Bulletin Info N° 52 Mars 2012
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1.2. L onagre en fleur utilis e par les Indiens elle fut d abord con nue dans nos contr es pour ses actions s dative et astringente Mais ce qui lui vaut sa c l brit actuelle tient essentiellement la richesse exceptionnelle de ses graines en Acides Gras Polyinsatur s plus particu li rement en acide linol ique et en acide gamma linol nique Ces mol cules sont en effet indispensables l organisme et mieux interviennent favora blement sur le cours d un certain nombre de troubles pathologiques notamment cardio vasculaires gyn cologiques dermatologiques L ACIDE GAMMA LINOLENIQUE ESSENTIEL POUR L ORGANISME Ces Acides Gras Polyinsatur s sont consid r s comme Essentiels AGE Pour ne citer que les registres importants de leurs actions ils participent la structure fondamen tale de nos membranes cellulaires ils participent la r gulation thermique de l organisme Oenothera biennis L ils interviennent dans le fonctionnement ou Det ON MNT PA IE ANUS ant une plaie du syst me nerveux central bisannuelle qui fleurit de juin septembre ils luttent contre l exc s de cholest rol et qui mesure de 50 cm un peu plus d un m tre ils limitent les prolif rations cellulaires Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 13 Informations m dicales Par ailleurs ce sont aussi les pr curseurs de 2 familles de prostaglandines PG1 et PG2 qui jouent un r le prim
3. Lait et allergie la fin des intol rances Interview du Dr Gis le Kanny Nancy Quelle est la diff rence entre une allergie et une intol rance L intol rance au lait contrairement l allergie n est pas une r action immunologique Elle est due un d fi cit enzymatique en lactase rendant difficile la diges tion du lactose du lait Elle n interdit pas la consom mation de produits laitiers sans lactose voire m me d une petite quantit de lait Peut on gu rir de l allergie aux prot ines de lait contrairement celle aux arachides noix poissons ou fruits de mer L allergie aux prot ines de lait cas ine lactaglobuline etc essentiellement observ e chez le nouveau n au cours de la premi re ann e de vie se gu rit dans 80 90 des cas avant l ge de 6 ans avec une prise en charge adapt e Il y a deux formes d allergies aux prot ines de lait une forme digestive avec une r ponse lymphocytaire qui se traduit par des troubles digestifs peu sp cifiques et une forme IgE d pendante de s miologie plus aigu chez l enfant surtout entre O et 6 mois Pour la forme digestive la tol rance est habituellement Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 obtenue au cours de la deuxi me ann e de vie apr s un r gime d viction le lait tant remplac par un hydrolysat de prot ines de lait Prises en charge par un allergologue les allergies de type IgE gu rissent ga lement
4. oporose dans les pays asiatiques n est pas d montr e aurait fallu comparer nir outre du calcium des min raux notamment le phosphore que l on sait essentiel la formation de l os g es quelle qu en soit la source alimentaire Des tudes sugg rent cependant que le calcium du lait serait le plus b n fique Deux tudes d intervention r alis es aupr s d adolescentes et de jeunes filles de 10 12 ans montrent que l apport du lait en termes d acqui sition de la masse min rale osseuse vert brale et f morale est sup rieur celui de sels de calcium carbo nate ou citrate malate Une tude d observation que nous avons me n e chez l adolescent montre que la consommation de lait plus que tout autre aliment riche en calcium est associ e un gain de masse min rale osseuse Le lait contien drait des prot ines impliqu es dans Contribution aux apports nutritionnels Pour l enfant le groupe des produits laitiers est le premier pourvoyeur en calcium 60 phosphore potassium zinc iode s l nium vitamine B2 et r tinol et le second en prot ines magn sium vitamines B12 et A Pour l adulte il est le premier pourvoyeur en calcium phosphore zinc s l nium vitamine B2 le second vecteur en prot ines vitamine B12 s l nium et r tinol Classement par groupe d aliments Source enqu te alimentaire CCAF 2007 Cr doc repr sentative de la population fran aise Pourquoi le lait dev
5. recommandation d experts Certains affirment que la suppression syst matique du lait et des produits laitiers de l alimentation des malades atteints de polyarthrite rhumato de PR aurait un effet b n fique rapide sur la douleur et l volution de la maladie Reposant sur l id e que tout aliment potentiellement allergisant peut se comporter comme un facteur aggravant de PR un tel r gime d viction n a cependant jamais fait ses preuves Pire ce r gime carenc en produits laitiers est vivement d conseill par la Haute Autorit de Sant dans ses recommandations de prise en charge de la PR mars 2007 Page 10 Page 05 Lait cancer et intox Interview du Pr Denis Corpet INRA Toulouse Un aliment peut il tre l origine d un cancer Aucun aliment ne provoque direc tement des cancers Cependant certains peuvent contenir des sub stances canc rig nes mais nous en consommons doses trop faibles pour qu ils soient canc rig nes Exemple la viande grill e ou cuite au barbecue ces deux modes de cuisson peuvent induire la formation d amines h t rocycliques ou hydro carbures aromatiques polycycliques dont le benzopyr ne canc rig nes Pour autant les doses que nous ing rons sont 1 OOO 10 OO0 fois inf rieures celles susceptibles d induire un cancer Par ailleurs si consommer de la viande grill e est une habitude alimentaire pou vant favoriser la survenue d un can cer les ris
6. taux pr sents dans le lait de vache sont 10 OOO 1 OOO O00 fois inf rieurs ceux mesur s dans notre organisme I est difficile de concevoir que d ajouter 1 unit d IGFI 10 OO0 puisse avoir un effet d l t re sur notre sant Enfin il convient de rappeler que l introduction d hormones dans l ali mentation des vaches est interdite en Europe Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Une vache laiti re consomme par jour de 20 25 kg de mati re s che soit au p turage plus de 100 kg d herbe ou en stabulation par exemple 10 kg de foin 15 kg d ensilage et des c r ales du soja Elle boit aussi plus de 100 litres d eau Eau et v g taux notamment les l gumineuses lui fournissent de 80 200 g de calcium par jour compar s 1 g chez l homme Les fermentations microbiennes dans l un de ses 4 estomacs le rumen ou panse lui permettent de d grader et de dig rer la cellulose des fourrages ce qui est une caract ristique des ruminants Quant au veau il boit selon son ge de 4 12 litres de lait par jour ce qui n est videmment pas comparable avec la consommation du nourrisson humain Le lait peut il contenir des antibiotiques En cas de mammite infection sta phylocoque ou Escherichia coli un antibiotique est administr la vache le plus souvent en intra mam maire Le lait du trayon trait est jet pendant quelques heures o quelques jours sel
