N°28 - Club Secteur Public
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1. Pour vous abonner gratuitement Pour vous abonner gratuitement Pour vous abonner gratuitement cliquez sur l image cliquez sur l image cliquez sur l image Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Q ACTUALITE ASSOCIATIVE ACTUALITES SOCIALES EMPLOI D AVENIR Depuis le Ter novembre 2012 les associations peu vent conclure des emplois d avenir avec des jeunes sans emploi g s de 16 25 ans 30 ans pour les personnes handicap es Ils ont pour objet de faciliter leur insertion pro fessionnelle ainsi que leur acc s la qualification Jeunes vis s Les jeunes vis s sont e ceux sans dipl me e ou titulaires dun CAP BEP en recherche d emploi soit totalisant une dur e de 6 mois minimum de recherche d emploi au cours des 12 derniers mois e titre exceptionnel sont galement concern s les dipl m s au plus bac 3 r sidant dans une ZUS ZRR ou en outre mer en recherche d emploi soit totalisant une dur e de 12 mois minimum de recherche d emploi au cours de 18 derniers mois Employeurs vis s Les employeurs vis s sont e les associations e Les collectivit s territoriales e les tablissements publics e une structure d insertion par l activit conomique e une entreprise priv e exer ant dans un secteur reconnu au niveau r gional comme cr ateurs d emploi d utilit sociale ou susceptible d offrir des perspectives de d veloppement durable2. Nature du contrat Il s agit d un CDI ou d un CDD au minimum d un an et au maximum de 3 ans conclu temps plein prioritairement au minimum mi temps et au maximum temps complet sous la forme d un CAE contrat d accompagnement dans l emploi dans le secteur associatif et d un CIE contrat initia tive emploi dans le secteur marchand CCC loool ooooooo ooo o ooooHolo Aides de l Etat Dans le secteur e associatif comme dans le secteur public l aide correspond 75 du SMIC soit 1072 66 mois pour un temps complet e de l insertion par l activit conomique l aide est de 47 du SMIC soit 672 20 mois pour un temps complet e _ marchand l aide est de 35 du SMIC soit 500 58 mois pour un temps complet Sauf exception l aide est vers e durant une dur e maximale de 36 mois De plus dans le secteur non marchand les em ployeurs b n ficient d une exon ration des cotisations patronales d assurances sociales et d allocations fam iliales sur la part de r mun ration n exc dant pas le pro duit du SMIC par le nombre d heures r mun r es dans la limite de la dur e l gale du travail Loi pu 26 ocToBRE 2012 N 2012 1189 JO pu 27 OCTOBRE D CRETS Du 31 OCTOBRE 2012 N 2012 1207 2012 1210 N 2012 1211 ARR T DU 2 NOVEMBRE 2012 Circ DGEFP pu 1ER NOVEMBRE 2012 N 2012 21 ET DU 2 NOVEMBRE 2012 N 2012 20 O Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013
3. Sph re d influence secteur m dical enfants famille Services savoir faire prise en charge des enfants organisation d v nements Besoin m c nat financier actionnaires fournisseurs clients salari s entreprise Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 27 L entreprise C r bos Production et distribution de sel de table Probl matique d faut d image et de diff renciation Besoin d montrer ses valeurs famille sant l gendes r ve Territoire national Cible famille Parties prenantes b n ficiaires 28 Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Signature de la convention Valorisation du M c nat e P renniser le partenariat o Tenir ses engagements o Feed back vers le m c ne o Ne pas perdre de vue l identit et les objectifs du m c ne e D velopper sa notori t o Faire et faire savoir en partenariat avec le m c ne e Web m dias sociaux relations presse e Actualiser son dossier m c nat gt e Mathilde LENOIR D l gu e G n rale MECENAT 2 0 www mecenat2pointO fr contact mecenat2point0 fr e Guillaume PROUST et Vincent LEMAIRE Expert comptable et commissaire aux comptes Co Pr sident du comit M c nat Ordre des Experts comptables guillaume proust compagnie fiduciaire com vincent lemaire460 orange fr e Dirk ANDREAE Avocat Ordre des Avocats de Paris dirk andreae gmail com
4. son cosyst me 3 Annuaire de fondations http www centre francais fondations org fonda tions fonds de dotation annuaire La recherche du partenaire ne doit pas tre le fruit du hasard mais le r sultat d un diagnostic qui permettra de profiler le bon projet et de valoriser au mieux l op ration La premi re tape consiste d terminer pour chaque fonction de l entreprise RH ventes marketing R amp D communication les probl matiques auxquelles le m c nat devra r pondre Les th mes peuvent tre tr s vari s allant du team building esprit d quipe au co d velop pement en passant par la cr ation de liens avec les clients Lors de la deuxi me tape l entreprise d finit son identit son histoire et ses valeurs La troisi me tape correspond une rapide analyse marketing corporate du si ge de l entreprise quelle est la cible externe du m c nat comment est elle segment e comment la caract riser quelle zone g ographique veut on toucher La derni re tape correspond au plan de communication li l op ration la fois en interne et en externe comment le projet va t il tre pr sent aux salari s quels m dias veut on toucher quels contenus veut on g n rer pour le web et les m dias sociaux Le r sultat de cette tude va permettre d identifier le profil de l association cible la fois en terme de taille d implanta tion g ographique de publ
5. que Sa direction est certes assur e titre b n vole mais qu il r sulte toutefois de l instruction que cette manifes tation annuelle est accessible tout public moyennant l acquittement d un droit d entr e que cette manifestation a fait l objet d une promotion publicitaire en utilisant des techniques de communica tion commerciale La Cour consid re que nonobstant le caract re commercial des modalit s d organisation de la manifestation laquelle reste n anmoins ponctuelle et atypique dans le domaine des sports m caniques l association ne peut tre assimil e du fait de cette manifestation une activit but lucratif Q Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Elle consid re par ailleurs qu il r sulte galement de la sp cificit de ce sport m canique que les services rendus au public par l association ne sont pas offerts en concurrence dans la m me zone g ographique d at traction avec ceux propos s au m me public par des entreprises commerciales exer ant une activit iden tique et en conclut que l association en objet n entre pas dans le champ d application des imp ts commerciaux Cour administrative d appel de Douai 3 juillet 2012 n 11DA00475 Plan Plan de de comptes comptes Les associations ORGANISATIONS DAES SYNDICALES ET Etablissements SOCIAUX PROFESSIONNELLES et m dico 30ci ux publics et priv s L EXPERT EN POCHE
6. Commentaires d arr ts sur le th me des subventions aux associations cultuelles subventions aux associations ayant une activit cultuelle quatre arr ts importants du Conseil d Etat Le Journal des maires n 9 septembre 2012 p 64 65 Article portant sur lavenir des associations dans un contexte de crise le monde associatif en mutation Juris associations n 467 du 15 novembre 2012 p Article portant sur les contrats d avenir Economie sociale et solidaire Qui voudra des contrat d avenir La Gazette Sant Social n 89 octobre 2012 p6 8 Article portant sur l assurance pour la responsabilit civile de l association R assurez vous Juris associations n 466 du 15 octobre 2012 p 19 Article portant sur la r gle des minimis dans le cadre du nouveau paquet r glementaire europ en 2012 Aides publiques quels minimis et pour qui Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 13 Article portant le risque d imposition d une association aux activit s lucratives Activit s lucratives comment viter l imposition Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 14 Article portant sur les relations entre associations et lus locaux Relations avec la mairie trouver la bone distance Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 16 Fiche pratique sur les frais des b n voles R gles et proc dures de rembourseme
