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BCAB75 (janvier 2009) - Bio Pays de la Loire

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Contents

1. Coordination AgroBiologique des Pays de la Loire Bulletin CAB n 75 D cembre 2008 Janvier 2009 ENN na y NL NS A s OMMAIR E Edito 1 Infos producteurs FCO les Bio inquiets 2 Bilan de la loi Grenelle Actualit de la CAB 3 Fraude au soja contamin Actualit des fili res Groupe PPAM 4 Prix des c r ales 2008 Actualit commercialisation 6 Point sur le projet Identifiant La page r glementation 7 Nouveau r glement 2009 Le dossier du mois 8 20 de Bio mode d emploi Pages d partementales 11 Annonces 16 Lo Bulletin CAB Le r seau des producteurs Bio des Pays de la Loire Quelles volailles pour nos f tes Le vendredi 28 novembre clate le scandale du soja Bio contamin la m lamine soja chinois import par Terrena Cela prouve que la Bio n est pas exempte de tout scandale et qu il existera toujours quelqu un un bout de la Terre pr t faire n importe quoi pour quelques dollars de plus Comme dit mon banquier Le bon sens pr s de chez vous Les bons comptes font les bonnes faillites gt ou si nos concitoyens ont le moral dans les chaussettes en cette fin d ann e c est que leurs conomies n y sont plus L heure du bilan a sonn Le r chauffement plan taire ne nous permet pas encore de cultiver du soja et de passer No l au balcon alors en attendant je vous offre un petit conte animalier lire devant la chemin e pour vous donner un peu de baume au c
2. Saumurois Sud Sarthe Contact Xavier Faure au 06 80 10 97 21 Recherche et tudie toute opportunit d installation reprise association pour l implantation d ateliers de production de volailles de chair ou pondeuses bio Vente directe et ou atelier int gr peuvent m int resser de m me que la transformation Communes vis es en p riph rie ouest de Nantes dans un rayon max de 25km autour de Cou ron Tel 06 62 73 52 62 ou brtmarechal hotmail com Recherche terres sur les secteurs Baugeois Saumurois Sud Sarthe pour projet d installation et ou association en polyculture levage bovin lait ou viande Xavier Faure 06 80 10 97 21 Jean Hugues BOURGEOIS le chevrier bio du Puy de D me qui a fait l objet de menaces r p t es depuis son installation au printemps 2008 a finalement d cid de quitter sa ferme Son projet est de se r installer en levage caprin bio Il recherche dans toutes r gions une ferme disponible en location ou s associer avec un autre agriculteur bio Contact 06 65 24 58 23 jeanyoogs hotmail fr OFFRES D EMPLOI Eleveur bovins viande Bio 49 recherche 2 associ s en GAEC avec projet de reprise d une ferme voisine et cr ation d un atelier pain contact 06 14 46 11 14 Feme laiti re en conversion bio St Omer de Blain 44 avec transfommation en ultra frais yaourts fromages blancs cr mes desserts cherche salari e pour travail majoritairement sur l atelier et ponctuellement s
3. s pour approvisionner les fili res l gumes pain produits laitiers tant en circuit court qu en circuit long Par ailleurs le d bat nourrir la plan te en Bio est ce possible se ressent de plus en plus avec en filigrane la coh rence entre production v g tale et production animale au sein d un levage Dans cette perspective et cette r flexion le GAB 44 a propos une formation cet automne orient e vers l introduction du l gume et de la c r ale avoine nue seigle bl en polyculture levage Les producteurs des onze fermes repr sent es la lumi re des expos s des diff rents intervenants ont pu appr hender concr tement les aspects techniques conomiques et sociaux de cette diversification v g tale Ce programme de formation s inscrit plus largement dans la d marche de sructuration des fili res II devrait permettre d identifier les outils mettre en place pour favoriser la valorisation des productions en circuit de proximit et proposer des solutions techniques rationnelles aux producteurs Fort de la participation une nouvelle session de trois jours est programm e cet hiver 27 janvier 02 et 09 f vrier 2009 Vous pouvez contacter le GAB 44 ou aller sur le site Internet pour avoir le programme d taill Panneau AB La mise en place du nouveau logo europ en tant repouss e 2010 le GAB 44 a relanc une nouvelle commande de panneaux AB pour signaler l entr e de
4. Biocoop pour conna tre les forces en pr sence En conclusion le groupe a souhait approfondir la mutualisation des connaissances entre producteurs sous forme de rencontres techniques en s appuyant sur des structures centralisatrices des savoirs et d approfondir collectivement la fili re longue sous une approche plus p renne et diff rente au mod le actuel S bastien Bonduau CAB e PPAM plantes parfum aromatiques et m dicinales e Iteipmai institut technique interprofessionnel des plantes parfum m dicinales et aromatiques e Cepparm comit conomique plantes parfum aromatiques m dicinales e _ Cosm bio www cosmebio org Unit de distillation chez Jean Claude Chasles Saint L zin 49 d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Actualit des fili res Fili re C r ales le calme apr s la temp te Apr s une r colte 2008 mouvement e et c r ale dans leurs formulations Apr s le dans un contexte o la crainte d une carence d crochage op r lors du premier semestre mati re fut parfois contractualis e le niveau 2008 les tendances entre prix biologiques et prix des prix se stabilise au dernier trimestre conventionnels semblent nouveau converger 2008 Certains parlent d importations de bl Zoom sur le prix du triticale qui reste un niveau et de ma s d autres souhaitent favoriser les lev productions fran aises Concernant la collecte
5. bio bottes cubiques ou rondes Vend e T l 06 86 83 88 10 Vend porcelets bon foin de prairies bio sud Maine et Loire Herve Simonneau tel 02 41 55 91 73 ou 06 73 52 04 94 Vend lot de g nisses Limousines bio de 10 mois T l 02 40 79 87 29 Vend plants l gumes bio mottes press es toutes esp ces vari t s la demande sur commande Contact Alain Wion AISP La Fl che au 06 29 74 43 19 Vend foin bio de pr s 2008 de tr s bonne qualit Vend f verole seigle bl certifi s bio T l 02 41 92 04 15 Vend foin bio 50 BB de 350 kg prairies naturelles 80 T 02 40 86 56 30 Vend 2 taureaux reproducteurs limousins bio 20 g nisses pleines limousines teme partir de mars T l 02 40 87 22 34 ou 06 87 24 83 43 Vend 1 T seigle panifiable contacter le 02 40 51 89 48 Elevage bio avec un excellent niveau g n tique vend une quinzaine de g nisses de 1 24 mois de races Prim Holstein ou Montb liarde E Peard Tel 02 40 51 89 58 ou contact invitationalaferme fr Agri bio vend en direct bouchon luzerne deshy Tel 06 81 03 52 38 TERRES OU FERMES DISPONIBLES Propri taire de 4 hectares avec mat riel dans le Maine et Loire 49 cherche associ pour un jardin bio Possibilit logement Email D Ouakrim orange fr Tel 06 14 93 78 22 RECHERCHE FERMES OU TERRES BIO Pour projet d installation et ou association en polyculture levage bovin lait ou viande recherche terres sur les secteurs Baugeois
6. des acteurs ruraux pour am liorer cette image que ce soit aupr s des agriculteurs qu aupr s des d cideurs politiques ou du grand public Etude r alis e en 2007 par St phane Laurent stagiaire en Master Gestion des Espaces Ruraux Am nagement D veloppement Local de l universit de Montpellier d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Le dossier du mois 20 de surface Bio mode d emploi La dynamique de conversion une relance encourageante Les conversions la Bio ne sont pas lin aires depuis les ann es 90 L volution des dispositifs d accompagnement quatre dispositifs en 10 ans n a pas assur une lisibilit aux producteurs conventionnels La courbe progresse mais pas assez vite D importantes enveloppes ont t mobilis es dans le cadre des dispositifs CAB 98 puis CAB CTE pour accompagner la forte dynamique de conversion sur cette p riode 1994 2003 Mais les conversions ont baiss partir de 2003 2004 Les fili res Bio ont connu des probl mes d coulement des produits biologiques alors m me que les consommateurs s int ressaient de plus en plus au Bio et indiquaient vouloir consommer davantage Bio Probl me de d bouch s partir de 2003 Cette p riode de 4 ans a donc connu des probl mes d organisation de fili re et de surface totale ha surface en conversion ha 0 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 r