7. Ces huiles principalement utilis es pour l alimen tation olive tournesol poss dent gale ment des vertus di t tiques soja noix cosm tiques et th rapeutiques onagre bourrache Pascal BOYER Docteur en Pharmacie BIBLIOGRAPHIE D cret du 11 03 1908 concernant les graisses et les huiles Article 3 JO 1908 L du 06 08 1933 Article 5 JO 1933 Crit res de qualit des huiles d olive R glement communautaire 2568 91 du 11 07 1991 Manuel des corps gras Coordinateur KARLESKIND 1992 Contr le qualit et aspects r glementaires des huiles vierges M OLLE D G C C R F Conf rence ITERG 1997 Technologie des huiles vierges M NOEL Conf rence ITERG 1997 Page 6 Page 01 Le Sp cialiste de la sant c est vous P riodiquement sans que l on sache tr s bien pourquoi opprobre est jet sur un aliment o un autre Il fut un temps o le pain tait juste bon donner aux canards et o l huile d olive n tait pas recommand e nos patients hypercholest rol miques Aujourd hui c est le tour du lait pourtant consomm depuis des mill naires accus de tous les maux par les medias de pr tendus experts et plus inqui tant par des professionnels de sant De nombreux m decins se sentent d sempar s face ce tohu bohu d o ce num ro sp cial consacr au lait et la sant Quand le m decin est confront des all gations remettant en cause le lait
8. Ils visent des pays sans produits laitiers et surtout o pour des raisons de faible long vit la pr vention de l ost oporose n est pas une priorit de sant publique Dans les pays occidentaux le lait et les produits laitiers assurent plus des deux tiers des apports calciques alimentaires et il est donc difficile de s en passer l acidification li e au catabolisme des prot ines du lait Cette rumeur habilement propag e par les d tracteurs du lait n est pas fond e est vrai que nos r gimes occi dentaux riches en prot ines pauvres en bicarbonates et trop sal s favorisent l excr tion urinaire du calcium absorb les acides amin s soufr s des prot ines g n rant des sul fates acidifiant l urine Cependant fait important le phos phore du lait exerce un effet oppos sur la perte urinaire de calcium et favorise sa r tention osseuse Ainsi apport gal en calcium la perte urinaire est plus faible dans le cas du lait que dans celui d une eau min rale qui serait tr s sulfat e ne contenant pourtant pas de prot ines rumeurs et v rit s D apr s un entretien avec le Dr Olivier Heinzlef neurologue CHI de Poissy Saint Germain en Laye en plaques SEP maladie jusqu alors plus fr quente dans les pays climat froid plut t que chaud beaucoup d tudes ont t r alis es pour d terminer s il y avait un lien de cause effet entre certains comportements alimentaires et le risque de survenue de la m
9. et ses bienfaits pour la sant il doit garder bon sens rigueur et esprit critique Le sp cialiste de la sant c est lui Certes il existera toujours des patients isol s cit s en exemple on ne parle jamais des checs qui se sentent mieux apr s avoir supprim le lait Tout m decin conna t bien l effet placebo Quelques cas observ s n ont jamais eu valeur de preuve existe t il des tudes contr l es sur l effet du lait sur les otites la polyarthrite l autisme la scl rose en plaques non Sans doute parce qu il y a des hypoth ses physio pathologiques plus int ressantes tester Les affirmations accusant le lait de toutes les maladies ne r sistent pas aux donn es scientifiques Lire la litt rature scientifique demande du temps ce que n a pas toujours le praticien Pour l aider les coll ges d experts de la HAS l AFSSA l AFSSAPS et les soci t s savantes proposent des recommandations apr s avoir valu des centaines de r f rences bibliographiques Certains pr tendent que les experts ne sont pas int gres mais comment imaginer que les dizaines de scientifiques fran ais qui planchent dans les groupes de travail veuillent empoisonner la population fran aise C est absurde Les discours pseudo scientifiques contre le lait devenant pr occupants des instituts et soci t s savantes ont pris la parole pour rappeler la place du lait et des produits laitiers dans notre alimentation et leur int r t pour l
10. suite peuvent tre utili s s jusqu 10 mois voire plus si le nourrisson continue de l appr cier relay s ensuite par les laits de crois sance jusqu 3 ans La composition des pr parations lact es infantiles en vitamines min raux prot ines acides gras etc est r glement e par une directive europ enne r gu li rement actualis e par des experts en nutrition infantile en fonction de l volution des connaissances De plus en plus de parents remplacent le lait par des jus de ch taigne d amande de soja ou de riz Qu en pensez vous La composition de ces boissons v g tales abusivement qualifi es de laits ne correspond pas aux besoins nutritionnels de l enfant Certains jus ont des teneurs appro pri es en calcium ou en autres l ments micro nutritionnels mais leur composition globale par exemple en acides gras acides amin s vita mines ou glucides est d s quili br e trop riche en glucides insuf fisante en acides gras essentiels ou en certains acides amin s essen tiels ou en prot ines Les carences micro nutritionnelles des boissons v g tales sont reconnues et des tudes ont montr leur impact n ga tif sur le d veloppement de len fant avec de nombreux cas d crits de carences vitamino calciques rachitisme ou prot ino nerg tiques kwashiokor Clairement lexclusion des produits laitiers met gravement en danger la sant des jeunes enfants e
11. vierge courante lt 3 3 olive raffin e lt 0 5 Le raffinage limine les exc s d acides libres masquant ventuellement une alt ration ou une m diocre qualit des mati res premi res 2 Indice de p roxyde Le calcul de l indice de p roxyde Ip permet galement d appr cier la qualit d une huile Il indique la quantit d acides gras oxyd s dans 1 Kg de mati res grasses Plusieurs facteurs comme la chaleur la lumi re l eau et le nombre de doubles liaisons favorisent l auto oxydation des acides gras Ainsi une huile ri che en acides gras polyinsatur s AGPI est la plus expos e ce processus chimique Page 5 Informations m dicales Une huile vierge de premi re pression froid pr sente un lp inf rieur 10 0 meqO Kg Ces tests de qualit sont reconnus par l AFNOR et donnent droit au label NF 3 Extinction sp cifique L extinction sp cifique 270 nm a pour objet de d celer la pr sence d AGPI d grad s lors de la d coloration par des terres activ es du rant le raffinage Le taux est inf rieur 1 pour une huile vierge mais peut atteindre 10 pour une huile raffin e 4 Teneur en AGPI La composition en acides gras d une huile d termine ses qualit s nutritionnelles Une huile riche en acides gras monoinsatur s ol ique et surtout en AGPI essentiels acides linol i que linol nique pr sente un r el int r t bio logique et nutritionnel Une hui
