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Newsletter DAJ - 17 mai au 2 juin 2014

1. Mars 2014 la D pistage du cancer du sein en demande de l INCa et dans le cadre du Plan Cancer 2009 2013 la HAS a sou France identification des femmes haut risque et modalit s de d pistage hait laborer des recommandations sur le d pistage du cancer du sein chez Synth se RECOMMANDATIONS DE SANTE PUBLIQUE les femmes haut risque En octobre 2011 un premier travail volet 1 a port sur l identification des facteurs de risque FdR du cancer du sein Deux groupes ont t distingu s dont le groupe 2 FdR justifiant potentiellement du point de vue pid miologique un d pistage sp cifique pour lesquels il est apparu n cessaire de poursuivre l valuation la recherche de strat gies de d pistage efficaces s res et efficientes En mars 2014 le second travail volet 2 a port sur la recherche des strat gies efficaces s res et efficientes pour les facteurs de risque du groupe 2 En l absence d tude mesurant l efficacit comparative de plusieurs strat gies de d pistage dans les diff rents groupes risque sur des crit res de r duction de la mortalit les recommandations sont fond es essentiellement sur l avis des experts r unis au sein d un groupe de travail pluridisciplinaire dont l accord a t formalis selon les m thodes en vigueur la HAS HAS Personnes g es Plan personnalis de sant Haute autorit de sant HAS Mode d emploi du plan personnalis de sant
2. PITAUX PUBLIQUE DE PARIS les guides de l AP HP Les associations l h pital DE L AP HP Marc Dupont Direction des affaires juridiques et des droits du patient Direction des Affaires Juridiques Recueillir conserver et des Droits du Patient et utiliser des chantillons biologiques humains Guide l usage des professionnels l h pital t g n rale e Fami iccompagnement D mocra ASSISTANCE H PITAUX PUBLIQUE DE PARIS ASSISTANCE HOPITAUX ALIM 61112 DE PARIS ASSISTANCE H PITAUX PUBLIQUE DE PARIS Direction des affaires juridiques Assitance pubhque h pitaux de Pari m E MEMENTO DE L ADMINISTRATEUR DE GARDE Organisations m dicales au sein de l AP HP P les et structures internes de p le R gles d organisation communes l ensemble des h pitaux et groupes hospitaliers de l AP HP v nement ind sirable grave ASSISTANCE Q H PITAUX A PUBLIQUE DE PARIS UIDE PRATIQUE L ATTENTION DES QUIPES HOSPITALI RES ASSISTANCE H PITAUX PUBLIQUE DE PARIS
3. d enjoindre au pouvoir adjudicateur X de reprendre la proc dure ou d faut de le condamner lui verser des dommages et int r ts Le tribunal administratif ayant rejet ses demandes l association Z a relev r guli rement appel du jugement du 25 janvier 2011 Le juge devait appr cier le d lai laiss au candidat pour justifier son offre anormalement basse Dans les circonstances de l esp ce la Cour administrative d appel de Paris a consid r que le d lai de quatre jours qui a t laiss l association Z alors m me qu il incluait deux jours non ouvr s pour pr ciser les l ments de nature justifier le prix qu elle proposait tait suffisant pour lui per mettre de donner suite la demande qui lui a t adress e par le pouvoir adjudicateur X s agissant de pr cisions portant sur l offre qu elle venait d laborer et sur ses modalit s de fonctionnement et qui n appelaient pas de r ponses d une particuli re technicit Hospitalisation des restes charge impr visibles Avec une demme ghtak de 85 millards d euros soit 1300 euros par Fang et mran k secteur heu r s bien pi chifres Fees ee rss phas patient n est en moyenne que de mis jur d s brs qu il depse d une couverture compl mentaire Ele est en reanche sup rieure SOO aant intervention de l assurance comp mentaire Ca r u ts me yen purtant ps mesquer des in galit s tr s pr cccupantes des in galit s entre les patient
4. 25 juin 2013 fixant au titre de l ann e universitaire 2013 2014 le nombre d tudiants et d internes en m decine pouvant signer un contrat d engagement de service public ACTUALIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 6 Personnel 2 3 Etudes m dicales Commission de d rogation Arr t du 23 mai 2014 modifiant l arr t du 12 mars 2012 relatif la commission de d rogation pr vue au 2 de l article 7 du d cret n 2004 67 du 16 janvier 2004 modifi relatif l organisation du troisi me cycle des tudes m dicales Aide soignant Dipl me Formation Arr t du 21 mai 2014 modifiant l arr t du 22 octobre 2005 relatif la formation conduisant au dipl me d Etat d aide soignant Auxiliaire de pu riculture Dipl me Formation Arr t du 21 mai 2014 modifiant l arr t du 16 janvier 2006 relatif la formation conduisant au dipl me d Etat d auxiliaire de pu riculture M decins Chirurgiens dentistes Sages femmes Pharmaciens Infirmiers Masseurs kin sith rapeutes P dicures podologues Insuffisance professionnelle Suspension temporaire D cret n 2014 545 du 26 mai 2014 relatif aux proc dures de contr le de l insuffisance professionnelle et aux r gles de suspension temporaire des m decins des chirurgiens dentistes des sages femmes des pharmaciens des infirmiers des masseurs kin sith rapeutes et des p dicures podologues Ce d cret cr e une proc dure de con
