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Télécharger les Cahiers de la retraite complémentaire
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1. 2 1is permettent diff rents syst mes d information d changer des donn es 3 Plate formeretraite compl mentaire information des actifs 4 Commission nationale Informatique et libert s Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Le point sur Comment obtenir un RIS lectronique Demande de consultation du RIS e Affichage du RIS e ou message indiquant le d lai de disponibilit olo gt Apr s authentification partir du site Internet du groupe de protection sociale la demande de l internaute est directement transmise au collecteur via le concentrateur Agirc Arrco gt Le Ris lectronique une fois constitu transite son tour par le concentrateur et est consultable en ligne sur le site Internet du groupe RIS e transmis en temps r el si possible sinon dans un d lai de Q 1 15 jours Concentrateur Agirc Arrco U g Collecte des e donn es aupr s des diff rents r gimes s j Ses AU J A R A Rre Collecteur Sud Agirc Arrco Consolidation des donn es Cnav MSAN Agirc et Arrco RSI M Gii Collecteur Nord Cnav GIPINFORETRATE Une mont e en charge progressive gt Disponible sur les sites des groupes selon le calendrier suivant gt du 7 au 27 novembre depuis le 1 septembre le RIS lectronique assur s de moins de 55 ans ne fera l objet d une communic
2. Josiane Le Calv directeur marketing et communication groupe R unica Enqu tes et analyses L avis de l expert Les entreprises et l e reputation gt l essor du Web 2 0 et surtout du Web social depuis 2004 a d plac et tendu les sph res d expression et d interaction num riques vers les r seaux sociaux les plates formes collaboratives et contributives Le grand public et m me les professionnels se tournent d sormais massivement vers Internet pour se faire une opinion sur une entreprise un produit une personne ou une entit socio conomique Par exemple selon une enqu te TNS Sofres 75 des internautes fran ais d clarent rechercher lavis de leurs pairs sur le Web avant de choisir un produit au sens large du terme 69 d entre eux affirment galement qu Internet a profond ment chang la mani re dont ils s informent sur les entreprises Face ce raz de mar e les entreprises tendent le p rim tre de leur veille traditionnelle en int grant la surveillance de l e r putation soit en interne soit en faisant appel des prestataires sp cialis s Au del de la collecte et de l analyse de l information la gestion de l e r putation demande aux entreprises de mettre en place un processus tr s r actif de signalement des alertes mais aussi de r ponse et de suivi Ces derni res tapes sont g n ralement pilot es par la direction de la communication qui fait de plus en plus ap
3. L indicateur du pilotage de la perfor mance repose sur quatre crit res co t uni taire productivit qualit et quilibre Le taux de r alisation moyen des actions rele vant de cet indicateur pour les r gimes a augment de 5 entre 2008 et 2010 mal gr le contexte conomique difficile impac tant l quilibre des r gimes L AXE QUALIT EN PROGR S L axe qualit entre 2008 et 2010 a signifi cativement augment puisque tous les groupes atteignent un taux de r alisation sup rieur 90 Ce r sultat est obtenu alors m me que les co ts de gestion sont maintenus ou r duits Ainsi une baisse de 2 5 euros constants du co t unitaire de l activit Allocataires est enregistr e sur cette p riode La recherche de la qua lit a t r alis e sans nuire la perfor mance d o une croissance de 3 du taux de r alisation de l axe productivit La quasi atteinte de l objectif ambitieux de d mat rialisation des tats nominatifs annuels ENA soit 89 participe gale ment de ce r sultat L objectif de d mat rialisation des encaissements de cotisations fix 20 est d pass la fin de 2010 avec un taux de 31 3 La part des entreprises dont l ajustement des comptes de l exercice pr c dent a t calcul au 30 juin atteint 85 3 soit un taux inf rieur l objectif de 90 En revanche l objectif d actua lisation des comptes de points des par
4. es cahiers de la Retraite Compl mentaire L enjeu La solidarit Peur en action pernatan euxieme Bilan mi parcours du plan g n ration d action sociale 2009 2013 ALIT Cet ATTCO Sommaire N 5 h FF ja A Lors A iy TA Fa RE tre ME 4 at PE F1 1j i T Le bp ra T0 F a A e ht J 7 ri A TA p f A Gel Le Cia 1 K 1 Te l es PRET p x Ph t f f Y Pr sentation du Copilor la nouvelle instance de veille des comptes sociaux 04 Actualit s gt R seau Cicas un nouvel outil de gestion des contacts gt Lutte contre la fraude l Assurance Retraite gt Regards crois s sur la maladie d Alzheimer gt Les m tiers de la gestion la loupe gt Datacenter la premi re pierre est pos e gt Contr le de gestion Objectifs 2008 2010 le bilan gt Emploi des personnes handicap es Attention branche engag e Le service des r sidents hors de France change de nom L informatique retraite compl mentaire en mouvement 08 Tendances Projections de l Insee quelle population active en 2060 10 Le point sur Le Copilor la nouvelle instance de veille des comptes sociaux gt RIS lectronique le droit l information deuxi me g n ration 14 venir Nouveau service retraite compl mentaire l espace Internet d di aux entreprises 16 Bilan mi parcours du plan d action
5. mentaire prot ge son r putation 2 e r putation est l image positive ou n gative d une institution d une entre prise d une marque ou m me d une per sonne telle qu elle se construit et volue partir des informations qui circulent sur Internet Depuis le printemps 2011 des repr sentants des groupes de protection sociale et des f d rations Agirc et Arrco ont engag une r flexion sur une d marche d e r putation commune Objectif mettre en place une cellule de veille qui scrute la toile en continu de mani re faire remonter ce qui se dit sur la retraite compl mentaire MUTUALISER LA SURVEILLANCE l origine de ce projet le groupe Commu nication des directeurs des groupes de pro tection sociale L id e est de mettre en commun les ressources existantes la fois dans les groupes et dans les f d rations de mani re mutualiser la veille et pouvoir r pondre de fa on concert e en cas de buzz n gatif sur la retraite compl mentaire coutons Marcel Jamet ex directeur g n ral du groupe Agrica qui a pilot le groupe Communication des directeurs des groupes de protection sociale l initiative de la d marche Depuis plusieurs ann es les groupes et les f d rations mutualisent leurs moyens sur de grands projets l action sociale la convergence informatique L e r putation fait naturellement partie de ces domaines communs pour lesquels une action co
6. 4 s nateurs membres du Cor ainsi que son pr sident gt 16 repr sentants des organisations professionnelles et syndicales gt 8 repr sentants des r gimes de retraite l galement obligatoires dont les r gimes Agirc et Arrco gt 3 personnalit s choisies pour leurs comp tences dans le domaine et nomm es par le ministre en charge de la S curit sociale 1 re al 2 pe i s 3 questions La port e du Copilor est Le point sur 7il d ordre politique et d cisionnel La mission de suivi des finances des r gimes de retraite attribu e au Copilor est une mission que partage le Conseil d orientation des retraites Cor Comment vont s articuler ces deux entit s J J M Leur p rim tre d intervention n est pas le m me Le Cor est un comit d orientation Il a une vocation d expertise II m ne des tudes effectue des projections et d une mani re g n rale fournit des informations sur l volution des r gimes de retraite afin d clairer les politiques publiques Avec le Copilor on ne parle plus d orientation mais de pilotage La port e n est pas la m me elle est d ordre politique et d cisionnel Ce n est pas un hasard si le Copilor compte dans ses rangs quatre ministres dont lun assure sa pr sidence Sa fonction premi re est d mettre des avis et le cas ch ant de proposer des mesures de redressement qui peuvent aller jusqu a la rectification de
7. D Malan p 1 GraphicO Tetra images Photodisk Ryan Mc Vay DR p 4 GraphicO R Nicholas Maquette agence Colbert D R p 5 Getty Chad J Shaffer p 6 GraphicO S Olsson Jon Ongkiehong Fotolia p 7 Getty R Churchill p 8 GraphicO A Williamson T Paviot D R p 11 A Dagan p 13 D R p 14 15 Phovoir D R p 18 19 ThinkStock p 21 D R GraphicO Fuse p 23 X Renauld p 24 25 J S Maunoury p 27 Phovoir p 28 Phovoir Fotolia Goodluz Y Arcurs p 30 GraphicO P S O Caroll Phovoir F S journ p 31 DR GraphicO Glow Images p 33 Getty M Blann p 34 Conception et r alisation UN BITE Impression CIA Bourgogne D p t l gal d cembre 2011 No ISSN 2112 4841 dito 03 informatique retraite compl mentaire De nombreux d fis relever e 15 septembre dernier l informatique de la retraite compl mentaire tait au c ur de l actualit Environ 650 informaticiens taient r unis l occasion de la 7 journ e de l informatique retraite compl mentaire pour faire le point sur le chemin parcouru et prendre connais sance des projets venir Si depuis quatre ans les quipes d informaticiens ont r alis une avanc e consid rable dans la construction de l Usine Retraite il reste r ussir la totalit de son d ploiement dans les d lais impartis c est dire d ici fin 2013 Les clients de la retraite compl mentaire entrepris
8. Troisi me mission enfin partir de 2013 le Copilor organisera une r flexion natio nale sur une possible r forme de fond du syst me de retraite fran ais L article 16 de la loi en d finit d ores et d j les grandes lignes examiner les conditions d une plus grande quit entre les r gimes de retraite l galement obligatoires d finir quelles seraient les conditions n cessaires pour la mise en place d un r gime universel par points ou en comptes notionnels dans le respect des principes de r partition au c ur du pacte social qui unit les g n rations consid rer les moyens pour faciliter le libre choix par les assur s du moment et des conditions de leur cessation d activit La premi re session du Copilor s est tenue le 31 mai dernier Une r union d ins tallation qui a surtout permis de rappeler les objectifs de la loi en faveur du retour quilibre pour l ensemble des r gimes l horizon 2018 Mais une rencontre qui a aussi t l occasion de se donner rendez vous en 2012 pour un premier avis Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Composition Les 49 membres du Copilor gt Le ministre en charge de la S curit sociale pr sident gt Les ministres du Budget de la Fonction publique et de l Agriculture gt 9 repr sentants de l tat dont le directeur de la S curit sociale gt Les 4 d put s et les
9. augmen tation de l activit f minine apr s 40 ans Une conjoncture durablement plus favo rable que pr vu pourrait galement avoir des r percussions sur les taux d activit Ainsi les jeunes et certaines femmes au foyer pourraient se pr senter plus rapide ment sur le march du travail De fa on plus structurelle l activit f minine pour rait encore progresser et rejoindre progres sivement celle des hommes Dans de tels sc narios l apport d actifs serait d environ 400 000 femmes et 200 000 jeunes en 2060 L IMPACT DE LA R FORME DE 2010 la suite des r formes des retraites de 1993 2003 et 2010 et du recul de l ge d entr e dans le premier emploi les principaux change ments de taux d activit seraient enregistr s chez les plus de 55 ans Pourles 55 59 ans l hypoth se retenue dans le sc nario central est que le recul des ges d ouverture des droits et d annulation de Source Insee projections de population active 2010 2060 la d cote pr vu par la r forme de 2010 va modifier les comportements sur le march du travail les salari s seraient davantage incit s se maintenir en activit et les employeurs investir pour favoriser ce maintien Cet effet horizon reste sujet d bats entre conomistes S il ne devait pas se v rifier dans les ann es venir la population active compterait pratiquement 500 000 actifs de moins dans 50 ans Ensuite l hypoth se re
10. d finies Le revers de la m daille est que cette augmentation continue des droits sans prise en compte de l augmentation associ e du co t a conduit beaucoup d entreprises fermer ou r duire leurs fonds de pension D o un syst me deux vitesses avec une minorit de sala ri s bien prot g s notamment dans le secteur public et un nombre croissant de salari s n ayant pas de retraite com pl mentaire d entreprise la retraite de base tant comparable celle du r gime de base en France Une nouvelle voie Aux Pays Bas la r solution du conflit apparemment insoluble entre d une part la volont de plafonner le co t global incertain et croissant d un r gime prestations d finies et d autre part la r ticence au chacun pour soi d un r gime cotisations d finies semble tre sur la bonne voie d clare Tim Reay Les r gimes compl mentaires cotisations d finies propos s comportent un taux de cotisation fixe et connu d avance et offrent des prestations d finies qui sont en principe acquises mais qui peuvent tre ajust es m me la baisse en cas d volution actuarielle o financi re d favorable L entreprise et les salari s savent avec certitude combien la retraite leur co tera Les assur s b n ficient de la solidarit du groupe Ainsi ceux qui doivent partir la retraite le lendemain d un krach boursier ou bien une ann e o les taux de rendement des obligations s