7. leur m tier d agriculteur renouvellement progressif des normandes par des Jersiaises conversion de l alimentation par la mise en place d un syst me herbager et conversion l agriculture biologique Ainsi apr s 2 ans de conversion il obtiennent leur certification et d cident de faire collecter leur lait par le groupement de producteurs laitiers Biolait qui l poque tait le seul prendre en charge le lait bio sur la Sarthe Seulement avec la crise du lait bio de 2002 l exploitation dont l objectif premier tait de faire vivre un couple sans agrandissement doit revoir sa copie Ainsi Thierry d cide avec sa femme Anne Marie de mettre en place un atelier de transformation sur la ferme qui sera op rationnel en 2004 Cet atelier a 2 objectifs e Ramener la valeur ajout e sur la ferme e Assurer un revenu pour les 2 exploitants Le travail est ainsi r parti e 1 3 du temps pour la production mono traite pour all ger le travail e 1 3 du temps pour la transformation avec une gamme limit e e 1 3 du temps pour la vente un march par semaine et un jour de vente la ferme le reste en magasin sp cialis livraisons avec une Ces choix ont permis de maintenir un niveau de travail satisfaisant 40 h par semaine et par associ Cependant sans remettre en cause le choix r alis qui a permis de d couvrir de nouvelles facettes du m tier d agriculteur et surtout de conforter conomiquement l e
8. panneaux logo Vous pourrez ainsi b n ficier d une communication correcte adapt e vos besoins et votre budget et r alis e en troite collaboration avec vous Alors n h sitez pas contacter le GAB 72 pour voir ensemble ce qu il est possible de faire et estimer le co t de la prestation d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB La page du GAB 85 Du mouvement dans les troupes du GAB 85 Suite au d part en octobre de Pierre Yves Marquis au d part en formation d Alexandra Tessier et au prochain d part de Yann Pajot le GAB 85 voit son quipe enti rement renouvel e avec d une part l arriv e en ao t dernier de Claire Brachet animatrice Restauration Hors Domicile et en octobre de Marie C cile Ricard au poste d animatrice Coordinatrice Ces changements ne s arr teront pas l puisque le GAB va recruter d but 2009 un nouvel animateur technique pour intervenir aupr s des producteurs J int gre le GAB 85 en remplacement d Alexandra Tessier depuis le 1 ao t 2008 Apr s une formation de gestion de projet en environnement et d am nagement du territoire d veloppement local j ai ensuite travaill durant pr s de trois ans dans un bureau d tudes sur Nantes sp cialis dans les nergies renouvelables au sein duquel j occupais un poste de charg e de projet de d veloppement olien D sireuse d appliquer mes connaissances et mon exp rience dans un domaine que je
9. pondre vos questions Connaissance actuelle sur les effets de la m lamine La DDSV de Vend e a t mandat e pour suivre cette fraude Elle a demand la destruction des tourteaux contamin s et le non rappel des denr es d origine animale Ces d cisions ont t valid es par l Agence fran aise de s curit sanitaire des aliments La m lamine et ses analogues pr sentent une clairance rapide ne permettant pas l accumulation dans les tissus de mammif res Aux Etats Unis en 2007 la concentration de m lamine dans les denr es alimentaires issues de volailles et de porcs ayant consomm s des aliments contenant de la m lamine tait inf rieure au seuil de d tection Le risque sanitaire pour l Homme li la consommation de denr es alimentaires porcines et aviaires issues d animaux nourris avec des aliments contenant de la m lamine ou ses analogues est peu probable Par ailleurs le r seau Bio r fl chit r aliser des analyses sur des volailles et des ufs protocole et r alisation confirmer avec le laboratoire Demande de rencontre avec Terrena Le r seau souhaite rencontrer rapidement Terrena Le questionnement sera double e Faire le point sur la chronologie de la contamination pr cision du calendrier information des leveurs e Les questionner sur les cons quences qu ils tirent de cette fraude notamment sur leur politique Le r seau d fend l id e d une relocalisation des approvi
10. sauf v to possibilit de d rogation pour certains additifs Obligation d liminer les sources de contamination av r es D classement si contamination au del de 0 9 ou contamination moins de 0 9 qui aurait pu tre vit e Soit possibilit d avoir des produits bio contenant jusqu 0 9 d OGM Mixit bio non bio autoris e en levage uniquement sur des esp ces diff rentes sauf les levages de poissons qui peuvent avoir des poissons d une m me esp ce en bio et en conventionnel 60 minimum de fourrages grossiers pour les herbivores avec des d rogations 50 Pas de limitation de d ensilage Possibilit d avoir des levages bio qui ne disposent pas de surfaces agricoles hors sol gt selon notre ancienne d finition condition d une coop ration pour l pandage d effluents Pas de d finition des levages hors sol la part Nombre illimit d anti parasitaires Bolus interdits Autres traitements allopathiques limit s 3 par an pour les animaux qui vivent plus d un an 1 par an pour les autres Une d rogation permet d engraisser en b timent pendant les 3 derniers mois de leur vie les bovins uniquement Mesure transitoire pour ovins et porcins qui prendra fin au 31 d cembre 2010 Un ge d abattage minimum pour les volailles qui s appliquera diff remment selon les Etats Membres Pas d ge d abattage minimum pour les porcs d cembre 2008 janvier 200
11. ur C est l histoire de deux volailles la Belle et la Biob te qui s interrogent sur leur avenir en cette fin d ann e Parenth se nous les humains qui sommes des tres sup rieurs l pilogue on le conna t crise ou pas crise elles finiront toutes les deux au four Reprenons de chaque c t de leur grillage nos deux gallinac s caquettent Pr sentation la Belle est rouge surtout la cr te NB s crit aussi Label Rouge Sa consoeur est noire et elle a plus d espace pour courir si elle ne court pas plus longtemps 80 jours elle court peut tre plus vite Aujourd hui leur discussion tourne autour du menu La Biob te est surprise qu en ce week end de Toussaint on lui a chang sa nourriture La Belle lui r pond que a ne lui fera pas de mal car depuis quelques temps elle lui trouvait mauvaise mine Mais la mine ou la Belle ou la Biob te m lamine ne fait pas le bonheur lui r torque la Biob te qui admet n anmoins que depuis le changement de menu la nourriture ne lui colle plus au bec et que ses urines sont claires La moralit de cette histoire ne fut connue que bien plus tard Mais la farce avait un bien mauvais go t Et dans le r le du dindon furent nomm s galit l leveur et le consommateur de la Biob te Les m mes causes produisant les m mes effets redevenons plus s rieux et cr dibles sous peine de perdre la confiance du consommateur Il conviendrait p
