de leurs efforts C est la raison pour laquelle il nous a sembl pertinent de concevoir un entra nement visant am liorer les capacit s a robies des joueurs Le fait de constater l existence d un d calage entre la charge d entra nement et celle du match la premi re est tr s nettement inf rieure la seconde impose d sormais la n cessit de proc der des entra nements nettement plus physiques tout en conservant l optique d un travail de qualit en ce qui concerne la ma trise technique L utilisation cet effet d un Sport Tester qui permet de plus une certaine individualisation de l entra nement pourrait et devrait tre m me syst matis Th me am lioration de la d tente des basketteurs par un travail pliom trique A noter que dans le cadre du travail effectu par BERJAUD S 1988 Approche biom canique de l am lioration de la d tente en volley ball par un entra nement pliom trique une population de basketteurs de Haut niveau a t test le contenu de l entra nement et les r sultats de l exp rimentation concernant cette population pr cise sont mentionn s Voir rubrique DISCIPLINES SPORTIVES VOLLEY BALL Contribution l analyse du jeu en basket ball L observation l aide du couplage vid o informatique DIOP A 1988 135 r f rences 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes importantes feuil
544. situe donc au niveau de la communication Nous avons propos de rendre cette derni re plus efficace en privil giant les aspects relationnels au sens de Bateson pour recaler l image per ue par les athl tes f minines et celle que croient donner leurs ma tres d Armes Ceux ci ne parviennent pas tre per us tels qu ils pensent et voudraient tre Il y a deux types d informations l une porte sur les faits et l autre sur la relation qui s tablit entre les individus au cours de la communication C est travers ce c t relationnel que vont passer des messages affectifs qui permettront la fois une meilleure compr hension des informations purement techniques et une coop ration plus affirm e Il semble bien que les filles soient particuli rement sensibles cette forme d coute 1990 e EFFETS DE DIFFERENTS PARAMETRES DE COURANTS EXCITO MOTEURS SUR LA FORCE MUSCULAIRE Pougheon M 1990 179 p 12 p de bibliographie 127 r f rences Population d exp rimentation 27 sujets r partis en 3 groupes Parmi eux se trouvent des personnes actives des entra neurs et des athl tes sp cialistes des preuves combin es Ces derniers suivent alors un entra nement qui ne sollicite pas particuli rement les muscles retenus pour l exp rience Protocole exp rimental 1 Dispositif ergom trique concernant la jambe le pied est cal dans l trier pour qu une flexion plantaire de 10 soit obtenue
545. slalom un Haut niveau Bataillon de Joinville pr paration Olympique PI N S E P quipes de France Espoirs Nationaux La tranche d ge va de 19 33 ans Pour viter une dispersion nous nous sommes limit s aux hommes et aux cat gories monoplaces K I et C I A noter ce fait que tous les sujets n ont pas particip toutes les exp riences Concernant l investigation psychologique Nous nous sommes adress aux cadres Nous avons consid r comme techniciens les Entra neurs nationaux les Conseillers Techniques R gionaux et d partementaux les Assistants R sidentiels 84 r ponses ont t trait es dont 44 de techniciens et 40 d assistants plein air Protocole exp rimental Physiologie 1 D termination de la consommation maximale d oxyg ne par m thode directe La mesure de oxyg ne consomm a t faite au d partement de la recherche de l I N S E P en circuit ouvert l aide d un appareil de type METABOLIC MEASUREMENT CARD BECKMAN compos d un analyseur de gaz carbonique BECKMAN L B 2 absorption d infrarouge et d un analyseur d oxyg ne BECKMAN OM II La mesure des volumes se fait au moyen d une turbine tr s l g re Les calculs automatiques sont effectu s par un calculateur incorpor programmable LITTON MONROE Mod le 1810 L preuve a t r alis e soit sur le cycloergom tre MONARK soit sur une bicyclette frein lectromagn tique r glable de 0
546. sociologiques On l observe aupr s de certains buteurs dont les comportements confinent la m galomanie Les exc s de l environnement ne manquent pas de d former leurs propres perceptions D s lors l action du tireur ne se d finit plus essentiellement sous l aspect technico tactique L vocation des cons quences de la blessure des menaces de rel gation des mauvais coups du sort est d j r v latrice de la pr sence du tragique Mais un mal plus profond plus insidieux plus inconscient aussi mine les buteurs Acteur principal d une fonction haut risque pi g dans la situation du tout ou rien le tireur peut tout gagner ou tout perdre quelques centim tres pr s L analyse de son profil fait appara tre des lignes de force mais aussi des zones de faille qui compl tent les approches faites ant rieurement par d autres m thodes Parmi les lignes de force citons sa personnalit affirm e ses facult s intuitives son sens de la vie de relation la confiance dont il t moigne Cette derni re qualit se doit d tre entretenue sur le terrain lors des situations d entra nement les jeux r duits et le travail sp cifique devant le but portent les solutions de ce probl me Mais notre analyse fait ressortir la n cessit d un traitement psychologique appropri au r le d licat du buteur Plac dans une situation o le doute ne lui est pas permis confront la t che particuli rement
547. sque l action entreprise est couronn e de succ s 3 Certains facteurs sont susceptibles de limiter la pratique de l imagerie mentale plus ou moins grande facult de visualisation capacit s intellectuelles degr de motivation niveau de vigilance adh sion de telles pratiques fatigue et perte de lucidit C est dans cette perspective que sont sugg r es un certain nombre de propositions p dagogiques Concernant la premi re strat gie de pr paration qualifi e de perceptive le joueur est invit se repr senter en image s les perceptions prouv es lors de l ex cution d un geste pr cis et les comparer aux images recueillies par la vision de l ex cution du m me geste par un joueur consid r comme mod le Cet effort de pratique mentale P M peut tre demand en alternance avec des s quences de pratique physique P P Concernant la deuxi me strat gie qualifi e d anticipatrice le joueur est invit projeter mentalement son action dans le futur il va chercher visualiser son corps en mouvement dans l espace de jeu Les images v hicul es doivent repr senter une succession de rep res spatio temporels organiser point de d part de la course d lan quand s lancer et quelle vitesse orientation et amplitude de l impulsion provenance et captage du ballon gestion du temps restant en suspension pour armer et tirer chute sur le sol et gestes d amort
548. suk sur place Quelques facteurs techniques ont ensuit t d gag s ils permettent surtout de mettre en vidence un certain nombre d l ments int ressants sur le plan p dagogique gt NATATION Contribution l tude de la performance en natation Apport des sciences biologiques CAZORLA G 1978 161 p 18 p de bibliographie 139 r f rences annexes importantes planning de la s lection nationale et propositions d une optimisation de l entra nement Population d exp rimentation 19 nageurs de Haut niveau de comp tition appartenant au Centre National d Entra nement de l I N S E P Ag s de 14 22 ans ils se r partissent en deux groupes Le premier groupe est constitu de 9 filles 14 19 ans nageant toutes les quatre nages 7 d entre elles sont des crawleuses et deux des dossistes Le deuxi me groupe comprend 10 gar ons 14 22 ans 8 sont crawleurs 2 sont dossistes L entra nement correspondant 4 h de travail dans l eau et 1 h d ducation physique footing assouplissements musculation sp cifique est programm en fonction de l ge de la sp cialit et de l objectif de chaque sous groupe Trois objectifs ont t d termin s un court terme championnats du Monde d Ao t 1978 un moyen terme les J O de Moscou 1980 le dernier long terme d apr s Moscou Protocole exp rimental 1 Mesures de type anthropom
549. sur e sous peine de voir l adversaire devenir plus mena ant qu il n tait au lieu de le diminuer S inscrivant dans une perspective d valuation l auteur sugg re que l on tablisse sur la base de 12 d terminants le dod cagone de la menace individuelle en attaque L objet consiste tablir une repr sentation caract ris e en toile de la v ritable menace exerc e par un joueur ma trise du ballon plus ou moins grande hostilit de l environnement niveau de motivation cr ativit exp rience aptitude au tir vivacit la parole le regard la posture las appuis l enjeu Des graduations de 1 4 permettent de mat rialiser le jugement La difficult de pouvoir valuer l importance de certains crit res a conduit l auteur construire des grilles concernant la parole le regard la cr ativit la motivation l exp rience Extrait de quelques d clarations nous avons gagn des matches parce qu un joueur s est nerv sur des paroles dures un regard rieur peut faire beaucoup plus de mal qu un m chant dans n importe quel contexte un joueur cr atif apporte une r ponse devant un public je n ai pas le droit de d cevoir je dois tre bon enfin un joueur qui acquiert de l exp rience joue presque de la m me fa on mais en beaucoup plus malin avec des r ponses plus pr cises et plus nettes qu avant L auteur ach ve son travail en sugg rant un c
550. sur le versant d cisionnel cependant parmi les facteurs d h t rog n it des d cisions on peut remarquer les diff rences de jugement observ es quand il s agit d arbitrer des filles Les erreurs sont plus nombreuses et proviennent de priorit s invent es Cette tude montre que l expertise en arbitrage n est pas une question de sensibilit perceptive mais essentiellement une question de strat gie de prise de d cision e INTERACTIONS ENTRE LES PROCESSUS PHYSIOLOGIQUES ET COGNITIFS Effet des facteurs d expertise dans la t che cognitive et de condition physique Brisswalter J 1992 143 p 17 p de bibliographie 168 r f rences Population d exp rimentation 40 sujets r partis suivant quatre groupes de 10 sujets chacun Population 1 expert condition physique La population est compos e d escrimeurs de niveau National sp cialistes du fleuret Population 2 expert sans condition physique La population est compos e d athl tes de niveau National sp cialistes de courses moyennes distances Population 3 non expert condition physique La population est compos e d athl tes de niveau National sp cialistes de courses de moyennes distances Population 4 non expert sans condition physique La population est compos e d tudiants s dentaires Protocole exp rimental Cyclo ergom tre de type Ergomeca analyseur de gaz CPX M dical Graphics mesure de fr quence cardiaque analy
551. t d une passe r ussie rel verait plut t de la pr cision et du timing du passeur que de sa r ception Les formes de contre attaque de Limoges nous confirment l existence de couloirs de course en fonction des postes et des situations cette quipe poss de des joueurs capables d occuper rapidement les positions strat giques Concernant la coordination de ces joueurs on observe ce fait que les variations de vitesse sont en totale ad quation avec la n cessit de r ceptionner pour que le joueur co ncide avec la balle ou de tirer baisse forc e de la vitesse horizontale pour pouvoir assurer un tir dans des conditions optimales de r ussite De tr s fortes acc l rations sont galement notables de 1 5 m s en une image pour Brooks l inverse Gallis se distingue par d tonnantes capacit s de d c l ration il a ainsi t capable lors d une course sans ballon 8 1 m s de d c l rer pour recevoir une passe 6 2 m s s arr tant compl tement sur l appui suivant vitesse nulle et remontant pour un tir en suspension alors qu il se trouve 5m du manier le tout sans dribble d quilibre et en une seconde De l utilisation de l aire de jeu dans la phase d attaque plac e en basket ball VANAGHES I 1990 123 p 4 p de bibliographie 43 r f rences annexes Population d exp rimentation Equipes repr sentatives du basket de Haut niveau l Esp