7. La limite de la franchise de 840 s appr cie par employeur et non par tablissement et par bureau et quelle que soit la dur e d exercice de l activit de l employeur au cours de l ann e civile Les employeurs b n ficiant de cette franchise sont dispen s s de produire la d claration annuelle sp cifique S agissant par contre de la d cote les employeurs ne sont pas dispens s de verser les acomptes de la taxe en cours d ann e celle ci ne pouvant en principe tre appliqu e que lors de la r gularisation annuelle Toutefois il est admis en pratique que les versements mensuels ou trimestriels soient ajust s La loi de finances rectificative pour 2012 du 29 d cembre 2012 augmente les seuils de la franchise et de la d cote qui sont respectivement port s de 840 1 200 et de 1 680 2 040 Toutefois ces nouveaux seuils ne s appliqueront qu aux r mun rations vers es compter du 1er janvier 2014 Loi de finances rectificative pour 2012 n 2012 1510 du 29 d cembre 2012 article 67 CGI art 1679 modifi 2 Abattement Certains organismes sans but lucratif associations syndicats professionnels fondations RUP congr gations associations interm diaires agr es b n ficient actuelle ment d un abattement de 6 002 pour la taxe due sur les r mun rations vers es depuis le Ter janvier 2011 Le dispositif ne donne pas de pr cisions quant l applica tion de cet abattement q
8. M c nat Sponsoring Parrainage Don D pense commerciale Contrainte Contrainte o Projet d int r t g n ral o Aucune Contrepartie Contrepartie Limit e 25 du don Avantage fiscal o 60 dans la limite de 5 o du CA Doc comptable o Re u fiscal Illimitee Avantage fiscal Aucun Doc comptable o Facture Le m c nat contrat juridique Le m c nat financier Le m c nat de comp tence Le m c nat en nature 22 Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 l DEMNE CENAL ONU LSUTIQIC gt Le contrat de m c nat n est pas obligatoire gt Cet accord peut tre verbal gt Risque incertitude juridique et fiscale quant l tendu des obligations des deux parties gt Donc l Etablissement d un contrat de m c nat crit est vivement conseill gt Pas de mod le type don manuel pr t location etc mais certaines clauses sont essentielles gt D finition des cocontractants gt L objet de la convention gt La d finition du projet gt Les obligations du m c ne gt Les obligations du b n ficaire gt La dur e de la convention gt Les assurances gt La r siliation gt La r solution des litiges LA i PSr el gt 353 MAZUS fslas 30n fae e gt 3 JN rS pS eei g 70 gt Les entreprises soumises l IS et l IR BIC BNC BA Savoir profiter de l avantage fiscal gt R duction d imp t gale 60 de leur montant dans la l
9. R GIME SOCIAL DES PERSONNES EXER ANT UNE ACTIVIT R DUITE DES FINS D INSERTION Les personnes qui exercent une activit r duite des fins d insertion leur procurant de faibles revenus soit inf rieurs 4 788 en 2012 sont affili s au r gime g n ral de s curit sociale bien qu ils exercent une ac tivit non salari Ce dispositif qui devait prendre fin le 31 d cembre 2012 a t reconduit par la loi de financement de s curit sociale pour 2013 jusqu au 31 d cembre 2014 titre exp rimental Les cotisations sociales dues correspondent 5 des recettes HT d gag es par l activit r duite LOI DE FINANCEMENT DE S CURIT SOCIALE POUR 2013 N 2012 1404 bu 17 D CEMBRE 2012 JO pu 18 D CEMBRE ASSOCIATIONS INTERM DIAIRES Un arr t du 17 d cembre 2012 porte modification de l arr t du 4 mai 1987 relatif aux cotisations d accident du travail dues par les associations interm diaires compter du 1er janvier 2013 Jusqu pr sent le taux AT MP applicable au titre du personnel mis disposition de particuliers ou d entreprises par des personnes rencontrant des difficult s particuli res d insertion variait en fonction du nombre heures d activit dans l ann e Il tait fix forfaitairement 3 7 pour les mises disposi tion de personnes inf rieures 750 heures par an alors que pour une dur e d activit sup rieure ce seuil la cotisation tait fix e en fonction d
10. Vous intervenez d j aupr s de collectivit s territoriales dans la mise en place de proc dures de suivi des subventions demand s par les associations accord e par la collectivit la lecture des comptes rendu financiers des subventions la lecture des comptes des associations Vous pr sentez des comptes de campagnes aux lections politiques Vous intervenez dans les SEM ou les EPL au titre d expert comptable ou de commissaire aux comptes Vous intervenez dans les comit s d entreprise de ces structures LE COURRIER des maires ot des lus locaux La plaquette de pr sentation de l expert comptable et de ses missions Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 E ACTUALITE ASSOCIATIVE VEILLE FISCALE ET FINANCIERE 1 Application du taux r duit sur les livres et certains spectacles vivants Le taux de TVA applicable aux livres et certains spectacles vivants est am nag par les deux derni res lois de finances rectificatives pour 2012 fix nouveau 5 5 compter du 1er janvier 2013 il sera de 5 compter du 1er janvier 2014 1 L article 28 de la deuxi me loi de finances rectifica tive pour 2012 16 ao t 2012 r tablit compter du 1er janvier 2013 le taux r duit de 5 5 en ce qui concerne M Les op rations d achat d importation d acquisition iIntracommunautaire de vente de livraison de commis sion de courtage de fa on ou de
11. au titre de la participation de l int ressement et de l abondement de l employeur un plan d pargne d entreprise Le sont gale ment les contributions patronales aux r gimes de retraite ou de pr voyance suppl mentaire comme auparavant mais d s le premier euro Par contre il est pr cis que n entrent pas dans l assiette les prestations de s curit sociale vers es par l interm diaire de l employeur indemnit s journali res et qu il ne doit pas tre fait application pour la d termination de cette assiette de la d duction forfaitaire pour frais professionnels de 1 75 en mati re de contribution sociale g n ralis e 2 Modification du bar me Le bar me existant est le suivant La loi cr e pour les r mun rations vers es compter du 1er janvier 2013 un taux major suppl mentaire de 20 pour la fraction des r mun rations annuelles exc dant 150 000 Notons que compte tenu du gel du bar me de l imp t sur le revenu ces seuils ne sont pas actualis s depuis 2011 Loi de financement de la s curit sociale n 2012 1404 du 17 d cembre 2012 article 13 CGI art 231 modifi R mun rations individuelles annuelles Taux applicable Fraction inf rieure ou gale 7 604 4 25 Fraction comprise entre 7 604 et 15 185 8 50 Fraction exc dant 15 785 13 60 Il La modification des d lais de versement En l tat du dispositif la p riodicit d
12. car l administration fiscale s y est oppos e suivie en cela par le Tribunal administratif et la Cour administrative d appel de Nantes Le Conseil d Etat rappelle en premier lieu qu il r sulte des dispositions de l article 231 1 1er alin a du CGI que l assiette de la taxe sur les salaires due par les assujet tis partiels la TVA s obtient en appliquant au montant total des r mun rations le rapport existant entre le chiffre d affaires qui na pas t passible de la TVA recettes correspondant des op rations exon r es ou situ es hors du champ d application de la TVA et le chiffre d affaires total Certes aux termes du deuxi me alin a du 1 du m me article il est pr vu une exon ration de taxe sur les salaires pour les employeurs dont le chiffre d affaires r alis au cours de l ann e civile pr c dente n exc de pas les limites de la franchise en base vis es l article293 B du CGI Toutefois il ressort des termes m mes des dis positions du deuxi me alin a du 1 de l article 231 que celles ci ne revoient celle de l article 293 B qu en ce qui concerne le montant des limites du chiffre d affaires Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 ouvrant droit l exon ration de la taxe sur les salaires et non en ce qui concerne le mode de d termination du chiffre d affaires permettant d appr cier le respect de ces limites Le chiffre d affaires prendre en compte pour d termi ne