12. vos fermes vos stands de march s ou points de vente Ces panneaux sont un support PVC de 5 mm d paisseur de format 45 cm 37 5 cm Ils poss dent 4 trous pour les accrocher Ils ont une bonne tenue en ext rieur Leur co t est de 12 50 TIC Si vous tes int ress vous pouvez contacter Florence au GAB 44 au 02 40 79 46 57 ou par mail accueil gab44 org d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Pr sident Vincent Delabougliise Animatrices eurs B rang re Mercier C line Gouffault Dani lle Broekarts Olivier Linclau Julien Jouanneau Charline Pont Secr taire Florence Robert GAB 44 P le de services du Pr St Pierre 1 rue Marie Curie 441702 NOZAY Tel 02 40 79 46 57 Fax 02 40 79 78 00 accueil gab44 org www gab44 org 11 Pr sident Philippe Jaunet Animatrices C cile Parent Virginie Beaup rin Coralie Pireyre Secr taire Marina Tai llardat GABBAnjou 70 Route de Nantes 49610 Murs Erign Tel 02 41 37 19 39 Fax 02 41 68 41 74 gabbanjou wanadoo fr 12 La page du GABBAnjou Formation Travailler avec le Soleil la Lune et les autres plan tes Jeudi 8 janvier 2009 de 9h30 17h30 St Georges Layon Salle des F tes Avec Guy David du syndicat de culture biodynamique nous resituerons le G ocentrisme dans la vie de la terre des plantes et la pratique agricole Il s agit de red couvrir les diff rents rythmes cosmiques par des
13. 1 cab biopaysdelaloire fr www biopaysdelaloire fr Info producteurs FCO les producteurs Bio sont inquiets La profession agricole fait depuis quelques ann es face en France la fi vre catarrhale ovine Cette maladie touche bovins et ovins mais n est mortelle que pour les ovins Elle a caus ces trois derni res ann es des dommages conomiques non n gligeables aux leveurs restrictions de mouvements dans les zones touch es st rilit mortalit Il s agit d une maladie vectorielle transport e par un moucheron non contagieuse d animal animal et non transmissible l Homme Le moucheron en question est end mique il se nourrit galement sur la faune sauvage qui agit comme un r servoir de maladie Les agriculteurs biologiques sont aujourd hui tr s inquiets de la prophylaxie obligatoire mise en place par le minist re de l agriculture qui pr sente deux grands axes des traitements insecticides des b timents v hicules et animaux et des vaccinations rendues obligatoires sur tous les s rotypes par un arr t r cent Les traitements insecticides sont r alis s l aide de produits chimiques particuli rement dangereux pour l homme et l environnement deltam thrine dont l exemple typique est le Butox De nombreux d partements ont par ailleurs institu des traitements syst matiques r guliers des levages dans certaines zones Or l efficacit de ces traitements sur le mouch
14. 9 n 75 Le Bulletin CAB Dossier r alis par Patrick Lemari Le dossier du mois 20 de surface Bio mode d emploi Lors de ses universit s d t 2008 le r seau Bio a r affirm sa volont d accompagner les conversions en lien avec les objectifs fix s par le Grenelle de l environnement 6 de Bio en 2013 puis 20 en 2020 mais en demeurant tr s vigilants sur les crit res qualitatifs du d veloppement de la Bio conforter l image d une Bio cr dible techniquement et conomiquement rechercher la coh rence et l quitabilit dans tous les maillons de la fili re tre exigeants sur les pratiques de production et maitriser la vente des produits Notre r seau centre son dispositif d accompagnement des conversions sur les producteurs d j exp riment s en Bio les techniciens et animateurs ayant pour r le de faciliter ce passage d exp rience Des outils pour accompagner les conversions Le r seau des producteurs Bio des Pays de la Loire veut relever avec ses partenaires le d fi du Grenelle de l environnement Or la conversion ne se d cr te pas il faut l inciter et la promouvoir Le r seau s y at le depuis plusieurs ann es Avec des techniciens dans chaque d partement le r seau Bio a mis en place une strat gie r gionale pour redonner une impulsion la Bio dans une logique de partenariat La communication s appuie sur un r seau de 40 fermes de d monstration qui concernent l ensembl
15. AB 44 d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Assembl e g n rale 2009 mardi 3 mars au Lyc e Jules Rieffel La page du GAB 44 Parution du guide vari tal l gumes bio 2009 Le guide vari tal des l gumes bio 2009 sera disponible au GAB 44 en janvier Ce guide non exhaustif est une pr conisation des vari t s qui pr sentent un int r t technique l heure actuelle La r alisation de cet ouvrage s est faite d apr s les observations du terrain les r sultats d exp rimentation et selon plusieurs crit res choix des vari t s adapt es au contexte p doclimatique r pondre aux exigences du march de la production biologique et la disponibilit des semences biologiques ou non trait es Pour chaque esp ce de l gumes des vari t s sont pr conis es en pr cisant leurs caract ristiques leur cr neau de production leur disponibilit et leur fournisseur Si vous tes int ress s ce guide vari tal sera mis en vente sa parution N h sitez pas nous contacter d s pr sent Formation 1 semestre 2009 En compl ment du programme r gional de formations diffus par la CAB Pays de Loire le GAB 44 a mis en place pour le premier semestre 2009 des formations compl mentaires telles que e Proposer un accueil p dagogique sur la ferme en bio e _Appr hender l itin raire cultural de la fraise en Agriculture biologique 13 janvier et avril 2009 e D finir son juste
16. ation des transformateurs des distributeurs et des consommateurs le projet d identifiant bio national vient d tre pr sent aux adh rents des GAB et du CIVAM Bio 53 La FNAB qui coordonne le projet a soumis une enqu te aux administrateurs du r seau Les r unions d partementales sur la nouvelle r glementation ont permis aussi de collecter l avis des producteurs sur ce projet Le nouveau cahier des charges de l identifiant Bio s est affin Il viendrait en compl ment du nouveau r glement europ en en corrigeant certaines diminutions d exigences Or c est en production animale que les reculs sont le plus nets Une base le CC REPAB F et le z ro OGM Les propositions de cahier des charges priv reposent sur des r gles certifiables qui reprennent la derni re version du CC REPAB F et l absence d OGM avec des objectifs de progr s dans le domaine environnemental et l adh sion une charte reprenant les fondamentaux de la bio C est sur cette base que chaque administrateur des groupements d partementaux tait invit r pondre un questionnaire de la FNAB R sultats de l enqu te FNAB Les producteurs du r seau sont attentifs au projet et se questionnent La quasi totalit des 60 producteurs ayant r pondus l enqu te sont d accord avec les propositions de contenu du cahier des charges En effet la grande majorit d entre eux ne changeront pas leurs pratiques apr s le 1 janvier 2009 date d entr
17. d fends particuli rement savoir l alimentation de qualit produite dans le respect de l environnement en valorisant les fili res courtes je suis tr s satisfaite d avoir int gr l quipe salari e du GAB 85 Mes missions sont essentiellement bas es sur la Restauration Hors Domicile RHD et l animation p dagogique aupr s de diff rents publics A bient t Claire Brachet Originaire de Rennes et sortie de VENITA de Bordeaux en 2002 j ai travaill pendant 2 ans au Burkina Faso en tant qu animatrice l interface entre l AFDI et une F d ration d agriculteurs Burkinab A la suite de quoi j ai travaill pendant 2 ans et demi Madagascar sur la mise en place et la gestion d un programme de lutte contre l ins curit alimentaire sur la cote est de l le Ces exp riences ont t tr s enrichissantes mais un certain mal du pays m a pouss rentrer en France en juin dernier D sireuse de poursuivre mon parcours au sein d une agriculture taille humaine la fois respectueuse de l environnement et porteuse d un renouveau dans la relation producteur consommateur je suis tr s heureuse de pouvoir aujourd hui intervenir au sein du GAB 85 Je profite de ma prise de fonction pour r aliser autant de visites d exploitations que possible afin de me familiariser avec le contexte vend en vous me rencontrez donc peut tre bient t si ce n est pas d j fait Marie C cile Ricard d cembr