552. t de la t che le niveau d expertise des sujets par rapport la t che Concernant les sujets d butants il est ind niable que l observation d un mod le facilite l acquisition de la t che rapidement pour une habilet simple plus tardivement pour une habilet complexe Concernant les sujets de niveau interm diaire l observation de sa propre image enregistr e appara t modifier plus rapidement mais aussi de fa on durable le comportement Quoi qu il en soit le feed back par vid o s av rerait une proc dure de guidage efficace pour l apprentissage d une habilet sportive il permettrait aux sujets d butants de construire activement une r f rence interne puissante base d une performance efficiente durable une fois ce standard tabli les sujets devenus de niveau interm diaire pourraient pr lever lors de l observation de leur propre image enregistr e un plus grand nombre d informations ce qui les aiderait r duire efficacement les diff rences entre performance r alis e le FBV et performance souhait e standard e LE DISCOURS D AVANT MATCH EN SPORTS COLLECTIFS DETERMINANTS ET CONTENU L exemple du volley ball du basket ball du handball et du rugby Nerin J Y 1986 207 p 2 p de bibliographie 12 r f rences annexes un exemple d entretien semi directif visualisation des discours Population d exp rimentation 7 entra neurs de H
553. t du programm moteur concern am liorent l efficacit des remaniements du mouvement compatibles avec cette flexibilit Les r sultats issus de nos exp riences d montrent que l entra nement altern avec des changements fr quents entre deux distances de la cible donne toujours des r sultats nettement meilleurs que l entra nement successif 1 une et l autre distance sur l ajustement ult rieur du m me lancer une distance de la cible interm diaire La variation du nombre des essais de l ge des sujets et du niveau initial des performances n a rien chang la tendance exprim e par la diff rence syst matique des r sultats observ s en fonction de la modalit d entra nement Les formateurs ne peuvent tre qu int ress s par un tel type de r flexion celle ci souligne l importance de la mise en oeuvre des modalit s d apprentissage sur le type d acquisition recherch o AGRESSIVITE ET PRATIQUE SPORTIVE ETUDE EXPERIMENTALE DE LA FONCTION CATHARTIQUE DU SPORT CHEZ DES ENFANTS Pfister R 1979 233 p 14 p de bibliographie 2490 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e CONTRIBUTION A L ETUDE DU SPORT FEMININ DE HAUT NIVEAU l exemple de la condition des basketteuses fran aises Riffiod E 1979 353 p 2 p de bibliographie 20 r f rences annexes dont questionnaire et guides d entretien Jeunes et Seniors Enqu te m
554. t en annexes Evolution du r glement Chronologie des principaux v nements Les femmes dans la vie sportive olympique Analyse de contenu du journal Natation 1973 1988 Analyse de contenu des entretiens de juges de haut niveau Analyse d images magn toscop es de chor graphies de haut niveau A noter le recueil d un certain nombre d informations concernant la pr cocit relation entre ge et niveau de pratique dans un certain nombre de sports danse classique danse contemporaine tennis basket ball gymnastique natation esth tique natation sportive l volution pr coce la maturit pr coce pr cocit et long vit de l apprentissage la chronophagie pourcentages cumul s des temps hebdomadaires d entra nement dans la S A selon les niveaux de pratique selon les S A Un tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle Consulter
555. t questionn s Protocole exp rimental 1 Utilisation dans un premier temps de la recherche de nombreux tests psychologiques concernant les facteurs relationnels test du D M I de Gleser et Ihilevich questionnaire d attribution de Cottraux test du M I P G d Abraham Concernant le test du D M I ou inventaire des m canismes de d fense ce test propose un certain nombre de situations pour lesquelles le sujet doit choisir parmi plusieurs possibilit s la possibilit qui correspondrait le mieux et le moins ce que serait sa r action r elle ce qu il souhaiterait impulsivement faire aux pens es qui pourraient lui venir l esprit aux sentiments qu il ressentirait dans la situation propos e Concernant le questionnaire d attribution il s agit d une autre mani re de mesurer l adaptation d un individu au monde ainsi que son mode d appr hension de la r alit Ce monde est dit interne lorsque l individu se rend responsable de ce qui lui arrive checs comme r ussites et externe lorsqu il explique par des causes ext rieures les v nements qui le concernent Concernant le test du M I PG Matrix of intra and interpersonal process in group ce test permet d tudier l aide de 30 items diff rents aspects du soi soi r el soi id al soi devant les autres On obtient une quantification l aide de cinq configurations 1 crainte d tre d masqu je
556. t COULIBALY Z Essai d analyse de la prise d information visuelle chez le passeur en volley ball 1984 89 p 1 p de bibliographie 11 r f rences Voir p 96 gt gt COURTY J Th Approche de la pr diction de la performance en voile l g re 1989 142 p 8 p de bibliographie 60 r f rences Voir p 93 gt gt CREVOISIER J L entra neur de football professionnel et les facteurs psychologiques de la r ussite sportive 1981 254 p 11 p de bibliographie 92 r f rences annexe Voir p 43 D gt gt DAO L Variabilit et relation entre la croissance et l aptitude l effort de courte et de longue dur e des enfants et des adolescents tes Ivoiriens g s de 11 18 ans Approche par une tude transversale 1992 72 p 4 p de bibliographie 57 r f rences annexes importantes Voir p 124 gt gt DEBOIS N La concentration en athl tisme concepts et supports 1990 243 p 6 p de bibliographie 70 r f rences annexes importantes Voir p 17 gt gt DELIGNIERES D La difficult en escalade Exigences objectives et perception des exigences des t ches motrices 1990 185 p 10 p de bibliographie 208 r f rences annexes importantes Voir p 40 gt gt DEMENOIS J P D termination et gestion tactico technique des fr quences cardiaques critiques en cyclisme de comp tition 1995 71 p 3 p de bibliographie 42 r f rences annexes i
557. t celui ci la passe Y est fonction de la distance m trique DM de la distance affective DA des crit res intra personnels relatifs CR Y aDM bDA cCR d Nous avons d fini pr cis ment DM DA sera la combinaison de la valence dyadique et de la distance euclidienne affective DA bIVA b2DA CR sera la combinaison des quatre chelles de Gordon la taille relative des individus de la dyade la popularit relative et la performance relative au test technique e ETUDE DES EFFETS DU FEED BACK PAR VIDEO ET DE L IMAGE D UN MODELE SUR L APPRENTISSAGE D UNE HABILETE SPORTIVE APPLICATION AU VOLLEY BALL Boula B 1986 160 p 17 p de bibliographie 125 r f rences annexes importantes dont questionnaire r duit d extraversion et de nevrosisme inventaire de personnalit d butants gar ons et filles questionnaire post s quence d apprentissage liste de consignes Population d exp rimentation 2 classes de Cours Moyen 2 me ann e exp rimentation n 1 Population de volleyeurs et volleyeuses appartenant deux sections Sport Etudes soit 28 joueurs 14 14 Protocole exp rimental 1 Pour rendre les groupes quivalents utilisation de l inventaire de personnalit d EYSENK version all g e propos e par LEMAINE 1966 2 Elaboration d un parcours coordination motrice g n rale course quadrup die roulade avant encha nement de deux sauts lancer et rattraper une balle lanc
558. t gt NIVEAU DE DIFFICULTE PERCUE ET POURCENTAGE D INVESTISSEMENT avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt DIFFICULTE DE LA TACHE DU DECATHLONIEN SUR UN PLAN BIOENERGETIQUE avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt APPROCHE OBJECTIVE ET SUBJECTIVE DE LA NOTION DE DIFFICULTE ENERGETIQUE ET INFORMATIONNEL REPRESENTATIONS en D cathlon avec Krantz N 1992 voir p 18 gt gt ANALYSE DE LA DIFFICULTE IMPACT DE LA LOCALISATION DES PRISES en Escalade avec Viens T 1992 voir p 41 gt gt ANALYSE DE L EFFORT PHYSIOLOGIQUE ET TECHNIQUE en Triathlon avec Lehenaff D 1993 voir p 91 gt gt QUALITES PHYSIQUES ET PROFILS MUSCULAIRES CARACTERISTIQUES en Judo avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt PROFILS MUSCULAIRES CARACTERISTIQUES DE BOXEURS avec Giallurachis D 1993 voir p 68 gt gt APPROCHE DE LA DIFFICULTE ENERGETIQUE EN FOOTBALL avec Broche D 1994 voir p 47 gt gt CARACTERISATION DE L EPREUVE DE 50 KILOMETRES en Marche athl tique avec Fougeron B 1994 voir p 19 gt gt ATTAQUE CONTRE ATTAQUE SAVOIR ET POUVOIR REPONDRE GERER DE FACON OPTIMALE SES CAPACITES OU FREQUENCES CARDIAQUES CRITIQUES COURSES DE DIFFERENTES NATURE EN CYCLISME avec Demenois J P 1995 voir p 37 gt gt DIFFICULTE DE LA TACHE DU COUREUR DE 800 M ENTRE AMPLITUDE ET FR QUENCE avec Gajer B 1995 voir p 20 DETERMINATION ET MESURE DES APTITUDES OU CAPACITES PHYSIQUES NEURO ET PSYCHOMOTRICES BIOMETRIE
559. t gt SELECTIONNEUR DE L EQUIPE DE FRANCE avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt DIRECTEUR SPORTIF avec Dufay A 1988 voir p 44 gt gt ENTRAINEURS DE G R S JUGES DE NIVEAU REGIONAL A NATIONAL avec Napias F 1988 voir p 52 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS DE LA NI1A ET N1B BASKET BALL avec Ostric A 1988 voir p 26 gt gt ENTRAINEURS REPUTES EN ATHLETISME avec Ragni P 1988 voir p 15 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS NATIONAUX EN VOILE avec Courty J Th 1989 voir p 93 gt gt ENTRAINEURS DE BASKET BALL DU PLUS HAUT NIVEAU avec Desert I 1989 voir p 27 gt gt ENTRAINEURS EXPERTS DE NATATION avec Portes A 1989 voir p 74 gt gt MAITRES D ARMES ET ENTRAINEURS NATIONAUX D ESCRIME avec Salesse M 1989 voir p 120 gt gt ENTRAINEURS avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt gt ENTRAINEURS CHAMPIONNAT DE FRANCE 1 re DIVISION EN BASKET avec Senegal M 1990 voir p 28 gt gt ENTRAINEURS DE VOLLEY DE TOUS NIVEAUX avec Duret P 1991 voir p 99 gt gt ENTRAINEURS NATIONAUX ET ENTRAINEURS DE N1A ET N1B BASKET BALL avec Ballarini I 1992 voir p 30 gt gt ENTRAINEURS DE HAUT NIVEAU EN ESCRIME OU RESPONSABLES DE FORMATION DES MAITRES D ARMES avec Bonnefoy B 1992 voir p 123 gt gt ENTRAINEURS SPECIALISTES DE SPORTS COLLECTIFS avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt ENTRAINEURS DE N1A MASCLINE ET FEMININE ET DE N1B MASCULINE EN HANDBALL avec Dubertrand H 1993
560. t gt TESTS DE POINTAGE ET DES POINTILLES ZAZZO 1979 en Tennis avec Keller J 1982 voir p 85 gt gt DEXTERIMETRE en Volley ball avec Petit D 1983 voir p 95 gt gt APPRECIATION DE LA QUANTITE DE DESEQUILIBRE PAR LE GYMNASTE METHODE D ESTIMATION DES GRANDEURS en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt APPRECIATION DE LA QUANTITE DE DESEQUILIBRE PAR L OBSERVATEUR VISUELLEMENT AUDITIVEMENT ET ELECTRONIQUEMENT en Trampoline Acrobatie avec R zette D 1983 voir p 89 gt gt N A C OU MATERIEL D ENREGISTREMENT PHOTO OCULOGRAPHIQUE OCULOMETRE en Volley ball avec Coulibaly Z 1984 voir p 96 en Equitation de sauts d obstacles avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 en Escalade avec Dupuy C 1985 voir p 40 en Boxe avec Kerlirzin Y 1991 voir p 32 gt gt CHRONOSCOPE MESURE DES TEMPS DE REACTION A SIGNAL VISUEL ET AUDITIF en Athl tisme Vitesse avec Di Diacomo G 1984 voir p 13 gt gt PERCEPTION LORS DE TESTS ARTISTIQUES en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 gt gt LUNETTES PRESENTANT UNE VISION LIMITEE en Equitation de sauts d obstacles avec Dinh Phung R 1985 voir p 39 gt gt RAYON LASER ET APPAREILLAGE PERMETTANT L ENREGISTREMENT DE LA DIRECTION NOPTEL ST 1000 en Tir la carabine avec Horvath L 1986 voir p 88 gt gt MESURE DES TEMPS DE REPONSE ET PRECISION DE LA REPONSE LE METERES en Escrime avec Leseur H 1986 voir p