12. voil doit s agir d une activit r guli re souligne une grande tude publi e dans la quilibre et celle prestigieuse revue d autrui m dicale Jama et Nous en sommes pilot e par des l anamn se mais ceci chercheurs de Boston depuis tous les temps qui ont pluch tous les avant pendant et travaux r f renc s sur apres le sujet Rodolf Karel CANOY Faites l amour r guli rement Les r sultats sont sans appel pratiquer une activit sexuelle ou physique de mani re pisodique multiplie par 3 5 le risque d infarctus du myocarde et par 2 7 celui de mort subite d origine cardiaque Explications du Professeur Xavier Jouven cardiologue l h pital europ en Georges Pompidou Paris et pid miologiste l Inserm Moins vous avez de rapports sexuels plus vous augmentez vos risques de d clencher un v nement cardiaque A l Inverse plus vous pratiquez plus votre c ur est prot g Pour s en convaincre 1l suffit de se rappeler que lors de l activit sexuelle notre organisme r agit de la m me fa on que pendant tout effort physique Notre taux sanguin de cat cholamines ces hormones adr naline qui induisent des modifications physiologiques pour pr parer notre corps faire front s l ve Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 On constate une augmentation de la fr quence cardiaque de la pression art rielle et du taux de glucose dans le sang Mais pas de panique Tout
13. E D C A S Ensemble D fendons le Citoyen et l A venir pour la Sant Association R gie par la Loi du OI Juillet 1901 et par le D cret du 16 Ao t 1901 Date de la fondation 26 Novembre 1996 21 Rue Paul C zanne 41100 NAVEIL T l et Fax 02 54 73 91 91 E mail edcas 41 edcas org Site M dical et Param dical www edcas org En cette nouvelle ann e 2012 nous souhaitons orienter notre partage de la connaissance davantage sur les domaines du m dical et param dical En cela nous avons dores et d j modifi les th mes de nos r unions mensuelles afin de mieux r pondre une demande de plus en plus importante manant tout autant des internautes que des membres de notre bureau Alors pr parez vous d j pour le prochain colloque qui aura lieu non pas sur Tours comme depuis des ann es mais sur Blois au niveau de la Halle aux grains Le th me est la d pression dont plusieurs intervenants du m dical et param dical lucideront cette partie La date de ce colloque est le Mercredi 27 Juin 2012 20h30 Je vous invite visiter notre site pour vous inscrire car le nombre de place est limit tr s exactement 124 personnes Vos t moignages peuvent tre diffus s et ou si vous souhaitez voir d velopper des sujets sp cifiques alors merci de vous faire conna tre via notre site ou tout simplement par crit Vous tes membres du corps de sant et personnes int ress es par l entraide
14. ENELUX De plus soulignons aussi l importance de l environnement alimentaire n utiliser que des huiles vierges de premi re pression froid pour les assainsonnements supprimer les exc s de beurre et de fromages afin de potentialiser les effets favorables de l huile d onagre Docteur Joelle OUSSET MOREAU Gyn cologue TOULOUSE Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 04 DRIEU GERVOIS Fr Contr le des huiles d onagre Bull AMKI n 3 p 9 21 GRAHAM J L Huile d Onagre Ed EPI DDB LAGROUA WEILLHALLE M A P rim no pause int r t d une suppl mentation micronutritionnelle sp cifique Entretiens de Bichat 90 Th rapeutique LEVY La r volution silencieuse de la m decine chap 3 L onagre et les prostaglandines Ed Du Rocher PACCALIN J DABADIE H BERNARD M MENDY F SPIELMANN D DELHAYEN N Int r t d une nouvelle plante ol agineuse l Onagre apport en acide gamma linol nique et troubles de la d saturation pathologique M d et Nut 1985 T XX n2 BENATTAR M C L Huile d Onagre une th rapeutique efficace en gyn cologie et pour les troubles vasculaires Page 16 Les prochaines r unions Les r unions ont lieu le troisi me mercredi du mois sauf en Juillet et Ao t 20h30 Salle Sportive et Culturelle de Naveil Rue du Stade Salle de R unions des Associations derri re la Mairie de Naveil Si vous souhaitez participer l une des r unions veuille
15. Num ro 52 Mars 2012 Page 19 Num ros disponibles Enfants victimes Mars 2003 D pression et Suicide Juin 2003 Handicaps Acouph nes Toxoplasmose Coups et Blessures V I H Eaux min rales Fruits et l gumes Sel Septembre 2003 Nutrition Nutribioth rapie Cancer Bio et Pollution chimique Harc lement moral La d pression peut constituer un accident de travail Les bienfaits de la coh rence cardiaque Ni Freud ni prozac L univers compliqu du light Schizophr nie pisode d pressif majeur Nutrition L environnement influence nos g nes Stress et trouble 27 anxieux Nutrition Mort subite Les acouph nes chroni ques Janvier 2004 Mars 2004 La nutrition votre sant passe par elle Juin 2004 Nos comportements Psychoaffectifs et ses p m Bae D cembre 2004 inter corr lations Les sentiments La d pression des personnes g es Le stress au travail Le stress chronique puise l immunit D pister les formes trompeuse de la d pression La famille du d prim de l incompr hension la culpabi lit Mars 2005 La vuln rabilit des patients d prim s Allergie alimentaire et Fausses allergies Juin 2005 Stress Anxi t et Fatigue Septembre 2005 Th Votre enfant est il hyperactif Janvier 2006 Narcissisme Orgasme Avril 2006 Structures et caract res Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 20 Num ros disponibles suite Num ros Th mes pri
16. Un r gime d viction est d embl e mis en place Ce r gime requiert des recommandations di t tiques et des produits de substitution adapt s Les boissons de riz peuvent induire des carences celles aux fruits coque tels que l amande douce sont aller gisantes En raison du risque d allergie crois e les pr parations au soja les laits de brebis et de ch vre ne doivent pas tre utilis s Dans la plupart des cas l enfant est nourri avec des hydrolysats pouss s aux pro t ines de lait ou s il ne le supporte pas 10 des cas des m langes d acides amin s ou des hydrolysats pouss s de soja Aux alentours du premier anniversaire le seuil de r activit de l enfant est valu pour mettre en place un protocole de tol rance en donnant l enfant des doses croissantes de lait L enfant doit rencontrer l al lerg ne pour acqu rir une tol rance Le vrai challenge est de trouver la fen tre d opportunit qui se situerait vers 9 12 mois e Page 12 Informations m dicales Page 01 L efficacit de l huile d onagre dans le SPM et en gyn cologie epuis quelques ann es l huile extraite des graines de la Primev re du Soir a Aurait on pu se douter d un tel destin pour acquis une fi re renomm e notamment au cette plante aux belles fleurs jaunes rame pr s des M decins Nutritionnistes et Biolo n e fortuitement des Am riques au d but du gistes 17 ME si cle S il est vrai qu elle tait d j