18. dis tracteur IH 845 2 roues motrices an 80 pandeur engrais Amazone 600 moteur lectrique 10 1 abreuvoir 10001 15 broyeur farine 50 T l 06 82 37 39 60 ou 02 41 30 33 83 Vend pour pi ces charrue gr goire besson TLS 314 140 2 corps avec adaptation troisi me corps Vend rouleau de t le lisse de 6 m tres en 3 2 m tres petit prix Vend indicateur de charge hydro kit fixer sur un v rin fourche ou relevage Vend centrifuge VICON 12 m tres 800 litres ouverture hydraulique 02 41 92 04 15 T Bonnier RECHERCHE Recherche une cellule s cheuse ouverte en bon tat du type gyromatic si possible et d une capacit de 20 30 Tonnes Recherche sacs de 500 kg minimum Contact T Bonnier 02 41 92 04 15 Recherche g nisses pr tes v ler Pr f rence Prim Holstein 02 40 64 91 98 CEREALES FOIN ET ANIMAUX A VENDRE A vendre taureau Rouge des Pr s type levage 5 ans 1 2 Alain Cl ment 06 81 03 05 13 Cessation d activit leveur bio vend troupeaux Limousin vaches pleines suit es g nisses saillir taureaux confirm s 3 ans et 5 ans v lage facile Le tout indemne IBR T l 06 08 40 43 30 Cessation d activit leveur bio vend foin de prairie Bio balle ronde 330 kg environ T l 06 08 40 43 30 Vend avoine blanche bio r colte 2008 T l Fax 02 43 35 99 03 Vend 3 g nisses blondes d Aquitaine bio 7 8 mois indemnes IBR vaccin es FCO T l 06 25 83 01 65 Vend 40T de foin
19. e 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Pr sident Fran ois Vrignaud Animatrices eurs Yann Pajot Claire Brachet Marie C cile Ricard Grou pement des agriculteurs T i R 7 g K n B Biologistes de Vend e y 1 A GAB 85 13 rue de la r publique Bo te aux lettres 85 85000 La Roche Sur Yon Tel 02 51053338 Fax 02 51 05 30 42 GAB85 wanadoo fr http gab85 free fr 15 Pour les annonces contactez V ronique CHERRE CAB Tel 02 41 18 61 40 Fax 02 41 18 61 41 cab biopaysdelaloire fr Annonces gratuites pour adh rents GAB CIVAM Bio 53 8 euros pour les non adh rents 50 euros pour les entreprises Gratuites pour les demandeurs d emploi Les annonces sont consultables sur www biopaysdelaloire fr R gion R alis avec le soutien financier du Conseil r gional des Pays de la Loire PAYS DE LA LOIRE Petites annonces MATERIELS A VENDRE Cessation d activit leveur bio vend chambre froide inox pour la vente directe 2 portes 2m10 de haut 1m40 de large Om85 de profondeur tat neuf carriole restaurer avec divers cuirs d attelage T l 06 08 40 43 30 Cessation d activit leveur bio vend cha ne d alimentation volaille Rapidex 45m 200 8 radians gaz haute pression prix d battre 20 plassons 5 l unit petit mat riel de d marrage 25 pompe doseuse Dosagreen 136 bac quarissage 50 cong lateur volaille 50 corna
20. e des productions pr sentes sur la r gion 40 fermes de d monstration Ces fermes sont ouvertes aux tudiants agricoles et aux groupes d agriculteurs ou de techniciens avec pr sentation du syst me de production et des itin raires techniques mis en uvre A partir de 2009 le r seau va mettre en place un programme annuel de joum es techniques th me par exemple le foin et le s chage en grange les mammites et la sant du troupeau L accompagnement des projets se fait ensuite en plusieurs tapes Formation conversion Des formations conversion sont propos es dans tous les d partements au cours desquelles sont pr sent es les bases techniques et la r glementation Bio les fili res r gionales et les d marches administratives pour la conversion et les aides Diagnostic conversion Les porteurs de projet peuvent en parall le demander la r alisation d un diagnostic conversion qui en 2 journ e permet de cerner les atouts contraintes pour faire voluer le syst me vers le Bio et surtout d terminer un plan de travail et des tapes pour avancer dans le projet Selon les besoins le porteur de projet peut ensuite faire r aliser une tude conversion avec un chiffrage technique et conomique pr cis s appuyant sur plusieurs hypoth ses d volution du syst me tre parrain ou participer un groupe d changes techniques Le porteur de projet peut galement s engager dans un parrainage avec un pr
21. e en vigueur de la r glementation europ enne Ils adh rent en th orie cette d marche qui veut repartir des fondamentaux de la bio Ces derniers ont permis par leur coh rence et leur rigueur la reconnaissance de ce mode de production et plus largement d un mod le de d veloppement agricole La mise en uvre du projet interroge davantage les producteurs bio des Pays de la Loire dans un contexte mouvant quelles seront les attentes et les pratiques des nouveaux agriculteurs bio L tat du march Bio L volution de la PAC La faible visibilit sur ces diff rents points am ne une certaine r serve des producteurs Quel co t pour les producteurs Il y aura des difficult s techniques r soudre et il faudra assumer le co t de cette certification Des op rateurs en fili re longue seront convaincre mais les producteurs pourront s appuyer sur la distribution sp cialis e Il ressort donc de cette enqu te que face aux risques de d rive vers l intensification de la bio qui peut mettre en p ril la confiance des consommateurs le travail est poursuivre Une d marche simple Le travail sur l identifiant doit reposer sur une d marche simple certifiable compr hensible des consommateurs Ce projet doit permettre une volution progressive des pratiques agricoles pour les nouveaux producteurs bio Il doit veiller pr senter la nouvelle r glementation europ enne de mani re positive et ainsi viter
22. ement place au nord La 6 dition sera organis e en partenariat avec la Communaut de Communes de Le Horps Lassay sur la commune de Champ on au pied des oliennes La premi re r union de pr sentation a lieu le mercredi 17 d cembre Venez nombreux d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Pr sidente Roselyne Lardeux Animatrices eurs C line Launay Denis Alamome Secr taire Katia Daudin ee C vA Bio lt amp Mayenne LA pa CIVAM Bio 53 38 bis rue du Laurier 53 000 Laval Tel 02 43 53 93 93 Fax 02 43 49 38 61 civambio 53 wanadoo fr 13 Pr sident Philippe Leroux Animatrices eurs Anne Tiratay Jonathan Bosteau Ga Agriculteurs Bio A o GAB 72 La Maison des Paysans 31 Rue d Arcole 72000 Le Mans Tel 02 43 28 00 22 Fax 02 43 87 96 40 gab 2 maison des paysans org 14 La page du GAB 72 Lait Bio plusieurs m thodes de valorisation Le lait bio conna t aujourd hui une situation privil gi e mais cela n a pas toujours t le cas Thierry et Anne Marie Barr leveurs laitiers dans la Sarthe ont connu un parcours qui les a pouss s construire un atelier de transformation sur leur ferme Thierry et Anne Marie Barr se sont install s sur 50ha en 1996 pour produire du lait avec des normandes En 1997 ils d cident de convertir compl tement leur syst me dans un but d autonomie et de r appropriation de
23. en Pays de la Loire fin AU niveau national la collecte de bl tendre est octobre 2008 les indicateurs des services estim e au dessus des niveaux cumul s de r gionaux de l Onigc de Nantes en terme de 2007 2008 Le recours aux importations reste collecte d montrent un total c r ales de 7785 cependant indispensable face la demande tonnes dont 4467 tonnes de bl tendre et un toujours croissante en farine biologique des volume d ol o prot agineux de 1173 tonnes 41 meuniers Le bilan pr visionnel du ma s biologique par rapport octobre 2007 dont 685 tonnes est plus optimiste que celui de la pr c dente de tournesol campagne Ainsi l abondante r colte 2008 S bastien Bonduau CAB permettra de couvrir les besoins des fabricants d aliments du b tail qui privil gient toujours cette Source ONICG 01 10 08 IEEE 49 577 60 000 31 274 36 000 a jz r s Prix d acompte collecte 2008 R gion Pays de la Loire Prix d part OS France OS Pays de la Loire 1 ONIGC 2 Petit Meunier 3 Prix mini Prix maxi Prix moy Prix mini Prix maxi 300 320 400 420 275 290 300 290 300 275 1 OS collecteurs en Pays de la Loire 2 ONIGC donn es Novembre 2008 3 Petit Meunier cotation au 3 d cembre 2008 prix d part OS par 25 tonnes d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB La page commercialisation Identifiant Bio national derni re phase de consultation Apr s consult
