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L`avenir des catalogues : Formats, données, outils, usages

1. Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 34 biblioth que et d utiliser ses services de fa on intuitive En ce sens le syst me de navigation a facettes avec une premi re requ te par mots cl s puis des propositions selon un cluster s mantique est un type d interface adaptable en biblioth que Avec la d finition de l interface se pose la question des diff rents services rendus au lecteur Des fonctions pour les lecteurs Le premier l ment de pr sentation du catalogue est une interface graphique lisible avec des libell s en clair la place des zones pour que le sens soit transparent pour l utilisateur Cette fonction implique la pr sence de notices s parables avec des feuilles de style pour pr senter diff remment des donn es de d part identiques Par exemple avec le catalogue de la BnF Bn Opale Plus il est possible d utiliser l affichage en INTERMARC ou en UNIMARC pour les professionnels ou public transparent Il est aussi possible d exporter des donn es pour les professionnels mais aussi pour un public de chercheurs vers un logiciel de bibliographie ou pour une simple copie de r f rence Cette fonction existe par exemple dans Bn Opale Plus et dans le SUDOC Diverses fonctions peuvent int resser l utilisateur en ligne En premier lieu la v rification de l tat de disponibilit de l ouvr
2. Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 50 provenance du document Les m tadonn es techniques portant sur les fichiers peuvent tre extraites de ces derniers l aide d outils sp cifiques On regroupe en effet sous ce terme les donn es de gestion permettant de r pertorier et de localiser un document source du fichier num rique mais aussi de pr ciser des donn es juridiques en particulier pour l acc s aux contenus sous droits dont les caract ristiques l gales peuvent voluer et sont intrins quement li es aux possibilit s de lecture Ces droits d acc s sont compl t s par les droits li s la manipulation du document selon l habilitation de l utilisateur Pr servation Enfin on y trouve les donn es de pr servation qu il s agisse d un document physique ou d un document num rique Elles sont bien s r toutes essentielles pour les documents num riques pour afficher extraire et utiliser les collections de fa on p renne puisque de nombreux param tres doivent tre connus pour pouvoir consulter le document La pr servation implique donc selon la terminologie OAIS l information de repr sentation et l information descriptive de la p rennisation PDI 4 1 2 Nouvelles r gles de cr ation des m tadonn es Une des premi res difficult s de l volution des catalogues informatis s es
3. Il convient donc de prendre en compte la relation univoque entre la description ou identification et l objet num rique Les m tadonn es font partie de l objet Au point qu il est tentant d automatiser tout ce qui peut l tre avec l quivalence de la production du document et de celle de ses m tadonn es renseign es d s l tape de production Selon la fa on dont elles lui sont int gr es on distingue les m tadonn es encapsul es int gr es par balises dans le corps du document englobantes caract risant l ensemble et en g n ral plac es dans l en t te du code source et externes fournies dans un fichier s par du document La mise en place de ces sch mas de description concerne toutes les ressources pr sentes sur le Web Il est vident que les formats et les modes de description strictement biblioth conomiques tendent singulariser les ressources des biblioth ques Or m me les ensembles de descripteurs utilis s en biblioth que sont multiples avec non seulement diverses DTD XML mais aussi diverses versions de formats d change simplifi s comme le Dublin Core Simple Qualifi La grammaire XML peut tre en effet tre exprim e sous forme de DTD ou de sch ma Il convient donc de r pondre l explosion des formats ou sch mas de m tadonn es par des solutions permettant de les rendre interop rables Pour des raisons pratiques li es aux multiples donn e
4. La recherche d ouvrages papier sur le Web a provoqu plusieurs changements d habitudes aussi bien en ce qui concerne les pratiques de lecture que du point de vue des modes de recherche L volution des pratiques a t tudi e par Chris Anderson qui a d velopp le concept de long tail notamment dans son ouvrage La longue tra ne la nouvelle conomie est l en tendant aux livres des consid rations qui s appuyaient au d part sur la vente des films et des disques Bien que le travail s appuie au d part sur des services comme Netflix Location de DVD ou iTunes cette th orie claire le d veloppement de sites marchands comme Amazon et Fnac com selon un mod le commercial diff rent de leurs homologues ou branches physiques En comparant les modes de distribution des produits culturels en magasin et en ligne on constate que la vente en ligne a modifi les pratiques de consommation Dans la distribution classique les hits et best sellers constituent la majorit des ventes puisque 20 des produits repr sentent 80 du chiffre d affaires suivant le principe de Pareto Ce mode de distribution met en avant certains produits au d triment d autres Or sur le Web m me les ouvrages tr s peu vendus continuent tre recherch s et achet s Ainsi l o les deux premi res surfaces de vente de livres en France c est dire la Fnac et Leclerc proposent de 20000 80000 r f
5. 423 RIFKIN Jeremy L ge de l acc s la nouvelle culture du capitalisme Paris La D couverte 2005 44 ISAAC Henri rapport sur l Universit num rique remis madame Val rie P cresse ministre de l Enseignement sup rieur et de la recherche http www nouvelleuniversite gouv fr IMG pdf Rapport_univ_num pdf 5 Selon FRESSARD Olivier BU de Paris VIII St Denis L esprit du num rique biblioth ques num riques et d mocratie In PAPY Fabrice Usages et pratiques dans les biblioth ques num riques Paris Herm s science publications Lavoisier 2007 p 123 143 Patrick Bazin en r ponse Jean No l Jeanneney sur num risation de 300000 documents sans collection ni corpus voir BAZIN Patrick Apr s l ordre du livre In DEBRAY R gis M dium transmettre pour innover Paris d Babylone 2004 2005 n 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 89 6 Conclusion L volution des catalogues doit r pondre un changement de probl matique avec le passage d une pr sentation des collections a une r utilisation des donn es dans un univers o tout est structur a posteriori En effet les changements d usages induits par l ergonomie du Web vont bien au del de simples possibilit s techniques Il s agit vraiment d un changement des rapports aux contenus recherch s en ligne Si les outils ne s a
6. BBF 2005 n 5 p 76 77 415 UNSWORTH John The emergence of digital scholarship new models for librarians scholars and publishers In Digital library development the view from Kanazawa Ed Daenna B Marcum and Gerald George 2006 416 http manum enssib fr Minon Marc Manum projet de biblioth que num rique pour les SHS 2003 17 Ghislaine Chartron et Marc Minon Quell Quelle offre num rique pour l usager virtuel des universit s fran aises In The virtual customer A new paradigm for improving customer relations in library and information services Satellite meeting Sao Paulo Brazil August 18 20 2004 IFLA publications 117 K G Saur Verlag 385p p 316 330 48 M GUTHRIE Kevin JSTOR Offering access to an archive of scholarly jounal literature In Digital library development the view from Kanazawa Ed Daenna B Marcum and Gerald George 2006 on MARCIN Susan MORRIS P Opac the next generation In Computers in libraries Mai 2008 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 88 ce cas a pour recherche locale des ouvrages d ja connus mais non trouv s en libre acc s Cette conclusion peut remettre en cause la pertinence d associer directement les ressources num riques aux r sultats des OPACs de lecture publique Fran oise Benhamou remarque que l augmentation des pratiques immat
7. Le Crosnier sur le Web 2 0 http www gin ebsi umontreal ca confmidi 2006 web20 index html 217 GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod 2007 216 p p 110 sur l achat de Myspace par Rupert Murdoch en 2005 pour remplacer les tudes d audiences dans l id e que l o il y a de l audience il y a de l argent en analysant les profils de Myspace_ 218 Avec le Reference Desk d Info Island la terre des biblioth ques de Second Life 21 http www amazon fr 77 http imagine it org amazon vissimweb htm 21 GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir Op Cit p 188 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 53 L int gration des catalogues des biblioth ques dans l environnement habituel des internautes peut s effectuer de fa on moins ambitieuse En particulier la pr sence d un lien vers le catalogue des B U dans les portails d universit s voire dans les Environnements Num riques de Travail d tudiants est de plus en plus r pandue C est un usage habituel des biblioth ques am ricaines o la pr sentation de la biblioth que la fait appara tre comme un des lieux de travail principaux sur le portail de l universit 7 On peut contester la volont d appliquer cette d marche hors du c
8. par l ABES int gre ce type de fonctions Il peut m me s agir de services distance accessibles par le catalogue mais sortant des ressources documentaires comme le service du Guichet du Savoir la Biblioth que Municipale de Lyon Le catalogue comme reflet de l identit de la biblioth que n exclut pas divers choix possibles pour mettre en valeur les ressources 134 Worldcat utilise ces techniques r centes comme les facettes et les Worldcat identities 135 Par exemple Fresne avec la structuration de la grille Conspectus pour une recherche par sujets http bm fresnes94 fr bibliotheque accueil asp L innovation pour rechercher un document y est telle que le terme de catalogue ne figure nulle part 56 L ABES a labor un mod le d interface int grant des webservices compl tant les donn es index es http www abes fr abes documents reseau journees_reseau 05_ExperimentationWebSudoc 2 ppt 137 M me si en ce cas la conservation des r ponses publi es les transforme partiellement en ressources classiques http autonomy bm lyon fr retina public login do username guest amp password guest Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 35 Ainsi il est possible d int grer le catalogue dans un catalogue collectif En ce cas on suppose que l on utilise la fonction de localisation ventuellement
9. utilis d s les ann es 1960 pour stocker les donn es et les rendre accessibles avec les contraintes de production de l poque mais le stockage de l information a tr s t t t effectu en bases de donn es 2 1 1 Les l ments de donn es leur tablissement Les catalogues fonctionnaient sous une forme mat rielle avant l informatisation avec des fichiers de notices papier Sous une forme informatique le catalogage continue tre l action de cr er une information secondaire partir d une information primaire Quelles informations Le mode de description des documents a t conserv avec une notice par ouvrage et quatre l ments d information distincts dans chaque notice 1 La notice bibliographique d crivant le support et le contenu du document en tant qu objet mat riel et que cr ation intellectuelle 2 Les points d acc s c est dire l auteur le titre et les mots cl s retenus pour retrouver le document avec la fois des l ments d autorit et de description 3 Les donn es d exemplaire concernant les exemplaires conserv s et donc propres l tablissement 4 Une localisation pour se le procurer cote Pourtant la structuration des donn es change En effet ces quatre types d l ments permettent une structuration en base de donn es avec une possibilit de lecture de notice synth tique et de fa on diff rente des liens pour effectuer des requ
10. valeur o la propri t constitue l tiquette de larc o le n ud origine de l arc est l objet avec une r f rence directe ressource sur le Web et o la valeur est le n ud destination qui peut tre un autre n ud Ces triplets peuvent tre attach s d autres n uds avec des sous ensembles des exemples et des quivalences et r ifi s avec l int gration de propri t s et de valeurs un autre noeud Sans entrer dans le d tail de ce mod le on peut observer qu il s agit de sch mas labor s pour les ressources en ligne renvoyant des URL p rennes et non des formes papier comme source premi re Il s agit d volutions peu r alistes tr s court terme dans le monde des biblioth ques qui se soucie pour le moment d adapter XML aux MARC Pourtant le mod le RDF n exclut absolument pas d utiliser le Dublin Core PEAD ou tout autre mod le de m tadonn es Il cl t ainsi le d bat sur la distinction entre donn es et m tadonn es puisque la r ification permet de rattacher les contenus des ressources aux descriptions Il s agit vraiment d un mod le de description des ressources compatible avec les divers formats XML existants C est donc une des applications les plus ambitieuses de XML cherchant d crire le contenu des documents dans un contexte de d veloppement possible du Web s mantique Au del des indexations d j existantes l objectif
11. 156 http www abes fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 40 3 1 2 Consultation en ligne et t l chargement Sur le Web le catalogue d crit des ressources qui sont pour certaines accessibles en ligne mais dont la consultation sous forme papier peut continuer pr senter un int r t Il faut donc int grer les ressources tr s diverses que les biblioth ques peuvent fournir dans un ensemble de ressources imm diatement disponibles Tout sur place Le premier avantage offert par le contenu des pages Web est que le lecteur peut effectuer une recherche d informations avec une seule interface pour la requ te et les r sultats Or les ouvrages physiques signal s en ligne ont un statut ambigu ce sont la fois des objets mat riels que l on peut chercher se procurer et des sources d informations que le lecteur peut chercher obtenir ind pendamment du support L instrument de recherche en ligne implique donc deux fonctions permettre d identifier les ressources num ris es et physiques comme l ments des collections de la biblioth que et laisser la possibilit d acc der autant d informations que possible En ce sens l volution des catalogues autonomes ne va sans doute pas vers une r duction mais au contraire vers un enrichissement des donn es Pour les recherches pr cises aussi bien pour des cherch
12. 2005 SCOPSI Claire SOUAL Laurent FERRAILLE Jean Fran ois Mener un projet Open Source en biblioth que documentation et archives Paris Ed du Cercle de la librairie 2007 TILLETT Barbara B s IFLA cataloguing principles steps towards an international cataloguing code 2 report from the 2nd IFLA Meeting of Experts on an International Cataloguing Code Buenos Aires Argentina 2004 M nchen K G Saur 2005 Informatique Traitement des contenus et m tadonn es ALLEMANG Dean HENDLER James A Semantic Web for the working ontologist effective modeling in RDFS and OWL San Francisco Calif Morgan Kaufmann 2008 AMAR Muriel LE GUERN Michel Les fondements th oriques de l indexation une approche linguistique Lyon 2 1997 AUBRY St phane et al Annotations et gestion des connaissances en environnement virtuel collaboratif Compi gne 2007 BALDE Abdourahamane DIDAY Win Utilisation de m tadonn es pour l aide l interpr tation des r sultats de classification automatique Universit Paris Dauphine 2007 CLAVEL Gilles XML la synth se int grez XML dans vos architectures Paris Dunod 2002 DAILLY Romain Web s mantique et e learning Ontologie p dagogique d une plate forme d apprentissage Nantes CNAM 2005 HAROLD Elliotte R et al XML en concentr manuel de r f rence Paris O Reilly 2005 HASSANALY Parina et al Eighth international conference on the desig
13. 2007 p 61 sqq 87 Avec 100 millions de notices 1 2 milliard de localisations 9000 dans 90 pays diff rents http www worldcat org est un m ta catalogue labor par l OCLC et regroupant de nombreux catalogues dont d sormais Bn Opale Plus et le SUDOC Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 25 en temps r el dans un syst me d exploitation classique ces SIGB rendirent n cessaire une premi re normalisation des notices En particulier les formats MARC furent int gr s aux SIGB qui disposent habituellement dans leur base bibliographique de trois types de fichier Un fichier de notices bibliographiques en format Marc ou format compatible Un fichier de notices d autorit en format Marc ou format compatible Un fichier de notices exemplaires en format du logiciel Ainsi si l informatisation des catalogues s est impos e aux fournisseurs de SIGB il faut remarquer que d sormais leur fonctionnement de SGBD relationnelles con ues pour le MARC rend les volutions difficiles L acc s sur le Web D j avant le d veloppement d Internet l change de donn es entre SIGB avait t mis en place dans les ann es 1970 et 1980 avec le r seau Transpac X25 Pourtant au cours des ann es 1990 Internet provoqua plusieurs changements comme l int gration d images et de documents multim dia et surtout l utilisation
14. Avec des clients de partage de fichiers peer to peer comme Emule BitTorrent ou Azureus Youtube http fr youtube com 363 GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir Op Cit Comme la suite du rapport Otto n ayant pas toujours entra n la destruction des ouvrages Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s l environnement num rique de fa on comparable aux fonctionnalit s de la GED avec en particulier la r troaction Par exemple dans le cas de livres interdits contr l s ou sous droits il est possible de mettre en place des processus de lev e ou d am nagement des restrictions Ces volutions font partie des perspectives de d veloppement des biblioth ques De m me alors que le d sherbage est un des points principaux de gestion des collections mat rielles on ne l voque jamais pour les ouvrages num riques Certes pour des questions de co ts lib rer de l espace de stockage ne justifie pas de perdre les donn es On consid re donc par d faut comme rentable la conservation des donn es num riques Il reste cependant la question de la pond ration des recherches selon des crit res d obsolescence qui pourrait faire partie de d veloppements futurs pour des ouvrages r cents Quels modes de recherche Dans un contexte g n ral de r flexion sur l apport des biblioth ques face la puissan
15. Droits d auteur r serv s Table des mati res 1 INTRODUCTION same needs 11 LL OUEST CE OLD UN CATALOGUE TE Re NS Se etre 11 1 2 QUELS OBJECTIFS POUR UN CATALOGUE AUJOURD HUI se 12 2 LE CATALOGUE INFORMATISE vescscscacsscccscnssssssncevscscesvencssecscauscecencnstesoestvossest 15 21 DES DONNEES ea toute dd at nd A ru de du Re ln ais ses 15 2 1 1 Les l ments de donn es leur tablissement ccccc cc eee ee cece eee teeeeeeeennnes 15 SOUCIS TNT OMIA ONS Fan Di ch dira ae 15 SUCHE ES CHBHONE erreurs eee lee eee 16 241 2 Les tegles de catalogage an ANNE RAR NOR ANR RSR One les 16 Des r gles multiples sde nina rs te ner AA te Rats Eden 16 Nouvel ISBD nouvelles AACR 200 cccccecceeceeccecsescueceessusceueceeseuseueceess 17 Les normes MALION AICS Eee ee den Sasa cde Se le tnt ne 18 Les instances de NOMA liSatl ON sente late annees 18 2 2 UNE STRUCTURE LES FORMATS haha RUE nt Pain ner 19 2 2 1 MARC g n rique ISO2709 et MARC particuliers 19 Des champs de longueur variable eo ite sateen seeentis eva auseemagssoeiteGieens 20 OMS And Tannie ST SR ee ee ee Oe per Te cn er 20 Interop rabilit et volutions ssssssssssssssssssnsssssessonsessssssnsss emmener epmensssssesnusssts ie 22 2 2 2 MARC et struct res XML nan si aroun ease Foot vo as Mate nt Sen A A 22 Une technologie prometteuse tes LL AI AR nu A dit Ste 22 Echanger indexer SC TITS ete ioe aE EEE EEA E E Sed BAG Fac 23 Um sagesp cialis eiae
16. XML est un langage balises sur le principe de SGML et de son d riv Html introduisant dans un texte des balises signifiantes sur le contenu pour le structurer Elabor dans le contexte du Web la fin des ann es 1990 il pr sente l avantage de dissocier le contenu et la mise en forme contrairement au Html Etant un standard labor par le W3C XML permet aux applications d tre ind pendantes et connues L absence de discrimination entre le contenu structur et le contenu non structur rend son utilisation souple On peut en effet l utiliser et partager Zone champ en 3 chiffres et Sous Zone Sous champ avec code de sous zone 70 Le format Marc devait servir de format pivot mais il faut utiliser des protocoles d change 7 Par exemple dans le SUDOC avec WinIBW permettant ce type de d rivation Par ailleurs il peut tre coupl avec un agr gateur Web m me s il n tait au d part pas con u pour un protocole http Standard Generalized Markup Language langage balises normalis en 1986 avec l ISO 8879 voir notamment http www w3c org Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 22 des donn es entre diff rents services m me si les syst mes sont diff rents et partager des m tadonn es a condition qu elles soient interop rables Il est m me possible de l utiliser pour d cri
17. caniquement l volution des technologies informatiques mais de construire des outils pertinents pour r pondre aux besoins des lecteurs en ligne ou sur place En effet l volution g n rale du Web am ne les biblioth ques num riques rejoindre les autres types de ressources en ligne et les anciens points d acc s prennent un autre sens dans des outils de recherche pond r e par des algorithmes En outre la navigation dans un environnement num rique am ne la recherche d information se dissocier de la lecture de loisirs Or les outils de recherche des ouvrages doivent correspondre aux usages et voluer en cons quence qu il s agisse de recherches caract re studieux d informations pratiques ou d ouvrages de loisir Un m moire d tudes ne peut avoir la pr tention de faire un inventaire complet des travaux en cours Il s agira plut t de d crire les enjeux et les outils place existants ou possibles pour pr senter les formats et outils de travail sans adopter le point de vue d un acteur particulier On s efforcera de consid rer avec distance les outils pour lesquels l engouement semble unanime sans tenter de pr dire l avenir mais de porter un regard aussi objectif que possible sur les h ritages volutions et besoins techniques devant tre pris en comte pour construire cet avenir On observera donc les formats de l information bibliographique les usages induits par le d veloppement d Internet les nouveaux
18. l usage des biblioth ques num riques Bulletin des biblioth ques de France 2007 n 6 p 5 10 BROPHY Peter La biblioth que hybride BBF 2002 n 4 p 14 20 DUTREMEE R gis La mise en ligne de documents num ris s quels besoins et quelle offre en logiciels BBF 2007 t 52 n 5 p 100 101 LUPOVICI Catherine L information bibliographique des documents lectroniques BBF 1998 n 4 p 42 47 LUPOVICI Catherine CLOAREC Thierry CHARENTENAY France de Les usages de Gallica BBF 2003 n 4 p 40 44 PAPY Fabrice Au del de la transfiguration du catalogue Le visual catalog BBF 2005 n 4 p 5 12 SITES INTERNET Nous ne citons ici qu une partie des multiples ressources utilis es pour ce travail qui ne sont elles m mes qu un partie des ressources existantes TOUTES CES ADRESSES ONT ETE VERIFIEES EN DECEMBRE 2008 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 99 Droits d auteur r serv s Sites institutionnels IFLA http www ifla org ALA http www ala org OCLC http www oclc org LOC http www loc gov JSC http www collectionscanada gc ca jsc index html BnF http www bnf fr ABES http www abes fr Blogs Lorcan Dempsey s weblog http orweblog oclc org Catalogablog http catalogablog blogspot com Figoblog http www figoblog org Les petite
19. la lourdeur des catalogues et l immensit du Web 2 4 1 Indexer les champs On parlait au d part d indexation pour d signer la production d index papier Avec le traitement informatique en bases de donn es la cr ation de tables d index prit un sens nouveau Pour autant le principe d laboration restait de devancer les futures requ tes en tablissant les points clairs reliant les diff rents documents L actuelle indexation automatique du Web par les moteurs de recherche constituant des bases de donn es dans lesquelles s effectue la recherche donne encore un autre sens aux index Les biblioth ques doivent s y int resser la fois pour s y int grer et afin d adapter des proc dures similaires pour le traitement des documents num riques 16 MARCIN Susan MORRIS Peter OPAC the next generation placing an encore front end onto a SirsiDynix ILS In Computers in librairies Westport CT Meckler 1989 Mai 2008 107 Avec des fichiers regroupant noms de personnes lieux ou sujets et renvoyant aux ouvrages Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 30 Une expertise ancienne L indexation de donn es num riques est proche du travail sur fiches papier avec des points d acc s normalis s Il s agit des l ments permettant de trouver la notice bibliographique qui se r partissent en trois ensembles Le
20. limiter les conversions notamment par des biblioth ques fran aises avec le SUDOC notamment Il est maintenu par le CFU La BnF fournit ses notices en UNIMARC ce qui permet une uniformisation et une d rivation par les autres biblioth ques pour les int grer leurs propres catalogues Pourtant la situation fran aise est atypique puisque le format national d change UNIMARC n est pas le format de la BnF INTERMARC qui est pourtant l agence nationale de catalogage La BnF propose tous ses produits aussi bien en INTERMARC qu en UNIMARC mais le fait que la France n utilise pas le format de sa Biblioth que nationale est une g ne pour le d veloppement certes peu visible par le grand public De fait l INTERMARC cr en 1975 et remani en 2002 devait l origine devenir un format europ en mais est en pratique essentiellement le format de travail de la BnF qui en assure la maintenance et de quelques autres biblioth ques fran aises Au niveau international OCLC dont les choix deviennent souvent des standards de fait ainsi que la plupart des biblioth ques anglo saxonnes utilisent un autre format le MARC21 Il descend directement du plus ancien format MARC 1965 mais est issu d un travail de fusion des multiples formats existants entre 1997 et 1999 l uniformisation des formats des Etats Unis du Canada du Royaume Uni et de l Australie aboutit la publication du MARC21 format d chan
21. que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 46 Or il est possible que le travail des lecteurs soit valid par une institution Par exemple la num risation et la mise en ligne des registres d Etat Civil et du cadastre par les Archives D partementales de Mayenne donne lieu une participation de lecteurs description valid e par les professionnels Malgr le d veloppement de contenus cr s par des utilisateurs la dissociation des outils reste importante avec diverses formes de catalogues en ligne valid s par une institution ou une communaut 3 2 DES CATALOGUES SUR LE WEB HORS DES BIBLIOTHEQUES Les catalogues en ligne restent un mode d acc s courant aux produits Les livres ne font pas exception avec divers catalogues de vente arrivant parmi les premiers r sultats lorsque l on cherche le titre d un ouvrage r cent dans un moteur En revanche les catalogues de biblioth ques g n ralement non indexables par des moteurs sont probablement sous exploit s Il faut donc adapter les pratiques anciennes en conservant un outil qui garantisse l acc s aux ressources avec une description valid e 3 2 1 Les catalogues priv s Dans le contexte du Web le terme de catalogue est parfois utilis pour d signer des descriptions d objets disparates ne constituant pas des collections A l inverse on y d signe parfois autrement des instruments de recherche qui s apparentent tout f
22. qui est en fait un m ta catalogue et non un catalogue collectif interrogeant notamment Bn Opale Plus le Sudoc et la Base Patrimoine catalogue des fonds anciens de 60 biblioth ques municipales et sp cialis es http ccfr bnf fr portailecfr servlet LoginServlet 4l The European Library m ta catalogue des catalogues de biblioth ques nationales europ ennes http search theeuropeanlibrary org portal en index html Karlsruhe Virtueller Katalog m ta catalogue maintenu par la biblioth que de l universit de Karlsruhe interrogeant diverses grandes biblioth ques mondiales et des libraires en ligne http www ubka uni karlsruhe de kvk kvk kvk_fr html http books google fr partir des pages de r sultats de recherches de livres Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 36 peut tre une occasion d apparaitre sur le chemin des internautes pour des petites biblioth ques dont peu de lecteurs consultent les OPACs Rechercher dans les documents Avec l acc s Worlcat par l interm diaire de Google Books se pose la question de la recherche dans les livres eux m mes En effet en indexant le contenu des ouvrages num ris s y compris pour des ouvrages sous droits dont l utilisateur ne voit que des extraits Google propose d inverser compl tement la logique du catalogue Il s agit de chercher les informations dans
23. r flexions par exemple sur http booksearch blogspot com SALA N Jean Michel Biblioth ques num riques et Google Print 2005 http archivesic ccsd cnrs fr docs 00 06 26 68 PDF sic_00001576 pdf ST BOUVIER AJAM Laurent LESQUINS No mie RIPON Romuald Europeana tude sur les usages et les attentes relatifs l interface de consultation de la future Biblioth que num rique Europ enne rapport final 21 mars 2007 53 p http bibnum bnt fr usages BnP BNuE Ourouk Rapport _final pdf Ibid Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 39 Par exemple malgr le peu de rigueur des modes de descriptions le nombre d images permet souvent de retrouver des ressources car les moyens sont suffisamment importants pour un r sultat efficace C est une logique de recherche inverse de celle du catalogue puisque l utilisateur ne cherche pas dans des descriptions avant de trouver des ressources mais dans des ressources avant de les valider par une description Malgr cette diff rence de d marche de recherche la description des contenus reste essentielle en vue de leur indexation automatique pour les recherches Bien qu ils soient en partie inconnus les divers l ments utilis s par l algorithme de pond ration des r sultats de Google doivent tre pris en compte aussi bien pour les moyens techniques que pour les crit
24. ration enjeux r gionaux nationaux et internationaux 27 28 mars 2008 http www bnf fr pages infopro journeespro po 2008 htm R union d information d bat des utilisateurs des produits et services bibliographiques 29 mai 2008 http www bnf fr pages infopro journeespro jp_produits2008 htm Cinqui me Journ es d information RAMEAU 30 mai 2008 http rameau bnf fr informations journees htm mai D ployer des solutions Open source dans les biblioth ques centre de documentation et services d archives 13 novembre 2007 http www bnf fr pages infopro journeespro jp_opensource htm BnF Guide d utilisation du Dublin Core non qualifi la BnF http bibnum bnf fr oai 20060808 GuideOAI pdf De Gallica Gallica 2 l volution de la biblioth que num rique de la BnF in Chroniques Collections n 43 mars avril 2008 pages 12 13 En ligne sur http www bnf fr pages chroniques chroniques43 pdf Les entrep ts OAI de la Biblioth que nationale de France http bibnum bnf fr oai index html LEDOUX Thomas Le Syst me de Pr servation et d Archivage R parti de la BnF De la production la p rennisation des objets num riques pr sentation lors des 11e journ es des p les associ s de la BnF 27 28 mars 2008 En ligne sur http www bnf fr pages infopro journeespro pdf poles pdf poles2008 spar pdf Portails et catalogues utilis s pour ce travail Archives Num ris es Base du Minist re de la cu
25. t par les auteurs ou la n gociation avec les diteurs Des acc s comparables existent dans diverses biblioth ques universitaires L acc s restreint des ressources payantes comme le renvoi vers des sites de diffuseurs proposant des ouvrages sous droits supposent un positionnement dans le contexte de gestion et de production des ressources Par exemple la conf rence d Alex Byrne pr sident de PIFLA http babel enssib fr document phd id 990 34 DUTREMEE R gis La mise en ligne de documents num ris s quels besoins et quelle offre en logiciels BBF 2007 t 52 n 5 p 100 101 38 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p p 249 2 Gallica 2 int gre une offre lectronique de prestataires priv s http www bnf fr PAGES catalog gallica2_distributeurs htm 7 Olivier Charbonneau The virtual customer A new paradigm for improving customer relations in library and information services Satellite meeting Sao Paulo Brazil August 18 20 2004 Edited by Sueli Mara Soares Pinto Ferreira and Rejean Savard IFLA publications 117 K G Saur Verlag 385p p 217 218 388 Par exemple la biblioth que num rique r gionale du Nord Pas de Calais http nordnum univ lille3 fr nordnum2 html Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 83 5 2 3 Cycle de vie et de mort
26. une interface plus d pouill e s inspirant des sites de partage de documents multim dia L interface doit permettre d acc der aux documents de la F d ration internationale des associations de biblioth caires et des biblioth ques Groupe de travail sur les sp cificit s fonctionnelles des notices bibliographiques Paris Biblioth que nationale de France 2001 http www bnf fr pages infopro normes pdf FRBR pdf Voir http www oclc org fr fr memberscouncil meetings 2003 october interestgroups cataloging pdf pour les r flexions du groupe Catalogue et m tadonn es sur la FRBRisation de Worldcat T On trouve sur le site de IFLA une bibliographie sp cifique de 53 pages http www ifla org VII s13 wefrbr FRBR_bibliography pdf 8 VISE David A MALSEED Mark The Google story New York Delacorte Press 2005 A l exception des occasionnelles fantaisies graphiques sur le nom de la marque 30 Le cinqui me site le plus visit au monde GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod impr 2007 impr 2007 216 p p 110 Maquette d Europeana labor e par la BnF http maquette bnf fr labs scenario Europeana demo html 3 Comme avec les Constellations de la BM de Lille http portail bibliotheque bm lille fr 3 Europeana dans sa version financ e par l Union Europ enne http www europeana eu portal
27. 059 10 744 060 111 Cette technique a t utilis e par exemple pour l tablissement du Catalogue g n ral des imprim s de a BnF Catalogue g n ral des livres imprim s Paris Biblioth que nationale 1972 1978 Utilis e notamment en biblioth ques de lecture publique gt R pertoire d autorit mati re encyclop dique alphab tique et unifi Pour les sciences de l ducation http www motbis fr 5 Voir les deux journ es sur l indexation et le lien des catalogues et SIGB avec l indexation et les vedettes mati res R union d information d bat des utilisateurs des produits et services bibliographiques 29 mai 2008 http www bnf fr pages infopro journeespro jp_produits2008 htm l 1 1 1 1 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 31 L indexation par des robots L id e de devancer la recherche des utilisateurs en d crivant les ressources avec des termes prend un sens nouveau avec les moteurs de recherche On peut d sormais distinguer deux types d indexation intellectuelle et physique qui prennent la forme de l indexation manuelle et de l indexation automatique par des robots de plus en plus importante au point de tenir lieu de catalogue Ces robots de fa on sch matique se comportent comme un internaute en ouvrant tous les liens possibles sur les sites et en y moissonnant les termes
28. Ces changements continuent avec l int gration au Web L origine de l informatisation L informatisation des biblioth ques a commenc d s les ann es 1970 avec les premiers syst mes utilisant des ressources informatiques centralis es quand la municipalit ou l universit dont relevait la biblioth que disposait d un service informatique Il s agissait d un mainframe machine centrale permettant toutes les applications avec un traitement diff r par bandes perfor es puis disquettes par exemple la Part Dieu d s 1972 Sans revenir dans le d tail sur cette premi re informatisation il faut remarquer que les acquisitions le catalogage et les pr ts constituaient des modules diff rents avec une s paration nette des fonctions de gestion et de signalement qui correspondait d ailleurs au fonctionnement ant rieur Puis le d veloppement des mini ordinateurs moins on reux dans les ann es 1980 permit la mise en place de progiciels m tier labor s par des soci t s de services pour les biblioth ques publiques Ces premiers Syst mes Int gr s de Gestion de Biblioth que int graient toutes les fonctions avec pour principal avantage de proposer une base de donn es unique pour tous les modules et toutes les fonctions Outre le fonctionnement 86 Cit es par Christian Jacob Lire pour crire navigations alexandrines In JACOB Christian Lieux de savoir Volume 1 Espaces et communaut s Paris A Michel
29. Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 12 instruments mais par un mode de description des ressources qui s int gre aux modes d acc s des internautes Cette volution du service concerne tout particuli rement les internautes qui ne sont pas usagers de biblioth ques mais peuvent y trouver des ressources y compris virtuelles Il s agit la fois de faire en sorte que le catalogue soit rep rable depuis les sites fr quent s par les internautes et que son ergonomie corresponde aux pratiques de recherche de ces derniers ventuellement en y int grant des types de description des ressources et des fonctionnalit s correspondant l volution du Web En outre avec le d veloppement des biblioth ques num riques les ressources d crites peuvent aussi bien tre des ouvrages mat riels que des documents num ris s ou lectroniques ventuellement disponibles en ligne Ces diff rents enjeux am neront d crire tout d abord les contraintes techniques du catalogue informatis puis les usages des internautes pour observer comment peuvent voluer les catalogues dans le contexte du Web en particulier pour inclure l acc s aux ressources num riques Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 13 2 Le catalogue informatis 2 1 DES DONNEES L outil informatique a t
30. L int gration des biblioth ques dans la production de m tadonn es des documents num riques peut rev tir deux aspects d une part l int gration adapt e d un syst me informatique souple et de techniques modernes et d autre part la possibilit d importer des donn es originales d j produites par un des acteurs de la cha ne de diffusion des ouvrages ou par une autre institution Par exemple le Sudoc identifie fr quemment des auteurs de th ses pour lesquels des notices d autorit sont cr es ce qui pose un probl me lorsqu ils publient ensuite des ouvrages d pos s au r gime du d p t l gal L int gration de la production d information bibliographique dans le circuit de fabrication et de diffusion des ouvrages pose probl me en elle m me puisque les biblioth ques ont par nature des int r ts diff rents de ceux des diteurs En ce sens les programmes de num risation ont longtemps pes sur les relations entre biblioth ques et diteurs ce qui tend s am liorer avec l action du SNE et les financements li s au CNL De cette fa on la r cup ration de donn es pourrait s effectuer avec des mashups pour l interrogation de donn es d diteurs ou du cercle de la librairie int gr es dans la bibliographie nationale avec ventuellement des donn es d autorit en partie ouvertes sur un principe de Wikis entre les diff rents acteurs 39 LAHARY Dominique L acc s aux catalogues et resso
31. La cr ation des m tadonn es administratives en vue de g rer le cycle de vie du document num rique am ne d velopper des fonctionnalit s sur l ensemble du catalogue G rer des contenus Le rapport l unit d une collection d mat rialis e stock e sous forme num rique est tr s diff rent de la gestion de ressources tangibles La perspective ancienne d entr e par un portail virtuel reste une manifestation de la biblioth que et surtout le rep rage par des outils de recherche de biblioth que correspond une pratique possible en particulier l utilisation de notices bibliographiques sur les documents Or l utilisation de m tadonn es comparables celles des Content Management Systems permettent de contenir et formaliser toutes les informations n cessaires une gestion lectronique proprement parler Nature du contenu auteur lecteurs autoris s diteurs autoris s emplacement dans le workflow utilisations et op rations possibles sont non seulement des l ments essentiels pour de futurs d veloppements s mantiques du Web mais aussi une couche de gestion utile en interne pour l institution Ces r pondent avant tout dans le domaine des biblioth ques la gestion des droits li s aux auteurs et diteurs en employant un algorithme pour les documents sous droits ou libres et une barri re mobile prenant en compte l auteur et la publication S associer la production
32. Les FRBR Les FRBR sont un mod le de description bibliographique qui constitue une nouvelle approche du catalogue con ue entre 1992 et 1997 par un groupe d tude de l IFLA Il s agit de repenser les donn es selon une analyse th orique des uvres dans un but pratique avec notamment le travail de l OCLC pour Worldcat Une nouvelle analyse th orique Depuis les ann es 1990 divers changements remettent en cause l laboration des donn es bibliographiques En raison de la diversification des formats de publication il est habituel de trouver le m me contenu sous plusieurs formes Du fait des processus de localisation et de d rivation des notices il fallait rationaliser les proc dures et clarifier les concepts bibliographiques pour en permettre l interop rabilit Les l ments de donn es eux m mes ne sont donc pas remis en cause mais leur agencement renouvel par le mod le FRBR qui reformule les concepts de l information bibliographique L objectif est de faire appara tre la structure du catalogue Il s agit de mod les applicables dans une interrogation sur le Web En ce sens les FRBR des biblioth ques sont comparables aux CRM des mus es labor s eux aussi il y a une dizaine d ann es face l volution de la description des uvres Ce mod le a encore peu d applications mais a le m rite de recentrer la description autour l uvre Repenser des donn es identiques Les FRBR f
33. Les autres refl tent la diversit des formats de d part Les principales utilis es sont La DTD BiblioML labor e en 1999 par la Mission de Recherche et de Technologie du Minist re de la Culture pour utiliser UNIMARC en XML La DTD ONIX ONline Information eXchange cr e en 2000 par l Association des diteurs am ricains utilis e notamment par le groupe EDITEUR pour fournir aux diteurs une information enrichie dans une perspective de marketing Le Cercle de la librairie l utilise pour la base Electre L ONIX permet l int gration d informations enrichies image de couverture liens vers d autres sites D autres DTD de biblioth ques comme MODS MADS de la Biblioth que du Congr s bas e sur MARC21 pour g rer de collections physiques et num riques et XOBIS XML Organic Bibliographic Information Schema Tr s novatrice XOBIS est une Online Cataloging Library Center http www oclc org 83 Outil de conversion disponible sur http www biblioml org fr conversion html Yves DESRICHARD Vers la convergence des formats bibliographiques ONIX application XML du monde de l dition dans Bulletin des Biblioth ques de France t 49 5 2004 p 55 63 http bbf enssib fr Cf Infra partie 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 24 exp rimentation isol e de la Lane Medical Library Stanford Uni
34. Patrick Le B uf Christine Nougaret et particuli rement Gautier Poupeau l cole nationale des Chartes Merci aux quipes de la BIUSJ SCDM Paris 6 et tout particuli rement Isabelle Kratz pour m avoir donn l occasion d utiliser les outils de catalogage collectif Merci a tous ceux qui m ont amen a m int resser au traitement informatique des supports de l crit par leurs conversations ou leurs publications Toute reproduction sans accord expr s de l auteur des fins autres que strictement personnelles est prohib e Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s R sum L avenir des catalogues fait actuellement l objet de nombreuses r flexions En France la BnF et ABES notamment m nent des travaux d analyse et de remise en question dont les conclusions auront une importance pour les biblioth ques fran aises Ces enjeux concernent les biblioth ques du monde entier avec l action puissante de l OCLC et la mise en place d un catalogue mondial unique Worldcat mais aussi avec le d veloppement de nouveaux mod les de structuration de l informations bibliographique FRBR et une r flexion sur les r gles de catalogage ISBD consolid RDA pour une volution des formats avec le langage XML et ventuellement vers des volutions plus fondamentales Web s mantique Il ne s agit pas de suivre m
35. avec de moins en moins de comp tences sp cialis es L volution des outils de recherche en ligne les plus utilis s correspond tout fait cette dynamique Ainsi le navigateur Chrome int gre indiff remment les recherches par mots cl s et les saisies d URL dans l id e que utilisateur doit taper ce qu il veut trouver et non conna tre le fonctionnement technique Mais d autre part la diffusion de linux et de logiciels libres supposant une utilisation un peu moins intuitive de l environnement bureautique laisse supposer un d but d volution inverse Pour une partie du grand public il s agit d un engouement pour la compr hension du fonctionnement des syst mes et d une d couverte de logiques 17 BOUVIER AJAM Laurent LESQUINS No mie RIPON Romuald Europeana tude sur les usages et les attentes relatifs l interface de consultation de la future Biblioth que num rique Europ enne rapport final 21 mars 2007 53 p http bibnum bnf fr usages BnF BNuE Ourouk Rapport _final pdf 6 Observatoire des Usages de l Internet http www mediametrie fr contenu php rubrique net amp rubrique_id 259 amp menu_id 257 Par exemple la SNCF pour tous ses programmes de fid lisation Par exemple pour les inscriptions aux concours ou la facult Les WYSIWYG What You See Is What You Get permettent de produire du code Html partir d une interface graphique simple 7 Ainsi le site de parta
36. catalogues de lecture publique expos s en OAI comme Lectura en Rh ne Alpes Au del de la sp cialisation th matique la partie de l offre publique qui vise s int grer dans une f d ration des recherches doit donc prendre en compte le dublin Core et l OAI PMH au travers des outil d velopp s outils techniques pour l emploi de mots cl s avec des clusters indicateurs et vedettes autorit mais aussi crit res de pertinence pour pond rer les algorithmes de recherche en plein texte comme la valorisation du titre et de l auteur dans Gallica 2 et int gration dans les recherches des moteurs d j existants Il est en particulier possible dans un entrep t OAI de cr er des sets ensembles qui peuvent tre r cup r es ind pendamment du reste par un moissonneur sp cialis Outre ces objectifs les notices OAI peuvent tre int gr es dans des fonctions de gestion en particulier pour la cr ation de fichiers de sauvegarde p renne Par exemple la BnF SPAR utilise la notice OAI des documents pour cr er le fichier METS Le syst me SOLON de la BnF qui g re les droits d acc s aux documents num ris s utilise lui aussi les donn es OAI pour la gestion des notices d autorit De plus certaines normes de m tadonn es permettent l exposition en OAI de descriptions qu il serait sinon difficile d exploiter Notamment le MPEG 21 est d j utilis en entrep t OAI en particulier pour la presse en Did
37. cification de script de l ECMA European Computer Manfacturers Association lui m me bas sur JavaScript de Netscape et Jscript de microsoft Voir http www lespetitescases net en particulier http www lespetitescases net a la decouverte du web semantique et de ses technologies 46 L AULA utilisatuers d Archimed a organis une journ e sur le Web s mantique le 27 juin 2008 http listes adbs fr sympa arc adbs info 2008 05 msg00124 html 7 Gallica reflet de la BnF int gre des p les associ s BIUM CNAM avec Internum http data internum org le Centre de Conservation du Livre Arles num rise des fonds de nombreuses institutions en les mettant en ligne sur une biblioth que num rique Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 74 5 Catalogue et bibliotheque num rique Malgr l volution des modes de description dans le contexte du Web les ressources des biblioth ques continuent devoir tre d crites Il faut donc que le catalogue comporte les l ments n cessaires la gestion des documents de tous types 5 1 UN OUTIL POUR TOUS LES SUPPORTS Le catalogue est un fichier de m tadonn es qui d crit tous les documents de la biblioth que par unit s que ceux ci soient analogiques papier VHS ou num riques ind pendamment du support 5 1 1 Un fichier de m tadonn es identifier et l
38. conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 107
39. d avenir Voir Infrq 4 2 2 10 Voir par exemple Figoblog http www figoblog org document278 php Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 68 Droits d auteur r serv s Une standardisation mondiale Les formats utilisant le langage XML emploient diff rents standards Une des difficult s est de mettre en oeuvre efficacement un format autodocument pour les machines et les humains En effet les descriptions invisibles en elles m mes pour les utilisateurs sont n anmoins essentielles pour la visibilit des ressources En particulier l id e de s int grer aux outils et aux modes de recherche existants suppose de suivre le mod le de m tadonn es du W3C en se conformant aux pr conisations effectu es hors du monde des biblioth ques avec la diffusion du XML L interop rabilit des formats de m tadonn es est donc sous tendue par le respect d outils g n raux Face a la palette de normes existantes il n est pas tant n cessaire de normaliser encore que de ce qui correspond aux besoins Comme l expliquait notamment Andy Powell repris par Lorcan Dempsey on arrive un besoin de compl mentarit entre des sch mas de description strictement biblioth conomiques et les outils habituels de description du Web eux m me diversement exploit s par les moteurs De fait XML est employ partout contrairement PISO 2709 avec une standar
40. de r f rences ventuellement via des URL p rennes En effet l int gration de renvois est possible y compris dans des champs principaux du Dublin Core avec des identifiants Il s agit toujours d un travail de description bibliographique Les m tadonn es descriptives sont donc souvent extractibles depuis les catalogues anciens et correspondent au m me contenu Les donn es de valorisation et de communication peuvent y tre assimil es en tout cas celles qui permettent le lien vers des l ments associ s pouvant ensuite tre rattach s au document d crit comme une image de couverture un r sum ou des commentaires En revanche les m tadonn es permettant d tablir sous une forme num rique l int grit les composantes et la coh rence du document d crit ne sont pas descriptives mais structurelles 1 National Information Standards Organisation NISO Understanding metadata 2004 http www niso org publications press UnderstandingMetadata pdf 7 ISO IEC 11179 3 Metadata data that defines and describes other data 233 I s agit de d terminer le niveau documentaire c et dire celui que l utilisateur manipulera en priorit par d faut de la collection au fichier 24 Voir LUPOVICI Catherine In BURESI Charlette CEDELLE JOUBERT Laure Conduire un projet de num risation Villeurbanne ENSSIB Paris Ed Tec et Doc Lavoisier 2002 35 Notamment dc relation et dc ident
41. de serveurs Web avec des bases de donn es centralis es en ligne Par cons quent les modules de consultation de notices des SIGB purent tre accessibles sous la forme d OPACSs Online Public Access Catalogs Les SIGB sont devenus cette occasion un module en back office C est dire que dans la mesure o il s agissait d un outil d volu la gestion interne de la biblioth que il se dissocia intellectuellement du catalogue lui m me manifestation du SIGB visible du public A l exception de la consultation sur place en libre acc s le catalogue en ligne devint la forme normale d acc s aux collections C est pourquoi les divers l ments techniques de description ont d tre appr hend s sous une forme lectronique comme les l ments d une base de donn es Ce relatif flou dans les objets et termes d signant les instruments de recherche est encore accentu par l int gration au Web qui rend peu efficace de concevoir la partie Catalogue du SIGB comme un outil autonome L int gration au Web La biblioth que peut proposer plusieurs types de services sur le Web interface Web du catalogue mais aussi d autres ressources consultables en ligne comme des CD Rom ou des Bases de Donn es en ligne d diteurs Des moteurs de recherche f d r s peuvent donc permettre de trouver simultan ment des r sultats dans les divers types de ressources Ces moteurs s int grent dans le SID syst me d info
42. des biblioth caires et documentalistes dans le cadre de la biblioth que num rique In Les biblioth ques num riques Dir Fabrice Papy Hermes Lavoisier 2005 380 MELOT Michel Une br ve histoire de l image Paris l il neuf 2007 8 M moire d tudes de PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques de masse ENSSIB 2007 382 BALLEY No lle Num rique et biblioth ques le deuxi me choc Entretiens professionnels de la BnF Bulletin des Biblioth ques de France 2007 n 3 p 98 99 http bbf enssib fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 82 383 et un cho au niveau mondial encore actuellement Il s agit d abord d une augmentation importante des volumes de documents num ris s avec des volutions pour la recherche par OCR reconnaissance optique de caract re permettant une recherche en plein texte mise en place dans Google book search et Gallica 2 par exemple Ces nouveaux outils impliquent la recherche de solutions mais aussi un positionnement th orique li l offre commerciale d ouvrages en ligne Au travers des possibilit s d interactivit de lecture navigationnelle hypertexte et de r troaction l dition lectronique proprement dite correspond des pratiques de lecture diff rentes de la simple consultation d ouvrages num ris s m me en mode
43. eria 93 D OO TUE de ee D E E 93 Biblioth ques et usages documentaires 93 Biblioth ques num riques et catalogues collectifs 94 Sch mas de description des biblioth ques ccceeecccceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeees 95 PROMOTEUR nn em nee 96 Traitement des contenus et m tadonn es 96 SOUMIG CE ESS SAR sr ts ressent radin adieu 97 a NOMES cpe rnare rE A ERO ER OERE ROE EO A EE E E ESN 98 PERIODIQUES SPECIALISES ccccccccceccecceccsceccuccecesseeseceeceecesseeeeceecessusseceecesseseeeseneuss 98 Articles de p riodiques papier ccc ciasncedcdadtniaicddennidcadteiidmadeandiadtens dti eee Sens 98 Articles de p riodiques en RES cic nSijsciddinahaladaiasisdhacahasedGashani seiehaaimsneieers 99 SITES INTERNE ase rec eau een nd E 99 Sites LS IT OMR ES RENTE ng dw tee 100 DOS nee om ti nee an IEE On E E 100 Litt rature grise en I acc caitrsastucuisrtgua cecu tautcatcunasnaideruduecnesamdpieiecbendcenmicuacniees 100 Ressourc s dela BnF cust DR rl de 100 Portails et catalogues utilis s pour Ce travail srcssecyunsssiiovadvaesoryavsiayseoniavomontaves 101 MONOGRAPHIES Biblioth ques Biblioth ques et usages documentaires ACCART Jean Philippe BAZIN Patrick Les services de r f rence Du pr sentiel au virtuel Paris Ed du Cercle de la Librairie 2008 Association des archivistes fran ais Abr g d archivistique principes et pratiques du m tier d archiviste Paris Assoc
44. exemple nom g ographique titre uniforme 3 http www w3c org Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 19 Droits d auteur r serv s Des champs de longueur variable Les formats MARC proposent une structure des donn es bibliographiques deux niveaux les zones sous zones en donnant une indication de traitement de la zone les indicateurs et des positions avec des listes de valeurs cod es pour certaines donn es Ces formats reposent sur la norme ISO 2709 Format pour l change d information dit e en 1973 qui est adapt e l information bibliographique Elle permet l change des donn es et non le catalogage au sens strict Les notices comportent un label un r pertoire et des donn es bibliographiques avec une structure g n rique des zones Le r pertoire situ en d but structure l enregistrement destin l change Les formats MARC devaient au d part permettre l change des informations bibliographiques dans le cadre du programme de CBU devenu UBCIM en 1980 Ce format d change sert pourtant de format de saisie pour la constitution des catalogues de biblioth que par les biblioth caires et les fournisseurs de SIGB ce qui tend figer la situation impos e aux m tiers d dition de logiciels avec l explosion documentaire des ann es 1960 mais actuellement maintenue par l absence d autres d veloppe
45. for Bibliographical Records Cf Infra Anglo American Cataloging Rules http www aacr2 org Elles sont utilis es notamment aux Etats Unis au Royaume Uni et au Canada mais aussi sous des formes voisines en Allemagne RAK et en Italie RICA 1 Ressource Description and Access voir http www collectionscanada ca jsc index html et Infra 4 1 2 Le Joint Steering Committee a pour but l tablissement du RDA Il regroupe l ALA American Library Association 1 Australian Committee on Cataloguing la British Library le Canadian Committee on Cataloguing le CILIP Chartered Institute of Library and Information Professionals et la LOC Library of Congress http www collectionscanada gc ca jsc index html Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 17 Les normes nationales Alors que le monde Anglo Saxon utilise le terme de standard pour d signer les normes officielles et les standards de fait la France est attach e aux normes valid es par les autorit s comp tentes Avant les ISBD les r gles de l ABF pr valaient en France sans port e internationale Elles permettaient une structuration des donn es lisibles par des machines pour l change et l interpr tation mais se r v laient insuffisantes Le programme CBU avait mis en place une Agence Bibliographique Nationale par pays pour recenser les publicatio
46. les parties des zones avec N entr es de 12 chiffres une par champ Etiquette sur 3 caract res indicateurs de traitement codes de sous zones et caract re de fin de zone 5 qui est notamment pr vu par le protocole Z39 50 Universal Bibliographical control Marc Program 7 En ce qui concerne les jeux de caract res codes de langues et de pays code de fonction pour les auteurs normes de translitt ration et r gles de catalogage choix et construction des acc s 48 Voir Annexe 1 l adaptation des ISBD en UNIMARC Selon les standards IFLA li s au CBU et l ISSD Biblioth que du Congr s http www loc gov l Le LC MARC fut adapt avec le CANMARC pour l usage simultan de l anglais et du fran ais et VINTERMARC puis des d veloppements nationaux comme l IBERMARC Espagne Catalogne ou le RUSMARC en Russie avec un aspect identitaire d passant les besoins biblioth conomiques Syst me de gestion de bases de donn es 4 4 4 4 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s format bibliographique d finissant 10 blocs fonctionnels pour permettre les changes d information bibliographique entre les multiples formats nationaux Il est r guli rement mis jour et la maintenance en est assur e par le l IFLA et le PUC Ce format d change est encore largement utilis mais comme format de saisie pour
47. les renvois Pour que les utilisateurs du catalogue puissent effectuer des recherches par sujet sans se limiter aux titres et auteurs il faut une indexation par sujet d crivant le contenu des documents Il est n cessaire d utiliser des termes pr cis qui peuvent tre d finis dans un index limit sous forme de liste hi rarchis e avec des relations entre les termes g n riques sp cifiques est associ s ou dans un th saurus d crivant des relations s mantiques sp cifiques pour un domaine concern Ce qui permet de compl ter la description bibliographique par des points d acc s utilisant un vocabulaire contr l avec des listes comme la Blanc Montmayeur des listes d autorit s comme Rameau ou Motbis Les principes d indexation manuelle des sujets sont parfois remis en cause face aux modes d indexation automatique des moteurs de recherche de la recherche en plein texte L indexation par vedettes mati re garantit pourtant la pr cision de la description des contenus Surtout l volution des habitudes de recherche vers une formulation de mots cl s contenus dans le document rend plus que jamais n cessaire de rendre le document accessible par les termes de son sujet et non simplement par titre ou auteur 108 Notamment l IME ICC IFLA Meetings of Experts on an International Cataloguing Code 2007 et 2008 voir http www ifla org VII s13 icc imeicc statement_of principles 2008 french pdf 1 744
48. me avec une vision th orique claire des volutions souhaitables les h ritages techniques limitent les choix possibles Les milliards de notices conserv es en ISO 2709 depuis les ann es 1960 impliquent de continuer exploiter les donn es elles m mes C est ainsi que la plupart des SIGB actuels utilisent le Marc 21 puisqu ils sont en g n ral labor s aux Etats Unis Ainsi certains SIGB ne supportent que le format Marc 21 Outre l inertie li e aux contrats conclus et la lourdeur qu implique un changement de fournisseur de SIGB le probl me principal est celui de l inertie des produits du march Malgr le d veloppement de SIGB libres et l action d organismes comme l OCLC pour le d veloppement d outils autonomes les biblioth ques fran aises restent en g n ral dans le cadre de progiciels commerciaux Des changements forc s La plupart des firmes des fournisseurs de SIGB ont t rachet es au point que seules trois ou quatre soci t s se d tachent vraiment avec des chances de rester ind pendantes Ces difficult s pour lesquelles les circonstances conomiques actuelles laissent peu d espoir ont des cons quences directes sur le maintien des SIGB en MARC et sur l absence de d veloppements Certains syst mes comme Aleph sont en XML mais il ne s agit pas pour le moment d une volution g n rale Certains changements sont pourtant n cessaires pour la gestion de documents num riqu
49. mod les de description au travers des m tadonn es et les changements que provoque le d veloppement des biblioth ques num riques Descripteurs Catalogues de biblioth ques en ligne Biblioth ques et Internet Biblioth ques virtuelles Num risation Biblioth conomie Innovations Informatique documentaire Indexation documentation Biblioth ques Publics Biblioth ques Services aux utilisateurs Internautes Web 2 0 Web s mantique Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Abstract The Future of Catalogs is a subject many librarians talk about The French national Library and ABES for instance are currently working on improvement programs which will have a strong impact on French libraries These matters are important for libraries worldwide not only because the powerful OCLC is building a unique catalog Worlcat but also because new models for bibliographical description are being built FRBR together with a work on cataloguing rules ISBD consolidated edition RDA so that the information formats can change with XML language and perhaps towards even more important changes Semantic Web It is not just a matter of following new computer technologies but of building the right tools in order to answer the reader s needs whether online or not In fact because of the way the Web is now changing Digital Libraries start to be o
50. notices bibliographiques 1 BnF Lettre d information Actualit s du catalogue produits et services bibliographiques Mai 2008 n 11 http www bnf fr pages lettres produits produits11 htm 122 Texte anglais http www ifla org VII s13 frbr frbr pdf Traduction fran aise Patrick Le B uf et Fran oise Leresche http www bnf fr pages infopro normes pdf FRBR pdf IFLA Sp cifications fonctionnelles des notices bibliographiques rapport final Voir annexe 2 exemple de mod lisation 124 Voir annexe 2 exemples d application Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 33 d ceuvre Outre une tude de la BnF a ce sujet on peut mentionner le travail de l OCLC et de PIFLA sur les diverses applications FRBR L adaptation des nouveaux principes de catalogage ce mod le relationnel correspond donc une attente r elle 2 5 DES INTERFACES HOMME MACHINE Le catalogue pose la question de l ergonomie qui doit tre agr able et efficace 2 5 1 Apparence et ergonomie L impression que le catalogue donne l utilisateur implique l apparence graphique mais aussi la simplicit de fonctionnement et la pertinence des r sultats Plaire l utilisateur La question du design des catalogues am ne pr senter un paradoxe important Il pourrait sembler vident qu une interface esth tique recherch e et chaleu
51. pages indexer Les en t tes de documents Html en Dublin Core ou autres formats de l information bibliographique correspondent donc la mise en valeur des anciens l ments de notices dans le code source Cette technique entra ne pour le moment une m fiance des moteurs L int gration d informations bibliographiques dans les codes sources des pages facilit e par la diffusion d XML sur Web reste cependant efficace pour les moteurs de recherche propres avec les algorithmes de pond ration et r pond sa fonction premi re de faciliter l indexation par les moteurs 5 3 2 Jusqu o La pr sence parall le des instruments de recherche et des ressources dans le Web am ne s interroger sur les limites souhaitables de l action des biblioth ques Des services payants La n gociation de ressources en ligne notamment avec les diteurs de p riodiques lectroniques incontournables en sciences dures l acc s avec login ou depuis ne adresse IP identifi e est admise dans le contexte universitaire L exp rience d acc s des objets sous droits depuis des catalogues de biblioth ques publique est comparable Ainsi Gallica 2 propose les r f rences de 5000 ouvrages lectroniques vendus en ligne par Numilog et d autres Ce travail visant renvoyer aussi des ouvrages r cents sur une question pos e est en fait largement per u comme un portail d appel critiqu par des internautes qu
52. place pour l audiovisuel Pacis cece tes tn nt ut nantes 78 5 2 GERER LES DOCUMENTS eu eu de ff SR don CUS Ten eu secs 79 I2 Classer immateriel histoire ee ee en nie 79 Fout doit STORES sn RS ne sn dE T EOL eea 79 Quels modes de recherche seniri A Sirk RU en iat lt Sas 80 Quelle indexation oasa Dr An on ne ENR ea Aen A RN ned ne a US a aR 81 52X Controler ACCES an cata ain Mn RAS A E Te See ean 82 BATTO LTA ES A ne en er 82 Wes Collections acc s restreint enren esrin en E tr tone eee 83 J2 Cycle de CU Ne CA OS TT RE TO 84 CELL OS COTON Re ne dune ep a a depend Ute 84 25 ASSOCIET la prod ction D den TT AT e 84 5 3 ACCEDER AUX COLLECTIONS tr nr dr Stade cold a ne 85 331 Depis OUEL soo iE EE dei ieis nel nent iel entente Tan 85 gt Depuis l s CA LAO DES LA ee Ro nn nn nr nn x 85 Par des entrep ts moissonnables 2er heat 86 Par des pages Htl Perene e ec tues ate ta E ate a E are tac aa 87 De Da LIS WOU Fe siesta vise viene RAGA BUTE EO BOGE BOE AEE OER 87 L SOT VICES payants L cto di enr RS A E serena tess 87 Un catalogue detecteurs nn nt nets dawn tienne FEES 88 La biblioth que partout sense ent 89 6 CONCLUSION sssrini tosson eisrean ee ensesine Re tee 91 BIBEIOGRAPHIE gg ccscs secs cuauey Sn te Te ni tn Te euses seess Esteo KEES teoses 93 TABLE DES ANNEXES eion ona nanenanananennanendanine 103 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteu
53. pour acc der au signalement des collections est presque uniquement l ordinateur personnel Pour autant les collections num riques am nent aborder diff remment le catalogue 5 3 1 Depuis o On l aura compris une des ambivalences des donn es des catalogues dans le Web est de devoir servir la fois pour le fonctionnement du catalogue lui m me et pour trouver les informations ou renvois aux ressources partir d autres catalogues d entrep ts ou de moteurs Depuis les catalogues La pr sence de ressources accessibles directement depuis le catalogue am ne inverser la logique de recherche Il s agit de passer par l interface de la biblioth que pour trouver des ressources du Web Comme le montre notamment l enqu te de la soci t Ourouk effectu e en 2007 sur la maquette d Europeana une des attentes principales du public est que les documents soient pr sent s dans un contexte s rieux la biblioth que apportant une forme de caution Ceci peut concerner aussi bien le contenu tablissement de la collection que le format num rique choisi On peut aussi supposer que la valeur ajout e de l offre des biblioth ques repose sur la mise disposition avec des instruments de recherche performants si possible unifi s pour simplifier l utilisation Ainsi le CCFR conduit aux documents de Gallica qui renvoie non seulement aux ouvrages num ris s par la BnF mais aussi la BIUM la Jubiloth
54. pour la recherche f d r e dans des ressources num riques C est ainsi que le carrousel th matique proche de la Dewey propos pour le prototype d Europeana correspondait moins l volution vers des ressources diversifi es En ce sens la mise en place d outils de recherche est souvent alourdie par la pr sence d un catalogue historique dont la conversion r trospective am ne h riter d une information th matique peu d coup e ventuellement sans Rameau ni Dewey d informations bibliographiques ne reprenant que le contenu des fiches voire moins et surtout de doublons parasitant les r sultats des recherches Dans le contexte d une navigation en ligne ces doublons parasitent consid rablement la recherche lorsqu il s agit de doublons d autorit s Leur nettoyage est donc souvent un 5 BARTHET Emilie CHURCH Am lie CATANESE PALANCHE V ronique Qui a besoin des biblioth ques l heure de Google BBF 2007 t 52 n 5 p 92 93 http gallica2 bnf fr Voir De Gallica Gallica 2 l volution de la biblioth que num rique de la BnF In Chroniques Collections n 43 mars avril 2008 pages 12 13 http www bnf fr pages chroniques chroniques43 pdf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 80 a 36 za Pa travail important valable aussi bien pour les documents physiques que num riques mais
55. qui prend une importance particuli re pour ces derniers En effet selon les produits et services ces donn es d autorit peuvent tre li es aux informations de gestion par exemple pour la communication de documents num riques avec le r servoir Spar la BnF o le module Gestion de droits calcule les droits avec un arbre de d cision modulable selon les volutions de la l gislation pour prendre en compte des l ments comme la date de mort des auteurs morts pour la France sous droits 30 ans de plus Cela n cessite un travail sur tous les morts du XXe si cle Or ces techniques de gestion peuvent tre tendues la communication des documents physiques les fonctionnalit s d velopp es pour les documents num riques tant dans ce cas transpos es au reste du catalogue Quelle indexation Il semble vident que les habitudes de recherche ont volu depuis une dizaine d ann es avec l utilisation des moteurs de recherche la fois en eux m mes et par les logiques de formulation des questions et d analyse des r sultats qu ils induisent pour le lecteur Intellectuellement ce type d interrogation suppose une d marche diff rente avec la perspective de limiter la demande en quelques mots synth tiques suivant une autre approche que les modes de recherche traditionnels m me si la question de l indexation reste essentielle La logique d interrogation qui pour le lecteur peut s assimiler
56. ration des contenus de ressources lectroniques Le choix fut fait de ne pas conserver un protocole synchrone d interrogation simultan e de bases de donn es comme le Z 39 50 mais de pr voir la constitution d entrep ts de donn es normalis es les DP Data Providers qui contiennent les m tadonn es r pondant aux requ te des SP Service Providers ou moissonneurs Sch matiquement le lecteur humain utilise donc une interface permettant au SP d adresser une requ te aux DP qui fournissent ensuite le lien vers les ressources d crites Il s agit donc d un outil adapt aux recherches bibliographiques Outre l conomie de ressources li e l interrogation asynchrone cette constitution d entrep ts permet que les m tadonn es initialement cach es soient expos es sur le Web et visibles par les moteurs de recherche qui sont techniquement capables d effectuer des requ tes pr d finies par verbes pour identifier les entrep ts OAI et utiliser leurs notices En revanche ils ne souhaitent pas forc ment les utiliser Si Yahoo et In Extenso utilisent de fa on syst matique les notices en OAI Google leur fait moins confiance et ne les utilise que dans le cadre de projets sp cifiques Pour cette raison l utilisation de OAI PMH permet une plus grande visibilit dans le cadre de num risations de masse et de collections importantes que pour des biblioth ques de taille restreinte pu
57. rences de livres selon leurs magasins leurs homologues en ligne Fnac fr et Amazon fr proposent 600000 900000 r f rences ce qui refl te des volutions importantes des modes de consommation comme l a montr Jean Fran ois Gervais Ces volutions sont tr s importantes pour l action des biblioth ques aussi bien pour la mise en place d un signalement collectif efficace que pour la description des multiples ressources d un m me tablissement En effet toutes les notices sont traditionnellement pr sent es sur un mode identique dans les OPACs En revanche comme dans les catalogues commerciaux diverses biblioth ques entreprennent de mettre en valeur des ouvrages particuliers comme la Biblioth que de la Cit des Sciences et de l industrie o diff rents livres sont pr sent s sur la premi re page du catalogue en fonction des expositions pr sent es dans la Cit En ce cas l objectif est d clairer un aspect culturel et de prolonger ses d couvertes par un approfondissement livresque qui n a pas de vocation commerciale mais une simple volont de succ s o la mise en valeur des ressources de la biblioth que est importante Avec la mise en place d objets num riques int gr s aux ressources de la biblioth que et disponibles depuis le catalogue la question de la longue tra ne est essentielle Elle implique en effet que l inflation sur le nombre d ouvrages num riser avec la mi