17. a main Lombalgie chronique Pr venir l invalidit Mars 2009 Les facteurs d observance aux psychotropes Les dermocortico des au secours du phimosis 47 L chalote face la sant Les ufs Diab te Type 2 et le Novembre 2009 Th L enfant victime d une agression sexuelle F vrier 2010 Les lombalgies Mal du dos Mal du si cle 49 Par le Professeur Besnard MARIERES du C H U de Juillet 2010 TOULOUSE Arthrose et ob sit pas une question de poids les trou 50 bles musculo squelettiques Histoire de la goutte Du jog Janvier 2011 ging au marathon quels b n fices Quels risques Haltes aux id es re ues sur deux sujets d int r t Les peurs 51 alimentaires justifi es Allergies alimentaires rares des cas Ao t 2011 cliniques instructifs En pr vention de certaines maladies Le c ur une b te de sexe Acides gras polyinsatur s et 52 huiles vierges Produits laitiers L efficait de l huile d o Mars 2012 nagre dans le SPM et en gyn cologie En cours d tude Septembre 2012 Si vous le souhaitez vous pouvez adh rer l Association E D C A S Coupon couper ou recopier puis retourner avec votre r glement au 21 Rue Paul C zanne 41100 NAVEIL France Nom et Pr nom Fonction Adresse T l phone E Mail Ville Pays Adh sion 2012 2013 Montant minimum 40 ou 00 ou Par ch que En esp ces Mandat Lettre Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 22
18. a pr vention de l ost oporose mais aussi celle du diab te de type 2 du syndrome m tabolique ou du cancer du c lon Chez l enfant remplacer le lait par du jus d amande de soja ou de riz totalement inadapt ses besoins est tr s dangereux Supprimer les produits laitiers un patient atteint de polyarthrite rhumato de est inutile voire n faste notamment en aggravant un risque d ost oporose d j lev en cas de corticoth rapie Face aux discours n gatifs restons professionnels et conseillons tous nos patients de consommer les 3 produits laitiers quotidiens recommand s par le Programme National Nutrition Sant Dr Marie Claude Berti re Directeur du CERIN Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 7 Lait et os une vidence Interview du Dr Mich le Garab dian Inserm U 561 h pital Saint Vincent de Paul Paris Pour la sant osseuse l origine du calcium a t elle une importance Le calcium est b n fique pour l os en particulier pendant l enfance l adolescence et chez les personnes l augmentation de l IGF1 insulin like growth factor un des facteurs de croissance qui exercent un effet positif sur la formation osseuse Par ailleurs le lait a l avantage de conte Page 02 Les Asiatiques seraient moins atteints d ost oporose sans tre de grands consommateurs de lait Cela remet il en cause l int r t du lait dans la pr vention de l ost oporose L absence de cas d ost
19. aladie Certaines tudes ont sugg r un lien entre l absorption de graisses animales acides gras satur s et le risque de survenue de la scl rose en plaques Cependant aucune tude n a pu montrer d effet protecteur de r gime alimentaire fond sur l vitement des acides gras satur s et l enrichissement de l alimentation par des acides gras polyinsatur s Les r gimes alimentaires pro pos s dans cette maladie par certains auteurs comme le Dr Kousmine et recommandant la suppression des produits lai tiers ou de la viande afin d viter l aggravation de la maladie n ont pas de fondement scientifique En revanche il semble selon des donn es r centes que les personnes atteintes de SEP pr senteraient un d ficit en vitamine D comparativement des sujets en bonne sant ce qui sugg re un r le protec teur potentiel de l exposition solaire qui augmente les taux de vitamine D F n raison de la r partition g ographique de la scl rose Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 De nombreux facteurs d environnement ont t suspect s dans la maladie de Parkinson dont certains facteurs alimen taires II semble que l ingestion d acides gras polyinsatur s pour rait r duire le risque de d clenchement de la maladie de Parkinson Cependant aucun lien n a t d montr entre la prise de certains aliments en particulier laitiers et une aug mentation du risque de d veloppement de cette maladie Polyarthrite rhumatoide
20. ant la signalisation cellulaire D une dur e de vie tr s br ve moins d une minute elles inter viennent notamment dans gt l agr gation plaquettaire gt la r gulation des processus inflammatoi res et immunitaires gt la protection de la muqueuse gastrique gt la motricit bronchique les fonctions relaxation contraction des muscles lisses Acide alpha linol nique famille om ga3 Acide eicosapenta noique EPA gt PGE3 1 DHA Poissons gras Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 3 Informations m dicales Il existe trois grandes familles de prostaglan dines Les PGE1 ont pour pr curseur l acide linol i que contenu dans les huiles v g tales l huile d onagre en est particuli rement riche Les PGE2 sont issues de l acide arachidoni que galement de la s rie 6 provenant es sentiellement des mati res grasses animales viande rouge beurre fromages Les PGE3 d rivent soit de l acide alpha lino l nique d origine v g tale soit de l acide eico sapentaenoique EPA contenu dans la chair des poissons gras Les PGE2 maintiennent en veil le syst me immunitaire et induisent des r actions inflam matoires dont les effets sont contr l s r gu l s et neutralis s par les PGE3 et les PGE1 Il est donc n cessaire de maintenir par l alimentation et les compl ments alimentaires un quilibre en AGPI afin de ne pas entra ner un exc s de PGE2 au d triment des PGE1
21. cela est parfaitement normal et ne pose aucun probl me quand nous pratiquons r guli rement puisque notre corps est capable de s adapter ces contraintes En revanche lorsque la pratique est occasionnelle ces modifications sont moins bien accept es par l organisme et le risque d accident augmente Le plaisir sans mod ration Ainsi ce n est pas la pratique sexuelle elle m me qui est en cause mais l absence d exercice r gulier conclut le Professeur Jouven Il est donc recommand tous ceux qui vie s dentaire aidant ont pour seule activit physique des rapports sexuels parfois tr s occasionnels de s y adonner plus r guli rement L tude a en effet pu montrer quen multipliant les activit s sexuelles ou physiques dans la semaine on diminuait d un tiers les risques de mort subite d origine cardiaque et quasiment de moiti ceux d infarctus Pour une fois que la notion de plaisir n est pas a ssoci e celle de mod ration autant en profiter Page 2 Informations m dicales ROLE PHYSIOLOGIQUE DES ACIDES GRAS POLYINSATURES AGPI Les AGPI interviennent dans de nombreuses fonctions physiologiques r le structurel au niveau des membra nes cellulaires gt d veloppement et fonctionnement du SNC gt lutte contre l exc s de cholest rol gt pr curseurs de prostaglandines En raison de leurs r les biologiques majeurs deux d entre eux sont qualifi s d indispen sables car l