24. eron concern n a jamais t prouv e Nos voisins italiens et belges galement concern s par la maladie ont abandonn ces traitements il y a longtemps et une tude de la FNGDS non encore publi e montre qu il n y a pas de diff rence notable entre les levages trait s et non trait s Aujourd hui devant le discours dominant sur ces insecticides la FNAB a d cid de publier les r sultats de cette tude qu elle a pu obtenir Les vaccins posent galement un grand nombre de questions ce jour sans r ponse Ils n ont aujourd hui qu une autorisation temporaire et n ont pas subi tous les tests usuels Est on certain de leur efficacit De leur innocuit pour les animaux et pour les consommateurs La pr sence dans ces vaccins d hydroxyde d aluminium responsable selon l OMS de la myofasciite macrophages nous am ne douter fortement de ce dernier point Les m thodes employ es pour la vaccination nous semblent galement douteuses est il bien prudent d utiliser des flacons de 100 doses qui seront donc r utilis s sur plusieurs animaux plusieurs levages voire par plusieurs laboratoires v t rinaires diff rents Rappelons que la maladie n tant pas contagieuse une obligation de vaccination pour prot ger la communaut est ici absurde Si un leveur peut faire ce choix pour prot ger son troupeau lorsque les conditions lui semblent le m riter un leveur ne vaccinant pas ne fait courir aucun risq
25. etournement de la situation La Bio explose dans les rayons des magasins mais les surfaces ne progressent plus Cons quences directes une rar faction de l offre et un besoin important en produits Bio Les fili res aujourd hui cherchent donc se d velopper en lait viande fruits et l gumes Dans les campagnes certains producteurs ont encore l image de fili res Bio ne garantissant pas de d bouch s Cette image est du pass et les op rateurs proposent maintenant des garanties de volumes et de prix 2008 d but d une nouvelle dynamique Les conversions sont pass es d environ 70 dossiers en 2007 pour 1 750 ha engag s 127 dossiers pour 2 909 ha engag s Les contacts de terrain semblent montrer un r el questionnement de nombreux producteurs pour faire le pas vers le Bio Les fili res aval recherchent activement de la production Bio et la s curit de l origine locale devient un crit re Evolution des surfaces en lien avec les dispositifs conversion de l agriculture biologique en pays de la Loire confiance aupr s des Evolution 2009 consommateurs L volution des prix des intrants am ne les producteurs r fl chir concr tement diminuer leurs charges or les syst mes Bio et durables prouvent a a a aaae qu il est possible CAE 2075 et 45 CAB CTE commercialisation R sultat peu de valorisation en Bio et des produits coul s en conventionnels Cette crise de fili re a t suivie par
26. ibution Il doit prendre en consid ration la capacit produire demain et donc anticiper l environnement les conditions commerciales venir Des outils d aides la r flexion ont t propos s par Richard Laizeau producteur install en Vend e lors de son intervention sur la composition et la construction d un prix de vente Le GAB 44 a programm une session de formation sur ce th me fin mars 2009 Elle sera accessible l ensemble des producteurs de la r gion Pays de la Loire contact GAB 44 Maud Savina CAB d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB La page r glementation Le nouveau r glement Bio arrive au 1er janvier 2009 Afin d informer ses adh rents le r seau a organis cinq journ es d partementales sur le th me de la nouvelle r glementation bio europ enne Lors de ces journ es d informations les participants ont pu d couvrir le contenu du nouveau cahier des charges cadre 834 2007 vot en juin 2007 et du r glement d application 889 2008 vot le 2 juillet 2008 L objectif de ces rencontres professionnelles tait d informer les producteurs sur les r gles de productions animale et v g tale de transformation d tiquetage et de faire le point sur l avanc e des travaux men s sur le projet de cr ation d un identifiant national priv port par le r seau FNAB S bastien Bonduau CAB Les grandes volutions de la nouvelle r glementation Mixit bio n
27. la conversion la bio Cette rencontre a r uni une vingtaine de personnes Selon Bernard Beillevaire responsable production de la Laiterie cela pourrait conduire 2 ou 3 conversions dans les prochains mois Quels sont les besoins de la laiterie en lait biologique Bernard Beillevaire Laiterie Saint P re Actuellement la laiterie collecte environ 15 millions de litres de lait dont 12 millions en propre La laiterie a donc une marge de man uvre au niveau de la production biologique mais il faudrait augmenter d un million de litre de lait par an au moins pour les deux prochaines ann es Quelle est la politique de prix pour la production biologique court terme en 2009 nous allons reconduire les tarifs 2008 pour viter que les producteurs bio ne subissent la chute de prix de la fili re conventionnelle L id e d fendue par la Laiterie Saint P re est de lisser les prix en r alisant une moyenne du prix conventionnel 2008 avec une prime bio de 100 les 1000 litres de lait Pour 2010 nous ferions la m me d marche Mais cela d pend des accords interprofessionnels et les n gociations sont en cours Globalement la 20 agriculteurs taient r unis le 6 novembre Saint P re en Retz pour parler conversion Bernard Beillevaire 4e en partant de la gauche a coanim cette journ e avec Olivier Linclau du GAB 44 Une plaquette sur la conversion La CAB a dit en juin 2008 une plaquette sur la c
28. le GABBAnjou ont particip cette journ e d changes d exp riences sur l autonomie des exploitations en syst mes bovins viande et lait Le matin en salle une trentaine d leveurs principalement conventionnels ont pu couter les t moignages d agriculteurs ayant d j fait le pas vers l autonomie alimentaire Trois sujets ont t abord s l ensilage de m lange c r alier en remplacement de l ensilage de ma s des prairies multi esp ces pour r duire l achat de concentr s et l introduction de luzerne dans la ration des vaches laiti res La place de la luzerne tait pr sent e par un leveur bio de Maul vrier pour qui l autonomie alimentaire est un sujet de travail depuis de nombreuses ann es L apr s midi le groupe s est r parti sur 2 fermes l une en lait Maulevrier et l autre en viande Chanteloup Les Bois chez Herv Simmonneau Ce producteur Bio a expliqu son passage la Bio depuis 10 ans et sa recherche d autonomie alimentaire Pour la CAC le bilan est positif La participation des leveurs conventionnels et les questions pos es aux producteurs bio laissent imaginer une possible r orientation de l agriculture pour la pr servation de l eau sur cette zone o Entr e en fanfare au sens propre pour les 9 pr venus du proc s des faucheurs volontaires Angers d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Assembl e g n rale 2009 mardi 3 mars Monts r