5. PPS pour les personnes risque de perte d autonomie PAERPA et cahier des charges pour la mise en uvre de l ducation th rapeutique dans le cadre de l exp rimentation MODE D EMPLOI 2 3 ou pran PERSONNALISE De sante PAERPA La HAS a labor un mod le de plan personnalis de sant PPS PPS POUR LES PERSONNES RISQUE DE PERTE D AUTONOMIE e ze e A Z AERPA dans le cadre de la mise en uvre des exp rimentations personnes g es en risque de perte d autonomie PAERPA Il s agit d un plan d action concer nant les personnes g es en situation de fragilit et ou atteintes d une ou plu sieurs maladie s chronique s et n cessitant un travail formalis entre ac T ii teurs de proximit I s agit de favoriser la prise en charge en quipe pluripro ins baama fessionnelle dans un cadre de coop ration non hi rarchique Ce plan d action fait suite une valuation globale de la situation m dicale psychologique et sociale de la personne afin d identifier les situations probl mes 1 d bouche sur un suivi et une r valuation La HAS a galement labor un cahier des charges pour la mise en uvre de l ducation th rapeutique dans le cadre de l exp rimentation PAERA afin de permettre de garantir la qualit de l ETP ainsi que les modalit s de sa mise en pratique II d finit les th mes sur lesquels une efficacit potentielle est d montr e les comp tences requises de la part du
6. dico sociale pr coce et les centres m dico psycho p dagogiques Ces frais seront d sormais pris en charge int gralement par l assurance maladie Le d cret pr cise galement les conditions de cette prise en charge H patite B H patite C Prise en charge Rapport de recommandation Agence nationale de recherche sur le sida et les h patites virales ANRS Association Fran aise pour l tude du foie AFEF Prise en charge des personnes infect es par les virus de l h patite B ou de l h patite C 2014 La ministre des Affaires sociales et de la Sant a donn en janvier 2013 mission l Agence nationale de recherche sur le Sida ANRS de RAPPORT DE RECOMMANDATIONS 2014 produire un rapport de recommandations sur les h patites B et C dans les do maines sanitaires sociaux thiques et organisationnels qui tienne compte ga lement du contexte pid miologique actuel L ANRS en a confi la r alisation l Association fran aise pour l tude du foie AFEF Ce rapport est organis en 22 th mes qui comportent au total 180 recommandations L une des mesures consiste construire un parcours de sant qui soit coh rent pour tous les pa tients Page 9 Organisation des soins 2 2 Cancer du sein D pistage Modalit s Haute autorit de sant HAS Recommandations HAS D pistage du cancer du sein en France identifica tion des femmes haut risque et modalit s de d pistage
7. dossier m dical de sa m re et notamment du document crit dans lequel elle ex primait sa volont de ne pas le faire pr venir de son d c s et de ne pas lui permettre l acc s son dossier m di cal La CADA rel ve d abord que l h pital a communiqu Monsieur X extrait du dossier patient informatis de sa m re mentionnant son refus que son fils soit inform de son tat de sant Elle ne peut d s lors que d cla rer sans objet dans cette mesure la demande d avis Par la suite elle rappelle que es dispositions de l article L1110 4 du code de la sant publique ne pr voient aucune condition de forme quant au recueil de la volont contraire du patient Toutefois en l absence de toute garantie d authenticit la mention informatis e commu niqu e par l tablissement hospitalier ne permet pas en l esp ce de s assurer que int ress e aurait exprim avant son d c s une telle volont La CADA met donc un avis favorable la communication de ce dossier l int ress ACTUALIT JURIDIQUE Page 5 DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Tutelles 1 1 Personnel 1 3 TUTELLES Mandataires judiciaires la protection des majeurs MJPM Financement Taux directeurs Budgets pr vi sionnels Dotations globales de financement Instruction n DGCS 2A 5A 5C 2014 157 du 16 mai 2014 relative aux orientations de l exercice 2014 pour la campagne budg taire des services mandataires judiciaires la protection des majeurs