561. t des tests de valeur physiques compl tent les mesures sp cifiques Le traitement statistique de l ensemble des donn es corr lations analyses en composantes principales d bouche sur des quations de pr diction et la proposition d un mod le d analyse et d valuation du niveau de performance pour le coureur de 110 m tres haies Conclusion A l origine de cette recherche le constat suivant L entra neur dans l exercice de sa fonction est sans cesse conduit interpr ter une grande quantit d observations pour proposer des corrections et solutions avec un relatif degr d incertitude Nous nous sommes pos la question de savoir s il tait possible de mettre en vidence un ou plusieurs facteurs constitutifs de la performance sur le parcours de haies hautes Et notre travail a consist partir d une r flexion sur la discipline jeter les bases d un outil op rationnel Apr s avoir identifi la difficult de la t che du coureur de 110 m haies r alisation d un encha nement o la technique gestuelle le rythme et la vitesse s expriment dans le rapport le plus harmonieux pour chaque coureur de haies l auteur propose un certain nombre de parcours qui permettent d identifier quelques uns des facteurs techniques physiques et organisationnels de la performance Au terme de l tude trois orientations surgissent 1 Syst matiser dans une exp rimentation de m me nature et sans d
562. t efforc de pr ciser les fili res d apprentissage de l enfant les moments n vralgiques qui l hypoth quent les temps et les modalit s d intervention en fonction d une pr vision des possibles le sch ma d organisation circulaire de tout acte apprendre et enseigner finalis et d fini par un co t informationnel un mod le d interpr tation et d analyse susceptible d tre retenu pour l appr hension de pratiques affinitaires ou d exploration de pleine nature auxquelles l instituteur pourrait tre convi Cette recherche t moigne d un haut niveau de r flexion tant au niveau de la th orie qu celui de la pratique r f rence diff rents courants de pens e analyse de l activit laboration de grilles d observation les attendus et leur interpr tation Contribution la recherche en planche voile LE VAILLANT R 1983 134 p 1 p de bibliographie 8 r f rences Population d exp rimentation Coureurs de l quipe Nationale Protocole exp rimental Utilisation d une vedette m t o labo quip e d une girouette d un an mom tre lectronique d un enregistreur de cap d un enregistreur de vitesse un magn toscope un quipement lectronique permettant le codage le d codage et l enregistrement d une disquette d ordinateur Conclusion L objectif de l auteur est d essayer d utiliser les valeurs chiffr es po
563. t tester PE 3000 logiciel CARDLOG lactat mie piq re au bout des doigts appareil ANALOX GM 7 permettant une lecture presque instantan ment Les m mes mesures ont t r alis es l entra nement deux fois L analyse de contenu porte sur les actions r alis es par chaque gymnaste lors de chaque encha nement elle permet de caract riser chaque prestation nature des actions nombre de ces actions nombre et niveau de difficult s corporelles consid r es uniquement au plan nerg tique qualit de l ex cution des difficult s familles des sauts des quilibres des pivots jug e par la dur e de l action certaines coordinations sp cifiques combinaisons d actions et de difficult s fr quemment utilis es co teuses en nergie Une grille d observation a t labor e elle comporte une partie principale et trois secondaires La principale est constitu e d un inventaire des l ments corporels regroup s en familles d actions li g n ralement la mobilisation des appuis Les parties secondaires concernent les actions se d roulant en simultan it avec la partie principale actions du tronc du bras droit et du bras gauche qui viennent enrichir le travail des appuis Outils de saisie un logiciel de tri ARBREGEST pilote un ensemble compos de une t l vision et un magn toscope muni d un compteur d images un ordinateur comptabilisant les informations au fur et mesure qu elles lui pa
564. tableau tr s int ressant puisqu il constitue en la mati re une v ritable premi re met en vidence au regard de diff rents sports les diff rentes caract ristiques que sont le d but et la long vit de l apprentissage l intensit enfin l ge de maturit Ce tableau pourrait servir d l ment de travail pour tablir s il en tait besoin une classification des disciplines selon leur exigence combin es en temps que ce dernier soit consid r dans sa dimension quotidienne ou hebdomadaire ou selon celle de la dur e pluriannuelle e LE SPORTIF DE HAUT NIVEAU FACE A SES DROITS ET OBLIGATIONS AU PLAN LEGISLATIF ET REGLEMENTAIRE Etude r alis e par une analyse de contenu des textes et une enqu te aupr s des sportifs de PI N S E P Freville P 1994 140 p 7 p de bibliographie 89 r f rences annexes importantes dont r partition des textes par th me et par modalit s par date de publication les textes l gislatifs et r glementaires exemplaire du questionnaire adress aux sportifs d termination des connaissances sur les r gles qui leurs sont applicables Le questionnaire sous forme de Q S F comprend 16 items e APPORT GLUCIDIQUE APRES DEPLETION DES RESERVES DE GLYCOGENE MOBILISATION DES SUBSTRATS ET PERFORMANCE Thiriet P 1994 55 p 5 p de bibliographie 70 r f rences annexes Population d exp rimentation 27 sujets Camerounais de sexe
565. tail dans sommaire Population d exp rimentation 6 sujets masculins de l Institut National des Jeunes Aveugles de Paris g s de 15 19 ans Tous pratiquaient des activit s physiques dans le cadre scolaire Un cycle d apprentissage de 3 mois a pr c d l exp rimentation raison d une s ance hebdomadaire d une heure 4 des 6 sujets souhaitaient prendre cette option longueur au baccalaur at tous taient volontaires et motiv s Protocole exp rimental L exp rience s est d roul e sur un sautoir en longueur am nag b che rep r e de 20 cm en 20 cm d roul e sur la piste Chaque s ance comprenait une phase d chauffement g n ralis une s rie de 3 essais de prise de marques et de rep rage puis une p riode d enregistrement des sauts La consigne tait de prendre appel sur la planche mat rialis e par le son et d effectuer la meilleure performance Les sources sonores taient dispos es sur le sol 20 cm droite et gauche de part et d autre de la planche A l issue de chaque saut l cart de la pose du pied d impulsion par rapport la planche ainsi que la longueur r alis e taient communiqu s imm diatement au sujet L exp rimentation s est pass e en trois temps qui correspondent trois s ances 1 re s ance source sonore en correspondance avec la planche r elle situation standard SS 0 2 me s ance source sonore rapproch e SS RAPP des suje
566. tance et adapt sp cialement l utilisation sp cifique du d cryptage des enregistrements vid o permet de recueillir au milli me de seconde pr s les diff rents temps de tir Le prototype du Chrono Tir pendant la phase de mise au point a t coupl un oscilloscope qui avec l image vid o pour avoir un double contr le nous a permis de d terminer de fa on exacte le d but de l enregistrement avec l ouverture de la cible ainsi que les diff rents temps de tir de la s rie Le traitement de l information est g r par une carte lectronique Prises de vue enfin suivant deux positions 1 prise de vue repr sentant le tireur de 4 arri re avec dans le champ au moins deux cibles afin de v rifier ult rieurement le signal de d part du chronom tre 2 la seconde concerne les r sultats en cible Nous avons film un gros plan de l annonce du score par les arbitres officiels de la comp tition Des fiches ont permis le recueil des donn es temps de tir comptage des points d termination des impacts en cible la distance de centre centre l angle d impact en cible Conclusion En tir Pistolet Vitesse Olympique le pratiquant doit tout la fois g rer la diminution constante de son temps de tir mais galement la structure interne de chaque vitesse 8 6 et 4 secondes Les deux hypoth ses avanc es par l auteur de cette recherche sont les suivantes 1 Les tireurs experts ma ftrise
567. tances identiques nous seule conna trons le mode d intervention p dagogique de chaque groupe La tache sera not e suivant une grille de notation de 1 10 au dixi me de point Le questionnaire d extraversion et de n vrosisme d Eysenk a t pr lablement pr sent avant exp rience aux populations des exp rimentations n 2 et n 4 Conclusion L hypoth se principale est confirm e l utilisation de l autoscopie ou de l image de soi facilite et acc l re l apprentissage d une t che gymnique L aspect b n fique se confirme pour des cat gories d ge diff rentes et pour des niveaux de pratique diff rents Concernant le plus haut niveau nous pouvons conclure que pour des sujets ayant dans l ensemble un bon niveau de pratique l apprentissage avec autoscopie ne para t pas inutile plus particuli rement peut tre en chor graphie Si nous avions continu l apprentissage de ces deux t ches durant un temps plus long nous pourrions nous demander si la diff rence constat e entre les deux groupes se serait accentu e ou au contraire se serait rapidement r duite Il serait souhaitable que de telles exp riences se prolongent dans d autres directions sur d autres t ches en particulier sur d autres pratiques sportives caract re individuel et collectif sur des exp riences de dur e tr s longue e LA DYNAMIQUE ORGANISATIONNELLE DES GRANDES MANIFESTATIONS SPORTIVES les XI
568. tations au total 40 questions de type g n ral ou sp cifique Les interrogations ont port sur quatre th mes Conception v hicul e de l Effort Pr paration pr op ratoire niveau de Difficult per ue et v cue niveau de Fatigue per ue et R cup ration Anthropom trie succinte parall lement la mesure des plis cutan s quantit d eau bue analyses sanguines ur e plasmatique et C P K Cr atine Phospho Kinase test de terrain saut en longueur sans lan Ech ancier des enregistrements sont effectu s avant et apr s d cathlon J 2 ou J 1 J 2 J 4 J 5 ou J 6 Concernant la C P K un exc s d enzymes enregistr dans le milieu sanguin exprime un ph nom ne de souffrance cellulaire voire de n crose des cellules Le dosage de cet enzyme permet de se forger une opinion quant aux dommages occasionn s au niveau de la fibre par l activit musculaire type et quantit d ploy e par un sujet Pour J R Lacour il constitue un signal d alarme Il est un indicateur de la fa on dont l organisme supporte la charge de travail Conclusion Le d cathlon suscite l vidence un certain nombre de lyses parmi elles s impose le ph nom ne de prot olyse qui pour tout apparent demeure n anmoins difficile quantifier L importance des taux de Cr atine Phospho Kinase observ s dans le compartiment sanguin l issue d un d cathlon atteste n anmoins et avec certitude de l existe