58. res intellectuels de pond ration Cette r flexion est cruciale pour l tablissement de moteurs de recherche internes quand il s agit d outils propos s par Google mais surtout pour la construction de moteurs de recherche propres comme pour Gallica2 avec un algorithme sp cifique de pond ration Des moteurs internes peuvent aussi tre ajout s de fa on optionnelle comme le moteur SFX Lausanne avec RERO catalogue roman qui fournit une r ponse enrichie s il est mis en uvre en fournissant des slots de livres suppl mentaires En tablissant une barre avec un moteur de recherche interne comme le font Wikipedia ou les sites de ventes commerciaux un site tablit un outil limit qui permet l internaute de continuer ses recherches en ne sortant pas du site en question Il suppose cependant que l internaute soit sur ce site La pr sence de moteurs de recherche internes n exclut donc pas que les ressources doivent tre index es par les moteurs g n raux L int gration dans des moteurs existants peut tre effectu e automatiquement dans le cadre des collectes par les robots des moteurs Des accords peuvent intervenir pour faire appara tre les ressources de fa on plus pertinente Ainsi l accord entre la BnF et VOCLC pour l int gration des donn es de la BnF dans l OCLC Worldcat correspond aux crit res d indexation par Google Il est m me possible de passer des accords directement avec les moteurs
59. rique en documentant son cycle de vie et les droits qui s y attachent et en permettant l interop rabilit entre les diverses sortes de ressources pr sentes sur le Web Elles peuvent selon les cas distinguer plusieurs niveaux de granularit d information depuis le niveau le plus fin du fichier num rique jusqu au niveau le plus global de la collection Ce qui suppose de d terminer les diff rents niveaux de description utiles et de structurer les descriptions avec efficacit Les m tadonn es sont de diverses natures La distinction entre les m tadonn es descriptives techniques et administratives correspond donc des diff rences essentielles M tadonn es descriptives Les m tadonn es descriptives permettent d identifier et de retrouver des ressources C est le plus souvent d elles que l on parle lorsque l on voque les m tadonn es sans plus de pr cision car ce sont les plus apparent es au travail de description bibliographique traditionnel Au lieu de cr er une notice d crivant une information primaire on cr e des donn es secondaires d crivant des donn es primaires Elles correspondent donc la forme informatique du catalogage proprement dit puisqu il s agit des donn es de description et d identification depuis les plus simples auteur titre jusqu la forme plus complexe que ces informations peuvent prendre en particulier le renvoi des donn es d autorit s au travers
60. sont devenues AACR 2000 ou AACR2 Ces normes de catalogage ne sont pas une initiative de l IFLA mais de l American library association ainsi que d autres organisations comme la Canadian library association M me sous leur forme r vis e les AACR suivent la m me logique que l ISBD seuls certains l ments de structure et de ponctuation tant diff rents dans certains codes Plus encore le RDA Ressource Description and Access se pr sente comme le successeur des AACR2 et propose une solution autre que celle de l ISBD en adaptant les FRBR une logique de XML Ce travail parall le et en pratique concurrent de celui de l ISBD consolid propose l laboration d un nouveau code de catalogage Le RDA est labor par le JSC comme les AACR et ne d pend pas de l IFLA Il fait explicitement r f rence au mod le FRBR et propose une fa on nouvelle de structurer intellectuellement l acc s aux ressources Un des enjeux pour l avenir des catalogues sera le choix d une volution sur le mod le de l ISBD consolid ou du RDA sous une forme transpos e dans les normes nationales TILLETT Barbara B s IFLA cataloguing principles steps towards an international cataloguing code 2 report from the 2nd IFLA Meeting of Experts on an International Cataloguing Code Buenos Aires Argentina 2004 M nchen K G Saur 2005 1 http www ifla org VII s13 pubs cat isbd htm 8 Fonctional Requirements
61. tes simples partir des auteurs titres et mots cl s avec un acc s aux donn es locales Pour des ouvrages identiques seules les donn es locales sont vraiment diff rentes d un tablissement l autre La question de la normalisation a donc rapidement t pos e Plus encore le probl me de l interop rabilit est devenu essentiel pour l change et la d rivation de notices mais aussi pour les recherches f d r es Ce travail de normalisation a d but en 1961 avec la Conf rence internationale sur les principes de catalogage au cours de laquelle ont t r dig s les principes de Paris clarifiant les objectifs et les normes des catalogues 5 Sujet mati res Cote exemplaires voire tat de disponibilit 7 CHAPLIN A et al International Conference on Cataloguing Principles Paris 9th 18th October 1961 report London IFLA International Office for UBC 1963 p 91 96 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 15 Quelle description Les principes de Paris d octobre 1961 taient tablis pour des catalogues manuels et pour des ouvrages imprim s essentiellement Ils d crivent donc la constitution du catalogue avec l ordre lin aire dans lequel il faut faire appara tre les notices Les normes sur le contenu des notices en d coulent Il s agit des l ments de l ISBD sous ses diverses fo
62. texte Au travers de la question de l ubiquit inh rente la mise en ligne les ressources num ris es peuvent donc prendre un statut hybride entre les ressources papier et l dition lectronique proprement dite la fois exemplaire et notice L ventuelle int gration d une offre ditoriale correspond donc une r flexion sur le signalement des ressources Les collections acc s restreint Au d part les biblioth ques num riques mettaient en ligne uniquement des documents du domaine public Pour autant l volution les a naturellement port vers une offre ditoriale sous droits dans l id e de permettre un acc s des documents r cents Critiqu dans le cadre de Gallica 2 avec l id e que les biblioth ques y perdraient leur esprit de gratuit en renvoyant des acc s payants cette int gration a un aspect politique li l volution de l dition sous une forme num rique Dans le contexte universitaire l acc s des p riodiques en ligne acc s payant est une pratique habituelle avec une authentification de l utilisateur pour lui permettre d y acc der On peut se r f rer aux biblioth ques de l universit Concordia dont la r serve lectronique est int gr e au catalogue sous la forme d un module de gestion de contenu depuis 2004 Il s agit la fois de permettre aux tudiants d acc der aux ressources et de garantir un acc s s curis pour le d p
63. www jisc ac uk media documents techwatch tsw_0801pdf pdf 88 Metadata for digital libraries state of the art and future directions National Center for Supercomputing Applications http www ncsa uiuc edu 7 http dublincore org 1 Contenu Title Subject Description Type Source Relation Coverage Propri t intellectuelle Creator Publisher Contrubutor Rights Instanciation Date Format Ientifier Language 22 Voir LE MOAL Jean Claude et al La recherche d information sur les r seaux Paris ADBS d 2002 322 p p 106 107 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 65 comme un moyen d assurer l interop rabilit des m tadonn es dans le cadre de programmes en OAI PMH L Open Archive Initiative L OAI PMH Open Archive Initiative Protocol for Metadata Harvesting est un protocole http et xml permettant d exposer des donn es en diff rents formats qui soient r cup rables par des moissonneurs Ce protocole est issu des serveurs de pre print utilis s pour le partage d articles scientifiques entre pairs pour les am liorer avant publication L volution vers des archives ouvertes plus larges au travers de publications en ligne donna lieu une importante r flexion sur le signalement des ressources avec en 1999 la conf rence de Santa F visant mettre en place un protocole de f d
64. 0 est Zone 1 d ISBD avec en 1 la sous zone a titre b type texte imprim par exemple f mention de responsabilit Les blocs fonctionnels de l UNIMARC Oxx Identification 1xx Informations cod es 101 langue 2xx Informations descriptives 3xx Notes 4xx Liens entre notices 5xx Acc s titres points d acc s titres titres parall les 6xx Acc s mati res 7xx Acc s de responsabilit 8xx Usage international Par exemple 856 lien ressources lectroniques 9xx Usage national ou local Libert de chaque pays Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 105 Annexe 2 Pr cisions sur les FRBR Exemple de mod lisation Ce m moire d tude est une uvre dont la version remise en janvier 2009 est une expression le tirage papier en Fran ais en est une manifestation dont vous lisez un item Ainsi un autre tirage papier sera un autre item la traduction en Breton sera une autre manifestation et l hypoth tique adaptation cin matographique une autre expression mais il s agira toujours de la m me uvre Quant sa version num ris e c est une autre manifestation de la m me expression Il faudra donc une notice pour chaque expression Exemples d applications L OCLC travaille sur un catalogue en FRBR avec la m me notice pour les diverses ditions d une uvre Ce degr le plus si
65. 004 M nchen KG Saur 2005 Sch mas de description des biblioth ques CHANTERAUD Annabel et al Une adaptation de la norme XML EAD l informatisation des inventaires archivistiques du D partement des manuscrits de la Biblioth que publique universitaire de Gen ve Villeurbanne ENSSIB 2003 CHAPLIN A et al International Conference on Cataloguing Principles Paris 9th 18th October 1961 report London IFLA International Office for UBC 1963 COLE Timothy W FOULONNEAU Muriel Using the Open Archives Initiative protocol for metadata harvesting Westport Conn Libraries Unlimited 2007 DELACOUR Christiane E s et al Cataloguer mode d emploi initiation aux techniques du catalogage Paris ABF diff ABIS 2006 DOOLEY Jackie M Encoded Archival Description context theory and case studies Chicago Society of American Archivists 1998 DUSSERT CARBONE Isabelle et al Le catalogage m thode et pratiques Paris Ed du Cercle de la librairie 1991 1992 2 vol Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 95 Droits d auteur r serv s F d ration internationale des associations de biblioth caires et des biblioth ques Comit fran ais UNIMARC Manuel Unimarc format bibliographique M nchen KG Saur 2007 LE BOEUF Patrick s Functional requirements for bibliographic records FRBR hype or cure all Binghamton NY The Haworth information press
66. Catherine Moteurs d indexation et de recherche Environnements client serveur Internet et Intranet Paris Eyrolles 1997 http fr dir yahoo com 186 yp Ibid 187 http signets bnf fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 47 Les catalogues th matiques de sites conservent plusieurs atouts majeurs l heure actuelle permettre que des ressources soient valid es par une institution ou une collectivit et faire merger des ressources difficiles trouver qu il s agisse proprement parler du Web profond non index par les moteurs ou de sites mal r f renc s et donc mal class s lors des recherches En outre ils permettent l utilisateur de se confronter une liste compl te et coh rente rassurante par rapport la dimension al atoire des recherches par moteurs Ils connaissent en fait un d veloppement croissant avec la participation des usagers au contenu qui permet de couvrir des domaines tr s vastes et s attache l id e de mettre en valeur des sites recommand s Parmi les catalogues de sites tablis par des particuliers Delicious permet le partage de favoris avec une indexation par mots cl s Il s agit de combiner une indexation en langage libre avec une synth se effectu e sur les indexations en langage libre des utilisateurs pr c dents constituant en d finitive une liste de vedettes De ce
67. Dipl me de conservateur de biblioth que L avenir des catalogues Formats donn es outils usages M moire d tude Janvier 2009 Romain Wenz Sous la direction de Christian Lupovici Directeur du d partement Information bibliographique et num rique DIBN Biblioth que nationale de France cole nationale sup rieure des sciences de l information et des biblioth ques Ci S S Remerciements Mes remerciements vont en premier lieu a Christian Lupovici Directeur du d partement Information bibliographique et num rique DIBN la Biblioth que nationale de France qui m a dirig et orient au cours de ce travail Merci Emmanuelle Berm s conservatrice la Biblioth que nationale de France qui a propos le sujet de ce m moire et dont l activit de veille et d explications sur le Web est toujours clairante Je remercie aussi tout particuli rement Cl ment Oury S bastien Peyrard et Matthieu Bonicel conservateurs la Biblioth que nationale de France pour leur aide et leurs conseils Merci Sally Chambers responsable de l interop rabilit des m tadonn es de TEL pour ses explications sur les enjeux techniques Merci Christophe Catanese ENSSIB pour son soutien et ses relectures finales Merci aussi ceux et celles qui m ont aid et form par leurs enseignements au cours de ma scolarit notamment Yves Desrichard Isabelle Westeel et Beno t peron l ENSSIB mais aussi
68. ISC britannique a ainsi publi un rapport sur les diff rents SIGB employ s http www jisc ac uk media documents programmes resourcediscovery Imsstudy pdf en particulier 4 2 2 Electronic Resource Management ERM systems p 56 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 29 modes de mise en valeur des donn es auxquelles la production bibliographique habituelle n est pas pr te De cette fagon un groupe de r flexion r uni en 2008 a Fairbairn Universit du Connecticut pour r fl chir la nouvelle g n ration d OPACs concluait par un simple encouragement renouveler les interfaces graphiques Du moins pour les petites biblioth ques cet encouragement se limiter des outils locaux correspond la fois une perspective conomique une confiance en l action d OCLC pour les travaux bibliographiques de grande envergure et l id e que la diffusion de l information sur le Web se passe de l action des biblioth ques La question des h ritages et de la demande est importante a la BnF puisqu il s agit a la fois d encourager l am lioration des syst mes des biblioth ques fran aises et de r pondre leurs attentes comme consommatrices de notices bibliographiques et d autorit La r flexion qui y est actuellement men e sur l volution des catalogues correspond donc la conciliation d
69. ML donn notamment les formats de m tadonn es en XML expos s par les entrep ts OATI Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 63 formats en XML visent a s affranchir des contraintes du MARC pour s adapter particuli rement la diversit des supports De cette fa on la biblioth que du Congr s a aussi labor en 2002 2003 un sch ma XML pour un MARC 21 simplifi Il s agit du format MODS Metadata Object Description Schema qui se veut applicable des ressources papier ou lectroniques et utilisable aussi par des personnes non sp cialistes du catalogage MODS traite l information bibliographique en simplifiant les l ments du MARC 21 Ainsi MODS utilise des balises en anglais la place des balises num riques du MARC 21 en les rendant parfois plus pr cises et regroupe des l ments du MARC 21 tout en ne reprenant qu un sous ensemble de ses champs contrairement MARCXML qui les reprend tous MODS comporte environ 80 l ments employ s de fa on fixe et non qualifi e pour une meilleure interop rabilit Bien que le format soit adapt la description de ressources num riques la reprise des l ments du MARC permet de r utiliser les donn es des catalogues existants En pratique l application du format MODS est li e celle de MADS Metadata Authority Description Schema un sch ma de descript
70. RDF adopte pour toute description une structure en triplet Sujet predicat objet Ce qui permet d tablir des assertions associant les ressources et les autorit s pour tablir des graphes descriptifs formant des n uds entre eux En effet les arcs des graphes peuvent tre tiquet s on obtient donc des nonc s l mentaires avec un triplet propri t objet 7 Voir L acc s en ligne aux manuscrits Possibilit s de XML syst mes de navigation r f rencement Pr sentation par Rapha le Mouren et Isabelle Westeel http www bm orleans fr userfiles file portail manuscrit_4 pdf 8 http hdl handle net 1813 11536 id http www slideshare net kramsey the future of cataloging and catalogers presentation type powerpoint Ressource Description Framework Cadre de description des ressources http www w3 org RDF 1 Voir LE MOAL Jean Claude et al Biblioth ques num riques Paris ADBS Ed 2000 246 p p 159 Subject Predicate Object Voir la fiche pratique r alis e par S bastien Peyrard http www enssib fr bibliotheque numerique document 1836 33 Voir http www lespetitescases net en particulier http www lespetitescases net rdf pour les nuls 34 Les arcs sont des pr dicats reliant une ressource un sujet une valeur un objet Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 72
71. SC sur les m tadonn es pour les biblioth ques num riques tat de l art et directions futures reprend ces diff rents l ments dans une perspective r aliste On l aura compris au travers de l emploi de formats comme MARCXML ou MODS et de la mise en place de sch mas comme METS en respectant des standards comme PREMIS une des difficult s est de conserver des l ments de description la fois pr cis et interop rables r pondant la diversit des sources La diffusion du Dublin Core Pour simplifier les descriptions 1 OCLC et le NCSA ont labor en 1995 Dublin dans Ohio un sch ma de m tadonn es qui est devenu l un des principaux formats utilis s Il s agit bien s r du Dublin Core qui a donn lieu en 2003 la norme ISO 15836 et dont la maintenance est assur e par le DCMI Dublin Core Metadata Initiative sous le contr le de I OCLC Office of Research amp Special Projects Ce sch ma de m tadonn es est compos de 15 l ments r partis en trois groupes contenu propri t intellectuelle instance de la ressource Ces l ments sont facultatifs et r p tables pour rendre l emploi aussi simple que possible Il s agit la fois d une simplicit de cr ation et de gestion des notices descriptives dans un environnement en r seau d une s mantique commun ment comprise et d une extensibilit vers des Dublin Core d clin s qui restent du Dublin Core au
72. TVER Lacan aa ea aurea a tte ERA eh ae a n e 47 Catalogues PMG IIe Stadt cat ate enr NOt uaa SR i Ut cu 47 Catalogues institutionnels de vente entente ne 49 3 2 2 Les livres en ligne eR RSR LEO ODE TOYE DOVE SUE ns ss INTE ISTE Ise 49 Trouver des ouvrages papiet nn rm enter reine tetes e 50 Chercher dans le texte des TION ta de 51 3 2 3 Comment les biblioth ques s y int grent 52 S r le chemin des iter AWtes seccrecccn nenen anak a a a 52 gt Dans des services eA S AIS 263 a els ils leo 53 Changements d outis irese ea ee a E cued E E T E Nr 54 4 L AVENIR DES CATALOGUES DANS LE CONTEXTE DU WEB 57 4 1 LES METADONNEES A USAGE MULTIPRE 2 088000 dant rte done te te SA 4 1 1 Catalogue des m tadonn es ann RAS letras fan es 57 S DETIMIN OI Saana a TREA TA AE A AATA 57 M tadonn es descriptives remaniement en 58 M tadonn es de Structure init de descchds jedncscadsanci se dedecs ca daaadsdatadecstece 59 M tadonn es administratives wii x tout ntm annot 59 4 1 2 Nouvelles r gles de cr ation des m tadonn es ccccce ce eeee cece ee teeeeeee tenes 60 gt D crire dans le document is feels ids ce e ad decd cedaccdecedace ler 60 L s possibilit s da RDA 5 icc nicsctceeieacacetiersiderieratartensntaisieiseaisaceaesisigieesasaaes 61 4 1 3 Adapter des sch mas de donn es d j existants 62 Dessch mas Je NUL ee de rer toner eA ie ere tend 63 La diff sion d D blin CORRE sn caro sare nn te
73. a 1 impliquait un index s par mat riellement sur le serveur contrairement son volution actuelle ou tout passe par le catalogue avec une recherche dans le plein texte des documents et les notices des documents de Gallica 2 combin e avec des crit res de pond ration selon la nature des termes trouv s avec une pond ration plus forte si le terme ramen est en champ titre ou auteur En ce sens le catalogue s adapte au catalogue num rique en alimentant le moteur de recherche externe La possibilit de rechercher dans le texte des ouvrages num ris s peut tre int ressante m me pour trouver des ouvrages papier C est la logique extr me de Google Books avec la possibilit de rechercher dans le texte d ouvrages sous droits dont on ne voit ensuite en ligne que des extraits avec a nouveau la question de la granularit de l information 348 Comme refNum la BnF 38 Voir Les m tadonn es du Records Management Intervention de Genevi ve Drouhet CG46 7 juin 2005 http www bnf fr pages infopro journeespro pdf AFNOR2005 MetadonneesRecMan pdf 30 Lupovicl Catherine Du catalogue informatis la navigation dans l information num rique In Revue de la Biblioth que nationale de France N 9 Le catalogue 2002 p 80 83 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Des choix importants Le choix de nouveaux modes de description de
74. acc s d j permis par le papier Rechercher dans le texte des livres ne s oppose donc pas au besoin d laborer des descriptions bibliographiques Bien au contraire cette possibilit cr e un besoin de balisage pour permettre l utilisateur d identifier rapidement les ressources pr sent es comme r sultat d une recherche et pour laborer des r ponses prenant en compte les ventuelles diff rences de pertinence entre les documents La fa on de concevoir intellectuellement la biblioth que change de fa on importante avec un nouveau mode d acc s aux collections y compris en vue de trouver des documents papier On peut en particulier citer les fonctionnalit s offertes par Google Scholar avec l interrogation des ressources de Google Books En effet il est possible d effectuer une recherche dans des contenus num ris s m me dans les ouvrages sous droits qui ne peuvent tre consultables librement pour des raisons l gales En ce cas le moteur les utilise pour l laboration des r sultats puis ne laisse lire que les extraits de passages contenant les termes Ce syst me puissant et utilis illustre le probl me commun des banques d ouvrages o les donn s virtuelles sont stock es mat riellement mais accessibles uniquement par le langage ce qui change la constitution intellectuelle de la biblioth que Surtout l int gration des ouvrages imprim s m me sous droits dans un mode d acc s en plein t
75. adata Encoding and Transmission Standard http www loc gov standards mets 77 Digital Item Declaration Language6 qui constitue en fait la seconde partie du standard MPEG 21 http www chiariglione org mpeg standards mpeg 21 mpeg 21 htm 75 Text Encoding Initiative http www tei c org 77 Metadata for Images in XML pour la description de images fixes http www loc gov standards mix 77 TEXTMD est un sch ma XML labor par la LOC pour la description d objets textuels http www loc gov standards textMD 778 Pour les m tadonn es techniques de vid os num riques http www loc gov rr mopic avprot DD VMD html 79 PBCore est un standard de m tadonn es et de catalogage utilis pour le broadcast http www pbcore org 280 Audio Technical Metadata Extension Schema http Icweb2 loc gov mets Schemas AMD xsd pour les Fichiers son 1 Mets rights http www loc gov standards mets mets extenders html 282 Open Digital Rights Language http odrl net 283 eXtensible Rights Markup Language http www xrml org XrML est issu du secteur commercial Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 64 un standard constitu de quatre sch mas XML Objects Events Agents Rights Il s agit d un dictionnaire de donn es permettant de les organiser Une rapport de veille technologique rendu en avril 20087 par le JI
76. age puisque le catalogue en ligne doit permettre l utilisateur de savoir s il est n cessaire de venir la biblioth que Cette fonction li e aux modules de circulation du SIGB a t mise en place dans la plupart des OPACs La possibilit de r server l ouvrage en est la suite logique Limit e aux lecteurs inscrits cette fonction est essentielle pour les ouvrages exclus du pr t La r servation en ligne fonctionne par exemple tr s bien pour les ouvrages de recherche la BnF On peut aussi afficher le suivi de l ouvrage par exemple en commande ou en restauration ce qui n est pas proprement parler une fonction pour le lecteur mais a presque ce statut lorsqu on utilise le catalogue Au del de ces fonctions simples la fa on d envisager les recherches est tr s li e aux choix strat giques effectu s par l tablissement Faciliter la recherche quels choix En premier lieu la biblioth que peut conserver un catalogue restant autonome mais rep rable par exemple sur le site de la municipalit d une biblioth que municipale Il est possible d effectuer un renouvellement graphique voire une r organisation de l ergonomie En ce cas l aspect de l interface est chang mais l OPAC conserve le m me statut Il peut de cette fa on fournir des services annexes par exemple avec des liens et des l ments cartographiques int gr s par des mashups Par exemple une proposition de catalogue du futur
77. ait ceux des biblioth ques Nous prenons donc ici la libert de d signer par le terme de catalogue dans son sens biblioth conomique pour d signer l ensemble des outils de recherche s apparentant aux catalogues de biblioth ques et aux services qui y sont associ s Catalogues th matiques Le premier exemple d instrument de recherche organis th matiquement est la liste de sites qu elle soit labor e de fa on institutionnelle ou collaborative Les annuaires avaient constitu un des premiers moyens d organiser la recherche d informations aux d buts de l Internet avec Yahoo depuis 1995 Ils ont trouv un cho dans divers domaines sp cialis s et en particulier dans le monde des biblioth ques se pr tant la fois la question de la validation des contenus et l clectisme des domaines couverts On peut citer les signets de la BnF un des premiers services de ce type mis en place Ces principes d laboration ne sont pas compl tement oppos s celui des moteurs puisque le crit re des liens tablis notamment depuis des annuaires intervient pour d finir la pertinence dans les algorithmes de classement des r sultats des moteurs avec la mise en place d une indexation de l Etat Civil par les lecteurs internautes http www lamayenne fr Sectionld 397 Des projets comparables existent aux archives Municipales de Rennes et aux Archives D partementales des Yvelines 185 LELOUP
78. algr l efficacit de ces portails on peut supposer que la plupart des internautes cherchent les documents dont ils ont besoin au travers d un moteur de recherche classique en se souciant assez peu de savoir o il est h berg Ce besoin d acc s au document lui m me peut correspondre aussi bien une recherche d un document particulier et d j rep r qu une recherche sur un domaine vague sur lequel on esp re trouver un document en ayant de la chance Ces deux approches sont compatibles si la recherche peut tre effectu e sans passer par une interface interm diaire avec un document rep rable aussi bien par le portail que par un moteur commercial Ensuite pour permettre au lecteur de d couvrir la biblioth que l adresse du lien peut appara tre au cours d une recherche par exemple avec un renvoi la page d accueil du document partir d un document texte trouv au cours de la recherche et surtout par un encadrement du document permettant de rebondir intuitivement sur une autre interrogation de la biblioth que num rique par exemple sur Gallica 2 ce qui permet au lecteur de trouver le portail d interrogation au hasard de sa navigation On sort ici de l opposition simple entre les concepts de pull et push puisque c est partir d une information explicitement recherch e que l on permet de rebondir sur un site institutionnel ou f d rateur ventuellement inconnu Ceci exclut la solutio
79. ans le cadre de manifestations par exemple en 2009 sur Handel et pour des anniversaires comme celui de Berlioz avec une exposition 368 A partir de Solon entrep t o sont collect es compl t es et conserv es les m tadonn es de droit 369 LELOUP Catherine Moteurs d indexation et de recherche environnements client serveur Internet et intranet Eyrolles 1998 370 AMAR Muriel Les fondements th oriques de l indexation Ed ADBS 2000 Voir La conservation et la num risation de la presse In Chroniques de la Biblioth que nationale de France Paris Biblioth que nationale de France 1998 n 47 janvier f vier 2009 p 5 9 372 On peut citer par exemple l int r t d Orange pour les fichiers d autorit s g ographiques de la BnF Worldcat identities http orlabs oclc org identities 374 Virtual International Authority Files http orlabs oclc org viaf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 81 Ces projets peuvent correspondre au d veloppement d algorithmes sophistiqu s s inscrivant ventuellement dans le futur d veloppement du Web s mantique On peut citer le projet r unissant l OCLC la DNB Francfort la Library Of Congress et la BnF pour l tablissement de renvois d autorit pour les auteurs physiques et les sites g ographiques plus tard avec un fichier central des autorit s entre catalog
80. ation des contenus des objets num riques progresse dans les ann es venir Les techniques d indexation des moteurs de recherche constituant des bases de donn es s par es avec les termes index s automatiquement a une double cons quence D une part les utilisateurs prennent l habitude d effectuer des recherches simples par mots cl s et d autre part l indexation automatique dans des contenus non normalis s rend n cessaire d adapter les catalogues dans le Web Il s agit de proposer une granularit des descriptions correspondant la pr cision de l information et aux types d acc s n cessaires selon les domaines et institutions Il s agit aussi de garantir la pertinence des points d acc s et de permettre la fois une recherche par champs et une pond ration des recherches plus g n rales en augmentant l importance des l ments contenus dans les champs valid s Ces volutions supposent une nouvelle fa on d envisager les donn es des catalogues 116 http infolab stanford edu backrub google html pr sentation par Sergey Brin et Lawrence Page 7 http www wikipedia org 118 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p p 289 290 1 VISE David A MALSEED Mark The Google story New York Delacorte Press 2005 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 2 4 2
81. automatis e comme dans Worldcat pour trouver une ressource pr s de chez soi Si l utilisateur cherche a l inverse les ressources qui se trouvent dans une biblioth que pr cise il peut toujours tre renvoy a l OPAC Le catalogue peut aussi s int grer dans un moteur de recherches f d r es par exemple sur un portail universitaire Ce type d outil n emp che pas l OPAC de fonctionner ind pendamment mais permet une plus grande visibilit Enfin le catalogue peut s int grer dans des moteurs g n raux de recherche sur le Web 2 5 2 Fournir les documents Les catalogues pour permettre d acc der aux documents doivent s adapter et reprendre leur compte diverses volutions r centes Acc der aux documents Dans leur fonction premi re les OPACS permettaient de pr parer une visite en biblioth que en rep rant les ouvrages que l on allait consulter Cette fonction change avec la possibilit d interroger plusieurs catalogues simultan ment qu il s agisse de vrais catalogues collectifs comme le SUDOC ou de catalogues f d r s permettant d interroger diff rents catalogues avec la m me interface comme le CCFR TEL ou le KVK Plus encore ce type de fonctions permet d int grer les catalogues dans des sites autres que ceux des biblioth ques Ainsi que Google books propose partir des notices d ouvrages de trouver ce livre pr s de chez vous ce qui met en uvre un
82. aux diverses tapes successives Versement stockage en silo et gestion des droits et acc s adapt e l volution des usages Des solutions techniques sont actuellement recherch es En outre un travail de normalisation des formats de stockage est men au niveau mondial avec l action du W3C de PIETF et de l ISO On peut mentionner par exemple le groupe WARC de la TC 46 TC 46 C4 sur les formats de stockage des donn es Web Avec la mise en place d une standardisation utilis e hors du monde des biblioth ques se pose la question de l utilisation des formats de l information bibliographique par les professions voisines En effet la n cessit de passer du MARC des sch mas de m tadonn es utilisant XML ne pose pas seulement des probl mes de choix des formats de co t de conversion des millions de notices et d adaptation des professionnels catalogueurs Il s agit aussi de savoir quel mod le de cr ation de l information bibliographique est mis en place En effet l interop rabilit avec les descriptions utilis es par les organismes producteurs et diffuseurs des ressources pourrait impliquer un changement important des habitudes de travail Un double travail L actuel travail de catalogage en biblioth que consiste essentiellement outre la d rivation l exemplarisation et le bulletinage recopier en les ordonnant de fa on structur e des informations pr lev es sur la page de titre d
83. avec par exemple l laboration de dictionnaires de m tadonn es comme ILL Z39 50 pour harmoniser les descriptions Ce metadata movement d passe les formats de l information bibliographique traditionnels puisqu une grande partie de l information bibliographique sur le Web est produite hors du monde des biblioth ques Le basculement vers un nouvel univers de recherche des ressources doit gaantir une interop rabilit des descriptions pour viter que les biblioth ques restent isol es en leur permettant d changer les donn es avec d autres communaut s Il s agit de permettre des applications ext rieures d utiliser l information bibliographique produite par les biblioth ques et inversement d utiliser des donn es ext rieures pour signaler les ressources des biblioth ques En particulier la place des nombreux acteurs tend se red finir en impliquant des difficult s nouvelles puisque le degr de disponibilit des ressources sur le Web est comparable malgr une visibilit diff rente Il serait donc inutile d y rendre deux fois le m me service en revanche le signalement est crucial y compris pour des approches diverses d une ressource identique De plus jusqu pr sent l ensemble des personnes avaient leur place avec des r gles et formats normalis dans les diff rentes professions Archives mus es biblioth ques A l inverse on volue vers un univers o les standards sont t
84. be rachet par Google en 2006 m ne pour une part une politique de r tribution a posterori des auteurs et pour une part de d dommagements dans un contexte judiciaire jug plus rentable que le tri qui n cessiterait des moyens permanents et importants et entra nerait un appauvrissement des ressources en ligne Chaque ann e 200 millions de dollars sont donc mis de c t pour des proc s ventuels Ces pratiques correspondant la l gislation am ricaine de l Opt out sont ill gales et actuellement impensables en France ce qui rend impossible de les utiliser en biblioth que 5 2 GERER LES DOCUMENTS La prise en compte commune de documents mat riels localis s et de documents num riques compl tement pris en charge entra ne une modification de l approche de la gestion des documents 5 2 1 Classer l immat riel De fait envisager une collection rep rable seulement par des langages de machines suppose des modes de description adapt s Tout doit tre dit De nombreuses informations implicites dans le domaine physique deviennent inexistantes dans le domaine num rique Par cons quent l acc s normal au document num rique suppose l ajout d informations de gestion comme l acc s restreint ou le retrait de la vente Ainsi les notes manuscrites ou pastilles des documents physiques correspondent des modes de gestion qui doivent trouver un quivalent dans 300 http www europeana eu 6
85. cacement aux recherches par moteurs de fournir des liens pour circuler entre les ressources et de permettre une appropriation au travers des nouveaux outils du Web en int grant ventuellement les usagers aux processus 3 1 3 Usagers des lecteurs catalogueurs L volution de l utilisation du Web implique des ressources num riques mises en ligne massivement un besoin de les d crire avec pr cision et une participation des usagers de plus en plus grande la production de contenus ou de descriptions Les biblioth ques peuvent y voir l occasion d adapter les descriptions aux usages en laissant les utilisateurs participer leur laboration Indexer selon les utilisations L id e d tablir une indexation en fonction des usages selon les demandes et non partir de listes pr d termin es est d j ancienne Difficile mettre en place elle a t essay e dans le domaine de l audiovisuel o l indexation des contenus est la plus d licate C est ainsi que INA a propos d s 1975 environ une indexation par mots mati res selon les demandes des personnes pour informatiser les bobines de t l vision C taient les questions de journalistes qui servaient tablir les termes avec une enqu te sur leur vocabulaire L id e d indexer partir de la demande et non partir des bobines trouva pourtant ses limites et le langage libre dut rapidement tre contr l la demande servant simplement
