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ESQUISSES Vol16 No1 - Ordre des architectes du Québec

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1. PROJETS DE CONSERVATION ET DE RESTAURATION PATRIMONIALE 25 CIN MA IMP RIAL MONTR AL CENTRE CIN MA IMP RIAL LES ARCHITECTES FAUCHER AUBERTIN BRODEUR GAUTHIER 26 DOMAINE JOLY DE LOTBINI RE SAINTE CROIX QU BEC FONDATION DU DOMAINE JOLY DE LOTBINI RE ALLAIRE BERGERON COURCHESNE PERRAS GAGN MOREAU ABCP ARCHITECTURE URBANISME 27 SERRES D EXPOSITION DE WESTMOUNT MONTR AL ARRONDISSEMENT DE WESTMOUNT BEAUPR ET MICHAUD ARCHITECTES FINALISTES AU PRIX MARCEL PARIZEAU PROJETS D ARCHITECTURE TOUS TYPES CONFONDUS DONT LE CO T TOTAL DES TRAVAUX EST DE 150 000 ET MOINS 28 R SIDENCE CANTIN COLLIN STE CATHERINE DE LA JACQUES CARTIER QU BEC CROFT PELLETIER ARCHITECTES 29 R SIDENCE CHAMBORD MONTR AL JEAN REN CORBEIL ARCHITECTE PHOTOGRAPHE MARC CRAMER NMENTION EN ACCESSIBILIT UNIVERSELLE R CIPIENDAIRE CENTRE DE SOINS AMBULATOIRES DE L H PITAL MAISONNEUVE ROSEMONT MONTR AL H PITAL MAISONNEUVE ROSEMONT LE CONSORTIUM LES ARCHITECTES T TREAULT PARENT LANGUEDOC ET ASSOCI S ALLAIRE BERGERON COURCHESNE PERRAS ARCHITECTES EN D VELOPPEMENT DURABLE FINALISTES 31 MOUNTAIN EQUIPMENT CO OP MONTR AL MOUNTAIN EQUIPMENT CO OP LE CONSORTIUM DUSCHENES amp FISH ARCHITECTES MAMFREDIS MINERS ARCHITECTES LYSE M TREMBLAY ARCHITECTE 32 NOUVEAU PAVILLON DES ARTS ET SCIENCES DU COLL GE DE L OUEST DE L LE DOLLARD DES O
2. KINGSEY FALLS MENTION HONORABLE CAT GORIE COUP DE COEUR DU JURY ARCHITECTE BOURASSA ET GAUDREAU ARCHITECTES ING NIEUR EN STRUCTURE RENAUD LAPOINTE ING NIEUR La Place Ville Marie a t concue par les firmes d architectes Pei Cobb Freed and Partners New York et Affleck Desbarats Dimakopoulos Lebensold Michaud amp Sise architectes PHOTO PIERRE LACERTE ESQUISSES AVRIL MAI 2005 3 ACTUALIT S PECH D OMISSION Pour illustrer son dition de f vrier mars 2005 Esquisses a diffus en couverture une magnifique photo la biblioth que de th ologie du Coll ge Jean de Br beuf un exemple r ussi de recyclage et de reconversion Tout baignait jusqu ce que l quipe d Esquisses s apercoive trop tard d une f cheuse omission Nous avons oubli de mentionner l important apport de la firme Dupuis Letourneux architectes au succ s du projet qui a t r alis en consortium avec la firme Beaupr Michaud architectes Toutes nos excuses T OUCHER DU BOIS La firme Affleck de la Riva architectes a rafl l un des 12 prestigieux prix du 2004 Wood Design Awards Gr ce leur projet r sidentiel Minton Hill House les architectes de Montr al se sont clairement d marqu s lors de ce concours d envergure nord am ricaine qui vise faire jouer un r le pr pond rant la mati re ligneuse dans le design architectural Pas moins de 188 autres projets taient en comp tition UN ARCHITECTE 4 LA RUE Cet t
3. en avril 2004 Membre de la Soci t royale du Canada laur at de plusieurs prix d excellence pour son apport la connaissance de l architecture et la conservation du patrimoine b ti dont le prix G rard Morisset Prix du Qu bec 1999 Luc Noppen est presque une institution en soi Depuis plus de 30 ans il se consacre la recherche et l enseignement et sa carri re touche autant l histoire de l architecture que la mus ologie et la conservation du patrimoine Il travaille galement avec la Soci t de d veloppement des entreprises culturelles SODEC la revitalisation de Place Royale avec le minist re de la Culture et des Communications au dossier du patrimoine religieux et avec la Ville de Montr al dans le cadre du protocole d entente entre la Ville et les universit s sur la qualit architecturale et le design urbain ESQUISSES EST PUBLI CINQ FOIS L AN PAR L ORDRE DES ARCHITECTES DU QU BEC acier ICCA section Qu bec a d cern ses prix d excellence L Institut r compensait ainsi des quipes qu b coises qui r alisent des projets inusit s en acier Un alliage parfait d architectes d ing nieurs et d entrepreneurs dont nous vous pr sentons au fil de nos pages les r alisations prim es 1825 BOULEVARD REN L VESQUE OUEST MONTR AL QU BEC H3H 1R4 T L PHONES 514 937 6168 1 800 599 6168 514 933 0242 INFO OAQ COM T L COPIEUR COURRIEL KIOSQUE DU PARC BERNARD LEMAIRE
4. disponible Les candidats admissibles d sirant recevoir le programme sont invit s communiquer avec Lynda Godin secr taire l admission 514 937 6168 ou 1 800 599 6168 poste 212 lgodin oaq com TABLEAU DES MEMBRES NOUVEAUX MEMBRES Les architectes suivants ont t inscrits au Tableau de l Ordre Le 19 janvier 2005 Charlebois V ronik Loeffler Karl Pinard Marie Christine Le 18 f vrier 2005 Labrie Michel Lapointe Emmanuelle Mailloux Pascal Le 1 f vrier 2005 Lincourt Michel R INSCRIPTIONS Les architectes suivants ont t r inscrits au Tableau de l Ordre gt Nous avons appris avec regret le d c s de deux de nos membres Toutes nos condol ances la famille et aux amis Le 29 d cembre 2004 Bernstein Alan L Le 8 janvier 2005 Lambert Paul DES NOUVELLES DE QU BEC ARCHI PUBLIC LE VIEUX QU BEC UNE HISTOIRE TRAC E DANS LA PIERRE Les 25 et 26 septembre derniers plus de 140 personnes ont particip l une des quatre visites guid es du Vieux Qu bec dans le cadre des Journ es de la Culture Selon Sabiha Torun architecte et responsable de l activit l objectif tait de donner aux visiteurs l occasion de d couvrir l histoire trac e dans la pierre des monuments architecturaux du quartier L accent a t mis sur l amour du travail de la pierre et sa multiple utilisation en architecture Ces visites d une dur e de deux heures ont t anim es par l his
5. e par le Conseil des arts et des lettres du Qu bec Offerte tous les deux ans en reconnaissance d une contribution exceptionnelle la culture qu b coise cette bourse est attribu e trois laur ats et assortie d un montant de 60 000 dollars pour la r alisation d un projet personnel de cr ation Depuis plus d une dizaine d ann es Jacques Plante explore les lieux de spectacle et de cr ation Il est d ailleurs le seul architecte canadien avoir r alis la fois des th tres de r pertoire et de cr ation une salle de concert pour musique classique un cabaret pour spectacles grand d ploiement des cin mas un centre des arts du cirque et des centres de production th trale et cin matographique Pour son projet de cr ation Jacques Plante veut retourner aux sources de la formation de l espace sc nique en s inspirant du Th tre Total de Walter Gropius qu il entend revisiter En guise de pr paration il visitera des lieux de cr ation th trale inusit s principalement en Europe et collaborera des projets de concours ou des chantiers d agences sp cialis es de Londres et de New York A LA DIRECTION DE L INSTITUT DU PATRIMOINE DE Monsieur Luc Noppen professeur au D partement d tudes urbaines et touristiques de l UQAM et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain a t nomm le 8 f vrier dernier directeur de l Institut du patrimoine de l UQAM cr
6. suppose une pleine compr hension de la valeur patrimoniale et des caract ristiques du lieu Celles ci sont le plus souvent synth tis es dans un nonc de valeur patrimoniale ou nonc d importance qui exprime un consensus quant leur signification Cette information de base tay e par les recherches historiques et les analyses pertinentes sur le terrain doivent guider l ensemble des d marches subs quentes Vient ensuite le choix du type de traitement qui conviendra le mieux au respect de ces valeurs et aux objectifs du projet La pr servation s av re g n ralement le premier traitement conseill mais ce choix d pend en grande partie de l tat du lieu La r habilitation est un traitement plus permissif car elle implique souvent des modifications et des ajouts en vue d accueillir une nouvelle fonction Elle permet des gestes contemporains compatibles avec la valeur patrimoniale du lieu et demeure le type de traitement le plus souvent retenu Plus rarement identifi e comme traitement principal la restauration est appropri e lorsque la mise en valeur d une p riode particuli re du b timent est justifiable Elle doit toutefois se baser sur une documentation pr cise et suffisante et reste souvent limit e certains l ments PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA LA VERRI RE DU CENTRE CDP CAPITAL GAGNANT CAT GORIE COUP DE COEUR DU JURY ARCHITECTE LE CONSORTIUM GAUTHIER DAOUST LESTAGE FAUCHER AUBERTIN B
7. AIE il est d montr que pour une fen tre ouvrante constituant le principal l ment de contr le passif il serait n cessaire d utiliser des dispositifs de contr le relativement complexes Certains chercheurs proposent plut t un syst me sp cialis d air ext rieur o les besoins en air frais et la charge de refroidissement chauffage seraient g r s ind pendamment L occupant aurait alors la libert et la responsabilit d ouvrir ou de fermer sa fen tre et de contr ler la temp rature l aide d un syst me de chauffage refroidissement sp cialis limitant du coup les investissements en contr les complexes LA TH ORIE DE L ADAPTATION Dans le domaine de la science du b timent il existe actuellement une tendance vers la reconnaissance de ce que l on appelle la th orie de l adaptation Cette th orie issue de nombreux relev s en milieu r el sugg re que les occupants auraient la capacit de s adapter des temp ratures int rieures plus lev es en fonction de la temp rature moyenne ext rieure la condition de pouvoir eux m mes contr ler leur environnement Une fen tre ouvrante offre alors une possibilit d adaptation comportementale L organisme ASHRAE r vise actuellement sa norme ASHRAE 55 pour y int grer la th orie de l adaptation ce qui augmenterait consid rablement la p riode d applicabilit de la ventilation naturelle estivale Cette th orie est cruciale pour le d veloppement d une architecture durab
8. BRIE LE BULLETIN D INFORMATION DE L ORDRE DES ARCHITECTES DU QU BEC AVRIL MAI 2005 VOLUME 16 NUM RO 1 EN DITORIAL LES MANIFESTATIONS DE LA MAESTRIA PLACE VILLE MARIE FAUT IL FAIRE UNE CROIX SUR LA PLACE VILLE MARIE NON AUX TRAVAUX ICONOCLASTES CE SYMBOLE ARCHITECTURAL DE LA M TROPOLE VALORISATION DE LA PROFESSION QU B COISE A CONSTITU L UN DES PLUS VASTES L COUTE ACTIVE UN PASSAGE OBLIG COMPLEXES DE BUREAUX AU MONDE L FIGURE L TAT DU MONDE ARCHITECTURAL AUJOURD HUI SUR LA LISTE DES LIEUX HISTORIQUES PRIX D EXCELLENCE 2004 2005 JUG S EN P RIL PAR LA FONDATION H RITAGE CANADA LES 32 PROJETS EN NOMINATION D COUVREZ LES AVANTAGES D UNE CONSTRUCTION MODULAIRE FABRIQU E EN USINE 6 LA LIBERT DE CONCEPTION Au del des contraintes usuelles de l architecture la construction modulaire en usine offre une tr s grande libert de conception LA QUALIT DE FABRICATION La construction se fait dans des conditions id ales avec des mat riaux et des ouvriers prot g s des caprices du climat douze mois par ann e avec des seuils de tol rances tr s lev s et un contr le de qualit impossible effectuer sur chantier LES CONOMIES D CHELLE La conception modulaire permet d utiliser des gabarits qui assurent constance et exactitude tout en r duisant les co ts Id al pour les ensembles d habitations r sidences pour personnes g es condominiums immeubles revenu