569. te l imp rieuse n cessit de bien cibler chaque test de terrain de contr ler rigoureusement les conditions de test et d organiser un rapide retour d informations op rationnelles vers les athl tes et les entra neurs impliqu s gt COLLECTIFS SPORTS ET JEUX Sports collectifs Les meneurs de jeu Exemple du handball DRUAIS M F 1981 116 p 3 p de bibliographie 25 r f rences Population d exp rimentation Equipes masculines voluant dans le championnat de division Nationale 1 de handball saison 1979 80 soit 16 quipes Pr alablement lors de notre pr enqu te nous avons eu des entretiens informels avec des joueurs et surtout des entra neurs Fran ais et trangers Protocole exp rimental L auteur a utilis dans l ordre 1 des entretiens exploratoires et informels la notion de meneur de jeu et ce qu elle voque 2 un questionnaire de 40 questions dont 4 ouvertes les questions portent dans leur grande majorit sur des faits pr cis quelques unes sur des opinions des sentiments 3 d autres entretiens pour affiner les r sultats et ses propositions Conclusion Quatorze sur les quinze meneurs de jeu voluant en Nationale 1 sont des internationaux jouant actuellement ou ayant jou en quipe de France leurs caract ristiques sont les suivantes 1 la fourchette d ge est large puisqu elle va de 22 31 ans 2
570. technique du diff renciateur s mantique JODELET 1972 OSGOOD 1953 Cette tude partir des bandes vid o a t affin e par une valuation comparable portant sur des photos d arr ts de mouvements qui a permis de mettre l accent sur l aspect formel des attitudes des gymnastes Les prises de vue vid o ont t r alis es en 3 4 de pouce U MATIC avec un cadrage en plan moyen serr identique pour toutes les gymnastes Pour chacune de ces prestations nous avons relev et d crit les l ments qui nous ont paru correspondre des comportements expressifs manifestes et volontaires les difficult s sup rieures et leurs rapports avec les l ments pr c dents appartenance de m mes unit s comportementales distinction mais proximit distinction nette et loignement les composantes qui ne correspondaient pas des difficult s sup rieures et qui de notre point de vue ne pouvaient pas tre assimil es des comportements expressifs d placements d organisation liaisons dans certains cas actions sp cifiques sur l engin non associ es un travail de mains libres la musique choisie et la relation musique mouvement les l ments sc niques justaucorps coiffure maquillage couleur et d coration de l engin L valuation des prestations s est faite de trois points de vue Il a t demand aux sujets d attribuer chaque prestation une note globale une note concernant l expressivit de la
571. tentielle lastique Le principal b n fice sur le plan pratique en est un temps de latence r duit la transmission des forces s effectue plus rapidement Si l on caract rise la force explosive par la pente du trac force temps d une mont e de force isom trique maximale celle ci est am lior e par l entra nement excentrique De plus malgr une raideur accrue de la CES l augmentation de Po permet une plus grande restitution d nergie lastique pour les valeurs de force importantes e LE JEUNE STAGIAIRE ET SON ENVIRONNEMENT DANS UN ETABLISSEMENT NATIONAL Analyse du milieu de vie pour la r ussite d un jeune sportif scolaire de haut niveau Ambal M 1985 180 3 p de bibliographie 42 r f rences annexes contenu d interviews stagiaires surveillant g n ral surveillants animateurs secouriste Les conditions institutionnelles de l environnement du sportif joueraient donc un r le important dans le d veloppement de sa carri re Il est malheureusement incontestable que la r ussite d un athl te d lite tient beaucoup au climat moral dans lequel il volue e LA FORCE MUSCULAIRE ET L ENTRAINEMENT SPORTIF Communication et information appliqu es la formation des cadres sportifs Renault A 1985 122 p 12 p de bibliographie 110 r f rences Population d exp rimentation Entra neurs sp cialis s de diff rentes disciplines Pr
572. teurs 2 me partie questionnaire abordant diff rents domaines contexte g n ral strat gie motivations diff renciation entre les secteurs offensifs et d fensifs partant du g n ral nature de la population des matchs etc pour aller vers le particulier joueurs finisseurs meneur de jeu etc 22 questions comprenant des r ponses ferm es et semi ferm es 3 me partie Partage de la population en 2 groupes l un exp rimental est compos de joueurs voluant exclusivement en attaque ou uniquement en d fense l autre comportant des joueurs op rant la fois en attaque ou en d fense Deux tests sont propos s 1 test en continu selon le protocole de Brue d part 8 km h pour atteindre une vitesse maximale de 15 20 km h 2 test de type intermittent d part 10 km h pour atteindre 18 22 km h 1 min d effort 30 sec de r cup ration Utilisation d un cardio fr quencem tre Conclusion 1 re partie l observations effectu e dans le cadre des tournois Internationaux a permis de mettre en vidence ce fait qu en ce qui concerne les quipes les mieux class es le temps de jeu des d fenseurs sp cifiques est sup rieur celui des joueurs attaquants sp cifiques La domination exerc e par les quipes repose sur trois aspects principaux a un rapport de force li au collectif total et relatif aux diff rentes strat gies adopt es b un rapport de force li au collectif partiel ne concerna
573. tif actuel de la recherche tenter d appr hender la force dans des conditions les plus proches du terrain ou suivant diff rents types de r gime exemple du syst me ergom trique ARIEL 5000 de l INSEP Un autre id al consisterait pouvoir parall lement mesurer les diff rents niveaux de force internes d velopp s par l athl te en mouvement au moyen d une lectromyographie de surface 9 Neuro et psycho motricit Cognitif Vision Vitesse Pr cision Contr le motionnel et moteur Repr sentations Un th me qui a explos ces derni res ann es depuis la fin des ann es 80 et le d but des ann es 90 Quelques th mes ont t plus vite investis que les autres r le de la vision des repr sentations Les moyens dont dispose la recherche ne permettent cependant pas d investir dans toutes les aptitudes de m me qu il para t tr s difficile de proc der une recherche en situation r elle La complexit des ph nom nes appr hender constitue une difficult majeure dans ce domaine particulier 10 Observation m thodes relev s grilles outils informatiques T On est pass d une observation manuelle une observation plus automatis e Les outils informatiques servant la saisie d informations se sont vulgaris s depuis les ann es 1985 keyboard table digitalisante logiciels Le traitement acc l r permet d obtenir diff rents niveaux les informations que l on d
574. tilis e en natation Cazorla 1982 handball Nikkelsen hockey sur glace Paterson 1979 permet de lib rer le sujet de toute connexion avec un mat riel encombrant Elle permet de d tecter imm diatement un probl me cardiaque ou d enregistrement mais la port e assez faible de l metteur l oblige ne pas s loigner du r cepteur D autre part des artefacts et des obstacles naturels par exemple la ligne haute tension passant proximit du terrain de rugby de l I N S E P peuvent g ner la transmission des signaux L observation chronom tr e de l activit du sujet se fait avec un magn toscope sur lequel est branch un chronom tre lectronique Des fiches d observation sont utilis es pour permettre par la suite le codage des s quences Concernant les parcours de jeu auxquels seront confront s les joueurs notons ce pr alable important soulign par l auteur de tels parcours ne rendent pas compte de la complexit du jeu en fonction des conditions m t orologiques de l adversaire et de l arvitre Ils permettent simplement une comparaison des caract ristiques des t ches par poste Conclusion Compte tenu de la fragilit des appareils d enregistrement de la F C et compte tenu de ce qui pourrait r sulter du port d un tel appareillage en match susceptibles de blesser les joueurs l auteur propose de reproduire des encha nements de matchs observ s F d ration Fran aise de Ru
575. tion nerg tique processus d lai d intervention dur es distances intensit s dette d O2 temps de r cup ration nature de la r cup ration correspondance en natation de sollicitation en a robie adaptations physiologiques obtenues L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des nageuses a pu tre labor La section sport tudes fili re d acc s au sport de haut niveau L exemple de la natation PIGEASSOU C 1981 2 Tomes Tome 1 204 p 9 p de bibliographie pr s de 100 r f rences Tome 2 152 p d annexes compte rendu des diff rentes enqu tes M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage Analyse biom canique de la force propulsive du nageur RIA B 1981 144 p 8 p de bibliographie 81 r f rences Population d exp rimentation Les sujets appartiennent la section de l I N S E P Le groupe est compos de 11 gar ons et de 6 filles dont l ge varie de 13 19 ans ils ont un bon niveau R gional voire National Les meilleurs d entre eux peuvent entrer directement dans l quipe de France Ils sont pr par s principalement pour les championnats de
576. tion d exp rimentation 7 Cadets et 3 Cadettes de niveau National et International la plupart sont internes l I N S E P Ils s entra nent 8 fois semaine Protocole exp rimental VO2 en laboratoire sur tapis roulant recueil des gaz expir s 3 de pente prise de lactates relev de fr quence cardiaque avec un Sport Tester PE 3000 Travail en continu puis en intermittence Utilisation d un cam scope pour valuation des vitesses distances sauts et arr ts Conclusion L auteur a tent de proc der une d finition de la structure et du co t nerg tique d un match de basket ball Nous pouvons r sumer les enseignements de cette tude autour des quelques points suivants 1 le volume moyen de course est compris entre 3500 et 4000m 2 la plus grande fr quence des temps d efforts se situe entre 11 et 40 sec et sont suivis de pauses de dur e sensiblement gale 3 rarement au cours d un match le temps d effort sans interruption d passe la minute mais ces phases repr sentent cependant 30 du temps d effort global 4 le nombre de sauts varie entre 30 60 en fonction des postes de jeu et des crit res d observation 5 un match se joue en moyenne et ce quelque soit le poste de jeu 90 de la F C max du joueur 6 les lactates moyens relev s dans un match sont de 4 5 moles Il a t observ que d s lors que des concentrations sup rieures 7 moles sont atteintes les joueurs baissent l inten
577. tion qui r sulte d un entra nement gymnique est ind niable agilit force vitesse des muscles du tronc force musculaire relative endurance musculaire au niveau des bras possibilit enfin d utiliser un lan qui repr sente une charge lev e dans le but d exercer une impulsion verticale e LA PERFORMANCE MOTRICE DES GARCONS DE 12 16 ANS Evolution de la force isom trique maximale en relation avec des ph nom nes morphologiques et biologiques de croissance Van Praagh E 1983 155 p 14 p de bibliographie 127 r f rences annexes dont d tails de la batterie de tests et diff rentes corr lations Population d exp rimentation 339 gar ons de 12 16 ans La plupart habite la r gion Clermontoise 321 contre 18 l ves habitant la banlieue Parisienne Ces derniers b n ficient de 4 heures d entra nement suppl mentaires aux 3 heures d ducation physique obligatoires promotion d athl tisme Protocole exp rimental Les tests retenus appartiennent en majorit au protocole propos par Simons et coll 1970 et Kemper et coll 1980 souplesse distante atteinte en position assise sit and reach vitesse de course 10 x 5m en navette shuttle run force explosive sargent test d Abalakov et saut en longueur sans lan force endurance suspension bras fl chis bent arm hang force statique traction d un bras arm pull force dynamique abdom