13. construire leur d marche de m c nat Facteurs cl s de succ s d un bon partenariat e un ensemble de valeurs entreprise asso ciation coh rent e des contreparties qui correspodent aux besoins de l entreprise e une relation quilibr e entre l associa tion et l entreprise sur le moyen et le long terme e une communication r guli re entre les parties et une bonne concertation sur les modalit s de communication vers de grand public 10 raisons de faire du m c nat l Parce que c est facile 2 Parce que mes clients aiment a 3 Pour f d rer mes quipes 4 Pour choisir qui donner mes imp ts 5 Pour incarner mes valeurs 6 Pour cr er du contenu Pour tendre mon r seau professionnel 8 Pour cr er un v nement client 9 Parce que le dispositif fiscal est tr s avantageux 10 Parce que c est la crise Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 M c nat cuiturel r A Do Pour recevoir la plaquette sguerin cs experts comptables org LE M C NAT D ENTREPRISE GUIDE PRATIQUE Pour vous abonner gratuitement cliquez sur limage Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 4 Conseil National dus Marrtosues LE M C NAT DES AVANTAGES STRAT GIQUE POUR LES TPE PME aieo Le march du m c nat e Budget global du m c nat 2 milliards d euros en 2010 selon l Admical e Selon le minist re du budget le m c nat d entre
14. location portant sur les livres sur tout type de support physique ainsi que sur les livres fournis par t l chargement MH La loi a galement r tablit compter de la m me date le taux r duit de 5 5 en ce qui concerne les spectacles vivants suivants e Th tres e Th tres de chansonniers e Cirques e Concerts e Spectacles de vari t s l exception de ceux qui sont donn s dans des tablissements o il est d usage de consommer pendant les s ances Par ailleurs l application du taux r duit de 5 5 est galement tendue au prix du billet d entr e donnant exclusivement acc s des concerts donn s dans des ta blissements o il est servi facultativement des consomma tions pendant le spectacle 2 L article 68 de la troisi me loi de finances rectificative pour 2012 29 d cembre 2012 modifie ce taux compter du 1er janvier 2014 CRC o Ainsi les livres sous tous supports y compris en ce qui concerne la location ou le t l chargement seront soumis au taux r duit de 5 ce taux s appliquant galement aux spectacles vivants d crits ci dessus passera 5 Loi n 2012 958 de finances rectificative pour 2012 du 16 ao t 2012 art 28 Article 278 0 bis modifi du Code g n ral des imp ts Loi n 2012 1510 de finances rectificative pour 2012 du 29 d cembre 2012 art 68 Articles 278 278 0 bis 278 bis 278 quater 278 sexies du Code g n ral des imp ts 2 Subvention compl
15. ment de prix et TVA Rappelons tout d abord que les subventions entrent dans le champ d application de la TVA si elles constituent notam ment le compl ment de prix d op rations imposables L administration fiscale apporte des pr cisions int ressantes sur ce point dans le cadre du BOFIP ce titre elle rappelle que pour tre qualifi e de Subvention directement li e au prix une subvention doit satisfaire aux conditions cumulatives suivantes MH La subvention est vers e par un tiers celui qui r alise la livraison ou la prestation Une subvention compl ment de prix implique ainsi n cessairement la pr sence de trois parties la personne qui accorde la subvention la personne qui en b n ficie et l acheteur ou preneur M Elle en constitue la contrepartie totale ou partielle La subvention doit tre sp cifiquement vers e l organisme subventionn afin qu il fournisse un bien ou effectue un service d termin Elle doit donc tre identi fiable comme la contrepartie d une op ration taxable et non vers e globalement pour couvrir les co ts de l orga nisme subventionn il ne suffit pas que son versement permette indirectement cet organisme de pratiquer des prix moins lev s Q Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Les acheteurs du bien ou les preneurs de services doivent tirer profit de la subvention octroy e au b n ficiaire En effet il est n cessaire que le prix pay
16. validation des acquis destin es r ins rer le salari Si en pratique l employeur ne met pas en place de telles actions de formation le salari peut valablement faire re qualifier son CAE en CDI Cass Soc 11 JUILLET 2012 N 11 13827 REQUALIFICATION DU CONTRAT ADULTES RELAIS EN CDI Les contrats adultes relais permet d assurer des missions de m diation sociale et culturelle de proximit dans le cadre d un contrat d insertion CUI CAE Ils concernent les associations les collectivit s locales ainsi que les personnes de droit priv charg es de la gestion d un service public Ils peuvent donner lieu un CDI ou un CDD de 3 ans au maximum renouvelable une fois Le CDD peut tre rompu chaque date d anniversaire Un salari employ dans ce cadre fait valoir la requalifica tion de son CDD adulte relais en CDI au motif que le contrat ne mentionnait pas la qualification adulte relais En effet faute de comporter pr cis ment la d finition de son motif ce CDD devait tre requalifi en CDI Cass Soc 13 suin 2012 N 11 10198 LICENCIEMENT D UN ENTRAINEUR DE FOOTBALL Un salari embauch en CDD en qualit d entraineur forma teur par un football club ayant pour mission d encadrer des enfants et des adolescents voit son CDD rompu pour faute grave suite une altercation avec un autre salari Dans le cas d esp ce le salari avait frapp l un de ses subordonn s l occasion d une
17. 2010 2011 1 Liste compl te des organismes ligibles au m c nat du code des imp ts http www legifrance gouv fr affichCodeArticle do cidTexte LEGITEXTO00 006069577 amp idArticle LEGIART1000006309076 amp dateTexte amp categorieLie n cid dispositif est favorable toutes les parties les entreprises les b n ficiaires et donc l int r t g n ral Les soci t s peuvent ainsi plut t que de payer des imp ts dont ils ne connaissent pas l utilisation finale transf rer ce co t vers un projet qu elles choisissent 2 LE M C NAT UNE R PONSE AUX PROBL MATIQUES DES PME Le m c nat ne concerne pas seulement les grands groupes du CAC40 depuis 2012 les PME de moins de 200 salari s repr sentent m me 63 des entreprises m c nes Elles prennent conscience en effet que au del de la simple op ration de communication le m c nat permet l entre prise de soutenir ses axes strat giques et de renforcer son identit En participant des projets d in t r t g n ral les entreprises adressent un message positif et mobilisateur leurs salari s et leurs clients Elles peuvent ainsi am liorer le management de leurs EX quipes leur image de marque a leurs relations commerciales et leur communication externe D une fa on plus large le m c nat permet de donner du sens et d incarner des valeurs En ai dant une association l entreprise d montre son implication soci 18 tal
18. ES ANNOT DES COMITES D ENTREPRISE Pour recevoir la charte papier Pour vous abonner gratuitement Pour t l charger la charte Pour t l charger le plan de comptes cliquez sur l image cliquez sur l image cliquez sur l image O Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 DOSSIER LE M C NAT UN OUTIL STRAT GIQUE POUR LES PME CR Le m c nat en d veloppement en France malgr un contexte difficile constitue une v ritable opportunit cono mique pour les entreprises Il permet de soutenir une poli tique RH de consolider l image de la compagnie et de facili ter la communication externe du m c ne 1 LE M C NAT DE QUOI PARLE T ON Le m c nat est une d marche qui vise soutenir une activit non marchande par des moyens financiers humains ou mat riels En France il pr sente la particularit de com M c nat des entreprises source Minist re charg du budget 2004 2005 2006 2007 2008 pense fiscale porter un volet fiscal car depuis une dizaine d ann es l tat souhaite favoriser cette pratique de fa on tr s volontariste il offre 60 du montant du don sous forme de d duction d imp t Corolairement il revient au fisc de d finir la nature des b n ficiaires 2009 f yaluation du montant des dons Source Mathilde Lenoir D l gu e G n rale M c nat 2 0 CCC ooo oo ooon o ooo ooooooo olo les organismes d i