11. des tablis sements aux d ficiences visuelles et auditives Il s agit de sensibiliser tous les personnels comment s adresser une personne qui voit ou entend mal L adaptation du b ti est aussi concern e La totalit du parc a t audit e sur son adaptation aux d ficits visuel et auditif Tous les tablissements ont re u un rapport de pr conisation en mars 2011 Nous entrons maintenant dans la phase des am nagements 70 tablissements sont en train d tudier les pr conisations EVAL ZHEIMER FAIT SON CHEMIN Une r flexion est galement men e sur les espaces d di s aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer selon les principes du programme Eval zheimer initi et d velopp par la Fondation M d ric Alzhei mer Nous sommes encore dans une culture tr s hospitali re poursuit Dominique Rovera Deroche Comment faire voluer ces lieux pour leur donner plus d humanit Par exemple en am liorant les indices de rep rage pour les r sidents Comment savoir que c est l que je prends mes repas ou que je me repose Il faut aussi s inter roger sur d autres habitudes ou pratiques est ce que le personnel doit syst matique ment porter une blouse blanche Est ce qu il faut servir les repas sur un plateau ou table Il y a quatre ans nous avons lanc un diagnostic sur ces probl matiques dans trois tablissements Aujourd hui une vingtaine d tabliss
12. des femmes g es en moyenne de 86 ans 77 2 sont des personnes seules 69 vivent en ville 52 ont des difficult s locomotrices Principales motivations de la demande e aller chez le m decin 25 2 e faire des courses 23 2 e loisirs et promenades 8 La plupart des d placements n cessitent un v hicule exemple et qui peuvent tre angoiss es l id e de traverser la rue et de sortir de chez elles ou des personnes ayant tout simple ment perdu l habitude de sortir explique lisabeth Cr ance charg e de projets en g rontologie sociale la direction de l action sociale Agirc Arrco Quinze nouveaux d partements en 20100 puis onze autres en 201 1 ont b n fici de ce service portant 82 le nombre de d partements couverts En 2010 plus de 139000 sorties ont t organis es Au 1 jan vier 2012 toute la m tropole et toutes les caisses de retraite participeront au dispositif Il y a une v ritable mont e en charge La g n ralisation sera termin e fin 2012 Afin de renforcer l efficacit de ce service un par tenariat a t initi en avril 2009 avec la Cnav En phase d exp rimentation dans six r gions et dix huit d partements ce partenariat mobilise huit groupes de protection sociale 1 Aube Aveyron Calvados Eure Hautes Alpes Haute Garonne Lot et Garonne Manche Marne Mayenne Orne Sarthe Val d Oise Yonne Yvelines 2 Ardennes Aude C
13. des plates formes t l phoniques dispose d un nouvel applicatif de gestion des contacts GCC Gr ce cet applicatif l historique des contacts et des appels des participants est partag Cette fonctionnalit tait devenue n cessaire la suite de la mise en uvre r cente du projet de t l phonie retraite compl mentaire qui consiste mutualiser les appels manant du num ro unique 0820 200 189 entre les cinq plates formes t l phoniques Cicas le premier conseiller disponible d croche Le GCC permettra d assurer un meilleur suivi de la relation client et de fluidifier les changes Les formations sur ce nouvel applicatif ont d j t dispens es des fins de d multiplication aux superviseurs des plates formes t l phoniques mais aussi l ensemble des responsables Cicas e En savoir gt M mento de l administrateur n 79 Les enqu tes men es par l Assurance Retraite en 2010 dans le cadre de la lutte contre la fraude ont port sur 9 608 dossiers contre 8193 en 2009 soit une progression de 17 1073 dossiers de fraude ont t d tect s en 2010 et dans certains cas 10 14 mil lions le pr judice a pu tre vit Les fraudes constat es portaient c Euros c frau c e en 2010 sur un montant de 10 14 millions d euros et les fraudes vit es sur un montant de 37 4 millions d euros la suite des enqu tes 4 624 dossiers ont fait l objet d un signalement au
14. e de r forme syst mique C est dire J J M On la pr sente souvent comme un moyen de simplifier la retraite aux yeux des assur s Ou de r aliser des conomies d chelle Or que l on s oriente vers un syst me universel par points o par comptes notionnels une telle r forme poserait surtout la question du maintien de la solidarit entre les actifs et entre les g n rations Veiller ce que cette ventuelle r forme syst mique ne se fasse pas au d pend du principe de r partition ce sera la le v ritable enjeu Le point sur RIS lectronique Mis en place dans le cadre de la loi du 9 novembre 2010 portant r forme des retraites le relev de situation individuelle lectronique RIS e est accessible en ligne depuis le 1 septembre Le droit l information deuxi me g n ration n connaissait le relev de situation individuelle RIS voici le relev de situation individuelle lectronique Dernier n des outils du droit l information des actifs c est aussi le plus abouti Le principe Le m me qu un RIS clas sique un inventaire ann e apr s ann e des droits la retraite acquis par un actif depuis le d but de sa carri re tous r gimes confondus Avec la cl la possibilit de v rifier son conte nu de demander au besoin un rectificatif et de disposer d un dossier complet et exhaus tif lors de la demande de retraite La diff rence avec le R
15. elles souhaitent g n rale ment le Plan domicile Agirc Arrco pr voit notamment la mise en place d une aide domicile momentan e Il s agit de proposer une aide ponctuelle domicile des personnes momentan ment en difficult pour se d placer ou entretenir leur int rieur explique Catherine Poirier responsable tudes Projets services la direction des activit s sociales d AG2R La Mondiale qui pilote le d ploiement de cette offre avec Pr malliance C est une aide de 10 heures maximum Seules conditions avoir 75 ans ou plus ne pas b n ficier par ailleurs d un L aide domicile momentan e dispositif d aide domicile et ne pas tre d pendant La demande concerne le plus souvent une aide pour le m nage ou un accompagnement en v hicule Un conseil ler rappelle ensuite pour s assurer du suivi Le dispositif a t test dans les deux r gions Nord Pas de Calais Picardie et Provence Alpes C te d Azur D apr s les enqu tes c est une prestation qui r pond un v ri table besoin 98 des personnes interro g es sont satisfaites Huit institutions sont impliqu es pour la premi re ann e dans le dispositif Les instances des f d rations ont d cid sa g n ralisation au niveau national pour d but 2013 16 r gions en 2012 22 en 2013 Chiffres cl s entre janvier et ao t 2011 Profil des b n ficiaires 75 de femmes 40 ont entre 75 et 80 ans Mot
16. la conqu te de l exemplarit armi les axes forts du plan m dico social et sanitaire adopt par les Lench qres Le parc medico social En 2011 le parc sanitaire et m dico Social Agirc Arrco compte 70 tablissements de type social m dico social et sanitaire soit 8 000 places en propri t et 23 000 lits r serv s L Agirc et l Arrco g rent des tablissements g riatriques depuis 30 ans 510 millions d euros auront t engag s terme par les fonds Sociaux pour la mise en uvre du plan m dico social dont 390 millions pour le parc en propri t r gimes Agircet Arrco pour la p riode 2008 2013 le premier concerne la qualit diff rentielle des tablissements Il s agit de s assurer que les tablissements d veloppent un niveau de qualit dans la conception l accueil et le quotidien qui favorise un accompagnement bienveillant des r sidents explique Domi nique Rovera Deroche manager technique et op rationnel la direction de l action sociale Agirc Arrco Cela passe d abord par la question de la qualit environnementale 80 des projets de r habilitation comptent au moins une mesure environnementale L int gration de concepts de haute qualit environnementale s applique aux projets de cr ation mais nous demandons aussi tous les tablissements de les introduire dans leurs travaux pr cise Dominique Rovera Deroche Premi re action l adaptation
17. mranma a ire m imb a pida Ha Hi LATE TEES Da PPNS FERAE a RCE ON OT SO PO DH kpaa Dia COTTON ET CH MST Pira sortent pes one ven mule orbite des le cumin cle ln rare ma airera ram mia Career pm me TEPP OUR SAR BEN T MEDSE MERA s Coupe de probection socle priv Le Prop ere proper c cnianee che pr de printipa En MR Ca marp a ES PSP CDR je CE Au a COS d s PETENG Ds ET jon mma ae hijr mme mn egare de bem FRA reir eau kiam Cou pe E pe aP a CPR dr mu lie DRE D PERS BU Pein DS DUB ME 1 hA Gt bd A ARTS een copies ds ige Aron pis eei De BEFA BaS iE HOUSE h RGE MURS Ci E LEE NEC ECRIRE p pE a AT DTE Pul r El i EEEL A P n El Ga pS En OCT MRi Dr dippe ieir moin es Commont eg comkiituo la retraite 7 CS LS Le LE EG L E CRUE LA CO REC GC sn A AGT BE A VATED BA CRUE GE poin LES RSS Bi eni rh re prad e sAr mri ria Les pirit sa parmqol mur e ia Lis ubt de re ia Cordes mp p bya po ce i boire ja rey Cu Ern CET Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 L info du salari Lamgprercre e a at keai Pam u port wr re atete gt Si poe dge Ge cipon w wese Cemscet ne woate Le reme R 4 JAP jow 2 mrmege Les deu Deepa Le rriei sam Tineanirga reire Fra pi Tapn jE Cengests b msn Ha COAL TE L enjeu Comprendre Les partenaires sociaux ont d fini pour cinq ans 2009 2013 une feuille de route pour l action
18. obligatoire pourrait r ellement d stabiliser les r gimes prestations d finies Tim Reay cela n entra nera aucun surco t pour les employeurs concern s les cotisations patronales tant d j le plus souvent gales ou sup rieures au taux de 3 Finalement ces modifications seraient accompagn es par une augmentation radicale de la retraite de base qui passerait de 5 075 8 060 livres par an int grant les prestations sous conditions de res sources d j vers es aux plus d munis Ce dispositif constituerait donc une simplification par rapport au syst me existant Les fonds de pension prestations d finies sont en d clin Les professionnels britan niques de la retraite disent que la r forme pourrait les mettre en p ril Y a t il un avenir pour ce type de r gime T R En effet l introduction de la cotisa tion minimale obligatoire pourrait r elle ment d stabiliser les r gimes prestations d finies L exemple de l Australie est frappant l introduction d une telle coti sation en 1992 actuellement 9 mais qui atteindra 12 en 2019 a provoqu la disparition quasitotale des r gimes d em ployeurs souvent plus g n reux L enjeu avec les r gimes prestations d finies est l absence d amortisseurs en cas de fluctuations court terme Pendant les ann es 1960 et 1970 les employeurs pilotaient les r gimes avec flexibilit il y avait un minimum promis
19. sociale Agirc Arrco mi parcours quelles sont les actions les plus abouties Quelles seront les prochaines ch ances Premier bilan des diff rentes exp rimentations La solidarit en action epuis plusieurs ann es les r gimes de retraite compl mentaire doivent faire face des contextes d mogra phique soci tal et l gislatif en pleine mutation Les parte naires sociaux ont pris en compte la n cessit d apporter de nouvelles r ponses en mati re d action sociale Les orien tations prioritaires 2009 2013 s organisent ainsi autour de trois grands axes de travail communs aux groupes de protection sociale et aux f d rations D velopper la pr ven tion Prolonger l autonomie domicile des personnes g es ou handicap es et Accompagner la perte d autono mie en tablissement des personnes g es ou handicap es DEUX NIVEAUX D ACTION Ces orientations prioritaires se d clinent elles m mes en axes strat giques qui constituent le cadre dans lequel les institutions de retraite compl mentaire peuvent mettre en uvre des actions On distingue un socle commun de niveau 1 avec des actions pilotes impuls es par les f d rations Agirc et Arrco et les actions de niveau 2 mises en place l initiative des institutions Les actions de niveau 1 apr s avoir fait leurs preuves deviennent communes l ensemble des caisses Certaines sont en phase d exp ri mentation Par exempl