578. tionnaire de personnalit pour enfants le C P Q se pr sente sous la forme de deux questionnaires A et B tablis pour mesurer diff rents traits de caract re il a t utilis pour compl ter l volution des comportements observ s Enfin le questionnaire d Emile Erbani 1981 in M moire pour le Dipl me de l I N S E P La formation des enseignants d E P S Influence de l exp rience sportive le questionnaire a t adapt du domaine de l E P S celui du Judo pour mettre en vidence les conceptions qu ont les judoka de l enseignement du judo Exemple de question Cochez parmi les propositions suivantes concernant la d monstration celle qui vous para t la plus juste Pour toute acquisition motrice nouvelle une bonne d monstration est toujours tr s utile une bonne d monstration peut parfois tre utile la d monstration ne sert rien la d monstration est dangereuse Etc Conclusion Au del des r sultats obtenus sur les niveaux d habilet atteints lors de notre exp rimentation il convient de ne pas laisser se ternir l image de la technique de la supprimer au profit d une pseudo d couverte n e d un p dagogisme forcen Moyen de communication entre les Hommes et support indispensable pour comprendre son environnement la technique prolonge la pens e humaine et en est le reflet Comment pourrions nous aborder la probl matique de l acquisition des habilet s motri
579. tions pertinentes et les m morise sans difficult il d veloppe des capacit s de r p tition et d imagerie mentale dont le contenu varie selon les objectifs Il appara t que pour la majorit des skieurs fran ais interrog s ce comportement est plus le r sultat d une d marche empirique que d une strat gie labor e suite un apprentissage programm L am lioration des performances semble devoir passer par l exploitation programm e des ressources psychologiques des individus la mise en place d une telle pr paration ne s improvise pas Le d veloppement de ces aptitudes est le fruit d un long travail et doit faire l objet d un v ritable entra nement programm tout au long de la carri re du comp titeur ues ODY J 1981 140 p 1 p de o Tennis La pr action du joueur Incidences p dago bibliographie 10 r f rences Population d exp rimentation 3 types de population ont particip exp rience 1 20 joueurs de tennis 15 sont tudiants en E P S PU E R E P S de Paris en option tennis Leurs classements tennistiques respectifs s chelonnent entre 4 6 t te de 2 me s rie et bons non class s Les 5 autres sont de jeunes joueurs du Sport Etude National de l I N S E P dont les classements vont de 4 6 15 2 20 joueurs de football Ils sont tous l ves professeurs d E P S l U E R E P S de Paris en option football Ils seront donc con
580. tistique a t r alis e avec le logiciel PCSM Dekta Soft Les mesures exp rimentales 1 en laboratoire apr s d termination de la PMA lors d une preuve d effort triangulaire sur un v lo de comp tition quip du syst me SRM et fix sur un home trainer TACKS et apr s une r cup ration active et ou passive de 15 minutes il est demand au sujet de r aliser un palier le plus long possible la charge correspondant sa PMA Ceci avec le braquet et la cadence n cessaire l obtention de la puissance correspondante 2 sur le terrain apr s un chauffement libre de dix minutes l preuve est progressive continue et maximale Le cycliste conduit son v lo libre de choisir ses braquets en tachant de respecter au mieux les consignes de vitesse qui lui sont donn es par un chronom treur La vitesse impos e augmente progressivement et continuellement avec une incr mentation de 850m mn Le but est de suivre le rythme impos le plus longtemps possible Le dernier palier impos annonc au coureur consiste effectuer le dernier kilom tre vitesse maximale La vitesse de d marrage du test est celle qui entra ne une fr quence cardiaque de cent pulsations par minute Mat riel requis syst me portable d enregistrement des gaz K2 COSMED poids 800 g r partis entre masque sur le visage batterie et antenne sur le dos et unit mettrice sur le torse maintenance par baudrier bicyclette de course quip e
581. tous les rep res utilis s de fa on toujours parfaitement fiables tels que la localisation dans le temps de l immobilisation du ballon et le d clenchement de la phase dynamique de tir chez les joueurs les moins exp riment s chez les meilleurs tireurs lorsque les conditions tactiques le permettent la stabilisation du ballon est tr s nette Apr s avoir proc d l inventaire des limites de son tude l auteur sugg re qu un certain nombre de recherches puissent tre dans un avenir plus ou moins proche amorc es en premier lieu il parait n cessaire de susciter l mergence de v ritables recherches appliqu es concernant les bases m thodiques la formation de qualit s d adresse dans les tirs La prise en compte des situations de matchs dans l entra nement semble devoir s imposer dans notre premi re exp rience nous avons t assez surpris de voir les joueurs internationaux avec des pourcentages de r ussite relativement bas tr s nettement inf rieurs ceux qu ils obtiennent au cours des matchs Chez les joueurs les plus exp riment s les adversaires feraient partie int grante de l action de tir Des travaux sovi tiques r cents ont montr l importance du type d entra nement sur les variations de l organisation de la r ponse motrice Ces variations se faisaient essentiellement dans le temps de r action au choix Si le temps de mouvement augmente selon le niveau de ma trise sportive
582. trait type des joueuses de volley ball a pu tre labor L entra nement au volley ball D fense basse Analyse Implication dans l entra nement PETIT D 1983 124 p 5 p de bibliographie 36 r f rences annexes importantes dont grilles d valuation tableaux des r sultats test d aisance motrice de Fauch 1981 test de Denisiuk test de Luc L ger dext rim tre course de navette 3 x 9m test de d placement lat ral Population d exp rimentation 27 joueuses se r partissant de la fa on suivante 4 Internationales A 14 Espoirs 9 joueuses du P U C dont 7 ayant appartenu l quipe Nationale Protocole exp rimental 1 Evaluation de la performance en d fense basse lors de situations de comp tition enregistrement de 12 matchs de championnat de France et analyse des enregistrements l aide d une grille de codage des observations Un certain nombre de constantes de performance ont t retenues concernant le comportement pr d fensif le dynamisme le temps de placement le lieu de placement concernant le comportement d fensif le temps de d placement le lieu de d placement le flexion des membres inf rieurs concernant l intervention sur la balle la nature qui est le type d action utilis e la qualit traduite par une note de performance concernant enfin l attaque le lieu poste d attaque le nature de la passe d attaque la dur e de la
583. travail sportifs de haut niveau et danseurs en formation et les structures qui les accueillent Voir rubrique THEMES GENERAUX 1994 gt BOXE ANGLAISE Les tests physiques en judo Incidences sur la d tection et l entra nement du judoka de haut niveau GIALLURACHIS D 1993 137 p 7 p de bibliographie 50 r f rences annexes r sultats des tests effectu s en d velopper couch et en tirage pour diff rentes cat gories Voir rubrique DISCIPLINES SPORTIVES JUDO Une population de boxeurs de Haut niveau a t test sur deux mouvements de force en situation de d velopper couch et en situation de tirage La saisie des donn es s est faite par l interm diaire de l ergom tre ARIEL LN S E P gt BOXE FRANCAISE Traitement des informations visuelles et prise de d cision en boxe fran aise KERLIRZIN Y 1990 82 p 8 p de bibliographie 73 r f rences annexes conditions exp rimentales r sultats tableaux r capitulatifs diagrammes de prospections visuelles Population d exp rimentation 3 groupes de boxeurs niveau D butant premi re s rie et International Protocole exp rimental NAC EYE RECORDER mod le V contr leur de communication micro ordinateur Compaq Portable II mod le 2662 A reli une manette de jeu analogique pour P C joy stick permettant le recueil des temps de r action des sujets Pr
584. tre ici rapport s Nos travaux nous conduisent conclure que 1 la fr quence la probabilit et l efficacit sont des indices objectifs d valuation qualitative et quantitative de l attaque en judo 2 la fr quence et la probabilit de r ussite d une technique sont inversement proportionnelles Les techniques dont la fr quence d utilisation est faible se caract rise par une haute probabilit de r ussite Ils nous ont permis de confirmer la tendance actuelle d UNIFORMISATION DU JUDO de haut niveau Les modifications des r glements qui sont la fois causes et cons quences de l volution les nombreux changes internationaux comp titions internationales et la vid o sont autant de facteurs qui expliquent cette absence d cole Ils nous ont cependant permis de d celer l apparition de l g res tendances par cat gories de poids et par nations Ils nous ont permis de montrer l instar des deux cas individuels tudi s qu il existe des styles Concernant NOW NOW contre CHO championnats du Monde 85 78 kg le syst me d attaque de ce judoka est pauvre st r otyp facile d analyse pour les adversaires puisqu il est fond sur une m me direction d attaque selon une proc dure chronologique toujours identique A l inverse de ce que l on constate lorsque l on observe MEL MEL contre GAM finale des championnats d Europe 1983 71 kg le syst me d attaque de cet athl te est t
585. ts Objet de ces diverses tudes comparer les m thodes entre elles 4 Estimation de la consommation maximale d oxyg ne partir de plusieurs puissances sous maximales protocole comparable celui de la C T 5 Fr quence cardiaque maximale 6 Test de COOPER 7 Test pour descendeurs et slalomeurs effectu la base de cano kayak de Bourg Saint Maurice sur les lieux m mes o se disputaient les championnats de France auparavant les sujets ont t valu s pour ne pas soumettre les comp titeurs un test prouvant dans la p riode de pleine comp tition nous avons retenu une preuve sous maximale apr s laquelle les sujets ont r cup r tr s rapidement A cette occasion un datascope 860 C a t utilis cet appareil permet un affichage instantan de la fr quence le chiffre affich change pour toute modification de fr quence par contre il demeure tant que la fr quence est constante Objet de cette exp rimentation la VO2 max permet elle de pr dire le niveau de performance ou r sultat du sportif dans les diff rentes disciplines du cano kayak 8 Comparaison entre travail de jambes ou de bras par des cano istes et des kayakistes L preuve sp cifique de bras a t r alis e par un appareil simple et ing nieux con u par Monsieur BELIN L athl te assis au sol dans la position du kayakiste tient un manche de pagaie dans ses pales Pour r duire l encombrement sa longueur est de 80 cm la
586. ts 2 carts types de leur pointage moyen en situation test avec distribution al atoire dans la s rie de la planche sonore la planche r elle 0 3 me s ance source sonore loign e SS ELOI des sujets 2 carts types de leur pointage moyen en situation test avec distribution al atoire dans la s rie de la source sonore la planche r elle 0 Dans la condition SS 0 tous les sujets ont effectu 9 essais Dans la condition SS ELOI ils ont effectu 15 essais 9 SS ELOI et 6 SS 0 Dans la condition SS RAPP ils ont r alis 15 essais 9 SS RAPP et 6 SS 0 La m trique des courses d lan a fait l objet d un double enregistrement vid o plac s perpendiculairement l axe de course une cam ra cadrait la premi re partie de l lan l autre la fin de l lan et l impulsion sur la planche Deux sortes de donn es ont t recueillies les pointages par rapport la planche d appel qui sont un indicateur de la pr cision de l action mais qui n autorisent qu une interpr tation globale la m trique des courses d lan qui permet de remonter la source d ventuelles r gulations en pointant les causes et les moments Conclusion Les r sultats des pointages compte tenu de la longueur des courses d lan et de l tat de nos sujets font ressortir une bonne adaptation aux conditions d ex cution de la t che Ils n exc dent pas ou 0 36m pour l ER AB