22. contenu de la masse min rale osseuse du corps entier mais aussi sur la morphogen se osseuse avec une augmentation du diam tre des os longs et de l paisseur de leurs corticales ce qui accro t leur r sis tance la fracture et donc long terme prot gerait contre l ost o porose Au regard de ces r sultats les autorit s chinoises ont mis en place un vaste programme de dis tribution de lait dans les coles Enfin il ne faut pas oublier que 50 80 de la masse osseuse d pend de facteurs g n tiques Or certains l ments du patri moine g n tique des personnes originaires d Asie et d Afrique sub saharienne les rendraient moins vuln rables que celles originaires d Europe aux cons quences os seuses d une carence d apport en calcium Que penser des tudes d intervention dites n gatives o l apport de calcium n aurait pas eu d effet b n fique sur la masse min rale osseuse Rappelons d embl e que le d faut d apport de calcium ou de lait pen dant la croissance et l adolescence par exemple moins de 600 mg jour ou moins d un bol de lait par jour a des effets n fastes sur l os qui Page 03 peuvent persister l ge adulte De m me le risque d ost oporose et de fractures est accru chez la femme apr s la m nopause ayant une carence d apport en calcium moins de 1 000 mg jour Concernant les tudes n ga tives il faut savoir que le niveau d apport spontan
23. en calcium ou en lait des sujets participant aux tudes d intervention est d termi nant si les besoins en calcium sont d j couverts la suppl men tation n aura pas d effet L ge des sujets est aussi important les effets positifs tant surtout observ s pen dant la croissance et chez les sujets g s Enfin certaines tudes n gatives ont analys des sites osseux peu sensibles la carence calcique comme les vert bres lom baires chez l enfant avant la pubert par exemple pas la survenue d allergie m me si l allergie aux pro t ines de lait existe et justifie l viction Reste qu ac tuellement c est une tendance assez fr quente Autre forme de d ni dans le milieu grand public cette fois ci l id e est v hicul e que le lait est un aliment mauvais car lipidique et d origine animale Si cer tains estiment que les lipides ne sont pas bons parce qu ils font grossir quelques scientifiques vont jusqu consid rer qu une consommation excessive de produits animaux tend favoriser le d veloppement de la can c rogen se Le lait contiendrait trop de force ani male C est une repr sentation magique mais forte diffus e par des personnes consciemment ou incons ciemment marqu es par une logique tendance v g tarienne consid rant l aliment v g tal comme un ali ment sain alors que les produits animaux sont per us comme impurs Cette forme de militantisme revendi qua
24. et PGE3 Acide Acide gamma alpha Pour compenser les d ficits en AGPI 6 et 3 dus une alimentation d s quilibr e il est recommand non seulement de consom mer des huiles vierges de premi re pression froid mais galement de suppl menter son alimentation par des huiles d onagre ou de bourrache riches en acide gamma linol nique Afin de conserver toutes leurs qualit s orga noleptiques nutritionnelles et biochimiques les huiles doivent tre non raffin es et r pondre certaines exigences Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 02 LES HUILES VIERGES DE PREMIERE PRESSION A FROID RAPPEL DE LA LEGISLATION Les huiles dites press es froid sont d finies par le Codex Alimentarius comme des huiles obtenues exclusivement au moyen de proc d s m caniques une temp rature in f rieure 50 en l absence de tout solvant Ces huiles portant l galement le label pre mi re pression froid subissent g n rale ment diverses op rations de raffinage La mention vierge ne s applique qu une huile obtenue uniquement par un proc d m canique de pression froid clarifi e seu lement par des moyens physiques ou m ca niques et n ayant subi aucun traitement chi mique ni aucune op ration de raffinage Souvent associ e l huile vierge la men tion biologique garantie une plante cultiv e sans engrais ni pesticide selon la r gle mentat
25. ient un poison Analyse sociologique du Pr Jean Pierre Corbeau Tours ertes nous assistons une mont e du discours anti lait depuis quelques ann es mais en pr ambule il convient de souligner que ce discours est port par des personnes qui ont des positions plu t t privil gi es dans les m dias C est le discours des m dias qui structure l opinion du grand public Dans ce cas pr cis la dramatisation m diatique me para t plus forte que l opinion des mangeurs que l on peut ren contrer dans nos enqu tes Au del des pol miques pour ma part en tant que sociologue j ai rep r diff rentes trajectoires de per sonnes qui s opposent effectivement pour partie ou totalit la consommation de produits laitiers D abord dans le milieu m dical notamment parmi les Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 p diatres et les m decins ORL hom opathes ost o pathes certains praticiens n h sitent pas pr coniser l viction du lait de vache chez les enfants sujets aux allergies Evidemment il s agit l d une simplifi cation abusive la consommation de lait ne favorisant la pr valence de l ost oporose ge gal chez les femmes asia tiques et chez les Europ ennes ce qui n a jamais t fait De plus contrairement aux opinions r pan dues des tudes d intervention r a lis es en Chine aupr s d enfants et adolescents ont montr que l ap port de lait est b n fique sur le
26. ion CEE Le terme biologique ne peut figurer sur l tiquetage que si le produit com prend au moins 95 d ingr dients d origine agricole issus de l agriculture biologique Pour l obtention d une huile vierge de qualit la s lection des graines ou des fruits est pri mordiale II est n cessaire d utiliser des mati res premi res saines car le proc d d extrac tion restitue int gralement les caract ristiques naturelles des huiles saveur couleur fraicheur oxydation et acidit propri t s nutritionnelles MODE D OBTENTION Les graines sont nettoy es et d cortiqu es Dans le cas des fruits olive un simple la vage suffit La pression est r alis e l aide d une presse vis sans fin vitesse lente sans l vation de temp rature inf 50 Un processus lent de d cantation et de filtra tion naturelle sur papier permet d liminer les r sidus solides et d assurer la brillance de l huile voir sch ma CRITERES DE QUALITE Une huile est un corps gras compos en ma jorit de triglyc rides plus de 95 de phospholipides et de constituants mineurs tels Page 4 GRAINES ou FRUITS LAVAGE FRUITS Presse vis sans fin vitesse lente i FILTRATION et papier buvard OPERATIONS DE RAFFINAGE Page 03 NETTOYAGE ET DECORTICAGE GRAINES CHAUFFAGE 30 35C EXTRACTION DE L HUILE EN PREMIERE PRESSION TEMPERATURE lt 50T D D sodorisation par injection de