86. catalogues en ligne est donc de faire en sorte que les ressources pertinentes soient rep r es par un public dont les habitudes de recherche sont d j fix es 1 2 QUELS OBJECTIFS POUR UN CATALOGUE AUJOURD HUI Il ne fait pas de doute qu un catalogue disponible en salle de lecture sert essentiellement v rifier si la biblioth que d tient un ouvrage ou un type d ouvrage que l on recherche On parle bien ici de l outil permettant aux diff rents publics de rep rer et se procurer les documents Accessible sur Internet le catalogue standard conserve ces fonctions de d crire et identifier localiser et retrouver les documents Pourtant les objectifs des utilisateurs peuvent en ce cas tre bien plus nombreux Avec un catalogue en ligne on peut aussi chercher trouver un ouvrage incertain ou retrouver ouvrage connu Mais l internaute peut en outre chercher un ouvrage t l charger voire chercher simplement une information En ce cas le passage par l ouvrage lui m me est une tape jug e superflue On se heurte ici un des probl mes principaux des catalogues en ligne fournir une r f rence pertinente des utilisateurs qui n avaient pas forc ment pr vu au d part de faire appel aux outils d une biblioth que A ces objectifs multiples pourraient correspondre des outils multiples en fonction des usages vari s Pourtant cette adaptation ne saurait tre r solue par une prolif ration des Wenz Romain
87. ce des moteurs de recherche commerciaux les possibilit s de l OCR avec les recherches en plein texte induisent un nouveau rapport au livre num ris qui devient proche d une page Web classique En effet l indexation en full text ne correspond pas l utilisation d un vocabulaire contr l La question de la pond ration des r sultats dans les recherches en plein texte se pose donc avec la fois le calcul de pond ration faisant aussi intervenir les points d acc s norm s et l identit de la biblioth que au travers des documents consult s Par exemple Gallica 2 d ins rer les documents dans une interface particuli re signifiant la pr sence de la biblioth que num rique comme institution et de pond rer les r sultats des recherches en faisant intervenir le titre et l auteur plus que les occurrences dans le texte dans le calcul des r sultats L emploi combin de la notice et du texte int gral invite en effet privil gier les m tadonn es en ajustant l algorithme pour ne pas survaloriser les mots du texte lui m me La pond ration des m tadonn es suppose dans ce cas d adopter un r f rentiel compl tant par exemple les classifications Rameau et Dewey pour trouver un compromis entre la visibilit des ressources les mieux d crites et celle des ressources dont le travail de description a t moins approfondi La diversit des qualit s des types de description est en effet un probl me essentiel
88. ceton N J Oxford Princeton University Press cop 2006 LAUDON Kenneth C et al Management des syst mes d information Paris Pearson Education DL 2006 DL 2006 LELOUP Catherine Moteurs d indexation et de recherche Environnements client serveur Internet et Intranet Paris Eyrolles 1997 LE MOAL Jean Claude et al La recherche d information sur les r seaux Paris ADBS Ed 2002 PILLOU Jean Fran ois Tout sur les syst mes d information Paris Dunod 2006 VISE David A MALSEED Mark The Google story New York Delacorte Press 2005 Normes Association fran aise de normalisation Technologies de l information pour l ducation la formation et l apprentissage profil fran ais d application du LOM LOMFR M tadonn es pour l enseignement Information technologies for education training and learning french LOM application profile LOMPR learning metadata Informationstechnik fUr Erziehung Ausbildung und Lehre Franzosisches Profil ftir die LOM Anwendung LOMFR Metaden fur das Unterrichtswesen La Plaine Saint Denis AFNOR 2006 F d ration internationale des associations de biblioth caires et des biblioth ques Groupe de travail sur les sp cificit s fonctionnelles des notices bibliographiques Paris Biblioth que nationale de France 2001 http www bnf fr pages infopro normes pdf FRBR pdf pour la traduction du texte des FRBR Organisation internationale de normalisation Records manag
89. compris pour permettre l appropriation des ressources par les utilisateurs Changements d outils Dans l id e que les informations primaires et secondaires interviennent dans les normes de service et l valuation la qualit du catalogue fait partie du service Mais sa fonction d passe celle de l outil local de recherche topographique et de contenu C est non seulement un outil de proximit permettant de r server des places et des ouvrages ou de prolonger un pr t mais aussi un moyen de copier des documents libres de droits Cette possibilit de t l charger ce qui peut l tre pose des questions de gestion des ressources et de public puisque le catalogue n est plus sur le Web mais dans le Web s adressant non seulement aux chercheurs ou aux publics proches de la biblioth que mais potentiellement tous les internautes Les outils mis en place peuvent participer aux techniques de veille sur le Web et de validation des informations En particulier les outils de gestion des r f rences bibliographiques encouragent mettre en place des donn es collectables avec des balises compatibles et des donn es extractibles L int gration d outils collaboratifs permet la fois l am lioration par les utilisateurs participant la description des contenus et une forme d appropriation Enfin l interrogation des donn es peut tre regroup e avec un lien entre les institutions et 77 Par exemple la Johns Hopk
90. ctions ou de renvois entre les ouvrages Voir Des m tadonn es pour bien utiliser les ressources lectroniques Journ e d information AFNOR CG46 7 juin 2005 http www bnf fr pages infopro journeespro no Afnor2005 htm 7 Par exemple pour SPAR la BnF utilise des notices OAI pour cr er les fichier METS Statut de communicabilit dur e d utilit administrative et limination Voir RIETSCH Jean Marc et al D mat rialisation et archivage lectronique mise en oeuvre de l ILM Information Lifecycle Management Paris Dunod 01 informatique 2006 Comme le syst me SOLON de la BnF qui g re les droits d acc s aux documents num ris s avec des notices d autorit et un encodage des dur es l gales par exemple pour les auteurs morts pour la France 10 Voir la fiche pratique d sherber en biblioth que par St phanie David http www enssib fr bibliotheque numerique document 1735 mentionnant l int gration du d sherbage au plan de d veloppement des collections Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 28 Ces fonctions pourraient amener les catalogues a int grer des fonctions de gestion plus d velopp es ou en tout cas plus li es au contr le des documents 2 3 3 Une inertie prendre en compte Les volutions sont en partie conditionn es par les SIGB existant sur le march Contrats et habitudes M
91. d Caan arg sees wae ce tn Coss rece te 65 sE Open Archive Initiative acct A a aaa ds tt de 66 Rompre l isolement des DIbDHGtheQUes x as nn tan Aie dde 67 4 2 NOUVELLE ARCHITECTURE POUR LE CATALOGUE DE DEMAIN 68 4 2 1 Une sp cialisation n cessaire si sees Matane tee piment sert 68 Une standardisation Mondiale inner eae 69 Un besoin particulier de p rennit see ee nds nl 69 sU doubletravail Arsana AN E N ne de ne 70 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s SiS adapter AUS OP POD Suc en ea EE EEA EAEE note ETER SR 71 4 2 2 Les possibilit s du RDF ee hacer Note a leek tan akan eaten eed aoa os 72 Structurer l information en triplets ssh vacated vevapelesveiged in etes eds 72 Un travail hors des biblioth ques 24 8 TN nt 73 Le Web s mantique un grand catalogue 7 unir 74 5 CATALOGUE ET BIBLIOTHEQUE NUMERIQUE sssseesseseeeeneeeeeee eee 75 3 LUN OUTIL POUR TOUS LES SUPPORT Sx oere a a r Oa as 75 5 1 1 Un fichier de m tadonn es identifier et localiser 75 Des changements COMMUNS ee nee NS rt rte 75 Un autre univers s mantig Ron na Re RAR Lea fesse 76 Des CHOU Mp Or AN S TE AUS ee Cac al hated ei Ned kd od tld Sta 17 5 1 2 Les supports multiples des m diath ques virtuelles 77 Analogiques et num riques multiples et uniques 77 SATENETAUK et SP CIANIS S se nn NRA n s 78 Quelle
92. daptent pas ils peuvent devenir de simples instruments de localisation pour trouver dans un lieu des ouvrages d j connus l inverse d une participation aux r seaux d une information mondialis e Les id es et perspectives de solutions correspondent donc des attentes diverses selon les acteurs impliqu s et les types d usages auxquels ils souhaitent r pondre On a pu voquer au travers des diff rents projets d velopp s une partie des actions des principaux protagonistes que sont l IFLA PALA l OCLC la Biblioth que du Congr s le JSC la BnF AFNOR et l ABES Elles visent de fa on g n rale la f d ration des ressources et l unification des interfaces de recherche au travers de l interop rabilit des donn es Or pour les biblioth ques de lecture publique le catalogue est parfois per u comme un simple outil de gestion le mode de contact normal entre les lecteurs et les ouvrages tant le libre acc s ce qui correspond d ailleurs largement aux usages commerciaux Il ne s agit pas seulement de r pondre la demande des personnes non reli es Internet ou ne d sirant pas l utiliser mais aussi de fournir une offre sur place o le catalogue puisse tre consid r comme un simple outil de professionnels comme dans les circuits commerciaux de grande et petite distribution Ce qui n exclut pas justement la f d ration des interrogations puisque l ventuelle disponibilit de l
93. des descriptions sont abord es par exemple sur le sujet de l archivage du Web sur le records management et le Dublin Core en TC 46 Pourtant les catalogues ne sont pas normalis s au niveau international Le catalogague est donc normalis seulement au niveau national en CG 46 documentation de AFNOR pour la France s int ressant notamment aux catalogues de biblioth ques avec la CN357GE6 commission des normes de catalogage 3 Association des biblioth caires Fran ais http www abf asso fr http www bnf fr pages zNavigat frame infopro htm ancre normes no isbd htm 3 http www afnor fr portail asp C est ainsi que les multiples ISBD relatifs des documents sp cifiques ont t adapt s par des normes AFNOR correspondantes Cf Annexe 1 7 Par exemple la FD Z44 050 Norme fran aise de catalogage transposant l ISBD Technical Committee 46 TC46 comit de PISO responsable de toutes les questions relatives l information et la documentation Ainsi la norme ISO 4689 sur le records management utilis e notamment en Australie et dans le sud est asiatique int resse tout fait la gestion de documents num riques natifs Li au CM11 sur le Records Management 3 Mod lisation production et acc s aux documents groupe d experts 6 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 18 Ces commiss
94. des supports disponibles en biblioth que la num risation revient paradoxalement rendre accessibles des contenus de diverses natures sous une seule forme lectronique Il faut que le mode d acc s uniformis au travers d un instrument de recherche unique permette de faire face la multiplication des contenus 32 http calames abes fr 3 DEMPSEY Lorcan Lorcan Dempsey s weblog On libraries services and networks http orweblog oclc org 34 Par exemple sur http www fnac com il n est pas possible d effectuer une recherche multi supports 355 Maquette d Europeana labor e par la BnF http maquette bnf fr labs scenario Europeana demo html 36 Voir PAPY Fabrice Au del de la transfiguration du catalogue Le visual catalog BBF 2005 n 4 p 5 12 http bbf enssib fr 37 Comme Jubil pour Paris 6 Jussieu avec la Jubiloth que http jubil upmc fr ou le site de Rennes 1 http www univ rennes1 fr themes cultureEtDocumentation 8 par exemple Rennes 1 avec des ouvrages sous droits http www scd univ rennes1 ebook dans le programme de l Universit Num rique en R gion Bretagne http unrb univ bretagne fr 39 http autonomy bm lyon fr retina public login do username guest amp password guest Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 78 Droits d auteur r serv s On peut ainsi imaginer une volu
95. disation par le W3C Mais il est videmment n cessaire de s adapter aux usages sp cialis s C est ainsi que l ISO 23083 pr conise une sp cialisation des m tadonn es selon les secteurs pour r pondre la diversit des besoins A titre d exemple de format d velopp pour un contenu particulier de ressources on peut citer le LOM Learning object metadata d crit depuis 2002 sur le site du W3C Ce sch ma de m tadonn es permet la description de ressources p dagogiques notamment pour l interop rabilit des bases de donn es afin de trouver et changer les ressources Le LOM n est pas normalis au niveau mondial bien que la version Lom fr soit normalis e AFNOR Il est notamment utilis par Formist gt Au travers de cet exemple l aspect important est la standardisation mondiale par le W3C y compris dans des domaines sp cialis s int ressant tout fait les biblioth ques par exemple sur les requ tes en XML qui est d j utilis entre autres par Open Content Alliance pour l dition en ligne des ouvrages Un besoin particulier de p rennit M me en se conformant aux mouvements de standardisation mondiale pour garantir l interop rabilit des donn es diverses solutions sont labor es Il s agit en particulier de sauvegarder durablement les donn es en garantissant la p rennit des m tadonn es Il est n cessaire d identifier de fa on unique les objets dans l archive ca
96. dissociables la fois en raison de l utilisation possible des ressources et du fait de la participation b n vole des utilisateurs pour la cr ation d instruments de recherche Changements de contenu La participation des utilisateurs est un l ment essentiel de l volution du Web la fois pour la production des contenus et pour la description des ressources Cette participation semble int ressante pour les biblioth ques la fois pour se rendre visible sur les sites concern s en offrant le service le mieux adapt et pour utiliser la puissance de travail que repr sentent les internautes 7 Cette adaptation du travail des internautes prend principalement la forme des folksonomies mot valise de folk et taxonomy c est dire de l indexation des contenus effectu e par les utilisateurs Il s agit du mode habituel d indexation libre par des mots cl s ou tags utilis notamment pour les sites dont les utilisateurs 174 ELIE Jean Philippe Tout sur les outils Google Op Cit par exemple define site 15 On a m me pris l habitude de mentionner constamment les blogs dans les bibliographies professionnelles en raison de leur qualit d outil de travail 17 Voir LEBRETON Claire Biblioth ques tags et folksonomies L indexation des biblioth ques l re sociale M moire ENSSIB 2007 117 p 1 PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques de
97. dle MPEG 21 Ce qui peut r pondre l empilement de diff rents niveaux pour certains objets comme par exemple un coffret de disques d int grale ou de compilation comportant les disques eux m mes avec au moins trois niveaux de description On peut alors utiliser une notice g n rale en Dublin Core et Diddle pour r pondre l empilement des niveaux Ces proc d s sont d j mis en place la BnF mais fonctionnent mal en MARC avec des sous notices ANL analytiques et des avec notices m res Il est donc essentiel d utiliser des solutions XML pour pouvoir utiliser efficacement les diff rents niveaux de description Rompre l isolement des biblioth ques Pour exposer les donn es de fa on efficace dans le Web il est n cessaire de traiter les l ments de notices comme des m tadonn es part enti re Les anciens mod les de Search and Retrieve avec les protocoles de recherche synchrone dans des bases de donn es fonctionnant diff remment comme le Z39 50 sont encore utilis s Mais ils ne sont efficaces qu en connaissant d j les outils et l objet recherch par exemple pour un catalogueur sous WinIBW La recherche en temps r el pourrait sembler sup rieure aux moissonnages intervalles fixes du PMH ne permettant que d acc der de fa on asynchrone des tats fig s Ce qui 300 Centre de ressources num riques de l Ecole nationale des Chartes et de l Institut de Recherche en Histoi
98. e les logiciels utilis s ne traitent que l XML En outre l information structur e permet l application d un algorithme de pond ration comme l application d une pond ration forte pour l auteur et titre dans Gallica 2 Cet atout de l information structur e pour la pertinence des r sultats est comparable quel que soit le type de ressources Par cons quent des 265 Cit s par exemple sur http www ifla org Il metadata htm avec entre autres DC VRA MODS ONIX EAD TEI Header LOM MPEG 7 MarcXchange ISO 25577 2008 http www iso org iso fr iso_catalogue catalogue_tc catalogue_detail htm csnumber 43005 257 Correspondant la zone et sous zone 28 Comme nous l avons vu il s agit notamment de MARCXML format MARC21 en XML labor par la Biblioth que du Congr s de MODS MADS eux aussi labor s par la Biblioth que du Congr s et bas s sur MARC21 de XOBIS un format original mis au point par la Biblioth que M dicale de l Universit de Stanford d ONIX par les diteurs am ricains notamment et de BiblioML en France UNIMARC en XML labor par le Minist re de la Culture et int ressant principalement la France 2 http www loc gov standards marexml marcxml survey php 70 L InterXMarc labor par des informaticiens pour r pondre au besoin technique d appliquer une feuille de style XSL la notice en Intermarc et aux donn es locales pour g n rer une notice dans un format X
99. e nationale de France no 9 2002 p 80 82 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s La plupart des biblioth ques utilisent des formats r gis par des normes pour les catalogues informatis s Pour la coh rence et la qualit du catalogue il faut permettre l acc s aux donn es par les lecteurs et les changes la fois pour l interop rabilit et pour la r cup ration de notices En outre la conservation de donn es suppose la p rennit des formats et des donn es Avec le d veloppement des catalogues collectifs et l habitude de chercher des notices d j produites comme celles de la BnF avec le d p t l gal les petites biblioth ques non responsables des notices bibliographiques et d autorit interviennent seulement sur troisi me type de notices les notices exemplaires avec les donn es locales Il s agit des fonctions de localisation avec une cote un code barre et d informations diff rentes comme l tat de disponibilit l tat de collection et des donn es d exemplaires ventuelles Avec le d veloppement d outils centralis s de production de notices le travail intellectuel de catalogage au niveau local tend se limiter aux informations li es la gestion du document Des fonctions de gestion Ces fonctions sont habituellement prises en charge par des modules du SIGB II s agit principalemen
100. ects techniques de source de droits et de 38 Voir Emmanuelle Berm s Les m tadonn es la Biblioth que nationale de France Une vue d ensemble Diaporama 13 05 2005 http cdsweb u strasbg fr MDA mda ontologies BNF_CDS20050513 ppt En g n ral page apr s page 0 Notamment au moyen de tables et d index 1 Ainsi le METS permet de superposer plusieurs cartes de structure dans la section Structmap alors que le MPEG 21 DIDL a une structure unique en poup es russes Par exemple un titre de p riodique une monographie en plusieurs volumes un document multim dia multisupports 28 Par exemple une collection de p riodiques Comme la monographie le volume de monographie en plusieurs volumes le fascicule de p riodique 7 Pages dans un livre pistes d un CD Dans le cadre de l impl mentation du METS la BnF pour SPAR ces quatre niveaux de granularit s sont d sign s sous les termes de set group object et file avec une carte de structure structmap int grant les fichiers de structuration de production avec les l ments de renvois dans refNum avec des donn es de production bibliographiques et les informations pour l archivage des donn es Voir Marie Elise Freon Journ e d information AFNOR CG 46 7 juin 2005 Les m tadonn es de preservation Journ e d information AFNOR CG 46 http www bnf fr pages infopro journeespro pdf AFNOR2005 Metadonneespreservation pdf
101. edevel edavasins 35 2 32 Fournir les documents e ssori nin na as i tales e aa va dad a aa te 36 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Acc der aux COCUMENIS Hic cccciccceccccecccccdevcssccvaveteccveceduvcsecesevetscevavesecadatesevcseses 36 gt Rechercher dans les documents snide ne eda atldeeats eds ue leet cadens 37 3 LES USAGES DES INTERNAUTES ET LEUR IMPACT SUR LES CATALOGUES siccscdscccncctecenedascccseucsensseadeencseecscacsedcseasdoecseaceeecsiacsedcaeeesenescacdededencdecede 38 3 1 ERGONOMIE DU WEB ET ACCES AUX RESSOURCES 38 3 1 1 Les moteurs pour la recherche d information 38 gt Demo vea x utils eyen re rr e E E E ENEE E area 38 D MOUVSIISS WG BIL CS Lee ere nie ne E a 39 sUnelogiqguede MASSE anne etant ten tasted Cadre a aa aaa 39 3 1 2 Consultation en ligne et t l chargement 41 OMS UE D ETE E E E E 41 Culture gratuite et imm diate en dans nintendo 41 3 1 3 Usagers des lecteurs COLGIOOUCUIS i c2cs fr ieee Ee 42 Indexer selon les utilisations 42 Web 2 0 changements d usages Tsikot a a a edt eet ats 43 SHC hang ements de public Tereon eaei ee E patents EE TA neta rau elias 44 Changements de contenu ssssssesessseeressstersssstresssreresssrersssserrssseeressseeressse 45 3 2 DES CATALOGUES SUR LE WEB HORS DES BIBLIOTHEQUES suisses 47 Be TOS CO IGlOOU ES DI
102. elationnelles il n est pas exclu de permettre d extraire les donn es qui y correspondent notamment pour les petites biblioth ques d rivant les notices de la BnF De ce fait le changement de la BnF vers un format en RDA n exclurait pas que des produits puissent tre livr s en UNIMARC ou en INTERMARC voire en Marc 21 dans le cadre d une coop ration avec l OCLC Bien que l utilisation de donn es en XML soit d licate pour le moment il est important de conserver cette id e de cr ation des donn es en r cup rant des donn es cr es ailleurs et assembl es dans un nouveau produit en utilisant un mash up Il est en effet n cessaire de concilier des volutions dans le contexte du Web avec l adaptation de sch mas existants 4 1 3 Adapter des sch mas de donn es d j existants Le choix du format est essentiel pour tout projet de conversion r trospective de cr ation ou d volution d outils de description bibliographiques Il faut concilier les particularit s des collections d crites les usages sp cifiques que l on pr voit les possibilit s d exploitation par les syst mes informatiques et l interop rabilit avec les outils auxquels les descriptions doivent pouvoir tre int gr es Les sch mas de m tadonn es les plus employ s pour les collections de biblioth ques sont tous con us en XML et il convient d observer comment les outils peuvent voluer vers une visibilit plus large et un d sencla
103. ement processes metadata for records Part 1 Principles Processus de gestion des enregistrements mEta donnEes pour les enregistrements Partie 1 Principes Geneva ISO 2006 PERIODIQUES SPECIALISES Articles de p riodiques papier BAZIN Patrick Apr s l ordre du livre In DEBRAY R gis M dium transmettre pour innover Paris d Babylone 2004 2005 n 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 98 Droits d auteur r serv s FRESSARD Olivier BU de Paris VIII St Denis L esprit du num rique biblioth ques num riques et d mocratie In PAPY Fabrice Usages et pratiques dans les biblioth ques num riques Paris Herm s science publications Lavoisier 2007 p 123 143 LUPOVICI C Du catalogue informatis la navigation dans l information num rique Revue de la Biblioth que nationale de France no 9 2002 MARCIN Susan MORRIS Peter OPAC the next generation placing an encore front end onto a SirsiDynix ILS In Computers in librairies Ressource lectronique Westport CT Meckler 1989 Mai 2008 Articles de p riodiques en ligne Computers in libraries Ressource lectronique Westport CT Meckler 1989 Passim Bulletin des Biblioth ques de France http bbf enssib fr Consult s en D cembre 2009 et particuli rement BERMES Emmanuelle Les moteurs de recherche petit pr cis de m canique a
104. ent sont cit s ce qui avait du sens pour des fiches papier mais est inadapt a l informatique Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 16 L IFLA a entrepris en 2003 un projet de fusion de tous les ISBD en un seul ISBD Cet ISBD consolid publi en 2007 par l IFLA propose de traiter l ensemble des documents avec un seul mod le ISBD Nouvel ISBD nouvelles AACR L ISBD consolid fusionne tous les ISBD en un seul pour permettre une internationalisation des r gles Les nouveaux principes d crivent toujours le pav bibliographique ISBD comme l ensemble des donn es bibliographiques qui identifient une ressource mais pr sentent plusieurs changements Ils couvrent tous types de documents quels que soient leur contenu et leur support ils permettent des acc s par notices d autorit s ou par sujets et ils pr voient que le catalogue int gre des fonctions permettant de rechercher le m me type de donn es selon la nouvelle analyse th orique du mod le FRBR Il s agit par exemple de trouver toutes les ressources correspondant une m me uvre une m me expression ou une m me manifestation Ou de rechercher les uvres d une m me personne ou collectivit ou sur un sujet voire selon d autres crit res comme la date le pays ou la langue Parall lement la r vision de l ISBD les AACR
105. es C est ainsi que depuis 2002 plusieurs SIGB permettent l int gration de collections num riques avec des syst mes diff rents Cette volution vers une biblioth que hybride provoque l volution des instruments de recherche et de gestion On se heurte en particulier l ambivalence entre une production bibliographique de plus en plus adapt e aux documents num riques et une masse de donn es valorisables en Web avec une structure s mantique la fois pour les auteurs et les notices bibliographiques En d autres termes les possibilit s techniques offertes par le Web laissent entrevoir des 1I Par exemple KOHA adopt en France par la biblioth que de l cole des Mines mais aussi Evergreen et PMB Voir D ployer des solutions Open source dans les biblioth ques centre de documentation et services d archives 13 novembre 2007 http www bnf fr pages infopro journeespro jp_opensource htm SCOPSI Claire SOUAL Laurent FERRAILLE Jean Fran ois Mener un projet Open Source en biblioth que documentation et archives Paris Ed du Cercle de la librairie 2007 Par la soci t Isra lienne Ex Libris 103 Notamment Aleph Ex Libris Koha Serials Solutions SirsiDynix avec l int gration d outils de gestion existants Encore Innovative Interfaces Primo Ex Libris Voir BROPHY Peter La biblioth que hybride BBF 2002 n 4 p 14 20 http bbf enssib fr Le Joint Information Systems J
106. es publications et autres sources prescrites Par ailleurs l actuel travail de publication y compris pour des ressources papier implique l laboration de fichiers informatiques avec ventuellement la production de m tadonn es exprim es en XML utilisant par exemple la DTD ONIX peu r pandue en France mais employ e notamment aux Etats Unis et utilis e pour les catalogues de diffusion commerciale des ouvrages Cette double cr ation de l information bibliographique semble redondante du fait de l interop rabilit possible entre les donn es Il serait donc tentant d imaginer par exemple que les diteurs d posent leurs publication au format lectronique au r gime du d p t l gal et permettent d utiliser directement les donn es de la page de titre voire de reprendre les m tadonn es d j tablies Ce mod le de production de l information bibliographique supposerait que les anciennes agences bibliographiques nationales centralisent diff remment l information dans le cadre des activit s d dition l diteur d poserait les ouvrages en fournissant des m tadonn es en XML que les catalogueurs transformeraient pour obtenir une notice bibliographique int grant les divers types de m tadonn es et associ e aux divers renvois d autorit s Ces donn es seraient ensuite fournies aux autres biblioth ques D un point de vue technique la Library Of Congress propose d j des passerelles entre ONIX e
107. est de s en servir pour des requ tes d exploitation du contenu s mantique avec SPARQL qui est le langage con u pour interroger les entrep ts RDF Ce protocole de requ tes est normalis par le W3C contrairement au SQL pour les bases de donn es relationnelles Avec SPARQL il n est pas n cessaire de conna tre la structure de l entrep t pour pouvoir l interroger Encore jeune le RDF est en volution Surtout il est d licat de savoir dans quelle mesure son utilisation serait pertinente en biblioth ques puisque sa mise en place n cessiterait une implication forte de l tablissement et une certitude de la pertinence de tels choix par rapport aux d veloppements g n raux du Web Un travail hors des biblioth ques Les difficult s pos es par les catalogues sont souvent li es aux moyens technologiques qui supportent mal les volumes trait s L volution vers de nouvelles technologies avec de nouveaux syst mes pose donc un probl me de choix d adaptation et de moyens Or les moyens d ploy s par les biblioth ques peuvent difficilement atteindre la puissance d ploy e par les groupes de travail du W3C sur les volutions informatiques fondamentales Ainsi un groupe r unissant plusieurs acteurs principaux a d fini le DOM une application RDF permettant de g rer les documents et d y naviguer 35 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique Op Cit p 204 Mais la r ificatio
108. eur r serv s 91 biblioth ques ou des autres professions du commerce du livre utilisant elles aussi des donn es bibliographiques Pourtant les volutions du Web court terme rendront probablement n cessaires des volutions allant bien au del des fonctionnalit s int grant les usagers et des formats changeables en XML En effet il est possible que les changements des modes de description li es aux innovations s mantiques rendent les m tadonn es et traitements secondaires des informations plus n cessaires que jamais tout en posant une seconde fois la question du lien entre documents physiques et num riques qui chapperont alors aux institutions quels que soient les possesseurs des fichiers Mais par la masse documentaire qu elles repr sentent les biblioth ques peuvent tre un des acteurs majeurs de la r alisation du Web S mantique Voir PATINO Bruno rapport remis madame Christine Albanel ministre de la culture sur le livre num rique 30 juin 2008 http www culture gouv fr culture actualites conferen albanel rapportpatino pdf 80 C est en tout cas la vision optimiste de Christian Faur http www christian faure net 2006 04 22 puissance des bibliothcaires Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 92 Bibliographie BIBLIOGRAPHIE sienne 93 MONOGRAPHIES ii du aisance ds aan dites ec nd
109. eurs habitu s fr quenter une biblioth que que dans le cadre de la lecture publique il est donc important de conserver un outil qui corresponde des demandes pr cises des internautes Comme dans les catalogues commerciaux comparables il est important que le catalogue de biblioth que pr sente les deux avantages d tre pr cis et efficace quand on l utilise en tant que tel et d tre facile trouver sur les moteurs de recherche Pourtant l apparition dans les r sultats des requ tes simples sur des moteurs pourrait sembler hors de propos quand il s agit de biblioth ques physiques Dans la mesure o ce service ne tient pas compte de la localisation de l utilisateur et o il s agit d ouvrages physiques peu rares cette pr sence peut constituer du bruit et polluer la recherche La question des objectifs est donc cruciale l id e de se faire voir et d attirer les lecteurs n a de sens que si cela leur permet de mieux r pondre leurs besoins En l occurrence il pourrait s agir la fois d une r ponse technique int grant la localisation de l utilisateur ou plus simplement d un renvoi permettant de trouver un service comparable pr s de chez soi Cette possibilit de navigation entre les sites est essentielle pour rendre utiles les ressources dont les biblioth ques proposent une description en ligne La question est comparable pour l acc s aux ouvrages num ris s que nous d crirons plus tard Il
110. exte encourage chercher d abord sur Google puis localiser ventuellement des exemplaires C est l qu interviennent les instruments de recherche des biblioth ques pour signaler la pr sence des ouvrages partir des moteurs 20 Par exemple les 30000 contrat avec Jouve et avec Safig la BnF 710 Larousse en ligne sur http www larousse fr 711 http scholar google fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 3 2 3 Comment les biblioth ques s y int grent Dans ce contexte les ressources des biblioth ques peuvent tre mise en valeur autrement que par leurs OPACs Il s agit de se situer sur les chemins de navigation des internautes de traiter efficacement la diversit des ressources et d utiliser les nouveaux outils Sur le chemin des internautes Etre visible sur le parcours des internautes peut supposer des d marches diverses appara tre dans les moteurs dans les applications Web ou dans les circuits commerciaux de recherche d ouvrages M me le plus grand service de catalogue au monde OCLC estime que les moteurs constituent d sormais un moyen normal pour trouver des livres De cette fa on des accords existent entre des catalogues ou aggr gateurs comme OCLC et des moteurs dont Google et Yahoo pour tre bien index s par ces moteurs et permettre d tre visibles pour des flux d internautes important
111. ge de signets au nom humoristique de del icio us est devenu delicious com nom plus insipide mais plus simple plus accrocheur que la plaisanterie technique On peut y voir l adaptation un public moins connaisseur utilisant les m mes outils du fait de leur simplification Voir Delicious Chrome et quelques r flexions sur les URI http www figoblog org node 1928 15 Google Chrome http www google com chrome hl fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 44 informatiques Cela n exclut pas la participation aux contenus par des interfaces simples mais cela suppose un int r t pour le fonctionnement des outils C est a cette d marche que r pondent les modes de recherche avanc e de Google avec la possibilit de saisie manuelle de commandes plus compl tes que les op rateurs bool ens simples de l interface graphique On peut en tirer l id e que formuler une recherche saisie manuellement et utiliser des op rateurs sera peut tre de plus en plus intuitif du moins pour les lecteurs habitu s effectuer des recherches en ligne De cette fa on l cart entre les n ophytes et les amateurs clair s se creuse probablement y compris parmi les internautes dispos s participer aux contenus Il faut aussi prendre garde aux pr suppos s qui peuvent na tre de notre propre participation Internet On peut remar
112. ge reconnu par l IFLA La Biblioth que du Congr s en assure la maintenance avec le MARBI Les deux principaux formats utilis s aujourd hui sont donc le MARC 21 et l UNIMARC Etant un produit Anglo saxon le MARC21 est tr s li aux AACR2 5 Voir Annexe 1 l adaptation des ISBD en UNIMARC 5 dition fran aise F d ration internationale des associations de biblioth caires et des biblioth ques Comit fran ais UNIMARC Manuel Unimarc format bibliographique M nchen KG Saur 2007 et mise jour sur le site de la BnF http www bnf fr pages infopro normes no unimarcb htm Permanent Unimarc Comitee depuis 1991 http www ifla org VI 8 puc htm Le programme ICABS de l Ifla IFLA CDNL Alliance for Bibliographic Standards http www ifla org VI 7 icabs htm 5 Syst me Universitaire de DOCumentation le catalogue des biblioth ques de l enseignement sup rieur http www sudoc abes fr 5 Comit Fran ais UNIMARC participant au Permanent Unimarc Comitee Le CFU a son propre site Web http cfu enssib fr et r pond aux questions des utilisateurs Aussi bien notices bibliographique que d autorit http www bnf fr pages zNavigat frame infopro htm ancre normes no acuni htm Et en ISO 5426 criture en caract res latins et diacritiques ou en UNICODE UTF8 toutes critures pour le codage des caract res l Notamment quelques biblioth ques de pr t de Paris et biblioth ques m
113. h que puisqu on y pr voit une utilisation conjointe de descripteurs libres et d une arborescence fixe de classement la fois typologique et th matique 88 http www delicious com delicious a chang de nom septembre 2008 Voir http www figoblog org node 1928 Delicious int gre les popular tags les plus souvent propos s par les utilisateurs dans les recommended tags propos s au moment de la sauvegarde d une URL dans ses signets http del icio us help tags cit par PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques de masse M moire ENSSIB 2007 85 p http www digg com http labs digg com LEBRETON Claire Biblioth ques tags et folksonomies L indexation des biblioth ques l re sociale M moire ENSSIB 2007 117 p 3 http www ebay fr http www priceminister com Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 48 Catalogues institutionnels de vente Pour de nombreux magasins et enseignes commerciales le catalogue en ligne est un moyen d acc der a une description des produits et un reflet de l activit de l entreprise Ce double reflet des ressources et de institution est identique pour les biblioth ques Le premier l ment d volution des catalogues commerciaux en ligne est souvent l int gration du client Ainsi de nombreuses possibili