587. ts visant le d veloppement des capacit s a robies Une dur e de repos sup rieure une heure pourrait tre n cessaire En revanche il semblerait possible de pratiquer des activit s support informationnel la suite entra nements d veloppant les qualit s lactiques dans un d lai relativement court Il resterait conna tre la disponibilit musculaire des athl tes apr s ce type entra nement pour pratiquer les activit s de Tir ou d Escrime Des perspectives d approfondissement se d gagent l issue de cette recherche comment voluent dans le temps les capacit s attentionnelles des pentathl tes en phase de r cup ration d un entra nement a robie ou lactique quelles sont les cons quences sur le Temps de Mouvement des activit s de type nerg tique en Natation ou Course pied On pourrait envisager que les Temps de Mouvement soient d grad s cons cutivement des entra nements de type a robie ou lactique PLONGEON L athl te f minine de haut niveau Analyse des caract ristiques psychologiques en fonction de la sp cificit des pratiques MISSOUM M 1981 216 p 10 p de bibliographie 124 r f rences annexes importantes dont r sultats Voir rubrique THEMES GENERAUX 1981 Un portrait type des plongeuses a pu tre labor Analyse de la r sistance la th orisation dans le rugby Fran ais COQ J 1978 234 p 10 p de
588. tylo magn tique permettant de suivre le d placement des joueurs en temps r el les distances parcourues par les joueurs observ s sont ainsi disponibles tout moment Conclusion Au del de l analyse physiologique nous retiendrons l analyse qui a pu tre faite du travail accompli par les joueurs des postes diff rents Une quantification qui s exprime sous diff rents th mes temps moyens des diff rentes actions pour chaque joueur en secondes pourcentages de chaque type d action arr t marche marche arri re course arri re trot train actions de duels sans balle et avec balle qui arrive le jeu avec balle les distances parcourues Les r sultats enregistr s attestent d une part d un kilom trage relativement limit sans rapport avec l indice moyen et relativement haut de fr quence cardiaque observ et d autre part de l importance des disparit s observ es d un match l autre Le nombre et l intensit des duels semblent tre les seules causes capables d expliquer un tel d calage dans les faits observ s L entra nement moderne se doit d sormais de tenir compte de ce constat il est conseill de proposer chaque joueur une zone d effort l g rement sup rieure celles de la comp tition on n a jusqu pr sent pas tenu suffisamment compte de l importance physiologique des situations de duel que ce soit ou non pour la possession du ba
589. u niveau des repr sentations de chacune de ces populations pour progresser le match c est mieux que l entra nement d clarent les enfants l inverse de ce qu affirment leurs entra neurs pour progresser l entra nement c est mieux que le match Prenant en compte l ensemble de ces consid rations l auteur met en fin de M moire un certain nombre de propositions concernant globalement les modes d entr e dans l activit D tente verticale et musculation des volleyeuses de haut niveau approche biom canique PETIT G 1991 124 p 7 p de bibliographie 110 r f rences Population d exp rimentation 10 joueuses Juniors du Centre National d Entra nement de l I N S E P qui forment l quipe Espoir de France f minine Elles s entra nent seize heures par semaine huit s ances de deux heures quatre s quences hebdomadaires d une heure et demie sont r serv s la pr paration physique Par ailleurs les joueuses participent aux matchs du championnat de France de National 1 A ou 1B et aux matchs Internationaux Juniors Un groupe de 6 joueuses Cadettes s entra ne aux m mes horaires que le groupe Junior mais sans programme de musculation Protocole exp rimental Plate forme de force pour mesure de la d tente verticale tests du Squat Jump du Contre Mouvement Jump et du Drop Jump La cha ne de mesures se compose la suite de la plate forme d une batt
590. u regard de chaque th me trait ne peuvent et ne doivent tre consid r s que comme des indicateurs I LES PLUS DE 10 1 CARACTERISER LA DIFFICULTE D UN SPORT 14 91 2 LES JEUNES ET LE SPORT CONDITION PHYSIQUE ET CROISSANCE APPRENTISSAGE PEDAGOGIE DETECTION 13 44 II LES 10 3 PREPARATION PHYSIQUE L ENTRAINEMENT DES APTITUDES BIOENERGETIQUE PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE DIETETIQUE RECUPERATION 10 02 et TECHNIQUE 10 02 5 PERCEPTION ET COGNITION TEMPS DE REACTION ET DE REPONSE TRAITEMENT DE L INFORMATION REPRESENTATIONS CROYANCES PREPARATION MENTALE 9 29 6 ORGANISATION DE L ENTRAINEMENT DANS LE CADRE DE L OPTIMISATION DE LA PERFORMANCE SPORTIVE 9 04 III LES MOINS DE 10 7 Psychologie de la personnalit Ma trise des facteurs motionnels Dynamique de groupe Surnaturel 7 33 et D termination et mesure des aptitudes ou capacit s physiques neuro et psychomotrices Biom trie 7 33 9 Tactique et strat gies 6 84 IV LES 5 10 Approche biom canique qui a rapport aux lois du mouvement et de l quilibre Cin tique et cin matique Statique et dynamique R sistance des milieux 4 64 V LES MOINS DE 5 11 Le relationnel Les entra neurs en situation de communication 2 68 et Formation de cadres Formateurs Entra neurs Probl mes de communication 2 68 12 Le Mat riel Les outils Les technologies 1 71
591. ucc dent une cadence de 3 min entre 2 s ries de contractions un temps de repos d au moins 2 min est m nag Le dispositif ergom trique Le sujet est assis sur un si ge soud une plate forme m tallique alourdie par des blocs de fonte afin de pr venir tout d placement involontaire des appuis au sol L avant bras maintenu dans le m me plan horizontal que le bras repose sur un support ventuellement mobile autour d un axe vertical qui co ncide approximativement avec l axe de rotation du coude Une goutti re m tallique de forme conique est fix e sur le bras m canique L avant bras du sujet est maintenu en semi pronation dans une attelle en pl tre pr alablement moul e sur chacun des sujets Cette attelle englobe galement la main dont seuls les doigts sont laiss s libres Enfin une but e est plac e derri re le coude au niveau du tendon distal du triceps brachial elle emp che tout glissement vers l arri re de l avant bras La mesure des variables m caniques 1 La position angulaire est rep r e gr ce une couronne gradu e munie d un index 2 Un capteur de force jauge de contrainte est reli par un c ble m tallique de longueur variable un secteur circulaire de 33 5 cm de rayon centr sur l axe vertical du dispositif ergom trique La force isom trique transmise par ce c ble peut tre mesur e quelle que soit la position angulaire choisie 3 La visualisation des niveaux d
592. uivant deux modalit s l une est l exposition d monstration dans laquelle la chose apprendre est pr sent e sous forme labor e l apprentissage concern est l apprentissage par r ception ou apprentissage instructif l autre est la pr sentation de situations probl mes construites ou non par l enseignant dans laquelle l l ve est impliqu e l apprentissage concern est l apprentissage par d couverte ou par r solution de probl mes e LA FORMATION DES CADRES SPORTIFS DE L ETAT PROJET DE FORMATION DECENTRALISEE ETABLI A PARTIR D UNE ENQUETE NATIONALE Garassino R 1982 2 Tomes Tome 1 Sociologie de l aide de l Etat la formation des cadres du mouvement sportif 195 p Tome 2 R sultats de l enqu te Nationale par questionnaire sur la formation des cadres sportifs de l Etat Projet de formation d centralis e 184 annexes comprises 6 p de bibliographie 79 r f rences M moire non r sum dans le cadre de cet ouvrage e RAPPORTS ENTRE LA PRATIQUE DU SPORT DE HAUT NIVEAU ET LA MENSTRUATION Etude sur la r partition des facteurs perturbants du cycle en fonction de la sp cificit des pratiques Marlard N 1982 118 p 4 p de bibliographie 26 r f rences annexe questionnaire auteur adress aux athl tes et tournant autour de la menstruation Population d exp rimentation Deux chantillons de population correspondant deux niveaux de pratique ont t
593. ujet est adapt au grip verrou et ma trise semble t il moins bien un grip classique On ne peut pas conclure la sup riorit du grip verrou 3 L exp rimentation men e avec des golfeurs du plus haut niveau a permis de d gager un certain nombre de caract ristiques la strobophotographie du bois 1 montre que la trajectoire du club de PASCASSIO est plus tendue L angle de d part de la balle de 9 indique une l g re avance des mains par rapport la t te du club l impact Cette tude a galement permis de mettre en vidence quelques particularit s l organisation de PASCASSIO implique vraisemblablement une action tr s tardive des jambes qui se poursuit d ailleurs bien au del de l impact L acc l ration est tr s importante 750 m s s pendant les deux derniers 500 me de seconde A l inverse GARAIALDE semble contr ler davantage l impact par une acc l ration plus limit e de 250 m s s Il est apparu qu un travail d entra nement et d adaptation au grip verrou pourrait chez ces m mes joueurs donner des r sultats satisfaisants en augmentant la longueur des coups de golf 4 La derni re exp rimentation a permis de conclure l importance fondamentale de la puissance des fl chisseurs des mains dans l efficacit du grip et dans la longueur d un coup de golf La vitesse de la balle est plus d pendante de la force de la main droite r 75 que celle de la main gauche r
594. ujours pratiqu des degr s divers durant leur vie professionnelle les autres sont catalogu es de d butantes 3 avaient une vie plut t s dentaire avant la pratique r guli re de l E P S et 4 une vie plut t active Aucune n avait de pression art rielle sup rieure 160 mm Hg pour la pression systolique ou 90 mm Hg pour la pression diastolique Un examen clinique et lectrocardiographique a exclu de l exp rimentation l un de ces sujets Le groupe B est constitu de 16 personnes g es en moyenne de 79 5 ans 56 100 Ces personnes hospitalis es depuis au moins 9 mois dans le service C de l h pital Ren Muret Sevran participant volontairement cette tude ont t s lectionn es sur les m mes crit res que celles du groupe A Cinq d entre elles avaient cependant une tension art rielle diastolique sup rieure 90 mm Hg Au moment de l tude aucune ne pr sentait d affection aigu ni ne recevait de th rapeutique relative la r gulation cardio vasculaire Protocole exp rimental Mesure pr alablement de la compliance art rielle m thode de NIELSEN bas e sur la vitesse de propagation de l onde de pouls Elle consiste rapporter le temps coul entre le d but de l ascension rapide des courbes de pouls carotidien et f moral A t en s la distance parcourue par l onde pendant ce temps Cette distance est estim e par la diff rence entre les mensurations exte
595. une dur e de 40 microsecondes est fournie par un tube clair au Xenon de 40 Watts de puissance plac dans un projecteur focalisable au dessus de l objectif de l appareil photo et dirig sur la barre fixe La fr quence choisie 10 Hz occasionne peu de g ne au gymnaste apr s une p riode d accoutumance Cette fr quence indique avec pr cision la situation du gymnaste tous les 1 10 me de seconde ainsi que la position relative des segments articulaires les uns par rapport aux autres L enregistrement des exercices est r alis avec un appareil reflex 24 x 36 du type CANON F1 muni d un objectif de 35 mm et d un d clencheur souple L appareil est fix sur un pied une distance de 5m par rapport au pied de la barre fixe Le centre de l obturateur est amen la hauteur de la barre L op rateur d clenche louverture de l obturateur lorsque le gymnaste passe en position d appui tendu renvers et arr te la prise de vue lors du retour cette position rotation de 360 autour des mains Pour faciliter le d pouillement les gymnastes effectuent leurs exercices dans le sens trigonom trique c est dire en nous pr sentant leur flanc droit lors d un retour de soleil Conclusion L analyse pr sent e confirme certains r sultats de la litt rature sp cifique la barre fixe en m me temps qu elle permet de mettre l accent sur un certain nombre de points 1 la concordance des rapports angulaires maximum ou m