27. le vierge pres s e froid conserve l int grit structurale des acides gras Par contre lors de la d sodorisa tion une des tapes du raffinage il y a iso m risation cis trans d une ou plusieurs dou ACIDES GRAS INSATURES NAN ANNE ISOMERE CIS AAA NN ISOMERE TRANS bles liaisons des AGPI Ce changement de conformation a pour cons quence la perte de l int grit chimique des AGPI De ce fait les acides linol ique et linol nique ne sont plus reconnus comme tels au niveau de la cellule Ils ne peuvent plus assurer leurs fonctions physiologiques et perdent donc leur int r t nutritionnel Les compos s mineurs tels que les polyph nols les tocoph rols et la vitamine E sont des antioxydants naturellement pr sents dans les huiles vierges lls en assurent la conservation Sur le plan nutritionnel c est l alpha tocoph rol ou vitamine E naturelle qui est biologique ment actif Il prot ge l organisme vis vis de l oxydation des lipides circulants et des lipides membranaires donc des surcharges cardio vasculaires Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 04 CONCLUSION Seules les huiles vierges de premi re pres sion froid sont naturelles exemptes de transformations technologiques Elles resti tuent int gralement les propri t s biologiques et nutritionnelles des AGPI des vitamines et de certains constituants tels les phospholipi des les phytost rols les polyph nols
28. m dicale et param dicale et vous aimeriez que l association soit le moyen de pr senter un th me qui vous tient c ur alors nous sommes votre coute Le Pr sident Docteur Pierre BULLE L anamorphose d autrui entra ne un jugement d form risquant une interpr tation trompeuse sur les actes les objectifs et le bienfond de l honn tet psychoaffective de la relation humaine Rodolf Karel CANOY N 52 Mars 2012 Dans ce numero Bulletin Info a Le c ur une b te de sexe t Acides gras polyinsatur s et huiles vierges gt Les produits laitiers t L efficacit de Phuile d onazgre dans le SPM et en gyn cologie t Les prochaines r unions Les membres du bureau Num ros disponibles et para tre 11 Le c ur une b te de sexe SELON LES CHERCHEURS FAIRE l AMOUR SOUVENT PROTEGERAIT D UN ACCIDENT CARDIAQUE C est largement d montr le sport permet de limiter le risque d apparition de pathologies chroniques cancers diab te maladies cardio vasculaires M me constat pour l activit sexuelle elle participe au bon fonctionnement cardio vasculaire et pourrait selon de r centes tudes diminuer les risques de cancers de la prostate et du sein Nous ne pouvons ignorer le propre de la i nature Y faire fi risque d engendrer des probl matiques son Oui mais
29. nc tionnement de la D6 d saturase on compte l exc s de graisses animales les exc s d alcool l exc s de cholest rol le chauffage et le raffinage des grais ses les carences en certains oligo l ments zinc magn sium les carences en certaines vitamines B6 B8 la d ficience en insuline les d sordres hormonaux dus au stress adr naline et cortisol le diab te les infections virales les irradiations les carcinog nes le vieillissement gt S ooo Cet ensemble de raisons fait clairement com prendre l int r t d une suppl mentation ali mentaire en AGPI de lhuile d onagre En ef fet celle ci pallie avec efficacit au d ficit enzymatique quelle qu en soit la cause et r quilibre le rapport PG1 PG2 On trouve l acide linol ique dans de nombreuses huiles d origine v g tale mais celle d onagre reste incontestablement la plus riche voir tableau comparatif ci apr s Quant l acide gamma linol nique on n en trouve pratiquement que dans l huile d onagre ac ac gamma oz s Onagre Tournesol lt 0 5 pa ETES Raisin 70 08 p pins Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 14 Informations m dicales C est pourquoi on ne peut que recommander utilisation de l huile d onagre dans les cas de troubles li s directement au d s quilibre des prostaglandines ou induisant une d sac tivation de la la D6 d saturase Il faut en ou tre soulig
30. ncipaux Mois de parution Synth se du colloque 2006 la nutrition une v ritable m decine douce OU ON Mode d emploi pour tre s r de soi Septembre 2006 Troubles obsessionnels compulsifs chez l enfant et l ado lescent U lt Amoureux et Narcissiques gt d 2 D cembre 2006 Le p re No l entre r ve et r alit Enqu tes Surpoids Mieux pour la t te que le c ur La flore intestinale impliqu e dans l ob sit Besoins en eau Cela ne coule pas de source Les Europ ens et la s curit alimentaire Mars 2007 Allergiques attention aux baisers Les dulcorants ne stimulent pas la prise alimentaire Apprendre go ter apprendre choisir Perte de poids la chirurgie bariatrique Calcium et vitamine D La fibromyalgie en 2007 o en sommes nous Juin 2007 Le prix moral des cadeaux au moment de No l Stress amp d pression la musique adoucit les m urs Couple Au secours 1l m nerve La fibromyalgie en 2007 acad mie de m decine D cembre 2007 Les th rapies comportementales et cognitives La dyslexie Mars 2008 L Arthrose Donn es r centes Juin 2008 Fibromyalgie et Stress Novembre 2008 Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 21 09 O Septembre 2007 md OO Num ros disponibles suite et para tre Num ros Th mes principaux Mois de parution Du stress au travail l puisement psychologique Pas de plais b nignes pour l
31. ner la n cessit de recourir des huiles vierges issues de premi re pression froid des graines En dehors de ces condi tions de production l huile obtenue voit ses acides gras essentiels alt r s LES DIFFERENTES EPREUVES DE CONTROLE DES HUILES D ONAGRE DITES VIERGES B5 LA QUALITE _ 1 La recherche de l acidit libre si ce taux est lt 1 gt label extra huile de qualit excellente si ce taux est lt 1 5 label fine huile de qualit m diocre si ce taux est tr s augment P pas de label aN a P A E S AAS E S AT huile rance ou tr s oxyd e _ 2 La recherche des insecticides et des pesticides la qualit de biologique n est accordable qu en l absence de ces substances Par chromatographie en phase gazeuse L ETAT D OXYDATION Test au spectrophotom tre UV en corr lation avec le test d acidit libre DOSAGE DES VITAMINES E Par Chromatographie liquide Haute Perfor Permet de diff rencier les substances naturelles de celles rajout es LES ACIDES GRAS Par chromatographie en phase gazeuse sur colonne capillaire de silice de 40 m Permet de v rifier la composition chimique annonc e sur l tiquette par le fabricant Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 03 SYNDROME PREMENSTRUEL RESULTATS DEMONTRES Il ne faut pas omettre le r le r gulateur des AGPI de l huile d onagre au niveau des hor mones f minines dont le
32. nombreux auteurs ont galement utilis avec succ s cette suppl mentation En effet les troubles rencontr s au cours de cette affection sont li s une hypers cr tion endom triale de certaines prostaglandines du groupe des PGE2 Page 15 Informations m dicales Cette hypers cr tion perturbe donc le rapport harmonieux entre les PGE1 et les PGE2 En outre elle augmente la contractilit ut rine et provoque une constriction art riolaire La prise d huile d onagre est alors un atout majeur dans le traitement et la pr vention des dysm norrh es essentielles puisqu elle r gule les effets de l hypers cr tion de l endom tre UNE NUTRITHERAPIE ADAPTEE La tol rance l huile d onagre est bonne elle n est contre indiqu e qu en cas d pilepsie du lobe temporal et doses tr s lev es lt 8 g jour Dans les affections gyn cologiques vo qu es ci dessus il peut tre utile d associer l huile d onagre des vitamines du groupe B dans le cas de patientes stress es ou ten dance spasmophile les vitamines B inter venant au niveau de l hypothalamus et de l hypophyse Dans nos observations qui ont confirm les r sultats des diverses publications il a t pr conis quotidiennement BIOLEINE 4 6 capsules de 500 mg d huile d onagre pendant la 2 me partie du cycle associ es BIOCEBE 2 4 capsules par jour complexe multi vitamin et antioxydant ET ERGY ONAGRE pour le B