8. interassociatif sur la sant Ciss le magazine 60 Millions de consommateurs et la soci t Sant clair sp cialis e dans l information et l orien tation dans le syst me de soins Il a calcul que Ja somme restant la charge du patient n est en moyenne que de 26 par s jour d s lors qu il dispose d une cou verture compl mentaire Elle est en revanche sup rieure 500 avant interven tion de l assurance compl mentaire Pour autant l Observatoire met en lumi re trois In galit s tr s pr occupantes entre les patients selon la couverture dont ils b n ficient entre les h pitaux selon le montant du tarif journalier de presta tion et entre les secteurs public et priv Face 4 l impr visibilit des d penses qu elles entra nent l Observatoire appelle les pouvoirs publics prendre les mesures n cessaires pour r duire les distorsions de tarifs constat es qui accen tuent les in galit s d acc s aux soins Page 15 Publications PUBLICATIONS AP HP Retrouvez ces documents en version cliquable sur notre site Internet http affairesjuridiques aphp fr ls ques de VAP AP les guides de l AP HP L AP HP aujourd hui Organisation administrative m dicale et param dicale Direction des Affaires Juridiques Le r glement int rieur de FAssistance publique h pitaux de Paris ASSISTANCE H IYTAUX PLBBLIQUE DE PAIS ASSISTANCE HOPITAUX ITAUN PUBLIQUE DE PARIS ASSISTANCE O H
9. patient pour tre r ceptif et l adaptation des m thodes la personne g e I rappelle galement les principes fondamentaux de l ETP et leur application dans le mod le PAER PA T JURIDIQUE Page 10 MAI AU 2 JUIN 2014 MAL 2 JU P R glementation sanitaire 1 1 Propri t intellectuelle Informatique 172 R GLEMENTATION SANITAIRE Transmission obligatoire de donn es individuelles Liste des maladies Signalement D partements Arr t du 12 mai 2014 modifiant l arr t du 24 avril 2006 fixant la liste des d partements mentionn s l article D 3113 6 du code de la sant publique La Guadeloupe est ajout e la liste des d partements et collectivit s qui rel vent de la proc dure de signalement concernant le chikungunya Chikungunya Dengue Surveillance sanitaire D claration obligatoire Surveillance entomologique Con tr le sanitaire aux fronti res Instruction n DGS RI1 2014 136 du 29 avril 2014 mettant jour le guide relatif aux modalit s de mise en uvre du plan anti diss mination du chikungunya et de la dengue en m tropole Cette instruction actualise les me sures mettre en uvre dans le but de limiter le risque de circulation des virus du chikungunya et de la dengue en m tropole Est annex l instruction une guide relatif aux modalit s de mise en uvre du plan anti diss mination PROPRI T INTELLECTUELLE INFORMATIQUE Syst mes d information hosp
10. s ap plique pas aux march s proc dure adapt e Il s agit d une d cision qui privil gie la lettre de l article 80 du Code des march s publics par rapport aux principes de la commande publique et qui devrait terme r duire drastique ment la possibilit de former un r f r pr contractuel pour les concurrents vinc s des proc dures non formali s es RIDIQUE AU 2 JUIN 2014 Page 13 de March s publics 2 2 March bons de commande D passement du montant maximum Responsabilit Cour administrative d appel de Paris 3 mars 2014 req n 11PA03721 Le 7 mars 2005 l tablissement public de sant X et l EURL Y ont conclu un march bons de commande d une dur e de quatre ans non renouvelable ayant pour objet le suivi et la maintenance de mat riels informatiques install s dans les SAMU d un montant minimum de 142 858 84 euros TTC et d un montant maximum de 504 679 97 euros TTC Par un courrier du 3 ao t 2009 l tablissement public de sant X a refus de s acquitter de quatre factures pour une somme totale de 38 086 73 euros TTC au motif que les prestations auxquelles elles correspondaient avaient t r alis es par l EURL Y en d passement du montant maximum du march Par jugement du 10 juin 2011 le Tribunal admi nistratif de Paris a rejet la demande de l EURL Y tendant la condamnation de l tablissement public de sant X lui verser la somme litigieuse L EURL Y a fait appel de c
11. CO CNSA n 2014 52 du 13 f vrier 2014 relative la mise en uvre des plans r gionaux d action des cr ations de places et des unit s d enseignement pr vus par le troisi me plan autisme 2013 2017 Cette instruction porte sur la mise en uvre du plan autisme 2013 2017 concernant le contenu des plans d actions r gionaux tablir par les ARS les l ments de cadrage des appels projets portant sp cifiquement sur la cr ation de places nouvelles en tablissements ou services m dico sociaux pour personnes avec autisme ou autres TED trouble envahissant du comportement les modalit s de la pro grammation et le cahier des charges des unit s d enseignement en maternelle Acc s aux soins In galit s de sant Permanences d acc s aux soins de sant PASS Politique de sant den ma enens or oi t ntm mnngti sre Soi ienee 2100 bte nus be MBAG Rapport de la F d ration hospitali re de France et de M decins du Monde La prise en charge des personnes vuln rables Agir ensemble l h pital et dans le sys LA PRE ENCHARDE t me de sant Ce rapport marque l engagement conjoint de la F d ration hospi DES PERSONNES ULNERAGLES PET SACS R ER tali re de France et de M decins du Monde sur la question de l acc s aux soins et ET DANS LE SYST ME DE SANT a n Heo F du droit la sant pour les publics dits vuln rables la vuln rabilit tant d finie comme un processus dynamique d