114. hangements du march du livre y compris avec le d veloppement d une offre lectronique o s affirme l h g monie de Google Comme on a pu l observer r cemment dans le rapport Isaac remis madame Val rie P cresse sur l universit num rique qui montre une grande confiance dans l efficacit des ressources num riques la l gitimit et l int r t de l offre semblent ne jamais tre remis en cause m me au travers de d veloppement parfois anarchiques alors qu une biblioth que num rique n est pas une biblioth que num ris e Cependant outre l aspect id ologique de la croyance en un passage forc ment souhaitable un monde num rique on peut observer que le mode d accueil du lecteur est radicalement chang dans l id e que m me des sites nationaux importants comme Revues org et Cairn sont peu connus par leurs utilisateurs potentiels Le signalement des ressources num riques suppose donc une adaptation au Web plus profonde que la simple int gration de liens depuis les outils de recherche traditionnels 2o DUCHEMIN Pierre Yv L enrichissement des catalogues Et apr s BBF 2005 n 4 p 21 27 21 VERNEUIL Anne L avenir des biblioth ques l re du Web 2 0 et face aux volutions d Internet BBF 2007 t 52 n 5 p 93 94 2 PAPY Fabrice CHAUVIN Sophie Au dela de la transfiguration du catalogue le Visual Catalog BBF 2005 n 4 p 5 12
115. het et Am lie Church l avenir des biblioth ques l heure du Web 2 0 o l interrogation sur les technologies prend nettement la forme d une inqui tude Il peut aussi s agir d une simple volont d adaptation la biblioth que 2 0 r pondant au Web 2 0 en cherchant selon Emmanuelle Berm s renouveler les technologies les pratiques les services et finalement l esprit de la biblioth que En pratique le terme de Web 2 0 est souvent utilis pour d signer un ensemble d applications qui sont en fait tr s vari es du point de vue du biblioth caire Il s agit de ressources propos es par des usagers d indexation de signalisation ou d valuation par des usagers de visibilit des usagers avec des profils personnels les r seaux sociaux d outils de veille automatique comme les flux RSS et agr gateurs de liens Ces aspects convergents posent des questions d utilit et de l gitimit variables Si la l gitimit de l intervention des biblioth ques publiques dans les outils de veille documentaire est incontestable en elle m me la mise en application reste parfois discutable D une part l apport des nouveaux services peut tre maigre par rapport la masse d informations disponibles sur le Web d autre part la participation des services d j existants constitue une forme d encouragement partir du moment o l on d veloppe des out
116. i ee beets ss Sel aa a a a 24 2 3 DES SYSTEMES DE GESTION DE BIBLIOTHEQUE cccccccsceecesceecssusseseecesseseueceseuss 25 23 Des OU techniques ier iaa a EAE E E RS CTTI AeA 25 L origine de PIS EMATIS ATOME nn done 25 acces surle Websense Se en nn R con aarti eee ean TUE 26 FATTO OT ARON at Web ee dede dicen entente een nt dant sn EN 26 A DES moyens LEDs TO Manette die ie E E TRS TER Rite di Re 27 Le CITCUIt CU doE MENT essieu E Ero 4 27 Des fonctions d pesto issue inst es 28 2 3 3 Une inertie prendre en compte vost a ienio ade scullsdeekselndeescusessasueencdetacsaenbanian 29 Contrats et habitudes isecen can qd gas dt en EEEE EEA aati ESEAS 29 Wes changements RA E EE E EE 29 2 4 DES SYSTEMES D INTERROGA TION tt CAR Re ete PAR CAR cet at de 30 DL Indexer les Champs EEE NE MR AS NRA NN TN MEME de 30 Une expertise ANCIENNES nr a ne ect 31 Valider Ie termes Loan ne fret Re Le Rte Re frs 31 L indexation par des TODOS Sn A en et aa 32 PARLES PR aaen A E O e E E A e a te 33 Une nouvelle analyse th orique Lane anotnevousweereheduiwctidoteneheucdaes 33 Repenser des donn es identiques 5 icccc s ssciccdsssceccdasssinedanetsiedcanessadsanctsedenas s 33 2 5 DES INTERFACES HOMME MACHINE en ent LA te An A en tnt ten ne 34 29 A App rence CF CFOONOMIC Sn Na santa alt E tt 34 lt Plated UNIS ave ST RS TR Se eee ea aie ieee tarde ence a aat 34 Faciliter la recherche quels choix Pons ed din cscs vecenadavacin
117. i y voient une compromission des biblioth ques avec le secteur commercial effectivement parfois surprenante en l absence de charte documentaire A la BnF l OAI CAT expose BNOpale et OAI NUM contient les notices des documents num ris s Pr sentation du protocole Sitemap l adresse http www sitemaps org 407 Voir PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques Op Cit 8 Par crainte du m ta spam informations fausses pour induire en erreur et du m ta crap informations introduites par erreur par exemple instructions de r alisation laiss es par le catalogueur 40 Elsevier notamment http www elsevier com 410 Avec l action de l ABES et la BIMP liste collaborative par Archimed g r e par Ebsco 41l Agr gateur de ressources lectroniques qui n gocie avec les diteurs Masson Hachette EDP sciences http www numilog com accueil asp 42 De plus en plus nombreux car les diteurs veulent plusieurs distributeurs On trouve en liste sur http www bnf fr PAGES catalog gallica2 distributeurs htm Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Un catalogue de lecteurs A Vissue des essais de la maquette Europeana une enqu te d usages effectu e aupr s des utilisateurs et s int ressant notamment la pertinence de mettre en place un espace collaboratif avait montr un d sacco
118. iation des archivistes fran ais 2007 BENAYACHE Ahc ne ABEL Marie H l ne Construction d une m moire organisationnelle de formation et valuation dans un contexte e learning Le projet MEMORAe Compi gne 2005 BOULOGNE Arlette Vocabulaire de la documentation Paris ADBS Editions 2004 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 93 BERISHA BOHE Suela Syst me d aide l utilisateur pour la conception de documents scientifiques adapt s la recherche d information par le contenu cas des biblioth ques num riques de th ses scientifiques Lyon CNAM 2005 DE ROSA Cathy et al The 2003 OCLC environmental scan pattern recognition a report to the OCLC membership Dublin Ohio OCLC Online Computer Library Center Inc 2000 GALAUP Xavier LAHARY Dominique L usager co cr ateur des services en biblioth que publique l exemple des services non documentaires Villeurbanne ENSSIB 2007 HUDRISIER Henri L iconoth que documentation audiovisuelle et banques d images La Documentation fran aise collection audiovisuel et Communication 1982 LEBRETON Claire Biblioth ques tags et folksonomies L indexation des biblioth ques l re sociale M moire ENSSIB 2007 117 p LUPOVICI Christian L volution du r le des biblioth caires et documentalistes dans le cadre de la biblioth que num rique In Le
119. ick Apr s l ordre du livre In Medium Dir R gis Debray Ed Babylone 2005 n 4 0 A FOX Edward SULEMAN Hussein LUO Ming Building digital libraries made easy toward open digital libraries In Digital libraries people knowledge and technology Lecture notes in computer science n 2555 2002 42 NAWROCKI Fran ois Le protocole OAI et ses usages en biblioth que Paris Minist re de la culture et de la communication 2005 http www culture gouv fr culture dll OAI PMH htm 403 http www oaister org http hal archives ouvertes fr 4 4 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 86 permettre la cr ation d entrep ts OAI avec une dissociation entre les catalogues et les tas 405 documents num riques Par des pages Html Les documents num riques ne sont en pratique accessibles pour l utilisateurs qu au travers de moteurs de recherche commerciaux ou internes En ce sens l volution des catalogues vers un mod le FRBR cr e un besoin de g n rer des pages Html qui soient simples indexer L information bibliographique peut dans ce cas tre int gr e sous la forme de balises pour am liorer la fois le r f rencement du site et la pertinence des r sultats comme le permet le protocole Sitemap en d clarant la structure du site dans un fichier XML qui indique au moteur de recherche les
120. ifier Cf Infra 36 Voir http bibnum bnf fr identifiants avec notamment les identifiants ARK Archival Resource Key cr s par la California Digital Library pour donner un identifiant unique a chaque notice bibliographique et utilis s notamment par la BnF dans BN Opale Plus et Gallica 37 Voir Marie Elise Freon Journ e d information AFNOR CG 46 7 juin 2005 Les m tadonn es de preservation Journ e d information AFNOR CG 46 http www bnf fr pages infopro journeespro pdf AFNOR2005 Metadonneespreservation pdf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 58 M tadonn es de structure Aussi appel es techniques les m tadonn es structurelles refl tent la granularit des ressources En effet les fichiers informatiques s par s doivent permettre de reconstituer techniquement et intellectuellement les liens entre les niveaux de description pour permettre une navigation efficace en non ant explicitement les relations entre les composants de la ressource Elles permettent de d crire des objets num riques constitu s de fichiers clat s On doit en effet conserver l unit des ouvrages et des collections en rattachant les fichiers au travers des liens entre ces composants C est ainsi qu on reconstitue la structure logique et physique des documents num ris s et que l on rend explicite celle des documents num riques nat
121. ifs Il s agit aussi bien des publications num ris es avec les niveaux de collection document volume page et d tail que des documents graphiques par exemple avec des collections des lots des images et des vues de d tail Le principe est en tout cas d ordonner utilement un entrep t de donn es en conservant une structure qui permette de respecter la granularit des ressources Il existe deux types de cartes de structure physique restituant la navigation lin aire dans les fichiers du document et logique permettant une navigation non lin aire partir de renvois et de liens Les probl mes de navigation et de granularit se posent parfois diff remment selon les formats employ s Ils sont cependant li s avec la d finition des diff rents niveaux On trouve le niveau le plus global qui peut agr ger plusieurs documents ventuellement de fa on multiple le niveau de l unit documentaire correspondant aux regroupements physiques manipul s le niveau des entit s logiques qui constituant le document et enfin le niveau technique des fichiers du document num rique M tadonn es administratives Droit La gestion des droits et des acc s ainsi que la pr servation des documents sont absolument essentielles dans un contexte num rique Pourtant les m tadonn es concernant ces aspects ne sont ni descriptives ni structurelles Il s agit de m tadonn es administratives qui comprennent les asp
122. ils correspondant un produit En ce cas la participation de services publics peut tre ambigu avec l int gration dans des services gratuits pour l utilisateur mais de fonctionnement opaque et commercial comme Facebook 12 Tim O Reilly est le fondateur des ditions O Reilly dans le domaine informatique cit par GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod 2007 216 p p 4 1 Voir son article http www oreily com pub a oreilly tim news 2005 09 30 what is web 20 html 164 Emilie Barthet Am lie Church l avenir des biblioth ques l heure du Web 2 0 BBF 52 n 5 p 92 93 16 Emmanuelle Berm s Gestion d quipe accompagner le changement In Arhimag Guide pratique La biblioth que l heure du Web 2 0 juillet 2008 16 Aussi bien sur des sites collectifs que personnels avec la cr ation des blogs Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 43 A l inverse les techniques d dition partielle de contenus automatiquement mis jour comme l abonnement des Flux RSS qui ne concernent que l usager correspondent une information au m me titre que les autres services rendus par les biblioth ques Ces volutions sont li es aux catalogues de biblioth ques par deux aspects d une part la mise en place de techniq
123. ins University Library http webapps jhu edu jhuniverse libraries Voire en cr ant des blogs et services sp cialis s pour des actions de m diation en ligne http www bibliobsession net tag comprendre les enjeux de demain 7 Comme la Jubiloth que de Paris 6 Jussieu http jubil upmc fr 7 Comme Zotero et Refworks Comme le propose notamment le SUDOC http www sudoc abes fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s ventuellement des bases de donn es qualifi es par les biblioth ques et les utilisateurs comme le pr voyait l id e de m ta moteur f d rant le CNERTA la BPI et la CSI 7 Au travers de ces outils se pose la question des protocoles et des r seaux Si le Web simplifie et uniformise encourageant a l interop rabilit des descriptions il faut tudier la fa on dont les modes de description sont chang s et dont s int grent les objets num riques des biblioth ques mus es et archives 227 Projet de 2006 par Algora voir http www centre inffo fr IMG pdf_edl_bureautique_1_ pdf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 55 4 L avenir des catalogues dans le contexte du Web Avec l importance du langage XML et de l implication des usagers l volution des standards de description des donn es laisse entrevoir des
124. iographie Nationale int grant aussi les documents audiovisuels et les cartes et plans Ces trois organisations fournissent donc un travail semblable en laborant des descriptions bibliographiques Ce travail est cependant effectu a des niveaux variables Ainsi le remploi des donn es de Dilicom pose un probl me informatique car la description est proche d un pr catalogage tr s g n ral Cependant d autres donn es seraient essentielles comme le fichier des diteurs du SNE utile pour conna tre les nouveaux diteurs qui est r clam pour le D p t L gal R ciproquement le service du D p t l gal de la BnF recense plus de publications que le Cercle de la librairie car on y trouve des ouvrages issus de l auto dition et de d p t volontaire avec des tirages limit s Une production autonome devrait donc rester possible malgr le partage des donn es La fusion des donn es poserait aussi un important probl me conomique puisqu un reformatage technique et organisationnel serait n cessaire pour que les diff rentes entit s puissent diffuser les donn es La r flexion sur l avenir des catalogues en s int ressant la refonte des donn es doit prendre en compte le contexte de production avec l ventuelle int gration des diteurs dans la production de l information bibliographique Il pourrait s agir de donn es alphanum riques voire d images couverture ou 4 de couverture On pourrait i
125. ion lui aussi d velopp par la biblioth que du Congr s et publi en 2004 afin de compl ter MODS pour la description des autorit s MADS emprunte la fois au format MARC21 Authority data et au format MARC21 Bibliographic dont il utilise certains l ments sp cifiques MARC XML et MODS sont les outils les plus r pandus en raison de la forte influence des biblioth ques et centres de catalogage am ricains qui les utilisent Ils sont compl t s par des sch mas g n raux de m tadonn es De cette fa on on utilise des sch mas g n raux pour la description des objets num riques avec les standards METS et DIDL METS pr conis par la Biblioth que du Congr s est le plus employ dans le monde des biblioth ques Il s agit d un format d impl mentation permettant de combiner des m tadonn es descriptives en MODS ou en Dublin Core des m tadonn es techniques en TEI Header MIX TEXTMD VIDEOMD PBCORE ou AUDIOMID par exemple selon le type de contenus Enfin les m tadonn es administratives sont g r es pour les droits d acc s avec METS Rights schema ou avec d autres plus complexes comme ODRL ou XrML Enfin les m tadonn es d historique sont g r es en g n ral avec PREMIS 77 MARC21 format for Authority Data http www loc gov marc authority 77 MARC21 format for Bibliographic data http www loc gov marc bibliographic 77 Met
126. ions AFNOR permettent un contact entre les biblioth ques et les archives En effet la production de normes sup rieures aux standards est une particularit fran aise L AFNOR est transversale bien que les mus es y soient peu impliqu s Elle vite la confrontation entre les m tiers et les institutions en permettant l laboration de normes neutres Pourtant la grande majorit des normes AFNOR concernant les biblioth ques sont en pratique tablies par des personnels de la BnF La BnF publie d ailleurs sur son site Internet les variantes et interpr tations possibles dans les cas de lacunes ou d ambiguit s des normes Ce travail correspond des demandes ext rieures Par ailleurs la Biblioth que nationale de France exerce en pratique un r le normatif sur les points d acc s On peut distinguer les points d acc s simples et les points d acc s normalis s correspondant a des notices d autorit avec L entit figurant en vedette La vedette autoris e avec les formes rejet es et les liens sources et notes Par exemple dans le cas des notices d autorit Rameau on trouve a la fois la vedette et ses renvois La normalisation concerne aussi la structuration de l information et ses formats 2 2 UNE STRUCTURE LES FORMATS L inertie des formats d j employ s rend difficile leur remise en cause Pourtant le contexte de standardisation technologique li au Web avec l acti
127. isqu un nombre important de notices permettra d int resser les moteurs et d obtenir un meilleur classement dans les r sultats de recherche Ainsi OAI NUM entrep t OAI mis en place par la BnF pour Gallica partir de 2005 avec 79 000 notices environ sera mieux rep r que les portails sp cialis s signalant les ressources en ligne d un domaine particulier On peut citer des http www openarchives org OAI 2 0 openarchivesprotocol htm 24 Il s agit du Peer Review d velopp notamment en sciences dures OAI Open Archive Initiative Journ e d information Voir la pr sentation d Emmanuelle Berm s Journ e d information AFNOR CG46 7 juin 2005 http www bnf fr PAGES infopro journeespro pdf AFNOR2005 OAL pdf 26 Voir NAWROCKI Fran ois Le protocole OAI et ses usages en biblioth que Paris Minist re de la culture et de la communication 2005 Mise jour le 15 f vrier 2005 http www culture gouv fr culture dll OAI PMH htm 7 Voir PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques Op Cit p 15 16 8 Thid p 16 7 La liste des notices en Dublin Core de l entrep t OAI NUM est accessible l adresse http oai bnf fr oai2 0 ATHandler verb ListRecords amp metadataPrefix oai de Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 66 bases comme TELMA l entrep t OAI PMH du CRHST et des
128. l utilisation d un index peut en fait aussi tre con ue comme une interrogation proche du langage naturel que le moteur est con u pour traiter avec le plus de pertinence possible Par cons quent l interrogation d un ouvrage en plein texte ne correspond pas forc ment pour l utilisateur une d marche diff rente de l interrogation par sujet et il peut tre tout fait l gitime de combiner le plein texte avec une indexation contr l e De fait l indexation en plein texte sous sa forme actuelle n identifie pas les articles et ne permet pas encore de structuration de l information intrins quement sup rieure l emploi d un vocabulaire contr l Si pour des questions de volume de travail l indexation en plein texte est la seule solution r aliste pour la presse par exemple on peut envisager en compl ment un avenir pour les th saurus d autorit s comme Rameau pour les autorit s mati res et les autres th saurus avec des tables de traduction des concepts Elles peuvent correspondre des volutions ergonomiques de catalogue comme le proposent notamment les projets Worldcat identities Pour des affichages graphiques ou VIAF de l IFLA 7 7 Par exemple pour les autorit s la BnF le chantier lagarde et michard avec auteurs par si cle pour les XVIe et XIXe et pour Galica 2 les oeuvres embl matiques avec le chantier acad miciens sur les homonymes et vedettes d
129. l ments du catalogue ou directement des ressources Cette int gration pose plusieurs probl mes de l gitimit D une part pour ne pas polluer les recherches il est important que seuls les ouvrages rares ou r ellement disponibles pour l usager apparaissent D autre part il est d licat de d finir dans quelle mesure les biblioth ques publiques doivent s int grer et am liorer des outils ventuellement contestables L int gration d outils de biblioth que dans des r seaux de sociabilit comme Facebook ou Myspace correspond une prestation gratuite pour l utilisateur mais li e un aspect commercial fort d gageant des profits importants et entretenant une relation particuli re aux informations caract re personnel Plus encore la pr sence de certaines biblioth ques dans des jeux en ligne notamment la Library Of Congress sur Second Life avec la possibilit de consulter des ouvrages num ris s et d acc der au catalogue correspond une d marche de communication hors de la sph re habituellement d volue aux biblioth ques L int gration dans les circuits commerciaux proprement dits pose une question similaire m me si la situation est souvent plus claire du fait de la nature contractuelle des accords conclus En tous cas les catalogues de vente de produits culturels donnent toujours acc s aux ressources en en distinguant les types de support et les modes d acquisition ce qui se pr te tout fai
130. le document lui m me puis d avoir affaire aux donn es de description pour valider la ressource Cette logique de recherche par mots cl s contenus dans le texte impose une r flexion Il s agit non seulement d une concurrence forte impos e par Google Books mais aussi d une nouvelle logique de recherche int grant les ouvrages num riques dans le monde des publications au sens o la recherche des ouvrages publi s s effectue par l interm diaire de leur forme num rique Ces changements li s l acc s direct au document sont indissociables des volutions de pratiques de recherche induites par l utilisation d Internet Il s agit aussi de changements d usages puisque le livre devient un objet du Web dans lequel on cherche une information sans s int resser n cessairement l oeuvre en elle m me 144 Les jeux de caract res multi critures permettent de ne plus utiliser des donn es translitt r es dans les notices mais plusieurs types d critures Par exemple la BULAC http www catalogue bulac fr C est une tape importante pour l volution mondiale d un catalogue collectif am ricain Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 37 3 Les usages des internautes et leur impact sur les catalogues Les changements technologiques r cents avec la relative d mocratisation de Internet la puissance de calcul de
131. lesse avec deux niveaux hi rarchiques seulement Con us pour les biblioth ques ils posent des probl mes de visibilit et d ouverture sur le Web mais aussi d interop rabilit entre eux et surtout avec les autres types de description de ressources adapt s notamment aux moteurs de recherche Le protocole Z 39 50 correspondant la norme ISO Z 39 50 permet ainsi d interroger les bases de donn es structur es en Marc quel que soit le type de format Marc Il est utilis pour d river des notices d j produites dans un autre catalogue Il sert aussi f d rer des recherches dans plusieurs catalogues simultan ment Int gr une architecture Client Serveur sur des bases distantes il permet de rendre des donn es interrogeables Mais le protocole Z39 50 pose plusieurs probl mes Sa lourdeur le rend lent et co teux Surtout il est con u exclusivement pour le MARC et est peu adapt l environnement Web C est pourquoi il est peu peu remplac par le SRU un protocole XML qui en reprend les fonctionnalit s En effet le passage des structures XML est une des questions essentielles pour l avenir des catalogues court terme 2 2 2 MARC et structures XML Si ces structures sont utilis es pour l change de donn es voire pour des indexations ou certains produits sp cifiques elles ne sont pourtant pas encore utilis es par les syst mes locaux des biblioth ques Une technologie prometteuse
132. lisation et le recensement des documents et avec une qualit permettant la p rennit de l outil Ce passage a des descriptions en XML est d j effectu pour une partie des biblioth ques num riques En effet les documents num riques tirent en avant les volutions techniques ils ont provoqu le passage au XML des logiciels de gestions d archives pour la GED et encouragent les biblioth ques a faire de m me bien qu il s agisse pour le moment surtout d adapter XLM aux MARC La mise en place du langage XML en biblioth que a fait l objet de r flexions au d but des ann es 2000 la fois en raison de l int gration de documents num riques et de l adaptation au Web Les DTD labor es dans ce contexte correspondent en fait la transposition des divers MARC Un usage sp cialis Du fait de l importance de l OCLC les standards tablis pour les Etats Unis pr valent dans le monde entier L OCLC ayant fait le choix de passer au Marc XML ce format a acquis une valeur de standard pour le passage des MARC d autres sch mas de m tadonn es exprimables en XML MarcXML labor par la Biblioth que du Congr s partir de 2000 permet de convertir en sch ma XML des enregistrements Marc21 Diverses autres DTD adapt es aux MARC existent La plus g n rale ISO 12083 est une DTD bibliographique labor e d s 1994 pour le catalogage des monographies des p riodiques et des articles de p riodiques
133. lture http sdx culture fr sdx anum Biblioth que de la Cit des Sciences et de l Industrie http www cite sciences fr Biblioth que num rique r gionale du Nord Pas de Calais http nordnum univ lille3 fr nordnum2 html Calames Catalogue http calames abes fr CCFR http www ccfr bnf fr portailccfr servlet LoginServlet Centre d Etude d Histoire Juridique disponibles partir du site des Archives Nationales http www archivesnationales culture gouv fr Centre de Recherche en Histoire des Sciences et Techniques http www crhst cnrs fr Criminocorpus http www criminocorpus cnrs fr Ecole nationale des Chartes http www enc sorbonne fr Enluminures Base http www enluminures culture fr Enssib http www enssib fr Europeana http www europeana eu Et un historique http www bnf fr pages europeana bnue_hist htm Hathi trust http www hathitrust org Gallica http www gallica bnf fr Google Books http books google com version fran aise http books google fr r flexions par exemple sur http booksearch blogspot com Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 101 Droits d auteur r serv s Le Guichet du savoir service de la biblioth que municipale de Lyon www guichetdusavoir org HAL http hal archives ouvertes fr Jubiloth que Paris 6 http www jubil upme fr Lectura biblioth ques mu
134. maginer par exemple une bibliographie de France illustr e qui serait peu complexe concevoir mais ne correspond pas aux possibilit s actuelles des m tiers de l dition dont les situations sont variables et ventuellement menac es Surtout ces projets se limitent aux publications papier Ils n excluent donc pas de continuer r fl chir aussi sur les modes de description des autres ressources S adapter aux supports Sur les supports autres que l crit imprim les l ments de description sont tr s li s aux modes de production du moins pour les objets num riques natifs Qu il s agisse par exemple de m tadonn es d crivant des images photographiques ou des films de broadcast les l ments de donn es sont pr vus par des corpus de normes ferm s avec la prise en charge automatique d une partie des descriptions Il s agit souvent d applications ferm es utilisant des standards o chaque profession est un 1 Rapport sur le livre num rique remis Christine Albanel le 30 juin dernier mettant l accent sur les changements d usages et les probables volutions du commerce du livre PATINO Bruno rapport remis madame Christine Albanel ministre de la culture sur le livre num rique 30 juin 2008 http www culture gouv fr culture actualites conferen albanel rapportpatino pdf 32 http www centrenationaldulivre fr 33 Dilicom anciennement Edilectre http www dilicom net soci t interpr
135. mashup avec une localisation partir de l adresse IP de l utilisateur et une interrogation automatique de Worldcat Ce mode de recherche intuitif se situe sur le chemin habituel des internautes et constitue donc une concurrence rude pour les interfaces traditionnelles En effet plusieurs probl mes restent r soudre Worldcat le plus grand catalogue du monde n int gre qu une maigre partie des biblioth ques fran aises en l absence de mise en place suffisamment fine des FRBR il est difficile pour l utilisateur de trouver d autres manifestations de la m me uvre il est donc n cessaire que les catalogues rejoignant Worldcat pr sentent une intrerop rabilit totale mais aussi un degr de pr cision et des types de descriptions coh rents Surtout ce type d outil laisse croire l utilisateur que la ressource est inexistante s il ne l a pas trouv e L aspect h g monique de ces outils risque donc de mettre l cart les biblioth ques moins fortun es sans qu il soit question des volont s des institutions Mais l inverse cela 38 Permettant d interroger les ressources des Biblioth ques de la biblioth que num rique et des publications et bases en ligne Les OPACs des biblioth ques peuvent avoir une fonction de client pour choisir des cibles pour interroger d autres catalogues et cr er un catalogue collectif virtuel dans le SCD ou la biblioth que 4 Catalogue Collectif de France
136. masse M moire ENSSIB 2007 85 p p 41 et suivantes Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 45 fournissent les contenus Il s agit dans ce cas de la l gende propos e sous la forme d une liste de mots pour trouver le document Le site de partage le plus connu est Youtube site de vid os Mais celui qui s int gre le plus dans les r flexions sur l avenir des catalogues est FlickR un site de partage d images fixes en particulier de photographies Il s agit en effet d un type de document dont disposent de nombreuses biblioth ques publiques pour lequel il est souvent pertinent d effectuer des num risations et qu il est fastidieux et difficile d indexer de fa on utile Or la mise en ligne sur un site pr existant pose alors peu de probl mes puisque FlickR n a pas de vrai concurrent Plusieurs biblioth ques publiques ont donc fait le choix de placer sur FlickR des num risations de photographies issues de leurs fonds avec des licences FlickR commons con ues pour les organismes publics Il s agit d un genre nouveau de catalogage collectif le contenu tant d crit par les utilisateurs On peut citer l essai effectu par la Library Of Congress mettant en ligne 3000 images index es par les utilisateurs D autres actions de ce type ont t effectu es La Boston Public Library y place ainsi ses Fore Edge Painting
137. ments D autres normes sont li es au format MARC Les formats MARC sont adapt s VISBD avec une construction de l information bibliographique o les acc s sont normalis s mais ne permettant pas l int gration de donn es de gestion De fait les multiples d clinaisons de ce format vont l encontre de sa fonction d uniformisation Une grande famille Les premiers formats MARC ont t labor s par la LOC avec le MARC I en 1965 pour l change de fiches papier puis le Marc II en 1968 adapt l informatique et le LCMarc Library of Congress Marc Ces formats con us pour les changes de notices ont rapidement t utilis s comme des formats de catalogage adapt s dont la floraison a conduit dans les ann es 1970 l utilisation d un MARC diff rent dans chaque pays ou presque L clatement en des formats nombreux rendait difficile l change de donn es informatis es entre des SGBD ayant leur propre structuration ce qui tait pourtant le principe du MARC C est pourquoi l IFLA d veloppa en 1977 la premi re dition de l UNIMARC Universal MARC pour servir de pivot entre les nombreux formats MARC dans le cadre du programme UBCIM volution du CBU L UNIMARC est un 4 MAchine Readable Cataloguing 4l Elle permet de g rer des zones et sous zones de longueur variable facultatives et r p tables Zone fixe de 24 caract res gt Sur le nombre de caract res et
138. ments on admet g n ralement qu il reste n cessaire de dissocier les ressources des biblioth ques avec de fa on sch matique trois grands ensembles correspondant trois formats le Marc XML pour la notice bibliographique ventuellement issue d une conversion r trospective la DTD Dublin Core pour les photographies et documents iconographiques la DTD EAD pour les notices de manuscrits et de fonds d archives Dans le cadre du Web les 3 formats se compl tent pour la mise en ligne et la structuration de l information Mais comme le fait remarquer Diane Hillmann dans ses articles Facing Forward The Challenges Facing Cataloging and Catalogers et The Future of Cataloging and Catalogers on peut envisager que les futurs instruments de recherche en ligne soient bien plus qu une mise en application du langage XML et des outils orient s sur les utilisateurs Au travers du d veloppement du Web s mantique il est possible que les modalit s de description du contenu des documents changent radicalement 4 2 2 Les possibilit s du RDF Le RDF est un des chantiers majeurs du W3C lanc en 1997 dans le cadre de projets de gestion des m tadonn es pour permettre une s mantique des m tadonn es lisible en machine interop rable et utilisable pour des informations de nature h t rog ne Structurer l information en triplets En adoptant une structure s mantique calqu e sur le langage humain le
139. mple de l application des FRBR est d j impossible en UNIMARC L application compl te du mod le est donc encore loin d tre possible On peut pourtant mentionner des tentatives comme VTLS un syst me Am ricain d affichage du FRBR bas sur le Marc 21 et achet notamment par Paris VII ce qui pose probl me avec l UNIMARC Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 106 Annexe 3 Une hypoth se d avenir Figoblog http www figoblog org node 1945 propose une hypoth se La premi re p riode jusqu aux ann es 1990 se caract rise par une approche d informatisation pragmatique on a mis l accent sur la structure MARC au d triment des mod les La 2e p riode fait l objet d un effort de mod lisation conceptuelle FRBR La structure MARC volue vers XML tandis que le Dublin Core se d veloppe en parall le la fois pour la structure le mod le et le format Dans la 3e p riode celle qui est devant nous le mod le conceptuel reste valable Le Dublin Core converge avec les structures et des biblioth ques RDA vocabulary et peut tre exprim en RDF RDA remplace les anciennes r gles de catalogage L utilisation de RDF rend inutile le besoin d un format pour les notices on exprime directement les donn es Au niveau de l encodage le passage par XML facilite la conversion vers RDF Wenz Romain Dipl me de
140. n peut poser des probl mes d exploitation des donn es et est parfois consid r e comme un d faut 36 Voir LE MOAL Jean Cl et al La recherche d information sur les r seaux Paris ADBS 2002 p 221 222 7 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion Op Cit p 204 8 Norme disponible l adresse http www w3 org TR rdf sparql query 339 http www w3 org 2007 12 sparql pressrelease html fr et http www lespetitescases net sparql maillon essentiel web of data pour une introduction Son utilisation sur des ressources comme celles de la BnF pourrait permettre de donner des r ponses avec une structure souple L actuelle r flexion sur la refonte du catalogue implique en effet un groupe de travail sur les possibilit s de ce type d outils 1 Bien que le RDF soit g de dix ans les technologies qui le mettent en uvre sont r centes et on est pas encore totalement stir de sa fiabilit voir le Billion Triples Challenge en 2008 42 Notamment Microsoft IBM NetScape Sun Oracle Novell et Softquad 38 Document Object Model recommandation du W3C pour des interfaces permettant des programmes d acc der aux contenus http www w3 org DOM Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 73 ind pendamment des plateformes et des langages de programmation Ces volutions doivent tre prises en compte pour que les ins
141. n of cooperative systems proceedings Carry le Rouet Provence France May 20th 23th 2008 A x en Provence Institut d Etudes Politiques 2008 HIDOINE Bernard et al M tadonn es mutations et perspectives s minaire INRIA 29 septembre 3 octobre 2008 Dijon Paris ABDS ditions 2008 IHADJADENE Madjid Les syst mes de recherche d informations mod les conceptuels Paris Herm s science publ Lavoisier 2004 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 96 Droits d auteur r serv s INTNER Sheila S Metadata and its impact on libraries Westport Conn Libraries Unlimited 2006 KEFI Hassen REYNAUD Chantaland Ontologies et aide a l utilisateur pour l interrogation de sources multiples et h t rog nes s l 2006 MARCO David and JENNINGS Michael Universal meta data models Indianapolis Ind Wiley 2004 POWERS Shelley Practical RDF Beijing Cambridge Paris O Reilly 2003 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p PETITGAND G rald Mise en place d une strat gie de gestion Electronique de documents Versailles CNAM 2007 RIETSCH Jean Marc et al D mat rialisation et archivage Electronique mise en oeuvre de l ILM Information Lifecycle Management Paris Dunod 01 informatique 2006 ROXIN Ioan MERCIER Daniel JOLION Jean Michel Multim dia les fondamentaux intr