20. te d Or Deux S vres Doubs Haute Marne Haute Sa ne Lot Meuse Pyr n es orientales Tarn Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 L enjeu 3 questions Albert Lautman directeur de l action sociale la Cnav Un partenariat de tous les jours Depuis juin 2011 le partenariat entre la Cnav et les r gimes compl mentaires a t renouvel En quoi consiste t il A L La Cnav s est engag e pour trois ans dans une collaboration globale avec l ensemble des r gimes et avec l Inpes Institut national de pr vention et d ducation pour la sant sur le th me de la pr vention de la perte d autonomie Notre pr occupation commune est de toucher l ensemble des retrait s autour de la promotion du bien vieillir et de la diffusion des messages de pr vention quelles sont les actions les plus efficaces quels messages faut il transmettre en priorit quelles sont les bonnes pratiques Comment vous positionnez vous par rapport l ergoth rapie A L L Agirc et l Arrco ont identifi l ergoth rapie comme l un des leviers de l autonomie voir pages suivantes L id e est donc que la Cnav forme ses propres valuateurs afin que dans le cadre de leurs missions ils soient en mesure d identifier les situations qui n cessitent un ergoth rapeute Si c est le cas la Cnav orientera alors le retrait vers la plate forme Agirc Arrco correspondante
21. tenariats inter r gimes de retraite notamment En savoir gt L tude est consultable sur le site Internet de l Observatoire des m tiers http obsmetiers rcp pro fr C est la proportion de personnes g es de plus de 65 ans que compteront quasiment tous les pays europ ens en 2040 Actualites 05 En bref gt Maquette du futur Datacenter de Gradignan Datacenter la premi re pierre est pos e Dans le num ro 2 des Cahiers de la Retraite Compl mentaire nous vous informions du projet de construction Gradignan du nouveau centre de traitement et de stockage des donn es informatiques du CSN Centre des services nationaux La premi re pierre del dificea t pos e le 12 juillet dernier L ensemble des salari s du site de Gradignan ont pu assister au lancement officiel de la construction du Datacenter Agirc Arrco en pr sence de Bernard Devy pr sident d honneur de l Arrco de Jean Louis Deroussen pr sident de la Commission informatique de l Arrco du maire de Gradignan Michel Labardin de Jean Jacques Marette directeur g n ral de l Agirc et de l Arrco et de Daniel Lefebvre directeur de la DSI RC Les discours qui ont ouvert cette manifestation ont permis de rappeler toute l importance de ce projet pour les r gimes Agirc et Arrco UE on LEUR ns W TE F Fod 3 F Parit a a l E TF Eh E W iS S F tia j wit gt Pose de la premi re pi
22. Ce qu il faut savoir Tant ma RATE POS CRUE De DES Prod PRE de fne tot aude Ogee ari c e tee de rete compumertsse ATTE oen pu mert eu D es ovas DRE N ASLAN p D S Pe e OPA 66 e lt RANER A boses tm tm ue dot aota iie me Mm moe dont de ans r s Ar ease DCS LCR E bpe MATE On PATES POS Taas 2 at ma mnm form ara cordes lu Ce qu il faut taire a ems saune basie p rtoh re accompir Dour otre mane de erei Cor emartur U RTS CCS pat COMME LS d s le t mms rpg e d CE 04 ge once a a ETATS DUT CRAN PETUE vos SIRASI FT GNT enea Lu mar ame nn rpa tort tt D co mes de Lomme nS ecoles e LUN ABN Be ROME DA De MAT TETE DE RATA lemme me the ee dm u Be aigue je An mate mme CCR TT 7277 Gus cts lertragree pow reat Anoo O s h nwenes 8 on ve SO morte Me de om de m lim ro rampe Armer et Se le Comes AGP de vote etage csa sa ia eaccasanaa asenet Aed name CAD Entreprise SR eer Pr sentation s Ce qit faui avoir la reeni dem n Apra med regain i b rabaia de aaa sereis pi bi Thos ii piima da a bhiapiij poaa roaa CT ETS PCT get ma ro h de baia miria hi pea pior e den Hd Brt OE code u BaB mc ayot 1 a eriet bemp ie CRE re TOPPE ar PROS permets DE T E D ara LASER D appa ec pe igp pip pE DRIER A T amapian du nmiaras damien n s umaa e miia comique iea mi ger pri raioh b Er PEPENE ECCLEAE Bs u era ongles Ei Tu DE ON nS Ta peer pi pE a irran e DaF mip rimmme mm gar maaa n
23. De la m me mani re l ergoth rapeute peut tre amen recommander des am nagements du domicile c est alors a l Agirc et l Arrco de diriger le retrait vers la Cnav pour financer les travaux L objectif est d viter les redondances et d am liorer la coordination pour les retrait s Cette collaboration devrait se mettre en place d ici a fin 2012 A Tp Quelles compl mentarit s de prestations peut on mettre en place entre l Agirc l Arrco et la Cnav A L L objectif est de mieux orienter nos aides respectives en fonction des besoins des retrait s Concernant l articulation entre le plan domicile Agirc Arrco voir pages suivantes et la Cnav par exemple l Agirc et l Arrco accordent une prestation de 10 heures dans le cadre de l aide domicile momentan e Si les caisses identifient le besoin de l allocataire comme tant d ordre plus permanent et plus structurel il pourra alors tre r orient vers l action sociale de la Cnav ce stade nous sommes encore dans l exp rimentation H EN L enjeu Comprendre Les r gimes Agirc et Arrco ont adopt fin 2009 un Plan domicile qui regroupe diff rentes actions visant a pr server l autonomie domicile des personnes g es Premier bilan des services exp riment s depuis 2010 PROLONGER L AUTONOMIE Favoriser fin de permettre aux personnes g es de rester le plus longtemps possible chez elles ce qu
24. IS lectronique c est que tout un chacun peut demander son relev tout moment 24 h sur 24 sans attendre l envoi quinquennal du RIS syst matique ou d en solliciter l envoi Pour cela il suffit de se rendre sur le site Internet de son groupe de protection sociale et d utiliser l identifiant et le mot de passe communiqu s par celui ci Une proc dure n cessaire pour garantir la par faite confidentialit des informations transmises Si toutes les conditions sont r unies le relev s affiche en 15 secondes environ Pour le participant le RIS lectronique apporte donc la souplesse et la r activit d j connues avec le relev actualis de points Rap mais qui concernait les seuls droits Retraite compl mentaire La nouveaut c est que la demande de l internaute est directement transmise au collecteur via le concentrateur douard Marty coordinateur Ma trise d ouvrage sur le projet QUELS IMPACTS SUR LES GROUPES Dans la mesure o les technologies n ces saires avaient d j t mises en place pour le Rap la mise en uvre du RIS e dans le portail des groupes s est effectu e sans pro bl me majeur explique douard Marty coordinateur Ma trise d ouvrage sur le pro jet Quel que soit le site du groupe d o mane la demande celle ci est transmise via des webservices au concentrateur Agirc Arrco confi en Ma trise d uvre au groupe Pro BTP point de
25. STISSEMENTS VENIR Parall lement d autres mouvements de fonds hauteur de 4 9 milliards ont t op r s en 2010 pour financer les d ficits venir en constituant des fonds obligataires de court terme Ces fonds permettent d as surer le paiement des allocations en 2011 et en 2012 La gestion de ces fonds confi e des organismes externes sp cialis s est adoss e au calendrier des paiements trimes triels d allocations les ch ances des titres obligataires correspondant aux dates des d caissements Ces fonds sont ainsi l abri d ventuelles volutions d favorables des march s financiers Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 fonds de financement moyen et long termes RC mode d emploi 27 Les r serves techniques des r gimes Agirc et Arrco ressources des r gimes r sultat net r serves techniques fonds d caissements produits 4 financiers compl tent les ressources Au total la mobilisation a donc t importante puisqu elle a repr sent pr s de 11 milliards d euros au terme de l ann e 2010 Un enjeu de la gestion des r serves consis tera reconstituer les fonds de r gulation dans le cours de 2012 c est dire mainte nir leur niveau pour anticiper les d sinves tissements au del de cette ann e UN PILOTAGE PLURIANNUEL Les r gimes disposent aujourd hui de r serves d un montant de 58 2 milliard
26. Sur cette nouvelle instance La nouvelle Instance de Veille des comptes sociaux aintenir un niveau de vie satisfaisant pour les retrait s veiller la lisibilit et la transparence des informa tions mais aussi l quit interg n ration nelle la solidarit intrag n rationnelle la p rennit financi re la progression du taux d emploi des personnes de plus de 55 ans et la r duction des carts de pen sions entre les hommes et les femmes tels sont les objectifs que la loi du 9 novembre 2010 a fix s pour pr server le syst me de r partition dans les d cennies venir TROIS HORIZONS DIFF RENTS Principal outil cr pour encadrer cette mission le Comit de pilotage des r gimes de retraite dit Copilor Compos de 49 membres voir encadr ses fonctions sont multiples Premier objectif court terme suivre la situation financi re des r gimes et v rifier que son volution s ins crit dans la trajectoire d finie lors du vote de la loi pour un retour l quilibre en 2018 Une fois par an avant le 1 juin le Copilor se r unira pour mettre un avis Et dans le cas o il estimerait qu un risque s rieux p se sur la p rennit des r gimes il proposera des mesures correctives Deuxi me mission assign e au Comit de pilotage travailler sur les perspectives financi res au del de 2018 afin d antici per la situation des 50 prochaines ann es
27. aniel Lefebvre directeur des syst mes d information retraite compl mentaire a cl tur la journ e sur les d fis qui attendent l informatique retraite compl mentaire dans les ann es venir Cette journ e a t l occasion de remettre la nouvelle plaquette de la direction des syst mes d information retraite compl mentaire DSI RC qui revient sur la cr ation de la DSI RC et met en lumi re son organisation ainsi que ses perspectives gt Coordination europ enne 75592 Paris Cedex 12 T l 01 71 7213 00 Coordination europeenne agirc arrco fr Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 ai le Tendances Projections de l Insee En 2060 le nombre d actifs pourrait atteindre 31 2 millions soit 2 9 millions de plus qu en 2010 Eclairage sur les derni res projections de l Insee aujourd hui plus optimistes que par le pass Quelle population active LL s n termes de projection rien n est jamais d finitif tel est le principal ensei gnement des derni res projections de popu lation active de Insee En 2001 l Institut national de la statistique et des tudes conomiques pr voyait une baisse de la population active d s 2007 En 2006 l Insee revoyait la hausse cette estimation et crivait que la population active aug menterait jusqu en 2015 et se stabiliserait ensuite Trois r formes des retraites 1993 2003
28. approche globale m dico psycho sociale de la personne Ces centres assurent un relais de proximit pour d cliner au plus pr s des besoins les actions favorisant le bien vieillir Deux nouveaux centres de pr vention Agirc Arrco ont t inaugur s depuis 2009 le centre Pr venlys de Lille pilote Vauban Humanis en d cembre 2010 et celui de Strasbourg pilote R unica en juillet 2011 Le d ploiement des centres de pr vention dont le mod le a d montr son efficacit se poursuit explique Alice Chambre char g e de projets en g rontologie sociale la direction de l action sociale Agirc Arrco Dor navant nous recensons onze centres pilot s par cinq groupes de protection sociale D ici la fin de l ann e 2011 un autre port par Pr malliance ouvrira ses portes Clermont Ferrand Quant la r gion Languedoc Roussillon elle devrait accueillir d but 2012 un centre Montpellier pilot par le groupe Mornay R ALISATION D TUDES PID MIOLOGIQUES Depuis 2002 des donn es sont collect es dans les centres de pr vention lors des bilans personnalis s Ces donn es sont utilis es pour la constitution d indicateurs li s au bien vieillir et pour la r alisation d tudes pid miologiques Les cl s du bien vieillir tude parue en 2005 et Bien vieillir tude nationale publi e en 2010 Depuis 2010 les donn es font l objet d un traitement informatiqu
29. arcours du salari Cette rubrique est le c ur de l information d livr e aux entreprises Pr sentation en trois th matiques v nements de carri re v nements de la vie pr paration la retraite Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Le syst me de retraite gt Pr sentation des principes de fonctionnement du syst me de retraite des salari s de la retraite compl mentaire et de sa gouvernance Actualit de la protection sociale RETRAITE COMPLEMENTAIRE O1TCetATTCO Votre retraite on y travaille Comprendre et faire comprendre je retraite L action sociale Comprendre et faire comprendre gt Des animations didactiques des documents voir ou t l charger des liens utiles un lexique des FAQ tout ce qui facilite la compr hension est mis disposition des entreprises Page Accompagner le parcours du salari L action sociale gt Pr sentation de l action sociale propos e aux salari s et leur famille Les principaux services offerts par les groupes et les contacts correspondants Page Les groupes de protection sociale Faciliter avec des services Les services en ligne sur le site www agirc arrco fr ou sur les sites des groupes Page Le syst me de retraite venir 15 Ev nements de Entreprise L embauche d un salari non cadre