9. bec En effet ces exigences sont minimales visent principalement les personnes se d placant en fauteuil roulant et proposent un parcours diff rent de celui emprunt par l ensemble des usagers Pour r aliser une valuation compl te il est recommand de tenir compte des crit res suivants Sationnement emplacements r serv s dimensions signalisation Acc s au b timent quelle entr e est accessible entr e principale secondaire rep rable de la voie publique parcours jusqu l entr e accessible trottoir escalier rampe d acc s garde corps mains courantes signalisation Entr e accessible portes ext rieures et int rieures vestibule ouvre porte escalier rampe d acc s plateforme l vatrice parois vitr es Circulation int rieure organisation g n rale du b timent orientation et rep rage signalisation obstacles dans les corridors rev tements planchers murs escaliers rampes d acc s plateforme l vatrice ascenseurs parois vitr es objets en saillie S curit incendie issues nombre accessibles facilit rendre accessible protection des aires de plancher sans obstacles gicleurs ascenseur pompier etc syst me d alarme incendie visuelle Toilettes nombre emplacement ratio dimensions quipements de plomberie accessoires quipement et mobilier comptoirs de service mobilier vestiaires fontaines t l phones l ments sp cifiques cer
10. comit planifie aussi d organiser un tour des b timents verts de la r gion de Montr al incluant les deux qui sont d j cit s ici suivre LES COLES ET L OAQ SE PENCHENT SUR L EXAMEN DES EXAMENS Le pr sident de l OAQ Pierre Beaupr a invit les directeurs des trois coles d architecture du Qu bec participer aux r flexions d un groupe de travail mis en place par le Bureau de l Ordre au sujet des examens du NCARB Georges Adamczyk de l Universit de Montr al David Covo de l Universit McGill et milien Vachon de l Universit Laval se sont donc r unis le 8 d cembre dernier afin de discuter de la situation L objectif de la rencontre tait d changer sur les probl matiques inh rentes la formation en tenant compte des r les respectifs qui sont d volus aux coles et l OAQ Les d bats qui ont t francs et constructifs ont permis d aborder entre autres la question des stages et des examens donnant acc s la profession Les changes ont t si productifs que tous ont convenu de pr voir aussi r guli rement que possible d autres rencontres similaires au cours desquelles pourront s exprimer les pr occupations des universitaires quant la formation et celles de l OAQ quant au respect du mandat qui lui est confi par l Office des professions Au cours du mois de mars la Maison de la culture de C te des Neiges pr sentait les 60 projets du concours de l abbaye cistercienne
11. de Saint Jean de Matha pour les moines d Oka Si vous avez eu la chance d y faire un tour vous aurez constat l tonnant engagement certains parleraient de la g n rosit naive d une profession Cette manifestation r v lait ses visiteurs l image de la profession On y d celait toute la capacit de r flexion des architectes du Qu bec Ils n y figuraient videmment pas tous mais pr s de 300 collaborateurs architectes stagiaires architectes paysagistes et m me artistes et ing nieurs dans certains cas ont investi temps nergie et motions pour imaginer ce milieu de vie id al qu on leur sugg rait de cr er Le concours d architecture demeure sujet de controverse Pour certains ce n est qu un jeu de d s o se laissent entra ner les meilleurs les plus jeunes les plus fous par le mince espoir d une gloire ph m re Pour d autres il s agit d une occasion de r flexion et d changes dans un milieu o l isolement est trop fr quent Pour quelques lus enfin cela repr sente le lieu d closion de talents qui n auraient peut tre pas eu l occasion de se manifester autrement Il y a encore peu de concours au Qu bec Pourtant plusieurs r ussites en d coulent de Pabos Ch teauguay par exemple Au moment o la commande publique s gare de plus en plus dans des exercices comptables courte vue l exemple des moines d Oka qui ont pris le temps de r fl chir ce que pourrait tre leur cadre de vie et
12. des int rieurs branch s Un ouvrage offrir un client d outremer que l on ne veut pas voir repartir 8 5 5 D l art pi rirre qu avec des clich s plein la t te Henri Dorion et Nathalie Roy Flammarion 223 pages ORAN 1117 PR SENTATION DE PROPOSITIONS A L ASSEMBL E G N RALE ANNUELLE Le membre qui d sire saisir l assembl e g n rale d une proposition d importance pour la profession doit en faire part au pr alable dans un avis de proposition qui d crit en quelques mots la question d battre Les propositions d ment recues sont par la suite inscrites au projet d ordre du jour communiqu aux membres dans l avis de convocation L article 1 08 du R glement sur les affaires du Bureau et les assembl es g n rales nonce en effet ce qui suit 1 08 Le Bureau porte l ordre du jour de l assembl e g n rale annuelle toute question d int r t commun pour la profession pr sent e par un membre sous forme d avis de proposition au moins cinq 5 semaines avant la date de l assembl e g n rale Comme cette ann e l assembl e g n rale se tiendra le vendredi 10 juin les avis de propositions devront tre re us par le soussign au plus tard le vendredi 6 mai 17 h Jean Pierre Dumont Secr taire de l Ordre PROGRAMME DE L EXAMEN D ADMISSION 2005 Le programme de l examen d admission 2005 sera bient t
13. deux firmes sont d sormais associ es Saucier Perrotte architectes et Desnoyers Mercure et associ s architectes constituent les happy few Phaidon 810 pages nome EU Fin Ll 1 EUIS monde Caroline et Martine Laffon HABITAT DU MONDE Montre moi ta maison je te dirai qui tu es Un tr s beau livre qui nous ram ne la mati re premi re et aux besoins qu ont toujours eu les hommes de se prot ger d changer de se fondre ou de se projeter dans le monde qui les entoure Un voyage dans les besoins quotidiens en montagne aux p les au Sahara en for t et ailleurs Habitat du monde Caroline et Martine Laffon ditions de la martini re 199 pages ORDINAIRE OU SUPER Laur at de la meilleure ceuvre canadienne au 22 festival international du film sur l Art Montr al 2004 ce documentaire propose un voyage initiatique la d couverte de l oeuvre de Mies Van der Rohe tout en pr sentant une r flexion sur l importance de la forme contre la fonction Un DVD sous titr en francais d une dur e d une heure On peut se le procurer en composant le 514 333 6611 poste 267 L ART DE VIVRE AU QU BEC Combien de livres ont t publi s pour s duire nos cousins francais en qu te de grands espaces d autochtones plumes et de cabanes au Canada En voici un qui s il n abandonne pas le cr neau du paysage onirique du Nouveau Monde a quand m me voulu exploiter le filon de l architecture moderne et
14. nombre d architectes entraine une plus grande valorisation critique et financi re ne s observe nulle part Le risque qu il y a tre moins nombreux c est celui d tre davantage marginalis mais cela tous les architectes qu b cois le savent d j Francois Dufaux Charg d enseignement Ecole d architecture Universit Laval dufauxQatelier15 com Prix d excellence en architecture NOVUS PARTENAIRE MAJEUR ASSOCI LA R ALISATION DU PROGRAMME DES PRIX D EXCELLENCE EN ARCHITECTURE PARTENAIRES ET COLLABORATEURS ASSOCI S LA PROMOTION DES FINALISTES AUX CONF RENCES ET AU VOTE POPULAIRE FINANCI RE MANUVIE HONEYWELL NYLON CANADA ZEFTRON LOTO QU BEC SICO TD MELOCHE MONNEX PARTENAIRES ET COLLABORATEURS ASSOCI S AU CHOIX DES ENFANTS SOPREMA CENTRE CANADIEN D ARCHITECTURE PARTENAIRES ASSOCI S AUX FESTIVIT S ENTOURANT L ANNONCE DES LAUR ATS AGORA ARMSTRONG DIVISION PLAFONDS ET PLANCHERS COMMERCIAUX BEAULIEU CANADA GROUPE SM JoLi COEUR LACASSE GEOFFRION JETT ST PIERRE AVOCATS TD MELOCHE MONNEX PARTENAIRES M DIAS ARQ ESQUISSES INT RIEURS LE DEVOIR Qu bec 53 Culture et communications Office des personnes handicap es LE CHOIX DES ENFANTS LE PROGRAMME SUIVRE Les d s sont jet s 32 projets en nomination En plus de jouer la grande s duction les projets soumis cette ann e aux Prix d excellence de l OAQ devaient faire preuve non seulement d
15. services afin d y vivre les m mes exp riences On r alise l accessibilit universelle en am nageant des b timents des lieux publics et des infrastructures urbaines qui r pondent aux besoins de l ensemble de la population y compris ceux des personnes ayant des limitations fonctionnelles Le gestionnaire d immeubles administre un nombre consid rable de b timents priv s ou publics Quotidiennement il doit prendre des d cisions qui auront forc ment des incidences sur le plan architectural Dans un objectif de planification il est souhaitable qu il ait un portrait d ensemble du rendement en accessibilit universelle des b timents qui sont sous sa responsabilit En fait il peut s av rer fort utile pour lui de conna tre les probl mes relatifs l accessibilit dans son parc immobilier Une telle valuation facilite la prise de d cision et permet entre autres de bien d finir et de prioriser les interventions de solutionner les probl mes lors de travaux de r novation de transformation ou d entretien et de statuer sur les conditions de renouvellement de baux pour les b timents lou s valuer le rendement d un parc immobilier en accessibilit universelle implique d analyser chacun des b timents en fonction des besoins des personnes ayant des limitations motrices visuelles auditives ou intellectuelles Les crit res utilis s doivent tre plus rigoureux que les exigences r glementaires du Code de construction du Qu
16. surtout d inviter les architectes le faire avec eux est remarquable Que tant d architectes s y soient engag s t moigne de leur confiance en une commande clair e qui voit dans l architecture un l ment essentiel au mieux tre de la soci t Pierre Beaupr architecte 1 Unouvrage intitul Un monast re contemporain Variations architecturales a t tir de ce concours On peut se le procurer en crivant info phd architecture com Addenda Dans mon dernier ditorial j ai soulign la parution de Vingt ans d int gration des arts l architecture et l environnement un ouvrage de Culture et Communication Qu bec la lecture d une entrevue publi e dans ce livre j ai crit que les architectes ont su collaborer avec l artiste pour cr er des quilibres d harmonie de tension ou m me de confrontation J ai omis les guillemets Rendons C sar ce qui est C sar La formule est de notre coll gue Paul Faucher ESQUISSES AVRIL MAI 2005 5 ACTUALIT S N 0 aux travaux iconoclastes JALON Apr s le r am nagement du mail int rieur de la Place Ville Marie l limination des courettes donnant sur son esplanade la transformation de cette esplanade en espace vert r siduel et les malheureux ajouts m venpickiens DETERMINANT du coin nord est c est aujourd hui sur le 5 Place Ville Marie que les r novateurs jettent leur d volu DANS NOTRE On sait que les panneaux de b ton qui habillent cet im
17. 0 6268 Multi Inspect T l 514 990 6268 www multi inspect com 1750 boul Marie Victorin bur 225 Longueuil Qu bec J4G 1A5 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 Express ment pour les membres de OAQ Couverture d assurance vie temporaire jusqu concurrence de million de dollars pour vous et votre conjoint En plus vous b n ficierez des avantages suivants sans frais additionnels Exon ration des primes d assurance vie temporaire si vous devenez totalement invalide Prestation anticip e SANS TAXES pouvant atteindre 50 76 de votre couverture d assurance vie temporaire jusqu un maximum de 100 000 si vous recevez un diagnostic de maladie en phase terminale Assurance invalidit de longue dur e de l OAQ jusqu a 6 000 de prestations mensuelles Assurance maladie compl mentaire et assurance dentaire de l OAQ Gr ce ce r gime vous prot gerez toute votre famille contre le co t lev des soins de sant qui ne sont pas couverts par le r gime d assurance maladie du Qu bec Le r gime d assurance m dicaments de l OAQ offre le pr cieux avantage suivant Carte ManuScript 3 vous pr sentez cette carte votre pharmacien la Financi re Manuvie lui payera directement le montant appropri vous n avez aucune couverture par l entremise de votre employeur ou de celui de votre conjoint la R gie de l assurance maladie du Qu bec exige que vous souscriviez une couverture d as