29. oducteur Bio exp riment dans sa production 4 rencontres sur une ann e ou dans un des groupes techniques qui fonctionnent sur la r gion L ensemble de ses dispositifs sont compl mentaires et s appuient par ailleurs sur un r pertoire des producteurs Bio de la r gion qui recense les comp tences et savoirs faire disponibles aussi bien au niveau technique que fili res de production Les groupes d changes techniques g n rent par ailleurs des r f rences utilisables pour les projets de conversion Les freins la conversion 27 producteurs en agriculture durable donc proches du Bio ont t enqu t s sur leurs freins passer en Bio Le non recours strict aux engrais chimiques et aux pesticides leur appara t trop difficile L information et la formation aux techniques autoris es en AB doivent se faire par une mise en r seaux efficace et p dagogique des agriculteurs Fermes de d monstration r f rentiels technico conomiques accompagnement des agriculteurs Pour motiver les agriculteurs la conversion il est important que les fili res bio soient s curis es et diversifi es Ils ont besoin d une plus value travers des fili res d coulement structur es que ce soit en circuit long ou en circuit court Ils attendent galement une consolidation des aides publiques La peur du voisin par rapport l image que l on donne demeure encore pr sente La Bio doit continuer communiquer aupr s
30. oi pas vous premier bilan mayennais C est du 6 au 18 novembre que se sont d roul es les r unions d informations sur la Bio Au total 6 r unions sur le d partement Laval Craon Ern e Bou re Evron et Pr s en Pail Objectif diffuser une premi re information sur l agriculture biologique Au total une petite centaine de personnes ont fait le d placement ces r unions avec de 10 25 personnes par jour A chaque fois 3 5 personnes se posaient r ellement des questions sur une conversion la Bio Dans le cadre de cette action Francis et C line Monnerie ont ouvert leur ferme Une petite centaine de personnes a fait le d placement Un tel succ s s explique par la mobilisation de plusieurs classes Pour les autres participants beaucoup taient pr sents aux r unions d information et ont profit de cette visite de ferme pour avancer dans leur r flexion Que ce soit sur les visites de fermes ou les r unions la pr sence des agriculteurs bio a t pr cieuse pour apporter du cr dit aux id es avanc es ou les contredire si n cessaire Une preuve que les producteurs Bio restent les meilleurs ambassadeurs de la Bio aupr s des agriculteurs conventionnels Formation reconvertir sa ferme en Agriculture Biologique La formation reconvertir son exploitation en AB commencera d but f vrier fin des inscriptions mi janvier Cette formation est ouverte toutes celles et ceux qui se posen
31. on bio Fourrages grossiers Traitements v t rinaires Acc s l ext rieur Age d abattage Interdiction d utiliser des produits OGM ou fabriqu s l aide d OGM sauf les m dicaments v to G n ralement d classement des produits contamin s Mixit bio non bio autoris e en levage sur des esp ces diff rentes mais p riode individuele de 8 ans pour y mettre fin Interdiction de mixit bio non bio sur des esp ces diff rentes de volailles Pour le lait dans des cas exceptionnels et exp rimentaux 60 minimum de fourrages grossiers pour les herbivores 50 maximum d ensilage dans la ration journali re des herbivores Interdiction des levages hors sol d finis comme ne disposant pas de surfaces n cessaires r pondant au crit res suivants assurer l acc s au plein air des animaux pr sents assurer tout ou partie de l pandage de leurs d jections assurer tout ou partie de leur alimentation Traitements allopathiques y compris anti parasitaires limit s de mani re adapt e au type d animal Bolus interdits Une d rogation permet d engraisser en b timent les bovins ovins porcins destin s la production de viande pendant les 3 derniers mois de leur vie Des ges d abattage minimum pour les volailles de chair et les porcs charcutiers sans d rogation possible Avant 2009 Apr s 2009 Interdiction des produits qui sont tiquet s ou dont l analyse r v le qu ils sont OGM
32. onversion Elle reprend les informations essentielles conna tre pour d buter une r flexion les aides la proc dure de conversion les contacts Certains op rateurs conomiques utilisent cette plaquette pour communiquer sur la Bio aupr s de leurs adh rents Les informations sont galement disponibles sur www biopaysdelaloire fr DEVENIR AGRICULTEUR BIOLOGIQUE Tnt Y 4 il Wi i quil LE AS ya PRS AA j ns LIEN AMEN TRUE Ne UES TU NA Li 4 K y Aer e Techniques reconnues e Valorisation conomique e March d avenir e Reconnaissance environnementale www biopaysdelaloire fr fili re est d accord pour essayer de lisser le prix bio c est dire viter des hausses ou des baisses spectaculaires par rapport la fili re lait conventionnel pour ne pas d s gauilibrer le march bio Comment pensez vous travailler avec le r seau GAB CAB la laiterie nous n avons pas les comp tences n cessaires pour accompagner les conversions et les producteurs bio Nous n avons pas l intention non plus d engager un technicien bio cela ferait doublon Nous pr f rons travailler en partenariat avec des professionnels comme le r seau GAB CAB Suite cette premi re action nous sommes preneurs d id es et si des producteurs souhaitent des renseignements techniques nous sommes pr ts prendre des rendez vous communs avec le GAB 44 Entretien r alis par Dani lle Broekarts G
33. our plus de coh rence de transparence et de s curit alimentaire de ne pas appliquer les m mes mod les de d veloppement en Bio qu en conventionnel le porc les volailles et les vaches en Bretagne le bl dans le bassin parisien et le ma s dans le Sud Ouest et le soja au Br sil Le lien au sol est un des fondamentaux de la Bio garant de sa coh rence de sa tra abilit et donc de la confiance des consommateurs Le d veloppement de la Bio passera in vitablement par l adaptation des productions au sol et non le contraire mais aussi au climat aux ressources en eau La coh rence des syst mes d exploitation et notamment la bonne gestion de la mati re organique passe par la symbiose entre levage et productions v g tales Ce message doit tre port par les producteurs Bio et relay aux organisations conomiques type Terrena qui sont parfois bien loin de nos pr occupations Bruno Gris Administrateur la CAB Le Conseil d administration de la CAB vous souhaite une excellente ann e 2009 remplie de projets et d avenir pour les producteurs et les fili res bio des Pays de la Loire Coordination Agrobiologique des Pays de La Loire 9 rue Andr Brouard BP 70510 49105 Angers Cedex 02 Tel 02 41 18 61 40 fax 02 41 18 61 41 Coordination AgroBiologique des Pays de la Loire CAB Pays de La Loire 9 rue Andr Brouard BP 70510 49105 Angers cedex02 Tel 02 41 18 61 40 Fax 02 41 18 61 4
34. pplicable pour les EARL Cumul cr dit d imp t et aides conversion La FNAB d fend le principe de cumul avec le cr dit d imp t et les aides conversions Ce cumul permettrait notamment aux petites structures mara ichage de s curiser leur passage en Bio avec un appui financier plus fort Il ne s agit encore que d un projet donc nous n avons pas encore le retour des discussions parlementaires D plafonnement des aides conversion Les aides taient plafonn es jusqu pr sent 7 600 par ferme et par an Michel Barnier a annonc le d plafonnement possible mais sans pr ciser les modalit s qu il laisse sous autorit s du Pr fet de r gion L tat financera cette mesure en octroyant 1 million d euros aux Pays de la Loire Ces nouveaux moyens seront discut s la prochaine CRAE en janvier prochain Patrick Lemari CAB d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Actualit de la CAB Soja contamin la m lamine Le r seau Bio CAB GAB CIVAM Bio 53 se mobilise depuis l annonce par Terrena d un cas de fraude sur du soja Bio contamin la m lamine Pr s de 300 tonnes de tourteaux de soja import s de Chine ont t retir es du march apr s la d couverte d un taux de m lamine cinquante fois sup rieur la norme autoris e Le r seau a apport rapidement un maximum d informations aux producteurs de volailles d oeufs et de porcs L objectif est d aider ces producteurs comm