142. n technique d un Opac classique supposant de formuler des interrogations impossibles pour un robot Par des entrep ts moissonnables La mise en ligne d entrep ts de donn es expos es en OAI PMH a t effectu e au d part par des biblioth ques num riques parall les o les auteurs eux m mes d posent leurs crits Avec l emploi du Dublin Core pour les m tadonn es en OAI PMH ces techniques correspondent des r flexions sur la gestion d information dans le monde des biblioth ques on peut citer notamment Patrick Bazin et son id e du m ta langage En ce sens on peut parler de biblioth ques num riques natives pour qualifier les d p ts d archives ouvertes structur s en OAI PMH comme OAIster et HAL en France Les catalogues actuels pouvant mal se pr ter au mod le FRBR une des possibilit s est l exposition des donn es en OAI Par exemple la BnF la fusion des comit s de pilotage bibliographique catalogue et num rique biblioth que num rique devrait 38 c est au syst me que revient la charge de forcer mon attention pour m informer de quelque nouvelle que je ne cherchais pas C est le concept Push PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p p 218 3 Par exemple Guide d utilisation du Dublin Core non qualifi la BnF http bibnum bnf fr oai 20060808 GuideOAL pdf 0 BAZIN Patr
143. ne online ressource like any other Besides the terms of entries get a new meaning because of browsers and search engines Moreover the habit of surfing on a digital environment may widen the gap between information retrieval and leisure reading Anyway the search tools must comply with the user s needs and change accordingly for scholarly research practical information or leisure books This dissertation cannot pretend to sum up all the undertaken works Its aim is to describe what is at stake and the existing or possible tools We will not consider the formats and work possibilities from any particular point of view but try to remain neutral specifically towards fashionable tools Without trying to guess what the future of catalogs will be we will describe the legacies changes and technical needs which will interfere with this future We will therefore describe the tools of bibliographical description the new Internet uses the new description standards for metadata and the changes which are linked to the development of digital libraries Keywords Online library catalogs Libraries and the Internet Digital libraries Digitization Library science technological innovations Information retrieval Authority files Information retrieval Public services Libraries Library use studies Indexing Internet users Web 2 0 Semantic Web Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009
144. nicipales de Rh ne Alpes http www lectura fr fr catalgues Lewatson com Congr s Iber learning center sur Web http www lewatson com Liber Floridus Base http liberfloridus cines fr Mandragore Base http mandragore bnf fr OAIster http www oaister org Open Content Alliance http www opencontentalliance org Open library http www openlibrary org Rennes 1 SCD http www univ rennes1 fr themes cultureEtDocumentation Rennes 1 avec des ouvrages sous droits http www scd univ rennes1 ebook Sudoc http www sudoc abes fr Telma Centre de ressources num riques de l Ecole nationale des Chartes et de l Institut de Recherche en Histoire des Textes http www cn telma fr The European Library http www theeuropeanlibrary org portal idex html Universit Num rique en R gion Bretagne http unrb univ bretagne fr Worldcat http www worldcat org W3C http www w3c org Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 102 Table des annexes ANNEXE 1 PRECISIONS SUR LES ISBD siscasiisessssichnciaruensivaravsancauneneaueneneavesedens ANNEXE 2 PRECISIONS SUR LES FRBR eesssssseeeeeesseeeeecccccsssssseeeeccccesssesssseeeeee ANNEXE 3 UNE HYPOTHESE D AVENIR ssssssssssesesessensssseee Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteu
145. nn es rendent moins n cessaire le t l chargement proprement dit Sans retracer l histoire des moteurs de recherche on peut remarquer que leur d veloppement partir de 1995 avec Altavista a abouti dans les ann es 2000 une situation o Google occupe une position dominante Ce d veloppement inqui te souvent les professionnels des biblioth ques avec l id e que la simplicit et l efficacit des recherches sur Google rendent inutile le recours aux catalogues de biblioth ques Pourtant l action de Google utilise autant que possible l images des biblioth ques On peut citer notamment la communication publicitaire autour des biblioth ques fournissant les ouvrages de Google Books La mise en valeur de cette image de biblioth ques et F5 http www mediametrie fr resultats php resultat_id 585 amp rubrique net 146 Et sur les applications ELIE Jean Philippe Tout sur les outils Google Paris Dunod 2008 212 p M7 Voir BYRNE Alex qui a besoin des biblioth ques l heure de Google BBF 52 n 5 p 92 93 148 A la fin de l ann e 2004 cette firme avait annonc son projet de num risation et de mise en ligne de 15 millions d ouvrages d ici 2015 avec d s le d part la volont affich e de cr er une biblioth que Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 38 de fonds n est pas anodine bien que Google p
146. nologiques deux moyens principaux peuvent tre retenus D une part la constitution d entrep ts OAI avec des notices bibliographiques sur des documents num riques ou non D autre part la cr ation de pages html g n r es partir du catalogue et offertes aux moteurs avec des pr sentations de l uvre et de ses manifestations pouvant reprendre les nouveaux mod les th oriques de description Sans se risquer des pr dictions on peut observer que la mise en place de sch mas standardis s de description s mantique favorise la mise en valeur des ressources en mode texte au d triment des diverses autres ressources notamment disponibles en mode image Ces volutions s mantiques am nent s interroger sur le fonctionnement des biblioth ques num riques dont les collections risquent d appara tre d une fa on dissoci e des institutions PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique Op Cit p 205 DOM d finit une API Application Programming Interface sp cifi e en utilisant le langage IDL Interface Definition Language de l OMG Object Management Group lui m me d fini dans la norme CORBA Common Object Request Broker de l OMG Le langage IDL a t choisi pr cis ment pour rester ind pendant d un langage de programmation mais pour faciliter la mise en ceuvre le standard DOM contient en annexe des d finitions quivalentes d interfaces en Java de Sun et ECMAScript langage de sp
147. ns nationales Il s agissait de la BnF pour la France Elle se vit donc attribuer la traduction des ISBD pour faciliter l tablissement et l interpr tation des notices L ensemble de textes port e internationale publi partir de 1971 fut adapt dans des normes int grant les particularit s nationales avec l AFNOR en France Ainsi plusieurs commissions AFNOR laborent des fascicules de documentation sur les r gles du catalogage Les multiples normes internationales ISBD se sont traduites par des fascicules nationaux aussi nombreux qui ne sont pas des normes au sens r glementaire En effet outre le nombre de textes il faut mentionner leur diversit avec trois niveaux Les normes fran aises homologu es NF ent rin es Les normes exp rimentales FD Les brochures non r vis es mais caract re normatif Un des objectifs pour la normalisation est de faire en sorte que le catalogage soit effectu selon des normes jour alors que des textes sp cialis s ant rieurs pourraient tre utilis s De fait dans le cas des catalogues diverses commissions produisent des textes utiles au niveau national ce qui pose un probl me de coh rence Les instances de normalisation On peut mentionner deux ensembles principaux pour la normalisation des donn es des catalogues une Commission ISO et une Commission AFNOR Au niveau international de la normalisation ISO les questions d interop rabilit
148. nt et des l ments de conservation et de critique des sources retra ant la relation entre le document et l activit qui le produit au travers d identifiants date personnes impliqu es liens entre documents Un autre univers s mantique Avec l ventuelle adaptation un autre univers s mantique la reprise des donn es suppose une nouvelle organisation des l ments selon leur pertinence plus ou moins nombreux qu auparavant la structure s mantique amenant sophistiquer la structure et les l ments de donn es par exemple pour la gestion des droits Plus encore le traitement catalographique en s adaptant aux documents num riques fait voluer les catalogues de documents physiques De cette fa on les modes de navigation qui changent la fa on de percevoir l ouvrage En particulier la possibilit d effectuer des recherches en plein texte conduit consid rer les ouvrages au m me titre que des pages Web comme des publications informatives dont on ne cherche pas conna tre l int gralit et que l on n aborde pas forc ment comme une uvre coh rente Une des difficult s est donc de faire appara tre un niveau comparable les ressources papier de la biblioth que et les ressources num riques qui en sont l extension Surtout il est d licat de combiner les modes de recherche en plein texte avec les l ments de description traditionnels De cette fa on le fonctionnement de Gallic
149. nt int gr es en bases de donn es mais le catalogue restait un simple instrument de m diation entre la collection et les usagers absolument indispensable au pr t voire la consultation avec la triple fonction de rechercher identifier et localiser des ressources En outre il s int gre au syst me de gestion de la biblioth que et est utilis par les professionnels pour g rer les collections Pourtant on a pu observer un changement r cent cette derni re d cennie avec le d veloppement du Web En effet les catalogues informatiques taient au d part labor s de fa on techniquement autonome Certes les catalogues de biblioth que ont t mis sur les r seaux tr s t t d acc s gratuit et tout public avant Internet Mais la technologie Web am ne l informatisation et le r seau se m ler Ce qui implique d une part que les donn es des diff rents catalogues apparaissent de fa on comparable et pourraient sembler interchangeables et d autre part que les catalogues ne sont qu une des sources d information parmi les autres sur la Toile Surtout il semble vident que l volution des modes d acc s avec l ergonomie du Web change compl tement les habitudes des lecteurs Le catalogue disponible en ligne s adresse un public pour lequel les interfaces de catalogues et de portails de biblioth ques s int grent dans un paysage documentaire marqu par une ergonomie particuli re Un des enjeux des
150. ocaliser Le catalogue reste un l ment essentiel de la biblioth que num rique en constituant la source documentaire qui sert construire le syst me d acc s au document selon des volutions constantes Des changements communs Les biblioth ques num riques impliquent un fort lien entre les m tadonn es et les objets auxquels elles sont associ es qui sont de m me nature avec un catalogue d informations secondaires qui donne acc s un document num rique Ce lien entre les m tadonn es et les objets influence la fa on d aborder les catalogues y compris pour la description des ressources papier Le document num ris doit tre trouv quand on le cherche sous forme lectronique mais il devrait tout autant tre signal quand on le cherche sous la forme mat rielle sans savoir s il est en ligne La r flexion actuelle sur la refonte des catalogues par exemple la BnF avec l int gration des ouvrages num ris s en masse implique donc une rupture avec ce qui a t fait auparavant En effet le catalogue r pondait jusqu pr sent la localisation d objets physiques recherch s par des humains dans des magasins mat riels Or dans l environnement num rique ce ne sont pas des humains qui utilisent les l ments de localisation Le type de localisation change donc en entra nant une modification importante l o une partie des informations pouvait tre implicite tout doit d sormais tre ex
151. oduction la repr sentation num rique Paris Vuibert 2004 SEDES Florence M tadonn es et nouveaux SI Paris Herm s science publ Lavoisier 2007 TANNENBAUM Adrienne Metadata solutions using metamodels repositories XML and enterprise portals to generate information on demand Boston San Francisco New York Addison Wesley 2002 WARIN Bruno L algorithmique votre passeport informatique pour la programmation Paris Ellipses 2002 WOOTTON Cliff Developing quality metadata building innovative tools and workflow solutions Amsterdam Boston Elsevier Focal Press op 2007 Outils et r seaux LIE Jean Philippe Tout sur les outils Google Paris Dunod 2008 212 p GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod impr 2007 impr 2007 216 p GOUYET Jean No l GERVAIS Jean Fran ois Gestion des m dias num riques digital media asset management Paris Dunod 2006 GREGOIRE Gilles Le r f rencement sur Google Paris Micro application impr 2008 impr 2008 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 97 Droits d auteur r serv s JEANNENEY Jean No l Quand Google d fie l Europe plaidoyer pour un sursaut Paris Mille et une nuits 2005 LANGVILLE Amy N MEYER Carl D Google s PageRank and beyond the science of search engine rankings Prin
152. ofessionnelle d veloppant les changes de donn es informatiques ente les diteurs les distributeurs et les libraires 324 Syndicat National de l Edition http www sne fr 325 Ainsi sur environ 60000 titres de livres r pertori s par an en France environ 50000 sont actuellement communs entre la BnF Dilicom et le CNL 32 Voir GOUYET Jean No l GERVAIS Jean Fran ois Gestion des m dias num riques digital media asset management Paris Dunod 2006 p 50 121 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 71 march trop petit pour une norme sp cifique d o l emploi de structures d application communes Celles qui sont concern es par l exposition sur le Web peuvent tre encadr es par PISO avec la TC46 mais ce travail lui chappe souvent avec notamment l action du W3C et de l IETF qui tablissent des standards prenant souvent une valeur de norme en s int grant dans le cycle de production des mat riels et indirectement des m tadonn es associ es aux contenus produits Cette question s tend pour les documents textuels n s num riques au codage des caract res Et l inverse pour les documents manuscrits l utilisation de DTD sp cifiques comme l EAD suppose un type de traitement particulier ou l intervention du catalogueur est essentielle Pour r pondre cette diversit des types de docu
153. on du W3C am ne s interroger sur les formats 2 2 1 MARC g n rique ISO2709 et MARC particuliers Le premier format MARC a t d fini par une norme internationale d change d s la fin des ann es 60 PISO 2709 premier format champs de longueur variable Bien qu il s agisse l galement de fascicules de recommandations AFNOR et pas de normes Dans les autres pays ce sont en g n ral des associations qui tablissent des standards sp cialis s 33 Par exemple pour l EAD avec la CN4 correspondant au SC4 de l ISO et avec la TC46 sur l interop rabilit yy http www bnf fr rubrique Professionnels et Normes formats mod lisation http www bnf fr pages zNavigat frame infopro htm ancre normes no accueil htm 35 De la m me fa on que la LOC publie la jurisprudence des AACR notamment pour les p riodiques avec CONSER un programme de catalogage coop ratif http www loc gov acq conser 3 Notamment des Biblioth ques Universitaires par exemple dans le cas du catalogage de recueils qui n est pas pr vu par les normes et a fait l objet de la premi re fiche publi e par la BnF 37 Cette action de normalisation concerne aussi bien les points d acc s auteurs que les autorit s auteurs les notices bibliographiques les notices d exemplaires les notices d autorit s et dans une certaine mesure la classification CDU et Dewey 38 Personne physique collection sujet en Rameau par
154. ontexte universitaire notamment avec l int gration ventuelle d un catalogue dans les ENT des coles qui va peut tre au del des besoins des utilisateurs En revanche l int gration dans l environnement de travail universitaire peut permettre de d couvrir des ressources en particulier avec la mise en place de m tamoteurs f d rant les ressources puisque ces outils d passent le simple lien vers le catalogue Le catalogue lui m me peut int grer divers services a distance qui pour certains existent depuis longtemps et apportent de vrais avantages pour l utilisateur en permettant d conomiser du temps et d tre certain que le service qu il attend lui sera rendu Il peut s agir de services correspondant a des fonctions du SIGB comme la r servation d ouvrages utilis e depuis longtemps pour des biblioth ques de recherche comme le Rez de jardin de la BnF mais utile aussi pour des biblioth ques de lecture publique en permettant aux usagers de pr parer des d placements utiles ainsi que des fonctions comme le suivi de l ouvrage d s la commande pour viter un second traitement via les suggestions d acquisition ou que le lecteur aille se procurer autrement l ouvrage attendu Ces fonctions de r servation de places et de prolongation des pr ts font partie du soin d une image favorable en apportant des services dont l utilisation doit tre intuitive ce qui n cessite d laborer des outils adapt s y
155. ormulent des donn es anciennes selon un sch ma novateur Il s agit de consid rer l uvre elle m me comme une unit intellectuelle distincte des objets conserv s C est ainsi que se superposent l uvre les expressions de l oeuvre adaptations diverses versions les manifestations des expressions traductions ditions diff rentes et les items des manifestations objets documents que l on conserve et consulte Ce d coupage permet de pr senter des r sultats de recherche sans juxtaposer des r ponses qui sont en fait li es et surtout d tablir des relations entre les entit s d crites Dans le mod le FRBR les entit s uvre Expression Manifestation Item constituent ainsi le groupe 1 organis avec des relations structurelles La Personne et la Collectivit auteur constituent le groupe 2 et ont une relation de responsabilit avec le groupe 1 Enfin les Concept Objet v nement et Lieu constituent le groupe 3 li l uvre par une relation sujet L application de cette analyse th orique des uvres suppose des changements importants Les nouveaux principes internationaux de catalogage sont pens s pour des catalogues en ligne D o le besoin de couvrir tous les types de documents et d acc s et d tre compatibles avec ce mod le conceptuel relationnel reposant sur la notion 120 Functional Requirements for Bibliographical Records Fonctionnalit s requises des
156. ouvrage dans une biblioth que voisine est un l ment de r ponse important On pourrait donc envisager une scission des outils pour les biblioth ques locales entre des outils Web et des instruments de recherche strictement locaux L action de chaque institution sur son catalogue doit donc se situer dans le contexte national et mondial En particulier l usage d Internet entra ne une volution des pratiques de recherche et des changements des modes de consommation auxquels peut correspondre une volution souhaitable des catalogues Avec d une part les progr s du travail d uniformisation des donn es effectu depuis les ann es 1960 et d autre part le souhait des tablissements de consacrer une part des cr dits de moins en moins grande au catalogage il est probable que la production bibliographique en elle m me se limite de plus en plus la description des unica ventuellement en lien avec les politiques de num risation Malgr un principe de bon sens d unifier des donn es et de ne pas reproduire le m me travail il est d licat de modifier des habitudes anciennes qu il s agisse des diverses 7 Voir par exemple http www bibliobsession net 2007 04 16 naviguer dans la longue traine necessite des mediateurs 8 En particulier des livres manuscrits des manuscrits d auteurs des archives Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d aut
157. page th matique permettant de naviguer dans l arborescence Des modes de recherches comparables peuvent tre mises en place pour des biblioth ques hybrides avec des tudes sur l ergonomie des interfaces comme Paris VIIL avec le Visual catalog 6 Plusieurs sites de B U proposent la fois des ressources lectroniques natives et des documents num ris s Il s agit en ce cas d un portail unifi utilisant un m ta moteur pour interroger les diverses ressources catalogue ressources lectroniques documents num ris s L accueil pr vu pour le lecteur ne dissocie pas la biblioth que num rique des autres ressources avec ventuellement une int gration compl te l Environnement Num rique de Travail pr sentant une interface d accueil commune en tout cas dans le contexte universitaire Des outils comparables peuvent exister dans des biblioth ques de lecture publique Par exemple le Catalog de la Biblioth que Municipale de Lyon permet d interroger la fois le catalogue les r ponses du Guichet du savoir et les bases de donn es Outre les fonctionnalit s de v rification d orthographe et de recherche sur des d clinaisons du terme lemmatisation on trouve une pr sentation graphique arborescente de suggestions de sous sujets permettant une navigation intuitive qui compl te la logique de recherche par mots cl s Quelle place pour l audiovisuel Apr s la diversification
158. plicite La premi re informatisation en place jusqu maintenant reproduisait le travail du catalogueur manuel avec une structure finalement comparable celle de fiches Or les structures changent avec de nouveaux modes de production et de nouveaux objectifs Dans le cadre de la num risation les m tadonn es sont saisies la source avec d ventuelles extractions automatiques On retrouve donc des l ments de donn es d j existants avec des m tadonn es descriptives issues des catalogues des m tadonn es techniques correspondant l en t te des fichiers et des m tadonn es de Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 75 structure utilisant des fichiers de structuration de production De cette fa on le catalogage ne limite plus l action de sp cialistes a posteriori mais s int gre dans l activit de production de prestataires ou de l atelier de num risation De cette fa on les m tadonn es vont au del d une description r trospective des ressources pour impliquer les structures et leur utilisation C est une des diff rences entre la biblioth que num rique et la biblioth que num ris e la pr sence en ligne d une institution part enti re implique de garantir des ressources authentiques et fiables avec la fois des l ments structurels permettant la gestion des donn es du docume
159. possibilit s bien plus grandes pour l avenir des catalogues Le contexte du Web tend imposer des formats standards essentiellement HTML et XML Ce ne sont donc pas des formats sp cifiques mais des formats g n riques correspondant des usages professionnels diff rents et li s aux outils de traitement de l information La description des ressources doit en effet r pondre de multiples fonctions ce qui peut laisser entrevoir des volutions profondes du Web 4 1 LES METADONNEES A USAGE MULTIPLE Le terme de m tadonn es est issu des langages balises o des donn es sur les donn es sont int gr es au document Elles sont utilis es dans d autres secteurs que le Web comme la t l phonie et pour des sources de toutes natures comme le texte l image le son ou la vid o 4 1 1 Catalogue des m tadonn es Elles n ont pas vocation tre per ues telles quelles par l utilisateur final mais permettent la description la structuration et la gestion du document selon des r gles de cr ation essentielles pour son utilisation D finition Le terme de m tadonn es d signe depuis le milieu des ann es 1990 des donn es renseignant un ensemble de donn es num riques auquel elles appartiennent Par extension on utilise aussi ce terme pour d signer les donn es renseignant d autres contenus m me non num riques Et inversement m me pour des ressources lectroniques il est possible de s pa
160. pour faire en sorte que les r f rences soient bien plac es Par exemple des accords existent entre Rero et Google et entre l ABES et Google pour que les institutions fournissent des fichiers et donn es dans le bon format en change de quoi le moteur s engage en faire une pr sentation bien qu il en soit ma tre En d finitive les deux seuls moyens de faire appara tre les donn es de fa on vraiment efficace pour la collecte des moteurs seraient d en permettre un affichage en HTML ce sur quoi travaille la BnF pour simplifier l indexation par Google ou de faire figurer les notices dans des entrep ts OAI c est dire des r servoirs de notices condition que ces derniers soient moissonn s Il s agit en tout cas de r pondre une volution incontestable des pratiques chercher sur Internet tant devenu la locution vernaculaire usuelle signifiant formuler une recherche par mots cl s dans Google La langue Anglaise propose la m me quivalence dans l autre sens puisque to Google signifie effectuer une recherche et trouver sur Internet 153 En particulier grace Google Images Voir Association de p dagogie et de didactique de l Ecole normale de Lille Spirale Revue de recherches en ducation Lille 1988 N 40 2007 Pr sentation par Annette BEGUIN VERBRUGGE http spirale edu revue fr spip php rubriquel15 154 http opac rero ch gateway 155 http opac rero ch gateway
161. que Paris 6 la Biblioth que virtuelle Humaniste et d autres On y retrouve aussi bien Bn Opale que le Sudoc qui signale lui aussi les documents rep r s sous une forme num ris e On observe donc une r elle compl mentarit entre les ressources papier et num riques et entre biblioth ques pour viter de num riser 392 Kindle Sony Reader FNAC et Cybook de Bookeen Gibert par exemple 33 BOUVIER AJAM Laurent LESQUINS No mie RIPON Romuald Europeana tude sur les usages et les attentes relatifs a l interface de consultation de la future Biblioth que num rique Europ enne rapport final 21 mars 2007 53 p http bibnum bnf fr usages BnF BNuE Ourouk Rapport _final pdf 4 BALLEY No lle Num rique et biblioth ques le deuxi me choc Entretiens professionnels de la BnF Bulletin des Biblioth ques de France 2007 n 3 p 98 99 http bbf enssib fr 35 http www ccfr bnf fr portailecfr servlet LoginServlet 3 http www sudoc abes fr 7 Merci Mme Fr d rique Joannic Seta BnF pour sa pr sentation ENSSIB 2008 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 85 plusieurs fois les m mes ouvrages Cette compl mentarit s tend m me d sormais aussi la BnF vis a vis de Google puisque pour Gallica 2 l on vite express ment de num riser les ouvrages d j mis en ligne par Google M
162. quer la surrepr sentation des professions li es l information dans la blogosph re avec une activit forte des professionnels des biblioth ques Cette volution ne doit pas faire oublier que le d veloppement n est pas forc ment comparable dans les autres secteurs La validit de ce type de sources pour la biblioth conomie nous pousse donc les associer aux ressources valid es par les biblioth ques Le d bat sur la signature des blogs la collaboration dans les Wikis et la validit de l information correspond l id e que l information est juste si elle semble de bon sens Or cet aspect est vrai dans les secteurs o les renseignements sont v rifiables comme l informatique ou le droit avec des renvois des sites officiels techniques ou des articles de presse mais la situation est moins simple dans d autres secteurs Plus encore les pratiques professionnelles et personnelles de l informatique tendant toujours se lier et l habitude de l utilisation des outils de r seaux en biblioth que encourage estimation haute de la ma trise des outils par les autres utilisateurs Une remarque comparable pourrait tre formul e au sujet des r seaux sociaux o les l ves de grandes coles et les tudiants ais s sont surrepr sent s Pour autant un l ment essentiel devant tre relev est la fusion entre des outils de divertissement et de recherche Ces deux aspects paraissent m me parfois in
163. qui les place dans un contexte diff rent de celui des biblioth ques qui n cessitent toujours un d placement pour la consultation des ouvrages mat riels m me s il peut s agir d une biblioth que plus proche dans le cadre du PEB Surtout les catalogues de vente s inscrivent d s le d part dans une logique de dissociation typologique qu il s agisse de la Fnac de la Redoute ou de Virgin il faut rechercher un support pour une navigation traditionnelle A l inverse le probl me actuel des OPACs est de permettre l orientation vers des ressources multiples qui manent toutes de la biblioth que 3 2 2 Les livres en ligne Pour les biblioth ques la gestion et la description de diff rents supports sont des probl mes anciens Pourtant l approche change avec les modes de recherche en plein texte le livre pouvant devenir un simple objet num rique En effet contrairement aux images et vid o son contenu peut r pondre au mode de recherche textuelle Ce qui concerne aussi bien la recherche d ouvrages papier signal s en ligne que la recherche d informations en ligne ventuellement contenues dans des ouvrages 195 Visible si le consommateur active son compte 16 http www fnac com 197 http www laredoute fr 18 http www virginmegastore fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Trouver des ouvrages papier
164. r solvent pas les principaux probl mes que posaient les formats Marc Ils favorisent en revanche l uniformisation des donn es avec l h g monie du MARCXML issu du MARC 21 Pour observer comment l information bibliographique peut voluer vers des sch mas de m tadonn es applicables tous types de documents nous nous limiterons l tude des sch mas r pandus et polyvalents Il s agit principalement de MARCXML MODS MADS METS et PREMIS qui sont les plus importants l heure actuelle pour la description de ressources contemporaines En premier lieu MARCXML est un sch ma XML labor par la Biblioth que du Congr s partir de 1999 pour permettre une conversion r versible et sans perte d information partir du format MARC21 avec un outil de conversion et une structure simple La Biblioth que du Congr s en assure la maintenance mais d autres biblioth ques en utilisent des variantes ou formats comparables Par exemple la BnF utilise pour un usage interne un format semblable au MARC XML Ce qui permet la fois de continuer utiliser l INTERMARC face la faible pression des biblioth ques et de mettre en place de nouveaux syst mes d interrogation avec notamment l interrogation par Mots notices d s la fin 2008 utilisant un algorithme de pond ration et une indexation de tous les mots de la notice Il est pour ce faire n cessaire que les donn es soient prises dans un fichier XML puisqu
165. r les liens doivent tre p rennes Ce qui permet notamment de n tablir qu une description bibliographique minime pour les sauvegardes de documents continuant tre rep rables partir du 3n Voir Andy Powell Does Metadata Matter diaporama sur http www slideshare net eduservfoundation does metadata matter src embed 312 http orweblog oclc org archives cat_metadata html 33 CLAVEL Gilles XML la synth se int grez XML dans vos architectures Paris Dunod 2002 p 124 i http Itsc ieee org wg12 5 R seau de FORMation l Information Scientifique et Technique http formist enssib fr mais pas ous la forme Lom fr car elle n tait pas encore parue au moment de la mise en place Voir ttp formist enssib fr documents LOM _et_acces FORMIST___ documen n 4121 r 18 t typdoc html Le consortium OCA rassemble des associations dont avant tout Internet Archive le Research Library Group et des acteurs publics et priv s prestigieux dont Yahoo et MSN http www opencontentalliance org 317 Notamment pour les langages de requ tes pur le XML comme XQuery voir compte rendu sur Telma http www cn telma fr veille recommandations XSLT xquery n SI Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s catalogue habituel L archivage de donn es num riques suppose donc un autre mode de description des ressources adapt
166. r r serv s 103 Annexe 1 pr cisions sur les ISBD El ments d identification r partis en 8 zones 1 Titre responsabilit 2 Edition 3 Document sp cial Cartographique musique Electronique 4 Adresse bibliographique 5 Collation Description physique 6 Collection Edition et titre de monographie 7 Notes 8 Num ro international normalis ISBN Prix Sructure des zones Sources d information Zones 1 a 4 Zones 5 a 7 Document lui m me Source ext rieure Zone 8 Verso de page de titre Bas de dos de 4 de couverture Une information tir e d autres sources est transcrite entre crochets La ponctuation a un r le structurant pour l ordre des l ments zones s par es par des tirets int rieur des zones structur avec pour la premi re mention de responsabilit pour un compl ment crochets pour information ajout e par le catalogueur ISBD relatifs des documents sp cifiques adapt s par des normes AFNOR correspondantes ISBD A Z 44 074 livres anciens ISBD M Z 44 050 Z 44 073 impr modernes ISBD CR Z 44 063 p riodiques collections ISBD ER Z 44 082 ressources lectroniques ISBD PM Z 44 069 musique imprim e ISBD CM Z 44 067 ressources cartographiques ISBD NBM Z 44 066 enregistrements sonores Z 44 065 vid ogrammes Z 44 077 images fixes L int gration de l ISBD en UNIMARC Par exemple en Unimarc 20
167. r r serv s 1 Introduction Ce m moire d tude correspondant a l apprentissage technique d un m tier il refl te le point de vue d un apprenti conservateur et non d un professionnel de l informatique Par cons quent nous nous attacherons principalement aux enjeux et perspectives du sujet selon les volutions n cessaires ou souhaitables dans le monde des biblioth ques Il s agit ici des catalogues de biblioth que au sens strict de l instrument de recherche l exclusion des catalogues d exposition ou de vente par exemple 1 1 QU EST CE QU UN CATALOGUE Le catalogue est une liste des pi ces ou l ments constituant une collection qui doit d une part d crire ces l ments pour permettre de les identifier d autre part les localiser pour permettre de les retrouver Par opposition l inventaire outil interne recensant les pi ces le catalogue est destin l utilisation par une client le Il s agit la fois d un outil technique et d un instrument de visibilit de l institution Selon l ABF le catalogue d une biblioth que doit permettre de retrouver un document partir d un seul de ses l ments connus conna tre ce que poss de la biblioth que guider l utilisateur dans le choix d un document Il s agit donc d un instrument de description et de localisation permettant au lecteur d acc der aux ressources Le catalogue peut t
168. raiter des documents sous divers supports et tre accessible sous diff rentes formes L ADBS tablit une typologie pour cet outil rendu plus complexe avec la multiplication des supports aussi bien des documents que des catalogues eux m mes en distinguant 1 contenu intellectuel 2 forme mat rielle 3 mode de publication 4 forme de production Ainsi le catalogue reste un instrument de recherche compos par une liste de notices quel qu en soit le support papier microfiche informatique Le passage des fiches papier au catalogue informatis impliquait bien s r des nouveaut s techniques mais sans changer vraiment la conception intellectuelle de l outil DELACOUR Christiane E s et al Cataloguer mode d emploi initiation aux techniques du catalogage Paris ABF diff ABIS 2006 BOULOGNE Arlette Vocabulaire de la documentation Paris ADBS Editions 2004 Exemple musique not e ou enregistr e son image fixe carte et plan audiovisuel multim dia informatique programme et caract res Manuscrit Litt rature grise Publication Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 11 C est ainsi que par le pass l informatisation des catalogues a eu pour objectif de rendre l outil plus commode et puissant mais en le destinant au m me usage Certes la structuration de l information changeait les fiches ta
169. ransverses entre diverses communaut s qui se les ou approprient comme dans les cas de PEAD du Dublin Core ou de la TEI XML en archives et biblioth ques De cette fa on les d cisions s par es d acteurs comme l ALA PISO et l IFLA semblent r volues 4 2 NOUVELLE ARCHITECTURE POUR LE CATALOGUE DE DEMAIN La toute r cente parution d une version en ligne de RDA am ne s interroger sur le passage une nouvelle tape dans les modes de description des ressources des biblioth ques De cette fa on on peut esp rer qu apr s la normalisation de structures autour du MARC jusqu aux ann es 1990 puis l volution vers des technologies Web XML avec une conceptualisation des descriptions FRBR on franchisse une autre tape Il s agit la fois de pouvoir d velopper adapter et utiliser parall lement les diff rents produits n cessaires et de pr voir l volution possible vers de nouveaux g z p 309 modes d organisation de l information en particulier avec la structure RDF 4 2 1 Une sp cialisation n cessaire Avec l existence de nombreuses normes permettant de d crire les documents le probl me fondamental n est pas d en cr er de nouvelles mais de choisir lesquelles iii i 310 utiliser en en combinant plusieurs ensemble si besoin 307 Text Encoding Initiative http www tei c org 8 Voir Figoblog http www figoblog org node 1945 Cit en Annexe 3 une hypoth se