18. A VILLE SA R GION LE OU LES CLIENTS LE OU LES ARCHITECTES PROJETS INSTITUTIONNELS 1 CENTRE DE G NOMIQUE ET PROT OMIQUE DE MONTR AL UNIVERSIT MCGILL MONTR AL UNIVERSIT McGiLL LE CONSORTIUM KUWABARA PAvNE MCKENNA BLUMBERG ARCHITECTS FICHTEN SOIFERMAN ET ASSOCI S ARCHITECTES 2 PAVILLON JOSEPH ARMAND BOMBARDIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE DE MONTR AL UNIVERSIT DE MONTR AL MONTR AL COLE POLYTECHNIQUE DE MONTR AL UNIVERSIT DE MONTR AL LE CONSORTIUM PROVENCHER ROY ASSOCI S ARCHITECTES DESNOYERS MERCURE amp ASSOCI S ARCHITECTES MENK S SHOONER DAGENAIS ARCHITECTES 3 PERIMETER INSTITUTE WATERLOO ONTARIO PERIMETER INSTITUTE SAUCIER PERROTTE ARCHITECTES PROJETS CULTURELS 4 BIBLIOTH QUE MUNICIPALE DE CH TEAUGUAY CH TEAUGUAY MONT R GIE VILLE DE CH TEAUGUAY MANON ASSELIN ARCHITECTE ATELIER T A G JODOIN LAMARRE PRATTE ET ASSOCI S ARCHITECTES 5 L ANGLICANE DE L vis L vis CHAUDI RE APPALACHES VILLE DE L VIS DAN S HANGANU ARCHITECTES 6 H TEL DE VILLE DE BAIE SAINT PAUL BAIE SAINT PAUL QU BEC VILLE DE BAIE SAINT PAUL JEAN FORTIN MAIRE ANNE CARRIER ARCHITECTES PROJETS INDUSTRIELS 7 CENTRE DES TECHNOLOGIES DE L ALUMINIUM VILLE DE SAGUENAY SAGUENAY LAC ST JEAN CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES DU CANADA ARCHITECTES LAPOINTE VOYER LEMAY ET ASSOCI S INSTITUT DES NUTRACEUTIQUES ET DES ALIMENTS FONCTIONNELS QU BEC UNIVERSIT LAVAL LE
19. BLIC LES OPINIONS EXPRIM ES DANS ESQUIISSES NE SONT PAS N CESSAIREMENT CELLES DE L ORDRE LES PRODUITS M THODES ET SERVICES ANNONC S SOUS FORME PUBLICITAIRE DANS ESQUISSES NE SONT EN AUCUNE FA ON APPROUV S RECOMMAND S NI GARANTIS PAR L ORDRE DES ARCHITECTES DU QU BEC PERSONNEL DE L ORDRE POSTE COURRIEL SECR TAIRE AU STATUTAIRE LUCIE AUBIN 222 laubin oaq com SYNDIC LOUISE BARRETTE architecre 231 barrette oaq com ENQU TEUR CLAUDE BONNIER ancurrecre 232 chonnier oaq com DIRECTEUR DE L ADMINISTRATION DANIEL CHEVARIE ancurrecre 220 dchevarieGoaq com COMPTABILIT JEAN CLAUDE DUFOUR 230 jcdufour oaq com SECR TAIRE JEAN PIERRE DUMONT avocat 211 jpdumont oaq com REGISTRAIRE CAROLE GIARD NOTAIRE 251 cgiard oaq com SECR TAIRE L ADMISSION LYNDA GODIN 212 Igodin oaq com ADJOINTE LA FORMATION CONTINUE JEANNINE HAINEAULT 202 jhaineault oaq com RESPONSABLE DES COMMUNICATIONS PIERRE LACERTE 223 placerte8oaq com RESPONSABLE DE LA FORMATION CONTINUE CL MENCE LAROCHELLE CRHA 208 clarochelle8oaq com INSPECTEUR ALAIN LAFLEUR archirecre 224 alafleur oaq com R GISSEUR JEAN PIERRE MANF 200 ADJOINTE AUX COMMUNICATIONS LISE PELLERIN 233 lpellerin oaq com SECR TAIRE ADMINISTRATIVE NICOLE TREMBLAY 221 ntremblay oaq com R CEPTIONNISTE HAKIMA ZIDANI O hzidani oaq com PHOTO LOUISE LEBLANC Luc NOPPEN Jacques Plante est le premier architecte laur at de la Bourse de carri re d cern
20. CI S ING NIEUR EN STRUCTURE SAIA DESLAURIERS KADANOFF LECONTE BRISEBOIS BLAIS PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA R AM NAGEMENT DU ROND POINT DE L ACADIE GAGNANT CAT GORIE PROJETS INDUSTRIELS PONTS ARCHITECTE LEMAY ET ASSOCI S ING NIEUR EN STRUCTURE CONSORTIUM SNC LAVALIN DESSAU SOPRIN ESQUISSES AVRIL MAI 2005 21 22 R B Q 8109 7099 41 B timents d acier Plus que de l acier Pour sauver temps et argent les architectes utilisent de plus en plus les concepts de Design Construction de Finar qui leur offrent des constructions qui d passent les normes m STRUCTURES ET FONDATIONS R sidentiel commercial industriel Association des entrepreneurs en rev tement m tallique du Qu bec MAINTENANT DISPONIBLE PROGRAMME DE CERTIFICATION DE CONFORMIT e Assistance dans la conception des projets faisant usage de syst mes de rev tement m tallique Manuel technique complet avec d tails devis types et informations sur les produits connexes e V rification des mat riaux au chantier suivi d mission de rapports d inspection e mission de certificats de conformit CONCOURS Excellence en design utilisant le rev tement m tallique Informations Larry O Shaughnessy arch D G t l 450 434 1164 ou sans frais 1 877 434 1164 courriel infoGaermq qc ca ou visitez www aermq qc ca Multi Inspect Lotfi Guizani ing Ph D T l 514 99
21. CONSORTIUM C T CHABOT MOREL ARCHITECTES AMIOT BERGERON ARCHITECTES PHOTOGRAPHES MATHIEU MOREL YAN LAPLANTE 12 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 PROJETS D AM NAGEMENT INT RIEUR 9 ECOLE NATIONALE DE L HUMOUR RELOCALISATION MONTR AL ECOLE NATIONALE DE L HUMOUR LES ARCHITECTES FAUCHER AUBERTIN BRODEUR 10 H TEL GAULT MONTR AL H TEL GAULT TERRA INCOGNITA CONCEPTION ET EX CUTION YIACOUVAKIS HAMELIN ARCHITECTES YH2 EX CUTION FOURNIER GERSOVITZ Moss amp ASSOCI S PHOTOGRAPHE JOHANNE BIFFI 11 R NOVATION DE LA CUISINE D SOURDY BROMONT ESTRIE LE CONSORTIUM HAL INGBERG ARCHITECTE JAMES AITKEN ARCHITECTE PROJETS R SIDENTIELS 12 LE 6747 6759 RUE SAINT URBAIN MONTR AL HENRI C CLEINGE ARCHITECTE PHOTOGRAPHE DENIS FARLEY 13 G OM TRIE BLEUE H VRE AUX MAISONS LES DE LA MADELEINE Diane DECOSTE ET YVES B RIAULT YIACOUVAKIS HAMELIN ARCHITECTES YH2 14 LA MAISON DE LA C TE MINTON NORTH HATLEY ESTRIE STEVEN MARIEN AFFLECK DE LA RIVA ARCHITECTES 15 115 STUDIOS DU CIRQUE DU SOLEIL MONTR AL CIRQUE DU SOLEIL LES ARCHITECTES FAUCHER AUBERTIN BRODEUR GAUTHIER PROJETS DE DESIGN URBAIN 16 ESPLANADE FRONTENAC SHERBROOKE ESTRIE VILLE DE SHERBROOKE PETER SOLAND ARCHITECTE ATELIER URBAN SOLAND INC L9 PHOTO VILLE DE SHERBROOKE CHARNEY amp SOLAND 17 PLACE TOMLINSON UNIVERSIT MCGILL MONTR AL UNIVERSIT MCGILL MARO
22. Canada a tout r cemment adopt le document pour la gestion de ses biens immobiliers et s attachera promouvoir son utilisation Devant l int r t sans cesse croissant de la communaut et de la profession pour les lieux patrimoniaux comme l ments essentiels de notre identit de nos valeurs communes et de notre environnement de vie ce manuel s av rera certainement un outil indispensable aux architectes responsables de projets portant sur des b timents existants ou se d roulant dans un contexte historique Les Normes et lignes directrices sont disponibles sur le site de Parcs Canada www pc gc ca On peut aussi en commander un exemplaire imprim par courriel l adresse lieuxpatrimoniaux pc gc ca Christiane Lefebvre architecte sp cialis e en conservation est gestionnaire des Normes et lignes directrices pour la conservation des lieux patrimoniaux au sein du Programme des lieux patrimoniaux Direction g n rale des lieux historiques nationaux Eve Wertheimer dipl m e en architecture et en conservation travaille aux Services pour la conservation du patrimoine Travaux publics et Services gouvernementaux Canada E Tj i i 4 E ET ESQUISSES AVRIL MAI 2005 15 tournaient Pour la premi re fois au Qu bec un syst me de production d lectricit partir d nergie verte a t raccord au r seau de distribution d Hydro Qu bec C est l cocentre Rivi re d
23. NEL ET PR VOIR UNE SIGNALISATION PR CISE D S L ENTR E DANS LE B TIMENT L EMPLACEMENT DOIT TRE BIEN INDIQU L ENTR E PRINCIPALE ET AUX ENDROITS APPROPRI S L INT RIEUR ET L EXT RIEUR DU B TIMENT 2 Si ON AM NAGE UNE SALLE DE TOILETTES R SERV ES AUX PERSONNES HANDICAP ES LA SITUER PROXIMIT DES TOILETTES POUR TOUS Si UNE SEULE SALLE DE TOILETTES EST ACCESSIBLE DANS TOUT LE B TIMENT S ASSURER QUE SON EMPLACEMENT EST BIEN SIGNAL PROXIMIT DE TOUTES LES SALLES DE TOILETTES POUR TOUS Philippe Lupien explore l architecture r sidentielle au Qu bec NOUVEAUX PISODES DIMANCHE 12h30 er 18h30 D S LE 24 AVRIL L DES PASSIONN S LAT L tat du monde architectural DOSSIER LE NOMBRE D ARCHITECTES PAR HABITANT AU QU BEC ET AU CANADA SE COMPARE CELUI DE PAYS PLUS PAUVRES ET EN VOIE DE D VELOPPEMENT SERIONS NOUS UNE SOCI T RICHE AVEC UNE ARCHITECTURE PAUVRE La question surgit souvent lorsqu on veut tablir un lien entre les conditions conomiques de la pratique professionnelle de l architecture au Qu bec et le nombre d architectes Pr misse cardinale de l conomie lib rale le prix d coulerait du rapport entre l offre et la demande Devant les modestes revenus des architectes on est tent de conclure qu il y aurait trop de professionnels pour trop peu de travail Mais une question simple peut en cacher d autres Les architectes sont ils si nombr
24. RMEAUX MONTR AL WEST ISLAND COLLEGE FRANCOIS PAUL EMOND ARCHITECTE K M ARCHITECTURE PHOTOGRAPHE MICHEL BRUNELLE ESQUISSES AVRIL MAI 2005 13 CAPSULE EN PR VENTION R daction du devis Assurance de l entrepreneur Un sinistre r cemment signal au Fonds nous incite vous informer d un risque qui peut se pr senter couramment dans votre pratique Les architectes incluent fr quemment dans les conditions g n rales de leurs devis les couvertures d assurance que devra souscrire l entrepreneur g n ral pour la r alisation d un projet de construction Lors de l examen des soumissions les architectes peuvent avoir v rifier que les soumissionnaires disposent des garanties d assurance exig es pour la r alisation de l ouvrage tel que stipul dans le devis Ce service constitue une activit connexe la pratique de l architecture mais il ne doit pas s tendre l analyse et l interpr tation des documents d assurance fournis par l entrepreneur Cette derni re t che devrait tre effectu e pour le client par quelqu un qui a les qualifications requises D ailleurs la police du Fonds ne pourrait couvrir les sinistres r sultant d erreurs en interpr tation de contrats d assurance puisqu il s agit d une pratique autre que celle de l architecture et qu elle est par cons quent exclue de la police RECOMMANDATIONS Dans la r daction de son devis l architecte devrait s en tenir aux types de clauses d assurance que
25. RODEUR GAUTHIER LEMAY amp ASSOCI S ING NIEUR EN STRUCTURE ier LE CONSORTIUM PASQUIN ST JEAN SAIA DESLAURIERS KADANOFF LECONTE BRISEBOIS BLAIS 3 MF LE GROUPE S M ta L chaque type de traitement correspondent des normes 14 au total qui constituent des r gles fondamentales de conservation Les lignes directrices qui forment la plus grande partie du manuel offrent quant elles de judicieux conseils pour assurer le respect de la valeur patrimoniale du lieu et de ses l ments caract ristiques Elles sont regroup es selon les types de ressources et leurs composantes respectives on trouve par exemple dans la section portant sur les b timents des sous sections consacr es notamment aux fen tres la ma onnerie ext rieure et aux int rieurs Ces conseils judicieux sont eux m mes class s selon le type de traitement principal et pr sent s suivant une progression des interventions des moins intrusives celles qui requi rent plus de pr cautions L agence f d rale Parcs Canada a t parmi les premi res officiellement adopter les Normes et lignes directrices pour la conservation des lieux patrimoniaux au Canada Par ailleurs les Normes et lignes ont d j t adopt es par certains gouvernements provinciaux Elles sont galement appliqu es par plusieurs municipalit s et dans ce contexte forment la base de cadres r glementaires nouveaux ou existants La fondation H ritage