12. FAIRES O LL x A P le de la R glementation Hospitali re et de la Veille Juridique Hylda DUBARRY Gabrielle BAYLOCQ Laura COURTOIS Gislaine GUEDON Sabrina IKDOUMI Fr d rique LEMAITRE larie H l ne ROMAN MARIS Audrey VOLPE SOMMAIRE Organisation hospitali re Patient Hospitalis Tutelle Personnel Organisation des soins R glementation sanitaire Propri t intellectuelle Informatique Domaine public et priv March s publics Frais de s jour Publications H NAT AUX DE FARI CTUALIT JURIDIQUE du 17mai au 2 juin 2014 CTUALIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 2 Organisation hospitali re 1 2 ORGANISATION HOSPITALI RE Neutralit du service public La cit Observatoire de la la cit Rapport an nuel Ann es 2013 2014 Rapport annuel de l Observatoire de la la cit 2013 1014 L Observatoire de la la cit publie son premier rapport annuel Dans ce rapport l Observatoire fait RAPPORT ANNUEL O un tat des lieux de son activit de l ann e 2013 2014 A noter l adoption de 9 2013 2014 quatre avis dont celui portant sur la diffusion de la charte de la la cit l cole et sur ses outils p dagogiques et l avis visant instituer une journ e nationale de la la cit le 9 d cembre de chaque ann e Plan autisme 2013 2017 Unit s d enseignement Instruction interminist rielle DGCS SD3B DGOS SDR4 DGES
13. able R f r pr contractuel D lai de standstill Conseil d Etat 11 d cembre 2013 req n 372214 Le grand port maritime de la Martinique a engag une proc dure adapt e en vue de la passation d un march de prestations de s curit incendie et d assistance personne La soci t antillaise de s curit dont l offre avait t rejet e par cet tablissement public a tout d abord demand au juge des r f r s pr contractuels du tribunal administratif de Fort de France d annuler la d cision de rejet de son offre Ayant pris connaissance de ce que le march litigieux avait t sign par le grand port maritime de la Martinique la soci t antillaise de s curit a alors demand au juge des r f r s contractuels du m me tribunal sur le fondement de l article L 551 13 du Code de justice administrative d annuler ce march La requ te ayant t rejet e la soci t s est pourvue en cassation Le Conseil d tat a censur le juge du fond pour avoir consid r de mani re erron e que l offre m connaissant la convention collective tait inacceptable au motif que les taux horaires d duits de l offre taient inf rieurs ceux de la convention collective La haute juridiction administra tive a rappel que le pouvoir adjudicateur doit s assurer que les offres recueillies respectent bien la l gislation sociale notamment les conventions collectives Par ailleurs elle a confirm que le d lai de standstill ne
14. ans lequel l impossibilit d acc der certains droits ou services fait courir le risque d une d gradation de la situation sociale et d une d saf liation pour les personnes concern es Trente cinq propositions sont Les Mi EHE formul es autour de plusieurs th mes renforcer la place des permanences d acc s aux soins de sant d velopper et diversifier les dispositifs hospitaliers soutenir les professionnels hospitaliers consolider la dimension territoriale des h pitaux r vi ser les modes de financement garantir l acc s aux droits l assurance et la com pl mentaire maladie r affirmer le r le d acteur des usagers lancer des programmes de formation des professionnels la th matique vuln rabilit et sant promou voir l enseignement et la recherche universitaire autour des probl matiques de la vuln rabilit ACTUALIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 3 Organisation hospitali re 2 2 Autorit s charg es de l instruction Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant Di recteur Directeurs g n raux des agences r gionales de sant Arr t du 13 mai 2014 compl tant l article A 1 du code de proc dure p nale Cet arr t ajoute les directeurs g n raux des agences r gionales de sant la liste des autorit s que le procureur de la R publique ou le juge d instruction peut selon le cas autoriser se faire d livrer une copie des p
15. ct De plus la CNIL pr sente LI FUR A QUE A HA IDC un bilan de 3 ans de contr le de mise en uvre des dispositifs de vid oprotec nn W il tion en effet depuis la loi d orientation et de programmation pour la perfor kA d SES A mance et la s curit int rieure du 14 mars 2011 LOPPSI 2 la CNIL est com p tente pour contr ler sur place les conditions de mise en uvre des disposi Ms sirry mem aga so Mirean tifs de vid oprotection DOMAINE PUBLIC ET PRIV D centralisation Etat Collectivit s territoriales Modernisation de l action publique M tropole du grand Paris Groupement d int r t public GIP D cret n 2014 508 du 19 mai 2014 relatif la mission de pr figuration de la m tropole du Grand Paris Ce d cret pr voit la constitution d un groupement d int r t public GIP compos parts gales de l Etat et du syndi cat mixte Paris M tropole et pr sid alternativement par le pr fet de la r gion d Ile de France et le pr sident du syndicat mixte Paris M tropole sur lequel la mission de pr figuration s appuie pour son fonctionnement Il pr voit la nomination d un directeur de la mission de pr figuration par arr t conjoint du ministre de l int rieur et du ministre charg de la d centralisation sur proposition des pr sidents de la mission de pr figuration La mis sion de pr figuration peut solliciter le concours des administrations de l Etat des collecti