35. prix en bio mars 2009 e Ma triser ses cultures en Bio avec Joseph Pousset 6 f vrier et 9 mars 2009 e Convertir son verger en arboriculture bio 3 f vrier et 21 avril 2009 e Conservation des l gumes en janvier 2009 L ensemble des formations propos es par le GAB 44 est disponible sur notre site internet au wWww gab44 org ou sur simple appel t l phonique Des portes ouvertes conversion En novembre le GAB 44 a organis deux portes ouvertes l une en mara chage biologique sur la conversion et l installation et la seconde sur une exploitation laiti re conventionnelle au sujet de la conversion Ces portes ouvertes ont regroup respectivement 30 et 20 personnes Apr s ce succ s le GAB 44 organise conjointement avec la chambre d agriculture 10 demi journ es portes ouvertes pour inciter les conversions en agriculture biologique de janvier mars prochain Chaque demi journ e concernera une production particuli re L objectif est d apporter des l ments techniques et conomiques pour le passage l agriculture biologique au travers d exemples concrets Le programme sera disponible d s janvier sur notre site internet www gab44 org Si vous avez dans votre entourage des producteurs conventionnels qui sont susceptibles d tre int ress s n h sitez pas leur donner le programme Int grer une production v g tale alimentaire en levage Depuis quelques mois les producteurs Bio sont sollicit
36. rn e Muriel Saussac de l Iteipmai et Claire Boyer du Cepparm ont successivement pr sent les techniques de production d sherbage et le march des plantes s ches et des huiles essentielles au niveau national et sur les Pays de la Loire Sauges pour huiles essentielles L apr s midi fut consacr la visite d une entreprise de distillation Saint L zin 49 Les producteurs ont pu d couvrir le proc d utilis par Jean Claude Chasles afin d obtenir des huiles essentielles et des eaux florales partir de plantes fra ches En seconde journ e le groupe s est retrouv Somloire 49 au laboratoire Alvend La matin e fut consacr e la fili re cosm tique Samuel Gabory directeur de la structure nous a pr sent son entreprise la r glementation en vigueur sa politique qualit concernant ses approvisionnements et la charte Cosm bio Cette intervention s est conclue par la visite du laboratoire et des chaines de fabrication et de conditionnement des produits cosm tiques et d hygi ne Les discussions de l apr s midi avaient 44 Loire Atlantique 49 Maine et Loire 53 Mayenne Source donn es Agence Bio 2007 pour objectif de d battre sur l avenir de la fili re PPAM Bio en Pays de la Loire Chaque producteur a pu exprimer ses probl matiques en lien avec son syst me de production et ses attentes En amont de cette journ e la CAB avait sollicit des acteurs de la fili re Nat Inov
37. s La page du CIVAM Bio 55 R union des acteurs de la fili re lait Bio convertir convertir Les transformateurs recherchent du lait bio une d marche commune de communication l initiative du CIVAM Bio va voir le jour en 2009 A l initiative du groupe d change lait bio le CIVAM Bio a convi autour de la table les principaux acteurs de la fili re lait bio Lactalis Sodial la laiterie Martin et la coop rative Lait Bio du Maine Bio lait et la fromagerie Perrault seront rencontr s dans les prochaines semaines Objectif de cette rencontre faire le point sur l tat de la fili re La situation se fait ressentir partout nous connaissons une demande croissante gt indique G rard Mar chal responsable des approvisionnements chez Lactalis La hausse a t de 8 9 en 2007 elle est encore de 4 en 2008 Vincent Martin pour la fromagerie de Monts rs et Charles Laurent pour la coop rative Lait bio du Maine font le m me constat nous sommes fr quemment sollicit s mais nous ne sommes plus en mesure de r pondre ces nouveaux march s faute de marchandises Durant cette rencontre les diff rentes structures ont bien indiqu et chiffr leur besoin en lait bio La hausse est r elle avec des augmentations de minimum 30 pour les deux ann es venir Pour r pondre cette demande le CIVAM Bio et les laiteries ont un objectif commun susciter des conversions en 2009 La bio pourqu
38. sch mas et des jeux au sol avec des figurines Nous replacerons dans ces perspectives les r actions de la Terre et des plantes ainsi que les travaux agricoles partir des bases de connaissance des rythmes les stagiaires d couvriront comment faire un bon usage du Calendrier des Semis Enfin nous verrons comment parvenir des pr visions m t orologiques saisonni res r gionales Proc s des faucheurs volontaires de Charc St Ellier En marge du Proc s c est une v ritable f te qui s est d roul e du mercredi 3 au vendredi 5 d cembre 1 500 spectateurs pour les 5 conf rences des milliers de citoyens venus soutenir les pr venus et le combat Dans l ar ne les 3 avocats des parties civiles se sont retrouv s bien seuls face aux 9 pr venus et aux soixante comparants volontaires qui se sont exprim s un par un la barre pour signaler leur pr sence Charc et leurs motivations dans ce combat Ils ont re u une coute inattendue de la part du Juge Un bilan tr s positif donc en attendant le rendu du Tribunal le 8 janvier 2009 Et de ce DE Journ e technique sur la qualit des eaux sur le Ribou Verdon La Communaut d agglom ration de Cholet a organis La Tessoualle une de ses journ es techniques agricoles dans le cadre du travail sur la r duction de phosphore et des mati res organiques dans le bassin versant Ribou Verdon Le CIVAM AD 49 la Chambre d Agriculture du Maine et Loire et
39. sionnements en France et dans l Union europ enne R union d information en janvier Pour prolonger la r flexion le r seau Bio va proposer des r unions d informations en janvier dans chaque d partement L objectif est de faire le point avec les producteurs sur d ventuels pr judices et de faire des propositions concr tes pour faire voluer les fili res d approvisionnement Nous ferons galement le bilan de la rencontre avec Terrena Julien Taunay CAB L avis de l AFSSA est disponible sur www afssa fr d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB Comit Ex cutif Patrice Lefeuvre Pierrette Morineau Bruno Gris Philippe Jaunet Fran is Vaudoux Animatrices eurs Maud Savina Julien Taunay Patrick Lemari S bastien Bonduau Secr taire V ronique Cherr Coordination AgroBiologique des Pays de la Loire CAB Pays de La Loire 9 rue Andr Brouard BP 70510 49105 Angers cedex02 Tel 02 41 18 61 40 Fax 02 41 18 61 41 cab biopaysdelaloire fr www biopaysdelaloire fr Actualit des fili res Fili re PPAM d couverte d un march porteur et exigeant A la demande des producteurs la CAB a organis deux journ es ouvertes aux porteurs de projet et aux producteurs de PPAM Bio de la r gion Les objectifs de cette d marche taient de d couvrir les acteurs de la fili re PPAM Bio sur notre r gion et de favoriser les relations entre les producteurs Lors de la premi re jou
40. t des questions sur son passage en Bio Elle est compos e de quatre journ es et abordera l agriculture bio dans toutes ses composantes r glementation techniques de production r sultats conomiques Pour tous renseignements ou inscriptions contacter Denis Alamome au 02 43 53 93 93 Restauration collective o en est on en Mayenne La restauration Bio est un sujet travaill par le CIVAM Bio depuis 2008 Une commission de travail s est d ailleurs cr e pour construire le projet mayennais Mais trop peu de producteurs se mobilisent aujourd hui La demande en produits bio locaux dans les cantines est r elle et il est important de r fl chir ensemble sur notre structuration de l offre L objectif avant la fin de l ann e est de r aliser une enqu te 2 niveaux aupr s des producteurs int ress s et ayant des produits disponibles et aupr s des tablissements d j moteurs souhaitant accro tre et structurer leur approvisionnement en produits bio Cette enqu te nous fixerait sur les perspectives de ce projet et les moyens humains mobiliser Le CIVAM Bio 53 va s appuyer sur une m thode de travail d j utilis e par d autres d partements avec des formations pour les producteurs pour les gestionnaires d tablissement les chefs de cuisine Une journ e de formation est envisag e fin janvier pour pr senter aux producteurs l exp rience du GAB 44 Plan te en F te 2009 Apr s le sud du d part