26. SI TROY ARCHITECTES JODOIN LAMARRE PRATTE ET ASSOCI S ARCHITECTES 18 QUARTIER INTERNATIONAL DE MONTR AL MONTR AL QIM QUARTIER INTERNATIONAL DE MONTR AL CONCEPTION DAOUST LESTAGE INC ARCHITECTURE DESIGN URBAIN R ALISATION LE CONSORTIUM DAOUST LESTAGE INC PROVENCHER ROY ASSOCI S ARCHITECTES PROJETS D ARCHITECTURE D V NEMENTS 19 V NEMENT D SERT INCIN RATEUR DES CARRI RES MONTR AL CHAMP LIBRE PAUL LAURENDEAU ARCHITECTE 20 LES JARDINS D HIVER PARC DES GRANDS JARDINS CHARLEVOIX QU BEC SEPAQ SOCI T DES TABLISSEMENTS DE PLEIN AIR DU QU BEC PIERRE THIBAULT ARCHITECTE PROJETS DE RECYCLAGE ET DE RECONVERSION 24 BIBLIOTH QUE DE TH OLOGIE DU COLL GE JEAN DE BR BEUF MONTR AL COLL GE JEAN DE BR BEUF EVO LE CONSORTIUM BEAUPR MICHAUD DUPUIS LETOURNEUX ARCHITECTES PHOTOGRAPHE MARC CRAMER 22 EDIFICE CONNOR CENTRE MULTISPORTS DE GATINEAU GATINEAU OUTAOUAIS VILLE DE GATINEAU C T LEAHY CARDAS ARCHITECTES 23 L ANCIENNE ALUMINERIE DE SHAWINIGAN SHAWINIGAN MAURICIE BOIS FRANC LA CIT DE L NERGIE INC CONCEPTION ET DESIGN LES ARCHITECTES DESNOYERS MERCURE amp ASSOCI S EX CUTION ET SUIVI DE CHANTIER MICHEL PELLERIN SYLVIE RAINVILLE ET REN E TREMBLAY ARCHITECTES 24 LOFTS REDPATH PHASE 1 MONTR AL COMPAGNIE IMMOBILI RE GUEYMARD amp ASSOCI S LT E CARDINAL HARDY ET ASSOCI S ARCHITECTES PHOTOGRAPHE VITTORIO VIERRA
27. UM SNC LAVALIN CIMA Un nouveau manuel pour la conservation des lieux patrimoniaux Les Normes et lignes directrices pour la conservation des lieux patrimoniaux au Canada constituent le premier manuel de conservation de port e pancanadienne avoir t concu pour guider le processus de d cision en mati re de conservation du patrimoine S inspirant de principes internationalement reconnus le document d finit une approche de conservation fond e sur la pr servation des valeurs associ es aux sites patrimoniaux Le manuel s inscrit dans le cadre plus vaste de l Initiative des endroits historiques le programme f d ral 1999 le plus ambitieux en mati re de conservation du patrimoine L Initiative comporte plusieurs autres volets concus pour encourager la valorisation du patrimoine tout en cr ant une culture de conservation au pays le R pertoire canadien des lieux patrimoniaux www lieuxpatrimoniaux ca le Fonds pour la conservation des propri t s patrimoniales commerciales www pc gc ca proprietescommerciales des ententes de contribution provinciales territoriales le d veloppement d une l gislation f d rale et la participation des autochtones par le biais de programmes leur permettant de prot ger et conserver leur patrimoine Le nouveau manuel tablit un ensemble de principes et de conseils pratiques visant orienter les prises de d cision en mati re de conservation du patrimoine Avant tout l utilisation du document
28. UN ENVOI POSTAL NB PRIX SUJETS CHANGEMENT SANS PR AVIS PAIEMENT CH QUE MANDAT POSTE LIBELL AU NOM DE L ORDRE DES ARCHITECTES DU QU BEC VISA MASTER CARD NUM RO DE LA CARTE DATE D EXPIRATION X SIGNATURE DATE TPS R107802969 TVQ 1006163269 RETOURNER OAQ MANUEL CANADIEN DE PRATIQUE DE L ARCHITECTURE L ATTENTION DE LISE PELLERIN 1825 BOUL REN L VESQUE OUEST MONTR AL H3H 1R4 VEUILLEZ PR VOIR UN D LAI DE QUATRE SIX SEMAINES POUR LA LIVRAISON PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA COLE NATIONALE DE CIRQUE GAGNANT EX AEQUO CAT GORIE PROJETS COMMERCIAUX INSTITUTIONNELS ARCHITECTE LAPOINTE MAGNE ET ASSOCI S ING NIEUR EN STRUCTURE DESSAU SOPRIN INC avt FF E c Pr ATH Fa 2 E F r PRIX D EXCELLENCE 2003 se x E de l Association des architectes paysagistes du Canada 22 Amt OGC ENSEETA 5 gt O0 ACHT GM ICOCILSE CUIESS PAY SA G WES H EE T RB A Ew RM lt 5 4496 Sainte Catherine ouest t 514 9892 2391 Pella Portes et Fen tres 9704 route Transcanadienne Saint Laurent Qu bec HAS 1V9 T l phone 514 331 1055 T l copieur 514 331 3751 www pella com LE REGARD DES CONNAISSEURS PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA VESTIBULE DE L URGENCE DE L H TEL DIEU DE MONTR AL MENTION HONORABLE CAT GORIE COUP DE COEUR DU JURY ARCHITECTE YELLE MAILL ARCHITECTES ASSO
29. UPPL MENTS NUM RO 1 ET 2 D J DISPONIBLES POUR VOUS LES PROCURER IL VOUS SUFFIT DE REMPLIR ET DE NOUS RETOURNER LE BON DE COMMANDE Le MANUEL CANADIEN DE PRATIQUE DE L ARCHITECTURE DE M ME QUE LES SUPPL MENT NUM RO 1 2 ET 3 ONT T R ALIS S DANS LE CADRE DU PROGRAMME NATIONAL D AIDE LA PRATIQUE DE LA PROFESSION D ARCHITECTE EN COLLABORATION AVEC LES ORDRES ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS DU CANADA ET L INSTITUT ROYAL D ARCHITECTURE DU CANADA LE FONDS D ASSURANCE DE LA RESPONSABILIT PROFESSIONNELLE DES ARCHITECTES A GALEMENT CONTRIBU FINANCI REMENT LA R ALISATION DE CE PROJET LE CO T DU MANUEL ET DES SUPPL MENTS A SENSIBLEMENT AUGMENT CETTE HAUSSE REFL TE UNIQUEMENT L AUGMENTATION DES CO TS D IMPRESSION DU MANUEL QU A D ASSUMER LE FOURNISSEUR DE L ORDRE DEPUIS LA PREMI RE IMPRESSION DU DOCUMENT EN 1999 BON DE COMMANDE IDENTIFICATION NOM BUREAU ADRESSE VILLE PROVINCE CODE POSTAL DOCUMENTS SUPPL MENT NO 3 27 00 4 00 TPS ET TVQ 31 00 FRAN AIS ANGLAIS SUPPL MENT NO 2 27 00 4 00 TPS ET TVQ 31 00 SUPPL MENT NO 1 21 00 3 15 TPS ET TVQ 24 15 MANUEL INCLUANT LES SUPPL MENTS NO 1 2 ET 3 307 00 46 13 TPS ET TVQ 353 13 AJOUTER 3 00 TAXES INCLUSES SI VOUS D SIREZ UN ENVOI POSTAL AJOUTER 2 00 TAXES INCLUSES SI VOUS D SIREZ UN ENVOI POSTAL AJOUTER 15 00 TAXES INCLUSES SI VOUS D SIREZ
30. a valorisation s est engag valider le plan d action avec les architectes qui ont assist aux rencontres r gionales ou communiqu avec lui Ces 2 750 architectes et plus de 700 stagiaires sont d j engag s dans un processus de valorisation aupr s des clients et du grand public S ils participent tous au processus de validation l OAQ b n ficiera de plus de 3 000 porte parole en mesure d influencer positivement leur entourage Le groupe de travail pense que cette implication des membres de l OAQ est le premier pas vers une r elle valorisation de la profession Pierre Cardinal associ chez Solo Communications Au nom du groupe de travail sur la valorisation de la profession compos de Maggy Apollon Pierre Lacerte Normand Pratte et Carole Scheffer Pierre Cardinal peut tre joint l adresse suivante pcardinal solocom ca ESQUISSES AVRIL MAI 2005 7 Accessibilit universelle et gestion immobili re Comment un tel concept g n ralement utilis dans les cas de nouvelles constructions peut il s appliquer la gestion immobili re Rappelons que l accessibilit universelle est avant tout un concept d am nagement il vise favoriser une utilisation similaire par l ensemble des usagers des possibilit s offertes par un b timent ou un lieu public En pratique l accessibilit universelle permet tous les usagers d un b timent ou d un lieu public d y acc der de s y orienter de s y d placer et d en utiliser les
31. ais comment expliquer alors la pr sence de l Argentine d Isra l ou de l Islande qui sont des pays neufs par l immigration et l conomie Le fait qu une soci t fasse vivre relativement plus d architectes ne semble donc pas tre une question de population de tradition s culaire ou de d veloppement r cent Les graphiques du nombre d architectes en Europe et dans les Am riques confirment par ailleurs que la taille du pays sa population et m me son produit national brut par habitant n indiquent rien sur l importance que la profession y rev t Les moyennes observ es au PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA PAVILLON DE LA TOHU LA CiT DES ARTS DU CIRQUE GAGNANT CAT GORIE B TIMENTS VERTS ARCHITECTE CONSORTIUM SCHEME CONSULTANTS JACQUES PLANTE ARCHITECTE JODOIN LAMARRE PRATTE ING NIEUR EN STRUCTURE MARTONI CYR ET ASSOCI S INC 10 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 Qu bec et au Canada sont en dessous de la moyenne continentale au Nouveau Monde La comparaison avec l Am rique latine est troublante y a trois fois plus d architectes en Argentine qu au Qu bec et une fois et demie plus au Mexique qu ici Serions nous un pays mergent Cette impression se confirme si l on multiplie les comparaisons population gale seuls Hong Kong la Slovaquie et la Bolivie ont des moyennes inf rieures celle du Qu bec Serions nous une soci t riche avec une architecture pauvre Bien s r de telles comparaisons ont leurs limites e
32. ans la d finition de cette ic ne des ann es 1960 Sobre min ral d une relative opacit cet immeuble fait cran l difice de la Sun Life et permet celui qui parcourt l esplanade de lire le JAMAIS PAR DES monument moderne comme un tout logique et int gre Bien qu il soit regrettable que le b timent ait t TRAVAUX DE surhauss de quatre tages en 1980 cette intervention mim tique n a pas d truit l int grit de l uvre e puisqu elle n en contredit nullement les caract ristiques essentielles sobri t min ralit modernit REFECTION A L UNE C est d ailleurs cet aspect qui veille certaines inqui tudes envers le projet pr sent Lors d une conf rence DE SES donn e au Centre Canadien d Architecture CCA en novembre dernier Henry Cobb a laiss voir une image du projet de r fection des fa ades qui lui a t confi Le projet propose le remplacement int gral de l enveloppe COMPOSANTES par un syst me de mur rideau dit transparent Depuis quoiqu une rencontre ait eu lieu entre l organisme Docomomo inquiet et la SITO confiante nous ne connaissons du projet que ce qu ont pu en apercevoir ceux qui assistaient la conf rence de Henry Cobb Personne n a pu entendre d argumentaire autre que celui que pr sentait Cobb sa conf rence ou que celui que livrait la SITQ Docomomo Si l information disponible est exacte ce face lift transformera ce symbole qu b cois des ann es 1960 encore relativement in
33. c est sur le bord du trottoir l intersection de l avenue du Mont Royal et de la rue Boyer que l architecte Hal Ingberg d m nagera une partie de ses installations Mais n ayez crainte s il se retrouve ainsi la rue ce n est pas suite une quelconque d convenue Au contraire L architecte du Plateau Mont Royal a plut t remport le concours d interventions intitul Paysages ph m res lanc en mai 2004 par la Soci t de gestion culturelle L installation de Hal Ingberg baptis e Dirty Magic incorporera deux cabines t l phoniques et un pin incongru le tout emball d une membrane de verre dor d un motif m tallique de nid d abeille L uvre tait l une des 18 propositions soumises au concours et retenue par un jury compos d architectes d artistes d universitaires et de repr sentants d organismes culturels Huit autres propositions finalistes seront expos es au cours de la saison estivale sur l avenue du Mont Royal Pour plus de d tails sur le concours visiter les sites www mont royal net et www phd architecture com FAITES L APRES GUERRE PAS LE BOUM Le 8 mai prochain 60 ans pile apr s le jour de la Victoire en Europe le nouveau Mus e canadien de la guerre sera inaugur sur la rive sud de la rivi re des Outaouais Concu par Moriyama amp Teshima Architects de Toronto et Griffiths Rankin Cook d Ottawa le mus e deviendra l un des plus importants au pays et para t il l un des tablissements du genr
34. e parmi les mieux cot s dans le monde Le th me de la r g n ration qui fait suite la d vastation caus e par les conflits a t exploit par les architectes Ils ont voulu fondre l difice dans le paysage gr ce son toit en pente douce qui est recouvert d une v g tation dont le relief voque par endroits celui tourment des champs de bataille www museedelaguerre ca 4 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 E a Li e x d x Tue p gt DS CHE e LE ir E dead lt j CENT I o LS LE p ti L INCORPORATION DES BUREAUX D ARCHITECTES L ORDRE ATTEND UNE R PONSE DE L OFFICE DES PROFESSIONS Dans l dition de septembre octobre 2004 d Esquisses nous annoncions que l Ordre tait mettre la touche finale au projet de R glement sur l exercice de la profession d architecte en soci t et que ce projet tant attendu ferait l objet d une consultation des membres de l Ordre l automne 2004 Or il appert que nous avons t un peu trop optimistes Tel que pr vu le projet de r glement a t modifi par l Ordre puis transmis l Office des professions pour approbation Comme les changements apport s touchaient essentiellement des questions de forme l Ordre esp rait une approbation pour la fin de l automne au plus tard Or le dossier est toujours l tude aux bureaux de l Off