33. nt la puret n est pas nouvelle D s la fin du Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 XIX si cle et sans doute avant elle appara t dans des di tes asc tiques En revanche ce qui est nouveau c est son acc s aux m dias et sa para m dicalisation Derri re ce discours il y a une forme d instrumentali sation semble t il des antisp cistes L antisp cisme est un mouvement qui accorde autant d importance l es p ce humaine qu aux autres esp ces animales d non ant les conditions d levage et les maltraitances que l homme imposerait aux animaux Aussi selon les anti sp cistes laissons le lait au bon veau ne maltrai tons pas les vaches qui ne doivent pas tre des usines lait Certains antisp cistes nord am ricains proches des fondamentalistes pensent qu il ne faut plus man ger de viande boire de lait ni manger de fromage En r alit ce n est pas le bien tre animal qu ils souhai tent mais qu il n y ait plus d levages en tant que tels Clairement ce discours extr miste repris en Europe fait peur car il est radical Page 9 Biodisponibilit ne pas n gliger D apr s un entretien avec le Pr L on Gueguen INRA a biodisponibilit du calcium alimentaire est une notion complexe car elle pr sente diverses tapes allant de l absorbabilit c est dire l aptitude tra verser la membrane de l intestin la facult de fixation osseuse Un l ment min ral peut
34. on l antibiotique utilis Reste qu en pratique l leveur peut recommencer collecter du lait avant la disparition compl te des antibiotiques Il est alors possible d en retrouver des doses tr s faibles dans environ 1 des laits Apr s contr le ces laits sont cart s de la consommation par les coop ratives laiti res mais il est possible qu un faible pourcentage de lait contenant des r sidus d antibiotiques soit com mercialis Th oriquement la pr sence de r sidus d antibiotique m me infimes peut provoquer des r actions graves chez les sujets allergiques aux antibiotiques notamment aux p ni cillines En pratique aucun cas n a jamais t r pertori e Page 11 Produits laitiers Page 06 Tant le lait garde ses vertus Interview du Pr Michel Vidailhet p diatre Nancy Quelle est l alimentation lact e id ale des enfants de moins de 3 ans L alimentation lact e est essentielle pour le nourrisson et l enfant de moins de 3 ans Elle est id alement fournie par le lait maternel Recommand jusqu l ge de 6 mois l allaitement n est cepen dant pas toujours possible ou sou hait par la m re D s lors les laits infantiles repr sentent l alimenta tion lact e id ale Les laits premier ge constituent la seule alimentation possible pour les nouveau n s non allait s jusqu l ge de la diversi fication entre 4 et 6 mois puis les laits de
35. ordial dans la r gulation des processus inflam matoires l action sur les processus immunitaires la diminution des thromboses De fait en situation normale sch ma ci apr s la cellule transforme l acide linol ique en acide gamma linol nique gr ce l inter vention de la D6 d saturase puis en acide di homo gamma linol nique et enfin si n cessaire en prostaglandines de la famille PG1 facteurs antiinflammatoires et antiagr gants Acide Linol ique Delta 6 D saturase activ e par Zn Mg B6 B8 Acide y Linol nique Acide di homo Linol nique PGE 1 Delta 5 D saturase Acide Arachidonique PGE2 L acide di homo gamma linol nique peut galement tre transform en acide arachi donique intervention de la D5 d saturase puis en compos s de la famille PG2 facteurs proinflammatoires et proagr gants De ce d roulement habituel na t un rapport d quilibre entre les 2 familles Cependant l alimentation peut apporter di rectement un exc s d acide arachidonique beurre fromages viandes et donc favori ser la synth se des PG2 Ainsi en cas de dysfonctionnement de la D6 d saturase et d un apport alimentaire riche en acide arachidonique cet quilibre sera t il rompu au profit des PG2 Cette situation s av re tr s fr quente l heure actuelle au regard des habitudes ali mentaires de nos soci t s Page 02 Parmi les facteurs responsables du dysfo
36. organisme ne peut les synth ti ser Ils doivent donc tre apport s par l alimentation Ce sont des mol cules 18 atomes de carbone comportant plusieurs dou bles liaisons 1 l acide linol ique chef de file de la fa mille des om ga 6 premi re double liai son sur le 6 atome de carbone 2 l acide alpha linol nique chef de file de la famille des om ga 3 premi re double liaison sur le 3 atome de car bone Acide linol ique famille om ga6 A6 d saturase activ e par Zn Mg B6 B8 ONAGRE vu BOURRACHE Acide gamma linol nique Acide dihomo gamma linol nique gt PGE 1 A5 d saturase Acide arachidonique f Mati res grasses animales viande rouge beurre fromage Acides gras polyinsatur s et huiles vierges 7 PGE2 Page 01 Les deux AGPI indispensables sont des constituants essentiels des phospholipides membranaires Ils contr lent la fluidit et la perm abilit des membranes ainsi que les changes cellulaires Ils sont n cessaires la croissance des tissus et au d veloppement du SNC Ils participent galement l laboration de la gaine de my line qui prot ge le nerf L acide linol ique s rie om ga 6 et l acide alpha linol nique s rie om ga 3 sont les pr curseurs de prostaglandines m diateurs cellulaires de l information Ubiquitaires les prostaglandines agissent localement et de fa on sp cifique selon les tissus en particip
37. oy expertpsy41 wanadoo fr CHIRURGIEN DENTISTE Docteur GIUMELLI contact Pr cisez la personne KIN SITH RAPEUTES Association pour le d veloppement de l hypnose Jean Michel de BUSSEROLLES contact Pr cisez la personne KIN SITH RAPEUTE OSTHEOPATHE Fr d ric VANPOULLE frederic vanpoulle wanadoo fr MICROKINESITHERAPEUTE ric DE RYCKE contact Pr cisez la personne CHIROPRACTEUR IMMUNOTHERAPEUTE St phane DEPONGE stephane deponge wanadoo fr Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 18 Les membres du bureau E D C A S suite REFLEXOLOGI KINESIOLOGIE David DAGET Reflexo37 tiscali fr YOGA ENERGETIQUE KINESIOLOGIE Professeurs dipl m s Annie et Jean Fran ois BREUIL contact Pr cisez la personne MAITRE DE REIKI Membre de l A F M R lisabeth D ARCANGUES edarcangues gmail com SOPHROLOGUE SOMATOTHERAPEUTE Michel CLEMENT oscar37 club internet fr OSTEOPATHE Serge WHERLE osteopathie nature wanadoo fr ACUPUNCTURE CHINOISE Jean Jacques BOBINEAU bobineau jean jacques wanadoo fr TRESORIERE GENERALE Isabelle LONA contact Pr cisez la personne AUTRES MEMBRES BESNIER Dominique BOULAY Christine BROSSILLON Pierre CHEMINOT Sylvie FAUCHEREAU Jean GRIMAL Francine LAINE V ronique LEMELLE Mireille METAIS Lydie NERON B atrice OURY Bernadette PITAUD Josiane PONTET Annick TOULEMONDE Luce TRICOTET Yves contact Pr cisez la personne Bulletin Info