19. aire jugement Cour administrative d appel Association transparente non transparente crit res constitu e entre plusieurs collectivit non transparentes La Lettre du financier territorial n 273 janvier 2013 p 38 39 Arr t du 27 novembre 2012 relatif au cadre budg taire et comptable applicable aux associations syndicales autoris es synth se La Lettre du financier territorial n 273 janvier 2013 p 49 Article sur l valuation des services rendus par les asso ciations pour une collectivit Associations mesurer l utilit sociales plus facile dire qu faire La Gazette des communes n 2 2156 14 janvier 2013 p 26 28 Article portant sur la situation financi re des associations Financements des associations sortir de la crise La Gazette Sant Social n 92 janvier 2013 p 18 23 Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 ME fin de vie d une association LISTE DES REVUES UTILISEES POUR REALISER Associations inactives faut il dissoudre ou mettre en E LA VEILLE D ACTUALITES FISCA sommeil us Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 10 11 e e Le journal des maires c e Le Courrier des maires Votre compte Association le service public en ligne e Juris associations Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 12 13 e Associations Mode d emploi Article portant sur l
20. ariats H F d rer et mobiliser les collaborateurs autour d un pro jet le m c nat est d abord un bon moyen d attirer de jeunes dipl m s s duits par les entreprises qui d mon trent leur implication soci tale il permet ensuite d im pliquer plus directement les salari s en leur permettant de partager leurs savoir faire sous forme de m c nat de comp tence ou en leur offrant les contreparties du pro jet associatif places de spectacles cours visites priva tives H Organiser des v nements et cr er un cadre favorable aux relations clients en B to B il est parfois compliqu d instaurer des rencontres r guli res avec ses clients Les contreparties d une op ration de m c nat permet tent d organiser des v nements exclusifs appr ci s des partenaires commerciaux et tr s favorables l ins Proportion d entreprises m c nes 43 50 volution selon la taille 32 So nn 27 27 ile 2 2008 2010 2012 tauration de relations cordiales MH Partager ses valeurs avec ses publics et interlocuteurs largir le r seau de l entreprise Par exemple une entre prise de BTP souhaite d velopper ses relations avec les administrations territoriales tout en valorisant ses sala ri s Elle d cide de donner 50 k une association qui assure la r novation d un monument de sa ville en r in s rant des ouvriers Elle d duit 30k de son imp t sur Actu experts Associations N 28 ler t
21. as ligibles dans l entreprise utilisa trice Lorsqu ils sont pr sents de mani re continue depuis 12 mois dans l entreprise utilisatrice ils peuvent y tre lecteurs lls choisissent alors s ils exercent leur droit de vote dans l entreprise qui les emploie ou dans l entreprise ss eee eee ee CCC ocooooooooooooooooooooooooooooo oooooooooooooooooooooooooooooooooo ooo oooo ooo ooo ooo olo utilisatrice C est sur le fondement de ces principes que l entreprise utilisatrice entendait contester la candidature aux lections des membres des comit s d tablissement pour des agents public qui avaient t mis disposition de l organisme de droit priv Les juges de la Cour de cassation ne retiennent pas cette argumentation aux motifs qu un agent public mis disposition d un organisme de droit priv pour accomplir un travail pour le compte de celui ci et sous sa direction est li cet organisme par un contrat de travail Il ne rel ve donc pas des dispositions sp cifiques relatives l lectorat et l ligibilit des salari s mis disposition au sens de cet article du Code du travail Cass Soc 20 Juin 2012 N 11 20145 12 Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 REQUALIFICATION DU CAE EN CDI Dans le cadre d un CAE contrat d accompagnement dans l emploi r serv au secteur non marchand lem ployeur doit mettre en place des actions de formation d orientation professionnelle et de
22. ations financi res r alis es par les entreprises il y a lieu selon la doctrine administrative de pratiquer de la fa on suivante H 1 Les op rations financi res qui n entrent pas dans le champ d application de la TVA doivent tre exclues du calcul du rapport de gestion dividendes par exemple H 2 Les produits financiers entrant dans le champ d application de la TVA sont en principe exon r s en application des dispositions de l article 261 C 1 du CGI et doivent normalement tre inscrits au d nominateur du rapport de d duction Toutefois par d rogation il est fait abstraction pour ce calcul du montant du chiffre d affaires aff rent aux op rations financi res exon r es de la TVA pr sentant un caract re accessoire par rap port l activit principale de l entreprise La doctrine administrative pr cise sur ce point que la limitation des droits d duction n est pas applicable aux assujettis qui r alisent uniquement des op rations ouvrant droit d duction et des op rations finan ci res exon r es pr sentant un caract re accessoire l exclusion de toutes autres op rations n ouvrant pas droit d duction Partant ces assujettis pourront d duire l int gralit de la TVA ayant grev l acquisition des biens et services utilis s pour les besoins de leurs op rations impo sables MH 3 Quelles sont les caract ristiques des produits financiers accessoires Il convient que les produit
23. e une poque o l ensemble des citoyens est particuli rement sensible aux d marches thiques des acteurs conomiques Selon une tude de France G n rosit le public a une image tr s positive des entreprises qui font du m c 2006 nat Les deux caract ristiques les plus attribu es aux entreprises m c nes sont qui a des valeurs et qui veut donner une bonne image ses clients Viennent ensuite intelligente responsable g n reuse Base ensemble n 734 Source Admical Une d marche de m c nat men e de fa on raisonn e peut r pondre un grand nombre de probl matiques de l entreprise 2 Le M c nat Point de vue du grand public et attitudes des collaborateurs des entreprises priv es France G n rosit D cembre 2011 http www francegenerosites orglewb_pages d dons entreprises 1998 php 20 99 salari s 100 199 salari s 200 salari s et plus 23 239 Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 H Cr er du sens et des retomb es presse en devenant partenaire d un projet caritatif sportif ou environne mental l entreprise peut d velopper une histoire et des contenus pour ses canaux de communication tels que son journal interne ou les m dias sociaux Correctement exploit s par des communiqu s de presse ils ont de bonne chance d tre repris par des journalistes friands d histoires originales qui parlent de parten
24. e contr le des comptes par le CAC La Gazette Sant Social Certification le r le du commissaire aux comptes e La Gazette des communes Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 15 16 La Lettre du financier territorial Article portant sur la politique europ enne du finance e La semaine juridique administrations et col Fonds structurels les opportunit s de la nouvelle Bulletin Associations et fondations programmation A Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 16 17 Lu Ho NU e Revue de jurisprudence de droit des affaires Article portant sur le r sultat des associations e Dalloz Affaires L affectation du r sultat un choix associatif e Revue de droit fiscal Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 18 f e Bulletin des conclusions fiscales Article portant sur les interlocuteurs publics des associa e Bulletin rapide de droit des affaires tions i tions e Petites affiches Gouvernement parlement qui sont vos interlocuteurs Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 20 e Revue de jurisprudence sociale e Lamy association e Revue fran aise de comptabilit Article portant sur les relations des associations avec leur mairie Les relations contractuelles entre l association et la mairie Associations mode d emploi n 145 janvier 2013 p 22 23 gt ACTU EXPERTS CHARTE DES BONNES PRATIQUES PLAN DE COMPT