35. e cr ativit et d efficacit mais aussi d une bonne dose d audace pour arriver conqu rir les membres du jury Lors d une soir e organis e au Centre Canadien d Architecture le 28 janvier dernier la pr sidente du jury l architecte et urbaniste fran aise Odile Decq pr cisait Les architectes devraient r sister davantage aux commandes conservatrices des donneurs d ouvrage et inciter les clients ne pas craindre d innover pour se diff rencier Voil qui est indicateur de l tat d esprit des jur s qui en plus de s lectionner 32 finalistes parmi les 119 projets soumis ont dress le profil du travail des architectes qu b cois au cours des deux derni res ann es Les trois jurys qui comportait 11 membres au total taient compos s d architectes de professeurs et de chercheurs ainsi que de sp cialistes en accessibilit universelle en d veloppement durable et en conservation du patrimoine Commen ons par les projets institutionnels Ici la porte tait ouverte l innovation et l audace C tait particulierement le cas des projets effectu es pour les universit s ou les instituts vou s la recherche et au d veloppement Dans ce domaine les chercheurs semblaient dispos s troquer leur sarrau pour le Skateboard Les projets culturels quant eux affichent une mixit int ressante un croisement entre les lieux de rencontre et de rituels Ces programmes qui r sultent de concours lanc s par les villes se s
36. e nouvelles pratiques Martin Houde architecte pr sident du Comit r gional de l Ordre des architectes du Qu bec CROAQ D POUSSI REZ VOS B TONS M me si cela para t encore tr s loin l t viendra un jour ou l autre Nous vous avisons donc que si la tendance se maintient le prochain tournoi de golf se tiendra le 14 juillet prochain Les d tails vous seront communiqu s sous peu par les architectes Martin Houde Serge L pine et Jean Yves Richard PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA MAGASIN MOUNTAIN EQUIPMENT COOP DE MONTR AL MENTION HONORABLE CAT GORIE B TIMENTS VERTS ARCHITECTE CONSORTIUM MTF ARCHITECTES STUDIO MMA Lyse M TREMBLAY ARCHITECTE DUSCHENES amp FISH ARCHITECTES ING NIEUR EN STRUCTURE SAIA DESLAURIERS KADANOFF LECONTE BRISEBOIS BLAIS ESQUISSES AVRIL MAI 2005 19 LE MANUEL CANADIEN DE PRATIQUE DE L ARCHITECTURE Un nouveau suppl ment Si VOUS L AVEZ SOUS LA MAIN DEPUIS UN CERTAIN TEMPS VOUS SAVEZ QUEL POINT LE MANUEL CANADIEN DE PRATIQUE DE L ARCHITECTURE EST UTILE TRUFF DE RENSEIGNEMENTS PERTINENTS IL PEUT TOUT AUSSI BIEN VOUS AIDER ADMINISTRER VOTRE BUREAU QUE VOUS FOURNIR DE L INFORMATION SUR LA PRATIQUE DE L ARCHITECTURE DANS LE CADRE DES ACCORDS DE R CIPROCIT PARCE QUE LE MONDE ET LES TEMPS CHANGENT IL FAUT S ASSURER QUE L INFORMATION DEMEURE JOUR VOIL POURQUOI VOUS DEVRIEZ VEILLER PROCURER TOUS LES AJOUTS LE SUPPL MENT NUM RO 3 VIENT TOUT JUSTE DE S AJOUTER AUX S
37. e rev tement interm diaire Cette tude sera disponible l automne 2005 16 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 ENVIRONNEMENT La ventilation Natu rel le dans le contexte climatique qu b cois Plusieurs tudes r centes montrent qu il y a diminution des cas de syndrome du b timent malade dans les b timents poss dant des fen tres ouvrantes La ventilation naturelle que nous d finirons ici comme l acc s une fen tre ouvrante constitue une excellente strat gie bioclimatique pour maintenir la qualit de l air int rieur QAI et contr ler les surchauffes Pourtant dans un climat comme le n tre o dominent les besoins de chauffage son applicabilit est souvent remise en cause pour des raisons d ordre technique des questions relatives au confort des occupants ou encore au nom de l efficacit nerg tique CONTEXTE HISTORIQUE La science de la pr diction du confort thermique et le d veloppement rapide de l industrie de la m canisation du b timent au 20 si cle ont affranchi l architecte des consid rations bioclimatiques Les corps de logis sont devenus troits et la densit des b timents de plus en plus grande ce qui a r duit la possibilit pour l occupant d exploiter de mani re passive l environnement ext rieur La crise nerg tique des ann es 1970 a ensuite favoris l optimisation du rapport volume enveloppe pour des raisons d conomie d nergie Plusieurs tudes r centes d montrent pourtant
38. e sacr de l architecture Plus qu un livre c est un coffre aux tr sors o l on d couvre de nombreux fac simil s de manuscrits brochures affiches croquis et un CD contenant des enregistrements d entrevues Un concept d autant plus pr cieux qu il est rare Frank Lloyd Wright archives Margo Stipe ditions du Seuil 96 pages Ancuivec FM HI MESS Sy 1 LE pet ES LAS 1 ES Se MARGO STIPE j E MA qm VAA The Wood Design Awards 2004 Woop DESIGN AWARDS Book 2004 Publi pour la premi re fois en toutes couleurs l dition 2004 pr sente 12 projets r sidentiels et non r sidentiels l aide de textes courts de nombreuses photographies ainsi que certains dessins de d tail illustrant la mani re dont chacun des projets a t con u et ex cut On peut se procurer cet ouvrage de 112 pages par le truchement du site Internet www woodmags com ou en composant le num ro sans frais 1 800 520 6281 18 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 THE PHAIDON ATLAS OF CONTEMPORARY WORLD ARCHITECTURE En architecture on qualifierait cet ouvrage de monumental Un volume gigantesque tant par ses dimensions que par son contenu Plus de 7000 photographies magnifiques illustrant au del de 1000 b timents construits depuis 1998 dans pas moins de 75 pays Pour faire honneur au Qu bec les firmes Menk s Shooner Dagenais architectes Dupuis Letourneux architectes ces
39. er dernier nos dix jeunes passionn s d architecture de l cole Nouvelle Querbes ont analys les 32 projets finalistes Pendant six heures ils se sont volontiers plong s dans les dossiers et se sont exprim s sans se faire prier Lors du d voilement des laur ats ils expliqueront leur cheminement La marraine du Choix des enfants l animatrice de radio Val rie Letarte 275 allo et Ados radio a assist aux activit s de formation ainsi qu aux d lib rations de ces nouveaux passionn s d archi Le 30 ao t prochain 11 projets seront proclam s grands gagnants sans oublier le Prix du public et le Choix des enfants D ici l du avril au 31 juillet toute la population sera invit e voter en ligne pour son coup de coeur sur le site www oaq com Tous les projets en nomination feront d ailleurs l objet de pr sentations publiques anim es par les architectes concepteurs le 7 avril 18 h au Centre Canadien d Architecture Montr al et le 21 avril 19 h l cole d Architecture de l Universit Laval Qu bec L entr e est libre mais faut r server en s inscrivant sur le site de l Ordre dans la section des Prix d excellence 2004 2005 Encore f licitations aux finalistes Sylvie Champeau consultante Coordonnatrice du programme des Prix d excellence LES RENSEIGNEMENTS CONTENUS DANS CE DOCUMENT D ACCOMPAGNEMENT SUIVENT L ORDRE DE PR SENTATION SUIVANT LA CAT GORIE LE NOM DU PROJET FINALISTE S
40. es Prairies qui en 2003 est devenu le premier autoproducteur qu b cois d lectricit Les cocentres de Montr al sont des centres de r cup ration de mati res recyclables Depuis le d but de leurs activit s en 1997 ces centres ont permis de d tourner de l enfouissement des quantit s importantes de d chets et notamment des tonnes de d chets de construction r novation et d molition CRD provenant du secteur r sidentiel Le succ s des six cocentres de la Ville de Montr al on pr voit en construire bient t six autres s explique la fois par l int r t des Montr alais pour le recyclage et par le concept et l am nagement de ces centres qui sont bien int gr s leur environnement Les cocentres comprennent normalement un pavillon d accueil une rampe sur lev e qui permet aux citoyens de d poser les mati res dans des conteneurs un entrep t de r emploi et un abri pour recueillir les r sidus domestiques dangereux RDD La mission des cocentres pr voit l emploi de technologies environnementales durables et la sensibilisation des citoyens aux questions environnementales L cocentre de la Petite Patrie par exemple a install du mobilier en plastique recycl fabriqu par une entreprise locale L cocentre de Rivi re des Prairies s est donn comme objectif de faire la d monstration d un concept d alimentation d nergie innovateur L cocentre est aliment partiellement par l nergie solaire et ol
41. etc LE TEMPS C EST DE L ARGENT Les fondations et le terrassement peuvent commencer en m me temps que le corps du b timent On fait en quelques jours ce qui prendrait des mois sur un chantier Les modules sont livr s par fardiers et assembl s en un temps record LA RESPONSABILIT PROFESSIONNELLE Surveillance en usine par l architecte la responsabilit professionnelle est prot g e et appuy e par le manufacturier La surveillance de construction est tr s court e ET POUR PLUS D INFORMATION Nous serons heureux de vous rencontrer pour vous faire la d monstration de TOUS les avantages de notre proc d et vous conseiller sur les facons d en tirer profit p Les Industries Bonneville A 601 de l Industrie IS Beloeil Qu bec J3G 455 PARTENAIRE T l 450 464 1001 poste 251 les industries Fax 450 536 3360 B N N EV L L E Courriel commercial bonneville qc ca 3 Ih Web www bonnevillehomes com ESQUISSES OAQ COM RESPONSABLE DU BULLETIN PIERRE LACERTE R VISION CHRISTINE DUFRESNE INFOGRAPHIE LINDA THERRIAULT D POT L GAL BIBLIOTH QUE NATIONALE DU QU BEC BIBLIOTH QUE NATIONALE DU CANADA CE NUM RO EST TIR 3 900 EXEMPLAIRES ESQUISSES VISE INFORMER LES MEMBRES SUR LES CONDITIONS DE PRATIQUE DE LA PROFESSION D ARCHITECTE AU QU BEC ET SUR LES SERVICES DE L ORDRE FSQUISSES VISE GALEMENT CONTRIBUER L AVANCEMENT DE LA PROFESSION ET UNE PROTECTION ACCRUE DU PU
42. eux comparativement d autres professionnels Et qu en est il du nombre d architectes au Qu bec si l on tient compte de la population soit environ 2 750 professionnels pour 7 5 millions d habitants Le Coll ge des architectes de Catalogne COAC a publi en 2002 Architectural Practice around the World une tude effectu e pour le compte de l Union Internationale des architectes et portant sur 76 pays On y lit qu en 2002 on d nombrait 1 268 373 architectes dans le monde pour 4 7 milliards d habitants soit une moyenne internationale de 2 7 architectes pour 10 000 habitants videmment la distribution des architectes comme celle de la richesse varie consid rablement d un pays l autre et d un continent l autre L tude distingue cinq grandes r gions pour lesquelles on pr sente le nombre d architectes pour 10 000 habitants L Europe de l Ouest a la moyenne la plus lev e 9 et l Afrique la plus basse 1 Les Am riques du Nord au Sud pr sentent une moyenne interm diaire 5 avec toutefois de grandes variations continentales Le Canada 2 6 et le Qu bec 3 6 apparaissent ainsi comme des soci t s o les architectes sont relativement peu nombreux Le tableau des dix pays o l on trouve le plus grand nombre d architectes par habitant est surprenant Le Japon arrive bon premier avec 23 architectes pour 10 000 habitants Suivent l Italie et la Gr ce qui peuvent pr tendre un droit d ainesse depuis l Antiquit m