16. e jugement La r alisation par une soci t de pres tations au del du maximum pr vu dans un march bons de commande qui n auraient donn lieu ni des r serves de sa part ni la conclusion d un avenant ne permet pas cette soci t d invoquer devant le juge d appel la responsabilit quasi contractuelle ou quasi d lictuelle de la personne publique pour obtenir le paiement des prestations ces deux chefs de responsabilit tant subordonn s au constat pr alable de la nullit du contrat par le juge Ordonnance du 6 juin 2005 Offre anormalement basse D lai laiss au candidat pour justifier son offre Cour administrative d appel de Paris 6 mai 2014 req n 11PA01533 Par un avis d appel public la concur rence publi au Journal officiel de l Union europ enne le 31 mars 2009 et au Bulletin officiel des annonces des march s publics le ler avril 2009 le pouvoir adjudicateur X a lanc une consultation visant la passation de march s bons de commande ayant pour objet des prestations alloties de services d insertion professionnelle aupr s des demandeurs d emploi Le lot n 15 de ce march intitul Trajectoire Emploi Franche Comt a t attribu la soci t Y L association Z dont l offre a t consid r e anormalement basse et a t rejet e ce titre a demand au Tribunal administratif de Paris d annuler le march conclu entre le pouvoir adjudicateur X et la soci t Y
17. ellement avant le 31 d cembre de chaque ann e par arr t conjoint des ministres de la sant et de l int rieur et applicable aux interventions effectu es entre le ler janvier et le 31 d cembre de l ann e sui vante Il est calcul en fonction de l volution sur les douze derniers mois de l indice des prix la consomma tion Pour les interventions r alis es en 2013 il est fix 116 et 117 pour celles r alis es en 2014 Etablissements de sant Maladies rares Centres de ressources et de comp tence mucoviscidose CRCM Fi li re de sant mucoviscidose Instruction n DGOS PF2 2014 126 du 18 avril 2014 relative au red ploiement de la prise en charge des per sonnes atteintes de mucoviscidose Cette instruction a pour objet de pr ciser l volution du dispositif de prise en charge des personnes atteintes de mucoviscidose dans le cadre du plan national maladies rares 2011 2014 Transport sanitaire Enfants et adolescents Centres d action m dico sociale pr coce Centres m dico psycho p dagogiques Frais Assurance maladie D cret n 2014 531 du 26 mai 2014 relatif la participation des assur s sociaux aux frais de transport mentionn s au 19 de l article L 322 3 du code de la s curit sociale Ce d cret supprime la participation financi re des assu r s au titre des frais de transport li s aux soins ou traitements des enfants et adolescents dans les centres d action m
18. es versements de l assurance mala die aux tablissements de sant en hausse de 2 3 contre 2 6 en 2012 sont en retrait de 350 ME par rapport la pr vision d ex cution R sultant essentiellement de l annulation en fin d ann e de cr dits mis en r serve et de cr dits non d l gu s la moindre ex cution de l ONDAM hospitalier ne cr e pas d effet de base pour 2014 En outre le Comit constate que comme les ann es pr c dentes des cr dits avait t mis en r serve hauteur de 340 ME sous la forme d un coefficient prudentiel sur les tarifs hospitaliers 141ME des cr dits d chus du FMESPP 20 ME et de gel sur les cr dits de dotations annuelles de financement aux tablissements 179 ME De m me 75 M de cr dits du fonds d intervention r gional FIR ont t mis en r serve Ces m canismes doivent permettre d assurer le respect des deux sous objectifs de l ONDAM relatifs au secteur hospitalier le co mit signale qu ils ne suffisent cependant pas assurer la ma trise des d penses des tablissements de sant dont le rythme de progression des d penses hors dotations aux amortissements et provisions est sup rieur au taux de croissance de l ONDAM tablissements de sant Etablissement de sant Qualit et de s curit des soins Indicateurs R sultats Publication Instruction n DGOS PF2 2014 152 du 16 mai 2014 relative aux modalit s pratiques de mise la disposition du public pa