25. e la sinistralit constat e soit 5 Par mesure de simplification cette cotisation forfaitaire de 3 a t supprim e et remplac e par un taux unique de 3 1 quelle que soit la dur e des salari s mis disposition sur la base de la sinistralit constat e LOI DE FINANCEMENT DE S CURIT SOCIALE POUR 2013 N 2012 1404 bu 17 D CEMBRE 2012 JO pu 18 D CEMBRE ARR T DU 17 D CEMBRE 2012 R GIME SOCIAL DES ALLOCATIONS VERS ES AUX ASSISTANTS MATERNELS Une circulaire ACOSS rappelle le r gime social des allocations vers es aux assistants maternels La r mu n ration des assistants maternels assistants familiaux se compose d une partie fixe qui correspond la fonction globale d accueil de l enfant et d une partie variable correspondant au nombre d enfants accueillis Ind pendamment de cette r mun ration ils per oivent des sommes pour couvrir les d penses engag s pour l enfant telles que l allocation d habillement l allocation de rentr e scolaire les sommes vers es pour l achat de cadeaux de No l pour l acc s au sport aux loisirs la culture pour la nourriture l h bergement l hygi ne etc Ces sommes ne sont pas assujetties aux charges sociales et sont r put s avoir t utilis es conform ment leur objet dans la limite des montants fix s par les arr t s Circ Acoss Du 14 SEPTEMBRE 2012 N 2012 89 ASSOCIATIONS trt FONDATIONS ALLIE ELA IUT IL Pour vous abonne
26. ec le montant des subventions octroy es Imp t gouv fr BOFIP TVA BASE 10 10 10 20121115 TAXE SUR LES SALAIRES Le dispositif de la taxe sur les salaires a r cemment fait l objet de modifications sensibles tant en ce qui concerne l assiette de la taxe qu au plan du bar me applicable de la p riodicit des versements et des dispositions permettant d en all ger le montant franchise d cote et abattement sp cifique certains organismes sans but lucratif I l largissement de l assiette de la taxe et la modification du bar me Ces am nagements r sultent de l article 13 de la loi de financement de la s curit sociale n 2012 1404 du 17 d cembre 2012 1 L largissement de l assiette En l tat du dispositif existant l assiette de la taxe sur les salaires est align e sur celle des cotisations de s curit sociale Partant en sont notamment exclues les sommes vers es au titre de la participation de l int ressement et au del de certains seuils des contributions patronales des r gimes de retraite suppl mentaire et de pr voyance compl mentaire Le nouveau texte applicable aux r mun rations vers es compter du 1er janvier 2013 modifie cette d finition en instituant un alignement de l assiette de la taxe sur celle de la contribution sociale g n ralis e applicable aux salaires et assimil s Par voie de cons quence sont d sormais incluses dans cette assiette les sommes vers es
27. er par l acheteur ou le preneur soit fix de telle fa on qu il diminue proportion de la subvention accord e au vendeur laquelle constitue alors un l ment de d termination du prix exig Ainsi une subvention ne saurait tre qualifi e de compl ment de prix d s lors qu elle n est pas calcul e de mani re couvrir sp ciale ment l insuffisance de recettes r sultant de la tarification mais a pour objet de prendre en charge des co ts fixes et ou variables E Elle permet au client de payer un prix inf rieur au prix du march ou d faut au prix de revient La taxation de la subvention ne doit pas conduire une surtaxation de l op ration notamment lorsque le b n fi ciaire de la subvention ne pratique pas en d finitive un prix inf rieur au prix du march L administration fiscale donne des exemples d application de ces principes Constituent des subventions directement li es au prix d op rations imposables les subventions sui vantes e Les sommes vers es un organisme de recherche assu jetti la TVA en compl ment des recettes aff rentes aux prestations de recherche qu il r alise au profit d une en treprise et contractuellement destin es abaisser le prix de ces prestations en dessous de leur prix de march e Les subventions vers es un organisateur de spectacles afin que ce dernier diminue en de du prix du march les prix quil pratique vis vis du public et ce en rapport av
28. es e j t A propi rmatiigques del entreprise Cr er du sens et des retomb es presse F d rer et mobiliser les collaborateurs autour d un projet Organiser des v nements et cr er un cadre favorable aux relations clients Elargir le r seau de l entreprise Partager ses valeurs avec ses publics et interlocuteurs R aliser un objectif soci tal et philanthropique cenac dans lLEentreprise Mobilisation des collaborateurs Image R putation _ Marketing Optimisation Co d veloppement fiscale DAF R amp D Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Une entreprise donne 10 000 pour la r novation d un monument par Entreprise une association de r insertion Co t net pour l entreprise 1 500 B n fices pour l entreprise Un monument r nov Des jeunes r ins r s Un projet mobilisateur pour les salari s Une image de marque am lior e Des v nements organis s pour les clients Un nouveau r seau Lever les m fiances r ciproques Privil gier l engagement sur le long terme Impliquer les salari s en amont D centraliser les actions Parvenir valuer Daelipiisosmelntns p i624 S Mecenat DAF DAF e DAF Marketing Marketing e Marketing RH RH e RH Ventes Ventes e Ventes e RSE RSE e RSE L association LE PETIT PRINCE mission donner vie aux r ves d enfants gravement malade Territoire national
29. es r alis au cours de l ann e civile pr c dant le versement de ces r mun rations n exc de pas les limites de la franchise en base de TVA art 293 B I II et IV du CGI Aux termes d un r cent arr t le Conseil d Etat retient une solution restrictive quant l application effective de cette exon ration consid rant que la r f rence aux dispositions de l article 293 B du CGI ne vaut qu en ce qui concerne l appr ciation des limites de chiffre d affaires et non pour les modalit s de d termination de ce chiffre d af faires En l esp ce Le Foyer Blanche Neige est un tablisse ment public ayant pour objet l h bergement de personnes handicap es en foyer de vie et en maison d accueil sp cialis e Cette activit est plac e hors du champ d application de la TVA en vertu de l article 256 du CGI L tablissement fournit galement des repas son personnel ainsi qu aux familles des r sidents et proc de diverses ventes ces op rations entrent dans le champ d application de la TVA mais sont toutefois dispens es de taxation en application de la franchise en base pr vue l article 293 B du CGI L tablissement a spontan ment acquitt la taxe sur les salaires sur la p riode allant du 1er janvier 2005 au 30 septembre 2007 Apr s avoir pris connaissance de l exon ration pr cit e il a estim en tre b n ficiaire et a demand la restitution de la taxe sur les salaires acquit t e tort vainement
30. es versements est d termin e en fonction du montant total de la taxe due au titre de l ann e pr c dente R mun rations individuelles annuelles Taux applicable Fraction inf rieure ou gale 7 604 4 25 Fraction comprise entre 7 604 et 15 185 8 50 Fraction sup rieure 15 185 et inf rieure ou gale 13 60 150 000 Fraction exc dant 150 000 20 A l exception des employeurs qui ne sont pas redevables de la taxe en application des mesures d all gement abat tement franchise d cote cette p riodicit de versements mensuelle trimestrielle ou annuelle est d termin e dans les conditions suivantes Taxe acquitt e au titre de l ann e pr c dente inf rieure 1 000 e versement annuel 15 premiers jours de l ann e suivant celle du paiement des r mun rations Taxe acquitt e comprise entre 1 000 et 4 000 versement trimestriel 15 premiers jours du trimestre sui vant le paiement des r mun rations Taxe acquitt e sup rieure 4 000 e versement men suel 15 premiers jours du mois suivant le paiement des r mun rations Toutefois pour les employeurs b n ficiant de la p riodicit trimestrielle ou annuelle si les sommes dues au titre de la taxe sur les r mun rations vers es depuis le 1er janvier de l ann e en cours sont sup rieures 10 000 le texte pr voit la d ch ance de cette p riodicit A ce titre l em