30. artir du 1 janvier 1956 la dur e d assurance qui lui sera appli cable pour l obtention du taux plein sera annuellement fix e par d cret l ann e de ses 56 ans il ga D D part avant l ge de la retraite Droit et r glementation Ouverture des droits 60 ans et 4 mois 60 ans et 8 mois 61ans et 4 mois 61 ans et 8 mois gt Avec minoration sous condition de dur e d assurance carri res courtes Les personnes qui totalisent une dur e d assurance inf rieure de 20 trimestres au plus celle requise pour l obtention du taux plein peuvent si elles ont fait liquider leur pension du r gime de base obtenir leur retraite compl mentaire Mais son montant est minor Cette minoration est calcul e soit en fonction de leur ge soit en fonction du nombre de trimestres manquants la solution la plus favorable tant retenue Voir tableau sur www agirc arrco fr Ann e correspondante 2007 2008 2009 2010 2011 2011 2012 2012 2013 2014 2015 2016 2016 2017 2018 2019 2020 160 trimestres 161 trimestres Fix e annuellement pour chaque g n ration l ann e de ses 56 ans gt Sans minoration et sans condition de dur e d assurance Les anciens d port s ou intern s anciens combattants ou prisonniers de guerre m res de familles ouvri res et salari s reconnus inaptes au travail peuvent toujours obtenir leur retraite sans mino ration avant l ge de la retrai
31. ation aupr s du grand public qu au d but de 2012 gt du 1 au 25 septembre 2011 i assur s de moins de 40 ans gt du 28 novembre au 18 d cembre assur s de moins de 60 ans Une pr caution rendue n cessaire par le gt du 26 septembre au 16 octobre TeS nombre d utilisateurs potentiels et la volont assur s de moins de 45 ans Kakta S de g rer une mont e en charge progressive gt du 17 octobre au 6 novembre les c nsatione L ouverture du service a en effet t tal e assur s de moins de 50 ans g Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 venir Nouveau service retraite compl mentaire Du nouveau pour les entreprises Avec le site Le Point Retraite Compl mentaire Entreprise elles ont d sormais acces une information d crypt e sur la retraite compl mentaire L espace Internet d di Les groupes de protection sociale gt Pour chaque groupe de protection sociale une fiche de pr sentation et des contacts avec des liens vers les sites Internet Les communiqu s de presse mis en ligne uvert en septembre dernier le nou veau portail Internet Le Point Retraite Compl mentaire Entreprise est acces sible depuis le site www agirc arrco fr ou directement en tapant www retraite entreprises agirc arrco fr Il d livre des informations pratiques qui permettent toutes les personnes en charge des ques tions de protection sociale
32. avec des Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 augmentations ou des revalorisations selon les possibilit s financi res du r gime Depuis les gouvernements successifs ont augment les garanties et les obligations droits acquis en cas de d part anticip revalorisations obligatoires exc dents obligatoirement cr dit s aux membres etc Les prestations ne pouvant plus tre modifi es les al as actuariels ou boursiers ont un impact direct sur l entreprise Lorsque les rendements financiers baissent il faut accumuler des provisions plus importantes pour garantir les retraites promises et donc augmenter les cotisations de l entreprise M me chose avec l allongement de l esp rance Europe 122 de vie le co t des pensions augmente L introduction d un traitement comp table court terme a encore renforc la tendance Comment situez vous le syst me de pen sion britannique Quelles sont ses forces et ses faiblesses T R La force du syst me britannique repose sur le nombre et la vari t des fonds de pension sur la flexibilit de leur gestion sur des d ductions fiscales g n reuses sauf pour les tr s hauts reve nus et des am liorations apport es au fil des ann es qui ont donn une vraie solidit au syst me Les grands fonds sont particuli rement efficaces en ce qui concerne les co ts de gestion au moins pour les r gimes prestations
33. compl men taire au sein des entreprises ou pour le compte des entreprises d accompagner le parcours professionnel des salari s L acc s une information d crypt e fait de ce site un v ritable outil pour com prendre le r le et l importance de la retraite compl mentaire et de chacun de ses acteurs notamment les groupes de protection sociale interlocuteurs privil gi s des entre prises L h tesse qui accueille l internaute et pr sente les diff rentes composantes du site rend la navigation plus conviviale et plus vivante 1 Lar alisation du site souhait e en 2010 parle groupe Communication des directeurs des groupes paritaires de protection sociale tait d finie comme l une des actions prioritaires a mettre en uvre en 2011 aux entreprises Page d accueil Fr Retraite Compl mentaire Entreprise Votre groupe de protection sociale MIEUX LE CONNA TRE POUR MIEUX L UTILISER Le fonctionnernent du syst me de retraite Fonctionnement Fiche d identit des groupes de chaque groupe AGRICA Le Groupe AGRICA organise les Petits HUMANIS Barom tre Humanis arris Interactive Ev nements de carri re Ev nements de la vie Pr paration la retraite Accompagner le parcours professionnel du salari Mentions l gales Accompagner Comprendre et faire Faciliter avec des Les groupes de Le syst me comprendre services protection sociale Accompagner le p
34. contact unique avec le collecteur Nord du Gip Info Retraite collecteur des donn es aupr s des r gimes et avec le collecteur Sud qui met en forme le RIS e La nouveaut c est que la demande de l internaute est directement transmise au collecteur via le concentrateur alors qu avec le RIS la demande c tait un gestionnaire qui devait saisir la demande via l outil du gestion naire PRC IA poursuit douard Marty Par ailleurs les r gles d authentification du demandeur qui permettent de garantir une parfaite confidentialit des informa tions divulgu es ont volu Jusqu alors certains groupes avaient recours une solu tion de type pav num rique alors que d autres n imposaient qu un mot de passe quatre chiffres La norme pr valant pour l ensemble de la sph re retraite compl mentaire est dor navant de huit caract res alphanum riques modifiables la premi re connexion Un standard commun valid par la Cnil pour l ensemble des r gimes de retraite membres du Gip Info Retraite Une nouvelle r gle qui a eu d autres cons quences puisque au del du service sp cifique du droit l information certains groupes l ont tendue l ensemble de leurs services en ligne 1 Le num ro de S curit sociale avec sa cl le num ro interne d affiliation a linstitution ou d autres l ments d identit nom de naissance pr nom nom marital date de naissance
35. e ce qui facilite la production de donn es pid miologiques et permet des publications plus r guli res Tous les centres de pr vention sont dor navant qui p s L tude Pr server l quilibre pour pr venir les chutes publi e en 2011 est la premi re b n ficier de cette informa tisation Elle value l importance des chutes 2 millions de chutes en France pour les plus de 65 ans leur impact physique psychique et conomique et propose un certain nombre de pr conisations en mati re de pr vention Deux nouvelles tudes sont programm es en 2012 sur la m moire et en 2013 sur les troubles du sommeil G N RALISATION DU DISPOSITIF SORTIR PLUS Favoriser le maintien du lien social le plus longtemps possible en vitant le confinement domicile des personnes g es tel est l objectif du dispositif Sortir Plus Les personnes de plus de 80 ans sont ligibles ce service Elles doivent appeler une plate forme t l phonique pour organiser leur sortie Ce sont des personnes rencontrant des difficult s un probl me de vue par Les centres de pr vention assurent un relais de proximit pour d cliner au plus pr s des besoins les actions favorisant le bien vieillir Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 D amp Viel Sortir Plus le bilan 2010 28 024 b n ficiaires 89 5 des demandeurs sont non cadres 75 2 sont
36. e dans le cadre de la premi re orientation laxe strat gique D cliner la pr vention pour maintenir le lien social le plus longtemps possible y com pris apr s 80 ans peut susciter diff rentes actions Parmi celles ci Sortir Plus est arriv e maturit au point d tre aujourd hui g n ralis e l ensemble du territoire explique Anne Saint Laurent directrice de l action sociale Agirc Arrco Les actions de niveau 2 sont mises en place par les institutions dans le respect des axes strat giques Des centaines d actions ont t recens es Seulement une quinzaine d entre elles sont visibles dans le socle commun pr cise Anne Saint Laurent e Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 L enjeu 360 millions d euros C est le montant des dotations de l action sociale pour toutes les institutions de retraite compl mentaire soit 0 5 des allocations Agirc Arrco Un environnement en mutation gt Le vieillissement de la population En suivant la tendance d mographique actuelle le nombre des personnes g es de 85 ans et plus devrait quadrupler entre 2007 et 2060 et passer ainsi de 1 3 5 4 millions de personnes source Insee Cet allongement de la dur e de vie s accompagne de risques accrus de d pendance on estime qu il y aura volution constante 2 6 millions de personnes g es en perte d autonomie d ici 2060 source In
37. e personnes n es compter du 1 juillet 1951 qui auront donc 65 ans au plust t au l juillet 2016 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Salari s cadres Retraite Agirc sur la tranche C des r mun rations Pour liquider sa retraite sur la tranche C des r mun rations un salari cadre doit avoir au minimum un ge compris entre 65 et 67 ans pour une retraite sans minoration ou entre 55 et 57 ans pour une retraite avec minoration Ce salari pourra galement obtenir une retraite sans minoration partir d un ge compris entre 60 62 ans et 65 67 ans s il a t d port ou intern ancien combattant ou prisonnier de guerre ou reconnu inapte au travail 1 Entrezet8foisle Plafond dela S curit sociale 2 Selon sa g n ration 3 Sous r serve d avoir faitliquider sa pension du r gime de base Cas pratique gt M Dupont est n le 5 d cembre 1951 Il a cess son activite le 30 septembre 2011 et tota lise 161 trimestres d assurance la S curit sociale quel ge peut il prendre sa retraite compl mentaire M Dupont peut partir l ge de 60 ans et 4 mois soit au 1 mai 2012 Le nombre de trimestres requis pour obtenir sa pension de la S curit sociale au taux plein tant de 163 trimestres un coefficient de 0 98 pour deux trimestres man quants sera appliqu sur le montant de ses droits retraite compl mentai
38. e montant de la pension future Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 relev pour les femmes 65 ans d s 2018 donc plus rapidement que pr vu et port 66 ans pour tous partir de 2020 Cette acc l ration a t controvers e car elle p nalise les femmes de plus de 55 ans qui n auront pas eu le temps de se pr parer ce changement La retraite compl mentaire obliga toire devrait tre introduite en 2012 2014 pour les PME Le terme obligatoire est mettre entre guillemets car le salari aura toujours le droit de se d safflier condition toutefois que cette d saffliation r sulte d une d cision proactive r affir m e tous les trois ans et sans influence de la part de l employeur Employeur et salari cotiseront chacun hauteur de 1 ce taux passant progressivement 3 pour l employeur et 5 pour le salari en 2018 Le total correspondra donc peu pr s au taux Arrco en tranche 1 Ces cotisations pourront tre vers es soit dans un fonds national cr cet effet le National Employment Savings Trust NEST soit dans le fonds de pen sion de l entreprise si un tel fonds existe d j Dans ce cas il est fort probable que 3 trimestre 2011 L ge normal de la retraite devrait tre relev 65 ans pour les femmes d s 2018 et port 66 ans pour tous les Britanniques partir de 2020 66 L introduction de la cotisation minimale
