20071130 Quotimed Coup envoi EGeOS p1
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1. DMLA 4 lettres encore op souvent m connues repr sente la principale cause de malvoyance dans les pays industrialis s Elle entrainerait galement 3000 nouveaux cas de c cit l gale acuit visuelle lt 1 10 chaque ann e dans notre pays dont certains pourraient tre vit s gr ce un diagnostic pr coce Face ce constat la Soci t Fran aise d Ophtalmologie en partenariat avec Novartis lance une Cette initiative a pour objectif d informer sur les premiers signes potentiellement vocateurs de cette pathologie qui pourraient amener les personnes concern es vous en parler Gr ce cette d marche et avec votre soutien nous esp rons mieux sensibiliser le grand public sur la DMLA Rendez vous partir du mois de d cembre 2007 la t l vision la radio et dans la presse grand public Aidons les prendre leur vue en main Informations destination du grand public Appelez le 32 et dites DMLA 0 15 min TTC WWW c m a i nfo Fi fr lD NOVARTIS e taluk PRE tatmologie 1 Agence Nationale d Accr ditation et d valuation en Sant ANAES Traitements de la DMLA ANAES Paris Septembre 2001 2 Soubrane G Les DMLAs rapport de la SFO Edition Masson 2007 2 LE QUOTIDIEN DU MEDECIN N 8268 VENDREDI 30 NOVEMBRE 2007 www quotimed com MG S DDB Ciel amp Terre R65 72 Novembre 2007 Coup d envoi des tats2. Roselyne Bachelot installe aujourd hui le groupe de concertation permanent des tats g n raux de l organisation de la sant EGOS Ce chantier mobilise pendant deux mois les syndicats m dicaux repr sentatifs y compris les opposants les tudiants et les internes l Ordre les usagers ou encore les lus If devra d boucher le 4 f vrier sur des solutions concr tes partag es pour structurer l offre de soins de premier recours et am liorer la r partition des professionnels de sant De fait ces EGOS ont une vocation large et ils empi teront sur le domaine conventionnel Mode d emploi et enjeux d une concertation in dite ROSELYNE BACHELOT donne au jourd hui le coup d envoi des tats g n raux de l organisation de la sant d j bien nomm s EGOS en installant le groupe permanent de concertation qui conduira les auditions et les travaux Loccasion pour le Quotidien de pr ciser le mode d emploi et les enjeux de cette concertation nationale qui risque de bousculer les habitudes et de faire bouger les lignes E Qui participe Le gouvernement a d sign deux copilotes Annie Podeur direc trice de l hospitalisation et de l or ganisation des soins DHOS et le Pr Yvon Berland qui s est illustr depuis 2002 par une demi douzaine de rapports sur les professions de sant lire les portraits ci contre Sous la f rule de ces deux archi tectes se met aujourd hui
3. nisation des soins Nous devons apporter des r ponses la grave crise que traverse notre syst me de soins en d finissant la m de cine de premier recours avec un texte de loi fort Un certain nombre de d cisions prises dans ces tats g n raux n cessiteront une traduction juridique et ne donneront pas lieu mon sens une n gociation avec lassu rance maladie Dr Jean Fran ois Rey pr sident de l UMESPE CSMF Nous avons l impression que la volont du minist re de la Sant a t d organiser ces EGOS pour faire plaisir MG France Nous rappelons qu il y a une convention avec un parcours de soins un m decin traitant et des structures lib rales et hospita li res en situation de consultant On ne peut pas mettre en place en France une m decine lan glaise En Collectif interassociatif sur la sant CISS C est une bonne nouvelle Les EGOS doivent se situer dans lh ritage des tats g n raux de la sant qui avaient conclu en no vembre 1998 que le patient de vait tre mis au centre du sys t me de sant Chiche gt PROPOS RECUEILLIS PAR CHRISTOPHE GATTUSO
4. en place Acc s aux Soins le groupe permanent de concertation qui conduira les audi tions La composition de cet ar opage est riche d enseignements Outre le pr sident de l Ordre national des m decins on y retrouve les pr sidents des quatre principaux syndicats m dicaux repr senta tifs autrement dit deux organi sations signataires de la conven tion CSMF SML mais aussi deux opposants farouches MG France FMF ce qui est une fa on de leur redonner la parole sur les affaires de la profession Comme pr vu les repr sentants des tudiants ANEMF des jeunes g n ralistes SNJMG des internes ISNIH ISNAR IMG et des chefs de clinique ISNCCA seront autour de la table l origine ces tats g n raux sont une r ponse la mobilisation des jeunes sur la libert d instal lation Les usagers et assur s n ont pas t oubli s avec quatre repr sen tants l Association des maires de France pour les lus Gaby Bon nand en charge de la protection sociale la CFDT Christian Saout pr sident de la Conf rence nationale de sant et du CISS usa gers et G rard Raymond le pr sident de l Association fran aise des diab tiques AFD Enfin ce conclave r unit des membres des directions minist rielles comp tentes et un rapporteur Furieux d en tre exclus les syndi cats de m decins hospitaliers de mandent faire partie du comit de pilotage des tats g
5. n raux La d mographie et l installation nous concernent aussi A l heure o lon tend vers un exercice mixte public priv exclure l h pital de la r flexion n a aucun sens d clare Des attentes disparates Charles Mazeaud pr si dent de l ANEMF tudiants Le but des tats g n raux c est de favoriser l acc s du patient la m decine g n rale et aux soins primaires Mais pour y parvenir il faut inciter positivement les tudiants d s l enseignement s orienter vers la m decine g n rale et leur donner les cl s de ce m tier C est pourquoi les tats g n raux devront apporter aux tudiants une ouverture vers cette pratique Dr Fabien Qu deville pr sident du Syndicat national des jeunes m decins g n ra listes SNJMG Nous attendons des mesures incitatives concr tes pour favori ser l installation des jeunes m decins g n ralistes Ces EGOS devront aborder tous les pro bl mes de la formation l instal lation et aux conditions d exer cice et tre un lieu de r flexions concr tes qui puissent tre ap pliqu es BE Dr Martial Olivier Koehret pr sident de MG France Nous sortons d une p riode de glaciation pour entrer dans un espace de discussion avec la puissance publique Ces tats g n raux marquent la fermeture de l espace conventionnel ouvert en janvier 2005 qui a t un chec sur le plan financier et de lorga
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