19. et des services d l gu s Cette instruction rappelle les modalit s de financement des services mandataires judiciaires la protection des majeurs SMJPM et des services d l gu s aux prestations familiales SDPF et fixe les orientations relatives l examen des budgets pr visionnels 2014 de ces services PERSONNEL Employeurs publics Emplois d avenir Personnes en situation de handicap Prime forfaitaire D lib ration n 2014 03 6 du 13 mars 2014 portant sur les emplois d avenir Par cette d lib ration le comit national du fonds pour l insertion des personnes handicap es dans la fonction publique d cide que les em ployeurs publics ayant recrut des personnes en situation de handicap sur des contrats emplois d avenir pour ront b n ficier d une prime forfaitaire de 3 000 par an pour les contrats de deux ans 4 500 par an pour les contrats de trois ans Le versement de ces primes est conditionn la mise en place et au suivi par les personnes en situation de handicap titulaires d un contrat emploi d avenir d un parcours de formation dipl mante qua lifiante ou certifiante d une dur e minimale de 600 heures pour les contrats de deux ans 1 200 heures pour les contrats de trois ans Contrat d engagement de service public Etudiant en m decine Interne en m decine Arr t du 16 mai 2014 pris en application du deuxi me alin a de l article R 632 67 du code de l ducation re
20. i ces d une proc dure judiciaire en cours Comptabilit Tableau Charges Mod le Arr t du 17 avril 2014 relatif au retraitement des donn es comptables de l exercice 2013 des tablissements de sant Ce texte fixe le mod le de tableau faisant appara tre apr s r partition analytique des charges le montant des charges d exploitation affect es pendant l exercice aux secteurs cliniques m dico techniques et logistiques de l tablissement et les modalit s de calcul des l ments qui y figurent Apurement administratif des comptes Modalit s Notification D cret n 2014 504 du 19 mai 2014 relatif l apurement administratif des comptes Ce d cret rectifie des er reurs mat rielles du d cret n 2013 268 du 29 mars 2013 modifiant le code des juridictions financi res et tire les cons quences de la modification du r gime de l apurement administratif par l article 39 de la loi n 2011 1862 du 13 d cembre 2011 Il harmonise et clarifie les d nominations correspondantes du code des juridictions finan ci res et met en uvre la simplification et la d mat rialisation des proc dures d cid es avec les juridictions fi nanci res Assurance maladie Objectif national de d penses d assurance maladie ONDAM Avis n 2014 2 du 27 mai 2014 du Comit d alerte sur l volution des d penses d assurance maladie sur le respect de l objectif national de d penses d assurance maladie Cet avis indique que Z
21. italiers SIH Direction g n rale de l offre de soins DGOS Atlas des syst mes d information hospitaliers SIH pour 2014 Mai 2014 Comme chaque ann e la DGOS publie l atlas des syst me d information hospita liers SIH rassemblant les donn es principales et tendances de l volution des syst mes d information hospitaliers sur le territoire recueillies gr ce l observa toire des syst mes d information de sant oSIS l observatoire du r f rencement des diteurs de logiciels et des int grateurs du monde de la sant RELIMS et le dispositif de suivi des charges et ressource SIH Les donn es recueillies portent sur le d ploiement et l usage des SIH la mesure de l usage via les indicateurs H pital num rique les charges et ressources mises en uvre pour accompagner le d ploiement des SIH par les tablissements de sant et les donn es de l offre in dustrielle Page 11 Propri t intellectuelle Informatique 172 Domaine public et priv 1 2 Commission nationale de l informatique et des libert s CNIL Rapport d ac tivit 2013 Rapport d activit 2013 de la Commission nationale de l informatique et des libert s La CNIL publie son 34 me rapport d activit Il est noter pour l an r n e 2013 une stabilisation des demandes adress es la CNIL et une forte COMMISSION NATIONALE DE INFORMATIQUE ET DES LIBERTES croissance des demandes de droit d acc s indire
22. latif au contrat d engagement de service public durant les tudes m dicales et fixant la r partition des contrats offerts au titre de l ann e universitaire 2013 2014 restant pourvoir Cet arr t fixe la r partition par unit de forma tion et de recherche m dicales des contrats non conclus au 11 avril 2014 parmi les 450 contrats d engagement de service public r partis en application de l arr t du 25 juin 2013 fixant au titre de l ann e universitaire 2013 2014 le nombre d tudiants et d internes en m decine pouvant signer un contrat d engagement de service public Contrat d engagement de service public Etudiant en odontologie Arr t du 16 mai 2014 pris en application des deuxi me et troisi me alin as de l article 2 du d cret n 2013 735 du 14 ao t 2013 relatif au contrat d engagement de service public durant les tudes odontologiques et fixant la r partition des contrats offerts au titre de l ann e universitaire 2013 2014 restant pourvoir Cet arr t fixe la r partition par unit de formation et de recherche m dicales des 34 contrats non conclus au 11 avril 2014 par mi les 50 contrats d engagement de service public r partis en application de l arr t du 28 ao t 2013 fixant le nombre d tudiants en odontologie pouvant signer un contrat d engagement de service public au titre de l ann e universitaire 2013 2014 et les 450 contrats d engagement de service public r partis en application de l arr t du