38. ques relatifs sont de l ordre de 1 5 1 3 soit une aug mentation de 30 50 du risque Il s agit d un facteur de risque et non d un agent causal Contrairement au tabac qui multiplie par 50 les risques de cancer Existe t il un lien entre la consommation de produits laitiers et la survenue du cancer Le lait ou les produits laitiers ne sont pas canc rig nes et pour cause ils ne contiennent aucune substance canc rig ne m me dose infime Des tudes d inter vention ont d montr au contraire que l apport de calcium produits laitiers sauf les fromages gras diminue de 10 20 le risque de cancer du c lon Certaines tu des d observation quant elles sugg rent un r le pr ventif des pro duits laitiers sur le cancer du sein les femmes buvant trois verres de lait par jour ayant deux fois moins de risque que les autres Vaches veaux et lait Reste la question du cancer de la prostate Selon le PNNS qui reprend les conclusions du rapport du WCRF World Cancer Research Fund les produits laitiers ne sont pas asso ci s au risque de cancer de la pros tate Mais des apports lev s en calcium gt 1500 mg j toutes sources confondues pourraient aug menter le risque de 20 L IGFI dans le lait de vache a t suspect dans la survenue de ce cancer De fait l IGF1I est natu rellement pr sent dans tous les laits de mammif res y compris celui de la femme Cependant les
39. s taux peuvent for tement varier au cours du cycle menstruel Son utilit en gyn cologie a retenu notre attention domaine o elle semble de plus en plus adopt e mais pas encore suffisamment Dans cette sph re le premier niveau d action reconnu est la r gulation du syndrome pr menstruel SPM Le SPM est caus par un d s quilibre hormonal au cours de la se conde partie du cycle le rapport folliculin mie progest ronomie varie au profit de la fol liculine L insuffisance lut ale en est souvent la cause Parall lement on observe m me une aug mentation de l insulin mie et de la prolacti n mie Si la progest rone reste le traitement classique de ce syndrome elle n en est pas moins d un recours d licat La suppl mentation alimentaire en AGE et donc en huile d onagre a plusieurs fois d montr son int r t les _ manifestations cliniques les plus d sagr ables du syn drome _pr menstruel_ont__disparu_dans 65 des cas et ont t att nu s dans 25 des ___cas notamment les douleurs mammaires la r tention d eau les maux de t te et les signes psychiques anxi t irritabilit changements d humeur Des observations identiques favorables ont aussi t tablies dans le cas de mastoses et d affections b nignes des seins douleur en flures kystes s aggravant avec les r gles DYSMENORRHEE ESSENTIELLE REGULER LES PROSTAGLANDINES Dans les cas de dysm norrh es essentielles de
40. tre bien absorb mais ensuite non retenu car limin par voie urinaire Pour tre absorb le calcium alimentaire doit tre soluble en milieu acide et non li des mol cules non absorbables La biodisponibilit du calcium du lait et des produits lai tiers est bonne m me si elle ne d passe pas en g n ral 35 chez l homme adulte Cette biodisponibilit est beaucoup plus faible dans le cas des rares aliments d ori gine v g tale riches en calcium mais contenant des sub stances inhibitrices comme l acide oxalique pinard cres son ou l acide phytique toutes enveloppes de graines comme le son de bl et donc le pain complet En revanche l absorption du calcium du chou et du brocoli est compa rable celle du lait comme celui des os ou ar tes sardines Certains affirment que le calcium de lait serait vacu dans les urines et donc non disponible pour l os en raison de Scl rose en plaques Parkinson Page 04 Apports nutritionnels en calcium conseill s Les apports nutritionnels conseill s ANC varient de 900 mg j pour les adultes et les enfants de 7 10 ans 1 200 mg j pour les adolescents les femmes apr s la m nopause et les personnes g es Des apports un peu plus faibles 800 1 000 mg j servent de valeurs guides et peuvent suffire pour couvrir les besoins individuels avec une bonne s curit Les valeurs plus faibles 500 mg j adopt es par l OMS sont des apports minima et non pas des ANC
41. vapeur 180 200 De coloration Autres traitements F rraron ME HUILE VIERGE PREMIERE PRESSION A FROID les pigments carot no des polyph nols chlorophylle les phytost rols les vitamines liposolubles A D E K dont les tocoph rols ot B y tous antioxydants naturels Les huiles vierges se distinguent des huiles raffin es par leurs sp cificit s organolepti ques et leurs qualit s nutritionnelles Chacune poss de une couleur un ar me et une saveur distincts en fonction de la graine ou du fruit dont elle est issue l inverse du raffinage qui a tendance uniformiser les huiles Les crit res qualit s se d terminent en mesu rant divers param tres 1 l acidit libre 2 l indice de peroxyde 3 l extinction sp cifique 270 nm 4 la teneur en AGPI 1 Acidit libre TRIGLYCERID WYNN NINNIN Sh ACIDE GRAS LIBRES GLYCEROL LIAISON ESTER Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 HUILE PREMIERE PRESSION A FROID Une huile doit contenir un faible taux d acides gras libres r sultant de l hydrolyse d une ou deux des trois liaisons esters des triglyc ri des Ce pourcentage renseigne sur la qualit des graines et des fruits utilis s graines mal conserv es rances II permet d attribuer of ficiellement une chelle de qualit aux huiles en prenant comme r f rence l huile d olive Acidit olive vierge extra lt 1 _ _ fine lt 2 olive
42. z en faire la demande par le biais du menu contact Vous recevrez une confirmation par courrier lectronique Par avance Merci Sous r serve de changements de derni res minutes ANNEE 2012 Le 18 Janvier 2012 Un cas i Sophrologie Monsieur GOUPY Traitement du cancer du colon et du pancr as Docteur Abi FADEL eLe 15 F vrier 2012 Clinique du Saint C ur 41 VENDOME FRANCE Pr paration du Colloque sur Blois eLe 21 Mars 2012 Concernant la d pression Pour le Mercredi 27 Juin 2012 eLe 18 Avril 2012 La maison du Bien tre Madame COSQUIER Phytoth rapie en Neurologie Monsieur RAGOT eLe 16 Mai 2012 eLe Mercredi 27 Juin 2012 20h30 Qu est ce la d pression Explications par des professionnels BLOIS 41 du m dical et param dical Tha Shui eLe 19 Septembre 2012 Madame FAURE Ost opathie eLe 17 Octobre 2012 Monsieur FORGET Un cas en Kin siologie Monsieur Olivier MAURIES A l e G n ral Le 19 D cembre 2012 DE G n rale 16 A G Bulletin Info Num ro 52 Mars 2012 Page 17 eLe 21 Novembre 2012 pe Les membres du bureau E D C A S PR SIDENT Formateur au sein de l association M decin G n raliste Repr sentant National et International de l association Docteur Pierre BULLE Pierre Bulle wanadoo fr RESPONSABLE INTERNATIONAL DE LA COMMUNICATION Formateur au sein de l association Expert Psychologue Psychoth rapeute et Psychologue du travail Rodolf Karel CANOY can
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