596. ur la balle et la flexion maximum des jambes l immobilisation et le d coller le d coller et le d but la phase dynamique du tir le d but de cette phase et le l cher dans quelques cas nous avons essay de positionner le point mort du tireur au cours de sa suspension L auteur a ensuite proc d un traitement statistique 2 me exp rimentation analyse de la t che du tireur en situation d opposition Les observations ont t effectu es partir de rencontres sportives t l vis es ou personnellement enregistr es par l auteur Un chronom tre lectronique a t utilis pour incruster le temps en centi me de seconde sur les images vid o La cat gorisation des tirs s est faite au regard des intentions tactiques c est ce prix que la comparaison peut tre valid e 1 Le tireur modifie l allure g n rale de course dans le sens d une stabilisation du corps par rapport la verticale le tireur reste l applomb de ses appuis le tireur ne reste pas l applomb de ses appuis 2 L allure g n rale du d placement est conserv e Les l ments sur lesquels a port l observation des tirs de type 1 sont le d roulement temporel de la s quence de tir et les exigences du milieu Conclusion Si nous pouvons conclure une meilleure gestion du temps de mouvement chez les joueurs les plus exp riment s nous devons reconna tre que nos outils d observation ne nous permettent pas d appr cier
597. ur permettre dans un premier temps d tablir des comparaisons entre les engins ou les pilotes de fabriquer un r f rentiel pris ensuite comme valeur talon de valider les hypoth ses faites sur le fonctionnement d appr cier quantitativement le niveau d adaptation du pilote dans un deuxi me temps de les utiliser en situation d entra nement Propositions d un syst me et contenu de formation pour les cadres sportifs de la F d ration Fran aise de voile CORMERY P 1986 155 p 2 p de bibliographie 29 r f rences annexes dont questionnaire auteur Le questionnaire utilis par l auteur s intitule Formation des entra neurs celui ci a pour objectif d exprimer les tendances des cadres techniques de la F d ration Fran aise de Voile l gard de la formation des entra neurs 14 questions Interviews parall lement des entra neurs nationaux quatre questions de base comme support et enregistrement sur cassettes de 2 X 30 min Approche de la pr diction de la performance en voile l g re COURTY J T 1989 142 p 8 p de bibliographie 60 r f rences Population d exp rimentation Entra neurs charg s de la pr paration Olympique de l quipe de France et entra neurs charg s du suivi des Espoirs soit 28 cadres Population de coureurs Cadets et Juniors gar ons et filles de niveau R gional et National au nombre de 51 P
598. urels et organisationnels qu il conviendrait maintenant de mener une tude pour ventuellement proposer des solutions sp cifiques l athl tisme Ivoirien de haut niveau e LE ROLE DU CYCLE ETIREMENT DETENTE DANS L ECONOMIE DE LA COURSE A PIEDS Duverney Guichard E 1992 34 p 9 p de bibliographie 110 r f rences annexes tableaux des r sultats enregistr s Population d exp rimentation 9 sujets m les g s de 16 32 ans participent l exp rimentation 6 sujets sont des coureurs r guli rement entra n s 1 sujet est un marcheur et les 3 autres des sportifs non sp cialis s Protocole exp rimental 1 lectromyograhie de surface de 3 muscles jumeau externe vaste externe et demi tendineux 2 calcul de la fr quence des foul es par l interm diaire d un acc l rom tre fix sur la chaussure amplificateur enregistrement sur bande magn tique avec un appareillage portable ENERTEC MP 5425 8 voies d entr e traitement par un micro ordinateur PC 386 etc 3 recueil et traitement des donn es respiratoires et de la fr quence cardiaque 4 donn es cin matiques le coureur est film de profil avec une distance cam ra vid o coureur de 6 85 m tres Un ensemble de tournage 4 de pouce comprenant une cam ra sur pied filmant 25 images s 1 quip d un chronom tre int gr assure la saisie des images Le d doublage des trames permet d obtenir 50 images s 1 24 points de rep
599. usceptibles de modifier les formations afin de mieux les accorder aux exigences des performances de terrain Descriptions analyses et perspectives li es aux changements syst matiques de joueurs en handball DUBERTRAND H 1993 155 p 6 p de bibliographie 46 r f rences annexes questionnaire adress e aux entra neurs concernant l utilisation de joueurs principalement en attaque ou en d fense et r sultats divers Population d exp rimentation 1 re partie 21 rencontres Internationales ont t film es au cours de la phase se pr paratoire des Jeux Olympiques de Barcelone Seules les informations relatives aux quipes ci apr s ont t retenues Su de C E I Roumanie Hongrie Tch coslovaquie et France 2 me partie enqu te men e aupr s de 41 entra neurs professionnels Entra neurs Nationaux entra neurs de N1 A masculine et f minine entra neurs de N1B masculine composent la population de r f rence 3 me partie joueurs voluant dans les clubs masculins de N1A et de N1B de la r gion Parisienne et quelques uns jouant sous le maillot du club Bordeaux Haute Garonne Protocole exp rimental 1 re partie cam scope muni d un grand angle autorisant des prises de vue arri re plongeantes fixes englobant tout le terrain Incrustation d un chronom tre pour dater les entr es et sorties des attaquants et d fenseurs Utilisation du logiciel ETHOLOG pour traitement de 11 fac
600. ution la recherche en planche voile 1983 134 p 1 p de bibliographie 8 r f rences Voir p 93 gt gt LOFI A Approche biom canique de la prise du club de golf Proposition le grip verrou 1978 92 p 10 p de bibliographie 172 r f rences annexes Voir p 47 M gt gt MAKA KADIE C Natation de haut niveau Evaluation de l efficacit d une technique moderne de renforcement musculaire sur les param tres biom caniques de fr quence et de propulsion 1990 96 p 7 p de bibliographie 58 r f rences annexes Voir p 74 gt gt MARLARD N Rapports entre la pratqiue du sport de haut niveau et la menstruation Etude sur la r partition des facteurs perturbants du cycle en fonction de la sp cificit des pratiques 1982 118 p 4 p de bibliographie 26 r f rences annexe Voir p 112 gt gt MENANT G Contribution l analyse du mouvement par les moyens audio visuels Apport de la stroboscopie et de la photogramm trie 1977 177 p 4 p de bibliographie 37 r f rences annexes importantes gt gt MESSAN VIVOLI I La championne dans les quotidiens d informations g n rale lors des Jeux Olympyques de Montr al 1976 1977 243 p 3 p de bibliographie 26 r f rences gt gt MIGEON J P Le transfert d apprentissage dans les t ches perceptivo motrices d ajustement balistique lancers de pr cision 1979 208 p 13 p de bibliographie 217
601. ux au sol enfin des arriv es au sol ind termin es plat dos debout entre les jambes de l adversaire genoux entre les jambes de l adversaire assis Ces opportunit s au sol ont t d finies partir des positions de l observ et de son adversaire imm diatement apr s la chute Le classement tient compte du rapport nombre de conclusions nombre de cas favorables 2 Il semble que la continuit des actions soit mieux ma tris e apr s sa propre attaque cas de Tori alors que dans le cas du d fenseur Uke de nombreuses opportunit s sont d laiss es bien qu tant jug es FAV 3 Certaines positions jug es dominantes semblent ignor es inexploit es l arriv e DE debout sur le c t a t observ e 36 fois et notamment 24 fois chez Uke apr s blocage 12 ou esquive 12 de SN Suwari Seoi nage projection par les paules sur les genoux Elle n a pourtant amen que 4 36 conclusions 4 Une hi rarchie des formes d attaque a pu tre tablie les ameners au sol sont tr s efficaces 9 fois FAV sur 9 et entra nent l adversaire la plupart du temps 4 pattes Les attaques de face et plus encore les Sutemi en Tomoe Nage arrivent au sol dans les positions jug es ind termin es Elles am nent peu de conclusions le plus souvent en cl Les attaques de dos semblent tr s vuln rables 5 Dans une m me perspective s inscrit la hi rarchie d efficacit des techniques d attaque debout Sukui Na
602. ux et de la t te ont t enregistr es par un oculom tre et sa cam ra frontale de type EYE MARK RECORDER commercialis par la NAC Incorporated Tokyo Les centrations de la t te dans l espace d action ainsi que la gestualit des sujets ont t enregistr es par une cam ra de champ en arri re cadrage serr La t che consistait r aliser huit parcours cons cutifs d un itin raire inconnu de tous les sujets sp cialement am nag pour la circonstance trac sur une petite falaise de la Montagne de Sainte Victoire pr s d Aix en Provence Conclusion L analyse en parall le des strat gies motrices visuelles et c phaliques des grimpeurs de haut niveau a pu mettre en vidence la r elle influence d un certain nombre de facteurs apprentissage vitesse en t te Concernant le facteur apprentissage son r le se r v lerait plus particuli rement indispensable pour les parcours difficiles analyser D une mani re g n rale il porterait chez les grimpeurs experts exclusivement sur la r duction importante des temps d analyse d une part diminution du nombre et de la dur e des phases d quilibration posturale stabilis e en quatre appuis du nombre et de la dur e des transports c phaliques du nombre et de la dur e des s quences d exploration visuelle excentr e et sur celle des temps d organisation gestuelle d autre part Concernant le facteur vitesse celui ci ne mod
603. ux m mes provoque chez eux des discussions leur demande des id es sur l organisation possible puis reprend en compte le projet qu il va imposer d une mani re autoritaire l ensemble de la population concern e e CONTRIBUTION DE L AUTOSCOPIE AUX APPRENTISSAGES SPORTIFS APPROCHE EXPERIMENTALE DANS LE CADRE DE LA GYMNASTIQUE SPORTIVE Lambert C 1980 162 p 4 p de bibliographie 49 r f rences annexes importantes dont fiche d observation grille des fautes mod le de l interview men e aupr s de gymnastes de haut niveau questionnaire d enqu te utilisation de l image de soi dans la pratique de la gymnastique sportive questionnaire r duit d extraversion et de n vrosisme Population d exp rimentation Lors des investigations pr liminaires des gymnastes de Haut niveau et des entra neurs Nationaux et Internationaux des pays de l Est notamment Des l ves d butants g s de 7 11 ans Domaine des exp rimentations une population d enfants g s de 6 9 ans et de 10 13 ans ans de la r gion Parisienne choisis en fonction d un m me niveau de capacit s qui travailleront dans les m mes conditions Concernant la premi re exp rimentation une population f minine moyenne d ge de 11 ans n ayant b n fici d aucune exp rience ou entra nement pr alable Concernant la deuxi me exp rimentation une population de club 16 sujets de sexe f minin appart