43. grande compr hension des comp tences professionnelles de l architecte l oppos de ces projets qui s inscrivent dans la dur e les mises en sc ne et manifestations architecturales temporaires ont fait l objet d une attention particuli re du jury Ses d lib rations ont men la cr ation d une nouvelle cat gorie consacr e l architecture d v nements Par leur nombre et leur qualit les projets de recyclage et reconversion constituent l une des cat gories les plus imposantes de ce concours On a nettement dans ce domaine d pass le stade des bonnes intentions pour faire place aux solutions cr atives ing nieuses efficaces En conservation et restauration les propri taires investisseurs priv s organismes but non lucratif et municipalit s n ont pas l sin sur la qualit pour r habiliter des b timents qui franchissent le mur du temps Les finalistes au prix Marcel Parizeau d montrent quant eux qu il est possible de faire de la bonne architecture m me avec des budgets restreints Un prix qui balaye les pr jug s sur le prix Pour ce qui est des mentions en accessibilit universelle le jury sp cialis a constat une certaine volution dans le travail et les attitudes des architectes Par ailleurs la mention en d veloppement durable instaur e en 2003 prend d j de l importance si bien qu un prix d excellence en architecture et d veloppement durable pourrait bien voir le jour en 2007 Le 2 f vri
44. ice Nous esp rons toujours un d nouement dans les prochaines semaines mais comme le dossier n est pas entre nos mains il nous est difficile de d terminer un ch ancier pr cis La situation n est pas non plus particuli re notre ordre Au moins une dizaine d ordres attendent eux aussi une approbation de l Office ou du gouvernement Jean Pierre Dumont Secr taire de l Ordre LES BONNES RETOMB ES DE KYOTO Le Protocole de Kyoto a pris effet le 16 f vrier 2005 La conception et la construction de nos b timents ont des cons quences importantes sur nos efforts pour diminuer les gaz effet de serre Le r le de l architecte dans ces d marches est incontournable Oui il y a encore beaucoup de chemin parcourir mais nous avons aussi de tr s belles r ussites faire conna tre en guise d encouragement et d inspiration pour l avenir Deux difices qu b cois figurent parmi les trois projets choisis pour repr senter le Canada lors la conf rence mondiale sur les b timents durables qui aura lieu en septembre 2005 Tokyo s agit des projets Mountain Equipment Co op Mamfredis Miners architectes Lyse M Tremblay architecte et Duschenes amp Fish architectes et TOHU Sch me Consultants Jacques Plante architecte et Jodoin Lamarre Pratte et associ s Le Comit des techniques et b timents durables de l Ordre fait la promotion de l architecture durable travers ses activit s incluant les conf rences des Mardis Verts Le
45. ici les principales PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA AGRANDISSEMENT DU COLL GE NOTRE DAME DE LOURDES MENTION HONORABLE CAT GORIE PROJETS COMMERCIAUX INSTITUTIONNELS ARCHITECTE LEMIEUX amp SMITH VIGEANT ARCHITECTES ING NIEUR EN STRUCTURE NICOLET CHARTRAND KNOLL LT E VALORISATION DE LA PROFESSION un passage oblig IMPORTANCE DE BRISER L ISOLEMENT DES ARCHITECTES Les architectes qu ils soient en pratique priv e ou l emploi d un donneur d ouvrage se sentent souvent isol s Les stagiaires se sentent aussi mis part Les participants aux rencontres ont t unanimes le fait de se rassembler permet d changer des points de vue et d avancer des l ments de solution Au del de la comp tition les architectes se sentent tous galement concern s par de nombreux enjeux tant globaux que r gionaux IMPORTANCE DE LA FORMATION Les r sultats de l enqu te ont permis plusieurs architectes de prendre conscience du fait qu ils ne poss dent pas tous les atouts pour affronter la r alit du march Certaines lacunes ont clairement t mentionn es non pas sur les aspects techniques de la profession mais plut t sur des habilet s telles que la gestion la communication et le marketing VOLUTION DES SERVICES OFFERTS La majorit des architectes s entendent pour dire qu ils peuvent am liorer les services offerts leurs clients Ce constat s applique autant la valorisation de services dont l importance es
46. ienne Lorsque la production exc de les besoins l nergie exc dentaire est redirig e vers le r seau d Hydro Qu bec ce qui a pour effet de faire tourner le compteur d lectricit en sens inverse En principe le centre devrait voir sa facture nerg tique diminuer toutefois bien qu Hydro Qu bec ait accept de recevoir et de mesurer l nergie suppl mentaire produite elle n accepte toujours pas la facturation invers e Le syst me solaire install comprend 24 capteurs photovoltaiques d une valeur d environ 4 000 dollars qui produisent un total de 1 5 kW Une olienne de 1 kW qui a co t environ 3 000 dollars a t mont e sur une tour de 12 m tres qui elle a co t 6 000 dollars L lectricit totale produite ne suffit pas rendre l cocentre autonome mais la visibilit de ce projet pilote met en relief la complexit de l interconnexion au r seau d Hydro Qu bec MISE EN GARDE Et si les compteurs d Hydro DOSSIER Aux co ts de l quipement s ajoutent les frais impos s par Hydro Qu bec pour tudier et int grer la centrale de l cocentre son r seau soit 2 000 dollars pour le protocole d tude et 1 000 dollars pour le protocole de mise en service un prix d amis par rapport au co t habituel de 5 000 dollars Pour le moment le co t de production d une centrale autonome d nergie verte comme celui de l cocentre Rivi re des Prairies estim environ 11 cents le kWh ne peu
47. ituent au c ur de paysages sensibles Dans le secteur de la production industrielle ce sont les grandes boites de distribution et les centres de traitement semi industriels qui dominent En mati re de b timents commerciaux il semble qu une bonne part de l architecture soit assujettie la domination de la marque Les petits commerces en revanche s affirment comme un terrain d exp rimentation fertile pour les architectes Des programmes mixtes combinant fonction quipements de services et infrastructure publique ouvrent la voie une architecture de grand caract re Les membres du jury se sont pench s avec enthousiasme sur les projets soumis dans la nouvelle cat gorie des am nagements int rieurs int gr e pour la premi re fois au programme des Prix d excellence En effet l int rieur s est av r un lieu d expression stimulant pour plusieurs jeunes architectes qui ont propos des interventions la fois os es et harmonieuses Le secteur r sidentiel r v le de nouvelles fa ons d utiliser les parcelles urbaines et rurales La facture contemporaine se traduit entre autres par l abondance de textures et de mat riaux L accent est mis sur les vues ext rieures pour dynamiser ou apaiser l int rieur Les projets de design urbain soumis au concours faisaient tous preuve d une dimension po tique et artistique Ici encore l exp rimentation architecturale tait l honneur Les projets t moignent d un nouvel accueil et d une plus
48. ivi res 18 Saguenay 12 Sherbrooke 17 Gatineau 33 Qu bec 21 Chambly 13 Laval et 80 Montr al Deux mille invitations participer ces rencontres ont t envoy es par courriel et par t l copieur aux architectes et stagiaires sans compter que des rappels t l phoniques ont t effectu s aupr s de chaque personne s tant inscrite Gr ce ce suivi le groupe de travail sur la valorisation de la profession a pu r colter un taux de participation de 10 208 participants pour 2 000 personnes jointes ce qui d passe les normes pour ce genre d v nement Par ailleurs plusieurs architectes qui n ont pu assister aux rencontres ont pris la peine de communiquer avec le groupe pour se renseigner au sujet de la d marche obtenir de l information et proposer leur aide pour l laboration des prochaines tapes de cette campagne Bon nombre d architectes ont t surpris par les r sultats de l enqu te et les conclusions qu on peut en tirer Malgr tout la grande majorit s est ralli e tr s rapidement au fait que la valorisation de la profession passera d abord et avant tout par une am lioration des relations entre les architectes et leurs clients Une meilleure coute et une plus grande compr hension des besoins des clients ressortent clairement comme les l ments am liorer Les discussions qui ont eu lieu au cours des rencontres ont aussi abord un grand nombre de pistes de solution dont vo
49. l on trouve dans le Contrat forfait du CCDC CCDC 2 ou dans le Devis directeur national DDN et s abstenir de recommander d autres clauses Si la nature d un projet demande que l entrepreneur souscrive des assurances sp ciales l architecte devrait r f rer le client un expert en assurances pour les d terminer est aussi fortement recommand de pr ciser dans le devis que les entrepreneurs devront joindre leur soumission un certificat d assurance d signant les garanties souscrites ainsi que l attestation d un courtier ou d un assureur confirmant que ces garanties sont conformes aux exigences du devis D autre part nous avons v rifi les polices de quatre assureurs qui sont des fournisseurs fr quents d assurance exc dentaire aux architectes et ces polices contiennent une exclusion plus restrictive encore que celle de la police du Fonds et qui exclue m me l aspect cautionnement Nous conseillons donc aux architectes qui ont souscrit un contrat d assurance exc dentaire de demander leur assureur d harmoniser cette exclusion avec celle du Fonds Cette capsule en pr vention est bas e sur une opinion juridique obtenue par le Fonds sur le sujet Architecte mode d emploi Si certains de vos clients vous percoivent comme tant de simples concepteurs de plans vous devriez les inviter aller faire un tour sur le site Web de l Ordre Ce serait leur rendre un grand service sans parler de ce que a pourrait vous rappor
50. le car pour la premi re fois elle propose que l occupant ne demeure pas un simple observateur de l environnement int rieur mais qu il en devienne un acteur consid r capable de g rer de mani re responsable et efficace son environnement thermique pourvu qu on lui en donne la possibilit En ce sens elle constitue un pas important vers une nouvelle humanisation du b timent ce qui commande toutefois une prise de position id ologique de la part des concepteurs et des demandeurs d ouvrage Andr Potvin MArch PhD MOAQ Claude MH Demers MArch PhD Arch MOAQ GRAP Groupe de recherche en ambiances physiques cole d architecture Universit Laval 1 D Bourgeois A Potvin et F Haghighat Hybrid ventilation of Canadian non domestic buildings A procedure for assessing IAQ comfort and energy conservation tats de ROOMVENT 2000 7th International Conference on Air Distributions in Rooms Reading R U 2000 Voir galement H Boivin La ventilation naturelle des b timents gt D veloppement d un outil de validation des concepts architecturaux cole d architecture de l Universit Laval m moire de maitrise en cours de r daction ENTION HONORABLE CATEGORIE JEUNES ARCHITECTES INGENIEUR JEUNE ING NIEUR S BASTIEN CINQ MARS ING JENIVAR GROUPE CONSEIL INC ECTURES FRANK LLOYD WRIGHT ARCHIVES Voici une uvre qui m le les aspects personnels et professionnels de l extraordinaire vie d un monstr