41. toute discrimination entre producteurs entre op rateurs Certains producteurs veulent prendre le temps d approfondir ce travail en regardant comment la r glementation va s appliquer en France tout en consid rant que ce projet permettra de se d marquer demain D bat aux Journ es d automnes FNAB Plusieurs pays europ ens ont d j leurs propres marques des partenariats techniques et commerciaux sont donc envisageables Les Journ es d Automne de la FNAB en d cembre permettront de confronter les points de vue de l ensemble des r gions sur l identifiant et de proposer une position Le Conseil d administration FNAB sera ensuite amener trancher sur les suites donner au projet Un s minaire de 2 jours est pr vu galement les 27 et 28 janvier 2009 Du travail en perspective Maud Savina CAB Le juste prix bilan de formation FNAB Ne rien oublier dans la composition d un co t de production consid rer un prix de march charg de dimensions psychologiques tre capable d expliquer son prix de vente et donc de le faire valoir Lorsque l on est agriculteur donc avant tout producteur il n est pas toujours facile de r pondre ces questions d licates La formation propos e par la FNAB permet de d composer les tapes d laboration du co t de production et donc du prix de vente Il d pend en effet des objectifs commerciaux vis s des taux de marges appliqu s dans les diff rents circuits de distr
42. ue aux autres L administration justifie ces mesures par la n cessit d radiquer cette maladie Or le moucheron end mique qui la porte se nourrit galement sur la faune sauvage le r servoir est dans l environnement pas dans les fermes L radication est donc totalement illusoire et de plus surdimensionn e pour une maladie qui ne fait courir aucun danger l homme ce qui n est pas forc ment le cas de certains traitements utilis s Aujourd hui et apr s trois ans de r clamations aucune prophylaxie alternative n a t accept e par l administration Seule ouverture r cente la possibilit de mettre en place une tude relativement large une centaine d exploitations sur les troupeaux touch s n ayant pas t vaccin s Le r seau souhaite y tre associ Communiqu de presse FNAB Loi Grenelle o en est on pour la Bio On en parle on en parle mais qu elle sera le plus pour la Bio dans la loi Grenelle Voici les derniers bruits des couloirs en attendant les d crets d finitifs Doublement du cr dit d imp t en 2010 La loi de finance 2009 pr voit bien en effet ce doublement mais pour la d claration d imp t sur l exercice 2009 qui sera faite en avril 2010 Le montant du plafond du cr dit d imp t serait port 2 400 major de 400 par ha dans la limite de 1 600 de majoration soit un total maximum de 4 000 par foyer fiscal dans la limite de 3 parts par GAEC pas a
43. une perte de confiance des producteurs dans la possibilit de vivre de la Bio et une forte baisse des conversions Elle a t amplifi e par les ruptures successives dans les dispositifs d aides avec des p riodes d incertitudes sur les modalit s de reconduction et les variations de montants ha Cherche producteurs Bio et vite Les ann es 2007 2008 annoncent un CAB CAD CABMAE de conforter ses revenus tout en acceptant une baisse de sa production Les obligations r glementaires europ ennes pour retrouver une eau brute de qualit en 2015 vont contraindre les gestionnaires de l eau imposer des baisses drastiques de produits phytosanitaires et d engrais chimiques dans les zones les plus touch es Les producteurs vont donc avoir int r t s engager dans des contrats MAE r mun r s plut t que se voir imposer plus tard une r glementation sans aides Bilan des surfaces engag es en Bio au 15 mai 2008 Cultures annuelles et prairies temporaires Prairies permanentes et gt 7 ans 0 53 ha 0 00 ha 1 60 ha 0 33 ha 0 00 ha L gumes de plein champs A arbo viti maraichage PPAM d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB 10 Le dossier du mois 20 de surface Bio mode d emploi Des projets en partenariat avec les op rateurs conomiques Le 6 novembre dernier la laiterie Saint P re organisait en partenariat avec le GAB 44 une apr s midi porte ouverte sur
44. uniquer aupr s de leurs clients et de les accompagner en cas de pr judice Les m dias ont fait un cho large sur cette affaire journaux t l Le r seau a publi d s le vendredi 28 novembre un communiqu de presse repris notamment dans l dition de Ouest France du 29 novembre qui affirme les positions du r seau Cette affaire d montre aussi la n cessit de repenser le mod le d approvisionnement alimentaire des volailles biologiques L agriculture biologique doit rester bas e sur le principe du lien au sol lien sol plantes animaux sur l exploitation et de la proximit L utilisation de soja chinois n est pas conforme aux principes de la Bio Les paysans bio continuent de demander un v ritable Plan prot ines pour une ind pendance alimentaire europ enne en mati res prot iques La recherche d autonomie des exploitations et l approvisionnement local sont les seuls remparts aux risques de contaminations OGM gt y compris Champ de soja la fraude la m lamine affecte l image de toutes les fili res Bio actions du r seau Bio Aider les producteurs touch s Nous rappelons que les groupements d partementaux seront tr s attentifs aux cons quences de cette fraude pour les producteurs Vous pouvez d ailleurs vous faire conna tre aupr s de votre groupement si vous tes l s s techniquement ou financi rement Une cellule de veille est disponible dans chaque d partement pour r
45. ur la ferme CDD puis CDI Contact 06 26 24 03 76 ou contact invitationalaferme fr Pays de Retz 10 km Machecoul couple en AB sur ferme laiti re 70 VL recherche salari temps plein pour poste polyvalent soin animaux traite culture partir de janvier 2009 CDI possible Contacter le 02 40 02 64 61 Bulletin CAB Imprim sur papier 100 recycl Comit de r daction Thierry Bonnier Patrice Lefeuvre Pierrette Morineau Philippe Jaunet Bruno Gris Fran is Vaudoux Coordination et mise en page Julien Taunay CAB criture des articles Animatrices et animateurs CAB GAB et CIVAM bio 53 d cembre 2008 janvier 2009 n 75 Le Bulletin CAB
46. xploitation il est clair que dans le contexte favorable que conna t le lait bio actuellement ils n auraient jamais mis en place cet atelier En effet en 2008 le lait collect par Biolait a t pay sur une base de 430 1000 L minimum soit en jersiaise 540 1000 L et le groupement cherche encore des producteurs pour pouvoir r pondre la demande Conception d outils de communication le GAB 72 propose ses services Depuis l embauche d un charg de communication le GAB 72 cherche d velopper des prestations de services Le GAB 72 est en mesure de vous aider pour r aliser diff rents supports de communication En effet le GAB 72 met votre disposition ses connaissances de l agriculture bio et de son r seau accompagn es de comp tences graphiques Plusieurs prestations sont possibles e Logo et charte graphique en t te de lettre tiquettes de produits etc e Plaquettes d information cartes de visites page Interet e Panneaux d information sur votre exploitation vos activit s vos produits e Banderoles pour portes ouvertes march s etc e Panneaux d entr e de ferme e Panneaux AB ou Bio Pays de la Loire e Autres proposer Pour chaque r alisation le GAB 72 se charge de la conception mais peut aussi g rer la r alisation selon les besoins de chacun Le GAB 72 peut galement g rer les achats group s pour r duire les co ts notamment pour les

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