23. nuire A nsi la requ rante n apporte pas la preuve du harc lement qu elle aurait subi De plus celle ci n apporte pas la preuve que le chan gement d affectation dont elle a fait l objet ne correspondait pas ses qualifications et aptitudes professionnelles ou aurait pr judici sa carri re La Cour consid re donc qu elle n est pas fond e soutenir que son viction du service de maternit aurait constitu une sanction disciplinaire d guis e et que l Assistance Publique H pitaux de Paris aurait manqu son devoir de protection son gard La responsabilit de l AP HP ne peut donc pas tre engag e La Cour rejette ensuite les arguments de la requ rante tendant la r paration du pr judice qu elle aurait subi du fait du non paiement de ses heures suppl mentaires et de l utilisation pr tendument abusive du dispositif du compte pargne temps En cons quence la requ te est rejet e IT JURIDIQUE 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 8 Organisation des soins 1 2 ORGANISATION DES SOINS Services d incendie Secours SAMU Convention Arr t du 22 mai 2014 modifiant l arr t du 30 novembre 2006 fixant les modalit s d tablissement de la conven tion entre les services d incendie et de secours et les tablissements de sant si ges des SAMU mentionn e l ar ticle L 1424 42 du code g n ral des collectivit s territoriales Cet arr t voque le tarif national d indemnisa tion valoris annu
24. r l tablissement de sant des r sultats des indicateurs de qualit et de s curit des soins Cette ins truction pr cise les modalit s d application de l arr t du 11 f vrier 2014 fixant les conditions selon lesquelles chaque tablissement de sant met la disposition du public les r sultats publi s en 2013 et 2014 des indicateurs de qualit et de s curit des soins T JURIDIQUE 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 4 o Patient hospitalis 1 1 PATIENT HOSPITALIS Contr leur g n ral des lieux de privation de libert Missions Secret m dical Loi n 2014 528 du 26 mai 2014 modifiant la loi n 2007 1545 du 30 octobre 2007 instituant un Contr leur g n ral des lieux de privation de libert Cette loi vient modifier la loi n 2007 1545 du 30 octobre 2007 instituant un Contr leur g n ral des lieux de privation de libert Elle pr cise ses missions Il est galement indiqu que les informations couvertes par le secret m dical peuvent tre communiqu es avec l accord de la personne concer n e aux contr leurs ayant la qualit de m decin Toutefois les informations couvertes par le secret m dical peu vent leur tre communiqu es sans le consentement de la personne concern e lorsqu elles sont relatives des pri vations s vices et violences physiques sexuelles ou psychiques commis sur un mineur ou sur une personne qui n est pas en mesure de se prot ger en raison de son ge ou de son incapaci
25. s si jen CRAN rtdu temm certa ire patisi BE TS retrouver avec des restes charge de pusieurs milliers d eurosenfindes pur desin in galit s entre les h pitaux puis lt le K tarif jure lier de prestation v qui sert de base cakul du ticket mod rateur cru RER ra er totalement o pque E En m decin e pirne preempe pur piata aen y il putwarier d environ500 euros ZB0E pur s pa ss res z ds Mb pelia Hp pubs ta les cliniques b nopqueetflutuantede b pren n au co t des soins daw le cadre de palme se toutit i des tarifs qui y sont nt plus lev s en b rrati re alors qu en cliniques priv es ce sont ntdavanta pe les pe pan bre particuli re et aux honoraires des praticiens qui salent b facture pour l umger et ou compl mentaire Face de telles d torsiore et l impr vsibilit des d penses qu pae anat Re citoyen de restes cha e e paR apporte des conseil pa tiques aux patien pour limiter leur pa rticipation leur frag hospitaliers I demande a ks mesure n e ire pour r duire les d toribre de tarifs coi Fe MANER m les in galit s d acc s aux soins LIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 14 Frais de s jour 1 1 FRAIS DE S JOUR Restes charge en sant Acc s aux soins Couverture maladie Rapport de l Observatoire citoyen des restes charge en sant mai 2014 L Ob servatoire citoyen des restes charge en sant a t cr d but 2013 par trois par tenaires le Collectif