31. iations mode d emploi n 141 ao t septembre 2012 p 10 11 Article portant sur les proc dures de convocations aux AG Les modalit s de convocation l assembl e g n rale Associations mode d emploi n 141 ao t septembre 2012 p 14 15 Article portant sur l analyse financi re des associations Analyser la situation financi re de l association Associations mode d emploi n 141 ao t septembre 2012 p 17 19 Article portant sur la rupture anticip e du mandat d un di rigeant d association D mission et r vocation d un dirigeant d association Associations mode d emploi n 141 ao t septembre 2012 p 26 27 Article portant sur l obligation pour un employeur d accor der des cong s ses b n voles Des cong s pour le b n volat Associations mode d emploi n 141 ao t septembre 2012 p 29 Article portant sur l conomie sociale et solidaire Economie sociale et solidaire le combat de conviction des lus Le Courrier des maires n 260 septembre 2012 p 78 79 Dossier portant sur le d veloppement de l conomie so ciale et solidaire Enjeux acteurs financement accompagnement Quel r le pour les collectivit s Cahier pratique documents Le Courrier des maires septembre 2012 44 pages Dossier sur la notion d int r t g n ral Un m canisme relancer Juris associations n 464 du 15 septembre 2012 p 20 37
32. ic touch de secteur d activit et bien s r de projet Le choix de l association et du projet soutenu doit aussi r pondre un choix humain dans une perspective de moyen ou long terme au b n fice des deux parties Le m c nat est une rencontre entre un entrepreneur et un porteur de projet qui se retrouvent sur des valeurs communes et des passions partag es la musique le sport l cologie L avantage fiscal apportant la cerise sur ce g teau D clinaison de la strat gie M c nat ar DAF i a Marketing a Marketing Marketing a RH AH a FH a Ventes a ventes a ventes RSE ASE RASE Mathilde Lenoir D l gu e G n rale Mathilde lenoir mecenat2pointO fr M c nat 2 0 est une association dont la vocation est de promouvoir le m c nat d entreprise sous toutes ses formes Elle a pour ambition d une part de permettre aux porteurs de projets d int r t g n ral de gagner en autonomie en b n ficiant de financements priv s aupr s de partenaires ou de m c nes et d autre part d apporter aux entreprises les moyens de profiter de la v ritable opportunit pour elles que repr sente le m c nat Pour remplir ses missions lasso ciation exploite une plateforme communautaire participative disponible l adresse Web mecenat2pointO fr et construit un r seau humain constitu de la communaut des acteurs du m c nat Elle propose un accompagnement aux entre prises et aux associations pour
33. imite de 0 5 du CA HAT gt Possibilit de reporter sur les 5 ann es suivantes gt Le b n ficiaire du don doit d livrer un re u fiscal gt Le Re u fiscal doit tre conserv pr cieusement pour tre produit l administration fiscale la premi re demande gt Les contreparties sont admises hauteur de 25 du montant du don D Sans prendre le risque d un redressement fiscal l attestation d ligibilit de l association LE RESCRIT FISCAL Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 gt Le rescrit fiscal gt Dans quel cas le demander gt En cas de doute et pour tre s r de pouvoir recevoir un don dans le cadre du m c nat gt Comment a marche gt Demande crite Par courrier RAR la Direction d partementale des Services Fiscaux Demande par une personne clairement habilit e Demande compl te afin d viter des informations compl mentaires gt gt gt gt R ponse tacite positive au bout de 6 mois de non r ponse HA SMNECrCPHISOS Des contreparties possibles de la part de organisme b n ficiaire dans la limite de 25 du don Exemple Une PME Chiffre d affaire 20 O00 O00 0 5 10 O00O R duction d imp t 6 000 60 Co t R el 4 O00 Financement de l op ration de M c nat 2500 Contrepartie 6000 Gain Fiscal 8500 Total soit 85 du don La contrepartie obligatoire ou pas o Aspect l gal o Aspect s
34. n 28 1 trimestre ACTU EXPERTS 2013 ACTUALIT FISCALE ET FINANCI RE ACTUALIT SOCIALE REVUE DE PRESSE ASSOCIATIVE DOSSIER LE M C NAT UN OUTIL STRAT GIQUE POUR LES PME Comit de r daction Jean Pierre Fernandez Pr sident du Comit de r daction Infodoc Experts Service du Conseil sup rieur Sylvie Gu rin Carine Rigaux Fran oise Boisvert Christian Alibay G rard Lejeune Herv Ellul Rudy Jardot Francis Chartier Xavier Boucher Delphine Phillipon A Conseil sup rieur de l Ordre des experts comptables ORDRE DES 19 rue Cognacq Jay 75007 PARIS Tel 01 44 15 60 00 EAPERIS COMPIABLES God gt www secteurpublic asso fr ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES y j g j i fi f g E y i i A Club Secteur public ANNUAIRE DES COMPETENCES du Club Secteur public Rejoignez le Club Secteur public et paraissez dans l annuaire des comp tences du club Cet annuaire est consultable sur la page d accueil du Courrier des maires du groupe Moniteur Les liens introduits dans votre annonce sur la page de l annuaire sont actifs vous renvoyez le visiteur directement sur une page de votre site de cabinet d di votre comp tence et ou sur votre adresse mail Vous souhaitez vous faire conna tre aupr s des collectivit s publiques afin qu elles puissent retenir vos coordonn es dans leur r f rencement Vous intervenez dans les associations ou des fondations
35. nt Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 17 19 Article sur les cons quences de la d centralisation Collectivit s et associations le c ur et la raison Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 5 9 Article portant sur le financement des associations spor tives Sport quel quilibre entre les financements publics et priv s Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 10 11 Article portant sur l acc s des associations aux march s publics march public danger ou opportunit Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 14 15 Q Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 Article portant sur la cr ation des fonds de dotation Fonds de dotation la souplesse n exclut pas la ri gueur Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 16 Fiche pratique relative l organisation de manifes tations R gles et d marches pour les manifestations de plus de 1 500 personnes Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 17 19 Article portant sur la r glementation applicable lors d une mise disposition d un fonctionnaire Un fonctionnaire pour votre association Associations mode d emploi n 142 octobre 2012 p 30 31 Article portant sur l obligation de remboursement d une subvention Cons quences p cuniaires d une subvention d clar e il l gale La semaine ju
36. nt r t g n ral soit la plupart des asso ciations les administrations publiques les tablissements d enseignement sup rieur L accord de partenariat comprend galement une contrepar tie sous forme de service ou de prestation de la part de l as sociation l entreprise dont la valeur ne doit pas d passer 25 du montant du don Une entreprise peut bien s r soutenir une organisation qui ne r pond pas aux crit res de l int r t g n ral mais il s agit alors de sponsoring ou parrainage consid r par le fisc comme l achat d une prestation et non comme une charge fiscalement d ductible suppl mentaire et ne donnant pas droit une r duction d imp t Le m c nat d entreprise repr sente en France et selon l AD MICAL Association pour le m c nat industriel et commer cial un budget annuel d environ 2 milliards d euros Les chiffres du Minist re charg du Budget montrent par ailleurs qu il est en constante augmentation Ce dynamisme illustre Iconnais sance croissante des entreprises sur le m c nat et ses b n fices ainsi que le succ s du soutien de l tat pour son d veloppement par une politique fiscale incitative R guli rement cependant cette aide de l Etat est remise en cause par des parlemen taires qui souhaitent la voir dimi nuer en r duisant par exemple la d duction d imp t de 60 50 ce jour cette diminution n a jamais t vot e car il est d montr que le