604. ve de haut niveau telle la natation CAZORLA 1978 permet d am liorer l efficience cardio vasculaire facteur essentiel de la condition physique e LA NOTION D ADRESSE EN EDUCATION PHYSIQUE ETUDE DE LA PRECISION CHEZ L ENFANT DE SIX A ONZE ANS Fauche S 1978 138 p 4 p de bibliographie 77 r f rences annexes La premi re partie de ce m moire est consacr e une analyse historique et conceptuelle de la notion d adresse La deuxi me partie est r serv e une exp rimentation Le type de leadership a une incidence sur l adresse g n rale et sur l adresse sp ciale de vis e Trois groupes homog nes par leurs performances initiales d enfants sont constitu s Ils sont soumis des apprentissages de parcours obstacles et de lancer avec des leaders diff rents leader autocratique leader d mocratique leader laissez faire Etc Les r sultats de l exp rience n apportent pas de r ponses d finitives au probl me de la pr cision chez l enfant mais conduisent un certain nombre de commentaires et notamment une critique des preuves choisies pour objectiver la pr cision et la mesurer Concernant l preuve de lancer sur cible la distance de la cible devrait tre adapt e aux possibilit s de chaque enfant de telle mani re que l aspect force de lancer n intervienne pas dans la mesure de la seule qualit de pr cision Concernant la r ception toutes les trajectoire
605. ves au Domaine de l E P S et autres questions durant les toutes premi res ann es de la cr ation du Dipl me 3 et l inverse une augmentation relative de l int r t marqu vis vis du Sport et de ses multiples aspects fin des ann es 80 d but des ann es 90 Une analyse plus qualitative permet de mettre en vidence LES THEMES qui ont suscit la mise en place de technologies appliqu es dans le domaine de l apprentissage et de l entra nement sportif Sachant qu un m me M moire peut avoir trait de plusieurs sujets la fois Voir ci apr s le tableau synoptique des THEMES PORTEURS Le classement qui suit n a pas retenu comme th mes sportifs les rubriques suivantes Education physique Formation des enseignants Enseignement et p dagogie D veloppement de l enfant Handicap et r ducation R insertion Personnes g es Histoire Institutionnel Politique Encadrement Entourage D veloppement Juridique Loisirs Sociologie et psycho sociologie Culture g n rale Facteurs socio conomiques J encourage une nouvelle fois les lecteurs consulter le document faisant office de compilation certains domaines comme la sociologie t moignent d une tr s grande diversit et d une tr s grande originalit dans les approches LES THEMES PORTEURS Cinq blocs d int r t sont rep rables Les pourcentages mentionn s a
606. voir p 115 gt gt PLATEAU OU PLATE FORME DE FORCE en Gymnastique Rythmique et Sportive avec Leroy M 1984 voir p 51 en situation d A T R Gymnastique Sportive avec Pozzo T 1989 voir p 54 en Gymnastique avec Hosseini A 1991 voir p 56 en Volley ball avec Petit G 1991 voir p 99 gt gt CYCLO ERGOMETRE avec Estrade P Y 1984 voir p 116 pour l tude des interactions entre processus physiologiques et cognitifs avec Brisswalter J 1992 voir p 123 gt gt TECHNIQUE DU QUICK RELEASE ERGOMETRE AVEC DYNAMOMETRE avec Pousson M 1984 voir p 117 gt gt DISPOSITIF ERGOMETRIQUE DE MESURE DES CARACTERISTIQUES MECANIQUES DU TRICEPS SURAL METHODE DU QUICK RELEASE en Volley ball avec Berjaud S 1988 voir p 98 en Basket ball avec Legrand J 1988 voir p 25 gt gt DYNAMOMETRE COLLIN GENTILE dans le cadre d une tude chronologique avec Kouakou Koffi L 1989 voir p 120 gt gt ERGOMETRE DE MANIVELLAGE DE BRAS EN POSITION ASSISE en Kayak avec Lamarzelle P 1989 voir p 35 en Planche voile olympique avec Giunti R 1990 voir p 93 en Cano kayak avec Cezard J P 1991 voir p 35 gt gt C A T S OU CONTROL AQUA TRAINING SYSTEME en Natation avec Maka Kadi C 1990 voir p 74 gt gt DISPOSITIF ERGOMETRIQUE JAMBE ET BRAS FORCE ISOMETRIQUE DE FLEXION DORSALE JAMBIER ANTERIEUR FORCE ISOMETRIQUE D EXTENSION DU COUDE TRICEPS BRACHIAL avec Pougheon M 1990 voir p 121 gt
607. x moyens d am liorer la qualit de la performance sont les suivants ne pas alourdir la partie inf rieure du corps des nageurs Il faut surtout chercher viter l accroissement en volume de masses musculaires voisines des pieds mollets des cuisses et des fessiers car celles ci contribuent plus que d autres augmenter le moment de rotation du corps et entra nent une d pense nerg tique suppl mentaire la musculation sec ou dans l eau doit surtout rechercher solliciter lectivement les muscles propulseurs qu il faut avoir correctement individualis pr alablement pour les courses de courte dur e on veillera ne pas augmenter en valeur absolue mais aux vitesse de contractions caract ristiques de la nage ce qui compte en ce qui concerne l am lioration de la quantit d A T P a robie ce n est pas la quantit totale d oxyg ne que l organisme est capable d utiliser mais celle qui peut tre mobilis e par les muscles propulseurs et celle l seulement Charbonnier 1974 il est permis de se demander s il vaut la peine de soumettre le nageur des tests de consommation d oxyg ne mesur e au moyen des outils classiques que sont le tapis roulant et la bicyclette ergom triques L auteur produit en fin de M moire un document tout fait explicite des protocoles d entra nement mettre en oeuvre lorsque l on veut d velopper en natation un syst me particulier de produc
608. xi me exp rience Afin que l athl te se r ceptionne correctement l issue de sa figure acrobatique il semble n cessaire que la t te se stabilise de fa on ad quate vers le bas alors que le corps continue tre soumis aux lois de la dynamique L ancrage c palique positionnel dirig selon un r f rentiel gravitaire semble d terminant la r ussite de la performance mais entra ne une dissociation entre les vitesses de rotation des diff rents segments anatomiques Ceci nous laisse supposer que les actions des muscles cervicaux reliant la t te au reste du corps sont ex cut es sous la commande d un programme moteur contr l par le syst me nerveux central l aide des informations sensorielles L intervention des informations visuelles au contr le de la posture et du geste ne peut intervenir efficacement que pendant les intervalles de temps o la rotation angulaire de la t te est stabilis e Au cours des autres moments les valeurs tant sup rieures celles du seuil pr cit l acuit visuelle est limit e au del d une vitesse de rotation de la t te de l ordre de 150 par seconde nous pouvons penser que les messages positionnels issus des r cepteurs visuels ne sont plus pertinents Les informations issues des autres syst mes vestibulaire notamment suppl eraient alors cette impr cision Au cours de l ex cution du salto l occultation de vision entra ne la disparition des p riodes
609. xieuses qui pr sentent une certaine fragilit sur le plan de la stabilit motionnelle Par ailleurs elles ne manifestent pas de tendance marqu e sur les plans de la sociabilit ou de la coop ration elles aussi oscillent entre les p les de l extraversion et de l introversion les athl tes du Tir l arc apparaissent peu agressives et peu anxieuses Leur r sistance au stress est peu marqu e Ce sont des sujets tr s autonomes qui oscillent entre les p les de l extraversion et de l introversion Elles pr sentent une bonne stabilit motionnelle e LA RELAXATION DANS LA PREPARATION SPORTIVE Roy M 1981 154 p 7 p de bibliographie 77 r f rences annexes r sultats aux tests Population d exp rimentation Population de 23 sportifs plus 7 sujets ayant accept de jouer le r le de t moin 13 volleyeuses entr es l I N S E P pour former l quipe de France Espoirs 5 perchistes de niveau National International 4m80 5m77 l ves professeurs sportifs de Haut niveau 7 handballeurs de clubs s entra nant l I N S E P Protocole exp rimental Test du Tr mom tre la mesure des tremblements est cens e r v ler l tat motionnel de l individu confront diff rentes situations Test de Stroop le sujet a sous les yeux une liste de noms de couleurs dispos s en colonnes Ces noms de couleurs sont imprim s dans des couleurs diff rentes il s agit d
610. xplicitement ou implicitement des qualificatifs illustrant les liens transparaissant entre les deux activit s 3 chez les entra neurs enfin qui ont choisi prioritairement les items d expression comme crit res d terminants Mais au del du discours demeure la r alit de ce qui se pratique en France les gymnastes font tr s peu de danse dans leur formation les entra neurs ont rejet l item U de notre questionnaire qui concernait cet aspect dans de la production Un certain nombre de questions demeurent cependant en suspend concernant le code de pointage tout d abord les orientations dessin es par celui ci janvier 83 comportent en effet beaucoup plus d interdits que de permis concernant l valuation elle m me il serait important de conna tre avec pr cision les crit res utilis s dans la pratique par les juges ainsi que la hi rarchie des crit res employ s car nous n avons mis en vidence qu un des aspects de cette valuation ce que les juges croient employer ou disent employer Quelques observations sur l volution de la taille du poids du corps des qualit s motrices et du niveau gymnique des gar ons de 7 13 ans pratiquant la gymnastique sportive LALO SAYO E 1983 142 p 4 p de bibliographie 28 r f rences Voir rubrique THEMES GENERAUX 1983 Acrobatie sportive Contribution l tude des informations senso
611. yse de comportements tactiques en basbet ball 1980 169 p 6 p de bibliographie 90 r f rences annexes Voir p 22 gt gt GUIBBERT L Etude de la personnalit des pratiquants d arts martiaux Nature place et r le de l agressivit le pratiquant d A KIDO 1980 187 p 6 p de bibliographie 60 r f rences annexes Voir p 12 gt gt GSEGNER G Structures d escalade prises variables et adaptables D une analyse des pratiques d escalade la mise en place d un mur et son tude exp rimentale 1982 40 p 4 p de bibliographie 51 r f rences annexes Voir p 39 H gt gt HANON C Aptitudes durer la V M A Vitesse Maximale A robie chez les coureurs ses de demi fond de haut niveau 1992 97 p 4 p de bibliographie 75 r f rences annexes Voir p 18 gt gt HORVATH L Analyses des performances des tireurs carabiniers de haut niveau 1986 105 p Voir p 88 gt gt HOSSEINI A D tente et performance sportive en gymnastique au sol Approche biom canique 1991 69 p 7 p de bibliographie 59 r f rences Voir p 56 gt gt HURTEBIZE C La formation des cadres pour le sport et pour l ducation physique Etude compar e entre la France et la R publique D mocratique Allemande 1981 278 p 10 p de bibliographie 121 r f rences d ouvrages dont certains ont t traduits de Pallemand I gt gt ISBERIE P
612. yst me postural Le param tre longueur t moigne quant lui de l nergie d pens e par celui ci Gagey 1986 Tous deux permettent une estimation objective du rendement des strat gies motrices utilis es par les sujets Pour les meilleurs d entre eux l ellipse de confiance est fortement polaris e le long de l axe ant ro post rieur Les param tres rapport s l axe des X permettent dans ce cas une analyse bien plus discriminative que ceux tenant compte des variations selon deux axes Concernant la contribution de la position du regard au contr le de l A T R dans cette position l oeil est dirig vers une position correspondant la limite ant rieure des oscillations du centre de gravit au del de laquelle une chute est possible Cette strat gie oculaire permettrait de d tecter l imminence d un d s quilibre lorsque le centre de gravit franchit cette limite On peut alors supposer que les mouvements de l oeil tendraient suivre les mouvements du centre de gravit pour estimer leur vitesse et leur amplitude afin de d clencher les r ajustements posturaux appropri s Par ailleurs la fixation de l oeil contribue la stabilisation de la t te dans l espace Ainsi les signaux issus des r cepteurs proprioceptifs du cou permettent d valuer avec pr cision les d placements du tronc par rapport au segment c phalique L asym trie de l effet prismatique laisse penser que la r solution du co

methodologie de l`entrainement sportif

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