39. e pas moins que la Semaine pour l emploi des personnes handicap es organis e par lAdapt qui s est d roul e du 14 au 20 novembre 2011 dans toute la France est un rendez vous important que la branche professionnelle retraite compl mentaire et pr voyance ne pouvait manquer La branche retraite compl mentaire et pr voyance figure dans le guide des entreprises ouvertes toutesles comp tences EOTC publi par l Adapt qui r pertorie les entreprises investies dans le d veloppement de l emploides personnes handicap es Imprim 30000 exemplaires ce guide est t l chargeable sur www semaine emploi handicap com Un colloque et un handicaf se tiendront le jour de l inauguration de la Semaine la Cit des sciences et de l industrie de Paris l espace d nomm handicaf permet comme son nom l indique des rencontres informelles autour d un verre entre repr sentants des entreprises et personnes handicap es la recherche d un emploi 1 Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicap es Le service des r sidents hors de France change de nom Service Coordination europ enne tel est le nouveau nom du Service des r sidents hors de France Une appellation plus en ad quation avec la nature des activit s de l quipe du GIE Agirc Arrco Le changement de nom a pris effet au 1 octobre 2011 AGIRC ARRCO et g rer l infor
40. ements est concern e Nous souhaitons tendre cette mesure l ensemble des sites Autre action importante la mise en uvre de l axe pour la sant bucco dentaire dans les prochains mois Les probl mes dentaires ont beaucoup d incidences mal manger conduit la perte du plaisir de s alimenter et la d nutrition L objectif que les r sidents retrouvent une sensation de confort Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 L enjeu Eval zheimer aaa Une reconnaissance scientifique Ce programme a t initi par la Fondation M d ric Alzheimer il y a quatre ans apr s une phase d exp rimentation Depuis sa mise en uvre notamment au sein du parc m dico social Agirc Arrco de nombreux articles scientifiques publi s au niveau national et international ont permis de valider les fondements de ce programme rappelle Kevin Charras responsable du Programme et du P le des Interventions Psychosociales la Fondation Il est oral La prestation consiste informer et sensibiliser toutes les personnes concern es quipes soignantes et r sidents en proposant un d pistage et des soins de r tablissement du confort bucco dentaire Tous les tablis sements sont concern s UNE ORGANISATION PROFESSIONNALIS E Le deuxi me axe du plan m dico social est la mise en place g n ralis e des entit s de pilotage Il s agit de r pondre pa
41. erre As le 12 juillet dernier A nr _ d cembre 2011 cette date on c l brera le 50 anniversaire de l Arrco Un colloque sera organis pour l occasion au Conseil conomique social et environnemental Paris Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Actualites Contr le de gestion Objectifs 2008 2010 le bilan En trois ans les institutions de retraite compl mentaire ont am lior leur qualit de service et leur pilotage de la performance Digest des principaux enseignements du bilan des contrats d objectifs 2008 2010 K es groupes de protection sociale se sont pleinement mobilis s pour d velop per la qualit de service rendu aux clients et optimiser le pilotage de la performance constate Franck Costo contr leur de ges tion charg du suivi des contrats d objec tifs au sein de la direction des objectifs et de la qualit Agirc Arrco Gr ce l inves tissement des groupes les r gimes Agirc et Arrco affichent au 31 d cembre 2010 un taux moyen de r alisation des engage ments de 96 7 soit une progression de 9 pendant la p riode 2008 2010 Les contrats d objectifs 2008 2010 repo saient sur sept engagements portant sur 18 prestations la fin 2010 le taux de r alisation des objectifs tait au dessus de 95 pour 14 prestations une seule pres tation pr sentait un taux de r alisation un peu en dessous de 90
42. es salari s et retrait s attendent l gitimement une qualit de service irr prochable Une exigence partag e par les pouvoirs publics Nous sommes confiants le taux de d ploiement est aujourd hui sup rieur au tiers et les ch ances sont respect es Au del de l Usine Retraite le d fi relever dans les trois ans qui viennent sera de r ussir ensemble la transformation de l informatique retraite compl mentaire D ici 2014 il faudra p renniser industrialiser et am liorer le syst me d information pour r pondre aux volutions du produit retraite compl mentaire optimiser et r duire davantage les co ts informatiques Ces enjeux sont inscrits dans le sch ma directeur informatique La cr ation d but 2011 des GIE Alcara et GieProd charg s d assurer l ensemble de la ma trise d uvre du SI RC puis la cr ation du Centre national de d veloppement et du Centre national de recette charg s d assurer la mainte nance de l Usine Retraite et le d veloppement de nouveaux services marquent un pas important dans la nouvelle orga nisation mise en place pour relever ces d fis Bernard Van Craeynest Les clients de la retraite compl mentaire entreprises salari s et retrait s attendent l gitimement une qualit de service irr prochable Pour soutenir et accompagner les ressources humaines dans ce contexte de transformation d volution les parte naires sociaux ont valid un amb
43. es groupes encore peu engag s dans la d marche gain en termes de temps et de p rim tre de surveillance puisque chaque groupe s occupe d un territoire donn pour l ensemble des groupes et b n ficie en retour du contr le effectu par les autres groupes sur tous les autres territoires Depuis le mois de septembre la cellule de veille fonctionne en autonomie La com munaut des veilleurs fait remonter les informations et en cas de buzz n gatif les groupes et les f d rations se concertent pour d cider de la conduite tenir e 1 quivalent du bouche oreille sur Internet Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 WW 7 N t A Une experience enrichissante K Le groupe de travail communautaire sur l e r putation r pond une r elle n cessit de mise en uvre malgr une expertise pas totalement ma tris e par les quipes Cette r flexion en commun avec des mises en situation concr tes est particuli rement enrichissante pour les collaborateurs du groupe R unica Au del d un change sur les bonnes pratiques c est aussi la prise en compte d une synergie partag e pour le positionnement de la retraite compl mentaire et une coh rence dans les r ponses apport es De plus la constitution d un r seau e r putation communautaire qui permet d changer et de s enrichir mutuellement est une organisation gagnante pour tous
44. et 2010 et un boom de la natalit plus tard l Insee pr voit que le nombre d actifs continuera progresser jusqu en en 2060 2060 la population active augmenterait de 110 000 personnes en moyenne annuelle jusqu en 2025 30 millions d actifs pour se stabiliser ensuite pendant 10 ans Elle repartirait alors la hausse 45 000 personnes par an pour atteindre 31 2 millions de personnes en 2060 Ce sc nario dit central est l un des cas de figure possibles il prolonge les ten dances d mographiques pass es et int gre peu de changements des comportements d activit l exception de ceux induits par les r formes des retraites Autour de ce sc nario plusieurs variantes d mographiques Les hypoth ses relatives la f condit et surtout au solde migratoire sont celles qui ont les effets les plus importants 9 et conomiques sont pr sent es quelle que soit celle retenue la population active continuerait progresser et oscillerait entre 29 5 millions et 32 9 millions de personnes horizon 2060 voir tableau p 9 Toutefois compte tenu de la forte crois sance du nombre de personnes g es de plus de 60 ans d ici l 10 millions en 50 ans le ratio actifs inactifs de 60 ans et plus continuerait de baisser dans tous les sc narios Ainsi il passerait de 2 1 actifs pour un inactif de 60 ans ou plus en 2010 1 5 actif 0 1 en 2060 Les nouvelles pr visio
45. if de la demande maladie 2 720 ouvertures de droits Types d aides 1230 b n ficiaires e 93 aide domicile 13 405 heures de e 3 aide la mobilit prestations e 2 livraison de courses 9 h 10 volume e 1 pr paration et d heures moyen livraison de repas e 1 auxiliaire de vie handicap temporaire besoin diff r la suite d une hospitalisation absence temporaire de l aidant le maintien domicile DEUXI ME PHASE DE TEST POUR L ERGOTH RAPIE Le dispositif d ergoth rapie exp riment depuis fin 2010 dans le cadre du Plan domi cile est galement une action prioritaire en vue de prolonger l autonomie domicile des personnes g es Vous devriez viter de monter sur un tabouret et plut t d placer vos appareils lectrom nagers C est un exemple de remarque que peut formuler un ergoth rapeute une personne g e lors d une visite La recommandation est g n ralement mieux accept e si elle vient d un tiers que si elle vient d un membre de la famille explique Catherine Tchou charg e de projets en g rontologie sociale la direction de l action sociale Agirc Arrco Ce dispositif vise en particulier r duire les risques de chutes par une valuation de la situation de la personne g e tant au niveau de ses pratiques comportementales qu en ce qui concerne les am nagements de son loge ment Seul crit re pour b n ficier de cette va
46. itieux programme national de mobilisation et de professionnalisation de la fili re infor matique Les m tiers de haute technologie voluant rapide ment ce programme offrira aux collaborateurs la possibilit d acqu rir de nouvelles comp tences tout au long de leur carri re et permettra d optimiser la performance individuelle et collective Donner du sens former mobiliser r pondre aux attentes de chacun telle est la volont des partenaires sociaux qui souhaitent offrir au travers de ce programme l opportunit pour les informaticiens de la retraite compl mentaire d un avenir int ressant et motivant Dans le m me temps une r flexion sur la diversit sera engag e au sein des syst mes d information dans la branche en lien avec l Observatoire des m tiers et des qualifications ce qui devrait permettre terme d obtenir le label diversit Signe de l engagement de la retraite compl mentaire en mati re de pr vention des discriminations d galit des chances et de promotion de la diversit Dans ce domaine aussi il convient de faire preuve d exemplarit e Bernard Van Craeynest Pr sident de l Agirc Philippe Pihet Pr sident de l Arrco INK N Philippe Pihet 04 Actualites Fr Shea gt Plate forme Cicas de M rignac R seau Cicas Un nouvel outil de gestion des contacts F cicas RETRAITE COMPL MENTAIRE epuis juillet 2011 l ensemble du r seau Cicas et
47. jourd hui il en reste 19 et seule ment 16 dans l Hexagone Mais un groupe 25 Regards crois s peut jouer un r le important quelle que soit sa taille et rayonner comme un mod le Nous avons accompli d normes efforts et nous sommes toujours pr sents ce qui d montre que nos activit s sont efficaces Nous avons pu faire passer nos messages L objectif de mon mandat pour la CGPME est clair c est de conserver un groupe profes sionnel Je me bats pour cela Reste que l objectif commun c est de p renniser la retraite compl mentaire c est fondamental pour l avenir Que retient il de cet engagement Je n ai pas t d u par ce parcours J ai eu loppor tunit de nombreuses rencontres avec des gens passionnants J ai de bons contacts avec les syndicats Le paritarisme est un syst me qui fonctionne bien C est une r ponse collective des aspirations individuelles on essaie donc de trouver une solution m diane Ce que je crains c est que la jeunesse fasse d faut Il faut du temps pour faire passer les messages RC mode d emploi Equilibre des r gimes Les r serves des r gimes Agirc et Arrco jouent un r le central dans la gestion des op rations de retraite Quand les r gimes ont ils recours Ces reserves Pourquoi et comment maintenir leur niveau Explications Les strategies de d caissement des reserves R forme des retraites Des impacts po
48. la revalorisation des pensions par exemple Autre diff rence entre les deux entit s le Cor raisonne sur le long terme alors que le Copilor m nera sa r flexion sur trois horizons simultan s Le premier a tres court terme avec la remise chaque ann e d un avis sur la situation au terme de l exercice coul le deuxi me moyen terme avec l objectif de 2018 comme ann e de retour l quilibre des r gimes et de l laboration d un sc nario visant p renniser cet quilibre le troisi me long terme puisqu il vise l horizon 2050 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Or selon que l on consid re tel ou tel horizon un m me chiffre n a pas la m me port e Concilier ces diff rents horizons sera d ailleurs a mon sens le principal d fi du Copilor Uneautredeses missions est dese prononcer sur une possible r forme syst mique de la retraite en France J J M En effet pourrait s agir d une refonte horizontale l ensemble des 36 r gimes de retraite obligatoires actuels n en formeraient plus qu un ou verticale par la fusion de r gimes concernant un m me statut professionnel la Cnav l Agirc et l Arrco par exemple dans le cas des salari s du priv Mais au del de ce d bat sur lequel il ne m appartient pas de me prononcer en l tat actuel des choses un point me semble essentiel c est la forte ambigu t qui se d gage de cette id