37. ons ainsi que la perception de dividendes qui en d coulent ne doivent pas tre consi d r es comme des activit s conomiques conf rant leur auteur la qualit d assujetti Ces op rations sont donc pla c es hors du champ d application de la TVA Par contre les produits financiers per us par les entreprises entrent dans le champ de la taxe d s lors que le versement de ces produits ne r sulte pas de la simple propri t du bien mais qu ils constituent la contrepartie d une prestation de services consistant en la mise disposition d un capital au profit d un tiers Toutefois ces prestations de services ne sont imposables la TVA que si elles sont r alis es par des personnes agissant en qualit d assujetti 2 Dans un deuxi me temps il convient d examiner les modalit s de prise en compte des produits financiers exon r s n ouvrant pas droit d duction pour le calcul du coefficient de d duction Afin de d terminer l tendue des droits d duction il y a lieu de d terminer le rapport existant entre au num rateur le montant total annuel du chiffre d affaires aff rent aux op rations ouvrant droit d duction y com pris les subventions directement li es au prix des op ra tions et au d nominateur le montant total annuel du chiffre d affaires aff rent aux op rations figurant au num rateur ainsi qu aux op rations qui n ouvrent pas droit d duction S agissant de prendre en compte les op r
38. p 4 6 Article portant dur la r forme de la tarification des ser vices d action sociale et m dico sociale Tarification des services sociaux la double contrainte Associations mode d emploi n 144 d cembre 2012 p 16 Fiche pratique portant sur le plan de financement des as sociations Le plan de financement Associations mode d emploi n 144 d cembre 2012 p 17 19 Article portant sur le contentieux d une association trans parente Association transparente et comp tence juridictionnelle Associations mode d emploi n 144 d cembre 2012 p 11 Dossier portant sur la transformation d une association en coop rative De l association l entreprise coop rative Juris associations n 469 du 15 d cembre 2012 p 18 35 Article portant sur les informations financi res des asso ciations Le r le du commissaire aux comptes Associations mode d emploi n 144 d cembre 2012 p 37 40 Commentaire de d cision du Tribunal des conflits L ventuelle transparence d une association regroupant plusieurs personnes physiques et le caract re administratif des contrats La Semaine Juridique n 51 52 du 24 d cembre 2012 p 36 39 Fiche portant sur la mise disposition d un local une association Convention d occupation temporaire d un local municipal par une association Le Journal des maires n 1 janvier 2013 p 43 45 Comment
39. ployeur concern doit liquid e la totalit de la taxe due dans les quinze jours du mois suivant ce d passement le versement des ch ances restantes jusqu la fin de l ann e s effec tuant mensuellement Un r cent d cret du 26 d cembre 2012 rehausse les seuils en objet de telle fa on que les p riodicit s susvis es sont modifi es pour les r mun rations vers es compter du 1er janvier 2013 Taxe acquitt au cours de l ann e pr c dente inf rieure 4 000 versement annuel dans les 15 premiers jours de l ann e suivant celle du paiement des r mun rations Taxe acquitt e comprise entre 4 000 et 10 000 versement trimestriel dans les 15 premiers jours du trimestre suivant Taxe acquitt e sup rieure 10 000 versement men suel dans les 15 premiers jours du mois suivant On notera que le dispositif emportant d ch ance de la p riodicit trimestrielle ou annuelle est supprim D cret du 26 d cembre 2012 n 2012 1464 CGI Annexe ll art 369 modifi Ill Franchise d cote abattement 1 Franchise et d cote Rappelons qu en l tat des textes la taxe sur les salaires Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 15 n est pas due lorsque son montant annuel n exc de pas 840 Si ce montant est sup rieur sans exc der 1 680 l imp t exigible fait l objet d une d cote gale aux trois quarts de la diff rence entre 1 680 et ce montant
40. prise est en hausse depuis 2004 M c nat des entreprises source Minist re charg du budget 12007 2008 100 2010 201 a put on ds montant de dona e Les grosses entreprises sont d j sollicit es o 27 des entreprises de plus de 20 salari s pratiquent le m c nat soit environ 35 000 entreprises en France o 43 des entreprises de plus de 200 salari s pratiquent le m c nat o Quasiment tout le CAC40 est m c ne o Les PME repr sentent 90 de la population totale des entreprises Source ADMICAL Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 La diff rence entre parrainage et m c nat Si le Parrainage est un affichage le m c nat est une signature Jacques RIGAUD Pdt de l ADMICAL Le PARRAINAGE D marche commerciale caract ris e par une forte action publicitaire avec recherche de retomb es conomiques court terme Prestations de services avec contrepartie en nature ou en esp ces R gime fiscal de droit commun frais g n raux les d penses de arrainage sont assimil es des d penses de nature publicitaire pour entreprise Le MECENAT loi du 1 Ao t 2003 e D penses engag es au profit d organismes et d uvres d int r t g n ral Apports financiers en comp tences ou en nature ou en technologie e Avec un b n fice fiscal nettement plus int ressant mais sans contrepartie directe pour le b n ficiaire P Mecenat une forme partenariat
41. r union professionnelle Ces violences ayant donn lieu un arr t de travail de 10 jours et une condamnation p nale Les juges de la Cour de cassation ne reconnaissent pas le bien fond de cette rupture anticip e du CDD aux motifs que la charte du football professionnel qui a valeur de convention collective pr voit que lorsque l employeur envisage la rupture du contrat d un ducateur profes sionnel en raison d un manquement de ce dernier ses obligations il doit porter le litige devant la commission juridique qui convoque alors imm diatement les parties pour tenter une conciliation L employeur n avait pas port le litige devant la commis sion juridique aux fins de conciliation la cour d appel en a exactement d duit que le salari ayant t priv d une ga rantie de fond la rupture du contrat de travail dur e d ter min e n tait pas justifi e Cette position des juges qui peut sembler s v re l encontre des employeurs est conforme une jurispru dence confirm e de la Cour de cassation CASS soc 26 SEPTEMBRE 2012 N 11 18783 Organisations syndicales k L EXPERT EN POCHE 4 ORORE DES EXPERTS COMPTABLES amp Pour vous abonner gratuitement cliquez sur l image Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 O REVUE DE PRESSE ASSOCIATIVE Article portant sur le statut du b n vole Faut il un statut du b n vole Assoc
42. r gratuitement cliquez sur l image 00000000 eee CENTRES SOCIAUX ET SOCIOCULTURELS ET AUTRES ACTEURS DU LIEN SOCIAL Sport Les entreprises but lucratif exer ant titre principal des activit s r cr atives et ou de loisirs sportifs taient exclues de la CCN du sport et relevaient la CCN des espaces de P riode d essai Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 41 loisirs et culturels Puis les partenaires sociaux ont largi le champ d application de la CCN du sport en d cidant que ces entreprises n taient plus exclues de la CCN du sport par un avenant n 37 bis sign le 6 novembre 2009 tendu par un arr t du 7 avril 2010 Contestant cet arr t d extension un syndicat national saisit le Conseil d Etat Le Conseil d Etat estime que les structures dont l activit principale porte sur la gestion d quipements centres sportifs salles de fitness parcs aquatiques patinoires piscines bowlings entrent bien dans le champ d application du la CCN du sport CE 24 SEPTEMBRE 2012 N 340576 Cat gorie Dur e in initiale Renouvellement Dur e maximale Non cadre 2 mois 2 mois 4 mois Cadre 4 mois 4 mois 8 MOIS CR CR oowoo ooooooooooooooooooooooooolo ELIGIBILIT ET LECTORAT D UN AGENT PUBLIC MIS DISPOSITION D UN ORGANISME DE DROIT PRIV En application de l article L2324 17 1 du Code du travail les salari s mis disposition d une entreprise utilisatrice ne sont p