51. les politiques mises en place par les diff rents paliers de gouvernement ne seront pas plus fermes relativement la protection de ce qui sera vieux dans 30 ans il sera impossible pour nous de transmettre aux g n rations futures la compr hension de ces lieux o nous avons grandi M TUER OM n Le1 mars 2005 par Pierre Corriveau architecte 6 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 E l coute active DE LA FIN DE NOVEMBRE 2004 AU D BUT DE F VRIER 2005 TOUS LES ARCHITECTES INT RESS S PAR LA VALORISATION DE LA PROFESSION ONT PU S EXPRIMER LIBREMENT SUR LA NOTION D COUTE ET SUR L IMPORTANCE DE LA RELATION ENTRE L ARCHITECTE ET SON CLIENT Dans le dernier num ro d Esquisses nous vous faisions part de la volont de l Ordre des architectes du Qu bec d effectuer une s rie de rencontres avec ses membres lors d une tourn e r gionale s agissait de pr senter les r sultats de l enqu te sur la valorisation men e en juin 2004 aupr s des clients et des architectes et de discuter des conclusions de l enqu te et des enjeux du plan de valorisation La fameuse tourn e s est termin e Montr al le 2 f vrier dernier Elle a donn lieu neuf rencontres qui ont rassembl pas moins de 208 architectes et stagiaires dans huit r gions du Qu bec Afin de vous donner une id e plus pr cise de la participation des architectes rappelons que 14 architectes et stagiaires se sont manifest s Trois R
52. meuble pr sentent des probl mes majeurs De concert avec Henry N Cobb architecte de la firme Pei Cobb Freed and Partners les maitres d oeuvre d origine de la Place COURTE HISTOIRE Ville Marie la SITQ projette de remplacer ou de recouvrir l enveloppe de b ton pr fabriqu par un mur rideau DE L ARCHITECTURE Pour comprendre l ampleur de cette transformation et son impact appr hend il est bon de rappeler l importance qu occupent la Place Ville Marie et ses composantes dans l imaginaire collectif qu b cois Embl me ET ICONE de la modernit Montr al et point de d part de son r seau souterrain construite en m me temps que se MONTR ALAISE DE d finissait l id e de nation qu b coise la Place Ville Marie appartient la m moire collective Elle est un 2 symbole de notre capacit de faire Elle est une pierre angulaire de notre courte histoire de l architecture LA MODERNITE marqu e jamais du sceau de la modernit LA Concu comme un tout coh rent l ensemble architectural de la Place Ville Marie a subi au cours de ses 25 premi res ann es des transformations mineures qui respectaient le caract re original de l uvre une base PLACE VILLE MARIE min rale incluant l esplanade originalement pav e et les b timents qui l entourent d o merge une tour l g re RISQUE D TRE La particularit du 5 Place Ville Marie est sa parfaite ad quation au concept initial du complexe et D NATUR E l importance qu il prend d
53. ne fois les probl mes cern s il est possible de d terminer les travaux n cessaires pour am liorer le rendement en accessibilit universelle des b timents existants et d int grer les l ments du rapport au fur et mesure selon l ordre prioritaire l occasion de travaux d entretien ou de r novation ou au moment de la planification de travaux majeurs Dans certains cas un b timent qui tait conforme aux exigences d accessibilit au moment de sa construction peut afficher un moins bon rendement quelques ann es plus tard les normes ayant volu L valuation qu il s agisse d un survol maison fond sur l exp rience du gestionnaire ou d une valuation confi e un sp cialiste demeure un outil pr cieux Elle rappelle au gestionnaire que toute intervention sur un b timent ou toute absence d intervention peut avoir des cons quences pour les usagers en particulier ceux qui ont des limitations fonctionnelles Sophie Lanct t directrice g n rale Soci t Logique DEUX EXEMPLES D ACCESSIBILIT UNIVERSELLE DANS UN B TIMENT EXISTANT T1 RENDRE ACCESSIBLE L ENTR E PRINCIPALE S CE N EST PAS POSSIBLE RENDRE ACCESSIBLE UNE ENTR E SECONDAIRE G N RALEMENT UTILIS E PAR LE PUBLIC Si CE N EST PAS POSSIBLE RENDRE ACCESSIBLE UNE ENTR E SECONDAIRE QUI SERA R SERV E AUX PERSONNES HANDICAP ES SI CETTE ENTR E DOIT DEMEURER VERROUILL E S ASSURER D UN SYST ME D OUVERTURE SONNETTE INTERPHONE FONCTION
54. nger si la R gie de l nergie d cidait en 2005 de permettre aux clients du secteur r sidentiel de vendre l exc dent de leur autoproduction au r seau tatique Pour le moment une premi re tape vient d tre franchie par l cocentre de Rivi re des Prairies y aurait Montr al 850 unit s d habitation dont 250 000 ont un acc s au toit De quoi faire r ver les cologistes Vouli Mamfredis architecte LEED AP Copr sidente du Comit Techniques et b timents durables UTILISATION D UN REV TEMENT INTERM DIAIRE FAIBLE PERM ANCE Le Comit Techniques et b timents durables d sire attirer l attention des architectes sur l utilisation de panneaux de rev tement interm diaire faible perm ance du c t ext rieur d une enveloppe Lorsqu un tel panneau est situ un endroit o la temp rature se situe sous le point de ros e il agit comme un second pare vapeur et l humidit peut s y accumuler Lorsque ce panneau est un contreplaqu ou un panneau de copeaux orient s OSB l humidit captive favorise le risque de moisissures l int rieur de l enveloppe Ce risque est proportionnel au niveau d humidit int rieure et inversement proportionnel la qualit du pare vapeur du c t int rieur Cette situation est pr sent e et discut e l annexe A du Code de construction du Qu bec article A 9 25 1 2 Le Comit Techniques et b timents durables pr pare d ailleurs une tude sur les panneaux d
55. on des lois provinciales notre programme d assurance auto n est pas offert en Colombie Britannique au Manitoba et en Saskatchewan Le programme d assurances habitation et auto est souscrit par S curit Nationale compagnie d assurance Aucun achat requis Le concours est ouvert aux r sidants du Canada ayant atteint l ge de la majorit dans leur lieu de r sidence La valeur approximative du prix est de 64 500 Le concours est en vigueur du 1 janvier au 31 d cembre 2005 Avant d tre d clar e gagnante la personne dont le nom aura t tir au sort devra r soudre correctement un probl me math matique Pour plus de d tails sur le concours vous pouvez consulter les r gles sur melochemonnex com oaq
56. r hension que cette transformation suscite Je crois que non Henry N Cobb justifie la 1117314986 proposition de modifier le principe du rev tement du 5 Place Ville Marie par le fait entre autres que l immeuble Te Mx 4 a d j t transform par l ajout de quatre tages et qu il ne respecte donc plus le concept d origine ce titre rt 274 on pourrait pr tendre qu il renie lui m me ses droits d auteur Comment en effet pr tendre tre l auteur d une pay 199 uvre dont on dit qu elle ne respecte pas nos intentions 558 La bonne foi d un propri taire est elle garante de la survie de notre patrimoine faut croire que non On ne peut certainement pas accuser la SITQ de laxisme Consciente de ses responsabilit s elle s est crue bien avis e de travailler avec le concepteur initial du projet pour en concevoir les modifications Je crois toutefois qu elle aura mal valu la port e de son geste erreur qui aurait probablement t corrig e dans un processus de consultation contr l Enfin sommes nous suffisamment vigilants en ce qui a trait la protection du patrimoine moderne Non L importance de prot ger le patrimoine construit fait consensus et la notion selon laquelle nous construisons aujourd hui le patrimoine de demain est largement accept e Mais l quation patrimoine modernit reste un r flexe naturel pour chacun et les uvres modernes tombent dans une zone grise en mati re de sympathie Tant que
57. surance m dicaments priv e comme celle qu offre le r gime d assurance maladie de l OAQ Pour obtenir plus de renseignements visitez le site web www manuvie com oaq ou appelez sans frais la Financi re Manuvie au 1 866 803 0870 du lundi au vendredi de 8 h au 20 h heure de l Est Vous pouvez galement envoyer un courriel am _service manuvie com en prenant soin d indiquer que vous tes membre de l OAQ R gime collectif parrain par ORDRE DES ARCHITECTES DU CHEBEC tabli par I Financi re Manuvie La Compagnie d Assurance Vie Manufacturers Une affinit pour le service Assurances habitation et auto pour les membres de Demandez une soumission et vous pourriez GAGNER un Coup cabriolet SLK350 Mercedes Benz Nos clients en assurances habitation et auto sont automatiquement inscrits D Meloche Monnex Assurance pour professionnels et dipl m s l Ordre des architectes du Qu bec titre de membre de l Ordre des architectes du Qu bec TD Meloche Monnex vous d roule le tapis rouge avec son service exceptionnel et ses tarifs de groupe avantageux pour vos assurances habitation et auto Profitez de votre statut privil gi d s aujourd hui Communiquez avec nous d s aujourd hui et profitez de tarifs de groupe avantageux 1 888 589 5656 8 4 tLes tarifs de groupe en assurance auto ne s appliquent pas aux provinces de Terre Neuve et de l le du Prince douard En rais
58. t gre en un amalgame h t roclite d interventions chacune associ e des courants architecturaux d poques diff rentes Les appels la mobilisation re oivent un accueil plut t ti de la notion de patrimoine moderne n tant pas encore accept e ou comprise Dans son projet de politique du patrimoine la Ville de Montr al identifie clairement l ensemble de la Place Ville Marie comme un porte tendard du mouvement moderne Elle se dit pourtant impuissante le sauver quoiqu elle ait r cemment mis en place des mesures pour prot ger les restants Le minist re de la Culture refuse de classer le tout ou ses parties Or la reconnaissance internationale de ce monument moderne ne suffit pas le pr server des modifications que chacun veut y apporter Le cas de la Place Ville Marie soul ve une s rie de questions auxquelles nous avons r pondre E Doit on s acharner sauvegarder une composante qu on peut trouver banale pour pr server l int grit d un US lt ensemble que tous reconnaissent comme tant exceptionnel Compte tenu de la valeur de la Place Ville Marie SU uu je crois fermement que oui Reconnaissons toutefois que le 5 seul s il avait t construit isol ment sur le SMS boulevard C te Vertu ne pr senterait pas le m me int r t Jf 4 415 39 e Les droits d auteur reconnus l architecte l autorisent ils modifier son uvre 45 ans plus tard sans tenir P t POMA V amp compte de l app
59. t concurrencer l lectricit offerte par Hydro Qu bec qui est vendue environ six cents le kWh Bien que beaucoup des environnementalistes croient que le co t minime de l hydro lectricit au Qu bec encourage le gaspillage il est vident que tous souhaitent voir le prix de l nergie verte diminuer L int r t pour l autoproduction augmentera s rement et les co ts diminueront le jour o Hydro Qu bec acceptera de payer ses clients leur surplus d lectricit Ceux qui choisissent de produire leur propre nergie verte pourraient rentabiliser leur investissement plus facilement avec le comptage rebours La facturation invers e n est pas nouvelle elle est populaire dans 40 tats am ricains au Japon en Allemagne et plus pr s de nous en Ontario o l on peut s enregistrer gr ce un simple formulaire accessible sur Internet L adoption d un syst me d centralis et de la facturation invers e pr senterait de nombreux avantages Elle encouragerait l utilisation des nergies vertes r duirait les risques de pannes en plus de soulager le r seau tatique tout en respectant notre engagement envers le protocole de Kyoto et en vitant les projets comme le Suro t n existe aucun frein technique l autoproduction au Qu bec c est plut t la volont politique qui manque pour la mettre en ceuvre Actuellement Hydro Qu bec ne permet pas qu on introduise de l lectricit dans son r seau Toutefois cela pourrait cha