49. luation avoir au moins 75 ans Cette prestation est propos e dans trois r gions Bretagne Ile de France Paris et Seine et Marne Rh ne Alpes Loire et Haute Savoie poursuit Catherine Tchou Quel bilan en tirer Nous avons mesur l attrac tivit de la prestation mais il a t jug pr matur de lancer une g n ralisation Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Pour le dispositif d ergoth rapie il a t juge pr matur de ancer une g n ralisation imm diate imm diate L exp rimentation a t trop courte et a port sur un trop petit volume 300 prestations en six mois Nous avons besoin d l ments de confirmation d ici la fin 2012 Enfin il faut s assurer de la pr sence d un r seau d ergoth rapeutes suffi samment important Une deuxi me phase va tre lanc e sur l int gralit des trois premi res r gions en yajoutant la r gion PACA et galement en partenariat avec la Cnawv BILAN MITIG POUR LES NOUVELLES TECHNOLOGIES Autre piste de r flexion l installation de g rontechnologies chez la personne g e pour pr venir les chutes d tecter des ano malies Une action tude S curit Habitat a t men e pendant six mois Son principe Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 proposer des retrait s des produits qui s curisent la vie domicile mont
50. matique de la retraite coumpl t Actualit s 07 L informatique retraite compl mentaire _ en mouvement Une organisation pour vransfortner mentaire e 15 septembre dernier 648 collaborateurs des groupes de protection sociale et de leurs plates formes se sont retrouv s lors de la Journ e de l informatique de la retraite compl mentaire Jirc au Parc Floral de Paris Au programme une s ance pl ni re riche en informations des forums des t moignages ext rieurs des animations et des expositions Dans son discours d introduction Jean Jacques Marette a mis en perspective le r le de l informatique dans les objectifs que notre m tier s est fix pour la p riode 2011 2014 Au m me titre que la promotion d un v ritable produit retraite vou valoriser la marque Agirc Arrco la convergence informatique s inscrit dans la logique d unicit du service retraite compl mentaire L 1 Ae misi Cr pi Ea e LT LLA TTUT EA TE T aje n n a a i g F ieg ar LE h Ten f i J L Au del du point tr s attendu sur l avancement de l Usine Retraite cette journ e a permis chacun d approfondir dans le cadre des forums plusieurs th mes performance conomique et sociale accompagnement des informati ciens etc suivant son propre choix L apr s midi a t consacr l avancement du sch ma directeur informa tique et au support aux d ploiements Enfin D
51. n permanente donn e par l ensemble de ses acteurs chaque niveau et qui se poursuivra n cessairement au del de 2013 e 1 Loi H pital patients sant territoires n 2009 879 du 21 juillet 2009 parue au JO du 22 juillet 2009 2 Agences r gionales de sant conseils g n raux EN SAVOIR gt Lire Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 20 Dossier n 24 Aidants n 25 Dossier Les Cahiers de la Retraite Compl mentaire n 2 Ergoth rapie et n 4 Etude Pr server l quilibre pour pr venir les chutes wWww agircarrco actionsociale fr aujourd hui mis en pratique par plusieurs op rateurs Il faut souligner que les applications ne se limitent pas seulement des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer Ces principes peuvent tre appliqu s pour l accompagnement de personnes g es sans troubles cognitifs Ce qu il faut retenir Le pilotage gt Les orientations prioritaires sont d finies par les f d rations le socle commun des actions est pilot par l Agirc et l Arrco et ce sont les groupes de protection sociale qui mettent en uvre l ensemble des actions Les quipes Action sociale gt Douze personnes au GIE Agirc Arrco gt 1 200 collaborateurs dans les groupes de protection sociale avec un directeur d di dans chacun des groupes L enjeu gt L action sociale est un laboratoire d id es une exp rimentation permanente Nous met
52. ncer t e est plus pertinente et rationnelle que des d marches isol es Il tait logique que nous nous engagions dans cette voie D finir les mots et expressions devant faire l objet de la veille mettre en place un espace commun de partage d informations arr ter l organisation type telles ont t les premi res d cisions du groupe de travail Un espace accessible l ensemble de la communaut des veilleurs a t cr afin de faire remonter toutes les informations identifi es sur la toile R PARTITION DES T CHES La phase exp rimentale a t men e avec l aide de Serge Courrier journaliste sp cia liste du Web et de l e r putation voir t moi gnage Les diff rents territoires Internet ont t r partis entre les participants Un groupe surveille les blogs un autre les forums un troisi me la presse en ligne et ainsi de suite de mani re couvrir l ensemble des territoires susceptibles de relayer des informations sur la retraite 3 trimestre 2011 compl mentaire les r seaux sociaux g n ralistes Facebook et professionnels LinkedIn Viad o les sites de partage Twitter les plates formes contributives Wikip dia et le Web lui m me c est dire les informations accessibles partir des moteurs de recherche Les b n fices attendus de cette organi sation sont nombreux acquisition de savoir faire en mati re de veille sur l e r putation pour l
53. ndicap de dur e d assurance et de dur e d assurance cotis e Ces dur es diff rent selon l ge atteint la date d effet de la retraite anticip e Voir tableau retraite anticip e des assu r s handicap s sur www agirc arrco fr e Carri res longues Les personnes qui ont commenc travailler tr s jeunes et qui ont effec tu une carri re longue peuvent demander leur retraite partir de 56 ans sous r serve de remplir trois conditions avoir commenc son acti vit un ge donn r unir une dur e totale d assurance justifier d une certaine dur e d assurance cotis e fonction de l ge de la personne la date d effet de sa pension Voir tableau des carri res longues sur wwWw agirc arrco fr gt D part compter de l ge de 60 ans sans minoration e P nibilit Depuis le 1 juillet 2011 les per sonnes qui souffrent d une incapa cit permanente taux 2 20 ou taux gt 10 et lt 20 reconnue au titre d une maladie professionnelle ou d un accident du travail peuvent demander une retraite pour p nibi lit compter de 60 ans Sous r serve de remplir les conditions requises elles b n ficient alors de leur retraite sans minoration quelle que soit leur dur e d assurance e Amiante Les b n ficiaires de l allocation amiante peuvent obtenir une retraite sans minoration partir de 60 ans s ils remplissent les conditions de dur e d ass
54. non mise en place ce jour Mais les autres actions mises en uvre dans le cadre du Plan d aide aux aidants sont nombreuses gt Au niveau des institutions Agirc Arrco Depuis 2010 des actions de communication ont t organis es l intention des aidants Des s jours individuels de r pit avec des aides sp cifiques pour les aidants de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ont t propos s Des conf rences groupes de paroles ou ateliers ont r uni plus de 17 000 aidants gt Au niveau des comit s r gionaux de coordination de l action sociale Depuis 2011 ce dispositif couvre la totalit du territoire 19 comit s r gionaux Le bilan 2010 recense sept types d actions ateliers conf rences s jours de r pit forums locaux formation th tre d bats Au total ce sont 82 actions d aide aux aidants qui ont t mises en uvre pour 8 000 personnes On note de 2009 2011 une augmentation de 80 des actions et de 33 du nombre de participants Les actions se d clinent de plus en plus sur des territoires de proximit L enjeu Comprendre Le plan m dico social et sanitaire 2008 2013 vise accompagner la perte d autonomie des personnes g es ou handicap es vivant dans un tablissement Il privil gie ainsi une approche qualitative tant en termes de construction que de prestations fournies aux r sidents ACCOMPAGNER LA PERTE D AUTONOMIE Le plan m dic socia a
55. ns du nombre d actifs reposent sur l volution de la popu lation totale laquelle d termine la struc ture par ge et sexe de la population en ge de travailler En 2010 les projections d mo graphiques d ensemble ont t tablies par l Insee sur la base d un solde migratoire net annuel de 100 000 personnes par an d une f condit de 1 95 enfant par femme partir de 2015 contre 1 9 dans le sc nario pr c dent et d une baisse de la mortalit Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Tendances 09 Projections de la population active l impact des variantes en milliers En diff rence par rapport au sc nario central Sc nario central F condit haute F condit basse Migration haute Migration basse 2010 PE PE ES ES ES Variante de mod le de comportement Sans effet horizon Variantes structurelles d activit Activit f minine haute Activit haute des seniors Activit haute des jeunes VARIANTES D MOGRAPHIQUES ET ECONOMIQUES Si les donn es li es la mortalit qui font varier les esp rances de vie aux ges lev s n ont videmment que peu d impact sur le nombre potentiel d actifs les hypoth ses relatives la f condit et surtout au solde migratoire sont celles qui ont les effets les plus importants Ainsi selon l indice de f con dit retenu 1 8 enfant ou 2 1 enfants en 2015 le nombre d ac
56. odes exc dentaires permettent de constituer des r serves techniques qui servent assurer les quilibres sur plusieurs ann es Droit et r glementation R gimes Apgirc et Arrco Les partenaires sociaux ont d cid par accord du 18 mars 2011 de modifier les ges de d part a la retraite de nos r gimes en se r f rant aux dispositions issues de la loi du 9 novembre 2010 Les ASES de d part alaretraite 1 D part l ge de la retraite selon la g n ration G n ration Taux plein CES CORRE ES esans oa esans os esans 2o esans 29 CORRE COR CO gt L ge de la retraite est celui auquel la retraite est attribu e sans minoration quelle que soit la dur e d assurance Il passe progressive ment de 65 67 ans entre 2016 et 2023 l ge augmentant chaque ann e de quatre mois partir de la g n ration 1951 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 2 G n ration Pour les assur s n s en 1947 1948 1949 1950 Entre le 1 janvier et le 30 juin 1951 Entre le 1 juillet et le 31 d cembre 1951 1952 1953 1954 1955 1956 1957 1958 gt Sans minoration sous condition de dur e d assurance De juillet 2011 2018 l ge d ouverture du droit retraite sans minoration sous condition de dur e d assurance est n es compter du l janvier 1956 voir tableau ci dessus Pour chaque g n ra tion n e p
57. ont particuli rement faibles ne sont pas p nalis s Bien s r cette solution n cessite une modification des r glementations nationales qui obligent les fonds de pension garantir les droits acquis sans exception Mais cela pourrait tre une voie d avenir Soyez acteur de votre f parcours professionnel Le F 3 h o p3 m ga E a Fr L gE LE T mes Le i r N ne ns EE LR h mu h Je m F ph LR y h LL NLLD ODSrmerLlIers reCD DroO II IUL Poat of 1 NZ ed Le Lio li Doi Pea Fl NF o LI i Deux outils au service de votre parcours professionnel e l observatoire des m tiers pour s informer sur les m tiers de la branche e la bourse de l emploi pour consulter les offres d emploi sociale EMPL de
58. p riodes d ficitaires Plac es court terme elles constituent le fonds de roulement uti lis par les institutions pour payer les retraites chaque trimestre Ce fonds vient compen ser le d calage de six mois entre le paiement d avance des allocations au d but du trimestre et l encaissement des cotisations du d but du trimestre suivant PALLIER LES PROBL MES DE TR SORERIE En 2009 la crise conomique a eu pour cons quence une baisse de la masse salariale des cotisants Les charges ont t plus impor tantes que les ressources entra nant une situation d ficitaire qui n tait pas attendue avant 2015 le ch mage a induit un fl chis sement de 1 des cotisations alors que les allocations ont augment dans le m me temps de 5 Dans ces circonstances les r gimes peuvent puiser dans les r serves On parle alors de d caissement des r serves En 2010 les r gimes ont ainsi proc d des pr l vements sur les fonds plac s moyen et long termes afin de compl ter le finance ment des retraites d abord 2 5 milliards d euros sur des placements d tenus par les deux f d rations des r gimes Agirc et Arrco pour faire face au d ficit de 2009 2010 puis partir du second trimestre 2010 jusqu au d but de 2011 3 5 milliards d euros sur les placements effectu s par les institutions Soit un montant global de d sinvestissement de l ordre de 6 milliards d euros ANTICIPER LES D SINVE