170. rd profond Les utilisateurs consult s formulaient principalement trois souhaits la possibilit d usages collaboratifs sur les fonds trait s l authentification des informations et surtout que la biblioth que num rique reste une biblioth que publique gratuite Ces attentes correspondent des volutions des pratiques des lecteurs comme le montre l tude effectu e par un groupe d enseignants chercheurs de l association Paragraphe de l universit de Paris VHI avec une demande forte des chercheurs de participer des publications en ligne la fois dans la construction de contenu de m ta donn es et dans l utilisation En France cette d marche ne s inscrit pas vraiment dans l action des biblioth ques mais elle semble parfois notamment aux Etats Unis tr s li e aux biblioth ques num riques Elle est aussi li e aux modes d valuation des chercheurs en particulier la notation bibliom trique des chercheurs partir de leurs publication conduit les membres de laboratoires signer leurs publications sous une forme uniformis e avec des l ments standardis s d identification Cet aspect d authentification des informations peut justifier l int gration par la biblioth que de documents qui pourraient tre publi s plus simplement comme le propose le projet Manum pour les tudiants de 1 et 2 cycles en SHS avec des documents p dagogiques mis en ligne la demande accessibles par
171. re des Textes http www cn telma fr Centre de Recherche en Histoire des Sciences et Techniques http www crhst cnrs fr http www lectura fr fr catalgues 303 Par exemple dans Gallica3 un set manuscrits un set cartes et plans 304 Syst me de Pr servation et d Archivage R parti http bibnum bnf fr spar index html Voir Thomas Ledoux Le Syst me de Pr servation et d Archivage R parti de la BnF De la production la p rennisation des objets num riques pr sentation lors des 11e journ es des p les associ s de la BnF 27 28 mars 2008 http www bnf fr pages infopro journeespro pdf poles_pdf poles2008 spar pdf Diddle MPEG 21 est une norme internationale ISO CEI d velopp e par MPEG pour le multim dia num rique et utilis e la BnF en plus du Dublin Core pour l exposition des donn es OAI Voir Les entrep ts OAI de la BnF http bibnum bnf fr oai index html 739 50 fait aussi partie des protocoles tudi e en TC46 comme d autres protocoles dont http Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 67 pose une queston d usages le proptocole asynchrone n tant probl matique qu en cas de diff rence notable entre l tat mooissonn et celui de l entrep t d origine Pourtant l volution vers des m tadonn es utilisables notamment en OAT est g n rale
172. re des structures sophistiqu es RDF ce qui impliquera probablement des changements sur le Web dans les ann es venir XML est d j largement utilis pour g rer des contenus de documents num riques Il s agit de g rer les informations de m tadonn es et d int grer le contenu dans d autres applications aussi bien pour des services Web comme le Webdav que pour des services de gestion de workflow actions plannings responsables ou de Gestion Electronique de Documents dur e d utilit administrative d lais de communicabilit d limination pour la gestion de documents d archives Les sch mas labor s dans ce contexte sont tr s utiles au monde des biblioth ques Son int r t est tout fait reconnu dans l administration fran aise puisque la DGME en recommande l utilisation pour l change et l archivage des documents lectroniques Les aspects int ressant court terme les catalogues de biblioth ques ont donn lieu un travail important dans la profession aussi bien sur les principes g n raux que sur leurs applications pratiques avec par exemple XML pour les biblioth caires Echanger indexer d crire Les balises XML qualifient le contenu Les seules contraintes sont de fermer toutes les balises ouvertes et de respecter l agencement hi rarchique Dans le contexte des technologies du Web l utilisation de XML suppose l emploi de feuilles de
173. re des types de documents sp cialis s Surtout la r partition des l ments des ISBD a t con ue pour des fiches et est centr e sur l auteur Plusieurs l ments ne correspondent plus aux catalogues ou plus pr cis ment aux besoins des lecteurs Ainsi contrairement aux normes sur l dition lectronique l acc s l diteur n est pas int gr dans les ISBD International Standard Bibliographic Descriptions http www ifla org VII s13 pubs cat isbd htm F d ration internationale des associations de biblioth caires et de biblioth ques principale organisation professionnelle avec 1700 membres dans 150 pays http www ifla org Avec l ordre des l ments les r gles de transcription les sources d information ainsi que la ponctuation syntaxique et s mantique Contr le bibliographique universel programme de recensement de toutes les publications mis en place par l IFLA aux environs de 1960 http www ifla org VIT s13 pubs cat isbd htm Les ISBD M ISBD PM ISBD CM ISBD NBM proposent une distinction par nature du contenu les ISBD NBM ISBD ER une distinction par nature du support l ISBD CR par mode de publication l ISBD A par date des documents gt Voir Annexe 1 pr cisions sur les ISBD Par exemple pour une publication en s rie sur support num rique contenant une carte ancienne 5 Par exemple pour les mentions de responsabilit les trois premiers auteurs seulem
174. rer physiquement les donn es de leurs m tadonn es 7 Format ferm avec une liste de balises est fixe et non modifiable utilis pour presque tout le Web 22 Format ouvert utilis selon des DTD et sch ma multiples permettant m me la cr ation de balises et n cessitant donc l interpr tation par une feuille de style XSLT ou un syst me des feuilles de style CSS pour que les navigateurs Web IE Firefox le transforment en Html 0 Ainsi le mod le OAIS qui fait r f rence pour la pr servation du num rique et peut convenir des contenus physiques Mod le de r f rence OAIS p 11 l accent est mis sur l information num rique d une part comme forme principale de l information p rennis e d autre part comme information compl mentaire de ce qui est archiv aussi bien sous forme num rique que sous forme physique Par cons quent le mod le s adapte aux informations qui sont par nature non num riques Disponible sur http vds cnes fr pin documents projet norme _oais version francaise pdf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 57 La NISO les d finit simplement comme une information structur e qui d crit pour retrouver tandis qu il s agit selon PISO de donn es qui d finissent et d crivent d autres donn es Il s agit en tout cas d outils permettant la gestion de l information num
175. reuse est un atout pour la mise en valeur d un instrument de recherche Pourtant on observe la r ussite de sites l esth tique d pouill e commencer par celui de Google qui refuse d afficher des publicit s sur sa page d accueil et vite m me toute illustration Il s agissait certes au d part surtout de fournir une connexion rapide en r duisant les temps de latence et cette simplicit est devenue une marque de fabrique Mais on peut aussi y voir une esth tique d pouill e permettant de se concentrer sur la recherche De m me Youtube permet le partage de vid os avec une interface peu originale et d apparence d structur e L aspect simple et d sorganis n en emp che pas le succ s au contraire Cependant l id e d interfaces comparables celle de Google pour les catalogues ne semble pas fonctionner puisqu en ce cas les lecteurs pr f rent utiliser directement Google et Wikip dia ne voyant pas en quoi une recherche similaire leur apporte L ergonomie des OPACs est certes li e aux packages possibles avec la fourniture des logiciels mais il est d autant plus n cessaire de r fl chir aux volutions souhaitables C est ainsi que le projet Europeana a permis une r flexion sur les interfaces graphiques avec dans le prototype propos par la BnF en mars 2007 une reprise de la Dewey permettant de naviguer dans une arborescence th matique puis dans le mod le tout r cemment lanc
176. rielles s accompagne paradoxalement de la demande de lieux ancr s physiquement face laquelle les biblioth ques recherchent parfois des solutions mixtes conciliant l offre num rique et l utilisation de documents sur place La biblioth que partout r r 423 er a 45 L age of access voqu par Jeremy Rifkin est li e l id e de browsing o les ressources doivent tre int gr es un parcours de navigation Par exemple les actuels pourparlers entre la BnF et Wikip dia devaient permettre l laboration de liens crois s surtout sur Gallica 2 augmentant la popularit des sites et permettant la labellisation des articles li s aux ouvrages de la BnF En un sens l tablissement de liens vers des ressources de biblioth ques depuis Wikip dia constitue une nouvelle forme de catalogage avec des descriptions libres et collaboratives des ressources le seul l ment normalis par institution tant PURL Dans ce but l adaptation des structures administratives des biblioth ques sera sans doute un des points majeurs de l volution pour permettre des changements Au travers de l implication dans des sites ext rieurs se posent la question technique des possibilit s d influence efficace et la question thique du pros lytisme jusqu o faut il chercher attirer vers biblioth ques physiques Ces choix sont li s l volution de l offre ditoriale avec les c
177. rint soit devenu Google book search en 2006 justement pour voquer l image de la recherche par moteurs et pas de la biblioth que de papier Les accords avec les grands catalogues correspondent aussi un service int ressant pour les biblioth ques On peut citer en particulier trouver ce livre en biblioth que pr s de chez vous dans Google books renvoyant Worldcat Outre l important service rendu la r f rence aux biblioth ques est li e l image que d veloppe Google avec une dimension de gratuit et de d sint ressement Le fait d y associer le service public que sont les biblioth ques a un aspect strat gique assimilant l offre gratuite au service public Cette action de Google peut constituer une aubaine pour les biblioth ques Elle doit en tout cas tre prise en compte car elle modifie les pratiques de recherche De nouvelles habitudes Diverses pratiques de recherche sont possibles La typologie de lecteurs tablie pour l tude qualitative de la r ception du prototype Europeana correspondait ainsi des publics tr s divers Il est difficile pour les biblioth caires de r pondre efficacement la diversit de ces publics On peut simplement rappeler que les outils mis en place doivent la fois s adapter aux nouveaux usages et laisser une possibilit de se contenter des ressources disponibles sur place pour les publics laiss s de c t par la fracture num rique ou ne so
178. rmation documentaire Pour les syst mes modulaires int grant les l ments de constitution des catalogues il est donc absolument n cessaire de prendre en compte l interop rabilit entre le SID et le SIGB d une part et entre PENT le SI et les portails d autre part Du moins si l on souhaite que le catalogue puisse tre int gr dans des outils plus larges 88 PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p p 282 pour les registres fiches catalogues formulaires proc dures rapports Par exemple la Jubiloth que de Paris 6 Jussieu donne acc s toutes les ressources disponibles et ventuellement aux ressources sous droits apr s identification http jubil upmce fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 26 En outre l int gration dans des catalogues collectifs permet une plus grande visibilit en diminuant consid rablement les co ts de production les notices labor es tant collectives En France l exemple principal en est le SUDOC catalogue collectif du r seau g r par 1 ABES et regroupant principalement des Biblioth ques Universitaires Pour les membres il s agit la fois d tre rep rables depuis le catalogue commun et d utiliser des notices d j r alis es en se localisant simplement si elles sont d j dans le catalogue collec
179. rmes Les ISBD manent de l IFLA et ont pour but d tablir un socle commun pour les normes nationales Ils d finissent les l ments de description bibliographique Ce travail de normalisation est li au programme de l IFLA de CBU mis en place vers 1960 pour d crire uniform ment les documents produits Ce projet tend se r aliser avec les catalogues collectifs mais se heurte la diversit des documents disponibles en ligne pour lesquels la normalisation des informations secondaires est d licate Publi s partir de 1971 l issue de la Conf rence internationale des experts en catalogage r unie en 1969 Copenhague par l IFLA les premiers ISBD correspondent des principes inadapt s l environnement actuel L volution pour une mise jour des r gles de catalogage est donc essentielle 2 1 2 Les r gles de catalogage Il convient d observer comment les r gles multiples voluent au travers des efforts d uniformisation mondiaux et nationaux Des r gles multiples L articulation des diff rents ISBD couvre l ensemble des documents imaginables avec l ISBD G g n rale et divers types Les l ments d identification sont r partis en 8 zones Il s agit seulement de description bibliographique l exclusion des points d acc s avec une structure intentionnellement rigide La multiplication des supports pour les m mes oeuvres rend moins pertinente la distinction ent
180. s agit en tout cas de s inscrire dans une culture de l imm diatet Culture gratuite et imm diate Les biblioth ques ont commenc mettre leurs catalogues en r seaux tr s t t avant m me le d veloppement d Internet de fa on gratuite et avec un acc s libre au signalement des documents sans que l acc s aux documents eux m mes ys oit associ Les catalogues se sont donc int gr s sans difficult la culture de gratuit et d imm diatet li e Internet Ainsi lors du proc s achev le 29 octobre 2008 7 7 L outil Google Book Search a donn lieu un proc s avec notamment The Authors Guild et l Association of American Publishers contre Google qui est finalement libre de continuer scanner les livres contre 125 millions de dollars vers s aux diteurs Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 41 opposant Google aux soci t s des diteurs et des auteurs Am ricains le premier argument avanc pour justifier la mise en ligne gratuite d ouvrages tait le fait que ce service soit rendu par les biblioth ques de fa on comparable et incontest e En revanche l volution du Web implique une ergonomie nouvelle et des habitudes de recherche devenant syst matiques pour les utilisateurs Il est n cessaire que les catalogues et portails de biblioth ques s y adaptent Il s agit a la fois de s int grer effi
181. s l ments de description bibliographique dont l ISBN ou ISSN et le titre propre Les l ments que le catalogueur construit Les l ments norm s Par exemple l auteur ou le lieu d dition Ces l ments peuvent donner lieu des renvois vers les notices les contenant aussi par exemple des autres ditions du titre ou des autres ouvrages du m me auteur et m me des ouvrages sur un m me sujet Bien avant l informatisation il existait des fiches de regroupement dans les fichiers de biblioth ques Il s agissait de fiches intercalaires permettant le renvoi entre les notices Dans les syst mes informatis s il est possible d effectuer automatiquement le renvoi que permettaient ces fiches Il s agit aussi bien de passer d une forme rejet e vers une forme retenue que de trouver les notices li es cette forme La notice d autorit uniforme et valid e est essentielle Valider les termes Les autorit s valid es sont la seule fa on de r soudre la question des homonymes d tablir des titres uniformes et de d crire les contenus dans un langage unifi Peu d institutions valident des notices d autorit s auteurs il s agit essentiellement de la Library Of Congress et de la BnF en France En France les notices d autorit sont cr es et modifi es uniquement par les catalogueurs de la BnF et ceux du SUDOC mais sont utilis es partout pour viter les ambigu t s et permettre
182. s photographies des peintures sur tranches de livres anciens qui sinon ne seraient pas mises en valeur et la r gion basse Normandie y met en ligne des photographies du d barquement de Normandie Cette utilisation de FlickR pose une question double Il s agit d une part d utiliser la masse de travail fournie par les usagers qui sur le Web d passe largement les possibilit s de mobilisation de catalogueurs professionnels et d autre part de savoir en quoi les documents continuent relever de la biblioth que est ce un moyen de la faire appara tre ou est ce que seul le document est important 178 Si c est le cas comment effectuer le choix du fournisseur et des modalit s de mise disposition des contenus dans un contexte commercial fort Plus encore pourrait il y avoir lieu de n gocier avec les fournisseurs En effet la mise disposition des images sur FlickR permet une grande visibilit des documents mais rend la biblioth que d pendante et diminue sa visibilit Faut il donc l inverse envisager d int grer un renvoi des ressources collaboratives depuis des catalogues institutionnels Surtout la participation des usagers au contenu des biblioth ques num riques n est pas forc ment souhaitable en raison de la fonction d expertise que remplit la biblioth que Ainsi les fonctionnalit s propos es par la premi re maquette d Europeana qui permettait notamment aux lecteurs d val
183. s Cette fa on d orienter les utilisateurs vers les sites locaux suppose des n gociations comme pour les accords conclus par OCLC avec Yahoo MSN et Google en dernier mais aussi pour des institutions plus modestes comme les accords de l INIST avec Google Surtout la mise en valeur d outils f d rant des catalogues ne met bien s r en valeur que ceux qui y sont pr sents En l occurrence OCLC Worldcat a une vocation mondiale mais les biblioth ques fran aises y sont pour le moment peu pr sentes Il faut remarquer l ambivalence de ce genre d outil le fait de s y int grer permet aux ressources d tre mieux rep r es mais les outils collectifs pr sentent le danger d encourager se limiter aux r sultats propos s La logique des actuels moteurs consiste toujours proposer un r sultat m me non pertinent en amenant reformuler la question plut t que de changer de moyen de recherche Or les biblioth ques peuvent avoir un fonctionnement inverse en renvoyant volontiers l utilisateur vers des institutions voisines sp cialis es Les catalogues collectifs am nent donc envisager une d marche du lecteur diff rente avec des r sultats divers fournis avec la m me interface et non au terme d une navigation Ces outils sont consid rablement am lior s par l int gration de mashups permettant des techniques de g olocalisation partir des adresses IP des utilisateurs Il s agit de rep rer automatiq
184. s et en raison du travail que suppose l adaptation un nouvel environnement Le RDA est actuellement tudi par la Library of Congress la National Agricultural Library et la National Library of Medicine ce qui correspond une r flexion g n rale sur l volution des catalogues au travers de l organisation professionnelle des changements de mod le de donn es et de structure et m me des mod les de production de l information bibliographique Cependant la fois pour des raisons d conomie financi re et de respect de normes labor es au niveau mondial la BnF comme les autres tablissements envisageant d utiliser RDA comme code de catalogage s il est adopt En pratique du fait de l clatement des biblioth ques publiques il est probable que la BnF joue un r le important de formation et de d cision dans ce contexte En ce sens l tude qui y est men e actuellement en interne sur la refonte du catalogue s int ressant aux produits possibles sur tous les formats aura probablement une incidence sur les choix nationaux De cette fa on la r flexion de la BnF sur les logiciels de bases de donn es au travers de nouveaux logiciels essentiellement en XML peut supposer des changements de format de description bibliographique Diverses possibilit s pourront alors tre prises en compte Par exemple m me si le MARC n est pas manipul et n appara t ni en entr e ni en sortie d une base de donn es r
185. s biblioth ques num riques Dir Fabrice Papy Hermes Lavoisier 2005 MELOT Michel Une br ve histoire de l image Paris l il neuf 2007 YEE Martha M LAYNE Sara S Improving online public access catalogs Chicago American Library Association 1998 Biblioth ques num riques et catalogues collectifs BROUDOUX Evelyne CHARTRON Ghislaine Document num rique et soci t Traitements et pratiques documentaires vers un changement de paradigme actes de la deuxi me conf rence Document num rique et soci t Paris CNAM 17 18 novembre 2008 Paris ADBS ditions 2008 BURESI Charlette CEDELLE JOUBERT Laure Conduire un projet de num risation Villeurbanne ENSSIB Paris d Tec et Doc Lavoisier 2002 FESQUET Guillaume COUSINS Jill Restructuration et mise jour du registre des m tadonn es de The European Library Villeurbanne ENSSIB 2007 FOULONNEAU Muriel RILEY Jenn Metadata for digital resources implementation systems design and interoperability Oxford Chandos Publishing cop 2008 GUERRE Louise LUPOVICI Christian Guide pratique les publications lectroniques Paris Archimag DL 2003 LAHARY Dominique L acc s aux catalogues et ressources des biblioth ques l ge des biblioth ques num riques et des moteurs de recherche carts perturbation mutation In Les biblioth ques num riques Dir Fabice Papy Hermes Lavoisier 2005 Wenz Romain Dipl me de con
186. s cases http www lespetitescases net Bibliobsession http www bibliobsession net Affordance http affordance typepad com Litt rature grise en ligne Il ne s agit la que de quelques uns des documents cit s dans ce m moire BOUVIER AJAM Laurent LESQUINS No mie RIPON Romuald Europeana tude sur les usages et les attentes relatifs l interface de consultation de la future Biblioth que num rique Europ enne rapport final 21 mars 2007 53 p http bibnum bnf fr usages BnF BNuE Ourouk Rapport_final pdf HILLMANN Diane Facing Forward The Challenges Facing Cataloging and Catalogers http hdl handle net 1813 11536 HILLMANN Diane The Future of Cataloging and Catalogers http www slideshare net kramsey the future of cataloging and catalogers presentation type powerpoint Ressources de la BnF De nombreux documents ont t utilis s notamment Des m tadonn es pour bien utiliser les ressources lectroniques Journ e d information AFNOR CG46 7 juin 2005 http www bnf fr pages infopro journeespro no A fnor2005 htm 10e journ e des p les associ s Convergence des politiques pour l acc s aux documents 6 d cembre 2006 http www bnf fr pages infopro journeespro po_2006 htm Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 100 Droits d auteur r serv s 11e journ es des p les associ s Politiques et r seaux de coop
187. s celle des types de documents d j d finie auparavant par exemple dans la norme Z 44 077 pour les images dans le catalogue multim dia Cette norme distingue les collections factices et non factices selon les bouquets portails collections d ditions si elles sont pr vues ensemble par exemple les collections d un livre selon le collectionneur avec l origine les formats et les supports divers Outre la diversit des ressources les modes d acc s eux aussi changent face des programmes de num risation de masse Ce changement majeur a entra n un vif d bat li l action de Google avec une r flexion de la BnF 35 Multilingual ACcess to Subjects impliquant la Suisse la France et l Allemagne Voir http rameau bnf fr informations pdf MACS bnf 2007 pdf 376 http www theeuropeanlibrary org 37 Semantic Interoperability To access Cultural Heritage voir la pr sentation de la Journ e d tude BnF AFNOR CG46 28 Mars 2008 http www bnf fr PAGES infopro journeespro no Afnor2008 htm en particulier l intervention d Antoine Isaac Biblioth que nationale des Pays Bas http www bnf fr PAGES infopro journeespro pdf AFNOR2008 Isaac pdf 8SKOS Simple Knowledge Organisation System langage permettant la repr sentation formalis e de th saurus d velopp par le W3C pour le Web s mantique adapt aux vocabulaires contr l s 3 T UPOVICL Christian L volution du r le
188. s d un outil divisant les fonctions de gestion et de signalement des SIGB g rant tout de l achat au pr t aux lecteurs puis des syst mes modulaires Les moyens de gestion y sont associ s Le circuit du document Dans le cas des ouvrages de lecture publique le document est acquis avec une commande et sa r ception et fait ce moment son entr e dans le catalogue avec une description dans le module d acquisition du SIGB donnant ventuellement un statut temporaire pendant la commande C est l occasion de son indexation avec un acc s sujet et une cote de classification L exemplarisation la cotation l quipement la mise en circulation et le d sherbage correspondent la mise jour du catalogue http www sudoc abes fr Agence Bibliograpique de l Enseignement Sup rieur EPA cr en 1994 Par exemple catalogage dans SUDOC avec WinIBW puis la cr ation automatique de notices locales http www worldcat org auquel participent pour le moment peu de biblioth ques Fran aises dont la BnF Le Hathi trust am ne s interroger sur les int grations voir http www bibliobsession net 2008 10 23 vers un catalogue mondial des bibliotheques et moi et moi et moi 4 M YEE Martha SHATFRD LAYNE Sara Improving public access catalogs ALA eitions 1998 220 p Voir Lupovici Catherine Du catalogue informatis la navigation dans l information num rique In Revue de la Biblioth qu
189. s d j disponibles et au mode de production des descriptions il est n cessaire de trouver des solutions compatibles avec l utilisation des donn es d j existantes En outre la manipulation parall le de documents papier et de ressources lectroniques am ne utiliser la fois un format de description comme un d riv du MARC pour le papier et un autre pour le num rique Par exemple en biblioth que Universitaire on peut rencontrer parall lement UNIMARC pour le papier et des d riv s du Dublin Core pour le num rique Les m me catalogueurs peuvent ma triser des formats diff rents mais il est difficile de faire appara tre les diverses ressources de fa on satisfaisante Les possibilit s du RDA Ressource Desription and Access Un des objectifs du RDA est donc au travers de l adaptation des FRBR et FRAD et gr ce au langage XML de d crire l ensemble des ressources selon une logique de production de m tadonn es ce qui change la d marche de l information bibliographique Comme son nom l indique RDA vise donner aussi bien la description que les acc s des ressources pour d crire num riquement les publications papier ou num riques De cette fa on le successeur des AACR2 apporte plus qu une simple reprise des r gles de catalogage anglo am ricaines et est vraiment diff rent du fonctionnement des ISBD Ainsi d un point de vue formel l emploi du XML permet de dissocier les contenus de la mi
190. s machines et l acc s de plus en plus fr quent au haut d bit ont entra n de nouveaux usages Il s agit de pratiques de consommation culturelle avec des produits imm diatement disponibles sous une forme num rique et d un acc s l information selon une ergonomie devenant intuitive 3 1 ERGONOMIE DU WEB ET ACCES AUX RESSOURCES L utilisation des outils de recherche en ligne modifie les techniques utilis es le rapport aux ouvrages et la place des lecteurs Seulement la moiti des foyers fran ais environ sont connect s Internet mais les habitudes de recherche sont modifi es de fa on g n rale Les informations donn es par M diam trie sur l audience de l Internet permettent de resituer dans un contexte plus large l analyse des outils des biblioth ques 3 1 1 Les moteurs pour la recherche d information En premier lieu l habitude d utiliser des moteurs de recherche offre de nouvelles possibilit s avec une logique de traitement de l information chelle mondiale De nouveaux outils La diffusion des connexions en haut d bit d s le d but des ann es 2000 a constitu une avanc e d cisive pour l utilisation d Internet par les particuliers Ne plus payer en fonction du temps de connexion encourageait rester en ligne et la possibilit d changer des donn es rapidement allait accro tre la place du multim dia Surtout la gratuit des connexions et la facilit de transfert des do
191. s ressources m me en reprenant des l ments de donn es adapt s suppose la formulation d hypoth ses sur les volutions plus g n rales des techniques de traitement de l information puisque les tablissements et leurs syst mes d information s int grent dans des probl matiques plus g n rales Quel que soit l tablissement il s agit donc de concilier l activit du comit de pilotage sp cialis ou des groupes travaillant sur le sujet du catalogue les pistes retenues par la direction de la biblioth que et les volutions et normalisations plus g n rales que l tablissement va prendre en compte ou influencer par ses choix dans le cas de grandes biblioth ques comme la BnF r fl chissant l volution de son catalogue dans les ann es venir De cette fa on l volution d un syst me informatis complexe suppose une refonte par phases sur plusieurs ann es Il convient de composer avec l existant l OCLC tablit des standards de fait au travers de ses d cisions Notamment l volution du MARC vers des bases de donn es en XML correspond des solutions techniques choisies aux Etats Unis et export es pour le reste du monde De m me l absorption de RLG archives et mus es par POCLC biblioth ques depuis 2006 am ne d criere des ressources diverses 5 1 2 Les supports multiples des m diath ques virtuelles L volution vers des supports non imprim s correspondait un largis
192. se en R dacteur en chef de Wired magazine de r f rence de la cyberculture cr en 1993 20 Dans un article paru en octobre 2004 http www wired com wired archive 12 10 tail html 21 The long tail why the future of business is selling less of more p 166 bis de notes Netflix site de location de DVD http www netflix com Ttunes http www apple com fr itunes download 7 En d autres termes cette courbe des 80 20 devient rapidement asymptotique c est dire tr s faible mais pas inexistante 205 http ww e leclerc com c2k portail enseigne enseignes_fiche_culturel asp 206 http www journaldunet com 0509 050908amazon shtml 7 GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod 2007 216 p p 184 186 208 http www cite sciences fr puis biblioth que Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s place de programmes de num risation de masse correspond au besoin de nourrir une courbe asymptotique dont l tendue va loin au del du nombre d ouvrages consultables au cours d une vie humaine mais dont l utilisation potentielle par des internautes constitue une justification valable En effet le point principal de la th orie de la long tail est l opportunit de march s de niches qui se traduit par l efficacit po
193. se en forme Et la structuration bas e sur les FRBR en uvre Expression Manifestation et Objet est encore tr s nouvelle dans le monde des catalogues 256 Voir Andy Powell Does Metadata Matter diaporama sur http www slideshare net eduservfoundation does metadata matter src embed 7 EAD VRA LOM 8 TENNANT Roy Library Journal 8 15 2004 http www libraryjournal com article CA443949 html 7 Les catalogueurs pouvant cataloguer en Unimarc sur le Sudoc avec WinIBW d OCLC PICA et en Dublin Core pour les objets num riques Resource Description and Access Cf Supra FRBR Functional Requirements for Bibliographic Records et les FRAD Functional Requirements for Authority Data 2 Pour l interop rabilit avec des ressources documentaires non issues du monde des biblioth ques Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Il convient de rappeler que la r flexion sur le RDA correspond a des d bats et travaux tr s r cents puisque ces r gles seront publi es en 2009 7 Nous viterons donc de trop entrer dans les aspects techniques pour d crire surtout le contexte de d veloppement Dans une perspective internationale il n est pas impossible que IFLA l adopte et qu il soit utilis en France notamment par la BnF Ce changement n cessitera une importante formation pour la conversion des donn es existante
194. sement de service des biblioth ques physiques qui se satisfaisait des outils de description des publications En revanche face aux habitudes de recherche en ligne il devient tr s d licat de refl ter la diversit des supports en permettant un acc s pertinent et efficace Analogiques et num riques multiples et uniques Si la compl mentarit de ressources papier et num riques est commun ment accept e ai il est plus d licat de voir comment la biblioth que peut aussi tre hybride en ce qui concerne le type de ressources num riques propos es Ainsi on observe peu peu une volution de l acc s aux contenus notamment dans le contexte universitaire o une porosit croissante entre le bureau virtuel et la documentation lectronique en g n ral th ses p riodiques lectroniques et articles en ligne bases de donn es entra ne la mise en place d une biblioth que num rique dont les documents num ris s ne sont qu un l ment Plus encore avec la mise en place d actions de num risation sur des documents anciens rares ou pr cieux la diversit des supports rejoint celle des types de documents en les rendant paradoxalement accessibles sur un seul cran De fait les livres anciens et manuscrits sont par d finition des objets uniques du fait de leur reliure des commentaires et marques de possession de leur tat et de leur histoire ventuelle M me dans des programmes de num risation de masse to
195. servateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 94 Droits d auteur r serv s LE MOAL Jean Claude et al Biblioth ques num riques Paris ADBS Ed 2000 246 p LIU Jia Metadata and its applications in the digital library approaches and practices Westport Conn Libraries Unlimited 2007 LUPOVICI Catherine La p rennit des documents num riques Grenoble 21 septembre 2000 MARCUM Deanna B et al Digital library development the view from Kanazawa Westport Conn Libraries Unlimited 2006 MASANES Julien Dir LUPOVICI Catherine L archivage des sites Internet rapport de stage Dipl me de conservateur de bibliothEques Villeurbanne ENSSIB 2000 MESTRE St phane Publication et gestion de documents s int grant dans un environnement s curis de type portail mise en oeuvre des processus de publication s l 2005 PAPY Fabrice EUVRARD Gilles Fran ois Les biblioth ques num riques Paris Herm s science Lavoisier 2005 PEDAUQUE Roger T SALAUN Jean Michel MELOT Michel Le document la lumi re du num rique Caen C amp F ditions impr 2006 PEYRARD S bastien L acc s aux collections num riques de masse M moire ENSSIB 2007 85 p SOARES PINTO FERREIRA Sueli Mara diteur scientifique SAVARD R jean The virtual customer a new paradigm for improving customer relations in libraries and information services satellite meeting Sao Paulo Brasil August 18 20 2
196. signifiants index s automatiquement Les moteurs de recherche ont donc deux activit s diff rentes D une part un robot d archivage qui parcourt le Web en suivant les liens et en copiant des donn es D autre part un robot d indexation permettant l indexation en plein texte C est le cas par exemple avec Google pour traiter la masse du Web avec une indexation et l utilisation d un algorithme de traitement des r sultats tr s puissant et connu dans ses grandes lignes le Page Rank C est la seule solution efficace au point que cette m thode est transpos e pour les outils comparables Par exemple le service du D p t L gal du Web a la BnF utilise principalement un robot d archivage mais pour cr er un instrument de connaissance des collections comme la Bibliographie nationale frangaise pour les ouvrages le Web collect est index en plein texte Cette indexation automatique n exclut pas l emploi de termes normalis s avec un cluster s mantique permettant de dissocier les diff rents sens des termes polys miques comme le fait Wikip dia par exemple et de relier des grappes de concepts contribuant un sujet d int r t principal Cette id e de pr ciser le sens des termes index s automatiquement est li e la technologie des traductions automatis es du moins dans les d veloppements et am liorations envisag s par les principaux moteurs Il est donc probable que l index