43. r le rapport devant tre appliqu au montant total des r mun rations pour le calcul de l assiette de la taxe sur les salaires due par les assujettis partiels est celui r sul tant des dispositions du premier alin a de l article 231 1 du CGI lequel vise aussi bien les activit s assujetties la TVA que celles qui n entrent dans le champ d application de celle ci La Haute assembl e apr s avoir relev que le chiffre d af faires total de l tablissement exc dait les limites fix es par l article 293 B du CGI et qu il n tait pas soumis la TVA dans une proportion gale ou sup rieure 90 de son chiffre d affaires total en conclut qu il ne peut b n ficier de l exon ration en objet CE 27 juin 2012 n 348578 Le Foyer Blanche Neige APPR CIATION DE LA LUCRATIVIT La Cour administrative d appel de Douai se prononce sur les crit res permettant d appr cier la lucrativit d une association ce titre elle analyse la situation sp cifique de l Association Normande de Tracteurs Pulling qui a pour objet la promotion de sports m caniques au travers du tracteur pulling consistant tracter en circuit ferm des charges progressives en favorisant l laboration la construc tion la diffusion et l exposition des engins n cessaires ainsi que les manifestations qui les r unissent Apr s avoir constat que l association en objet organise une manifestation annuelle dans le cadre de cette activit
44. ridique n 43 29 octobre 2012 p 20 21 Dossier portant sur les ressources philanthropiques des associations c ur ouvert Juris associations n 467 du 1er novembre 2012 p 17 35 Article portant sur la simplification administrative pour les associations G rer une association en quelques clics Juris associations n 467 du 1er novembre 2012 p 36 37 Article portant sur la politique de l emploi Les emplois d avenir en devenir Juris associations n 467 du 1er novembre 2012 p 40 42 Article portant sur l activit b n vole Eviter l instrumentalisation Juris associations n 467 du 1er novembre 2012 p 44 46 Article portant sur la mutualisation des moyens Un pour tous tous pour un Juris associations n 467 du 15 novembre 2012 p 16 Article portant sur le m c nat dans les fonds de dotation Fondations et fonds de dotation des outils au service de l int r t g n ral Juris associations n 467 du 15 novembre 2012 p 36 38 Article portant sur le service civique Engagez vous Juris associations n 468 du 1er d cembre 2012 p 17 Article portant sur le r gime fiscal des fusions Une in galit qui ne peut perdurer Juris associations n 468 du 1er d cembre 2012 p 40 41 Article portant sur la loi de finances 2013 le changement dans la continuit Associations mode d emploi n 144 d cembre 2012
45. rimestre 2013 les soci t s ramenant sa d pense r elle 20k En contrepartie l association lui propose d organiser un v nement lors de l inauguration du monument res taur o elle pourra inviter ses clients et rencontrer les lus locaux organiser des visites pour les sala ri s services valu s 12 5 k 25 du don B n fices du m c nat dans l entreprise Mobulisation des collaborateurs RH R elationnel Cents Image R putation Optimisation hscale DAF ConmmanbntRoNn Co t net de l op ration de m c nat pour l entreprise 7 5 k B n fices pour l entreprise e Un monument r nov e Des jeunes r ins r s e Un projet mobilisateur pour les salari s e Une image de marque am lior e e Des v nements organis s pour les clients e Un nouveau r seau aupr s de l administration territoriale e Du contenu et une belle histoire pour sa communication web sa newsletter et ses communiqu s de presse 3 COMMENT METTRE EN UVRE LE M C NAT DANS L ENTREPRISE D un point de vue pratique le m c nat peut tre r alis en faisant un don une fondation en adh rent un club d entreprises m c nes ou en mettant en place un partenariat direct avec un organisme portant un projet d int r t g n ral souvent une association Cette derni re option est bien s r pr f rable pour optimiser la d marche en r pondant pr cis ment aux besoins de l entreprise et
46. s des op rations financi res e Pr sentent un lien avec l activit principale de l entreprise e Et n impliquent qu une utilisation limit e au maximum un dixi me des biens et services grev s de TVA acquis par le redevable Pour l appr ciation de ce crit re il est n cessaire de d terminer pour chaque bien et service la proportion d utilisation pour la r alisation des op rations financi res pr sentant un lien avec l activit principale L administration fiscale consid re en outre titre de r gle pratique que la condition li e la tr s faible utilisation de biens et de services grev s de TVAest galement r put e satisfaite lorsque le produitdes op rations financi res exon r es pr sentant un lien avec l activit principale n ex c de pas 5 du montant du chiffre d affaires total toutes taxes comprises de l entreprise Notons galement que lorsque la perception de produits financiers pr sente un caract re accessoire mais ne r pond pas la condition de tr s faible utilisation de biens et de services grev s de TVA le redevable peut constituer un secteur distinct d activit BOI 3 A 1 06 du 10 janvier 2006 CE 21 octobre 2011 n 315469 SNC Ariane TAXE SUR LES SALAIRES ET EXON RATION DES MICRO ACTIVIT S Rappelons qu en application des dispositions de l article 231 1 2 alin a du Code g n ral des imp ts les r mun rations vers es par les employeurs dont le chiffre d affair
47. trat gique D finir les limites acceptables en fonction de votre systeme de valeurs Penser ses contreparties communication dans le cadre de la valorisation du m cenat Inventer des contreparties uniques avec l association Chiffrer les contreparties Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 al E Mesures en faveur des entrepris Exemple de Contrepartie Invitation gratuite au spectacle dont l entreprise est m c ne Don 10 O00 Contre partie maximum 25 de 10 OOO soit 2 500 Invitation gratuite pour les clients et salari s 100 places 25 la place si pas de page de pub sur le programme etc Attention si la d pense est d j en charge il convient de la r int grer D nominateur commun des initiatives Engagement libre Transfert de comp tences Soutien financier ou mat riel T Le M c nat de comp tences Temps de travail uals agggones elipe Sp else cds cOmpetences 4 e Retomb es positives sur le capital humain gt de l entreprise e R ponse aux besoins en comp tences des associations o Un nouvel enjeu pour les associations Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 25 4 Quelles sont les principales raisons pour lesquelles votre y entreprise ne fait pas de m c nat Deux r ponses possib es 130 000 entreprises de plus de 20 salari s 73 ne font pas de m c nat Soit 95 OOO entrepris
48. ui en tout tat de cause est admis quel que soit son mode d imputation d s lors qu il n exc de pas le montant maximum de la taxe Les redevables qui estiment que le montant annuel de cet imp t n exc dera pas celui de l abattement ne sont pas te nus de d poser chaque mois ou trimestre le relev sp ci fique Par ailleurs ils sont dispens s du d p t de la d cla ration annuelle La loi de finances rectificative pour 2012 du 29 d cembre 2012 porte cet abattement 20 000 compter du 1er janvier 2014 savoir que les r mun rations vers es en 2013 demeureront soumises l abattement de 6 002 Loi de finances rectificative pour 2012 n 2012 1510 du 29 d cembre 2012 article67 CGI article1679 A modifi Q Actu experts Associations N 28 ler trimestre 2013 PRODUITS FINANCIERS ET TVA 1 L examen de la question n cessite dans un premier temps d op rer une distinction entre le produits financiers qui entrent dans le champ d application de la TVA et ceux qui en sont exclus ce titre il convient de rappeler que les op rations alis es par une entreprise qui se traduisent par la perception de produits financiers sont situ es dans le champ d application de la TVA d s lors qu elles s inscrivent dans le cadre d une activit conomique Aux termes de la doctrine administrative et de la jurispru dence les op rations consistant en la simple acquisition ou la simple vente de participati
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