59. pel tous les services de l entreprise juridique marketing commercial etc en cas d alerte grave Serge Courrier consultant ind pendant 34 Europe Retraites au Royaume Uni Le gouvernement britannique a r cemment publi un livre vert sur les pensions et lanc un d bat sur la r forme de son syst me de retraite Explications de Tim Reay actuaire directeur au sein d Aon Hewitt du d partement Global Benefits qui conseille au plan international les entreprises en mati re de retraite et de pr voyance Les changements uelles sont les grandes lignes du projet gouvernemental T R La consultation concerne princi palement deux aspects les d tails au tour du rel vement programm de l ge normal de la retraite et les modalit s de l introduction de la retraite compl men taire obligatoire L ge normal de la retraite du moins l ge partir duquel la retraite de l tat est servie il n est plus possible de faire partir un salari un ge pr d fini sera Rep res Dans les r gimes cotisations d finies seul le niveau des cotisations est fix Le montant de la pension future est al atoire II d pendra des conditions d quilibre du r gime Dansles r gimes prestations d finies l engagement est pris de verser au d part en retraite une retraite forfaitaire en fonction du salaire atteint en fin de carri re Il n y a pas d al a sur l
60. r une coop ration inter tablissements aux nou velles exigences l gislatives et r glementaires impos es aux tablissements de soins en particulier depuis la loi HPST Pour favoriser cette coop ration trois entit s de pilotage v ritables p les ressources ont vu le jour en mars 2011 Malakoff M d ric Pro BTP Apicil Humanis Mornay et Novalis Taitbout C est l amorce d une n cessaire structuration professionnelle qui se mettra en place le 1 janvier 2012 L organisation sera compl t e par un comit strat gique et un conseil scientifique C est le grand chantier de 2012 DES COMPL MENTARIT S EXPLOITER Le troisi me axe consiste favoriser l enga gement dans des dynamiques de fili res et Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 de r seaux g rontologiques Nous incitons les tablissements se concerter travail ler ensemble Nous r unissons tous les ans les 70 directeurs d tablissements pour qu ils se connaissent et pour inciter les collabora tions territoriales Les autorit s de tutelle souhaitent que les tablissements passent des conventions pour que les retrait s b n ficient d une palette d offres diversifi es Nous avan ons dans ce sens mais avec des rapprochements souvent informels que nous avons du mal quantifier conclut Domi nique Rovera Deroche La dynamique g n rale de ce plan se mesure l impulsio
61. re le coefficient pour ge de 0 78 tant moins favorable Il devra bien entendu faire liquider sa pension de la S curit sociale pour b n ficier de ce coefficient plus favorable AV Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Droit et r glementation 31 32 Enqu tes et analyses Internet Surveiller ce qui Se dit Sur Internet est devenu indispensable et de plus en plus d entreprises engagent une d marche d e r putation Pour la retraite compl mentaire une action commune men e par les groupes de protection sociale et les f d rations a t entreprise D fendre les int r ts de l entreprise i C Surveiller son environnement est devenu une obligation pour toute entreprise qui souhaite s adapter aux volutions profiter des opportunit s et carter les menaces pour son d veloppement Les directions de la communication sont fortement impliqu es dans cette d marche de veille pour valoriser le capital image et d fendre les int r ts de leur groupe et de ses dirigeants Le Web tant devenu un vecteur de communication incontournable il tait fondamental que les institutions de retraite compl mentaire s organisent avec l Agirc et l Arrco pour r pondre aux enjeux de l e r putation Philippe Carteret directeur communication groupe Novalis Taitbout Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 La retraite compl
62. re intel ligente qui mesure les niveaux d activit phy siologique rythme cardiaque temp rature et permet d alerter les secours en cas de pro bl me chute malaise syst me d clairage automatique qui facilite les d placements dans le logement Il faut reconna tre que dans imm diat les retours sont mitig s le public a manifest peu d enthousiasme pour s impliquer dans l tude Peut tre n est ce pas le bon moment ou les produits ne correspondent ils pas aux sp cificit s en termes de typologie des logements par exemple et aux exigences des personnes retrait es Une d cision sera prise en d cembre sur la suite donner cette action pr cise Catherine Tchou Enfin la quatri me action du Plan domi cile concerne la Cr ation et restructuration d une offre de logements adapt s la pr vention du bien vieillir ce jour l objectif est de d finir des partenariats sur la base d un cahier des charges pour des logements adapt s dans un habitat diffus Les acteurs du logement social qui y r pondront pourront b n ficier d une participation des caisses de retraite en contrepartie d un acc s prioritaire aux logements L enjeu i Soutenir les aidants familiaux Les aidants familiaux sont les principaux acteurs de la prise en charge des personnes g es domicile Pour les accompagner les r gimes Agirc et Arrco souhaitent structurer une coute d di e
63. s d euros fin 2010 contre 59 3 milliards en 2008 Celles ci n ont donc diminu que de 1 milliard d euros alors m me que les pr l vements ont atteint 6 milliards d euros Les produits financiers sur lesquels taient engag es les r serves ont en effet permis la reconstitution du fonds de r serve les actions qui repr sentaient environ 30 des portefeuilles en 2009 ont enregistr une performance de pr s de 12 Le principe de gestion des r gimes s appuie Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 d sormais non pas sur la notion d qui libre financier strict des ressources et des charges ann e par ann e mais sur la notion d quilibre pluriannuel partir des projections et de l ch ancier des d sinves tissements venir Le pilotage pluriannuel prend donc en compte un niveau initial des r serves et un niveau pr visionnel l horizon de gestion retenu Les fonds g r s court et moyen termes sont construits par r f rence explicite l ch ancier des sorties de fonds Les r gimes peuvent ainsi lisser dans le temps des mesures d ajuste ment Les exc dents ant rieurement accu mul s disponibles pour le financement des op rations de retraite venir contribuent aussi garantir l quilibre financier des r gimes moyenne et longue ch ances de roulement charges des r gimes permet de payer les pensions Les p ri
64. s et les convergences entre les diff rents groupes de protection sociale Le rapprochement des syst mes informatiques facilite les changes Je pense toutefois que nous arrivons aujourd hui la limite de ces fusions car elles vident peu peu les assem bl es g n rales moments forts dans la vie des administrateurs G rard Rastel est aussi membre de la com mission ex cutive de son syndicat Rester actif cela emp che de vieillir Mais il assure pourtant C est mon dernier mandat d administrateur Je passe la rel ve Et de conclure L avenir social est pr occupant Il faut songer trouver d autres modes de financement de la retraite pour assurer la p rennit des r gimes Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 No l Pouderoux CGPME Rendre la soci t ce qu elle m a donne Pour No l Pouderoux 66 ans entrepreneur toujours en activit la recherche d efficacit est un moteur de son engagement dans le paritarisme Il est administrateur au titre de la CGPME J ai t concessionnaire automobile pendant 30 ans explique No l Pouderoux 55 ans j ai vendu ma soci t Il est aujourd hui pr sident du conseil de surveillance d une holding qui regroupe les activit s familiales et notamment celles de ses deux filles auxquelles il a transmis le virus de l entreprise Mais je ne suis plus dans l op rationnel
65. see et Dress d cembre 2010 gt Des familles moins disponibles Le nombre des aidants familiaux c est dire des proches conjoints enfants voisins qui prennent en charge une personne g e quotidiennement devrait diminuer terme du fait de la dynamique d mographique de l volution des structures familiales et des taux d activit f minins gt Des lois structurantes De nouveaux besoins g n rent des volutions l gislatives par exemple les lois qui ont instaur un service coordonn de proximit avec un guichet unique dans chaque d partement ou encore les r formes annonc es sur la d pendance et n cessitent des adaptations Tous ces param tres ont des impacts directs sur la politique d action sociale des r gimes Agirc et Arrco qui doit rester compl mentaire Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 L enjeu Comprendre Les orientations prioritaires 2009 2013 pr voient de d velopper l approche pr ventive afin d am liorer la qualit de vie des personnes g es et de pr server leurs capacit s Cette approche passe notamment par le d ploiement des centres de pr vention Agirc Arrco par la r alisation d tudes pid miologiques et par la g n ralisation du dispositif Sortir PIUS D VELOPPER LA PR VENTION Promouvoir le bien epuis plus de trente ans en r gion les centres de pr vention Agirc Arrco d ve loppent une
66. sitifs gt La gestion des r serves permet d attendreles effets positifs li s au report de l ge de d partenretraite de 60 62 ans qui devrait r quilibrer le rapport charges ressources Actuellement le fonds de roulement est de plus de 33 milliards d euros et correspond six mois d activit un trimestre de cotisations et un trimestre d allocations gt En 2014 le passage au paiement mensuel des retraites va r duire le cycle de fonctionnement de deux mois et permettra ainsi d conomiser un tiers du fonds de roulement soit environ 10 milliards d euros Cette somme jusqu alors mobilis e pour la tr sorerie sera lib r e et pourra tre plac e L apport correspondant permettra de compenser les d caissements jusqu en 2017 gt Au del selon les projections les portefeuilles des institutions seront de nouveau mobilis s Les partenaires sociaux devront trouver de nouveaux leviers pour maintenir les r serves apr s 2025 es r gimes Agirc et Arrco financent les op rations de retraite c est dire le ver sement des allocations gr ce aux cotisa tions des entreprises et des salari s Les p riodes exc dentaires pendant lesquelles le montant des ressources d passe celui des charges permettent de constituer des r serves techniques qui servent assurer les quilibres sur plusieurs ann es Plac es moyen et long termes ces r serves garan tissent le versement des allocations lors des
67. sociale d fini par les r gimes pour la p riode 2009 2013 16 L enjeu La solidarit en action gt Promouvoir le bien vieillir gt Favoriser le maintien domicile gt Le plan m dico social la conqu te de l exemplarit 24 Regards crois s Composer avec les diff rences 26 RC mode d emploi Equilibre des r gimes les strat gies de d caissement des r serves 28 Droit et r glementation R gimes Agirc et Arrco les ges de d part la retraite 32 Enqu tes et analyses Internet la retraite compl mentaire prot ge son e r putation 34 Europe Retraites au Royaume Uni les changements venir S Focus sur les ges de d part la retraite des r gimes Agirc et Arrco N 5 3 TRIMESTRE 2011 LES CAHIERS DE LA RETRAITE COMPLEMENTAIRE T l 01 71 72 12 00 Fax 01 44 67 61 23 www agirc arrco fr www agirc fr www arrco fr 16 18 rue Jules C sar 75592 Paris Cedex 12 Directeur de la publication Jean Jacques Marette R dacteur en chef Catherine Favre R dacteurs en chef adjoints Anne Pascale Dicque Nathalie Reboul R daction Nathalie Reboul p 4 5 7 Ga lle Vacher p 5 10 11 12 13 Sandrine Pommepuy p 6 7 Julien Parize p 7 Fr d rique Nortier p 8 9 Rajae Khalid p 14 15 Un dite p 16 23 24 25 26 27 Laurence Nicolas p 28 31 Anne Pascale Dicque p 32 33 Arnauld d Yvoire p 34 35 Cr dits photos Getty