26. t physique ou psychique Dossier m dical Communication D funt Pacte civil de solidarit Refus Commission d acc s aux documents administratifs 27 mars 2014 n 20140853 La Commission d acc s aux do cuments administratifs rappelle que les personnes b n ficiant de la qualit d ayants droit du d funt au sens du Code de la sant publique sont les m mes que celles qui pr sentent la qualit d h ritier ayant par application des r gles g n rales du code civil en mati re de successions et de lib ralit s une vocation universelle ou titre uni versel la succession du patient d c d D s lors en l absence de testament le pacte civil de solidarit n empor tant par lui m me aucun droit sur la succession du d funt elle met avis d favorable la communication du dossier m dical d un d funt la personne ayant conclu un PACS avec ce dernier d s lors qu elle ne justifie pas de sa qualit de successeur testamentaire Dossier m dical Communication Ayant droit Refus du patient exprim de son vivant Authenticit Commission d acc s aux documents administratifs 27 mars 2014 n 20140311 Dans cet avis la Commission d acc s aux documents administratifs se prononce sur le sujet de la communication du dossier m dical un ayant droit alors que le patient d c d s y tait oppos de son vivant Le fils d une patiente d funte sollicitait la com munication de l int gralit du
27. tr le de l insuffisance professionnelle des m decins chirurgiens dentistes sages femmes pharmaciens infir miers masseurs kin sith rapeutes et p dicures podologues par leurs ordres professionnels Par ailleurs le d cret am liore la proc dure d expertise en cas d infirmit et d tat pathologique lors de l inscription l ordre et en cours d exercice Centres de soins d enseignement et de recherche dentaires Professeur des universit s praticien hospitalier PU PH Emplois Candidature Arr t du 21 mai 2014 fixant les modalit s et les d lais de candidature aux emplois de professeur des universit s praticien hospitalier des centres de soins d enseignement et de recherche dentaires offerts au recrutement au titre de l ann e 2014 ler tour Centres de soins d enseignement et de recherche dentaires Ma tre de conf rences des universit s praticien hospitalier MCU PH Emplois Candidature Arr t du 21 mai 2014 fixant les modalit s et les d lais de candidature aux emplois de ma tre de conf rences des universit s praticien hospitalier des centres de soins d enseignement et de recherche dentaires offerts au recru tement au titre de l ann e 2014 ler tour ACTUALIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 7 Personnel 3 3 Professeur des universit s M decine g n rale Recrutement Mutation Ann e 2014 Arr t du 22 mai 2014 portant d claration de vacance d emplois de professeur des
28. universit s de m decine g n rale offerts la mutation et au recrutement au titre de l ann e 2014 et fixant les modalit s de candidature Ma tre de conf rences des universit s M decine g n rale Recrutement Mutation Ann e 2014 Arr t du 22 mai 2014 portant d claration de vacance d emplois de ma tre de conf rences des universit s de m decine g n rale offerts la mutation et au recrutement au titre de l ann e 2014 et fixant les modalit s de candi dature Harc lement moral Preuve Fonction publique hospitali re Cour administrative d appel de Paris 6 me Chambre 28 avril 2014 12PA02001 Madame X agent de l AP HP demande que son employeur soit condamn r parer le pr judice qu elle aurait subi du fait du harc lement mo ral dont elle aurait t victime En avril 2005 une nouvelle surveillante g n rale avait t nomm e au sein d un service de maternit Par la suite les m thodes de cette personne ont t contest es et l atmosph re de travail se serait d grad e La Cour consid re que les l ments vers s au dossier ne permettent pas d tablir que Mme X qui ne s est jamais plainte aupr s de la direction de l h pital aurait fait personnellement l objet de brimades hu miliations ou mesures vexatoires de la part de sa sup rieure hi rarchique ni qu elle aurait d faire face une d gradation de ses conditions de travail organis e par celle ci dans le but de lui
29. vit s territoriales et de leurs groupements Le d cret pr cise galement les missions et la composition du conseil des lus et du conseil des partenaires socio conomiques ainsi que les modalit s d organisation de leurs travaux Les noms des membres de ces conseils qui doivent faire l objet d une d signation par l instance qu ils sont charg s de repr sen ter sont adress s au directeur de la mission de pr figuration dans le mois qui suit la publication du d cret ACTUALIT JURIDIQUE DU 17 MAI AU 2 JUIN 2014 Page 12 EL Domaine public et priv 2 2 March s publics 1 2 Patrimoine hospitalier Pilotage Outil Sch ma r gional d investissement en sant SRIS Instruction n DGOS PF1 2014 115 du 18 avril 2014 relative au d ploiement de l outil OPHELIE Outil de pilo tage du Patrimoine Hospitalier pour les Etablissements de sant L gislation Indicateurs Environnement Cette instruction a pour objet de pr ciser les objectifs et modalit s de d ploiement de l outil OPHELIE qui vise accompagner les tablissements publics de sant dans la d finition et la mise en uvre de leur strat gie immobi li re connaissance de l tendue et de la superficie du patrimoine tra abilit des immobilisations situations risque aide la d cision Elle voque par la suite le contenu les fonctionnalit s et les modalit s de d ploiement de l outil MARCH S PUBLICS MAPA Convention collective Offre inaccept

Newsletter DAJ - 17 mai au 2 juin 2014

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