60. t on pourrait invoquer la culture pour expliquer les carts internationaux cet gard on constate une solide proportion d architectes dans les pays scandinaves ainsi que dans ceux de tradition ib rique en Europe en Am rique et m me tonnamment en Asie les Philippines On remarque que les pays grande superficie les tats Unis la Russie la Chine et l Inde par exemple montrent des moyennes faibles comme si l tendue de ces territoires rendait moins pressantes les t ches d am nagement et de gestion des ressources Un dernier commentaire s impose sur l aspect culturel Lorsqu on compare les pays de l ancien Empire britannique on remarque que les moyennes sont g n ralement peu lev es dans leur contexte r gional respectif Ainsi les les britanniques 5 pr sentent une moyenne inf rieure l Europe de l ouest 9 et le Canada et les tats Unis 2 6 3 6 ont une moyenne inf rieure celle des Am riques 5 L importance relativement moindre accord e la profession d architecte serait elle un legs colonial britannique L Australie repr senterait alors une exception majeure sa moyenne 5 tant presque quivalente au double de la moyenne canadienne et pr s d une fois et demie la moyenne qu b coise Pourtant il s agit d un pays neuf d immigration britannique et multiethnique un pays de ressources naturelles avec beaucoup d espace et peu d habitants On y compte d ailleurs 16 coles d architecture po
61. t sous estim e qu au d veloppement de cr neaux de march plus sp cialis s ou encore la gestion de projet de la communication avec le client jusqu l art de vendre ses services en passant par la r mun ration D VELOPPEMENT D OUTILS Les architectes ont exprim le souhait d avoir acc s des outils qu ils pourront utiliser pour am liorer leur position concurrentielle et leur prestation de services Ce th me couvre un vaste ventail de possibilit s passant par la visibilit dans le march les communications interpersonnelles la gestion de projets etc PROCHAINES TAPES La tourn e r gionale constituait la premi re action visant valoriser la profession Le simple fait d avoir r uni 208 architectes et stagiaires et de les avoir amen s proposer des pistes de solutions et changer sur divers aspects probl matiques de la profession repr sente clairement un pas dans la bonne direction Au cours des prochaines semaines le groupe de travail sur la valorisation d posera un rapport final faisant suite la tourn e r gionale Ce rapport contiendra un ensemble de recommandations et un plan d action d taill Apr s avoir pris connaissance des diverses suggestions avanc es par la majorit des architectes pr sents aux rencontres le groupe va maintenant tayer ces suggestions et proposer des actions concr tes destin es poursuivre cette campagne de valorisation de la profession Le groupe de travail sur l
62. tains usagers biblioth ques comptoirs d accueil places r serv es syst mes d amplification pour personnes malentendantes salles de spectacle piscines ar nas gradins vestiaires salles de douches salles d quipe etc 8 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 ACCESSIBILIT UNIVERSELLE en vaut deux Apr s avoir pass en revue chacun de ces crit res il est possible de qualifier le rendement g n ral du b timent bon moyen ou mauvais selon sa cat gorie enti rement accessible tous les tages et les espaces sont accessibles partiellement accessible un tage est accessible non accessible enti rement inaccessible Les b timents valu s peuvent ainsi faire l objet d une comparaison Selon l usage les demandes des usagers les projets d investissement etc il est beaucoup plus facile apr s une telle valuation de choisir les b timents sur lesquels intervenir puis d identifier les probl mes solutionner dans chacun maximisant ainsi les investissements Trop souvent le gestionnaire est appel prendre des d cisions partir d une information incompl te qui ne lui permet pas de situer le probl me dans un contexte plus large Certains travaux sont simples et peu co teux d barcad re sur rue seuil de porte syst me d amplification pour personnes malentendantes signalisation tandis que d autres sont complexes absence de mesures de s curit incendie lorsque les tages sont reli s par un ascenseur U
63. ter vous Une balade virtuelle leur apprendrait que vous faites des tudes pr paratoires touchant tant la faisabilit du projet que les ressources en temps en argent en mat riaux et en proc d s de construction C est sans parler des discussions que vous pouvez avoir avec les autorit s gouvernementales les consultations que vous tes en mesure de donner au client sur les choix des autres types de professionnels qui devront intervenir au dossier Et quand ils constateront qu avant m me que vous ne vous penchiez sur vos premiers croquis et esquisses vous devrez encore consid rer les besoins li s aux activit s qui auront lieu dans l difice les donn es d ordre r glementaire et administratif les contraintes telles que la date de prise de possession le prix limite respecter l utilisation de mat riaux donn s le respect du caract re historique et quoi encore le regard qu ils porteront sur votre profession en sera peut tre chang jamais D ailleurs vous devriez vous m me cliquer sur l onglet L architecte du site www oaq com Parions que vous y apprendriez encore quelque chose 14 ESQUISSES AVRIL MAI 2005 PRIX D EXCELLENCE DE L ICCA AGRANDISSEMENT DE L A ROPORT INTERNATIONAL PiERRE ELLIOTT TRUDEAU PHASE 1 GAGNANT EX AEQUO CAT GORIE PROJETS COMMERCIAUX INSTITUTIONNELS ARCHITECTE CONSORTIUM PCJA PROVENCHER ROY CARDINAL ET HARDY JODOIN LAMARRE PRATTE ARCOP ING NIEUR EN STRUCTURE CONSORTI
64. torienne Louise C t et les architectes mile Gilbert et Serge Gosselin auxquels se joignait Jean Louis Simard de la SODEC LE 5 A 7 pu CROAQ ET DE DCC Le 30 novembre dernier le CROAQ en collaboration avec DCC section Qu bec organisait un 5 7 auquel se sont pr sent s plus de 60 architectes stagiaires et repr sentants de manufacturiers C est dans le d cor particulier du Cactus de l avenue Myrand Sainte Foy que les architectes ont eu droit au nouveau r pertoire normatif UN ARCHITECTE DE QU BEC SE LANCE DANS LA FABRICATION En novembre dernier l architecte Jocelyn Perron inaugurait sa nouvelle usine de fabrication de volets m caniques pour fen tres Apr s plusieurs ann es de recherche et d observation M Perron a t en mesure de r aliser un volet enti rement en aluminium offrant plusieurs avantages Ce nouveau volet qui am liore l efficacit nerg tique de la fen tre permet d conomiser sur les co ts de chauffage En plus ce volet att nue les bruits ext rieurs prot ge la fen tre et ses composantes contre les rigueurs du climat et le vandalisme et sert de brise soleil L aspect d coratif a t un l ment cl de la recherche puisqu il repr sente l une des raisons majeures de l installation du volet Les membres du CROAQ souhaitent souligner l v nement et f liciter Jocelyn Perron pour sa pers v rance Son projet montre que les membres de notre profession peuvent se lancer avec succ s dans d
65. uatre fois plus importante que sa hauteur et poss dant deux fen tres ou portes ouvrantes situ es sur deux murs oppos s constituent des corps de logis propices la ventilation transversale Enfin la diff rence de hauteur et les dimensions des ouvertures hautes et basses ainsi que la diff rence de temp rature entre le haut et le bas de la chemin e d termineront quant eux l efficacit de la ventilation par effet de chemin e L effet de chemin e cependant ne peut se produire que si la temp rature ext rieure est inf rieure celle de la chemin e APPLICABILIT CLIMATIQUE Le climat qu b cois offre un excellent potentiel de refroidissement passif des b timents par la ventilation naturelle Des tudes r alis es au GRAP confirment que les conditions de temp rature et d humidit relative sont favorables l usage de la ventilation naturelle pour environ 37 du temps d occupation annuelle Qu bec et 45 Montr al Qu bec poss derait d autre part un d bit normalis par effet de chemin e et pression de vent de 1 7 Pa rivalisant avec ceux de Stockholm Oslo et Berlin o la ventilation naturelle n est plus remise en question Alors pourquoi ne pas utiliser cette strat gie plus souvent au Qu bec Le compromis de la ventilation hybride devient in vitable quand l air neuf est trop froid ou trop chaud pour tre distribu directement par des portes ou fen tres ouvrantes Selon l Agence internationale de l nergie
66. une diminution des cas de syndrome du b timent malade dans les immeubles poss dant des fen tres ouvrantes De toute l nergie consomm e par un b timent une proportion de 80 est utilis e son exploitation clairage artificiel chauffage et refroidissement alors que sa construction ne repr sente en moyenne que 20 du bilan nerg tique global L exploitation passive du b timent constitue donc une source importante d conomie d nergie D FINITION DES STRAT GIES La ventilation naturelle d signe le mouvement de l air provoqu par la pression statique du vent ou par la diff rence de temp rature entre l int rieur et l ext rieur alors que la ventilation m canique fait r f rence au mouvement de l air induit par un ventilateur La ventilation hybride est un compromis entre la ventilation naturelle et la ventilation m canique L orientation et l exposition du b timent par rapport aux vents dominants sa morphologie hauteur profondeur ainsi que la nature et la disposition de ses ouvertures d termineront l efficacit des strat gies de ventilation naturelle transversale ou par effet de chemin e Un b timent orient 45 par rapport aux vents dominants maximisera donc les surpressions et d pressions favorisant la ventilation naturelle Par ailleurs un espace ayant une profondeur deux fois plus importante que sa hauteur et poss dant une porte ou une fen tre ouvrante ou un espace ayant une profondeur jusqu q
67. ur 20 millions d Australiens alors que le Canada n a que 10 coles pour 30 millions de citoyens Ce rapide survol ne fait que souligner la grande diversit des contextes quand on tente d analyser l importance accord e la profession d architecte Ni l anciennet ni la superficie du territoire ou la taille de la population ne d terminent l importance accord e l architecture et ses professionnels Et on peut constater que le facteur culturel n y est pas non plus pour grand chose Le niveau de richesse collective et le d veloppement conomique jouent en faveur de l importance de la profession mais la moyenne d architectes par habitant au Qu bec comme au Canada se compare davantage celles de pays plus pauvres ou en voie de d veloppement Le cas de l Australie ouvre une perspective int ressante dans la mesure o les conditions historiques conomiques et culturelles de ce pays sont comparables celles du Canada Pourquoi le groupe professionnel des architectes semble t il y jouir d une importance plus grande Le comit de valorisation de la profession de l OAQ pourrait m diter sur l exp rience australe La comparaison internationale d montre enfin que le nombre d architectes par habitant est relatif au nombre et la qualit des projets reconnus et des publications deux autres indices de l importance accord e l architecture L hypoth se fond e sur l offre et la demande qui voudrait que l existence d un moins grand

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