68. suis inscrit la CGT L lectricien intervient en cas d avarie des navires au cours de leurs escales L ann e 1984 bouleverse son existence Il est res ponsable de chantier L entreprise licencie 70 personnes G rard Rastel se retrouve quai Il devient docker Il est alors victime d un accident double fracture du cr ne Fini les docks il se tourne vers l int rim cette poque j ai endoss des responsabili t s syndicales Mon syndicat m a demand de prendre la responsabilit d une caisse de pr voyance Administrateur pour cette caisse en 1994 il passe en 1997 du c t caisse de retraite En mati re de propositions notre chemin est troit il passe entre les lignes fix es par les f d rations Le paritarisme a ses limites les organisations patronales l emportent sou vent Il n en reste pas moins que l exp rience du paritarisme est enrichissante Il faut apprendre composer avec les diff rences Il y a deux ans G rard Rastel a quitt la pr sidence de la commission sociale pour celle de la commission des finances C est vrai que cela demande beaucoup de travail J ai suivi tous les stages de formation des adminis trateurs y compris les stages financiers Je lis tout J essaie de ma triser les sujets Depuis quelques ann es les fusions font quasiment partie du quotidien de l activit des administrateurs Cela a permis de mesu rer les diff rence
69. te tel que d fini au 1 ci contre s ils r pondent aux conditions sp cifiques de chaque dispo sitif alors qu ils ne justifient pas de la dur e d assurance requise 1 Sous r serve d avoir fait liquider sa pension au r gime de base 2 Taux de 50 la S curit sociale sans d cote 3 D part avec minoration sans condition de dur e d assurance 29 Le b n fice d une retraite anticip e Agirc et Arrco peut toujours tre obtenu au plus t t 10 ans avant l ge de la retraite tel que d fini au 1 ci contre Les droits retraite compl mentaire sont alors affect s d un coefficient de minoration qui est fonction de l ge la date d effet de la retraite Exemple une personne n e en 1955 peut partir au plus t t l ge de 56 ans et 8 mois avec un coefficient de minoration de 0 43 soit 57 d abattement sur sa retraite Voir tableau des coefficients sur www agirc arrco fr Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 gt gt gt 307 Droit et r glementation Les ges de d part la retraite suite Dispositifs d rogatoires gt D part compter de l ge de 55 ans ou 56 ans sans minoration sous condition de dur e d assurance Travailleurs handicap s L ouverture du droit la retraite anti cip e compter de 55 ans pour les personnes handicap es est notam ment subordonn e des conditions simultan es de ha
70. tenue pour les 60 64 ans suppose que les actifs encore en activit pr f reront continuer travailler pour conserver un certain niveau de taux de rempla cement Dans ce cas le taux d activit des femmes de cet ge serait de plus de 40 partir de 2025 et d passerait celui de 1975 alors que celui des hommes retrouverait son niveau du milieu des ann es 1970 Enfin l activit des 65 69 ans passerait de 3 4 13 pour les femmes et de 5 5 18 pour les hommes Source Olivier Filatriau Projections l horizon 2060 Des actifs plus nombreux et plus g s Insee Premi re n 1345 avril 2011 1 La population active consid r e ici est dite au sens du Bureau international du travail BIT Elle regroupeles actifs occup s au moins une heure au cours delasemaine de r f rence et les ch meurs au sens du BIT qui n ont pas travaill au cours delasemaine sont disponibleset la recherche active d un emploi 2 Cereculestd alafoisalallongementdela dur e des tudes et aux difficult s grandissantes d insertion des jeunes dans l emploi 10 Le point sur Le Copilor Mis en place dans le cadre de la loi du 9 novembre 2010 portant r forme des retraites le Comit de pilotage des r gimes de retraite a t qualifi par son pr sident Xavier Bertrand ministre du Travail de l Emploi et de la Sante d outil permettant d assurer le service apr s vote de la r forme Le point
71. tici pants au niveau des r gimes est franchi avec un taux de 93 5 S agissant de la prestation garantissant la continuit des ressources des nouveaux retrait s la progression des volumes de dossiers pay s dans le mois de la date d effet est l g rement enray e 3 6 Des marges de progression restreintes pour les groupes atteignant ou d passant d j les objectifs pass s la diminution des volumes de dossiers et cons cutivement la r sorption du stock de dossiers anciens expliquent cette baisse Chaque direction d institution de retraite a re u le bilan d finitif de son contrat d objectifs 2008 2010 afin de le restituer son conseil d administration d ici la fin de l ann e e 1 Les contrats engagentlesinstitutions et la f d ration dontils rel vent La restitution des r sultats est com mune aux deux r gimes elle est donc op r e par groupe EN SAVOIR gt Lire Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 17 22 25 Les Cahiers de la Retraite Compl mentaire n 4 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Emploi des personnes handicap es Attention branche engag e L emploi des personnes handicap es n est pas pour nous le sujet d une seule semaine mais bien une d marche de longue haleine souligne Olivier Kossowski coordinateur diversit pour l Association d employeurs Protection sociale compl mentaire des salari s II n en demeur
72. tifs serait de plus ou moins 1 5 million en 2060 L hypoth se de f con dit ne joue qu partir de 2030 ann e o les g n rations qui naissent actuellement arriveront sur le march du travail Les hypo th ses alternatives de solde migratoire ont quant elles un effet imm diat Si l apport migratoire tait de 150 000 personnes par an ou au contraire de seulement 50 000 ce serait 1 7 million d actifs disponibles en plus ou en moins en 2060 110 000 personnes La population active devrait augmenter de 110 000 personnes en moyenne annuelle jusqu en 2025 30 millions d actifs pour se stabiliser ensuite pendant dix ans Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 28 364 29 568 30 143 30 427 31 238 40 422 1505 me 378 1466 z 274 611 990 1705 275 612 991 1745 333 518 497 475 47 147 267 410 50 153 263 409 186 193 191 196 Champ population des m nages de 15 ans et plus de France m tropolitaine en ge courant Pour ce qui est des comportements d activit le nouveau sc nario ne diff re gu re de ceux de 2001 et 2006 quant l acti vit des jeunes et des ges interm diaires Le taux d activit des jeunes 15 24 ans progresserait l g rement du fait de l appren tissage et des emplois d tudiants puis se stabiliserait Le taux d activit des 25 54 ans serait en l g re hausse en raison de l
73. tons en uvre des process qui ressemblent aux process pr industriels nous lan ons des actions nous les testons parfois pendant plusieurs ann es avant de les valider et de les mod liser L id e n est pas de se faire plaisir mais de r pondre un besoin Nous devons d montrer l int r t de ce que nous pressentons tre une solution des probl matiques Anne Saint Laurent directrice de l action sociale Agirc Arrco Regards crois s Parcours G rard Rastel CGT et No l Pouderoux CGPME administrateurs d institutions de retraite ont connu des parcours professionnels bien diff rents Mais tous les deux se rejoignent dans la d fense des m mes principes le paritarisme et la p rennisation du syst me des retraites compl mentaires Composer avec les differences G rard Rastel CGT L exp rience du paritarisme a ses limites elle est n anmoins enrichissante lectricien naval aujourd hui retrait G rard Rastel 69 ans s engage dans le syndicalisme tr s jeune Il est aujourd hui administrateur pour la CGT d une caisse Arrco Quatorze ans apprenti lectricien dans le b timent c est le d but de la vie profes sionnelle pour G rard Rastel Je suis rest dans l entreprise o j ai fait mon apprentissage jusqu au service militaire Au retour j ai b n fici d une sp cialisation dans l lectricit navale Saint Nazaire Tr s vite je me
74. uniquement dans la strat gie explique ce dipl m en droit et sciences conomiques qui partage sa vie entre Paris et Le Puy en Velay Haute Loire Son activit syndicale commence au Conseil national des professions de l automobile CNPA dont il devient pr sident de la branche interd partementale r gionale avant d tre nomm administrateur d une caisse de retraite Agirc Il avoue avoir parfois prouv le sentiment d une certaine impuis sance au d part dans cet univers o il ne se sentait pas encore en capacit de pouvoir peser sur des d cisions Jusqu ce qu on lui propose en 1998 la pr sidence de cette institution La question des retraites est une pr occupation importante pour moi Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Le paritarisme est un syst me qui fonctionne bien et je souhaitais disposer de moyens d action Les mandats s encha nent alors pr sident de l association de moyens de son groupe il entre ensuite au bureau de lArrco par un mandat de la CGPME Un pied dans la f d ration et un pied dans le groupe de protection sociale il y est aussi chef de file de la caisse Arrco Il est galement juge au tribunal de commerce de Paris D une certaine mani re je veux rendre la soci t ce qu elle m a apport Quand il a commenc son premier mandat en 1998 il y avait 52 groupes de protection sociale Au
75. urance requises par le r gime g n ral de la S curit sociale e Mineurs de fond Les salari s relevant du r gime sp cial de S curit sociale dans les mines qui remplissent certaines conditions de services miniers peuvent b n fi cier de la retraite Arrco sans minora tion partir de 60 ans 1 Sous r serve d avoir fait liquider sa pension au r gime de base gt D part l ge de 65 ans ge de 65 ans a t maintenu pour permettre certaines cat gories de per sonnes d obtenir une retraite sans mino ration quelle que soit leur dur e d assurance Il s agit e des personnes n es entre le 1 juillet 1951 et le 31 d cembre 1955 qui ont eu ou lev au moins 3 enfants ont r duit ou cess leur activit pour lever l un de ces enfants et ont valid un nombre minimum de trimestres avant cette interruption e des assur s qui ont interrompu leur activit professionnelle en raison de leur qualit d aidant familial e des assur s qui ont valid au moins un trimestre au titre de la majoration de dur e d assurance pour enfant han dicap e des assur s qui ont apport une aide effective en tant que salari ou aidant familial pendant au moins 30 mois leur enfant b n ficiaire de la presta tion de compensation du handicap e des assur s handicap s Ce dispositif ne vise que les personnes qui auraient t touch es par le report de l ge de la retrait
76. uvement qui s est tenue le 12 septembre au GIE Agirc Arrco Principal enseignement de l tude hier principalement focalis s sur la gestion des op rations d adh sion de recouvrement des cotisations et de paie ment des prestations de retraite com pl mentaire et de pr voyance les m tiers de la gestion s orientent de plus en plus vers le conseil et l accompa gnement personnalis s du client Cinq directeurs de quatre groupes paritaires de protection sociale sont venus en t moigner l aide d exemples concrets puis s dans leurs structures l origine de cette transformation tout un ensemble de facteurs d volu tion aussi bien endog nes qu exog nes 26 environ Parmi ces facteurs la concurrence accrue entre les diff rents acteurs de la protection sociale compl men taire une offre de produits et de services de plus en plus segment e par profil de client et diversifi e des clients de mieux en mieux inform s de plus en plus exigeants eten demande de conseils personnalis s et de presta tions de service d accompagnement et d assistance en protection sociale compl mentaire l acc l ration de l utilisation des technologies de l infor mation et de la communication TIC et la n cessaire adaptation de nouveaux outils m thodes de travail ou encore les volutions r glementaires et la part croissante des mises en commun de moyens et de par
77. x autres organismes sociaux potentiellement impact s Les grands axes de contr le portent essentiellement sur les risques de fraude la r sidence aux ressources la cessation d activit et l existence Enqu tes Regards crois s sur la maladie d Alzheimer Entre ao t 2008 et septembre 2010 l Institut national de pr vention et d ducation pour la sant Inpes a r alis sept enqu tes d opinion sur la maladie d Alzheimer dans le cadre du Plan Alzheimer 2008 2012 pour conna tre le regard port sur la maladie par legrand public les aidants formels et informels les m decins g n ralistes et les EN SAVOIR personnes malades Les resultats gt http alzheimer inpes fr sont en ligne depuis juillet 2011 http www plan alzheimer gouv fr C est le nombre de trimestres de salari s auront re u entre 2007 et fin 2011 requis pour les personnes n es millions une information sur leurs droits retraite relev en 1955 pour obtenir la retraite taux plein de situation individuelle RIS ou estimation indicative globale EIG Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 5 3 trimestre 2011 Les m tiers de la gestion a la loupe e premier profil prospectif des m tiers de la gestion a t pr sent par l Observatoire des m tiers et des qualifications de la retraite compl mentaire et de la pr voyance au cours de la deuxi me conf rence M tiers en mo
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