197. ssible de publications tr s sp cialis es pour un public sp cialis et par le bien fond de rendre disponibles des ressources diverses et sp cialis es leur communication correspondant une demande De cette fa on la diffusion d ouvrages num riques inscrit les biblioth ques dans une d marche particuli re o l ouvrage est assimil aux contenus particuliers au Web Chercher dans le texte des livres La possibilit d acc der au contenu d ouvrages num ris s a provoqu une r volution culturelle en biblioth que Disposer d outils pour interroger le contenu des documents sembla normal en centres de documentation mais bouleversait en revanche une culture professionnelle attach e des descriptions expertes et incontournables Pour acc der aux documents le fait de disposer d un fichier de texte permet de g rer des unit s minimales avec des entr es d index Le probl me principal pour l acc s aux ressources disponibles en mode texte est en fait la d finition des unit s d crites Par exemple dans une encyclop die en plusieurs volumes c est l article qui est une unit mais l ouvrage en lui m me peut aussi en constituer une Par exemple le Larousse du XIX si cle num ris peut tre d crit diff rents niveaux Pour ces ressources la possibilit d effectuer des recherches en full text est donc essentielle moins de se limiter une organisation th matique ou aux modes d
198. styles XSLT par exemple et d un navigateur la machine Parser permettant la visualisation pour les humains Surtout il faut employer un sch ma ou une DTD c est dire une liste des balises possibles et n cessaires pour la description L tablissement de DTD standardis es est un probl me essentiel Pour l adaptation des notices de catalogues il s agit la fois de r pondre aux changements techniques et aux changements d utilisation Ainsi les MARC sont des formats d change lin aires con us pour des bandes magn tiques en s rie dans un r pertoire pas vraiment g r en machine au sens actuel En fait dans bases de donn es en MARC les champs de bases de donn es conservent les attributs MARC Par cons quent le passage au MARC XML ou d autres outils XML peut tre naturel mais les balises restent celles du MARC Le MARC XML est extensible mais est une simple transcription du MARC qui conserve deux l ments seulement ce qui permet qu il soit lu hors des biblioth ques mais n am liore pas les niveaux hi rarchiques qui taient pourtant une des faiblesses principales du MARC De ce fait les premi res fonctions du MARC c est dire la 75 Ressource Description Framework Infra 4 2 2 Dont il permet la r utilisation avec des m canismes de type Object Linking and Embedding OLE 7 Webdav pour World Wide Web Distributed Authoring and Versioning projet d velopp par IETF et le W3C es
199. t l int gration de recherches dans les collections des biblioth ques quels que soient les types de documents et de supports Dans des services existants L imitation voire l int gration des biblioth ques dans des catalogues commerciaux pose la question des objectifs atteindre Il s agit d une possibilit int ressante d une part parce que certains catalogues commerciaux sont bien r f renc s et apparaissent en t te lorsqu on cherche un produit culturel ce qui permet d attirer l attention des utilisateurs et d autre part parce que les catalogues commerciaux en ligne sont pour certains connus et situ s sur le chemin habituel des internautes Notamment Amazon le premier site de vente de livres en ligne est d sormais ouvert au d veloppement de mashups avec Amazon Web Services AWS la plate forme d Amazon pour les d veloppeurs Les biblioth ques du Royaume Uni s y int grent la suite d un accord Le principe est d attirer l attention d internautes souhaitant se procurer un livre en les g olocalisant l aide d un mashup sur Amazon plut t que d avoir utiliser le site particulier d une biblioth que L int gration de Worldcat dans Google Books a un objectif identique permettre de rep rer les ouvrages en biblioth que au cours d une navigation fluide et alors qu on n avait pas forc ment envisag cette possibilit 18 Voir par exemple les conf rences d Herv
200. t s habituellement associ es au Web 2 0 existent depuis la fin des ann es 1990 sur Amazon leader de la vente d ouvrages en ligne Il s agit d int grer le consommateur comme prescripteur pour les conseils eux m mes et en raison de la force de vente d arguments donn s par des personnes n ayant pas d int r t direct dans la transaction Depuis dix ans sur Amazon le conseil du libraire est donc remplac par les commentaires des internautes Une offre compl mentaire est permise avec des blogs d auteurs parfois li s leurs livres Un algorithme de recommandation suit la navigation de l utilisateur selon l indexation th matique des ouvrages et les achats communs effectu s par d autres clients pour proposer d autres titres Plus encore un programme de fid lisation propose depuis 2004 l ouverture d un compte client avec un Plog C est en fait un blog client permettant de cr er une interface int grant des recommandations et des contenus de blogs d auteurs auxquels le client est abonn Il s agit d un moyen de fid lisation permettant au client de s approprier les ressources On pourrait tout fait envisager des fonctions comparables pour les catalogues de biblioth ques Il reste cependant plusieurs diff rences notables entre les catalogues de vente et ceux des biblioth ques En premier lieu la vente par correspondance est associ e presque tous les catalogues commerciaux en ligne ce
201. t MARC XML Pourtant dans le monde des biblioth ques comme dans celui de l dition l emploi de donn es XML n est pas encore suffisamment r pandu en France pour que ces changes soient simples 318 Comme SPAR la BnF voir Thomas Ledoux Le Syst me de Pr servation et d Archivage R parti http www bnf fr pages infopro journeespro pdf poles_pdf poles2008 spar pdf 3 L Internet Engineering Task Force est une organisation interprofessionnelle des m tiers de l informatique et des r seaux tablissant des standards http www ietf org Ce d p t lectronique existe pour le moment en France sous la forme limit e de I exception handicap article 122 5 alin a 7 du code de la propri t intellectuelle ajout par la loi DADVSI Chapitre 1 article 1 alin a 3 http www legifrance gouv fr Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 70 La simplification des proc dures de description semble pourtant souhaitable comme le souligne le rapport PATINO qui formule des recommandations pour l association de la BnF du Centre National du Livre et de Dilicom afin de mettre en commun les donn es bibliographiques Dilicom maintient en effet un fichier d ouvrages disponibles pour la librairie tandis que le Cercle de Librairie publie Livres hebdo avec le signalement des nouveaut s parues et que la BnF labore la Bibl
202. t du catalogage et de l OPAC CIEL Selon les produits il existe aussi des modules pour le bulletinage la circulation ou les commandes par exemple Cette dissociation permet que les diverses taches d indexation de recherche de d chargement d affichage et d impression par exemple donnent lieu a des traitements distincts La gestion des donn es catalographiques est donc clairement r partie Ces fonctions de gestion tendent s tendre puisque les biblioth ques num riques am nent g rer des documents dits virtuels en fait virtuels mais num riques en lien avec les outils XML Il s agit de r utiliser les donn es bibliographiques pour diff rentes fonctions et de g rer le document Il devient possible d int grer des fonctions de gestion des documents avec les t ches proches de celles du records management transposables en biblioth que avec les droits d auteur l obsolescence et le d sherbage Dans ce domaine ce sont les biblioth ques num riques qui conduisent innover Ces fonctions peuvent tre tendues la gestion des documents papiers dans des domaines o l obsolescence des documents est rapide ce qui permet de programmer le d sherbage d s l acquisition avec par exemple une adaptation de la grille Conspectus pour programmer par exemple l limination d une partie des manuels techniques d s leur achat Il peut s agir aussi d outils d valuation des colle
203. t que la notion de m tadonn es est diff rente de celle de notices En effet le principe de la recherche tend supprimer l tape de la lecture d une fiche entre le moteur et le document Il s agit donc d adapter la description a des recherches directes D crire dans le document Pour les ressources papier y compris dans le contexte commercial c est la notice elle m me qui est l objet de la recherche sur Internet sauf dans le cas particulier des recherches en plein texte Or les m tadonn es de droits peuvent tre diff rentes donnant acc s ou pas au document Que l on recherche la notice en ligne d un document physique ou un document num ris l volution la plus logique est la m me int grer la description l objet finalement consult notice d ouvrage papier ou objet en ligne 7 D un point de vue technique les formats peuvent tre manipul s par l identification o on d termine le format en d tectant le type MIME du fichier par exemple image tiff pour un fichier TIFF et par l op ration de caract risation o on extrait des informations pr cises sous la forme d un fichier XML par exemple avec JHOVE programme d velopp par l universit de Harvard Avec le type de droits la date de d but la dur e et la date de fin de droits 49 Droit de modifier le document de modifier ses m tadonn es ou de migrer ses fichiers existants 250 Par exemple la BnF
204. t un protocole applicatif d fini au dessus de http et utilisant une syntaxe XML protocoles et m tadonn es permettant l dition coop rative et la gestion de contenu de documents sur le Web 7 Voir notamment PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique documentaire Paris Dunod 2004 342 p p 328 Direction G n rale pour la Modernisation de l Etat s int resse notamment aux standards administratifs 8 Getting started with XML a manual and workshop Par Eric L Morgan http www infomotions com Traduction par Nicolas Morin http www nicolasmorin com xml Document Type Definition Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 23 description l change et la d rivation sont conserv es avec les formes actuelles de passage en XML qui permettent de simplifier les changes dans le contexte du Web Ainsi la r cente norme MarcXchange ISO 25577 permet avant tout l change de fichiers en XML Par exemple le SUDOC fournit ses notices Google pour Google Books et de nombreux SIGB proposent des fonctions d Import Export en XML en plus du MARC pour faciliter les changes m me sans fonctions nouvelles L abandon des formats MARC supposerait de cr er des donn es directement en langage XML En changeant de formats pour s adapter au Web on garde la fonction premi re des catalogues avec l identification la loca
205. tablir un corpus des termes d indexation Dans le domaine de l indexation des images en biblioth ques sp cialis es il s agissait de mettre en place un vocabulaire d indexation continuellement adapt On peut citer par exemple l iconoth que labor e dans les ann es 1980 par Henri Hudrizier pour indexer les images selon leur l gende et non selon leur contenu De la m me fa on Michel Melot pose les principes d une indexation voluant selon ce que les gens cherchent De fait l indexation des images partir des l gendes est pour le moment la seule fa on de permettre des recherches par mots cl s C est donc le mode de recherche habituel de Google Images ou de sites sp cialis s comme FlickR par exemple En ce cas le fait que les utilisateurs soient aussi producteurs du contenu et de sa description am ne videmment s interroger sur les changements d usages 38 Voir ERTZSCHEID Olivier Le march du livre comme algorithme http affordance typepad com mon_weblog 2008 11 le march 25C3 25A9 du livre comme algorithme suite html Institut National de l Audiovisuel http www ina fr 50 Par exemple HUDRISIER Henri L iconoth que documentation audiovisuelle et banques d images La Documentation fran aise collection audiovisuel et Communication 1982 MELOT Michel Une br ve histoire de l image Paris l il neuf 2007 Wenz Romain Dipl me de conser
206. tif et en les d rivant si elles ont t labor es par une institution partenaire Pour des raisons videntes d conomie de travail humain et d uniformisation des descriptions la localisation simple est consid r e comme une forme souhaitable de catalogage Il s agit d une exemplarisation dans le catalogue collectif donnant lieu automatiquement la cr ation d une notice dans le SIGB avec l ventuel crasement des notices locales pour l uniformisation A l chelle mondiale un catalogue collectif regroupant toutes sortes de biblioth ques est d velopp par OCLC Worldcat Les OPACs traditionnels pr sents sur le Web tant des bases de donn es interrogeables gr ce un formulaire ils ne peuvent tre index s par les robots des moteurs de recherche Ces catalogues font partie du Web invisible c est dire des donn es disponibles mais difficilement accessibles car non rep r es par les moteurs de recherche La plupart des organismes bibliographiques m me la puissante OCLC acceptent l id e que les moteurs de recherche classiques doivent d sormais tre consid r s comme un moyen normal d acc der aux ressources les catalogues sp cifiques n en tant qu un compl ment L enjeu de la description des ressources est donc le passage de la description dans un catalogue aux m tadonn es 2 3 2 Des moyens de gestion En une trentaine d ann es les catalogues informatis s sont pass
207. tion vers des m diath ques num riques selon le mod le d Europeana dans sa version Europ enne mise en ligne en Novembre 2008 permettant une recherche f d r e d images textes vid os et sons avec un tri simple selon les types de documents La difficult majeure dans ce cas est de se positionner sur l acc s aux contenus sous droits lorsqu ils ne sont pas empruntables sur un support mat riel Par exemple si la M diath que de l agglom ration Troyenne fait le choix de limiter l acc s aux contenus audiovisuels num riques une consultation sur place la BPI r fl chit actuellement des modalit s de pr ts de fichiers par exemple pour des baladeurs MP3 qui supposeraient l laboration d instruments de recherche pertinents En effet le mode de recherche habituel des usagers pour ce type de ressources est le butinage dans les bacs de bo tiers de disques on pourrait imaginer de le transposer directement avec un t l chargement apr s le choix du bo tier mais pas si ce service existe d j en ligne Dans ce domaine les biblioth ques souffrent d une concurrence telle qu il est peut tre inutile de d velopper des services de ce type Non seulement les m canismes de Peer to peer permettent un acc s imm diat et gratuit presque toute la production r cente mais m me des sites l gaux proposent en fait des contenus sous droits selon un mode avec lequel il est difficile de rivaliser Ainsi Youtu
208. travers de qualificatifs normalis s permettant de l enrichir d finis par le DCMI pour le raffinement d l ments ou pour l interpr tation des valeurs dans les sch mas d encodage Le Dublin Core peut tre encapsul dans des fichiers HTML ou XML et est donc applicable a tous les formats de fichiers que nous avons pr sent s a condition que la syntaxe soit interpr table par les moteurs et par les humains Il s est donc d velopp parall lement et s par ment de l volution de MARC en XML On cherche maintenant l int grer aux outils traditionnels de biblioth ques au travers du RDA Son envergure internationale lui a permis de d passer largement le mod le des biblioth ques pour lesquelles il a t con u En autorisant la fois les recherches par champs l indexation d objets non textuels et l acc s des contenus de substitution il se pr te en effet des usages tr s larges C est pour cette raison que lors de la cr ation d entrep ts de notices communs aux archives ouvertes aux mus es et aux biblioth ques le Dublin Core est apparu comme l outil le plus simple et efficace pour changer les informations Il s est donc impos 84 Incluant les m tadonn es de pr servation de PDI 5 PREservation Metadata Implementation Strategies http www oclc org research projects pmwg et http www loc gov standards premis 86 PREMIS est utilis notamment par la BnF dans SPAR 287 http
209. truments de description des ressources physiques ou num riques restent pertinents Le Web s mantique un grand catalogue Au travers de l int gration des l ments de description dans les documents eux m mes on peut esp rer la mise en place de modes de recherche utilisant la structure s mantique des documents On pourrait envisager une volution du catalogue li e aux documents num riques Mais pour le moment les l ments de donn es permettant l indexation des documents num riques viennent des catalogues traditionnels et il est impossible pour les moteurs de recherche d indexer des catalogues sous la forme de bases de donn es De cette fa on le foss risque de continuer se creuser entre les documents directement disponibles en ligne en mode texte et ceux dont la biblioth que dispose sous une forme mat rielle On peut distinguer les documents num riques libres de droits les documents num riques sous droits et les documents physiques libres de droits ou non Les documents num riques peuvent tre visibles parall lement en mode texte pour les recherches Google Books propose m me un acc s des extraits et une notice bibliographique d ouvrages sous droits pour un mode de recherche de masse partir des contenus Mais dans le cas des descriptions des ressources propos es par les biblioth ques la visibilit sur le Web suppose l exposition de donn es descriptives Face aux volutions tech
210. tte fa on Digg qui propose des sites recommand s par les internautes donne acc s son laboratoire avec des sch mas qui montrent en temps r el les volutions selon les votes Lorsqu on parle d indexation par les utilisateurs il s agit donc de m canismes complexes d j tudi s dans des travaux de ce type On peut retenir l id e que ce type d outil est tout fait d actualit pour acc der aux ressources et pour int grer les utilisateurs la description A l inverse de ces outils o la description correspond une fusion de diff rentes contributions il existe aussi des catalogues o un utilisateur seul produit une description Il s agit des catalogues de ventes priv es encadr s par des organismes comme Ebay ou PriceMinister mais o les articles sont mis en vente titre personnel et o le vendeur tablit sa notice de fa on autonome avec une description libre Pour autant ces notices sont organis es selon une structuration la fois typologique et th matique tout fait fonctionnelle pour permettre aux acheteurs de trouver les articles La tr s grande disparit de qualit de descriptions par exemple pour les livres anciens sur Ebay montre bien que cet outil ne fonctionne que pour une audience disparate et pour des produits disponibles dans un temps court En revanche l approche du mode de navigation des clients est int ressante pour les catalogues de bibliot
211. uement quels tablissements se situent proximit de l utilisateur C est ainsi que Google Book Search Via Worldcat propose simplement de trouver ce livre pr s de chez vous d une fa on plus intuitive que les localisations manuelles L volution des usages implique des changements d habitudes qui peuvent rendre pertinente l int gration des biblioth ques dans des applications Web De fait les internautes sont marqu s par l ergonomie du Web de la fa on la plus g n rale puisque la masse de ceux qui n utilisent que les outils les plus simples sont probablement ceux qui se limitent aux interfaces intuitives Pourtant les catalogues ne sont pas sur le chemin naturel des internautes celui des moteurs de recherche et des sites de partage Il est habituellement admis selon Lorcan Dempsey et des auteurs comme Herv Le Crosnier en France que le catalogue de biblioth que doit tre l o sont les internautes c est a dire dans Google et dans les applications Internet habituelles 77 http www ocle org 7 Pour l interrogation des donn es de Pascal et Francis par Google I Bien que BN Opale Plus BnF et le SUDOC ABES soient en passe d y tre int gr s 75 http orweblog oclc org Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s Il s agit d attirer l attention en faisant appara tre le catalogue lui m me des
212. uer et de commenter les ouvrages n avait pas donn satisfaction sur ce point selon les enqu tes effectu es ensuite Il y appara t que les utilisateurs d sirent une biblioth que num rique qui reprenne les atouts de la biblioth que physique c est dire un lieu o les ressources sont valid es 178 6 site le plus visit au monde en 2006 toutes cat gories confondues apr s Yahoo MSN Google Baidu Le moteur de recherche chinois http www baidu com et Myspace A part des sites li s des laboratoires de tirages Kodak Snapfish ou des logiciels de catalogage Photoshop Elements Picasa qui remplissent une fonction diff rente GERVAIS Jean Fran ois Web 2 0 les internautes au pouvoir blogs r seaux sociaux partage de vid os mashups Paris Dunod 2007 216 p p 86 Par un service de presse r unissant des journalistes des Etats Unis du Canada et de France et dont un groupe de passionn s fait une analyse compl te allant du rep rage des insignes celui des mat riels et des personnes Comme le pr voit Google avec la r tribution d auteurs sur Youtube en fonction des pages vues 82 Comme dans le prototype de la nouvelle version d Europeana o la d monstration des chaussures de Van Gogh conduisait Youtube Maquette d Europeana labor e par la BnF http maquette bnf fr labs scenario Europeana demo html Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth
213. ues g rant les homonymies Il s agira d un algorithme de l OCLC avec des renvois aux notices bibliographiques li es l autorit pour d sambiguiser les personnes On peut aussi citer le projet MACS de la Communaut Europ enne cherchant mettre en place des autorit s pour un vocabulaire en constante volution TEL par exemple souhaite utiliser MACS pour les mati res mais un travail important reste faire sur la traduction des termes et les quivalences de concepts Notamment STITCH est un projet sur la traduction automatique entre vocabulaires en particulier les vocabulaires iconographiques Les biblioth ques fran aises se posent notamment la question du passage de Rameau en SKOS actuellement contrairement l ancien emploi de l ISO 2709 5 2 2 Contr ler l acc s La mise disposition de documents num ris s pour les internautes correspond l id e de gratuit et d ubiquit d un document accessible de partout C est pourquoi les ouvrages dit s en ligne dans des biblioth ques num riques peuvent correspondre un statut d dition d ouvrages en ligne diff rente de la simple mise disposition en salle et du pr t temporaire L ubiquit La pr sence parall le d ouvrages acquis et manipul s mat riellement et d ouvrages num ris s g r s sur des serveurs peut provoquer une volution de la notion de collection La distinction des supports rejoint en ce sen
214. ues par lesquelles le catalogue r ponde aux fa ons nouvelles de rep rer des sources d information et d autre part l adaptation aux pratiques et itin raires d un public changeant Changements de public Il est difficile d tudier avec rigueur les publics int ress s par les catalogues des biblioth ques et par les biblioth ques num riques qui peuvent toucher un autre public Les utilisateurs des biblioth ques num riques ont donn lieu diverses enqu tes notamment les publics du prototype d Europeana pour la BnF Mais il s agit ici de la question plus large des internautes et de leurs habitudes Si la moiti environ des foyers fran ais sont connect s Internet en pratique de nombreux services commerciaux et m me des services publics tendent consid rer l ensemble des Fran ais comme des internautes Il serait illusoire de vouloir tudier les pratiques de l ensemble des internautes On peut cependant constater plusieurs volutions En l absence de chiffres fiables sur des enqu tes de public on raisonnera principalement partir de l adaptation des outils D une part il est de plus en plus simple de participer aux contenus publi s sur le Web Qu il s agisse de cr er un site Web avec un logiciel intuitif un blog ou de participer simplement un forum ou au blog d une autre personne en postant un message les outils de cr ation de contenus permettent de faire de plus en plus
215. uhaitant pas utiliser l informatique pour leurs lectures de loisir Apr s une premi re vague d euphorie pour les outils collaboratifs il tait ressorti de cette tude que les diff rents publics dans le cas d Europeana d siraient unanimement que la biblioth que leur fournisse des contenus s lectionn s les lieux d expression pour les internautes existant d j par ailleurs La validation de l information correspond un r le ancien des biblioth ques avec une analyse des contenus mis disposition mais elle s inscrit dans une logique diff rente avec la masse des informations disponibles sur le Web Une logique de masse La quantit d informations disponibles sur le Web change compl tement la fa on de chercher une ressource pertinente quel que soit le type de document num rique mondiale Ce projet s appuie sur des collections emprunt es des biblioth ques prestigieuses principalement d universit s anglo saxonnes Les universit s de Harvard Widener Library de Stanford Green Library du Michigan et d Oxford Bodleian Library et la New York Public Library au d part puis celles Californie ao t 2006 du Wisconsin Madison octobre 2006 du Texas Austin janvier 2007 et la Staatsbibliothek de Bavi re mars 2007 l universit de Lausanne mai 2007 et l universit de Mysore en Inde mai 2007 puis le CIC 14 http books google com version fran aise http books google fr
216. un guichet unique avec un mod le d unification inspir des revues payantes En se limitant aux catalogues de biblioth ques le mod le am ricain de Worldcat fonctionne de fa on inverse puisqu il est rattach Google Book Search permettant d interroger des catalogues depuis des ressources num riques On observe ainsi une dissociation entre les attentes des biblioth ques de recherche et de lecture publique En effet la recherche universitaire tend bien s r la mondialisation avec une unit des modes d interrogation Par exemple avec Worldcat avec un besoin d utiliser des ressources en ligne quelles que soient les disciplines A l inverse les biblioth ques de lecture publique semblent tendre la sp cialisation le lecteur se souciant peu de savoir si un ouvrage int ressant se trouve ailleurs que l o il va c est en tout cas une des conclusions du groupe de Fairfield travaillant sur les OPAC qui pr conise une modernisation sans f d ration syst matique car le catalogue se limite en 43 BOUVIER AJAM Laurent LESQUINS No mie RIPON Romuald Europeana tude sur les usages et les attentes relatifs l interface de consultation de la future Biblioth que num rique Europ enne rapport final 21 mars 2007 53 p http bibnum bnf fr usages BnF BNuE Ourouk Rapport final pdf 414 Compte rendu par LE SAUX Annie Les biblioth ques l heure du num rique nouveaux lieux nouveaux usages
217. un syst me ancien mis en place dans les ann es 1990 de demandes voluant peu et de n cessaires volutions li es aux bouleversements techniques Au niveau mondial les restructurations des soci t s fournissant des SIGB et la diminution des ressources des biblioth ques publiques dans un contexte de difficult s conomiques pourraient conduire un nouveau mod le d laboration des progiciels de gestion de biblioth que De fait POCLC qui occupe d j une position h g monique dans le monde des biblioth ques travaille sur le d veloppement de SIGB chappant la logique des fournisseurs priv s Il ne s agit que d hypoth ses mais cette volution aurait des cons quences sur les mod les conomiques et sur l volution des catalogues 2 4 DES SYSTEMES D INTERROGATION Le catalogue informatis est con u comme un outil de r ponse des questions formul es par les biblioth caires puis par les usagers Les points d acc s permettant de trouver l information sont donc essentiels L laboration de sch mas de donn es se traduit par une indexation des champs de la notice pour permettre la recherche Pour l utilisateur l affichage l cran est une r ponse pr sent e au d part par analogie avec les fiches puis par champs principaux L acc s aux donn es parvenant peu peu s affranchir des anciennes contraintes il devient possible de mettre en place de nouveaux mod les pour r pondre
218. urces des biblioth ques l ge des biblioth ques num riques et des moteurs de recherche carts perturbation mutation In Les biblioth ques num riques Dir Fabrice Papy Hermes Lavoisier 2005 0 par exemple pour naviguer dans les documents dans le cas d applications RDF PRAX Jean Yves LARCHER Simon La gestion lectronique Op Cit p 328 1 pouvant par exemple figurer sous forme de source XML comme index dans une base de donn es relationnelle ou dans un autre CMS sp cifique Ibid Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 84 R ciproquement les donn es labor es ou centralis es par les biblioth ques peuvent aussi int resser les acteurs de la diffusion des ouvrages Ainsi Amazon ach te des donn es tablies par les biblioth ques publiques m me si ce n est pas le cas en France avec la restructuration d amazon fr Ces aspects pourraient voluer rapidement avec une offre d ouvrages num riques sous droits pour la diffusion de livres lectroniques Apr s les checs pr c dents les progr s des produits pourraient amener leurs diffuseurs s int resser au signalement des ressources num ris es des biblioth ques qui font partie des arguments de vente de ces machines 5 3 ACCEDER AUX COLLECTIONS La diversification des supports de lecture ne doit pas faire oublier que pour le moment la machine utilis e
219. usicales Online Computer Library Center le plus grand r seau de catalogage du monde http www oclc org USMARC AUSMARC CANMARC et UKMARC Le MARC 21 correspond techniquement la fusion de l USMARC et du CANMARC et s est tendu plus largement notamment au Royaume Uni avec l abandon de l UKMARC en 2004 LOC Washington http www loc gov marc 65 Comit informatique Marc employant environ 20 personnes temps plein Biblioth ques anglo saxonnes notamment OCLC 57 Que l IFLA recommande et maintient en lien avec l ISBD utilis en France Italie et Allemagne 6 et au RDA en cours d laboration Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s C est notamment un format associ aux AACR2 pour d crire des archives et des objets tridimensionnels La plupart des SIGB actuels sont con us pour le Marc 21 Bien que la structuration des zones varie entre ces formats la structure reste comparable avec deux niveaux hi rarchiques ce qui est trop peu pour effectuer des descriptions fines n cessaires face la multiplication des supports et l volution des techniques de recherche Ils semblent en particulier d suets face aux langages balises Interop rabilit et volutions Ag s d une trentaine d ann es les formats Marc sont d suets Complexes et lourds g rer ils manquent de soup
220. ut en restant des 31 LAHARY Dominique L acc s aux catalogues et ressources des biblioth ques l ge des biblioth ques num riques et des moteurs de recherche carts perturbation mutation In Les biblioth ques num riques Dir Fabice Papy Hermes Lavoisier 2005 Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 77 livres ils sont galement des objets uniques pour lesquels le catalogue est a la fois un moyen de retrouver un ouvrage et un instrument de connaissance des fonds Or la mise en ligne en fait des objets accessibles de partout ce qui n en amoindrit pas la valeur mais change la perspective de description On peut citer par exemple le catalogue en ligne Calames abondamment comment sur le site de Lorcan Dempsey gt o des documents manuscrits uniques deviennent accessibles de partout en plein texte G n raux et sp cialis s Si les catalogues commerciaux distinguent toujours les diff rents types de supports les biblioth ques sont habitu es la logique du m lange des ressources La consultation des objets num riques pose donc un probl me d int gration dans les autres ressources de la biblioth que Dans le cadre de collections strictement num riques la gestion peut tre comparable celle de collections en libre acc s la premi re maquette d Europeana pr voyait ainsi une reprise de la Dewey avec un d cou
221. utilise cinq contextes d acc s du plus permissif au plus restrictif Web Etudes sur place Recherche en rez de jardin Hemicycle sous accr ditation sp ciale Pr servation professionnels de la BnF La distinction des usages autoris s consultation copie impression peut tre exprim e dans le format ODRL ou en DIDL avec des items conditionnels Voir Introduction MPEG 21 http www figoblog org document1244 php 1 Support mat riel lisible machines pour le lire syst me d exploitation logiciel de lecture Voir les enjeux de la pr servation num rique en slide http www figoblog org node 1944 http vds cnes fr pin documents projet_norme_oais_ version francaise pdf 253 Qui tablit a correspondance entre le train de bits et l information intelligible par un humain en transformant une suite binaire en un document consultable 2354 Avec la fois l information de provenance d int grit et d authentification du fichier et une information d identification contextuelle liant vers les autres objets n cessaires a la pr servation 255 Par exemple dans Gallica 2 dont les ressources index es en plein texte sont des documents num riques produits partir de documets papier avec des m tadonn es de descripton bibliographique issues des notices Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 60
222. vateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 42 Web 2 0 changements d usages On parle couramment du Web 2 0 par analogie avec les versions r vis es des logiciels pour d signer l volution du Web vers des outils rendant l utilisateur actif sur les contenus Cette expression a t lanc e par Tim O Reilly en 2004 pour une conf rence par mani re de boutade Il n a pas d fini ce terme pour lequel il a pourtant donn plusieurs pistes de r flexion en raison de sa popularit Ce terme qui tait au d part une plaisanterie a t unanimement repris C est en fait une fa on de d signer l ensemble des outils collaboratifs qu il s agisse proprement parler de sites dont les contenus sont fournis par les internautes comme Youtube et FlickR de sites de partages de favoris de r seaux sociaux comme Myspace ou Facebook ou simplement de techniques permettant d agr ger des liens d information un portail avec la technologie des Fils RSS Il s agit donc de techniques et de pratiques tr s diff rentes Le Web 2 0 correspond pourtant aux concepts de d part de l Internet visant permettre des outils collaboratifs Ces volutions inqui tent souvent les professionnels des biblioth ques au point que le terme finit par d crire l ensemble des volutions techniques pouvant inqui ter On peut citer par exemple l article d Emilie Bart
223. vement des domaines biblioth conomiques 2 En cours de relecture jusqu au 2 f vrier 2009 disponible sur le site http www collectionscanada gc ca jsc rda html Voir Cataloblog http catalogablog blogspot com et les d clarations de la LOC notamment sur http www nlm nih gov tsd cataloging RDA Letter 050108 pdf Wenz Romain Dipl me de conservateur de biblioth que M moire d tude Janvier 2009 Droits d auteur r serv s 62 Des sch mas XML Les ensembles de descripteurs de m tadonn es les plus r pandus sont issus du XML mais leur multiplication a provoqu une relative confusion Comme auparavant pour les formats MARC c est avant tout l change qui a t normalis avec la r cente norme MarcXchange proposant un mod le plus g n rique de MARC XML Mais cette uniformisation n a pas vocation a permettre plus que les changes et n est pas un format exploitable en soi Les premiers sch mas XML utilis s en biblioth que correspondent a une simple transposition de l information bibliographique produite auparavant selon les diff rents d riv s du MARC Les donn es restent structur es en deux niveaux hi rarchiques seulement et sont centr es sur la description de l objet Ces formats transposant l information bibliographique en XML permettent une meilleure interop rabilit et constituent sans doute une tape importante pour un nouveau traitement des donn es mais ne
224. versity en Californie mise en place en 2002 avec une structuration de l information biobibliographique distincte des ISBD Cette id e de s affranchir des anciens formats est encore d licate a mettre en place avec des DTD autres que MARCXML Ces diff rents sch mas rendaient n cessaire l utilisation d une norme permettant l change La r cente norme MarcXchange future ISO 25577 en cours de validation actuelle DIS ISO 25577 qui est l aboutissement de travaux men s depuis 2003 permet de standardiser les changes en XML mais ne vise pas permettre plus que l echange On pourrait avoir l impression qu il s agit de poup es russes avec un format d change entre formats d change Mais cela correspond la rationalisation d une situation involontairement clat e qui est claircie par les nouveaux outils d change avec souvent la difficult locale de l adaptation des syst mes de gestion 2 3 DES SYSTEMES DE GESTION DE BIBLIOTHEQUE En biblioth que le catalogue est un instrument de visibilit des collections Il a la double vocation de pr sentation des collections et de gestion d un fonds depuis les Tables de Callimaque d Alexandrie jusqu 1 O0CLC Worldcat Les changements techniques induisent de nouvelles modalit s de gestion et d acc s 2 3 1 Des outils techniques Le passage l informatique avait d j pos un probl me de red finition des instruments de recherche

L`avenir des catalogues : Formats, données, outils, usages

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